Victoire en Allemagne : le professeur Sucharit Bhakdi innocenté par le tribunal et acclamé par les porteurs de la mémoire de l’Holocauste

[Source : sentadepuydt.substack.com]

[Illustration : Prof. Sucharit Bhakdi, tout sourire, à la sortie du tribunal. 23 mai 2023]

Le stratagème « antivax = antisémite » est-il en train de vaciller ?

Par SENTA DEPUYDT

Enfin un signe encourageant dans la bataille contre le totalitarisme !

Le professeur Sucharit Bhakdi dont on avait mentionné l’affaire dans le 1er épisode de la série de Vera Sharav « Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial » a été innocenté des accusations « d’incitation des foules » et de « banalisation de l’Holocauste ».

Cet éminent professeur en immunologie, virologie et en microbiologie, né en Thaïlande et émigré en Allemagne avait dès le début de la pandémie interpellé le gouvernement dans une « lettre à Angela Merkel » quant au manque de justification scientifique des mesures de lutte contre le coronavirus. Calme, pédagogue, brillant chercheur auteur de plusieurs découvertes et de 380 publications, cet homme pétri de gentillesse avait déconcerté le régime autoritaire habitué à se mesurer aux lanceurs d’alertes à « grandes gueules ».

Chose étonnante, derrière une apparence modeste, le professeur manie un franc-parler particulièrement abouti, ce qui l’avait presque immédiatement poussé à qualifier les vaccins Covid d’instruments de génocide. Avec d’autres scientifiques, tel l’anglais Dr Mike Yeadon, ancien vice-président du département Recherche et Développement chez Pfizer (qui apparaît dans le 4e épisode de la série) et le professeur pneumologue Wolfgang Wodarg, qui avait dénoncé l’arnaque de la pandémie H1N1, Bhakdi avait formé l’association « Doctors For Covid Ethics » qui fut la première à alerter l’Agence européenne des médicaments sur les dangers de thrombose du vaccin Astra Zeneca.

Par ailleurs, il était un des rares à avoir osé dénoncer la dérive totalitaire en Israël, pays à qui l’on avait réservé l’honneur de « servir de cobaye » pour le restant de la planète lors du lancement des premières campagnes de vaccination Covid.

L’enfer sur terre

C’est suite à une interview donnée le 24 septembre 2021 au journaliste allemand Kai Stuht, intitulée « L’enfer sur terre », que la foudre s’abat sur lui. Sucharit avait osé parler de l’impensable :

Il y a une coercition qui est exercée en Israël et dans de nombreux pays. Et si vous ne faites pas attention, elle arrive si vite, si vite que vous ne savez pas ce qui vous a frappé, plus vite que la foudre. Et si vous êtes si indolents et que vous ne vous levez pas pour dire « Non, vous ne ferez pas cela avec nous », alors c’est fini pour vous, et vous n’aurez pas la possibilité de fuir.

Les Israéliens ne peuvent plus fuir. Le pays est fermé. C’est ce qui va se passer ici. Un Américain m’a demandé un jour ce que j’avais à dire sur Israël. J’ai répondu que pour moi, les Israéliens, c’est le peuple que j’admire plus que tout autre au monde — j’ai toujours été un grand admirateur des Juifs. Oui, vous savez que je suis un amateur de musique et d’art. Les plus grands esprits étaient des Juifs. Il faut bien l’admettre, même si moi, je suis bouddhiste….

« J’ai toujours adoré les Juifs. Vous avez vu ma collection de disques ? Je suis allé rencontrer ces musiciens juifs pour avoir un autographe de leur part. Isaac Stern, David Oistrakh, oui, j’ai parcouru des centaines de kilomètres pour les entendre, pour avoir leur autographe. Je les adorais, et maintenant ils font ça. Eux, qui ont fui ce pays, ce pays où se trouvait le mal absolu, et qui ont fondé leur propre pays… Ils l’ont transformé en quelque chose d’encore pire que ce qu’était l’Allemagne. C’est inconcevable.

J’ai dit aux Américains : les Juifs apprennent bien. Il n’y a pas de peuple qui apprenne mieux qu’eux. Mais ils ont appris et mis en œuvre le mal. C’est pourquoi Israël est aujourd’hui devenu un enfer sur terre. Et j’ai dit aux Américains, et si vous ne faites pas attention, l’Amérique sera aussi un enfer vivant, et je vous le dis maintenant, votre pays sera transformé en enfer vivant si vous ne vous soulevez pas bientôt.

À ce moment précis — avril 2021 — tous les regards étaient en effet tournés vers Israël, le pays avait le taux de vaccination de masse le plus rapide au monde, de sorte que ses citoyens avaient été parmi les premiers à subir des effets indésirables. Par ailleurs, les inquiétudes du Dr Bhakdi concernant la victimisation du peuple israélien par son propre gouvernement s’étaient rapidement avérées fondées, comme le montre le Testimonies Project qui reprend les témoignages des Israéliens victimes de dommages des vaccins Covid.

Fort heureusement, les accusations d’incitation des foules, suite aux paroles de l’interview, avaient finalement été abandonnées pour « manque de substance ».

Mais, quelques mois plus tard, le 24 septembre 2021, le vaillant Sucharit était revenu à la charge et, dans un discours sur la place communale de Kiel, il avait prononcé les mots qui allaient donner lieu à une nouvelle accusation pénale de la part de plaignants, cette fois pour « banalisation ou dépréciation de l’Holocauste ».

Bhakdi avait déclaré que :

Environ un tiers de la population sait pourquoi ces crises ont été inventées de manière intentionnelle et ont fait l’objet de mensonges…

La chute peut difficilement être arrêtée parce que le reste de la société est totalement inconscient du danger. Elle ne veut pas participer au plan d’ensemble. C’est un plan parfaitement ficelé. C’est effrayant. L’élite mondiale a déjà réussi à injecter plus d’un milliard de doses d’une substance modifiée génétiquement à des humains qui n’en ont pas conscience. C’est terrible de voir ma propre passion (immunologie) utilisée à des fins incroyablement maléfiques.

Tout ce que je sais, c’est que si nous échouons, il ne nous reste qu’une toute petite chance d’échapper à une catastrophe imminente. Nous devons essayer d’atteindre ceux qui sont encore réceptifs. C’est clair pour tous ceux qui savent qu’avec l’approbation officielle des vaccins, la première étape de l’agenda a été franchie et la course est lancée pour atteindre l’objectif final. Cet objectif final est la création de la nouvelle réalité et n’implique rien de moins que le second Holocauste et l’abolition de l’humanité sous sa forme actuelle. Les médias répandent la peur et la panique dans ce but.

Accusations et soutiens

Cette fois, c’en était trop pour le gouvernement allemand. Le professeur fut accusé de banaliser l’Holocauste, un crime passible de deux ans d’emprisonnement en Allemagne. Une véritable bataille finit donc par s’engager autour du professeur préféré de la résistance, chaque partie accusant l’autre de mensonges et d’antisémitisme. Progressivement, un large mouvement de soutien national et international se rangea derrière lui, parmi lesquels une série de personnes et d’associations juives dont « Jews for Justice » (que l’on voit également dans la série de Sharav), qui firent une campagne sur les réseaux sociaux relayée dans différents pays.

Fin mars 2023, l’apparition de Sucharit Bhakdi lors d’un meeting en Allemagne donna lieu à une ovation générale si impressionnante qu’elle récolta des millions de vues.

Un verdict qui rétablit la justice !

C’est donc avec toute l’attention du public focalisée sur ce procès que l’audience finale s’est déroulée aujourd’hui.

À l’évidence le procureur en charge de l’accusation dont le réquisitoire comptait plus de 6 pages, n’avait par contre pas pris la peine de regarder les vidéos complètes des déclarations de Bhakdi, alors que les éléments évoqués avaient été sortis de leur contexte. Par ailleurs, elle avait instruit le dossier à charge, mais omis de prendre en compte les arguments en faveur de l’inculpé. L’accusation avait par exemple ignoré « la lettre aux médias » écrite par les victimes de l’Holocauste à l’occasion du soutien au professeur Bhakdi :

Vous, les médias, avez menti aux gens pendant des années en prêchant de fausses leçons de l’Holocauste….

La leçon de l’Holocauste est qu’il ne faut pas rester les bras croisés et participer à la persécution d’une minorité. Ils ont instrumentalisé l’Holocauste dans le but inverse : priver les gens de la volonté de s’élever contre l’injustice. C’est de cette manière impie que vous avez préparé et que vous êtes en train de mettre en œuvre un nouvel Holocauste.

Nous vous avertissons expressément qu’un nouvel holocauste est en train de se dérouler, mais en plus grand et plus sophistiqué. La brutalité avec laquelle vous combattez, niez, blessez et humiliez l’opposition, à la fois verbalement et physiquement, sert à supprimer la vérité. Des moyens de subsistance détruits, des fouilles d’appartements, des interdictions d’exercer une profession, des renvois forcés vers des hôpitaux psychiatriques et pire encore — cela pourrait être l’histoire de nos vies, mais c’est la réalité que nous observons en Allemagne.

On ne nous imposera pas le silence !

Mais au terme d’une journée d’audience, la justice allemande a finalement fait son travail en rendant un verdict honorable : Sucharit Bhakdi est blanchi de toutes les accusations portées contre lui !

Interrogé à la sortie du procès, le professeur Bhakdi a fait une énième déclaration déconcertante dans son mode « bouddhiste » habituel :

« Je crois que j’étais la personne la plus détendue dans la salle aujourd’hui. Que l’on m’accuse de haine, d’incitation à la violence, ou d’antisémitisme, ce sont des choses qui me sont tellement étrangères que tout cela ne m’affecte pas ».

Une histoire à retenir et un exemple à méditer…




La Défaite du G7

[Source : AVATAR Media]

Le Coup de Gueule de Nicolas Bonnal

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Bilderberg 2023
L’empire américain de la dette est sur le point de s’effondrer]




Pourquoi s’inquiéter de vaccins quand l’hypothèse virale n’a jamais été démontrée après plus de 70 ans de tentatives faussement scientifiques ?

[Source : @TheAmir]

« Virus » pathogènes : les Drs Bailey, Cowan et Kaufman répondent à Del Bigtree :






Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain

[Source : @Roms17 ou rumble.com]

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Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité

[Source : Guy Boulianne]

Par Guy Boulianne, éditeur et journaliste indépendant

Voici un article du Maître de conférences en relations internationales, Dr David A. Hughes, intitulé “Qu’y a-t-il dans les soi-disant « vaccins » COVID-19 ? Partie 1 : Preuve d’un crime mondial contre l’humanité” (What is in the so-called COVID-19 “Vaccines”? Part 1: Evidence of a Global Crime Against Humanity). Cet article a été publié dans le dernier numéro du “Journal international de la théorie, de la pratique et de la recherche sur les vaccins” (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research).  L’IJVTPR est une revue savante en libre accès à comité de lecture concernant le développement, la distribution et le suivi des vaccins et de leurs composants. Tout le contenu est disponible gratuitement et sans frais pour l’utilisateur ou son institution. Les utilisateurs peuvent lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer, rechercher ou créer un lien vers les textes intégraux des articles, ou les utiliser à toute autre fin licite. L’autorisation de l’éditeur ou de l’auteur n’est pas requise, mais les demandes de renseignements et les lettres nous informant de l’utilisation légale de l’un de nos documents publiés sont les bienvenues. Toutes les œuvres sont sous licence Creative Commons License 4.0 NC ND.

David Hugues est né et élevé dans le Lincolnshire. Sa carrière universitaire l’a conduit à travers le monde avant de finalement rentrer chez lui. Après avoir terminé ses études de premier cycle et de maîtrise à Oxford, David a fait son premier doctorat. en études allemandes à Duke University (USA) où il a reçu deux bourses de recherche de 12 mois pour étudier en Allemagne. Avant de venir à Lincoln, David a obtenu un deuxième doctorat. en relations internationales de l’Université d’Oxford Brookes. Il a ensuite travaillé à l’Université d’East Anglia, au Royal Holloway, à l’Université de Londres, où il a remporté un prix d’excellence en enseignement, et à l’Université de Nottingham Trent. Membre de l’Académie de l’enseignement supérieur, David a enseigné toute la gamme des modules de relations internationales et croit fermement qu’il faut amener les étudiants à penser de manière critique.

David Hugues est le responsable du programme de la maîtrise en relations internationales. Auparavant, il a siégé au conseil académique de l’Université et au comité des affaires académiques du Collège des sciences sociales et a agi en tant que responsable des affaires académiques pour l’École des sciences sociales et politiques. Il a également agi en tant que tuteur de niveau 2, responsable de l’apprentissage numérique et représentant de l’école au Centre de développement professionnel. Il est spécialisé dans le Covid-19; la propagande; la guerre psychologique; l’impérialisme américain et le marxisme.

Résumé

Entre juillet 2021 et août 2022, des preuves d’ingrédients non divulgués dans les “vaccins” COVID-19 ont été publiées par au moins 26 chercheurs/équipes de recherche dans 16 pays différents sur les cinq continents à l’aide d’analyses spectroscopiques et microscopiques. Bien qu’ils fonctionnent en grande partie indépendamment les uns des autres, leurs résultats sont remarquablement similaires et mettent en évidence le danger clair et présent auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des « vaccins » COVID-19. Cela soulève de graves questions sur le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (plus des deux tiers de la race humaine), y compris des enfants, apparemment sans leur consentement éclairé concernant le contenu. Les découvertes surprenantes incluent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines, des « microbulles » et une éventuelle nanotechnologie à auto-assemblage. Le sang des personnes qui ont reçu un ou plusieurs “vaccins” COVID-19 semble, cas après cas, contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, les globules rouges étant généralement en formation de Rouleaux. Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Si les conclusions de ces 26 études sont confirmées, alors les implications politiques sont tout simplement révolutionnaires : un crime mondial contre l’humanité a été commis, dont chaque gouvernement, chaque régulateur, chaque organisation médiatique établie et toutes les professions ont été complices.

[Voir aussi :
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
et le dossier Vaccins et virus]

Introduction

En l’espace de 13 mois (juillet 2021-août 2022), des preuves matérielles d’ingrédients non divulgués dans les « vaccins » COVID-19 ont été rendues publiques par des chercheurs indépendants en Espagne (Pablo Campra, rapports ici et ici; La Quinta Columna, rapports iciiciici et ici), les États-Unis (Carrie MadejRobert O. Young, son reportage ici, « Andy Vie », et un chercheur anonyme), l’Afrique du Sud (Zandre Botha), la Pologne (Franc Zalewski), l’Autriche (ici), Australie (scientifiques, médecins et chercheurs anonymes), Israël (Shimon Yanowitz), Nouvelle-Zélande (Robin Wakeling, suivi ici, et le groupe anonyme Life of the Blood), Allemagne (Bärbel GhitallaAndreas NoackHolger Reissner, et le Vaccines Education Working Group), Argentine (Martin Monteverde et collègues), Chili (rapport ici), Royaume-Uni (Philippe van WelbergenRichard D. Hall et Robert Verkerk), Canada (Daniel Nagase), FranceCorée du sud (ici et ici), et l’Italie.

C’est plus que suffisamment de preuves, provenant d’au moins 26 chercheurs/équipes de recherche distincts dans 16 pays différents sur les cinq continents, pour mettre en évidence le danger clair et actuel auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des “vaccins” COVID-19. Quel est le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (70 % de la race humaine), y compris des enfants et des nourrissons ? Examiné sous un grossissement puissant, le contenu des flacons semble contenir une variété d’objets et de structures inhabituels pour lesquels les ingrédients déclarés du “vaccin” ne tiennent pas compte. Ceux-ci comprennent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines et des « microbulles ». Le sang des personnes ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19 apparaît, cas après cas (94 % des cas selon Giovannini et al. 2022), contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, avec des globules rouges généralement en formation de Rouleaux. Les effets sur le sang sont si prononcés qu’une étude a révélé que l’intelligence artificielle peut être entraînée pour détecter la différence entre le sang « vacciné » et « non vacciné » avec un taux de précision de plus de 98 %.

Certains chercheurs affirment que les artefacts non divulgués contenus dans les « vaccins » COVID-19 s’auto-assemblent en nanotechnologie. Bien que cela semble absurde au premier abord, considérez certaines des images de grossissement les plus élevées que nous sommes sur le point de voir :

Source : Life of the Blood (grossissement 4 000x).
Source : La Quinta Columna (grossissement 1 200x).

Ce que nous examinons ici n’est pas clair, mais à première vue, cela ressemble à une sorte de circuit. Une telle imagerie demande une explication. Les résultats présentés dans cet article déplacent le débat sur les « vaccins » COVID-19 vers un nouveau territoire. Les dangers des injections résident non seulement dans les ingrédients déclarés — le PEG toxique des nanoparticules lipidiques, l’ARNm qui programme le corps humain pour produire des protéines de pointe nocives, etc. (cf. Seneff & Nigh, 2021) — mais aussi, et peut-être pour une bien plus grande mesure, dans les ingrédients non divulgués. Dans ce qui suit, plus de 100 pages d’images microscopiques démontreront au-delà de tout doute raisonnable que les “vaccins” COVID-19 ne sont pas ce qu’on nous a dit qu’ils sont, c’est-à-dire des moyens sûrs et efficaces de prévenir la maladie. Au contraire, ils semblent être fortement chargés de corps étrangers, ainsi que d’instructions permettant aux cellules humaines de fabriquer des corps étrangers, qui s’avèrent profondément nocifs pour la santé humaine.

Ces corps étrangers sont présents dans toutes les grandes marques : BioNTech-Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, et autres. Il apparaît donc, d’après ce que nous savons jusqu’à présent, que tous les fabricants, tous les régulateurs et tous les gouvernements, avec le soutien des médias de l’establishment, sont complices de, et doivent activement avoir conspiré pour commettre, ce qui équivaudrait au crime le plus grave contre l’humanité de tous les temps, c’est-à-dire la tentative d’injection de toute la race humaine (à l’exception des auteurs) avec des substances/technologies toxiques non divulguées sans le consentement éclairé de quiconque. Il ne peut y avoir de recherche plus urgente à notre époque que celle des « vaccins » COVID-19.

Conclusion

Cet article présente les preuves de 26 études sur le contenu des « vaccins» COVID-19 menées dans 16 pays différents sur cinq continents sur une période de 13 mois, de juillet 2021 à août 2022. Toutes convergent vers des résultats similaires pointant vers des ingrédients non divulgués. dans les “vaccins”. Pfizer suivi de Moderna semblent être les pires coupables, bien que tous les « vaccins » COVID-19 correspondent au modèle. La conclusion inévitable est que le public de tous les pays s’est fait systématiquement mentir sur le contenu des « vaccins » COVID-19.

Implications scientifiques

Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Comme Lee et al. l’ont dit, « d’autres études, y compris la pleine force des outils de la nanoscience, la nano-ingénierie hybride de vers trans synthétiques et d’autres approches, devraient être menées dès que possible » (2022, 260). Il faut faire plus et mieux. Il y a, pour citer Wakeling, « beaucoup plus de possibilités pour plus de travail pour plus de gens […] Beaucoup plus de recherche citoyenne, un débat solide et une diligence raisonnable sont nécessaires avant de tirer des conclusions ou de prendre des décisions ».

Pourtant, les signes semblent sombres. Le plus troublant de tous est la prise de sang. Étude après étude, pays après pays, exactement les mêmes résultats apparaissent dans le sang « vacciné », c’est-à-dire des tubes géants, laids, contre nature et translucides assis grotesquement parmi les globules rouges décimés qui ont été envoyés dans la formation Rouleaux. Merriam-Webster définit un poison comme « une substance qui, par son action chimique, tue, blesse ou altère généralement un organisme ». Cela semble être le cas ici. Il semble y avoir très peu d’exceptions. Pratiquement tous les échantillons de sang « vacciné » examinés dans ces multiples études semblent avoir succombé au même sort, alors qu’aucun échantillon « non vacciné » (autre qu’une poignée revendiquée par van Welbergen) ne semble montrer autre chose que des globules rouges sains. Étant donné que la formation de Rouleaux de globules rouges est normalement associée aux patients atteints de maladies chroniques, « entraîne une altération de la perfusion et de l’oxygénation des tissus », et peut entraîner des caillots sanguins potentiellement mortels (Kibria et al. 2014 ; Wagner et al. 2013), ces résultats sont dévastateurs, surtout compte tenu du fait que 5,33 milliards de personnes — plus des deux tiers de la population mondiale — ont reçu l’injection. Quel avenir pour ces personnes ?

Lee et al. (2022, pp. 258-9) citent des études démontrant les dommages graves causés par les « vaccins » COVID-19, y compris le syndrome d’immunodéficience acquise induite par un vaccin (VAIDS), une sensibilité accrue à diverses infections et cancers, la myocardite et des anomalies neurologiques. Les données de diverses armées révèlent également une augmentation des

crises cardiaques, en hausse de 269 % ; cancers en hausse de 300 % ; péricardite en hausse de 175 % ; l’embolie pulmonaire a augmenté de 467 % ; Syndrome de Guillain-Barré en hausse de 250 % ; irrégularités menstruelles en hausse de 476 % ; la sclérose en plaques a augmenté de 487 % ; les signalements de douleurs thoraciques ont augmenté de 1 529 % ; la respiration laborieuse observée a augmenté de 1 052 % — tout cela par rapport aux données de base obtenues avant l’administration de tout vaccin COVID-19 (Lee et al. 2022, p. 258 ; voir également Salazar, 2022).

Encore une fois, qu’est-ce que cela présage pour l’avenir ? S’agit-il de sociétés aux prises avec des maladies chroniques là où il y a eu une forte adoption du « vaccin », dans le contexte de systèmes de santé déjà surchargés ?

Des études sur de grands échantillons de sang de patients ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19, ainsi que sur du sang « non vacciné » et le contenu du « vaccin » lui-même, doivent maintenant avoir lieu en priorité. En ce qui concerne le premier, des études suffisamment puissantes sont nécessaires pour enregistrer le nombre d’injections reçues et quand, le(s) fabricant(s), le temps écoulé depuis la dernière injection, l’âge et le sexe du patient, la présence de problèmes de santé sous-jacents, la nature et l’étendue des déformations sanguines, etc. Il est impératif d’établir dans quelle mesure la signature sanguine identifiée ci-dessus est présente dans la population des personnes « vaccinées ». Est-il vrai qu’il existe une différence qualitative entre le sang des patients « vaccinés » et « non vaccinés » ? Si c’est le cas, alors de grandes questions éthiques se posent, comme s’il devrait y avoir des approvisionnements séparés en sang « vacciné » et « non vacciné » et qui reçoit quel type en cas de transfusion ?

