Elon Musk, défenseur des libertés? 1re partie

#1 L’opposition contrôlée : Elon Musk et les Twitter files

Il n’a échappé à personne que suite au rachat de Twitter en 2022, Elon Musk et ses équipes ont révélé la manière dont certains politiques américains et un nombre de lobbys internationaux ont contrôlé les comptes et les messages des plateformes de réseaux sociaux. Cela s’est particulièrement produit sous l’influence des démocrates et de Big Pharma qui ont censuré un nombre invraisemblable de lanceurs d’alerte et de voix critiques, aux États unis comme en Europe.

Mais faut-il pour autant célébrer Elon Musk, lui faire confiance ? Ne s’agirait-il pas d’un « limited hangout », une « sortie limitée » d’informations, pour récupérer une situation problématique ? La censure massive exercée par les réseaux sociaux a poussé de très nombreux usagers à déserter les plateformes classiques. Comment rattraper le tir et restaurer la confiance du public dans ses applications et dans « le processus démocratique » ? Car si l’on perd le contrôle d’un côté, il faut bien le rattraper de l’autre en organisant et pilotant une opposition. Alors que fait véritablement Elon Musk et à quoi cette opération peut-elle aboutir ?

Depuis qu’il est passé aux commandes de Twitter en rachetant la société pour un montant astronomique de 44 milliards de dollars, Musk a divulgué des documents internes attestant des demandes de censure de certains sujets ou de certains comptes. Des journalistes et des lanceurs d’alerte concernés ont donc publié ces preuves, principalement sur leur lettre personnelle hébergée sur la plateforme Substack. À titre d’exemple, Matt Taibbi a révélé comment dès 2017 les services des renseignements ont pris le contrôle de Twitter sous l’influence des démocrates en supprimant les messages hostiles à Clinton et aujourd’hui les dossiers compromettants sur Hunter Biden. Alex Berenson a lâché ses bombes en révélant les pressions de Pfizer pour censurer les tweets de Scott Gottlieb sur la supériorité de l’immunité naturelle à celle du vaccin et le Dr Michael Shellenberger a révélé comment Facebook a rassuré la Maison-Blanche en expliquant que les informations défavorables à la vaccination sont supprimées, même lorsqu’elles sont vraies.

La liste des scandales est longue. Officiellement, les géants de la technologie ont fait savoir qu’ils ne supprimaient que les informations contenant « de fausses informations médicales », ce qui revenait déjà à laisser l’OMS décider de l’état des connaissances scientifiques et à supprimer tout débat contradictoire. Mais il apparaît désormais que l’ampleur de la censure est encore bien plus importante. La CIA, le FBI et d’autres agences gouvernementales ont donc régulièrement envoyé des demandes de suppression de tweets ou de comptes, et même appuyé leurs exigences par de solides compensations financières. Twitter a, par exemple, perçu 3 415 323 dollars du FBI pour les services rendus par ses employés.

La divulgation de toutes ces informations ouvre également la voie à des actions judiciaires. Ainsi l’avocat Robert F. Kennedy, Jr. a porté plainte pour violation de la liberté de la presse et de la loi antitrust contre le « Trusted News Initiative », un partenariat regroupant plusieurs groupes de presse dont la BBC, Associated Press (AP), Reuters le Washington Post et l’Agence France-Presse et d’autres médias ainsi que les plateformes de réseaux sociaux Google (Facebook, YouTube, Instagram) et Twitter. Ceux-ci s’étaient alliés pour censurer collectivement les informations concernant la Covid 19 et les élections présidentielles, qui n’étaient pas alignées sur les récits officiels. Plusieurs autres célébrités de la « résistance » américaine, telles que les époux Bollinger et le Dr Joseph Mercola, se sont associées à la plainte, savourant le plaisir d’enfin pouvoir contre-attaquer ces cartels qui les étouffent depuis plusieurs années.

Robert F. Kennedy Jr @RobertKennedyJr

Le vent tourne-t-il ?

C’est en tous cas ce qu’affirme l’eurodéputée Virginie Jauron dans une interview récente concernant les faits de corruption et de censure au sein des institutions européennes (voir l’excellente interview « Miss Pfizer au milieu de la tourmente » sur Kairos » dans laquelle elle finit par mettre en cause le nouvel ordre mondial et l’agenda de Davos) :

Je suis optimiste parce que le vent tourne. On l’a vu avec le rachat de Twitter. On a la certitude que la lutte contre la désinformation est en train d’être remise en question. Cela part des États-Unis, mais maintenant cela va se voir au sein de l’Union Européenne.

Dans son allocution de fin d’année, elle s’était déjà exprimée sur les Twitter files, expliquant que :

Bruxelles avait publié jusqu’en juillet 2021 des résultats de son programme de surveillance de la désinformation liée au Covid. En Europe, Twitter aurait désactivé plus de 1500 comptes, éliminé 43 000 tweets et contesté 11,7 millions de comptes pour cause de désinformation liée au Covid.

Prise par l’enthousiasme, la députée n’avait pas hésité à porter le milliardaire aux nues, en déclarant à la veille des fêtes de fin d’année :

Je voudrais terminer par cette 3e superbe nouvelle : nous avons eu un très beau cadeau de Noël par Elon Muskdans notre combat pour la vérité. Vous le savez Elon Musk c’est cet entrepreneur génial devenu milliardaire en lançant des voitures électriques et des satellites et qui a racheté Twitter pour 44 milliards de dollars en octobre dernier.

L’on comprend son enthousiasme et l’on ne peut que se réjouir du fait que ces informations soient divulguées. Il faut saisir les occasions offertes par Elon Musk et espérer que la commission d’enquête Corona des parlementaires européens parvienne à obtenir plus de précisions sur la manière dont la censure des réseaux sociaux s’est déroulée en Europe.

Mais en revanche, il est impératif de rester vigilant quant à la suite de l’opération lancée par Musk et à la confiance que l’on peut lui accorder.

Ironmusk à la rescousse

En quelques mois monsieur Musk s’est transformé en nouveau héros de la résistance, incarnant la figure du milliardaire donneur de leçons tel Tony Stark/Ironman, le personnage de la série Marvel qu’il affectionne.

Musk est l’incarnation du rêve américain vendu par Hollywood. Il jouit de la puissance du milliardaire qui peut tout se permettre, mais finit par se vouer à une bonne cause. Ses passes d’armes sont jubilatoires, il casse les codes du politiquement correct pour endosser ceux de l’imaginaire et met tout le monde au défi. (Par exemple lorsqu’il pousse à la démission d’Anthony Fauci, le monsieur santé qui a imposé la désastreuse politique Covid aux États-Unis). Musk est devenu le défenseur de la liberté d’expression, de la libre entreprise et de la décentralisation.

Il s’en était d’ailleurs également pris à PayPal (entreprise qu’il a co-fondée avec Peter Thiel, et dont il a revendu ses parts en 2000) et avait fortement condamné les manœuvres visant à étouffer le journalisme indépendant. Ces deux dernières années, la plateforme de payement a effectivement montré à quoi l’on peut s’attendre en matière de liberté, allant jusqu’à informer ses clients qu’en cas de diffusion de fausses informations, ils s’exposaient à des amendes de 2500 dollars, des blocages de compte pouvant aller jusqu’à 180 jours et la rétention de la totalité de leurs avoirs. La nouvelle avait provoqué un tollé et Musk avait déclaré que « cela ressemblait à un épisode de Black Mirror », une série britannique sur les dérives totalitaires de la technologie. PayPal avait alors rapidement corrigé le tir en invoquant « une erreur de communication ».

Comment expliquer que Musk soit animé par un penchant aussi aigu pour l’éthique et les valeurs démocratiques ? A-t-il eu une sorte d’épiphanie ? L’avantage du personnage fantasque, c’est que l’on ne cherche pas à le comprendre. Il suffit d’être excentrique et tout s’explique.

Et les médias participent à l’édification de cette épopée héroïque. Bien entendu Musk se fait aujourd’hui lyncher par la presse mainstream qu’il a dénoncée, mais cela ne fait que renforcer la crédibilité du personnage. N’est-ce point la preuve qu’il est dans le bon camp ? À titre d’exemple, le Nouvel Obs lui consacré un article au titre on ne peut plus éloquent : « Elon Musk de super-héros à super-vilain des Américains ».

En effet, le voici à présent dans la tourmente, son capital plonge et l’on exige sa démission. Le « pauvre » Musk risque de devoir abandonner son trophée gagné de haute lutte, et sera peut-être contraint de céder la direction de Twitter à, à…

À ses anciens amis de Paypal ?

Selon un article de Fox Business (que l’on pourrait qualifier de média de l’opposition contrôlée, en référence aux médias de propagande officiels) Elon Musk envisage déjà de démissionner de la présidence de Twitter et pourrait faire appel à ses anciens camarades de Paypal, notamment Joe Lonsdale qui en fut le co-fondateur et qui a participé à lancer Palantir le programme d’espionnage et de récolte de données de la CIA et du Mossad.

Pour l’instant l’on n’en sait rien, mais il est impératif de se demander quel est l’objectif derrière toute cette saga. Car l’idée qu’Elon Musk est une véritable force d’opposition du système est difficile à croire. Même en voulant, comment s’y prendrait-il pour réellement faire cavalier seul et s’opposer à ceux qu’il dénonce, tant il collabore étroitement avec « le régime » ?

Marié aux agences gouvernementales

Elon Musk, c’est avant tout l’un des principaux partenaires du gouvernement américain pour toutes les activités de renseignement, d’espionnage, de conquête spatiale et de technologie militaire.

Ses sociétés Space X et Starlink sont des sociétés qui dépendent quasi exclusivement de contrats gouvernementaux, la demande civile pour nombre de leurs produits étant quasi inexistante. Musk possède le plus grand réseau de satellites au monde et a obtenu des milliards de dollars de contrats pour produire et lancer des satellites-espions, des drones et d’autres technologies de télécommunications militaires. SpaceX a par exemple conclu des contrats (ici 150 millions de dollars, ici 130 millions) avec l’armée de l’air pour mettre en orbite son satellite de commandement, avec l’Agence de développement spatial pour envoyer des dispositifs de suivi dans l’espace, et avec le National Reconnaissance Office (NRO) pour lancer ses satellites-espions. Ces satellites sont utilisés par les « cinq grands » organismes de surveillance, dont la CIA et la NSA.

Récemment, le déploiement de milliers de terminaux Starlink en Ukraine, offerts par Musk en soutien à la population lui a valu beaucoup de sympathie. Officiellement, il s’agit d’aider la population à retrouver l’internet suite à la coupure du réseau dans une grande partie du pays. Starlink permet aux personnes disposant d’un terminal de se connecter à un système de 2400 petits satellites en basse orbite, la plupart lancés par SpaceX.

Cependant, il s’est rapidement avéré que le « don » extraordinaire de M. Musk a été discrètement financé par le gouvernement américain. Ainsi l’agence USAID — une agence gouvernementale a qui a régulièrement fait office d’organisation de changement de régime (« en résumé la CIA ») — aurait versé l’argent nécessaire à l’achat et à la livraison de la majeure partie des terminaux en question.

Car Starlink n’offre pas vraiment une solution commerciale. Les terminaux — qui sont en fait de minuscules antennes paraboliques portables — ont une portée nettement limitée et ne sont utiles que dans un contexte très local. Mykhailo Fedorov, ministre ukrainien de la transformation numérique, a estimé que les 10 000 terminaux Starlink permettaient à environ 150 000 personnes de rester en ligne, un chiffre assez modeste en réalité.

Par contre, en quelques semaines, Starlink est devenu la pierre angulaire de l’armée ukrainienne, lui permettant de continuer à cibler les forces russes via des drones et autres engins de haute technologie dépendant d’une connexion internet. Un responsable a confié au Times of London qu’il « doit » utiliser Starlink pour cibler les forces ennemies via l’imagerie thermique.

« Starlink est ce qui a changé la guerre en faveur de l’Ukraine. La Russie a fait des pieds et des mains pour faire sauter toutes nos communications. Maintenant, ils ne peuvent plus le faire. Starlink fonctionne sous le feu des Katyusha, sous le feu de l’artillerie. Il fonctionne même à Mariupol », a déclaré un soldat ukrainien au journaliste David Patrikarakos.

L’indépendant au service des idéaux ?

Elon Musk joue le personnage de l’outsider, du milliardaire indépendant qui s’oppose au système de subsides de l’état et défend la libre concurrence. Mais dans les faits, c’est autre chose. En 2015, le Los Angeles Times avait déjà calculé qu’au moins 4,9 milliards de subsides avaient été versés à ses entreprises.

Par exemple sa société Tesla profite largement des règles internationales complexes qui régissent la production de véhicules électriques. Dans le but de réduire les émissions de carbone, les gouvernements du monde entier ont mis en place un système de crédits pour les véhicules « propres », selon lequel un certain pourcentage de la production de chaque constructeur doit être constitué de véhicules à zéro émission. Tesla ne produit que des voitures électriques et remplit donc aisément cette condition.

Mais ce système permet surtout à l’entreprise de revendre les crédits carbone excédentaires aux constructeurs qui ne peuvent pas atteindre ces quotas. Sur un marché concurrentiel où chaque constructeur doit atteindre certains objectifs, ces crédits valent leur pesant d’or et rapportent à Tesla des milliards de dollars de bénéfice chaque année. Par exemple, rien qu’entre 2019 et 2021, Stellantis, qui possède les marques Chrysler, Fiat, Citroën et Peugeot, a déboursé près de 2,5 milliards de dollars pour acquérir les crédits verts américains et européens de Tesla.

Cela explique en partie pourquoi Tesla est le premier constructeur, en termes de capitalisation boursière. Jusqu’il y a peu, la société valait plus que ses cinq principaux concurrents réunis, alors qu’elle ne fait même pas partie des 15 premiers constructeurs automobiles en termes de véhicules vendus. Cela explique aussi l’engagement d’Elon Musk en faveur des politiques liées au changement climatique. Les voitures électriques et les énergies renouvelables rapportent considérablement en termes de subsides. (Idem pour les panneaux solaires avec Solar X qui récolte des tonnes d’incentives et d’avantages fiscaux). La fortune du milliardaire s’est donc aussi largement accrue avec l’argent des contribuables.

L’on sait pourtant que la production de véhicules électriques est loin d’être aussi écologique qu’on ne l’a affirmé et l’on connaît aujourd’hui les conséquences de l’augmentation de la consommation en électricité. Pourtant cela ne semble pas remettre en question la politique du « tout à l’électrique ». Ne serait-ce pas lié à l’immense avantage qu’auraient les gouvernements de pouvoir prendre le contrôle des déplacements de chacun ? Après tout, ces véhicules sont des ordinateurs sur roues commandés par des softwares, donc susceptibles de passer sous le contrôle d’autrui. (par ex. ici et ici).

Partenaire des coups d’État

Cette collaboration étroite d’Elon Musk avec les gouvernements se voit jusque dans la politique étrangère américaine et internationale. Outre l’exemple de l’Ukraine, l’on peut citer celui de la Bolivie où il a appuyé le coup d’État de 2019 contre le président Evo Morales qui s’opposait à l’exploitation des mines de Lithium, un minerai utilisé pour les batteries des voitures électriques Tesla. Critiqué par une internaute sur Twitter à ce propos Musk avait répondu : « we will coup whoever we want. Deal with it. » (Nous renverserons qui nous voulons. C’est comme ça !).

Enfin, même s’il s’en défend, il semble bien adhérer aux idées du Forum économique mondial. Selon certains, Musk aurait fait partie de la promotion 2008, mais son nom aurait été retiré de la liste. Quoiqu’il en soit, ses objectifs sont éminemment alignés sur ceux des élites de Davos et de leur agenda 2030. Quelques internautes ont d’ailleurs remarqué ses messages quasi « copiés-collés » du compte du Forum économique mondial, plaidant tour à tour pour l’introduction de la taxe carbone (qui rapporte indirectement à Tesla), le revenu de base universel, la vaccination avec les technologies génétiques ou l’identification des personnes par implantation de micropuces.

Une chose est certaine : Musk était bien présent au forum de l’an dernier à Davos et a même été considéré comme l’un de ses principaux intervenants. Il s’était exprimé sur la transition liée au changement climatique et les défis liés à la 4e révolution industrielle remplaçant le travail humain par la technologie robotique.

Mais depuis la saga des Twitter files, Musk et Twitter semblent être devenus des « indésirables » et ont été « supprimés des partenaires du forum de Davos » pour la semaine de réunion de janvier 2023, alors que l’on continue de promouvoir les plateformes chinoises comme TikTok, Weibo et le système de crédit social WeChat.

Tout ce combat d’Elon Musk prend donc sa place dans la confrontation ostensible entre « le modèle chinois » centralisé, avec sa censure draconienne et son système de crédit social et le modèle américain du marché libre et de la liberté d’expression issus des valeurs de la démocratie occidentale.

Avec cette polarisation de plus en plus marquée entre l’Est et l’Ouest, nous sommes amenés à croire que la lutte entre leurs deux « visions d’avenir » déterminera le futur des relations internationales et l’orientation des États-nations. Mais les choses sont souvent plus complexes qu’elles n’y paraissent. En réalité, la transformation mondiale n’est pas tant menée par les gouvernements nationaux, que par un réseau mondial de parties prenantes et d’intérêts privés qui œuvrent ensemble vers une forme de technocratie globale. Et Elon Musk est un pion important sur l’échiquier de cette « solution pour le futur », puisqu’il semble vouloir contrôler tous les domaines technologiques essentiels pour y parvenir. De quel côté cherche-t-il à faire pencher la balance ?

Article à suivre dans la 2e partie

[Voir aussi :
Le soutien d’Elon Musk à la « liberté de mourir » met en lumière l’impasse du libertarianisme
Quand Laurent Alexandre décrivait le projet d’Elon Musk de greffer des implants dans les cerveaux de nos enfants
Le grand jeu : Elon Musk et Twitter]




Drs Gérard et Nicole Delépine : « On n’a plus de traitement adapté au malade qu’on a devant soi. »

[Source : Nexus]

Dans un entretien vidéo pour Nexus, les Dr Nicole et Gérard Delépine nous parlent de la fin des traitements individualisés des patients atteints de cancer à l’hôpital. Ils reviennent également sur leur parcours de soignants et sur la crise Covid.

Version intégrale



Version courte



entretien précédent filmé en 2020






Comprendre la magouille vaxinale anticovid en 3 minutes

[Voir aussi :
D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »
Vandana Shiva expose l’agenda des milliardaires dans son dernier livre
La stratégie globale de BlackRock
Black Rock : un problème majeur pour l’humanité
Qui possède le monde ?
Les 4 firmes qui possèdent les USA]




Pierre de Gaulle : « Ils ont détruit la France de mon grand-père ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Pierre de Gaulle, petit-fils du général de Gaulle :





Le sénateur Duplomb interpelle le gouvernement sur les grillons dans nos aliments

[Source : medias-presse.info]

Le débat sur la présence d’insectes dans nos aliments, désormais autorisée par la Commission européenne sous la signature d’Ursula von der Leyen, s’est invité dans l’hémicycle sénatorial. « Savez-vous ce qu’est l’Acheta domesticus ? », interroge le sénateur LR Laurent Duplomb, s’adressant aux ministres présents. Le ministre de l’Agriculture répond ensuite pour justifier une politique européenne sur le sujet des insectes dans les aliments. À la suite de quoi le sénateur reprend la parole pour défendre la gastronomie française, la viande française ainsi qu’une alimentation saine et durable, et se moquer de ceux qui veulent manger des grillons.

[Voir aussi :
Comment les industriels nous obligent à manger des insectes
Voici le dernier signe que les Américains vont manger des insectes et être heureux
http://xochipelli.fr/2022/10/homo-chimericus-les-processus-de-chitinisation-de-lalimentation-insectivore-en-synergie-avec-les-processus-de-graphenisation-vont-engendrer-un-nouvel-organisme-humain-chimerique-et-connect/]






Mea culpa d’un ex covidiste : « Il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous nous sommes trompés sur le COVID et que cela a coûté des vies »

[Source : reseauinternational.net]

Un véritable « mea culpa », une révision continue et rapide de l’histoire, ou une gestion narrative plus poussée en ce qui concerne l’« amnistie » de ce que « les autres » ont fait à ceux qui ont pensé par eux-mêmes au cours des dernières années…

Par Tyler Durden

À vous de décider…

Dans un torchon libéral comme Newsweek, Kevin Bass (étudiant en médecine MS/PHD, école de médecine) a écrit un article d’opinion assez surprenant (et « courageux ») disant qu’« il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous avions tort au sujet du COVID et que cela a coûté des vies… »

En tant qu’étudiant en médecine et chercheur, j’ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne le COVID-19.

Je pensais que les autorités avaient répondu à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J’étais avec eux quand ils ont demandé des mesures de confinement, des vaccins et des rappels.

J’avais tort. Nous, la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies

Je constate aujourd’hui que la communauté scientifique, des CDC à l’OMS en passant par la FDA et leurs représentants, a à plusieurs reprises exagéré les preuves et trompé le public sur ses propres opinions et politiques, notamment sur l’immunité naturelle ou artificielle, les fermetures d’écoles et la transmission des maladies, la propagation des aérosols, les masques obligatoires, l’efficacité et la sécurité des vaccins, en particulier chez les jeunes. Toutes ces questions étaient des erreurs scientifiques à l’époque, et non a posteriori. Étonnamment, certains de ces obscurcissements se poursuivent encore aujourd’hui.

Mais ce qui est peut-être plus important que n’importe quelle erreur individuelle, c’est que l’approche globale de la communauté scientifique était et continue d’être intrinsèquement défectueuse. Elle était défectueuse d’une manière qui a miné son efficacité et entraîné des milliers, voire des millions, de décès évitables.

[Note de Joseph : parce que dans la grande majorité des cas, il ne s’agit plus de science, mais de scientisme basé sur des croyances religieuses quasiment sectaires.
Voir aussi : Note sur l’incohérence écologiste]

Ce que nous n’avons pas bien compris, c’est que ce sont les préférences qui déterminent la façon dont l’expertise scientifique est utilisée, et que nos préférences peuvent être — en fait, nos préférences étaient — très différentes de celles de la plupart des personnes que nous servons. Nous avons créé une politique basée sur nos préférences, puis nous l’avons justifiée à l’aide de données. Puis nous avons dépeint ceux qui s’opposaient à nos efforts comme étant malavisés, ignorants, égoïstes et mauvais.

Nous avons fait de la science un sport d’équipe et, ce faisant, nous lui avons fait perdre son caractère scientifique. C’est devenu « nous » contre « eux », et « eux » ont répondu de la seule façon que l’on pouvait attendre d’eux : en résistant.

Nous avons exclu d’importantes parties de la population de l’élaboration des politiques et fustigé les critiques, ce qui signifie que nous avons déployé une réponse monolithique dans une nation exceptionnellement diverse, forgé une société plus fracturée que jamais et exacerbé des disparités sanitaires et économiques de longue date.

Notre réaction émotionnelle et notre esprit de parti bien ancré nous ont empêchés de voir l’impact total de nos actions sur les personnes que nous sommes censés servir. Nous avons systématiquement minimisé les inconvénients des interventions que nous avons imposées — imposées sans la participation, le consentement et la reconnaissance de ceux qui sont forcés de vivre avec elles. Ce faisant, nous avons violé l’autonomie de ceux qui seraient le plus négativement touchés par nos politiques : les pauvres, la classe ouvrière, les propriétaires de petites entreprises, les Noirs et les Latinos, et les enfants. Ces populations ont été négligées parce qu’elles nous étaient rendues invisibles par leur exclusion systématique de la machine médiatique dominante et corporatiste qui présumait de son omniscience.

La plupart d’entre nous ne se sont pas exprimés pour soutenir des points de vue alternatifs, et beaucoup d’entre nous ont essayé de les supprimer. Lorsque des voix scientifiques fortes, comme celles des professeurs de renommée mondiale de Stanford John Ioannidis, Jay Bhattacharya et Scott Atlas, ou celles des professeurs de l’Université de Californie à San Francisco Vinay Prasad et Monica Gandhi, ont tiré la sonnette d’alarme au nom des communautés vulnérables, elles ont dû faire face à la censure sévère de foules implacables de critiques et de détracteurs au sein de la communauté scientifique — souvent non pas sur la base de faits, mais uniquement sur la base de différences d’opinions scientifiques.

Lorsque l’ancien président Trump a souligné les inconvénients de l’intervention, il a été rejeté publiquement comme un bouffon. Et lorsque le Dr Antony Fauci s’est opposé à Trump et est devenu le héros de la communauté de la santé publique, nous lui avons apporté notre soutien pour qu’il fasse et dise ce qu’il voulait, même lorsqu’il avait tort.

Trump n’était pas parfait, tant s’en faut, pas plus que les critiques universitaires de la politique consensuelle. Mais le mépris que nous avons affiché à leur égard a été un désastre pour la confiance du public dans la réponse à la pandémie. Notre approche a aliéné de larges segments de la population de ce qui aurait dû être un projet national et collaboratif.

Et nous en avons payé le prix. La rage des personnes marginalisées par la classe des experts a explosé sur les médias sociaux et les a dominés. Ne disposant pas du lexique scientifique nécessaire pour exprimer leur désaccord, de nombreux dissidents se sont tournés vers les théories du complot et une industrie artisanale de contorsionnistes scientifiques pour faire valoir leurs arguments contre le consensus de la classe des experts qui dominait le courant dominant de la pandémie. Qualifiant ce discours de « désinformation » et le mettant sur le compte de « l’analphabétisme scientifique » et de « l’ignorance », le gouvernement a conspiré avec Big Tech pour le supprimer de manière agressive, effaçant ainsi les préoccupations politiques valables des opposants du gouvernement.

Et ce, malgré le fait que la politique de lutte contre les pandémies a été créée par une frange très mince de la société américaine qui s’est autoproclamée présidente de la classe ouvrière — des membres du monde universitaire, du gouvernement, de la médecine, du journalisme, de la technologie et de la santé publique, qui sont hautement éduqués et privilégiés. Du haut de ses privilèges, cette élite prône le paternalisme, contrairement aux Américains moyens qui louent l’autonomie et dont la vie quotidienne les oblige à prendre en compte les risques. Il est inadmissible que nombre de nos dirigeants aient négligé de prendre en compte l’expérience vécue de ceux qui se trouvent de l’autre côté du fossé des classes.

En raison de ce fossé des classes, nous avons sévèrement jugé les critiques du confinement comme étant paresseux, arriérés, voire mauvais. Nous avons rejeté comme « escrocs » ceux qui représentaient leurs intérêts. Nous pensions que la « désinformation » énergisait les ignorants, et nous refusions d’accepter que ces personnes aient simplement un point de vue différent et valable.

Nous élaborions des politiques pour les gens sans les consulter. Si nos responsables de la santé publique avaient fait preuve de moins d’orgueil, l’évolution de la pandémie aux États-Unis aurait pu avoir une issue très différente, avec beaucoup moins de vies perdues.

Au lieu de cela, nous avons assisté à une perte massive et continue de vies en Amérique en raison de la méfiance à l’égard des vaccins et du système de santé ; une concentration massive de la richesse par des élites déjà riches ; une augmentation des suicides et de la violence armée, en particulier chez les pauvres ; un quasi-doublement du taux de dépression et de troubles anxieux, en particulier chez les jeunes ; une perte catastrophique du niveau d’éducation chez les enfants déjà défavorisés ; et chez les plus vulnérables, une perte massive de confiance dans les soins de santé, la science, les autorités scientifiques et les dirigeants politiques en général.

Ma motivation pour écrire ces lignes est simple :

Il est clair pour moi que pour restaurer la confiance du public dans la science, les scientifiques doivent discuter publiquement de ce qui a bien fonctionné et de ce qui a mal fonctionné pendant la pandémie, et de ce que nous aurions pu faire mieux.

Il n’y a pas de mal à se tromper et à admettre ses erreurs et ce que l’on a appris. C’est un élément essentiel du fonctionnement de la science. Pourtant, je crains que beaucoup ne soient trop ancrés dans la pensée de groupe — et n’aient trop peur d’assumer publiquement leurs responsabilités — pour le faire.

Pour résoudre ces problèmes à long terme, il faut un plus grand engagement en faveur du pluralisme et de la tolérance dans nos institutions, y compris l’inclusion de voix critiques et impopulaires.

Il faut mettre fin à l’élitisme intellectuel, à la crédulité et au classisme. Le rétablissement de la confiance dans la santé publique — et dans notre démocratie — en dépend.

Le problème n’était pas l’ignorance des faits par les gens, mais l’antagonisme et la censure organisés à l’encontre de toute personne présentant des données contraires à l’agenda du mandat. Ceci sans tenir compte de proclamations comme celles du LA Times, qui a soutenu que se moquer de la mort des « anti-vaxxers » pouvait être nécessaire et justifié. Après deux ans de ce type d’absurdité arrogante, il est difficile d’imaginer que les gens seront prêts à faire comme si tout allait bien.

L’effort actif pour faire taire toute donnée opposée est le crime fondamental, cependant, et non, il ne peut jamais être oublié ou pardonné.

Les gens sont toujours livides…

On ne peut s’empêcher de remarquer que l’appel de l’Atlantique à l’oubli passif et maintenant ce mea culpa dans l’éditorial coïncident avec la fin des déclarations d’urgence du COVID, au milieu d’une réaction politique croissante à ces deux dernières années de verrouillages et de mandats insignifiants, et les démocrates ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre des deux. Une grande partie de la population considère qu’un parti est la cause de la plupart des conflits de l’ère covidienne.

Peut-être que les grands médias réalisent soudain qu’ils vont devoir payer pour leur fanatisme covidien ? « Nous ne savions pas ! Nous ne faisions que suivre les ordres ! » Tout cela semble plutôt familier.

source : ZeroHedge via Le Libre Penseur




Gerhard Wisnewski : ce dont les journaux n’ont pas parlé en 2022

[Source : kla.tv]

L’auteur de bestsellers allemand Gerhard Wisnewski sort chaque année un livre intitulé « verheimlicht – vertuscht – vergessen » (« caché – dissimulé – oublié »). Dans ces livres, il résume à chaque fois les événements passés sous silence durant l’année écoulée. Sur la chaîne de télévision en ligne AUF1, il donne un aperçu de ce qu’on n’a pas pu lire dans les journaux en 2022.

Qu’en penseriez-vous si quelqu’un avait l’idée de vous implanter des opinions ? Ou d’effacer en vous toute croyance dans le bien et le mal ? Ou de vous faire croire que la neige est noire ? Impossible ? Scandaleux ? Mais non, c’est tout à fait possible. Après tout, nous croyons déjà qu’un homme est une femme et une femme est un homme. De là à la folie totale et à la neige noire, il n’y a qu’un pas. Et ce sont toutes des techniques du Tavistock Institute, qui a fêté son 75e anniversaire en 2022. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Ce n’est pas grave, je vais y venir.

