Dogma #22 — Vie et mort de la Communication

[Publication initiale : dogma.lu]

Vie et mort de la Communication
Comment « être » ensemble ?

Par Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

Les remarques — allant ici jusqu’au désaccord — n’empiètent pas notre volonté, à Dogma, de penser tout réel jusqu’au bout des « dogmes » ; car il s’agit moins de les dénoncer en soi (à la façon des « a priori » toujours posés cependant négativement par la Vulgate, même s’ils sont toujours vérifiés avant d’être éventuellement dépassés…) que de prendre acte de la réalité cumulative des résultats obtenus objectivement dans le domaine de la Connaissance ; ce qui se différencie des idéologies propres au domaine de l’Opinion qui sont plus liées à la flexion de la Croyance que celle du Doute au fondement de la démarche non seulement logique (si a alors b) mais également rationnelle (si alors b si et seulement si a peut se lier à b) ; d’où d’ailleurs le titre même de la revue « Dogma » soulignant l’ambivalence du « dogme » en ce sens où en l’absence d’un regard extérieur au résultat dit « acquis » les pesanteurs institutionnelles font que ce dernier sera considéré comme « clos » alors que de nouvelles découvertes peuvent non pas l’infirmer mais le repositionner dans l’espace conceptuel du réel concerné : Galilée n’infirme pas le lien entre la Terre et le Soleil, pas plus qu’Einstein celui de la présence gravitationnelle au niveau macro… […]

CONTENU :

VIE ET MORT DE LA COMMUNICATION. COMMENT « ÊTRE » ENSEMBLE ?
Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

LES FONDEMENTS DE LA COMMUNICATION
Par Joseph Stroberg

QUE NOUS « COMMUNIQUE » LA MALADIE ?
Par Raphaëlle Mira

TWITTER FILES, HISTOIRE D’UNE CONSPIRATION
Par comitecedif

AGAINST FLATTERY: CONSPIRING WITH GOD
by Dr. Marco Andreacchio

TIME AND ETERNITY
by James H. Cumming

L’ÉCOLOGIE TYRANNIQUE : DES ILLUSIONS AU CAUCHEMAR
Par Michel Gay

PHILOSOPHIE DES RELATIONS INTERNATIONALES II : (SUITE)
LA PHILOSOPHIE DE LA « PLURALITÉ DU MONDE » II
Par PhD David Cumin

SOURCES AS FUNDAMENTAL PILLARS OF SCIENCE
by Dr. Oleg Maltsev

SUICIDE ÉNERGÉTIQUE. ARTICLE L100-4
Version en vigueur depuis le 25 août 2021

RECENSION. ISRAËL/PALESTINE, DES CONSTRUCTIONS NATIONALES EN MIROIR
Par Dr. Lucien Samir Oulahbib

UN JUIF SUR LE MONT DU TEMPLE ET C’EST LA GUERRE
Par Liliane Messika




Gardasil Episode 7 : Entre mensonges et corruptions

[Source : aimsib.org]

Par La rédaction de l’AIMSIB

Il n’est pas de meilleure compagnie qui ne se quitte, provisoirement nous l’espérons, et Marceau nous livre ici le dernier opus de sa série concernant ce révoltant plan mondial de vaccination. Contre un risque qui n’a jamais été démontré, d’abord, avec un produit dont la toxicité féroce demeure toujours soigneusement camouflée, ensuite, et pour finir à un tarif flirtant avec les 400€ par enfant. Les « valises de biftons » (cf infra) parcourent le monde, les vigilances indépendantes s’évanouissent et le camp retranché tenu par les défenseurs des enfants va bientôt devoir nécessiter que des troupes fraîches prennent part au conflit. Politiciens, décideurs, journalistes, médecins, parents, la santé de nos enfants est clairement mise en danger par le culte du veau d’or de l’argent sale, aidez-nous, aidez-vous. À bientôt Marceau et merci. Bonne lecture.

𝟳ème et dernier épisode de la série consacrée au 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑎𝑠𝑖𝑙. Série qui pourrait être complétée en fonction de l’avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.

[Voir aussi :
Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus
Gardasil, un vaccin de moins en moins polémique et de moins en moins dangereux au fil du temps ?
Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?
Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?
Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel
Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans
Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil
Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons
Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité]

Récapitulatif des épisodes précédents

Rappelons (voir tous les épisodes 1-6) que le Gardasil est un vaccin développé par Merck pour la « prévention » des cancers causés par une famille de virus appelés les papillomavirus humains (PVH). La firme pharmaceutique a obtenu la mise sur le marché de ce vaccin par une procédure accélérée en juin 2006 avec des résultats d’essais cliniques trompeurs qui ont exagéré les avantages et largement sous-estimé les risques et les effets indésirables du vaccin.

Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques alarmistes, de fausses publicités et des lobbyistes politiques pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes avec le Gardasil.

Aujourd’hui, des milliers de filles qui ont reçu le vaccin Gardasil subissent de graves conséquences néfastes pour leur santé et des centaines sont décédées des suites de complications liées au vaccin dans le silence complice des autorités sanitaires.

L’infection virale à PVH est la maladie sexuellement transmissible la plus courante et la majorité des gens contracteront le PVH à un moment donné de leur vie. La plupart des cas de PVH sont entièrement bénins, mais s’ils ne sont pas traités, un très faible pourcentage de cas de PVH (<1%) chez les femmes peuvent éventuellement se transformer en cancer du col de l’utérus. La meilleure prévention étant donc le dépistage qui fonctionne très bien en France, alors pourquoi vouloir imposer ce vaccin ?

Parce que les lobbys de Merck poussent devant le risque de la fin de la poule aux œufs d’or avec les procès qui vont commencer aux USA ?

Une promotion aussi repoussante qu’efficace

Après la mort de plusieurs petites indiennes, Bill Gates veut à présent s’en prendre à nos enfants ! [1]

Le même Bill Gates – via l’OMS et Gavi – fait une priorité de cette vaccination de tous nos ados, pourquoi ? [2] [3]

Merck incite les politiques du monde entier à rendre ce vaccin obligatoire afin de ne plus être responsable des effets secondaires graves de ses injections comme nous l’avons montré dans les épisodes précédents. [4] [5]

Nous osons à peine évoquer la proposition de loi opportune du député Pierre MOREL À L’HUISSIER pour rendre la vaccination contre le PVH obligatoire.

Qu’est-ce qui a bien pu le pousser à pondre ce torchon le 15 novembre 2022 ? [6]

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Intéressant de parcourir quelques-unes des dernières actualités de son parcours… [7] [8] [9] [10] [11]

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Le 8 décembre dernier, le Président Macron et son ministre de la Santé Braun se disent eux aussi favorables à rendre ce produit obligatoire 🥶, ils ont été suivis le 10 décembre par le clip de propagande de la députée macroniste Prisca Thevenot aussitôt applaudie par un lobby LGBT+ (associé Renaissance), quelle est cette manie de systématiquement vouloir sexualiser les enfants et maintenant leur imposer cette vaccination ?

La vaccination obligatoire, techniquement ça change tout

De quoi se mêle-t-il ce lobby ? Fichez la paix à NOS enfants ! [12]

En cas d’obligation, les victimes devront alors prouver le lien entre leurs maladies et le Gardasil pour recevoir une compensation minable de l’état. Mais l’état français ne reconnait aucun lien entre la vaccination et les effets secondaires sans y être contraint une fois que d’autres pays reconnaissent ces liens.

Ce que sait faire le gouvernement français, c’est contraindre et étouffer les affaires ! Nous ne sommes que du bétail pour ces gens et Macron voudrait rendre ce produit obligatoire pour exonérer Merck de toute responsabilité ? Comment compte-t-il faire ? Demander à Sainte-Ursula de négocier des contrats à l’échelon européen avec Merck par SMS ?

Combien de personnalités politiques Merck a-t-il déjà corrompues pour leur faire voter l’obligation vaccinale pour le Gardasil ?

Comme démontré précédemment,

Merck a dissimulé des faits importants sur l’efficacité (ou l’absence d’efficacité) et la sécurité du Gardasil au cours du processus d’approbation accéléré. Merck n’a pas non plus effectué d’investigations et d’études médicales complètes et appropriées au cours des étapes de pré-approbation ou de post approbation. Les essais cliniques entrepris par Merck n’ont même pas examiné le potentiel du Gardasil pour prévenir le cancer, mais uniquement l’immunogénicité !

Ça ne vous rappelle rien ?! [13] [14]

Le CDC américain l’écrit lui-même sur son site : aucune corrélation entre immunogénicité et protection. Post-autorisation de mise sur le marché, ils disent que ces injections préviendraient des verrues cervicales, ce qui n’est pas un cancer ! Ces verrues se résorbent toutes seules sans traitement. [15]

Post-approbation ils ont fait des études bidon pour analyser si le Gardasil pouvait prévenir les conditions précurseurs potentielles (verrues, lésions) qui disparaissent seules dans >> 99% des cas sans conduire à des cancers !

Merck a ensuite soumis des données trompeuses suggérant que ces « conditions précurseurs » entraînent inexorablement le cancer, ce qui est FAUX !

La campagne marketing trompeuse de Merck et la corruption des politiques et autres ONG/lobbys pour rendre la vaccination Gardasil obligatoire.

Avant et après l’approbation du Gardasil, Merck s’est engagé dans des tactiques de marketing sans scrupule conçues pour surestimer à la fois les risques associés au PVH et la prétendue efficacité de Gardasil afin d’effrayer le public et de l’amener à accepter des vaccinations de masse des adolescents.

Avant le Gardasil, il n’y avait pas d’urgence de santé publique contre le PVH aux États-Unis et dans d’autres pays comme la France, et peu de femmes avaient même entendu parler du PVH. Il y avait donc peu ou pas de demande pour un vaccin contre le PVH.

Parenthèse : c’est comme pour la propagande cette année au sujet des VRS (Virus Respiratoires Syncytiaux) qui étaient jusque-là de simples virus respiratoires hivernaux donnant des symptômes grippaux avec comme traitement du doliprane et de l’amoxicilline. Cette année ils sont subitement devenus terribles avec un nom « VRS » dont l’écrasante majorité des français n’a jamais entendu parler auparavant. Et rupture de l’antibiotique amoxicilline pour que les gens, surtout les enfants, morflent bien. Pourquoi ? Car Pfizer arrive l’an prochain avec le vaccin contre les VRS. Les mêmes gens se souviendront des 10 jours cloués au lit et de leurs enfants au tapis toussant dans la douleur à cause de ces méchants « VRS » et ils iront courir se faire vacciner sans faire le lien. Fermons la parenthèse !

Afin d’assurer le succès financier de son nouveau « Saint Graal », Merck a précédé le déploiement du Gardasil par des années de marketing coûteux de « sensibilisation à la maladie » du PVH.

Sans parler des lobbys et de la corruption des politiques dans tous les pays développés, poussant initialement au remboursement accéléré de ce vaccin et à des campagnes agressives de culpabilisation pour pousser les parents à vacciner leurs filles dans un premier temps puis tous les ados, sans aucun fondement scientifique. [16]

En plus de sa campagne publicitaire agressive et culpabilisante pour les parents, Merck a également utilisé des lobbyistes politiques et des incitations financières pour essayer de convaincre les législatures des États américains (pareil dans d’autres pays) à rendre le vaccin Gardasil obligatoire.

À partir de 2004, Merck a injecté des millions de dollars dans des organisations de lobbying politique telles que Women in Government et NACCHO aux USA. Ces organisations ont alors commencé à pousser agressivement les législateurs à travers le pays pour rendre obligatoires les vaccins Gardasil pour toutes les filles américaines.

Merck a complété ces lobbyistes rémunérés par des contributions aux campagnes politiques et des millions en financement direct aux services de santé des États.

Entre 2012 et 2018, Merck a directement acheminé 92 millions de dollars au ministère de la Santé du Maryland pour la promotion des vaccins Gardasil dans les écoles publiques. Ce financement a essentiellement servi à payer les responsables scolaires pour tromper les élèves et les parents en leur faisant croire que la vaccination Gardasil était obligatoire alors qu’elle ne l’était pas ! En Europe et en France vous pensez une seule seconde qu’ils n’ont pas opéré de la même manière ?

Merck a fait pression sur tous les politiques avec ses lobbys pour faire progresser l’utilisation des vaccins Gardasil.

Merck irait même plus loin et présenterait son programme aux politiciens au pouvoir pour placer son produit dans une position favorable. La société pharmaceutique a dépensé des millions de dollars en incitations financières, en contributions de campagne et en financement direct aux politiciens et aux institutions de l’État avec le pouvoir d’offrir le Gardasil au plus grand nombre d’enfants possible et de présenter leur produit comme une étape nécessaire pour arrêter un problème qu’ils ont dépeint comme plus grave que la réalité.

Aux USA, face à la révolte des parents, des médecins et des associations de consommateurs, Merck a promis d’arrêter ses campagnes de lobbying agressives pour faire passer des lois d’obligation vaccinale pour les pré-adolescentes. [17] [18]

Mais qui peut leur faire confiance ? Qui pour vérifier ce qui se déroule dans les couloirs des parlements à travers le monde ou dans les bureaux des chefs d’États ?

En effet, dès 2014, d’un seul coup et en chœur les parlementaires de tous les pays européens ont poussé le Gardasil dans leurs pays respectifs. Le Président Hollande inclura le Gardasil comme arme dans son plan cancer 2014-2019 en visant 60% de vaccination des adolescentes. [19]

Le ministre de la Santé Xavier Bertrand avait validé le Gardasil et son remboursement avant même que les autorités de santé françaises ne se soient prononcées ! Regardez cette vidéo de France 5 jusqu’au bout et enregistrez-la pour les batailles à venir. Regardez les parlementaires plaider pour le Gardasil dans leur pays respectif, et les mains de Xavier Bertrand trembler après avoir fait son annonce devant le parlement. Regardez son expression corporelle ! Il n’est pas à son aise. [20]

Quelle est la probabilité que tout ceci ne se passe en même temps sans la pression des lobbys de Merck ? Combien ces parlementaires ont-ils été payés ?

Combien de valises de « biftons » comme a dit lui-même le PGD de Merck ?

https://web.archive.org/web/20130614114735/http://www.liberation.fr/economie/06014396-le-laboratoire-merck-et-les-valises-de-biftons [21]

Agnès Buzyn aussi a envisagé de le rendre obligatoire en 2018 avec les autres 11 vaccins mais, devant la mauvaise presse de ce produit, elle a reculé et aujourd’hui Macron voudrait le rendre obligatoire « quand tout cela sera installé… » ?

Combien ces gens ont-ils été payés pour mettre la vie de nos enfants en jeu ?

COMBIEN ????!!! [22]

En 2019 des voix s’élèvent contre la corruption par les labos poussant ce vaccin et demandent un moratoire [23] :

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Et ce produit qui est considéré comme le vaccin le plus dangereux avant les injections COVID-19 est aussi le plus cher jamais approuvé :

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Le Cervarix, vaccin bivalent de GSK contre 2 souches du papillomavirus, est la même daube ! [24] Une fois que le Gardasil a été approuvé pour les préadolescentes, Merck a lancé une campagne de propagande agressive visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n’ont pas vacciné leurs filles avec le Gardasil. La campagne de Merck impliquait que les « bons parents » vaccinent leurs enfants avec le Gardasil. [25]

Au cours de ces efforts de marketing agressif, Merck a frauduleusement dissimulé les risques et les dangers connus du vaccin contre le PVH tout en exagérant son efficacité. Merck a commercialisé le Gardasil avec la campagne la plus agressive jamais montée pour promouvoir un vaccin, dépensant plus en publicité Gardasil que toute autre campagne publicitaire de vaccin précédente. (voir extrait à partir de 15 min 40 sec dans la vidéo) [26]

Au passage, la même émission de France 5 « Le magazine de la santé » présentée par Marina Carrère d’Encausse diffusait ce documentaire en 2014-2015 mais aujourd’hui, c’est devenu impossible, les mêmes personnes servent la propagande… [27]

La publicité de Merck laissait entendre que vous étiez un mauvais parent si vous ne vacciniez pas votre enfant avec le Gardasil pour le protéger contre le cancer.

Ce que la publicité a laissé de côté, c’est qu’il n’y a pas une seule étude pour soutenir l’affirmation de Merck selon laquelle le Gardasil prévient certains types de cancer.

Au contraire, des études ont montré que le Gardasil pourrait être plus susceptible de provoquer le cancer que de le prévenir (voir épisode 6).

« Merck sait que s’ils divulguaient la vérité sur le potentiel du Gardasil à provoquer des réactions indésirables graves et des maladies horribles, y compris des maladies auto-immunes, et la mort de certains receveurs, personne ne recevrait le vaccin », Merck a profité de milliards en faisant peur aux parents et en cachant les faits. [28]

L’inquiétude concernant la sécurité du Gardasil augmente

Au fil des ans, les parents sont devenus de plus en plus préoccupés par la sécurité du Gardasil. Selon une enquête de 2021, 23 % des parents qui ont refusé la vaccination contre le PVH pour leur enfant en 2018 ont fait part de préoccupations concernant la sécurité, contre 13 % en 2015. [29] Normalement, les médicaments deviennent plus acceptés au fil du temps à mesure que leur innocuité est démontrée dans le monde réel. Ce n’est pourtant pas le cas avec le Gardasil, ce qui pourrait être une indication que de plus en plus de gens connaissent ou ont entendu parler de jeunes souffrant de problèmes graves.

Tout comme lesdits « vaccins » COVID-19 ! [30]

L’innocuité d’un vaccin comme le Gardasil devrait être totale car il est administré à des enfants et des adolescents en parfaite santé dont le risque futur de mourir d’un cancer du col de l’utérus est nul au moment où il est administré, et seulement 2,2 pour 100 000 à l’âge de 58 ans sans dépistage et sans traitement.

Merck a donc promis aux régulateurs, aux pédiatres et au public que les inoculations administrées aux filles de 9 à 12 ans conféreraient une immunité contre un cancer relativement rare qui ne tue généralement pas avant l’âge de 58 ans !

De plus, il convient de noter que les facteurs de risque d’infection au PVH chez les jeunes femmes sont [31] [32] :

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Alors, considérant que les principaux facteurs de risque sont des choix de comportements modifiables, ne serait-il pas plus logique d’éduquer les jeunes femmes et hommes aux risques et comment les éviter, plutôt que de vouloir rendre ce vaccin obligatoire et décréter les capotes gratuites dès 15 ans pour les inciter à faire EXACTEMENT l’inverse de la prévention ???

Il existe également de nombreuses preuves montrant que les frottis vaginaux peu coûteux sont le moyen le plus efficace d’identifier une infection au PVH et, en la traitant, d’empêcher qu’elle ne se transforme en cancer.

Ancien employé de Merck, la société américaine qui a développé le Gardasil, le Dr Bernard Dalbergue a affirmé dans une interview accordée en 2014 au magazine français Principes de Santé, que le médicament avait été mis sur le marché trop rapidement, et le qualifie de « conte de fées médical ». Il a déclaré que le vaccin ne faisait rien pour prévenir le cancer du col de l’utérus et que « les très nombreux effets indésirables détruisaient des vies et même tuaient », mais que son approbation hâtive du financement aux États-Unis et en Europe était motivée par les marges bénéficiaires des fabricants.

Il a déclaré que Gardasil « sera le plus grand scandale médical de tous les temps », mais ça c’était avant les injections COVID-19 ! Le Dr Dalbergue n’est pas anti-vaccins. [33] [34] [35] [36]

Conclusion provisoire

La série Gardasil se termine donc et je ne doute pas qu’avec ces informations vous ne ferez pas vacciner vos ados. Il faut faire circuler et éduquer le grand public pour faire bloc contre Macron quand il viendra avec cette aberration d’obligation vaccinale.

Pour finir jetons à nouveau un œil sur l’état du compteur des amendes auxquelles Merck a déjà été condamné depuis 2000…

10 467 160 581 $ [37]

Dix milliards quatre-cent-soixante-sept millions cent- soixante mille cinq-cent-quatre-vingt-un dollars

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Et n’hésitons pas à relire la fabuleuse histoire de la contribution de Merck au sabordage organisé de l’ivermectine dès début 2021. [38]

Voici également un ouvrage qui m’a été conseillé [39] :

Hasard du calendrier, en sortant de consultation chez la pédiatre avec ma fille, je me suis rendu compte qu’elle avait rajouté sur l’ordonnance en plus de la vitamine D annuelle le fameux sérum, alors même que je venais aimablement de décliner sa proposition… !

Marceau
Mars 2023

Pour revenir au premier épisode:

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

Notes et références :




Dr Andy Kaufman — COVID 19(84) — La SImulation Informatique mise à nu

[Source : Vidéos du net]






Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

[NDLR Le terme plus approprié qu’adrénochrome mentionné par Alain Escada est la parabiose hétérochromique]




La loterie des lots pourris, le talon d’Achille de Big Pharma

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Chers lecteurs,

la raison pour laquelle j’ai publié un dossier sur la qualité des vaccins Covid dans le numéro de mars de Néosanté, c’est parce qu’en réalité c’est LE talon d’Achille de Big Pharma.

Vous vous souvenez certainement de la légende d’Achille le célèbre guerrier de la mythologie grecque que sa mère avait plongé dans le Styx, le fleuve des enfers, afin de le rendre invulnérable. On a parfois l’impression qu’avec Big Pharma, c’est la même chose. Ils sont intouchables, ils ont pris un bain complet d’immunité juridique, médiatique et politique. On est dans l’univers du mythe, personne ne peut toucher à la vaccination qui a « sauvé des millions de vie ».

Et pourtant… Achille avait un point faible, ce fameux talon par lequel sa mère le tenait en le plongeant dans le fleuve, et qui fut sa perte, lorsque Pâris tira précisément sa flèche à cet endroit-là. Et bien, je prétends que Big Pharma aussi a son talon d’Achille, et c’est la qualité des vaccins.

1. Pro-vax ou anti-vax, tout le monde s’accorde sur l’importance de la qualité des vaccins

Il y a trois raisons qui me font penser cela. Tout d’abord, c’est un sujet sur lequel tout le monde peut tomber d’accord. Peu importe que l’on soit pour ou contre les vaccins, il y aura unanimité pour dire que ces fioles ne doivent contenir ni plus, ni moins que ce qu’elles sont censées contenir et qui est marqué sur la notice. Sinon, c’est de la fraude et on met la vie des gens en danger. C’est comme cela pour n’importe quel autre produit. Le chocolat doit contenir un certain pourcentage de cacao, la viande ne doit pas être périmée, le lait ne doit pas être contaminé de bactéries. Il y a des inspecteurs qui font des contrôles « au hasard » dans les points de vente, et lorsqu’il y a un problème, on rappelle le produit, on suspend tout immédiatement.

Idem pour les vaccins, non ?

Non.

2. Pour la qualité, Pharma garde sa responsabilité

La deuxième raison pour penser que la qualité est le point faible de l’industrie du vaccin est que juridiquement, c’est à peu près le seul cas où Big Pharma reste responsable. Si vous avez vu le film 1986 the Act : quand Pharma fait la loi, vous savez qu’aux États-Unis, tous les procès liés à des dommages vaccinaux sont sortis du circuit normal de la justice. Ils sont d’office traités par un tribunal administratif spécial affecté à la vaccination, qui a un mode de fonctionnement inique et dont l’objectif est évidemment d’indemniser le moins de victimes possible. De par ce système, l’industrie est exemptée de toute responsabilité légale depuis des décennies (discussion sur ce film avec Marc Daoud de Nexus). Chez nous, cela se passe toujours dans le circuit judiciaire normal, en responsabilité civile, mais dans la pratique, les procès traînent parfois 20 ans, « la science » ne permet jamais de conclure à un lien de causalité et les victimes restent sur le carreau. En fait, la seule chose qui est de la responsabilité directe du fabricant, que ce soit aux États-Unis ou en Europe, c’est de livrer un produit conforme à ce qu’il a annoncé dans les dossiers d’autorisation de mise sur le marché, et ce pour chaque lot.

3. Il y a incontestablement des lots pourris et non conformes en circulation

Depuis le début de la vaccination, le lot pourri ou « hot lot » est la terreur des producteurs, au point qu’aux États-Unis, après avoir eu quelques expériences qui ont failli coûter cher à l’industrie, celle-ci a décidé de régler le problème en séparant les lots pour les distribuer aux quatre coins du territoire, afin d’éviter qu’un lot problème ne soit trop voyant. (voir film 1986 The act). Car, si 20 personnes tombent raides après une vaccination dans la même ville, l’on s’apercevra de suite qu’il y a un mauvais lot, et plus personne ne voudra se faire vacciner. Tandis que s’il n’y a qu’une personne dans 20 états, on a beaucoup moins de chance de voir un « signal » indiquant que l’on est tombé sur un lot pourri. L’on pourra éventuellement le détecter dans une base de données, mais peu risquent de s’en apercevoir.

L’on objectera que c’était « avant », mais qu’aujourd’hui cela a bien changé et, comme me dit une connaissance qui travaillé dans l’industrie du vaccin « tu n’imagines pas le nombre de contrôles »… » stricts », « rigoureux », etc., je veux bien le croire, mais ces contrôles « stricts » portent sur un nombre de paramètres limité.

Je maintiens : la qualité des lots pose problème. On peut y trouver toutes sortes de contaminations ou de pollutions, et les principes actifs se dégradent facilement avec la température.

C’est un sujet auquel j’ai déjà consacré plusieurs articles (Nexus 121) avant la vaccination Covid, principalement à partir des analyses indépendantes sur les vaccins pédiatriques, effectuées par l’association italienne Corvelva.

Connues sous le nom de « Vaccinegate » les résultats des analyses toxicologiques, metagénomiques et microscopiques (nanoparticules) publiés par Corvelva avaient montré que la plupart des lots diffèrent et que de nombreux vaccins sont non-conformes ou « sales » : pollutions avec des nanoparticules métalliques, traces de pesticides ou de médicaments (amphétamines, antibiotiques, antiépileptiques), contamination par des virus et de l’ADN, et aussi incroyable que cela puisse paraître dans quelques cas, l’on ne retrouvait pas l’agent pathogène en quantité suffisante (dans ce cas inutile de vacciner si l’agent actif ne s’y trouve pas).

Au minimum, l’on peut parler de grave négligence, car ces anomalies peuvent être dangereuses pour la santé. Avec d’autres produits, il y aurait un rappel, une inspection, un retrait du marché. Ici, l’on temporise ou l’on censure. L’on ne peut pas affirmer qu’il y ait eu une intention de nuire et que l’on y aurait mis volontairement des crasses. En revanche, il y a un silence et une inaction coupables, car toutes les compagnies pharmaceutiques et toutes les agences de santé ont été notifiées et, après plusieurs années de déboire devant les tribunaux, le gouvernement refuse toujours d’effectuer les analyses ordonnées par les tribunaux afin de vérifier ou d’infirmer les résultats présentés.

À mon humble avis, avant le Covid, il y avait déjà de quoi mettre la clé sous la porte des usines à vaccins. En attendant, il y a plus urgent que les « bons vieux vaccins à l’ancienne ». En effet, il semble qu’avec les lots de vaccins Covid, l’on passe réellement à la vitesse supérieure.

4. La loterie des vaccins Covid : pas de pot pour ceux qui tombent sur le mauvais lot !

Tout le monde aura été étonné d’entendre certaines personnes se plaindre des effets épouvantables qu’elles ont éprouvés suite à une ou plusieurs injections Covid, alors que d’autres n’ont vraiment absolument rien eu. Évidemment, il peut y avoir de multiples raisons pour cela, mais une des hypothèses à considérer c’est qu’on ne leur pas injecté la même chose…

Aux États-Unis, la base de données VAERS qui enregistre les évènements indésirables suivant une vaccination fait mention du numéro de lot (ce n’est pas le cas en Europe). C’est grâce à cela que des chercheurs indépendants ont pu informer le public en répertoriant les effets et les décès par lots des vaccins Covid sur le site How Bad Is My Batch. L’on constate d’ailleurs un très grand intérêt du public pour cette question, puisqu’au moment d’écrire cet article, leur compteur affiche pas moins de 112 035 225 visites !

Voici ce qui devrait convaincre tout le monde de cesser immédiatement ces campagnes de vaccination :

* De toute évidence certains lots sont beaucoup plus toxiques que d’autres.

* Les lots toxiques ont un étiquetage spécifique dans des séries qui se suivent. La présence de séries de lots différents ne peut donc pas être un hasard. Des produits différents ont été fabriqués à différents moments.

Il est IMPÉRATIF DE RÉFLÉCHIR À TOUT CE QUE CES DEUX CONSTATS IMPLIQUENT.

Voici quelques exemples qui ont été relevés :

Lots Pfizer

X représente le nombre d’effets indésirables et Y les numéros de lots.

Lorsque les codes de lots Pfizer sont classés par ordre alphanumérique le long de l’axe des x, le schéma suivant apparaît —

Comme vous pouvez le constater, les lots sont classés par ordre alphanumérique dans des fourchettes de toxicité spécifiques. Et ces fourchettes diminuent linéairement à mesure que l’on monte dans l’alphabet, de telle sorte que —

EN > EP EP > ER ER > EW

FA > FC FC > FD FD > FE FE > FH

On peut débattre de la question de savoir si cela est délibéré ou non ; en tout cas, cela semble délibéré — et les scientifiques ont l’habitude d’étiqueter soigneusement chaque condition expérimentale afin d’en surveiller et d’en enregistrer les effets. Il se pourrait bien que des lots de toxicité variable aient été soigneusement étiquetés et testés sur le public, produisant différentes gammes de réactions indésirables. Par exemple :

La série EN de Pfizer (turquoise)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EN en turquoise. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots avec 2000 à 3000 effets indésirables chacun — mais en dessous de ce groupe il y a un grand vide, et enfin il y a un grand nombre de lots EN très proches de l’axe des x.

Un examen approfondi révèle que 12 lots se situent dans la fourchette 2000-3000. Ensuite, il y a 678 lots dans la fourchette 1-37 — et rien entre les deux. Examinez les données ci-dessous pour la série EN. La chute soudaine de 2000 à 37 est remarquable. Ce modèle de variation de la toxicité ne semble pas aléatoire, car s’il l’était, nous nous attendrions à une gradation avec des nuances de toxicité entre le haut et le bas.

L’impression de non aléatoire est renforcée par l’observation que tous les lots de l’intervalle 2000-3000 ont les codes de lot suivants —

EN6198 EN6199

EN6200 EN6201 EN6202 EN6203 EN6204 EN6205 EN6206 EN6207 EN6208

Les codes des lots se suivent dans une série mathématique parfaite. C’est comme si ces lots supertoxiques avaient été soigneusement étiquetés, afin que leurs effets puissent être suivis et enregistrés. Nous avons ici 12 lots — chacun produisant 100 fois plus d’effets indésirables que les autres lots — aucun d’entre eux n’a été rappelé par Pfizer — Pfizer a permis que ces lots soient déployés l’un après l’autre.

Le même phénomène se produit avec les séries EO, ER et EW.

La série EW de Pfizer (vert)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EW en vert. Vous verrez qu’il y a un groupe de 30 lots produisant entre 2500 et 1200 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il n’y a que 3 lots produisant 100 à 300 déclarations d’effets indésirables, puis tous les lots restants produisent moins de 22 déclarations d’effets indésirables.

Il semble évident que 30 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 30 lots sont les suivants : —

EW0150 EW0151 EW0153 EW0158

EW0161 EW0162 EW0164 EW0165 EW0167 EW0168 EW0169

EW0170 EW0171 EW0172 EW0173 EW0175 EW0176 EW0177 EW0178 EW0179

EW0180 EW0181 EW0182 EW0183 EW0185 EW0186 EW0187

EW0191 EW0196 EW0198

EW0202 EW0217

Les codes des lots super toxiques font tous partie d’une série mathématique continue.

La éérie ER de Pfizer (jaune)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série ER en jaune. Vous verrez qu’il y a un groupe de 11 lots produisant entre 1570 et 3337 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, tous les lots restants produisent 22 déclarations d’effets indésirables ou moins.

Il semble évident que 11 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 11 lots sont —

ER8727 ER8729 ER8730 ER8731 ER8732 ER8733 ER8734 ER8735 ER8736 ER8737

ER2613

Tous les codes de ces lots super-toxiques font partie d’une série mathématique continue.

Série EL de Pfizer (bleu marine)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EL en bleu marine. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots produisant entre 1169 et 2675 rapports d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il y a une chute rapide et soudaine des effets indésirables.

Les lots les plus toxiques de la série EL ont souvent des codes de lot qui font partie d’une série mathématique.

EL0140 EL0142

EL1283 EL1284

EL3246 EL3247 EL3248 EL3249

EL3302

EL8982

EL9261. EL9262. EL9263. EL926 EL9265. EL9266. EL9267. EL9269

Les codes de ces lots super-toxiques font partie de séries mathématiques continues.

5. Coup de bol ou placébo ?

Qu’est-ce qui peut expliquer cette variation du genre « tout ou rien » ?

Selon Craig Paardekooper, la raison des lots super toxiques pourrait correspondre à une expérience à grande échelle entre des lots « biologiquement actifs » et des placébos.

En s’intéressant à la liste de dates d’expiration des lots publiée sur le site du CDC. — CDC Expiry List and Biologically Active Lots (Liste d’expiration du CDC et lots biologiquement actifs) le chercheur et a fait une observation assez surprenante, à savoir que l’on n’y retrouve pas tous les numéros de lots apparaissant dans la banque de données VAERS, mais principalement les lots toxiques ou qui seraient « biologiquement actifs ».

Voici sa démarche :

« Le CDC publie une liste de tous les lots fabriqués avec les dates de péremption. Une liste complète est publiée en annexe. J’ai émis l’hypothèse que la liste de péremption était une liste des lots biologiquement actifs parce que seuls les lots biologiquement actifs sont dangereux une fois périmés. Le sérum physiologique se périme, mais sur une période beaucoup plus longue, et ne présente qu’un risque minime (certains affirment même que le sérum physiologique ne se périme pas). Seuls les lots biologiquement actifs auraient été fabriqués par Pfizer, Moderna, etc.. Les services d’une société pharmaceutique très coûteuse n’auraient pas été nécessaires pour fabriquer du sérum physiologique inerte.

Sur la base de ces deux raisons, j’ai supposé que la liste de péremption était une liste définitive des lots biologiquement actifs.

Mon objectif dans cette étude était donc d’examiner la base de données VAERS afin d’identifier les lots ayant les effets biologiques les plus importants et de voir si ces lots correspondaient à ceux figurant sur la liste de péremption du CDC.

Mon hypothèse était qu’il y aurait une forte correspondance.

La méthode

J’ai utilisé la base de données VAERS pour les États-Unis uniquement et pour l’année 2021. J’ai compté le nombre de rapports d’effets indésirables, de décès, d’invalidités et de maladies mettant la vie en danger associés à chaque code de lot Pfizer, puis j’ai classé les lots en fonction du nombre le plus élevé d’effets indésirables.

Résultats

Voici un gros plan de la série EK de Pfizer dans les données VAERS.

Les lots biologiquement actifs (avec le plus d’effets secondaires graves) semblent être EK9231, EK5730 et EK4176. La liste d’expiration de lots du CDC ne mentionne que 4 lots EK. 3 correspondent, l’on n’a pas de trace du 4e.

EK4176

EK4244

EK5730

EK9231

Voici la série EL

Sur la liste d’expiration des lots du CDC les lots EL sont :

EL0140 EL0142 EL1283 EL1284 EL3246 EL3247 EL3248 EL3249 EL3302 EL8982 EL9261 EL9262 EL9263 EL9264

EL9265 EL9266 EL9267 EL9269

La correspondance est parfaite !

Toujours selon Paardekooper :

“Il se peut que les lots présentant peu d’effets indésirables constituent le groupe placebo/de contrôle. Il a été suggéré qu’il s’agissait simplement d’une erreur d’orthographe des lots hautement toxiques et qu’ils n’existaient donc pas vraiment. En d’autres termes, certaines personnes ont suggéré que tous les lots sont également toxiques et qu’il n’y a pas de placebos. Ils en concluent donc que les lots présentant un faible nombre d’effets indésirables ne sont que des erreurs d’orthographe des lots toxiques.

Afin d’examiner cette question, j’ai dressé une liste de tous les codes de lots présentant un faible nombre d’effets indésirables pour la série EL. Le format correct pour ces lots devrait être EL suivi de 4 chiffres. J’ai éliminé tous les codes de lots qui n’avaient pas ce format. Il me restait 360 codes de lots avec le format correct, mais simplement avec des effets indésirables faibles. Ces codes de lot se répartissaient également en séries mathématiques distinctes, et ces séries étaient très différentes des séries toxiques.

L’analyse des séries à faible toxicité révélera sans aucun doute une certaine systématisation des nombres et des gammes de ces lots. Les placebos, tout comme les lots biologiquement actifs, ne seraient pas distribués de manière aléatoire ou non planifiée.

Quels sont les risques de dommages ? 5 % des lots sont toxiques

La série EL comptait 18 lots hautement toxiques et 360 lots faiblement toxiques. Le rapport entre les mauvais lots et les bons lots est donc de 18 : 360, soit 1 : 20. Le maintien des mauvais lots à un niveau de 5 % les maintiendra juste sous le radar de la perception.

Si 1 lot sur 20 est toxique, et si chaque personne reçoit deux injections de vaccin par an, alors —

au bout d’un an, le risque de recevoir un lot toxique est de 1 sur 10

après 2 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 5

après 3 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 3.

Bien entendu, cela suppose que le pourcentage de lots super-toxiques reste constant à 5 %.

D’autres questions se posent évidemment : notamment quelle est la taille des différents lots et où ont-ils été expédiés ? À suivre dans un prochain article sur ce thème !

Et pour finir…

Ce qui m’inspire aujourd’hui

Prendre de la hauteur !

Fermer les yeux et se donner un moment de répit avant de continuer d’affronter ce monde en pleine métamorphose. Albatross m’est tout à coup revenu en mémoire, ce thème lancinant que l’on écoutait à l’âge ado pour s’évader dans l’imaginaire, d’autres lieux, une autre époque. Ce n’est pas très sophistiqué, mais ça fonctionne (en tous cas chez moi !) Ça fait du bien de se replonger dans une époque où nous avions au moins l’impression d’être libres 🙂




Les qualités extrêmement médicinales et enthéogéniques des tabacs (bios)

[Source : xochipelli.fr]

[Photo : Keystone/Jean-Christophe Bott]

[NDLR Un enthéogène est une substance psychotrope induisant un état modifié de conscience utilisée à des fins religieuses, spirituelles ou chamaniques. Il reste à déterminer si de tels états sont souhaitables sur le plan de l’équilibre psychologique et même dans une démarche spirituelle.]

[Note de Joseph : je ne suis pas fumeur, ne supporte pas l’odeur de fumée de tabac et ne possède pas d’actions dans les compagnies productrices de tabac. L’article est republié ici à titre informatif et de questionnement en raison de sa qualité.]

Par Xochi

Sommaire

  • Introduction
  • Nicotiana rustica
  • Emergence de Nicotiana rustica
  • Composants de Nicotiana rustica
  • Usages Traditionnels Médicinaux de Nicotiana rustica
  • Usages Traditionnels Enthéogéniques de Nicotiana rustica
  • Les Qualités Médicinales et Enthéogéniques des Rapés de Nicotiana rustica
  • dans la Forêt Amazonienne
  • Nicotiana tabacum
  • Emergence de Nicotiana tabacum
  • Aux Origines Historiques du Tabac Médicinal
  • Usages Médicinaux et Shamaniques Traditionnels de Nicotiana tabacum
  • Le Tabac: un Poison ou une Panacée?
  • Consommation de Tabac et Protection des Poumons
  • Consommation de Tabac et Protection des Poumons durant la Fausse Pandémie Covidienne
  • Propriétés anti-Microbiennes, Insecticides et de Phytorémédiation de Nicotiana tabacum
  • Les Alcaloïdes Pyridiniques des Tabacs
  • Les Qualités Médicinales de Nicotiana glutinosa
  • Les Qualités Médicinales de Nicotiana glauca

Introduction

L’objectif déclaré, et transparent, de ce présent essai, est de mettre en lumière que les diverses espèces de tabac — mais principalement Nicotiana rustica et Nicotiana tabacum — sont des plantes possédant des propriétés éminemment médicinales et enthéogéniques/visionnaires.

Durant la Grande Peste de Londres, en 1665/1666, les enfants fumaient du tabac pour se protéger les poumons — à l’instar des croque-morts. Pourquoi ?

En 1913, la Revue Médicale, « The Lancet », publia un article intitulé « The Germinal Properties of Tobacco Smoke ». Cet article mettait en exergue la destruction du Bacille du Choléra grâce à la fumée de tabac. Pourquoi ? [237]

En 2020, il n’y avait que très peu de fumeurs (environ 5 %) dans les hôpitaux de Chine, de France, des USA, d’Allemagne… accueillant les patients déclarés « Covidiens ». Pourquoi ?

Aujourd’hui, ce qui détruit et cancérise, physiquement, les Peuples de l’Humanité, ce n’est pas le tabac : ce sont les pollutions environnementales, générées par l’Industrie et l’Agriculture biocidaires, ainsi qu’une alimentation anti-nutritionnelle et, donc, empoisonnante — sans même évoquer le génocide permanent induit par les remèdes allopathiques et les vaccins de la Pharmacratie [233] — en France, sous la houlette de l’Académie Nationale du Génocide. [234]

Les campagnes hystériques antitabac sont à l’image des campagnes à l’encontre de la pandémie Covidienne inexistante ou du Réchauffement atmosphérique anthropique tout aussi inexistant.

D’ailleurs, selon le Wall Street Journal du 19 avril, l’administration de Biden, le squatter sénile de la Maison-Blanche, vient d’annoncer qu’elle considère de requérir des compagnies de tabac une baisse conséquente du taux de nicotine dans leurs cigarettes — conséquente au point de ne plus en contenir. [299]

Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations.

Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner — après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique — donna l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement païens, qui fut intitulé « Le Cours aux Agriculteurs » et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 — l’année de publication du « Précis de Chimie » de Justus Liebig-Möser.

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe française [219], nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes.

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5 HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité ».

Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem — celui-là même qui a impulsé toute la recherche israélienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 — qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes — ou endocannabinoïdes — lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine — une dénomination résolument védique ! [263]. Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant « joie, félicité suprême ». Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

Selon l’INSERM, :

« Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXe siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXe siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels”, car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ». [221]

Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation industrielle est archi-toxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité — tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les Autorités — sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes — ont criminalisé (aux USA, en 2015, une arrestation/cannabis toutes les 45 secondes !!!) [214) une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc., et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

D’ailleurs, alors que cet essai vient juste d’être publié, le squatter de l’Élysée — le Guide du Coviet Suprême — a décidé de lancer force répressions policières contre « la consommation de drogue » : « On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité… » [295] Sans plaisanter ? C’est le même Macron pour lequel, en juillet 2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022. [289] C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016, déclarait : « Cannabis : je crois que la légalisation a une forme d’efficacité ». [290]

Quitte à me répéter : l’affaire impliquant le grand voyou François Thierry — à savoir l’ex-patron de la Brigade des Stups — a-t-elle été classée sans suite ? Pour rappel : Ainsi que je le mentionnais, en passant, déjà, en 2019… Pendant que les petits dealers de banlieue moisissent dans les prisons sordides de l’État français, en attendant d’être multirécidiviste, François Thierry, l’ancien énarque et directeur de ce que l’on appelait, dans ma jeunesse, la Brigade des Stups, s’est fait gauler, le 17 octobre 2015, avec 7 tonnes de Haschich, [291] une substance non autorisée par la Convention Unique sur les Stupéfiants. Comme François Thierry est toujours en liberté non surveillée [292] , ainsi que certaines hautes magistrates impliquées — jusqu’au cou et jusqu’aux joints — on présuppose que cela frise la jurisprudence macroniste quant à la libéralisation, de facto, du Cannabis ! [293]

D’ailleurs, le 9 avril 2021, 18 policiers marseillais comparaissaient devant le tribunal [294] suite à l’affaire du haschich caché dans les faux plafonds de la BAC-Nord de Marseille ! Pourquoi, donc, ne pas légaliser, de suite, le trafic direct de Cannabis en Haschich, en provenance du clan royal du Maroc, et orchestré par la Haute Administration française — dont la mission réelle est de contrôler les Stupéfiants ? Cela ferait baisser les prix pour le lumpen prolétariat et la petite classe moyenne déjà affamés et intégralement ruinés par une année de confinement Covidien.

Pour rappel, aux USA, ce sont seulement 6 États sur 50 qui n’ont pas encore légalisé le Cannabis soit récréationnel, soit médical. Le Cannabis est, en effet, l’une des plantes médicinales maîtresses les plus thérapeutiques sur la planète.

Si, comme le prétend le Macron de service, « Sur le plan cognitif, les effets [du Cannabis] sont désastreux », alors, il est irresponsable et criminel, de la part du Sinistère de l’Edu/castration, et du Sinistère de la Culture, de continuer à promouvoir et enseigner, en France, les œuvres d’une pléthore d’artistes, d’écrivains, de poètes, de musiciens… — pour ne pas dire la grande majorité d’entre eux et d’entre elles — qui ne trouvèrent pas leur inspiration dans l’eau de source, mais, bien plutôt, dans l’opium, le cannabis, l’absinthe, les champignons magiques, etc., etc. Par exemple : Lewis Carroll, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Thomas de Quincey, William Burroughs, Antonin Artaud, Honoré de Balzac, Samuel Taylor Coleridge, Théophile Gautier, Honoré Daumier, Guillaume Apollinaire, Eugène Delacroix, Amedeo Clemente Modigliani, Gustave Flaubert, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso, Jean Cocteau, Victor Hugo, Fernand Boissard, Alphonse Karr, Hector Berlioz, Edgar Allan Poe, Lord Byron, Percy Shelley, John Keats, Francisco Goya, etc., etc.

De plus, afin de bien dénoncer l’excès d’hydrates de carbone, précisons qu’une étude, de 2016 — publiée dans le Journal Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention — a mis en exergue que plus le taux glycémique de l’alimentation est élevé, plus les risques de développer un cancer des poumons sont augmentés. En effet, ces chercheurs découvrirent qu’un taux glycémique élevé double, carrément, les risques de cancer pulmonaire. [223] [224]

C’est le Junk-Food Blues, le Blues du Gluten et du Sucre !

Une étude plus récente, de 2021 — publiée dans le Journal Lung Cancer — a mis en exergue que ce sont les hydrates de carbone provenant d’aliments excessivement processés et industriels (boissons gazeuses, pizzas, sucreries, croustilles, crèmes glacées, etc.) qui augmentent les risques de cancers pulmonaires. [225]

En France, selon les chiffres apportés par l’INSERM, ce sont environ 18 000 personnes qui meurent chaque année de bronchopneumopathie chronique obstructive — à savoir 50 décès par jour. En 2013, environ 145 000 personnes atteintes de formes sévères de cette pathologie ont bénéficié d’une oxygénothérapie de longue durée (associée ou non à un traitement par ventilation) — à savoir 400 personnes par jour.

En France, en 2019, avant le lancement de l’opération psychologique spéciale du CoqueVide/19, combien de patients ont-ils bénéficié, quotidiennement, d’une oxygénothérapie de longue durée ? À savoir, dans la discrétion la plus totale et non pas sous le feu des caméras de BFMTV, la chaîne de télévision d’Israël en France.

De plus, en France, selon les statistiques officielles, ce sont environ 33 000 personnes qui décèdent du cancer des poumons, tous les ans — à savoir 90 décès par jour. [228]

De plus, rappelons que ce sont 160 000 personnes qui décèdent annuellement de cancers en France — et les cancers ne sont pas tombés du ciel. [229]

Question : aujourd’hui, combien de ces personnes souffrant d’un cancer terminal des poumons, ou d’une bronchopneumopathie chronique obstructive terminale, sont accueillies, dans les hôpitaux, en service de réanimation oxygénée ?

D’ailleurs, ce sont l’Île-de-France et le Grand Est [227] qui ont été les plus médiatisés quant à l’impact supposé de la Covidette sur la population. Comme par hasard, ce sont, également, les deux régions de France les plus impactées par la bronchopneumopathie chronique obstructive. [226]

Autre question : Comment l’INSERM peut-il prétendre que les cancers des poumons chez les femmes sont en progression constante, en France, à cause de « l’augmentation de la consommation tabagique des femmes » [228] alors que, réellement, cette consommation est officiellement en baisse ? [235]

Pour rappel, en France — quotidiennement, à savoir tous les jours de chaque année, et ce, en progression — ce sont, ainsi, 140 personnes qui décèdent de cancer des poumons ou de bronchopneumopathie chronique obstructive. À savoir 51 000 personnes par an.

Décèdent-ils dans l’anonymat le plus total ou sous le feu des caméras des Médias corrompus tentant de terroriser les foules eu égard à une pandémie coronavirale inexistante ? Décèdent-ils avec ou sans certificat officiel de « décès Covidien » ?

À savoir, les 140 décès pulmonaires quotidiens en France — qui correspondent à 51 000 décès pulmonaires chaque année — ont-ils disparu des tableaux statistiques de l’INSEE pour être recyclés dans les fabulations de la Terreur Coronavirale estampillée d’État ?

La question essentielle qu’il faut se poser aujourd’hui : sur les milliers d’études « scientifiques et médicales » dont la fonction a été de « prouver » que le tabac est cancérigène, combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio, à savoir cultivé selon les méthodes de l’Agriculture biologique ? Combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio pur, à savoir sans addition de quelque 500 adjuvants, tous plus ou moins cancérigènes ?

La réponse est simple et limpide : aucune. Holy Smoke !

Et c’est d’autant plus grave, car le tabac est un bio-accumulateur, à savoir une plante extrêmement efficace pour pomper tous les polluants agricoles et industriels du sol — qui y demeurent, parfois, pendant des dizaines d’années.

Taxonomie des Tabacs

Le genre Nicotiana, dans la Famille des Solanacées, comprend, environ, 75 espèces — selon le Jardin Botanique de Kew en Angleterre. Toutes ces espèces sont originaires des trois Amériques et d’Australasie — sauf une espèce africaine qui est originaire de Namibie.

Avec 75 espèces, Nicotiana est le 6e genre de la Famille des Solanacées en termes du nombre d’espèces — après Solanum, Lycianthes, Cestrum, Physalis et Lycium.

Ces 75 espèces de Nicotiana sont réparties en 13 sections : Alatae, Nicotiana, Noctiflorae, Paniculatae, Petunioides, Polydicliae, Repandae, Rusticae, Suaveolentes, Sylvestres, Tomentosae, Trigonophyllae et Undulatae. [20]

La section Suaveolentes comprend 24 espèces, réparties en Australasie, et une seule espèce en Afrique — Nicotiana africana. Toutes les autres sections sont originaires des trois Amériques.

Aujourd’hui, les Tabacs sont cultivés principalement : soit pour la narcose, avec Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica ; soit pour des usages industriels, avec Nicotiana glauca et Nicotiana rustica ; soit pour le secteur des chimères génétiques pharmaceutiques et autres élucubrations criminelles (fabrication de vaccins, de remèdes et de protéines), avec Nicotiana tabacum, Nicotiana plumbaginifolia et Nicotiana benthamiana ; soit pour les jardins de fleurs colorées et parfumées, avec Nicotiana alata, Nicotiana sylvestris, Nicotiana langsdorfii et Nicotiana x sanderae – ce dernier étant un hybride interspécifique entre Nicotiana forgetiana et Nicotiana alata. Certaines jardineries et [certains] catalogues de semences proposent, également, Nicotiana knightiana, Nicotiana suaveolens et des hybrides interspécifiques impliquant Nicotiana alata et Nicotiana mutabilis.