Quelles sont les grandes “fibres” translucides qui semblent apparaître dans presque tous les échantillons de sang des patients “vaccinés” mais pas des patients “non vaccinés” ? D’où viennent-ils ? Comment en sont-ils arrivés à être si gros (certains approchant apparemment 1 mm), étant donné qu’aucun élément trouvé dans les « vaccins » eux-mêmes n’est aussi gros ? Continuent-ils à grandir ? Comment est-il possible qu’une ou plusieurs injections de 0,25 mL de « vaccin » créent autant de corps étrangers dans le sang ? La programmation de l’ARNm n’est-elle pas seulement la production de protéines de pointe, mais également la production et l’auto-assemblage d’autres structures ?

Plus important encore, les objets étrangers présentés ci-dessus restent-ils dans le corps humain ou sont-ils finalement filtrés ? Si les contaminants contiennent de l’oxyde de graphène, une substance 100 fois plus résistante que l’acier avec une température de fusion quatre cinquièmes aussi élevée que la surface du soleil, il semble peu probable que le système immunitaire soit capable de les combattre, comme nous l’avons vu avec éclatement des neutrophiles. Des études soigneusement conçues et suffisamment puissantes sont donc nécessaires pour tester le sang « vacciné » au fil du temps. Si les corps étrangers sont progressivement filtrés, alors le « programme de rappel » vise-t-il à conditionner la population à accepter des injections régulières pour que la technologie puisse être « rechargée » ? Peut-on trouver des remèdes ou des traitements pour aider à se débarrasser de ces corps étrangers ? Peut-on faire quelque chose pour inverser les formations de rouleaux et de bavures des globules rouges vues ci-dessus ? Celles-ci semblent maintenant être parmi les questions médicales les plus urgentes de notre époque.

Il est important de mener des études approfondies sur le sang « non vacciné ». Si van Welbergen a raison de dire que même les personnes “non vaccinées” peuvent afficher le type de signature d’analyse sanguine observée chez les “patients vaccinés” (il est le seul scientifique de cet article à faire cette affirmation), alors soit l’excrétion de contaminants est réelle, soit les gens sont empoisonnés par d’autres moyens que le « vaccin ».

En termes d’analyse du contenu des « vaccins » COVID-19, la première priorité doit être d’utiliser les équipements de microscopie et de spectroscopie les plus avancés disponibles afin de confirmer ou de discréditer les images extraordinaires produites par Life of the Blood à un grossissement de 4 000x. S’il est vrai que chaque goutte de “vaccin” contient une flotte de nano antennes apparentes, de “cordons” et de “cartes mères”, alors une analyse plus approfondie est nécessaire pour confirmer ce qu’il en est. Il s’agit de savoir si les corps étrangers présents dans les injections sont bien une forme de nanotechnologie, s’il y a bien auto-assemblage de composants et, si oui, comment cela se fait. S’il s’agit de nanotechnologies, pourquoi y a-t-il tant d’objets dans les « vaccins » mesurant dans la gamme du micron ? Nous avons besoin de confirmation pour savoir si oui ou non le graphène/oxyde de graphène/hydroxyde de graphène, ainsi que d’autres métaux comme le bismuth, le titane, le silicium et l’antimoine, sont présents dans les « vaccins ». Nous devons savoir si les « vaccins » contiennent des parasites et d’autres organismes vivants. Nous devons savoir ce que sont les « gousses », « éclats » et « œufs » identifiés ci-dessus. Et, à la lumière de l’analyse de Wakeling du “vaccin” Afluria Quad, nous devons examiner d’autres “vaccins” non COVID pour découvrir dans quels autres types de “vaccins” ces composants non déclarés sont présents. Si les résultats ci-dessus sont confirmés, nous devons savoir qui est responsable des ingrédients non divulgués dans les « vaccins », où se trouvent leurs laboratoires, et nous devons mettre ces laboratoires en pièces.https://vk.com/video_ext.php?oid=470962009&id=456241084&hash=057e1b8ae37bc30c&hd=2

Comité spécial sur la pandémie de COVID-19 (Special Committee on COVID-19 pandemic) avec la présidente des marchés internationaux chez Pfizer, Janine Small. Parlement européen. (10 oct. 2022)

Implications politiques

Le rôle des régulateurs dans tout cela, incarné par leur mantra selon lequel les « vaccins » COVID-19 sont « sûrs et efficaces », est horrible. Comme le notent les chercheurs autrichiens, de simples microscopes optiques avec un grossissement relativement faible sont suffisants pour capturer des preuves de particules surdimensionnées. Pourquoi donc l’Institut Paul Ehrlich n’a-t-il pas détecté ces particules ? La Quinta Columna demande de la même manière : étant donné qu’il existe des « multitudes de particules de taille microscopique » dans les « vaccins » COVID-19, pourquoi l’EMA n’a-t-elle pas relevé cela ? C’est pareil partout dans le monde. Les médecins coréens, par exemple, écrivent :

« Il est étonnant pour nous, en tant que médecins cliniciens et chercheurs en exercice, qu’il n’y ait pas eu d’évaluation microscopique intensive jusqu’à l’échelle nanométrique avant l’autorisation de mise sur le marché des vaccins COVID-19 au ministère de la sécurité alimentaire et médicamenteuse en Corée du Sud […] et ailleurs dans le monde. » (Lee et al. 2022, p. 261)

Van Welbergen souligne le rôle de Dame June Raine à la tête de la MHRA britannique : elle a approuvé l’EUA pour le “vaccin” Pfizer bien qu’elle ait admis sur la BBC qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il contenait. Lorsqu’elle a été pressée de demander à Pfizer les ingrédients, Pfizer a simplement refusé de les divulguer, mais Raine a publiquement défendu Pfizer. Le CDC américain insiste, contrairement aux preuves spectroscopiques ci-dessus, sur le fait que les « vaccins COVID-19 ont subi – et continuent de subir – la surveillance de sécurité la plus intensive de l’histoire des États-Unis » et qu’ils ne contiennent « aucun métal tel que le fer, le nickel, le cobalt, titane, alliages de terres rares, ou tout produit manufacturé comme la microélectronique, les électrodes, les nanotubes de carbone ou autres nanostructures, ou les nanofils semi-conducteurs ». Les alternatives éprouvées, sûres et efficaces aux « vaccins », telles que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été rigoureusement supprimées. Robert Verkerk le dit simplement : les régulateurs sont « en profondeur ».

Cependant, il n’y a pas que les régulateurs. Comme l’observe Wakeling, « des preuves ont été présentées aux gouvernements, aux organismes de réglementation et aux tribunaux, sans aucun effet. Ce n’est pas pris au sérieux. » Pratiquement tous les gouvernements du monde, en particulier en Occident, ont déployé des efforts considérables pour administrer les injections de « COVID-19 » au plus grand nombre de personnes possible, y compris en étendant le déploiement aux enfants en l’absence de toute preuve scientifique crédible pour le faire. (Hugues, 2022). Dans certains pays, la « vaccination » est devenue une condition d’emploi dans certaines professions ou de formation. Une tentative transnationale est toujours en cours pour introduire des « passeports vaccinaux » qui rendraient la participation quotidienne à la société dépendante de la prise régulière de ces poisons (Tony Blair en est le champion au Royaume-Uni et a reçu le rare honneur de l’Ordre de la Jarretière pour ses efforts). La profession juridique n’a pratiquement rien à dire sur les tentatives illégales et inconstitutionnelles de gouvernements après gouvernements d’imposer une « vaccination » de masse. Les médias de l’establishment ont facilité une attaque de propagande 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, terrorisant et faisant honte au public pour qu’il se conforme et diabolisant les « refuseniks » prétendument responsables d’une « pandémie de non vaccinés ». La profession médicale a été responsable de l’administration des injections (médecins généralistes britanniques incités à hauteur de 12,58 £ par injection) et de ne pas avoir fourni les informations nécessaires au consentement éclairé. Le milieu universitaire a maintenu son silence rigoureux habituel lorsqu’il s’agit de vraiment dire la vérité au pouvoir. En somme, toutes les professions ont manqué simultanément à leur devoir envers le public. Tous sont complices de ce qui se joue actuellement.

A moins que les 26 chercheurs et équipes de recherche évoqués dans cet article ne se trompent tous lourdement, nous nous penchons sur ce que le médecin néo-zélandais Matt Shelton appelle « le plus grand crime de l’histoire, sûrement », c’est-à-dire l’injection de milliards de personnes, sans leur consentement éclairé, avec des substances non divulguées qui causent manifestement des dommages et dont l’objectif secret ne peut être que néfaste. À tout le moins, nous assistons à la violation la plus flagrante du Code de Nuremberg et à ce que Richard D. Hall appelle « le plus grand crime jamais commis contre l’humanité », certainement en termes de nombre de personnes touchées. De plus, selon Holger Reissner (à 42 minutes, faisant écho à la métaphore de la « micro lame de rasoir » d’Andreas Noack), la nature semblable à un éclat d’obus du prétendu oxyde de graphène à l’intérieur du corps provoque des souffrances inutiles et donc, si sa présence est prouvée, constitue un crime de guerre en violation des Conventions de Genève. Selon Maria Zee, si les régulateurs savaient que l’oxyde de graphène, une substance toxique, était présente dans les “vaccins”, ils sont responsables d’un génocide.

Les allégations de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de génocide attirent nécessairement l’attention sur les militaires et soulèvent de sombres questions quant au véritable objectif des « vaccins », dont nous savons qu’ils n’empêchent ni la transmission ni l’infection du « SARS-CoV-2 » (subramanien et Kumar, 2021 ; Wilder-Smith, 2021). Même le Premier ministre britannique a affirmé : « Cela ne vous empêche pas d’attraper la maladie et cela ne vous protège pas de la transmettre. » En d’autres termes, les “vaccins” COVID-19 ne sont pas en fait des vaccins, car ils ne confèrent pas d’immunité et promettent simplement de réduire les symptômes, comme un médicament ou un traitement. Ce n’est qu’en modifiant la définition de « vaccin » que le CDC a pu les inclure dans cette catégorie (Hughes, 2022, p. 210). Bill Gates, Anthony Fauci et d’autres ont admis que l’efficacité des vaccins “COVID-19” s’estompe en quelques mois, mais plutôt que d’abandonner un produit défectueux, ils l’ont utilisé comme prétexte pour pousser des “injections de rappel” — de plus en plus d’injections dans plus et plus la population (Loffredo, 2021). Pourquoi ? Quel est le véritable programme ici ? Ce sujet est abordé dans la partie 2 de cet article, qui traite des motifs du crime mondial contre l’humanité qui a apparemment eu lieu.




Réexamen du Covid au Parlement européen — pour la liberté et la justice

[Source : Kla.tv]

Liberté et vérité sont les maîtres-mots du Sommet international Covid qui s’est tenu début mai au Parlement européen. Des médecins et des experts internationaux ont enfin pu, en coopération avec des parlementaires européens, présenter les faits effrayants à un public mondial. Mais un nouveau danger menace avec le traité de l’OMS sur les pandémies qui devra être négocié ces jours-ci. Découvrez ici comment vous pouvez vous-même agir contre cette situation !

Autres émissions sur ce thème :

OMS – Échec total sur toute la ligne ?
www.kla.tv/25901

75 ans de l’OMS – Le traité de l’OMS sur les pandémies dicte TOUS les domaines de la vie
www.kla.tv/25686

Le génocide du Covid-19 appelle à la création d’une Cour mondiale indépendante
www.kla.tv/25447

L’avocat Philipp Kruse révèle les projets de pouvoir de l’OMS
www.kla.tv/25220

18ème AZK – Dr. Astrid Stuckelberger « L’OMS, l’ONU et leur projet de coup d’État mondial contre nos libertés »
www.kla.tv/24768

[Voir aussi :

L’OMS s’apprête-t-elle à prendre définitivement le contrôle sur les États pour la politique de santé ?

Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, David BELL, Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.
(Vidéo 1 h 57)
]

« Il est de notre devoir de dire au monde que nous devons nous battre pour la liberté, que nous devons nous battre pour refuser la coercition et que de plus nous devons nous battre pour la vérité. »

Chant :

« Nous serons libres jusqu’au jour de notre mort. »
Cette ode à notre liberté
Atteindra les cieux lointains !
Notre liberté est un droit
Pour lequel nous nous levons et combattons
Et marchons hardiment vers l’enfer,
pour briser ce mauvais sort. »

Sous le signe de la liberté et de la vérité, le Sommet international du Covid s’est tenu pour la troisième fois au Parlement européen à Bruxelles du 2 au 4 mai, avec des professionnels et des experts du monde entier.

Grâce à la coopération avec des membres du Parlement européen, cet événement a permis un échange scientifique approfondi entre les membres du Parlement et ces mêmes voix spécialisées. Les thèmes suivants étaient particulièrement intéressants :

Toute la vérité sur le Covid-19 : des premiers débuts à l’état actuel des connaissances

Ce que les dernières données sur la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid-19 peuvent nous dire

Les dernières connaissances scientifiques sur les réactions indésirables, les dommages et les effets secondaires causés par les vaccins

L’impact des restrictions, la suppression d’un traitement précoce et le rôle des médias

Ainsi que les aspects juridiques de la lutte contre la pandémie

Des médecins, chercheurs et experts renommés du monde entier ont présenté les résultats de leurs recherches et de leurs analyses de recherche. Parmi les orateurs figuraient notamment le Dr Robert Malone (États-Unis), le Dr Ryan Cole (États-Unis), le Dr Meryl Nass (États-Unis) et le professeur Arne Burkhardt (Allemagne).

Kla.tv a assisté pour vous à la conférence de presse qui s’en est suivie à Bruxelles et résume ci-dessous le résumé des coorganisateurs du Parlement européen :

Prof. Byram Bridle (États-Unis, immunologue)

Ce que j’ai le plus apprécié dans mon expérience d’hier, c’est le fait que ces députés européens ici présents sont pour moi des héros, et vous ne devriez pas seulement être fiers d’eux ici en Europe, mais ce sont des leaders politiques dans le monde entier. Dans le pays d’où je viens, un débat ouvert sur la science concernant le Covid-19 n’est pas autorisée. Mais hier, un débat non censuré, ouvert et honnête a été possible sur les données dures et objectives concernant la politique du Covid. Je remercie ces députés d’avoir rendu cela possible.

Christine Anderson (Allemagne, Parlement européen)

Nous sommes devenus une famille. C’est une famille de voix en plein essor tout autour du globe et je suis particulièrement reconnaissante d’être devenue une partie, un membre de cette famille, dont je suis très fière. Et, comme je l’ai dit, des gens merveilleux… et nous continuerons à être la voix montante. Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour renverser les élites mondialisées.

Dr Robert Malone (États-Unis, virologue)

J’aimerais souligner l’une des principales conclusions qui a traversé toutes les présentations. Il s’agit du fait qu’il y a effectivement des personnes qui ont été endommagées par les vaccins. C’est une chose qui a été supprimée par toutes les chaînes des — pardonnez-moi — médias corporatifs et des gouvernements, à savoir qu’il y a effectivement des personnes qui ont été endommagées par les vaccins et qu’elles n’ont pas été autorisées à parler. On a supprimé leur expérience. Ils ont été rabaissés. Et ils ont été lésés. Je demande instamment que nous voyions ces personnes. Nous devrions travailler ensemble, et l’UE devrait jouer un rôle moteur dans la découverte et l’identification de traitements et de thérapies possibles, afin que ces personnes puissent être soignées. Et qu’elles soient indemnisées pour les dommages qu’elles ont subis du fait des politiques mises en œuvre dans l’UE, aux États-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande, en Australie et dans le monde entier.

Nous avons également pris connaissance des dommages qui étaient liés à cela. Non seulement avec le virus lui-même, dont il a été prouvé qu’il n’était pas d’origine naturelle, mais aussi avec de nombreuses inventions et surtout avec les politiques publiques liées aux interdictions, aux effets néfastes sur les enfants de l’obligation de porter un masque, jusqu’aux conséquences juridiques en termes de Règlement sanitaire international, qui sont activement promues. Nous pensons — et je pense que la plupart de mes collègues seront d’accord avec moi — que l’OMS a échoué dans la gestion de cette épidémie. Mais maintenant, elle réclame plus de capitaux, plus de pouvoir, plus de contrôle et plus de compétences pour réellement porter atteinte à la souveraineté des individus dans l’UE, aux États-Unis et dans le reste du monde.

Cristian Terheș (Roumanie, Parlement européen)

Hier, nous avons permis à chaque expert, à chaque médecin, à chaque professeur de nous présenter, et de présenter au monde, les résultats de leurs recherches professionnelles. Il est important qu’en tant que députés et représentants élus du Parlement européen, nous écoutions de vrais experts, eu égard à la fonction que nous occupons. Car malheureusement, durant toutes ces années, nous avons davantage entendu parler de bureaucrates et d’ONG qui n’ont aucune connaissance spécialisée dans ce domaine, mais nous n’avons guère entendu parler de véritables experts.

Ivan Vilibor Sinčić (Croatie, Parlement européen)

La volonté politique est là en Europe, tant dans ce Parlement que dans les parlements nationaux, pour faire les bonnes choses, mettre en place de grandes directives pour l’avenir. Nous allons envoyer les conclusions de chaque professeur, de chaque médecin à l’EMA, à la Commission, à notre commission. Et nous exigerons d’eux qu’ils tiennent compte de ces conclusions. S’ils refusent, nous leur martèlerons les données scientifiques.

Christine Anderson (Allemagne, Parlement européen)

Le Covid était un ballon d’essai, et ils ont tiré des leçons de comment et où ils ont échoué à amener les gens à faire ce qu’on leur a dit de faire et à se conformer. Et ils vont faire passer cela au niveau supérieur. Nous parlons ici de la carte d’identité numérique. Elle est en préparation et le Parlement s’est trahi lui-même en décidant à une large majorité de ne même pas impliquer le Parlement, mais de négocier directement à huis clos sur le n* d’identification numérique. La prochaine chose que nous verrons est bien sûr la monnaie d’État numérique. Ce serait le coup ultime porté à la liberté de notre vie privée. Nous ne parlons pas de projets futurs dans 40 ou 50 ans. Nous parlons de MAINTENANT. Nous avons besoin des gens de notre côté pour lutter contre cela, pour sensibiliser les gens et pour faire savoir à leurs gouvernements nationaux qu’ils ne se résigneront pas et qu’ils ne l’accepteront pas. Nous avons besoin des gens pour cela. Je vous remercie.

Mislav Kolakušić (Croatie, Parlement européen)

L’OMS veut que tous les pays signent un accord qui lui donne le pouvoir de déclarer une pandémie et de fournir des vaccins et des médicaments. Il serait plus sain et plus sûr pour l’humanité de signer un accord avec le cartel colombien de la drogue. En tout cas, celui-ci s’y connaît en matière de drogue. Mais pendant la pandémie de Covid, l’OMS n’a fait que mentir sur tout. Elle devrait être déclarée organisation terroriste. Mettre la vie de millions de personnes entre ses mains est extrêmement dangereux ! Elle a menti en disant qu’il existait un virus nouveau et inconnu, qu’il était possible de fabriquer un vaccin efficace, que le vaccin était efficace à 82 %, qu’il protégeait contre des maladies graves et contre la mort. Tout cela n’était que stupidités et mensonges !

Cristian Terheș (Roumanie, Parlement européen)

Nous faisons tout ce que nous pouvons. Nous voulons offrir une plateforme, une opportunité. Ce que nous avons organisé hier avec le sommet Covid, on ne l’a pas vu dans ce bâtiment depuis des années. Mais la lutte commence au niveau national. Car après tout, nous sommes tous des nations souveraines. Nous devons défendre notre souveraineté au niveau national et à partir de celui-ci. C’est pourquoi vous devriez contacter vos représentants élus dans les Parlements. Et assurez-vous que vous aiguisez les consciences sur ce problème. Il est très important que dans chaque pays membre de l’UE, vous demandiez à vos représentants élus dans votre Parlement national de ne pas approuver ce traité. Ce n’est qu’alors que ce traité nous parviendra au Parlement européen pour y être débattu. Mais le combat commence au niveau national. C’est pourquoi je vous appelle tous à vous engager au niveau national. Assurez-vous que vous demandez à vos représentants élus au Parlement national d’y mettre un terme avant qu’il ne devienne un traité reconnu en droit international.

Joignez-vous à l’appel commun pour la liberté !

Le temps presse, car la semaine prochaine, notre liberté pourrait, être encore plus restreinte, et de manière considérable.

Du 21 au 28 mai 2023, le nouveau règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS doit être négocié à Genève, à la demande des États-Unis. Celui-ci anticipe déjà les principaux dépassements du dénommé traité sur les pandémies avec des modifications drastiques des nouvelles obligations de droit international pour tous les Etats membres.

Le traité sur les pandémies, qui doit être adopté en mai 2024 et qui est actuellement à l’état de projet, doit ainsi être consolidé en mai 2023. Pour l’Allemagne, seule une petite délégation dirigée par le ministre de la Santé Lauterbach négocie cette question importante sans débat politique et publique préalable, sans consultation du Parlement, sans mandat direct du peuple et sans aucune consultation populaire.

C’est la dictature des groupes pharmaceutiques qui menace ! Car ce sont eux qui, en tant que principaux bailleurs de fonds, déterminent la politique de santé de l’OMS depuis de nombreuses années.

En Allemagne, agissez et téléchargez les lettres-types en dessous de cette émission et adressez-les au chancelier Scholz et aux députés du Bundestag. Ainsi, vous pouvez vous aussi faire pencher la balance avec un minimum d’efforts !

Les e-mails sont plutôt effacés à la chancellerie. Les LETTRES, en revanche, sont une masse de papier qui est perçue et comptée. Chaque lettre compte autant que 1 000 voix d’électeurs !

de paz.

