Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?

[Source : AIMSIB]

Par La rédaction de l’AIMSIB

Cette semaine Marceau nous entraîne en 1986 aux USA, probablement au moment où la pire conséquence générée par la guerre froide a vu le jour. Puisque la protection des populations et des armées US nécessitait qu’on puisse déployer rapidement des anti-poisons en cas d’attaque Russe, la loi fédérale dut prévoir cette éventualité. Mais quel rapport avec la vaccination des bébés européens, me direz-vous ? Corollaire évident : ne serions-nous pas que des « Américains ratés » ? Bonne lecture.

Des bébés-parapluies

Arrêtons-nous un instant sur les États-Unis qui sont utilisés comme exemple pour imposer à nos enfants toutes les potions magiques qui sont injectées aux enfants américains. Nos politiques, médecins VRP et médias financés par le gouvernement nous disent souvent : regardez, les États-Unis ont rendu ce vaccin obligatoire depuis X années et tout se passe bien. Et ceci pour tous les vaccins qu’ils veulent rendre obligatoires en France.

En revanche ce qu’ils ne disent pas – mais je suis convaincu que beaucoup NE SAVENT PAS – c’est qu’aux USA, il ne peut pas y avoir de procès contre les vaccins recommandés par le CDC, même s’ils ne sont pas obligatoires !

Expliquons-nous : dans les années 80 après de nombreux procès perdus par les fabricants de vaccins à la suite de plaintes de parents d’enfants morts ou gravement blessées par des vaccins, les boites pharmas ont menacé les politiciens américains d’arrêter de fabriquer des vaccins s’ils ne passaient pas une loi les protégeant contre toute poursuite en cas d’effet secondaire grave ou mort.

C‘est donc le 14 Novembre 1986 que le président Ronald Reagan signe le « National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA) » créant un fonds de compensation fédéral pour indemniser les victimes des vaccins, tout en donnant l’immunité TOTALE aux fabricants pour tous les vaccins mis dans le calendrier de vaccination des enfants recommandé par le CDC dès le début de la vie.

Vous comprenez donc pourquoi la FDA et le CDC, qui entretiennent des relations très étroites avec des labos comme Pfizer ou Moderna, ont validé toutes les injections COVID-19 jusqu’aux bébés.

Dès lors, une fois l’état d’urgence levé, plus personne ne pourra plus se retourner contre les fabricants car les injections sont incluses dans le calendrier vaccinal des bébés recommandé par le CDC, même si elles ne sont pas obligatoires.

Si les bébés et jeunes enfants n’avaient pas été inclus, dès la levée de l’état d’urgence sanitaire aux USA, tous les adultes auraient pu se retourner au pénal contre Pfizer and Co.

MAIS, il y a une limite à cette immunité donnée aux fabricants de vaccins : si les victimes peuvent prouver que le fabricant a caché des données importantes, menti sur l’innocuité de ses injections en connaissance de cause, falsifié les données ou les essais cliniques, alors cette protection par le « Vaccine Act » tombe.

Des trous dans le parapluie

Il y a eu beaucoup de plaintes déposées depuis 2006 contre Merck, mais jusque-là les victimes ont toutes été déboutées car les juges ont estimé qu’il n’y avait pas de preuves suffisantes pour prouver que Merck aurait menti et triché sur les essais cliniques. Les victimes étaient donc invitées à demander compensation auprès du gouvernement fédéral pour leur blessures et maladies causées par le vaccin.

Après des années et des milliers de plaintes rejetées par la justice considérant qu’elles relevaient du « National Childhood Vaccine Injury Act », il semble enfin que les preuves accumulées ne puissent plus être ignorées par les juges pour traduire Merck en justice.

Ce procès qui va avoir lieu aux USA début 2023 contre Merck concernant le désastre du Gardasil avec les effets secondaires graves est donc véritablement exceptionnel, car en dépit du « Vaccine Act », le juge a estimé qu’il ne pouvait pas fermer les yeux et que Merck ne pouvait plus se prévaloir de cette protection. [1]

En ce qui concerne les injections COVID-19, nous avons déjà accumulé toutes les preuves et il sera aisé pour les victimes de démontrer la fraude bien plus rapidement qu’avec le Gardasil.

Donc, à l’avenir quand on vous donnera les USA comme exemple en vous disant ce vaccin a été rendu obligatoire depuis tant d’années sans problème (sous-entendu le vaccin est toujours administré et qu’il n’y a pas de plainte) rappelez-vous de ce « Vaccine Act » qui protège complètement les fabricants et laisse les victimes démunies.

De la même manière, quand n’importe quel vaccin est validé par le CDC américain pour les enfants et que vous ne comprenez pas pourquoi, rappelez-vous que l’immunité pénale ne fonctionne que si le vaccin est sur le calendrier des bébés, même s’il n’est donné qu’à l’adolescence, car il s’inscrit déjà dans le calendrier des 0-18 ans.

Ce qu’a imposé Pfizer à la France, par le biais du contrat européen négocié via SMS par Sainte Ursula von der Leyen, mais aussi à presque tous les gouvernements du monde dans le but de pouvoir soumettre les populations à ces injections mortelles dites COVID-19, n’est rien d’autre qu’une réplique de ce « Vaccine Act » en vigueur aux USA.

Les labos pharmas ont donc réussi à décliner dans le reste du monde ce qui n’existait qu’aux USA : leur immunité TOTALE en cas d’effets secondaires liés à la vaccination dans le cas des injections COVID19 !

Depuis le « Vaccine Act » et sous la pression du département américain des armées, les vaccins jouissent également d’une nouvelle règlementation particulière exonérant les fabricants de la nécessité d’utiliser un vrai placebo dans les essais cliniques et d’effectuer de nombreux tests pour prouver leur innocuité comme la bio-distribution, la génotoxicité, la carcinogénicité, etc… qui étaient pourtant nécessaires et indispensables pour obtenir l’homologation.

Pourquoi les militaires ?

Il ne pouvait y avoir une règlementation aussi lourde car en cas d’attaques ou de menaces bactériologiques visant les militaires, l’armée américaine devait pouvoir rapidement formuler et injecter les soldats sans avoir à passer tous les tests de sécurité afin de théoriquement pouvoir les protéger.

Le problème est que cette règlementation s’applique désormais aussi à tous les vaccins destinés à la population civile ! Ce court-circuit ayant bien entendu été opportunément maintenu pour le plus grand bien de Big Pharma et Fauci & Co, mais au détriment des citoyens.

NOTRE PROBLÈME est que L’EMA en Europe ne fait que suivre les recommandations de la FDA américaine, donc en réalité l’Europe est sous la même règlementation imposée par l’armée américaine.

Le fait que les vaccins rendus obligatoires par les états mafieux gangrénés par les lobbys pharmas, comme la France, transfère l’indemnisation des victimes du fabriquant vers l’état (ONIAM en France) revient effectivement à appliquer le même « Vaccine Act », sans qu’aucune loi française ne le permette ! [2]

Et enfin, comme l’a indiqué la députée européenne Virginie Joron [3], c’est Emmanuel Macron qui a poussé la Commission Européenne à négocier les contrats directement avec les fabricants de vaccins Covid-19 car il savait que le code pénal français ne lui permettrait pas de signer une telle clause d’immunité !

Pas merci à lui…

Le décor est planté, nous allons ensuite pouvoir plonger dans le vif du sujet…

Marceau 
Février 2023

Pour retourner vers le premier épisode :

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

Pour retourner vers l’épisode précédent:

https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/

Ne ratez pas le prochain épisode :

Gardasil épisode 4 : Mais au fait le Gardasil, c’est quoi?

Notes et références 
[1] https://www.law.cornell.edu/uscode/text/42/300aa-22
[2] https://www.youtube.com/watch?v=hE6A7dfku38
[3] https://twitter.com/v_joron/status/1603691701851357184?s=20




Délitement de l’État-Macron et déconfiture de l’UE

[Source : observatoiredumensonge.com]

Par Daniel Desurvire

Sommaire
1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste
2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
4°) Telle une razzia de barbares, la macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France.

1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste

Je ne saurais me convaincre de prémonition autour de quelque projection d’avenir, si d’aventure il m’arrive d’avoir vu juste sur la coïncidence des faits, notamment depuis janvier 2021 avec « L’absurde traitement du Covid-19 qui préluda une manipulation tant sociale que génétique du vaccin » et la dizaine d’autres ouvrages qui suivirent aux éditions Observatoire du Mensonge. Des évènements à échoir peuvent survenir de façon prévisible, perceptible eu égard au profil singulier de certains personnages publics, ce qui n’est pas un don de clairvoyance, mais un réflexe de lucidité. C’est avec des cas d’école, tels Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen, lesquels brûlent dans la constance de leurs obsessions dominatrices et vénales, qu’apparaît lisiblement leur l’appétence du pouvoir et de l’argent.

Pour briguer de tels objectifs, tous les moyens leur sont bons. Pour preuve, un rapport venant de la médiatrice européenne Emily O’Reilly, étayé par l’expertise de deux ONG (StopAids et GHA), accable la politique vaccinale contre la Covid emmenée par Ursula von der Leyen (in, Euractiv France, Clara Bauer-Babef, 20 janv. 2023). Cette enquête dénonce sans ambages l’influence démesurée du lobbying des firmes pharmaceutiques, en particulier chez Pfizer, sur le commerce des vaccins-Covid dans l’Union, avec des marchés menés dans une opacité critique par la présidente de la Commission européenne. Des intérêts privés ont très rapidement pris le pas sur la notion de « bien commun » engagée par les décideurs européens durant la pandémie.

De fait, dès juin 2020, la Commission passa des commandes aux laboratoires, dont la précipitation laisse pantois ; à savoir qu’un délai si court entre la pandémie reconnue fin 2019 et la mise au point de ces vaccins dont les premières doses furent administrées dès 2020 ne saurait permettre de respecter les étapes cliniques de contrôle, de randomisation et d’AMM, pourtant rendues obligatoires, eu égard aux principes de précaution imposés aux produits pharmaceutiques. Dans cette précipitation, l’Agence européenne des médicaments (EMA) autorisa l’injection des produits livrés par Pfizer, Moderna, AstraZenica, Janssen, Novavax et Valneva, avec ± 70 % des adultes vaccinés, dans les États membres de l’Union, fin juillet 2021.

L’absence de transparence sur ces contrats financés par les fonds publics met en exergue des malversations vraisemblables, dont il est fait état par le secret entretenu autour des échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla, portant sur la négociation de commandes pour 1,8 milliard de doses de vaccins-Covid. Alors que le vice-président de la commission, Margaritis Schinas prend la défense de sa patronne en prétextant qu’un tel marché ne se négocie pas par SMS, Marc Botenga pour la commission d’enquête rétorqua, « Qu’il s’agit de prendre connaissance de l’influence de ces SMS sur la négociation ». Cette absence de coopération d’Ursula von der Leyen sur ces échanges laisse planer un doute, quant à une suspicion qui plane sur la nature de ces contrats possiblement entachés de corruption, ce que laisse entendre Rowan Dunn, coordinatrice du plaidoyer pour l’Union chez GHA.

Sous le sceau de l’urgence, l’absence de garantie des produits et la clause de non-recours en cas d’accident consécutif à cette prophylaxie d’expérience, auront permis auxdits laboratoires d’opposer la propriété intellectuelle sur leurs vaccins, dont le monopole autorise des profits considérables selon le député européen Marc Botenga de l’ONG ; « Un hold-up sur notre sécurité sociale » ! Le manque de coopération de Pfizer, lequel a emporté une très large majorité des contrats, ajouté au silence complice d’Ursula von der Leyen dans les coulisses de ces tractations, le pire apparaît envisageable en termes d’enrichissement personnel, de trafic d’influence, de concussion et de népotisme entre son époux, le Dr Heiko directeur dans une filière du Big Pharma, et l’un de ses fils David, directeur d’un cabinet-conseil McKinsey, principal intermédiaire dans ces marchés.

Les contrats d’achat des vaccins conclus entre le géant pharmaceutique Pfizer et l’exécutif européen seraient, selon l’expression des ONG*, « caviardés », rendus illisibles alors que la médiatrice de l’UE appelle à les rendre publics. StopAids* et GHA* exhortent que les négociations contractuelles, entre les firmes et les commanditaires de l’UE, soient « totalement ouvertes et transparentes, avec des processus établis, plutôt que passées par des canaux informels ». Pour preuve qu’il y a un loup dans la bergerie, puisque les textos passés entre Pfizer et la présidente de la Commission restent enfouis dans les tiroirs de la confidentialité, et ce jusqu’à que soit diligenté une enquête judiciaire. Du côté de l’Élysée, nous observons le même cas de figure avec Emmanuel Macron, qui tout seul mène sa barque dans les canaux souterrains des ententes pour dissimuler ses secrètes complicités entre McKinsey, Pfizer et Ursula von der Leyen, inférant des gesticulations inquiétantes depuis le clair-obscur de sa troublante idiosyncrasie.

Emmanuel Macron n’a certes pas la carrure d’un gestionnaire, pas plus qu’il ne semble habité d’une capacité mentale suffisante. C’est avant tout un arriviste, et même un forcené dès lors qu’il est investi dans une idéologie qui l’envahit et le phagocyte. Par exemple, parvenir à se hisser à la canopée des hommes les plus influents du monde, ou entrer dans le noyau dur de la secte WEF, correspond à ses ambitions mondialistes, où même avoir la main sur un pays comme la France semble pour lui un objectif dépassé, puisque c’est chose faite. Sauf qu’à défaut d’avoir su gérer son pays, il l’a coulé de tous les côtés depuis l’économie, l’industrie, la finance, l’éducation, le social et la politique extérieure, ainsi qu’il fut constaté par l’ensemble des observatoires et instituts indépendants, depuis le sacre présidentiel de ce dernier des rois maudits. Cet esbroufeur n’aurait vraisemblablement pas même su tenir un kiosque à journaux, car il aurait déjà pillé la caisse avant d’honorer ses factures, de la même manière qu’il le fit avec les administrations du 139 rue de Bercy et du 14 avenue Duquesne, parmi les quinze autres ministères ; tous spoliés avec la même avidité.

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

♣ ♣ ♣

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier :
Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?

[Source : kla.tv]

Interview avec David ICKE, janvier 2023

Les faillites, la guerre en Ukraine, les nouvelles lois contre la désinformation et la nouvelle loi sur le partage des charges en Allemagne, tout cela fait-il partie d’un tout ? Dans cette interview, David Icke, connu pour avoir fait de nombreuses prédictions sur la politique mondiale qui se sont réalisées, relie certains points pour nous et montre l’issue des événements mondiaux actuels. Attachez votre ceinture et profitez de cette interview intéressante !

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Transcription

David Icke ! Nous sommes très honorés aujourd’hui de discuter avec David Icke ! David, merci beaucoup d’avoir accepté cette interview !

Icke : C’est un plaisir, Daniel !

Interviewer : Eh bien, je suppose que la plupart de nos téléspectateurs vous connaissent ! Pour ceux qui ne vous connaissent pas, nous pouvons faire une très courte biographie. Peut-être devrions-nous aller directement sur la page de Wikipédia. Que dit Wikipédia ?

Icke : C’est assez long, n’est-ce pas ? Et beaucoup d’informations sont inexactes!

Intervieweur : Oh, absolument ! J’allais quand même lire la première phrase.

Icke : Eh bien, allez-y alors !

Interviewer : Il est dit que David Vaughan Icke est un théoricien du complot anglais et un ancien footballeur et animateur de radio sportif. Souhaitez-vous ajouter quelque chose à cela ?

Icke : Eh bien, je ne suis pas un théoricien du complot ! Je suis un chercheur indépendant conspirationniste. Et qu’est-ce qu’un conspirationniste ? C’est quelqu’un qui se demande si l’autorité vous dit la vérité ou non. C’est aussi simple que ça ! Et bien sûr, le terme « théoricien du complot » vient de la CIA pour ce qui est de son utilisation généralisée dans les années 1960, lorsqu’ils essayaient de discréditer les gens qui ne croyaient pas qu’une balle utilisée pour l’assassinat de Kennedy faisait demi-tour. Et donc, il est maintenant utilisé et répété comme une métaphore, laquelle ne dit pas la vérité – propagande, désinformation. Et je vais vous en donner un exemple personnel, car le 6 novembre, je devais parler à Amsterdam lors d’un rassemblement pour la paix. Et quand l’annonce a été faite que j’allais parler là-bas, cela a fait tout un tollé cousu de fil blanc, bien sûr, qu’on ne devait pas me permettre d’y aller parce que j’étais un antisémite, j’étais un négationniste de l’holocauste etc. Et cela a en quelque sorte créé la fureur parmi les classes « vertueuses ». Tout cela est absurde, mais…

Interviewer : Puis-je intervenir ? Qu’est-ce que le sémitisme ou l’antisémitisme ont à voir avec un discours anti-guerre ? Ou bien est-ce qu’ils sont juste en train de sortir quelque chose de votre passé ?

Icke : Oh, ils ne le sortent pas de mon passé. Ils le sortent tout court. Parce que si vous avez quelqu’un qui dit quelque chose que vous ne voulez pas que les gens entendent et que c’est raisonnable et justifiable dans les faits, alors vous ne le prenez pas pour ce qu’il dit, vous inventez ce qu’il ne dit pas. Là où je veux en venir en termes de théoricien du complot… finalement c’était 24 heures, pas 48 heures avant que je sois censé parler – en fait, j’étais déjà sur la côte Est de l’Angleterre en attendant de traverser le tunnel sous la Manche jusqu’à Amsterdam – le gouvernement Néerlandais a annoncé que, parce que je constituais une menace pour la société, j’allais être banni non seulement des Pays-Bas, mais aussi de 25 autres pays européens. Cela signifie de nombreux autres pays en plus, car les Pays-Bas font partie de ce qu’ils appellent le groupe Schengen de pays qui partagent une politique frontalière commune. Donc quand vous êtes banni, vous êtes également banni par eux. Mais d’autres pays, y compris l’Amérique, utilisent les critères de Schengen pour – eh bien, ils le font quand ça les arrange – pour empêcher d’autres personnes d’entrer dans leur pays et c’est la même chose avec d’autres pays du monde. Donc, alors que je suis assis ici, je suis banni des grandes voies du monde. Mais là où je veux en venir en termes de théoricien du complot, c’est que des gens merveilleux aux Pays-Bas, des avocats, pensaient que ce qui se passait était inacceptable et ils ont donc défié le gouvernement devant les tribunaux et ce qui s’est passé – j’étais au procès – ils ne voulaient même pas me laisser entrer aux Pays-Bas pour comparaître devant le tribunal, je représentais un tel danger ! Et l’avocat du gouvernement a abandonné l’accusation d’antisémitisme en entier et de négation de l’holocauste et tout ça parce qu’il ne pouvait pas la maintenir. Donc, ce qu’ils ont fait, c’est de dire que j’étais anti-gouvernemental et en étant anti-gouvernemental, c’est-à-dire que je disais que le gouvernement ment, ce que le gouvernement néerlandais, comme tous les gouvernements, mais surtout le gouvernement néerlandais, fait à bien des égards par réflexe, que j’étais une menace pour la démocratie. Et puis, c’est là le problème, quand le juge – bien évidemment que ça allait arriver – a rendu son jugement, il a dit que le gouvernement avait raison de m’interdire parce qu’il était clair que j’étais un théoricien du complot. Et donc nous avons maintenant une situation où, si vous défiez le gouvernement de dire la vérité, vous êtes qualifié de théoricien du complot et si vous êtes un théoricien du complot, vous pouvez être banni de 26 pays européens.

C’est donc la voie qui est suivie et c’est la raison pour laquelle toute cette histoire du théoricien du complot et de la théorie du complot est si importante parce qu’elle devient centrale pour justifier de faire taire la dissidence. Donc, même à ce niveau, ces premières lignes de la page Wikipédia n’ont aucun sens en termes de réalité, mais encore une fois, la plupart de ce qui se trouve sur Wikipédia n’en a pas.

Interviewer : Oui, je pense qu’il est temps d’enterrer ce terme si nous le pouvons. Parce que, je veux dire, pourquoi avons-nous même le mot « conspirer » en anglais ? Vous savez, s’il existe une telle chose que la conspiration, si les gens conspirent, le ciel nous interdit de théoriser à ce sujet, n’est-ce pas ?

Icke : Oui, et la plupart de ce que les gens avaient décrit comme une théorie du complot, s’est avéré vrai avec le temps.

Intervieweur : Exactement !

Icke : Bien sûr, il y avait des théories du complot, où vous dites : Eh bien, en regardant les preuves, il semble que ça pourrait être ça, c’est justement ça, d’accord. Mais une grande partie est en réalité prouvable à partir des preuves et au cours des décennies- comme je le dis -, à tel point que c’était une théorie du complot qui s’avère être de plus en plus vraie, et c’est la raison pour laquelle ils veulent la discréditer bien sûr, si ce n’était pas vrai, ils n’auraient pas de problème avec ça. Ce qui leur pose problème, c’est le fait qu’elle est vraie. Ce que nous voyons, et c’est la société en général, c’est la façon dont elle est structurée : tout est inversé, tout est à l’envers. Et il n’y a pas de plus grand exemple de cela que les termes de propagande et désinformation sont des termes injurieux pour des personnes qui produisent des preuves crédibles. Des termes utilisés par des personnes qui mentent 24 heures sur 24, et même dans leur sommeil probablement. Nous ne devons donc pas nous soucier des étiquettes et nous énerver à cause des étiquettes. Nous devons juste continuer à marteler ce que nous disons parce que, vous savez, en fin de compte, ce qui pousse les gens à envisager d’autres possibilités, plus que toute autre chose, c’est leur propre expérience. Et depuis le tournant de l’ère Covid, ce que les gens ont expérimenté, c’est la suppression de la liberté à un rythme de plus en plus rapide. Et c’est ce qui les terrifie. Ce que j’ai dit il y a des décennies, c’est que le plan était – et c’est pourquoi ils ont introduit les nombreuses manières, les nombreuses raisons d’avoir Internet – parce qu’ils voulaient finalement une situation où personne ne verrait ou n’entendrait jamais quoi que ce soit qui n’ait pas été approuvé par le gouvernement, je veux dire carrément « 1984 » [1984 = Un roman dystopique écrit par George Orwell décrivant la vie d’un non-conformiste dans un État totalitaire]. Et c’est là où nous allons, je veux dire que nous avons une législation en cours d’examen au parlement britannique, appelée « projet de loi sur la sécurité en ligne » qui est conçue pour supprimer davantage le fondement-même de la liberté d’expression, et des lois similaires sont en cours dans le monde entier. La raison pour laquelle cela se produit – nous revenons au fondement de tout cela – c’est que l’autorité nous ment, elle nous ment à une échelle d’une telle ampleur peut-être jamais vue auparavant. Et parce qu’elle ment, elle ne supporte pas les interrogations. Donc, toute l’idée de la censure est d’arrêter cette analyse.

Interviewer : Oui, je ne comprends pas pourquoi ceci n’est pas plus évident pour tout le monde. Théoricien du complot signifie maintenant quand vous allez devant un tribunal, quand vous avez un procès en Hollande et qu’ils disent qu’on vous accuse d’être anti-gouvernemental. Quelle constitution dans le monde occidental, ou probablement même dans le monde, a écrit que vous ne pouvez pas être anti-gouvernemental ? C’est scandaleux !

Icke : Oui, et l’histoire, vous savez, c’est que nous sommes allés au tribunal avec ça et nous allons continuer, mais nous sommes allés au tribunal avec ça sans penser que nous allions gagner tout en sachant que nous n’allions probablement pas gagner, parce que c’était évident, c’est la façon dont le système est ficelé maintenant : ce sont les mécanismes de contrôle de l’autorité gouvernementale, ce ne sont que des illusions. Et donc on savait bien que ce juge de district aux Pays-Bas n’oserait pas aller à l’encontre du gouvernement. Et donc il a pris une décision et un jugement ridicule que parce que j’étais un « théoricien du complot », c’était justifié que je sois banni de 26 pays européens. Et il était d’autant plus d’accord avec les gens intelligents qui voient cela comme un outrage qu’il ne l’aurait été d’aller à l’encontre du gouvernement qui l’emploie et qu’il aurait bousculé à ses risques et périls. C’est ainsi que cela fonctionne, tout le système est ficelé. Et je ne dis pas que tous les juges sont corrompus, même si beaucoup d’entre eux le sont, corrompus pas nécessairement dans le sens de prendre de l’argent, mais corrompus en termes de corruption morale en ce sens qu’ils prendraient des décisions en fonction de ce qui est bon pour eux plutôt que de ce qui est bon pour la justice. Et c’est, à mon avis, ce qui s’est manifestement passé dans ce cas.
C’est la même chose partout dans le monde, c’est la même chose que ce que vous voyez en Amérique. Vous savez, j’ai été stupéfait quand j’ai entendu pour la première fois l’expression « le juge est un démocrate » [démocrate = membre du parti démocrate aux États-Unis], « le juge est un républicain » [républicain = membre du parti du parti républicain aux États-Unis]. C’est quoi, ça ? Qu’importe le parti des politiciens, et pourquoi devons-nous le savoir de toute façon ? Quelle en est la pertinence ? Si vous êtes un juge au sens propre du terme, vous prenez des décisions sur la preuve, pas sur votre conviction politique et une fois que vous avez une affaire comme c’est si souvent le cas en Amérique, si c’est un juge démocrate, on connaît le verdict. Ou s’il y a une scission démocrate-républicain à la Cour suprême, vous saurez quelle sera la scission. Et bien la justice a disparu, c’est terminé, c’est fini, c’est une illusion. Et ce que nous avons vu, décennie après décennie, ce sont de plus en plus de sources d’information, les sources de la justice étant occupées par ce que j’appelle cette « secte mondiale » [Secte = groupe ayant une idéologie exclusive généralement avec des pratiques rituelles, le symbolisme et une forte dévotion à une cause, un programme ou à un être] qui est finalement derrière les événements mondiaux et non les politiciens absents aujourd’hui, disparus demain que nous sommes censés croire qui sont derrière les événements mondiaux, ce sont les hommes de main ; c’est tout ce qu’ils sont.

Interviewer : Oui, je pense que leur prochaine étape sera probablement, puisque le truc de l’antisémitisme n’a pas fonctionné, d’attaquer le gouvernement. J’espère que cela échouera, mais je pense que la prochaine chose qu’ils serviront sera la vieille rengaine selon laquelle plus nous avançons dans cette guerre, plus nous apportons aide et réconfort à l’ennemi : Ils ne veulent pas qu’on s’exprime contre la guerre.

Icke : Non. Et l’histoire, c’est qu’ils introduisaient en fait la loi antiterroriste dans cette équation. Et je vais vous dire autre chose aussi – ce qui m’a même surpris. Vous savez, j’ai dit qu’en fin de compte, il y a une force non humaine « dans l’ombre ». Je le dis depuis très longtemps. Et alors que l’agenda du monde devient de plus en plus manifestement anti-humain, de plus en plus de gens commencent à dire : « Eh bien, attendez, il n’est peut-être pas si fou ! » Mais ce qui m’a stupéfié, c’est que, dans le jugement du département de l’immigration des Pays-Bas selon lequel je ne devrais pas être autorisé à entrer, le jugement original que j’ai reçu deux jours avant l’événement, incluait le fait que parce que j’ai dit ‘une force non-humaine est derrière les événements humains’ – c’était une raison supplémentaire pour être banni parce que j’ai déshumanisé le putain de gouvernement.

Et comme je l’ai dit, pourquoi déshumaniserais-je le gouvernement alors qu’il le fait lui-même avec brio sans aucune aide de ma part, en déshumanisant la population ! N’oublions pas que c’est le gouvernement néerlandais dirigé par cet homme de main du Forum économique mondial Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas, qui cherche à s’emparer des terres de trois mille agriculteurs néerlandais à cause – je cite – de la politique en matière de changement climatique. Et étant donné que les Pays-Bas représentent en valeur le deuxième plus grand exportateur de nourriture au monde, comment cela va-t-il se passer pour l’humanité ? Parce que – ce réseau passant par ces politiciens déshumanise l’humanité et dit maintenant que nous allons interdire ce type parce qu’il nous déshumanise, ils le font eux-mêmes, ils n’ont pas besoin de moi.

Intervieweur : C’est vrai. J’aimerais, si possible, passer à la plandemie qui, apparemment, n’est pas encore terminée. Ça continue, Elle fait toujours rage. Avons-nous suffisamment de preuves médico-légales pour traduire en justice les auteurs de l’arnaque au Covid ? Quelles sont certaines des pièces les plus accablantes que nous ayons, quelles sont certaines des choses que nous pourrions faire ressortir qu’ils ne pourraient pas réfuter ?

Icke : Eh bien, nous en avons… nous en avons déjà en ce qui concerne le faux vaccin. Vous savez, il y a des choses qui vous font ouvrir les yeux quand vous êtes à la recherche de la vérité. Vous êtes donc prêt à aller là où se trouvent les preuves, là où les informations vous mènent. Et c’est ce que font essentiellement ce que nous appelons les médias alternatifs, ils recherchent la vérité, et je ne suis pas toujours d’accord avec eux – je suis d’accord avec le fait qu’ils l’ont trouvée – mais je suis d’accord avec la plupart d’entre eux. Mais c’est une prise de conscience qui donne à réfléchir lorsque vous sortez de cette arène et que vous parlez avec des gens qui n’obtiennent leur point de vue qu’à travers les médias grand public, comment un nombre faramineux de personnes sont mortes après avoir reçu l’injection et ont eu leur santé détruite, combien peu les gens réalisent réellement qu’il en est ainsi– en raison du contrôle de l’information grand public – J’ai parlé à des gens : ils disent : « J’ai été injecté. » – « Eh bien, étiez-vous au courant de ceci, étiez-vous au courant de cela ? » – « Non ! Je n’ai jamais su cela ! » – Quoi ? Donc, il y a ce clivage massif entre les gens qui vont chercher des informations, qui scannent les rapports du VAERS [VAERS = Vaccine Adverse Event Reporting System of the US-Government], le système de la « carte jaune », qui est la même chose en Grande-Bretagne, et regardez tous les jeunes qui s’effondrent après avoir été injectés, un nombre qui n’a jamais existé auparavant. Vous constatez maintenant les décès excessifs dans le monde entier qui ont été provoqués depuis le déploiement (des vaccins) en 2021, particulièrement en 2021. Et pourtant, un nombre important de personnes n’en n’ont pas conscience. Si cette information était présentée à un tribunal public, signalée de façon adéquate, alors un nombre gigantesque de personnes du système seraient en prison. Et, vous savez, à ce stade, quand vous parlez d’une poursuite judiciaire : il y a une stupidité irréfléchie, une stupidité aveugle où des gens comme les médecins et les infirmières, les politiciens et tout ça qui devraient mieux savoir, leur travail est d’être informés, mais au lieu de cela, en fin de compte et si vous creusez un peu plus, ils croient simplement une poignée de fonctionnaires, et ils croient que ce que les gens leur disent est la réalité – c’est-à-dire que cette injection arrêtera la transmission (du virus)… et ainsi de suite. Il y a ce niveau de stupidité où vous croyez simplement ce qu’on vous dit et vous le faites sans poser de questions.

Interviewer : Je ne sais pas si j’appellerais cela de la stupidité ou de l’ignorance volontaire. Mais le résultat est le même, non ?

Icke : Oui, eh bien stupidité ou ignorance volontaire, fondamentalement, si vous acceptez ce que l’autorité vous dit sans poser de questions, vous choisissez d’être ignorant. C’est un choix. Donc, vous êtes à ce niveau, mais c’est le « mais » maintenant. Il y a une multitude de preuves qui sont sorties – notamment grâce à l’expérience personnelle des gens. Eh bien, il y a eu un sondage récemment dans lequel, vous savez, un énorme pourcentage d’Américains croient qu’ils connaissaient quelqu’un dont la santé avait été endommagée par l’injection ou qui avait été tué par l’injection. C’était une expérience personnelle de ce qu’ils ont vu et de leurs interactions quotidiennes, et ce qu’on leur dit est complètement différent. C’est là que je veux en venir. La preuve est maintenant là. Ils connaissent le carnage et les morts que cela a causés et pourtant ils continuent à dire aux gens de se faire injecter. Vous voyez par les baisses spectaculaires du nombre de personnes qui font cela à quel point l’expérience personnelle et peut-être l’examen d’autres preuves en dehors du courant dominant commencent de plus en plus à avoir un impact sur leurs actions plutôt que de simplement croire le gouvernement sans contester. Mais si vous savez et qu’ils le savent, cette ignorance n’est plus une défense. Si vous savez ce qui s’est passé et que vous insistez toujours, ce n’est pas de l’ignorance, c’est de la psychopathie. Et vous savez, l’une des choses les plus difficiles que j’ai fait circuler au cours de ces presque 30, 33 dernières années, c’est l’ampleur du mal auquel nous avons affaire. Le mal pour moi, ma définition du mal est l’absence d’amour. Et si vous regardez ce qu’on appelle le test Hare du nom du gars qui l’a développé, le test Hare de la psychopathie, si vous avez suffisamment de traits du test Hare, vous devenez officiellement un psychopathe. Les deux principaux traits sont le manque d’empathie et le manque de compassion, ce sont des manifestations d’un manque d’amour, et ils se manifestent en ce que nous appelons le mal.
Et si vous avez un manque d’empathie, de cette capacité de vous mettre dans les sensations et l’expérience de ce que vous faites ressentir et vivre aux autres, vous ne pouvez pas vous mettre à leur place et donc comprendre l’impact que vous avez sur eux, alors vous n’avez pas de limites. Il n’y a plus de limites. Parce que vous n’avez aucune conséquence émotionnelle, alors vous savez : l’empathie, pour moi en tout cas, c’est le mécanisme de sécurité du comportement humain. Si vous avez de l’empathie qui limite vos actions parce que vous avez un résultat émotionnel suivant ce que vous faites aux gens, je dirais juste à tous ceux qui disent encore qu’ils ne feraient jamais ça : Imaginez si vous n’avez pas cette capacité empathique sécurisée et qu’il n’y ait aucune conséquence émotionnelle pour vous, peu importe ce que vous avez fait, c’est-à-dire, des niveaux extrêmes de psychopathie, cela signifierait non seulement qu’ils ne feraient jamais cela mais ils se tireraient d’affaire en faisant ça. C’est ce qui se passe avec ces gens. Donc, cette difficulté qu’ont les gens à imaginer l’ampleur du mal auquel nous avons affaire fait que lorsqu’on le pointe du doigt, on entend : Oh non, ils ne feraient jamais ça. Personne ne ferait ça. Non, tu ne ferais pas ça !
Ils le feraient. Ils le font!

Intervieweur : Exact ! Oui. Nous n’arrivons pas à nous mettre dans leur esprit psychotique.

Icke : Oui.

Interviewer : En parlant d’empathie, je me souviens quand j’étais petit, qu’il y avait cette émission de radio en Amérique appelée « CBS Mystery Theatre » et il y avait une émission qui était vraiment bonne, elle s’appelait « Le bouton chinois ». En avez-vous déjà entendu parler ?

Icke : Non, je n’en ai jamais entendu parler. De quoi s’agissait-il ?

Interviewer : C’était un peu… je ne sais pas comment c’est arrivé. Dans cette histoire, un Américain ou un Britannique appuyait sur un bouton et vous deveniez millionnaire. Mais un Chinois mourrait quelque part. C’était donc un test de votre empathie. Je pense que nos dirigeants aujourd’hui sont constamment le « bouton chinois ». Ils n’ont aucune empathie.

Icke : Il y a un ajout intéressant à cela. Vous l’avez probablement vu lorsqu’ils ont fait cette expérience pour voir si les gens feraient ce qu’on leur disait de faire simplement parce que quelqu’un de l’autorité le leur avait dit.

Interviewer : Oui, les expériences de Milgram.

Icke : Oui. Vous savez, quand vous appuyez sur ce bouton et que vous entendez quelqu’un crier. Quelqu’un en blouse blanche leur dit de le faire et ils le font, vous savez ?

Interviewer : Ils utilisent le choc électrique jusqu’à la mort, c’est fou !

Icke : Oui, mais il est intéressant que nous nous soyons lancés là-dedans, car si vous mettez ces deux mentalités ensemble, vous avez la raison pour laquelle quelques-uns contrôlent le monde. Vous avez quelques personnes – ils ne sont pas si peu nombreux que les gens le pensent – j’ai lu que le nombre de psychopathes dans le monde est d’environ 4 %. Je pense que cela ne peut être qu’une blague ; il doit y en avoir beaucoup plus. Mais bien sûr, c’est loin d’être la majorité. Vous avez donc la mentalité psychopathe qui n’a aucune empathie et qui fait juste ce qu’elle veut sans conséquences émotionnelles, et vous avez ceux qui appuient sur le « bouton chinois ».

intervieweur : Oui.

Icke : – et puis vous avez les autres, la grande majorité, ils sont moins nombreux maintenant qu’ils ne l’étaient, mais ils sont toujours la majorité, qui feront ce que l’autorité leur dit, simplement parce que l’autorité le leur dit et vous mettez ces deux mentalités ensemble et c’est comme ça que tout au long de l’histoire humaine, quelques-uns ont toujours contrôlé le plus grand nombre.

Intervieweur : Oui. David, vous avez mentionné comment les gens qui recherchent des informations et veulent découvrir des choses ont un état d’esprit, puis les autres qui ne veulent rien savoir à ce sujet, en ont un autre et des gens comme vous et moi sommes surpris de voir à quel point les gens ne savent pas. Mais ensuite, vous avez mentionné les athlètes qui s’effondrent… et il y a beaucoup de mecs dans les pubs qui regardent les matchs de football et je suis sûr que vous connaissez le cas de Damar Hamlin, le quart-arrière de la NFL qui est tombé l’autre jour. Quand les gens voient ça – je veux dire que vous parlez (d’environ) des dizaines de millions de personnes qui regardent ça en direct, il se fait frapper, se lève, ajuste son casque, et tombe en arrière, c’est comme les footballeurs, comme les basketteurs. Connaissez-vous le concept stop au crime – le concept orwellien d’arrêt au crime où vous entraînez votre esprit à ne pas avoir de mauvaises pensées. Je me demande si cela se passe dans l’esprit des gens dans le stade et à la maison. Quand ils voient ça, ils se disent : « Ok, il se passe quelque chose ici mais je sais ce que je ne suis pas censé penser – je vais être un théoricien du complot fou si je pense qu’il y a un lien avec le vaccin ”… Je pense que les gens s’engagent vraiment dans cet stop au crime.

Icke : Oui, et je pense que vous avez raison – et je pense qu’il y a une autre motivation qui est due au nombre incroyable de personnes qui ont pris le faux vaccin – ce n’est pas vraiment un vaccin, selon les critères précédents. C’est donc une autre façon d’évacuer le sujet – en gros, c’est une version de « change de sujet – je ne veux pas en parler, je ne veux pas y faire face ». Vous savez, vous avez soulevé un sujet important, car comme je l’ai dit plus tôt, c’est extraordinaire de rencontrer des gens qui, après tout ce temps et toutes ces preuves, n’ont aucune idée de l’existence de ces certitudes ou de ce qui se passe. Mais parce que les médias grand public n’en parlent pas, parce que les médias grand public sont contrôlés par cette secte, tout comme la Silicon Valley. Mais les sportifs professionnels sont le talon d’Achille parce qu’ils tombent souvent en direct devant les yeux du public, et vous ne pouvez pas le cacher parce que quand un footballeur ou un joueur de hockey ou un basketteur tombe et s’effondre, c’est relaté, ça doit être signalé. Ils cacheront pourquoi c’est arrivé, mais ils le relateront. Et les chiffres viennent de grimper en flèche depuis le déploiement du faux vaccin. Et c’est un domaine qu’ils n’ont pas été en mesure de dissimuler – ils peuvent dissimuler la cause, mais pas l’événement réel – et cela a réveillé beaucoup de gens. Et, vous savez ce à quoi les gens qui ne connaissent pas du tout ce sujet pourraient réfléchir ? C’est : Se pourrait-il que seuls les sportifs professionnels subissent ces conséquences ? Non, bien sûr que non ! Oh, vous savez que nous avons ce vaccin et il ne tue et ne mutile que les sportifs professionnels. Non bien sûr que non. Mais c’est juste un domaine qu’ils ne peuvent pas cacher. Alors, qu’est-ce qui se passe d’autre au sein de la population. Et la réponse est : « la même chose » ! Mais, vous savez, je comprends tout à fait cela, vraiment. Mais si vous avez eu deux, trois, quatre faux vaccins et que vous commencez à voir ce qui arrive aux personnes qui en ont eu, cela ne se produisait pas auparavant dans les mêmes quantités, alors bien sûr vous contournez le sujet pour ne plus en parler. Parce que nous parlons d’une autre question – la différence entre ce qui se fait dans les médias alternatifs et ce qui se fait dans les médias grand public et l’autorité – c’est une question très très importante. Et, j’ai vécu cela tellement de fois, que de dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. La chose la plus facile au monde parce que leur porte s’ouvre déjà. Ils veulent penser que ce que vous leur dites est vrai. Vous parlez à des vendeurs professionnels. Vous savez, ils sont formés pour glaner dans les conversations avec leurs clients potentiels ce que le client pense et comment ils voient la vie parce qu’ils commencent alors à être d’accord avec eux ou à dire des choses comme « Oh, nous sommes comme vous, je suis d’accord avec vous » – et c’est comme ça que vous obtenez ce lien avec eux. Cela aide simplement à vendre votre produit. Donc, dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. Dire aux gens ce qu’ils ne veulent pas entendre est la réelle difficulté car ils ont fermé et verrouillé leur entendement. Ils ne veulent pas croire que c’est vrai, et c’est là le défi. Et donc, quand l’autorité arrive et dit, « Oh non, avez-vous entendu les excuses qu’ils mettent en avant pour tous ces jeunes souffrant de malformations cardiaques ? Oh mon Dieu, l’absurdité dans leur désespoir est incroyable ».

Intervieweur : C’est le Commotio cordis. [Commotio Cordis = une perturbation rare du rythme cardiaque qui se produit à la suite d’un coup dans la zone directement au-dessus du cœur]

Icke : Oui, si vous prêtez l’oreille, vous ne le voulez pas vraiment parce que vous avez eu les vaccins, vous ne voulez vraiment pas faire face aux possibilités, alors vous croirez aux absurdités parce que c’est ce que vous voulez entendre. Et, vous savez, vous obtenez cela aussi de façon intéressante dans les médias alternatifs, dans certains domaines, où certaines personnes ont une idée de ce qui est et veulent croire que c’est vrai. Et puis, quand vous contestez que ce n’est peut-être pas vrai, vous savez, vous êtes aussi attaqué par des gens de l’arène alternative. Et vous savez, c’est ce que je vis en ce moment, et j’en ai déjà fait l’expérience. Parce que je n’ai pas mordu au battage médiatique de Trump et je ne mords absolument pas au battage médiatique d’Elon Musk. Et le fait est, bien sûr, que les gens aimeraient croire que ce type – c’est-à-dire Trump – se met là, devant, et qu’il dit toutes les bonnes choses et qu’il veut défier la tyrannie et c’est formidable de croire que ce type Musk se met là, qu’il est vraiment un intransigeant de la liberté d’expression et qu’il n’a pas un autre programme en arrière-plan. Mais si nous voulons remettre en question la société dominante, nous devons tout remettre en question et voir si cela résiste à un examen minutieux. Et encore une fois, parce que vous ne voulez pas croire que ce n’est pas ce qui semble être, on vous rejette. Mais, vous savez, si vous allez vraiment sur le long terme, et si vous êtes vraiment à fond dans la recherche de la vérité, quelle qu’elle soit, alors vous faites ce que vous pensez être nécessaire et juste et non ce que vous pensez que vous amener plein d’amis. C’est la dernière chose que vous devrez faire si vous voulez la vérité.

Intervieweur : Oui, tout à fait. J’aimerais parler brièvement d’Elon Musk un peu plus tard. Je veux en finir avec les trucs de la plandémie Covid. Vous savez, quand vous dites que les gens ont ces raisons pour ne pas vouloir voir ce qui se passe – c’est assez drôle, ils doivent souffrir un peu de dissonance cognitive parce que comme vous l’avez dit, la demande pour les rappels, le premier, le deuxième et un autre troisième rappel est très faible. Et donc leurs actions parlent plus fort que leur réticence à en parler. Comme s’ils ne voulaient pas en parler parce qu’ils ne veulent pas le reconnaître. Mais dans leurs actions, ils vous montrent, peut-être inconsciemment, – oui, vous avez peut-être raison, je vais faire attention.

Icke : Oui, et c’est une bonne chose, comme je dis… si vous essayez de comprendre pourquoi les gens font des choses, vous devez vous mettre à leur place. Et je comprends parfaitement pourquoi les personnes injectées ne veulent pas savoir ce qui arrive aux autres personnes vaccinées. Je comprends tout à fait cela. Oui tu as absolument raison. Bien qu’ils n’y croient peut-être pas ouvertement, ils n’y croient peut-être même pas personnellement, ils n’en auront plus. Et donc, vous savez à bien des égards, mis à part ceux que vous ne persuaderez jamais que l’autorité leur ment, à part eux, nous avons à peu près gagné l’argumentation en ce qui concerne l’injection, en termes de leur action, sinon leur adhésion sincère qu’ils ont été arnaqués.

Intervieweur : Oui, c’est vrai. J’imagine qu’à partir de maintenant, il n’y aura plus trop de joueurs de la NFL qui recevront d’autres rappels. Et une anecdote intéressante de ce match où Damar Hamlin est tombé. La première histoire de l’actualité était, « Eh bien, les officiels ont jugé sage, prudent d’arrêter le jeu. » Ils n’ont jamais fait ça dans l’histoire du football NFL. Vous avez entendu parler des matchs de football américain, il y a toujours une ambulance au bord de la route… parce qu’il y a des commotions cérébrales, toutes sortes de choses se passent tout le temps. Et puis le jeu continue. Et c’est donc ce qu’ils ont dit qui s’est passé. Mais j’ai lu quelque chose, d’accord, c’était dans les commentaires, donc je ne peux pas corroborer, je ne sais donc pas si c’est vrai, mais j’ai lu quelque chose qui disait : Les joueurs ont refusé de revenir sur le terrain et de jouer. Et cela me parait logique. Parce que le joueur vedette des Buffalo Bills, un gars nommé Josh – je ne connais pas son nom de famille – lui et un joueur vedette étaient les deux seuls à ne pas avoir reçu l’injection. Je veux dire que le joueur quart-arrière est le capitaine de l’équipe. Je me demande donc s’ils se sont réunis et ont dit nous ne reviendrons pas sur ce terrain.

