Yves Rasir un peu fâché sur Louis Fouché

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

On pourra raconter à nos petits-enfants qu’on y était. Avec ses 4 000 participants enthousiastes, ses 40 intervenants de renom (Jean-Dominique Michel, Philippe Guillemant, Alexandra Henrion-Caude, Michel de Lorgeril, Henri Joyeux, France Guillain, Eduard Van den Bogaert, Philippe Résimont…) et ses 150 exposants (dont les éditions Néosanté), le Congrès de Médecine Intégrative qui s’est tenu le week-end dernier dans le Jura aura vraiment tenu toutes ses promesses. Comme le cadre était magnifique, le soleil aussi radieux que les visages et l’organisation irréprochable, la réussite de cet événement peut franchement être qualifiée de totale. Dommage peut-être qu’il ait manqué de musique durant ce Woodstock de la résistance. Avec HK sur scène, sûr que la farandole finale du dimanche soir serait restée gravée dans la mémoire des festivaliers. Personnellement, je suis très satisfait d’avoir suscité un intérêt qui s’est traduit par des dizaines de nouveaux abonnements à notre revue, et aussi par le passage à notre stand de nombreux abonnés fidèles qui tenaient à nous féliciter et nous remercier pour le travail accompli. Toutes ces marques de soutien et de gratitude, ça fait forcément plaisir et ça encourage à garder le cap. Mon seul regret, c’est de ne pas avoir pu discuter plus de 5 minutes avec le parrain de ce congrès, le Dr Louis Fouché. Avant et après sa conférence conclue par une standing ovation, le très populaire médecin anesthésiste a été tellement sollicité par ses admirateurs qu’il m’a été impossible de tailler une bavette et de peler un œuf1 avec lui.

Une nouvelle doxa made in America

Car si je reste « fan » du fondateur de RéinfoCovid et que je suis bien content d’avoir contribué à sa notoriété en lui consacrant 3 interviews en 3 ans dans notre mensuel, je suis quelque peu déçu et fâché par sa dernière apparition sur les réseaux sociaux. Dans la vidéo que voici, Louis Fouché confie en effet qu’il a été médusé par l’allocution du Dr David E. Martin lors du sommet qui s’est tenu mi-mai au parlement européen. Il a été à ce point scotché par la présentation du businessman américain qu’il a tout pris pour dollar comptant et qu’il est désormais convaincu que le virus est bien une création de laboratoire, développé à des fins bioterroristes. Dans ma lettre du 17 mai, j’ai pour ma part exprimé une opinion très différente, que je me permets de reproduire ici :

« Lors de l’International Covid Summit » qui vient de se tenir au parlement européen, le Dr David Martin a expliqué que le projet de « militarisation de la nature » remonte aux années 60 et que sa concrétisation peut se suivre à travers la succession de brevets sur des séquences génomiques. Plus de cent patentes concernent les coronavirus et les vaccins destinés à les combattre. OK, mais en quoi ce bricolage informatique atteste-t-il de la létalité du virus chimérique dans la réalité ? Et les expériences dont parle le Dr Martin, qui peut affirmer qu’elles ont été couronnées de succès ? À mon sens, le ramdam scientifico-médiatique sur cette lubie de gain de fonction est plutôt une fiction gagnante qui permet de faire diversion. La théorie de la virologie dangereuse se substitue à celle du virus dangereux, mais c’est la même fumisterie du fléau infectieux qui sert d’écran de fumée et qui est servie à la crédulité des masses. Pendant que toute l’attention est attirée sur le « nouveau coronavirus » et son étrange « site de clivage de la furine », on oublie que des armes bien réelles et bien mortelles ont été déployées par les autorités dans le cadre de la pseudo-pandémie planifiée ».

Malgré mon commentaire critique, des tas d’internautes m’ont envoyé la vidéo où David Martin « sidère » l’assistance. Et depuis sa sortie, j’ai reçu au moins 20 fois celle où Louis Fouché partage sa conversion à la thèse du gain de fonction et de l’arme biologique. Ne vous donnez pas cette peine, chers lecteurs : cela fait trois ans pour ma part que j’entends les propos du Dr Martin et cela fait trois ans que je n’y trouve pas le moindre soupçon d’argumentaire convaincant. Oui, des savants frappadingues s’amusent à bricoler des virus pour les rendre plus virulents ou plus contagieux. Oui, Big Pharma était à l’affût du jackpot vaccinal et a breveté certaines séquences génomiques retrouvées dans le sars-cov-1 et le sars-cov-2. Mais je ne vois toujours pas un commencement de preuve que les créations de labos peuvent infecter un être humain et le rendre malade. Manipulés ou non, le caractère pathogène des virus n’a d’ailleurs jamais été établi selon les postulats de Koch. Une bio-arme, le vilain coco ? Dans les fameuses diapositives qui ont frappé Fouché et que France-Soir a divulguées en bas de cet article confus, je n’aperçois pas non plus un début de preuve qu’une particule virale ait pu être transformée en instrument meurtrier. Beaucoup de chercheurs ont cherché, soit, mais rien ne démontre qu’ils ont trouvé quoi que ce soit. Ce qui me sidère, moi, c’est que le narratif du Dr Martin, par ailleurs proche du Congrès américain et actif dans le secteur des tests diagnostiques et de la technologie sans fil, soit adopté sans sourciller par la résistance. De Robert Kennedy à Jean-Dominique Michel en passant maintenant par Louis Fouché, les lanceurs d’alerte se plient à cette nouvelle doxa made in America sans se poser de question. Surprising! [Surprenant !]

[Voir aussi :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et pour les anglophones, les premières minutes de la vidéo suivante où la docteur Lee Merritt (qui a travaillé comme médecin militaire) dit ce qu’elle pense des « armes biologiques » :
https://www.bitchute.com/video/rc671mEl3sLd/]

Même Fouchier ne suit pas Fouché…

De mon côté, je pense qu’il faudrait continuer à écouter Didier Raoult qui, dernièrement encore, a réaffirmé ne pas croire à l’hypothèse de l’origine artificielle, alors qu’il est lui-même reconnu internationalement comme expert en armes biologiques (le gouvernement US lui avait demandé d’enquêter après l’affaire de l’anthrax en 2001). Je pense aussi que les autorités chinoises, qui contestent l’implication du labo P4 de Wuhan, ne sont pas nécessairement en train de mentir pour étouffer un méga-scandale potentiel. Je pense surtout qu’il faut examiner les sources disponibles avec un scepticisme de bon aloi, voire avec une défiance toute zététicienne. La semaine dernière, j’ai encore lu un livre (« Covid-19, les dossiers dangereux », du grand reporter Philippe Aimar) qui prête foi à la thèse bioterroriste. Cet ouvrage est très intéressant, son auteur apporte beaucoup d’éléments troublants, notamment la série de morts suspectes qui ont précédé et jalonné la pseudo-pandémie, mais il échoue à démontrer que celle-ci soit le produit d’un virus militarisé. Dans un chapitre, le journaliste rappelle utilement que la panique au gain de fonction remonte aux « découvertes » du néerlandais Ron Fouchier. Chercheur et professeur à l’Erasmus Medical Center de Rotterdam, ce virologue réputé a prétendu il y a une douzaine d’années être parvenu à faire muter l’agent infectieux de la grippe aviaire et à le rendre plus dangereux. Tout le monde a crié au fou — Néosanté aussi à l’époque — et le chercheur batave a lui-même annoncé qu’il suspendait ses travaux par précaution, avant de se raviser sous la généreuse pression (9,5 millions de dollars) de la Fondation Bill & Melinda Gates. Officiellement effrayés par la possibilité que le A/H5N1 modifié tombe en de mauvaises mains, les États-Unis ont alors demandé la censure des publications du Pr Fouchier, ce qui entraîna 8 mois de débats agités, mais n’empêcha pas le « découvreur » et son équipe de publier un article dans la revue Science. Qu’apprend-on dans cette étude ? Quelque chose d’épouvantablement terrifiant (lol) : à force d’inoculations répétées, les scientifiques sont arrivés à « transmettre » le virus aviaire à des mammifères, en l’occurrence des furets, et à faire mourir une partie d’entre eux. Et c’est tout ? Oui, c’est tout. Depuis 2012 et jusqu’à aujourd’hui, le scénario cauchemardesque et apocalyptique de la pandémie virale dévastatrice repose essentiellement sur la mort de quelques mustélidés torturés à Rotterdam. Ce matin, j’ai visionné en vitesse une conférence donnée en décembre dernier par Ron Fouchier. Non seulement le virologue hollandais ne dit rien de neuf, mais il n’émet à aucun moment l’hypothèse que la grippe covid puisse être issue d’un coronavirus « weaponisé ». Si même Fouchier n’accrédite pas Fouché, pourquoi faudrait-il s’apeurer ? Jusqu’à preuve du contraire, ce qu’on appelle virus n’est pas militairement manipulable.

Les voix et la voie snobées par Louis

Si je défends bec et ongles mon point de vue « virorassuriste », c’est d’abord parce que je pense qu’on nous balade depuis le début pour occulter le véritable arsenal déployé en 2020. Pendant que les partisans de la zoonose naturelle et ceux de l’origine artificielle se disputent sur la place publique, on ne parle pas (assez) des hydrogels développés par la DARPA (l’agence de recherche du Pentagone), des nanomatériaux médicaux déjà inclus dans des médicaments ou des vaccins, et du très toxique oxyde de graphène identifié dans les fioles par des chercheurs indépendants et déjà omniprésent dans notre environnement. La piste virologique permet d’escamoter la piste d’un empoisonnement chimique inavouable et probablement « multicanal ». Quand donc le Dr Martin dressera-t-il la liste des multiples brevets déposés sur les applications des dérivés de graphène au cours de la dernière décennie ? N’oublions pas que depuis la nuit des temps, les stratèges s’ingénient à leurrer l’ennemi pour mieux lancer leurs attaques. Si je campe sur mes positions virosceptiques, c’est ensuite parce que de nombreux médecins et scientifiques ont profité de la mascarade covidienne pour démonter la théorie pasteurienne du germe. Pour les bilingues passifs que cela intéresse, je signale que ces voix dissidentes, pour la plupart anglo-saxonnes, participent le 20 juin prochain à un grand événement baptisé « The end of covid », la mise en ligne de 90 visioconférences dézinguant de fond en comble le narratif covidiste. À cette occasion, le mythe du méchant virus misanthrope et celui du gain de fonction angoissant seront sans doute expédiés par le fond. Enfin, je ne crois pas à la thèse bioterroriste, car je suis pour l’heure très emballé par la vision des virus selon Jeff Green, dont je vous parlais la semaine dernière et qui fait l’objet d’un long dossier dans le Néosanté de juin. D’après cette théorie audacieuse, mais solidement argumentée, les virus existent, mais ne sont ni exogènes ni contagieux puisqu’ils apparaissent spontanément dès qu’un organisme doit se dépolluer. Ce sont des sortes de mini « Kärchers » enzymatiques qui entrent en action quand le terrain est gravement perturbé. Pour préparer notre conversation espérée, j’avais envoyé à Louis Fouché un numéro numérique de notre mensuel en le priant poliment de le lire, car Jef Green représente, à mes yeux une passionnante voie de compréhension du monde viral. À ma grande déception, Louis ne l’avait pas encore fait lorsque nous nous sommes brièvement parlé dans le Jura. Et à mon vif désappointement, l’initiateur du Conseil Scientifique Indépendant m’a balancé que « Néosanté niait les virus » et que ce n’était pas sa tasse de thé. Aurions-nous commis un crime de lèse-consensus, cher Dr Fouché ? Primo, nous ne nions pas l’existence des virus, mais nous donnons la parole aux médecins et aux microbiologistes qui vont jusque-là, nuance ! Excusez-nous de faire un boulot journalistique. Secundo, on peut admettre l’existence des virus et les disculper complètement, ce que fait magistralement Jeff Green. Lui aussi, qui est canardé des deux côtés, mérite d’être écouté. Et tertio, rien de sérieusement étayé ne permet d’affirmer que l’hypothétique virus couronné a été transformé avec succès en arme de guerre. En adhérant si candidement à ce discours militaro-pasteurien, Louis Fouché me semble bien parti pour se fourvoyer et pour ajouter à la colossale escroquerie des maladies prétendument virales et tout-terrain. C’est fâcheux et ça me fâche un peu.

Yves RASIR

1 Ma correctrice bretonne me signale que « peler un œuf » est une expression belge. Elle signifie avoir une franche explication, régler un différend. Voir ici pour mieux comprendre ce belgicisme.




France — Les anti-Raoult signataires de la tribune du Monde ont reçu plus de 18,5 M d’euros des labos

[Extrait de francesoir.fr]

  • Les représentants individuels ont touché en moyenne la somme considérable de 152 000 euros au cours des quatre dernières années. En « haut » du classement, le Pr Leclerc et le Pr Laharie ont touché plus de 600 000 euros chacun. 
  • De leur côté, les sociétés savantes se voient octroyées en moyenne plus de 1 400 000 euros. Les plus gâtées, la Société française de cardiologie et la Société nationale française de gastro-entérologie ont reçu respectivement 6,4 et 1,9 million d’euros !



Affaire Raoult : bouffée délirante en Macronie

[Source : Jean-Dominique Michel]




Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique

[Source : Global Research]

[Source de l’illustration : Children’s Health Defense]

Les parents de l’auteur, qui ont échappé à une dictature dans les années 1950, n’auraient aujourd’hui aucun endroit où se réfugier et se cacher.

Par David Skripac

Introduction

« COVID est essentiel, car c’est ce qui convainc les gens d’accepter, de légitimer, une surveillance biométrique totale ».

Yuval Noah Harari, Forum Économique Mondial

En utilisant le faux récit du « virus COVID » comme couverture, les parasites privilégiés et assoiffés de pouvoir qui pillent les richesses du monde ont fortement accéléré leur plan de longue date visant à créer un empire mondial unique qui est entièrement sous leur commandement.

Cet empire mondial unique emploiera finalement les services de toutes les institutions transnationales de la planète afin de réglementer et de contrôler tous les aspects de la vie humaine.

Il s’agit d’un empire mondial dirigé par un club exclusif, fort de 8 000 à 10 000 membres, dont les membres ne prêtent allégeance à aucun drapeau national, qui se considèrent avec snobisme comme supérieurs à leurs compatriotes et qui sont indifférents à l’idéologie politique tant qu’ils peuvent contrôler la structure politique de l’intérieur. Ils visent à effacer toutes les frontières nationales et sont en bonne voie pour déchirer les constitutions de tous les États-nations.

Il s’agit d’un empire mondial qui, contrairement à ce qui se passait autrefois, n’a pas besoin d’armée permanente pour mener la guerre sur un champ de bataille contre un empire adverse. En effet, à l’ère de l’empire mondial unique, l’ennemi à soumettre est chacun d’entre nous.

Cette mission est accomplie grâce à une campagne de guerre de l’information sophistiquée, conçue pour surveiller et manipuler chacune de nos pensées, de nos paroles et de nos actes.

Il est important de noter que cette attaque offensive contre nous a pour but de supprimer et d’éradiquer la liberté dans tous les aspects de notre vie : la liberté économique, la liberté politique (en particulier la liberté de transmettre et de recevoir des informations et d’accepter ou de rejeter des informations), la liberté de mouvement physique, la liberté de décision en matière de soins de santé et, surtout, l’indépendance de penser par nous-mêmes, ce que l’on peut appeler la liberté mentale.

Avant d’exposer plus en détail cet empire mondial, j’aimerais partager avec vous, cher lecteur, une histoire concernant mes parents. Elle permet d’établir un contraste entre la version des années 1950, caractérisée par une surveillance de masse et des restrictions sévères des libertés individuelles dans certaines parties du monde, et la version des années 2020, caractérisée par la répression, dans laquelle l’ensemble de l’humanité, quel que soit l’endroit où elle vit, est régulièrement et subrepticement enfermée dans une grille de contrôle totalitaire omniprésente.

Un retour en arrière en 1955

En 1955, mes parents, Maida et Janko, ont tout risqué en quittant leur pays, la République fédérale socialiste de Yougoslavie. Ils n’ont pas pris cette décision à la légère, car cela signifiait tout perdre, peut-être même leur vie, si les autorités yougoslaves découvraient que mes parents n’avaient pas l’intention de revenir après avoir visité l’Autriche voisine pour ce qu’ils ont dit aux gardes-frontières n’être qu’une simple excursion amusante d’un week-end.

Josip Broz Tito
(sous licence du domaine public)

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Yougoslavie était dirigée par les communistes sous la houlette de Josip Broz Tito. Bien que le gouvernement de Tito ait tenté d’améliorer le niveau de vie du citoyen moyen, le régime autoritaire de ses apparatchiks laissait beaucoup à désirer.

Par exemple, l’un des principaux obstacles au progrès était la corruption enracinée à tous les niveaux du gouvernement yougoslave. Les membres du parti communiste bénéficiaient de privilèges et de faveurs, tandis que tous les autres devaient attendre des mois pour obtenir des produits de première nécessité, tels que des denrées alimentaires et des logements. Parmi les membres du parti, les pots-de-vin et la corruption étaient monnaie courante. La progression dans l’échelle sociale et politique était basée sur l’allégeance au parti et sur les connaissances, et non sur le mérite.

Un autre inconvénient majeur du règne de Tito était la réduction des libertés individuelles. Mes parents ont été les premiers témoins de l’érosion de leurs droits fondamentaux — leur droit de se réunir, leur droit de s’exprimer librement, leur droit de voyager et leur droit de posséder une entreprise. Si quelqu’un s’élevait courageusement, en public ou en privé, contre ces injustices, l’État surveillait et traquait ses moindres faits et gestes. Il pouvait même être surveillé par un voisin curieux, qui pouvait très bien travailler comme mouchard pour le gouvernement.

Le réseau de surveillance de la société yougoslave et les restrictions imposées aux libertés civiles se sont aggravés à mesure que le fossé entre Belgrade et Moscou s’est creusé à la fin des années 1940 et au début des années 1950. À partir de 1948, les Soviétiques ont activement tenté de s’immiscer dans les affaires politiques intérieures de la Yougoslavie. Ils cherchent même à renverser le gouvernement yougoslave, car Moscou désapprouve le désir de Tito de suivre une voie indépendante, distincte du bloc de l’Est dominé par les Soviétiques.

En juin 1948, par exemple, les Soviétiques se sont adressés au peuple yougoslave en l’appelant à renverser son gouvernement. Pourtant, malgré l’ombre de Moscou qui imprègne tous les niveaux des affaires politiques internes de la Yougoslavie, les communistes de Tito parviennent à conserver le pouvoir. L’URSS et ses alliés d’Europe de l’Est refusent cependant de battre en retraite. Ils menacent toujours d’envahir le pays sous n’importe quel prétexte.

À la demande de Staline, les Soviétiques ont tenté d’assassiner Tito à plusieurs reprises. Pendant ce temps, des voisins autrefois amicaux comme la Hongrie et la Roumanie, désormais sous l’emprise de l’URSS, bloquent les frontières de la Yougoslavie et tirent sur les gardes-frontières yougoslaves, les tuant parfois.

C’est dans ce contexte que mes parents ont pris la décision fatidique de quitter leur pays. Depuis des années, ils entendaient parler de la « Terre promise » : le continent nord-américain. Un pays où l’économie d’après-guerre était en plein essor. Une terre aux possibilités infinies et aux opportunités innombrables. Une terre où, si l’on est prêt à travailler dur, tout est possible. Il était temps pour eux de partir.

Heureusement, ma mère était restée en contact avec Franc Kopitar, un ami proche de sa famille depuis l’enfance. Après avoir servi dans les rangs des partisans de Tito (son nom de code de partisan était Silvo) pendant la Seconde Guerre mondiale, Franc avait rejoint l’agence publique yougoslave de tourisme et de transport Putnik. (L’agence a ensuite été rebaptisée Kompas, nom qu’elle porte encore aujourd’hui).

Bien que Franc soit un patriote, prêt à faire tout ce qui est nécessaire pour défendre sa nation contre une force militaire envahissante, il se méfie profondément des communistes. C’est pourquoi il était prêt à aider secrètement mes parents à échapper à la poigne de fer de Tito et à chercher une vie meilleure.

En 1955, grâce à ses relations au sein du gouvernement, Franc a pu obtenir le visa et les documents de voyage nécessaires pour permettre à mes parents de se rendre à Graz, en Autriche, avec un « laissez-passer temporaire pour le week-end ». Les documents étaient authentiques : ils portaient les cachets d’autorisation requis et d’autres marques susceptibles d’induire les autorités en erreur en leur faisant croire que mes parents reviendraient après leur séjour d’un week-end dans l’Autriche voisine.

Franc avait demandé à mes parents de meubler entièrement leur appartement avec des meubles nouvellement achetés avant leur départ. Il savait que cela permettrait d’induire en erreur toute personne susceptible de s’intéresser aux projets de voyage de mes parents. Après tout, pourquoi quelqu’un dépenserait-il tous ses maigres revenus pour acheter des meubles neufs pour son appartement s’il prévoyait de quitter définitivement le pays ?

Après avoir mis en place le décor trompeur de chambres décorées et mis en œuvre leur plan trompeur, mes parents, désormais pratiquement sans le sou, ont emballé tout ce qu’ils chérissaient dans deux petites valises et se sont mis en route pour la gare de Ljubljana par un froid après-midi de janvier 1955.

Remplis d’espoir et d’inquiétude, ils montent à bord du train qui les mènera à la frontière entre la Yougoslavie et l’Autriche. Ne sachant pas comment cette journée mémorable allait se terminer, trois questions pesaient lourdement sur leur esprit :

Qui et quoi les attend à la frontière ?

Si leurs papiers n’étaient pas en règle, allaient-ils être emmenés en prison et interrogés pendant des jours ?

Pire encore, si leurs papiers n’étaient pas en règle ou si leur attitude semblait suspecte, ils seraient tirés du train et escortés jusqu’à une forêt voisine, pour ne plus jamais être revus. Ils savent qu’une telle fin tragique a frappé de nombreuses âmes malheureuses qui ont tenté d’échapper au règne de Tito.

Le train atteint la frontière autrichienne à la tombée de la nuit. (À l’époque, l’Autriche était divisée en quatre zones d’occupation alliées : britannique, américaine, française et soviétique). Avant qu’il ne soit autorisé à passer dans la zone d’occupation britannique, les autorités militaires yougoslaves sont montées à bord à la recherche de toute personne ayant l’air un tant soit peu suspecte ou soupçonnée de voyager sans autorisation.

Franc avait demandé à mes parents de regarder les soldats droit dans les yeux et de sourire lorsqu’on leur demandait de présenter leurs documents pour inspection. Il était impératif d’établir un contact visuel. Si vous semblez éviter le regard direct des autorités ou si vous avez l’air nerveux, on vous ordonne immédiatement de débarquer.

Mais établir un contact visuel était plus facile à dire qu’à faire. Mes parents ont regardé, impuissants, un passager interrogé avant eux être sorti de leur wagon et traîné dans la forêt adjacente. Quelques secondes plus tard, ils ont entendu l’écho de coups de feu.

Des années plus tard, mes parents m’ont dit que c’était l’un des moments les plus difficiles qu’ils aient jamais eu à endurer. Ils se souvenaient avoir ressenti une peur et une crainte morbides en se forçant à rester assis calmement et à ne pas transpirer, alors que leurs entrailles se transformaient en gelée.

À leur grand soulagement, lorsque leurs documents ont été examinés, tout était en ordre. Rien dans leurs papiers, leur visage ou leurs actions ne trahissait leur secret. Ils sont donc autorisés à rester dans le train et à se rendre en Autriche.

Arrivés à la gare de Graz, ils n’ont aucune idée de ce qu’ils doivent faire ou de l’endroit où ils doivent se rendre. Ils sont restés sur le quai jusqu’à ce qu’un homme vêtu d’un trench-coat gris s’approche et leur demande, dans un croate parfait (mais avec un accent britannique) : « Êtes-vous en visite ou en train de vous évader ? »

Après avoir entendu leur réponse, l’homme les a escortés jusqu’à un centre de traitement, où ils ont reçu de la nourriture et de l’eau de la part de l’organisation humanitaire catholique Caritas Internationalis. De là, ils ont été transportés en bus, avec d’autres réfugiés, vers un camp de personnes déplacées (DP Camp Nr. 1001) situé à Wels, en Autriche, dans la zone d’occupation américaine.

Là, mes parents ont été interrogés et traités par des fonctionnaires américains, avant d’être conduits à leurs logements, étroits, mais heureusement propres, dans ce camp surpeuplé.

Bien que le camp soit rempli de réfugiés venus de toute l’Europe de l’Est, tout le monde s’est efforcé de s’entendre. Mes parents ont rencontré des gens merveilleux de toutes les nationalités voisines — hongroise, ukrainienne, slovène, serbe, croate et bosniaque — et de toutes les couches de la société pendant leur séjour au camp. Le soir, tout le monde jouait aux cartes et partageait des histoires, toujours pleines d’intrigues et souvent pathétiques, sur leur voyage éprouvant depuis l’Europe de l’Est.

Après avoir passé trois mois au camp DP, mes parents ont été invités à s’installer dans la maison d’une merveilleuse famille autrichienne dans le cadre du programme de parrainage des réfugiés du gouvernement autrichien, coordonné par le Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Ce programme avait pour but d’aider les réfugiés à apprendre la langue allemande tout en leur offrant un métier afin qu’ils puissent mieux s’assimiler et contribuer à la société autrichienne. (En moyenne, environ dix pour cent de tous les réfugiés finissent par rester définitivement en Autriche, tandis que les autres partent à l’étranger).

Bien qu’ils aient tissé des liens d’amitié durables au cours de leurs seize mois d’hébergement dans la famille autrichienne, ils ont néanmoins pris la décision audacieuse de traverser l’Atlantique Nord jusqu’au port de Montréal, au Canada, en 1957.

Le reste, comme on dit, appartient à l’histoire.

Avance jusqu’en 2023

Ces derniers temps, je me suis posé la question : si mes parents vivaient aujourd’hui dans la région connue sous le nom d’ex-Yougoslavie et s’ils cherchaient à s’installer dans un pays qui leur promettrait d’améliorer leur sort, où iraient-ils ?

S’ils cherchaient un endroit où les droits inhérents et inaliénables des citoyens sont respectés par le gouvernement, pourraient-ils trouver un tel endroit sur n’importe quel continent ?

Se rendraient-ils encore au Canada, pays du Commonwealth ?

S’aventureraient-ils jusqu’aux deux pays les plus méridionaux du Commonwealth, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ?

Fuiraient-ils vers les États-Unis, ostensiblement libres ? Ou vers un pays de l’Union européenne contrôlé par les États-Unis ?

Pourquoi ne pas s’installer dans l’un des pays du BRIC, par exemple le Brésil, la Russie ou l’Inde ? (Non, ils ne seraient probablement pas tentés par la Chine !)

Une façon de répondre à ces questions est d’examiner les conditions politiques et économiques actuelles dans les pays susmentionnés et de déterminer le « facteur liberté » — ou son absence — dans chacun d’entre eux.

En passant d’un pays à l’autre, nous examinerons les actions de leurs gouvernements au cours des trois dernières années et nous tirerons une conclusion au nom de mes parents.

Commençons par le pays qu’ils ont adopté et dans lequel je suis né et j’ai grandi : le Canada.

Un regard sur le Canada en 2023

Lorsque mes parents ont immigré au Canada en 1957, c’était en effet une terre d’opportunités et d’abondance. Il était possible pour une famille de classe moyenne, à revenu unique, avec deux enfants, de posséder une maison, deux véhicules et peut-être un chalet d’été.

Mes parents n’avaient qu’un niveau d’études de sixième année, mais ils étaient prêts à travailler dur. En l’espace de deux ans, ils ont gagné et économisé suffisamment pour créer leur propre entreprise, un salon de beauté. En 1963, ils ont pu acheter leur première maison individuelle pour 10 000 dollars, avec un acompte de 5 000 dollars. Cinq ans plus tard, ils ont réussi à rembourser l’hypothèque grâce à leurs modestes revenus. Avec le recul, je trouve leur détermination et leur sens de l’épargne incroyables !

Maintenant, imaginez ce que serait le même scénario aujourd’hui. En janvier 2023, le prix de vente moyen d’une maison individuelle au Canada était de 612 204 $. Si nous faisons comme mes parents, en versant la moitié du prix, nous devrons débourser la somme astronomique de 306 000 $ à l’avance, puis rembourser les 306 000 $ restants au cours des cinq prochaines années.

Cela représente environ 61 200 dollars de paiements hypothécaires annuels, sans compter les intérêts. Si l’on tient compte du coût de la nourriture, des vêtements et du carburant — soit 40 000 dollars de plus par an pour une famille moyenne de quatre personnes —, il faudrait gagner environ 100 000 dollars par an, plus 100 000 dollars environ pour couvrir les impôts fonciers et les impôts sur le revenu, ainsi que les intérêts hypothécaires.

Ainsi, nous devrions gagner environ 200 000 dollars de revenus annuels avant impôts pour mener un style de vie relativement modéré, payer notre hypothèque, nos impôts et les coûts de base de la vie — tout cela pour réaliser ce que mes parents ont pu faire au début des années 1960 avec un revenu à l’époque beaucoup plus modeste. Un tel scénario, semble-t-il, possible, ne serait-ce que de loin, aujourd’hui ? Je ne le crois pas.

La vérité, c’est qu’au Canada, comme dans la plupart des pays du monde, le coût de la vie est monté en flèche. La vaste classe moyenne qui existait au Canada et dans la plupart des pays occidentaux entre les années 1950 et 1980, trois décennies au cours desquelles le travailleur moyen pouvait être propriétaire de son logement, est en train de disparaître.

L’inflation rapide a rongé le pouvoir d’achat des dollars canadiens et américains, alors même que les coûts du logement ont grimpé, grimpé et grimpé encore. Pire encore, la hausse des prix de l’énergie, de l’alimentation, des biens ménagers et des soins de santé a contribué à la spirale inflationniste, qui aggrave une baisse déjà importante des salaires réels.

Sur la scène politique, la conduite actuelle du gouvernement canadien est pratiquement méconnaissable par rapport à celle du gouvernement qui l’a précédé dans les années 1950. Le régime actuel du Canada, comme la plupart des soi-disant « démocraties libérales occidentales », a fait preuve de mépris pour la vérité et la liberté individuelle depuis que la pseudo-pandémie a été lâchée sur le monde en mars 2020.

Comme la plupart des pays, les gouvernements fédéral et provinciaux du Canada ont mis en œuvre des mesures COVID répréhensibles — enfermement, éloignement physique, masquage, quarantaine, codes QR et mandats de thérapie génique expérimentale à l’ARNm — pour lutter contre le prétendu « virus mortel COVID ».

LIBERTÉ — MERCI, LES CAMIONNEURS
(Source: David Skripac)

Lorsque des Canadiens de tous horizons se sont révoltés pacifiquement contre l’atteinte à leurs droits inaliénables et constitutionnels en formant le Convoi pour la liberté des camionneurs et en y participant, le régime a pris des mesures de représailles. Plein de dépit, le voyou Trudeau a trouvé un moyen extrême de priver les manifestants de leur droit de se réunir pacifiquement. Le 14 février 2022, il a invoqué la loi sur les situations d’urgence, une première dans l’histoire du Canada.

L’invocation de la loi sur les situations d’urgence a permis à la police d’Ottawa et à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) de démanteler par la force la manifestation pacifique de plusieurs milliers de personnes qui s’est déroulée pendant quatre semaines dans la capitale nationale. Malgré leur ordre, leur respect et leur non-violence, ces citoyens non armés ont été battus par des agents brutaux armés de fusils. Deux manifestants âgés ont été piétinés par des chevaux de police, et des journalistes ont été aspergés de gaz poivré et ont reçu des coups de feu.

Sous le prétexte de la loi sur l’état d’urgence, le gouvernement fédéral est allé jusqu’à geler les comptes bancaires de certains Canadiens qui avaient organisé ou soutenu financièrement le convoi.

Puis, le 27 avril 2023, plus d’un an après la dispersion de la manifestation, le projet de loi C-11, officiellement connu sous le nom de Loi sur la diffusion en ligne, est devenu une loi. Les lâches sénateurs canadiens ont voté en sa faveur malgré l’échec de tous les amendements qu’ils avaient précédemment recommandés. La nouvelle loi mettra en œuvre une législation radicale de censure d’Internet qui réduira au silence les Canadiens ordinaires sur les plateformes de médias sociaux.

En résumé, le Canada a complètement perdu son sens de l’humanité. La compassion et la gentillesse pour lesquelles les Canadiens sont connus dans le monde entier existent toujours, mais elles sont supprimées et enterrées sous une montagne de mensonges propagés par le gouvernement et ses manipulateurs, qui font partie intégrante de la dictature mondiale susmentionnée.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans le Canada d’aujourd’hui.

Nous allons maintenant jeter un coup d’œil à trois autres pays du Commonwealth des Nations.

Un regard sur l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni en 2023

Les dirigeants des cinquante-cinq autres nations du Commonwealth n’ont pas trouvé d’excuse pour suivre le blocage des comptes bancaires du Canada, mais certains d’entre eux ont adopté des mesures particulièrement sauvages pour éradiquer une nouvelle maladie présumée appelée COVID-19.

Le gouvernement australien a non seulement imposé des couvre-feux, le port de masques, l’éloignement physique et l’arrêt de l’économie par le biais de confinements, mais il a également ordonné à l’armée de patrouiller dans les rues de la ville pendant ces confinements. Dans les Territoires du Nord, les soldats ont évacué de force les habitants soupçonnés d’être atteints de la redoutable maladie et les ont transportés dans des camps de quarantaine.

Dans deux grandes villes australiennes, les marionnettes politiques contrôlées par les oligarques mondiaux n’ont peut-être pas gelé les comptes bancaires des manifestants du confinement, mais elles ont ordonné à des policiers en tenue antiémeute d’assister aux manifestations à Melbourne et à Sydney, où ils ont tiré des balles en caoutchouc sur des fuyards non armés et ont aspergé de gaz poivré le visage d’une femme de 70 ans qui était tombée et gisait sans défense dans la rue.

De même, la Nouvelle-Zélande s’est transformée en un véritable État policier, imposant des détentions à domicile et des zones de quarantaine à l’échelle de la ville. Quiconque est surpris à enfreindre les ordres draconiens du gouvernement risque d’être arrêté, voire condamné à une peine de prison. En mars 2023, par exemple, le pasteur Billy Te Kahika et son collègue Vincent Eastwood ont été condamnés respectivement à quatre mois et trois mois d’emprisonnement pour avoir organisé et participé illégalement à une manifestation devant TVNZ.

En plus de mettre en œuvre des mesures COVID impitoyables similaires à celles de l’Australie, le Premier ministre néo-zélandais Jacinda Ardern a arbitrairement imposé la « vaccination » aux fonctionnaires de la santé publique, aux pharmaciens, aux barbiers, aux enseignants et aux employés des services d’aide à la communauté. (Plus d’informations sur Ardern plus bas).

Le gouvernement britannique, sans être aussi sévère que ses homologues australiens ou kiwis, s’est néanmoins comporté de manière répressive et répréhensible dans ses efforts anti-COVID. La police a reçu l’ordre de limiter les rassemblements à six personnes dans les pubs, les restaurants, les cinémas et les espaces extérieurs.

Comme ses partenaires du Commonwealth, la Grande-Bretagne n’a pas hésité à utiliser des tactiques douteuses pour manipuler une partie de sa population. Sa « nudge unit » [unité de soutien], créée par le Cabinet Office en 2010, applique les principes de la science du comportement, c’est-à-dire la pression de la propagande, pour orienter les politiques publiques dans tous les domaines, du paiement des impôts à l’isolation des maisons. Pendant la plandémie, cette « nudge unit » non responsable et non éthique a effrayé le public, lui a fait honte et l’a pris comme bouc émissaire pour l’inciter à prendre la piqûre COVID.

Il ne faut pas oublier que le Royaume-Uni abrite l’un des plus grands technocrates du monde, le roi Charles III, qui vient d’être couronné. En janvier 2020, le prince Charles est retourné à Davos pour la première fois depuis trente ans afin de prendre la parole lors d’une réunion annuelle du Forum Économique Mondial (FÉM), qui célébrait alors son 50e anniversaire. Et quel sujet ce pseudo-environnementaliste a-t-il abordé ? Bien sûr, sa passion pour l’adoption de la décarbonisation et d’autres initiatives de développement durable, dont il devait savoir qu’elles étaient conçues pour appauvrir davantage les pauvres et enrichir davantage Son Altesse Royale et ses copains avares dans le monde entier.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les pays du Commonwealth des Nations d’aujourd’hui.

Nous nous arrêtons ici pour nous interroger : qui sont les acteurs qui lisent leurs répliques à partir du même scénario mondial et qui jouent un rôle identique en tant qu’agents d’exécution du gouvernement mondial émergent ?

Au Canada, les acteurs les plus notables sont le Premier ministre Justin Trudeau et la vice-première ministre Chrystia Freeland. Tous deux sont des laquais de Klaus Schwab et des diplômés de son académie Young Global Leaders (YGL), l’organe d’endoctrinement du Forum Économique Mondial (FÉM).

Parmi les autres personnages de ce drame en cours — les diplômés des YGL — figurent l’ancienne Première ministre dictatoriale néo-zélandaise devenue étudiante à Harvard, le président français Emmanuel Macron, tout aussi despotique, le Premier ministre russe — président depuis 1999 — Vladimir Poutine, et les tyrans de la technologie Bill Gates et Mark Zuckerberg. Selon une source, il y aurait environ 3 800 YGLs, et ce n’est pas fini.

[NDLR Concernant la rumeur selon laquelle Poutine serait aussi un YGL, voir :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/]

La principale raison d’être des YGLs, semble-t-il, est de mener à bien les initiatives du FÉM en matière de Grande Réinitialisation et de Quatrième Révolution Industrielle. L’agenda du FÉM est soutenu par le groupe secret de Bilderberg, par les dépopulationnistes malthusiens du Club de Rome eugénique et, surtout, par l’organisation mondiale qui a donné naissance au FÉM : les Nations unies.

Par le biais de son Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et de son sinistre Agenda 2030 — ce dernier étant assorti d’objectifs de développement durable (ODD) admirables, mais en réalité emprisonnants —, l’ONU a mis en place un système destiné à soumettre l’ensemble de la population de la planète en transformant chaque être humain en serf féodal, en esclave technocratique et en transhumain mangeur d’insectes et de viande synthétique — ou de terre végétale !

À l’heure où j’écris ces lignes, les 17 objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 sont en train d’être mis en place dans le monde entier grâce à la grande remise à zéro du FÉM et à sa quatrième révolution industrielle transhumaniste.

Et, à l’heure où j’écris ces lignes, la mise en place de ces ODD est encouragée par de nombreuses banques centrales, notamment la Banque d’Angleterre, la Banque du Canada, la Banque centrale européenne (BCE), la Banque populaire de Chine (BPC), la Banque centrale de la Fédération de Russie (BCR) et la Réserve fédérale américaine (la Fed). Ces banques centrales et celles d’autres pays coordonnent leurs efforts avec ce que l’auteur de Tragedy and Hope, Carroll Quigley, appelle le « sommet » du réseau des banques centrales, la Banque des règlements internationaux (BRI), basée à Bâle, en Suisse.

Les banquiers centraux ont l’intention de mettre en place, dans tous les pays du monde, le mécanisme de contrôle social le plus étendu et le plus oppressif jamais conçu : la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) (au début, chaque pays aura sa propre CBDC, mais il est logique qu’à terme elles soient fusionnées en une seule monnaie numérique mondiale).

La mise en œuvre des CBDC, combinée au déploiement d’un système d’identification numérique, pays par pays, sonnera le glas de la liberté humaine. Les banques centrales vendront les CBDC et les cartes d’identité numériques au public non averti comme une garantie de protection de l’anonymat et des données de l’utilisateur. Toutefois, ce discours ne sera qu’une tromperie destinée à masquer les intentions malveillantes et la tendance dictatoriale de cette monumentale grille de contrôle.

Sur les 208 nations dotées d’une banque centrale, 119 développent actuellement leur propre forme de monnaie numérique.

Cela nous amène aux États-Unis d’Amérique, à leur Banque fédérale de réserve qui voit tout, qui sait tout, qui contrôle tout, et à leurs autres formes d’emprisonnement et d’esclavage.

Un regard sur les États-Unis en 2023

Outre le déploiement prévu de la CBDC émise par la Réserve fédérale, un mouvement se dessine en faveur du lancement d’une identité numérique à l’échelle nationale aux États-Unis.

Les sénateurs américains Kyrsten Sinema (Arizona) et Cynthia Lummis (Wyoming) ont présenté le projet de loi 884 du Sénat, également connu sous le nom de « Improving Digital Identity Act of 2023 » (loi sur l’amélioration de l’identité numérique de 2023). Si ce projet de loi est adopté par les deux chambres et promulgué, tous les Américains devront posséder une pièce d’identité numérique valide s’ils veulent se connecter à Internet, ouvrir et gérer un compte bancaire, obtenir un passeport et accéder aux soins médicaux. En fait, il s’agit d’imiter le système de notation sociale que le gouvernement chinois utilise pour suivre et contrôler ses citoyens. C’est ce même système que le FÉM est si désireux de déployer dans le reste du monde.

Le SB 884 est la preuve la plus récente, la plus évidente et la plus inquiétante du partenariat public-privé que le gouvernement américain entretient avec Big Tech. Il montre l’intention du gouvernement, contrôlé par les entreprises, hautement centralisé et soucieux de la sécurité, de surveiller les mouvements de l’ensemble de la population américaine.

[NDLR À propos du partenariat public-privé, voir Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

Bien entendu, le panoptique créé par la loi sur l’amélioration de l’identité numérique permettra aux agences fédérales et étatiques américaines non seulement de surveiller les actions de chacun, mais aussi de bloquer, de réduire au silence et de mettre à l’écart les dissidents qui ne sont pas d’accord avec le discours officiel. Tous les niveaux de gouvernement pourront ouvertement, activement et légalement censurer les citoyens et ignorer leurs droits tels qu’ils sont codifiés par les constitutions des États-Unis et de ses 50 États.

C’est exactement ce que Google et son YouTube, Meta et son Facebook, Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux ont fait à leurs utilisateurs dans leurs tentatives de réduire au silence quiconque présente des faits gênants sur la COVID ou tout autre programme politiquement sensible.

Pour ceux d’entre vous qui pensent que l’État de Floride est un brillant exemple de préservation de la liberté et des droits de l’homme, détrompez-vous. Le gouverneur Ron DeSantis vient de mettre sur la touche le projet de loi 222 du Sénat de Floride, le projet de loi sur la protection de la liberté médicale. Ce projet de loi aurait mis fin à toute discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées, à tous les mandats de vaccination existants et futurs, et à tous les passeports de vaccination existants et futurs pour tous les Floridiens, quels que soient les vaccins imposés par le gouvernement fédéral ou par les eugénistes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) — qui, comme le FME, est alliée à l’ONU.

À la place, le gouverneur DeSantis promeut le SB 252, qui mettrait fin aux obligations vaccinales et aux passeports uniquement pour les « vaccins COVID-19 » existants. Avec le SB 252, les citoyens de Floride ne seraient pas protégés contre les futures « pandémies », les futures obligations vaccinales ou les futures obligations de passeport vaccinal.

Par conséquent, à l’avenir, lorsque le directeur (lire : le dictateur) de l’OMS déclarera une nouvelle pandémie en vertu des vagues exigences stipulées dans le nouveau « traité mondial sur les pandémies » à venir — sans même une once de preuve de l’existence d’une maladie contagieuse — les Floridiens devront abandonner leur autonomie corporelle à une toute nouvelle série de mandats draconiens.

À certains égards, les États-Unis sont les pires au monde lorsqu’il s’agit de priver les citoyens du droit de prendre leurs propres décisions en matière de soins de santé et de sauvegarder leur souveraineté mentale et physique. En effet, en plus de travailler depuis plusieurs années en étroite collaboration avec les idéologues transhumanistes de l’OMS, de la Fondation Rockefeller, du FÉM et d’autres agences des Nations unies, le gouvernement fédéral américain a été à l’épicentre du développement, des essais et du déploiement des « contre-mesures » expérimentales de la thérapie génique à base d’ARNm. Cette recherche et les produits qui en résultent ont eu des effets néfastes sur la vie non seulement des Américains, mais aussi des populations du monde entier.

Avec le recul, nous nous souvenons qu’au début de l’année 2020, le gouvernement américain, dans le cadre de l’opération Warp Speed (OWS), a travaillé main dans la main avec le ministère de la Défense (DoD) et sa branche « US Army Contracting Command », ainsi qu’avec le Conseil de sécurité nationale (NSC) et la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), afin d’attribuer des contrats de développement clinique et de fabrication à des sociétés de biotechnologie et de biotechnologie, pour attribuer des contrats de développement clinique et de fabrication à chacun des fabricants de « vaccins » — Pfizer, Moderna, Astrazeneca, Novavax, GlaxsoSmithKline (GSK) et Jansen — avant même le déploiement des dangereuses thérapies géniques expérimentales COVID-19 dans les 50 États américains et dans le reste du monde.

Le ministère de la Défense est allé jusqu’à concevoir, superviser et organiser les essais cliniques très sensibles de ces produits expérimentaux. Ces mesures sont généralement prises par les fabricants de vaccins eux-mêmes. Elles prennent traditionnellement des années et des années, alors que les essais du COVID-19 ont apparemment été menés en quelques semaines.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les États-Unis d’Amérique d’aujourd’hui.

Mais que se passerait-il si mes parents décidaient de s’installer dans l’Allemagne d’aujourd’hui ou dans la partie allemande de la Suisse ?

Ou s’ils avaient choisi de rejoindre les manifestants anti-Macron en France au lieu de partir, comme ils l’ont fait, du port du Havre sur un bateau à destination du port de Montréal ?

Ou s’ils s’étaient sentis concernés par les agriculteurs persécutés aux Pays-Bas et avaient choisi de lutter aux côtés de ces derniers ?

Ou s’ils choisissaient de rester dans l’Autriche des années 2020 ?

Trouveraient-ils un semblant de liberté dans les pays de l’Union européenne ?

Un regard sur l’UE en 2023

La réponse est simple : Non ! L’UE est un échec économique, politique et social prémédité.

En fait, l’UE a été imaginée non pas par les citoyens d’une quelconque nation européenne, mais par la Central Intelligence Agency (CIA) et le Club de Rome de David Rockefeller. La raison pour laquelle ils ont créé l’UE était douloureusement évidente : il est plus facile pour les agences de renseignement et les eugénistes avoués de contrôler une entité plus grande, dépendante, compromise et impuissante que de contrôler de nombreux États-nations souverains, plus petits et toujours indépendants.

Les dirigeants — si on peut les appeler ainsi — des nations européennes sont des marionnettes de l’UE. En tant que tels, ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour désindustrialiser et détruire leurs économies respectives. Comme je viens de le dire, des gouvernements nationaux et régionaux affaiblis sont beaucoup plus faciles à intégrer dans un empire mondial que des gouvernements forts et indépendants. Les dirigeants de l’Allemagne, de la France, de l’Autriche, de l’Espagne, etc. doivent le savoir, ce qui signifie qu’ils sont corrompus jusqu’à la moelle.

En voici un exemple frappant. Les soi-disant chefs d’État européens insistent sur le fait qu’ils protègent la souveraineté et la sécurité nationales de leur propre pays en imposant des sanctions économiques à la Russie, à la demande de Washington. Ils prétendent que ces sanctions sont destinées à blesser le grand méchant ours qui a osé attaquer l’Ukraine contrôlée par l’OTAN.

Mais ce n’est pas vrai. Les sanctions sont en fait en train de décimer leurs propres économies et leurs propres peuples. Les pénuries d’énergie, la hausse des prix des marchandises, les pénuries alimentaires et la hausse des taux d’intérêt dans toute l’Europe sont autant de résultats voulus de ces sanctions. Je le répète : les dirigeants de l’Allemagne, de la France, de l’Autriche, de l’Espagne, etc. doivent le savoir, ce qui signifie qu’ils ont été corrompus jusqu’à la moelle.

Ils prétendent également que la structure du gouvernement central de l’UE à Bruxelles est une « démocratie représentative ». Non, ce n’est pas le cas. C’est loin d’être le cas. Au cœur de cette structure se trouve la Commission européenne (CE), l’organe exécutif de l’UE, composée de fonctionnaires non élus. L’actuelle présidente de la CE, Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, définit la politique de l’ensemble de l’UE à huis clos. Une fois que la Commission européenne a formulé une nouvelle politique, ce n’est qu’une question de temps avant que les bureaucrates du Parlement européen ne l’approuvent.

Le secret, la non-transparence et l’absence de responsabilité sont les maîtres mots. La CE est une farce et un échec sur toute la ligne.

De même, la prétendue indépendance de la Banque centrale européenne (BCE) est un leurre. Bien que son site Internet indique que la BCE n’est pas « autorisée à demander ou à recevoir des instructions des institutions ou organes de l’UE, d’un gouvernement d’un État membre ou de tout autre organisme », la BCE est fortement influencée par la banque qui l’a créée en 1999 : la BRI.

Et, comme la BRI, les opérations quotidiennes de la BCE sont tenues secrètes. Elle ne publie jamais de communiqué de presse après une réunion de politique monétaire de son conseil des gouverneurs, malgré les résolutions répétées du Parlement européen l’exigeant.

En outre, sa structure, son mode de fonctionnement et son manque de responsabilité reflètent ceux de la BRI. En bref, il est difficile d’imaginer une institution plus antidémocratique que la BCE. Pourtant, c’est à cette banque que les pays de la zone euro sont invités à faire aveuglément confiance lorsqu’il s’agit de formuler leur politique monétaire. C’est tout simplement ahurissant !

Avec une telle structure autocratique déjà en place, il a été très facile pour les membres de la CE de se rallier à la thèse de la « pandémie » en concluant des accords en coulisses avec les laboratoires pharmaceutiques pour acheter des millions de doses du « vaccin » COVID-19 et en recommandant à tous les États membres de mettre en œuvre les mesures criminelles prévues par le COVID-19.

De même, il a été facile de persuader les États membres de l’UE de rester silencieux après que Washington, la véritable puissance derrière l’OTAN, a commis un acte de guerre flagrant contre eux en détruisant le gazoduc Nord Stream 2.

Nous avons parlé précédemment de quelques diplômés de l’académie YGL de Klaus Schwab, en mentionnant le nom d’un ancien élève européen, le Français Macron. Parmi les autres Young Global Leaders qui ont gravi les échelons politiques en Europe, citons l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel et l’actuel chancelier allemand Olaf Scholz. Ils ne sont pas en reste : La présidente de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, qui siège au conseil d’administration du FÉM.

Il n’est pas surprenant que les États membres de l’UE suivent l’exemple des États-Unis en mettant en place un système d’identification numérique basé sur le modèle chinois d’asservissement et d’emprisonnement.

L’image provient de @Ver365_UK/Twitter

La Croatie (qui faisait autrefois partie de la Yougoslavie), d’où est originaire mon père, Janko, prévoit d’être le premier membre de l’UE à déployer le système d’identification numérique pour les voyageurs qui prennent l’avion entre Zagreb et Helsinki cet été. Le « projet pilote » fait appel à la société Verify 365, basée au Royaume-Uni, pour fusionner l’identité électronique des passagers avec le nouveau système de portefeuille numérique MyID. Comme toujours, le système est présenté au public comme « un moyen sûr, sécurisé et pratique de prouver qui vous êtes ».

Heureusement, certains citoyens des pays de l’UE s’élèvent pour défier l’oligarchie au pouvoir. Aux Pays-Bas, par exemple, des milliers d’agriculteurs néerlandais se sont révoltés contre le projet insensé de leur gouvernement de réduire les émissions d’azote en fermant définitivement plus de 11 000 exploitations. Les agriculteurs ont créé leur propre mouvement politique, le Mouvement des agriculteurs et des citoyens — ou BoerburgerBeweging (BBB) — qui a récemment triomphé lors d’élections régionales après des mois de manifestations généralisées de tracteurs.

Il y a aussi les millions de citoyens mécontents qui descendent régulièrement dans les rues de Paris et d’autres grandes villes françaises pour protester contre diverses « réformes » économiques et politiques. Leur plainte initiale concernant la hausse des taxes sur les carburants (vous vous souvenez du mouvement des gilets jaunes en 2019 ?) s’est transformée en une révolte contre la décision du « monarque » Macron de faire passer l’âge légal de la retraite de 62 à 64 ans. L’invocation par Macron de l’article 49.3 — pour la 11e fois au cours de son « règne » — lui a permis de contourner l’Assemblée nationale (la chambre basse du Parlement français). Le 1er mai, les manifestations contre cette injustice perçue ont dégénéré.

Certes, ces manifestations massives et la victoire encourageante du BBB sont des étapes positives. Cependant, aucune libération majeure des Européens vis-à-vis de leurs propres gouvernements n’aura lieu tant que l’ensemble de l’édifice de l’UE n’aura pas été démantelé. Ce n’est qu’alors que les peuples de chaque nation européenne seront véritablement libérés des chaînes de l’establishment de Washington qui dicte tous les aspects — militaires, économiques et autres — de leur vie.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les pays de l’Union européenne d’aujourd’hui.

En toute justice, nous devons souligner que les mécanismes de contrôle et de surveillance totalitaires, tels que les cartes d’identité numériques et les CBDC, ne sont pas l’apanage des pays occidentaux. Si nous nous aventurons dans les pays de l’Est, nous rencontrerons exactement la même grille de contrôle en cours d’élaboration, avec les mêmes acteurs mondialistes et impérialistes à la barre, qui veillent tous à ce que l’Est, comme l’Ouest, reste sous leur domination.