Bonjour et bienvenue pour commencer. Je m’appelle Gerhard Wisnewski et je suis l’auteur de la célèbre rétrospective annuelle « caché – dissimulé – oublié », qui paraît ces jours-ci pour la 16e année. En effet, chaque fois que 365 jours sont derrière nous, je me penche sur l’année écoulée, joliment arrangée par la presse mainstream, et je la remodèle dans les règles de l’art. Et une nouvelle fois, j’ai l’honneur de jeter un regard en arrière sur l’année 2022 pour AUF1.

À propos de 2022, il est difficile de croire que nous nous en sommes tirés avec juste un œil au beurre noir, non ? Heureux ceux et celles qui ne sont pas encore fauchés, qui ont encore un revenu assuré et qui ne ressentent pas encore les effets secondaires de la vaccination, voire qui sont encore en vie. Car pas mal de personnes sont déjà mortes des effets secondaires de la vaccination.
Mais nous aurions encore quelques autres questions, par exemple : « À qui en fait profite la guerre en Ukraine ? Et qui l’a vraiment déclenchée ? Pourquoi nous assène-t-on sans cesse de nouveaux coups durs ? Covid, guerre, guerre nucléaire, inflation, explosion des prix de l’énergie, pannes généralisées, etc., etc. ? » J’aborde ces questions et bien d’autres encore dans mon nouvel annuaire « caché — dissimulé — oublié, 2023 ».

Et encore : « Quel rapport entre la météo, la guerre et la politique ? Des morts peuvent-ils encore téléphoner ? Qui paie la colle pour les autocollants climatiques ? Et qui est Annalena Baerbock ? Qu’est-ce qui se cache vraiment derrière ces changements de sexe qui font rage ? Et pourquoi les agriculteurs montent-ils aux barricades ? Comment l’actrice américaine Anne Heche est-elle morte ? Et où a-t-on encore menti, déformé, parfumé, enjolivé et passé sous silence » ? Et bien sûr : « L’Allemagne et l’Europe ont-elles encore un avenir » ?

Prenons trois sujets parmi tant d’autres dans le livre :

24 février 2022 :

La Russie attaque l’Ukraine. Le président russe Poutine appelle ça une opération militaire limitée. L’Occident parle de guerre d’agression. L’indignation est à son comble. Les trois coupables s’appellent Poutine, Poutine et bien sûr Poutine encore. Mais qu’est-ce que cela signifie ? Car les médias grand public sont des médias de l’OTAN, fondés après la Seconde Guerre mondiale avec des licences des alliés occidentaux et faisant donc toujours partie de la guerre psychologique de l’OTAN. Et maintenant, ils font juste leur travail, qui consiste à faire de la propagande de guerre. Et comment cela a-t-il fonctionné ? D’un jour à l’autre, des drapeaux bleu et jaune ont flotté partout, des bâtiments ont été illuminés aux couleurs de l’Ukraine, pour l’Ukraine – et contre Poutine. Et pourtant, Poutine est le meilleur pion de Biden. Oui, vraiment ! Cela fait au moins 20 ans que les États-Unis investissent en Ukraine : putschs, aide militaire, conseillers militaires et armes. La Russie avait été provoquée à maintes reprises, en Ukraine mais aussi ailleurs. Mais jamais Poutine n’a voulu prendre les armes… pour traire des souris.

Tout était pourtant prêt. Et, le 24 février, les canons ont enfin tonné en Ukraine ; et à Washington, les bouchons de champagne ont sauté. Enfin, le « pion » avait attaqué et transformé en « guerre chaude » ce conflit entre la Russie et l’Ukraine, qui durait déjà depuis si longtemps.

Le professeur de politologie américain Jack Rasmus énumère à lui seul dix raisons qui expliquent pourquoi les élites américaines pourraient avoir intérêt à ce que la Russie envahisse l’Ukraine. Citation : « Les médias américains, le gouvernement Biden et les faucons de guerre américains au Congrès prétendent vouloir empêcher une invasion par Poutine et la Russie. Mais ce qu’ils disent ne correspond pas à ce qu’ils font. De nombreux éléments indiquent que les États-Unis et l’OTAN veulent une confrontation tant qu’il s’agit d’une guerre par procuration entre la Russie et l’Ukraine, à laquelle ils peuvent assister, où ils peuvent alimenter l’incendie généralisé par les armes et atteindre par la même occasion d’autres objectifs US-OTAN. » Fin de citation, The World Financial Review, online, 07 février 2022

Concrètement, les dix raisons de Rasmus sont les suivantes :

  1. réunifier l’OTAN et renforcer l’hégémonie américaine,
  2. amener l’Allemagne à arrêter Nord Stream 2 et, à la place, acheter du gaz américain.
  3. créer un prétexte pour déployer encore plus de troupes et d’armes modernes dans les pays baltes et en Europe de l’Est.
  4. obtenir davantage de concessions économiques de la part de l’Ukraine pour les affaires américaines en échange d’armes US/OTAN plus nombreuses et de meilleure qualité.
  5. générer un soutien politique croissant pour les États-Unis afin d’être actifs en Moldavie, d’en chasser les soutiens russes et d’installer un régime fantoche américain sur l’ensemble du pays.
  6. justifier des efforts plus importants pour déstabiliser la Biélorussie et le Kazakhstan.
  7. augmenter le vent favorable pour les démocrates avant les élections de mi-mandat en novembre 2022.
  8. justifier une nouvelle augmentation du budget de la défense par le Congrès.
  9. créer un prétexte pour agir contre les soutiens pro-russes : Venezuela, Nicaragua et à nouveau Cuba.
  10. tester l’efficacité des dernières armes américaines contre les forces russes et l’efficacité des armes russes contre les États-Unis sans avoir à affronter directement la Russie ; découvrir les cybercapacités de la Russie.
    La guerre de Poutine est donc un coup de maître pour les États-Unis. Dans mon livre, j’ai énuméré une trentaine d’autres avantages que les États-Unis tirent de la guerre en Ukraine.

Pour nous, la guerre a bien sûr été un choc – un « Tavis-choc », comme je l’appelle depuis peu, en référence au Tavistock Institute de Londres, fondé il y a 75 ans. Le Tavistock Institute est issu de la Tavistock Clinic, où l’on avait découvert que les vétérans traumatisés de la Première Guerre mondiale étaient particulièrement faciles à contrôler. C’est ce qu’on a appelé le « shellshock », le choc des obus. Et en ce moment, nous assistons à un véritable feu continu de chocs. Après la crise du Covid, la guerre d’Ukraine, la résurgence des peurs nucléaires du siècle dernier, une nouvelle vague d’immigration massive, l’explosion des prix de l’énergie, la menace de pannes généralisées et de pénuries alimentaires, l’inflation, le chômage, l’angoisse existentielle, etc. En d’autres termes, trop de chocs pour pouvoir les assimiler. Les chocs, souvent artificiellement gonflés, ont l’avantage de rendre l’homme impuissant et contrôlable, exactement comme les chocs d’obus de la Première Guerre mondiale.

Citation : « Si les chocs étaient suffisamment proches les uns des autres, et s’ils se produisaient avec une intensité croissante, il serait alors possible de plonger la société entière dans un état de psychose de masse », ont écrit les deux personnes de Tavistock, EricTrist et Frederick Emery. Source : EstulinTavistock Institute –« Social Engineering the Masses, » 2015. « Après des chocs persistants, expliquent les collaborateurs de Tavistock, une grande partie de la population constate qu’elle ne veut plus prendre de décisions, ce qui réduit la force de ses intentions. Cette stratégie ne peut être poursuivie qu’en niant les racines plus profondes de l’humanité et la psyché individuelle qui relient les gens à un niveau personnel. »

Et plus loin : « Un tel groupe sera facile à contrôler et obéira docilement aux ordres sans se rebeller, ce qui est le but de l’exercice. » Fin de citation. Le psychiatre de Tavistock, le général de brigade John Rawlings Rees, voulait même envoyer de véritables troupes de choc dans le monde en 1945 pour effrayer les gens. Mais pour cela, nous avons aujourd’hui les journalistes, la télévision et des médias comme le SPIEGEL, le principal magazine de choc en Allemagne, fondé avec une licence du gouvernement militaire britannique. Spécialité : le choc – une grande histoire qui esquisse et justifie une nouvelle horreur, ainsi qu’une photo de couverture qui vous glace le sang. Le reste de la meute médiatique suit.

La question qui nous anime tous en fin de compte est la suivante : « L’Allemagne et l’Europe ont-elles encore un avenir ? » 2022 a marqué le début de la Grande Finale pour l’Allemagne, prise en tenaille par les faux amis, gouvernée par les amis des faux amis, écrasée et broyée entre les blocs. Les caisses de l’État allemand sont exsangues. Les crédits sont gonflés et des fonds spéciaux sont créés, qui ne sont pas des actifs, mais des dettes. Parallèlement, une nouvelle vague migratoire inonde le pays, l’Allemagne est coupée d’une énergie bon marché et livrée aux prix exorbitants du gaz liquide américain. La classe moyenne et l’industrie s’effondrent sous les prix de l’énergie et les nouvelles réglementations environnementales. Bref, la guerre hybride contre l’ancienne locomotive économique et technologique de l’Europe bat son plein. Aucun doute : pour l’Allemagne, l’enjeu est de taille. À quoi ressemblera-t-il, l’avenir des Allemands ?

Le poète Christian Friedrich Hebbel a écrit « Il est possible que l’Allemand disparaisse un jour de la scène mondiale, car il a toutes les qualités pour gagner le ciel, mais aucune pour s’imposer sur la terre, et toutes les nations le haïssent comme les méchants haïssent les bons. Mais s’ils parviennent vraiment un jour à le supplanter, il se présentera une situation dans laquelle ils voudront à nouveau le sortir de la tombe avec leurs ongles. »

Voilà, c’était notre rétrospective annuelle d’AUF1. Une rétrospective et des perspectives sombres ? Oui et non. Oui, parce que ces perspectives sont évidemment loin d’être positives. Non, parce qu’il y a au moins une lueur d’espoir, à savoir un regard lucide sur la stratégie de choc de ceux de Tavistock, avec laquelle nous sommes tous dirigés depuis des décennies.

Mais à l’avenir, nous ne devrons plus faire face à ces chocs sans nous défendre, mais nous pourrons les considérer d’une méta-perspective, une perspective d’en haut pour ainsi dire. Et nous avons enfin un terme pour désigner ces chocs permanents, à savoir : « choc tavistockien » ou plus brièvement « tavis-choc », comme je l’ai appelé. Les concepts aident en effet à comprendre les choses, à les conceptualiser et à s’en libérer. Et c’est notre chance. Ce n’est qu’en comprenant cette stratégie qu’on cesse automatiquement d’être paralysé par le choc et que ces manipulateurs diaboliques sont détrônés. Dis : « Le nouvel ordre mondial se tient et tombe avec les chocs. Alors, laissons-les tomber ! »

En outre, vous trouverez bien entendu de nombreux autres thèmes dans « dissimulé — caché — oublié, 2023 ». Et maintenant, je vous souhaite un merveilleux Noël et un esprit éveillé pour la nouvelle année 2023. Et n’oubliez pas : la neige reste blanche, l’homme reste homme, la femme reste femme et quatre doigts restent quatre doigts. Merci de m’avoir regardé et à l’année prochaine, j’espère.

Cordiales salutations
Gerhard Wisnewski.

de Sara

Sources/Liens :

https://auf1.tv/auf1-spezial/auf1-spezial-was-2022-nicht-in-der-zeitung-stand/




Brésil — Projet de loi qui prévoit l’emprisonnement pour ceux qui doutent des vaccins

[Source : echelledejacob]

Six projets de loi au Congrès criminalisent tout, depuis les files d’attente pour recevoir un vaccin jusqu’aux personnes qui diffusent de « fausses nouvelles » sur le fonctionnement des vaccins.

Rédigé par le sénateur Angelo Coronel (PSD), le PL 5555/2020 prévoit l’inclusion dans le Code pénal d’une peine d’emprisonnement d’un à trois ans pour les personnes qui omettent ou s’opposent à la vaccination obligatoire des enfants ou des adolescents dans une « urgence de santé publique ». 

Le projet criminalise également, avec une peine de deux à huit ans de prison, les personnes qui refusent de prendre les doses obligatoires de vaccins. La même peine s’applique également à ceux qui diffusent de « fausses nouvelles » sur les vaccins ou leur fonctionnement.  

Si l’individu est un employé public, la peine est doublée. Le PL a vu ses procédures mises à jour en décembre 2022. À l’époque, il est passé par le Secrétariat législatif du Sénat fédéral et a vu sa continuité confirmée. La proposition a de nouveau été discutée sur les réseaux sociaux ce mois-ci lorsque le site Internet du Sénat a mené un sondage sur le projet de loi. La proposition a été rejetée par 92% par les personnes qui ont répondu aux questions.  

En avril 2021, le sénateur a demandé que sa proposition soit traitée en tant que PL 25/2021 par le membre du Congrès Fernando Rodolfo (PL/PE). La proposition de Rodolfo criminalise la coupure en ligne pendant la vaccination avec une peine de deux à cinq ans et une amende. De plus, le député qualifie le détournement de fournitures médicales de crime, passible de cinq à 15 ans de prison. L’infraction est aggravée si elle est commise par un agent public. La demande d’Angelo a été acceptée et les deux propositions sont traitées ensemble. 

[…]

Source




Pardonne-moi Francis

Lettre ouverte à tous les Francis
qui luttent pour les libertés

Par Alain Tortosa

Oui pardonne-moi mon impuissance !
Nous ne nous connaissons pas, en tous les cas pas intimement, et pour autant j’ai la prétention de ressentir une partie de ta souffrance.

Douleur que tu n’exprimes pas toujours avec des mots quand ton corps semble parler, voire même hurler, à ta place.
Alors oui nous ne sommes pas (encore ?) amis, mais c’est pourtant en cette qualité que je m’exprime.

Pourquoi toi ?
Pourquoi t’ai-je « choisi » comme « cible » alors que nous sommes si nombreux, nous les résistants, à être en souffrance en ces temps difficiles ?

Je ne saurais l’expliquer, mais ce n’est pas la première fois que ce besoin s’exprime en moi.
Nous nous étions croisés une première fois à Avignon lors d’une rencontre organisée par Carlo.
J’avais ressenti au lendemain le besoin de t’écrire une lettre ouverte pour te dire :

« Tu n’es pas seul ! ».

Pudeur, peur du jugement, manque de confiance en moi ?
Toujours est-il que je n’avais couché que quelques mots avant de les laisser se perdre…

En te voyant vendredi, en te regardant devrais-je dire, j’ai à nouveau ressenti dans mon cœur, dans mes tripes, le poids du monde que tu sembles porter bien seul.

Mais Francis garde encore son panache !
Quand une connaissance te demande si tu vas bien, tu te plies aux conventions sociales.
Tu réponds un « oui » de façade, comme je le fais aussi, et autrui se sent soit rassuré, soit fait semblant d’y croire par pudeur ou sentiment d’impuissance.

Je ne me l’explique pas, personne me m’y oblige et pourtant je porte trop souvent le poids de cette humanité en détresse.
Tant de souffrances, d’injustices, de divisions où l’indifférence est reine et la solidarité l’exception.

Difficile d’être debout, droit et optimiste en voyant les ténèbres de ce monde.
Une civilisation qui peut imprimer des milliers de milliards d’euros lors d’une plandémie afin d’acheter le silence du peuple.
Et dans le même temps, constater que les « grands » de ce monde n’arrivent pas à trouver 30 milliards par an pour mettre fin définitivement à la famine dans le monde.

Le « n’arrivent pas » étant un synonyme « ne veulent pas » ou plutôt de « préfèrent ne pas ».
Une planète sur laquelle il est totalement légal et moralement acceptable de spéculer sur une future famine.

Mon déplacement à Paris m’a encore renvoyé en pleine gueule la laideur de ce monde.
Quelle violence de passer d’une bouche de métro avec des SDF qui ne possèdent rien à la rue du Faubourg Saint-Honoré qui m’inspire un zoo pour nantis et me donne envie de vomir.
Comme quoi le zoo de Vincennes n’est pas là où l’on pourrait le croire.

Des boutiques qui présentent des habits dont des pulls, particulièrement laids, à plus de 10 000 euros, représentent le summum de l’indécence et de la folie des hommes.

Le laid et la folie ne touchent pas que les nantis.
Que dire de pantalons vendus usés, déchirés, délavés aux produits chimiques toxiques par des enfants dans les usines bidonvilles de pays pauvres.
Quel est le regard de ces esclaves sur les dégénérés que nous sommes devenus ?

Mais ne vous méprenez pas.
Le pire n’est pas que ces personnes aient perdu tout sens du vivant, du merveilleux, de la nature et dont le sentiment d’existence se résume à dépenser pour dépenser des habits hors de prix, vêtements qu’ils ne porteront peut-être jamais…

Non, l’insondable est que notre société accepte des hommes, femmes et même enfants dormant dans les rues en hiver.
Les associations et bénévoles généreux qui cherchent à aider ces malheureux permettent paradoxalement à l’État de se dédouaner et se défausser sur eux alors que cela relève de son entière responsabilité.

Je ne parle ici que de la misère visible, mais que dire des milliards d’esclaves dont la sueur et le sang permettent notre confort matériel d’Occidentaux.
Le Grand Reset semble avoir trouvé la solution en voulant aussi faire de nous des habitants du tiers-monde.

LA question centrale est :

Comment pouvons-nous vivre dans un tel monde ?

Les fourmis que nous sommes sont impuissantes tant qu’elles n’œuvrent pas ensemble à la destitution de la reine !

S’autoflageller n’apporte pas de réconfort à celui qui souffre.
Ce n’est pas en brisant mes membres que je pourrais rendre le sourire à un enfant qui a perdu les siens sur une mine antipersonnel.
Mines qui permettent l’enrichissement de pourritures qui volent légalement des milliards sur la souffrance de leurs frères humains.
Mines probablement fabriquées par d’autres enfants dans des usines prison.

Vous pourriez vous dire en cet instant que j’ai oublié le sujet de mon texte, quid de Francis ?
Je suis peut-être dans l’affabulation, dans le délire, mais j’ai pourtant le sentiment de n’avoir jamais dévié de mon propos.
Puisses-tu me pardonner si je suis en dehors de toute réalité.

Je voulais réagir à ta vibrante intervention lors de « la journée des libertés » organisée par Carlo1

Tu nous dis croiser régulièrement des inconnus qui te remercient chaleureusement pour ton implication dans la défense des droits de l’homme, des libertés et de la démocratie.
Élan d’amour qui pour autant semble aussi te blesser.

Je ne peux croire que cet amour spontané et gratuit ne te réchauffe le cœur.
Pour autant j’ai entendu ta détresse impliquant le fait que les résistants ont aussi, voire même surtout besoin d’aide concrète.
L’amour ne se dit pas uniquement avec des mots, mais avec des actes, vérité qu’il est toujours bon de répéter.

Il est facile de critiquer, il est facile de dénigrer, il est facile de crier au loup, il est facile de faire sa vierge effarouchée… facile, mais pas forcément moral si l’on demeure un simple spectateur.

Les résistants qui n’ont pas une fortune personnelle, un patrimoine ou une famille pouvant subvenir à leurs besoins fondamentaux ont une nécessité réelle, voire même vitale, d’argent pour, ne serait-ce que survivre, manger et pouvoir continuer la lutte.
Quel fut l’esprit du résistant, il n’en demeure pas moins avoir un corps.

Ce n’est pas charité que de les aider matériellement en fonction de ses capacités.

Dans un monde juste, chacun aurait accès à un toit, à l’eau, à l’électricité et j’en passe…
Nous nous devons de pallier les carences et l’ignominie de nos dirigeants.
Je pense ici aux personnels suspendus sans salaire ni indemnité dont le seul objet de la sanction était de les détruire psychiquement et matériellement afin de prévenir toutes vocations.

Je pense que tu fais partie de ceux qui n’ont écouté que leur cœur, leurs valeurs, en risquant tout.
Et cela ne date pas d’hier avec ton implication dans le mouvement des Gilets Jaunes, les « sans-dent » comme disait Hollande.

De toute évidence tu en payes le prix aujourd’hui et je pourrais dire que le montant de la facture est indécent.
Au-delà de ces réalités matérielles factuelles, je ne peux pas croire que le manque de ressources soit aujourd’hui ce qui te pèse le plus.

Je ne suis pas stupide, encore que, au point de penser que ce fait serait anecdotique.

Oui, il faut aider matériellement et financièrement
en fonction de nos ressources les résistants
qui ont des difficultés financières du fait de la dictature !

Cela ne se discute pas, quand bien même l’on n’épouserait pas l’intégralité de leurs idées.

Je pourrais même ajouter que les soutenir relève d’un devoir égoïste, si, si…
Comprenez qu’il est impossible de mettre son énergie pour remplir son frigo tout en mettant une énergie équivalente au service de la cause.

Donnons, donnons, donnons égoïstement pour notre liberté !

Cette parenthèse étant refermée, il m’est possible de revenir à mon ressenti.

J’ai la croyance que la croix que tu portes n’est pas uniquement le fruit de difficultés financières et encore moins du manque d’implication des inconnus éveillés que nous sommes.

Ce n’est pas à toi, l’humaniste, que je vais rappeler cette vérité.

La dignité de l’homme ne se mesure pas à son compte en banque !

Je pourrais même affirmer que c’est plutôt le contraire, quand bien même il existe des exceptions.

L’homme qui n’a rien, qui vit dans la rue, a plus de dignité que l’occupant de l’Élysée.

Riche ou pauvre, tu resteras un grand homme, un fou admirable et respectable.

Je me répète, mais je ne peux croire que ton épuisement, ton abattement, la tristesse visible au fond de tes yeux, ne soit que le reflet de ces difficultés financières.
Si honte il y a, celle-ci repose sur tous les responsables de ta situation, et certainement pas sur toi et la sincérité de ton action totalement désintéressée.

Alors oui, je te sens profondément blessé, meurtri et épuisé…

J’imagine que tu n’es pas né de la dernière pluie, que tu as une idée assez précise de la nature humaine.

Et pourtant…

Malgré les épreuves que tu as eu à endurer durant ta vie, malgré tes expériences, je crois qu’ils ont encore réussi à te blesser.

Il faut dire que ces dernières années ont été riches d’enculés, mais aussi de moutons dociles.

Et ce sans parler des collabos qui n’ont pas le panache des dictateurs.

Pourtant derrière cet écrasement, l’extraordinaire tribun est encore présent.

Tu as encore une puissance inouïe pour mener l’estocade, un panache chevaleresque.

Mais je ressens aussi que tu puises l’énergie dans tes dernières ressources tel un taureau fier se relevant une dernière fois avant la mise à mort.

Oui j’envie le sort du taureau mourant dans une arène après une lutte épique, une mort digne, debout, à la lumière.
En rien comparable à l’égorgement d’une vache encore consciente dans un abattoir sombre, empli d’effluves de sang et de cris d’effroi.

Tu n’es pas homme à mourir sans lutter jusqu’à ton dernier souffle.
C’est peut-être un des éléments, cette fougue, cette passion, cet engagement, cette sincérité non calculée, quasi viscérale qui fait que nul n’est indifférent à ta présence.

L’évocation de ton nom, chez « les gens bien », est au mieux synonyme de ricanements et au pire d’un profond mépris, voire d’une haine.
Certains te détestent ainsi viscéralement tandis que d’autres t’adorent.
J’imagine que tu ne recherches ni l’un… ni l’autre…

Ce que je connais de l’homme m’empêche bien entendu de te haïr.
Comment ne pas respecter ton action, ta droiture et ton absence de compromis contre nature ?

Mais je ne suis pas non plus du genre à aduler des humains et encore moins moi-même.

Les zombies que la société a modelés se contentent de faire quelques pas de côté lorsqu’une personne s’effondre à la sortie du métro suite à une myocardite vaccinale.
C’est tout juste s’ils la voient.

En revanche, j’ai l’intime conviction que si c’était toi qui t’effondrais, certaines personnes n’hésiteraient pas à t’insulter, tandis que d’autres te donneraient des coups de pied dans le ventre et dans la gueule avec satisfaction.
Sans doute la rançon de l’absence de faux semblants.

Mais si ton abattement n’est pas uniquement forgé d’un manque de ressources ou de soutien concret de la part des résistants, qu’en est-il ?

Le proverbe qui dit que « l’on est jamais trahi que par les siens » est sans doute le plus révélateur.

Force est de constater que les « artistes », je me dois de mettre ce mot entre guillemets, ont totalement disparu durant la crise sanitaire et qu’ils n’ont pas pointé le bout de leur nez pour le conflit en Ukraine.
Cette profession, car il ne s’agit plus que d’individus qui pensent à leur carrière, leur notoriété et à l’argent, a disparu du paysage… Envolée.

J’ai été éduqué et baigné dans l’idée que les artistes étaient là pour défendre la liberté d’expression, les libertés, le pluralisme, la démocratie, les droits de l’homme, la paix, l’amour et j’en passe.

Les avez-vous entendus durant la dictature Covid ?

À part quelques-uns qui ont osé relever la tête pour la rebaisser aussitôt et se prostituer, ils se comptent sur le doigt d’une main.

En fait ce que je dis est faux, ils ont été des milliers et sont encore des milliers à être de vulgaires collabos.
À s’insurger contre celles et ceux qui ne portent pas le masque.
À exiger que les non-vaccinés perdent leur statut de citoyen, leur travail ou leurs droits.
À voir en ceux qui refusent une troisième guerre mondiale et critiquent le clown corrompu Zelenski, des traîtres pro-Poutine.
Mais comment peuvent-ils encore se regarder dans un miroir tant ils sont sales et à vomir ?
Qu’ils ne s’étonnent pas de voir que les Français boycottent les salles de cinéma.

Et je ne parle pas du journalisme dont l’encéphalogramme est totalement plat.
Ils auraient dû être tous dans la rue lorsque le média RT a été censuré, que ceux-ci partagent la ligne éditoriale ou pas.

J’en reviens donc tout naturellement à toi Francis.

Ils ont osé !
Oui les « artistes » ont tout osé te concernant !

Ton abattement est probablement proportionnel à l’illusion que tu te faisais de la profession et de personnes que tu pensais être des « amis ».

Car même si cette crise nous a permis de rencontrer des personnes formidables avec qui nous partageons tant, notre cœur est meurtri d’avoir perdu des êtres chers pour lesquelles notre simple existence est devenue insupportable.

Au lieu d’être à tes côtés, au lieu de te soutenir, au lieu de lancer des campagnes médiatiques pour te défendre toi et la liberté d’expression…
Ces personnes du monde artistique ont fait quoi ?

Des campagnes de presse et des pétitions pour réclamer plus de dictature !

Un à un, ils t’ont tourné le dos au point qu’il t’est désormais impossible d’avoir aujourd’hui une salle, une campagne de promotion, ou le droit de parole dans un média mainstream.
Tu as été rayé du paysage médiatique hormis pour te salir, tu n’existes plus !

Nous pourrions faire le parallèle entre les « médecins » et les « artistes ».

La souffrance des soignants suspendus, qui sont restés dignes, qui défendent encore et toujours le secret médical et leur serment d’Hippocrate ont subi le même sort.
La grande « famille », la « confraternité » a fondu comme neige au soleil.
Du jour au lendemain les soignants qui n’ont pas courbé l’échine sont devenus des parias, des personnes non fréquentables, et même des complotistes à abattre !

Encore aujourd’hui, voyez-vous les personnels injectés, y compris les lâches qui ont fait de faux passes, réclamer le retour des suspendus ?

Quelle dignité reste-t-il à ces êtres pitoyables qui pleurent le manque de personnels dans les médias et qui n’ouvrent pas leur gueule pour dire que leurs camarades, suspendus sans salaire depuis 500 jours, leurs amis de 30 ans pourraient venir les aider dans l’heure qui suit ?

Triste planète s’il en est, de tous ces collabos de l’ombre.
La situation est bien entendu identique dans les autres professions ayant subi l’obligation expérimentale… Pompiers, gendarmes, etc.

Mais toi Francis, tu sembles un cas encore plus « particulier » !

La question que l’on pourrait se poser est :

« Pourquoi tant de haine à ton encontre ? »

Pourquoi le monde médiatique, qui n’a plus rien d’artistique, ne se borne pas à l’indifférence, s’ils n’adhèrent pas à tes idéaux ?

Pour la simple raison que tu es leur Jiminy Cricket, le miroir de leur noirceur !

Oui toi Francis, tu leur renvoies violemment en pleine gueule leur connerie, leur lâcheté, leur couardise, leur renoncement, leur collaboration et j’en passe…

Tu leur interdis d’enterrer au plus profond la noirceur de leur être.

Tu es un phare ancré solidement dans la Terre qui les éblouit alors qu’ils ne sont que ténèbres.
Tu les empêches de ne pas voir et de faire semblant.

En te voyant toi, si lumineux, si honnête, si intègre, et pourquoi pas, si con… la frontière entre le héros et le con est souvent bien mince… mais toi au moins tu gardes une dignité qui est un lointain souvenir les concernant.
En te voyant toi, ils se prennent en pleine gueule la noirceur de leur âme.
En te voyant toi, ils ne peuvent oublier.

Te faire taire, t’écraser devient banalement humain.
Ta simple existence constitue une violente agression à laquelle ils répondent par une violence encore plus forte n’ayant aucun argument à te renvoyer.

La Vérité fait mal.

Ah quel « panache » de te traiter de fou, d’illuminé, de malade mental, de complotiste, d’extrême droite, voire d’antisémite et j’en passe !
Cela mesure à quel point ils ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, un vague souvenir qui se dissout dans la brume.

Au contraire de t’écraser, j’aimerais que tu prennes cette bêtise, cette lâcheté, cette méchanceté, cette haine, comme on reçoit une vraie Légion d’honneur.

Légion d’honneur officielle qui récompense aujourd’hui le crétin, le menteur, le voleur, le violeur, le pédophile ou le collabo !

Pour autant j’ai l’impression que le phare Francis perd peu à peu de sa vigueur et j’ai peur qu’il ne s’éteigne définitivement et se transforme en souvenir… une simple ligne dans les livres d’histoire.

Lorsque je t’observe, j’ai mal, je ressens et je porte ta souffrance.
Ridicule me diras-tu, car cela ne soulage en rien la tienne.

Mais soyons logiques, comment pourrais-je te donner ce que je cherche pour moi ?

Il est des humains qui ont le choix, mais tel n’est pas notre cas, le cas de ceux qui résistent à l’oppression.
Juste, injuste, qu’importe, c’est un fait.
Nous sommes chacun, en fonction de nos possibilités, un rempart, une brique, une feuille de papier qui est là pour dire « non » et porter la parole de celles et ceux qui n’ont pas la capacité de se défendre.

Nous avons le devoir, que dis-je, l’obligation, de rester et ce quelque soit la souffrance.
Nous, résistants de fer ou de paille (comme moi) sommes les derniers remparts face à la Bête.

Notre renoncement serait leur faire un cadeau.
Notre renoncement serait une invitation à poursuivre encore plus dans l’immonde.
Notre renoncement serait leur victoire.
Notre renoncement serait la fin de l’humanité.

Je ne suis pas Charlie, la parodie ridicule de bons sentiments hypocrites, mais en revanche je peux affirmer :

« Je suis Francis ! ».