Icke : Oui, eh bien, vous savez, tout ce truc à propos de prendre l’injection et de ne pas avoir l’injection était une vraie séparation des chemins, si vous voulez, entre des gens qui pensent vraiment par eux-mêmes et qui s’en tiennent à ce qu’ils croient – et ceux qui seront influencés soit en ne remettant pas en question sans réfléchir tout ce que l’autorité leur dit ou tant d’autres, tant d’autres, peut-être même la majorité en fait, qui ont eu l’injection parce qu’ils ne voulaient pas les conséquences de ne pas avoir l’injection. Et ceux qui sont restés convaincus que non, je suis très sceptique à ce sujet, je ne l’ai pas reçue, ce sont eux maintenant qui bénéficient du fait qu’ils ne l’ont pas eue. Et il y a eu presque une sorte de revirement parce que ceux qui ne l’avaient pas, bien sûr, c’était moi compris, vous compris, j’en suis sûr, ils ont été attaqués, fustigés, diabolisés, accusés de tuer des gens et tout ça. Et l’un des grands moments charnières, je pense de toute façon, certainement en Europe, j’en suis sûr, qui a également imprégné l’Amérique quand, au Parlement européen avant Noël, un membre néerlandais du Parlement européen a interrogé la responsable de Pfizer sur leurs essais pour voir si le faux vaccin arrêtait la transmission, et il s’est avéré qu’elle a admis que ces essais n’avaient jamais été effectués. Ils ne savaient pas si cela arrêtait la transmission. Donc, ce qu’ils faisaient, c’était nous mentir et l’imposer aux gens avec des conséquences sur les emplois etc. Et cela inclut bien sûr les sportifs sur la base du « cela arrêtera la transmission sinon vous mettriez d’autres personnes en danger », alors que Pfizer n’avait jamais fait d’essais pour voir si c’était le cas. Parce que l’injection n’a rien à voir avec la santé. Cela a à voir en fait avec des agendas beaucoup plus profonds, des agendas beaucoup plus sinistres, sombres et démoniaques. Et cela a mis beaucoup de gens très en colère, certainement en Europe. Quand ils ont pensé que la raison-même pour laquelle ils avaient pris l’injection, – on m’a leur avait dit que c’était la raison,- s’avère non seulement fausse, mais beaucoup l’ont même testé pour savoir que ce n’était pas vrai bien qu’ils nous aient dit que c’était vrai.

Et, vous savez, si les gens réfléchissent, il y a deux choses : ils vous ont dit de vous faire injecter, et vous donnent disent les conséquences si vous ne le faites pas – sur la base de quelque chose qu’ils savaient ne pas être vrai. Et ils ont vu les conséquences des gens qui ont été injectés sur la base de quelque chose qui n’était pas vrai, et pourtant ils vous disent toujours de le faire. Maintenant, pensez-y et réfléchissez à l’ampleur de la psychopathie – et du mal pur qu’il faut pour faire ces deux choses ensemble parce que c’est ce que l’autorité a fait. Et vous savez, les prisons n’existent pas vraiment pour contenir le nombre de personnes qui devraient y rester pour le reste de leur vie, ces gens comme Bill Gates qui ont sciemment menti à l’échelle mondiale pour un programme profondément sombre et sinistre. Et cet homme devrait non seulement être en prison, mais il devrait être forcé de se réincarner sans fin pour terminer sa sentence sanglante.

Interviewer : En quoi devrait-il être forcé de se réincarner ?

Icke : Eh bien, comme quelqu’un l’a dit un jour dans une émission comique, connaissant ma chance dans la vie, si la réincarnation existe, je reviendrai en tant que moi-même. Je pense donc que la pire réincarnation possible pour Bill Gates serait de revenir encore et encore en tant que Bill Gates. Se réveiller tous les matins et se rendre compte que vous êtes toujours Bill Gates, cela doit sûrement être le pire cauchemar.

Intervieweur : Exact ! Eh bien, pour en finir avec la partie Covid, nous avons donc la preuve, nous avons les preuves médico-légales. C’est très clair. S’il était présenté devant un tribunal, ce serait une victoire. Maintenant, on ne va pas nous remettre les clés des portes de La Haye [La Haye = la Cour internationale de justice siégeant à La Haye, Pays-Bas], la Cour suprême ne va pas accepter cette preuve. Les autorités ne veulent pas l’entendre. Quel genre de lieu public, comment devrions-nous nous y prendre si nous ne pouvons pas entrer par les moyens légaux, je veux dire devrions-nous aller avec les moyens semi-légaux ? Devrions-nous aller à l’union des étudiants d’Oxford et avoir un débat ? Où apporteriez-vous cette évidence au public, pas juste sur Bitchute et sur Odysee, et je ne mentionnerai même pas Youtube, car ce ne sera pas là.

Icke : Non, ce ne sera pas là, non. Mais ce qu’il faut faire, tout d’abord, …la censure n’est pas une expression de pouvoir. C’est une expression de vulnérabilité.

Interviewer : Oui !

Icke : Parce que je ne veux censurer personne. Je suis heureux que ce que je dis soit débattu ouvertement et que d’autres personnes aient une opinion différente parce que je suis convaincu que je peux soutenir ce que je dis. Ceux qui ne peuvent pas soutenir ce qu’ils disent, et ce culte et toutes ses expressions mondiales savent qu’ils ne le peuvent pas. Ils doivent censurer les points de vue, les opinions et les preuves alternatifs, car ils savent que cela détruirait les leurs. Donc, tout d’abord, ils n’en viennent pas à la censure en situation de force, mais de faiblesse. Et le fait qu’ils élèvent constamment le niveau de censure signifie qu’ils sont de plus en plus préoccupés par le nombre de personnes qui commencent à s’éveiller à ce qui se passe réellement. Peut-être pas la vue d’ensemble, mais certains niveaux de celle-ci. Assez pour que la panique tombe chez les gens quand ils comprennent que les forces qui contrôlent le monde ne sont pas celles qu’ils voient et qu’on leur dit de croire. Mais en termes de politique en ce qui concerne cette voie, tout est cousu de fil blanc. Je vous donne un exemple de ce pays, la Grande-Bretagne. Nous avons un gouvernement conservateur, l’équivalent de vos républicains, qui a supervisé la catastrophe de la débâcle du Covid. Cela a conduit au faux vaccin. Les partis d’opposition, appelés le Parti travailliste – votre équivalent des démocrates ont dit non pas que la politique du Parti conservateur était fasciste, mais qu’elle n’était pas assez fasciste. Donc, quand ce gouvernement conservateur, maintenant avec ce type Rishi Sunak, un autre homme de main du Forum économique mondial, sera démis de ses fonctions à un moment donné, il devra être remplacé par le Parti travailliste. Et le parti travailliste fera à la Grande-Bretagne tout ce que les démocrates font à l’Amérique. Mêmes politiques, tout pareil. Donc, en termes de choix politique, il n’y en a pas. Et tout s’écroule quand on se rend compte que la politique n’est pas là pour le changer. La politique est là pour perpétuer ce qui devrait être changé. Et donc si vous regardez les jours où la royauté régnait sur tout, et il y a une raison pour laquelle c’était aussi le cas, vous aviez un roi ou une reine imposant sa volonté à la population via les hommes de main dans les armées, etc. Et puis quand l’humanité a rejeté cela, parce que c’était vraiment trop voyant, évidemment les quelques-uns contrôlant les masses…

Interviewer : Oui, les gens savaient qui blâmer.

Icke : Ils pouvaient voir qu’ils étaient sous le contrôle d’un monarque. Donc, finalement, vous avez eu ce mouvement de la monarchie vers la politique, eh bien, nous l’avons toujours eu dans ce pays de manière stupéfiante, et donc, ce culte qui remonte à très loin a dû trouver, sans se cacher, un moyen de remplacer le contrôle de la monarchie par une forme de contrôle qui semblait donner le pouvoir au peuple mais qui ne l’a pas fait. Et donc ils ont créé cette structure de partis politiques. Et c’est comme ça que ça fonctionne. Il y a normalement deux partis politiques qui ont une chance de former un gouvernement, parfois trois, mais normalement deux dans l’exemple classique de l’Amérique . Et ce sont des hiérarchies, ce sont des pyramides. Et quand vous entrez dans la pyramide, si vous progressez dans la pyramide, alors vous devez être aligné avec ce que la hiérarchie de la pyramide, le parti, veut que vous soyez. Donc, si vous y allez, disons que vous voulez vous présenter comme député au Parlement britannique, vous allez du côté du parti de la circonscription locale et vous devez vous vendre à eux. Et vous vous vendez en répétant ce que le parti de la hiérarchie veut que vous croyiez et que vous soyez. Et puis au fur et à mesure que vous entrez, si vous voulez être rebelle et aller à l’encontre de la ligne du parti, eh bien ça va tant que vous survivez, mais vous n’allez pas entrer au gouvernement, vous n’allez pas entrer dans la hiérarchie du parti. Si vous voulez entrer dans la hiérarchie du parti, alors ce que vous devez faire est de rester en ligne avec ce que la hiérarchie du parti veut que vous soyez – et la hiérarchie du parti est composée de très peu de personnes. Et cela se produit aussi bien avec le parti au pouvoir qu’avec le parti d’opposition. Et la clé pour comprendre la politique, c’est que quand vous arrivez au sommet de ces deux pyramides où ces partis sont apparemment en opposition, alors la prochaine étape … vous emmène dans l’ombre, ils répondent tous les deux aux mêmes maîtres. Et donc, si vous regardez l’exemple américain, vous avez ce type qui s’appelle Mitch McConnell ? [Mitch McConnell = Chef de la minorité au Sénat américain, membre du Parti républicain] Le soi-disant républicain qui est absolument aligné avec les politiques démocrates parce que les hiérarchies répondent au même maître. Au sein du parti républicain en Amérique, vous aurez des rebelles – mais des rebelles dans le classement de Capital Hill, si vous voulez, vous n’aurez pas de rebelles au sommet de la hiérarchie. Et ce sont les non-rebelles qui accèdent généralement à ces positions de pouvoir. Nous venons d’en avoir un autre avec McCarthy [Kevin McCarthy = actuel président de la Chambre des représentants des États-Unis, membre du Parti républicain] dans la Chambre qui, encore une fois, est vraiment un républicain.

Interviewer : … oh, ils l’ont forcé à faire toutes sortes de concessions.

Icke : Oh, c’est super que quelqu’un ou quelques personnes aient eu le courage ainsi que la lucidité de penser que nous avons ici une chance de tirer quelque chose de la situation et pas seulement d’approuver la ligne du parti. C’est une métaphore fantastique pour l’ensemble du système et la population en général en termes de ce que nous pouvons faire et où nous pouvons aller. Cela dépend à quel point vous le voulez. Maintenant, vous savez, ces gens qui se sont levés et ont dit que nous n’allions pas voter sans concessions pour McCarthy comme président de la Chambre, ils savaient qu’ils seraient en quelque sorte diabolisés – et ils l’ont été, par des idiots et ils savaient qu’ils allaient être très impopulaires mais ils l’ont quand même fait. Et c’est ce qu’on doit faire ! Si on ne le fait pas, si on baisse simplement les bras et qu’on se dit « Je ne suis pas d’accord avec ça, mais quelles seront les conséquences pour moi si je dis ou si je fais quelque chose à ce sujet ? » … alors tout ce que vous faites est de permettre aux psychopathes de l’emporter, c’est comme ça que ça se passe. Donc, si vous regardez la politique de la manière que j’ai décrite, c’est fondamentalement une forme de monarchie, mais c’est une forme cachée de monarchie. Là où ce n’est pas si évident, c’est quand ils vous disent que vous avez le pouvoir de décider pour qui voter tous les quatre ou cinq ans ou peu importe. Mais en fait, vous votez pour des masques sur le même visage. C’est ce pour quoi vous votez, avec des exceptions honorables. Et ce que nous voyons en ce moment, et j’ai été stupéfait, je dois dire, quand je suis arrivé pour la première fois en Amérique et que le vote électronique arrivait, je pensais  » Pardon ? le vote électronique ?! » Comment peut-on savoir au juste ? Et donc, c’est très… Je veux dire, vous n’êtes pas censé remettre en question la dernière élection où Biden a été élu. Je veux dire, quelle a été l’élection la plus manifestement biaisée que j’aie jamais vue ? Et donc ce qu’ils font maintenant, c’est qu’ils passent au niveau supérieur où ils manipulent non seulement qui ils veulent au pouvoir en manipulant la perception du public. En fait, ils sabotent les élections. Donc, les gens qui étaient en Arizona – des gens comme Kari Lake [Kari Lake = candidat républicain au poste de gouverneur de l’Arizona, États-Unis aux élections de 2022] par exemple et d’autres qui défendaient ce qu’ils croyaient être juste et qui repoussaient ce culte – c’est-à-dire l’agenda – ils n’étaient pas seulement ciblés par les démocrates, ils étaient ciblés par leur propre parti, des gens comme Mitch McConnell en termes de financement etc. Parce que c’est un État à parti unique partout dans le monde, mais nous devons penser que c’est un État à deux partis, sinon nous réaliserions que c’est juste une autre tyrannie qui a remplacé la tyrannie de la monarchie. Et donc la question se pose : si nous voulons faire quelque chose à propos de ce qui se passe, au lieu de nous tourner vers la politique, nous devons regarder la calculatrice. Nous avons besoin de voir huit milliards de personnes se voir imposer la direction de leur monde et de leurs vies dictées par littéralement, une poignée de personnes – par rapport aux huit milliards. C’est ainsi que c’est possible – c’est pourquoi ça a été possible tout au long de l’histoire humaine. Pourquoi est-ce possible ? En raison du consentement de milliards de personnes à côté de quelques-uns. Et tout au long de l’histoire de l’humanité, les quelques-uns ont contrôlé les masses ; parce que les masses ont consenti aux quelques-uns et obéi aux quelques-uns, ils ont fait ce que les quelques-uns leur ont dit, ou parce qu’ils ne voulaient pas le faire mais craignaient les conséquences de ne pas le faire, alors ils le font quand même. C’est ainsi que tout a fonctionné. Le complot s’effondrerait si les gens arrêtaient de ne pas remettre en question l’autorité et insistaient pour que tout ce que l’autorité leur dit soit remis en question et justifié par les preuves… S’ils étaient déterminés et disaient : « Quand je vois que ce n’est pas bien, je ne vais pas le faire », et ils rejoindraient alors le troisième groupe qui a mis fin à toutes les tyrannies de l’histoire, et ce sont les vrais opposants qui voient qu’on leur ment et qui refusent de coopérer avec l’autorité qui leur ment.

Interviewer : Oui, je pensais que nous pourrions passer à un nouveau sujet. Kla.TV est une organisation suisse-allemande et la majorité de nos auditeurs seront germanophones et je pense qu’ils seront vraiment intéressés par votre opinion sur un nouveau sujet à venir en parlant de la question de la restructuration de la dette en Allemagne, une nouvelle loi est en préparation appelée la « loi sur le partage des charges ». Elle entre en vigueur le 1er janvier 2024 et l’idée est que les déficits qu’ils ont accumulés sont si élevés… pendant l’ère Covid… toutes les dépenses qui ont eu lieu pendant l’ère Covid – ils vont devoir payer la note et donc dans cette loi sur la restructuration de la dette, ils vont l’imposer directement aux gens et cela va devenir une taxe massive. Et je veux dire qu’elle menace de mettre en faillite toutes sortes de personnes. Je suppose qu’aux États-Unis, on procède d’une manière un peu différente, on dévalorise simplement l’argent qu’on dépense sans fin. Mais en Allemagne, apparemment, ce ne sera qu’un impôt direct pour toutes les dettes qu’ils ont contractées. Et mon équipe m’a envoyé une note et m’a dit : en bref, nous nous dirigeons vers une dépossession totale analogue au Great Reset de Klaus Schwab « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». J’aimerais entendre votre commentaire là-dessus.

Icke : Eh bien, j’ai une expression que j’utilise depuis des décennies : Voyez le résultat et vous verrez le chemin. Si vous ne connaissez pas le résultat prévu, les événements quotidiens, y compris des choses comme celle-ci, semblent être aléatoires et sans lien avec tout le reste – alors qu’en réalité ils ne sont pas aléatoires et qu’ils sont connectés à tout le reste. Voyons donc le résultat : je décris depuis des décennies la structure sociétale qui est prévue pour nous si nous continuons comme nous le faisons, et je l’ai appelée « la société des jeux de famine ». Je l’appelais autrement avant, mais quand les films Hunger Games sont sortis, ils symbolisaient tellement cette société qu’ils lui ont donné le nom. Donc, si vous regardez la structure de la société Hunger Games, vous avez des gens dans ce qu’ils appellent le Capitole, dans le luxe absolu high tech et le reste de la société n’était pas seulement dans la pauvreté et la servitude, servant les intérêts de quelques-uns, ils étaient divisés en secteurs et les différents secteurs n’étaient pas autorisés à interagir avec les autres secteurs. Compartimentation de cette population. Et alors, comment créez-vous cette situation ? Eh bien, soit les quelques-uns sont en situation de dépendance, soit les masses sont en situation de dépendance vis-à-vis des quelques-uns, donc contrôlées. Dépendance veut dire contrôle. Ensuite, il faut détruire les moyens de subsistance et l’accès à un revenu indépendant de la population. Et la structure de cette société Hunger Games, (peut-être vous la reconnaissez) ressemble à ceci : au sommet, vous avez les moins de 1 % qui contrôlent la richesse, les ressources et l’accès aux ressources. Ils contrôlent l’accès à la nourriture, ils contrôlent l’accès à toutes les bases de la survie humaine. Au bas de cette pyramide des « jeux de famine », se trouve essentiellement le reste de la population en servitude, qui dépendent, pour les bases de la survie, des quelques personnes au sommet. Et entre les deux, il est prévu qu’il y ait éventuellement une fusion de la police et de l’armée dans un État policier et militaire pour imposer la volonté des quelques-uns sur le plus grand nombre et empêcher le plus grand nombre de se rebeller contre le petit nombre. Examinons donc l’histoire récente sur cette base et sur ce que vous venez de décrire en Allemagne. Les fermetures ont été faites pour cibler les petites et moyennes entreprises, et même les plus grandes entreprises qui n’appartiennent pas à la secte. Les formidables sociétés appartenant à la secte comme Amazon et Facebook et toutes les autres se sont très bien comportées bien sûr pendant la période de confinement. Mais beaucoup d’entreprises ont cessé leurs activités et bien d’autres depuis. Vous avez donc créé une situation de dépendance parce que vous détruisez la petite entreprise et vous détruisez l’accès à l’emploi dans la petite entreprise. Vous créez la dépendance. Ce que vous faites alors, c’est suivre un canular extraordinaire appelé changement climatique causé par l’homme. Et vous dites que vous allez remplacer les combustibles fossiles par des énergies dites renouvelables comme l’éolien, le solaire. Vous savez que vous ne pouvez pas faire ça.

Interviewer : N’oubliez pas d’inclure les voitures électriques qui roulent… avec des combustibles fossiles.

Icke : Oui exactement ! J’ai parlé avec quelqu’un l’autre jour, il s’agissait de voitures électriques, et j’ai demandé : Selon vous, qu’est-ce qui produit l’électricité que vous mettez dans votre voiture ? Mais c’est l’échelle de la manipulation mentale que les gens n’associent pas à l’électricité – ils associent l’électricité de leur maison aux combustibles fossiles, « vous devez réduire votre consommation d’électricité pour sauver le monde du changement climatique ». Mais ils ne feront pas le lien avec l’électricité utilisée par leur voiture. Je veux dire que c’est l’échelle de la manipulation mentale. C’est finalement ça : la manipulation mentale est à la base de tout, vous gonflez artificiellement le coût de l’énergie à travers vos politiques de lutte contre le changement climatique. Ensuite, comme l’a fait Biden, vous fermez les pipelines et vous ciblez les combustibles fossiles afin qu’une fois de plus, vous augmentiez le coût de l’énergie en affectant l’approvisionnement.

Interviewer : Excusez-moi, non seulement on a fermé des pipelines, mais on les a aussi fait exploser.

Icke : Oh oui, j’y viens, oui, exactement, ce qu’on fait, c’est qu’on déclenche une guerre en Ukraine alors que l’Europe peut obtenir du gaz naturel de la Russie via un oléoduc. On ne veut pas que l’Europe reçoive du gaz naturel, on veut mettre en place la société du jeu de famine, on veut que le prix de l’énergie soit disproportionné, soit plus important, parce que lorsqu’on augmente le prix de l’énergie, on augmente le prix de tout parce que tout à un moment donné a besoin d’énergie pour être produit et transporté. En même temps, on utilise le confinement pour démanteler la chaîne mondiale de production alimentaire. Parce que lorsqu’on contrôle la nourriture, on contrôle les gens. Lorsqu’on contrôle l’accès à la nourriture, on contrôle les gens. Nous avons donc maintenant Bill Gates, le revoici ! en tant que plus grand propriétaire de terres agricoles en Amérique et vous avez le forum économique mondial contrôlé par Mark Rutte aux Pays-Bas, ciblant 3 000 agriculteurs néerlandais pour détruire leurs moyens de production faisant partie du deuxième plus grand exportateur de nourriture dans le monde. Donc tout cela est lié et c’est lié à la création d’une dépendance. Et ce qu’ils veulent faire, c’est créer une situation où les gens n’ont pas la capacité de subvenir à leurs besoins parce qu’ils démantèlent cette capacité systématiquement. Et puis ils veulent se manifester, c’est déjà en train de se produire. Et ils disent : La seule façon de régler cela est d’avoir un revenu garanti, où nous vous donnerons une certaine somme d’argent – ce sera une somme dérisoire – chaque mois, pour les nécessités de la vie. Mais si vous voulez défier le gouvernement et que vous voulez avoir une vision différente de ce qui se passe, eh bien, vous n’aurez pas votre revenu garanti. Et alors, qui vous le donnera ? Parce que nous avons démantelé votre capacité à gagner votre vie. Ajoutez à cela que l’intelligence artificielle prend de plus en plus d’emplois normalement occupés par des personnes. Et on a cette situation où les gens ne pourront pas gagner leur vie et qu’est-ce qu’ils vont devenir ? 100 % dépendant de toute autorité qui exigera une conformité totale. Donc, si vous ne ciblez pas seulement les pauvres et ce que nous appelons en Grande-Bretagne les classes ouvrières, vous allez cibler chaque personne de la société qui n’est pas liée à votre secte, qui forme la grande majorité, la majorité écrasante, vous ne devrez pas seulement les empêcher de gagner leur vie, ceux qui ont déjà accumulé des richesses, vous devrez également vous en débarrasser. Et donc ce qui s’est passé en Allemagne, ce qui s’est passé partout dans le monde, et encore une fois, une fois que les gens comprennent « Voyez le résultat et vous verrez le chemin » – toutes ces choses se relient de manière assez évidente. La raison pour laquelle, si vous vouliez de l’argent avant le Covid, le canular du Covid, pour des choses qui le méritaient, c’était « Ah non, non, ben vous savez, on aimerait bien le faire mais il n’y a pas d’argent. » Toujours de l’argent pour les guerres bien sûr mais non, il n’y avait pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour les sans-abris, pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour cela. Mais une fois que le canular du Covid a été enclenché, l’argent n’était plus un problème dans la réponse au Covid. Partout dans le monde, tout le monde y jetait de l’argent. Des sommes d’argent incroyables. Pourquoi ? Parce qu’une autre façon de détruire l’économie et l’accès indépendant des gens à un moyen de subsistance est que l’inflation monte en flêche. Quiconque a de l’argent à la banque, dont la valeur diminue tout le temps à cause de l’inflation et toute personne ayant un revenu fixe comme un retraité ou autre, la même chose leur arrive. Vous écrasez la population avec ces moyens. Alors, qu’est-ce qu’ils font maintenant – et nous avons un Premier ministre en Grande-Bretagne, appelé Rishi Sunak, qui était chancelier de l’Échiquier en charge des finances du pays et qui a distribué tous ces chèques monstrueux à l’époque du Covid comme l’ont fait d’autres pays. Et il est maintenant le premier ministre qui dit « oh non, nous allons avoir des difficultés économiques pour la population à cause de l’impact de ce que j’ai fait ». En réalité, il n’a pas dit cela bien sûr, et c’est partout comme ça. Et ce que vous avez décrit en Allemagne est un exemple classique de ce qui se passe partout. Donc, vous créez le problème et ensuite vous proposez la solution qui consiste à dévaster économiquement la population pour faire avancer votre programme vers la société des « jeux de famine ». Donc toutes ces choses sont liées et ce qu’ils veulent – et ils en parlent tous, et quand ils en parlent tous comme une chorale partout dans le monde, ces soi-disant dirigeants mondiaux, vous savez que c’est l’agenda qui est décrit. Ils veulent se débarrasser de l’argent. J’ai écrit un livre en 1992 intitulé « La rébellion des robots » et j’y ai dit que le plan est de se débarrasser de l’argent liquide et de n’abriter qu’une monnaie électronique qui serait mondiale. Et ce qu’ils cherchent à faire maintenant, c’est d’avoir cette monnaie numérique qui leur permet de tout contrôler. Vous n’avez pas votre propre argent, vous ne pouvez pas avoir une économie monétaire parce que cela a disparu, vous ne pouvez plus utiliser d’argent liquide. Et encore une fois, le Covid est l’arnaque qui continue toujours, si vous vous souvenez : pratiquement immédiatement, lorsque le canular du Covid a commencé, Tedros [Tedros Ghebreyesus = directeur général de l’Organisation mondiale de la santé] à l’Organisation mondiale de la santé, qui n’est qu’un homme de main pour Gates qui est un homme de main pour les Rockefeller qui sont des hommes de main pour le culte – il a dit que vous pouviez attraper le Covid en…

Interviewer : … touchant de l’argent liquide.

Icke : De l’argent liquide, oui. Maintenant, cela n’avait bien sûr rien à voir avec la santé, c’était une arnaque pour se débarrasser de l’argent liquide. Et vous savez, il y avait des gares avec de petits kiosques en bois pour boire un café, où vous leur remettiez juste de l’argent liquide, ils ne voulaient vraiment rien d’autre que du liquide. Et après, très peu de temps après, ils disaient qu’ils ne prenaient que les cartes pour une tasse de café ! À cause de la peur d’avoir le Covid à cause de l’argent liquide ! Bien sûr, c’était un non-sens, c’était un mensonge, ce ne sont que des mensonges. Maintenant, ils veulent se débarrasser de l’argent liquide, c’est pourquoi c’est la mode des guichets automatiques, c’est la raison pour laquelle les agences bancaires ferment, afin que tout soit en ligne, que tout soit numérique. Parce qu’alors ils ont le contrôle total de votre argent. Et le plan, cela se produit déjà dans des endroits comme la Chine, c’est que si vous faites des infractions par exemple, l’une de ces caméras peut vous identifier, c’est le plan de l’IA, alors l’amende sera simplement ponctionnée sur votre compte. C’est ce qu’ils concoctent. Ils peuvent essentiellement effacer votre accès à l’argent – si vous êtes un dissident du système et si vous contestez le système, ils peuvent simplement fermer votre compte. Et si les gens disent … « Non, c’est tiré par les cheveux » – Allôoo ! Justin Trudeau, Camionneurs, Canada. [Regardez notre interview de Hugh Hunter, un habitant d’Ottawa, expliquant la situation des camionneurs : www.kla.tv/21785] Vous savez ce qui s’est passé. Et ce n’était qu’un avant-goût de ce qui est prévu partout. Donc, cette situation en Allemagne correspond parfaitement à ce programme que je viens de décrire, car il vise la capacité de la population à survivre et à payer ses factures.

Parce que l’idée est que cela n’est pas censé se produire. Vous n’êtes pas censé pouvoir vivre votre vie et payer vos factures, mais plutôt être complètement dépendant du gouvernement pour votre survie. C’est le plan. Et si nous continuons simplement à observer cela, alors cela arrivera mais pas forcément. Huit milliards ne peuvent être contrôlés par une poignée de gens que si les huit milliards y consentent. C’est tout.

Interviewer : C’est vrai, David, et vous terminez souvent vos vidéos par « Okay, levons-nous et faisons quelque chose à ce sujet ! » Un de mes blogs Substack préférés [Substack = une plate-forme Internet où les écrivains peuvent publier directement à leur public. Il n’a pas encore censuré les voix dissidentes] est un gars qui termine chaque message avec « Ne vous conformez pas. Parlons donc des solutions ». Je veux savoir ce que cela signifie concrètement dans votre esprit « Ne pas se conformer » ?

Icke : Eh bien, si quelque chose est clairement fait pour vous asservir de quelques manières que ce soit, alors vous ne le faites pas. Vous savez, ils se sont imposés dans ce pays au printemps 2020 et ils ont dit : « Vous devez garder vos distances sociales, ne sortez qu’une heure par jour, et vous devez porter, au fur et à mesure que l’été se déroule, vous devez porter une couche sur le visage, une couche faciale partout où vous allez à un moment donné. Et vous ne pouvez pas voyager ». Moi, je n’ai rien fait de tout cela. Je n’ai pas fait de distance sociale. Si quelqu’un voulait me fuir dans la rue, c’était son choix. Mais je n’avais pas peur d’eux donc je n’allais pas faire ça. Je sortais quand je voulais. J’ai voyagé, je suis allé à de gigantesques rassemblements à Londres et je n’ai jamais porté de couche faciale et je ne le ferai jamais, je préférerais mourir. Alors imaginez… – il y a quelques 60 millions de personnes dans les îles britanniques – imaginez si même un quart d’entre eux faisaient la même chose et refusaient de faire l’une de ces choses parce qu’elles étaient manifestement absurdes et qu’elles étaient évidemment une arnaque, alors ces ordres n’auraient pas été applicables.

Intervieweur : C’est vrai… même pas un quart des gens, j’ai entendu dire qu’il faudrait à peu près entre 13 et 20 %.

Icke : Oui. Voici un excellent exemple. Lorsque le gouvernement britannique a introduit le confinement la première fois, une poignée de personnes sont sorties pour protester. Et parce qu’il y en avait une poignée, la police s’est déplacée et les a arrêtées. En août 2020, il y avait 35 à 40 000 personnes à Trafalgar Square, j’y ai moi-même parlé. Il y avait tant de monde qu’ils ne pouvaient pas empêcher que cela se produise. Ensuite, 40 ou 45 000 autres personnes se sont présentées à la manifestation suivante. Et au printemps 2021, il y avait tellement de monde dans ces manifestations à travers Londres, je veux dire des centaines de milliers, que la police qui venait juste d’arriver et d’arrêter les premiers manifestants, se tenait juste debout sur le côté de la rue à nous regarder passer. Parce qu’il y avait tellement de gens qui disaient « Nous ne nous conformons pas », les autorités ne pouvaient rien y faire. Et c’est une telle métaphore de ce dont je parle. Et pour arrêter cela, ils doivent diviser et gouverner la population et obtenir de grandes divisions de la population pour attaquer, diaboliser et condamner ceux qui cherchent à protéger la liberté de la population. C’est pourquoi l’accent a été mis sur ces prétendus anti-vax, les négationnistes du Covid etc., parce que si nous nous réunissons en nombre quelconque – et vous avez raison, on est loin d’être la majorité, je veux dire, si nous attendons la majorité, franchement nous pourrions attendre longtemps. Mais cela n’a rien à voir avec la majorité, c’est juste qu’on a besoin d’un grand nombre de personnes dans chaque pays qui disent simplement : « Non, on va arrêter de faire ça, nous ne sommes pas d’accord de nous faire asservir de la sorte ». Si quelqu’un sort de la Maison Blanche ou de Downing Street [Downing Street = résidence officielle et bureaux du Premier ministre britannique et d’autres représentants du gouvernement] et dit « nous avons eu une discussion et c’est ce qui va se passer ». Si suffisamment de personnes disent : « nous ne le ferons pas », Ils n’auront aucun pouvoir ! Ils n’ont pas de pouvoir ! Le pouvoir qu’ils ont est le pouvoir que la population leur donne sous la forme A) d’un consentement incontesté, et B) d’une acceptation qui ne veut pas consentir, mais qui a trop peur de ne pas se conformer. Ces deux mentalités sont la seule chose qui ait jamais permis à quelques-uns de contrôler le plus grand nombre et c’est toujours l’équation. Et si on veut… et c’est encore ce que les gens disent, on ne peut rien faire. Mais bien sûr qu’on peut faire quelque chose ! Huit milliards de personnes ne peuvent pas être contrôlées par une poignée de gens, c’est impossible sans le respect des huit milliards. La réponse est devant nous, mais les gens doivent s’informer pour qu’ils réalisent qu’on leur ment, avoir une paire de ….. pour ne pas consentir par peur, et rejoindre les groupes d’opposants, les vrais opposants, et ce nombre augmente tout le temps, qui disent « Non, nous ne participons pas à nos propre asservissement ». Et si les gens faisaient juste cela, ils réaliseraient non seulement où se trouve le pouvoir, mais que c’était le cas depuis le début. Je vais vous donner un exemple rapide. Margaret Thatcher, le Premier ministre britannique, était considérée comme la Dame de fer et invincible. Et puis elle a sorti quelque chose qui s’appelle la poll tax vers la fin de son mandat de premier ministre, et c’était vers la fin du mandat de premier ministre à cause de ce qui s’est passé, cette dame de fer invincible, (qui pensait) « J’ai le pouvoir. » Et ce que la poll tax a fait, c’est qu’elle a non seulement affecté la classe ouvrière, les pauvres, mais aussi la classe moyenne, qui est différente de votre classe moyenne. Notre classe moyenne a un peu plus d’argent que votre classe moyenne, vous voyez ce que je veux dire. C’est juste une description différente. Mais ce que (cette taxe) a fait, c’est qu’elle a uni deux groupes qui ne se seraient normalement pas mis ensemble. Donc c’était comme, « oh, ça affecte la classe ouvrière, je suis de la classe moyenne, ça ne m’affecte pas. » « Oh, c’est la classe moyenne, ça ne m’affecte pas, je suis de la classe ouvrière », ça a affecté les deux. En conséquence, de mémoire, un très, très grand nombre de personnes a dit : « Nous ne paierons pas. Nous refusons de la payer ». Et j’ai en fait été impliqué dans le premier procès, qui a eu lieu en bas de la rue où ils ont essayé d’engager des poursuites contre les gens qui ne voulaient pas payer, et cela s’est terminé en queue de poisson, c’est une longue histoire, mais leur poursuite a été un véritable fiasco à la première audience.

Intervieweur : Je ne connais pas cette expression « en queue de poisson ».

Icke : Ca a mal tourné.

Interviewer : C’est devenu compliqué.

Icke : Ça a mal tourné pour le gouvernement, ils n’ont rien eu. C’est ce qui s’est passé. Mais ce que je dis, c’est que le refus de ces deux groupes normalement divisés mais désormais unis sur ce point signifiait non seulement que la taxe en question a été supprimée, mais elle a tellement blessé l’image de la « Dame de fer » de Margaret Thatcher qu’elle a démissionné très rapidement après. Et cela montre juste que vous êtes le vrai pouvoir. Le pouvoir de la Dame de Fer était là avec le consentement de la population et de la peur de ne pas se conformer. Une fois que ce groupe uni a dit « nous ne coopérons pas », c’était fini. Et vous savez, quand les gens me disent : « on ne peut rien faire, qu’est-ce qu’on peut faire ? » Et je dis juste : « Oh mon Dieu, procurez-vous une calculatrice. » Mettez huit milliards, enlevez les gens qui savent très bien ce qu’ils font, enlevez les hommes de main du gouvernement qui imposent et administrent ce que quelques-uns veulent faire, enlevez la police, enlevez les forces de l’ordre, enlevez l’armée, déduisez cela maintenant des huit milliards. Il reste la meilleure partie des huit milliards. La réponse est donc là. Mais il faut avoir le choix de faire en sorte que la réponse se produise en disant simplement « je ne le fais pas ». « Non » est le mot le plus puissant dans n’importe quelle langue, à partir du moment où nous défendons notre point de vue « Non, on ne va rien m’imposer et ma liberté ne sera pas supprimée si je ne me plie pas à ce que vous me dites de faire ».

Intervieweur : Excellent, eh bien, soulignons ce point important, et terminons cette interview.




Nous prépare-t-on une prochaine « plandémie » ?

[Source : Décoder l’éco]

Ce 30 janvier, le World Economic Forum annonce 3 priorités pour « se préparer à la prochaine pandémie ». On espère que vous êtes conscients de n’en être qu’au début de votre carte de fidélité. En tout cas, le WEF, lui, se prépare pour la prochaine fois. Il faut dire que Klaus Schwab, en se citant lui-même dans le Great Reset, nous apprend que la pandémie « représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde ». Accessoirement, elle fut l’occasion d’enrichir considérable quelques partenaires du WEF dont Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson&Johnson. C’est fou comme la philanthropie rapporte. La récompense divine se mesure finalement en milliards de dollars en provenance direct des impôts des gens.


[Source : aubedigitale.com]

Après Davos, l’une des principales conférences sur la centralisation mondiale est le sommet annuel mondial des gouvernements à Dubaï, un lieu où les élites de l’establishment peuvent s’exprimer à voix haute sur des programmes qu’elles gardaient hautement secrets il y a seulement dix ans. La conférence de 2023 offre une flopée de discours révélateurs, dont un exposé de Ian Bremmer, président et fondateur d’Eurasia Group. Cette organisation est un « cabinet de conseil en risques politiques » qui considère la gouvernance mondiale comme la solution à la majorité des problèmes du monde.

L’extrait suivant du discours de Bremmer est un autre exemple d’un mondialiste qui dit tout haut ce qui est silencieux : il considère les événements de crise comme utiles à la poursuite de la centralisation, et Bremmer inclut la pandémie de covid dans sa liste de catastrophes précieuses. Il ne donne pas de détails, mais il est probable que les catastrophes provoquent la peur du public, et la peur est facile à exploiter. Bien que Bremmer semble condamner la montée du « protectionnisme » et du nationalisme ces dernières années, il est clair qu’il considère les tensions nationales comme un outil précieux pour le jeu final : Un gouvernement mondial.




Chajnantor

Un roman de Patrick Lehébel paru en septembre 2015, cinq ans avant la plandémie Covid. Prémonitoire ?

Présentation (4e de couverture)

Nous sommes en 2030. Le radiotélescope géant de Chajnantor, dans la cordillère des Andes, détecte un signal en provenance d’une planète située hors du système solaire… Ce signal est un message, un message d’origine humaine.

Débute alors, captivante et terrible, la narration d’une histoire de la Terre et des Hommes, couvrant une période allant de 2084 à 3427, date présumée de l’extinction de l’espèce humaine. Cette période, qui s’ouvre avec la naissance du narrateur, verra le monde actuel s’effondrer sur lui-même, dans les guerres et les dérèglements environnementaux. Il renaîtra, sous la forme quelque peu orwellienne d’une humanité globalisée, avançant à tâtons, sous la houlette d’un gouvernement mondial désincarné, sur la voie de manipulations génétiques semblant promettre l’immortalité pour tous… Mais Icare n’est jamais loin, et la survie de l’Humanité bientôt ne tiendra plus qu’à un fil…

Si le message a été reçu, pourquoi le futur a-t-il été ce qu’il a été ? A Chajnantor, les auditeurs de cet extraordinaire message le comprendront, mais trop tard.

À propos de l’auteur

Patrick Lehébel est né en 1959 à Saint-Nazaire, il vit aujourd’hui toujours dans la région, en Brière. Agrégé et docteur en mathématiques, il a enseigné tant en France qu’en Afrique. Il a à son actif la rédaction de plusieurs ouvrages, essais et romans. Sa principale préoccupation est l’avenir de l’Humanité, malgré son penchant avéré pour la folie autodestructrice. Patrick Lehébel utilise habilement ses connaissances scientifiques dans ses romans pour en faire de la véritable science-fiction, au sens premier du terme, rendant ainsi le récit d’autant plus prenant et crédible. Préalablement à Chajnantor, Patrick Lehébel a publié deux autres romans : Iridium Apocalypse (Edilivre, 2007) et L’Or du Kent (l’Ancre de Marine, 2012).

2030 en pleine cordillère des Andes, le radiotélescope géant de Chajnantorreçoit un signal en provenance d’une planète située hors du système solaire. Or, selon toutevraisemblance, ce message est d’origine humaine… S’ensuit alors le récit haletant de laplanète Terre d’une période allant de 2084 à 3427 par un homme qui décrit par le menu tousles événements qui ont mené l’Humanité à sa perte. D’abord un accroissement de lapopulation mondiale sans limite, faisant fi des ressources limitées de la planète, puis le désir insatiable del’Homme de vivre toujours plus longtemps, en dépit de toute éthique et du bien-êtrede l’Humanité dans son ensemble. Ce roman se lit d’une traite tant il est captivant. C’est un mélange réussi entre vulgarisation scientifique et roman d’anticipation, bref de la vraie science-fiction comme on n’en fait plus, à la façon de Jules Verne. Le sujet, qui pouvait être qualifié de vraiment novateur à la sortie du roman en 2015, peut aujourd’hui, au vu des récents événements, indubitablement être qualifié de carrément visionnaire.

Pour se procurer le livre

http://www.antigone14editions.com/livre-chajnantor-patrick-lehebel-978-2-37233-024-4.htm

https://livre.fnac.com/a9053732/Patrick-Lehebel-Chajnantor

https://www.decitre.fr/livres/chajnantor-9782372330244.html

https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782372330244-chajnantor-patrick-lehebel/




Quatre fois plus de mortalité suite au Covid chez les 65-80 ans à cause de la vaccination ? Le Pr Masanori Fukushima porte plainte contre contre l’État japonais

[Source : FranceSoir]

[Photo : Vaccination contre le Covid-19 au Japon.
 STR / JAPAN POOL / JIJI PRESS / AFP]

Le Japon connaît un contexte général de hausse de la mortalité. Certains scientifiques et médecins, après avoir constaté une inflammation générale de l’organisme chez certaines personnes décédées ainsi que des anomalies au niveau du système immunitaire, s’interrogent sur un lien possible avec les injections vaccinales anti-Covid-19. En parallèle, le professeur émérite de médecine Masanori Fukushima, déclare porter plainte contre l’État japonais qui a fait la promotion de vaccins. Or, loin de réduire la mortalité par Covid, cette dernière aurait été multipliée par quatre pour la tranche d’âge des 65-80 ans.

Depuis un an, l’archipel japonais affiche un excès inquiétant de la mortalité de sa population. La courbe des décès, au plus bas en mars-avril 2021, commence à monter vers le mois de mai 2021. Si elle est restée dans des limites « acceptables » jusqu’au début de l’année 2022, on constate une très vive accélération des décès à partir dès mars-avril de cette même année.

Une hausse inquiétante de la mortalité

Un phénomène qui n’est pas propre au Japon puisque l’ensemble des pays du bloc occidental, mais également Israël, certains pays d’Amérique du Sud enregistrent des décès supplémentaires par rapport à « une année normale ».

Courbe de l'excès de mortalité au Japon

Au Japon, ces niveaux élevés de mortalité surgissent dans un contexte de poursuite de l’épidémie, même si depuis le 20 janvier 2023, le Premier ministre japonais Fumio Kishida, considérant que l’épidémie de Covid-19 est beaucoup moins virulente qu’elle n’a pu l’être, a annoncé son intention de rétrograder au printemps prochain le Covid-19 de la catégorie 2 – qui le plaçait au même niveau que la tuberculose – à la catégorie 5, un indice de dangerosité qui classe le virus au même niveau que la grippe saisonnière.

Cependant, l’épidémie est-elle la cause principale de cette hausse de la mortalité ? Tout dépend de ce que l’on entend par « cause principale ». Si l’on prend la cause directe, c’est-à-dire la mortalité par Covid, en examinant les chiffres affichés sur le site Johns Hopkins University, on constate que ceux-ci ne sont pas très élevés comparés à ceux de certains pays occidentaux (États-Unis, Royaume-Uni, Belgique, France). Depuis trois ans, il y aurait eu un peu plus de 71 000 décès liés à l’infection par Sars-CoV-2 dans ce pays qui compte 125 millions d’habitants.

Cas de décès de mortalité par Covid au Japon

Pourtant, la fin de l’année 2022 a été marquée par la reprise de l’épidémie de Covid-19 et un taux de mortalité en nette augmentation. Face à ce phénomène, les autorités ont peu réagi, préférant mettre en avant le taux de vaccination important puisqu’à la fin de l’année 2022, de 700 000 à un million de personnes se sont vaccinées chaque jour, faisant de l’archipel, l’un des pays les plus vaccinés du G7.

Cas et décès par Covid de 2020 à 2023

Cependant, à cette cause directe de la mortalité, il en existe d’autres qui, elles aussi, pourraient être liées à l’épidémie de Sars-CoV-2.

En premier lieu, comme pour de nombreux pays de l’OCDE, la hausse de la mortalité au Japon pourrait être attribuée, d’une part à la chute de la prise en charge des personnes, par l’annulation de certains rendez-vous médicaux de patients, ce qui aurait entraîné des retards de diagnostic et une surmortalité, et d’autre part à la réduction des interactions sociales, avec des conséquences graves sur la santé mentale de certaines personnes.

Par ailleurs, selon les autorités, même si ce pays est l’un des rares à ne pas avoir connu une chute de l’espérance de vie, cette surmortalité serait due à la propagation du variant BQ1 et à un taux insuffisant de rappel vaccinal avec les boosters bivalents destinés à protéger les personnes des sous-variants d’Omicron. La tranche d’âge des 80-90 ans aurait représenté 40,55% de la mortalité par Covid et les plus de 90 ans, 34,76%. 

Enfin, même si les causes des décès peuvent être multifactorielles, et si l’évolution de la courbe de mortalité doit être interprétée avec beaucoup de prudence, lorsqu’on croise la courbe de la vaccination avec celle de la mortalité, on ne peut pas exclure que la vaccination fasse également partie des causes de la hausse de l’incidence des décès à court et moyen terme.

Courbe de la vaccination au Japon

Cette hypothèse peut d’autant moins être écartée aujourd’hui alors que certains effets indésirables parfois mortels sont désormais reconnus par les autorités qui ont commencé à indemniser les familles concernées par la perte d’un de leur membre.

Par ailleurs, les analyses de certains professeurs de médecine pourraient faire craindre un endommagement du système immunitaire des personnes vaccinées susceptibles de développer des infections plus graves que celles qui ne sont pas vaccinées (voir ci-dessous).

Vers une reconnaissance des effets secondaires post-vaccinaux

Selon la loi japonaise sur la vaccination, les vaccins contre le Sars-CoV-2 sont considérés comme ad hoc, entendez par là, destinés expressément à un usage spécifique.

Cette disposition particulière permet de commencer à indemniser les familles dont l’un des membres a été victime d’un effet indésirable suite à une injection vaccinale dès lors que l’imputabilité de la preuve a pu être établie. En effet, lorsque le lien est prouvé, les descendants de la personne décédée à cause du vaccin peuvent recevoir une indemnité forfaitaire de 44,2 millions de yens (310 000 euros environ) et une somme de 212 000 yens (1 500 euros environ) pour contribuer aux frais d’obsèques.

Le 26 juillet 2022, un groupe d’experts du ministère de la Santé japonais a accordé pour la première fois une indemnité forfaitaire à la famille d’une personne décédée après que cette dernière a développé une réaction allergique puis une crise cardiaque après une injection de vaccin contre le Covid-19.