Sources/Liens :




Comment notre conscience est utilisée pour créer la réalité

[Source : Jeanne traduction]



Source de la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=wVS87dxAmxw


En complément, sur l’empathie :

[Source : Antoine Peytavin Coaching]

Seul un super empathe peut détruire un Pervers Narcissique


La loi naturelle ou règle d’or:

La loi la plus importante de l’univers (elle a été gardée secrète)

[Source : Jeanne traduction]



[Voir aussi :
La clef de la libération]




Michael Yeadon : « Ne vous soumettez pas ! »

[Source : Ciel Voilé]

[Voir aussi :
Le Dr Michael Yeadon sur la crise Covid : Le message le plus important que j’aie jamais écrit
Après des révélations militaires sur les effets du vaccin anti-Covid sur la fécondité, l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, demande des excuses aux médias pour leurs « mensonges »
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo
Le Dr Mike Yeadon conclut : « Il n’y a pas de virus respiratoires ! »
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?
Le grand mensonge : pénurie d’énergie mondiale et crises multiples — toutes fabriquées — destinées à la destruction de la civilisation occidentale
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Un Plan Pour Le Monde
Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
DU GRAND RÉVEIL
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
L’épée, le bon grain et l’ivraie
Réenchanter le monde]






Le retour de flamme végétalien : La vérité derrière l’agenda antimatière animale

[Source : Cogiito vie Sott.net]

Par Jan Wellmann

D’ici à une dizaine d’années, notre table ne contiendra plus d’aliments à haute densité, naturels et d’origine animale. Un examen plus approfondi de l’ordre du jour explique pourquoi il est nécessaire de commencer à planifier l’autosuffisance.

Dites-moi ce que vous mangez

« Dites-moi ce que vous mangez, et je vous dirai qui vous êtes », écrivait le gastronome français Jean Anthelme Brillat-Savarin dans son livre Physiologie du goût paru en 1825. 1

Friedrich Nietzsche s’est rallié à cette idée dans Ecce Homo près d’un siècle plus tard. Nietzsche a essayé le végétarisme, mais a conclu que la modération et l’équilibre en toutes choses étaient préférables, tout comme Brillat-Savarin, qui mettait également l’accent sur le plaisir et la qualité de la nourriture.

Un siècle plus tard, il est à nouveau temps de se rappeler que oui, en effet, « nous sommes ce que nous mangeons », car les ingénieurs sociaux visent à éliminer les aliments à haute densité d’origine animale – tels que la viande, les produits laitiers et les œufs – et à les remplacer par des aliments de synthèse d’origine végétale.

Par « plantes », nous n’entendons pas les êtres vivants qui poussent dans la nature, mais des variantes obtenues en laboratoire et fabriquées en usine.

Elles représentent l’un des nutriments les plus nocifs et les plus répandus, car elles endommagent le tractus gastro-intestinal, sapent l’équilibre microbien et perforent la muqueuse intestinale, pierres angulaires de nos systèmes digestif, immunitaire et endocrinien. 2

Que nous aimions ou non l’idée de nutriments à faible densité, manipulés génétiquement et fabriqués chimiquement n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est d’optimiser l’impact en CO2 de nos futures calories sans détruire la planète.

Cette histoire émotionnelle, psychologiquement calibrée, est composée à 50 % de cosmétiques et à 50 % de conneries.

Le véritable objectif est le contrôle

Comme Henry Kissinger, grand précepteur de Klaus Schwab et porte-parole du clan du gouvernement mondial, aurait dit : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » 3.

Il n’est pas nécessaire d’être un adepte de la théorie du complot pour se rendre compte que ces tangentes sont aujourd’hui pleinement engagées. Nous nous dirigeons vers un système d’enclos humain. Une fois à l’intérieur, la sortie sera difficile.

Nous nous concentrerons sur l’aspect alimentaire ci-dessous parce qu’il aura l’impact le plus immédiat et le plus profond sur ce que l’espèce humaine deviendra demain. Si nous ne parvenons pas à arrêter le vecteur actuel, nous serons confrontés à une population catastrophiquement plus malade et plus faible, qui dépendra des produits pharmaceutiques, des stimulants et d’une nounou pilotée par l’IA.

Une grande partie de la population a déjà subi un lavage de cerveau pour croire que la prochaine version sans viande du régime alimentaire américain standard (SAD) sera bénéfique pour les humains et la planète.

Une fois que l’on vous aura expliqué les avantages des hamburgers synthétiques végétaliens, une simple image d’un dîner au steak pourra activer les mots « cholestérol », « soins intensifs » et « défibrillateur » dans votre subconscient, ainsi qu’une animation GIF de vous, en train de vous tordre sur un canapé de télévision à cause d’une attaque coronarienne.

Vous verrez peut-être aussi des vaches dans des pâturages pastel péter des nuages de méthane, responsables de l’engloutissement de Bangkok, de la Nouvelle-Orléans, de Miami et de Venise sous la montée des eaux. N’oubliez pas les calottes glaciaires qui fondent, les ours polaires qui se noient, leurs petits qui meurent de faim et vos rêves de visiter Rome, en Italie, qui s’évaporent parce que le sud de l’Europe est en train de devenir une partie du Sahara.

Des choses terribles se produisent lorsque vous n’avez pas le courage moral de refuser un steak.

Il faut des décennies de récits élaborés pour en arriver à ce niveau d’abrutissement. Il faut un siècle d’opérations psychologiques pour faire avaler le discours anti-viande comme s’il s’agissait d’une série d’arguments scientifiques.

Malheureusement, ce n’est ni la première ni la dernière fois que nous nous faisons avoir.

Un précurseur historique : L’escroquerie sur le cholestérol

L’élimination progressive de la viande éclipsera probablement les dommages causés par l’élimination progressive des graisses saturées, qui a commencé avec l’engouement des années 1980 pour les aliments pauvres en graisses, alias le mythe des graisses saturées qui bouchent les artères.

Ce qui s’est passé en quelques décennies est historique, comme en témoigne l’explosion des taux d’obésité dans les pays industrialisés.

La campagne de désinformation sur les aliments pauvres en graisses a utilisé le cholestérol comme bouc émissaire. Manger des graisses entraîne un excès de cholestérol et donc des maladies cardiaques. Aujourd’hui, nous savons qu’il s’agit d’une fabrication de bout en bout.

Selon les dernières recherches évaluées par des pairs,

« un régime alimentaire composé d’un pourcentage élevé de graisses naturelles, d’une quantité modérée de protéines et d’une faible proportion d’hydrates de carbone nous aidera à perdre du poids, à prévenir les maladies, à satisfaire notre appétit, à réduire les fringales et à promouvoir la longévité  » 4.

La consommation de bonnes graisses (huile de coco, huile d’olive, graisses de viande biologique, avocat, huiles de poisson, etc.) est un moyen fiable d’obtenir des calories à haute densité tout en perdant du poids sainement, sans affecter notre taux de cholestérol.

D’ailleurs, la science non corrompue sait depuis longtemps que le cholestérol est indispensable à la vie. « C’est un élément essentiel de la construction des hormones, une partie cruciale du système immunitaire et un élément central de l’appareil de réparation des tissus de l’organisme. Sans cholestérol, il n’y aurait pas de renouvellement cellulaire et pas de vie », écrit le Dr Jeffry Gerber dans Eat Rich Live Long.

En cas de stress et d’inflammation dans l’organisme, comme c’est le cas pour la plupart des gens de nos jours, votre survie dépend de l’augmentation du taux de cholestérol, car il aide à guérir et à réparer les cellules endommagées. À moins que vous ne preniez un Lipitor, bien sûr, et que vous empêchiez le corps de se guérir lui-même.

En raison du marché de plusieurs milliards de dollars que représentent les pilules hypocholestérolémiantes, Big Pharma, aidée par Big Media et Big Healthcare, a d’abord diabolisé le cholestérol, puis manipulé le seuil de diagnostic de l' »hypercholestérolémie » jusqu’à ce que la quasi-totalité des êtres humains de la planète satisfassent aux critères pour prendre une statine.

En 2011, Pfizer gagnait 11 milliards de dollars rien que sur le Lipitor. En 2021, les ventes cumulées de Lipitor sur l’ensemble de sa durée de vie s’élevaient à plus de 163 milliards de dollars. 5 6 7 8

C’est une belle performance pour une pilule aux effets secondaires graves (perte rapide de mémoire, troubles de l’équilibre, douleurs musculaires aiguës) et à l’impact quasi nul sur la longévité ou le bien-être. 9 10

La grande conférence sur le cholestérol restera dans les annales et ne sera probablement surpassée que par l’héritage des injections de MRNA 11, mais il s’agit là d’une autre histoire (en cours de développement).

Nous entrons à présent dans le niveau suivant de dommages potentiels pour l’humanité. Comme nous le verrons à partir de données nutritionnelles objectives, l’absence de viande sera un accélérateur pour la santé physique et mentale collective déjà défaillante. Ou disons simplement « santé », puisque « mental » et « physique » sont tous deux des aspects de la santé métabolique, qui dépendent de notre niveau de nutrition et de notre mode de vie. 12 13

La nouvelle réalité nutritionnelle ne fera rien non plus pour lutter contre le changement climatique tout en compromettant la gestion efficace des terres au point de provoquer l’autosabotage de la planète.

Les arguments contre la viande

Les principaux arguments contre la viande – selon le récit des ingénieurs – sont les suivants :

  • 1) Éthique : l’industrie moderne de la viande est diabolique.
  • 2) Efficacité : la production de viande est inefficace et ne peut nourrir la population mondiale.
  • 3) Santé : La viande est mauvaise pour la santé et est liée au cancer, aux maladies coronariennes, etc.
  • 4) CO2 : La production de viande est à l’origine du changement climatique.
  • 5) De meilleures alternatives : Les nouvelles alternatives à la viande synthétique sont plus saines, plus rentables et plus respectueuses de l’environnement.
  • 6) Spirituel / religieux : pourquoi les humains devraient-ils avoir le droit de tuer et de manger d’autres formes de vie ?

Il y en a probablement d’autres, mais abordons-les d’abord.

« L’industrie de la viande est maléfique et écologiquement inefficace

Oui, c’est vrai. L’industrie de la viande transformée est l’un des grands maux de notre époque. Au cours du siècle dernier, nous avons normalisé la souffrance animale en gros en échange de tranches de protéines emballées sous vide et de bénéfices pour les entreprises. Nous pouvons sentir le cauchemar dans le produit final si notre conscience est encore attachée à nos papilles gustatives. Nous ne recevons pas seulement un morceau de cadavre marqué par une vie de torture, mais aussi un cocktail cancérigène de produits chimiques destinés à conserver l’animal suffisamment longtemps pour qu’il puisse être vendu et digéré (tableau 1).

C’est pourquoi les végétaliens disposent d’un argument aussi puissant et convaincant.

« S’il vous plaît, arrêtez cette folie ! C’est le crime du siècle ! » Et ils ont raison. L’offense est si grave que les sociétés extraterrestres futures nous brûleront probablement (comme dans le film Mars Attacks de Tim Burton) en raison de ce que nous avons fait subir aux animaux aux 20e et 21e siècles.

Cependant, l’argument de l’holocauste ne tient pas compte du fait que nous pourrions également travailler avec des animaux sans les soumettre à un holocauste. Nous pourrions remplacer les camps de concentration par des environnements respectueux des animaux et de l’environnement, où les animaux paissent en liberté, fertilisent le sol naturellement sans dérivés pétroliers et prospèrent sans cocktail d’hormones parce qu’ils sont libres et satisfaits. 14

Cette stratégie brillante, conçue par la nature, peut être imitée par l’agriculture régénératrice avec la diversité des cultures, le bétail en pâturage libre et la fertilisation naturelle en laissant les animaux et la végétation se mélanger. 15

L’abattoir moderne est un exemple de ce qui se passe lorsque nous remettons en question la nature et que nous accusons la viande de tous les maux – y compris la contamination (méthane, oxyde nitreux) et les maladies animales (nécessitant des antibiotiques et des hormones) – alors que les problèmes ne concernent que la méthode d’exécution.

« Au cours du siècle dernier, l’agriculture a déclaré la guerre à la terre à l’aide de combustibles fossiles, mécaniquement (labourage du sol), chimiquement (herbicides et pesticides) et biologiquement (technologie des OGM). En séparant l’élevage des cultures, nous avons dissocié les cycles bio et géochimiques du carbone, de l’eau, de l’azote, du phosphore et du soufre, et augmenté les émissions de méthane et d’oxyde nitreux, ainsi que l’eutrophisation et la contamination des sources d’eau »

écrivent les auteurs d’une étude approfondie sur les systèmes alimentaires durables. 16

La réaction instinctive à ces arguments est généralement d’ordre strictement émotionnel.

« On ne peut pas nourrir des milliards de personnes avec de la viande de pâturage ! La vérité est que le système actuel – des monocultures induites chimiquement qui produisent en série des terres arides et séparent les animaux de la nature – est l’équation insoutenable.

Les ambassadeurs pro-vegan oublient que la plupart des terres agricoles ne peuvent de toute façon pas être exploitées pour les cultures – en raison d’un terrain inadapté, d’un sol pauvre, d’un manque d’eau, etc. Les deux tiers des deux milliards d’hectares de prairies (par opposition aux terres agricoles) dans le monde ne peuvent pas être utilisés comme terres cultivables, ce qui les rend idéaux pour faire paître du bétail heureux. 17 18 19

Prenons l’exemple d’Alan Savory, un expert en gestion des terres qui a étudié les troupeaux dans son pays natal, le Zimbabwe. Lorsque les animaux sont laissés en liberté de manière à laisser suffisamment de temps de repos au sol pour qu’il se rétablisse (comme le veut la nature), la magie opère, avec un triple avantage :

Le troupeau vit en bonne santé et en liberté.

Le troupeau contribue à revitaliser les terres arides au point de transformer des zones désertifiées en terres fertiles (c’est la seule technique connue qui y parvienne aujourd’hui avec succès).

Le troupeau produit une viande exceptionnellement riche en nutriments, sans hormones, sans antibiotiques et sans produits chimiques.

Le discours TED d’Alan sur la méthode du pâturage planifié holistique vaut la peine d’être écouté. Vous vous demanderez pourquoi cette méthode n’a pas encore été largement adoptée dans d’autres parties du monde. C’est la réponse à l’un des problèmes les plus urgents de notre planète : les terres arides.20 21

Les terres arides représentent près de 30 à 41 % de la surface terrestre mondiale et abritent aujourd’hui une personne sur trois. La dégradation de la qualité des terres dans les régions arides est responsable d’une réduction du produit intérieur national pouvant aller jusqu’à 8 % par an.

« Nous pouvons éviter le sort commun des sociétés anciennes tant que nous ne répétons pas leur grande folie de dépouiller la couche arable fertile à un rythme insoutenable. Malheureusement, c’est exactement ce que nous sommes en train de faire, mais cette fois à l’échelle mondiale »

écrit David Montgomery dans son livre Dirt, The Erosion of Civilizations (La saleté, l’érosion des civilisations).

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas de cette histoire ?

La réponse est que les ingénieurs sociaux devraient renoncer à argumenter contre la possibilité d’une production de viande éthique.

Le discours végan met de côté le fait que nous pouvons travailler avec les animaux sur un pied d’égalité. Il veut que nous nous concentrions sur un crime éthique parce que c’est la campagne de recrutement parfaite pour les mouvements anti-viande.

L’effort de recrutement éthique fonctionne, mais, étonnamment, il n’a pas produit suffisamment de fantassins pour une révolution. Bien que le récit des deux dernières décennies ait considérablement augmenté le nombre de végétaliens, celui-ci reste inférieur à 3 % de la population des États-Unis et de l’Union européenne 22, 23, 24.

C’est pourquoi les ingénieurs sociaux ont depuis longtemps compris qu’ils devaient pimenter l’histoire au-delà de l’éthique.

La viande doit également être mauvaise pour l’homme et la planète.

« La viande est mauvaise pour l’homme »

Même si tous les aliments « d’origine végétale » étaient en fait naturels, fabriqués à partir de légumes, de fruits et de graines propres, un régime purement végétalien ne suffirait pas à maintenir la plupart des gens en bonne santé.

« J’écris ce livre comme une mise en garde. Un régime végétarien – en particulier une version pauvre en graisses, et plus particulièrement un régime végétalien – n’est pas suffisant pour assurer l’entretien et la réparation à long terme du corps humain. Pour dire les choses crûment, il vous portera préjudice. J’en sais quelque chose.

Deux ans après être devenue végétalienne, ma santé s’est détériorée, et ce de manière catastrophique. J’ai développé une maladie dégénérative des articulations dont je souffrirai toute ma vie. Cela a commencé au printemps par une douleur étrange et sourde à un endroit dont je ne savais pas qu’il pouvait être sensible. À la fin de l’été, j’avais l’impression d’avoir des éclats d’obus dans la colonne vertébrale »,

écrit Lierre Keith dans son livre The Vegetarian Myth :

Food, Justice, and Sustainability (Le mythe végétarien : alimentation, justice et durabilité). Lierre est une ancienne végétalienne qui a consacré sa vie à comprendre la science de la nutrition (citation complète).25

Au début, les végétaliens éveillés – souvent des jeunes filles – qui abandonnent la viande pour des raisons éthiques se sentent plus forts, plus légers, plus éveillés et plus énergiques – ils se sentent plus sûrs d’eux. Au fil des ans, les problèmes chroniques s’accumulent lentement. Tout comme les grenouilles dans l’eau frémissante ne remarquent pas l’augmentation de la température, les végétaliens ne remarquent pas la perte progressive d’énergie, la fatigue et l’apparition de problèmes chroniques. Ils doivent se heurter à un mur, souvent après la deuxième décennie, avant de se rendre compte que quelque chose ne va vraiment pas.

Nous avons souvent besoin d’un voyage en ambulance pour nous permettre de changer notre façon de penser. C’est ce que j’ai fait. Et même les soins intensifs ne suffisent généralement pas à faire redémarrer le cerveau. Nous devons également être exposés à des données correctes et non corrompues. Ces deux facteurs coïncident rarement.

J’ai découvert le côté négatif du véganisme grâce à des études métabolomiques du sang qui examinent la production cellulaire d’ATP, le fameux cycle citrique, à l’aide d’analyses moléculaires du sang. Bien que je mangeais déjà de la viande, mes valeurs sanguines m’indiquaient qu’il fallait que je consomme davantage de viande pour améliorer mon équilibre en acides aminés. L’expert en métabolomique m’a dit que mon profil nutritionnel était celui d’un homme des cavernes. Mon nouveau régime riche en viande et en graisses a changé la donne. Après des années de fatigue, je me suis épanoui. J’ai décidé de faire profiter d’autres personnes des scanners métabolomiques pour les aider à identifier leur profil nutritionnel unique et à être en meilleure santé. Un historique de plus de 15 000 scanners métabolomiques m’a appris que l’incidence des problèmes chroniques était nettement plus élevée chez les femmes de la quarantaine et de la cinquantaine qui suivaient un régime végétalien depuis au moins 15 à 20 ans 26.

Plus tard, j’ai commencé à travailler avec des scanners biophysiques 27 28 qui ne prennent que 12 minutes pour mesurer le niveau énergétique du corps humain et j’ai remarqué un thème commun dans plus d’un millier de mesures. Les femmes qui ont évité la viande pendant plus de dix ans présentaient davantage de problèmes chroniques, une baisse d’énergie, une plus grande incidence de dépression, des problèmes intestinaux et un système immunitaire plus faible.

Convaincre un végétalien de changer de tact est délicat, car les arguments – notamment éthiques et spirituels – sont profondément ancrés dans le récit émotionnel. Sur la poignée – une douzaine – de personnes que j’ai eu l’honneur de convaincre de compléter leur alimentation avec de la viande biologique

– « au moins un tout petit peu de bœuf biologique ou de foie de poulet deux fois par semaine » – 95 % ont changé d’avis au bout de quelques semaines et sont restés fidèles aux produits d’origine animale.

« Modération et équilibre », vous vous souvenez ?

Il est important de souligner que le régime alimentaire est toujours très individuel. Tout le monde n’a pas besoin de viande comme les autres. Mais on peut affirmer que presque tout le monde a besoin de produits d’origine animale dans son alimentation. La raison en est simple. La viande peut fournir certains nutriments essentiels qu’aucun produit végétalien ne peut fournir avec la même efficacité métabolique.

Bien que l’Académie de nutrition et de diététique (AND) soit citée comme ayant déclaré que « toutes les grandes sociétés de diététique ont publié des articles affirmant qu’un régime végétalien est nutritionnellement adéquat à tous les stades de la santé humaine », cette déclaration est accompagnée d’une liste de tous les nutriments qui doivent être obtenus par l’enrichissement et les suppléments, ce qui revient à admettre qu’un régime végétalien n’est pas, en soi, sûr ou complet », écrit Jayne Buxton dans The Great Plant-Based Con (La grande arnaque des plantes).

« Les nutriments que l’on ne trouve que dans les aliments d’origine animale comprennent les vitamines A, B12, D3 et K2 préformées (sous-type MK4), le fer héminique, la taurine, la carnosine, la créatine, l’ALC, l’EPA et le DHA. Le zinc, l’iode, la méthionine, la leucine, la choline et la glycine sont des nutriments dont la teneur est faible dans les plantes. En outre, les plantes présentent souvent différentes formes d’un même nutriment qui sont moins biodisponibles et sont métabolisées différemment  » 29.

Jetons un coup d’œil rapide au Top 5.