C’est l’Association Kokopelli qui possède la plus belle collection, au monde, de Tabacs, en semences bios — principalement de variétés de Nicotiana tabacum — avec plus d’une centaine de références. Ce sont, bien évidemment, des variétés très anciennes qui sont originaires des Amériques latines, ou des pays orientaux, ou encore des types Burley ou Virginia originaires d’Amérique du Nord. Prenez-en de la graine ! [18]

La banque de semences du ministère de l’Agriculture, aux USA, accueille 1900 accessions de Nicotiana tabacum, 87 accessions de Nicotiana rustica, 137 accessions représentant environ 60 espèces sauvages de Nicotiana et 80 accessions de Tabacs hybrides ou mutants. [15]

Les Peuples de l’Amérique du Nord ont fumé diverses espèces de Nicotiana — depuis des milliers d’années. Ce sont Nicotiana rustica, Nicotiana tabacum, Nicotiana attenuata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana glauca, Nicotiana obtusifolia, Nicotiana plumbaginifolia, Nicotiana quadrivalvis, Nicotiana acuminata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana plumbaginifolia et Nicotiana stocktonii. [208]

Selon l’horloge moléculaire des phylogénéticiens, Nicotiana quadrivalvis serait âgé d’environ 1 million d’années et serait le fruit d’une hybridation interspécifique entre Nicotiana obtusifolia, comme parent femelle, et Nicotiana attenuata comme parent mâle. [178]

Une étude, publiée en juin 2020, par l’Université de Washington, a évoqué les découvertes de vestiges végétaux dans une pipe utilisée, il y a plus de 1400 ans, par les Peuples du nord-ouest des USA — les Peuples Colville, Nez Percés… Ces Peuples amérindiens fumaient Nicotiana quadrivalvis en compagnie du Sumac à bois glabre (Rhus glabra) — pour ses qualités médicinales ou pour améliorer la saveur du tabac. Une seconde pipe, datant de la période de la colonisation européenne, a mis en valeur l’usage de Nicotiana rustica par ces mêmes Peuples — une espèce cultivée, principalement, sur la côte est des USA. [14]

Selon l’ouvrage de Daniel Moermann intitulé « Native American Ethnobotany », ce sont une centaine d’espèces végétales — représentant 55 genres botaniques — qui constituaient des plantes à fumer dans toute l’Amérique du Nord.

Une autre étude, de 2018, publiée par l’Université du Nouveau-Mexique, a mis en exergue que les Peuples du nord-ouest des USA, il y a plus de 1200 ans, fumaient des Tabacs sauvages : Nicotiana quadrivalvis, Nicotiana obtusifolia et Nicotiana attenuata (le tabac Coyote). Cette découverte invalide l’assertion historique commune selon laquelle ces Peuples n’auraient fumé, principalement, que du Raisin d’Ours (Arctostaphylos uva-ursi) avant l’introduction du tabac cultivé en 1790. [1]

J’ai rencontré, pour la première fois, le tabac Coyote (Nicotiana attenuata), en septembre 2014, près du Grand Canyon, sur le Mount Trumbull, dans le désert de Mojave, en Californie, alors que j’étais en quête de spécimens d’une espèce très rare de Sarrazin sauvage — jamais photographiée auparavant : Eriogonum pharnaceoides sp. cervinum. [16]

Nicotiana rustica

Émergence de Nicotiana rustica

Nicotiana rustica est appelée, en France, « Petit tabac », « tabac rustique » ou « tabac Aztèque ». Ses plantes font jusqu’à 80 cm de hauteur. Ses feuilles arrondies font entre 10 et 30 cm de longueur. Ses fleurs tubulaires sont de couleur jaune — ce qui les distingue, au premier regard, du tabac à fumer (Nicotiana tabacum) dont les fleurs sont de couleur rose/magenta ou, rarement, de couleur blanche.

Nicotiana rustica fait partie de la section Rusticae au sein du genre Nicotiana. Quatre sous-espèces de Nicotiana rustica ont été déterminées : Nicotiana rustica ssp. brasilia, Nicotiana rustica ssp. rustica, Nicotiana rustica ssp. pumila et Nicotiana rustica ssp. pavonii.

Nicotiana rustica serait originaire d’Amérique du Sud — plus précisément du sud du Pérou. [160] Tout comme Nicotiana tabacum, Nicotiana rustica est un allotétraploïde (ou amphidiploïde), à savoir que ces espèces possèdent un nombre de chromosomes égal à la somme des nombres chromosomiques de leurs parents. Selon les recherches, très récentes, effectuées par des phylogénéticiens, Nicotiana rustica serait issu de l’hybridation interspécifique entre d’une part, Nicotiana undulata (comme espèce paternelle) et, d’autre part, Nicotiana paniculata ou Nicotiana knightiana, ou leur ancêtre commun (comme espèce maternelle). Ces trois espèces parentales de Nicotiana rustica sont originaires du Pérou.

Au risque de sombrer dans la mythologie moléculaire, précisons que certains chercheurs ont même stipulé que dans le génome de Nicotiana rustica, Nicotiana undulata serait présent à hauteur de 41,4 % et l’ancêtre commun de Nicotiana paniculata et de Nicotiana knightiana serait présent à hauteur de 58,6 %. [143]

En effet, les phylogénéticiens, botanistes et agronomes, opérant dans le monde végétal, ont encore le droit, ou le privilège, d’avoir recours à des terminologies faisant référence à des genres (masculin, féminin, paternel, maternel). Les lobotomisés de la gauche caviar — et de l’extrême gauche masquée de noir — et autres LGBTs hébétés, n’ont pas encore imposé, à la sphère de la botanique, leurs délires « aculturels » sous mode « cancel », « call-out » ou « woke ».

L’émergence de Nicotiana rustica, à savoir l’événement dit de polyploïdisation se serait manifesté — selon l’horloge moléculaire d’un temps linéaire très putatif — durant une période se situant entre 460 000 à 650 000 années dans le passé. [160]

Les mythologies des Peuples Premiers sont beaucoup plus poétiques quant à l’émergence du tabac hallucinogène, Nicotiana rustica. Chez les Peuples Creek, Hitchiti et Yuchi, par exemple, le tabac a émergé de la Biosphère lorsqu’un jour, un couple fusionna d’amour, dans les bois, et qu’il en chut une goutte de sperme en terre.

Chez les Peuples Cherokee, il n’existait qu’une plante à tabac, à l’origine, dénommée « Tsa’lu » qui, un jour, fut volée par les oies dagul’ku. De nombreux animaux tentèrent de recouvrer le tabac, mais sans succès, car ils étaient tous trucidés par les oies. C’est finalement un petit colibri qui réussit l’exploit de récupérer cette plante originelle.

C’est la même narration racontée chez les Nahua de l’État de Guerrero au Mexique. Un jour, un dénommé Saint Pierre se prit d’envie irrésistible, et peu catholique, pour une femme et, durant leur fusion, une goutte de sperme tomba à terre : il en émergea le tabac. Dans le syncrétisme Nahuatl, leur permettant d’échapper aux persécutions des monothéistes, Saint-Pierre est, bien sûr, un avatar de Quetzalcóatl. Les feuilles de tabac séchées et préparées, par les Huichol, avec des cendres sont, ainsi, nommées « San Pedrito ». En Amérique Latine, les Peuples indigènes eurent recours, également, à la couverture de Saint-Pierre pour continuer à utiliser leurs cactus enthéogènes — qu’ils nommaient, traditionnellement, « Wachuma » — qu’ils qualifièrent de « San Pedro ». Il s’agit des espèces de cactus dans le genre Trichocereus — et particulièrement Trichocereus pachanoi.

D’ailleurs, selon le Codex Magliabechiano, Quetzalcóatl est réputé avoir engendré une chauve-souris par le même processus libérateur de sperme. Cette chauve-souris fut, alors, envoyée, par les divinités du panthéon Aztèque, pour aller mordre un morceau de chair de la vulve de la déesse de l’Amour et de la Beauté, Xochiquetzal. De ce morceau de vulve, furent créées les fleurs parfumées. C’est beau… mais que vont dire les féministes et les néo-darwinistes ?

Composants de Nicotiana rustica

Les feuilles de Nicotiana rustica sont couvertes de trichomes abondant en métabolites secondaires telles que la nicotine, la nornicotine, l’anatabine et l’anabasine. De par la haute teneur de ses feuilles en nicotine — à savoir de 5 à 16 % de leur biomasse sèche — Nicotiana rustica est, également, utilisée par la confection de pesticides botaniques, de sulfate de nicotine et d’acide nicotinique. L’acide nicotinique — appelé également niacine — et la nicotinamide correspondent à la Vitamine B3.

Selon l’analyse d’un écotype de Nicotiana rustica réalisée par Marion, vers 1960, la nicotine était distribuée selon les proportions suivantes dans la plante : 5 % dans les fleurs, 18 % dans les tiges, 13 % dans les racines et 64 % dans les feuilles.

Le psychopharmacologue américain, Ronald Keith Siegel, évoque dans son essai de 1972, « On the Use of Tagetes lucida and Nicotiana rustica as a Huichol Smoking Mixture: The Aztec « Yahutli » with Suggestive Hallucinogenic Effects », la découverte d’écotypes de Nicotiana rustica chez les Huichol possédant 18,76 % ± 2,6 % de nicotine. [196]

Une étude de 2011 a analysé l’huile essentielle des fleurs d’un écotype de Nicotiana rustica et a mis en exergue un taux de 26 % de nicotine et de 11 % du sesquiterpène, aromadendrène. [258]

De plus, Nicotiana rustica se caractérise par une très haute teneur d’acide citrique dans ses feuilles : à savoir de 15 à 20 % de leur biomasse sèche.

Nicotiana rustica, tout comme Nicotiana tabacum, contiennent, également, des inhibiteurs des monoamines oxydases — dont des alcaloïdes β-carbolines tels que la norharmane et l’harmane.

Les inhibiteurs des monoamines oxydases empêchent la destruction, par ces enzymes, de substances enthéogéniques — telles que le DMT contenu dans le Yopo ou dans l’Ayahuasca — qui peuvent alors circuler librement et impacter les neurotransmetteurs. Ainsi, selon Stephen Harrod Buhner, dans son ouvrage « Plant Intelligence and the Imaginal Realm » :

« Le DMT est élaboré dans les plantes en utilisant des enzymes pour convertir du tryptophane en tryptamine et en N-méthyltryptamine et finalement en N,N-diméthyltryptamine, le DMT. L’Ayahuasca — qui est de nos jours la préparation de DMT la plus communément utilisée — est une décoction de plantes combinant une espèce contenant du DMT (généralement Psychotria viridis ou Diplopterys cabrerana) et une autre espèce contenant des alcaloïdes β-carbolines (presque toujours Banisteriopsis caapi) qui sont des inhibiteurs des monoamines oxydases. Le DMT est complètement inactif s’il est pris oralement en raison de sa destruction par les enzymes monoamines oxydases présents dans les intestins et dans le foie humains. Les β-carbolines, dans la seconde plante de cette décoction d’Ayahuasca, inhibent les monoamines oxydases permettant ainsi au DMT de pénétrer, dans un état hautement actif, le flux sanguin et le système nerveux ».

La Fonction des Psychotropes dans l’Ecosystème. Stephen Harrod Buhner. Traduction de Xochi. [189]

Selon des recherches récentes, ces deux alcaloïdes (norharmane et harmane) ne compteraient que pour 10 % de l’activité inhibitrice des monoamines oxydases par le tabac. À ce jour, les autres inhibiteurs n’ont pas été découverts. [172] [173] Les β-carbolines possèdent, également, des propriétés anti-dépressives et neuro-protectrices. [174]

Au contraire de Nicotiana tabacum qui accumule le cadmium dans ses feuilles, Nicotiana rustica l’accumule dans ses racines. [138] [139] [169]

Le cadmium est un cancérigène très abondant, à notre époque, dans les fertilisants de synthèse de l’agrochimie ainsi que dans les boues d’épuration — et, donc, dans les sols agricoles. Le tabac à fumer industriel regorge d’autant plus de cadmium qu’il est un bio-accumulateur très puissant — de même que toutes les espèces de Nicotiana. [158]

Usages traditionnels médicinaux de Nicotiana rustica

Tant bien même Nicotiana rustica a été supplantée par Nicotiana tabacum, durant le siècle passé, cette espèce est, encore, cultivée, pour fumer, en Russie, en Amérique du Sud, au Vietnam, en Turquie, en Europe de l’Est, en Afrique… C’est une espèce très résiliente dans de nombreuses conditions pédologiques et atmosphériques.

Par exemple, au Soudan, il existe un tabac à priser — connu sous le nom de « Toombak » dans de nombreux pays africains et orientaux. Il est élaboré à partir de la poudre de Nicotiana rustica fermentée mélangée à une solution aqueuse de bicarbonate de soude. Son taux d’humidité varie entre 6 et 60 % et son taux de nicotine varie entre 8 et 102 mg par gramme de poids sec. Le processus consiste à sécher le tabac en champ, à le laisser fermenter pendant deux semaines (à une température entre 30 et 45 °C), à le sécher pendant deux mois, à le réduire en poudre et à le laisser se bonifier durant une année. Le Toombak est également dénommé « Sauté » et « Sultan El-kaif ». [183] [187]

Dans l’Himalaya, il existe un mélange à fumer dénommé « Khamera ». Selon l’ouvrage « The Encyclopedia of Psychoactive Plants: Ethnopharmacology and Its Applications », de Christian Rätsch, ce mélange contient, en sus de feuilles de Nicotiana rustica, un certain nombre d’espèces telles que Pandanus tectorius (Hala), Delphinium brunonianum (Delphinium à musc), Santalum album (Santal), Zizyphus jujuba (Jujubier), Areca catechu (Palmier à bétel), etc.

En Amérique du Nord, Nicotiana rustica s’est naturalisé à l’est du Canada ainsi qu’aux USA dans une grande partie de la région à l’est du Mississippi, en Oregon et dans le sus-ouest. Le Peuple Algonquin mélangeait Nicotiana rustica avec des Daturas. Le Peuple Paiute mélangeait Nicotiana rustica avec le « Kinni-Kinnick » — un mélange de diverses espèces dont : Garrya elliptica, Arctostaphylos uva-ursi, Chimaphila umbellata, Arenaria sp. Le Peuple Delaware mélangeait Nicotiana rustica avec le Sumac (Rhus glabra).

Le Peuple Shoshone mélangeait, dans la pipe, Nicotiana rustica avec des espèces de Sarrazin sauvage, Eriogonum inflatum ou Eriogonum trichopes.

J’ai rencontré ces Eriogonum dans les déserts de Death Valley. [184] Ils y sont dénommés les Trompettes du Désert et ce sont des curiosités botaniques propres à se faire pâmer les Réchauffistes, les Ecolo-Thermistes et autres Caniculs-Bénis, car les petites trompettes sont des poches contenant du dioxyde de carbone !!!

Nicotiana rustica a été traditionnellement utilisé par les Peuples amérindiens — Apalachee, Cherokee, Iroquois — pour les maux de tête, les crampes et les douleurs aiguës, les piqûres d’insectes, les maux de dents, les morsures de serpents, les troubles digestifs et rénaux, les évanouissements et l’apoplexie, la tuberculose ; pour ses propriétés anthelmintiques, antispasmodiques, analgésiques, cathartiques, diaphorétiques, diurétiques, émétiques, expectorantes ; et comme plante à fumer cérémonielle. Selon les ouvrages d’ethnobotanique : « Plants Used As Curatives by Certain Southeastern Tribes », « Cherokee Plants and Their Uses. A 400 Year History”, “Iroquois Medical Botany”, “Iroquois Foods and Food Preparation”, etc.

Une étude de 2011 a mis en exergue la capacité d’extraits de Nicotiana rustica (et de Luffa aegyptiaca) d’inhiber le venin du serpent venimeux Naja nigricollis, le Cobra cracheur à cou noir. [182]

Selon l’ouvrage, de 1697, d’Agustín de Vetancurt, « Teatro Mexicano: descripción breve de los sucesos ejemplares de la Nueva-España en el Nuevo Mundo Occidental de las Indias », les Indigènes du Mexique consommaient oralement le tabac pour rendre les hommes agiles dans tous les exercices corporels.

Agustín de Vetancurt précisa que, selon les Indigènes, le tabac « soigne tant de choses qu’il fait fuir la mort même ».

Chez les Aztèques, selon l’ouvrage d’Hernandez, Nicotiana rustica a été traditionnellement utilisé pour soigner les ballonnements d’estomac, l’asthme, les troubles utérins, les insomnies, les maux de tête, les inflammations de la rate, les maux de dents, la syphilis, les blessures d’arc et les morsures de serpents.

Selon l’ouvrage « Medicina, salud y nutrición Aztecas » d’Ortiz de Montellano, qui rapporte des écrits de Sahagun, les Aztèques soignaient les maux de tête avec des feuilles fraîches de tabac et une plante sternutatoire, « Ecuxo » (Amphipterygium adstringens) ainsi qu’avec une autre espèce nommée « Zozoyatic » (Schoenocaulon coulteri) — afin de provoquer des saignements de nez libérateurs.

Le tabac est considéré, en Amazonie, comme une plante médicinale maîtresse et comme le principal vecteur de la guérison chez les shamans et guérisseurs. En fait, pour les peuples amazoniens, le tabac est à ce point au cœur de la médecine traditionnelle que le terme employé pour décrire les guérisseurs, dans un certain nombre de langages, est étymologiquement lié aux termes dénommant le tabac.

Par exemple, chez le Peuple Yuracaré, des basses terres boliviennes, le terme « korrë-n-chata » signifie « celui qui consomme le tabac ». Chez les Peuples Ashaninka, du Pérou et du Brésil, et Matsigenka, du sud-est du Pérou, les termes « sheripiari » et « seripigari » signifient « celui qui est intoxiqué par le tabac ».

Dans une étude publiée récemment, à la fin de l’année 2020, dans la Revue « Frontiers in Pharmacology » et intitulée « “Tobacco Is the Chief Medicinal Plant in My Work” : Therapeutic Uses of Tobacco in Peruvian Amazonian Medicine Exemplified by the Work of a Maestro Tabaquero » [175] des chercheurs Suisses ont enquêté auprès d’un maitre Tabaquero Péruvien, Ernesto García Torres, âgé de 51 ans et guérisseur depuis son adolescence — à savoir, depuis 36 années.

Ernesto García Torres a recours au tabac (Nicotiana rustica) pour traiter des pathologies physiques telles que, principalement, les problèmes respiratoires, la sinusite, la goutte, les infections parasitaires des intestins, les infections parasitaires de l’épiderme et l’épilepsie.

« J’utilise un processus de préparation du tabac qui en fait un remède efficace pour les poumons. Préparé d’une autre manière, il peut s’avérer un poison pour les poumons, mais s’il est processé correctement, c’est une médecine qui guérit. Le tabac absorbe le phlegme et l’élimine du système respiratoire ».

Ernesto García Torres considère que le tabac est une substance thérapeutique chaude et qu’il n’est pas adapté pour traiter des conditions de chaleur interne, mais bien plutôt les conditions de froid interne. Par conséquent, par exemple, il prescrit le tabac pour des gaz intestinaux induits par un froid excessif, mais pas pour des inflammations intestinales aiguës.

Dans les traitements qu’il prodigue par la tabac, Ernesto García Torres met en exergue l’interaction permanente entre la sphère somatique et la sphère psychologique. La libération du système respiratoire, ou du tractus intestinal, va permettre de libérer le cerveau induisant, ainsi, un meilleur bien-être et une santé psychologique plus harmonieuse.

« Physiquement, le tabac purifie les intestins des parasites et des énergies négatives, mais, de par la connexion existant entre les intestins et le cerveau, lorsque les intestins sont libérés, il en est de même, pour le cerveau ».

Ce fut exactement le fondement de la Médecine de celui qui fut, en son époque, appelé le second Hahnemann, à savoir Edward Bach (1886-1936), le concepteur des Nosodes intestinaux et du système de soins homéopathiques connu sous le nom de Fleurs de Bach ou d’Élixirs floraux — dont nous fûmes, avec ma compagne et shakta Sofy, les initiateurs en France lorsque nous créâmes le Laboratoire DEVA, en 1986, dans le Vercors [176]. C’est, en effet, la santé des intestins qui détermine la santé psychologique de l’animal humain. Aujourd’hui, une pléthore d’études scientifiques ont mis en exergue la relation intime existant entre la microflore intestinale (ou son absence) avec la santé de la psyché.

Ernesto García Torres décline les bénéfices thérapeutiques du tabac pour les dynamiques psychologiques corrélées à l’attention, aux processus cognitifs, aux humeurs, à l’image de soi-même, aux peurs, aux anxiétés, etc. Selon les auteurs de cette étude :

« Le guérisseur décrit un remède tonique qui cible, spécifiquement, les conditions d’anxiété ou de dépression. Certains cas cliniques peuvent requérir un traitement durant de 3 à 6 mois, mais, généralement, 1 mois de traitement, avec ce remède, est suffisant pour des cas plus légers. Cependant, le Tabaquero explique que le tabac est contre-indiqué pour certains types de patients souffrant de nervosité chronique ou d’épuisement nerveux. De tels patients — même s’ils sont physiquement aptes à recevoir un traitement par le tabac — peuvent psychologiquement réagir à cette plante par de la panique ou une perte de contrôle. Le tabac est, également, contre-indiqué pour des conditions psychotiques sévères ». [175]

En fait, pour Ernesto García Torres, le tabac est, également, contre-indiqué chez les patients faisant preuve de comportements hostiles ou agressifs, ou souffrant de douleurs psychosomatiques, ou sujets à des pathologies induites par un excès de chaleur dans le cerveau — en résumé, chez les patients souffrant de conditions psychiatriques sévères. Par contre, « boire du tabac » peut aider une personne souffrant d’une addiction aux cigarettes ou à l’alcool :

« Lorsqu’une personne boit du tabac plusieurs fois, durant une période étendue de temps, elle va arrêter de fumer ».

Selon Ernesto García Torres, dans sa pratique chamanique, la médecine du tabac est, également, contre-indiquée pour les femmes enceintes ou allaitantes ; pour les patients souffrant de problèmes cardiaques, d’hypertension, de problèmes respiratoires sévères ou de lourdes pathologies hépatiques ; pour les patients traités avec des antibiotiques.

Pour Ernesto García Torres, selon le paradigme traditionnel Amazonien, la Médecine du tabac, en sus de ses propriétés biochimiques, convie ses qualités thérapeutiques au travers de la sphère énergétique et spirituelle.

« Il existe de nombreuses excellentes médecines, mais, en ce qui concerne les problématiques énergétiques, le tabac est suprême… De plus, tous les remèdes de plantes doivent être soufflés avec la fumée du tabac ».

Pour les shamans amazoniens, le tabac est, ainsi, corrélé à un puissant esprit de guérison. Chez de nombreux Peuples amazoniens, le tabac est le Père (de toutes les plantes médicinales) tandis que l’Ayahuasca est la mère (de toutes les plantes médicinales).

Le processus chamanique consistant à souffler la fumée du tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas — confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés antimicrobiennes et dont les applications thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc. [181]

Ernesto García Torres décrit les effets de la Médecine du tabac quant à leurs interactions entre les sphères somatique, psychologique, énergétique et spirituelle :

« Lorsque le tabac est ingéré, il se connecte à l’estomac, et, de par sa puissance énergétique, se connecte ensuite aux intestins. À partir des intestins, il se connecte au cerveau et au système nerveux et mobilise l’intégralité du système énergétique du corps. C’est au cours de ce processus que les vomissements sont déclenchés… Durant ces phases de vomissements, il ne s’agit pas que de vomir : le patient se libère de ses pathologies physiques, mais aussi — pour ceux qui sont capables de l’appréhender — il se libère de nombreux esprits maléfiques et il purifie l’entièreté de son champ énergétique… Une fois que le patient a vomi, il a libéré son mental, son cœur, ses intestins et l’intégralité de son corps. Il s’agit d’une métamorphose énergétique : la personne se sent plus légère, plus joyeuse, plus calme et faisant l’expérience d’une connexion plus amoureuse avec la Nature ». [175]

Une étude récente, de 2017, portant sur les relations entre le cerveau et les intestins, a mis en exergue que la nicotine affecte, de façon différenciée, les intestins mâles et les intestins femelles — en particulier, en ce qui concerne son impact sur les neurotransmetteurs (glutamate, glycine, GABA), sur la composition de la communauté du microbiome ainsi que sur le métabolome fécal. [188]

La Médecine traditionnelle Shamanique des Peuples de l’Amazonie est fondée, de plus, sur des pratiques de purges de l’estomac ou des intestins. Ainsi, les vomissements ou les diarrhées ne sont pas des effets indésirables de l’ingestion de plantes médicinales, mais ils constituent une clé essentielle du processus de guérison. Il en est, d’ailleurs, de même, strictement, dans les médecines traditionnelles tibétaine, chinoise, ayurvédique quant à la place prépondérante des plantes purificatrices, émétiques et purgatives.

Une étude espagnole, publiée en 2012, a mis en exergue 191 pratiques dépuratives, ayant recours à 114 différentes espèces végétales, dans les pratiques de guérison des curanderos, et des curanderas, du district de Chazuta au Pérou. Selon les auteurs, ces plantes dépuratives peuvent être considérées comme des « agents stresseurs médicinaux » dans la mesure où les vomissements, qu’ils induisent, activent les processus neuroendocriniens. [185]

La Médecine traditionnelle Shamanique des Peuples de l’Amazonie est fondée sur les mêmes principes que les Médecines traditionnelles des Mayas, des Aztèques ou encore des Tibétains : à savoir qu’un certain nombre de pathologies sont strictement corrélées à des disharmonies procédant d’un plan énergétique, existentiel et spirituel non matériel…

du moins, dont la matérialité se situe au-delà des conceptions mentales, et des perceptions sensorielles, issues du mariage — contre Nature, stérile et pas très gai — entre le paradigme monothéiste des religions abrahamiques et le paradigme monopolistique de la religion néo-darwiniste.

D’ailleurs, la société humaine est, aujourd’hui, très malade, énergétiquement, existentiellement et spirituellement, suite à la contamination des Peuples planétaires par un virus extra-terrestre génocidaire… qui sévit depuis quelques millénaires. Ainsi que les anciens Instructeurs et Initiés Païens avaient mis en garde, au tournant du premier millénaire : les Archontes de Yahvé/Yaldabaoth sévissent à Jérusalem.

Il est grand Temps que l’intégralité du corps de la société humaine se libère de toutes ses toxines énergétiques générées par des millénaires de religions monothéistes, de collusion victime-perpétrateur, de haine de Soi, de peur de la Nature, de déconnexion d’avec les forces vivantes de la mère animale planétaire.

Il est grand Temps de souffler la fumée du tabac chamanique afin de purifier l’intégralité de l’Atmosphère humaine et afin de convier les puissances authentiquement féminines de la mère — ses Muses, ses Dakinis et ses Grandes Sagesses — à venir participer à ce grand ménage de printemps.

La Chasse aux Prédateurs est ouverte, car le Temps est venu de la Grande Réinitialisation. Non pas la Réinitialisation globaliste et génocidaire du nouveau Santa Klaus (Schwab) du Forum économique mondial… mais la Réinitialisation pour la Vie, la Réinitialisation du Forum Oecuménique des Peuples. Oecuménique dans le sens étymologique de la racine grecque « oecumene », « terre habitée » — de « oikos/oikéô » (maison/habiter) et de « Ge/Gaïa », la Terre.

Usages traditionnels Enthéogéniques de Nicotiana rustica

« Dans une grande partie du monde des Peuples amérindiens, le tabac était considéré, et il l’est encore, comme l’un des cadeaux spéciaux que les divinités ont offerts à l’Humanité afin de l’aider à passer de “ce” monde au “monde de l’altérité” — celui-là même des divinités. Dans de nombreux cas, cette vision implique l’usage du tabac afin d’accéder, précisément, à certains états mystiques, ou à la transe chamanique extatique, que nous n’associons, communément, qu’avec les hallucinogènes botaniques les mieux connus. Pour ne mentionner qu’un seul exemple provenant du Mexique : non seulement avant la Conquête, mais durant des siècles plus tard, les shamans des communautés aztèques utilisaient le Picietl (Nicotiana rustica) en synergie avec les chants de certains mythes d’origine afin de se repositionner au cœur de ce que nous pourrions appeler un “temps mythique” — un temps où tout était possible — afin d’engager la puissance supra-naturelle, des divinités créatrices, et leur œuvre primordiale dans la restauration de la santé et de l’harmonie du patient. Cet usage du tabac se situe, ainsi, aux antipodes de son usage hédoniste.

Je ne souhaite pas en déduire que le tabac fut, universellement, utilisé pour déclencher des états altérés de conscience. Au contraire, il a été, probablement, au service d’un spectre plus étendu d’objectifs sacrés que toute autre plante originaire du Nouveau-Monde — et l’une de ses fonctions les plus essentielles, et virtuellement les plus universelles, étant en relation avec sa nature de nourriture divine pour les déités, principalement sous la forme de fumée. Il possédait, également, une fonction de soutien indispensable à la guérison chamanique — principalement, comme un fumigant, mais, parfois, aussi, comme une panacée. Néanmoins, il semble qu’il ait existé au moins un élément d’intoxication émergente dans l’acte chamanique de fumer, au sein de nombreuses cultures des Amériques, et une réelle intoxication au tabac au point d’induire une altération radicale de la conscience — une transe psychédélique — qui s’avéra, certainement, d’une importance essentielle dans le complexe extatique du Nouveau Monde. Cet élément, ainsi que ce que nous connaissons, de nos jours, quant à l’activité chimique du tabac, justifie d’assigner le tabac, tout comme les Amérindiens le firent eux-mêmes, à la flore psychédélique. Il existe, cependant, une différence majeure : aucune des plantes, que nous appelons communément hallucinogènes, n’est addictive… alors qu’il se pourrait que le tabac le soit ». Peter Furst. « Hallucinogens and Culture ».

En page 23. Traduction de Xochi.

Christian Ratsch et Claudia Müller-Ebeling, dans leur ouvrage « The Encyclopedia of Aphrodisiacs », évoquent un usage hallucinogène de Nicotiana rustica en synergie avec la Tagète lucide, Tagetes lucida, [170] chez le Peuple Huichol du Mexique :

« Tagetes lucida a été fumé — en tant qu’aphrodisiaque — depuis l’époque coloniale espagnole, soit pure, soit en mélange à fumer. Les sommités fleuries séchées et les feuilles sont fumées dans des cigarettes confectionnées avec des spathes de maïs. Les Huichol de la Sierra Madre appellent Tagetes lucida soit “Tumutsali”, soit “Yauhtli”, et ils fument cette plante soit pure soit en mélange avec l’espèce de tabac, Nicotiana rustica. Ce mélange est souvent utilisé conjointement à l’ingestion de peyotl ou de tesgüino (une bière de maïs confectionnée par les Tarahumaras) ou de nawa (une autre bière) ou de ci (une tequila). Ces mélanges sont supposés induire des hallucinations et peuvent, certainement, potentialiser les effets d’autres stimulants. En tant qu’aphrodisiaque, le yauhtli est mélangé avec le “Sinicuiche” — “l’ouvre soleil” en Nahuatl, à savoir l’espèce Heimia salicifolia. Il est conseillé aux femmes stériles de prendre des bains de Yauhtli avec les espèces Heimia salicifolia, Rosmarinus officinalis et Lavandula angustifolia ».

Aujourd’hui, les Huichol continuent de fumer les feuilles et les fleurs sèches de Tagetes lucida soit par elles-mêmes, soit mélangées avec Nicotiana rustica. Une étude récente, publiée au printemps 2021, fait état de découvertes archéologiques prouvant la présence de Tagetes lucida dans des céramiques Maya, du Yucatan, datant du premier millénaire de notre ère, qui furent utilisées pour conserver du tabac. [186]

En Nahuatl, Tagetes lucida est dénommé « Yauhtli » ou « Tlacopahtli ». Dans la langue ésotérique des shamans nahuas, le Nahuallatolli, il est dénommé « Cozauhqui tlamacazqui » — signifiant le « prêtre jaune ». Le complexe mélangeant le tabac et le Yauhtli est dénommé « Ye-tumutsali ».

Selon la mythologie Huichol, Nicotiana rustica, dénommée « yé » ou « yetl », est une plante du dieu du feu, Tatewari, qui est également le dieu des shamans — et qui était, auparavant, un faucon avant de se transformer en tabac. [159]

Voici ce que narre l’anthropologue Barbara Myerhoff (1935-1985) dans son ouvrage, de 1974, « Peyote Hunt: The Sacred Journey of the Huichol Indians », en page 126, au sujet de Nicotiana rustica, dans la quête du Peyotl par les Huichol :

« Il est sacré et consommé, exclusivement, en cérémonies, lorsque tous les hommes fument à l’unisson. Roulé dans des cigarettes confectionnées avec des enveloppes de maïs, le tabac est amené vers Wirikuta dans des gourdes verruqueuses sacrées (yékwe/Crescentia cujete) portées par les hommes âgés et les peyoteros expérimentés ».

Au Mexique, chez les antiques Mixtèques, le tabac (« yucu ino »), un tapis, et une poterie contenant du chocolat, représentent les symboles du mariage dans leur écriture pictographique. Que vont dire les féministes ? Il s’agit du pictographe « ino dzehua », « tabac et Chocolat ». Le couple Mixtèque est assis sur son tapis et partage d’une coupe de chocolat « fleuri » — car mousseux… de « fleurs de chocolat », « ita dzehua », dans la langue Mixtèque Dzaha Dzaui. Voir le Codex Vindobonensis en page 35.

Au Mexique, dans le Codex Bodley — dénommé, également, Codex Ñuu Tnoo–Ndisi Nuu — en page 39-II, un ambassadeur offre aux parents du jeune marié un collier d’or et une perle de jade entre du tabac moulu et une gousse de fèves de Chocolatl. Chez les Mixtèques, l’expression « yotasindi ino huico », « commander du tabac pour la cérémonie », signifiait organiser une fête.

Au Venezuela, les Peuples Warao mélangeaient des feuilles de Nicotiana rustica avec la résine, utilisée traditionnellement comme encens, de l’arbre Protium heptaphyllum (qui possède des propriétés analgésiques, antimicrobiennes et anti-inflammatoires) — de la même Famille des Bursacées que l’arbre utilisé, également, comme encens, en particulier durant les cérémonies d’Ayahuasca, et dénommé « Palo Santo », Bursera graveolens.

Tous les shamans de l’Amazonie considèrent Nicotiana rustica comme une plante médicinale et sacrée et ils la dénomment « Mapacho ». De par ses effets hallucinogéniques (psychoactifs ou enthéogéniques), ils l’utilisent pour la guérison, pour la divination et pour les visions — depuis des milliers d’années.

Selon l’ouvrage de Francisco Hernandez « Rerum Medicarum Novae Hispaniae », les Indigènes de Haïti préparaient des morceaux de canne creuse et perforés afin de fumer un mélange contenant Nicotiana rustica, des plantes médicinales, et du Liquidambar styraciflua, pour mieux dormir, soulager les douleurs, calmer les sensations de fatigue et soigner diverses pathologies. Au Mexique, les Aztèques mélangeaient des feuilles de Nicotiana rustica avec, également, la résine du Liquidambar — « Xochiocotzotl » en Nahuatl — ou bien avec des feuilles d’Ephedra nevadensis.

Il est à noter qu’en Iran et en Irak, les feuilles de Nicotiana rustica sont mélangées avec les cendres d’une autre espèce d’Ephedra — Ephedra pachyclada — et parfumées avec de l’huile de Jasmin.

Selon les recherches de l’ethnologue Lilián González Chévez, aujourd’hui encore, les Nahuas de l’État de Guerrero, au Mexique, ont recours à quelques espèces enthéogéniques dont : « Tenexyetl » (Nicotiana rustica), « Huaxchiquimolin » (Leucaena matudae), « Hueytlacatzintli » (Solandra guerrerensis), « Cecectzin » (Turbina corymbosa), « Rosita » (Cannabis sativa) et « Tlapatzintli » (Datura inoxia ou Brugmansia arborea). [198]

Le terme Nahuatl « Tenexyetl » signifie littéralement « tabac de pierre cendres ». Il est composé de « Te/Tetl » pour pierre, de « nextli » pour semences et de « yetl » pour tabac.

Chez les Mixtèques, Cihuacoatl, la Femme-Serpent, la Déesse de la Voie Lactée, est également l’esprit du tabac hallucinogène, le Picietl — Nicotiana rustica.

Dans le langage occulte des shamans Nahua (le « Nahuallatolli ») et selon ses expressions (les « Nahualtocaitl »), le tabac hallucinogène est appelé « le Guide et le Maître de toutes choses », « l’Esprit vert aux larges feuilles ». Il est, également, dénommé « Yetzintli » (le Vénérable tabac), « Xiuhpapatlantzin » (Les Vénérables Feuilles Volantes), « Xoxouhqui cihuatl » (la Femme de Couleur Vert Sombre, « Nonan, nota » (Ma mère, mon Père), « Tlazotli » (Le Précieux), « Chicnauh tlatetzotzonalli » (celui qui est frappé neuf fois), « Chicnauh tlatlamatellolli » (celui qui est déchiqueté neuf fois dans les mains), « Citlalcueye iconeuh » (le Fils de celle à la Jupe Etoilée) et « Citlalcueye ipiltzin » (l’Enfant Vénérable de celle à la Jupe Etoilée) et « Citlalcueye itlachihual » — à savoir le fils de Cihuacoatl, la Déesse de la Voie Lactée.

José de Acosta, dans son ouvrage de 1590, intitulé « Historia natural y moral de las Indias », évoque l’utilisation d’un baume/boisson, par les shamans indigènes — afin de « se transformer en sorciers et de communiquer avec le Diable », en personne. Ce baume — dénommé « Teotlacualli » signifiant « nourriture divine » — était confectionné à partir de cendres d’insectes et d’animaux venimeux (araignées, scorpions, geckos, vipères) mélangées avec beaucoup de tabac (Nicotiana rustica) et de semences moulues d’Ololiuhqui (Turbina corymbosa). [161]

La statue de Xochipelli — ou Xochipilli — qui se trouve, aujourd’hui, au Musée National d’Anthropologie de Mexico, présente la « guirlande magique » — pour emprunter une expression du Parzival de Wolfram von Eschenbach [180] des principales substances enthéogéniques utilisées dans le chamanisme des peuples méso-américains. Il s’agit des espèces suivantes : Nicotiana rustica, Turbina corymbosa/Ipomoea tricolor, Psilocybe aztecorum, Heimia salicifolia et Quararibea funebris. [190]

Selon Christian Ratsch, dans son ouvrage « The Encyclopedia of Psychoactive Plants », en page 378 :

« De nombreux shamans acquièrent leur capacité de voyager dans d’autres réalités grâce à l’aide du tabac. Ils apprennent à entrer dans “la maison du tabac”, à utiliser la fumée de tabac pour monter aux cieux et à communiquer avec les esprits de la plante du tabac — qui apparaissent souvent sous la forme de serpents. Lorsqu’ils réalisent des guérisons, les shamans soufflent, souvent, de la fumée sur le corps des patients afin de les libérer de l’emprise des esprits de la maladie ou bien de les en protéger. Pour les shamans initiés, la fumée du tabac constitue une porte vers l’autre monde, le monde des visions, le monde au-delà du temps et de l’espace ».

Chez le Peuple Kariña, au Venezuela, du jus de tabac mélangé à du jus de gingembre est déposé dans les yeux des apprentis shamans afin de leur ouvrir la vision nocturne et afin de les éveiller à la vision de l’autre monde — le monde du Nagual.

Selon Johannes Wilbert, dans son ouvrage de 1987, « Tobacco and Shamanism in South America », en page 378 :

« La relation intime existant entre le shaman et le jaguar est clairement mise en exergue dans le paradigme conceptuel et les croyances des Campa. Afin de devenir l’un de leurs jaguars-shamans, un novice doit ingérer une dose initiale de purée de tabac et apprendre le chant du tabac. Lorsque le tabac “atteint son cœur”, il reçoit une vision et rencontre l’Esprit de la vieille femme tabac auquel il demande une de ses filles. Des animaux vont, alors, lui apparaître, sous forme humaine, en prétendant être la fille-jaguar qu’il a demandée. Mais, s’il veut devenir un vrai jaguar-shaman et un guérisseur, il doit percevoir l’imposture et laisser passer tous les animaux déguisés jusqu’à ce qu’il entende un jaguar rugir dans la nuit sombre de la forêt. Il s’agit de la fille de la vieille femme qu’il doit aller rencontrer dans la forêt. Le jaguar attaque alors le novice qu’il déchiquette totalement. Si le jeune homme supporte l’épreuve sans fuir, son corps va redevenir entier et son tourmenteur jaguar va alors se transformer en une belle jeune femme ».

Traduction de Xochi.

Selon l’ouvrage de Fructuoso Irigoyen-Rascon (2015) « Tarahumara Medicine », en page 264 :

« Les Tarahumaras portent une très haute estime au tabac en tant que remède pour les morsures de serpents. Ils recommandent que tout un chacun puisse avoir, dans ses poches, du tabac — Wipa ou Wipaka. Certains affirment que les serpents à sonnettes vont pleurer, révélant ainsi leur présence, lorsqu’ils sentent le parfum du tabac. Lorsqu’un crotale mord une personne, de la fumée de tabac est, ainsi, soufflée sur la morsure. Robert Bye rapporte, également, que des feuilles de Nicotiana rustica sont utilisées en cataplasme sur les morsures d’autres animaux venimeux ».

Selon Robert Bye, dans son essai — paru en 1979, dans le Journal of Ethnopharmacology — intitulé « Hallucinogenic Plants of the Tarahumara », les Tarahumara utilisent, principalement, médicinalement, Nicotiana rustica pour soigner les maux de tête et les morsures d’animaux. Chez les Tarahumara, le tabac est considéré comme ayant des propriétés magiques et il est utilisé pour purifier les humains, les animaux et les champs. D’un point de vue magique et chamanique, le tabac est considéré comme second après « jíkuri », le Peyotl (Lophophora williamsii) et comme plus puissant que « Debuka », le Datura inoxia. [199] Les Tarahumaras fument, également, sur mode cérémoniel, l’espèce Nicotiana obtusifolia/Nicotiana trigonophylla — une espèce également fumée par le Peuple Hopi dans le sud-ouest des USA.

Les shamans Tarahumara mélangent le tabac avec du sang séché de « sope-chi » (une chauve-souris) avec la viande séchée de la « muri » (une tortue) afin de conférer des protections à l’encontre de la sorcellerie maléfique.

Les Qualités médicinales et Enthéogéniques des Rapés de Nicotiana rustica dans la Forêt Amazonienne

Tout comme pour certaines thérapies impliquant l’Ayahuasca, les divers mélanges de rapé ou bien le Yopo (Anadenanthera peregrina), le secret est, en effet, de vomir.

Si je puis amener quelques témoignages personnels. Depuis une douzaine d’années, je consomme libéralement cette plante qui fait chanter les neurones — le Cannabis — et qui les éveille aux inspirations des Muses et Dakinis — lorsqu’affinités prévalentes. Je peux témoigner avoir stoppé l’usage de la vaporisation de Cannabis par trois fois depuis 2009 — en particulier lorsque cet usage se déployait du matin jusqu’au soir, et du soir au matin ! À savoir, par deux fois, suite à des cérémonies d’Ayahuasca (accompagnées de rapé) — qui durèrent deux nuits consécutives, avec moult vomissements durant les montées de MahaKunda — et une fois à la suite d’une prise de Yopo, durant dix minutes, où je vomis pendant plusieurs heures. En ce qui me concerne, du moins, l’arrêt du Cannabis est instantané et dénué, strictement, de symptômes de décrochage.

La composition des rapés de l’Amérique du Sud varie en fonction des Tribus Amazoniennes qui les élaborent. En fait, en fonction des affinités personnelles, ou des diverses traditions chamaniques Amazoniennes, le rapé peut contenir une pléthore de substances diverses.

Par exemple, le Peuple Apurinã est réputé pour préparer des rapés, exempts de tabac, et de couleur vert pomme — et très éveilleurs. La composition de leurs rapés est restée secrète.

Quant au Peuple Huni Kui (Kaxinawá), ils utilisent, par exemple, dans leur rapé à base de tabac, des cendres de l’arbuste Murici (Byrsonima crassifolia) de la Famille des Malpighiacées ou des semences du Cumaru de Cheiro (Amburana cearensis) de la Famille des Fabacées.

Durant certaines périodes de ma vie, j’ai pu bénéficier de l’usage de rapé et je peux, également, témoigner avoir stoppé cet usage sans symptômes de décrochage malgré le fait que ces rapés soient, principalement, à base de tabac — Nicotiana rustica.

Quant au Peuple Kuntanawa, ils utilisent, par exemple, dans leur rapé à base de tabac, des plantes médicinales telles que Chamba (Campomanesia lineatifolia) de la Famille des Myrtacées, ou Anador (Dianthera pectoralis) de la Famille des Acanthacées ou encore le Tsunu (Platycyamus regnellii) de la Famille des Fabacées.

Quant au Peuple Nukini, ils confectionnent un rapé, à base de tabac, réputé pour convier des énergies féminines puissantes, car les plantes médicinales qu’il contient sont exclusivement collectées par les femmes. Ce sont le Parica (Shizolobium amazonicum) de la Famille des Fabacées, la Catinga de mulata (Tanacetum vulgare) de la Famille des Astéracées ou Anador (Dianthera pectoralis) de la Famille des Acanthacées.

L’anthropologue suédois Henry Wassén (1908-1996), dans son essai intitulé « Anthropological Survey of the Use of South American Snuffs », donne une liste très partielle de quelques espèces entrant dans la composition des plantes à priser et autres rapés — en sus du tabac. Ce sont : Nux moschata (Noix de muscade), Anadenanthera peregrina (Yopo), Anadenanthera colubrina (Yopo) Virola calophylla, Dianthera pectoralis, Chloroleucon tortum, Brugmansia candida.

Selon Wassén, d’ailleurs, le nom vernaculaire, chez le Peuple Kamsa, du Brugmansia candida signifie « l’intoxiquant du Jaguar » ou « la langue du Jaguar ».

Le célèbre ethnobotaniste de l’Université d’Harvard, Richard Evans Schultes (1915-2001), dans son essai intitulé « The Botanical Origins of South American Snuffs », décline, également, une liste d’espèces entrant dans la composition des plantes à priser et autres rapés — en sus de Nicotiana tabacum et de Nicotiana rustica. Ce sont : Theobroma subincanum (un Chocolat sauvage) , Cecropia sp., Virola calophylla, Virola calophylloidea, Virola elongata, Maquira sclerophylla, Dianthera pectoralis, Mendoncia aspera — et Erythroxylum coca (la Coca).

La botaniste et poète, Siri von Reis Althshul, a étudié les rapés Amazoniens connus sous le nom de « Vilca » ou « Wilca ». Ces rapés sont utilisés soit comme purgatif, soit comme ingrédient de la Chicha (la bière de maïs fermenté en Amérique du sud). Ils sont principalement préparés à partir des espèces Anadenanthera peregrina et Anadenanthera colubrina. Ils contiennent, également, les espèces suivantes : Banisteriopsis leiocarpa, Virola sebifera, Baccharis floribunda, Anadenanthera sp., Ipomoea sp., Calliandra calothyrsus, Leucaena guatemalensis.

Il est à noter que l’espèce Dianthera pectoralis (anciennement Justicia pectoralis) constitue l’un des composants majeurs dans ces rapés Amazoniens. Dianthera pectoralis est une plante médicinale très prisée dans les Amériques latines — en particulier par les femmes. Elle possède des propriétés sédatives, broncho-dilatatrices et anti-inflammatoires. Elle est, ainsi, utilisée pour traiter les problèmes respiratoires, l’asthme, les douleurs menstruelles, le diabète, les anxiétés, les symptômes de la ménopause, les problèmes de la prostate. Elle possède, également, des propriétés antibactériennes (à l’encontre de Acinetobacter baumannii et Klebsiella pneumoniae) et des propriétés insecticides (à l’encontre du moustique Aedes aegypti).

Une étude intitulée « COVID-19 : Is There Evidence for the Use of Herbal Medicines as Adjuvant Symptomatic Therapy? » [191] publiée, en août 2020, dans la revue Frontiers in Pharmacology — propose une palette de Plantes médicinales maîtresses pour tous ceux qui préfèrent les remèdes de la Nature afin de se soigner des symptômes des grippes, grippettes, et autres Covidettes, incluant Dianthera pectoralis… en sus de Sambucus nigra (Sureau), Althea officinalis (Guimauve), Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Zingiber officinale (Gingembre), Commiphora molmol (Myrrhe), Pelargonium sidoides, Echinacea angustifolia, etc..

Je peux témoigner de mon utilisation, depuis plusieurs années, des racines de Pelargonium sidoides dénommé « Umckaloabo » [200] qui est originaire d’Afrique du Sud et que j’ai cultivée dans mon jardin dans le sud désertique de l’Oregon. C’est une plante souveraine dans le traitement de toutes les affections respiratoires. Cette plante médicinale maîtresse fut introduite en Europe, vers la fin du 19e siècle, par un mécanicien anglais Charles Henry Stevens qui, en 1897, fut guéri de sa tuberculose, lors d’un voyage en Afrique du Sud, par un guérisseur Zulu. Subséquemment, il commercialisa ce remède qu’il dénomma « Stevens’ Consumption Cure » et qui devint très réputé pour soigner la Tuberculose. [197] Le médecin français, Adrien Séchehaye, soigna 800 patients de la Tuberculose grâce à ce remède entre 1920 et 1930. En 1929, il publia un ouvrage intitulé « Le traitement de la tuberculose pulmonaire et chirurgicale par l’Umckaloabo ». Pelargonium sidoides est une plante médicinale interdite en France, par la Mafia Pharmacratique, mais elle est autorisée en Allemagne. [193]

Nicotiana tabacum

Émergence de Nicotiana tabacum

Nicotiana tabacum fait partie de la section « Nicotiana » au sein du genre Nicotiana. Ses fleurs sont de couleur rose/magenta ou, rarement, de couleur blanche. En fonction des variétés, la taille de la plante peut varier de 50 cm à plus de 2 mètres. En fonction des variétés, la taille des feuilles peut, quasiment, atteindre 90 cm de longueur.

J’ai du Bon tabac dans ma Tabatière — qui chez les Peuples amérindiens s’appelle « la Demeure du tabac ».

L’origine du tabac cultivé — à savoir de Nicotiana tabacum — est auréolée de profonds mystères : les néo-darwinistes en avalent leur chapeau de prestidigitateurs d’Évolution aléatoire, aveugle, hasardée, inconsciente et non intentionnée.

Les deux principales espèces de Tabacs cultivés commercialement (Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica) ainsi que plusieurs autres espèces sont des hybrides amphidiploïdes (allotétraploïdes) — à savoir qu’ils possèdent un nombre de chromosomes égal à la somme des nombres chromosomiques de leurs parents.

En effet, si certains historiens font remonter l’origine de Nicotiana tabacum à 6000/10000 années, les phylogénéticiens estiment que « le processus de spéciation » de Nicotiana tabacum, à savoir son arrivée au cœur de la Biosphère Gaïenne, remonterait à une période beaucoup plus lointaine — mais à moins d’un million d’années, nonobstant !

En fait, l’événement de polyploïdisation — si l’on peut se permettre l’usage de termes quasi imprononçables — selon l’horloge moléculaire d’un temps linéaire très putatif, se serait manifesté il y a environ 200 000 à 600 000 années pour ce qui concerne les espèces amphidiploïdes Nicotiana rustica, Nicotiana tabacum et Nicotiana arentsii. [179] Quant à Nicotiana arentsii, cette espèce serait issue d’une hybridation impliquant Nicotiana wigandioides et Nicotiana undulata. [177] [178]

Selon cette même horloge moléculaire, la section Suaveolentes — dissidente, car Australasienne — aurait bénéficié d’un tel événement de polyploïdisation, il y a environ 5 à 10 millions d’années.

Ces phylogénéticiens (dont Jack Okamuro et Robert Goldberg, en 1985) considèrent, ainsi, que Nicotiana tabacum serait le fruit d’une hybridation entre, d’une part, Nicotiana sylvestris et d’autre part, Nicotiana tomentosiformis ou Nicotiana otophora — ou leur ancêtre commun ou un hybride de ces deux espèces appartenant à la Section Tomentosae. [21]

Au risque de sombrer dans la mythologie moléculaire, certains chercheurs ont même stipulé que dans le génome du tabac cultivé, Nicotiana sylvestris serait présent à hauteur de 40,3 % et Nicotiana tomentosiformis serait présent à hauteur de 59,7 %. [144] Qui plus est, Nicotiana sylvestris serait l’espèce « maternelle » et Nicotiana tomentosiformis serait l’espèce « paternelle ». Les Botanistes n’ont pas encore subi le formatage vertueux du nouveau langage inclusif.

Ainsi, selon le phylogénéticien Lewis Ramsey, de l’Université de Caroline Du Nord :

« Les accessions courantes des espèces génitrices probables de Nicotiana tabacum accumulent de la nornicotine, au lieu de la nicotine, en tant qu’alcaloïde majeur dans leurs feuilles sénescentes. Cette accumulation est le fruit d’un processus de conversion biochimique contrôlé, largement, par un seul gène dominant — qui est présent dans chacun des génomes des ancêtres de Nicotiana tabacum. De plus, les amphidiploïdes synthétiques — Nicotiana sylvestris x Nicotiana tomentosiformis ainsi que Nicotiana sylvestris x Nicotiana otophora — convertissent, également, la nornicotine en nicotine. Ainsi, les populations initiales de Nicotiana tabacum doivent avoir, aussi, probablement, accumulé de fortes teneurs en nornicotine. Cependant, quasiment toutes les accessions de Nicotiana tabacum collectionnées, de par le monde, dans les décennies 1930 et 1940, accumulent la nicotine en tant qu’alcaloïde majeur. Il est, donc, tentant de spéculer que des Indigènes, dans le passé, firent preuve de discrimination en sélectionnant des populations de Nicotiana tabacum chez lesquelles le processus physiologique de conversion de la nornicotine a été discontinué au niveau du contrôle génétique ». [15]

Traduction et soulignement de Xochi.