En dépit des comorbidités préexistantes, notamment d’accidents ischémiques transitoires que présentait cette femme, le ministère n’a pas communiqué sur la date de la vaccination et le nombre de doses, estimant qu’une relation de cause à effet entre les problèmes de santé ultérieurs et le vaccin ne pouvait pas être niée dans cette affaire. Par ailleurs, les autorités ont déclaré qu’« une relation de causalité scientifiquement rigoureuse n’est pas nécessaire ».

Au-delà, de cet exemple emblématique de reconnaissance d’un effet indésirable ayant entraîné le décès de la personne, à cette date, au Japon, 3 680 personnes avaient déjà vu leur demande d’indemnisation du préjudice lié à la vaccination acceptée. Parmi tous les dossiers, 850 dossiers avaient reçu un avis favorable et 62 dossiers ont été refusés. Par ailleurs, les décisions concernant 16 autres personnes, dont certaines sont décédées, ont été reportées.

La hausse de la mortalité couplée à la reconnaissance de l’existence d’effets indésirables liés à la vaccination ont conduit certains scientifiques et médecins à étudier les liens de causalité entre la vaccination et l’augmentation des décès, notamment en analysant les mécanismes biologiques et physiologiques qui pourraient être à l’origine des réactions graves pouvant entraîner la mort des personnes après avoir reçu une injection de vaccin anti-Covid-19 à ARN messager.

Les constats biologiques, physiologiques et cliniques des scientifiques et des médecins

La température anormalement élevée des personnes décédées

Dans une vidéo mise en ligne en décembre 2022, deux chercheurs japonais analysent les mécanismes physiologiques induits par les vaccins expérimentaux à ARN messager et qui ont pu causer des réactions indésirables graves, voire entraîner la mort de sujets vaccinés dans certains cas. 

Masataka Nagao, médecin légiste attaché à la faculté de médecine de l’université d’Hiroshima, pratique des autopsies sur plus d’une centaine de corps par an.

Il a constaté que les personnes décédées après une injection de vaccin anti-Covid-19 présentaient une température du corps anormalement élevée.

« La première chose qui m’a interpellée, c’est que la température des cadavres était très élevée lorsqu’ils ont été examinés par la police. Les températures corporelles étaient anormalement élevées, autour de 33 ou 34 degrés Celsius, ce qui n’est pas normal. Normalement, au stade de l’autopsie, la température du corps est de 20 degrés. La température du corps était très élevée au moment de la mort. La température était supérieure à la normale, c’est-à-dire supérieure à 40 degrés Celsius », a-t-il déclaré.

En examinant le profil génétique, l’équipe de recherche du Pr Nagao a pu constater qu’il existait des anomalies au niveau du système immunitaire et que ces dérèglements pouvaient être la cause de réactions inflammatoires fortes.

À partir de l’analyse que ces équipes ont effectué des données génétiques recueillies sur les patients décédés, le Pr Nagao pense que le vaccin peut être responsable de troubles immunitaires ayant entraîné une inflammation dans le corps et dont le signe clinique principal était cette hausse de la température corporelle au-dessus de 40° Celsius. 

« Ces seules données montrant que les gènes impliqués dans la réponse immunitaire étaient hyperactifs, ne permettent pas de conclure que les vaccins sont la cause de la mort, mais ne le mettent pas hors de cause. Je peux dire que c’est une zone grise, et nous pensons que l’administration de ces vaccins est suffisamment reliée à des réactions anormales du système immunitaire. »

La suppression du système immunitaire

Dans cette même vidéo, un autre grand professeur, Shigetoshi Sano, expert en dermatologie de la faculté de médecine de l’université de Kochi, a évoqué la découverte de protéines Spike à l’emplacement de lésions cutanées et d’autres problèmes de peau sur des patients vaccinés.

« La protéine Spike issue du vaccin a été trouvée dans la peau », a expliqué le professeur Sano en montrant une diapositive montrant une région vert vif sur une lésion rendue visible par un colorant spécial. Cette technique sert à visualiser les régions où l’on peut détecter une inflammation et constater qu’elles sont « inondées » de protéines Spike.

« Les protéines Spike sont dispersées localement, elles suppriment localement le système immunitaire, ce qui a pour conséquence de faciliter la réactivation du virus de l’herpès. (…) La fonction des protéines Spike pour produire des réactions indésirables est la formation de caillots sanguins », a expliqué le Pr Sano. « Et pire encore, les protéines Spike peuvent aussi induire localement une inflammation ».

Interrogé par rapport à l’affaiblissement du système immunitaire et à la possibilité de contracter plus facilement des infections, le Pr Sano, après un bref moment d’hésitation, a répondu : 

« Vous avez raison. Je ne sais pas si je devrais dire cela, mais il a été constaté que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter le coronavirus que les personnes non vaccinées. Parfois, des choses qui ne sont pas bonnes sont introduites dans le corps humain. La vaccination peut empêcher notre système immunitaire global de lutter contre ces mauvaises choses ».

La plainte contre l’État japonais déposée par le professeur Masanori Fukishima

Tandis que les investigations de scientifiques et de médecins se poursuivent, Masanori Fukushima, professeur émérite de médecine à l’université de Kyoto, dans une allocution prononcée dans un hôpital universitaire le 2 février 2023, a annoncé porter plainte contre l’État japonais qui a fait la promotion du vaccin, une décision d’une extrême gravité, selon lui. Il n’hésite pas à accuser le ministère de la Santé de fraude et dénonce un problème « historiquement grave qui menace l’existence même de la nation japonaise ». 

« Aujourd’hui, nous avons déposé une plainte contre le gouvernement japonais pour l’annulation de l’action administrative. Aujourd’hui, il est d’une importance fondamentale pour le gouvernement japonais de collecter et de divulguer en permanence des données exactes. Cependant, j’ai été témoin du récent scandale de fraude commis par le ministère de la Santé. Je dois réaliser qu’il s’agit d’un problème historiquement grave qui menace l’existence même de la nation japonaise. En tant que médecin et scientifique, je n’ai pas eu d’autre choix que d’oser engager une action en justice. Il va sans dire qu’il est absolument important de divulguer les données du monde réel sur l’efficacité et la sécurité de la vaccination contre le virus du Covid-19. En effet, ces données sont directement liées à la santé, aux moyens de subsistance et à l’économie de la population. Par conséquent, je pense que le gouvernement japonais, c’est-à-dire le ministère de la Santé, doit divulguer ces données de manière appropriée au public.

Jetez un coup d’œil aux données pour les groupes de 65-69 ans et de 70-79 ans. Il est surprenant de constater que le nombre de nouvelles infections ou de cas positifs pour 100 000 personnes est quatre fois plus élevé chez les personnes vaccinées deux fois que chez les personnes non vaccinées. Regardez également les données fournies par le conseil consultatif en septembre 2021. Le taux de mortalité des personnes non vaccinées et les taux de mortalité des personnes vaccinées à une dose et à deux doses ont été décrits correctement. D’après la description en rouge, la vaccination a effectivement réduit le taux de mortalité des personnes âgées de plus de 65 ans. Cependant, pour tous les âges, la vaccination a démontré l’effet inverse, entraînant une augmentation du taux de mortalité. Il s’agit d’un phénomène paradoxal. En tant que telles, les données sur les taux de mortalité avaient déjà été publiées dans des documents officiels. 

Cependant, dans les données de l’année dernière, le ministère de la Santé a supprimé toutes ces informations. En fait, la vaccination a été recommandée sur la base de l’explication suivante : la vaccination ne prévient pas l’infection, mais la vaccination prévient les maladies graves et réduit le taux de mortalité.

Cependant, sur la base des données publiées par le Conseil consultatif en septembre 2021, la base pour recommander la vaccination pour tous les âges ne devrait plus exister. Malgré cela, le ministère de la Santé a poursuivi la vaccination. Je considère qu’il s’agit d’une grave crise nationale. C’est pourquoi j’ai décidé d’intenter un procès cette fois-ci. »




Un directeur du NHS confirme que les hôpitaux ont menti sur la cause des décès pour créer l’illusion d’une pandémie de COVID

[Source : expose-news.com]

[NDLR NHS = National Health Service, le système de Santé au Royaume-Uni].

Avant l’arrivée de la Covid, quatre types de pneumonies additionnés constituaient la principale cause de décès au Royaume-Uni. Selon un ancien directeur des soins de fin de vie, le système de certification des décès nouvellement mis en place par le médecin légiste certifiait tous les types de décès par pneumonie comme des décès par covid-19.

Samedi, Sai, un ancien directeur des soins de fin de vie du NHS, a écrit un fil Twitter qui, entre autres, a donné un compte rendu personnel des changements apportés au système de déclaration des décès mis en œuvre dans le NHS :

« Lorsque quatre maladies différentes sont regroupées et désormais appelées covid-19, vous voyez inévitablement la covid-19 avec un taux de mortalité énorme. Les médias grand public ont fait état de l’augmentation considérable du nombre de décès dus à la covid-19 en raison de la mise en place du système des médecins légistes.

Les patients admis et mourant de vieillesse ou de maladies très courantes telles les infarctus du myocarde, l’insuffisance rénale terminale, les hémorragies, les accidents vasculaires cérébraux, les BPCO et les cancers, etc. étaient tous certifiés comme étant des covid-19 par le système des médecins légistes.

Les hôpitaux passaient du système des médecins légistes au système prépandémique quand ils le voulaient. Lorsqu’il fallait augmenter le nombre de décès dus à la covid-19, l’hôpital passait au système du médecin légiste. »

En outre, « les hôpitaux étaient incités à déclarer les décès dus à la covid-19 plutôt que les décès normaux, car le gouvernement versait aux hôpitaux des sommes supplémentaires pour chaque décès dû à la covid-19 qui était déclaré », a déclaré Sai. « Je n’ai aucun doute dans mon esprit que le gouvernement a planifié l’ensemble de la pandémie depuis 2016, lorsqu’il a proposé pour la première fois de modifier la certification médicale des décès. »

Vous pouvez lire le fil de discussion de Sai sur Twitter ICI ou sur l’application Thread Reader App ICI. Au cas où il serait supprimé de Twitter, nous avons […] joint une copie PDF […] :




Quand les théories du complot font partie du complot

[Source : Jérémie Mercier]

Dans cet entretien avec Icaros, auteur du blog https://coronacircus.com/ et contributeur d’une « freedom cell » (cellule de liberté) dans les montagnes suisses, nous explorerons la piste selon laquelle certains « complotistes » et certaines « théories du complot » peuvent parfois sans le savoir participer à une subversion permettant à terme la mise en place d’un « nouvel ordre mondial ».

[NDLR Les points de vue exposés sont bien sûr largement discutables, puisque pour la plupart ils relèvent d’hypothèses ou de théories.]






Le Tétralogue — Roman — Chapitre 39

[Voir :
Le Tétralogue — Roman — Prologue & Chapitre 1
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 2
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 3
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 4
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 5
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 6
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 7
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 8
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 9
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 10
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 11
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 12
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 13
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 14
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 15
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 16
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 17
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 18
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 19
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 20
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 21
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 22
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 23
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 24
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 25
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 26
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 27
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 28
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 29
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 30
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 31
​Le Tétralogue — Roman — Chapitre 32
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 33
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 34
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 35
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 36
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 37
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 38]

Par Joseph Stroberg

​39 — Le mort-vivant

L’intérieur peu lumineux était constitué d’une unique pièce aux murs presque entièrement meublés d’étagères, de coffres et d’appareils dont ils ignoraient la fonction. Au fond se trouvait aussi un creux dans le sol, d’où émanait une odeur d’excréments, et un tube métallique de petit diamètre qui jaillissait du mur. Légèrement sur la gauche, ils aperçurent un Vélien squelettique revêtu d’une combinaison bizarre qui le couvrait de la tête aux pieds. Grâce à une visière transparente étroite, celui-ci semblait absorbé par la contemplation d’une image animée provenant du mur qui lui faisait face. Alors qu’il tournait la tête vers les arrivants en reculant, ceux-ci parvenaient à peine à en distinguer les traits, derrière un genre de masque translucide fait d’une matière étrange à l’éclat mi-métallique et mi-cristallin.

— Que faites-vous là ? Partez ! Je vous en prie, partez ! Vous allez me contaminer ! Je ne veux pas mourir, partez ! La suite de ses propos devint indistincte alors qu’il se recroquevillait sur lui-même comme un serpent apeuré ou prêt à bondir sur sa proie.

— Qu’est-ce qu’il raconte ? demanda Gnomil éberlué. Contaminer ? Qu’est-ce que ça veut dire ?

— Je n’en sais rien, répondit le moine alors qu’il constatait que le malingre et pitoyable Vélien ne représentait pas du tout un danger, ceci lui permettant de ranger son sabre.

— Moi non plus, reconnut aussi le chasseur.

— Si ma mémoire est bonne, j’ai déjà vu cela quelque part dans un des tomes du Livre, mentionna la cristallière en rangeant son cristal, alors que l’occupant des lieux s’était muré dans un profond silence et demeurait terrorisé. Sur certaines planètes arriérées, il semble que les habitants croient que beaucoup de leurs maladies seraient dues à de minuscules choses indiscernables à l’œil nu. Ils les observent alors avec des instruments qui d’après une illustration du Livre ressemblent à celui-ci, précisa-t-elle en désignant de la main un des appareils présents dans la pièce, du côté opposé à l’étrange Vélien. Il est mentionné que cette croyance provient d’une vue limitée sur l’Univers, une perception qui n’en capte que la dimension la plus dense, la plus matérielle. Ils n’ont pas compris que si les êtres vivants, qu’ils soient de nature végétale, animale ou humanoïde, possèdent en eux-mêmes des milliards de ces minuscules choses, ce n’est pas pour devenir malade, même lorsque celles-ci sont sorties de corps différents du leur. Au contraire, ces petites vies participent à la plus grande vie représentée par le corps qui les contient habituellement. Elles fonctionnent en symbiose et sont indispensables. Lorsque le grand corps conteneur est empoisonné, ces petits êtres participent plus ou moins activement à la tentative d’élimination du poison et se mettent au besoin à se multiplier pour y parvenir plus facilement. Une partie d’entre eux sortent du corps pour évacuer les déchets provenant de ce processus de nettoyage. Le problème est que ces planètes arriérées croient alors que la présence en grand nombre de ces minuscules vies sur le corps d’un tel empoisonné est le signe non pas de cet empoisonnement, mais d’une maladie qui serait provoquée par ceux-là mêmes qui en fait tendent à soigner le corps, alors que la supposée maladie est repérée par des symptômes qui sont seulement les conséquences logiques de l’empoisonnement initial.

— Et la contamination dans tout ça, qu’est-ce que c’est ? l’interrogea Gnomil toujours aussi curieux.

— Les habitants de ces planètes croient que les vies minuscules se transmettent d’un corps à l’autre pour s’y multiplier et pour rendre malades leurs hôtes. Alors qu’en réalité si certaines variétés particulières d’entre elles se trouvent à un moment donné en surnombre sur ou dans le corps d’animaux, de végétaux ou d’humanoïdes par rapport à la normale, c’est parce que ces derniers ont été globalement victimes du même poison. La grande diversité de ces composants corporels infimes permet au corps de répondre à un très grand nombre de situations d’agression par des éléments qui se révèlent toxiques pour lui dès lors qu’ils sont présents en trop grande quantité ou intensité. Certaines de ces petites vies seront plus spécialisées dans le nettoyage de substances chimiques particulières pendant que d’autres sont plutôt chargées de communiquer certaines informations aux cellules du corps elles-mêmes pour y faire activer tel processus de nettoyage ou de rééquilibrage, par exemple. Et celles d’entre elles qui se retrouvent à l’extérieur du corps au cours du processus de guérison peuvent s’y retrouver en tant que porteurs évacuateurs de toxines ou pour avoir été elles-mêmes dégradées ou détériorées et désormais incapables d’accomplir leurs fonctions habituelles.

Pour résumer, les symptômes que les habitants de ces planètes pensent caractéristiques de maladies qui seraient causées par ces vies minuscules sont donc en réalité le signe que le processus de nettoyage du poison est en cours. Et plus celui-ci est rendu difficile pour diverses raisons (par exemple parce que le corps n’a plus assez de vitalité ou n’est pas suffisamment alimenté ou équilibré au départ), plus les symptômes sont douloureux et peuvent se révéler fatals.

Pour en revenir à la prétendue « contamination » ou « contagion » d’un corps à d’autres par de telles minuscules vies, elle n’existe tout simplement pas. C’est le poison qui est le contaminant, mais pas ces dernières qui participent ou tentent de participer à son élimination.

Le Livre mentionne également que les poisons peuvent être de diverses natures et pas seulement des substances chimiques trouvées dans les plantes, dans les sols ou dans les minéraux. Il peut s’agir aussi de nos émotions, comme la peur, la haine ou la colère et même de pensées négatives qui tendent à déséquilibrer le corps. Il peut aussi s’agir d’ondes particulières de même nature que la lumière, mais non visibles, surtout lorsque celles-ci sont artificielles et envoyées par saccades au lieu de manière plus continue ou plus fluide. Ces planètes arriérées tendent à utiliser de telles ondes pour communiquer à de grandes distances, alors que les planètes avancées recourent à la télépathie.

Enfin, pour compliquer la perception de ces planètes arriérées, il se trouve que les minuscules vies et composants de nos corps communiquent eux-mêmes à l’aide la lumière ou d’ondes de même sorte, mais non visibles, et sont capables d’informer de leur état de santé, pouvant même ensuite ainsi s’influencer positivement ou négativement selon les cas, en particulier selon l’état émotionnel de l’émetteur.

— Alors Veguil ne doit pas être très évoluée, en déduisit le voleur.

— Selon le Livre, elle est intermédiaire. Elle est plus évoluée sur le plan de certaines connaissances, comme celles relatives à la maladie et à la santé, grâce à l’héritage de l’Empire zénovien, mais elle est en retard pour la télépathie. Il précise également que le niveau technologique n’est pas un critère fondamental dans l’appréciation de l’évolution d’une planète ou d’un groupe de planètes, alors que la conscience l’est.

— Et donc, pour en revenir à l’habitant de ces lieux, il semble avoir reçu la croyance en cette fausse contamination, intervint Tulvarn. D’où sa peur de tomber malade et éventuellement d’en mourir. Que pouvons-nous faire pour lui ? Il semble complètement perdu et hors d’atteinte, comme si son esprit s’était retiré.

— Eh bien, je pourrais peut-être essayer un des cristaux asterns. J’en ai amené un à tout hasard. Ils sont supposés permettre la communication avec les morts, mais je n’ai jamais pu vérifier cela par moi-même.

— Mais, il n’est quand même pas mort, objecta Gnomil sur un ton intermédiaire entre doute et exclamation.

— Non, du moins pas pour l’instant, bien que… Son esprit n’est plus là. Il apparaît comme entre la vie et la mort. Alors, pourquoi ne pas tenter ?

— Allons-y, approuva le moine. Au point où il en est, ça ne risque pas d’aggraver son cas, en supposant que ce cristal agisse sur lui.

— En fait, je ne sais même pas vraiment ce que celui-ci est censé faire. Nous allons voir, acheva-t-elle en levant le cristal en direction de l’étranger recroquevillé.

L’astern ne semblait dans un premier temps rien faire, mais le chasseur dont les sens étaient toujours à l’affût eut soudainement son attention attirée légèrement vers l’arrière, près de la porte d’entrée. Là, il vit comme au travers d’une brume un genre d’ombre en forme de Vélien, un être fantomatique vaporeux et de couleur très pâle. Il pouvait deviner sa ressemblance superficielle avec l’étranger, sans être certain de la similitude — ses contours n’étaient pas suffisamment précis pour cela.

— Regardez par ici ! finit-il par crier, ne sachant pas quoi faire d’autre.

— Quoi ? interrogèrent simultanément ses trois compagnons.

— Oh ! continua seule la cristallière. Il ressemble à un mort-vivant. Essayons de communiquer avec lui !

Ils passèrent quelques heures suivantes à tenter d’en savoir plus sur ce pauvre Vélien et sur ce qui était arrivé à cette pourtant si belle ville. Le genre de fantôme qui leur faisait face représentait en fait la partie émotionnelle, affective et sensitive du Vélien et il était assez difficile d’en soutirer des renseignements rationnels et cohérents, d’autant plus que même dans cet état intangible il semblait encore dominé par la peur. Cela leur paraissait d’autant plus absurde que sous cette forme subtile il ne risquait pas d’être contaminé par quoi que ce soit de matériel, même pas par les microscopiques créatures qu’il percevait jusqu’à présent comme des ennemis mortels.

À force de patience et d’attention, ils finirent cependant par avoir une certaine idée de la situation. La Cité de cristal avait représenté un test pour l’ancien empire zénovien. Elle avait été destinée à vérifier une approche particulière de conditionnement des citoyens de l’Empire basée sur la peur. Pour cela, les stratèges militaires avaient développé toute une stratégie qui reposait sur un énorme mensonge, celui de l’existence de ces minuscules ennemis invisibles contre lequel les citoyens n’avaient qu’un moyen de se protéger : se revêtir de cette sorte de combinaison intégrale munie d’une visière, d’un dispositif de recyclage partiel des excréments et de l’urine (le reste étant expulsé par un orifice doté d’une valve), d’un respirateur, d’une pompe d’alimentation automatique par branchement à une prise extérieure sur une source alimentaire accrochée à l’un des murs, et de quelques autres gadgets dont le quatuor ne comprenait pas la fonction. De plus, ils devaient absolument éviter de s’approcher de tout individu qui ne serait pas lui aussi revêtu d’un tel attirail pour diminuer la probabilité de contamination en cas de faille dans la combinaison.

L’acceptation de ce conte pour enfants, puis de l’accoutrement à porter en permanence, jour et nuit avait ensuite permis la mise en place de mesures de plus en plus contraignantes, les pauvres habitants de la cité n’ayant rapidement même plus eu le droit de sortir de chez eux. À partir du moment où ils avaient cru naïvement l’affaire des minuscules ennemis, ils avaient mis le doigt dans l’engrenage de l’asservissement et de l’enfermement complets. Chaque étape franchie avec succès dans le plan de l’Empire avait rendu encore plus difficile et improbable un retour en arrière pour les malheureuses victimes. Celles-ci avaient même perdu le droit de se reproduire sexuellement et comme l’usine de procréation artificielle de Véliens n’avait pu être mise en place avant la chute de l’Empire, le nombre d’habitants de la ville diminuait de cycle en cycle.

Les quatre compagnons avaient été chanceux de tomber directement sur une maison habitée, alors que la population actuelle n’était plus que le vingtième de l’originelle, bien sûr composée de vieilles Véliennes et de vieux Véliens maladifs par manque d’air, d’aliments et de lumière naturels autant que par manque de contacts charnels et relationnels. Ils ne pouvaient malheureusement plus grand-chose pour aider ces pauvres âmes prisonnières de leurs croyances, conditionnées depuis si longtemps à vivre d’une telle manière miséreuse et aberrante. Le cœur lourd de les voir dans un état si pitoyable et de se trouver eux-mêmes si impuissants à les aider, les quatre aventuriers se résolurent à quitter la ville au plus vite dès qu’ils auraient découvert l’information cherchée concernant le Tétralogue. Cependant, le soir tombait et ils décidèrent d’en profiter pour prendre un bon repos avant d’explorer d’autres bâtiments.

Après une nuit de sommeil, ils se nourrirent de la nourriture artificielle insipide en provenance du distributeur alimentaire d’une maison inoccupée, puis ils se mirent à explorer un à un les bâtiments qui ne ressemblaient pas à des domiciles. Ceux-là étaient habituellement nettement plus grands que ces derniers. Cependant, ils ne trouvèrent pas de quoi se nettoyer et ils commençaient tous à puer sérieusement. L’eau était combinée à la nourriture qui ressemblait à une soupe épaisse délivrée par un tuyau et ils n’en avaient pour l’instant pas trouvé d’autre source dans la ville. Peut-être que quelque chose dans la combinaison intégrale portée par les habitants du lieu leur assurait automatiquement un minimum d’hygiène, mais est-ce que cela valait alors le contact direct avec de l’eau fraîche ?

(Suite : Le Tétralogue — Roman — Chapitre 40)




L’affaire Palmade met au jour une gouvernance gangrénée par des valeurs déshumanisantes

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam

Pierre Palmade a provoqué il y a quelques jours un accident qui a fracassé une famille entière. Les trois occupants de l’autre véhicule, un homme, une femme et un enfant de 6 ans ont été grièvement blessés. Plus grave la passagère enceinte de 6 mois a perdu son bébé.

[Voir aussi :
France — Faut-il pleurnicher sur le sort de Pierre Palmade ?]

Un drame comme il peut hélas en arriver sur les routes, sauf que dans ce cas précis, le coupable est célèbre et conduisait sous l’emprise de la drogue. De la cocaïne.

Une affaire qui pointe du doigt les mécanismes déviants de la gouvernance publique.

Des autorités qui ont banalisé la consommation de la drogue

Et à partir de là, se pose une foule de questions. La première et la plus simple simple à cerner concerne l’hypocrisie qui caractérise les autorités de nos pays. Je rappellerais que l’État français a considéré il y a quelques années que ce que l’on appelait autrefois « trafic de drogue », sous-entendant que l’activité était répréhensible, est devenue une activité commerciale prise en compte dans le calcul du PIB national.

« (…) les investissements de l’État dans les forces de police ou les achats par les citoyens de dispositifs de protection deviennent des richesses. Donc, plus le trafic [de drogue]

 s’étend, plus la croissance sera forte ! (…). Or, la réforme du mode de calcul du PIB appliquée par l’Insee, c’est la cerise sur le gâteau : en plus de toutes les conséquences du trafic, le PIB intégrera désormais (…) le trafic lui-même. »(([1]« En lui intégrant le trafic de drogue, l’Insee confirme que le PIB est absurde », Hadrien Mathoux, Libération, 31 janv. 2018))

Aux États-Unis, le président Obama avait demandé à ce que le commerce-trafic de Marijuana soit libéralisé, alors que la junk food était taxée.

En Suisse, une ancienne Conseillère fédérale est le porte-drapeau du combat de George Soros pour faire légaliser le business de la drogue et donc sa consommation par les États de la planète. Par conséquent, cela ne devrait choquer personne de voir des individus drogués participer à la vie de la société puisque l’État lui-même officialise la chose.

Les manuels de comptabilité nationale, dont le Système Européen de Comptes (SEC 2010), considèrent
explicitement que le caractère légal ou illégal, déclaré ou non déclaré, d’une transaction n’est pas un motif
recevable pour ne pas la décrire en comptabilité nationale : les comptes nationaux ont en effet vocation à
retracer l’ensemble des flux effectifs de revenus.

INSEE, ci-dessous

La cocaïne, un business juteux
La production est faite dans des pays lointains (Amérique Latine notamment), pour un coût d’environ 2 500 €/kg. Une partie de la drogue produite est directement achetée par des importateurs résidents français (hypothèse de 60 % des importateurs), qui la revendent aux trafiquants avec une première marge commerciale, à un prix de revente de 31 500 €/kg. Les détaillants français revendent ensuite le produit aux consommateurs à un prix très élevé, de l’ordre de 180 000 €/kg pour de la cocaïne pure.

Voir fichier INSEE ci-dessus

La banalisation de la drogue est une stratégie clairement annoncée par Hariri dans le but d’occuper des populations à qui on a tout pris. À commencer par le travail.

Un cynisme pathologique qui fait frémir.

Le statut juridique inexistant de l’enfant tué dans le ventre de sa mère

Et voilà le sujet qui fait vraiment polémique à l’heure actuelle : quel est le statut de cet enfant tué avant de naître ? De cette réponse dépend la qualification de l’avortement des fœtus, et particulièrement quand l’intervention a lieu sur un enfant qui va naître. Voici la position de la Cour de Cassation face à un cas similaire à celui de l’affaire Palmade :

L’incrimination d’homicide involontaire d’autrui prévue par l’article 221-6 du Code pénal ne s’applique pas à l’enfant à naître, au fœtus :

C’est ce qu’avait jugé la chambre criminelle de la Cour de cassation par un arrêt du 3 juin 1999, confirmé par l’assemblée plénière le 29 juin 2001. Cette jurisprudence est maintenant établie puisqu’un nouvel arrêt a été rendu dans le même sens par la chambre criminelle le 25 juin 2002, malgré la résistance de certaines cours d’appel. Les décisions de la Cour de cassation se fondent sur le principe de l’interprétation stricte de la loi pénale, qui ne prévoit pas que la mort du fœtus puisse être qualifiée de mort d’autrui. La non-application de la loi pénale au décès du fœtus, même si celui-ci intervient quelques secondes avant l’accouchement, alors qu’elle sera applicable à l’enfant qui décède quelques secondes après l’accouchement, aboutit à des incohérences et à des iniquités. Seule une intervention du législateur pourra y mettre fin.

Là aussi l’hypocrisie est de mise. La non-existence juridique de l’enfant permet au « progrès » de s’installer dans les sociétés occidentales. À ce titre, je me permets de rappeler cette publication d’il y a une année… Elle est essentielle pour bien comprendre le concept de référence sur lequel s’appuie la Cour de Cassation dans pareil cas. Elle ne pourra en aucun cas modifier sa position sans renier les « valeurs » d’un système intrinsèquement déshumanisé.

Pour conclure, je dirais que la libéralisation de la drogue et l’infanticide sont les 2 thématiques auxquels l’affaire Palmade m’a renvoyée.

Que faire face à l’échec volontaire des politiques à la solde des financiers ? Impossible de formuler des solutions tant le système est gangréné à sa racine… Il faut des solutions globales qui sont devenues existentielles et essentielles.

Cela dit, je formule toute ma sympathie à cette famille, et même à Pierre Palmade, une victime de plus d’un système monstrueux qui broie les membres de la société. Sans exception.

LHK


Note

Dans la vidéo ci-dessous, l’intervenante juridique évalue de manière très claire et très équilibrée la problématique :

Extrait de Dépossession, publié en 2018

[Voir :
Réponse de LHK à la censure :
le livre Dépossession est en ligne pour une lecture libre]

C’est ainsi que les malversations de la mafia sont devenues notre problème tant l’organisation mise en place est globale, systémique et systématique. Les crimes qui entachent la haute finance, son marché et ses produits touchent tellement l’ensemble de la planète que des politiciens parviennent à immuniser des criminels en col blanc, voire à les impliquer dans la vie publique.

L’attrait d’un argent pléthorique et vite gagné a amené la communauté internationale du 21e siècle à relativiser les notions d’argent « propre » ou « sale ». Les chiffres comptables se valent bien ! Et pour s’en assurer de manière définitive, l’on se débarrasse de tout ce qui peut accabler les criminels, leurs complices et les politiciens corrompus. On a d’abord rebaptisé les conflits d’intérêts en « milieux intéressés à consulter »(([2] Constitution suisse. Art 147 Procédure de consultation)) ou lobbying, puis est arrivée la phase du blanchiment d’activités criminelles. Le 30 janvier 2018, l’Insee annonçait que, dorénavant, le calcul du PIB français inclurait l’achat et la vente illégale de drogues ! Les milliards d’euros du trafic de drogue sont ainsi invités à booster les chiffres de la croissance du pays ! En fait, l’Insee ne fait qu’appliquer une directive d’Eurostat, l’organe de statistiques de l’UE. Ainsi, des tabous tombent.

Un croustillant passage d’un article de Libération faisait état de l’aberration du système :

« (…) les investissements de l’État dans les forces de police ou les achats par les citoyens de dispositifs de protection deviennent des richesses. Donc, plus le trafic s’étend, plus la croissance sera forte ! (…). Or, la réforme du mode de calcul du PIB appliquée par l’Insee, c’est la cerise sur le gâteau : en plus de toutes les conséquences du trafic, le PIB intégrera désormais (…) le trafic lui-même. »(([1]« En lui intégrant le trafic de drogue, l’Insee confirme que le PIB est absurde », Hadrien Mathoux, Libération, 31 janv. 2018))

La France ne fait toutefois que copier d’autres pays qui ont intégré marijuana et cannabis dans leur économie en les légalisant, ce qui permet de les taxer. Au Colorado, les taxes sur le cannabis rapportent des dizaines de millions de dollars qui servent à entretenir l’école publique(([3] « Marijuana taxes are giving Colorado a pot of money to rebuild its crumbling schools », German Lopez, vox.com, 12 juillet 2017.)). Pour justifier sa politique, M. Obama(([4] « President Obama Backs proposal to legalize marijuana, tax junk food », Scott Drenkard et Nick Kasprak, taxfoundation.org, 2013
https://taxfoundation.org/president-obama-backs-proposal-legalize-marijuana-tax-junk-food/)) a même indiqué au Congrès qu’il s’agissait de respecter la liberté personnelle de mettre ce que l’on veut dans son corps. Au même moment, il demandait que le « junk food » soit sévèrement taxé (60 %). La drogue serait ainsi moins nocive qu’une certaine nourriture industrielle.

Le fait est que le trafic de drogue est un énorme business que le marché de la haute finance veut ramener officiellement dans son giron. Il faut dire que l’affaire est juteuse. Le marché de la drogue a littéralement explosé en 2016, moment auquel il atteignait(([5] Rapport annuel publié en juin 2017 par l’Office des Nations Unis contre la drogue et le crime, in « La consommation mondiale de drogues », planetoscope.com)) 243 milliards d’euros (limite basse de la fourchette). L’Afghanistan, malgré la présence de l’OTAN, a réalisé un tour de force en 2017, en multipliant par deux sa production de pavot : de 4 800 tonnes en 2016 à 9 000 tonnes l’année suivante ! Même les zones qui étaient jusque-là épargnées(([6] Progression des surfaces cultivées de 63 %, « La production d’opium explose en Afghanistan », J. Follorou, Le Monde, novembre 2017)) ont vu fleurir cette plante. Il faut dire que les marges bénéficiaires sont exceptionnelles ! Selon M. Forgione, — journaliste italien, ancien député et président de la commission antimafia de 2006 à 2008 — pour un coût de revient de 1 200 euros, vous générez pour 200 000 euros de chiffre d’affaires. Une valeur ajoutée unique !(([7] « Mafia Export, Comment les mafias italiennes ont colonisé le monde », Francesco Forgione))

Aujourd’hui, un acteur global de premier plan travaille activement à la dépénalisation de la drogue. Il s’agit de l’Open Society Foundation du financier milliardaire George Soros(([8] Soros a, entre autres faits d’armes, donné naissance aux hedge funds dès les années 70, fait sauter la Banque d’Angleterre en 1992 et qui a gagné en 2009, au lendemain de la crise des subprimes, 3,3 milliards grâce au Soros fund management…)), qui possède un département spécifique : le Global Drug Policy Initiative Advisory Board. Ruth Dreifuss en est la présidente(([9] Global Drug Policy Program, Board:
https://www.opensocietyfoundations.org/about/boards/global-drug-policy-program)), après avoir présidé le Conseil fédéral de la Confédération helvétique.

Elle est une infatigable avocate de la « régulation » du marché de la drogue. Un processus qui, selon elle, devrait aboutir à une légalisation de toutes les drogues — y compris les plus dures ! — dont le commerce serait alors placé sous le contrôle de l’État.(([10] « Ruth Dreifuss : “L’État doit se substituer aux dealers” », Céline Zünd, Le Temps, 1 déc. 2015. À relever que dans cet article, la journaliste omet de signaler au lecteur la fonction éminente de Mme Dreifuss dans la fondation Open Society…))





Des centaines de millions de personnes découvrent ce qui se passe réellement dans le monde

[Source : stopworldcontrol.com]

Bienvenue dans le plus grand mouvement de tous les temps, où des centaines de millions — et bientôt des milliards — de personnes, de toutes les nations du monde, se réveillent à ce qui se passe réellement dans le monde. Rien de tel ne s’est jamais produit depuis la nuit des temps, où d’innombrables individus sincères, intelligents, conscients et attentifs, issus de toutes les cultures, ouvrent simultanément les yeux pour voir la vérité et commencent à travailler ensemble pour un monde meilleur.

Que se passe-t-il ?

Depuis des siècles, notre monde est dirigé par des familles astronomiquement riches, appelées les « royaux », les « élites », les « 1% », la « classe supérieure », la « noblesse », etc. Il y a quelques siècles à peine, ils régnaient au grand jour, vivant luxueusement dans leurs châteaux élevés et exaltés, tandis que le reste de la population était pauvre et travaillait dur dans ses fermes, pour enrichir davantage ces familles « nobles ».

Avec l’émergence de la démocratie et des élections, les tyrans ont dû changer de stratégie pour maintenir leur emprise sur l’humanité. Ils se sont installés dans l’ombre de la société, d’où ils ont poursuivi leurs opérations de contrôle du monde. Cette fois, cependant, la majorité de la population n’en a plus conscience, car tout ce qu’elle voit, ce sont des gouvernements dits « démocratiques ». Le citoyen moyen est loin de savoir que ses gouvernements « démocratiquement élus » ne sont rien d’autre qu’un théâtre de marionnettes pour le public, tandis que les véritables dirigeants ne montrent jamais leur visage à la télévision.

En fait, rien n’a changé. Il est évident que les lignées qui ont toujours régné sur la terre, n’ont jamais cédé leur pouvoir à des « paysans » comme vous et moi.

Ils ont conçu des méthodes raffinées de manipulation des élections, pour positionner leurs marionnettes dans les gouvernements supposés « démocratiques ». De cette façon, ils pouvaient rester au pouvoir, alors que les gens pensent qu’ils vivent dans des démocraties.

Ces dirigeants ont également cherché à obtenir le contrôle total des grands médias, afin de manipuler le flux d’informations et de maintenir les masses dans une ignorance totale de la situation réelle de notre monde. Tant qu’ils peuvent convaincre l’humanité que tout va bien, ils peuvent continuer à jouer leur jeu.

L’année où tout a commencé à changer…

planned pandemic protest berlin

En 2020, quelque chose s’est produit, qui a annoncé l’aube d’une nouvelle ère. La plupart d’entre vous savent que la pandémie n’était pas un événement naturel mais une opération stratégiquement orchestrée. Le but était de mettre en place de nouveaux systèmes de surveillance et de contrôle, de détruire la classe moyenne par des lockdowns, afin que toutes les richesses soient transférées aux méga-corporations qui restaient ouvertes pendant les lockdowns.

Le but de ces fermetures était de renforcer la domination des dirigeants, qui possèdent les méga-corporations, tout en éliminant la classe moyenne, qui devenait une menace pour leur monopole. C’est pourquoi les grands supermarchés sont restés ouverts, alors que toutes les petites épiceries ont dû fermer. Des millions de petites entreprises ont fait faillite, tandis que des billions de dollars ont été gagnés par les grandes entreprises, pendant les fermetures.

Mais leur opération criminelle n’est pas passée inaperçue. En fait, elle a déclenché le plus grand réveil de tous les temps, qui allait annoncer le début de leur fin.

Des milliers de scientifiques, de médecins, d’avocats, de chefs d’entreprise et de citoyens intelligents parmi les meilleurs au monde ont vu la fraude qui se déroulait. Ils ont observé comment tous les traitements pour le covid étaient supprimés, comment tous les bons médecins qui ne jouaient pas le jeu étaient censurés, comment les médias poussaient constamment à l’hystérie folle, et comment les gouvernements mentaient à longueur de journée. Des mandats sans fondement, comme les confinements destructeurs, les masques nocifs, la distanciation antisociale et les injections forcées de substances toxiques non testées, ont forcé des centaines de millions de personnes à ouvrir les yeux et à commencer à voir ce qui se passe dans notre monde.

censored covid-19

Lorsque la véritable science est supprimée et que la propagande antiscientifique est mise en avant, toute personne intelligente sait que le mal est à l’œuvre.

Des centaines de millions de personnes sont désormais conscientes de l’existence de structures de pouvoir criminelles dans notre monde, qui infligent des souffrances indicibles à l’humanité afin d’accroître leur propre pouvoir et leur richesse.

Beaucoup d’entre nous ont également observé comment les candidats politiques les moins populaires de nos pays ont gagné massivement face aux candidats les plus populaires. Ceux qui n’avaient qu’une poignée de partisans lors de leurs quelques rassemblements ont soi-disant gagné contre les candidats qui rassemblaient des millions de personnes lors de leurs nombreux rassemblements. Cette fraude électorale flagrante a réveillé beaucoup d’entre nous, car nous avons réalisé que la démocratie n’existait pas et que les marionnettes d’entités criminelles étaient positionnées pour diriger nos nations.

En bref, un nombre croissant de personnes dans le monde commence à voir ce qui se passe réellement dans notre monde et prend des mesures pour mettre fin à ces opérations criminelles.

Un réveil mondial qui renverse le cours des choses

StopWorldControl.com a été créé pour servir de plate-forme à la poursuite de cette prise de conscience. Nous donnons la parole à des scientifiques, des avocats, des médecins et toutes sortes d’experts de premier plan, qui n’ont pas vendu leur âme pour de l’argent, mais qui sont restés fidèles à leur vocation de servir l’humanité.

En plus d’exposer les mécanismes maléfiques, nous offrons également un espoir pour l’avenir, en révélant les développements prometteurs qui émergent et qui remplaceront les systèmes corrompus. Des méthodes libératrices pour l’énergie, la santé, la banque, l’agriculture, etc. Nous voulons promouvoir ces développements qui sont créés par de bonnes personnes qui rêvent d’un monde qui ne soit pas dirigé par des tyrans.

Les secrets des Nations Unies

UN-FR

Notre première production disponible dans votre langue est LES SECRETS DES NATIONS UNIES. Ce documentaire révélateur montre comment l’ONU est en fait une organisation criminelle, utilisée par des oligarques avides de pouvoir pour voler l’humanité.

C’est un film à voir absolument pour tout le monde. Il explique pourquoi il y a tant de pauvreté, de guerre, de souffrance et de dettes dans notre monde, et qui est derrière tout cela.

StopWorldControl.com n’est pas une plateforme d’information, qui vous montrera des nouvelles tous les jours. Nous sommes une ressource indépendante du temps pour l’humanité, pour vous montrer les vérités les plus critiques qui vous ouvriront les yeux et vous permettront de faire partie d’un monde meilleur. Nous vous demandons d’utiliser nos ressources comme un outil pour réveiller d’autres personnes. Lorsque vous voyez des informations que vous connaissez déjà, ne pensez pas « C’est de l’histoire ancienne ». Non, ce n’est pas vieux. 80% de l’humanité est encore complètement inconsciente, et nous avons besoin de votre aide pour les atteindre.

Comprenez que ce que vous recevrez de nous est un outil efficace pour ouvrir les yeux des autres. Veuillez donc le partager largement.

L’ignorance du public est la clé du succès des tyrans. Lorsque les gens prennent conscience de la situation réelle de notre monde, ils passent de l’obéissance aveugle à la résistance intelligente. C’est pourquoi les tyrans sont terrifiés par la vérité. Lorsqu’un nombre critique de personnes sera conscient du système mondial de corruption, les tyrans perdront leur pouvoir. Par conséquent, s’il vous plaît, partagez nos productions.

Notre objectif est de vous équiper pour devenir un changeur de monde, qui participera à la plus grande transformation de tous les temps.

L‘ère sombre des siècles de suppression de l’humanité par de riches familles tyranniques touche à sa fin, et nous jouons tous un rôle dans cette transformation mondiale. Le pouvoir reviendra aux personnes qui ont le courage de se lever et de construire un monde où les enfants sont en sécurité, où les familles s’épanouissent, où les gouvernements sont tenus responsables, où les juges sont justes et où les richesses sont équitablement réparties. C’est possible, si nous faisons tous notre part.

Je vous encourage à regarder LES SECRETS DES NATIONS UNIES, si vous ne l’avez pas encore fait, et à l’envoyer à vos amis, votre famille, vos voisins, vos collègues. 

Envoyez-le en particulier aux autorités locales, car ce sont elles qui ont le plus besoin de se réveiller. Utilisez ce lien pour regarder et partager ce film emblématique à grande échelle :

REGARDEZ « LES SECRETS DES NATIONS UNIES »

PS : contrairement aux médias d’information criminels, nous ne sommes pas financés par des multimilliardaires pour tromper l’humanité. Nous comptons sur le soutien de personnes comme vous, qui veulent nous aider à révéler la vérité qui libère le peuple. Veuillez envisager de devenir un partenaire de cette grande mission mondiale. Utilisez ce lien pour devenir un partenaire de Stop World Control.




Le New York Times poursuit l’UE au sujet des SMS de Mme von der Leyen avec Pfizer

[Source : politico.eu]

[Photo : Johanna Geron/Getty Images]

Par Samuel Stolton

Le New York Times poursuit la Commission européenne en justice parce que l’institution exécutive n’a pas rendu publics des SMS échangés entre sa présidente, Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer, Albert Bourla.

Le journal affrontera des juristes de l’UE devant la plus haute juridiction de l’Union, en faisant valoir que la Commission est légalement tenue de divulguer ces messages, qui pourraient contenir des informations sur les accords conclus par l’Union pour l’achat de milliards d’euros de doses de COVID-19.

L’affaire a été déposée le 25 janvier et publiée lundi sur le registre public de la Cour de justice des Communautés européennes, mais aucune information détaillée n’est encore disponible en ligne. Deux personnes au courant de l’affaire ont confirmé les détails de l’affaire à POLITICO.

Le New York Times a refusé de commenter l’affaire. Une déclaration de la publication indique : « Le Times dépose de nombreuses demandes de liberté d’information et maintient un dossier actif. Nous ne pouvons pas commenter pour l’instant l’objet de cette action en justice ».

La Commission européenne n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.

L’action en justice fait suite à une enquête du Médiateur européen, Emily O’Reilly, datant de janvier 2022, qui a identifié un cas de mauvaise administration dans les tentatives de la Commission de récupérer les SMS, suite à une demande d’accès public du journaliste de netzpolitik.org, Alexander Fanta. L’enquête du Médiateur a révélé que la Commission n’a pas explicitement demandé au bureau personnel de la présidente de rechercher les SMS.

En réponse, la Commissaire européenne aux Valeurs et à la Transparence, Věra Jourová, a affirmé que les SMS ont pu être supprimés, en raison de leur « nature éphémère et de courte durée ».

Le quotidien allemand Bild a précédemment intenté une série de poursuites contre la Commission afin d’obtenir la divulgation de documents relatifs aux négociations d’achat des vaccins COVID-19 fabriqués par Pfizer/BioNTech et AstraZeneca.

Bien que plusieurs de ses requêtes aient été rejetées par les tribunaux, Bild — qui, à l’instar de POLITICO, appartient à l’éditeur Axel Springer — a obtenu certains documents relatifs aux pourparlers, notamment des courriels datant de juin 2020. Aucune information sur les contacts antérieurs de Mme von der Leyen avec le PDG de Pfizer, M. Bourla, n’a toutefois été révélée à la suite de la procédure judiciaire de Bild.





France — Faut-il pleurnicher sur le sort de Pierre Palmade ?

[Source : bvoltaire.fr]

Par Marie Delarue

L’enquête se poursuit. Pierre Palmade, déjà en garde à vue sur son lit d’hôpital, est toujours présenté comme « victime » d’un accident de la circulation dans les bandeaux défilant en bas de nos écrans de télé.