Merci
Alain Tortosa2
30 janvier 2023 https://7milliards.fr/tortosa20230130-francis-lalanne-resistons.pdf

1 Président de Réaction 19 https://reaction19.fr

2Telegram https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o




Les institutions européennes et la désinformation

[Source : Ciel Voilé]






Note sur l’incohérence écologiste

Par Joseph Stroberg

À l’image de la médecine, si l’écologie a été un jour une science, elle est désormais une religion, voire un secte.

La première aurait dû rester l’art de soigner ou même d’aider à rester en bonne santé par une alimentation, un comportement et un environnement sains. La seconde aurait pu devenir l’art d’aider l’Humanité à soigner la planète ou de l’aider à rester en bonne santé, ceci en respectant les ressources qu’elle offre, et en adoptant un comportement responsable pour éviter de la détruire.

Les deux domaines se sont progressivement remplis de dogmes divers, de croyances que l’on n’a pas le droit de remettre en question (vaccination, théorie virale… d’un côté — énergies « vertes », réchauffement climatique… de l’autre), de fidèles fanatisés, d’inquisiteurs, de grands prêtres (souvent télévisés), de saints (Pasteur ou Greta, par exemple), de rituels (protocoles médicaux, manifestations anti-CO2)… comme il est typique de le voir dans des mouvements religieux sectaires. Autant l’Église Big Pharma déploie une vaste activité prosélytique pro vaccinale, autant celle des Verts le fait pour les éoliennes et le tout électrique, les deux sans la moindre considération des conséquences néfastes pour la santé et pour l’environnement humain et planétaire. L’électricité empoisonne pourtant probablement autant les corps que les vaccins peuvent le faire (voir les dossiers Vaccins et virus, et 5G et ondes pulsées, sachant les délicats équilibres chimiques et électriques qui existent dans les organismes vivants et dans la nature).

La science est basée sur le doute, sur une remise en question permanente des connaissances et des théories en fonction des nouvelles observations et découvertes. Tout l’acquis peut s’y trouver légitimement contesté à tout moment, en particulier dès qu’un élément observable et mesurable vient contredire les connaissances établies. L’existence d’un consensus, voire de l’unanimité sur une hypothèse, un modèle ou une théorie ne représente aucunement la preuve de sa validité. Tout le monde pourrait bien se tromper. La politique et les pressions financières ne devraient jamais s’en mêler. Sinon, la science se corrompt et tombe dans le scientisme et le sectarisme religieux.

L’hypothèse de gaz à effets de serre et d’une influence déterminante du CO2 produit par l’Homme sur le climat est contestée à juste titre (voir le dossier climat et l’article suivant [source] en PDF).

La lutte contre la production de CO2 et de méthane pousse les fanatiques écologistes au végétalisme (pour diminuer la production de pets de vaches) et au tout électrique supposé vert, alors que la production de batteries est particulièrement polluante et que le CO2 est nécessaire et bénéfique pour la vie végétale. Ces individus nuisent à la croissance végétale en diminuant le CO2 d’une part et en mangeant exclusivement des végétaux d’autre part. Ils nuisent aux animaux et à l’environnement avec la production d’éoliennes, de parcs solaires et de barrages hydroélectriques. De plus, en Allemagne, faute de production d’électricité à partir du nucléaire, ils en viennent maintenant à relancer le charbon qui pourtant produit beaucoup de CO2. (Voir https://www.bvoltaire.fr/le-fiasco-ecolo-fait-froid-dans-le-dos-des-villages-ruraux-allemands-sacrifies-sur-lautel-du-charbon/)

La production d’électricité nucléaire nuit aussi à cause des déchets radioactifs (sauf peut-être par la filière qui tend à les recycler ou par une approche avec le thorium) et la production d’énergie à partir de pétrole est également fortement polluante.

La solution pour un environnement sain et un corps sain ne passe pas par l’annulation du CO2 ni par le tout électrique, pas davantage qu’elle peut passer par le nucléaire, le charbon ou le pétrole. Elle passe par un changement radical de mode de vie. Cependant, un tel changement ne doit nullement être imposé par une élite mondialiste qui n’applique pas elle-même ce qu’elle prône, mais se réserve la belle vie face à des millions d’esclaves sous-alimentés.

Cette solution peut par contre passer par une prise de conscience, elle-même stimulable par l’éducation, mais sans recours aux processus de propagande et d’endoctrinement tels qu’ils ont cours actuellement autant en médecine qu’en écologie. En passant, découvrir avant cela une nouvelle source d’énergie quasiment inépuisable ne ferait probablement qu’aggraver les pollutions et autres atteintes néfastes à la planète autant qu’à l’Humanité.

La prise de conscience gagne à se faire sur la base d’une stimulation du sens de la responsabilité individuelle et collective. Si nous voulons moins polluer, nous devons moins produire d’énergies sales et de substances nocives ou toxiques qui en découlent. Et moins en produire implique moins consommer, moins de confort matériel, moins de loisirs oisifs tels que le tourisme, moins de commerce international, etc.

Cependant, nous pouvons conserver une certaine qualité de vie en retournant dans les campagnes, en décentralisant, en retournant à la créativité artisanale, en favorisant le partage des ressources et des productions (notamment mécaniques et technologiques), en produisant localement, en misant bien davantage sur la qualité des rapports humains et avec la nature, etc. Nous y gagnerons en santé, en temps libre et en joie de vivre, de partager, de donner, d’aider, de soulager… (Voir aussi Manifeste pour un nouveau monde).




Soigner l’arthrose naturellement

[Source : bioalaune.com]

Bio à la une

Par Charlotte Vierne, journaliste indépendante

Souvent taxée de mal du siècle, l’arthrose fait aujourd’hui deux fois plus de victimes qu’il y a cinquante ans et ce, principalement chez les seniors. Alors que la médecine allopathique se focalise sur les symptômes, des solutions naturelles ont démontré leur efficacité pour en prévenir l’apparition ou en freiner l’évolution. Le point avec le docteur Philippe Véroli, médecin anesthésiste spécialisé en nutrition.

« L’arthrose n’est pas une fatalité ! », promet Philippe Véroli. Pour ce médecin anesthésiste spécialisé en nutrition, en médecine chinoise et auteur de L’Arthrose, les solutions naturelles pour vos articulations (Ed. Thierry Soucar), « contrairement à une idée répandue, la cause de l’arthrose n’est pas à rechercher dans le vieillissement mais dans une mauvaise hygiène de vie ! ». Pourtant, l’arthrose, maladie inflammatoire fréquente résultant d’une dégradation progressive du cartilage et des articulations, touche environ 10 millions de Français et devrait concerner, à l’horizon 2030, environ 22 % de la population. Elle concerne aujourd’hui 60 % des plus de 60 ans et 80 % des plus de 80 ans. Mais, « si la fréquence de la maladie augmente en effet avec l’âge, c’est, assure-t-il, davantage la conséquence d’années de vie sédentaire et d’une mauvaise alimentation ! ».

Arthrose : alimentation et exercice physique en prévention

Prévenir la maladie ne tiendrait donc qu’à nous. « Ce qui passe évidemment par un régime alimentaire adapté, couplé à une activité physique régulière d’autant plus efficace que l’on s’y attelle tôt ». À l’instar de nombreuses pathologies chroniques, l’alimentation anti-arthrose s’apparente au régime méditerranéen faisant la part belle aux fruits et légumes – « de préférence bio » (pour limiter au maximum les pesticides).

Outre l’apport essentiel en vitamines et en minéraux, une alimentation riche en végétaux favorise en effet l’équilibre acido-basique et permet, en régulant l’acidité du corps, d’éviter des réactions inflammatoires responsables de nombreuses maladies : « l’arthrose évidemment mais aussi les maladies dégénératives et chroniques ou encore le cancer. » Elle est aussi riche en polyphénols (des molécules alliées contre le vieillissement) et autres substances antioxydantes et permet de perdre du poids.

Un avantage non négligeable dès lors que le surpoids entraîne une majoration de la contrainte mécanique sur les articulations, favorisant ainsi l’usure du cartilage. Il faut également privilégier « les aliments les moins transformés possibles » présentant l’avantage d’être exempts d’additifs et de sucres raffinés. Une limitation des acides gras saturés (beurre, fromage, viandes grasses, viennoiseries) et des protéines glyquées (contenues dans les aliments frits, grillés et rôtis auquel il faut préférer les mets cuits à basse température) sont également de mise.

Un régime de « bon sens » donc, et dont les effets seront d’autant plus probants s’il est accompagné d’une activité physique adaptée à sa constitution et à son état général. « Dans la médecine énergétique, le mouvement c’est la vie !, rappelle Philippe Véroli. Il entretient la mobilité des articulations mais il a également une action anti inflammatoire ». Étonnement, nous n’avons pas toujours conscience des effets métaboliques majeurs de l’activité physique sur la santé : « elle constitue pourtant la mesure la plus efficace dans la prévention de la récidive contre les cancers et, s’agissant des articulations, elle assure leur oxygénation et renforce les muscles exerçant un effet protecteur sur le cartilage ! » Pour Philippe Véroli, le mieux est donc de privilégier dans un premier temps les mouvements « de la plus grande amplitude possible avant de passer, ensuite, aux exercices d’assouplissement et de musculation ainsi qu’à une gymnastique spécifique en fonction des articulations atteintes ».

Une complémentation pour freiner l’arthrose

Au-delà de ces préconisations de fond, aussi efficaces en préventif qu’en curatif, Philippe Véroli prescrit avec succès une complémentation naturelle. Et s’il aime à rappeler qu‘une consultation médicale est toujours préférable tant « la prescription dépend de ce qui prédomine comme anomalie chez le patient », il s’accorde néanmoins à reconnaître l’existence de « fondamentaux naturels » ayant démontré une efficacité contre l’arthrose.

Une indication d’autant plus salvatrice qu’elle permet d’éviter les médicaments traditionnels avec leur cortège d’effets indésirables et que les anti-inflammatoires traditionnellement prescrits en médecine allopathique « aggravent souvent son développement ! ». Dès le diagnostic posé, le Boswellia serrata, une résine d’arbre utilisée de longue date en médecine ayurvédique (Inde) mais aussi dans la médecine traditionnelle chinoise constitue un allié de choix dans le traitement des arthroses « débutantes ». En effet, « ses propriétés anti-inflammatoires, notamment sur l’arthrose du genou, ont été démontrées par les études cliniques ».

Une complémentation en silicium organique permet, de son côté, de favoriser le processus de métabolisation osseuse. À cela s’ajoute encore la vitamine D dont l’effet protecteur sur les articulations n’est plus à démontrer : « Elle intervient dans le métabolisme de la matrice extra-cellulaire du cartilage dont le catabolisme est par ailleurs accéléré par les carences en vitamine D » et se révèle donc particulièrement adaptée pour les patients souffrant de douleurs ostéoarticulaires.
Pour en favoriser l’action, Philippe Véroli ajoute généralement une prescription de magnésium, complémentaire de la vitamine D.

Dans les cas d’arthrose plus avancée, l’association de glucosamine et de chondroïtine « améliore l’état des arthrosiques dans 80 % des cas ! ». Ces deux compléments connus sont particulièrement efficaces sur la diminution de la douleur et permettent également de préserver les capacités fonctionnelles du sujet. S’il sera sans doute possible, à terme, de régénérer des articulations endommagées par l’injection-greffe de cellules souches, cet espoir est encore lointain. Et, dans l’état actuel des choses, une médecine naturelle s’inscrivant dans la durée semble ainsi la plus adaptée.

« À moyen et long terme, il n’y a pas d’infériorité des traitements naturels par rapport aux anti-inflammatoires traditionnels, lesquels présentent, rappelons-le, des effets secondaires redoutables et aggravent notamment l’usure du cartilage. »

L’ordonnance de Philippe Véroli :

  • LE BOSWELLIA SERRATA :

300 à 500 mg d’extrait standardisé, trois fois par jour. Effet obtenu après deux à quatre semaines de traitement. Le boswellia ne présente aucune toxicité et il n’y a aucune interaction connue avec les médicaments.

  • LE SILICIUM ORGANIQUE :

Le silicium est naturellement présent dans les fruits et légumes et les céréales complètes. Pour une supplémentation, on pourra recourir à des plantes comme la prêle (plante la plus riche en silice), le bambou ou l’ortie, très utilisées en phytothérapie. Il existe enfin des préparations commerciales (médicaments ou compléments alimentaires) qui apportent du silicium sous forme de silice colloïdale (association d’acide orthosilicique à des glucides ou des protéines) ou d’acide orthosilicique stabilisé par de la choline (sous forme de chlorure de choline).

  • LA VITAMINE D :

En cas de douleurs chroniques, faire doser sa vitamine D afin de dépister une éventuelle hypovitaminose D et pouvoir la corriger. Votre taux sanguin de vitamine D ne devrait pas être inférieur à 75 nm/l.

En cas de carence : prenez de la vitamine D3 soit tous les jours, soit de façon plus espacée (tous les mois ou tous les deux mois). L’important, c’est d’obtenir un bon taux sanguin de vitamine D (qui doit donc être vérifié) et de le conserver tout au long de l’année.

  • LE MAGNESIUM :

300 mg/jour à prendre en complément de la vitamine D3.

  • LE SULFATE DE CHONDROÏTINE (STRUCTUM®, CHONDROSULF®) :

1 200 mg par jour, en deux ou trois prises, pendant les repas. L’effet peut être constaté après quatre à huit semaines de traitement. La chondroïtine proposée dans le commerce est, soit extraite du cartilage de bœuf, soit d’origine marine (cette dernière étant à éviter en cas d’allergie au poisson).

  • LE SULFATE DE GLUCOSAMINE :

1 500 mg par jour, en deux ou trois prises, pendant les repas. L’effet peut être constaté après deux à huit semaines de traitement. Deux études cliniques menées sur des personnes souffrant d’arthrose du genou ont montré que la prise quotidienne de 1 500 mg de sulfate de glucosamine pendant trois ans permettrait de bloquer la progression de la maladie.

Pour aller plus loin :

[Voir aussi :
Arthrose : le grand mensonge]




Le sénateur américain Ron Johnson fait entrer le crime de la vaccination Covid19 dans la conscience populaire

[Source : kla.tv]

Le sénateur américain Ron Johnson lance le processus d’un débat public national en organisant des auditions sur les dommages et les décès dus au vaccin Covid19. Les experts scientifiques, médicaux, judiciaires, médiatiques et autres invités par Johnson font entrer dans la conscience populaire que les vaccins Covid-19 sont, en toute objectivité, une campagne hautement criminelle.

Avec ses auditions sur les dommages et les décès dus au vaccin Covid19, le sénateur américain Ron Johnson lance le processus d’un débat public à l’échelle nationale. Ce que la politique, l’industrie pharmaceutique et les principaux médias tentent de balayer sous le tapis, les experts scientifiques, médicaux, judiciaires, médiatiques et autres invités par Ron Johnson à sa plate-forme le font entrer dans la conscience populaire : Les vaccins Covid19 sont – en toute objectivité – une campagne hautement criminelle.

(Film Inside the Capitol Hill Covid Forum – The HighWire – résumé de 10 minutes)

Le sénateur Ron Johnson :
La raison principale de l’événement d’aujourd’hui était avant tout de donner au public américain les informations qu’il mérite et qui lui sont cachées. Et tout ce que nous pouvons faire pour éviter d’autres dommages. Je ne veux pas effrayer les gens, ce n’est pas ce que je veux, nous – aucun d’entre nous ne veut cela, d’accord ? Mais ils doivent avoir ces informations.

Aaron Siri :
V-safe est le principal système de sécurité vaccinale du CDC pour le vaccin COVID-19. Il s’agit d’un tableau de bord créé par ICAN (Informed Consent Action Network : réseau d’information médicale aux États-Unis) afin de pouvoir présenter visuellement les données V-safe. Dans la base de données de 9 à 10 millions de personnes, environ 800 000 personnes ont signalé qu’elles avaient besoin de soins médicaux. Cela représente environ 7,7 % des personnes enregistrées dans V-safe qui ont déclaré avoir besoin de soins médicaux, soit une personne sur 13. Néanmoins, le CDC n’a pas retiré l’injection.

Lieutenant-colonel Theresa Long :
En janvier 2021, je me suis présentée devant eux comme lanceur d’alerte au sein de l’armée et j’ai signalé une augmentation catastrophique des maladies et des dommages dans l’ensemble du ministère de la Défense. Le nombre total d’événements à déclarer est passé de 110 000 en 2020 à plus de 200 000 en 2022. Le vaccin a été introduit dans l’armée en janvier 2021.

Josh Stirling :
… crée des centaines de graphiques, de toutes les manières, depuis dimanche. Jusqu’à cet été, le gouvernement britannique a publié une série de données montrant les taux de mortalité relatifs des personnes vaccinées et non vaccinées en fonction du nombre de doses de vaccin, et a conclu que les personnes au Royaume-Uni qui ont été vaccinées ont un taux de mortalité supérieur de 26 % selon le dernier ensemble de données disponible.

Edward Dowd :
C’est la Société des actuaires (actuaires = experts en évaluation des risques) qui le dit. En 2021, la population active de notre nation, âgée de 25 à 64 ans et couverte par une assurance vie collective, connaît une surmortalité de 40 %. De plus, 1,2 million d’Américains de notre population active ont été mis en incapacité de travail. Cette population active qui a disparu correspond à la taille des États du Wyoming et du Vermont réunis.

Del Bigtree :
En tant que journaliste, j’ai regardé l’autorisation d’urgence du vaccin pour voir s’il pouvait arrêter la transmission, ce qui est notre définition d’un vaccin. Mais quand nous avons regardé l’autorisation d’urgence, on savait que les données n’étaient pas suffisantes pour évaluer l’efficacité du vaccin contre la transmission du SARS-Covid-2 ; ils n’avaient aucune idée… ils n’avaient aucune idée si le vaccin allait arrêter l’infection, et pourtant ils ont fait ces déclarations dans les informations. Et maintenant, nous apprenons des responsables de Pfizer qu’ils n’ont même pas testé, au sein des études, si le vaccin pouvait ou non arrêter la transmission.

Dr. David Gortler :
En janvier 2020, j’étais conseiller principal du Commissaire de la FDA pour la sécurité des médicaments et la politique scientifique de la FDA. Je ne comprends pas comment, à cette date, nous pouvons encore recevoir en toute bonne conscience des vaccins contre le COVID-19, qui ont été nommés ainsi en 2019 d’après une souche virale qui n’existe plus aujourd’hui.

Dr. Ryan Cole :
Cette protéine spike, lorsque nous injectons ce gène dans notre corps et que nous nous obligeons à la produire… Ces cellules tueuses naturelles examinent alors nos propres cellules, y font un petit trou, puis y lancent une petite grenade et commencent à les faire exploser. Ce n’est pas seulement que cette protéine spike est dangereuse. Les nanoparticules lipidiques peuvent se retrouver n’importe où dans le corps. Elles ont été conçues pour transporter des médicaments de chimiothérapie dans le cerveau. Vous ne voulez pas de protéine spike dans votre cerveau !

Kirk Milhoan :
Nous disposons à présent de données provenant de plusieurs sources selon lesquelles les protéines spike, que le corps est censé fabriquer dans les vaccins ARNm actuels, sont cardiotoxiques et provoquent une inflammation du cœur. La protéine spike déclenche une cascade d’événements qui activent les plaquettes sanguines pour former des caillots et enflamment les vaisseaux sanguins qui tapissent le cœur ainsi que le muscle cardiaque lui-même.

Dr Peter McCullough :
Ce que j’ai observé cliniquement, c’est que les patients ont reçu le vaccin et ont eu le COVID, et ils ont reçu le vaccin, et maintenant tout est mélangé et il y a plusieurs expositions. Plus il y a d’expositions, plus je pense qu’il y a un risque de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de myocardite récurrente, ainsi que de caillots sanguins et d’autres thromboses.C’est pourquoi la FDA et les fabricants ont strictement exclu les patients guéris du COVID des essais cliniques.

Lieutenant-colonel Theresa Long :
J’ai vu trois accidents vasculaires cérébraux, des accidents ischémiques transitoires, des caillots massifs dans la rate et le foie, des tumeurs de la colonne vertébrale, des tumeurs cérébrales, une sarcoïdose (maladie inflammatoire qui affecte tout le corps), un lupus (maladie auto-immune), des troubles cognitifs, une myocardite (inflammation du muscle cardiaque), une péricardite (inflammation du péricarde) et une suppression choquante du système immunitaire, qui est omniprésente.

James Thorp :
Mes patients sont des femmes en âge de procréer, des femmes enceintes et des fœtus. Et ce que j’ai observé dans ma pratique clinique, c’est une augmentation considérable et sans précédent des anomalies menstruelles avant la grossesse et une augmentation considérable de l’infertilité, une augmentation considérable des fausses couches, des morts fœtales et des malformations fœtales, et ce que nous avons vu est catastrophique. C’est un signal de danger comme aucun autre.

Dr Robert Malone :
Il y a des différences considérables de toxicité d’un lot à l’autre, comme par exemple le lot que j’ai reçu avec ma deuxième dose et qui a failli me tuer parce que j’ai développé une hypertension artérielle avec une valeur systolique de 230. Il doit y avoir une raison pour laquelle certains lots sont associés à beaucoup plus de décès et de maladies que d’autres.

Brianne Dressen :
Ma vie avant ma vaccination était magnifique… Je suis désolée, il m’est difficile de me souvenir des pires moments de ma vie. J’ai participé à un essai clinique pour AstraZeneca. Et maintenant, je souffre d’une forme grave et débilitante de neuropathie qui va continuer à progresser jusqu’à ce que je me retrouve concrètement dans une maison de retraite.

Joel Wallskog :
J’ai reçu ma seule injection de Moderna le 30 décembre 2021. Dans la semaine qui a suivi l’injection de Moderna, j’ai ressenti des engourdissements et une faiblesse dans les jambes. J’ai rapidement reçu un diagnostic de myélite transverse (une forme d’inflammation de la moelle épinière). Il s’agit d’une lésion de ma moelle épinière thoracique. Je suis maintenant handicapé de manière permanente. Si vous avez un effet secondaire après votre injection, vous êtes seul(e).

Dr Robert Malone :
Actuellement, 50 études cliniques différentes sont en cours sur d’autres nouveaux vaccins à ARNm. Ce produit, dont nous sommes tous d’accord pour dire qu’il est défectueux, est désormais protégé par un droit d’antériorité, ce qui permet à Pfizer, Moderna et BioNTech de bénéficier d’un monopole fonctionnel pour l’utilisation de cette technologie à pratiquement toutes les fins.

Pierre Kory :
Il existe toute une série de médicaments dont les propriétés antivirales ont été démontrées. Et ils ont été très rapidement identifiés et largement utilisés dans le monde entier – pas dans ce pays.

Dr Paul Marik :
Mais 40 % des médicaments. 40 % des médicaments utilisés dans les hôpitaux sont utilisés sans étiquetage, ce qui est acceptable lorsqu’il s’agit d’une maladie cardiaque. Mais quand il s’agit du Covid, tout à coup la FDA, le CDC et le NIH ne veulent plus qu’on utilise un médicament sans étiquetage, parce qu’il ferait concurrence à Big Pharma.

James Thorp :
Je voudrais demander pourquoi l’American Board et le Collège américain d’obstétrique et de gynécologie, ainsi que la Société de médecine maternelle et néonatale, que j’ai servis de manière remarquable tout au long de ma carrière, font la promotion de ce vaccin mortel, risquant ainsi l’avenir de toute l’humanité.

Renata Moon :
D’autres pays ont interdit ce produit parce qu’il est trop dangereux pour les jeunes.
Que faisons-nous ?

Kirk Milhoan :
Je m’engage avec passion pour la santé de nos enfants. Je m’engage également avec passion pour les jeunes soldats que j’ai servis pendant 13 ans dans l’Air Force en tant que médecin de vol – j’ai été déployé deux fois en Irak. Pour nos enfants en bonne santé et la plupart de nos soldats, les données montrent que le risque de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) est plus important que les bénéfices des vaccins. En tant que médecin j’ai juré de ne pas faire de mal, je pense que nous ne devrions pas en prescrire.

Dr. David Gortler :
Je ne peux pas croire qu’à la FDA, où j’ai travaillé en tant que fonctionnaire médical, je ne peux pas croire que parmi les quelque 20 000 employés de la FDA, des médecins, des pharmaciens, des infirmières et des fonctionnaires de santé publique, je sois la seule personne à s’exprimer ici sur ce sujet. Je ne comprends pas.

Dr Paul Marik :
C’est un scandale, un scandale moral, éthique et médical.

Dr Peter McCullough :
Toutes les recommandations de vaccination doivent être abrogées immédiatement. Nous avons besoin de candidatures et d’un financement immédiat pour des centres d’excellence pour les dommages liés aux vaccins dans tous les États-Unis. Pour le dépistage, la détection, le diagnostic, le pronostic et la gestion. Nous avons besoin d’un changement massif dans notre système de santé pour traiter ce grand nombre de victimes de la vaccination.

Janci Lindsay :
Il est absolument irresponsable de continuer à vacciner des jeunes en âge de procréer ou plus jeunes. Quiconque peut les administrer sans même enquêter sur ce point, et je demande maintenant que cela soit fait.

de hm.

Sources / Liens :

Ron Johnsons Anhörungen zu Covid19-Impfschädigungen und -toten
https://thehighwire.com/videos/inside-the-capitol-hill-covid-forum/




Sortir du piège idéologique du « Droit à l’IVG »

[Source : valeursactuelles.com]

La commission des lois du Sénat a rejeté pour la deuxième fois le 25 janvier l’ajout d’un droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution. Alors que le scrutin en séance publique le 1er février s’annonce serré, Grégor Puppinck, docteur en droit et directeur de l’ECLJ, invite les sénateurs à sortir du piège idéologique du « droit à l’IVG ».

Par Grégor Puppinck

Manifestation pour le droit à l'avortement, le 2 juillet 2022, au Mans. Photo © GILE Michel/SIPA
Manifestation pour le droit à l’avortement, le 2 juillet 2022, au Mans. Photo © GILE Michel/SIPA

De « mal toléré », les promoteurs de l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) sont parvenus à faire de l’avortement un symbole politique, un dogme, au point qu’il est impossible pour un responsable politique d’exprimer un doute ou un questionnement sans être aussitôt condamné. Même les initiatives visant à aider les femmes à éviter l’avortement sont dénoncées comme autant de remises en cause de ce « droit sacré ». C’est ce piège idéologique qui est en train de se refermer sur la France, avec le verrou de la Constitution. Si ce verrou est refermé, l’IVG deviendra officiellement une valeur de la République.

À LIRE : Droit à l’IVG dans la Constitution : la grande mascarade

Il est possible et nécessaire de briser ce dogme, de sortir de ce piège idéologique en replaçant l’IVG sur le terrain qui devrait être le sien : celui, humain et concret, de la politique sociale. C’est sur ce seul terrain qu’un réel progrès peut être accompli pour la condition des femmes, le respect de la vie humaine et le bien du pays.

Ne nions pas les conséquences de l’avortement

L’avortement pose des problèmes à plusieurs niveaux. Il y a d’abord l’atteinte à la vie de l’enfant, ce qui est bien sûr le problème le plus grave. La société ne devrait pas s’habituer à ce flot incessant d’enfants sacrifiés. Il y a ensuite les atteintes causées par l’avortement à la santé des femmes et des couples. Selon un sondage de l’IFOP de 2020, 92 % des femmes déclarent que l’avortement laisse des traces difficiles à vivre, elles sont 96 % chez les 25-34 ans.

L’avortement est un acte traumatisant pour de nombreuses femmes, cela est largement prouvé par les études statistiques. Outre les troubles physiques pour la femme et les futures grossesses, l’avortement provoque aussi des troubles psychologiques : des dépressions et des idées suicidaires, notamment chez les jeunes. Ainsi, 42 % des femmes qui ont avorté avant l’âge de 25 ans souffrent de dépression. Le taux de suicides est multiplié par 6,5 chez les femmes ayant avorté par rapport à celles ayant accouché. La moitié des femmes mineures qui ont subi un avortement souffre de pensées suicidaires. Les femmes qui ont avorté ont aussi trois fois plus de risques de subir des violences physiques, mentales ou sexuelles que les femmes qui ont mené leur grossesse à terme. L’avortement affecte aussi les hommes : ils sont 40 % à vivre une détresse psychologique forte à cette occasion. Et 22 % des couples se séparent suite à un avortement.

L’avortement médicamenteux pose des problèmes supplémentaires car il est particulièrement éprouvant et douloureux pour les femmes, qui, de plus en plus, avortent chez elles sans assistance. Imaginer ces milliers de jeunes filles qui se tordent de douleur et perdent leur sang en cachette dans les toilettes est abominable. Les saignements peuvent durer une quinzaine de jours. En France, l’avortement médicamenteux peut être entièrement réalisé en téléconsultation. Au-delà, l’avortement a des conséquences pour toute la société, notamment démographiques.

Beaucoup plus d’avortements en France que chez nos voisins

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En moyenne, l’avortement prive la France d’environ 220 000 naissances par an depuis 47 ans, soit plus de 10 millions d’enfants.

La France a beaucoup plus d’avortements que ses voisins, tant en nombre absolu que relatif (c’est-à-dire indépendamment du vieillissement de la population). 223 300 IVG ont été réalisées en France en 2021 contre 99 948 en Allemagne, 88 269 en Espagne et 66 400 en Italie en 2020. En valeurs relatives, selon Eurostat et l’INED, 298 avortements ont été réalisés pour 1000 naissances en France en 2020, contre 129 en Allemagne et 125 en Suisse. C’est plus du double toutes proportions gardées.

En France, ces avortements sont moins compensés par les naissances, car celles-ci diminuent alors que l’IVG reste très élevée. En 2022, la France a connu le solde naturel le plus faible depuis 1946 (+ 56 000) en raison de la baisse des naissances à 723 000 (selon l’INSEE). L’une des conséquences est le vieillissement de la population : la part des plus de 65 ans augmente et atteint 21,3 % de la population en 2022. En 2022, l’indice de fécondité, c’est à dire le nombre moyen d’enfant par femme a encore baissé, pour atteindre de 1,8. Il est globalement inférieur à deux enfants par femme depuis 1975, année de légalisation de l’avortement. C’est l’immigration qui contribue à présent « pour près des trois quarts à la hausse de la population » selon l’INSEE.

Si l’IVG baissait de 50% en France — ce qui est faisable, comme nous allons le voir — l’indice de fécondité repasserait la barre des deux enfants par femme, et cela serait très bénéfique pour la société. Mais ce n’est pas la direction prise actuellement.