Doit-on comprendre que le phylogénéticien Lewis Ramsey soit tenté de suggérer que certains individus, des Peuples Premiers de l’Amérique latine, auraient eu la capacité de discriminer en repérant le gène dominant contrôlant la conversion de la nornicotine en nicotine chez les ancêtres putatifs du tabac cultivé ?

Par quel moyen ? De par la même capacité visionnaire avec laquelle les Ayahuasqueros affirment pouvoir observer — grâce à l’Ayahuasca — le niveau biomoléculaire des plantes médicinales au cœur de leurs forêts tropicales de l’Amazonie ? Et quelle est l’amplitude de temps ancien évoqué ? S’agit-il d’Indigènes Tabaqueros vivant il y a des milliers d’années, des dizaines de milliers d’années… ou bien quelques millions d’années ?

Au sujet de la « domestication » du tabac… puis-je réitérer ce que j’évoquais, en 2019, dans mon Canto en hommage à Maurice Chaudière : [22] Au-delà des processus de co-apprivoisement de l’agri/culture, qu’en est-il, réellement, des origines de toutes les espèces alimentaires domestiquées ? En effet, aujourd’hui, personne ne connaît, véritablement, l’ancêtre du maïs, ou, du moins, cette passation de pouvoir — miraculeusement invoquée par les phylogénéticiens — entre les genres botaniques Teosinte et Zea ; aujourd’hui, personne ne peut, encore, expliquer comment la domestication, prétendument humaine, a généré, d’une carotte sauvage, la carotte de Colmar ou celle de Guérande. Car si nous savions l’expliquer, pourquoi ne pourrions-nous, donc, pas le re/susciter ?

De fait, les théories officielles concernant les origines de l’agriculture, et de l’élevage, sont tout aussi farfelues que toutes les autres fadaises issues de la même hallucination collective sur modes néo-darwinistes. Il en est de l’oca, du maïs ou de la carotte — et de toutes les espèces alimentaires cultivées par les animaux humains — comme de la biodiversité de l’Explosion cambrienne : les ancêtres font défaut ou les phases intermédiaires sont inexistantes.

Se pourrait-il, donc, que le tabac cultivé ait « émergé », un jour — sous forme d’explosion — tout comme ont émergé, un jour, les Baleines, les Tortues, les Trilobites ? Se pourrait-il, donc, que l’Explosion du tabac cultivé soit à l’image de l’Explosion cambrienne, de l’Explosion d’Avallon, de l’Explosion des Angiospermes, de l’Explosion des Trilobites ?… ainsi que je l’ai, extensivement, évoqué dans mon Canto de 67 pages : « L’Hallucination Collective Néo-Darwiniste dans l’Oeil du Cyclone de la “Dé/Sélection Gaïenne” — au Plaisir de la Survie des Peuples ». [108]

Se pourrait-il, donc, que le tabac cultivé soit le sujet d’un « Dessein Intelligent et Ingénieux » ? Et pour quels motifs si ce ne sont le bien-être, la médecine et les états de transe visionnaire ?

D’ailleurs, certains chercheurs grognons émettent des doutes quant au fait que les complexes de remèdes des Peuples amazoniens soient « traditionnels » alors que, par exemple, ils mélangent de la Noix de muscade (originaire d’Indonésie) avec du tabac ou d’autres plantes médicinales ou enthéogéniques. Rappelons, donc, que l’Université de Cambridge, en décembre 2016, a communiqué sur la publication des recherches officielles d’archéologues de l’Inde qui affirment qu’au moins 85 espèces agricoles, originaires des Amériques, sont cultivées en Inde depuis une période antérieure au 8e siècle. [201]

Il est assez logique, et fertile, d’imaginer que si 85 espèces agricoles sont parvenues des Amériques en Inde et en Asie, il y a deux ou trois mille années, il serait strictement étonnant que des espèces asiatiques n’aient pas été apportées dans les Amériques — durant les mêmes voyages transocéaniques par bateaux ou durant un passage, hypothétique, du Détroit de Béring par des peuples eurasiatiques qui profitaient d’un moment d’accalmie et de réchauffement planétaire naturel et non anthropique.

Ce processus s’appelle « l’échange » et il constitue le fondement du mutualisme qui caractérise les relations humaines — ainsi que tout le tissu de Vie de la Biosphère.

Ainsi, aujourd’hui, qui pourrait affirmer depuis quand le cannabis asiatique a été cultivé au Mexique ou en Colombie ? D’autant plus qu’il est très clair que les premiers explorateurs ont affirmé que les Peuples de l’actuel Canada, par exemple, le cultivaient au moins pour des propos de tissage et de confection de vêtements — bien avant l’arrivée des premiers colons au 16e siècle. [202]

De plus, quid des révélations de l’historien et ethnologue, William Henry Holmes (1846 -1933), du Smithsonian Institute, concernant sa découverte de Cannabis datant de plus de deux millénaires en Amérique du Nord ? En effet, en 1891, William Henry Holmes, dans ses études de l’art textile préhistorique à l’est des USA, découvrit des centaines de pipes en argile, au Death Mask Mound des Bâtisseurs de Tumulus de la dénommée Culture Hopewell — dans l’actuel Ohio. Ces pipes contenaient des vestiges de Cannabis et étaient enveloppées dans des tissus de chanvre. Elles furent datées à — 200/ — 500 ans avant EC. [205] [206]

De plus quid de l’Optimum climatique médiéval — à savoir le Réchauffement atmosphérique non anthropique, de l’an 900 à l’an 1300 — lorsque les Vikings étaient les animateurs de l’Europe du Nord sur des mers glaciales… dénuées de glaces ? Quid de leur « découverte » de l’Amérique du Nord vers les années 950/1000 ? Faut-il rappeler que leurs voiles et leurs cordages étaient confectionnés avec du Cannabis/Chanvre ?

De plus, pour surfer sur la vague des voyages navals intercontinentaux, et des échanges de plantes médicinales ou agricoles maîtresses, quid de la découverte de Coca (Erythroxylum coca) et de tabac dans des momies égyptiennes datant de milliers d’années ? [236]

Aux origines historiques du tabac médicinal

C’est le 15 octobre 1492 que Christophe Colomb — le navigateur et grand fabulateur devant l’Éternel — découvrit non pas l’Amérique, mais l’existence du tabac lorsqu’un canoë passa, près de son navire, transportant des feuilles de cette espèce alors inconnue en Europe.

La découverte de l’Amérique par Christophe Colomb est une gigantesque farce — au même titre que le Coque/Vide19, que le Réchauffement atmosphérique anthropique au dioxyde de carbone… ou que l’histoire officielle des trois dernières guerres franco-allemandes. C’est, en effet, durant le Réchauffement atmosphérique naturel, et non anthropique, de l’Époque médiévale (entre 900 et 1300) que les Vikings arrivèrent sur la côte est de l’Amérique du Nord.

Un peu plus tard, en novembre 1492, deux marins de son équipage — Luis de Torrès et Rodrigo de Jerez — observèrent que les Indigènes, de ce qui est maintenant l’île de Cuba, transportaient des torches brûlantes, contenant du tabac, pour chasser les maladies et la fatigue :

« Nous observâmes avec inquiétude ce qui nous a semblé être un sacrifice rituel par le feu, car nombre de ces indigènes portaient à leur bouche des tubes ou des cylindres se consumant à leur extrémité et ils les suçaient, des tubes à travers lesquels ils aspiraient de la fumée, et de leur apparent confort nous en déduisons qu’il doit s’agir d’un rituel important dont ils semblent éprouver une satisfaction des plus grandes. Nous vîmes même d’ailleurs ces indigènes s’offrir les uns aux autres ces tubes étranges et les allumer ».

Rodrigo de Jerez, de retour dans son village en Espagne, Ayamonte, pratiqua, lui-même, la coutume de fumer le tabac. Il fut alors enfermé, dans les prisons de la Sainte Inquisition, pour péché de sorcellerie (à savoir, pour exhalation diabolique de fumée par la bouche), pendant sept années.

À cette époque, le tabac était dénommé, dans divers langages, « quauhyetl », « petun », « betum », « cogioba », « cohobba », « picietl », « yietl »… et il était fumé avec des pipes dénommées « tabaco » ou « tavaco ».

Le terme « petun » est, d’ailleurs, à l’origine du nom du genre « Petunia » — dans la même Famille des Solanacées — car le tabac est dénommé « petun » et « petuma » en Tupi et « peti » en Guarani. [12] Les Pétunias sont, également, des espèces possédant des propriétés médicinales — entre autres, de par la présence de peptides antimicrobiens. [10]

Les explorateurs Pedro Alonso Niño, Cristóbal de la Guerra et Amerigo Vespucci évoquèrent, aux Caraïbes et au Venezuela, vers 1500, l’usage du tabac — sans doute mélangé avec de la chaux ou de la craie — sous forme d’une poudre pour se nettoyer les dents.

Cette pratique perdure en Inde : la poudre dénommée « Mishri » ou « Masheri » contient du tabac et est utilisée pour l’hygiène dentaire. De plus, en Inde, de nombreux dentifrices (dant manjan) contiennent du tabac. [13] Chez les femmes, la prise de tabac est sous la forme de poudre de dentifrice pour 41 % d’entre elles. Chez les hommes, la prise de tabac est sous la forme de Chaini Khaini (poudre de tabac humide dénommée « snus ») pour 57 % d’entre eux et sous la forme de poudre de dentifrice, pour 8 % d’entre eux. [19] Ces dentifrices au tabac, ainsi que le Chaini Khaini contiennent, généralement, de très hauts niveaux de nicotine et de nitrosamines. [9]

Le taux de cancer de la cavité buccale, en Inde, est l’un des plus élevés au monde. Dans ce pays, 65 % des cancers, chez les hommes, et 33 % des cancers, chez les femmes, seraient corrélés à l’usage du tabac. La question se pose, une nouvelle fois, de savoir si l’incidence du tabac quant à l’émergence de cancers (si tant est que certaines hypothèses soient valides) serait identique si le tabac était cultivé selon des méthodes totalement respectueuses de l’environnement et de la santé humaine — et si le tabac n’était pas mélangé à de multiples additifs.

C’est, également, vers 1500, que le concept de tabac, comme panacée universelle, commença à prévaloir. L’explorateur portugais Pedro Alvarez Cabral rapporta l’usage du tabac au Brésil pour soigner les polypes, les abcès, les ulcères, les fistules, et de nombreuses autres pathologies.

À l’époque, le tabac était qualifié de « Remède de Dieu » et de « Plante Sacrée ».

Vers 1523/1524, lorsque l’explorateur italien Giovanni da Verrazano passa deux semaines, dans la baie de Narragansett (dans le présent Rhode Island), il commenta l’usage thérapeutique du tabac au roi François 1er, son sponsor : « Les Indiens vivent une longue vie, ils sont rarement malades et lorsqu’ils souffrent d’une blessure, ils se la soignent par le feu ».

En 1934, le chirurgien mexicain, Fernando Ocaranza Carmona (1876-1965) résuma les propriétés médicinales du tabac — dans le Mexique d’avant 1519 — comme étant narcotiques, analgésiques, émollientes et antidiarrhéiques. Il précisa, également, que les feuilles de tabac, en application externe, étaient utilisées pour soigner les douleurs, les blessures et les brûlures.

En 1529, le missionnaire espagnol Bernardino de Sahagún arriva au Mexique et commença à collecter des informations, auprès de quatre médecins nahuas, de la région de Tilaltelulco, sur l’usage du tabac médicinal — qu’il nomma « Picietl » et « Yietl ». Il rapporta que le fait de respirer le parfum de feuilles vertes et fraîches de tabac permettait de soulager les maux de tête persistants et que des feuilles, ou de la poudre, appliquées dans la bouche soignaient les cathares et les refroidissements.

C’est en 1535 que le terme « tabaco » apparut, pour la première fois imprimé, dans l’ouvrage « La Historia general de las Indias », de Gonzalo Fernandez de Oviedo — qui y indiqua, également, que les Espagnols commençaient à avoir recours au tabac pour traiter leur syphilis.

Dans le récit de son second voyage intitulé « Bref récit et succincte narration de la navigation faite en 1535 et 1536 par le capitaine Jacques Cartier aux îles de Canada, Hochelaga, Saguenay et autres » [40], Jacques Cartier y décrit comment les Indigènes fumaient du tabac dans des pipes pour se garder en bonne santé et au chaud. Cartier précisa que jamais les Indigènes ne se séparaient de leur tabac, ou de leur pipe, en voyage. Cet ouvrage fut, ainsi, le premier récit imprimé rapportant l’usage — dans les Amériques — de la pipe médicinale pour inhaler du tabac.

C’est également vers cette époque que l’ouvrage de Bartolomé de las Casas (1484-1566) intitulé « Historia de las Indias » fut rédigé, à savoir entre entre 1527 et 1559 — et il ne fut publié, pour la première fois, qu’en 1875 en Espagne. Bartolomé de las Casas arriva en Amérique en 1502 et consacra sa vie à défendre les Indigènes à l’encontre de leur extermination religieuse. Voici ce qu’il écrivit au sujet du tabac dans son ouvrage :

« Ce sont des herbes sèches, enveloppées dans une certaine feuille, sèche aussi, en forme de ces pétards en papier que font les garçons à la Pentecôte. Allumés par un bout ou par l’autre, ils le sucent ou l’aspirent ou reçoivent avec leur respiration vers l’intérieur cette fumée, dont ils s’endorment la chair et s’enivrent presque. Ainsi ils disent qu’ils ne sentent pas la fatigue. Ces pétards, ou n’importe comment que nous les appelions, ils les nomment tabacs ».

L’historien espagnol, Antonio de Herrera y Tordisillas, vécut dans la région de Tabasco, au Mexique, de 1601 à 1605, et écrivit au sujet du tabac :

« Dans ce pays, le tabac soigne les douleurs provoquées par les refroidissements ; lorsqu’il est fumé, il est bénéfique à l’encontre des refroidissements, de la toux et de l’asthme ; les Indiens et les Noirs l’utilisent en poudre, dans leur bouche, afin de s’endormir et de ne ressentir aucune douleur ».

Entre 1537 et 1539, ce furent 14 ouvrages, publiés en Europe (et un au Mexique), qui mentionnèrent l’usage médicinal du tabac. Ils furent rédigés en huit langages par des explorateurs, des historiens, des médecins, des missionnaires et des botanistes. Les auteurs mentionnèrent, alors, 19 pathologies soignées par le tabac médicinal.

C’est à cette époque que l’un de ces auteurs, jésuite de profession, affirma, même, que le tabac était le Remède de Dieu ! La Sainte Inquisition arrêta, alors, de persécuter les fumeurs de tabac et continua de vaquer à ses occupations et persécutions quotidiennes : à savoir, le massacre des sages-femmes, des guérisseuses, des thérapeutes, des sorciers et des sorcières, des shamans… et autres dissidents et hérétiques. La Sainte Inquisition retourna vers ses fumées privilégiées émanant des bûchers de la Rédemption.

Vers 1560, Jean Nicot, l’ambassadeur de France au Portugal, découvrit le tabac et en fit pousser dans son jardin de l’ambassade. L’un de ses serviteurs souffrait d’un furoncle — un Noli-me-tangere — sur le visage qui disparut intégralement lorsqu’il lui conseilla d’appliquer du jus de tabac, durant une dizaine de jours. Il guérit, par le même processus, en une dizaine de jours, le père de l’un de ses serviteurs qui souffrait, depuis deux années, d’une jambe totalement ulcérée. Il soigna, de même, une femme qui souffrait d’une teigne lui couvrant le visage. Enthousiasmé par ces guérisons, il envoya des graines de tabac à la cour royale française — à Catherine de Médicis qui souffrait de migraines chroniques.

En fait, dès 1507, un ouvrage en Latin, qui portait le titre « Cosmographiae introductio », fut imprimé — à Saint-Dié dans les Vosges — par le chanoine Vautrin Lud. Cet ouvrage présentait les lettres d’Amerigo Vespucci qui contenaient ses observations sur les pratiques de consommation de tabac qu’il avait observées durant ces quatre voyages dans les Amériques. Cosmographiae introductio fut publié en préambule du planisphère de Martin Waldsee Müller (le cartographe du Gymnasium Vosagense) qui proposa, pour la première fois, le nom « Ameriga » — en hommage à Amerigo Vespucci — pour le continent colonisé par les marchands européens, et persécuté par les monothéistes, sous la houlette de Christophe Colomb.

Voici ce que Jean Nicot écrivit au Cardinal de Lorraine, son protecteur :

« J’ai recouvré d’une herbe d’Inde de merveilleuse et expérimentée propriété contre le noli me tangere [dermatose prurigineuse qu’il ne fallait pas gratter] et les fistules déplorées comme irrémédiables par les médecins et de prompt et singulier remède aux nausées. Sitôt qu’elle aura donné sa graine, j’en enverrai à votre jardinier et de la plante même dedans un baril avec une introduction pour la replanter et entretenir ».

Sa générosité, dans la distribution de semences de tabac, lui valut la réputation « d’Ambassadeur du tabac ». Il est, ainsi, réputé comme ayant introduit le tabac en France — qu’il nomma « Nicotiane », dans son ouvrage « Commentaires de la Langue française ».

C’est pour rendre hommage à Jean Nicot que le genre botanique Nicotiana a été ainsi nommé par un médecin et botaniste Allemand, Adam Lonitzer en 1582 — dans son ouvrage « Kraüterbuch ». C’est le botaniste français, Jacques D’Aléchamps, qui nomma cette plante Nicotiana tabacum, en 1586, dans son ouvrage « Histoire Générale des Plantes » — et qui en fit une ample promotion, car il le considérait comme une panacée universelle.

En vérité, il semblerait que celui qui introduisit le tabac en France fut l’explorateur et moine Franciscain, André Thevet, qui écrivit, en 1558, dans son ouvrage « Singularités de la France Antarctique » : « Autre singularité d’une herbe, qu’ils nomment en leur langue Petun, laquelle ils portent ordinairement avec eux, pource qu’ils l’estiment merveilleusement profitable à plusieurs choses. Elle ressemble à notre buglosse. Or ils cueillent songneusement ceste herbe, et la font seicher à l’ombre dans leur petites cabannes. La maniere d’en user est telle. Ils l’enveloppent, estant seiche, quelque quantité de ceste herbe en une fueille de palmier, qui est fort grande, et la rollent comme de la longueur d’une chandelle, puis mettent le feu par un bout, et en reçoivent la fumée par le nez, et par la bouche. Elle est fort salubre, disent ils, pour faire distiller et consumer les humeurs superflues du cerveau. Davantage prise en cette façon, fait passer la faim, et la soif pour quelque temps. Parquoy ils en usent ordinairement, mesmes quand ils tiennent quelque propos entre eux, ils tirent ceste fumée, et puis parlent : ce qu’ils font coustumierement et successivement l’un apres l’autre en guerre, ou elle se trouve tres commode. Les femmes n’en usent aucunement. Vray est, que si lon prend trop de ceste fumée ou parfun, elle enteste et enivre, comme le fumet d’un fort vin ».

André Thevet nomma le tabac « Herbe angoumoisine » — du nom de sa ville natale — et n’apprécia absolument pas que que le tabac fût nommé en hommage à Jean Nicot : « Depuis un qidam, qui ne fit jamais le voyage, quelque dix ans après que je fus de retour de ce pays, lui donna son nom ». À titre de consolation posthume, un siècle plus tard, Carl von Linné nomma une espèce d’Apocynacée en son honneur : Thevetia ahouai.

La première édition, de 1564, de l’ouvrage « L’Agriculture et Maison Rustique », de Charles Estienne, évoqua le tabac, mais de façon incorrecte. Il fallut attendre son édition de 1570 — rédigée avec son beau-fils, le médecin Jean Liébault — pour que le tabac soit présenté adéquatement avec ses lettres de noblesse médicinale.

Cet ouvrage donna des conseils et des recettes thérapeutiques quant à l’usage du tabac et des diverses pathologies qu’il peut traiter : ulcères, teigne, doigts coupés, scrofules, asthme, furoncles, blessures, aphtes…

Entre 1586 et 1600, ce furent 38 ouvrages qui furent publiés décrivant les propriétés médicinales du tabac — dont trois ouvrages rédigés exclusivement à propos de cette espèce.

Dans ces ouvrages, ce furent 71 pathologies qui furent évoquées comme traitables par le tabac.

En 1588, le célèbre chirurgien anglais, William Clowes, publia son ouvrage intitulé « A prooued practise for all young chirurgians, concerning burnings with Gunpowder, and woundes made with Gunshot, Sword, Habbard, Pyke, Launce, or such other. » Il y décrivit plusieurs onguents, à base de tabac, dont l’un de sa propre invention. L’année suivante, un autre chirurgien anglais, John Banester, publia de nombreuses recettes (onguents, gargarismes, décoctions), à base de tabac, dans son ouvrage « An Antidotarie Chyrurgical ».

Le premier ouvrage rédigé, en Anglais, intégralement sur le thème du tabac, le fut, en 1595, par Anthony Chute : « Tabaco ». On y trouve la première représentation graphique d’un homme fumant une pipe de tabac.

C’est en 1597 que le célèbre botaniste anglais, John Gerard (1545-1612), publie son ouvrage « The Herbal » — qui constitue, en fait, une adaptation de l’œuvre du médecin et botaniste malinois Rembert Dodoens (1517-1585). C’est dans cet ouvrage que John Gerard commence à émettre des doutes, et des conseils de précaution, sur l’usage inconsidéré du tabac — et sur son impact potentiellement néfaste sur le cerveau et sur le foie.

À partir du tournant du siècle et de la publication, en juin 1601, d’un ouvrage antitabac intitulé « Work for chimny-sweepers/A Warning for Tabacconists » [29] — qui fut rédigé par un médecin anonyme, Philaretes — une controverse éclata à Londres au sujet de l’usage thérapeutique du tabac. Elle dura jusqu’en 1665 — avec des répercussions dans toute l’Europe. Durant cette période, ce furent 26 ouvrages qui furent publiés, sur la place de Londres même — par une quinzaine de médecins, des poètes, un juge et, même, le Roi Jacques Ier Stuart — au sujet des vertus thérapeutiques, ou des dangers pour la santé, du tabac.

C’est l’ouvrage publié par le Roi Jacques Ier, en 1604, « A Counterblaste to Tobacco », qui fut principalement responsable de la polémique entourant le tabac médicinal.

Parmi ces 26 ouvrages, ceux qui promouvaient le tabac comme plante médicinale maîtresse déclinèrent 179 pathologies traitables par cette plante.

En fait, comme le précise Marc Kirsch – qui reprend les exposés de Peter Mancall, en 2004, dans « Tales tobacco told in sixteenth-century Europe » – dans son essai, de 2010, intitulé « Le tabac. Genèse d’une Épidémie » :

« Peter Mancall montre comment la diffusion du tabac coïncide avec celle du livre imprimé, qui a joué un rôle clé pour faciliter l’implantation du tabac en Europe, répandant les informations et relayant les débats concernant les plantes découvertes en Amérique et les vertus qu’on leur prêtait… L’histoire du livre raconte comment le tabac a dû franchir un obstacle culturel pour s’imposer : à la différence d’autres ressources naturelles déjà connues ou plus facilement assimilables (or ou plantes alimentaires), il lui a fallu perdre ses connotations de spiritualité païenne, dans une Europe obsédée par le démon et la sorcellerie, pour que la connotation médicale, désacralisée et coupée du contexte spirituel, le rende culturellement acceptable. D’où des débats nombreux et animés entre propagandistes et détracteurs d’une plante utilisée dans leurs sombres rituels par des sauvages à peine humains, nus et cannibales, qu’il fallait se garder d’imiter ». [30]

Entre 1492 et 1860, ce sont 254 pathologies qui furent évoquées comme traitables par le tabac. Elles sont déclinées, par ordre alphabétique, sur trois pages, dans l’excellent essai rédigé, en 1967, par Grace Stewart, et intitulé « A History of the Medical Use of Tobacco. 1492-1860. » [24]

Usages médicinaux et chamaniques traditionnels de Nicotiana tabacum

Aujourd’hui, selon l’ouvrage « Medical Ethnobiology of the Highland Maya of Chiapas. Mexico », le tabac, Nicotiana tabacum, chez les Mayas Tzeltal et Tzotzil, constitue le remède suprême pour toutes les douleurs abdominales.

Chez les Mayas Tzeltal, les remèdes secondaires, pour cette pathologie, sont pourvus par les espèces suivantes : Lantana camara, Ocimum selloi, Tagetes lucida et Ageratina ligustrina. Chez les Mayas Tzotzil, ce sont : Tithonia diversifolia, Stevia ovata, Baccharis vaccinoides et Smallanthus maculata.

Les Mayas Tzeltal et Tzotzil utilisent, également, le tabac pour soigner les diarrhées sanglantes — en compagnie d’autres plantes telles que Ruta graveolens (Rue), Psidium guajava (Goyavier), Solanum lanceolatum, Equisetum hymale (une Prêle), Acaciella angustissima et Baccharis trinervis.

Chez de nombreux groupes Mayas du Chiapas et du Guatemala, le tabac est dénommé « May » — ou « Noholkik’uts ». Il est, également, dénommé « Hunac Ah Kinam », le Grand Seigneur des Maladies. Il s’agit, alors, de Nicotiana tabacum ou bien de Nicotiana rustica.

Selon l’ouvrage « Plantes médicinales des Mayas K’iché du Guatemala », de l’ethnologue français, Jean-Pierre Nicolas, le tabac constitue, aujourd’hui encore, une Plante médicinale maîtresse chez les Mayas K’iché. Ce peuple l’utilise, en application externe ou en ingestion, pour soigner les sinusites, les varices, les maux de gorge, la variole, les herpès ; pour éliminer les poux ; pour soutenir la femme durant l’accouchement ; comme purgatif ; pour éliminer la rouille des feuilles du blé (Puccinia recondita) ; pour se débarrasser du fungus Aspergillus fumigatus qui est responsable d’infections sévères chez les humains.

et, bien sûr, comme médecine purificatrice chamanique, pour gérer les « sustos » et le « mal de ojo. »

Voici ce que rapporte l’historienne et ethnologue, Mercedes de la Garza, dans son ouvrage « Sueño y alucinación en el mundo Nahuatl y Maya » :

« Le tabac (appelé “May” par plusieurs groupes du Chiapas, et du Guatemala, et “K’uts” par las Mayas Yucatèques), principalement, Nicotiana rustica, est peut-être la plante sacrée la plus importante dans le rituel et dans la vie quotidienne des groupes méso-américains ; il est une partie essentielle de l’attirail des shamanes et, presque toujours, il apparaît parmi les offrandes des dieux ; il combat les animaux mauvais, comme les serpents et les scorpions ; il est le médicament miraculeux qui guérit de nombreux maux et, en outre, qui aide et accompagne l’homme, lui donnant la force et protection dans ses voyages et dans les travaux de la vie quotidienne…

Ainsi, le tabac, ou May, aidait et protégeait l’homme, en même temps qu’il lui ouvrait les chemins des réalités sacrées, c’est-à-dire qu’il favorisait la transe extatique. Mais, en outre, le tabac était une manière de panacée qui soignait de multiples maladies ; aussi était-il la plante par excellence des shamanes, dont la fonction principale semble avoir été le traitement de maux divers, spécialement ceux de caractère magique. Parmi les propriétés curatives du tabac, nous pouvons signaler les suivantes : appliqué sur les jambes, comme onguent, il allégeait la fatigue ; il guérissait les piqûres de vipères et autres bestioles venimeuses ; il apaisait les douleurs et supprimait les enflures. Il guérissait, en outre, des frissons, fièvres et convulsions, maladies des yeux, dérangements intestinaux et nerveux, maladies de la peau, problèmes urinaires…

Dans le Ritual de la Bacabes, il est fait mention du tabac dans les traitements de diverses maladies : “frénésie de guacamya” (engourdissement), “frénésie errante” (fièvres intenses), “transe érotique” (fièvre, parler incohérent, folie). Ce sont les maladies qui, en Maya, sont nommées “tancas”.

Dans d’autres sources, il est dit qu’il soigne, de même, plusieurs sortes de fièvres, rôti dans la cendre. Bu avec du “Chacá” (arbre résineux dont le Diccionario de Motul signale divers usages curatifs), du piment et du miel, il combat la variole. Frotté sur le ventre, il expulse les parasites intestinaux. Bu avec du “Chacá” (Bursera simaruba), il soigne “les vers des dents”. Dans le “massage pour le placenta”, on récite une longue conjuration où on le compare au pénis qui pénètre dans les entrailles de Itzamcab, déité de la Terre, et on l’appelle Hunac Ah Kinam, le “Grand Seigneur des Maladies”. Dans le texte de guérisons des brûlures par le feu, il est fait mention d’une déité appelée Ix Muk Yak Kutz, “Celle qui suce le tabac”, nom que Thompson traduit par “Dame qui renforce le tabac”, l’identifiant à la chaux ».

Pages 132/133. Traduction, en 1990, des Éditions Trédaniel.

Selon le fantastique ouvrage, en page 242, de Dennis Breedlove et de Robert Laughlin, « The Flowering of Man. A Tzotzil Botany of Zinacantan » – édité par le Smithsonian Institute et dont le sujet est l’étude des Plantes médicinales chez les Mayas Tzotzil :

« Comme remède à une douleur dans la jambe ou dans le pied induite par un mauvais esprit (poslom), une saignée suivie d’un massage du membre avec un mélange composé de tabac, d’ail et de l’urine d’une femme qui est ensuite appliqué avec un morceau de tissu. Plus simplement, le membre peut être bandé avec des feuilles de tabac, qui ont été séchées sur le feu, ou massé avec un mélange de tabac et de camphre. Les feuilles séchées sont, également, utilisées pour les fractures d’os. Le tabac et le camphre peuvent être utilisés pour la gangrène (mos) et appliqués pour éliminer la gale. La potion “chaude”, constituée de tabac, d’ail et d’urine de femme, peut être utilisée pour soigner la constipation ou la rétention d’urine (makel). Pour l’urination douloureuse, le tabac peut être mélangé avec de l’alcool de canne à sucre et consommé.

dans ces histoires, et dans les discours de la vie quotidienne, est mise en exergue la puissance du tabac pour stupéfier, paralyser et aveugler un adversaire. Pour chasser un vent fort de son champ de maïs, le fermier peut cracher du tabac et de l’alcool de canne à sucre ou bien, encore, émietter du tabac sur le sol. Les shamans enterrent du tabac à chiquer à l’endroit même où une personne a souffert d’une perte de l’âme — afin d’incapaciter le Seigneur de la Terre. Ils crachent, également, du jus de tabac sur le sol pour chasser les sorcières et ils enduisent le corps du patient avec du tabac au moment de dormir… Une personne qui est poursuivie par un arc-en-ciel peut se protéger en répandant du tabac sur le sol. Si elle rencontre un serpent sur son chemin, il doit lui cracher du jus de tabac. Afin de protéger son champ de maïs des ratons laveurs, il doit y répandre, autour, du tabac er de l’ail. »

Traduction de Xochi.

Dennis Breedlove est un botaniste réputé et spécialiste de la flore du Chiapas au Mexique. C’est également un botaniste découvreur d’espèces botaniques. J’ai eu, ainsi, le plaisir d’aller crapahuter dans les montagnes au-dessus du Lac Isabella, en Californie, à 2500 mètres d’altitude (avec mon vieux camping-car de 10 mètres de longueur !), près du Piute Peak, afin d’aller photographier la rarissime espèce de Sarrazin sauvage, que Dennis Breedlove découvrit — Eriogonum breedlovei sp. breedlovei. [194]

Selon l’ouvrage « Plants of the Peten Itza’ Maya », en page 183, Nicotiana tabacum est utilisé, traditionnellement, chez les Mayas Itza, du Guatemala, pour traiter les morsures de serpents, les morsures de tiques, les infestations de vers intestinaux, la leishmaniose, les piqûres de scorpions, les plaies purulentes, les rhumatismes, les maux de tête.

Selon l’ouvrage « Poisons and Panaceas. An Ethnobotanical Study of Montserrat », en page 126, les Indigènes de l’île de Montserrat, dans les Caraïbes, utilisent, traditionnellement, Nicotiana tabacum pour traiter les refroidissements, les plaies et les verrues, les douleurs des hématomes, les maux de dents et pour ses propriétés sédatives et antispasmodiques.

Selon l’ouvrage « The Healing Forest. Medicinal and Toxic Plants of the North-West Amazonia », du célèbre ethnobotaniste de Harvard, Richard Evans Schultes, les peuples Tukanoan, Jivaro, Witoto, Bora, Tikuna utilisent, traditionnellement, Nicotiana tabacum pour soigner les contusions, les foulures, les plaies purulentes, les furoncles, la calvitie, les indispositions, les refroidissements, les morsures de serpents — ainsi que pour les affections pulmonaires.

« Le tabac est fumé à de rares occasions à l’exception de cérémonies et de rituels de guérison réalisés par les shamans qui soufflent de la fumée, ou crachent du jus de tabac sur le corps des patients, ou qui inhalent de la fumée — tout cela étant accompagné de rituels et d’incantations appropriées. Les Witotos, parfois, fument des cigares, mais il est possible que cette coutume soit récemment acquise. Durant les cérémonies d’Ayahuasca, il est fumé d’énormes cigares — parfois d’un mètre de longueur — particulièrement parmi les Tribus de Vaupés. Les Sionas de la région Mocoa, tout comme les Tribus occidentales de Tukanoan, ont, également, recours à des cigares cérémoniels gigantesques, mais, occasionnellement, élaborent de plus petits cigares à usage récréationnel… Les Jivaros et les Aguaruna de l’Équateur fument de longs cigares lors d’un festival du tabac dédié à la célébration de l’initiation de jeunes adolescents.

C’est une pratique commune de mâcher des feuilles de tabac chez de nombreuses Tribus — par exemple, les Cocamas, les Omaguas, les Zaparos, les Omuranas, les Sionas, les Inganos. Les hommes Waika conservent, à la bouche, une chique de feuilles de tabac, toute la journée. Les Nonoyu mélangent le tabac avec de la poudre de Coca pour chiquer.

Le jus de tabac est consommé par les Jivaros soit avec l’Ayahuasca (Banisteriopsis), soit avec le Maikoa (Brugmansia sp.). Parmi la Tribu Coto du Rio Napo, au Pérou, seul le shaman est autorisé à ingérer du jus de tabac par les narines alors que les hommes le boivent. Les Ayahuasqueros métis du Pérou mélangent l’Ayahuasca avec le tabac, en émiettant les feuilles et en les humidifiant avec leur salive. Le mélange est laissé à reposer toute une nuit dans la cavité d’un arbre, le Lupuna (Ceiba pentandra) dont le jus présumé toxique s’écoule dans le jus du tabac. Parmi les Tukanos occidentaux de Colombie et du Brésil, les maîtres Shamans font boire à leurs étudiants une gourde entière du jus de tabac pour induire des vomissements et éventuellement de la narcose. Les Jivaros de l’Équateur boivent le jus dans des cérémonies d’initiation, dans les quêtes de visions, dans les préparations à la guerre, dans les célébrations de victoires et dans la sorcellerie ; même les femmes consomment le jus de tabac durant des fêtes de mariages ou des initiations ».

En page 433. Traduction de Xochi.

Richard Evans Schultes précise, également, que l’utilisation rectale du tabac est inconnue en Amérique latine sauf chez les Jivaros Aguarunas qui le consomment de cette façon — soit seul, soit avec de l’Ayahuasca. Il est à noter que les Jivaros utilisent également le « Piri-piri » (une espèce de souchet dans le genre Cyperus) dans leurs mélanges enthéogéniques avec le tabac.

Quant aux Jivaros Shuar, leurs mélanges enthéogéniques incluent également le tabac et le « Piri-piri » ainsi que diverses espèces telles que Banisteriopsis caapi (l’Ayahuasca), Brugmansia suaveolens (le Floripondio), Brunfelsia grandiflora, Diplopterys cabrerana (le Chaliponga), Heliconia stricta, Ilex guayusa (le Guayusa) et Herrania sp. [192]

De l’autre côté de la planète, le tabac est également utilisé en Inde, par exemple, pour ses propriétés médicinales. Dans la Médecine traditionnelle et dans la Médecine ayurvédique, Nicotiana tabacum est prescrit pour soigner l’asthme, les rhumatismes, l’hernie étranglée, l’orchite, les pathologies cutanées, l’arthralgie, la goutte, le lumbago, les maux de dents, les rhinites chroniques, la toux, les infections du cuir chevelu, les morsures de scorpions, les troubles de l’estomac ainsi que pour ses propriétés sédatives, antispasmodiques, vermifuges, antiseptiques, émétiques. [207]

Les Tribus du district de Surguna, dans l’Andra Pradesh, appliquent des feuilles de tabac sur les testicules pour traiter l’hydrocèle.

Selon, l’ouvrage de Louis Girault, « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 395), Nicotiana tabacum est utilisé, traditionnellement, pour traiter les affections pulmonaires, les contusions, les obstructions intestinales, les infestations de parasites intestinaux, les infestations du cuir chevelu, les migraines.

Les guérisseurs itinérants, appelés Kallawaya, sont originaires de Bolivie. À ce jour, 980 plantes médicinales ont été répertoriées dans leur pharmacopée. Il est à noter que ces guérisseurs traditionnels possèdent un langage secret (en voie et en voix d’extinction avec 100 ou 200 locuteurs) qui se dénomme « Machaj Juyai » [195] — à l’instar du langage secret des shamans Nahua, le « Nahuallatolli ».

En août 2012, nous avons organisé le Festival Kokopelli-Pachamama à Ollantaytambo, au Pérou, accueillant, durant une semaine, les Gardiens de Semences de toute l’Amérique latine. Nous y avions invité le Centre de Médecine traditionnelle Amazonienne Takiwasi de Situlli, au Pérou — qui fut créé par le médecin Jacques Mabit. C’est, donc, avec grand plaisir que j’ai découvert deux monographies réalisées par l’une des chercheuses de Takiwasi, Céline Ochem. Je conseille la lecture de ces deux monographies excellentes à toute personne intéressée par le tabac, le Shamanisme et la Médecine traditionnelle amazonienne : « Le tabac et son usage en Médecine traditionnelle amazonienne » (2010. Sous la guidance du pharmacien Patrice de Bonneval) [259] et « L’Usage des Diètes en Médecine traditionnelle amazonienne » [260].

Jacques Mabit a, également, rédigé un essai intitulé « Sinchi, Sinchi, Negrito: Usage médicinal du tabac dans la Haute Amazonie Péruvienne ». [286]

Le tabac : un Poison ou une Panacée ?

Selon l’OMS (l’Organisation pour le Massacre Sanitaire), ce sont plus de 8 millions de personnes qui décéderaient annuellement de l’usage du tabac — dont 1,2 million en raison de tabagisme passif. [3]

Il est très vraisemblable que ces chiffres, à la grosse louche, soient à l’aune des statistiques évoquant des millions de décédés covidiens ! À savoir, de la pure propagande.

Aujourd’hui, on trouve dans des articles datant de 2021 — tel que celui du Journal des Femmes. Santé — l’affirmation selon laquelle « La nicotine n’est pas cancérigène, mais c’est elle qui est responsable d’une grande partie de l’addiction à la cigarette : on l’appelle l’addiction chimique ». [57]

Si la nicotine n’est pas cancérigène… comment le tabac l’est-il alors ?

En 2007, une étude grecque a analysé le taux des substances radioactive, radium et polonium, dans des cigarettes de tabac. En effet, les fertilisants de synthèse de l’agriculture chimique contiennent beaucoup de radium qui se transforme en radon et qui, lui-même, se transforme en polonium 210 et en plomb 210. [250]

Nonobstant, dès 2009, le Professeur Jean-Pol Tassin affirmait strictement le contraire : à savoir que la nicotine n’est strictement pas addictive. [62] Si cet éminent chercheur a raison, on comprend les efforts gigantesques déployés par l’Industrie de la cigarette pour modifier le tabac afin de favoriser la dépendance tabagique.

Une étude suisse, de 2005, précise que :

« Lors de la fabrication de cigarettes suisses, on peut compter 25 % d’additifs sur la composition totale… La quantification de certaines substances a révélé de grandes concentrations de certains additifs, notamment le menthol dans des cigarettes classiques (0,02 à 13,3 µg/g), le 2-éthyl-1-hexanol (0,06 à 12 µg/g) et l’alcool benzylique (6,6 à 40,8 µg/g). On constate que l’adjonction abondante de menthol et la concentration élevée d’ammonium influent sur l’inhalation de la fumée et sur le potentiel de dépendance de la cigarette ». [66]

Quel est le nombre d’additifs que l’Industrie utilise pour agrémenter ses cigarettes de tabac ? Plus de 600 additifs y sont ajoutés : conservateurs, humectants, arômes et auxiliaires de fabrication — ce qui constitue, environ, 10 % du poids total de la cigarette. [59] [63]

On trouve une liste de 599 additifs au tabac, datant de 1994, chez Fakypedia — aimablement fournie par cinq multinationales de l’Industrie des Tabacs. [61]

En sus des additifs permis par les Autorités, le tabac industriel constitue une mine abondante de sous-produits dérivés des processus de culture, et de production, tels que : des pesticides, des herbicides, des insecticides, des métaux lourds, des micro-organismes, des déchets industriels (métal, carton, polystyrène, insectes et petits animaux) et d’autres substances telles que des solvants industriels et des dioxines.

N’est-il pas hautement révélateur que depuis la nouvelle loi, de janvier 2016, de modernisation du système de santé, et depuis l’Arrêté du 19 mai 2016, promulguant des emballages neutres pour le tabac avec moult « avertissements sanitaires », la composition du contenu des paquets de tabac ait totalement disparu ? [276]

Lorsque toutes ces substances sont pyrolysées, elles sont absorbées par les poumons, sans aucune discrimination. Même lorsque les additifs sont considérés comme naturels (cacao, sucre brun, réglisse, miel) on est incapable de savoir ce que leur combustion — en synergie avec des milliers de composants propres au tabac et en synergie avec des centaines d’additifs, de déchets industriels et de dioxines — peut provoquer comme effets délétères dans le corps humain.

Par exemple, les cigarettes contiennent du glycérol à hauteur de 1 à 4,5 % de leurs poids. Le glycérol constitue une substance amplement ajoutée à de nombreux produits industriels, et de consommation, tels que les savons, les détergents, les médicaments, les produits cosmétiques, les aliments, les boissons, les peintures, les résines et le papier. La combustion du glycérol libère de l’acroléine qui est une substance hautement cancérigène. [67]

Ainsi qu’il est évoqué, dans une autre partie de cet essai, les Tabacs sont intrinsèquement des bio-accumulateurs qui sont utilisés dans les processus de phytoremédiation. Cela signifie que ce sont des pompes à métaux lourds, à hydrocarbures, à isotopes radioactifs et à biocides qui purifient les sols de toutes ces substances archi toxiques.

Qui plus est, depuis des dizaines d’années — à savoir, officiellement et « légalement », depuis 1982 — l’Industrie a créé une pléthore de variétés de tabac qui sont des « chimères génétiques fonctionnelles » — à savoir des OGMs, des organismes génétiquement manipulés. Quelle est la fonction de ces chimères génétiques ? De rendre les Tabacs résistants aux herbicides, aux insecticides, aux fongicides, etc., afin de leur permettre de ne pas succomber sous l’assaut de tous ces biocides — à savoir, afin de leur permettre de métaboliser, de digérer, dans leurs tissus ces divers biocides.

Cela signifie que les Tabacs chimériques pourraient être encore plus toxiques que les variétés conventionnelles — ce qui n’est pas peu dire.

Et comble d’empoisonnement, depuis une quinzaine d’années, la Mafia Pharmacratique tente même de développer des vaccins injectables contenant des haptènes dont la fonction est d’impulser la production d’anticorps, se liant aux molécules de nicotine, afin de les empêcher de franchir la barrière entre le flux sanguin et le cerveau.

Parallèlement à la création de vaccins chimériques anti-nicotine, la Mafia Pharmacratique a développé des médications antitabac, à savoir pour permettre de stopper de fumer du tabac. En 2009, aux USA, la FDA a prié les fabricants de ces remèdes de prévenir les consommateurs du risque avéré d’avoir le mental partir en vrille et de développer des tendances suicidaires. Il s’agit du Ziban (bupropion) de GSK, du Champix et du Chantix (varénicline) de Pfizer… [79] [81]

Selon une étude, publiée en 2013 dans une revue scientifique canadienne, le Champix a été associé à un risque accru de plus de 70 % d’hospitalisations pour accidents cardiovasculaires graves, notamment des attaques cardiaques, des arythmies cardiaques, des ischémies ou encore des insuffisances cardiaques. [251]

GSK (GlaxoSmithKline) a, ainsi, contracté un partenariat avec Nabi Biopharmaceutical, en 2009 [82] afin de créer un vaccin anti-nicotine dénommé NicVAX. Il semble que ce fut un échec strictement total. [77] [84] Les autres sociétés nécrotechnologiques qui ont travaillé, sur la conception de vaccins anti-nicotine, sont Cytos, Celtic Pharma et Independent Pharmaceutica.

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La question essentielle qu’il faut se poser aujourd’hui : sur les milliers d’études « scientifiques et médicales » dont la fonction a été de « prouver » que le tabac est cancérigène, combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio, à savoir cultivé selon les méthodes de l’Agriculture biologique ? Combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio pur, à savoir sans addition de quelque 500 adjuvants, tous plus ou moins cancérigènes ?

La réponse est simple et limpide : aucune. Et c’est un scandale médical et scientifique, car au vu des propriétés médicinales exceptionnelles du tabac, qui sont déclinées ci-après, on peut imaginer quel serait l’impact thérapeutique du tabac, consommé sous divers modes, s’il était produit selon des méthodes totalement respectueuses de la Biosphère — à savoir sans biocides et sans chimères génétiques.

En règle générale, il apparaît que la consommation de tabac rend les fumeurs plus éveillés, plus alertes, plus attentifs, plus réactifs, plus mobiles, plus présents… Une pléthore d’études ont, en effet, mis en exergue les bénéfices du tabac en tant que substance favorisant les fonctions cognitives. [96] [97] [98] [114] [115] [116]

En bref, la consommation de tabac — de par son impact sur les neurotransmetteurs tels que la dopamine, la sérotonine et la noradrénaline — permet d’améliorer les fonctions sensorielles, motrices, cognitives (apprentissage, attention, mémoire)… ainsi que les fonctions de créativité.

La nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer [28], ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 — une histone de la famille des sirtuines. [25] [27] [42] [45] [54]

Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à la quantité de tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de tabac ont 50 % de chances en moins de succomber à cette pathologie. [23] [74]

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentait la pression sanguine, en l’espace de 10 min, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson — dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension. [34]

Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du Nord, le tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique. [134]

Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine — toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies — se caractérisent par leur capacité de liaisons au fer. [33]

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques — à savoir en chélatant ces métaux en excès. [32]

Vers 1998, diverses études ont été réalisées prouvant le fait que les femmes possédant des mutations du gène BRCA (à savoir une personne sur 1000) avaient moins tendance à développer un cancer du sein, une rectocolite hémorragique, un cancer de l’endomètre, etc., lorsqu’elles consommaient du tabac. [69] [70]

L’Hôpital Universitaire du Pays de Galles, à Cardiff, a réalisé diverses études mettant en exergue les propriétés anti-inflammatoires du tabac — en particulier en ce qui concerne la pathologie intestinale dénommée colite ulcéreuse — ou rectocolite hémorragique. [75] [80]

Une étude, de 1993, a mis en valeur le fait que la fumée de tabac supprime les inflammations, dans les poumons, induites par des radiations ionisantes utilisées dans le traitement de cancers du sein. [112]

En 2001, une étude suédoise a mis en valeur que les enfants dont les parents sont des fumeurs habituels de tabac étaient beaucoup moins enclins à développer des pathologies telles que l’asthme allergique, la rhinite allergique, les allergies alimentaires et l’eczéma atopique. [86] Une étude, de 2007, en Nouvelle-Zélande a produit, exactement, les mêmes résultats. [90]

En 2007, une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Californie a mis en exergue la capacité de la nicotine de déclencher encore plus de processus neuronaux, à savoir encore plus de créativité.

« Au cours de leurs expérimentations, ils examinèrent une section du cerveau d’une souris associée à l’ouïe qui contenait un neurone avec un axone le connectant au cortex. En utilisant la nicotine, ils stimulèrent le neurone afin de déterminer comment cela allait impacter un signal que le neurone envoyait au cortex. Sans appliquer la nicotine, environ 35 % des messages envoyés par le cerveau atteignirent le cortex. Mais quand la nicotine fut appliquée à l’axone, le niveau de succès doubla presque à un niveau d’environ 70 % ». [104]

En 2006, des chercheurs de l’Université Duke, en Caroline du Nord, ont mis en exergue la capacité de la nicotine de soulager la dépression d’individus non-fumeurs. Selon ces chercheurs, il est très vraisemblable qu’une partie des fumeurs de tabac le font en automédication, afin de soulager un état de dépression chronique. [100]

Ainsi, il est clair que l’usage de l’alcool et du tabac a fortement accru depuis le début des confinements organisés par le gang de criminels qui ont lancé leur opération psychologique spéciale dénommée « CoqueVide/19”. [91]

Une étude, publiée au printemps 2021, a mis en exergue que la nicotine, chez les archers, accroît leurs performances sportives en améliorant leur fonction cognitive et en stimulant les récepteurs adrénergiques de leur système nerveux sympathique. [127]

En 2011, une équipe de chercheurs de l’Université de Louisiane a publié ses recherches quant à ses découvertes de diterpènes, dénommés « cembranoides », dans la substance cireuse des feuilles fraîches de tabac. Ces cembranoides sont détruits par les processings industriels subséquents des feuilles de tabac. Les cembranoides sont, supposément, produits par la plante pour se défendre à l’encontre de prédateurs insectes ou microbiens. Ils possèdent une activité anti-carcinogénique — en particulier à l’encontre des cancers du sein et de la prostate. [125]

En Inde, le CTRI (Institut Central de Recherche sur le tabac) a publié les résultats de ses recherches portant sur la substance dénommée « Solanésol », dans le tabac — pour lesquelles il déposa un brevet. Le Solanésol est un sesquiterpène extrait des feuilles du tabac — de préférence, fraîches. Cette substance possède des propriétés médicinales à l’encontre des insuffisances cardiaques, de l’asthme, des troubles hépatiques, de l’hypertension, du cancer, du diabète, de l’anémie et de la dystrophie musculaire. [133]

Le Solanésol est riche en coenzyme Q10, l’ubiquinone — une enzyme possédant une très forte activité antioxydante [132] – et en vitamine K2.

En 2006, la ville de Xi’an, capitale de la province du Shaanxi en Chine, décida de stopper d’incinérer les « fausses cigarettes » — confectionnées à partir de tabac de très basse qualité et de copeaux de bois — et de les recycler afin d’en processer le Solanésol.

En effet, récemment, la demande pour le Solanésol est passé de 4000 tonnes par an, en 2000, à une prospective de 66 000 tonnes, pour l’année 2022. Le Solanésol se trouve dans la Famille des Solanacées — à hauteur de 0,3 à 3 % de la biomasse sèche. [146] Les feuilles sèches de tomate, par exemple, peuvent en contenir 1 %. [142]

En 2011, une équipe de chercheurs d’Australie a prouvé que la consommation de tabac, chez 11 000 fumeurs de tabac très âgés, protégeait leurs articulations. En effet, ceux qui fumèrent durant 48 années, ou plus, encouraient de 42 à 51 % moins de risques (en fonction de leur âge) de requérir des chirurgies de remplacement de hanches, et de genoux, détériorés par de l’arthrite ou par d’autres pathologies du même type. [141]

En fait, vers 1995, des études statistiques ont mis en valeur qu’au Japon la moyenne d’âge, pour les hommes, était de 76,5 années pour une population masculine comptant 59 % de fumeurs alors que la moyenne d’âge, pour les hommes, aux USA, était de 72,6 années pour une population masculine comptant 28 % de fumeurs. En fait, même, parmi les 15 pays occidentaux bénéficiant de la moyenne d’âge la plus élevée, sept d’entre eux présentaient un taux de fumeurs mâles deux fois plus important que celui des USA.