Le domicile de « l’humoriste » a été longuement perquisitionné, ce dimanche, et les infos qui tombent au compte-gouttes dessinent un portrait bien peu séduisant de l’individu. On nous dit ainsi, en ce lundi matin, que « testé positif à la cocaïne », Pierre Palmade « aurait pris la voiture après avoir fait la fête pendant plus de 24 heures avec quatre jeunes. Le comédien aurait consommé pendant cette soirée plusieurs drogues, notamment de type chemsex. »

Je le confesse, je suis une vieille chose qui ne connaît rien de ces pratiques. Europe 1 m’a, si je puis dire, « déniaisée » : 

« Le chemsex est la contraction des mots anglais « chemical » (chimie) et « sex » (sexe). Une pratique qui consiste à prendre des drogues puissantes pour augmenter ses sensations pendant un rapport sexuel, pour le rendre plus intense et le prolonger. Les produits les plus utilisés par les adeptes du chemsex sont les drogues de synthèse stimulantes comme le GHB ou la méthamphétamine. » 

Et après, on prend le volant en se croyant le roi du monde.

Ce sont sans doute deux de ces jeunes en question, copains de défonce dans tous les sens du terme, qui se sont courageusement enfuis des lieux de l’accident, laissant leur ami (ou client ?) coincé dans la tôle et, en face, une famille entre vie et trépas dans un amas de ferraille.

Les bonnes âmes viennent déjà nous expliquer qu’il faut comprendre, que Palmade est une personnalité complexe, qu’il était dépressif… La Justice a bien absous Kobili Traoré, l’assassin tortionnaire de Sarah Halimi, au motif que, défoncé au cannabis, il avait été victime d’une « bouffée délirante aiguë », alors pensez, un roi du show-biz !

Sans remonter aux confidences de Gérard Fauré, alias « le prince de la coke » ou encore « le dealer du Tout-Paris », tout le monde sait – et voit bien souvent – que ce monde-là vit largement sous acides. Comme le monde de la politique, à commencer par les hommes qui nous gouvernent (cf. l’addiction à la coke du grand Jacques Chirac – entre autres – qui était un secret de Polichinelle, dixit Fauré).

S’il n’avait anéanti une famille, estropiant à vie – si par miracle ils s’en sortent – les trois occupants de la voiture qu’il a percutée, on se moquerait bien des parcours de défonce d’un Palmade. Idem de ses potes. Mais voilà, ces gens-là sont dans leur grande majorité des donneurs de leçons, pétitionnaires de la vertu, moralisateurs qui alertent en permanence sur les dangers du fascisme rampant ; ce sont eux qui fustigent, élection après élection, les votants du RN, prétendent dire ce qui est le bon et le bien, régentent l’ordre public au nom du vivre ensemble et de la diversité. Eux qui militent pour l’arrivée en nombre d’immigrés dans les professions « en tension », histoire d’accroitre le cheptel des miséreux qui, à vélo, leur livrent la dope à domicile, planquée entre sushis et pizzas. Eux qui militent pour la légalisation.

Les bons amis, parce qu’ils en prennent peut-être aussi, pleurnichent sur le sort de Palmade. On a de la compassion à revendre, dans ce milieu-là. Ainsi BFM TV qui explique, dimanche, par la voix de « la conseillère en communication » : « Ce « poison » ou cette « maladie », comme il le dit lui-même, le poursuit depuis des années, ce que l’acteur choisit d’évoquer publiquement. Il parle beaucoup de ce sujet dans les médias […]. Ce combat, il le portait pour lui, mais aussi pour les autres. » C’est réussi !

« Il a essayé de s’en sortir maintes et maintes fois, mais il a toujours replongé », ajoute le journaliste de Paris Match Benjamin Locoge. Et il faudrait le plaindre, peut-être ?




Communiqués du Capitaine Alexandre Juving-Brunet

[Source : soutienaucapitaine.fr via Profession Gendarme]

Vous pouvez retrouvez l’ensemble des communiqués et écrits ci-dessous [et d’autres], ainsi que les originaux manuscrits sur le site de soutien au Capitaine Alexandre Juving-Brunet sur le lien suivant https://soutienaucapitaine.fr/ rubrique « Communiqués ».

[Voir aussi :

Sur le comité de soutien à Alexandre Juving-Brunet par le général André Coustou

Toutes les nouvelles concernant le capitaine Juving-Brunet

Soutien au Capitaine Alexandre Juving-Brunet]

Moi, Capitaine Alexandre Juving-Brunet,

Je déclare, au travers de mon avocat être actuellement poursuivi et mis en examen pour différents chefs dont celui d’escroquerie en bande organisée. Ma garde à vue de 48h a été suivie d’une incarcération sans qu’à date aucune personne n’ait porté plainte contre moi dans le cadre du projet de la monnaie associative « Le Franc Libre ». Au service de l’Etat mais surtout du Peuple Français durant 12 ans de gendarmerie puis au renseignement militaire (D.R.S.D.), je ne conçois mon existence qu’au service de mes concitoyens. Je réfute toutes ces accusations diligentées par le ministère public et ne ferai aucun obstacle à la manifestation de la Vérité qui est … la devise du parti politique dont je suis toujours le président, PDF – Le Peuple de France,

Vérité qui est le préalable à la liberté qui fonde l’essence française et à laquelle le Peuple aspire profondément pour marcher vers sa souveraineté.

Vive le Peuple de France !
Vive la France !

Alexandre Juving-Brunet

Début Janvier

Françaises, Français, souscripteurs,
adhérents et soutiens,

Chers amis,

Voici ma seconde déclaration officielle suite à ma mise en examen et ces quarante premiers jours d’une injuste incarcération à cette date.

Les annonces télévisées et autres interventions de querelleurs, médecins ou généraux de plateaux, à défaut d’une expertise impartiale, ne font que confirmer les intuitions que nous partageons mais aussi la légitime détermination que chaque citoyen français devra prouver après avoir suffisamment médité puis accepté la triste situation dans laquelle se retrouvent la France et son peuple.

Nous voyons se lever tous les jours le voile sur un train ininterrompu de trahisons, train piloté par des imposteurs qui propulse la France vers un abîme certain. Ces imposteurs, traites et agents d’entreprises mais surtout de puissances étrangères ont été placés, protégés et rendus pénalement irresponsables en raison d’un système qu’ils ont progressivement démantelé. La loi n’a pas arrêté la valse des impostures et donc n’arrêtera pas leur sabotage délibéré et commandé afin de neutraliser notre puissance publique qui était le seul rempart citoyen à cette guerre des Etats profonds contre les Etats-Nations.

Autrefois un sabotage monétaire par le contrôle puis la neutralisation de la banque de France, suivi d’un sabotage institutionnel en vidant la Constitution de sa quintessence citoyenne, ont conduit au sabotage industriel et maintenant artisanal du cœur vivant de notre tissu économique en voie de déchirement.

Ils ont contribué à l’empoisonnement de toutes nos ressources naturelles et ont pillé notre patrimoine technologique, laissant des Français abandonnés à eux-mêmes, sans sécurité, ni soin, ni soutien, ni espoir.

Sacrifiés sur l’autel du profit. Je le répéterai ici : au moyen d’inductions de comportements créées par le conditionnement médiatique qu’ils contrôlent, les commanditaires du Nouvel Ordre Mondial ont mis en place un contre-système par l’infiltration, la subversion et enfin le parasitage de l’appareil d’Etat afin de le neutraliser et le détourner de son rôle légal et légitime de sauvegarde du peuple français et de ses intérêts.

Le Président comme le gouvernement, sont des agents de puissances étrangères qui auront un jour à répondre de leurs trahisons si et seulement si le peuple français se lève d’un seul homme son cœur battant à l’unisson. La système-parasite s’abreuve de la vitalité de ce pays et le rejettera comme un vulgaire cadavre si nous le laissons faire. Il doit tomber car il est contre-nature. Il doit tomber car il est anti-démocratique. Il doit tomber car il représente l’inverse de tout ce qui définit la France et son peuple.

Le mensonge permanent, aliment des injonctions paradoxales présidentielles comme ministérielles, est son instrument de prédilection. « France » n’est ni le synonyme de menteur et encore moins de perversion. Le Franc devenu Français par le baptême ou le sang versé a consacré près de quatre-vingts générations à l’honneur, la droiture, la loyauté, la force, l’intelligence de l’esprit, du cœur et du corps et enfin la transmission.

Quatre-vingts générations qui cheminant entre vice et vertu ont construit puis légué une des plus glorieuses civilisations terrestres, terre sacrée d’élection de Christ, deuxième Jérusalem, chantre de la Vérité et de la Liberté, arbitre de la Beauté de l’Homme sans cesse tiraillé dans son libre-arbitre entre le vice et la vertu, la laideur ou le sublime, la vie et la mort. On ne juge un arbre qu’à ses fruits. Et le chêne « France » arbore encore sa solide majesté.

Du moins l’est-il encore car de son écorce millénaire, de son feuillage protecteur et de sa sève nourricière, son futur ne dépend que du cœur de ceux qui l’habitent et doivent le transmettre sans en avoir scié les branches ou le tronc.

Chers amis, nous serons demain ce que nous ferons, pas ce que nous spéculerons. C’est à nous désormais de préparer notre futur, de nous en saisir pour le penser, le modeler puis le léguer. Beaucoup parmi nous ont vendu leur liberté à ces agents contre une sécurité précaire : leurs illusions confortables seront bientôt balayées aussi sûrement qu’ils ont confié leurs destins à des traites-fossoyeurs.

Les bonnets rouges avaient grogné, les gilets jaunes sonné l’alarme dans un indécent ricanement généralisé de rentiers publics comme privés, parfaitement inconscients de la légitimé de cette colère. Le ricanement cesse désormais et vire à la stupeur alors que toutes les strates de la société sont touchées et bientôt menacées dans leurs certitudes bourgeoises de confort éternel. Du plus haut aristocrate politique, médiatique ou financier jusqu’au citoyen le plus démuni, le Vent de l’Histoire soufflera pour tous.

Aux autres qui s’insurgent et dressent le même constat sans agir concrètement, vous subirez aussi fortement ce Vent quand il se lèvera car vos actions quotidiennes n’auront pas créé les liens humains nécessaires à notre survie puis notre rebond, fatalement collectifs. Vous l’aurez compris : nul ne sortira d’un tube cathodique ou d’une diode de votre téléviseur pour venir vous sauver dans votre bureau, votre salon ou votre atelier. Les plateaux télévisés ne sont que des empilements fragiles de constats tièdes et de spéculations inutiles. La Providence vous appartiendra quand votre cœur et votre esprit rallumés lanceront vos corps dans l’action collective qui seule détient la clé.

Individu debout dans une multitude fraternelle, de nos misères éparpillées enfin rassemblées en une foule généreuse, solidaire et désespérée, c’est alors la lueur de l’espoir qui brillera au bout de l’ultime impulsion de survie : la révolution va bientôt renaître.

Elle renaitra parce qu’ils l’auront provoquée par leur cupidité, leur arrogance, et surtout l’injustice dont ils s’échappent avec morgue. L’issue n’est qu’une fatale impasse. Dos au mur, subir ou résister. Se soumettre ou se rebeller. Alors en attendant cet inexorable tour d’un astre sur lui-même, je ne peux malheureusement pas vous aider dans ma situation actuelle. J’en suis infiniment triste. A l’exception de manifestations ou de structuration de C.S.P., nous devons interrompre pour l’instant toute initiative liée au Franc Libre pour laisser la justice établir la Vérité de nos intentions.

A la lecture de centaines de lettres reçues, je suis très ému de constater combien vous avez tous saisi le sens de notre action politique collective, aujourd’hui stoppée. Voilà quelle sera alors ma seule directive : patientez je vous prie tout en consolidant vos liens citoyens déjà établis.

Via mes avocats coordonnés par Maître Bertozzi, le général André Coustou et ma fiancée qui doivent tous travailler en bonne intelligence pour m’aider, vous pourrez recevoir des informations voire participer à des manifestations de soutien qui constituent également une clé importante de mobilisation afin d’engager un bras de fer avec les vrais commanditaires de cette mise en examen : un système politique à bout de souffle qui choisit de pourchasser ses opposants farouches plutôt que de mobiliser l’institution judiciaire pour la protection des français en tous lieux et en tous temps.

Dieu reconnaitra les siens, et les courageux Français épris de justice reconnaîtront les traitres.

Aussi, je finirais en vous souhaitant pour cette nouvelle année qu’à cœur battant, vous cheminiez vers cette vérité et cette liberté qui vous ouvriront les portes de nos bonheurs individuel et collectif.

Nous Français sommes les grands peuples réunis en Nation de la liberté donc de la vie. La vie c’est la liberté alors incarnez-la.

Vérité, liberté, Souveraineté.
Vive les peuples de France, vive la France !

Capitaine Alexandre Juving-Brunet.

le 18 Janvier 2023.

Déclaration officielle du Capitaine
A. Juving-Brunet .

Des mouvements sociaux de janvier 2023

Revenant vers vous chers amis depuis le fond de ma cellule, mon esprit bouillonne et mon cœur se serre malgré le réconfort de quelques 1580 lettres reçues à ce jour de France mais aussi du monde.

Ces lettres qui m’ont fait sourire, rire, parfois m’émouvoir sont des cadeaux précieux, fleurs germées de semailles d’espoir lentement dispersées durant ces deux dernières années. Merci à vous tous, nous sommes une grande famille de valeurs.

Ce sera donc la plume qui vous rencontrera aujourd’hui, la vidéo m’étant depuis 60 jours interdite dans mon action politique et citoyenne alors que l’incendie social s’allume indiscutablement cette même semaine quand toutes les oligarchies davocratiques se réunissent en Suisse pour débattre de notre futur et préparer l’agenda pour les 20 prochaines années. Autrement dit, les mouvements sociaux ne sont que des stigmates ravivés et des colères immédiates des échos de discussions lointaines dans des enceintes où la démocratie est absente.

Vingt ans plus tard, ces discussions d’un gotha ultra-libéral deviennent des feuilles de route obligatoires de marionnettes politiques divorcées de toute raison d’Etat.

Sinon comment expliquer cet entêtement suicidaire à imposer la réforme des retraites quand le peuple français s’y oppose à plus de 80% ?

Les mensonges d’un soi-disant programme présidentiel allumés tels des contre-feux n’ont pas duré une semaine : la Vérité d’une manipulation électorale grossière, digne d’une démocrature selon André Bercoff, pourtant dénoncée par toute une opposition légitime mais interdite de plateau médiatique donc bâillonnée, fait son chemin en rappelant qu’une dernière fois, les Français auront été trahis dans les fumées du barrage républicain dressé face à un épouvantail faussement patriote car euro-otano-compatible.

L’illusion perfide règne, la Vérité est absente, l’Humanité étouffe. Pas de débat d’idées, pas de contradiction, un dogme progressiste et « vivrensembliste » hors sol asphyxiant la démocratie jusqu’à son trépas : j’y ai consacré une vidéo d’après 2ème tour.

J’ai jadis partagé une intuition forte avec vous tous lors des conférences des derniers mois. Le système actuel, bâti sur un humanisme perverti en individualisme-roi et protégé des colères sociales par un matérialisme corrupteur et stérilisateur de nos plus belles vertus de solidarité, de partage et de courage ; ce système donc verra son effondrement complet à rebours de toute logique naturelle, étant justement à l’envers de l’ordre naturel ancestral.

L’ordre naturel des choses et des êtres, dans une société saine, consiste tout d’abord à poser les conditions imprescriptibles de l’intégrité physique, morale et intellectuelle d’un individu en lien obligatoire avec sa communauté de naissance et d’adoption, allant de sa famille, de son environnement immédiat jusqu’à sa Nation. La sauvegarde des acquis matériels ne venant qu’après ces considérations ; la Vie étant la clé de voûte sacrée de ce type de société.

Aujourd’hui, la laideur, l’oisiveté, le mépris, l’égoïsme sont érigés en standard de société : un sacre du Vice donc une mort prochaine inexorable. Et la crise sanitaire artificiellement créée et propagée, loin de détruire ce système ancestral dans lequel nous ne vivons plus actuellement, n’a fait que démontrer que nous vivons justement dans un système qui se préoccupe plus du bien matériel que de l’Homme qui l’a pensé et produit par son génie.

Voilà pourquoi, cet épisode de Covid vite enterré n’est qu’un rai de lumière perçant le voile d’un système faussement humaniste, mais réellement opposé à l’Homme et à la Vie, en témoignera l’effondrement de notre natalité.

Pourquoi ce détours, chers amis et quel rapport avec les mouvement sociaux liés à la réforme des retraites ?

Voyez-y simplement que le peuple français s’est majoritairement rangé du côté de la force lui garantissant non pas sa liberté mais sa sécurité avec au passage la profanation du Saint des Saints : le « sanctum » c’est-à-dire la santé. Les Français, ce « sanctum », ils l’ont abandonné à des apprentis-sorciers qui les ont transformés en cobaye réel contre une prospérité illusoire.

On a troqué de la matière vile contre de l’esprit incarné. Et c’est cela qui détruit toute logique naturelle, valeurs et droits inclus. Donc à quoi bon travailler, cotiser et partir en retraite pour jouir d’une vie aliénée car la liberté a disparu et la Vie compromise par nos lâchetés et renoncements ?

La pulsion de vie est euthanasiée au profit de l’instinct de consommation : le diable en boit du petit lait. Le Covid n’a pas retardé la réforme des retraites comme cela nous l’est claironné. Il a simplement servi de retardateur d’une explosion financière d’un système humainement déséquilibré donc condamné à mort, pavant la voie à un grand test d’acceptation sociale nécessaire pour maintenir le contrôle des démocratures.

Si la Vie a pu être si facilement manipulée et condamnée à grand renfort d’induction comportementale médiatique, alors comprenez bien que le Pouvoir sait désormais, après analyse de tous les indicateurs de grégairisme béat (masques interdits puis obligatoires, auto-attestations, injections non-certifiées à des millions de cobayes sans responsabilité pénale), qu’il peut pousser les jeux sur ce qui est moins important que votre santé : votre portefeuille.

Pourtant stupeur ! Le Français se cabre, le syndicaliste réapparait après un coma de deux longues années, l’éditorialiste a la fièvre, le gouvernement doute et le président voyage.

Qu’on ne touche pas à l’idole post-moderne de la retraite. Car oui, cette réforme est d’une perfidie extrême. Dans un pays intentionnellement désindustrialisé par les Davocrates qui ont acquis des fortunes sans limite sur le dos de la commande ou de la dette publique, dans un pays quaternarisé où même nos ingénieurs voient avec inquiétude se dresser une concurrence de matière grise globalisée, un pays enfin où l’agriculture est poussé au suicide et le travailleur à l’euthanasie du chômage de masse, voilà nos brillants esprits viciés du capitalisme qui les nourrit vouloir défendre doctement le principe de travailler plus longtemps pour sauver notre régime par répartition hérité du Conseil National de la Résistance, et non pas de cet autre acronyme de CNR dévoyé et perverti du pantin Macron, bien décidé à sucer et vider le sens de tous nos symboles en bon élève bien noté parmi les « Global Shapers ».

Ces élites biberonnées par le capitalisme carnassier chaperonné par le rejeton d’un ancien officier nazi producteur de lance-flammes, un certain Klaus Schwab. Les pompiers-pyromanes ont leur mentor.

Travailler plus longtemps est un mensonge plus odieux encore que « Arbeit Macht Frei ». Car entre la courte espérance de vie des travailleurs manuels rongés par la pénibilité et le travailleur tardif bac+5 en poche, l’un comme l’autre sont condamnés.

Aux forçats des ateliers, des chantiers ou de la logistique, finir à 64 ans le corps démoli ne vous fera guère profiter statistiquement de plus de 10 ans de fin de vie douloureuse.

Pour les agents privés occupant des postes de conception ou d’encadrement, en démarrant une carrière professionnelle à 23 ans (bon élève/ Bac + 5), il faudra travailler bien au-delà des 64 ans pour disposer d’une retraite pleine (64-23 = 41 ans). Le bon sens en trompe l’œil, il ne s’agit pas d’une réforme mais d’une disparition programmée de la retraite avec en ligne de mire les profiteurs de crise. Ici, les fonds par capitalisation de type Black Rock, dont le président a reçu la légion d’honneur par Macron, qui poussent en coulisses les feux de cette réforme.

Pourquoi ? Tout simplement parce que les Français seront obligés de panacher toujours plus leur régime de retraite par répartition avec de la retraite par capitalisation c’est-à-dire du fonds de pension. Infine, faire main basse sur la finance française. Et nous parlons ici de centaines de milliards rien que pour la France.

Autrement dit, quand la branche pharmaceutique de Davos « Big Pharma » s’est suffisamment engraissée sur le corps décharné de notre bien public, c’est au tour des fonds de pension de se joindre au bal des vautours de ce démantèlement complet des systèmes sociaux et de solidarité : santé, emploi, prévoyance, tout y passera.

Il ne manquera plus qu’une bonne inflation artificielle de l’agroalimentaire ou de l’électricité pour vider nos poches dégarnies et creuser de préoccupation nos visages émaciés. Alors les peuples du Monde, désenchantés et misérables, n’auront plus la force de résister au dernier temps de cette tragédie humaine en trois actes. Quand seront définitivement tombées nos libertés puis notre prospérité, seule demeurera bien qu’affaiblie notre intégrité physique qui sera sacrifiée sur l’autel de la guerre qu’ils préparent de toute leur folie. Car la guerre seule, cette tragédie, permettra de gommer toutes les perfidies et trahisons comme elle le fit toujours des sociétés ruinées par les oligarchies depuis trois siècles.

Cette tragédie, c’est le suicide de la fraternité européenne dont fait partie intégrante la Russie au profit exclusif du chef de file de l’Empire occidental, des Etats-Unis d’Amérique infiltrés et subvertis par l’Etat profond premier. La guerre prochaine de la Russie avec l’OTAN fera l’objet d’une déclaration dédiée.

Vérité, Liberté, Souveraineté.
Vive la France !

Capitaine Alexandre Juving-Brunet.




Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan

Par Nicole Delepine, pédiatre cancérologue, et Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

Définitions1

  • Femme trans : personne née de sexe masculin, mais qui s’identifie comme femme.
  • Homme trans : personne née de sexe féminin, mais qui s’identifie comme homme.
  • Transvesti(e)/crossdresser: personne qui adopte, la plupart du temps ou épisodiquement, un code vestimentaire et un rôle socio-sexuel qui diffèrent de son sexe de naissance. Une grande partie des personnes travesties vit au quotidien dans le genre qui correspond à leur sexe biologique.

CEUX QUI SOUHAITENT CHANGER DE GENRE PHYSIQUEMENT SUBISSENT UNE TRANSITION MÉDICOCHIRURGICALE

Les étapes de la transition de genre (assistée par des traitements hormonaux et gestes chirurgicaux) comprennent d’abord la préparation psychologique qui vise à éliminer les psychoses, les dépressions, et à tenter d’expliquer aux candidats trans les conséquences des interventions médicochirurgicales. Cette phase durait en général de deux ans, mais elle semble se raccourcir (business du genre ?).

Lorsque le psychiatre juge le patient prêt et qu’il n’y a pas de contre-indications (risque d’accident cardiovasculaire, obésité, diabète sévère, hypertension, etc.), l’hormonothérapie peut débuter, complétée plus ou moins rapidement par des interventions chirurgicales.

Les femmes qui veulent devenir des hommes trans peuvent demander l’ablation des seins (mastectomie) dès le début de la prise d’hormones mâles.

Chez les hommes désirant devenir femmes trans, l’augmentation mammaire chirurgicale doit attendre que la taille des seins se soit bien stabilisée par l’imprégnation hormonale. Certains se satisfont de ces changements ou de l’hormonothérapie, mais d’autres vont recourir à la chirurgie reconstructrice. En France, les transitions dans le sens homme vers femme sont aujourd’hui environ deux fois plus fréquentes que l’inverse.

RÉASSIGNATION GÉNITALE. LE LONG ET PÉNIBLE PARCOURS DU CHANGEMENT DE SEXE2

EXEMPLES DE PROCÉDURES DE CHIRURGIE GÉNITALE3

Homme vers femme

Construire un vagin : la vaginoplastie4 est une chirurgie complexe qui dure entre 2 et 4 heures et nécessite souvent une hospitalisation de 2 semaines. Aux USA, l’opération coûte au moins 20 000 dollars et en France, entre 7000 et 15 000 euros5 pris en charge à 100 %, dans la limite du tarif de remboursement de la Sécurité sociale, à condition que la personne soit reconnue comme bénéficiaire de l’ALD (affection de longue durée) par la sécurité sociale (alors que la dystrophie de genre n’est pas considérée comme une maladie).

Elle commence par l’ablation des testicules et de la verge dont la peau sert à tapisser les parois du néo vagin (il est parfois nécessaire d’avoir recours à une greffe complémentaire) positionné dans le périnée entre la prostate et le rectum. Durant ces manipulations la peau qui sert à former la paroi du vagin perd son innervation. Le clitoris est reconstruit à partir des tissus du gland, mais la taille du gland est largement rétrécie diminuant d’autant son innervation et sa sensibilité.

Le néo vagin ne dispose pas de mécanisme automatique de nettoyage ou de lubrification. Il habituellement nécessaire de prolonger les soins après l’opération avec l’utilisation d’un dilatateur vaginal dont le but est de stabiliser ou d’élargir la cavité.

Après la vaginoplastie, si la patiente suit les indications postopératoires (notamment des exercices ou rapports sexuels réguliers pour maintenir l’espace créé pour accueillir le vagin), un partenaire sexuel peut ne pas s’apercevoir de la transformation subie. Il est cependant conseillé de l’en informer.

Il faut savoir que la prostate reste en place pour éviter toute incontinence urinaire et que parfois, après la première opération, une seconde intervention à visée esthétique peut être envisagée.

La chirurgie pelvienne peut être complétée par la mise en place d’implants mammaires et d’une féminisation faciale et de l’ablation de la pomme d’Adam.

Femme vers Homme

L’ablation de l’utérus (hystérectomie) et des ovaires (ovariectomie) était obligatoire en France pour bénéficier d’un changement d’état-civil, jusqu’au 18 novembre 2016. Cette ablation pourrait éviter un risque de cancer sous hormonothérapie à long terme.

Pour construire un phallus, deux interventions sont possibles : la métoïdioplastie et la phalloplastie.

La métoidioplastie consiste à allonger et à renforcer le clitoris, qui s’est hypertrophié grâce à l’hormonothérapie, pour créer un phallus. Cette intervention qui dure en moyenne 3 heures donne une apparence masculine des organes génitaux, rend possible une miction en position debout et une excitation sexuelle, mais sans possibilité de rapport avec pénétration, car le néophallus, de petite taille, ne permet pas d’érection6.

La phalloplastie7 consiste à construire un pénis en utilisant de la peau et des tissus provenant des lèvres ou d’autres sources (autogreffes libres d’avant-bras, cuisse, ou abdomen),

habituellement complétée par la construction d’un scrotum à l’aide de la peau et des tissus des lèvres. Il s’agit d’une intervention longue (4 à 10 heures souvent à deux équipes) et complexe dont le coût peut s’élever à 35 000 euros8.

Pour assurer une certaine rigidité, une prothèse pénienne est incluse, avec une pompe pour permettre l’érection. Le modèle — le mécanisme et la longueur de l’implant pénien — sera choisi en fonction de l’anatomie. L’implant pénien obtient sa rigidité par l’activation de la pompe normalement localisée dans le scrotum. La rigidité obtenue rend possibles les relations sexuelles avec pénétration. Cette intervention peut être effectuée 6 mois après la construction de l’urètre. Les deux poches scrotales fabriquées avec la peau des lèvres sont garnies de prothèses testiculaires.

Parmi les complications qui peuvent survenir à la suite d’une opération aussi lourde que la phalloplastie, on note des infections, un rejet de la greffe de peau entraînant la perte de la prothèse, nécrose, sténose, ainsi que des caillots de sang. Il faudra dans certains cas une nouvelle intervention9.

RÉSULTATS ESTIMÉS 10

Selon les sites internet favorables à cette chirurgie, on peut avoir une estimation des résultats très variable, d’autant qu’il semble bien que les opérés non satisfaits n’en informent leur premier chirurgien que dans 30 % des cas lorsqu’ils décident d’une détransition.

Le taux de réussite de la chirurgie génitale transgenre varie et peut dépendre de plusieurs facteurs, notamment l’état de santé général de l’individu, l’expérience et le niveau de compétence du chirurgien, ainsi que les techniques spécifiques utilisées au cours de la procédure.

La vie sexuelle d’un homme trans est difficile. Il ne peut éjaculer et doit, pour avoir une érection, actionner une prothèse pénienne avec la pompe, dissimulée dans l’un des testicules reconstruits. L’apparence finale reste différente de celle d’un phallus naturel.

Les hommes et femmes trans peuvent l’un et l’autre ressentir un plaisir sexuel, mais n’ont définitivement plus la possibilité de procréer.

Ici des taux estimés :

Taux de réussite des chirurgies génitales transgenres MTF

Procédure Taux de réussite
Vaginoplastie 80 % — 90 %

Taux de réussite des chirurgies génitales transgenres FTM

Procédure Taux de réussite
Phalloplastie 65 % — 85 %
Métoidioplastie 86 % — 91 %
Hystérectomie et ovariectomie Environ 95 %

Les rechutes après l’opération des organes génitaux transgenres ne sont pas exceptionnelles et doivent être prévenues au moins en partie par des soins postopératoires bien surveillés (hygiène, propreté, hydratation, repos, etc..).

Chaque individu est différent et la récupération peut varier pour chaque individu.

En France, où en est la chirurgie de réassignation sexuelle ?

Une opération chirurgicale réussie est une opération donnant une apparence anatomique et une fonctionnalité similaires au sexe opposé choisi. En France, la majorité des chirurgies de réattribution sexuelle sont réalisées à l’institut hospitalo-universitaire de Lyon considérée comme un « centre de référence et d’excellence » en la matière.

L’opération n’est pas sans danger, les diabètes, l’obésité, certains problèmes de circulation sanguine peuvent augmenter les risques de complications lors de l’anesthésie et les complications postopératoires. Un traitement hormonal doit également être poursuivi après l’opération.11

LES COMPLICATIONS POSTOPÉRATOIRES 12

Après aidoiopoëse, aussi appelée vaginoplastie, elles sont fréquentes. Ces complications peuvent être fonctionnelles ou esthétiques et concerner toutes les parties anatomiques constituant la néovulve : vagin, urètre, clitoris, petites et grandes lèvres.

COMPLICATIONS IMMÉDIATES

Rectales La plaie rectale survenant immédiatement en peropératoire lors de la création du néovagin, entre le rectum en arrière et les voies urinaires en avant, rare (2 %)

Hémorragiques Les suites opératoires sont très fréquemment suivies d’hémorragies du site opératoire, imputables aux saignements itératifs des reliquats de corps spongieux derrière la muqueuse urétrale et autour du méat urinaire, malgré l’hémostase peropératoire.

Infectieuses Une fièvre associée à un écoulement vaginal purulent dans les suites opératoires traduit une infection vaginale (10 %), qui doit être traitée par antibiothérapie adaptée aux résultats des cultures. Une fièvre associée à des urines troubles traduit une infection urinaire type prostatite (1,6 %), qui doit être traitée par antibiothérapie adaptée.

Urinaires Un échec de retrait de la sonde urinaire peut survenir dans la semaine qui suit l’intervention : se traduisant par l’absence de reprise mictionnelle avec rétention urinaire vésicale, dépistée après retrait de la sonde (4 % des cas), le plus souvent imputable à l’œdème et l’inflammation urétrale postopératoire dans la région de résection du bulbe, et nécessite une repose de la sonde pour 15 jours supplémentaires.

Cicatrisation La peau tapissant le vagin peut s’extérioriser « en doigt de gant » lors du premier pansement et du retrait du conformateur souple.

COMPLICATIONS À MOYEN ET LONG TERME

Cavité vaginale

La majorité des problèmes de cicatrisation postopératoire concerne la néo-cavité vaginale :

« la pérennisation de ce nouvel orifice est directement liée à l’observance de la patiente concernant ses dilatations. Il est fondamental que la patiente respecte les consignes postopératoires, qui peuvent varier en fonction de chaque patiente et également en fonction des habitudes de l’opérateur : que ce soit le port du conformateur souple diurne et nocturne au début (au minimum 2 mois en postopératoire, et en règle plutôt 4 mois, afin que la majorité de la peau tapissant le vagin ait cicatrisé), ou encore le rythme des dilatations pluriquotidiennes en début de période postopératoire, il est fondamental d’expliquer à chaque patiente ses consignes postopératoires et de la revoir fréquemment surtout au début afin de contrôler avec elle que tout se déroule bien.

Ceci constitue une véritable éducation thérapeutique, débutée pendant les jours d’hospitalisation postopératoires immédiats. La patiente est ainsi revue en consultation jusqu’à obtention d’une cicatrisation totale vaginale, mais également jusqu’à l’obtention de résultats esthétiques, fonctionnels et anatomiques satisfaisants pour la patiente. Diverses complications peuvent survenir : perte de profondeur du vagin, ou diminution du diamètre de la cavité vaginale (17,8 %) ».

Le fait d’avoir un vagin tapissé de peau et pas de muqueuse ne protège en rien contre la contraction d’infections sexuellement transmissibles : mycoses, condylomes (HPV), chlamydia, syphilis, herpès, HIV .

Les femmes Trans opérées au niveau génital doivent être sensibilisées à la nécessité de l’utilisation des préservatifs, seul moyen d’éviter la transmission des maladies sexuellement transmissibles.

La survenue d’une fistule urétro-vaginale (1,5 % des cas) traduite par l’émission d’urine par le vagin lors des mictions ou d’une fistule vaginorectale (1,5 % des cas) révélée par l’émission de selles par le vagin lors de la défécation imposent une réintervention.

Complications clitoridiennes Les problèmes les plus fréquents sont les douleurs clitoridiennes neurogènes, spontanées ou à la pression, à type de décharges ou de brûlures (90 %).

La chirurgie de transformation génitale homme vers femme est presque toujours suivie de complications, qu’elles soient de nature hémorragique, esthétique ou fonctionnelle. Les patientes doivent en être soigneusement informées en préopératoire. Une éducation thérapeutique ainsi qu’un suivi rapproché durant toute la durée de la cicatrisation sont fondamentaux pour accompagner les patientes, dépister et traiter ces complications si nécessaire.13

L’épidémie de transgenrisme arrive en France

Comme dans de nombreux pays, les chiffres des patients déclarés trans augmentent14. La propagande réitérée dans la presse officielle, les émissions télévisées, les visites scolaires d’associations militantes proLGBTQ+, la littérature enfantine y compris à l’école, etc.15, et les questionnements soumis aux enfants dès leurs plus jeunes années, le lobby déployé sur les réseaux sociaux fréquentés par les jeunes accroissent le phénomène. Tout adolescent qui exprime une souffrance, un mal être si fréquent à cet âge est rapidement orienté vers la solution « genre ».

La normalisation du concept trans conduit les enfants qui considèrent qu’il existe biologiquement uniquement femme et homme à se sentir eux — mêmes anormaux. Des gouvernements militants imposent ce choix par la force comme au Canada où un jeune homme de 16 ans s’est fait arrêter dans son lycée pour avoir affirmé qu’il n’existe que deux sexes. Cette propagande woke est un autre sujet16. Nous y reviendrons.

Les demandes d’accès à la chirurgie

Les interventions d’ablation des seins ou des parties génitales ont été multipliées par quatre entre 2012 et 2020 en France. Il faut rester très prudent et demander aux parents beaucoup de vigilance face aux questions de leurs enfants sur la transidentité ou leur mal-être. Les parents et tous les adultes proches des candidats à des interventions mutilantes devraient entourer leurs enfants et leurs jeunes adultes de très près, pour faire la balance avec les réseaux sociaux militants qui font croire aux petits qu’ils sont indépendants, forts et responsables et que leur mal être disparaîtra après leur « affirmation trans ».

Trop souvent les familles ne sont pas au courant, d’autant que certains gestes comme l’ablation des seins autorisée après 16 ans peuvent être banalisés vis-à-vis d’eux et interdiront tout allaitement en cas de détransition secondaire.

Notons que ces chirurgies mutilantes restent en nombre relativement faible malgré leur augmentation en pourcentage et que la surreprésentation de ces personnes trans dans les médias et les élites risque de faire prendre un phénomène très marginal pour un problème de santé publique. Le récapitulatif de la Sécurité sociale donne des chiffres objectifs17 :

Le caractère addictif de l’usage excessif des réseaux sociaux

est néfaste au développement psychologique et intellectuel des jeunes et responsable d’une part très importante de la croissance du sentiment d’incongruence de genre, mode fort lucrative pour certains. Soulignons que la maturation cérébrale ne serait acquise qu’à 25 ans. Combien de décisions irréversibles avant cet âge autorisées par la « médecine » qui a oublié que l’essentiel est de ne pas nuire ?

Certains rappellent que l’âge en deçà duquel le mineur ne peut prendre la responsabilité pour ses propres actes apparaît se modifier arbitrairement selon le thème abordé : avortements, traitements pour maladies sexuellement transmissibles, etc. Les débats autour du traitement hormonal des mineurs transgenres et des chirurgies doivent donc tenir compte de ces considérations éthiques afin de pouvoir mieux les aider.18

MAIS LE VOYAGE VERS L’AUTRE SEXE EST irrémédiable, SURTOUT APRÈS CHIRURGIE

Et certains s’en mordent les doigts et l’attestent. Ils parlent d’autoroute de la transition à sens unique dans laquelle on les a embarqués à toute vitesse au nom du choix privilégié « affirmatif » respectant le désir « immédiat » de l’enfant ou du jeune sans tenir compte de l’avis de la famille, ni même d’un psychologue ou d’un médecin.

Certains voudraient revenir en arrière, mais c’est quasiment impossible. Ils essaient :

on les appelle alors « les détransitionneurs ». Ils n’ont pas trouvé la solution à leur mal être, se sont trompés et souvent disent avoir été trompés.

Les regrets sont divers.

« Beaucoup d’hommes trans parlent du fait qu’on ne peut pas pleurer avec une forte dose de testostérone dans le corps, et cela m’a aussi affectée ».

Dans le Parisien (3/5/2022) : « Anna, adolescente, mal dans sa peau, découvre sur Internet la transidentité et s’y retrouve. Ses parents la soutiennent. Après quelques rendez-vous médicaux qu’elle qualifie elle-même « d’expéditifs », elle commence la testostérone à 14 ans, devient Sacha, et subit une mastectomie (ablation des seins) à 16 ans. À 19 ans, sa descente aux enfers commence. Elle n’apprivoise pas « ce nouveau sexe ». Elle regrette et réalise qu’elle est bien une femme, mais au torse plat et à la voix grave. Elle arrête les hormones. Ses règles sont revenues, elle espère alors que sa fertilité ne sera pas définitivement altérée. Le plus intéressant dans son témoignage, qu’elle déplore : « à aucun moment les raisons profondes qui me poussaient à changer de sexe n’ont été abordées. On m’a mis sur des rails ». Elle réalise que « la puberté, ce n’est pas la période idéale pour faire de tels choix ».

L’ENFANT ROI, UN ENFANT FINALEMENT ABANDONNÉ…

Ce bon sens devrait être expliqué à tous les acteurs de la prise en charge de ces patients et avant tout aux parents qui au nom de l’enfant-roi ont oublié leur rôle protecteur (y compris de jeunes adultes). Ils devraient montrer les limites, en général, et dans ce cas du questionnement de genre de l’enfant. L’enfant-roi est de fait devenu un enfant abandonné…

Il faut rappeler l’affaire Keira Bell… La dysphorie de genre, symptôme de souffrance et non cause

Au Royaume-Uni, l’affaire Keira Bell a défrayé la chronique et mis ce douloureux sujet sur le devant de la scène. Cette jeune femme, devenue homme trans, a porté plainte contre la clinique qui l’avait prise en charge. Elle soutient qu’elle n’avait pas la capacité de consentir, même si c’est elle qui avait réclamé d’accéder à cette transition médicale.

« Plus ma transition avançait, plus je réalisais que je n’étais pas un homme et que je ne le serais jamais. En mûrissant, j’ai compris que la dysphorie de genre était un symptôme de ma misère générale, et non sa cause ».

Elle a perdu son procès, mais en première instance, la Haute Cour de Londres avait donné un coup d’arrêt aux prescriptions de bloqueurs de puberté chez les enfants, estimant qu’avant 13 ans « il est hautement improbable qu’un enfant soit compétent pour consentir à l’administration d’inhibiteurs de puberté », et qu’avant 16 ans, ils ne peuvent prendre ce traitement que s’ils en comprennent les conséquences immédiates et à long terme.

S’adressant aux parents, elle leur recommande la vigilance face aux questions de leurs enfants sur la transidentité ou leur mal-être (…)

Évidemment, la difficulté ne réside pas tant dans la qualité de l’information donnée et reçue, mais dans la capacité des enfants à comprendre et évaluer ces informations, à concevoir la portée de telles décisions qui feront d’eux des patients à vie.

Comment, par exemple, mesurer la conséquence de la perte de fertilité alors même qu’on est encore loin de tout désir d’enfant ?

Keira Bell partage son histoire sans fard. « Cinq ans après avoir entamé ma transition médicale pour devenir un homme, j’ai commencé le processus de détransition. Beaucoup d’hommes trans parlent du fait qu’on ne peut pas pleurer avec une forte dose de testostérone dans le corps, et cela m’a aussi affectée : je ne pouvais pas libérer mes émotions. L’un des premiers signes que je redevenais Keira a été que — heureusement, enfin — j’étais capable de pleurer. Et j’avais beaucoup de raisons de pleurer. »

DES ASSOCIATIONS DE DÉTRANSITIONNEURS

Sont nées aux États-Unis, au Canada, en Belgique, Angleterre, Suède… En France, une tribune de l’Express a lancé un CRI D’ALERTE de plusieurs associations de professionnels de l’enfance ainsi que cinquante personnalités — médecins, intellectuels, psys, magistrats, sociologues, militantes féministes — d’horizons de pensées très différents, comme Élisabeth Badinter, Jean-Pierre Winter, Chantal Delsol, René Frydman ou encore Xavier Emmanuelli :

« Il est urgent d’informer le plus grand nombre de citoyens, de tous métiers, de tous bords, de tous âges, sur ce qui pourrait bien apparaître demain comme un des plus grands scandales sanitaire et éthique, que nous aurions regardé arriver sans mot dire : la marchandisation du corps des enfants. » (ibid 2)19 20

EN RÉSUMÉ BEAUCOUP DE DÉCEPTIONS

Certaines approches considèrent que ces interventions chirurgicales améliorent sensiblement la qualité de vie des personnes transgenres si elles sont bien faites et non obligatoires.

Une étude réalisée par des militants suédois trans sur 2 679 personnes pétend qu’une transition médicale a effectivement un effet positif sur la qualité de vie et la santé mentale des personnes transgenres.

Mais l’examen de plus de 100 études médicales internationales de personnes transgenre opérées par l’université de Birmingham (Arif) a conclu qu’il n’était pas possible de se prononcer sur l’efficacité des chirurgies sur la santé mentale des personnes transgenres, une partie d’entre elles restant dépressives et même suicidaires après l’opération.

Globalement les résultats ne sont habituellement pas à la hauteur des espoirs initiaux des trans et font parfois l’objet de plainte en justice21 et de déception qui peuvent même aggraver le risque de suicide22. Les témoignages de personnes regrettant leur changement de sexe effectué à un âge précoce se multiplient dans les pays où ces procédures ont été autorisées.

Les nombreuses interventions chirurgicales entraînent des mutilations irréversibles pour des résultats esthétiques la plupart du temps discutables et une fonction souvent peu satisfaisante. L’homme trans ne peut avoir d’érection qu’avec un implant pénien et un système de pompe et subit le manque de sensation tactile du néophallus. La peau du néo vagin de la femme trans est insensible et le risque de rétrécissement progressif impose habituellement l’utilisation de dilatateurs vaginaux, pour le reste de la vie.

Les articles rapportant des séries monocentriques écrits par des chirurgiens qui vivent de cette activité sont constamment élogieux et plaident pour la supériorité de leur technique personnelle, mais le nombre même de ces techniques (phalloplastie à partir d’un lambeau d’avant-bras, de grand dorsal ou des grandes lèvres..) et l’absence de consensus prouve que ces problèmes ne sont pas résolus. Jeffrey B. Friedrich et ses collègues analysant les résultats de cinquante études23 relatives à la phalloplastie estiment à près de 40 % le risque de complications urétrales.

CONTRAIREMENT AUX LUNETTES ET PROTHÈSES AUDITIVES, AUX FAUTEUILS ROULANTS DE QUALITÉ, ETC. TOUTES CES INTERVENTIONS MUTILANTES SONT REMBOURSÉES À 100 %

Une opération de changement de sexe est remboursée à 100 % par la Sécurité Sociale. Elle est irréversible, et entraîne une prise de traitement à vie. Mais pour les patients et le commun des mortels si c’est remboursé à 100 %, ce ne peut pas être mal24 ! (comme c’est le cas pour les injections géniques anticovid aux innombrables victimes).

Et on trouve des noms de chirurgiens dans les grands centres qui donc inspirent aussi confiance. Et ces personnes s’autorisent la mutilation de mineurs : le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence) pratiquant des mastectomies — mutilations sexuelles souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province25 26

Dans une grande majorité des cas, le changement de sexe au niveau de l’État Civil se fait rapidement (une demi-année à une année).

EST-CE BIEN RAISONNABLE ?

Mutiler des personnes fragiles, perturbées et donc facilement manipulables, particulièrement enfants et adolescents, jeunes adultes, est-ce éthique ? Au nom des bons sentiments, n’est-ce pas de la maltraitance institutionnelle instrumentalisée par les marchands d’espoir aux forts bénéfices financiers ?

Il faut aider ces personnes en souffrance, mais leur éviter d’être victimes d’une soi-disant bienveillance de charlatans profitant de leur détresse et les conduisant dans un tunnel d’interventions réparatrices sans fin jusqu’à leur mort (parfois accélérée par le suicide)27.

Il serait indispensable que les proches des candidats à la chirurgie les accompagnent de très près, sans se laisser influencer par la mode actuelle de la prépondérance de « l’affirmatif ». Les spécialistes trans sont essentiellement des militants souvent doublés de marchands de fait, et malheureusement l’idéologie régnante en Occident muselle les familles qui risquent de se voir calomnier (pour transphobie), voire poursuivre en justice. D’où l’existence nécessaire de regroupements de familles qui, sans interdire à leurs proches ces transitions, les informent correctement et fassent la part de la publicité idéologique et financière. Malheureusement l’habitude est d’envoyer directement au « spécialiste » qui est finalement quasiment toujours un idéologue et non à un psychologue lambda neutre qui pourra secondairement si nécessaire l’adresser à une équipe adaptée.