L’avortement, subi bien plus que choisi

Toute les mesures visant à aider les femmes et les couples à éviter l’avortement ont été supprimées depuis la loi Veil : le délai de réflexion, la consultation psycho-sociale obligatoire pour les majeures, l’indication systématique des aides disponibles aux femmes enceintes, et même le délit « d’incitation à l’avortement » a été abrogé alors qu’il protège les femmes contre les pressions, graves et fréquentes. Toutes les mesures visant à prévenir l’IVG ont été supprimées, au motif qu’elles constitueraient des obstacles à l’IVG, qu’elles stigmatiseraient les femmes. Pourtant, ce n’est pas le rejet social de l’IVG qui cause la souffrance des femmes, mais l’IVG elle-même : ce sera toujours un acte violent qui met fin à une vie. Il est impossible de « normaliser » l’IVG, même en l’inscrivant dans la constitution, cela ne change rien à la nature de l’acte.

La réalité sociale montre que l’avortement n’est pas une liberté, ni un véritable “droit”. Le plus souvent, l’avortement est subi, et non choisi. En effet, selon l’Institut Guttmacher, 75 % des femmes qui ont eu recours à l’avortement indiquent y avoir été poussées par des contraintes sociales ou économiques.

Il faut dire d’emblée que la principale cause de l’avortement n’est pas tant la grossesse elle-même, que le contexte dans lequel elle se produit. Car la même femme placée dans des circonstances plus favorables n’aurait pas recours à l’avortement. Ce sont ces circonstances, ces contraintes sociales ou économiques qui déterminent la décision d’avorter.

Déterminisme social de l’avortement

Les statistiques démontrent le déterminisme social de l’avortement : plus une femme est pauvre et isolée, plus elle a de risques de subir un avortement et d’en souffrir psychiquement. Les femmes seules ont un risque supérieur de 37 % à celui des femmes en couple de subir un avortement. De même, les femmes faisant partie des 10 % les plus pauvres ont un risque supérieur de 40 % de subir un avortement par rapport aux 10 % les plus riches, à groupe d’âge et situations conjugales identiques (selon la DRESS). La situation est similaire en Angleterre où les femmes qui vivent dans les zones les plus pauvres ont plus de deux fois plus de risque d’avorter que celles qui vivent dans les quartiers riches. Selon le sondage IFOP précité, la moitié des femmes françaises déclare que la « situation matérielle » constitue « l’influence principale qui pousse une femme à recourir à l’IVG ».

Pour ces femmes, pauvres et seules, l’avortement n’est pas une liberté ! D’ailleurs, les personnes les plus modestes sont moins favorables à l’avortement que les plus aisées. Le soutien à l’IVG est aussi plus faible parmi les plus jeunes : 30% des 18 à 24 ans sont contre l’avortement, contre seulement 8% parmi les plus de 65 ans (Fondation Jean Jaurès, 2022). La leçon de ces statistiques, c’est que plus on est exposé à subir un « avortement contraint », moins on y est favorable.

Il est possible de réduire le recours à l’IVG, sans même en restreindre les conditions d’accès

Pourquoi la France, contrairement aux autres pays européens, ne tente pas de réduire le recours à l’IVG ? En France, le recours à l’avortement est parmi les plus élevés d’Europe, et il ne diminue pas, à la différence des autres pays européens. Nous sommes passés de 202 180 en 2001 à 232 000 avortements en 2019 (DRESS). Nous sommes à un maximum jamais atteint. À l’inverse, le recours à l’avortement baisse considérablement chez nos voisins. Depuis 2000, il a été réduit de moitié en Italie (de 135 133 à 66 413), et il est passé de 134 609 à 99 948 en Allemagne (Eurostat). Cette baisse n’est pas due au seul vieillissement de la population car le taux d’avortements par naissance a baissé considérablement, en passant de 150 à 129 avortements pour 1000 naissances en Allemagne, et 195 à 162 avortements pour 1000 naissances en Italie, entre 2013 et 2020. En France, il reste autour de 300 avortements pour 1000 naissances (INED).

En Hongrie, le recours à l’avortement a été divisé par deux entre 2010 et 2021, passant de 40 450 à 21 900 avortements par an. Cela n’est pas dû au vieillissement de la population, car le taux d’avortement par femme en âge de procréer a baissé de plus de 42% sur cette période (passant de 16,9, à 9,8 avortements pour 1000 femmes).

Cette baisse est la preuve qu’une politique de prévention et d’aide aux femmes et aux couples permet, en quelques années, de faire chuter le recours à l’IVG sans même en restreindre ses conditions d’accès légales.

Une politique de prévention serait consensuelle

L’avortement est mauvais pour les femmes, pour les couples, pour les professionnels de santé et pour tout le pays, alors pourquoi le promouvoir quand il est possible de mener une politique de prévention ? D’ailleurs, c’est ce que veulent les Français. Selon le sondage Ifop précité, 73 % des Français estiment que la société devrait aider les femmes à éviter l’IVG. Ce chiffre est en augmentation. Toujours selon l’Ifop, 88 % des Français sont favorables au lancement « d’une campagne de prévention et d’une étude sur l’IVG par les pouvoirs publics ». 84% des sondés sont favorables, par exemple, à ce qu’on indique systématiquement aux femmes enceintes les aides qu’elles peuvent recevoir pour garder et élever leur enfant. Pourquoi est-il interdit en France à un médecin, lors de l’entretien d’information préalable à l’IVG, d’indiquer à une femme les aides qu’elle peut recevoir pour garder son enfant ? Pourquoi ? Aider n’est pas culpabiliser. Il y a beaucoup à faire, les idées ne manquent pas.

La France s’est d’ailleurs engagée à protéger la maternité, avant comme après la naissance. Ainsi, par exemple, en ratifiant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, la France a reconnu qu’une « protection spéciale doit être accordée aux mères pendant une période de temps raisonnable avant et après la naissance des enfants ». La France a aussi reconnu, en ratifiant la Convention sur les droits de l’enfant de 1989, que « l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance ». Plus encore, la France s’est engagée lors de la Conférence du Caire sur la Population et le Développement de 1994, à « réduire le recours à l’avortement » et à « prendre des mesures appropriées pour aider les femmes à éviter l’avortement ». Selon cette déclaration, « tout devrait être fait pour éliminer la nécessité de recourir à l’avortement ».

Un choix ontologique radical

Enfin, il faut souligner pour conclure que la constitutionnalisation de l’IVG revêt aussi une dimension symbolique essentielle, à mon sens, est presque aussi importante que le choix de la laïcité de l’Etat : ce choix marque l’âme du pays. C’est un choix ontologique radical, c’est l’affirmation d’une conception de l’être humain : une conception matérialiste et volontariste, qui affirme la domination de la volonté sur l’être, de la volonté individuelle sur la vie humaine. C’est un choix terrible qui déclare que la destruction de la vie humaine est une liberté humaine. C’est aussi un choix qui nous oblige à croire que l’homme n’a pas d’âme, mais seulement un corps doté d’intelligence.

Une constitution sert à conférer des institutions à un peuple afin qu’il puisse persévérer dans l’existence : le but ultime d’une constitution est de servir la vie du peuple. Placer la liberté avant la vie est un suicide. Certes, l’homme est libre, mais il est d’abord vivant. La vie est un préalable à la liberté. Plutôt que de promouvoir l’avortement tel un droit abstrait, ce qui ne ferait qu’empirer le problème, il serait plus sage et bénéfique pour chacun, et pour la société dans son ensemble, de considérer l’avortement pour ce qu’il est : un problème social grave, qu’il est possible de prévenir. Il suffit de le vouloir.




Pourquoi les non-vaxinés antiCovid dérangent

[Source : Ciel Voilé]






Christine Anderson, députée européenne qui combat pour la liberté

[Source : Myl traduction 🌼]

Christine Anderson parle notamment du passage de Justin Trudeau au parlement européen, du PDG de Pfizer absent, et des contrats caviardés.






La médecine de Tesla

[Source : maisonsaine.ca]

Par Robert W Connolly

https://teslasmedicine.com/

Par Robert W. Connolly, réalisateur du nouveau film Tesla’s Medicine
Texte paru dans Vitality Magazine en octobre 2022.
Adaptation : André Fauteux

On a demandé un jour à Albert Einstein : « Qu’est-ce que ça fait d’être l’homme le plus intelligent du monde ? » Il a répondu : « Je ne sais pas, il faut demander à Nikola Tesla. »

On a récemment demandé à Elon Musk, PDG de Tesla Motors : « Qui admirez-vous le plus, Thomas Edison ou Nikola Tesla ? » Il a répondu : « Thomas Edison parce qu’il a mis ses inventions sur le marché et les a rendues accessibles au monde entier. »

Pour comprendre ces deux déclarations déroutantes, nous devons rembobiner à une époque où une « guerre des courants » entre Edison et Tesla se déroulait littéralement jusqu’à la mort dans les chutes du Niagara. Le vainqueur alimenterait la première centrale hydroélectrique, puis le monde entier.

Pour diaboliser Tesla, considéré comme un inventeur fou de dangereux champs magnétiques à courant alternatif, Edison a montré et filmé publiquement l’électrocution de chiens, d’éléphants et de criminels dans le couloir de la mort à l’aide de l’électricité alternative de Tesla, puis l’a montrée devant des salles combles dans les cinémas du monde entier!

Pour contrer cette cruelle publicité négative, Tesla, dans un tour de force stupéfiant, s’est allumé tout le corps comme une ampoule humaine et a affirmé que ses champs magnétiques alternatifs étaient sans danger et même capables de guérir des maladies graves comme le cancer. Il crée la Tesla Electrotherapeutic Company pour fabriquer des machines électromagnétiques de guérison. [Pour plus de détails, lire l’article Electricity : the greatest of all doctors (l’électricité, le plus grand des médecins), sur le site de l’IEEE, l’Institut des ingénieurs en électricité et en électronique.]

Médecine socialisée contre médecine capitaliste

Pour soutenir les miracles de la nouvelle médecine de Tesla, des hommes politiques tels que Gaylord Wilshire, plus connu pour le célèbre boulevard Wilshire à Hollywood, ont fabriqué plus de 50 000 bobines Tesla d’électrothérapie Ionaco dans les années 1920 et les ont présentées de manière agressive comme un remède contre le cancer, le diabète, la tuberculose, l’arthrite et l’insomnie en utilisant une pleine page de publicité dans le Los Angeles Times.

Comme prévu, la diabolisation publique efficace de Tesla par Edison crée tellement de peur et de confusion que le président des États-Unis insiste pour que les lumières de la Maison Blanche soient allumées et éteintes par des domestiques! Afin de calmer un monde en état de choc et de permettre une application commerciale complète de l’électricité alternative, les champs magnétiques de Tesla sont considérés comme inoffensifs et incapables de produire des effets curatifs.

Si Tesla a gagné la bataille contre Edison pour alimenter la planète en électricité, sa thérapie magnétique n’a jamais connu de succès commercial en Amérique en raison d’un nouvel adversaire : l’industrie pharmaceutique réglementée par la Food and Drug Administration (FDA), l’agence fédérale règlementant l’industrie pharmaceutique naissante. Le corps humain n’était plus qu’un grand sac de produits chimiques, que l’on ne pouvait modifier qu’en y ajoutant d’autres produits chimiques. Ce n’était pas une batterie rechargeable comme Tesla le prétendait.

Le retour de la médecine Tesla

Alors que le nom et les inventions médicales de Tesla ont été retirés des manuels scolaires en Occident, c’est tout le contraire qui se produit en Union soviétique et dans les pays germanophones qui offrent un système de santé socialiste rentable. Dans ces pays, la médecine de Tesla fut raffinée, améliorée et achetée par l’élite pour un usage personnel, y compris par les stars de la télévision hollywoodienne.

Le point de retour a eu lieu en 2011 lorsque le Dr Mehmet Oz a décidé qu’il était temps de prendre des risques. Au début de sa populaire émission de santé à la télé syndiquée, il a déclaré avec audace, avec l’aide de son public, « qu’aujourd’hui, nous allons changer la pratique de la médecine ». Il a réintroduit la technologie de médecine magnétique de Tesla sous le nom de PEMF (Pulsed Electro Magnetic Fields ou CEMP en français pour champs électromagnétiques pulsés) et a affirmé qu’il suffisait de s’allonger sur les bobines Tesla énergisées pour faire disparaître des douleurs incurables. À la fin de l’émission, le Dr Oz a demandé à son public de télécharger des documents sur les CEMP depuis son site Web et de les apporter à leur médecin, car cette technologie miraculeuse n’est pas enseignée dans les écoles de médecine.

L’industrie de la thérapie des champs magnétiques pulsés se prépare à faire des affaires

Ce message a eu l’effet d’une bombe atomique. Les professionnels de la santé aux États-Unis et au Canada ont reçu les retombées de centaines de milliers de lettres imprimées, de télécopies, de courriels et d’appels téléphoniques de leurs patients bien intentionnés.

Cette fois-ci, Tesla a gagné. La FDA a capitulé en créant une nouvelle catégorie appelée « appareils de bien-être » [qui peuvent être réglementés ou non, tels les stimulateurs de croissance osseuse non invasifs, pour les fractures dites non soudées car elles ne guérissent pas]. Les appareils CEMP seraient autorisés à entrer dans le pays sans taxes ni droits de douane, à condition d’être enregistrés auprès de la FDA et de ne pas faire d’allégations de santé. Cette technologie ajoutait de l’énergie « chi » pour créer du bien-être dans le corps…. En réalité, le gouvernement a contourné son plan d’assurance santé Medicaid parce qu’il veut que le public dépense l’argent de son compte d’épargne santé et utilise les produits de CEMP comme alternative aux médicaments antidouleur addictifs.

Le gouvernement canadien a adopté une approche différente et a considéré les générateurs de CEMP comme des dispositifs médicaux à part entière [régis par une longue liste de normes], un pourcentage de chaque vente étant destiné à financer Santé Canada. Au lieu des hôpitaux financés par l’État, des cliniques privées loueraient et vendraient ces appareils au public. On pourrait en faire la publicité pour réduire l’inflammation, augmenter la microcirculation et atténuer les troubles musculo-squelettiques, ce qui est assez vaste. [Lire la page Wikipédia Thérapie par champ électromagnétique pulsé et Thérapie par signal pulsé et traitement de l’ostéoarthrite, rapport de l’Agence d’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé présenté en 2001 au ministre délégué à la Recherche, à la Science et à la Technologie du Québec.]

Les appareils canadien Centurion (notamment utilisés sur les chevaux de course), allemand Bemer et italien Seqex (subventionné par le gouvernement de l’Italie) sont tous trois homologués par Santé Canada en tant qu’appareils médicaux de magnétothérapie (CEMP) pouvant faire l’objet d’allégations et être utilisés à des fins commerciales. Aujourd’hui, une personne peut importer au Canada tout appareil médical non homologué par Santé Canada à condition qu’il ne soit pas utilisé à des fins commerciales et qu’il soit destiné à son usage personnel. 

Néanmoins, la diffusion du message magnétique auprès des médecins reste un gros problème. Comment les professeurs de médecine peuvent-ils honnêtement enseigner aux médecins que les champs magnétiques pulsés à micro-ondes [hautes fréquences radio] utilisés par l’industrie des télécommunications – et classés 2B (« peut-être cancérogènes ») par l’Organisation mondiale de la santé – n’ont aucun effet sur la santé, alors que les CEM pulsés à basse fréquence peuvent être utilisés pour guérir des maladies graves ? Où se trouve la ligne de démarcation entre la santé et le mal ?

La réponse : si les ondes artificielles sont générées à des fréquences dans le spectre naturel (du sol, du son et du soleil), elles peuvent être utilisés pour guérir parce que leurs vitesses d’oscillation sont les mêmes basses fréquences auxquelles vibre notre ADN. Toutefois, comme pour toute médecine, cela dépend aussi de la dose et de la durée d’exposition.

Ma prise de conscience personnelle

J’ai pris conscience de l’existence des CEM il y a dix ans. Au départ, un sentiment d’anneau fantôme (comme une vibration) dans la poche de mon pantalon où je mettais autrefois mon téléphone cellulaire s’est transformée en maux de tête, en brouillard cérébral, en confusion, en nausées, en anxiété, en dépression et, finalement, en une méchante dépression nerveuse. Les symptômes ont été soulagés en réduisant mon exposition au cellulaire et autres technologies sans fil (mon four micro-ondes coupait ma connection Internet Wi-Fi utilisant la même fréquence!), en faisant de longues promenades en forêt pour me mettre à la terre et en utilisant la thérapie CEMP de Tesla. Après trois jours de cette thérapie, ma dépression a été remplacée par un énorme sentiment de vitalité et de bien-être. Je l’utilise encore aujourd’hui. Des appareils de stimulation magnétique transcranienne aux CEMP qui sont homologués sont reconnus pour traiter la dépression. 

J’avais découvert que mon corps est comme une batterie rechargeable, constamment sous l’influence du soleil et du champ géomagnétique de la Terre. Tesla faisait sa promenade quotidienne de 8 km dans Central Park, à New York, pour recharger naturellement son corps. Lorsque vous marchez, vous exercez une pression sur vos os qui sont de nature cristalline. Chaque pas crée une impulsion piézoélectrique [selon Wikipédia, la piézoélectricité est « la propriété que possèdent certains matériaux de se des matériaux de se polariser électriquement sous l’action d’une contrainte mécanique »] qui est amplifiée par les lignes des champs magnétiques de la Terre que vous traversez.

Pour la technologie CEMP, pendant que vous vous allongez à l’intérieur ou sur des bobines Tesla alimentées en énergie [les mêmes extrêmement basses fréquences que celles produites et utilisées par le corps], le générateur pulse, pousse et tire les champs magnétiques à travers vous. C’est comme prendre une douche, mais dans ce cas, au lieu de la saleté, vous éliminez l’électrosmog [électricité artificielle de 60 hertz ou de radiofréquences dans les kilohertz, les mégahertz ou les gigahertz). Les basses fréquences qui ressemblent au pouls de la Terre, autour de 10 Hz, réinitialisent les cellules épuisées et se chargent. Lorsque je génère le pouls de la nature en utilisant un dispositif CEMP, mon corps retrouve son équilibre.

J’ai accepté ma guérison miraculeuse comme une expérience religieuse et j’ai décidé de devenir un expert de la thérapie par champs magnétiques de Tesla, avec pour mission de parcourir le monde pour produire un long métrage documentaire intitulé Tesla’s Medicine.

Huit ans de recherche sur la médecine de Tesla

Au cours des huit dernières années de cette production, j’ai documenté des guérisons stupéfiantes grâce aux champs magnétiques pulsés. La vision des gens s’améliore, des couples infertiles conçoivent, des enfants autistes deviennent stables, des enfants et des adultes se débarrassent de l’arthrite, de la sclérose en plaques, de la fibromyalgie, de la dépression, du syndrome de stress post-traumatique et bien d’autres choses encore. 

En République tchèque, l’Institut de réadaptation de Kladruby (www.rehabilitace.cz) traite les patients paraplégiques pour des lésions de la moelle épinière en utilisant les CEMP et les lasers pour réparer les os et les nerfs en activant les cellules souches neuronales.

La clinique suisse Paracelsus, mondialement connue (www.paracelsus.com), utilise les CEMP pour éliminer la douleur après une opération dentaire. Cette technologie est également utilisée pendant la chélation, l’ozonothérapie IV et la vitaminothérapie pour désintoxiquer le corps des métaux lourds, éliminer les virus et soutenir le système immunitaire. Des milliers d’athlètes, comme ceux de l’équipe olympique suisse, utilisent les CEMP pour améliorer leurs performances. Dans certains villages suisses, une maison sur trois est équipée d’un tapis de thérapie CEMP dans l’abri antibombes commun et l’utilise comme la fontaine de jouvence du « secret suisse ».

En Italie, la Société de la sclérose en plaques de la Ville de Trente utilise le CEMP Seqex pour analyser les patients afin de déterminer les champs magnétiques appropriés et fournit une unité portable utilisée à domicile pour améliorer la microcirculation et réduire l’inflammation, généralement en un à sept mois. Seqex est également utilisé comme médecine complémentaire dans les hôpitaux spécialisés dans le traitement du cancer, car les champs aident les cellules précancéreuses faibles à ne pas être endommagées pendant la radiothérapie et la chimiothérapie devient plus efficace avec moins d’effets secondaires.

Fréquences de guérison pour les chevaux et les humains 

Après de nombreux voyages en Europe de l’Est et de l’Ouest pour acquérir les appareils, nous les avons testés au Rose Lab (www.TheRoseLab.com), un centre de recherche appartenant à la toxicologue Dre Magda Havas, spécialiste des effets biologiques des champs magnétiques. Nous avons constaté que le Wi-Fi retardait la croissance des semis alors que le CEMP l’augmentait.

Centurion Systems/Systèmes Centurion est une entreprise canadienne qui a importé les premières bobines Tesla allemandes il y a plus de trente ans. Ses appareils ont été adoptés par l’industrie des courses de chevaux en raison de la vitesse à laquelle ils pouvaient réparer les pattes cassées – parfois en quelques semaines. Ils sont maintenant particulièrement populaires auprès des athlètes qui souffrent de blessures entraînant des douleurs chroniques et de l’arthrite.

La Société d’assurance automobile du Québec (SAAQ) a déjà remboursé des bobines Centurion Tesla fabriquées au Canada à des victimes d’accidents routiers afin qu’elles puissent bénéficier d’un rétablissement accéléré sans douleur. « La SAAQ nous a acheté des systèmes par le passé pour certains de ses assurés. En fait, elle rembourse le client qui détient une prescription médicale pour un appareil PEMF » (CEMP), explique  Michel Gareau, vice-président Développement des affaires dans l’est du pays chez Systèmes Centurion.

La Dre Havas a personnellement supervisé une étude pilote sur les bobines Tesla Centurion qui a été publiée dans la revue Novel Techniques in Arthritis & Bone Research. Intitulée : « Pulsed Electromagnetic Field Therapy (PEMFT) Alleviates Symptoms of Osteoarthritis. Havas a constaté qu’elles réduisaient considérablement la douleur et augmentait le bien-être général des participants. 

L’avenir de la thérapie par l’énergie

La Société canadienne du cancer reconnaît désormais diverses « thérapies énergétiques » complémentaires, comme le reiki («basé sur la croyance qu’il y a de l’énergie dans le corps et qu’on peut utiliser les mains pour aider à améliorer la circulation de cette énergie »).

En 1920, le Dr Raymond Rife a inventé un microscope capable de voir des virus cancéreux vivants et a utilisé les ondes radio haute fréquence de Tesla pour les dévitaliser. Cette découverte se retrouve aujourd’hui dans le système Oncotherm, un appareil homologué par Santé Canada qui utilise les radiofréquences et la chaleur thermique pour le traitement du cancer du sein. Un nombre croissant de cliniques naturopathiques de l’Ontario l’utilisent avec la chimiothérapie et l’ozone.

Au lieu d’un séjour en Suisse, The Nature Medicine Clinic (www.NatureMedicine.ca) propose des vacances de bien-être dans la région de Niagara pour une fraction du prix. Les patients peuvent explorer les attractions voisines après leur cure de désintoxication à l’ozone CEMP et leur traitement anticancéreux Oncotherm.

Le thérapeute des fréquences à domicile

Alors que le monde se précipite pour avoir la dernière technologie sans fil, nous devons réaliser que même après la 5G, l’industrie des télécommunications continuera à se développer. Nous pouvons éliminer l’électrosmog de notre maison, mais dès que nous franchissons la porte, l’eau de notre corps l’absorbe et le stocke. Si l’on ajoute à l’équation l’air et l’eau pollués, les pesticides et les produits chimiques transformés dans les aliments, on obtient un système immunitaire défaillant, en particulier chez les personnes âgées.

Étant donné que notre système de santé accepte désormais officiellement la « thérapie énergétique » CEMP mais refuse de la financer, une nouvelle tendance de la médecine privatisée se dessine : des « thérapeutes des fréquences » proposent des traitements de désintoxication par le son, les vibrations, la lumière et les champs magnétiques dans une clinique ou au domicile du patient.

Le Dr Oz et notre gouvernement nous envoient le même message. Les machines de Tesla sont désormais légales et efficaces, mais vous ne les trouverez pas dans les hôpitaux. Le temps est venu où vous devez dépenser votre propre argent pour les soins de santé.

Tout comme une salle à manger sert à manger, un salon à lire, une chambre à coucher à dormir et une salle de bain à se laver le corps, une salle de guérison équipée de la médecine de Tesla à construire dans votre maison vous permettra de prospérer dans ce monde sans fil.

La déclaration d’Elon Musk sur les échecs de Tesla à commercialiser lui-même ses inventions sur le plan commercial semble avoir du mérite. Cependant, Tesla était un visionnaire et c’est peut-être le moment idéal pour faire connaître ses champs de guérison au monde entier.

« Que l’avenir dise la vérité et évalue chacun selon son travail et ses réalisations. Le présent est le leur ; le futur, pour lequel j’ai vraiment travaillé, est le mien. » 

Nikola Tesla




La corruption tue la science et aussi les malades

Par Nicole Delépine

« À TOUS CEUX QUI SONT MORTS SEULS », par le DR Alain COLLIGNON

« L’ordre se lave les mains pendant qu’on cloue Hippocrate sur sa croix »

Vidéo à ne pas manquer pour comprendre tout ce qui s’est passé depuis trois ans en ce qui concerne le Covid19.

Merci à Alain Colignon qui a fait cette belle vidéo et à Pascal Sacré qui la diffuse largement, médecins belges qui (avec quelques rares autres dans plusieurs pays du monde) ont sauvé l’honneur de notre profession.

PRENEZ LE TEMPS DE L’ÉCOUTER ET DE LA PARTAGER.

Les pieds nickelés font de la science, dixit le PR Raoult à juste raison.

Le « virage vers les ténèbres » de la Science contemporaine

Commentaire du film par le réalisateur le DR Colignon

« L’aphorisme par lequel Richard Horton, éditeur du Lancet, évoque est le mobile central du court-métrage que j’ai réalisé. Ce court-métrage s’articule sur 2 sujets principaux relatifs à la corruption des scientifiques :​

Le premier traite de la véritable criminalité scientifique avec l’exemple du Professeur Mandeep Mehra de la Medical School de Harvard.

Le second traite de la corruption “politiquement correcte”, avec le docteur Nicolas Dauby, du CHU Saint-Pierre, archétype du mensonge scientifique “sincère” ou “naïf”, banalisé et admis aujourd’hui par une paradoxale “néo-coutume” médicale.

Cette corruption plus insidieuse et difficilement détectable résulte davantage de la façon dont on sélectionne les experts que de leur manque de loyauté ou de sincérité… Un labo pharmaceutique n’est plus confronté aujourd’hui, à la nécessité d’acheter un médecin pour qu’il mente, pour qu’il trahisse sa pensée ou pour qu’il en nuance les conclusions. Il suffit que ce labo soutienne les scientifiques dont l’avis va dans le sens de ses intérêts et qu’il ostracise ceux qui émettent des opinions dangereuses pour ses cibles commerciales. En raison de ce “Cherry Picking” opportuniste, un médecin dont les travaux ne sont pas favorables à l’utilisation d’un produit ou d’un dispositif médical, n’a aucune chance d’être invité à un congrès, d’être lu par des reviewers, d’être soutenu dans ses recherches, d’être engagé dans une institution financée par le secteur privé ou d’être interrogé par les grands Médias. Il est et reste “invisible”… On retrouvera dans les congrès et dans les institutions de recherche, des médecins sincèrement favorables aux objectifs de ses sponsors, et c’est sans arrière-pensée qu’ils les serviront, parfois au mépris volontaire ou involontaire de la vérité. Les truands qui traînent des valises de billets ne sont plus vraiment utiles à un secteur qui a fait main basse sur les Universités, sur les instituts de recherche et sur les organes officiels comme Sciensano et l’OMS.

Le Président de l’Ordre de Bruxelles et du Brabant Wallon a courageusement pris l’initiative d’un débat déontologique le 4 février au Château du Lac à Genval. Il serait raisonnable d’y aborder l’important sujet des conflits d’intérêts, souterrains, lointains, apparemment inoffensifs et pourtant si délétères pour la santé publique avec sagesse, avec raison, avec sérénité. Mettra-t-il à l’ordre du jour, l’analyse méticuleuse de cette corruption larvée qui laisse grandir son invisible mycélium sous nos vérités les plus sacrées ? Empêchera-t-il ce symposium de se transformer en messe basse servie sur l’autel de la bienséance ? Si le docteur Melot a le courage, en vertu d’une charge ordinale qui fait de lui le maître supérieur de nos consciences, d’engager une lutte décisive contre la tyrannie de l’argent, il laissera assurément une trace dans l’histoire de notre admirable métier, qui doit se mettre inconditionnellement et sans la moindre ambiguïté, à l’entier et unique service du patient ». 

APPEL CONTRE LA CORRUPTION EN SCIENCE ET SANTÉ DE 2002

Une épidémie de corruption sévit dans notre profession.
N’a pas été entendu malgré tous ceux qui suivront.

Les mises en garde ne furent pas entendues et la situation ne fit que s’aggraver comme l’explique le DR A. Colignon dans son film. Les livres, vidéos, éditoriaux s’accumulèrent dans le silence médiatique complet. Les professionnels se soumettaient pour ne pas risquer les ennuis des quelques résistants (refus de nomination universitaire, refus de publication d’études dans les revues ou dans les congrès internationaux). Nous avons tous vécu ce que raconte si bien le Dr Colignon. Une anecdote (rigolote ?) : un article capital sur le sarcome d’Ewing vers 1999 nous fut refusé pour « mauvais anglais » mais de fait c’était un article commun avec le célèbre et trop vite disparu le Pr américain G Rosen… Combien de patients auraient-ils pu bénéficier plus tôt de la chimiothérapie préopératoire facile et efficace et bénéficié d’une chirurgie conservatrice si ce papier novateur n’avait pas été censuré ?

À QUAND LA GRANDE LESSIVE ?

Marcia Angel a démissionné en 2004 puis son successeur en 2007 pour dénoncer la corruption des revues médicales les plus prestigieuses. Le pire est que les patients largement avertis, s’ils le souhaitent, font majoritairement l’autruche et préfèrent croire les mensonges bien présentés que la triste vérité. De tout temps, semble-t-il…

https://youtu.be/Mcp-cssMgFc

Car la corruption en médecine ne touche pas seulement certains leaders d’opinion et quelques revues. Depuis plus de 20 ans, elle s’est emparée des agences sanitaires devenues « captives »1 des seuls intérêts de l’industrie pharmaceutique expliquant des décisions de plus en plus discutables et l’apparition récurrente de scandales sanitaires de plus en plus catastrophiques. Après le scandale du sang contaminé, de l’amiante, du chlordécone, de l’hormone de croissance, le médiator a causé quelques milliers de morts, le Vioxx 60000 à 500 000 morts2 aux USA et les opioïdes encore plus (actuellement100 000 morts chaque année depuis 2020)3 4.

LA CORRUPTION TUE LA SCIENCE ET AUSSI BEAUCOUP DE MALADES !


1 La capture réglementaire des agences sanitaires, conséquence de la défaillance de l’État et du clientélisme, donne la priorité à l’industrie pharmaceutique au détriment des contribuables et les malades qu’elles sont censées protéger.