La vitamine A est essentielle à l’assimilation des protéines et du calcium, à la croissance osseuse, à la vue, au fonctionnement du système immunitaire, à la fonction thyroïdienne et à la production d’hormones sexuelles et de stress. Les régimes végétariens et végétaliens souffrent d’une carence quasi-totale en vitamine A.30

La vitamine D favorise la solidité des os, la santé du système immunitaire, la réduction des inflammations, le métabolisme des minéraux, l’absorption du calcium, le tonus musculaire, le métabolisme sain du glucose, la fonction cellulaire et la longévité. L’organisme a naturellement besoin de D3, qu’il fabrique lorsqu’il est exposé au soleil. Néanmoins, l’organisme a besoin d’aliments d’origine animale (y compris les crustacés, les huiles de foie de poisson, les jaunes d’œuf, les abats, la graisse de beurre et la graisse d’oiseaux et de porcs) car la D2 provenant des plantes est largement inférieure et la D3 provenant des aliments d’origine animale est beaucoup plus biodisponible et puissante. 31

La vitamine B12 joue un rôle dans la synthèse de l’ADN, la formation de la myéline, la production de globules rouges et le maintien du système nerveux central. Il n’existe pas de sources végétales fiables de B12, c’est pourquoi les végétariens et les végétaliens présentent des niveaux élevés de carence en B12. Les symptômes comprennent la fatigue, la dépression, l’anxiété, une mauvaise mémoire, des problèmes d’équilibre, une détérioration de la vision, une confusion mentale ou une perte de mémoire, et la dépression. 32 33

Des données similaires s’appliquent aux acides gras oméga 3, qui sont essentiels pour les membranes cellulaires. Il n’est pas facile d’obtenir des oméga-3 à partir de graines de lin ou de chia. Le poisson gras ou la viande nourrie à l’herbe seraient une bien meilleure alternative pour préserver la santé cellulaire.

Qu’en est-il des minéraux ? Il est extrêmement difficile d’obtenir les 17 minéraux essentiels exclusivement à partir de sources végétales. Si nous devions éviter les aliments d’origine animale, nous devrions consommer des quantités insoutenables d’équivalents végétaux pour atteindre des niveaux minimaux acceptables. 34 35

La liste est encore longue.

Il est bon de se rappeler l’histoire des tribus indigènes. Avant que le colonialisme occidental ne les atteigne, elles prospéraient grâce à des régimes riches en graisses et centrés sur la viande, sans souffrir de maladies chroniques.

Deux médecins missionnaires arrivés au Kenya dans les années 1920 ont écrit que « l’hypertension et le diabète étaient absents… la population indigène était aussi mince que les anciens Égyptiens ».

Il a fallu quarante ans de régimes britanniques à forte teneur en glucides pour transformer les Kényans minces en Africains obèses souffrant d’une multitude de problèmes de santé, à commencer par les caries dentaires, puis « la goutte, l’obésité, le diabète et l’hypertension, qui finissent par les englober tous », ont observé les missionnaires 36.

L’Inde a également été transformée en « capitale mondiale du diabète » grâce aux habitudes alimentaires introduites par les Britanniques. Les régimes alimentaires occidentaux ont littéralement anéanti les Inuits en parfaite santé, les Amérindiens, les Zoulous, les Indiens du Natal, les cultures polynésiennes, les Indiens Yanomamo et Xingu du Brésil, et tous ceux qui ont été acculturés de gré ou de force à notre mode de vie.

« La viande rouge provoque le cancer

Qu’en est-il de toutes les études « interminables » qui « prouvent » que les mangeurs de viande sont plus malades et plus enclins aux maladies chroniques ? Qu’en est-il de la corrélation entre la viande rouge et le cancer ?

C’est un peu comme l’angle « 99 % des scientifiques sont d’accord… » utilisé dans tant de contes de fées aujourd’hui, de l’ARNM au changement climatique. Lorsque l’on soulève le rideau, on découvre une autre réalité. Souvent, les rares scientifiques qui ne sont pas d’accord avec le « consensus » sont des scientifiques indépendants et intègres, qui ne sont pas influencés par les salaires des entreprises ou les subventions de recherche.

C’est ce qu’on appelle le syndrome de Copernic.

Les deux études établissant un lien entre le cancer et la consommation de viande rouge, par exemple, comparent les consommateurs de viande transformée (voir le tableau 1 ci-dessous pour la liste des produits chimiques et cancérigènes contenus dans la viande transformée moderne) à des végétariens, sans tenir compte des différences de mode de vie (les mangeurs de viande sont aussi plus souvent des fumeurs et des buveurs), ni d’autres variables. En bref, les recherches sont « cuisinées » pour donner une mauvaise image de la viande. Ces études erronées sont ensuite propagées par l’OMS et citées par les médias grand public comme si elles représentaient des vérités axiomatiques. 37

TABLEAU 1 – ADDITIFS DANS LA VIANDE TRANSFORMÉE

Les bisphénols, tels que le BPA, peuvent agir comme l’hormone œstrogène, interférer avec la puberté et la fertilité, augmenter la masse graisseuse et causer des problèmes avec les systèmes immunitaire et nerveux.
Les nitrates/nitrites sont utilisés pour prolonger la durée de conservation, préserver les aliments et rehausser la couleur des viandes salées. Lorsqu’ils sont chauffés ou mélangés à l’acide gastrique, les nitrites peuvent produire des nitrosamines, liées à un risque accru de cancer du côlon et du pancréas.

Le tert-butyl hydroquinone (TBHQ), un conservateur présent dans de nombreux aliments transformés, peut nuire au système immunitaire.

Les substances per- et poly-fluoroalkyles (PFAS) sont un groupe de produits chimiques qui peuvent s’accumuler dans l’organisme et qui ont été associés à des problèmes de santé tels que des perturbations hormonales, des problèmes du système immunitaire et des cancers.

Le glutamate monosodique (MSG), auquel certaines personnes peuvent être sensibles ou allergiques, provoque des symptômes tels que des maux de tête, des nausées et des douleurs thoraciques.

Les sulfites, qui sont utilisés comme conservateurs et peuvent déclencher de l’asthme.

Les phosphates sont parfois ajoutés aux viandes transformées et, lorsqu’ils sont consommés en quantités excessives, ils peuvent augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les hormones peuvent être utilisées dans la production animale pour favoriser la croissance et potentiellement perturber l’équilibre hormonal chez l’homme.

Il ne fait aucun doute que la consommation de ces produits chimiques, même sans viande rouge, vous rendra probablement malade.

« Les études épidémiologiques qui établissent des associations inverses entre la consommation de viande rouge et la santé ne font pas de distinction entre la viande provenant d’animaux nourris avec des aliments riches en céréales dans des parcs d’engraissement et celle provenant d’animaux qui se nourrissent de mélanges de plantes riches en phytochimie. Elles n’abordent pas non plus la question de savoir comment les herbes, les épices, les légumes et les fruits consommés au cours d’un repas avec de la viande peuvent améliorer la santé », écrit Fred Provenza dans Frontiers in Nutrition.38

Il est difficile de trouver une seule étude prouvant que les viandes biologiques ont un effet négatif sur la santé.

« Les avantages pour l’homme de la consommation de viande riche en phytochimie/biochimie s’accumulent au fur et à mesure que le bétail assimile certains phytochimiques et en convertit d’autres en métabolites qui deviennent des muscles et des graisses, lesquels deviennent les phytochimiques/biochimiques qui promeuvent la santé. Ce phénomène est similaire, mais distinct, des avantages obtenus par la consommation d’herbes, d’épices, de légumes et de fruits riches en phytochimie. Cet ensemble élargi de composés – phytochimiques et métabolites produits par les animaux à partir des plantes – devrait être pris en compte dans les tentatives de compréhension des avantages pour l’homme, tels que l’atténuation du stress oxydatif et de l’inflammation liés au cancer, aux maladies cardiovasculaires et au syndrome métabolique », poursuit Fred Provenza.

La dissonance cognitive qui accompagne la recherche de la vérité sur la viande est comparable au fait de s’accrocher à un taureau enragé avec un chapeau de cow-boy. La situation devient rapidement de plus en plus folle. Mais accrochez-vous encore un peu.

« Le changement climatique est dû aux excréments et aux bourbiers des vaches

Les vaches sont responsables de l’apocalypse à venir si l’on en croit la légende. Mais il y a un hic.

L’histoire originale de la contribution catastrophique des vaches aux niveaux de méthane provient d’une étude de l’Université d’Oxford 39 qui a été citée lors d’une émission publique au Royaume-Uni en 2020. Les médias ont détourné l’histoire pour en faire la preuve que les humains pourraient réduire leur empreinte carbone de 61 à 73 % s’ils devenaient végétaliens. Cependant, l’étude d’Oxford fait référence à l’empreinte de différents aliments, et non à celle de l’homme. La différence est de taille.

L’empreinte alimentaire d’un individu est estimée à 16 % au maximum, ce qui signifie que le maximum théorique de réduction de l’empreinte individuelle en devenant végétalien est de 16 % sur 73 %, soit environ 10 %.

Cependant, même ce maximum de 10 % est faussé, car l’ensemble de l’argumentation est déséquilibrée.

Prenons un exemple pour illustrer à quel point l’argumentation est biaisée.

Si vous enfermez un millier de lapins dans une petite cabane et qu’ils détruisent l’endroit avec leurs crottes, blâmez-vous les lapins pour avoir détruit la cabane, ou prenez-vous la responsabilité de les avoir enfermés dans la cabane en premier lieu ?

Tant que des milliards d’animaux d’élevage seront séparés du cycle de l’azote, produisant des déchets qui ne sont pas recyclés efficacement dans la nature, des dommages incalculables continueront d’être causés aux animaux et à la planète, y compris de vastes quantités de méthane inutilement libérées. 40

Si, en revanche, nous suivons le cycle naturel de la Terre et intégrons des animaux en pâturage libre dans nos futurs plans écologiques, nous bénéficierons d’un autre avantage qui inversera la tendance, à savoir la séquestration, c’est-à-dire la manière dont la gestion naturelle des terres capture le CO2. Cette séquestration peut être accélérée grâce à la sylvopasture, qui est un moyen d’intégrer des arbres dans les paysages de travail. 41 42

Les politiques de gestion des terres axées sur la séquestration ont le pouvoir d’inverser le changement climatique, la désertification et la production de méthane, mais elles sont rarement, voire jamais, abordées par les scientifiques ou les médias. Vous vous demandez pourquoi ?

Au lieu de cela, les médias grand public propagent des allégations absurdes faites dans le cadre d’opérations publicitaires telles que le documentaire Cowspiracy, qui prétend que l’agriculture animale est responsable de 51 % de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre. Bien que les producteurs aient été contraints de se rétracter par la suite, l’histoire est restée dans l’esprit du public, car elle s’inscrit dans le cadre de la narration technique.

« Les nouveaux substituts synthétiques de la viande sont meilleurs »

Les aliments transformés, pauvres en graisses et à base de plantes, ont déclenché l’épidémie d’obésité dans les années 1980, mais on veut nous faire croire que les nouveaux aliments ultra-transformés (Frankenstein) seront excellents pour nous.

L’industrie de la fausse viande progresse déjà à pas de géant. Selon Bloomberg, le marché de la viande d’origine végétale pourrait atteindre 450 milliards de dollars d’ici à 2040 et croître d’au moins 70 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie 43 44.

Les UPF représentent une menace redoutable pour la santé mondiale. Le Dr Robert Lustig, endocrinologue pédiatrique, explique dans son livre 45 comment les FUP ont déjà contribué à alimenter des maladies non transmissibles telles que le diabète, les maladies cardiaques, le cancer et la démence. Selon le Dr Joan Ifland, les UPF créent également une dépendance, sont obésogènes (contribuent à l’obésité) et ont tendance à perturber le système immunitaire 46.

La plupart des personnes qui confondront probablement les régimes à base de plantes avec une alimentation saine et végétalienne s’apprêtent à faire un tour mortel avec des protéines synthétiques ultra-transformées, des additifs, des conservateurs, des stabilisateurs, des concoctions d’OGM, des émulsifiants, des huiles de graines, des sucres, des régulateurs d’acidité et des épaississants régurgités dans une matrice d’éprouvettes d’une manière qui les rendra accros pour toute la vie.

Les UPF ne vont pas seulement remplacer les produits carnés naturels, mais aussi les produits laitiers, les œufs et les céréales.

Nous sommes ce que nous mangeons.

Un jour, nous pourrons croire que les gaufrettes de silicone au goût et à l’odeur délicieux sont bonnes pour nous, accompagnées de tofu, tandis qu’un programme d’intelligence artificielle décidera de la prochaine destination de notre fauteuil roulant.

« Pourquoi les humains devraient-ils être autorisés à tuer des animaux ? »

Pour des raisons compréhensibles, cet argument éthique est celui qui fait le plus grand nombre de convertis au véganisme. Il est louable d’être choqué par les conditions de vie des animaux qui souffrent dans les abattoirs, mais accuser la consommation de viande d’être responsable du mal est une réponse artificielle et simplifiée au problème, puisque nous savons déjà à quel point le problème pourrait être résolu facilement avec des modèles d’agriculture régénératrice.

Il y a également un autre aspect que le récit principal occulte dans ce contexte : la quantité de souffrances et de meurtres d’animaux dus à l’agriculture moderne en tant que telle. La monoculture n’est pas possible sans l’abattage massif de formes de vie diversifiées.

Peu d’agriculteurs font le calcul.

« Pour cultiver 214 acres de fruits à noyaux et d’avocats sur cette ferme, je dois tuer au moins trente-cinq à quarante mille spermophiles par an, des milliers d’écureuils terrestres, des milliers d’abeilles, des milliers de papillons, des milliers de colibris, ces trois derniers éléments étant complètement accidentels, les deux autres étant des prédateurs ou des parasites que je tuerais intentionnellement », calcule l’agriculteur californien John Chester 47.

La culture de 400 tonnes de pois dans une seule ferme entraîne la mort de 1 500 animaux par an, des cerfs aux canards.

Un milliard de souris sont tuées en Australie pour protéger la viande. Quarante mille canards sont tués pour protéger la production de riz. Un producteur de pommes moyen tue 120 opossums en un an pour protéger son verger.

En 2013, les riziculteurs de Nouvelle-Galles du Sud ont tué 200 000 canards indigènes. Le ministère américain de l’Agriculture estime à 1,3 million le nombre d’animaux indigènes tués chaque année pour protéger l’agriculture non animale. Au total, au moins vingt-cinq fois plus d’animaux sensibles sont tués par kilo de protéines utilisables par rapport à la production de viande.48

Cependant, le calcul n’est pas pertinent ici. Il existe un argument plus profond, lié à la nature de la vie, que nous devrions prendre en considération.

Toute forme de vie dépend de la consommation d’autres formes de vie. Même les légumes sont des mangeurs de viande si vous observez une carcasse laissée dans la forêt ou le pâturage, alors que le cycle de la vie et de l’énergie poursuit son destin inévitable de transmutation éternelle d’une forme à l’autre.

Lierre Keith raconte l’histoire d’un pommier situé près des tombes de Roger Williams, le fondateur de Rhode Island.

« On a découvert que les racines de l’arbre avaient poussé dans les tombes et pris la forme de squelettes humains, alors que les tombes avaient été vidées de toute particule de poussière humaine. Il ne restait plus aucune trace de quoi que ce soit.

Le pommier a mangé un humain. Le pommier est-il mauvais ?

« L’un des principaux problèmes de la mythologie est de réconcilier l’esprit avec cette condition préalable brutale de toute vie, qui vit en tuant et en mangeant des vies. Vous ne vous faites pas d’illusions en ne mangeant que des légumes, car eux aussi sont vivants. L’essence de la vie est donc de se manger elle-même ! La vie vit de vies, et la réconciliation de l’esprit et de la sensibilité humaine avec ce fait fondamental ». écrit Joseph Campbell, l’avant-dernière autorité en matière de civilisations anciennes.

Même si nous nous en tenons aux principes les plus purs de la nature, où nous protégeons les animaux, la planète et les intérêts humains avec un équilibre égal, nous continuerons à nous manger les uns les autres.

Sans aucun doute, nous devrons le faire en étant plus gentils les uns envers les autres.

Épilogue : Raccourcir le « consensus scientifique »

Comme nous l’avons déjà appris, toute affirmation s’appuyant sur le « consensus scientifique » doit être considérée comme digne d’une enquête si elle est utilisée pour justifier l’agenda de l’ingénieur.

Si un opposant, tel qu’un « négateur du climat », est démoli par les médias ou par son entourage professionnel, nous devrions examiner de plus près ses modèles de données.

Il y a quelques années, j’étais convaincu de l’élévation du niveau de la mer, de l’effondrement des icebergs et de la sixième extinction. Aujourd’hui, je pense que nous devrions nous pencher sur la partie « anthropique » du « consensus ».49

Si une histoire correspond à l’avenir envisagé pour la nutrition, nous devrions sortir nos loupes et creuser avec un dévouement infernal.

La recherche de la vérité est un facteur déterminant pour l’avenir de notre espèce. Rien n’est plus important que de préserver notre santé et notre énergie. Pour cela, nous devons à nouveau nous intégrer à la nature, manger de manière saine, naturelle et équilibrée, et nous occuper de choses qui nous passionnent.


Source : https://greenmedinfo.com/blog/vegan-backfire-truth-behind-antimeat-agenda

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Références




L’OMS met en garde contre une augmentation « inhabituelle » des cas de myocardite grave chez les bébés

[Source : epochtimes.fr]

Par OWEN EVANS

Les autorités britanniques enquêtent sur une augmentation « inhabituelle » de la myocardite sévère qui a touché 15 bébés au Pays de Galles et en Angleterre et en a tué au moins un, a annoncé l’Organisation mondiale de la santé.

Mardi, l’OMS a lancé une alerte concernant une augmentation de la « myocardite sévère » chez les nouveau-nés et les nourrissons entre juin 2022 et mars 2023 au Pays de Galles et en Angleterre.

Elle a précisé que cette augmentation était liée à des infections à entérovirus, qui affecte rarement le cœur.

[Voir aussi :
Bill Gates prépare sa prochaine plandémie :

Les invités ont participé à une « simulation sur table » dans laquelle un entérovirus mortel originaire d’Amérique du Sud en 2025 se propage dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Les enfants seront particulièrement vulnérables à cette maladie, qui fait partie de la famille des virus de la polio.

Rappel : Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

Note de Joseph : l’utilité des « virus » pathogènes (qui n’ont pourtant jamais été scientifiquement isolés, purifiés et caractérisés biochimiquement — voir le dossier Vaccins et virus — est de masquer les causes réellement néfastes sur la santé que sont par exemple les vaccins, les pseudo vaccins à nanoparticules graphénisées, les ondes électromagnétiques pulsées — dont le Wi-Fi et la 5 G —, les pesticides, les additifs alimentaires, les médicaments chimiques de Big Pharma, etc.).
Comme ces causes sont mondialement répandues et présentes dans presque tous les pays du monde, il est facile ensuite de les faire passer pour des épidémies ou des pandémies prétendument « virales ».]

Un porte-parole de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a confirmé à Epoch Times que dix bébés avaient été diagnostiqués au Pays de Galles et cinq en Angleterre.

L’OMS a déclaré que :

« Bien que les infections à entérovirus soient courantes chez les nouveau-nés et les jeunes nourrissons, l’augmentation signalée des cas de myocardite avec issue grave chez les nouveau-nés et les nourrissons associés à une infection à entérovirus est inhabituelle ».

Elle a ajouté que dans le même hôpital (couvrant la région du sud du Pays de Galles), au cours des six dernières années, « un seul autre cas similaire a été identifié ».

L’OMS a estimé que le risque pour la santé publique était faible, mais a ajouté que dans certaines situations, il « peut être conseillé de fermer les crèches et les écoles pour réduire l’intensité de la transmission ».

Toutefois, l’OMS a levé l’alerte mercredi. Epoch Times estime que cela pourrait être dû au fait que certains chiffres n’étaient pas corrects.

L’OMS n’a pas répondu à la demande de commentaire d’Epoch Times.

Enquête

Les autorités d’Angleterre et du Pays de Galles enquêtent actuellement sur l’augmentation du nombre de cas.

Le Dr Shamez Ladhani, pédiatre-conseil à l’UKHSA, a déclaré par mail à Epoch Times que « compte tenu d’un nombre de cas supérieur à la moyenne au Pays de Galles au cours des mois d’automne et d’hiver chez de très jeunes bébés, l’UKHSA étudie la situation en Angleterre pour voir si des cas similaires ont été observés ici et s’il existe des facteurs à l’origine de l’augmentation du nombre de cas ».

L’UKHSA n’a pas répondu aux questions concernant l’exclusion de tout lien avec les effets du vaccin Covid-19.

Début mai, Public Health Wales a annoncé qu’elle enquêtait sur un groupe d’infections graves à entérovirus avec myocardite survenues chez de très jeunes bébés de la région du sud du Pays de Galles.

Les cas sont apparus à partir de juin 2022, avec un pic en novembre 2022 chez des bébés âgés de moins de 28 jours.

Dix bébés ont développé une myocardite au sein de ce groupe. Un bébé est toujours hospitalisé, huit sont pris en charge en ambulatoire et un bébé est décédé.

Une question de taille

Le Dr Clare Craig, pathologiste consultante et membre de HART, a déclaré à Epoch Times que « la question de savoir si ces bébés ou leurs mères ont été vaccinés ou non se pose avec acuité ».

HART est une organisation qui a été créée pour partager les inquiétudes concernant les politiques et les recommandations relatives à la pandémie de Covid-19.

« Le Coxsackievirus fait partie d’une famille de virus appelés entérovirus et est l’une des causes les plus courantes de myocardite virale », a-t-elle déclaré.

« Et nous avons constaté que, comme pour d’autres virus, le diagnostic de Coxsackievirus a diminué massivement en 2020, lorsque le SRAS-COV 2 est arrivé. »

Elle a ajouté que le nombre total de personnes atteintes de myocardite après 2020 est resté le même, ce qui suggère que « le SRAS-COV 2 a comblé la niche » laissée par le Coxsackievirus.

« Mais le vaccin est arrivé et, à partir de 2021, le taux d’incidence de la myocardite est monté en flèche », a-t-elle ajouté.

« Les autorités de santé publique affirment qu’elles veulent maintenir la confiance, mais elles n’explorent pas ces pistes pour écarter les inquiétudes », a-t-elle expliqué.

Un délai relativement court

Le Dr Christopher Williams, épidémiologiste consultant pour Public Health Wales, a déclaré par mail à Epoch Times que les réactions à l’infection « restent extrêmement rares ».

Il a ajouté que « l’entérovirus est une infection courante de l’enfance, qui provoque une série d’infections, notamment des maladies respiratoires, la fièvre aphteuse et la méningite virale ».