Il est capital que la législation ne permette pas les blocages hormonaux des mineurs28 qui risquent de les rendre infertiles à vie en démarrant un traitement non anodin à un âge où se projeter dans l’avenir d’adulte est impossible. Comme l’aventure d’Artoise qui se fait ligaturer les trompes à 23 ans fait réagir sur le fait qu’elle aurait peut-être aimé avoir un enfant quand elle approchera de la quarantaine. 29

L’académie de médecine a attiré l’attention en 2022 à propos de la médicalisation de la dysphorie de genre chez les mineurs :

« Si, en France, l’usage de bloqueurs d’hormones ou d’hormones du sexe opposé est possible avec autorisation parentale sans conditions d’âge, la plus grande réserve s’impose dans cet usage, compte tenu des effets secondaires tels que l’impact sur la croissance, la fragilisation osseuse, le risque de stérilité, les conséquences émotionnelles et intellectuelles et, pour les filles, des symptômes rappelant la ménopause. »

« Quant aux traitements chirurgicaux, notamment la mastectomie autorisée en France dès l’âge de 14 ans, et ceux portant sur l’appareil génital externe (vulve, pénis) il faut souligner leur caractère irréversible. »

Concluons avec l’interrogation de ce désormais homme dont les seins ont été enlevés :

(extrait) « L’été avant la terminale, il se fait retirer les seins sous anesthésie générale. “J’étais obsédé par l’idée de pouvoir passer l’épreuve de sport au bac en respirant” (c’est-à-dire sans bandage compressif de la poitrine). Après l’opération, le lycéen a désormais 16 ans, un corset postopératoire, des comprimés antidouleur à gogo et, soudain, des questions l’assaillent. »

« Il y avait comme une voix bizarre en moi. Un truc qui me demandait : Est-ce que tu détruis ta vie ? Est-ce que tu détruis ton corps ? »30

[Voir aussi :
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité]





Emprise sur les nations : l’OMS fait marche arrière

[Discours du sénateur australien Malcolm Roberts.]

[Voir aussi :
Malcolm Roberts, sénateur australien, à propos de la pandémie Covid-19 : « Tout a été planifié. »]






L’arnaque du cholestérol

[Source : Artémisia Collège]

La vérité sur le cholestérol par le Professeur Philippe Even


[Source : BioticTV2]

Cholestérol, molécule de vie ! Statines, molécule du diable… Even 1re et 2partie

Voici une longue interview en vidéo du Pr Even réalisée par BioticTV

Pour ceux qui n’ont pas encore tout compris à la controverse scientifique suscitée en France par le Dr de Lorgeril, le Dr Even raconte magistralement deux histoires :

1. Cholestérol : molécule de vie

Le cholestérol est un cristal rigide, un élément structurant de la vie, indispensable à nos cellules, qui ne présente aucun danger. Comme un professeur face à ses étudiants, Philippe Even donne un cours très accessible sur la biochimie du cholestérol. Cette biochimie a été comprise dans les années 1980, mais reste ignorée de nos médecins. Ce qui persiste c’est le dogme, dogme qui découle d’une erreur de la pensée médicale des années 1950 : les maladies artérielles sont dues aux plaques d’athérosclérose, il y a du cholestérol dans les plaques donc le cholestérol est coupable.

2. Statines : molécules du diable

Philippe Even raconte l’histoire de la supercherie des statines. Il raconte comment, sur la base de cette erreur de la pensée médicale des années 1950, l’industrie a réussi à créer le plus grand marché pharmaceutique du monde. Il décrit les effets secondaires des statines, prédit leur déclin et l’évolution probable du marché des médicaments anti-cholestérol dans les années à venir avec l’arrivée de nouvelles molécules.

Pr Philippe Even :

« cette controverse scientifique suscitée en France par le Dr de Lorgeril (que j’essaie d’aider et à laquelle j’essaie de participer) doit amener les médecins à s’interroger. Il ne s’agit pas de croire sur parole. Il s’agit qu’ils se posent au moins la question et qu’ils cherchent par brefs efforts à la résoudre parce que ce bref effort leur ouvrira les yeux, à condition que le bref effort ça ne soit pas d’aller lire les revues générales ou les éditoriaux imposés dans la presse par l’industrie pour répéter la vulgate : le cholestérol est le diable, il encrasse vos artères, il les bouche, vous allez en mourir avec un infarctus ! »




Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité

Par Gérard Delépine chirurgien oncologue

On subit actuellement une propagande intense et permanente niant l’existence des sexes, et faisant la promotion du « genre »1 et de la transition de genre, même chez les très jeunes. Même le Conseil de l’Europe y participe en éditant une brochure2 où les activistes trans parlent de « torture horrible et quotidienne des enfants trans à l’école ». Des activistes trans accusent l’état français de discrimination3, car il nierait la capacité des transgenres « à procréer4 ». Comme si l’imaginaire et le ressenti individuel pouvaient remplacer les réalités biologiques du monde réel ? Ont-ils oublié que la reproduction de l’espèce humaine, comme celle de tous les animaux supérieurs, est sexuée, car ce mode favorise l’adaptation des espèces au monde par la loterie chromosomique lors de la fécondation ? Ceci est un article non partisan, sans idéologie, de médecins ayant prêté le serment d’Hippocrate dont le premier devoir est « primum non nocere » et tristes de la désinformation sur ce sujet qui se développe dans les revues médicales ou les médias de la doxa et par les marchands de médecine-business.

Les trans se suicident énormément

En Grande-Bretagne l’étude de Biley5 portant sur 889 trans révèle une prévalence à vie de 84 % d’idées suicidaires et de 48 % de tentatives de suicide.

En Ontario6, au cours de la seule année précédant l’étude, 35,1 % des trans ont sérieusement envisagé de se suicider et 11,2 % sont passés à l’acte.

Par rapport aux autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels), les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire beaucoup plus élevée (4 à 6 fois) qui constitue un vrai problème.

En Thaïlande7 sur 411 LGBT, 39 % des participants à l’enquête ont déclaré avoir eu des idées suicidaires au cours de leur vie, 19,0 % des idées suicidaires au cours des 12 derniers mois et 13,1 % des tentatives de suicide au cours de leur vie.

L’étude nord-américaine d’Austin8 indique que 82 % des personnes transgenres ont ressenti des envies de suicide et 40 % ont tenté de se suicider, la tendance suicidaire étant la plus élevée chez les jeunes.

Le projet Trevor9 étudiant le vécu de près 35 000 LGBTQ américains âgés de 13 à 24 ans confirme ces taux exorbitants de suicide et tente de déterminer ce qui pourrait les diminuer.

Possibles causes de ces suicides chez les trans

Dans une tentative de victimisation classique des minorités, les activismes trans prétendent que ces suicides ne seraient liés ni à l’orientation sexuelle, ni à leur identité de genre, mais seulement à la maltraitance dont ils seraient l’objet. Cela leur permet de réclamer des droits particuliers comme la possibilité de faire de la propagande trans à l’école et de bénéficier d’une surreprésentation dans les médias afin de banaliser leur état. Mais la maltraitance dont ils souffrent n’est guère différente de celle qui frappe toutes les minorités qu’elles soient raciales, religieuses, politiques, sexuelles ou autres qui ne sont pourtant pas exposées à un risque comparable de suicide.

Le suicide des trans traduit d’abord leur mal-être intrinsèque, ainsi que l’atteste le « diagnostic » plus fréquent de la dystrophie de genre chez ceux qui souffrent également de déficit de l’attention, de troubles de l’alimentation ou d’autisme, troubles qu’ils ont ressentis dès leur jeunesse et attribués, souvent à tort, à leur identité sexuelle via l’environnement médical et social très orienté en cette période. L’adolescence et ses transformations suscitent des interrogations, des inquiétudes, voire des angoisses chez beaucoup d’enfants tout particulièrement à propos du sexe. À cet âge, on se laisse facilement convaincre et, s’ils sont au contact de prosélytes trans ou commerciaux, ceux-ci peuvent les persuader que ce serait leur identité sexuelle qui les perturbe et qu’ils devraient en changer, les exposant alors à subir des traitements hormonaux à vie et des interventions chirurgicales mutilantes quasi irréversibles. Les influenceurs10 des réseaux sociaux et groupes de personnes en souffrance semblent jouer un grand rôle dans « l’épidémie actuelle » de jeunes qui se trouvent trans d’un jour à l’autre et à trois ou quatre brutalement dans une même classe11.

Le suicide des trans est lié aussi à leur situation très minoritaire et à l’impossibilité de se fondre dans le groupe majoritaire. Le nombre d’adultes qui se déclarent transgenres est resté stable dans les dernières décennies. Aux USA, pays où ils sont les plus nombreux, ils représentent 0,6 % des personnes âgées de 13 ans et plus, dont 38,5 % se déclarent femmes transgenres, 35,9 % hommes transgenres et 25,6 % genre non conforme12. Leur pourcentage diminue rapidement avec l’âge, passant de 1,43 % chez les 13-17 ans à 0,45 % chez les 25-45 ans et 0,32 % chez les 65 ans et plus. L’expérience de la vie amène donc près des trois quarts des adolescents qui se croyaient trans à réaliser à l’âge adulte qu’ils ne l’étaient pas et à se déclarer, majoritairement homo ou bisexuels.

Le mal-être des trans est fortement lié à leur isolement autoentretenu. Se sentir, et encore plus se revendiquer trans, rend les contacts avec les autres moins souhaités, plus difficiles et plus rares. Or nous sommes des êtres d’émotions13 plus que des êtres rationnels ou réfléchis. Le contact avec les autres améliore notre humeur, nous apaise, diminue le stress, relâche des tensions, et conforte le sentiment d’être compris et accepté. Se sentir différent dissuade souvent le trans d’aller vers les autres, de bénéficier de ces contacts et le conduit ainsi à ruminer sa condition aggravant la dépression et le risque de suicide.

Un sondage sur la satisfaction de vivre réalisée par BMC Public Health montre que seulement 7,4 % des Transgenres binaires s’estiment satisfaits contre 17,9 % des Transgenres non-binaires, contre 38 % des femmes et 40,6 % des hommes, confirmant le mal vivre considérable des trans.

Le mal vivre des trans est aggravé par les complications des médicaments et de la chirurgie

Dans un premier temps, l’affirmation de son genre trans peut procurer à l’individu un soulagement, car il intègre alors une communauté qui le comprend. Mais la transformation physique trans sexuelle longue, compliquée et chère14 constitue un véritable chemin de croix. Elle nécessite des traitements hormonaux à vie exposant, comme tout traitement, à des complications. Bloquer la testostérone peut induire une ostéoporose (et ses risques de fractures), des problèmes cardiovasculaires, et aggraver la dépression augmentant, chez certains patients, le risque suicidaire. Inversement, les hormones virilisantes peuvent, quant à elles, favoriser un état d’excitation pathologique ou un épisode psychotique15.

Globalement les résultats ne sont habituellement pas à la hauteur des espoirs initiaux des trans et font parfois l’objet de plainte en justice16 et de déception qui peuvent même aggraver le risque de suicide. Les témoignages de personnes regrettant leur changement de sexe effectué à un âge précoce se multiplient dans les pays où ces procédures ont été autorisées. Les nombreuses interventions chirurgicales entraînent des mutilations irréversibles pour des résultats esthétiques parfois discutables et une fonction souvent peu satisfaisante. L’homme trans ne peut avoir d’érection qu’avec un implant pénien et un système de pompe, et subit le manque de sensation tactile du néophallus. La peau du néo vagin de la femme trans est insensible et le risque de rétrécissement progressif impose habituellement l’utilisation de dilatateurs vaginaux pour le reste de la vie.

Les articles rapportant des séries monocentriques écrits par des chirurgiens qui vivent de cette activité sont constamment élogieux et plaident pour la supériorité de leur technique personnelle, mais le nombre même de ces techniques (phalloplastie à partir d’un lambeau d’avant-bras, de grand dorsal ou des grandes lèvres..) et l’absence de consensus prouvent que ces problèmes ne sont pas résolus. Jeffrey B. Friedrich, et ses collègues analysant les résultats de cinquante études17 relatives à la phalloplastie estiment à près de 40 % le risque de complications urétrales.

L’examen de plus de 100 études médicales internationales de personnes transgenres opérées par l’université de Birmingham a conclu qu’il n’était pas possible de se prononcer sur l’efficacité des chirurgies sur la santé mentale des personnes transgenres, une partie d’entre elles restant dépressives et même suicidaires après l’opération.

Des professionnels de l’enfance dénoncent une « fascination » d’une partie du corps médical pour « ces discours autour de la transidentité » et les difficultés pour aborder objectivement le problème. Par exemple, devant la crainte de « débordements incontrôlables », le comité organisateur de la Conférence sur la santé des trans de Philadelphie de 2017 a dû annuler deux tables rondes sur la détransition (le retour au genre d’origine).

Selon les associations d’activistes trans, le phénomène serait extrêmement rare, mais il n’est en réalité tout simplement pas mesuré. Au Royaume-Uni, aucune clinique du genre » ne collecte de données. Lorsqu’en 2017, le psychothérapeute britannique James Caspian a voulu étudier la question, sa proposition a été rejetée par son université en raison du risque de recevoir des critiques sur les réseaux sociaux, et donc de nuire à l’image de l’université.

Charlie Evans, jeune journaliste scientifique britannique de 28 ans, a créé en 2019 le « Detransition Advocacy Network ». En l’espace de trois mois, elle a reçu plus de 300 messages de jeunes femmes qui regrettent leur transition. Souvent, elles sont lesbiennes, autistes, et regrettent de ne pas avoir été aiguillées vers un traitement contre leur dépression et/ou leurs troubles alimentaires. Le fait de ne pas correspondre aux attentes sociales qui pèsent sur les jeunes filles les a amenées à s’identifier au genre masculin, avant de se rendre compte que la transition était une fuite et non pas une solution.

La Suède qui a été le premier pays au monde à autoriser la transition légale entre les sexes, et la Finlande qui l’avait suivi, ont récemment décidé de mettre un frein aux prescriptions hormonales chez les mineurs18.

Au Royaume-Uni, une enquête commandée par le National Health Service (NHS) menée par le Dr Hilary Cass, pédiatre à la retraite, a révélé que la clinique du genre n’était « pas une option sûre ou viable à long terme » pour les jeunes et les enfants, car le personnel de la clinique se contentait souvent de précipiter les enfants dans la transition19.

Aux USA plusieurs états (Utah, Arizona, Tennessee) ont interdit ces traitements chez les mineurs et plusieurs cliniques qui pratiquaient ces traitements ont été fermées.

La France a appelé à « la plus grande réserve » sur les traitements hormonaux pour les jeunes.

Comment aider les jeunes souffrant (éventuellement) de dystrophie de genre ?

Il faut d’abord les rassurer en leur expliquant que leurs inquiétudes sur les questions sexuelles sont fréquentes chez les mineurs et singulièrement chez les adolescents, et qu’elles disparaissent le plus souvent à l’âge adulte, que les parents, ou autres membres de la famille, fratries, grands-parents, les aiment et qu’ils sont là pour les aider lorsqu’ils ont des problèmes. Si les angoisses persistent, les adresser à un psychologue neutre (ni anti, ni pro transsexuel, et osant ne pas se soumettre à la doxa). Les services vers lesquels sont orientés automatiquement les enfants susceptibles d’être atteints de dysphorie de genre sont malheureusement tenus par des idéologues de la théorie du genre et enclins au diagnostic par l’affirmatif, donc acceptation du diagnostic de dysphorie sans examen médical ou psychiatrique et organiser en urgence les prises en charge spécialisées (traitement hormonal, etc.). Il faut absolument chercher des intervenants « non spécialisés ».

Et en cas de persistance de l’idée de transformation éventuelle, il faut les informer objectivement des modalités et de la durée des traitements médicaux et de la lourdeur et du caractère peu ou pas réversible de la chirurgie. Savoir que l’on sera de fait transformé en malade à vie puisque nécessitant un suivi permanent jusqu’à la fin de la vie.

L’information complète sans tabou constitue la meilleure prévention des angoisses des adolescents et des délires de la propagande trans sexuelle.





Manger des insectes : attention danger, prévient l’ANSES

[Source : consoglobe.com]

Par Sonia C

Êtes-vous entomophage ? Autrement dit, avez-vous déjà cédé à la mode des insectes comestibles ? Si ce concept nous paraît encore exotique et original en Europe, l’entomophagie est une pratique courante dans de nombreuses parties du monde, qui permet de contribuer à l’alimentation des populations d’Afrique, Asie, Australie et Amérique du Sud. Et donc une solution pour l’Europe, si les autorités sanitaires ne s’y opposent pas.

Manger des insectes : manque d’études

Il faut en effet se montrer prudent avant de manger des insectes, comme le préconise l’ANSES, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail dans un rapport paru en avril 2015. La consommation d’insectes, souligne-t-elle, est en effet potentiellement source de dangers [Source: Rapport ANSES, 9 avril 2015] :

  • chimiques : du fait des substances fabriquées et/ou stockées dans le corps de l’insecte
  • physiques : du fait de la présence de parties dures (carapaces…)
  • allergènes, tout comme pour certains crustacés
  • microbiens, certains insectes étant porteurs de parasites, virus, bactéries…

L’ANSES souligne le fait que peu d’études ont été menées sur le sujet, et que le manque de connaissances concernant l’élevage et la consommation d’insectes doit inciter à la plus grande prudence.

Qu’en pensent les spécialistes ?
Le leader français de la production d’insectes comestibles répond à nos questions

Comment cela affecte les producteurs ? Micronutris est une société installée dans le Sud de la France qui élève et commercialise des insectes à destination de la consommation humaine. Son responsable clientèle, M. Pigeon, a répondu à nos questions.

consoGlobe : En France, que dit la loi concernant la production et la commercialisation d’insectes comestibles ?

M. Pigeon : Pour l’instant, il n’y a pas de loi qui autorise explicitement l’élevage et la vente d’insectes, mais un principe de tolérance. Il faut savoir qu’en Belgique, une dizaine d’Insectes sont aujourd’hui autorisés à la vente, quant aux Pays-Bas, une université est dédiée à l’étude de tout ce qui a trait à la valorisation des insectes comestibles.

consoglobe : Il y a donc un vide juridique français ?

M. Pigeon  : Actuellement, aucune législation en France n’autorise l’élevage des insectes et leur commercialisation. « A ce jour, aucun dossier recevable de demande d’autorisation de mise sur le marché n’a été déposé en Europe pour des insectes ou produits à base d’insectes destinés à l’alimentation humaine. Par conséquent, aucun insecte, ni dérivé d’insecte, ne peut être mis sur le marché pour l’alimentation humaine », indique l’avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif à « la valorisation des insectes dans l’alimentation et l’état des lieux des connaissances scientifiques sur les risques sanitaires en lien avec la consommation des insectes», publié le 9 avril 2015.

consoGlobe : l’avis de l’ANSES publié en avril 2015 met en avant des risques potentiels liés au fait de manger des insectes, notamment chimiques, microbiens, et mécaniques. Qu’en pensez-vous ?

M. Pigeon  : Nous sommes régulièrement contrôlés par des commissions d’hygiène et de respect des conditions d’élevage. Nous avons aussi au sein de l’entreprise une responsable qualité qui se tient au courant de la législation en vigueur afin que Micronutris soit continuellement en phase avec les standards de l’Union Européenne.

Les insectes que nous élevons (vers de farine et grillons) sont exclusivement nourris à base de céréales et de légumes biologiques, car l’utilisation de pesticides est totalement incompatible avec notre volonté de leur apporter des conditions de vie les plus saines possibles. Pour ce qui est des dangers microbiologiques, nous répondons à la déclaration de conformité du règlement CE 2073/2005 modifié. De plus, nos deux espèces – que l’on trouve naturellement sauvages en France – font partie de la liste des 2000 insectes jugés comestibles par la FAO et des dix retenus par la Belgique pour être élevés et consommés.

consoGlobe : Micronutris est une jeune entreprise innovante et… qui n’a pas eu peur de se lancer dans un pays qui tire une grande fierté de sa gastronomie séculaire. Comment les Français accueillent-ils ces nouveaux aliments, manger des insectes est-il accepté ?

M. Pigeon  : Nous sommes très positifs quant à l’évolution des mentalités. Déjà, nous constatons que la réticence fait peu à peu place à une curiosité qui pousse désormais souvent nos clients à l’achat, lors des séances de dégustation que nous organisons. Nous espérons que d’ici quelques années, les insectes feront partie du quotidien sur les tables françaises. Ils représentent une nourriture vraiment intéressante, de par leur richesse en protéines, mais aussi en minéraux et en Omégas 3.

consoGlobe : Mais dans un contexte où la nourriture carnée ne manque pas chez nous, le pari n’était-il pas risqué ?

M. Pigeon  : Effectivement, mais nous voulions que le consommateur ait le choix, dans les grandes surfaces, de trouver près des viandes classiques, une nouvelle source d’apports protéiques de haute qualité nutritionnelle. Ce n’est pas encore le cas, pour l’instant.

consoGlobe : Vous défendez de fortes valeurs écologiques…

M. Pigeon  : Oui. D’une part, l’élevage d’insectes nécessite une surface extrêmement réduite comparée à celle nécessaire dans un élevage traditionnel. Nous avons des « tours » à insectes, ce qui permet une très bonne productivité. Si l’on reprend l’exemple des vers de farine, ces animaux ne boivent pas, se développent à l’obscurité et ont besoin d’une très forte densité d’individus… tout ceci concourt à réduire de manière intéressante l’impact écologique de l’élevage.

De manière indirecte, nous espérons aussi inciter le consommateur, s’il intègre les insectes comme source permanente de protéines – et par conséquent, en baissant sa consommation d’autres produits carnés – à acheter de la viande de meilleure qualité, certes un peu plus chère, mais produite plus localement, dans des conditions qui respectent plus l’animal.




Une approche globale du vivant

[Source : bonnes-habitudes.fr]

La théorie d’Antoine Béchamp, basée sur des faits scientifiques, permet de comprendre le vivant dans toute sa globalité.

Les Microzymas (1883) : le livre d’Antoine Béchamp

Le livre d’Antoine Béchamp est consultable sur internet

Ce livre (plus de 1000 pages) présente 14 conférences faites aux étudiants en médecine de l’époque (2ième partie du XIXième siècle) développant la « Théorie de l’organisation et de la vie » qui découle de ses recherches sur les microzymas.

Pour faciliter une première approche, j’ai fait un condensé sous forme d’extraits.

Des liens précis vers les pages du livre disponible sur le site de la bibliothèque Nationale vous permettent de compléter et d’approfondir le sujet.

Bibliographie en pdf de livres d’Antoine Béchamp

1869 : Analyse des eaux minérales acidulés, alcalines, ferrugineuses – Antoine Béchamp

Antoine_Bechamp-Analyse_des_eaux_min_233
Document Adobe Acrobat 1.7 MB
Télécharger

1876 : Sur l’état présent des rapports de la science & de la religion au sujet des êtres organisés – Antoine Béchamp

Antoine_Bechamp-Sur_l_39__233_tat_pr_233
Document Adobe Acrobat 9.4 MB
Télécharger

1884 : Recherches sur les modifications moléculaires ou états isallotropiques de la matière amylacée – Antoine Béchamp

Antoine_Bechamp-Recherches_sur_les_modif
Document Adobe Acrobat 3.6 MB
Télécharger

1888 : La théorie du Microzyma et le système microbien – Antoine Béchamp

B_champ_Antoine_-_La_th_orie_du_microzym
Document Adobe Acrobat 29.4 MB
Télécharger

1899 : Le sang et son troisième élément anatomique – Antoine Béchamp

Antoine_Bechamp-Le_sang_et_son_troisi_23
Document Adobe Acrobat 31.5 MB
Télécharger

1899 : Un savant méconnu : Antoine Béchamp – Dr Hector Grasset

Hector_Grasset-Un_Savant_m_233_connu_A.p
Document Adobe Acrobat 2.4 MB
Télécharger

1913 : L’oeuvre de Béchamp – Dr Hector Grasset

Hector_Grasset-L_39_Oeuvre_de_B_233_cham
Document Adobe Acrobat 14.3 MB
Télécharger

Autres interventions sur Béchamp

Cours sur les microzymas

Angelo Pergola nous lit les cours de Alain Scohy sur ce sujet trop méconnu.

[Mise à jour : les dix vidéos suivantes on disparu de YouTube]

[En remplacement, une courte vidéo :]


[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Et si la biologie moderne avait (presque) tout faux ?
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien]




Comment le vide spirituel déshumanise

Marie-Estelle Dupont, psychologue et auteur, nous parle [notamment] de la « pensée binaire » qui s’installe aujourd’hui dans les médias et dans le débat public. Elle développe en profondeur les différentes raisons qui provoquent cette perte de nuances et de réflexions. La chute du niveau à l’école, les réseaux sociaux, la perte de sens et de transcendance, l’abandon de la jeunesse, etc. [Elle évoque aussi l’importance de créer et d’être acteur pour se construire.]

[Voir aussi :
Marie-Estelle Dupont : « COVID19 : on a perdu la face, on a été indigne de nos enfants ! »
Marie-Estelle Dupont fait le lien entre les propos du président Macron et l’idéologie de Klaus Schwab
Marie-Estelle Dupont : « Je pense que les pompiers non vaccinés sont peu susceptibles de contaminer un arbre »
Au pays des Droits de l’Homme, on a enfermé des bien-portants au nom du Bien !
Selon une psychologue, faire peur est l’arme des gens qui ont peur
Le massacre des innocents, jusqu’à quand ?]




Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

Dans un article récent1 le Docteur Martine Perez prétend dans le journal quotidien le Parisien que « le vaccin contre le papillomavirus est une prévention efficace contre le cancer du col de l’utérus » et rajoute « … ce cancer que d’autres pays ont réussi à éradiquer ». On a connu cette collègue plus vigilante…

Ce titre et son sous-titre, totalement mensongers exposent ce médecin et son journal à d’éventuelles plaintes de parents pour informations mensongères susceptibles de mettre en danger autrui. En effet comment des parents, abusés par cet article qui les aurait convaincus de vacciner leur enfant souffrant depuis l’injection de Gardasil de complications, ne pourraient-ils pas en vouloir à ceux qui les ont désinformés ?

Rappelons les faits établis et publiés par les agences officielles des pays pro vaccins antiHPV.

Contrairement à ce que prétend le Parisien, l’effet anti-cancer du vaccin n’a pas été démontré.

Les essais phase 3 de ces vaccins n’ont pas recherché l’efficacité anticancer, mais seulement l’efficacité antivirale qui est réelle et bien établie contre les souches contenues dans le vaccin. La surveillance des vaccinées montre que les vaccins protègent contre les verrues et certaines anomalies cytologiques bénignes, mais, malgré un recul de plus de 15 ans, aucune étude randomisée en vie réelle n’a démontré une réduction des cancers invasifs.

C’est d’ailleurs ce que la Haute Autorité de Santé rappelle dans son avis du 9 février 20202 qui ne mentionne aucune efficacité contre le cancer invasif, mais signale « l’efficacité de GARDASIL 9 dans la prévention des lésions précancéreuses et des verrues génitales (condylomes acuminés) du col de l’utérus, de la vulve, du vagin et de l’anus dus aux types d’HPV contenus dans le vaccin ».

Comme ce cancer est multifactoriel, on peut craindre que la diminution d’un seul des facteurs étiologiques évoqués parmi une dizaine d’autres (âge jeune lors des premiers rapports, nombre de partenaires sexuels, fréquence des infections génitales à bactéries, champignons ou virus, nombre d’enfants mis au monde, tabagisme, utilisation prolongée des contraceptifs, déficit immunitaire qu’il soit congénital ou secondaire à un traitement médial ou au sida…)3 4 5 ne soit pas efficace contre le cancer invasif, d’autant qu’il existe au moins 20 souches de HPV statistiquement liées au cancer et que les derniers vaccins n’en ciblent que 9.

Le Parisien se trompe-t-il ou ment-il volontairement ? Aucun des pays vaccinés n’a éradiqué le cancer du col

Pour s’en convaincre, il suffit de consulter les agences sanitaires officielles des pays qui ont le plus vite et le plus complètement vacciné leurs jeunes filles (Australie, Grande-Bretagne, Suède, Norvège).

L’Australie a été le premier pays à organiser des campagnes de vaccination scolaire contre les HPV. La consultation du site gouvernemental https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics montre que, globalement le nombre de nouveaux cancers invasifs dépistés chaque année en Australie augmente.

Est-ce là l’éradication dont parle le Parisien ?

Depuis la vaccination (2006), l’incidence (nombre de nouveaux cas annuels pour 100 000 femmes) des cancers invasifs du col ne diminue plus, comme l’objectivent les figures qui suivent, comparant la période du dépistage par frottis marquée par une chute de près de 50 % de l’incidence des cancers invasifs à celle de la vaccination généralisée des jeunes chez lesquelles l’incidence ne diminue plus :

Lorsqu’on considère le groupe le plus vacciné, celui des jeunes filles de13 à 23 ans en 2006 qui ont atteint l’âge de 24 à 34 ans en 2017, on ne constate qu’une diminution non significative de leur incidence de cancer invasif (8,6 en 2006 versus 8,2 en 2017, diminution dix fois moindre que dans la décennie précédente).

Les articles qui claironnent constamment que l’Australie est en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination ne sont donc pas basés sur l’examen des faits constatés par les agences sanitaires officielles, mais sur des simulations publicitaires biaisées par des hypothèses fausses faites par des auteurs liés aux marchands de vaccins ou aux organismes de vaccination.

Il est incompréhensible qu’un médecin puisse diffuser un pareil mensonge et qu’un journal comme le Parisien accepte de publier des assertions aussi contraires aux faits avérés, alors qu’ils sont facilement vérifiables.

La Grande-Bretagne a été le second apôtre de la vaccination scolaire contre le HPV. La consultation du site officiel cancer research UK à https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two montre que de 1993 à 2006, l’incidence avait régressé d’un tiers (de 13/100 000 à 9/100 000) sous l’effet du dépistage cytologique.

Mais, depuis le début de la vaccination, l’incidence standardisée est passée de 9/100 000 en 2006-2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée. Dans ce pays comme en Australie, les campagnes de vaccination ont été incapables de diminuer l’incidence globale des cancers invasifs. Cancer Research UK constate ainsi :

« Au cours de la dernière décennie au Royaume-uni (entre 2006-2008 et 2016-2018) les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

Et facteur plus inquiétant les jeunes filles les plus vaccinées (celles qui avaient entre 13 et 18 ans en 2007 et qui atteignent 23 à 28 ans en 2018) voient leur incidence de cancer invasif augmenter.

Les faits avérés montrent donc aussi que la Grande-Bretagne est très loin d’éradiquer le cancer de l’utérus !

Comment cette médecin journaliste a-t-elle pu ignorer des données officielles facilement consultables, y compris en français ?

La Suède a été le troisième pays à instaurer la vaccination scolaire contre le HPV.

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution des 2/3 de l’incidence standardisée des cancers invasifs a été observée entre 1965 (24/100 000) et 2006 (7/100 000).

La généralisation de la vaccination à l’école, au contraire, a été suivie d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11,5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 20206.

Un article de 2020 7 prétend que la vaccination aurait diminué le risque de cancer invasif. Mais elle prend en compte les 10 – 30 ans (alors que les cancers du col sont rarissimes avant 25 ans), et il ne s’agit pas d’une étude prospective randomisée, mais d’une étude rétrospective faite en croisant les données de différents registres dont nous avons vu les incertitudes et les graves erreurs dans les études réalisées par Epiphare sur la vaccination covid en France. Surtout les conclusions de cette étude sont contredites par tous les autres articles suédois parus sur le sujet depuis 10 ans8 9 et sont incompatibles avec les données officielles du registre national du cancer suédois10. En 2020 l’incidence standardisée selon l’âge dépasserait 10/100000, soit supérieure de 66 % à l’incidence française à la même date.

Cette augmentation d’incidence est même reconnue par les plus chauds partisans de cette vaccination qui tentent seulement d’en disculper la vaccination en ces termes11. « The increase in Swedish cervical cancer incidence is not likely to be caused by HPV vaccination » (l’augmentation de l’incidence des cancers du col en Suède a peu de chances d’être due à la vaccination HPV).

Comment le docteur Martine Perez peut-elle parler d’éradication de ce cancer en Suède alors que l’incidence et le nombre annuel de nouveaux cancers augmentent dans ce pays ?

Nous avions déjà en 2020 et 2022 publié à nouveau ces résultats (ici actualisés) dans deux articles publiés par France soir12 et confirmant le détail des analyses publié dans un livre en 2018 en français13 et en anglais14 et répondu en ce début janvier 23 aux dix mensonges d’AFP Factuel qui prétendait contredire notre article de décembre et les faits avérés dont témoigne les chiffres officiels des agences15.

Le Docteur Martine Perez a-t-elle respecté les devoirs du médecin et l’éthique des journalistes ?

Le conseil de l’ordre des médecins stipule dans l’Article 13 (article R.4127-13 du code de la santé publique) les devoirs du médecin16 qui informe le public :

« Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public. ».

Cet article du code de déontologie a motivé des poursuites de l’ordre contre le Professeur Raoult parce qu’il avait dit que la chloroquine était efficace contre le Covid, en l’occurrence affirmation confirmée depuis lors par de très nombreux pays comme l’Algérie, la Côte d’Ivoire, l’inde, Madagascar, le Niger, le Nigéria et bien d’autres.

Le conseil de l’ordre blâmera-t-il le Docteur Martine Perez pour avoir fait imprudemment état de données non confirmées ?

Madame Martine Perez a-t-elle respecté l’éthique des journalistes ?

L’éthique journalistique17 est encadrée en Europe par deux textes, dont la Charte de Munich édictée par les syndicats de journalistes des 6 pays membres de la CEE plus ceux de la Suisse et de l’Autriche en 1971, et la Charte d’éthique professionnelle des journalistes rédigée en 1918 par le Syndicat National des Journalistes et modifié en 1938 et 2011. Ces écrits qui reposent sur des textes fondateurs du droit international, comme la déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen en reprend le Préambule et l’article 16. Ils ont été rappelés par la Charte mondiale d’éthique des journalistes de Tunis du 12 juin 201918.

Celle-ci rappelle en particulier :

« Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d’une journaliste… la journaliste ne rapportera que des faits dont elle connaît l’origine… elle sera prudente dans l’utilisation des propos et documents publiés. ».

Les affirmations de Madame Martine Perez contraire aux faits établis publiés par des agences sanitaires officielles ne paraissent vraiment pas respecter l’éthique journalistique.

L’erreur est humaine. Madame Martine Perez a peut-être été trompée par des textes trompeurs de l’industrie des vaccins. Aussi la charte mondiale des journalistes précise : « la journaliste s’efforcera par tous les moyens de rectifier de manière rapide, explicite, complète et visible toute erreur ou information publiée qui s’avère inexacte. ».

Nous verrons dans les semaines qui suivent si Madame Martine Perez, dûment informée par nos soins, respectera la charte mondiale des journalistes. Elle se protégerait ainsi également d’éventuelles poursuites en justice.





Le pharmacien de Cholet lanceur d’alerte est révoqué. C’est le CNG et autres agences qu’il faut fermer

Par Nicole Delépine

[Illustration : Pharmacien, Amine Umlil était responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet.
© archives CO – Yves BOITEAU]

« On m’a révoqué simplement parce que j’ai donné mon avis sur le vaccin » — Dr Amine Umlil, pharmacien — YouTube

Révoqué pour ne pas avoir menti devant les sénateurs qui l’avaient convoqué pour connaître l’état de la pharmacovigilance de l’injection génique pour donner suite à une pétition citoyenne. On atteint la limite du totalitarisme de moins en moins mou. Aux USA le plus gros délit serait de mentir devant les autorités (encore vrai ?). En France dire la vérité même sur demande officielle d’une chambre parlementaire constitue apparemment un crime de lèse-majesté.

Qui est Amine Umlil ?1

Par suite d’une pétition soulevant des interrogations sur les vaccins contre la Covid-192 3, une enquête est demandée par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) et la Commission des affaires sociales du Sénat. Cette enquête concerne les « effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français ».

https://www.senat.fr/rap/r21-659/r21-659.html

Dans ce cadre, à la demande des parlementaires, Amine Umlil est auditionné le 8 avril 2022 par des sénateurs et des députés. Avant cette audition, il transmet un rapport circonstancié aux parlementaires désignés rapporteurs.

« Ce rapport est une synthèse qui propose des éléments utiles, extraits des documents publiés par les autorités ad hoc, vérifiables, indépendantes et réglementaires en tout premier lieu. Ces données ont été relevées, en temps réel, depuis plusieurs mois et notamment depuis le début de cette vaccination contre la Covid-19. Les faits sont de nature à vicier le consentement des personnes, et sont donc susceptibles de porter atteinte à la dignité de la personne humaine » (ibid 1).

La contre–attaque d’un inlassable battant

Amine Umlil s’estime victime d’un « putsch administratif » et va contester sa révocation devant le tribunal administratif et le Conseil constitutionnel et soulever une question prioritaire de constitutionnalité, jugeant la « procédure inconstitutionnelle et inconventionnelle ».4

Amine Umlil a pris la parole 4 février5 quelques heures après avoir appris par courrier recommandé, décision suivant sa convocation, le 12 janvier, devant le conseil de discipline du CNG, son autorité administrative, pour non-respect de son devoir de réserve et de neutralité.

« Procureure et juge en même temps »

Il va contester sa révocation devant le tribunal administratif, procédure classique, et devant le Conseil constitutionnel :

« la procédure est inconstitutionnelle et inconventionnelle. Il n’est pas possible qu’une autorité de jugement soit une autorité de poursuite, or la directrice du CNG est procureure et juge en même temps ».

« S’appuyant sur une jurisprudence de 1935, ils me reprochent d’avoir manqué à mes obligations de réserve et de neutralité […] et d’avoir méconnu mon devoir d’obéissance hiérarchique […] On me reproche de ne pas avoir relayé le message diffusé par les autorités sanitaires et politiques dont la communication a été épinglée par une enquête parlementaire. »

En résumé la directrice du CNG lui reprocherait de ne pas avoir menti devant les parlementaires !

« Je ne suis pas tenu au devoir de réserve »

Le CNG le condamne pour avoir rappelé à l’OPECST au Sénat où il était convoqué « qu’on a obligé des gens à participer à des essais cliniques de force et avoir critiqué la loi du 5 août 2021 relative à l’obligation vaccinale contre le Covid ».

Putsch administratif

« Tous les textes de loi et le Code de santé publique disent que je ne suis pas tenu au devoir de réserve parce que je ne suis pas fonctionnaire. […]6 Un pharmacien n’a pas de supérieur hiérarchique lorsqu’il s’agit de compétences techniques dans son domaine de la pharmacie. »

L’ordre des pharmaciens se rangera-t-il à ses côtés ? « L’ordre nous enjoint de nous opposer aux décisions qui vont à l’encontre de l’intérêt des personnes et des patients. » Espérons que l’ordre des pharmaciens se différenciera de celui des médecins qui condamne régulièrement ceux qui ont guéri les malades par les traitements précoces contre l’avis du gouvernement… La liste est longue : citons le Dr Gayet rayé de l’ordre, comme le Dr Agret et bien d’autres suspendus7 y compris nos représentants au Parlement qui eux aussi n’auraient pas dû parler devant les autres élus !

Qu’est-ce que le CNG ?

Une agence de plus qui permet de caser les complices du pouvoir (pour récompenser un bon serviteur comme beaucoup d’observatoires et autres agences qui naissent aux changements de cabinet ministériel) et dont au fil des ans les missions se multiplient pour le contrôle centralisé de fonctions autrefois locales (les DRASS régionales) avec un cout qui atteignait les 100 milliards d’euros en 20128.

« Le CNG9

Établissement public administratif sous tutelle du ministre chargé de la Santé, le CNG assure notamment la gestion statutaire et le développement des ressources humaines des PH et des directeurs de la fonction publique hospitalière des secteurs sanitaire, social et médico-social. »

Initialement le recrutement et la gestion des praticiens hospitaliers temps plein (PHTP), des directeurs d’hôpital et des directeurs d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux étaient assurés par le ministère chargé de la santé au sein d’une direction fonctionnelle, la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS). Pour les besoins de recasage, on crée des agences…

L’ordonnance no 2005-1112 du 1er septembre 2005 a créé un établissement public administratif chargé du recrutement et de la gestion des carrières des personnels de direction de la fonction publique hospitalière et des PH : le Centre national de gestion des PH et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière.

En 2007, l’article 76 de la loi de financement de la sécurité sociale fixe le régime juridique de et détermine ses ressources.10

Le 1er janvier 2009, la gestion nationale des PH temps partiel, auparavant assurée par les DRASS, relève désormais de la compétence du CNG. ON ÉLARGIT SES POUVOIRS ET ON CENTRALISE LES DÉCISIONS PRÈS DU MINISTRE.

Le 1er juillet 2010, le CNG qui assurait dès son origine le recrutement des directeurs des soins par concours national prend en charge la gestion de ce corps jusqu’alors effectuée localement par les établissements relevant de la fonction publique hospitalière. À la même date, le Centre assure la gestion et le secrétariat des commissions d’autorisation d’exercice des professions de médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme et pharmacien ainsi que la gestion et le secrétariat de la section de la commission compétente pour l’examen des autorisations d’exercice des fonctions de biologiste médical.

Le 28 octobre 2010, le « Centre national de gestion des PH et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière » est dénommé « Centre national de gestion ».11

Le 1er janvier 2012, le CNG est chargé, au nom du ministère de la Santé, de la gestion des élèves attachés d’administration hospitalière.

Le 1er septembre 2012, le recrutement et la gestion des personnels enseignants et hospitaliers des disciplines médicales, odontologiques et pharmaceutiques (hospitalo-universitaires) sont dorénavant assurés par le Centre national de gestion, en lien avec le ministère chargé de l’enseignement supérieur.

Ainsi cette administration centralisée, qui dépend du ministère de la Santé et depuis 2012, du ministère de l’enseignement supérieur, récupère de plus en plus des fonctions autrefois décentralisées dans les régions. La mainmise du gouvernement sur les professions médicales et les directeurs d’hôpitaux se renforce.

Historique des agences

La première directrice du CNG Danielle Toupillier était au ministère de la Santé en 1990. Parmi ses postes, elle sera chargée de la gestion des statuts et de la réglementation des personnels de la fonction publique hospitalière puis conseillère technique à la Direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins (DHOS, ex-DGOS) avant d’être nommée au CNG en 2007.

Ses missions, élargies au fur et à mesure par le ministère, passent donc par la gestion des carrières hospitalières, l’accompagnement professionnel ou encore les autorisations d’exercice. Le CNG a assuré ces dernières années la gestion statutaire annuelle de près de 50 000 praticiens hospitaliers temps plein ou partiel, près de 6 500 personnels hospitalo-universitaires et de plus de 5 600 directeurs de la fonction publique hospitalière dans un rythme soutenu.

Le CNG a pris en main l’organisation technique d’une vingtaine de concours administratifs ou médicaux regroupant 23 000 candidats.

Il est symbolique que le CNG se préoccupe des « souffrances au travail ».12

Quelle est l’ampleur de la souffrance au travail à l’hôpital ? Comment identifier les risques psychosociaux et surtout comment les combattre ? Le CNG) a mis en place différents outils d’accompagnement. AH OUI ?

Les multiples agences qui n’existaient pas avant les années 2000, alors que notre système de santé était au premier rang mondial, ont détruit l’hôpital public et privé.

La normalisation.13

Ceux, qui ont vécu 1968 en Tchécoslovaquie, savent ce que signifie « normalisation ». La tyrannie, imposée soudainement là-bas, par les chars soviétiques, l’est ici insidieusement, sans bruit, mais tout aussi brutalement par les normes qu’édictent les multiples agences. En premier lieu, la Haute Autorité de Santé (HAS) et l’institut national du cancer (INCa) qui régentent maintenant, de façon autoritaire, tous les protocoles de soins, essais ou études pivots pour les patients atteints de cancer. Sans oublier les nombreuses agences prolifiques qui ajoutent chaque jour des règles, normes et injonctions pour la sécurité, l’alimentation, la transfusion, le nettoyage des sols (appelé « bionettoyage » !), etc. Signalons à titre d’exemple, que malgré ce nom pompeux, ce ménage ne comprend pas les murs au-delà de hauteur d’homme, même dans les blocs opératoires et laissent les « surfaces » (tables de nuit) aux aides-soignantes… Et dans les normes, on a oublié de prévoir le nettoyage, le dimanche et les jours de fête. Bientôt, on fermera des toilettes, parce qu’elles ne sont pas aux « normes », sur la dimension des chasses d’eau. Ici, c’est Bruxelles qui légifère, ce sera une transposition des normes européennes qu’imposera la bureaucratie nationale ! La crasse, induite par ces normes idiotes couplées à la diminution en nombre du personnel dédié, aboutit à des descriptions glauques de certains hôpitaux. (…)

Le pouvoir absolu des agences régionales d’hospitalisation

Il est renforcé par la loi Touraine de 2016 et les décrets qui tombent en rafale et la complètent.

La loi Bachelot en 2009 a transformé les agences régionales d’hospitalisation (créées par les ordonnances Juppé en 1996), en agences régionales de santé (ARS). La loi Touraine a renforcé le pouvoir de ces ARS, devenues grandes préfectures de santé. Elles coordonnent et contrôlent la conformité et le respect des règles édictées par les nombreuses autres agences et les divers observatoires, tant sur le secteur public que privé. Il n’y a pas, en France, de secteur de soins véritablement privé, puisque l’état contrôle et décide tout.

Le nombre des agences de santé, sous vocables divers, avoisinait 18 en 2011, mais le parlement avouait être incapable de le chiffrer avec exactitude14. C’est un comble ! Mais, ce sont nos impôts qui paient.

Au lieu d’imposer en force une réforme des retraites il serait économiquement plus efficace de supprimer beaucoup des 1244 agences de l’État recensées en 2014 et en particulier les agences doublons et les comités fantômes, dont les missions restent parfois énigmatiques comme l’a signalé le Figaro15.

Ce nombre total des agences de Santé, sous des noms variés, a nécessairement augmenté avec les créations par le ministère actuel de nouvelles structures (données de santé, etc.) et elles sont source de gabegie financière.

Les directeurs des ARS ont tout pouvoir, et la gestion dictatoriale est dénoncée par tous, à commencer par le personnel des agences régionales lui-même : singulièrement les inspecteurs, médecins et pharmaciens, qui travaillaient au ministère, avant la création des agences et dont le rôle est méprisé par les jeunes loups, introduits par le gouverneur, directeur général nommé par le roi en place (ou sa Montespan du moment). Le directeur accorde ou non l’autorisation de telle activité, de telle unité, de la fermeture d’un hôpital ou d’un service, de façon arbitraire, et ceci sans concertation, et malgré des manifestations bruyantes et itératives de la population. Mais la bureaucratie autocrate est sans contre-pouvoir, du moment qu’elle ne déplaît pas au prince. Pour combien de temps ?

Le secret médical enterré

La bureaucratie a étouffé le pouvoir médical, et au passage un de ses fondements éthiques, le secret médical incompatible avec les multiples audits, enquêtes et traçabilité sur chaque acte médical et paramédical. La loi Touraine et les décrets récents l’ont enterré, malgré quelques protestations médicales et politiques inaudibles. Le citoyen n’a pas mesuré la gravité de la suppression de cette protection capitale pour sa vie privée.