En 2004, une étude, de l’Université de la Floride du Sud, a suggéré qu’en sus de l’hypothèse prévalente, parmi les chercheurs, selon laquelle la nicotine permet de protéger le cerveau en se liant aux récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine, situés sur les terminaisons nerveuses, il s’avérait que la nicotine peut protéger le cerveau d’une manière plus indirecte, à savoir en bloquant l’hyperactivité des cellules du système immunitaire — dénommées microglie — et en limitant, ainsi, une inflammation cérébrale excessive. [145]

En 2010, une étude a mis en exergue que les fumeurs de tabac, qui arrêtaient définitivement leur consommation, possédaient 70 % plus de risques de développer un diabète, en particulier durant les trois premières années. Ce risque redevenait statistiquement normal au bout d’une dizaine d’années. [152]

De nombreuses études ont mis en exergue que la consommation de tabac permet au cerveau de travailler plus rapidement, et plus intensément, et permet, également, au corps physique de faire preuve de beaucoup plus de résistance dans l’accomplissement de labeurs physiques. [252]

Au Danemark, en 2007/2008, la productivité au travail s’effondra nationalement juste après que l’État danois eût interdit l’usage du tabac dans tous les espaces de travail… mais ce n’est, peut-être, qu’une coïncidence. [253]

D’ailleurs, certaines études font remarquer que de nombreux champions de football étaient de très gros fumeurs de tabac au sommet de leur carrière : Zinedine Zidane, Diego Maradona, Johan Cruyff, Ronaldo, Dimitar Berbatov, Preben Elkjaer, etc.

Consommation de tabac et Protection des Poumons

Dès 1970, une étude publiée, dans le Bulletin européen de Physiopathologie respiratoire, mit en exergue que l’exposition chronique à de la fumée de tabac non seulement ne lèse pas les défenses immunitaires des poumons, mais, qu’au contraire, elle les stimule. [212]

En 2012, une étude portant sur les risques de développement de cancer des poumons suite à l’exposition continue de vapeurs de diesel, chez 12 000 mineurs, a prouvé que ces risques étaient sept fois supérieurs chez les non-fumeurs. [95] [209]

Selon l’Organisation pour le Massacre sanitaire, ce seraient 1,8 million de personnes décédant, annuellement, de cancers du poumon. Selon les propagandistes hystériques antitabac, une grande partie de ces cancers des poumons seraient induits par la consommation de tabac — à savoir la consommation de cigarettes de tabac contenant une palette de biocides sélectionnés parmi plus d’un demi-millier d’adjuvants toxiques. Les statistiques officielles [126] prétendent que le pourcentage de ces cancers des poumons, imputables à la fumée de tabac, serait de l’ordre de 80 % pour les USA et la France, 40 % pour l’Afrique sub-Saharienne et 61 % pour la population asiatique — en fait, 61 %, selon une étude de 2014, portant sur de très larges échantillons (70 %) des populations de Chine, du Japon, d’Inde, du Bangladesh, etc. [162]

En Europe, en 2016, ce sont 239 000 personnes qui sont décédées de cancers des poumons — représentant 20,5 % des décès par cancers et 5,3 % des décès totaux. [153]

Première question. Même si l’on part du principe fondamental que ce sont les adjuvants archi-toxiques du tabac qui provoquent le développement de cancers des poumons, comment peut-on expliquer de telles différences statistiques en fonction des pays ou des continents ?

Seconde question qui en découle. Ne pourrait-on pas émettre l’hypothèse selon laquelle les fumeurs du tabac meurent, également, de cancers de poumons induits par d’autres facteurs de pollution externes ? S’il en est ainsi, cela signifierait qu’un certain nombre de fumeurs de tabac ne meurent pas d’un cancer tabagique, mais d’un cancer environnemental.

Tout comme des millions de décédés ont été affublés — quel que soit la cause de leur décès : crises d’asthme, chutes dans les escaliers, accidents de moto… et, surtout, maladies pulmonaires chroniques obstructives — depuis février 2020, d’une mort « Covidienne »… parce que leurs faux tests PCR les avaient catalogués comme « positifs ».

En août 1963, le Président Kennedy mit fin aux essais nucléaires qui avaient été réalisés dans l’atmosphère et dans la mer depuis 1945. JF Kennedy, en vérité, voulait, également, stopper Monsanto, et la Pharmacratie US, car il savait, pertinemment, qu’il n’existe aucune différence entre l’impact d’une centrale nucléaire et un champ de l’agriculture toxique moderne : les deux sont des vecteurs de cancérisation, de mutagenèse, de crémations cellulaires. Les deux sont des vecteurs d’Holocauste génocidaire.

Pour rappel, en 2003, la quantité de plutonium en circulation sur la planète était estimée à 1855 tonnes. Pour rappel, ce sont 4200 kilos de plutonium qui ont été libérés dans la Biosphère, avant 1963, et environ 10 000 kilos jusqu’en 1980 — par le biais des « tests » en grandeur nature. Quelles sont les sources de cette libération de plutonium dans la Biosphère, en sus des essais de bombes nucléaires ? Ce sont les centres de recherche sur l’énergie nucléaire, les centres de recherches sur les armes nucléaires, les accidents et les « dépôts de déchets radioactifs »… [164]

Certains chercheurs affirment que ce sont des trillions de doses mortelles de particules radioactives microscopiques qui ont été libérées dans l’atmosphère par les milliers de tests atomiques qui y ont été réalisés. Selon le rapport publié par Nils-Olov et Ragnhild Ferm, en 2000, ce sont 2053 explosions nucléaires qui ont eu lieu sur la planète entre 1945 et 1998 — sans mentionner celles de la Corée du Nord. [204]

En France, les hommes meurent trois fois plus de cancers de poumons que de cancers de la prostate — avec 89 600 décès par cancer en 2018. En France, les femmes meurent, quasiment, tout autant de cancers de poumons que de cancers du sein — avec 67 800 décès par cancer en 2018.

La France est le leader mondial pour la production d’énergie nucléaire avec 58 centrales. La France est le leader européen de l’agriculture chimique, toxique et génocidaire.

En France, ce sont 200 millions de mètres cubes de « résidus à vie longue » — un euphémisme pour décrire des déchets radioactifs à vie, à savoir à Mort — qui ne possèdent pas de « filière de gestion »… À savoir qu’ils n’ont pas encore été enfouis au fin fond des océans dans des containers en béton — qui finiront, un jour, par se fissurer. L’ImMonde les appelle « des déchets radioactifs oubliés ». Oubliés par qui ? [147] [148] [149] [150]

Qui sont les responsables de cette cancérisation de la population française : le CEA ou bien la Cogema devenue Areva qui est devenue Orano ? Et pourquoi les responsables ne sont-ils pas en prison ?

De très nombreuses études [163] [167] ont étudié la relation existant entre les cancers des poumons et l’exposition au plutonium, ou à l’uranium, telles que les études de 2002 portant sur les 19 000 employés du centre nucléaire de Mayak en URSS [128] ou telle que les 11 études portant sur 68 000 travailleurs dans les mines d’uranium. [154] [155]

Selon les rapports du Professeur Chris Busby, le secrétaire de l’European Committee on Radiation Risk, ce seraient 63 millions de décès par cancers, jusqu’en 2003, qui seraient imputables à la radioactivité. [210]

En 1957, le British Medical Research Council signala que les cancers des poumons avaient doublé durant la période entre 1945 et 1955 — sans proposer une quelconque explication. Durant la même période, dans les régions proches d’Hiroshima et de Nagasaki, le taux de cancers des poumons tripla. En 1963, lorsque les essais atomiques officiels furent discontinués dans les îles du Pacifique, le taux de cancers des poumons avait quintuplé, dans cette zone, depuis 1945.

Suite au désastre nucléaire de Chernobyl, les 7156 travailleurs ukrainiens, qui participèrent à la tentative de neutralisation du réacteur, en 1986, moururent, principalement, de cancers des poumons. [129] [130] [136] [137]

Ce sont des dizaines de milliers de souris (qui constituent 96 % des animaux de laboratoire) qui ont été sacrifiées pour prouver que, très certainement, certaines formes de radioactivité génèrent, chez ces rongeurs, des cancers des poumons dont ils meurent inexorablement — et rapidement.

Par contre, ce sont également des dizaines de milliers de souris qui ont été « passées à tabac », dans les laboratoires de chercheurs hypocrites, pour tenter de prouver ce qui n’a jamais été prouvé. À savoir que personne n’a jamais pu prouver que le tabac induisait des cancers des poumons chez ces souris exposées, pendant des années, à l’équivalent de la fumée de 200 cigarettes — quotidiennement.

En 1963, le pathologiste Victor Buhler, de Kansas City, déclara, devant un comité spécial du Congrès US : « J’ai examiné des milliers de poumons, à la fois visuellement et microscopiquement. Je suis dans l’impossibilité de vous dire, en examinant un poumon, si son porteur originel était un fumeur ». [165]

En 1982, le Professor Schrauzer — alors président d’International Bio-inorganic Chemists — déclara devant un comité spécial du Congrès US : « Aucun composant de la fumée de cigarette n’a été validé comme cause de cancers des poumons chez l’homme. Personne n’a été capable de générer des cancers des poumons chez des animaux de laboratoire exposés à de la fumée de tabac ». Il ajouta, au contraire, que l’on savait, depuis longtemps, que certains composants du tabac protégeaient les animaux de laboratoire à l’encontre des cancers des poumons.

En 1983, le pathologiste Sheldon Sommers, de l’hôpital Lenox Hill de New York, déclara devant un comité spécial du Congrès US : « Il n’est pas possible, visuellement ou microscopiquement, ou de toute autre manière que je connaisse, de distinguer entre les poumons d’un fumeur et ceux d’un non-fumeur. Le noircissement des poumons est induit par des particules de carbone alors que fumer du tabac n’introduit pas des particules de carbone dans les poumons ».

Dans les années 80, le pathologiste hollandais Jan Zeldenrust déclara lors d’un interview radiophonique :

« Je n’ai jamais pu discerner si une paire de poumons appartient à un fumeur ou à un non-fumeur. Par contre, je peux clairement percevoir la différence entre des poumons malades et des poumons sains. Les seuls poumons noirs que j’ai observés proviennent de travailleurs dans les mines de charbon et dans les tourbières — jamais de fumeurs ».

Tous ces chercheurs furent accusés d’être des suppôts de l’Industrie du tabac. Pendant ce temps, la médecine continue d’avoir recours à des poumons de fumeurs pour réaliser des transplantations pulmonaires — même des poumons de fumeurs ayant fumé un paquet de cigarettes pendant 20 années. Tout va bien ? [156] [157]

Je conseille aux lecteurs très intéressés par la falsification des données pulmonaires, en France, quant aux dangers du tabac, de se reporter à deux articles très fertiles d’Oliver Bach, en 2011, repris par Sott France. [255] [256] [257]

Consommation de tabac et Protection des Poumons durant la Fausse Pandémie Covidienne

L’épidémie de « Grande Peste » qui sévit à Londres, en 1665-1666, tua entre un quart et la moitié de la population de la ville. Les médecins prescrivaient de fumer du tabac afin de protéger les poumons — selon ce que rapporte, vers 1700, un dénommé A. J. Bell. Les croque-morts qui fumaient ne périssaient pas. Bell précise, même, que dans les écoles, les enfants étaient obligés de fumer du tabac pour se protéger de la peste — sous peine d’être fouettés. [211]

À propos de pandémie, je viens de découvrir un article fort passionnant [213] intitulé « The State of Science, Microbiology, and Vaccines, Circa 1918 », publié en 2010, et qui fait l’état des recherches, à cette époque, concernant la pandémie de 1889/1890 (une pneumonie bactérienne ?) et le Bacille de Pfeiffer et, surtout, qui évoque la multitude de vaccins distribués durant la Grippe espagnole de 1918/1920 — qui fut, en fait, une pneumonie bactérienne à 99 %.

Cette étude de John M. Eyler fait écho à mon Canto « Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses » dans sa première partie intitulée « Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019 ». [220]

De plus, elle valide, très amplement, les affirmations de la Doctoresse Naturopathe Eleanor McBean (1905-1989) quant à la distribution généralisée, durant cette pandémie de 1918/1920, de vaccins de toutes sortes provoquant la mort inexorable de tous les vaccinés.

« La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la Première Guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.

La pandémie s’éternisa deux ans, nourrie par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations ; c’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres, qu’on ne peut contaminer le corps avec de poisons sans que celui-ci ne devienne malade. »

Au printemps 2020, des chercheurs chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de tabac dans les hôpitaux chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible — à savoir, environ 6 %. [101] [102] [103] [106] [107] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6 %) [110] et en France (avec 5 %) [92]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19 [109] — alors que les hôpitaux de New York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2 %. [99]

Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la gripette Covidienne. [318]

Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies — bactériennes ? — cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [93] [94] [105]

En parlant de pneumonie bactérienne : quid de cette médecin hongroise qui déclare : « Le Covid est une pneumonie — certes atypique, mais une pneumonie — et doit être traité comme tel ». Flavia Groșan, une pneumologue, affirme, en effet, que c’est le protocole officiel (anti-CoqueVide) qui tue les patients. Elle soigne tous ses patients avec un antibiotique, la clarithromycine, et elle n’en a perdu aucun. [168]

Un article, très court, d’une équipe de chercheurs hollandais, paru dans la Revue Nature, le 26 février 2021, tenta de désactiver l’importance de toutes ces statistiques en prétendant qu’elles étaient surtout Chinoises (sic) ; qu’elles ne tenaient pas compte de certains éléments sociologiques ; que certains chercheurs étaient soudoyés par l’Industrie du tabac ; que l’équipe française, sous la direction de Jean-Pierre Changeux, n’avait pas tenu compte de toutes les personnes avec le statut d’ancien fumeur… bla, bla, bla. [83] Il est à noter que cette équipe néerlandaise se garda bien de remettre en question les chiffres du CDC (Center for Disease Control) aux USA — à savoir, 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19.

Ces chercheurs prétendirent, même, que l’augmentation des ventes de tabac, durant toute la période des confinements autoritaires et criminels institués par l’État profond (de corruptions et de démences), ne pouvait être dû qu’à la propagande mensongère stipulant que la nicotine offrait une protection anti-CoqueVide/19.

Le fait est que depuis l’imposition du confinement en camps de concentration urbains, d’une grande partie de la population des pays occidentaux, l’usage des substances psychoactives (tabac, Cannabis, alcools, opiacés, etc.) a fortement augmenté. Cui bono ?

En fait, en 2014, des chercheurs, de l’Université de Hong-kong, avaient déjà mis en valeur, dans une étude intitulée « Nicotine, an anti-inflammation molecule », que la nicotine possède une activité anti-inflammatoire dans les cellules du système nerveux et du système immunitaire. Ces chercheurs se focalisèrent, plus spécifiquement, sur les infections générées par ce que certains qualifient de grippe A. [85]

Cette étude reprenait les travaux de deux autres études, de 1998 et de 2004, qui analysèrent l’impact de la nicotine, pendant plusieurs semaines, chez des souris infectées avec des souches de grippe A. [111] [113]

En parlant de tabac, de vaccins, de CoqueVide/19 et de Coviet Suprême… aujourd’hui, GSK propose un nouveau vaccin anti-CoqueVide/19 réalisé en partenariat avec la société nécro-technologique Medicago — qui a lancé la phase 3 de ses essais en mars 2021. [89]

Ses techniciens insèrent des séquences génétiques dans des bactéries du sol modifiées génétiquement — à savoir des chimères génétiques de l’espèce Agrobacterium tumefaciens — qui sont inoculées dans les plantes de Nicotiana benthamiana. Voir l’étude, de 2007, intitulée « Replication-independent long-distance trafficking by viral RNAs in Nicotiana benthamiana. »… et tous aux abris ! [87]

Au printemps 2020, le directeur de Medicago déclara pouvoir produire, mensuellement, 10 millions de doses vaccinales anti-CoqueVide/19. Medicago se distingue de ses concurrents de par le fait que cette société utilise des plantes de l’espèce de tabac sauvage, Nicotiana benthamiana, comme bioréacteurs — et non pas des œufs de poule.

Il est vraiment dommage que, lorsque je rédigeai mon Canto satirique « Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale » [166] une satire extrêmement d’actualité de par l’imposition dictatoriale de vaccins génocidaires (un pléonasme) — je ne savais pas que les vaccins modernes étaient confectionnés dans des œufs… sinon, je me serais encore plus déchaîné et régalé ! En effet, c’est le cas, par exemple, depuis 80 années, pour la fabrication des vaccins « anti-grippe » (à 82 %) et il en est de même pour les vaccins à l’encontre, prétendument, de la rage et de la fièvre jaune.

Dans ce Canto de mars 2018 — inspiré de mes maîtres humoristes, le chansonnier Boby de l’Oeuf à Point (Boby Lapointe) et l’humoriste Coqueluche décédé prématurément d’un accident de moto surréaliste — j’avais même annoncé, avant l’heure, le Grand Confinement Covidien orchestré par le COVIET Macroniste Suprême sous la houlette du Guide très Mal-Aimé, MaCronfinement — un épidémiologiste en herbe.

« Le Grand Coquin Premier, amplement fêlé de la crête, s’est fendu de quelques coquetteries à ce point purulentes, et dictatoriales, que l’on peut humer que le point d’époullition, de la cocotte-minute, a été largement sous-estimé ! Sans ergoter, et pour sauver la Ripoublique de la vermine idéologique, ne voilà-t-il pas qu’il dé/crête restaurer la censure dans les menus du Poulailler. Interdiction formelle, sous peine de poulaillers de concentration, mobiles et fixes, de cocoriquoter quotidiennement et librement entre minuit et 23 h 59 — la dernière minute étant une minute de silence, volontaire et obligatoire, en hommage à la persécution de la race opprimée par une industrialisation prospère des champs de concentration : l’antique poulet de Bresse, l’ancêtre du Poulet de Graisse certifié hormoné, une AOI, une Appellation d’Origine Incontrôlée — une forme de Label à la Langue de Bois dormant ». [166]

Dans la course au lancement de vaccins anti-CoqueVide/19, Medicago n’est pas le seul partenaire de GSK. En effet, GlaxoSmithKline est, également, en partenariat avec CureVac [71] afin de développer un nouveau vaccin mARN (pouvant gérer de multiples variantes du coronavirus fantôme !!!) ; en partenariat avec Sanofi [78] afin de développer des vaccins protéiques recombinants, à base de protéines chimérisées ; en partenariat avec SK Bioscience [73], et Bill Gates, afin de développer un vaccin protéique recombinant peu onéreux avec nanoparticules — le vaccin GBP510 avec l’adjuvant de GSK dénommé AS03.

Faut-il rappeler que GSK fait partie du même gang que Pfizer avec lequel il a fusionné une partie de ses activités pharmaceutiques biocidaires en 2019 ? [121] C’est ce même Pfizer dont le « vaccin » mARN est en train de génocider le Peuple en Israël.

En effet, en février 2021, le biologiste Hervé Seligmann (de nationalité Israélienne-Luxembourgeoise) et l’ingénieur polytechnicien Haim Yativ (de nationalité israélienne) ont analysé les données vaccinales d’Israël dans un article publié sur le site nakim.org. Ils évoquent une seconde « Shoah » et prouvent que, depuis la vaccination mARN de Pfizer, en Israël, le taux de mortalité, attribué au CoqueVide/19, est 40 fois supérieur chez les personnes âgées et 240 fois supérieur chez les personnes jeunes. [117] [118] [119] [120]

Il serait, d’ailleurs, préférable de cesser de parler de vaccins dans le cas de Moderna et de Pfizer et de leur technologie ARNm/mRNA : il s’agit de chimères génétiques dont la fonction est de semer le chaos dans l’ADN humain. Peut-être en est-il de même, en fait, depuis les premiers vaccins industriels datant de 1875 ? Les vaccins ne sont, pour le corps humain, que des chimères génétiques dans le sens d’armes biologiques dont l’objectif est de détruire l’humanité — inexorablement. Avez-vous remarqué que Moderna (la société financée par Bill Gates et le ministère de la Défense US) porte mRNA dans on nom : modeRNA ?

Propriétés antimicrobiennes, insecticides et de phytoremédiation de Nicotiana tabacum

Une étude, de 2016, a étudié les capacités qu’ont certaines substances, sécrétées par les feuilles de diverses espèces de Nicotiana, de traiter la Maladie du pied noir du tabac provoquée par le fungus Phytophthora nicotianae — une pathologie fulgurante qui détruit, parfois, la totalité des plantations de tabac. Le sclaréol et la cis-abiénol synthase détruisaient les races 0 et 1 de Phytophthora nicotianae dans une proportion de 70 à 100 % tandis que le labdénédiol et la phylloplanine les détruisaient dans une proportion de 50 à 60 %. [2]

Une étude, de 1995, a étudié l’activité antimicrobienne des exsudats d’une vingtaine d’espèces de Nicotiana à l’encontre de l’anthracnose des cucurbitacées (Colletotrichum lagenarium). Les exsudats de Nicotiana rustica, Nicotiana acuminata, Nicotiana attenuata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana maritima, Nicotiana miersii, Nicotiana noctiflora, Nicotiana occidentalis et Nicotiana bigelovii bloquaient totalement la germination des conidies de Colletotrichum lagenarium. Les exsudats testés étaient le labdénédiol, le sclaréol et le duvatriénédiol. [5]

Dans les années 1980/1990, avant l’émergence du tout chimérique dans la création variétale de Tabacs industriels, les chercheurs privilégièrent les variétés de tabac produisant le diterpène duvane. En effet, ces variétés libérant, dans leurs exsudats, des alpha — et beta-duvatriénédiols (DVT-diols) et des alpha — et beta-duvatriénols (DVT-ols), étaient beaucoup plus résistantes aux attaques d’insectes prédateurs — tel que le puceron du tabac (Myzus persicae nicotianae). [6]

Nicotiana tabacum est un bio-accumulateur qui peut être utilisé pour nettoyer les sols de tous contaminants. De nombreuses études ont ainsi validé les capacités de phytoremédiation caractéristiques de cette espèce pour divers contaminants industriels et agricoles : plomb, zinc, cadmium, uranium, cuivre, nickel, cobalt, arsenic, sélénium, mercure, chromium, hydrocarbures, biphényles polychlorés… [31] [35] [36] [49]

Les scientifiques néo-darwinistes — si tant est que l’on puisse parler de science pour qualifier leurs élucubrations — adorent tourner en rond et se mordre la queue « évolutive » : ils ont, ainsi, créé des variétés chimériques (transgéniques) de Nicotiana tabacum permettant de mieux dégrader les herbicides et les métaux lourds dont sont replets (un euphémisme) les sols agricoles. [37] [39] [41] [50] Tout va bien ?

Une étude bulgare de 2018 a même prouvé que des variétés transgéniques de tabac étaient beaucoup moins performantes, en termes de phytoremédiation, lorsqu’elles étaient cultivées avec des amendements organiques, tels que du compost ou du vermicompost. [48] On vit une époque formidable !

Une étude chinoise, de 2010, a mis en exergue que la capacité de phytoremédiation du tabac était grandement augmentée lorsqu’il était cultivé en association avec le trèfle japonais (Kummerowia striata). [47]

Une étude récente réalisée en Ouganda en 2019 — et impliquant une douzaine d’espèces — a mis en exergue que Nicotiana tabacum n’est pas l’espèce la plus performante quant à l’extraction d’hydrocarbures. En effet, Nicotiana tabacum arrivait en 10e rang après Hyparrhenia rufa, Oryza longistaminata, Gossypium barbadense, Tithonia diversifolia, Sorghum arundinaceum, Medicago sativa, Zea mays, Sorghum bicolor, Abelmoschus ficulneus et avant Eleusine coracana et Capsicum annuum. [64]

Les feuilles des plantes de Nicotiana produisent, à leur surface, des toxines foliaires en concentrations élevées afin d’inhiber les moisissures bleues et les infections fongiques. Nicotiana tabacum a, également, été investigué quant à sa production de phytoalexines comme vecteur de mécanisme de défense à l’encontre des infections microbiennes.

Une étude de 2000 et une étude plus récente, de 2020, intitulée « Clinical implications of nicotine as an antimicrobial agent and immune modulator », ont mis en exergue les propriétés antimicrobiennes de la nicotine à l’encontre de Candida albicans, Cryptococcus neoformans, Mycobacterium phlei, Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae, Listeria monocytogenes — ainsi qu’à l’encontre des streptocoques viridans de la cavité orale. [215] [216]

Durant ces études, la nicotine n’eut quasiment aucune activité inhibitrice à l’encontre du spirochète de la Maladie de Lyme — Borrelia burgdorferi.

Une étude de 2015 a mis en valeur l’activité antiparasitaire de la nicotine, en synergie avec le thymol, chez le bourdon Bombus impatiens, à l’encontre du parasite Crithidia bombi dans la Famille des Trypanosomatidées. [217]

Les Alcaloïdes Pyridiniques des Tabacs

Les principaux alcaloïdes pyridiniques qui caractérisent les espèces au sein du genre Nicotiana sont : la nicotine, la nornicotine, l’anabasine et l’anatabine — et, dans une très moindre mesure, la cotinine et la myosmine. Dans de très nombreuses espèces, c’est la nicotine qui constitue le principal alcaloïde. [203]

Il existe des variations considérables, entre les diverses espèces de Nicotiana, quant au contenu total en alcaloïdes et quant à la composition, en pourcentage, de ces alcaloïdes. Ainsi Nicotiana forgetiana contient 0,043 % d’alcaloïdes tandis que Nicotiana rustica sp. brasilia peut en contenir jusqu’à 5,8 %. Le ratio est ainsi de 1 à 110. [122]

Certaines sections du genre Nicotiana se caractérisent par une composition spécifique en alcaloïdes. Ainsi dans la section Noctiflorae, c’est l’anabasine qui constitue l’alcaloïde majeur (79 % des alcaloïdes dans les racines et dans les feuilles) et il en est de même pour la section Suaveolentes (34 % des alcaloïdes dans les racines et dans les feuilles).

La nicotine constitue l’un des alcaloïdes pyridiniques les plus étudiés quant à sa capacité de conférer des résistances. De par le fait qu’elle puisse impacter les récepteurs de l’acétylcholine [26] dans le système nerveux des animaux, la nicotine s’avère extrêmement toxique pour la plupart des herbivores et ce fut l’un des premiers insecticides utilisés pour tenter de contrôler les prédateurs de l’agriculture.

Dès 1690, des extraits aqueux de feuilles de tabac étaient utilisés pour lutter contre les insectes suceurs des plantes de jardins.

Quelle est la nature des « effets nicotiniques » sur les fonctions neuromusculaires et synaptiques des mammifères ? La nicotine imite, en partie, l’activité de l’acétylcholine en interagissant avec les récepteurs de l’acétylcholine de sorte qu’ils ne puissent plus distinguer ces deux substances. Les effets nicotiniques les plus puissants se manifestent sur les jonctions neuromusculaires (muscles volontaires) et autres fonctions acétylcholiniques (glandes…).

Selon la mythologie des sciences génétiques modernes, ce seraient les sous unités α4, β 2 et α7 des récepteurs nicotiniques acétylcholiniques qui participeraient aux effets d’améliorations cognitives et motrices induites par la nicotine. [171]

Chez les insectes, les effets nicotiniques s’exercent sur les ganglions du système nerveux central, car leurs jonctions neuromusculaires ne sont pas acétylcholiniques. La nicotine et l’acétylcholine induisent des stimulations à faible concentration et des stases à forte concentration. Lors de situations d’empoisonnement par la nicotine, on peut observer ces deux effets en séquence, tout d’abord des stimulations (excitation, convulsions) et, subséquemment, des blocages (paralysie) — et éventuellement, la mort.

La dose fatale, chez l’animal humain, est de 60 mg : la mort survient en l’espace de 5 à 30 minutes — la plupart du temps par paralysie respiratoire.

La nicotine est métabolisée (à 70/90 %) par le foie et elle est excrétée dans l’urine. C’est l’enzyme dénommée Cytochrome P450 2A6 qui est responsable de la transformation de la nicotine en son métabolite principal, la cotinine. [123] Le métabolisme de la nicotine et de la cotinine est plus élevé chez les femmes que chez les hommes ; plus élevé chez les femmes prenant des contraceptifs que chez les femmes n’en prenant pas ; et plus élevé chez les femmes enceintes que chez les femmes non enceintes. [124]

La cotinine s’est avérée thérapeutique, et neuro-protectrice, à l’encontre de la Maladie d’Alzheimer, de la perte de mémoire, de la démence, etc. [135] [140] [151] Sa demi-vie, d’un point de vue pharmacologique, est de 15 à 19 heures alors que celle de la nicotine est de 2 à 3 heures.

Deux autres composés des Tabacs possèdent une activité insecticide, en sus de la nicotine : la nornicotine et l’anabasine. Le taux de nicotine, par exemple, chez Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica, est de 2 à 8 %. Quant à la nornicotine, elle prédomine chez Nicotiana sylvestris.

La nicotine est soluble dans l’eau (à moins de 60 °C) ainsi que dans l’alcool, dans l’huile, dans l’éther…

Les diverses variétés de tabac contiennent de la nicotine à 95 % — du taux d’alcaloïdes. Cependant, en fonction des variétés, cette teneur en nicotine varie, généralement, de 0,3 % à 3 % — du poids sec de leurs feuilles. Il existe des variétés pouvant contenir jusqu’à 5 % et même, exceptionnellement, 7 % de nicotine.

Une étude Syrienne, de 2016, a analysé des taux de nicotine atteignant 6,7 % dans un type Virginia. [131]

Les Qualités médicinales de Nicotiana glutinosa

Elle fait partie de la section « Undulatae » au sein du genre Nicotiana. Nicotiana glutinosa possède la nornicotine comme alcaloïde majeur.

Selon Louis Girault, dans son ouvrage « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 396), une teinture mère alcoolique de ses feuilles et fleurs est utilisée en frictions à l’encontre des rhumatismes articulaires. Une décoction de ses feuilles et fleurs fraîches est réalisée afin de baigner les jeunes enfants pour les aider à marcher ou pour laver les animaux domestiques de la gale.

Une poudre de ses fleurs et feuilles séchées est, également, mélangée à la bière de maïs, la chicha, afin de la rendre plus enthéogénique.

Une étude, de 2019, a analysé les majeurs composants de l’huile essentielle d’un écotype de Nicotiana glutinosa : manool, sclarène, sclaréol et oxyde de manoyl. Son résinoïde contenait 33 % de nicotine, 8 % d’α-tocophérol, 7 % de sclaréol et 7 % de tridécanone, 7 % de solanone. [8]

L’oxyde de manoyle est un précurseur de la forskoline. Il possède une activité anti-proliférative, anti-mutagénique et anti-carcinogénique. Quant à la forskoline, elle possède une activité hypotensive, spasmolytique, cardiotonique. Elle active l’adénylate cyclase — une enzyme qui accroît la combustion des graisses — et elle diminue la pression oculaire. [4]

Le sclaréol est un alcool diterpénique bicyclique très présent dans la Sauge sclarée (Salvia sclarea). Il est hautement actif à l’encontre de fungi tels que Candida albicans, Candida parapsilosis, Candida glabrata et Candida tropicalis. Il possède, également, des propriétés anti-inflammatoires et, donc, un potentiel thérapeutique dans le traitement de l’arthrite rhumatoïde. [17]

Une étude, de 2012, a mis en exergue que le sclaréol et l’enzyme cis-abiénol synthase, extraits de plants de tabac, possèdent une activité antimicrobienne à l’encontre de Ralstonia solanacearum — le vecteur du flétrissement bactérien chez les Tabacs et les Tomates. [11]

Nicotiana glutinosa est également active à l’encontre de la tique sanguine (Rhipicephalus sanguineus). [7]

Les qualités médicinales de Nicotiana glauca

Nicotiana glauca est une espèce de tabac originaire, probablement, d’Amérique du Sud. C’est un arbuste dont la hauteur varie entre 1,50 et 6 mètres. Ses fleurs, de forme tubulaire, sont de couleur jaune. Cette espèce est très tolérante des zones marginales, sèches et arides. Elle fait partie de la section « Noctiflorae » au sein du genre Nicotiana.

Elle est nommée, en Français, « tabac glauque » ou « tabac arborescent ».

Traditionnellement, Nicotiana glauca a été utilisée pour soigner les furoncles, les coupures, les enflements, les hématomes, les maux de gorge, les glandes enflées, la jaunisse, les maux de tête, les rhumatismes et les blessures.

Par exemple, dans le Grand Chaco, en Amérique latine, les Peuples Wichi utilisent, traditionnellement, cette espèce — qu’ils nomment « palán-palán » — pour ses propriétés anti-rhumatismales, anti-arthritiques, pour soigner les plaies, les brûlures, les furoncles et les abcès. Ils utilisent, également, les feuilles sèches comme cicatrisants et pour soigner les morsures de serpents et les plaies coupantes. Les feuilles fraîches s’utilisent en applications externes pour les oreillons, et comme anti-rhumatismal et anti-inflammatoire ; les feuilles en décoction s’utilisent pour traiter l’acné et les douleurs dentaires. [52]

Selon Louis Girault, dans son ouvrage « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 395), ses feuilles séchées, mélangées à de la farine de blé et de l’argile, s’utilisent en cataplasmes pour résorber les hernies. Ses fleurs séchées, en cataplasmes, sont utilisées pour soigner l’asthme, les blessures infectées et les ulcères. Une décoction de ses parties aériennes est utilisée pour laver les animaux et les débarrasser de leurs parasites.

Une poudre de ses fleurs séchées est, également, mélangée à la bière de maïs, la chicha, afin de la rendre plus enthéogénique.

L’ethnobotaniste James Duke (1929-2017), dans son ouvrage « Medicinal Plants of Latin America » (en page 481), a décliné les activités biologiques de Nicotiana glauca : hépato-protectrices, insecticides, purgatives, spasmogéniques ; ainsi que ses capacités à bloquer les fonctions respiratoires et neuromusculaires et à générer de l’hypertension.

En Californie, les Peuples Cahuila, Diegeno et Mahuna ont, traditionnellement, utilisé Nicotiana glauca pour soigner la tuberculose, les maux de gorge, les scrofules, les rhumatismes, les blessures, les hématomes, les maux d’oreilles et comme émétique.

Le Peuple Cahuila l’utilisait, également, chamaniquement : rituels de chasse, divinations, rituels de funérailles, élimination des forces maléfiques, appels à la pluie, protection des récoltes, protection des voyageurs…

Des investigations pharmacologiques récentes ont mis en exergue ses propriétés hépato-protectrices [43], anti-tumorigéniques [55] [56], antioxydantes [72]

Ce sont l’acide palmatique et la scopolétine — de par leur forte activité apoptotique — qui, chez Nicotiana glauca, induisent cette propriété anti-tumorigénique.

Nicotiana glauca possède l’anabasine comme alcaloïde majeur — à hauteur de 97 %. Ses alcaloïdes mineurs sont la nicotine, la nornicotine et l’anatabine.

Ses fleurs et ses feuilles possèdent une activité antimicrobienne — par exemple, à l’encontre d’Escherichia coli et de Staphylococcus aureus. [53]

Diverses études ont mis en exergue que cette espèce est particulièrement adaptée à la phytoremédiation. [51] [88] Les chiméristes ont même créé une variété transgénique de Nicotiana glauca qui accumulerait deux fois plus de métaux lourds que l’espèce sauvage — parce que développant un système racinaire plus abondant. [38]

Nicotiana glauca possède une forte activité insecticide à l’encontre du Charançon du Palmier (Rhynchophorus ferrugineus). [65] En Érythrée, cette espèce est utilisée, traditionnellement, comme répulsif anti-moustique — avec le basilic Ocimum forskolei. [60]

Lorsque les colonisateurs-génocideurs envahirent l’Amérique du Sud, Nicotiana glauca était déjà utilisée comme insecticide naturel afin de protéger les plantes alimentaires des insectes prédateurs.

Comme Nicotiana glauca est considérée comme étant une espèce extrêmement invasive, elle a été envisagée, en Amérique latine, pour la production de biomasse et de carburant végétal — ou nécro-carburant. [76] Elle peut produire de la biomasse avec, seulement, 200 mm d’hygrométrie — ainsi que des températures supérieures à 40 °C.

En effet, en fonction des écotypes, sa biomasse est composée : de 20 à 28 % de glucose, de 8 à 14 % d’amidon, de 30 à 45 % de cellulose, de 20 % de protéines, de 1,5 à 2 % de lignines. Certains chercheurs ont calculé une production moyenne de 9 tonnes de biomasses sèche par hectare — et donc environ 1000 litres d’éthanol par hectare. Certains écotypes, en fonction des conditions hygrométriques, peuvent produire jusqu’à 15 tonnes de biomasses sèche à l’hectare. La densité de plantation est d’environ 20 000 plantes par hectare.

Une étude tunisienne de 2019 a analysé les majeurs composants de l’huile essentielle d’un écotype de Nicotiana glauca : l’eugénol était prépondérant, avec 59 %, suivi de nonadécane, eugényl acétate et 3-méthyltridécane. [44]

Une étude de 2019 mit en exergue que l’utilisation potentielle de Nicotiana glauca comme thérapie de substitution hormonale afin d’améliorer les symptômes de la ménopause — telles que l’ostéoporose et la sarcopénie — peut impacter l’homéostasie des muscles squelettiques et, donc, empirer ces symptômes. [46]

Les chiméristes déments ont inventé, en 2012, un hybride interspécifique transgénique entre Nicotiana glauca et Nicotiana tabacum qui ne synthétise pas d’alcaloïdes, mais qui exprime, supposément, l’hémagglutinine de la grippe A à la surface de ses feuilles… afin de confectionner des vaccins antigrippe qui soient ultra-purs ! [68]

On se demande bien pourquoi des scientifiques sont payés très chers pour inventer des vaccins végétaux ultra-purs, sur base de tabac, alors que les vaccins, actuellement sur le marché du génocide humain, sont farcis, littéralement, de tous les poisons possibles et imaginables : de la variole de vache, de l’aluminium, du hamster chimérique, de l’ADN de fœtus de poulet, de l’ADN de fœtus humain, de l’ADN de souris leucémique, des antibiotiques (Amoxiciline, Cefroxadine…) des acaricides (Cassythine), des métabolites de la morphine, du carbure de tungstène, du Viagra, des herbicides (Pachyrrhizone), des antiépileptiques (Vigabatrine et Gabapentine), un médicament anti-VIH, de l’Atovaquone, etc., etc., ad nauseam. [58]

Sans même évoquer les quelques 560 gènes, réputés pour être associés avec des formes de cancers, que l’Association Italienne Corvelva a découverts dans le vaccin tétravalent Priorix Tetra, de GSK, qui est un vaccin Rougeole-Rubéole-Oreillons-Varicelle. [58]

Chaque plante peut produire de 10 000 à 1 million de semences. Ces semences contiennent 40 % de lipides — principalement de l’acide linoléique à 75-78 % et ensuite, des acides oléique et palmatique. Un gramme de semences en contient environ 10 500.

Les semences germent à 20 °C en l’espace de 10 à 20 jours.




Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène

[Source : xochipelli.fr]

Par Xochi

Tous ceux qui ne sont pas enclins à confronter la vérité du génocide vaccinal, au parfum d’oxyde de graphène — parce qu’ils ont les viscères trop perméables — peuvent, toujours, considérer que ce dossier présente un spectre d’antioxydants qui, pour la plupart, ont été validés à l’encontre du tableau de symptômes dénommés Covidiens.

Aujourd’hui, la mission de tout être humain, qui se respecte, c’est de guérir quotidiennement la Nature, en lui, qui est perpétuellement assaillie par les vecteurs génocidaires de la Techno-Culture Transhumaniste. La question est, maintenant, de savoir si toute personne refusant de confronter la vérité du génocide vaccinal est, authentiquement, capable de « se guérir ».

Tous ceux qui sont enclins à se réveiller peuvent, aisément, commencer à concevoir que la Mafia Pharmacratique n’a pas attendu d’agrémenter les injections anti-CoqueVide/19, avec de l’oxyde de graphène, pour contaminer les « vaccins », depuis de nombreuses années, avec une foultitude de nécro-nano-particules — et autres adjuvants.

[Voir aussi :
Comprendre le graphène
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins]

Et j’en profite, pour rendre hommage, de nouveau, au pharmacien Serge Rader — décédé, en Guadeloupe, en mai 2021, dans des circonstances relativement mystérieuses — dont les traductions[606] [607] ont permis de découvrir les analyses de l’association italienne Corvelva, en 2017, concernant un certain nombre de vaccins conventionnels de la Mafia Pharmacratique. Ces révélations ont été dénommées « VaccineGate » et elles, furent, bien évidemment, complètement étouffées par les médias à la solde de la Mafia Pharmacratique. Serge Rader est également l’auteur de l’ouvrage « Vaccins — Oui ou Non ? : Les analyses et les photos au microscope électronique de substances contenues dans les vaccins ».

[Voir aussi :
Serge Rader, ancien pharmacien, s’exprime sur la « vaccination » anticovid19]

Ce présent dossier a été, partiellement, traduit en Espagnol : Fuentes de antioxidantes para destruir la corona necro-molecular del óxido de grafeno.[1622]

Aujourd’hui, le vecteur de l’Ennemi, c’est la graphénisation par le biais du Syndrome de la Couronne Nécro-Moléculaire — en l’occurrence, la Spike de l’Oxyde de Graphène.

Aujourd’hui, la vaccination graphénisante représente, très clairement, la ligne de démarcation entre, d’une part, ceux qui optent pour le suicide collectif et, d’autre part, ceux qui veulent survivre, et vivre en Paix, dans la Beauté qui Vient.

Caveat. Je n’ai pas inclus le Cannabis, dans cet essai, car je voulais rédiger un article spécial à ce sujet, mais je n’ai pas le temps.


Sommaire

Le Glutathion
La Cystéine
La Glycine
L’Acide glutamique
La N-AcétylCystéine
La Mélatonine
La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde
La Vitamine C
La Nicotine et le Tabac
Les Artémisias
Les Plantes médicinales très antioxydantes
Le Charbon de Bois Activé
Les Zéolithes
Les Micro-Organismes efficaces du Professeur Teruo Higa
Le Dioxyde de Chlore
Le Zinc
L’Acide shikimique
Les Protocoles Anti-Graphène
Autres Substances antioxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène


Le Glutathion

Le glutathion constitue la protéine de jouvence — par excellence. C’est un protecteur cellulaire, un adaptogène, un antioxydant, un détoxifiant, un promoteur du système dénommé immunitaire, un nutriment essentiel, une substance énergisante, anti-vieillissement et médicinale…

La supplémentation, ou la stimulation de la production endogène, de glutathion est conseillée pour ces diverses conditions ou pathologies : lactation, stress, performances athlétiques, détoxication, fatigue, épilepsie, troubles du sommeil, maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…), maladies cardiaques, digestion, troubles rénaux, pathologies stomacales et intestinales, maladies pulmonaires, traumatismes, brûlures, hépatites, diabètes, sinusites, problèmes d’audition, etc., etc.

La supplémentation directe en glutathion n’est pas très métabolisable et disponible — car il est détruit, en grande partie, par les sucs digestifs.

Pour une sélection et une analyse des divers produits de supplémentation de glutathion proposés dans le commerce, voir les articles du site de médecines naturelles, Doctonat.[1343] [1344]

Un adulte en bonne santé possède, environ, 10 grammes de glutathion dans le corps. L’apport quotidien, provenant de l’alimentation, constitue seulement de 1 à 1,5 % du glutathion corporel total en circulation.

Le glutathion est le principal antioxydant dans l’organisme. Il en existe deux formes : le glutathion réduit (GSH) — qui est la forme biologiquement active — et le glutathion oxydé (GSSG). Dans les cellules et les tissus sains, le glutathion réduit représente plus de 90 % du glutathion total. Le ratio de glutathion réduit/glutathion oxydé constitue l’un des marqueurs les plus essentiels du stress oxydatif.

Sur le site du gouvernement US, PubMed, il existe plus de 100 000 articles en référence au glutathion. L’élévation, dans l’organisme, du taux de glutathion a été cliniquement validée dans le soulagement des pathologies suivantes : tous les cancers, maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…), asthme, brûlures, cataractes, maladies dénommées auto-immunes, pathologies du foie, du cœur, des reins, des poumons, du système digestif, la sclérose en plaques, l’hépatite, l’épilepsie, les problèmes dermatologiques, les tumeurs, les glaucomes, les fibromyalgies, les grippes…

Même si l’apport quotidien de glutathion, au travers de l’alimentation, est faible, il participe, néanmoins, à la détoxication quotidienne des intestins, car ce sont les cellules de l’intestin qui, en premier, le métabolisent — et, plus particulièrement, les cellules de la lumière de l’intestin. De ce fait, sa présence dans les intestins permet, également, d’améliorer l’absorption globale de tous les nutriments.

Chez le nouveau-né, le lait maternel constitue la seule source de glutathion — parce qu’il est composé, à 60 %, de lactosérum extrêmement riche en cystéine. Le lait maternel perd 80 % de son glutathion après deux heures de réfrigération ou de congélation et il perd 73 % de son glutathion après deux heures de température ambiante.

Les fruits et légumes qui contiennent le plus de glutathion sont les suivants par ordre d’importance : avocats et asperges (avec près de 30 mg/100 g) ; noix et pommes de terre (avec 15 mg/100 g) ; épinards et gombos (avec près de 12 mg/100 g) ; brocolis, tomates, melons, carottes, pamplemousses, oranges, courges, fraises, pastèques, papayes, piments, pêches (entre 5 et 10 mg/100 g) ; citrons, mangues, bananes, choux, concombre, piments immatures, pommes, raisins (entre 3 et 5 mg/100 g).[1268] En ce qui concerne le glutathion dans les viandes de poulet, de bœuf, de porc, de veau, etc., elles en possèdent, en moyenne, de 13 à 30 mg/100 g — en fonction des viandes et en fonction des processus de cuisson.

Les taux de glutathion, présentés ci-dessus, concernent des fruits et des légumes qui sont consommés crus. En effet, la cuisson détruit une bonne partie de cet antioxydant.

Le reste du glutathion s’élabore, dans le corps, à partir de trois acides aminés : la cystéine, l’acide glutamique et la glycine. Ainsi, pour augmenter le taux de glutathion dans le corps, il est, surtout, conseillé de consommer des aliments qui contiennent une abondance de ces trois acides aminés — qui en sont les précurseurs.

Il est à signaler, d’ailleurs, que le glutathion est utilisé comme méthode « écologique » pour « réduire » l’oxyde de graphène ainsi qu’il l’est explicité dans l’étude, de 2011, intitulée « One-step reduction of graphene oxide with l-glutathione ».[268]

Cette réduction de l’oxyde de graphène, par le glutathion, est, également, explicitée dans l’étude, de 2021, intitulée « Reaction between Graphene Oxide and Intracellular Glutathione Affects Cell Viability and Proliferation ».[269] En fait, lors de ce processus, l’oxyde de graphène est transformé en oxyde de graphène réduit tandis que le glutathion (C10H17N3O6S), sous l’effet de l’oxydation du graphène, se transforme en disulfure de glutathion (C20H32N6O12S2).

La Cystéine

La cystéine est un acide aminé soufré. C’est l’élément constitutif le plus essentiel de ces trois acides aminés, car elle contribue au groupe sulfhydryle du glutathion — d’où l’abréviation de celui-ci en GSH pour Glutathion SulfHydryle.

Il existe diverses études portant sur la réduction (écologique) de l’oxyde de graphène avec la cystéine.[270] [271] [1491]

Dans l’apport quotidien de nourriture, elle constitue le facteur limitant en ce qui concerne un taux élevé de glutathion dans l’organisme. En effet, elle doit se présenter sous une forme qui puisse survivre le transit de la bouche aux cellules — à savoir qu’elle doit être incluse dans une plus grosse molécule.

En fonction des sources nutritionnelles, l’apport quotidien conseillé, de cystéine/méthionine, pour un adulte de 70 kgs, est d’environ de 1200 à 3000 mg.

La cystéine endogène. La cystéine peut être produite par l’organisme à partir d’un autre acide aminé soufré : la méthionine. La méthionine est l’un des 22 acides aminés protéinogènes, et l’un des 9 acides aminés essentiels (à savoir ne provenant que de la nourriture).

On trouve, principalement, de la méthionine dans : toutes les viandes et poissons, les œufs, les produits laitiers, le quinoa, l’amarante à grains, le sarrasin, le sésame, les noix du Brésil, les graines de chanvre/cannabis. Il s’en trouve également dans les haricots secs, et autres légumineuses, mais en trop petite quantité, généralement, pour qu’elle puisse contribuer, de façon conséquente, à la production endogène de cystéine.

La métamorphose de la méthionine, en cystéine, requiert un processus relativement laborieux impliquant la présence de certains enzymes et vitamines B. Ce processus s’avère facilement perturbé lorsqu’il prévaut des maladies du foie et autres faiblesses du système métabolique.

De plus, on ne peut pas considérer la méthionine comme la source principale de cystéine, afin d’élaborer le glutathion, car elle se transforme, également, en homocystéine — un acide aminé non protéinogène dont l’excès, dans l’organisme, peut induire des maladies cardio-vasculaires graves : athérosclérose, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, thromboses, etc.

La cystéine exogène. La cystéine est présente dans tous les aliments hautement protéinés : viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, œufs, quinoa, avoine, amarante à grains… Elle se trouve, également, en moindres quantités dans certains légumes tels que : brocolis, chou de Bruxelles, piments doux, oignons, ail, graines de tournesol, dattes, graines de chanvre/cannabis, levure de bière, germes de blé, beurre d’amande, champignons Shiitake.

Une portion de 100 grammes de porc, bœuf, poulet contient 350 mg de cystéine. Une portion de 100 grammes d’avoine en contient 100 mg. Une portion de 100 grammes d’œuf en contient 290 mg. Une portion de 100 grammes de graines de tournesol en contient 390 mg. Une portion de 100 grammes de gruyère en contient 300 mg. Une portion de 100 grammes de lentilles en contient 180 mg.

En fait, c’est le petit lait, le lactosérum, qui recèle le plus de cystéine, car il contient diverses protéines sériques très riches en cystéine : β-lactoglobuline, α-lactalbumine, sérum albumine, lactoferrine et immunoglobulines. Le lait cru contient de 5 à 10 % de protéines dont la caséine constitue 80 % et le petit lait 20 %.

Il existe diverses méthodes de réduction de l’oxyde de graphène par le biais des bactéries lactiques telles que Lactococcus lactis[1465], Lactobacillus plantarum[1466].

Il existe une étude, de 2020, sur l’action thérapeutique du petit lait à l’encontre du CoqueVide/19 — donc à l’encontre de l’oxyde de graphène.[1467]

La Glycine

La glycine est produite, dans le corps, à partir des acides aminés sérine et thréonine. En sus d’être l’un des trois composants du Glutathion, elle participe, également, à l’absorption harmonieuse du calcium ainsi qu’à l’édification d’un système immunitaire robuste. C’est un acide aminé important pour la santé de la prostate.

La glycine est présente dans les aliments suivants : viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, œufs, légumineuses et noix, amandes, noisettes, bananes séchées, oranges, choux, algues, asperges, épinards…

L’Acide glutamique

L’acide glutamique, en sus d’être l’un des trois éléments constitutifs du glutathion, est une molécule clé dans le métabolisme cellulaire et, également, le neurotransmetteur excitateur le plus abondant dans le cerveau. C’est un acide aminé non essentiel, car il est, également, produit par l’organisme. Il en existe deux formes : une forme liée, en tant que composant de protéines, et une forme libre.

Le lait maternel contient 10 fois plus d’acide glutamique que le lait de vache.

L’acide glutamique libre est présent dans les aliments suivants : produits laitiers non pasteurisés, algues, fruits de mer, poissons, viandes, sauce fermentée au soja, champignons.

Les légumes qui en contiennent le plus sont : sojas, petits pois, graines de courges et de tournesols, arachides, amandes, pistaches, oignons, lentilles, tomates, choux, etc.

La N-AcétylCystéine

En juillet 2020, la FDA, aux USA, initia un processus de prohibition de la N-Acétylcystéine et menaça de poursuites légales sept grandes sociétés de compléments alimentaires.[477] En mai 2021, le géant Amazon a décidé de discontinuer tout produit contenant de la N-Acétylcystéine.[478] Aujourd’hui, aux USA, la FDA n’a pas encore prohibé officiellement[480] la N-Acétylcystéine.

La N-Acétylcystéine (NAC) est un dérivé synthétique — qui n’existe, donc, pas dans la Nature — de la cystéine. La cystéine est un précurseur du glutathion, l’un des deux antioxydants les plus puissants dans le corps.

Pourquoi, donc, la FDA tente-t-elle de prohiber la N-Acétylcystéine (qui possède de très nombreuses qualités thérapeutiques) dans les compléments alimentaires, alors qu’elle est utilisée, aux USA, depuis 57 années — en tant que remède et en tant que complément alimentaire ?