« Chez les très jeunes bébés, l’entérovirus peut, dans de rares cas, provoquer une maladie grave au cours des premières semaines de vie. La plupart des bébés et des enfants se rétablissent complètement après une infection à entérovirus », a-t-il ajouté.

Le Dr Williams a rappelé que cette infection « n’affecte le cœur qu’en de très rares occasions ».

« Ce groupe est inhabituel en raison du nombre de cas signalés dans un laps de temps relativement court. Des investigations sont donc en cours en collaboration avec l’équipe pédiatrique de l’hôpital pour enfants du Pays de Galles afin d’en comprendre les raisons et d’enquêter sur tous les autres cas qui pourraient être signalés dans les semaines et les mois à venir », a-t-il indiqué.

« Les parents doivent être rassurés : bien qu’il y ait eu une augmentation du nombre de cas, il s’agit toujours d’un événement extrêmement rare », a précisé le Dr Williams.







Des personnalités connues ont refusé l’injection

[Source : Ciel Voilé]






Le Dr Gérard Delépine rappelle les effets nocifs des mesures covidiennes et le manque de résistance des médecins




Infertilité : un agenda diabolique — un film d’Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy

[Source : kla.tv]

« Diriger la procréation avec sagesse — pour améliorer l’adaptabilité et la diversité », tel est [était. Voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial et Les Georgia Guidestones explosées] le deuxième commandement des Georgia Guidestones depuis 1980, juste après le premier qui vise à réduire la population mondiale. Mais qui s’arroge le droit de décider de l’une des décisions les plus fondamentales des jeunes femmes, celle d’avoir un enfant ? Le documentaire suivant, « Infertilité : un agenda diabolique », une coproduction du cinéaste Andrew Wakefield, de Robert F. Kennedy et de Children’s Health Defense, donne un aperçu effrayant du travail de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pendant 20 ans, des recherches ont été menées sur un vaccin qui, en supprimant l’hormone de grossesse, devait entraîner des fausses couches. L’administration du vaccin a eu lieu au Kenya dans le cadre d’une vaccination contre le tétanos, à laquelle a été ajoutée la substance active nuisible à la grossesse. Ce n’est que grâce à l’engagement inlassable de médecins courageux que ce crime a été mis à la lumière.

Regardez et écoutez maintenant directement de la part des personnes concernées des faits et des preuves évidentes de l’approche criminelle de l’OMS. Étant donné que sa politique internationale de santé est jusqu’à présent dirigée par des donateurs privés comme Bill Gates — un partisan de l’eugénisme et du contrôle de la population — le temps est venu de changer cette mauvaise pratique.

C’est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir contribuer à la diffusion de ce documentaire dans le monde entier.

de jmr/nm

Sources/Liens :




Dr Tess Laurie: « L’OMS veut introduire 500 nouvelles injections d’ici 2030 »

[Source : Ciel Voilé]






Covid-19, rhume, vaccins, soignants : François Braun AVOUE TOUT !

[Source : Juste Milieu.]

[Vidéo Source :]




La justice américaine révèle comment les autorités ont acheté le soutien de l’association des gynécologues obstétriciens pour injecter les femmes enceintes

[Source : pgibertie.com]

Par Maggie Thorp JD et Jim Thorp MD

Le Département américain de la santé et des services sociaux (HHS) a mené une campagne marketing digne du lancement d’une lessive pour promouvoir des produits expérimentaux, mieux elle a acheté les décideurs. C’est ce que révèlent les documents exigés par la justice américaine dans le cadre de la loi sur l’accès à l’information (FOIA).

Le 1er avril 2021, le HHS a officiellement annoncé le lancement d’une propagande des « vaccins » COVID-19 appelée COVID-19 Community Corpsune vaste entreprise de marketing.

Dans le cadre du COVID-19 Community Corps, le HHS a accordé des milliards de dollars fédéraux pour cibler ce que le HHS appelait des « dirigeants communautaires de confiance », la recherche montre que, lorsqu’ils prennent la décision de se faire vacciner, les gens veulent entendre des personnes en qui ils ont confiance, tels que les professionnels de la santé, leur propre famille et leurs amis, avec de nombreuses autres organisations médicales à but non lucratif influentes, l’ACOG a participé à la campagne en tant que membre fondateur de COVID-19 Community Corps 9 — recevant finalement des millions de dollars en subventions HHS/CDC 10 et approuvant plus tard imprudemment la vaccination COVID-19 pendant la grossesse, même si le clinique les essais n’ont pas inclus les femmes enceintes.

Le Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG). Fondée en 1951, l’ACOG se présente comme la « première organisation de membres professionnels pour les obstétriciens et les gynécologues » et est la principale organisation représentant les médecins et les spécialistes en soins obstétricaux. 2 L’ACOG est implantée sur deux continents — elle compte plus de 60 000 membres et est composée de 12 districts géographiques composés de 98 sections couvrant l’Amérique du Nord, du Sud et Centrale.

Les études de marché ont eu un impact sur chaque élément de la campagne depuis le début — de la stratégie globale à la publicité payante précoce, aux publications sur les réseaux sociaux et à d’autres stratégies de communication de masse. Le besoin d’interactions interpersonnelles avec les médecins, les ministres, la famille et les membres de la communauté était clair dès l’étude de marché initiale menée à l’automne 2020.

Dans certains cas, comme le rapporte ABC News sur une page désormais supprimée d’Internet, des organisations gouvernementales ont recruté et payé des personnes influentes pour donner leur avis sur la sécurité et/ou l’efficacité des « vaccins » — comme s’il s’agissait de leurs propres opinions indépendantes.

Des études de marketing ont montré que les femmes prendraient 90 % de toutes les décisions de santé concernant leur ménage. 28 Convaincre les femmes de se faire vacciner contre la COVID-19 était presque une garantie qu’elles deviendraient des messagères du « vaccin » pro-COVID-19 au sein de leur propre famille.

Le 1er février 2021, l’ACOG a reçu la première des trois subventions « d’accord de coopération » HHS/CDC accordées pendant la pandémie : 11 millions.

Comme le nom des subventions l’indique — les documents obtenus dans une demande de loi sur la liberté d’information (FOIA) montrent que la réception par l’ACOG de l’argent de la subvention COVID-19 était conditionnée à la pleine conformité de l’ACOG aux directives du CDC sur l’infection et le contrôle du COVID-19.

Et le 23 avril 2021, les directives du CDC sur la « vaccination » COVID-19 pour les femmes enceintes ont été rendues parfaitement claires. Ce jour-là, la directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, a annoncé lors d’un briefing sur le COVID-19 à la Maison-Blanche que le CDC recommandait désormais à toutes les femmes enceintes de recevoir le « vaccin » COVID-19.

Le 30 juillet 2021, l’ACOG, avec la Society for Maternal Fetal Medicine (SMFM), a commencé imprudemment à approuver la vaccination COVID-19 pendant la grossesse, même si les essais cliniques n’ont pas inclus les femmes enceintes.

L’annonce de l’ACOG du 30 juillet 2021 recommandant fortement la « vaccination » contre le COVID-19 pendant la grossesse était une volte-face brutale par rapport à la position précédente sur la question.

Les archives du site Web montrent que de décembre 2020 au 21 juillet 2021, la recommandation officielle de l’ACOG était de laisser aux femmes enceintes la liberté de choisir, déclarant tout au long du premier semestre 2021 : « Dans l’intérêt de l’autonomie des patients, l’ACOG recommande que les femmes enceintes soient libres de prendre leur propre décision concernant la vaccination contre le COVID-19.

En échange d’argent, l’ACOG a abdiqué sa propre responsabilité médicale, abusant de la confiance des patients vulnérables, pour devenir le porte-parole d’un gouvernement fédéral qui pouvait tirer un profit financier des produits pharmaceutiques prescrits (le gouvernement américain a gagné au moins 400 millions de dollars grâce au vaccin Moderna seul).

Les documents FOIA révèlent l’existence des programmes de subventions suivants entre le CDC et l’ACOG :

  • « Engager les prestataires de soins de santé des femmes pour des conversations efficaces sur le vaccin COVID-19 » 40
  • « Améliorer la capacité des obstétriciens et gynécologues à soutenir la vaccination contre la COVID-19, la santé mentale et le soutien social » 41
  • Un outil de demande de ressources d’urgence ERR », réalisé par un « demandeur » du CDC et nécessaire d’ici le 30 avril 2021 (avant que l’ACOG ne commence à recommander le vaccin COVID-19 pour les femmes enceintes), dans lequel « l’ACOG utilisera le niveau de financement de 300 000 $ pour soutenir ses efforts de réponse à la COVID-19, ciblant les obstétriciens, les autres praticiens de la santé des femmes et les patientes qu’ils desservent. 42
  • Une subvention dans laquelle le géant des communications APCO Worldwide, un fournisseur mondial de communications de santé publique, 43 « soutiendra trois initiatives clés dans le cadre du COVID-19 », notamment

    • Soutenez l’ACOG dans le développement d’une boîte à outils de communication sur les médias sociaux et gagnés sur la COVID-19. 44
    • Organiser une « formation virtuelle pour les membres » pour promouvoir la boîte à outils de communication COVID-19, notamment en organisant une session de formation virtuelle en direct d’une heure et demie pour les membres de l’ACOG afin qu’elle « soit enregistrée afin qu’elle puisse être amplifiée et utilisée par d’autres membres ». 45
    • En partenariat avec l’ACOG, aidez à la production et au lancement d’une série de podcasts COVID-19, en partageant des informations sur la dernière recommandation COVID-19 pour les membres de l’ACOG. 46

  • Une subvention dans laquelle l’ACOG, d’ici le 29 septembre 2023

    • « développer une trousse d’outils COVID-19 pour les gestionnaires de district » et
    • « lancer une campagne payante sur les réseaux sociaux ciblant les zones à faible taux de vaccination et à forte hésitation à la vaccination. » 47

  • Un outil de demande de ressources d’urgence ERR », créé par un « demandeur » du CDC et nécessaire d’ici le 11 mars 2022, qui « poursuivra et élargira le travail effectué au cours des années 1 et 2 de cette collaboration. Au cours de la troisième année, l’ACOG se concentrera sur le développement, la maintenance et la promotion d’outils pour lutter contre la désinformation sur le COVID-19, qui est apparu comme un obstacle important à l’adoption de la vaccination pendant la grossesse. L’ACOG évaluera également lesquels de ses districts et sections ont le plus besoin d’éducation et de sensibilisation supplémentaires et concentrera ses efforts sur ces communautés. 48
  • Un ERR — outil de demande de ressources d’urgence, créé par un « demandeur » du CDC et nécessaire d’ici le 11 mars 2022, pour un deuxième projet PILOT impliquant à la fois l’ American Academy of Pediatrics et l’ACOG, qui note, « les activités liées à l’ACOG entre les deux projets sont complémentaires et non redondants. 49

Même avec les expurgations importantes, les documents FOIA ont révélé des informations surprenantes. Selon les termes et conditions des accords de coopération, l’ACOG doit se conformer pleinement à toutes les directives existantes et futures du HHS concernant le contrôle et la propagation du COVID-19. 50

https://www.americaoutloud.com/foia-reveals-troubling-relationship-between-hhs-cdc-the-american-college-of-obstetricians-and-gynecologists/


Références :




Projet totalitaire et psychose collective

[Source : Anthropo-logiques]






Le grand rattrapage

[Source : mondialisation.ca]

Chelsea Clinton s’associe à l’OMS et à la Fondation Gates pour le plus grand effort de vaccination des enfants jamais entrepris

Par Michael Nevradakis (dans The Defender)

L’initiative « Le grand rattrapage », décrite par l’Organisation mondiale de la santé comme un « effort mondial ciblé visant à relancer la vaccination chez les enfants à la suite du déclin provoqué par la pandémie de COVID-19 », durera 18 mois.

Prévenant que le monde est moins bien préparé à la prochaine pandémie qu’il ne l’était avant la propagation de la COVID-19, Chelsea Clinton — par l’intermédiaire de la Clinton Health Access Initiative (CHAI) — ainsi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et la Fondation Bill et Melinda Gates ont lancé une initiative intitulée « Le grand rattrapage » [The Big Catch-up].

« Le grand rattrapage » durera 18 mois et, selon Mme Clinton, vise à devenir « le plus grand effort de vaccination des enfants jamais entrepris », a rapporté Fortune.

Mme Clinton, qui est vice-présidente de la CHAI, a présenté la semaine dernière cette initiative lors de la conférence Brainstorm Health de Fortune à Marina del Rey, en Californie.

Un jour plus tôt, sous les auspices de la Semaine mondiale de la vaccination, l’OMS a présenté « Le grand rattrapage », le décrivant comme un « effort mondial ciblé pour relancer la vaccination chez les enfants après les baisses provoquées par la pandémie de COVID-19 ».

Selon l’OMS :

« Cet effort vise à inverser le déclin de la vaccination des enfants enregistré dans plus de 100 pays depuis la pandémie, en raison de la surcharge des services de santé, de la fermeture des cliniques et de la perturbation des importations et des exportations de flacons, de seringues et d’autres fournitures médicales. »

Pendant la pandémie, les bouclages ont entraîné une restriction des déplacements, ce qui a limité l’accès aux soins de santé et à d’autres services, et dans de nombreux cas, les familles ont souffert de difficultés financières, a déclaré l’OMS.

« Les défis actuels tels que les conflits, les crises climatiques et l’hésitation à vacciner ont également contribué à la baisse des taux de couverture », selon l’OMS, qui a déclaré que la nouvelle initiative constituera « un effort prolongé pour relever les niveaux de vaccination chez les enfants au moins jusqu’aux niveaux prépandémiques et s’efforcera de les dépasser ».

Rien qu’en 2021, plus de 25 millions d’enfants ont manqué au moins une vaccination, ce qui a entraîné « des flambées de maladies évitables, notamment la rougeole, la diphtérie, la poliomyélite et la fièvre jaune », selon l’OMS.

« Le grand rattrapage » se concentrera sur les 20 pays — tous situés en Afrique, en Asie, en Amérique centrale et en Amérique du Sud — où vivent les trois quarts des enfants qui n’auront pas été vaccinés en 2021.

Selon Fortune, citant des données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), moins de 70 % des enfants américains de moins de 2 ans étaient considérés comme « complètement vaccinés » — c’est-à-dire qu’ils avaient reçu une série complète de vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la polio, la rougeole et d’autres maladies courantes avant l’ère des vaccins — au cours de la période 2020-2021.

Les données des CDC montrent également que seuls 10 % des enfants âgés de 6 mois à 4 ans avaient reçu au moins une dose du vaccin contre la COVID-19 au 31 décembre 2022.

Lors de sa présentation à la conférence Brainstorm Health de Fortune, Mme Clinton a qualifié de « malheureuse » l’augmentation de « l’hésitation face aux vaccins » et le rejet croissant des vaccins, ajoutant qu’elle avait « tempéré » ses propos.

« Personne ne devrait mourir de la polio, de la rougeole ou de la pneumonie, y compris dans notre pays, où nous avons également besoin que les gens vaccinent leurs enfants », a-t-elle ajouté.

« Le grand rattrapage » vise également à promouvoir d’autres vaccins qui ne font pas partie des calendriers de vaccination des enfants.

Selon l’OMS :

« Outre le rattrapage de la vaccination des enfants, des efforts accrus sont nécessaires pour introduire le vaccin contre le papillomavirus humain (PVH) chez les adolescents afin de prévenir le cancer du col de l’utérus, en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, où le fardeau est le plus lourd. »

Outre l’OMS, la CHAI, l’UNICEF et la Fondation Gates, la GAVI, l’Alliance du vaccin et l’Agenda 2030 pour la vaccination sont d’autres partenaires impliqués dans « le grand rattrapage ».

Commentant l’initiative, Chris Elias, M.D., MPH, président du développement mondial de la Fondation Gates, a déclaré que « les vaccins sont un triomphe en matière de santé publique », ajoutant que « nous devons redoubler d’efforts pour que tous les enfants reçoivent les vaccins dont ils ont besoin pour vivre en meilleure santé et pour garantir que les générations futures ne seront pas victimes de maladies évitables comme la polio ».

Elias a participé en mars 2021 à une simulation d’une épidémie mondiale de variole du singe qui devait hypothétiquement se produire en mai 2022 — qui s’est avéré être le mois où une épidémie mondiale de variole du singe s’est réellement déclarée.

Parmi les autres participants à la simulation, on peut citer le Dr Margaret Hamburg, ancienne commissaire de la FDA au sein du conseil d’administration de la GAVI et George Fu Gao, PhD, ancien directeur général du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, qui est membre du comité d’experts de haut niveau One Health de l’OMS qui vise à promouvoir le concept d’« Une seule santé » [One Health] à l’échelle mondiale.

Le Dr Seth Berkley, directeur général de la GAVI, a également commenté « Le grand rattrapage » :

« Nous ne pouvons pas permettre que l’héritage de la pandémie réduise à néant le travail accompli depuis de nombreuses années pour protéger de plus en plus d’enfants contre des maladies mortelles et évitables. Les partenaires mondiaux de la santé, en collaboration avec les gouvernements et les communautés, doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour protéger la vie de chaque enfant. »

M. Berkley, qui était auparavant affilié aux CDC et à la Fondation Rockefeller, a déjà fait l’éloge des efforts déployés pour lutter contre la « désinformation » sur l’internet et de la décision de l’OMS de prolonger l’urgence de santé publique de portée internationale COVID-19.

La Fondation Gates, la GAVI, l’UNICEF, l’OMS et la Fondation Rockefeller sont interconnectés de plusieurs manières.

La GAVI affirme qu’elle « aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre des maladies infectieuses mortelles et débilitantes ». Il a été créé en 1999, la Fondation Gates étant l’un de ses cofondateurs et l’un des quatre membres permanents de son conseil d’administration. La GAVI entretient un partenariat de base avec l’OMS, l’UNICEF et la Banque mondiale.

La Fondation Gates est particulièrement active dans le domaine du paludisme. Elle accorde des subventions à des entreprises qui mènent des recherches sur des moustiques génétiquement modifiés (GM) et participe à des recherches sur un vaccin potentiel contre le paludisme utilisant des moustiques GM.

La Fondation Rockefeller est également partenaire, membre du conseil d’administration et donateur de la GAVI.

De son côté, la CHAI, fondée en 2002 et « engagée à sauver des vies et à réduire le fardeau de la maladie dans les pays à revenu faible et intermédiaire », déclare travailler « avec des partenaires pour prévenir et traiter le paludisme, la tuberculose, l’hépatite et le cancer et accélérer le déploiement de vaccins qui sauvent des vies ».

Parmi ces partenaires figure la Fondation Gates, avec laquelle elle a collaboré sur plusieurs projets depuis 2011, comme l’indique le dernier rapport annuel de la CHAI.

Quatre pages du rapport annuel 2021 de la CHAI sont exclusivement consacrées aux vaccins, décrivant la vaccination comme « un outil puissant pour sauver des vies et améliorer les résultats en matière de santé dans le monde », tout en décrivant ses activités dans plusieurs pays.

Par exemple, le rapport indique qu’« en 2021, nous avons travaillé avec le Cameroun, l’Éthiopie, le Kenya, le Nigeria, la Papouasie–Nouvelle-Guinée et l’Ouganda pour améliorer la vaccination DTC3 [diphtérie, coqueluche et tétanos] ».

Mme Clinton collabore également depuis longtemps avec l’OMS et a participé activement à la promotion des vaccins avant même la pandémie de grippe aviaire de 19 ans, comme en témoigne le tweet suivant de 2018 :

C’est la Semaine mondiale de la vaccination ! Les vaccins sauvent 2 à 3 millions de vies chaque année en protégeant contre ces maladies et d’autres encore.#VaccinesWork https://t.co/JIlLo51Pgu

Chelsea Clinton (@ChelseaClinton) 23 avril 2018 :

Mme Clinton a également participé le 10 avril à un podcast intitulé « A Conversation about Vaccination with Young Advocates », aux côtés du Dr Paul A. Offit, membre du comité consultatif de la Food and Drug Administration sur les vaccins et les produits biologiques connexes, co-éditeur du manuel « Vaccines » et co-inventeur du vaccin contre le rotavirus de RotaTeq.

Dans ce podcast, Mme Clinton et M. Offit discutent des « défis à relever pour combler les lacunes en matière de vaccination des adolescents et parlent à [ed] avec des défenseurs des adolescents de leurs besoins et des défis à relever pour aider les adolescents à défendre leur santé ».

Dans d’autres cas, Mme Clinton s’est exprimée ouvertement sur la prétendue « désinformation » concernant les vaccins.

Dans un tweet daté du 9 août 2021, Mme Clinton a écrit que « les vaccins sauvent des vies » et a qualifié cette déclaration de « controversée […] à une époque où la désinformation est omniprésente ».

Les vaccins sauvent des vies. Cette affirmation ne devrait pas prêter à controverse et pourtant, à une époque où la désinformation est omniprésente, c’est le cas pour beaucoup.

J’ai hâte de m’entretenir avec le Dr @celinegounder, la sénatrice @amyklobuchar et Donna Crawford de @HealthierGen au sujet de la désinformation sur les vaccins. https://t.co/X4WsVZHDUI

Chelsea Clinton (@ChelseaClinton) 9 août 2021 :

Le 21 avril 2021, lors d’une conférence sur les vaccins organisée par Voices for Vaccines, Mme Clinton a expliqué pourquoi elle « travaillait si dur sur la santé mondiale » et « prenait position en faveur des vaccins ».

Dans ce même discours, Mme Clinton a fait référence à ce que l’on appelle la « douzaine de désinformations » qui diffusent des informations erronées sur les vaccins. Robert F. Kennedy Jr, président en congé de la Children’s Health Defense, fait partie de la douzaine de personnes nommées dans cette liste.

Michael Nevradakis, Ph. D.




Tuerie de masse et médicaments psychiatriques

[Source : reseauinternational.net]

Par Mike Whitney

Voici quelques courts extraits de l’excellent article de A Midwestern Doctor publié sur Substack et intitulé « Les décennies de preuves que les antidépresseurs provoquent des tueries de masse ». Je recommande vivement à toute personne intéressée par le sujet de lire l’article dans son intégralité. Tous les extraits ci-dessous sont tirés de l’article.