La médecine n’est pas une science exacte, mais un art qui s’appuie sur des connaissances scientifiques, autant que sur la qualité des relations humaines que le médecin entretient avec son patient. Parmi celles-ci, le respect absolu du secret médical et la liberté de choisir en son âme et conscience le traitement le mieux adapté aux besoins du patient sont essentiels. Ces fondements de la médecine hippocratique, toujours rappelés dans le serment que nous jurons de respecter et dans le code de santé publique, sont violés quotidiennement par les règles imposées par la bureaucratie et, jusqu’ici dans l’indifférence apparente du conseil de l’Ordre, des patients et des organisations de défense des droits de l’homme et du citoyen, peut-être peu au fait du caractère systématique et quotidien de ces violations.

La création d’agences financées par nos impôts, bénéficiant des privilèges d’autorité de la puissance publique a réduit la valeur de nos diplômes à celle du papier sur lequel ils sont imprimés, et à néant notre droit d’administrer le meilleur traitement pour nos malades.

La Haute Autorité de Santé et l’Institut National du Cancer décident des traitements à appliquer, qui deviennent la Norme, voire la Loi dans la tête de certains médecins. L’Agence Régionale de Santé vérifie de manière inquisitoriale que leurs décisions sont appliquées.

Un médecin, non coopté par un réseau de cancérologie, parce qu’il ne prescrit pas les traitements normalisés, se voit retirer, de fait, son droit de traiter les cancers, sans tenir compte de ses diplômes professionnels, ni de son expérience, ni de ses résultats. Il ne trouvera aucun établissement pour appliquer ses prescriptions. Le droit du malade de choisir son traitement est ainsi bafoué, parce qu’il ne trouvera progressivement plus personne pour lui administrer un traitement différent du traitement normalisé (…).

Le cas du Dr Umlil est exemplaire, comme le fut celui du Dr Djikeussi révoquée de son poste de PH en 2015 « pour impossibilité de travail collectif », malgré une grande pétition de ses patients.16 Chacun a compris que l’avis des malades est négligeable dans le nouveau système de santé managérial comme chez Orange et bien d’autres.

De fait la cancérologue tentait de défendre la médecine individualisée en oncologie, que le ministère avait interdite de fait avec la fermeture de l’oncologie pédiatrique de Garches en 2014, seule unité résiduelle de l’indépendance médicale dans le choix des traitements. Désormais les médecins devaient appliquer les ukases de l’agence du cancer l’INCa, les prescriptions surveillées par les ARS et la HAS par les visites régulières avec finalité ou non d’accréditation.17

Après avoir été interdits de prescrire selon notre expérience, Médecins, soignants, pharmaciens, nous avons maintenant interdiction de dire ce que nous pensons de la doxa officielle y compris sur convocation des représentants élus, ou même comme élus nous-mêmes.18

Le décret de décembre 2020 passé sous silence médiatique en dehors de quelques articles dans les médias alternatifs l’a écrit en toutes lettres :

Un décret controversé prétend contrôler la parole des médecins sur le Covid-1919

Le 22 décembre 2020 était publié au Journal officiel un décret (n° 2020-1662) « portant modification du code de déontologie des médecins et relatif à leur communication professionnelle ».

Extrait :

« Le médecin peut, par tout moyen y compris sur un site internet, communiquer au public ou à des professionnels de santé, à des fins éducatives ou sanitaires, des informations scientifiquement étayées sur des questions relatives à sa discipline ou à des enjeux de santé publique. […] Il se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées ». Et l’article de se demander fort opportunément : « Qui décidera de ce qui est valide ou non, et sur quels critères ? Le risque est réel que le monopole de la communication légitime autour du Covid-19 ne revienne qu’aux autorités sanitaires (gouvernement, Ordre des médecins). »

« Certains médecins ont perçu ce décret comme une volonté des autorités d’entraver leur liberté d’expression, car le texte ne précise pas ce que recouvrent “des informations scientifiquement étayées” et “des hypothèses non encore confirmées”. Qui décidera de ce qui est valide ou non, et sur quels critères ? ».

Des recours en justice en cascade

Les réactions ne se sont pas fait attendre. Un collectif comprenant notamment le Pr Perronne, récemment sanctionné pour ses prises de position publiques sur le Covid-19 craint que ce décret serve une forme de censure de l’information médicale sous l’égide de l’Ordre des médecins, et aille à l’encontre de l’intérêt général. Le groupe, comprenant également le Pr Paul Trouillas, le Dr Hélène Rezeau-Frantz, le Dr Sophie Fonnet, le Dr Stéphane Arminjon et le Dr Edith Kaji, a donc mandaté l’avocat Thomas Benages qui a déposé un recours devant le Conseil d’État le 31 décembre 2020.

« Le Dr Nicole Delépine, médecin oncologue à la retraite, qui s’est beaucoup engagée sur les sujets de santé (de la dénonciation des lobbys aux critiques des thérapies innovantes contre le cancer notamment et défense de la liberté de soigner20) a également été visée en décembre par une plainte ordinale et des poursuites disciplinaires, pour ses prises de position critiques sur la gestion de l’épidémie. Le décret du 22 décembre, prétendant encadrer la parole des médecins sur le Covid-19, lui fournit l’occasion d’une requête de référé-liberté, déposée lundi 4 janvier par maître Ludot. L’objectif : statuer sur l’atteinte que ce décret fait porter à la liberté d’expression des soignants.

Qu’on apprécie ou non les analyses et critiques de l’un ou l’autre de ces médecins, que l’on soit d’accord ou pas avec eux, un tel décret pose des questions majeures sur la liberté d’expression et d’informer et de proposer une autre lecture de la pandémie ou d’avancer d’autres propositions ; comme le font d’ailleurs de plus en plus de collectifs en désaccord avec les politiques actuelles. »

Le Dr G Delépine avait d’ailleurs commenté la sortie de ce décret sur France soir.21

Le docteur Umlil est une nouvelle victime de cette perte de la liberté de parler, de penser, de soigner. Sa révocation va-t-elle éclairer les parlementaires et permettre une suppression de ce décret indigne d’un pays qui se prétend encore une démocratie ?

Affaire à suivre…





L’éminent professeur du MIT Retsef Levi appelle à la suspension immédiate de tous les vaccins à ARNm !

[Source : LLP]

Un éminent professeur du MIT et expert en analyse de la sécurité des médicaments, le Pr Retsef Levi, appelle à la suspension immédiate de tous les vaccins à ARNm anti Covid-19 car selon lui : « Ils devraient cesser car ils causent un niveau de préjudice sans précédent, notamment la mort de jeunes et d’enfants » ! Il ajoute que ce vaccin d’ARNm est « le produit médical le plus nocif de tous les temps » et « le produit médical le plus inefficace de tous les temps » ! Il a 30 années d’expérience dans l’analyse des données dans le cadre de l’étude des risques dans l’une des universités les plus prestigieuses du monde, le MIT.

En Israël, il a détecté une augmentation de 25% des myocardites chez les 16-39 ans pour la première moitié de 2021, ce qui correspond au début de la vaccination ! Pour lui, l’explosion des arrêts cardiaques est une séquelle des myocardites !





REVUE DE PRESSE DU 5 FÉVRIER 2023

Par MF

ÉDITO
Révocation !

Le bilan s’alourdit pour les lanceurs d’alerte, traqués, cambriolés, menacés, tandis que des États se rebellent contre les fabricants de vaccins, comme la Thaïlande, ou que la Floride déconseille les injections aux jeunes hommes, sur fond d’une réglementation floue et permissive par la FDA et l’EMA, ou que l’Italie rend hommage au Pr Montagnier à travers un prix éponyme. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, excès de mortalité, fertilité effondrée, inefficacité, et que des voix s’élèvent pour réclamer l’arrêt total des injections alors qu’en France, les suspendus ont dépassé les 500 jours sans aucun revenu.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Une soirée en hommage au Professeur Luc Montagnier

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/une-soiree-en-hommage-au-pr-luc-montagnier-gerard-guillaume

Elle se déroulera de 17 à 20 heures, au 32, avenue Hoche à Paris (75008), dans l’amphithéâtre de Martin Bouygues (inscription obligatoire, présentation à l’entrée d’une pièce d’identité).

Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/covid-19-ce-que-revelent-les-chiffres-officiels-pierre-chaillot

« Regarder le passé pour éviter de reproduire les mêmes erreurs, un devoir indispensable. »

500 jours sans salaire

https://www.laselectiondujour.com/500-jours-sans-salaire-ni-indemnites-pour-les-soignants-non-vaccines-n1808/

« Le 28 janvier était le 500e jour de suspension pour les soignants et assimilés — médecins, infirmiers, pompiers, personnels administratifs — privés de salaire et d’indemnités de chômage parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner contre le Covid. »

ÉTRANGER

ITALIE — le premier prix Luc Montagnier décerné à cinq personnalités

https://www.francesoir.fr/videos-reportage/le-1e-prix-luc-montagnier-decerne-cinq-personnalites-pour-leur-independance

« Le prix s’appelle Luc Montagnier, mais il y a un E à “Luc(e)”, qui en italien signifie la lumière. C’est un honneur ».

THAÏLANDE — bientôt l’annulation des contrats avec Pfizer ?

« En plus de mettre fin aux contrats de Pfizer, le gouvernement thaïlandais prévoit également de réclamer à l’entreprise un dédommagement se chiffrant en milliards de dollars. »

USA — Rétropédalage : vagues de dé-recommandations des injections pour les jeunes

« L’augmentation des décès de cause cardiaque dans les 28 jours suivant la vaccination a été jugée suffisamment inquiétante pour que les autorités de santé de la Floride déconseillent désormais les vaccins anti-Covid-19 ARNm aux hommes de 18 à 39 ans. »

JUSTICE

Révoqué pour avoir alerté sur les effets indésirables des injections

« En le révoquant le gouvernement enlève toute crédibilité à la pharmacovigilance et remet en question la possibilité de mener des commissions d ’enquêtes parlementaires. »

ET

Le Dr Amine UMLIL, pharmacien et juriste, fait appel de cette décision

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/amine-umlil-decision-cng-je-fais-appel

« Il confie son intention d’interjeter appel, mais aussi de soulever une question prioritaire de constitutionnalité, jugeant la procédure inconstitutionnelle et inconventionnelle. »

COVID

Premier semestre 2022, les 2/3 des victimes du Covid étaient vaccinées

https://www.lelibrepenseur.org/du-1er-janvier-a-juillet-2022-les-2-3-des-victimes-covid-en-france-etaient-vaccinees-cetait-une-hecatombe-chez-les-vax-selon-le-pr-jean-paul-bourdineaud-de-bordeaux/

L’auteur a publié le livre « La science outragée ».

https://www.editionsmarcopietteur.com/resurgence/339-la-science-outragee-9782874342080.html

« Les méta-analyses Cochrane sont en réalité au service de l’industrie pharmaceutique plutôt qu’à celui de la science. »

JAPON — Dépôt de plainte pour annulation de l’action administrative

https://dailyclout.io/japanese-researchers-sue-the-government-for-hiding-inconvenient-truths-about-the-jab/

« Le ministère de la Santé japonais refusant de reconnaître le lien de causalité entre les vaccins et les décès, le professeur Fukushima et une équipe de chercheurs ont déclaré qu’ils n’avaient « pas d’autre choix que d’oser engager une action en justice. »

INJECTIONS

Arrêtez tout !

https://www.covidhub.ch/retsef-levi-mit-arret-vaccins/

« Pr Retsef Levi :  les vaccins à ARNm causent un niveau de préjudice sans précédent, y compris la mort, en particulier chez les jeunes, sont de plus en plus nombreuses et incontestables/Aucune enquête approfondie n’été menée/Les autopsies montrent le lien direct avec le vaccin, le produit médical le plus rentable de tous les temps ».

Efficacité des rappels

https://www.covid-factuel.fr/2023/01/22/vaccins-covid-cleveland-clinic-et-evaluation-de-lefficacite-des-rappels/

« Plus on vaccine, plus on a de chance d’attraper le covid. »

Négociations secrètes de l’UE avec Pfizer

https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccin-anti-covid-negociation-secrete-commission-europeenne-moins-dose-prix-plus-eleve

« Politique vaccinale opaque », syndrome d’un « problème de démocratie au niveau de l’Union européenne ».

Règlementation EMA et FDA concernant les vaccins ARNm

https://www.aimsib.org/2023/01/22/vaccins-arnm-reglementation-ema-et-fda-concernant-les-produits-de-therapie-genique/

« Un même produit peut être classé ou non comme un produit génique selon qu’il est qualifié ou non de vaccin contre une maladie infectieuse. Il peut dans ce dernier cas être exempté de ces études.

Or justement un produit destiné à une majorité de la population mondiale (8 milliards de personnes) en bonne santé devrait être soumis à une réglementation plus exigeante qu’un produit de thérapie génique destiné à quelques millions de personnes souffrant d’une maladie rare ou de cancer. »

EFFETS INDÉSIRABLES

En 2022, en France, surmortalité avant 40 ans et exceptionnellement haute chez les enfants, surtout les filles, et les femmes en âge de procréer

Augmentation de 7 % du risque de mortalité à chaque dose reçue

https://www.infowars.com/posts/top-insurance-analyst-finds-7-increase-in-aggregate-mortality-for-each-covid-vax-dose-received/

« Une personne “totalement vaccinée” qui a pris 5 doses augmente son risque de décès de 35 %. »

Chute de la fertilité

https://reseauinternational.net/une-chute-de-la-fertilite-a-ete-constatee-apres-que-les-2-3-de-la-population-adulte-ont-recu-le-vaccin-covid/

Il faut stopper les injections immédiatement

« Rien n’est gagné, mais la parole se répand même si elle n’est pas encore acceptée. »

RÉSISTANCES

La traque des lanceurs d’alerte

« Montrer des faits et des chiffres qui démentent le discours officiel peut coûter très cher. Témoignages de scientifiques et médecins. »

CSI n° 87 du 19 janvier 2023

https://crowdbunker.com/v/VnVeZS9f

Invité : Michel Cucchi, médecin biologiste, docteur en sociologie. Sujet : Influence et pandémies, à propos de son livre éponyme « Influence et Pandémies » aux éditions Marco Pietteur.



CSI n° 88 du 26 janvier 2023

https://crowdbunker.com/v/n6dddKwz

Invités : Hélène Banoun, pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM, membre du CSI. Patrick Provost, professeur au Département de microbiologie-infectiologie et d’immunologie de l’Université Laval et spécialiste de l’ARN.
Sujet : À quel moment surviennent les complications de santé liées à la vaccination anti-Covid ?



CSI n° 89 du 3 février 2023

https://crowdbunker.com/v/zGM63pTV

Dr Philippe de Chazourne
Sujet : Rémunération sur Objectifs de Santé Publique : ROSP et… corruption systémique.



Témoignages, un livre

https://www.contrepropagande.fr/product-page/livre-t%C3%A9moignages

Ne pas oublier et transmettre.




La Reine des Neiges, plus grand complot de l’histoire ?

Par Alain Tortosa

Il existe des crimes ignorés de tous, mais celui-ci est sans doute le plus odieux, loin devant les millions de morts de guerres provoquées dans le but d’enrichir les pourritures.

J’ai longuement hésité à vous éclairer sur cet événement historique, mais je vous sais désormais suffisamment matures pour encaisser l’horrible « Vérité ».

Les complotistes 5e dan auront compris que je parle ici non pas de JFK ou du 11 septembre, mais de Elsa et Anna, personnages emblématiques de « la Reine des Neiges » du « merveilleux » studio Disney1.

Le fait est que les complots les plus immondes sont souvent là, sous nos yeux, et qu’ils passent généralement inaperçus tant ils sont énormes.

Mes propos peuvent provoquer chez certains un rire moqueur, ce fameux ricanement qui empêche de grincer des dents et de se forger sa propre opinion.

Mais je ne vais pas vous laisser en haleine plus longtemps.

Les plus pointus d’entre vous auront compris que Disney a volontairement inversé les prénoms de Elsa et Anna.

Je peux imaginer votre stupéfaction, voire votre désarroi, votre réticence ou votre recul.

Mais essayez de résister au rejet ou au dégoût inspiré par mon « affirmation délirante ».

Rappelez-vous votre première fois, quand on vous a dit que JFK avait été assassiné par la CIA ou que l’homme n’était jamais allé sur la Lune.
Vous aviez alors sans doute réagi « sainement » et balayé ces affirmations « débiles ».

Ceux qui sont allés au-delà de l’apparence ont appris que si un complotiste vous dit :

« Les petits pois sont des émetteurs mis au point par les habitants du 4e système solaire en partant de la gauche de la galaxie d’Andromède afin de modifier l’axe de la terre. »
Il est raisonnable de l’écouter avant de se marrer.

Combien de théories du complot se sont révélées exactes depuis l’introduction de la fête du Covid et de la fête du réchauffement climatique ?

Aucune bien évidemment !

Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps et voici donc la « Vérité révélée » :

« La Reine des Neiges aurait dû s’appeler Anna, tandis que sa sœur était de toute évidence une Elsa. »

Je sais, la révélation peut être violente, mais il en est de toutes théories du complot.

Rejet, moquerie, réflexion puis… évidence2 !

Je me devais de l’exposer au grand jour au péril de ma vie pour rassurer celles et ceux qui s’en doutaient :

« Non vous n’êtes pas fous, non vous n’êtes pas seuls. »
« Oui c’est probablement le plus grand complot de tous les temps ! »

Au-delà des mots, voici des preuves pour les plus incrédules, mais néanmoins curieux…

Je précise pour les factcheckers que ma source est au-delà de tout soupçon,
J’ai choisi Le Figaro et non un vulgaire torchon complotiste comme France-Soir.
(Organe subversif qui, je le rappelle, ne prend pas ses sources directement auprès de l’AFP, mais mène ses propres enquêtes.)

Et comme le dit le grand Julien Pain :

« Si ce n’est pas dans le journal, c’est probablement une fakenews »

Je me suis donc enquis de la signification officielle des prénoms.

Que lit-on pour Elsa ?

« Sous un abord réservé et doux, Elsa a un caractère joyeux, sociable et chaleureux. Dynamique et sûre d’elle, elle a besoin d’être le centre d’intérêt et a tendance à diriger son petit monde et à le materner3. »

Cela pourrait faire rire si ce n’était pas si dramatique !

La reine des neiges, dénommée officiellement « Elsa », serait ainsi « joyeuse, sociable » et — encore plus délirant — « chaleureuse » ?

Il y a des limites à la fourberie.

Attendez, la fille fuit le monde, ne veut voir personne, se construit un château de glace, gèle tout ce qu’elle touche et elle serait « chaleureuse » ?!

Comment Disney a-t-il pu oser tromper des millions d’enfants innocents à travers le monde en affirmant que :

« La reine des neiges est chaleureuse ! »

Mais quel mépris de l’humain, quel irrespect pour les enfants.

Le genre d’ignominie qui pourrait faire passer les mesures anti-covid en direction des enfants pour une rigolade.

Bon certains n’enlèveront peut-être jamais leur masque, hurlent quand papi ou mamie veulent les embrasser, ne savent toujours pas lire à 8 ans, hurlent la nuit, tandis que d’autres se sont suicidés.
Je ne nie pas ces quelques petits désagréments, mais ils demeurent globalement bon-enfant et anodins au regard de l’immonde virus qui menaçait toutes les personnes grabataires ou en fin de vie.

Mais merde, il faut raison garder !
Soyons un tant soit peu raisonnables, c’est peanuts, à coté du scandale de la Reine des Neiges et du traumatisme induit par cette supercherie.

Je vous rappelle aussi, bandes de complotistes, que ces mesures anti-covid ont évité des milliards de morts sur la planète et peut-être même l’extinction de l’espèce !
Il ne faudrait quand même pas l’oublier !

Non seulement ces complotistes sont stupides, mais en plus ils sont ingrats.

D’un autre côté, était-ce bien nécessaire, quand on sait que nul ne pourra survivre au réchauffement climatique, quelles que soient les mesures dictatoriales mises en œuvre ?

Bon, j’arrête de me distraire et je reviens à l’essentiel.

Nous faire croire qu’il existe une pandémie mondiale, passe encore, mais là !

Et ce n’est pas tout, je poursuis avec le prénom Anna :

« Anna est une personne intelligente, curieuse et cultivée. C’est simple, lorsqu’elle est passionnée, elle s’investit de tout son être. Un brin perfectionniste, elle a horreur de la médiocrité et du désordre. Dotée d’un sixième sens, Anna se trompe rarement dans ses choix4 ».

La petite sœur de la Reine des Neiges, officiellement dénommée Anna, « intelligente » et avec « horreur du désordre » ?
Ceci pourrait faire rire si ce n’était consternant.

Je vous passe le « se trompe rarement » quand on sait qu’elle tombe immédiatement amoureuse de la première raclure qu’elle croise.

Bref il suffit d’avoir un peu de jugeote et de bon sens pour s’apercevoir immédiatement de la supercherie qui va bien au-delà de l’homme sur la lune.

Tout homme, femme, iel ou amphibien de bonne foi ne peut que se rallier à l’évidence.

« Elsa a pour vrai prénom Anna et inversement ! »

À la lumière de ces faits, nul doute que vous êtes désormais acquis à ma théorie à moins d’être adhérent de « Renaissance5 ».

La question que l’on pourrait se poser est :

« Comment Disney, avec la complicité des maîtres du monde,
a pu nous (vous) endormir au point que le complot ne nous saute pas à la gueule ? »

La raison en est simple, nous sommes manipulés depuis des dizaines d’années, voire des siècles.

La Première Guerre mondiale dans le but de se faire un maximum d’argent et étouffer les velléités des travailleurs, des esclaves à réclamer des droits ?
Ridicule ! Nous savons tous que l’assassinat de machin en est la cause.

La Deuxième Guerre mondiale pour… (pardon je ne peux pas l’écrire là, c’est du « délire » hors catégorie).

L’homme sur la Lune ?

Je vous le dis, plus c’est gros et plus ça passe !
Imaginez que pour la lune, les gars sans ordinateur et avec un module recouvert de papier aluminium tenant avec du scotch ont réussi à passer la ceinture mortelle de radiation de Van Allen sans dommages.
Alors que la station spatiale (certains pensent que c’est aussi un fake) actuelle est en orbite basse pour s’en protéger.
Le plus drôle est sans doute lors de conversations en direct depuis la lune et sans délai de transmission.
La situation est d’autant plus risible quand on voit que 60 ans après la prétendue marche, des scientifiques essayent désespérément de résoudre les innombrables problèmes pour y « retourner ».
Bon je critique, mais ce complot-là est quand même un des plus drôles.

Je plaisante, vous vous en doutez, décidément vous n’avez aucun humour.
Nous sommes allés sur la Lune, il y a des images et des vidéos qui le prouvent !

Le monde reste bien étrange et mystérieux au demeurant.
Vous vous rappelez de ce grand singe énervé au sommet de l’Empire State Building qui donnait des baffes à des avions ? Sale affaire…

L’assassinat de JFK par un gars qui passait par là et qui a inventé la balle qui change de direction ?
Je vous rassure, il n’avait pas de complices, aucun lien avec la CIA, aucun lien avec la volonté de Kennedy de tuer l’État profond, aucun lien avec son opposition à la guerre du Vietnam, etc.
C’est une non-affaire, un non-événement.

Notons que la CIA a inventé le terme de « complotiste » à ce moment-là, non pas pour dénigrer celles et ceux qui se posaient des questions, mais faire gagner du temps aux imbéciles !
Je ne vois pas pourquoi il faudrait dépenser son énergie à convaincre des débiles que la terre n’est pas plate.
La meilleure chose à faire est de ne pas les écouter et les discréditer pour le bien de tous et sauver la démocratie.

En fait ces complotistes sont comme les virus (qui n’existent pas ?) ils sont contagieux et s’attaquent aux plus faibles.
Personnellement je ne m’en plains pas, ils sont mes seuls lecteurs assidus.

Le Vietnam, ben oui, si les méchants niakoués n’avaient pas attaqué un bateau fantôme on n’en serait jamais arrivé là…
Et puis c’était une guerre juste.

Le 11 septembre ?
Attention chasse gardée, en parler risquerait de vous brûler les ailes.
(Admirez au passage le calembour avec les ailes, ailes, avions, 11 septembre, boum, brûler les ailes).

Franchement qui pourrait douter ?
Nous savons tous que des tours qui n’ont même pas été touchées peuvent s’effondrer à la vitesse de la chute libre !
Arrêtons de rigoler et redevenons sérieux un instant.
Il faudrait vraiment que les organisateurs soient des pourritures pour tuer sciemment des innocents et provoquer une guerre en Irak ou en Afghanistan.

Hormis la Reine des Neiges, il n’existe donc aucun complot mis en œuvre par les enculés de l’ombre qui nous dirigent.

Sérieusement, tous ces prétendus événements n’avaient qu’un but (et la liste est bien plus longue que mes quelques exemples) :

« Détourner notre attention du grand projet et troubler nos esprits pour Elsa et Anna ! »

J’invite celles et ceux qui désirent occuper leurs longues soirées d’hiver pour s’informer sur des complots à consulter le fil Telegram « docus qui dérangent6 » sur lequel je cherche à faire une liste la plus exhaustive possible de documentaires interdits de mainstream.

Dénigrer la parole critique, la faire passer pour folie, irresponsabilité, d’extrême droite et, cerise sur le gâteau, antisémite, ceci afin que tout questionnement relève de la psychiatrie !

Réfléchissons un peu !

Il est évident que cette demande de réflexion ne s’adresse pas aux complotistes, chacun ses limites.

Le grand philosophe humaniste Rudy Reichstad disait si justement :

« Le complotisme est l’opium des imbéciles »

Sommes-nous en dictature et qu’avons-nous à envier à l’ex-URSS ?

Nous avons :

  • Les campagnes de dénigrement.
  • La Pravda comme média.
  • Le Ministère de la Vérité.
  • La censure.
  • L’interdiction de médias comme RT ou Rumble.
  • L’interdiction d’exercer son métier pour certains résistants.
  • Une interdiction de vous présenter aux élections si vous avez un discours d’opposant, cf. Asselineau.
  • Des élections truquées.
  • Des œuvres interdites.
  • Une réécriture constante de l’histoire.
  • Une inversion de l’accusation.
  • Des prisonniers politiques.
  • Etc.

Pour que cela colle mieux avec le cadre de l’ex-URSS, nous sommes en train de transformer la France et l’Europe en zone du tiers-monde.

Nos gentils gouvernants ont introduit le chèque énergie, le chèque carburant.
À quand les tickets de rationnement ?

Il ne manque que le Goulag que certains grands pays visionnaires et nostalgiques comme l’Australie ou la Nouvelle-Zélande avaient initié pour le Covid.

Mais à quoi bon faire des camps lorsque l’on peut transformer un grand scientifique en paria de la société au point que l’évocation de son nom provoque l’hilarité générale chez « les gens bien » ?

Le plus important pour les complots, c’est de bien préparer la population.
Plus c’est énorme, plus ça passe !

Je vous ai apporté une démonstration magistrale.
Qui, hormis vous, se doute désormais de l’existence du complot « opération Reine des Neiges » ?

Tous les (prétendus) complots qui ont suivi n’avaient qu’un objet : détourner l’attention pour camoufler l’indicible !

Vous savez c’est comme faire croire qu’il existe des laboratoires qui manipulent des virus, font du gain de fonction afin de focaliser les complotistes et éviter qu’ils ne découvrent le pot aux roses, « les virus n’existent pas ! ».

Ne lisez surtout pas mon dernier texte sur le sujet, vous risqueriez le fou rire ou la contamination.

« Virus », des décennies d’escroqueries7 ?
Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Je plaisante encore une fois.

« Vous et moi savons sans le moindre doute que les virus existent,
qu’ils sont méchants, et que les vaccins aussi ils existent et qu’ils sont efficaces. »

L’objet étant encore de nous détourner du complot Elsa et Anna !

Covid, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, ne sont QUE le nouvel arbre pour masquer la forêt.

Il était indispensable de poursuivre les (prétendus) complots après la Reine des Neiges afin d’éviter que quiconque ne se penche sur le sujet.

Toutes les précautions doivent être prises lorsqu’il s’agit de complotistes.

Rappelez-vous du petit Rudy « les complotistes sont complètement débiles »

Quoi de mieux qu’une prétendue fausse pandémie au virus dont la réalité reposait sur des masques dans la rue et des tests permettant de faire croire à des personnes en bonne santé qu’elles étaient malades ?

Notons que ce petit exercice fort ludique au demeurant, a permis aux milliardaires d’être plus riches, aux pauvres d’être plus pauvres et aux psychopathes d’introduire une dictature sanitaire « pour notre bien ».
Avec comme cerise sur la gâteau un espoir de meurtre de masse et un effondrement de la natalité.
Ce que certains nomment avec justesse et honnêteté une « épidémie de coïncidences8 ».

Mais au cas où des illuminés se pencheraient sur le complot de la Reine des Neiges et afin de ne pas permettre aux gueux de souffler…
Vous enchaînez alors avec une guerre des USA contre la Russie (débutée en 2014) dans une partie du monde dont strictement personne de normalement constitué n’a à foutre.
Franchement qui savait précisément où se trouvait l’Ukraine avant la guerre et capable de citer les pays limitrophes.
Quant au Donbass, rigolons… en plus ils parlent russe, bien fait pour leur gueule !

Non, il n’y a que les gens « bien », ceux qui s’achetaient des bébés volés ou par GPA de force qui savaient où se trouvait ce merveilleux pays que nous devons défendre jusqu’à la mort afin de commémorer le grand Stepan Bandera9 !

Précisons que 74 % des Ukrainiens auraient une opinion positive de leur « héros » appelé « M. Propre » du fait de ses talents dans le nettoyage ethnique.
Il faut dire que liquider 100 000 Polonais durant la 2e guerre mondiale était un bon score.

Si avec ce texte j’échappe à l’internement psychiatrique, c’est à désespérer de l’institution (qui a tant fait pour nous ces derniers mois).

Les avantages de la guerre en Ukraine sont multiples comme :

  • Faire main basse par les USA sur les richesses minières de l’Ukraine.
  • Rendre l’Europe encore plus dépendante des USA.
  • Faire tourner l’industrie de l’armement qui souffrait un peu.
  • Transformer l’Europe en pays sous-développé pour asseoir l’hégémonie des USA.
  • Détourner l’attention des gueux.
  • Et surtout maintenir le bon peuple dans la peur.
  • Etc.

Force est de constater qu’il y a quelques lézardes dans le mur.
Le plan de la CIA ne se déroule pas totalement sans accroc.

Heureusement, je ne lis pas tous les délires sur les réseaux sociaux.
Je rappelle à celles et ceux qui veulent bouffer du Poutine 24 h/24 de regarder LCI.
Depuis le mois de février, l’armée russe est aux abois, depuis février elle n’a pas de missiles, depuis février elle ne fait que perdre du terrain.
À se demander si les Ukrainiens ne seraient pas arrivés à Vladivostok.
Et ne parlons pas de leur économie, elle aussi aux abois grâce à nos sanctions !

Je dis ça, mais je suis un peu taquin quand même.
Reconnaissons la présence de francs succès médiatiques.

Rendez-vous compte :

  • Poutine a saboté ses propres gazoducs pour priver les Européens de gaz oubliant qu’il pouvait fermer le robinet.
  • Il a même bombardé la centrale nucléaire qu’il contrôlait pour faire accuser les gentils Ukrainiens.
  • Il a fait sauter le seul pont qui reliait la Crimée à la Fédération de Russie pour empêcher son invasion par des Ukrainiens qui passeraient par la Russie.

Et les médias osent nous dire qu’il faudrait avoir peur du personnage ?
Non, ne vous étonnez pas si on le retrouve écrasé par un camion télécommandé par lui-même.

Le plus merveilleux, au sens mystique du terme, est que tout ceci passe comme une lettre à la poste !

Écoutez le gouvernement et vous saurez que les sanctions contre la Russie fonctionnent parfaitement et que la victoire de Zelenski n’est qu’une question de minutes.
Le fait que les prévisions de croissance du FMI soient deux fois plus importantes en Russie qu’en zone euro est une preuve indéniable du succès de l’opération !

Ce n’est que moral et ce n’est pas des putains de petits cons de français qui vont nous faire chier parce que leur essence est à 2 euros et que tous les prix s’envolent !

Je vous rappelle que tout ceci est pour soutenir l’Ukraine quand bien même la Russie est à 90 % autosuffisante pour nourrir sa population et qu’elle vend son pétrole et son gaz à d’autres pays !

Il en va de la dignité des Européens et du monde libre !

Chaque sanction qui fragilise les Européens et enrichit Poutine est un pas vers sa chute !

Nous devons tenir coûte que coûte, il ne pourra en sortir gagnant !

J’espère que vous réalisez à quel point le complot Reine des Neiges est une affaire d’État.
Risquer l’avenir de l’Europe et peut-être même une Troisième Guerre mondiale dans l’unique but de nous le cacher !

Si ce n’est pas une preuve, il vous faut quoi ?

Vous savez, ce qu’il y a de bien avec les grands enculés du monde et autres Soros, c’est qu’ils n’hésiteraient pas à rayer un pays pour éviter des embouteillages à l’aéroport !

Attendez, j’ai oublié de vous parler du coup de maître du réchauffement climatique…

Chapeau bas, les pourritures, je dois vous dire « bravo » !

Arriver à faire croire à la population mondiale et même à des scientifiques que le CO2 serait la cause de tous les maux relève du génie absolu !
N’oublions pas que le CO2 est source de vie sur terre s’il en est.

La contagion est partout, même si nos bons médias font tout pour discréditer les « climato-sceptiques ».

Il n’y a pas que le bobo parisien qui utilise son vélo le dimanche matin pour aller acheter sa baguette, qui croit que les panneaux Métro en ville sont des succursales souterraines de Rungis, prend uniquement des taxis électriques puis est catastrophé par la fin du monde lors de dîners végans, et passe ses vacances en Floride, qui soit le seul préoccupé par le sujet !
Non, des Français presque « normaux » renoncent à emménager dans le sud de la France, certains vont même jusqu’à vendre leur bien méridional pour aller dans des terres moins hostiles comme le nord de la France, future Riviera française s’il en est.

Aller jusqu’à modifier le climat pour camoufler le complot Reine des Neiges, il fallait oser !

À ce propos.
Au regard des records de températures hivernales.
De -50 °C en Chine.
De -43 °C au Mont Washington10, dans l’État du New Hampshire aux USA.
Ou de la calotte polaire qui se reformerait à un rythme inédit.

Il me fallait réagir énergiquement !

« Nous nous excusons pour l’interruption momentanée du réchauffement climatique,
nous ne manquerons pas de vous informer dès son rétablissement ! »

Toute personne un tant soit peu cultivée et suffisamment cortiquée, donc non complotiste, sait parfaitement que des températures exceptionnellement basses constituent la preuve absolue d’un réchauffement climatique !

Le réchauffement est d’autant plus dramatique que les températures sont basses !

Nous l’avons lu dans le journal scientifique dit « journal de Mickey ».
L’association des climato-réalistes11 devrait le lire plus souvent et arrêter de raconter n’importe quoi.

« La vérité est dans le Giec, mes frères, nous allons tous mourir. »

Le coupable est connu, le Mal c’est l’homme, il y a consensus sans faille parmi les scientifiques qui ont droit à la parole.

Le WEF a pu le confirmer lors du forum de Davos.
Vous savez les gentils petits gars qui ne pensent qu’aux autres.
Ils donnent même du travail au personnel navigant des compagnies aériennes privées en choisissant les pilotes exclus non vaccinés.
Ils sont gentils de faire bosser ces pourritures de non-vax quand même.
Rassurez-vous, les 2000 vols depuis et vers Davos ont été intégralement compensés carbone12 !

Je vous rappelle qu’il n’y a que les idiots de complotistes pour imaginer qu’il n’y aurait pas de réchauffement global à l’échelle de la planète ou que celui-ci serait naturel, notamment du fait de variations de l’orbite terrestre autour du soleil ou de son inclinaison.

À ce titre j’informe les enseignants qu’ils devront patienter un petit peu avant d’aborder le moyen-âge avec leurs élèves.
Les livres d’histoire sont actuellement à la réimpression (ainsi que ceux qui affirment qu’il y a des hommes et des femmes) pour effacer le réchauffement climatique, appelé optimum climatique, au début du moyen-âge vers l’an 1000.
Période qui a été propice à l’agriculture, à l’économie et aux habitants…
Et ce à la différence du petit âge glaciaire qui a suivi provoquant malheur, maladies et famines.
Ce « petit incident » n’étant pas vraiment compatible avec le narratif actuel, la « science » se devait de l’effacer.

Les maîtres du monde ne sont pas si nuls côté promotion de la fin du monde.

Il faut dire « qu’ils ont quand même la petite conne handicapée pour hurler à l’ONU. »
« Actrice écervelée totalement débile qui bénéficie d’une mise en scène de fausses arrestations en Allemagne pour “activisme écologique13” ».

Pardon, pardon, je me suis emballé, sans doute un retard sur ma dose de rappel qui provoque en moi un effet de manque.
Je voulais parler de « la gentille Greta scientifique de haut rang, amoureuse de son prochain, préoccupée uniquement par la souffrance humaine dont l’objectif est de faire de la Terre un paradis glacé ».

Comme vous le voyez, je ne me suis pas éloigné du sujet Elsa et Anna !
Qui, après tout ce cirque, pourrait encore se focaliser sur le complot de la Reine des Neiges ?

Mais attention, ces psychopathes sont prêts à tout pour l’enterrer au plus profond des abysses, jamais la moindre pause !

Voici que l’Institut Pasteur, au-delà de tout soupçon s’il en est14, vient de découvrir un nouveau virus perfide qui s’attaque à notre foie, ou notre foi, je ne sais pas encore.

Je me dois de reprendre les termes utilisés par le président du Conseil Scientifique en son temps, Jean-François Delfraissy :

« On a affaire à un virus diabolique et beaucoup plus intelligent qu’on le pense15 »

J’imagine qu’il n’était pas l’auteur de cette phrase savante inspirée de l’inquisition.
Mais l’esprit est là :

« Protégeons-nous du Malin mes frères »

Cocasse quand on pense que les maîtres du monde vénèrent plus Satan que le Christ, mais passons.

J’en reviens donc à ce nouveau virus dont le nom suffit à faire trembler les vieilles filles encore pucelles, j’ai nommé le « circovirus16 »

Sa simple évocation me glace d’effroi et me fait songer à ce chef-d’œuvre du cinéma que vous connaissez tous :

« Les clowns tueurs venus de l’espace17 »

Que je recommande vivement à mes amis érudits.

J’ai pu me procurer en exclusivité une photo du nouveau virus tueur d’enfants innocents et de vieux obèses, que voici :

Mais ne croyez pas que la terreur légitimement inspirée par ce nouveau coronavirus satanique soit de nature à me faire oublier l’ignominie du complot de la Reine des Neiges !

Vous me prenez pour qui, vous pensiez que lassé, j’allais lâcher l’affaire ?

Quelques lecteurs à l’esprit aiguisé par le grand Julien Pain pourraient me rétorquer la fameuse question coup de poing utilisée par les plus grands limiers qui nous éclairent jour après jour.

J’invite celles et ceux qui veulent se pencher sur le travail pointu de Julien, mais aussi être lynchés lors d’un dîner végan organisé par des bobos parisiens en mal de spiritualité, à lire la publication indiquée en note de bas de page18.

Nous en arrivons tout naturellement à la fameuse question du « pourquoi, pourquoi ce complot disnèque ? »

Je vais immanquablement me prendre la même question posée pour le Covid !

« D’accord ton virus il est peut-être gentil, mais alors pourquoi tout le monde ment ? »

Dans Gotlib, « Rubrique à brac » le « scientifique » de la doxa dit à celui qui réfléchit ou qui émet l’hypothèse que la Terre tourne sur elle-même :

« Alors là mon cher vous êtes en pleine science-fiction19 »

Lorsque je prouvais à mes interlocuteurs incrédules que cette « maladie » n’avait rien d’exceptionnel, données officielles à l’appui, qu’elle se traitait, que le masque était inutile et dangereux et j’en passe.

La question suivante était de mise :

« Mais qui, pourquoi et dans quel but ? »

Je prends un risque inconsidéré en écrivant le mot « qui » dans la phrase précédente.

Je vous rappelle qu’une manifestante contre la dictature arborant une pancarte « mais qui ? » avait été condamnée à 6 mois de prison avec sursis20.

Ça en dit long sur l’état de notre « démocratie » et une l’élite dirigeante…
Le complot est trop énorme pour des honnêtes gens qui croient encore que ni les monstres ni les réseaux pédophiles n’existent !

« Comment les politiques, les journalistes, les médecins de plateaux,
l’OMS, Bill le généreux et j’en passe, pourraient être tous de connivence et pour quel dessein ? »

Précisons qu’il y a à la fois « connivence », mais aussi « profonde débilité ovine » de la part des exécutants.

Il est ainsi logique de se poser la même question pour ce terrible complot de Disney :

« Pourquoi inverser les prénoms ? »

Je ne dispose pas de la réponse, n’étant pas dans le secret des monstres.

Imaginez les pauvres enfants déboussolés pour qui le monde perd toute logique ?

Ici encore, afin de brouiller les pistes, une stratégie identique a été mise en œuvre avec le Covid.

Le lundi le masque était inutile et dangereux et le mardi il devenait vital même dans la rue !
Le plus merveilleux est qu’une vérité devenait un mensonge au gré de la météo !

Je ne vais pas revenir sur tous les exemples pittoresques tant il y en a :

  • Un virus qui tantôt s’attaque aux personnes assises sur la plage et tantôt à celles qui bougent.
  • Un virus qui saute sur les piétons, mais épargne les personnes en vélo.
  • Un virus qui vous choppe debout, mais pas assis.
  • Un virus qui adore les petits commerces, mais déteste les grands magasins.
  • Un virus qui n’est dangereux qu’à certaines heures.
  • Un virus qui fuit les métros bondés, mais n’épargne pas le randonneur en montagne qu’il faut appréhender avec un hélicoptère.

De quoi passer d’excellentes soirées en famille.
Je devrais inventer un jeu de société, je n’ai pas encore le nom, mais « Le Convid » serait peut-être pas mal.

Moins drôle nous avons eu les enfants en bonne santé, sans le moindre symptôme, psychopathes de l’ombre, cherchant à tuer papi et mamie alors qu’ils étaient « activement » protégés par un masque « efficace » et un vaccin encore plus « efficace » qui ne nécessite qu’un rappel tous les 6 mois !

Dans ce monde délirant le vrai devient faux et inversement.
L’inversion accusatoire est perpétuellement utilisée.

Un cauchemar dans lequel on impose aux enfants de se sacrifier pour leurs grands-parents.
Version officielle si l’en est, car la réalité était toute autre.

Ces mêmes grands-parents ont été :

  • Parqués « pour leur bien ».
  • Interdits de visites « pour leur bien ».
  • Interdits de repas en famille « pour leur bien ».
  • Interdits de sorties « pour leur bien ».
  • Interdits de câlins « pour leur bien ».
  • Interdits de soins « pour leur bien ».
  • Interdits d’aller à leurs obsèques ou aux obsèques d’un conjoint « pour leur bien ».
  • Masqués « pour leur bien ».
  • Injectés de force « pour leur bien ».
  • Et certains terminés au Rivotril « pour leur bien » !

Mais pas uniquement un monde de sécurité sanitaire.

Non, un monde aux possibilités infinies dans lequel la biologie n’existe plus.
Les garçons ne sont plus des garçons, les filles ne sont plus des filles.
Les noirs ne sont plus des noirs, les blancs ne sont plus des blancs.

Sans compter le culte d’Orwell avec « la liberté c’est l’interdit » cf. le Covid ou « la guerre c’est la paix », cf. l’Ukraine.

Nous vivons dans ce monde d’espoir et de paix mes bien chers frères…

Rouler en véhicule thermique ou manger de la viande devient criminel, tandis que manger des insectes, injecter des femmes enceintes, des enfants et même des bébés avec une substance expérimentale tout aussi inefficace que toxique, relève du bien.
Bien aussi d’interdire à un enfant de faire du sport s’il n’a pas le poison dans son corps.

Mais aussi un monde aux dangers inédits !

  • Faire du sport.
  • Faire ses lacets.
  • Prendre une douche chaude ou froide.
  • Regarder trop la télé.
  • Manger des céréales.
  • Jardiner.
  • Dormir trop ou pas assez.
  • Les freinages brusques en voiture.
  • Être anxieux à l’adolescence.
  • Manger 2 saucisses par semaine.
  • Le changement climatique.
  • Boire de l’eau debout.
  • Etc.

Toutes ces actions peuvent provoquer une mort soudaine21, « naturelle ».

J’ai même lu dans Magicmaman qu’un enfant de 12 ans était décédé d’un arrêt cardiaque à cause de poux !

Vive Satan, gloire à lui, mes frères !

Une inversion totale des valeurs à mettre en parallèle avec l’inversion des prénoms d’Elsa et Anna !

Un monde dans lequel celui qui défend des libertés, rappelle l’inviolabilité du corps, du libre arbitre, du consentement éclairé, de la différence homme, femme, du droit à la vie, du droit à l’innocence pour les enfants, du droit à la dignité, est comparé à un violeur, un tuer ou un antisémite tandis que celui qui censure, dénigre, interdit de vivre, interdit de travailler, devient le défenseur des droits et de la démocratie.

L’objectif est toujours le même, troubler les esprits afin que l’on ne réalise pas que cette inversion de prénoms, cette inversion des valeurs est totalement délirante, échappant à toute logique « logique » !

J’en reviens ainsi au fameux « pourquoi ? » qui m’est si souvent rapporté pour tous les complots précédents et futurs y compris pour celui de la Reine des Neiges.

Le « pourquoi », ou plutôt l’absence de réponses étant l’argument permettant de balayer la réalité du « complot ».

Sous-entendu que n’ayant ni sens ni connaissance de leurs auteurs, il ne saurait exister.

Ma réponse est alors toujours la même :

Si vous vous rendez sur une scène de crime avec du ketchup du sol au plafond, une tronçonneuse dans la tête de la victime et que vous dites alors :

« Qui est le meurtrier ? »

Puis

« Quel est le mobile du meurtre ? »

Si d’aventure le policier présent vous répond :

« Je ne connais ni l’auteur ni le mobile. »
« je ne connais ni ceux qui tirent les ficelles ni leurs objectifs. »

Allez-vous déduire que le meurtre n’a pas eu lieu ?

L’absence de coupable n’est pas de nature à remettre en question le meurtre sur une scène de crime.

Il en est de même pour la Reine des Neiges ou le Covid.

Le fait que nous disposions uniquement de preuves de manipulation ou de mensonges est de nature suffisante pour prouver que « complot il y a » quand bien même nous n’aurions pas toutes les réponses.

Détourner l’attention est de ce fait indispensable.

C’est ainsi que les Français sont dans la rue pour défendre les retraites.
Alors que concomitamment nous perdons chaque jour un peu plus nos libertés, l’économie est aux abois, les inégalités n’ont jamais été aussi importantes et des psychopathes cherchent à provoquer une 3e guerre mondiale pour leur bénéfice personnel.