Un groupe de nations qui n’est ni géographiquement à l’Est ni à l’Ouest, mais qui a formé un bloc pour contrer la domination des États-Unis et de leurs alliés, est ce que l’ancien économiste en chef de Goldman Sachs, Jim O’Neill, a appelé les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).

Je m’interroge : mes parents trouveraient-ils un havre de liberté dans l’un des pays des BRICS ? Nous le saurons bientôt.

Un regard sur les BRICS en 2023

D’innombrables experts et journalistes des médias alternatifs ont estimé que les nations BRICS — en particulier la Russie, la Chine et l’Inde — menaient la charge dans une croisade antimondialiste, anti-gouvernance mondiale et anti-empire mondial unique.

Au contraire, rien n’est plus faux.

Voici quelques preuves de leur incompréhension de la réalité géopolitique :

  • – Tous les pays des BRICS sont fermement engagés dans la Quatrième révolution industrielle du FÉM et dans l’Agenda 2030 de l’ONU — notamment ses ODD [Objectifs de Développement Durable].
  • – Les banques centrales du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud vont toutes de l’avant avec des plans visant à déployer leurs CBDC programmables dès que possible. Parmi ces cinq banques centrales, la Banque populaire de Chine (PBoC) et la Banque de réserve de l’Inde (RBI) envisagent de fixer des dates d’expiration pour leurs CBDC.
  • – Les BRICS ne contestent pas l’hégémonie économique de l’Occident. Leurs initiatives financières sont profondément liées à la Banque mondiale et au FMI. Par conséquent, ils doivent être considérés comme étroitement liés à l’establishment de Washington, et non comme entrant en conflit avec lui (malgré les apparences contraires).

En ce qui concerne le COVID-19, le Chinois Xi Jinping et le Russe Vladimir Poutine ont été les premiers à mettre en place un État de surveillance de la biosécurité.

En effet, depuis que l’alerte à la plandémie a été annoncée au début de 2020, le Kremlin a été complice, tout comme l’Occident, de la mise en œuvre de mesures anti-humaines et anti-santé néfastes sous la direction de la tyrannie sanitaire de l’OMS.

Image tirée d’InfoBrics

Par exemple, le président Poutine et son ministre de la Santé (et membre du conseil exécutif de l’OMS) Mikhail Albertovič Murashko ont promu la vaccination de masse. Leur injection Sputnik V est pratiquement identique à celle du géant pharmaceutique britannico-suédois AstraZeneca. En fait, le Fonds russe d’investissement direct (RDIF) — le fonds du Kremlin qui finance Spoutnik V — a signé un mémorandum de coopération avec AstraZeneca en décembre 2020.

En outre, la Russie a introduit des mandats de vaccination pour certaines régions du pays et des vaccins obligatoires pour les militaires.

La Russie n’ayant pas d’équivalent du système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) du CDC américain, il est difficile de savoir exactement combien de Russes sont blessés ou assassinés par leur vaccin expérimental Sputnik V. Néanmoins, grâce au ministère argentin de la Santé, nous savons que, sur les trois « vaccins » adoptés par le gouvernement argentin — Spoutnik V, AstraZeneca et Sinopharm (Chine) —, l’injection de Spoutnik V a été la première à provoquer des réactions indésirables, devançant de loin les deux autres.

Les médecins russes sont bien conscients des risques sanitaires associés à Sputnik V, mais ils sont qualifiés de « terroristes » et menacés par l’État d’amendes excessives et de peines de prison s’ils expriment leurs inquiétudes. Effrayés par les conséquences, la plupart d’entre eux s’autocensurent.

Si vous pensez que la surveillance biométrique est l’apanage de la Chine et de l’Occident, vous vous trompez. Herman Gref, PDG de la banque russe Sberbank et membre du conseil d’administration du FÉM (avec Ursula von der Leyden, rappelons-le), s’est associé au titan russe des télécommunications Rostelecom pour former Digital Identification Technologies JV, qui créera un système biométrique unifié pour l’ensemble de la Russie.

Bientôt, les pauvres gens de Russie, victimes de la propagande et ponctionnés, ne pourront plus accéder à aucun service gouvernemental s’ils ne fournissent pas leurs données biométriques, ce qui rendra inutile l’utilisation de codes QR.

Faut-il s’étonner que Poutine et ses fonctionnaires ne restreignent pas plus les libertés individuelles que les tyrans occidentaux ? Pourquoi le serions-nous ? Qu’est-ce qui empêcherait Poutine de suivre les traces de ses prédécesseurs ? Rien à ma connaissance, à moins que le peuple russe ne commence à se mobiliser et à protester massivement, comme l’ont fait ses frères et sœurs français à Paris.

Pensez-y : lorsque Mikhaïl Gorbatchev présidait l’ancienne Union soviétique, il était un membre avoué du Club de Rome, un mouvement mondialiste et eugéniste. Il s’est également associé au mondialiste-eugéniste canadien Maurice Strong pour mettre en place le projet de développement durable mondial de la Charte de la Terre, en liaison avec l’Agenda 21. Gorbatchev et Strong ont tous deux été des figures de proue des premières mesures prises par les Nations unies en faveur de la gouvernance mondiale.

Ce n’est pas parce que l’Union soviétique s’est éteinte et que Gorbatchev et Strong ne sont plus parmi nous qu’il faut supposer que le dirigeant russe depuis vingt-quatre ans ne poursuit pas les mêmes objectifs mondialistes. En effet, Poutine n’est pas du genre à laisser les autres dirigeants du monde accaparer les feux de la rampe, s’emparer de toutes les billes ou devenir dangereusement plus grand et plus fort que lui.

À vrai dire, la Russie et la Chine, membres du bloc BRICS, ne sont qu’une autre version de la même grille de contrôle totalitaire mise en place par les technocrates occidentaux. Ni l’un ni l’autre n’offrent à leurs populations la moindre issue, le moindre salut face aux méfaits des produits biologiques, de la biométrie et de la biosécurité.

En fait, la Chine a été le banc d’essai de tous les mécanismes totalitaires qui ont été ou seront lâchés sur le reste du monde. Pendant la pseudo-pandémie, la Chine a lancé une série de mesures vicieuses COVID-19 — confinements inhumains, codes QR obligatoires, surveillance biométrique omniprésente, vaccination obligatoire de masse, règles de masquage forcées et appliquées, et tests constants. En bref, la Chine est une véritable dictature scientifique, une technocratie.

Et qu’en est-il des trois autres nations BRICS : Brésil, Inde et Afrique du Sud ?

En plus d’être à bord du wagon du FÉM, du wagon de l’OMS, du wagon du CDBC, du wagon de la Banque mondiale et du FMI, et donc de tout le wagon hégémonique occidental, ces trois pays ont-ils mis en place des politiciens, des politiques ou des programmes orientés vers la liberté qui donneraient à mes parents l’envie de s’y réfugier ?

Tout d’abord, le Brésil. Le plus grand pays d’Amérique du Sud est désormais sous la coupe de la cabale mondialiste depuis l’élection de Luiz Inácio Lulada Silva (communément appelé « Lula »), le 39e président du Brésil. Contrairement à son prédécesseur, Jair Bolsonaro, qui a refusé de signer un traité international sur les pandémies et s’est opposé à certains aspects du plan de lutte contre les maladies infectieuses, Lula adhère pleinement à l’agenda monolithique et dominateur de l’OMS, de la GAVI et du FÉM.

C’est ainsi qu’il faut comprendre : en février 2023, Lula a déclaré que pour que les familles restent éligibles au fameux programme Bolsa Family (BFP), un programme social destiné aux familles les plus pauvres, elles doivent faire vacciner leurs enfants, en particulier avec la thérapie génique expérimentale COVID-19. Dans le cas contraire, elles perdent les avantages qui leur sont accordés dans le cadre du BFP.

Ensuite, l’Inde. Contrairement à ce qu’affirment les médias grand public et alternatifs, la Fondation Gates n’a jamais été « expulsée » de l’Inde. En fait, c’est le contraire qui est vrai. En 2006, par exemple, la Fondation Bill et Melinda Gates, en collaboration avec l’ancien Premier ministre indien Manmohan, a lancé la Public Health Foundation of India (PHFI).

Au fil des ans, la PHFI a reçu des fonds de sociétés pharmaceutiques (GSK, Pfizer, Johnson & Johnson), de « philanthropes » (les suspects habituels : Bill et Melinda Gates et les Rockefeller) et d’ONG (la Banque mondiale et l’USAID). Lorsque l’OMS a déclaré la « pandémie » au début de l’année 2020, les membres de l’IFSP étaient parfaitement préparés à créer, conseiller et diriger la task force nationale COVID du gouvernement indien. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’IFSP a joué un rôle central dans l’orientation de toutes les mesures COVID-19 et des politiques liées à l’injection de COVID-19 en Inde.

Enfin, l’Afrique du Sud. En étroite collaboration avec les médias serviles du pays, le gouvernement sud-africain, dirigé par le président Cyril Ramaphosa, a imposé l’un des confinements les plus longs et les plus sévères du continent. L’impact de la fermeture des petites entreprises sur une population qui dépend en grande partie de salaires hebdomadaires de subsistance a été catastrophique. L’État n’ayant pas versé de subventions aux pauvres et aux travailleurs indépendants pendant plus d’un an, près d’un quart des petites entreprises ont fait faillite et le chômage a grimpé en flèche.

Brian Pottinger, qui écrit pour UnHerd, décrit les conséquences pour les personnes courageuses qui ont osé défier les restrictions insensées du gouvernement sud-africain :

Toute une partie de la population a été criminalisée : au cours des quatre premiers mois de l’épidémie, 230 000 citoyens, soit 0,4 % de la population, ont été accusés d’avoir enfreint les règlements relatifs aux catastrophes pour avoir enfreint les restrictions, 311 d’entre eux étant des policiers. Toutes les accusations ont été abandonnées par la suite : le système de justice pénale ne pouvait tout simplement pas faire face.

Il est donc impossible de justifier que le modèle économique des BRICS soit considéré comme une alternative à la mondialisation de l’Occident, alors qu’il s’agit en réalité d’une autre forme de mondialisation, d’une approche différente de la mondialisation.

Comme le modèle occidental, le modèle des BRICS est structurellement inflationniste. Comme le modèle occidental, le modèle des BRICS n’est pas basé sur le libre marché, mais plutôt sur la politique industrielle. Enfin, le modèle des BRICS fait partie intégrante, tout comme le modèle occidental, du nouvel ordre mondial international. Il s’agit du même plan dysfonctionnel, mais sous des appellations différentes.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans aucun des pays BRICS d’aujourd’hui.

Il est vrai que des rivalités entre grandes puissances se déroulent sur la scène mondiale. Pour le commun des mortels, il peut sembler que nous vivons dans un monde multipolaire, où les nations affaiblies de l’Ouest — dirigées par l’empire américain en déclin — d’un côté de la ligne de partage, luttent pour conserver leur suprématie sur les nations énergiques de l’Est — dirigées par la Russie et la Chine — de l’autre côté de la ligne de partage.

« Mais les exemples de multipolarité abondent », insistez-vous.

Je comprends : il y a le conflit en Ukraine, où des innocents des deux côtés souffrent et meurent inutilement.

Je comprends : les tensions se développent au large des côtes chinoises, où l’empire américain tente en vain d’empêcher l’inévitable prise de contrôle de Taïwan par la Chine.

Je comprends : Ce même empire américain, qui se meurt lentement, tente fébrilement d’empêcher l’intégration économique entre l’Europe et la Russie en faisant exploser le gazoduc Nord Stream 2, permettant ainsi à Washington de maintenir son emprise temporaire sur cette région jusqu’à ce que son effondrement économique inéluctable soit achevé.

Cependant, malgré le vernis de multipolarité, il existe — comme je l’ai mentionné au début de cet article — un empire mondial unique opérant à un niveau supérieur. Ou, pourrait-on dire, au niveau de l’État profond. L’empire unipolaire existe en dehors du champ de perception général de la majorité de la population mondiale. Il transcende non seulement la division Est-Ouest, mais aussi tous les autres clivages entre les nations. Nous allons maintenant voir comment il en est ainsi.

L’empire mondial : une prison unipolaire, un goulag numérique

Au sommet de l’empire mondial se trouve « la banque centrale de toutes les banques centrales », la Banque des règlements internationaux (BRI), très secrète et qui n’a aucun compte à rendre. Sa mission est de diriger et de coordonner les politiques monétaires et fiscales de toutes les banques centrales du monde. C’est ainsi que la BRI contrôle directement la masse monétaire mondiale et indirectement le commerce et les économies nationales.

En occupant une position aussi influente et éminente, la BRI constitue le sommet d’une structure pyramidale qui consiste en une hiérarchie d’organisations et d’institutions en forme d’échelle constituant l’empire mondial. Toutes sont dirigées par ce que j’appelle la classe des parasites.

Source: Iain Davis

Selon le tableau du Partenariat public-privé mondial (G3P) créé par le chercheur et journaliste britannique Iain Davis, la structure de l’empire mondial est conçue de manière à ce que la chaîne de commandement aille de la BRI aux banques centrales du monde entier et de celles-ci aux…
… décideurs politiques des groupes de réflexion. Ceux-ci comprennent divers fonds et fondations Rockefeller, ainsi que le Club de Rome fondé par Rockefeller, la Commission trilatérale fondée par Rockefeller et le Conseil des relations étrangères (CFR) fondé par Rockefeller. Certains de ces groupes de réflexion n’ont pas d’origine Rockefeller, notamment l’équivalent britannique du CFR, le Royal Institute for International Affairs (RIIA), et l’eugéniste pur et dur Chatham House, fondé par le diplomate britannique Lionel Curtis au lendemain de la Première Guerre mondiale.

Les groupes de réflexion travaillent en partenariat avec la BRI et les banques centrales pour définir les objectifs de la politique internationale publique-privée. Une fois que ces objectifs généraux sont formulés, ils sont transmis aux…
… distributeurs de politiques, tels que les Nations unies fondées par Rockefeller, l’OMS et le GIEC, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale, d’ostensibles philanthropes (on pense notamment à la Fondation Bill et Melinda Gates), des entreprises mondiales et des ONG.

Comme leur nom l’indique, les distributeurs sont chargés de diffuser les politiques à grande échelle, aux quatre coins du monde. Ils veillent à ce que les politiques se retrouvent également entre les mains des fonctionnaires de l’échelon inférieur, que l’on appelle…
… les responsables de l’application des politiques. Ils comprennent les différentes branches de l’armée, le pouvoir judiciaire, les forces de police et de sécurité, ainsi que tout autre organe d’application de la loi mis en place à tous les niveaux du gouvernement (national, provincial, étatique, local).

Ces organes gouvernementaux chargés de l’application de la loi travaillent en collaboration avec des autorités « scientifiques » sélectionnées, telles que…
… les National Institutes of Health (NIH), la Food and Drug Administration (FDA), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) et le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE) du Royaume-Uni.

Toutes ces agences et autorités doivent justifier les politiques qu’elles sont tenues de mettre en œuvre. Elles rédigent souvent des règles, des règlements, des ordonnances et des codes pour ces politiques, qu’elles transmettent ensuite aux organisations situées au plus bas de l’échelle. Iain Davis les appelle…
… les « propagandistes politiques » — ou, en termes polis, les gestionnaires de la perception. Ces groupes de médias et de relations publiques, composés des médias traditionnels (journaux, magazines, chaînes de télévision et stations de radio de l’establishment), des plateformes de médias sociaux (Facebook, YouTube, Twitter) et des vérificateurs de faits (Full Fact, PolitiFact, Snopes, AP Fact Check, Poynter, etc.), travaillent aux côtés de guerriers hybrides (77 th Brigade et HutEighteen, par exemple) et de militants contre la haine. Ces derniers comprennent le Southern Poverty Law Center (SPLC), basé aux États-Unis, et le Center for Countering Digital Hate (CCDH), basé au Royaume-Uni.

Le travail des propagandistes consiste à persuader le public — les milliards de personnes ordinaires qui se trouvent sous la pyramide en forme d’échelle — d’accepter sans réfléchir les mensonges qu’on lui sert et d’acquiescer automatiquement aux politiques répressives.

En résumé, l’humanité n’a jamais été confrontée, au cours de son histoire, à un système de gouvernance totalitaire et technocratique aussi omniprésent.

Le but de cet empire despotique est de réduire, voire de supprimer, les libertés fondamentales des humains, de voler nos richesses, de saper nos forces physiques, morales, émotionnelles et spirituelles, de nous séparer de nos amis et de nos familles, et donc de nous contrôler de la tête aux pieds, d’ici à là et partout, de jour comme de nuit.

Dans l’ombre, la BRI et les banques centrales provoquent déjà l’effondrement de quelques grandes banques (Signature, Silicon Valley, First Republic). À partir de maintenant, le nombre de faillites bancaires ne fera qu’augmenter. Bientôt, les plus grandes banques (JPMorgan Chase & Co.) commenceront à engloutir non seulement leurs concurrents de taille moyenne et grande, mais aussi les petites banques régionales et locales.

Une fois que les banques centrales auront complètement mis en œuvre leur système monétaire et financier numérique contrôlé par l’IA, nous serons tous otages de leur empire mondial, condamnés à leur prison unipolaire, confinés dans leur goulag numérique.

L’empire américain en difficulté continuera d’exister pour le moment. Mais c’est uniquement parce que la classe des parasites qui se nourrit des richesses de l’Amérique depuis des siècles a toujours besoin de l’armée américaine pour exécuter ses ordres — son sale boulot — à l’étranger. Une fois que l’empire américain contrôlé par les entreprises aura atteint son but économique et militaire et ne sera plus un hôte viable, ces mêmes parasites avides organiseront un festin pour mettre fin à tous les festins, dans le but de vider jusqu’à la dernière goutte cette nation jadis forte et fière de l’être. Aucun empire n’a résisté aux générations de suceurs de sang.

Poutine, lui aussi, est dispensable et jetable aux yeux des parasites mondialistes. Il ne peut pas s’attirer leurs faveurs simplement en jouant le jeu de leur agenda, même s’il se perçoit comme l’un d’entre eux. Si la Russie ne fait pas attention, elle sera démembrée, morceau par morceau. Ses ressources précieuses seront arrachées et vendues. Elle sera transformée en une terre de fiefs en guerre. Les parasites sont des mangeurs de chances égales.

Même les gens ordinaires comme vous et moi ne sont pas à l’abri de la classe parasitaire, qui s’attache et absorbe tous ceux qui sont prêts à devenir ses hôtes. Quel que soit l’endroit où nous nous trouvons, nous vivons tous, à des degrés divers, à portée des tentacules de l’empire mondial des parasites.

Cela nous ramène à la question que j’ai posée au début de cet article : si mes parents étaient restés dans leur lieu de naissance, la région connue aujourd’hui sous le nom d’ex-Yougoslavie, pendant les 58 dernières années et si seulement maintenant, en 2023, ils décidaient qu’ils en avaient assez de la suppression de leurs droits par l’État technocratique, où iraient-ils pour trouver la liberté ?

Mon père, âgé de 96 ans, a répondu à cette question lorsque je la lui ai posée récemment. « Sachant ce qu’est le monde aujourd’hui, a-t-il répondu, je n’irais probablement nulle part. Certes, la Biélorussie est la référence en matière de non-respect du COVID, mais je resterais probablement dans mon pays d’origine, la Croatie. Je rejoindrais un réseau de personnes partageant les mêmes idées — quelqu’un comme le journaliste Andrija Klarić du podcast Slobodni — afin qu’ensemble nous puissions trouver des solutions à ce cauchemar. »

Cet article est écrit en mémoire de ma mère, Maida, et en hommage à son ami d’enfance Franc, qui les a sauvés, elle et son mari, Janko, d’une vie de répression en Yougoslavie et d’une possible mort par peloton d’exécution lors de leur fuite.

Elle rend également hommage à mon père, Janko, qui m’a persuadée d’ouvrir les yeux sur les réalités laides, quoique cachées, du monde. Avec persévérance et patience, il a martelé dans ma tête d’adolescent que tout n’est pas ce qu’il semble être. Il m’a dit de toujours tout remettre en question, d’obtenir autant de points de vue différents que possible sur n’importe quel sujet et, surtout, de « suivre la piste de l’argent, car il ne ment jamais ».

Ils voudraient que je dénonce et rejette l’empire mondial et son programme néfaste. Ils accueilleraient un monde véritablement multipolaire. Un monde dans lequel « nous, le peuple », vivons en paix, respectons le droit divin de chacun à la liberté, à la vie privée et à la souveraineté individuelle, et travaillons ensemble de manière à bénéficier à l’ensemble de l’humanité et à bénir notre belle terre abondante.


À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’une licence de technologie en ingénierie aérospatiale. Il a servi comme capitaine dans les Forces canadiennes pendant neuf ans. Au cours de ses deux périodes de service dans l’armée de l’air, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie ainsi qu’en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti.

Il est l’auteur du livre électronique Our Species Is Being Genetically Modified [Notre espèce est génétiquement modifiée] et contribue régulièrement à Global Research.


The original source of this article is Global Research
Copyright © David Skripac, Global Research, 2023




France — Le Linky est-il obligatoire ?

[Source : Nexus]

Des militants anti-Linky ont appelé au boycott de Nexus. La raison ? Dans le dernier magazine Nexus n° 146 de mai-juin 2023, un des articles du dossier sur le portefeuille d’identité numérique européen qualifie le compteur Linky d’« a priori obligatoire ». Qu’en est-il vraiment ? Qu’en dit la loi… et ses interprétations 

◆ A priori… a posteriori

« S’il est a priori obligatoire… » en parlant du compteur controversé, voici la phrase qui a fait bondir tous ceux qui se battent depuis des années contre l’installation à marche forcée des compteurs électriques Linky. Certains n’ont pas hésité à appeler au boycott du magazine, quand d’autres l’accusent de « répéter le narratif globaliste »…

En premier lieu, nous aimerions rappeler que Nexus est un des seuls médias à s’être autant engagé contre le déploiement de ce compteur accusé d’engendrer des troubles chez les personnes électrohypersensibles, et soupçonné de pouvoir récolter des données de consommation portant atteinte à la vie privée.

De nombreux articles ont ainsi été publiés à ce sujet. Exemples iciici et .

Il n’empêche, la formulation choisie par l’auteure, « a priori », a fait l’objet d’une vive polémique sur les réseaux sociaux, les opposants du Linky insistant : « Le compteur Linky n’est pas obligatoire ! »

C’est bien l’expression « a priori » qui a été mal comprise. Celle-ci signifie, parmi plusieurs sens, « avant tout examen approfondi ; de prime abord » (Larousse). Ainsi, quand l’auteure de l’article sur le portefeuille d’identité numérique européen écrit que « [le Linky] est a priori obligatoire », cela doit se comprendre de la manière suivante : étant donné l’énergie et les moyens déployés par Enedis et l’État pour installer ce compteur partout, étant donné le fait que ce déploiement est encadré par des directives et des décrets à valeur d’application, et étant donné le fait qu’aucune loi ne vient dire expressément le contraire, on eût pu penser que l’installation du Linky fût obligatoire a priori.

A posteriori cependant, l’expérience et l’examen approfondi de la question nous imposent la conclusion suivante : la loi prévoit bien une obligation d’installation pour Enedis à hauteur de 80 % du parc national de compteurs électriques, mais pas d’obligation d’acceptation d’installation pour l’usager.

Nous ajoutons également que le sujet est complexe et qu’il a donné du fil à retordre à nos journalistes : le service presse d’Enedis a notamment fait preuve d’une exceptionnelle pugnacité pour défendre la position de l’entreprise.

◆ De l’obligation pour Enedis

Enedis (ex-ERDF, entreprise chargée de la gestion et de l’aménagement du réseau électrique en France) s’était engagée à remplacer au moins 80 % des compteurs électriques par des compteurs communicants en 2020, mission régentée par la directive européenne de 2009, mise à jour par celle de 2019.

Cette directive européenne est transposée en droit français dans la loi sur la transition énergétique d’août 2015, et le décret de codification réglementaire de décembre 2015, qui en découle. Tous ces textes composent le Code de l’énergie.

À l’article R341-8 dudit code, l’objectif d’Enedis est fixé de la manière suivante :

« D’ici au 31 décembre 2020, 80 % au moins des dispositifs de comptage des installations d’utilisateurs raccordées en basse tension (BT) pour des puissances inférieures ou égales à 36 kilovoltampères sont rendus conformes aux prescriptions de l’arrêté prévu à l’article R341-6, dans la perspective d’atteindre un objectif de 100 % d’ici 2024. »

Cette obligation des 80 % de couverture est assortie de sanctions administratives prévues dans l’article L142-32 en cas de manquement à l’atteinte de son objectif.

Sur son site internet, Enedis persiste à agiter l’obligation d’installation et argue que de ce fait aucun « droit au refus » n’est permis.

◆ Une installation à marche forcée

Mais le déploiement des compteurs communicants Linky a fait face à une résistance inattendue et a mis à mal l’espoir d’Enedis d’équiper 100 % des foyers français en compteurs Linky en 2024.

En 2023, l’objectif légal est cependant atteint avec 92 % des foyers français équipés du compteur Linky ; ce grâce à l’insistance très incitative d’Enedis.

Car l’entreprise, en effet, n’a pas hésité à déployer les grands moyens, allant jusqu’à harceler les usagers à leur domicile, pour qu’ils acceptent l’installation du nouveau compteur, quand celui-ci n’était pas installé en leur absence sans aucune demande d’autorisation préalable.

Face à ceux qui, disposant d’un compteur situé à l’extérieur de leur hébergement, le barricadaient pour empêcher les techniciens d’Enedis d’y accéder, l’entreprise envoyait des lettres dans lesquelles elle annonçait « se réserver le droit d’engager une procédure judiciaire » contre ces usagers récalcitrants au nouveau compteur.

Mais alors que l’avertissement devait être transformé dans les quinze jours en une poursuite officielle, il n’en a rien été, et ce pour une raison simple : si dans le cadre de sa mission de service public, Enedis a l’obligation d’installer ces compteurs (à hauteur d’au moins 80 % du parc national, objectif d’ores et déjà atteint), il n’existe aucune obligation pour les usagers d’accepter l’installation.

Au sujet de ces lettres d’avertissement, Nexus a posé la question à Enedis :

« Quelles suites y ont été données ? Quelles mesures pénales prévues par la loi sanctionnent-elles le refus d’installation ? »

Enedis botte en touche :

« L’installation du compteur Linky se déroule dans de bonnes conditions dans la très grande majorité des cas » et « Enedis privilégie constamment le dialogue avec tous ses clients et est à l’écoute des clients qui refusent la pose du compteur Linky. »

◆ Pour l’usager : pas de sanction, pas d’obligation

Il n’y a pas d’obligation pour l’usager d’accepter l’installation du compteur Linky, c’est ce que conclut l’affaire traitée devant la cour d’appel de Bordeaux en novembre 2020.

« Ainsi, contrairement à ce qu’affirme la société Enedis, aucun texte légal ou réglementaire, européen ou national n’impose à Enedis, société commerciale privée, concessionnaire du service public, d’installer au domicile des particuliers des compteurs Linky, qui entrent certes dans la catégorie des compteurs intelligents ou communicants, c’est-à-dire pouvant être actionnés et interrogés à distance, mais n’en sont en réalité qu’un modèle, utilisant la technologie CPL sur le réseau à basse tension comme premier niveau de communication, un deuxième niveau étant assuré par le réseau de téléphonie mobile GPRS ou Edge. »

S’agit-il pour autant d’un vide juridique ? Contacté par Nexus, Me Arnaud Durand, avocat au barreau de Paris ayant défendu les plaignants opposés au compteur Linky dans cette affaire, précise :

« Il n’y a aucun vide juridique. […] En droit, l’existence d’une obligation ne se conçoit qu’à travers l’existence d’une sanction. C’est simple : pas de sanction, pas d’obligation. Quant à l’obligation invoquée par Enedis, à son propre encontre, elle ne lui permet aucunement de déroger aux droits des consommateurs qu’Enedis est tenue de respecter, y compris lorsque l’objectif est d’installer des compteurs communicants. […] Au final Enedis n’est parvenue qu’à échafauder une apparence d’obligation, afin d’intimider le plus grand nombre. Mais en droit, il n’en est rien. »

Ainsi, étant donné le fait qu’aucune sanction n’existe (si l’on exclut les tentatives forcenées d’Enedis pour extorquer le consentement à l’installation de ces compteurs), rien n’interdit au consommateur de refuser l’installation.

◆ Le casse-tête des jurisprudences

En 2016, Philippe Monloubou, alors président du directoire d’ERDF (ancêtre d’Enedis) avoue cependant devant l’Assemblée nationale (à 0 min 15 s) :

« Non, il n’y aura pas de client exclu du dispositif Linky, sauf ceux qui ne voudront pas ouvrir leur porte, parce que, nous, on n’a pas vocation, on n’est pas habilités à forcer la porte des clients pour ceux qui in fine ne voudraient pas nous ouvrir ou qui résisteraient. »

https://www.youtube.com/embed/VXtPsC4ZKH0

Ainsi, aucune poursuite n’a jamais été engagée par Enedis contre ceux qui barricadaient leur ancien compteur, faute de base juridique suffisamment solide.

À l’inverse, plusieurs procédures ont été lancées à l’encontre d’Enedis par des usagers espérant contraindre l’entreprise à retirer ses compteurs. Sur toutes les affaires jugées, la plupart sont favorables à Enedis, et une seule a effectivement abouti au retrait du compteur, pour cause d’électrosensibilité.

Le reste du temps, l’entreprise n’a le plus souvent été condamnée qu’à poser des filtres anti-ondes chez les personnes souffrant d’électrohypersensibilité, ou à modifier ses installations en cas de risques pour la sécurité incendie. Nexus a également déjà publié sur cette affaire récente où Enedis a été condamnée à modifier l’installation d’un compteur chez une cliente pour non-respect des normes de sécurité. Enedis a fait appel.

La plupart du temps cependant, Enedis a plutôt tendance à gagner ses procès. Cette affaire, jugée à Paris en cour d’appel en mai 2022, appuie le caractère réglementaire de la mission d’Enedis en tant que concessionnaire de service public :

« La société Enedis, en tant que gestionnaire du réseau public d’électricité, a l’obligation, dans le cadre de sa mission de service public, d’installer ces équipements de comptage, de les entretenir et de les renouveler. Ces compteurs électriques constituent des ouvrages des réseaux publics de distribution d’électricité relevant de la propriété des collectivités territoriales et n’appartiennent donc pas aux usagers de sorte que l’obligation de déployer ces compteurs communicants s’impose à la société Enedis […] »

De plus, Enedis rajoute dans son argumentaire que les compteurs électriques ne sont pas la propriétés des usagers, mais des collectivités territoriales (les communes en l’occurrence) et qu’il s’agit d’une infrastructure du réseau électrique au même titre que les câbles et les poteaux. Argument qui n’a « aucun intérêt juridique » selon Arnaud Durand :

« Si SFR installe une antenne relais sur le mur de votre maison, est-ce que le fait que vous ne soyez pas propriétaire de l’antenne relais a la moindre importance ? Non, la question de l’obligation (ou de l’interdiction) ne suit pas le régime de la propriété. »

Les appelants ont été condamnés à payer 1 500 euros à Enedis. Cependant, le procès a tout de même constaté qu’au regard du Code de l’énergie, il était possible de s’opposer au relevé des consommations personnelles d’électricité en temps réel par l’entreprise :

« L’usager peut donc s’opposer à l’enregistrement de la courbe de charge et au traitement des données détaillées, sans qu’il puisse en être déduit, comme le font les appelants, un droit à s’opposer à l’installation du compteur Linky. »

De même, en mai 2022, le tribunal judiciaire de Mâcon a débouté 104 opposants à l’installation du compteur Linky qui réclamaient un « droit au refus ». Ils ont été condamnés à verser 5 000 euros à Enedis pour le remboursement des frais de justice.

◆ Vers une obligation de fait ?

Changement de tactique pour Enedis : la facturation incitative, telle que préconisée par la Commission de régulation de l’énergie.

Fin 2022, l’entreprise applique une nouvelle règle pour les clients non équipés du compteur Linky (qui transmet automatiquement les données de consommation au fournisseur) : les récalcitrants devront faire eux-mêmes un relevé annuel sous peine de devoir s’acquitter d’une surfacturation, qu’Arnaud Durand appelle « une amende privée » et contre laquelle il déclare être actuellement en procès.

Voici ce à quoi s’attendre prochainement, et nos quelques conseils pour continuer à résister :

  • 2022-2024: pas de surfacturation si l’on fait soi-même son relevé une fois l’an. Sinon, un surcoût de 4,16€/mois (50€/an) est prévu. Aussi, pour éviter les mauvaises surprises de facturation, refusez toujours l’option du prélèvement automatique et acquittez-vous de vos factures d’électricité par chèque ou virement à effectuer vous-même.
  • À partir de 2025: une surfacturation de 61€/an (5,33 €/mois) pour le «service» proposé par Enedis correspondant à l’intervention d’un technicien qui viendra réaliser le relevé de consommation à la place de l’usager.
  • Jusqu’au 1eraoût 2023, si l’on veut changer son compteur Linky pour un ancien compteur, il est théoriquement possible d’acheter un compteur CBE (compteur électronique non communicant) sur Internet. Cependant, pour que ce compteur donne droit à un accès au réseau électrique, il faut qu’il soit installé et scellé par un technicien d’Enedis et assorti d’un boîtier communicant à l’extérieur du domicile. Autant dire que c’est un véritable parcours du combattant pour obtenir ce service particulier. Car si cette prestation (raccorder un compteur CBE au réseau Enedis et ouvrir un contrat d’électricité) apparaissait toujours au catalogue des prestations d’Enedis (option n°2 à la page 30), l’entreprise ne semble pas prompte à honorer ce service, son attaché de presse insistant: «Il n’est pas possible d’installer un compteur d’ancienne génération.» Cette option restait valable, selon Enedis, pendant la période de transition où les compteurs Linky n’étaient pas encore disponibles partout. «Dans les zones encore non équipées de compteurs Linky et de concentrateurs associés, les compteurs électroniques d’ancienne génération pouvaient rester nécessaires pour certains clients ayant notamment souscrit l’offre Tempo. »

Cette option disparaîtra de la version du prochain catalogue mis à jour le 1er août 2023.

  • Pour tout déménagement, changement de fournisseur, de contrat, ou de puissance électrique, ou simplement en cas de panne du compteur, un compteur Linky sera automatiquement proposé. Et les recours semblent particulièrement difficiles. Enedis pourrait vous faire du chantage : acceptez le Linky ou passez-vous d’électricité ! Chantage probablement illicite puisqu’en droit, l’électricité est un bien de première nécessité : aux termes de l’article 121-1 du Code de l’énergie, est reconnu « le droit de tous à l’électricité, un bien de première nécessité […] ».

Seuls ceux qui ont refusé l’installation du Linky à leur domicile de prime abord et ne comptent exercer un quelconque changement à leur offre d’électricité semblent exempts de toute « obligation d’installation ». Pour combien de temps?

◆ Quid du site poal.fr ?

Dans notre article sur le portefeuille d’identité numérique (magazine Nexus n°146 de mai-juin 2023), un deuxième point a fait grincer des dents : nous incitions nos lecteurs à refuser catégoriquement le compteur Linky et les dirigions vers le site de la Plateforme Opérationnelle Anti-Linky (POAL), pour la simple raison que le site semble plutôt ergonomique et qu’il propose de nombreuses informations fouillées.

Cependant, nous avons été alertés par un lecteur : un des fondateurs du site est également le président d’une entreprise vendant des filtres anti-ondes CPL (les ondes nocives émises par les compteurs Linky). Ainsi, sans présumer ni de la qualité du site ni de l’efficacité, ou non, de ces filtres, il s’agit d’un conflit d’intérêts manifeste, puisque les activités militantes du site poal.fr ont parfois servi à faire la promotion de ces filtres, comme c’est le cas ici.

Ainsi, si vous souhaitez vous informer auprès de sites internet bien fichus pour pouvoir être correctement orientés dans votre lutte contre le compteur vert fluo, nous vous conseillons plutôt les sites suivants :




Professeur Raoult : « Il y a qu’un essai illégal, c’est la vaccination »




Analyse des données de mortalité de plusieurs pays depuis 2020 par une équipe canadienne indépendante

[Source : rebelnews.com]

Chercheur scientifique : « Nous sommes absolument convaincus que ce n’est pas une maladie respiratoire virale pandémique qui a causé la mort »

M. Rancourt a été invité à partager son travail à l’Enquête Nationale des Citoyens et à clarifier la réalité de ce qui s’est passé pendant la pandémie.

Par Alexandra Lavoie

Denis Rancourt s’est penché sur la question et a analysé les chiffres officiels. Mr Rancourt est titulaire d’un baccalauréat, d’une maîtrise et d’un doctorat en physique de l’Université de Toronto. Il a continué ses études jusqu’au postdoctorat, se spécialisant en chimie de synthèse en France. Son expertise l’a amené à faire des recherches interdisciplinaires et finalement à travailler dans le domaine de la biogéochimie environnementale.

Il a été convié à partager ses travaux, sur une base bénévole, afin de faire la lumière sur ce qui s’est réellement produit par rapport à la pandémie.

« Ma conclusion générale, après de nombreuses années de travail, maintenant, trois ans de travail détaillé, nous avons écrit plus de 30 articles scientifiques à ce sujet. Si les gouvernements n’avaient pas réagi du tout, il n’y aurait pas eu de surmortalité. »

La conclusion est assez équivoque pour Monsieur Rancourt, l’action des gouvernements aurait provoqué une hausse de mortalité au sein des populations.

« Je ne vois aucune preuve qu’il y ait eu un agent pathogène particulièrement violent et qu’il soit apparu sur la planète et qu’il ait commencé à causer la mort. Je ne vois pas les preuves de cela. Et en fait, lorsque j’ai analysé la mortalité, toutes causes confondues, je peux prouver que les schémas de décès sont incompatibles avec la théorie selon laquelle il y aurait eu une propagation d’une maladie respiratoire virale. »

Monsieur Rancourt explique les conclusions d’observations statistiques et des chiffres officiels à travers le temps de la pandémie. Les chiffres sont documentés par les instances officielles gouvernementales et c’est ce qui a rendu possible cette analyse approfondie.

« La mortalité toutes causes confondues est très bien documentée par pratiquement tous les états modernes du monde et est également recueillie par des organismes internationaux et à différents niveaux. C’est donc le genre de statistiques que nous faisons le mieux en tant que société. Il y a des règles institutionnelles, il y a des lois. Une nation a besoin de savoir combien de personnes meurent, où elles meurent, dans quelles circonstances. »


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Version anglaise (plus longue) :


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Surmortalité vaccinale en Allemagne pour 2021 et 2022 ?

Le professeur de mathématiques Matthias Reitzner, avec le professeur Dr. Kuhbandner, a publié une étude sur la surmortalité en Allemagne.
https://cureus.com/articles/14941

[Extraits :]

Figure 1 : Surmortalité annuelle.
Les barres rouges indiquent la surmortalité [ou la sous-mortalité, dans certains cas]
en 2020 (panneau de gauche), 2021 (panneau du milieu) et 2022 (panneau de droite)
dans les différents groupes d’âge. Les barres grises représentent la surmortalité totale.
Figure 2 : L’incertitude du modèle.
Les barres indiquent le déficit de mortalité et la surmortalité
en 2020 (panneau de gauche), 2021 (panneau du milieu) et 2022 (panneau de droite)
pour différentes tables de mortalité et tendances de longévité.
Figure 3 : L’écart-type empirique.
Les carrés bleus indiquent le nombre de décès toutes causes confondues
en Allemagne de 2010 à 2019,
et les carrés rouges le nombre de décès toutes causes confondues pour les années 2020 à 2022.
La ligne bleue représente la ligne de régression pour les années 2010 à 2019.
Figure 4 : Surmortalité mensuelle.
Pour six groupes d’âge, les lignes noires indiquent la surmortalité mensuelle
de janvier 2020 à décembre 2022.
Les zones ombrées en rouge indiquent les périodes
où une augmentation de la mortalité a été observée ;
les zones ombrées en vert indiquent les périodes
où un déficit de mortalité a été observé.
Figure 5 : Surmortalité cumulée.
Pour six groupes d’âge, les lignes noires indiquent
le nombre cumulé de décès en excès de janvier 2020 à décembre 2022.
Les zones vertes indiquent les régions où il y a un déficit de mortalité cumulée
et les zones rouges où il y a une surmortalité cumulée.
Notez que l’axe des y du nombre de surmortalités cumulées
est échelonné différemment selon le groupe d’âge.
Figure 6 : Mortinatalité dans les années 2019 à 2022 en Allemagne.
Le premier panneau montre le nombre de naissances vivantes par trimestre de 2019 à 2022,
le deuxième panneau le nombre de mortinaissances par trimestre de 2019 à 2022,
le troisième panneau le nombre de mortinaissances pour 1 000 naissances totales
(somme du nombre de mortinaissances d’un trimestre
et du nombre de naissances vivantes du trimestre suivant) par trimestre de 2019 à 2022,
et le quatrième panneau l’augmentation trimestrielle du nombre de mortinaissances
pour 1 000 naissances totales au cours des années 2021 et 2022
par rapport à la moyenne des années 2019 et 2020.
Figure 7 : Décès COVID-19 et surmortalité.
Les carrés bleus indiquent le nombre de décès COVID-19 déclarés,
les carrés rouges le déficit de mortalité et la surmortalité,
et les carrés jaunes la différence entre le nombre de surmortalités
et le nombre de COVID-19 de mars 2020 à décembre 2022.
Figure 8 : Nombre de vaccinations par rapport à la surmortalité.
Nombre cumulé de décès en excès (ligne rouge)
et nombre cumulé de personnes entièrement vaccinées (ligne pointillée bleue)
et triplement vaccinées (ligne pointillée verte)
de mars 2020 à décembre 2022.

Conclusions

Cette étude a utilisé la méthode de pointe de la science actuarielle pour estimer le nombre attendu de décès toutes causes confondues et l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues pour les années pandémiques 2020 à 2022 en Allemagne. En 2020, le nombre observé de décès était extrêmement proche du nombre attendu, mais en 2021, le nombre observé de décès était bien supérieur au nombre attendu, de l’ordre de deux fois l’écart-type empirique, et en 2022, supérieur au nombre attendu, de plus de quatre fois l’écart-type empirique. L’analyse de la surmortalité mensuelle en fonction de l’âge a montré que la surmortalité élevée à partir du printemps 2021 est responsable de la surmortalité en 2021 et 2022. Une analyse du nombre de mort-nés a révélé un schéma de mortalité similaire à celui observé pour le groupe d’âge entre 15 et 80 ans.

Comme point de départ pour d’autres recherches expliquant ces schémas de mortalité, nous avons comparé la surmortalité au nombre de décès COVID-19 signalés et au nombre de vaccinations COVID-19. Cela conduit à plusieurs questions ouvertes, la plus importante étant la covariation entre la surmortalité, le nombre de décès dus au COVID-19 et le nombre de vaccinations contre le COVID-19.




7 jours sur un brancard aux urgences en France, c’est possible ! Un urgentiste témoigne




Plus Jamais, épisode 5 : « Ne cédez jamais, n’abandonnez jamais »

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Les ramifications internationales du nazisme, les stratégies de censure, l’utilisation des techniques de contrôle mental (par la CIA)… Comprendre, c’est déjà en sortir !

[Voir aussi :
« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3
et
Plus Jamais, Épisode 4. « Cette fois, nous sommes tous Juifs » !]

Par Senta Depuydt

Mise à jour 3 juin 2023 : Ce n’était pas Himmler, mais Rudolf Hess qui a été expertisé par le prof. Ewen Cameron lors du procès de Nuremberg.

Ce dernier épisode de la série nous réserve encore quelques témoignages particulièrement importants et illustre la poursuite des acteurs et des idéologies liées au nazisme dans le monde de l’après-guerre.

Uwe Alschner, historien allemand

La Commission du Président dirigée par Elie Wiesel invitait à détecter les analogies avec l’Holocauste, pas à les censurer

Je suis conscient qu’il est très, très délicat pour les Allemands de faire référence à l’Holocauste. Nous sommes formés à honorer le caractère unique de cet événement et ses victimes, mais pas à établir des comparaisons, ce qui est bien sûr anhistorique, antidémocratique et même injuste pour ceux qui ont souffert et qui ont été victimes de l’Holocauste.

À Bruxelles, en début d’année (2022), une grande manifestation a été dispersée prématurément par la police. C’était très, très troublant aussi parce que c’était le jour où vous, Vera Sharav, avez parlé d’analogies, de similitudes que vous avez vues. Ce que vous faites est absolument conforme à ce que la Commission d’Elie Wiesel avait recommandé : qu’il y ait des personnes d’autorité morale pour alerter le public sur les dangers possibles, qui pourraient conduire à un nouvel Holocauste ou même à des parties de celui-ci. C’est donc un point qui est très, très explicite dans ce rapport :

Non seulement le paysage moral de la réalité humaine a été modifié par l’Holocauste, mais l’accélération de la technologie et l’énergie nucléaire menacent désormais l’existence humaine elle-même. En mettant l’accent sur les dangers inhérents aux fins et aux moyens d’une société technologique et bureaucratique, l’étude de l’Holocauste et de ses implications peut encourager un renouveau de l’engagement en faveur de la raison et de l’humanité.

En 1979, on a pris conscience que notre société, avec tous ses progrès technologiques réalisés au fil des siècles, et surtout au cours des deux dernières décennies, représentait une menace existentielle pour l’humanité.

En tant qu’historien, je trouve très inquiétant que les personnes qui font allusion à des analogies et à des similitudes entre hier et aujourd’hui soient immédiatement accusées d’être antisémites, fascistes, néonazies ou autres.

Dans le rapport de la commission Elie Wiesel au Président Jimmy Carter, à la deuxième page de la lettre d’introduction, on peut lire :

« La leçon la plus importante à tirer de l’époque de l’Holocauste est qu’Auschwitz a été possible parce que l’ennemi du peuple juif et de l’humanité — et c’est toujours le même ennemi —a réussi à diviser, à séparer, à scinder la société humaine, nation contre nation, Chrétien contre Juif, jeune contre vieux.

Il est clair que pour Elie Wiesel, quand il parle de « l’ennemi du peuple juif et de l’humanité », il veut dire que les Allemands n’étaient pas les seuls à avoir participé à l’Holocauste. Uwe Alschner insiste sur l’importance de cette citation qui sera ensuite explicitée dans le rapport :

Cela faisait partie d’une idéologie établie de longue date dans laquelle l’eugénisme jouait un rôle. Aujourd’hui, le transhumanisme est un concept plus récent, mais qui est clairement enraciné dans l’idée de l’eugénisme.

David Veale, petit-fils d’anciens scientifiques nazis récupérés par les USA.

Témoignage assez rare que celui d’un descendant de nazis « exfiltrés » :

Le mal est fait par des personnes normales

Mes deux grands-parents sont arrivés avec le projet Paperclip (ndlr: un projet secret de la CIA chapeauté par Rockefeller et Nixon qui a permis à des milliers de scientifiques et d’officiels nazis de poursuivre leur carrière aux États-Unis).

Ils sont d’abord allés à la base aérienne de Wright-Patterson dans l’Ohio, puis à Los Angeles. Mon grand-père travaillait pour Aerospace Corporation, qui est un partenaire de l’armée de l’air. Il a été amené dans ce pays parce qu’il était l’un des scientifiques qui travaillaient pour Wernher Von Braun sur les turbines des engins militaires. C’est là qu’il a rencontré ma grand-mère. Elle était l’une des secrétaires. Elle travaillait pour Wernher Von Braun et enregistrait une grande partie des mesures de leurs tests mécaniques.

Je me souviens que ma sœur et moi avons posé des questions à ma grand-mère. Mon grand-père ne parlait pas beaucoup. Il était très, très silencieux. Quoi qu’il en soit, nous avons demandé à ma grand-mère : « Qu’avez-vous vu ? As-tu connu des juifs qui sont allés dans les camps de concentration ? » Elle a répondu : « Oh, eh bien ». Elle n’était manifestement pas à l’aise pour répondre à la question. Et elle dit : « Eh bien, on nous a dit ou montré qu’ils étaient juste séparés. » Je ne sais pas si c’est ainsi que cela a été présenté à la population. C’est ce qu’elle a dit. Je soupçonne qu’elle en savait plus, à la fin, mais je ne sais pas si elle savait tout cela au début au départ. Elle est née en 25, elle était donc encore assez jeune lorsque la guerre a commencé.

Ils faisaient partie de la machine nazie, mais ils étaient aussi mes grands-parents. La demande d’accès à l’information que ma sœur a soumise au FBI suggère que mon grand-père n’était pas le stéréotype du nazi, fortement raciste et nationaliste. Et il est certain que certaines personnes arrivées aux États-Unis avaient suffisamment de valeur pour ce pays pour ne pas se soucier de leur histoire. J’aime donc à penser que mon grand-père était l’un des meilleurs éléments de ce groupe.

Mais en même temps, il faisait certainement partie de la machine nazie. Il faut comprendre que le mal n’est pas tel qu’il est dépeint à la télévision ou même dans les journaux télévisés, où l’on montre des caricatures. Tous les gens de droite ne sont pas membres du Ku Klux Klan et tous les gens de gauche ne sont pas incapables de déterminer leur propre sexe.

Mon grand-père, qui travaillait au développement des V-2, a manifestement été responsable de la mort d’un grand nombre de personnes. On pourrait dire la même chose de ma grand-mère. Mais je pense qu’il est important de comprendre que le mal n’est pas le fait de personnes aux idées et à la personnalité diaboliques. Il est le fait de personnes tout à fait normales.

La CIA a récupéré et développé les méthodes de contrôle mental des nazis (programme MK-Ultra)

David Veale rappelle que la CIA a étudié les nazis et leur capacité à contrôler les populations, à influencer leur comportement :

Je pense que la CIA s’en est servie pour ses expériences MK-Ultra.

Nous connaissons tous au moins deux grands sujets de ces expériences, à savoir « Unabomber » Ted Kaczynski et Charles Manson. Ils été soumis à ces expériences de lavage de cerveau et de programmation mentale pour contrôler les gens.

Notre gouvernement a certainement un intérêt direct dans ce domaine, et les nazis étaient très avancés sur ce sujet.

Note :

L’un des pires tortionnaires des méthodes MK-Ultra était le psychiatre Dr Ewen Cameron qui opérait à l’université Mac Gill au Canada. Il est consternant d’apprendre qu’il avait fait l’expertise psychiatrique des officiels nazis tels que Rudolph Hess au procès de Nuremberg. Plutôt que de s’inspirer des principes de libre consentement énoncés dans le Code d’éthique qui suivit, il reprit leurs travaux de contrôle et de reprogrammation mentale dans ses « traitements » psychiatriques, avec les financements de la CIA. Le programme MK-Ultra a utilisé des méthodes de torture par chocs électriques, traumatisme sexuel, administration de LSD et d’autres drogues, rayons, conditionnement du cerveau, etc.et a impliqué plus de 40 universités, des hôpitaux et des prisons. 

Ces « traitements » qui ont tué et abîmé des milliers de personnes ont dominé la « science » des années 50 et 60. En 1961, Cameron était même devenu président de la société mondiale de psychiatrie. Malheureusement, ils existent toujours de manière officieuse et ils servent même d’inspiration à l’échelle du conditionnement de la population globale. 

Pour plus d’information sur les expériences de la CIA, voir par exemple le documentaire « Les cobayes de la CIA » d’Olivier Pighetti. 

David Veale n’est pas dupe. Pour lui, « de nombreuses personnes ont compris que le mal était utile, s’il pouvait servir des intérêts privés », en particulier aux États-Unis.

Je crois en la santé publique. Je pense qu’il est important de contrôler les maladies. Il n’y a rien de mal à cela. Les gens ne se rendent pas compte qu’on se sert d’eux pour leur imposer quelque chose. Lorsque quelqu’un dit qu’il fait le bien, la plupart des gens supposent qu’il fait effectivement le bien et que tout ce qui s’ensuit est fait dans ce but. Mais ce n’est pas le cas.

L’Allemagne et le monde de l’après-guerre ont réaffecté d’anciens dirigeants nazis à des postes clés, par l’intermédiaire des services secrets.

Uwe Alschner rappelle également le lien entre l’État profond’ et les nazis, en exposant des faits encore peu connus de l’histoire :

Après la guerre, la communauté du renseignement a été mise en place et dirigée par Allen Dulles. Aujourd’hui, l’on voit que la directrice de la CIA, Avril Haines, est également impliquée dans l’événement 201. Il est légitime de se demander :

« Qu’est-ce que la CIA, le service de renseignement des États-Unis, a à voir avec l’urgence en matière de santé publique ? Pourquoi est-elle impliquée ? »

Eh bien, cela a du sens, quand on voit que les services de renseignement sont en fait étroitement liés à ces intérêts financiers, qui restent dans l’ombre, dont les noms ne sont pas mentionnés. Nous entendons les noms de Bill Gates et de George Soros, mais il ne s’agit que de personnes de façade. Par conséquent, les énormes institutions financières qui sont derrière tout cela ont un intérêt dans la manière dont une urgence de santé publique a été déclenchée afin de subvertir la démocratie, d’encourager et de promouvoir les tendances oligarchiques et fascistes des entreprises.

C’est une façon de tromper le public. Les opérations psychologiques, le contrôle mental et la propagande sont le fonds de commerce des agences de renseignement.

Durant la guerre, l’agence de renseignement des nazis était dirigée par Reinhard Gehlen, un général de la Wehrmacht, qui devint plus tard chef du Bundesnachrichtendienst, le service de renseignement fédéral allemand.

Il a été capturé par les troupes américaines, alors qu’en fait, avec ses hommes, il s’était retiré dans une vallée des Alpes en attendant d’être exfiltré. On dit qu’il avait avec lui de très nombreuses caisses de documents, des documents compromettants, non seulement sur les Soviétiques, mais aussi sur les relations avec l’Ouest, avec les Américains. Un officier de marine, du nom de Richard Nixon, avait participé à la prise en otage de Gehlen…

Il existe donc au moins des preuves indirectes qui justifient une observation plus approfondie des raisons pour lesquelles Richard Nixon a été choisi par la suite pour devenir un homme politique américain de premier plan (président des USA),, parce qu’il pourrait avoir eu connaissance d’informations incriminant quelqu’un d’aussi haut placé qu’Allen Dulles.

Avec l’avocat nazi Hans GlobkeGehlen était le co-auteur des politiques qui ont conduit aux lois raciales de Nuremberg.

Eh bien, après la guerre, Globke est devenu le chef de cabinet du chancelier allemand Konrad Adenauer et Gehlen est devenu le chef des services de renseignement allemands. Les deux hommes se réunissaient régulièrement pour discuter de qui devait accéder à quel poste dans l’administration. Ils étaient donc triés sur le volet par d’anciens nazis, sous le contrôle et en coopération avec les services de renseignement américains. Tout cela bien sûr au service des intérêts de ceux qui se cachent aujourd’hui derrière les mesures Covid.

Fascistes américains (du haut) :
#1 David Rockefeller
#2 Prescott Bush,
#3 Averell Harriman,
#4 Clint Murchison Sr.,
#5 H. L. Hunt,
#6 E. Roland Harriman,
#7 Edmund Leopold de Rothschild,
#8 Montagu Norman, 1st Baron Norman,
#9 Allen Welsh Dulles,
#10 Henry Ford.

Les organisations internationales, les Nations unies, mais aussi l’Organisation mondiale de la santé, ont été créées dans les années 1940, après la guerre. Dès le départ, elles ont voulu, ou du moins ont pu mener des politiques mondiales centralisées. De riches investisseurs et de riches industriels demandent un partenariat public-privé avec ces institutions, dont ils tirent ensuite profit. Mais c’est aussi pour mettre en œuvre d’autres formes de leur programme, l’eugénisme, le transhumanisme et essentiellement le non-humain.

Hannah Arendt, lorsqu’elle s’est exprimée dans les années 1960, a déclaré que ce n’était pas tant le fait qu’Hitler soit arrivé au pouvoir qui était choquant. Ce qui était choquant à l’époque, c’était le degré d’adhésion des intellectuels. Nous voyons la même chose aujourd’hui, la suppression, le dépouillement des droits humains fondamentaux des individus, mais aussi de groupes entiers. Il s’agit donc d’un phénomène tout à fait similaire à ce qui s’est passé dans les années 1930.

Et de conclure :

Il faut avoir ce contexte en tête quand nous sommes face à des injections hautement toxiques administrées au grand public, sans tenir compte des effets secondaires, de la mort, du mal qui est fait.

Il est temps d’appeler à l’arrêt, d’appeler à une enquête, de résister, de désobéir civilement, d’être pacifique, mais de ne pas obéir. Nous avons une tâche à accomplir, c’est certain. Nous devons faire face. C’est un moment vraiment décisif.

Scott Schara, père de Grace, jeune trisomique « assassinée sur ordonnance » sous prétexte de traitement Covid.

Les meurtres sur ordonnance enrichissent les médecins et les hôpitaux

L’histoire de Grace, la fille adorée de Scott Schara est aussi poignante que choquante. Hospitalisée « par précaution » avec quelques légers symptômes, Grâce est soumise à des traitements inutiles et dangereux, jusqu’à être simplement « liquidée » par l’injection d’un cocktail mortel (proche du Rivotril), sous l’œil impuissant de ses parents.

Son père raconte cette incroyable tragédie : comment l’hôpital a falsifié les données médicales de sa fille trisomique et feint d’avoir l’accord de la famille pour l’euthanasier’ de force.

Je suis juste le père qui apprend cela en temps réel et qui vient de s’éveiller… et une fois que vous êtes éveillé, vous ne pouvez pas arrêter de partager ces informations.

Les chiffres sont stupéfiants. Le gouvernement a déjà versé aux hôpitaux, sous la forme de primes de traitement du COVID, y compris les primes de décès, quatre mille milliards (trillons) de dollars. Nous sommes le seul pays où plus d’un million de décès sont imputables au COVID… Et nous sommes le seul pays où le Remdesivir est le traitement recommandé.

La chose la plus importante qui m’a choqué est la corruption de notre gouvernement. Ils sont tellement corrompus. Il n’y a pas une seule chose qu’ils disent à laquelle on puisse se fier.

Avital Livy initiatrice du « Projet des Témoins » en Israël

Avital a entrepris de recueillir les témoignages des victimes de la vaccination Covid et de réaliser deux documentaires, expliquant les symptômes vécus et les diagnostics qui ont suivi, pour briser le tabou des médias et du gouvernement sur la question.

En Israël, il reste pratiquement inconcevable de mettre en question la politique sanitaire du gouvernement :

Pour les Israéliens, tout d’abord, les gens oublient que nous avons tous été dans l’armée, entre 18 et 20 ans. Je pense donc que l’on s’habitue à suivre les ordres. Deuxièmement, en raison de notre histoire, nous avons l’impression que notre pays, notre État, notre gouvernement nous protègent du monde entier qui veut nous tuer. Ils sont comme notre père et notre mère. Ils ne nous feront pas de mal. Nous leur faisons confiance. Nous donnons notre vie à ce pays. S’ils disent que c’est bon, que c’est sans danger, que nous nous aiderons les uns les autres en nous faisant vacciner, nous le ferons. Les personnes les plus intellectuelles, les plus éduquées sont celles qui suivent le récit.

Sur les 120 membres du Parlement, le Parlement israélien, il n’y en a plus qu’une, une femme arabe, qui a commencé à dire qu’il fallait vérifier le lien entre tous les cas d’arrêts cardiaques chez les jeunes et les injections. Elle est la seule à parler.

Je n’ai plus confiance dans le parlement, dans notre gouvernement. Ils ont eu leur chance. C’est à nous, le peuple, de prendre les choses en main.

Pour compléter ses révélations angoissantes, elle a aussi choisi de partager les différents types de traitement qui ont permis aux malades du Covid ou aux victimes des injections d’aller mieux.

Je veux donner un message d’espoir à tout le monde. Les personnes non vaccinées ont été terrorisées pendant deux ans. La vérité est en train d’éclater et nous allons vers un monde meilleur. Aux personnes vaccinées, je veux dire : il existe des traitements. N’ayez pas peur. Ne perdez pas espoir. Traitez-vous, traitez votre corps.

La première étape du traitement consiste à comprendre ce qui se passe.

J’envoie donc l’amour et la bonne santé à tout le monde. Nous sommes la majorité. La vérité éclatera et nous gagnerons.

Il y a encore beaucoup d’autres témoignages dans ce dernier épisode qui valent la peine d’être écoutés : des commentaires de Vera Sharav, de Macha Orel, initiatrice d’un mouvement de soutien au Dr Bhakdi, ou ceux du musicien Karsten Troyke.

Mais, l’on ne saurait passer sous silence, les mots de la fin, ceux du Dr Vladimir « Zev » Zelenko à qui Vera Sharav dédicace cette série documentaire :

C’est une course entre l’asservissement et l’expansion de la conscience humaine globale. Parce que nous sommes beaucoup, beaucoup plus nombreux que ces sociopathes. Ils sont solides comme Goliath. Ils ont beaucoup de ressources. Mais le mouvement en faveur de la liberté commune des êtres humains pourrait être imparable une fois que nous aurons franchi un certain seuil.

Je prêche la désobéissance civile non violente et le rejet absolu de toutes les obligations. Pas de pampers sur la figure. Ne vivez pas dans la peur. Ne vous isolez pas. N’acceptez pas le poison de la mort. Et résistez.

Mettez vos enfants à l’abri du danger en les retirant du système scolaire public et en vous regroupant avec des parents partageant les mêmes idées. Créez un d’enseignement à domicile ou dans votre paroisse, où l’on pourra leur enseigner le raisonnement déductif, la pensée analytique, et leur donner une bonne base morale.

Il y a eu de nombreux exemples pendant la Seconde Guerre mondiale, où un nazi armé d’une mitrailleuse et d’un berger allemand pouvait conduire un millier de Juifs selon son gré. Il leur aurait pourtant suffi de se retourner et de lui sauter dessus. Les premiers seraient peut-être morts, mais pas les suivants. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? Parce qu’ils sont démoralisés, parce qu’ils ont perdu, déshumanisé ; ils ont perdu la foi en eux-mêmes. Ils ont perdu leur humanité.

Nous devons donc nous souvenir et enseigner aux gens, leur rappeler leur souveraineté, leur valeur inestimable, qu’ils sont importants. À mon avis, ils sont faits à l’image de Dieu. La vie est sacrée, ils ont des droits humains, et il n’est pas du ressort d’un sociopathe de décider combien d’entre nous vivent sur la planète, combien de temps nous vivons, et qui doit être libre.

Nous allons gagner. La seule variable est le nombre de morts. J’espère que nous pourrons l’atténuer en accélérant l’éveil des consciences. Et nous nous rapprochons de ce seuil, où l’éveil va s’autoentretenir. Nous devons simplement continuer à pousser dans la bonne direction.

Je ne sais pas si je survivrai pour le voir. Mais ce qui est important, ce n’est pas un individu en particulier. Ce qui compte, c’est la capacité de l’âme humaine à s’épanouir et à atteindre son plein potentiel, sans que des forces maléfiques et tyranniques essaient de l’asservir.

C’est une colline sur laquelle il vaut la peine de mourir. Je vois le carnage et je vois la misère, mais j’ai le sentiment, personnellement, que je suis dans le juste — je fais ce pour quoi il semble que j’ai été créé.

Ce n’est qu’un sentiment interne. Je ne peux pas le prouver, mais j’ai l’impression qu’aider les gens à redécouvrir leur valeur humaine, lutter contre la déshumanisation et encourager les gens à se battre pour leur propre souveraineté et leur propre liberté, c’est la bonne chose à faire.

Retrouvez toute la série sur :

La lettre de Senta : sentadepuydt.substack.com

Sur le site www.plusjamais.eu

Crowdbunker : @Plusjamais






Pourquoi des sociétés dites savantes accusent-elles à nouveau le Pr Raoult d’avoir traité ses malades et guéri la grande majorité d’entre eux ?

Par le Dr Gérard Delépine

Lors d’une tribune dans le Monde, une quinzaine de sociétés autoproclamées savantes (sur 4000 en France environ) attaquent une nouvelle fois le Professeur Didier Raoult pour l’usage de la chloroquine dans le Covid — alors que l’épidémie est terminée, affirmation y compris par l’OMS — . Elles ne regardent toujours pas les résultats avérés et publiés de longue date, de ce traitement précoce dans les pays qui l’ont adopté et « oublient » de mentionner leurs liens d’intérêts avec les firmes pharmaceutiques. Elles continuent à piétiner le serment d’Hippocrate en niant le devoir du médecin qui est de soigner.

Elles prétendent qu’il aurait pratiqué « le plus grand essai thérapeutique sauvage connu à ce jour », critiquant en particulier l’usage de la chloroquine « malgré la démonstration formelle de son inefficacité » et qu’il aurait ainsi « nuit aux malades et à la réputation de la recherche française ». Est-ce l’ignorance, la bêtise, la corruption et/ou la crainte de poursuites judiciaires, devant la mise à jour des effets indésirables et parfois mortels des injections qu’ils ont imposées par la manipulation sous prétexte d’absence de traitement, qui motivent leur démarche ?

Le but de cet article est de rappeler les résultats du traitement Raoult dans le monde réel, de préciser ce qu’est un essai thérapeutique, de souligner que le devoir du médecin est de traiter les malades et que le comportement récurrent de ces sociétés, vraisemblablement dicté par leurs liens d’intérêts et la peur qui monte devant l’évidence de la maltraitance par refus de soin et persuasion de la nécessité de l’injection, a gravement porté atteinte à la confiance des Français envers les médecins et la science.

En 2023, nier l’efficacité du protocole Raoult est antiscientifique

La science progresse par le doute fertile. Lorsque des faits avérés démentent une théorie scientifique du moment, celle-ci doit être abandonnée. Une société qui se prétend scientifique ne peut pas méconnaître les résultats avérés dans le monde réel. C’est pourtant ce qu’accrédite encore la croyance aveugle exprimée sans modération des signataires de la tribune du Monde en « l’inefficacité du traitement Raoult ». Ils paraissent ne pas avoir pris connaissance des données publiées par l’OMS mises en graphique par l’Université John Hopkins que nous leur rappelons ici (et publiées de longue date), ni de l’expérience clinique de nombreux de leurs confrères cliniciens dans le monde.

Trois pays (Algérie, Côte d’Ivoire, Sénégal) ont officiellement utilisé ce protocole de soins. Dans ces pays l’épidémie n’a touché qu’une fraction infime de leurs populations (100 à 200 fois moins qu’en France !).

De même, malgré la faiblesse de leur système de soins, leur manque de médecins et de médicaments, leur mortalité Covid par million d’habitants est 15 à 84 fois inférieure à celle de la France.

La plus faible proportion de personnes de plus de 60 ans des populations des pays subsahariens explique une partie de leurs meilleurs pronostics, mais, après correction des variations démographiques, la mortalité constatée de ces pays adeptes du traitement précoce du Pr Raoult reste 15 fois moindre que celle de la France. Proportion que confirme d’ailleurs l’Algérie où le pourcentage de plus de 65 ans est comparable à celui de la France, mais avec seulement 153 décès covid par million d’habitants contre 2530 en France.

Ces données officielles de l’OMS confirment donc totalement l’étude rétrospective des 30 000 dossiers médicaux de l’IHU de Marseille.

Comment des sociétés qui se prétendent savantes peuvent-elles ignorer ces chiffres de l’OMS tant sur les contaminations que sur la mortalité par million d’habitants ? Comment peuvent-elles nier ce qu’a affirmé dès le 30 mai 2020 Abderrahmane Benbouzid, ministre algérien de la Santé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités » ?

Lorsqu’on considère les mortalités covid dans nos deux pays, on est horrifié et scandalisé par le sort imposé en France aux personnes âgées : privées de traitement précoce, séparées de leurs familles puis pour certaines assassinées au Rivotril.

En mai 2020, certains membres de ces sociétés pouvaient à la rigueur, être trompés par l’article frauduleux du Lancet Gate ou par des études biaisées qui inondaient les médias, mais 3 ans plus tard les données officielles publiées par de nombreuses agences sanitaires et par l’OMS ne permettent plus de nier l’efficacité spectaculaire du traitement précoce du PR Raoult.

Il faut être ignorant, aveugle ou de mauvaise foi pour continuer à le prétendre comme ils le font.

Ce que rapporte le professeur Raoult n’est pas un essai thérapeutique.

Un essai thérapeutique a pour but d’affirmer l’efficacité ou la supériorité d’un traitement. Pour être démonstratif, il doit comparer de manière prospective un groupe de malades traités à un groupe sans traitement actif (ne recevant qu’un placebo = groupe témoin). Pour s’assurer de l’absence de différence de facteurs pronostiques entre ces groupes, la répartition des malades doit être décidée par tirage au sort (= randomisation) ; pour éviter que le jugement des examinateurs soit perturbé par leurs préjugés, les critères retenus (end point) doivent être aussi objectifs que possible et évalués à l’aveugle (sans que les examinateurs ne sachent à quel groupe appartient le cas évalué).

Aucun de ces critères n’existe dans le rapport du Pr Raoult ; il ne s’agit pas d’une étude prospective, il n’y a pas d’élaboration et de suivi d’un groupe témoin, pas de tirage au sort, ni de jugement à l’aveugle, mais seulement l’analyse des résultats d’un protocole de soins comme doit le faire tout médecin rigoureux qui surveille ses malades.

Comment les signataires de ces sociétés savantes peuvent-ils ignorer ce qu’est un essai thérapeutique ?

Et que penser de la déclaration de Sylvie Retailleau, ministre de la Recherche, menaçant de « toutes les mesures nécessaires envers l’ensemble des signataires » de l’étude, évoquant « une provocation » avec des malades « traités en dehors de tout cadre d’expérimentation clinique et d’utilisation des médicaments, puisqu’utilisés hors autorisation de mise sur le marché » ? Ignore-t-elle que les prescriptions hors AMM sont légales et courantes en particulier en pédiatrie, ainsi que l’a rappelé l’OMS en 2020 ? Jérôme Salomon, l’ancien directeur général de la Santé avait d’ailleurs rappelé que la prescription de l’hydroxychloroquine était autorisée hors AMM.

L’éthique médicale interdisait au Pr Raoult de faire un essai sur le covid

Le devoir premier d’un médecin consiste à soigner ses malades au mieux de ses connaissances scientifiques et de son expérience. Lorsqu’il est persuadé de l’efficacité d’un traitement, il doit l’administrer à ses malades sans les inclure dans un essai qui priverait la moitié de ses malades du traitement efficace. Si ce traitement n’a pas encore été validé, il doit les surveiller de près ce qui a été fait par l’équipe de l’IUT de Marseille..

Seuls des médecins qui doutent d’un traitement peuvent éthiquement organiser un essai pour l’évaluer. Mais s’ils veulent le réaliser honnêtement ils doivent respecter scrupuleusement les indications (traitement précoce) et les doses utilisées par son promoteur ce qui n’a pas été fait dans les études des organismes officiels. Ils ont inclus des malades trop tard (afin de nier l’efficacité du traitement ?) et parfois administré des doses beaucoup trop fortes (pour faire apparaître une toxicité ?).

Et pourquoi ces sociétés n’ont-elles pas dénoncé l’absence d’essai rigoureux, le caractère dangereux et/ou l’inefficacité du Remdesevir, du Paxlovid, du Molnupiravir ou des pseudo vaccins covid ?

Ce n’est pas le Pr Raoult, mais certains membres de ces sociétés (les plus liés à Big Pharma) qui ont trahi la science par leurs mensonges permanents sur les plateaux télé et dans les médias et qui sont responsables de la perte de confiance de la population en celle-ci.

Mais pourquoi tant de mensonges et de haine ?

On ne peut pas imaginer que les signataires de la tribune du Monde ignorent ces faits établis. On doit donc s’interroger sur leurs motivations pour raviver une polémique qui ne peut à terme que les desservir.

Essayent-ils de faire oublier qu’ils ont été responsables de la promotion de médicaments inefficaces, parfois dangereux et toujours très coûteux et les propagandistes des pseudo vaccins inefficaces et parfois mortifères en particulier chez les enfants qui n’en avaient absolument pas besoin ?

La publication des résultats obtenus par l’IHU expose cruellement le scandale sanitaire qu’a constitué l’abandon des patients et l’interdiction faite aux médecins de les traiter que ces signataires ont contribué à orchestrer.


https://www.r7media.fr/2023/06/lettre-ouverte-pour-defendre-le.html

Lettre ouverte pour défendre le professeur Didier Raoult




Sortir la France du Nouvel Ordre Mondial

[Source : profession-gendarme.com]

Par Virginie Dornier

Dossier de présentation

[Illustration : Land Art « LIBERTE » — Franck Bonneau — Land Art & Co]

Ce Dossier est la présentation de l’ensemble du travail d’enquête réparti sur 7 Tomes où chacun d’entre eux vise à mettre en lumière la gouvernance de la franc-maçonnerie exercée insidieusement par l’ensemble des présidents de la Ve République (Constitution, Lois, symboles nationaux…). Il donne également diverses représentations anatomiques du cartel du Nouvel Ordre Mondial en se basant sur de nombreuses déclinaisons allant des mythes les plus connus à des organismes biologiques et parasitaires tels que le Mérule ou le Blob. Ce dernier, dont les diverses recherches scientifiques, l’engouement médiatique qui en fait la promotion notamment auprès du jeune public (vente libre) couplé avec les différentes données liées aux conséquences des injections nous interpellent.

[Note de Joseph : on connaît d’autant mieux un individu que l’on plonge dans son univers. Celui des élites mondialistes est largement imprégné d’occultisme et d’ésotérisme (kabbale, hermétisme, gnose, alchimie, astrologie, cartomancie, géomancie, divination, numérologie, symbolisme, sorcellerie, thaumaturgie, etc.]

Article 2

Version en vigueur depuis le 05 août 1995
Modifié par Loi constitutionnelle n° 95-880 du 4 août 1995 — art. 8

La langue de la République est le français.
L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.
L’hymne national est la « Marseillaise ».
La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple

Il est certains esprits dont les sombres pensées
Sont d’un nuage épais toujours embarrassées ;
Avant donc que d’écrire apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Surtout, qu’en vos écrits la langue révérée
Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
En vain vous me frappez d’un son mélodieux,
Si le terme est impropre, ou le tour vicieux ;
Mon esprit n’admet pour un pompeux barbarisme,
Ni d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme.
Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin
Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain.
Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
Et ne vous piquez point d’une folle vitesse ;
Un style si rapide, et qui court en rimant,
Marque moins trop d’esprit, que peu de jugement.
J’aime mieux un ruisseau qui sur la molle arène
Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
Qu’un torrent débordé qui, d’un cours orageux,
Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent,
Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent.
Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ;
Que le début, la fin répondent au milieu
Que d’un art délicat les pièces assorties
N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ;
Que jamais du sujet le discours s’écartant
N’aille chercher trop loin quelque mot éclatant.
Craignez-vous pour vos vers la censure publique ?
Soyez-vous à vous-même un sévère critique.
L’ignorance toujours est prête à s’admirer.
Faites-vous des amis prompts à vous censurer ;
Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères,
Et de tous vos défauts les zélés adversaires.
Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ;
Mais sachez de l’ami discerner le flatteur :
Tel vous semble applaudir, qui vous raille et vous joue.
Aimez qu’on vous conseille et non pas qu’on vous loue.
Un flatteur aussitôt cherche à se récrier :
Chaque vers qu’il entend le fait extasier.
Tout est charmant, divin : aucun mot ne le blesse ;
Il trépigne de joie, il pleure de tendresse ;
Il vous comble partout d’éloges fastueux : impétueux.
La vérité n’a point cet air
Un sage ami, toujours rigoureux, inflexible,
Sur vos fautes jamais ne vous laisse paisible :
Il ne pardonne point les endroits négligés,
Il renvoie en leur lieu les vers mal arrangés,
Il réprime des mots l’ambitieuse emphase ;
Ici le sens le choque, et plus loin c’est la phrase.
Votre construction semble un peu s’obscurcir ;
Ce terme est équivoque, il le faut éclaircir.
C’est ainsi que vous parle un ami véritable.

Boileau, Art poétique, Chant I, v. 147-207

SOMMAIRE

  • NOTE AUX LECTEURS
  • REMERCIEMENTS
  • AVERTISSEMENT AUX DÉTRACTEURS
  • GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

    • AVANT-PROPOS
    • COMMENT S’ARTICULE LE DOSSIER

      • Dossier de Présentation
      • Dossier 1
      • Dossier 2
      • Dossier 3
      • Dossier 4
      • Dossier 5
      • Dossier 6
      • Dossier 7
      • Dossier « annexes »

    • Les références
    • Bibliographie

  • MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

    • INTRODUCTION
    • QUELQUES REPÈRES
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL, LEUR ATTRAIT POUR LA NUMÉROLOGIE
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LEURS DIFFÉRENTES RÉFÉRENCES

  • L’ANATOMIE DU N.OM : DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE (VISION

    • INTERNATIONALE)
    • LE N.OM : LÉVIATHAN OU BÊTE DE L’APOCALYPSE
    • LE N.OM : UN SYSTÈME « FLUIDE »
    • LE N.OM : MONSTRE À 7 TÊTES

      • a) Les 7 Merveilles du Monde du N.OM
      • b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne

    • LE N.OM : MONSTRE À 10 CORNES

      • a) Les 10 empires économiques mondiaux
      • b) Les 10 secteurs économiques mondiaux
      • c) Les diadèmes ou couronnes

    • CONCLUSION

  • SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VE RÉPUBLIQUE)

    • INTRODUCTION

      • a) La boîte de Pandore
      • b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne
      • c) La prostituée biblique : la France sur le trottoir depuis 1958

  • LE NOM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

    • QUELQUES INFORMATIONS SUR LA SERPULA LACRYMANS OU MÉRULES

      • a) Phase 1 : « infestation exogène »
      • b) Phase 2 : « cycle de réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule
      • c) Phase3 : Expansion du NOM selon exogène du NO.OM selon le principe de la Mérule

    • LE BLOB

      • a) Sommaire du Vikidia
      • b) Définition
      • c) Reproduction et cycle de vie
      • d) Sommaire du Vikidia

    • CONCLUSION
    • SYNTHÈSE

Note aux lecteurs

Vous venez de recevoir « Les dossiers » en version papier, par clé USB ou en dématérialisée. Avant toute chose, il est important de vous en expliquer la Genèse et son articulation puisque nous avons choisi de ne pas traiter le sujet crise sanitaire et le mandat actuel directement.

Pour bien comprendre la démarche, il faut expliquer qui nous sommes, pourquoi nous avons mis du temps à rédiger nos dossiers qui n’ont absolument rien à voir avec ce que nous avions envisagé initialement.

Nous sommes deux anciens salariés de l’industrie pharmaceutique. Me concernant, j’ai travaillé 17 ans dans le secteur du médicament. J’ai eu la chance de commencer ma carrière — avant l’an 2000, détail important — comme administrative au siège de ce qui était le premier groupe français de prestation de services. « Etait », puisque le consortium a fait les frais du système mondialiste et a littéralement « servi d’exemple » à l’ensemble des prestataires du secteur. Justement au moment où en coulisses les pouvoirs publics, les laboratoires, mais surtout le système dit globaliste et mondialiste mettaient en place l’ensemble des paramètres pour nous amener à la situation sanitaire et accessoirement politique actuelle. Tout ce qui est relatif au secteur de la Santé est traité dans le dossier conjoint.

Sur les conseils de ma hiérarchie et de mon mari, j’ai obtenu le Diplôme Universitaire de Visiteur Médical après un passage à la faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry. J’ai poursuivi ma carrière tant que déléguée médicale ville, d’abord prestataire multi produits (c’est-à-dire que dans mon portefeuille produits pour le compte de plusieurs laboratoires) puis j’ai fini par être intégrée dans un laboratoire français. Ce qui m’a valu une fin de carrière brutale et compliquée puisque j’ai directement fait les frais de la franc-maçonnerie. Je n’en dirai pas plus, à une exception près : mon expérience m’aidera tout au long de mon enquête. J’ai également une certification propre aux métiers de la recherche clinique qui m’aurait permis d’exercer le métier d’attachée de recherche clinique.

Bien que sortie du circuit depuis 2011, j’ai toujours gardé un œil sur le secteur. Partagée entre l’envie de « reprendre la sacoche » et la route pour exercer mon métier, tel que ma première entreprise le véhiculait (avec éthique et déontologie), et la défiance à l’encontre d’un milieu en totale mutation spécifiquement depuis les années 2000. Finalement, je n’ai pas réintégré l’industrie pharmaceutique, pour diverses raisons. Cependant j’ai toujours maintenu un intérêt certain pour ce secteur en continuant à me tenir informée et parfois même en envisageant un retour sur le terrain.

Depuis mars 2020, je n’ai jamais autant renoué avec la pharmacie ; mais pour la dénoncer. Quant à mon mari, il est de nous deux le plus expérimenté, et de très loin un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée.

Ce que je peux en dire d’un point de vue professionnel : 30 ans d’expérience en santé, trois ans d’études en médecine puis la rencontre avec l’industrie pharmaceutique. Une carrière exclusivement dédiée à l’information médicale. Ancien cadre sénior terrain pour un block Buster de l’industrie. Un homme pour qui l’éthique, la déontologie, la médecine faisaient sens. Un professionnel respecté par nos homologues et en qui les prescripteurs généralistes et spécialistes plaçaient leur confiance puisqu’il « parlait le même langage » : le patient avant tout.

Un homme qui a su se remettre en question et quitter le secteur du médicament pour le matériel médical et a eu le courage de faire valoir son droit de retrait dans son entreprise en refusant de se plier au dictat de l’état (pass et injection). Alerter sa hiérarchie en interne lui a valu la perte de son emploi. Il est de nous deux le plus expérimenté, un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée. Aucun regret, assurément.

Nous avons décidé de dédier nos compétences, nos connaissances du secteur de l’industrie pharmaceutique « de l’intérieur » et une bonne partie de notre temps pour dénoncer l’infamie que nous subissons sans exception.

Pour ma part, cela fait bientôt 24 mois. Étant désormais thérapeute en auto entreprise, autant dire que j’ai totalement remisé mon activité, y compris les emplois d’appoint que j’ai exercé le temps de remplir mon agenda.

L’ironie est bien entendu que les ¾ de nos proches sont parmi les plus radicaux. Masques, gel hydroalcoolique, poly injectés et injecteurs. Dialogue impossible, même — voir surtout — chez les soignants en exercice ou retraités qui ont perdu pied qu’ils soient de notre famille, ou d’anciens prescripteurs avec lesquels nous avons travaillé et qui pour certains étaient devenus nos amis.

Forts de ce constat, nous avons alors décidé d’enquêter et d’alerter avec une approche différente. Je me suis centrée sur ma commune et mon département. Recueillant les données de la préfecture, de l’ARS, communiquant sur les réseaux sociaux et surtout en allant directement confronter les représentants de l’état, en l’occurrence la mairie.

J’ai fini par porter plainte de façon nominative contre la maire de ma commune et certains adjoints ainsi que la police municipale. Plainte enregistrée et validée en trois semaines par le tribunal d’instance puisque mes arguments sont factuels.et locaux. Ayant déjà eu recours à la justice lorsque j’ai porté plainte contre mon dernier employeur, et compte tenu des éléments que j’ai mis à disposition du juge, c’est donc en qualité de Lanceuse d’alerte conformément à la Loi n° 2016-1691 du 09/12/2016 dite Sapin 2 ainsi que la Directive (EU) 2019/1937 du Parlement Européen et du Conseil du 23/10/2019 ma plainte a été enregistrée et que cela est mentionné dans le cadre des auditions avec la gendarmerie. Je vous donnerai plus de détails dans une partie du dossier.

Mais ce qui nous a motivés à enquêter et est à l’origine de cette compilation d’éléments à charge, ce sont les enfants. Et plus particulièrement le fait qu’il y ait eu une translation de nos compétences professionnelles dans le milieu scolaire. Translation non seulement de nos compétences auprès d’un public mineur qui deviennent des prospecteurs auprès de

leur famille et entourage, mais également incitation à l’exercice de la formation médicale qui est destinée aux adultes enseignants et encadrants. La formation médicale étant du ressort de professionnels laboratoires (médecins ou pharmaciens par exemple) qui forment les équipes terrain. Le tout validé par l’ensemble des acteurs concernés : ministères, les entreprises du médicament (LEEM) qui auraient dû réagir et empêcher cela.

Ce fut le point de non-retour pour nous, et nous sommes partis en quête d’informations complémentaires à toutes celles déjà conséquentes réunies par l’ensemble des alerteurs, connus ou non. Professionnels de la santé ou non, avec une audience ou non.

Notre unique volonté, apporter une nouvelle approche, un autre « angle d’attaque » qui permettra de créer des passerelles entre toutes les informations déjà partagées.

Remerciements

Je remercie chaleureusement les personnes qui nous ont soutenus. Franck Bonneau, qui nous a généreusement autorisés à utiliser l’une de ses créations pour illustrer les dossiers. Un grand merci à Mariannick et son fils Frédéric qui font partie de notre famille depuis 9 ans désormais ainsi qu’à ma belle-mère qui a toujours cru en nous. Merci à Lucie, Marie-Lou, Laurent, Sissi et tant d’autres qui nous ont encouragés pendant des semaines qui se sont transformées en mois.

Je remercie également, et vous comprendrez pourquoi dans la partie « Reine Blanche de l’échiquier », les gendarmes de ma commune ainsi que le Juge du Tribunal d’Instance qui a validé ma plainte à l’encontre de l’équipe municipale et la police municipale.

Nous remercions et saluons grandement l’ensemble des alerteurs qui ont su créer un élan de Résistance. Par leur engagement, leur ingéniosité, leur générosité, ces hommes et ces femmes nous ont maintenus hors de l’eau et continuent de le faire. Ils ont fait un travail colossal qui vous a apporté les éléments factuels sur la situation actuelle. J’ai eu le privilège d’échanger avec certains d’entre eux, et je salue leur courage, car pour ma part je n’aurai jamais pu. Je pense notamment à toutes les chaînes résistantes.

À titre personnel, je remercie — contre attente — toutes les personnes de mon entourage (famille, amis, collègues) qui à l’inverse nous auront tournés le dos parfois de façon extrêmement violente, tant dans les mots que dans les actes. Ainsi « dégagée » de tout affect, j’ai pu me concentrer exclusivement à l’enquête et la rédaction de ce dossier, puisque je le rappelle ici les ¾ de nos proches suivent la narrative et sont poly injectés. C’est là que « majeurs et vaccinés » prend hélas tout son sens… Nous sommes parents.

Enfin, j’ai une pensée particulière pour le Professeur Luc Montagnier et tous ceux qui nous ont quittés parfois prématurément (y compris parmi nos collègues à l’international).

Avertissement aux détracteurs

Dans ces travaux je vais aborder des sujets tabous, notamment la religion au sens large et pas seulement. Si d’aventure quelques « esprits » mal tournés avaient pour velléité de nous accoler des étiquettes telles que : racistes, antisémites, antimusulmans, antichrétiens, antihomo ou tout autre non-arguments, je préfère les prévenir :

• Pour les esprits mal tournés qui imagineraient que les trois hexagones qui ponctuent l’ensemble des dossiers soient en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique et que par conséquent je serai une opposante contrôlée : j’ai simplement choisi l’hexagone pour rappeler la forme de la France. Il ne s’agit en aucun cas d’une référence de près ou de loin avec les « 3 points » maçonniques avec lesquels j’ai eu maille à partir.

• « Racisme » : non recevable. Notre famille est Black-Blanc-Beur (Noirs, Blancs, métis, quarterons).

• « Antireligieux (juifs, chrétiens, musulmans…) » : non recevable. Notre famille est pluricultuelle : juifs, catholiques, musulmans, témoins de Jéhova, Bouddhistes, Athées… Et la plupart de nos amis médecins sont juifs. L’antisémitisme est non compatible avec le métier que nous exercions et les secteurs que nous prospections. CQFD. En revanche, toutes les informations liées aux religions sont argumentées et illustrées.

• « Homophobes ou apparentés » : non recevable, toujours pour les mêmes raisons.

• « Anti médecin/pharmacien » : non recevable pour toujours les mêmes raisons. Premièrement, des « blouses blanches » dans notre famille il y en a… beaucoup (en activité ou retraités) des aides-soignants aux médecins spécialistes. Deuxièmement, ni mon mari ni moi ne « crachons dans la soupe ». Nous défendons la pratique de la médecine et la pharmacie propre contre le système mérulaire.

Dans notre famille, jamais une croyance religieuse, la couleur de peau, ni même les « couleurs » politiques ou le statut social n’ont été des problèmes. Et si toutefois nous sommes en désaccord avec certains proches (famille, amis, ex-collègues) ce n’est pas pour ces « non arguments », mais bel et bien pour et à cause de « la crise sanitaire » qui aura emporté dans une psychose généralisée certains proches.

Quoi que me concernant, je le reconnais, être praticienne en hypnose et médium de surcroît, et ne pas avoir réintégré l’industrie pharmaceutique ou un schéma professionnel normatif en a dérangé quelques-uns parmi ces mêmes proches aujourd’hui poly injectés. Ajoutez à cela le fait qu’avec Jean-Pierre, mon binôme de mari, nous soyons Lanceurs d’alerte… C’est leur problème, pas le nôtre.

La vérité est non négociable. L’incorruptibilité aussi. Nous avons été formés au respect de l’éthique et de la déontologie, nous entendons bien continuer ainsi. Notre seul objectif : que nos travaux, nous le souhaitons de tout cœur, apportent des points d’appui pour les professionnels du droit, des gardiens de la paix, des enseignants, des professionnels de la Santé, des politiques non corrompus et à vous tous… y compris ceux qui sont encore dans le déni.

GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

Avant-propos

Ce dossier dans son ensemble a pour but d’apporter un autre regard sur la situation que nous subissons. Il est le fruit de nombreuses recherches et enquêtes transversales puisqu’il n’aborde pas directement la crise sanitaire ni même le quinquennat qui s’achève.

L’objectif était de trouver des arguments et des « faisceaux d’indices » mettant en lumière l’orchestration de l’ensemble des acteurs et spécifiquement ceux de la Ve République pour dilapider la France et créer un terreau propice à la mise en place d’une gouvernance mondiale scientiste. Débusquer des informations complémentaires qui pourraient aider non seulement les personnes conscientes de la prise de pouvoir tyrannique, mais aussi, et peut être même surtout les personnes qui refusent tout dialogue concernant l’actualité.

L’élaboration du dossier n’a pas été chose facile dans le sens où nous avons dû à maintes reprises en repenser le fond et surtout la forme. Il fallait trouver une articulation logique pour ordonner l’ensemble des informations que nous avons recueillies et, autant faire se peut, aborder les événements actuels d’une manière différente et cohérente.

À mesure que nos recherches progressaient, il a fallu nous adapter d’autant plus que sont abordés des sujets peu connus, voir totalement abstraits pour nombre de personnes et même tabous. Considérez chaque partie qui constitue l’ensemble de nos travaux comme des pièces d’un puzzle. Affirmer que la franc-maçonnerie et apparentés sont les réels dirigeants de la France est une chose. Trouver les faisceaux d’indices pour le démontrer en est une autre. Toutes nos investigations n’ont visé qu’à démontrer cela et pour ce faire, rien de mieux que de partir de leurs croyances, symbolisme et culte.

Comment s’articule le Dossier ?

Il s’agit d’un Dossier « à tiroirs ». D’un côté, vous avez le fruit des enquêtes menées par mon mari : « Santé Publique, Bien commun, nanomédecine ; La servitude érigée en raison d’état ». Son travail est exclusivement basé sur la Santé. Il a exhumé des Avis, des textes, des lois, une chronologie et mis en lumière l’ensemble du système mafieux où Politique et laboratoires pharmaceutiques œuvrent de concert pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Si l’approche plus vaste mettant en évidence les pratiques occultes de la franc-maçonnerie et autres sociétés hermétiques, rites sacrificiels politiques ne vous est pas familière, je vous encourage vivement à commencer par cet opus.

De mon côté, je me suis concentrée sur le système parasitaire de type Serpula Lacrymans — ou mérule — pour cerner initialement « l’Organisation » et l’orchestration de la crise sanitaire. La plus grande difficulté a été de trouver un titre pour le dossier. Nous l’avions intitulé ce « Projet FFMOS » pour Fédération Française Métropolitaine et Outremer Souveraine. Somme toute, nous n’étions pas convaincus et surtout nous ne voulions pas être confondus avec d’autres mouvements plus politisés alors que notre objectif est tout sauf de cet ordre.

Et puis, au fil de nos enquêtes, ce qui est ressorti c’est la perte ou plutôt le vol et l’inversion de valeurs communes à tous et toutes quel que soit l’époque où le lieu de vie. Depuis nos plus lointains ancêtres jusqu’à notre époque et pour les siècles à venir sur tous les continents. Des valeurs qui devraient être non négociables que sont la Dignité, l’Équité, l’Universalité et la Solidarité. Il s’avère que l’acronyme donne DéUS.

Après, FFMOS « trop politisé » et DéUS « trop religieux », ou « sortir de la matrice » trop filmographie ; j’ai opté pour les valeurs. Après tout, le camp d’en face utilise et nous fait utiliser à mauvais escient les mots Liberté, Égalité, Fraternité ; nous faisant croire en des principes et valeurs humainement recevables alors qu’il n’en est rien.

Je ne pensais pas que ce dossier serait aussi vaste et conséquent. À maintes reprises j’ai dû en modifier son « squelette », pour finalement aboutir à la version finale. Notez que, vous aurez beaucoup de sujets divers voir de prime abord « non congruents ». J’ai dû chercher un maximum de faits, de faisceaux d’indices qui attestent de la mainmise des sociétés occultes sur notre pays depuis des décennies et même des siècles.

Mon approche est donc pluridisciplinaire. Je m’appuie avant toute chose sur « leurs croyances, leurs rites » en cherchant des preuves matérielles qui attestent de la véracité de l’enquête. C’est triste à admettre, mais nous sommes immergés dans un système occulte. L’affirmer est une chose, le démontrer c’est indispensable, je le répète, mais c’est indispensable. C’est la raison pour laquelle j’ai tenu à apporter un maximum d’illustrations (schémas, photos, dates, références politiques, historiques, religieuses et évidemment des éléments scientifiques puisque nous avons par recoupement défini une chronologie pour les années à venir).

Ont été traduit et décrypté un nombre conséquent de textes : des passages de la Bible, des discours et allocutions de politiques, des peintures maçonniques et autres symboles. J’ai dû également étudier de près certaines lois (loi 1901 et loi 1905) et bien sûr notre Constitution. Mais pas que.

Ce dossier a pour vocation de vous démontrer que c’est l’ensemble des politiques de la Ve République qui est à dénoncer ; pas uniquement « cette présidence ». Si des plus anciens il ne reste plus grand monde, nous avons encore suffisamment d’acteurs majeurs en exercice ou sortis du circuit pour les traduire en justice. En réalité, vous le constaterez c’est bien plus vaste, cependant il me fallait faire des choix.

Ne soyez pas étonnés si je n’aborde que très peu le Sarscov2 ou la « crise sanitaire ». Mon enquête étant axée sur ce qui a mené notre situation actuelle, je ne traite de ce sujet — y compris le gouvernement actuel — que sur la base d’un système plus vaste.

Ne soyez pas non plus offusqués si je dénonce l’ensemble des religions en m’appuyant sur des comparaisons factuelles comme notamment « le Nouvel Ordre du Monde » de la Genèse versus le « Nouvel Ordre Mondial » actuel puisqu’en réalité les élites n’en sont pas à leur premier coup d’essai.

Tout étant intriqué, la difficulté a été pour moi de donner une couleur, un thème spécifique à chaque partie du dossier, le challenge étant d’aborder le modus operandi des sociétés hermétiques en restant centrée sur le factuel, le démontrable et ainsi éviter de ne définir que l’aspect rituel, l’occultisme qui pour nombre de personnes s’apparente à des fantasmes.

Ainsi, chaque chapitre — devenu dossier à part entière — aborde un sujet particulier. Ils sont autonomes et peuvent se lire indépendamment. Cependant, il existe une certaine logique dans l’organisation et la mise en place des informations. Logique résumée en pages suivantes.

Dossier de présentation :

Celui que vous avez entre les mains vous donne la physionomie, l’anatomie du « Nouvel Ordre Mondial 2 .0 ». Il ne s’agit pas ici de reprendre les études faites et partagées par des experts, mais de vous présenter les mondialistes sous un prisme différent.

Si historiquement, il est coutumier de les comparer à une pieuvre, je me suis vite rendu compte que cela n’était pas exactement le reflet de la réalité. Trop restrictif. Et surtout, la « base 8 » n’est pas suffisamment et directement présente pour être significative et le reflet de la réalité. Néanmoins, cette base 8 existe et est non négligeable (les octets en informatique en sont un exemple) et vous verrez dans le déroulé du dossier ce qui se cache derrière ce chiffre « concrètement ».

J’ai donc été amenée à rapprocher le système mondialiste d’organismes vivants bien différents d’octopussy. Une fois que l’on connaît le système parasitaire comparable, il est plus facile ensuite d’aborder son mécanisme d’action.

Parallèlement, conformément au fil rouge décrit précédemment, je me suis penchée sur des analogies plus mythiques, voir mystiques et religieux et qui reprennent les rituels et le culte commun à l’ensemble des mondialistes.

Dossier 1 :

Aborde le système parasitaire ou mérulaire franco-français. Pour ce faire, j’ai défini les contours historiques et politiques en axant sur le système félon et spécifiquement en montrant le mécanisme « unicellulaire » de la Ve République. Dans ce dossier je tire des liens entre le rôle de chaque président de notre République actuelle, et chaque phase du mérule.

Mais, j’y développe également des similitudes avec un passage biblique : l’Apocalypse de Jean, non pas de façon théologique, mais clairement géopolitique. C’est troublant et pertinent. L’ensemble des gouvernements qui se sont succédé depuis Pompidou jusqu’à nos jours sera remis en exergue afin de commencer à démontrer « le système mondialiste » et la préparation minutieuse de l’ensemble des présidences pour démanteler notre pays.

Dossier 2 :

Une fois le cycle du mérule intégré, j’ai pris le pli de placer la chronologie des événements marquants en France et à l’international selon un principe de comptage des mondialistes (francs-maçons et apparentés). Il s’agit d’un découpage en 7 ans. Ces 7 années étant elles-mêmes scindées en 2 phases. Ce dossier est répétitif dans la présentation, puisque je le débute le 1er janvier 2000 jusqu’au 31 décembre 2021. Cependant, il a le mérite de rafraîchir la mémoire et de m’avoir permis d’y incorporer des informations « à charge », toujours en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique : des liens avec les attentats en France et à l’étranger, les implications réelles des politiques français dans les actes terroristes notamment l’intrication avec le Mali bien d’autres informations somme toutes que nous avons choisi pour mettre en avant les rites maçonniques couverts par des événements officiels tels que des inaugurations ; mais qui sont en réalité des actes cultuels et des mystifications à la vue de tous.

Dossier 3 :

Dans la continuité des dossiers précédents, sont amenés des éléments et informations complémentaires qui devraient donner des sueurs froides aux mondialistes français « tout corps d’état ». Parmi les éléments, par exemple, je vous donne des informations qui attestent du fait que le Consortium République Française a été cédé à l’OMS en mars 2020 et est devenue un Dominion de l’Organisation Mondiale de la Santé. Que le VRP première classe n’est nul autre que Jean Yves le Drian qui en échange de ses bons et loyaux services à obtenu le fief Bretagne. Mais aussi que la gestion de la crise sanitaire a été calquée sur le « Plan France Ebola » commandé par Emmanuel Walls à Jean-François Delfraissy en 2014, alors qu’il existe un autre plan d’action visant à prendre en charge des épidémies de type coronavirus ou d’autres catastrophes sorti la même année. D’autres informations « à charge » sont présentes dans ce dossier, comme le rôle des « immortels », à savoir l’Académie de la Morale et de la Politique et bien d’autres choses encore. Je mettrai en lumière ces autres « acteurs » — bien discrets — qui ont largement contribués à la mise en place d’un régime autoritaire de type Dominat Romain, cette Académie de la morale et de la politique » qui a travaillé durant l’année 2020, à la demande d’Emmanuel Macron, sur un seul thème : « le pouvoir ». Enfin je vous donnerai également des pistes pour identifier, trouver et apporter des éléments à charges.

Il s’agit ici de la partie la plus chronologique quant à la mise en place de la politique d’Emmanuel Macron, version coulisses. Celle qui devrait donner des pistes de recherches complémentaires pour les professionnels du droit, mais aussi les acteurs politiques qui s’opposent au « gouvernement de façade » actuel et à toutes personnes qui ont besoin d’arguments tangibles pour démontrer l’orchestration des décisions.

Je vous donnerai et partagerai également d’autres informations concrètes et retours d’expériences sur le terrain comme, par exemple, le fait que ma plainte auprès du tribunal d’instance n’ait pas été déboutée.

Dossier 4 :

Il traite de l’un des idéaux maçonniques : la ruche et le système pyramidal qui en découle et réciproquement. Dans ce dossier je vous apporte des éléments de compréhension sur le principe de l’Eusocialité (mode sociétal des insectes de type hyménoptère comme les abeilles, les fourmis et a fortiori les « guêpes maçonnes »). Pour mener à bien cette partie, j’ai dû remonter plus loin dans notre Histoire, au siècle des Lumières, puis revenir à notre actualité et le modelage social ou sociétal auquel depuis des siècles les francs-maçons se sont attelés pour préparer le Nouvel Ordre Mondial.

Dossier 5 :

En écho aux propos tenus par Emmanuel Macron, ce dossier ou chapitre aborde le Système Jupitérien. Cette partie est complexe. Y sont abordées des informations mythologiques et mythiques, historiques, et politiques (entre autres). Et vous verrez que la Loi 1905 de séparation de l’église et du pouvoir politique a largement été remaniée, y compris depuis l’investiture d’Emmanuel Macron.

Dossier 6 :

Ce chapitre quant à lui est centré sur la parèdre (jumelle et épouse) de Jupiter selon la mythologie grecque. Le thème est simple : rechercher les symboles cachés francs-maçons et significations réelles de nos emblèmes nationaux. Sujet passionnant puisque je décrypte le Grand Sceau de France, l’hymne national — entre autres — mais depuis les coulisses. Et l’envers de décors et révoltant.

Dossier 7 :

Il s’agit essentiellement de mettre en avant la signification de certains symboles franc-maçonniques et/ou religieux. Mais aussi de donner des informations vérifiables évidemment sur certaines réalités telles que : ce qui se cache dans les textes dits sacrés.

Je préfère vous avertir, dans ce dernier dossier, très conséquent tant sur les thèmes que les nombres d’éléments traités, j’y aborde des sujets difficiles. À la fois par le biais des liens philosophiques, religieux, scientifiques.

Je vous décrypte en partie seulement la réalité de certaines peintures maçonniques, le sens des piliers Boaz et Jaquin (mais pas la version édulcorée et rabatteuse en vue de se faire une virginité et recruter des apprentis), j’y ajoute même des perspectives scientistes sur l’une des volontés cachées des injections biochimiques avec bien entendu des démonstrations.

Dossier « annexes » :

Nous avons complété nos enquêtes avec un dossier annexe. Étant donné le nombre de ressources que nous avons eu à traiter, vous apporter des éléments autrement qu’en citant les références nous a semblé opportun. En effet, il faut comprendre que par références nous parlons de plusieurs centaines, de diverses natures et sous divers formats.

Les références

Vous constaterez que les dossiers sont riches d’illustrations. J’ai opté pour ce format pour appuyer les informations que partagés. Elles sont de natures très variées (photos, schémas, tableaux…), mais permettent une meilleure compréhension, surtout lorsque des sujets touchant au symbolisme, à l’ésotérisme (ou occultisme) des mondialistes sont mis en avant.

Cela explique le volume de l’ensemble de l’enquête.

Il y a également de nombreux apartés étymologiques puisque l’une des « armes » de manipulation massive utilisées par les mondialistes est justement l’écart-type entre leur manière de communiquer et l’appauvrissement de connaissances en vocabulaire de plus en plus généralisé. Vous constaterez qu’ils manipulent les mots avec autant d’aisance que des chercheurs les tubes à essai.

Quant aux références — proprement dites — il m’a été compliqué de les inscrire de façon académique et conventionnelle. Comme c’est le cas pour le Dossier conjoint. La plupart figurent en fin de pages, mais il faut bien comprendre que pour un seul sujet donné, il a été nécessaire de chercher parfois sur diverses ressources, divers articles de journaux (français et étrangers).

Prenons l’exemple de la Constitution de la Ve République : pour l’aborder, il aura fallu travailler sur la version initiale de 1958, en faire une analyse point à point (article/alinéa), en traduire la signification « au réel » dans le contexte de l’époque tant sur l’intrinsèque (la France géopolitique avec ses territoires et ses colonies) que sur l’extrinsèque (relations internationales). D’emblée il en ressort de VRAIES ANOMALIES.

Ensuite, comme pour les lois, chaque articulation du squelette de la Constitution a été prise individuellement pour comparer les modifications (ajout/retrait) par alinéa, en prenant soin d’en préciser le contexte politique (quel président, quel gouvernement, et que penser des modifications).

Conjointement, on a pris en compte des attributs importants qui représentent la France comme le grand Sceau de France et les remarques faites par des spécialistes tels que le Président des Sceaux (à ne pas confondre avec le Garde des Sceaux), là encore : ANOMALIE.

Sans compter les comparaisons entre les différentes autres Constitutions qui ont précédé, et les différentes ressources ayant permis de comprendre le scénario écrit de toute pièce par le cartel français maçonnique.

On peut dès lors comprendre qu’inscrire l’ensemble des ressources en références a été matériellement impossible, autant mettre l’ensemble de la toile, livres d’histoire, archives INA et vos bibliothèques communales. Multiplié par l’intégralité des sujets abordés, bien entendu.

Cependant, ajouter une bibliographie permet de donner du corps, c’est la raison pour laquelle elle a été inscrite ici dans le déroulé du « Tome 0 » puisqu’elle est commune a tous les dossiers. La liste n’est qu’indicative, comme pour le reste des ressources sur lequel on a travaillé.

Bibliographie

• « Trésors d’Égypte. Les merveilles du Musée égyptien du Caire » (sous la direction de Francesco Tiradritti, photographies de Araldo de Luca. Édition Gründ).

• « La vie quotidienne de Mayas et des Aztèques » (Eric Taladoire. Édition Hachette).

• « Secret maçonnique ou vérité catholique » (Serge Abad-Gallardo. Édition Artège).

• « Traité de la couleur thérapie pratique » (Pierre Van Obberghen. Guy Trédaniel éditeur).

• « Mayas, Incas, Aztèques… L’histoire des empires précolombiens. Les dernières découvertes » (Géohistoire — hors-série).

• « Créatures et autres monstres… Une histoire des peurs ancestrales » (Toutes les mythologies/ n° 7 Sept.Oct.Nov. 2021).

• « De la démocratie en Amérique. Tome II, partie IV » (Toqueville.Edition Flammarion).

• « La Bible de Jérusalem » (Édition Cerf)

• « La République » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Le Banquet » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Discours de la méthode » (Descartes. Edition Garnier Flammarion)

• « De la démocratie en Amérique Tome II » (Tocqueville. Edition Garnier Flammarion).

• L’ensemble des Constitutions depuis la Révolution française,

• Loi 1901

• Loi 1905 de séparation de l’église et de l’état.

• Le Livre Blanc de la Sécurité intérieure et son annexe (Préfacés par Gérard Darmanin).

• Dossier Ebola France (Commandé par Manuel Walls à Jean-François Delfraissy).

• Dispositif ORSAN.

• Atlas 2000 (Édition Nathan, 1990 versus 2021)

• 20 ans d’archives professionnelles (comme la revue spécialisée « Visite actuelle », les cours de faculté de pharmacie),

• « Anat, Physio, Bio » (Arne Schäffler, Sabine Schmidt. Édition Maloine).

• « Visiteur médical, un vrai métier » (Karen Weic-Ennedam. Édition Heures de France)

• « Le métier de médecin » (Georges Tchobroutsky et Oliver Wong. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

• « L’industrie pharmaceutique » (Jean-Paul Juès. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

Divers ouvrages en apiculture, des références en égyptologie (newsletter Academia.EU), en histoire gréco-romaine, en mythologies diverses, en symbolisme, en pharmacie et médecine également, en peinture, sculpture, ainsi que de nombreuses ressources étrangères et les ouvrages traitant d’occultisme et de franc-maçonnerie….

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne lecture.

MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

Introduction

Dans ce chapitre, l’objectif est de définir le Nouvel Ordre mondial, mais avec une approche quelque peu différente de ce qui est couramment partagé et fait consensus. Reprendre les travaux expliquant le rôle des Khazars, de la City du Londres, du Vatican ou autres sujets d’actualité n’auraient eu aucune pertinence. Ici, il s’agit de donner une anatomie à ce système, en quelque sorte.

De plus en plus de personnes sont conscientes des influences de la franc-maçonnerie, des mondialistes, des Global Goals ou tout autre groupe tel que les nazis. Les noms associés à ces « influenceurs » sont connus internationalement, qu’ils soient en lien avec le monde des finances, de la politique, de la religion, de l’industrie ou du divertissement. Mais il fallait, pour donner un canevas au dossier, décrire une anatomie compatible avec le mode de fonctionnement de l’ensemble des différents corpus.

Le challenge a été de rapprocher l’ensemble des éléments et de trouver un ou des équivalents pouvant correspondre. Et comme expliqué en présentation, la pieuvre est par trop restrictive. Il aura fallu comprendre que ce que nous appelons aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial est un système polymorphe décrit depuis des millénaires, de façon mythique, mystique, historique et politique sur tous les continents et dans toutes les cultures.

Ce qui suit n’est qu’un aperçu de ce que peut être cette entité en commençant par une vision mythique-religieuse puisqu’il s’agit du Léviathan, pour établir des analogies plus concrètes et proches de nous dans la mesure où l’on fera des parallèles avec des organismes de type parasite.

Quelques repères

Pour commencer, il est important de rattacher les mondialistes à leur calendrier. Si les dossiers ont commencé à être rédigés et les informations compilées à partir du mois d’octobre 2021 ; pour les francs-maçons et affiliés, nous étions en 6021.

Ce décalage de 4000 ans atteste du fait que ce mouvement est bien antérieur aux dates officielles de création des loges maçonniques. Le fait est qu’il ne portait pas le même nom tout en ayant le même mode opératoire. Le fonctionnement des mondialistes contemporains étant identique à leurs prédécesseurs (c’est la seule chose immuable les concernant), pour définir des « planches anatomiques » les dépeignant, il aura fallu remonter dans le temps.

Il existe un nombre conséquent de calendriers, qu’ils soient solaires, lunaires, semi-lunaire, chaque civilisation a créé son outil de calcul des cycles du temps pour des raisons diverses et variées. Sur le même principe de l’astronomie : sur deux critères majeurs, le premier absolument « terrestre » ou exotérique et le second étant ésotérique et donc « céleste ».

Pour les premiers, il s’agissait de prévoir les cycles strictement liés à la nature pour des raisons pragmatiques et tangibles visant à ce que l’humanité devenant de plus en plus sédentaire et agricole puisse anticiper les semences et récoltes. C’est de façon schématisée le principe de l’almanach.

Les seconds quant à eux, sont destinés à des pratiques plus ésotériques. Par ésotérisme, il ne faut pas entendre « pratiques occultes », bien que pour les mondialistes ce soit l’essence de leurs rituels et cultes. Ici, il s’agit des connexions avec ce qui s’apparente à l’intangible de la façon la plus large possible. Dans ce cas, ce comptage calendaire s’apparente plus à de l’astronomie ou de l’astrologie et fait appel à des mythes et croyances propres à chaque civilisation.

Dans certaines contrées plusieurs calendriers cohabitaient comme par exemple, chez les méso-américains, comme les Aztèques et les May as. En effet, ils utilisaient deux « échelles de temps » ou calendriers. L’un rituel et religieux (le calendrier Tzolk’in est basé sur un cycle de 13 × 20 = 260 jours à caractère divinatoire et religieux du calendrier maya) et le second, civil généralement appelé « cycle long » en opposition au cycle court et au calendrier cosmique (solaire et vénusien).

Le fonctionnement concomitant de plusieurs « temporalité » est finalement le schéma qui est le nôtre : le calendrier des initiés, celui des francs-maçons par exemple et celui des sociétés civiles. Concernant les francs-maçons, leurs calendriers au nombre de 4 sont basés sur la création du monde dite symbolique ou « Anno Lucis » (traduit par le maçon en « Année de la Lumière ») à différencier de l’Anno Mundi (traduit par « année du monde »). Une année franc-maçonne Anno Lucis début le 1er mars1. On trouve l’Anno Ordinis en soustrayant 1118 de la date actuelle.

L’Anno Ordinis est utilisé par les Chevaliers Templiers du Rite d’York. Le dernier calendrier étant Anno Inventionis : l’année de la découverte directement liée au Roi Salomon. Le calendrier maçonnique utilisé par l’Arche Royale (qui regroupe les degrés 4 à 7 du Rite d’York) date de l’année où Zorobabel a fait construire le second temple de Jérusalem, en 530 avant notre ère. On trouve donc l’Anno Inventionis en ajoutant 530 ans à la date actuelle.

Le fait qu’il soit dit que les francs-maçons soient lucifériens provient très probablement de l’Anno Lucis.

Par principe, tout ce qui est partagé par les mondialistes — d’où qu’ils viennent — n’est pas à prendre au pied de la lettre. Ainsi, la version officielle accessible de tous justifiant le choix d’ajouter 4000 ans à notre calendrier civil et internationalement reconnu n’est pas satisfaisante.

Il faut chercher d’autres motivations, et voici une hypothèse qui peut tout à fait expliquer le chiffre « rond » des 4000 ans et le 1er Mars comme premier jour de l’année maçonnique. Il ne faut pas oublier que les mondialistes ont pour obligation de toujours communiquer sur leurs projets et actions, et toutes les informations sont présentes dans leur communication. Seule « coquetterie », si le fond doit être présent ; la forme est libre.

  • Si l’on part du principe qu’Anno Lucis ne veut pas dire « année de la lumière », mais « Année Lumière », dans ce cas les francs-maçons font référence à une distance astronomique et absolument pas symbolique comme ils s’entendent à le faire savoir. Il se trouve que de plus en plus régulièrement dans le milieu des astronomes, des découvertes sont faites justement à l’échelle des 4000 années-lumière.2
  • Il y a d’abord une exoplanète diamantine baptisée « 55 Cancri e »,3 car située dans l’ère du Cancer. Son nom commun est Janssen, comme le laboratoire. Il existe différentes versions concernant cette exoplanète dotée d’une sœur jumelle Galileo. Cependant, les points de convergence avec le calendrier franc-maçon sont suffisamment présents pour vous le mentionner.
  • Ensuite, depuis ces dernières années et plus particulièrement ces derniers mois, le milieu de l’astronomie communique de plus en plus souvent sur les phénomènes provenant de cette distance (pas nécessairement en lien avec la planète Janssen). Il s’agit ici de « pulsation radio »4.
  • En cherchant de façon plus large, il s’est avéré que le site de vente par correspondance « Ali express » avait comme thème justement « 4000 années-lumière »5. Ce détail pourrait sembler insignifiant ou totalement décalé. Dans ce cas, il est bon de rappeler quelques points sur Jack Ma qui fut PDG de cette entreprise. En 2001, Jack Ma6 a été nommé « Young Global Leader » par le World Economic Forum. Il a reçu la distinction de « Chevalier de la Légion d’Honneur en 2016 (remis par Laurent Fabius7). Notez que le Journal du Dimanche indiquait dans son article que Jack Ma avait également rencontré le « ministre le plus en vue du gouvernement » de l’époque : Emmanuel Macron. Fait intéressant : la disparition du PDG chinois plusieurs en 2020 (en pleine turpitude covidienne) et son retrait du monde des affaires officialisé par vidéo en 2021.
  • Retour en arrière : à cette époque en mai 2016, il est toujours ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Emmanuel Macron lance samedi 28 mai une « grande marche » des adhérents de son propre mouvement politique, « En marche ! » créé le 6 avril à Amiens (Somme)8 (7). Aujourd’hui, Emmanuel Macron est président de la République, Laurent Fabius9 est Président du Conseil constitutionnel français, en fonction depuis le 8 mars 2016 (8) et accessoirement l’un de ses fils, Victor Fabius10, est directeur associé du Cabinet Mc Kinsey. Notez tout de même que sur la biographie du fils il est notifié qu’il est « Membre du pôle d’activité Consommation et Distribution de McKinsey, Victor Fabius est le chef de file en France du pôle de compétences Marketing et Ventes. »(9)
  • Autre indicateur à prendre en compte : le premier jour de l’année maçonnique, soit le 1er Mars. Il faut relier ce mois au dieu Mars11 du panthéon romain (10). Dans la mythologie romaine, Mars est le dieu des guerriers, de la jeunesse et de la violence, dieu de première importance dans la Rome antique en tant que père de Romulus et Rémus, fondateur et protecteur de la cité. Associé à deux autres Dieux majeurs comme Jupiter (Dieu du ciel et de la terre) et secondaire (Quirinus communément définit comme le Dieu des hommes). Ce dernier sera par la suite assimilé à Romulus l’un des jumeaux.
  • Nous avons donc pour le calendrier maçonnique le mois de mars faisant référence au dieu guerrier appartenant à la triade précapitoline, terme qui dans sa version contemporaine fait entre autres écho à des organisations criminelles (Triade de Hong Kong), mais aussi d’un point de vue strictement religieux à la Trinité et d’un point de vue géométrique au triangle. Et en l’occurrence, le triangle est l’un des symboles les plus connus de cette organisation.
    La triade capitoline formée par Jupiter-Junon (sa parèdre et jumelle) et Minerve sera détaillée ultérieurement.
  • À noter que, pour appuyer le fait que deux calendriers coexistent à notre époque sur les modèles méso-américains (l’un cultuel, le second civil), le premier jour de l’année en janvier aux temps antiques romains correspond à la vie politique de type républicaine : plus précisément au début d’exercice et nomination des magistrats. En ce temps-là, il n’était pas question de Saint-Sylvestre — fête romaine visant à chasser les mauvais esprits — ou de fête religieuse honorant le Pape Sylvestre 1er.

Il va de soi, que l’ajout de 4000 ans, un chiffre rond, a contrario du calendrier juif qui régit l’anno mundi largement expliqué par les francs-maçons eux-mêmes. Ici, n’ont été apportées que des remarques permettant d’élargir la compréhension du mécanisme des loges. Elles sont la résultante de recherches se voulant justement en dehors des sentiers battus ou consensuelles.

Cependant, l’ouverture sur des sujets connexes aura permis de trouver un nombre incalculable d’éléments congruents qui seront étayés tout au long des 7 dossiers ou tomes résumant l’ensemble des recherches.

Après une prise en main qui d’emblée montre que le monde vit sur des temporalités différentes — un monde à deux vitesses et plus — il est temps de décrire ce nouvel ordre mondial selon différents modèles ou facettes. Par commodité, l’acronyme NOM sera utilisé.

Le Nouvel Ordre Mondial, leur attrait pour la numérologie

Faire le lien entre le NOM et le symbolisme des chiffres est un passage obligé. Dès lors que l’on intègre que tous — sans exception — sont initiés aux pratiques occultes au sens le plus large qui nous soit donné de connaître. Par « sens le plus large », il faut entendre les diverses sources de connaissances et savoirs des pratiques occultes.

Là encore, il ne fait plus aucun doute qu’au fil des siècles les apports cultuels et rituels distribués sur l’ensemble des continents ont abouti à ce que l’on pourrait résumer en un patchwork d’influence… ou la « mondialisation occulte » qui n’est pas non plus exclusivement destinée à être pratiquée dans les bas-fonds des loges ou autres temples voués à leurs « divinités »

Si le chiffre 666 est celui qui est le plus médiatisé de part et d’autre de l’échiquier, le constat fait par nos enquêtes a mis à jour l’importance d’un autre chiffre, qu’il soit pris en solo ou démultiplié.

Comme énoncé précédemment, la difficulté que j’ai rencontrée pour cerner « la physionomie » du Nouvel Ordre Mondial est de ne pas rester campée sur les seules informations qui circulent, à juste titre — sur les points d’accroche des « 1 % ». Puisque nous sommes dans un monde dual, ou polarisé à la manière d’une simple pile.

Ainsi, le rôle ou la polarité du chiffre 7 n’a pas la même signification si l’on est le joueur d’échecs aux pièces blanches ou l’adversaire.

Pour les biologistes ou experts de la faune ou la flore, le 7 est présent dans de nombreux domaines : le cycle de vie ou les 7 « métiers » des insectes comme les abeilles ou guêpes qui sera repris dans un dossier dédié pour décrypter l’idéal sociétal maçonnique. La gamétogénèse ou le cycle des cellules reproductives (ovulation répartie par cycle de 7 jours), également analysés par analogie avec le mythe de la Caverne de Platon dans le dossier 7… Justement.

Pour les praticiens en numérologie, cartomancie ou toute autre approche spirituelles/ésotérique « positive », la symbolique est abordée selon un seul prisme qui confère un sens lui aussi bénéfique et divin.

Pour les croyants (juifs ou chrétiens par exemple), il leur est enseigné que le 7 est le chiffre de la perfection divine. Les références dans les textes sacrés sont pléthores.12 Le 7e jour, les 7 péchés capitaux, les 7 cavaliers de l’Apocalypse, les 7 orifices de la tête…

Certaines de ces références en lien avec les textes dits sacrés seront — elles aussi — abordées sous un prisme, un regard totalement différent, dès ce dossier puisque nous rapprocherons le nouvel ordre mondial avec le monstre mythique et ou mystique le Léviathan. Quant aux 7 cavaliers de l’Apocalypse, démonstrations à l’appui, ils seront mis en relation avec chaque président de la Ve République française.

Prenons deux exemples bien concrets à la fois anatomiques et chromatiques qui sont également présents dans les religions monothéistes actuelles ainsi que dans les cultures notamment au Congo13 :

  • Les 7 orifices de la tête
  • Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel.

Nous démontrerons qu’à l’instar d’une médaille, le chiffre 7 a son avers (de polarité positive) et son revers (ce qui nous est caché ou nous formate et induit en erreur). Il ne faut pas oublier que l’objet de ce chapitre est de définir les raisons qui poussent les mondialistes à accorder une importance particulière à ce chiffre 7. Rien que leur attrait doit susciter une interrogation de type « qu’est-ce que cela cache ? »

• Les 7 orifices de la tête :

2 yeux, 2 oreilles, 2 narines, 1 bouche. Rien de plus basique. Sauf que, si les six premiers orifices fonctionnent par paires et n’ont qu’une fonction rattachée à un sens pour faire simple. La bouche quant à elle est bien plus complexe dans son fonctionnement. Il est vrai que les narines servent à la respiration (inspire, expire et à l’olfaction) cependant les fonctions sont très proches et liées.

Alors que la bouche sert à s’abreuver et s’alimenter, à parler, également à respirer dès lors que le nez ne peut plus jouer son rôle. Jusque-là rien de nouveau. Pourtant, la bouche est le seul orifice qui voit chacune de ses fonctions doublées en quelque sorte ou polarisées.
Ainsi, pour l’alimentation liquide et solide : soit on ingère, soit on vomit.
Pour les paroles : même principe, soit on parle avec bienveillance, soit on s’exprime avec malveillance.
De la même manière, soit on embrasse, soit on mord.

Il est clair qu’ici les points abordés seront indicatifs. Il ne s’agit pas de détailler ou de faire une thèse sur le sujet. Mais cela permet d’aborder la signification du 7 d’une manière moins partiale. Ici, le 7e orifice de la tête (ou cap pour reprendre un terme désuet) voit donc chacune de ses fonctions multipliées par deux et il est certes plus agréable de recevoir des mots doux plutôt que du vomi.

• Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel :

Ici aussi, nous sommes face à concept « faux ami ». S’il est courant de lire que le prisme chromatique est composé de 6 couleurs distinctes — les trois couleurs primaires alternées avec les secondaires — parler de 7 couleurs est un raccourci à plus d’un égard.
Première erreur : ne pas prendre en considération le fait qu’il existe deux types de couleurs. La couleur lumière et la couleur objet14. L’immatériel et le matériel. L’intangible et le tangible.

Ainsi, dire que le blanc est une couleur est faux. C’est la résultante du mélange des 6 couleurs contenues dans l’arc-en-ciel et perceptibles par nous. D’autres espèces ne distinguant pas les mêmes prismes chromatiques que l’humain.
Dire que les 6 couleurs précitées donnent la couleur blanche est partiellement vrai, et donc partiellement faux. C’est le cas si l’on considère « la couleur lumière », mais il est bien de le spécifier.
Ce n’est pas le cas si l’on évoque « la couleur objet ». Généralement, on est plus proche du noir que du blanc lorsque l’on mélange les gouaches.

Si l’on reprend le sujet « chiffre 7 ». Par la démonstration très schématique des couleurs, on voit que pour un même sujet — le mélange des teintes — le résultat obtenu diffère en fonction de la source : immatériel d’un côté et matériel de l’autre. Blanc versus noir. Le principe de la polarité ou du damier de l’échiquier a fortiori maçonnique.
D’où l’importance de véritablement remonter à la source ou du moins de s’en approcher et de veiller à ce que les termes de l’énoncé soient impartiaux en quelque sorte et le plus exhaustif possible.

Le schéma suivant donne une vision du processus. Bien qu’il s’agisse ici de mélange de couleur à partir de même source, ce qu’il est intéressant de noter c’est l’aspect « addictif ou soustractif ». Par extension cela nous ramène à la symbolique du 7 selon les mondialistes. Rappelez-vous que l’objectif est de borner le système de ces derniers en donnant des arguments synthétiques justement.

Une chose est certaine, c’est que sur toute la planète le 7 suscite bien des interrogations et des croyances. À la fois craint et vénéré. Il suffit de regarder sur internet pour se rendre compte de l’envergure des informations relatives à ce chiffre.

Voici la « version officielle » maçonnique extraite du site en référence 17.

• Les francs-maçons et le chiffre 715 16 17

Voici ce que les maçons présentent à propos du symbolisme du chiffre 7 :

Le Sept

L’origine du sept remonte aux sept fonctions de Dieu émanées dans tout l’univers. Le sept le plus connu est celui des jours de la Genèse.

En Franc-Maçonnerie, il correspond au chandelier à sept branches avec l’ordre d’allumage des bougies :

Il représente ainsi la transmutation de l’homme qui part du cœur (soleil).

Cette idée est souvent retrouvée dans la théosophie chrétienne notamment dans la lignée de Jacob Boehme. Par exemple, dans la théosophia practica nous trouvons l’image suivante :

Sur cette image on constate que le feu central immergé dans le cœur de l’homme est entouré d’un serpent qui ferme et empêche la propagation de la lumière. Une fois cet obstacle franchi le feu va pouvoir se propager dans tout le corps par sept centres qui sont eux-mêmes à déboucher.

• Les 7 devoirs des francs-maçons18

  1. Combattre pour la liberté absolue de conscience
  2. N’imposer aucun livre sacré en loge
  3. Accepter le dialogue sur tous les sujets
  4. Placer le Bien de l’humain en référence de la morale
  5. Œuvrer au progrès de l’humanité
  6. Soutenir la laïcité
  7. Défendre la République

Remarque :

Si l’on considère ce chiffre 7 exclusivement selon la version altérée ou négative propre aux sociétés secrètes ou hermétiques ou simplement l’occultisme voici ce qui ressort :

Concernant le 7e devoir des FM. Il faut comprendre que République ne signifie pas Démocratie. En réalité, c’est tout le contraire, dans le sens où le modèle auquel se réfèrent les francs-maçons — et apparentés — relève du modèle antique romain fondé sur l’esclavage généralisé. Ce sujet sera détaillé dans les dossiers suivants.

La Laïcité, autre hypocrisie maçonnique. Comment une organisation qui se réfère à des cultes aux origines multiples peut-elle « soutenir la laïcité » ? De plus en décryptant la loi 1905 de séparation de l’église et de la politique, vous constaterez que la France est littéralement sous la coupe des hermétiques mondialistes.

Quant aux autres « devoirs », ils sont à mettre sur le même registre.

Tout au long des 7 dossiers — à prendre comme un pied de nez à l’égard des mondialistes — seront mis en avant les liens avec le chiffre 7. Que ce soit sur les années clés, le mois de juillet, les jours ou tout autre événement ou support.

L’intérêt porté à ce « numéro magique » nous a été soufflé en quelque sorte en écoutant un discours de Christine Lagarde tenu le 15 janvier 2014 à Washington DC au « the National Press Club ».

Dans son intervention Christine Lagarde, alors Directrice générale du Fonds monétaire international, ne s’est pas contentée de rappeler l’importance des calendriers maçonniques « anno mundis » et « anno Lucis » (dès 1 minute 40 dans les vidéos accessibles sur YouTube). Elle a littéralement donné un cours de numérologie à l’ensemble des personnes présentes ainsi que toutes celles qui regarderaient des retransmissions. Elle a décrit ce chiffre comme « magique », et donne des méthodes de calcul numérologique comme « la compression » ; c’est-à-dire réduire les numéros de telle sorte que l’on obtienne un chiffre compris entre 1 et 9.

• 12345 : 1 +2 +3 +4 +5 = 15, 15= 1 +5= 6. 6 est le résultat numérologique compressé.

Ensuite, Christine Lagarde explique que le zéro n’existe pas en numérologie en s’appuyant sur un exemple concret :

• 2014. Il ne faut tenir compte que des 2, 1 et 4 qu’elle additionne pour obtenir 7. Parenthèse, le zéro ayant été apporté par les érudits arabes, il est probable que cette pratique ésotérique soit antérieure à la création dudit zéro.

S’ensuit une succession de « dates anniversaires » qu’elle corrobore avec la numérologie.

Il faut reconnaître que cette information nous a été d’une grande aide dans nos recherches, à commencer par le tri et la priorité que l’on devait accorder à l’ensemble de nos archives, sur le choix des années à étudier, les mois de juillet, les jours 7, 14, 21, 28 entre autres puisque cela peut tout aussi bien concerner des distances, des références de tout type.

Par exemple le célébrissime James Bond, agent 007. En faisant des recherches sur le patronyme Bååt19 pour les besoins de nos enquêtes. Il se trouve que l’un des noms de famille dérivés est Bond(e). Ajoutez à cela le 007, vous obtenez des informations qui prises individuellement semblent peu importantes, mais qui mises dans un ensemble donnent un canevas plus que pertinent.

Plus proche de nous et bien moins fictif : le 14 juillet. Le jour de la fête nationale est incontestablement une date maçonnique. Le mode de calcul est quelque peu différent. Ainsi, il ne faut pas additionner les chiffres comme précédemment, mais raisonner en multiple de 7.

  • 14 donne 2X7 et mieux encore 7 +7
  • 07 donne 7.

La résultante est que le 14 juillet correspond à une suite de trois 7 ou 777

Là encore ce n’est pas à mettre sous le tapis. En effet, tout comme le 666 a une signification particulière, il en est de même pour 777.

Cette suite entre dans le giron de la Kabbale20 (Les Qliphoth — en hébreu, תופילק, parfois orthographié Klipoth ou qelipoth — qui signifient « écorces » ou « coquilles » se réfèrent aux forces du mal ou aux impuretés de la matière dans le cadre de la Création) et la kabbale hermétique21 « 777 et autres écrits kabbalistiques » d’Aleister Crowley est une collection d’articles écrits par Aleister Crowley. Il a été édité et présenté par le Dr Israel Regardie.

Ce qui ressort des articles mis en référence, c’est le côté pratique démoniaque et hermétisme lié à certains chiffres bien particuliers. Et si l’on reprend la citation d’Albert Camus, selon cette lecture, on comprend alors pourquoi le « XXIe doit être spirituel ou ne sera pas. »

• XXI donnant 21, soit 3X7 ou 777…. Comme l’année 2021 qui double la mise en quelque sorte.

Par hermétisme, il faut bien sûr faire le lien avec le lien avec Hermès le Dieu Grec des voleurs, du commerce et de la négociation)2223. La fourberie, le mensonge font également partie des qualificatifs de ce dieu, pourtant « messager des Dieux ».

Si l’on considère que les mondialistes se prennent pour des individus supérieurs ; dans ce cas les médias sont la transposition d’Hermès. On comprend mieux le mensonge. L’hermétisme définit également le secret. Enfin, et ce n’est pas des moindres, l’un des attributs de ce dieu (hormis le casque ailé d’Astérix) est un caducée.

Ce caducée est différent de celui d’Asklépios (ou Esculape)24. Asklépios25 étant l’ancêtre des médecins Asclépiades, une dynastie exerçant à Cos et Cnide, dont Hippocrate est le plus illustre membre.

Avec la crise sanitaire et l’apparition des « médecins de plateaux » accompagnés de chroniqueurs et autres « messagers des dieux », nous assistons à l’émergence d’un troisième caducée. Un hybride pourvu non pas d’un ou de deux serpents, mais plutôt de trois.

L’une des armes utilisées par les mondialistes depuis des millénaires c’est la programmation mentale, et désormais lorsque les termes « spiritualités » ou « spirituel » sont utilisés, ils suscitent des réactions antagonistes : le côté totalement perché, n’ayons pas peur des mots, et le rejet justement lié à l’image galvaudée ou véhiculée par manque de connaissance. Or la spiritualité n’a rien de tout cela.

Pour ne pas induire d’erreur d’appréciation, en lieu et place de la spiritualité ; pour celles et ceux qui se sont pas à l’aise avec ce mot et en méconnaissent le sens, il est conseillé de changer le terme par « esprit ou mental » voire « réflexion » ou « pensée ».

Si l’on reprend la citation d’Albert Camus et que l’on en change le mot clé, cela donne une approche plus proche de notre réalité et du langage courant. Dire que le XXIe Siècle sera celui de la réflexion ou ne sera vue notre actualité prend tout son sens puisque nous sommes véritablement confrontés à une « guerre » de schémas de pensées où la réflexion, ou son absence, détermine au quotidien les choix de tout à chacun.

Puisque le nouvel ordre mondial agit contre l’ensemble du vivant, humanité incluse depuis ce que l’on va appeler la nuit « de leur temps », soit au moins 6021 années ; tout ce qui est à notre disposition en matière de ressources historiques, mythologiques, religieuses… peut et doit servir à trouver des indicateurs ou indices pouvant les mettre devant des faits avérés.

Par exemple, que ce soit le XXIe Siècle — qui n’en est pas encore à son premier quart — qui connaisse de tels mouvements, de tels chaos, n’est pas un hasard. Dès lors que toute l’histoire qui nous a précédés a été orchestrée selon leurs scénarii avec en point d’orgue des rites, des fréquences, bien spécifiques ; au fil des dossiers l’importance de la numérologie pour les mondialistes et — entre autres — les francs-maçons sera une évidence.

Et si nous résistons aux divers assauts des mondialistes, il faut s’attendre à ce que 2025 soit une année particulièrement tendue puisque Christine Lagarde dans son discours de 2014, expliquait que les 25 ans de la chute du mur de Berlin était une date clé en base 7 (2 +5= 7).

Les chapitres suivants vont définir le nouvel ordre mondial selon d’autres critères, d’autres paramètres et d’autres références. Après la signification du chiffre 7, il va s’agir de définir des critères récurrents utilisés par les mondialistes, peu importe leur nom d’emprunt. Par la suite seront abordés quelques repères anatomiques et physionomiques du nouvel ordre mondial.

Partant du principe que ce cartel est millénaire (nouvel ordre mondial actuel = « nouvel ordre du monde » de la Genèse) et polymorphe ; les sources de comparaisons seront diverses et variées, alliant mythes, mythologies, histoire des civilisations… Bien entendu dans le dossier de présentation, il n’est pas question de détailler, mais de donner des points d’accroche à la manière des murs de varappe.

Le Nouvel Ordre Mondial et ses différentes références

Tel qu’énoncé précédemment, on va dresser une liste non exhaustive des éléments incontournables qu’utilise le nouvel ordre mondial. Certains sont très anciens, mais pas désuets pour autant. Bien au contraire, ils n’ont jamais autant été présents dans nos environnements… jusque dans nos placards.

Parmi les piliers des francs-maçons et consorts, l’on trouve :

  • Les mythes
  • Les panthéons des Dieux, peu importe qu’ils soient égyptiens, gréco-romains, méso-américains…
  • Les jeux de société comme, par exemple, « les échecs »
  • Le système politique romain (la République)
  • Le modèle social des ruches (ne pensez pas qu’il s’agisse des abeilles, puisqu’il s’agit en réalité des guêpes)
  • L’ésotérisme occulte et démonologie de toute sorte : tribal, religieux, païen…
  • L’alchimie occulte
  • L’ensemble des religions majeures (en grande partie leur création)
  • L’astronomie et autres arts et sciences passés sous silence
  • La philosophie, ou plutôt le sophisme et la maîtrise des discours et méthode (pour reprendre le titre d’un ouvrage de Descartes)26
  • La maîtrise des fragmentations cognitives que l’on retrouve dès l’enseignement religieux (catéchisme catholique, mais pas que), donc très ancienne et ayant évoluée au fil des temps pour aboutir au MK-Ultra, aux messages subliminaux visuels, olfactifs, auditifs, tactiles. Tout ce qui est en lien avec les sens primaires et physiques (5 sens), ainsi que les sens adjacents. On touche alors à la perte du sens de l’orientation, sens de l’humour, précognition, etc.
  • Etc.

Tous ces éléments sont détaillés de la manière la plus andragogique possible dans chaque sous-dossier qui constitue l’ensemble de l’enquête. L’objectif étant de démontrer combien le nouvel ordre mondial a imprégné chaque pan de nos vies. J’ai donc cherché à débusquer les informations qui permettent de les confronter à leur vrai dessein. Il s’en suit non pas une série d’accusations sur le modèle de Victor Hugo, mais un recueil de faisceaux d’indices qui permettent d’affirmer que les francs-maçons et analogues sont plus que présents, que la France aurait pu devenir une réelle démocratie en 1848, mais en a été empêchée de l’intérieur. Que depuis lors nous sommes effectivement dans un sous-régime rétrograde et esclavagiste de type République Romaine.

En définitive, l’intégralité des recherches vise à lever le voile de l’hypnose collective au-delà même de l’épisode Covid et de la mandature d’Emmanuel Macron.

L’ANATOMIE DU N.OM :
DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE
(VISION INTERNATIONALE)

Le N.OM : Léviathan27 28 ou Bête de l’Apocalypse

Première analogie permettant d’établir un portrait-robot du cartel mondialiste : Le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse. Partir des mythes pour définir l’anatomie du nouvel ordre mondial permet d’illustrer au réel ce qu’est cette organisation dans sa version internationale et mondiale. De la même manière que le lien entre la Ve République française et l’alter ego terrestre du serpent marin sera faite par la suite.

S’il est une représentation universelle, c’est bien celle du Mal incarné. Dans toutes les civilisations, le côté obscur est représenté sous la forme ovidienne ou reptilienne. Serpent marin, par excellence c’est le cas du Léviathan.

Léviathan : « Le Léviathan est un monstre colossal, dragon, serpent et crocodile, dont la forme n’est pas précisée ; il peut être considéré comme l’évocation d’un cataclysme terrifiant capable de modifier la planète, et d’en bousculer l’ordre et la géographie, sinon d’anéantir le monde. Sa description évoque par périphrase le redoutable crocodile du Nil qui abondait alors au pays des pharaons. »

Cette description est un extrait de la page Wikipédia mise en référence.

Bête de l’Apocalypse : selon la tradition chrétienne « La Bête de l’Apocalypse (τὸ Θηρίον (tò thēríon) en grec ancien) est une figure de l’eschatologie chrétienne qui apparaît dans le chapitre 13 de l’Apocalypse de Jean, en écho à la Vision des quatre bêtes du Livre de Daniel. »

Il existe de nombreuses interprétations concernant ce monstre allant de sa création jusqu’à sa mise à mort. Ce qui semble faire consensus c’est que :

  • La bête aurait été créée par Dieu — lequel ? Celui en qui les religions nous font croire ou celui qui considère l’humanité comme du bétail (agneaux/moutons/caprins) que les bergers (religieux) sacrifient quotidiennement (deux fois par jour : holocauste) sur les autels des temples…
  • Créature marine ayant reçu les pouvoirs de Satan ne meure [que] sous la lame de l’Archange Mickael.
  • Créature terrestre, alter ego de la première.29

Une fois les présentations faites, on va désormais ajouter une autre façon de comprendre ce que peut être dédoublée de l’Apocalypse conjointement au Léviathan qui lui aussi est affublé d’un alter terrestre : le Béhémot30.

Le principe du polymorphisme ayant été évoqué d’emblée, vont s’ajouter d’autres concepts à prendre en considération, comme :

  • la personnalité multiple ou fractionnée
  • le principe de la fractale
  • et plus que la dualité, on va introduire une notion que les chimistes et professionnels de l’industrie pharmaceutique connaissent bien puisqu’il s’agit de l’énantiomère (explicité dans le dossier 7).
  • Vision systémique, politique, etc.

Ainsi, dégagé de toute approche dogmatique et religieuse, il a été plus facile de faire nos recherches en s’appliquant à trouver des arguments probants. C’est donc en partant du descriptif mythique du monstre aquatique à 7 têtes et 10 cornes couronnées que les passerelles et translations avec le cartel mondial a été fait.

Les éléments exposés sont évidemment peu de choses, comparés à l’étendue du système, néanmoins ils peuvent donner une « assise » ou un début de représentation physique. Puisqu’il s’agit d’un « Guide » exposant le cartel version 2.0, l’illustration ci-après est la plus pertinente trouvée sur le net.

31

Illustration extraite du dessin animé Digimon.

Par ailleurs, il n’a pas été pertinent de reprendre des illustrations plus anciennes. Vu les mutations qu’à subit l’Organisation mondialiste au fil des siècles le plus simple a été d’en créer une qui reprend le descriptif au sens le plus strict.

Figure 1
Léviathan selon les écrits historiques, mythologique et religieux/
Virginie Dornier. 10/2021

Version reprenant les écrits : monstre aquatique, 7 têtes, 10 cornes couronnées. Avec un rappel sur Poséidon : trident présent également sur les symboles et iconographies liés à la psychologie (Symbole des psychologues avant modifications, mais aussi symbole Héraldiques et lié à Shiva)

Vous remarquerez ici que les 10 cornes couronnées sont placées sur le corps du Léviathan et non sur la partie antérieure (les 7 têtes).

C’est un postulat volontaire pour faciliter la compréhension du N.O.M

Les paragraphes suivants vont définir le cartel auquel nous sommes confrontés :

  • Le monde aquatique
  • Les 7 têtes et la traduction au réel.
  • Les 10 cornes au réel
  • Les diadèmes/couronnes au réel

Le NOM : un système « fluide »

Le monde marin est encore inexploré. Il fait l’objet de spéculations multiples. L’eau se trouve partout sur la planète, plus encore que les terres et continents en termes de surfaces et avec des profondeurs abyssales qui de tout temps sont synonymes de mystères. L’eau est en élément pouvant se présenter sous trois formes : gazeux, liquide, solide. Dans les airs, sur terre, sous terre, et bien sûr du ruisseau aux océans.

Par extension, le Léviathan est partout et nulle part à la fois. Indispensable pour toute forme de vie l’eau devient alors source de méfiance, voire de danger.

Au réel, le Nouvel Ordre Mondial apparaît comme un élément présent dans tous les secteurs de nos vies.
De la conception à la mort : Cycle des 3 états de l’eau. Gaz/vapeur, liquide et solide.
De l’individu à l’Humanité : de la goutte à l’océan.
Du plus abstrait des éléments ou plus concret.

Des lois aux actes du quotidien : C’est pourquoi des « idées » émanant de personnes en responsabilité accordée par le Peuple, mais totalement dédiées désormais au Nouvel Ordre Mondial rendant le quotidien de chacun invivable.

Depuis le 4 octobre 1958, les « Vassaux » félons ont prêté allégeance au N.O.M amenant le chaos, la perte de nos richesses individuelles et collectives.
Vendant au plus offrant, nos savoirs, nos héritages, nos existences… que les acquéreurs soient du Parti Communiste Chinois, de l’OMS, de l’OTAN ou tout autre « empire couronné » du Léviathan.

La fluidité du système ressemble trait pour trait aux principes de l’eau.

Sans oublier le continent qu’ils se sont créé bien qu’ils s’en défendent (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) : TerraMar Project créé par Guislaine Maxwell officiellement en 2012 (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) et dissout en 2019.

Un concept ? Un véritable continent ? Quoi qu’il en soit, Guislaine Maxwell en fait la promotion avec en première ligne la famille Gates.32 33

Loin d’être une théorie le « Terra Mar Project »34 était présenté comme une « organisation à but non lucratif » à visée écologique. Le cœur de leurs actions étant « la préservation des Océans ». En étudiant de près les divers gouvernements français de la Ve République, ainsi que les enjeux économiques, politiques et militaires rattachés au domaine maritime, il ne fait aucun doute que cette organisation est bien plus que ce qu’elle prétendait être. Et le fait qu’elle soit dissoute suite au scandale sexuel ne signifie pas pour autant que l’activité rattachée à cette organisation se soit arrêtée. C’est un avis.

• Le projet TerraMar
• TerraMar (Royaume-Uni)
Le logo du projet TerraMar
Formation septembre 2012 ; il y a 9 ans
Dissous décembre 2019 ; il y a 2 ans
Taper Environnement
Statut légal • Organisation à but non lucratif
But • charité
Lieu New York (2012-2015)
Woburn, Massachusetts (2016-2019)
Salisbury, Royaume-Uni (2013-2019)
Région desservie Global

Il est intéressant de se pencher sur le logo et la fiche d’identité consultable sur Wikipédia.

  • « Charité » ou « charité/caritative » est un moyen détourné de faire référence à l’un des 3 piliers de l’arbre de vie de la Kabbale. Celui-ci sera abordé sur différents aspects registre dans le dernier dossier. En cherchant des informations en lien avec TerraMar Project et l’arbre des Séphiroth en sont ressortis les points suivants !
  • Il est un consensus disant que le Yin37 correspond à l’aspect féminin en toute chose. De façon réductrice ce symbole asiatique, présent notamment en médecine chinoise, est associé aux émotions. Les émotions sont associées à l’eau. C’est la raison pour laquelle l’on a fait le lien entre TerraMar et le pilier yin de l’arbre kabbalistique.
  • On avait déjà évoqué le principe de la polarité. Avec ces deux illustrations complémentaires, cela est plus flagrant.
  • L’hypothèse sous-jacente est que derrière les activités « caritatives » et vertueuses de TerraMar Project (ainsi que des autres organisations mondiales) un pouvoir impérialiste cultivant le secret. Ce qui correspond en tout point à Binah, Géburah et Hod du pilier Jugement.
  • Évidemment ce principe est applicable à toutes les fondations dirigées par des mondialistes patentés comme Bill et Melinda Gates, George Soros, pour ne citer qu’eux.

Autre point intéressant : le logo de TerraMar Project. Tout comme pour Gmail, TerraMar Project reprend les codes de certains tabliers maçonniques.

Ci-après, en l’inversant versus les symboles de Poséidon et Neptune.

Il s’agit ici, d’une vue d’ensemble du cartel mondialiste selon la matrice du Léviathan ou de la Bête de l’Apocalypse. Ce secteur maritime sera argumenté dans d’autres dossiers en fonction du thème. Il n’est donc pas utile de développer plus ici, le système « fluide ».

Le NOM : monstre à 7 têtes :

Il n’est pas utile de revenir sur l’explication relative au symbolisme de ce chiffre. Cependant, et pour faire le lien avec le chapitre précédent, il est probable que pour le cartel du nouvel ordre mondial le domaine maritime soit considéré comme un territoire à part entière, objet de convoitises, et de pressions politiques diverses. Un territoire convoité et marqué par les courses impérialistes diverses selon les époques ; pour finalement aboutir à une seule entité mondiale. Ce qui ferait du monde marin et maritime le 7e Continent.

Voyons si les têtes du monstre mondialiste peuvent être identifiées autrement (polymorphe). On n’ira pas chercher du côté des sept péchés capitaux bien que la citation suivante soit plutôt appropriée.

« Ce sont l’orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, liée à la tristesse spirituelle), la luxure, l’avarice, la colère et l’envie. Ils sont capitaux au sens où ils sont à la tête d’autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes comme l’assassinat. » (Définition extraite de Wikipédia)

Par contre, ce qui découle de ces péchés permet de donner une orientation dans les recherches. Quoi de mieux que les « 7 merveilles du Monde » pour sceller un peu plus le pouvoir des mondialistes ?

C’est donc en toute logique que l’on a pris des informations sur ces listes des sites et leurs méthodes de sélection.

Fait étonnant, mais à la réflexion, peu surprenant : il existe depuis peu 2 listes distinctes de sites remarquables qui se font concurrence. On tentera de donner les motivations de cette coexistence, bien que le principe en soit simplissime : d’un côté, vous avez les mondialistes et leurs 7 merveilles du Monde. De l’autre leurs opposants. Nous sommes bien engagés dans une partie d’échecs.

Explication en pages suivantes.

a) Les 7 Merveilles du Monde du N.O.M :

« Les Sept Merveilles du monde moderne »38 est une liste, établie par l’American Society of Civil Engineers, consacrant les monuments du XXe siècle. Elle fait directement référence aux Sept Merveilles du monde antique39. » (Wikipédia).

À noter que peu d’informations sont présentes sur la page Wikipédia dédiée.
La liste des pays est : France, Royaume Unis, Canada, USA (Deep State), Brésil (Deep State), Paraguay, Pays-Bas, et Panama.
Ici, les 7 Merveilles du Monde Moderne — 7MMM — sont des ouvrages stratégiques, tous en lien avec les trafics de toutes natures (échanges commerciaux, trafics humains, armes, drogues). Les pays concernés sont la plaque tournante de ces trafics.

Nous attirons votre attention sur les sites classés « Merveilles de leur Monde Moderne ». Ils sont tous en lien avec le secteur maritime et fluvial (d’où le code couleur bleu). Ils sont potentiellement voués à auto –destruction/ attentat de la part du Nouvel Ordre Mondial. Notamment le Tunnel sous la Manche. Ce que l’on appelle communément des actes sous « faux drapeaux ». Pour compléter ce volet il existe une série docufiction intitulée « les 7 merveilles du monde industriel ». (Diffusée sur BBC en 2003)40.

b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne41,

« Les sept nouvelles merveilles du monde ont été désignées à la suite d’un vote organisé par la New Seven Wonders Foundation, liée à la New Open World Corporation, et dont les résultats ont été dévoilés le 7 juillet 2007 à Lisbonne. » (Notez la date : 07/07/2007).

Ici, il est important de noter que cette nouvelle liste a fait l’objet de controverses.

Au-delà de la date significative du 07/07/07, il faut rapprocher les 7 sites de la nouvelle liste des « 7 Nouvelles Merveilles du Monde Moderne » (7NMMM) du Chapitre 2 de l’Apocalypse de Jean.

En effet, chaque site de cette liste correspond à chacune des sept églises du texte biblique. Comprenez que l’étude des textes sacrés a été faite de façon géopolitique voir stratégique et non de façon théologique ou religieux au sens dogmatique.

Ainsi, l’église d’Éphèse correspond à la Jordanie, l’église de Pergame à l’Italie, l’église de Thyatire au Brésil, etc.

Pour des raisons évidentes de sécurité et de confidentialité, nous ne pourrons expliciter plus en détail les éléments. Ceci étant, ce qu’il faut comprendre c’est que l’Alliance a travaillé depuis longtemps pour faire des sept pays ici sur ce schéma des états satellites de l’alliance. Notez également que seules « les 7 têtes » du Léviathan ont été abordées tout en ne compromettant pas les aspects purement stratégiques. Mais, vous en conviendrez, en comparant avec l’actualité géopolitique, ces merveilles sont bien sympathiques.

Le NOM : monstre à 10 cornes :

Dans l’illustration du Léviathan, les Cornes couronnées ont délibérément été placées sur le corps et non la partie supérieure du Léviathan.
Ce postulat permet de bien scinder les deux organes majeurs du Nouvel Ordre Mondial.

Ainsi, de tout temps, et quelques soient les continents ou les noms attribués aux 10 cornes couronnées, le système est reproductible. Seule la translation en fonction des « progrès et avancées » technologiques en a modifié la forme, mais elles ont toujours été 10 actives simultanément.

Ce sont les EMPIRES. Ayant subi diverses mutations depuis des millénaires, passant des empires géographiques (Incas/ Sumériens/ Britannique, français…) à des formes plus diffuses comme, par exemple, l’empire cinématographique, médiatique, pharmaceutique… qui ne connaissent ni frontière, ni problème pour franchir les océans. Chaque corne en est l’une des représentations et toujours sur le même principe polymorphique. Cela signifie qu’au fil du temps les empires changent de formes.

De nos jours, on y retrouve notamment :

a) Les 10 empires économiques mondiaux qui correspondent aux pays (qui varient depuis plus de 6000 ans)

b) Les 10 secteurs économiques (évoluant en fonction des avancées technologiques et du programme des mondialistes)

En page suivante, vous trouverez quelques exemples chiffrés

a) Les 10 empires économiques mondiaux (source libanaise 2018) :

  • 10— Canada, produit intérieur brut estimé à 1763 milliards de dollars (plus de 987 000 milliards de FCFA).
  • 9 — Italie, produit intérieur brut estimé à 2048 milliards de dollars (plus de 1 146 000 milliards de FCFA).
  • 8 — Brésil, produit intérieur brut estimé à 2199 milliards de dollars (plus de 1. 231 000 milliards de FCFA).
  • 7 — Inde, produit intérieur brut estimé à 2654 milliards de dollars (plus 1. 485 000 milliards de FCFA).
  • 6 — Royaume-Uni, produit intérieur brut estimé à 2661 milliards de dollars (1. 489 000 milliards de FCFA).
  • 5 — France, produit intérieur brut estimé à 2765 milliards de dollars (1. 547 000 milliards de FCFA).
  • 4— Allemagne, produit intérieur brut estimé à 3934 milliards de dollars (2. 201 000 milliards FCFA).
  • 3— Japon, produit intérieur brut estimé à 5063 milliards de dollars (2. 833 000 milliards de FCFA).
  • 2— Chine, produit intérieur brut estimé à 13 118 milliards de dollars (7. 342 000 milliards de FCFA).
  • 1— États-Unis, produit intérieur brut estimé à 20 199 milliards de dollars (11 305 000 milliards de FCFA).

Ci-après l’illustration montre qu’en réalité l’adversaire de l’Humanité, le N.0.M ou cartel, utilise toujours une base chiffrée en lien avec les spécificités de « la Bête de l’Apocalypse » ou Léviathan.

Si pour les 7 têtes nous retrouvons les mêmes organisations : politiques, religions, pour les 10 cornes vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Source : financial Afrique. Com

Il est intéressant ici de noter les points suivants :

  • Entre 1992 et 2008, on constate des mouvements dans l’ordonnancement des pays. Si l’on reprend « la règle de calcul » mise en avant par les acteurs majeurs du N.O.M, alors l’an 2000 en est la ligne d’horizon. En retranchant 7 ans, on arrive à 1993 qui, semble-t-il, marque le début de la décroissance régulière de la France. Il serait intéressant d’avoir d’autres chiffres antérieurs afin de préciser et affiner ce propos.
  • Le « Bug de l’an 2000 » n’avait rien à voir avec un quelconque chamboulement dans les horodateurs des systèmes informatiques, mais une permutation de l’ordre « des choses ». Une inversion de polarité non pas magnétique (pôle Nord/ pôle Sud), mais des valeurs humaines, des systèmes économiques, politiques, sociétaux. En résumé : on passe à la dernière phase d’inversion.
  • Le projectif est éloquent : la France devenant 10e du classement en 2024, les pays occidentaux perdant au moins une place au classement, la Russie également le tout au profit des pays « émergeants » des pays orientaux et de l’Empire du Soleil Levant.

Vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Lorsque seront abordées les « 10 couronnes », vous verrez pourquoi aujourd’hui il semble quasiment insoluble de faire tomber le système mondialiste. Pourtant, près 6 mois après début de nos recherches et de la rédaction des dossiers, le colosse apparaît de plus en plus fragilisé. Les peuples se lèvent, la France bouge malgré un enkystement dont on a — pour partie — identifié des raisons plus que possibles. Raisons qui sont largement détaillées point par point dans les dossiers 5 et 6 et spécifiques à notre histoire. Mais si l’on devait donner une ligne directrice, elle serait la suivante : si l’on devait comparer la France « contemporaine » à un insecte pour décrire sa situation, ce serait la chenille bloquée dans sa chrysalide par des influences extérieures.

Cette mue, en comparant les diverses Constitutions, correspond à la Seconde République de 1848 sabordée de l’intérieur. Depuis, de génération en génération nous sommes dans un système matriciel visant à nous réduire en esclavage jusqu’au coup de grâce. Du moins selon le cartel maçonnique. Rendez-vous aux dossiers traitant de Jupiter et sa parèdre pour découvrir une partie de l’envers du décor.

b) Les 10 secteurs économiques mondiaux :

  1. Les startups investies dans les clean Tech, l’intelligence artificielle, la Food Tech, etc.)
  2. La santé
  3. La cybersécurité
  4. Les industries culturelles et créatives : écoles d’excellence, art, design, festivals, musique électronique, jeux vidéo, films d’animation…
  5. L’art de vivre : gastronomie, vin, mode, loisirs et tourisme
  6. L’eau, l’économie maritime et les énergies
  7. L’industrie du futur ou Tech (armement, Quantique…)
  8. Les transports et la mobilité
  9. Le secteur du luxe
  10. L’agriculture et l’agroalimentaire

Selon le descriptif fait du monstre marin, il est dit que les 10 cornes sont pourvues de couronnes. Pour compléter la présentation, il va s’agir d’en donner une interprétation permettant de visualiser le cartel différemment.

c) Les diadèmes ou couronnes.

Là aussi il faut se détacher de la symbolique collective qui veut que les couronnes soient des royautés.
En d’autres termes, il faut les appréhender non plus comme des ornementations du type couronne royale posée sur la tête de personnes de pouvoirs, mais comme la couronne en dentisterie qui recouvre la dent.

Par exemple : la Couronne qui chapeaute l’empire ou corne « Santé » est l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Ce qui vaut pour l’un des 10 secteurs ou empires actuels vaut pour l’ensemble. Ainsi, le secteur de l’alimentation est couronné par la FAO42 (Organisation Mondiale pour l’agriculture et l’alimentation) et ainsi de suite.

Comparer le cartel mondialiste avec le Léviathan n’est pas une nouveauté. En revanche, décortiquer l’anatomie de la Bête biblique en envisageant les diadèmes non plus comme des attributs royaux, mais comme une structure recouvrant chaque corne est peut-être novateur. C’est pourquoi nous mettrons une illustration dentaire pour mieux expliciter le propos.

Il est important de comprendre ici que si des personnes « tombent » dans l’un des 10 systèmes, la couronne protège l’ensemble. C’est pourquoi par exemple des scandales comme celui de la représentante australienne de l’OMS n’ébranleront pas le système. Du moins si l’on exclut l’exception française, le levier de force (ou talon d’Achille).

La couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan :
Ici l’illustration aura été adaptée au secteur qui nous préoccupe tous : la santé et la Dictature mondiale.
Notez que ceci est valable pour toute forme « d’empire » (OTAN et défense, cinéma…).

Figure 2
Couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan

Pour « couronner le tout », et apporter d’autres illustrations : dans le langage courant, il est des mots et des expressions qui apportent des compléments d’information. Si, l’accent a été mis sur la symbolique du chiffre 7 très utilisée par les mondialistes (mais également pour des « vertus » positives) ; le chiffre 5 n’est pas en reste.

Le cinq représente le côté naturel en quelque sorte. Et contrairement à ce que l’on peut lire, il est ce qui par essence définit la création. Lorsque l’on observe la nature, voici ce que l’on constate :

• En coupe sagittale, les fruits sont dotés de 5 alvéoles contenant des pépins.

• Nous sommes pourvus de 5 doigts par main et 5 orteils par pied, au cas où les scientistes nous feraient croire le contraire. Sait-on jamais.

• Deux mains apparemment identiques et pourtant non superposables ce qui est le principe des énantiomères en chimie et pharmacie. (développé dans le dossier 7). Le paradoxe étant que la main gauche — dite la main du cœur pour certains — est aussi considérée comme « la main du diable » par ces mêmes personnes.
Effectivement, l’alliance se porte à l’index gauche et il n’y a pas si longtemps les enfants gauchers devaient apprendre à écrire de la main droite pour des raisons dogmatiques… y compris dans les écoles publiques. Les années 50, ce n’est pas si lointain.

Il n’est pas question de décliner les exemples, simplement de rebondir sur quelques mots clés qu’utilisent volontiers les mondialistes, depuis toujours. Parmi ces mots, l’on trouve bien entendu la main et ses déclinaisons et le chapeau.

  • Faire main basse
  • Avoir la mainmise
  • Manipuler
  • Chapoter
  • Capoter
  • Capitole
  • Capituler…

Le sujet est tellement vaste, qu’il est difficile de faire un tri dans les informations à mettre dans le dossier. Ne soyez pas étonnés si d’aventure les exemples de toutes natures sont mis ici.
On comprend mieux l’ampleur du Nouvel Ordre Mondial/Léviathan avec ce schéma qui reprend le Global Compact (ou Pacte Mondial) des Nations Unies43. Voir illustration en page suivante.

De ce schéma très explicite, on retiendra ici :

• que les Nations Unies et particulièrement le « Global compact » correspondent à l’anatomie de la Bête de l’Apocalypse. Ce qui n’amoindrit nullement les implications de factions ou familles telles que les Rothschild puisqu’ils sont dans la boucle.
« phrases d’accroche ».

• les accroches des items « Les entreprises sont invitées à ». Si de prime abord, il est légitime de penser que cela ne concerne que les entreprises privées ; en réalité cela inclut également les pays. Du moins ceux qui sont officiellement des sociétés comme c’est le cas de la France44. Ce volet « entreprise » est développé en dossier 3.

Conclusion :

Le fait de comparer le cartel mondialiste au Léviathan ou à la Bête de l’Apocalypse n’est pas une nouveauté. D’autres l’on fait bien avant. De même pour la numérologie et l’ensemble des symboles et rituels propres aux sociétés hermétiques (alchimie, culte égyptien…).

Ici, l’objectif a été de trouver de quoi apporter des éléments pouvant répondre à ces questions

  • À quoi pourrait ressembler le cartel mondialiste ?
  • En quoi le cartel mondialiste peut-il être comparé à la bête de l’Apocalypse ?
  • Quels indices ou informations peut-on chercher pour les « débusquer » ?

Si la démonstration est parfois maladroite, il ne faut pas perdre de vue que je ne suis ni politologue, ni économiste, ni écrivain et surtout que je n’ai pas eu la possibilité de peaufiner le style. La priorité est de pouvoir diffuser le fruit de mes enquêtes. De proposer, de la façon la plus argumentée possible, un panel d’éléments qui posent question et méritent d’être investigués cette fois-ci par des experts et professionnels.

Pour conclure ce chapitre, voici une ultime interprétation liant numérologie, dualité, et culte égyptien. Il s’agit de Jeu d’échecs.

• Numérologie : de part et d’autre de l’échiquier, on a 17 pièces (16 sur le damier + le joueur).

• « Echec et Mat » est une déformation de noms de Divinités égyptiennes. Il existe plusieurs combinaisons possibles, mais « Seth et Maât » est la plus probable puisque Seth rappelle le chiffre 7). D’ailleurs au tennis on retrouve le même principe avec « Jeu/Set et Match » que l’on doit transposer en J45 (10e lettre de l’alphabet et 7e consonne)/Seth et Maât.

• Lettre J que l’on retrouve également sur les cartes à jouer pour le Joker ou Jack ou le Mat (Maât) dans le tarot.

• Jack ou Jacques que l’on retrouve dans la bible46 (notamment l’un des demi-frères de Jésus Christ)

SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VRÉPUBLIQUE)

Introduction

Dès le début de ce dossier ou guide ont été abordés des points qui permettait de définir le système du cartel ou consortium selon la vision internationale. Ce qui nous a amenés à faire le parallèle avec le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse.

Cependant, ce qui nous importe c’est la situation française. Il se trouve qu’à bien des égards la France (non pas le peuple) est la représentation alter de ces deux mythes.

Si l’on considère la version biblique, dans ce cas notre République serait la variation terrestre de la bête aquatique et sa morphologie (tête de lion et pattes d’ours) est expliquée dans le dossier X, tout comme l’alter du Léviathan — ou Tarasque Gasconne — le sera.

Si le système international mondialiste est polymorphe, change d’identité et de forme comme des reptiles peuvent muer ; c’est également le cas pour la France. Et pour être au plus proche de notre réalité, l’idée de comparer la République française à la prostituée biblique est également valable.

Ce qui peut différencier l’une ou l’autre des comparaisons est la période ou l’époque. Sur le principe de la géochronologie qui permet d’ordonner et classifier les étapes de vie de la terre47, l’influence du cartel sur la France pourrait ressembler à ceci :

Terre France analogie
Éonothèmes Éons Antérieure à la monarchie X
Érathèmes Ère Apparition de la Monarchie48 X
Systèmes Période De 1789 à nos jours Boîte de Pandore
Séries Époque VRépublique Tarasque
Étages Âge Dictature Sanitaire/Dominat/Mandat Emmanuel Macron Prostitué /Babylone

Ce tableau est très schématique, voire réducteur, mais il pose le décor. Sur le principe de la fractale qui reproduit un même modèle partant de l’infiniment petit à l’infiniment grand, l’inverse existe. De même que la boîte de Pandore et la Tarasque pourraient être interverties. Ici, il ne s’agit pas de jouer la carte de la « quadrature du cercle », simplement de fournir des aides visuelles pour mieux appréhender l’ensemble du dossier.

a) La boîte de Pandore 49 50:

Sur le modèle des ovidiens la France a subi différentes mues. La question de savoir si elles ont été initiées pour de réelles bonnes intentions ou a contrario pour réinitialiser le système des élites ne se posera pas ici, du moins pas dans cette partie présentation.
Il est un fait entendu : la Révolution française n’est pas à l’initiative du peuple, mais a été orchestrée par les francs-maçons. Sachant que la franc-maçonnerie de cette époque n’est que la version « actualisée » de factions préexistante. Il y eut auparavant les templiers, la rose croix, les jésuites ; tout comme il y eut en des temps plus reculés d’autres influenceurs politiques, religieux, économiques qui tous puisent leur modèle 4000 ans avant notre ère.

Pointer du doigt la franc-maçonnerie demande une clarification. Lorsque l’on dénonce les actions des sociétés hermétiques, que l’on mentionne et spécifie la maçonnerie, la kabbale, les illuminati, ne sont visés QUE le haut du pavé. Le gratin, les hauts gradés, voire même au-delà : les inaccessibles.
Ceux « du bas » n’imaginent pas en entrant en loge qu’ils financent et alimentent un système mafieux.

De la même manière qu’en travaillant pour l’industrie pharmaceutique, la majorité d’entre nous ignoraient tout de l’envers du décor, de ce qui se trame en coulisse. Et c’est valable pour quasiment tous les secteurs, y compris les religions.

Pandore dépeinte comme étant la première femme de l’humanité par le poète Hésiode ouvre une jarre ou boîte contenant tous les maux et les vices de la terre qui s’en échappent… Il est dit que dans cette jarre se trouve également l’Espoir (véritable antidote). Seulement ce dernier, plus lent à se mouvoir, n’a pu empêcher les malheurs de s’abattre sur le monde et les hommes.
Transposer à l’histoire de France ; Pandore la jeune femme prend les traits de la Révolution française de 1789.
L’ouverture de la jarre ou de la boîte, nous la situons à l’époque napoléonienne et particulièrement la période des campagnes d’Égypte et Champollion. Cette période marque un tournant dans notre histoire puisque les cultes et rituels égyptiens seront implémentés dans les pratiques maçonniques d’origines indo-européennes.

À partir de ce moment, la franc-maçonnerie va durcir ses actions à l’égard du peuple, tout en étant secouée en interne par des jeux de pouvoirs et d’influence. Aujourd’hui le modèle politique français est calqué sur la République Romaine (héritage de la maçonnerie intracontinentale), en revanche les moyens utilisés pour faire appliquer et perdurer la République romaine — vantée à tort — comme vertueuse sont pour l’essentiel importés de la civilisation pharaonique.

Précision : les influences trans méditerranéennes sont antérieures à Napoléon Bonaparte puisque Paris — la capitale — doit son nom à un clan qui vouait un culte à Isis. (Parisis).
À force de lectures, l’hypothèse que les campagnes d’Égypte aient permis de réactiver des cultes et pratiques occultes perdus et plus que probable. Ce qui explique en partie, la mainmise et l’influence de la capitale, sans cesse croissante, sur le reste des territoires français (sont comptabilisées les colonies de l’époque).

Si d’aventure, certains ont cru pouvoir utiliser des pratiques et rituels occultes en se considérant plus forts et dans la maîtrise, sur le principe du Roi Salomon auquel les francs-maçons se réfèrent, il est clair que le résultat escompté est le strict opposé.
Cela nous ramène à la boîte de Pandore, car depuis lors la France n’a cessé d’être secouée par des conflits internes et externes, subi des mutations quasi génétiques dans ses us et coutumes, ses valeurs, ses mœurs.

Si toutefois le parallèle entre le vécu commun de la France et Pandore n’est pas convaincant, il existe bien d’autres confrontations possibles.
Entre autres le Conte « Aladin et la lampe merveilleuse »51. Si l’on considère que les francs-maçons et apparentés de l’époque se sont servis de pratiques occultes (et c’est le cas) à la manière d’Aladin frottant la lampe magique ; dans ce cas le génie qui en est sorti correspond aux vices de la boîte de Pandore.

Ce qui fait que la France a ouvert le bal d’une nouvelle ère : l’époque contemporaine par excellence. À force de recherches, d’enquêtes et de recoupements, notre conviction est que c’est depuis notre pays que c’est « échappé » le génie ; il est donc normal que celui-ci réintègre sa lampe au bout de 3 vœux. En l’occurrence, par vœux il faut entendre catastrophes. Et le compte y est.

Si l’on rapproche les fléaux qui se sont échappés de la jarre aux 3 vœux du génie et qu’on les transpose à l’Histoire de la France nationale et internationale :

• La 3e guerre mondiale que le médium patenté Jacques Attali ne cesse de claironner ne peut pas être déclarée. En effet, si l’on reprend l’ensemble de la géopolitique depuis la Révolution française, il se trouve que le premier conflit international partant du vieux continent européen est la guerre de 1870.52 Bien qu’à tort appelée « Guerre franco-allemande » ; le conflit en coulisse a été mondial et occulte.

Par « occulte », il faut véritablement entendre « occultisme ». Ce point est d’une importance capitale et fait le lien avec le dossier dans lequel sont décryptés les attributs officiels et surtout officieux de la France. En l’occurrence le Grand Sceau de France.

Pour faire simple, pour que les rites maçonniques soient efficaces, il fallait donner à notre pays une forme hexagonale qui reprend les célèbres sceaux attribués au roi Salomon.

• La guerre de 14-18 devient alors le second conflit international de l’ère contemporaine et par conséquent, à partir de 1939 débute l’ultime conflit mondial. N’en déplaise à certains, mais depuis 1939 le monde n’a jamais plus connu la paix et par le système des vases communicants et surtout de l’OTAN ; nous avons toujours été en guerre. Nos soldats ont toujours mené des combats. Ceux des autres nations également. Seuls la géographie et les sites des conflits ont évolué au gré des intérêts du cartel mondialiste.

• Les bonnes nouvelles — car il y en a — sont que nous sommes à l’aube de voir cette 3e guerre mondiale se terminer. Jacques Attali et son prédécesseur Aleister Crowley53 et tant d’autres prédicateurs ayant mis tellement d’énergie à nous endoctriner, nous faisant croire en une paix retrouvée alors que cela n’a jamais été le cas doivent « l’avoir mauvaise », et certains même [doivent] se retourner dans leurs tombes. Les autres tentent autant que faire se peut de maintenir la chape de plomb sur nos têtes et dans esprits.

• Quant aux autres fléaux, fonctionnant par 3 eux aussi, le principe est le même lorsque l’on considère exclusivement « l’ère moderne » depuis la Révolution française, ou le XXIe siècle. Les crises sanitaires, le cycle amorce son déclin (crise covid) ; les crises économiques qui fonctionnent par séquence de sept ; nous sommes dedans…

En revanche, si l’on a pris le pli de comparer la situation de la France au mythe de Pandore et au conte des mille et une nuits ; il faut comprendre également que la France est l’équivalent de la jarre/boîte et de la lampe. Fléaux et génie doivent donc rentrer au bercail. Ce qui signifie que notre pays sera très probablement celui qui sortira de l’emprise en dernier lieu.

b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne54 55

Dans la mythologie, dans les ouvrages religieux et plus proche de nous à travers l’ensemble de l’histoire de France nous pouvons attester du fait que celle-ci représente l’alter ego terrestre de la bête de l’Apocalypse version française et occitane. La légende la décrit comme une bête s’apparentant au dragon, au crocodile et au serpent. Une description proche donc du monstre biblique.

Cet animal chimérique est fêté en pays gascon depuis le moyen-âge. Semant la terreur dans la région — comme d’autres légendes sur le territoire — elle fut vaincue par une jeune femme. Cette allégorie est d’emblée a rapprocher d’une lame des jeux du tarot d’inspiration maçonnique : La Force.
Cette légende appuyée par la lame du tarot est à mettre en miroir avec notre actualité… qui ne fait que se répéter depuis des centaines d’années, où la bête serait la personnalisation du système mondialiste franco-français (le cartel) et la jeune femme présente sur les deux supports (la légende et le jeu de cartes divinatoire maçonnique) incarnerait la France. Mais attention, il s’agit ici du peuple français, pas de la République. Doit-on rappeler que la Ve République EST la tarasque ? Du moins c’est ainsi que nous la décrivons.

Si l’on s’appuie sur des références mythologiques ou mythiques, ce n’est pas un hasard. Elles ont traversé les époques et sont connues de tous sinon du plus grand nombre et permettent de faciliter la rédaction du dossier. Ainsi donc Pandora et la bête gasconne ne font elles qu’une. La boîte renfermant quant à elle les fléaux qui nous accablent depuis la révolution et surtout on le répète depuis la campagne d’Égypte.

Seulement, c’est avec la Ve République que cela s’est amplifié et accéléré jusqu’à son paroxysme en 2017 où d’un système félon nous sommes passés à une réelle dictature. Ce qui rapporté aux systèmes politiques de la Rome Antique revient à emporter sciemment le pays d’un « principat »56 à un « dominat »57. Autrement dit d’un système de République romaine (non démocratique, mais qui se désigne comme telle) à une tyrannie basée sur le culte de la personnalité, toujours sous la bannière de la République ce qui est le cas à l’heure actuelle.

c) La prostituée biblique : La France sur le trottoir depuis 1958

Lévitique 19:29
Concept des Versets
« Tu ne profaneras point ta fille en la livrant à la prostitution, de peur que le pays ne se prostitue et ne se remplisse de crimes. »58

Et ce quinquennat, c’est tout naturellement qu’on le compare à la prostituée de la bible. Chaque notion abordée dans ce dossier de présentation fait l’objet d’approfondissements que l’on a autant que faire se peut regroupés dans des dossiers spécifiques. Les chapitres suivants abordent le mode de fonctionnement du cartel mondialiste et français selon deux modèles vivants bien réels cette fois-ci.

Dans les faits — on l’abordera dans le dossier 3 — la fille en question est la France. Et, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a été livrée aux proxénètes du cartel mondialiste dès l’entrée en vigueur de la VRépublique.
Passant d’Escort girl pour clients argentés au trottoir depuis le quinquennat d’Emmanuel Macron.

LE N.OM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE
DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

Quelques informations sur la Serpula lacrymans ou Mérule :

La Serpula Lacrymans est une moisissure ou un champignon de la famille des Mérules59. Connue depuis des millénaires pour les ravages qu’elle peut provoquer, elle est même citée dans la Bible.
Ce champignon dévoreur de cellulose peut « digérer » l’intégralité d’un bâtiment selon un mode bien particulier.
La Serpula lacrymans s’implante sur des sites et structures créés par l’homme, c’est pour cela qu’elle est peu répandue en pleine nature. Il existe cependant des variétés « cousines » de cette moisissure.

Lorsque le champignon investit un lieu, il commence par s’attaquer in situ à la cellulose des structures en bois (plinthes, poutres, charpente…).
Rapporté au Nouvel Ordre Mondial cela correspond à la « l’épisode d’infestation endogène » que nous développerons ultérieurement.

Arrivée à maturation sur site, la Serpula lacrymans va développer des spores qui se propageront facilement du fait de leur légèreté. C’est l’équivalent de la « Phase 2 » ou Réplication » pour le Nouvel Ordre Mondial.

Une autre particularité de la moisissure pour se propager de proche en proche cette fois-ci est qu’elle développe des cordons mycéliens (rhizophores), sorte de filaments qui permettent au-delà de l’expansion à partir du site primaire d’infestation de transporter de l’eau.
Ce principe qu’extension par filaments est celui que nous développerons en « Phase 3 » ou expansion exogène.

À noter, la Serpula lacrymans s’attaque également à d’autres matériaux tels que ciment, plastique fragilisant encore plus les structures. Les traitements existent, notamment un champignon antagoniste Trichoderma ou va jusqu’à la destruction pure et simple du bâtiment.

Dans les paragraphes suivants, nous allons créer des passerelles entre le mode d’implantation et de développement de cette moisissure et les méthodes du Nouvel Ordre Mondial pour infester, se cloner et enfin se répandre de proche en proche jusque dans les foyers.

Nous nous appuierons sur des exemples concrets, et nous en varierons les secteurs pour vous permettre de mieux en cerner l’ampleur.

Cette carte de la métropole indique les zones à risques et les zones particulièrement sensibles voir infestées par ce champignon. Il est intéressant de voir quelles sont celles qui figurent en rouge : Paris et la pointe Bretagne. L’ironie est que cela est proche de la réalité de l’implantation du nouvel ordre mondial actuel.
En effet, si pour Paris cela ne fait aucun doute, puisqu’il s’agit de la capitale, pour la Bretagne c’est tout autant le cas. Il se trouve que c’est le fief de Jean-Yves le Drian — l’un des personnages les plus impliqués et assurément des plus compris de la Ve République qui a pour ainsi dire récupéré « en sous-marin » l’ensemble des territoires bretons en 2020 pour service rendu au Nouvel Ordre Mondial.

Si l’on se permet d’écrire ceci, c’est évidemment que l’on a trouvé des éléments plus qu’intriguant le concernant. Et lorsque l’on fait un regroupement d’informations concernant les activités et la carrière de ce ministre au gouvernement actuel, cela laisse peu de place au doute. (Voir dossier 3)

a) Phase 1 : « Infestation exogène » du N.O.M selon le principe de la Mérule

Lorsque l’ennemi de l’Humanité agit, il commence par s’implanter in vivo dans un secteur, un système politique, religieux… dans tous les secteurs en réalité.

Ce qui est valable pour chaque individu est valable pour des « organismes » bien plus étendus, puisque c’est un mode « Fractal ».

Historiquement et depuis des millénaires, ce modus operandi n’a jamais changé. Seule la forme a évolué avec son temps, mais le schéma est identique et reproductible.
C’est par exemple, pour notre histoire de France le cas de traître qui tirent les ficelles du pouvoir politique royal ou présidentiel. Les illustres et fameux « conseillers ». Mazarin, Pompidou, Attali pour ne citer qu’eux.

Des femmes également interviennent bien plus souvent qu’il n’y paraît.

Dès lors que l’EMPRISE (anagramme d’empire) opère, le Léviathan ou la mérule sont derrière. Ce qui est valable de nos jours existait donc chez peuples d’Asie (Attila et sa politique de la Terre Brûlée), en Amérique du Sud (anciennes civilisations toltèques et mayas) en Europe.

Cette EMPRISE est la Phase 1 de l’implantation du Nouvel Ordre Mondial, puisque c’est son nom désormais.

« Des spores » ou émissaires du système mondialistes vont s’implanter dans un secteur de préférence solide et porteur. Un secteur ayant pignon sur rue ou ayant l’approbation de la population, voir la confiance.

Ainsi, des grandes religions, des secteurs tels que les syndicats, les industries, la politique se voient infestés par des porteurs d’idées, de concepts du N.O.M. Ce fut probablement le cas de la franc-maçonnerie qui s’est vue elle aussi infestée et dupliquée pour donner ce système à double vitesse : celui du bas de la pyramide maçonnique et celui des hauts initiés (parfois non connus des hauts gradés eux-mêmes).

Si l’on prend l’exemple d’une entreprise florissante : elle se verra sans le savoir initialement embaucher des personnes dont l’objectif correspond au développement de type moisissure.

« Porteurs d’idées novatrices et ambitieuses », ces émissaires vont radicalement changer le sens premier de l’entreprise jusqu’à la rendre méconnaissable par les premières personnes concernées : les salariés et ceux qui sont les créateurs initiaux de ses grandes sociétés. Développement à croissance exagérée, et artificielle (avec la complicité des systèmes bancaires).

Se faisant, l’infestation se développe. En général, il faut compter des périodes de 7 ans, rarement 7 mois entre la primo-infestation et la ruine du secteur ou entreprise (notons ici que la durée des mandats présidentiels était de sept années).

C’est exactement ce qui s’est passé dans mon entreprise. Celle où j’ai débuté ma carrière dans le secteur de « industrie pharmaceutique, sans m’étendre sur le sujet. Une entreprise phare qui a intégré dans son équipe dirigeante à la maison mère un ancien Rothschild (et accessoirement ayant été membre du Savour Club60) désormais PDG d’une structure exclusivement Biotech. Une « spore » en quelque sorte n’agissant pas seul évidemment.

Une croissance anormalement rapide en 7 ans (notez la base 7) boostée par 7 banques, pour finalement aboutir à un démantèlement total du groupe et des milliers de salariés et cadres sur le carreau. Certains s’en sortiront mieux que d’autres d’autant que le dépôt de bilan et la cessation du groupe intervenaient exactement au moment où les mesures prises par Pierre Bérégovoy commençaient à être appliquées, entraînant une refonte totale du paysage de l’industrie pharmaceutique : réduction des effectifs terrain, Charte des bonnes pratiques, obligation de diplômes pour l’information médicale auprès des prescripteurs…
Avec du recul et surtout en faisant le lien avec l’ensemble des éléments récoltés, je suis convaincue que mon entreprise a servi d’exemple pour l’ensemble du secteur de la prestation.

Le fait que le groupe ait été placé en liquidation judiciaire le 17/01/2007 compte tenu de l’importance qu’accordent les francs-maçons, la kabbale et l’ensemble de ces formations hermétiques ne fait que me convaincre plus encore.

Et si l’on compare avec d’autres secteurs, comme l’informatique, l’industrie textile… c’est exactement la même chose, le même schéma. D’un autre côté, c’est le seul que le cartel reproduit depuis plus de 6000 ans.

Pour faire simple, parmi les « spores » nous retrouvons des personnes issues de la sphère Rothschild (banque et Savour — ex Savour Club — qui en cherchant plus d’informations posent plus que des interrogations sur la réalité de cette société très en lien avec la Chine depuis l’accord passé entre la France et ce pays par Monsieur Raffarin alors Premier ministre, Christine Lagarde entre autres. Ce sujet sera abordé en annexe), mais aussi des personnes désormais — en 2021 — en affaire avec Hong Kong.

b) Phase 2 : « Cycle de Réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule

Cette deuxième Phase de processus de la Serpula Lacrymans rapporté au Nouvel Ordre Mondial intervient lorsque le site d’infestation n’a plus de nourriture à apporter. Techniquement cela se résume en deux principes :

  • l’ensemble de l’édifice ou société (ou secteur public/privé) est exsangue de savoirs et compétences. Le NOM n’a plus rien à apprendre du site infesté.
  • Les spores ont proliféré et pour survivre la Serpula lacrymans va alors se répliquer ou dupliquer au moyen de ses spores initiales et de ceux qui se seront développés au sein même de la structure.

Rapporté à l’exemple vécu : cela revient à après liquidation judiciaire du groupe à voir l’ensemble des salariés disséminé. Que ce soient ceux qui étaient « du bon côté » du secteur de l’industrie pharmaceutique, mais aussi « les Spores » initiales et les jeunes pousses.

En toute logique, ces spores vont intégrer d’autres structures et procéder de la même manière. Infester le milieu en « ingérant les savoirs et compétences » intrinsèques de chaque entreprise (publique ou privée). Se les approprier pour ensuite les cloner tout en sabordant à nouveau. On constater généralement des liquidations rapides après n « sauvetage artificiel » pour les entreprises en difficulté. Ce qui est l’autre versant de l’infiltration du système mérulaire après celui de la croissance anormale (que l’on peut comparer à la fable de « la grenouille et le bœuf » de la Fontaine). Ce qui nous amène à la « phase 3 » du système d’expansion du nouvel ordre mondial selon le modèle de la serpula lacrymans.

c) Phase3 : “Expansion exogène du N.O.M selon le principe de la Mérule

Le système d’expansion de proche en proche étant de manière préférentielle celle des initiés aux arcanes du Nouvel Ordre Mondial. On parlera ici des « Spores » initiales qui elles resteront sur le même segment d’exercice, mais sur le mode « Phase 3 » du développement de la Mérule.

Ces individus, une fois le « sale boulot » effectué ne seront pas inquiétés. Au contraire, ils feront comme pour tous les autres secteurs économiques et a fortiori en politique « un crochet » dans leur carrière.

Entendez par là qu’ils trouveront un poste similaire dans des structures proches de celles qu’ils ont mises à sac. Cependant, les enjeux ne seront pas tant de viser des entreprises ayant pignon sur rue comme le consortium français. Disons plutôt que la nuance réside dans le fait que les structures « tampon » permettent de ne pas avoir de rupture sur les C.V. tout en maintenant la « philosophie » du NOM : fragiliser des entreprises, soit pour les détruire, soit pour les faire absorber par de faux concurrents… ou enfin pour permettre le clonage des structures initialement allopathiques (voir homéopathiques) en laboratoires orientés biotechnologie chapeautés par un cabinet-conseil américain l’ERDYN61 62 63

Nous mettrons l’accent sur ce cabinet-conseil ayant des succursales à Paris, Rennes et Lyon dans notre troisième partie du Guide Stratégique. Et également dans le dossier conjoint puisque dans le volet « Littératie appliquée à l’éducation nationale », le rôle de ce cabinet-conseil auprès du ministère de l’Éducation nationale est expliqué

En effet, cet élément fait partie des Biais que nous avons trouvés au cours de nos enquêtes, notamment pour ce qui concerne un sujet qui nous touche particulièrement : les jeunes et la pression mise sur eux dans le cadre du système scolaire.

Particularité de ces personnes généralement placées en haut de l’organigramme : elles ont toutes des activités annexes en lien avec des actions philanthropiques ou de promotion du « savoir-vivre à la française » qui d’une façon ou d’une autre nous ramène au groupe Rothschild. Certaines déposent même des « noms de marques » à l’INPI (sujet troublant qui si nous en avons l’occasion fera l’objet d’une annexe).

Quoi qu’il en soit, tous et toutes gravitent de près ou de loin avec la Chine et le commerce lié au secteur viticole via le Savour Club. Ce club nous interpellant lui aussi, vu les noms importants et leur influence dans le secteur des fonds de dotations comme le Thôt.64 Dont on a placé en références un document extrait du Journal Officiel (Rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels 2010) Détail pour le moins intéressant : la page Wikipédia « Fond de dotation Thot » a disparu. Ce qui n’est pas dramatique puisqu’elle avait été archivée et sera mise en annexe. Sachant que les dirigeants de cette structure franco-suisse ont dirigé les regroupements de mutuelles comme MMA et ont été également occupés des postes clés au Savour Club plus d’autres informations pour le moins incontournables de nos jours, il y a fort à parier que de plus en plus d’informations vont disparaître de la toile. Il est d’autant plus intéressant d’aller y voir de plus près sur ce qu’est un fond de dotation65.

Sur le principe de la mérule, lorsque plusieurs après le début des enquêtes nous essayons de trouver des informations sur ce désormais mystérieux fond, on trouve ceci :

• L’école THOT66 pour « Transmettre un Horizon à Tous ». Par principe, tout ce qui est d’inspiration ancienne Égypte, gréco-romaine et spécifiquement les dieux, le domaine apicole, vinicole sont liés au nouvel ordre mondial. Concernant cette école, on ne saurait que trop vous conseiller d’aller sur le site et de bien regarder ce qu’il en est. En veillant à bien lire chaque page sans oublier les rubriques qui se trouvent tout en bas et qu’on ne lit jamais.

Ici a été reproduit le plus fidèlement possible le processus de la Serpula lacrymans ou Mérule rapporté à notre société au sens large. Cela implique tous les secteurs économiques, politiques, religieux en France comme à l’international. Et pour donner un autre visage à cette organisation criminelle, c’est avec le BLOB que nous terminerons de définir l’anatomie du Nouvel Ordre Mondial.

Le Blob

De tous les articles que j’ai lus sur cet organisme vivant de la famille des amibes, c’est celui du site « Vikidia »67 qui est le plus intéressant et riche d’informations. Terminer la description du nouvel ordre mondial en le comparant au Blob permet de véritablement se représenter ce cartel aussi bien sur le fond que sur la forme.

Il est plus que conseillé d’aller consulter le site mis en référence bas de page ; vous y trouverez beaucoup de schémas, des vidéos pédagogiques et si l’on remplace le terme Blob par « Nouvel Ordre Mondial », nul doute qu’il sera plus facile de cheminer tout au long de l’enquête.

Anecdote, c’est l’engouement des sites médiatiques mainstream qui a attiré notre attention. « Trop de tapage » en quelques sortes, et surtout un schéma récurrent du discours unique qui occulte totalement le fait que ce blob n’ait pas tout dit de lui. La force avec laquelle les scientifiques — notamment du CNRS — promeuvent cette « chose » ; le fait qu’elle soit commercialisée et en vente libre, et spécifiquement sous forme de « Kit laboratoires » à destination des jeunes, n’a fait que nous alerter… Une fois de plus.

Ce qui suit sont des extraits du site Vikidia, la seule modification apportée sera l’ajout des termes « Nouvel Ordre Mondial », « cartel » ou tout autre déterminant.

a) Sommaire du site Vikidia

b) Définition

‘Physarum polycephalum (Nouvel Ordre Mondial), plus communément appelé blob, est une espèce de myxomycète faisant partie de la famille des Physaraceae et du règne des Amoebozoaires (comme l’amibe). Ce curieux organisme est composé d’une seule et unique cellule géante. Bien que dépourvu de cerveau ou de système nerveux, cet organisme vivant est tout de même capable d’apprendre. Ce n’est ni un animal, ni une plante, ni un champignon. Il vit dans les sous-bois depuis plus d’un milliard d’années. À l’état naturel, il se nourrit de bactéries et de moisissures (champignons). En laboratoire, les scientifiques leur donnent des flocons d’avoine, mais ils se nourrissent en fait des bactéries présentes sur l’avoine. Il existe plus de 1 000 espèces différentes de blobs.’

c) Reproduction et cycle de vie

Reproduction

“Le blob (Nouvel Ordre Mondial) est, comme nous, issu de la fusion de deux cellules sexuées. Elles ne sont pas appelées ovules ou spermatozoïdes, car le blob possède 720 sexes différents (équivalant au principe du polymorphisme énoncé ultérieurement). Une fois dans un milieu humide, ces cellules sexuées (appelées spores — individu infiltrant un système publique/privé ; une entreprise, une association, un mouvement populaire. Principe déjà évoqué par l’analogie avec la serpula larcymnans…) comme pour les champignons) partent en quête d’une cellule de type sexe différent. Avec plus de 720 possibilités, la tâche est plutôt facile. Lorsque deux cellules de sexes différents (appelés gamètes) se rencontrent, elles fusionnent pour devenir une cellule unique (œuf). Mais là, contrairement à nous, la cellule ne va pas se diviser, seul son noyau va le faire (phénomène de duplication ou clonage du nouvel ordre mondial. Par exemple, l’industrie pharmaceutique allopathique a été dupliquée ou clonée. Ils gardent “leur apparence initiale”, conservent le même nom ; la même vitrine, les mêmes axes de communication puis le remplacement se fait progressivement pour migrer vers la biotech exclusivement. C’est le cas pour tous les laboratoires y compris ceux dont on n’entend plus parler comme Servier) Le blob grandira donc au gré des divisions de ses noyaux jusqu’à atteindre des tailles record”. (C’est le principe de la phase 3 expliqué avec la mérule)

Plasmode

La principale phase du blob (du cartel) est le plasmode, ou plasmodium. Ce plasmode est constitué de réseaux de veines qui assurent la distribution des nutriments (par nutriments il faut comprendre systèmes bancaires, prosélytismes idéologiques, informations/désinformations au moyen des supports adaptés à l’époque. Manuscrits, imprimerie, télévisuelle, audiovisuelle…), et de nombreux noyaux (par exemple : si les Nations unies sont le « noyau source » ; les « nombreux noyaux » dans le descriptif correspondent à l’ONU, l’OTAN, l’OMS…) C’est au cours de cette étape que l’organisme cherche de la nourriture (nous, en individuel et/ou collectif). Le blob (Nouvel Ordre Mondial/ la franc-maçonnerie…) entoure sa nourriture (toujours nous) et sécrète des enzymes pour la digérer (guerre, épidémie, famine, Traffic en tout genre, atteintes à la dignité touchant tout le monde vivant : faune/flore/humanité…). Ce procédé est appelé phagocytose. Si les conditions environnementales entraînent la déshydratation du blob lors de l’alimentation ou de migration, il se formera alors un sclérote. Le sclérote est constitué de tissus très renforcés servant de stade de dormance, assurant ainsi la protection du blob pendant de longues années. Une fois les conditions favorables revenues, le blob réapparaît pour poursuivre sa quête de nourriture (c’est comme cela que ce cartel a traversé les temps, alternant des périodes actives et des périodes de sommeil). D’un point de vue historique, on peut rapprocher ces périodes de « dormance » — façon Hibernatus (ou cryogénie chère à Laurent Alexandre) — aux disparitions subites des civilisations majeures et de leurs cultes. Mésoaméricains/Egyptiens/Grèce antique/Sumériens… Un détail, lorsque cette « organisation » se réveille, elle reprend son cycle, mais adapté à l’époque. C’est pourquoi on passe du « nouvel ordre du monde » dans la Genèse au « Nouvel Ordre du Monde » au XXIe siècle).

Sporification

« Quand les réserves alimentaires sont épuisées et qu’il a atteint une taille suffisante, le blob (l’organisation, les 1 %) entre en phase de reproduction. Des poches contenant les spores (sporocystes) se forment dans le plasmode (voir le chapitre serpula lacrymans). Elles se forment habituellement à l’air libre pour que les spores soient dispersées par le vent (entendez par là que tout est fait à la vue de tous, comme, par exemple, l’ensemble de la politique d’Emmanuel Macron qui finit de saccager la France. Annoncé en amont par Jacques Attali qui “habitue” les gens à vivre des catastrophes. Cela concerne également les entreprises qui essaiment à tout vent…) Les spores peuvent rester viables pendant des années. Lorsque les conditions environnementales sont favorables à la croissance, les spores germent et libèrent des cellules flagellées. Les cellules fusionnent ensuite pour former un nouveau plasmode ». (C’est le cas actuellement avec le mouvement néonazi qui de groupuscules épars « insignifiants » a fusionné avec une autre cellule pour donner le gouvernement actuel en Ukraine)

Schéma décrivant le cycle de vie du blob.

Il ne s’agit pas de décliner l’ensemble de l’article ici. Simplement de vous donner un aperçu de la transposition qui peut être faite entre cet organisme particulier et les élites mondialistes.

Concernant le chapitre « La personnalité chez les blobs », il est intéressant de noter que selon les continents le mécanisme d’un organisme à un autre diffère. Par exemple, dans l’article en s’appuyant sur les travaux d’Audrey Dussutour68 et David Vogel, on apprend que certains blobs sont cannibales.
De la même manière, il apparaît que les surfaces d’infestation diffèrent selon le type d’amibes.

Les volets « Apprentissage et mémoire » et « Anticipation » ne peuvent pas être mis de côté. Sur le même principe, ils seront recopiés intégralement et des translations en lien avec le Nouvel Ordre Mondial seront ajoutées.

Apprentissage et mémoire

L’expérience de Toshiyaki69 sur l’optimisation d’un réseau.
Le blob apprend en l’absence de cerveau. Dans un article publié par l’équipe d’Audrey Dussutour dans une revue scientifique internationale. « Le segment de la mémoire du blob est la substance elle-même, résume la chercheuse. C’est un peu comme si pour apprendre ses devoirs, un élève devait les manger ». Malgré sa simplicité apparente, le blob démontre une forme d’intelligence primitive. Il est ainsi capable de trouver le chemin le plus court dans un labyrinthe, de former des réseaux optimisés ou d’équilibrer son régime alimentaire. Une étude réalisée par le professeur japonais Toshiyaki Nagakaki démontre que le blob est capable d’optimisation. Il disposa des flocons d’avoine sur une surface de manière à reproduire le réseau ferroviaire japonais. Il y plaça un blob et observa la façon dont celui-ci relie les différentes sources de nourriture. Le résultat fut surprenant : le blob avait créé un réseau mieux optimisé et plus efficace que le réseau japonais en seulement 24h, alors que des ingénieurs avaient passé plus de 50 ans à le concevoir ! Et même si une rame était inutilisable, il était quand même possible de relier le tout.

Anticipation

En générant de façon répétée des stimuli de chaud et de froid au blob et ce avec 60 minutes d’intervalle, des biophysiciens de l’Université d’Hokkaidō (dont le professeur Toshiyaki Nagakaki) ont découvert que le blob peut anticiper ces stimuli en y réagissant même quand ceux-ci étaient absents. Ils ont également montré que ces résultats pouvaient être obtenus en appliquant les stimuli avec un intervalle de 30 ou 90 minutes.
Ce paragraphe est intéressant si l’on considère que par anticipation et mémorisation les élites mondialistes connaissent mieux la nature humaine que nous. Ce qui permet par exemple de savoir exactement « où, quand, comment » procéder pour mener l’humanité exactement comme elles l’entendent.
En agissant sur les instincts primaires (survie), rien de plus facile en effet que de provoquer des psychoses généralisées (pandémie/guerre/écologie…). Si en plus cet organisme a développé des outils pour absorber les mémoires collectives en quelque sorte, l’exercice est enfantin.

L’expérience de Toshiyaki sur l’optimisation d’un réseau.

Parmi les éléments mis à disposition du public visé dans l’article (les 8-13 ans), il en est qui ne doivent pas être mis de côté :

  • Sont référencés plus de 1000 espèces de blobs à travers le monde.
  • Ils sont présents sur tous les continents, mais aussi dans le milieu aquatique et dans des zones où les températures sont extrêmes (déserts/glaciers).
  • Des recherches sont faites en robotique pour « coupler » ces organismes primitifs à des robots. Voir page suivante.

« À Bristol, le professeur Andrew Adamatzky7071 utilise l’activité électrique du blob pour créer de nouveaux protocoles pour les robots. En greffant un blob à un robot, celui-ci se déplace en fonction des impulsions électriques du blob. Cette découverte permettrait à l’avenir de créer des robots capables de s’adapter constamment à leur environnement et de réagir et en conséquence, à la manière du blob. »

Ci-dessus quelques couvertures d’ouvrages d’Andrew Adamastzky. Lorsque l’on s’attarde sur ses recherches, et ses centres d’intérêt, que l’on met en parallèle les produits biotechnologiques (Pfizer, Moderna…) et que l’on regroupe l’ensemble des informations, émettre l’hypothèse que des savants fous puissent inoculer des spores en plus du graphène et autres HIV, semble être une piste sérieuse à explorer.

Pourquoi cette remarque ?
Si l’on en juge les propos tenus par Laurent Alexandre72, l’avenir de ces « privilégiés » est la cryogénisation. Sa crainte : que les générateurs et sources d’énergie tombent en panne.
Ce qui reviendrait à les transformer — lui et les autres — en momie dans son sarcophage high-tech façon Toutankhamon. Pourquoi ne pas imaginer que des scientifiques planchent sur le moyen de générer de l’énergie autrement et d’éviter la panne électrique comme le mentionne Laurent Alexandre ?

À force de récolter une somme conséquente d’informations (y compris scientifiques), cette projection qui consiste à préparer nos organismes à devenir des piles Duracell n’est pas à mettre de côté. Loin s’en faut. Et opérer à un switch du fer dans l’Hème (contenu dans l’hémoglobine) par du cuivre n’a rien d’une utopie.

Étudier ce personnage qu’est Laurent Alexandre73 a permis d’ouvrir des pistes d’investigations connexes — certes glaçantes — mais très efficaces. Rendez-vous dans le dossier « Reine Blanche » pour avoir plus d’informations.

Conclusion

En rapprochant le Nouvel Ordre Mondial d’organismes vivants comme la serpula lacrymans et plus encore le blob, on peut désormais avoir une projection physique et anatomique de ce cartel millénaire.

Il faut bien comprendre que les recherches nous amènent à explorer des vecteurs d’informations réellement disparates. Ainsi, lorsque l’on a visité les sites en lien avec l’informaticien Andrew (ou Andy) Adamastzky, sont ressortis des éléments récurrents et qui posent interrogations, avec entre autres cette volonté d’attribuer des termes dont l’usage entre dans le registre des sciences du vivant à des secteurs manufacturés (architecture, urbanisme, informatique). De la même manière, et sur le même site internet, on découvre que des termes propres à des insectes de la famille des hyménoptères (abeilles, guêpes…) aux humains, voire des rapprochements mnémotechniques qui font assimiler technologie et génétique. La capture écran de ce site catalan (Iaac : Institut d’architecture avancée catalan74) donne qu’un aperçu.

Une chose est certaine, on assiste à une réelle infestation de tous les secteurs selon le principe « mérule/blob » avec en plus des hybridations illimitées : où l’on mélange règne animal ou des insectes avec l’humain (selon l’idéal maçonnique) ; ou technologie et amibes sont couplées… il n’y a plus de limites. Le monde des chimères, des hybrides de tout type.

Pour les cinéphiles et les plus anciens d’entre nous, le Blob est un film d’horreur des années 50 avec l’acteur Steve Mc Queen où il est question d’un « monstre gélatineux dévorant tout sur son passage ». Film faisant écho à un livre de science-fiction « Invasion of the Body Snatchers » (l’invasion des voleurs de corps75). Il va de soi que l’on fait le lien avec cet ouvrage, plusieurs fois adapté au cinéma, non pas pour le côté « invasion extra-terrestre, même végétale » — bien que parfois il est à se demander si nos élites vivent sur la même planète — mais sur le modèle de clonage-réplication vu également avec la serpula lacrymans. À méditer.

Synthèse

Dans ce dossier de présentation, ont été placés des éléments de natures diverses qui tous sont en lien avec les pratiques du Nouvel Ordre Mondial sans exception. On a travaillé exclusivement à débusquer « les empreintes » laissées par le cartel français, pour ensuite les regrouper par thèmes.

Le reste du document réparti en dossiers à thématique vise, non seulement à en faire la démonstration, mais aussi, et surtout : donne des faisceaux d’indices, des hypothèses de travaux complémentaires et outils pour donner à tous ceux qui le souhaitent — experts, professionnels ou simplement des personnes désireuses de changer de paradigme — des moyens, des arguments permettant de les confronter.

L’objectif étant de comprendre « comment nous en sommes arrivés là ». Si l’ensemble des fichiers apporte des décryptages et une sélection d’éléments « à charge », l’un d’entre eux — a contrario — est une succession d’informations irréfutables qui donnera l’articulation, la chronologie ou le squelette du Plan français pour céder la France aux mondialistes.

Rapporté au jeu de stratégie des Échecs, cela revient en définitive à considérer ce dossier comme la « Reine Blanche » sur le damier ou à la lame de la Force dans le jeu des Tarots de Marseille ou Besançon (qui, on le rappelle ici étaient maçonniques pour l’un et dissident pour l’autre).
Plutôt que de rester focus sur notre actualité politique, sanitaire, économique ; ce dossier tout comme celui qui analyse le secteur de la Santé traitent les informations de façon panoramique sans distinction de temporalité ni de thème. En réalité, on a enquêté de façon globale, terme emprunté aux mondialistes du cartel.

Rappel :

• Si vous ne croyez pas en l’occultisme EUX si.

• Le système du cartel millénaire est millénaire et les informations sont disséminées sur toutes sortes supports : religieux, artistiques, politiques sans distinction d’époque, de culture ou de géographie (de tout temps et sur l’ensemble des continents) d’où la variété de références et illustrations.

« À cœur vaillant, rien d’impossible ».

On a mis nos vies entre parenthèses pour mener nos recherches et tout notre cœur pour monter ces dossiers. Ne reste plus qu’à vous souhaiter le meilleur et surtout de commencer à entrevoir des pistes de solutions.

[Voir aussi :
500 millions
La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
La synagogue de Satan]





Interviews autour du colloque sur les enfants dans la Dérive Totalitaire actuelle

[Source : infovaccin.fr]

Grâce au soutien des médias de réinformation, plusieurs des personnalités présentes et des intervenants ont donné des interviews saisissantes autour du colloque du 13 mai dernier sur les effets de la Dérive Totalitaire actuelle sur les enfants.

Nous allons enrichir cette page de ces interviews.

Merci de soutenir ces médias qui font le travail que les autres ne font pas.

Laurence Kayser

Extraordinaire interview par Epoch Times, le Docteur Kayser revient sur les aspects médicaux alarmants ce ce qui est imposé aux enfants.

Nos amis de Covidhub décortiquent cette interview ici : https://www.covidhub.ch/effondrement-natalite-pays-tres-vaccines/

Ariane Bilheran et Amandine Lafargue

Les deux psychologues de haut vol répondent clairement, humainement et utilement aux questions de Kaïros. Elles reviennent notamment sur les directives de l’OMS, et les mensonges sur le fait que les enfant auraient une sexualité, et expliquent des points cruciaux pour tout parent et tout citoyen.



Ariane Bilheran

Dans une interview relativement courte, Ariane répond aux questions de la Chaîne Humaine, notamment sur les raisons d’organiser ce colloque et sur la propagation des traumatismes et des problèmes profonds dans les dérives actuelles.

Senta Depuydt

Senta répond aux questions des Dépêches Citoyennes, tirant la sonnette d’alarme sur des points troublants, autour du totalitarisme notamment :




France — Agitation autour du professeur Raoult

Mise à jour :


[Source : Jean-Dominique Michel]




[Voir aussi :]

https://www.francesoir.fr/societe-sante/enieme-deformation-mediatique-raoult-vaccin

Énième déformation médiatique des propos du Pr Raoult, à propos de l’efficacité du vaccin anti-Covid: le point avec le Pr Parola de l’IHU-Méditerranée

POLÉMIQUE – Attendus avec la plus grande attention du grand public, les propos du Professeur Raoult sont toujours auscultés à la fois par les raoult-sceptiques et ses partisans. Les esprits de tous ont été marqués depuis le début de la pandémie avec les nombreuses publications de l’IHU-Méditerranée, qui a été à la pointe du soin et de la recherche contre la Covid-19. 

Certaines de ces publications ont fait l’objet de controverses médiatiques, notamment à propos de l’efficacité de la bithérapie (combinant hydroxychloroquine et azithromycine), proposée dès mars 2020 et prescrite au sein de l’établissement public dans le cadre d’un protocole de soins méticuleux. 

Afin de répondre aux critiques et de faire taire les fausses informations à ce sujet, l’équipe de l’IHU Méditerranée et le professeur Raoult ont décidé de faire certifier les données par huissier de leur étude phare portant sur les 30423 patients soignés à l’IHU. Ces dernières, mises à disposition du public, démontrent une indubitable efficacité du traitement. 

Cette certification est une première en science. Alors que les notions de consensus et de disputatio scientifiques sont malmenées à notre époque, notamment au sein des médias dominants ou par des experts qui peuvent entretenir des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et refusent tout débat pluriel, elle permet de répondre à des besoins essentiels en matière de transparence scientifique. 

Une transparence qui engage de facto le monde médiatique à vérifier l’information, y compris par conséquent dans le domaine de la science, qui est désormais particulièrement exposé aux raccourcis et à diverses fausses nouvelles. L’exemple du LancetGate en est l’épisode le plus représentatif

Hélas, les actes de désinformation ou de mésinformation se poursuivent. Un article de Cyprien Cini et Joanna Wadel, publié le 24 mai 2023 sur le site de RTL, titre : « Didier Raoult admet que le vaccin est efficace ». En sous-titre, on peut lire :  « Dans un entretien accordé à UPR TV, la chaîne YouTube de François Asselineau, le microbiologiste reconnaît les vertus du vaccin contre le Covid-19″.   

Selon cet article et son interprétation de propos (isolés) tenus lors d »un entretien réalisé auprès du président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), une sorte de couperet tombe et signifierait un changement de direction à 180° réalisé par le professeur Raoult : « Après deux ans et demi, le praticien admet enfin l’efficience du vaccin. »  

“Ces déclarations”, qui sont ainsi prêtées (fallacieusement) au professeur Raoult selon les auteurs de l’article au sein de cette présentation, “sont d’autant plus improbables qu’elles contrastent drastiquement avec ses prises de position des années précédentes : ‘Parmi les vaccinés, il n’y a pas moins de morts’, affirmait-il par exemple en 2021”.

Et les journalistes de conclure, dans un jugement aussi hâtif que définitif, au virement de bord du Pr Raoult. Cette « nouvelle » n’a pas manqué d’enflammer les esprits sur les réseaux sociaux avec de nombreux commentaires fusant de part et d’autre. La partisanerie, toujours stérile, s’est immédiatement exercée autour de l’affaire.

(…)

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccins-le-professeur-didier-raoult-reconnait-enfin-l-efficacite-des-medias-deformer

Vaccins : le professeur Didier Raoult reconnaît enfin l’efficacité des médias à déformer ses propos

POLÉMIQUE – Non, il n’a pas changé d’avis. Car cela n’est une question ni d’avis, ni d’opinion. Mais une question de science et d’observation. Dans une énième déformation de ses propos commise par la sphère médiatique mainstream (24/05), le professeur Raoult n’a ni annoncé “que le vaccin est efficace après avoir assuré qu’il ne servait à rien” (La Dépêche), ou “après l’avoir longtemps nié”.

Mea maxima culpa… ou pas

Non, il n’a jamais refusé “jusqu’alors de reconnaître tout effet positif au vaccin contre le Covid-19” (le JDD). Non, il n’a pas affirmé que “les gens qui sont vaccinés meurent moins que ceux qui ne le sont pas” (Sud Ouest). Non, il n’a pas “contredit notamment ses propos de 2021, où il expliquait qu’il n’y avait pas ‘moins de morts’ parmi les vaccinés” (Le Figaro). Non, il n’a pas fait de “mea culpa inattendu” (sic, CNews) ! 

La palme revient à la Voix du Nord qui pense expliciter le “déni sur la mortalité” (re-sic) du professeur marseillais : “C’est la première fois que Didier Raoult le dit aussi clairement et sans parler de tranches d’âge ou de public particulier.” Car c’est exactement sur ce point que les propos du professeur marseillais, ancien président de l’IHU-Méditerranée ont été dénaturés, déformés, raccourcis, coupés.  

Et bien, non, une fois de plus. La clef demeure justement liée à la question des tranches d’âges du public concerné par la vaccination anti-Covid-19. Au sein d’un entretien Débriefing accordé à France-Soir, le professeur Raoult rappelle ses positions, qui n’évoluent qu’en fonction de l’état de la science et de l’observation clinique, non à la convenance de son opinion.

(…)

Interview de didier raoult :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/hydroxychloroquine-traitement-efficace-covid-sabote-raoult

L’hydroxychloroquine, un traitement efficace contre la Covid-19 « saboté depuis le début » : « Il faut qu’il y ait une commission parlementaire à ce sujet », entretien avec le Professeur Raoult

DEBRIEFING – Dans le cadre d’un entretien en compagnie du Professeur Raoult, l’ancien président de l’IHU-Méditerranée évoque plusieurs sujets incontournables de l’actualité scientifique et médicale : l’étude rétrospective qui confirme l’efficacité du traitement par l’hydroxychloroquine (HCQ) chez les patients atteints de la Covid-19; la certification des données issues de cette étude, par huissier, afin de garantir leur transparence totale et leur accès libre à tous les scientifiques (via deux bases de données internationales, “l’une américaine, l’autre chinoise”); la déformation médiatique de ses propos au sujet des vaccins; la question de la surveillance de l’industrie pharmaceutique afin d’éviter ses dérives; mais aussi bien d’autres questions brûlantes…



(…)

https://www.francesoir.fr/societe-sante/reaction-pr-christian-perronne-cabale-raoult

Christian Perronne réagit à la cabale contre Didier Raoult: « Les traitements précoces fonctionnent, il faut être aveugle pour ne pas le voir »

SCIENCE/SANTÉ – Après la publication d’une étude rétrospective qui démontre l’efficacité de l’hydroxychloroquine (HCQ) en traitement précoce de la Covid-19, le professeur Raoult fait l’objet d’une nouvelle fronde. Les attaques proviennent notamment de sociétés savantes, à l’origine de tribunes, analyses et opinions, abondamment relayées par les médias mainstream sans aucune distance critique. 

Le professeur Perronne revient à chaud sur les nouvelles attaques faites contre le Pr Didier Raoult et son équipe de l’IHU-Méditerranée.



(…)




Maître Guyon, avocat : « Les dés sont pipés »

[Source : Nexus]

Maître David Guyon est avocat en droit public à Montpellier. Ces deux dernières années, il a défendu les dossiers de nombreuses personnes contestant les mesures prises dans le cadre de la crise sanitaire (confinements, couvre-feux, vaccination, pass sanitaire, suspension de la rémunération, indemnisation des préjudices subis en raison des mesures sanitaires).

Dans un entretien donné à Nexus lors du Conseil scientifique indépendant qui s’est déroulé à Saintes le 18 mai 2023, il revient sur la crise Covid et nous explique où en est actuellement la loi sur l’obligation vaccinale du 5 août 2021.

◆ On présentait les corps aux familles dans des cercueils… fermés !

Maître Guyon explique avoir obtenu une belle victoire : «  On a obtenu l’annulation de la « mise en bière immédiate » par le Conseil d’État qui a jugé cette mesure « disproportionnée ». Maître Guyon rappelle que lorsqu’on décédait en mars 2020, on ne savait pas si on avait le Covid. Conséquence :

« On plaçait le corps des personnes décédées dans une bâche en plastique, puis dans des cercueils fermés hermétiquement et on présentait aux familles uniquement des cercueils qui étaient fermés ! Est-ce qu’il s’agissait véritablement de la personne décédée ? On ne pouvait pas vérifier. »

◆ « Les dés sont pipés »

« Lorsque vous saisissez un juge, vous vous attendez à ce que le juge soit indépendant et impartial et qu’il applique les règles de droit. Aujourd’hui, le droit que j’enseigne à mes étudiants n’est pas le droit appliqué par nos juridictions. Parce qu’on a validé le pass sanitaire, le pass vaccinal, la suspension sans rémunération à durée illimitée, l’absence d’indemnisation pour les soignants qui ont été suspendus. Si on appliquait les règles de droit, nous ne serions pas dans une telle situation. »

◆ La suspension de la loi du 5 août et non l’abrogation

Par ailleurs, Me Guyon évoque le décret relatif à la suspension de l’obligation vaccinale paru le 14 mai 2023. Le 4 mai de cette même année, c’est l’abrogation de cette loi qui a été demandée par un groupe parlementaire et validée par le Parlement. La proposition de loi pour abroger l’obligation vaccinale est désormais en première lecture devant le Sénat.

Si aucune entente n’est trouvée entre les deux chambres, aux oubliettes l’abrogation de l’obligation vaccinale, c’est sa suspension qui perdurera :

« Si demain, la situation sanitaire se dégrade, si demain la Haute Autorité de santé prend un autre avis et recommande une nouvelle dose de vaccination », les soignants « pourraient être de nouveau suspendus sans rémunération par la simple édiction d’un nouveau décret. »

👉 Voir notre entretien de 20mn avec maître Guyon : 

https://www.youtube.com/embed/oQ3eO-T3avg

👉 Voir notre bonus avec lui sur l’obligation vaccinale :

👉 Lire notre dossier « Corruption et bureaucratie – L’effondrement du système de santé » dans notre numéro 146 actuellement en vente en kiosque et en ligne :

Entretiens par Marc Daoud et Estelle Brattesani
Montage par Armel Joubert des Ouches




Briser les murs

Par Lucien Oulahbib

Performance du 12 mai 2023 (théâtre Astrée Lyon 1) remastérisée le 30 mai, un voyage en et hors « lignes »…

Montage (vidéo, dessins) et musique de Nathan
Tableaux de Paul Rhoads
Textes (librement interprétés: avec quelques ajouts…) de Ionesco, Empédocle, Kafka, Orwell, Romains, Molière…
Extraits de l’œil brisé, Princesse Umma, Nim… Lucien Oulahbib :

https://www.google.com/search?q=l%E2%80%99%C5%93il+bris%C3%A9%2C+Princesse+Umma%2C+Nim…+Lucien+Oulahbib&sourceid=chrome&ie=UTF-8




Big Pharma œuvre-t-il pour la santé ?




500 millions

[Source et auteur : Lou Laurenz via PG]

Franc-maçonnerie, assassinat de Kennedy, 11 septembre, Apollo 11, guerre mondiale, Khazars… Tous ces événements [ou éléments] ont un point commun. Devinez lequel.

[Voir aussi :
Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattre — Rav Dynovisz
La fin du Nouvel Ordre Mondial avant la délivrance finale
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie
Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française
Rav Dynovisz : la délivrance finale viendra de France
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak
La synagogue de Satan
Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent
Remise en question de l’ascendance hébraïque et sémitique des juifs ashkénazes
L’importance de l’Ukraine pour le Nouvel Ordre Mondial
La guerre en Ukraine : La cinquième colonne en Russie et le clan Rothschild
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Liste des intervenants :
Stéphane Blet, Philippe Ploncard D’assac, Pierre Hillard, Henri Guillemin, Tony Miotto, Alain Soral, Pierre Dortiguier, Philippe De Villiers, Johan Livernette, Claire Séverac, André Fontaine, Aldo Stérone, Alexandre Havard.

[Note de Joseph concernant le prétendu virus du SIDA et les armes biologiques « virales » évoquées à un moment dans la première vidéo : celles-ci n’ont jamais pu se propager de manière naturelle et nécessitent une inoculation directe, le plus souvent sous forme de « vaccin » ; aucun virus pathogène n’a jamais été scientifiquement isolé, purifié et caractérisé. L’équipe de chercheurs allemands autour de Stefan Lanka offre un million d’euros au premier virologue qui sera capable d’isoler, purifier et caractériser ne serait-ce qu’un tel virus (censé produire une maladie dite virale). Le prix n’a pas encore été réclamé. Quand un virologue prétend isoler un virus, il ne fait que répéter un vieux rituel qui n’a rien de scientifique, mais ressemble bien davantage à une mauvaise recette de cuisine et ne permet nullement de démontrer scientifiquement la présence de virus pathogènes. Le séquençage génétique opéré en fin du rituel n’est qu’une opération logicielle, une escroquerie intellectuelle.
Voir notamment, dans le dossier Vaccins et Virus :
Pierre Chaillot : « Il est faux de dire que l’on a isolé un virus ».
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Commentaires sur le VIH de Montagnier
Démontage de la théorie virale
Déclaration sur l’isolement des virus
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
et L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle notamment ce qu’est la méthodologie scientifique).
En réponse à l’argument « Oui, mais les virus fabriqués en labos p4 ? », voir en complément :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
L’hypothèse virale pourtant démontrée fallacieuse, voire frauduleuse, perdure depuis des décennies au lieu d’avoir été abandonnée il y a 70 ans, car elle est le fondement d’une bonne partie des recettes financières de Big Pharma (l’autre partie étant la théorie mère, celle des germes pathogènes) et universellement enseignée aux médecins et autres personnels soignants lors de leur formation (ou endoctrinement) universitaire. Et c’est elle qui a notamment permis la justification des mesures prétendument « sanitaires », mais en réalité tyranniques et sanitairement nocives lors de la « plandémie » Covid-19. C’est par son biais que le Nouvel Ordre Mondial se finalise. Elle représente la pierre angulaire de l’édifice mondialiste.
Entretenir l’arnaque virale revient à favoriser la finalisation du Nouvel Ordre Mondial et l’établissement du totalitarisme planétaire. Tant que des gens ont peur de méchants virus pourtant inexistants jusqu’à preuve scientifique réelle du contraire, ils seront enclins à accepter les pires mesures contre eux-mêmes sous prétexte de santé et de sécurité. Pour que l’Humanité connaisse enfin la liberté, il faudra autre chose que seulement dénoncer les vaxins et leurs effets secondaires. Il faudra faire tomber la pierre angulaire qu’est l’hypothèse virale.]

[Mise à jour : la page source ayant ajouté une fonction de traçage, les vidéos ne peuvent plus être regardées adéquatement avec un navigateur qui bloque automatiquement les publicités et les fonctions de traçage (comme Brave). Pour pouvoir les regarder, il faut alors utiliser un navigateur configuré pour laisser passer les publicités et le pistage des visiteurs.]








Le rôle clé des ondes électromagnétiques

[Source : Jérémie Mercier]

Dans cette série d’émissions, on retournera au b.a.-ba de l’électromagnétisme, pour comprendre le rôle clé des ondes, et ce à tous les niveaux. Certaines ondes naturelles régulent la vie humaine et ainsi la rendent possible. Les ondes artificielles, quant à elles, en interférant avec les champs électromagnétiques internes à notre corps peuvent être délétères. En outre, la 5G rend possible la numérisation nécessaire pour un contrôle centralisé.

1re partie : les notions de base

Dans cette première partie, on verra comment la bataille des courants alternatif et continu a rendu possible et façonné le capitalisme financier à ses débuts, jetant la première pierre angulaire de l’édifice mondialiste. Puis on retournera à des notions de base pour comprendre ce que sont ces ondes et pourquoi elles sont si critiques pour le corps humain.

2e partie : Les ondes électromagnétiques artificielles

Dans cette 2e partie, nous verrons que les propriétés physiques de la plupart des ondes électromagnétiques artificielles diffèrent fondamentalement de celles des ondes naturelles. C’est en particulier le cas des ondes de la téléphonie mobile. Nous verrons aussi comment ces propriétés déterminent le mécanisme qui rend possibles des effets sur la santé, et quels sont ces effets.

[Voir aussi :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
http://ace-hendaye.over-blog.fr/2023/05/le-lobby-des-telecoms-domine-les-gouvernements-et-ceci-partout.html
et le dossier 5G et ondes pulsées]

https://www.youtube.com/embed/AbHNZXFHQpc



Pierre Chaillot : « Il est faux de dire que l’on a isolé un virus »

[Source : JDLM via Santé Globale]

Énorme intervention de Pierre Chaillot qui n’hésite pas à bousculer le formatage intellectuel de Corinne Reverbel et Christian Perronne en leur démontrant point par point qu’il est faux de dire qu’un virus a été isolé !

[Voir aussi :
Déclaration sur l’isolement des virus
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Démontage de la théorie virale
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
L’enterrement de la théorie virale
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]






Nicole et Gérard Delépine — Gardasil protège-t-il des cancers du col de l’utérus ?

[Source : CSI]






Mais qui est Antoine Béchamp ?

Par Brigitte Fau

Issu d’une famille modeste, Antoine Béchamp, pharmacien, chimiste, médecin, biologiste fut un savant exceptionnel.

Formé comme pharmacien en Roumanie, où il a vécu depuis l’âge de six ans, chez un oncle diplomate, il dut reprendre ses études, non reconnues en France, à son retour.

En 1851 il réussit le concours de l’agrégation à l’école de pharmacie de Strasbourg. Sa thèse a pour sujet : « De l’air atmosphérique considéré sous le point de vue de la physique, de la chimie et de la toxicologie. »

En 1853, les thèses de Béchamp, pour le doctorat ès sciences, furent chimiques : Recherche sur la pyroxyline (coton-poudre), et « De l’action chimique de la lumière » ;

En 1856, il passe son doctorat en médecine, avec pour thèse « Essai sur les substances albuminoïdes et sur leur transformation en urée. » à Strasbourg.

Pendant 20 ans, il sera professeur de Chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier.

Puis en 1876, alors qu’il s’interrogeait sur « l’Origine et l’essence de la matière », il fut sollicité par l’évêché, il devint premier doyen de la faculté catholique de Lille. Choix qu’il regretta selon ses mots dans ce courrier qu’il adressa en 1900 à Hector Grasset (1) p.66 :

« C’est que j’avais encore les illusions que le clergé de l’Université catholique de Lille s’est chargé de me faire perdre à jamais, lorsque le recteur de cette université a voulu mettre le livre sur les Microzymas à l’index, comme matérialiste. Tenez donc comme une sottise de ma part l’affirmation de ma lettre à la revue l’Univers. Je suis resté chrétien aussi complètement que possible, mais plus du tout convaincu que les théologiens aiment la science pour la science.

Il est ainsi avéré que, tenant l’Évangile pour vrai, je tiens, comme Galilée et Lavoisier, pour certain que l’étude désintéressée et approfondie de la nature est la seule voie capable de conduire à la connaissance des choses qu’il nous est donné de connaître. »

À l’heure de la retraite, il se retire à Paris et continue ses importantes recherches biologiques à la Sorbonne, dans le laboratoire mis à sa disposition par le célèbre naturaliste Ch. Friedel, jusqu’à sa mort à l’âge de 91 ans, le 13 avril 1908.

Antoine Béchamp était désintéressé, tenace, travailleur énergique, rigoureux, précis, intransigeant avec lui-même en particulier, ne supportant pas l’injustice ; sans aucun doute, il aimait la Science et avait compris l’importance d’une démarche exemplaire pour avancer en science (voir le chapitre consacré à la démarche scientifique).

Ce qui me frappe le plus à la lecture de ses livres, c’est sa perspicacité, sa lucidité, son recul exceptionnel. Chaque élément trouve sa place au fur et à mesure des nombreuses expériences qu’il décortique avec une détermination sans faille pour comprendre et trouver l’origine de chaque phénomène, même le plus anodin qui peut s’avérer être en réalité des plus essentiels.

« Rien ne se produit sans cause provocatrice ! »

Ces travaux sont relatés dans les Comptes Rendus réguliers qu’il faisait à l’Académie des Sciences, si nombreux que, je ne serais pas étonnée si l’on y découvrait des pépites, encore inconnues de la science en plus de cette découverte essentielle des microzymas.

Son œuvre est considérable. Le Dr Hector Grasset vous la présente de manière non exhaustive, tant elle est grande, placée dans le contexte scientifique historique.

En 1913, Hector Grasset commence ainsi son livre, « L’œuvre de Béchamp » (1) qu’il a eu l’occasion de rencontrer suite à cette esquisse dont il est question :

« Il y a onze ans, j’avais fait une esquisse de l’œuvre de ce méconnu, pensant attirer l’attention sur un vieillard dont le colossal labeur était digne d’un meilleur sort. Ce fut en vain, l’ostracisme scientifique avait été tel que ma voix n’eut guère d’écho ; ce revenant pouvait être dangereux pour les gloires trop auréolées. Aussi, quand Béchamp mourut isolé, le 15 avril 1908, ce fut un étranger qui signala le cas à la presse française. A. Béchamp, né le 16 octobre 1816, à Bassing, près de Dieuze (Meurthe), s’éteignit, à l’âge de 91 ans, à Paris, de la congestion pulmonaire des vieillards, dans l’indifférence générale ; je n’appris moi-même le fait que longtemps après.

Je n’ai pas été son élève, je n’ai connu ses travaux que d’une façon indirecte, et j’ai été amené à les apprécier en recherchant la genèse de la science contemporaine ; si j’ai été séduit par l’immense portée de ses recherches, j’ai été plus profondément étonné de l’incompréhension presque générale de ses idées parmi les savants actuels, quand il n’y avait pas de mauvaise foi évidente, ou une ignorance absolue. Si donc je prends sa défense, je ne puis être taxé de parti pris ; »

Et pour compléter les informations nombreuses qu’il fournit, Hector Grasset recommande en particulier, les livres suivants d’Antoine Béchamp :

  • Les Microzymas dans leur rapport avec l’hétérogénie, l’histogénie, la physiologie et la pathologie (Paris, in-8°, 1883, chez J. Baillière) ; 1066 pages
  • Microzymas et microbes (Paris, 1893, in-8°, chez E.Dentu) ; 412 pages
  • Le sang et son troisième élément anatomique (Paris, 1899, chez Chamalet) ; 297 pages

Il ajoute :

C’est surtout le premier qui est répandu, et c’est malheureux, car les autres me semblent bien supérieurs. Je dois avouer que, si je n’avais pas connu les idées de Béchamp par les comptes rendus scientifiques étudiés progressivement, le livre de 1883 m’eût semblé indigeste et ne m’eût pas donné une conception aisée de la théorie ; mais lorsqu’on a saisi la grande idée, à chaque pas on trouve des trésors dans ces trois volumes. Ce sera donc la méthode historique et chronologique, qui me permettra de vous faire comprendre et apprécier l’œuvre de ce grand homme, et vous poussera peut-être à faire connaissance avec elle.

J’ai trouvé des « trésors » également dans un 4livre de 1888 (2), dans lequel Antoine Béchamp réunit des lettres, plutôt des articles qu’il écrivait au Dr Édouard Fournier, destinées à être publiées dans la « Revue médicale française et étrangère ».

Hector Grasset nous fait sentir « cette grande idée » en utilisant la méthode historique et chronologique. Il met en évidence les difficultés et les réticences rencontrées par Antoine Béchamp, dont il a compris l’intégrité et le génie, face à des personnes influentes, dont l’ego passait avant la Science, prêtes à tordre la science pour arriver à leur fin.

Antoine Béchamp aurait manqué de souplesse, de sens politique, refusant les compromis et s’est retrouvé victime d’une conspiration du silence (3) p.72.

Mais ce silence imposé pour empêcher que ses travaux fussent connus, n’est-il pas la preuve de l’incapacité de ses adversaires à tenir tête ouvertement à ses explications solides et à sa détermination à défendre « la vérité » des faits scientifiques. Sa pensée aiguisée, était apte à déceler la moindre faille dans les arguments de ses opposants.

C’est cette « grande idée » que je souhaite faire passer modestement, à mon tour, en écrivant ce livre, 110 ans après celui d’Hector Grasset. Hector Grasset ne se contentait pas des connaissances diffusées, il plongeait à la source des Comptes Rendus scientifiques. Et il a compris quel trésor la Science avait là !… Je ne suis pas remontée aussi loin. J’ai pris connaissance des travaux de Béchamp par le biais de son livre écrit en 1883, essentiellement.

Quel que soit l’itinéraire suivi pour approfondir le sujet, c’est « indigeste » au départ, avant que la persévérance et le recul nous fassent sentir cette « grande idée » : cette vision nouvelle du vivant dans toute sa globalité qui échappe à la science.

J’ai choisi une méthode synthétique pour transmettre autrement.

Pourrait-on ainsi enfin casser la « conspiration du silence » dont Antoine Béchamp fut et est encore victime ? Les scientifiques contemporains réalisent-ils seulement qu’ils entretiennent cette censure sans en avoir conscience, par manque de curiosité (et de temps surtout) des origines de leur science dont les fondements sont essentiels et devraient être leur première préoccupation.

Le livre dans lequel je présente cette synthèse de la théorie d’Antoine Béchamp est en cours de publication prévue pour cette fin mai. Il peut être commandé aux éditions Marco Pietteur :

[Voir aussi :
Une approche globale du vivant]

Références :




Une mère récupère sa fille des griffes du programme Trans d’un collège

[Source : epochtimes.fr]

Par Michael Wing

Aucun chevalier blanc ne viendra sauver vos enfants — vous êtes le chevalier blanc. Erin Friday, 56 ans, mère californienne, l’a découvert pour sa fille, alors âgée de 11 ans. Tout a commencé très simplement : quelques surnoms à consonance enfantine et quelques lettres de l’alphabet en plus. Ce n’était pas innocent pour autant.

Quelques filles, dont la petite Friday, ont été entendues dans la cour intérieure en train de bavarder sur les nouvelles choses qu’elles avaient apprises à l’école. Elles étaient branchées sur les nouvelles tendances alors que, dans leur esprit, leur mère, vieille et ennuyeuse, faisait figure de dinosaure ignare, bien en retard sur son temps.

« Cinq filles ont choisi chacune une étiquette qui figurait dans la liste. Elles se sont moquées de moi et m’ont dit : “Tu es cis et tu ne comprends pas” », a expliqué Mme Friday au journal Epoch Times. Je n’avais jamais entendu ce terme « cis » auparavant. Elles m’ont ensuite lancé : « Plaît-il, fossile ! ».

Nous étions en 2019 et la petite Friday était en classe de cinquième. C’est à ce moment-là que sa maman a pris conscience de la situation : « Qu’est-ce qu’ils enseignent à nos enfants à l’école ? », s’est-elle demandé. La curiosité s’est transformée en inquiétude au fur et à mesure que cette éducation basée sur l’égalité des sexes se développait. Elle s’est d’abord dit : « Oh, c’est probablement dû à la puberté ».

La jeune Friday, qui était autrefois une petite fille — une grande fan de « Mon Petit Poney » — a commencé à se couvrir de sweat-shirts amples. Mme Friday pensait qu’il s’agissait simplement d’un « acte de timidité » lié à l’éclosion de la féminité ; Mme Friday en avait fait l’expérience. Mais lorsque la fan de « Mon Petit Poney » est passée au statut de « fille soldat », enfilant des bottes de combat, lorsque ses amies aux cheveux longs ont commencé à prendre des noms de garçons, lorsque des teintures violettes et vertes ont fait leur apparition, l’inquiétude de la maman s’est aggravée.

Un poison dans l’éducation sexuelle du collège

C’est ainsi que cette curieuse éducation a porté ses fruits étranges et nocifs. Avoir une étiquette est devenu tendance. Alors qu’une fille se disait pansexuelle, une autre pensait être polyamoureuse (ouverte à de multiples partenaires), ce qui n’avait aucun sens. « La moitié de sa troupe d’éclaireuses s’est révélée transgenre », a expliqué Mme Friday. Elles ont alors sorti les protège-seins. Les voix féminines ont bizarrement baissé d’un ton durant la nuit.

« Ma fille a choisi “pansexuelle” à 11 ans, ma fille de 11 ans dénuée de toute sexualité », a déclaré Mme Friday. Quelques-unes ont choisi « lesbienne », mais personne n’a choisi « hétéro » – je suppose que dans leur terminologie, ils disent « cis » – parce que c’est ennuyeux ; c’est comme choisir de la glace à la vanille. Dans une mise en garde humoristique, Mme Friday a fait remarquer qu’elles continuaient curieusement à regarder « Twilight » pour s’extasier devant les vampires sexy qui leur tenaient à cœur — les petites filles qu’elles étaient.

Pourtant, maman ours était furieuse, se sentant trahie par ceux du collège Central, à San Carlos, en qui elle avait confiance : les professeurs de sa fille. Mme Friday connaissait la plupart d’entre eux par leur nom, car elle y faisait souvent du bénévolat. Ils allaient parfois boire un verre ensemble.

Le collège Central, à San Carlos, en Californie (Capture d’écran/Google Maps) ;
(Encadré) Erin Friday. (Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

« Tout ce que dit l’enseignant est précieux et véridique », a déclaré Mme Friday. « Les personnes les plus importantes dans la vie d’un enfant sont ses parents, et ses professeurs ». Mme Friday leur avait fait confiance, et l’école l’avait déçue.

Ce ne sont pas forcément les enseignants eux-mêmes qui ont commis cette double infraction. La maman a appris qu’un groupe tiers était venu dispenser pendant cinq heures des cours d’éducation sexuelle. Avec un nom comme Health-Connected, l’idée semble inoffensive, mais c’est loin d’être le cas. « Ils ont passé une heure entière sur les cinq à enseigner l’idéologie du genre, en présentant le dessin animé “genderbread man” — où le cerveau et les parties du corps sont montrés du doigt — en expliquant qu’il est possible d’avoir un cerveau féminin dans un corps masculin, ou vice-versa ».

C’est par crainte des élèves et de leur « nouveau moi » que les enseignants leur ont fait des courbettes et les ont traités différemment, a expliqué Mme Friday. Ils ont été loués comme étant extraordinaires et spéciaux, considérés comme des licornes et élevés au rang de superstars. « Les enfants qui sont un peu en marge, qui n’ont pas beaucoup d’amis, ou qui sont peut-être un peu bizarres, font leur coming-out comme trans et deviennent des vedettes », a-t-elle ajouté. « Si vous êtes blanc, de la classe moyenne ou aisée, et hétérosexuel, vous êtes un oppresseur, vous êtes ennuyeux, il n’y a rien de spécial en vous. »

Avec le temps, ce fruit malsain a mûri. En 2020, lorsque le Covid a enfermé les élèves pour qu’ils apprennent à la maison, Mme Friday a été choquée d’apprendre que l’école secondaire publique utilisait un pronom masculin pour sa fille. Elle a donc contacté la direction de l’école. Lors d’un appel téléphonique, l’administration lui a expliqué que la raison de cette pratique était de fournir un « espace sûr », ce que Mme Friday a trouvé ridicule. Sa fille était juste au bout du couloir.

Ils ont répondu de manière très étrange [à propos du changement de pronom] : « Oh, nous ne l’avons pas fait légalement », ont-ils répondu a raconté Mme Friday. « Je leur ai dit : “Vous n’avez pas le droit, je suis le parent. Ne l’oubliez pas. Je suis le parent. Vous n’êtes pas le parent. » »

« Je suppose que je n’étais pas “un espace sûr” parce que j’utilisais son prénom féminin et des pronoms féminins. Puis les services de protection de l’enfance se sont présentés à ma porte. La police est arrivée plus tard. »

Le matériel pédagogique sur l’éducation sexuelle destiné au collège
et proposé par Health-Connected permet d’expliquer l’idéologie du genre.
(Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

Le service de protection de l’enfance a estimé que la fillette risquait de se suicider, en se basant sur des recherches qu’elle avait faites sur l’iPad de l’école. Même si le service de protection de l’enfance a fini par abandonner ses investigations, Mme Friday s’est montrée furieuse que l’école ait utilisé le risque de suicide comme prétexte à une éventuelle plainte pour maltraitance parce qu’elle s’était opposée à la transition sexuelle secrète et éhontée dont sa fille faisait l’objet.

Face à toute cette folie — la puberté de sa fille, les différentes étiquettes données aux filles, la trahison du collège, et maintenant le service de protection de l’enfance sur le pas de sa porte — l’instinct de Mme Friday lui a permis d’aller au cœur du problème. La dépression induite par le confinement avait plus à voir avec la crise de genre de sa fille qu’avec n’importe quoi d’autre. Elle n’était pas la seule enfant à avoir été entraînée dans une spirale de troubles psychiques causée par le Covid. C’était clair comme de l’eau de roche.

Quant à la solution, pour Mme Friday et de nombreux autres parents, il s’agissait d’un terrain inconnu.

Le fait qu’elle ait engagé une thérapeute pour sa fille n’a pas eu l’effet escompté avant même de commencer. La thérapeute a insisté sur le fait que le souvenir que Mme Friday avait de la féminité de sa fille était « erroné ». Je me suis dit : « Wow, c’est incroyable. Elle aimait donc “Mon Petit Poney” quand elle avait 3 ans, juste parce qu’elle attendait de sortir de sa coquille pour nous faire savoir qu’elle était un garçon ? » a poursuivi Mme Friday. « J’ai un fils, ils sont très différents. »

La thérapeute a exhibé son argument « 41 % de chances de se suicider » devant Mme Friday. « Lorsque je l’ai interrogée sur le sujet, il m’est apparu très clairement qu’elle n’avait pas lu le rapport. Or, je l’avais lue », a expliqué Mme Friday. « J’aurais été renvoyé de mon emploi d’avocate si j’avais invoqué une affaire dont je n’avais pas pris connaissance ». Voilà donc ce qui est arrivé à la thérapeute qui n’a pas su prendre en charge la dépression de ma fille : elle a été licenciée. Virée.

Pour Mme Friday, le monde entier semblait être devenu fou.

La bataille pour récupérer sa fille

Il était temps pour maman ours de sortir de son sommeil et de commencer une sérieuse déprogrammation avec sa fille. La première étape consisterait à trouver un thérapeute critique à l’égard du genre, plus intéressé à comprendre pourquoi sa fille ne quittait pas le lit, ne se brossait pas les dents ou ne mangeait pas, qu’à colporter une idéologie.

Pendant ce temps, Mme Friday devait acquérir des connaissances. Elle a plongé dans les profondeurs. Tout en lisant des livres tels que « Desist, Detrans, & Detox: Getting Your Child Out of the Gender Cult » [Désistement, désintoxication et réhabilitation : sortir votre enfant du culte du genre] de Maria Keffler, elle a écouté le podcast de Benjamin Boyce sur les détransitionnistes et « Gender: A Wider Lens » [Genre : Un nouveau regard].

Comme on épluche les couches d’un oignon pourri et en décomposition, Mme Friday a découvert la nature de plus en plus sombre et sinistre de l’agenda transgenre. Des groupes en ligne ont été créés pour cibler spécifiquement les enfants identifiés comme transgenres et les nourrir d’un endoctrinement empoisonné. Leurs parents étaient présentés comme des vilains parce qu’ils ne voulaient pas reconnaître la nouvelle identité de leurs enfants.

La situation s’est encore aggravée. Ces groupes les ont bombardées de pornographie immonde par vagues successives, que Mme Friday a qualifiée d’« au-delà de toute mesure ». Surveillant l’historique de navigation de sa fille, ses appareils et les médias sociaux, elle a gardé un seau à côté d’elle au cas où elle n’arriverait pas à supporter ce qu’elle voyait.

Sa propre progéniture se dressait contre elle, comme si elles se trouvaient de part et d’autre d’un gouffre. Pour que Mme Friday puisse retrouver sa petite fille perdue, il lui faudra combler le fossé.

Elle savait ce qui ne fonctionnerait pas : de longues discussions, des preuves scientifiques, le silence dans l’espoir que cela passe. Elle savait que cela ne passerait pas. Elle savait qu’elle devait s’attaquer au problème sans détour.

Alors que sa fille se devait de trouver elle-même la solution, maman ours laissait des miettes de pain utiles le long du chemin — des questions et des indices qui laissaient de « petites fissures » dans son esprit, en attendant que la lumière de la vérité jaillisse pour que la réalité apparaisse.

« Je lui ai posé des questions sur le vaccin Johnson & Johnson et je lui ai dit : “Oh, mon Dieu, ce n’est pas bon pour les femmes. Êtes-vous autorisés à y recourir ?” a raconté Mme Friday. Elle m’a hurlé dessus, en disant “Je ne suis pas une femme”, et elle est partie. Ce fut une victoire. C’est une réalité biologique. »

Une autre ligne d’attaque s’est déployée ainsi :

« Je lui ai demandé pourquoi elle pensait être un garçon. Elle m’a répondu qu’elle n’aimait pas ses seins », a raconté Mme Friday. « J’ai poursuivi en lui demandant : “Quoi d’autre ?” “Je n’aime pas mes règles”. “Alors, tu viens d’expliquer pourquoi tu n’aimes pas être une fille. Mais pourquoi penses-tu être un garçon ? » » Elle ne pouvait pas répondre et se mettait, bien sûr, en colère. Mais elle en gardait une trace dans son esprit.

Erin Friday avec sa fille quand elle était petite.
(Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

Mme Friday n’a rien laissé en plan pour lutter contre l’ennemi invisible et le mensonge. Elle a quitté son emploi et passé des journées de 16 heures pour remonter aux racines diaboliques de l’agenda. Elle considère désormais le transgenrisme comme une « secte ».

Afin de briser l’emprise de cette secte sur l’esprit de sa fille, Mme Friday a essayé une stratégie qui consistait à écouter des podcasts loufoques sur la secte dans sa voiture. La secte des Moonies, avec ses mariages de masse arrangés et alimentés par la drogue, a montré jusqu’à quel point les gens pouvaient être dupés sur l’ordre d’un tiers.

Mme Friday a fait remarquer à sa fille que « certaines personnes pensaient que le transgenrisme est une secte », puis elle s’est retirée pour la laisser mijoter.

Mme Friday devait surveiller sa fille en permanence. Elle a confisqué un grand nombre d’appareils, fouillé sa chambre et trouvé de nombreux iPhones sous son matelas. La maman a compris combien sa fille était intelligente : elle possédait deux comptes pour chaque média social. Il y avait l’Instagram que maman regardait et le compte fantôme de ses « amis » transgenres.

Mme Friday est allée jusqu’à appeler sa fille par différents prénoms, notamment des prénoms masculins, parce qu’elle ne voulait pas accepter son prénom féminin.

Cela a pris environ un an et demi. Mais le fait qu’elle ait finalement accepté son prénom a montré qu’elles étaient enfin arrivées à bon port. Face au bombardement incessant de sa mère, le château de cartes transgenre s’est effondré. Mme Friday avait raison : à mesure que la dépression de sa fille s’estompait, l’anxiété qui l’habitait s’est dissipée.

« La dépression a commencé à disparaître, ce qui est très important dans la mesure où l’identité transgenre est une réponse inadaptée à la dépression et à l’anxiété », a expliqué Mme Friday. « Une fois que l’on s’attaque au problème sous-jacent, le transgenrisme disparaît. »

Mme Friday a compris que le problème se résolvait lorsque sa fille a choisi un maillot de bain avant de partir en vacances à Noël en famille.

« J’avais proposé plusieurs maillots de bain différents, dont des shorts et des débardeurs », a expliqué Mme Friday. « Et elle a choisi le bikini qu’elle — oh mon Dieu, je vais pleurer — qu’elle avait l’habitude de me voler quand elle était petite. »

La guerre transgenre fait rage

Pour Mme Friday, cette bataille est gagnée. Mais la guerre se poursuit pour les autres parents, innombrables, dont les enfants sont toujours vulnérables. C’est ainsi que maman ours a poursuivi sa route pour s’enfoncer plus profondément dans le trou du lapin. Elle découvrira qui ou quoi se cache derrière les mutilations et les stérilisations des enfants.

Consciente de l’étiquette « chapeau d’aluminium » qui fait si efficacement taire les interrogations, Mme Friday s’exprime néanmoins en toute franchise : le transgenrisme n’est pas seulement une secte, c’est aussi une source d’argent pour Big Pharma qui gagne des patients à vie grâce à ces enfants qui changent de sexe.

« Il s’agit d’une industrie de 11 milliards de dollars », a précisé Mme Friday. « C’est une hydre à plusieurs têtes. Il y a des gens qui encouragent cette industrie pour des raisons financières ; la communauté médicale et les grandes sociétés pharmaceutiques font pression parce que chaque enfant transidentifié vaut un million ou un million et demi de dollars. Ce sont des patients à vie. »

La promulgation du transgenrisme dans la société en général permet également de procéder à l’abattage délibéré du troupeau, a ajouté la maman.

« C’est de l’eugénisme », a-t-elle déclaré. « Nous disons à un petit garçon qui aime jouer avec des accessoires de filles — encore une fois, un stéréotype régressif — qu’il est forcément une fille. Ainsi, il grandira probablement comme un enfant gay, mais maintenant nous le transformons en fille — ce qui le stérilise — ce qui, une fois de plus, réduit le troupeau. »

En un mot, c’est du marxisme.

La dépravation est encore plus flagrante. Mme Friday nous apprend que ce système favorise la normalisation de la pédophilie, un fantasme qui prolifère dans les bas-fonds de la société : dans la mode, le divertissement, la politique et d’autres cloaques.

Erin se tient debout lors d’un rassemblement de protestation
contre l’idéologie du genre.
(Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

La destruction de la famille et de notre démocratie est l’objectif ultime, a expliqué Mme Friday, ajoutant que « si tout cela continuait, notre société dans son ensemble pourrait s’effondrer ».

L’ancienne avocate a choisi de ne pas reprendre son travail, mais de rester en première ligne pour se battre. Elle a rejoint Our Duty, un groupe international de parents qui permet aux parents membres d’agir librement dans leur environnement pour lutter contre le transgenrisme. Ils rédigent des lois, témoignent devant les instances gouvernementales et offrent aux parents désespérés un refuge dans un monde devenu fou.

« J’ai passé une bonne année, probablement une année à pleurer », a poursuivi Mme Friday, en parlant de ses motivations. « J’ai traversé une grave dépression, j’ai pensé au suicide parce que je ne pouvais pas regarder ma fille mourir de mille coups et voir le monde entier l’encourager et en être le témoin. »

Elle a transformé son chagrin en action en utilisant sa voix. Alors que certains parents se cachent derrière des pseudonymes, Mme Friday a choisi une tactique différente.

« Je vais me faire l’avocate de mon enfant et lui faire savoir exactement ce que je fais », a-t-elle déclaré. « Je m’exprime maintenant sous mon vrai nom parce qu’il le faut. Ce n’est pas dangereux, ils ne peuvent pas tous nous éliminer. »

Aujourd’hui, Mme Friday fait preuve d’un optimisme prudent pour sa fille. Aujourd’hui âgée de 16 ans, son avenir est loin d’être assuré. Avec l’université qui se profile à l’horizon, des guerriers du genre viendront exercer des pressions, tandis qu’Internet regorge de prédateurs à l’affût. Il n’y a pas d’« endroits sûrs », a expliqué Mme Friday.

Pourtant, elle se risque à une prédiction.

« Je ne pense pas qu’elle sera dénigrée, car elle aime beaucoup son corps de femme », a souligné Mme Friday. « Mais elle s’est fait piéger une fois. Je ne dormirai pas tranquillement tant qu’elle n’aura pas 25 ans et que son lobe frontal ne se sera pas complètement formé. »




Big Food, Big Pharma, Big Media et Big People : comment fonctionne le complexe industriel de l’obésité

[Source : mondialisation.ca]

Dans un épisode de l’émission « Breaking Points », le journaliste James Li a expliqué comment les grandes entreprises alimentaires tirent profit de la vente d’aliments malsains et addictifs qui provoquent l’obésité, comment les grandes entreprises pharmaceutiques gagnent de l’argent en traitant l’obésité, comment elles travaillent toutes deux avec le gouvernement pour créer un cadre réglementaire favorable à l’industrie et comment les grands médias sont payés pour vanter leurs produits.

Par Brenda Baletti
The Defender 23 mai 2023

« La médecine moderne nous aide-t-elle à vivre plus longtemps et en meilleure santé ? » Ou s’agit-il d’un « programme plus sombre » qui crée « une vie plus longue mais plus malade » ?

Le journaliste James Li s’est penché sur cette question dans un épisode récent de l’émission « Breaking Points », où il a expliqué comment « les grandes entreprises pharmaceutiques [Big Pharma], les grandes entreprises alimentaires [Big Food], les médias grand public, les professionnels de la santé et le gouvernement » collaborent pour nous rendre malades.

M. Li a présenté une vidéo de l’émission « 60 Minutes » au sujet de l’épidémie liée à l’obésité dans laquelle le Dr Fatima Cody Stanford, médecin-chercheur en médecine de l’obésité et professeur associé au Massachusetts General Hospital et à la Harvard Medical School, y explique pourquoi les idées reçues sur l’obésité sont erronées.

« La première cause d’obésité est la génétique », a-t-elle déclaré. « Cela signifie que si vous êtes né de parents souffrant d’obésité, vous avez 50 à 85 % de chances d’être vous-même atteint de la maladie, même en suivant un régime alimentaire optimal, en faisant de l’exercice, en gérant votre sommeil et en gérant votre stress. »

M. Li a également parlé d’Ozempic et de Wegovy, les médicaments amaigrissants au centre du dernier engouement pour la perte de poids.

« Le message des grands médias est donc assez simple », a déclaré M. Li. « L’obésité est une maladie, il faut prendre un médicament. » Mais ce n’est pas tout, a-t-il ajouté.

L’obésité aux États-Unis est passée de « presque inexistante » dans les années 1950 à une proportion de 50 % de la population d’ici 2030. Par conséquent, « à moins que la race humaine n’ait fait un bond en avant en matière de génétique, il doit y avoir quelque chose d’autre que nous faisons qui détruit notre santé métabolique », a déclaré M. Li.

S’appuyant sur les travaux récents de Calley Means, consultant en pharmacie devenu dénonciateur, M. Li a mis en évidence deux problèmes majeurs dans le système alimentaire américain : l’excès de sucre et le manque de fibres.

L’enfant moyen mange aujourd’hui 100 fois plus de sucre — qui crée une dépendance plus forte que la cocaïne — par jour qu’il y a 100 ans, et ce sucre se cache dans les aliments transformés, a déclaré M. Li.

Le fait de savoir que le sucre crée une dépendance incite les producteurs d’aliments transformés à en ajouter toujours plus à notre alimentation.

M. Li a déclaré aux téléspectateurs :

« Si vous êtes un dirigeant de l’industrie alimentaire — le bonus est en jeu, les actionnaires exigent une croissance astronomique trimestre après trimestre — que faites-vous pour avoir une longueur d’avance sur votre concurrent ?

Vous ajoutez du sucre à vos produits pour les rendre plus addictifs afin que les gens achètent les vôtres et non ceux de vos concurrents, puis ils essaient de vous surpasser et tout d’un coup, le sucre est partout. »

Les fibres, qui, selon la clinique Mayo, aident à « maintenir un poids sain et à réduire le risque de diabète, de maladies cardiaques et de certains types de cancer », ont presque complètement disparu de bon nombre de nos produits alimentaires les plus populaires.

En fait, selon l’Institut national de la santé, seuls 5 % des gens consomment la quantité de fibres recommandée par jour.

M. Li a cité Nicole Avena, Ph.D., qui a déclaré à Newsweek que de nombreux aliments ultra-transformés sont « presque prémâchés » pour nous :

« Ils fondent immédiatement dans la bouche. Il n’y a pas de protéines. Il n’y a pas d’eau. Il n’y a pas de fibres qui les ralentissent. Les papilles gustatives sont touchées et les centres de récompense et de motivation du cerveau s’allument immédiatement. Il y a ensuite un effet secondaire de dopamine lorsqu’il est absorbé par l’organisme. »

M. Li a déclaré :

« Ces entreprises alimentaires se sont transformées en laboratoires de stupéfiants. Elles ont trouvé un moyen de pirater nos cerveaux et de faire un malheur, au sens figuré comme au sens propre. »

Le système de soins de santé, a-t-il dit, intervient alors en héros pour traiter ces maladies et réalise ainsi des profits faramineux. M. Li a cité M. Means pour dire que le système de soins de santé n’est pas axé sur la santé ou la prévention. Elle ne gagne de l’argent que lorsque les gens sont malades.

« Chaque institution est incitée à faire en sorte qu’un plus grand nombre d’Américains soient plus malades pendant de plus longues périodes », a déclaré M. Li.

FAIR a rapporté que chaque médecin interviewé par « 60 Minutes » pour son segment sur l’obésité avait reçu de l’argent de Novo Nordisk, le fabricant des médicaments faisant l’objet d’une publicité efficace dans l’émission.

Aucun des médecins n’a mentionné les effets secondaires graves associés à ces médicaments, les profits considérables réalisés par Novo Nordisk grâce à ces médicaments ou le lobbying exercé par le fabricant de médicaments pour que les assurances prennent en charge les médicaments amaigrissants.

C’est ainsi que fonctionne le « complexe industriel de l’obésité », a déclaré M. Li :

« L’industrie alimentaire gagne des milliards de dollars en vendant des aliments dont on sait qu’ils sont toxiques et empoisonnés, rendant ainsi malades des millions d’Américains. Dans ce cas, l’industrie des soins de santé joue les héros tout en empochant des milliards de dollars en vendant un prétendu médicament miracle à des millions d’adultes et d’enfants.

Ces deux industries ont passé un petit accord avec le gouvernement fédéral, le Congrès, en faisant du lobbying et en finançant la FDA (Food and Drug Administration) pour pouvoir réécrire la science et continuer à vendre des aliments dont on sait qu’ils sont toxiques et empoisonnés. »

Mais, a-t-il ajouté, malgré le fait que le système tout entier soit organisé pour tirer profit de la maladie des gens, il existe des solutions « simples » que M. Means propose et que M. Li met de l’avant.

Tout d’abord, la FDA devrait réviser la quantité « recommandée » de sucre ajouté dans l’alimentation des enfants, en la ramenant de 50 grammes par jour, sur la base d’un régime de 2 000 calories, à zéro.

Deuxièmement, le Supplemental Nutrition Assistance Program (SNAP), communément appelé « bons d’alimentation », fonctionne comme une subvention à l’industrie des aliments transformés, car la plupart des prestations du SNAP sont consacrées à l’achat d’aliments transformés bon marché. La réforme de ce programme pourrait mettre fin à ces subventions.

M. Li a conclu en posant une question au public :

« Toutes les avancées technologiques dans les décisions de politique publique du dernier demi-siècle ont-elles contribué à promouvoir une vie plus longue et plus saine ? Ou une vie plus longue et plus malade ? »

Brenda Baletti, Ph. D.




Le cerveaux et le corps des gens ne sont pas protégés contre les attaques des ondes électromagnétiques et les neurotechnologies

La sixième génération de téléphonie mobile prévoit de connecter les cerveaux humains à Internet

Par Mojmir Babacek

Samuel Koslov, une personnalité de premier plan du projet Pandora de la marine américaine et chercheur à l’Université John Hopkins, dans son discours de clôture de la conférence sur l’électrodynamique non linéaire dans les systèmes biologiques en 1983, a déclaré que la conférence avait prouvé que les champs électriques externes peuvent « devenir une clé du contrôle cellulaire… Les implications, sociales, économiques et même militaires sont énormes… cela peut être plus important pour la nation que les perspectives qui s’offraient à la communauté des physiciens en 1939 lorsque la fissionabilité du noyau prédite depuis longtemps a été réellement démontrée ». Les gens ne savent pas vraiment de quoi il parlait jusqu’à aujourd’hui, car une grande partie est classifiée et utilisée dans la recherche sur les armes.

Le corps humain est rempli d’événements électriques et électromagnétiques et peut donc être contrôlé par des rayonnements électromagnétiques, qui peuvent avoir des effets aussi bien bénins que nocifs sur ses états. Il peut même contrôler des événements tels que la division cellulaire ou l’activité des neurones, ainsi que l’activité synchronisée de masses de neurones dans le cerveau et produire ainsi une activité « artificielle » du système nerveux humain.

En 2021, le Comité international de bioéthique (CIB) de l’UNESCO écrivait :

« Les outils externes qui peuvent interférer avec nos décisions peuvent remettre en cause, voire contester, le libre arbitre d’un individu, et par conséquent les responsabilités d’un individu. De cette manière, la neurotechnologie pourrait affecter la liberté de pensée, de décision et d’action. Pris ensemble, ceux-ci pourraient avoir un impact profond sur les systèmes de justice et les organisations sociales » (p. 36). À la fin de l’article, l’IBC encourage ses États membres à « garantir les droits neurologiques de leurs citoyens » (p.38).

L’activité des cerveaux et des corps humains peut être manipulée par des ondes électromagnétiques, car les courants électriques sont des facteurs clés de l’activité neuronale et musculaire. Dès 1962, des sons étaient produits dans le cerveau humain par des micro-ondes pulsées dans les fréquences de l’activité nerveuse des systèmes auditifs humains. En 2007, le Washington Post a écrit sur une expérience déclassifiée :

« En octobre 1994, au laboratoire de l’armée de l’air… les scientifiques ont pu transmettre des phrases dans la tête de sujets humains, bien qu’avec une intelligibilité marginale ».

En 2020, l’Académie américaine des sciences a écrit dans le rapport sur les attaques de diplomates américains à Cuba et en Chine, bien connues sous le nom de syndrome de La Havane, que la cause la plus probable de leurs problèmes était les ondes de radiofréquence pulsées dirigées. Il est bien connu que ces crises s’accompagnent d’hallucinations acoustiques produites artificiellement. Ces événements suggèrent que les micro-ondes pulsées sont déjà utilisées comme arme aujourd’hui. En effet, si la parole humaine est convertie en ultrasons puis en micro-ondes pulsées ou en ondes électromagnétiques extra-longues, un être humain les percevra comme ses propres pensées puisqu’il ne les entendra pas.

Le 7 octobre 2022, vingt-trois pays ont signé un document demandant « au Comité consultatif du Conseil des droits de l’homme (de l’Organisation des Nations Unies) de préparer une étude… sur l’impact, les opportunités et les défis des neurotechnologies en ce qui concerne la promotion et la protection de tous les droits de l’homme ». Ils ont fait cette demande :

« Gardant à l’esprit que la neurotechnologie permet de connecter le cerveau humain directement aux réseaux numériques par le biais de dispositifs et de procédures qui peuvent être utilisés, entre autres, pour accéder, surveiller et manipuler le système neuronal de la personne ».

En septembre 2021, le Parlement chilien a documenté ce danger en approuvant une loi garantissant aux citoyens chiliens les droits à l’identité personnelle, au libre arbitre et à la vie privée mentale. Les principaux médias mondiaux n’ont pas parlé de cet événement, prouvant que les technologies permettant de contrôler à distance le cerveau humain sont toujours classifiées.

De toute évidence, il est maintenant urgent pour les gouvernements du monde de suivre l’exemple chilien et de prouver qu’ils ne prévoient pas de transformer leurs États en États totalitaires où l’élite transforme les citoyens en bio-robots, contrôlés par des superordinateurs. Il y a des milliers de personnes dans le monde qui se plaignent d’être exposées à des expériences qui testent la capacité des dispositifs neurotechnologiques à priver les gens de leur liberté de pensée à distance et à leur causer des douleurs par ondes électromagnétiques.

[Voir aussi :
Opération Crimson Mist
Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques
Robert Kennedy Jr. explique comment la CIA a utilisé des expériences de contrôle mental pour apprendre à contrôler les masses
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?]

Les législations actuelles protégeant les droits de l’homme doivent être mises à jour pour couvrir les nouvelles menaces apportées par les progrès de la neurotechnologie. Ils devraient assurer la création d’équipes capables de détecter des attaques électromagnétiques ou autres qui produisent des courants électriques dans le cerveau ou le corps humain, privant les personnes de leur liberté de pensée et d’intimité ou blessant leur corps. Les équipes que les gouvernements devraient créer devraient également être en mesure de trouver les sources de radiations nocives et les auteurs des attaques neurotechnologiques et devraient inclure des représentants d’organisations de défense des droits de l’homme, afin de garantir l’indépendance de ces équipes par rapport aux puissantes agences étatiques. Sinon, l’avenir de l’humanité n’aura aucun respect pour les droits de l’homme et sera contrôlé par des manipulateurs de l’esprit humain, des émotions et des fonctions corporelles.

Cette manipulation pourrait être exécutée par les services secrets de gouvernements étrangers ou nationaux, en utilisant des micro-ondes pulsées de transmissions de téléphones portables.

Le rayonnement des systèmes de téléphonie mobile de cinquième génération (5G), est prévu pour être omniprésent et contrôler à distance les choses (par exemple les voitures autonomes).

[Voir aussi :
5G La nouvelle utopie
Premières victimes reconnues des antennes 5G
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

La sixième génération de téléphonie mobile prévoit de connecter les cerveaux humains à internet et les premières ventes de cette technologie sont déjà prévues dans 9 ans (les gens veulent-ils être comparés à des voitures autonomes ?!). Cela peut être mis en œuvre avec l’utilisation de micro-ondes pulsées, connectant déjà aujourd’hui des ordinateurs et des téléphones portables à des antennes de téléphones portables.

Pour la manipulation des cerveaux humains, les activités pourraient être utilisées comme des grilles électriques, si elles sont conçues pour produire des ondes électromagnétiques extra-longues dans les fréquences d’activité des neurones dans les cerveaux humains (1 à 100 Hz). Ces ondes, en raison de leur longueur (de 300 000 à 3 000 kilomètres), sont capables de couvrir de vastes zones de « l’espace cérébral ». De telles ondes peuvent même être produites en manipulant l’ionosphère pour produire des ondes électromagnétiques extra-longues dans les fréquences cérébrales. En 1999, le Parlement européen enquêtait sur les capacités du système radar américain HAARP (point 30) (l’exploitation de cette installation a été transférée de l’US Air Force à l’Université de l’Alaska à Fairbanks le 11 août 2015). Le système radar russe SURA a des capacités similaires. La Chine est en train de construire son propre système, plus avancé, après avoir expérimenté le système russe Sura (voir ceci).

En 1994, le Strategic Studies Institute de l’US Army War College écrivait :

« Les partisans potentiels ou possibles de l’insurrection dans le monde ont été identifiés à l’aide de la base de données intégrée inter-agences complète. Ceux-ci ont été classés comme » potentiels « ou » actifs « avec des simulations de personnalité sophistiquées utilisées pour développer, adapter et cibler des campagnes psychologiques pour chacun »

(p. 24-25).

Si vous voulez aider à convaincre les gouvernements de vous protéger vous et vos enfants contre la privation de vie privée et de liberté, venez manifester le 10 juin à Bruxelles sur la Place du Luxembourg (devant le Parlement européen) à 12 h. Cette manifestation internationale contre les menaces à la santé humaine et à la démocratie posées par les rayonnements électromagnétiques s’y déroulera.

Pour plus d’informations à ce sujet voir ceci : « Menace psychoélectronique pour la démocratie » (cité par le Parlement européen dans l’étude Crowd Control Technologies, référence 354).

Mojmir Babacek

À propos de l’auteur :

Mojmir Babacek est né en 1947 à Prague, en République tchèque. Diplômé en 1972 à l’Université Charles de Prague en philosophie et économie politique. En 1978, a signé le document de défense des droits de l’homme dans la Tchécoslovaquie communiste « Charte 77 ». Depuis 1981 jusqu’en 1988 a vécu dans l’émigration aux États-Unis. Depuis 1996, il a publié des articles sur différents sujets, principalement dans les médias alternatifs tchèques et internationaux.

En 2010, il a publié un livre sur les attentats du 11 septembre en langue tchèque. Depuis les années 1990, il s’efforce d’aider à obtenir l’interdiction internationale du contrôle à distance de l’activité du système nerveux humain et de l’esprit humain grâce à l’utilisation de la neurotechnologie.

L’image en vedette provient de Children’s Health Defence

Lien vers l’article original en anglais :

People’s Brains and Bodies Are Not Protected Against Attacks by Electromagnetic Waves and Neurotechnologies , 24 mai 2023

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Mojmir Babacek, Mondialisation.ca, 2023




Le totalitarisme et les enfants

[Voir aussi :
« Les enfants devraient avoir des partenaires sexuels », affirment l’ONU et l’OMS
et
WOKISME, THÉORIE du GENRE, toutes les dérives de cette Société LGBTQ+ qu’« ILS » veulent nous imposer par tous les moyens…]




Plus Jamais, Épisode 4. « Cette fois, nous sommes tous Juifs » !

[Sources : sentadepuydt.substack.com et @Plusjamais]

[Pour voir les trois épisodes précédents :
« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3]

Mike Yeadon explique pourquoi les vaccins sont une arme de génocide et les Afro-Américains voient le retour de l’esclavage, de la ségrégation et de l’eugénisme.

Par SENTA DEPUYDT

Un plan mondial d’extermination et d’esclavage.

« Cette fois nous sommes tous Juifs », le Dr Zelenko revient en détail sur le plan eugéniste des Rockefeller. Il montre comment ils étaient le principal financier des recherches sur l’eugénisme dans l’Allemagne nazie, jusqu’à financer le fameux docteur Mengele et l’usine d’IG Farben qui a fabriqué le fameux Zyklon B. Il explique aussi comment ils ont ensuite complètement éliminé les médecines et la pharmacopée traditionnelles par l’infiltration et la corruption des universités américaines et l’imposition de médicaments chimiques à base de pétrole. Enfin, il montre comment ils étaient à nouveau à la manœuvre dans le Covid, par exemple en bloquant les traitements à l’hydroxychloroquine.

[Voir aussi :
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Si vous remarquez bien, toutes les initiatives de cette famille ont pour thème l’anéantissement des êtres humains. La raison pour laquelle je m’en prends à cette famille, c’est que la Fondation Rockefeller est encore partout avec ses recherches insensées. Prenons l’exemple d’un des complices de ce génocide, le Dr Rick Bright, qui a saboté l’ordre du président Trump de rendre l’hydroxychloroquine disponible pour chaque Américain par le biais du stock national de médicaments. Il les a littéralement sabotés et a été renvoyé pour insubordination. Eh bien, il travaille maintenant en tant que directeur à la Fondation Rockefeller.

La liste de revenu de base universel est la future liste d’extermination des « bouches inutiles ».

Dr Zelenko met aussi en garde contre les effets « collatéraux » du Grand Reset :

Il y a un thème récurrent : beaucoup de ces grandes familles comme les Rockefeller sont au mieux démoniaques. Elon Musk a présenté ses robots humanoïdes et Yuval Harari a déclaré textuellement que ces robots remplaceraient 90 % de la main-d’œuvre humaine. Par conséquent, nous avons besoin d’un revenu de base universel. Laissez-moi vous dire ce qu’est cette liste de revenus de base universels. Vous pensez que les dégénérés qui ne valorisent pas la vie, qui nous considèrent comme de la vermine, veulent donner de l’argent gratuit à des mangeurs inutiles ?

Note : Elon Musk vient d’obtenir l’autorisation pour tester les implants cérébraux Neuralink sur les êtres humains.

La monnaie numérique des banques centrales (Central Bank Digital Currency) et l’identité numérique sont les deux instruments de la dictature et de l’esclavage

Vera Sharav attire l’attention sur les dangers des « camps de concentration numériques ».

En ce moment, ils poussent la monnaie unique, la monnaie numérique centralisée pour remplacer l’argent liquide. C’est un extrême — cela et la carte d’identité numérique sont les deux méthodes pour pousser tout le monde vers la dictature et l’esclavage, l’esclavage personnel. Si nous optons pour ces deux solutions, c’est perdu d’avance. Ce n’est pas pour rien que, par exemple, l’Union européenne n’a pas fonctionné. Tout le monde pensait que cela permettrait d’éviter les guerres. Mais il s’agissait de petites guerres comparées à celle-ci. Lorsque vous donnez le contrôle mondial à un groupe, il peut détruire la majeure partie du monde, pour un simple caprice, parce qu’il n’a aucun compte à rendre.

C’est une arme fabriquée par l’homme pour changer totalement la société. Et ils ont un nom pour cela : la Grande Réinitialisation, le Nouvel Ordre Mondial. Personne ne nous a demandé si nous voulions changer notre monde et quand d’autres le font à notre place, c’est souvent catastrophique.

C’est également ce que craint Mike Yeadon, sous couvert de passeport vaccinal, d’identité numérique et de monnaie numérique, c’est en réalité un système de contrôle total qui se profile.

S’il n’y a pas d’argent liquide et que tout est numérique, je peux vous assurer que le grand ordinateur dans le ciel sait exactement ce que vous êtes sur le point d’acheter, à qui et où, et s’il ne le veut pas, l’algorithme vous le refusera. Ce ne sera pas personnel. Ils n’auront pas besoin de vous contrôler individuellement. Mais si l’algorithme vous dit : « Vous n’avez pas le droit d’être à plus de huit kilomètres de chez vous », et que vous êtes à huit kilomètres et demi de chez vous et que vous essayez d’acheter une pizza, l’algorithme vous dira : « Désolé, vous ne pouvez pas faire cet achat ».

C’est aussi la fin de la politique. Actuellement en Chine. Ils transforment le passeport vaccinal des gens en rouge sur un simple clic. Ces gens ne peuvent littéralement plus quitter leur immeuble. Ou ils ne peuvent plus monter dans un train parce qu’ils doivent utiliser leur carte d’identité numérique obligatoire pour se déplacer ou que leur compte le leur interdit.

Voilà ce que sont les passeports vaccinaux. Il s’agit d’une répétition de la carte d’identité numérique obligatoire. Vous devrez porter une pièce d’identité numérique à tout moment pour que la machine, peu importe, Skynet sache où vous êtes à chaque instant. Vous n’avez aucune liberté. Vous ne pouvez plus jamais décider de votre propre droit d’être où que ce soit ou de faire quoi que ce soit. Le pire, c’est qu’une fois en place, vous ne pouvez pas vous y opposer. Vous ne pouvez pas voter contre. Vous ne pouvez pas faire campagne sur ce thème. On ne pourra pas l’arrêter. Ne laissez pas cela se produire. Je pense que tout cela est proche, très proche maintenant.

Note : L’Union européenne avance bon train sur son programme d’identité numérique européenne.

Mike Yeadon est parmi les personnes plus qualifiées pour comprendre ce qui se passe réellement :

Je suis diplômé en biochimie et en toxicologie. J’ai un doctorat en pharmacologie respiratoire, c’est-à-dire l’étude des médicaments sur la respiration des mammifères. Ensuite, j’ai travaillé pendant 32 ans pour la Recherche et le Développement en biopharmaceutique. Je suis un chercheur, et jusqu’en 2011, j’étais responsable de la recherche mondiale pour le groupe Allergie et Pneumologie de Pfizer. Mon travail s’étendait de l’idée du développement d’un médicament jusqu’à la preuve de concept chez les patients.

Au début de l’interview il explique comment chaque mesure de réponse la pandémie a été un mauvais choix intentionnel, basé sur des fraudes scientifiques.

Toutes les mesures imposées, y compris les confinements et les masques, n’ont rien faire d’utile. Les personnes qui n’ont pas de symptômes, par exemple, ne peuvent pas infecter une autre personne. Cette idée de séparer les gens les uns des autres est totalement absurde. Même les médecins de plateau doivent savoir que ce que je viens de dire est vrai. Si vous vous portez parfaitement bien et que vous n’avez pas de symptômes, vous ne pouvez pas transmettre une maladie que vous n’avez pas à quelqu’un d’autre. Tout de même, il faut reste sérieux !

Non, vous n’avez pas besoin de vous éloigner de quelqu’un d’autre. On n’a jamais eu besoin de le faire. C’était un mensonge pour séparer les gens. Pourquoi ? Pour les empêcher de parler entre eux. Sinon : « Ils auraient discuté et ils auraient compris ». Ils savaient que s’ils ne séparaient pas les gens au cours des premières semaines, ça n’aurait pas marché.

Quant aux masques, ils répètent qu’ils ne servent à rien et que leur usage prolongé représente plutôt un danger pour la santé.

Ils ne filtrent rien dans les voies respiratoires. Ce sont tout au plus des protections contre les éclaboussures. Les personnes qui portent des masques en tissu toute la journée, jour après jour après jour, ça arrive, portent l’équivalent d’un sous-vêtement sale. Le masque devient littéralement une boîte de Petri où se développent des bactéries, des champignons. Et devinez quoi ? Vous les respirez dans vos voies respiratoires et si vous n’avez pas de chance, elles s’incrustent.

Mais surtout il démontre de manière édifiante comment et pourquoi les vaccins à base de la protéine Spike sont dangereux.

Mike Yeadon soulève alors une question extrêmement lourde de conséquences :

Pourquoi tous les fabricants de vaccins Covid, ont-ils choisi d’utiliser la protéine Spike pour leur vaccin, la protéine qui est l’agent toxique dans la maladie, alors que d’autres protéines de Coronavirus (inoffensives) auraient pu être utilisées ?

On peut décomposer le virus en six ou sept petits éléments. Si vous les aviez devant vous sur la table, ces morceaux de l’agent pathogène, et que vous vous demandiez : « Quels sont les critères de choix pour en sélectionner un pour le vaccin ? », vous seriez probablement d’accord avec ce raisonnement : « Le virus est un agent pathogène, ne prenons pas l’élément qui est toxique en soi ».

Le seul élément qui produit des effets indésirables importants, dans toutes les espèces testées, est la protéine Spike. Elle est vraiment mauvaise. Elle a des conséquences neurologiques néfastes. Elle peut déclencher l’activation des plaquettes, ce qui peut conduire à la formation de caillots sanguins et à de nombreuses autres choses.

Devinez lequel ils ont choisi ? La protéine Spike !

Les quatre entreprises ont choisi la protéine Spike. Si vous et moi dirigions des séances de brainstorming concurrentes dans différentes parties de l’entreprise, sur la manière de concevoir ce vaccin, vous et moi — je ne peux pas croire que l’un d’entre nous quitterait ces salles de réunion en choisissant la protéine Spike comme réponse. Je suis sûr que vous diriez : « Ne choisissez pas quelque chose qui, une fois exprimé dans le corps humain, pourrait être toxique. »

Quatre entreprises, à mon avis, ont choisi la mauvaise réponse, la réponse contraire à la sécurité, à chaque fois ! Et je crains, mesdames et messieurs, que ce ne soit pas de la chance. Vous n’êtes pas stupides. C’est délibéré. Je pense que c’est coordonné et qu’il s’agit d’une malversation. Vous devez savoir que ce que vous avez fait est mal. Vous devez savoir.

À ses yeux, il n’y a aucun doute qu’il s’agit d’un agissement criminel, et que ces injections sont une arme biologique.

Il adresse une mise en garde publique à trois de ses anciens collègues, directeurs scientifiques des laboratoires ayant fabriqué des vaccins Covid :

Il vous faut démissionner, passer aux aveux, me débattre ou de me poursuivre en justice. Vous êtes responsable d’une activité criminelle. Faites au moins l’une des quatre choses que je viens de citer, ou vous êtes un lâche !

Chez AstraZeneca, Sir Menelas Pangalos

Bonjour Mene, nous avons travaillé ensemble chez Pfizer il y a quelque temps et vous sembliez être un homme raisonnable. Que faites-vous à présent ? Votre entreprise fabrique, une fois de plus, une expérience humaine mal testée, épouvantablement conçue et inappropriée, qui enfreint le code de Nuremberg comme les autres.

Note : comme la plupart des serviteurs du génocide de l’élite globale, Menelas Pangalos a reçu les honneurs publics, en l’occurrence, il a été anobli par le prince William du Royaume-Uni.

Mathai Mammen, Johnson & Johnson

Bonjour Mathai, il est temps que tu avoues, que tu démissionnes ou que tu débattes avec moi. Parce que vous ne pouvez pas vous cacher derrière l’idée que les choses dont je viens de parler avec Vera ne sont pas correctes et que vous êtes responsable de ce vaccin qui nuit aux gens. Il tue des gens

Note : Mathai Mammen a démissionné peu après, le 8 août 2022.

James Merson, Pfizer

Au sein de mon ancien employeur Pfizer que j’ai quitté en très bons termes, j’ai adoré travailler chez Pfizer, je salue donc le Dr James Merson. Il a occupé le bureau voisin du mien pendant des années. Il était vice-président senior et responsable de la recherche sur les vaccins.

Alors James, il est temps de démissionner, d’avouer, de débattre avec moi ou de me poursuivre en justice. Tu dois faire l’une de ces quatre choses, car tous les auditeurs savent que ce que je dis est vrai.

Vous savez quoi ? Un mensonge déteste être remis en question. La vérité, elle, ne craint pas d’être confrontée. Si vous étiez assez nombreux à démissionner d’un seul coup, vous y mettriez fin. Je pense que vous pourriez sauver le monde si dix cadres supérieurs de la R&D, de n’importe laquelle de ces entreprises, rédigeaient une lettre ouverte de trois paragraphes et démissionnaient. Vous y mettriez fin.

Andrew Barr est historien et il a démarré l’association « Jews For Justice » pour parler des violations actuelles du code de Nuremberg et des similitudes avec le passé, en particulier avec le traitement réservé aux personnes non vaccinées et le traitement des Juifs dans l’Allemagne nazie. En tant que descendant de victimes de l’Holocauste, il lui semble nécessaire d’avoir un débat entre Juifs.

Les seules personnes qui peuvent nous dire de nous taire sont d’autres Juifs, et nous aurons alors un débat.

Ici, en Grande-Bretagne, le COVID a été annoncé le 23 février, lorsque le Premier ministre a soudainement levé toutes les restrictions. La guerre en Ukraine a commencé le 24 février, une coïncidence étonnante. Mon point de vue sur la politique COVID tend à être qu’il s’agissait d’un test d’obéissance massif…

L’objectif est de conditionner la population pour qu’elle laisse le gouvernement lui imposer des choses qu’elle n’aurait jamais acceptées autrement. Après les avoir poussés si loin, les gouvernements peuvent faire marche arrière, mais ils peuvent recommencer. Ils ont établi le principe. C’est ce qui est effrayant. Non pas que cela se produira nécessairement pour une autre maladie, mais le principe de forcer les gens à faire ce que l’on veut qu’ils fassent est établi.

Beaucoup de gens ont complètement perdu confiance dans le corps médical, ainsi que, évidemment, dans les médias. Israël a une longue histoire de vente de ses citoyens aux sociétés pharmaceutiques des États-Unis et au complexe pharmaceutique américain pour qu’ils fassent l’objet d’expériences. Il y a le scandale de la teigne, qui impliquait l’exposition de Juifs séfarades à des doses massives de radiations, soi-disant pour traiter la teigne, mais en fait c’était une expérience pour voir quel niveau de radiations ils pourraient tolérer. Dans les années 1950, à une époque où Israël était un pays incroyablement pauvre, les États-Unis leur ont donné plusieurs fois leur budget annuel pour soumettre les Juifs séfarades à cette horrible expérience.

Je ne sais pas si vous avez eu les mêmes informations aux États-Unis, mais les médias grand public britanniques ont fait état de ce nouveau phénomène du « syndrome de la mort subite de l’adulte », un phénomène inexplicable d’adultes qui tombent soudainement raides morts. Quelle pourrait en être la cause ? Ils n’en ont aucune idée. Il faut enquêter sur ce phénomène. Mais je parie qu’il y a une cause qui ne sera pas étudiée. Comme le fait que lorsqu’ils étaient censés fermer tout le pays au printemps 2020 pour protéger toutes les personnes âgées, en réalité ils assassinaient toutes les personnes âgées en leur donnant du midazolam (ndlr : proche du Rivotril) et de la morphine.

Kevin Jenkins est co-président de la Fondation du Dr Zelenko. Il se bat contre les oligarques parce qu’il estime que c’est LA bataille de l’humanité.

Ce combat est le nôtre. Il est temps pour nous de sortir et de nous battre pour nos enfants, parce que je pense que c’est la chose la plus importante. Leur laisser un endroit où ils peuvent être libres et comprendre que la souveraineté de leur corps et leur droit de choisir est « Mon corps, mon choix ».

Nous devons maintenant arrêter cette industrie maléfique et ses partenaires, le système monétaire et les grandes entreprises technologiques.

Nous avons du pain sur la planche. On nous a menti. Nous ne nous laisserons pas transformer en marchandise. Nous nous battrons contre cet esclavage mondial. Nous continuerons à éduquer les gens. Nous allons nous battre pour nos enfants, pour cette terre et pour ce pays.

C’est facile pour moi de le dire parce que je suis un Noir américain et que je comprends l’esclavage. Une meilleure compréhension de l’histoire m’a permis de voir les choses plus rapidement.

Pour moi le pass, je l’ai appelé le passeport de l’esclavage depuis le début. Il y a 60 ans, je ne pouvais pas rentrer dans un magasin parce que « je n’étais pas propre »…

Pensez à la communauté juive, à la communauté noire, aux personnes qui ont vécu dans la Russie communiste, aux personnes qui ont vécu dans le monde entier. Pensez à la façon dont ils ont vraiment oublié les horreurs que leurs ancêtres ont vécues, que leurs ancêtres ont vécues en abandonnant leur corps et en renonçant à leur liberté simplement pour dire : « Regardez-moi, je suis propre. Je suis propre. » C’est déchirant.

Dr Aaron Lewis est un évêque protestant, afro-américain et juif. Il a été éduqué dans la religion protestante tout en étant très proche de la religion et de la communauté juive hassidique de Brooklyn, dont ses grands-parents faisaient partie.

Il rappelle qu’une des leçons les plus importantes à retenir de l’Holocauste, c’est de ne pas assister à l’horreur en silence :

Lorsque je pense à l’Holocauste et à ses leçons — l’une d’entre elles étant que le silence était dangereux, traître — cela m’a toujours poussé à dire quelque chose, à faire une déclaration, à prendre les mesures nécessaires pour ne pas dire, à un moment donné de ma vie : « J’aurais aimé avoir fait ceci. J’aurais aimé dire ceci. J’aurais pu sauver cette vie, mais je n’ai rien fait ». Je ne veux pas que ce soit l’épitaphe sur ma pierre tombale. Je veux que ce soit : « Il a agi. À défaut d’autre chose, il a agi. » Aujourd’hui, tout mon temps est consacré à sauver des vies.

Il insiste aussi sur l’importance de faire comprendre ce qui se déroule en ce moment :

L’une de mes abolitionnistes préférées de l’histoire est Harriet Tubman. Je l’adore. Elle a dit : « J’ai libéré des milliers d’esclaves. » Et elle a ajouté : « J’aurais pu en libérer des milliers d’autres si seulement ils avaient su qu’ils étaient des esclaves. »

C’est une déclaration puissante parce que je crois que c’est là où nous en sommes aujourd’hui. Nous sommes à un moment où les gens ne savent même pas ce qui se passe. Ils sont dans le déni le plus total. Ils ne relient même pas les points entre eux. Ils ignorent complètement les signes flagrants de ce qui se passe dans la société. Même avec la propagande, la personne moyenne d’aujourd’hui ne comprendrait pas à quel point ce que nous vivons aujourd’hui est un parallèle direct avec ce que nous vivions dans les années trente et quarante. Et c’est effrayant, car si nous faisions attention à ce qui s’est passé, nous pourrions éviter ce qui se passe aujourd’hui.

C’est le même film que l’on rejoue aujourd’hui…






Le Mythe de l’Infection

Un projet de livre de David Crowe
La Rougeole par les Chiffres

[Source : http://theinfectiousmyth.com/measles.php
(Site fermé et remplacé par :
https://infectiousmyth.podbean.com/)]

Par David Crowe

[Traduction : Jean Bitterlin]

La rougeole est devenue la maladie favorite pour provoquer la panique de l’épidémie. Ce qui est amusant parce que c’est une des maladies les plus bénignes. Mais, d’un autre côté, elle est utile, parce que les symptômes surgissent encore régulièrement. Ce n’est certainement pas le SIDA ou la maladie de la Vache folle, mais alors pour ces deux maladies-là personne ne prétend qu’il existe un vaccin. Le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère — NDT) a été une grande panique pendant un moment (tout comme début 2020 le coronavirus Covid-19 – NDT), et puis il a complètement disparu (sans vaccin). Personne ne veut affirmer que le virus Ebola se propage en Occident parce que cela créerait une énorme panique. La grippe, et bien elle, elle a un vaccin, mais tout le monde admet qu’il n’est pas très bon. La rougeole est un monstre bien pratique.

Le CDC admet que la grande majorité des cas de rougeole ne présentent pas d’effets durables (parmi lesquels le décès est manifestement le plus permanent), mais il affirme qu’elle a le potentiel de mutiler et de tuer, c’est pour cela que la vaccination vaut la peine, à n’importe quel prix (surtout si vous ignorez le risque des effets secondaires du vaccin).

Alors, pour prendre au mot le CDC [CDC, 2018] il est utile de voir ce que disent les propres documents du CDC au sujet de la rougeole, documents complétés si nécessaire par d’autres sources grand public. Les affirmations principales, souvent répétées sont :

  • La preuve que la rougeole est causée par une infection véhiculée par le sang a été démontrée par Francis Holme en 1757.
  • La déclaration est devenue obligatoire en 1912 et lors de la première décennie (1912-1921) environ 6 000 personnes par an décédaient de la rougeole.
  • Le premier vaccin devint disponible en 1963.
  • Celui-ci fut remplacé par le vaccin Edmonton-Enders en 1968 qui est toujours utilisé.
  • Lors de la dernière décennie précédent le vaccin (1953-1962) de 400 à 500 personnes mourraient de la rougeole par an, 1 000 faisaient une encéphalite et 48 000 étaient hospitalisées.
  • Une deuxième piqûre a été recommandée après une épidémie importante parmi les vaccinés en 1989.
  • Avant la vaccination les 400 à 500 décès annuels provenaient des 3 à 4 millions de personnes infectées, un ratio de 1/6 000 à 1/10 000.

Les Décès de la rougeole

La plus grande inquiétude au sujet de la rougeole est manifestement le risque de décès. Le CDC, d’après le blog pro vaccin Vaxopedia, dit que les derniers décès de rougeole datent de 2003, mais il y a eu des certificats de décès au-delà depuis lors [Vaxopedia, 2018]. L’auteur du blog, Vincent Ianneli, médecin, compte 11 décès de rougeole depuis 2000. Ceci est vu à la fois comme étant un énorme succès pour le vaccin tout comme un échec dû aux personnes non vaccinées qui ramènent la rougeole aux États-Unis.

Mais revenons sur la propre page du CDC [CDC, 2018]. Elle signale qu’il y avait 6 000 décès par an dans la décennie qui a suivi le début des déclarations en 1912, mais 400 à 500 dans la décennie précédant le premier vaccin en 1963. Avant toute chose ceci n’est pas très précis parce que les propres données du CDC font état de décès de la rougeole entre 1956 et 1962 qui oscillent entre 380 et 552 [CDC, 1966a; CDC,1967]. Ceci n’est pas une grosse erreur, mais ça illustre la simplification des données qui se produit et le manque d’attention sur les détails par les tenants de la vaccination.

Il est évident que les 6 000 décès dans les premières années de déclaration doivent être ajustés par rapport à une population bien moindre de l’époque, mais également parce qu’alors les statistiques de décès n’étaient tenues que pour une partie seulement des États-Unis, connue sous le nom de « zone d’enregistrement ». Par exemple, en 1912 la population continentale des États-Unis était de 95,2 millions, mais la population de la zone d’enregistrement n’était que de 58,2 millions (58 %).

La grande question est comment expliquer la chute spectaculaire des décès entre 1912 et la dernière année sans vaccin, 1962. Le taux de décès dans la décennie suivant 1912 présente une moyenne annuelle de 9,02 sur 100 000 ou environ 1 décès pour 10 000 personnes. Mais en 1953-1962, durant la dernière décennie avant le vaccin, il présente une moyenne de 0,258 ou environ 1 décès pour 350 000 Américains.

La raison ne peut pas être l’incidence de la rougeole parce que, comme le montrent les graphes suivants, l’incidence de la rougeole n’a pas de lien avec la mortalité. Je montre les trois graphiques parce que le premier provient du CDC, et établit que le second est légitime. Néanmoins c’est un scan si médiocre que les légendes sur les axes ne sont pas lisibles. Le deuxième graphique est tiré d’un site web de sceptiques des vaccins, et montre des données similaires au premier, avec un rajout de quelques années. Le troisième est tiré d’un site web pro vaccin, Vaxopedia, et il est remarquable parce qu’il renforce la validité des données, et à cause de la note en rouge.

Le graphique du CDC CDC graph [CDC, 1966b]

Ce graphique a quelques éléments remarquables. Bien que les axes soient illisibles à cause d’un scannage médiocre, le titre indique qu’il possède les données de 1912 à 1965 (l’axe des X donc marqué d’une année par graduation et d’une indication tous les cinq ans). Il montre que l’incidence de la rougeole (le nombre de cas) n’a pas diminué durant la période prise en compte dans le graphique, mais que le taux de décès, lui, a diminué. On peut voir que l’axe des Y (l’axe vertical — NDT) utilise une échelle logarithmique (1 correspond à 10, 2 correspond à 100, 3 à 1 000, etc. – NdT) ce qui signifie que les nombres les plus élevés sont compressés vers le bas, mais les indications sont complètement indéchiffrables donc il est difficile de dire ce qu’elles signifient exactement. Par chance le graphe suivant, qui montre des données similaires, est beaucoup plus clair.

Graphe les vaccins ne nous ont pas sauvé :

Vaccines did not save us graph, [VDNSU, 2010]

Le graphe suivant est similaire à celui du CDC, mais il est plus lisible et s’étend sur une décennie de plus. Il est également à la même échelle logarithmique, il montre que le taux de décès par la rougeole a commencé à environ 8 pour 100 000 et était tombé, avant le premier vaccin contre la rougeole à 0,3 en 1962. Le graphe extrapole le taux de décès dans son déclin pour estimer une élimination des décès par rougeole vers 2010 (sans vaccin).

C’est encore très proche de 800 décès annuels et maintenant on a rapporté zéro décès la plupart des années, donc nous devons considérer l’exactitude de ce graphique plus tard.

Le graphe de Vaxopedia Vaxopedia graph [Vaxopedia, 2016]

Le Dr Iannelli de Vaxopedia montre un graphe qui n’a pas d’échelle logarithmique, mais l’échelle arithmétique normale. Ceci nous permet de mettre en contexte le déclin prévaccinal. Le médecin avance l’argument que la courbe, quoiqu’indistincte de zéro était toujours autour de 400 décès par an. Ceci est vrai, mais il semble faire un tour de passe-passe en évitant de se poser la question pour quelle raison le taux de décès aurait décliné autant sans aucune intervention médicale efficace. Et le déclin avant 1963 est bien plus important (simplement parce qu’il représente largement environ 97 % des vies sauvées) que le déclin après 1963.

Légendes du graphe :

  • Incidence et mortalité de la rougeole au 20siècle
  • La rougeole a cessé d’être une maladie mortelle bien avant l’introduction de la vaccination…
  • Environ 400 décès par an
  • … mais la vaccination a effectivement éliminé une maladie de l’enfance courante
  • En ordonnée : décès ou cas par 100 000 habitants

Le Risque de Décès

Le taux de mortalité s’exprime normalement en nombre de décès sur 100 000 personnes, mais le risque de décès est également une statistique importante, le pourcentage des cas de rougeole qui se termine par un décès.

Récemment, bon nombre de pro vaccins ont fait valoir que le risque est assez élevé, que ce n’est pas la maladie bénigne que les gens pensaient qu’elle était et que certaines personnes continuent d’affirmer qu’elle est. Le Dr Natasha Crowcroft de Santé Publique Ontario prétend que « un sur 3 000 à 5 000 enfants qui la contractera en mourra » [CTV, 2019]. Robert Booy, président de Immunisation Coalition, qui est financée par le fabricant de vaccins GlaxoSmithKline, Pfizer, Sanofi Pasteur et Seqirus Australie, place la barre plus haut, « Sans aucun doute la rougeole peut tuer. Environ 1 sur mille. C’est aussi le cas en Europe. » [ABC, 2019]. Le CDC va même plus loin, « 1 ou 2 personnes sur mille atteintes de rougeole mourront, même avec les meilleurs soins. » [CDC, 2019]

Ces affirmations sont clairement des non-sens pour bon nombre de raisons. Les statistiques américaines montrent que le taux de mortalité global a chuté spectaculairement entre 1912 et 1962, mais le nombre de cas (l’incidence) est resté relativement stable. Cela signifie que le risque de décès a également considérablement baissé. [OMS, 2018] indique que « Une rougeole sévère a plus de chances de se produire parmi les jeunes enfants malnutris, surtout ceux avec des carences en vitamine A, ou ceux dont le système immunitaire a été affaibli par le VIH/SIDA et d’autres maladies ». En d’autres termes, le risque de décès n’est pas un simple chiffre, il fluctue avec l’état de santé de la personne qui a la rougeole.

Aux États-Unis les risques ont considérablement fluctué d’une année à l’autre. Basé sur les cas de mortalités publiées et les cas de rougeoles signalés, le risque de décès était de 1/44 en 1912, mais de 1/28 en 1913 et 1/55 en 1920. Il était de 1/342 en 1939 et 1/552 en 1946 et 1/1472 en 1958, mais s’est élevé à 1/1020 en 1963, la première année avec un vaccin. Mais ces chiffres comparent les décès signalés aux cas signalés…

La plupart des cas de rougeole n’ont pas été signalés donc les taux de mortalité (presque toujours signalés) par rapport aux cas (rarement signalés) sont considérablement surestimés. En 1962 la population des moins de quinze ans des États-Unis était de 57,9 millions [OECD] sur une population totale de 186,54 millions [MULTPL]. En supposant que chaque personne a eu la rougeole avant l’âge de 15 ans, il y avait probablement 3,86 millions de cas (57,9 millions divisé par 15). En 1962 le nombre de décès était de 408, ce qui ferait un taux de 1 décès sur 9 460 cas, plus proche de 1 sur 10 000 que de 1 sur 1 000.

Diagnostic

L’histoire de la rougeole devient plus compliquée si vous considérez le problème du diagnostic et des biais de diagnostic. Si vous, en tant que médecin, croyez qu’il y a une épidémie de rougeole en cours, et que vous avez un malade que vous savez non vacciné, vous serez plus enclin à diagnostiquer qu’il a la rougeole. Inversement vous pourriez peut-être trouver d’autres diagnostics pour un malade avec des taches et de la fièvre, dont vous savez qu’il a été vacciné avec tous les rappels.

Notre ami, le Dr Iannelli de Vaxpedia nous aide ici. Il fait des recherches sur une affirmation par des sceptiques des vaccins que CNN s’est servi d’une photo d’un enfant blessé par le vaccin de la rougeole comme exemple d’un enfant atteint de rougeole [Vaxopedia, 2019]. Le médecin précise qu’en fait c’est le CDC qui avait fait l’erreur, mais que ce n’était pas une réaction au vaccin de la rougeole, mais une réaction au vaccin de la varicelle. Le point important c’est que le CDC ne pouvait pas dire la différence entre la rougeole et une réaction indésirable à un vaccin, illustrant par-là la difficulté d’établir un diagnostic sur un état, basé sur des symptômes qui sont trouvés dans beaucoup d’autres états pathologiques (parmi lesquels les expositions à des produits chimiques toxiques tels que les pesticides).

La Bibliothèque des Images de Santé Publique confirme que l’image 13322 est une réaction à une vaccination contre la varicelle « ressemblant à la rougeole ».

Ma propre histoire avec les diagnostics c’est que, comme toute ma fratrie et tous mes amis, j’ai attrapé toutes les maladies infantiles dans mes premières années de vie, à la fin des années 1950 et au début des années 1960. J’ai demandé récemment à ma mère, une femme qui, d’ailleurs, s’est ensuite formée dans le domaine scientifique, au sujet de mes souvenirs. Elle m’a confirmé que nous n’allions jamais voir le médecin parce qu’elle, comme la plupart des autres mères, voyait la rougeole comme étant une maladie spontanément résolutive, peu durable qui était simplement un désagrément. Je suis sûr qu’elle nous aurait emmenés (chez le médecin — NDT), moi ou mes frères et sœurs, si les choses avaient mal tourné. Je lui ai demandé comment elle savait si c’était la rougeole et non la rubéole (« rougeole allemande ») ou la varicelle, toutes caractérisées par des taches éruptives. Elle a répondu que « La rougeole était en circulation à ce moment-là ». Je lui ai également demandé si elle aurait diagnostiqué la rougeole si je l’avais déjà eue auparavant, et elle a dit ce que je pensais qu’elle allait dire, qu’une fois que vous aviez eu la rougeole, vous ne pouviez plus l’attraper.

J’ai trois éléments de preuve que je n’ai pas été vacciné contre la rougeole. (1) Ma mère qui, bien qu’étant une convaincue de la théorie de l’infection à la rougeole, n’était pas une des premières à l’adopter, et elle m’a dit récemment qu’elle ne voyait aucun besoin de vacciner contre une maladie aussi bénigne, et que, de toute façon, nous avions déjà eu la rougeole avant que le vaccin ne soit disponible. (2) J’ai également des souvenirs précis d’avoir reçu le vaccin oral contre la polio sur un morceau de sucre, mais aucun souvenir d’avoir été vacciné contre la rougeole. (3) J’ai un carnet de vaccination du temps de mon entrée au Canada en 1966 qui n’a que trois petites saisies, deux pour la vaccination contre la variole en 1969 et 1973, et une qui semble être un vaccin combiné tétanos/polio en 1978.

Mon expérience d’avoir passé ma rougeole à la maison, comme toutes mes autres connaissances, soulève le mystère de comment les gouvernements obtenaient des statistiques précises des cas de rougeole (l’incidence) surtout étant donné le grand nombre de cas qui étaient signalés. Une réponse c’est qu’ils ne faisaient que des estimations basées sur la conviction que tous les enfants avaient eu la rougeole. Peut-être les responsables de santé publique remplissaient pour chaque région des estimations mensuelles et elles traduiraient la conviction que ceci était une bonne ou une mauvaise année pour la rougeole.

Par exemple en 1962, le taux des cas de rougeole était de 259 pour 100 00. La population US était alors de 186,54 millions, ce qui ferait plus de 480 000 cas de rougeole. Il est inconcevable qu’à l’ère préinformatique ils les eussent tous diagnostiqués avec un test viral et signalés au gouvernement fédéral. Et sans test viral, l’erreur de diagnostic se produit aisément comme l’a illustré le CDC en choisissant une photographie d’une blessure vaccinale comme exemple de rougeole.

Même si les cas avaient été diagnostiqués par un médecin (plutôt que par une mère), ils auraient probablement été diagnostiqués à partir de symptômes, non pas avec un véritable test du virus de la rougeole, et les médecins auraient eu recours aux mêmes suppositions que ma mère.

À la suite de la commercialisation du vaccin contre la rougeole, d’abord en 1963, puis du vaccin actuellement utilisé en 1968, les médecins auraient cru qu’il était peu probable que les enfants vaccinés aient la rougeole, contrairement aux enfants non vaccinés. Ceci pourrait créer un biais dans le diagnostic basé sur des taches comme étant la rougeole chez les enfants non vaccinés et comme quelque chose d’autre chez les enfants vaccinés. Avec une majorité des enfants vaccinés, ceci pourrait avoir causé un effondrement du taux de diagnostics de rougeole, pas nécessairement un changement réel.

Efficacité du vaccin

Bien que le vaccin de 1968 soit décrit par le [CDC, 2018] comme étant meilleur que l’initial de 1963 (« un vaccin amélioré et même plus faible ») (plus faible signifiant ici moins agressif donc moins dangereux — NDT) il ne fournit pas une bonne immunité. Le CDC fait remarquer que « des épidémies de rougeole de 1989 parmi des enfants d’âge scolaire vaccinés ont incité le Comité Consultatif des Pratiques d’Immunisation (ACIP pour Advisory Committee on Immunization Practices), l’Académie Américaine des Pédiatres (AAP) et l’Académie Américaine des Médecins de Famille (AAFP) à recommander une deuxième injection du vaccin ROR pour tous les enfants.

Mais même cela fut insuffisant. Une épidémie importante se produisit au Québec dans une population d’enfants scolarisés dont 98 % avaient eu une injection du vaccin contre la rougeole à l’âge de 28 mois et 90 % avaient eu deux injections et la couverture vaccinale “est même plus élevée à l’entrée à l’école [De Serres, 2013].

Juste au tout début de l’utilisation du vaccin de 1968 il y a eu un afflux massif de cas de rougeole en 1969/70 et 1970/71, ces derniers excédant ceux de 1966/1967 [CDC, 1971]. Ils signalèrent ‘Dans l’année épidémiologique 1970-71 (en anglais EY pour epidemiologic year — NDT) de la rougeole, 77 682 cas de rougeole ont été signalés aux États-Unis. Ce qui représente une augmentation de 73,8 % par rapport au total signalé pour l’EY 1969-70 et une augmentation de 225 % pour l’EY 1967-68. En cliquant sur le lien [CDC, 1971] vous trouverez le graphique associé ci-dessous qui montre vraiment que lors du pic de 1971, pris sur des périodes de 4 semaines, environ 14 000 cas ont été signalés contre moins de 4 000 durant la même période en 68 et en 69 :

En Ukraine il semble qu’une expérience accidentelle ait eu lieu montrant une corrélation inverse entre la vaccination et la protection de la rougeole. En 2016, à cause de la difficulté d’obtenir des vaccins, les taux de vaccinations étaient de 31 %, mais il n’y avait pas d’épidémie de rougeole. Néanmoins, après une campagne de rattrapage en 2017, une épidémie de 12 000 cas ou plus de rougeole s’est produite [Gabrielle, 2018]. Cet article signale que seule une minorité de diagnostics ont été basés sur des tests de laboratoire, la plupart étant basés sur la détection d’une éruption cutanée, de la fièvre, de la toux, un refroidissement ou des yeux rougis, entraînant probablement un surdiagnostic de rougeole (incluant des erreurs de diagnostic consistant à prendre des effets indésirables de vaccination pour de la rougeole).

3 % c’est mieux que rien

Un argument en faveur de la vaccination de la rougeole c’est que même 3 % du nombre de décès de 1912 représentent presque 700 décès par an (en supposant un taux de 0,2, comme en 1962 et une population américaine de 329 millions). Comme me l’a écrit une personne anonyme (@VaccineUK) sur Twitter « Votre manque d’empathie pour les 3 % de décès restants est choquante ». Néanmoins, il y a un certain nombre de contre-arguments contre la supposition qu’environ 700 décès sont évités chaque année grâce à la vaccination généralisée :

  • Le taux de décès de la rougeole aurait très bien pu continuer à baisser après 1962, sans vaccin et aurait peut-être même atteint le zéro de toute façon. Même s’il n’avait pas atteint le zéro il pourrait aujourd’hui être sensiblement en dessous de 700 décès.
  • De nombreux décès de la rougeole se produisent chez des enfants ayant de graves problèmes de santé, donc le problème de biais existe. Un enfant avec une leucémie sera de préférence diagnostiqué comme décédé de la rougeole plutôt que d’admettre que le traitement anticancéreux agressif était la cause du décès. (Exemple du petit Italien non vacciné, mais leucémique décédé en 2017 — NDT). La rougeole peut être diagnostiquée sur la base de symptômes, sans test viral qui pourrait montrer que ce n’était pas réellement la rougeole.
  • Les 700 décès (plus les effets moindres tels que des encéphalites non mortelles) doivent être mis en balance par rapport aux effets négatifs des deux injections de vaccin qui peuvent également avoir des conséquences mortelles et qui peuvent provoquer des handicaps permanents. Bien que les séries de réactions indésirables soient rares, ils peuvent résulter en un grand nombre lorsqu’ils sont multipliés par la population totale (environ 8 millions d’enfants américains seront vaccinés chaque année, en supposant environ 4 millions d’enfants lors de chaque année et deux vaccinations).
  • D’après la base de données américaine VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System — Organisme de Signalement des Effets Indésirables des Vaccins, organisme fédéral mis en place afin de permettre aux citoyens de signaler les effets indésirables des vaccins — NdT), sur environ 30 ans il y a eu 93 203 réactions indésirables aux vaccins contre la rougeole (la plupart contenant également d’autres vaccins), soit environ 3 000 par an. Parmi ces effets il y a eu 459 décès et 1 526 qui ont été classés comme handicapants (sans qu’un décès soit signalé) et 1 055 classé comme mettant la vie en danger (sans être signalé comme décédé ou handicapé). Divisé par 30 années, ce sont des chiffres bien plus faibles (approximativement 15, 51 et 35 annuellement) que d’après les chiffres de 1962 le nombre de décès de la rougeole et des maladies sérieuses que l’on croit être dues à la rougeole. Néanmoins, on estime que seuls 1 à 10 % des événements indésirables sont réellement signalés à des organismes passifs tels que le VAERS, donc le nombre réel de décès suite aux vaccinations pourrait même être supérieur au nombre de décès de la rougeole évités grâce au vaccin (qui pourrait être inférieur à 700).

Causes environnementales

Il y a plusieurs éléments de preuve pointant sur des facteurs environnementaux qui au minimum influent sur la gravité de la maladie, et augmentent ou diminuent le risque de décès. Ceci est fortement indiqué par la diminution massive des décès entre 1912 et 1962 sans recours a aucun vaccin ou aucun traitement médical. Il y a un lien étroit avec la carence en vitamine A et également une variation saisonnière et au caractère de la région.

La carence en vitamine A

L’Organisation Mondiale de la Santé reconnaît un lien étroit entre la carence en vitamine A et le décès de la rougeole [WHO, 2018] :

« La forme grave de la rougeole est plus susceptible de se produire chez les jeunes enfants malnutris, surtout ceux carencés en vitamine A… Des foyers de rougeole peuvent entraîner des épidémies qui causent de nombreux décès, spécialement parmi les jeunes enfants malnutris… Tous les enfants diagnostiqués de rougeole devraient recevoir deux doses de vitamine A en complément espacées de 24 heures. Ce traitement reconstitue les bas niveaux de vitamine A durant la rougeole, ce qui se passe également chez les enfants bien nourris et peut aider à éviter des dommages aux yeux et la cécité. Il a été prouvé que les compléments de vitamine A réduisaient le nombre de décès de 50 % ».

Variation saisonnière et caractère régional

La rougeole est bien plus prévalente en début d’année, avec un pic avant le milieu de l’année. À partir du graphique suivant, il n’est pas possible d’identifier le mois particulier, mais il est possible de voir qu’il est dans la première moitié de chaque année [CDC, 1966a].

Un autre graphique de la même édition de la publication MMWR (Morbidity and Mortality Weekly Report — Rapport Hebdomadaire de Morbidité et Mortalité—NdT) du CDC montre que le pic de 1954 à 1963 se produisait lors de la 20semaine de l’année (mi-mai) et un peu plus tôt en 1964-1966 [CDC,1966a].

La rougeole a également révélé différents types suivant la région, avec un taux de décès environ trois fois supérieur dans le Sud (malgré environ le même taux de cas) comparé aux régions du Nord-Est et du Centre Nord des États-Unis, par exemple :

Infectieux ou lié à l’environnement ?

En réunissant tout cela nous avons pu voir que la malnutrition, particulièrement la déficience en vitamine A, pouvait à tout le moins être un facteur favorisant les décès par rougeole aux États-Unis. De nos jours nous pouvons obtenir des fruits et des légumes frais dans les supermarchés tout au long de l’année. Mais dans les années 1960 et avant, le mois de mai devait avoir été au bout de la saison de quantités limitées de fruits et légumes frais. De nombreux fruits et légumes provenaient de boîtes de conserve où les éléments nutritifs sont réduits par des transformations à haute température. Le caractère régional appuie également cette hypothèse. Le Sud est la partie la plus pauvre des États-Unis, et c’est là où les épidémies de pellagre étaient les plus graves, la pellagre étant une carence en vitamine B.

La théorie infectieuse prédirait que la rougeole serait la plus prévalente en septembre, lorsque les enfants retournent à l’école et le risque d’infection est le plus élevé. Mais ce n’est pas à ce moment-là que les épidémies se sont produites. Il est très difficile d’imaginer une bonne raison pour qu’une épidémie infectieuse soit plus prévalente à la fin du printemps ou au début de l’été.

Ironiquement une autre maladie fortement saisonnière était la polio dont on a observé au début du XXe siècle qu’elle était fortement corrélée avec la saison de récolte des fruits, qui est après le milieu de l’année (habituellement juillet, août, septembre et octobre dans l’hémisphère Nord). Ceci pourrait être dû à une plus grande exposition de fruits contaminés avec des pesticides, un problème inverse de celui de la carence en vitamine.

La théorie infectieuse prédirait également que l’incidence de la maladie est reliée à la mortalité. Mais alors qu’aux États-Unis l’incidence restait élevée depuis le début de la surveillance en 1912 jusqu’au début de la période de vaccination, la mortalité a fortement chuté.

Si nous évaluons le rôle de l’infectiosité par rapport aux facteurs environnementaux dans le taux de décès de la rougeole, nous voyons qu’au moins 97 % du nombre de victimes est dû à des facteurs environnementaux, étant donné que la tendance aux États-Unis était toujours à la baisse.

Les statistiques canadiennes

En 1976, le CDC a donné un aperçu des statistiques canadiennes pour la rougeole [CDC,1976] et même un graphique de l’incidence de la rougeole de 1924 à 1975 :

Ils (les CDC — NDT) expliquent la lacune flagrante dans les signalements que « La rougeole a été officiellement une maladie à déclaration obligatoire au Canada depuis 1924, avec une lacune de 10 ans de 1959 à 1968 ». Pour quelle raison ont-ils arrêté de déclarer la rougeole en 1959 ? L’incidence de la rougeole avait chuté les quatre dernières années, mais elle avait même chuté davantage dans le passé puis avait à nouveau augmenté. Se pourrait-il qu’en 1959 elle ait été considérée comme une maladie bénigne qui n’avait pas d’importance pour la santé publique ? Si elle avait été considérée comme une menace, ils auraient certainement continué à compter les cas.

Pour quelle raison ont-ils commencé à signaler à nouveau les cas de rougeole en 1968 ? Se pourrait-il qu’ils aient pensé qu’ils avaient un bon vaccin (qui est toujours en usage aujourd’hui) et avaient besoin de statistiques dans le but de produire une épidémie de peur afin de pousser les parents à vacciner leurs enfants ? J’attends qu’on me propose des avis de raisons plus inoffensives d’avoir arrêté les signalements, puis de les avoir repris.

Le CDC rapporte également que « Depuis le milieu des années 60, lorsque le vaccin contre la rougeole fut largement disponible, l’incidence de la rougeole a été réduite d’environ 20 % par rapport aux niveaux des années 1950 ». C’est impossible de dire cela, à moins qu’il n’y ait des données qu’ils ne partagent pas parce que l’incidence de la rougeole n’a pas été rapportée avant 1968 ce qui est nettement « fin » des années 60 et non « milieu ». En plus on a enregistré une augmentation de l’incidence de la rougeole après 1968, avant de baisser à nouveau — l’utilisation du vaccin contre la rougeole de 1968 était associée avec une augmentation des cas lors d’au moins une année (nous ne savons pas quelles étaient les incidences lors des années 1967 ou 1968).

Pour finir, le CDC rapporte que « Le nombre de décès de la rougeole au Canada a baissé ces 25 dernières années lorsque l’incidence de la rougeole a été réduite ». Étant donné qu’ils parlent des statistiques de 1975, ceci signifie vraisemblablement que les décès de rougeole ont diminué depuis 1951. Si le modèle a suivi celui des États-Unis, ce qui est vraisemblable, ils ont probablement baissé à ce moment-là depuis au moins un demi-siècle. Cela signifie, en plus, qu’ils admettent que les décès de rougeole ont baissé à partir d’environ 1951 à 1962, sans qu’un vaccin existe (ou 1951-1968 si vous acceptez le fait que le vaccin de 1963 n’était pas très efficace). Et, durant la période 1951-1975 (si c’est la période à laquelle ils se réfèrent), il y avait une augmentation du nombre de cas comparé à celui de 1954, et ensuite le vide entre 1959 et 1968. S’ils interpolent une ligne droite de 1959 à 1968 (ce qui serait stupide) alors ils diraient que l’incidence de la rougeole diminuait de 1955 à 1963 — et ce sans vaccin.

Références

[ABC, 2019] Drive: Discussion with Richard Booy. https://www.abc.net.au/radio/sydney/programs/drive/drive/10848602
[CDC, 1966a] Measles – 1966. MMWR. 1966 Sep 3; 15(35): 302-303. https://stacks.cdc.gov/view/cdc/620
[CDC, 1966b] Measles mortality – 1965. MMWR. 1966 Nov 5; 15(44): 384. https://stacks.cdc.gov/view/cdc/629
[CDC, 1967] Reported incidence of notifiable diseases in the United States, 1966: Measles (Rubeola), 1965-1966. MMWR. 1967 Nov; 15(53). https://stacks.cdc.gov/view/cdc/615
[CDC, 1971] Surveillance Summary, Measles—United States, 1970-71. MMWR. 1971�Nov 27; 20(47). https://stacks.cdc.gov/view/cdc/1816
[CDC, 1976] Measles—Canada, 1924-1975. MMWR. 1976�Dec�17; 25(49). https://stacks.cdc.gov/view/cdc/1123
[CDC, 2018] Measles history. CDC. 2018 Mar 19. https://www.cdc.gov/measles/about/history.html
[CDC, 2019] Measles: It Isn’t Just a Little Rash Infographic. 2019 Mar [accessed]. https://www.cdc.gov/measles/parent-infographic.html
[De Serres, 2013] De Serres G et al. Largest measles epidemic in North America in a decade-Quebec, Canada, 2011: contribution of susceptibility, serendipity, and superspreading events. J Infect Dis. 2013 Mar 15; 207(6): 990-8. http://davidcrowe.ca/SciHealthEnv/papers/9921-LargestMeaslesEpidemicInNorthAmericaInHighlyVaccinatedPopulation.pdf
[Gabrielle, 2018] Gabrielle M et al. Outbreak of over 12,000 cases of measles in Ukraine is caused by recent vaccination campaign?! Stichting Vaccin Vrij. 2018 May 12. https://stichtingvaccinvrij.nl/outbreak-of-over-12000-cases-of-measles-in-ukraine-is-caused-by-recent-vaccination-campaign/
[HSUS] Historical statistics of the United States: Colonial times to 1970. Chapter B: Vital Statistics and Health and Medical Care. US Census. 1975�Sep. https://www.census.gov/library/publications/1975/compendia/hist_stats_colonial-1970.html
[MULTPL] US Population by Year. http://www.multpl.com/united-states-population/table
[OECD] Historical population data and projections (1950-2050). OECD. https://stats.oecd.org/Index.aspx?DataSetCode=POP_PROJ#
[PHIL] Public Health Image Library. CDC. https://phil.cdc.gov
[Vaxopedia, 2016] Iannelli V. Graphs That Show Vaccines Don’t Work. Vaxopedia. 2016 Oct 1. https://vaxopedia.org/2016/10/01/graphs-that-show-vaccines-dont-work/
[Vaxopedia, 2018] Iannelli V. When was the last measles death in the United States. Vaxopedia.org. 2018 Apr 15. https://vaxopedia.org/2018/04/15/when-was-the-last-measles-death-in-the-united-states/
[Vaxpoedia, 2019] Iannelli V. Did CNN Apologize for using a Fake Measles Photo? Vaxpoedia. 2019 Feb 1. https://vaxopedia.org/2019/02/01/did-cnn-apologize-for-using-a-fake-measles-photo/
[VDNSU, 2010] Vaccines did not save us — 2 centuries of official statistics. https://childhealthsafety.wordpress.com/graphs
[VSUS] Vital statistics of the United States. CDC. http://www.cdc.gov/nchs/products/pubs/pubd/vsus/vsus.htm
[HSUS] Historical statistics of the United States: Colonial times to 1970. Chapter B: Vital Statistics and Health and Medical Care. US Census. 1975�Sep. https://www.census.gov/library/publications/1975/compendia/hist_stats_colonial-1970.html
[WHO, 2018] Measles. WHO. 2018 Nov 29. http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs286/en/

Copyright March, 2019 by David Crowe
Traduction Jean Bitterlin




Le Gardasil inutile et dangereux — Témoignage

[Source : Jean Jacques Bourguignon]

L’histoire de la famille Bourguignon et l’histoire d’Adriana décédée suite à ce vaccin.





France — La Cour des comptes veut limiter à 500 gr par semaine la consommation de viande rouge

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

Heureusement il y a les insectes et la production de tumeurs cancéreuses en labo pour remplacer

Élevage bovin : la Cour des comptes recommande « une réduction importante du cheptel »

Le respect des engagements de la France en matière de réduction des émissions de méthane (souscrits dans l’accord international Global Methane Pledge) appelle nécessairement une réduction importante du cheptel », note en effet la Cour des comptes – sans donner de chiffre précis —, qui souligne que l’élevage bovin est « responsable en France de 11,8 % des émissions d’équivalents CO2, comparables à celles des bâtiments résidentiels du pays », principalement à cause du méthane produit lors de la digestion des animaux.

« Cette réduction peut être aisément conciliée avec les besoins en nutrition des Français, un tiers d’entre eux consommant davantage que le plafond de 500 g par semaine de viande rouge préconisé par le plan national nutrition santé », pointe-t-il.(([1] https://www.lefigaro.fr/conjoncture/elevage-bovin-la-cour-des-comptes-recommande-une-reduction-importante-du-cheptel-20230522))

Miracle, en même temps, l’Europe autorise la consommation de grillons, vers de farine et criquets migrateurs.

Bill Gates et ses alliés du Forum économique mondial (WEF) ont fortement poussé le public à passer à la viande cultivée en laboratoire en arguant qu’elle aide à lutter contre le « changement climatique ».

Le principe de production, la multiplication des cellules n’est rien d’autre que celui du développement des tumeurs cancéreuses

Les cellules sont placées dans des boîtes de Petri avec un « milieu de croissance » comprenant des nutriments tels que des acides aminés, du glucose, des vitamines et des sels inorganiques.

Ceci est complété par des facteurs de croissance et d’autres protéines pour aider les cellules musculaires à se multiplier et à se développer.

Ils sont autorisés à proliférer comme le feraient des tumeurs cancéreuses à l’intérieur d’un animal jusqu’à ce qu’il y ait des milliards de cellules.

Dans une interview de 2021 avec MIT Technology Review, Gates a fait valoir que « tous les pays riches devraient passer au bœuf 100 % synthétique » dans le but d’atteindre les objectifs de l’agenda vert du WEF.

Pour en sourire, regardez :

Partie 1 : https://vimeo.com/124391891 Partie 2 : https://vimeo.com/124392955

LA PRODUCTION DE VIANDE DE LIMOUSIN NÉCESSITÉ SEULEMENT L’EAU QUI TOMBE DU CIEL SUR LES PRAIRIES ET QUI TOMBERA MÊME SI LES BŒUFS DISPARAISSENT

Produire 1 livre de viande de bœuf prend moins d’eau que produire 1 libre d’avocats ou 1 livre de noix. Le mythe du 10 000 litres d’eau par livre de bœuf : c’est 95 % de l’eau de pluie qui tomberait quand même. Ce que vous ne lirez jamais dans nos médias Wokes.

Encore une arnaque mathématique qui consiste à comparer de l’eau et des fibres végétales faiblement nourrissantes à de la viande. Et bien sûr en fait les bilans carbone d’une alimentation très végétalisée ne sont pas meilleurs.




Les pédiatres poussent les « vaccins » à cause de l’argent des pots-de-vin de Big Pharma — voici la preuve

[Source : naturalnews.com]

[Traduction : information645]

Une grande révélation qui est sortie de la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19) concerne la relation incestueuse et tournante entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique. Les hôpitaux et autres établissements de soins de santé, nous le savons maintenant, ont été incités par le gouvernement à assassiner essentiellement leurs patients en échange d’argent de Big Pharma, un petit arrangement confortable qui semble également être vrai pour les pédiatres qui reçoivent des pots-de-vin pour pousser les vaccins infantiles sur leurs patients.

Ce ne sont pas seulement les « vaccins » COVID que la médecine occidentale continue de pousser sur le public en échange de l’argent de l’industrie pharmaceutique, mais tous les vaccins. Et comme la plupart des vaccins sont administrés aux enfants par des pédiatres, il est important de ne pas négliger le fait que ce stratagème de corruption dure depuis des décennies et n’est pas seulement apparu comme un produit du covid.

Une étude de 1999 publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) a révélé que le nombre moyen de patients pour un pédiatre américain, du moins à l’époque, était de 1 546 — et « significativement plus élevé dans les zones moins peuplées et les cabinets en solo ». Un patient pédiatrique sur quatre à la même époque avait deux ans ou moins.

Des données plus récentes de 2021 montrent que 75 % des pédiatres américains ont entre 1 000 et 1 800 patients, ce qui suggère que peu de choses ont changé. Ce qui a changé, c’est la révélation en 2016 que les pédiatres reçoivent environ 400 $ par patient pédiatrique qui reçoit les 10 vaccins suivants, soit 25 doses au total, avant son deuxième anniversaire :

  1. Vaccin DCaT
  2. Vaccin VPI
  3. vaccin ROR
  4. Vaccin VZV
  5. Vaccins HiB
  6. Vaccins contre l’hépatite B
  7. Vaccins PCV
  8. Vaccin contre l’hépatite A
  9. Vaccins contre le RV
  10. Vaccins contre la grippe

Ce chiffre de 400 $ provient d’un document publié par Blue Cross Blue Shield (BCBS) qui a finalement été divulgué aux journalistes.

« En utilisant les statistiques moyennes de 1999, si un pédiatre a 1 000 patients, on peut s’attendre à ce que 264 aient 2 ans ou moins », rapporte le rapport Discern. « Si tous sont complètement vaccinés, le pédiatre serait éligible à une prime de fin d’année de 105 600 $. »

(En relation : Certains pédiatres américains sont des toiletteurs d’enfants déguisés qui font sortir les parents de la pièce avant de pousser le transgenre sur leurs enfants innocents.)

Si les pédiatres ne parviennent pas à atteindre les calendriers de vaccination « cibles » du BCBS, ils ne reçoivent RIEN en termes de pots-de-vin.

Afin de recevoir de l’argent du BCBS, un pédiatre doit au moins atteindre un niveau « cible » de 63 % des vaccins ci-dessus. Si un pédiatre n’obtient que 62 % de conformité à la vaccination ou moins, il ne reçoit rien du BCBS.

Donc, comme vous pouvez le voir, il y a une forte incitation pour les pédiatres américains à pousser autant d’injections de vaccins que possible sur les enfants par l’intermédiaire de leurs parents — parce que s’il y a trop d’« anti-vaxxers » inscrits dans un cabinet médical donné, alors le pédiatre qui le dirige ne gagnera pas d’argent de pot-de-vin supplémentaire.

Cela expliquerait pourquoi certaines des cliniques pédiatriques les plus sordides n’accepteront même pas les enfants non vaccinés. Les parents ont rencontré des panneaux de porte leur disant de se démener s’ils ne prévoient pas de piquer leurs enfants, et il y a de fortes chances que les bureaux en question veuillent cet argent de pot-de-vin doux des compagnies d’assurance et de l’industrie pharmaceutique.

Le marché noir de la drogue n’est même pas à la hauteur de l’activité criminelle comme celle-ci qui sévit dans le racket légal de la drogue. Les médecins, pédiatres, pharmaciens et autres membres du cartel des blouses blanches atteignent largement certains quotas ou perdent leur part du butin de la corruption.

« De telles incitations… finissent par forcer un médecin à considérer les implications financières de l’acceptation de patients qui veulent simplement se retirer d’un vaccin », prévient le Dr Bob Sears à propos du racket légal de la drogue.

« Peut-être que quelques-unes de ces familles ne les feraient pas échouer aux examens des cartes, mais s’ils en ont trop, il y a leur prime de fin d’année. »

Les dernières nouvelles sur la corruption fasciste de Big Pharma, Big Government et du système de médecine occidentale peuvent être trouvées sur BadMedicine.news.

Les sources de cet article incluent :

DiscernerReport.com
NaturalNews.com




Les propositions de l’OMS menacent la relation médecin-patient et l’autonomie personnelle

[Source : childrenshealthdefense.org]

[Traduction : Turiuya]

Le traité de l’Organisation mondiale de la santé sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international menacent la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle, ont déclaré des experts au Defender.

Note de l’éditeur : Voici la deuxième partie d’une série de deux articles sur la manière dont le traité sur les pandémies proposé par l’Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international pourraient priver les nations et les peuples de leur souveraineté en matière de prise de décision dans le domaine de la santé.

Lire la première partie ici [en anglais].

Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’apprête à convoquer son Assemblée mondiale de la santé annuelle du 21 au 30 mai, la controverse se poursuit autour de deux instruments proposés à l’ordre du jour : le traité sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI).

La plupart des critiques formulées à l’encontre de ces deux instruments portent sur la menace qu’ils font peser sur la souveraineté nationale.

Mais des experts ont déclaré au Defender que ces propositions menaçaient également la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle.

« Ces instruments s’injecteraient eux-mêmes et interrompraient la relation médecin-patient », a déclaré l’avocate Reggie Littlejohn.

« L’OMS dira quels sont les traitements “corrects” et quels sont les traitements “incorrects”, ce qui constitue une abrogation de la souveraineté. »

Mme Littlejohn, cofondatrice de la Sovereignty Coalition, fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente de la Task Force Stop Vaccine Passports, a déclaré au Defender :

« Un groupe de bureaucrates étrangers non élus ne devrait pas dire aux États-Unis ou à tout autre pays comment gérer nos problèmes de santé. »

Selon le Dr David Bell, médecin de santé publique et consultant en biotechnologie, ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund :

« C’est exactement ce que nous avons vu dans l’affaire COVID, où, pour la première fois à ma connaissance, des gouvernements ont interdit des médicaments parfaitement sûrs.

Ce n’est pas la première fois que l’on impose des vaccins, mais c’est la première fois que l’on impose des vaccins à l’ensemble de la population, et c’est la première fois que l’on interdit des médicaments sûrs, que l’on interdit aux médecins de faire ce qu’ils considèrent comme le meilleur pour le patient. »

Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste spécialiste des guerres biologiques, membre du comité consultatif scientifique de la Children’s Health Defense, a déclaré que les amendements proposés au RSI comprenaient une disposition permettant au directeur général de l’OMS de « convoquer un comité d’urgence » qui pourrait ordonner aux pays de ne pas administrer certains traitements.

Selon Francis Boyle, J. D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act (loi antiterroriste sur les armes biologiques) de 1989, les autorités locales et étatiques des États-Unis seraient obligées de suivre les diktats de l’OMS.

En contournant le 10e amendement de la Constitution des États-Unis, « les autorités locales et étatiques seraient obligées d’obéir à toutes les décisions émanant de ce nouvel organe créé par le traité sur la pandémie. Et cela pourrait aller jusqu’à donner des ordres à votre médecin traitant, qu’il serait obligé d’obéir », a déclaré M. Boyle.

Selon M. Bell, les médecins se trouveraient ainsi dans la position de suivre les instructions du « gouvernement et des autorités supérieures » et d’en être « les instruments, plutôt que de traiter avec un patient en face d’eux, comme le veut la relation médecin-patient, où l’on examine le patient et où l’on prend des décisions sur la base d’une discussion avec le patient ».

« Elle fait des médecins des organes de l’État et de l’OMS plutôt que des entités indépendantes qui s’occupent des soins de santé d’un patient », a ajouté M. Bell.

Le Dr Katarina Lindley, présidente de l’Association texane des médecins et chirurgiens américains et directrice du Global COVID Summit, a déclaré au Defender : « L’une des raisons pour lesquelles je suis opposée à l’initiative de One Health [“Une seule santé”], un seul monde, c’est que je ne crois pas à la “taille unique”… même pendant la COVID ou le processus normal de la maladie… il faut adapter l’approche du traitement en fonction du patient ».

Le Dr Karladine Graves, médecin de famille, a déclaré que l’autorité de l’OMS pour dicter des conseils médicaux est compromise par ses liens avec Big Pharma [les grandes entreprises pharmaceutiques]. Elle a dit :

« L’OMS est largement financée par l’industrie pharmaceutique ainsi que par des groupes privés tels que la Fondation Bill & Melinda Gates. Si le traité de l’OMS et les amendements au RSI sont adoptés, l’OMS ne sera plus un organe consultatif pour les 194 pays membres des Nations unies, mais plutôt un organe directeur sans responsabilité qui imposera tous les protocoles de soins de santé ainsi que les médicaments disponibles uniquement sous sa direction.

Cela signifie que les médecins privés n’auront pas la possibilité d’utiliser d’autres traitements que ceux “approuvés” directement par l’OMS… Les patients n’auront pas leur mot à dire sur leurs soins médicaux et éventuellement sur l’accès aux soins. »

M. Lindley a prévenu que les instruments proposés par l’OMS pourraient déboucher sur un large éventail de mandats, notamment « la fermeture des frontières, l’approbation de certains traitements seulement, d’éventuelles nouvelles vaccinations, des passeports numériques et tout le reste ».

De même, M. Bell a mis en garde contre le fait que les instruments pourraient donner lieu à des vaccinations forcées ou contraignantes, déclarant à The Defender que « l’observation purement forcée d’une procédure médicale » observée lors de la pandémie de COVID-19 « est ce à quoi nous nous attendons avec le traité sur les pandémies, qui continuera à se produire ».

Les propositions de l’OMS sont liées à la demande d’une carte d’identité numérique mondiale

Selon M. Boyle, l’OMS affirme que le traité sur les pandémies ne sera pas voté par l’Assemblée mondiale de la santé avant mai 2024, mais « nous ne savons pas si c’est vrai ou non. La dernière version du traité que j’ai examinée pourrait être prête à la fin du mois. Nous n’en savons rien. »

M. Boyle a déclaré que les amendements au RSI « seront certainement prêts d’ici la fin du mois ».

L’auteur et animateur de podcast Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy et cofondateur de la Sovereignty Coalition, a déclaré :

« Un certain nombre de choses ont été très préoccupantes, en particulier le fait que nous n’avons pas eu un niveau de transparence adéquat. »

« Dans l’ensemble, ils ont été très déterminés à le dissimuler, ce qui soulève des questions quant à leurs motivations », a ajouté M. Gaffney. « Ce à quoi nous avons affaire, c’est à un effort concerté de la part de toutes les parties que j’ai mentionnées pour remplacer les États-Unis en tant que nation souveraine par un nouvel ordre mondial qu’ils commercialisent sous l’euphémisme de gouvernance mondiale. »

Dans ce nouvel ordre mondial, a déclaré M. Gaffney,

« nous ne serions qu’une autre sorte de composant […] et notre souveraineté, notre constitution et nos libertés seraient toutes soumises aux autorisations des autres. Et ces autorisations seraient certainement limitées, voire refusées, sur la base d’éléments tels qu’une carte d’identité mondiale ».

Selon M. Gaffney, un système d’identification numérique mondial « serait présenté comme un moyen de contrôler la santé publique dans le monde entier », mais il permettrait en fait de « réaliser une opération de surveillance de notre peuple, parmi d’autres, dans le monde entier ».

Journaliste et chercheur indépendant James Roguski a déclaré au Defender que « la partie sournoise » des amendements proposés au RSI est une disposition relative à un réseau mondial de certification de la sécurité sanitaire numérique qui créerait non seulement des passeports vaccinaux numériques, mais l’étendrait également à des certificats de test, de récupération ou de prophylaxie ».

Cela pourrait constituer un confinement de fait pour ceux qui n’ont pas ces documents.

« S’ils parviennent à ce que chaque pays accepte de restreindre les déplacements des étrangers, alors tout le monde sera bloqué », a déclaré M. Roguski.

Si un pays comme les États-Unis ne souhaitait pas adhérer à ce réseau mondial de certification, M. Roguski a déclaré que ses citoyens pourraient être « piégés », car d’autres pays continueraient à imposer les certificats comme condition d’entrée sur leur territoire.

M. Gaffney a déclaré qu’un certificat numérique global « devient le véhicule parfait pour mettre toutes vos données sur cette pièce d’identité et l’utiliser comme le fait le Parti communiste chinois dans son système de crédit social ».

Cela permettrait aux autorités gouvernementales et mondiales « non seulement de surveiller ou de contrôler, mais aussi de contrôler les détenteurs de ces cartes d’identité et de les utiliser pour appliquer non seulement leurs mandats en matière de santé, mais aussi tout ce qu’ils veulent faire… y compris l’accès à votre argent, à vos voyages ou à vos possibilités d’emploi », selon M. Gaffney.

M. Gaffney a rappelé que l’OMS avait déjà montré les dents lors de la pandémie de COVID-19, même si ses recommandations aux pays n’étaient pas contraignantes.

« Je pense que la plupart d’entre nous ne pensent pas que les choses se soient bien passées », a déclaré M. Gaffney. « Les mensonges de l’OMS sur les origines du virus, sa nature, sa transmissibilité et la réponse à y apporter ont causé un tort incalculable à notre pays. »

« Ce qu’elle a imposé, c’est le modèle chinois, a déclaré M. Gaffney, c’est-à-dire les masques, les quarantaines, les enfermements et les vaccinations avec des thérapies géniques insuffisamment testées, et le moyen numérique d’imposer ces mandats par le biais du passeport vaccinal. »

Il a ajouté :

« Nous avons vu comment cela fonctionnait, même si l’OMS ne disposait que d’une autorité consultative. C’était un avertissement… de ce qui pourrait nous arriver si cette organisation avait l’autorité qu’elle cherche maintenant à obtenir, pour nous dicter ce qu’est une PHEIC, une urgence de santé publique de portée internationale [Public Health Emergency of International Concern], ou comment nous devons y répondre. »

Mme Littlejohn a fait remarquer que les amendements proposés au RSI prévoient un « comité de mise en œuvre » et un « comité de conformité », et que l’OMS et les gouvernements nationaux pourraient utiliser le mécanisme de surveillance qu’ils prévoient de mettre en place comme sanction potentielle en cas de non-conformité.

« Ils vont surveiller votre compte de médias sociaux et si vous dites des choses qui vont à l’encontre du décret de l’OMS… ils pourraient vous retirer des médias sociaux et vous priver de vos cartes de crédit et de votre compte en banque », a-t-elle déclaré.

« Ces mondialistes, ainsi que le WEF [World Economic Forum (Forum Économique Mondial)] et la Banque mondiale, pourraient imposer des sanctions économiques sévères aux pays qui ne suivent pas le mouvement », a déclaré Mme Littlejohn. « Surtout si nous avons une monnaie numérique de banque centrale globale… si nous avons un président qui s’y oppose, ils pourraient essayer de nous couper les vivres. »

Experts : Les États-Unis et d’autres pays doivent quitter l’OMS

Selon les experts, le meilleur moyen d’empêcher la mise en œuvre d’un éventuel traité sur les pandémies et/ou des amendements proposés au RSI est que les États-nations, y compris les États-Unis, quittent l’OMS.

M. Gaffney, décrivant les négociations sur les deux instruments proposés comme un « jeu truqué » qu’il est « peu probable d’arrêter », a déclaré que cela avait incité la Sovereignty Coalition à « adopter la position selon laquelle ce que nous devons faire, c’est sortir de l’OMS ».

M. Roguski, qui a lancé le site ExitTheWHO.com, a déclaré que l’OMS pourrait ne pas attendre l’approbation formelle des deux instruments.

Il s’est référé à un document de l’OMS intitulé « Rapport O », qui « utilise des termes tels que : ils rendent opérationnelles les choses qui sont négociées… ils construisent simplement les systèmes, ils le font ».

Par exemple, M. Roguski a déclaré :

« Ils sont en train de mettre en place un réseau mondial de certification en matière de santé numérique, sans traité ni amendement. Ils ne font que cela. Qui va les arrêter ?

Ils sont occupés à mettre en place le système de prestations d’accès aux pathogènes. Ils veulent développer le réseau logistique. Tout ce que vous pouvez imaginer, ils sont en train de l’opérationnaliser de sorte qu’au moment de signer un traité, ils pourront dire : oh, regardez, nous avons déjà ce réseau en place dans le monde entier. »

M. Roguski a également déclaré au Defender que les négociations en cours concernant les amendements au RSI comprennent une proposition qui pourrait permettre à l’OMS de prétendre que ce sont les États-nations eux-mêmes qui mettent en œuvre les obligations de l’OMS, plutôt que l’OMS elle-même.

Selon les amendements proposés pour l’article 4 du RSI, soumis par la Russie :

« Les États parties adoptent ou adaptent la législation afin de doter les points focaux nationaux RSI de l’autorité et des ressources nécessaires à l’exercice de leurs fonctions, en définissant clairement les tâches et la fonction de l’entité jouant le rôle de point focal national RSI dans la mise en œuvre des obligations prévues par le présent règlement. »

Par conséquent, « l’Organisation mondiale de la santé n’aura pas besoin d’appliquer directement les règlements. Le “point focal national RSI” sera autorisé à mettre en œuvre les obligations découlant de la réglementation », a déclaré M. Roguski.

Il a ajouté :

« Cela répond directement à la question de savoir comment les amendements seraient appliqués… par la législation, la réglementation ou les ordres exécutifs dans chaque nation.

Nos propres bureaucraties seraient susceptibles d’essayer d’appliquer les futurs diktats de l’OMS de la même manière qu’elles ont essayé d’appliquer les “recommandations” de l’OMS au cours des trois dernières années — sauf qu’elles pourraient invoquer des obligations internationales et une autorité nouvellement légiférée. »

Aux États-Unis, par exemple, « le centre d’opérations du secrétaire à la santé et aux services sociaux est le “point focal national” chargé de signaler les événements à l’OMS » et devrait jouer ce rôle dans le cadre de la mise en œuvre du RSI modifié, a fait remarquer M. Roguski.

M. Boyle : la loi sur le retrait de l’OMS nous protégerait

M. Boyle a déclaré au Defender que le départ des États-Unis de l’OMS pourrait se faire par le biais d’une proposition de loi, la loi sur le retrait de l’OMS, actuellement examinée par le Congrès.

Parrainée par le député Andy Biggs (R-Ariz.), elle retire les États-Unis de l’OMS, met fin à tout financement américain de l’OMS et « révoque cette résolution conjointe du Congrès ».

« Je pense que si nous obtenions cette législation, ce serait terminé et nous serions protégés », a déclaré M. Boyle, ajoutant que les États et les collectivités locales s’opposent de plus en plus aux instruments proposés par l’OMS. Il a cité, par exemple, le comté de Collier, en Floride, qui a « adopté une ordonnance et une résolution » à cet effet.

Mme Littlejohn a indiqué que le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) avait parrainé la loi « No WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act », qui exige que tout traité adopté par l’OMS ne soit mis en œuvre qu’« avec l’avis et le consentement du Sénat ».

Toutefois, selon Mme Littlejohn, « le Sénat lui-même l’a rejeté », selon les lignes de parti.

Mais cette proposition de législation « ne ferait pas l’affaire » de toute façon, a déclaré M. Boyle, en raison de l’ensemble des documents et des dispositions légales en vigueur. Selon M. Boyle, « la législation récemment introduite par le député Biggs, qui vise à mettre fin immédiatement à l’adhésion des États-Unis à l’OMS, fera l’affaire ».

M. Boyle a déclaré que les républicains de la Chambre ont le pouvoir d’agir ainsi parce qu’ils « contrôlent la Chambre, ce qui signifie qu’ils contrôlent le budget et les crédits ». Par conséquent, « ils peuvent utiliser ce contrôle pour faire pression sur l’OMS dans ce domaine ».

M. Gaffney a déclaré que la Sovereignty Coalition a recommandé « que le gouvernement américain cesse de financer l’OMS [and] et notifie officiellement son retrait de l’organisation ».

Bien que ce processus nécessite un préavis d’un an, M. Gaffney a fait valoir que « s’ils modifient fondamentalement la nature de l’organisation et les modalités de son fonctionnement, je pense que nous devons nous en retirer immédiatement… et c’est ce que nous recommandons au Congrès ».

M. Gaffney a toutefois déclaré : « Il est tout simplement stupéfiant que le Sénat américain ait été si indifférent à la possibilité que ces changements radicaux se fassent sans son avis et son consentement ».

(Le Sénat américain n’a toujours pas étudié les milliers de pages données en 2014 par le Dr William Thompson du CDC établissant la preuve du lien entre le vaccin (contre le ROR ?) et l’autisme…)

Mme Littlejohn, qui a également appelé à une sortie des États-Unis de l’OMS, a noté que l’ancien président Donald Trump avait lancé ce processus, mais que Joe Biden, qui est devenu président avant que la position de retrait d’un an ne soit achevée, a rétabli les États-Unis.

De même, M. Boyle a déclaré :

« Je ne dis pas que je soutiens Trump… Trump nous a correctement retirés de l’OMS, mais il y avait un préavis de six mois. Biden a été élu, a annulé le retrait et nous a réintégrés dans l’OMS et veillera à ce que nous soyons toujours dans l’OMS. »

Mme Littlejohn a ajouté :

« Nous pourrions faire valoir que les soins de santé ne sont pas un pouvoir énuméré qui revient au gouvernement fédéral ; ils restent du ressort de l’État, et donc, si la branche exécutive du gouvernement fédéral n’a pas le pouvoir de régir les soins de santé, elle n’a pas la capacité de les confier à l’OMS. »

Toutefois, Mme Littlejohn a déclaré que de tels arguments juridiques étaient « en terrain inconnu », tandis que M. Gaffney a fait remarquer que l’Assemblée générale des Nations unies avait bientôt « l’intention de faire à peu près la même chose [que l’OMS] en ce qui concerne ses pouvoirs… qui donneraient essentiellement au secrétaire général le droit de répondre à… des crises ne relevant pas de la santé publique ».

M. Boyle a fait valoir que « tous les responsables gouvernementaux, les scientifiques et les médias affirment qu’une nouvelle pandémie est imminente. C’est exact. Ils savent qu’une nouvelle pandémie se profile à l’horizon. Elle sort de leurs laboratoires BSL3 [biosecurity level 3] et BSL4. Ils préparent donc déjà le terrain pour la prochaine pandémie ».

[Voir ce que disent les médecins qui disent que ce sont des exosomes, et que « le terrain est tout »]

[Voir aussi : Bill Gates prépare sa prochaine plandémie]

Se référant à One Health, qui est largement mentionné dans le traité sur la pandémie et auquel les centres de contrôle et de prévention des maladies participent activement, M. Boyle a déclaré qu’il s’agissait d’une violation du droit international existant. Il s’est référé à l’article 12, paragraphe 1, du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, qui stipule que

« les États parties au présent Pacte reconnaissent le droit qu’a toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre. »

« Le pacte compte 171 États parties », a déclaré M. Boyle, ajoutant qu’il « constitue la norme pertinente en matière de droit international et de droits de l’homme lorsqu’il s’agit de répudier One Health ».

« Vous noterez que cette formulation est sans équivoque et péremptoire », a déclaré M. Boyle. « Il ne dit rien du tout sur la santé animale ou l’environnement », a déclaré M. Boyle, estimant que « l’adoption de One Health violerait l’article 12, paragraphe 1, du pacte… et irait à l’encontre de l’objet et de la finalité de ce pacte ».

À l’approche de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, la Sovereignty Coalition a déclaré le mois de mai « Mois de la sortie de l’OMS », lançant une campagne d’envoi de lettres aux membres du Congrès et aux agences fédérales, ainsi qu’une « Déclaration de souveraineté américaine » et une campagne de signatures qui a recueilli le soutien d’éminents politiciens et experts médicaux.

« Nous avons besoin d’une action du Congrès d’ici la fin du mois », a déclaré Mme Littlejohn, qui a ajouté :

« La Constitution n’est pas un document auto-exécutoire. Elle ne peut pas se défendre. Nous devons la défendre. Nous ne pouvons pas compter sur un bout de papier pour nous sauver.

La Constitution est un instrument qui protège notre liberté, et nous devons déployer cet instrument pour protéger notre liberté, car elle ne le fera pas d’elle-même. Les gens ne peuvent pas être passifs dans cette situation. Nous devons être actifs. »




Dr Sam Bailey — Virologie en fuite — Marvin gagne au tribunal

[Source : Vidéos du net]

La dernière fois que j’ai interviewé Marvin Haberland, c’était en octobre 2022, alors qu’il contestait une amende infligée par un tribunal allemand. Il avait délibérément enfreint la législation « corona » pour dénoncer la nature frauduleuse de la virologie. Il a fait valoir que, la virologie ne suivant pas la méthode scientifique, les amendes imposées en vertu de la législation allemande sur les maladies infectieuses étaient illégales.

Marvin est finalement passé devant le tribunal le 26 avril 2023. Écoutez ce qui s’est passé et ce qui pourrait se passer ensuite, alors que la virologie déraille…

Sam Bailey







« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3

[Sources : Kairos Presse et sentadepuydt.substack.com]

« Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial » réalisée par Vera Sharav, rescapée de l’Holocauste qui a vécu 3 ans dans les camps.
5 épisodes qui montrent les parallèles entre la montée du nazisme et le retour du totalitarisme lors de la « gestion » du Covid.
32 témoignages, des survivants ou leurs descendants nous expliquent à quel point les mécanismes de prise de pouvoir par la peur, la propagande et l’exclusion sont similaires.
Cette série est dédicacée au Dr Vladimir Zelenko dont Vera a recueilli les messages pour la postérité.


PLUS JAMAIS épisode 1. « Plus jamais ça » revient à toute vitesse. Des survivants dénoncent le retour de l’impensable…

Des rescapés de l’Holocauste alertent le monde sur les dérives totalitaires actuelles.

Vera Sharav, survivante née en Roumanie, a survécu a trois années dans les camps de concentration.

Mon nom de naissance est Vera Roll. Je suis née en Roumanie. En avril 1937. Et en 1941, nous avons été déportés et enfermés dans un camp de concentration en Ukraine. Mon père y est mort avant mon cinquième anniversaire. Ce n’était pas un camp de la mort, mais un camp de transit. On y mourait de faim. Et la peur d’être sur une liste pour être envoyé dans un camp d’extermination régnait sans cesse et terrorisait tout le monde…

À l’âge de 6 ans, en pleine opération d’évacuation, un acte de défiance fruit de son intuition, lui sauve la vie…

On ne peut pas nier sa propre expérience. J’aimerais que les gens aujourd’hui fassent confiance à leur expérience et à leur intuition, plutôt que d’écouter les autorités…

Sa vie durant, elle luttera contre l’aveuglement et l’indifférence face aux abus des puissants.

J’ai atterri ici en Amérique le 8 janvier 1948. J’ai eu du mal à m’adapter à l’Amérique. En regardant autour de moi ici à New York, tout était beau, tout était glamour. Les gens avaient une bonne vie. Et je me suis demandée : où étaient- ils tous [quand nous avions besoin d’eux] ? Qu’ont-ils fait [pour nous aider] ?

Avec le temps, j’ai appris qu’il y a souvent des événements terribles – y compris des génocides – qui se déroulent en divers endroits du monde, alors que le reste de la planète s’en désintéresse complètement.

Sarah Gross, survivante de l’Holocauste née en Hongrie, dont les deux parents sont morts dans les camps :

Je ne crois pas au Covid. Je n’y crois pas.

J’ai le droit de dire ce que je veux. Oui je perds des amis qui ne le supportent pas. Que puis-je y faire ? C’est comme ça que l’on découvre qui sont nos amis.

Je ne veux pas mourir avec les mêmes sentiments que ceux que j’ai éprouvés sous la botte des nazis. Comment en sommes-nous à nouveau arrivés là? Les gens n’ont-ils rien appris?

Je suis tellement en colère de cette situation !

Dr Vladimir Zelenko, petit-fils de survivants :

Même le concept de traitement précoce était vilipendé. Tout médecin qui s’élevait contre les diktats du gouvernement était immédiatement censuré. J’ai compris que le débat et la vérité n’avait plus d’importance. La seule chose qui comptait c’était le récit officiel que le gouvernement voulait imposer.

Ce qui était important c’était d’administer le bon traitement, au bon moment aux patients. Une méta-analyse a montré une réduction de 85% des hospitalisations et des décès en faisant cela. Pour vous donner une échelle de ce dont on parle: sur 900 000 américains décédés du Covid, on aurait pu éviter à 760 000 d’entre eux, d’aller à l’hôpital et de mourir….

Michael Green, rabbin, Chabad de Westoborough, petit-fils de survivants :

Lorsque la crise Corona, la prétendue pandémie, a commencé, j’ai estimé qu’il était de mon devoir de protester contre chaque aspect des mesures Corona et des politiques de santé publique qui n’étaient pas fondées sur la science, car c’était la justification de l’Holocauste. La science, c’était la justification de la persécution des Juifs par les staliniens, et cela a toujours été une justification du meurtre de masse et de l’exclusion des minorités. C’est pourquoi je voyais la politique du COVID comme une répétition, une sorte de répétition de l’histoire dont nous n’avons jamais tiré de leçon.

Hervé Seligmann, petit-fils de survivants :

Je suis un scientifique qui fait de la recherche biomédicale et qui s’est heurté par hasard à cette question des vaccins Covid…

Au niveau des parallèles, il y a d’abord cette lente succession de lois et d’obligations. C’est de cela que mes grands-parents m’ont parlé…

Cette progression lente à laquelle on assiste …Tout le monde se dit que cela ne peut pas être la même chose, parce qu’il n’y a pas de chambres à gaz. D’abord c’est faux, parce que les injections peuvent être comparables à une chambre à gaz, sous forme de bombe à retardement. Ensuite, il ne faut pas attendre d’en arriver là. Il faut avertir les gens, avant cela, quand les choses sont mises en marche. Quand on dit aux gens de ne pas sortir, de rester à la maison, de ne pas aller dans les bars, ni ici ou là…

Mon grand-père me disait toujours: “Tu verras, ça va revenir”. Il a vraiment vu que dans la société toutes les racines, tous les ingrédients étaient là pour que cela se reproduise.

Une des choses qu’ils avaient testées et pratiquées sur les gens c’est l’euthanasie. Et c’est un dénominateur commun, non seulement l’euthanasie, mais aussi l’eugénisme. On voit ça dans ces deux périodes de l’histoire.

Les gens disaient : “Il y a trop de monde sur la terre”. Cela signifie quoi qu’il y a trop de monde sur la planète? C’est ce qu’ils disent tous aujourd’hui, beaucoup de gens le répètent. Eh bien, c’est exactement l’idée du ‘Lebensraum’, de l’espace vital nécessaire qui était si chère aux nazis…Les Allemands justifiaient leurs conquêtes de nouveaux territoires et l’extermination de leurs habitants par cette idée qu’il leur fallait assurer leur ‘espace vital’.

Les gens me disent : “Tu supposes que les injections vont tuer autant de gens, mais pour l’instant, ce n’est pas ce que l’on voit”. Mais moi je connais des chercheurs qui disent qu’il y a différents lots de production dans les vaccins. Et même si je ne peux le confirmer par moi-même, j’observe par contre des changements périodiques dans le taux de mortalité des injections ou dans le nombre de gens qui meurent.

On en revient à la question des chambres à gaz…Non ce n’est pas la même chose, parce que les chambres à gaz, c’était la solution finale. Mais on peut extrapoler à partir de toutes les choses que l’on voit maintenant, tous les parallèles comme par exemple la surveillance et le contrôle que l’on voit aujourd’hui et qui d’une certaine manière est bien pire qu’à l’époque. Peut-être que ce n’est pas pire dans le niveau de cruauté avec lequel on a tué les gens, mais ce contrôle absolu dépasse l’entendement.

Henny Fischler, survivante née en Belgique, dont les parents sont morts à Auschwitz :

Mon nom est Henny Fischler, je vis en Israël. Je suis née en Belgique, en 1938. Quand j’avais 4 ans, les Allemands sont arrivés en Belgique. Mon père, ma mère, mon frère et moi avons tenté de fuir. Nous avons été attrapés à la frontière française et envoyés à Drancy….

Mes parents sont morts à Auschwitz. Je ne les ai pas connus. Tout ce que j’ai d’eux, c’est cette photo, prise en cellule à Drancy…

Je me suis battue avec mes enfants et mes petits-enfants pour les alerter. Ils ne veulent pas m’écouter. Ils ont peur de la vérité. Je n’arrive pas à expliquer pourquoi ils sont si obstinés à ne pas m’écouter. Ni même à poser des questions, à chercher à comprendre quand je leur envoie des informations de médecins, d’avocats, du Dr Zelenko par exemple. Que dois-je dire ? Vraiment, je ne comprends pas.

Martineke Grossman-Boermeester, petite fille de survivants :

Ces gens doivent être tenus responsables pour ce qu’ils ont fait aux autres. Cela été terrifiant pour beaucoup de monde. C’est très difficile de se dire ‘: “Je me suis trompé” ou “Pourquoi n’ai-je pas posé de questions ?”

Mon grand-père m’a raconté que de ‘bonnes personnes’ ont fait des choses terribles, des personnes dont il n’aurait jamais imaginé qu’elles puissent écouter les Allemands ou plutôt les nazis. C’est terrible de se dire que les gens font des choses atroces en pensant que c’est ok, c’est pour le bien commun.

Il n’y a pas de bien commun.

Edwin Black, historien, chercheur, auteur de “The War Against the Weak” (la guerre contre les faibles) :

On a beaucoup parlé de l’antisémitisme, on a beaucoup parlé des souffrances que les Juifs ont endurées, mais tout cela aurait n’aurait pas eu d’ampleur, sans l’apport d’énergie fourni par cinq corporations.

La première était la Ford Motor Company et son patron, Henry Ford, qui ont répandu cet extraordinaire mensonge selon lequel les Juifs contrôlaient le monde et que les Juifs prévoyaient de s’emparer des militaires, de contrôler les médias et les gouvernements. Il l’a fait bien sûr par le biais de son journal « The Dearborn Independent », et ses idées ont effectivement été diffusées par la Ford Motor Company via ses concessionnaires. Les informations étaient traduites dans de nombreuses langues, y compris en allemand, et Hitler les étudiait intensivement. Grâce à Ford, l’antisémitisme [d’Hitler] a pris une nouvelle dimension. Et cette dimension ne consistait pas seulement à dire que les Juifs étaient différents, et mauvais, mais qu’ils étaient un ennemi qui tentait de détruire la planète et l’humanité.

La deuxième de ces entreprises était General Motors, car bien sûr General Motors a donné aux nazis le moyen à tout faire pour faire la guerre : Le camion OPEL-Blitz a été fabriqué par General Motors pour la Blitzkrieg. Avant cela, l’Allemagne était essentiellement non motorisée. Oui, ils avaient beaucoup de très jolies voitures à l’aspect antique qui circulaient, mais ils n’avaient pas de production de masse. General Motors produisait également des composants indispensables pour les bombardiers JU-88, des moteurs pour les chars, des explosifs pour les mines terrestres et des têtes de torpilles. Sur terre, sur mer et [dans les airs], General Motors a donc été l’arsenal du fascisme et du nazisme, avant d’être celui de la démocratie pour les Alliés. Cela nous oblige à nous confronter au fait qu’il n’y aurait jamais eu d’Holocauste à cheval.

La troisième et la quatrième de ces sociétés étaient, d’une part, la Carnegie Institution, une société de capitaux basée sur la fortune d’Andrew Carnegie, et, d’autre part, la Rockefeller Foundation, qui, ensemble, ont inventé toutes ces absurdités eugénistes selon lesquelles les Juifs étaient une tare génétique, que les Juifs étaient une sorte de bactérie organique qui devait être combattue pour ne pas infecter les générations futures. En fait, la fondation Rockefeller a financé l’assistant qui est finalement allé à Auschwitz pour mener les expériences sur les jumeaux : Josef Mengele.

Adolf Hitler et le chef d’IBM Thomas Watson

Il ne s’agissait pas seulement de ‘promouvoir la science’. Ils ont mis en place les instituts et financé les bourses. Ils étaient là jusqu’au début de la guerre et même après, et ne se sont retirés que lorsque les États-Unis sont entrés en guerre en décembre 1941. Mais à ce moment-là, il était déjà trop tard. Mais le coupable encore plus central à tout cela était International Business Machines, IBM, « l’entreprise de toutes les solutions », qui a offert à Hitler toutes les solutions qu’il souhaitait pour atteindre ses objectifs, même la solution finale, depuis le premier moment le 30 janvier 1933 jusqu’au dernier souffle du Troisième Reich en mai 1945.

Et c’est donc IBM qui a mis au point les cartes perforées personnalisées, les précurseurs de l’ordinateur, et qui a ainsi été en mesure de planifier. IBM a effectivement planifié les six phases de l’holocauste. Car le Troisième Reich ne pouvait marcher qu’aussi vite que la technique le permettait. Et ces phases étaient: 1. l’identification des Juifs, 2. leur exclusion de la société, 3. la confiscation de leurs biens, 4. la ghettoïsation des Juifs, 5 la déportation dans des camps et même 6. l’extermination des Juifs.

C’est IBM qui a développé et créé le programme « Vernichtung durch Arbeit » (extermination par le travail), dans lequel toutes les capacités des Juifs étaient identifiées et comparées aux besoins en main-d’œuvre, et ensuite, bien sûr, il y avait une liste de transfert établie par eux, et les Juifs étaient expédiés dans tous les sens via la liste d’IBM, connue en Allemagne sous le nom de liste Hollerith. S’il n’y avait pas eu ces cinq entreprises, la taille et l’ampleur de l’Holocauste auraient eu un quotient numérique qui n’aurait pas approché les six millions que nous connaissons aujourd’hui. Il existe des musées aux États-Unis qui ne veulent pas aborder le sujet de l’implication des entreprises américaines dans le nazisme.

On le voit, cette série documentaire à beaucoup, beaucoup de choses à nous rappeler…




Plus Jamais, Épisode 2 : La propagande hier et aujourd’hui, les mêmes objectifs et les mêmes stratégies…

Dans ce second épisode, Zelenko y va franco ! Il dénonce les plans d’asservissement, les parallèles entre l’eugénisme, le surhomme et les théories transhumanistes des acteurs du grand reset.

‘Le gouvernement finit le boulot d’Hitler !’ La preuve c’est qu’Israël a l’un des taux de mortalité les plus élevés soi-disant dû au variant Omicron…. Personne d’autre n’est mort d’Omicron, ce variant est contagieux, mais moins dangereux…mais Israël est le pays le plus vacciné, spécialement en terme de nombre de doses par personnes. C’est le pays où il y a le plus de gens ayant reçu 4 doses. Il y a plus de 30 études qui montrent à présent que ces vaccins endommagent le système immunitaire.

Il y a une explosion de cancers atypiques et de gens qui meurent d’infections opportunistes.

Albert Bourla, le CEO de Pfizer, a reçu le prix Genesis, c’est l’équivalent du prix Nobel juif. Il a appelé Israël ‘le laboratoire test du monde’. En réalité, ce qu’il a fait c’est de donner le sida au peuple juif. Ils ont détruit le système immunitaire de la moitié du peuple d’Israël.

Pour avoir dénoncé les mensonges et les malversations de l’industrie pharmaceutique depuis des décennies, Vera nous explique comment elle a immédiatement repéré les différentes fraudes et manipulations exercées sous couvert de réponse à la pandémie. L’utilisation de la peur et de la propagande, les mesures qui ont mené au meurtre par injection (Midazolam, même famille que le Rivotril) de 15 000 personnes âgées dans les maison de repos new yorkaises, les pass sanitaires ou la vaccination des enfants ont été pour elle une confirmation du « retour de l’impensable ».

Vera revient sur le rôle de la « médecine » et de la science dans les premiers meurtres médicalisés des nazis: le programme T4 d’élimination des enfants « inadaptés », et plus tard des handicapés, et des veillards, toutes ces « bouches inutiles à nourrir. »

Juive d’origine hollandaise en Israël, Shirley Maymon se désole face au déni de la population devant le retour des mesures totalitaires. Pourquoi Israël a-t-elle été « le laboratoire » du monde, les premiers cobayes à expérimenter le vaccin? Pourquoi personne n’ose parler des effets secondaires ? Comment le gouvernement qui a pour mission de protéger le peuple juif comme « un père et une mère », a-t-il pu trahir sa population?

Joshua Stylman, petit-fils de survivants qui a grandi dans un cercle de rescapés de l’Holocauste à New York s’est progressivement éveillé à l’idée que les mesures de réponse à la pandémie sortaient du cadre de la démocratie et de la bienveillance, et rappelaient plutôt les débuts du nazisme. En dépit de ses propos mesurés et modérés, il a été victime d’un piège médiatique tendu par un journal mainstream visant à le faire passer pour un extrémiste, négationniste, antisémite. Son récit illustre parfaitement les procédés auxquels se livre la presse de propagande afin d’éliminer tout espace de pensée critique et d’instiguer la haine et la violence.

Dans une école de son quartier les enfants ont du faire un spectacle en chantant « t’es pas vacciné, t’es pas mon ami »…

Une grand-mère partisane qui se battait dans la résistance, un père qui a dû se cacher dans les forêts et la campagne belge, d’autres parents moins fortunés qui ont péri dans les campsc’est en pensant à la bravoure de ses ancêtres que Revital Florman a trouvé le courage de sortir manifester dans les rues en Israël. Une dame qui n’a pas froid aux yeux et qui garde le sourire…

Ce n’est pas un hasard si Mathias Koie Levi Palsvig est psychologue. Son histoire familiale est d’une richesse incroyable, l’histoire de son grand-père est un récit de survie digne d’un film où l’amour et la cruauté se côtoient au pire de l’horreur.

Danois, Russe et Juif, Mathias jeune homme était aux avant-postes de la résistance en novembre 2020 lorsque tout était fermé et que les vikings harcelaient leurs parlementaires jour et nuit pour stopper le vote d’une « loi pandémie ».

Marion Schmidt raconte sa détresse et sa révolte lorsque les camps de concentration ont été interdits aux visiteurs non-vaccinés et lorsqu’on a empêché les travailleurs de ces lieux de mémoire de participer à des manifestations contre les pertes de libertés imposées par le gouvernement allemand. Fidèle à ses convictions et à ce qu’elle estime être un devoir de mémoire, elle s’est néanmoins rebellée!

C’est à nouveau des paroles et une réalité très crues qui nous sont présentées ici, avec une froide lucidité, mais sans pathos. Mais il est par contre réconfortant de se dire que toutes ces personnes gardent espoir en l’humanité, leur engagement en témoigne.




Plus Jamais. Épisode 3 « Lever le voile sur les vrais conspirateurs ».

Comment la dérive génocidaire a-t-elle eu lieu ? Y a-t-il une continuité dans ses acteurs ? Des récits poignants et des réflexions percutantes

Au fur et à mesure que les modèles et les parallèles sont identifiés, nous commençons à voir la continuité des opérations génocidaires par des idéologies utilitaristes et déshumanisantes déguisées en « pseudo-sciences ». L’on retrouve les mêmes puissantes dynasties familiales et les mêmes entreprises derrière les évènements de la seconde Guerre Mondiale et la tentative totalitaire du Grand Reset. Hier comme aujourd’hui, leur manipulation mentale a fait appel aux mêmes techniques de propagande, utilisant des slogans identiques, tels que « c’était nécessaire » ou « il a fallu répondre à l’urgence »…

Un témoignage particulièrement intéressant dans ce 3ème épisode, est celui de d’Isyyes Keidar, un Juif d’origine hongroise qui a grandi en Israël, et dont la grand-mère Myriam Kerpel Nierenstein, a vécu des moments particulièrement difficiles. Au cours de leurs nombreuses conversations, elle a tenté de lui expliquer « comment » les choses ont dérivé. « Pourquoi avez-vous collaboré, pourquoi avez-vous obéi? » Cette question le hantait. Face à son incompréhension, elle cherchait à identifier des éléments de réponse en lui faisant promettre qu’il ne se laisserait jamais duper à son tour.

Voici une réponse intéressante de ma grand-mère…Je ne sais pas si beaucoup de gens le savent, mais les nazis ne se sont jamais présentés comme des personnes négatives, destructrices. Ils se sont présentés comme des gens, comme un parti qui essayait d’améliorer les choses, et c’est ce qu’ils ont enseigné aux gens. Ainsi, lorsque vous étiez emmené dans un ghetto, c’était pour votre propre protection. Quand on vous emmenait dans un camp, on vous disait : « Ah, nous avons du travail pour vous là-bas, de la nourriture et un abri. » Il s’agissait toujours de dire : « Non, en fait, nous vous aidons. Nous voulons vous aider. » Ainsi, tous les Juifs qui sont montés dans les trains, et peu de gens le savent, ont bénéficié d’une fameuse propagande de la part des gens qui les ont convaincus que c’était bon pour eux. Et cela s’est poursuivi jusqu’à la fin. Car ce n’est qu’à la toute fin que les nazis sont devenus vraiment insupportables, ouvertement sadiques.

Au fur et à mesure que des conditions horribles étaient imposées, chaque changement était présenté comme un espoir d’amélioration, alors qu’en réalité il menait au pire. Keidar évoque les heures les plus sombres qu’elle a connues dans le ghetto :

La véritable obscurité, c’est lorsque vous rampez pendant des heures dans les eaux usées des égouts, comme elle le faisait chaque jour, pour aller chercher un demi-pain dans une poubelle à l’extérieur du ghetto.

Dans de telles conditions, la promesse d’un morceau de pain quotidien était facile à accepter…

Jeune femme en bonne santé, sa grand-mère avait participé à de nombreuses « sélections » supervisées par le Dr Mengele, avant d’être envoyée dans différents camps de travail. De quoi avait-il l’air ? Selon les mots de cette femme qui avait échappé à la mort de nombreuses fois :

Il était plutôt ennuyeux. C’était une personne froide, calculatrice, grise. On pourrait dire qu’il était très scientifique. Il se voyait comme un scientifique et on ne pouvait pas dire, quand on le voyait, qu’il ressemblait à cet horrible monstre que tout le monde a voulu dépeindre.

En fait, comme le rappelle Isyyes Keidar il avait juste l’air « neutre », comme tous les scientifiques et experts qui dirigent ces opérations aujourd’hui.

Une anecdote récente illustre aussi comme des notions présentées comme « neutres » et des décisions désignées comme nécessaires ont permis de manipuler l’esprit des gens.

J’étais près de Fribourg, je me promenais dans un village appelé Ebringen. J’ai rencontré ce type, un Allemand, qui s’appelait Claudius. Au fil de la conversation, il s’est passé quelque chose de très étrange. Il a commencé à défendre les raisons de l’Holocauste. Et les mots qu’il a utilisés, que tout le monde doit entendre, la phrase qu’il a utilisée et qu’il a répétée encore et encore, c’est « C’était nécessaire ». Cette phrase magique : « C’est nécessaire. C’est nécessaire. » C’est aussi, d’une certaine manière, ce qui est utilisé en ce moment, sauf qu’il y a un gros virus en cours pour justifier qu’ ‘il faut faire ceci et cela. »

Et donc, pour que tout le monde le sache, cette rhétorique a déjà été utilisée auparavant. Pendant la Seconde Guerre mondiale, on a expliqué à la population locale que tout ce qui se passait était absolument nécessaire parce que les choses devenaient trop importantes, qu’il y avait trop de monde, qu’il y avait toutes sortes de problèmes d’hygiène, etc. Cette attitude n’a donc rien de nouveau. De « c’est nécessaire », on passe à « c’est urgent », puis à « l’état d’urgence » et la force majeure. Telle est la progression. Mais cela commence par « Oh, c’est nécessaire ».

Vera Sharav et Vladimir Zelenko s’en prennent à Klaus Schwab, le vilain caricatural à qui il ne manque qu’un chat pour figurer dans un James Bond. Faut-il s’étonner du fait que le fondateur et président du Forum économique mondial provienne d’une famille d’industriels ayant collaboré avec le régime nazi ? La succursale allemande de l’entreprise Escher-Wyss à Ravensburg, alors dirigée par son père Eugen, avait même été désignée comme une « entreprise modèle du régime national socialiste » par le régime d’Hitler. Après la guerre, la famille a également été impliquée dans le développement d’armes nucléaires.

De toute évidence, les liens entre l’idéologie du surhomme des nazis et l’homme augmenté du transhumanisme prôné par Klaus Schwab dans son « Grand Reset » sont manifestes.

Fils de nazi convaincu, fondateur du forum de Davos et auteur du « Grand reset »

En 2016 Schwab annonçait que dans la prochaine décennie, les implants cérébraux ou cutanés mèneraient à une fusion entre « l’identité physique, numérique et biologique » de l’être humain.

Pour le Dr Zelenko, il faut donc prendre ses « prévisions » au sérieux et par conséquent poser la question qui fâche : comment et pourquoi 7 milliards d’êtres humains se soumettraient-ils spontanément à ce genre de procédure? Ou cela passerait-il par la vaccination?

Les familles eugénistes, toujours à la manœuvre depuis la montée du nazisme.

Un eugénisme « démoniaque » d’une élite délirante auto-proclamée, plutôt que de l’antisémitisme…

Pour le Dr Zelenko :

Le mal de la Seconde Guerre mondiale, qui s’est cristallisé dans la dépravation des massacres nazis, était enraciné dans un concept d’eugénisme. Il était ancré dans le concept de hiérarchie au sein de l’humanité. Il y avait l’übermensch, le mensch et l’üntermensch. Le surhomme, l’humain et le sous-homme. Pourquoi les nazis étaient-ils des surhommes ? Parce qu’ils étaient les descendants d’une sorte de dieu aryen. Qui étaient les humains ? Les Anglo-Saxons. Ils étaient destinés à être réduits en esclavage pour servir les surhommes supérieurs. Et les sous-hommes, dont vous et moi faisons partie, ainsi que les Slaves, les Tziganes, les handicapés et les prisonniers politiques, étaient destinés à être éliminés. Cela n’a pas fonctionné comme ils le souhaitaient, même s’ils ont tué au moins six millions d’entre nous. Mais le concept n’a pas disparu. Il est resté en sommeil pendant quelques décennies et il refait surface aujourd’hui.

Pour être honnête, cette fois, ce n’est pas de l’antisémitisme. Je ne le crois pas – et d’ailleurs beaucoup d’auteurs de ces crimes sont juifs. Ce n’est pas un programme antisémite. Il s’agit d’autre chose. C’est démoniaque, c’est comme le produit de la distillation du mal. Par contre, l’on retrouve aussi qu’il y a une classe de ‘surhommes’, la soi-disant élite auto-proclamée ; disons des personnes qui pensent évoluer à des niveaux de conscience supérieurs – c’est ce qu’elles croient. Moi, je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit d’évolué chez eux.

Le nouvel ordre mondial n’est pas une évolution de l’humanité. C’est un retour au paganisme, à l’idolâtrie et aux sacrifices d’enfants. Il n’y a rien de nouveau ici. Ils ont juste relooké le concept pour donner un emballage new-age au nouvel ordre mondial. Ils reviennent à un paganisme primitif . Cela vient de refaire surface avec ces dégénérés, je suis à court d’adjectifs pour les qualifier à ce stade, mais ils se sont démasqués et sont prêts à nous sauter dessus.

Fort heureusement, Ina-Maria Raschen a eu la chance d’avoir des parents éveillés qui ont vu la réalité et écrit des pamphlets pour dénoncer le totalitarisme en marche, avant de fuir à temps. Son père avait lu « Mein Kampf » d’Hitler en 1933 et l’avait pris au sérieux. Mais malheureusement, les gens pensent souvent « qu’ils n’iront pas si loin ».

C’est pourquoi, il faut continuer à alerter :

Je ne peux pas me taire et attendre en me disant que je n’agis pas. Je dois dénoncer ce qui se passe. Les Allemands sont tellement… Je ne peux plus les entendre. Ils n’ont rien appris. Et maintenant, la vérité se fait jour. Elle est difficile à accepter. C’est difficile à digérer, mais il est nécessaire que la vérité apparaisse pour que la vie soit meilleure. La guérison a donc commencé. Nous nous battons pour la vérité et nous restons positifs.

L’épisode ce termine avec une note spirituelle venant de Johanna Findeisen, dont le père qui avait perdu toute foi en Dieu et en l’humanité au sortir des camps de concentration, avait finalement pu retrouver la lumière peu avant de mourir.