Dans les années 1990, les fusillades dans les écoles sont passées d’une situation très rare à un aspect fréquent de la vie américaine. Cette période coïncidant avec l’arrivée des ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sur le marché américain, de nombreux articles ont évalué le lien entre les tueries de masse et les médicaments psychiatriques. Je citerai l’un des résumés les plus complets (écrit en 2013) qui tente d’analyser toutes les fusillades de masse connues :

Eric Harris, 17 ans (d’abord sous Zoloft puis Luvox) et Dylan Klebold, 18 ans (fusillade de l’école Columbine à Littleton, Colorado), ont tué 12 élèves et un enseignant et en ont blessé 23 autres, avant de se suicider. Le dossier médical de Klebold n’a jamais été rendu public.

Jeff Weise, âgé de 16 ans, s’était vu prescrire 60 mg/jour de Prozac (trois fois la dose initiale moyenne pour les adultes !) lorsqu’il a abattu son grand-père, la petite amie de son grand-père et de nombreux camarades de classe à Red Lake, dans le Minnesota. Il s’est ensuite tiré une balle. Dix morts, 12 blessés.

Cory Baadsgaard, 16 ans, lycée de Wahluke (État de Washington), prenait du Paxil (qui lui donnait des hallucinations) lorsqu’il a pris un fusil dans son lycée et pris en otage 23 camarades de classe. Il n’a aucun souvenir de l’événement.

Christopher Pittman, 12 ans, a assassiné ses deux grands-parents alors qu’il prenait du Zoloft.

Kip Kinkel, 15 ans, (sous Prozac et Ritaline) a tiré sur ses parents pendant leur sommeil, puis est allé à l’école et a ouvert le feu, tuant deux camarades de classe et en blessant 22, peu de temps après avoir commencé un traitement au Prozac.

(Note : L’auteur donne de nombreux autres exemples que je ne citerai pas ici pour des raisons de longueur).

Dans le cas de la récente fusillade de l’école Audrey Hale, l’attention s’est surtout portée sur le fait que le tireur prenait vraisemblablement de la testostérone, car celle-ci peut déclencher l’agressivité. Bien que, comme beaucoup d’autres choses, cela puisse expliquer ce qui s’est passé, dans les rapports que j’ai trouvés où la testostérone a conduit à un comportement homicide, il fallait qu’une maladie psychiatrique préexistante (qui serait généralement traitée avec un médicament psychiatrique induisant la violence) soit également présente. Étant donné qu’un lien clair a déjà été établi avec les médicaments psychiatriques provoquant ce comportement (et d’après les antécédents du tireur, il est probable que certains lui avaient été prescrits), je suggérerais que, jusqu’à ce que davantage d’informations soient connues, le médicament psychiatrique standard contre la violence est une explication plus probable pour les récents événements tragiques. (…)

Comment ces médicaments ont-ils pu être approuvés et maintenus sur le marché ?

Dans la série précédente sur la corruption (avérée) de la réponse au COVID-19, j’ai essayé de montrer que la conduite du gouvernement fédéral était plus que flagrante et qu’il suivait un cahier des charges corrompu très similaire qui existait bien avant le COVID-19. Les vaccins et le Prozac (et leurs versions ultérieures) n’auraient jamais dû être approuvés, mais ils l’ont été grâce à un réseau de corruption incestueux et méticuleusement tissé jusqu’au plus haut niveau du gouvernement fédéral. (…)

L’objectif premier de l’industrie pharmaceutique est de créer des marchés pour des médicaments coûteux qui seront consommés indéfiniment par la majorité de la population. Les médicaments psychiatriques et les vaccins COVID-19 représentent deux des réalisations les plus lucratives de ces objectifs commerciaux. Je pense que le potentiel de profit extrême qu’ils représentent a incité et permis à leurs fabricants pharmaceutiques d’éliminer tous les obstacles réglementaires à l’adoption généralisée de ces médicaments. (…)

Avant les vaccinations Covid, les médicaments psychiatriques étaient les médicaments prescrits en masse qui présentaient le pire rapport risque-bénéfice sur le marché. (…) Il existe un large éventail de complications graves qui résultent généralement des médicaments psychiatriques. (…) L’adoption généralisée de médicaments psychotropes a déformé la cognition de la population du pays qui les utilise fréquemment (…) et a créé un large éventail de changements préjudiciables dans notre société. (…)

Dès l’arrivée du premier ISRS sur le marché en 1988, le Prozac s’est rapidement distingué comme un médicament particulièrement dangereux. Neuf ans plus tard, la FDA a reçu 39 000 rapports d’effets indésirables concernant le Prozac, un nombre bien plus élevé que pour n’importe quel autre médicament. Il s’agit notamment de centaines de suicides, de crimes violents atroces, d’hostilité et d’agression, de psychose, de confusion, de distorsion de la pensée, de convulsions, d’amnésie et de dysfonctionnement sexuel. (…)

Eric Harris et Dylan Klebold

Les homicides liés aux ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sont fréquents, et il existe un site web qui a compilé des milliers et des milliers de cas documentés. Pour autant que je sache (…), dans tous les cas où une fusillade a eu lieu dans une école et où il a été possible de connaître les antécédents médicaux du tireur, ce dernier prenait un médicament psychiatrique connu pour provoquer ces changements de comportement. Après chaque tuerie de masse, des mèmes illustrant ce sujet circulent généralement en ligne, et les récents événements au Texas (…) ne font pas exception. (…)

Les médicaments psychiatriques posent de nombreux problèmes sérieux (…) cet article se concentrera exclusivement sur leur tendance à provoquer d’horribles crimes violents. Les entreprises pharmaceutiques et la FDA le savaient bien avant qu’ils ne soient mis sur le marché. (…)

Enfin, pour tous ceux qui lisent cet article et qui prennent actuellement un ISRS ou un ISRSN, il est extrêmement important de NE PAS arrêter brusquement leur traitement. Ces médicaments qui créent une dépendance produisent des symptômes de sevrage très forts, et il existe de nombreux cas d’événements catastrophiques qui ont suivi l’arrêt brutal d’un ISRS. Si vous souhaitez le faire, vous devez réduire progressivement la dose avec un médecin qui a de l’expérience dans ce domaine. (…)

Les réactions psychotiques violentes aux ISRS peuvent se manifester par des suicides et des homicides. De nombreux documents attestent de l’existence de suicides dus aux ISRS et, bien que la profession psychiatrique utilise encore une litanie infinie d’excuses pour nier que cela se produise, de nombreux antidépresseurs font désormais l’objet d’un avertissement dans la boîte noire de la FDA concernant l’apparition de suicides. Les effets secondaires des ISRS ont été définitivement connus dès les premiers essais cliniques (qui ont bien sûr été cachés à tout le monde) et une montagne de preuves prouvant que ce phénomène se produit régulièrement s’est accumulée depuis que ces médicaments ont été mis sur le marché. (…)

Comme nous l’avons vu avec les vaccins, pratiquement aucun coût social ne peut empêcher un produit pharmaceutique lucratif d’être mis sur le marché.

source : The Unz Review

traduction Réseau International




L’association AMETIST pour les enfants cancéreux continue à se battre pour les soins individualisés

[Source : association.ametist.org]

Message de Line Turco la présidente et le Bureau

Le 15 mai 2023 Mme, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents,

Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné et informé pour le traitement des cancers de l’enfant et l’adolescent.

Protéger les enfants cancéreux des campagnes de vaccination anti covid, anti papillomavirus (Gardasil) et des graves atteintes à leur développement en refusant la propagande de la dite « éducation sexuelle » qui met en danger leur avenir par effraction cérébrale et leurs capacités de résistance au cancer ou autres maladies chroniques.

Rendre aux parents leur rôle majeur de protection de leurs enfants et donc des choix thérapeutiques et éducationnels.

Depuis notre dernier courrier, les membres d’AMETIST ne sont pas restés inactifs.

Les membres  disponibles se sont réunis en direct, pour se retrouver entre humains en chair et en os. Ils ont poursuivi nos combats communs en informant directement ou par mail et/ou téléphone les parents en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Avec la disparition progressive du corps médical ouvert, ces parents « perdus » se sont multipliés.

Comme les années précédentes, nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques, éviter une amputation et/ou abandon et euthanasie.

Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019, a continué à répondre aux sollicitations des familles ainsi que notre trésorière et médecins conseillers fort scandalisés par la publicité médiatique sur le covid et sur le Gardasil après les annonces retentissantes du président de la République en mars 2023 pour vacciner toutes les [élèves de] cinquième de collège.

Le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est malheureusement de plus en plus d’actualité dans davantage de spécialités médicales et il est impératif de l’expliquer.  Le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas qui ont fait leurs preuves dans le monde réel et les traitements expérimentaux et les nouvelles molécules hors de prix.

Les établissements et les médecins sont soumis aux ukases des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est durci depuis 2009. Certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie alors que c’était leur pratique quotidienne depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice, comme en chimiothérapie.

Les autorisations s’imposent à tous les établissements, publics ou privés, conventionnés ou non .Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer, des essais thérapeutiques pour l’essentiel. Les interdictions d’opérer des sarcomes hors de quelques centres agréés s’étendent aux adultes depuis quelques mois. IL N’EXISTE PLUS DE MÉDECINE LIBRE EN FRANCE.

« Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements de haut niveau adaptés de très près à chacun ».

On nous impose de ne plus traiter des malades mais des maladies.

Les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour chaque malade, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale. Notre combat est plus que jamais nécessaire afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

Les conséquences des injections anti-covid forcées se dévoilent dans toute leur horreur et en particulier des turbocancers, d’où de nombreux questionnements des familles.

Grâce à un gros don ciblé d’une bénévole bretonne, nous avons distribué le livre « les enfants sacrifiés du covid », Ed FauveS, de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, et élus, par courrier en juillet 2022 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue. Certains élus ont été à l’écoute et réceptifs à ces informations.

Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

Ainsi, AMETIST continue à se battre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science et protégés des agressions physiques et psychologiques imposées par la bureaucratie. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles par mail ou téléphone ou posées à travers les sites (https://association.ametist.org/ mail :  lt4@live.fr

Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation et/ou de votre soutien physique et/ou financier. Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements les meilleurs y compris à l’étranger.


Pour aider AMETIST :
https://association.ametist.org/lassociation-ametist-pour-les-enfants-cancereux-continue-a-se-battre-pour-les-soins-individualises/




L’équité et le droit des femmes doivent primer sur l’inclusivité en sport de compétition

Par Gérard Delépine

« Et si les faits disent autre chose, les faits doivent être modifiés »

Orwell dans 1984.

Halba Diouf, ici à l’entraînement. GONZALO FUENTES/REUTERS

Inclure des femmes trans dans les compétitions sportives féminines bafoue le droit des femmes et l’équité.

Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques des individus. À l’adolescence, la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettiques et musculaires conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes :

  • des épaules plus larges ;
  • la forme du bassin et de la mâchoire ;
  • un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 % ;
  • le développement du cœur (plus petit et plus rapide chez les femmes), en moyenne 35 % de la masse totale chez les hommes contre 28 % chez les femmes ;
  • certaines de leurs artères sont plus courtes, la qualité des ligaments — ceux des femmes permettent plus de laxité, ceux des hommes plus d’explosivité ;
  • l’ossature ;
  • la consommation d’oxygène — l’hémoglobine (qui sert à transporter l’oxygène) en proportion plus élevée chez les hommes que chez les femmes ;
  • la répartition des graisses ;
  • etc.

Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines (sauf en gymnastique) l’illustre avec une différence de 10 % à 20 % en faveur des hommes :

  • lancer de javelot (94 m/72 m),
  • 50 m nage libre (46/51 s),
  • sprint de 100 m (9 » 58/10 » 49),
  • lancer de poids (23,37/22,63),
  • course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec),
  • lever de poids (488 kg/332 kg),
  • marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)…

Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait faire croire que le sexe serait un « construit social », qu’on peut en changer selon son bon plaisir. Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.

Un homme qui s’affirme femme trans, même s’il se bourre d’œstrogènes et a un faible taux de testostérone, conserve une masse musculaire supérieure (ainsi que les autres caractéristiques) qui rend inéquitable la compétition avec les femmes.

L’exemple d’Halba Diouf qui en s’inscrivant comme femme-trans est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale est démonstratif.

Mais aussi le cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, alors qu’« elle » avait participé à la course masculine équivalente, n’aurait même pas atteint le top 10. Sa participation a privé Cristina Sanulli, arrivée seconde, du titre et d’un record féminin de course en salle.

Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité et les droits des sportives de haut niveau.  

L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas ce problème d’équité puisqu’évidemment leurs performances sont inférieures, mais curieusement les hommes trans ne sont guère nombreux à vouloir y participer.

Marguerite Stern1, militante féministe de longue date,2 a résumé la question dans une tribune de Marianne :

« Sous couvert de “lutte contre les discriminations”, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. »

Jadis, on a accusé les nageuses est-allemandes de dopage en se faisant mettre enceintes avant les compétitions. Elles ont été exclues pour dopage ainsi que ceux qui prenaient de la testostérone. Mais la « triche » actuelle la plus efficace n’est-elle pas de se déclarer femme trans quand on est né homme et qu’on a fait sa puberté ?

Aucune société ne peut fonctionner sans lois parmi lesquelles celles qui assurent la justice, l’égalité des droits de tous et l’équité sont indispensables à la démocratie. Aucune compétition sportive ne peut fonctionner sans règles.

Je ne suis pas transphobe et je respecte les choix sexuels des adultes consentants, tant qu’ils ne nuisent pas aux autres. Mais il n’y a aucune raison logique pour nuire à l’intérêt des femmes au profit de quelques hommes mal dans leur corps de naissance. On ne peut pas accepter que ces hommes volent le podium (les honneurs et l’argent qui en découlent) aux femmes ayant travaillé dur pour obtenir le titre. C’est d’ailleurs actuellement la position de la Fédération internationale de natation, et de la Fédération internationale d’athlétisme qui privilégient l’équité sur l’inclusivité.

Pour clore la polémique et permettre aux sportifs trans qui le désirent de se rendre plus visibles comme le veut le militantisme trans, mais en respectant l’équité, il serait certainement plus efficace de mettre en place des compétitions sportives qui leur soient spécifiquement réservées.


1 Voir aussi : Marguerite Stern : « Pourquoi les athlètes trans n’ont rien à faire dans les compétitions sportives des femmes » (lefigaro.fr)

2 Marguerite Stern, militante féministe à l’origine des collages contre les féminicides. Ancienne membre des Fémen, elle est, avec Dora Moutot, à l’origine du lancement de la plateforme « Femelliste ». Ce manifeste en ligne entend « s’opposer aux législations qui effacent le sexe au profit de la notion d’identité de genre ».




La médecine en déroute ?

[Source : Cercle Aristote]

La médecine française était considérée comme la meilleure du monde en 2001. Depuis, la situation s’est largement dégradée.




La grande tromperie des vaccins depuis Pasteur l’imposteur, le pire étant le vaccin contre La Polio

Par Gérard Le Maître

Avant-propos : En écrivant ceci, je vais sans doute ne pas me faire que des amis, je démolis la théorie des « vaxx sauveurs » de L’Humanité…

La grande tromperie des vaccins1 depuis Pasteur qui n’a été qu’un imposteur

Et le pire c’est probablement l’histoire du vaccin contre la POLIO

Voici contée l’autre histoire des vaccins, la vraie depuis que les vaccins existent et ce n’est pas du tout ce qui a vous a toujours été raconté, sans parler des adjuvants poisons qu’ils contiennent, c’est encore une autre histoire, les belles histoires de Pasteur et autres découvreurs de vaccins miracle est tout autre et c’est même plutôt abominable… en réalité contrairement à ce que tout le monde pense parce que c’est l’histoire qui a toujours été racontée à tout le monde dès la plus tendre enfance, à l’école… et maintenant plus que jamais…

C’est sur Sud Radio André Bercoff et l’histoire incroyable des vaccins2 :

À lire aussi, il y a des dizaines de livres et publications qui dénoncent la triste réalité et les impostures qui ont permis d’en arriver là… à commencer par Louis Pasteur qui a été érigé en héros pour des raisons politico-historiques… pléthore de livres à découvrir sur le net…

L’IMPOSTURE LOUIS PASTEUR

L’imposture vaccinale

La France, pays de Descartes et de la rationalité scientifique est tombée dans une bien étrange assuétude : la dépendance aux vaccins.

Si la France est bien la patrie de Descartes, elle est aussi, pour son plus grand malheur, celle de Louis Pasteur !

La démonstration d’un fait scientifique par la méthode expérimentale ne repose que sur des mesures de laboratoire, reproductibles, vérifiées par d’autres scientifiques, et indiscutables.

– MENSONGE N° 1

PASTEUR NE FUT PAS MÉDECIN ; il était chimiste et travaillait pour les industriels du vin et de la bière ! !

– MENSONGE N° 2

PASTEUR N’A PAS DECOUVERT LE VACCIN DE LA RAGE.3

Tous les travaux que Pasteur s’attribua sans vergogne, furent en fait « copiés » sur d’autres scientifiques. La seule vraie découverte de Pasteur et dont personne ne parle jamais, c’est la serviette en papier jetable pour s’essuyer les mains.

– MENSONGE N° 3

PASTEUR N’EST PAS LE SAUVEUR DES FEMMES EN COUCHE MOURRANT DE LA FIÈVRE PUERPÉRALE : PASTEUR LE CHARLATAN A VOLE Antoine BÉCHAMP.4

Pasteur a maquillé les résultats d’expériences qui ne lui étaient pas favorables, comme l’aurait fait un vrai faussaire avec l’aide de complices. Il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXe siècle, médecin, biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la Faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la faculté libre de Lille.

– MENSONGE 4

VACCIN DE PASTEUR CONTRE LA RAGE FUT EN RÉALITÉ DANGEREUX.

Et si Louis Pasteur a été édifié en héros pour la science, mais c’est parce que ça se passait dans l’après-guerre de 1870-1871, la France avait pris une raclée par les Prussiens qui avaient annexé l’Alsace et la Lorraine. Alors il fallait un électrochoc pour aider à rétablir le moral et la confiance du peuple en ses gouvernants et faire voir au monde que La France restait un grand pays malgré la cuisante défaite…5

Et si dans les livres d’école depuis un siècle et demi on glorifie toujours Pasteur l’inventeur génial du vaccin contre la rage c’est pour la promotion déjà de Big-Pharma aux mains des Rockfeller, Rotschild et Cie.6

L’histoire de la polio : l’imposture pour un virus qui n’a jamais existé !

La maladie la plus souvent invoquée pour défendre les vaccins est sans conteste la poliomyélite, à tel point que tout le monde est persuadé que le vaccin contre la poliomyélite a sauvé énormément de vies…

Par coïncidence, c’est aussi le plus grand mensonge et la plus grande escroquerie médicale de tous les temps.

Les toxines causant la « polio » sont bien documentées.

Le virus responsable de la polio n’a jamais existé.7

https://www.kla.tv/24725

ET IDEM POUR BIEN D’AUTRES MALADIES…8

Cette vidéo est un peu longue, à regarder en plusieurs fois éventuellement, mais lorsque vous l’aurez vue, plus jamais vous ne voudrez vous faire vaxxiner vous-même ou vaxxiner vos enfants…



Au 12 novembre dernier: 48 817 décès suite effets secondaires enregistrés en Union Européenne, plus de 2 000 pour La France. Combien pour Le Monde ??

[Note de Joseph : même si dans la perspective « complotiste » de la théorie virale frauduleuse Luc Montagnier s’est quelque peu racheté vers la fin de sa vie, notamment par ses recherches sur la mémoire de l’eau9, il a néanmoins largement contribué auparavant à la peur virale avec l’arnaque du SIDA alors que le fameux HIV n’a pas plus que les autres virus et rétrovirus été scientifiquement isolé, purifié et convenablement caractérisé biochimiquement.10]

[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]





Samedi 13 mai était Journée mondiale d’hommage aux VICTIMES des effets secondaires des injections

Par Gérard Le Maître

Les Collectifs d’information de Carcassonne, Narbonne et Perpignan une cinquantaine de personnes étaient présents à Carcassonne Porte des Jacobins pour informer la population sur les effets secondaires des injections qui ont provoqué beaucoup d’effets secondaires dont beaucoup de graves, très graves et de nombreux décès, mais qui sont toujours niés par les gouvernements, les services de santé et surtout les médias qui se taisent.

Des centaines de personnes se sont informées, d’autres, très nombreuses ont fait part de leurs propres problèmes de santé ou de membres de leurs familles, des décès de proches, de tous âges, suite aux injections et beaucoup regrettent et disent qu’ils ont été trompés, abusés par un système politique, médical, médiatique qui a imposé des contraintes qui ont fait que la vaccination était quasi obligatoire de fait, et l’avis général si c’était à refaire ils ne se laisseraient plus prendre.

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Rappelons qu’il ne s’agit pas de vaccins, mais d’injections de substances qui sont toujours en phase d’essais, injections à ARNm dont on ne connaît pas encore toutes les conséquences sur le corps humain…

Vaccination anti-Covid — Une émission sur Arte a parlé des effets secondaires, mais le principal n’a pas été dit : les dizaines de milliers de décès ont été passés sous silence.

Pour La France c’est plus de 2 000 décès enregistrés dans le site pharmacovigilance ANSM santé

https://ansm.sante.fr/

Trouver les chiffres d’effets indésirables pour L’Union Européenne :

https://www.adrreports.eu/fr/eudravigilance.html




L’association « Gays Against Groomers » accuse les militants trans de « terrorisme » et de promouvoir la mutilation d’enfants

[Source : lemediaen442.fr]

[Sur l’illustration : « Gays Contre Toiletteurs », « toilettez les chiens, pas les enfants »]

L’association Gays Against Groomers qui est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ ». Dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements pro-LGBT. Dans une vidéo (voir ci-dessous [plus bas]) de près de cinq minutes, David Leatherwood représentant l’organisation « Gays Against Groomers » dénonce l’utilisation de la communauté LGBT comme bouclier par des mouvements radicaux qui encouragent la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » de mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine. Cependant, cette avancée est remise en question par des extrémistes qui veulent détruire la prochaine génération de leur pays en créant des « patients médicaux à vie » avant même que ces enfants n’aient atteint la puberté.