Rendez-vous compte que des lycéens et étudiants luttent pour leur retraite tout en portant un masque !
Des enfants contaminés par la plandémie Covid et la plandémie climatique s’inquiètent du nombre de trimestres acquis pour prétendre à une retraite à taux plein !

Le gouvernement ne peut que se réjouir de l’efficacité de sa diversion et de l’immobilisme des moutons sur les points essentiels.

Ces stratégies ultra efficaces ont permis à Disney de camoufler LE complot.
Et afin que la vérité ne sorte pas, il est possible que l’héroïne de la Reine des Neiges III soit transexusuel-le-s-x-z-w.

Sachez que je risque ma vie en vous dévoilant de tels secrets.

Si d’aventure mon corps devait être retrouvé inanimé dans une baignoire, sachez que je ne me lave strictement jamais et que ce sera un meurtre !

Merci pour votre attention.

Alain Tortosa22
6 février 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230206-complot-disney-reine-neiges.pdf





Démembrement sectaire de l’humain citoyen (sexe, famille, culture, sciences…)

Par Lucien SA Oulahbib

Que dire de plus qu’Alain Falento sur, par exemple, l’assassinat de la France ou encore que Béatrice Bourges sur le « nouvel ordre mondial » (terme « complotiste » pour les petits sbires de la Secte SHAA) ?…

Rien d’autre que quelques arguments concrets en plus, et, peut-être, ici ceci, mais juste en passant, en vue d’informer ceux qui pensent pouvoir (ne pas) œuvrer dans le transhumanisme chic :

« (…) La phalloplastie, c’est-à-dire la procédure permettant la construction d’un pénis, est en fait composée d’une série d’interventions chirurgicales espacées sur une durée pouvant aller sur quelques années. La première étape sera la création du phallus à l’aide d’un greffon de peau pris sur l’avant-bras ou le flanc du patient (ce qui laisse des cicatrices très visibles). Ce phallus, bien qu’ayant une longueur généralement satisfaisante, ne possède pas un gland qui procure une sensation semblable à celle du clitoris, car celui-ci ne peut être greffé. Ceci veut dire que le risque de diminution du plaisir sexuel est bien réel. Attention, ceci ne veut pas dire que le néo-pénis ne permettra d’avoir de jouissance. Cela veut tout simplement dire que la personne devra réapprendre à vivre sa sexualité et à tirer son plaisir ailleurs que dans des terminaisons nerveuses. Pour certains hommes trans ou personnes trans-masculines, le sacrifice en vaut le coup ; pour d’autres, la décision est beaucoup moins évidente. (…)»

Ainsi, même pour les adeptes transis, mais encore naïfs de la trans/formation queer (naïfs, car il ne faut pas le dire, à l’école par exemple) l’adieu au « plaisir sexuel » est une donnée de fait lorsque l’on prétend faire fi du sexe « biologique ». On pourra certes rétorquer que cela reste « subjectif » et qu’au même titre que ces arguments justifiant les « familles » monosexuées, le plaisir peut aussi s’être fané dans les couples « normaux », tout comme ces enfants battus et/ou violés dans les familles dites « traditionnelles » qui auraient pu être plus « heureux » chez un couple monosexué, etc., etc..

Sauf que la question première ne consiste pas, d’abord, à mesurer telle satisfaction, toujours relative en effet, mais à se demander, avant tout, comment un psychisme humain peut se constituer (et en jouir) sans altérité masculin/féminin. C’est-à-dire sans cette reconnaissance par le sexe opposé en particulier parental indiquant déjà que l’on est bien perçu mâle ou femelle dans son comportement, sa joie, son jouir, car le sexe ce n’est pas seulement de l’anatomie une excroissance comme des cheveux, la « biologie » étant bien plus que son substrat physico-chimique (ce qui ne veut pas dire qu’il suffirait de le déployer pour être comme le croit l’eugénisme en particulier racialiste.

En ce sens, l’attraction progressivement plus complexe de l’enfant envers son père ou sa mère ne relève pas mécaniquement/automatiquement d’un besoin énergétique comme s’ils étaient uniquement des sources de chaleur ou de protection lorsqu’il était bébé, mais, surtout, mais, d’abord, et au fur et à mesure comme ce besoin bio-psychique d’être de plus en plus reconnu comme étant capable de séduire lui-même aussi, et ce à tout point de vue, telle cette nouvelle symbiose bio-culturelle, en l’occurrence l’enfant en devenir, susceptible d’être, lui aussi, admiré, aimé, une personne comme son père ou sa mère qui sont ses canevas, d’où l’importance de leur double présence…

C’est en effet ce qui permet à l’enfant de développer sa spécificité d’être un animal humain et non pas seulement un animal tout court ; cette « humanité » n’est donc pas « seulement » anatomique, mais psychique. Joseph Nuttin, (1980, p.166) explique bien que le mâle humain est enclin à non seulement tester plutôt quantitativement l’étendue de son agressivité, de sa violence, d’être (au sens éthologique, voir aussi infra) comme ses performances topiques cherchant à marquer ses territoires, tel un félin, à se percevoir dans les territoires symboliques par la fierté, la vanité, le prestige, y compris, ou sa dextérité à non seulement se déployer, mais à se développer à court moyen et long terme. La femelle, elle, est encore plus à même d’œuvrer aussi ainsi dans l’étendue, mais aussi dans la qualité du relationnel : c’est ce que par exemple soulignent non seulement Joseph Nuttin (supra), mais également Peggy Sastre dans La domination masculine n’existe pas, surtout lorsqu’elle indique comment le mâle peut se méprendre sur les signes uniquement amicaux émis par la femelle (2015, p. 61).

Ce qui implique de ne pas réduire la femelle à la seule maternité, puisque le relationnel s’étend certes à l’ensemble des territoires topiques, mais aussi symboliques, esthétiques (qui n’est pas seulement la brillance plastique de couleurs et de formes, mais la manière d’être du monde ou la séduction même, bien analysée par Jean Baudrillard). D’où aussi le fait par exemple que la Nation française est symbolisée par une femme, Marianne, et non par un homme, la Marianne de Delacroix n’exprimant pas spécialement la seule réplique de la Vierge : elle appelle au courage, à l’abnégation à l’émergence d’un nouveau Créé ; c’est aussi le Geste d’Ève défiant Dieu en prenant, elle, et la première, le Fruit de la Connaissance du Bien et du Mal (et Adam l’accompagne…) ce qui va bien plus loin que sa « soumission » au Diable, car elle aurait pu, tel le Christ, ne pas le suivre…

Ainsi, les deux sexes, en cette altérité opposant, dialectiquement, quantitatif topique et qualitatif relationnel, cherchent alors par et dans la présence de » l’autre » ce désir insatiable de se chercher soi-même jusqu’au bout des possibles ; ou comment atteindre la pleine présence harmonieuse et jouissive de se sentir vivant, c’est-à-dire ce qui (se) révèle ; par exemple comment son soi intime s’enrichit aussi par ce l’on procure à autrui comme joies et jouissances ; ou le fait de sentir que l’autre est rendu lui aussi heureux ; ce qui mesure bien ce que l’on est devenu soi-même : sommes-nous capables (ou pas) de (se) comprendre (dans) l’autre en particulier la femelle d’une part, le mâle d’autre part ? ; soit d’ailleurs le principe même de l’orgasme à deux, mâle et femelle, une mise en phase bien plus singulière grâce à cette altérité, là, celle précisément du semblable, à la fois même et autre, que dans le seul identique du pareil (ou l’homosexualité, voir ici Jacques Balthazart) ou encore celle du seul narcissisme solitaire aujourd’hui de plus en plus robotisé avec apparence humaineUn narcissisme numérisé se vivant également à plusieurs

Aussi cette singularité, humaine, c’est-à-dire nécessitant une telle altérité non simulée, ne peut pas être perçue par l’analyse en « cisgenre » : celle-ci ne peut l’atteindre en effet tant son scientisme l’en empêche puisque réduisant la matière vivante humaine soit à son complexe physico-chimique soit à son environnement normatif, évacuant alors la singularité du psychisme a fortiori humain dans la seule technologie d’avoir ou non un « désir » de pénis ou une vulve puisqu’elle en fait même une nécessité ultime (du moins pour certains) ce qui s’avère être la porte ouverte au fond à la technologie des prothèses, dont ces poupées gonflables comme vu ci-dessus…

On voit bien d’ailleurs cette poussée scientiste (et affairiste) chez sa future grande » sœur » accompagnant toute cette transformation génitale qu’est Big Pharma réduisant déjà l’immunité à une « réaction » passive qu’il faut sans cesse exciter ou bloquer alors que sa constitution s’avère bien plus complexe aux dires des spécialistes…

Ce qui fait que ce scientisme rate également le fait que même le futur cyborg le plus accompli n’échappera pas à l’agressivité d’être (ce droit de nature des Anciens, dont Hobbes, Locke, repéré également par Darwin, Nietzsche, Lorenz, Laborit…) ou le fait de vouloir acquérir du pouvoir dans ses trois composantes (puissance à attirer, autorité dans la prestance, capacité à diriger selon sa compétence) afin de peser au sein des trois buts fondamentaux de l’aventure humaine comme le disaient également les Anciens : acquérir du pouvoir (dans ses trois composantes) posséder des richesses (symboliques également) chercher à être reconnu ou le prestige (tel le « respect », y compris déjà à ses « propres » yeux)…

Mais quel rapport à ce stade avec le « démembrement » non plus seulement de l’humain, mais de la Nation Citoyenne France incarnée aujourd’hui par Marianne ? Et quid du « nouvel ordre mondial » ? Davos, la Secte SHAA ? Etc..

Eh bien ce qui peut apparaître microscopique, local, lilliputien, lié au « hasard » des mutations de mœurs et des nouvelles modes du quotidien, etc., s’agrège aussi en tendances longues : éparses au départ, mais qui, récupérées, embrigadées, peuvent servir de relais, de tremplins, pour réaliser, mailler, un programme d’action par certaines forces politico-économiques organisées (globalisées en FTN, en technostructures interétatiques) comme profiter dans les programmes scolaires et les recommandations « sociétales » de tous ces questionnements plus du tout juvéniles face aux sollicitations esthétiques et comportementales d’adultes (comment parler de sexualité à… trois, six, même dix ans) solidifiées en ces produits symboliques bien trop crus pour leur « âge » comme si l’on voulait supprimer l’enfance cette perte de temps (et d’argent)

Idem pour ces publicités institutionnelles prônant le « multiculturalisme » afin de parachever la transformation de l’Europe en zone non seulement commerciale, mais zone à crever à précisément démembrer (ZAD) et non pas à défendre comme le prétendent les orcs de la Secte SHAA ou l’Europe comme terrain vague à l’âme labouré, bombardé déjà symboliquement par toutes ces séries détournant l’imaginaire séculaire contenu dans un conte et une rêverie en le cristallisant en purs objets propagandistes et non plus seulement en fantasmes et fantaisies cerfs volant au vent (sourire amical entre hommes transformés automatiquement en désir sexuel) à l’ombre des falaises rugueuses ou parsemées de « coquelicots jolis » attendant entendant le rire des amants et répercutant « le murmure de la ville » comme l’écrit Proust (À l’ombre des jeunes filles en fleurs, lui qui n’a jamais fait état de son homosexualité pas plus que Gide) tout cet effroi froissant fructueusement les âmes en joute se cherchant, sont alors happées par la nouvelle Toile idéologique et sa matrice Cyber-étatiste dont le moyeu scolaire viendra broyer au nom de « la » science SVT (voir les programmes de seconde) toutes leurs pétales printanières pour en faire ces médicaments mentaux d’adultes vendus pour devenir « ce que l’on veut » ; un vouloir hypothétique puisque voguant au gré des influenceurs du jour, mais servant de sédiment idéologique aux bonimenteurs, même assermentés…

Quant au « reste », à la France par exemple, rappelons seulement la politique familiale instaurée par le social-étatisme d’un François Hollande, loin d’aider à contrecarrer les tendances de plus en plus erratiques de l’agressivité de la violence, d’être (ou ne pas être) depuis la « mort » des « grands récits », loin de se battre pour plus de cette « cohésion sociale » promise, ce social-étatisme n’aura fait qu’affaiblir, fragmenter, selon le mot à la mode, les classes populaires et supérieures ; ne serait-ce qu’en manipulant déjà le quotient familial, car s’il y avait de l’idée à intervenir dès le second voire le premier enfant chez les familles dites modestes ce n’était pas pour réduire la possibilité d’en avoir plus dans les familles plus aisées comme ce fut le cas en rognant sur le quotient ; même les communistes étaient contre, à l’époque, car on ne touche pas à un acquis civilisationnel ; ce qui a eu pour résultat d’affaiblir l’ensemble, surtout articulé au refus de réformer/protéger le congé maternité empêchant par exemple les entreprises (certes étranglées par des coûts sociaux aux antipodes du dumping social propre au globalisme affairiste sous-traitant en Chine et… en Pologne…) de congédier les plus faibles dont les femmes et les plus de cinquante ans (blancs en plus) pour être plus compétitives au sein d’un marché déséquilibré par un libre-échange non régulé du fait de l’obsession anglo-saxonne américaine et allemande à réduire uniquement l’UE à une zone affairiste alors que la France aspirait à ce « plus » d’une Europe des « Patries »…

Celle-ci s’est fracassée peu à peu lorsque la normalisation globaliste (diffractée par zone de démembrement) exigeait de plus en plus d’économie d’échelle et, partant, une sous-traitance exacerbée entraînant les distorsions que l’on subit encore…

Bref, au lieu de redresser le bateau France, la branche française de la Secte SHAA s’empressa de commencer à le couler avec armes et bagages en 1992 malgré le sursaut de 2005 jusqu’à aujourd’hui lorsque l’on voit bien que c’est désormais ladite « Présidente » de la Commission Européenne, élue de nulle part, qui déclare la guerre à la Russie, mais oui, interdit à Frontex d’empêcher le nouveau trafic d’esclaves africains, mais oui encore, interdit aussi Russia Today et Spoutnik, — et pourquoi pas puisque la liberté est devenue chose ancienne, donc « d’extrême droite », tandis que cette Reine (celle de Blanche Neige) fait la leçon, entre deux tweets à Bourla (patron de Pfizer) au nouveau propriétaire de Twitter via l’un de ses Commissaires, français pour lui rappeler à plus de retenue ; tout en lançant sa nouvelle meute peuplée d’incontinents en insultes, tous ces nouveaux bandits de grand chemin que sont devenus les « journalistes » de cour, à l’assaut des « questionnistes », sus ! à Berkoff qui a eu le malheur d’inviter des analystes lucides et non pas stupides….

Pendant ce temps d’autres orcs de la Secte SHAA, drones transhumains spécialisés dans la torture sociale, s’en prennent à un docteur en pharmacie, une psychiatre, un sénateur radiologue, toute une ribambelle de soignants pour avoir eu raison trop tôt ou refuser de salir leur honneur ce mot effacé du dictionnaire d’un Véran par exemple…

Démembrez-vous dis-je ! Démembrez encore et toujours, l’Enfer reconnaîtra les siens…




Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Du confort des croyances au choc de la vérité

Par Jamila BURET, ingénieure, docteure en physique, professeure universitaire

« Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge ».

Edward Snowden

Cet article propose un survol de la « crise Covid », avec trois ans de recul et une masse énorme de données diffusées sur les canaux alternatifs d’information alors que dans les médias mainstream les journalistes-perroquets se contentent de répéter la même antienne.

Avec pour but de trouver un fil conducteur qui apporte une cohérence à une suite d’événements inhabituels, à des mesures liberticides sans fondement et souvent absurdes, au déchaînement d’un matraquage médiatique sans précédent, qui ont débouché sur une situation sanitaire, sociale, économique et psychologique catastrophique.

Et à l’arrière-plan, le désir de contribuer à ouvrir les yeux de ceux qui refusent encore de regarder la réalité en face.

La crise Covid que nous venons de vivre a eu des répercussions tous azimuts.

Mesures liberticides inédites (masques, tests PCR, confinements, couvre-feux, pass vaccinal…), peur diffusée par les médias grand public, choc de la perte de proches emportés par la maladie, souvent par manque de soins puisque, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on a interdit aux médecins de soigner leurs patients, et, pire encore, on a administré aux malades des substances nocives ou mortelles (Rivotril, Remdesivir, paracétamol).

Tout cela a induit un profond bouleversement auquel est venu s’ajouter le forcing de la vaccination et ses conséquences pour les récalcitrants qui ont perdu leur emploi, et pour les vaccinés dont certains en sont morts ou subissent des effets indésirables multiples parfois terriblement handicapants.

Malgré toutes ces vicissitudes, la majeure partie de la population continue à faire confiance aux autorités et aux informations mensongères qu’elles diffusent sur les médias mainstream ; parce qu’elle ne peut pas ou qu’elle ne veut pas voir le tableau d’ensemble : la manipulation et la prise de contrôle de la population.

Ce refus de voir ce qui nous dérange et nous sort de notre confort est inhérent aux humains qui ne veulent surtout pas renoncer à leurs croyances sous peine de crise existentielle trop douloureuse.

Il existe cependant une petite minorité, dotée d’un esprit critique et d’analyse plus développé que la moyenne, qui, au gré des événements, se pose des questions et se met en quête de vérité. Ces chercheurs de vérité (scientifiques, anthropologues, médecins, statisticiens, etc.) ont produit continûment, depuis le début de la « crise sanitaire », une masse impressionnante d’informations alternatives, diffusées et mises à la disposition du public à travers des canaux alternatifs d’information créés par des militants (« gardiens de l’humanité ») pour contourner la censure pratiquée par les réseaux sociaux traditionnels (YouTube, Facebook, Twitter).

Et c’est un aspect positif très important de la crise Covid : le dévoilement progressif des mensonges distillés par les autorités, les institutions et leurs représentants ; mensonges relayés et diffusés par les médias mainstream financés par les États et par quelques milliardaires.

Étapes de la prise de conscience

« Une révolution est toujours l’aboutissement d’une lente évolution ».

Cette parole très juste d’un sage indien s’applique parfaitement au dévoilement des mensonges relatifs à la crise Covid.

C’est la succession d’événements anormaux apparus dès le début de la crise sanitaire qui a semé le doute dans certains esprits :

  • — Virus nouveau, maladie encore inconnue, et d’emblée on l’annonce comme très contagieuse et mortelle.
  • — À peine une quarantaine de cas déclarés et l’OMS annonce officiellement une pandémie de Covid-19.
  • — Matraquage immédiat et inouï des médias : décompte quotidien des décès, des « cas »,
  • — Apparition de nouveaux concepts (cas positif, cas asymptomatique, cas contact, cluster, gestes barrière, distanciation sociale, confinement).
  • — Application des mesures coercitives avec un contrôle policier sans précédent.

La peur se propage et s’amplifie au sein de la population ; mais les chercheurs se mobilisent et débusquent les événements antérieurs destinés à lancer « l’opération Covid » (Agenda 21, Event 201, Jeux militaires de Wuhan, dépôts de brevet bien avant 2019, test raté de la grippe H1N1…).

En quelques mois, grâce au travail bénévole acharné de nombreux médecins, scientifiques, lanceurs d’alerte, les remises en cause se succèdent :

  • de la gravité de la maladie (analogue à une grippe)
  • de la non-existence de traitements efficaces
  • de l’origine du virus
  • de l’efficacité des masques et des confinements
  • de l’utilité des tests PCR
  • des statistiques officielles

Puis la propagande vaccinale se met en branle, orchestrée par les médias : des vaccins nouveaux, produits à la va-vite, jamais expérimentés sur les humains ; mais dont on déclare d’emblée une efficacité supérieure à 90 %. Présentés comme une grande innovation technique, puisque l’antigène destiné à provoquer la production d’anticorps n’est pas injecté directement comme dans les vaccins classiques, mais fabriqué par les cellules du corps des vaccinés.

Ce vaccin « exceptionnel » est annoncé comme l’unique solution pour enrayer la pandémie et retrouver « la vie d’avant ».

D’énormes moyens sont mis en place pour vacciner le plus grand nombre, en un temps record.

Mais, au vu du grand nombre de récalcitrants, on passe au forcing à grand renfort de pass vaccinal : plus d’accès au travail, aux commerces, aux loisirs, si l’on n’est pas vacciné !

Balayé, le consentement libre et éclairé du citoyen avant tout acte médical, pourtant clairement établi par divers traités et conventions (Nuremberg, Helsinki, Oviedo…).

Le plan d’ensemble de « l’opération Covid » devient plus clair : l’interdiction de traitements éprouvés et efficaces n’avait d’autre but que de justifier la vaccination, tout comme le gonflement artificiel des « cas » à grand renfort de tests PCR sans signification.

En effet, un vaccin ne se justifie que dans le cas d’une maladie à forte mortalité, pour laquelle n’existe aucun traitement efficace, et le vaccin doit avoir prouvé son efficacité et son innocuité.

Or, aucune de ces conditions n’est remplie dans le cas du Covid !

Mais alors, pourquoi un tel acharnement à vacciner le plus grand nombre, avec un maximum de doses et de boosters, en un temps record, alors que les vaccins étaient encore en phase 3 d’expérimentation ?

À grand renfort de mensonges et de chantages !

Car on peut désormais faire le bilan de cette opération « vaccination » de masse :

  • Elle n’a pas arrêté la pandémie ni empêché les cas graves et les décès ;
  • Elle n’a pas renforcé l’immunité des vaccinés ;
  • Elle a causé des effets indésirables multiples et souvent très graves dans des proportions jamais atteintes avec les vaccins classiques.

Les populations vaccinées ont servi de cobayes aux fabricants de vaccins pour la phase 3 des essais cliniques ; plus tard, on découvrira que les phases 1 et2 ont été bâclées et leurs résultats falsifiés !

Effets des vaccins

La majorité des médecins ne pense même pas à chercher un lien éventuel entre le tableau clinique des patients et le vaccin anti-Covid ; d’où une très grande sous-estimation des effets indésirables (EI).

Étant donnés le nombre et la diversité actuels des EI, tout médecin sérieux devrait inclure dans le questionnaire préalable du patient, des questions sur la vaccination : nombre et date des doses, marque du vaccin, effets ressentis après les injections, immédiats et différés.

Morts subites d’adultes

Elles sont en général déclarées d’origine inconnue quand elles ne se produisent pas immédiatement après l’injection. Pourtant, de nombreuses études statistiques ont établi une surmortalité évidente en 2021 et 2022 dans les pays à fort taux de vaccination. En Allemagne, on signale dix fois plus de morts subites qu’en 2021 ; aux États-Unis, 40 fois plus de fausses couches et de mort-nés (les fœtus ont des crises cardiaques dans l’utérus) !

https://www.Covidhub.ch/10-fois-plus-de-morts/

https://www.Covidhub.ch/40-fois-plus-de-morts-nes/

Des vidéos montrant l’effondrement subit de personnes en pleine action affluent sur le Net : présentateurs télé, athlètes, mais aussi jeunes lycéens et sportifs. Au point qu’un documentaire « Died suddenly » a été consacré à ce phénomène !



Et il y a aussi toutes les morts différées, survenues quelques semaines ou plus après les injections. Les compagnies d’assurance américaines ont d’ailleurs alerté sur une augmentation du nombre des décès en 2021 et 2022, jamais enregistrée auparavant.

https://www.kairospresse.be/morts-dans-les-ecoles/

https://expose-news.com/2023/02/03/8x-increase-child-excess-deaths-europe-c19-vaccine/

Effets indésirables

Depuis que des médicaments et des vaccins sont utilisés à grande échelle dans le monde, jamais on n’a relevé une telle proportion et une telle variété d’effets indésirables qu’avec les injections anti-Covid. La liste en est très longue : cécité, surdité, éruptions cutanées, paralysies, thromboses, atteintes cardiaques, AVC, cancers, maladies auto-immunes, fausses couches, troubles du cycle menstruel…

Dans des pays à très fort taux de vaccination comme la Finlande, on enregistre des records d’infertilité.

Malgré la sous-estimation des EI, de nouveaux ne cessent d’apparaître : ainsi, des fœtus et des nourrissons, dont les mères enceintes ont été injectées, sont victimes d’AVC hémorragiques !

Découvertes sur les injections antiCovid

Le nombre et la gravité des EI, la diffusion des résultats d’autopsies et le témoignage de thanatopracteurs

effarés par la longueur (plusieurs dizaines de centimètres) et la consistance fibreuse inhabituelles des caillots retirés des artères et des veines des cadavres, tout cela ne pouvait qu’inciter les scientifiques à chercher à comprendre ces effets.

En fait, dès le début de la maladie Covid, les symptômes inhabituels présentés par les malades, totalement différents de ceux des autres maladies à coronavirus et dépassant largement la sphère ORL et les voies respiratoires, ont fortement intrigué les médecins.

Très vite, des chercheurs ont explicité le mécanisme d’action de la protéine spike qui permet au virus de pénétrer la cellule pour l’infecter et qui induit une hyperinflammation pouvant conduire au fameux « orage de cytokines » et au syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

https://www.francesoir.fr/societe-sante-opinions-tribunes/en-faisant-produire-la-proteine-spike-par-les-cellules-vacciner

Ainsi, les effets pathogènes du virus SARS-Cov2 sont dus essentiellement à l’activité de sa protéine spike de surface qui, qu’elle soit associée au virus SARS-Cov2 ou seule, est capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, et ce dans tous les organes et les tissus où existent ces récepteurs.

Et c’est justement cette même protéine spike que les vaccins géniques (à ARNm et à ADN) font produire en grande quantité (incontrôlée) dans l’organisme du vacciné !

On injecte donc, sous le nom rassurant de vaccin, un produit dangereux, qui va faire fabriquer par les cellules du corps, une protéine hautement toxique, ayant exactement les mêmes effets inflammatoires que dans le Covid.

Et les fabricants de vaccins ne peuvent prétendre ignorer les effets de la protéine spike puisque, en 2004 et 2005, des études sur l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 avaient déjà montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes ; pendant que d’autres études concluaient qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus.

Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a donc été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coïncidence

https://www.francesoir.fr/societe-sante/Covid-et-spike-syndrome-ne-pas-confondre

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/Covid-19-spike-arn-et-vaccins-et-si-lancait-les-etudes-prealables

Analyses d’échantillons de vaccins

Des témoignages troublants, dans des vidéos circulant sur le Net, montrent des effets magnétiques étranges chez les personnes vaccinées : des objets métalliques divers restent accrochés sur le bras au niveau du site de l’injection ou sur le torse ; des adresses MAC (Media Access Control) apparaissent sur Bluetooth en présence de personnes vaccinées.

Cela a incité des équipes de scientifiques à entreprendre l’analyse au microscope d’échantillons des différents vaccins anti-Covid. Les résultats obtenus sont si inattendus et déroutants que l’on se croirait en pleine science-fiction et la première réaction est de mettre en doute leur authenticité et l’honnêteté des chercheurs.

Cependant, de plus en plus d’études bien documentées apparaissent en provenance de plusieurs pays, présentant des images et des vidéos réalisées avec des microscopes très sophistiqués, avec des détails précis sur le mode opératoire, au point qu’il est impossible de continuer à rejeter en bloc tous ces résultats.

Les premiers à publier leurs résultats furent les scientifiques de la Quinta Columna, un groupe de scientifiques hispanophones dont « l’objectif est de montrer la réalité aussi inconfortable que soit la Vérité… sans préjugés ni conflits ».

Leur découverte principale est la présence dans les vaccins anti-Covid d’oxyde de graphène toxique pour les humains. Sur leur site (laquintacolumna.net), on peut télécharger leurs rapports techniques sur le sujet, ainsi qu’un recueil de plus de 60 publications scientifiques sur les propriétés et la toxicité de l’oxyde de graphène en biologie humaine. Leur dernière vidéo, mise en ligne sur la chaîne Odysee le 19 janvier 2023, « Nouvelles images de l’injection Pfizer », montre des structures quadrangulaires, du graphène et des nanotubes de carbone.

Un autre groupe, le COMUSAV (Coalition Mondiale pour la Santé et la Vie ; site : comusav.com), a réalisé un documentaire, « Bluetruth », qui présente les résultats de leurs recherches : présence d’oxyde de graphène dans le sang des vaccinés ; adresses MAC détectées dans différentes expériences, dont une dans un cimetière.

Pour eux, il est évident que les vaccinés émettent des ondes et ils l’expliquent par l’autoassemblage des particules de graphène à l’intérieur du corps, pour former des circuits électroniques nanométriques.

Ils relient leurs découvertes à un ensemble de projets existant depuis des décennies (Intra body Nano-Network ; carbon nanotubes linking neurones ; …) ayant pour objectifs le contrôle neuronal, la stimulation de la sécrétion des neurotransmetteurs, la modulation neuronale.



http://politikus.unblog.fr/2022/02/02/argentine-des-chercheurs-exposent-la-nanotechnologie-trouvee-dans-les-vaccins/

Une vidéo postée sur la chaîne Odysee.com, en janvier 2023, présente les travaux du Dr David Nixon de Melbourne sur les « Structures d’autoassemblage présentes dans les injections Covid-19 vues au microscope ». Disposant d’un matériel très sophistiqué, il a obtenu des images d’une qualité exceptionnelle.

Le Dr Nixon a filmé en continu pendant tout un week-end un échantillon de « vaccin » Pfizer et, en accélérant le film, a découvert l’autoassemblage et le désassemblage de cristaux carrés semblables à des puces électroniques reliées par des rubans, sensibles au rayonnement électromagnétique.

Son interprétation est que l’on est en présence d’une technologie très avancée ; que l’hydrogel des « vaccins », qui est une matière programmable et intelligente, contient les matériaux et le plan d’assemblage des structures observées.



https://www.laprensa.com.ar/523511-Vacunas-Covid-estado-actual-de-los-conocimientos.note.aspx

Plusieurs autres vidéos vont dans le même sens, mais l’une d’entre elles présente une nouvelle démarche encore plus étonnante. Un producteur américain de télé et de films, Del Bigtree, a donné son sang de non vacciné au laboratoire du Dr Ryan Cole qui l’a observé au microscope après y avoir ajouté une goutte de l’un des vaccins anti-Covid à ARNm. Dans le cas du produit Pfizer, le sang s’est décoloré et les globules rouges ont involué et sont devenus flasques donc probablement incapables de transporter l’oxygène.



On peut en conclure que des composants inconnus des « vaccins » agissent directement sur le sang des vaccinés, provoquant les EI, essentiellement coagulation du sang et inflammation. La protéine spike n’existant pas dans le « vaccin », elle ne peut pas être à l’origine de ces réactions !

Ce qui est frappant dans toutes ces analyses, c’est que les « vaccins » semblent contenir des produits dont les fabricants n’ont jamais signalé l’existence et qui n’ont pas leur place dans un vaccin !

Il n’est plus question d’ARNm ni de protéine spike. D’ailleurs, certains chercheurs ont signalé l’absence d’ARNm dans les échantillons qu’ils ont analysés.

Même si ces découvertes sont étranges et difficiles à accepter, il s’agit d’expériences réelles photographiées et filmées. Que l’on puisse ou non les expliquer pour le moment n’est pas le problème. Le problème est que ces « ingrédients », s’ils existent, ne devraient pas être injectés à un être humain à son insu.

Or les autorités sanitaires ont accordé une AMM conditionnelle à ces « produits » géniques et autorisé une expérimentation vaccinale à grande échelle, inédite dans l’histoire de l’humanité. Ce qui déjà pose problème !

Du fait de leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ces produits ne devraient même pas porter le nom de vaccin !

Pire que cela, ils devraient être retirés immédiatement du marché vu les dégâts à court, moyen et long terme qu’ils ont causés ou vont causer. Et ceux qui les ont conçus, fabriqués, qui se sont enrichis grâce à leur vente, ceux qui en ont fait la promotion, qui les ont injectés de force, tous devraient être jugés et condamnés !

Pourtant, la grande majorité de la population qui n’est informée que par les médias officiels est tenue dans l’ignorance totale de l’inefficacité des « vaccins » et de la gravité de leurs EI. Elle continue donc à y croire ainsi qu’à la bienveillance des gouvernants !

« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des évidences qui ne sont pas à leur goût et préfèrent glorifier l’erreur si celle-ci les séduit. Celui qui peut apporter l’illusion est facilement leur maitre ; celui qui tente de détruire l’illusion est toujours leur victime ».

Gustave Le Bon

Vaccins anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Le choix de faire fabriquer la protéine spike toxique par les cellules du corps des vaccinés témoigne déjà d’une intention malveillante !

Remarquons toutefois qu’un nombre toujours croissant de scientifiques remet en cause la présence d’ARNm dans les « vaccins » donc la production de la spike dans le corps des vaccinés, ainsi que l’existence même du SARS-CoV-2 (voir Note en bas de l’article).

De toute façon, les découvertes de plus en plus nombreuses et convaincantes d’oxyde de graphène, de puces électroniques et de nano-objets non identifiés, dans les échantillons de « vaccins », sont largement suffisantes pour accréditer l’hypothèse d’une arme biotechnologique.

Une toute récente information semble étayer cette hypothèse. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement militaire en cours d’armes biologiques, tenue le 24 janvier 2023 aux USA, l’une des participantes, Katherine Watt (assistante juridique de Pennsylvanie et chercheuse en droit) a partagé ses récentes découvertes. Elle a rapporté entre autres que Pfizer, en avril 2022, a déposé une motion pour rejeter la plainte d’une lanceuse d’alerte, Brooke Jackson, au titre de la loi sur les fausses allégations : « Ce n’est pas un vaccin, mais un prototype du ministère de la Défense (DoD) ; nous n’étions aucunement obligés de procéder à des essais cliniques valides ni de prouver l’efficacité ou la sécurité du produit à qui que ce soit. »

En octobre 2022, le gouvernement US a approuvé ce point de vue, disant que les essais cliniques n’ont jamais été nécessaires pour que le DoD paie les contractants pour la production et la distribution des armes biologiques sous le nom Covid-19.



https://www.Covidhub.ch/le-pentagone/

Si l’on continue à penser qu’il s’agit d’un vrai vaccin, le fil conducteur des événements de cette crise pourrait être l’appât du gain des grands groupes pharmaceutiques. Cependant, les pressions énormes exercées sur les populations, l’implication des gouvernements, des agences de santé, de l’OMS, des médias, de même que la similitude et la simultanéité étonnantes des mesures à l’échelle mondiale, ne peuvent qu’inciter à chercher des instances situées très au-dessus de Big Pharma et ayant des intentions bien plus vastes que la soi-disant protection contre un virus par la « vaccination ».

Le Nouvel Ordre Mondial (NOM)

L’un des dévoilements de « l’opération Covid » est celui de l’oligarchie mondiale à l’œuvre depuis des siècles. (Oligarchie : régime politique dans lequel la souveraineté appartient à une classe restreinte et privilégiée).

Une caste « d’élus » qui considère qu’elle a le droit divin de gouverner la planète et dont l’objectif est d’établir une gouvernance mondiale de nature totalitaire et technocratique.

Pour y parvenir, au milieu du 20siècle, cette oligarchie s’est organisée à travers la création de différents groupes restés longtemps très peu connus sauf de quelques initiés : Groupe Bilderberg (créé en 1954) ; Club de Rome (1968) ; Trilatérale (1973) ; Forum Economique Mondial (1971) ; Dolder club. Elle contrôle également l’Organisation des Nations Unies, l’OMS, la Banque Mondiale, le FMI, la CIA, etc.

Agissant d’abord dans le plus grand secret, entourée d’un luxe de précautions, elle œuvre désormais au grand jour et annonce clairement son jeu dans des publications (Agendas 21 et 2030, livres de Karl Schwab), sur les sites web et dans les vidéos diffusées de réunions du FEM à Davos.

Le site du FEM est particulièrement riche en informations sur ses objectifs, son organisation, ses moyens humains. Son thème officiel est d’améliorer l’état du monde !

La réunion annuelle tenue à Davos regroupe des oligarques, de grands banquiers, des patrons de multinationales, de puissants responsables politiques, des intellectuels influents.

Fondée en 2005, la communauté des Young Global Leaders regroupe plus de 750 dirigeants du monde entier âgés de moins de quarante ans.

En 2007, à la Harvard Kennedy School, Klaus Schwab, le « gourou » de Davos, a affirmé : » Avec mes Young Leaders, nous avons pénétré tous les gouvernements de la planète » !

Corruption des élites, subversion des institutions, manipulation et infantilisation des populations, mainmise sur les médias mainstream, omniprésence des cabinets-conseils, tout est fait pour que son agenda se déploie.

Agenda clairement détaillé dans les livres de Klaus Schwab : ‘’Covid19 : The great reset’’ ; « La 4e révolution industrielle ».

Dépopulation, transhumanisme, contrôle de la population, monnaie numérique, accumulation des richesses par élimination des PME et des artisans, tels sont quelques-uns des axes principaux de cet agenda ; et les « crises » programmées, tout comme les guerres, ne sont que les outils pour y parvenir !

https://www.foxnews.com/video/6319623313112

Le choix criminel de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid ainsi que les nanotechnologies insérées subrepticement dans ces produits (et cela se confirme chaquejourdavantage), la surmortalité et la baisse drastique de la natalité dans les pays à fort taux de vaccination, tout cela s’inscrit dans l’axe dépopulation de l’agenda des mondialistes.

Une info de dernière minute concerne Hexa-X, le projet 6G de l’Union européenne (la technologie LED au service du contrôle social), dans lequel sont engagées 22 entreprises dirigées par Nokia.

Le président de Nokia, à la dernière réunion du FEM à Davos, a affirmé que, d’ici 8 ans, les smartphones seraient intégrés au corps des humains. Grâce à la 6G, définie comme un réseau neuronal, l’homme fusionné avec l’ordinateur pourra être contrôlé et manipulé !

Autres sources

Site « nouveaumonde.ca » : très riche en articles (voir dans la rubrique « Dossiers ») :

https://nouveau-monde.ca/implants-numeriques/

https://nouveau-monde.ca/vaccins/

Nouvelles images de graphène dans le vaccin antigrippe « Chiromas » de GSK 26/01/2023 :
https://www.flickr.com/photos/196008055@N06/albums/72177720304513633/


Note ()

Tout comme pour les nanotechnologies découvertes dans les vaccins anti-covid, nous ne pouvons plus continuer à ignorer et rejeter les travaux et publications d’un grand nombre de chercheurs sérieux et compétents qui contestent l’isolement et la caractérisation des virus, mettant en cause la méthodologie utilisée par les virologues qui n’a rien d’une démarche scientifique. Le rôle pathogène attribué aux virus est à revoir complètement car on a inversé la cause et l’effet.

À quel point les virus sont-ils morts ?

L’invention du SARS-CoV-2

Démontage de la théorie virale

Ce que les virologues, les infectiologues et autres microbiologistes prennent pour des virus pathogènes est naturellement produit par les cellules ou les tissus vivants lorsqu’ils sont agressés par exemple par des toxines chimiques, par des champs électriques artificiels ou par des ondes électromagnétiques pulsées comme celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G.

Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

Ajoutons que d’autres scientifiques incriminent la présence de micro parasites, naturels ou artificiels, aussi bien dans la maladie covid que dans les effets indésirables des vaccins. Cela expliquerait l’efficacité de plusieurs traitements antiparasitaires pour soigner les malades : ivermectine, hydroxychloroquine, artemisia.






« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Par Alain Tortosa

Le Covid est-il le mensonge de trop ?

Préambule :

J’invite les lecteurs qui chercheraient des éléments de « preuve » aux thèses ou interrogations introduites dans ce texte à se référer à mes précédentes publications et notamment :

« Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus1 ? »

(document de 23 pages).

« Gober sans questionner. Quid de la preuve de l’existence des virus ? Postulats de Koch et Rivers2. »

Vous pouvez aussi vous procurer le livre :

« Virus mania. »
« Virus Mania – Corona/Covid-19, rougeole, grippe porcine, grippe aviaire, cancer du col de l’utérus, SARS, ESB »
« Comment l’industrie médicale invente sans cesse des épidémies et réalise des milliards de dollars de bénéfices à nos dépens3 »

Ainsi que celui de Marc Menant :

« L’inquiétante histoire des vaccins4 »
« Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui. »

Je précise ne pas être devenu « antivax ».

Je suis anti-obligations, anti-ségrégation, antiapartheid, anti-destruction de l’économie, anti-destruction du vivre-ensemble, anti-paranoïa, anti-destruction des droits de l’homme, anti-suppression du libre arbitre, anti-dictature sanitaire (ou autre), anti-ministère de la Vérité, anti-réécriture de l’histoire, anticorruption de la science, etc.

Les « vaccins » relevant de la foi en l’absence de preuves du contraire, je ne suis pas anti-foi.

  • Libre à chacun de croire, la foi ne relevant ni de la science ni de la preuve.
  • Libre aux croyants de croire, libre à eux de s’injecter ce que je pense être des placebos (pour le croyant) toxiques.

En revanche, obligation pour eux de ne pas faire de prosélytisme et de respecter les non-croyants dont je fais partie.

Ce faisant, je vais pouvoir déverser mes questions ou « vérités » qui, elles, ont le mérite de ne pas faire consensus, à la différence de la doxa.

Aux débunkers de me prouver le contraire et non de se contenter de l’affirmer ou de citer un témoin qui l’affirmerait !
Produisez les études et statistiques qui démontent mes propos.
Je précise :

« Produisez les études indépendantes dans lesquelles les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêts. »

Nous connaissons tous les centaines d’études publiées sur l’innocuité du tabac et financées plus ou moins directement par son industrie.
Je rappelle aussi à mes lecteurs que la commercialisation du « vaccin » anti-Covid a été faite sur les seules données fournies par les laboratoires pharmaceutiques et donc en l’absence totale d’études indépendantes.
Je rappelle que Pfizer a été condamné par le passé à des milliards de dollars pour tromperie, corruption, et manipulation.

Voici donc une liste non exhaustive

Ma première question étant donc :

  • Comment les autorités sanitaires ont-elles pu commercialiser et généraliser à l’ensemble du public des produits en phase expérimentale sur une technologie elle aussi expérimentale sur les seules données de laboratoires largement condamnés par le passé pour mensonges ?