Pour mémoire, la recherche sur la N-Acétylcystéine produit 549 études listées sur le site Clinicaltrials.gov du gouvernement US.[479]

Tout simplement parce que la N-Acétylcystéine constitue le troisième traitement (allopathique) des symptômes du dénommé CoqueVide/19 — à la suite de l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine. Ces deux dernières substances ont été interdites par l’OMS, et/ou leurs valets politiques corrompus, afin que la FDA, et les Agences de Sécurité Européenne, donnent des autorisations d’urgence à des injections, prétendument « expérimentales », jusqu’en 2023.

Les études sur le traitement du CoqueVide/19 avec la N-Acétylcystéine ont commencé à émerger au printemps 2020. Une première étude a été publiée, en avril 2020, dont l’intitulé est : « N-acetylcysteine: A rapid review of the evidence for effectiveness in treating COVID-19 ».[484]

Trois études ont, ensuite, été publiées, durant l’été 2020 : « Efficacy of N-Acetylcysteine (NAC) in Preventing COVID-19 From Progressing to Severe Disease »[476] ; « Rationale for the use of N-acetylcysteine in both prevention and adjuvant therapy of COVID-19 » [485] ; « N-acetylcysteine as a potential treatment for novel coronavirus disease 2019 ».[487]

Une autre étude, intitulée « N-Acetylcysteine to Combat COVID-19: An Evidence Review », fut publiée, en novembre 2020, afin de mettre en exergue les qualités thérapeutiques de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19. Les conclusions de cette étude sont que la N-Acétylcystéine possède les fonctions les suivantes : elle est antivirale (pour ceux qui croient aux virus pathogènes) ; elle est immuno-modulatrice ; elle réduit l’émergence des pneumonies ; elle fait baisser la mortalité en soignant les poumons.[482]

Une autre étude fut publiée, en avril 2021, qui est intitulée « The efficacy of N-Acetylcysteine in severe COVID-19 patients: A structured summary of a study protocol for a randomised controlled trial ».[483]

Une autre étude fut publiée, en juin 2021, qui est intitulée « A pilot study on intravenous N-Acetylcysteine treatment in patients with mild-to-moderate COVID19-associated acute respiratory distress syndrome ».[486]

Voici un extrait de l’introduction de l’une des études pharmacologiques — préconisant l’usage de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19 — afin de présenter l’identité, et donc les fonctions, de la N-Acétylcystéine.

« La N-Acétylcystéine fut introduite dans les années 1960 comme remède mucolytique dans le cas de maladies respiratoires chroniques. Elle se caractérise par une fiche de sécurité bien établie et elle est encore communément utilisée, oralement, à raison de doses de 600 mg/jour en tant que mucolytique. Dans le cadre hospitalier, elle est également utilisée comme antidote aux overdoses de paracétamol (avec des formulations contenant jusqu’à 150 mg/kg) et sous mode nébulisé chez les patients souffrant de maladie broncho-pulmonaire aiguë (pneumonie, bronchite, trachéo-bronchite). La N-Acétylcystéine rend les muqueuses bronchiques moins visqueuses. In vitro, les dérivés de la cystéine agissent en cassant les liaisons disulfure entre les macromolécules — ce qui induit une réduction de la viscosité des muqueuses.

Cependant, à des doses supérieures (≥ 1200 mg), la N-Acétylcystéine agit, également, comme antioxydant au travers de mécanismes complexes qui peuvent combattre des conditions de stress oxydatif. La N-Acétylcystéine est un dérivé de l’acide aminé naturel, la cystéine, qui sert de précurseur à la synthèse du glutathion dans le corps avec une activité antioxydante. Cela permet de réduire la formation de cytokines pro-inflammatoires telles que la IL-9 et la TNF-α et cela possède, aussi, des propriétés vasodilatatrices en accroissant les taux de GMP (guanosine monophosphate) cycliques et en contribuant à la régénération du facteur relaxant dérivé de l’endothélium. C’est ce mécanisme potentiel antioxydant qui a suscité de l’intérêt de par la pandémie actuelle du Covid-19 et de par son utilité thérapeutique potentielle dans les communautés ». Traduction de Xochi.[484]

Le dosage conseillé est de 1200 à 2400 mg par jour — sur un estomac vide.

Suite à la prescription sauvage de Paracétamol — pour soulager les symptômes Covidiens ou prévenir les effets adverses post-vaccinaux — c’est, également, la N-Acétylcystéine qui permet de soigner la toxicité au paracétamol dans le corps. 512]

Il est à noter, de plus, que le paracétamol (qui est le médicament allopathique le plus prescrit en France) réduit les taux de glutathion, dans le foie, de 70 à 80 %.[490] Par conséquent, de par le fait que, déjà, l’oxyde de graphène détruit le glutathion dans le corps, il semble suicidaire de continuer à prescrire le paracétamol, avant et après les injections anti-CoqueVide/19, afin d’en atténuer les effets secondaires ainsi que certains pharmaciens le conseillent — telle que Marianne Gazzano, pharmacienne biologiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris[488] ou tel que le psychopathe, Alain Fisher, en charge de la stratégie vaccinale de la PharMacronie.[1116]

Voir, à ce sujet, l’article très éclairant, intitulé « Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique majeure ! », qui a été publié par la rédaction de l’AIMSIB, fin août 2021.[1555]

Alerte : la plus grande partie de la N-Acétylcystéine, disponible sur le marché, provient de Chine. Elle est confectionnée à partie de soies de porcs, de plumes de volaille… et de cheveux humains — qui sont récupérés chez les coiffeurs. Il est donc important de vérifier, avant tout achat, la provenance et l’origine physique de ce complément alimentaire.

Alerte : l’usage fréquent de la N-Acétylcystéine, sans supervision médicale, n’est pas très conseillé, car elle peut provoquer la manifestation de : vomissements, diarrhées, douleurs épigastriques, brûlures d’estomac, saignements rectaux, dyspepsie, nausées, etc.

La Mélatonine

La mélatonine est sécrétée par la glande pinéale du cerveau (épiphyse) de la tombée de la nuit à la levée du jour. La mélatonine est réputée synchroniser les oscillateurs périphériques et permet, ainsi, une organisation harmonieuse des fonctions biologiques au travers des rythmes circadiens. La mélatonine constitue une substance thérapeutique primordiale en ce qui concerne sa détoxification des radicaux libres, son action antioxydante, les troubles psychiatriques, les problèmes cardio-vasculaires, les pathologies du système de reproduction, les dysfonctions neuronales, les troubles gastro-intestinaux, les septicémies, etc.

La mélatonine est un antioxydant qui, de plus, joue un rôle dans l’activation d’autres antioxydants. La capacité de la mélatonine d’accroître le taux de glutathion dans le corps — en particulier dans les tissus du foie, du cerveau, des muscles et du sérum sanguin — a été validée scientifiquement.

Une requête, sur le site PubMed du ministère de la Santé US, avec les termes « Melatonin » et « Covid », renvoie vers 128 études — pour les seules années 2020 et 2021.[1307] Selon ces études, dont certaines cliniques, la mélatonine est très efficace à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19 : inflammations, oxydation, problèmes respiratoires, tempêtes de cytokines, anxiétés, troubles du sommeil, delirium, fibroses pulmonaires, problèmes cardiaques, myocardites[1308], problèmes neurologiques[1309], troubles du rythme circadien[1310], apoptosis, perméabilité des vaisseaux sanguins, etc.

Une étude, d’octobre 2020, intitulée « Melatonin restores neutrophil functions and prevents apoptosis amid dysfunctional glutathione redox system », a mis en exergue les capacités de la mélatonine a régénérer le niveau de glutathion dans le corps. [1311]

Comme de nombreux scientifiques ne peuvent pas s’empêcher de jouer avec le feu, il existe, même, quelques études sur la faisabilité de véhiculer, prétendument plus efficacement, de la mélatonine dans le corps… en la fusionnant avec des nanoparticules solides aux lipides ou des nanoparticules polymériques.[1312] [1314] Il existe, par exemple, une étude récente, de 2020, proposant un traitement anticancéreux composé de doxorubicine et de mélatonine véhiculées par des nanoparticules de graphène et de magnétite (Fe3O4).[1313]

Par exemple, une étude allemande, publiée en juin 2020, a mis en exergue les capacités thérapeutiques de la mélatonine à l’encontre des inflammations pulmonaires. « Les capacités protectrices de la mélatonine ont été mises en exergue en raison, principalement, de ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Cette protection a été validée dans des pathologies aussi diversifiées que : inflammations allergiques des voies aériennes, lésions pulmonaires aiguës induites par des toxines ou des radiations, pathologies respiratoires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive, apnées obstructives du sommeil, syndrome néonatal de détresse respiratoire, asphyxie et dysplasie broncho-pulmonaires, problèmes respiratoires induits par une septicémie, fibroses pulmonaires idiopathiques et hypertension pulmonaire ? Les résultats prévalant ont été une protection ou une amélioration grâce à la mélatonine conjointement à une réduction de l’expression et de la libération de cytokines pro-inflammatoires, telles que IL-1β, IL-2, IL-6, IL-8 et TNFα, qui est souvent explicitée de par l’interférence avec les récepteurs de type toll, l’inhibition de l’activation de l’inflammasome NLRP3 et la suppression des signaux NF-κB ». Traduction de Xochi.[1315]

Selon Stephen Harod Buhner, dans son ouvrage « Herbal Antivirals », les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines TNF-α incluent : Sureau (Sambucus nigra), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Polygale de Virginie (Polygala tenuifolia), la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baicalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-1β incluent : Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum), Kudzu (Pueraria lobata), Sénéga chinois (Polygala tenuifolia). Les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-6 et IL-8 incluent : Pastel des Teinturiers (Isatis sp.), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis) et Astragale (Astragalus membranaceus). Sont, également, très bénéfiques, pour ces types de tempêtes de cytokines, les champignons Cordyceps.

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de moduler la protéine NF-κB (impliquée dans la réponse immunitaire et les tempêtes de cytokines) incluent : Astragale (Astragalus membranaceus), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

La mélatonine est synthétisée à partir de la sérotonine qui est, elle-même, constituée à partir du tryptophane, un acide aminé essentiel, que l’on trouve, principalement, dans : poissons, produits laitiers, céréales, viandes, légumineuses noix et graines, chocolat, fruits…[1481]

La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde

En 1918/1920, alors que des dizaines de millions de personnes mouraient de pneumonie bactérienne — et non point d’une grippe prétendument espagnole — les médecins prirent conscience que le taux de mortalité était considérablement diminué lorsque les patients étaient installés au grand air (de par la capacité purificatrice intrinsèque de l’Atmosphère Vivante) et au Soleil — à savoir en situation de réception de Vitamine D.

Voir l’étude, publiée par Richard Hobday, intitulée « The Open-Air Treatment of Pandemic Influenza ».[1316] [1317]

Aujourd’hui, c’est une centaine d’études, rédigées en 2020 et 2021, portant sur le soulagement des symptômes Covidiens à l’aide de la Vitamine D3, qui ont été analysées dans une méga-étude intitulée « Vitamin D for Covid-19: real-time meta analysis of 101 studies ».[1320] Selon PubMed, il existe, en fait, des centaines d’études portant sur les relations entre la Vitamine D et le CoqueVide/19.[1321]

Je ne puis que conseiller une étude, de 2017, qui est intitulée « Vitamin D supplémentation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data ». Cette étude met, strictement, en lumière que la supplémentation en Vitamine D réduit l’incidence des « grippes », et autres pathologies respiratoires, de 50 %.[1318]

Que se passe-t-il, de plus, donc, lorsqu’un Coup d’État assigne toute une population à résidence, en tout début de printemps, avec interdictions de promenades ? Il s’ensuit, tout simplement, qu’à la sortie de l’hiver (sans vitamine D de par l’inclinaison du Soleil et des jours courts), cette population ne peut bénéficier des largesses de notre étoile, le Soleil, dispensant une générosité de vitamine D — au fil des semaines croissantes en intensité solaire.

Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner — après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique — donna l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement païens, qui fut intitulé « Le Cours aux Agriculteurs » et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 — l’année de publication du « Précis de Chimie » de Justus Liebig-Möser.

Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations.

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe Français, nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes.[1403]

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5 HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité ». Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem — celui-là même qui a impulsé toute la recherche israélienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 — qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes — ou endocannabinoïdes — lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine — une dénomination résolument védique ! Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant « joie, félicité suprême ». Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

Selon l’INSERM, « Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXe siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXe siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels”, car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ».

Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation industrielle est architoxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité — tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les Autorités — sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes — ont criminalisé une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc., et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

D’ailleurs, en avril 2021, le squatter menteur de l’Élyséele Guide du Coviet Suprême — a décidé de lancer force répressions policières contre « la consommation de drogue » : « On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité… » Sans plaisanter ? C’est le même Macron pour lequel, en juillet 2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022. C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016, déclarait : « Cannabis : je crois que la légalisation a une forme d’efficacité ».

La Vitamine C

La Vitamine C a été validée, de très nombreuses fois, comme extrêmement thérapeutique à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19… tout autant que comme réducteur « vert » de l’oxyde de graphène.

Une étude clinique a mis en valeur une augmentation de 50 % du taux de glutathion, chez des personnes en bonne santé, à la suite d’une prise de 500 mg de Vitamine C, quotidiennement, pendant deux semaines. Caveat : la Vitamine C, tout comme la Vitamine E, agit en tant que co-facteur, et non pas en tant que source principale, dans la production de glutathion : à savoir qu’ils n’agissent qu’en cas de présence des trois acides aminés que sont la cystéine, la glycine et l’acide glutamique.

À l’encontre du CoqueVide/19, elle a été prescrite en très hautes doses par intraveineuse[1451] [1452] [1453] et a été utilisée ainsi dans de nombreux pays.

Les très hautes doses signifient de 50 à 200 milligrammes par kilo de poids.

En tant que réducteur non toxique de l’oxyde de graphène, elle a été validée lors de diverses études[1455] [1456] [1457] dont une de 2018, intitulée « Green reduction of graphene oxide by ascorbic acid ».[1454]

La Nicotine et le Tabac

Le fait que la nicotine participe à l’inactivation de l’oxyde de graphène — et donc à la protection du système neuronal — est d’autant plus intelligible que de nombreuses études ont prouvé que les fumeurs étaient protégés à l’encontre de le symptomatologie dénommée CoqueVide/19.

Pour mémoire, voici quelques extraits de ce que j’ai présenté, en avril 2021, dans ma très longue monographie médicinale sur le Tabac, « Les Qualités extrêmement médicinales et Enthéogéniques des Tabacs ».[590]

La dernière étude, en date, vient d’être publiée, dans la Revue Nature, le 10 septembre 2021. « Inhibiting SARS-CoV-2 infection in vitro by suppressing its receptor, angiotensin-converting enzyme 2, via aryl-hydrocarbon receptor signal ».[1483] [1484]

Au printemps 2020, des chercheurs chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de Tabac dans les hôpitaux chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible — à savoir, environ 6 %.[659] [660] [661] [662] [663] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6 %)[664] et en France (avec 5 %)[665]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19[667] — alors que les hôpitaux de New York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2 %.

Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la grippette Covidienne.[669] Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [713] [714] [715]

En fait, la nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 — une histone de la famille des sirtuines.[1404] [1405] [1406]

Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à la quantité de Tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de Tabac ont 50 % de chances en moins de succomber à cette pathologie.

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentaient la pression sanguine, en l’espace de 10 min, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson — dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension.

Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du Nord, le Tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique.

Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine — toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies — se caractérisent par leur capacité de liaisons au fer. Ainsi, une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques — à savoir en chélatant ces métaux en excès.[1407]

Dans la lutte contre la graphénisation, le Tabac constitue une thérapie de première ligne. C’est pour cela que les ayahuasqueros, les guérisseuses, les hommes-médecine, les femmes-Bison Blanc et autres shamanes, dans les trois Amériques, soufflent le Tabac : afin de purifier l’atmosphère matérielle, à savoir physique et psychique.

D’ailleurs, le processus chamanique consistant à souffler la fumée du Tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas — confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés antimicrobiennes et dont les applications thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc.

Les Artémisias

En mars 2020, j’écrivis au très sympathique Professeur Didier Raoult afin de m’enquérir de ce qu’il pensait de l’usage des Artemisias — des plantes antipaludiques millénaires — dans la mesure où il promouvait l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique, pour soulager le tableau de symptômes du CoqueVide/19.

Le Professeur Didier Raoult ne m’a jamais répondu. Au mois de mars 2020, au sujet de l’arnaque des Tests de positivité/négativité, qui étaient très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier Raoult, je posais les questions suivantes : Quels Tests ???? Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas… ? S’agit-il d’un immense théâtre de dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi FAKE les unes que les autres ? Afin de générer une pléthore de dissonances cognitives, au sein de la population, en en accroissant d’autant la psychose ?

Au vu des prises de position du Professeur Didier Raoult — sur les sujets criminels des tests PCR, des injections et de la mythologie pernicieuse des Variants du CoqueVide/19 — il fait, résolument, partie de l’Opposition contrôlée. N’est-ce pas affligeant ?

Les Artemisias font partie des Plantes Médicinales Maîtresses : elles sont extrêmement antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-cancers — en sus d’être antimicrobien, antiparasitaire, etc. Artemisia annua est l’un des plantes médicinales les plus antioxydantes et anti-inflammatoires de la planète.

Je renvoie le lectorat vers mes diverses monographies médicinales sur les Artemisia, rédigées en 2018 : « Pour prévenir et guérir la Malaria : les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie ? Dossier n° 1 »[1283] ; « Pour prévenir et guérir la Malaria : les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie ? Dossier n° 2 »[1284] ; « L’Artemisia annua dans la Pharmacopée Familiale »[1282].

Il existe quelques dizaines d’études (publiées en 2020 et 2021) portant sur les capacités extrêmement thérapeutiques de l’Artemisia annua à l’encontre des symptômes du CoqueVide/19 — donc, à l’encontre des symptômes de l’empoisonnement au graphène : “Artemisia and Artemisia-based products for COVID-19 management: current state and future perspective”, “An overview of the anti-SARS-CoV-2 properties of Artemisia annua, its antiviral action, protein-associated mechanisms, and repurposing for COVID-19 treatment”, etc., etc.[1408] [1409] [1410] [1411] [1412] [1413] [1414] [1415] [1416].

Il existe, même, une étude de 2018, « Facile synthesis of graphene via reduction of graphene oxide by artemisinin in ethanol »[1417] portant sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine — l’une des substances les plus actives de certaines espèces d’Artemisia… Car Artemisia afra n’en contient pas malgré qu’elle soit éminemment antipaludique.

Cette étude sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine contient de magnifiques photos d’oxyde de graphène.

Les Plantes médicinales très antioxydantes

Je vais tout d’abord présenter les Plantes médicinales, ou les complexes de Plantes médicinales, émanant de diverses pharmacopées, qui ont été validées efficaces à l’encontre de l’ensemble des symptômes de ce qui a dénommé « CoqueVide/19 » — donc, très vraisemblablement, à l’encontre du tableau de symptômes générés par l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

La Réglisse est, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (de même qu’à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes et publiées, depuis 2020, en Chine, en Italie, en Allemagne, en Inde, en Turquie, en Corée… So Sweet![695] [696] [697] [698] [699] [701] [702]

Une étude chinoise, publiée en mai 2020, a mis en exergue que la liquiritine, de la Réglisse, inhiberait le développement, du prétendu CoqueVide/19, en se faisant passer pour de l’interféron de type 1.[703]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2020, sur les Réglisses : « Les Réglisses : une Panacée Suprêmement Médicinale ».[1269]

La Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis) s’avère, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (comme à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes publiées, depuis 2020, en Chine, et ailleurs.[704] [705] [706] [707]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Scutellaires : « Les Qualités médicinales des Scutellaires ».[1270]

En 2020, le gouvernement chinois a promu six complexes de la Médecine traditionnelle Chinoise[710] [711] pour lutter contre la Pandémie Covidienne, donc à l’encontre la couronne nécro-moléculaire d’oxyde de graphène. Le premier complexe est dénommé « Lianhua Qingwen JiaoNang ». En hommage à la médecine traditionnelle chinoise multimillénaire, voici la recette, car ce complexe médicinal qui peut, même, servir pour les grippes diverses et variées ou pour tout problème pulmonaire ou respiratoire.[712]

Le « Lianhua Qingwen JiaoNang » contient : Isatis indigotica, Forsythia suspensa, Lonicera japonica, Rhodiola rosea, Glycyrrhiza glabra, Ephedra sinica, Houttuynia cordata, Dryopteris crassirhizoma, Pogostemon cablin, Rheum officinale, Prunus armeniaca, Mentha haplocalyx et Gypse.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Isatis : « Les Qualités Extrêmement médicinales du Pastel des Teinturiers ».[1271]

Le second complexe se nomme « Granules de Jinhua Qinggan » et il fut développé lors de la fausse pandémie de grippe de 2009.

« Jinhua Qinggan » est constitué par la somme de deux complexes traditionnels. Le premier est une décoction dénommée « Maxing Shigan » mentionnée dans le Traité « Shanghan Lun » de Zhang Zhongjing — au 3 ème siècle. « Maxing Shigan » est constitué de Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Ephedra sinica (Ephedra chinois), Prunus armeniaca (Noyau d’abricot), et Mentha haplocalyx. Le second est la « Poudre de Yinqiao » mentionnée dans le Traité « Wenbing Tiaobia » de Wu Jutong — en 1798. « Yinqiao » est constitué de Ephedra sinica (Ephedra chinois), Lonicera japonica (Chèvrefeuille du Japon), Forsythia suspensa, Platycodon grandiflorus (Campanule à grands fleurs), Arctium lappa (Grande Bardane), Mentha haplocalyx, Lophatherum gracile, Schizonepeta tenuifolia, Phragmites communis, Glycyrrhiza glabra (Réglisse) et Glycine soya (Soja).

Le troisième complexe se nomme « Injection de Xuebijing ». Il est, même, référencé par l’organisation Cochrane afin de traiter l’empoisonnement au paraquat — un toxique très violent de la multinationale criminelle Syngenta.[1273]

« L’injection de Xuebijing » est composée des espèces médicinales suivantes : Salvia miltiorrhiza, Angelica sinensis, Carthamus tinctorius, Ligusticum wallichi et Paeonia rubra.

Au-delà des plantes médicinales promues en Chine, durant la fausse pandémie, il existe une très grande diversité d’espèces de plantes médicinales antioxydantes dans la Médecine traditionnelle chinoise. Une étude, de 2003, intitulée « Antioxidant activity and phenolic compounds of 112 traditional Chinese medicinal plants associated with anticancer » décline 112 espèces médicinales possédant une activité antioxydante et des composés phénoliques.[1274]

Voici quelques-unes de ces espèces médicinales chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe : Artemisia annua, Artemisia argyi, Arctium lappa, Lonicera japonica, Dianthus superbus, Terminalia chebula, Carthamus tinctorius, Chrysanthemum indicum, Isatis indigotica, Trichosanthes kirilowii, Juglans regia, Prunella vulgaris, Salvia miltiorrhiza, Scutellaria baicalensis, Scutellaria barbata, Cinnamomum cassia, Astragalus mongholicus, Glycyrrhiza uralensis, Magnolia officinalis, Schisandra chinensis, Polygonum multiflorum, Polygonum cuspidatum, Portulaca oleracea, Punica granatum, Paeonia lactiflora, Rosa chinensis, Rubia cordifolia, Houttuynia cordata, Hyoscyamus niger, Solanum nigrum, Lycium barbarum, Camellia sinensis, Angelica sinensis, Foeniculum vulgare, Curcuma longa, Zingiber officinale.

Je renvoie le lectorat vers mes monographies médicinales, de 2018, sur les Artemisia.[1282] [1283] [1284] Au sujet des capacités des plantes (et des médications) antipaludiques, il est à signaler une étude, d’août 2021, intitulée « Profound and persistent disparity in COVID-19 mortality rates between USA/Western Europe and sub-Saharan Africa: A crossover effect of antimalarial drugs? »[1291]. Cette étude présente l’hypothèse selon laquelle la mortalité attribuée aux symptômes du CoqueVide est très basse en Afrique subsahélienne (par rapport à l’Europe de l’Ouest et de l’Amérique du Nord) de par le fait que ces pays se soignent, communément, à l’encontre de l’impact de la malaria — soit avec des plantes médicinales (telles que Artemisia annua ou Artemisia afra), soit avec des médications conventionnelles anti-malariales (telle que l’Hydroxychloroquine).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Angéliques : « Les Angéliques : des Messagères de la Terre pour Réanimer les Terriens ».[1285]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2019, sur les Dianthus : « Les Oeillets, et autres Dianthus, dans la Pharmacopée et dans la Magiacopée Familiales ».[1286]

Une autre étude, de 2003, intitulée « Antioxidant and anti-inflammatory activities of selected Chinese medicinal plants and their relation with antioxidant content » décline 44 espèces médicinales possédant une activité antioxydante.[1278]

Voici quelques-unes de ces espèces médicinales chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe — non mentionnées dans l’étude précédente : Leonurus japonicus, Artemisia vulgaris, Sanguisorba officinalis, Pogostemon cablin, Platycodon grandiflorus.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Leonurus : « Les Qualités médicinales des Leonurus aux Queues de Lions ».[1281]

Une étude, de 2005, intitulée « Antioxidant Capacity of 26 Spice Extracts and Characterization of Their Phenolic Constituents »[1287] a analysé le potentiel antioxydant de 26 épices ou plantes condimentaires — de divers continents. Les espèces en possédant le plus sont les suivantes, par ordre décroissant : Syzygium aromaticum (Clou de girofle), Cinnamomum zeylanium (Cannelle de Ceylan), Origanum vulgare (Origan), Cinnamomum cassia (Cannelle de chine), Salvia officinalis (Sauge officinale), Thymus vulgaris (Thym officinal), Laurus nobilis (Laurier noble), Rosmarinus officinalis (Romarin officinal), Mentha canadensis (Menthe du Canada) et Ocimum basilicum (Basilic).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2017, sur les Basilics et Tulsi : « Tulsis et autres Vérités Basilico-moléculaires pour se libérer de la Terreur Pharmacratique ».[1288]

Les plantes médicinales, de la Pharmacopée ayurvédique, possédant une activité antioxydante sont, également, très nombreuses. En voici quelques-unes cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe : Withania somnifera (Ashwagandha), Centella asiatica, Asparagus racemosus, Bacopa monnieri, Curcuma longa (Curcuma), Camellia sinensis (Thé), Cinnamomum verum (Cannelle), Emblica officinalis, Ocimum tenuifolium (Tulsi), Terminalia bellerica, Zingiber officinalis (Gingembre).[1289]

Concernant le Camellia sinensis, il existe une étude de 2020, portant sur une méthode « écologique » de réduire l’oxyde de graphène avec du thé vert.[1419]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2018, sur le Withania : « L’Ashwagandha : une pharmacopée millénaire, naturelle et très puissante ».[1290]

Il existe, d’ailleurs, une étude, de 2016, portant sur une méthode « écologique » de réduire un composé d’oxyde de graphène/oxyde de fer/palladium avec un extrait de Withania coagulans — une espèce d’importance médicinale, et économique, en Inde — qui, tout comme Withania somnifera, possède de fortes capacités antioxydantes. Les Withania sont les Ginsengs de l’Inde.[1496]

Le Charbon de Bois Activé

Nous invitons le lectorat à consulter deux excellents articles de Jean-Baptise Loin dont le dernier, qui porte sur le charbon traditionnel japonais, est intitulé — à très juste titre : « Le plus puissant des charbons actifs adsorbe les nanoparticules ».[1292] [1293] En ce qui concerne ce présent dossier, le charbon actif est thérapeutique en ce qui concerne les pollutions vaccinales et médicamenteuses ; la purification des voies sanguines, hépatiques, intestinales, digestives et urinaires ; l’accumulation des métaux lourds, nanoparticules et autres isotopes radioactifs.

Certaines études préconisent, dans des cas d’intoxication aiguë, d’administrer une très grosse dose dans l’heure qui suit l’empoisonnement — par exemple, une injection vaccinale. Dans ce cas, la posologie est de 0,5 à gramme par kilo de poids corporel — donc, à savoir, environ 50 grammes pour un adulte.[1294]

Tout comme pour les zéolithes, et autres formes d’argiles, il est fortement conseillé de manipuler les charbons de bois actifs avec une cuillère en bois ou en plastique — et non pas en métal — afin de ne pas désactiver les vertus thérapeutiques de ces substances.

Si le Charbon de bois activé est efficace dans le traitement des eaux usées, afin de les décontaminer de la présence de nanoparticules, il en est de même pour le corps de la Terre ou le corps humain. Il existe une étude récente, publiée en 2021, dont l’intitulé est : « Preparation of biochar and biochar composites and their application in a Fenton-like process for wastewater decontamination: A review ».[1295]

Avec le charbon de bois activé, nous avons une substance naturelle, à base de carbone, qui est extrêmement médicinale et qui nous permet de lutter contre l’empoisonnement généré par des formes, non naturelles, et synthétiques, de carbone — à savoir tous les produits industriels à base de graphène.

Il est à signaler, d’ailleurs, que les scientifiques ne possèdent aucune limite dans leurs expérimentations criminelles. Il existe, même, des études portant sur des composés de biochar (charbon actif) enrobé d’oxyde de graphène — prétendument pour éliminer le strontium, le chromium, le plomb, le cuivre — et même le biocide atrazine.[1296] [1297] [1298] [1299] [1300]

Les Zéolithes

Les Zéolithes constituent des substances éminemment thérapeutiques pour décontaminer le corps animal ainsi que le sol des jardins et des champs. En effet, les Zéolithes constituent des substances médicinales extrêmement efficaces, et antioxydantes, pour éliminer les radicaux libres, les métaux lourds et les isotopes radioactifs. Il existe trois sortes principales de zéolithes : fibreuse, feuillée ou cristalline. L’usage médical concerne la zéolithe cristalline qui contient des quantités élevées de clinoptilolithe.

Au printemps 2011, à la suite du désastre nucléaire de Fukushima, j’ai proposé mes traductions de quelques textes ayant trait à leur action thérapeutique : « Zéolithes médicinales pour se Décontaminer et se Déshalluciner le Mental ».[716]

« La zéolithe est une roche cristalline étonnante qui est capable d’adsorber et d’absorber de nombreux types différents de gaz, d’humidité, de pétrochimiques, de métaux lourds et d’éléments faiblement radioactifs et une multitude de composés divers. Les canaux dans la zéolithe pourvoient de très larges surfaces sur lesquelles des réactions chimiques peuvent prendre place. Les cavités et les canaux à l’intérieur de la zéolithe peuvent occuper jusqu’à 51 % de son volume. La zéolithe peut adsorber et absorber de larges quantités de substances, tels que des ions ou des molécules gazeuses.

La zéolithe se caractérise par une structure extrêmement dure, microporeuse et en nid d’abeille. Ces cavités et ces canaux constituent des ouvertures en lesquelles des minéraux ou des métaux lourds peuvent se lier. L’atome de silice possède une charge électrique neutre tandis que l’atome d’aluminium possède une charge électrique négative : il en résulte des sites chargés au sein de la structure cristalline. Le processus d’équilibrage, qui est à l’œuvre afin de maintenir la neutralité électrique dans la clinoptilolithe, attire des minéraux de charge positive tels que le calcium, le magnésium, le potassium, le sodium et le fer. Ces cations communs (à savoir des ions chargés positivement) peuvent être aisément déplacés par des métaux lourds (tels que le cadmium, le mercure, le nickel et l’arsenic) pour être ensuite délogés du corps. La zéolithe possède une affinité élevée pour piéger le plomb, le cadmium, l’arsenic, le mercure et d’autres métaux potentiellement dangereux. Au travers du processus d’échange de cations, la zéolithe peut abaisser l’exposition totale aux métaux lourds chez un individu. Cela permettrait d’influer, de manière conséquente, sur la réduction de certains cancers et de pathologies cardiaques.

L’ingestion de la zéolithe peut être comparée à la consommation d’argile considérée, dans la médecine traditionnelle, comme un remède pour diverses maladies. En raison des propriétés d’échanges d’ions, la zéolithe peut modifier le contenu ionique, le pH, la capacité de protection des sécrétions gastro-intestinales et affecter le transport au travers de l’épithélium intestinal. La zéolithe peut avoir également une influence positive sur la flore bactérienne et la résorption des vitamines et des oligoéléments. » Nature’s Heavy Metal Detoxifier. 2006. Dr Howard Peiper. Traduction de Xochi.

Les Micro-Organismes efficaces du Professeur Teruo Higa

On peut, également supputer que certaines soupes de micro-organismes — tels que les micro-organismes efficaces du Professeur Teruo Higa — soient capables de désintégrer l’oxyde de graphène, et autres formes de carbone/graphène, s’ils sont capables de digérer les métaux lourds dans le sol

Cf. l’étude, de 2017, intitulée « Biodegradation of graphene oxide-polymer nanocomposite films in wastewater » portant sur la dégradation d’oxyde de graphène par les micro-organismes des eaux usées.[1156]

Le Dioxyde de Chlore

Il existe, de plus, de par le monde un très grand nombre de thérapeutes prescrivant du dioxyde de chlore à l’encontre des symptômes, prétendument Covidiens. Au Mexique, par exemple, le Dr Pedro Chávez est le président d’une organisation, la Comusav, regroupant 5000 médecins, dont l’objectif est de soigner tous ceux souffrant de symptômes, prétendument Covidiens, avec le dioxyde de chlore.[686]

En Espagne, le célèbre exposant du dioxyde de chlore est le pionnier Josep Pamies — à Ballaguer. Et si le dioxyde de chlore fonctionne à l’encontre du CoqueVide/19… c’est qu’il fonctionne à l’encontre de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

J’invite le lectorat à consulter le dossier d’Andreas Kalcker sur les diverses méthodes de préparation du dioxyde de chlore :[1621]

Andreas Kalcker est l’auteur de l’ouvrage « Salud Prohibida », de 400 pages, aux Éditions Voedia.

Le dioxyde de chlore est juste le gaz de réaction du chlorite de sodium (NaClO2) activé avec un acide, qui est très soluble dans l’eau et s’évapore à 11 °C.

Le MMS est le mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé avec de l’acide citrique qui contient du chlorite de sodium et est de pH acide. MMS C’est le nom que Jim Humble a donné au mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé par l’acide citrique, à l’époque.

Le CDS est une solution aqueuse concentrée de 0,3 % (3000 ppm) de dioxyde de chlore gazeux, sans teneur en chlorite de sodium (NaClO2) dans la solution et a un pH neutre.

Selon Andreas Kalcker, on peut trouver à l’heure actuelle 1326 études scientifiques sur le dioxyde de chlore dans PubMed, où la plupart d’entre elles se concentrent sur la sécurité de la toxicité en consommation. Il existe relativement peu d’articles qui étudient l’efficacité thérapeutique à ce jour.

Le Zinc

Les chercheurs de la Quinta Columna ont découvert que le graphène détruit le zinc dans le corps humain… ce qui n’est pas une bonne nouvelle, car lorsque le zinc est déficient, le corps humain ne possède pas les enzymes adéquates pour synthétiser le glutathion.

Ils ont, également, mis en exergue qu’il existe de nombreuses études analysant le dysfonctionnement érectile de personnes qui ont été supposément contaminées par le CoqueVide/19.[592] [593] [594] [595] [596] Certains auteurs tentent d’expliquer que ce dysfonctionnement érectile Covidien pourrait être induit par un blocage de la circulation sanguine vers le pénis ; ou induit par du stress, de l’anxiété et de la dépression provoquées par le virus ; ou induit par un mauvais état de santé généralisé provoqué par des complications Covidiennes.[591] En fait, ce dysfonctionnement érectile est induit par l’empoisonnement au graphène.

L’Acide shikimique

L’acide shikimique peut, également, être utilisé pour réduire l’oxyde de graphène : il possède une activité antioxydante, anticoagulante et anti-inflammatoire.

Depuis l’émergence de la fausse pandémie — et l’hystérie concernant le protéine Spike du coronavirus inexistant — de nombreux articles, commentaires et vidéos ont évoqué l’utilisation des aiguilles de conifères afin d’en extraire l’acide shikimique.

Une étude intitulée « Content Analysis of Shikimic Acid in the Masson Pine Needles and Antiplatelet-aggregating Activity » a mis en valeur son potentiel anticoagulant du sang : il inhibe, en effet, l’agrégation plaquettaire, la thrombose artérioveineuse et la thrombose cérébrale.[1443] Selon cette étude, le Pin (Pinus Massoniana), le Thuya d’Orient (Platycladus orientalis) et la Badiane de Chine (Illicium verum) contiennent de l’acide shikimique, respectivement, à hauteur de 5,71 %, 1,74 % et 8,95 %.

Dans les conifères, on trouve une abondance d’acide shikimique :

Dans les Pins : par exemple, Picea koraiensis, Picea meyeri, Pinus elliottii[1517] et Pinus banksiana qui sont les espèces de pins chinois les plus médicinales en ce qui concerne l’extraction de l’acide shikimique.[1509] Pin de Mason (Pinus massoniana)[1514]. Pin rouge du Japon (Pinus densiflora)[1510]. Pin Mugo (Pinus mugo)[1511]. Pin Sylvestre (Pinus sylvestris)[1512]. Pin Chilgoza (Pinus gerardiana)[1513]. Pin d’Armand (Pinus armandi)[1515]. Pin du Yunnan (Pinus yunnanensis)[1516]. Pin blanc (Pinus strobus)[1518]. Pin maritime (Pinus pinaster)[1519]. Pin de Meyer (Picea meyeri)[1521]. Epicea bleu (Picea pungens)[1522]. Epicea blanc. (Picea glauca)[1522]. Pin rouge (Pinus resinosa)[1523].

Dans les Thuya : par exemple, Thuya d’Orient (Platycladus orientalis).[1520]

Dans les Cèdres : par exemple, Cédre de l’Himalaya (Cedrus deodara)[1508].

L’acide shikimique se trouve, également, dans : les graines de Fenouil (Foeniculum vulgare), les graines de Coquelicot rouge (Papaver rhoeas) ; les graines et l’écorce d’Anis étoilé ou Badiane de Chine (Illicium verum) ; les graines, les feuilles et l’écorce de la Badiane Japonaise (Illicium anisatum) ; les feuilles d’Absinthe (Artemisia absynthium)[1444] ; l’écorce et les graines de Liquidambar (Liquidambar styraciflua)[1445] ; dans les tubercules du Topinambour (Helianthus tuberosus) ; dans les rhizomes de l’Iris des marais (Iris pseudoacorus) ; dans le phloème du Thuya géant (Thuya plicata) ; dans les Dattes (Phoenix dactylifera) ; dans les tubercules du Dahlia (Dahlia variabilis) ; dans les fruits du Pommier microcarpe de Sibérie (Malus baccata) ; dans les fruits du Poirier (Pyrus communis) ; dans les fruits des Groseillers (Ribes sp.) ; dans les feuilles de Ginkgo (Ginkgo biloba) ; l’écorce et les feuilles de Magnolia (Magnolia grandiflora) ; dans toutes les parties du Poivre de Chine (Houttuynia cordata) ; dans les tiges et feuilles du Saxifrage araignée (Saxifraga stolonifera) ; dans les graines de l’Arjuna (Terminalia ajurna) ; dans toutes les parties du Pistachier (Pistacia lentiscus) ; dans les feuilles de Consoude (Symphytum officinalis) ; dans toutes les parties de l’Agastache (Agastache urticifolia) ; dans les feuilles de l’Inule (Inula helenium) ; dans toutes les parties du Millepertuis (Hypericum sp.) ; dans les feuilles du Gymnema sylvestre (Gymnema sylvestris) ; dans les graines du Myrobalan noir (Terminalia chebula) ; dans les fleurs et feuilles de la Grande Camomille (Tanacetum parthenium) ; dans le jus de feuilles du Blé (Triticum aestivum) ; dans les parties aériennes de la Chélidoine (Chelidonium majus) ; dans les racines de Carotte (Daucus carota) ; dans les feuilles de Vératre vert (Viratrum viride) ; dans les fruits du Schisandra (Schisandra chinensis).[1449]

Parmi toutes ces espèces végétales, les plus grandes quantités d’acide shikimique se trouvent dans les Badianes, dans les Pins, dans le Poivre de Chine.

On trouve, également, de l’acide shikimique dans les graines germées de légumineuses, Haricots, Mung, Soja, Luzerne…

C’est, peut-être, en partie, en raison de la présence de cet acide shikimique que l’oxyde de graphène peut être réduit avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata).[1423]

Selon l’étude « Shikimic acid: review of its analytical, isolation, and purification techniques from plant and microbial sources »[1446], les feuilles de Consoude contiendraient 12,5 % de leur poids sec en acide shikimique, les feuilles de Ginkgo 10 %, les feuilles d’Agastache à feuilles d’ortie 8,5 %.

Il existe une étude, de 2018, sur la réduction de l’oxyde de graphène avec l’acide shikimique : « Green Synthesis of Reduced Graphene Oxide Nanosheets Using Shikimic Acid for Supercapacitors ».

Selon un brevet déposé en 2015, « Isolation and Purification of Shikimic Acid »[1447], l’acide shikimique se trouve non seulement dans les feuilles d’Agastache urticifolia mais, également, dans les feuilles d’Agastache rugosa et d’Agastache foeniculum.

Les Agastaches constituent des Plantes médicinales maîtresses et je renvoie le lectorat vers ma monographie intitulée « Les Agastaches pour soigner la malaria, la dépression, les cancers, les hépatites ».[1448]

Les Protocoles Anti-Graphène

Le protocole anti-CoqueVide/19 — donc, en vérité, le protocole anti-Graphène — proposé par le site de la Médecine Fonctionnelle comprend : la curcumine, la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis), le Sureau (Sambucus nigra), la Réglisse (Glycyrhiza sp.), la Chirette verte (Andrographis paniculata), une Astragale (Astragalus membranaceus), la Mélatonine, les Vitamines A, C et D, le Zinc, la Quercétine, la Lutéoline, la N-Acétylcystéine, le Resveratrol, le Gallate d’épigallocatéchine, le Palmitoylethanolamide, les Champignons médicinaux (Shiitake, Lentinula edodes; Lion’s Mane, Hericium erinaceus; Maitake, Grifola frondosa; Reishi, Ganoderma lucidum), la berbérine et les β-glucanes.[707] [708] [709]

Selon une étude, de 2014, il est possible de réduire l’oxyde de graphène avec les champignons Ganoderma.[1418]

Le protocole du Dr Vladimir Zelenko comprend la quercétine, la vitamine D3, la vitamine C, le zinc, l’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine.[1301] C’est ce médecin US qui a introduit l’Hydroxychloroquine auprès du président Trump.

Dr Vladimir Zelenko, un médecin juif orthodoxe d’origine ukrainienne, a été complètement censuré par les GAFAM[1319] parce qu’il affirme que les injections anti-CoqueVide/19 constituent un vecteur de génocide global. Le Dr Vladimir Zelenko a même évoqué, dernièrement, le génocide, et donc l’Holocauste, du Peuple d’Israël — par le biais des injections anti-CoqueVide/19 — devant un comité de rabbins juifs orthodoxes anti-vaccinalistes… que Rudy Reichstadt, le conspirationniste[1131], qualifierait, assurément, de rabbins « anti-sémites » et complotistes.[1129] [1130]

Très récemment, lorsqu’interviewé par Stew Peters, aux USA, le Dr Vladimir Zelenko a déclaré que le CoqueVide/19 : « est une arme biologique conçue pour isoler l’Humanité et pour induire une peur pathologique et pathogénique qui est, subséquemment, instrumentalisée par les financiers afin de manipuler le comportement humain et de l’entraîner dans une course d’actions irrationnelles. » Il est convaincu que le CoqueVide/19 ne représente aucune menace, car c’est une psyops — à savoir, une opération psychologique spéciale. Pour lui, l’objectif est de génocider des milliards d’individus.[1302]

[Voir aussi :
Dernier message du Dr Vladimir Zelenko (1973-2022)
En souvenir du Dr Valadimir Zelenko : médecin, scientifique, activiste
Dr Zelenko : « C’est l’heure du choix. »
Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?
Dr Vladimir Zelenko : « C’est un génocide »
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

Autres Substances Anti-Oxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène

Le Chénopode blanc (Chenopodium album). Une étude, de juin 2020, a été publiée portant sur la réduction de l’oxyde de graphène au moyen d’un extrait de Chénopode blanc. [1485]

Le Chénopode blanc possède de fortes capacités antioxydantes et il existe une pléthore d’études le démontrant.[1486] [1487] [1488] [1489]

L’Hespéridine. Selon l’Institut de Cardiologie de Montréal — et selon une étude égyptienne publiée en novembre 2020 — l’hespéridine, un bioflavonoïde, constituerait un puissant anti-CoqueVide/19 !![693] [694] On trouve de l’hespéridine dans les pétales de Dahlia, dans les Citrus et dans la Menthe poivrée.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale sur les Dahlias : « Les Qualités médicinales des Dahlias »[1524]

L’hespéridine possède des propriétés neuro-protectrices, anti-inflammatoires, antioxydantes, anti-athérosclérotiques, cardioprotectrices, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, antidiabétiques, anti-hyperlipidémiques, anti-hypertensives, veinotoniques.

Le Raifort. Dans le registre de la dégradation de l’oxyde de graphène par la myéloperoxydase, et d’autres peroxydases[1157] [1158] on peut signaler la peroxydase du raifort[1160].

L’Oxyde nitrique. Une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule « Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for the treatment of mild COVID-19 infection » qui affirme que l’oxyde nitrique, ou monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95 % en 24 heures et de 99 % en 72 heures.[1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si le monoxyde d’azote permet de désintégrer l’oxyde de graphène dans le corps.

Selon une étude récente, de 2020, intitulée « Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the gastrointestinal tract », c’est le cas.[1153] L’oxyde nitrique peut participer à la biodégradation de l’oxyde de graphène.

Il existe quelques études — telles que « The green reduction of graphene oxid »[1420] ou « Green reduction of graphene oxide by aqueous phytoextracts »[1426] — qui font le point sur les diverses méthodes « vertes » (à savoir non polluantes et non toxiques) de réduire l’oxyde de graphène.

Il est à noter que, selon cette étude, l’un des agents réducteurs les plus rapides est l’épinard, Spinacia oleracea.[1525]

L’épinard a, déjà, fait parler de lui, en octobre 2016, dans l’étude intitulée « Nitroaromatic detection and infrared communication from wild-type plants using plant nanobionics » — publiée dans Nature. Il s’agit d’un domaine dénommé nano-bioniques végétales dont la mission est d’insérer des fonctions, non-originelles, dans des plantes en les interfaçant avec certaines nanoparticules. En l’occurrence, il s’agit d’une étude portant sur un épinard, manipulé génétiquement, qui se transforme en pré-concentrateur autopropulsé, en plate-forme de communication infrarouge, etc. — et qui peut envoyer des messages à un téléphone mobile.[1527] Tout va bien ?

Il paraîtrait, même, que les épinards, ainsi génétiquement modifiés avec des nanoparticules, seraient capables de nous prévenir au niveau du « changement climatique ».[1528] Si cette étude était récente, on pourrait croire qu’il s’agisse d’un cas désespéré de CoqueVide psychiatrique…

Au fait, les nanoparticules insérées dans les épinards, branchés sur téléphone mobile, sont à base de graphène — et plus spécifiquement de nanotubes de carbone.[1529]

Les substances, plantes, minéraux, etc., capables d’opérer cette réduction y sont déclinés. En voici une liste partielle afin d’initier de nouvelles pistes de recherches quant à la destruction, dans l’organisme, des diverses formes de graphène :

Glutathion, cystéine, valine, lysine, alanine[1433], bicarbonate de soude, bêta-carotène, dopamine[1482] [1462], acide caféique[1422], racines de carottes sauvages[1429], caséine, mélasse[1460], cannelle, clou de girofle, eau de noix de coco[1501], curcumine, acide formique, jus de raisin, thé vert[1425], vitamine C[1427] [1428], mélatonine[1430], zinc, acide oxalique, jus de grenade[1502], eau de rose, levures nutritionnelles, urine de vache[1436], feuilles d’Érable du Japon (Acer palmatum) ; feuilles du Platane d’Orient (Platanus orientalis), feuilles de Pomme Cannelle (Annona squamosa).[1450]

Il est, également, possible de réduire l’oxyde de graphène avec de l’amidon : de pomme de terre, de patate douce ou bien de maïs.[1459] Et avec du resvératrol[1463] que l’on trouve dans : raisins, arachides crues, mûres, myrtilles, cassis, framboises, canneberges, fèves de cacao, pistaches, Renouée du Japon (Polygonum cuspidatum/Fallopia japonica). Ainsi qu’avec de l’acide fulvique.[1526]

Ainsi que les espèces botaniques suivantes : Terminalia chebula (Myrobalan noir), Hibiscus sabdariffa (Oseille de Guinée), Spinacia oleracea (Épinard), Ginkgo biloba (Arbre aux quarante écus)[1432], Colocasia esculenta (Oreilles d’Éléphant), Citrus sinensis (Oranger)[1431], Prunus serrulata (Cerisier), Magnolia grandiflora (Magnolia), Salvadora persica (Arak)[1434], Citrus grandis (Pamplemousse), Tamarindus indica (Tamarinier)[1435], Salvia spinosa.[1500]

De plus, il existe d’autres études pour réduire l’oxyde de graphène, avec diverses espèces végétales : de 2014, avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata)[1423] ; de 2019, avec l’Ortie (Urtica sp.)[1421] ; de 2020, avec les écorces du fruit de citron lime (Citrus hystrix)[1424] ; avec les feuilles d’Eucalyptus [1490] ; avec le Gros Thym Antillais (Plectranthus amboinicus)[1494] ; l’extrait de Radis (Raphanus sativus)[1495] ; le jus de Figues (Ficus carica)[1497] ; l’extrait d’Oignon (Allium cepa)[1498] ; l’extrait de Chou-Rave (Brassica oleracea var. gongylodes)[1499] ; l’extrait de Tridax procumbens[1461].

Il existe une méthode « écologique » de réduire l’oxyde de graphène par le jus de l’espèce Calotropis gigantea.[1492] Il fait d’ailleurs signaler que Calotropis gigantea, tout comme Calotropis procera, possède des qualités antioxydantes. Calotropis procera constitue, de plus, une plante antipaludique en Afrique de l’Ouest. J’aime beaucoup cette Famille des Apocynacées (anciennement Asclépiadacées) et je possède, d’ailleurs, une belle collection de photos d’Asclepias, des USA, que je n’ai pas eu le temps de toutes mettre en ligne.[1493]

Il n’est nul besoin de préciser que si toutes ces espèces végétales sont utilisées pour réduire l’oxyde de graphène, c’est qu’elles ont été amplement étudiées, in vitro ou in vivo, depuis de nombreuses années, pour leurs capacités extrêmement antioxydantes. Il en est ainsi, du jus de Figue, de l’extrait d’Oignon, de l’extrait de Chou-Rave, de l’Épinard, etc., etc.




Covid – Le journal allemand SPIEGEL admet avoir échoué dans son rôle de quatrième pouvoir

[Source : le1.ma]

Le journal allemand SPIEGEL admet soudainement avoir échoué dans son rôle de quatrième pouvoir. Alexander Neubacher, responsable de la rubrique Opinion & Débat du célèbre média allemand a signé ce samedi une tribune sous le titre : « Restrictions durant la pandémie de Corona : Nous, les ratés du Corona » où il revient sur la tentation autoritaire qui a gagné son pays durant la pandémie.


Par Alexander Neubacher

Il y a un peu plus de deux ans, alors que nous étions coincés entre deux vagues de Corona, j’écrivais ici dans une chronique que de nombreuses personnes aspiraient à des mesures de plus en plus sévères pour enfin endiguer cette fichue pandémie. Moi y compris. J’écrivais : «La tentation autoritaire est grande. Je découvre le dictateur en moi».

De nombreux Allemands considéraient alors la Chine comme un modèle d’efficacité dans la lutte contre la coronavirus. Des dizaines de milliers de personnes soutenaient des initiatives comme #ZeroCovid, réclamaient une intervention de la politique allemande, un «shutdown» radical, un ralentissement de l’économie et de la vie publique.

En effet, de nombreuses libertés ont été fortement restreintes. Il y a eu, vous vous en souvenez, des interdictions de sortie, des interdictions de contact, des interdictions de voyager. En Bavière : restrictions de sortie de jour et de nuit. A Hambourg : obligation de porter un masque à l’extérieur sur les parcours de jogging. A Berlin, il était interdit de s’asseoir sur un banc d’un jardin public.

