Covid : « Les enfants ont été sacrifiés, on n’a jamais vu autant de suicides »

[Source : Epoch Times France]

Le samedi 13 mai, Ariane Bilheran – philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie – et Amandine Lafargue – psychologue clinicienne et psychologue des organisations de travail – ont organisé à Paris un colloque intitulé « La dérive totalitaire sur les enfants : diagnostic, causes et conséquences, solutions ».

Parrainé par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations (LNPLV), ce colloque entendait notamment analyser la nature des dommages psychiques auxquels les enfants et les adolescents ont été soumis dans le cadre des mesures prises pendant la crise sanitaire.

Il s’est également intéressé aux nouvelles formes que peut prendre cette dérive, en particulier via la promotion de l’éducation à la sexualité dans les enseignements dispensés à l’école.

Plusieurs spécialistes (médecins, pédiatres et psychologues) ont ainsi proposé des pistes de réflexion sur les différents aspects des troubles psychiques affectant les jeunes générations depuis la crise sanitaire ainsi que des perspectives pour remédier à leur souffrance, leur permettre de retrouver leur équilibre et leur garantir un développement harmonieux.

Interrogée lors du colloque, Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, ancien chef du service de cancérologie pédiatrique de l’hôpital de Garches, estime que les mesures sanitaires ayant touché les enfants n’étaient pas justifiées et que ces derniers ont été « sacrifiés dans tous les détails ».

Un point de vue partagé par Olivier Soulier, médecin, qui souligne que les enfants ont été privés « de leur innocence ».

« Les parents ont inversé les rôles. Les enfants sont devenus dangereux et les adultes ne les ont pas protégés. Nous avons toute une série de conséquences qui sont parfaitement bien décryptées aujourd’hui, que ce soit des enfants qui ont des troubles du caractère ou des enfants qui se suicident. Nous n’avons jamais eu autant de suicides d’enfants », souligne-t-il.

« L’apparition du suicide chez les enfants est exceptionnelle. Pourtant, depuis deux ans, il y a eu une flambée des suicides. Il y a une augmentation des phobies, des troubles anxieux, des angoisses. À moyen terme, il y a des pathologies qui sont plus graves comme la schizophrénie, le registre des psychoses, la perversion et la paranoïa. Tout ce qui structure un enfant a été mis à mal », abonde Karine Terki, psychologue clinicienne spécialisée dans le psychotraumatisme.

« Les relations ont été conditionnées, soit à la vaccination, soit aux masques. À partir du moment où l’on met une injonction dans une relation, c’est une forme de chantage. Cela a encore des conséquences aujourd’hui, des grands-parents ont peur de leurs petits-enfants », poursuit Mme Terki.

« On a mis les parents dans la situation d’être en dissonance cognitive, c’est-à-dire que les autorités, sous prétexte d’une idéologie sanitaire, ont mis les parents en situation de maltraiter leurs enfants », ajoute-t-elle.

Pour Karine Baillieu, psychologue clinicienne spécialisée en psychopathologie, les mesures prises pendant la crise sanitaire pourraient marquer durablement certains enfants et potentiellement conditionner leur comportement dans le cas où ils auraient à vivre une situation similaire à l’avenir.

« Tout ce qui aura été vécu avec émotion, avec force pendant l’enfance, va s’inscrire de façon indélébile. Ce que l’on vit lorsque l’on est enfant, quand on le vit dans notre corps, dans notre chair, avant même de pouvoir y mettre du sens, ça fait une trace, une empreinte, c’est un moule, en fait. »

Et Olivier Soulier de conclure : « Les jeunes ont été vaccinés alors qu’ils ne risquaient absolument rien, beaucoup ont payé un très lourd tribut aux myocardites ou aux troubles neurologiques. Une civilisation qui n’est plus capable de protéger ses enfants n’est plus capable de protéger son avenir. »

Retrouvez les détails du colloque organisé par Ariane Bilheran et la LNPLV :
https://www.infovaccin.fr/categorie-actualite/categorie-annonces/783-le-13-mai-2023-la-derive-totalitaire-sur-les-enfants-diagnostic-causes-et-solutions

Accédez à la rediffusion des interventions des participants du colloque :
https://www.infovaccin.fr/categorie-actualite/categorie-annonces/803-acces-au-replay-du-colloque-du-13-mai-la-derive-autoritaire-sur-les-enfants

Journaliste : Henri-Michel Thalamy
Images : David Vives




Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?

[Voir aussi sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

À l’heure où les débats sur les dangers de l’intelligence artificielle battent leur plein et que des désaveux de la part de leurs pionniers (ex. ceux de Geoffrey Hinton) se dévoilent, il est crucial de prendre conscience de leur utilisation en cours et en voie de perfectionnement à des fins de persécution électromagnétique et de contrôle mental.

Nous voyons se multiplier des articles vantant les capacités de ces IA à « lire dans les pensées », faire de la télépathie, taper sur un clavier virtuel et mouvoir des objets voire des drones. À ce stade, les articles scientifiques parlent d’interface cerveau-machine, mais la réalité est que cela peut déjà se faire à distance sans électrodes grâce à des procédés qui utilisent des champs magnétiques et qui sont synchronisés à notre empreinte et signal électrique cérébraux.

Interface cerveau-ordinateur

Lecture de la pensée

Dans cet article de Venture Beat (portail d’innovations technologiques) de 2021, il est révélé qu’il est possible de mesurer l’état émotionnel d’un individu en l’irradiant et en mesurant le signal retour, la réalité est que l’entièreté du contenu de l’esprit et donc les pensées peuvent être interprétées. J’avais fait état précédemment du brevet déclassifié US3951134A qui permet surveiller et d’affecter à distance (sans électrodes) l’activité cérébrale à l’aide de rayonnement électromagnétique, le brevet datant de 1974, qui sait où en sont actuellement les technologies de contrôle mental ?

Le scientifique américain ayant travaillé avec la NASA Richard LIGHTHOUSE affirme que les métaux lourds (mercure, aluminium…) qui nous ont été inoculés depuis l’enfance dopent le signal électrique émis par le cerveau et fait de nous des « antennes ». La DARPA (Agence Américaine de Projets de Recherche Avancée) envisage d’utiliser des nanoparticules pour lire cette activité cérébrale, sachant que les injections covid contiennent des nanoparticules de graphène et d’autres dispositifs ayant une adresse MAC, il est tout à fait plausible que la visée de cette campagne massive soit la fusion des individus avec les dernières technologies de surveillance et de contrôle mental.

D’autres articles scientifiques évoquent cette fusion des cerveaux humains dans un « cloud » à l’avenir où les pensées et connaissances de chacun seront connectées et centralisées à l’aide de nanotechnologies, ce qui mènerait à une méga-intelligence artificielle ou « borg ». Ceci et tout ce qui est cité précédemment sont en fait une programmation prédictive (démonstration anticipée pour préparer à la mise en place en gagnant le consentement inconsciemment) pour un monde dystopique où l’humanité sera assimilée et gérée par la technologie.

Et si ce cloud était déjà en place ?

Les réponses à ces questions viennent de la communauté des individus ciblés (en anglais « Targeted individuals » — T.I.) qui ont été choisis au hasard dans la population souvent pour leur profil intellectuel et leurs dénonciations sur internet. Ils témoignent être harcelés par une technologie invisible qui scrute leurs pensées et les persécute instantanément par agressions électromagnétiques. Leurs rêves sont également piratés par cette technologie, à ce sujet le physicien japonais Michio Kaku avait révélé en 2014 que l’on pouvait les enregistrer. Les individus ciblés se plaignent d’intrusion dans leur esprit, de manipulation de leur comportement (anxiété, voix implantées dans la tête, cauchemars, psychoses…) et de torture (douleurs, brûlures, problèmes cardiaques, privation de sommeil, fatigue, acouphènes, migraines…). Dans une certaine mesure il est également d’infliger un « cybermeurtre » par irradiation lente « Slow Kill » ou en provoquant un AVC, crise cardiaque ou cancer. Leur nombre étant estimé à 6 millions dans le monde, il est évident que les services de renseignement et les agents des complexes militaro-industriels ont accès à des systèmes autonomes et des IA pour la surveillance et la persécution h24 7 j/7 des cibles (guerre de 5e génération).

Dans cette vidéo, le journaliste américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem qui révèle l’utilisation à armes à énergie dirigée (à micro-ondes) placées dans les antennes relais, satellites et drones pour attaquer des lanceurs d’alerte.

Le Sentient World Simulation, un cloud militaire ?

Depuis 2007, les agences de la défense US ont mis en place un univers virtuel parallèle appelé simulation du monde conscient (anglais : Sentient World Simulation — SWS) où chaque être humain d’à l’époque 62 états ont été modélisés en un avatar et surveillés par une IA qui détecte l’activité cérébrale des cibles en temps réel pour des motifs de prédictibilité d’un futur proche en cas de catastrophes. La vidéo ci-bas explique son fonctionnement et son objectif.

L’ingénieur en informatique et individu ciblé français Frédéric LAROCHE affirme que les épandages de chemtrails servent à modéliser l’environnement en 3D à l’aide de nanoparticules. Le but de cette simulation est de détecter les comportements « déviants » par rapport à sa propre déviance et de les « corriger » avec l’arsenal de neuro-armes et du renseignement renégat (voir article sur le harcèlement criminel en réseau — gang stalking) pour assurer le contrôle mental total de la population qui pensera et agira comme un individu unique sous un esprit de ruche (anglais : Hive Mind). Nous arrivons ainsi à uncerveau global (anglais : Global Brain)où chaque individu aurait le même rôle qu’un neurone.

Conclusion

À la lueur de ces informations, il devient clair que George Orwell avait vu juste dans son roman 1984 sur l’instauration d’une « police de la pensée » envahissant à un niveau jamais atteint et que dorénavant les citoyens ayant des pensées, croyances et convictions « non-orthodoxes » seront susceptibles d’être inculpés de « crime de pensée ». La psychiatrie sera un fer de lance de la ré-éducation des individus non conformes qui les décrédibilisera et maquillera les pathologies infligées par les neuro-armes psychotroniques et à énergie dirigée en maladies mentales comme de la fibromyalgie, de l’électrohypersensibilité ou des cénesthésies.

Le but de cet article n’est pas susciter la peur, mais d’informer afin d’exiger la fin de la militarisation interminable et illégale des neurotechnologies. La triste expérience des individus ciblés aura été une phase de test pour les élites sans scrupules dans leur plan de domination sans limites, ils sont maintenant dénonciateurs et précurseurs de la lutte contre la tyrannie technotronique rêvée par Klaus Schwab et consorts. Les avancées classifiées et déclassifiées en la matière ont provoqué la crainte de nombreux observateurs avertis y voyant les potentielles violations de l’espace mental des citoyens du monde et appelant à l’implémentation d’une « neuro-éthique ». Le Chili est devenu un pionnier fin 2021 en matière de « neuro-droits » pour protéger l’intégrité mentale, le libre arbitre et la non-discrimination dans l’accès des citoyens aux neurotechnologies pour prévenir leur « piratage » comme s’en vante Yuval Noah Harari, conseiller du WEF.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU — Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Libérez-Vous !

[Source : liberez-vous.weebly.com]

Nul esclave ne l’est davantage que celui
qui se croit libre sans l’être.

Goethe

1. CONNAÎTRE SON ENNEMI

Vous êtes inquiet de tout ce qui menace votre existence et votre avenir. Mais quel est le pilier principal sur lequel s’appuie la tyrannie actuellement, sans lequel celle-ci n’aurait jamais pu voir le jour en ce XXIe siècle ? Quel est le pire danger ? L’avez-vous identifié ? Vous pouvez bien continuer à montrer du doigt les crapules, les gangsters, votre voisin ou vos élus, la liste de coupables et criminels s’allongeant de jour en jour… Mais rien de tout ce que nous subissons depuis plusieurs années n’aurait pu avoir lieu sans le pilier central qu’est la TECHNOLOGIE, notamment la technologie SANS FIL. Cessez de prétendre que vous n’avez vous-même rien à voir avec le mal qui s’est répandu autour de vous, car en vérité, vous jouez dans ce drame un rôle déterminant. Nous sommes tous des acteurs majeurs dans ce désordre local, national et mondial, c’est pourquoi je vous invite à vous livrer à une petite introspection et à la lecture approfondie des lignes qui vont suivre !

Il n’est plus d’usage de faire porter aux esclaves des fers et des colliers. Ces objets ont beaucoup évolué dans le temps et sont devenus très sophistiqués. Aucun n’est serré autour de votre cou, vous pensez donc être libre, mais sans le savoir, vous êtes un jouet et un prisonnier. Vous êtes un esclave qui s’ignore. Et même si vous êtes éveillé, vous ne savez plus ni comment, ni pourquoi il importe de vous libérer, étant donné que les derniers modèles de « colliers » modernes sont terriblement séduisants, et l’on peut même dire invisibles, puisque tous les derniers gadgets sans fil fonctionnent grâce aux champs et fréquences électromagnétiques.

Ancien collier d’esclave

Francis Lalanne, le « William Wallace » français, avait tout compris. Il a mis le « doigt dessus » en posant, avant toutes les autres, la question extrêmement judicieuse et intelligente aux parlementaires français, de savoir si les mesures de confinement, et par extension, toutes les autres restrictions, auraient pu être mises en place avant l’ère du SMARTPHONE. Vous êtes-vous posé la même question ? LA RÉPONSE, AUSSI PÉNIBLE ET DÉSAGRÉABLE À ENTENDRE SOIT-ELLE, EST POURTANT LA CLEF DE NOTRE LIBERTÉ.

2. DANS LES FERS ET DANS L’ENFER

Qui croit encore à « la Révolution » ? Mouvement de foule immense, l’Élysée pris d’assaut, et dedans… des pièces vides, les dirigeants ont fui ? La révolution extérieure est un leurre, et c’est à l’intérieur, en chacun d’entre nous qu’elle aura lieu ! Gandhi (1869-1948) nous a montré qu’il n’y a pas besoin de révolutions violentes, de bains de sang, ni de couper les têtes… Les révolutions peuvent échouer, mais l’évolution est une force incoercible, que rien ne peut arrêter. Il avait compris que le chemin vers la libération passe par le perfectionnement individuel et moral de chacun. C’est la Re – évolution, qui veut que lorsque l’on est engagé sur une mauvaise voie, on ne s’obstine pas à rouler pour aller se jeter dans le précipice, alors on fait demi-tour.

Nous sommes dans les fers, en quête de solutions, mais depuis plusieurs années, nous continuons de tourner en rond, nous ne faisons que tailler quelques branches de l’arbre, alors que nous devrions viser les racines. Tout effort demeurera vain et inutile tant que nous ne nous attaquerons pas au fond du problème. Pour cela, il faut commencer par ôter le bandeau de vos yeux… Car, oui, le vrai coupable est ce petit bout de plastique et de métal, ce gadget sans fil qui est devenu votre « ennemi intime » : il s’agit bien de votre smartphone, téléphone portable ou téléphone mobile !

L’évolution de la technologie s’est faite ainsi :
— En 1996 est apparue la technologie que l’on tient dans sa main,
À L’EXTÉRIEUR DU CORPS (le téléphone portable),
— qui a conduit à la technologie que l’on porte sur soi,
SUR LE CORPS (les smartwatches, fitbits, etc.),
— et nous en sommes à la technologie que l’on porte à l’intérieur de soi,
DANS LE CORPS (la nanotechnologie).

3. UN PLAN DIABOLIQUE

À propos de cette évolution, on peut dire « Moi, j’ai un portable, mais je ne veux pas d’autres objets connectés », ou bien « Moi, j’ai des gadgets, mais je ne veux pas de nanorobots dans mon corps », mais cela va beaucoup plus loin que ça… Cela revient à pactiser avec « le diable », du moins avec une force destructrice (nommez-la comme vous voulez), ou encore à prendre un peu d’arsenic ou de cyanure, en se disant « Tout va bien, je n’en suis pas mort, alors je continue ! »

En 1996, l’industrie des télécoms a entrepris la mise en œuvre de son plan visant à doter chaque homme, femme et enfant sur Terre d’un téléphone portable. Quelques années plus tard, et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, chaque personne sur Terre tient entre ses mains une source ouverte de rayonnements micro-ondes. Et chacun continue à faire comme si tout allait bien. La menace la plus immédiate pour la santé, la vie et la liberté provient de cet objet maléfique et mortifère auquel vous vous accrochez — malgré tant d’informations, à hauteur d’environ 28 000 études scientifiques (voir par exemple ici, ici ou ) ! Le fait de passer un appel ou d’envoyer un SMS vous expose à une radiation bien plus importante que celle émise par les antennes de téléphonie mobile ; les radiations des portables interfèrent avec votre métabolisme et sont actuellement la cause prédominante de l’obésité, du diabète, des maladies cardiaques et du cancer ; la radiation aux micro-ondes constitue un assaut plus grand et plus urgent contre la terre que la pollution chimique ou toute autre menace environnementale.

Il a souvent été dit que le contrôle des autres est « la forme la plus vile du comportement humain ». Le contrôle de l’esprit a longtemps été un objectif du monde académique, de la science et de ceux intéressés par le pouvoir sur les autres. Ces derniers ont attendu très patiemment, des années, des décennies, pour mettre en œuvre leur plan diabolique, car il importait avant tout de nous voir asservis et dépendants de cette drogue. Nous perdons notre société et nous nous perdons nous-mêmes, tout ça pour une boîte en métal et en plastique, une commodité privée devenue une nuisance publique. On nous a trompés.

Le but avoué et amplement discuté par exemple au WEF de Davos en 2020 est de nous transformer en cyborgs ou transhumains. Nous laissera-t-on le choix de refuser ? Croire que cette décision nous appartiendra serait faire preuve d’une grande naïveté, car comme pour tant d’autres choses, cette cyborgisation va nous être imposée. Le transhumanisme n’est rien d’autre que de l’anti-humanisme. Le projet transhumaniste est un projet de manipulation et de contrôle de l’homo sapiens, discuté et disséqué calmement par des hommes d’influence et des scientifiques, comme s’il s’agissait d’une simple avancée technologique ! Effacement des frontières entre les systèmes biologiques et numériques, entre les organismes vivants et non vivants, nouveaux « corps humains », nouveaux « sens de l’identité humaine », etc.

Il existe plusieurs définitions du mot « humanité ». Ici, je fais référence à la « nature humaine », avec tout ce qu’elle comporte de compréhension, de bienveillance, etc. Non pas à « tous les peuples du monde dans leur ensemble ». Quand je pense aux enfants, et aux adultes, que je les vois incapables de parler, de jouer sans pouvoir lâcher leurs appareils ou détourner les yeux de leurs écrans, ils ont déjà perdu une partie de leur « nature humaine », et dans un sens plus large, ils se sont éloignés de la Nature elle-même. L’ingénierie ou manipulation sociale est là pour assurer une transition en douceur entre les différentes étapes de la cyborgisation. Cette dernière a commencé au moment même où la technologie a été introduite hors du corps ; un « humain » collé à un appareil et dépendant constamment de celui-ci, correspond déjà à la définition de « transhumain » ou « post-humain ». Le téléphone portable a toujours été la première étape de cette cyborgisation planifiée. C’est déjà un organe auxiliaire, un appendice supplémentaire, une prothèse ! Avant, nous n’avions que quatre membres, maintenant, nous en avons cinq !
Mais que voulons-nous au juste ? Ne voulons-nous pas être des hommes et des femmes avec des droits ? Et non pas des produits du transhumanisme, cyborgs ou androïdes sans aucun droits, si ce n’est le droit de se taire et de mettre nos muselières !

4. DANS LE DICTIONNAIRE

Depuis le 14e siècle, le sens premier du mot « smart » en anglais était douloureux, intense, piquant, causant une douleur aiguë. En ce qui concerne les appareils, le mot « smart » fit pour la première fois son apparition en 1972, pendant la guerre du Vietnam, au sens de « se comporter comme s’il était guidé par l’intelligence » (pour la « smart bomb »). Dans ce contexte en effet, le mot « smart » fut utilisé en des termes militaires pour désigner des bombes et des missiles !

Un autre mot digne d’intérêt dans le dictionnaire est le mot « meurtre ». La définition de « meurtre » pose un véritable problème, car la plupart d’entre nous et notre société en général associent le meurtre à une mort rapide ou instantanée. Mais les cancers des téléphones portables, des appareils « intelligents » et sans fil ne se forment pas du jour au lendemain, et lorsqu’une personne est empoisonnée lentement au fil du temps, c’est beaucoup plus difficile à prouver devant un tribunal, les juges ayant du mal à trouver des experts pouvant apporter les preuves d’un empoisonnement à long terme…

À présent, nous nous tenons tous devant ce tribunal. Mais nous ne sommes ni des victimes ni des criminels ;
en réalité, nous sommes les deux, car nous nous suicidons à petit feu. Il s’agit d’un suicide collectif.

5. UN SIM DANS UNE PRISON

Nous sommes tous dans un camp de concentration numérique géant. Vous ne voulez plus vivre en prison ? Alors notre seule chance de liberté et de survie, la véritable solution réside dans la création d’une vague de libération des téléphones portables, mais également de tous les objets connectés sans fil. Car il en va de même pour les tablettes, les écoute-bébés, les téléphones de maison sans fil, les souris et les claviers sans fil, tout ce qui est « intelligent » ou « smart », c’est-à-dire les montres « intelligentes », les couches et les biberons « intelligents », les compteurs « intelligents », les thermostats « intelligents », les télés « intelligentes », Alexa, sans oublier les ampoules dites économiques qui émettent des ondes nocives, etc. Bref, tout émetteur/récepteur de données et d’information sans fil, le Wi-Fi, le Bluetooth, tout ce qui est sans fil doit disparaître !

Ce n’est pas pour vous et moi. Tout cela est piratable. Tout cela, c’est pour la collecte de données, la surveillance et le contrôle. Les données sont le pétrole brut d’aujourd’hui pour des milliardaires qui peuvent vous suivre sur tous vos appareils « intelligents ». Dans l’« Internet des Objets », vous n’êtes vous-même qu’un vulgaire « Objet », comme un « Sim » dans un jeu vidéo. Le consommateur est devenu celui qui est consommé, surveillé et contrôlé par l’« Intelligence Artificielle », qui n’a rien de vraiment « artificielle » ; ceci est encore une autre imposture, car au final il y a bien quelqu’un d’assis tout là-haut sur son trône, qui la maîtrise parfaitement, qui s’en sert et s’en servira contre nous.

Un homme ou une femme a droit à la vie privée, un esclave non. Mais bon sang, vous êtes soit un homme, soit une femme, vous n’êtes pas une marchandise ou un esclave ! Vous n’avez peut-être rien à cacher, mais vous êtes né avec une « bulle » de vie privée, qui ne doit jamais être échangée contre une soi-disant « sécurité » ou « sûreté ». Vos données valent une fortune ! Il faut arrêter de « donner vos données » et de les laisser être récoltées pour remplir les poches et satisfaire la soif de pouvoir de ces milliardaires !

Il est grand temps d’évoluer, et d’admettre enfin que toutes ces énergies invisibles, les ondes, les micro-ondes, les champs électromagnétiques régissent l’univers, et que dans la plus grande mesure possible, ils ont été piratés pour nous soumettre à l’esclavage.

« Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergies, fréquences et vibrations. »

Nikola Tesla (1856-1943)

Les images suivantes illustrent le jeu vidéo, puis de vraies images de sources industrielles, scientifiques et militaires. La technologie de radar a bien évolué. Tous les objets connectés sont comme des « ampoules » :

Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (1)
À quoi ressemble le monde à travers les yeux du Wifi.
Les petits rectangles en bleu sont de simples routeurs et appareils.
Radar micro-ondes
Cartographie 3D
« On peut utiliser un drone pour cartographier l’intérieur
d’un bâtiment entier en 20 à 30 secondes. »
Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (2)
Les murs sont transparents, presque comme du verre.
Les appareils connectés agissent comme des ampoules.
« On peut facilement scanner une pièce chez quelqu’un grâce à la transmission Wi-Fi. » (Adieu la vie privée !)

6. DES MARIONNETTES ET DES MENTEURS

Mais il n’y a même pas besoin d’avoir recours à des drones, comme illustré plus haut, chaque objet connecté possédant sa propre « signature ». Chaque signature ou empreinte numérique, reliée à toutes les autres données, permet de vous analyser et de vous connaître mieux que vous ne vous connaissez vous-même. Et c’est ainsi que l’on devient… une marionnette !