  • Comment les autorités ont-elles pu rendre obligatoire ou introduire une extorsion de consentement sur ces injections expérimentales ?
  • Comment être certain de l’existence de « virus » alors qu’aucun n’a jamais été isolé « proprement » ?
  • Comment peut-on avoir la preuve de leur existence et de leur mode de reproduction ou de destruction des cellules vivantes dès lors que cela n’a jamais pu être observé (in vivo) ?
  • Les photos ou animations de « virus » ne sont que des créations artistiques.
  • Comment peut-on affirmer avoir vu des « virus » dès lors que la méthode d’isolation oblige l’utilisation de cellules de singes ou autres, de produits toxiques et autres antibiotiques qui permettraient de faire apparaître ces cadavres de cellules nommés « virus » ?
  • Comment être certain de leur existence, de leur pathogénicité dès lors que les postulats de Koch n’ont JAMAIS été vérifiés (cf. mon texte) ? Raison pour laquelle les débunkers affirment que ces postulats ne sont ni utiles ni « éthiques » ? (Il ne serait ainsi pas « éthique » de rendre malade une personne en bonne santé en lui injectant un « virus » isolé, mais en revanche il est « éthique » de « vacciner » des milliards de personnes avec une substance dont ni le principe actif, ni l’efficacité n’ont été prouvés.)
  • Comment peut-on affirmer l’existence de certains « virus » dès lors qu’ils n’ont jamais pu être isolés (par la méthodes de « la soupe » biologique ou autres méthodes) ?
  • Comment avoir la preuve de l’existence du « virus » du SIDA dès lors qu’il n’a jamais été observé ?
  • Le « virus » de l’hépatite G n’a jamais pu être isolé non seulement in vivo, mais aussi in vitro (en laboratoire). Jamais vu, jamais isolé… Cela gêne-t-il pour affirmer son existence ? En rien !
  • Comment avoir la preuve que ces prétendus « virus » seraient pathogènes dès lors que l’on n’a jamais pu voir le processus théorique in vivo ?
  • Comment pouvons-nous les désigner comme coupables de provoquer des symptômes, des maladies pour lesquelles ils sont réputés, alors que cela n’a jamais été prouvé ?
  • Comment peut-on les accuser de créer des pandémies par contagion dès lors que les études n’ont jamais pu prouver la réalité de la contamination par des « virus » ?
  • Comment des personnes asymptomatiques, qui ne toussent pas, qui ne crachent pas, dont les « virus » ne sont pas détectables dans la bouche au point de faire un PCR au fond de la gorge par une amplification de matériel génétique, pourraient contaminer qui que ce soit ? L’asymptomatique contaminateur par un virus aérien est une nouveauté du 21e siècle.
  • Existe-t-il des études en double aveugle de cette contamination par des personnes asymptomatiques qui provoquerait des malades symptomatiques à leur contact ? La réponse est non, bien entendu.
  • Où les « virus » respiratoires passent leurs vacances en été ? D’aucuns disent qu’ils « circulent à bas bruit », mais comment pourraient-ils survivre jusqu’à l’hiver prochain sans rendre malade leur hôte alors qu’ils ont obligation de se reproduire pour survivre, qu’ils sont combattus par le système immunitaire de leur hôte et contraints d’en contaminer d’autres pour survivre ? A-t-on des preuves de ces théories ? (Au moyen-âge, peu de personnes prenaient l’avion pour se reposer aux Bahamas.)
  • Comment les laboratoires de type Wuhan pourraient manipuler des « virus » s’ils n’existent pas ?
  • Comment pourrait-il exister des « gains de fonctions » sur des « virus » qui n’existent pas ?
  • Pourquoi ces laboratoires qui manipulent des « virus » existent ? Ils ont probablement plusieurs objectifs :
  • Comment avoir la preuve que le « SARSCoV-2 » existe vraiment s’il n’a jamais été observé ?
  • L’inventeur du test PCR a avoué que son invention est totalement bancale et permet de trouver n’importe quoi.
  • Comment le prétendu code génétique — de ce « virus » issu de deux malades chinois présentant des symptômes et — reconstitué par tests PCR successifs et collage par un logiciel de séquences génétiques pourrait être pertinent ?
  • Comment affirmer l’existence du Covid alors que les études n’ont pas permis d’éclairer sur un ensemble de symptômes pouvant le différencier de maladies existantes ?
  • Comment expliquer la disparition de la grippe en 2020 au profit du Covid ? Une année sabbatique dans les îles avant de revenir en pleine forme ?
  • Comment ne pas avouer que le Covid est simplement la codification utilisée (imposée politiquement ou économiquement par rémunération supérieure dans les hôpitaux et en cabinet libéral) à la place de toutes les maladies respiratoires et donc qu’il n’existe pas en tant que tel ?
  • Comment affirmer qu’un patient est « Covid » uniquement en se contentant de correspondances positives à quelques parties du prétendu code génétique du « SARSCoV-2 » via des tests PCR quand bien même il serait asymptomatique ? (Et ce contrairement aux directives de l’OMS qui précisent bien que le test PCR peut être un accompagnant diagnostic et certainement pas se suffire à lui-même.)
  • Comment y trouver une pertinence alors que les spécialistes affirment que le « virus » aurait muté et que celui d’origine n’existerait plus ?
  • Comment croire en l’existence et à l’exactitude du code génétique de la protéine Spike qui aurait été isolée par les mêmes principes de PCR et de comparaison à des bases existantes ?
  • Comment ignorer le fait historique que Pasteur était un escroc, un menteur, un tricheur ? Qui n’est pas allé en prison grâce à un soutien politique, l’idée étant que si Pasteur était dénigré, les Allemands rafleraient le marché de l’escroquerie.
  • Comment croire en l’efficacité des « vaccins » dès lors qu’aucun n’a permis d’éradiquer la moindre maladie ?
  • Comment se servir aujourd’hui encore de la prétendue éradication de la variole par les « vaccins » alors même que l’OMS précise que la campagne de vaccination fut un échec et que celle-ci a pu être éradiquée par l’isolement des malades symptomatiques ?
  • La polio était-elle causée par un « virus » ou liée à un empoisonnement au DDT ?
  • A-t-elle été éradiquée par un « vaccin » ou par l’arrêt de l’utilisation du DDT ? (Et est-elle apparue suite à son utilisation ?)
  • Comment affirmer l’efficacité, mais aussi l’innocuité des « vaccins », dès lors qu’il n’existe aucun essai en double aveugle versus placebo le prouvant ?
  • Pourquoi les vaccins bénéficient-ils d’un mode dérogatoire de mise sur le marché avec moins de contraintes que pour un médicament alors qu’il est censé ne pas pouvoir être « enlevé » ?
  • Comment préconiser le « vaccin » Covid alors qu’il n’existe aucune preuve de son efficacité en termes de contamination et que le nombre de décès dans le groupe injecté était supérieur à celui du groupe témoin selon les données Pfizer ?
  • Comment Moderna aurait-il pu créer un « vaccin efficace » contre le « SARSCoV-2 » dès lors que selon son représentant, ils ont fabriqué celui-ci informatiquement à partir de la séquence « officielle » fournie par les Chinois et qu’ils ne l’ont jamais eu dans les mains pour sa fabrication ? (Et donc sans vérifier si les données chinoises étaient exactes.)
  • Dès lors que le code génétique de la Spike est au pire imaginaire et au mieux totalement aléatoire, car une juxtaposition de séquences hypothétiques par test PCR. Et en partant de l’hypothèse théorique que la Spike existerait, comment serait-il possible que sa séquence génétique soit identique à celle du « vrai virus » ? « Virus » qui selon la théorie tout aussi non vérifiée muterait régulièrement. Les mutations étant elles-mêmes détectées par d’autres tests PCR sur d’autres séquences. Comment serait-il alors possible de créer une séquence ARNm qui ferait produire la « vraie » Spike par un « vaccin » ?
  • Si le « vaccin » contient de l’ARNm, par quel miracle pourrait-il faire générer la « bonne » Spike dont le génome connu relèverait plus de la loterie que de la science ? La plus forte probabilité serait alors qu’il fasse fabriquer n’importe quoi par nos cellules. L’autre hypothèse la plus raisonnable serait qu’il ne contienne strictement aucune séquence ARNm.
  • Pourquoi différents laboratoires ou le même laboratoire n’ont pas extrait eux-mêmes le génome du SARS-CoV-2 et le code génétique de la Spike à partir de la même souche ? (Et ce en utilisant différents logiciels de « Lego » et différentes amorces ?) Si cette méthodologie ne relève pas du hasard pour ne pas dire de l’escroquerie, le génome obtenu serait alors exactement le même et permettrait d’apporter un élément de preuve sur la fiabilité du processus. Il faudrait ensuite reproduire l’expérience avec plusieurs malades afin de déterminer s’ils souffrent tous du « SARS-CoV-2 ».
  • Comment ces « vaccins » pourraient-ils (encore) contenir de l’ARNm au moment de l’injection dès lors qu’ils exigeaient à leurs débuts une conservation à -80 °C et que les brins d’ARNm sont réputés extrêmement fragiles et se décomposent très vite ?
  • Comment peut-on affirmer que les patients bénéficient de la même injection, du même produit dès lors qu’il est de notoriété publique que l’ARNm aurait une tendance à se recombiner ? La probabilité que le « vaccin » génère la même Spike ou même une Spike relève de la loterie.
  • Les vidéos qui circulent montrant le contenu d’un « vaccin » ARNm ne semblent pas contenir la moindre capsule d’ARNm.
  • Comment les « vaccins » dit classiques, ceux censés contenir du « virus » atténué par un procédé magique, pourraient avoir une « efficacité » dès lors qu’ils ne provoquent aucune réponse immunitaire ni production d’anticorps par l’organisme en cas d’injection seule ?
  • Comment serait-il possible de prouver leur efficacité et non l’efficacité d’une autre substance dans le « vaccin » dès lors qu’il est impossible d’isoler des « virus » dans leur « soupe » ?
  • Comment affirmer l’action d’un « vaccin » dès lors que les adjuvants sont indispensables pour provoquer cette fameuse « réponse immunitaire » ? Dans le cas d’un « vaccin » dit classique, c’est l’aluminium qui est couramment utilisé.
  • L’aluminium est un produit extrêmement toxique et à l’origine d’effets secondaires graves.
  • Comment prouver que les anticorps détectés sont la conséquence du « virus atténué » dans le « vaccin » et ne seraient pas des déchets issus de la défense de l’organisme face à l’empoissonnement du système sanguin par l’aluminium et les autres adjuvants toxiques utilisés dans le « vaccin » ?
  • Dans le cadre du « vaccin » Covid, l’adjuvant principal serait le graphène dont la toxicité serait inédite dans l’histoire des « vaccins ». Graphène qui est officiellement interdit dans l’alimentation humaine.
  • Les effets secondaires et les décès dus au « vaccin » ne seraient-ils que les conséquences de l’empoisonnement aux nouveaux adjuvants et non au prétendu ARNm ?
  • Comment peut-on affirmer que l’on retrouve de la Spike vaccinale dans tel ou tel organe dès lors que l’on utilise le test PCR comme preuve de sa présence ?
  • Le « Covid », ainsi nommé, se contente de « tuer » des personnes en fin de vie, malades ou très âgées, mais épargne totalement les personnes jeunes en bonne santé. En revanche le « vaccin » tue des jeunes sans antécédents médicaux si l’on en croit les données officielles. De fait si la prétendue « Spike SARS-CoV-2 » était nocive, elle devrait tuer non seulement les « vaccinés », mais aussi les « malades du Covid ». Dans cette hypothèse, les jeunes en bonne santé devraient aussi mourir du Covid, ce qui n’est pas le cas. Deux hypothèses :
  • Je ne sais pas si le corps humain apprendra à se défendre contre ces nouveaux adjuvants, mais il est possible que leurs effets inédits aussi bien directs que sur l’infertilité ou les fausses couches soient le fruit de la première « rencontre » entre le poison et les humains. Il serait alors possible que le corps apprenne à se défendre contre ces nouveaux agresseurs.
  • Pourquoi ces questions relèvent du « complotisme » ou du « délire » et n’ont pas de réponses ?
  • Pourquoi n’y a-t-il pas débat ?
  • Pourquoi les spécialistes et scientifiques qui défendent d’autres thèses sont muselés et ne peuvent pas s’exprimer dans des médias mainstream ?

Pour résumer :

  • Pas de preuve de l’existence des virus, de la contagion et de leur dangerosité. On tombe malade par des empoisonnements et d’autres processus qu’il est interdit d’étudier depuis plus d’un siècle.
  • Qui dit « pas de virus » et donc « pas de contamination » dit bien évidemment, pas de « vaccins » possibles. Ni même de gestes barrière, de masques, de confinements, de tests PCR, de passe sanitaire, etc.
  • Toutes les grandes maladies de ce monde ont diminué avant le début de la commercialisation des « vaccins ».
  • Une industrie pharmaceutique, dont les bénéfices sont supérieurs à ceux de l’industrie pétrolière, construite sur un mensonge, une escroquerie.
  • L’affirmation de l’allopathie, de la maladie, du médicament pour combattre l’ennemi extérieur et la maladie ? Baliverne !
  • L’existence du « virus » permet d’entretenir la peur, l’existence de l’ennemi invisible et ainsi contrôler les masses par des mesures liberticides les plus délirantes.
  • Des facultés de médecine ou de pharmacie sponsorisées par l’industrie qui transmettent le mensonge génération après génération sans la moindre remise en question. Il n’y a pas que des corrompus, mais des répétants. Ceci relève uniquement de la foi, du dogme et non de la science.
  • La main mise de l’industrie dans toutes les sphères de pouvoir y compris à la tête de l’OMS. L’impossibilité pour un chercheur de faire la moindre étude sans financement de l’industrie. Il devient de fait impossible de tester l’efficacité d’une molécule ou d’un « vaccin ».
  • Un train fou lancé impossible à arrêter sans des conséquences apocalyptiques ! « Les gars, on se fout de votre gueule depuis plus d’un siècle. On vous a menti, trompé, injecté des substances toxiques inutiles et inefficaces. On a fait taire les voix discordantes. Le silence a été acheté. Tout ce que vous pensez sur la médecine est faux. Votre savoir repose sur un Pasteur qui aurait eu sa place en prison. Toute notre vie nous avons étudié des chimères. Oubliez tout, on recommence ! »
  • Une chasse aux sorcières qui balaye toutes les théories alternatives et les méthodes de soin naturelles.
  • Une classe politique stupide, naïve, complice et corrompue.
  • Des médias larbins, lâches, consensuels, mais aussi corrompus.

Bienvenue au 21e siècle !

Merci

Alain Tortosa5.
5 février 2023
Https://7milliards.fr/tortosa20230205-virus-decennies-escroquerie.pdf





Gober sans questionner

Quid de la preuve de l’existence des virus ?
Postulats de Koch et Rivers

Par Alain Tortosa

(Chapitre 2.)

1

Je voulais revenir sur la théorie virale déjà longuement développée dans un premier texte2.

De la preuve des virus et de leurs actions, les postulats de Koch

Heinrich Hermann Robert Koch, chercheur allemand, a publié en 1890 des postulats afin d’apporter une rigueur scientifique à l’étude et à la preuve de l’existence des virus.

  1. Le micro-organisme doit se trouver en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains. (Le coupable — « bactérie », « microbe », « chou de Bruxelles » — doit être présent chez toutes les personnes qui ont la même maladie. S’il existait des personnes avec une grippe qui n’aurait pas le virus de la grippe alors le virus ne serait pas la cause de la maladie. Il est donc logique que le présumé coupable soit chez tous les malades.)
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.

(Le coupable doit être isolé. Si dans un prélèvement de salive, il y a des choux de Bruxelles et des poireaux, il est indispensable d’isoler le chou pour être certain qu’il est la cause et non le poireau.
De plus, comme vous pourrez le lire dans mon texte précédent sur le sujet. La culture qui permet de mettre en évidence un « virus » et de cultiver les choux de Bruxelles contient d’autres matériels génétiques, antibiotiques, produits chimiques, etc.
Il est donc indispensable de s’assurer que c’est le chou de Bruxelles le coupable en l’isolant.)

  1. Le micro-organisme cultivé doit provoquer la même maladie lorsqu’il est introduit dans un organisme sain. (Pour être certain que c’est le chou de Bruxelles, il ne faut introduire que le chou de Bruxelles afin de s’assurer que c’est lui qui provoque la maladie. Si on ne peut l’isoler ou s’il y a un doute, il faut aussi introduire chez des personnes non malades uniquement la soupe, la culture, mais sans la salive qui aurait été utilisée pour isoler le virus afin de s’assurer que c’est bien le virus et non la culture qui provoque la maladie.)
  2. Le micro-organisme doit être ré-isolé à partir de l’hôte expérimental désormais malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme identique à l’agent causal spécifique d’origine. (Il est indispensable de s’assurer que l’on retrouve le même virus initial dans le corps du nouveau malade afin de s’assurer que c’est bien le même virus qui a provoqué la maladie.)

Tout ceci est trivial :

  • On pense que le virus Sars-cov2 provoque une maladie appelée Covid 19 chez un patient.
  • On prélève un échantillon de sang ou de salive puis on cultive et isole le virus de tout autre pathogène.
  • On transmet par une méthode compatible avec la maladie ce sars-cov2 à une personne en bonne santé.
  • La personne tombe malade avec des symptômes identiques au patient témoin.
  • On prélève le virus chez le nouveau malade.
  • On s’assure trouver le même Sars-cov2.

C’est ainsi qu’on obtient la preuve de l’existence du virus et de la maladie qu’il engendre.

Vous pouvez donc penser que tous les virus que nous combattons, y compris ceux pour lesquels on a fabriqué des vaccins, répondent à ces postulats.
Vous pourriez aussi penser que les médecins sont informés sur ce sujet.
Croyez-moi ou pas, mais  :

« Aucun virus recensé par l’homme n’a jamais pu répondre aux postulats de Koch ! »

Aucun !!!!

Ce qui fait dire une chose formidable à Wikipédia3 :

« Les premiers postulats de Koch sont devenus la référence classique, mais il s’agit en fait plus d’un idéal à approcher que de règles contraignantes. »

Un « idéal à approcher »…
Pas grave si nous n’avons aucune preuve de l’isolation d’un virus ni aucune preuve qu’il est la cause d’une maladie.

Encore plus « drôle », l’université de Laval4 nous rapporte :

« Les comités d’éthique qui régissent les études fondamentales et cliniques n’acceptent pas qu’il y ait injection de matériel infectieux chez des individus sains pour observer ensuite l’apparition ou non d’une maladie. »

C’est merveilleux, il n’est pas « éthique » de rendre malade une personne en bonne santé.
En revanche il n’y a aucun problème pour vacciner des milliards de personnes en bonne santé pour leur injecter un « vaccin » contre un « virus » qui n’a jamais été isolé selon les principes de bon sens de Koch.

Il faut dire que dans la théorie virale, il existe aussi :

  • Des virus que l’on n’a jamais pu isoler (mais qui existeraient quand même alors que l’on ne les a jamais vus.) Des virus qui existent et qui pour autant sont indétectables. Nous aurions des « preuves » indirectes de leur existence (un peu comme les trous noirs [en astronomie]).
  • Des virus qui ne rendent pas malades (les porteurs sains).

Dans un monde « normal », vous vous diriez qu’il y a peut-être un problème avec la théorie virale qui ne peut répondre aux postulats de Koch  !
Que nenni, ce n’est pas ainsi que la « science » médicale réagit.

Au lieu de critiquer la théorie virale et envisager qu’elle reposerait peut-être uniquement sur des croyances non scientifiques, il a été estimé que les postulats de Koch (qui sont totalement logiques) n’étaient pas adaptés aux virus.

« En 1937, il était très clair que les virologues étaient incapables de satisfaire à aucun des postulats de Koch afin de prouver que des particules invisibles supposées être des “virus” existaient et pouvaient causer des maladies. Même Robert Koch lui-même a eu des difficultés avec ses propres postulats, ce qui l’a amené à contourner certains d’entre eux pour tenter de “prouver” la pathogénicité de certaines bactéries. Au lieu d’accepter que les postulats, comme indiqué à l’origine, fonctionnaient et réfutaient la théorie des germes, les virologues se sont tournés vers diverses méthodes immunologiques indirectes pour prouver leurs affirmations5. »

Reuters6 a même factchecké la théorie en affirmant :

« Les postulats de Koch, tels qu’ils ont été compris à l’origine, n’ont pas besoin d’être démontrés pour établir qu’un microbe provoque une maladie. »

Affirmer, c’est prouver !
Ils n’ont pas le choix, car cela remettrait en cause toutes les théories virales.

La phrase pourrait se traduire par :

« Il n’est pas nécessaire de prouver qu’un microbe provoque une maladie pour prouver son existence et qu’il en est la cause. La théorie se suffit à elle-même. »

Les postulats de Rivers

C’est alors que Thomas Rivers tente d’arriver au secours de la théorie virale en publiant des critères plus compatibles.

  1. Le virus peut être isolé sur des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans des cellules hôtes
  3. Preuve de filtrabilité : le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries (Afin de s’assurer que ce n’est pas un autre composant qui causerait la maladie).
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé sera utilisé pour infecter des animaux de laboratoire. (La fameuse « éthique » à géométrie variable).
  5. Le virus peut être isolé à nouveau de l’animal de laboratoire infecté.

Ici encore les postulats de Rivers n’ont jamais pu être vérifiés.

L’université de Laval de préciser :

« L’application stricte des critères ou postulats de Rivers décrits plus tôt n’aurait jamais permis d’établir le lien causal qui existe entre l’EBV (virus d’Epstein-Barr) et la mononucléose parce que :

  • Le virus ne peut être cultivé/isolé en laboratoire (1er postulat)
  • Difficile de reproduire expérimentalement la maladie (3e postulat) si on ne peut cultiver ou isoler le germe. ».

Il est « naturellement » admis que des virus existent
sans qu’il soit possible de les isoler, les cultiver,
ni prouver qu’ils sont la cause d’une maladie.

Il a donc fallu inventer d’autres preuves de leur existence par l’immunologie :

  • « Absence d’anticorps au début de la maladie.
  • Apparition d’anticorps durant la maladie ou après.
  • Production d’anticorps (à la suite d’un vaccin) prévient la maladie. »

L’anticorps serait la preuve du passage d’un virus… alors même qu’il pourrait être là pour n’importe quoi d’autre.
Notons que pour les anticorps c’est aussi une théorie7.
La protection ou l’immunité d’une personne face à une maladie ne serait pas liée à l’absence ou au niveau d’anticorps, mais à un phénomène plus complexe.

Je vous rappelle aussi que la théorie de la contagion n’a pas pu être prouvée non plus (cf. mon texte).

Enfin le PCR est venu au secours des scientifiques.
Vous cherchez un bout de séquence ADN (ARN retranscrit) que vous pensez être celle du nouveau virus que vous cherchez et si le voyant s’allume, vous déclarez que c’est bien le nouveau virus cherché8.

Il est intéressant de voir qu’il n’existe aucun débat sur le fait que les postulats de Koch et de Rivers ne peuvent s’appliquer.
Et c’est donc Koch et Rivers qui avaient tort de vouloir prouver l’improuvable !

Un article publié en 2020 dans Eur J Clin Microbiol Infect Dis indique9 :

« … de nos jours, même les postulats moléculaires de Koch ne sont pas justifiables.

De plus, selon les nouvelles découvertes scientifiques, divers critères tels que les modifications du système immunitaire, la pathologie et les résultats cliniques, ainsi que les résultats des tests de laboratoire quotidiens, devraient être utilisés pour appliquer les postulats de Koch dans les études étiologiques. Dans le cas contraire, les éventuelles relations étiologiques entre les hôtes et les microbes ne peuvent être vérifiées en raison de nombreuses complications ; assurément, la relation entre le médecin et le labo s’en trouve finalement fragilisée. Par conséquent, la santé publique, la prévention et une grande partie des traitements antimicrobiens resteront également dans un état d’ambiguïté. »

J’imagine que le sujet est tellement délicat, pour ne pas dire blasphématoire, que les chercheurs qui ont publié ce papier doivent écrire à demi-mot pour essayer de faire passer que l’on ne peut balayer le problème.

Donc :

Pour la « science » :

  • Les virus existent sans le moindre doute !
  • Ils causent des maladies quand bien même il peut être :

    • Impossible de les isoler.
    • Impossible de contaminer une personne.
    • Impossible de vérifier qu’elle a contracté la même maladie.
    • Et impossible de retrouver ce même virus sur la personne rendue malade.

Les « preuves » ne sont qu’indirectes, et donc théoriques, raisons pour lesquelles il est indispensable de désavouer les postulats de Koch et Rivers qui, eux, prouveraient leur existence et leur pathogénie.

Merci

Alain Tortosa10
25 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221025-koch-rivers-theorie-virale.pdf





« Primum non nocere » : que nenni ! Un coup d’État politico-financier sous prétexte sanitaire ?

Par Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris.

2020-2021

2022




Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant

[Sources : halteaucontrolenumerique.fr et Anthony Brun-Maestroni]

Anthony Brun est un jeune ingénieur qui a dû changer de profession, déménager et changer de vie suite à la découverte de son électro-hypersensibilité. Il a donc décidé d’alerter sur les effets biologiques des champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, utilisation du portable, etc.) par le biais de conférences gesticulées.

Nous sommes de plus en plus soumis à des ondes. Quels effets cela entraîne-t-il pour nous ? Nous manquons d’informations sur leurs effets cumulés. On voit de plus en plus de personnes devenir électro-hypersensibles et être soumises à une vie devenue extrêmement difficile (voir situations de Virginie et Marie-Jeanne).


À l’heure du déploiement sans consultation de la 5 G en France et dans le monde, de la multiplication des antennes-relais et des satellites, de la croissance exponentielle du recours aux objets connectés, il est plus que nécessaire de se poser la question des effets de l’electrosmog sur la santé.

À travers son parcours d’ingénieur devenu électro-hypersensible (EHS), Anthony partage le fruit de ses recherches sur ces effets nocifs qui sont passés sous silence.

Les ondes électromagnétiques, du simple courant électrique alternatif aux antennes-relais de la 5 G, en passant par la radio, les radars, les satellites, la 2G/3G/4G, le Linky, le Wi-Fi, etc. présentent un risque sanitaire pour les EHS, mais aussi pour tous les êtres vivants.

Liens vers les principales sources citées pendant la conférence :

— Annie Lobé, La fée électricité : fée ou sorcière ? Santé Publique éditions (http://www.santepublique-editions.fr/livre-la-fee-electricite-par-Annie-Lobe-9782916653020.html)

— Rapport BioInitiative (https://bioinitiative.org/table-of-contents/)

— Résolution 1815 de Conseil de l’Europe (https://assembly.coe.int/nw/xml/xref/xref-xml2html-fr.asp?fileid=17994)

— Arthur Firstenberg, L’arc-en-ciel invisible, éditions Ambre (https://editions-ambre.fr/boutique/sante/larc-en-ciel-invisble/)

— Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

Enregistrement du 22/10/2022 à Figeac.

Remerciements à Martin Colmant pour l’enregistrement et le montage. Remerciements également à Marie et Simon pour leur accueil le jour de l’enregistrement.

Musique du générique : AYEMA — Gardiens du vivant (https://www.youtube.com/watch?v=I2yqkD38-Z0)





Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1

[Illustration : source]

.
Par Kelleigh Nelson

31 janvier 2023

Peu importe les droits que vous avez en vertu de la Constitution des États-Unis, si le gouvernement peut vous punir pour avoir exercé ces droits. Et peu importe les limites que la Constitution impose au pouvoir des représentants du gouvernement, s’ils peuvent dépasser ces limites sans aucune conséquence négative.

Thomas Sowell

Les gens ont ce qu’ils méritent. Quel que soit le parti politique, si les gens soutiennent les candidats qui promeuvent l’holocauste des vaccins, il y aura 200 millions d’Américains morts d’ici 2030. S’ils soutiennent les candidats qui encouragent la crise de la chaîne d’approvisionnement, il n’y aura plus de diesel pour transporter la nourriture des fermes aux épiceries. Et si les gens soutiennent les candidats qui fournissent des milliards de dollars aux voyous et terroristes néonazis du bataillon Azov en Ukraine, vous aurez droit à une Troisième Guerre mondiale lorsque Poutine en aura assez. Peu importe pour qui vous votez si votre candidat est un maniaque du génocide mondial.

Steven Fishman

Aimez votre pays, mais ne faites jamais confiance à son gouvernement.

Robert A. Heinlein (1907-1988), écrivain américain.

Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités.

Voltaire, écrivain français

Les bolchevistes étaient une faction marxiste révolutionnaire d’extrême gauche, fondée par Vladimir Lénine, qui s’est séparée avec les mencheviks du Parti ouvrier social-démocrate russe marxiste, un parti politique socialiste révolutionnaire formé en 1898. En 1917, deux révolutions ont eu lieu dans l’Empire russe. La première a renversé la monarchie impériale et la seconde a placé les bolcheviks au pouvoir après une guerre civile sanglante.

Le fascisme a dominé de nombreuses régions d’Europe entre 1919 et 1945. NAZI signifie Parti ouvrier allemand national-socialiste. Les nazis ne sont pas de droite, ils sont d’extrême gauche, mais les qualifier d’extrême droite persiste à cause des imbéciles et des amateurs qui souhaitent étiqueter toute personne à droite du centre comme un fasciste. C’est ce qu’ils ont fait à Donald Trump, et aussi frauduleux que cela puisse être, le mensonge répétitif s’est installé. (Des nuances de Joseph Goebbels) Trump est beaucoup de choses, mais fasciste n’en fait pas partie.

Lénine, Staline, Hitler et Mao n’ont pas eu leur pareil pour assassiner leur propre peuple et les peuples européens, même si d’autres ont été tout aussi cruels et délibérés dans l’extinction de millions de personnes. 100 millions de personnes serait-il un chiffre proche de celui des personnes assassinées ? Peut-être, mais je parierais que c’est beaucoup plus.

Aujourd’hui, des totalitaires du monde entier sont impatients de réduire en esclavage les survivants de leur dernier massacre de dépeuplement. L’anéantissement de la création de Dieu a toujours été le but de ceux qui sont possédés par le mal. Leur excuse a toujours été que la population dépasserait la production de nourriture. Cependant, les progrès réalisés au fil du temps ont prouvé que c’était faux. Les objectifs d’aujourd’hui sont à la fois la dépopulation et la pénurie de nourriture, et ils veillent aux deux afin de réaliser leurs aspirations et leurs prédictions.

Forum économique mondial

Il n’y a pas de normalité chez ceux qui sont attirés par la conquête et la révolution mondiales. Les sympathisants sont attirés par les membres ordinaires et viennent grossir leurs rangs. Pensez à ceux du Parti républicain qui sont membres du Forum économique mondial. Vous voulez que j’en cite quelques-uns ? Elise Stefanik, Dan Crenshaw, Darrell Issa, Debra Fischer, Eric Holcomb, Michael McCaul, Pat Toomey, Roger Wicker et bien d’autres. Kevin McCarthy, qui n’aurait jamais dû être nommé président de la Chambre des représentants, assiste à toutes les réunions du FEM et a dîné avec Klaus Schwab. De nombreux politiciens du Parti démocrate stalinien sont également membres du FEM. Ce sont des traîtres à leur pays et des traîtres à leurs serments d’office.

Schwab et son principal conseiller, Yuval Noah Harari, sont les deux hommes qui conduisent actuellement les États-nations dans leur monde de domination dystopique complète sur les masses. Ils ont infiltré tous les gouvernements et ont réussi à amener les dirigeants gouvernementaux dans le giron du FEM. L’économie malthusienne de Schwab et Harari est tout droit sortie du manuel de la dépopulation de Maurice Strong. Strong, père du réchauffement climatique et de l’Agenda 21 des Nations unies, sans doute le plan le plus important et le plus secret pour la transformation du monde, était l’ami et le mentor de Klaus Schwab.

La durabilité et les villes à croissance intelligente sont maintenant partout aux États-Unis. Mais il existe des projets plus ambitieux. Le milliardaire américain Marc Lore a entrepris de construire une ville du futur qui incarne l’équité, la diversité et l’inclusion. Telosa City devrait être construite dans une région désertique des États-Unis, probablement l’Utah, et son coût est estimé à 400 milliards de dollars. Oui, toujours le même plan : nous entasser tous dans une zone urbaine pour vivre ensemble dans ce qu’ils croient être une utopie. Voici le plan :

America’s INSANE New City Of The Future

Dans cet article, Mastering the Future : The Megalomaniacal Ambitions of the WEF, Michael Rectenwald écrit :

« De peur que nous n’imaginions que le FEM et ses réunions ne représentent que les délires grandioses de quelques clowns inefficaces, il convient de noter que le “capitalisme des parties prenantes” du FEM — introduit en 1971 par Klaus Schwab, le fondateur et président du FEM, dans Modern Enterprise Management in Mechanical Engineering a été adopté par l’ONU, par la plupart des banques centrales, ainsi que par les principales entreprises, banques commerciales et gestionnaires d’actifs du monde. Le capitalisme des parties prenantes est désormais considéré comme le modus operandi du système économique mondial. »

L’agriculture, le changement climatique, la durabilité, la crise alimentaire, l’approvisionnement en eau, les crises économiques, les catastrophes naturelles, les virus et tout ce que Strong a exposé dans son tome de l’Agenda 21 de l’ONU font partie du plan du FEM pour dominer le monde et ses habitants.

Klaus Schwab explique (en anglais) l’agenda de la Grande Réinitialisation en 15 minutes.

[Voir aussi :
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
L’ONU et Davos veulent accélérer la mise en place de « l’Agenda 2030 »
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
But des Agendas 21 et 2030
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos]

Rectenwald termine son article par cette déclaration :

« En bref, avec l’agenda de Davos, nous sommes confrontés à une campagne concertée et coordonnée visant à démanteler les capacités de production dans les domaines de l’énergie, de la fabrication et de l’agriculture. Ce projet, dirigé par les élites et qui leur profite, équivaut au plus grand bond en arrière de l’histoire. S’il n’est pas arrêté et inversé, il conduira à un désastre économique, notamment à une réduction spectaculaire de la consommation et du niveau de vie. Et il entraînera presque certainement une augmentation de la faim dans le monde développé et des famines dans le monde en développement. Le président du FEM, Schwab, pourrait surpasser le président Mao. Si nous le laissons faire. » 

Ceux qui siègent au conseil d’administration de cette gigantesque abomination tyrannique et ce qu’ils ont prévu pour nous sont les mêmes acteurs qui s’y emploient depuis des décennies.

Le plan du Parti nazi

L’histoire du Parti nazi peut être racontée en termes de nouvelles formations au sein du mouvement, chacune devenant plus vicieuse et cruelle. Pensez au Nouvel Ordre Mondial, qui est devenu l’Agenda 21/2030 des Nations unies et qui est maintenant devenu la Grande Réinitialisation. Tous les objectifs sont les mêmes, mais le fait de changer les noms pour différentes générations empêche les gens de comprendre que, quel que soit le nom, nous sommes confrontés au même mal diabolique et qu’à chaque changement, les génocidaires deviennent plus maniaques. Ajoutez-y les principes du marxisme et du fascisme et vous aurez une image claire de ce à quoi l’humanité est confrontée.

Hannah Arendt explique dans son livre, Les Origines du totalitarisme (NDT : version anglaise), page 368 :

« Un autre avantage du schéma totalitaire est qu’il peut être répété indéfiniment et maintient l’organisation dans un état de fluidité qui lui permet d’inclure constamment de nouvelles couches et de définir de nouveaux degrés de militantisme.

« Les SA, les stormtroopers (fondés en 1922), ont été la première formation nazie censée être plus militante que le parti lui-même ; en 1926, les SS ont été fondés en tant que formation d’élite des SA ; après trois ans, les SS ont été séparés des SA et placés sous le commandement de Himmler ; il n’a fallu que quelques années supplémentaires à Himmler pour répéter le même jeu au sein des SS. »

Tous plus militants les uns que les autres, les SS ont d’abord créé les troupes de choc, puis les formations à tête de mort (unités de garde pour les camps de concentration) qui ont ensuite fusionné pour former la Waffen-SS, et enfin le bras exécutif de la « politique de population négative » et leur bureau des questions de race et de réinstallation. Soldiers of Destruction—SS Death Head Division, écrit par Charles Sydnor, Jr, donne au lecteur une image claire des atrocités et du mal perpétrés par la SS-Division Totenkopf.

Le mal mondial nous confronte à un nouveau titre et à une nouvelle menace, et cette fois, la majorité des gouvernements sont dans le coup, y compris les États-Unis.

Tout comme l’Ukrainien Zelensky.

Volodymyr Zelensky

Avant de devenir président de l’Ukraine, Zelensky était un comédien. On le voit dans une vidéo portant des talons hauts et faisant une danse gay érotique avec trois autres hommes. Et au cas où vous l’auriez oublié, voici Volodymyr Zelensky avec un ami, faisant semblant de jouer du piano avec son pénis.

Matériel présidentiel ? Je ne pense pas.

Jim Hoft du Gateway Pundit a récemment rapporté que les officiels ukrainiens ont gaspillé 100 milliards de dollars de l’Unipartisme américain en voitures de sport, manoirs, vacances de luxe, etc. L’argent de nos impôts au travail. En fait, c’est du papier sans valeur et sans aucune garantie. Notre président illégitime estime donc qu’il peut continuer à imprimer des dollars sans valeur et que les Américains paieront avec une inflation exorbitante.

L’Amérique a envoyé plus de 100 milliards de dollars à l’Ukraine, ainsi que des tonnes d’équipements militaires grâce à la reprise par Biden du Lend Lease Act de la Seconde Guerre mondiale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le marxiste Harry Hopkins, qualifié de co-président de FDR, vivait dans la chambre Lincoln de la Maison-Blanche. Il était en charge du programme de prêt-bail à la Russie.

Extrait du livre de Diana West, American Betrayal, chapitre 5 :

« Victor Kravchenko était un fonctionnaire soviétique qui a fait défection en Amérique. Il avait été au siège soviétique de Lend Lease à Washington. Après la guerre, il a témoigné devant le Congrès que l’opération soviétique Lend Lease dont il a fait défection et qui était située à seulement trois pâtés de maisons de la Maison-Blanche était la commission soviétique d’espionnage, de vol et de saccage. Ils ont réussi à voler le plus grand nombre possible de secrets industriels et militaires. »

Lien

La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré sans ambages, dans de nouvelles remarques, que les alliés occidentaux mènent une guerre contre la Russie. Les États-Unis et l’Allemagne ont déclaré qu’ils enverraient des chars à l’Ukraine. L’Allemagne envoie également trois bombardiers B2.

En décembre, Volodymyr Zelensky est devenu le premier dirigeant étranger en temps de guerre depuis Winston Churchill en décembre 1942 à s’adresser à une session conjointe du Congrès américain. Au moins, Sir Winston s’est présenté en costume, Zelensky a porté son sweat-shirt. Peut-être ne possède-t-il pas de costume, puisqu’il s’est présenté à Davos en tee-shirt. Pelosi a déposé un baiser sur la joue du fasciste.

L’Ukraine a remplacé le COVID. C’est un pays de corruption fasciste et les Bidens et ses copains, y compris les Républicains, ramassent le butin.

Les retraités ukrainiens qui sont arrivés aux États-Unis après le déclenchement de la guerre totale pourront recevoir la pension du Supplemental Security Income (SSI) du gouvernement. C’est ce qu’a annoncé l’Office of Refugee Resettlement du ministère américain de la Santé et des Services sociaux. Le SSI est une pension gouvernementale versée aux personnes à faible revenu âgées de plus de 65 ans et aux personnes handicapées. Lien

Financer des fascistes pendant que les Américains souffrent. Où est l’indignation ? !

Le bataillon fasciste Azov a été immédiatement intégré à l’armée ukrainienne par Zelensky. En fait, il a déclaré la même chose dans son interview il y a quelque temps sur Fox, mais sa déclaration a été supprimée. Apparemment, les médias ne veulent pas que nous sachions que nous finançons les descendants directs des nazis d’Hitler pour qu’ils combattent avec la Russie.

Zelensky est membre du FEM, et l’Ukraine possède déjà une forme de système de crédit social. Il a été rapporté l’année dernière qu’il avait suivi la Chine et combiné la surveillance des citoyens par le gouvernement et les entreprises. Ce système donne aux citoyens un « score » qui peut restreindre la capacité des individus à entreprendre des actions — comme l’achat de billets d’avion, l’acquisition de biens ou l’obtention de prêts — en raison de leurs comportements. Ce système est en cours d’élaboration pour fonctionner en Amérique.

Le colonel Douglas MacGregor nous dit que l’Ukraine est en train de regarder l’anéantissement en face :

Notre vie privée fait partie du passé, le quatrième amendement est foutu, tout comme le premier, et le deuxième est une cible de choix. La Déclaration des droits est en lambeaux, mais bien sûr, le dernier candidat à la magistrature nommé par Biden, ne pouvait même pas nommer un seul de nos dix droits garantis par Dieu. Duh !

La Russie de Poutine

À la fin du mois d’août 2022, la Russie avait détecté plus de 50 biolabs gérés par les États-Unis près de ses frontières, et elle prévoyait de présenter les preuves à l’Office des Nations unies à Genève au début du mois de septembre.

Vous vous souvenez de Victoria Nuland ? Elle était sous-secrétaire d’État aux affaires politiques et a témoigné devant une audience de la commission des affaires étrangères du Sénat sur l’Ukraine le 8 mars 2022 à Washington, DC. Elle a déclaré : « L’Ukraine a des “installations de recherche biologique”, elle craint que la Russie ne les saisisse. »

Le Pentagone a admis le jeudi 9 juin 2022 qu’il a exploité 46 biolabs en Ukraine manipulant des agents pathogènes dangereux, après avoir précédemment rejeté les accusations comme de la propagande russe.

Peut-être…

[Concernant les recherches en biolabs, voir :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et la vidéo suivante en anglais entre 2:54 et 14:26 :
Biotoxines]

Le 22 septembre 2022, Konstantin Kosachev, vice-président du Conseil de la Fédération, a déclaré que les biolabs gérés par le Pentagone en Ukraine poursuivent des objectifs militaires, prouvés par des preuves irréfutables.

Poutine n’est pas satisfait de ces armes biologiques du DoD près de sa frontière ni du fait que Zelensky voulait rejoindre l’OTAN qui engage ses membres à se défendre mutuellement.

Vladimir Poutine n’est pas Zelensky.

Le 23 juin 2007, Der Spiegel a publié une interview d’Alexandre Soljenitsyne. Alexandre s’était vu offrir un prix par Gorbatchev dans le passé, puis un prix par Eltsine. Les deux ont été refusés. Mais lorsqu’un prix lui a été proposé par Vladimir Poutine, il a accepté. Voici ce qu’il a déclaré dans cette interview :

En acceptant le prix, j’ai exprimé l’espoir que l’amère expérience russe, que j’ai étudiée et décrite toute ma vie, soit pour nous une leçon qui nous préserve de nouvelles ruptures désastreuses.

Vladimir Poutine — oui, il était un officier des services de renseignement, mais il n’était pas un enquêteur du KGB, ni le chef d’un camp du goulag. Quant au service dans les services de renseignement étrangers, il n’est négatif dans aucun pays — il attire même parfois les louanges. George Bush père n’a pas été beaucoup critiqué pour avoir été l’ancien chef de la CIA, par exemple.

Avant la mort d’Alexandre Soljenitsyne, Poutine l’a rencontré et Soljenitsyne a dit à Poutine ce qui devait être changé, plus de contrôle local, moins de contrôle central.

Le dirigeant russe a écouté. Soljenitsyne est mort le 3 août 2008, quelques mois avant son 90e anniversaire. Deux semaines plus tard seulement, il a été annoncé que la Grande Rue communiste de Moscou (ulitsa Bolshaya Kommunisticheskaya) allait être rebaptisée « rue Alexandre Soljenitsyne », un honneur accordé par décret personnel du président Poutine.

Joseph Pearce écrit ce qui suit dans son article Soljenitsyne et Poutine :

En octobre 2010, il a été annoncé que L’Archipel du Goulag deviendrait une lecture obligatoire pour tous les lycéens russes. Lors d’une rencontre avec la veuve de Soljenitsyne, Poutine a décrit L’Archipel du Goulag comme une « lecture essentielle ». « Sans la connaissance de ce livre, il nous manquerait une compréhension complète de notre pays et il nous serait difficile de penser à l’avenir. »

Que faut-il dire de plus ? Dans la Russie de Vladimir Poutine, le plus grand classique de la littérature anticommuniste est désormais une lecture obligatoire dans tous les lycées de la nation. Si l’on pouvait en dire autant des lycées des États-Unis, nous n’aurions pas l’ignorance historique et politique endémique qui a conduit à la sympathie généralisée pour le communisme chez les jeunes Américains. À la lumière de ce qui précède, et à la lumière de l’admiration évidente de Poutine pour Soljenitsyne, n’essayons pas de prétendre que la Russie est une nation communiste. Nous n’avons pas besoin d’aimer Vladimir Poutine. Nous n’avons pas besoin de l’admirer. Mais nous devons reconnaître que la Russie a tourné la page sur les maux du socialisme, alors que nous risquons d’embrasser ces mêmes maux.

Et pourtant, nos politiciens américains communistes/fascistes veulent faire de lui l’ennemi alors que nous finançons massivement le véritable adversaire.

Conclusion

Dans la deuxième partie, nous examinerons les plans à venir des oligarques dystopiques pour l’ensemble de l’humanité.

© 2023 Kelleigh Nelson — Tous droits réservés

E-Mail de Kelleigh Nelson : proverbs133@bellsouth.net




Macron et l’américanisation de la France

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Banquier d’affaires chez Rothschild(([1] https://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/quand-emmanuel-macron-etait-banquier-d-affaires-un-element-prometteur-mais-sans-plus_2171646.html)), Young Leader du Forum Économique Mondial (Forum de Davos)(([2] https://business-cool.com/decryptage/insolite/young-global-leaders/)), Macron suit le plan des mondialistes, pour cela depuis son élection en 2017 il n’a de cesse de saper tous les fondements de notre nation. La liste de ses méfaits serait fastidieuse, elle se résume en une formule « Tout pour la finance, rien pour le peuple qui pour être rentable doit être exploité. ». Pour ce faire il amène la France vers une gestion du pays à l’américaine où le capital a pris la main sur tous les rouages de l’économie. Regardez vers quoi il veut vous entraîner.

La protection sociale aux États-Unis

(Extrait d’un article d’Europusa(([3] https://www.europusa.com/vivre-aux-etats-unis/vie-personnelle-aux-usa/les-americains-et-vous/la-protection-sociale-aux-etats-unis/)) )

Les prestations sociales sont limitées au minimum aux États-Unis. Les charges sociales restent faibles par rapport à l’Europe. Cela représente un avantage important pour les employeurs et la flexibilité du marché du travail. Cependant, le bien-être des citoyens et leur protection sociale sont mis à l’épreuve.

Quelles différences du système de santé aux USA avec l’Europe ?

La protection sociale aux États-Unis est très différente de l’Europe. Les charges sociales sont très faibles, mais cela présente des inconvénients pour la protection sociale des citoyens en matière de couverture médicale, chômage, retraite, soins de longue durée et soins palliatifs. Les Américains doivent souvent payer pour des soins de santé et des retraites privés. En effet, les programmes publics sont très limités.

Comment fonctionne l’assurance santé aux États-Unis ?

Avant 65 ans, les Américains sont assurés par des assurances privées. Généralement, les prestations de santé et de retraite aux États-Unis sont principalement financées par les employeurs et les travailleurs, plutôt que par l’État. Les employeurs de plus de 50 employés sont tenus de fournir une assurance santé pour leurs employés. Cependant, ils peuvent choisir de ne pas le faire. Les travailleurs doivent contribuer à leur assurance santé et à leur retraite via des prélèvements sur leur salaire. Cela signifie que les personnes qui ne travaillent pas ou qui travaillent pour des employeurs qui ne fournissent pas d’assurance santé sont souvent sans couverture.

Est-ce qu’il existe un système de sécurité sociale aux USA ?

À partir de 65 ans, les Américains bénéficient d’un système de sécurité sociale tel que nous le connaissons en France. Il s’agit de Medicare. Cependant, Medicare ne couvre pas tous les frais de santé et les individus doivent toutefois souscrire une assurance complémentaire pour couvrir les coûts restants.

Comment fonctionne le chômage aux États-Unis ?

On peut pratiquement dire que le chômage n’existe pas dans ce pays. Si vous êtes licencié, vous toucherez des allocations chômage représentant 20 % à 40 % de votre salaire. La durée d’indemnisation ne peut pas durer plus de 6 mois. De plus, ces allocations sont souvent insuffisantes pour couvrir les dépenses de la vie de tous les jours. Il est donc important de rapidement retrouver un autre travail. Les travailleurs qui perdent leur emploi peuvent également être admissibles à des programmes de formation professionnelle pour les aider à se réinsérer dans le marché du travail.

Comment se porte le marché du travail aux USA ?

Le marché du travail est beaucoup plus flexible aux États-Unis. Les employeurs n’hésitent pas à embaucher quelqu’un pour « essayer » puisqu’ils peuvent en toute légalité le licencier du jour au lendemain, sans donner de motif. D’un côté, cette flexibilité est un avantage pour les employeurs. D’un autre, elle peut être source d’insécurité importante pour les travailleurs. Mais pas de panique, nous avons quelques conseils pour vous aider à trouver un emploi aux États-Unis.

Comment se passe la retraite aux États-Unis ?

La retraite est fixée à 65 ans aux États-Unis, mais beaucoup de personnes continuent d’exercer une activité au-delà. L’importance que représente le travail dans la vie sociale fait qu’il est difficile pour beaucoup d’Américains de s’arrêter si vite. Les prestations de retraite aux États-Unis ne sont pas garanties par le gouvernement comme cela peut être le cas dans d’autres pays. Les Américains doivent généralement compter sur des programmes comme la Sécurité Sociale et les plans de retraite privés pour lesquels ils peuvent avoir cotisé pendant leur carrière pour soutenir leur retraite.

Comment toucher une retraite plus avantageuse aux USA ?

Le dynamisme de l’économie de ces dernières années d’un côté et la courbe démographique en rétrécissement de l’autre crée une tension sur les retraites à payer. Les Américains ont donc trouvé une solution très pragmatique, comme toujours : si vous continuez à travailler jusqu’à 70 ans, vous toucherez tout simplement une retraite plus élevée !

Puis-je avoir une assurance santé aux États-Unis si j’ai un petit salaire ?

Certaines personnes peuvent être plus vulnérables que d’autres en termes de protection sociale aux États-Unis, comme les travailleurs à bas salaires, les personnes âgées et les personnes ayant des besoins médicaux spécifiques. Il existe cependant des programmes publics pour les personnes à faible revenu, tels que Medicaid et l’Obamacare. Ces programmes ont été créés pour aider les personnes qui ne peuvent pas se permettre une assurance privée. Ils ont amélioré l’accès aux soins de santé pour certains. Toutefois, ils restent limités et sont souvent sujets à des débats politiques. Aucun de ces fonds ne finance entièrement le coût des soins. Le programme prévoit le paiement d’une assurance, de frais déductibles ; mais l’individu devra en payer une grande partie de sa poche (out-of-pockets costs). D’autres programmes gouvernementaux, tels que Medicaid, aident au paiement de certains frais en association avec Medicare. Des programmes tels que Medigap permettent de combler la différence : toutefois, bien que ces assurances soient légalement fixées par le CMS, elles sont vendues et administrées par des entreprises privées.

Conclusion

Au cours de son histoire la République malgré ses erreurs avait amené le pays a un niveau de vie somme toute correct(([4] C’est que doivent penser en tous cas les migrants.)), Macron en financiarisant à outrance la gestion du pays(([5] Exemple de l’hôpital.
https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/sante-plus-de-4-300-lits-supprimes-dans-les-hopitaux-en-2021_5385343.html)), en suivant à la lettre les directives de ses maîtres, en les introduisant au cœur de l’État(([6] https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/01/26/intervention-du-president-emmanuel-macron-dans-le-cadre-de-lagenda-de-davos-organise-par-le-world-economic-forum)) fait écrouler en même pas deux mandats l’État français.

Quel sort va-t-on lui réserver ?

Notes