Entre-temps, nous savons que certaines mesures Corona n’étaient pas seulement discutables ou absurdes, mais aussi illégales. La Cour constitutionnelle du Brandebourg (un ancien Land est-allemand (l’ex-RDA), situé dans le nord-est de l’Allemagne) vient de décider que la loi communale dite d’urgence Corona était contraire à la Constitution du Land, car elle annulait la séparation des pouvoirs. La plainte avait été déposée par le groupe parlementaire de l’AfD, qui peut désormais se poser en héros constitutionnel.

Avec le recul, il est effrayant de voir avec quelle facilité les libertés ont été suspendues.

Le couvre-feu d’une journée entière en Bavière n’aurait pas dû non plus être instauré de cette manière : «disproportionné», a entre-temps jugé le tribunal administratif fédéral. D’autres litiges concernant les mesures de la Corona sont encore en cours ; les rouages de la justice tournent lentement.

Il est toujours facile de dire après coup ce qui aurait été mieux. Mais ce qui me bouleverse après coup, c’est la facilité avec laquelle les libertés ont été suspendues dans notre société soi-disant si libérale. Le vernis de la civilisation est manifestement plus fin que je ne le pensais à cet égard. La liberté n’est-elle pour les Allemands qu’un concept de beau temps, comme le demandait il y a quelques jours Frank Schorkopf, spécialiste du droit public à Göttingen, sur le site SPIEGEL.de ?

Le contrôle et les contrepoids font partie de la démocratie ; c’est particulièrement important en temps de crise. Lors de la pandémie, cela n’a pas bien fonctionné. A Berlin, la grande coalition gouvernait avec une majorité opulente, dans les Länder, la prudence d’équipe a longtemps dominé, de Markus Söder (CSU) en Bavière à Peter Tschentscher (SPD) à Hambourg.

Trop peu de personnes se sont opposées lorsque la politique a ordonné pour la première fois, il y a trois ans, des fermetures d’écoles et les a ensuite prolongées pendant des mois : pas de Cour constitutionnelle fédérale, pas d’Académie nationale des sciences, pas de Conseil allemand d’éthique, pas de Christian Drosten. Ce qui, comme je le dirais aujourd’hui, était une énorme négligence.

Et nous, les médias, y compris ceux du SPIEGEL, qui aimons nous considérer comme le quatrième pouvoir ? Je crains que le dictateur qui sommeille en nous n’ait été assez fort.




Vaccin Covid : Des milliards de doses à la poubelle, plus personne n’en veut

[Source : geopolintel.fr]

Imaginez que tous les contrats passés entre Pfizer et l’Union Européenne n’ont qu’une seule et même destination, l’incinérateur.
Ce sont des milliards de doses qui sont incinérées ou données aux pays pauvres puisque personne ne veut se faire vacciner. La supercherie du confinement a été actée par les révélations du journal anglais The Telegraph et les fameux Lockdown Files.
Maintenant nous découvrons que la vaccination Covid était aussi une fraude.

L’eurodéputé croate Mislav Kolakušić :

« Aujourd’hui, nous assistons à l’incinération de milliards de doses de vaccins covid dans le monde entier parce que personne n’en veut…
… Il aurait été préférable de les brûler immédiatement et de sauver ainsi la santé et la vie de nombreux citoyens » !

La position de l’eurodéputé va encore plus loin puisqu’il demande aussi la création d’un fonds d’indemnisation pour les victimes des effets secondaires du vaccin.

Selon une dépêche de l’agence Reuters, on apprend que l’UE pourrait payer plus cher les injections COVID de Pfizer en échange d’un plus petit volume de vaccin.

Des milliards partent en fumée pour engraisser les laboratoires pharmaceutiques par la corruption des gouvernements.

27 JANVIER (REUTERS) — BRUXELLES DISCUTE AVEC PFIZER (PFE.N) ET BIONTECH (22UAY.DE) DE LA POSSIBILITÉ DE RÉDUIRE LES 500 MILLIONS DE DOSES DE VACCIN COVID-19 QUE L’UE S’EST ENGAGÉE À ACHETER CETTE ANNÉE, EN ÉCHANGE D’UN PRIX PLUS ÉLEVÉ, A DÉCLARÉ UNE SOURCE AU COURANT DES NÉGOCIATIONS.

Il est également question d’une prolongation du délai de livraison, éventuellement jusqu’au second semestre 2024, a précisé la source. Cette source n’a pas souhaité être identifiée, car les discussions sont confidentielles.
Les négociations sont en cours et l’on ne sait pas encore quel en sera le résultat final.

Les négociations interviennent dans un contexte de saturation mondiale des vaccins COVID-19 et portent sur le plus gros contrat de vaccins signé par l’UE pendant que la pandémie faisait rage.
Un porte-parole de la Commission européenne, sollicité pour commenter les négociations, a invité les fabricants de vaccins à collaborer avec les États membres et la Commission « pour faire en sorte que les accords reflètent l’évolution de la situation ».

La Commission « continuera d’adapter l’approvisionnement en doses de vaccin dans les années à venir, et de l’étendre sur une période plus longue », a déclaré le porte-parole, refusant de commenter les prix ou d’autres détails.

Un porte-parole de Pfizer a refusé de commenter les détails des discussions, mais a déclaré que l’entreprise s’était toujours engagée à tenir compte des préoccupations des États membres de l’UE.

En ce qui concerne le prix, le porte-parole de Pfizer a déclaré :

« Nous avons toujours eu une approche de tarification échelonnée pour le vaccin COVID-19, guidée par des volumes convenus et des niveaux de revenu national, afin d’assurer l’équité entre les accords conclus avec des pays ayant des profils économiques similaires. »

Un porte-parole de BioNTech a ajouté que son entreprise « continue de travailler avec la Commission européenne et les gouvernements pour trouver des solutions pragmatiques tout en respectant les principes fondamentaux convenus entre les parties lors de la conclusion de l’accord ».

SURABONDANCE MONDIALE

Bien que la surabondance de vaccins soit un problème mondial, l’Europe est confrontée à un excès particulièrement important.

La plupart des citoyens de l’Union européenne qui souhaitaient recevoir une première dose du vaccin COVID-19, et ceux qui pouvaient ensuite bénéficier d’un rappel l’ont reçu. En novembre, l’autorité européenne de réglementation des médicaments a fait savoir que l’utilisation des doses de rappel avait été décevante.

En mai 2021, Bruxelles a signé un contrat avec Pfizer et BioNTech pour l’achat de 900 millions de doses, avec une option pour 900 millions de doses supplémentaires d’ici à la fin de 2023.

La moitié ou plus des 900 premiers millions de doses prévues par ce contrat n’ont pas encore été livrées en raison d’une baisse de la demande l’année dernière. L’UE n’a pas exercé l’option supplémentaire.

Selon Our World in Data, quelque 328 millions de personnes dans l’UE, sur une population totale d’environ 450 millions, ont reçu le premier cycle de vaccination.

Les discussions sur les doses non désirées sont les dernières d’une série de négociations sur les changements à apporter au contrat 2021. Bruxelles est sous pression pour réduire le volume des vaccins, car les États membres de l’UE se plaignent de budgets serrés et ne souhaitent pas dépenser de l’argent pour des doses inutiles.

À 19,50 euros (21,22 dollars) dans le contrat de mai 2021, le montant que les gouvernements européens sont contractuellement obligés de payer cette année se situe entre 7,8 et 9,75 milliards d’euros.

Le prix renégocié en Europe n’est pas clair. Aux États-Unis, Pfizer espère facturer un prix de liste de 110 à 130 dollars par dose à l’automne, bien que ce prix n’inclue pas les remises.

Les fonctionnaires de l’Union européenne affirment depuis des mois qu’il existe une inadéquation entre l’offre et la demande de vaccins COVID-19.

« Nous ne sommes plus au plus fort de la crise, ce qui a un impact direct sur notre demande de vaccins, alors que les finances publiques sont actuellement soumises à de fortes pressions », a déclaré la commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, lors d’une réunion du Conseil européen en décembre.

« Nos contrats de vaccins doivent tenir compte de la situation actuelle et les entreprises doivent faire preuve de flexibilité à cet égard », a-t-elle ajouté.

L’été dernier, les deux parties ont décidé d’interrompre les livraisons afin de donner aux pays de l’UE le temps d’administrer les vaccins qu’ils avaient reçus. Cette décision a été prise après que les gouvernements de l’UE eurent averti Pfizer et d’autres entreprises que des millions de doses risquaient d’être gaspillées.

En novembre, ils ont signé un amendement donnant aux pays la possibilité de faire livrer des doses et de les stocker dans des entrepôts, autre signe de la surabondance de l’offre.

(1 dollar = 0,918 4 euro)

PROPOSITION DE RÉSOLUTION VISANT À CRÉER UN FONDS EUROPÉEN D’INDEMNISATION DES VICTIMES DES VACCINS CONTRE LA COVID-19 :

Le 17.3.2022
déposée conformément à l’article 143 du règlement intérieur
– Comirnaty (Pfizer, BioNTech)
– Vaccin COVID-19 Janssen
– Spikevax (vaccin Moderna)
– Vaxzevria (vaccin AstraZeneca)

B9-0169/2022 PROPOSITION DE RÉSOLUTION DU PARLEMENT EUROPÉEN VISANT À CRÉER UN FONDS EUROPÉEN D’INDEMNISATION DES VICTIMES DES VACCINS CONTRE LA COVID-19

Le Parlement européen,

– vu l’article 143 de son règlement intérieur,

A. considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà plus d’un million de cas d’effets indésirables à la suite d’une injection de vaccin contre la COVID-19 :

– 582 074 pour le vaccin Pfizer BioNTech,
– 244 603 pour le vaccin AstraZeneca,
– 150 807 pour le vaccin Moderna,
– 40 766 pour le vaccin Janssen(([1] Chiffres au 30 janvier 2022, publiés le 17 février 2022 par l’Agence européenne des médicaments.
https://www.ema.europa.eu/en/documents/covid-19-vaccine-safety-update/covid-19-vaccines-safety-update-17-february-2022_en.pdf));

B. considérant que ces effets indésirables sont parfois sévères — ainsi, un enfant de 13 ans aurait perdu la vue à 90 % après une première dose du vaccin Pfizer(([2] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/covid-un-avocat-de-marseille-depose-un-recours-contre-pfizer-les-reseaux-sociaux-s-emballent-2440867.html));

C. considérant que l’Agence européenne des médicaments affirme que les vaccins contre la COVID-19 ont eu, dans l’Union européenne, une issue fatale pour environ 10 000 personnes :

– 7 023 pour celui de Pfizer,
– 1 447 pour celui d’AstraZeneca,
– 834 pour celui de Moderna,
– 279 pour celui de Janssen ;

D. considérant que la Commission européenne a négocié les contrats d’achat et qu’elle n’a pas souhaité que les laboratoires pharmaceutiques engagent leur responsabilité ; considérant de plus que les députés européens n’ont pas eu accès aux contrats pendant les négociations ;

1. demande à la Commission européenne de créer un fonds d’indemnisation pour les victimes des vaccins contre la COVID-19 ;

2. charge son Président de transmettre la présente résolution à la Commission et aux États membres.

NOMBRE TOTAL DE DOSES DE VACCIN CONTRE LA COVID-19 PÉRIMÉES DANS L’UNION EN 2022

8.2.2023
Réponse écrite

Question prioritaire avec demande de réponse écrite P-000399/2023
à la Commission
Article 138 du règlement intérieur
Michèle Rivasi (Verts/ALE)

Selon un rapport de presse(([3] https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/eu-may-pay-more-pfizer-covid-shots-return-lower-volume-2023-01-27/)), la Commission a confirmé qu’elle est en train de renégocier avec Pfizer et BioNTech son troisième et plus gros contrat afin de réduire le nombre de doses de vaccin contre la COVID-19 que l’Union s’est engagée à acheter cette année (jusqu’à 500 millions de doses) en échange d’un prix plus élevé.

Nous supposons que la Commission renégocie son contrat sur la base des informations qu’elle a recueillies auprès des 27 États membres sur le nombre de doses reçues par chaque pays l’année dernière et le nombre de ces doses périmées inutilisées dans leurs stocks.

1. Combien de doses de vaccin Pfizer/BioNTech ont été livrées aux États membres en 2022 et combien d’entre elles ont périmé sans avoir été utilisées ?
2. La Commission peut-elle fournir des données chiffrées détaillées pour chaque État membre ?
3. Que prévoit la Commission pour l’année 2023 si le contrat n’est pas renégocié et combien de doses de vaccin risquent d’expirer dans l’Union en 2023 ?

Dépôt : 8.2.2023





Selon 9 experts de renom, les rayonnements radiofréquences peuvent entraîner des lésions cérébrales et la maladie d’Alzheimer

[Source : The Defender via mondialisation.ca]

Par Suzanne Burdick

Les recherches sur les rayonnements radiofréquences (RF) de la 5 G montrent qu’ils peuvent causer des lésions cérébrales et éventuellement entraîner la démence et la maladie d’Alzheimer, selon neuf experts indépendants dans le domaine des rayonnements RF.

[Voir aussi :
L’utilisation de la technologie sans fil modifie le cerveau — voici comment
Les champs électromagnétiques de radiofréquence peuvent affecter la santé cardiaque
Paquet d’ondes radio
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
Ces ondes qui tuent, ces ondes qui soignent
et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

Dans un article révisé par des pairs et publié la semaine dernière dans la revue Annals of Clinical and Medical

Les experts ont appelé les autorités à tenir compte des avis de la communauté scientifique sur les radiofréquences en établissant un « cadre réglementaire plus strict » sur les rayonnements radioélectriques et en interrompant le déploiement des technologies 5G — notamment les compteurs intelligents et les tours cellulaires 5G — jusqu’à ce qu’une équipe de « scientifiques qualifiés et indépendants de l’industrie » examine les risques de la technologie.

« La situation est absurde », a déclaré Mona Nilsson, directrice générale de la Fondation suédoise pour la radioprotection et auteure principale de l’article.

Bien que les deux premières études publiées sur les effets de la 5G sur les humains et les animaux aient fait état d’effets néfastes graves sur la santé, les autorités gouvernementales et les entreprises de télécommunications continuent d’installer des tours cellulaires 5G et des compteurs intelligents sur les habitations et autour de celles-ci, a déclaré Mme Nilsson au Defender.

Le Dr Lennart Hardell, éminent scientifique spécialiste des risques de cancer liés aux radiations et co-auteur de l’article, a déclaré au Defender : « Je pense qu’il est temps d’avoir une discussion éthique. »

« Quel type de société devrions-nous avoir ? » a demandé M. Hardell, oncologue et épidémiologiste à la Fondation pour la recherche sur l’environnement et le cancer, auteur de plus d’une centaine d’articles sur les rayonnements non ionisants.

« Le gouvernement peut-il exposer les gens à une pollution dangereuse dans leur propre maison sans qu’ils puissent s’en échapper ? » a-t-il demandé.

D’un point de vue éthique, il s’agit d’une situation sociétale très problématique, a déclaré M. Hardell.

Tant de recherches et toujours rien

M. Hardell, Mme Nilsson et leurs coauteurs sont à la tête d’organisations indépendantes en Norvège, en Suède, au Danemark et en Finlande qui s’intéressent aux rayonnements radioélectriques.

Ils ont déclaré que la première étude sur les effets de la 5 G a montré que des personnes ont ressenti une pléthore de symptômes — notamment de graves troubles du sommeil, des vertiges, des problèmes de peau, des problèmes de concentration, des acouphènes, des troubles de la mémoire à court terme, de la confusion, de la fatigue, une tendance à la dépression, des symptômes cardiaques et pulmonaires et des palpitations cardiaques — quelques jours après l’installation d’une tour cellulaire 5G au-dessus de leur appartement.

La deuxième étude sur la 5G a montré que les rats exposés à la 5G présentaient une incidence accrue de dommages aux neurones et une augmentation du stress oxydatif dans le cerveau.

Ces effets pourraient éventuellement conduire à des maladies cérébrales dégénératives, telles que la démence, la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies neurologiques, ont déclaré les auteurs.

Mme Nilsson a déclaré que de nombreuses études antérieures montraient les effets néfastes des rayonnements RF sur le cerveau et le système nerveux.

D’après une compilation réalisée par Henry Lai, Ph.D., professeur émérite de bio-ingénierie à l’université de Washington, 244 études réalisées entre 2007 et 2022 ont montré les effets neurologiques négatifs des rayonnements radioélectriques, a indiqué Mme Nilsson.

« Nous disposons de tant de recherches et de tant de scientifiques qui font entendre leur voix de plus en plus fort — et pourtant rien ne se passe parce que les institutions qui ont influencé les autorités […] sont capturées par l’industrie », a déclaré Mme Nilsson.

M. Hardell et Rainer Nyberg, Ph.D., professeur émérite d’éducation et d’études sociales à l’Université d’Åbo Akademi en Finlande et coauteur de l’article, a lancé en 2017 l’Appel de la 5Gqui demande aux décideurs politiques d’interrompre le déploiement de la 5 G en raison du risque de graves conséquences pour la santé humaine jusqu’à ce que les risques aient été étudiés par des scientifiques n’ayant aucun lien avec l’industrie.

Au 10 janvier, 430 médecins et scientifiques du monde entier avaient signé l’appel en faveur de la 5 G.

Malgré l’accumulation de preuves scientifiques d’effets nocifs, les autorités « continuent d’ignorer les preuves de plus en plus nombreuses de risques évidents », affirment les auteurs dans leur article.

Les autorités réglementaires affirment que les lignes directrices actuelles sont suffisantes pour protéger les personnes contre les risques. Mais ils s’appuient sur un « groupe limité d’experts » — qui ne sont pas représentatifs de la communauté scientifique dans son ensemble — pour étayer leur position, selon les auteurs.

En outre, la majorité de ces experts ont des « liens avec les entreprises de télécommunications », affirment les auteurs.

Que faut-il faire pour résoudre le problème ?

Les auteurs ont déclaré qu’un nouveau comité composé de scientifiques qualifiés et indépendants de l’industrie est nécessaire de toute urgence pour une évaluation scientifique solide de la 5G.

D’ici là, « le déploiement de la 5G doit s’arrêter », ont-ils déclaré.

Le déploiement de la 5G est une « violation des droits de l’homme »

Étant donné que les niveaux de rayonnement RF de la 5G sont bien supérieurs aux niveaux connus pour être nocifs pour la vie humaine et la faune, l’auteur considère que c’est « une violation des droits de l’homme que d’imposer ce rayonnement nocif à des personnes dans leur propre maison sans leur consentement éclairé ».

« Il s’agit d’une violation flagrante des droits de l’homme [that is], conséquence de la corruption de la science et des experts chargés d’évaluer la science », a déclaré Mme Nilsson.

M. Hardell s’est dit pessimiste quant à la capacité des autorités réglementaires à tenir compte des conseils que lui et ses coauteurs prodiguent dans leur dernier article.

« L’industrie et les hommes politiques ont décidé qu’il n’y avait pas de problème et qu’il fallait continuer », a-t-il déclaré.

Néanmoins, M. Hardell a déclaré que l’article et l’appel 5G sont des documents historiques importants qui montrent que les scientifiques ont mis en garde contre les effets de la 5G sur la santé.

De plus, il est important que les scientifiques continuent à écrire sur le sujet, car comment pourraient-ils faire autrement, en tant qu’êtres humains éthiques ?

Les rapports de cas publiés par M. Hardell et Mme Nilsson sur les effets de la 5G ont montré que les personnes devaient quitter leur domicile pour soulager leurs symptômes, a souligné M. Hardell.

« Avons-nous vraiment un polluant environnemental si fort ou si dangereux que les gens doivent quitter leur propre maison ? Je veux dire, comment pouvons-nous tolérer cela ? » a-t-il demandé.

M. Hardell a déclaré qu’il était particulièrement préoccupé par les personnes pauvres.

Les personnes présentées dans les rapports de cas avaient les moyens de déménager pour préserver leur santé, mais la plupart des gens n’ont pas les ressources économiques nécessaires pour le faire, a-t-il ajouté.




Le capitalisme est devenu un capitalisme cognitif

[Voir aussi :
Comprendre le graphène
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]




Covid : une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars

[Source : RL]

Par Christian Navis

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer, claironne :

« 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au-delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnations symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1 % de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer elle-même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/




Les apprentis sorciers stoppés dans leur folie

Par Nicole Delépine

« Les apprentis sorciers stoppés dans leur folie »1

Merci à notre collègue et amie, Alexandra Henrion Caude pour « les apprentis sorciers » et plus encore son long combat depuis trois années contre la plandémie covid19, faisant suite à ses prises de position courageuses et nécessaires sur les dérives de la pseudo bioéthique (et très isolées) qui permet maintenant d’« avorter » un bébé viable si la mère présente des difficultés psychiques.2

Petit retour en arrière, je ne connaissais pas le Pr Henrion-Caude en début 2020, mais l’ai découverte avec bonheur en cherchant comment dénoncer certains éléments de la loi dite de bioéthique3 qui devait se discuter à l’Assemblée nationale fin juillet 2020 (et votée définitivement en août 2021, évidemment en période de congés et dans un étrange silence médiatique et médical… Car évidemment quoi de moins important que de décider d’autoriser l’avortement ou appelé tel jusqu’à neuf mois (intitulé infanticide jusqu’au nouveau Code pénal qui a supprimé cette incrimination spécifique remplacée par le meurtre sur un mineur de moins de 15 ans)4 ou la fabrication de chimères homme — chèvre ou homme-lapin, etc..

Quelle joie ce fut pour moi de rencontrer par ses articles et vidéos une spécialiste du domaine qui osait dire les choses, combattre les dérives, expliciter, permettre d’en débattre enfin………

Elle avait tiré l’alarme en 2019

Alors que la France s’apprêtait à généraliser la Procréation Médicalement Assistée, le docteur Alexandra Henrion-Caude, généticienne et directeur de recherche à l’INSERM, avait tiré la sonnette d’alarme. En raison d’un recul scientifique très insuffisant sur les pratiques concernées banalisées et leurs contrôles totalement insuffisants, l’épigénéticienne livrait ses inquiétudes sur les enfants à naître et la société en devenir.

Des enfants issus de FIV fragilisés

« Peu de scientifiques osent le dire : certaines pathologies se retrouvent surreprésentées chez les enfants nés d’une PMA. Fertilité plus faible chez les petits garçons, syndromes récurrents, les conséquences de cette pratique promue par les politiques semblent loin d’être maîtrisées. Des parents sous informés face à des risques pour la santé des enfants à naître, la plupart des médecins adoptent le déni. Rares sont les professionnels de santé qui disent la vérité aux parents sur les risques de complications de santé que pourront porter leurs futurs enfants. De même, les pratiques de stimulation hormonale revêtent un caractère invasif important pour les femmes sans qu’elles en soient informées au préalable… »5

Ce fut le premier vote de la loi dite de bioéthique fin juillet 2020 adoptée en août 2021 dont l’article phare était la PMA pour toutes, mais qui contenait de nombreux autres points inquiétants, comme l’avortement de fait jusqu’à neuf mois…

Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance Vita dénonçait une « complète rupture éthique. La majorité présidentielle a fait prévaloir l’intérêt d’adultes au détriment des droits de l’enfant, et s’est obstinée à intensifier la manipulation du vivant, sans aucun principe de précaution ».

Bien avant le scénario Covid, le DR Henrion-Caude se battait pour l’Humanité contre la perversion de la société et les dérives de la science.

LOIS DE BIOÉTHIQUE : UNE DÉRIVE EUGÉNIQUE ET TRANSHUMANISTE AVEC ALEXANDRA HENRION CAUDE du 30 07 20206

Après moins d’une semaine de débats à l’Assemblée Nationale, le texte de révision des lois de bioéthique avait été voté dans la nuit du 31 juillet au 1er août. Entretien réalisé par Delphine Allaire. « Le texte a été voté au cœur de la nuit par 60 voix contre 37 et 4 abstentions, sous des applaudissements de la majorité. » Il est insensé que des modifications aussi importantes de nos lois et donc de notre société puissent être votées par si peu de députés sans un quota de présences exigées (comme dans toute assemblée de copropriétaires ou autres !).

Écoutons A H-C

« Une loi de bioéthique se définit comme ayant pour but d’encadrer le développement du progrès pour protéger les droits fondamentaux de la personne ».

Dans le cas présent, il n’y a ni encadrement d’un développement du progrès, ni protection des droits fondamentaux de la personne, quel qu’en soit l’âge ou le stade de développement. C’est une loi de rupture, de transgression par rapport à l’humanité, de transgression sociétale, qui compromet durablement la santé des individus.

Déjà, car elle autorise l’État à devenir géniteur. L’État se permet d’avoir un accès aux ovocytes, en proposant aux femmes de les conserver. Cela lui permet de faire des expériences sur l’embryon jusqu’à 14 jours.

Deuxièmement, le droit à l’enfant.

Le Sénat en France avait dit qu’il fallait inscrire en préalable de cette loi la mention que nul n’avait le droit à l’enfant. Les parlementaires à l’Assemblée ont restauré la notion de droit d’une personne sur une autre, en supprimant la phrase : « Nul n’a le droit à l’enfant ».

Enfin, ce projet de loi supprime tous les liens de parenté biologique pour les remplacer par des liens d’intention.

QUELS SONT LES DANGERS DE CETTE LOI RELATIFS À LA MANIPULATION DU VIVANT ?

Elle autorise les modifications de l’espèce humaine, la création d’embryons génétiquement modifiés, mais aussi la création de nouvelles espèces, générées par le mélange homme-animal, les fameuses chimères. Elle institue enfin l’eugénisme, selon des critères numérologiques du nombre de chromosomes.

Ensuite, c’est une loi qui n’a aucune indication médicale, et se revendique comme telle. Elle n’informe pas des risques encourus sur la santé des enfants à naître. Des risques notables d’infertilité des générations futures, qui n’auront d’autres choix que de recourir aussi à la procréation médicalement assistée. L’autre aspect, c’est l’augmentation des maladies épigénétiques, jusqu’à quatre fois chez les enfants issus de PMA. On n’en informe jamais les parents.

Comment expliquez-vous cette volonté politique paradoxale de révolutionner ainsi la biologie ?

« Il y a un mensonge, car sur 34 points de cette loi, 30 ne concernent pas la PMA pour toutes, mais relèvent des transgressions que je vous ai énumérées : conservation des ovocytes, chimères homme-animal, modifications génétiques. La raison avancée pour laquelle cette loi doit être discutée là, en plein cœur de l’été alors que l’Hémicycle est vide, serait qu’elle représente une urgence sanitaire. Mais qui dit urgence sanitaire, dit indication médicale. Or, elle n’en a pas.

Cette loi revendique être un accompagnement des changements sociétaux. Ça n’est pas exact, car des homosexuelles femmes qui ont des enfants, cela a déjà eu lieu depuis des années, avec un contact physiologique, par insémination naturelle ou artificielle. C’est donc un passage en force, sans respect des débats, pour une loi qui n’est un progrès pour personne. » 7

ET LES APPRENTIS SORCIERS ONT CONTINUÉ LE MASSACRE DE LA SCIENCE, DE LA SOCIÉTÉ ET DE L’HUMAIN

Notre éminente collègue, chercheur en génétique (singulièrement sur l’ARNm), a réussi le prodige d’écrire un livre 8court, lisible par tous, sans termes sophistiqués qui auraient fait « savants » comme tant d’autres livres, et qui donc permet à chacun en quelques heures de lecture de décrypter et confirmer le scénario de la plandémie du Covid199. Nous ne saurions donc que vous recommandez de le lire très vite afin d’aider les citoyens encore trompés par la propagande du gouvernement et des médias officiels sur ce sujet à enfin comprendre ce qui s’est passé.

Les plus méfiants sauront lire les informations médiatiques anglaises qui détaillent via le fil de 100 000 SMS échangés entre les puissants du Royaume-Uni, les moqueries des membres de l’élite sur les décisions imposées au vulgus pecum dont ils connaissaient les mensonges..10

Pour les plus curieux, le DR Henrion — Caude fournit en fin d’ouvrage toute la bibliographie scientifique internationale sur lesquels elle fonde ses démonstrations. Quel dommage que les journalistes, mais aussi enseignants, chercheurs de toutes spécialités et dramatiquement médecins, aient refusé de l’écouter, comme tant d’autres scientifiques tels les PR Raoult et Perronne, et laissé abîmer tant de vies par les mesures coercitives, confinement, masques, distanciation inutiles, et perverses et pire encore par les injections géniques expérimentales scandaleusement appelées vaccins alors qu’elles ne contiennent aucun antigène extrait du virus. Chaque jour apporte de nouvelles constatations terribles sur la mortalité globale en particulier des plus jeunes, liée directement aux effets secondaires des pseudovax11 (myocardites…), mais aussi aux pertes de défense immunitaire, dont les conséquences, un peu plus lentes à apparaître, s’étaleront probablement sur de longues années (turbocancers12 13, maladies auto-immunes et neurologiques, etc..).14

Ce livre de 2023 est l’accomplissement d’un combat de chaque jour depuis trois ans contre la coronafolie et la suite de ses engagements pour la bioéthique. Nous ne saurions mieux le présenter qu’Yves Lusson : Les « apprentis sorciers » stoppés dans leur folie. 15

« Âmes sensibles, surtout ne pas s’abstenir : nous aurons besoin de tous, à commencer par tous ceux qui ne supportent plus de devoir se soumettre à une société atteinte de démence.

Écrit pour donner à la population toutes les clés d’une catastrophe planétaire — le scandale sanitaire du “vaccin” à ARNm contre le Covid, “jusqu’à 98 fois plus dangereux que le Covid lui-même” (page 21) —, ce livre m’a plongé dans un abîme de sentiments vertigineux, allant de la profonde tristesse à l’éblouissement, en passant par la colère, voire même la rage.

Les apprentis sorciers est d’abord le fruit d’un travail colossal, méthodique, scrupuleux et génial, produit par une scientifique de très haut niveau, courageuse et rigoureuse, qui n’a pas lésiné sur ses efforts, aussi bien pour mettre l’ARNm à la portée du quidam — le peuple, concerné jusque dans sa chair par cette “vaccination” très spéciale à tous points de vue — que pour renvoyer l’ensemble de ses affirmations à une multitude d’études toutes plus sérieuses les unes que les autres réalisées par des scientifiques parmi les plus reconnus et fiables au monde. »16

Ce livre est : « l’œuvre d’un être profondément humain et digne, qui a su rester debout face à un ouragan mondial inédit de non-sens et d’abus, ébranlant tant de nos institutions qui semblaient à beaucoup d’entre nous inébranlables : l’OMS, les gouvernements, les autorités médicales, la recherche scientifique, les médias, etc.

Extrêmement solide dans la lucidité de son récit, dans la clarté de ses explications, dans le sérieux de ses références, ce livre nous pose plus de questions qu’il n’y répond sur comment nous en sommes arrivés là. Quelle démence collective nous a plongés dans autant de mensonges, d’imprudences, d’inconsciences, d’irrationalités, d’irresponsabilités, politiques, médicales, médiatiques, mais aussi de tout un chacun ? 

De nombreux spécialistes en sciences humaines auront à cœur se pencher sur cette “perte de raison” planétaire, et sur les phénomènes individuels et collectifs qui y auront conduits. En attendant, des centaines de millions de personnes auront été trompées, manipulées, forcées, maltraitées, par des élites défaillantes, corrompues ou perverses dont forcément de nombreux procès détermineront les degrés de responsabilité, voire de culpabilité. 

Mais c’est aussi la défaillance d’une société tout entière qu’il faudra voir, entendre, reconnaître, examiner, comprendre, analyser. », car si nos dirigeants nous ont maltraités, les populations ont trop facilement accepté les atteintes à leurs libertés.17





Point presse dictature au 12 mars 2023

Les médias mainstream ignorent qu’il y a eu une manifestation nationale contre la suspension des personnels soignants ce samedi 11 mars et que Monaco va réintégrer les siens

Je viens de faire une recherche sur Google1 pour la journée du 11 mars en écrivant « manifestation Lyon » (sans guillemets).

Si je m’intéresse uniquement aux journaux ou chaînes de TV nationales, je constate que de rares médias nationaux sont répertoriés, mais uniquement pour parler de la réforme des retraites.

De toute évidence, il ne s’est rien passé d’inhabituel dans la journée de samedi sur Lyon !

Si je me focalise sur les médias locaux, ici encore beaucoup de références à la manifestation contre la réforme des retraites. Notons que BFM Lyon nous précise qu’il y avait entre 7 000 et 18 000 manifestants selon les sources. France 3, Lyon Capitale et d’autres reprennent tous les mêmes chiffres.

Mais que lis-je, étonné ?!

Europe-1 Lyon2 parle d’une « manifestation pour la réintégration des soignants suspendus » !

Bien étrange, d’autant plus qu’aucun média national ne semble le mentionner.

Manifestation pour la réintégration des soignants ?

Qu’à cela ne tienne, je reprends mon bâton de pèlerin et je cherche cette fois-ci « manifestation soignants3 » (toujours sans guillemets) toujours pour la journée de samedi.

Cette fois-ci les informations sortent !

Europe 1, France-Bleu, Lyon Capitale, BFM Lyon, Le Progrès, etc.

BFM Lyon4 qui dans un reportage de 32 secondes précise que c’est une « manifestation nationale ».

Le Progrès5, quant à lui, a procédé au comptage : entre 3 000 et 6 000 participants selon les sources.

Quant à France-3 Lyon, lui ne semble pas du tout informé du fait. Ce qui pourrait étonner ou faire sourire lorsque l’on observe le parcours de la manifestation contre la réforme des retraites, suivie par ce même France 3. Parcours se terminant place Bellecour, lieu où se tenait la fameuse manifestation invisible pour la réintégration des soignants.

Quant aux médias nationaux, silence total sur Google !

Ceci est d’autant plus « étrange » que France-Bleu (radio du service public) et BFM Lyon (filiale de BFM TV) en étaient informés et que ni France Télévision ni BFM national ne relaient cette information si l’on en croit le moteur de recherches.

Avec la soif de compréhension que vous me connaissez, je me suis mis en quête d’une explication rationnelle, ne pouvant croire au complot !

Peut-être que cette manifestation comptait trop peu de participants pour que les journalistes nationaux s’y intéressent ?!

Pourtant, même s’il n’y avait eu que dix personnes, ce nombre ridicule eût été une information pertinente en soi du type « rien à foutre des suspendus ».

Et si les médias ne relayaient que les grosses manifestations ?

J’ai donc regardé si les médias mainstream ignoraient les « petites ».

La Dépêche6 :

« Paris : une manifestation contre le racisme et les violences policières. »
« Près d’un millier de personnes ont manifesté à Paris contre le racisme et les violences policières, ce samedi 19 mars 2022. »

Radio-France7 :

« Manifestation contre l’homophobie : “Stop aux agressions !” »
« 2 500 personnes ont manifesté ce dimanche après-midi place de la République à Paris, à l’appel de SOS homophobie et de l’Inter LGBT, qui rassemble une trentaine d’associations, pour soutenir les victimes d’agressions homophobes et transphobes. »

Ici pas de « selon les organisateurs » ou « selon la préfecture » comme quoi il doit y avoir des « bons » et des « mauvais » manifestants.

Le Point8 :

« Manifestations dans plusieurs villes de France en soutien à l’Ukraine. »
« Bougies, drapeaux, monuments illuminés en jaune et bleu : plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées vendredi dans plusieurs villes françaises pour afficher leur soutien à l’Ukraine, un an après le début de l’invasion russe. »

« Plusieurs centaines de personnes ??!! »

De fait, une manifestation nationale avec plusieurs milliers de participants devrait être de nature à intéresser les médias nationaux.

Notons que Mme Martine Wonner, ancienne député, ainsi que M. Dupont-Aignan étaient sur place pour soutenir le mouvement.

Et si Google ne faisait pas son travail ?

J’ai une légère petite tendance à critiquer les médias, mais Google est peut-être l’unique coupable, qui sait ?

Reculant devant aucun sacrifice, j’ai alors lu l’intégralité du Parisien édition du samedi 11 mars (et aussi du lendemain).

Par un « heureux hasard », ceux-ci consacrent un article à l’éventuelle réintégration des soignants dont le titre est :

« Fin de l’obligation vaccinale des soignants ? L’idée fait des remous. »

Pour résumer le papier, même si la HAS n’y voit plus d’inconvénients, c’est une très mauvaise idée… si, si !

Je cite :

« à partir du moment où la balance bénéfice-risque des vaccins (Sans préciser lesquels, donc tous) est favorable, que ces vaccins préviennent les formes graves (L’Église a remplacé la science) de la pathologie et que, nonobstant certains débats (Pas dans les médias en tous cas), ces vaccins contribuent aussi à réduire la transmission (Ici même la Foi est remplacée par de la pure escroquerie), il n’y a pas lieu de lever l’obligation vaccinale », écrit la SFPT9.

Le plus « drôle » est dans la phrase suivante, je vous rappelle qu’ils viennent de dire que le vaccin est sûr et efficace et réduit la transmission :

« Il convient toutefois de préciser que l’efficacité vaccinale contre l’infection et la transmission est assez faible (Euphémisme “scientifique” ?) et qu’elle chute rapidement. »

« Par ailleurs un soignant non vacciné et ayant attrapé le Covid, bénéficie lui aussi d’une certaine protection contre le Covid. »

Pour résumer leur « pensée » :

En 1) ça réduit.
En 2) ça réduit, mais assez faiblement.
En 3) les non-vaccinés ont une certaine protection (donc mieux que faible sinon ils le diraient).

Notons que l’article prend bien soin de mélanger les obligations vaccinales pour les enfants donc hors covid, et l’obligation vaccinale Covid pour les soignants.
Le SFPT plaide pour élargir l’obligation vaccinale pour les soignants à d’autres « vaccins », il n’y a pas de petits profits.

Vous pouvez donc voir que Le Parisien fait un papier sur la question de la réintégration des soignants et « oublie » de parler d’une manifestation nationale programmée depuis des semaines le même jour.

Et à Monaco ?

Autre point passé sous silence une information publiée dans l’Observateur de Monaco10 du 9 mars soit deux jours avant le papier du Parisien.

« Fin de l’obligation vaccinale pour les soignants à Monaco. »
« Le gouvernement vient d’annoncer que les personnels suspendus en raison de leur non-vaccination au Covid-19 pourront être réintégrés dès le lundi 27 mars 2023. »

Nous pourrions imaginer qu’une information provenant d’un pays aussi lointain et exotique comme Monaco n’aurait pas passé la frontière, mais France-3 Côte d’Azur en a fait l’écho le 10 mars.

« Monaco suspend l’obligation vaccinale et réintègre ses soignants non vaccinés contre le Covid11. »

Nice-Matin en a parlé aussi.

À la décharge du Parisien strictement aucun organe de presse national ou TV national ne semble informé de la prochaine réintégration des soignants suspendus à Monaco.

Résumons :

Si vous êtes une personne « normale », n’habitant pas Lyon et sa région, prenant son « information » uniquement dans la presse ou des médias nationaux, j’ai toutes les raisons de penser que vous ne savez PAS qu’il y a eu une manifestation nationale pour la réintégration des soignants ce samedi 11 mars.

Événement pour lequel plusieurs milliers de personnes étaient présentes. Ce nombre est d’autant plus significatif et impressionnant qu’aucune publicité de l’événement n’a été faite dans les médias.

Vous ne savez pas non plus que les personnels soignants non vaccinés de Monaco vont être réintégrés et que la décision de ne pas réintégrer les Français, comme celle de les suspendre, est purement politique.

Des personnels soignants, pompiers, etc. qui sont interdits d’exercer depuis plus de 500 jours parce qu’ils ont refusé de prendre une substance expérimentale !

« Vaccin » dont il est prouvé qu’il n’empêche ni ne protège de la contamination et ne diminue en rien une épidémie.

Ceci ne constitue donc pas une information pour les médias mainstream.

Nous avons donc une preuve de plus que la dictature se porte toujours merveilleusement bien et que les médias mainstream sont sous ordre.

Merci

Alain Tortosa12
12 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230312-medias-ignorent-manifestation-soignants.pdf





REVUE DE PRESSE DU 13 MARS 2023

Par MF

ÉDITO
TOUJOURS SUSPENDUS

Depuis plus de 540 jours sans AUCUNE rémunération d’aucune sorte, soignants, pompiers et autres personnels se sont réunis à Lyon le 11 mars, nombreux et solidaires, tandis que Monaco va réintégrer les suspendus le 27 mars, que tout le discours sur le Covid s’effondre avec la mise en évidence de la fraude scientifique et de la manipulation des gouvernements et des médias et que les scandales éclatent au sujet du refus de repositionner les molécules anciennes et sûres comme l’Ivermectine. Le Covid ne faisant plus recette, la France mise maintenant sur le Gardasil, ce vaccin qui a déjà montré son extrême toxicité, mais pas son efficacité, mettant en danger les vies des enfants à travers une obligation à peine déguisée.

Et comme le diable se cache dans les détails, il faut écouter l’intervention de Jarnac, qui nous apprend que « LES CONSULTATIONS SONT INUTILES ». Que celui qui a des oreilles pour entendre entende (Bible, Matthieu 13.9).

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS persiste et signe

Plus de primo-vaccination, mais maintien des rappels dont on sait à quel point ils sont inefficaces et dangereux, et promotion d’une double injection anticovid/grippe dont on ignore les possibles effets indésirables et l’efficacité.

Le quotidien des soignants suspendus

https://actu.fr/normandie/avranches_50025/avranches-soignants-suspendus-ces-professionnels-de-sante-temoignent-de-leur-quotidien_57857630.html

« Cécile, aide-soignante suspendue : “Aujourd’hui, j’ai dû vendre ma maison. On prend du retard pour les factures. Heureusement, j’ai trouvé quelqu’un qui me loge gracieusement avec mes deux enfants”. »

Mais Monaco réintègre ses soignants suspendus !

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/menton/monaco-suspend-l-obligation-vaccinale-et-reintegre-ses-soignants-non-vaccines-contre-le-covid-2728798.html

« La décision à partir du lundi 27 mars. Le gouvernement monégasque a aussi allégé les exigences sanitaires comme l’isolement des personnes positives et les tests PCR pour les cas contacts. »

ET

https://www.francesoir.fr/societe-sante/monaco-reintegre-les-soignants-suspendus

« Excellente nouvelle pour les 53 personnels concernés, mais trop tard pour réintégrer les soignants qui ont déjà démissionné ou qui ont été licenciés ».

ÉTRANGER

ÉQUATEUR — Victoire contre le ministère de la Santé

https://uncutnews.ch/in-ecuador-geschieht-etwas-wunderbares/

« Les combattants de la liberté en Équateur ont gagné une importante victoire contre le ministère de la Santé, qui doit désormais rendre publics les contrats passés avec les fabricants de vaccins »

Royaume-Uni — Comment les autorités ont terrorisé la population

« Les “Lockdown files” publiés par The Telegraph secouent l’opinion publique, mettant en cause l’ex-ministre Matt Hancock qui terrorisait exagérément la population pour obtenir sa docilité. »

Et

https://www.mondialisation.ca/confinement-fermetures-des-ecoles-port-du-masque-the-daily-telegraph-devoile-des-messages-whatsapp-compromettants-des-responsables-britanniques/5675624

« Les échanges démontrent que plusieurs décisions concernant différents aspects de la lutte contre la pandémie ont été prises sans raison suffisante, parfois de manière contradictoire. »

USA — Manipulations des autorités pendant la crise sanitaire

« La nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : la réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. »

USA — Rebondissement dans l’affaire des « Fauci mails »

https://www.francesoir.fr/societe/etats-unis-un-article-scientifique-majeur-sur-l-origine-du-covid-fausse-par-anthony-fauci

« Le 26 février, le quotidien économique américain The Wall Street Journal a annoncé que le Département de l’Énergie des États-Unis considère désormais la fuite de laboratoire comme l’origine du Covid-19la plus probable. La commission parlementaire dirigée par Brad Wenstrup tiendra sa première audience sur la question ce mercredi 8 mars. »

COVID

La vraie létalité du Covid chez les moins de 70 ans

On avait annoncé 3 à 4 %, c’est 0,095 % et même 0,034 % pour les moins de 60 ans

Le meilleur vaccin au monde contre la Covid c’est… Omicron !

« Il a vacciné 70 à 90 % de la population. Le même scénario qu’en 1890 ! »

TRAITEMENTS ET STRATÉGIES

IVERMECTINE, le plus gros scandale sanitaire de l’histoire

https://www.covid-factuel.fr/2023/02/24/ivermectine-andrew-hill-le-plus-gros-scandale-sanitaire-de-lhistoire/

Combien de morts auraient pu être évitées si on avait soigné précocement les malades avec un médicament qui avait fait la preuve de son efficacité et de son absence de dangerosité ?

Les masques, une preuve supplémentaire de leur inefficacité

https://www.libre-media.com/article/les-masques-completement-inutiles-selon-une-nouvelle-etude

Quelle que soit la catégorie, les masques sont aussi inutiles qu’inefficaces (étude Cochrane, Oxford, janvier 2023)

INJECTIONS

Le collectif américain Réseau d’actions accuse Pfizer d’avoir menti

https://www.francesoir.fr/societe/un-collectif-accuse-pfizer-d-avoir-menti-sur-les-resultats-d-une-etude

« Certains rongeurs utilisés dans une étude précoce de Pfizer auraient développé des effets secondaires à court terme, ou seraient même décédés, ce que le laboratoire a caché »

Les victimes oubliées de l’essai Pfizer et l’étude cachée du gouvernement israélien

« Naomi Wolf écrit dans la préface de son livre “Pfizer Documents Analysis Report” que la vaccination contre le Covid-19 “a probablement commis un crime contre l’humanité d’une ampleur sans précédent”. L’étude israélienne montre que le vaccin augmente progressivement le risque de décès au fil du temps, avec un pic 4 mois après la vaccination. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais dangereux

https://reinfocovid.ca/les-vaccins-a-arnm-ne-sont-ni-surs-ni-efficaces-mais-carrement-dangereux/

« Les vaccins COVID-19 provoquent plus d’effets secondaires que n’importe quel autre vaccin. Non seulement la protéine de pointe produit des effets secondaires indésirables, mais l’ARNm et les nanoparticules en produisent également. »

Effets secondaires des injections

« Le poison tue et personne ne bouge en France, pire des citoyens sont privés de statut social pour avoir refusé de se faire injecter, et pourtant les articles se multiplient décrivant syndrome de Guillain-Barré, syncopes, thromboses, maladies auto-immunes, etc.. »

Explosion de turbo-cancers

Dr Krüger, hôpital de Kalmar en Suède, spécialiste du cancer du sein :

« Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide, les “turbo-cancers”, se sont multipliés, en particulier chez les jeunes femmes qui étaient moins touchées par de telles tumeurs auparavant. La taille des tumeurs a également changé. Auparavant, il était inhabituel pour le Dr Krüger de trouver une tumeur de 3 cm. Maintenant, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois même 12° cm, et même une tumeur de 16 cm qui remplissait tout un sein. Elle a également observé des cas de tumeurs multiples, c’est-à-dire des tumeurs qui se développaient dans plusieurs organes de la même personne. Dans les mois qui ont suivi la vaccination, une patiente a développé des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons. »

Responsabilité des vaccins anticovid dans l’apparition de maladies neurodégénératives

Pronostic glaçant :

« Nous supposons que l’âge d’apparition des maladies neurodégénératives au niveau de la population diminuera à l’avenir dans les pays où la couverture vaccinale a été élevée »

APRÈS COVID

Le Gardasil, la nouvelle aubaine des laboratoires… et un nouveau scandale en marche

« Nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus » 

Et

https://www.aimsib.org/2023/03/12/gardasil-episode-6-aucune-preuve-quil-previenne-le-cancer-du-col-de-luterus-au-contraire/

« La principale cause de cette augmentation continue semble être l’augmentation des cancers associés aux souches non vaccinales. En effet, de nouvelles preuves suggèrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin. »

Épisodes précédents :

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/

https://www.aimsib.org/2023/02/19/gardasil-episode-3-devastateur-et-pourtant-17-ans-sans-proces-pourquoi/

https://www.aimsib.org/2023/02/26/gardasil-episode-4-mais-au-fait-le-gardasil-cest-fait-avec-quoi/

https://www.aimsib.org/2023/03/05/episode-5-gardasil-des-essais-cliniques-truques/

Le covid ne fait plus recette, qu’importe, on dégaine en hâte un nouveau fléau qui menace nos préados et pourrait, quel hasard, permettre à certains industriels d’engranger de belles recettes…

L’occasion pour un dirigeant de signer l’arrêt de mort de la médecine : discours de Jarnac (deuxième vidéo) à 2 min 55 s :

« Pour supprimer les consultations/les consultations sont inutiles »

https://www.charentelibre.fr/politique/macron-a-jarnac-une-quarantaine-d-opposants-a-la-reforme-des-retraites-presents-live-et-video-14237319.php

ou (à 2 min 48 s, son de meilleure qualité) :

RÉSISTANCES

CSI n° 94 du 9 mars 2023

https://crowdbunker.com/v/LCJaHZfB

Invité : Pr Jean-Paul Bourdineaud, docteur en biologie cellulaire et microbiologie.
Sujet : Critique définitive de l’article du Lancet prétendant que les vaccins génétiques auraient évité jusqu’à 20 millions de décès.



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Aux États-Unis, de plus en plus de grands journaux rapportent les manquements et manipulations des autorités durant la crise sanitaire

[Source : covidhub.ch]

Newsweek publie les 10 mensonges officiels sur le Covid

Si vous êtes opposé depuis belle lurette aux discours officiels sur la « pandémie », vous n’apprendrez peut-être rien de nouveau…

…la nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : La réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. (en anglais).

Pour de nombreux observateurs comme le mathématicien Igor Chudov, une telle publication, le 8 mars 2023, a la valeur d’un « changement sismique ». Elle suit d’ailleurs la parution, le 22 février, d’une prise de position signée par deux autres opposants prestigieux, les Pr Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, intitulée: Il nous faut une Commission Covid (en anglais).

Voici, énumère Scott Atlas :

« les 10 plus grands mensonges – connus depuis des années pour être faux (…) – répandus par les responsables américains de la santé publique, les officiants élus et non élus et les universitaires désormais discrédités :

  1. Le coronavirus SARS-CoV-2 a un taux de mortalité plusieurs fois supérieur à celui de la grippe.
  2. Tout le monde a un risque important de mourir de ce virus.
  3. Personne n’a de protection immunologique, car ce virus est complètement nouveau.
  4. Les asymptomatiques sont les principaux moteurs de la propagation.
  5. Le confinement – fermer les écoles et les entreprises, bloquer les gens chez eux, stopper les soins médicaux non Covid et supprimer les déplacements – arrêtera ou éliminera le virus.
  6. Les masques protégeront tout le monde et arrêteront la propagation.
  7. Le virus est connu pour être d’origine naturelle, et prétendre qu’il provient d’un laboratoire est une théorie du complot. [Note de Joseph : voir cependant C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et le dossier Vaccins et virus pour une remise en question de la théorie virale.]
  8. Les enseignants courent un risque particulièrement élevé.
  9. Les vaccins Covid arrêtent la propagation de l’infection.
  10. La protection immunitaire ne peut venir que d’un vaccin. »

Enfin, Scott Atlas demande des enquêtes et des excuses. Il reconnaît également que les enquêtes risquent d’être fausses :

« Mais pour s’assurer que cela ne se reproduise plus jamais, les chefs de gouvernement, les fonctionnaires, les universitaires et conseillers influents qui entretiennent souvent des conflits d’intérêts, doivent être tenus pour responsables. Personnellement, je reste très sceptique sur le fait que toute enquête ou commission gouvernementale puisse éviter la politisation. Indépendamment de leur intention, toutes ces enquêtes dirigées par le gouvernement seront au moins perçues comme politiquement motivées et leurs conclusions seront catégoriquement rejetées par beaucoup. Ces enquêtes doivent cependant se poursuivre, ne serait-ce que pour rechercher la vérité, pour enseigner à nos enfants que la vérité compte et pour se souvenir de G.K. La leçon essentielle de Chesterton selon laquelle « le bien est le bien, même si personne ne le fait. Le mal est le mal, même si tout le monde ne le voit pas. »

(Right is right, even if nobody does it. Wrong is wrong, even if everybody is wrong about it.)

Sur Scott W. Atlas : 

Scott W. Atlas, MD, est chercheur principal en politique de la santé à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, codirecteur du Global Liberty Institute, membre fondateur de l’Académie des sciences et de la liberté de Hillsdale et auteur de A Plague Upon Our House: My Fight at the Trump White House to Stop Covid from Destroying America (Bombardier Press, 2022) (Un fléau sur notre maison. Mon combat à la Maison Blanche de Trump pour empêcher le Covid de détruire l’Amérique)




Le portefeuille d’identité numérique européen pourrait entrer en vigueur sans le vote du Parlement

[Source : Nexus]

Par Hermine Le Quellec

Le portefeuille d’identité numérique entre dans sa phase de concrétisation à l’échelon européen. Après que la Commission a révélé l’architecture technique qui soutiendra les différents pilotes, et que de gigantesques consortiums industriels ont été choisis pour les construire, le portefeuille d’identité numérique est à présent entre les mains des institutions européennes, et pourrait se passer d’un vote au Parlement.