2 Quand un demi-million d’Américains sont morts et que personne n’a remarqué ALEXANDRE COCKBURN27 AVRIL 2012
https://www.theweek.co.uk/us/46535/when-half-million-americans-died-and-nobody-noticed

3 Les décès de fentanyl dans le comté de Los Angeles ont augmenté de 1 280 % de 2016 à 2021 — rapport

4 The Lancet Managing the opioid crisis in North America and beyond February 02, 2022 DOI:
https://doi.org/10.1016/S0140-6736(22)00200-8




240 témoignages d’exclus de la société française depuis 500 jours

[Source : lemediaen442.fr]

Brutalement, des milliers de personnels de santé et de pompiers ont été suspendus sans revenus ni aide sociale. 500 jours plus tard, rien n’a changé. Ils restent abandonnés des syndicats qui auraient pu les défendre et de leurs collègues qui auraient pu se montrer solidaires. La cassure est très profonde. Ce gouvernement les a exclus, humiliés, salis et pire, pour certains d’entre eux, il les a détruits !

Marius Jacob a compilé plus de 240 témoignages de personnes suspendues, tout comme lui…

« À la mémoire du sergent-chef Max, sapeur-pompier professionnel dans le Var, suspendu le 15 septembre 2021 suite à l’obligation vaccinale. Il a fait le choix de rejoindre les anges du ciel à tout jamais le 17 septembre 2021. Il laisse derrière lui, sa femme, elle aussi suspendue, et leur fils de 3 ans qui pense souvent à son « PAPA-ANGE ». Nos pensées vous accompagnent

Pour cette triste date d’anniversaire, Yoyo leur rend un hommage à travers un zapping :




Information générale afin de rester prudent et vigilant : conseils pour les injectés

Mon amie homéopathe le Dr Martine Gardenal avait écrit cette mise en garde il y a déjà un an alors que les personnes contraintes à se faire injecter cherchaient légitimement des solutions qui malheureusement n’existent pas vraiment.

Actuellement la révélation des très nombreux effets toxiques (doux euphémisme) de l’injection génique pousse de multiples personnes à publier à nouveau des traitements « antidotes », ce qu’on peut comprendre. Afin de mesurer la limite du système, le Dr Gardénal a accepté de publier sa mise en garde toujours d’actualité. Nous l’en remercions.

Cet article [du 15 Mars 2022] ne veut pas dire que rien ne peut servir à quelque chose. Les papiers sur les tisanes d’aiguilles de pin par exemple(([1] Voir :
Débarrasser le corps du graphène
et
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre)) ou l’Artémisia donnent de l’espoir à certains et ne doivent pas être négligés. Le but de ce rappel est de dire qu’il n’y a pas de traitement miracle contre la toxicité de l’injection à ce jour et donc que rien ne doit vous faire accepter l’injection en vous faisant croire qu’elle n’aura aucun risque. Roulette russe…

Dr Nicole Delépine

Par le Dr Martine Gardénal
médecin homéopathe, médecin du sport, et olympique, ex-attachée de consultation à l’Insep

Je suis très souvent interrogée par des personnes qui sont ou vont être injectés par le produit ARN messager contre le COVID.

Leur question est :

« Que puis-je faire pour ne pas avoir d’effets secondaires ou pour les faire disparaitre ? »

Je me décide aujourd’hui à vous dire le fond de ma pensée. Ceci, non pour vous faire entrer dans la peur, mais pour être claire.

Cette injection transgénique anti Covid est toujours en phase 3. Elle appartient donc encore au domaine expérimental, ce qui veut dire :

  1. que nous n’avons pas le produit à notre disposition en vente libre dans les pharmacies,
  2. que nous ne savons pratiquement rien de leur composition exacte,
  3. que comme pour tout traitement expérimental cette thérapeutique comporte différents types de produits, et obligatoirement des placebos dont nous ignorons le pourcentage. (Voir essais cliniques).

Cela explique que certaines personnes ont dû recevoir du sérum physiologique, alors que d’autres ont été injectées avec le produit expérimental. Aussi, certains n’ont absolument aucune réaction même après 3 doses, alors que d’autres réagissent dès la première injection et d’autres seulement après la 3°. Tout peut se voir.

En plus, actuellement, les pistes sont totalement brouillées :

  1. la personne ne sait pas ce qui lui est injecté,
  2. au fil des doses, la personne peut recevoir des produits provenant de laboratoires différents (Astre Zeneca, Johnson et Johnson, Moderna, Pfizer) et des doses placebo ou non,
  3. l’état sanitaire de la personne n’est jamais pris en compte.

En tant que médecin homéopathe, je sais que chaque individu à son propre terrain, avec sa plus ou moins grande susceptibilité aux produits étrangers et aux germes.

Jusqu’alors, avec tous les autres vaccins (classiques), j’avais pris l’habitude de faire un traitement préventif, mais surtout curatif afin que le terrain soit le moins touché possible par ces perturbateurs immunitaires.

Ma longue expérience professionnelle et celles d’autres confrères m’ont conforté dans notre position. Pour les vaccins classiques, cela n’a jamais posé de problème : je n’ai jamais eu à déplorer la moindre nuisance. N’est-ce pas le but recherché ?

Pour mémoire, je rappelle quelque chose qui semble bien oublié depuis des années. Le rôle du médecin est « primum non nocere » [NDLR « D’abord, ne pas nuire »].

Actuellement, avec ces injections transgéniques à ARNm, ne sachant pas ce que contient la seringue, et n’ayant pas à notre disposition les flacons, il est impossible — et nous n’aurons jamais l’assurance — que les produits homéopathiques fabriqués appelés « isothérapiques » correspondent à ce que la personne a reçu.

C’est peut-être un placebo qui a été injecté. (sérum physiologique) et peut être non ? Alors ?

Comment éthiquement parlant, proposer à quelqu’un un traitement incertain dont il est impossible de prévoir le résultat de façon sûre ? Comment affirmer qu’avec l’homéopathie il n’y aura pas d’effets secondaires et surtout que la protéine Spike va disparaître ?

Personnellement je ne me sens ni le courage ni le droit de faire de telles choses, et je refuse d’en prendre la responsabilité.
Je serai trop loin de mes choix personnels, et mon éthique m’en empêche.

Dans l’état actuel des choses, je ne vois aucun traitement préventif ni curatif avec certitude…
Les seules choses que l’on puisse faire, c’est de préparer le terrain au mieux pour qu’il réagisse le moins possible et que cela diminue les réactions de type allergique, oxydatif, sidération immunitaire. C’est ce que beaucoup proposent et font.

J’avoue que lorsque je lis les articles de certains, certifiant qu’avec des traitements naturels et/ou des isothérapiques homéopathiques faits avec des injections transgéniques antiCOVID, les injectés sont garantis de passer à travers toutes les conséquences néfastes de ces produits, à court et long terme, je suis révoltée de tant de malhonnêteté et ne peux cautionner une démarche aussi peu scientifique.

J’attends les preuves

Il faut se méfier des illusionnistes, qui pour entretenir leur réputation et récupérer quelques monnaies, ne se comportent pas mieux que les lobbys pharmaceutiques.

Je suis désolée de ne pas pouvoir dire mieux, mais au fond de moi quelque chose m’empêche de proposer un produit dont on ne sait rien et qui est sans doute faux.

Un espoir : quand on pourra acheter librement ces produits injectables contre le COVID, le problème sera sans doute différent. À voir…

Par contre, tous les petits conseils donnés dans mon ouvrage « Homéopathie, le livre de référence pour se soigner au naturel », restent vrais pour minimiser les réactions secondaires et limiter les dégâts pour les vaccins classiques.

Et dans « T’as mal où ? ma réponse homéo ». Je vous propose un traitement si vous avez le COVID.

Dr Martine GARDÉNAL

15 Mars 2022





Le défi des radiations…

Par John Hunter

La Fed a envoyé un long message sur la reprise du parc éolien de Nozay/Voltalia. Celui qui est encore le plus célèbre en France pour les dégâts sanitaires sur le cheptel et les hommes. Notamment la famille Potiron. Un procès initié par le mouvement de la ruralité proche de l’ex-député Lafarge et défendu par Me DiVizio n’a pas convaincu les juges qui n’y connaissent rien en matière de radiations sur le tissu biologique. Pourtant le labo ToxSeek avait donné son diagnostic. Intoxication aux terres rares pour les vaches et les gens.

Les gens de Nozay sont obligés de prendre du Chlorella pour tenir. Le coup de balai pour les toxines. La zéolite pour encore plus de nettoyage. Et puis peut-être de la benzodiazépine pour pouvoir dormir.

Alors on programme des machines pour tuer l’humanité des gens, la vie des bêtes ?

Un article dans Science et Vie de mai 1917 décrit les radiations subies par des astronautes hors du bouclier terrestre. Jean François Botollier Depoix explique :

« C’est un Bain de radiation de 330 millisieverts entre la Terre et Mars. Le mSv est une unité qui mesure les dégâts biologiques d’une irradiation en fonction de la quantité reçue et de la nature des radiations. En France la dose naturelle est entre 2,4 à 2,9 mSv, pour une année.

Pour ces astronautes le Soleil dégage des bouffées de proton qui doublent la dose.

En France et au Sol, la dose maximale de radiations est à 20 mSv.

Toujours pour les astronautes irradiés qui absorbent des doses sur un temps court, si l’irradiation dépasse 1 milligray mGy il y a effets sur les cellules et altération de l’ADN. À partir de 4,5 grays (Gy), c’est la mort. »

« Nous savons qu’il ne faut pas dépasser 100 mSv pour les leucémies et 200 mSv pour les cancers solides. »
(Citation de Nicolas Foray du centre de recherche en cancérologie de Lyon.)

« Après ces seuils la courbe est exponentielle. Chaque millisievert augmente de 1 % l’effet de risque. »

« L’os est concerné, les cellules sont plus sensibles que celles de la peau. La matrice de l’os se modifie. Le cerveau peut vieillir plus vite.

L’ATM qui répare l’ADN migre du cytoplasme vers le noyau sous radiation. Nous avons déterminé trois types de radiosensibilité :
– Le premier type répare vite et bien. La majorité.
– Le second type répare moins bien.
– Le troisième type : L’ATM ne fonctionne pas.

L’hypersensibilité aux faibles doses de radiation a été illustrée par les usagers du Linky qui perdent le sommeil. Ce sont les gens du groupe 2 susnommés. Les cellules de l’os sont touchées. Une irradiation à 0,2 Gy déclenche des détériorations de 2 Gy !!! »

Retour sur terre avec les cancers pédiatriques de Sainte Pazanne, cette école Notre-Dame où éoliennes et champs électromagnétiques pourris d’après le géobiologiste Nollet ont déjà liquidé des enfants. On sait bien que la leucémie a atteint plusieurs foyers sous ligne haute tension ou sous éoliennes. Voilà pourquoi les docteurs peuvent prescrire de la mélatonine, mais le déséquilibre est déjà consommé, car la mélatonine est fabriquée naturellement par le corps. Donc les radiations la font disparaître !

On sait que des champs électromagnétiques (CEM en abrégé) sont issus des turbines et ses câbles souterrains et ses postes de transmission. Ils ne savent pas comment les isoler correctement et les lobbies du renouvelable ont accéléré la pression sur le gouvernement pour que ces technologies terribles s’installent sans études épidémiologiques, surtout qu’elles auraient démontré leur nocivité irrépressible. L’agence internationale de l’énergie a dû être phagocytée par le lobby éolien. Ils sont partout.

Les fréquences éoliennes mesurées en hertz sont des radiations/impulsions qui atteignent le tissu biologique. (Recherche Weichenberger. Allemagne 2015.
Recherche Inagaki. Japon.
Recherche Kaprzak. Pologne.
Recherche Alves Pereira, Dr Rapley et coll. NZ.)

Pourquoi ne pas tester les résidents de la périphérie éolienne avant d’y construire des turbines et voir si les gens catégorie 3 n’y sont pas présents ? Même les gens deux sont touchés dans leur os !! L’humain ne compte pas avec les technocrates qui se repaissent du sang du peuple martyrisé.

S’il y avait une agence de santé responsable… une ARS revivifiée, ces misères et crimes environnementaux n’existeraient plus. Il est temps que les politiques prennent en main la recherche scientifique et exercent leur pouvoir régalien à bon escient au lieu de nier la réalité et de prétendre qu’il n’y a aucune preuve valide de dangerosité. On dirait la voix de son maître (les éoliens).

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

On écoute les chercheurs de Lyon pour les astronautes, mais pas pour les résidents autour des parcs éoliens ? C’est l’omerta. Tel scientifique va parler et sa carrière sera abrégée. On se croit chez Al Capone dans les années trente !

Ceux qui parlent sont à la retraite.

Proposition deux pour la gestion raisonnable des projets éoliens : que les promoteurs déclarent le niveau des radiations en millisieverts, Hertz et SPL et que le centre scientifique de Lyon corrobore les données avec ses appareils… et décide.

Les préfets ne sont pas formés aux risques et méfaits électromagnétiques comme le démontre l’article ironique de la FED qui ridiculise le préfet de la Vienne confondant MW et MWheure et donnant des performances fulgurantes alors que la turbine fonctionne à 25 %. (Article signé Patrick Kawala).

Certains scientifiques et ingénieurs sont plus habiles.

Il ne s’agit plus de garder un devoir de réserve, mais de protéger une population innocente et sans armes contre les champs magnétiques. Ou alors devrait-on pressuriser leur maison comme on fait porter aux pilotes une combinaison spéciale ou qu’on les loge dans leur cabine pressurisée ?

Le cas actuel du GPSE qui mesure seulement à partir de 50 Hz, n’a pas de subventions et est infiltré par France Énergie Éolienne est un scandale absolu. Il est rétribué simplement par les fauteurs de trouble, RTE, Enedis ou éoliennes. On voit le paysage ! Circulez, il n’y a rien à voir, ou bien : « Votre installation électrique Monsieur l’éleveur n’est pas en équipotentialité ». Ou bien : « Vous ne nourrissez pas assez vos bovins ». Ou bien : « Nous ne pouvons pas expliquer pourquoi vos animaux meurent, vos veaux naissent avec des cornes supplémentaires, ou uniquement femelles, ou refusent le pis maternel. C’est l’affaire des géobiologues ou des vétérinaires. ». Lesquels ne savent pas plus.

Mais qui forme les vétérinaires aux méfaits des CEM alors que les docteurs les ignorent royalement ?

Si ces propositions sont refusées, c’est bien que les dommages existent et qu’on regarde à côté. Où est l’intérêt supérieur de la France à fabriquer des malades et des morts parmi les animaux d’élevage ou les humains ?

Dans ce cas d’investigation poussée, le projet éolien n’aboutira pas. Mais nous sommes loin des mesures qui protégeraient la santé publique. L’ARS commence à bouger quand il y a des villages entiers irradiés. Après du sang sur le carreau. Les lignes Enedis suintaient du Courant et ont envoyé à l’hôpital tout un village au centre est de la France.

Le chef de l’État a fait beaucoup de mal en phagocytant l’ARS avec l’américain McKinsey. L’ARS ne dit plus rien ni ne fait de recherches. Par contre il a envoyé des lettres de menaces aux professionnels de santé dans le cirque Covid. Une renaissance s’impose, mais elle peine à arriver et ce ne sera pas les ENR qui vont sauver ce Titanic, notre pauvre pays qui fait eau de partout.

Aux dernières nouvelles la mère fouettarde Pannier R a des actions dans un complexe d’extraction de pétrole au Congo RDC et une Plainte contre Perenco pour pollution des sols, des aquifères et de l’air.

Chez les bougnouls, il n’y a pas besoin de prendre des précautions environnementales. Eh ?

Et cette femme vient donner des leçons de renouvelable aux gens de France ?




Lien entre 5G et Covid-19

[Source : @Roms17]

[NDLR À un moment, il apparaît « bouse de taureau » dans la transcription en français, mais il s’agit d’une traduction littérale de « bull dung » synonyme de « bullshit » et qui signifie dans le contexte plutôt « connerie ».]

[Note de Joseph : dans la vidéo suivante est évoqué le caractère éventuellement choquant que la 5G puisse induire des virus comme réponse cellulaire. Cependant, Stefan Lanka a pu scientifiquement démontrer que les « virus » sont en réalité des composants cellulaires par ailleurs connus (isolés et caractérisés) produits par des cellules agressées (et elles peuvent l’être par des ondes pulsées telles que la 5 G, la 4 G ou le Wi-Fi), alors que jusqu’à présent aucun virus pathogène n’a pu être réellement isolé et caractérisé à partir de tissus biologiques soi-disant infectés.
Voir au moins :
À quel point les virus sont-ils morts ? dans le dossier Vaccins et virus.
Et pour ce qui concerne la 5G comme cause possible et probable de la 5G :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G dans le dossier 5G et ondes pulsées.]






Le cirque de Davos

[Source : Vivre sainement]




ANDRÉ BERCOFF humilie JULIEN PAIN sur son interview ratée de KLAUS SCHWAB

[Source : TRED]




Nous devons continuer à diffuser la vérité

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

« Il ne suffit pas d’inscrire des droits dans une Constitution, 
Il faut que le Peuple éduqué puisse les lire, 
Les comprendre et les défendre. »

« En face », ils nous disent quoi penser, quoi dire.  « Eux », ils savent. 
« Eux », ils ont compris et nous expliquent ce qu’il faut penser et faire, et c‘est ainsi. Pas autrement.

Ils emploient les grands moyens, émissions télévisées remplies d’experts bardés de titres, articles dans la presse écrite « sérieuse », synthèses par des instituts officiels aux noms et acronymes très professionnels. Les experts en question sont souvent bien habillés, ils ont des qualifications indiscutables sur le papier, ils parlent bien et les journalistes ou animateurs sont très gentils avec eux, boivent leurs paroles, et l’ensemble dégage une connivence, une évidence qui rend le message comme allant de soi.

  1. La vaccination ne se discute pas(([1] « La vaccination, cela ne se discute pas » estime Touraine | egora.fr)), elle a sauvé l’humanité(([2] Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’Humanité ? (collectif-federateur.org) )), c’est la seule vraie solution face aux épidémies.
  2. Le climat, c’est un réchauffement et il est dû principalement au CO2 humain.
  3. L’Ukraine, c’est à cause d’un méchant dictateur sadique et fou qui défie le monde ou exploite son peuple (toujours la même excuse, de Cuba, du Venezuela, d’Irak, à l’Afghanistan, en passant par la Lybie, le Mali, le Yémen, la Syrie… c’est à chaque fois cette même histoire, un méchant dictateur sanguinaire fou qui veut détruire son peuple ou l’humanité, Castro, Chavez, Hussein, les talibans, Kadhafi, el-Assad…)

Ce sont les trois derniers dogmes en date.

Si nous émettons un avis contraire, ou nuancé(([3] Nous avons été fact checkés ! | Science, climat et énergie (science-climat-energie.be) )), alors ils font semblant de ne pas l’entendre. Si nous insistons, surtout si nous sommes légitimes, alors ils nous traitent de tous ces termes peu flatteurs, disqualifiant :  complotiste, négationniste, sceptique, rassuriste, stupide, fou, incompétent, charlatan, antivax, antisémite, raciste…

« Ne pensez pas, nous pensons pour vous », voilà ce qu’ils prônent en face et ma foi, ils sont convaincants, ils ont les moyens médiatiques et institutionnels avec eux. Premièrement, cela démontre ce que nous savions déjà : l’être humain, depuis qu’il est tout petit, depuis la nuit des temps, adore les histoires. Si celles-ci sont simples, avec un gentil et un méchant, un gentil très gentil et un méchant très laid et très méchant, c’est encore mieux. Si elles ont des solutions toutes faites qui dépendent des autres, alors là, beaucoup d’êtres humains sont aux anges. Ils peuvent vaquer à leurs occupations quotidiennes en se disant que d’autres s’occupent de tout et surtout, que ces « experts » ont une solution toute faite et indiscutable.

Pratique, un dogme, il faut bien l’avouer. Pas besoin d’agir ni même de réfléchir. Malheureusement, un dogme n’a rien à voir avec la vérité, il n’a même rien à voir avec la réalité. Je sais que d’aucuns arrivent à vous dire que la réalité n’existe pas.(([4] La réalité n’existe pas | larecherche.fr)) Ça, c’est fort et pourtant, c’est ainsi, des personnes tentent de vous en convaincre et beaucoup de gens s’y laissent prendre. Pourtant, si je vous brûle le bras, je vous assure que la douleur et la blessure vous convaincront que la réalité (la chaleur dans ce cas) existe.

Ne pas confondre « perception de la réalité », et « la réalité elle-même ».
Idem pour la vérité.  Ou pour le bien et le mal.  Il y a le bien, qui ne veut pas dire perfection, et le mal.  Souvent, on discerne le bien du mal non pas au niveau cérébral, mais au niveau des tripes, du cœur et de sa peau. Le mal c’est par exemple torturer les animaux, maltraiter tout être vivant. Là où cela devient plus subtil, plus insidieux, c’est quand on a compris que le mal, c’est aussi laisser faire, laisser d’autres gens torturer les animaux, ou maltraiter un être vivant, sans rien dire, rien faire contre cela.

[Note de Joseph : la vérité peut se définir comme la traduction, l’interprétation ou la (re)présentation la plus fidèle possible de la réalité. Le problème est que cette transcription par un être humain dépend de la perception qu’il a de la réalité, perception qui dépend notamment de sens limités.
Voir aussi :
Pensée multiple
La fabrication des perceptions
Prise de conscience et autisme
Note sur le mental et l’astral
La vue, la vision et la vie
Note sur la vision
Note sur la lecture des événements]

En sachant combien la plupart des animaux sont maltraités et c’est un euphémisme, continuer à en consommer fait de nous de facto des complices de cette maltraitance mondiale. À ce moment très inconfortable sur les plans intellectuel et émotionnel, l’être humain va user d’artifices pour se trouver des circonstances atténuantes, détourner le propos, noyer le poisson, c’est le cas de le dire. Alors commencent les petits arrangements avec le mal, ces concessions qui laissent à penser que le mal, c’est relatif.
Non. Le mal est le mal. Le bien est le bien. Pour ma part, je ne tente pas de devenir végétarien que pour l’environnement ou la santé. Je le tente pour la seule raison qui se suffit à elle-même, sans avoir besoin d’aucune autre, pour cesser d’être complice d’un plus grand mal. 

Revenons à la vérité, dont le dogme est le pire ennemi. Autrement dit, la vérité est la pire ennemie du dogme. C’est la raison principale pour laquelle les dissidents actuels sont autant diabolisés, discrédités, censurés, chassés par un système qui a un besoin vital de dogmes pour se perpétuer. Plus les dogmes sont rigides, intraitables, plus la violence envers toute dissidence est forte et brutale. C’est la raison pour laquelle nous, les véritables lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à éduquer de manière pédagogique et à diffuser la vérité.

Je parle de la vérité, à ne pas confondre avec la connaissance qui évolue sans cesse, beaucoup font cette confusion. Il n’y a d’ailleurs pas de vérité scientifique, c’est une impossibilité. Il n’y a pas de vérité économique, géopolitique, etc. Il y a des connaissances dans tous ces domaines, et celles-ci changent, évoluent en fonction du temps, des découvertes, du contexte, des actions et réactions des uns et des autres. Un exemple parmi les plus connus est d’avoir cru un moment que la Terre était le centre de l’Univers. Aujourd’hui, on sait que la Terre est une planète parmi d’autres et qu’elle tourne autour du soleil. Cette connaissance a évolué pour se conformer à la réalité.

La vérité, par contre, c’est la vérité. Soit vous avez trompé votre femme, soit vous ne l’avez pas trompée. Soit vous étiez à cet endroit à cette heure-là, soit vous n’y étiez pas. Vous ne pouvez pas être « à moitié » quelque part, vous ne pouvez pas avoir trompé votre femme « au quart ». Et cette vérité-là ne changera pas, ni deux jours après, ni mille ans après.

C’est là que les problèmes commencent : quand on confond, sans le vouloir ou intentionnellement, vérité et connaissance. La vérité est une et permanente. La connaissance est évolutive et plurielle. Dire que les vaccins ont sauvé l’humanité, ou qu’ils sont la meilleure arme contre les épidémies, c’est une connaissance qui évoluera en se confrontant aux faits. Elle doit être constamment vérifiée, comme toute autre connaissance scientifique du moment.

Dans le cas précis de la vaccination contre le covid, tout est parti d’une supposition puisque on a commencé cette vaccination mondiale alors que toutes les études n’étaient pas encore terminées. Le problème majeur est d’avoir présenté au public profane cette connaissance-hypothèse comme une vérité à ne plus discuter.

C’est ce que tentent toujours de faire pas mal d’experts assermentés, adoubés par le Système, comme ce docteur Nicolas Dauby(([5] BAM! News – Un expert indépendant ?)), un prototype de ce que j’entends par expert bardé de titres et coiffé d’une aura indiscutable, incontournable. Je vous encourage vraiment à lire toute la référence 5, un symbole de tout ce qui ne va pas dans ce monde opaque de l’expertise dépendante des lobbys.

Il y a des dizaines et des dizaines de « Nicolas Dauby » dans le monde entier. Un peu comme Anthony Fauci aux États-Unis ou Neil Ferguson en Grande-Bretagne. Peu importe que les prédictions et décisions de ces personnes se soient révélées fausses, mauvaises, influencées, ils conservent leur aura d’expert indiscutable, incontestable. Cela ne peut se faire qu’avec le concours des médias principaux, ceux qui ont accès au plus large public profane.

Ces médias sont l’équivalent moderne des prêtres et docteurs de la loi d’antan, l’intermédiaire indispensable entre le public profane et les pouvoirs, avec leurs « débats » convenus d’avance et leurs fact-checkeurs (« vérificateurs » de faits) anonymes et partisans. Experts adoubés et médias complices sont les outils indispensables d’un Pouvoir bâti sur des dogmes. Je ne sous-entends pas que tous ces « experts » adoubés seraient incompétents ou forcément malhonnêtes. Pour la plupart, j’ignorais jusqu’à leur existence, avant cette crise.

Je parle du processus tacitement admis qui consiste à désigner un « expert » plus ou moins légitime sur le papier puis de ne plus écouter que cet « expert » en faisant abstraction de tous ses conflits d’intérêts, conflits d’intérêts qui vont forcément influencer ses convictions, ses propositions, ses décisions et ses actions.
Je parle de ce processus universel et tacite, principe à l’œuvre partout, dans toutes les démocraties, qui consiste à supprimer les débats contradictoires en enfermant les opinions et les messages dans un vase clos bâti sur des préceptes qu’on ne discute plus, ânonnés par quelques-uns.

Cela se retrouve dans les débats sur le climat qualifié de réchauffement alors que d’autres scientifiques également légitimes parlent de refroidissement, réchauffement dont la cause est le CO2 dû à l’activité humaine alors que d’autres scientifiques, d’autres experts sérieux parlent de multiples autres causes. 

Cela se retrouve dans les débats sur la guerre en Ukraine pour laquelle a été posé d’emblée en Occident le postulat inviolable selon lequel le dictateur Poutine est le seul responsable, sans plus pouvoir à un seul moment discuter, nuancer ce dogme (forcément, ce ne serait plus un dogme, sinon), comme l’a amèrement expérimenté Ségolène Royal.(([6] Ségolène Royal met en doute les crimes de guerre commis en Ukraine, malgré les preuves (lemonde.fr) ))

Et cela s’était déjà produit lors des guerres au Kosovo, en Afghanistan, en Irak, en Syrie…
Pourquoi ?
Quel paradoxe !  

Tous ces scientifiques, tous ces journalistes, tous ces « experts » deviennent comme des équilibristes, autoproclamés spécialistes, factuels, dignes de foi alors que tous leurs discours sont finalement bâtis sur des dogmes. Cela se passe avec le concours zélé des médias principaux écoutés comme les prêtres d’antan par une partie de la population profane.

Un dogme n’est pas la vérité.
Un dogme est le socle pour raconter une histoire qui se travestit en vérité, s’habille en réalité seulement parce que chaque auditeur, chaque spectateur accepte d’y croire. C’est ce qui fait la force d’une fiction réussie. On sait que c’est faux mais on a choisi tacitement, implicitement d’y croire, ce qui fait que le spectateur frissonne, sursaute, pleure, a peur, vibre avec son acteur fétiche.

Il est vrai que nous, les êtres humains, nous sommes ainsi faits. Nous adorons les belles histoires, surtout les histoires simples, avec un gentil et un méchant bien identifiés, avec des solutions toutes faites, élaborées par d’autres à l’apparence crédible. L’apparence suffit.

Les lanceurs d’alerte, les diseurs de vérité viennent casser l’ambiance, mettre les points sur les i, les virgules à la bonne place, car si l’humanité préfère l’histoire à la vérité, à ce point de décalage, celle-ci sera très amère et brutale, alors qu’elle pourrait être mille fois plus formidable que la plus belle des fictions. À condition de regarder la vérité bien en face et de la considérer telle quelle, sans travestissement.

Je vous dis l’inverse de ce qu’ils vous disent : pensez par vous-même. Soyez vous-même. Reprenez les rênes de votre esprit. Je sais. Cela demande beaucoup d’efforts. C’est inconfortable. Au début. Par contre, cela ne nécessite pas de l’intelligence, ni d’avoir fait de longues et savantes études. Ces derniers points peuvent même être des obstacles, des pièges.

La personne de bon sens, qui a les pieds bien en contact avec le sol, qui n’a jamais fréquenté les universités ou les grandes écoles, est souvent la mieux à même de discerner le vrai du faux, le réel de l’illusoire, le bien du mal.

Pensez par vous-même. Ou alors, soumettez-vous.

« Si nous ne sommes pas en mesure de poser des questions de manière sceptique, d’interroger ceux qui nous disent que quelque chose est vrai, d’être critique à l’égard de ceux qui détiennent l’autorité, alors nous sommes à la merci du premier charlatan, homme politique ou religieux, venu. »

Carl Sagan, scientifique et astronome américain, 1996

Quelle que soit l’option choisie, ensuite, assumez-la. Il n’a jamais été aussi vital, pour chaque être humain comme pour toute notre espèce, de penser par lui-même et d’arrêter d’être complice de l’illusion, du faux et du mal.

En attendant, nous les lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à diffuser la vérité.

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2023

Notes :




Le soutien d’Elon Musk à la « liberté de mourir » met en lumière l’impasse du libertarianisme

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Sur plusieurs sujets, Elon Musk apparaît comme un allié des opposants à la censure totalitaire. En libertaire engagé, Musk a rapidement restauré les comptes Twitter suspendus de Donald Trump, du Dr Jordan Peterson, et de nombreux dissidents. Ce qui, pour de nombreux journalistes du système, a fait de lui une personne non grata classé à droite voire à l’extrême droite. Et une partie de l’opinion publique, de l’extrême gauche à l’extrême droite, gobe cette vision simpliste de journalistes aux ordres.