Pour l’association, le mouvement trans radical est comme le « culte de la mort » qui se concentre sur la mutilation corporelle, l’automutilation et la destruction d’identité. David Leatherwood affirme que les enfants, qui ne sont pas en mesure de donner leur consentement, sont les principales cibles de ce mouvement qui mène une guerre culturelle. Il dénonce les pratiques de « soins d’affirmation de genre », qu’il qualifie de « mutilation » et de « stérilisation » et appelle les parents à protéger leurs enfants contre la médicalisation expérimentale et souligne que la majorité des membres de la communauté LGBT sont également contre ces pratiques. Il accuse les médias et les groupes de pression de promouvoir la fausse idée que la communauté LGBT soutient la médicalisation des enfants, alors que seul un petit nombre de militants radicaux soutiennent cette idée.

Le président de l’association « Gays Against Groomers » pointe du doigt les organisations Trans financées par des dons de grandes sociétés pharmaceutiques comme Pfizer, Johnson & Johnson etUnitedHealth Group, qui ont un intérêt financier à transformer des générations d’enfants en patients médicaux pour leur profit.

Concernant l’association Gays Against Groomers  :

  • Notre communauté qui prêchait autrefois l’amour et l’acceptation des autres a été détournée par des militants radicaux qui poussent maintenant des concepts extrêmes sur la société, ciblant spécifiquement les enfants ces dernières années.
  • L’écrasante majorité des homosexuels sont contre ce en quoi la communauté s’est transformée, et nous n’acceptons pas que le mouvement politique pousse son programme en notre nom.
  • Gays Against Groomers s’oppose directement à la sexualisation des enfants. Cela comprend des heures d’histoires de drag queen, des spectacles de dragsters impliquant des enfants, la transition et la médicalisation des mineurs et la théorie du genre enseignée en classe.



Une avocate révèle que l’armée canadienne a empêché les médecins de signaler les blessures causées par le vaccin Covid

[Source : naturalnews.com]

Il a été révélé que la raison pour laquelle les médecins canadiens n’ont pas été autorisés à signaler les blessures graves causées par les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) est que les Forces Armées Canadiennes (FAC) leur ont ordonné de ne pas le faire.

Selon Catherine Christensen, avocate et fondatrice de Valour Law et du Centre d’action juridique Valour pour le droit militaire, des preuves ont émergé pour démontrer que l’armée canadienne, sous la direction du Premier ministre Justin Trudeau, a conspiré pour cacher la vérité au public sur les blessures et les décès causés par le vaccin Covid.

« Des médecins militaires ont témoigné sous serment qu’on leur avait dit de ne pas signaler les blessures causées par les vaccins, ou que s’ils demandaient comment les signaler, on leur disait de se taire », a révélé M. Christensen lors d’une audience de l’Enquête Nationale des Citoyens (ENC) tenue le 26 avril à Red Deer, dans l’Alberta.

(Voir aussi : Les vaccins obligatoires de Trudeau ont déclenché l’effondrement de l’industrie automobile nord-américaine).

Un médecin militaire canadien et capitaine s’est vu dire directement de NE PAS signaler les blessures causées par la piqûre de covidium

Le NCI est actuellement en train d’évaluer la réponse du Canada à la « pandémie » de Covid et ses effets sur la santé des citoyens canadiens, ainsi que sur leur liberté et leur bien-être social et économique.

Lors de la conférence en question, Christensen représentait 360 soldats des FAC qui ont été directement et négativement affectés par le mandat de l’armée canadienne concernant les vaccins Covid, qui est similaire à celui que le régime de Biden a imposé aux soldats américains.

Christensen a révélé lors de la conférence que les FAC ont choisi d’ignorer toutes les blessures causées par le vaccin Covid et de ne pas suivre les problèmes de santé qui sont apparus chez les soldats qui ont été forcés de se faire injecter.

Nombre de ces soldats ont depuis développé de graves problèmes de santé, comme le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie neurologique relativement rare qui endommage les cellules nerveuses.

« On leur a dit de diagnostiquer d’autres choses, comme le syndrome de Guillain-Barré [SGB], lorsque de jeunes hommes s’effondraient sous la douche après les injections », a déclaré M. Christensen, ajoutant et précisant que ces soldats « avaient été blessés par le vaccin ».

En outre, les FAC ont mal classé les dossiers médicaux des soldats en omettant — ou plutôt en refusant — de classer toutes les blessures causées par les vaccins. Mme Christensen affirme qu’elle a « plus de personnes dans ses dossiers qui ont été blessées par des vaccins que de personnes officiellement répertoriées comme ayant été blessées par des vaccins ».

Après s’être entretenue avec de nombreux militaires canadiens qui ont signalé des blessures causées par le vaccin Covid et avoir recueilli leur témoignage sous serment, Mme Christensen est convaincue qu’il s’agit d’une dissimulation délibérée de la vérité, qui remonte en fin de compte au régime de M. Trudeau.

« Je pense que les FAC ne suivaient pas le nombre et le type de blessures liées au vaccin Covid-19 », a déclaré M. Christensen.

Les FAC ont publié le 17 avril des données montrant qu’un total de 375 000 vaccins Covid ont été administrés aux membres de la FAC. Sur ce nombre, 0,09 % ont officiellement signalé « un effet indésirable quelconque à la suite de la première, de la deuxième ou des doses de rappel », indique le rapport de données.

« La majorité des effets indésirables signalés étaient mineurs et se sont résorbés d’eux-mêmes », affirment les FAC.

Parmi les blessures officiellement signalées entre le 7 janvier 2021 et le 1er février 2023, les FAC indiquent que 316 ont été considérées comme « non graves » et seulement 26 comme « graves ». Sur ces 316 cas de blessures, neuf ont été officiellement enregistrés comme myocardites ou péricardites.

Ces chiffres sont bien trop bas, selon M. Christensen, qui maintient que des milliers de membres des FAC ont été gravement blessés par le programme d’injection obligatoire Covid de M. Trudeau — bien que la grande majorité de ces blessures soient ignorées par le gouvernement.

« Et qu’arrive-t-il à ceux qui ont suivi les ordres et pris les injections et qui sont maintenant handicapés de façon permanente ? Anciens Combattants Canada (ACC) leur répond que non, que ces blessures ne sont pas liées au service », a ajouté Mme Christensen dans son témoignage.

Une fois de plus, les vétérans seront confrontés à un système procédural qui les laisse tomber ou les oblige à aller devant les tribunaux pour obtenir une indemnisation méritée.

Les dernières informations sur la corruption qui a eu lieu pendant la « pandémie » de Covid sont disponibles sur le site Fascism.news.

Les sources de cet article sont les suivantes :
LifeSiteNews.com

NaturalNews.com




194 pays membres de l’OMS demandent la publication des contrats vaxinaux entre labos et gouvernements, mais…

[Source : ]

Par Cheikh Dieng

Lecourrier-du-soir.com invite ses chers lecteurs à relire la révélation exclusive faite en novembre dernier par l’agence de presse Reuters. Comme par hasard, les médias de masse refusent catégoriquement d’en parler et quand ils le font, c’est pour lui consacrer quelques lignes.

Excellente lecture

D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements.

Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.

En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.

Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.

Tout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les États membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.

Sur les réseaux sociaux, le pacte n’a pas manqué de susciter des réactions.




Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques

[Initialement publié sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen victime de harcèlement électromagnétique

Depuis quelques années, les risques sur la santé des ondes électromagnétiques alimentent craintes et débats. Ce fut le cas notamment avec la polémique sur les compteurs communiquant Linky et plus récemment avec le réseau 5G.

Un grand nombre d’activistes nous a donc alertés sur les dangers d’une exposition « passive » à ces ondes qui forment un « electrosmog » (brouillard électromagnétique).

Néanmoins une certaine part de la population est victime d’une exposition « active », à comprendre qu’elle est victime d’agressions électromagnétiques délibérées depuis des décennies que nous nommerons harcèlement électromagnétique.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Opération Crimson Mist
Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Actionner un interrupteur dans la tête]

Elle se regroupe sous l’appellation d’individus ciblés (anglais : targeted individuals). Le gouvernement est directement incriminé par des officiels devenus lanceurs d’alerte.

Cela est le cas pour Barrie Trower, ancien spécialiste des micro-ondes ayant travaillé pour le MI-5 (renseignement militaire britannique). Dans la vidéo ci-bas, il explique qu’il est possible de cibler des individus pour leur induire des pathologies et des symptômes psychiatriques.

Nous y voyons également le scientifique et chercheur américain Nick Begich expliquer les technologies de contrôle mental. En effet, il cite la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) américaine pour avoir mis au point ce qu’ils ont baptisé la « télépathie électronique » ou « télépathie synthétique » qui est capable de lire dans les pensées de la cible et d’interférer avec son comportement sans électrodes. Il y a dédié un livre nommé « techniques de contrôle mental » et est aujourd’hui l’un de ses plus fermes opposants.

Les infrastructures de communication (satellites, antennes relais et boxs wi-fi) constituent le socle du harcèlement électromagnétique, les smartphones et PC complètent le tableau. En effet, le scientifique américain Richard Lighthouse ayant travaillé avec la NASA, nous livre un diagramme de ce crime d’État.

Nous y voyons que les civils sont traqués par des satellites GPS qui en combinaison avec des superordinateurs et les antennes relais nous livrent des « microwave bullets » (balles à micro-ondes) à fréquence élevée (2,3 à 3,7 GHz). C’est faisable, car elles sont équipées d’armes à énergie dirigée, ce type de technologies a été utilisé pour agresser des diplomates US et canadiens à La Havane, Cuba. Elles peuvent également émettre des signaux subliminaux et des voix implantées par la technologie V2K (Voice to Skull ou voix au crâne), n° de brevet : US4.877.027A. La seconde technologie pour exercer du contrôle mental est appelée RNM (Remote Neural Monitoring ou Monitoring neuronal à distance), n° de brevet US3.951.134A.

Des armes à énergie dirigée portables sont également à portée de mafias en collusion avec le gouvernement, elles sont plus efficaces et dangereuses encore.

Dans cette vidéo en anglais, Richard Lighthouse livre des informations très précises sur le fonctionnement du harcèlement EM :

Une large gamme de pathologies comme des problèmes neurologiques (perte de mémoire et de concentration, migraines, fatigue, insomnies, réveils nocturnes, douleurs confondues avec de la fibromyalgie, spasmes, entente d’infrasons, acouphènes, apnées du sommeil, électrochocs, troubles de la vision…), cardiaques, à différents organes, des pertes de libido, des apnées du sommeil, un vieillissement prématuré et des brûlures peuvent survenir. Il est donc possible d’exercer de la torture et de tuer une cible à petit feu.

Pour ce qui est des pathologies psychiatriques (psychotroniques) cela peut produire des hallucinations, de l’anxiété, de la paranoïa, des cauchemars, des psychoses et des voix implantées.

Le nombre de victimes augmente de jour en jour, d’après une enquête sur mon canal Telegram, une part non négligeable a commencé à être ciblée après la survenue de la crise covid. Les motifs de ce ciblage sont variés et peuvent aller de la répression des lanceurs d’alerte et des personnes éveillées à « la prévention », le sadisme, la revanche et les expérimentations, car les travaux sur le contrôle mental servent à mettre en place des intelligences artificielles, cela avait été documenté par le praticien américain John Hall.

Dans cette vidéo, des moyens de protections sont proposés :

J’y ai également dédié un article.

Les victimes se retrouvent isolées et impuissantes face à une machine de guerre bien huilée, leurs plaintes sont classées sans suite et peuvent les mener à l’internement psychiatrique.

Nous espérons que cet article ait conscientisé un maximum de personnes sur ce phénomène frappé par l’omerta, car en effet, ces technologies sont classées top secret. Nous estimons que 0,1 % de la population des états de l’OTAN en est victime à divers degrés, mais cela représente près de 10 % des personnes éveillées qui militent ou pas. Nous devons donc agir vite pour éviter un avenir dystopique et exiger la fin de ce programme inhumain même s’il est à prévoir que les autorités nieront leur existence.

Pour conclure l’article, voici une vidéo de témoignage de victimes :




Soyez prudents, faites comme les autres français : refusez les rappels

Par Gérard Delépine

Le gouvernement vient de lancer une nouvelle campagne de rappel des pseudo vaccins anti-covid en prétendant que :

« L’objectif de cette campagne de vaccination consiste à maintenir un niveau de protection vaccinale suffisant afin de réduire la survenue de formes graves de Covid-19, et le risque d’hospitalisation et de décès. »

Mais les Français savent que l’épidémie est quasiment terminée dans le monde :

Comme en France :

Ils ont de plus constaté que les pseudo vaccins ne protègent pas des contaminations. Comment pourraient-ils l’ignorer alors qu’autour d’eux de nombreux vaccinés tombent malades malgré les rappels et que les données de l’OMS montrent que l’épidémie, loin de ralentir, a été fortement accélérée après les injections ?

ou comme l’illustre la courbe des contaminations en France où la plus grande poussée de contaminations a éclaté alors que près de 80 % de la population était vaccinée :

Les Français savent aussi que les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort, car ils connaissent tous des voisins vaccinés qui ont été hospitalisés et/ou sont morts de Covid en particulier lors de la vague de décembre 2022 alors que plus de 93 % de la population à risque était injectée.

Ils savent enfin que les pseudo vaccins covid ne sont pas dépourvus de complications.

Aucun médicament actif ni vaccin n’est dépourvu de risque. Mais les pseudo vaccins covid battent tous les records de complications observés depuis le début des vaccinations tant aux USA (registre du VAERS) qu’en Europe.

Les complications bénignes sont les plus fréquentes, mais il existe des complications plus sérieuses : phlébites, thromboses, troubles du cycle menstruel, pertes de connaissance brutales, accidents neurologiques variés, myocardites pouvant entraîner la mort.

Les registres des États-Unis montrent qu’après les 657 millions de doses administrées dans le pays avant le 7 décembre 2022, 17 800 décès ont été identifiés, même si le lien de causalité reste comme après tout médicament difficile à établir avec certitude.

Malgré la désinformation les Français sont devenus prudents.

Dans le monde les injections ne font plus recette : moins de 0,01 % de la population accepte encore de se faire injecter !

En France aussi, malgré la propagande forcenée de nos autorités répétant que les injections expérimentales seraient « des vaccins efficaces et sans risque » l’expérience a permis à l’écrasante majorité de réaliser que ces injections anti-covid ne servent qu’à augmenter les dividendes des actionnaires de Pfizer et mettent en danger ceux qui les reçoivent.

Les seuls qui subissent encore des rappels sont ceux qui ne peuvent pas exercer leur libre choix comme les pensionnaires des EHPAD, les malades hospitalisés…

En mai, chaque jour, moins de 0,01 % des Français sont injectés :

Faites comme le reste de la population française, ne prenez pas de risque en vous faisant réinjecter un médicament toujours expérimental alors que les faits avérés en population montrent qu’il est inefficace et dangereux.




Interdit de parler de ça !

[Source : covidhub.ch]

Senta Depuydt est journaliste et mère d’un enfant qu’elle a réussi à délivrer de l’autisme après des recherches inlassables qu’elle retrace ici de manière émouvante.

Après des années, Senta Depuydt a fini par découvrir une approche biomédicale, utilisant notamment des prescriptions nutritionnelles, qui ont rendu de façon spectaculaire la santé psychique à son fils.

[Voir aussi :
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Dossier Vaccins et virus]

Impossible de faire savoir

La journaliste belge a voulu partager ces informations à d’autres parents, et rassembler les connaissances, expériences et témoignages lors d’un congrès scientifique en 2016, en présence entre autres du Prix Nobel Luc Montagnier.

Et c’est là qu’elle se heurte à un puissant système qui répond à ces recherches indépendantes par la répression et le discrédit. Car l’un des points soulevés était le lien de plus en plus vérifié entre l’autisme et un certain nombre de vaccins administrés toujours plus massivement aux enfants et aux bébés.

Le film qui devait lancer le débat…

Senta Depuydt a participé à la diffusion d’un documentaire, immédiatement dénoncé comme complotiste : VaxxedFrom Cover-Up to Catastrophe (Vaccinés — de la dissimulation à la catastrophe).

Pourtant, le film commence par le puissant aveu de William Thompson, un scientifique du CDC (l’agence publique de contrôle des maladies), qui aurait dû lancer un débat public immédiat : « J’ai honte, nous avons menti, nous avons manipulé les données pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination ».

Et pourtant, les chiffres sont là

Pour rappel, les États-Unis sont le pays qui vaccine le plus et le plus tôt les nouveau-nés, et c’est aussi la région du monde où le niveau d’autisme est le plus élevé, avec un enfant touché sur 44 naissances en 2021. En 2016, ce taux s’élevait à un enfant sur 68 et en 2002 à un enfant sur 150.

Or, comme pour le Covid quelques années plus tard, le débat sera tout simplement interdit. Senta Depuydt a beau organiser des projections et des conférences, ou alerter des députés au Parlement européen, en vain.

La réponse violente du système

La réponse du complexe pharmaceutico-médical sera particulièrement violente, raconte-t-elle : censure, lynchage médiatique, persécution des scientifiques et des témoins, manipulation des données…

La journaliste se rend compte peu à peu qu’elle a affaire à un agenda global de vaccination et de sécurité sanitaire — « un véritable coup d’État mondial ». Qu’il s’agisse de l’autisme ou du Covid, on fait face aux mêmes stratégies, mêmes narratifs livrés aux autorités et aux médias, même fake news et fact checkings.

Pour renforcer en Europe la prise de conscience et avant tout la protection des enfants, elle a proposé à Robert Kennedy Jr (qui dénonce depuis longtemps les vaccinations massives aux États-Unis) de fonder une section européenne de son organisation Children’s Health Defense.

Conférence :






Les effets des ondes sur l’organisme

[Source : twitter.com/patou_ou_rien]





https://www.champs-electro-magnetiques.com/ondes/actudes-41.html

études

– AVIS de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail sur la question de l’exposition au CEM (2009) (lire la suite…)

 L’appel de Fribourg: « Par grand souci pour la sante de nos contemporains nous nous adressons – en tant que medecins de toutes specialites (specialement de la medecine environnementale) », (lire la suite…)

– Université d’Albany, New York – 31 Août : De graves inquiétudes de Santé publique sont soulevées à propos de l’Exposition aux Champs Electromagnétiques (CEMs) des Lignes à Haute-Tension et des Téléphones Cellulaires (lire la suite).

– Une étude  fondée sur la Variabilité du Rythme Cardiaque montre que les irradiations d’un téléphone sans fil de 2,4 GHz affectent le système nerveux autonome (lire la suite…)

– Etude Brésilienne de Adilza Condessa Dode sur la surmortalité des riverains d’antennes relais  Dans une méga thèse défendue par devant l’UFMG qui est l’une des cinq plus grandes universités publiques brésiliennes, la chercheuse ingénieure, confirme l’hypothèse et met en évidence qu’il y a corrélation entre les cas de décès par cancers et la localisation d’antennes relais de téléphonie cellulaire dans la ville de Belo Horizonte, capitale de l’état de Minas Gerais au Brésil (lire la suite).

– Deviendrons nous tous électrosensibles? Etude le l’ARTAC sur l’électrosensibilité, nouvelle pathologie qui augmente de façon exponentielle (lire la suite…), également une étuide anglaise sur cette question -en Anglais (lire la suite…)

– Les micro-ondes sont-elles le facteur causal principal dans les SFC/ME ? par le professeur Paul Doyon (lire la suite…)

– Réactions allergiques renforcées par l’utilisation du téléphone mobile: L’utilisation des téléphones mobiles pendant une heure en continu exacerbe les réactions allergiques à la poussière et au pollen chez les adultes atteints d’eczéma, selon une nouvelle étude scientifique publiée dans…(lire la suite..)

– Enquête Européenne sur les Symptômes Biologiques et Sanitaires ressentis par les Riverains d’antennes relais – 15 JANVIER 2010 (lire la suite…)

– Le Dr Thomas Rau, directeur médical à la clinique de renommée mondiale Paracelsus à Lustmühle en Suisse dit qu’il est convaincu que les rayonnements électromagnétiques conduisent au cancer, aux troubles de concentration, d’ADD, problèmes d’acouphènes, de migraines, d’insomnies, d’arythmies, maladie de Parkinson et même de maux du dos (lire la suite…)

– Étude scientifique sur les symptômes spécifiques des riverains d’antennes relais de Selbitz (Bavière). Mise en évidence d’une relation Dose-Effet des irradiations. Dr Horst Eger, Dr Manfred Jahn et Al (lire la suite…)

– Communication du Professeur Pierre LE RUZ au Troisième Séminaire sur la Santé, l’Environnement et la Société touchant les Communications par Mobiles (2006) (lire la suite…)

– Résolution du Parlement européen – Textes adoptés au 04/09/2008 (lire la suite…)

– Rapport australien indépendant : ‘Impacts des rayonnements des antennes-relais de téléphonie mobile’ – 30/08/2008 Lyn McLean, EMR Australia – en Anglais-  (lire la suite…)

– Autre Rapport Australien sur cette question, ce rapport met en évidence les effets de radiation des radiofréquences provenant des antennes relais sur la santé publique (lire la suite…)

– Etude TNO sur les effets des technologies sans fils concernant les fonctions cognitives et le bien être (étude en Anglais) (lire…)

– Etude du Dr Neil Cherry: Preuves épidémiologiques d’un risque pour la Santé près des stations de bases de téléphonie mobile (lire la suite)

Référence de l’ensemble des études sur le sujet des CEM

– Une nouvelle étude Canadienne, met en garde contre les risques des irradiations et suggère que les antennes relais soient à l’écart des logements (lire la suite…)

– Eau et Champs ÉlectroMagnétiques artificiels: Plus de 10 000 stations de bases de téléphonie mobile soit environ plus de 100 000 antennes relais qui générèrent et irradient en CEM artificiels HF micro-ondes l’eau que la population consomme (lire la suite…)

– Téléphones portables: Demain il sera trop tard: Faute d’avoir voulu prendre le problème à bras le corp npous devrons un jour faire face  à un choix cornélien, le portable ou la vie – pratique de santé-  (lire la suite…)

– La synthèse de l’étude internationale BIOINITIATIVE, étude de référence sur ces questions (lire la suite…)

– The Impacts of Radiofrequency Radiation from Mobile Phone Antennas (étude Australienne)

 – Le Syndrome des Micro-Ondes: Toutes les études scientifiques réalisées dans le monde démontrent que suite à une irradiation HyperFréquences ou micro-ondes il est observé des effets thermiques et des effets spécifiques dits athermiques (lire la suite…)

– Résolution de Benevento: De nouvelles preuves se sont accumulées indiquant des effets néfastes résultant de l’exposition tant professionnelle que privée aux champs électriques, magnétiques et électromagnétiques – ou
CEM. Les CEM, dans cette résolution, sont compris entre 0 et 300 GHz (lire la suite…)

– Lettre ouverte aux parents, enseignants et conseillers scolaires par le Docteur Magda Havas, en ce qui concerne les réseaux WiFi dans les écoles (lire la suite…)

– Alerte, les micro-ondes pulsée empêchent les abeilles de retrouver leurs ruches

– Antennes de téléphonie mobile, technologie sans fil et santé – le livre du docteur Jean Pilette (livre à télécharger)

– « Il y a un lien prouvé entre champs électromagnétiques, cancers et leucémies » Entretien avec le Dominique Belpomme, professeur de cancérologie, qui s’est penché sur l’électro-sensibilité (lire la suite…)

– Fatigue chronique, Les micro-ondes sont-elles le facteur causal principal? par le professeur Paul Doyon (lire la suite…)

– Une revue de presse complète du CRIIREM

– Résolution de Copenhague Concernant le côté caché d’une société du sans fil Bâtiment du Parlement, Christiansborg, Copenhague 9 octobre 2010 (lire la suite…)

Le taux de mortalité des rats de labo double en cas d’exposition aux ondes pulsées des GSM. Et chez les hommes? On le saura en 2015…(lire la suite…)

– Abeilles et CEM: Une expérience menée dans l’État méridional du Kerala a constaté que la chute soudaine de la population d’abeilles a été causée par des STations de Bases (BST) d’antennes relais installées à travers l’Etat par les opérateurs de téléphonie mobiles cellulaire installées pour accroître leur réseau (lire la suite…)

– Les micro-ondes pulsées empêchent les abeilles de retrouver leurs ruches (lire la suite…)

– Etude sur les effets des antennes relais sur les moineaux  (Evraeart & Bauwens) (lire la suite…)

– Larges compilation de références bibliographiques des études sur le sujet des CEM (lire…)

https://vk.com/wall334722730_37222

Voici une liste non exhaustive de brevets concernant le contrôle mental et la manipulation de masse par des ondes électromagnétique. Ajoutez y tous les prélèvement d’ADN effectués à notre insu avec les dons du sang et les tests PCR et la popote 5G qui permettra d’avoir une gamme de fréquences extrêmement large pour envoyer des ondes aux fréquences très précises vers un individu facilement identifié et ciblé grâce aux nouvelles antennes directionnelles, et on peut vaguement imaginer la société de demain. Je rappelle au passage que : Depuis l’apparition de la téléphonie mobile 1G, 2G, 3G, 4G, les fréquences utilisées restent dans un intervalle, toute proportion gardée, réduit par rapport à celles de la 5G. En effet, jusqu’à maintenant, la bande des fréquences utilisées s’étalaient de 700 à 2500 MHz. La « petite » 5G qui est déjà déployée en France (officiellement en tout cas), monte déjà les fréquences à 3500 MHz. Mais la future « grande » 5G, capable d’offrir le haut débit demandé par tous les objets connectés, la reconnaissance faciale, le crédit social, … usera des fréquences 26 000 MHz et 60 000 MHz ! A l’instar du four à micro-ondes qui agite les molécules d’eau à 2400 MHz et rendant les aliments inassimilables et toxiques, 60 000 MégaHertz ou 60 GigaHertz (GHz) est la fréquence d’agitation des molécules d’oxygène, les rendant inassimilables par les poumons et provoquant l’asphyxie des personnes.
Welcome to Brave New World…

☞ Brevet américain US5289438A: Méthode et système pour modifier la conscience.
https://patents.google.com/patent/US5289438A/en

☞ Brevet américain US5270800A: Générateur de messages subliminaux.
https://patents.google.com/patent/US5270800

☞ Brevet américain US4717343A: Méthode pour changer le comportement d’une personne.
https://patents.google.com/patent/US4717343

☞ Brevet américain US3951134A: Appareil et méthode pour surveiller et modifier à distance les ondes cérébrales.
https://patents.google.com/patent/US3951134

☞ Brevet américain US5159703A: Système de communication subliminal silencieux.
https://patents.google.com/patent/US5159703

☞ Brevet américain US5507291A: Procédé et appareil associé pour déterminer à distance des informations sur l’état émotionnel d’une personne.
https://patents.google.com/patent/US5507291

☞ Brevet américain US6017302A: Manipulation acoustique subliminale des systèmes nerveux.
https://patents.google.com/patent/US6017302

☞ Brevet américain US6052336A: Appareil et procédé de diffusion d’un son audible utilisant un son ultrasonique comme support.
https://patents.google.com/patent/US6052336

☞ Brevet américain US6506148B2: Manipulation du système nerveux par les champs électromagnétiques des moniteurs.
https://patents.google.com/patent/US6506148B2/en

☞ Brevet américain US10300240B2: Stimulateur de rêves lucides, systèmes et méthodes associées.
https://patents.google.com/patent/US10300240B2/en

☞ Brevet américain US5629678A: Système émetteur-récepteur implantable.
https://patents.google.com/patent/US5629678A/en


Voir aussi :

Dossier 5G et ondes pulsées pour d’autres liens et articles sur le sujet




En Australie, 5 millions de dollars de dédommagement pour des habitants confinés en 2020

[Source : lefigaro.fr]

[Photo : WILLIAM WEST / AFP]

Par Thibaut Déléaz

Le gouvernement propose une compensation à 3000 résidents bloqués chez eux par la police pendant plusieurs jours après la détection de cas de Covid-19 dans leurs immeubles.

Cinq millions de dollars australiens. C’est ce que propose le gouvernement de l’État du Victoria à des habitants de Melbourne en dédommagement du confinement très strict auquel ils ont été soumis en juillet 2020, en pleine pandémie de Covid-19. Un accord financier proposé pour éviter un procès, les 3000 personnes concernées, résidents de neuf grands immeubles de logements sociaux, ayant attaqué le gouvernement en justice.

À l’époque, l’Australie menait une politique de «zéro Covid» et les habitants de Melbourne se sont vus imposer pas moins de six confinements stricts, jusqu’au dernier fin 2021, provoquant le ras-le-bol de la population. En juillet 2020, après l’apparition de 23 cas parmi les résidents de ces tours de logements sociaux, le premier ministre du Victoria avait annoncé dans une conférence de presse leur mise en quarantaine immédiate pour éviter une contagion.

Présence policière

La police avait alors encerclé les immeubles, empêchant leurs habitants de sortir pendant cinq jours pour la plupart, jusqu’à deux semaines dans l’une des tours. Dénonçant cette quarantaine forcée qu’ils estiment «illégale», une mauvaise communication de la part des autorités, des problèmes d’approvisionnement en nourriture et les traumatismes causés, 3000 résidents ont donc lancé un recours collectif contre le gouvernement en mars 2021.

À lire aussi L’Australie, forteresse décriée du zéro Covid

Ceux qui acceptent de renoncer aux poursuites se partageront la somme de cinq millions de dollars australiens (environ trois millions d’euros), y compris les enfants, qui recevront une demi-part s’ils avaient moins de 16 ans à l’époque. Beaucoup souhaitaient pourtant simplement que le gouvernement reconnaisse s’être trompé en prenant des mesures disproportionnées. «Je n’attends que des excuses, rien de plus», glisse un habitant au quotidien local The Age .

Jusqu’à présent, le gouvernement s’y est toujours refusé. Son porte-parole a réaffirmé, sans se prononcer sur ce cas précis, que les mesures anti-Covid «étaient nécessaires pour protéger tous les habitants du Victoria et sauver des vies».




Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial

[Source : multipolaristen.de via RI]

Notre lutte antisataniste, la cinquième colonne et la desouverainisation généralisé

Une contribution à la méthodologie multipolariste

Par Peter Töpfer

Pour assurer la victoire de la multipolarité et la défaite de l’unipolarité sataniste, il s’agit pour nous, en Europe centrale et en Occident, de soutenir les forces patriotiques russes en tant qu’avant-garde de la multipolarité, mais aussi et surtout de ne pas soutenir ce que Alexandre Douguine appelle la cinquième colonne à l’intérieur de la Russie, c’est-à-dire les agents satanistes.  

Bien entendu, nous devons faire de même en Europe centrale et en Occident : lutter pour l’indépendance et la souveraineté de notre pôle, c’est-à-dire unir toutes les forces multipolaristes sur place. C’est nécessaire pour pouvoir mener victorieusement ce combat difficile. 

En Europe centrale et en Occident, notre devoir ne peut pas être de fermer les yeux sur l’existence d’une cinquième colonne. Nous devons essayer de faire la distinction, dans chaque situation, entre les forces patriotiques multipolaires et la cinquième colonne. Et nous devons veiller non seulement à combattre l’ennemi évident, mais aussi à ce que la cinquième colonne ne s’installe pas dans nos rangs ou que nous ne la laissions pas faire par confort et par paresse d’analyse. Penser en noir et blanc est d’une belle simplicité. 

Il ne faut en aucun cas sous-estimer la cinquième colonne. Si nous le faisons, nous courons tout droit — et dans l’illusion de résister — vers le cauchemar unipolaire qui se profile déjà clairement à l’horizon proche. 

Lorsque nous définissons les représentants des forces mondialistes au pouvoir d’un pays, nous avons généralement à l’esprit un groupe relativement restreint, infiltré au sein du système politique et administratif, qui sert les intérêts de l’ennemi extérieur. Et l’ennemi extérieur dans ce contexte est ce centre de commandement unique et extraterritorial associé aux élites anglo-saxonnes et aux États-Unis, qui impose un programme unique à tous les pays du monde. Mais avec le déclenchement de la fausse pandémie en 2020, on a vu que ce qu’on appelle habituellement la cinquième colonne n’est pas seulement un nombre limité, à des postes secondaires dans le système politico-administratif de ces pays, mais même les chefs d’État et toute l’équipe gouvernementale. Dans de tels cas, le terme « cinquième colonne » est trop restrictif et trop partiel, et la formulation la plus précise de ces nouvelles réalités géopolitiques serait la suivante : « régime d’occupation » ou peut-être « gouvernance étrangère ». 

En fait, à mon avis, il est nécessaire de dépasser certaines interprétations superficielles des réalités internationales d’aujourd’hui, fondées sur une grille de lecture dépassée ou déformée. Le moment est venu de reconnaître que la tâche assignée par les élites mondialistes au Club de Rome au titre d’élaborations théoriques et à l’ONU au titre d’exécution a été pleinement accomplie. Il s’agit du processus de desouverainisationde tous les pays du monde. Au-delà des rivalités et des conflits entre un certain nombre de pays et l’Occident collectif, un agenda unique apparaît de manière flagrante, imposé par des organisations internationales affiliées aux mondialistes, mais aussi par la tendance commune à promouvoir les mêmes politiques partout dans le monde.

Une évolution vraiment libre vers la multipolarité réelle ne peut toutefois pas être un simple slogan vide de sens, mais doit avoir un contenu et des critères concrets pour nous démarquer de l’ennemi. Si nous ne mettons pas clairement en évidence ces contenus, nous courons aveuglément à notre perte, et Satan ne s’arrête plus de rire.

Afin de garder ces critères à l’esprit et d’en désigner le contenu comme objectif de notre lutte, le catalogue des facteurs, tel qu’il a été établi par Iurie Roşca dans sa contribution à la Conférence internationale sur la multipolarité du 29 avril 20231, peut nous être utile. Iurie Roşca est l’un des militants multipolaristes et antisatanistes les plus éprouvés, ami et compagnon de lutte de longue date d’Alexandre Douguine. 

Ces facteurs — et le fait qu’ils se réalisent partout allègrement sous nos yeux — devraient tempérer quelque peu l’optimisme de certains compagnons de lutte trop naïfs et aider à renforcer la vue, pour ne pas dire à guérir la cécité. Il s’agit des facteurs suivants : 

Premier facteur : la pandémie Covid-19 [NDLR ou plus généralement la théorie virale et sa théorie mère, celle des germes, sans lesquelles aucune « plandémie » n’est possible] et sa réédition possible à tout moment comme accélérateur de la mise en place du Nouvel Ordre Mondial et l’OMS comme instrument du gouvernement mondial. 

Deuxième facteur : la technologie 5G en tant que menace pour la santé publique et en tant qu’instrument de contrôle et de commande mentale et comportementale.

Troisième facteur : la société sans argent liquide et la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC — Central Bank Digital Currency) comme fin imminente de la liberté humaine.

Quatrième facteur : l’introduction de documents électroniques pour un contrôle total. [NDLR Ou l’emprise d’Internet]

Cinquième facteur : les smart cities, les smart things, les smart bodies comme fin de la vie privée et éléments constitutifs du goulag mondial. [NDLR ou l’Intelligence Artificielle et l’informatique en général]

Sixième facteur : le mythe du changement climatique et l’escroquerie du « réchauffement climatique [anthropique] » comme élément significatif de la transformation de notre monde selon la matrice sataniste. [NDLR ou plus généralement le fanatisme écologique.]

Iurie Roşca ajoute comme septième facteur tous les signes du transhumanisme et de son frère jumeau, la technocratie, comme forme finale de la dictature mondiale satanique. Tous les pays ne seraient plus, selon Iurie Roşca, qu’en concurrence pour s’introduire le plus rapidement possible dans la « nouvelle normalité ». 

[Note de Joseph : ces sept facteurs sont liés au départ à une utilisation dévoyée ou sans conscience de la science et tous reposent sur l’informatique.
La théorie virale l’utilise pour notamment les séquençages génétiques qui s’avèrent n’être finalement que des opérations mentales. (Voir le dossier Vaccins et virus.)
La 5G est pilotée par l’informatique et l’électronique sous-jacente.
La CBDC, les documents électroniques, l’IA et le transhumanisme ne peuvent exister sans l’informatique.
Et le fanatisme écologique, notamment en matière climatique, s’appuie sur des modélisations logicielles. D’ailleurs, la science en général s’appuie de nos jours sur de tels modèles.
Sans l’informatique, tout cela, tous les « miracles » technologiques modernes n’existeraient pas.
Celle-ci a probablement été représentée dans l’Apocalypse de Jean par la Bête de la terre, bête qui pouvait aussi symboliser le pays sans qui elle ne serait pas devenue ce qu’elle est actuellement : les États-Unis avec ses deux pouvoirs (ou cornes) interchangeables que sont les Républicains et les Démocrates.
L’informatique repose sur le silicium, l’élément le plus abondant de la croûte terrestre après l’oxygène, notamment du fait de sa présence dans le sable des plages et des déserts.
Bill Gates est né aux États-Unis, a mondialisé l’usage de l’informatique via Microsoft, a prophétisé le smartphone et d’autres éléments liés à l’informatique, a été longtemps l’homme le plus riche du monde grâce à elle, pousse à la vaxination des milliards d’êtres humains pour leur implanter sa marque digitale (sous forme d’adresse MAC — voir notamment https://nouveau-monde.ca/les-vaxines-bluetooth-explications-et-consequences-probables/), sans laquelle en combinaison avec la 5G ou la proche 6G et les non moins proches CBDC il ne sera bientôt plus possible d’acheter et de vendre. Quel meilleur candidat Antéchrist ?
Voir aussi : Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
et Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique]

Partout où ces facteurs se manifestent, l’ennemi et sa cinquième colonne sont reconnaissables. C’est à l’aune de ces facteurs que tous les acteurs doivent être jugés. Pour pouvoir classer les acteurs, nous ne devons pas attendre que des attentats soient perpétrés contre eux ou qu’ils soient encensés par les médias occidentaux. Seuls les critères énumérés ci-dessus peuvent nous aider à faire la distinction point par point entre amis et ennemis : entre l’unipolarité sataniste et la multipolarité réelle, fondée sur l’indépendance des pôles géopolitiques en tant qu’expression de l’identité civilisationnelle, religieuse et culturelle.

Il semblerait que le « Great Reset » des centres de pouvoir occidentaux prenne également pied dans les pays qui prétendent représenter des pôles géopolitiques alternatifs. L’application des mesures dictées par l’OMS contre la pseudo-pandémie, la numérisation complète de la société, le remplacement de l’argent liquide par des CBDC, etc. font partie de l’agenda officiel de tous les pays BRICS sans exception, ainsi que des pays musulmans qui revendiquent également leur autonomie par rapport à l’Occident.

Le projet mondialiste unique et uniformisant pour tous les pays sans exception est promu notamment à travers l’ONU, comme dans le cas de l’Agenda 21 pour le Développement Durable (climatisme, théorie du genre, féminisme, planification familiale, etc.), ainsi qu’à travers La Banque des règlements internationaux (le contrôle des banques centrales et l’imposition de la monnaie numérique). 

Un autre facteur dévastateur et homogénéisant, ce tsunami de culture de masse qui impose des modèles de vie, des fausses valeurs et une standardisation vestimentaire qui efface toute identité culturelle traditionnelle.

Dans ces conditions, alors que le monde est déjà globalisé par la révolution technologique, les différences entre les pays et les cultures se dissolvent à une vitesse énorme. Et aucun État, aucun chef d’État ou aucune force politique ne semble s’opposer à ces phénomènes d’homogénéisation qui conduisent le monde vers une unipolarité technocratique d’essence démoniaque. Dès lors, la tâche des intellectuels de la Résistance antimondialiste est d’établir un diagnostic juste et honnête de l’état du monde aujourd’hui afin de proposer des solutions pratiques pour sortir de cette impasse historique qui risque de pousser l’humanité dans une phase terminale.

Pour être plus direct encore, je dirais qu’à mon avis un homme d’État qui adhère au principe de multipolarité ne peut pas en même temps promouvoir la politique mondialiste à l’intérieur de son pays. Un homme d’État qui s’opposerait à l’unipolarité satanique serait celui qui rejette résolument le plan de gouvernement mondial unique imposé par les méthodes et les instruments énoncés ci-dessus. Et celui qui adhère à l’agenda décrit ci-dessus est le représentant direct de la cinquième colonne mondialiste dans son propre pays. Si quelqu’un connaît de tels dirigeants nationaux, merci de me le faire savoir. Un débat ouvert et franc à ce sujet serait le bienvenu.

[À propos de l’auteur]

Peter Töpfer : auteur de livres, éditeur, journaliste, traducteur, poète, musicien, directeur de l’Institut pour la vérité des profondeursdepuis 1977 dans la lutte anti-globaliste1989 : reporter de révolution en RDA et en Roumanie1989 : hebdomadaire conservateur „Der Montag“1989 : Cofondateur du Parti pour la réunification de l’Allemagne1995–1997 : Cofondateur Verlag der Freunde (Éditions des amis), auteur entre autres : Anatoli Ivanov, Igor Chafarevitch, Alexandre Routskoï, Reinhold Oberlercher, Serge Thion, magazine Sleipnir, auteurs entre autres : Alexandre Barkachov, Alain de Benoist, Christian Bouchet, Alexandre Dougine, Roger Garaudy, Pierre Guillaume, Tomislav Sunic, Jean Thiriart, 1997–2000 : auteur des Staatsbriefe1999 : avec Hans Cany (France) et Troy Southgate (Angleterre) fondeur du national-anarchisme2004–2006 : Cofondateur du comité « Liberté pour Horst Mahler ! »2006 : Participation à la conférence sur l’Holocauste à Téhéran avec le discours „Sauver l’Occident !“, publié dans : „Исследование Голокауста“ (2007, édition Алгоритм, Moscou)2015 : double CD „Wachablösung“ [Relève de la garde] : reprises allemandes autorisées par Bob Dylan avec essai „I’m not there / Ich bin nicht da“2015–2017 : auteur de Compactà partir de 2021 : travail de réflexion intensif sur les pensées d’Alexandre Dougine2022 : préface pour Alexandre Dougine : « Eurasische Mission » (édition allemande) : « Das Radikale Subjekt als Katechon » [Le sujet radical comme katechon], Publications de livres : nationale Anarchie (2004), Nationalanarchismus (2004), Gedichte [poèmes] (2005), Den Westen retten! [Sauver l’Occident !] (2006), Die Wahrheit — sie sagen und in ihr leben [La vérité — la dire et la vivre, base théorique de la vérité des profondeurs (2006), Pan-Agnostik. Für ein theistisch-agnostisches Bündnis im Kampf gegen den Great Reset [Pan-Agnostique. Pour une alliance théiste-agnostique dans la lutte contre le Great Reset] (2023), Traducteur de Serge Thion, Pierre Guillaume, Roger Garaudy, Robert Faurisson, Jean Raspail, Jean Mabire, Gilad Atzmon, Robert Dun, Sites Internet : https://peter-toepfer.de/, http://blog.peter-toepfer.de/, https://nationalanarchismus.de/, http://tiefenwahrheit.de/, https://multipolaristen.de/, http://peter-post.net/, http://faultierfarm.net/plus d’information


1 https://multipolaristen.de/multipolaristen/politik/internationale-politik/iurie-rosca-der-great-reset-und-das-ende-der-klassischen-geopolitik-30-04-2023/




Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas

[Source : Vidéos du net]

Beaucoup d’entre nous, qui peuvent affirmer que les virus n’existent pas, trouvent plus facile de le faire, car la virologie est un dérivé de la théorie des germes.
Si la « théorie » des germes est erronée, il n’y a aucun sens à rechercher de prétendus organismes submicroscopiques responsables de maladies. C’est pourquoi les théoriciens des germes ne veulent pas non plus que l’on gratte sous la surface de la soi-disant « science » des bactéries.
Voyons pourquoi le concept de « pathogènes » est un échec total en soi, depuis les postulats de Koch jusqu’à certaines expériences modernes sur les animaux.

Samantha Bailey