La loi sur le portefeuille d’identité numérique entre ce printemps en phase de « trilogue », c’est-à-dire en négociations interinstitutionnelles, entre le Parlement, la Commission et le Conseil européens. Attendu initialement en mars pour être soumis au vote des eurodéputés en assemblée plénière, le paquet de lois sur les possibilités permises par le prochain portefeuille numérique européen pourrait se passer de cette étape et être négocié au plus haut niveau des institutions européennes sans l’avis des députés.

[Voir aussi :
Le B20 invite le G20 à adopter des passeports vaccinaux internationaux et une identité numérique
Attention : le portefeuille d’identité numérique arrive en France
La raison du retournement de Trudeau fait surface — L’Association des banquiers canadiens a été approuvée par le Forum économique mondial pour diriger la création d’une identité numérique
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Bientôt le « portefeuille d’identité numérique », un cauchemar totalitaire
Les Québécois en route vers une identité numérique par reconnaissance biométrique
Les Pièges de l’identité numérique
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Surveillance numérique des populations : vers un « crédit social » en Europe ?
Vaccin et identifiant numérique
Le passe vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen. Numérisé, tracé, et bientôt pucé !
La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
Implants numériques
En marche vers la dictature numérique…
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »]

◆ Quand le règlement de l’UE permet de s’affranchir de la démocratie…

En vertu du règlement du Parlement européen (article 71, alinéa 1), le comité parlementaire chargé du dossier sur l’identité numérique (en l’occurrence, le comité ITRE compétent sur les questions industrielles) a voté à la majorité de ses membres, un mandat pour faire entrer la loi sur le portefeuille digital directement en négociation, sans passer par un vote des députés.

Ainsi, la loi sur le portefeuille d’identité numérique européen pourra continuer son parcours législatif entre la Commission européenne (gouvernement exécutif) et le Conseil européen (représentation des États membres), et s’affranchir de l’avis du Parlement, seul organe représentatif des citoyens européens, pourtant les premiers concernés par la loi.

Une demande de recours a été lancée par le député conservateur hollandais Rob Roos. Si cette demande est signée par un nombre suffisant de députés, alors un vote en plénière devra avoir lieu au mois d’avril. Ce recours sera déposé mardi 14 mars et la décision rendue jeudi 16 mars.

◆ Un portefeuille numérique aux possibilités multiples

Le portefeuille d’identité numérique est dans les cartons de l’Union européenne (UE) depuis plus d’un an et demi. En juin 2021, le règlement sur le droit digital (règlement eIDAS) a été modifié pour inclure le cadre légal du prochain portefeuille numérique européen.

« C’est passé comme une lettre à la poste », se souvient Virginie Joron, eurodéputée française issue du Rassemblement national et membre du groupe « Identité et Démocratie » au Parlement européen.

Dès lors, trois avancées majeures ont eu lieu. D’abord, un groupe opaque d’experts  de la Commission européenne a imaginé l’architecture de référence qui soutiendra les portefeuilles digitaux et les rendra interopérables. Puis, deux gigantesques consortiums d’industriels (POTENTIAL et NOBID) ont été choisis par la Commission pour construire les premiers pilotes.

Ainsi, ce portefeuille numérique, application mobile ancrée dans votre téléphone sur une nouvelle génération de cartes SIM, contiendra vos données civiles et biométriques (empreinte digitale, photo…), permettra d’héberger votre dossier médical partagé et y recevoir vos ordonnances électroniques, donnera accès aux services bancaires et gouvernementaux (impôts, prestations sociales, services préfectoraux, etc.), contiendra votre permis de conduire digitalisé et potentiellement tout document et certificat important (diplômes, attestations d’assurance, etc.). Enfin, le portefeuille numéirique devra pouvoir servir de terminal de paiement, via la connectivité NFC des téléphones portables, et sera compatible avec le prochain euro digital.

◆ Quand la technologie supplante la démocratie

Alors que cette technologie rend possible des usages liberticides en cas d’un partage trop permissif des données entre les différents compartiments du portefeuille numérique, et offrirait aux États une connaissance quasi exhaustive des usages et comportements de leurs administrés, les garde-fous légaux sont importants pour empêcher un dévoiement de la technologie en outil de contrôle politique. D’autant que les entreprises qui co-construisent les premiers pilotes de portefeuilles numériques, comme les français Thales ou Idemia, sont déjà à la pointe des technologies de surveillance.

De plus, l’architecture qui surplombera les différents portefeuilles numériques propose d’affubler tous les citoyens européens d’un identifiant unique qui semble pouvoir être traçable par les fournisseurs des portefeuilles numériques (les États membres a priori).

Enfin, si cette technologie pourrait effectivement permettre un contrôle citoyen accru sur ses données et la manière dont il consent – ou non – à les partager, il est nécessaire que le cadre légal le prévoie en amont. Il semblerait cette fois-ci que la technologie ait été définie avant que le processus légal ait fait son travail de contre-pouvoir.

Deux grands dossiers législatifs sont attendus cette année sur le plan européen : le nouveau cadre légal concernant l’intelligence artificielle et le nouvel espace européen des données de santé. Tous deux seront décisifs pour baliser les possibilités des prochains portefeuilles numériques, dont les premiers pilotes sont attendus en 2025.




Dossier adrénochrome

L’adrénochrome, substance satanique qui consisterait à boire du sang de bébés torturés, n’existe pas, les médias en sont certains !

Toute personne normale ou naïve n’a jamais entendu parler de ce machin, ce qui est tout à fait logique.

Moi, pourtant complotiste diplômé, en avais entendu parler, mais je n’avais pas enquêté profondément.

TPMP1

Si je vous en parle aujourd’hui c’est suite à un invité sur TPMP dont l’intervention a fait grand bruit.

Celui-ci a non seulement affirmé que le « produit » ne relevait pas du mythe, mais qu’il était utilisé par des « grands » de ce monde. Cyril Hanouna a bien entendu mis fin extrêmement vite à l’émission lorsque le nom de Macron a été prononcé. Il y a depuis un tollé médiatique général pour dénoncer ces propos « complotistes et délirants » tenus à une heure de grande écoute sur une chaîne de la TNT.

Un produit chimique sans histoire !

Selon Wikipédia2, l’adrénochrome est un produit issu de l’oxydation de l’adrénaline. Point.

Je n’ai pas cherché à savoir ni pourquoi ni comment, cela n’étant pas le sujet du jour.

Un mythe ?

Le mythe voudrait que des satanistes (célébrités, maîtres du monde et autres détraqués), boivent du sang de glande pinéale de bébés préalablement longuement torturés avant d’être mis à mort. Le produit permettrait de rajeunir, mais serait aussi une puissante drogue extrêmement addictive au point que celui qui aurait goûté une fois au « nectar » ne pourrait plus s’en passer.

Ceci est totalement nié par toutes les publications mainstream et a fait l’objet d’un article sur factuel de l’AFP3. Note humoristique, ceux-ci ont affiché un énorme FAUX… en rouge sang.
Autre site faisant un fact-checking, mais en anglais (voir le lien4).

Mythe dont la genèse serait le film « Las Vegas parano » !

Selon la version officielle, les complotistes auraient fait de ce « délire » une « vérité » issue d’une scène du film. Dans cette scène, un des protagonistes prend de l’adrénochrome. Il n’est nullement question d’adrénaline oxydée comme c’est clairement dit dans le film. Nous pouvons entendre dans la version française :

« Glande provenant d’une opération sur un humain encore vivant. »

ou

« Il m’a proposé du sang humain disant que ce serait la plus grande défonce de ma vie. »
« Je lui ai dit que je préférais quelques centilitres d’adrénochrome pur. »
« Ce gars (qui a fourni la drogue) a été coincé pour viol sur mineurs. »

Vous pouvez voir la scène5 en question si vous le désirez.

Une présentation tout autre que celles de Wikipédia et autres doxas !

Selon un site aujourd’hui supprimé et dont il est encore possible de lire le contenu au 6 janvier 2019 grâce à Web archive :

« Le composé Adrénochrome (C9H9NO3) est synthétisé par l’oxydation de l’adrénaline, provenant du sang d’enfants humains. ADRENOCHROME est le produit le plus pur du marché, récolté dans des conditions strictement réglementées auprès de notre chaîne d’approvisionnement internationale d’enfants donneurs6. »

Et de préciser :

« Depuis des temps immoraux, le sang est lié à la jeunesse, à la vitalité et à l’immortalité. Le sang des enfants et des vierges, en particulier, a longtemps été converti pour ses propriétés vivifiantes — à la fois comme offrande sacrificielle et comme substance à boire rituellement. La mythologie et l’histoire vénèrent chacune les propriétés symboliques et matérielles du sang. Ils le dépeignent comme un élixir de vie, libéré au moment de la mort. L’effusion de sang, à la fois symbolique et rituelle, est inextricablement liée à l’acquisition de connaissances sur le salut, la vie éternelle et la relation de l’humanité avec le Divin. Outre sa dimension spirituelle, la nature viscérale du sang l’aligne sur la soif de pouvoir et de richesse sur notre plan terrestre. Les propriétés physiques et spirituelles du sang sont indiscernables, liées par le sang à travers un cycle de mort et de renaissance. L’histoire humaine est cyclique et le sang est le ciment qui relie tout. L’adrénochrome est le composé chimique de formule moléculaire C9H9NO3 synthétisé à partir de l’oxydation de l’adrénaline dans le sang. C’est un puissant élixir rajeunissant et psychotrope récolté à partir de la glande pinéale des enfants donneurs.

Alors que les niveaux élevés de consommation d’adrénochrome resteront limités aux échelons supérieurs de la société, le composé chimique sera enfin mis à la disposition d’une clientèle plus large via la pièce ADC7 »

Il nous est impossible de savoir si ce texte a été rédigé par des blagueurs, des fils de putes qui en font ou faisaient le commerce ou par des complotistes voulant donner vie à un mythe.

Une vidéo détaillant la pratique.

Il est possible de regarder (si elle n’a pas été encore censurée) cette vidéo de 1 h 57.
« Adrénochrome, l’autre nerf de la guerre8 » publié par Black Bond en janvier 2023.

Ici encore chacun sera libre de se faire sa propre opinion : Faits, délires, mélanges des deux ?

La vidéo est présentée ainsi :

« Dans cet épisode extrêmement riche, nous plongeons au cœur du business le plus important pour le culte satanique qui contrôle le monde. Ce business c’est celui de l’adrénochrome et de nos enfants. C’est un sujet qui est vaste et complexe, et vous allez voir dans cet épisode que les personnes qui gravitent autour de cette industrie, se donnent un mal fou, pour acquérir l’une des commodités les plus prisées au monde. »

On y parle :

« D’enfants torturés, violés assassinés puis consommés, offrande aux divers dieux. »
« De sang adrénalisé par la peur, une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. »
« De culte pédophile dans tous les pans de la société. »
« Ils se servent de nos enfants pour assouvir leurs désirs les plus pervers. »
« On pourrait croire que ce cela relèverait du mythe comme cherchent à nous faire croire les factcheckers. »

Je ne prétends pas prouver quoique ce soit, mais poser des questions.
Un tel culte est-il crédible, plausible ou avéré ?

Le culte de la jeunesse

Le doute n’est pas permis. La vieillesse est présentée par la société comme une maladie et nous devons tout mettre en œuvre pour nous en protéger. « Vieux » est devenu une insulte. Il y a quelques décennies on commençait à l’être à partir de 50 ans, aujourd’hui traiter de « vieux » une personne de 70 ou 75 ans est inapproprié. Peut-être le sommes-nous après 80 ans, et encore !

La chirurgie esthétique

Le magazine 20 minutes9 nous dit : On découvre également que Josiane Balasko s’est faite refaire le nez, « pour éviter de vieillir en ressemblant à Coluche », que Véronique Sanson s’est faite lifter, qu’Axelle Red se fait injecter du Botox et que Ségolène Royal a opté pour un réalignement des dents.

Une obsession de la jeunesse éternelle

Basta media10 titrait en 2018 :

« Ces milliardaires et multinationales qui investissent dans la quête d’immortalité et de jeunesse éternelle. »
Et de préciser : « Des start-up se lancent dans des transfusions de sang de patients jeunes vers des personnes plus âgées dans le but de prolonger la vie. Des grandes fortunes ou des multinationales, comme Google-Alphabet, investissent dans des biotechnologies pour identifier les gènes de longévité et ralentir le vieillissement. D’autres mènent des expérimentations pour dupliquer le cerveau dans des machines. L’industrie de la cryoconservation — congeler un organisme en attendant un hypothétique remède contre la mort — connaît un succès grandissant. Tous partagent l’ambition transhumaniste : créer un être humain à la longévité décuplée, voire immortel. Sans aucune réflexion sur les conséquences sociales. Une enquête extraite de l’ouvrage Au Péril de l’humain, coécrit par Agnès Rousseaux, journaliste de Basta!. »

Le ton est donné !

Transfusions sanguines dans des cliniques suisses11

Certaines pratiques ne relèvent pas du délire complotiste quand bien même je les pense délirantes. Johnny Hallyday révélant le secret de sa vitalité : des séjours réguliers dans une clinique privée suisse spécialiste de la régénération, dont l’adresse lui avait été donnée par Zidane.

« C’est formidable. On vous enlève du sang, on l’oxygène et on vous le remet… Zidane y va deux fois par an et je le comprends… Selon les connaisseurs, le top du top est la Clinique La Prairie, à Montreux. Paul Niehans, fut en effet le pionnier la thérapie cellulaire. Une véritable cure de jouvence consistant en des injections de cellules fraîches prélevées sur le foie de fœtus de moutons. »

Nous avons là une démonstration qu’il existe un marché pour rester jeune.

Une base « scientifique » ?

Du sang de jeunes pour rajeunir

En 2014 Le Figaro Santé12 publiait un article « Les secrets de l’éternelle jeunesse se cachent dans le sang » :

« Une expérience menée sur des souris ravive la discussion scientifique autour du rajeunissement. Cette étude montre que la transfusion de sang de souris jeunes rajeunit les organes de plus vieux rongeurs. »
« En reliant les systèmes sanguins d’une souris jeune et d’une plus âgée, Rando et son équipe avaient déjà noté un rajeunissement des muscles et du foie de la vieille souris. » « Nous avons observé que les vieilles souris à qui avait été administré du plasma de jeunes souris pouvaient repérer plus facilement la plate-forme cachée et commettaient moins d’erreurs en la cherchant, raconte le Pr Villeda »
« La prochaine étape sera de passer à des expérimentations chez l’homme pour vérifier l’innocuité et l’efficacité de l’élixir de jouvence identifié chez les souris »

Des produits à base de cellules de fœtus avortés

Cette fois-ci c’est Le Parisien13 qui nous éclairait.
Vous noterez que je prends soin de citer des sources non complotistes !

« Un antirides à base de fœtus humain. »
« Une crème antirides commercialisée aux États-Unis est fabriquée à partir des cellules d’un fœtus humain provenant d’un avortement. Ce qui provoque la polémique outre-Atlantique. »

J’espère que vous comprenez pourquoi la société est si encline à promouvoir l’avortement, c’est un marché titanesque.

Il existe donc une base plus ou moins scientifique qui prouverait que le sang de personnes jeunes et les cellules de fœtus permettraient de se protéger de la vieillesse ou même de rajeunir.

Des enfants disparus ?

Si vous voulez produire de l’adrénochrome, il va vous falloir de la « matière première » !

Le monde est à ce point « merveilleux » qu’il n’existe aucun fichier, aucune statistique officielle sur les enfants disparus et non retrouvés. Et je vous parle ici uniquement des pays riches et développés.

« En 2017, 1328 disparitions inquiétantes d’enfants ont été signalées14 ».

Je ne sais pas ce qu’ils pensent par « inquiétantes ».

« Ce chiffre de disparitions inquiétantes grossit année après année : en 2016, on n’en comptabilisait que 687, contre 1328 en 2017. »
« Cela pourrait vouloir dire que les forces de l’ordre ont tendance à être plus vigilantes, à ne pas tout de suite penser à une simple fugue, et donc à lancer des recherches de plus grande ampleur », analyse Anne Larcher. »
« Nous aimerions être capables de créer un fichier qui nous en dirait plus. »

Le Bien Public précise :

« Ces enfants disparus et jamais retrouvés15 »
« Environ 400 disparitions inquiétantes de mineurs par an sont signalées. Très peu d’enfants disparaissent sans laisser aucune trace. Les associations réclament la création d’un fichier qui n’existe pas. »

En Suisse ce n’est pas mieux :

Selon la fondation Missing Children16 :

« Toutes les 2 minutes, un enfant est porté disparu sur le territoire européen. »

Bien entendu, une écrasante majorité est retrouvée, néanmoins :

« No data, no problem! » On pourrait le croire, mais la réalité quotidienne de Missing Children Switzerland et les dernières disparitions d’enfants en date ont démontré que notre pays n’échappe pas au phénomène. De plus, notre système en la matière est lacunaire, à l’image de l’Alerte Enlèvement qui n’a jamais été déclenchée. Le manque de volonté des autorités helvétiques et la particularité du système fédéral font que nous n’avons toujours pas de statistiques officielles sur la disparition des mineurs en Suisse. C’est pourquoi nous travaillons sans relâche à obtenir ces chiffres. Les autorités comme les habitants doivent réaliser que la Suisse n’est pas épargnée par la problématique des disparitions d’enfants. Sans l’appui de statistiques officielles, ce phénomène reste invisible.

L’association précise :

« En Inde, près de 96 000 enfants disparaissent chaque année. »

Vous pouvez imaginer que la police ne passe pas des années à essayer de les retrouver.

Si vous arrivez à m’expliquer pourquoi ces données (faciles à mettre en œuvre) n’existent pas, ce serait avec plaisir !

Il y a donc de la « matière première », des enfants disparaissent chaque année dont certains ne sont jamais retrouvés et cela ne semble pas une préoccupation première.

Des réseaux pédophiles ?

Pour faire simple, en France ou en Suisse cela ne semble pas ou peu exister, sans doute une exception liée à la « bonne santé mentale des citoyens » ?

Le pédophile français semble donc très solitaire et égoïste, il n’aime pas partager.

Dans Heidi News17 nous pouvions lire en 2020 :

« Les réseaux pédophiles au cœur des thèses complotistes. »

« Des enfants seraient enlevés dans le monde entier et donnés en pâture aux élites : voilà la théorie cardinale des complotistes, mystérieusement incarnée à Genève par le cas « Marco » (prénom modifié). »

Je précise que le slogan du journal est « Le journalisme de précision qui répond à vos questions »

France-Inter18 en 2021 :

« On ne mesure pas forcément l’importance que peut avoir la pédocriminalité dans les fantasmes complotistes. Elle y tient une place particulière pour plusieurs raisons. »

Ou le site Debunkers19

« L’étrange obsession des complotistes pour les pédophiles. »

Je pourrais en citer pendant des pages.

Mais en Allemagne20 c’est peut-être une autre paire de manches.

En 2021 « Allemagne : un réseau pédophile de plus de 400 000 membres démantelé. »

« Après de longs mois d’enquête sur le darknet, la police a annoncé lundi 3 mai être venue à bout de ce réseau, considéré comme l’un des plus grands du monde

On a quand même de la chance en France d’être à l’abri de plein de trucs.

Sans parler de l’affaire Epstein que les médias français n’ont pas réussi à masquer totalement.

« Lors d’une conférence de presse mercredi, Denise George a indiqué avoir ordonné une enquête sur Jeffrey Epstein peu après sa prise de fonctions, en mai 2019. Celle-ci a montré que le financier avait organisé un « vaste réseau de traite d’être humains, et d’abus sexuels de jeunes femmes et de mineures ici, aux îles Vierges21 ». »

Il y a donc des pédophiles, des réseaux pédophiles et des personnes haut placées qui en goûtent, n’en déplaise à nos médias corrompus.

Des gros tarés ?

Si vous voulez des personnes qui boivent le sang de glandes pinéales de bébés ou d’enfants torturés et violés, il nous faut de sacrés malades mentaux.

Michel Bouffioux22 a écrit

« Ces criminels psychopathes qui ne sont pas resocialisables. »

« Quelle est la prévalence de la psychopathie dans la société ? »

« Cela représente environ 0,5 % à 3 % de la population générale. Mais tous les psychopathes ne sont pas violents physiquement. Il y a aussi des tricheurs, des fraudeurs, des menteurs pathologiques… Il y en outre des « psychopathes sociaux ». Ce sont des personnes totalement dénuées d’empathie, comme leurs alter ego qui se trouvent internés ou emprisonnés, sauf qu’elles parviennent à s’insérer dans la société en exerçant leur violence de manière sournoise, voire en l’utilisant comme un outil de pouvoir, de manipulation et de domination. »

« Il s’agit de personnes qui n’hésitent pas à en écraser d’autres dans le milieu professionnel et familial, avec une absence totale de remords et un recours permanent à la manipulation et au mensonge. N’ayant pas accès à leurs émotions, elles sont étrangères à tout sentiment de culpabilité et incapables de s’inscrire dans la perspective d’autrui. »

« Ces psychopathes souffrent-ils eux-mêmes de leur état mental ?
Nullement. Des recherches montrent qu’ils sont plutôt protégés de maladies comme la dépression. Il ne s’agit certainement pas de personnes anxieuses. »

Des tarés violeurs de bébés et/ou qui les torturent ?

Voici quelques titres de la presse :

  • « Vendée : Un père jugé pour le viol de son bébé de quinze jours23. »
  • « Les parents du bébé violé et décédé ont été mis en examen24. »
  • « Un homme âgé de 23 ans a été mis en examen pour le viol d’un nourrisson de 5 mois25. »
  • « Le père de famille de 34 ans repéré sur le darknet pour la consultation de sites pédopornographiques. En garde à vue, il a avoué le viol d’un de ses enfants26 (10 mois). »
  • « Bébé torturé et tué à Lunel : le couple a refait ses terribles gestes27. »
  • « Six personnes jugées pour “torture et barbarie sur un enfant de deux ans28. »
  • « Trafic d’organes : double énucléation d’un enfant en Chine29. »
  • « Une opération coordonnée par INTERPOL ciblant le trafic de migrants et la traite d’êtres humains a donné lieu à 121 arrestations dans 25 pays, déclenchant 193 nouvelles enquêtes. Les autorités ont lancé l’offensive contre des groupes criminels organisés soupçonnés de faire franchir des frontières à des hommes, des femmes et des enfants asiatiques à des fins d’exploitation et/ou de profit30. »

Vous en voulez encore ou j’arrête ?

Des sacrifices d’enfants au 21e siècle ?

Vous allez penser que j’ai fumé la moquette.

« Ce type de pratique remonte à la préhistoire ou aux Incas. »

Pourtant ce n’est pas moi, mais RFI31 qui l’affirme :

« Chaque jour, les journalistes de The Punch publient des faits divers plus stupéfiants les uns que les autres. Les “cultistes” y ont la part belle. Ce sont des individus qui recherchent des victimes pour pratiquer des sacrifices humains afin d’assurer leur succès dans les affaires ou en politique. »

« La découverte en mars 2014 d’un vaste charnier consacré aux sacrifices humains ou à l’utilisation des restes humains à des fins de magie noire à Ibadan (grande ville située à 130 kilomètres de Lagos) a semé l’émoi dans les populations. Cette affaire révélée par The Sunday Tribune a fait grand bruit : outre les cadavres démembrés et les crânes, des prisonniers enchaînés et affamés ont également été retrouvés par la police. »

Ah, mais, suis-je bête, c’est en Afrique, les occidentaux, eux, sont civilisés !

« États-Unis : une sataniste de 19 ans avoue “au moins” 22 meurtres32. »
« La police enquête sur le meurtre de quatre Américains aux corps démembrés33. »

Alors existe-t-il des rituels mettant en œuvre l’adrénochromie ?

Témoignages, preuves ?

Si cette pratique existe, vous comprendrez bien qu’elle ne peut être pratiquée par un individu seul. Il faut un réseau pour se procurer des enfants et pour faire disparaître les corps. Des complicités dans le monde judiciaire, politique, médiatique, etc. sont indispensables dans les plus hautes sphères, l’affaire Epstein en est une illustration. Il n’y qu’à voir comment les médias mainstream balayent non seulement l’adrénochrome, mais aussi les réseaux pédophiles. Karl Zéro34 se fait cracher dessus par tous les médias depuis des années.

L’affaire Hampstead35 :

En Angleterre, année 2014, deux enfants de 8 et 9 ans, Alisa et Gabriel Dearman dénoncent des (et leurs) viols d’enfants et des crimes rituels de bébés. Fait exceptionnel, il est possible de visualiser (en anglais que l’on peut mettre en français avec la traduction automatique) les interrogatoires de plusieurs heures des enfants diffusés par la police. Alisa décrit avec froideur, moult détails et méthode comment les enfants étaient violés et les bébés assassinés.

Les vidéos sur le sujet sont disponibles sur le groupe Docus qui Dérangent36.
Par la suite les enfants se rétracteront et diront qu’ils ont tout inventé. Je vous laisse juge de la crédibilité de ce retournement de situation.
L’affaire s’est terminée sur la BBC37 avec une interview « émouvante » de ce « pauvre père en larmes faussement accusé d’avoir violé et prêté ses enfants » sous la bienveillance de la journaliste.

« Il n’y avait donc pas de réseau pédophile satanique à Hampstead ! »

Nous avons de source sûre (mainstream) :

  • Une pratique de sacrifices de bébés largement décrite (mais non prouvée).
  • Un culte de la jeunesse, mais aussi de l’immortalité dans la société.
  • Des célébrités et des gens riches prêts à tout pour le demeurer.
  • Une base « scientifique » sur les « vertus » du sang de jeunes et des cellules d’embryons.
  • Des milliers d’enfants disparus chaque année qui ne réapparaissent jamais.
  • Des réseaux pédophiles impliquant des puissants de ce monde.
  • De vrais psychopathes comme dans les films.
  • De la traite d’humains.
  • Des trafics d’organes sur personnes encore vivantes.
  • Des bébés torturés.
  • Des violeurs de bébés.
  • Des rituels de sacrifices d’humains au 21e siècle.
  • Des témoignages réfutés.

Et les médias dans leur ensemble SAVENT que des sacrifices d’enfants torturés
dans le but de boire le sang de leur glande pinéale n’existent pas !

Il ne sont pas à dire que cela n’a jamais été prouvé, non, ils SAVENT que c’est faux et affirment que l’adrénochromie n’existe pas et relève uniquement de délires complotistes si possible antisémites !

Le Parisien38 résume admirablement bien la situation :

« Une théorie complètement fantaisiste, mais tenace sur les réseaux sociaux. »

Je ne résiste pas au plaisir de vous citer leurs conclusions, comme quoi on peut même rire avec des sujets horribles :

« L’adrénochrome n’est pas un médicament, il ne possède pas d’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), et n’a donc pas d’utilisation médicale », insiste Bernard Basset.

Imparable, comment voulez-vous ensuite que des malades mentaux satanistes l’utilisent alors qu’il n’a pas d’AMM ?!

À moins que les labos n’aient torturé des bébés puis testé si le sang de leur glande pinéale devenait addictif ? Il faudrait leur demander.

Je reste sans voix devant de telles démonstrations !

Merci

Alain Tortosa39.
11 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230311-adrenochrome-mythe-ou-pas.pdf





Détransition, conséquence d’une épidémie factice et de diagnostic de « dysphorie de genre » surestimé

Par Nicole Delépine

Les enfants sacrifiés de la théorie du genre : arrêtez le Trans train comme en Suède

Les lobbies, la mode, le business conduisent beaucoup d’adolescents qui se sentent mal dans leur peau (ce qui est bien normal à cet âge) à se laisser convaincre que leurs soucis viennent d’une erreur de « genre », idée induite par la publicité mensongère à tous niveaux : cinéma, télévision et malheureusement école, y compris chez les très jeunes, âge de la plus grande facilité de la manipulation.

Certains tentent parfois de revenir en arrière : on les appelle les détransitionneurs !

[Voir aussi :
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie]

Un acteur britannique, influenceur sur les réseaux raconte sur une TV américaine son parcours.1

« L’influenceur Oli London, 32 ans, révèle qu’il est en train de revenir d’une femme coréenne à un homme britannique — et dénonce les écoles pour avoir “normalisé le changement de genre” et enseigné aux enfants “à idolâtrer les hommes faibles comme Harry Styles”.

L’influenceur britannique a suscité la controverse après s’être identifié comme “transracial” et avoir dépensé plus de 271 000 dollars pour ressembler à des pop-stars coréennes.

London a déclaré que les guerres culturelles américaines sur le genre et les écoles ont laissé les gens confus sur le sujet.

Les enfants apprennent dès leur plus jeune âge, dès l’âge de cinq ans dans certains cas, qu’il n’y a pas de mal à changer de sexe, qu’il n’y a pas de mal à porter une jupe, qu’il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon utilise des toilettes neutres quand cela met les filles en danger »

La pub et les réseaux sociaux, les influenceurs et même la publicité gouvernementale en France, la peur d’être poursuivi pour transphobie des familles et des médecins psychiatres en cas de refus immédiat du souhait de l’enfant (politique pro affirmative d’emblée),2 conduisent trop de candidats à foncer d’emblée dans le TGV de la transition, sans avoir le droit, de fait, à une période suffisante de maturation de leur décision. Qui sont finalement les victimes si ce ne sont ces enfants pris en otage de la mode ?

Nouvelle normalité

La question n’est pas qu’un certain nombre de personnes se sentent d’un autre sexe que celui de leur corps visible, cela a toujours existé, mais de façon très minoritaire.

Le problème est lorsque des personnes arrivant au pouvoir politique affirment que c’est « la nouvelle normalité » et tentent de marginaliser tous ceux qui ne ressentent pas cette différence.

La nouvelle culture portée par un petit groupe puissant surreprésenté parmi nos dirigeants occidentaux3 4 5 6 et lobbies auprès des parlements, conduisent à des erreurs de diagnostic chez des enfants ou jeunes en mal être qu’il eut été nécessaire d’écouter longuement ainsi que leurs familles et proches, avant de s’engager dans un long parcours du combattant qui le plus souvent ne les satisfait pas d’après leurs témoignages. D’où ce nouveau chapitre de l’histoire de la théorie du genre, les détransitionneurs.7

Le transgenrisme a pris une dimension politique aux USA et par contamination habituelle, en UE

Rachel Levine, ministre de Biden est transgenre : « Les enjeux de représentation sont devenus centraux » (marianne.net) « La question des transgenres était déjà au centre de la campagne de 2015-2016. »8 Nommée ministre adjointe de la Santé par Joe Biden, Rachel Levine « représente un choix historique » a écrit Joe Biden en annonçant sa nomination comme ministre adjointe de la Santé. Jusqu’alors directrice de la Santé de l’État de Pennsylvanie, Rachel Levine devrait devenir la première responsable fédérale transgenre. Un choix hautement politique, entre lutte contre l’épidémie de Covid-19 et sur représentation des minorités. »Elle officie au sein d’« Equality Pennsylvania », organisation pour le droit des personnes LGBT.

LE DROIT DES PERSONNES TRANSGENRES FORTEMENT POLITISÉ

« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », s’est enthousiasmé Joe Biden, ajoutant qu’elle « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap. »

0,6 % DE LA POPULATION ADULTE AMÉRICAINE

« Joe Biden fait comprendre que les personnes transgenres constituent une part importante de notre pays » a réagi Mara Keisling, directrice exécutive du National Center for Transgender Equality. Joe Biden avait nommé Shawn Skelly, une vétéran trans, dans son équipe de transition.

« Les personnes transgenres représenteraient 0,6 % de la population adulte des États-Unis, mais leurs revendications résonnent plus fortement dans le débat public. 9

Les associations mettent régulièrement en avant leur situation précaire. Selon le National Center for Transgender Equality, 29 % des personnes transgenres aux États-Unis vivraient dans la pauvreté ».

LA REPRÉSENTATION DES MINORITÉS, STRATÉGIE POLITIQUE

Les politiques de tous pays sont rarement désintéressés. Chez les démocrates aux USA la représentation des minorités est devenue une réelle stratégie politique dominante.

« La communication sur l’identité sert à donner des gages à certaines clientèles électorales et surtout à la gauche du parti », reconnaît Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin, « on peut imaginer que c’est une version américaine du “en même temps”. »

On peut comprendre que des politiques tentent de se trouver de nouvelles clientèles et quoi de mieux de chercher dans les minorités, voire les extrêmes minorités.. Mais combien de victimes converties trop rapidement à un changement de genre alors que leur état relevait d’une autre pathologie (ou pas) ou d’un mal être transitoire ?

J’ÉTAIS SÛR : JE SUIS UN GARÇON

Charlie Evans est né femme, a vécu comme un homme pendant dix ans et est maintenant une femme à nouveau. Elle met en garde contre les décisions précoces et incontestées.

Le « detransitioner » de Manchester est un combattant déterminé contre le changement de sexe trop rapide. Elle parle très ouvertement de ses expériences personnelles. Elle a fondé le Detransition Advocacy Network. Elle a parlé lors de la « Lesbian Strength March » à Leeds.10

« Je savais que j’étais un garçon parce que j’aimais les voitures, les camions, la boue et les boîtes — et les filles. Je savais que j’étais un garçon parce que je n’agissais pas comme une fille. Rien chez moi ne semblait girly, et l’idéologie trans dit que tout le monde ressent son genre. Je ne me sentais pas comme une fille.

Je savais que j’étais un garçon parce que je répondais aux critères de la dysphorie de genre : une forte aversion pour les jouets et les vêtements typiquement féminins ; amis principalement masculins ; sentir que mes sentiments et mon comportement étaient typiques d’un garçon ; le désir d’être traité comme un garçon ».

Tous l’ont conforté dans son changement de genre tout de suite, amis comme les thérapeutes qu’il a consultés ! Comme si une fille n’avait pas le droit d’être finalement « un garçon manqué » pendant son enfance !

EN SUÈDE, PRÉCURSEURS EN UE DES TRANSITIONS MÉDICOCHIRURGICALES, ILS METTENT LE FREIN : ARRÊTEZ LE TRANS-TRAIN 11!

28 avril 202112 de Christine Westerhaus

Dans la Suède libérale, le débat trans a fait rage sur les faux diagnostics et une nouvelle loi scandaleuse. Les médecins et les parents étaient en colère. La femme trans Aleksa Lundberg s’est également rangée du côté des critiques, déclarant :

« Quelque chose ne va pas fondamentalement. »

Alors qu’une nouvelle loi devait faciliter la chirurgie chez les mineurs, y compris sans l’accord des parents la polémique a permis de réagir.

Mais au fil des ans, des doutes se sont accrus en elle quant à savoir si elle faisait toujours la bonne chose. Surtout avec ses patientes.

« Ces dernières années, de plus en plus de filles biologiques sont venues à notre cabinet. Beaucoup d’entre elles avaient d’autres diagnostics tels que l’autisme, les troubles de l’alimentation ou le trouble de stress traumatique.Néanmoins, on s’attendait à ce que nous répondions aux souhaits de ces patients en matière de traitement de changement de sexe. »

En 2019, Sämfjord a quitté son emploi.

« J’avais peur d’infliger des dommages irréversibles aux jeunes. »

Dans l’équipe KID de l’hôpital universitaire Karolinska, les cas avaient explosé depuis la création de l’équipe en 2000, passant de cinq à dix par an à 200 par an, la plupart d’entre eux étant des filles.

Des psychologues et des médecins, des parents, mais aussi des centres de conseil trans et des soi-disant détransitionnaires se sont plaints de la négligence avec laquelle les filles de 14 ans de l’hôpital universitaire ont été amputées des seins, sans qu’aucune autre cause de leur malaise avec leur propre corps n’ait été suffisamment clarifiée ou même traitée.

Dans le documentaire, elle se sent « comme un cobaye », explique une jeune femme qui s’est laissée transformer en homme trans.

« Ils expérimentent avec des jeunes sans preuves scientifiques. C’est irresponsable et cela me met en colère ! »

Dans Svenska Dagbladet, C Gillberg, psychiatre à Göteborg, a averti que les traitements hormonaux et chirurgicaux sur les enfants étaient « une grande expérience » qui pourrait potentiellement devenir « l’un des plus grands scandales médicaux du pays ».

Les parents ont également pris la parole. À 16 ans, la plus jeune fille de Jannika Häggström a dit à sa mère qu’elle était un homme. La mère a refusé de consentir au traitement de changement de sexe. À l’âge de 18 ans, la fille adulte a été amputée des seins et a pris de la testostérone.

« À l’âge de 20 ans, à peine deux ans plus tard, elle a réalisé que tout cela n’était qu’une idée fixe. »

En 2018, Häggström a créé le « Gender Identity Challenge Sweden » (GENID) avec d’autres parents pour protéger parents et enfants

Le Suédois avait observé une tendance inquiétante :

« Presque aucune mère ou père n’ose refuser à son enfant le consentement à des interventions chirurgicales. Ce souhait n’est plus guère remis en question, car de nombreux parents rapportent que leurs enfants ont rompu le contact avec eux parce que d’autres jeunes trans leur ont conseillé de le faire sur Internet. »

D’autres parents avaient indiqué que le « Bureau de protection de la jeunesse » les avait contacté car ils avaient refusé de s’adresser à l’enfant avec le « pronom correct ». PRESSION INSUPPORTABLE DES BUREAUCRATES AU SERVICE DES POLITIQUES.

Le réseau compte une centaine de membres. « Nous voulons empêcher les médecins de continuer à faire des expériences sur nos enfants », explique Jannika Häggström.

« Les opérations et les traitements hormonaux sont une expérience, il n’y a pas d’études scientifiques à long terme sur les conséquences de telles interventions. Les jeunes ne peuvent donc pas donner leur consentement éclairé. »

GENID exige un âge minimum de 25 ans pour les interventions chirurgicales.

Finalement, le gouvernement suédois a arrêté le « Trans Train ». Elle a chargé l’Agence d’évaluation des technologies de la santé d’examiner les données sur l’augmentation du nombre d’adolescents atteints de dysphorie de genre. Résultat : Il existe très peu de données, tant sur les raisons de l’augmentation que sur les risques ou les bénéfices des traitements hormonaux et des chirurgies.

Un rapport de l’autorité nationale de la santé a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans souffrant de dysphorie de genre avait reçu un diagnostic de trouble anxieux et qu’un autre tiers souffrait de dépression. Un sur cinq souffrait de TDAH et un sur sept d’autisme. Enfin, une analyse de l’autorité sociale suédoise « Socialstyrelsen » est arrivée à la conclusion :

« Il y a plus d’inconvénients que d’avantages possibles à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de conversion sexuelle. »

« Lorsque les adolescents voient le changement de sexe comme une solution à leurs problèmes d’identité pendant la puberté, quelque chose ne va pas », explique Aleksa Lundberg femme de 39 ans, de Stockholm qui vit en tant que femme depuis près de 20 ans. »

« Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que j’avais perdu une partie importante de mon sens sexuel, ce fut un véritable choc pour moi»

Elle dit qu’elle déciderait différemment aujourd’hui.

« J’ai réalisé que j’étais en fait un homme gay féminin qui sentait qu’il devait changer son corps pour être accepté. »

Autre chose est devenu clair pour elle :

« Les jeunes fondent leur décision pour ou contre le traitement sur les histoires ensoleillées que nous, les personnes trans, racontons dans les médias. Et j’ai caché une partie importante de mon histoire aux gens. » 13

DE PLUS EN PLUS DE FEMMES DEVIENNENT DES HOMMES

Il y a 30 ans, il y avait 3 000 transsexuels en Allemagne, aujourd’hui il y en a 24 000. De plus en plus de femmes fuient vers le sexe opposé. Pourquoi ? Battage médiatique pour les jeunes femmes ou néoféminisme en panne d’idées ?

Lea venait d’avoir 16 ans, et a présenté sa solution au problème à ses parents. « Elle nous a expliqué qu’elle détestait son corps féminin et qu’elle était en fait un garçon. » La mère était consternée. Sur Internet, elle a constaté que de nombreux parents ressentent la même chose qu’elle. Le phénomène a même récemment eu un nom : « Rapid Onset Gender Dysphoria » (ROGD).14

TRANS EST UNE TENDANCE15

« DETRANSITIONNEURS » : DES ADOLESCENTS REGRETTENT LEUR CHANGEMENT DE SEXE ET DÉNONCENT DES DIAGNOSTICS DE DYSPHORIE DE GENRE TROP HÂTIFS, QUI FERAIENT FI DE CERTAINES PATHOLOGIES16.

Les personnes qui regrettent leur transition sexuelle seraient en nombre croissant, d’après un avis de l’Académie de médecine :

« Le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner. Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique ».

Un député britannique dévoile sa transidentité et dit avoir été victime de chantage et de viol.

« En France, on sait par ailleurs que le nombre de mineurs qui ont souhaité changer de sexe a été multiplié par vingt sur la même période », selon Arnaud Alessandrin, sociologue spécialiste de la transidentité à Bordeaux, et certains regrettent.

Ces « détransitionneurs » peuvent être classés en deux catégories, selon le sociologue : « Il y a ceux qui ont été opérés lorsqu’ils étaient majeurs, ont été surdiagnostiqués et le regrettent. Ils représentent entre 1 et 2 % de la population trans ». Puis, les plus jeunes qui ont suivi un traitement hormonal. « Entre 20 et 40 % de ces jeunes disent ensuite que cela ne leur convient pas ».

Un chiffre considérable qui devrait faire réfléchir les partisans de la transition rapide.

Des diagnostics de dysphorie de genre trop hâtifs ignoreraient certaines pathologies responsables du mal être du mineur.

« Parmi les adolescentes qui détransitionnent, on se rend compte que souvent, une autre pathologie antérieure à la transition était en cause, comme l’anorexie, la boulimie, l’autisme », indique Nicole Athea, gynécologue au Parisien.

« Que peut-on décider quand on a 15 ans, qu’on est dans une situation de souffrance psychologique et bien souvent sous l’emprise d’une idéologie trans ? »17

Transgenrisme : « De jeunes détransitionneurs viennent nous apporter le récit de leur parcours »18

Attaquées dans un article sur Mediapart sur la question de la prise en charge des mineurs qui se déclarent transgenres, Caroline Eliacheff et Céline Masson, codirectrices de l’Observatoire La Petite Sirène19, répondent.

« Cliniciennes auprès d’enfants et d’adolescents depuis plusieurs décennies nous récusons ce procès en légitimité. C’est à ce titre qu’avec d’autres partenaires de différentes disciplines, nous avons créé l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent (Petite Sirène — l’OPS).20 »

De nombreux témoignages de parents et de détransitionneurs attestent d’une prescription hormonale trop rapide, en dépit de troubles psychiques avérés.

Il est important de savoir comment est éclairé le consentement du jeune et de ses parents concernant les traitements, leurs effets secondaires, leur éventuelle irréversibilité et notamment le risque d’infertilité.

Sont-ils informés de la permanence incertaine de l’identité de genre d’un enfant ou d’un adolescent et, qu’à ce jour, aucun critère fiable ne permet de dire qui persistera et qui changera d’avis ? Sont-ils informés des alternatives au traitement médical telles que la psychothérapie et l’attente bienveillante que préconisent actuellement la Suède et la Finlande ? (Après avoir été les pionniers des pratiques chirurgicales de transformations sexuelles.)

Les parents savent-ils que de nombreux experts (Genspect)21 déconseillent la transition sociale totale des enfants soulignant que cela concrétiserait ce qui pourrait n’être que « transition temporaire ? »

INFLUENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX

À Paris, 30 à 50 % d’enfants persistent dans leur identité inversée alors dans d’autres équipes, notamment celle du Pr Zucker au Canada, 70 à 90 % d’enfants retrouvent une harmonie avec leur sexe quand ils sont pris en charge autrement.

Toutes les publications qui affirment une amélioration après traitement hormono-chirurgical ont été jugées de « très faible fiabilité » et court-termistes.

En revanche, la sursuicidalité pendant toute la vie des personnes trans est bien démontrée (43 % soit dix fois plus que la population hétérosexuelle) et sert même d’argument (discutable) pour dénoncer la discrimination dont les trans sont l’objet alors pourtant, que d’autres minorités sexuelles (homosexuels et bisexuels) ou autres, tout autant discriminées, ne souffrent heureusement pas d’un taux de suicide aussi élevé.

LE CONFINEMENT LIÉ AU COVID A LARGEMENT AMPLIFIÉ LA SUREXPOSITION AUX RÉSEAUX SOCIAUX

Dans l’accélération récente du phénomène, il faut sans nul doute analyser la part terrible de l’invraisemblable confinement imposé à une grande partie du monde, folie organisée qui a abouti à une augmentation majeure des troubles psychiques et singulièrement chez les plus jeunes. 

Le confinement lié au Covid a largement amplifié la surexposition aux réseaux sociaux.

« C’est là que les jeunes s’endoctrinent, s’autodiagnostiquent et acquièrent le vocabulaire et les codes pour convaincre leurs parents et les médecins ; c’est là qu’un avenir meilleur leur est promis s’ils s’éloignent de leurs parents, forcément transphobes si ceux-ci émettent la moindre réticence ; c’est là qu’ils adhèrent à leur nouvelle communauté qui les encourage dans leur détermination et les héroïse. »

Ils étaient perdus, isolés à la suite des mesures coercitives de la plandémie covid, ils deviennent membres d’un groupe chaleureux, qui les comprend et au passage les manipule et les utilisent : ils trouvent le nom de médecins complices qui prescrivent des hormones à la première consultation ou s’en procurent sur Internet. Ils y trouvent même le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence !) pratiquant des mastectomies

Ces mutilations sexuelles sont souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des deux parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province.

LES DÉTRANSITIONS

Il est bien sûr très difficile d’en établir le nombre, car les services spécialisés ne les voient pas forcément et ne tiennent pas forcément à mettre en exergue les échecs de leurs pratiques discutables, mais fort lucratives.22

« Les détransitionneurs ont rarement envie de revoir les médecins qui les ont traités et estiment-ils souvent, mal traités. »23

Ces jeunes gens découvrent qu’ils sont toujours aussi malheureux, qu’ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels ou bisexuels), et/ou qu’ils étaient en réalité atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds (autisme, psychose, traumatismes, etc.) que la dystrophie de genre présumée qui les a conduit à des mutilations irréversibles et à des traitements hormonaux inutiles et potentiellement dangereux.24

La vraie médecine prend du temps et doit avant tout ne pas nuire.

Quand un mineur mal dans sa peau se croit atteint de dystrophie de genre, il faut l’écouter patiemment, le rassurer sur l’amour et le respect qu’on lui porte et la solidité des liens parents-enfant, lui expliquer les conséquences avérées d’une transition sexuelle complète (traitement à vie, mutilations irréversibles, stérilité) et promouvoir un accompagnement psychologique prudent. L’écoute, le dialogue, l’information, le refus de décisions hâtives irréfléchies et le temps parviennent à rassurer 75 % à 90 % des adolescents qui se croient trans sous la pression.

Cette prudence dans l’usage de traitements qui nous a toujours guidés dans notre pratique pédiatrique, cancérologique et chirurgicale sauvera de nombreux mineurs et permettra peut-être d’éviter un scandale sanitaire à venir.





Tête à Tête, Dr Agret, Carlo Brusa

[Source : reaction19.fr]






Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Jeudi soir, dans l’émission Touche Pas à Mon Poste de Cyril Hanouna, l’ancien dealer Gérard Fauré, connu pour avoir affirmé qu’Eric Dupont Moretti était l’un de ses meilleurs clients à qui il fournissait de la cocaïne, était invité pour commenter l’affaire Palmade. Gérard Fauré est rapidement passé à des sujets plus délicats comme l’adrénochrome et les sacrifices d’enfants. Selon les propos de Gérard Fauré, des sacrifices d’enfants sont pratiqués pour transfuser du sang de jeunes enfants à des personnalités richissimes en quête de cure de jouvence d’un genre particulier. Le micro de Gérard Fauré a été coupé quand il a commencé à parler de Macron et l’émission s’est terminée dans la confusion générale. Depuis, un torrent de critiques s’abat sur cette émission accusée d’avoir exposé des théories « complotistes » et « antisémites ». Un classique.

Il reste à essayer d’y voir clair. L’utilisation du mot adrénochrome pour évoquer une consommation de sang d’enfants a fait son apparition depuis plusieurs années. L’acteur Jim Caviézel (qui a incarné Jésus-Christ dans le film La Passion) a explicitement évoqué le fait que des gens de Hollywood consommaient de l’adrénochrome.

Une certaine confusion peut exister, qui facilite la critique, car l’adrénochrome est le nom donné à une substance chimique commercialisée en toute légalité et qui n’a pas de lien avec du sang d’enfant.

Pour être précis, il faudrait parler de parabiose hétérochronique. Cette expression désigne bien l’utilisation de sang « jeune » pour servir de cure de jouvence. Une pratique jusqu’ici assumée par de nombreuses personnalités de la jet set sans qu’on se préoccupe trop de l’origine de ce sang « jeune ».

Regardez d’abord cet extrait d’une ancienne émission. Antoine de Caunes en parle ouvertement.

Une simple et rapide recherche permet de retrouver différents articles de la presse mainstream évoquant ce sujet.

Le magazine belge Le Vif parle même de « vampirisme médicalisé » pour évoquer la parabiose hétérochronique pratiquée par le milliardaire Peter Thiel « avide de sang ».

« S’il y a une chose qui excite vraiment Thiel, c’est la perspective de transfuser le sang de jeunes personnes dans ses propres veines », écrit le journaliste Bercovici qui avait réalisé une interview de ce milliardaire.

Suite à l’émission TPMP et aux propos de Gérard Fauré, le journal Le Monde a aussitôt dégainé les anathèmes destinés à clore le débat : ces théories sont complotistes et antisémites. Mais le même journal Le Monde a bien lui aussi évoqué précédemment, le 10 juin 2014 pour être précis, la parabiose hétérochronique.

Le journal Le Monde évoquait bien le sang comme « un élixir de jouvence » et les recherches menées sur les effets du « sang jeune ».

Le Monde écrivait bel et bien que « certaines stars du rock se sont laissées tenter par des transfusions pour rajeunir ».

Certes, Le Monde ne parlait pas de sacrifices d’enfants pour récolter ce sang « jeune ». Mais pourquoi serait-il loufoque ou antisémite de penser que les personnes voulant tester les effets de cet « élixir de jouvence » ne se fourniraient pas toutes par des circuits légaux. Ceux qui croient à cet « élixir de jouvence » voudront sans doute que le sang provienne de très jeunes enfants. Ce ne sont donc pas des voies légales qui vont permettre de l’obtenir.

Ajoutons qu’il existe suffisamment de faits avérés démontrant la participation de gens du monde des affaires, du spectacle ou de la politique à des activités et des rituels de type occultiste, maçonnico-sataniste.

Il est donc bien naturel que les Français réclament d’en savoir plus sur ces horreurs.




Les apprentis sorciers

Magnifique livre d’une résistante depuis trois ans malgré l’adversité et les calomnies.

Nicole Delépine




Pierre Chaillot : « Pas la première fois que l’OMS est responsable d’une panique mondiale ayant permis un enrichissement démesuré de ses financeurs »

[Source : breizh-info.com]

Alors que le Royaume-Uni découvre via le journal The Telegraph, que sa population a été manipulée à des fins politiques durant la période du Covid-1, en France, la presse mainstream fait toujours semblant, visiblement, d’ignorer certains faits gênants pour le pouvoir en place.

Il y a quelques mois, Pierre Chaillot, statisticien depuis 15 ans et créateur de la chaîne YouTube « Décoder l’éco » en 2015, a publié un remarquable ouvrage intitulé Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels.

Depuis le début de la crise du Covid, il a collecté scrupuleusement toutes les semaines l’intégralité des données officielles disponibles sur les sites d’EUROSTAT, de l’INSEE, de la DREES et des différents ministères. Mortalité, occupation des lits, positivité des tests, âges, etc… Deux ans d’un travail méticuleux, désormais rendu public. Qu’a-t-il constaté ? De gigantesques anomalies.

En France comme dans tous les autres pays européens, la mortalité de l’année 2020 standardisée (c’est-à-dire étudiée par tranches d’âges et non pas en données brutes) est au niveau de celle de l’année 2015 soit la septième année la moins mortelle de toute l’histoire de France.

Quant à la mortalité de l’année 2021, elle au niveau de celle de 2018, la troisième la moins mortelle de toute l’histoire de France.