Mais le fait que les wokistes voient le soutien à la liberté d’expression comme le retour du fascisme n’est pas une indication d’un quelconque engagement anti-mondialiste de la part de Musk. Elon Musk, en fait, est à la fois un artisan du transhumanisme, plutôt LGBT-friendly et s’aligne sur la redéfinition subversive du mariage. Il s’est vanté de sa grande famille, mais la réalité est que cinq de ses fils ont été mis au monde grâce à la Fécondation In Vitro et il a également utilisé la maternité de substitution (avec plusieurs femmes différentes). Lors de la dernière fête d’Halloween, il avait revêtu une cuirasse ornée de la tête de Baphomet, symbole des satanistes.

Le récent commentaire de Musk sur le suicide assisté montre que sa vision de la liberté est une vision post-humaine. Le médecin et entrepreneur Peter H. Diamandas a demandé au milliardaire sur Twitter à quel point sa vision de la liberté était maximale :

« Pensez-vous que les humains devraient pouvoir choisir quand ils meurent ? »

« Absolument« , a répondu Musk . « La liberté signifie la liberté de mourir quand vous êtes sûr de le vouloir. »

Un débat sur le suicide assisté et l’euthanasie – sujet d’actualité brûlant dans le monde occidental – a immédiatement commencé sur Twitter. Le Dr Jordan Peterson, lui-même psychologue clinicien, a répondu :

« De nombreuses personnes qui ont des conditions traitables (la dépression, par exemple) choisiraient la mort en raison des conséquences pourtant réparables de la maladie. Pas bon. De plus, nous avons donné le pouvoir de prendre cette décision à l’État au Canada. Plus de 30 000 personnes ont choisi la mort. Pas bon. Et pire à venir. »

L’éthicien Wesley J. Smith du Discovery Institute était d’accord, notant :

« Non. Un droit est exécutoire par la loi. Voyez les horreurs de l’euthanasie en cours au Canada. Les personnes suicidaires devraient recevoir de la prévention, pas de la facilitation. Si un droit de mourir pour une raison quelconque = mort sur demande. Cela conduit à la coercition et à l’abandon.»

Allie Beth Stuckey a répondu :

« Alors tout le monde devrait se suicider quand il en a envie ? »

Faisons un instant abstraction des commandements de Dieu et de la doctrine catholique qui excluent le suicide assisté et l’euthanasie. Et faisons simplement appel à la raison pour démonter le raisonnement de Musk.

En effet, le commentaire de Musk et les réponses qui y sont apportées soulignent une fois de plus le problème mortel de la conception libertaire du suicide assisté, vu simplement comme un droit universel au suicide. Musk l’affirme en déclarant que la liberté est la « liberté de mourir quand on est sûr de le vouloir« . Ce que nous constatons dans la pratique, c’est que le mot « sûr » dans cette phrase pose beaucoup de questions. Combien choisissent l’euthanasie parce qu’ils sont soumis à la pression extérieure ? Ou sont poussés au suicide assisté en raison de leur situation économique ou de leur incapacité à obtenir des traitements de santé mentale ou physique ou des soins palliatifs ?

Comme l’illustre le régime mortifère canadien, tous ces scénarios sont réels, et se produisent en ce moment. Un monde dans lequel des personnes libres décident de se suicider à l’abri des pressions extérieures est un fantasme libertaire mortel qui permet en réalité de conditionner des personnes en détresse à choisir une injection létale pour échapper à leurs soucis. Ce type de libertarianisme s’attaque aux faibles, aux défavorisés et aux souffrants – et il doit être complètement rejeté.




Les fondements de la communication

Par Joseph Stroberg

Notre société moderne pense vivre à l’ère ou à l’heure de la « communication » quand transférer un message d’un continent à l’autre ne demande plus qu’une seconde ou quelques minutes selon son ampleur, alors que dans le même temps ce concept, commercialisé, implique maintenant l’art de travestir la réalité pour lui substituer une image, une illusion. Mais que signifie ou devrait signifier « communiquer » ? S’il s’agissait à l’origine, ou s’il s’agit encore dans la nature de tout autre chose, a-t-on gagné, ou au contraire a-t-on perdu au change ?

Si la communication est devenue rapide par le recours à des moyens technologiques et informatiques de plus en plus sophistiqués (et parallèlement fragiles), ce concept n’a pas attendu l’Homme pour s’incarner dans la Forme (les mondes formels). Déjà les animaux utilisaient des sons ou des gestes pour transmettre des informations à certains de leurs pairs : avertissements de danger, appels en vue de certaines actions, enseignement de savoir-faire, etc. Mais également, comme l’ont démontré certaines expériences et observations, les végétaux peuvent aussi communiquer entre eux, ceci en particulier en utilisant des substances chimiques diffusées dans l’air. Et rien n’empêche d’envisager que les cristaux naturels eux-mêmes, s’ils sont dotés d’une forme de vie et de conscience, utilisent une forme de communication pour s’échanger des informations d’un ordre ou d’un autre. Même chose pour les planètes, les étoiles, les galaxies… d’autant plus que la physique quantique a mis en évidence l’existence de liens étranges entre les particules qui composent la matière, avec la notion d’intrication qui leur permet en quelque sorte de communiquer instantanément leur état en s’affranchissant totalement de la supposée limite de la vitesse de la lumière.

Si l’on se base sur ce qui existait déjà dans la nature bien avant l’apparition de l’être humain, la communication y existe (presque ?) universellement et y remplit au moins des fonctions essentielles. Les plus importantes sont directement liées à la survie de l’espèce : avertir de dangers, apprendre à trouver de la nourriture, à se protéger, à trouver un abri, trouver un(e) partenaire pour la reproduction lorsque celle-ci est sexuée… D’autres semblent couvrir des besoins moins vitaux, mais peut-être tout aussi importants pour l’équilibre individuel et collectif : des fonctions ludiques, des partages émotionnels, la délimitation d’un espace de vie (par exemple pour la chasse), un appel à l’exploration de territoires inconnus (en vue de découvrir notamment de nouvelles ressources)…

Quelle que soit la fonction immédiate de la communication dans les règnes végétal et animal, il apparaît que pratiquement chaque fois, on peut constater que celle-ci apporte une aide à celui qui émet le message et/ou à celui qui le reçoit. La communication dans la nature se révèle habituellement bénéfique et utile. On n’y parle pas pour ne rien dire ou pour nuire au destinataire. Et l’on peut imaginer ou supposer logiquement que la communication humaine primitive reposait sur une approche similaire.

L’observation des mondes végétal et animal, voire de certaines sociétés humaines autochtones épargnées par la « civilisation » laisse entrevoir les fondements probables de la communication dans la nature, et de manière plus générale dans le cosmos. Il s’agit à la base d’un mécanisme d’entraide destiné notamment à préserver la vie dans la Forme, à lui permettre de s’y dérouler plus facilement ou avec moins de souffrances effectives. Une forme de vie émet une demande d’aide ou offre une aide à une autre de même espèce ou d’une espèce différente face à une situation potentiellement ou effectivement problématique.

Pour que la communication passe, aboutisse, soit effective, elle doit être comprise par le receveur selon la signification, dans le sens voulu par l’émetteur. Et cela sera d’autant plus le cas que cette communication utilise un langage commun aux deux protagonistes et qu’elle n’est pas perturbée ou altérée par quoi que ce soit dans le milieu entre l’émetteur et le receveur. De ce point de vue, la communication idéale est d’ordre télépathique : un lien direct entre les deux consciences impliquées, sans le moindre support matériel qu’il soit naturel ou technologique. Dans la pratique, c’est très rarement le cas. Cela passe le plus souvent par un langage oral ou gestuel (au moins pour les animaux et les êtres humains), et de nos jours par des moyens artificiels tels que la radio, la télévision, le téléphone, Internet…

Une communication se révèle d’autant moins efficace et apte à permettre l’action éventuellement demandée ou proposée qu’elle est basée sur un langage pauvre et/ou qu’elle utilise des intermédiaires (que ceux-ci soient vivants ou artificiels). Et un groupe d’êtres qui recourt à une communication fragilisée voit une réponse proportionnellement affaiblie à ses besoins, même vitaux. Il a alors plus de chances d’échouer dans ses objectifs et même dans sa perpétuation.

Depuis plusieurs décennies le langage utilisé dans la communication humaine s’est généralement dégradé, quelles que soient la nation et la langue maternelle considérées, car les fondements de l’instruction scolaire ont été progressivement sabotés, érodés, renversés… pour être remplacés de plus en plus souvent par des succédanés à base idéologique destructrice (tels que la théorie du genre) qui n’ont plus guère de rapport avec une connaissance et un savoir-faire à acquérir, mais bien davantage avec une entreprise de démolition de l’être humain et de la civilisation. Avec un vocabulaire de plus en plus appauvri et vulgaire, le jeune élève, puis l’étudiant ont de plus en plus de mal même à exprimer leurs émotions et ressentis. Avec l’absence de sérieuses bases dans des disciplines aptes à forger leur mental, ils deviennent des crétins, intellectuellement handicapés, tout juste aptes à servir de robots dans des entreprises de plus en plus déshumanisantes. Avec l’utilisation de machines, dont le téléphone cellulaire, pour remplacer notamment leur mémoire et leur aptitude au calcul mental, ils deviennent de plus en plus techno dépendants et à la merci des programmeurs (ou plus exactement de ceux qui ont commandé les programmes).

Alors que la technologie et l’informatique ont considérablement augmenté la vitesse et le débit des informations communiquées, l’Humanité n’a pas réalisé qu’ainsi elle remplaçait la qualité par la quantité, comme elle l’a fait d’ailleurs dans la plupart des autres secteurs de la vie humaine. Les réseaux dits « sociaux » ont ainsi réalisé la même décadence en matière de relations humaines et sociales : une grande quantité de prétendus « amis », mais une perte notable de liens profonds et solides. L’agriculture industrielle a obtenu un résultat similaire avec les aliments d’origine végétale comme animale : de vastes quantités disponibles (souvent gaspillées), mais de faibles qualités nutritives accompagnées de nombreux poisons (additifs alimentaires, pesticides, antibiotiques, hormones, OGM…). À causes similaires, effets similaires. Dans chacun de ces trois secteurs indiqués (comme pour les autres situations de même ordre), on ne dispose, individuellement aussi bien que collectivement, que d’un certain « volume » utile et utilisable : volume de données ; volume relationnel ; et volume de ressources alimentaires.

Chaque volume est le produit d’une surface (représentant la quantité, le nombre) et d’une hauteur (représentant la qualité). Si l’on augmente la quantité des données, on réduit d’autant plus leur qualité. Si l’on augmente la quantité des relations, on diminue le nombre de véritables amis. Si l’on augmente la quantité de ressources alimentaires au point d’en gaspiller beaucoup chaque jour, on réduit la qualité des aliments. L’Humanité a augmenté considérablement les possibilités et les débits de communication, avec notamment une diffusion massive de « nouvelles » chaque jour, mais les informations vraiment utiles pour l’évolution et la perpétuation de la civilisation comme des individus se trouvent de plus en plus perdues dans la masse. Comment a-t-on pu en arriver là ?

Imaginons, quelque part vers le Moyen-Âge, un certain volume de communications accessibles pour l’Humanité de l’époque. Un tel volume était à l’image d’un tube étroit, mais de grande hauteur, peut-être aussi haut qu’une montagne. Les communications étaient difficiles, peu accessibles, nécessitaient de se déplacer à pied, à cheval, en bateau… Les lettres étaient rares. Les services postaux n’existaient pas. Lorsque l’on communiquait d’un bout à l’autre d’un pays, ce n’était pas pour des affaires dérisoires, pour parler de la pluie ou du beau temps, pour s’échanger des recettes de cuisine…, mais pour des choses plus vitales et importantes.

Mais à un moment donné, les Hommes, par fainéantise, se sont mis à construire des machines pour avoir moins besoin d’utiliser leurs muscles, puis plus récemment (moins d’un siècle) à construire des ordinateurs pour avoir moins besoin d’utiliser leur cerveau. Et bien sûr, par construction, par définition, ces machines et ces ordinateurs permettent effectivement de faire certaines tâches bien plus rapidement que le permettent les muscles et le cerveau. Ils augmentent la fameuse « productivité ». Ils permettent notamment aux riches de s’enrichir encore plus vite, et aux soldats de tuer encore plus vite. Oui, mais voilà, le règne de la quantité a progressivement supplanté automatiquement celui de la qualité. On ne peut pas tout avoir. Rappelez-vous : nous ne disposons que d’un volume limité, parce que le monde matériel est lui-même limité. La Terre elle-même est un espace limité.

Si l’on tape sur le long tube vertical de la communication pour communiquer en masse et très rapidement d’un bout à l’autre de la terre, on finit par obtenir l’immense crêpe plate actuelle qui s’étend sur tous les continents : on communique en masse, mais avec une très faible qualité, notamment une faible Conscience, sans guère s’occuper de la conséquence des propos sur ceux qui les recevront. Car ce n’est plus à un seul destinataire que ceux-ci s’adressent désormais, un destinataire unique auquel le message pouvait être spécifiquement adapté. C’est maintenant potentiellement à des millions ! Et parmi ces millions, les points de vue, les opinions, les croyances… sont très diversifiées. Il est maintenant très facile de blesser un grand nombre de personnes avec des propos irréfléchis ou de mauvaise qualité.

Alors que la communication devrait fondamentalement servir à aider ou à être aidé, individuellement ou collectivement, elle est devenue un moyen de nuire, volontairement ou involontairement. D’un outil pour transmettre le beau, le bien et le vrai (souvent au compte-gouttes vu la dispersion géographique des communautés antiques), elle est devenue celui de transmettre la laideur, le mauvais et le faux, en masse. Par sa paresse, mais son inventivité quelque peu diabolique, l’Humanité a remplacé la beauté, la bonté et la vérité des messages par la laideur, la méchanceté (voire la haine), et la fausseté, l’hypocrisie, le mensonge au point que les individus et les groupes en viennent à se mentir à eux-mêmes, à se fabriquer une image factice pour bien paraître et pour mieux se supporter lorsqu’ils se regardent dans un miroir. Comme l’avaient déjà perçu les Amérindiens à l’époque des grandes invasions, l’Homme corrompu par le confort mécanique a une « langue fourchue ». Ce qu’il peut communiquer le concernant n’est plus fiable depuis longtemps. Il ne le fait plus pour donner, mais pour voler ou pour détruire. La « communication » est devenue l’art du mensonge, pour mieux manipuler, pour mieux endoctriner, pour inciter à « consommer » ou à se faire injecter des poisons dans le temple sacré que devrait rester le corps de chair et de sang…

En conséquence de cette communication profondément pervertie et inversée, l’Humanité est devenue tout aussi profondément malade et il existe peu d’individus en bonne santé physique, morale, psychique et spirituelle. Alors que les sciences devaient au départ aider l’Homme a mieux comprendre son environnement, à mieux comprendre sa nature et à mieux communiquer, elles ont créé des artefacts technologiques et des chimères qui ont largement contribué à détruire l’environnement, à souiller sa propre nature, et à rendre rare la communication authentique. Peut-il encore retrouver une langue simple (non fourchue) et vertueuse ? Avec un peu de chance ou de bonne volonté, l’Humanité pourra se guérir si elle retrouve les fondements de la communication et qu’un nombre critique d’individus exprime donc la beauté, le bien et le vrai, autant dans ses demandes d’aide que dans celle qu’il peut offrir aux autres. De plus en plus d’individus travaillent dans ce sens.




Comment les industriels nous obligent à manger des insectes

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]

Christophe Brusset, ancien trader de l’agroalimentaire et auteur de « Vous êtes fous d’avaler ça, un industriel de l’agroalimentaire dénonce », éditions Flammarion.




Déserts médicaux en Europe

[Source : francesoir.fr]

[Photo : JEFF PACHOUD, AFP/Archives]

Regardons en face nos déserts médicaux, partie 2 : situation en Europe et projets de loi en France

Par Dr Gérard Guillaume

TRIBUNE — Suite de la première partie de la tribune « Regardons en face nos déserts médicaux » publiée le 21 décembre dernier sur FranceSoir. Retour sur le manque de médecins en zones rurales ou urbaines, cette fois-ci au niveau européen : la raréfaction de l’accès aux soins pour le grand public est loin d’être une exception française. Du côté de l’Hexagone, un projet de loi veut rendre facultatif la consultation d’un généraliste pour voir un spécialiste ou obtenir certaines prescriptions. Une autre proposition du législatif consiste à faire appel aux médecins étrangers. Des solutions peu convaincantes…

[Note de Joseph : situation similaire au Canada]

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de publier un rapport Health and care workforce in Europe : time to act (« Personnels de santé et soignants en Europe : il est temps d’agir »), qui fait l’état des lieux de l’exercice de la médecine dans 53 États dont ceux de l’Union européenne (UE).

Catastrophe à venir

Deux constats terriblement inquiétants sont dressés par l’OMS. Tout d’abord, « sans intervention immédiate, les pénuries de professionnels de santé dans la région européenne pourraient provoquer une catastrophe ». Et « tous les pays de la région européenne sont confrontés à de graves défis liés aux professionnels de la santé et du soin ».

L’Europe est confrontée à un vieillissement du personnel médical et à la difficulté de compensation des départs à la retraite (une conséquence générationnelle du « baby boom »). Il se produit de même une désaffection des jeunes générations pour les métiers du soin, avec un déficit de formation pour assurer la relève. Les États, quant à eux, n’ont ni anticipé ces éléments, ni renforcé leurs investissements.

Cette situation s’est dégradée ces deux dernières années avec l’épidémie de Sars-CoV-2, qui a servi de révélateur. Parmi les indicateurs retenus par l’OMS, ceux-ci peuvent être considérés pour dessiner un état des lieux en zone Europe (voir tableau ci-dessous pour détails) :

– Effectifs des médecins : 37 pour 10 000 habitants en moyenne
– Effectifs des infirmiers : 80 pour 10 000 en moyenne
– Effectifs des dentistes : 6,7 pour 10 000 habitants en moyenne
– Effectifs des kinés : 8 pour 10 000 habitants
– Âge des médecins en exercice : en moyenne 30 %, âgés de 55 ans et plus
– Formation de médecins : moyenne 15 pour 100 000 habitants

Pertes de chances pour les patients

Avec un tel tableau, il est peu étonnant de voir apparaître dans le rapport de l’OMS ce commentaire laconique : « La plupart des pays ont des difficultés à faire disparaître les déserts médicaux ». Et « les incitations financières ne sont pas suffisantes à elles seules » afin de pousser les médecins à exercer dans des zones sous-dotées. Nul doute que des efforts doivent être menés pour renforcer l’accès à la formation continue et améliorer les conditions de travail (notamment en les adaptant notamment aux contraintes familiales).

Quant au secteur hospitalier, ce dernier souffre particulièrement du manque de personnel. Outre les départs à la retraite, la crise covid a entraîné la dégradation des conditions de travail et a participé à l’accélération de l’hémorragie des professionnels de santé du secteur public.

Certains services sont impactés plus que d’autres comme les urgences, les maternités ou les soins en psychiatrie. De nombreuses interventions chirurgicales, dans tous les domaines, sont déprogrammées, repoussées, entraînant des pertes de chance pour les patients.

Chiffres par pays (sélection)

Médecins (pour 10000 hab.) Médecins de 55 ans et plus Formation de médecins (pour 100 000 hab.) Infirmiers (pour 10000 hab.) Dentistes (pour 10000 hab.) Kinésithérapeutes (pour 10000 hab.)
Zone Europe 37 30 % 15 80 6,7 8
France 33 57 % (35 % plus de 65 ans, 9 % il y a 20 ans) 10 120 6 14
Royaume-Uni (hors UE) 30 14 % 13 90 5,2 6
Italie 41 55 % 18 60 8,3 12
Allemagne 45 55 % 12 140 8,2 18
Espagne 46 32 % 14 60 8,1 12
Portugal 53 29 % 15 75 10,5 21
Belgique 36 31 % 16 95 7,2 15,2
Suisse 45 40 % 11,5 180 4 nc
Grèce 62 30 % 12 40 13 8
Irlande 35 22 % 25 140 7 9
Norvège 41 24 % 11 130 8,5 25

Focus sur plusieurs pays

– En France, depuis trois ans, les déserts médicaux ont progressé de 50% (source : Sénat et DRESS). Près de 1 Français sur 10 est laissé sans médecin traitant. Et le délai d’attente pour obtenir un rendez-vous de cardiologie est de plus d’un an dans certaines régions.

Une nouvelle loi contre les déserts médicaux a été présentée en première lecture à l’Assemblée nationale le 19 janvier 2023. Il s’agit de ne plus faire de la consultation chez le médecin traitant le passage obligé en vue d’accéder à certains infirmiers, kinésithérapeutes et orthophonistes. Les infirmiers pourraient même prescrire quelques médicaments et prendre en charge les plaies. Les assistants dentaires, par ailleurs, élargissent leur champ d’action, devenant « assistant en médecin bucco-dentaire ».

Des orthèses plantaires pourront être prescrites par les pédicures podologues. Et les opticiens auront droit de regard sur les prescriptions des ophtalmologues. Si le médecin prescripteur n’est pas disponible, le pharmacien aurait le droit de renouveler les traitements chroniques pour trois mois au maximum. Bref, pour ne pas se rendre compte de son absence, il s’agit d’éviter de devoir se rendre chez le médecin.

Une autre piste législative est envisagée : faire appel aux médecins et soignants étrangers (voir plus loin dans cette tribune).

– Au Royaume-Uni (pays hors UE, mais utile à la compréhension du dossier), afin de lutter contre les déserts médicaux, l’installation des praticiens est régulée par les autorités de santé. En ce qui concerne le secteur hospitalier, l’an dernier, 25 000 infirmiers et infirmières ou sages-femmes ont démissionné, tandis que 47 000 postes d’infirmiers sont actuellement non pourvus.

Actuellement, plus de 132 000 postes vacants sont recensés au total en 2022, soit 25% de plus par rapport à 2021. 10 000 postes de médecins sont inoccupés, soit une hausse de 35% en un an. Le Common Health and Social Care Committe, lié au Parlement britannique, évoque « la plus grande crise de main-d’œuvre de l’histoire du National Health Service (NHS) ».

– En Allemagne, un dispositif de régulation a été mis en place pour réduire l’ampleur des déserts médicaux. Par exemple, l’installation de praticiens n’est pas possible dans les zones où la densité médicale est supérieure de 10% à la moyenne nationale. Au sein du secteur hospitalier, l’an dernier, 35 000 postes de personnels soignants étaient vacants à travers le pays, soit une hausse de 40% en une décennie. Dans la moitié des établissements, les arrêts de travail ont augmenté de 5 à 20% en 2022. Conséquence : le manque de personnel peut conduire à la fermeture de certains services d’urgence.

– En Espagne, afin de lutter contre les déserts médicaux, les installations de praticiens sont à l’instar de l’Allemagne, régulées par les autorités de santé. Au sein du secteur hospitalier, le manque de personnel infirmier concerne 95% des établissements de santé hispaniques.

– En Italie, l’installation des médecins est aussi régulée par les autorités de santé. Selon le Dr Di Silverio, du syndicat hospitalier : « Chaque jour, sept médecins quittent le service de santé national ». Environ 40 000 médecins du public devraient prendre leur retraite ou démissionner dans les 5 ans à venir. « Les conditions de travail se dégradent en raison d’une surcharge de travail et d’une organisation inadéquate, et le salaire est insuffisant, surtout si l’on considère les nombreuses obligations et incompatibilités imposées aux médecins travaillant dans les hôpitaux publics », précise le Dr Di Silverio.

La colère gronde partout en Europe

Après deux années d’efforts fournis sur le front de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, la colère gronde dans tous les secteurs de la santé en Europe. Les difficultés des professionnels confrontés à des problèmes croissants liés à la baisse des effectifs, à une charge de travail devenue insoutenable et à des rémunérations jugées insuffisantes, sont intenables.

En France, les premiers à en pâtir sont les services des urgences (SUdF). Ces derniers ont estimé que 31 patients étaient morts au mois de décembre en raison des attentes trop longues en leurs accueils ou en préhospitalier, « faute de possibilité d’engagement Smur ».

Ces événements, particulièrement mal perçus par les opinions publiques (lorsque ceux-ci sont relayés dans les médias), finiront sans doute par faire éclater dans beaucoup de pays européens de mouvements divers de contestation. La multiplication des menaces de grève se concrétise dans la pédiatrie, la psychiatrie, la biologie, la médecine libérale.

De même, au Royaume-Uni, une surmortalité de l’ordre de 300 à 500 personnes par semaine serait actuellement observée du fait de l’engorgement des services. Une grève historique outre-Manche des infirmiers se déroule : 10 000 d’entre eux battent le pavé. Pour la première fois en plus d’un siècle, leur syndicat, le Royal College of Nursing (RCN), a appelé en novembre 2022 à une grève nationale pour réclamer une hausse des salaires de 5% au-dessus de l’inflation.

De son côté, l’Allemagne voit 2 700 de ses médecins en grève au sein du plus grand hôpital européen, l’hôpital de la Charité de Berlin. En Espagne, les praticiens se mobilisent notamment contre la privatisation du système de santé. À Madrid, au moins 200 000 manifestants se sont rassemblés le 13 novembre pour défendre le système public de santé.

Fatalité ou volonté d’achever notre système de santé ?

La conclusion face à cet état des lieux catastrophique est rapide. Au-delà des causes avancées et une nouvelle fois sans minimiser l’impact de la pandémie de la Covid-19 (ou de sa gestion) et le mal qui ronge notre système de santé depuis des années, ne peut-on légitimement se demander si derrière tout cela, il n’y a pas une volonté particulière ? Celle de désorganiser la médecine à visage humain pour la confier au plus vite à l’intelligence artificielle, à la téléconsultation, soit en résumé à la sphère du privé et des grands groupes).

Une orientation qui se devine déjà en France avec l’organisation d’une médecine de ville à deux vitesses : une médecine « de base » avec le développement de cabines de téléconsultation et une médecine « de riches » exercée par des médecins déconventionnés (quand ils ne finissent pas par partir à l’étranger). Cette médecine ultra-connectée est le rêve de nos gouvernants. Pensez donc ! Disposer ainsi de toutes les données informatisées des patients, donc de nos compatriotes, représente le Graal de nos « démocratures », qui ne pensent qu’à nous infantiliser chaque jour un peu plus.

Il est possible d’illustrer cette tendance avec, il y a quelques années, cette vidéo de promotion d’IBM, qui montrait comment, dès la naissance, un bébé pouvait être « monitoré » afin de devenir une « source de données » au prétexte du soin.

Pour en finir avec les déserts médicaux en France, faut-il faire appel à des soignants de l’étranger ?

C’est l’une des mesures prévues par le gouvernement dans la loi Immigration, dont le texte a été présenté au Conseil d’État le lundi 19 décembre 2022. Il doit être présenté en Conseil des ministres dès ce mois de janvier avant d’être examiné au Sénat puis à l’Assemblée nationale.

Carte « talent »

Réclamée par le patronat, la création d’un titre de séjour au motif « métiers en tension » doit répondre aux secteurs en pénurie de main-d’œuvre. Et dans ces secteurs, on pourra désormais compter les professionnels de santé.

La carte pluriannuelle (d’un à quatre ans) dénommée « Talent — professions médicales et de pharmacie » ne concernerait que les médecins « quelle que soit leur spécialité », les sages-femmes, les chirurgiens-dentistes et les pharmaciens.

Selon l’article 7 du texte, cette carte est destinée aux professionnels de santé et à leurs familles « dès lors qu’ils sont recrutés par un établissement de santé public ou privé à but non lucratif ». Elle « permettra d’améliorer la lisibilité et l’attractivité du droit au séjour pour ces publics qualifiés, tout en tenant compte des enjeux de vérification de l’aptitude de professionnels étrangers à exercer dans le domaine hospitalier », justifie l’exécutif.

L’œil des ARS

Le texte prévoit ainsi de conditionner la délivrance du titre à une autorisation de l’Agence régionale de santé (ARS). Sa durée de validité, d’un à quatre ans, dépendra de la validation par le praticien des épreuves de vérification des connaissances (EVC).

Cette proposition mérite plusieurs commentaires : alors que nos universités ne sont pas en capacité d’accueillir les étudiants français désireux de faire une carrière médicale, le gouvernement ne trouve pas mieux que de faire appel à des soignants étrangers… Ce pays marche sur la tête.

En 2017, dans notre pays, on recensait déjà 41 763 médecins nés dans un pays autre que la France. Cette part est allée en grandissant : les nouveaux inscrits ayant obtenu leur diplôme à l’étranger représentaient 13,9 % en 2021 contre 15,7 % en 2022. En 2022, en France, 197 811 médecins en activité régulière sont recensés par le Conseil national de l’Ordre des médecins.

Parmi eux, 172 394 généralistes ont la nationalité française. 11 433 médecins sont originaires d’un pays européen contre 7 133 en 2007. 13 984 médecins viennent d’un pays extérieur à l’Europe. Ils étaient 4 314 en 2007. Toutes spécialités médicales confondues, 12 % des médecins de France sont d’origine étrangère. Avant toute chose, n’y a-t-il pas derrière cette proposition un problème d’éthique et de morale ?

Une mesure peu éthique qui ne solutionne rien

Ces pays extra-européens sont les premiers à manquer de médecins. Les dépouiller un peu plus ne gêne apparemment personne dans notre gouvernement ! Faut-il créer des déserts médicaux de l’autre côté de la Méditerranée pour combattre les nôtres ? Par exemple, l’entrée de la Roumanie dans l’espace européen en 2007 a abouti à une vraie migration des praticiens roumains vers la France. Ce qui n’a pas été sans poser problème à l’État roumain. Le pays se déclare au bord de la catastrophe sanitaire à cause de cette fuite massive des docteurs.

Au-delà de ce triste constat, l’appel aux médecins étrangers peut-il vraiment contribuer à lutter contre les déserts médicaux ? 6 000 à 8 000 médecins généralistes manquent. 22 millions de Français ont des difficultés d’accès aux soins. Rappelons encore qu’un Français sur dix n’a pas de médecin traitant.

Une fois les qualifications de ces praticiens étrangers vérifiées, allons-nous les contraindre à s’installer là où plus personne ne veut aller, faute de commodités de vie ? Une drôle de façon, à nouveau, de les respecter… Ce que nous constatons est que le lieu d’installation des médecins exilés ne couvre pas les zones sous-denses. Ils continuent à s’installer, comme les médecins français, dans les zones qui ne sont pas défavorisées. Nous revenons donc à la case départ.

Rien de nouveau sous le soleil

Quant à la carte « pluri-annuelle », elle est délivrée de un à quatre ans. Et qu’en sera-t-il après ? Nous ne pouvons résister à l’envie de citer cet extrait de l’Histoire de la médecine, de l’Antiquité à nos jours, écrit par Roger Dachet (Éditions Texto, 2021) qui se réfère au VIe siècle avant notre ère (dont ferait bien de s’inspirer notre gouvernement) :

« Les médecins, civils et laïques, dont descendent tous leurs confrères des siècles ultérieurs qui se sédentarisaient dans la Grèce antique, eurent à préciser leurs relations avec la Cité. Si on en croit Diodore de Sicile, vers l’an 600, un décret de Charondas de Catane, législateur de la Sicile, fixa dans l’île le principe que tous les citoyens seraient soignés aux frais de l’État : les médecins qui y exerçaient devenaient de facto des fonctionnaires et leurs patients ne payaient rien. Xénophon précise dans les Mémorables que les jeunes praticiens désirant s’établir à Athènes devaient dans un exposé public présenter leur expérience et nommer leurs maîtres, lointaine préfiguration de la reconnaissance des diplômes et du contrôle de la profession. Dans beaucoup de cas, le praticien était un “libéral” et son sort était alors plus précaire. La rémunération des iatroi était alors très variable… Le revenu des médecins de l’époque pouvait être beaucoup plus modeste car, à vrai dire, aucune règle générale n’existait. Aristophane laissera même entendre que les praticiens se faisaient rares dans les villes, “où ils ne sont presque pas payés”. Quand l’État les prenait en charge, un impôt spécifique, l’iatricon, pouvait être levé pour payer les médecins qui bénéficiaient en outre de diverses exemptions fiscales… »

Rappelons que les médecins de cette époque, avant de se sédentariser, étaient itinérants. Ils se déplacent de ville en ville pour offrir leurs services, pourquoi ne pas y revenir ? Tout est dit, meilleures rémunérations, exemptions fiscales, facilités diverses…




La sous-déclaration des effets secondaires des injections covid

Entrevue avec le Professeur Patrick Provost

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Lévesque

La sous-déclaration des effets secondaires n’est pas nouvelle.

En 2011, le rapport Lazarus estimait qu’aux États-Unis seulement 1 % des effets secondaires étaient rapportés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) :

Avec, d’un côté, la propagande sans précédent des injections covid et, de l’autre, le dénigrement et la censure des scientifiques indépendants critiques de ces injections, il semble qu’il soit encore plus ardu de faire reconnaître les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer.

Le professeur Patrick Provost a publié un article sur le sujet dans la revue à comité de lecture International Journal of Vaccine Theory, Practice an Research : « The Blind Spot in COVID-19 Vaccination Policies: Under-Reported Adverse Events » (bientôt en français).

J’en discute avec lui dans cette entrevue.

Tous les liens pertinents sont sous la vidéo.

Notez que Patrick Provost sera en arbitrage les 25 et 27 janvier prochains concernant sa suspension par l’Université Laval. Les audiences auront lieu sur le campus de l’université, mais nous ne connaissons toujours pas l’heure et la salle. Je vous tiens au courant sur ma page Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100063484129370

UN IMMENSE MERCI À TOUS CEUX QUI M’APPUIENT EN FAISANT UN DON OU EN PARTAGEANT MON TRAVAIL!!!
Virement Interac : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse: tribunal)
Stripe : https://buy.stripe.com/8wMbKy3i26CM6cw7ss
Où me trouver : https://linktr.ee/julielevesque

(J’ai fait une intro sur les différents programmes de compensation des victimes d’une vaccination. L’entrevue commence à 14:08.)

Liens pertinents :

Statistiques du programme américain régulier de compensation pour les victimes d’une vaccination :

HRSA Data and Statistics

Statistiques du programme américain de compensation pour les pour les victimes de contre-mesures :

Table 1. Alleged COVID-19 Countermeasure Claims Filed | HRSA

Programme canadien :

Programme de soutien aux victimes d’une vaccination – Statistiques (soutienvictimesvaccination.ca)

Programme québécois :

Programme d’indemnisation des victimes d’une vaccination | Gouvernement du Québec (quebec.ca)

Manifestations cliniques inhabituelles, déclaration et surveillance, ministère de la Santé du Québec :

À propos des MCI – Manifestations cliniques inhabituelles (MCI) – Professionnels de la santé – MSSS (gouv.qc.ca)

Formulaire de déclaration de Réinfo Covid Québec :

Effets secondaires – Réinfo Covid Québec (reinfocovid.ca)




Il faut stopper les injections géniques immédiatement !

Par Nicole Delépine

Ne soyons pas complices par notre silence. Informons !

Alors que le gouvernement veut nous faire injecter les petits, il nous incite finalement à refaire un tour des effets secondaires et c’est très dur à supporter après quelques vidéos seulement. Alors, allez voir, préservez amis, voisins, enfants. Il faut qu’ils sachent !

TERRIBLE, TOUS CES GENS ENFERMÉS DANS LEUR CORPS.

https://twitter.com/i/status/1617564630200602625
après deux doses

https://twitter.com/i/status/1617535332022644739

C’est hallucinant d’entendre le Dr Aseem Malhotra regretter d’avoir fait ses deux doses de #Pfizer et d’avoir poussé les gens à la vaxxination. Combien sont-ils à avoir été si peu méfiants, si peu professionnels face à un vaxxin ARNm en phase expérimentale ?

Eric Archambault @EricArchambaul7
Dr. Aseem Malhotra : Les personnes blessées par les vaccins ont été victimes d’une mise en scène.
https://foxnews.com/video/6319004321112#

IL NE FAUT PAS S’ÉTONNER DES EXEMPTIONS :

Et du mutisme de Pfizer et Bourla :

Les multiples manifestations à l’étranger pour exiger l’arrêt définitif des injections sont tues par nos médias

Et en France les affiches d’enfants et adultes décédés viennent informer les habitants de nombreuses villes. Qui peut encore dire qu’il ne savait pas ? Qui peut sacrifier son petit par une injection inutile et dangereuse ? Qui peut encore injecter ce poison ? Quel pharmacien, infirmier, sage-femme, médecin peut prendre ce risque ne serait-ce que par rapport à sa conscience ?1

À Dusseldorf :

LA VÉRITÉ SI LONGUE À APPARAÎTRE DEVIENDRAIT-ELLE AVEUGLANTE ?

Hélène Banoun @BanounHelene
Un ex-expert de la FDA quitte celle-ci et demande le retrait des vaccins Covid ! Faîtes tourner !
Un espoir que les « autorités » françaises voient ce qu’elles ne veulent pas voir ? @HAS_sante @ansm
@Sante_Gouv

Rien n’est gagné, mais la parole se répand même si elle n’est pas encore acceptée : voir ce bel édito du président du conseil de l’ordre de Dordogne de novembre 2022 et qui a dû démissionner !

On pourrait multiplier les témoignages édifiants.

Mais lisez le livre de Pierre Chaillot pour comprendre comment on vous a trompé :

Et voir le film DIED SUDDENLY :

QUI PEUT ENCORE INJECTER, SE FAIRE INJECTER, OU FAIRE INJECTER À SON ENFANT CE POISON ?


1 Sans oublier le risque médicolégal quand les autorités comme en Australie et en Autriche se rabattront sur les injecteurs en cas de plainte, via l’absence de consentement éclairé




Vandana Shiva expose l’agenda des milliardaires dans son dernier livre

[Source : cogiito.com]

Dans son dernier livre, « Oneness vs. the 1%: Shattering Illusions, Seeding Freedom », Vandana Shiva, Ph.D., affirme que l’élite ultra-riche est responsable de la majorité des crises environnementales, financières et sanitaires auxquelles nous sommes confrontés. aujourd’hui.

L’histoire en bref :

Dans « Oneness vs. the 1% : Shattering Illusions, Seeding Freedom », Vandana Shiva, Ph.D., soutient que l’élite ultra-riche est responsable de la majorité des crises environnementales, financières et sanitaires auxquelles nous sommes actuellement confrontés.

La richesse et les efforts « philanthropiques » de Bill Gates, par exemple, lui ont permis d’acquérir une influence sans précédent sur les politiques agricoles et sanitaires mondiales qui menacent la sécurité alimentaire et la santé humaine.

La pandémie de COVID-19 a catalysé un transfert massif de richesses vers les riches.

[Voir aussi :
Vandana Shiva : « Avec le coronavirus, Bill Gates met en place son agenda sur la santé »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva]


Alors que les lockdowns mondiaux ont décimé les petites entreprises et laissé beaucoup d’entre elles en difficulté financière, les riches mondialistes ont amassé d’immenses profits, et les lockdowns ont empêché la mobilisation publique contre les géants de la technologie et du commerce de détail.

Pour faciliter le transfert des richesses, l’élite fait pression pour éliminer les lois sur le travail et l’environnement, ainsi que les droits de l’homme et les droits des agriculteurs.

Dans cette interview, Vandana Shiva, Ph.D., militante pour la justice sociale et contre les OGM (organismes génétiquement modifiés), parle de son livre « Oneness vs. the 1% », qu’elle a coécrit avec son fils, dans lequel elle soutient que l’élite ultra-riche est responsable de la majorité des crises environnementales, financières et sanitaires auxquelles nous sommes actuellement confrontés.

En réalité, il s’agit des 0,001 % – le petit nombre de milliardaires et de centimilliardaires qui sont devenus ultra-riches au cours des 30 dernières années environ. La plupart d’entre eux n’existaient pas avant la mondialisation. Le 1% n’est qu’une métaphore utile pour l’élite dirigeante que l’éditeur a pensé plus facile à communiquer.

L’un des principaux acteurs est, sans surprise, Bill Gates, dont la richesse et les efforts « philanthropiques » lui ont valu une influence sans précédent sur les politiques agricoles et sanitaires mondiales qui menacent la sécurité alimentaire et la santé humaine.

Elle déclare :

« J’étais à Paris pour le sommet sur le climat, et je participe à ce sommet des Nations unies depuis le sommet de la Terre en 92. Je me suis occupée de la convention sur la biodiversité, de la rédaction de clauses, notamment de l’article 19.1, qui exigeait essentiellement la biosécurité et l’évaluation des OGM. »

« J’ai donc été très surpris de voir que, pour la première fois, les milliardaires étaient sur la scène avec les chefs d’État. »

Le transfert de richesse en cours

L’une des « solutions » au changement climatique proposées par ce club de milliardaires était la géo-ingénierie, qui en réalité n’est pas une solution du tout.

Comme l’a noté Shiva, si le climat change déjà pour le pire, en manipulant les températures, en déviant la lumière du soleil, en déversant des remplissages de fer dans l’océan et des produits chimiques dans le ciel, et en créant des volcans artificiels, vous ne faites que créer des problèmes supplémentaires sans résoudre le problème initial.

À la fin de la mise à jour d’août 2020 du livre, elle aborde également le COVID-19, et la façon dont cette pandémie artificielle a catalysé le transfert de richesse vers les riches. Alors que les blocages mondiaux ont décimé les petites entreprises et laissé de nombreuses personnes en difficulté financière, les riches ont amassé des profits fantastiques.

Elle déclare :

« La crise de 2008 était très clairement liée à la déréglementation de l’économie financière. Il était question de garanties, de titres, de regroupement des risques, puis le système s’est totalement effondré parce qu’il s’agissait en fait d’un commerce de fictions. Mais j’ai travaillé sur l’économie, car j’ai commencé à travailler sur les graines en 1987. …

… les entreprises … voulaient posséder et breveter la vie. C’est ainsi qu’a commencé mon voyage sur les OGM. Mais elles voulaient aussi changer les lois commerciales. Ils voulaient posséder les semences comme leur création …

Ils voulaient un traité sur la propriété intellectuelle dans le GATT (Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce). J’ai entendu cela pour la première fois lors d’une réunion [des Nations unies] en 1987...

C’est alors que j’ai décidé :

a) de conserver les semences,

b) de suivre le GATT et l’OMC (Organisation mondiale du commerce) et le mouvement antimondialisation en est issu, ainsi que le Forum international sur la mondialisation.

Nous avons fermé l’OMC à Seattle, ce qui montre le pouvoir du peuple. Nous ne tolérerons pas ce mensonge selon lequel les semences sont une invention de Monsanto.

J’ai travaillé avec notre Parlement indien, j’ai travaillé avec notre gouvernement pour rédiger des lois… L’article 3(d) de notre loi sur les brevets dit que les semences ne sont pas des inventions. C’est ce qui a empêché Monsanto d’arnaquer les agriculteurs indiens encore plus qu’ils ne l’ont fait. Ils ont été poursuivis en justice pour avoir perçu illégalement des “redevances technologiques”…

Fondamentalement, ce que nous avons aujourd’hui, c’est ce transfert de richesse … Le comportement de Monsanto est en fait aussi celui de Big Tech. Est-ce qu’ils produisent quelque chose ? Non. Ils ne font que percevoir des loyers sur des plateformes numériques. Ce sont des collecteurs de loyers. …

J’ai vu la question des semences avec Monsanto. J’ai dit :

Voilà qu’ils perçoivent des loyers sur des semences, qu’ils n’ont pas fabriquées. Alors nous ne les laisserons pas en être les propriétaires. En effet, qu’il s’agisse d’Amazon ou de Gates, ce sont essentiellement des collecteurs de loyers.

Ce qu’ils ont fait avec cette pandémie, c’est littéralement créer une économie coercitive, qui dépend d’eux et de leur collecte de loyer. »

La vidéo de huit minutes ci-dessous fournit un résumé qui donne à réfléchir sur le transfert massif de richesse qui s’est produit en 2020 grâce aux lockdowns de la pandémie, au cours desquels les petites entreprises ont été contraintes de fermer tandis que les multinationales géantes ont été autorisées à rester ouvertes et à monopoliser ainsi le marché.

Le résultat final est le plus grand transfert de richesse de l’histoire moderne.

La fin de la démocratie

Shiva poursuit en examinant comment l’Inde s’est mobilisée contre l’empiètement de Walmart, qui menaçait de détruire les commerces locaux. Les fermetures de COVID-19 ont cependant empêché le même type de mobilisation contre les géants de la technologie et du commerce de détail.

Alors que les commerces locaux du monde entier ont dû fermer leurs portes pendant des mois, le pouvoir d’Amazon.com a explosé. Amazon empiète même sur les fournisseurs d’épicerie.

Elle poursuit :

« Je viens de lire un article, selon lequel les super riches des États-Unis se sont transférés 50 000 milliards de dollars [au cours des 30 dernières années ; la période de mondialisation]. …

Pendant qu’ils vous volent votre emploi, ils vous soutirent encore [de l’argent] pour ce programme logiciel forcé sur les paiements numériques, pour des programmes logiciels sur … l’éducation numérique.

Les enfants indiens pauvres, qui pourraient se permettre une éducation universelle, ne peuvent maintenant pas se permettre une éducation parce que leurs parents n’ont pas de smartphones. Nous assistons donc à une imposition artificielle d’une économie. Une économie saine se développe comme une évolution avec des choix, avec la justice, avec l’équité. …

… Les véritables économies diraient : “Voici ce que j’apporte. Et ma [monnaie] numérique est-elle meilleure que votre argent ? Choisissez-la. Ma vaccination forcée est-elle meilleure que votre immunité ? Faites votre choix.”

À la minute où le choix est retiré de la vie des gens, les démocraties s’arrêtent. Lorsque le choix est retiré de nos conditions d’être, de nos conditions de vie, alors la vie est menacée. …

… qu’est-ce que la mondialisation sinon la déréglementation du commerce ? Elle fait tomber toutes les lois mises en place par les sociétés démocratiques pour la protection de l’environnement, la protection de la santé, le droit à l’éducation, les droits des travailleurs. C’est cela qui est visé. »

En Inde, ils ont récemment éliminé toutes les lois du travail, et ils essaient de supprimer la loi sur les droits des agriculteurs, ainsi que les lois environnementales. C’est ce qui permet le transfert de la richesse, dit Shiva.

Le jeu final

Comme l’explique Shiva, toutes ces entreprises sont essentiellement des collecteurs de loyers. Facebook transforme nos esprits en matière première qui est ensuite capitalisée.

« Gates est particulièrement vicieux car, à travers la Fondation Gates, il prétend faire de la philanthropie », dit-elle.

Mais chaque fois qu’il entreprend une action philanthropique, il crée de nouvelles colonies dont il peut tirer de nouveaux loyers et faire de nouveaux investissements. « C’est pourquoi, quel que soit le montant de ses dons, il devient de plus en plus riche », explique Shiva. « Un véritable donateur s’appauvrirait. »

[Voir aussi
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste]

Dans son livre, elle explique comment, sans Gates, il n’y aurait pas d’édition de gènes commerciale, par exemple, qui est le nouvel OGM. Il a créé une société appelée Editas Medicine Inc. pour faciliter le brevetage de ces nouvelles plantes résistantes au climat, avec lesquelles ils visent à créer de nouveaux médicaments.

« Il va faire de la biofortification pour résoudre le problème de la nutrition. Il est particulièrement vicieux », dit-elle.

Quant à savoir quel pourrait être l’objectif final, Shiva déclare :

« La première chose est, bien sûr, qu’ils veulent utiliser leurs outils de production d’argent pour faire plus d’argent. Il s’agit donc d’une dictature de l’équilibre technologique. C’est pourquoi les gens devraient prêter beaucoup plus d’attention à l’imposition violente de la numérisation.

Beaucoup de mes amis, qui n’ont jamais étudié les racines de ces systèmes violents, qui n’ont jamais compris que les produits agrochimiques venaient des camps de concentration d’Hitler et que l’industrie agrochimique est le cartel du poison responsable du génocide.

Ils continuent ce génocide.

… les technologies en tant qu’outils de domination et d’exploitation ne sont pas neutres. Beaucoup de progressistes pensent :

Plus de numérisation, moins de démocratie.

Comment une économie de surveillance peut-elle être un élargissement de votre liberté ?

Vous devez avoir les systèmes en place, les réglementations en place, les choix en place pour être en mesure de faire de ces technologies un serviteur et non votre maître. »

La fusion mondiale

Ils veulent également fusionner toutes ces différentes industries ensemble – agriculture, technologie et finance. Shiva raconte comment, en 2016, l’Inde a interdit tout argent liquide et rendu les transactions numériques obligatoires.

En peu de temps, “90 % des personnes pauvres ont perdu leurs économies, leurs revenus”, dit-elle, alors que les petites économies locales se sont évaporées. Pendant ce temps, les riches élites contrôlent également l’économie mondiale via leurs fonds d’actifs.

Elle poursuit :

« Les sociétés ne se possèdent plus elles-mêmes. Même les sociétés sont la propriété des milliardaires. Les mêmes BlackRocks, les mêmes Vanguards contrôlent toutes les grandes entreprises, de Coca-Cola à McDonald’s, en passant par Bayer et Monsanto. Regardez n’importe quoi dans le monde, c’est l’argent des milliardaires et leurs fonds de gestion d’actifs. »

« L’année dernière, BlackRock a augmenté sa richesse de 1 000 milliards de dollars à 7 000 milliards de dollars,ce qui signifie que les milliardaires ont augmenté leur richesse. Pendant le verrouillage, ils ont envahi encore plus profondément l’Amazonie et se sont enrichis.

Donc, ces fonds de gestion d’actifs d’investissement sont la richesse des milliardaires, et elle augmente. Elle fusionne avec la technologie de l’information et les barons de la technologie, et elle fusionne avec la biotechnologie et l’industrie chimique. »

« C’est pourquoi ils parlent de la numérisation de l’agriculture – l’agriculture sans agriculteurs et, pire, la nourriture sans nourriture. L’une des grandes poussées de Gates et de la Silicon Valley concerne les faux aliments. »

Comme l’a noté Shiva, alors que Big Biotech prétend que les OGM vont sauver votre santé et protéger la planète, ces plantes chargées de pesticides font en fait tout le contraire.

Nous sommes les laissés-pour-compte

Il y a aussi la question de la justice sociale. Elle cite Gandhi, qui a dit que si vous avez des doutes sur ce qu’il convient de faire, « visualisez le visage de la personne la plus vulnérable et faites ce qui est bon pour elle ». Si vous pensez que cela leur fera plus de mal, ne le faites pas.

Shiva dit :

« Ils veulent délibérément se débarrasser de grandes parties de l’humanité. D’abord par la faim, puis par la maladie. …

… ils veulent une économie numérique, ils veulent une économie malade. Sinon, vous ne passeriez pas tout votre temps sur Big Pharma ; vous passeriez votre temps à vous assurer que le petit agriculteur ne soit pas détruit. …

… à l’échelle planétaire, nous voyons ces hommes irresponsables, avides, indifférents, insensibles, amener le monde, et l’humanité, au bord du gouffre. C’est pourquoi nous devons agir et trouver des moyens créatifs. …

… Tous ces barons de la technologie qui ont pris le contrôle de l’économie, en se cachant derrière le virus, se lancent tous dans les sciences de la vie… Google a une nouvelle division des sciences de la vie… ce sera la défaite finale de Mère Nature.

Au moment où le monde se réveille aux règles de la nature et aux corps sains, aux écosystèmes sains, à une planète éco-saine, ils poursuivent la franchise coloniale de la défaite de Mère Nature. »

La grande réinitialisation économique

Aucune de ces choses ne sort de nulle part. Elles ont été soigneusement planifiées pendant plusieurs décennies. Nous voyons maintenant des preuves claires qu’une « grande réinitialisation économique » est en cours, qui fera tout basculer vers les monnaies numériques.

Comme l’a noté Shiva, la révolution industrielle a modifié notre état d’esprit en nous amenant à considérer la nature comme morte. Le résultat a été la destruction écologique et la fragmentation de la société. La réinitialisation économique à venir fait essentiellement partie d’un effort visant à manipuler davantage et à faire évoluer notre cadre mental vers quelque chose de totalement contre nature.

Shiva dit :

« En Inde, ils ont attaqué et attaquent encore le bio et ont créé quelque chose appelé l’agriculture naturelle à budget zéro. … Ce qu’ils font essentiellement, c’est accorder de gros prêts à l’État, qui accorde ensuite de gros prêts aux agriculteurs. Pendant ce temps, Gates exploite les données agricoles.

Il fait en sorte que des personnes soient placées chez les agriculteurs pour exploiter les données. Puis ils créent des algorithmes pour revendre ces données. Mais tout cela est maintenant réduit au carbone dans le sol :

Vous obtiendrez zéro % pour ce que vous cultivez. Vous ne pourrez satisfaire aucun de vos besoins en nourriture et en fourrage, mais nous vous autoriserons à négocier sur le marché mondial le carbone présent dans votre sol, et c’est ce qui vous permettra de rester en vie. Cette financiarisation de la nature n’est qu’un aspect.

Le deuxième aspect de la grande réinitialisation est de refaire l’économie pour faire croire que ceux qui sont maintenant jetables – les personnes jetables – l’ont mérité. Ils ont créé le langage de la compétition. …

Lorsque j’écrivais mon épilogue, je venais de recevoir le brevet de Microsoft, qui réduit essentiellement les êtres humains à des utilisateurs/consommateurs […] notre activité cérébrale exploitée de diverses manières. De nos jours, tout le monde veut avoir des vêtements intelligents. Je devrais appeler ça des logiciels espions.

Ces données passent par des algorithmes… Ces algorithmes décideront de ce que nous valons. Puis des bitcoins nous seront attribués.

Mais chaque enfant qui naît est né digne. Chaque membre de la société a les mêmes droits humains. Donc, ils défont tout ce que nous avons mis en place sur l’humanité, sur les droits de l’homme, sur la démocratie. C’est là que nous devons être vigilants.

Je pense que toute la question de la pandémie et du confinement leur a été utile pour deux raisons. Premièrement, ils pouvaient faire en sorte que tout le monde ait peur. Deuxièmement, ils pouvaient distraire tout le monde pendant qu’ils prenaient le contrôle de l’économie, ils prenaient le contrôle de nos esprits. Ils ont essentiellement transféré toutes les richesses restantes à eux-mêmes. »

Plus d’informations

Pour en savoir plus, veuillez écouter l’interview dans son intégralité et ne manquez pas de vous procurer un exemplaire de « Oneness vs. the 1% : Shattering Illusions, Seeding Freedom ». Vous pouvez également trouver plus de détails sur le travail de Shiva sur Navdanya.org.

Shiva déclare :

« J’ai personnellement le sentiment que cet assaut arrive à un moment où, en Inde et dans le monde, il y a une nouvelle montée de conscience de la planète et de ses systèmes vivants, de notre santé et de nos systèmes vivants, et du lien entre notre santé et la santé de la planète.

À ce stade … il faut beaucoup de violence brutale pour imposer. Dans la mesure où ils peuvent garder le virus comme bouclier derrière lequel se cacher, ils le feront.

Je suis d’accord avec Shiva quand elle dit que plutôt que de laisser les discours de peur du COVID-19 prendre le contrôle de nos vies, nous devons regarder les infrastructures de la vie, de l’humanité, de la démocratie, de l’économie et de la fiscalité, « et commencer à réfléchir à qui nous les enlève. »

Elle ajoute :

« Vous devez protéger ce que vous chérissez. La liberté et la vie sont ce qui est pris en ce moment. …

Nous devons résister à la peur et nous devons résister à la haine. Nous sommes des êtres pensants ; utilisons les esprits qui nous ont été donnés, reconstruisons la communauté.

Encore une fois, je ne pense pas que la distance d’un mètre soit un accident… Pourquoi utilise-t-on les mots “distance sociale” plutôt que “distance physique” ? Six pieds est une mesure physique. … Ils veulent maintenant nous faire oublier qu’être un être humain signifie être en communauté. Ils veulent que nous soyons des utilisateurs de gadgets.

Nous devons être une communauté. Nous devons nous rappeler que nous sommes liés au reste de la vie sur Terre et à la société. C’est pourquoi nous devons être totalement innovants dans la façon dont nous reconstruisons des économies régénératrices. …

Je pense que nous avons perdu beaucoup de temps en pensant que le seul problème était l’énergie, comment l’énergie est produite. Nous avons perdu deux décennies sur la façon dont la nourriture est produite.

Je crois vraiment que si les gens commencent à prendre conscience que manger de la bonne nourriture est la plus importante stratégie pour la santé, et que cultiver la nourriture de la bonne manière est la plus importante partie de la régénération de la planète. … Cela permettra de reconstruire la communauté. …

… Je ne pense pas que nous ayons le luxe d’être désespérés. … l’espoir est quelque chose que vous devez cultiver au quotidien. Cultiver l’espoir, c’est cultiver la résistance. Cultiver l’espoir, c’est cultiver la stratégie. …

… Je pense que nous devons commencer à faire des devoirs pour dire : “Comment devrait être le flux fiscal ? Comment notre argent va-t-il rendre les milliardaires plus riches ? Comment peuvent-ils continuer à nous soutirer de l’argent ?”

Comment notre argent public est-il la nouvelle subvention pour créer l’infrastructure de la cupidité, plutôt que d’être les ressources publiques pour créer l’infrastructure de la vie, des soins et de la solidarité ? …

Ce sont des questions fondamentales. … Qui sommes-nous en tant qu’êtres humains ? Comment vivrons-nous à l’avenir ? Quel est l’avenir que nous créerons longtemps après que les barons voleurs auront disparu, car ils étaient là dans les années 1930 et nous avons appris à nous en débarrasser. … S’il y a un projet que nous devrions avoir… ce sont des stratégies pour se débarrasser des barons voleurs, quoi qu’il en coûte. …

… Où va la richesse ? Qu’est-ce qui dans notre cadre juridique actuel peut arrêter cette hémorragie de l’argent public pour remonter vers les milliardaires ? »

Publié à l’origine par Mercola.

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux de Children’s Health Defense.




Big Pharma et son hégémonie via l’autoritarisme des agences : un phénomène qui date des années 2000

Par Nicole Delépine

Après trois ans de coma mondial, hypnotique, lié à l’instrumentalisation dramatique du covid19, certains scientifiques se réveillent et critiquent le fonctionnement du circuit du médicament. Tel le papier de Claude Janvier dans mondialisation.ca qui attire fort justement l’attention sur les excès de consommation1 inadaptés aux besoins sanitaires réels.

De fait, la réalité est gravissime depuis les années 2000, avec suppression de l’autorisation d’utiliser des schémas thérapeutiques qui ont prouvé leur efficacité en plus de trente ans d’expérience avec des médicaments devenus peu chers depuis qu’ils sont génériquables. Sur ordre de l’INCa, ces traitements rodés sont remplacés par des essais thérapeutiques systématiques de nouvelles drogues à prix non limités.

Les réunions pluridisciplinaires instaurées par les plans cancer de 2003 permettent l’illusion d’un choix pour les patients qui se croient bien entourés, mais imposent de fait les molécules choisies par les autorités administratives et leurs complices adoubés par Big Pharma.

Cette situation qui a fait chuter la qualité des soins en France a été signalée depuis les années 2000 par de nombreuses tribunes et de nombreux ouvrages (tels ceux du Pr Even,2 ancien doyen de l’hôpital Necker-Enfants malades, de Marcia Engels3 ancienne rédactrice en chef du NEJM démissionnaire après le scandale du VIOXX4, de Peter Goetsche5 éminent fondateur de la fondation Cochrane récemment rachetée par Bill Gates qui a évincé son créateur). Les auteurs de tous ces livres sur l’impact de la capture des agences sanitaires par Big Pharma et sur l’extension autoritaire de leurs pouvoirs sur la pratique médicale n’ont pas été entendus. Nous avons traité dans « soigner ou obéir »,6 en 2016, des conséquences dramatiques des ingérences de la bureaucratie (ARS, HAS, INCa et x observatoires) dans les prescriptions médicales. Le système de santé ne pourra renaître qu’en limitant fortement l’influence des politiques et de la bureaucratie sur l’activité médicale jusque dans les prescriptions.

La population a été témoin de la dérive pendant la crise covid quand les politiques ont interdit aux médecins d’aller soigner leurs malades et de leur prescrire les médicaments efficaces, peu chers et non toxiques.

« Si les masques marchaient véritablement,
ils auraient été bannis… juste comme l’Hydroxychloroquine »

Un essai remplace l’autre

Il n’est plus possible en France, du moins en cancérologie, d’appliquer un schéma connu aux résultats publiés depuis des lustres, tant le monopole des traitements imposés à tous les centres du cancer est hégémonique. Ainsi, des maladies curables à plus de 80 % pour l’ostéosarcome ostéogénique par des traitements individualisés datant des années 80 et de la grande révolution thérapeutique en cancérologie voient leur pronostic global chuter à 60 % dans le meilleur des cas. Les exemples sont légion dans le domaine de cancers autrefois largement curables comme le cancer du sein.

Les malades concernés par le monde du cancer ont vite appris les termes récurrents de « protocoles », de réunions obligatoires qui décident du traitement sans que ni eux ni leur médecin traitant ne soient entendus. En pratique, les protocoles sont identiques de Lille à Marseille en passant par Lyon et Brest et il est devenu impossible d’obtenir un traitement adapté à la personne et à ses choix, même en faisant le Tour de France.

Ils ont vite aussi entendu les qualificatifs de « ringards », dépassés quand ils proposent d’envisager sur proposition d’un collègue ouvert une chimiothérapie classique comme le CMF par exemple pour le cancer du sein. Ces femmes malades auxquelles on a dit qu’il ne restait que « les soins palliatifs » (et bientôt l’euthanasie), après trois essais de « drogues nouvelles » sont horrifiées de découvrir que leur jeune oncologue ne leur propose pas ces schémas anciens et souvent efficaces (souvent il ne connaît pas même leur existence) et les envoie à la mort sans se battre avec les moyens connus. Effectivement, les prix des vieux médicaments sont ridicules (quelques dizaines d’euros) comparés aux milliers d’euros des nouvelles drogues.

Big Pharma fait la loi à l’hôpital public et privé (tous administrés par les ARS) et les médicaments de ville sont soumis à la même loi du marché.

Nouveau moyen complémentaire, le rôle des influenceurs du web est justement mis en exergue par Claude Janvier.

Mais le drame de la surconsommation de médicaments inutiles et dangereux (et en conséquence de l’abandon de traitements efficaces) ne date pas de la croissance des réseaux sociaux, mais bien de la détermination des puissants, décideurs officiels et leurs amis de Big Pharma à imposer les nouvelles drogues à prix délirants par le monopole des décisions et des autorisations ARS de traiter entre autres des patients cancéreux.

Feront-ils à leur tour l’objet d’une plainte en justice comme vont l’être Marc Blata et sa compagne Nadé7 installés à Dubaï, accusés par le collectif AVI (Aide aux victimes d’influenceurs) d’« escroquerie en bande organisée et abus de confiance » ?

À l’hôpital et en ville, l’argent est ROI

L’exemple de « Ozempic » antidiabétique. (ibid 1)

« Son concepteur, le laboratoire Danois Novo Nordisk, aimerait bien le hisser en haut du podium des jeux du même nom ou presque. Sa substance active est la Sémaglutide. Des “influenceurs” dans les réseaux sociaux n’hésitent pas à vanter ses mérites pour la perte de poids. Dans un article de “Trust my Science du 8 juin 2021”, ayant pour titre : “Un traitement contre le surpoids et l’obésité ultra-efficace approuvé par la FDA”, le traitement miraculeux coûte une “blinde”, — 1300 $ par mois —, et les effets secondaires sont des nausées, des diarrhées et des douleurs abdominales ».

Les influenceurs des Réseaux Sociaux8

« Depuis plusieurs mois, les propriétés coupe-faim de l’antidiabétique Ozempic (Sémaglutide) font l’objet d’une communication virale, et son détournement à des fins amaigrissantes sauvagement promu sur les réseaux sociaux provoque des tensions d’approvisionnement délétères pour les patients diabétiques. Le phénomène n’épargne plus la France »

Selon Claude Janvier :

« L’univers de la communication et de la propagande est à géométrie variable. Tout est permis quand vous êtes du “bon côté”. Pas de censures, pas de risques d’exclusions des réseaux sociaux, pas de plaintes déposées par les labos, pas de mise en garde des GAFAM.

Même la publicité pour “Copenhague Pride” est vantée dans la page Facebook de Novo Nordisk. Extrait : “20 août 2022 : plus de 500 collègues se joignent au défilé de Copenhague Pride pour célébrer la diversité, l’inclusion et l’amour. Tant de joie dans les rues. Souvenons-nous de cela tous les jours et transformez-le en action pour tous.” 

Il y aurait à peu près 100 000 influenceurs en France. Mais qu’est-ce qu’un influenceur ? Ce terme désigne toute personne qui dispose d’une notoriété sur une thématique spécifique au travers du web et notamment dans les réseaux sociaux. »

En laissant le champ libre ou presque à leurs influenceurs VRP, Novo Nordisk, comme d’autres laboratoires pharmaceutiques, peuvent mettre en danger la vie d’autrui, tout en empochant des bénéfices juteux. Comme trop souvent, le risque est minimisé et le dividende est roi ».  

Si le rôle d’influenceurs est néfaste, il faut se demander qui ont été les principaux « influenceurs » et créateurs de fake news pendant cette période covid si ce n’est le gouvernement via les publicités (mensongères) sur la conduite à tenir (ne pas aller voir votre médecin, et appeler le 15 si aggravation) et surtout les litanies sur l’intérêt de l’injection pour protéger les grands-parents… (tous vaccinés tous protégés, vaccins efficaces à 95 %, sans risques…)

Aujourd’hui encore alors que chacun sait que cette piqûre dangereuse ne protège de rien, même pas des contaminations, la DGS tente de nous faire injecter les enfants de 6 mois à 4 ans qui seraient dans l’entourage d’une personne immunodéprimée !

Qui est donc le plus gros influenceur en France en ce moment ?

Quelques exemples du détournement du rôle des médicaments par la loi du marché au service de la finance et non de la santé

Le blog du pharmacien François Pesty donne de nombreux exemples de la dérive depuis les années 2000.

Extraits : « 15/09/20179 — Comment 8 firmes ont-elles triché, avec la complicité de rhumatologues et la crédulité des agences, pour faire croire à la supériorité de leurs nouvelles biothérapies sur HUMIRA® dans le traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde après échec du méthotrexate ?

Nous connaissions les médicaments “me-too”, il faudra désormais aussi composer avec les essais cliniques “me-too”…

Dans l’ordre alphabétique, Bristol-Myers-Squibb, Janssen Biologics (Groupe Johnson & Johnson) en partenariat avec GSK, Lilly, Pfizer, Roche (en co-promotion avec Chugaï Pharma France), et Sanofi, sont les 8 firmes pharmaceutiques tricheuses. »

Dans l’ordre chronologique de la tricherie répétée, organisée, voire concertée, voir directement le tableau du site de François Pesty et les commentaires :

Illustration avec OLUMIANT®, bariticinib, de la firme américaine Lilly :

En effet, ce mardi 12 septembre 2017, le JO publiait 3 textes réglementaires concernant les 4 présentations de cette toute nouvelle spécialité pharmaceutique :

— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux assurés,

— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux collectivités

— Un avis relatif au prix d’OLUMIANT®, JO du 12 septembre 2017

« Les prix étant applicables 4 jours après la publication au JO, nul doute que des rhumatologues vont se ruer pour prescrire cette nouvelle biothérapie, à plus de 9 000 € de coût de traitement annuel ».

LE SYSTÈME INFLATIONNISTE DE LA LISTE EN SUS ET DE LA T2A

La liste en sus qui ne devait qu’être transitoire ou au moins limitée, toujours en cours, permet toutes les dérives. Voici ce qu’en disait le pharmacien François Pesty10 en 2011

« La liste des médicaments onéreux (prévue à l’article L.162-22-7 du Code de Sécurité Sociale), qui avait originellement vocation à faciliter l’accès pour tous les patients aux innovations thérapeutiques forcément coûteuses, représente aujourd’hui 40 % à 60 % de la dépense totale en médicaments des grands centres hospitaliers, universitaires ou non. Une dépense totale qui a plus que doublé en à peine dix ans, en grande partie avec la création de cette liste.

Selon les estimations de l’ATIH (agence), ces médicaments et DMI (dispositifs médicaux implantables) onéreux auraient représenté 2,727 milliards d’euros de dépenses en 2010 (Source : Les réalisations de la campagne budgétaire 2010. ATIH. 29/07/2011)

Ici même, dans un article du 18/08/2011 intitulé “La liste des médicaments onéreux : Propositions pour réformer un système dispendieux, opaque, irrationnel et non éthique, qui profite bien plus aux firmes qu’aux patients, nous avions présenté le tableau édifiant de la “minceur” du progrès thérapeutique réellement apporté dans leurs principales indications AMM par les 10 molécules anticancéreuses les plus coûteuses en 2008 et 2009 selon les chiffres de l’INCa (Institut national du cancer) et d’après les évaluations de l’amélioration du service médical rendu (ASMR) effectuées par la commission de la transparence de la HAS (Haute Autorité de Santé). »

Cette liste dispendieuse qui devait être remaniée, supprimée, limitée, est apparemment toujours en cours.

« Note en juillet 2022 11: Notice d’information relative à la procédure d’inscription et de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L162-23-6 du code de la sécurité sociale.

Résumé : Cette notice d’information a pour objet de décrire la procédure de demande d’inscription ainsi que la procédure de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L. 162-23-6 du code de la sécurité sociale, dites listes “en sus”, en application des articles R. 162-37 à R. 162-37-5 ou R. 162-34-12 à R. 162-34-15 du même code. »

Source > ATIH, données ScanSanté. Éditions 2019 DREES

Cette gabegie ne fait que se poursuivre :

« En 2017, la dépense pour les médicaments et dispositifs médicaux figurant sur la liste des produits et prestations pris en charge par l’assurance maladie obligatoire en sus des prestations de séjour et d’hospitalisation, dite “liste en sus”, s’élève à 5,4 milliards d’euros. Cette dépense a augmenté de 8,5 % par rapport à 2016, et de 30 % en cinq ans, bien plus rapidement que l’ensemble de la consommation des soins hospitaliers (+9,8 % depuis 2012) »

« Elle représente 5,8 % de la consommation hospitalière et se concentre sur un faible nombre de médicaments et de dispositifs médicaux ».12

Les traitements anticancéreux et pour les maladies auto-immunes représentent 80 % des remboursements de la liste en sus.

Deux classes thérapeutiques de médicaments comptent pour 80 % de la dépense totale : les antinéoplasiques (L01, médicaments anticancéreux), pour un peu plus de 60 %, et les immunosuppresseurs (L04, traitements pour les maladies auto-immunes), pour un peu moins de 20 %.

La classe des antinéoplasiques augmente fortement en 2017 (+21 %), s’élevant à 2,1 milliards d’euros. La dépense pour les immunosuppresseurs recule légèrement en 2017 (-1 %), pour s’établir à un montant de 640 millions d’euros. D’autres classes ont un poids non négligeable sur la dépense en 2017 : — les sérums immunisants et immunoglobulines (J06) : 8 % de la dépense les autres produits liés au tractus digestif et au métabolisme (A16) : 5 % ; — les antihémorragiques (B02) : 4 % ; — les antimycotiques (J02) : 3 %.

AGENCES, AUTORISATIONS

Le drame est bien sûr l’autorisation du remboursement de médicaments au service médical rendu nul (ASMR V) ou faible, via les très probables conflits d’intérêts multiples et dénoncés depuis tant d’années.

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Conflits d’intérêts et risques sanitaires13

« L’objet social des firmes pharmaceutiques est, comme pour toute entreprise, de réaliser des profits en vendant un produit. Et elles y excellent : la pharmacie est de loin le secteur industriel le plus rentable. La marge sur les médicaments phares (“blockbusters”) atteint ainsi 80 % (1), selon l’enquête sectorielle réalisée par la Commission Européenne. De surcroît, c’est un secteur peu sensible aux cycles économiques, moins risqué que la plupart des secteurs industriels. Ainsi la valorisation boursière de Roche a augmenté de 8,1 milliards d’euros en 2013, en pleine crise économique. Les actions des firmes pharmaceutiques figurent systématiquement dans les portefeuilles des gestionnaires de fonds, en tant que valeurs “défensives”.

« Cette économie de rente a été rendue possible grâce à la conjonction de deux stratégies : l’évitement du risque de recherche, en chargeant la recherche publique et les PME de tous les risques de recherche fondamentale, et l’éviction du risque réglementaire en capturant les autorités chargées de réguler le secteur (Agence Européenne du Médicament, ANSM notamment).

Le marketing, dont l’essentiel consiste en l’établissement de liens d’intérêts avec les professionnels de santé, est une activité indispensable pour servir efficacement cet objectif. Cette activité est tellement stratégique qu’elle engloutit en France 3 milliards d’euros par an selon un rapport de l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales) de 2007. Un chiffre à comparer au déficit de la branche maladie de la Sécurité Sociale, de 4,6 milliards la même année, et qui représente en moyenne pour un laboratoire le double de son investissement en recherche.

Grâce à l’établissement de liens étroits au sein même des autorités de santé — Agence européenne du médicament (EMA) ou Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour la mise sur le marché, Comité Économique des Produits de Santé (CEPS) pour la fixation du prix, Direction Générale de la Santé (DGS) pour le remboursement (cf. chapitre 3) — le contrôle réglementaire n’est plus qu’une formalité sans surprise : 95 % des demandes d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) déposées auprès de l’EMA sont accordées. En France, la procédure de dépôt de prix permet à une firme de fixer unilatéralement son prix, même pour une innovation mineure (ASMR IV) ».

D’après la revue Prescrire, entre 2002 et 2016, les nouveaux médicaments : 1 % apportent une avancée réelle, 6 % présentent un avantage, 56 % n’apportent rien de nouveau, 15 % ne devraient pas être autorisés.

ÉVIDEMMENT LES SCANDALES SE SONT MULTIPLIÉS

Mais sans le moindre effet, comme le démontre chaque jour un peu plus le drame des effets secondaires dissimulés des injections géniques Pfizer, laboratoire déjà tellement condamné avant ces pseudovaccins !

Quelques exemples :

En 2007, Merck a sciemment dissimulé les complications cardiovasculaires du Vioxx (rofécoxib) et a payé 4,85 milliards de dollars pour éteindre les actions collectives en justice aux États-Unis.14

En 2012, GSK (GlaxoSmithKline) a payé une amende de 3 milliards de dollars pour avoir notamment dissimulé les effets indésirables de la rosiglitazone (Avandia) à la FDA (Food and Drug Administration).

En avril 2014, une enquête de l’EMA a montré que la firme Roche avait dissimulé des dizaines de milliers d’effets indésirables de plusieurs de ses médicaments.

Récemment, la crise des opioïdes, qui correspond à l’augmentation rapide de l’usage d’opioïdes a déjà fait des centaines de milliers de victimes par overdose, aux États unis principalement et au Canada15.

Le scandale a été sanctionné financièrement : le laboratoire Johnson & Johnson et trois gros distributeurs américains de médicaments ont accepté de payer 26 milliards de dollars pour solder des milliers de litiges16, le cabinet Mac Kinsey 573 millions de dollars pour solder des poursuites judiciaires, mais aussi pénalement avec une peine de cinq ans et demi de prison de John Kapoor, fondateur d’Insys Therapeutics, Reconnu coupable d’association de malfaiteurs17.

ALORS SI LES RESPONSABLES POLITIQUES AVAIENT ÉTÉ EN CHARGE DE LA SANTÉ DES POPULATIONS ET NON PAS DE LA FINANCE MONDIALE, AURAIENT-ILS LAISSÉ FAIRE PFIZER OU MODERNA ?

Le passif judiciaire de PFIZER, c’est un poème à lui tout seul !

La seule solution pour sortir vraiment de la destruction du système de la santé en France (et en Occident) est de lutter contre les conflits d’intérêts et les liens funestes entre industrie pharmaceutique, lobbies auprès des assemblées nationales ou européennes, ONU, etc.. , bureaucratie et dirigeants du monde.

Regardez qui était à Davos et n’a d’ailleurs pas répondu aux questions de journalistes ?

Et qui met en exergue ces conflits d’intérêts dans toutes les manifestations afin que le peuple SACHE ENFIN ?

Comme en Angleterre en ce 22 janvier ?





L’effondrement, et après ? (Partie 2)

[Ce texte fait suite à Heurs et malheurs de la France]

Par Bernard Thoorens

Avec la dégradation généralisée des valeurs morales et spirituelles, de la culture, de la vie politique, des institutions, des conditions de vie, je pense que nous sommes dans un monde qui touche à sa fin. Le Malin, quelle que soit sa nature et quelles que soient nos croyances, a toujours existé et a toujours été à l’œuvre, destructrice. En particulier, de tout temps il s’est manifesté au sein de l’humanité du côté des puissants qui veulent régenter la société contre son gré. De l’autre côté, il y a les peuples qui endurent et qui souffrent. C’est inhérent à notre condition de vie sur Terre.

Mais aujourd’hui, à la faveur d’un capitalisme débridé et de catalyseurs puissants, la mondialisation et le numérique, les forces du mal sont devenues hégémoniques. Elles s’exercent particulièrement au travers de multinationales prédatrices (Big Pharma, Big Techs, armement, (dés)information, fonds spéculatifs…). Derrière ce cartel funeste opèrent des familles régnantes de longue date, Rockefeller, Rothschild, Carnegie, Windsor, etc., et aussi de nouveaux entrants, ultra-riches psychopathes tels que Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg, dont on voit bien les desseins liberticides ou mortifères. Aux tenants de ce haut de pyramide sont affiliés des lieutenants qui s’imaginent faire partie du gotha et ne sont en réalité que des marionnettes que l’on manipule. En France, ils s’appellent Macron, Attali, Fabius, Drahi, et eux-mêmes drainent leurs cliques de laquais, y compris au sein même de nos représentants nationaux et locaux, qui exécutent les ordres par lâcheté, intérêt ou idéalisme aveugle.

Par ailleurs, nous autres, les milliards de terriens — qui ne « sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine », comme le disait si justement Pierre Teilhard de Chardin — nous sommes nés libres pour accomplir notre vie terrestre. Croyants ou non, nous ne demandons rien de plus que de pouvoir suivre nos chemins de vie dans le monde où nous vivons, notre monde.

Notre monde, partagé entre démocratures, dictatures et états totalitaires, engagé dans des voies purement matérialistes, court après un « progrès » effréné dont l’aboutissement naturel est le transhumanisme. L’homme augmenté sera surpuissant, mais docile et entièrement sous contrôle, asservi. La population pourra ainsi être privée de liberté, exploitée, réduite en esclavage. Avec l’élimination des inutiles (les retraités, les malades et les simples d’esprit) qui constituent un manque à gagner, et la confiscation des richesses au profit de la caste régnante, ce sera l’aube du Nouvel Ordre Mondial auquel tant de nos dirigeants contemporains aspirent.

Tout dans notre environnement démontre, pour qui veut bien ouvrir les yeux, la convergence des moyens déployés vers cet objectif ultime. Déstabilisation des états souverains (législations supranationales, soutien au terrorisme, corruption des dirigeants), captation des richesses publiques (privatisations forcées, vente d’entreprises stratégiques) et privées (prédation par les multinationales, destruction des petites entreprises et de l’entrepreneuriat individuel), écoute et surveillance des populations (réseau Échelon, réseaux de satellites, intelligence artificielle et exploitation des data par les Facebook, Google et consorts), dénigrement, ostracisation, et parfois aussi assassinat des personnalités honnêtes dénonçant les dérives, remplacement des monnaies fiduciaires par une monnaie unique dématérialisée et centralisée permettant le contrôle des populations, armes psychotroniques (à énergie dirigée, permettant de contrôler les foules), eugénisme (chosifier, sélectionner l’humain, réduire la population mondiale), géo-ingénierie (manipulation du climat avec le programme HAARP), empoisonnement généralisé des sols (pesticides), de l’air (chemtrails et chembombs), de la mer (pollutions massives au mercure et aux plastiques [PFAS]), de l’environnement général (profusion d’ondes électromagnétiques) et finalement de toute la chaîne alimentaire, maladies qui en découlent et explosent (trisomie, autisme, cancers, maladies auto-immunes), guerres et génocides, destruction des religions et des valeurs traditionnelles, nivellement par le bas de l’éducation, démantèlement des services publics (SNCF, École, Poste, Sécurité Sociale, hôpitaux), dégradation des communs (faune, flore, eau, air…), désinformation et manipulation des populations par les gouvernements et leurs médias subventionnés, brevetage du vivant, division et opposition des communautés, crédit social (pour les Européens, le pass numérique est une première étape), désintégration de la cellule familiale, promotion des modes de vie alternatifs (LGBTQ), de la pornographie et des changements de sexe dès le plus jeune âge.

Comment ne pas voir, devant une telle profusion et une telle diversité d’exactions, une volonté d’asservir l’humanité ?

À mon sens notre avenir est tracé, des événements graves continueront de survenir dans les mois et les années à venir, qui risquent de mettre à mal notre intégrité, notre liberté, nos vies.

Face à cela, n’attendons rien des politiques en place, ni de leurs opposants, ni d’un sauveur providentiel. Le système est arrivé à un tel niveau de corruption et de désagrégation qu’un sauveur ne peut plus émerger. Ne comptons que sur nous-même, notre famille, nos amis, nos réseaux de solidarité, notre Dieu. Ne craignons pas l’avenir, l’adversité, la critique, la discrimination, l’injustice, la persécution, c’est notre condition d’humains. Restons libres, droits, unis, solidaires. Faisons notre part avec courage, charité et espérance. Vivons pleinement, accomplissons notre vie terrestre et vivons notre vie spirituelle : soyons en harmonie avec la nature et avec Dieu.

Ainsi, de même que nos pensées négatives de vengeance, jalousie, défiance… alimentent un égrégore qui a une influence sur les comportements et les pensées de nos contemporains, de même, notre générosité, notre bienveillance, notre amour ont un effet bénéfique sur notre entourage immédiat et lointain. Comme nous l’ont enseigné nos parents, continuons de pratiquer et de prôner l’exemplarité.

Viendra un temps, pour nous ou nos enfants, de reconstruire ce qui aura été détruit.

… Ou pas. Peut-être sera-ce la fin du monde tel que nous le connaissons, qui de toute façon n’a pas vocation à perdurer, contrairement à nos âmes qui elles, sont éternelles.




Pour nos enfants et leur avenir, stoppons la marche vers l’état policier à la chinoise

Par Nicole Delépine

Protéger vos enfants, conseils pratiques de R J Kennedy et de son équipe

Les Américains comme les Européens, dans le cadre de la normalisation de l’Occident aux ordres de la mondialisation de Davos et cie, voient leurs libertés chèrement acquises depuis deux siècles, fondre au soleil malgré leur inscription dans le marbre de la Déclaration des droits de l’homme et la chartre de l’ONU.

L’équipe de l’avocat RJ Kennedy, président du Children’s Health Defense, a publié fin décembre quelques conseils aux parents pour tenter de préserver leurs enfants des ravages de la pensée unique et de la manipulation à l’école, ou via le cinéma, les séries, et les réseaux sociaux. Nous vous partageons ici quelques extraits de leurs suggestions, vous invitant à lire la totalité du texte de « the defender » :

Pour nos enfants et leur avenir, stoppons la marche vers l’état policier à la chinoise

Voici quelques propositions à l’intention des parents pour aider les enfants à résister à la pression de la « conformité » proposées dans l’article de The Defender1.

The Defender revient sur les contraintes imposées aux familles depuis le début de la crise covid « de la part des gouvernements, des écoles, des fondations, de Big Tech, de Big Pharma et d’autres pour détourner, blesser ou détruire l’esprit et le corps des enfants ».

Pour les auteurs de cet article, ces agressions contre les enfants — et adultes — sont le reflet d’un programme de contrôle à long terme largement financé visant à la mise en œuvre des identités numériques, du scoring social et de « la surveillance et le suivi complet de chaque être humain grâce aux mécanismes déjà en place ».

Lors du rassemblement « Defeat the Mandates »2 en janvier 2022, le président de la Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy Jr, a affirmé : « ils viennent pour nos enfants ». Et malheureusement les pouvoirs publics ont poussé avec l’aide de trop d’organisations à l’injection des nourrissons, des enfants de maternelle et des étudiants harcelés tout au long de l’année.

Ces injections sont à l’origine de complications graves, mais restent recommandées par nos gouvernants malgré les preuves accablantes que ces vaccins devaient être retirés du marché de toute urgence. Les parents cherchent donc des solutions pour épargner leurs enfants.

Choisir l’enseignement à domicile

Dans une série en neuf parties écrite au début de l’année, la journaliste Corey Lynn, de Corey’s Digs, a décrit les efforts globaux d’ingénierie sociale — « formation à l’obéissance » — déployés de manière coordonnée dans 110 pays, en partie par le biais de programmes scolaires d’« apprentissage social et émotionnel ».

Mis en œuvre par des éducateurs, des conseillers et d’autres professionnels dans « les écoles publiques, les écoles à charte, les programmes extrascolaires, les camps d’été, les écoles virtuelles et l’enseignement à distance », l’objectif est, selon Lynn, « de former les esprits, de réguler les émotions, de contrôler les comportements, d’inculquer des croyances tordues et de constituer une main-d’œuvre obéissante ».

La cinglante dénonciatrice de l’éducation Charlotte Thomson Iserbyt, ancienne conseillère politique principale du ministère américain de l’Éducation, aujourd’hui décédée, a décrié « l’abrutissement délibéré de l’Amérique » et a retracé le passage du système éducatif « de l’académie à la modification du comportement » depuis au moins 1965.

Même les écoles privées, sous la coupe de l’Association nationale des écoles indépendantes [National Association of Independent Schools], semblent avoir perdu tout vestige d’« indépendance », les contrats d’inscription interdisant aux parents de « [voicing] désaccord profond avec la politique ou les programmes de l’école, sous peine d’expulsion ».

En réponse à l’imposition désastreuse par les écoles de mesures telles que l’apprentissage à distance et le masquage en 2020, un nombre record de familles se sont tournées vers l’enseignement à domicile aux USA, avant COVID-19, environ 3,4 % des enfants d’âge scolaire étaient scolarisés à domicile, mais au début de l’année scolaire 2020-2021, l’estimation du Bureau du recensement des États-Unis était passée à 11,1 %. L’enseignement à domicile est aujourd’hui la forme d’enseignement qui connaît la plus forte croissance aux États-Unis.

Arrêtez l’empoisonnement 3

(…) Une masse critique de parents vient à considérer les vaccins comme un « truc d’escroc », comprenant que les promesses de sécurité des vaccins étaient fausses et empreintes de conflits d’intérêts bien avant l’arrivée des vaccins contre la COVID-19 — et en fait, depuis le tout début des programmes de vaccination des enfants.

Les auteurs conseillent également aux parents désireux d’effectuer le propre parcours nutritionnel et sanitaire de leur famille « constateront qu’il est peut-être à leur portée de réduire, voire d’éliminer complètement, l’exposition de leurs enfants à d’autres poisons courants tels que les additifs alimentaires, le glyphosate, les pesticides organochlorés et organophosphorés et les médicaments en vente libre comme l’acétaminophène, dont les dangers sont largement sous-estimés ».

Réduire le temps passé devant l’écran

Les Américains parlent de déficit des enfants du temps passé avec la nature.4

« Avec l’aggravation des habitudes des enfants face aux écrans au cours des dernières années, le déficit de nature est devenu un “sujet brûlant. Des chercheurs inquiets décrivent également comment les écrans supplantent des “activités bénéfiques pour le développement aussi fondamentales que le sommeil, l’activité physique, les interactions familiales et la lecture de livres ».

L’addiction aux écrans ou aux médias sociaux

Aux USA, The Defender met en lien les conséquences toxiques des addictions aux écrans avec les insomnies, les troubles de l’alimentation et les suicides, etc. Sont apparues des poursuites judiciaires alléguant que les sociétés de médias sociaux déploient « agressivement » des algorithmes conçus pour rendre les enfants et les adolescents dépendants.

ÉVITER LA CONTAMINATION PAR LES RÉSEAUX DE PSEUDO-TROUBLES DU GENRE

L’article insiste aussi sur le rôle majeur des dits « influenceurs sociaux » qui joueraient un rôle important dans l’apparition d’une épidémie de « dysphorie de genre » qui évolue à toute vitesse et du jour au lendemain pour certains enfants, même très jeunes, en même temps que certains de leurs petits camarades et depuis quelques années également dans notre France jusque-là relativement épargnée5. Catherine Austins, de « Financial Rebellion » et du Solari Report, explique que :

« Les enfants sont la cible de certaines des personnes les plus puissantes et des technologies les plus dangereuses de la planète ».

C’est aux parents de « comprendre cela et de les protéger ».

Apprenez aux enfants à utiliser de l’argent comptant, pas du plastique

Il serait très important d’expliquer à toutes les générations, mais en particulier aux jeunes, de l’utilisation de la monnaie numérique qui permettrait le contrôle total de toutes les transactions et aux banques centrales d’activer et de désactiver l’argent des gens à volonté.

Malheureusement, les jeunes générations se dirigent résolument vers cette vision dystopique. Selon une étude réalisée par Capital One en 2021, les milléniaux « délaissent de plus en plus les dépenses en espèces » au profit des systèmes de paiement numériques.

« Mme Fitts est une fervente partisane de la revitalisation de l’utilisation de l’argent liquide.

Les parents peuvent aider en étant eux-mêmes des modèles d’argent liquide, mais aussi en faisant en sorte que leurs enfants “commencent à manipuler de l’argent liquide dès leur plus jeune âge”.

En 2015, la rédactrice en chef Janet Bodnar du Kiplinger’s Personal Finance a estimé que “l’utilisation d’argent comptant est le meilleur moyen d’amener les jeunes esprits à penser sagement à l’argent”, y compris les adolescents plus âgés qui peuvent bénéficier de “la discipline de la gestion d’une réserve d’argent réel”.

Mme Bodnar a rejeté comme imparfait l’argument parental selon lequel le plastique peut enseigner aux enfants la “responsabilité financière”.

Un expert britannique en mathématiques a déclaré au Guardian en 2021 : “Être capable de manipuler de l’argent et d’acheter quelque chose soi-même est très spécial : cela renforce votre confiance avec l’argent.” »

Ne tombez pas dans les pièges de la santé mentale

Comme l’a récemment souligné The Defender, la surveillance psychiatrique du berceau à la tombe est un « outil furtif de contrôle social, et risque également d’avoir des conséquences stigmatisantes et potentiellement mortelles comme le surdiagnostic, la surmédicalisation et la surmédication. »

Selon la CCDH :

« Le dépistage de la santé mentale pose aux jeunes étudiants des questions embarrassantes, personnelles et potentiellement bouleversantes que les psychiatres ont formulées de telle manière qu’aucun étudiant ne pourrait échapper à l’étiquette de malade mental à un moment ou à un autre de sa scolarité. »

La CCDH ajoute : « Ces questionnaires peuvent déboucher sur une intervention psychologique ou psychiatrique dans la vie d’un enfant et de sa famille — souvent contre leur gré ou sous la menace. »

Il faudrait « s’unir pour faire expulser le dépistage psychiatrique des écoles ».

Cessez de financer l’ennemi

L’auteure Naomi Wolf a récemment bravé l’université de Yale, en démontrant que « le vaccin contre la COVID-19 imposé par l’université transforme les étudiants en “otages médicaux” et constitue un trafic d’êtres humains. »

Dans son compte rendu de la visite à Yale, Mme Wolf décrit les conversations avec les parents, qui ont déclaré que « leurs enfants les avaient suppliés de ne pas parler, de ne pas appeler le doyen, de ne pas plaider en leur faveur pour les protéger de ces injections, de quelque manière “que ce soit”, par crainte de représailles et d’expulsion. »

Les parents ont le devoir de s’assurer que leurs jeunes comprennent ce qu’ils échangent contre le prestige — y compris, potentiellement, leur santé, leur fertilité future ou leur vie.

(…) les parents qui donnent à leurs étudiants actuels ou futurs la permission et le courage de fuir tout établissement d’enseignement supérieur qui se montre prêt à les empoisonner et à les priver de leurs libertés constitutionnelles peuvent offrir à leurs enfants une leçon de vie encore plus puissante.

Dites non à la grille de contrôle

Selon les mots de M. Kennedy :

« Nous pouvons dire non à la conformité avec les vaccins pour le travail, non à l’envoi des enfants à l’école avec des tests et des masques forcés, non aux plateformes de médias sociaux censurées, non à l’achat de produits des entreprises qui font faillite et cherchent à nous contrôler. Ces actions ne sont pas faciles, mais vivre avec les conséquences de l’inaction serait bien plus difficile. En faisant appel à notre courage moral, nous pouvons arrêter cette marche vers un État policier mondial. »

La source originale de l’article intégral est The Defender
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