À propos de marionnettes, savez-vous ce que Yuval Harari, l’éminence grise du WEF pense et dit de ceux qui ont un smartphone ? Voir dans l’onglet Vidéos, une interview de 2022 et la transcription, que je remets ici :

« (…) et suffisamment de puissance de calcul, nous sommes très proches du point où les ordinateurs peuvent pirater les êtres humains, peuvent comprendre mes émotions, mes goûts, mes aversions mieux que moi-même, pas parfaitement, on ne peut jamais pirater quelque chose à 100 %, on n’a pas besoin de 100 %, il faut juste connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Et c’est assez facile, parce que la plupart des gens ne se connaissent pas très bien eux-mêmes. [Donc dès que l’algorithme sait ce que je veux, mieux que je ne le sais…], vous êtes une marionnette, il peut vous manipuler, il peut presser vos boutons émotionnels. Et c’est ce qui se passe maintenant avec nos smartphones et tous ces algorithmes sur les médias sociaux…
— C’est pour cela que vous n’avez pas de smartphone ?
— C’est une des raisons, en fait c’est pour gérer mon temps, et vous savez, au cours des 20 dernières années, les personnes les plus intelligentes du monde et la meilleure technologie du monde ont travaillé sur le moyen de pirater les êtres humains et de les contrôler à travers les écrans et les smartphones. Je ne suis pas de taille face à eux. Si je leur donne accès [montrant son cerveau], ils gagnent. J’essaie donc de limiter leur accès de cette manière. »

Donc, si vous avez un smartphone, la marionnette, c’est vous ! Voir également des images avec citations de Yuval Harari, dont je publie la légende ici :
— « Harari voyage énormément, est sollicité par les médias du monde entier, a un agenda de Premier ministre, mais ne possède pas de smartphone : “Les gens vraiment importants n’en ont pas”, assure-t-il au Monde. » (www.levif.be)
À propos de Yuval Harari : « Il se refuse toujours à utiliser un smartphone. “Ainsi, je me sens mieux protégé”, concède-t-il. » (www.lefigaro.fr)
— Yuval Harari :
« Je n’ai pas de smartphone. Mon attention est l’une des ressources les plus importantes que j’ai, et le smartphone essaie constamment d’attirer mon attention. Il y a toujours quelque chose qui arrive. »

Les « ultra riches » et nombre de ceux travaillant dans la Silicon Valley refusent d’utiliser des portables et vivent même dans des zones sans réseau (il en existe encore). Pourquoi, à votre avis, ces appareils ne sont-ils pas assez bons pour eux ? Que savent-ils que le grand public ignore ? Si vous voulez savoir ce qui est vraiment dangereux, pour eux comme pour nous, jetez un œil à la « liste noire » des compagnies d’assurance : certaines races de chiens dangereux, des ouragans ou inondations là où de telles catastrophes sont fréquentes, etc. La Lloyd’s de Londres et d’autres compagnies d’assurance n’assurent pas les dommages causés par les téléphones portables, le Wi-Fi ou les compteurs « intelligents » de type « Linky ». Les champs électromagnétiques ou CEM sont classés comme un polluant, au même titre que le DDT, le plomb ou le benzène :

« L’exclusion des champs électromagnétiques (exclusion 32) est une exclusion d’assurance générale et est appliquée de manière standard sur l’ensemble du marché. L’objectif de l’exclusion est d’exclure la prise en charge des maladies causées par une exposition continue et à long terme aux rayonnements non ionisants, c’est-à-dire par l’utilisation de téléphones portables ».

Passons maintenant de la « tête de bois » de la marionnette, à celle en plastique, qui est celle des menteurs !
Les téléphones portables sont soumis à des tests de sécurité sur des têtes en plastique. Nous n’avons pas de tête en plastique. Je vous présente SAM pour les intimes, officiellement connu sous le nom de Specific Anthropomorphic Mannequin. SAM est un mannequin en plastique utilisé par l’industrie des télécommunications à travers le monde pour tester les effets thermiques de vos téléphones et gadgets, et non leurs effets biologiques.

Pourquoi SAM est-il un « pinocchio » ? Les directives actuelles sont basées sur l’hypothèse que si le niveau de rayonnement ne brûle pas ou ne cuit pas les tissus en 6 ou 30 minutes, alors ce niveau est considéré comme étant « sûr. » Jusqu’ici, les tests n’ont montré aucun changement thermique significatif. Par conséquent, les téléphones portables sont déclarés sans danger !

La tête (la seule partie du corps testée) de SAM est basée sur une recrue militaire masculine adulte en bonne santé de 100 kg et mesurant 1,88 m. Seulement 3 % de la population correspond à ce profil.

Comment fonctionne le test : La tête en plastique SAM est remplie d’un liquide ou d’un gel pour voir si celui-ci chauffe de un degré sur un appel de 6 minutes (parfois 30 minutes). Si la température ne s’élève pas de 1 degré, c’est considéré sans danger et l’on peut apposer une marque d’approbation. C’est un peu comme de tester la sécurité des aliments en les donnant à manger à une poupée.

SAM a des mains… beaucoup d’entre elles, avec un tas de configurations différentes pour chaque style de téléphone. Mais seul le test de la « tête » est requis, pas celui des mains, ni d’aucune autre partie ou organe du corps humain.

Ces tests sont entièrement frauduleux, et pourtant ceci est le seul moyen par lequel vos téléphones et gadgets sont testés pour la sécurité humaine ! Comment cela est-il possible ? Il faudrait de nombreuses pages pour exposer les mensonges, la corruption et conflits d’intérêts au plus haut niveau, tant au sein de l’OMS, que de l’ICNIRP, de l’IEEE, du complexe militaro-industriel et des fabricants. Pour aller plus loin : https://wearenotsam.com/studies/

« Si vous ne pouvez pas exposer les humains aux micro-ondes dans un laboratoire, dans un environnement contrôlé — si vous ne pouvez même pas le faire de manière éthique, car nous avons tellement de preuves des dommages — alors aucune de ces technologies ne devrait être déployée. Cela est illégal. »

Sharon Goldberg, M.D.

7. UN COMPORTEMENT DE BAS ÉTAGE

Aux premiers temps du smartphone, être collé à son appareil était un signe de statut social. En 2008, regarder l’écran de votre BlackBerry avait encore une signification. Cela signifiait que vous étiez important, que vous aviez des choses à faire et que vous faisiez partie de la classe avant-gardiste des utilisateurs de technologie. Aujourd’hui, être perdu dans votre écran signifie que vous ne faites pas attention et que vous n’avez rien de mieux à faire. C’est une lampe et vous êtes un papillon de nuit. Les portables ne sont plus un signe de pouvoir, mais un signe d’asservissement. Comme les machines à sous chaque fois qu’on abaisse le levier, les smartphones sont conçus pour être une source constante de nouveauté et de « récompenses variables ». Être enchaîné à votre portable est désormais un comportement de bas étage, semblable au tabagisme.

Il faut arrêter de faire pipi dans l’eau de la piscine, songeant que les autres n’en feront pas autant, car petit à petit l’eau prend une drôle de couleur… Pensez-vous que si vous ne gardez votre téléphone que pour les urgences, les antennes n’ont pas à être là ? Mais que vous l’utilisiez souvent ou non, l’infrastructure doit être là, ce qui est un parfait alibi pour les opérateurs de télécoms. Et si vous arrêtiez de leur fournir cet alibi ? Chaque centime que vous dépensez est un bulletin de vote. Chaque fois que vous payez votre facture, vous continuez à les enrichir et à les rendre plus puissants. Et il n’y a pas qu’une seule personne qui a envie, non pas de faire pipi, mais d’utiliser un téléphone portable en cas d’urgence, il y en a sept milliards !

Quelle est votre excuse ? Vous en avez besoin quand vous voyagez, ou pour vos affaires, ou pour votre mari, ou pour votre femme, vos enfants et vos amis ? Ou bien n’avez-vous qu’un ancien modèle ? Ou encore ne gardez-vous votre téléphone que pour les urgences ? Ou peut-être pensez-vous que vous êtes en sécurité tant que vous gardez le téléphone éloigné de votre tête ? Ou bien encore que votre téléphone n’irradie pas les oiseaux, ni les insectes, animaux, plantes et arbres ou vos voisins comme le font les antennes relais ? Chaque fois que vous passez un appel, l’antenne la plus proche active un signal à cause de vous et irradie tout votre voisinage rien que pour vous. Pensez au nombre d’oiseaux, d’abeilles et de papillons que vous avez tués au fil du temps. Combien d’autres encore ? Et combien de personnes et de voisins autour de vous ? Combien d’oiseaux ? Combien d’enfants ?

Dessin réalisé par un jeune de 17 ans.

8. des stupéfiants

Il y a quelques siècles, Francis Bacon, dans son « Essai sur la Mort » (1648), s’interrogeait :
— « Pourquoi un homme aimerait-il ses chaînes, fussent-elles en or ? »
Plus tard, François-Marie Arouet, alias Voltaire (1694-1778), « répondait » :
— « Il est difficile de libérer les imbéciles des chaînes qu’ils révèrent. »

Mais c’est chose d’autant plus difficile lorsque ces chaînes sont des stupéfiants et qu’ils modifient votre cerveau ! L’une des réalités les plus tragiques est que le rayonnement des micro-ondes, comme la nicotine, stimule les centres de plaisir du cerveau.

Quelques exemples d’études, mais il y en a eu d’autres :
• Dans les années 1980, des chercheurs de l’Université de Washington ont découvert que les radiofréquences activent les opioïdes endogènes, des composés générés par le cerveau se comportant comme la morphine (1).
• En 1996, les chercheurs ont découvert que les micro-ondes pulsées des téléphones ont un effet hypnotique sur le cerveau (2).
• En 1999, le journal The Guardian de Londres a cité une étude qui révélait que le rayonnement des téléphones portables stimule la production de substances chimiques semblables à la morphine dans le cerveau et que le « high » est déclenché par la libération d’endorphine lorsque le rayonnement du téléphone pénètre par l’oreille (3).
• Il faut aussi noter qu’une augmentation de l’activité endogène des opioïdes dans le cerveau, causée par les radiations des micro-ondes, est connue pour augmenter le comportement de consommation d’alcool (1).

1. « Neurological Effects of Radio Frequency Electromagnetic Radiation, » Dr. Henry Lai, op. cit.
2. « Effects of Pulsed High-frequency electromagnetic fields on Human sleep, » Mann, K, Roschke, J. Neuropsychobiology 33 (1) : 41-47, 1996.
3. « 
Mobile Phone Users ’Addicted to Radiation » 03-14-99.

Par ailleurs, chez les animaux de laboratoire, une exposition de 2 minutes à un portable endommage la barrière hématoencéphalique, et une exposition de 2 heures provoque des lésions cérébrales permanentes, même lorsque la puissance est réduite de 100 fois. Les radiations des portables interfèrent avec la conduction nerveuse et les fonctions cérébrales et sont une cause prédominante de la sclérose en plaques, du TDAH, de l’autisme, de la démence, des troubles anxieux, de la dépression et d’autres troubles neurologiques aujourd’hui.

9. POURQUOI ILS N’ONT PAS PEUR DE NOUS

Le monde est en ébullition. Des manifestations et mouvements en tout genre, dénonçant la tyrannie, s’indignant des injustices, ont eu lieu partout. Des années plus tard, après que des millions de personnes soient descendues dans les rues, masses agitées par d’inspirants orateurs, je reste consternée, songeant à la vision de tous ces gens baignant dans une mer sans fin, un océan, que dis-je, un raz-de-marée de téléphones portables ! Et je m’interroge sur ce qu’ils ont accompli.

Il y a plusieurs années, j’écrivais :

« Combien de temps allez-vous tenir debout si vous vous empoisonnez avec ces micro-ondes, étant totalement à découvert, traqués, visés et ciblés ? Combien de temps avant que vos capacités mentales ne soient réduites ? Dans quelques années, vous serez tous un peu moins intelligents et un peu moins résistants, si ce n’est pas déjà le cas… Méfiez-vous, vous devriez être mieux avisés. Vous devez savoir que les smartphones et le cancer sont les deux faces d’une même médaille, qu’il n’existe pas de niveau de radiation sans risque, que vous pouvez être manipulé, assassiné rapidement ou à petit feu à chaque instant, que la technologie 5G a été officiellement et secrètement déployée lors des confinements et qu’il est maintenant plus que jamais extrêmement dangereux d’avoir la tête ou le corps à proximité d’un téléphone portable ; il y a déjà suffisamment de CEM avec toutes les “antennes de la mort” et toutes les nouvelles petites antennes 5 G.

Vous êtes accro à votre technologie parce que c’est une drogue dure. Les tortionnaires et les dictateurs le savent, c’est pourquoi ils n’ont plus vraiment peur de nous. Et bien que vous sachiez que c’est mauvais pour vous-même, vos enfants, vos animaux domestiques et tout le monde autour de vous, vous continuez à nourrir les grandes compagnies de Télécoms ! Un jour, ils n’auront qu’à appuyer sur un bouton, et il n’y aura plus de militants ni de manifestants… Vous ne sauverez pas ce monde et vos enfants en vous comportant comme des de drogués imbéciles et des amateurs, en vivant dans un monde d’illusions et en vous tuant. »

Des années plus tard, et c’est toujours d’actualité.

Nombreux sont les militants pour la liberté ou contre la 5G, et les scientifiques qui possèdent toujours un portable ! À quoi bon protester contre un système et un produit que vous continuez à financer chaque mois afin de les utiliser ? Imaginez-vous un membre du conseil d’administration des Alcooliques Anonymes qui distribuerait du whisky avant la réunion, des gens fumant en public tout en protestant contre le cancer et le tabac, un membre de la SPA militer avec un manteau de fourrure sur le dos, ou des activistes anti-OGM achetant ces produits ?
Cela n’a aucun sens, et bien que cela ait été dit et redit, répétons-le encore une fois : Il faut être le changement que l’on souhaite voir autour de soi et dans le monde ! Et tout commence par soi-même !

10. SOUS LA PEAU

S’il ne fallait évoquer qu’un seul argument pour décider qui que ce soit à lâcher son portable ! Les informations ci-dessous sont d’une gravité extrême et sans précédent.

Voici ce que Yuval Harari a également déclaré :

« Les gens pourraient regarder en arrière dans 100 ans et identifier l’épidémie de coronavirus comme le moment où un nouveau régime de surveillance a pris le dessus, en particulier la surveillance sous la peau, qui, je pense, est peut-être le développement le plus important du 21e siècle, c’est cette capacité à pirater les êtres humains. » (1)

et :

« Le Covid-19 pourrait être un moment décisif dans l’histoire de la surveillance… transformée en une surveillance sous la peau(…) Pour un gouvernement ou une entreprise, c’est comme la chose la plus importante au monde de savoir ce que les gens ressentent réellement. Les tyrans ont fantasmé à ce sujet tout au long de l’histoire, mais ils n’ont jamais pu le faire réellement. Staline avait cette énorme police secrète et plus tard le KGB, qui suivait les gens tout le temps. Mais le KGB ne pouvait pas suivre chaque citoyen soviétique 24 heures sur 24, et même si un agent du KGB vous suivait, il ne pouvait pas savoir ce que vous ressentiez réellement. Si vous entendiez un discours de Staline à la radio, que vous souriiez et tapiez des mains, ce que vous ressentiez réellement, le KGB ne le savait pas. Mais le futur KGB pourrait savoir ce que vous ressentez réellement lorsque vous entendez un discours du “Grand Leader”. Vous pouvez sourire et taper des mains, mais si votre température corporelle, votre pression sanguine et votre rythme cardiaque indiquent que vous êtes en réalité en colère, vous ne pourrez pas le cacher à cette nouvelle police secrète biométrique. » (2)

[sources vidéo : 1, 2]

La seule façon de savoir ce qui se passe réellement « sous votre peau » est d’examiner au microscope ce qui a été injecté. Tout le reste peut relever de mensonges ou de spéculations. Voici les preuves que des formes géométriques (nanocircuits) se forment et se dissipent en présence des fréquences micro-ondes provenant d’un routeur Internet 4G, des téléphones et autres appareils sans fil :

1 — Août 2022 : Recherches et analyses de Mat Taylor, ingénieur interviewé par le journaliste Stew Peters. Sur les photos au microscope et films en accéléré, on peut voir très clairement dans une goutte de vaccin des structures rectangulaires s’assembler et grandir exponentiellement sous l’effet des micro-ondes d’un routeur Internet. À noter que les nanocircuits se résorbent et finissent par se désassembler lorsqu’il n’y a plus de fréquences micro-ondes et que le modem est éteint (lien vidéo) :

a) Une structure ressemblant à une croix gammée (nommée « Schwab ») s’est formée en moins de 3 heures. Lorsque le modem est retiré ou éteint, elle se dégrade lentement. Chaque instantané est pris à 4 minutes d’intervalle.
b) Une autre structure, à 2 minutes d’intervalle. Le modem est éteint et rallumé. Il constate que la structure grandit à nouveau, mais pas exactement sous la même forme.
c) Une structure qui s’était précédemment rétractée. Puis, il rallume le modem.
d) « Celle-ci rétrécit, grandit, rétrécit, grandit, et rétrécit encore. Je rallume le modem à 2 minutes de la vidéo, et vous pouvez la voir se réassembler. »

2 — Octobre 2022 : Recherches et analyses de Ricardo Delgado, de la Quinta Columna. Analyse d’une gouttelette de 1/2 cm2 de Pfizer sous microscope optique, nanotubes de graphène, grossissement : 300 fois. « C’est le câblage neuronal dont parlait Elon Musk. » (lien vidéo ou post de Profession Gendarme) :

a) AVANT EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Ces nanoparticules flottent initialement, et lorsqu’elles sont exposées à des champs électromagnétiques [artificiels], elles se développent de manière plus complexe. »
b) APRÈS EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Au départ, il n’y avait rien, ou il y en avait très peu. Mais au fur et à mesure que s’écoulait le temps d’exposition au rayonnement micro-ondes, tout ce maillage s’est formé. » ; « il va éliminer le système neuronal naturel et va le remplacer par cette ramification neuronale artificielle. »

3 — Novembre 2022 : Recherches et analyses du Dr David Nixon, médecin de famille depuis 30 ans en Australie, interviewé par le journaliste Stew Peters, dans les pas de Mat Taylor. Dr Nixon assure que les « cristaux » dans le sang de personnes injectées avec Pfizer ne se transforment seulement et uniquement qu’en présence d’une source de micro-ondes. Ces circuits et puces autoassemblés, émettent des adresses Mac lorsqu’ils sont scannés par Bluetooth. À ce stade, ce ne sont plus des nanorobots, ce sont des microbots, dit-il. Grossissement : 200 fois, Accélération vidéo : 400 fois. (lien vidéo) :

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Avec un appareil sans fil éteint.

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Après qu’un appareil sans fil ait été allumé.

PAR CONSÉQUENT, IL EST URGENT QUE LES PERSONNES INJECTÉES CESSENT IMMÉDIATEMENT L’UTILISATION DU TÉLÉPHONE PORTABLE et de tout dispositif employant une technologie sans fil ou à micro-ondes, les nanotubes de carbone et autres nanoéléments se multipliant et grandissant à leur contact. Ces personnes devraient également limiter autant que possible l’utilisation des routeurs Wi-Fi, de tout ce qui est « smart » ou « intelligent » (voir la liste dans la Section « 5. Un Sim Dans Une Prison »), qu’elles se tiennent le plus possible éloignées des antennes, des foules, des endroits et des gens connectés. La solution est . C’est soit ça, soit choisir de laisser évoluer ces « aliens » (structures étrangères) dans son corps.

11. L’ÈRE DE LA DÉCONNEXION

De nos jours, personne n’oserait entrer chez quelqu’un d’autre avec une cigarette allumée. On s’étonne de voir des gens fumer dans les vieux films et on sait que les producteurs étaient payés par les compagnies de tabac pour montrer de séduisants acteurs fumant des cigarettes. À l’avenir, nous serons choqués de voir les gens dans les films porter leur téléphone portable à leur tête. Comment les cinéastes pouvaient-ils encourager une pratique aussi dangereuse ? Tout comme les mises en garde sur les paquets de cigarettes, il y aura des messages d’avertissement sur les paquets de téléphones portables ; la vente aux jeunes sera interdite. Et personne ne songera à entrer chez quelqu’un avec un portable allumé. La pression de l’opinion publique engendrera une demande pour le développement de systèmes de télécommunication sans danger et l’on verra des cabines téléphoniques reparaître aux coins des rues. Nous veillerons à ce que personne n’emporte de portable lors de grands rassemblements tels que les évènements sportifs, concerts, foires, conventions, chorales, fêtes, etc., car un simple détecteur de CEM (champs électromagnétiques) pourra indiquer la présence de fréquences artificielles.

Nous n’avons pas de Wi-Fi… Parlez entre vous.
Faites comme si c’était 1995.

Les hôpitaux, les crèches, les écoles et les bureaux n’autoriseront plus les téléphones portables, toutes les communications informatiques seront câblées, et les employés utiliseront tous des téléphones filaires !

La connexion (sans fil) n’est plus la clé de notre survie. Elle est au contraire la clé de notre asservissement. Dans ce monde en évolution rapide de connexion artificielle, nous avons perdu le contact avec l’environnement naturel qui a défini les origines de notre espèce. Cette perte, ce vide est un immense espace que nous cherchons à combler par des distractions sans aucun sens et des addictions désastreuses. On s’est joué de nous et ce conditionnement est très profond…

Par exemple, il est intéressant de voir que la distanciation sociale était déjà là avec votre portable, et qu’une chose en a entraîné une autre. C’est de l’ingénierie sociale au plus haut niveau ! L’acceptation de mesures coercitives a été soigneusement et longtemps planifiée. Prenez la machine à remonter le temps et voyez ces quelques photos d’artistes, qui sont nécessaires pour comprendre comment vous avez été conditionné et programmé il y a bien longtemps déjà :

1 – 1962 : Une photo de Walter Molino, intitulée La vie en 2022, en première page d’une édition de 1962 de La Domenica del Corriere.
2 – 2001 : Œuvre de l’artiste Nick Rodrigues montrant que la « distanciation sociale » existait déjà auparavant : « La cabine téléphonique portable offre une image visuelle des sacrifices sociaux et des possibilités d’interaction perdues en raison de l’intérêt rapporté à nous-mêmes. Grâce à cette cabine portable de téléphone, un membre de la société peut en devenir un membre isolé. » « La pièce est une cabine téléphonique rétractable que l’on porte sur le dos et que l’on peut faire glisser sur sa tête pour s’isoler complètement de la société. Cet isolement illustre la séparation qui existe déjà dès que l’on commence à parler sur son téléphone portable. » (nickrodrigues.com)
3 — Œuvre de l’artiste Latif Fityani, des années avant l’ère des confinements et restrictions.
4 – 2020 : Pods pour Covid — des gens dans des ShieldPods et WalkingPods (utwpods.com)

12. CONCLUSION

Le plan diabolique pour nous asservir peut s’écrouler comme un château de cartes.

Le téléphone « cellul-aire » ou « insup’portable » est en train de détruire la liberté de l’humanité peu à peu.

Aucune société dystopique, tyrannique, sans argent liquide ou physique, avec porte-monnaie électroniques biométriques, passeports sanitaires, traçage, chasse à l’homme, conformité à toutes les mesures les plus insensées et inhumaines n’existera plus et elle sera impossible à mettre en place le jour où vous ne serez plus le « malheureux détenteur » d’un portable.

Car il y a encore une chose qu’ils ne savent pas faire ; personne ne peut vous contraindre, ni vous-même, ni qui que ce soit, à posséder un portable, une voiture, une télévision, une radio ou un lave-vaisselle si vous n’en voulez pas ! Et plus nous serons nombreux et nombreuses à refuser le portable et les appareils « connectés, sans fil », moins ils auront d’emprise sur nos vies, nos esprits, notre santé, nos libertés, etc.

Nous avons évolué, et très bien vécu sans cela jusqu’en 1995. Un téléphone filaire, un ordinateur et un câble Ethernet relié au modem. La solution pour se libérer soi-même est tellement simple qu’il est vraiment inutile de continuer à chercher plus loin. Mais il faut également libérer les autres, car de leur liberté dépend aussi la nôtre.

Allez-y, faites demi-tour et montrez le bon exemple autour de vous ! Vous ne pourrez jamais savoir ce que c’est tant que vous ne l’aurez pas fait. Dites-vous « je peux » et non pas « je pourrais ». Vous pouvez le faire ! Faites-le en ayant le cœur heureux, sans vous sentir coupable et sans regret. Vous devez simplement le faire — non seulement pour vous ou pour ceux qui vous entourent — mais également pour vaincre le Nouvel Ordre du « Meilleur des Mondes ». Le portable est le cheval de Troie du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial). Dans cette situation extrême, nous devons faire un retour sur nous-mêmes, sur nos droits et sur notre autonomie. Ensemble, nous pouvons faire bouger les choses. En choisissant une autre voie, via nos choix de consommation, ce qui a toujours été le moyen le plus efficace de nous faire entendre. Actuellement, c’est vraiment la seule option qui nous reste, compte tenu de la tournure que prennent les évènements. Votre vie est en jeu et il ne s’agit plus de posséder un téléphone portable, mais d’y renoncer. Il ne s’agit pas de se raser la tête ni de vivre de pain et d’eau ! Il suffit d’un peu de volonté et peut-être de quelques semaines ou quelques mois pour surmonter bravement une éventuelle période de sevrage — si vous suivez les bons conseils et astuces que j’aborde ici. Vous finirez par vous rendre compte à quel point cela était simple. Vous allez retrouver la liberté et la paix en vous et tout autour de vous. Je le sais parce que j’ai vécu cela moi aussi, en 2012.

Si nous gardons nos téléphones, nous ne récolterons que la tyrannie, la souffrance et la maladie. Que voulez-vous avant tout, votre téléphone ou votre liberté, votre téléphone ou votre santé, votre téléphone ou votre planète ? Il y a tant à dire ! C’est pourquoi je vous invite à visiter la Galerie à la page suivante, car les images parlent souvent mieux que les mots…

Allez-y, vous verrez, ça vaut le détour !

[Voir aussi et notamment sur le même site :
https://liberez-vous.weebly.com/liberez-vous.html]




Grande-Bretagne — Le gouvernement avait une unité secrète « effrayante » pour freiner la dissidence du confinement

[Source : anguillesousroche.com]

Selon une enquête du Telegraph, les détracteurs des restrictions imposées par le Covid ont été la cible d’une équipe de contre-désinformation au sein du gouvernement. Voici comment cela commence.

Le Telegraph révèle qu’une unité gouvernementale secrète a collaboré avec des entreprises de médias sociaux pour tenter de limiter les discussions sur les politiques controversées de confinement pendant la pandémie.

L’unité de contre-désinformation (CDU) a été mise en place par les ministres pour lutter contre les prétendues « menaces » intérieures et a été utilisée pour cibler ceux qui critiquaient le confinement et remettaient en question la vaccination de masse des enfants.

Les messages des détracteurs du confinement ont été supprimés des médias sociaux. On soupçonne de plus en plus les entreprises de médias sociaux d’avoir utilisé la technologie pour empêcher la promotion, la circulation ou le partage à grande échelle des messages après qu’ils aient été signalés par la CDU ou son homologue du Cabinet Office.

Des documents révélés dans le cadre de demandes de liberté d’information et de protection des données ont montré que les activités d’éminents critiques des politiques du gouvernement en matière de lutte contre le terrorisme étaient secrètement surveillées.

Le gouvernement a fait appel à une société d’intelligence artificielle (IA) pour parcourir les sites de médias sociaux. Cette société a repéré les discussions qui s’opposaient aux passeports vaccinaux.

Bon nombre des questions soulevées étaient valables à l’époque et se sont avérées fondées depuis.

La BBC a également participé à des réunions secrètes d’un forum politique gouvernemental visant à lutter contre la soi-disant désinformation.

Vendredi, des députés et des défenseurs de la liberté d’expression ont condamné ces révélations, les qualifiant de « vraiment effrayantes » et d’ » outil de censure des citoyens britanniques », à l’instar de ce que fait le Parti communiste chinois.

Une grande partie des travaux du gouvernement sur la désinformation est entourée de secret pour des raisons de « sécurité nationale ». De grandes parties de documents officiels sont encore expurgées.

En Amérique, Twitter a publié des informations similaires montrant comment le gouvernement américain a également mis en place un programme secret pour limiter les discussions sur les fermetures de Covid.

On apprend aujourd’hui que les activités du professeur Carl Heneghan, l’épidémiologiste d’Oxford qui a conseillé Boris Johnson, et du docteur Alexandre de Figueiredo, chercheur à la London School of Hygiene and Tropical Medicine (LSHTM), ont été surveillées par les unités de désinformation du gouvernement.

Molly Kingsley, qui a lancé une campagne pour que les écoles restent ouvertes pendant la pandémie, a également vu son activité sociale surveillée.

Outre la CDU, le gouvernement a mis en place une unité de réaction rapide (RRU) au sein du Cabinet Office, qui traquait en ligne les contenus considérés comme de la désinformation.

La CDU, qui fonctionne toujours, était intégrée au ministère de la Culture, des Médias et des Sports (DCMS).

Le département a le statut de « signaleur de confiance » auprès des entreprises de médias sociaux, notamment Facebook et Twitter, ce qui signifie que les demandes de suppression de contenu sont examinées rapidement.

Dans certains cas, des personnes dont les messages sur les médias sociaux ont été enregistrés par les unités ont ensuite fait l’objet de sanctions de la part de Twitter et de Facebook. Les ministres ont nié avoir demandé la suppression des messages du professeur Heneghan, du docteur de Figueiredo ou de Mme Kingsley.

Le gouvernement a déclaré que le CDU « s’attache à aider le gouvernement à comprendre les récits de désinformation en ligne et à comprendre les tentatives de manipulation artificielle de l’environnement d’information ».

Le gouvernement a également organisé un forum sur la politique de lutte contre la désinformation, qui a réuni des fonctionnaires du DCMS et des géants de la technologie — dont Facebook et Google — ainsi que la BBC pour discuter de la manière de limiter la diffusion de ce qui était considéré comme de la désinformation COVID-19.

Ce forum et les deux unités n’ont pas été les seuls moyens utilisés par le gouvernement pour faire pression sur les entreprises de médias sociaux pendant la pandémie.

Les Lockdown Files, publiés par le Telegraph au début de l’année, ont révélé que Matt Hancock, l’ancien ministre de la Santé, a fait pression à plusieurs reprises sur Sir Nick Clegg, l’ancien vice-premier ministre, aujourd’hui cadre chez Facebook, au sujet de la désinformation sur les vaccins.

Facebook n’a pas caché ses efforts pour lutter contre la désinformation au sujet de Covid. Pendant la pandémie, il a supprimé des messages et, rien qu’en avril 2020, il a apposé des étiquettes d’avertissement sur environ 50 millions de contenus.

La CDU a été créée en 2019 et s’est concentrée sur les élections européennes avant de s’intéresser à la pandémie.

Pendant Covid, l’unité a travaillé en étroite collaboration avec la RRU du Cabinet Office, aujourd’hui disparue, dont les responsabilités comprenaient la lutte contre les « prétendus “experts” diffusant des informations erronées dangereuses ».

L’URR a admis, dans une demande d’information obtenue par Big Brother Watch et transmise au Telegraph, qu’elle demandait que des messages sur les médias sociaux soient supprimés.

Dans le cadre de son travail, le Cabinet Office a également transmis à la CDU des rapports de « surveillance des médias ».

Des documents ont révélé que les documents signalés au CDU comprenaient des articles publiés par le Telegraph.

L’un d’entre eux était un article de Mme Kingsley publié en février 2022, dans lequel elle affirmait qu’il était « indéfendable » que la vie des enfants ne soit toujours pas revenue à la normale alors que le reste de la société l’était. Elle a exhorté les ministres à déclarer clairement que les activités extrascolaires des enfants ne devaient pas faire l’objet de restrictions supplémentaires.

L’un des tweets de Mme Kingsley datant de décembre 2020, dans lequel elle déclare qu’il serait « impardonnable de fermer les écoles », a également été transmis à la CDU.

J’ai donné une citation au Telegraph qui n’a pas été utilisée. Je me permets donc de l’inclure ici.

« Le grand danger de confier à l’État et aux entreprises financées par l’État le soin de surveiller et, dans certains cas, de supprimer la “désinformation” est que les hommes politiques et les fonctionnaires ne pourront pas résister à la tentation de classer des critiques parfaitement légitimes de leurs politiques dans ces catégories, puis d’utiliser leur statut de “signaleur de confiance” auprès des entreprises de médias sociaux pour les faire supprimer, comme cela s’est produit pendant la pandémie », a déclaré le ministre de l’Intérieur.

« Ce qui était au départ un désir compréhensible de protéger le public des menaces étrangères en matière de cybersécurité s’est transformé en un outil de censure des citoyens britanniques.

Il est dans l’intérêt du gouvernement conservateur de mettre un terme à cette situation, car il y a fort à parier qu’un gouvernement travailliste utilisera ces outils à une bien plus grande échelle pour réprimer les dissidents.

La solution consiste à intégrer des protections beaucoup plus fortes de la liberté d’expression dans le projet de loi sur la sécurité en ligne, afin que les entreprises de médias sociaux puissent être poursuivies en justice pour avoir empêché l’expression de points de vue parfaitement légitimes. »

Stop Press : L’équipe d’investigation du Telegraph en dit plus sur l’unité de lutte contre la désinformation ici. Entre-temps, Fraser Nelson a écrit sur la façon dont Facebook est une loi en soi lorsqu’il s’agit de censurer un contenu qu’il juge « faux » ou « trompeur ».

Lire aussi : Le Premier ministre britannique est interrogé sur « l’enregistrement des dissidences politiques sur les médias sociaux »

Source : The Daily Sceptic — Traduit par Anguille sous roche




La Justice s’intéresse-t-elle enfin aux graves actes malveillants des gouvernants au cours de cette pseudo-pandémie ?

Par Gérard Le Maître

Un début ? La Justice semble s’intéresser enfin aux graves actes malveillants des gouvernants au cours de cette pseudo-pandémie…

C’est une première, espérons que d’autres décisions suivront…

DROIT – Le 13 juin 2023, le Conseil d’État a estimé qu’Olivier Véran est allé au-delà de ses pouvoirs lorsqu’il a organisé le contrôle de l’obligation vaccinale des professionnels de santé libéraux. L’ancien ministre de la Santé ne pouvait pas suspendre les remboursements par l’assurance maladie des médicaments dispensés par un pharmacien non vacciné, ni interdire à ces professionnels de se faire remplacer pendant leur suspension, ou encore les contraindre à fermer leur officine. Et pourtant, plusieurs pharmaciens ont perdu leur travail et leur clientèle à cause de ces mesures.1
(…)
Les mesures qui prévoient la suspension des remboursements des médicaments, l’interdiction de se faire remplacer ou l’obligation de fermeture des officines sont donc annulées. 

Espérons que cette décision sera suivie de beaucoup d’autres pour que les responsables soient punis à la hauteur de leurs crimes.

L’ensemble de la gestion basée sur des mensonges permanents et des prises de décisions calamiteuses des politiques et de toute la chaîne scientifique qui a suivi aveuglément et provoqué la mort de milliers de personnes qui auraient dû être soignées avec des moyens existants… mais ils les ont interdits !

Et plus grave encore une autre décision extrêmement grave signée par O.Véran MSinistre de La Santé avec l’aval de La Présidence et du Premier Ministre évidemment, a organisé la mise à mort prématurée de milliers de personnes dans les EHPAD avec le RIVOTRIL autorisé par un décret en mars 2020, c’est une hécatombe qui a suivi dans les jours suivants dans les EHPAD et à l’abri des familles tenues totalement à l’écart comme on s’en souvient…

Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire

2

« La surmortalité de la vague covid du printemps 2020 s’explique à 100 % par l’usage du Rivotril en soin palliatif chez les personnes âgées en EHPAD ! »

Des brigades d’intervention rapides avaient même été mises en place :

« Des brigades ont injecté du Rivotril aux personnes âgées dans les EHPAD »

Pierre Chaillot

Beaucoup de Français sont encore dans le déni et refusent toujours de croire ce qui s’est passé, pourtant ce sont des faits réels, prouvés….

C’est pourquoi La Vérité doit apparaître au grand jour et les coupables traduits devant La Cour de La République pour les politiques et en justice pour tous les autres à hauteur de leurs responsabilités dans la chaîne de cette tromperie monumentale.

LES FRANÇAIS NE DOIVENT PAS OUBLIER QUE DES CRIMES ONT ÉTÉ COMMIS PAR MILLIERS





Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : (Ivelin Denev/ Shutterstock)]

Les dangers invisibles dans vos mains (Partie 1)

Par Marina Zhang

Depuis que Motorola a lancé le premier téléphone portable sans fil au début des années 1970, les téléphones cellulaires et les appareils sans fil font partie intégrante de notre vie. Ils ont considérablement évolué, allant de l’envoi de SMS à la diffusion de vidéos et de jeux en continu.

Les réseaux de télécommunications, qui utilisent des rayonnements électromagnétiques pour transmettre des informations, ont également progressé, passant de la défunte 1G, qui ne prenait en charge que les appels vocaux, à la 5G, plus récente, qui promet des transferts de données à grande vitesse.

Cependant, parallèlement à ces avancées, des inquiétudes sont apparues concernant les effets potentiels sur la santé, la 5G étant particulièrement controversée.

Alors que les entreprises de télécommunications et les organismes de réglementation affirment qu’aucune preuve scientifique n’établit de lien entre les rayonnements des téléphones portables et les problèmes de santé, de nombreux experts ne sont pas d’accord. En 2017, 180 scientifiques et médecins internationaux ont demandé à l’Union européenne de procéder à une évaluation indépendante des risques sanitaires potentiels liés à la 5G.

Toutefois, dans quelle mesure ces risques sont-ils graves ?

[Note de Joseph :
L’industrie des télécommunications rejette globalement l’idée que leurs technologies basées sur la transmission d’ondes dorénavant pulsées puissent être réellement nocives, ceci uniquement sur la base que la porteuse du signal n’a pas une énergie suffisante pour induire des effets thermiques ni une fréquence qui puisse provoquer des effets ionisants. Cependant elle évacue ainsi la réalité des phénomènes suivants bien connus en sciences physiques et/ou biologiques :
— les corps biologiques humains et animaux sont parcourus de multiples courants électriques de faible intensité (dans les mitochondries présentes au sein des cellules, dans le cœur, dans les nerfs et les neurones, etc.) ;
— l’induction électromagnétique1 est un phénomène physique produit par un champ magnétique variable susceptible d’engendrer un courant électrique dans tout milieu potentiellement conducteur d’électricité, y compris donc dans les fluides corporels — sang et lymphe — dans lesquels de nombreuses substances chimiques sont dissoutes à l’état ionisé (notamment le sel commun ou « chlorure de sodium », constitué d’ions Na+ et Cl) ;
— une onde électromagnétique2 comporte une composante magnétique variable susceptible de produire une induction électromagnétique et donc l’apparition d’un courant électrique dans un milieu ionisé ;
— parallèlement, tout conducteur parcouru par un courant électrique engendre à son tour du magnétisme3 et dans le cas d’un courant variable, le champ magnétique émis est également variable ;
— un conducteur parcouru par un courant variable de haute fréquence se comporte comme une antenne qui peut alors émettre une onde électromagnétique ; ainsi les glandes sudoripares à la surface de la peau se comportent comme des antennes lorsqu’elles reçoivent une onde électromagnétique pulsée à haute fréquence, comme dans le cas du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G)4 ;
— par le jeu de telles microantennes ou microcourants présents partout dans le corps, un signal 5G qui aurait dû n’affecter que la peau se voit transmis en profondeur dans l’organisme ;
— un signal pulsé (comme dans le cas du Wi-Fi, du Bluetooth, de la 4G et de la 5G) se comporte comme la superposition de milliers de signaux de fréquences différentes, et plus chaque impulsion est pointue et verticale, plus le nombre de telles fréquences est important5 ;
— le phénomène de résonance6 fait que la répétition d’une impulsion à l’intervalle précis correspondant à la fréquence propre d’un élément récepteur du signal multiplie grandement l’effet, de même que de petites poussées sur une balançoire d’enfant peuvent finir par provoquer un large mouvement, ou la marche de soldats au pas cadencé sur un pont peut finir par détruire ce dernier si la fréquence des pas correspond à la fréquence propre du pont ;
— plus un signal est pulsé de manière aiguë, comme pour la 5 G qui doit le faire pour pouvoir envoyer des milliards de données digitales par seconde, et plus il est susceptible d’induire de résonances avec divers composants d’un corps biologique, notamment au niveau cellulaire ;
— le professeur Paul Héroux7 a ainsi notamment démontré que les téléphones cellulaires interagissaient avec les mitochondries, empêchant la production normale d’ATP à partir de glucose ;
— les courants électriques présents dans les corps humains et animaux sont de très faible intensité et il suffit d’ondes de faible puissance, même bien en dessous des effets thermiques, pour les perturber par résonance ou par induction, selon les cas ;
— en conclusion, plus les ondes sont pulsées à haute fréquence (comme la 5 G par rapport à la 4G) et plus elles pourront interagir avec un grand nombre d’organes, de tissus et d’éléments du corps, jusqu’au niveau cellulaire, y compris le sang, les nerfs, le cœur et le cerveau.]

Doutes sur les télécommunications sans fil avant même la 5G

Des études menées depuis les années 1970 ont mis en évidence des liens possibles entre le rayonnement des téléphones portables et des problèmes de santé tels que l’infertilité (PDF), les troubles neuropsychiatriques, le cancer et les maladies inflammatoires.

Questions sur le financement

Cependant, les effets des radiations des téléphones portables ont donné lieu à des résultats incohérents, certaines variations étant fonction des sources de financement des études.

Henry Lai, chercheur à l’université de Washington, avait déjà examiné 200 études sur les effets biologiques dus aux rayonnements émis par les téléphones portables. Il a constaté qu’environ la moitié des études ne faisaient état d’aucun lien biologique, tandis que l’autre moitié mentionnait une association possible.

« Si l’on considère les recherches non parrainées par l’industrie, on constate que trois articles sur quatre montrent un effet », a indiqué M. Lai. « En revanche, si l’on considère les recherches financées par l’industrie, c’est quasiment l’inverse : seul un article sur quatre met en évidence un effet. »

Études sur les animaux

Des études sur les animaux ont mis en évidence des risques pour la santé inhérents aux technologies 2G, 3G et 4G.

Une étude publiée en 2018 par l’Institut national de la santé des sciences environnementales a révélé que des niveaux élevés de rayonnements 2G et 3G étaient associés à un risque accru de cancer et à des effets néfastes sur l’ADN chez les rats (PDF). L’étude a montré que les rats et les souris exposés à ce type de rayonnement présentaient des lésions de leur ADN dans leur cerveau et leurs cellules sanguines, des preuves évidentes de tumeurs cardiaques et un poids inférieur à la naissance dans le cas d’une exposition prénatale.

Mais l’étude reconnaît les limites dues à l’utilisation de niveaux de rayonnement anormalement élevés qui ne reflètent pas les scénarios d’exposition de la vie réelle. « Les expositions utilisées dans les études ne peuvent pas être comparées directement à l’exposition que subissent les humains lorsqu’ils utilisent un téléphone portable », a souligné John Bucher, scientifique confirmé du programme national de toxicologie et coauteur de l’étude.

Toutefois, l’augmentation des niveaux d’exposition pourrait accélérer la recherche sur les risques à long terme sans nécessiter de longues études, a déclaré Martin Pall, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales de l’université de l’État de Washington, au journal Epoch Times. La plupart des études n’ont cependant pas trouvé de preuves concluantes liant les radiations émises par les téléphones portables à des effets néfastes sur la santé.

Tumeurs cérébrales

Des études sur le rayonnement des téléphones portables publiées avant le déploiement de la 5G en 2019 ont démontré que le fait de placer les téléphones près de l’oreille entraînait l’absorption du rayonnement par les tissus cérébraux à l’intérieur du crâne (PDF).

Certaines études ont suggéré une corrélation potentielle entre l’utilisation intensive du téléphone portable et le glioblastome, un type de cancer du cerveau. Selon une analyse réalisée en Suède, les utilisateurs de longue date de téléphones portables, c’est-à-dire ceux qui les possèdent depuis plus de dix ans, courent un risque élevé de développer des tumeurs bénignes. Le risque est notamment plus élevé du côté de la tête qui est en contact avec le téléphone.

Néanmoins, la relation de cause à effet reste incertaine.

Des études portant sur les résidents vivant à proximité de tours et d’antennes de téléphonie mobile ont fait état de problèmes neuropsychiatriques, notamment des maux de tête, des troubles de la mémoire, des vertiges, des dépressions et des insomnies.

La 5G est-elle pire que ses prédécesseurs ?

En bref, les scientifiques ne savent pas.

Alors que la 2G, la 3G et la 4G émettent des radiofréquences et des micro-ondes, la 5G émet des ondes millimétriques.

Les ondes millimétriques diffèrent des micro-ondes et des ondes radio, car elles fonctionnent à une fréquence plus élevée et permettent une transmission plus rapide des signaux. Toutefois, les effets potentiels des ondes millimétriques sur la santé restent inconnus en raison du manque d’études financées par les pouvoirs publics.

Les scientifiques savent toutefois que, contrairement aux rayonnements cellulaires micro-ondes, les ondes millimétriques ne peuvent pas pénétrer profondément dans le corps. Par conséquent, de nombreux scientifiques estiment que la 5G est sans danger.

Si les ondes millimétriques offrent des vitesses plus élevées, leur fréquence élevée les rend plus faibles et donc susceptibles d’être bloquées par les feuilles, l’eau de pluie et les murs. Pour assurer une couverture complète, les entreprises de télécommunications doivent déployer davantage d’antennes 5 G. Toutefois, comme ces antennes transmettent également des signaux 2G, 3G et 4G, le déploiement à grande échelle de la 5G présente un risque potentiel pour la santé.

Magda Havas, titulaire d’un doctorat en toxicologie environnementale, professeur émérite spécialisé dans les effets des rayonnements électromagnétiques sur la santé et signataire du moratoire de l’UE, a fait part de ses inquiétudes concernant le déploiement de la 5G.

« Ce qu’ils font, c’est qu’ils déploient des antennes tous les 100 mètres environ dans les zones urbaines », a-t-elle précisé au journal Epoch Times. « Les gens vont être exposés à des niveaux beaucoup plus élevés qu’auparavant aux fréquences normales [3G et 4G], ainsi qu’à des ondes millimétriques supplémentaires qui n’ont pas été testées pour leurs effets à long terme sur la santé ».

Impact des ondes millimétriques de la 5G sur la santé

Les effets de la 5G sur la santé font encore l’objet de débats, mais M. Pall et Mme Havas suggèrent que le rayonnement millimétrique de la 5G pourrait avoir des effets sur la santé.

Bien que les ondes millimétriques utilisées par la 5G ne puissent pas pénétrer dans le corps, elles peuvent néanmoins être absorbées par la peau. Selon Mme Havas, les rayons ultraviolets qui ne pénètrent pas dans le corps peuvent provoquer des mélanomes cutanés.

Une étude menée en 2020 sur le rayonnement de la 5G a démontré qu’il pouvait pénétrer la peau d’environ 0,9 millimètre lorsqu’il était transmis à une distance de 10 centimètres.

Bien que cette profondeur soit inférieure à celle des zones 4G et 3G, l’intensité du rayonnement est nettement plus élevée. En outre, une profondeur de 0,9 millimètre n’est peut-être même pas considérée comme superficielle. Selon une étude réalisée en 2008 sur les ondes millimétriques, une profondeur de pénétration de 0,65 millimètre est suffisante pour « affecter la plupart des structures cutanées situées dans l’épiderme et le derme », ont écrit les auteurs.

« Il a été démontré dans un certain nombre d’études que si l’on examine différents types de cellules — et nous avons de nombreux types de cellules dans notre corps — on constate que certains types de cellules sont beaucoup plus sensibles aux CEM (radiations) que d’autres », a déclaré M. Pall.

Il a également souligné que l’hétérogénéité biologique devait être prise en compte et que la physique élémentaire ne pouvait pas être utilisée pour faire des prédictions précises sur les effets biologiques.

Bien que les effets à long terme de la 5G sur la santé restent inconnus, M. Pall a mené des recherches qui montrent que les ondes millimétriques peuvent déclencher des réactions biologiques en modifiant les charges électriques des cellules.

Alors que les réseaux de télécommunications évoluent et que la 5G promet des vitesses plus rapides et une plus grande connectivité, la nécessité de comprendre l’impact sur la santé humaine devient de plus en plus importante. Le débat sur les effets potentiels de la technologie 5G sur la santé continue d’être un sujet de préoccupation et de controverse.

Prochain article : Certains experts ont observé une augmentation du syndrome des micro-ondes au cours des dernières décennies. S’agit-il d’une véritable maladie et a-t-elle un lien avec le rayonnement des téléphones portables qui nous entourent ?

[Voir aussi le dossier 5G et ondes pulsées]





Contrôle de l’obligation vaccinale chez les libéraux de santé : Olivier Véran a outrepassé ses pouvoirs

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Le Conseil d’État a annulé une instruction interministérielle prise par Olivier Véran en octobre 2021.
 F. Froger / Z9, pour France-Soir]

DROIT — Le 13 juin 2023, le Conseil d’État a estimé qu’Olivier Véran est allé au-delà de ses pouvoirs lorsqu’il a organisé le contrôle de l’obligation vaccinale des professionnels de santé libéraux. L’ancien ministre de la Santé ne pouvait pas suspendre les remboursements par l’assurance maladie des médicaments dispensés par un pharmacien non vacciné, ni interdire à ces professionnels de se faire remplacer pendant leur suspension, ou encore les contraindre à fermer leur officine. Et pourtant, plusieurs pharmaciens ont perdu leur travail et leur clientèle à cause de ces mesures.

Le 14 décembre 2021, un pharmacien libéral a saisi le Conseil d’État pour annuler une instruction interministérielle prise par Olivier Véran en octobre 2021. À préciser que la question de l’indemnisation du préjudice causé par l’ancien ministre de la Santé n’est pas abordée dans ce type de recours.

Les pharmaciens non vaccinés n’avaient d’autres choix que de fermer leurs officines

Avec son instruction interministérielle, le ministre de la Solidarité et de la Santé de l’époque a inéluctablement ordonné la fermeture des officines des pharmaciens non vaccinés contre le Covid-19.

En effet, une fois l’entrée en vigueur de la loi du 5 août 2021 effective, le document prévoit que « lorsque la situation de manquement à l’obligation vaccinale a été constatée (…) le directeur général de l’ARS informe le professionnel de santé de sa suspension par courrier ». Dès lors, le pharmacien suspendu ne peut plus exercer sa fonction, même de manière indirecte. Il lui est interdit de procéder à la téléconsultation, en suivant à distance les prescriptions médicales de ses clients, ou de se faire remplacer. « Par conséquent, l’officine de pharmacie doit être fermée », préconise l’acte administratif attaqué.

Le Conseil d’État estime qu’Olivier Véran n’avait pas la compétence pour fixer « une règle nouvelle », qui allait au-delà de ce qui était prévu par la loi du 5 août 2021. Pour la plus haute juridiction administrative, une autre mesure prévue dans l’instruction dépasse le pouvoir du ministre.

La suspension des remboursements par l’assurance maladie des médicaments dispensés par un pharmacien non vacciné est illégale

« Lorsqu’un praticien (…) continue d’exercer malgré l’interdiction temporaire d’exercer, il est tenu de rembourser à l’organisme de sécurité sociale le montant de toutes les prestations qu’il a effectuées », précise le document.

En d’autres termes, un pharmacien suspendu qui aurait continué d’exercer son activité devait lui-même rembourser à la caisse d’assurance maladie les médicaments délivrés sur prescription médicale.

Pour le Conseil d’État, Olivier a encore une fois « fixé une règle nouvelle entachée d’incompétence » qui n’était pas prévue par la loi.

Les mesures qui prévoient la suspension des remboursements des médicaments, l’interdiction de se faire remplacer ou l’obligation de fermeture des officines sont donc annulées. Elles sont en principe réputées ne jamais avoir existé. Il n’est pas encore clair à ce stade si cet arrêt concerne toutes les professions de santé libérales ou seulement l’activité de pharmacien.




Dr Luis Marcelo Martínez : « La protéine Spike n’a jamais existé »

[Source : orwell.city]

[Traduction cv19.fr]

Le docteur argentin Luis Marcelo Martínezgénéticien médical, a passé en revue toute la littérature virologique depuis 1912 et est certain que la protéine Spike n’a jamais existé. Il explique également pourquoi il est peu probable qu’une personne vaccinée soit contagieuse.


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Transcription

Beaucoup de gens ont peur : une personne vaccinée est-elle contagieuse ? Tout d’abord, je ne sais pas. On ne peut pas le prouver et du point de vue de la biologie, je ne vois pas cela possible, car… Voyons voir. Supposons que le vaccin, l’ARNm, donne l’instruction… Supposons ça, d’accord ? S’il donne l’instruction à la cellule de produire la fameuse protéine S. Les gars, pensez-y. Cette protéine est produite par les cellules de notre organisme, elle est transformée, elle est transformée. Et comment va-t-elle être excrétée vers l’extérieur ? En d’autres termes, comment arrive-t-elle intacte lorsque vous la crachez et que l’autre personne l’attrape et que vous l’infectez ? En d’autres termes, à quoi pensent-ils ?

Comment ? Comment ? Comment ? Comment de nombreuses personnes qui se trouvent dans la trajectoire de la protéine S et des personnes vaccinées se rendent-elles compte de cela ? Je veux dire, vous devez réfléchir deux minutes. Les cellules de votre corps, quelles sont celles qui produiraient la protéine S ? Celles du système immunitaire ? Non. Non. Toutes les cellules, mais surtout celles qui ont un fort taux de renouvellement. Et qu’arrive-t-il à la protéine une fois relâchée ? Elle est transformée. Elle est transformée. Alors, peut-elle sortir intacte ? Non, certainement pas. Et d’ailleurs tout cela doit être absolument démenti, parce que je dirai clairement, qu’étant donné qu’aucun coronavirus n’a jamais été isolé, aucun coronavirus n’a jamais été purifié. Et c’est la vérité, car pour le savoir, il faut parcourir toute la littérature virologique. Et c’est ce que j’ai fait. C’est pourquoi je parle ainsi. Et puis je trouve Lanka, qui vient ratifier tout ce que j’avais constaté.

Et pour moi, ce type était un miracle, car une autorité mondiale en matière de virologie me confirme ce que j’avais déduit par mes propres moyens dans le désespoir.
Après tout, j’étais désespéré, puis j’ai lu toute la littérature sur la virologie. Toute la littérature. De 1912 à aujourd’hui.
Et j’en ai déduit que l’existence de tout virus en tant que particule réelle n’a jamais été pleinement démontrée. Ils ont toujours été une élucubration théorique.
Et maintenant, récemment, une élucubration moléculaire à partir de la génétique, à partir de ce que sont les génomes.
Il faut donc savoir que si vous n’isolez pas et ne reconnaissez pas la particule originale et que vous ne commencez pas à la découper et à caractériser ses protéines, ses supposées protéines membranaires, et que vous ne retirez pas le matériel génétique et les séquences, d’où vient la théorie de la protéine S ? Le gène N ? Où avez-vous trouvé ça ? Vous savez où ils ont trouvé ça ? De génomes créés par ordinateur. La protéine S n’est connue de personne et quand ils vous disent que la protéine S est liée à l’ACE2, c’est un autre foutu mensonge. Toutes les publications vont à la publication originale de 2003 par le Dr Lee, qui a fait chanter l’Institut de recherche sur le sida, où Fauci est impliqué et toute cette bande de criminels menteurs qui ont brisé les âmes de générations entières en mentant parce que le premier mensonge est le VIH. Le premier mensonge, le VIH, ce sont les antirétroviraux… OK?
Donc, cette lettre, parce que c’est une lettre, ce n’est même pas un article scientifique, elle dit :
« Nous avons pris une protéine S, nous l’avons mise dans des cellules rénales de singe, voyons ce que nous attrapons. Ah, regardez ! C’est l’ACE2 qu’on a ! »

[Note de Joseph : si la protéine Spike (ou de « pointe ») n’existe effectivement pas ailleurs que comme artefact logiciel et théorique, le battage médical et médiatique fait autour d’elle représente alors un autre écran de fumée, cette fois établi pour mieux masquer le véritable coupable vaxinal : le graphène (qui lui a été détecté par plusieurs laboratoires indépendants). Voir notamment Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité]

Ils ont fait un petit test en comparant les fragments en poids, par spectroscopie de masse, pas par séquence nucléotidique, et par analyse fonctionnelle des fragments. Je parle grossièrement pour que ceux qui doivent écouter puissent me comprendre.

Et encore une fois pour les « checkers », parce que je suis dégoûté et sympathique envers les « checkers », sympathique parce qu’ils me réfutent même des écoutes privées. Messieurs, vous contestez des fuites audio. Et tous les gosses que vous citez aujourd’hui, que je ne connais même pas, je les ai cherchés sur Google et ils n’existent pas, alors venez débattre ici si vous voulez être « checkés », prenez un siège et débattez avec moi et avec tous mes collègues. Checkers, Chequeado, et AFP Factual et toute cette bande d’enfoirés. Alors, amenez ces gars dans un débat. D’accord ?

La protéine S n’a jamais existé. Arrêtons de déconner avec la protéine S et la contagion des vaccinés. Maintenant, si une personne vaccinée génère une sorte de distorsion électromagnétique dans son environnement pendant un certain temps, on peut s’attendre à une sorte d’effet dans l’environnement très proche. Nous recommandons vivement aux personnes vaccinées de prendre conscience de leur situation et, tout d’abord, d’essayer de se ressourcer autant que possible, puis de faire appel à différents outils pour essayer de commencer à se purifier. Le corps se nettoie, messieurs, tout le monde se détend, vous ne resterez pas magnétique éternellement.

Si vous êtes conscient de cela, ne prenez pas la deuxième dose. Respectez votre corps, ne vous faites plus jamais vacciner. Et votre corps sera purifié. N’ayez pas peur, ne soyez pas effrayé par le magnétisme. Vous pouvez peut-être générer une certaine distorsion du champ électromagnétique dans l’environnement proche, peut-être. N’oubliez pas que nous sommes confrontés à des situations sans précédent. Nous n’avons pas la réponse à tout. Nous déduisons et nous raisonnons de la manière la plus logique possible. Rappelez-vous surtout : n’ayez pas peur. N’ayez pas peur, de quoi que ce soit, parce que notre organisme est très fort, très résistant. Il n’y a pas de machine avec une capacité d’adaptation, une malléabilité, une capacité de renouvellement. Eh… Aussi sophistiquée que la machine humaine. Vous n’avez aucune idée de la technologie naturelle que nous sommes. Nous nous émerveillons devant un téléphone portable : « Regardez toutes les applications qu’il a », « Regardez cette voiture, le nombre de choses qu’elle a ».

Vous savez quoi ? La machine numéro 1 de l’univers, c’est nous. La machine numéro 1 de l’univers. Comme je l’ai dit, la meilleure des meilleures. Dans certains livres, il est dit que nous sommes faits à l’image et à la ressemblance de Dieu. Et c’est vrai parce que s’il y a quelqu’un qui pense à tout ce scénario avec nous, il a produit le travail ultime. Nous sommes une machine absolument parfaite. Je dis cela en tant que médecin et en tant que personne qui regarde avec admiration ce que nous sommes. Et pourquoi ? Parce que j’ai vu tout le processus, depuis le moment où nous étions deux cellules séparées jusqu’à celui où nous avons formé un œuf et jusqu’à notre mort.




2024 sera pire que 1984 de George Orwell

[Source : planetes360.fr]

Par Michael

La Technologie extrêmement avancée a le potentiel d’être utilisée pour IMPOSER une tyrannie à l’échelle mondiale… Les mondialistes nous IMPOSENT un agenda futuriste EFFROYABLE ! Voici 8 faits de contrôle TOTAL de nos vies !!!

[Voir aussi :
« Pacte mondial pour le numérique » : les Nations Unies encouragent la censure, le crédit social et bien d’autres choses encore]


L’avenir est juste devant nous, et si vous aimez être dominé par des maniaques du contrôle, vous allez adorer. « L’identification numérique » est l’un des principaux domaines sur lesquels les mondialistes se concentrent actuellement, et comme vous le verrez ci-dessous, les changements radicaux qui sont maintenant proposés sont extrêmement effrayants. Mais la plupart des Américains n’ont aucune idée de ce qui se passe réellement. Au lieu de cela, beaucoup d’entre eux sont obsédés par les drames relativement dénués de sens que nos médias mainstream ne cessent de présenter au public. Pendant ce temps, les mondialistes atteignent leurs objectifs à la vitesse de l’éclair, et il n’y a pratiquement aucune résistance. Voici 8 signes que le programme futuriste des maniaques du contrôle des mondialistes progresse rapidement…

# 1 À partir de septembre, l’UE « obligera » tous les États membres à offrir un « portefeuille d’identité numérique » à tous leurs citoyens et entreprises…

L’Union européenne rendra obligatoire l’identité numérique dans le cadre de l’eIDAS 2.0, qui entrera en vigueur en septembre 2023 et garantira que tous les États membres offrent un portefeuille d’identité numérique (DIW) aux citoyens et aux entreprises. Selon la Commission européenne, « Au moins 80 % des citoyens devraient pouvoir utiliser une solution d’identification numérique pour accéder aux principaux services publics d’ici 2030″.

# 2 Un système d’ » empreintes digitales numériques » pour les Américains est soudainement devenu une des priorités essentielles de Barack Obama…

L’ancien président Barack Obama a suggéré dans une nouvelle interview le développement des « empreintes digitales numériques » pour lutter contre la désinformation et faire la distinction entre les informations vraies et trompeuses pour les consommateurs.

Obama s’est assis avec son ancien conseiller principal de la Maison-Blanche, David Axelrod, pour une conversation sur le podcast de ce dernier, « The Ax Files », sur CNN Audio. Au cours de l’interview, Axelrod a noté qu’il avait vu « de la désinformation, de la désinformation et des deepfakes » ciblant Obama.

# 3 Une note d’orientation de l’ONU que vous pouvez trouver ici propose un système mondial d’identification numérique lié à nos comptes bancaires

Les identifiants numériques liés aux comptes bancaires ou d’argent mobile peuvent améliorer la fourniture de la couverture de protection sociale et servir à mieux atteindre les bénéficiaires éligibles. Les technologies numériques peuvent aider à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale.

# 4 L’Organisation mondiale de la santé a adopté « le système de certification numérique COVID-19 de l’Union européenne (UE) » et prévoit de le transformer en un « système mondial »…

En juin 2023, l’OMS adoptera le système de certification numérique COVID-19 de l’Union européenne (UE) pour établir un système mondial qui contribuera à faciliter la mobilité mondiale et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces sanitaires actuelles et futures, y compris les pandémies. Il s’agit du premier élément constitutif du réseau mondial de certification de la santé numérique de l’OMS (GDHCN) qui développera une large gamme de produits numériques pour offrir une meilleure santé pour tous.

« S’appuyant sur le réseau de certification numérique très performant de l’UE, l’OMS vise à offrir à tous les États membres de l’OMS l’accès à un outil de santé numérique open source, qui repose sur les principes d’équité, d’innovation, de transparence, de protection des données et de confidentialité », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. « Les nouveaux produits de santé numériques en cours de développement visent à aider les gens partout dans le monde à recevoir des services de santé de qualité rapidement et plus efficacement ».

# 5 Les agences fédérales aux États-Unis ont acheté d’énormes quantités d’informations sur les citoyens américains auprès de courtiers en données, et nous sommes avertis que ces informations pourraient potentiellement être utilisées pour « chantage, harcèlement, harcèlement et honte publique »…

Les agences fédérales accumulent secrètement des montagnes de données qui pourraient être utilisées pour « le chantage, le harcèlement, le harcèlement et la honte publique » des citoyens américains.

Cette allégation ne vient pas d’un fanatique des libertés civiles aux cheveux roses — c’est dans un nouveau rapport pour le maître-espion en chef du pays, Avril Haines.

# 6 Il a été révélé que le Pentagone utilisait des outils en ligne très effrayants afin de « suivre, localiser et identifier secrètement toute personne exprimant une dissidence ou même une insatisfaction à l’égard des actions de l’armée américaine et de ses dirigeants »…

Dans un rapport choquant publié par « The Intercept » le 17 juin, des détails sont apparus sur une stratégie américaine de surveillance de la sécurité nationale visant à suivre, localiser et identifier secrètement toute personne exprimant une dissidence ou même une insatisfaction face aux actions de l’armée américaine et de ses dirigeants.

Les mesures, prises par le bataillon des services de protection de l’armée, relèvent de leur mandat de protéger les hauts généraux contre « l’assassinat, l’enlèvement, les blessures ou l’embarras ».

# 7 Comme je l’ai dit hier, l’ONU a développé un système mondial de vérification des faits connu sous le nom de « iVerify » en collaboration avec de grandes entreprises technologiques et des organisations financées par Soros. Le but est de pouvoir faire la police de la « désinformation » et des « discours de haine » partout sur la planète

Les Nations Unies ont dévoilé un service de vérification des faits « automatisé » pour contrer la soi-disant désinformation et les discours de haine sur Internet dans le cadre d’un projet en partenariat avec des organisations financées par Big-Tech et Soros.

En réponse à ce qu’ils qualifient de « pollution de l’information en ligne », qu’ils qualifient de « défi mondial », le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a lancé sa plateforme « iVerify » pour contrer les allégations de désinformation et de discours de haine en ligne.

# 8 Le FMI admet publiquement qu’il est en train de construire « une plateforme CBDC mondiale » pour toutes les monnaies numériques des banques centrales nationales qui seront bientôt déployées…

Lors d’une présentation lors d’une conférence au Maroc, Kristalina Georgievahe, directrice générale du « Fonds monétaire international » (FMI), a annoncé que l’organisme mondial « travaillait dur sur le concept d’une plateforme CBDC mondiale ».

Georgieva a déclaré que les monnaies numériques des banques centrales doivent être interopérables entre les pays, notant que « si nous voulons réussir, les CBDC ne pourraient pas être des propositions nationales fragmentées ».

« Pour que les transactions soient plus efficaces et plus justes, nous avons besoin de systèmes qui connectent tous les pays », a poursuivi Georgieva, ajoutant « En d’autres termes, nous avons besoin d’interopérabilité ».

Si vous êtes capables de lire toute cette liste sans devenir extrêmement alarmés, je ne sais pas s’il y a un espoir pour vous.

Les mondialistes construisent une grille de contrôle numérique mondiale qui leur donnerait potentiellement un pouvoir sans précédent sur la vie de chaque homme, femme et enfant de la planète entière.

Dans un tel système, si vous insistez pour être un rebelle, votre accès au système numérique pourrait être complètement révoqué.
Que feriez-vous alors ?

Comment survivriez-vous si vous ne pouviez pas acheter, vendre, trouver un emploi ou ouvrir un compte bancaire ?

La technologie extrêmement avancée que nous possédons aujourd’hui nous a permis de faire beaucoup de très bonnes choses, mais elle a aussi le potentiel d’être utilisée pour imposer une tyrannie à l’échelle mondiale.

Nous devons résister à ces changements que les mondialistes tentent de nous imposer.

Malheureusement, la plupart des Américains ne parlent même pas de ces changements, et c’est parce que les médias mainstream leur disent de se concentrer sur d’autres choses.

Source : theeconomiccollapseblog




Pourquoi demander une autopsie après le décès d’une personne vaccinée avec un « vaccin » à ARN messager anti-COVID-19 ?

Document à publier largement afin que les juristes puissent s’en servir si besoin.

Merci

Jean-Luc Duhamel




Meurtres de masse en EHPAD : l’état meurtrier

[Source : Jean-Dominique Michel]




Les verts et leurs alliés contre les libertés, la démocratie et les pauvres

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de « sauver la planète », les propositions irrationnelles des députés et des militants verts et de leurs alliés se révèlent de plus en plus antidémocratiques, liberticides et anti-pauvres. Bizarre évolution pour un parti qui se prétend « de gauche ».

Quoi qu’on fasse, la planète survivra à l’espèce humaine !

Il est invraisemblable d’entendre répéter partout « il faut sauver la planète ». Quoi que nous fassions la planète Terre nous survivra puisque sa longévité est estimée à 5 milliards d’années, lorsque le Soleil se transformera en géante rouge. Et si la folie des hommes aboutissait à une guerre nucléaire, notre espèce pourrait disparaître, mais pas la planète.

Ce n’est pas la planète qu’il faut sauver, c’est l’espèce humaine menacée par les délires de quelques-uns qui utilisent d’énormes mensonges pour terroriser la population et de fallacieux prétextes pour lui faire accepter la perte de ses libertés et lui imposer une soumission à la chinoise à l’aide de pass, du fichage numérique et de la suppression de l’argent liquide. Et au passage, certains augmenteront largement leur fortune.

Le réchauffement climatique actuel reste dans les normes du passé lointain

Les climato terroristes se réfèrent aux températures des 1000 dernières années pour prétendre que le réchauffement actuel dépasse « tout ce qui a été estimé jusqu’ici ». Mais à l’échelle planétaire, il est plus adapté de s’intéresser aux estimations des 10 000 dernières années qui montrent que le climat terrestre a connu, avant toute activité humaine notable, de plus fortes températures qu’aujourd’hui !

Cette vue court-termiste des climato terroristes témoigne d’une volonté délibérée d’écarter les faits qui les gênent pour ériger en dogme l’alarmisme climatique.

Le CO2 n’est pas toxique, mais un engrais indispensable pour les plantes

Les climato terroristes érigent le CO2 en ennemi qu’on ne peut combattre qu’en empêchant les humains de vivre comme ils en ont besoin. C’est oublier qu’aucun végétal ne peut croitre sans CO2. Le gaz carbonique (CO2) est en effet indispensable à la synthèse des chlorophylles présentes chez tous les végétaux aquatiques et terrestres. Dans la masse totale des plantes, le bois est la partie qui absorbe le plus de carbone. Et si les verts voulaient faire baisser utilement le CO2, ils planteraient partout des arbres et se battraient opiniâtrement pour sauvegarder ceux qui existent, alors qu’ils font souvent le contraire dans les villes qu’ils administrent ou cogèrent.

Les partis verts s’opposent peu à la mondialisation, pourtant principal responsable de la production inutile de CO2

La mondialisation multiplie les voyages entre les pays à bas coût de main-d’œuvre et les pays riches et pousse à la délocalisation des industries vers les pays les moins regardants en normes antipollution. Les pays riches qui se présentent comme vertueux se contentent en fait d’exporter leur production de CO2 et d’autres toxiques dans les pays lointains pour le seul bénéfice des marchands internationaux !

En 2022, la flotte mondiale comptait plus de 100 000 bateaux de commerce à l’origine de plus de trois quarts des émissions de C02 liées au transport maritime qui représente actuellement 3 % du total mondial (5 fois le total de la France !), chiffre qui, d’après certaines estimations, pourrait atteindre 17 % d’ici 2050. Et une fois que les marchandises débarquent en Europe, elles sont acheminées par une foule de camions qui polluent à leur tour très largement.

Même chose pour les produits agricoles. La Commission européenne se gargarise des accords de libre-échange donnant libre accès européen aux productions agricoles d’Amérique du Sud, alors qu’elles sont la principale cause de la destruction des forêts en particulier amazoniennes.

Limiter les excès de la mondialisation en interdisant l’importation de marchandises et de produits agricoles que nous pouvons produire chez nous constitue un moyen des plus efficace pour diminuer les pollutions et freiner le défrichement des forêts, facteur des plus nocifs sur le cycle du carbone.

Mais au parlement de Bruxelles les verts et leurs alliés n’ont pas combattu comme ils l’auraient dû le faire les accords de libre-échange !

Les propositions des verts et affidés rendent le logement inaccessible aux plus démunis

La crise du logement occupe une place de plus en plus importante dans le développement de l’exclusion et des inégalités. Elle atteint des sommets, mais les médias parlent peu de la responsabilité des lois écologistes dans sa genèse et en particulier de la loi sur les passoires thermiques.

En qualifiant de plus en plus de logements de « passoires thermiques » (avec un élargissement prévu pour les biens classés G en 2025, puis F en 2028 et E en 2034) et en interdisant leur location, les lois imaginées par les verts réduisent très fortement le nombre de logements bon marché disponibles à la location.

En imposant aux nouvelles constructions des normes thermiques qui les renchérissent sensiblement et en bloquant les loyers, ils découragent les potentiels investisseurs et acheteurs privés déjà inquiets de la hausse des taux d’intérêt et de l’augmentation de la taxe locale.

La chasse aux passoires thermiques participe ainsi fortement à la crise actuelle de la construction et des locations accessibles aux plus démunis.

Le chemin de l’enfer locatif est pavé de bonnes intentions écologiques.

Les Verts préfèrent les rats aux pauvres !

Ils chassent les pauvres des villes en utilisant les « zones à faibles émissions »

Jadis les différentes classes sociales cohabitaient dans les immeubles haussmanniens : les bourgeois aisés au premier étage, les étudiants pauvres sous les toits. Progressivement la spéculation foncière a expulsé les pauvres des centres-ville vers des banlieues lointaines souvent mal desservies par les transports publics les obligeant à utiliser leur voiture pour travailler.

Les zones à faible émission, mises en place par les municipalités dirigées ou cogérées par les verts, interdisent maintenant aux pauvres qui n’ont pas les moyens d’acheter des voitures récentes, de venir en ville. Comme jadis les manants étaient chassés de Versailles !

Mais pour garder les rats en ville, ils créent une commission !

Depuis l’antiquité l’homme essaie d’éviter la prolifération de ces rongeurs destructeurs des récoltes ; les Égyptiens avaient même élevé le chat en allié du dieu Rê dans sa lutte contre le serpent Apophis, puis l’avaient déifié en Bastet avant d’édifier une ville à sa gloire : Bubastis, chef-lieu de la déesse Bastet.

Le rat représente un réservoir de germes dangereux dont celui de la peste qui constitue l’épidémie la plus meurtrière de l’histoire qui tua 30 à 50 % de la population européenne en quatre ans (1347-1352). La victoire sur la peste n’a été obtenue que par la chasse aux rats. Et les seuls endroits du monde où elle persiste encore sont ceux où les rats cohabitent étroitement avec l’homme. Ils sont, entre autres, également porteurs de la leptospirose qui menace nos égoutiers.

Mais les verts, l’association de défense des animaux Paris Animaux Zoopolis, et madame Hidalgo, pour sauver les rats de Paris les ont renommés « surmulots », et prétendent qu’ils joueraient « un rôle essentiel sur le plan sanitaire en éliminant une partie de nos déchets » (ces nouveaux éboueurs ne se mettent pas en grève !), ont créé une commission destinée à « faciliter la cohabitation » et financent des études pour « lutter contre les préjugés pour aider les Parisiens à mieux cohabiter avec les rats ».

L’hygiène représente l’arme la plus efficace contre les maladies transmissibles ; elle a permis de vaincre la majorité des épidémies les plus graves sans antibiotiques ni vaccins (peste, choléra, typhus, typhoïde, poliomyélite, hépatite A..). L’oubli de ses bases constitue un recul sanitaire de deux siècles.

Ils veulent limiter le chauffage de nos maisons aux dépens de notre santé.

Les lois européennes imposant des intermédiaires privés dans la fourniture du gaz et de l’électricité et un modèle dément de calcul du prix de l’électricité ont entraîné un accroissement du coût de l’énergie considérablement aggravé par les sanctions contre la Russie et l’arrêt de l’importation du gaz russe au profit du gaz de schiste américain. Ces augmentations déstabilisent notre économie et ont fait réduire le chauffage dans d’innombrables habitations.

Mais le chauffage adéquat de nos maisons diminue fortement la fréquence et la gravité des infections respiratoires hivernales en particulier chez les plus jeunes et les plus âgés. Jusqu’à combien de morts cette réduction de la production de C02 sera-t-elle jugée bénéfique ?

Ils veulent limiter nos déplacements en particulier en avion

La liberté de se déplacer librement constitue l’une des libertés fondamentales. Après les confinements covid et les pass, cette liberté est maintenant menacée par le totalitarisme vert. Le transport aérien ne représente que 2 à 3 % des émissions de gaz à effet de serre causées par l’homme dans le monde. Mais Jean-Marc Jancovici veut limiter chaque personne à 4 trajets en avion sur toute une vie. « On pourrait instaurer un système où lorsqu’on est jeune, on a deux vols pour découvrir le monde et quand on est vieux, on part en vacances en Corrèze en train. ». Mais comment peut-on être à ce point opposé à nos libertés fondamentales ?

Le « Pacte vert », d’Ursula von der Leyen, du 14 juillet 2021, décidé sans consultation démocratique impose de réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’Union européenne d’au moins 55 % dès 2030 avec un taux minimum de carburants « verts » pour les avions de 70 % en 2050. Mais ces carburants de synthèse, fabriqués à partir d’hydrogène et de CO2, sont actuellement trois à quatre fois plus chers que le kérosène et leur utilisation augmentera d’autant le coût des billets d’avion, les réservant progressivement aux plus aisés. Décidément les eurocrates, tellement encensés par les verts, n’aiment pas les pauvres.

Les verts contre les libertés et la démocratie

Beaucoup d’écologistes, de socialistes et de LFI estiment que les libertés individuelles sont désuètes et sont prêts à les supprimer au moindre prétexte sanitaire ou climatologique agité par les médias.

Ils ont voté massivement pour les pass sanitaires, puis vaccinaux qui ne servaient à rien sauf à tester notre soumission comme le montrent les données de l’OMS illustrant leur inefficacité contre l’extension de l’épidémie.

Ils ont déclaré avec Michèle Rivasi que « l’Europe avait bien fait d’acheter les “vaccins” de manière groupée », alors que de lourds soupçons de corruption pèsent sur cette opération. Ils ont soutenu le rapport préliminaire intitulé « Pandémie Covid-19 : leçons apprises et recommandations pour le futur » publié le 8 février 2023 qui ne précise pas que les injections ont été incapables d’éviter d’attraper la maladie, ni de la transmettre.

ni les formes graves comme l’atteste l’augmentation de la mortalité dans les pays les plus vaccinés après les campagnes massives d’injections.

et qui mentionnent à peine l’existence de leurs complications pourtant plus nombreuses et graves qu’après toute autre vaccination de masse.

Beaucoup d’écologistes font passer le prétendu « sauvetage de la planète » avant les libertés individuelles et rêvent d’imposer de nouvelles mesures liberticides : créer un pass écologique, des couvre-feux thermiques, l’interdiction des voitures autres qu’électriques, l’interdiction de tout vol aérien non justifié, la division par un gros facteur (trois est suggéré) du streaming et des données (jeux, réseaux) en général, la limitation à 1 kg de vêtements neufs mis sur le marché par an et par personne (contre 40 kg actuellement en moyenne), la limitation de la consommation de viande, des quotas sur de nombreux de biens importés (chocolat, café notamment).

Ils sont pour la Carte d’identité numérique européenne qui permettra le fichage biométrique de toute la population et les connexions avec les fichiers bancaires, fiscaux et sanitaires réalisant le rêve de Big Brother.

Ils défendent le projet de Gouvernance mondiale ainsi que l’exprime Michèle Rivasi évoquant favorablement « Une Seule Santé », le pilier idéologique du « Traité “Pandémies » de l’OMS, soutenue par la Banque Mondiale et par des entreprises liées à Blackrock, Vanguard et BioMérieux, visant à instaurer une « meilleure gouvernance mondiale » débarrassée de la volonté des peuples considérés comme de grands enfants irresponsables. La fin de la démocratie.

Rendre insupportable la vie des Français ne diminuera guère le C02

La France compte très peu dans la production de CO2 : 0,6 % du total mondial (400 millions de tonnes/60 milliards). Mais les verts et leurs alliés ne rêvent que de nous ficher, nous surveiller constamment, de limiter nos libertés en particulier celles de nous déplacer, de nous exprimer, de nous chauffer, de payer en liquide pour ne pas dépendre totalement des banques.

Les prévisions les plus optimistes (totalement irréalisables) de l’impact des mesures qu’ils veulent nous imposer en France sont une baisse de 40 % de notre bilan carbone soit de 0,2 % de celui de la planète, permettant d’espérer, d’après leur mode de calcul une diminution de 0,001 degré de l’augmentation de température qu’ils prophétisent.

Brimer sévèrement la vie des Français comme ils veulent le faire ne changera rien à la production de CO2 tant que les principaux pays responsables (Chine, Inde, USA) ne donneront pas l’exemple. Et ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne veulent diminuer leur bilan carbone, car ils préfèrent améliorer le sort de leurs populations que de croire les mensonges du GIEC. Steven Koonin, physicien et ancien conseiller d’Obama, affirme La neutralité carbone horizon 2050 n’arrivera pas » car le monde est « plus inquiet de savoir comment obtenir de l’énergie fossile pour vivre une vie meilleure », que par « l’objectif zéro carbone »…

La suppression de la démocratie et un tsunami de mesures de privation de liberté qu’ils veulent nous imposer pour rien !

Comment peuvent-ils encore se prétendre « de gauche » et se réclamer républicains en oubliant que notre devise commence par LIBERTÉ, si bien chantée par Paul Eluard à une époque où le totalitarisme sévissait.

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Paul Eluard




Documentaire Final Days (Derniers jours)

S’il y a un documentaire à voir et à partager massivement, c’est celui-là. Toutes les preuves de la conspiration sont là. Personne ne pourra dire « je ne savais pas ».

Final days est doublé en français et dure un peu plus d’une heure. Mais en 1 heure de temps tout est expliqué et documenté lourdement. Consacrer 1 heure de nos vies à découvrir l’essentiel de l’opération Covid et sa finalité, ce n’est pas cher payé.

En effet, même si nous connaissons déjà beaucoup de choses sur cette conspiration criminelle, il est très important d’en comprendre les détails car le pire est à venir et c’est effrayant.

Nous allons vivre une période de terreur que l’humanité n’a jamais vécu dans toute son histoire. Et même si la peur n’évite pas le danger, nous devons absolument nous préparer mentalement à affronter ce que ces démons veulent nous imposer.

Comment imaginer que nous pourrons sauver les autres si nous sommes incapables de nous protéger et nous sauver nous-mêmes ?

Ceux qui veulent dépeupler la terre emploieront tous les moyens à commencer par les pires et les plus pervers. Un homme averti en vaut deux mais un homme informé en vaut 1000, surtout en période de grand danger.

Et si nous ne pourrons pas sauver tout le monde, essayons au moins de sauver nos proches et nous-mêmes. Et puis s’il faut mourir, mieux vaut combattre et défendre sa vie plutôt que d’aller au sacrifice comme un mouton soumis et résigné.

Frères et sœurs humains, je suis affligé de devoir écrire ces mots car même si nous devons prier pour le meilleur, nous devons être prêts à affronter le pire.

Nous ne mourrons pas tous, mais il faut pour cela comprendre la valeur sacrée de la vie et ne pas baisser les bras.

Eric Montana (https://t.me/s/ericmontanaofficiel/4917)

[Vidéo sur YouTube : NeoGabriel]

[Vidéo sur Odysee : @Lavéritépartagée]



[Voir aussi les dossier :
Vaccins et virus,
Implants numériques
et 5G et ondes pulsées, dont en particulier les articles suivants :
Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie
Nanotechnologie et « vaccins »
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Le but démontré des injections antiCovid
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
et les liens inclus.]




Drame & silence médiatique : L’Europe a perdu 1 million de bébés !

[Source : Antidote]






La viande produite en laboratoire subit un revers important grâce à de nouvelles découvertes scientifiques choquantes

[Source : dailysceptic.org]

La viande cultivée en laboratoire est jusqu’à 25 fois plus nocive pour l’environnement, car elle nécessite une production de qualité pharmaceutique pour être propre à la consommation humaine. Il faut notamment éliminer l’endotoxine du mélange cultivé, une substance qui, à des concentrations aussi faibles qu’un milliardième de gramme par millilitre, peut diviser par quatre le taux de réussite des grossesses par fécondation in vitro chez l’homme.

Chris Morrison

Pour résumer :

1) La viande synthétique n’a aucun avantage de coût environnemental sur la viande traditionnelle.
2) La viande synthétique comporte un risque sérieux de vous stériliser…

Et si le motif véritable pour développer cette industrie n’était pas environnemental, mais une logique d’eugénisme génocidaire ?

— Fabrice B.

Par Chris Morrison

Au début de l’année, la Grocery Gazette a rapporté que le Royaume-Uni était sur le point de devenir un leader mondial dans le développement de la viande cultivée en laboratoire. Récemment, George Monbiot, l’hystérique du climat du Guardian, a affirmé que les aliments cultivés en laboratoire « détruiront bientôt l’agriculture — et sauveront la planète ». Hélas, ce fanatisme est remis en question par des faits concrets. La viande cultivée en laboratoire est jusqu’à 25 fois plus nocive pour l’environnement, car elle nécessite une production de qualité pharmaceutique pour être propre à la consommation humaine. Il faut notamment éliminer l’endotoxine du mélange cultivé, une substance qui, à des concentrations aussi faibles qu’un milliardième de gramme par millilitre, peut diviser par quatre le taux de réussite des grossesses par fécondation in vitro chez l’homme.

Telles sont les conclusions surprenantes de travaux novateurs récemment publiés par un groupe de chimistes et de spécialistes de l’alimentation de l’Université de Californie. Il s’avère que la production de produits pharmaceutiques destinés à l’alimentation constitue un défi technologique de taille. Le principal problème de la viande de laboratoire est qu’elle utilise des organismes de croissance qui doivent être hautement purifiés pour aider les cellules animales à se multiplier. Si l’on considère les économies réalisées sur les sols, l’eau et les gaz à effet de serre, on constate que l’ensemble du processus biologique est supérieur de plusieurs ordres de grandeur à celui de l’élevage de l’animal.

« Nos résultats suggèrent que la viande cultivée n’est pas intrinsèquement meilleure pour l’environnement que le bœuf conventionnel. Ce n’est pas une panacée », a déclaré Edward Spang, coauteur de l’étude et professeur associé au département des sciences et technologies alimentaires. L’étude a révélé que même dans les scénarios utilisant des normes pharmaceutiques moins strictes, la production efficace de viande bovine est plus performante que la viande cultivée dans une fourchette de quatre à 25 fois. Cela suggère que les investissements visant à promouvoir une production de viande bovine plus « respectueuse du climat » pourraient entraîner des réductions plus importantes des émissions.

La route vers le nouveau zéro est parsemée de technologies improbables qui promettent beaucoup — et donnent des occasions infinies de faire des signes de vertu — mais qui ne donnent pas grand-chose. Alors que de nombreux pays poursuivent leurs plans de destruction de l’élevage conventionnel, les options pour de nouvelles façons de nourrir les populations semblent bien maigres. Pour être juste envers Monbiot, il s’est penché sur les problèmes de la viande de laboratoire, notant dans un récent billet de blog que « plus j’ai lu sur la viande et le poisson cultivés, et plus j’en suis venu à apprécier les phénoménales complexités impliquées… plus je doute que cette vision se concrétise ». Toujours inquiet, Monbiot pose la question suivante : « Quel est le meilleur moyen d’éviter une famine de masse » ? Ne pas supprimer les 337,18 millions de tonnes de la production mondiale de viande au profit de solutions industrielles douteuses pourrait être un début.

L’étude californienne pourrait donner un sérieux coup de frein au mouvement en faveur de la viande cultivée en laboratoire, qui, jusqu’à présent, a bénéficié d’une couverture médiatique largement dépourvue d’esprit critique. Le rapport d’encouragement de Grocery Gazette indique que le secteur devrait « augmenter rapidement sa part de marché dans l’industrie alimentaire ». Des recherches ont été citées, suggérant que la viande cultivée sur cellules devrait représenter près d’un quart de la consommation mondiale de viande d’ici à 2035.

Les auteurs californiens reconnaissent que les entreprises de viande cultivée en laboratoire ont attiré environ 2 milliards de dollars d’investissements à ce jour. Les premiers rapports sur la faisabilité étaient optimistes, certains prédisant un remplacement de 60 à 70 % du bœuf d’ici à 2030-2040. Mais dernièrement, le sentiment est retombé, des estimations plus prudentes faisant état d’une part de 0,5 % des produits carnés d’ici à 2030. Comme nous l’avons vu, l’énorme problème de la production de viande de laboratoire est la présence d’endotoxine, dont on dit qu’elle a toute une série d’effets secondaires, y compris des effets néfastes sur la fécondation in vitro. Dans les laboratoires pharmaceutiques, la culture de cellules animales se fait traditionnellement après élimination de l’endotoxine. Il existe de nombreuses façons d’éliminer la substance indésirable, mais l’utilisation de ces méthodes de raffinement « contribue de manière significative aux coûts économiques et environnementaux associés aux produits pharmaceutiques, car elles sont à la fois gourmandes en énergie et en ressources ».

L’étude met également en lumière les inquiétudes suscitées par l’examen scientifique antérieur de la viande cultivée en laboratoire. Il y aurait « de hauts niveaux d’incertitude dans leurs résultats et l’absence de prise en compte de l’élimination des endotoxines ». Il est également noté qu’en dépit du fait que les chercheurs « ont clairement fait état de niveaux élevés d’incertitude », les résultats ont souvent été cités comme une preuve évidente de la durabilité de la viande cultivée en laboratoire.

Ainsi, une solution alimentaire « Frankenstein vert » tant vantée — sans doute pour un problème qui n’est promu que dans les cercles alarmistes — semble mordre la poussière, balayant au passage un ou deux milliards de capitaux crédules. Comme le notent les auteurs, investir dans la mise à l’échelle de cette technologie « avant de résoudre des problèmes clés tels que le développement d’une méthode écologique d’élimination des endotoxines… irait à l’encontre des objectifs environnementaux que ce secteur a fait siens ».

Chris Morrison est le rédacteur en chef de l’environnement du Daily Sceptic.




« Si c’était permis, je vous plaquerais au sol et je vous ferais une injection tout de suite. »

[Source : off-guardian.org]

Par Edward Curtin

Je pense qu’il est généralement admis que la pratique de la médecine a radicalement changé au cours des cinquante dernières années environ. La médicalisation et la marchandisation de la vie ont « progressé » simultanément, la plupart des médecins étant devenus des serviteurs obéissants de l’État corporatif.

Mais attendez, objectera-t-on, à juste titre.

Le développement des techniques microchirurgicales a considérablement amélioré les méthodes de nombreuses opérations qui étaient auparavant très invasives et représentaient un risque important pour les personnes âgées et les malades chroniques. De nombreuses personnes ont subi des opérations du genou, de la hanche et du cœur — pour n’en citer que quelques-unes — qui auraient été problématiques, voire impossibles, dans le passé. Les remplacements de parties du corps sont désormais courants.

Bientôt, tout le monde sera à moitié mécanique et en voie de robotisation complète, avec un peu de porc et de vache pour faire bonne mesure. La question de savoir si c’est une bonne chose est discutable à bien des égards, mais les « procédures » (un mot qui semble avoir remplacé les mots « opérations » ou « chirurgies » à la sonorité plus horrible) sont clairement devenues plus efficaces et moins invasives. Ces techniques microchirurgicales ont certainement sauvé des vies et amélioré la qualité de vie de nombreuses personnes.

Voilà pour la technologie. J’ai une petite histoire médicale à raconter.

Mon meilleur ami, un homme athlétique d’environ soixante-dix ans en excellente santé et en pleine forme, a consulté un nouveau médecin dans un cabinet médical, son médecin de trente-cinq ans ayant pris sa retraite. Il s’agissait d’une visite médicale annuelle exigée par le règlement du cabinet. Il avait déjà rencontré ce médecin lors d’une brève présentation obligatoire et tout semblait aller pour le mieux.

Cette fois-ci, il a été conduit dans la salle d’examen où il s’est assis et a attendu le médecin. Une infirmière a pris sa tension artérielle et son pouls, puis est partie. Le médecin est bientôt arrivé avec un iPad et s’est assis à côté de lui. Il a affiché le dossier de l’homme à l’écran. Il a ensuite passé en revue une liste de vaccins que mon ami avait ou n’avait pas. Mon ami — appelons-le Joe — a toujours été un homme qui prenait très peu de médicaments et était rarement malade ; tout au plus prenait-il une aspirine ou quelques ibuprofènes après une séance d’entraînement vigoureuse.

« Je vois que vous avez été vacciné contre le tétanos », dit le médecin.

« Oui, après m’être coupé la main. »

« Et à votre âge, c’est bien que vous ayez été vacciné contre la pneumonie. »

« Je l’ai fait », dit Joe, « mais je le regrette un peu ».

« Oh non, à votre âge, vous risquez fort de mourir d’une pneumonie », répond le médecin. Il ajoute : « Et vous n’avez pas été vacciné contre le zona, ce que je vous recommande vivement. Il est désormais pris en charge par Medicare. Vous ne voulez pas attraper le zona ; c’est terrifiant ».

Joe n’a rien dit.

« Et vous devez vous faire vacciner contre la grippe. »

« Je n’en ai jamais eu et n’en aurai jamais », dit Joe.

« À votre âge, vous pouvez mourir de la grippe. C’est très dangereux. Je vous recommande vivement de vous faire vacciner. »

« Non merci. »

« Vous devriez vraiment le faire. »

D’une voix plus forte, le médecin ajoute : « Et je vois que vous n’avez pas reçu de vaccins Covid. Vous risquez vraiment votre vie en ne le faisant pas. Vous devez les faire. »

Joe a alors succinctement expliqué ses connaissances approfondies sur la Covid, les « vaccins », leur manque de tests, la technique de l’ARNm, les décès et les blessures, etc. — toutes les raisons pour lesquelles il s’y opposait.

Le médecin s’est agité. Il a répliqué en expliquant qu’il était allé à Yale et avait étudié le processus de l’ARNm sous la direction des docteurs F. Teufelmeister et A. E. Newman, et qu’il savait que les vaccins étaient très sûrs et efficaces, bla-bla-bla.

Joe lui répond : « Le fait que vous soyez allé à Yale n’a pas d’importance. Je ne suis absolument pas d’accord. »

Le médecin s’emporte et s’exclame : « Si c’était permis, je vous plaquerais au sol et je vous ferais une injection tout de suite. »

« C’est vrai ? » dit Joe, incrédule.

L’examen médical annuel s’est terminé peu après.

Le médecin n’a jamais posé la main sur Joe pour l’examiner. Pas de stéthoscope, pas d’examen des oreilles, de la gorge ou du nez, pas de mains sur aucune partie de son corps — l’examen a porté exclusivement sur les vaccinations, lues sur un écran. Un examen technique à tous points de vue. Le médecin était le porte-parole de Big Pharma. Des menaces de mort dépourvues de tout contact humain, froides et stériles, et le souhait qu’il puisse plaquer Joe au sol et lui faire une injection forcée, la touche de l’esprit fasciste exprimée dans un souhait.

Lorsque Joe m’a raconté cette histoire, moi qui étudie la sociologie de la médecine, je me suis souvenu de l’histoire de l’eugénisme et de l’esprit malade des personnes qui pensent pouvoir éliminer le troupeau en raison de leur pouvoir et de leur prestige. Une histoire sordide qui se poursuit sous des euphémismes tels que la recherche génétique.

Voilà un médecin qui a osé dire ce que d’autres pensent sans doute aussi : « Si seulement je pouvais, je vous plaquerais au sol et je vous ferais une injection tout de suite. » Mais comme il ne le peut pas, l’État doit trouver d’autres moyens de coercition, comme l’obligation médicale.

Tels sont les rêves totalitaires, lorsque la mort est devenue une marchandise utilisée pour vendre les rêves de la raison, et que l’art du guérisseur, autrefois lié au travail avec la nature, est devenu un adjuvant de la propagande d’État.

Lorsque j’ai rencontré Joe au café, je lui ai apporté mon exemplaire de Medical Nemesis : The Expropriation of Health [Némésis médicale : L’expropriation de la santé] d’Ivan Illich, l’un des plus grands livres des temps modernes.

En le feuilletant, Joe est arrivé à une page où j’avais souligné ce qui suit :

La ritualisation de la crise, trait général d’une société morbide, apporte trois choses au fonctionnaire médical. Elle lui confère une licence que seuls les militaires peuvent habituellement revendiquer. Sous le stress de la crise, le professionnel qui est censé commander peut facilement présumer de son immunité par rapport aux règles ordinaires de la décence et de la justice. Celui qui se voit confier le contrôle de la mort cesse d’être un être humain ordinaire. Comme pour le directeur d’un service de triage, sa mise à mort est couverte par la politique. Plus important encore, toute sa performance se déroule dans une atmosphère de crise.

En rentrant chez moi, je me suis arrêté pour relever le courrier de ma sœur. Le bulletin de l’AARP se trouvait dans la boîte avec ses lettres. Il s’agit de l’une des deux publications de l’organisation AARP, un puissant groupe de pression et une compagnie d’assurance médicale comptant 38 millions de membres parmi les personnes âgées de 50 ans et plus. Le bulletin de l’AARP et le magazine de l’AARP sont les publications les plus diffusées aux États-Unis, avec une distribution combinée d’environ 67 millions de personnes.

L’article de couverture du bulletin de l’AARP est le suivant :

Comment rester en sécurité cet été

Météo extrême — Inquiétudes Covid — Maladies transmises par les tiques — Mauvais conducteurs — Intoxications alimentaires — Arnaques aux réparations à domicile — Factures d’électricité exorbitantes

Y a-t-il quelque chose à ne pas craindre dans cette culture morbide où les crises sont encouragées plus rapidement que les « remèdes » thérapeutiques et hygiéniques proposés pour y faire face ? Créez les maladies et tous les croque-mitaines, puis proposez des pseudo-solutions tout droit sorties du manuel du sorcier.

Créez la peur et ils viendront frapper à la porte des sorciers.

Si c’était permis, je vous soulèverais avec une simple vérité.


Edward Curtin est un écrivain indépendant dont les travaux sont largement diffusés depuis de nombreuses années. Son site web est edwardcurtin.com et son nouveau livre s’intitule Seeking Truth in a Country of Lies [À la recherche de la vérité dans un pays de mensonges].




Nous tuer en douceur

[Source : off-guardian.org]

Par Todd Hayen

Depuis un certain temps, nous sommes exposés à une myriade de tueurs silencieux. Il s’agit des assassins subtils du corps physique et de l’esprit.

J’avais l’habitude de penser que la plupart de ces tueurs n’étaient pas intentionnels et qu’ils étaient simplement le résultat de l’ignorance ou d’une compréhension inexistante du monde non matériel de l’esprit. Je pensais également que la science était plutôt inapte à détecter les changements subtils d’émotions, comme la dépression ou le fait de « ne pas se sentir bien ». Toutes ces « mesures » étaient tout simplement trop nuancées pour être prises en compte dans leurs calculs.

Aujourd’hui, je pense qu’une grande partie de ce dont je parle est intentionnelle. Nous sommes intentionnellement éliminés ou, à tout le moins, intentionnellement rendus malades. L’humanité est délibérément assassinée.

C’est une hypothèse plutôt radicale, n’est-ce pas ? Mettons-la de côté pour l’instant si cela vous dérange. Je peux avancer de bons arguments même si vous n’êtes pas prêt à accepter cette notion extrême. Et, comme l’éminent psychiatre suisse Carl Jung le disait souvent à ses patients, « Je peux me tromper ».

Il y a beaucoup de choses évidentes dans le monde qui nous tuent en douceur… et pas toutes en douceur. La pollution en est une importante : l’air que nous respirons et l’eau que nous buvons sont toxiques, et probablement plus toxiques que ce que l’on veut bien nous faire croire (c’est la partie « en douceur »). Ensuite, sur la liste des produits toxiques, il y a la plupart des aliments que nous mangeons, le plus évident étant la restauration rapide, le moins évident étant les aliments transformés, et le coupable le plus discret étant les OGM. Il existe également d’autres « tueurs évidents », mais je n’ai pas la place de les inclure tous.

Parmi les éléments moins évidents, qui peuvent poser problème à certains d’entre vous, il y a des choses comme la 5G et, en fait, toute pollution par les CEM [champs électromagnétiques], y compris les ondes radio. La plupart des médicaments sont toxiques, les médecins eux-mêmes peuvent être très toxiques et coupables de nous tuer en douceur, même si je parierais que la plupart d’entre eux le font involontairement (combien de fois avez-vous lu des statistiques selon lesquelles les « décès dus aux médecins, aux hôpitaux et aux produits pharmaceutiques » se classent parmi les cinq premières causes de mortalité dans le monde ?) Il y a tellement de choses sur cette liste qu’il faudrait des volumes pour les présenter toutes.

En fait, je ne serais pas surpris que chaque chose que nous rencontrons chaque jour soit chimiquement toxique d’une manière ou d’une autre (ce qui signifie qu’elle est responsable de la destruction des tissus de notre corps physique). C’est amusant.

Je pense que beaucoup de gens ne sont pas vraiment conscients de la plupart de ces choses, ou pensent que les dommages qu’ils peuvent infliger sont si minimes qu’ils ne représentent pas grand-chose. Comme on dit, les choses s’accumulent.

Encore une fois, il s’agit de choses dont la plupart des gens ont au moins entendu dire qu’elles pouvaient être mauvaises. La plupart d’entre eux, encore une fois, pensent probablement que les pouvoirs en place n’autoriseraient pas la diffusion de choses qui pourraient vraiment nous nuire. Je veux dire, vraiment, il y a tellement d’agences gouvernementales qui réglementent ces choses et font tout ce qu’elles peuvent pour nous empêcher de nuire. Hum ! Hum ! Vraiment ? Comme je l’ai déjà dit, si vous croyez cela, j’ai une propriété en bord de mer au Nevada que je vous vendrai à bas prix. Ou est-ce le Kansas ?

Nous avons tous vu des films comme Erin Brockovich (2000) et Dark Waters (2019) qui montrent l’héroïsme d’individus luttant contre les grands méchants pollueurs et gagnant des millions de dollars pour leurs victimes. C’est très bien, il faut leur rendre hommage. Mais les méchants de ces films sont pour la plupart quelques niveaux en dessous des vrais coupables. Bien sûr, il y a des entreprises maléfiques et des PDG qui les dirigent. Ils font en effet partie du programme. Mais là encore, je ne m’étendrai pas sur le sujet.

Certains des plus grands tueurs en douceur sont les tueurs de la santé mentale, ainsi que les médicaments qui les accompagnent. Je mettrais également dans ce groupe les CEM tueurs mentionnés plus haut, et peut-être même certains polluants qui s’attaquent à notre esprit plutôt qu’à notre corps — personne n’y prête beaucoup d’attention — ainsi qu’aux effets subtils sur la personnalité, la cognition, etc. Par exemple, la plupart des discussions sur les effets néfastes des vaccins Covid portent sur la façon dont ils nous blessent physiquement. On entend peu parler des effets qu’ils peuvent avoir sur le cerveau (autres que physiques), la personnalité ou l’esprit. Oh ! mon Dieu, non ! Rien de tout cela — ce n’est pas important.

Les êtres humains sont des biosystèmes assez subtils, et il ne s’agit là que de notre partie physique. La partie mentale/émotionnelle est également très subtile, et la partie spirituelle est si subtile qu’elle est totalement ignorée. Même les deux premières, physique et mentale, sont largement ignorées. La seule partie à laquelle on accorde un peu d’attention est la partie émergée de l’iceberg. La majorité de ces systèmes se trouvent sous le niveau de la conscience brute, mais ces niveaux cachés ont plus d’influence sur le bien-être de la personne que la partie relativement petite de l’iceberg qui fait l’objet de toute l’attention.

Permettez-moi d’être un peu plus clair.

La médecine moderne est essentiellement une science des statistiques. La majorité règne ici, le milieu de la courbe en cloche [la courbe de Gauss1] est ce qui est pris en considération. Presque toutes les affirmations médicales sont exprimées en pourcentage. Quel pourcentage survivra à un cancer, à une maladie ou à une modalité de traitement ? Quel pourcentage sera encore en vie dans 5 ans, quel pourcentage souffrira d’effets secondaires, et ainsi de suite ? On accorde très peu d’attention aux valeurs aberrantes. En fait, certains effets secondaires se situent tellement en deçà d’une statistique pertinente qu’ils sont complètement ignorés ; pourtant, ces effets secondaires ignorés pourraient avoir un impact énorme sur la qualité de vie.

Voici un exemple : j’ai des dizaines de clients qui viennent me voir pour se plaindre d’une dépression. La plupart d’entre eux ne sont pas suicidaires ; ils ont simplement ce qu’ils définissent comme une vie de merde. Leur vie n’est tout simplement pas celle qu’ils avaient imaginée. Peut-être ne savent-ils même pas qu’ils sont déprimés, mais après une évaluation plus approfondie, il semble évident qu’ils ne sont tout simplement pas capables d’être pleinement heureux, motivés, curieux de la vie, ou même intéressés par la vie.

Ces patients ne présentent aucun des traumatismes typiques qui peuvent provoquer de telles plaintes. De quoi s’agit-il alors ? L’environnement (je ne parle pas du changement climatique) ? Oui. La culture ? Oui. La décadence et l’immoralité de la société ? Oui. La nourriture qu’ils mangent ? Oui. Les médicaments en vente libre qu’ils prennent ? Oui. Les médicaments sur ordonnance qu’ils prennent ? Oui, sans aucun doute.

Toutes ces choses les tuent — certaines de manière évidente, mais les vrais dangers sont les choses qui les tuent en douceur [ou « à petit feu »] — les choses dont on nous dit qu’elles ne sont pas importantes.

La médecine moderne considère qu’aucune de ces choses n’a une influence suffisamment importante sur le corps, l’esprit ou l’âme (ce à quoi aucun médecin ne prête évidemment attention) pour être dangereuse. Si, en tant qu’êtres humains, nous nous situons au-dessus d’un certain seuil de plaintes et d’affections, nous sommes considérés comme « normaux » et les plaintes et affections qui se situent en deçà de ce seuil ne sont pas statistiquement pertinentes. Mais elles s’additionnent.

Nous mourons alors plus jeunes que nous le devrions. Nous nous affaiblissons plus tôt que nous ne le devrions. Et même si notre corps peut continuer à fonctionner physiquement grâce aux miracles de la médecine moderne, nous sommes morts à l’intérieur, avec une âme empoisonnée, ainsi qu’avec un corps et un cerveau qui fonctionnent à peine, mais suffisamment pour que la plupart des gens pensent que c’est suffisant.

Vivre une vie qui a un sens et un but est en fait plus important que de vivre une vie avec un corps en pleine santé — et nous n’avons ni l’un ni l’autre dans le monde actuel. Nos âmes sont lentement tuées par une culture dépourvue de sens et axée sur le matériel, où le consumérisme est le nom du jeu de la vie. Je n’ai pas besoin d’énumérer les problèmes présents dans cette culture qui tue l’âme, mais à la tête de cette mort lente se trouve le mouvement vers le transhumanisme et la création délibérée d’un monde sans fondement moral.

Le corps physique est également tué en douceur par tous les agents toxiques susmentionnés auxquels nous sommes exposés jour après jour. La plupart d’entre eux sont lents et doux, et opèrent sans entrave sous le radar de la plupart des gens — et certainement sous le radar de ceux qui devraient surveiller de telles choses.

Est-ce intentionnel ? Sommes-nous soumis à ce lent génocide dans le cadre de l’effort eugénique mondial visant à débarrasser le monde des mangeurs inutiles ? Ou, plus horrible encore, à débarrasser le monde de tous les humains qui sont créés à l’image de Dieu, ainsi que de la nature elle-même ? Un programme qui apparaît clairement dans le tome de C.S. Lewis, That Hideous Strength [Cette force hideuse], ainsi que dans les œuvres de nombreux autres auteurs tels que George Orwell et Aldous Huxley.

Il est probable que tout ce que j’ai mentionné ici n’a pas été réalisé dans le cadre de cette funeste intention. Mais je suis prêt à parier que c’est en grande partie le cas (voir les travaux de David Icke). Il se peut que ce soit devenu la nature de la bête de créer une culture qui, dans son orgueil athée, ignore les subtilités de la vie et de l’existence.

La plupart des exemples toxiques que j’ai présentés ici sont le fruit d’une omission — par exemple, en omettant toute forme de diligence pour éviter leurs effets toxiques, ou en supprimant complètement les choses qui tombent dans les résolutions matérielles inférieures de notre expérience, les rendant statistiquement non pertinentes — si vous ne pouvez pas le voir clairement, alors ignorez-le simplement. De toute évidence, tout ce qui est « invisible », comme l’amour, la beauté, l’art, Dieu, l’unité et l’essence de la vie, est complètement et presque sauvagement ignoré. Tel est notre monde — une humanité qui se meurt tranquillement et doucement.


(1)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fonction_gaussienne




Comment les militants trans ont infiltré la Haute Autorité de Santé

[Source : fdesouche.com]

Le Figaro




Contrairement aux assertions du Vidal, les enfants ne contaminent pas et ne transmettent toujours pas le covid-19 !

Par Nicole et Gérard Delépine

Dis-moi qui te paye et je te dirai qui tu es (lettre ouverte Acrimed de 1999)1

Enfants innocents du covid2 : vérité démontrée depuis 2020 ! Probablement pour pousser les parents à faire injecter les pseudo vaccins covid, injections expérimentales aux enfants fort lucratives, Stéphane Korsia-Meffre les accuse à tort dans le Vidal 2023, guide familial vendu à des centaines de milliers d’exemplaires et jouissant depuis plus de cent ans d’une réputation de probité et fiabilité.

Dans un temps pas si ancien, le gros livre rouge qui trônait sur tous les bureaux de consultation, « le Vidal » constituait la base de référence rapide servant à vérifier une indication d’un médicament, une posologie, des effets secondaires en cas d’association avec d’autres substances prescrites3. Bref un gros aide-mémoire pratique et fiable. Que s’est-il passé ? La concurrence avec Internet l’a-t-il poussé à se renouveler et à devenir un livre comme un autre publiant à propos de drogues disponibles des analyses plus ou moins sérieuses et commerciales ? Et comme les grandes revues médicales si réputées devenues otages et esclaves de l’industrie pharmaceutique4, le Vidal de nos jeunes années a-t-il plongé dans la vase actuelle ? Quelle tristesse !

Dans un article de juin 2023 du Vidal, Stéphane Korsia-Meffre se fait le chantre d’un article maori, très politisé et très peu factuel, accusant à tort les enfants d’être « les principaux responsables de l’épidémie covid ». Ce mantra répété pendant plus de deux ans pour convaincre les parents de faire injecter leurs enfants revient-il à la mode, bien que l’épidémie ait disparu de l’aveu même de l’OMS ?

Mais pourquoi cet auteur nie-t-il toutes les données de la littérature internationale unanime, sur le caractère exceptionnel, rarissime et non démontré de fait des contaminations par les enfants ? Ce plaidoyer serait-il la conséquence de son activité de conseil auprès de l’industrie pharmaceutique et des vendeurs des pseudo vaccins covid ? Et n’entend-il pas les cris des familles endeuillées qui arpentent de nombreuses villes, portrait à la main de leurs proches pour tenter de sortir du déni les milliers d’effets secondaires graves survenus dans tous les pays du monde, et qui à eux seuls, quel que soit leur nombre exact, devraient faire interdire cette substance inutile et trop souvent toxique aux effets à moyen et long terme encore inconnus ?

Dans cette mise au point factuelle et sourcée, nous analyserons les données qu’il met en exergue avant de rappeler celles de la littérature qui unanimement innocentent les enfants.

Les articles cités dans le Vidal ne démontrent en rien la responsabilité des enfants

L’article maori, dont le but paraît être de critiquer la politique sanitaire néo-zélandaise accusée de laxiste, montre seulement que les enfants de ce pays et les personnels des écoles ont été très largement contaminés par Omicron.

Il ne s’agit pas d’une étude épidémiologique réelle des malades de covid-19, mais d’un dépistage massif basé sur des tests PCR dont l’absence de fiabilité et de spécificité est unanimement reconnue chez les personnes asymptomatiques5.

De plus, le taux élevé de contaminations dans la population lors de la période étudiée rend très incertaine la détermination des cas index.

Il prétend sans modération que « conformément aux études internationales, l’éducation est une profession à haut risque dans la pandémie ». Pourtant la quasi-totalité des publications internationales affirment le contraire, que ce soit en France où l’Institut Pasteur explique que « les professeurs des écoles et instituteurs comme profession les moins à risque »6, en Écosse7, en Angleterre8, en Suède9, dans le Vermont10, aux USA11, en Allemagne1213

De plus les descriptions de foyers de cas dans les écoles qu’il avance comme argument de contamination par les enfants précisent presque toutes que la source de la contamination présumée est un adulte.

Toute la littérature sérieuse innocente les enfants du covid

Au risque de rabâcher, nous rappellerons à monsieur Stéphane Korsia-Meffre que toutes les études épidémiologiques sérieuses ont montré que les enfants ne constituaient pas un maillon significatif des transmissions du Covid.

Plus de 20 études épidémiologiques dans plus de dix pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

— L’étude de Santé Publique France 14 est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

— L’étude de l’institut Pasteur 15 sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

— L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

L’analyse de ces trois études françaises et leurs homologues étrangères ont amené Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, et Régis Hankard a déclaré lors d’une interview16 : « La Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique ».

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine 17: transmission du COVID-19 et enfants : « l’enfant n’est pas à blâmer. »

— Aux Pays-Bas18, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

— En Irlande19 , aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté après analyse de 125 à 475 contacts de 3 cas détectés chez des élèves de 10 à 15 ans avant la fermeture des écoles le 12 mars 2020.

— En Australie, l’étude du National Centre for Immunisation Research and Surveillance (NCIRS), du 26 avril 2020, a analysé la transmission du virus dans les écoles et les garderies de Nouvelle-Galles du Sud entre mars et mi-avril. Celle-ci indique que les enfants ne risquent pas de se transmettre le Covid-19 entre eux ou de contaminer les adultes. 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

La réouverture des écoles s’est d’ailleurs révélée sans risque pour les enfants

En Grande-Bretagne 20 à la reprise des activités scolaires moins de 0,01 % des écoles maternelles et primaires d’Angleterre ont rapporté des cas de coronavirus et aucun enfant n’a eu besoin de traitement hospitalier. Le rapport de Public Health England comptabilise 198 cas confirmés de coronavirus — 70 chez les enfants et 128 chez le personnel. Le médecin-chef anglais Chris Whitty a conclu que les risques pour la santé étaient « incroyablement petits »21.

En Suède22, de nombreuses écoles sont restées ouvertes pendant la pandémie, permettant d’évaluer l’impact la poursuite des activités scolaires sur l’incidence de la maladie en pédiatrie. L’incidence cumulée des hospitalisations avec diagnostic de COVID-19 chez les enfants scolarisés était de 9 pour 100 000 enfants, versus 230/100 000 hospitalisés et à 99/100 000 décès dus au COVID-19 parmi la population adulte de Stockholm (n ≈ 1,84 million) au cours de la même période. « Cela montre que la poursuite des activités scolaires n’a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes. ».

Au Danemark23 la réouverture des écoles n’a été suivie d’aucune contamination d’enfant à enfant. Llan Randrup Thomsen, virologue à l’Université de Copenhague a déclaré : « la plupart des analyses de cas avérés indiquent que même si les enfants sont infectés, ils ne sont pas gravement malades et ils ne transmettent pas non plus la maladie ».

En Allemagne, selon Sandra Scheeres, principale responsable de l’éducation de la ville, les statistiques montrent que les écoles de Berlin ne sont pas les sources du virus. « Les infections arrivent généralement dans l’école depuis l’extérieur »24.

L’Espagne, classée 10e sur 30 sur la liste des pays de l’OCDE qui ont manqué le moins de jours de classe en 2020, n’a pas non plus observé de reprise de l’épidémie lors de la reprise des cours25.

De même en Italie, à Florence26, à Singapour27

Alors pourquoi Stéphane Korsia-Meffre affirme-t-il de telles contre-vérités ? Les vétérinaires ignorent-ils les bases de données de médecine humaine comme Pubmed ? Surtout quel est le but de cette information fausse qui ne peut qu’inquiéter les familles alors que le virus covid-19 a quasiment disparu (moins de 5000 cas quotidiens et moins de 50 morts par jour attribués au covid pour 447 millions de personnes en UE).

Pourquoi le Vidal accepte-t-il de publier de telles désinformations, alors qu’il se présente comme un outil d’information fiable : « Le Vidal de la famille vous apporte l’information la plus fiable : celle des professionnels de santé mise à la portée de tous. Le Vidal de la famille répond, au quotidien, à vos questions. »

Le Vidal ne serait donc pas le site fiable qu’il prétend être : « Neutre et fiable, la base de données VIDAL est agréée par la Haute Autorité de Santé (HAS). Les Recos VIDAL et l’actualité sur les produits de santé sont publiées avec la même rigueur.11 mai 2023. »

Rappelons encore une fois que les enfants sont innocents du covid. Le massacre des innocents n’a pas sauvé nos aînés. Il faut refuser l’injection expérimentale contre cette pathologie qui ne tue pas les moins de cinquante ans et ne donne au pire chez les petits qu’un petit épisode grippal.

En résumé, les enfants ne contaminent pas, ne risquent rien du covid. Il ne faut pas les injecter.


1 https://www.humanite.fr/dis-moi-qui-te-paie-je-te-dirai-qui-tu-es-208620

2 « Les enfants sacrifiés du covid » N et G Delépine éditions FauveS janvier 22

3 Sa définition par lui-même aujourd’hui : « VIDAL.fr est le site de référence des produits de santé (médicaments, parapharmacie, DM), et de l’information médicale à destination des professionnels de santé mais aussi de l’information santé pour les patients et leurs proches ». Ceci nécessiterait évidemment une rigueur majeure afin de ne pas tromper volontairement ou involontairement les lecteurs

4 Rappelons le Lancet gate de mai 2020 avec un article faussaire contre l’hydroxychloroquine démontré monté de toutes pièces par une actrice porno, mais utilisé par le ministre Veran pour calomnier ce produit qui a sauvé des milliers de vies dans le monde

5 La FDA elle-même l’a avoué en juillet 22 demandant que les labos américains renoncent à cette technique mise en place par Drosten en janvier 2020 et basée initialement sur des segments de virus de grippe…

6 https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/comcor-etude-facteurs-sociodemographiques-comportements-pratiques-associes-infection-sars-cov-2

7 Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021: population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1; 374: n2060. doi : 10.1136/bmj.n2060. PMID: 34,470,747; PMCID: PMC8408959.

8 . Office for National Statistics. Coronavirus (COVID-19) related deaths by occupation, England and Wales: deaths registered between 9 March and 25 May 2020. London : United Kingdom government; 2020. Available from: https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/healthandsocialcare/causesofdeath/bulletins/coronaviruscovid19relateddeathsbyoccupationenglandandwales/deathsregisteredbetween9marchand25may2020

9 Sunnee B, Maria B, Siddartha A, Sven D, Gunnar A, Eleonora M. Deaths in the frontline: Occupation-specific COVID-19 mortality risks in Sweden. Stockholm Research Reports in Demography. Stockholm: Stockholm University; 2020. Preprint. 10.17045/sthlmuni.12816065.v2 [CrossRef]

10 Bullis SSM, Grebber B, Cook S, Graham NR, Carmolli M, Dickson D, Diehl SA, Kirkpatrick BD, Lee B. SARS CoV-2 seroprevalence in a US school district during COVID-19. BMJ Paediatr Open. 2021 Oct 27; 5(1): e001259. doi : 10.1136/bmjpo-2021-001259. PMID : 34 725 646 ; PMCID : PMC8551743.

11 Mulligan CB. The incidence and magnitude of the health costs of in-person schooling during the COVID-19 pandemic. Public Choice. 2021; 188 (3–4):303–332. doi: 10.1007/s11127-021-00917-7. Epub 2021 Jul 24. PMID : 34 334 835 ; PMCID : PMC8302978.

12 Kirsten C, Kahre E, Blankenburg J, Schumm L, Haag L, Galow L, Unrath M, Czyborra P, Schneider J, Lück C, Dalpke AH, Berner R, Armann J. Seroprevalence of SARS-CoV-2 in German secondary schools from October 2020 to July 2021: a longitudinal study. Infection. 2022 Dec; 50(6):1483–1490. doi: 10.1007/s15010-022-01824-9. Epub 2022 Apr 23. PMID : 35 460 495 ; PMCID : PMC9034260.

13 Schoeps A, Hoffmann D, Tamm C, Vollmer B, Haag S, Kaffenberger T, Ferguson-Beiser K, Kohlhase-Griebel B, Basenach S, Missal A, Höfling K, Michels H, Schall A, Kappes H, Vogt M, Jahn K, Bärnighausen T, Zanger P. Surveillance of SARS-CoV-2 transmission in educational institutions, August to December 2020, Germany. Epidemiol Infect. 2021 Sep 22; 149: e213. doi : 10.1017/S0950268821002077. PMID: 34549699; PMCID: PMC8503068.

14 Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America

15A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

16 Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287

17 Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

18 National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19

[18] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2,000,903.

19 Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020 Google Scholar

20 https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

21 FR24 Seulement 0,01 % des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020 https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers

22 Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00 :1—3. https://doi.org/10.1111/apa.15432.

23 FR24 Pas de masques, pas de distanciation : les écoles au Danemark défient COVID-19 — avec succès jusqu’à présent 13 septembre 2020 https://www.fr24news.com/fr/a/2020/09/pas-de-masques-pas-de-distanciation-les-ecoles-au-danemark-defient-covid-19-avec-succes-jusqua-present.html

24 Vivienne Des cas de COVID-19 rapportés dans 41 écoles de Berlin French.china.org.cn 22-08-2020

25 https://english.elpais.com/society/2021-04-15/why-have-schools-been-able-to-stay-open-in-spain-but-not-in-neighboring-countries.html

26 Bullis SSM, Grebber B, Cook S, Graham NR, Carmolli M, Dickson D, Diehl SA, Kirkpatrick BD, Lee B. SARS CoV-2 seroprevalence in a US school district during COVID-19. BMJ Paediatr Open. 2021 Oct 27; 5(1): e001259. doi : 10.1136/bmjpo-2021-001259. PMID : 34 725 646 ; PMCID : PMC8551743.

27 https://www.straitstimes.com/singapore/health/schools-to-remain-open-no-school-based-covid-19-transmissions-from-recent-cases




Maintenant, L’OMS veut un pass sanitaire mondial !

[Source : DME En Direct]

« Plus ça va [plus les choses avancent], et plus on a l’impression que les complotistes, c’est juste des gens qui ont vu les choses arriver six mois avant les autres. »

[NDLR Dans bien des cas, c’est même plusieurs années, voire décennies avant les autres, contre vents et marées.
Devinez pourquoi.]




Virginie de Araujo-Recchia : une avocate qui se bat pour la protection des enfants

[Source : Nexus]

Interview par Marc Daoud

Avocate au Barreau de Paris, Virginie de Araujo-Recchia avait déposé de nombreuses plaintes pour « dérives sectaires » suite à l’application des mesures Covid. Aujourd’hui, elle s’implique également contre l’idéologie des droits sexuels des enfants en France. Nexus a pu l’interviewer au CSI de Saintes des 18 et 19 mai 2023.

◆ Du Covid aux droits sexuels

En partenariat avec d’autres avocats à l’international, Me Virginie de Araujo-Recchia a étudié l’impact des mesures Covid sur la santé publique et vérifié leur légalité. Par ce biais, elle a rencontré le Dr Ariane Bilheran qui, en plus du « totalitarisme », étudiait « les droits sexuels ». Elles ont pu collaborer dans un premier temps dans le cadre de la crise sur ces mesures liberticides, puis elles en sont venues à échanger sur l’influence de l’OMS et l’idéologie des droits sexuels en France.

👉 Voir l’entretien avec Virginie de Araujo-Recchia :

◆ des dérives en milieu scolaire

Maître de Araujo-Recchia explique :

« Bien que je ne sois pas spécialiste de but en blanc du sujet, j’ai décidé de m’y intéresser, notamment parce que des associations m’avaient fait part de cas graves de dérives au sein d’écoles. »

Il y a eu des interventions de thérapeutes dans différents établissements scolaires qui ont parlé aux élèves de sexualité en évoquant « des actes de copulation » de façon explicite et choquante devant des enfants parfois prépubères qui, selon des experts de l’enfance, n’ont pas la maturation psychologique pour entendre ce genre d’informations. Certains enfants ont dit vouloir se boucher les oreilles, avoir crié parce qu’ils ne voulaient « pas entendre ».

« On les a forcés et ça, ça n’est pas possible. Et tout cela vient de la propagation durapport Kinseyfinancé par la fondation Rockefeller. »

◆ qu’en dit le droit ?

Pour Virginie de Araujo-Recchia, il s’agit là de « maltraitance », « d’atteinte à leur dignité » et d’« outrage ».

« En matière pénale, on a quand même une atteinte à la moralité du mineur qui est vraiment claire et nette. »

« On ne peut pas porter atteinte aux enfants, les maltraiter, sous couvert de santé. »

« La Convention européenne des droits de l’homme — notamment sonprotocole numéro 1 additionnel— dit que l’État, dans son devoir d’éducation, ne doit pas contrevenir aux convictions religieuses et philosophiques des parents. »

« Les parents, la famille, c’est la première cellule de la société. […] Les parents sont protégés tant par le Code civil que par laConvention internationale des droits de l’enfant»

À propos du tableau « pédopornographique » visible au Palais de Tokyo à Paris depuis le 17 février 2023, exposé selon la ministre de la Culture pour dénoncer les crimes de guerre, Me de Araujo explique :

« […] C’est contraire à la loi, notamment à la liberté de la presse,articles 23 et 24, qui nous disent qu’on ne peut pas diffuser des images, des propos pédopornographiques ou qui font l’apologie d’agression sexuelle. »

« L’idée, c’est de rappeler quelles sont les règles parce qu’on a tendance à les oublier depuis plusieurs années maintenant, afin que les familles soient informées. »

◆ D’autres domaines tout aussi effarants pendant la crise Covid

En pleine crise Covid, « on a fait ça quand même en France, injecter des doses d’adultes à des enfants ». Des dizaines de milliers d’enfants ont été concernés, tout comme par le port du masque. Me de Araujo-Recchia rappelle aussi le droit aux jetons qu’avaient certains élèves pour pouvoir aller respirer un peu sans masque, sachant que le Covid « n’était pas une maladie pédiatrique ».




Aaron Russo (RIP) — Ce que Rockefeller lui a révélé — Interview complète

[Source : fuzed pyic]

[Cette vidéo en version française sous-titrée a été mise en ligne en 2018.]

Quelques mois avant de mourir le réalisateur américain parle à cœur ouvert de la nature de l’élite au pouvoir et des pratiques servant son programme.

[Voir aussi une version plus longue en anglais :
https://archive.org/details/reflections-warnings-an-interview-with-aaron-russo-full]




Pourquoi sont-ils en mode panique ?

[NDLR En toute rigueur, la Suède n’est pas le meilleur exemple de pays européen réfractaire aux mesures sanitaires, car elle a quand même instauré le pass vaccinal, encouragé le port du masque et procédé à une campagne vaccinale(([1] ►https://www.20minutes.fr/sante/3174819-20211117-coronavirus-suede-pass-vaccinal-instaure-premiere-fois-1er-decembre
https://www.lemonde.fr/international/article/2021/02/13/la-campagne-vaccinale-suedoise-suscite-l-exasperation-de-la-population_6069813_3210.html)). Le pays exemplaire contre les mesures sanitaires, mais dont curieusement presque personne ne parle, est la Biélorussie(([2] ►Pendant que les dirigeants de la plupart des pays occidentaux tyrannisent leur peuple, un prétendu dictateur expose l’arnaque des mesures sanitaires
Le président Biélorusse présenté comme un dictateur est un des rares dirigeants du monde à s’opposer aux mesures sanitaires, mais doit se battre contre ses ministres vendus
Les acteurs mondiaux peuvent utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre — Président de Biélorussie)).]




« Le vaccin était prêt avant le début de la pandémie » : la BOMBE !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

[Note de Joseph :
Comme le dossier Vaccins et virus permet de s’en rendre compte, il existe maintenant une bonne démonstration des éléments suivants :

— La virologie ne relève plus de science depuis environ 70 ans, date à laquelle elle aurait dû être abandonnée devant son échec à apporter la preuve réellement scientifique de l’existence de virus pathogènes. Elle s’adonne depuis lors à des rituels, tels que la prétendue « culture virale » (dont l’effet cytopathique ne démontre nullement la présence de virus, mais seulement la mort des cellules de culture sous l’effet des substances toxiques présentes et de l’absence de nutrition naturelle de ces cellules, comme une expérience de contrôle en absence de matériel biologique supposément « infecté » jamais réalisée par les virologues permet de s’en rendre compte) et le séquençage génétique qui n’est qu’une opération logicielle et qui relève d’escroquerie intellectuelle. (Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène, À quel point les virus sont-ils morts ?, La virologie : pseudoscience au service de la domination, « Virus », des décennies d’escroqueries ?, Démontage de la théorie virale, Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?, Déclaration sur l’isolement des virus, Comment créer votre propre « nouveau virus » généré par ordinateur, Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs, etc.)

— Les prétendus virus, quel que soit leur nom (Ebola, HIV, SRAS-CoV-2, Rougeole, etc.) n’ont jamais pu être correctement et véritablement isolés, purifiés et chimiquement caractérisés. Lorsque des virologues prétendent le faire, ils ne pratiquent pourtant aucune expérience de contrôle, alors que de telles expériences sont indispensables à chaque étape d’une expérimentation ou d’un processus démonstratif scientifiques, notamment pour espérer apporter la preuve de liens de causalité. (L’enterrement de la théorie virale)

— Ce qui est pris par les virologues pour des virus pathogènes est des composants par ailleurs démontrés et connus de cellules ou de tissus biologiques, dont les « exosomes » produits lorsque l’organisme est agressé d’une manière ou d’une autre (par exemple par des toxines chimiques ou par des ondes électromagnétiques, sachant dans ce dernier cas que le corps des animaux et des êtres humains est parcouru de multiples courants électriques et qu’il suffit de peu pour perturber ces derniers).

— Les seules photographies existantes de soi-disant « virus » pathogènes sont des photographies en deux dimensions prises par microscopie électronique suite à un ensemble d’opérations chimiques et physiques qui dénaturent le matériel biologique initial. Les représentations en trois dimensions virtuelles et diversement colorées ne sont que des créations artistiques produites par des logiciels graphiques.

— Sachant qu’aucun virus pathogène n’a pu jusqu’à présent être isolé, malgré notamment le fait que l’équipe du professeur Lanka offre un million d’euros au premier virologue qui sera capable de le réaliser, il est bien évident qu’aucun lien de causalité n’a pu être pour l’instant établi entre un virus et la maladie virale qu’on lui attribue. Autrement dit, il n’a jamais été scientifiquement et réellement démontré que le SIDA était causé par le HIV, que la grippe était causée par l’influenza, que la rougeole était causée par un virus de rougeole, que la Covid était causée par un coronavirus. Dans chaque cas, la cause des symptômes regroupés sous le nom d’une maladie particulière est à rechercher ailleurs. En particulier, il existe de fortes présomptions que la polio est en réalité causée par des pesticides (Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio), que la maladie d’Ebola est causée par des toxines minières (Ebola : briser les mensonges et la supercherie, L’invention du « virus Ebola ») et que la grippe et la covid (de symptômes similaires) trouvent leur cause principale dans l’effet des ondes électromagnétiques (notamment pulsées, comme la 4G et la 5G) et des champs électriques (Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS, Rappel — La Chine, la 5 G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur). Quant au SIDA, ce terme regroupe une telle diversité de symptômes, et pas nécessairement les mêmes d’un continent ou d’un pays à l’autre, que ses causes peuvent être également diverses, dont les drogues (poppers) utilisées par les homosexuels masculins pour leur rapports sodomiques (Commentaires sur le VIH de Montagnier, Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale — même pas en Afrique, Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki).

— Les vaxins anticovid contiennent du graphène (Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit, Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité).

— Le graphène a des effets toxiques divers sur le corps (Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations, Comprendre le graphène).

— La nanotechnologie au graphène permet de créer des réseaux électroniques et de rendre l’Homme transhumain (Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA, La nanotechnologie dans les vaccins, Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain, Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle, etc.).

— Les « virus » augmentés (ou chimères) fabriqués en labo p4 pour espérer créer des armes biologiques transmissibles ne sont que des exosomes trafiqués (baignant dans une soupe chimique toxique) qui ne se transmettent pas d’un individu à l’autre et nécessitent donc l’injection directe dans le corps pour produire leurs effets nocifs sur la santé.
(C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! Voici un extrait de l’article :

Ce qui s’est passé au cours de cette expérience (et d’expériences similaires) n’était rien de plus que la création d’une recette qui a abouti à une soupe toxique. Cette soupe a ensuite été injectée de force dans les voies nasales de bébés souris sous anesthésie à l’isoflurane. Les souris ont été contrôlées régulièrement pour voir si elles présentaient des signes des symptômes que les chercheurs voulaient voir, tels qu’une perte de poids de 10 à 19 %, une fourrure ébouriffée et/ou une posture voûtée, une insensibilité faible à modérée et des tremblements, c’est-à-dire les signes classiques associés à la « Covid-19 » chez l’homme (notez le sarcasme). Il n’a jamais été considéré si le mode d’injection et/ou l’utilisation de l’anesthésie à l’isoflurane avaient pu ou non entraîner des symptômes. Il n’a jamais été considéré si le stress de l’expérimentation ou les conditions de vie artificielles affectaient la santé des souris. Tous les signes et symptômes étaient supposés être causés par un « virus » invisible dont l’existence n’a jamais été directement démontrée. Dans les cas où une perte de poids supérieure ou égale à 20 % survenait ou si les souris recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs, les souris étaient alors considérées comme moribondes et euthanasiées.

)

Lorsque l’on met cela en parallèle avec les nombreux effets secondaires nocifs de ces prétendus vaccins, avec la volonté affichée de Bill Gates, via notamment la GAVI et l’OMS, de vacciner sept milliards d’êtres humains, avec Klaus Schwab qui évoque dans ses livres la transformation de l’Homme en transhumain, avec les scénarii de Rockefeller (La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?), avec de nombreux autres indices présentés par divers lanceurs d’alerte depuis plusieurs décennies, il est clair que le but des mesures dites « sanitaires » et des « vaccins » n’est pas de sauvegarder la santé et que cette « plandémie » était prévue de longue date. Ce que révèle la vidéo ci-dessous n’a donc rien de surprenant pour ce qui est du vaccin, bien au contraire. Par contre, elle propage inutilement la peur de virus et sert alors au contraire l’agenda mondialiste.

La pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial est la théorie virale. C’est essentiellement cette dernière qui a permis l’application mondiale des mesures « sanitaires » déterminantes pour l’agenda totalitaire. Il est donc indispensable aux élites mondialistes de renforcer cette théorie par tous les moyens au lieu de l’abandonner comme étant fallacieuse, non scientifique, et même frauduleuse. Et rien de mieux que les labos p4 et les savants fous fabricants de méchants virus augmentés et que la peur qu’ils génèrent pour maintenir les masses dans le conte de fées. Comme ces élites contrôlent la finance, les médias, les politiciens (notamment par la corruption, mais aussi par le chantage), l’enseignement universitaire (spécialement en climatologie et en médecine, ceci en particulier en ne finançant que les études qui alimentent les discours autorisés, mais en coupant les crédits aux chercheurs déviants), la Justice et les forces militaires et de police, le seul moyen humainement utilisable pour faire tomber cet ordre mondial est de s’en prendre à son point faible, la pierre angulaire de l’édifice. Faites tomber la théorie virale comme il se devrait d’un point de vue logique et scientifique, et vous entraînez la chute de Big Pharma et celle du Nouvel Ordre Mondial, puisque le premier perdra la principale source de ses gains financiers, à savoir les vaccins et les antiviraux, et le second ne disposera alors de plus rien pour justifier les mesures coercitives antivirales.

Rappelons en passant que le média anglais qui diffuse cette « information » fait partie des médias mainstream contrôlés par ces mêmes élites.]

[Voir à partir de 3:07 :]




La vérité explosive sur les fact-checkers dévoilée

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]




OMS : vers un putsch mondial ?!

[Source : Jean-Dominique Michel]

Un futur pédocriminel et totalitaire vous tente-t-il ?! Si oui, faites confiance à l’OMS ! Sinon, il est urgent de bloquer cette organisation sur le point, semble-t-il, de commettre un putsch planétaire…

[Note de Joseph : Jean-Dominique Michel évoque « la disparition tout à fait étonnante de la grippe » lors de la plandémie Covid, mais il n’y a rien d’étonnant à cela lorsque l’on abandonne la théorie virale fallacieuse (voir le dossier Vaccins et virus, y compris pour ce qui concerne les « virus » — en fait les « exosomes » et autre déchets génétiques — trafiqués en labo P4 : C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !). En se basant sur divers témoignages et constats de personnels soignants, il apparaît que la grippe a été rebaptisée le plus souvent Covid-19 en 2020, sauf par quelques médecins qui ont simplement reconnu la grippe chez leurs patients grippés. Peut-être ne regardaient-il pas la télévision pendant cette période.
Existe-t-il par ailleurs un moyen de bloquer une institution internationale privée, l’OMS, qui est financée et soutenue par les mêmes oligarques qui contrôlent la finance, les médias mainstream, les politiciens corrompus, l’enseignement universitaire subventionné et les multinationales, dont celles de la pharmacie ?
L’édifice du Nouvel Ordre Mondial repose cependant sur la théorie virale pour imposer les mesures prétendument « sanitaires » et cette pierre angulaire en est le point faible. Si on la retire, l’édifice s’écroule.]

[Voir aussi :
OMS : Un pass de plus vers le Nouvel Ordre Mondial. Le « passe sanitaire » de l’UE est adopté à l’échelle internationale
Les propositions de l’OMS menacent la relation médecin-patient et l’autonomie personnelle
OMS : le nouvel ordre mondial par la santé
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]




Divulgation des armes électromagnétiques (énergie dirigée et micro-ondes) pour attaquer les lanceurs d’alerte

Dans cette vidéo d’août 2022, le journaliste américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem(([1] Voir https://icator.be/icator-lawyers-association-conference/ (en anglais) pour l’accès à des vidéos ou des audios avec Amy Holem et d’autres spécialistes du domaine, comme Barrie Trower.)) qui divulgue les technologies d’armes électromagnétiques utilisées depuis près de 30 ans sur des civils pour répression invisible. Amy impute la mort d’Isaac Kappy à ces armes top secrètes.

Les symptômes d’un ciblage secret sont : fatigue, douleurs, migraines, brûlures, problèmes cardiaques, insomnies, réveils nocturnes, problèmes endocriniens, cancers, psychoses.

Vous pourriez en être la cible sans le savoir.

Partagez SVP pour conscientiser sur les dérives militaires et le totalitarisme électromagnétique.

Sous-titres : Özler ATALAY YÜKSELOĞLU pour Oz Réinfo

[Voir aussi :
Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques]

Transcription de la vidéo :

Stew : tout le monde a un four à micro-ondes chez soi. Vous savez peut-être ou pas comment ils fonctionnent. Ils tirent une forme d’énergie à micro-ondes qui fait que les molécules gagnent de l’énergie et chauffent. Mais voilà, il n’y a pas de raisons qu’ils soient faits pour autre chose que de réchauffer la nourriture. Ils peuvent être utilisés pour toutes sortes de choses, y compris blesser des gens.

Depuis des années, la police et les tyrans ont développé leurs propres canons qui peuvent forcer les manifestants à se disperser en les cuisant de l’intérieur. Ils en ont utilisé en Australie contre des manifestants anti-confinement et vous pouvez croire qu’ils les utilisent ici aussi. En fait, ils ont envisagé de l’utiliser ici à Washington durant les émeutes de Georges Floyd.

Une condition médicale appelée syndrome de La Havane, où des espions US font face à des maladies mystérieuses, est soupçonnée d’être causée par des armes à micro-ondes. Selon la CIA, il y a peu ou pas de preuves que ces attaques aient été commanditées par une puissance étrangère. Et si elles étaient faites par notre propre gouvernement ?

Amy Holem est la directrice d’une agence d’échantillonnage acoustique subliminal. Elle est spécialisée dans les investigations mortuaires numériques et est également membre du conseil de l’agence des armes à énergie dirigée. Elle est également une vétérane de l’armée US, spécialement dans la police militaire qui peut déployer des appareils comme les armes que nous dévoilons.

Ce samedi nous nous sommes entretenus durant environ une demi-heure, voici ce qu’elle a dit :

Amy : les armes électromagnétiques sont utilisées depuis 1932. Ça fait donc près de 80 ans qu’ils travaillent sur ces technologies. J’ai aidé près de 3500 victimes dans le monde, près de 2500 aux USA et environ 1200 dans des pays étrangers.

Stew : comment est-ce déployé ? Qui sont les commanditaires ? Tant de questions. Pourquoi ciblent-ils ? Comment décident-ils et comment sont-elles déployées ? SVP. Je suis très curieux.

Amy : bon, cela dépend de comment c’est décidé. Le DoD [Département de la Défense] et le FBI ont une liste de personnes qui ont été pucées ou implantées. Donc ces listes sont utilisées par les Centres de Fusion et les officiers locaux de police pour cibler et harceler en utilisant différents types de technologies. La plupart d’entre elles sont déployées à travers des avions, des drones et des satellites qui sont en fait connectés à des systèmes de défense de missiles ou de vecteurs air-air ou air-sol ou sol-sol qui sont utilisés pour attaquer des victimes quotidiennement.

Stew : Isaac Kappy a dit qu’il était victime d’armes de ce genre et est mort mystérieusement. Nous ne pensons pas qu’il se soit suicidé ou jeté d’un pont. Il dénonçait la cabale satanique et pédophile, dont Tom Hanks avec un tweet crypté sur sa mort : « Nous aurons à faire face à eux lundi 1er août [2022] et visiblement beaucoup n’aiment pas ce que nous faisons. »

Doit-on être implantés par une puce afin que ce type d’arme soit utilisé contre nous ?

Amy : non, pas forcément. En fait, nos corps produisent des fréquences, ils peuvent se focaliser sur ces fréquences personnelles et vous attaquer avec des ondes radio. C’est fait avec des transpondeurs et des émetteurs AM-FM. Donc les antennes relais, tours radio, sont toutes utilisées pour vous attaquer.

Stew : qui a la main sur cette technologie ?

Amy : en grande partie l’armée US. Plusieurs États étrangers disposent de ces armes : l’OTAN, l’armée britannique, les Russes, les Chinois et même l’armée US. Ils utilisent les systèmes Northcom.






Le plan médical mondialiste évoqué par Dr Astrid Stuckelberger

[Source : FNL – FreedomNews NouvellesLibres s.e.c.]

Astrid vient nous parler des enjeux majeurs qui nous touchent. Une réflexion importante, absente présentement, doit commencer sur ces sujets.

L’OMS et la tentative de prise de contrôle mondial de la santé, l’IA, la santé et la monnaie numérique, l’UIT (Union internationale des télécommunications, nouvelle entité mondiale, sous l’égide de l’ONU, prenant de l’ampleur) !



TW: @Stuckelberger WEB : https://www.astridstuckelberger.com/

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Qu’est-ce qu’une femme ?

[Source : ELO Trad]

Documentaire de Matt Walsh (Daily Wire) qui s’interroge sur la logique de l’idéologie du genre et le mouvement transgenre qui vise de nos jours les femmes et surtout les enfants, à travers cette question qui pourtant semble fondamentale : « Qu’est-ce qu’une femme ? »






Voilà pourquoi ils ont diabolisé l’Ivermectine !!

[Source : ExcaliburTraduction]






Comment les incendies de forêt au Canada transforment le changement climatique en une « urgence de santé publique »

[Source : off-guardian.org]

Les incendies de forêt annuels ont frappé et, comme d’habitude, ils sont synonymes d’alarmisme climatique et de tentatives d’imposer un programme de contrôle social.

Par Kit Knightly

Les incendies de forêt au Canada font la une des journaux, mais cette nouvelle dose de peur liée au climat n’est qu’une nouvelle étape d’une campagne de propagande visant à « passer de la covid au climat ».

[Voir aussi :
Tout le sud du Québec a simultanément pris feu
et
Incendies de forêt au Canada : données contre hystérie climatique]

Tout d’abord, parlons des incendies eux-mêmes.

Les feux de forêt, ou incendies sauvages, sont un phénomène parfaitement naturel et un élément vital de l’écosystème, qui permet la repousse et l’apport de nutriments dans le sol.

Ils se sont produits pendant des centaines de millions d’années avant l’existence de l’homme et continueront à se produire bien après que nous ayons disparu.

Les incendies actuels sont-ils particulièrement graves ? Ou particulièrement étendus ?

Nous ne le savons pas. Nous savons par contre, grâce à notre couverture de la « crise » de l’Amazonie en 2019, que les médias se sont déjà appuyés sur des statistiques manipulées pour donner l’impression que les incendies de forêt étaient plus graves qu’ils ne l’étaient.

Nous savons également que des efforts sont déployés pour associer les incendies de forêt annuels à un prétendu changement climatique d’origine humaine, même s’il est librement admis que d’autres facteurs sont probablement à l’origine de ces incendies.

Nous savons également que cette histoire ne ferait pas la une des journaux si elle ne servait pas un certain objectif. Quel est donc cet objectif ? Quelle est l’histoire derrière l’histoire ?

Eh bien, il s’agit en partie de l’histoire de la « qualité de l’air ».

Vous souvenez-vous des palabres sur les cuisinières à gaz, il y a quelques mois ? Les Bleus voulaient les interdire et les Rouges ne le voulaient pas, mais la véritable histoire derrière cette histoire était une propagande visant à réglementer la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments. J’ai écrit à l’époque :

Je pense qu’une nouvelle technologie « intelligente » est en train de voir le jour, qui contrôlera la qualité de l’air et les émissions de CO2 à l’intérieur des bâtiments. Comme les compteurs d’eau et d’électricité intelligents, mais pour l’air.

Il s’avère que j’avais raison… en fait, la technologie existait déjà.

Le « Smart Air Monitor » d’Amazon est connecté à Alexa et déclenche des alarmes si la qualité de l’air est mauvaise. Bien entendu, vous devez activer Alexa pour l’utiliser. Cela signifie que vous devez accepter qu’Amazon recueille vos données et écoute vos conversations.

L’Union européenne a lancé sa propre application de surveillance de la qualité de l’air, ce qui tombe à point nommé. Ces derniers jours, de nombreuses publications publient effrontément des publicités et des « analyses » pour des « moniteurs d’air intelligents » ou des filtres HEPA.

Mais il s’agit sans doute plus d’opportunisme et de cupidité que d’autre chose.

Le véritable objectif est le changement climatique — pas seulement la propagation habituelle de la panique, ou même l’élaboration de fausses preuves de son existence — mais le changement d’image.

Transformer le changement climatique d’une question environnementale en une question de santé publique.

Cette idée n’est pas nouvelle, elle a commencé presque dès l’arrivée de la Covid et a fait la une des journaux lorsque nous avons vu le premier « diagnostic du changement climatique » à la fin de l’année 2021. Mais elle a clairement pris de l’ampleur au cours des derniers mois.

En mars, le Council on Foreign Relations a publié un article intitulé « Managing the Health Risks of Climate Change » (Gérer les risques sanitaires du changement climatique), qui s’ouvre sur :

Le changement climatique s’est hissé au premier rang des priorités sanitaires mondiales, menaçant les individus et les populations par de multiples voies d’exposition, sur toute la gamme des conditions de santé physique et mentale et des déterminants sociaux de la santé.

En avril, le Guardian a publié un article d’opinion intitulé :

L’urgence climatique est la plus grande crise sanitaire de notre temps — plus grande que la Covid

Puis, fin mai, l’Organisation mondiale de la santé, qui venait de déclarer la fin de la « phase d’urgence » de la Covid, a lancé « un appel passionné à une action climatique urgente », son président Tedros Adhanom Ghebreyesus déclarant [souligné par l’auteur] :

Les raisons les plus pressantes d’une action climatique urgente sont les impacts non pas futurs, mais actuels, sur la santé […] La crise climatique est une crise sanitaire, qui alimente les épidémies, contribue à l’augmentation des taux de maladies non transmissibles et menace de submerger notre personnel et nos infrastructures de santé ».

La semaine dernière, la Cairo Review of Global Affairs — une publication de l’Université américaine du Caire — a publié une interview de la jeune envoyée de la COP27, Omnia El Omrani, intitulée simplement « Le changement climatique : Une urgence sanitaire mondiale ».

L’article utilise le mot « santé » plus de cinquante fois et souligne que nous devons « maintenir la santé au cœur des négociations sur le changement climatique », affirme que la politique sur le changement climatique n’est pas « une réponse à des incitations politiques ou économiques, mais une anticipation d’une crise sanitaire en évolution » et, ce qui est peut-être le plus révélateur, établit un parallèle direct avec la Covid :

Comme nous l’avons vu avec la COVID-19, qui était une urgence sanitaire, les pays ont réagi et ont mobilisé des ressources et des financements. Il doit en être de même pour le changement climatique. Il s’agit d’une urgence sanitaire.

Parallèlement, et apparemment par pure coïncidence, l’Académie royale néerlandaise des arts et des sciences (KNAW) vient de publier un rapport sur « l’impact du changement climatique sur la santé, mettant en garde contre les conséquences désastreuses si le monde n’agit pas pour freiner le réchauffement de la planète » :

Si le changement climatique continue à réchauffer la terre sans relâche, des milliards de personnes pourraient souffrir de « stress thermique, de maladies infectieuses, de malnutrition, d’inondations et de problèmes de santé mentale ».

(Je sais que vous en avez assez que je vous dise « je vous l’avais bien dit », mais j’ai effectivement prédit l’année dernière que toutes sortes de maladies, des maladies transmises par l’eau aux problèmes de santé mentale, seraient reclassées dans la catégorie des « problèmes de santé liés au climat »).

Les déclarations politiques à large spectre sont accompagnées de l’habituel saupoudrage d’anecdotes et de faits divers pour ajouter de la saveur à la salade de propagande. Des articles comme « Le changement climatique nuit à ma santé mentale », publié aujourd’hui même par la BBC.

… et nous revenons ainsi aux incendies de forêt canadiens et à la mauvaise qualité de l’air dont tout le monde parle. La presse tient à souligner que les incendies ont été provoqués par le changement climatique, que la mauvaise qualité de l’air est donc due au changement climatique et que la mauvaise qualité de l’air constitue un risque majeur pour la santé publique.

Donc, changement climatique = mauvais pour la santé publique.

Les gens sont encouragés à « se masquer » dans tout l’est des États-Unis, et les New-Yorkais sont invités à rester à l’intérieur. Il ne s’agit pas seulement d’une nouvelle normalisation des masques et des confinements, mais d’une astuce psychologique qui amène les gens à associer « changement climatique » et « covid » dans leur esprit.

Comme je l’ai écrit l’année dernière :

La Covid a fonctionné et le climat n’a pas fonctionné. Pendant des décennies, ils ont attisé la peur du public à propos d’une « nouvelle ère glaciaire », des pluies acides, du trou dans la couche d’ozone et d’une myriade d’autres catastrophes climatiques supposées naissantes, sans jamais atteindre le dixième du niveau d’hystérie créé par la « pandémie » de Covid-19. Quelque part, un responsable des relations publiques pas particulièrement brillant a décidé que le moyen de faire passer le « pivot de la Covid vers le climat » était d’essayer de transformer la catastrophe environnementale prévue de longue date en un problème de santé publique.

… et c’est ce qu’ils font. Parce qu’ils ont besoin du bon type de peur.

Il s’agit de transformer la vague anxiété liée au changement climatique — que la plupart des gens ont tout simplement commencé à ignorer — en une peur primitive de soi qui a envahi le monde lors de la « pandémie ».

Le genre d’hystérie panique qui a poussé les gens à pulvériser du poivre de cayenne sur des inconnus et à coller des bâches en plastique partout dans la maison.

C’est le genre de folie dont ils auront besoin dans la population générale s’ils veulent faire passer la Grande Réinitialisation Verte.




Ariane Bilheran : « La persécution va s’étendre à d’autres catégories de la population »

[Source : Epoch Times France]

Diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), Ariane Bilheran est philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie. Elle est spécialisée dans l’étude de la psychopathologie du pouvoir, de la manipulation, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme.

Il y a quelques mois, elle a publié un nouvel ouvrage intitulé « Sur le Totalitarisme, conférences 2021-2022 », qui rassemble plusieurs conférences consacrées au phénomène totalitaire.

Au regard de ses travaux en psychopathologie, Ariane Bilheran considère que le totalitarisme correspond « à un délire paranoïaque », c’est-à-dire « une pathologie de contrôle » et « de persécution » des populations.

« La spécificité du totalitarisme consiste à viser la domination totale, notamment sur la vie intime des gens. Le totalitarisme s’approprie le corps des individus et les réduit à des corps que l’on peut anéantir. Dans le système totalitaire, l’être humain devient superflu. »

Selon l’auteur, le totalitarisme fonctionne à l’idéologie — « une narration mensongère du point de vue de la vérité et de la réalité de l’expérience vécue » — et recourt à la propagande pour endoctriner les masses.

« Les masses sont fabriquées. Cette fabrication passe essentiellement par la propagande, c’est-à-dire la répétition permanente d’un mensonge. C’est un lavage de cerveau. Nous avons des boîtes à endoctrinement qui sont notamment la télévision, et tout le règne de l’image en général », poursuit-elle.

Outre le caractère mensonger des récits fabriqués par le pouvoir totalitaire, Ariane Bilheran relève le recours systématique aux paradoxes, qui permettent de sidérer la pensée, ainsi que la manipulation des émotions « à la terreur et à la culpabilité ».

« La langue totalitaire change le sens des mots et introduit une série de paradoxes qui empêchent d’avoir accès à une langue qui permet de nommer la vérité des choses et de l’expérience. Quand on appelle santé publique le fait de ne pas soigner des gens, par exemple, nous sommes dans un langage mensonger. »

Inspirée par les travaux d’Hannah Arendt, la philosophe estime que :

« Le système totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu, et une masse d’individus crédules et obéissants ».

« L’individu, parce qu’il appartient à un groupe, parce qu’il ne veut pas sortir de cette appartenance, va accepter différentes situations intolérables. À partir du moment où il s’est engagé dans des actes, c’est beaucoup plus difficile de faire machine arrière, car il a accepté une collaboration et, inconsciemment, il est très compliqué pour lui d’assumer sa propre culpabilité. »

Pour Ariane Bilheran, la lutte contre totalitarisme consiste notamment à sortir des conditionnements collectifs pour reprendre « son pouvoir personnel », cultiver sa liberté d’esprit et sa spontanéité afin de retrouver « le chemin de notre vie intime ».

« Nous avons affaire à un empoisonnement minutieux, généralisé, pas uniquement alimentaire, mais d’abord mental et émotionnel. La meilleure résistance au totalitarisme, c’est de nourrir l’âme humaine. »

« Tout le monde doit s’interroger sur ses actes, ses choix et ses prises de décision. À quel moment et pourquoi est-ce que je collabore à ce système totalitaire ? Est-ce que je le fais par peur ? Par culpabilité ? Pour être tranquille ? Parce que j’y crois ? Tout cela doit être clarifié », conclut Ariane Bilheran.

Pour suivre l’actualité d’Ariane Bilheran : https://www.arianebilheran.com/

  • 00:00 Intro
  • 02:09 En quoi la psychopathologie aide-t-elle à comprendre le phénomène totalitaire ?
  • 05:38 En quoi sommes-nous confrontés à un nouveau totalitarisme à l’échelle planétaire ?
  • 17:43 En quoi la dérive totalitaire était-elle en gestation depuis plusieurs années ?
  • 23:17 Comment distinguer totalitarisme, dictature, tyrannie et despotisme ?
  • 27:32 Pourquoi le pouvoir totalitaire veut-il amener les individus à s’autodétruire ? Quels sont les moyens qu’il emploie pour y parvenir ?
  • 33:37 Pourquoi les masses acceptent-elles de collaborer et de se soumettre ?
  • 44:22 Pourquoi le totalitarisme est-il voué à s’effondrer ?
  • 51:57 En quoi les témoins du phénomène totalitaire jouent-ils un rôle essentiel ? Quelles sont leurs caractéristiques ?
  • 59:56 Le wokisme et la cancel culture participent-ils du totalitarisme ?
  • 01:06:20 Quelles sont les « urgences » qui pourraient être instrumentalisées à l’avenir ?
  • 01:11:33 Comment combler le vide spirituel du monde moderne, retrouver le chemin de l’harmonie et la conscience du caractère sacré de la vie humaine ?
  • 01:20:35 Conclusion

Journaliste : Henri-Michel Thalamy
Images : David Vives/Vincent Su




Chevaux de course à Churchill Downs

[Source : Newsletter]

[Illustration : le cheval Lost in Limbo meurt à Churchill Downs]

Par Arthur Firstenberg

Les chevaux de course font partie des créatures les plus finement réglées et les plus délicatement sensibles de la planète. Que se passe-t-il lorsque vous leur donnez à tous des téléphones portables à porter pendant une course ? Ils commencent à tomber comme… des chevaux.

C’est exactement ce qui a commencé à se produire ce printemps à Churchill Downs, à Louisville, où se déroule le célèbre Derby du Kentucky. Churchill Downs organise chaque année trois « meetings » au cours desquels des courses de chevaux ont lieu quatre à cinq jours par semaine : un meeting de printemps qui dure tout le mois de mai et le mois de juin, un meeting de septembre et un meeting d’automne qui se déroule tout au long du mois de novembre. Cette année, la réunion de printemps à Downs a débuté le 29 avril et devait se poursuivre jusqu’au 3 juillet. À partir du 29 avril, et lors de chaque course, tous les jours suivants, chaque cheval a été équipé d’un dispositif qu’il n’avait jamais porté auparavant. Il s’agit d’un appareil sans fil, de la forme d’un iPhone, qui s’insère dans le tissu situé sous la selle, sur le dos du cheval. Les chevaux ont également commencé à porter ces appareils au printemps lors des séances d’entraînement du matin.

Ce dispositif STRIDESafe surveille les mouvements du cheval 2 400 fois par seconde tout au long de la course, en envoyant 2 400 impulsions de radiofréquences (RF) chaque seconde à travers le corps du cheval. Il contient également un composant GPS qui communique avec les satellites de positionnement global. Il communique également avec la puce RFID implantée sur le côté gauche du cou de chaque cheval, en veillant à ce que la puce émette également des rayonnements tout au long de la course. Et comme chaque cheval de course porte des fers à cheval en aluminium, qui est l’un des meilleurs conducteurs, les fréquences émises par le dispositif STRIDESafe et la puce RFID à travers le corps du cheval sont absorbées et rediffusées par ses quatre fers. Chaque cheval porte donc non pas une, mais six antennes rayonnant en permanence tout au long de chaque course à Churchill Downs. Ainsi, avec 14 chevaux participant normalement à chaque course, il y a 84 antennes parmi les animaux qui courent à proximité les uns des autres sur l’hippodrome.

Et le 29 avril 2023, les chevaux qui courent à Churchill Downs ont commencé à mourir pendant les courses ou à subir des blessures si graves qu’ils ont été euthanasiés. Le nombre de chevaux morts ce printemps est tel que le 2 juin, il a été annoncé que la réunion de printemps à Churchill Downs serait suspendue à partir du 10 juin. Les responsables de Churchill Downs sont paniqués parce que les chevaux qui y courent sont morts en bien plus grand nombre ce printemps que jamais auparavant. En 2022, à l’échelle nationale, on a enregistré environ 1,25 décès pour 1 000 chevaux prenant le départ. Mais depuis le 29 avril 2023, 12 décès sont survenus sur seulement 1 600 départs à Churchill Downs, soit une multiplication soudaine et sans précédent par 8 de la mortalité des chevaux de course.

Les autorités ont soigneusement inspecté la piste et chaque partie du terrain de course et n’ont trouvé aucun changement par rapport aux rencontres précédentes, ni aucune raison pour que les chevaux soient plus susceptibles de se blesser ou de s’effondrer. Mais ils ont le même angle mort que le reste de la société : ils traitent les appareils sans fil et les radiations qu’ils émettent comme s’ils n’existaient pas.

Le cheval nommé Parents Pride s’est simplement effondré et est mort sans raison apparente lors d’une course le 29 avril. Aucune drogue n’a été trouvée dans son système, ni aucun poison. Il courait normalement avant la course. Aucune anomalie n’a été décelée au niveau du cœur, du cerveau ou des poumons.

Code of Kings s’est cassé le cou dans le paddock juste avant une course et a été euthanasié, également le 29 avril. Le paddock, également appelé rond de parade, est l’endroit où les chevaux sont présentés avant une course afin que les spectateurs puissent les voir de près.

Take Charge Briana a subi des dommages catastrophiques à sa patte avant droite lors d’une course le 2 mai et a été euthanasié.

Chasing Artie a terminé sa course le 2 mai, puis s’est effondré et est mort sur le chemin de la zone de débourrage, sans raison apparente.

Chloe’s Dream a subi une « blessure catastrophique » au genou droit lors d’une course le jour du Derby, le 6 mai, et a été euthanasié.

Freezing Point s’est fracturé le membre antérieur gauche lors d’une course le jour du Derby, le 6 mai, et a été euthanasié. Son jockey a déclaré qu’il n’avait pas été heurté pendant la course et que la piste était en bon état.

Bosque Redondo a terminé sa course le 13 mai, mais a été emmené dans une ambulance pour chevaux et a été euthanasié en raison de blessures non spécifiées.

Rio Moon était sur la ligne d’arrivée d’une course le 14 mai lorsqu’il a subi une « blessure catastrophique » à la patte avant gauche et a été euthanasié.

Swanson Lake a terminé sa course le 20 mai, mais a été immédiatement emmené chez un vétérinaire où il a été euthanasié en raison d’une « blessure importante » à la patte arrière gauche.

Lost in Limbo, le cheval photographié en haut de cette lettre d’information, a été retiré de la piste vers la fin d’une course le 26 mai. Il s’était écrasé le nez le premier sur la piste et gisait par terre. Il était si nerveux avant même la course qu’il a jeté son jockey avant qu’elle ne commence et s’est enfui. Après la course, un vétérinaire a constaté une « blessure importante » à sa patte avant gauche et il a été euthanasié.

Kimberley Dream s’est rompu un ligament de la patte avant gauche lors d’une course le 27 mai et a été euthanasié.

Deux jours avant le début de la compétition de printemps, Wild on Ice s’est cassé la patte arrière gauche lors d’un entraînement sur l’hippodrome, le 27 avril, et a été euthanasié.

Nous savons depuis des décennies que les ondes radio brisent la vie des chevaux. Des audiences ont eu lieu à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, et l’entraîneur de chevaux de course Penny Hargreaves s’est exprimée dans une interview publiée en 1998. Une tour de radio FM à Ouruhia avait eu des effets si dévastateurs sur ses 90 chevaux qu’elle avait été contrainte de les déplacer dans une autre région de Canterbury. Tous ses chevaux ont été affectés, certains plus que d’autres, et deux sont morts.

« Ils étaient très nerveux et nerveux », a-t-elle déclaré. « Ils semblaient tous avoir mal aux pieds. Les chevaux qui avaient voyagé en remorque pendant des années perdaient l’équilibre pendant le voyage. Nous avons plusieurs points chauds autour de notre cour où les chevaux deviennent très instables et se blessent eux-mêmes et nous blessent. »

« Notre très précieux poulain avait de graves problèmes de santé et marchait comme s’il avait mal aux pieds. Il ne supportait pas d’être ferré. Nous avons fait appel à de nombreux vétérinaires pour tenter de résoudre ses problèmes, mais sans obtenir de réponse satisfaisante. Nous l’avons finalement mis dans un paddock avec une grande grange à foin et des arbres entre lui et la tour. Au bout d’un mois, il n’avait plus aucun problème. De retour dans son ancienne cour, le problème est réapparu. »

« Le maréchal-ferrant a témoigné lors de notre audition de l’effet des ondes radio sur les pieds de nos chevaux. L’aluminium conduit l’électricité et leurs pieds avaient changé de forme, présentaient d’énormes fissures à l’emplacement des ongles et étaient très sensibles à l’intérieur. »

« Nous avions des problèmes hebdomadaires avec des infections que nous n’avions jamais eues auparavant, et nos factures de vétérinaire étaient horribles. »

Des chevaux de course nerveux et agités, avec des pieds douloureux et un manque de coordination. C’est exactement ce qui s’est passé à Churchill Downs lors de la réunion de printemps de cette année.

Lorsque j’ai appris ce qui se passait à Churchill Downs ce printemps, j’ai envoyé un courriel au Dr Jennifer Durenberger, lui suggérant que les dispositifs STRIDESafe, qui ont été déployés à Churchill Downs pour la sécurité des chevaux, sont au contraire en train de les tuer. Elle n’a pas répondu. Le Dr Durenberger, vétérinaire, est directrice de la sécurité et du bien-être des équidés à la Horseracing Integrity and Safety Authority (HISA). Elle dirige l’examen des dossiers des chevaux décédés.

Si vous êtes vétérinaire ou avez de l’expérience avec les chevaux et souhaitez apporter votre aide, envoyez-moi un courriel à arthur@cellphonetaskforce.org. Si nous parvenons à convaincre Churchill Downs, la HISA et les propriétaires des chevaux de course qui participent au Kentucky Derby de reconnaître ce qui se passe et de se débarrasser de ces nouveaux appareils sans fil, nous aurons l’occasion de sensibiliser le reste du monde et de catalyser un changement d’orientation pour nous tous.




OMS : Un pass de plus vers le Nouvel Ordre Mondial. Le « passe sanitaire » de l’UE est adopté à l’échelle internationale

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Alors que le certificat Covid numérique européen devait expirer en juin, l’OMS reprend le flambeau et adoptera ce « modèle » européen en tant que premier élément du Réseau mondial de certification sanitaire numérique le Global Digital Health Certification Network, qui mettra au point « une large gamme de produits numériques » pour la santé de tous.

Dans le communiqué de presse de l’agence onusienne, il est intéressant de noter les concepts tels que « gamme de produits », « santé numérique » et la revendication de plus en plus affirmée du rôle autoritaire de l’OMS :

La commissaire à la santé Stella Kyriakides y affirme que :

En tant qu’autorité directrice et coordinatrice dans le domaine de la santé, des travaux ayant un caractère international, l’OMS est le meilleur partenaire pour faire progresser les travaux que nous avons entamés au sein de l’UE et continuer à mettre au point des solutions mondiales en matière de santé numérique.

Thierry Breton, commissaire au marché intérieur :

Estime que le certificat de l’Union a facilité les voyages et le tourisme international, en révélant que près de 80 pays s’y sont connectés, et ajoute être ravi que l’OMS s’appuie sur les principes de protection de la vie privée et la technologie de pointe du certificat de l’UE pour créer un outil mondial contre les futures pandémies.

Est-il besoin de rappeler qu’un système de contrôle et de discrimination permanent des individus par des interventions sur le corps est l’exemple même d’une politique totalitaire, même si les données sont rendues anonymes pour les tiers ?

Un pas de plus est franchi dans la suppression des droits souverains les plus élémentaires, lorsque l’on apprend que l’OMS utilisera sa propre structure dans le but de permettre au monde de bénéficier de la convergence des certificats numériques. L’OMS établira les normes et validera les signatures pour éviter la fraude.

Comme on pouvait l’imaginer, les acteurs du « nouvel ordre mondial » ont donc mis les bouchées doubles : ce premier élément du système mondial de surveillance de l’OMS sera opérationnel en juin 2023 et devrait se développer progressivement dans les mois à venir.

Par ailleurs, l’on observe bien que la formalisation de ces plans dans des traités internationaux — qu’il s’agisse du traité pandémies ou des amendements au Règlement sanitaire international — n’est pas réellement un frein à la mise en place des instruments de contrôle destinés à opérer la « révolution numérique » du Grand Reset.

Schéma de l’identité numérique selon le Forum économique mondial

Contrôler le trafic aérien

Lors de son Assemblée mondiale de la santé, l’OMS a par exemple proposé d’adopter, « en coopération avec l’Organisation de l’aviation civile internationale [OACI, une autre agence onusienne]… et d’autres organisations compétentes, les exigences auxquelles les documents sous forme numérique ou papier doivent satisfaire en ce qui concerne l’interopérabilité des plates-formes de technologie de l’information, les exigences techniques des documents de santé, ainsi que les garanties visant à réduire le risque d’abus et de falsification ». Et l’on sait que l’IATA, qui est une organisation privée régulant aussi les transporteurs aériens, figure également parmi les partenaires privilégiés des négociations au traité pandémie.

De cette manière, les États membres réticents à abandonner leur souveraineté au profit d’un organe de gouvernance centralisé tel que l’OMS, seront toute de même soumis aux diktats émis par la législation internationale des transports et ne resteraient maîtres que du trafic intérieur.

Ce « tour de passe-passe » opéré par les agences onusiennes, les institutions européennes et les agences internationales n’est pas vraiment surprenant.

En effet, la couleur avait été clairement annoncée au World Government Summit du G20 à Jakarta par le Premier ministre indonésien Sadikin. Lors de son discours inaugural, il avait insisté sur l’importance de développer le marché digital de la surveillance globale et d’introduire des certificats Covid en faisant appel aux sempiternelles « menaces » de l’urgence sanitaire :

Nous comprenons que notre ennemi n’est pas un être humain, mais un agent pathogène. Notre ennemi est un agent pathogène… Ces agents pathogènes ont besoin d’un système de surveillance, comme lorsque vous êtes attaqué par un extraterrestre à l’extérieur du pays. À l’échelle mondiale, tous les pays relient leur système radar afin d’assurer une excellente surveillance si l’ennemi vient de l’extérieur de la Terre. Maintenant, la même chose se produit, nous devons renforcer et relier notre système radar pour les pathogènes… Et quelles sont les opportunités pour vous ? C’est l’occasion pour vous de vous lancer dans la biotechnologie. Car c’est la plus grande menace pour l’humanité. C’est pourquoi les gens et le gouvernement seront politiquement poussés à dépenser dans ce secteur.

Le quatrième accord que nous avons conclu… lorsque nous aurons une autre pandémie, nous comprendrons que pour arrêter la propagation du virus, nous devons limiter, et non pas arrêter, les déplacements des personnes… Nous aurons donc un certificat de santé numérique, reconnu par l’OMS, si vous avez été vacciné ou testé correctement, alors vous pourrez vous déplacer.

Les pays du G20 ont convenu de mettre en place ce certificat numérique en utilisant la norme de l’OMS et nous le soumettrons à la prochaine Assemblée mondiale de la santé à Genève en tant que révision du règlement sanitaire international.

[Note de Joseph : s’il existe un moyen humainement réalisable de stopper le plan mondialiste, sachant que rien d’autre pour l’instant n’a pu stopper ce dernier, c’est de répandre largement la réfutation scientifiquement justifiée de la théorie virale, surtout auprès des médecins et autres personnels soignants. En faisant tomber cette croyance scientiste de l’hypothèse virale (religieusement entretenue depuis plus d’un siècle jusque dans les facultés de médecine), et en se tournant vers un nouveau paradigme médical (médecine intégrative, naturopathie…), l’Humanité fera tomber la peur de prétendus méchants virus et rendra caduques et totalement injustifiées les mesures « sanitaires » et les vaxinations, entraînant ensuite la chute probable de Bib Pharma, puis du Nouvel Ordre Mondial qui a besoin de telles mesures et de telles croyances pour fonctionner. Voir le dossier Vaccins et virus]

Rappelons que c’est lors du même sommet qu’Emmanuel Macron a appelé avec ferveur à la création d’un ordre mondial unique et non bi-polaire (USA vs Chine)

Le certificat « couteau suisse » de l’OMS

L’OMS a ainsi pris les devants, en signant un contrat avec T-Systems, le 23 février dernier. Cette filiale de Deutsche Telekom avait déjà développé la passerelle européenne pour les certificats de vaccination (DCC, Digital Covid Certificate). Le nouveau système, toujours basée sur les codes QR serait également utilisé pour d’autres vaccinations, comme la polio ou la fièvre jaune.

C’est aussi T-Systems qui avait déjà mis en place le European Federation Gateway Service (EFGS), le service qui permet aux applications de traçage du Covid des États membres de fonctionner au-delà des frontières.

Auparavant, Telekom avaient travaillé en partenariat avec SAP à l’application de traçage Corona du gouvernement allemand :

Avec plus de 43 millions de téléchargements, c’est l’une des applications de traçage les plus populaires au monde. Grâce à ses nombreuses fonctions supplémentaires, telles que l’enregistrement des événements ou le stockage universel des certificats, elle a acquis la réputation d’être « le couteau suisse de la pandémie ».

Le « couteau suisse » fait bien référence au fait qu’il y ait une intention plus large que d’y inclure les seuls certificats de vaccination. La portée de cet outil concernerait à la fois le domaine de la santé en général, ainsi que les applications liées à l’identité numérique.

L’OMS aux commandes de la santé numérique mondiale

Pour l’OMS, il s’agit d’aller au-delà des certificats de vaccination et de tout bonnement gérer, voire imposer le marché des solutions de santé numérique à l’échelle nationale. C’est pourquoi l’agence travaille sans relâche au développement des technologies qu’il ne restera plus qu’à approuver :

D’un point de vue pratique, l’agence élabore les standards « SMART » (Standards-based, Machine-readable, Adaptive, Requirements-based, and Testable) qui devraient permettre à toutes ces applications numériques de fonctionner de manière « interopérable ». Ceci se retrouve par exemple dans le projet de l’Atlas de la santé numérique :

« Conformément au troisième objectif, le Secrétariat (de l’OMS) a aidé les États membres à utiliser l’Atlas de la santé numérique de l’OMS pour recenser et gérer les solutions de santé numérique au niveau national et coordonner les investissements, et a lancé la plateforme du Centre d’échange d’informations sur la santé numérique de l’OMS afin d’évaluer et de répertorier les solutions numériques en fonction des spécifications de l’OMS en matière d’interopérabilité et d’alignement sur les recommandations de l’OMS ».

Extract of the Classification Framework from the WHO Classification
of Digital Health Interventions Guide

L’identité numérique européenne

De son côté l’Union européenne mène tout ce projet avec l’identité numérique européenne, et le portefeuille numérique, auxquels l’Union prévoit d’intégrer le dossier médical et le carnet de vaccination individuel (c’est déjà le cas sur les cartes d’identité en Belgique par exemple). Chaque citoyen et résident de l’UE aurait accès à un « portefeuille numérique personnel » qui comprendrait les cartes d’identité nationales, les certificats de naissance et médicaux, ainsi que les permis de conduire. Ceci s’intègre dans le cadre de la transformation numérique de l’Europe et la décennie digitale de l’Union, telle que définie dans son programme politique de septembre 2021.

Sur cette illustration provenant du site de l’UE, l’on voit illustré en bas à gauche le concept de « jumeau numérique » ou « digital twins » qui permettra par une gouvernance par intelligence artificielle via l’observation en temps réel des individus à l’intérieur des villes connectées ou SMART cities. La Flandres fait partie de ce projet pilote.
En haut, la gouvernance est exercée de manière « digitale » selon l’idéal « technocratique », où le pouvoir absolu est exercé par une oligarchie anonyme et invisible qui se cache derrière le rempart des algorithmes.

Toutes ces propositions et initiatives sont étroitement alignées sur les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, et du Forum économique mondial, en particulier sur la cible 16.9 de l’Agenda 2030 du « développement durable », qui appelle à la mise en place d’une identité juridique numérique pour tous, y compris les nouveau-nés, d’ici 2030.

L’on peut s’inquiéter du fait qu’elles soit menées de concert par la Commission européenne, le Forum économique mondial et le secrétariat ou bureau de l’OMS, en dehors du champs politique des parlements nationaux. Dans un tel contexte, les nouveaux membres ajoutés au Bureau par son directeur Tedros ne sont pas à même de dissiper les craintes d’une prise de pouvoir totalitaire et de l’instrumentalisation accrue de la santé au service d’un agenda politique et militaire.

En premier lieu, il faut noter que l’entrée de la Corée du Nord au « bureau de direction » a suscité de vives réactions de plusieurs pays, dont la Corée du Sud et le Japon. Pour les autres arrivants, l’on observe que le nombre de pays africains s’est renforcé avec des pays n’ayant guère de poids : le Togo, le Lesotho, les Commores et le Cameroun. Il y a aussi les Barbades, l’Australie, la Suisse et… l’Ukraine !

Aucun de ces pays n’est un exemple de démocratie ou du respect des droits humains, à l’exception de la Suisse, où se trouve le siège l’OMS.

S’agit-il vraiment d’un choix lié à des enjeux sanitaires ? Ou est-on face à des positions stratégiques en cas de conflit international ? L’on peut aussi penser que Tedros chercherait à renforcer des votes anti-démocratiques pour imposer la suite de l’agenda totalitaire grâce à des soutiens déjà acquis…

Quoi qu’il en soit, ce nouveau passe sanitaire de l’OMS est une mauvaise nouvelle pour la démocratie et la santé et marque un pas supplémentaire vers le fantasme de « la fusion entre l’identité physique, biologique et numérique » du Grand Reset ; et ce mode d’esclavage par la technocratie, rêvé et annoncée par Klaus Schwab, dans la poursuite de ses idéaux transhumanistes, semble chaque jour resserrer son étau sur la population mondiale.

Malheureusement, tout porte à croire que les programmes et les acteurs de cette grande réinitialisation s’inscrivent bien dans la continuité de l’époque la plus sombre de notre histoire. (Voir la série « Plus Jamais, c’est maintenant et mondial », de Vera Sharav, une rescapée des camps nazis, dans laquelle de nombreux survivants de l’Holocauste dénoncent les parallèles avec l’ascension du nazisme).

Une chose est sûre : tous les empires sont tombés par un défaut de ressources et par le manque de soutien des populations. C’est une chose de décider que l’on va tout contrôler partout, c’en est une autre d’y parvenir en pratique, même si les lois sont imposées et si la technologie existe. À terme, cette énième tentative totalitaire ne peut qu’échouer.