Les chiffres présentés par les médias et les organes publics sont partiels et tronqués, aussi bien en ce qui concerne la mortalité que l’activité hospitalière ou l’efficacité vaccinale.

Il expose dans ce livre la totalité de ses recherches pour qu’enfin un débat scientifique serein puisse avoir lieu sur cette crise dont les conséquences sont loin d’être derrière nous.

Ce livre dérange tellement qu’il a été attaqué par « Conspiracy Watch » non sans entrainé une réponse en coupe réglée.

Nous avons interrogé Pierre Chaillot pour en savoir plus.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ainsi que la chaine décoder l’éco ?

Pierre Chaillot : Je m’appelle Pierre CHAILLOT, j’ai 37 ans, marié, 3 enfants, je suis statisticien depuis 15 ans et créateur de la chaîne YouTube « Décoder l’éco » en 2015. Depuis cette date, j’écris des articles et réalise des petites vidéos explicatives sur les différents concepts économiques (PIB, dette, chômage, pauvreté etc.). L’objectif est d’expliquer aux gens les concepts de façon qu’ils cessent de se faire berner par la propagande politique relayée par des médias qui ne comprennent rien aux chiffres. Une fois que l’on a compris le sens d’une statistique, et notamment ses limites, on cesse de prendre pour argent comptant les discours alarmistes qui l’utilisent.

Breizh-info.com : Quel a été le point de départ qui vous a mené à vous lancer dans cette épaisse enquête statistique sur le Covid ? Quelles ont été vos conclusions principales ?

Pierre Chaillot : A partir de janvier 2020, les médias ont inondé les Français de statistiques sur le « nouveau coronavirus chinois tueur ». Les journalistes poussaient des cris d’orfraie devant les « 2500 morts » en un mois. J’ai commencé par faire une vidéo pour rappeler qu’il y a 20 fois plus d’habitants en chine qu’en France, mais qu’il décède en France 2500 personnes tous les jours l’hiver sans que cela n’émeuve personne. Il était donc parfaitement ridicule de s’alarmer pour 2500 morts en 1 mois là-bas. Je me suis alors retrouvé, bien malgré moi, comme belligérant au sein d’un guerre (pour reprendre les mots de notre Président), mais médiatique. J’ai poursuivi mes investigations de façon à comprendre ce qui se passait, et y ai consacré une grande partie de mes nuits à partir du moment où la folie des adultes a commencé à nuire aux enfants.

Mes principales conclusions couvrent plusieurs niveaux. Il faut commencer par comprendre qu’il n’y a nulle part l’hécatombe promise. Il n’y a même pas eu la saturation hospitalière annoncée dans les médias. L’étude des données de mortalité et des rapports officiels de Santé Publique France et de l’ATIH sont formels à ce sujet. Aucune mesure coercitive n’est justifiée. D’ailleurs les pays qui en ont le moins pris sont ceux qui n’ont aucune hausse de mortalité. C’est l’abandon qui a tué, et uniquement des personnes âgées, dans un nombre inférieur à ce qui se passe lors des hivers un peu rudes. Une fois cela compris, on peut s’attaquer au fond du problème : les statistiques Covid-19 ne sont rien d’autre qu’une arme de propagande.

Breizh-info.com : Vous avez déclaré que la totalité des statistiques qui ont été publiées sur le Covid ne valaient rien. Pour quelles raisons ? Pourquoi en avoir fait un ouvrage dans ce cas ?

Pierre Chaillot : J’affirme et j’explique dans le livre pourquoi les statistiques Covid-19 ne valent rien. Prenez les décès par exemple. On distingue 3 endroits où un médecin peut enregistrer le décès d’une personne en France : son domicile, l’hôpital, un Ehpad. Quand un médecin est appelé pour constater le décès d’une personne chez elle, comment voulez-vous qu’elle connaisse la cause de décès sans autopsie ? Les mentions « Covid-19 » dans ce genre de cas ne révèlent que les certitudes du médecin. S’il pense qu’un virus tueur est en train de provoquer une hécatombe, il a de fortes chances d’écrire « Covid-19 » sur le certificat de décès. A l’hôpital c’est pire. Depuis janvier 2020, l’OMS a instauré un « nouveau code d’urgence Covid-19 » demandant aux hôpitaux de codifier les « infections respiratoires » soupçonnées d’être « liées au nouveau virus » dans cette case.

En France il y a 3,6 millions de malades respiratoires chroniques. Soit un énorme réservoir de patients possibles pour cette case à la moindre maladie. L’étude des statistiques hospitalières montre depuis la mise en place de ce nouveau code un effondrement des bronchites, pneumonies, bronchopneumopathies, bronchiolites, tuberculoses et autres grippes. Les statistiques « Covid-19 » à l’hôpital, des malades comme des décès, ne révèlent pas les dégâts d’un nouveau virus, mais un transfert de codage. Enfin, pour les Ehpad, c’est la décision de privilégier l’usage des soins palliatifs à la place de tout autre traitement qui est à l’origine des statistiques de décès estampillés « Covid-19 ». Le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020, surnommé « décret Rivotril » autorise l’utilisation de ce médicament pour du soins palliatifs dans le cas d’une « suspicion Covid-19 ». Le contexte est celui d’un gouvernement en panique qui fait passer le message qu’il n’y a pas de traitement, ni de place à l’hôpital pour les plus âgés. Le seul recours est alors le palliatif. Or, pour pouvoir utiliser le Rivotril, il faut déclarer la personne âgée comme « malade du Covid ». Les statistiques Covid-19 en Ehpad et la mortalité suivent exactement les dates du décret. Quel virus a une courbe de mortalité qui suit gentiment les dates des décrets ? Ce n’est pas le « virus du Covid-19 » qui a déclenché l’utilisation du palliatif, mais l’utilisation du palliatif qui a forcé l’étiquetage en « Covid-19 » et créé les statistiques.

Mon livre ne tire donc aucune conclusion à partir de ces statistiques qui ne sont que le résultat de la bureaucratie sanitaire. Il les démonte, et utilise à la place de vraies statistiques, sans biais, exploitables : les décès toutes causes confondues.

Breizh-info.com : Ce qui ressort de votre ouvrage, c’est que la population a été prise à la fois pour un cobaye géant, mais aussi que les individus ont été pris pour des imbéciles durant plusieurs années. Mais visiblement, ça a fonctionné et ça fonctionne encore non ? La propagande est-elle plus forte que la réalité des chiffres ?

Pierre Chaillot : Pour être exact, les statistiques, les chiffres, les modèles, les mathématiques, ne sont pas « la réalité », mais découlent de l’interprétation que nous en avons. Il est toujours possible de construire des statistiques afin de coller à une théorie, un « narratif », une propagande. Les chiffres de « cas Covid-19 » ne sont pas « faux ». On peut même les considérer exact. C’est juste la définition de « cas Covid-19 » qui est une supercherie. Il ne s’agit pas de malades. Je montre d’ailleurs que les résultats de tests n’ont aucun rapport avec aucune maladie identifiable. On devrait les remplacer par un jet de dés. Ce serait moins désagréable et coûterait moins cher à la sécu.

La propagande utilisée est basée sur la peur. C’est une vieille recette utilisée à outrance grâce à la puissance des médias : « vous allez mourir d’attaques terroristes si vous n’acceptez pas plus de surveillance », « le réchauffement climatique va rendre la planète invivable si vous n’acceptez pas la taxe carbone », « nous n’aurons plus de gaz cet hiver si vous ne baissez pas le chauffage », « vous n’aurez plus de retraite si on ne remonte pas l’âge légal de départ » … La peur est la pire des conseillères et les dirigeants le savent très bien. Les « crises » sont leur manière de se rendre indispensable. Concernant cette « crise Covid-19 », ils ont pu voir à quel point l’utilisation de la peur de la maladie était puissante. Nous avons vécu un niveau de totalitarisme (et d’absurdité, rappelons-nous des auto-attestations ou de l’interdiction de s’asseoir sur la plage) qui n’a pas été atteint depuis le deuxième guerre mondiale. Je pense que les gens ont fini par en avoir marre. Sans forcément se l’avouer, ils se sont rendu compte que le danger était inexistant. La peur retombant, il fut de plus en plus difficile d’imposer des contraintes. La nocivité des vaccins anti-Covid a aussi fortement joué. Les effets indésirables, notamment les graves, ont lourdement fait diminuer le nombre de candidats et de supporters de cette piqûre. Ce que nous devons combattre aujourd’hui c’est l’égo des personnalités, politiques et médias qui se sont complètement plantés dans toute cette histoire et ont montré un suivisme effarant. Certains soutiendront leur fable jusqu’au bout. Comme a dit Mark Twain : Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés.

Breizh-info.com : N’allez vous pas un peu loin lorsque vous dites qu’on est incapables de juger de ce qui est une avancée scientifique ou juste un encart publicitaire payé par les labos. Il y a tout de même des scientifiques dans ce pays, dans le monde entier…tout n’est pas que corruption et publicité si ?

Pierre Chaillot : John Ioannidis dit depuis vingt ans que la plupart des études sont fausses, mêmes relues par les pairs. J’ai été très surpris de constater la médiocrité des méthodologies utilisées pour défendre un point de vue à tout prix. Le mathématicien Vincent Pavan a déposé plainte contre un article de Simon Cauchemez publié dans Science qui contient des formules mathématiques fausses ! Certaines erreurs sont visibles pour un élève à Bac+1. Ce papier contient également des courbes maquillées. Vincent Pavan l’a découvert en faisant tourner les programmes informatiques mis en ligne par les auteurs. Cela signifie que les pairs sensés vérifier le travail avant publication n’ont absolument pas fait leur travail. D’ailleurs c’était impossible à faire dans des délais aussi courts. Cet article est toujours en ligne, alors que d’autres articles ont été refusés ou mêmes acceptés puis rétractés sans motif scientifique, mais uniquement parce que les conclusions déplaisent. Nous avons de sérieux problèmes avec la presse scientifique qui dépend du bon vouloir de ses financeurs : le monde de la finance et les laboratoires pharmaceutiques. Ce n’est un secret pour personne. Enfin, tout n’est pas que corruption dans le monde de la science puisque de nombreux scientifiques se sont levés et ont dénoncé cette immense escroquerie depuis 3 ans. Ils ont juste été invisibilisés et ont vu leur carrière détruite. Facile de faire croire à un consensus avec de telles méthodes.

Breizh-info.com : L’OMS représente-t-elle une menace pour la liberté scientifique et médicale et donc, à terme, pour les citoyens ?

Pierre Chaillot : Ce n’est pas la première fois que l’OMS est responsable d’une panique mondiale ayant permis un enrichissement démesuré de ses financeurs. Mon livre traite de l’escroquerie H1N1 bien expliquée dans le rapport du Sénat traitant de sa « gestion » par les autorités. Au menu : modèles mathématiques extravagants, panique entretenue par les médias, faux consensus scientifique créé par la stigmatisation de tous les opposants, achat massif de masques et de vaccins qui se sont révélés parfaitement inutiles. L’OMS est sévèrement pointée du doigt pour son rôle là-dedans et ses nombreux conflits d’intérêts. La situation n’a fait qu’empirer depuis. Pour écrire le nouveau rapport du Sénat, il suffirait de changer le titre. Aucune sanction n’a été prise à l’époque malgré l’ampleur du gâchis. L’information supplémentaire que nous avons aujourd’hui, c’est que si nous ne tirons pas de conclusions fortes, le compte à rebours est lancé pour la prochaine folie pandémique.

Breizh-info.com : Quel est  le message final que vous voulez faire passer à travers votre ouvrage ?

Pierre Chaillot : Il faut cesser de vénérer les statistiques et de croire qu’elles ont le moindre pouvoir signifiant. Ce que nous avons vécu c’est un recueil de données organisé par de la bureaucratie, le mot d’ordre a été : « comptez du Covid ! ». L’erreur scientifique majeure a été de vouloir se servir de ces statistiques pour « prouver » l’existence de la pandémie Covid. C’est un raisonnement circulaire, une tautologie. C’est pourtant une limite bien connue des statisticiens, qu’on a bien trop vue se prendre les pieds dans le tapis, en toute bonne foi : c’est la peur qui a motivé les décisions et biaisé toutes les analyses. La peur c’est l’ennemi de la raison. Il est impossible de faire de la science, d’avoir un quelconque raisonnement logique sous l’emprise de la peur.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Lockdown Files : le ministre de la santé britannique Matt Hancock a fait une plaisanterie sur les puces injectées aux vaccinés

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

NDLR : les Lockdown Files continuent de faire parler d’eux. Aujourd’hui, les réseaux sociaux se sont enflammés sur la plaisanterie de l’ancien ministre de la santé britannique, Matt Hancock, au sujet des « puces injectées aux vaccinés ». Alors qu’il discutait avec le conseiller spécial pour les médias du ministère de la Santé, Damon Poole, au sujet de l’éventuel soutien de Bill Gates sur la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), Matt Hancock a suggéré en plaisantant à son interlocuteur : « Dis-lui que vu le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces, il m’en doit une ! ». Le Telegraph, qui a publié l’information, s’est empressé d’interpréter la conversation comme une blague sur la « théorie du complot » selon laquelle le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces. Cependant, la plaisanterie pourrait être comprise de façon bien moins légère, au regard des nombreuses découvertes faites sur les nanotechnologies présentes dans les injections Covid. Chacun se fera son propre avis. Dans tous les cas, on a bien compris qu’ils attendent l’approbation de Bill Gates, ce qui en soi est déjà un élément incriminant et un aveu du rôle majeur joué par Bill Gates dans la plandémie.


Publié par The Telegraph, le 5 mars 2023

Matt Hancock fait une blague sur la conspiration de Bill Gates sur le Covid

L’ancien ministre de la santé s’est moqué d’une théorie farfelue lorsqu’il a parlé d’obtenir le soutien d’un milliardaire de Microsoft.

Matt Hancock a plaisanté en disant que Bill Gates « m’en doit une » vu « le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces ».

Le secrétaire d’État à la santé de l’époque espérait obtenir l’aide du milliardaire de Microsoft, M. Gates, pour promouvoir une offre d’expertise britannique en matière d’identification des variantes de coronavirus lorsqu’il a lancé cette boutade en janvier 2021.

À l’époque, Internet était inondé d’affirmations farfelues selon lesquelles le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces microscopiques dans les bras des gens.

Certains ont suggéré que le génie du mal à l’origine de ce complot était M. Gates, qui a été l’homme le plus riche du monde.

Le 25 janvier 2021, Damon Poole, le conseiller médiatique de M. Hancock, lui a envoyé un message WhatsApp lui demandant s’il avait parlé à Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, de la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), qui offrait à d’autres pays l’expertise du Royaume-Uni pour détecter et évaluer les nouveaux variants dans le monde.

Traduction :

De nombreuses théories du complot concernant le vaccin Covid auraient été diffusées sur Internet par des médias pro-Kremlin.

Elles suggéraient notamment que M. Gates voulait implanter des dispositifs de localisation dans chaque être humain par le biais d’une vaccination de masse, et que les micropuces contenues dans les vaccins permettraient à Microsoft de « contrôler » l’ensemble de la population mondiale.

L’Union européenne a même publié de longs conseils sur la manière de persuader les gens que le complot des micropuces était une fiction.

Une autre théorie du complot populaire, qui aurait été diffusée par la Russie, était que le vaccin de l’Université d’Oxford/AstraZeneca était un « vaccin pour les singes » qui non seulement contrevenait aux droits des animaux, mais transformait également les gens en singes.

M. Gates n’a, en tout état de cause, pas soutenu le NVAP.




Une étude exhaustive évaluée par des pairs indique que des MILLIONS de personnes dans le monde souffrent désormais de graves problèmes de santé causés par les « vaccins » covid

[Source : cogiito.com]

Par Ethan Huff
https://citizens.news/704644.html

Une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Cardiovascular Research, revue à comité de lecture, attire l’attention sur les dizaines de millions de nouveaux problèmes de santé graves qui sont apparus dans le monde entier depuis le lancement de l’opération Warp Speed.

L’arrivée des “vaccins” contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a déclenché une recrudescence de toutes sortes de maladies mortelles affectant le cœur, la peau et le cerveau, révèle l’article. Et la plupart de ces affections persistent au moins 90 jours après l’injection.

Pour leurs recherches, les scientifiques ont examiné les mêmes personnes avant et après l’injection afin de déterminer comment les injections modifiaient leur risque de développer de nouveaux problèmes de santé. Ils ont constaté qu’une personne moyenne a 21 % plus de chances de recevoir un nouveau diagnostic dans les trois mois suivant l’injection que dans les trois mois précédant l’injection.

“Avec près de 240 millions d’adultes américains vaccinés, cette augmentation se traduit par des millions de nouveaux problèmes médicaux dans les mois qui suivent la vaccination, et des dizaines de millions dans le monde entier”,

explique Alex Berenson sur son site Substack.

(Voir aussi : Moderna a lancé une nouvelle injection d’ARNm pour “réparer le muscle cardiaque” endommagé par ses injections de covidés).

L’effet secondaire le plus probable des injections de covid semble être la myocardite (et d’autres problèmes cardiaques)

Dans les trois mois suivant l’injection, le risque d’hypertension augmente de 25 %, selon l’étude. En ce qui concerne la dépression, l’eczéma, le diabète et la cellulite, le risque augmente de 10 à 20 % après l’injection par rapport à la période précédant l’injection.

Le risque le plus grave est la myocardite, explique l’étude. L’injection de covid augmente le risque d’inflammation cardiaque de 260 %, en particulier chez les hommes.

“La myocardite est un effet secondaire connu des ARNm, et le fait qu’il y ait eu un taux particulièrement élevé de diagnostics supplémentaires constitue une preuve solide que le signal trouvé par les chercheurs était réel”, écrit Berenson.

Au total, les chercheurs ont constaté que parmi les 284 000 adultes vaccinés qu’ils ont évalués, près de 6 000 affections nouvelles et supplémentaires ont été diagnostiquées dans les 90 jours suivant l’introduction de l’aiguille dans leur bras.

“Avec environ 237 millions d’adultes américains vaccinés, cette estimation se traduirait par environ 5 millions de diagnostics supplémentaires pour des problèmes tels que le diabète dans les trois mois suivant la vaccination”,

explique M. Berenson.

“À l’échelle mondiale, ce chiffre pourrait atteindre 25 millions.

Comme on peut s’y attendre, les médias et le gouvernement n’ont accordé que peu d’attention à ce document. En effet, ses conclusions contredisent le discours officiel selon lequel les injections de COVID sont “sûres et efficaces”.

Une autre étude réalisée à Hong Kong a également mis en évidence une forte augmentation des “poussées” auto-immunes après l’injection de covidine.

Les nouveaux épisodes de lupus, de polyarthrite rhumatoïde et d’autres maladies auto-immunes graves montent en flèche à la suite de ces injections.

Cette étude a spécifiquement identifié les injections d’ARNm comme étant les coupables.

Les injections de virus inactivés de type chinois n’ont pas eu les mêmes effets, ce qui prouve que les types d’injections de Moderna et de Pfizer-BioNTech sont peut-être les injections de COVID les plus dangereuses qui soient.

“Les Américains n’ont pas cette possibilité, car les États-Unis n’autorisent pas l’utilisation des vaccins Covid inactivés chinois”, note M. Berenson, qui explique que les Américains ont reçu les pires des pires “vaccins”, tandis que la Chine communiste a reçu des vaccins “plus sûrs”.

Dans la section des commentaires, quelqu’un a écrit qu’il avait souffert d’un blocage cardiaque quelques semaines après avoir été vacciné par Pfizer. Il a fini par recevoir un stent. Son beau-frère a également été victime d’une crise cardiaque après sa troisième piqûre, tandis que sa sœur a subi deux accidents vasculaires cérébraux après la sienne.

“Les personnes que nous connaissons ont développé plusieurs allergies alors qu’elles n’en avaient jamais eu auparavant”, ajoute cette personne. “On ne peut pas expliquer cela de manière cynique en disant qu’il s’agit de simples coïncidences.

Vous souhaitez vous tenir au courant des dernières nouvelles concernant les médicaments mortels proposés par Big Pharma ? Vous pouvez le faire à l’adresse suivante : BadMedicine.news.

Sources :




Le programme de contrôle de la population

[Source : khouse.org]

Au-delà du contrôle des naissances

Par Dr Stan Monteith, M.D

Le contrôle planifié de la population, y compris le génocide, est un concept difficile à accepter pour les Américains. Même si le gouvernement américain aide à financer le programme chinois d’avortement, de stérilisation et d’infanticide forcés, ainsi que le « programme de planification familiale » des Nations unies, la plupart des gens trouvent impossible de croire que ces programmes font réellement partie d’un plan plus vaste visant à éliminer de larges segments de la population mondiale.

« Comment pouvez-vous croire cela ? » me demande-t-on souvent. La réponse est très simple : j’ai lu les écrits de ceux qui ont l’intention de dépeupler de grandes parties de la Terre et je les crois. Ils ont écrit sur la nécessité de réduire — par la force si nécessaire — la population mondiale.

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
La Dr Rima Laibow avait connaissance du plan mondialiste vaxinal il y a 20 ans
La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort]

Margaret Sanger et le Planning familial

Nos impôts financent Planned Parenthood, une organisation fondée par Margaret Sanger. Dans le rapport annuel 1985 de Planned Parenthood, ses dirigeants ont proclamé qu’ils étaient « fiers de leur passé et qu’ils planifiaient leur avenir ».(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 105, disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Comment peut-on prétendre être fier d’une organisation dont la fondatrice a écrit dans l’histoire qu’il fallait « exterminer les “mauvaises herbes humaines”… », mettre fin à la charité…, [recourir à] la ségrégation « des crétins, des inadaptés et des désaxés » et… [à] la stérilisation « des races génétiquement inférieures » ?(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 65.))

Dans les années 1930, Margaret Sanger a publié The Birth Control Review, dans lequel elle soutenait ouvertement le « programme d’infanticide » de l’Allemagne nazie et défendait publiquement l’objectif de suprématie blanche aryenne d’Adolf Hitler. Avant la Seconde Guerre mondiale, elle a chargé le nazi Ernst Rudin, directeur des redoutables programmes d’expérimentation médicale allemands, de servir de conseiller auprès de son organisation.

Dans Killer Angel, George Grant a relaté la vie et les écrits de Margaret Sanger, y compris ses projets d’ingénierie génétique de la race humaine. Dans The Pivot of Civilization, Margaret Sanger appelle à « l’élimination des mauvaises herbes humaines », et à « l’arrêt de la charité » parce qu’elle prolonge la vie des personnes inaptes. Elle préconise la ségrégation des inaptes et leur interdit de se reproduire.

En 1939, Margaret Sanger organise le Negro Project, destiné à éliminer les membres de ce qu’elle considère comme une « race inférieure ». Elle justifie sa proposition par le fait que :

« Les masses de Noirs… en particulier dans le Sud, continuent à se reproduire de manière imprudente et désastreuse, avec pour résultat que l’augmentation chez les Noirs, plus encore que chez les Blancs, provient de la partie de la population la moins intelligente et la moins apte… ».(([3] Woman’s Body, Woman’s Right, Linda Gordon, Penguin Press, New York, p. 332; voir également Killer Angel, p. 73.))

Elle a ensuite révélé qu’elle avait l’intention « d’engager trois ou quatre pasteurs de couleur pour se rendre dans diverses enclaves noires afin de faire de la propagande en faveur du contrôle des naissances… L’approche éducative la plus efficace auprès des Noirs passe par un appel religieux. Nous ne voulons pas que l’on dise que nous voulons exterminer la population noire, et le pasteur est l’homme qui peut redresser cette idée si jamais elle vient à l’esprit de l’un de leurs membres les plus rebelles ».(([4] Killer Angel, p. 74: voir également Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334.))

Au fur et à mesure que l’organisation de Margaret Sanger se développe, elle écrit sur la nécessité de cibler également les groupes religieux à détruire, estimant que les « races dysgéniques » devraient inclure « les fondamentalistes et les catholiques » en plus des « Noirs, des Hispaniques [et] des Amérindiens ».(([5] Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334; voir également Killer Angel, p.73.)) Au fil des ans, Sanger devient de plus en plus obsédée par les croyances occultes et hostile au christianisme et au précepte américain de la liberté individuelle. Son dégoût pour l’Amérique est évident dans ses écrits :

« Le contrôle des naissances séduit les radicaux avancés parce qu’il est calculé pour saper l’autorité des églises chrétiennes. Je me réjouis de voir un jour l’humanité libérée de la tyrannie du christianisme, tout autant que de celle du capitalisme ».(([6] Killer Angel, p. 104.))

Tout comme Adolf Hitler, Margaret Sanger était une disciple de la théosophie et de sa fondatrice, Madame Blavatsky. Sanger et Hitler étaient tous deux impliqués dans une religion qui vénérait Lucifer et qui était alimentée par les mêmes forces spirituelles obscures.

Le Lucis Trust est un important représentant moderne de la théosophie, une extension de la Lucifer Publishing Company, qui est également une ONG des Nations unies. Le Lucis Trust a été fondé par Alice A. Bailey au début du 20e siècle. Bailey était une disciple de Madame Blavatsky et la dirigeante nominale de la Société théosophique au début des années 1900.

Le nom « Lucifer » ayant une très mauvaise connotation, Bailey a changé le nom de son organisation de Lucifer Publishing Company en Lucis Trust. La nature et les convictions de cette organisation sont toutefois restées les mêmes.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao]

Le Lucis Trust est l’un des principaux groupes de façade par lesquels la théosophie influence la vie en Amérique. Les publications du Lucis Trust font régulièrement référence au « Plan » pour l’humanité qui a été établi par la « Hiérarchie ». Les disciples de Sanger sont encore en vie aujourd’hui et influencent les politiques nationales et internationales de contrôle de la population.

David Graber, chercheur biologiste au National Park Service, a été cité dans le Los Angeles Times Book Review Section du 22 octobre 1989, comme ayant déclaré :

« Le bonheur humain et certainement la fécondité humaine ne sont pas aussi importants qu’une planète sauvage et en bonne santé. Je connais des spécialistes des sciences sociales qui me rappellent que les hommes font partie de la nature, mais ce n’est pas vrai… Nous sommes devenus un fléau pour nous-mêmes et pour la Terre… Jusqu’à ce que les homosapiens décident de rejoindre la nature, certains d’entre nous ne peuvent qu’espérer que le bon virus se présentera ».(([7] Los Angeles Times, Book Review Section, 22 octobre 1989, p. 9.))

Dans The First Global Revolution, publié par le Conseil du Club de Rome, une organisation élitiste internationale, les auteurs notent que :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses du même genre feraient l’affaire. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ». (([8] The First Global Revolution: Club of Rome, Alexander King and Bertrand Schneider, Pantheon Books, New York, 1991, p. 115.))

Le 5 avril 1994, le Los Angeles Times citait David Pimentel, professeur à l’Université de Cornell, s’adressant à l’American Association for the Advancement of Science, qui déclarait que :

« La population mondiale totale ne devrait pas dépasser 2 milliards d’habitants au lieu des 5,6 milliards actuels ».

Dans Le Courrier de l’UNESCO de novembre 1991, Jacques Cousteau écrivait :

« Le dommage causé à la planète est fonction de la démographie, mais également du degré de développement. Un Américain fatigue la planète beaucoup plus que vingt Bangladeshis… C’est terrible à dire. Il faut que la population mondiale se stabilise et pour cela, il faudrait éliminer 350 000 personnes par jour. C’est si horrible à dire, qu’il ne faut même pas le dire ».(([9] “The Population Controllers,” New American Magazine, 6/27/94, p. 7.))

Dans The Impact of Science on Society (L’impact de la science sur la société), Bertrand Russell a déclaré :

« Actuellement, la population mondiale augmente… Jusqu’à présent, la guerre n’a pas eu d’effet majeur sur cette augmentation… Je ne prétends pas que le contrôle des naissances soit le seul moyen d’empêcher la population d’augmenter. Il y en a d’autres… Si une peste noire pouvait se répandre dans le monde une fois par génération, les survivants pourraient procréer librement sans que le monde soit trop plein… La situation pourrait être quelque peu désagréable, mais qu’en est-il ? Les personnes qui ont un esprit vraiment élevé sont indifférentes à la souffrance, en particulier à celle des autres. »

La société Negative Population Growth Inc. de Teaneck, dans le New Jersey, a récemment diffusé une lettre exposant son objectif à long terme :

« Nous pensons que notre objectif pour les États-Unis ne devrait pas dépasser 150 millions d’habitants, ce qui correspondait à notre taille en 1950. Pour le monde, nous pensons que notre objectif devrait être une population ne dépassant pas deux milliards d’habitants, soit sa taille peu après le début du siècle ».(([10] Documentation disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Il est impossible d’atteindre ce chiffre par le biais de l’attrition normale et du contrôle des naissances, et il existe suffisamment de preuves pour indiquer que d’autres plans sont à l’étude.

Davantage d’influence New Age

S’exprimant lors du Forum sur l’état du monde organisé par Gorbatchev à San Francisco en 1996, l’écrivain et philosophe du Nouvel Âge, le Dr Sam Keen, a déclaré qu’il existait un large consensus sur le fait que les institutions religieuses devaient assumer la responsabilité principale de l’explosion démographique.

Il a ajouté :

« Nous devons parler beaucoup plus clairement de la sexualité, de la contraception, de l’avortement, des valeurs qui contrôlent la population, parce que la crise écologique, en bref, est la crise démographique. Si l’on réduit la population de 90 %, il n’y a plus assez de gens pour causer beaucoup de dégâts écologiques ».

Les remarques du Dr Keen ont été accueillies par des applaudissements de la part de l’auditoire composé d’adeptes du New Age, de socialistes, d’internationalistes et d’occultistes.

Le mois prochain, nous explorerons quelques cas spécifiques de contrôle de la population, tant caché que flagrant, y compris le lien entre les avortements et le cancer du sein et ce qui s’est réellement passé pendant les massacres au Rwanda.

Cet article a été initialement publié dans le
Personal Update News Journal de septembre 1997




Les « lockdown files » — Le nouveau scandale britannique révèle la gestion calamiteuse et « non-scientifique » de la pandémie covid

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

La divulgation de plus de 100 000 messages WhatsApp de l’ancien secrétaire à la Santé britannique Matt Hancock dans les colonnes du Telegraph jette une lumière crue sur la gestion de la pandémie covid par le gouvernement de Boris Johnson. Confinements, fermetures des écoles, tests, l’argument scientifique n’a été qu’un argument fallacieux en faveur d’enjeux politiques.

La divulgation des messages était « dans l’intérêt public », explique la lanceuse d’alerte, la journaliste Isabel Oakeshott

Le Telegraph a obtenu plus de 100 000 messages WhatsApp entre Matt Hancock, le ministre de la Santé britannique et d’autres ministres et fonctionnaires au plus fort de la pandémie de Covid-19. Les messages ont été remis au quotidien britannique par la journaliste Isabel Oakeshott, qui les a reçus de M. Hancock lui-même alors qu’ils travaillaient sur son livre Pandemic Diaries. M. Hancock a qualifié la fuite de ses messages par Mme Oakeshott de « trahison massive » utilisée pour produire « un compte rendu partiel et biaisé adapté à un programme anti-verrouillage ».

Mais Isabel Oakeshott a insisté hier sur le fait que la divulgation des messages était « dans l’intérêt public ». « Je ne pense pas qu’il devrait y avoir une répétition des catastrophes induites par les verrouillages », explique-t-elle en qualifiant les textes de « document historique vital à un moment où nous avons besoin de réponses urgentes ».

Les communications couvrent les années de la pandémie et révèlent des discussions entre le secrétaire à la Santé de l’époque et ceux qui sont au cœur du processus décisionnel, y compris le Premier ministre de l’époque, Boris Johnson. Ils font apparaître l’inhumanité et la folie des confinements et des mesures restrictives imposés aux Britanniques. Ils révèlent également l’approche souvent désinvolte que les ministres ont adoptée pour prendre des décisions importantes, notamment l’appel à la fermeture de salles de classe, l’introduction de masques faciaux dans les écoles et la fourniture de tests dans les maisons de soins.

Absence de justification solide, mesures inhumaines et inefficaces, pression sur la police, données erronées n’ont pas empêché les confinements et les mesures liberticides à répétition

Par exemple Matt Hancock a rejeté l’avis d’un des conseillers du ministère de la Santé qui lui faisait remarquer que les restrictions imposées aux visiteurs des maisons de soins étaient « inhumaines ». Ainsi les résidents sont restés isolés plusieurs mois.

Les masques faciaux ont été introduits dans les couloirs et les zones communes des écoles après que le Premier ministre a été informé que cela éviterait une « dispute » avec le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon.

Alors que l’ancien secrétaire à l’éducation, Sir Gavin Williamson, avait persuadé le Premier ministre de garder ouvertes les écoles en janvier 2021, Matt Hancock a décidé de les fermer tout de même.

De même le gouvernement Johnson savait qu’il n’y avait « aucune justification solide » pour imposer la « règle de six » aux enfants, mais l’a quand même fait.

Le secrétaire à la Santé a également déclaré que le gouvernement devrait « s’acharner sur la police » pour l’aider à réprimer les contrevenants aux règles des confinements.

Les plus hauts conseillers scientifiques du gouvernement ont déclaré au Premier ministre que la mise en place des mesures de confinement n’était pas « très efficace ». Boris Johnson lui-même a évoqué la perspective de donner aux plus de 65 ans « le choix » entre se protéger du virus ou prendre ce qu’il espérait être un « risque de plus en plus décroissant » de vivre une vie plus normale. Il a comparé le risque des plus de 65 ans de mourir de Covid à celui de « tomber dans les escaliers », ajoutant :

« Et nous n’empêchons pas les personnes âgées d’utiliser les escaliers ».

Par ailleurs Boris Johnson avait été averti que les modélisations sombres prévoyant 4000 décès par jour étaient fausses. Mais, malgré ces réserves, le gouvernement a quand même réintroduit le confinement à l’échelle nationale. Sachant que les données « étaient erronées » selon ses propres mots, Johnson était donc impatient d’assouplir les restrictions sur la vente au détail, l’hospitalité et les rassemblements en juin 2020, mais on lui a dit qu’il était « trop en avance sur l’opinion publique ».

Le gouvernement britannique a imposé des politiques dont il savait qu’elles causeraient des souffrances généralisées, sans vraiment savoir si elles sauveraient des vies

Les messages WhatsApp donnent l’impression que presque tout ce que le gouvernement Johnson a fait pour essayer d’atténuer l’impact de covid-19 — distanciation sociale, verrouillage, masquage, fermeture d’écoles, restriction de l’accès aux maisons de soins — n’était qu’un non-sens qu’il a inventé au fur et à mesure, dans le but d’être vu en train de faire quelque chose. Ainsi le gouvernement britannique a imposé des politiques dont il savait qu’elles causeraient des souffrances généralisées, sans vraiment savoir si elles sauveraient des vies.

Les Lockdown Files montrent à quel point les préoccupations politiques ont façonné les mesures covid, la « science » étant trop souvent utilisée comme habillage verbal.

La même politique ayant été imposée en France, on peut gager que la « science » — qui ne se rappelle pas les injonctions « Restez chez vous, sauvez des vies, vaccinez-vous » ? —, n’a été qu’un habillage verbal pour les Macron, Veran & Co destiné à imposer les mêmes restrictions folles. À quand une enquête sérieuse sur la gestion covid comme en Grande-Bretagne ?







La journaliste Isabel Oakeshott explique sa décision d’avoir divulgué les messages WhatsApp de Matt Hancock

[Source : Anaïs Tea]

« Il me semblait qu’il n’y avait vraiment pas d’autre option que de les exposer. Pouvez-vous imaginer un journaliste digne de ce nom, ignorant de tels documents? »

Rappel des faits: Le 04 mars 2023 le Daily Telegraph a dévoilé des milliers de messages WhatsApp (+ de 100 000) mettant directement en cause Boris Johnson et son ministre de la Santé, Matt Hancock, concernant la gestion du Covid-19 au Royaume-Uni.

[Voir aussi :
Les « lockdown files » — Le nouveau scandale britannique révèle la gestion calamiteuse et « non-scientifique » de la pandémie covid]

Dans certains messages divulgués, le ministre ne se cache pas avoir utilisé la peur et la culpabilité pour imposer les confinements, demande quand sera déployé le prochain variant, et déclare même que Bill Gates lui en doit une « au vu du nombre de personnes à qui il a fait injecter ses puces ».

Pas de panique ce dernier message a été fait sur le ton de la boutade selon The Telegraph
https://www.telegraph.co.uk/news/2023/03/05/matt-hancock-joke-bill-gates-covid-vaccine-conspiracy-theory

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/03/04/project-fear-covid-lockdown-files-matt-hancock-whatsapp 

https://www.telegraph.co.uk/news/lockdown-files






La crise du covid expliquée aux naïfs

[Source : Ma France]

Démantèlement de l’arnaque Covid sur CNews avec Pierre Chaillot.






Martine Wonner, une figure de la résistance contre la « folie du covidisme »

[Source : Média en 4-4-2]




Le nucléaire est-il une énergie verte ?

[Source : basta.media]

« Dès que l’on parle d’énergie nucléaire, on est confronté à des problèmes de désinformation. L’affirmation selon laquelle le nucléaire serait une ’’énergie verte’’ le prouve », explique Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire, dans cette tribune.

Par Bruno Chareyron

Bruno Chareyron ingénieur en physique nucléaire et directeur du laboratoire de la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad).
Bruno Chareyron
Ingénieur en physique nucléaire
et directeur du laboratoire
de la Commission de recherche
et d’information indépendantes
sur la radioactivité (Criirad).

Dès que l’on parle d’énergie nucléaire, on est confronté à des problèmes de désinformation. C’est d’ailleurs en réaction à ce problème que la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad) a été créée en 1986, au moment de la catastrophe de Tchernobyl. Les travaux menés par l’association ont permis de montrer à quel point les autorités françaises n’ont pas été capables de mesurer correctement le niveau de contamination du territoire français à ce moment-là, ni d’informer correctement ni de protéger la population.

36 ans plus tard, hélas, ce problème de désinformation persiste. L’affirmation selon laquelle le nucléaire serait une « énergie verte » le prouve.

Dans une centrale nucléaire, l’énergie dégagée par les réactions de fission est utilisée pour chauffer de l’eau et produire de la vapeur qui actionne les turbines de générateurs électriques. Mais les deux tiers de cette énergie partent dans l’environnement sous forme de chaleur. Les centrales nucléaires contribuent ainsi directement au réchauffement de la planète. EDF reconnaît que plus de 50 % de l’augmentation de la température de l’eau du Rhône ces dernières décennies est attribuable aux rejets des centrales électronucléaires situées en amont.

L’impact de la production nucléaire sur les ressources en eau est par ailleurs considérable, en raison notamment des prélèvements effectués pour le refroidissement des centrales, mais aussi dès les activités d’extraction de l’uranium, avec un épuisement de certaines ressources ainsi que leur contamination radiologique et chimique comme c’est le cas à Arlit au Niger.

Rejets d’éléments radioactifs

Les centrales nucléaires rejettent régulièrement des éléments radioactifs et chimiques dans l’atmosphère et les cours d’eau. Certains, comme le tritium et le carbone 14 sont des constituants élémentaires du vivant et vont émettre des radiations au cœur même de notre ADN. En France, des millions de personnes boivent de l’eau qui contient un des éléments radioactifs rejetés par les centrales, le tritium.

Les réactions de fission produisent des matériaux hautement radioactifs qui n’existaient pas à la surface de la Terre il y a un siècle. Les combustibles irradiés sont envoyés à l’usine de retraitement de la Hague qui est une des installations nucléaires les plus polluantes de la planète. Ses rejets contribuent par exemple à l’accroissement continu de la concentration du krypton 85, un gaz radioactif, dans l’atmosphère.

À chaque étape, de la mine d’uranium jusqu’à l’usine de retraitement, des travailleurs et des populations riveraines sont exposés à des rayonnements ionisants et donc à une augmentation des risques de cancer et d’autres pathologies.

L’insoluble question des déchets radioactifs

Sur la question des déchets radioactifs, contrairement à ce qu’affirment certains, les solutions de stockage définitif, opérationnel et sûr ne concernent qu’une infime minorité de déchets.

Dans l’Hexagone, les activités d’extraction de l’uranium ont produit plus de 50 millions de tonnes de résidus radioactifs, qui ne sont pas confinés. Ils ont été déversés en vrac dans d’anciennes carrières, gravières, fond de vallée. Les écoulements contaminés polluent régulièrement telle rivière dans le département de la Loire, telle prairie en Haute-Vienne, etc.

À Malvesi, près de Narbonne, des centaines de milliers de tonnes de déchets radioactifs issus du traitement des concentrés d’uranium ont été déversés dans d’anciens bassins de décantation ou sont à l’air libre dans des bassins d’évaporation.

Il est prévu d’enfouir les déchets extrêmement radioactifs issus du retraitement à plus de 500 mètres de profondeur. Mais ce projet (installation CIGEO) pose des problèmes de sûreté non résolus.

Et à tous ces déchets s’ajoutent ceux issus du démantèlement des installations nucléaires qui représentent des quantités colossales de déchets radioactifs. Face à ce défi, l’État a décidé début 2022 de permettre le recyclage dans le domaine public de métaux issus du démantèlement. Comme il ne sera pas possible de les décontaminer complètement, la réglementation autorise une contamination résiduelle des objets et matériaux de notre quotidien.

« La possibilité d’une catastrophe nucléaire ne peut pas être exclue »

La question des risques d’accident est également un problème majeur du nucléaire. Les innombrables dysfonctionnements qui affectent le chantier EPR de Flamanville, le caractère tardif de leur découverte, parfois même l’existence de fraudes, montrent l’incapacité des industriels et des organismes de contrôle à anticiper les difficultés. De ce point de vue, le passage en force des autorités pour lancer la construction de nouveaux réacteurs EPR2 est particulièrement préoccupant. 

Nous n’avons pas une vision suffisante de l’ensemble des risques à prendre en compte. Les centrales ne sont pas conçues pour faire face aux risques liés à la guerre ni à certains types de risques sociaux, économiques, géopolitiques, climatiques, pandémiques…

Dès lors que la possibilité d’une catastrophe nucléaire ne peut pas être exclue et dans la mesure où personne n’est capable de gérer ses conséquences (ni les coriums, ni les millions de tonnes de sols et gravats contaminés, ni la protection de la population), tout devrait être fait pour privilégier des modalités de production d’électricité réellement verte.

Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et directeur du laboratoire de la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad).




Expérimentation mondiale afin de prouver l’existence de Dieu ?

Jusqu’où pousser l’horreur sans en payer le prix ?
Aucun Créateur ne pourrait rester passif !

Par Alain Tortosa

Je ne sais pas vous, mais depuis quelques décennies, comment le dire avec délicatesse ?

« Le monde part de plus en plus en couille ! »

De tout temps l’être humain a torturé, tué, violé fait des guerres, mais j’ai l’impression que depuis quelques décennies et même années, il se surpasse jour après jour.

En ce sens, remercions la « science » et les « médecins » sans qui cette horreur ne pourrait pas s’approcher du « chef d’œuvre ».

Je ne prétends pas être exhaustif tant l’imagination au service du Mal est fertile.

En vrac, sans ordre de gravité :

  • Avortement à terme de bébés en parfaite santé.
  • Euthanasie de pauvres, de vieux sans maladies graves ou de malades mentaux.
  • Pédophilie en bandes organisées.
  • Compostage de nos morts.
  • Mères porteuses en situation de mort cérébrale.
  • Trafic d’organes volés sur des personnes vivantes et des enfants.
  • Changement de sexe et donc stérilisation forcée.
  • Anthropophagie présentée comme une solution d’avenir.
  • Humains qui dorment dans des cartons dans la rue.
  • Guerres provoquées pour faire de l’argent et contrôler les peuples.
  • Injections meurtrières dénommées « vaccins ».
  • Alimentation empoisonnée pour créer des malades à vie.
  • Fausse écologie uniquement punitive pour se faire de l’argent et réduire les peuples en esclavage.
  • Pauvreté organisée à l’échelle mondiale qui pourrait être éradiquée en quelques années.
  • Esclavagisme moderne ou « à l’ancienne ».
  • Fin du monde annoncée à cause du prétendu réchauffement climatique causé par l’homme en ignorant d’accuser les criminels de l’industrie chimique.
  • Psychopathes buvant du sang de bébés torturés.
  • Menaces invisibles, virus tueurs pouvant nous terrasser sur l’instant.
  • Surveillance de masse.
  • Mariages forcés d’enfants.
  • Maximisation des bénéfices à court terme quitte à plomber l’avenir.
  • Légalisation des actes sexuels avec des animaux si « on ne les blesse pas ».
  • Attaques sous faux drapeaux pour diviser et nous maintenir dans la peur.
  • Mensonges qui deviennent la règle tandis que la vérité est condamnée.
  • Médicaments pour créer des maladies soignées avec des médicaments pour créer des maladies soignées avec des médicaments pour créer des maladies, etc.
  • Insectes dangereux dans la nourriture.
  • Chirurgiens sans conscience défigurant des humains dans une prétendue chirurgie dite « esthétique ».
  • Apologie des drogues, du plaisir, de l’instantanée.
  • Art décadent axé sur le laid, le dérangeant, le tordu, le malsain, la mort, Satan, mais plus sur le beau.
  • La consommation comme seul sens à la vie.
  • Égoïsme des faits et fraternité des mots.
  • Destruction de tous les idéaux, de Dieu, du communisme et j’en passe.
  • Etc.

Je vous prie de m’excuser pour les oublis, mais vous aurez saisi le sens de mon propos.

L’accumulation de toutes ces horreurs me donne le sentiment
de vivre une expérience à grande échelle
dont le but serait de prouver l’existence de Dieu !

Je suis moi même joueur, espiègle, un peu taquin et je reconnais bien volontiers que toute cette dépravation comme la pédophilie, le culte de Satan « c’est évidemment super rigolo, n’en doutons point » !

Nous avons atteint un tel niveau de « perfection » que tous les psychopathes et dictateurs passés se retournent dans leur tombe. Notre talent exacerbe en eux une émotion qu’ils faisaient tout pour museler, répondant ainsi instantanément à leurs plus bas instincts. Oui, le fait est que nous avons réussi à les rendre jaloux, jamais ils n’auraient rêvé, et encore moins osé additionner de telles horreurs.

Nous vivons un open-bar de l’immonde que tout un chacun feint d’ignorer.

Je me demande s’il n’y aurait pas un stade où cet arc-en-ciel incessant
de crimes contre l’humanité ne finirait pas par « fâcher grave » le Créateur.

Si l’on voulait recevoir ses foudres, nous ne nous y prendrions pas autrement.

Alors :

  • Je veux bien qu’il ne nous ait pas créés parfait pour que nous puissions avoir notre propre existence.
  • Je veux bien qu’il nous ait donné le libre arbitre afin que nous puissions choisir tout au long de notre existence terrestre entre le bien et le mal.

J’accepte bien volontiers ces postulats.

Mais il y a bien un truc dont je peux être certain :

Lorsque le Créateur nous a fait ce « cadeau » de la vie et du libre arbitre,
il n’avait pas en tête qu’après dix rails de cocaïne on puisse enculer des bébés
pour boire leur sang ensuite !

Vous ne me ferez pas croire qu’opérer des enfants en leur disant qu’ils seraient désormais d’un autre sexe, euthanasier des malades mentaux « à leur demande » ou avorter des bébés à 9 mois de gestation et que sais-je encore, faisait partie de son plan initial ! 

Si l’objectif est de prouver son existence en l’obligeant de détruire la tour de Babel
ou de provoquer un nouveau Déluge, ne changez rien à l’humanité actuelle, tout est parfait !

Au point où l’on en est :

  • Soit les gens normaux sortent de leur mutisme et disent « maintenant vous arrêtez les conneries et on redevient des humains et non des dépravés adorateurs de Satan. » Et auquel cas, on a une petite chance de sauver l’espèce !
  • Soit nous allons pouvoir constater assez vite la preuve de l’existence d’un Créateur et nous allons nous en prendre une dans la gueule, que les rares survivants auront du mal à oublier !

Je suis bien entendu profondément pessimiste, je ne vois rien de positif dans l’évolution de cette boucherie que nous appelons « humanité ».

Je sais bien qu’il existe de belles personnes, je sais bien que la vraie humanité peut apparaître au détour d’un tremblement de terre ou en donnant une couverture à un sans-abri.
Mais cela n’efface en rien ni ne protège de l’horreur de ce monde.

J’ai la conviction que l’âge de la retraite ou de la sortie prochaine de l’iPhone 45 est beaucoup plus important que dire stop à l’ensemble des horreurs que je dénonce.

Je ne sais si j’envie ou si j’ai de la peine pour celles et ceux qui peuvent vivre et être heureux dans ce monde sans être profondément affectés par ces horreurs.
J’ai souvent honte d’être humain, mais aussi d’être du mauvais côté de la barrière et je souffre de mon impuissance et de mon manque de courage, preuve que je n’ai rien d’un prophète.

Merci.

Alain Tortosa1, apeuré et désespérément impuissant.
6 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230306-decadence-horreurs-doigt-de-Dieu.pdf





L’intention de nuire — Preuve de la conspiration en vue de commettre des meurtres de masse par le DOD, le HHS et le cartel pharmaceutique américains

[Source : @ReligiareOriginel]




Bonus




Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus

Par Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

INFECTION N’EST PAS CANCER

Faits avérés concernant cette vaccination

Depuis plusieurs semaines, les lobbys des entreprises pharmaceutiques ont mobilisé les médias, notre ministre de la Santé et notre président pour faire la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus). Après avoir déploré qu’« un tiers des jeunes filles » et moins de 10 % des garçons se font vacciner », il s’être déclaré « ouvert à une vaccination obligatoire »1, et vient de déclarer des contre-vérités flagrantes dans un collège de Charente. Comment ses conseillers peuvent-ils le tromper à ce point et lui cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ? 

Pourtant la Commission de la transparence dans son avis du 13 septembre 20172 avait alerté :

« Les données disponibles ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant… l’efficacité en termes de prévention des cancers ».

La consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !3

Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré

Un ami gendarme m’a rappelé que « sur les lieux d’un crime, on trouve aussi les témoins ».

Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs4 5, eux-mêmes liés entre eux dont : l’activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d’inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, l’usage prolongé des contraceptifs oraux, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq), le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales dont l’herpès, la chlamydia et une vingtaine de souches de HPV, les dépressions6. Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus et prétendent qu’ils en seraient les seuls responsables.

De plus un certain nombre de cancéreuses se révèlent d’ailleurs HPV négatives7 8, ce qui contredit le discours habituel repris par l’agence officielle Santé publique France faisant de cette infection une condition indispensable au cancer.

Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infecter l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées9) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90 % des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée.

Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorise la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie. L’absence de lien de causalité exclusive10 démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus11, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande Gardasil peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles et d’autres à négliger le dépistage cytologique.

En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »12 13, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée14 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques.

La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).

 De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente :

Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !

En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12 – 13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14 – 18 ans. Entre 2008 – 2009 et 2011 – 2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6 %.

Un article mensonger récent15 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV : quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50 % au taux français actuel).

Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :

« Au cours de la dernière décennie, au Royaume uni (entre 2006-2008 et 2016-2018 les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006 – 2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupes d’âge objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.

À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !

En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).16

La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs17 de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11.5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination18 19. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide t pour sa responsabilité.

En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination

La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer20 montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-

2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)

RÉSULTATS GLOBAUX DES VACCINATIONS ANTI-HPV DANS LE MONDE : EFFICACE SUR LE VIRUS, INEFFICACE SUR LA PRÉVENTION DU CANCER

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.

En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt21 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le Dr de Chazournes22.

Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).

En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.

Pourquoi le Président fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?

Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays

En France, le calvaire de Marie-Océane23 24 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.

Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications et des procès aux USA25 26 27.

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil28 29 et les premières audiences devraient se tenir en avril 2023.

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin. 

L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».

Ne vaccinons surtout pas les garçons par le Gardasil !

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs30 avec de multiples partenaires (74 % des cas), et séropositifs au sida (77 % des cas)31 32 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.

Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute33:

« Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2 % chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9 % par an entre 2011 et 2020. »

En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi34:

« Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53 %) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13 %). »

On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !

Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.

Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés35 :

« La vaccination par GARDASIL 9® (9HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés »

Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la Ministre chargée de la santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations36 à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiserdes adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »

La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs ou garçons indécis !

En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence37. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie, comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.

Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens38

Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue, comme le suggèrent les Suédois39. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100 % d’efficacité sur 100 % des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustée sur la qualité de vie (QALY)40, alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.

Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles41 :

« le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou42

Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »

On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.

Dans l’état actuel de la science,
il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !