Coup d’État Mondial de l’OMS — Première Partie

[Source : AGORA TVNEWS]

Introduction et présentation de la conférence du 13.05.2023 avec le Professeur Christian Perronne, le Dr Astrid Stuckelberger, le Dr Geert Vanden Bossche et l’avocat suisse Philipp Kruse organisée par Réinfo Santé Internationale. Présentation de l’OMS par Delphine Héritier de Barros et Shehnaz.

Avec l’apparition du nouveau traité pandémique contraignant pour les pays signataires et des modifications du Règlement Sanitaire International qui prévoient des décisions au-dessus de l’autorité des pays et qui impacteraient les libertés de la population, quels sont les réels enjeux pour les 194 états membres de l’OMS et comment sortir d’un totalitarisme qui se précise avec le suivi des populations ?

[À partir de 5:00]




Défis de santé publique mondiale avec l’OMS et l’ONU : De la biologie à la population

[Source : Réinfo Santé Suisse International]

L’expérience de la structure et des systèmes complexes des Nations unies (dont l’Organisation mondiale de la santé est le chef de file en matière de santé mondiale) de la Dr Astrid Stuckelberger lui permet de mettre clairement en évidence les incohérences de l’urgence de santé publique Covid-19. Elle nous détaille :
– ce qui a été fait contrairement aux normes précédemment établies dans la gestion d’une épidémie
– ce qui aurait dû être fait pour préserver la santé de la population

Dr Stuckelberger nous partage divers plans de contrôle de l’OMS tels que :
– la numérisation de la santé
– l’édition du génome à l’intelligence artificielle

Elle mentionne également les conflits d’intérêts de l’organisation ainsi que l’influence de l’industrie dans la politique de santé publique. Bien au-delà de la politique et de l’argent, elle affirme qu’il s’agit d’une guerre physique et spirituelle contre l’humanité, et que la réponse la plus dangereuse est de rester silencieux.

[Voir aussi :
Déclaration sur l’isolement des virus
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
et plus généralement les nombreux articles des dossier Vaccins et virus, 5G et ondes pulsées, Climat et Implants numériques qui apportent des informations complémentaires par rapport à ce que mentionne Astrid dans sa conférence.]

www.astridstuckelberger.com
www.reinfosante.ch

[À partir de 5:00]






L’Inquisition continue : l’Ordre des médecins veut « faire le tri » dans les médecines « non conventionnelles »

[Source : France-Soir via Sott.net]

« Les signalements pour dérives thérapeutiques deviennent une actualité de plus en plus importante », écrit le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) en introduction d’un rapport publié le 27 juin 2023. Ce texte, intitulé « Les pratiques de soins non conventionnelles et leurs dérives », vise à mieux encadrer les « médecines alternatives », « dans le seul but de pouvoir donner aux patients une information suffisamment éclairée afin qu’ils maîtrisent au mieux la prise en charge de leur santé. »

Francisco Goya, « Contre le bien commun. » 1863

Entre arguments justifiés et hypocrisie autoritaire, doit-on parler de bienveillance ou de croisade ?

De l’ostéopathie à la naturopathie, en passant par l’hypnose ou encore le jeûne, d’autres formes de médecines que ladite « médecine conventionnelle » se sont fait une place dans la société au cours des dernières années. Selon le rapport, ce phénomène s’explique à la fois par « la pénurie de l’offre de soins, l’influence de la crise sanitaire, la mouvance bio et l’offre des formations bien-être/développement personnel ». L’Ordre y voit un danger pour les patients. Ainsi, son objectif est de « faire le tri entre des pratiques dangereuses pour la santé des patients et celles qui peuvent présenter un intérêt dans l’accompagnement du malade, et les restreindre au seul domaine du bien-être. »

Définitions des « pratiques de soins non conventionnelles »

De quoi parle-t-on exactement ? Les « pratiques de soins non conventionnelles » (PSNC) englobent joyeusement toute forme de médecine qui n’a pas été tamisée par le processus canadien de « l’Evidence-Based Medicine (EBM) », alias la médecine fondée sur les preuves, la « médecine conventionnelle ». Cette dernière se fonde essentiellement sur les données de la recherche (essais randomisés, études de cas, niveau de preuves…) afin de réduire autant que faire se peut la subjectivité du médecin. Autrement dit, c’est la critique principale qui est faite à ce modèle, l’art médical basé sur le rapport médecin-patient et l’intelligence même du médecin sont mis au ban au profit de la statistique pure issue de l’expérimentation. Aujourd’hui, c’est le modèle largement majoritaire en Occident.

À ceci, le ministère de la Santé ajoute que « les PSNC ont pour point commun qu’elles ne sont ni reconnues, au plan scientifique, par la médecine conventionnelle, ni enseignées au cours de la formation initiale des professionnels de santé. »

Ainsi, le rapport de l’Ordre liste les PSNC suivantes :

ACCESS BARS CONSCIOUSNESS ; ACUPUNCTURE ; APITHÉRAPIE ; AROMATHÉRAPIE ; AURICULOTHÉRAPIE ; BIOLOGIE TOTALE ; CHONDROPRAXIE ; CONSTELLATIONS FAMILIALES ; ÉTIOPATHIE ; FLEURS DE BACH ; GEMMOTHÉRAPIE ; GÉOPHAGIE ; HAPTONOMIE ; HOMÉOPATHIE ; HYDROTHÉRAPIE DU CÔLON ; HYDROTOMIE PERCUTANÉE ; HYPNOSE ; IRIDOLOGIE ; JEUNE THÉRAPEUTIQUE ; KINÉSIOLOGIE ; LITHOTHÉRAPIE ; MÉDECINE ANTHROPOSOPHIQUE ; MÉDECINE HOLISTIQUE ; MÉDECINE QUANTIQUE ; NATUROPATHIE ; OSTÉOPATHIE ; SYLVOTHÉRAPIE ; VENTOUSOTHÉRAPIE.

Dans le lot, certaines sont très peu connues (constellations familiales ou fleurs de Bach), d’autres sont largement répandues (hypnose ou ostéopathie). Quoi qu’il en soit, l’Ordre des médecins considère qu’elles doivent être mieux définies, à commencer par le terme même de « médecine ». Le rapport préconise de modifier la loi pour que ce terme soit protégé, au même titre que celui de « médecin », afin que tout le monde ne puisse pas déclarer et pratiquer une activité de « médecine ».

Dans le même esprit, le rapport souligne que le terme de « Docteur » devrait obligatoirement être suivi de la science dans laquelle la thèse a été soutenue, afin qu’un docteur en droit ne puisse pas se présenter comme « Docteur exerçant la médecine chinoise », par exemple.

Du « bien-être » à la « dérive sectaire »

L’Ordre des médecins reconnaît que « certaines PSNC sont intégrées depuis plusieurs années déjà dans certaines approches thérapeutiques », notamment en cancérologie. Néanmoins, le rapport limite leur rôle à de « l’empowerment » pour le patient, uniquement complémentaire d’un traitement spécifique et reconnu.

En résumé, « si dans de nombreux centres de prise en charge des cancers les soins de support ont trouvé leur place et améliorent la qualité de la vie des patients, il faut rappeler qu’ils ne soignent pas. » Ils sont donc relégués au « bien-être », tout en étant particulièrement dangereux. Et pour cause !

Le rapport distingue trois dérives entraînées par la pratique de ces médecines : l’exercice illégal, les dérives thérapeutiques et les dérives sectaires.

Si le premier point semble évident à déceler, puisqu’il repose sur les diplômes et droits du pratiquant, les deux autres reposent davantage sur la subjectivité du médecin et de son patient, ou de ceux qui les surveillent. Le rapport explique qu’une « PSNC devient dérive thérapeutique dès lors qu’elle met en danger les patients, parce qu’elle n’est pas validée scientifiquement et/ou qu’elle est proposée en remplacement de la médecine conventionnelle. » L’Ordre semble partir du principe que ladite PSNC est dangereuse car « non validée » ; il semble presque dérisoire de savoir si in fine, le traitement a soigné ou pas.

Ensuite, le rapport met en garde : « Dès lors que ces “thérapies” cherchent à faire adhérer le malade à un nouveau mode de pensée ou croyance, il faut se méfier, car l’endoctrinement arrive progressivement. » Et d’ajouter : « Aujourd’hui, la santé et le bien-être constituent le premier domaine de risque de dérives sectaires. »

Difficile de leur donner tort sur ce point, tant on s’est aperçu, lors de la crise sanitaire du Covid-19, à quel point la santé pouvait être un levier de peur et de coercition. Les premières doses de vaccin ont d’ailleurs été administrées alors que ces derniers bénéficiaient uniquement d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, sans avoir achevé tous les tests habituellement nécessaires à « l’Evidence-Based Medicine ». Ceux qui les refusaient étaient ostracisés par la société. Est-il juste, alors, de parler de dérives thérapeutiques ou de dérives sectaires ? Pendant plus de deux ans, le corps médical lui-même s’est déchiré autour de ces questions. Des professeurs reconnus tels que le Pr Raoult, le Pr Perronne ou encore le Pr Trouillas, ont été incendiés par l’Ordre pour avoir cherché d’autres solutions et soigné avec des traitements précoces jugés inadaptés par la médecine conventionnelle.

Aujourd’hui encore, l’Ordre des médecins veut « protéger les patients » de ce qui n’est pas reconnu, proposant un certain nombre de mesures pour encadrer les PSNC.

Des informations et des formations

Pour contrôler le développement de ces PSNC et traiter les signalements, l’Ordre s’entoure de nombreuses institutions spécialisées, telles que MIVILUDES pour les dérives sectaires, la DGCCRF pour les fraudes ou la DRIEETS pour les formations.

Cette dernière sera par exemple chargée « d’intervenir en amont de l’enregistrement de la déclaration de formation », grâce à un guide établi par le Conseil national de l’Ordre des médecins. En plus d’éviter les « professionnels autoproclamés », l’objectif de cette intervention est présenté ainsi :

« Éviter que des professionnels, furent-ils médecins, ou autres professionnels de santé proposent l’enseignement de techniques thérapeutiques non validées scientifiquement, voire dangereuses pouvant parfois présenter un risque d’emprise. »

Concernant les institutions, le CNOM préconise aussi de remettre en place le « Groupe d’Appui Technique » (GAT PSNC), qui était chargé de repérer et classifier les PSNC dangereuses ou prometteuses. Il avait été créé en 2009, et supprimé en 2015.

À l’inverse, le CNOM a alerté le gouvernement quant à l’existence « inquiétante » de « l’Agence des Médecines Complémentaires et Alternatives », créée en 2020 par Véronique SUISSA, Serge GUÉRIN et Philippe DENORMANDIE.

Par ailleurs, c’est un travail d’informations que le rapport décrit. D’abord, le CNOM prévoit de s’associer à MIVILUDES et la DRIEETS pour convaincre Pôle Emploi de revoir son Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois (ROME). C’est au travers de ce dernier que l’institution présente chaque métier, ses conditions d’accès et d’exercice, les compétences requises, etc. On y trouve notamment une rubrique « Développement personnel et bien-être de la personne » qui dérange l’Ordre des médecins, en ce sens que les formations qui y sont contenues « ne reposent en fait sur aucune réglementation ».

De son côté, l’Ordre des médecins rédige d’ores et déjà des fiches concernant chacune des PSNC.

Enfin, le CNOM communique directement auprès du public, présentant par exemple une liste de questions qu’il faudrait se poser avant d’avoir recours au PSNC. Parmi elles : « Quelles sont les qualifications du professionnel que je vais consulter ? Est-il inscrit au registre partagé des professionnels de santé (RPPS) ? Si c’est un médecin, est-il inscrit au tableau de l’ordre des médecins ? Avec quelle qualification ? » ; « Ai-je recours à ce traitement en raison d’un échec d’une médecine conventionnelle ? Me demande-t-on d’arrêter mon traitement conventionnel ? » ; « Quels sont tous les risques liés à ce traitement ? »

En somme, un travail d’enquête qui n’est pas souvent préconisé pour un rendez-vous médical classique, pour lequel on s’appuie sur le principe de confiance médecin-patient. Deux poids, deux mesures.

En conclusion, les auteurs du texte assurent que « si chacun est libre d’envisager la prise en charge de sa santé et de son bien-être, ce libre choix doit être éclairé et exercé en connaissance de cause. » Encore faut-il avoir le choix, car ce rapport qui « n’est qu’un point d’étape » laisse entendre que l’offre des médecines « non conventionnelles » risque d’accuser le coup. Le cas échéant, le public n’aura guère d’autre choix que de se tourner à nouveau vers la pharmacopée occidentale, ses médicaments et ses vaccins.




Autrefois psychopathe et athée, il trouve la guérison en Christ

[Source : infochretienne.com]

David wood souffrait de psychopathie depuis son enfance et a grandi comme un athée. Il attentera à la vie de son père et se retrouvera en prison. Il y fera la connaissance d’un chrétien, commencera à lire la Bible, et finira par trouver sa guérison en Christ.

[Voir aussi :
https://www.scienceshumaines.com/guerir-apres-freud-psychoses-et-psychopathie_fr_3846.html
et
https://www.cairn.info/revue-topique-2007-2-page-61.htm (spécialement la partie 4)]

David est un psychopathe athée. Il ne ressent aucune empathie envers qui que ce soit et pense que c’est normal. Alors qu’il étudie la biologie à l’école secondaire, David est exposé à la théorie de l’évolution. Se basant sur cette théorie, le jeune homme justifie son manque d’émotion comme une sorte d’évolution.

« J’ai donc conclu que j’avais probablement atteint un stade humain plus élevé dans lequel je n’étais pas soumis aux émotions. »

Il commence alors à enfreindre les lois et règlements : il entre par effraction dans certains endroits, commet des vols…

« J’avais le sentiment de démembrer ces séries de règles que les gens m’avaient imposées tout au long de ma vie, et c’était un sentiment extraordinaire. »

Puis un jour il décide de tuer son père, afin de se libérer de tout ce dont on l’avait ‘endoctriné’.

« J’avais décidé de le faire d’une manière brutale… J’avais un marteau à la main et je l’ai frappé à la tête 7 ou 8 fois. »

Les faits accomplis, le jeune homme quitte les lieux. C’est un ami de son père qui fera la découverte macabre. Alors que son père est transporté d’urgence à l’hôpital, David avoue son crime à sa mère. Il est aussitôt admis à l’hôpital psychiatrique. Le diagnostic des médecins : une personnalité antisociale.

David sera par la suite transféré en prison. Comme son père survit à cette agression, David n’écope que de 10 ans de prison.

En prison il fait la connaissance de Randy, un chrétien. Un jours alors que le chrétien lit sa Bible, David lui fait part de ses opinions.

« Hey, sais-tu pourquoi tu lis ta Bible ? Tu lis ta Bible parce que tu es né aux États-Unis. Si tu étais né en Chine, tu aurais été bouddhiste. Si tu étais né en Inde, tu aurais été hindou. Si tu étais né en Arabie Saoudite, tu aurais été musulman. Parce que les gens comme toi croient ce qu’on leur dit de croire. »

Mais les réponses de Randy étaient poignantes. Les deux hommes avaient souvent des débats au sujet de la Bible versus les philosophies du monde selon David. Et Randy remportait à chaque fois le débat.

C’est alors que David décide de lire la Bible afin de pouvoir battre Randy.

« Je devais étudier la bible afin de pouvoir lui répondre. Je voyais cela comme ma faiblesse. »

Mais il n’atteindra pas son objectif.

« J’ai été impressionné par Jésus. Alors que je croyais être la meilleure personne au monde, je me suis rendu compte que j’étais la pire personne au monde. »

David prend conscience que seul Jésus peut accomplir un miracle dans sa vie et le délivrer de cette psychopathie. Il adresse alors une prière à Dieu.

« Seigneur je ne sais pas si je croirai en toi demain, mais je crois en toi à l’heure actuelle. Si tu peux faire quoi que ce soit pour moi, tu es le bienvenu. »

Il fera également une prière de repentance qu’il avait entendu en prison.

« L’ensemble du monde m’a semblé différent, comme si j’étais dans un endroit différent, comme si toutes les choses étaient de différentes couleurs… Je ne voulais plus faire de mal à qui que ce soit. »

David décide alors d’écrire une lettre à son père pour lui avouer ce qu’il avait fait. En effet son père n’avait aucun souvenir. Un jour son père lui a rendu visite en prison et lui a accordé son pardon.

À sa sortie de prison en 2000, David rejoint immédiatement le collège d’où il fera la rencontre de sa charmante épouse.  Aujourd’hui David est marié et père de 4 enfants et pour lui c’est une bénédiction de pouvoir avoir une telle vie, compte tenu des choses qu’il a faites.

« Jésus est ressuscité des morts et cela démontre qu’il y a un but à toute chose, qu’il y a un créateur et qu’il prend soin de nous. »




« Elle est encore ma fille, elle restera à jamais ma fille » : une mère se fraye un chemin à travers le mouvement transgenre

[Source : epochtimes.fr]

« Pourquoi prendre un corps sain et en faire un patient médical à vie ? »

Telle est la question qu’Amy s’est retrouvée à poser à sa fille adolescente, aux communautés médicales et scientifiques, et à la société dans son ensemble. Pour une mère qui n’a pas pu empêcher la transition de genre de sa fille, c’est plus qu’une question : c’est un cri de détresse.

Amy, comptable à Long Island, menait une vie normale avec son mari et ses deux enfants, un fils et une fille. Puis son monde a basculé. Elle a parlé de son épreuve à Epoch Times.

Une annonce qui a fait trembler la terre

En novembre 2019, la cadette d’Amy, Sage, une étudiante en deuxième année d’université âgée de 19 ans, a choqué ses parents en leur révélant qu’elle s’identifiait non pas à leur fille, mais à leur fils.

[Voir aussi :
Une mère récupère sa fille des griffes du programme Trans d’un collège]

Encore plus choquant et perplexe, elle s’identifiait désormais comme un homme gay.

« Le monde a changé », se souvient Amy. Alors qu’elle prononçait ces simples mots, il était clair qu’elle parlait d’un changement monumental : rien ne serait plus jamais pareil pour sa famille.

Sage n’était plus une enfant mineure et disposait donc de l’autonomie juridique nécessaire pour tracer sa propre voie. Contrairement aux parents d’enfants plus jeunes, « le seul recours que j’avais était de poser des questions », explique Amy.

Sa fille voyait un psychologue depuis qu’elle était en première année de lycée, et l’une des premières questions qu’Amy lui a posées a donc été de savoir si elle avait abordé la question lors de la consultation. Sa fille a répondu qu’elle n’était pas à l’aise pour le faire, et Amy a donc trouvé un thérapeute spécialisé dans les questions de genre.

À la consternation d’Amy, après une brève discussion, le thérapeute a commencé à s’adresser à Sage en utilisant le nom et les pronoms masculins qu’elle avait choisis. Le thérapeute a assuré à Amy que sa fille avait pleinement réfléchi à sa décision et lui a conseillé de soutenir Sage dans son choix.

Il suffit d’entrer et nous nous en occuperons

Dix jours plus tard, Sage a fait part de son intention de commencer un traitement à la testostérone, en prenant rendez-vous en ligne avec le Planning familial.

Considérant la crise de sa fille comme une crise psychologique, Amy s’est inquiétée des implications à long terme de ce choix. En tant que parent, elle s’est sentie obligée de prendre en compte l’avenir à long terme de son enfant.

En désespoir de cause, elle a contacté le Planning familial dans l’espoir de mieux comprendre le processus de la clinique. Elle a découvert un système qui prescrivait de la testostérone facilement et rapidement, sans évaluation psychologique. « Il suffit de venir et nous nous en occupons », lui a-t-on dit.

Sage a pris ses distances avec les conseils de ses parents.

Amy savait qu’elle avait besoin de quelqu’un d’autre pour persuader Sage de reconsidérer l’hormonothérapie. « J’ai contacté tous ceux qui pouvaient m’aider à ralentir le processus », explique Amy.

Amy a appelé l’ex-petit ami de Sage. Sa relation avec Sage avait pris fin à cause de sa confusion de genre.

« J’ai appelé le petit ami avec lequel elle avait rompu parce que je savais qu’il l’aimait et qu’ils se parlaient encore. Quoi qu’il ait dit, il lui a fait annuler ce [rendez-vous] », raconte Amy. Ce fut un sursis temporaire.

D’autres questions

La réaction d’Amy à la crise de sa fille reflète son propre penchant pour la pensée critique.

Elle interroge Sage sur sa nouvelle identité. Comment Sage pouvait-elle être certaine de se sentir un homme, étant donné qu’elle n’avait aucun cadre de référence en tant qu’homme biologique ?

Elle a incité Sage à explorer ses pensées et ses émotions intérieures plutôt que d’avoir recours aux hormones, ce qui risquerait de nuire à son corps et nécessiterait un suivi médical à vie.

Elle a présenté à Sage diverses méthodes d’exploration de soi, lui suggérant l’hypnose, les retraites, le yoga, la randonnée et les cures thermales.

Au grand désarroi de sa mère, Sage n’a manifesté aucun intérêt, ignorant ses suggestions ou accusant sa mère d’essayer de l’embrouiller. Parfois, elle réagit avec véhémence, recourant à la violence verbale et aux injures.

Douleur et impuissance

Amy se rend compte qu’elle ne fait qu’aggraver sa relation avec sa fille. Néanmoins, elle préférait risquer le mécontentement de ses enfants plutôt que de les voir prendre des décisions qui auraient de graves conséquences sur leur santé.

« En tant que parent, j’ai été très perturbée par le fait que je ne pouvais pas contrôler mes enfants, mais que je devais leur faire savoir ce que je voyais », avoue-t-elle.

Sa détresse a été aggravée par l’assentiment de son mari à la transition de genre de Sage. « Mon mari était plus fragile que moi », confie Amy, et il avait peur des menaces suicidaires de Sage. « Elle nous criait que si elle se tuait, ce serait de notre faute.

Selon Amy, son mari « vient d’un endroit différent et a besoin d’être aimé ». Il avait besoin de la sécurité que lui procurait l’amour de ses enfants. Bien que cela soit compréhensible, elle pense que cela l’a rendu plus sensible à la manipulation émotionnelle.

En conséquence, le mari d’Amy lui faisait souvent des reproches à la suite de disputes verbales avec Sage. Elle se sentait de plus en plus isolée.

Faire le deuil d’un enfant

Un jour d’avril 2020, après une série d’échanges houleux, Amy a pris la décision déchirante de demander à Sage de quitter la maison, plutôt que d’endurer sa violence verbale continue.

Sage s’est installée chez un ami, Owen. « Owen est en fait une jeune femme qui prend de la testostérone depuis un certain temps et qui, comme Sage, s’identifie comme un homosexuel. »

Amy a été bouleversée lorsque sa fille a quitté la maison. Elle s’est sentie émotionnellement à la dérive et a pleuré la perte de son enfant.

« Je pleure encore au lit tous les soirs. Je pleure encore la perte d’un enfant qui m’a été arraché », admet-elle. De plus, son mari ne la soutenait pas.

« J’étais très seule. Les seules personnes qui me soutenaient étaient mes parents. »

La mère d’Amy a tenté de décourager Sage de procéder à la transition, ayant été témoin des graves implications d’une telle décision. Sage a réagi en coupant toute communication avec sa grand-mère, en bloquant son numéro de téléphone et son mail.

Amy a également cherché de l’aide au sein de la communauté, en participant à des réunions de soutien familial suggérées par un conseiller.

Ces réunions étaient organisées par PFLAG, une organisation nationale « dédiée au soutien, à l’éducation et à la défense des personnes LGBTQ+ et de leurs familles », selon le site Internet de l’organisation.

Amy a rapidement conclu que l’intérêt principal de PFLAG était d’obtenir des financements publics en fonction du nombre de parents participants, et non de soutenir véritablement les familles confrontées à des situations difficiles. Après deux réunions, elle a décidé que le soutien sans faille à la transition de genre offert par de nombreux membres de PFLAG ne lui était d’aucune utilité.

Votre ordonnance est prête

En mai 2020, Amy a reçu un SMS de la pharmacie l’informant qu’une ordonnance était prête. Lorsqu’elle a réalisé que « TES » signifiait « testostérone », elle a décidé d’intercepter l’ordonnance. Il s’en est suivi une confrontation avec Sage, qui était furieuse.

Sage a finalement commencé à prendre de la testostérone et a légalement changé son nom pour un nom qui correspond à son identité masculine. Elle a également entamé une relation avec Owen, qu’Amy qualifie de « vraiment bizarre ».

« C’est une relation lesbienne, mais ils pensent qu’ils sont deux hommes gays », explique Amy.

Tout au long des sept mois que Sage a passés avec Owen, Amy a fait de son mieux pour maintenir un lien avec sa fille. « Il est toujours important pour moi de faire savoir à mes enfants que je les aime », convient Amy. Elle a régulièrement envoyé des mèmes ou de brefs messages à Sage et a même remis du courrier en main propre au domicile d’Owen. Malgré ses efforts, la relation est restée distante. Amy se sentait profondément seule.

En novembre 2020, Sage a soudainement décidé de rentrer chez elle. Lorsqu’Amy a demandé pourquoi, Sage a répondu qu’Owen l’avait trompée avec une autre femme.

Bien qu’elles soient à nouveau sous le même toit, la relation entre Sage et Amy ne s’est pas améliorée. Sage ne voulait pas être là, mais il était évident pour Amy qu’elle n’avait pas d’autre endroit où aller. Il y a eu une « trêve silencieuse dans la maison pendant de nombreuses semaines ».

En avril 2021, la tension dans la relation entre Amy et son mari était devenue si forte qu’ils ont commencé à envisager le divorce.

Elle est toujours ma fille

Sage a maintenant 23 ans, a obtenu son diplôme universitaire l’année dernière et vit avec son père. Elle est sous testostérone depuis plus de deux ans.

Amy décrit la transformation physique de Sage comme étant frappante : « Son corps n’est plus le même. Ses organes génitaux se sont transformés en quelque chose d’autre. Elle bande ses seins. Elle a des poils sur le visage et sur le corps ».

Néanmoins, Sage est « encore ma fille », reconnaît Amy. « Elle restera à jamais ma fille ».

Amy exprime de profondes inquiétudes quant à la permanence des choix de Sage.

« Elle n’a plus ses règles. Elle ne pourra peut-être jamais concevoir d’enfant ; qui sait ? Et si elle se coupe les seins, elle ne pourra jamais allaiter un enfant », soupire Amy.

Même si elle sait que Sage ne comprend pas tout à fait ce qu’elle abandonne, elle est impuissante : « Je serai toujours sa mère. [Mais] c’est son chemin. C’est son voyage. Je ne peux rien y faire ».

« Par contre, je peux faire quelque chose dans ma vie, sensibiliser les autres, parler à tous ceux qui veulent avoir une conversation. Je suis prête à discuter. [Je sais] ce qui est en jeu. »

Bien que Sage semble avoir réussi la transformation physique souhaitée, Amy note que le cercle d’amis de sa fille ne s’est pas élargi et qu’elle ne semble pas plus heureuse. Elle a « rétréci la route », constate sa mère. « Quel est le but recherché ?

Pièges en ligne

Bien que l’annonce de Sage ait semblé être un coup de tonnerre, avec le recul, Amy peut mettre le doigt sur un coupable évident : l’Internet. Comme beaucoup d’adolescents, dans les moments de doute et de malaise, Sage avait recours à Google pour trouver des réponses, disparaissant souvent dans « un trou de lapin ».

« Je pense vraiment qu’Internet a eu une très grande influence sur elle », estime Amy.

Amy s’inquiète des nombreux pièges qui attendent les adolescents en ligne, affirmant qu’Internet, les moteurs de recherche comme Google et le mouvement transgenre posent collectivement des risques importants pour la sécurité des femmes et des enfants.

Elle pense que la confusion des genres et l’insatisfaction actuelle de sa fille sont liées à la diffusion insidieuse de la pornographie dans la société, facilitée par l’Internet.

Elle cite l’exposition croissante des jeunes Américains à des contenus malsains, les enfants tombant involontairement sur du matériel explicite en ligne. Cette exposition conduit souvent à la dépendance et désensibilise les jeunes aux représentations violentes et abusives des femmes, souligne-t-elle.

Elle se demande si de telles influences ont joué un rôle dans la décision de Sage de changer de sexe. Dans une relation précédente, Sage aurait-elle pu être poussée dans des situations inconfortables par quelqu’un qui utilisait la pornographie ? Amy ne le saura probablement jamais.

Amy a souligné la dépendance de nombreux jeunes à l’égard de leurs smartphones, de l’Internet et du monde numérique, notant que ces obsessions peuvent fausser la perception des relations saines. Elle estime que la recherche d’une gratification instantanée par le biais des médias numériques a fait oublier à beaucoup de gens comment établir des liens significatifs avec les autres.

Autres influences

Les influences en ligne ne sont qu’une partie du problème, note Amy. Il semble que, quel que soit l’endroit où se tourne sa fille, il y a des influences qui promeuvent agressivement un certain programme.

Elle a exprimé sa frustration à l’égard des politiques qui permettent aux transgenres d’accéder librement aux toilettes des femmes, aux vestiaires et aux sports.

Elle se lamente : « Pourquoi donner à un prédateur — comme un loup déguisé en agneau — pourquoi laisser quelqu’un qui n’a pas de bonnes intentions entrer dans les toilettes [des femmes], dans les vestiaires des filles, jouer dans les sports féminins… Pourquoi faciliter les choses ? »

Amy pense que Sage a été endoctrinée au lycée, principalement par l’intermédiaire de la Gay-Straight Alliance (GSA). Malgré ses doutes quant à l’implication de sa fille dans la GSA, elle supposait que le club était simplement destiné à favoriser la compréhension. Plus tard, elle a conclu qu’il s’agissait en fait d’un moyen d’endoctrinement et de contenu explicite.

Un chemin vers la compréhension de soi

Malgré les difficultés, Amy a déclaré qu’à certains égards, sa vie s’est améliorée et qu’elle a grandi.

D’une part, après une année de « flottement », elle a trouvé une communauté de soutien composée de « parents partageant les mêmes idées, de parents qui se posaient également des questions ». Aujourd’hui, elle anime deux groupes de soutien aux parents à Long Island et à New York.

Ces groupes, qui fonctionnent par l’intermédiaire de Parents of Rapid-Onset Gender Dysphoria Kids (PROGDK), se réunissent tous les mois et offrent aux parents une plateforme pour partager leur histoire et leur peine, et se sentir moins isolés face aux problèmes de transsexualité de leurs enfants.

PROGDK est une organisation composée de parents confrontés à la décision soudaine et inattendue de leurs enfants de s’identifier au sexe opposé, un phénomène appelé par les chercheurs « dysphorie de genre à apparition rapide » (ROGD).

Amy a récemment participé à Dead Name. Ce documentaire indépendant n’est ni conflictuel, ni sensationnel, ni politique, dit-elle. Il offre plutôt un aperçu profondément personnel de la vie de trois parents dont la vie a été bouleversée à jamais lorsque leurs enfants se sont déclarés transgenres.

Amy participe également à diverses manifestations. Elle s’est imposée comme défenseur de la liberté d’expression et exprime ouvertement ses inquiétudes quant à l’impact généralisé du mouvement transgenre sur la société.

Progrès scientifiques et conséquences sociales

Amy estime qu’il est essentiel de réfléchir aux implications plus larges de ce qu’elle qualifie de phénomène social « néfaste ».

Pourquoi tant d’adolescents acceptent-ils d’échanger leur corps sain contre ce qu’elle considère comme une maladie à vie ? Elle suppose que les motivations financières des grands laboratoires pharmaceutiques, des hôpitaux et de l’industrie médicale au sens large pourraient être en jeu.

« Il n’y a qu’une seule réponse. Elle s’appelle ‘argent’ ! Alors, qui a intérêt à ce que les choses se passent ainsi ? Les grandes sociétés pharmaceutiques, l’industrie médicale et les hôpitaux ».

Elle s’interroge également sur les effets à long terme des traitements hormonaux substitutifs à grande échelle et de la modification chirurgicale des êtres humains, en particulier dans le contexte de la chute des taux de fertilité et de la baisse des niveaux de testostérone chez les hommes.

« Que se passera-t-il si tout le monde commence à se couper des parties de son corps ? Où cela nous mènera-t-il en tant qu’êtres humains ? » demande Amy. « Les gens perdent leur capacité à procréer. Nous sommes en fait en train de faciliter notre propre extinction. Ce sont de grandes questions auxquelles personne ne veut penser. »

Amy estime qu’il existe des phénomènes nocifs à grande échelle dans la société qui sont totalement immoraux, le transgendérisme chez les adolescents étant l’un d’entre eux.

« Il se passe quelque chose qui nuit à l’humanité, énormément, énormément. »




Coromanipulus : malgré les mensonges médiatiques, les choses avancent

[Source : serenite-patrimoniale.com]

Par Hubert Boeltz

Introduction :

Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.

Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider.

De belles choses se passent… sous les radars médiatiques :

Dans mon billet de mardi dernier, j’évoquais le rôle « convenu » des syndicats des personnels de la banque de France. Il y a plus désolant. La Française Virginie JORON, députée européenne, membre de la « Commission spéciale sur la pandémie de COVID 19 », nous apprend que grâce aux votes de certains de ses collègues français et non des moindres, les laboratoires pharmaceutiques n’indemniseront pas les victimes des « injections forcées » de ces derniers mois.

Il est des faits à garder en mémoire… jusqu’aux prochaines élections !!!

Dans l’indifférence des élites mondiales, une « surmortalité inexpliquée » ne cesse d’augmenter. Nous sommes actuellement dans une situation, où d’une part, le syndrome de « la servitude volontaire » touche une grande partie de la population. D’autre part, beaucoup de médecins se rendant compte de leurs erreurs « d’appréciation Corocambolesques » n’osent pas publiquement le reconnaître.

Et pourtant… les effets secondaires existent officiellement. Une partie est même indemnisée… dans le silence assssourdissant des « merdias de grand chemin » !!!

Heureusement, certains résistent et n’hésitent pas à témoigner, tel le cardiologue Jean STEVENS… vacciné et victime d’effets indésirables. Tel aussi, le docteur Amine UMLIL, qui relaie des décisions de justice désavouant le ministre de la Santé sur certaines de ses décisions.

Du côté des militaires, l’Association Professionnelle Nationale de Militaires-Militaires libres (APNM) n’hésite pas à « ferrailler » avec le gouvernement, pour faire cesser les mesures illégales prises à l’encontre des militaires.

Cette vague de fond se développe partout dans le monde. J’ai déjà relaté aux abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert », la naissance de « l’ordre universel des praticiens de la santé » (OUPS), en Belgique.

Aux pays bas, la Fondation Recht Oprecht a entamé des procédures judiciaires demandant des dommages et intérêts à seize personnalités politiques du gouvernement hollandais, ainsi qu’à Bill GATES et le PDG de Pfizer, Albert BOURLA !!!

Au Canada, ce sont plus de trois cents militaires qui assignent l’armée canadienne et le chef d’état-major de la défense pour « abus de pouvoir » de la part du commandement des forces armées canadiennes. Ils estiment avoir subi de « graves conséquences » comme la perte de leur carrière ainsi que leurs droits. Ils réclament un dédommagement à hauteur de… 500 millions de dollars !!!

En Autriche, un fonds d’indemnisation est en cours de mise en place pour « la compensation Corona » au profit des victimes de cette campagne. Un avocat se concentre sur la responsabilité des « médecins vaccinateurs ». Pas moins de 1 851 demandes d’indemnisation en raison des dommages causés par le vaccin corona ont été soumises au ministère autrichien de la Santé. Quatre-vingt-huit d’entre eux ont été reconnus à ce jour. Dans soixante-douze cas, il y a eu un paiement unique de deux mille euros, les seize personnes restantes reçoivent une pension mensuelle de 700 euros !!!

Comme vous le constatez, le temps travaille au bénéfice de la vérité.

« Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée.
Ensuite, elle subit une forte opposition.
Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence »
(Arthur Schopenhauer)

Chers lecteurs résistants, de la première heure ou plus tardivement rallié à cette noble cause, je vous aime et vous salue.




Le traité pandémies de l’OMS n’est pas fait pour améliorer la santé des populations, mais celle de Big Pharma

[Source : @Cielvoile]

Maria Zeee interviewe l’avocat Roguski sur le traité pandémies de l’OMS






Le tatouage, une marque de vulgarité à perpétuité

[Source : bvoltaire.fr]

Par Charles-Henri d’Elloy

On ne discute pas des goûts et des couleurs, mais c’est pourtant ce qui nous rapproche, bien plus que les opinions. Lorsque je demande aux personnes tatouées pourquoi elles se sont fait tatouer, elles répondent le plus souvent que c’est pour affirmer leur personnalité. Autrement dit, elles se singularisent en suivant une mode qui sévit depuis déjà plusieurs années. Mais quoi de plus commun et d’impersonnel que de faire allégeance à la mode ? Jadis, le tatouage était la marque de quelques galfâtres marginaux et de marins qui affichaient pour toujours les stigmates de leurs exploits. Aujourd’hui, nous sommes bien loin du bagnard Henri Charrière, surnommé « Papillon » parce que des Indiens lui avaient tatoué un spécimen de lépidoptère sur le buste. Tout le monde ou presque, hélas, veut son tatouage, à tel point qu’une émission de télévision lui est consacrée.

Par définition, une mode est éphémère. Celles de porter des pantalons à pattes d’éléphant, des mocassins à glands ou des queues de cheval pour les hommes étaient bien innocentes en comparaison de la vogue du tatouage. Car cette dernière aura des traces éternelles. Le motif étant définitif, il faudra le supporter à vie, même lorsque le temps aura fait son œuvre et que les ailes du bel oiseau fixé sur une peau juvénile ressembleront, quelques décennies plus tard, à celles d’un goéland après le passage de l’Amoco Cadiz. Lorsque les beaux jours arrivent et que les corps se dénudent, je suis toujours navré de voir des jeunes filles à la peau d’une blancheur liliale souillée à jamais par un tatouage indélébile. Sans compter que l’injection intradermique, plus ou moins douloureuse, n’est pas sans risque. Le Syndicat national des dermatologues-vénéréologues met en garde : selon les recherches menées par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, les composants des encres injectées sous la peau peuvent contenir des métaux toxiques. Curieusement, les pouvoirs publics, d’habitude si prompts à nous prévenir de toutes sortes de dangers au sujet des colorants, des pesticides, de l’amiante, du tabagisme, des particules fines (ce ne sont pas des aristocrates spirituels)… j’en passe et des meilleures, demeurent très discrets sur la question. À notre époque hygiéniste et frileuse, c’est étonnant. Nous verrons bien si les maladies de peau exploseront à l’avenir.

Personnellement rétif à la moindre piqûre, prétendument pour mon bien, je ne me vois pas souffrir pour me faire tatouer un dessin que je risque de ne plus voir en peinture après quelques années. D’autant que l’addition est salée et non remboursée par la Sécurité sociale. Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un dessin de Modigliani dans son dos, comme Jean Gabin dans le film Le Tatoué, avec Louis de Funès, réalisé par Denys de La Patellière. Les sociologues expliquent que la mode du tatouage exprime le besoin de s’approprier son corps. J’aurais plutôt tendance à vouloir refiler le mien pour un plus beau… Mais je n’ai jamais trouvé qu’un tatouage, aussi artistique soit-il, embellissait le corps de son commanditaire. Comme la plupart du temps, le besoin de se singulariser de manière ostentatoire trahit plutôt un vide intérieur, et c’est ainsi que pour se démarquer, on finit par se faire tatouer pour ressembler à tout le monde, ce qui est la définition de la vulgarité.




L’insidieuse vérité sur les repas scolaires gratuits

Les Nations unies militent en faveur de la gratuité universelle des repas scolaires, mais ce niveau de contrôle serait facilement détourné.

Par Kit Knightly

Une campagne internationale se développe pour instaurer la gratuité des repas scolaires dans le monde entier. À première vue, il s’agit d’une excellente idée…
mais à l’ère de la nouvelle normalité, rien n’est jamais vraiment gratuit.
Alors, déballons…

La campagne est menée par la Coalition pour les repas scolaires (SMC), soutenue par les Nations unies, dont l’objectif autoproclamé est « des repas scolaires gratuits pour chaque enfant d’ici 2030 » (pour une raison quelconque, ils sont obsédés par cette date).

[Voir aussi :
Agenda 2030
Great Reset ou Réinitialisation
Klaus Schwab et Harari]

La SMC compte déjà plus de 80 gouvernements nationaux signataires de son engagement, avec plus de 90 « partenaires » (dont la Fondation Rockefeller), et ces chiffres sont susceptibles d’augmenter après leur présentation au Sommet mondial de l’alimentation de l’ONU plus tôt aujourd’hui.

Dans le même temps, la Coalition reçoit des articles de presse élogieux, comme celui-ci du rédacteur économique du Guardian, Larry Elliot :

Pour que le système fonctionne, les pays riches devraient financer environ un tiers du coût annuel de 6 milliards de dollars, le reste étant financé par les gouvernements des pays à faible revenu au moyen de leur budget ou d’idées de financement novatrices telles que l’échange de créances contre des repas scolaires, dans le cadre duquel les pays canaliseraient les économies réalisées grâce à l’allègement de la dette vers des programmes de repas scolaires. À l’heure où les budgets d’aide sont réduits, 2 milliards de dollars par an ne sont pas grand-chose pour les gouvernements donateurs et ne représentent que l’équivalent d’une journée de subventions annuelles aux producteurs de denrées alimentaires. C’est un petit prix à payer pour quelque chose qui pourrait faire tant de bien.

Ce programme se cache dans l’ombre de la politique britannique depuis un certain temps, la députée travailliste Zarah Sultana ayant été la première à promouvoir la gratuité des repas scolaires pour tous les enfants de l’enseignement primaire à l’hiver 2022.

Il est étrange d’écrire sur ce sujet avec scepticisme, car, en tant que gauchiste autoproclamé depuis toujours, la gratuité des repas scolaires est exactement le type de politique que j’aurais probablement soutenue sans poser de questions il y a quelques années à peine…

… mais ces quelques années ont été des années Covid, et elles nous ont beaucoup appris.

Premièrement, et c’est le plus important, il est devenu de plus en plus évident qu’une politique n’est juste que dans la mesure où les personnes qui la mettent en œuvre le sont, et qu’elle n’est décente que dans la mesure où l’intention qui la sous-tend l’est aussi, et, aussi superficiellement humain que ce plan puisse paraître, l’impact pratique serait de confier encore plus de contrôle au même État meurtrier et eugéniste qui a récemment tué des milliers de personnes par un mensonge.

Deuxièmement, un monopole est un monopole — qu’il soit privé ou soutenu par l’État — et dès lors qu’un monopole existe, la liberté de choisir est morte. La liberté de choix est toujours la première liberté à disparaître, mais jamais la dernière.

Réfléchissez un instant à ce que signifie exactement la gratuité des repas scolaires dans un monde post-covidique encore sous le choc d’une crise financière délibérément créée et au milieu d’une transformation de type « Grande Réinitialisation ».

  • 1) Le coût de la vie monte en flèche et de nombreux parents — qu’ils travaillent ou qu’ils soient au chômage — n’ont tout simplement pas les moyens de chauffer leur maison ou de nourrir leurs enfants.
  • 2) Le « Covid » a provoqué une forte augmentation du nombre d’enfants scolarisés à domicile dans tous les pays du monde.
  • 3) une campagne est en cours pour « révolutionner les systèmes alimentaires mondiaux » en encourageant la consommation d’insectes, d’OGM et de « viande » produite en laboratoire.

Traçons le point d’intersection de toutes ces politiques.
De quoi s’agit-il ?
Essentiellement, les repas scolaires gratuits peuvent être utilisés pour…

  • a) contrer l’augmentation de la scolarisation à domicile en soudoyant ou en contraignant les parents en difficulté à garder leurs enfants à l’école pour qu’ils puissent être nourris ;
  • b) conditionner les enfants (et leurs parents) à accepter de manger tout ce que l’État choisit de leur fournir — qu’il s’agisse de végétalisme GM « sain », de hamburgers d’insectes ou de pâtes alimentaires cultivées en laboratoire ;
  • c) ce conditionnement contribuera à normaliser l’acceptation plus générale de ces « aliments ».

Et il ne s’agit là que de la phase passive du contrôle. Nous pouvons supposer que cela ne s’arrêtera pas là, car ce n’est jamais le cas.

Peut-être que les repas scolaires gratuits seront un jour liés à l’acceptation des paiements du revenu de base universel, ou conditionnés à votre carte d’identité numérique ou à votre score de crédit social.
Peut-être que seuls les enfants vaccinés auront droit aux repas scolaires gratuits.
Je suis sûr que vous voyez où je veux en venir.
La triste vérité, c’est que nous vivons à une époque où les entreprises et les États sont de plus en plus envahissants et hostiles à l’être humain.
La nourriture sera peut-être gratuite au sens financier du terme, mais il y aura très certainement un prix à payer.




Pascal Najadi témoigne des graves effets secondaires depuis ses injections Pfizer

[Source : JSF – TV – Mediapole]






Une jeune femme poursuit des médecins pour lui avoir retiré ses « seins en bonne santé » à l’âge de 18 ans

Par Zachary Stieber

[Source : epochtimes.fr]

Une Américaine a intenté un procès aux médecins qui lui ont prescrit de la testostérone alors qu’elle était mineure et qui lui ont enlevé les seins à l’âge de 18 ans.

Prisha Mosley, 25 ans, affirme que les médecins ont commis une escroquerie et une faute médicale avec ces actes, qui étaient fondés sur des affirmations selon lesquelles ils aideraient à résoudre des problèmes de santé mentale tels que la dépression.

« Les défendeurs ont menti à une jeune adolescente vulnérable, victime d’une agression sexuelle et souffrant d’une déficience et d’un handicap psychologiques graves, et ils lui ont caché des informations cruciales », peut-on lire dans la plainte déposée en Caroline du Nord.

« Au lieu de lui fournir un traitement compétent pour sa dépression, son anxiété, ses idées suicidaires, son automutilation et son trouble de la personnalité limite émergent, ils l’ont convaincue que le fait de changer son corps pour ressembler au sexe opposé résoudrait ses handicaps mentaux considérables qui la tourmentaient depuis des années. »

Les médecins ont maintenu Prisha Mosley sous testostérone alors que ses problèmes mentaux ne s’atténuaient pas. Des conseillers lui ont ensuite recommandé de subir une ablation des seins dans le cadre de ce qu’ils ont appelé son « chemin vers la réalisation de soi ».

Les seins de Prisha Mosley ont été enlevés par le Dr Eric Emerson, un chirurgien plasticien, en 2016.

Les documents qu’elle a signés indiquent qu’il s’agissait d’une « réduction mammaire » destinée aux femmes à forte poitrine, mais que les seins ont été entièrement enlevés. Aucun texte n’indiquait que l’intervention était irréversible.

Aujourd’hui, Prisha Mosley ne peut pas allaiter un enfant et risque de ne pas pouvoir tomber enceinte en raison des effets secondaires de la testostérone et de l’ablation des seins.

Selon Prisha Mosley, les défendeurs ont dissimulé des informations sur les effets secondaires possibles dans le but de gagner de l’argent et de renforcer leurs références. Le Dr Emerson, par exemple, a déclaré que sa première opération « d’affirmation du genre » avait été pratiquée sur Prisha Mosley. Peu après l’opération, il a participé à la création du Charlotte Transgender Healthcare Group.

L’action en justice vise à obtenir des dommages-intérêts compensatoires et punitifs qui seront déterminés lors d’un procès. Prisha Mosley a lancé séparément une collecte de fonds pour couvrir ses frais médicaux.

Cone Health, l’un des défendeurs, s’est refusé à tout commentaire. Les autres défendeurs n’ont pas répondu aux demandes de renseignements.

Ses batailles

Prisha Mosley, née Abigail Mosley, a souffert de problèmes mentaux pendant son enfance. Les choses ont empiré après une agression sexuelle commise par un homme plus âgé qu’elle à l’âge de 14 ans, qui s’est soldée par une fausse couche. L’année suivante, elle a été hospitalisée pour dépression et s’est vu prescrire des médicaments, dont un antipsychotique. Elle a tenté de se suicider.

Le chemin vers l’ablation des seins s’est accéléré lorsque Prisha Mosley a été orientée par son médecin traitant vers une diététicienne, qui l’a ensuite orientée vers le Dr Martha Fairbanks Perry.

Un interne supervisé par le Dr Martha Fairbanks Perry a noté, lors de la première visite de Prisha Mosley, que cette dernière souhaitait subir une ablation des seins et devenir un homme, en partie parce qu’elle pensait que son anorexie était due à son désir d’avoir des seins plus petits. Le résident a conclu, sur la base de cette seule visite, que Prisha Mosley traversait une « crise d’identité sexuelle » et que cette crise était « très probablement la cause sous-jacente de ses troubles alimentaires et de sa détresse émotionnelle ».

Le Dr Martha Fairbanks Perry a validé le diagnostic et a souligné l’importance de traiter les symptômes, y compris la dysphorie de genre, lors d’une rencontre peu après.

Prisha Mosley s’améliorait en suivant un programme alimentaire, mais le Dr Perry l’a quand même poussée à faire une transition, selon la plainte. À un moment donné, après que Prisha Mosley ait demandé au médecin si elle devait quitter la maison et vivre avec un ami adulte, le Dr Perry lui a dit « vous pouvez partir » et « vous allez vous en sortir et être capable de vivre comme la personne que vous devriez être. Je vous soutiens ».

Les parents de Prisha Mosley ont résisté à l’idée d’envoyer leur fille chez un thérapeute spécialisé dans les soins aux transsexuels, mais la mère a cédé après une discussion « approfondie », selon le résident.

Prescription de testostérone

Prisha Mosley a commencé à consulter des conseillers, notamment Shana Gordon et Brie Klein-Fowler. Après une brève séance, Shana Gordon a déterminé que Prisha Mosley était en fait un garçon et que le fait de changer de corps résoudrait bon nombre de ses problèmes, selon la plainte. Shana Gordon a fourni une lettre de recommandation pour les injections de testostérone qui citait les directives de la World Professional Association for Transgender Health (WPATH), bien que nombre d’entre elles ne soient pas respectées.

L’une d’entre elles, par exemple, stipule que les professionnels doivent proposer une évaluation et une formation approfondies sur les options thérapeutiques. Selon Prisha Mosley, cela n’a pas été le cas. Shana Gordon aurait également écrit à tort que Prisha Mosley n’avait pas de problèmes « liés à l’humeur » et qu’il n’y avait aucune preuve de « psychopathologie ou d’altération du jugement ».

Le Dr Martha Fairbanks Perry a prescrit de la testostérone sur la base de la recommandation de Shana Gordon, tout en étant consciente des problèmes mentaux de Prisha Mosley. Le Dr Perry a dit à Prisha, au moment de la prescription, que l’injection de testostérone dans son corps était « médicalement nécessaire et appropriée et qu’elle guérirait ses problèmes psychologiques, renforçant ainsi les fausses déclarations de la défenderesse Gordon et induisant Prisha encore plus en erreur », selon le procès.

Le Dr Martha Fairbanks Perry n’aurait pas informé Prisha Mosley, âgée de 17 ans à l’époque, des effets secondaires possibles, notamment l’atrophie vaginale et la perte de densité osseuse.

Après que Prisha Mosley a exprimé son inquiétude au sujet d’un écoulement étrange de son mamelon, le Dr Perry aurait déclaré : « Nous ré-induisons la puberté et vous aurez donc les mêmes symptômes qu’un homme qui commence la puberté. Un gonflement et une sensibilité des seins peuvent se produire. C’est normal. » On a également dit à Prisha Mosley qu’un pénis lui pousserait, selon la plainte.

Lors des visites de suivi, les problèmes mentaux de Prisha Mosley ne se sont pas atténués, mais le Dr Martha Fairbanks Perry n’a pas évoqué la possibilité d’arrêter le traitement à la testostérone.

Ablation des seins

Prisha Mosley se préparait à subir une ablation des seins. À cette fin, elle a demandé par écrit à Mme Klein-Fowler une lettre de recommandation. : « Tout ce que vous aurez à mentionner, c’est de préciser que vous êtes mon thérapeute, que vous me connaissez et que vous confirmez que je suis trans, que je souffre d’une dysphorie de genre sévère et que j’ai besoin d’une chirurgie du haut », souhaitait Prisha Mosley.

« J’aimerais que nous en parlions plus longuement et j’en écrirai une après notre entretien. J’espère pouvoir vous aider à obtenir ce dont vous avez besoin ! » a répondu Mme Klein-Fowler.

Le lendemain, après avoir vu Prisha Mosley, Mme Klein-Fowler a envoyé un projet de lettre, tout en reconnaissant qu’elle n’avait pas accès aux lignes directrices de la WPATH. Et comme Mme Gordon, Mme Klein-Fowler n’avait pas les qualifications requises pour émettre une telle recommandation, selon la plainte.

Mme Klein-Fowler a écrit que Prisha Mosley avait fait des recherches approfondies sur les options qui s’offraient à elle, qu’elle prenait cette décision en toute connaissance de cause et qu’elle avait bon espoir que Prisha puisse poursuivre son chemin vers la réalisation de soi avec l’aide de cette procédure. Les problèmes mentaux de Prisha Mosley n’ont pas été mentionnés.

Prisha Mosley a ensuite rencontré le Dr Eric Emerson qui a affirmé que l’ablation des seins aiderait la patiente. Il a « dissimulé » les problèmes que l’ablation entraînerait, comme la perte de la capacité d’allaiter un enfant, selon Prisha Mosley.

Le Dr Eric Emerson a pratiqué l’opération malgré les documents signés par Prisha Mosley, qui ne mentionnaient pas l’ablation, selon la plainte. Les documents indiquaient qu’il s’agissait d’une réduction mammaire.

Le Dr Eric Emerson aurait dit à Prisha Mosley qu’il voulait se lancer dans la chirurgie du genre et que cette opération serait sa première.




Ondes : les guerres invisibles

[Source : @Roms17]

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées.]






Kéfirs et Kombuchas contre le graphène

[Source : xochipelli.fr]

Champignons, Enzymes, Bactéries et autres Micro-Organismes susceptibles, potentiellement, de détruire les nanomatériaux à base de Graphène

Chapitre 2. Les Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie pour la bio-remédiation des dérivés de Graphène dans l’organisme humain

[Cet article fait suite à Des champignons contre le graphène]

Par Dominique Guillet

Sommaire

  • Le Secret des Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie, c’est la « fermentation »
  • Les Kombuchas

    • Composition nutritionnelle
    • Infusions des Thés et Fermentations des Kombuchas
    • Bactéries et Levures composant le Microbiote
    • Qualités médicinales
    • Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives
    • Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques
    • Kombucha et matériaux nanoparticulaires de Graphène
    • Autres Types de Kombuchas

  • Les Kéfirs de lait

    • Composition nutritionnelle
    • Bactéries et Levures composant le Microbiote
    • Extrême Diversité des Microbiotes
    • Interactions entre les Levures et les Bactéries
    • Qualités médicinales
    • Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques
    • Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives

  • Les Kéfirs d’eau

    • Composition nutritionnelle
    • Bactéries et Levures composant le Microbiote
    • Interactions entre les Levures et les Bactéries
    • Qualités médicinales
    • Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques


Le Secret des Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie, c’est la « fermentation »

L’objectif, transparent et déclaré, de la seconde partie de ce dossier, très volumineux, est de proposer que les Kéfirs, les Kombuchas et autres Élixirs de longue vie — qui ont, déjà, et depuis des millénaires, été considérés comme des boissons extrêmement médicinales et qui ont, déjà, récemment, été validés pour leurs propriétés de bio-remédiation de substances toxiques, dont radioactives — puissent constituer l’une des premières lignes de défense antioxydantes afin de dégrader, et de désactiver, dans l’organisme humain, tous les dérivés nanoparticulaires de la famille du Graphène — et, en vérité, au-delà du Graphène, tous les matériaux nanoparticulaires métalliques, ou autres, qui n’ont aucun office dans l’organisme humain.

Dès 2002, une étude avait été publiée sur la capacité des Kéfirs de lait de réparer les lésions de l’ADN induites par des lumières ultra-violettes. [43]Une étude, de 2016 a, également, mis en exergue cette propriété de régénération de l’ADN — avec un Kéfir de miel. [79]

Un certain nombre d’études ont validé la capacité des bactéries et des levures du Kombucha de remédier à la radioactivité ou de s’en protéger.

Une étude de janvier 2021, « The protective effect of Kombucha against silver nanoparticles-induced toxicity on testicular tissue in NMRI mice », a mis en exergue la capacité du Kombucha de réduire les effets néfastes des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire et d’améliorer la fonction du système reproducteur masculin. [27]

Il est à noter que le Kombucha peut être utilisé, comme vecteur « vert/eco-friendly », pour réduire l’oxyde de graphène en oxyde de graphène réduit. [45]De plus, ainsi que nous le verrons dans la section « Kombuchas. Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives », le Kombucha, est, même, utilisé en synergie avec du graphène afin de dépolluer l’environnement ! C’est, totalement, affligeant… car qui va décontaminer l’environnement humain, et planétaire, du poison que constitue le Graphène ? En autres élixirs, le Kombucha… nous l’espérons.

D’autant plus que toutes ces boissons de Longue Vie possèdent des qualités anti-génotoxiques, antioxydantes, antitumorales, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques [35], anti-prolifératives, etc. entre autres qualités extrêmement médicinales — et reconnues par les Peuples depuis l’Aube des Temps. Et c’est sans évoquer les qualités de relaxation induites par sa teneur en éthanol — faible mais, nonobstant, perceptible par des gens sensibles.

En ce qui concerne les boissons alcoolisées, telles que la bière et le vin, des données issues de recherches récentes confirment que leur « émergence »aurait contribué à la transition de nos ancêtres de chasseurs-cueilleurs à agriculteurs/éleveurs.

En fait, même, selon des hypothèses plus audacieuses, l’agriculture/élevage aurait été, tout bonnement, inventée par des Peuples — déjà bien nourris par Mère Nature — pour la production de boissons et d’aliments fermentés, souverains pour une santé harmonieuse, et pour la production de boissons alcoolisées… très relaxantes.

D’autant plus relaxantes, d’ailleurs, sur le plan des programmations neurolinguistiques, que les shamans de ces Peuples avaient, fort bien, compris que le Règne des Fungi — que ce soit des Psilocybes ou des levures en fermentation dans des Somas et autres Hydromels — constitue l’un des portails les plus adéquats vers l’autre côté du Voile… et vers l’écoute de l’Altérité s’exprimant au travers de la Mère, de ses Muses et Dakinis, des animaux de pouvoir… ou d’une libellule en pirouettes.

Pour les amateurs d’émotions fongiques, voir mon dossier « Récapitulatif de mes divers articles, traductions et dossiers sur les Champignons Enthéogéniques ».

Le titre de ce dossier évoque les « autres Élixirs de longue vie » qui existent chez tous les Peuples de la Planète… depuis qu’ils ont maîtrisé les processus de fermentation. Ces breuvages, et autres aliments, fermentés sont pléthoriques et ils sont traditionnellement utilisés depuis des millénaires — tels que le « Ryazhenka » en Russie [101], les « Amasi » et « Mahewu » en Afrique du Sud [109], le « Kvass » en Russie et Europe de l’Est, « l’Hardaliye » en Turquie, la « Chicha » au Pérou [115], le « Koumis » en Asie, le « Boza » d’Europe de l’Est, le « Tchang » au Tibet, les « Mabisi », « Munkoyo » et « Chibwantu » en Zambie [74] [87], le « Poliuhquioctli/Pulque » des Nahuatl au Mexique [102], le « Pozol » des Mayas au Mexique [102], « Ginger Beer » en Angleterre, le « Sima » en Finlande, etc., etc.

Tous ces produits fermentés sont, bien évidemment, fertilisés par des microbiotes composés, également, de bactéries et de levures et endémiques à leur région géographique.

En effet, l’ethnogenèse, l’émergence des Peuples, est, très intimement corrélée, au microbiome local — à savoir, au vecteur de leur Survie… fermentée.

Traditionnellement, les Kéfirs de lait et les Kéfirs d’eau ont été réalisés grâce à des processus de fermentation soit anaérobie, soit aérobie. Ce ne sont pas, alors, les mêmes bactéries et les mêmes levures qui sont les plus actives. Cependant, avec les deux types de Kéfirs, la seconde fermentation — après filtration des grains — est anaérobie.

Par exemple, dans le Kéfir de lait, Lactobacillus kefiranofaciens prospère dans un environnement strictement anaérobie. Lactobacillus kefiranofaciens possède des qualités médicinales immuno-régulatrices, antiallergiques, antiasthmatiques et anti-colitiques.

Quant aux levures, elles prospèrent, généralement, dans un environnement tout autant anaérobie qu’aérobie. Une étude de 1999 a mis en valeur la capacité de la levure Saccharomyces cerevisiae d’augmenter le taux de cystéine et de glutathion dans l’organisme. [98]

Selon une étude récente, de juin 2022 :

« Il existe des preuves de la consommation de kéfir de lait depuis l’Âge de Bronze qui ont été découvertes dans une masse organique de fromage associée à des momies provenant d’un cimetière Xiaohe (1450 avant EC) dans le Xinjiang, en Chine…. La fermentation du lait de ruminant par une culture symbiotique de Lactobacillus kefiranofaciens, et d’autres bactéries lactiques et levures, était la base d’un produit laitier robuste, évolutif, probiotique et sans lactose, et une avancée technologique clé qui a introduit les avantages économiques de l’élevage extensif dans un foyer semi-pastoral de la population d’Eurasie orientale dès le début de l’âge du bronze… Le fromage de kéfir de Xiaohe est la plus ancienne preuve matérielle de la fermentation du kéfir et l’utilisation des grains de kéfir est devenue partie intégrante de la culture alimentaire Tibétaine, ce qui leur a valu d’être connus des Européens sous le nom de “Champignons tibétains” » [1]

Un jour d’été 2008, en Andalousie, dans la Sierra de Ronda, sur un promontoire rocheux surplombant Gaucin, et au loin, le détroit de Gibraltar, le Nagual John Lash — un shaman es champignons enthéogéniques — reçut un message de la Terre-Mère lui enjoignant de prêter attention aux abeilles et aux processus de fermentation anaérobie… pour la Survie des Peuples. Se pourrait-il, d’ailleurs, que l’Hydromel, ou Chuchen — le vrai, fermenté selon les règles de l’art… avec des alcaloïdes issus du couvain d’abeilles — soit un breuvage de Longue Vie, également, en capacité de détruire tous les nanomatériaux à base de Graphène, dans l’organisme humain ?

Le Secret des Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie, c’est la «fermentation »et c’est, vraisemblablement, également, le Secret de la Survie des Peuples du Futur… car cela le fut pour la Survie des Peuples du Passé.

Se pourrait-il que les processus de fermentation — dont la fermentation anaérobie — constituent l’un des premiers fronts de biodégradation de tous les dérivés nanoparticulaires de Graphène dans l’organisme humain ?

Photo. De gauche à droite :
Kéfir de lait, Kombucha de Maté (Ilex paraguariensis),
Vinaigre issu de Pétillant de Sureau (Sambucus nigra), Kéfir d’eau, Kéfir d’eau avec du lait.

Les Kombuchas

Les premières références historiques portant sur le Kombucha dateraient de la dynastie Tsin en Chine aux alentours de 220 avant EC. Il y était dénommé « Che Divin » ou « Élixir d’Immortalité ». Subséquemment, le docteur coréen, Kombu, rapporta le Kombucha de Corée au Japon à la demande de l’empereur Ingyō Tennō (374-453) — pour traiter ses problèmes digestifs. C’est, ensuite, de Russie qu’il s’est disséminé dans tout le reste de l’Europe — au tournant du 19e siècle.

Le Kombucha est une boisson traditionnelle fermentée que l’on obtient à partir de feuilles de thé infusées (Camellia sinensis) — de diverses couleurs et fermentations — et d’un microbiote composé d’un certain nombre d’espèces de bactéries et de levures. Selon les modes traditionnels de préparation, le Kombucha est fermenté avec 5 à 10 % de sucre. Ce sont, surtout, les thés verts, noirs, et « Oolong », qui sont utilisés, traditionnellement, pour le Kombucha.

Selon des dissidents [58], qui s’en réfèrent à l’étymologie, le terme « Kombu/Cha » ferait référence, en fait, au « Thé/Cha » de « Kombu ». Pour mémoire, le Kombu est un « Kelp » — un terme général pour désigner des algues brunes du genre Laminaria — très usité dans la Tradition alimentaire Japonaise. Le docteur Kombu, de Corée, serait, alors, le sujet d’une jolie histoire… afin de tenter d’expliquer cet emprunt de langage !

Récemment, de par l’engouement généré par son introduction à large échelle, d’autres types de « Kombucha » sont progressivement proposés sur le marché — avec les mêmes microbiotes de bactéries et de levures.

Aujourd’hui, le Kombucha est l’une des boissons à croissance très rapide. En 2014, la vente mondiale de Kombucha totalisa 1 million de dollars contre près de 2 milliards de dollars en 2019. Les projections du marché sont de 7 milliards de dollars pour l’année 2027.

Composition nutritionnelle

Le Thé (Camelia sinensis) contient : des polyphénols, des flavonols, des catéchines (catéchines, théaflavines et flavanols), des gallates d’épicatéchine, de l’adénine, de la caféine, de la théobromine, de la théophylline, des acides galliques, des tanins, gallotanins, des acides aminés, des caroténoïdes, des lipides, des composés volatils, etc.

Le Thé vert possède plus de polyphénols que tous les autres thés (blanc, noir, Oolong, etc.) avec une concentration plus élevée de catéchines. Le Thé noir se caractérise par une composition polyphénolique prédominante en théaflavine et en théarubigine.

Le Kombucha contient des vitamines (B, C et E), des phénols et des polyphénols, des enzymes (amylase et invertase), des protéines, des acides aminés, des purines, des minéraux (tels que le cuivre, le potassium, le fer, le manganèse, le cobalt, le nickel et le zinc) et de l’éthanol.

Le flavonol isorhamnétine, qui ne se trouve pas dans les feuilles de Thé, a été détecté dans le Kombucha. C’est un flavonol aux propriétés bactéricides que l’on retrouve dans le cacao et dans le Ginkgo biloba.

Le Kombucha contient, également, beaucoup d’acides. Ceux contribués par les feuilles de Thé : citrique, malique, tartrique, oxalique et succinique. Et ceux contribués par les processus de fermentation propres à son microbiote particulier de bactéries et de levures : acétique, gluconique, glucuronique, L-lactique, malonique, pyruvique et usnique.

Les principaux composants, du liquide et du biofilm, sont l’éthanol, l’acide acétique et l’acide gluconique.

Tout comme pour les Kéfirs, le calcium constitue une substance essentielle à la prospérité du Kombucha.

Ainsi, une étude a mis en exergue que le Kombucha obtenu à partir d’une eau à forte concentration d’ions calcium présente une activité antibactérienne plus élevée, à l’encontre de Staphylococcus aureus, que les boissons obtenues à partir d’une eau à faible teneur en ions calcium. [6]

La nature du Kombucha — et, donc, sa composition nutritionnelle — va strictement se modifier en fonction du sucre (brun, mélasse, miel…), de la qualité des feuilles de Thé, du type de Thé (noir, vert, blanc, etc.), de la diversité des levures et des bactéries, des substances ajoutées, du processus d’infusion et, enfin, du processus de fermentation — localisation géographique, température, pH, durée et, bien sûr, processus aérobie/anaérobie. Et c’est sans même évoquer les différences entre le Kombucha fait maison et le Kombucha industriel ou, encore, les différences entre le Kombucha filtré de ses résidus de feuilles de Thé et le Kombucha non filtré.

Il a été démontré que le taux de composés phénoliques dans le Kombucha préparé à base de thé noir, et de thé vert, et laissé à la fermentation avec des résidus de thé sans filtration, était près de 5,68 fois plus élevé que ceux conçus par filtration. De plus, le Kombucha avec des résidus de thé, dans cette étude, possédait 3,25 fois plus de capacité antioxydante que le Kombucha filtré. Qui plus est, comme le Thé vert est naturellement non fermenté, ses résidus, inclus dans le Kombucha, possèdent un plus haut taux de composés phénoliques. [60]

Infusions des Thés et Fermentations des Kombuchas

Selon des études précises, la température d’infusion des feuilles de thé est un élément déterminant dans la composition finale du Kombucha qui en est réalisé. En effet — contrairement aux températures conseillées pour des infusions savoureuses de Thé, il est très difficile, en fait, d’extraire tous les composés bioactifs des feuilles de thé avec de l’eau bouillante par une seule extraction. Selon les conclusions de l’une de ces études — qui reprend les travaux de plusieurs autres [59] :

« Outre le type de thé utilisé pour la fermentation du Kombucha, les paramètres de l’infusion du thé, la durée et la température ont un impact significatif sur la teneur en composés bioactifs et les activités antioxydantes [20] [21]. On sait que la température et la durée de l’infusion sont les principaux facteurs qui influencent l’extraction des catéchines du thé, en particulier lorsque l’extraction à froid est utilisée [22].Selon les résultats de Pérez-Burillo et coll. (2018), la durée d’infusion joue un rôle crucial dans l’extraction des composés bioactifs, mais la température de 60 à 80 °C ne joue aucun rôle significatif lorsque la durée d’infusion est inférieure à 15 minutes.

Une concentration plus élevée d’acide gallique, d’épigallocatéchine et de caféine a été notée dans les infusions obtenues à une température supérieure à 80 °C. Les auteurs ont déclaré qu’une température de 98 °C et une durée d’infusion de 7 à 15 minutes augmentent la teneur en composés bioactifs et donc la capacité anti-radicalaire et réductrice [23].Ces données sont en accord avec les résultats obtenus par Zimmermann et Gleichenhagena (2011), les auteurs ont constaté que les concentrations de flavanols dans le thé vert sont les plus élevées après 7 min d’infusion à une température constante de 100 °C [24].

Saklar et coll. (2015) ont observé une augmentation rapide des catéchines pendant les 5 premières minutes à 85 °C [25]. Su et coll. (2007) ont étudié les profils phénoliques et les activités antioxydantes de l’extrait de thé oolong, et l’activité antioxydante la plus forte a été attribuée à 100 °C pendant 3 minutes, tandis qu’une durée d’extraction plus longue a entraîné une diminution des polyphénols [26].Des recherches relativement approfondies sur l’influence des facteurs sur les propriétés du thé ont été menées par Sharpe et coll. (2016). Les auteurs ont conclu que les infusions ayant une plus grande capacité antioxydante sont obtenues à des températures comprises entre 80 et 100 °C et extraites pendant 5 à 10 minutes[27]. »

En conclusion, si ces diverses études s’avèrent valides, cela signifie qu’il faille infuser les feuilles de thé à très haute température — pendant une bonne dizaine de minutes — pour la confection de Kombuchas très antioxydants.

Quant au processus de fermentation, il induit la formation d’une pellicule de cellulose polymérique, un biofilm, grâce à l’activité de certaines espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter. Voir l’étude « Cellulosic biofilm formation of Komagataeibacter in kombucha at oil-water interfaces / Formation de biofilms cellulosiques de Komagataeibacter dans le kombucha aux interfaces huile-eau ». [24]

Ce microbiote bactério-fongique forme une symbiose puissante capable d’inhiber la croissance de bactéries potentiellement contaminantes.

La fermentation à 30 °C conduit à des concentrations plus élevées d’acides gluconique et glucuronique qu’à 20 °C. Ceci est positivement corrélé avec la promotion de la croissance du principal producteur d’acide glucuronique, la bactérie Gluconacetobacter saccharivorans, à la température la plus élevée, tandis qu’à la température la plus basse, c’est la bactérie Komagataeibacter xylinus domine la fermentation.

L’acide glucuronique est considéré comme le principal agent thérapeutique du Kombucha et joue un rôle essentiel dans la détoxification du foie par le processus de glucuronidation.

Grâce à l’activité de bactéries du genre Gluconacetobacter, de l’acide D-saccharique 1,4 — lactone est créé, dans le Kombucha, à partir de l’acide D-glucarique durant le processus de fermentation. Sa concentration augmente jusqu’au huitième jour de fermentation, variant entre 58 et 133 mg/mL selon l’échantillon — selon deux études récentes. [3] [5]

Dans le Kombucha, la prospérité des bactéries Gluconacetobacter – et donc, la production d’acide D-saccharique 1,4 — lactone — est favorisée par la présence de bactéries Lactobacillus. [3]L’acide D-saccharique 1,4 — lactone est considéré comme étant le vecteur des qualités médicinales hépatoprotectrices et hypocholestérolémiques du Kombucha — parce qu’il inhibe l’activité de l’enzyme humaine endogène, la β-glucuronidase.

Bactéries et Levures composant le Microbiote

Traditionnellement, le Kombucha est fermenté en présence de micro-organismes — un microbiote symbiotique de bactéries et de levures. Les levures métabolisent le saccharose, en anaérobie, pour produire des sucres simples et de l’alcool, tandis que les bactéries métabolisent ces sucres, en aérobie, pour les transformer en acides organiques et en dioxyde de carbone.

Une température plus élevée favorise la croissance de certains genres de bactéries, par exemple Propionibacterium, Corynebacterium ainsi que Lactobacillus, Lactococcus, ou Streptococcus.

Une étude récente, de décembre 2021 a identifié 34 genres, avec environ 200 espèces, de bactéries et de levures, dans les Kombuchas. [4]

Deux espèces bactériennes importantes sont Acetobacter, qui produit de l’acide acétique, et Gluconobacter, qui produit de l’acide gluconique.

Bactéries

Des espèces de bactéries acétiques du genre Gluconobacter : Gluconobacter saccharivorans, Gluconobacter oxydans, etc.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter : Acetobacter aceti, Acetobacter pasteurianus, Acetobacter peroxydans, Acetobacter nitrogenifigens, Acetobacter xylium, Acetobacter xylinoides, etc.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Komagataeibacter : Komagataeibacter xylinus, Komagataeibacter kombuchae,Komagataeibacter xylinus, etc.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Lactobacillus : Lactobacillus kefiranofaciens, Lactobacillus nagelli, Lactobacillus satsumensis, etc.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Lactococcus.

D’autres bactéries des genres Propionibacterium, Corynebacterium et Enterococcus.

Levures

Les diverses espèces de levures comprennent : Saccharomyces cerevisiae, Saccharomyces uvarum, Schizosaccharomyces pombe, Saccharomycodes ludwigii, Kloeckera apiculata, Zygosaccharomyces bailii, Zygotorulaspora florentina Torulaspora delbrueckii, Brettanomyces bruxellensis, Candida stellimalicola, Candida tropicalis, Lachancea thermotolerans, Lachancea fermentati, Eremothecium cymbalariae, Kluyveromyces marxianus, Pichia mexicana, Dekkera bruxellensis, Dekkera anomala.

Qualités médicinales

Le Thé (Camelia sinensis) possède un large éventail de qualités médicinales : antioxydantes, antimicrobiennes, anti-néoplasiques, cardioprotectrices, antidiabétiques, anti-obésité, etc.

L’écrivain russe Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne, lauréat du prix Nobel, écrit dans son ouvrage, « Le Pavillon des Cancéreux », que le Kombucha a guéri son cancer de l’estomac pendant son internement dans les camps de travail soviétiques — bien qu’il ne soit pas certain s’il faisait référence au Chaga, un autre champignon médicinal, ou au Kombucha.

Quant aux Kombuchas, ils possèdent de nombreuses qualités médicinales : anti-carcinogéniques, antioxydantes, anti-inflammatoires, anti-hypertensives, antidiabétiques, hépatoprotectrices, cardioprotectrices, neuro-protectrices, vulnéraires, antimicrobiennes et hypo-cholestérolémiques. [6] Les Kombuchas soulagent, également, les hémorroïdes, les insomnies, les maux de tête, les problèmes digestifs, l’arthrite, etc.

Une métaétude, de 2019, a passé en revue 310 articles corrélés aux qualités médicinales du Kombucha et à son impact sur la santé et le bien-être des humains. « Kombucha : a systematic review of the empirical evidence of human health benefit ». [14]

L’activité anti-carcinogénique du Kombucha a été, plus particulièrement, validée à l’encontre du cancer du sein [31]et du colon-rectum [64].

L’activité antimicrobienne du Kombucha a été validée à l’encontre des bactéries suivantes : Vibro cholerae [35][36], Shigella dysenteriae, Staphylococcus epidermidis, Staphylococcus aureus, Micrococcus luteus, Escherichia coli, Pseudomonas aeruginosa, Salmonella typhimurium, Listeria monocytogenes, etc. Et à l’encontre des fungi suivants : Candida albicans, Candida krusei, Candida tropicalis, Candida parapsilosis, Candida glabrata, Candida dubliniensis, Candida sake, Aspergillus flavus, Microsporum gypseum, Malassezia furfur, Malassezia restricta, Malassezia sympodialis, Malassezia sloofie, Malassezia globosa, etc.

Le Kombucha est, particulièrement, très réputé pour ses qualités anti-carcinogènes, antioxydantes, anti-néoplasiques… [40] [53] [55] [56]

L’effet antioxydant du Kombucha serait, principalement, dû aux catéchines et aux polyphénols présents dans le Thé (Camelia sinensis).

Une étude de 2020 a étudié les différences en capacités antioxydantes de Kombuchas réalisés à partir de Thés verts, blancs, rouges et noirs. Selon ses conclusions :

« L’analyse du potentiel antioxydant des échantillons étudiés a révélé que la teneur en composés antioxydants se situait entre 70,62 % et 94,61 % d’inhibition de la DPPH. Le Kombucha préparé à partir de thé vert s’est caractérisé par le potentiel antioxydant le plus élevé, atteignant la valeur la plus élevée le premier jour de la fermentation. Dans le cas de chacune des boissons Kombucha analysées, la capacité à désactiver les radicaux libres diminue avec l’augmentation du temps de fermentation. Au bout de deux semaines de fermentation, les meilleurs Kombuchas antioxydants étaient à base de thé vert, de thé rouge, de thé blanc et, en dernier, de thé noir. » [41]

Ces études sont à prendre avec des pincettes dans la mesure où il existe une pléthore de Thés dits noirs, verts, etc. avec très certainement, une très grande diversité de composition nutritionnelle. En effet, à l’opposé, une étude, de 2020, a découvert que le Kombucha à base de thé noir était beaucoup plus antioxydant que le Kombucha à base de thé vert qui lui, par contre, était beaucoup plus antibactérien et anti-carcinogène. [57]

Une étude de 2020 a étudié les différences en capacités antioxydantes de Kombuchas réalisés à partir de Thé, de Riz et d’Orge. Selon ses conclusions :

« Trois types de thé fermenté Kombucha, de riz et d’orge ont été produits afin d’étudier leurs changements de paramètres biologiques et chimiques. Une augmentation d’environ 2 fois le poids sec des champignons après 8 jours de croissance a été observée avec le thé Kombucha. La densité optique des extraits de Kombucha a suivi la même tendance. En outre, le thé Kombucha a enregistré le taux de croissance spécifique le plus élevé et le temps de doublement le plus faible. L’acidité totale, la teneur en éthanol et la teneur en protéines totales ont augmenté au cours du processus de fermentation pour atteindre leur maximum après 6-8 jours, dans l’ordre décroissant suivant : thé > orge ≥ riz. Les capacités de piégeage du DPPH étaient dans l’ordre décroissant, thé (89,69 %) > orge (76,19 %) > riz (36,04 %). Les composés phénoliques totaux du thé Kombucha (88,8 ppm) ont la même tendance, qui est plus de 3 fois supérieure à celle du riz Kombucha (26,11 ppm). Les résultats ont révélé que la méthode de conservation du thé Kombucha par traitement thermique (à 76 et 100 °C pendant 10 minutes) n’était pas efficace, entraînant une diminution des quantités d’antioxydants à 71,0 et 53,42 % et des composés phénoliques totaux à 40,22 et 45,69 ppm, respectivement. » [54]

Une étude de 2022 a étudié les différences en capacités antioxydantes de Kombuchas réalisés à partir de Thé noir, de Thé vert, de Maté (Ilex paraguariensis), de Lavande et d’Origan. Selon ses conclusions : la meilleure capacité antioxydante, en équivalent d’acide ascorbique a été déterminée dans le Kombucha dérivé du Maté (Ilex paraguariensis) avec 312,4 ± 14,2 mg/mL. Les kombuchas dérivés du thé noir (48,3 ± 2,3 mg/mL) et de la lavande (37,7 ± 1,6 mg/mL) possédaient la capacité antioxydante la plus faible.

Le Kombucha de Maté (Ilex paraguariensis) est, ainsi, l’un des Kombuchas les plus antioxydants.

Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives

Selon de nombreuses études, les bactéries constituent l’un des premiers fronts dans le champ de bio-remédiation des substances radioactives. Selon l’étude, de 2017, « Radiation, radionuclides and bacteria: An in-perspective review » [29] :

« La consommation de radionucléides à diverses fins académiques et commerciales a connu une forte augmentation. En conséquence, la production de déchets radioactifs a été considérable. Les bactéries et les archées, qui sont les premiers habitants de la terre, servent de modèles de micro-organismes sur terre. Ces micro-organismes ont toujours fait leurs preuves en survivant à des environnements extrêmes, même à des radiations ionisantes extrêmes. Leur capacité à accepter et à subir des mutations génétiques stables a conduit au développement de mutants recombinants qui sont exploités pour remédier à divers polluants tels que les métaux lourds, les hydrocarbures et même les déchets radioactifs (radwaste).

Ainsi, les micro-organismes se sont présentés à plusieurs reprises comme des candidats de choix pour l’assainissement des déchets radioactifs. Il est intéressant d’étudier les interactions en coulisses que ces micro-organismes possèdent lorsqu’ils sont observés en présence de radionucléides. L’accent est mis sur les bactéries indigènes isolées dans des environnements contenant des radionucléides ainsi que sur les cinq mécanismes d’interaction fondamentaux qui ont été largement étudiés, à savoir la bioaccumulation, la biotransformation, la biosorption, la biosolubilisation et la bioprécipitation.

L’utilisation de micro-organismes présentant de tels mécanismes pour l’assainissement des déchets radioactifs dépend en grande partie de la capacité individuelle de l’espèce. Les défis relatifs à leur activité potentielle de biorestauration ont également été brièvement discutés. Cette étude donne un aperçu des différents mécanismes utilisés par les bactéries pour tolérer, survivre et réaliser des processus qui pourraient potentiellement conduire à une approche écologique pour l’élimination des radionucléides. »

Voici quelques études qui ont validé la capacité des bactéries et des levures, du Kombucha, de remédier à la radioactivité ou de s’en protéger :

« Fermented black tea ameliorates gamma radiation-induced cellular and DNA damage in human blood lymphocytes / Le Kombucha améliore les dommages cellulaires et d’ADN induits par les radiations gamma dans les lymphocytes sanguins humains ». [13]

Selon les conclusions. Les résultats indiquent clairement que le Kombucha a un potentiel significatif pour protéger le système cellulaire des dommages induits par les radiations et que sa capacité à piéger les radicaux libres pourrait jouer un rôle important dans ses manifestations radioprotectrices.

« Effect of kombucha on some trace element levels in different organs of electromagnetic field exposed rats / Effet du Kombucha sur les niveaux de certains oligo-éléments dans différents organes de rats exposés aux champs électromagnétiques ».

Selon les conclusions. Les téléphones mobiles ont connu une croissance exponentielle dans le monde entier. La présente étude a été réalisée pour évaluer l’effet du Kombucha sur certains niveaux d’oligo-éléments du cerveau, de la rate et de l’intestin chez des rats albinos mâles exposés à un champ électromagnétique de 950 MHz.Le groupe d’animaux soumis aux ondes électromagnétiques a provoqué des augmentations significatives des niveaux de fer-cuivre et du rapport cuivre-zinc, accompagnées d’une diminution du niveau de zinc dans tous les organes étudiés. Le traitement combiné du kombucha et des fréquences électromagnétiquesa permis d’atténuer ces effets néfastes des fréquences électromagnétiques. Les résultats actuels nous permettent d’affirmer que le kombucha, en tant que supplément, a des effets bénéfiques sur les effets des radiations électromagnétiques.

« Role of Kombucha Tea in the Control of EMF 950 MHz Induced Injury in Rat Heart and Lung Organs / Rôle du thé Kombucha dans le contrôle des lésions induites par les CEM 950 MHz dans les organes cardiaques et pulmonaires du rat ». [12]

Selon les conclusions. Notre étude a démontré quele Kombucha pouvait offrir une protection contre les dommages oxydatifs induits par l’exposition aux fréquences électromagnétiques en réduisant la peroxydation des lipides et en augmentant le mécanisme de défense antioxydant chez les rats.

« Possible Protective Effect of Kombucha Tea Ferment on Carbon Tetrachloride Induced Liver Damage in Irradiated Rats / Effet protecteur possible du ferment du thé Kombucha sur les lésions hépatiques induites par le tétrachlorure de carbone chez les rats irradiés ». [16]

Selon les conclusions. Ces résultats démontrent que la plupart des altérations pathologiques du foie en réponse à l’intoxication au tétrachlorure de carbone et/ou à l’exposition aux radiations sont récupérables après traitement par les ferments de Kombucha.

« Protective effect of kombucha mushroom (KM) tea on chromosomal aberrations induced by gamma radiation in human peripheral lymphocytes in-vitro / Effet protecteur du thé kombucha sur les aberrations chromosomiques induites par les radiations gamma dans les lymphocytes périphériques humains in vitro ». [23]

Selon les conclusions. Les résultats in vitro ont montré que la supplémentation en Kombucha peut diminuer la fréquence des aberrations chromosomiques et que son action radioprotectrice contre les radiations ionisantes est dépendante de la dose. Par conséquent, la capacité antioxydante du Kombucha peut être utilisée comme « agent limitant la génotoxicité »pour réduire les effets des agents radioactifs sur l’environnement dans un avenir proche.

« Possible Protective Effect of Kombucha Tea Ferment on Cadmium Chloride Induced Liver and Kidney Damage in Irradiated Rats Effet protecteur possible du ferment du thé Kombucha sur les lésions hépatiques et rénales induites par le chlorure de cadmium chez les rats irradiés ». [1]

Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques

« The protective effect of Kombucha against silver nanoparticles-induced toxicity on testicular tissue in NMRI mice / Effet protecteur du Kombucha contre la toxicité des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire des souris NMRI ». [27]

Selon cette étude:

« Les nanoparticules d’argent peuvent passer la membrane cellulaire et la barrière sanguine testiculaire en raison de leur petite taille et, en augmentant le stress oxydatif, elles provoquent des troubles dans le système reproducteur masculin. Le kombucha est une boisson fermentée traditionnelle qui possède des propriétés détoxifiantes et antioxydantes puissantes. Nous avons cherché à examiner l’effet protecteur du Kombucha contre les dommages causés par les nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire. En conclusion,le Kombucha réduit les effets néfastes des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire et améliore la fonction du système reproducteur masculin. »

Les nanoparticules d’argent sont amplement utilisées en médecine — tout comme les dérivés nanoparticulaires de Graphène. Elles sont, même, promues pour leurs capacités anti-carcinogènes, anti-inflammatoires, antibactériennes et anti-angiogéniques !!! Et ce, malgré qu’il existe une pléthore d’études portant sur la toxicité des nanoparticules d’argent. Par exemple, l’une des dernières études ad hoc affirme que les nanoparticules d’argent interfèrent avec le métabolisme du cuivre chez les mammifères. [9]

Il est, donc aisé, d’imaginer que si le Kombucharéduit les effets néfastes des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire, il va en faire, vraisemblablement, de même avec les mêmes effets néfastes des nanoparticules de Graphène de toutes sortes. N’est-ce pas ?

« Does kombucha tea attenuate the hepato-nepherotoxicity induced by a certain environmental pollutant? / Le thé kombucha atténue-t-il l’hépato-néphrotoxicité induite par un certain polluant environnemental ? ». [10]

Selon les conclusions. L’administration de Kombucha a amélioré de manière significative la peroxydation des lipides et le stress oxydatif induits par le trichloréthylène. Conclusion : La présente étude indique que le Kombucha peut réparer les dommages causés par les polluants environnementaux tels que le trichloréthylène et peut être bénéfique pour les personnes qui sont confrontées à ces produits chimiques.

« Study of heavy metals biosorption by tea fungus in Kombucha drink using Central Composite Design / Étude de la biosorption des métaux lourds par le champignon du thé dans la boisson Kombucha à l’aide d’un plan composite central ». Cette étude porte sur la capacité du Kombucha de fixer des métaux lourds tels que le mercure, le plomb, le cadmium, le chromium, l’arsenic. [51]

Il est clair que le mercure, le plomb, le cadmium, le chromium, l’arsenic, etc., sont tout aussi dangereux, pour l’organisme mammifère, que tous les dérivés du Graphène. Répétons que si le Graphène est omniprésent dans la vie quotidienne — et le vecteur principal du génocide — c’est qu’en sus de sa toxicité, il est un vecteur essentiel d’Homo chimericus (sur mode Schwab) pour sa connectivité avec le réseau virtuel 4/5/6G.

« Aflatoxin B1 degradation by microorganisms isolated from Kombucha culture / Dégradation de l’aflatoxine B1 par des micro-organismes isolés d’une culture de Kombucha ». [7]

« Novel use of Kombucha consortium to reduce Escherichia coli in dairy shed effluent / Nouvelle utilisation d’un consortium Kombucha pour réduire la présence d’Escherichia coli dans les effluents des étables laitières ». Selon cette étude, le microbiote du Kombucha s’est avéré très efficace pour réduire le nombre d’unités formant des colonies (UFC) d’Escherichia coli à des niveaux indétectables. La diminution du nombre d’UFC d’Escherichia coli s’est produite rapidement dans les 48 heures suivant l’inoculation de Kombucha dans la matrice de l’effluent et s’est accompagnée d’une diminution correspondante du nombre d’UFC. [8]

« Leaching of rare earth elements from fluorescent powder using the tea fungus Kombucha / Lixiviation des éléments de terre rare de la poudre fluorescente à l’aide du champignon Kombucha ». [2]

Selon cette étude :

« En utilisant la culture mixte symbiotique Kombucha, composée de levures et de bactéries d’acide acétique, les ETR ont été lixiviées à un taux significatif. Les taux de lixiviation les plus élevés ont été observés dans les cultures sous agitation utilisant l’ensemble du consortium Kombucha ou son surnageant comme agent de lixiviation, par rapport aux expériences utilisant les isolats Zygosaccharomyces lentus et Komagataeibacter hansenii comme organismes de lixiviation. Au cours de la culture, le pH a diminué en raison de la production d’acides organiques (principalement de l’acide acétique et de l’acide gluconique).

Ces résultats montrent qu’il est possible de dissoudre les composés de terres rares, des phosphores de luminescence, à l’aide de processus microbiens. En outre, ils fournissent une base pour le développement d’une alternative écologique aux méthodes actuellement appliquées qui utilisent des acides inorganiques puissants ou des produits chimiques toxiques. »

« Separation of Ni (II) from Industrial Wastewater by Kombucha Scoby as a Colony Consisted from Bacteria and Yeast: Kinetic and Equilibrium Studies / Séparation du Nickel des eaux usées industrielles par le microbiote du Kombucha en tant que colonie composée de bactéries et de levures : Études cinétiques et d’équilibre ». [26]

« Lead induced oxidative stress: beneficial effects of Kombucha tea / Stress oxydatif induit par le plomb : effets bénéfiques du thé Kombucha ». [25]

Une étude publiée, en août 2022, « Metagenome-Assembled Genomes of Komagataeibacter from Kombucha Exposed to Mars-Like Conditions Reveal the Secrets in Tolerating Extraterrestrial Stresses » conclue que résultats montrent que les mécanismes potentiels, par lesquels les bactéries Komagataeibacter tolèrent le stress extraterrestre, vont aider à comprendre la composition microbienne minimale du Kombucha pour les voyageurs de l’espace. [11]

« Current challenges, applications and future perspectives of SCOBY cellulose of Kombucha fermentation / Défis actuels, applications et perspectives d’avenir de la cellulose du microbiote de bactéries et de levures du Kombucha ». [18]

Selon cette étude. Le biofilm de cellulose contenant la culture symbiotique de bactéries et de levures est un sous-produit de la fermentation du thé Kombucha. Plusieurs études sur le microbiote du Kombucha sont en cours afin d’exploiter toutes les possibilités d’utilisation de cette cellulose en tant que matière première appropriée dans des domaines tels que la technologie alimentaire, la préparation de biomatériaux, les industries de la mode et du textile, la biotechnologie environnementale, etc.

« Sustainable Living Filtration Membranes / Membranes de filtration pour une vie durable ». [17] Cet article décrit une membrane filtrante vivante composée du réseau de cellulose bactérienne et des micro-organismes natifs d’une culture symbiotique de bactéries et de levures de kombucha. La cellulose bactérienne a été utilisée dans la recherche sur les matériaux ces dernières années en raison de sa grande résistance à la traction, de sa biodégradabilité et de son caractère hydrophile.

Parmi les exemples d’applications de la cellulose bactérienne, citons les « bandages vivants », les additifs alimentaires comestibles, les adsorbants de métaux lourds et la dialyse.

« Living Filtration Membranes Demonstrate Antibiofouling Properties / Les membranes de filtration vivantes démontrent des propriétés antisalissures ». [15]

Les conclusions suggèrent que la résistance des membranes de filtration vivantes aux salissures biologiques peut être due à la prolifération d’une bactérie indigène, Acetobacter, qui produit de l’acide acétique, un antibiofilm connu et un agent antibactérien.

« Composite of polylactic acid and microcellulose from kombucha membranes / Composite d’acide polylactique et de microcellulose à partir de membranes de Kombucha ». [22]

Il est à noter que les celluloses bactériennes — qui sont devenues très prisées, récemment — peuvent être produites à partir de bactéries appartenant aux genres suivants : Achromobacter, Aerobacter, Azotobacter, Rhizobium, Sarcina, Salmonella, Pseudomonas, Komagataeibacter.

Kombucha et matériaux nanoparticulaires de Graphène

Depuis quelques années, il existe un certain nombre d’études associant le Kombucha avec des dérivés de Graphène : soit pour des objectifs prétendument thérapeutiques, soit pour réduire de l’oxyde de graphène, soit dans des processus de bio-remédiation, soit pour élaborer des cathodes dans des batteries au lithium, soit pour des biocapteurs de substances toxiques,

Faut-il préciser que tout processus thérapeutique, qui fait appel aux matériaux nanoparticulaires à base de graphène, ne fait qu’affaiblir et toxifier l’organisme humain encore plus ?

Faut-il préciser que tout processus de bio-remédiation environnementale, qui fait appel aux matériaux nanoparticulaires à base de graphène, ne fait que disséminer encore plus de toxiques graphéneux dans l’environnement ?

Voici une liste de quelques études, très récentes, portant sur les synergies industrielles entre le Kombucha et les dérivés de Graphène :

« Green Reduction Of Graphene Oxide By Using Kombucha Tea ». Selon cette étude, le Kombucha peut être utilisé, comme vecteur « vert/eco-friendly », pour réduire l’oxyde de graphène en oxyde de graphène réduit. [45]

« Kombucha SCOBY-based carbon and graphene oxide wrapped sulfur/polyacrylonitrile as a high-capacity cathode in lithium-sulfur batteries / Carbone à base de microbiote de Kombucha et soufre/polyacrylonitrile enveloppé d’oxyde de graphène comme cathode à haute capacité dans les batteries lithium-soufre ». [44]

« Bio-enhanced polyrhodanine/graphene Oxide/Fe3O4 nanocomposite with kombucha solvent supernatant as ultra-sensitive biosensor for detection of doxorubicin hydrochloride in biological fluids / Nanocomposite de polyrhodanine/oxyde de graphène/Fe3O4 biorenforcé avec le surnageant de solvant de Kombucha comme biocapteur ultra-sensible pour la détection du chlorhydrate de doxorubicine dans les fluides biologiques ». [49]

« Removal from Synthetic Wastewater Using Kombucha Scoby and Graphene Oxide/Fe3O4 ». Élimination des eaux usées synthétiques à l’aide d’un microbiote de Kombucha et d’oxyde de graphène/Fe3O4 ». [48]

« Bioinorganic Synthesis of Polyrhodanine Stabilized Fe3O4/Graphene Oxide in Microbial Supernatant Media for Anticancer and Antibacterial Applications / Synthèse bioinorganique de Fe3O4/Graphene Oxide stabilisé par la Polyrhodanine dans un milieumicrobien (Kombucha) pour des applications anticancéreuses et antibactériennes ». [43]

Selon cette étude. L’effet des matériaux à base de polyrhodanine sur les cellules humaines peut être considéré comme une question controversée, alors que de nombreuses contradictions existent. Dans cette étude, nous nous sommes concentrés sur la synthèse de polyrhodanine/Fe3O4 modifiée par de l’oxyde de graphène et sur l’effet du microbiote de Kombucha sur les résultats.

« Multilayered bacterial cellulose/reduced graphene oxide composite films for self-standing and binder-free electrode application / Films composites multicouches de cellulose bactérienne et d’oxyde de graphène réduit pour l’application d’électrodes autoportantes et sans liant ». [42]

« Incorporations of gold, silver and carbon nanomaterials to kombucha-derived bacterial cellulose: Development of antibacterial leather-like materials /Incorporation de nanomatériaux d’or, d’argent et de carbone dans la cellulose bactérienne dérivée du kombucha : Développement de matériaux antibactériens en forme de cuir ». [46]

« KOH direct treatment of kombucha and in situ activation to prepare hierarchical porous carbon for high-performance supercapacitor electrodes / Traitement direct au KOH du kombucha et activation in situ pour préparer du carbone poreux hiérarchique pour des électrodes de supercondensateurs à haute performance ». [47]

Autres Types de Kombuchas

Récemment, de par l’engouement généré par son introduction à large échelle, d’autres types de « Kombucha » sont progressivement proposés sur le marché — avec les mêmes microbiotes de bactéries et de levures.

Ce sont des Kombuchas à base : de feuilles de chêne, de feuilles du thé Teng Cha, de feuilles de Ronce sucrée de Chine, de feuilles de Mélisse, de feuilles de Sarriette vivace, de fruits du Sureau, d’extraits d’Achillée millefeuilles, de thé Rooibos, de fruits de Goyave, de fruits du palmier Salak, de feuilles d’épinard, de graines de soja, d’extraits de peaux de Banane, de feuilles d’Ortie, des feuilles de Maté (Ilex paraguariensis), des feuilles de lavande, des feuilles d’Origan, des algues rouges Porphyra, des feuilles d’eucalyptus (Eucalyptus camaldulensis)…

Voici quelques études récentes qui en font la promotion :

« Antioxidant Capacities and Polyphenol Contents of Kombucha Beverages Based on Vine Tea and Sweet Tea / Capacités antioxydantes et teneur en polyphénols des boissons Kombucha à base de Teng Cha (Ampelopsis grossedentata) et de Ronce sucrée de Chine (Rubus suavissimus) ». [50]

Selon cette étude. « Les résultats ont montré que les boissons kombucha à base de Teng Cha, et de Ronce sucrée de Chine, possédaient de fortes activités antioxydantes (en particulier le kombucha à base de Teng Cha), et que la fermentation avec ces feuilles pouvait augmenter de manière significative les capacités antioxydantes (augmentation maximale de 38 %) et le contenu phénolique total (augmentation maximale de 55 %) de deux boissons kombucha par rapport à celles qui n’en contenaient pas. »

« Fermentation characteristics of novel Coriolus versicolor and Lentinus edodes kombucha beverages and immunomodulatory potential of their polysaccharide extracts / Caractéristiques de fermentation de nouvelles boissons Kombucha à base du Polypore versicolore (Trametes versicolor/Coriolus versicolor) et de Shiitaké (Lentinus edodes) et potentiel immunomodulateur de leurs extraits de polysaccharides ». [19]

Selon cette étude. L’analyse FTIR des extraits de polysaccharides a montré la présence dominante de polysaccharides, en plus des phénols, des lipides et des protéines. L’extrait de Kombucha de Trametes versicolor présentait des polysaccharides plus complexes, et une teneur plus élevée en polysaccharides totaux, en phénols et en flavonoïdes par rapport à l’extrait de kombucha de Lentinus edodes.

« Oak kombucha protects against oxidative stress and inflammatory processes / Le Kombucha de Chêne protège contre le stress oxydatif et les processus inflammatoires ». [20]

Selon cette étude. Les boissons fermentées de chêne ont effectivement réduit la production d’oxyde nitrique, tandis que les cytokines pro-inflammatoires (TNF-alpha et IL-6) dans les macrophages ont été stimulées par les lipopolysaccharides. En outre, les composés phytochimiques présents dans le Kombucha à base de feuilles de Chêne diminuent le stress oxydatif.

« Anti-Inflammatory and Protective Effects of Water Extract and Bioferment from Sambucus nigra Fruit in LPS-Induced Human Skin Fibroblasts / Effets anti-inflammatoires et protecteurs de l’extrait d’eau et du bioferment du fruit du Sureau (Sambucus nigra) sur les fibroblastes de la peau humaine induits par les lipopolysaccharides ». [21]

Selon cette étude. Les tests ont montré que l’extrait et le ferment ont des propriétés antioxydantes et stimulent la prolifération des deux types de cellules. L’étude a également évalué l’activité anti-inflammatoire de l’extrait et du ferment en contrôlant les niveaux des interleukines pro-inflammatoires IL-6, IL-1ß, du facteur de nécrose tumorale (TNF-α) et de l’anti-inflammatoire IL-10 dans les cellules de fibroblastes traitées aux lipopolysaccharides. Les résultats indiquent que l’extrait de Sambucus nigra et son ferment de kombucha peuvent être efficaces pour prévenir les dommages cellulaires induits par les radicaux libres et avoir des effets positifs sur la santé des cellules de la peau.

« Kombucha Beverage from Green, Black and Rooibos Teas: A Comparative Study Looking at Microbiology, Chemistry and Antioxidant Activity / Boisson Kombucha à partir de thés vert, noir et Rooibos (Aspalathus linearis) : Une étude comparative portant sur la microbiologie, la chimie et l’activité antioxydante ». [32]

Selon cette étude. Le thé rooibos ne contient pas de catéchines, de sorte que le kombucha fabriqué à partir de rooibos a une activité antioxydante inférieure à celle du kombucha fabriqué à partir de thé vert ou de thé noir. Toutefois, le kombucha de rooibos a une teneur en acide glucuronique comparable à celle du kombucha de thé noir et contient d’autres composés précieux, tels que la rutine, l’aspalathine, l’orientine et l’isoorientine, tous dotés d’une activité antioxydante. Le rooibos kombucha a montré un effet positif significatif sur la récupération des dommages oxydatifs induits par H2O2 sur les lignées cellulaires de fibroblastes… Bien que l’activité antioxydante soit plus élevée dans le kombucha noir et vert que dans le Rooibos, ce dernier a montré un effet important sur la récupération des dommages oxydatifs sur les lignées cellulaires de fibroblastes contre le stress oxydatif. Ces résultats rendent les feuilles de Rooibos intéressantes pour la préparation d’une boisson fermentée bénéfique pour la santé. Le Kombucha de Rooibos possède une faible concentration d’éthanol (1,1 mg/mL).

« Polyphenolic Profile, Sugar Consumption and Organic Acids Generation along Fermentation of Infusions from Guava (Psidium guajava) by the Kombucha Consortium / Profil polyphénolique, consommation de sucre et génération d’acides organiques lors de la fermentation d’infusions de goyave (Psidium guajava) par le microbiote du Kombucha ».

« Use of kombucha consortium to transform soy whey into a novel functional beverage / Utilisation d’un microbiote de kombucha pour transformer le lactosérum de soja en une nouvelle boisson fonctionnelle ». [38]

Selon cette étude. La fermentation a induit une réduction du pH et une augmentation de la teneur totale en acide titrable après fermentation. La capacité antioxydante du lactosérum de soja fermenté au Kombucha a été significativement améliorée, comme l’ont montré la capacité de piégeage du DPPH, la capacité de piégeage du radical ABTS, le pouvoir antioxydant réducteur ferrique et le pouvoir réducteur. En outre, le soja fermenté au Kombucha a montré une activité antibactérienne contre Staphylococcus aureus, Bacillus subtilis et Escherichia coli. En outre, la fermentation a produit de nouveaux volatiles aromatiques, en particulier des esters et des aldéhydes supérieurs, qui ont conféré une saveur fruitée au lactosérum de soja et en ont amélioré la qualité sensorielle. Par conséquent, la fermentation du kombucha peut transformer le lactosérum de soja en une nouvelle boisson fonctionnelle, qui pourrait ajouter de la valeur au sous-produit de la transformation du soja.

« Antioxidant and Antibacterial Activity of Kombucha Beverages Prepared using Banana Peel, Common Nettles and Black Tea Infusions / Activité antioxydante et antibactérienne des boissons Kombucha préparées à partir d’infusions de peau de banane, d’ortie commune et de thé noir ». [39]

Selon cette étude. Le kombucha obtenu à partir de la peau de banane a montré l’activité antioxydante la plus élevée en inhibant 94,62 % de l’effet DPPH.

Cela peut-être, également, des Kombuchas traditionnels, à base de Thé (Camelia sinensis), mais qui sont aromatisés avec une diversité de substances : de la Cannelle, du jus de Pomme, du Pollen, du Curcuma (Curcuma longa) des extraits de Café, des feuilles de Stevia (Stevia rebaudiana), du gingembre, du jus de pousses de blé, ou même, encore, des grains de Kéfir…

« Kombucha fermentation of six medicinal herbs: Chemical profile and biological activity / Fermentation Kombucha de six herbes médicinales : Profil chimique et activité biologique ». Les 6 espèces fermentées en Kombucha sont : Thym (Thymus serpyllum), Sureau (Sambucus nigra), Menthe poivrée (Mentha piperita), Coing (Cydonia oblonga), Sarriette vivace (Satureja montana) et Ortie (Urtica dioica). [63]

Selon les conclusions : Le Kombucha de Sureau possédait le plus haut d’acide acétique tandis que le Kombucha de Menthe poivrée possédait le plus haut taux de flavonoïdes et de composés phénoliques.

« Effect of addition of green tea extract and stevia rebaudiana to kombucha on its physicochemical and antioxidant properties / Effet de l’ajout d’extrait de thé vert et de stevia rebaudiana au kombucha sur ses propriétés physicochimiques et antioxydantes ». [62]

Selon les conclusions : L’ajout de Stévia augmentait significativement l’acidité, l’acide acétique et l’acide lactique, les protéines solubles et l’activité antioxydante par rapport à l’échantillon de contrôle.

« Characteristic of microbiological, chemical, and antibacterial activity of turmeric (Curcuma longa) kombucha / Caractéristiques de l’activité microbiologique, chimique et antibactérienne du kombucha au curcuma (Curcuma longa) ». [61]

Selon les conclusions : Selon la méthode de prise de décision multicritères, le meilleur résultat a été observé dans le kombucha préparé à une concentration de 0,8 %.

« Evaluation of the antioxidant impact of ginger-based Kombucha on the murine breast cancer model / Évaluation de l’impact antioxydant du Kombucha à base de gingembre sur le modèle murin de cancer du sein ». [31]

Selon les conclusions. L’administration de Kombucha au gingembre a significativement diminué l’activité de la catalase ainsi que les niveaux de glutathion et de malondialdéhyde dans l’homogénat de la tumeur (p<0,001). Une diminution significative de l’activité de la Superoxide dismutase et une augmentation de la quantité de malondialdéhyd ont été déterminées dans les reins ayant reçu du thé au gingembre kombucha (p<0,01).

« Bee Collected Pollen with Enhanced Health Benefits, Produced by Fermentation with a Kombucha Consortium / Pollen d’abeille aux effets bénéfiques sur la santé, produit par fermentation avec un microbiote de Kombucha ». [28]

Selon les conclusions. La fermentation avec la culture symbiotique de bactéries et de levures, du Kombucha, améliore la biodisponibilité des phytonutriments du pollen. Cependant, la fermentation du pollen avec Kombucha ne conduit pas seulement à une meilleure biodisponibilité des phytonutriments du pollen. Il a déjà été démontré que le pollen est un bon activateur de fermentation pour l’hydromel et le vin blanc. Nos données présentées ici montrent que le pollen est également un bon activateur de la fermentation du microbiote du Kombucha L’ajout de pollen récolté par les abeilles améliore également la fermentation du Kombucha et la formation de composés liés à la santé du Kombucha. À la fin de la fermentation du pollen avec le consortium Kombucha, un produit aux effets bénéfiques sur la santé est formé, avec des ingrédients bioactifs complémentaires.

« Symbiosis between Microorganisms from Kombucha and Kefir: Potential Significance to the Enhancement of Kombucha Function / Symbiose entre les micro-organismes du kombucha et du kéfir : importance potentielle pour l’amélioration de la fonction du kombucha ». [34]

Selon cette étude. Les Lactobacillus du Kéfir promeuvent la prospérité des bactéries Gluconacetobacter et, donc, la production de l’acide D-saccharique 1,4 — lactone.

« Polyphenols and antioxidant activities of kombucha beverage enriched with coffee berryVR extract / Polyphénols et activités antioxydantes de la boisson kombucha enrichie avec de l’extrait de caféierVR de caféier ». [30]

Selon cette étude. Tous les échantillons enrichis en CoffeeBerry® possèdent de l’acide chlorogénique, l’un des polyphénols alimentaires les plus abondants, ont montré des activités antioxydantes remarquables sur les radicaux stables DPPH et les radicaux OH toxiques.

« Antioxidant and Antibacterial Activity of the Beverage Obtained by Fermentation of Sweetened Lemon Balm (Melissa officinalis) Tea with Symbiotic Consortium of Bacteria and Yeasts / Activité antioxydante et antibactérienne de la boisson obtenue par fermentation du thé de Mélisse sucré (Melissa officinalis) avec un consortium symbiotique de bactéries et de levures » [33]

Selon cette étude, le Kombucha de Mélisse avait une activité antioxydante supérieure à celle d’une infusion non fermentée. La même relation a été démontrée pour le Kombucha de Sarriette des montagnes (Satureja montana). Les deux types de boissons fermentées ont également montré une activité antibactérienne contre de nombreuses espèces de bactéries pathogènes gram-positives et gram-négatives. En outre, le kombucha issu de la sarriette des montagnes a inhibé la croissance des cellules HeLa (carcinome épithélioïde du col de l’utérus) de 20 %.

« Kombucha fermentation in blueberry (Vaccinium myrtillus) beverage and its in vivo gastroprotective effect: Preliminary study / Fermentation Kombucha dans une boisson à base de myrtille (Vaccinium myrtillus) et son effet gastro-protecteur in vivo : Étude préliminaire ». [52]

Les Kéfirs de lait

Les « kéfirs » constituent des boissons « probiotiques », à savoir favorisant la Vie — et, en fait, favorisant une longue Vie — dont les usages traditionnels, référencés, remontent à plusieurs millénaires. Alors que l’origine des Kéfirs de lait est attribuée aux Peuples du Caucase, du Tibet, de la Mongolie, et des régions avoisinantes, l’origine des Kéfirs d’eau est inconnue — d’autant plus qu’ils sont traditionnels dans de nombreuses régions du monde. En effet, contrairement aux grains des Kéfirs de lait, il n’existe aucune preuve archéologique des origines des grains de Kéfirs d’eau.

Par exemple, au Mexique, selon ce qu’affirmait Adolfo Lutz, en 1899, les grains de kéfir d’eau proviendraient de la sève fermentée des coussinets d’une espèce de cactus du genre Opuntia — un Nopal ou Figuier de Barbarie. Le nom de cette communauté microbienne est « Tibi » ou « Tibicos ». Voir l’étude « Estudio de Pichia membranaefaciens y Saccharomyces cerevisiae, levaduras que constituyen parte de las zoogleas llamadas Tibicos en México ». [70]

Dans les pays d’Amérique latine, le « Tepache de Tibicos » est un Kéfir d’eau confectionné avec de la cannelle, du sucre brun et de l’ananas.

Selon le Raw Milk Institute :« L’immunologiste russe Ilya Ilyich Metchnikoff (qui a reçu le prix Nobel pour ses travaux sur l’immunité en 1908) s’est intéressé aux causes de la longévité exceptionnelle des habitants de la région du Caucase et d’autres régions. Metchnikoff est arrivé à la conclusion que le lait acidifié, y compris le kéfir de lait, était l’une des clés de la longévité et du bien-être. Après la publication du livre de Metchnikoff, The Prolongation of Life, en 1907, l’institution russe, All Russian Physicians’s Society, a décidé d’utiliser le kéfir de lait comme traitement médical pour ses patients… Aujourd’hui encore, le kéfir est couramment utilisé pour les patients hospitalisés, les nourrissons et les personnes infirmes en Europe de l’Est ». [10]

Selon certains, le terme « Kéfir » serait issu du terme slave « Kefir ». Selon le Wiktionnaire, le terme serait issu de la fusion de deux racines caucasiennes, du Mingrélien « Kipuri » signifiant « lait fermenté à l’intérieur d’un sac en peau de bête » et de l’Ossète « Kæpykæpu » signifiant « champignon ».

Selon d’autres, le terme « Kéfir » serait issu du terme slave « Keif » signifiant « bien-être » ou encore du terme turc « Keyif » signifiant « joie/plaisir ».

Composition nutritionnelle

La composition nutritionnelle des Kéfirs de lait varie en fonction de la nature des ingrédients — lait, sucre, condiments, etc. — de la composition microbiologique des grains utilisés, de la durée et de la température de fermentation, du type de fermentation, et des conditions de stockage et/ou de réfrigération.

Il existe, ainsi, une abondance de souches diverses et variées, de Kéfirs de lait, circulant en Asie, depuis de nombreux millénaires.

Le Kéfir de lait contient des lipides, des protéines, des mucopolysaccharides, des vitamines A, B, C et K, du carotène, du calcium, du phosphore, du magnésium, des acides aminés essentiels, etc.

Le kéfir présente un profil d’acides aminés similaire à celui du lait utilisé comme substrat de fermentation. Les teneurs en ammoniaque, sérine, lysine, alanine, thréonine, tryptophane, valine, méthionine, phénylalanine et isoleucine sont plus élevées dans le kéfir que dans le lait non fermenté.

Selon Liutkevičius et Šarkinas [24], les teneurs en acides aminés essentiels du kéfir sont par ordre décroissant : la lysine (376 mg/ 100 g) ; l’isoleucine (262 mg/100 g) ; la phénylalanine (231 mg/ 100 g) ; la valine (220 mg/100 g) ; la thréonine (183 mg/100 g) ; la méthionine (137 mg/100 g) ; et le tryptophane (70 mg/100 g).

Le Kéfir de lait contient, également, un certain nombre d’acides : lactique, acétique, pyruvique, hippurique, propionique, formique, succinique, butyrique, diacétyle, acétaldéhyde, etc. Ainsi que des amines biogènes : putrescine, cadavérine, spermidine, tyramine, etc.

Les grains de kéfir sont formés par un écosystème microbien complexe, symbiotique et mutualiste, composé de bactéries lactiques, de bactéries acétiques et de levures. Tous ces composés sont intégrés dans une matrice exo-polysaccharidique qui est dénommée « Kéfiran ».

Les levures constituent un groupe extrêmement diversifié : elles contribuent à la formation de précurseurs d’arômes et de saveurs au cours des processus de fermentation et de maturation. Certaines espèces de fungi, présentes dans le Kéfir de lait — telles qu’appartenant aux genres Galactomyces, Geotrichum et Dipodascus — se situent, morphologiquement, entre les levures et les champignons filamenteux.

Le « kéfiran » est composé, à parts égales, de d-glucose et de d-galactose qui protègent le microbiote du grain des conditions environnementales défavorables à sa survie et à sa reproduction. Le « kéfiran » constitue entre 24 et 25 % du poids sec du grain de kéfir. La production de « kéfiran » est, principalement, liée à la présence de Lactobacillus kefiranofaciens et de Lactobacillus kefiri dans les grains.

L’accroissement quotidien de la biomasse de grains de Kéfir de lait est, environ, de 5 à 7 % lorsque les conditions de culture sont adéquates.

Aujourd’hui, les Kéfirs sont revenus très à la mode dans les pays occidentaux. De nombreuses innovations nutritionnelles intègrent, même, les grains de Kéfir de lait dans des processus de fermentation de laits de soja, de laits de fruits secs [103] (arachides, noix [81], amandes, noisettes [75], noix de cajou, etc.).

Selon une étude, d’avril 2023, « Production and evaluation of microbiological & rheological characteristics of kefir beverages made from nuts » [76], les Kéfirs de laits de fruits secs sont moins acides que les Kéfirs de lait — la palme de la douceur revenant au Kéfir de lait de noix. Quant au Kéfir de lait d’arachides, il se caractérisait par la plus haute teneur en levures.

Cette étude, d’ailleurs, a mis en exergue les ratios de pertes de micro-organismes — en fonction des divers Kéfirs de laits de vache ou de fruits secs — au bout d’une période de réfrigération d’un mois, à une température de 4 °C. Au cours du stockage, la diminution la plus faible (%) du nombre de micro-organismes a été déterminée dans le kéfir d’amandes (4,06 %), suivi du kéfir de vache (5,16 %), de noix (5,73 %), d’arachides (6,72 %), de noix de cajou (7,78 %) et de noisettes (9,53 %).

Bactéries et Levures composant le Microbiote

Les micro-organismes présents dans les Kéfirs de lait incluent [6] [20] :

Plus d’une vingtaine d’espèces de bactéries lactiques du genre Lactobacillus : Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus brevis, Lactobacillus bulgaricus, Lactobacillus paracasei subsp. paracasei, Lactobacillus delbrueckii, Lactobacillus helveticus, Lactobacillus plantarum, Streptococcus thermophilus, etc, etc.

Les Lactobacilli constituent de 32 % à 90 % de la population globale de micro-organismes des graines de Kéfir. [44]

Troissous-espèces de bactéries lactiques de l’espèce Lactococcus lactis.

En fonction des souches de kéfirs de lait, leur microbiote serait composé à 65-80 % de Lactobacillus et de Lactococcus.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Lentilactobacillus : Lentilactobacillus diolivorans, Lentilactobacillus hilgardii, Lentilactobacillus parakefiri, Lentilactobacillus otakiensis, Lentilactobacillus kefiri.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter : Acetobacter aceti, Acetobacter lovaniensis, Acetobacter syzygii, Acetobacter fabarum, Acetobacter orientalis.

Des espèces de bactéries sphériques dans le genre Streptococcus : Streptococcus cremoris, Streptococcus durans, Streptococcus faecalis, Streptococcus thermophilus, Streptococcus lactis, Streptococcus diacetylactis.

D’autres bactéries : Bacillus licheniformis, Bifidobacterium bifidum, Enterococcus durans, Escherichia coli, Micrococcus sp., Leuconostoc mesenteroides, Pediococcus acidilactici, Pediococcus dextrinicus, Pediococcus pentosaceus, Limosilactobacillus fermentum, Limosilactobacillus reuteri.

De plus, les espèces de levures sont au nombre d’une quarantaine dans les genres : Brettanomyces, Candida, Cryptococcus, Debaryomyces, Dekkera, Geotrichum, Issatchenkia, Kazachstania, Kluyveromyces, Lachancea, Pichia, Rodosporidium, Saccharomyces, Torulopsis, Torulospora, Zygosaccharomyces, Weissella, Yarrowia.

Extrême Diversité des Microbiotes

Il est, également, important de souligner qu’il existe autant de compositions microbiologiques que de souches de Kéfir. Ainsi, certaines souches n’ont que très peu de levures et autres fungi dans leurs éléments constitutifs — au contraire de certaines autres. De plus, le nombre d’espèces de bactéries et de levures peut varier considérablement d’une souche à l’autre.

L’extrême complexité, et l’extrême diversité, des microbiotes des grains de Kéfir garantissent l’inhibition de la contamination des breuvages par des bactéries d’altération et pathogènes — comme cela a été prouvé par une pléthore d’études scientifiques.

Par exemple, une étude, de 2022, a étudié la composition de trois souches de Kéfir de lait provenant du Tibet. Ils y ont identifié la présence de 715 souches de micro-organismes. [41]

Lactobacillus kefiranofaciens y constituait l’espèce dominante et Lactobacillus helveticus y constituait l’espèce probiotique la plus abondante.

Par exemple, dans une souche de Kéfir de lait tibétain — contenant 522 espèces — la levure Kluyveromyces marxianus ne comptait que pour moins de 1 % de la composition totale — et encore, cette portion, en compagnie de la bactérie Lactobacillus sunkii. [45]

Au total, 522 espèces ont été identifiées dans les communautés de grains de cette souche de Kéfir tibétain sur la base des données de séquençage métagénomique. Parmi la communauté bactérienne, Lactobacillus kefiranofaciens était l’espèce la plus abondante (86,02 %). La deuxième espèce la plus abondante était Lactobacillus helveticus (3,44 %), suivie de Lactobacillus parakefiri (2,45 %) et de Lactobacillus crispatus (1,32 %). Les Lactobacilli représentaient 97,00 % des communautés microbiennes dans les grains de kéfir, ce qui était conforme aux résultats obtenus dans des études antérieures (Gao & Zhang, 2019 ; Nalbantoglu et al., 2014). Lactobacillus sunkii et Kluyveromyces marxianus comprenaient <1,0 % d’abondance relative, ce qui est similaire aux rapports précédents, mais de nombreuses études ont observé que Kazachstania est le genre fongique dominant dans les grains de Kéfir tibétain. Le reste des communautés comprenait <0,05 %, incluait Acetobacter sp. et a été regroupé dans la catégorie « Autres ».

Par exemple, une étude, de 2012, a étudié la composition de quatre souches de Kéfir de lait provenant du Tibet. Pour deux de ces souches, le groupe microbien des levures était très dominant. [34]

Pour la souche TK/ZJUJ04 : Kazachstania unispora (71 %) et Pichia guilliermondii (2 %). Avec très peu de Lactobacillus plantarum (21 %) mais avec, par contre, Acetobacter fabarum (6 %) conférant une saveur un peu vinaigrée — en sus de levurée.

Pour la souche TK/ZJUJ02 :Kazachstania unispora (33 %), Kluyveromyces marxianus (10 %) et Pichia guilliermondii (3 %).

Par exemple, une étude, de 2022, a étudié la composition de trois souches de Kéfir de lait provenant du Caucase, du Tibet et de Moscou. Les Lactobacilli représentaient entre 32 % et 50 % de la composition totale. L’une des souches contenait 18 % de bactéries Acetobacter — lui conférant une certaine saveur vinaigrée. [38]

Dans ces trois souches, les levures appartenaient, majoritairement, aux genres Kazachstania et Kluyveromyces — avec 4 % de Pichia dans l’une des souches.

Par exemple, une étude, de 2022, a identifié 58 espèces représentant six genres fongiques et 17 genres bactériens, qui ont été isolées à partir de grains de kéfir de lait et d’eau collectés auprès d’un brasseur artisanal de Singapour. Ces genres incluaient Lactobacillus, Liquorilactobacillus, Lacticaseibacillus, Lentilactobacillus, Leuconostoc, Lactococcus, Acetobacter, Gluconobacter, Oenococcus, Clostridium, Zymomonas, Saccharomyces, Kluyveromyces, Pichia, Lachancea, Candida et Brettanomyces. [32] Lors de cette étude, 7 souches bactériennes de Lentilactobacillus hilgardii, Lacticaseibacillus paracasei, Liquorilactobacillus satsumensis, Lactobacillus helveticus et Lentilactobacillus kefiri ont, finalement, été identifiées comme probiotiques potentiels et combinées pour former un « mélange probiotique de kéfir ».

L’objectif de cette étude était, également, de valider le potentiel médicinal des Kéfirs de lait et d’eau à l’encontre des pathogènes bactériens entériques : Bacillus, Salmonella, Vibrio, Clostridium, Klebsiella, Escherichia, et Staphylococcus.

Interactions entre les Levures et les Bactéries

L’interaction entre les levures, d’une part, et les bactéries Lactobacilli, d’autre part, est essentielle dans une large gamme d’aliments fermentés — et, en particulier, dans le kéfir. [13] Les deux groupes de micro-organismes se soutiennent, naturellement, de différentes manières :

Assimilation de l’acide lactique qui est toxique pour les Lactobacilli — même lorsque le pH de la culture est maintenu par l’ajout de solutions alcalines. L’acide lactique est consommé comme source de carbone par des levures ne consommant pas de lactose — telle que Saccharomyces cerevisiae.

Production de CO2/élimination de l’O2 : le dioxyde de carbone peut fournir une atmosphère appropriée (oxygène réduit et dioxyde de carbone élevé) pour favoriser la croissance des espèces de Lactobacilli.

Fourniture de nutriments aux bactéries : les interactions trophiques, et l’échange de métabolites (alimentation croisée et mutualisée) permettent à plusieurs groupes de micro-organismes de survivre avec des ressources limitées. Par exemple, les espèces de levures participent à la prospérité des bactéries en leur fournissant des vitamines, des facteurs de croissance et des acides aminés essentiels.

Selon l’étude, d’octobre 2022, « Yeast cell wall polysaccharides in Tibetan kefir grains are key substances promoting the formation of bacterial biofilm / Les polysaccharides de la paroi cellulaire de la levure dans les grains de kéfir tibétain sont des substances clés favorisant la formation d’un biofilm bactérien » : [33]

« Cette étude a examiné l’interaction entre Kluyveromyces marxianus, Lacticaseibacillus paracasei et Lactobacillus helveticus qui ont été isolés à partir de grains de kéfir tibétain. En outre, les effets de Kluyveromyces marxianus sur la croissance et la formation de biofilms de Lacticaseibacillus paracasei et de Lactobacillus helveticus ont été déterminés.Les résultats indiquent que Kluyveromyces marxianus favorise la croissance de Lacticaseibacillus paracasei et de Lactobacillus helveticus et améliore leur capacité à former un biofilm.En outre, les cellules mortes de Kluyveromyces marxianus ont été trouvées pour améliorer la formation de biofilms bactériens, et le polysaccharide de la paroi cellulaire produit par Kluyveromyces marxianus s’est avéré être des substances clés qui favorisent la formation de biofilms bactériens. »

Selon l’étude « A Big World in Small Grain: A Review of Natural Milk Kefir Starters / Un grand monde en petits grains : Examen des produits de départ naturels pour le kéfir de lait » [40], il existe, également, dans le Kéfir de lait, des interactions interbactériennes et inters fongiques — qui sont, néanmoins très peu étudiées.

Par exemple, il existe des études informatives sur les interactions bactéries-bactéries entre les espèces bactériennes du yaourt, Lactobacillusdelbrueckii subsp. bulgaricus et Streptococcus thermophilus, qui sont connues pour leurs interactions protocoopératives et symbiotiques.

Par exemple, certaines souches de Saccharomyces cerevisiae sécrètent des peptides qui inhibent la croissance de certaines souches non-Saccharomyces, telles que Kluyveromyces marxianus.

Selon l’étude de Wang, 2012, « Investigation of microorganisms involved in biosynthesis of the kefir grain / Étude des micro-organismes impliqués dans la biosynthèse du grain de kéfir » [5] :

« Les résultats indiquent que les souches de grains de kéfir, Lactobacillus kefiranofaciens et Saccharomyces turicensis, possèdent une forte capacité d’autoagrégation tandis que Lactobacillus kefiri présente des propriétés significatives de formation de biofilms… Sur la base des résultats ci-dessus, nous proposons que la formation des grains commence par l’autoagrégation de Lactobacillus kefiranofaciens et Saccharomyces turicensis pour former de petits granules. À ce stade, le producteur de biofilm, Lactobacillus kefiri, commence à s’attacher à la surface des granules et s’agrège avec d’autres organismes et composants du lait pour former les grains. Lors de la sous-culture, d’autres organismes s’attachent aux grains, ce qui entraîne leur croissance. L’examen au microscope électronique à balayage a révélé que les lactobacilles à chaîne courte, tels que Lactobacillus kefiri, occupent la surface, tandis que les lactobacilles à chaîne longue, tels que Lactobacillus kefiranofaciens, se sont agrégés au centre des grains de kéfir. »

Dans cette étude, Wang isola trois souches de levures dans le Kéfir de lait : Kluyveromyces marxianus HY1, Saccharomyces turicensis HY2 et Pichia fermentans. En 2004, Wang avait, également, isolé deux autres bactéries lactiques, dans le Kéfir : Leuconostoc mesenteroides et Lactococcus lactis. [4]

Qualités médicinales

Les Kéfirs de lait [6] possèdent de nombreuses qualités médicinales : probiotiques, anti-génotoxiques [53], digestives, anti-microbiennes [11] [39], hypo-cholestérolémiques, glyco-régulatrices, anti-hypertensives [25], anti-inflammatoires [19] [26], anti-oxydantes [49], anti-constipation, anti-carcinogéniques [21], anti-allergiques [28], anti-asthmatiques, anti-ulcériques [15], anti-diabétiques, anti-dépressives [47], neuro-protectrices [57], anti-athérogéniques. Il confère, de plus, une tolérance au lactose.

Selon une étude de 2021, « Kefir and and Its Biological Activities » [37], l’activité anti-carcinogénique du Kéfir de lait a été validée à l’encontre des cancers suivants : cancer du sein [30], sarcome murin, mélanome, leucémie, cancer de l’estomac, cancer du côlon, cancer des poumons, etc.

Les Kéfirs de lait sont des Élixirs de Longue Vie parce qu’ils modulent, admirablement, en particulier, le microbiote intestinal — afin de le renforcer et afin d’en éliminer les micro-organismes pathogènes.

Selon une étude d’octobre 2021, « Kefir ameliorates specific microbiota-gut-brain axis impairments in a mouse model relevant to autism spectrum disorder / Le kéfir améliore les déficiences spécifiques de l’axe microbiote-intestin-cerveau dans un modèle de souris lié aux troubles du spectre autistique » : « Ces données démontrent que le kéfir, boisson lactée fermentée traditionnelle, réduit les déficiences comportementales spécifiques et module l’immunorégulation périphérique dans un modèle murin de troubles du spectre autistique. Ces résultats renforcent la notion de kéfir comme intervention potentielle pour moduler positivement l’axe microbiote-intestin-cerveau et montrent que la supplémentation en kéfir pourrait s’avérer une stratégie viable pour améliorer les symptômes spécifiques des troubles du spectre autistique. En outre, ils confirment le potentiel des interventions nutritionnelles ciblées sur le microbiote qui peuvent soutenir la santé mentale. » [89]

Selon une étude de 2021, « Kefir and Intestinal Microbiota Modulation: Implications in Human Health », le Kéfir de lait permet de moduler la composition du microbiote intestinal : « Dans cette revue narrative, nous examinons comment le kéfir peut traiter l’obésité, le diabète sucré, les maladies du foie, les troubles cardiovasculaires, l’immunité et les troubles neurologiques. Les peptides, les composés bioactifs et les souches, présents dans le kéfir, peuvent moduler la composition du microbiote intestinal, l’inflammation de bas grade et la perméabilité intestinale, ce qui peut avoir des effets bénéfiques sur la santé. Le kéfir peut également avoir un impact sur la régulation de l’homéostasie de l’organisme, avec un effet direct sur l’axe intestin-cerveau, ce qui constitue une stratégie possible pour la prévention des maladies métaboliques. » [18]

Selon une étude de 2020, « A new class of antimicrobial molecules derived from kefir, effective against Pseudomonas aeruginosa and methicillin resistant Staphylococcus aureus (MRSA) strains / Une nouvelle classe de molécules antimicrobiennes dérivées du kéfir, efficaces contre les souches de Pseudomonas aeruginosa et de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline », le Kéfir de lait confère une résistance vis-à-vis des bactéries pathogènes résistantes aux antibiotiques. [2]

Selon de nombreuses études, les Kéfirs possèdent une activité antimicrobienne à l’encontre des bactéries et des fungi suivants : Bacillus cereus, Bacillus subtilis, Bacillus thuringiensis, Clostridium difficile, Clostridium perfringens, Enterococcus faecalis, Escherichia coli, Helicobacter pylori, Klebsiella pneumoniae, Listeria innocua, Listeria monocytogenes, Pseudomonas aeruginosa, Salmonella enterica, Shigella dysenteriae, Shigella flexneri, Shigella sonnei, Staphylococcus aureus, Staphylococcus salivarius, Streptococcus faecalis, Streptococcus pyogenes; Aspergillus flavus, Aspergillus niger, Aspergillus ochraceus, Candida albicans, Fusarium graminearum, Penicillium glaucum, Staphylococcus epidermidis, Yersinia enterocolitica.

Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques

Les grains de Kéfirs de lait peuvent être, également, utilisés pour la bio-remédiation — à savoir pour la biodégradation des substances les plus polluantes sur Terre. Voici une liste d’études mettant en exergue cette capacité :

« Bioremoval of reactive dye Remazol Navy by Kefir grains / Élimination biologique du colorant réactif Remazol Navy par des grains de kéfir ». [72]

Selon cette étude : « Dans toutes les conditions, les grains de kéfir vivants ont montré une efficacité d’élimination du colorant plus élevée que les grains non vivants. En 180 min, 96,3 % et 79,4 % d’élimination du colorant ont été obtenus avec des grains de kéfir vivants et non vivants respectivement, à pH 2 et à 25 °C pour une concentration initiale de colorant de 100 mg/L en utilisant 2,4 g/L de grains de kéfir. »

« Potential Use of Probiotic Consortium Isolated from Kefir for Textile Azo Dye Decolorization / Utilisation potentielle du consortium probiotique isolé du kéfir pour la décoloration des teintures azoïques des textiles ». [100]

Selon cette étude : « Dans la présente étude, la décoloration et l’efficacité de la dégradation du Remazol brillant orange 3R (RBO 3R) ont été étudiées en utilisant un consortium probiotique — composé de Lactobacillus acidophilus et de Lactobacillus plantarum. Dans des conditions optimales, le consortium bactérien a été capable de décolorer complètement le colorant (>99 %) en 12 heures. L’élimination de la couleur était de 99,37 % à 750 ppm. »

« Adsorption of aflatoxin B1, zearalenone and ochratoxin A by microorganisms isolated from Kefir grains / Adsorption de l’aflatoxine B1, de la zéaralénone et de l’ochratoxine A par des micro-organismes isolés des grains de kéfir. »

« Nos résultats ont montré que le consortium de micro-organismes, des grains de kéfir, adsorbait 82 à 100 % de l’aflatoxine B1, de la zéaralénone et de l’ochratoxine A lorsqu’il était cultivé dans le lait. Les principales souches capables d’adsorber les mycotoxines ont été identifiées comme étant Lactobacillus kefiri, Kazachstania servazzii et Acetobacter syzygii. » [17]

« Pollution Abatement of Heavy Metals in Different Conditions by Water Kefir Grains as a Protective Tool against Toxicity / Réduction de la pollution par les métaux lourds dans différentes conditions par les grains de kéfir d’eau en tant qu’outil de protection contre la toxicité ». [22]

« Mixed Culture of Lactococcus lactis and Kluyveromyces marxianus Isolated From kefir Grains For Pollutants Load Removal From Jebel Chakir Leachate / Culture mixte de Lactococcus lactis etKluyveromyces marxianus isolés à partir de grains de kéfir pour l’élimination de la charge polluante du lixiviat de Jebel Chakir ». [97]

« Role of S-layer proteins in the biosorption capacity of lead by Lactobacillus kefir / Rôle des protéines de la couche S dans la capacité de biosorption du plomb parLactobacillus kefir. » [3]

« Use of Raman spectroscopy and chemometrics for the quantification of metal ions attached to Lactobacillus kefir / Utilisation de la spectroscopie Raman et de la chimiométrie pour la quantification des ions métalliques attachés àLactobacillus kefir ». [9]

« Removal of cadmium by Lactobacillus kefir as a protective tool against toxicity / L’élimination du cadmium par le kéfir de Lactobacillus comme outil de protection contre la toxicité ». [16]

« Modelling of aflatoxin G1 reduction by kefir grain using response surface methodology / Modélisation de la réduction de l’aflatoxine G1 par le grain de kéfir à l’aide de la méthodologie de la surface de réponse ». [8]

« A new practical approach for the biological treatment of a mixture of cheese whey and white wastewaters using Kefir grains / Une nouvelle approche pratique pour le traitement biologique d’un mélange de lactosérum de fromage et d’eaux usées blanches à l’aide de grains de kéfir ». [12]

« Microbial community diversity associated with Tibetan kefir grains and its detoxification of Ochratoxin A during fermentation / Diversité de la communauté microbienne associée aux grains de kéfir tibétain et détoxification de l’ochratoxine A pendant la fermentation ». [14]

« Adsorption removal of ochratoxin A from milk by Tibetan kefir grains and its mechanism / Adsorption de l’ochratoxine A du lait par les grains de kéfir tibétain et son mécanisme ». [23]

« Lead removal from water by a newly isolated Geotrichum candidum LG-8 from Tibet kefir milk and its mechanism / Élimination du plomb de l’eau par un Geotrichum candidum LG-8 nouvellement isolé du lait de kéfir tibétain et son mécanisme ». [42]

« Kefir milk alleviates benzene-induced immunotoxicity and hematotoxicity in rats / Le kéfir atténue l’immunotoxicité et l’hématotoxicité induites par le benzène chez le rat ». [73]

Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives

Les Kéfirs de lait peuvent être, également, utilisés pour la bio-remédiation des substances radioactives.

« Protective effects of the fermented milk Kefir on X-ray irradiation-induced intestinal damage in B6C3F1 mice / Effets protecteurs du lait fermenté kéfir sur les lésions intestinales induites par l’irradiation aux rayons X chez les souris B6C3F1 ». [27]

« The protective effect of fermented milk kefir on radiation-induced apoptosis in colonic crypt cells of rats / Effet protecteur du kéfir de lait fermenté sur l’apoptose induite par les radiations dans les cellules cryptales du côlon chez le rat ». [29]

« Ameliorative effect of kefir against γ-irradiation induced liver injury in male rats: impact on oxidative stress and inflammation / Effet bénéfique du kéfir sur les lésions hépatiques induites par l’irradiation γ chez les rats mâles : impact sur le stress oxydatif et l’inflammation ». [36]

Les Kéfirs d’eau

Composition nutritionnelle

Le Kéfir d’eau est une boisson fermentée fruitée, acide, aigre et légèrement gazeuse, à forte teneur en acide lactique et à faible teneur en alcool. Au fil de la fermentation, les substances sucrées vont être métamorphosées en éthanol, acide lactique, acide acétique et d’autres métabolites — mannitol, glycérol, esters — et d’autres acides organiques et en biomasse de grains de Kéfir d’eau. Généralement, la concentration en sucrose diminue de 98 % en l’espace de 24 heures.

La concentration, des Kéfirs d’eau, en éthanol varie entre 0,02 % et 2 %, en acide lactique entre 0,17 % et 2 % et en acide acétique entre 0,1 % et 2,8 %.

Le volume des grains de Kéfir d’eau peut doubler, lorsqu’ils sont bien alimentés, en l’espace de 2 ou 3 jours. Certaines expériences font état d’une augmentation de 155 % du volume au bout de 72 heures — avec des figues séchées et du sucre.

La composition nutritionnelle des Kéfirs d’eau varie en fonction de la nature des ingrédients — eau, sucre, condiments, fruits secs, épices, etc. — de la composition microbiologique des grains utilisés, de la durée et de la température de fermentation et des conditions de stockage et/ou réfrigération.

Il est strictement déconseillé d’avoir recours à des eaux déminéralisées. En effet, les Kéfirs d’eau ont besoin de calcium afin de prospérer généreusement. Le rôle croissant de la teneur en calcium dans la biomasse des grains de kéfir d’eau est attribué à la biosynthèse des glucanes.

Il est donc conseillé d’avoir recours à des substances alimentaires très riches en calcium. C’est pour cette raison que la figue reste un fruit sec privilégié, car 100 grammes de figues séchées contiennent, environ, 160 mg de calcium.

Place à l’imagination et à l’innovation : les Kéfirs d’eau pourraient être aromatisés avec du Basilic, de l’Origan, de la Menthe, ou du Romarin, dont les feuilles séchées contiennent, pour 100 grammes, respectivement, 2200 mg, 1600 mg, 1500 mg et 1300 mg de calcium. À noter que les Kéfirs d’eau mexicains, dénommés « Tibicos »sont aromatisés avec de la cannelle qui, pour 100 grammes, contient, environ, 1000 mg de calcium.

Traditionnellement, la fermentation du kéfir d’eau est réalisée par incubation à 20-37 °C (20-25 °C de manière optimale) durant 1 à 3 jours (en fonction de la saison et de la température ambiante). Une fois la fermentation terminée, les grains sont filtrés à travers un tamis stérile, séparés du milieu, lavés et les mêmes processus sont répétés pour la fermentation suivante.

Après que le Kéfir d’eau ait été filtré, il est conseillé de le laisser reposer, en seconde fermentation, pendant une douzaine d’heures — ou plus, en fonction de la température ambiante — avant de le réfrigérer (à 4 °C). Ce processus de seconde fermentation doit être, alors, surveillé attentivement, surtout durant l’été… afin qu’à l’ouverture de la bouteille, son contenu ne s’échappe pas avec force ! Pour plus de saveur, des fruits, ou des jus de fruits peuvent être ajoutés durant cette seconde fermentation.

De même que pour les Kéfirs de lait, les Kéfirs d’eau se caractérisent par des microbiotes très diversifiés quant à leur composition en bactéries et en levures et quant à leur ratio : en fonction des souches, ce sont soit les bactéries qui prédominent, soit des levures.

De même, pour les Kéfirs d’eau, tout comme pour les Kéfirs de lait, en ce qui concerne leur composition en levures, ce sont soit des espèces du genre Sacharomyces, ou du genre Kluveromyces ou encore du genre Pichia, qui prédominent — en fonction des souches et des origines géographiques.

Les Kéfirs d’eau se distinguent des Kéfirs de lait de par le fait que chaque grain est constitué d’une matrice de polysaccharides différents : le glucane (un homopolysaccharide) pour les Kéfirs d’eau et le glucogalactan (un hétéropolysaccharide), nommé « Kéfiran », pour les Kéfirs de lait. Le glucane est synthétisé, principalement, par Lactobacillus hilgardii et Lactobacillus satsumensis — mais, également, parLactobacillus casei, Leuconostoc mesenteroides, Lactobacillus nagelii, Lactobacillus hordei. Le Kéfiran est, principalement, synthétisé par Lactobacillus kefiranofaciens. De plus, c’est du sucrose qui est fermenté dans les Kéfirs d’eau et du glucose dans les Kéfirs de lait. Enfin, ce ne sont pas, intégralement, les mêmes espèces de bactéries et de levures qui composent ces deux types de Kéfirs.

D’ailleurs, le Peuple belge, une fois, s’est fait remarquer, car son Kéfir belge est le seul au monde a intégrer la bactérie Lactobacillus harbinensis. Ce Lactobacille, de plus, est réputé améliorer la qualité organoleptique du lait de soja fermenté par une production élevée de 2,3-butanedione et d’acétoïne. [96]Lactobacillus harbinensis est, ainsi, nommé, car il fut isolé à Harbin dans le nord-est de la Chine dans un mets fermenté traditionnel et réputé, le « Suan cai ». Ce Lactobacille — présent, également, dans la boisson alcoolisée traditionnelle Coréenne, le « makgeolli » — possède, de plus, une très forte activité antifongique validée. [88]

Grâce à la grande capacité des micro-organismes, présents dans les grains de kéfir d’eau, à s’adapter à différents substrats de fermentation, ce breuvage peut être produit à partir d’une grande diversité de sources de sucre. [94]

En fait, les grains de Kéfir d’eau peuvent fort bien être utilisés, également, pour fermenter du lait de vache ou de chèvre. Ou pour fermenter de l’eau de noix de coco tel qu’il a été expérimenté, au Brésil, en 2021, avec, également, de l’inuline. Lors de cette expérimentation, de nouvelles bactéries et levures ont été identifiées dans ce Kéfir : Lactobacillus uvarum, Gluconobacter albidus et Lasiodiplodia brasiliensis. [66]

En fonction des substances utilisées dans la fermentation, ce ne sont pas les mêmes bactéries qui vont prédominer au fil des cycles de production des Kéfirs d’eau. Par exemple, une étude, de 2012, a mis en exergue qu’avec du sucre brun, c’est Leuconostoc mesenteroides qui était enclin à prédominer — avec beaucoup plus loin Lactobacillus hordei et Lactobacillus mali — tandis qu’avec du lait de vache ou de chèvre, Leuconostoc mesenteroides, Lactococcus lactis, Bifidobacterium psychraerophilum et Enterococcus faecalis prédominaient. [46]

Une étude plus récente [59], de mai 2021, a mis en valeur que la mélasse purifiée n’était pas adaptée à la production de Kéfir d’eau — parce que dénuée de nutriments. Selon cette étude, la fermentation avec du sucre brun se caractérisait par une prédominance de bactéries du phylum Bacillota/Firmicutes de l’ordre de 98 %. Quant à la fermentation avec de la molasse brute de qualité (de brix 85), elle se caractérisait par une prédominance de bactéries du phylum Proteobacteria. Les bactéries Bacillota principales étaient Liquorilactobacillus nagelii, Lentilactobacillus hilgardii, Lentilactobacillus diolivorans, Lacticaseibacillus casei et Lacticaseibacillus paracasei. Les bactéries Proteobacteria principales étaient Acetobacter lovaniensis, Gluconobacter oxydans et Gluconobacter roseus.

Lors de cette étude, par exemple, lorsqu’un kéfir fermenté avec du sucre brun fut fermenté avec de la molasse brute de qualité, le phylum des Proteobacteria passa de 22 % à 78 % de la composition totale — et ce, en l’espace d’un cycle de 7 fermentations successives.

Le troisième phylum de bactéries présent dans le kéfir, les Actinomycetota, ne se retrouve que dans les Kéfirs de fabrication industrielle — et ce, à hauteur d’environ 10 % seulement. [92]

En fait, aujourd’hui, de nombreuses innovations nutritionnelles intègrent les grains de Kéfir (d’eau et de lait) dans des processus de fermentation de laits végétaux (tel que le petit lait de soja), laits de fruits secs (noix [81], amandes, noisettes, etc. [76]), de jus de légumes et de fruits [61] [68] [69] (tomates, melons, fraises, fenouils, carottes, oignons, yacon [Smallanthus sonchifolius] [77], courges, noix de coco [66], pommes, pitayas, grenades, coings, kiwis, raisins, prunes…) et autres substances… telles que l’huile de l’Olivier de Bohême, Elaeagnus angustifolia [71]. En fonction des fruits et légumes fermentés, les taux d’éthanol, d’acide lactique, d’acide acétique, ainsi que le pH, peuvent varier considérablement dans le Kéfir.

Ces innovations intègrent même les grains de Kéfir pour la confection de vinaigres ou de bières. Selon l’étude « A novel beer fermented by kefir enhances anti-inflammatory and anti-ulcerogenic activities found isolated in its constituents » [86] : « Dans le présent travail, nous avons préparé une bière fermentée par du kéfir et comparé certaines de ses activités anti-inflammatoires et anti-ulcérogéniques à celles trouvées séparément dans la mélasse acidifiante de kéfir et la bière artisanale, en utilisant l’œdème induit par la carragénine de la patte de rat et l’ulcère induit par l’éthanol comme modèles de provocation. Les résultats globaux suggèrent un effet synergique de la bière de kéfirqui implique la teneur en polyphénols du malt d’orge ainsi que certaines des propriétés probiotiques et prébiotiques inhérentes au kéfir lui-même. »

Contrairement à ce qui s’affirme, très souvent, il est même possible de concocter du Kéfir d’eau avec du miel d’abeilles comme source sucrée. [78]

Selon l’une de ces études le prouvant : « En outre,la boisson de kéfir à base de miel a montré un effet protecteur sur les dommages causés à l’ADNet a eu une qualité sensorielle élevée par rapport à la boisson de kéfir traditionnelle. Les résultats démontrent que le miel pourrait être un substrat alternatif idéal pour la production de boissons de culture fonctionnelles, en particulier pour les végétaliens et les consommateurs intolérants au lactose. » [79]

Bactéries et Levures composant le Microbiote

Les micro-organismes présents dans les Kéfirs d’eau incluent :

Bactéries :

Une vingtaine d’espèces, et de sous-espèces, de bactéries lactiques du genre Lactobacillus : Lactobacillus ruminis, Lactobacillus brevis, Lactobacillus hilgardii, Lactobacillus casei sp. casei, Lactobacillus casei sp. rhamnosus, Lactobacillus casei sp. pseudoplantarum, Lactobacillus diolivorans, Lactobacillus fermentum, Lactobacillus harbinensis, Lactobacillus hordei, Lactobacillus kefiranofaciens, Lactobacillus kefiri, etc.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Leuconostoc : Leuconostoc citreum, Leuconostoc mesenteroides et Leuconostoc holzapfelii.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Oenococcus : Oenococcus kitaharae, Oenococcus oeni, Oenococcus sicerae et Oenococcus aquakefirii.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter : Acetobacter fabarium, Acetobacter orientalis, Acetobacter lovaniensis, Acetobacter indonesiensis, Acetobacter tropicalis, Acetobacter okenawensis.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Gluconobacter : Gluconobacter frateuri, Gluconobacter liquefaciens, Gluconobacter roseus, Gluconobacter oxydans.

Des espèces d’actinobactéries (plus acétiques que lactiques) du genre Bifidobacterium : Bifidobacterium aquikefiri, Bifidobacterium tibiigranuli, Bifidobacterium crudilactis et Bifidobacterium psychraerophilum.

Les espèces de Bifidobacterium sont des probiotiques.

D’autres espèces de bactéries moins fréquentes :Zymomonas mobilis, Lysinibacillus sphaericus, Pediococcus sp., Bacillus methanolicus, Achromobacter xylosoxidans.

Zymomonas mobilis a été validé comme la bactérie proédominante dans deux Kéfirs d’eau. Zymomonas mobilis est, traditionnellement, associé aux boissons fermentées alcooliques des régions tropicales d’Asie, d’Afrique et d’Amérique. Zymomonas mobilis se caractérise par un très haut niveau de production d’éthanol [93] et des qualités médicinales antitumorales, antiseptiques, anti-inflammatoires et probiotiques.

Levures :

Des espèces de levures du genre Sacharomyces : Sacharomyces cerevisiae, Sacharomyces bayanus, Sacharomyces florentinus et Sacharomyces pretoriensis.

Sur les quinze études portant sur la composition en levures des Kéfirs d’eau, Saccharomyces cerevisiae a été identifié dans toutes les études à l’exception de deux : cette espèce constitue, donc, un membre clé du microbiote de leurs grains.

Des espèces de levures du genre Zygosacharomyce : Zygosacharomyces florentinus, Zygosacharomyces fermentati et Zygotorulaspora florentina.

Des espèces de levures du genre Hanseniaspora : Hanseniaspora valbyensis, Hanseniaspora vinae et Hanseniaspora yalbensis.

Des espèces de levures du genre Pichia : Pichia membranifaciens, Pichia kudriavzevii, Pichia occidentalis, Pichia cecembensis, Pichia caribbica, Pichia fermentans.

Des espèces de levures du genre Candida : Candida glabrata, Candida lambica, Candida valida.

D’autres espèces de levures : Dekkera anomala, Dekkera bruxellensis, Issatchenkia orientalis, Kloeckera apiculata, Lanchancea fermentati, Lanchancea meyercii, Kluveromyces lactis, Kluveromyces marxianus, Kazachstania aerobia, Kazachstania unispora, Hanseniaspora uvarum, Brettanomyces bruxellensis, Ogataea parapolymorph, Eremothecium cymbalariae, Torulaspora pretoriensis.

En général, la diversité et l’étendue des espèces de levures, dans les grains de kéfir d’eau, semblent être inférieures à celles des bactéries. Par exemple, une étude brésilienne, de 2010, a identifié 289 souches de bactéries et 129 souches de levures dans un Kéfir d’eau brésilien. [64]

Interactions entre les Levures et les Bactéries

Tout ce qui a été exposé dans la section correspondante pour les Kéfirs de lait est valable pour les Kéfirs d’eau même si certaines espèces de bactéries et de levures diffèrent.

Selon l’étude « Metabolic activity and symbiotic interactions of lactic acid bacteria and yeasts isolated from water kefir / Activité métabolique et interactions symbiotiques des bactéries lactiques et des levures isolées du kéfir d’eau » [80] :

La co-culture de levures et de lactobacilles dans un milieu de kéfir d’eau a augmenté de manière significative le rendement cellulaire de tous les partenaires de l’interaction, définissant l’interaction de ces isolats de kéfir d’eau comme un mutualisme. Le soutien de Zygotorulaspora florentina était dû à l’acidification du milieu par les lactobacilles, tandis que la croissance des lactobacilles est améliorée par l’élimination des nutriments essentiels produits par les levures. L’interaction trophique entre Lactobacillus hordei et les levures est constituée par la libération d’acides aminés et de vitamine B6 par les levures, tandis que la croissance de Lactobacillus nagelii est soutenue par leur production d’acides aminés. L’interaction entre Zygotorulaspora florentina et Lactobacillus nagelii a fait l’objet d’un examen plus approfondi qui a révélé que la co-culture incitait la levure à libérer de l’arginine, qui était essentielle pour Lactobacillus.

Pour une étude très approfondie sur les interactions Bactéries/Levures, interbactériennes et interfongiques, voir : « Water kefir: Factors affecting grain growth and health‐promoting properties of the fermented beverage / Kéfir d’eau : facteurs influençant la croissance des grains et les propriétés bénéfiques pour la santé de la boisson fermentée ». [84]

Qualités médicinales

Le Kéfir d’eau possède de très nombreuses qualités médicinales : probiotiques, antitumorales [51], anti-carcinogéniques [99], anti-hypertensives [62], immunomodulatrices [50], anti-hyperlipidiques, antitoxiques, antioxydantes [52] [54], hypo-cholestérolémiques, anti-inflammatoires, anti-ulcérogéniques, hépatoprotectrices [85], antimicrobiennes, anti-angiogéniques, anti-métastatiques [91], cicatrisantes [83], etc.

Les Kéfirs d’eau possèdent une très forte capacité, tout comme les Kéfirs de lait, de moduler la composition du microbiote intestinal. [67][82]Les micro-organismes présents dans les Kéfirs d’eau ont la capacité d’inhiber la croissance de bactéries et de fungi pathogènes dans les genres Salmonella [55], Shigella, Staphylococcus [56], Aspergillus [48] [58], Rhizopus, Penicillium, etc.

Les bactéries, ou du moins certaines de leurs souches — Lactobacillus casei, Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus paracasei, Lactobacillus kefiranofaciens, Lactobacillus diolivorans, Lactobacillus reuteri, Lactococcus lactis, Lactobacillus ruminis, Enterococcus fæcium possèdent des capacités probiotiques.

Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques

Les grains de Kéfirs d’eau peuvent être, également, utilisés pour la bio-remédiation — à savoir pour la biodégradation des substances les plus polluantes sur Terre. Voici une liste d’études mettant en exergue cette capacité :

Il est à noter que certaines études, de bio-remédiation, sus-citées pour les Kéfirs de lait, peuvent, également, s’appliquer aux Kéfirs d’eau dans la mesure où une partie de leur microbiote est commun.

« Use of wastewater as a substrate for sugary kefir growth and value-added products formation / Utilisation des eaux usées comme substrat pour la croissance du kéfir sucré et la formation de produits à valeur ajoutée ». 2014. [63]

« Application of soluble fibers in the osmotic dehydration of pineapples and reuse of effluent in a beverage fermented by water kefir / Application de fibres solubles dans la déshydratation osmotique des ananas et réutilisation de l’effluent dans une boisson fermentée par le kéfir d’eau ». 2020. [65]

« Pollution abatement of heavy metals in different conditions by water kefir grains as a protective tool against toxicity / Réduction de la pollution par les métaux lourds dans différentes conditions par les grains de kéfir d’eau en tant qu’outil de protection contre la toxicité ». [60]

« FTIR spectroscopy structural analysis of the interaction between Lactobacillus kefir S-layers and metal ions / Analyse structurelle par spectroscopie FTIR de l’interaction entre les couches S de Lactobacillus kefir et les ions métalliques ». [90]




L’OMS et ses standards dépravés pour l’éducation sexuelle en Europe

Par Claude Janvier

Avec la crise « sanitaire » qui a sévi dès le début 2020, où presque tous les gouvernements de la Terre ont obéi comme un seul homme à une folie « confinatoire et vaccinale », il apparaît de plus en plus évident que l’OMS, créée en 1948, règne en maître absolu dans l’élaboration des directives mondiales pour la santé.

Aucun État ne songe à remettre en cause ses décisions émanant de spécialistes éminents ou se faisant paraître comme tels. Cette « chasse gardée » de la santé rapporte des milliards de dollars aux puissants laboratoires pharmaceutiques, censés nous vouloir du bien. Financée par les États membres et par la fondation Gates, il apparaît nécessaire de s’interroger sur l’efficacité réelle de cette organisation, d’autant plus que l’OMS s’immisce discrètement, mais sûrement, dans l’éducation sexuelle des tout petits. (De 0 à 4 ans).

Voici un extrait d’un de ses rapports, publié en 2013, intitulé :

« OMS : Bureau régional pour l’Europe. Standards pour l’éducation sexuelle en Europe. Un cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé et les spécialistes. Santé sexuelle ».

Page 35 : 

1.3 Pourquoi commencer l’éducation sexuelle avant l’âge de quatre ans ? 

« Nous l’avons dit à plusieurs reprises : l’éducation sexuelle doit être comprise dans un sens large et holistique, et la sexualité considérée en tant que potentiel positif de l’être humain. L’enfant est un être sexué dès sa naissance, même si sa sexualité est différente de celle des adultes à de nombreux égards, notamment dans son expression, ses contenus et ses objectifs.

À chaque âge, chaque étape de développement, il aura des questions et des comportements spécifiques (p, ex, découverte et exploration de son corps et de celui de ses camarades en jouant au docteur, se plaire à montrer son corps et à regarder celui des autres, faire preuve de pudeur envers autrui, etc.) auxquels il s’agira de réagir par une pédagogie adaptée.

Le développement psychosexuel pendant l’enfance va de pair avec le développement de compétences physiques, émotionnelles, cognitives et sociales. Nous renvoyons au chap. 3.2 pour une description détaillée du développement psychosexuel de l’enfant. »

Page 38 : 0-4 ans 

« Le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce, la découverte de son propre corps et de ses parties génitales, le fait que le plaisir lié au contact physique est un aspect normal de la vie de chacun. »

Page 39 : 0-4 ans

« Le droit d’explorer les identités sexuelles. » 

https://www.sante-sexuelle.ch/assets/docs/Standards-OMS_fr.pdf

L’OMS est assurément un outil bien pratique pour asseoir une suprématie planétaire au service d’une poignée d’individus. Outre le fait que l’OMS a mandaté, il y a peu, des sociétés privées afin d’élaborer dans un futur proche un passeport sanitaire et numérique mondial, ce rapport démontre son implication perverse à vouloir imposer une sexualité débridée à des enfants de moins de quatre ans, afin de détruire les valeurs sociétales et familiales. 

Les buts nauséabonds de cette organisation montrent le degré d’abjection, d’amoralité, de dépravation et de débauche de ses dirigeants et de ses maîtres. 

Si vous voulez en savoir plus sur cet asile psychiatrique planétaire à ciel ouvert, le livre « Les Démasqués — Qui dirige réellement le monde », KA éditions vient de sortir. Déjà disponible au mois d’août 2023, sa sortie officielle sera programmée à la rentrée scolaire en septembre de cette année.
https://kaeditions.com/product/les-demasques-qui-dirige-reellement-le-monde/

Claude Janvier 
Écrivain, essayiste et chroniqueur sur TV ADP. — « Libres Paroles », chaque vendredi de 20 h à 21 h. —




L’Homme moderne a gagné en espérance de vie, mais…




La solution c’est le problème : retour sur Paul Watzlawick et les impasses occidentales

Par Nicolas Bonnal

La guerre contre la Russie devait être la solution : elle est devenue le problème. L’Europe technocratique supranationale devait être la solution : elle est le problème. Le vaccin devait être la solution : il est devenu le problème. On continue ?

Le légendaire Paul Watzlawick avait souligné le caractère gothique de nos monstrueux systèmes de « santé » : la multiplication par trente des dépenses médicales a créé les conditions d’un effondrement humain : faible, endetté, complexé, le citoyen serait bon pour les abattoirs de la postmodernité et pour soixante vaccins par an. Tournant le dos aux enseignements de Jünger (dans les années cinquante — voyez mes textes) ou de Rudolf Steiner (dans les années vingt) le petit blanc occidental se donne aux monstres et aux charlatans des hôpitaux (Debord, Commentaires) pour un oui ou pour un non.

Deux caractères m’enchantent chez Watzlawick, sa culture littéraire qui est la mienne — et son humour.

Pour Watzlawick la solution est souvent le problème : et la presse britannique découvre l’écrasante défaite aujourd’hui de l’Ukraine et de l’OTAN face à l’ours d’argile russe… Toutes les solutions de nos technocrates et politiciens froncés n’ont fait que créer de nouveaux problèmes sans jamais rien solutionner. Ce Watzlawick est un sage taoïste ironisant face au triomphe apocalyptique-millénaire des bureaucrates.

Mais laissons-lui la parole.

Faites vous-même votre malheur, début du livre :

« Ce que les directeurs de zoo pratiquent dans leur modeste domaine, les gouvernements modernes tentent de l’accomplir à l’échelle nationale : confits dans la sécurité, il faut que les citoyens mènent une existence dégoulinante de bonheur du berceau jusqu’à la tombe. Pour atteindre ce noble objectif, il faut, entre autres choses, entreprendre et mener sans relâche l’éducation du public pour lui permettre d’accéder à des niveaux toujours plus élevés d’incompétence sociale. Il ne faut donc pas s’étonner de voir l’accroissement vertigineux des sommes consacrées dans le monde à la santé publique et aux diverses entreprises à caractère social. »

L’ironie dénonce cette attitude protectrice (cf. Tocqueville) qui débouche sur ses conséquences tragi-comiques et catastrophiques :

« Donnons quelques exemples : le total des dépenses de santé des États-Unis s’est élevé de 12,7 milliards de dollars en 1950 à 247,2 milliards en 1980. Les seules dépenses de médicaments et d’articles médicaux sont passées de 3,7 milliards à 19,2 milliards pendant la même période. Et les dépenses de Sécurité sociale ont connu une évolution aussi faramineuse, passant de 23,5 milliards en 1950 à 428,4 milliards en 1979 (24). Pour prendre un seul exemple européen, les statistiques actuelles font apparaître en Allemagne de l’Ouest une dépense quotidienne de 450 millions de DM pour le système de santé, c’est-à-dire trente fois plus qu’en 1950. Elles montrent aussi que l’on compte à tout moment une moyenne de 10 millions de personnes malades en République fédérale et que le citoyen moyen d’Allemagne de l’Ouest engloutit trente mille comprimés dans le cours de sa vie. »

On répète parce que c’est drôle : « le citoyen moyen d’Allemagne de l’Ouest engloutit trente mille comprimés dans le cours de sa vie. »

Et vous ? Et moi ?

Certes un système aussi effroyable ne peut être interrompu. Il doit aller au bout comme le Titanic de la « civilisation » moderne dont a parlé Jünger dans son Rebelle :

« Que l’on imagine ce qui nous arriverait en cas de ralentissement, voire ce qu’à Dieu ne plaise ! — d’inversion de cette tendance. Des ministères entiers et toutes sortes d’autres institutions monstrueuses s’effondreraient, des pans entiers de l’industrie feraient faillite et des millions d’hommes et de femmes se retrouveraient au chômage. Pour participer à la lutte contre l’éventualité d’un tel désastre, j’ai conscience du rôle modeste, mais réel que peut jouer ce petit livre. »

La clé c’est ça. L’État moderne rend le citoyen nul et incapable, dépendant jusqu’au suicide — Tocqueville toujours et cette puissance publique, ce souverain qui nous enlèvera le trouble de penser et la peine de vivre, qui nous débarrassera dit Pearson vers 1990 du fardeau de la personnalité :

« L’État moderne a si grand besoin de l’impuissance et du malheur toujours croissant de ses citoyens qu’on ne peut laisser la satisfaction d’un tel besoin à la seule initiative individuelle, quelles qu’en soient les bonnes intentions. Comme dans tous les autres domaines de la vie humaine, le chemin de la réussite passe ici par la planification et le dirigisme de l’État. Être malheureux est certes à la portée du premier venu. »

Après l’art de se rendre malheureux devient une occupation à plein temps, via la pharmacie ou les livres de « développement personnel » (défense de rire) :

« Mais se rendre malheureux, faire soi-même son propre mal heur sont des techniques qu’il faut apprendre : à cet apprentissage-là, quelques coups du destin ne suffisent pas. Or, même dans les écrits des professionnels (c’est-à-dire des psychiatres et des psychologues), les renseignements utiles sont rares et le plus souvent fournis au hasard, en dehors de toute intention de l’auteur… »

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/07/18/ukraine-and-the-west-are-facing-a-devastating-defeat/




Le dossier des Interfaces Cerveau-Machine non thérapeutiques sur la table de vos dirigeants politiques

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par LHK

« Que nous croyons au ciel ou que nous n’y croyions pas, tout ne nous est pas pour autant permis (…) Et tant que nous conservons l’ombre du discernement éthique, l’emploi d’immenses pouvoirs à des fins indignes constituera l’équivalent moral de la sorcellerie ou de la simonie. »

Norbert Wiener, God & Golem

La guerre qui se déroule actuellement cible l’humanité dans son ensemble. Après avoir accaparé les ressources matérielles, la supra-élite s’en prend au vivant. L’idée que quelques ultra-puissants cherchent à se rendre propriétaires de l’humanité doit être prise au sérieux. Et pour ce faire, il faut la ramener plus bas que terre en la dénigrant tout en magnifiant de manière fallacieuse le matériel technologique. Lorsque le moral des uns et des autres est cassé, que la jeunesse se sent impuissante et privée d’avenir, c’est alors que les tenants du système viendront proposer des « solutions d’avenir ». Des technologies qui vont, en théorie, les « augmenter » pour les rendre plus performants et plus compétitifs face à l’IA divinisée.

La réalité est que le modèle qui s’appuie sur une machine planétaire à gouverner a besoin des cerveaux humains pour rendre, comme nous l’avons vu précédemment, la fameuse IA artificiellement exaltée intelligente. L’obsession des promoteurs de celle-ci [fait qu’ils] mènent une bataille de tous les instants pour qu’elle quitte enfin son état de machine, passif qui est collé à sa nourriture en data et en normes, pour entrer dans une phase proactive, consciente d’elle-même, intuitive, etc.

Pour faire simple, l’IA doit acquérir les capacités cognitives humaines pour espérer provoquer une Singularité ; ou plus modestement devenir une machine à gouverner universelle, capable d’anticipation, de raisonnement au-delà des normes codées, etc..

Vous avez compris que le champ de bataille est le cerveau humain. Et pour en acquérir les capacités vertigineuses, il faut se l’approprier.

Alors pendant que l’on divertit le peuple avec de la politique locale et internationale gangrénée par toutes sortes de déviances, les plus grosses entreprises de la terre sont dotées de sommes inimaginables pour développer logiciels, dispositifs matériels, et études qui convergent toutes vers le cerveau humain. Le contrôle du cerveau garantirait la suprématie des conquérants et l’esclavage éternel des contrôlés devenus entre deux des cyborgs. Forcément.

Pour que notre hypothèse soit défendable, il faut que l’on trouve des sources pour étayer ne serait-ce qu’une vague volonté politique… Eh bien, figurez-vous qu’il y a pas mal de documents qui traitent de la chose loin des médias grand public. En voici un qui est disponible sur le site du Sénat français.

Bien évidemment, ce qui importe dans notre démarche est l’application non médicale, à seule visée d’« augmenter » les capacités de l’individu… On y écrit :

« L’intérêt grandissant du secteur privé et la question des applications non médicales »

De plus en plus d’entreprises investissent le champ des neurotechnologies, faisant le pari de l’hybridation du cerveau avec l’intelligence artificielle (IA) (14), à l’instar de Neuralink, fondée par Elon Musk en 2017, qui s’est fixée pour objectif de faire marcher des personnes paralysées, de traiter les maladies neurologiques, mais aussi d’améliorer les capacités cognitives naturelles.

La dernière version de son implant de 23 mm de diamètre, 8 mm d’épaisseur, rechargé quotidiennement par induction et composé de 1 024 électrodes (des fils extrêmement fins proches de la taille d’un neurone) a été testée en 2020 sur des cochons (après des rats et un singe) et attend une autorisation pour débuter des essais cliniques sur l’homme (15).
L’intérêt croissant des entreprises pour le neurofeedback et les ICM (Interfaces Cerveau-Machine) s’accompagne d’investissements massifs dans la recherche, en vue d’applications surtout non médicales en dépit d’un cadre juridique restrictif (16).

Il s’agit par exemple de commercialiser des produits grand public à l’efficacité souvent incertaine, en matière de contrôle d’interfaces numériques par la pensée (transmission et réception d’informations vers et depuis un ordinateur, divertissement et jeux vidéo…), d’aide à la concentration, à la relaxation, au sommeil et plus généralement au bien-être, ou d’amélioration des performances cognitives et sportives.

Le potentiel de développement du neurofeedback par EEG en tant que dispositif « individuel » est grand, même si les résultats sont très variables et ont tendance à être surestimés, pas seulement en raison d’effets d’annonces (17).

Il peut aussi s’agir de détecter la perte d’attention en voiture, en classe ou au travail. En Chine, selon plusieurs experts auditionnés, des expériences seraient menées pour surveiller les ondes cérébrales des élèves et des ouvriers grâce à des ICM, de manière à lutter contre les états émotionnels défavorables à la concentration. »

https://www.senat.fr/rap/r21-376/r21-3761.pdf

Et voici qu’à la même date, un autre document, parfaitement en phase avec celui du Sénat, préparé par l’Organisation de coopération et de développement économiques, l’OCDE, organisation internationale d’études économiques, dont les pays membres — des pays développés pour la plupart — ont en commun un système de gouvernement démocratique et une économie de marché.

On y traite des INTERFACES CERVEAU-ORDINATEUR ET LE SYSTÈME DE GOUVERNANCE. Ce document sert de référence pour la Recommandation pour une gouvernance réglementaire agile permettant de tirer parti de l’innovation (OCDE, 2021), adoptée par le Conseil de l’OCDE au niveau des ministres le 6 octobre 2021. Vous constaterez le lien qui y est établi avec un système de gouvernance puisque ces produits dépassent largement le cadre du simple dispositif thérapeutique que géreraient les autorités de Santé publique.

On nous dit que le but de ce document est d’aider les gouvernements à « élaborer et mettre en œuvre des approches réglementaires agiles et résilientes et à faciliter la coopération institutionnelle en réponse à l’innovation et pour la stimuler davantage ».

Nous avons extrait une fois de plus une application non médicale du BCI (Brain Computer Interface). On peut lire :

« La technologie BCI pour les applications non médicales ne fait que récemment son entrée sur le marché des consommateurs, et l’on s’attend à une croissance supplémentaire dans divers domaines, du divertissement (par exemple, casques de jeu EEG) à la formation (par exemple, casques EEG pour améliorer la concentration) en passant par le neuromarketing (par exemple, BCI pour mesurer la réaction des consommateurs) (UK, 2020). »

La défense est un autre domaine dans lequel différents pays augmentent leurs investissements, par exemple pour17 étudierl’amélioration des compétences cognitives ou l’aide à la prise de décision des soldats.

Enfin, l’application de la loi est un autre domaine d’application, où les BCI sont utilisés pourla détection des mensonges ou l’application de la loi, par exemple (OCDE 2017 a ; Garden et al., 2019).

Il est raisonnable de penser qu’il existe une volonté politique de faire connecter à la machine les cerveaux humains, hormis probablement ceux des propriétaires des ressources de la planète, ainsi que leurs proches. Cette approche considère l’ordinateur comme une extension du cerveau, et vice-versa.

Le célèbre chimiste Joël de Rosnay nous explique que l’homme devrait être transformé progressivement pour finir par devenir un neurone de la Terre, positionné au sein du système nerveux qu’il a lui-même créé.

https://www.letemps.ch/sciences/joel-rosnay-lavenir-lhumanite-reside-lintelligence-collective-augmentee

Les thèses de Joël de Rosnay saluées à la RTS,
mais aussi dans le journal de l’Église réformée !
https://www.reformes.ch/spiritualites/2018/03/joel-de-rosnay-lhyper-humaniste-rosnay-humanisme-biologie-laicite

Ainsi, on travaille dur à fusionner la technosphère et la biosphère avec en arrière-pensée, tenue à l’écart des principaux concernés, la constitution du cerveau planétaire et de la société en temps réel. Le terrien normal n’a aucune idée de ce qui se trame dans les coulisses de ce monde.

Voici quelques extraits de l’introduction du document de l’OCDE : IMPORTANT

Les systèmes BCI — Brain Computer Interface ou Interface neuronale directe — sont définis par leurs différentes formes de connexion et de transfert de données ainsi que par leurs applications possibles, et ces classifications aident à déterminer lequel des nombreux cadres réglementaires et de gouvernance pourrait s’appliquer. En effet, un accord sur la définition et la catégorisation des systèmes BCI est essentiel pour harmoniser et créer un cadre réglementaire solide, mais flexible, capable de stimuler la technologie dans toutes ses variantes tout en protégeant l’utilisateur et la société de conséquences involontaires.

En termes généraux, les BCI sont « utilisés pour détecter et décoder les modèles d’activité neuronale par des dispositifs externes — reliant les commandes de la pensée à des dispositifs externes » (OCDE, 2016 b). Ainsi, un système BCI de base comprend un capteur pour capturer le signal cérébral, un ordinateur (qui convertit le signal en un algorithme) et un élément informatique pour contrôler un dispositif externe. Néanmoins, certains auteurs étendent la définition de la BCI à des dispositifs reliant d’autres parties du système neuronal (interfaces neurales) ou à des dispositifs qui stimulent (également) le cerveau (c’est-à-dire comprenant un quatrième élément de stimulation en retour) (UK, 2020).

Il existe plusieurs classifications des ICB qui ont des conséquences en matière de réglementation et de gouvernance.

Acquisition de signaux cérébraux Les systèmes BCI peuvent utiliser différentes méthodes pour acquérir le signal cérébral, des techniques les moins invasives aux plus invasives (tableaux 1 et 2) (Royal Society, 2019) :

Invasif : l’implant nécessite une intervention chirurgicale avec le risque d’éventuelles complications ultérieures pour l’utilisateur. Cependant, il permet une acquisition de haute qualité du signal cérébral. Le plus connu au monde est l’implant cochléaire, utilisé par plus de 700 000 personnes souffrant de troubles auditifs (NIH, 2021).

Non invasif : les capteurs sont placés à l’extérieur, à l’aide de techniques non invasives. Ils ne présentent aucun risque de chirurgie, mais le signal obtenu est plus faible. La technique la plus utilisée est l’électroencéphalographie (EEG). On peut également citer la magnétoencéphalographie (MEG) ou la stimulation électrique fonctionnelle (FES).

Partiellement invasif : l’implant permet une meilleure acquisition du signal cérébral que la technique non invasive, mais nécessite une intervention chirurgicale minimale. L’électrocorticographie (ECoG) en est un exemple.

Ailleurs, nous découvrons que ces extensions de la machine vers le cerveau humain dépassent allègrement le cadre strictement médical. Des problèmes de risques et de sécurité des dispositifs BCI sont posés. Selon le cas, l’utilisation des BCI peut avoir un impact sur le bien-être physique et psychologique de leurs utilisateurs. Et dans cette rubrique, nous découvrons avec stupeur qu’il y a absence de maintenance des appareils, par exemple lorsqu’une étude prend fin. Plus grave encore est le risque de « neuro-hacking » (Yuste et coll., 2017) est réel puisque selon les dispositifs, ils sont connectés à Internet et ne sont pas à l’abri d’actes malveillants.

Dans ce rapport, on nous explique qu’un objectif visé par le BCI est l’amélioration de la condition humaine, inégalités sociales. Et comme nous pouvions le supposer, la frontière entre l’amélioration humaine et la thérapie est notoirement vague, d’autant plus que des technologies sont actuellement développées pour des traitements expérimentaux (Baldwin et coll., 2013).

Plus loin dans le document commencent à émerger les velléités militaires avec l’intérêt d’agences gouvernementales, telles que la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) des États-Unis. Là, on cherche à accroître la capacité cognitive des soldats au travers des BCI.

https://lilianeheldkhawam.com/2023/07/07/la-poussiere-neurale-implantable-permet-un-enregistrement-sans-fil-precis-de-lactivite-nerveuse-compilation-de-publications-de-darpa/

Les interrogations sur les droits de propriété ne sont pas en reste !

L’utilisation des systèmes BCI soulève des questions ELSI sur la propriété des données et la propriété intellectuelle, sans parler de la propriété de l’appareil. La quantité de données générées et partagées par les dispositifs BCI augmente considérablement grâce à la commercialisation de nouveaux dispositifs connectés aux réseaux et aux plateformes numériques… Et à qui appartiennent-elles ? On n’en sait rien. On nous dit que l’on pourrait faire valoir que les patients ont un droit sur les données personnelles générées dans le cadre de leur traitement ou de leur étude (Naufel et Klein, 2020). Selon la formulation, la chose ne semble pas si sûre…

Dernier mot au sujet du BCI. Il peut être bidirectionnel. Cela signifie que les flux d’informations circulent dans les deux sens machine-humain et vice-versa. La machine étant un outil aux mains de collaborateurs, nous pouvons imaginer les conséquences que cela peut avoir en matière de contrôle de la pensée des populations.

De fait, une société cybernétique pourrait mettre un terme à la vie naturelle sur terre. Wiener ne pouvait l’ignorer :

« Dans le passé, une vision partielle et inadéquate du but humain n’a été relativement inoffensive que parce qu’elle s’est accompagnée de limitations techniques… Ce n’est qu’un des nombreux endroits où l’impuissance humaine nous a protégée de l’impact destructeur total de la folie humaine. [2] »

Nous sommes en plein dedans.

Non seulement la machine à gouverner est d’ores et déjà opérationnelle, mais en plus, elle semble avoir des velléités de phagocytage de l’humanité et de la nature qu’elle cherche à vampiriser avec la complicité des représentants politiques.

Nous finirons ce chapitre avec une structure qui représente la machinerie globale qui permet à la machine de gouverner avec, par, et pour l’élite financiarisée.

Nous nous bornerons à représenter trois niveaux de composants constitutifs et autant de sources de data.

Le 1er niveau est celui de la technosphère qui correspond à la base matérielle, représentant l’ensemble des outillages disponibles qu’ils soient électro-informatiques ou pas. Nous y retrouvons aussi toute la famille de matériel GSM. Grâce à ce niveau, tout objet, tout animal, tout être humain, toute ressource peuvent être directement reliés aux serveurs collectant les data, puis gérés, compilés et stockés dans les fondations du modèle. Ce niveau correspond au corps technosphérique.

Le 2e niveau est celui de la biosphère qui recense et relie toutes les ressources vivantes. L’ensemble des ressources et des activités se déroulant à ce niveau est répertorié dans un système digitalisé de la famille de la blockchain. Le corps vivant de l’organisme machine correspond à ce niveau.

Le 3e niveau qui est le top niveau qui précède le point de convergence tant recherché par les adeptes de la noosphère (point Oméga) ou par ceux de la Singularité correspond à la connexion généralisée des cerveaux autour de ce qui est communément appelé intelligence artificielle. Les cerveaux humains vont alimenter l’IA pour la rendre plus intelligente et plus humaine afin de lui offrir les bases pour sa déification. L’ensemble de ce niveau correspond au cerveau planétaire qui servira les élites qui auront échappé au cyberesclavage par l’interface cerveau-machine. D’ici jaillirait l’esprit global planétaire conformément au référentiel matérialiste des élites.

Les échanges qui se feraient entre le 2e et le 3e niveau passeraient par le métaverse. D’où l’importance de la virtualisation de la réalité.

Cet ensemble de trois étages est posé autour d’un axe alimenté par la lumière bleue de la fibre optique. Cet axe luminescent véhiculé par la fibre optique dont la gaine intérieure porte le nom d’âme pourrait par extension représenté l’âme de la planète-machine.

Question ultime ? Qui a préparé les 2 documents avant qu’ils n’atterrissent sur les tables des uns et des autres. Autre chose, nous ne doutons pas que des textes similaires ont fait le tour des États de la planète…




« Vaccins » covid : entre cons et complotistes, qui a raison ?

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

« En matière de grande catastrophe publique (covid ?), il faut toujours privilégier la connerie au complot. La connerie est à la portée de tous, c’est donc assez largement répandu. Le complot nécessite beaucoup d’intelligence et d’organisation, c’est très rare ».

J’aime bien ce propos de Michel Rocard, datant d’avril 2016. Alors une fois n’est pas coutume ici, soyons complotistes pour ne pas être cons. Le complotiste, depuis 3 ans, se définit comme celui qui évoque des faits avérés conduisant à un discours que l’on ne doit pas entendre.

L’ICAN, Informed Consent Action Network, est une association créée aux États-Unis par des juristes en 2016 afin de faire respecter le droit au consentement éclairé, notion primordiale en matière de soins et de respect de la personne humaine. Elle a remporté avec succès nombre de poursuites dans le domaine de la santé contre les CDC (Centers for Disease Control), les NIH (National Institutes of Health) et la FDA (Food and Drug Administration). Après une victoire historique, la FDA a été contrainte de produire en juillet 2022 des dizaines de milliers de documents chaque mois concernant les vaccins covid-19 Pfizer. L’ICAN publie sur https://icandecide.org/about-us/.

LES DOSSIERS FOURNIS PAR PFIZER

L’ICAN vient de sortir son rapport sur la dernière fourniture de documents de la FDA de juillet 2023, composée des dossiers de 212 personnes qui ont participé à l’essai clinique de Pfizer. Voici quelques extraits, dont les conclusions peuvent être édifiantes.

Tous les événements indésirables (EI) reportés dans les dossiers Pfizer, tous consultables par les sceptiques, se sont produits après vaccination, soit dans le groupe de vaccinés d’origine, mais aussi de patients du groupe placebo d’origine qui ont finalement été vaccinés après la levée de l’aveugle. Le groupe placebo ayant été supprimé, il ne permet plus les comparaisons à moyen et long terme entre vaccinés et non vaccinés, ce qui est un premier scandale.

Dossier 11111016 : homme de 70 ans, hospitalisé pour thrombose au mollet droit, embolies pulmonaires et fibrillation auriculaire, 2 jours après sa première injection. Absence totale d’antécédents cardiovasculaires et médicaux comme confirmé dans le dossier de Pfizer. Conclusion Pfizer sur l’EI dans ce dossier de 224 pages : le vaccin n’est pas en cause, les problèmes sont dus à « un voyage prolongé en voiture ».

Dossier 11241106 : homme de 49 ans, avec comme seul antécédent un cholestérol élevé, hospitalisé pendant 16 jours pour un infarctus du myocarde causant un accident de vélo, 11 jours après sa deuxième dose. Dans le dossier Pfizer, l’infarctus est signalé comme « non lié » au vaccin, mais « lié à un risque cardiovasculaire » présent chez le patient ! Dans ce dossier l’ICAN déplore l’absence de report de ces EI dans le fichier de « réactogénicité » (EI des vaccins dans les essais cliniques), fichier prévu dans le protocole Pfizer et colligeant les EI.

Dossier 10281033 : homme de 48 ans, qui a déclaré que sa partenaire était enceinte deux mois et demi après sa deuxième dose, avec fausse couche trois semaines plus tard. Comme on peut le voir dans le dossier, la principale préoccupation de Pfizer semblait être de déterminer si la partenaire participait également à l’étude, et, dans l’affirmative, de s’assurer que cet événement indésirable n’était pas signalé deux fois. Non reporté dans le fichier de réactogénicité.

Dossier N° 10281283 : homme de 70 ans, avec antécédents cardiaques et rénaux, hospitalisé pour fibrillation auriculaire et insuffisance rénale aiguë 12 jours après sa deuxième dose. Édifiant : la personne qui saisit les informations sur l’EI admet que la cause de l’EI a été « inventée » lorsqu’on lui demande pourquoi la « déshydratation » était répertoriée comme la cause de l’insuffisance rénale aiguë. On apprend que cette déshydratation n’était qu’une hypothèse avancée par le médecin pour chercher à expliquer le problème rénal, hypothèse devenue un fait et la cause de l’EI, alors que cette déshydratationn’a jamais été démontrée, ne figurant pas dans le dossier médical et non signalée par le patient ! Aucune information dans le recueil de réactogénicité n’a été recueillie pour ce patient.

Dossier N° 10921015 : homme de 68 ans, hospitalisé pour fibrillation auriculaire une semaine après sa première dose. Il souffrait d’hypertension et de dyslipidémie (cholestérol élevé), mais aucun autre problème de santé connexe. Non rapporté.

Dossier N° 11351033 : homme de 68 ans, qui s’est suicidé 4 jours après avoir reçu sa première dose de vaccin, et après avoir reçu deux doses de placebo cinq mois plus tôt. Pfizer a vérifié ses antécédents pour « tentatives de suicide ou hospitalisation récente pour cause de dépression » et n’en a trouvé aucun.

Dossier N° 10391010 : homme de 85 ans ayant des antécédents cardiaques, son cœur a lâché deux mois après sa deuxième injection. Cafouillage entre employés dans le dossier, pour le classement entre degrés de toxicité, 4 ou 5, et aucun report de réactogénicité n’a été fait pour ce sujet.

Dossier N° 11311204 : homme de 85 ans avec entre autres antécédents cardiaques, hospitalisé pour une aggravation de la sténose aortique 15 jours après sa première injection et décédé d’un arrêt cardiaque 10 jours plus tard. Encore une fois, aucune information sur la réactogénicité n’a été recueillie pour ce sujet.

Dossier N° 10711023 : femme de 56 ans avec antécédents cardiaques, diabète et accident vasculaire cérébral en 2019, hospitalisée pour une aggravation de sa maladie coronarienne 11 jours après sa première dose. Sortie de l’étude le 28 août 2020, en raison d’un SAE (Serious Adverse Event) ne répondant plus aux critères d’éligibilité de l’inclusion, qui nécessitaient des « participants en bonne santé ». De toute évidence, l’accident vasculaire cérébral, le diabète et les antécédents d’insuffisance cardiaque de cette personne en 2019 n’ont pas été considérés comme suffisants pour la disqualifier comme en mauvaise santé, mais cela devient a posteriori un critère d’exclusion si cela ne va pas bien ! Comme on pouvait s’y attendre, son événement indésirable a été marqué « non lié » au vaccin, l’aggravation de sa maladie cardiaque étant causée par sa maladie cardiaque. Exclue de l’étude et de ses EI !

Dossier N° 10211127 : homme de 54 ans, hospitalisé pour insuffisance cardiaque 26 jours après sa deuxième dose. Il a récupéré, mais s’est retrouvé à l’hôpital six semaines plus tard, où il est finalement décédé d’une insuffisance cardiaque. Malgré les critères d’inclusion de l’essai qui exigeaient que les participants soient jugés « en bonne santé », la cause du décès n’a pas été mise sur le compte du vaccin, mais de son insuffisance cardiaque, comme pour le dossier précédent. Pages 144 et 145 on tergiverse : « L’aggravation de l’insuffisance cardiaque chronique (ICC) a entraîné la mort. Veuillez préciser pourquoi cela ne serait pas considéré comme un SAE (Événement indésirable grave = EIG) s’il entraînait la mort »… « à des fins administratives, veuillez soumettre un suivi SAE indiquant que l’événement aggravation de l’ICC n’est plus un SAE », et page 150 : « L’événement a entraîné la mort, mais il n’est pas nécessaire d’être retenu comme un SAE ».

On constate à la lecture de ces dossiers que tout a été fait pour ne pas retenir la responsabilité du vaccin dans nombre d’événements indésirables, même graves et pouvant conduire au décès. Certains patients ont même été sortis de l’étude pour en améliorer le bilan (Dossier N° 10711023).

On peut constater également que, bien que Pfizer ait sélectionné des bien portants, ceux avec comorbidités ne semblent pas avoir été protégés, mais parfois plutôt aggravés, alors que cela devait être la première cible pour l’indication vaccinale.

L’essai de Pfizer a inclus plus de 43 000 personnes, mais, à ce jour, la FDA n’a produit que 785 formulaires de rapports de cas, soit pour moins de 2 % des participants à l’essai. Le plus gros des dossiers ci-dessus fait 369 pages. Malheureusement, quantité ne rime pas avec qualité, et la quantité permet de noyer et de cacher le principal. Cela fait croire à un gros travail sérieux, c’est le contraire. J’ai épluché les 180 pages du dernier cas cité, le nombre de corrections et d’anomalies est impressionnant. J’ai déjà rempli des dossiers pour des études de phase 3, ici, cela a été fait par des amateurs, incapables de mettre une date, de répondre oui ou non à des questions simples.

CONCLUSIONS

Comme on le voit sur ces dossiers, Pfizer était parfaitement au courant de tous ces effets indésirables, notamment cardiovasculaires, et pouvant être mortels. Certains ont été supprimés, d’autres cachés, minimisés, tout comme a été caché le fait que le vaccin ne protégeait pas de la contamination ou de la transmission, afin de présenter un vaccin « efficace et sûr », ce qui est loin d’être le cas. Si je sais compter, 4 décès et 9 événements indésirables graves (EIG) sur ces 212 dossiers fournis par Pfizer, cela fait 4 % de EIG avec mortalité de 2 %, pour un vaccin censé lutter contre une maladie mortelle pour 0,2 % des malades ! Combien va-t-on en trouver sur les autres dossiers ? Plus ? Moins ? On comprend mieux que Pfizer et la FDA aient tout fait pour ne pas fournir ces documents. Si le vaccin est sans danger, pourquoi ne pas avoir donné les dossiers immédiatement ? Les auteurs de toutes les études observationnelles sur les traitements précoces ont toujours laissé un libre accès à leurs dossiers, Raoult le premier, n’ayant rien à cacher ni à se reprocher. Ici c’est le contraire.

N’oublions pas que la FDA avait accès à tous ces dossiers avant d’accorder l’autorisation d’utilisation, ainsi que toutes les agences de sécurité du médicament qui ont délivré leurs autorisations. Ces agences n’ont pas lu ces dossiers, et ont fait prendre des risques énormes aux patients en ne remplissant pas leur rôle. Elles ont fait confiance à un laboratoire pourtant multicondamné pour fraudes et dissimulations dans ses études. Si c’est le cas, leur responsabilité est énorme.

Les politiques ont couvert tout cela et continuent de le couvrir. Ce n’est pas sans raison que les laboratoires pharmaceutiques ont demandé à être déchargés des conséquences de ces effets secondaires. Ils savaient où ils allaient, ils savaient le risque énorme pour les patients, et ils ont refusé de l’assumer. Les politiques ont accepté ce risque en toute connaissance de cause. Pourquoi les politiques font-ils tout pour cacher les contrats, s’ils sont clairs et n’ont rien à cacher ? Pourquoi font-ils tout pour éviter que le PDG de Pfizer ne vienne s’expliquer devant des représentants du peuple ? Une question s’impose : est-ce que l’argent serait plus important que la santé des concitoyens ?

Si on regarde Wikipédia et non les sites « complotistes », on apprend que Pfizer a à son actif plus de 40 plaintes entre 1995 et 2009, avec 6,17 milliards de dollars acquittés d’amendes. Pour une affaire sanctionnée par 2,3 milliards de dollars d’amende, on peut lire sur le site du Département de la Justice américain qu’« il s’agit du plus grand règlement de fraude de l’histoire contre une société pharmaceutique ». Pfizer aurait « trompé les programmes d’assurance-maladie gouvernementaux et versé des commissions occultes à de nombreux professionnels de santé pour pouvoir étendre la commercialisation de ses médicaments ».

Pfizer est l’entreprise la plus condamnée au monde dans le domaine de la santé, nos dirigeants font affaire avec ces escrocs, qui récupèrent dans de nouvelles actions, aidées par les autorités, de quoi payer 10 fois les amendes de la précédente. On peut lire sur le site du Parlement Européen dans la rubrique des questions au parlement, celle de Mathilde Androuët, qui demande en janvier 2021 si la Commission a pris en compte le passif de Pfizer. La réponse de Mme Stella Kyriakides (commissaire européen à la santé) ne répond pas à la question, les antécédents de Pfizer ne sont pas un problème.

L’histoire se répète avec la complicité des autorités (et de la presse qui muselle ses journalistes d’investigation). Alors comme le dirait Michel Rocard, face à ce scandale (inter) national, ceux qui pensent que les dossiers fournis par Pfizer, les propos recueillis sur le site du département de la justice américaine, les questions au Parlement Européen, etc., sont authentiques, sont des complotistes, et ceux qui pensent que ce sont des faux, sont des cons. Je suis triste de cette évolution de la société qui a perdu toutes ses valeurs, et qui me conduit à être fier d’être complotiste, pour ne pas être un vrai con.

Pour les sceptiques, s’ils veulent bien enlever leurs œillères et consulter les dossiers de Pfizer, les originaux sont tous ici : https://icandecide.org/pfizer-documents/, et il y en a encore à venir. Je dois reconnaître à leur lecture, que c’est plus facile d’écouter Véran, Delfraissy, Fischer, Salomon ou Macron, et c’est plus facile d’être con qu’intelligent selon Rocard.




La secte covidienne et ses gourous

[Extrait de : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

La secte covidienne et ses gourous

Parmi les libertés protégées par la Charte québécoise des droits et libertés de la personne, on trouve la liberté de conscience et de religion.

La Commission des droits de la personne et de la jeunesse écrit ceci :

« Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.

Par exemple, vous avez le droit de pratiquer la religion de votre choix ou de ne pas adhérer à une croyance ou à une religion. La liberté de religion signifie aussi que l’État ne peut imposer une religion à la population ou favoriser une religion plus qu’une autre. » (Soulignements ajoutés)

En mars 2020, de nombreux États, incluant les nôtres, ont imposé bien plus qu’une religion.

Ils ont imposé une secte : le covidisme.

Cette affirmation paraît complètement dénuée de raison, pourtant, si l’on se fie aux critères des experts en phénomènes sectaires, le covidisme obéit à tous les critères d’une secte.

Pas quelques-uns.

TOUS les critères.

Dans la décision de la Cour supérieure dans le dossier Guitouni c. Radio-Canada, on trouve un passage éclairant sur le fonctionnement des sectes grâce au témoignage d’un expert en la matière, le Dr Mike Kropveld, directeur et fondateur d’Info-Secte.

Dr Kropveld était l’expert de la société d’État dans ce dossier. Celle-ci défendait le comportement de ses journalistes, lesquels avaient fait allusion à l’aspect sectaire du groupe de croissance de M. Guitouni dans un reportage.

Voici les comportements qui définissent une secte, selon le Dr Kropveld. Les exemples entre crochets sont de l’auteure de ces lignes :

Dr Kropveld, directeur et fondateur d’Info-Secte,
en 2020.

« Info-secte définit la secte comme étant :

— un mouvement hautement manipulateur qui exploite ses membres et qui leur cause des dommages qui peuvent être de nature psychologique, monétaire ou physique ; [aggravation excessive de la menace covid et discours anxiogène permanent, confinements, censure, diffamation, exclusion des insoumis, financement et imposition d’interventions médicales et non médicales comme le masque, la distanciation, les tests, l’injection obtenue par coercition]

— il dicte de manière absolue le comportement, les pensées ainsi que les sentiments des adeptes ; [propagande covid omniprésente et incessante, règles de conduite extrêmes et incohérentes : “restez chez vous”, “gardez vos distance”, “portez un masque”, “lavez vos mains”, masque obligatoire debout, mais pas assis, “maximum de 10 personnes de trois domiciles différents” pour les rassemblements à l’extérieur, couvre-feu basé sur aucune science, interdiction d’acheter des livres, des vêtements, des articles de cuisine et des jouets, les dissidents sont des complotistes, sectaires, d’extrême droite, violents, antiscience, incultes]

— les techniques de manipulation sont également employées afin de transformer le nouvel adhérent en un adepte loyal et obéissant ; [monopolisation de la perception, censure d’informations contradictoires qualifiées de désinformation (politiques de YouTube), manipulation statistique (témoignage de Pierre Chaillot à la Commission citoyenne), dissidents diabolisés et sanctionnés (Dr Marc Lacroix,Profs. Patrick Provost et Nicolas Derome), adhérents glorifiés et récompensés (Gagnez à être vacciné !,un vaccin un hot-dog)]

— la secte adopte un comportement trompeur et maquille la réalité afin d’attirer de nouveaux adhérents [ceux qui imposent des mesures ne les suivent pas eux-mêmes (Neil Ferguson, qui a recommandé le confinement, ne l’a pas respecté,les leaders du G7, incluant Justin Trudeau, n’ont pas respecté les règles sanitaires qu’ils ont imposées à leurs populations), ils affirment qu’ils suivent la science en sachant que c’est faux (ils savent que les masques ne protègent pas, mais les imposent quand même, Lockdown Files), ils affirment qu’ils censurent la “dangereuse désinformation” alors qu’ils censurent de “vraies histoires d’effets secondaires des vaccins” et de vraies affirmations “qui pourraient alimenter l’hésitation vaccinale” (Twitter Files), ils prétendent que les mesures servent à nous “protéger” alors qu’elles ont des effets néfastes (confinements, effets secondaires des injections), ils diabolisent ceux qui démontrent ce qui est faux en les accusant de désinformation, de complotisme, d’être les gourous d’une secte]. » (Soulignements ajoutés)

En ce qui a trait au comportement trompeur, celui de Justin Trudeau est exemplaire : il nie avoir fait et dit des choses, malgré les preuves irréfutables du contraire, comme on peut le voir dans cette vidéo :



Cette description des sectes et de la façon dont elles traitent les membres désobéissants décrit parfaitement les faits et gestes de la secte covidienne imposée par les autorités et les médias en 2020.

Les grands médias, grands propagateurs de désinformation, ont accusé les insoumis, autrement connus sous le nom de « complotistes », de faire ce qu’ils faisaient eux-mêmes, c’est-à-dire se comporter comme les membres d’une secte [NDLR Inversion accusatoire typique.] :

La question du comportement sectaire des autorités a déjà fait l’objet d’un article détaillé du 10 novembre 2020, basé sur les critères de deux psychologues américains, critères similaires à ceux du Dr Kropveld :

Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes

Dans le document du Dr Kropveld, « Le phénomène des sectes », on décrit la façon dont sont traités les insoumis (les exemples entre crochets sont ceux de l’auteure) :

« Les membres qui désobéissent à la norme du groupe tendent à être moins appréciés par les autres membres. Les personnes déviantes qui introduisent la discorde dans le groupe s’exposent parfois :

•Aux réactions hostiles ; [“Farme ta yeule pis mets ton masque”, Rachid Badouri), “HEILLE, METS TON MASQUE !!! […] Keveune qui a étudié à l’école de la vie”, Arnaud Soly, “Il faut faire la guerre aux antivax”, Denise Bombardier.]

•À être isolées des autres membres ; [Coupez les liens avec la famille (Mario Dumont), “On doit refuser d’inviter les antivax de la famille au souper de Noël”, “que les non-vaccinés se recomposent une famille” (Denise Bombardier), passeport vaccinal.]

•À être identifiées comme bouc émissaire ; [C’est la faute des dangereux complotistes, antivax, pro-Poutine,extrémistes de droite, à la santé mentale fragile (“Les gens qui sont très hésitants à se faire vacciner contre la COVID-19 ont un sentiment plus faible de contrôle, de satisfaction et de compréhension de leur vie”).]

•À être tenues responsables des malheurs du groupe ; [Pandémie des non-vaccinés égoïstes]

•À être rejetées du groupe. [Pas de passeport vaccinal ? Fini les restos, la messe, le sport, le cinéma, les concerts, le Jardin botanique, les voyages, etc. Exclusion sociale inouïe.] » (Soulignements ajoutés)

Alors qu’elle décrit parfaitement le comportement des autorités et des médias, cette description des sectes correspond peu, voire pas du tout au comportement des dissidents, que l’auteure a côtoyés de très près depuis l’été 2020, et qui ont été accusés de faire partie d’une secte.

Outre les exceptions dont les médias sont friands pour gaver leur portrait illusoire des insoumis, voici comment la majorité d’entre eux ont agi :

Au lieu d’exclure, ils ont demandé le dialogue et accueilli les vaccinés.

Au lieu d’imposer une perception de la réalité, ils ont dit aux gens de ne pas les croire sur parole, mais de faire leurs propres recherches.

Au lieu de dicter aux autres quel comportement adopter, sans leur consentement, ils ont prôné la liberté de choix et le consentement libre et éclairé.

Au lieu de tromper, ils ont démontré qui étaient les tricheurs, preuves à l’appui, et alerté les victimes de la véritable désinformation, celle des autorités sectaires.

Au lieu de regarder un seul côté de la médaille, ils ont comparé les deux : médias dominants et médias indépendants, scientifiques avec et sans conflits d’intérêts.

Au lieu de censurer, ils ont libéré la parole.

Ils ont parfois condamné ces obéissants heureux de participer au viol des droits fondamentaux, souvent enivrés par l’euphorie malsaine d’un power trip inespéré, mais ils ont surtout accusé les gourous de la secte covidienne, soit les autorités et les médias, d’avoir violé des libertés fondamentales, d’avoir menti, censuré, diffamé et manipulé à la fois les statistiques et les citoyens.

La très grande majorité d’entre eux n’a commis aucun acte de violence, malgré les attaques qu’ils subissaient quotidiennement. Les réactions agressives ont été celles d’une très petite minorité, en réaction aux dérives sectaires quotidiennes d’une violence psychologique et monétaire impensable dans une démocratie, sans oublier la violence physique découlant de directives inhumaines et de traitements médicaux qui ont rendu des personnes malades ou les ont tuées.

Voir à ce sujet les témoignages de la Commission d’enquête nationale citoyenne à Québec, une commission historique avec des témoignages assermentés que les médias ont complètement passée sous silence.

Et si les morts ne parlent pas, les statistiques, elles, parlent à leur place et ne mentent pas.




Le scandale médiatique suisse n’est que la pointe de l’iceberg : dissimulation mondiale d’abus rituels sataniques

[Source : kla.tv]

Apparemment, les révélations sur le thème des « abus rituels sataniques » deviennent trop brûlantes. En effet, la chaîne de télévision suisse a récemment interrompu la diffusion de son propre documentaire sur le sujet. Kla.tv saisit l’occasion pour citer d’autres chaînes qui dissimulent les abus rituels sataniques. En effet, dans le monde entier, de nombreux récits de victimes, de témoins et de survivants sont délibérément étouffés, passés sous silence et cachés au public. Des experts chevronnés sont dénigrés et réduits au silence à l’aide d’une stratégie perfide et sophistiquée. Ce documentaire est une mise à jour historique de nombreux crimes de censure qui doivent être sanctionnés par la justice.

Transcription

Récemment, la radio télévision suisse SRF a menacé la chaîne Kla.tv de graves conséquences juridiques. Que s’est-il passé ?

À partir de décembre 2021, SRF a diffusé successivement 6 épisodes d’une série intitulée « Rec.—Panic Satanic ». Dans cette série, le journaliste de SRF Robin Rehmann s’est efforcé de prouver qu’il n’existe pas d’abus rituel satanique, mais qu’il s’agissait d’un récit de conspiration ; des survivants et des témoins d’abus rituels sataniques, ainsi que des thérapeutes, des militants et même un enquêteur de police ont été ridiculisés et présentés comme peu crédibles.

Explication : le sujet des abus rituels sataniques concerne les crimes les plus cruels commis dans le cadre de cérémonies sataniques. Dans le monde entier, des milliers de survivants, de victimes, de témoins, de thérapeutes et même de membres du système judiciaire font état d’abus sexuels, de tortures et même de sacrifices rituels. Selon eux, il s’agit de crimes commis par un cercle élitaire d’auteurs bien organisés et disposant d’un bon réseau, qui sait bien se protéger. Kla.tv a publié sur ce thème en novembre 2022 le documentaire intitulé « La secte du sang — 27 victimes, 27 témoins ». Outre les 27 victimes et 27 témoins d’abus sataniques, mentionnés dans le titre, qui ne sont qu’une petite sélection du nombre immensément élevé de victimes de ces pratiques sataniques, cette émission a également évoqué la série pseudo-investigatrice de SRF et de Robin Rehmann.

Il est particulièrement intéressant de noter que Kla.tv a ensuite reçu des informations montrant comment Rehmann se présente avec des symboles sataniques, comme, par exemple, de Baphomet — et entretient même des liens avec un grand prêtre satanique du nom de Francis Dollarhyde. La diffusion de ces faits explosifs a entraîné plusieurs événements : d’une part, SRF a menacé la chaîne Kla.tv de conséquences juridiques. D’autre part, la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » a visiblement tenté de brouiller les traces : sur leur page Internet, ils ont rapidement transformé leur grand prêtre Dollarhyde en un « PDG » d’apparence plus inoffensive, et peu après ils ont fait disparaître complètement son nom de leur page Internet.

Le scandale médiatique de SRF continue de faire des vagues

Il y a quelques jours, le 10 juillet 2023, le Tagesanzeiger et d’autres médias suisses ont annoncé que SRF avait stoppé la diffusion de son propre documentaire sur les abus rituels sataniques. Exactement selon le même schéma que pour la survivante d’abus Hajar mentionnée dans l’émission de Kla.tv « Scandale : SRF et Robin Rehmann », pour laquelle deux interviews déjà terminées ont été retirées peu avant la diffusion, un documentaire de SRF également prêt à être diffusé a été annulé.

On constate toujours le même schéma : des journalistes du terrain, qui ont à cœur de mettre fin à ces crimes atroces, font des recherches approfondies et solides sur le thème des abus rituels sataniques, puis la diffusion des protagonistes est stoppée au niveau de la direction. Au plus haut niveau, on a fait marche arrière « à la dernière minute », car le documentaire contiendrait des « éléments narratifs conspirationnistes ». La réalisatrice de SRF, Ursula Brunner, qui a fait ses preuves depuis de nombreuses années et a acquis une certaine maturité, rejette catégoriquement ces accusations, car elles seraient « dénuées de tout fondement ». La question se pose de savoir si les médias publics sont autorisés à priver les téléspectateurs de sujets tels que les abus rituels sataniques — un sujet qui présente un intérêt public considérable. Ce qui est absolument scandaleux, c’est que le documentaire a été financé par les pouvoirs publics à hauteur de 125 000 francs suisses, dont 75 000 proviennent de la redevance télévisuelle de SRF qui a maintenant été jetée aux ordures aux frais des citoyens suisses !D’autres exemples montrent que ce n’est vraiment pas un hasard, mais une stratégie constante, que les abus rituels sataniques soient dissimulés par les médias :

1. La direction du journal suisse « 20 min » annule la diffusion de l’interview de Chantal Frei, victime de torture

L’auteure Chantal Frei, qui a grandi en Suisse romande, n’avait que six ans lorsque des satanistes ont décidé de faire d’elle ce qu’ils appellent une « mère des ténèbres ». Elle avait survécu à des tortures massives. C’est pourquoi le culte la considérait comme suffisamment forte, sage et intelligente pour la former dans le cercle des Illuminati. Lors de rituels cruels, elle rencontrait des chefs d’État, des nobles et des célébrités. Pour cela, elle a été conduite dans des lieux connus du public — comme la Maison-Blanche et l’intérieur d’une célèbre basilique espagnole — et a également pénétré dans des installations militaires secrètes et un château isolé en Belgique. Ces lieux et ces personnes, dont certains sont également cités par d’autres survivants, illustrent l’ampleur terrifiante d’un phénomène profondément obscur, connu dans la littérature spécialisée sous le nom de violence rituelle. Chantal Frei a publié un livre sur ses terribles expériences sous le titre : « Je parle ! »Il est également arrivé à Chantal Frei qu’une interview qu’une journaliste du journal suisse « 20 min » avait réalisée avec elle et deux autres survivants ne soit pas diffusée. Citation de Chantal Frei :

« Quelque temps avant la publication de mon livre, une journaliste de 20 min avait réalisé une très longue interview avec moi. Elle m’a fait une impression vraiment bonne et empathique. […] La journaliste avait aussi fait d’autres recherches et voulait écrire un article à ce sujet. Elle a également interviewé deux autres survivants, un homme et une femme. Mais l’article n’a jamais été publié, car il a été stoppé par la direction ».

2. La BBC et le Daily Mail dissimulent des abus rituels sataniques à Hampstead en Angleterre

En septembre 2014, Alisa Dearman et son frère Gabriel ont déclaré, entre autres, dans le cadre d’entretiens avec la police, qu’ils étaient régulièrement victimes d’abus sexuels dans leur école. Ils ont expliqué que des rituels sataniques étaient pratiqués, que des bébés étaient tués et que leur sang était bu. Après avoir tué les bébés, leurs restes ont été mélangés à la nourriture de l’école. Leur propre père, Ricky Dearman, aurait été impliqué dans les sacrifices sataniques et les abus. Ella Draper, l’ex-femme de Ricky Dearman et la mère de leurs deux enfants, Alisa et Gabriel, l’a confirmé et a déclaré que Dearman était le chef du groupe satanique de Hampstead. Il aurait participé à la production de snuff-vidéos et les aurait vendues sur le darknet. Après qu’Ella Draper a rendu cette information publique, une véritable bataille médiatique s’est engagée : elle a été diffamée de la pire manière. Malgré les rapports médicaux officiels confirmant les graves abus sexuels subis par les enfants, les médias ont affirmé qu’elle avait forcé ses enfants à témoigner de ces faits. De nombreux magazines, comme le Daily Mail, ont qualifié Ella Draper de menteuse. Elle a même été poursuivie par la police. La grande agence de presse anglaise BBC a diffusé une interview de Ricky Dearman, dans laquelle la présentatrice de la BBC s’est efforcée de le faire paraître innocent. On a fait croire qu’il avait été victime d’une campagne malveillante. De nombreux téléspectateurs ont commenté l’interview en disant qu’ils pensaient que Ricky Dearman avait l’air d’un mauvais acteur et qu’ils pouvaient tout à fait imaginer qu’il avait commis ces horribles crimes. « Il a l’air coupable » pouvait-on lire dans la colonne des commentaires. Par la suite, la fonction de commentaires a été rapidement fermée.

3. La chaîne de télévision britannique BBC impliquée dans les crimes pervers de Jimmy Savile

Selon les données officielles de la police, le populaire présentateur anglais de la BBC Jimmy Savile a abusé pendant 50 ans (!) d’au moins 450 victimes âgées de 5 à 47 ans. Avant 1961 déjà, la police a interrogé Savile pour la première fois sur des accusations selon lesquelles il aurait eu des relations sexuelles avec des mineures dans les dancings qu’il gérait à l’époque. Savile a utilisé ses contacts pour approcher des enfants, entre autres dans un hôpital psychiatrique hautement sécurisé. Il a commis les crimes les plus odieux, allant jusqu’à violer un garçon mourant et à abuser de morts. Des victimes ont déclaré avoir été abusées par Savile dans le cadre de messes sataniques. Le 7 décembre 2011, un film sur les crimes de Savile devait être diffusé. C’est le journaliste Meirion Jones, qui a travaillé pendant plus de 20 ans à la BBC, qui a fait les recherches nécessaires. Il a trouvé des témoins qui ont lourdement chargé Savile. Mais le scandale a éclaté : le film a été annulé — selon la BBC, pour des « raisons journalistiques ». Le directeur responsable du programme « Newsnight », Peter Rippon, a arrêté la diffusion, le journaliste Meirion Jones a été suspendu. Des années plus tard, l’ancien producteur de télévision de la BBC, Wilfred De’Ath, âgé de 75 ans, a parlé. Il a déclaré que tout le monde à la BBC était au courant des crimes pervers de Savile ! Il est significatif que le scandale n’ait été révélé qu’après le décès de Savile. Des survivants d’abus ont même confirmé que ces abus étaient dus à un réseau pédophile organisé au sein de la BBC. La trace des agissements pédophiles de Savile mène directement à la famille royale anglaise, à des juges de haut rang, à des parlementaires éminents et même à un ancien Premier ministre.

4. L’article diffamatoire du Spiegel provoque la fermeture du service de consultation sur la violence organisée et rituelle de l’évêché de Münster

Le 12 mars 2023, le magazine « Der Spiegel » a publié un article sur le thème des abus rituels sataniques et du contrôle mental et a titré :

« Dans le délire des thérapeutes, les adeptes de cultes secrets maltraitent les enfants et contrôlent les gens via la manipulation du cerveau : sous l’égide des églises et des cliniques, les thérapeutes propagent de tels mythes d’horreur, et persuadent les patients de prétendus abus. »

https://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/wie-therapeuten-eine-verschwoerung-ueber-vermeintliche-opfer-ritueller-gewalt-verbreiten-a-fd5ea9b2-9c67-42ef-b451-0f511cb80053

L’article utilise précisément deux stratégies bien connues : d’une part, il place toute la thématique dans le domaine des théories de conspiration, en utilisant la notion bien établie de « panique satanique ». Et d’autre part, les thérapeutes — en particulier le service de consultation de l’évêché de Münster — sont une fois de plus pris pour cible à l’aide de la stratégie bien établie du « syndrome des faux souvenirs » :

Les thérapeutes du service de consultation de l’évêché de Münster ont été accusés d’avoir persuadé les victimes d’avoir subi des abus rituels sataniques. Une fois de plus, on discrédite les thérapeutes et on tente de les intimider. Malheureusement, la stratégie a fonctionné : deux jours seulement après la parution de l’article du Spiegel, l’évêché de Münster a annoncé qu’il avait fermé son service de consultation sur la violence rituelle — et ce après 20 ans d’un excellent travail de consultation et d’information !Une annonce de la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » sur Facebook, qui se réfère précisément au centre de consultation de Münster, est explosive et révélatrice à ce sujet :

NOTE EXPRESS ! 5 ans de travail acharné pour enfin faire tomber cette association et un article de divulgation a finalement fait pencher la balance. Nous le leur avons dit en 2017, nous le leur disons aujourd’hui. « Nous gagnons. Vous perdez. Fin de l’histoire. »

Il est remarquable que l’auteur de l’article — le rédacteur de Spiegel Christopher Piltz — ait listé sur sa page Facebook le journaliste de SRF Robin Rehmann et la psychologue criminologue Lydia Benecke comme amis. Lydia Benecke est connue comme une militante allemande qui donne depuis des années des conférences dans lesquelles elle nie l’existence d’abus rituels sataniques. Pour ce faire, elle utilise dans ses interventions les stratégies que nous venons d’exposer.

Retour en arrière : Pourquoi et quand a-t-on créé les termes stratégiques de « panique satanique », « faux souvenirs » et « théorie du complot » ?Nous constatons ici que la stratégie bien connue de dissimulation des abus rituels sataniques, qui a déjà « fait ses preuves » dans les années 90 pour les abuseurs, est à nouveau mise en évidence. Déjà à l’époque, lorsque de plus en plus de cas d’abus rituels sataniques et de contrôle mental ont été mis en lumière, les médias ont utilisé avec succès les mots d’ordre « Satanic Panic » et « faux souvenirs ». En 1980, Michelle Smith, la première des survivantes, a publié avec son psychiatre Lawrence Pazder un livre intitulé « Michelle se souvient ». https://en.wikipedia.org/wiki/Satanic_panic

Au cours des deux décennies qui ont suivi, les thérapeutes américains ont enregistré un afflux de victimes de violence rituelle satanique qui avaient eu le courage de leur demander de l’aide. On parle d’environ 12 000 victimes au total. Comme les thérapeutes ne parvenaient pas à cerner cette évolution débordante, ils ont échangé entre eux et organisé des congrès spécialisés sur ce thème. En 1992, le Dr Corydon Hammond, psychiatre américain renommé, a prononcé lors d’un congrès spécialisé le discours dit de Greenbaum, dans lequel il a parlé de programmation, de dédoublement, de CIA, de MK-Ultra, de structures et de programmes occultes. Il a ensuite été réduit au silence.

Vous pouvez voir ici la lettre originale scannée de la CIA dans laquelle il est écrit textuellement que des mesures concrètes doivent être prises contre les lanceurs d’alertes qui s’élèvent. À cette époque, les journalistes d’investigation révélaient de plus en plus d’incohérences au sein du gouvernement et de la CIA. La direction de la CIA a alors qualifié les journalistes d’investigation de conspirationnistes. La CIA a chargé ses agents d’influencer la politique et les médias et a ainsi fait taire les lanceurs d’alertes. Kla.tv dispose de nombreuses preuves à ce sujet. Aujourd’hui, la notion de « conspirationniste » est encore plus exacerbée, allant jusqu’à la rapprocher du radicalisme et de la violence.

En plus de la stratégie consistant à qualifier de panique sataniste les cas d’abus rituels sataniques devenus publics et à les tourner en ridicule, la « Fondation du syndrome des faux souvenirs » a également été créée en 1992.

Cette fondation a diffusé la thèse de la « fausse mémoire », c’est-à-dire l’affirmation selon laquelle les récits des victimes ne se seraient pas réellement produits. Les abus rituels sataniques n’existeraient pas, mais les thérapeutes auraient simplement persuadé les patients qu’ils avaient vécu de telles atrocités dans le cadre de rituels sataniques. On leur aurait donc implanté de « faux souvenirs » au moyen d’astuces psychologiques.

La stratégie des « faux souvenirs » a été utilisée pour discréditer et intimider les thérapeutes. Il est significatif que Ralph Underwager, un pédophile avoué, ait été l’un des fondateurs de la « Fondation du syndrome des faux souvenirs ». Underwager a dû quitter plus tard le conseil consultatif de cette même fondation lorsqu’il est apparu qu’il avait qualifié la pédophilie « d’expression acceptable de l’amour de Dieu » dans une interview accordée à un magazine pédophile néerlandais.

Après ces explications historiques, on peut maintenant mieux situer le scandale suisse de SRF et ses autres conséquences.

Au-delà de la stratégie d’étouffement médiatique mentionnée au début, de nombreux thérapeutes ont été licenciés après le reportage de SRF, ainsi que deux enseignants, un reporter principal, une chef de clinique et un médecin chef de service. Des témoins importants qui avaient témoigné dans le documentaire ont perdu leur emploi :

1. Deux enseignants sont licenciés

L’enseignant du secondaire Daniel Vuilliomenet et l’enseignante de primaire Marianne Lander, qui avaient courageusement pris position dans le documentaire de SRF sur le thème des abus sataniques dans leur environnement proche, ont tous deux été suspendus de leurs fonctions d’enseignants et n’ont plus été autorisés à enseigner. Ils ont même été scandaleusement discrédités par le service de presse Nau.ch en tant que « professeurs sataniques ».

2. Le reporter en chef du Basler Zeitung est licencié

Daniel Wahl, le reporter en chef de la Basler Zeitung, qui travaillait depuis huit ans pour ce journal, a subi le même sort que les enseignants. Trois jours seulement après la diffusion du documentaire de SRF « Satanic Panic », soit le 17 décembre 2021, il n’a plus été autorisé à travailler pour la Basler Zeitung. Il a été suspendu de ses fonctions et n’a plus eu accès à tous les documents sur lesquels il travaillait. Fait particulièrement explosif : Daniel Wahl n’a été que très brièvement mentionné par l’un des enseignants dans le documentaire de SRF. Daniel Wahl s’est concentré sur les domaines de la justice et du KESB [Le KESB en allemand (Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde)], l’autorité suisse de protection de l’enfant et de l’adulte, entre autres. Il lui a reproché à plusieurs reprises de ne pas protéger suffisamment les enfants et les adultes concernés. Cet engagement de Wahl a conduit à plusieurs reprises le Conseil de la presse à réprimander la Basler Zeitung. L’un de ces cas contestés était l’affaire Nathalie : une fillette de huit ans avait fait des déclarations sur les abus rituels sataniques de son propre père. Daniel Wahl avait écrit plusieurs fois sur le cas Nathalie dans le Basler Zeitung en 2020 et 2021. Résultat : le père a été juridiquement acquitté, la Kesb disculpée, le reporter en chef Daniel Wahl réprimandé par le Conseil de la presse — et maintenant au final licencié.

Il est intéressant de noter que Jan Grüebler, le président de la 3e chambre du Conseil suisse de la presse, est également directeur adjoint de la rédaction de SRF. On ne peut donc pas vraiment parler d’impartialité du Conseil de la presse. Regardez la série Kla.tv « Presserat oder Presse VERRAT » (« Conseil de la presse ou trahison de la presse ») du fondateur de Kla.tv, Ivo-Sasek. Des ramifications bouleversantes apparaissent au grand jour.

3. Clinique Littenheid —Le médecin chef de service est licencié

Ses déclarations sur ses années de thérapies avec des survivants de la violence rituelle dans le documentaire de SRF ont eu pour conséquence que le médecin-chef, le Dr Matthias Kollmann, a lui aussi été mis à pied, puis licencié, quelques jours seulement après la diffusion du documentaire. Il s’agissait donc déjà de la quatrième personne dans le documentaire à être licenciée immédiatement après l’émission.

4. Clinique Littenheid — procédure pénale contre la chef de clinique — elle est également immédiatement mise à pied

Mais cela ne suffisait pas. Dès la publication du documentaire, une procédure pénale a été engagée contre le médecin-chef de la clinique Littenheid, suite à quoi elle a été immédiatement mise à pied. En outre, plus aucun patient atteint de TDI ne sera admis jusqu’à la révision des concepts. Il s’agit de patients souffrant de troubles dissociatifs de l’identité, souvent liés à des abus rituels sataniques.

5. Clinique Littenheid — Le personnel muselé

Les employés se plaignent d’avoir été muselés après la diffusion du documentaire. La clinique dément bien entendu cette affirmation. Mais un rapport d’enquête à ce sujet a montré que les employés interrogés avaient désormais évité les termes à connotation négative tels que « contrôle mental » et utilisé à la place des termes neutres et non chargés, ce qui revient à minimiser les thèmes de la violence rituelle et du contrôle mental.

6. Nombreux licenciements parmi le personnel du centre de thérapie de Münsingen

Le centre psychiatrique de Münsingen a également licencié une partie de son personnel après la diffusion du documentaire de SRF. Le reste du personnel a été reconverti. Apparemment, cela s’est fait suite à l’affirmation de SRF selon laquelle le centre de thérapie de Münsingen emploie des personnes qui croient à une théorie du complot appelée « Satanic Panic ».

La question se pose de savoir si ces nombreux licenciements et la vaste couverture médiatique dont ils ont fait l’objet ont servi d’exemple. Et ce dans le but d’intimider d’autres témoins et personnes concernées qui n’ont pas encore osé sortir de leur réserve ? S’agit-il d’attiser la peur de révéler les atrocités que l’on a soi-même vécues ou observées, car cela pourrait avoir de telles conséquences négatives ?

Conclusion :

Comme on peut le voir à travers les tentatives considérables de SRF et d’autres médias, d’énormes efforts sont visibles depuis un certain temps déjà dans le monde entier pour que le sujet des abus rituels sataniques ne soit pas divulgué. Des campagnes médiatiques agressives sont menées, les centres de conseil sont étiquetés « conspirationnistes » et les thérapeutes sont discrédités et intimidés. Les portails d’information alternatifs, comme Kla.tv, qui publient des informations de fond sur le sujet, sont immédiatement menacés de poursuites judiciaires. Les témoins perdent leur emploi et leur bonne réputation — ils sont isolés socialement et leur existence même est finalement mise en danger. Les victimes et les survivants sont privés de toute aide thérapeutique après toutes les horreurs qu’ils ont vécues et sont totalement décrédibilisés.

Pourquoi emploie-t-on depuis des décennies des armes aussi puissantes pour rendre cette thématique ridicule et non crédible ? Un proverbe bien connu dit : Il n’y a pas de fumée sans feu. Chers téléspectateurs, si on considère les actions médiatiques mentionnées, on ne peut s’empêcher d’être méfiant. C’est pourquoi : faites vos propres recherches sur toutes les relations et examinez les déclarations des survivants et faites connaître largement ces scandales médiatiques.

Sources/Liens :




La propagande pour les trans par les « progressistes » leur nuit lourdement

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

La plupart des riches ont compris qu’ils ne doivent pas étaler leurs richesses pour ne pas exciter la convoitise des pauvres. Mais certains trans ignorent les avantages de la discrétion et s’étonnent de l’augmentation des actes transphobes depuis qu’ils affichent partout leur « fierté » et qu’elle s’adresse de surcroît aux enfants. Espérons que la modération future de leur affichage facilitera leur acceptation comme ont su le faire, avant eux, la plupart des homosexuels depuis des décennies. Faudrait-il que les progressistes idéologues, dont certains actuellement au pouvoir, cessent de les utiliser.

Faut-il être « d’extrême-droaaate » pour refuser qu’on soumette de jeunes enfants à des spectacles incompréhensibles pour leur âge et choquants, traumatisants pour leur psychisme, risquant d’être perturbés à long terme ? Tous ces donneurs de leçons ont-ils pesé ce qu’est l’éducation d’un bébé, puis d’un enfant et même d’un adolescent dont la sexualité selon tous les auteurs ont affirmé la phase silencieuse de la sexualité jusqu’aux débuts de la puberté ?

Les Français respectent les convictions politiques, religieuses et mœurs de chacun à condition qu’ils restent essentiellement dans la sphère privée et laissent de côté les enfants. « laissez nos enfants tranquilles » réclament des associations de parents, collectifs de tous pays du Canada et USA aux pays africains en passant par la France.

La multiplication des revendications trans via des manifestations de plus en plus gênantes (enfant fouettant un trans à quatre pattes quasiment nu) et la diffusion rapide des messages chez les enfants, couplées aux déclarations du ministre de l’éducation nationale « l’éducation sexuelle à l’école est ma priorité » ont entraîné une prise de conscience depuis quelques mois en France de faits dénoncés dans l’indifférence depuis plusieurs années1.2

« L’Éducation nationale entend aborder les stéréotypes de genre dès la maternelle, avec la même neutralité que les chercheurs qui cherchent à donner au genre un statut théorique dénué d’idéologie au sein des sciences humaines. Le ministre de l’Éducation nationale a expliqué que l’enseignement de la théorie du genre à l’école permettrait de lutter contre les discriminations, les violences sexuelles et sexistes, les LGBT phobies et d’atteindre une meilleure égalité entre filles et garçons. »3

Le ministre est-il sincère ou naïf ? En tous les cas, c’est l’inverse qui arrive évidemment.

L’organisation de collectifs régionaux afin de lutter contre les exhibitions de drag queen par exemple dans des jardins d’enfants ou dans des spectacles scolaires se développe rapidement : « laissez les enfants tranquilles ».

L’augmentation des actes transphobes est le revers de leur plus grande visibilité imposée partout

Depuis quelques années on assiste à une propagande permanente en faveur des minorités (dont les minorités sexuelles) dont certains membres sont persuadés que leur visibilité croissante leur permettra d’être mieux acceptés. Les médias aux ordres des politiques « progressistes » donc de la gauche au pouvoir imposent les figures trans à toute occasion, films, feuilletons, spot publicitaires, sujets des émissions d’échanges, comme si les trans (personnes respectables comme individus) représentaient une large communauté alors qu’ils ne sont que quelques milliers en France (0,03 à 0,1 % de la population selon le rapport de Dr Hervé PICARD et Simon JUTANT en janvier 2022), et que leurs problèmes ne résument pas les énormes sujets d’inquiétude des Français : (retraites, pouvoir d’achat, niveau scolaire, chômage, sécurité, immigration, etc.. ). La propagande trans est utilisée pour détourner l’attention de la population des vrais problèmes « parlez-moi d’autre chose »…

Pour l’essayiste Éric Naulleau, invité du « Figaro La Nuit », la pensée progressiste s’organise « autour de la figure du transsexuel ». « Le transsexuel et la drag queen sont passées de figures marginales à des figures presque centrales de l’imaginaire progressiste », relève-t-il. (tweet du 21 06 23). Adoption par la gauche des pires travers du capitalisme. On change de corps comme de forfait téléphonique. La vie liquide.

« Le transsexuel est devenu la grande idole du wokisme » vieux travers du progressisme de vouloir faire de la marge, le centre (d’où la fascination de la gauche pour les délinquants, exemple de Battisti).4

En les instrumentalisant pour des visées politiques et leur idéologie, les progressistes nuisent aux trans.

Les TRANS victimes de leur utilisation manipulatrice par les militants dits « progressistes »

Depuis que leur propagande se généralise, les actes, manifestations et les lois anti-trans se multiplient dans la plupart des pays du monde où elle a été active.

En France entre 2016 et 2022, les actes anti-LGBT+ ont connu une augmentation significative : +129 % pour les crimes et délits, et +115 % pour les contraventions. En 2018, le ministère de l’Intérieur avait recensé 1 380 infractions à caractère homophobe ou transphobe (soit une augmentation de 33 % par rapport à 2017). En 2019, 1 870 cas « C’est une hausse tendancielle et progressive, qu’on observe depuis trois ans ». En 2022, avec plus de 4000 faits le nombre de déclarations augmente en particulier pour les actes transphobes constituant « le revers de la plus grande visibilité des personnes trans »

Les guerres de religion nous ont appris que la tolérance sociétale pour les minorités va de pair avec leur discrétion publique et une pratique cantonnée à la sphère privée. On ne peut que conseiller aux trans sexuels d’adopter une pratique semblable pour être mieux inclus. Ils devraient résister aux politiques qui tentent de les utiliser.

Les associations féministes et homosexuelles se désolidarisent des manœuvres des extrémistes trans

De violentes polémiques dans le mouvement féministe mettent en lumière tensions et désaccords sur l’identité de genre. Ainsi le mouvement féministe #NousToutes cesse de relayer le décompte des féminicides conjugaux, car le collectif « Féminicides par compagnon ou ex » est accusé d’avoir tenu des propos transphobes, car il critiquait « les aspects toxiques » de la « masculinité antérieure » de certaines femmes transgenres.

Les féministes effacées

« Lisa », membre du groupe, précise « Ce n’est pas de la transphobie, c’est une réalité scientifique que les femmes trans étaient des hommes avant » et accusent les extrémistes trans de faire passer les personnes trans avant les femmes et d’invisibiliser ces dernières !

Des militantes féministes rapportent des faits de violence exercés par les extrémistes trans. « On a reçu des œufs dans le visage, on a été frappé parce qu’on tient cette position de dire qu’être une femme n’est pas un sentiment, c’est une réalité biologique matérielle », témoigne Marguerite Stern, créatrice des Collages contre les féminicides. Nos opposants nous qualifient d’« anti-trans », et détournent totalement notre pensée. Ils reposent sur des interprétations erronées de notre discours, nous qualifiant « d’essentialistes » et nous associant à l’extrême-droite, dans le but de compromettre notre réputation plutôt que de répondre à nos arguments.

« Nous ne sommes pas anti-trans, nous sommes pro-femmes. De la même façon que critiquer l’islam n’est pas islamophobe, critiquer l’idéologie transgenriste n’a rien de transphobe. Être transphobe, c’est le fait de discriminer ou d’appeler à la haine des personnes trans. Tel n’est pas notre cas. Dire que les femmes sont des femelles adultes humaines est incompatible avec l’essentialisme : c’est ce qu’on appelle philosophiquement du matérialisme. Nous disons que les femmes sont des femelles et qu’il n’y a pas de distinction entre les deux. Pour nous le mot femme décrit la sexuation ; le féminisme vise à ce que les spécificités biologiques des femmes soient reconnues dans la société. Nous ne résumons pas les femmes à leurs corps, mais disons que ce corps est ce qui permet de les définir. »

En Grande-Bretagne, certaines féministes traditionnelles, rebaptisées « Terfs » pour « Trans-Exclusionary Radical Feminists » (féminisme excluant les femmes trans), adoptent cette même position et se battent pour conserver l’indexation de la catégorie femme sur le sexe biologique, afin de « combattre efficacement le patriarcat »

J.K.Rowling, qui en fait partie est harcelée par les extrémistes trans depuis qu’elle s’est moquée du titre d’un article de devex.com : « Créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles ». « Cela avait un nom autrefois. Aidez-moi. Fummes ? Fommes ? Fammes ? », avait réagi l’auteur femme, « refusant de s’incliner devant un mouvement trans qui cause un tort aux luttes féministes en cherchant à effacer le mot « femme » en tant que classe politique et biologique, et en « offrant une couverture à ses prédateurs ».

Aux USA, l’association « Gays Against Groomers » est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ » et dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements trans extrémistes qui utilisent la communauté LGBT comme bouclier pour encourager la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » des mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine, mais que cette avancée est remise en question par des extrémistes trans qui portent préjudice aux gays.

Dans les compétitions sportives, l’équité prime maintenant sur l’inclusivité

Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques et éthologiques des individus. À l’adolescence la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettique et musculaire conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes, l’élargissement des épaules, un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 %.

Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines l’illustre avec une différence moyenne de 10 % à 20 % en faveur des hommes : lancer de javelot (94 m/72 m), 50 m nage libre (46/51 s), sprint de 100 m (9”58/10”49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec), lever de poids (488 kg/332KG), marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)…

Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un « construit social » qu’on peut changer selon son bon plaisir ou son « sentiment ». Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.

Lorsque les personnes ayant fait leur puberté comme homme ont obtenu le droit de concourir avec les femmes en se déclarant femmes trans, elles ont bénéficié d’un avantage important en termes de performances, même si leur taux de testostérone était bas, l’ensemble des caractéristiques corporelles génétiques et acquises étant toujours présent.

L’exemple d’Halba Diouf qui, en se « déclarant » femme, est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale est démonstratif. Mais aussi les cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, du leveur de poids Laurel Hubbard, de la nageuse Liz Thomas…

L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas de problème d’équité, vu les possibilités réelles inférieures des hommes trans nées femmes. De fait, les hommes trans ne veulent guère y participer.

Marguerite Stern, militante a résumé la question dans une tribune de Marianne :

« Sous couvert de lutte contre les discriminations, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. ».

De nombreuses autres militantes féministes perçoivent l’intégration des personnes transgenres dans les espaces réservées aux femmes comme une nouvelle forme de l’oppression masculine systémique et de l’« invisibilisation des femmes ».

Martina Navratilova, militante de la première heure des droits des homosexuels, a aussi déclaré :

« Je suis heureuse de m’adresser à une personne transgenre de la manière qu’elle le souhaite, mais je n’aimerais pas avoir à concourir contre elle. Ce ne serait pas juste ».

Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité générale, et les droits des sportives de haut niveau qui ont beaucoup travaillé pour y parvenir.  

Le 23 mars 2023, le président de la Fédération Internationale d’athlétisme (WA), Sébastian Coe, a annoncé l’exclusion des compétitions nationales et internationales des athlètes transgenres « qui ont connu une puberté masculine ». Sebastian Coe a expliqué vouloir privilégier « l’équité à l’inclusion » « Ma responsabilité est de protéger l’intégrité du sport féminin ».

Dans les compétitions sportives de haut niveau, l’équité pour les femmes prime maintenant sur l’inclusivité des trans.

Et pour ne pas brimer les trans qui veulent concourir, certaines fédérations sportives ont proposé d’organiser, en parallèle avec les compétitions féminines et masculines des compétitions ouvertes ou les trans pourront se mesurer aux cis. Pourquoi pas !

Dans les écoles

En France, comme dans de nombreux pays occidentaux la loi permet aux élèves trans de se faire appeler par le prénom qu’ils désirent sans même l’autorisation des parents. La circulaire de Jean-Michel Blanquer, parue au Bulletin officiel du 30 septembre 2021 demande aux enseignants de l’école maternelle jusqu’au lycée (premier et second degré), « d’écouter, accompagner et protéger les enfants transgenres ou qui s’interrogent sur leur identité de genre ». Elle ajoute qu’il est également pleinement envisageable d’accepter les élèves trans dans les vestiaires, dortoirs et autres équipements genrés, selon l’identité de genre de l’élève, y compris avant qu’il ait pu effectuer des changements sur son état civil ou suivi des traitements [elle prescrit donc d’admettre les hommes qui se prétendent femmes dans les vestiaires et dortoirs et toilettes des filles !]. Et le ministre de l’éducation actuel déclare en 2022, priorité nationale l’éducation sexuelle à l’école dès la maternelle et sous prétexte de « lutter contre les discriminations » et autorise des associations trans à faire leur propagande à l’école et à présenter aux enfants des spectacles de drag queens.

Lorsque l’école, socle de nos institutions, demande aux enseignants d’« accompagner » la démarche de transition des élèves, elle se fourvoie. Elle n’est ni dans son rôle ni dans sa mission. La démarche du Ministère a le tort d’imposer aux enfants qui ne peuvent pas en appréhender tous les aspects, un débat de société concernant les adultes et de fracturer inutilement la société et pire le cerveau des jeunes enfants soumis à propagande inintelligible pour leur degré de maturation.

En avril 2023, un atelier organisé par l’association OUTrans a fait scandale à l’École alsacienne de Paris. Selon le Figaro les intervenants, transsexuels, ont « accusé les enfants d’être transphobes » pour avoir protesté contre l’affirmation selon laquelle des hommes peuvent être « enceints ». Ils auraient de plus affirmé aux enfants que « si un adolescent n’est pas bien dans sa peau, c’est qu’il est peut-être trans » ou encore que « dire qu’il y a seulement deux sexes, c’est une représentation datée et c’est faux ».

Le Syndicat de la famille — a appelé au retrait immédiat des subventions publiques versées à OUTrans et HandsAway, et réclame que « ces associations ne puissent plus jamais intervenir dans les écoles, collèges et lycées. »

Le département d’île et Vilaine et la Région Bretagne ont subventionné une sortie scolaire pour faire assister, le 20 mars 2023, des enfants de l’école Jean Rostand de Rennes à « fille ou garçon », un spectacle vantant les transformations sexuelles, gaspillant ainsi impôts et temps scolaire pour propager une théorie qui menace gravement l’équilibre psychologique des enfants.

Plus récemment la volonté de projeter Tomboy film de 2011 retraçant l’histoire d’une petite fille de 10 ans, Laure, qui se fait passer pour un garçon auprès d’élèves de sixième du Séminaire des jeunes de Walbourg, a tourné à l’affrontement entre parents et direction.

Déprogrammé à la suite de plaintes de parents puis de l’évêché puis reprogrammé ; les parents en colère n’ont eu que la possibilité de garder leur enfant chez eux.

Et la pression du ministère étonne et scandalise :

Cf. bd Voltaire :

«les drags se présentent aux enfants sous une forme hypersexualisée, Monsieur Escots ne pourrait le nier. Par ailleurs, 60 000 euros de subventions ont été versés en deux ans au Girofard (un collectif de plusieurs associations LGBTI+). Le Girofard est un lieu d’accueil, de rencontre et d’échanges qui veut promouvoir la santé et le bien-être des personnes LGBT, mais aussi dénoncer toutes les discriminations et promouvoir la culture LGBT, par l’organisation, entre autres, de la Marche des fiertés de Bordeaux.»5

Pour les enfants, la difficulté réside dans la nature très partisane de l’information donnée, mais surtout dans leur difficulté à comprendre et évaluer ces informations et à concevoir la portée de décisions qui feront d’eux des patients prenant des médicaments à vie et sacrifiant leur fertilité avec des mutilations irréversibles de leur corps (émasculation, hystérectomie, ovariectomie).

Comme pédiatre, nous avons appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe ne sont pas à l’ordre du jour, entre environ trois et douze ans. Et voilà que selon le bon vouloir de quelques activistes trans parvenus aux postes de responsabilité, ou de leurs affidés intéressés ou convaincus, il faudrait perturber cette période de construction silencieuse ?

En Amérique du Nord (USA et Canada) de nombreuses manifestations de parents ont régulièrement lieu pour protester et empêcher la propagande trans dans les écoles qu’essaient d’imposer les autorités.

Certains trans réclament « des toilettes non genrées » permettant aux garçons qui se déclarent filles d’accompagner aux toilettes les filles aux dépens de la sécurité sexuelle de ces dernières. Et si une adolescente dit qu’elle ne veut pas d’hommes trans dans les toilettes de filles, elle se fait traiter de transphobe ! Pourtant le fait de s’affirmer femmes trans n’empêche pas les pulsions de viol ni le passage à l’acte comme l’a montré l’écossais « e » Isla Bryson. Combien faudra-t-il recenser de viols pour que ce risque soit pris en compte et que la sécurité de l’immense majorité des jeunes filles prime sur les désirs d’une infime minorité de trans qui se sent mal dans leur peau et se prétend traumatisée de devoir aller aux toilettes de leur sexe biologique ?

Dans les prisons

En France, d’après le ministère de la Justice, il y aurait une trentaine de personnes transgenres sur plus de72000 détenus (0,04 %). Elles doivent faire face à de nombreuses difficultés : placées à l’isolement, des relations tendues avec les surveillants, un accès difficile aux médecins. En 2021 Dominique Simonnot a déclaré :

« En cas d’incarcération, les personnes transgenres sont plus vulnérables que le reste des détenusinvitant à “adapter le principe général d’égal respect de la dignité à la situation particulière de ces personnes”. »

Mais l’inclusivité des femmes trans dans les prisons pour femmes a révélé ses limites dans les pays voisins qui avaient opté pour ce choix avant la France.

Au Danemark, la Haute Cour a estimé que la présence d’une détenue trans qui a fait modifier son état civil d’homme à femme pendant son incarcération pour un viol aggravé doit purger sa peine dans un établissement pour hommes. Son séjour dans une prison pour femmes « poserait un risque de sécurité non insignifiant pour les femmes détenues » et que le fait qu’elle soit « fouillée nue par des hommes » et doive « fournir un échantillon d’urine » sous la surveillance d’hommes n’enfreignait pas la loi sur l’exécution des peines, car la référence au genre dans la loi doit être « comprise en tant que sexe biologique. »

En Écosse, la loi écossaise Gender Recognition Reform Bill, votée fin 2022, permet de faciliter l’acquisition par des personnes trans d’un certificat de reconnaissance de genre établissant que leur genre « n’est pas celui qui [leur] a été assigné à la naissance. » Avant son adoption elle avait été combattue par beaucoup d’associations féministes qui craignaient qu’elle soit détournée par des prédateurs sexuels se déclarant femmes pour mieux approcher les femmes dans les espaces qui leur sont réservés — vestiaires, refuges, toilettes, prisons. L’incarcération temporaire de femmes trans condamnées pour viol dans des établissements pour femmes a suscité l’indignation dans la population et la classe politique écossaise et britannique obligeant les autorités à décider qu’elles purgeraient leur peine dans une prison pour hommes.

Une fois de plus, la sécurité de la majorité prime progressivement sur les désirs d’une infime minorité surreprésentée chez nos dirigeants ou du moins dans leurs décisions.

Pour les entreprises, la propagande pro trans se révèle souvent contre-productive

Aux USA, certaines entreprises grand public ont cru que la promotion transgenre augmenterait leur clientèle et s’en sont mordu les doigts.

Un des premiers exemples est celui de la bière Budweiser dont l’entreprise a lancé le 1er avril 2023 une campagne publicitaire avec une influenceuse transgenre Mulvaney déguisé(e) en Audrey Hepburn tenant une cannette à son effigie annonçant sur Instagram sa collaboration avec la marque Budweiser, pour promouvoir la Bud Light.

Après cette campagne de publicité, sur les réseaux sociaux, des insultes contre la marque ont fusé, des internautes se sont filmés en train de détruire des bières Budweiser, des packs de bières ont été détruits en masse et le Kid Rock dans une vidéo publiée le 4 avril 2023 a fusillé des packs entiers de Bud Light avec une mitraillette. Dans le mois qui a suivi cette campagne de publicité, les ventes de Bud Light ont chuté entre 11 et 26 %, Bud Light a perdu en mai sa place de leader des ventes aux États-Unis et son cours en bourse a chuté de 11 %.

La capitalisation boursière d’Anheuser-Busch, groupe gérant de Budweiser, est passée de 132,06 milliards de dollars à 108,96 milliards de dollars entre le 3 avril et le 2 juin 2023. La société mère de Bud Light a finalement préféré revendre la marque à ses fondateurs d’origine.

En juin 2023, mois des fiertés LGBT+, la société Target a sorti une collection aux couleurs arc-en-ciel qui a fortement déplu à sa clientèle. Celle-ci a boycotté l’enseigne, causant la chute brutale des ventes et provoquant l’arrêt de la commercialisation en ligne. Cette déroute commerciale a été suivie d’une chute drastique de la valorisation boursière de Target de 72,52 milliards de dollars à 58,61 milliards6 de dollars entre le 1er mai et le 10 juin 2023.

Netflix et Disney multiplient les projets avec des personnages trans en espérant ainsi augmenter leur audience et leur rapporter de l’argent. Si ce n’est pas le cas, voir même l’inverse, ils annuleront les films teintés de propagande trans.

Ce « pinkwashing » à visée mercantile pourrait être catastrophique sur le plan commercial et boursier si les opposants boycottent régulièrement les entreprises qui le pratiquent.

Dans de très nombreux pays, la propagande trans sans limites, suscite des lois finalement défavorables à leur communauté

En réponse à la propagande trans croissante de nombreux états américains (Floride, Texas, Oklahoma, Kansas, Missouri, Tennessee, Kentucky, Virginie occidentale…) ont récemment voté des lois, interdisant d’avoir une pièce d’identité avec un nom et sexe différent de celui de la naissance, d’aller dans des toilettes qui ne correspondent pas à leur genre de naissance, toute propagande trans à l’école et refusant la prise en charge par l’état des frais des traitements pour transformations sexuelles. À partir de septembre 2023, la Floride et le Texas interdiront de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans.

En Europe, les états scandinaves et la Grande-Bretagne, longtemps pionniers de la théorie du genre et des transformations trans faciles, ont fortement limité l’accès aux traitements destinés à la modification médicamenteuse et/ou chirurgicale sexuelle pour les mineurs. En février 2023, la Suède a décidé de bloquer la thérapie hormonale pour les personnes de moins de 18 ans, sauf dans de rares cas.

En Russie, le parlement a interdit la promotion de relations sexuelles non traditionnelles chez les jeunes, et vient d’interdire la chirurgie de modification sexuelle, sauf pour les enfants atteints d’anomalies congénitales.

À Singapour les magazines ont l’interdiction de promouvoir les « modes de vie alternatifs » ; le permis de publication du magazine Vogue lui a été retiré pour « avoir fait la promotion de familles non traditionnelles » et le Premier ministre a annoncé une prochaine modification de la constitution afin de « sauvegarder l’institution du mariage, union d’un homme et d’une femme. »

En Turquie, les manifestations des transsexuels sont interdites et certains manifestants qui ne respectaient pas l’interdiction ont été arrêtés.

Au Liban en 2022 une tentative de gay pride a été empêchée par des opposants et le Premier ministre le ministère de l’Intérieur a ordonné aux forces de sécurité de « prendre immédiatement les mesures nécessaires pour empêcher tout type de célébration, de réunion ou de rassemblement » de personnes de la communauté LGBT, car « le prétexte de la liberté d’expression ne suffit pas à justifier la promotion de ces activités contraires aux principes divins ».

En Afrique, la propagande trans a exacerbé l’intolérance envers ce groupe avec le vote à l’unanimité d’une loi ougandaise punissant jusqu’à dix ans de prison pour toute personne se livrant à des actes homosexuels ou se revendiquant comme LGBTQ+.

Le Cameroun vient de déclarer persona non grata Jean-Marc Berthon, nommé en octobre 2022 ambassadeur français pour les droits des personnes LGBT qui avait annoncé son arrivée à Yaoundé. Le ministre Lejeune Mbella Mbella a rappelé à cette occasion que « la position du gouvernement sur la question de définition du genre, de l’orientation et de l’identité sexuelle est claire et dénuée de tout débat au Cameroun » et que la promotion de la théorie du genre est « qualifiée de crime de droit commun ».

La généralisation de la propagande pour la théorie du genre et la promotion outrancière de la transsexualité dans les écoles, dans les films subventionnés (avec quota obligatoire de représentants des minorités sexuelles) entraînent partout des clivages violents dans l’opinion et suscitent dans de nombreux pays des lois nocives pour la majorité des trans. Les extrémistes trans devraient méditer le vieux proverbe « pour vivre heureux, vivons cachés » et laisser vivre tranquillement tous les citoyens, minorités et autres y compris trans, leurs outrances aboutissant à des violences jusqu’ici inconnues chez des homosexuels, lesbiennes ou trans qui avaient choisi de vivre leur vie, à l’abri de la propagande.

Et d’ailleurs, écoutons la parole d’une drag queen :7

« Pourquoi voudriez-vous confier vos enfants à des personnes qui font des performances sexuelles pour adultes, et qui pour la plupart se droguent backstage [dans les coulisses] ».

Enfin une Drag Queen honnête et courageuse !

« Sexualiser les enfants fait partie de l’agenda 2030. Envoyez nos dirigeants se faire foutre ». Tweet du Dr. Anastasia Maria Loupis 12 06 23 :





Un Soulier mal chaussé

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Quinze jours après mon hommage et une semaine après ses funérailles, je peux décemment revenir sur le décès inopiné du Dr Olivier Soulier et tenter d’éclairer les causes de sa mort. Quand on décède à 67 ans et que l’espérance de vie d’un homme en France dépasse les 79 ans, on peut en effet s’interroger sur les raisons de ce départ prématuré. Je dis bien « tenter » parce que le décodage psychobiologique des maladies n’est pas une science exacte et que cet exercice déductif est plutôt un travail de détective. Il s’opère idéalement dans le cadre d’une relation thérapeutique où le patient se confie au consultant et ne lui cache rien de ses états d’âme. Ils enquêtent ensemble sur les origines psycho-émotionnelles d’une affection, mais, quelles que soient la profondeur et la sincérité de leur relation, c’est en définitive le malade qui détient la clé explicative. Personne d’autre ne peut affirmer qu’il sait mieux que lui pourquoi il a développé telle ou telle pathologie. Personne ne peut « décoder autrui » sans autorisation et imposer une interprétation de ses troubles de santé. Alors à quoi sert de conjecturer sur les circonstances d’une mort ? De mon point de vue, la déontologie s’arrête avec le dernier soupir. Les personnes disparues n’appartiennent pas à leurs proches ni à leur famille, surtout si elles étaient célèbres et que leur trépas endeuille des foules entières. S’emparer de leur histoire et mettre en lumière leur trajectoire permet de rendre service aux vivants, comme nous l’avons fait plusieurs fois dans Néosanté. Par exemple, il m’a semblé opportun de révéler dans un éditorial controversé que le psychanalyste Guy Corneau n’était pas le père de l’enfant qu’il croyait sien. Et que la découverte de son infortune amoureuse l’avait durement affecté. A posteriori, on peut établir un lien quasiment certain entre ce choc affectif et la fulminante inflammation cardiaque qui l’a emporté. Pour votre info, l’une des deux sources m’ayant « tuyauté » sur Guy Corneau n’était autre que son ami… Olivier Soulier, avec qui j’avais de fréquentes discussions sur le sens des maladies et leur genèse conflictuelle. Là où il est, je crois qu’Olivier doit voir d’un bon œil que je me risque à élucider son propre décès en dévoilant ce qui l’avait cruellement éprouvé ces derniers temps.

Incohérence fatale

Mais avant de pénétrer les coulisses psychosomatiques de son envol vers les étoiles, je me dois d’évoquer un « détail » assez inouï : le Dr Soulier était vacciné contre le covid ! C’est en tout cas ce qu’il déclare lui-même au tout début de cette interview accordée à un média alternatif. Il y confesse que beaucoup de soignants qualifiés d’antivaxs, lui y compris, ne sont pas hostiles au vaccin et qu’ils ont accepté de se faire injecter. Confrontés à cette vidéo, certains amis communs m’ont objecté qu’Olivier avait sans doute menti pour se donner du crédit et ne pas nuire au Syndicat Liberté Santé, qu’il venait de co-fonder. Ce raisonnement m’échappe, car le syndicat en question avait précisément pour but de coaliser les réfractaires à la piqûre et de défendre leurs intérêts. Il aurait dû être fier, au contraire, d’incarner la résistance aux injections expérimentales. Ceux que l’aveu déroute ignorent cependant un trait majeur de la personnalité du disparu : il était constamment tiraillé entre l’art médical classique accordant un rôle pathogène aux agents infectieux et les approches parallèles disculpant virus et bactéries dans la genèse des maladies. Tout en ayant forgé le concept d’« amicrobes », il pouvait sombrer dans la plus parfaite incohérence en les accusant de tous les maux. À mon grand étonnement, il adhérait par exemple aux thèses de l’association Chronimed sur la causalité microbienne des maladies chroniques et leur traitement à grand renfort d’antibiotiques. Ce grand écart avec la théorie du terrain et avec la vision du Dr Hamer, dont il était pourtant un ardent défenseur, m’a toujours désarçonné. Quand je lui en parlais, Olivier me répondait qu’il agissait en « cheval de Troie » et que sa biophobie apparente n’était qu’une feinte pour amener ses confrères au paradigme hamérien. Je crois plutôt qu’il était à cheval sur deux paradigmes contradictoires, que ses discours pouvaient varier selon l’auditoire et qu’il était capable de dire une chose en faisant exactement l’inverse (et inversement). Dans cette même vidéo déconcertante, il chante lyriquement les louanges des valeureux soignants ayant affronté le coronavirus au péril de leur vie et ayant succombé nombreux à son contact. Or il m’avait lu, on en avait discuté et il était bien d’accord avec moi que cette narration pasteurienne était complètement mensongère : aucune hécatombe parmi les blouses blanches ! Pour moi, Olivier Soulier est mort comme il a vécu : écartelé par ses contradictions et gérant difficilement la distance entre ses pensées et ses actes. Comme il avait déjà connu des alertes cardiaques, il avait probablement fait la première dose du vaccin par appréhension des myocardites covidiennes. Et lorsqu’il est apparu que l’injection génique provoquait elle-même la myocardite, un stress psychologique s’est sans doute ajouté à sa fragilité physique. Avec de tels facteurs de risques, il devait se savoir à la merci du premier drame venu…

Territoire perdu

Et ce drame est arrivé. Comme vous le savez, le Dr Soulier avait pris une place énorme dans la résistance. Il était de toutes les manifestations, congrès, visioconférences et coalitions menant la lutte contre le totalitarisme covidiste. Il avait fermé son cabinet et se démultipliait sur tous les fronts de la rébellion dont il était devenu l’une des figures en vue. Il avait notamment pris une place importante au sein du CSI (Conseil Scientifique Indépendant) dont il a animé de nombreuses réunions publiques hebdomadaires. Il avait le don rare de mettre en valeur les intervenants et de résumer leurs propos avant de céder la parole à d’autres. Le problème, c’est qu’il n’avait lui-même qu’un maigre bagage scientifique. N’étant pas apte à lire l’anglais, il était même incapable de consulter les études très majoritairement rédigées en cette langue. À la longue, ce déficit de savoir et ce manque de légitimité ont commencé à se voir et à irriter d’autres participants au CSI. Certains l’avaient vertement critiqué en interne et ces derniers mois, l’un d’entre eux avait même déballé sur les réseaux sociaux de violents griefs à l’égard d’Olivier. Le vase en ébullition a débordé quand ce dernier a eu la mauvaise idée d’accepter un prix des mains du Pr Joseph Tritto, ce peu crédible chirurgien italien se présentant comme spécialiste en bioterrorisme et directeur d’une obscure World Academy of Biomedical Sciences and Technologies. Or l’« Humanity Award 2023 » qu’Olivier a accepté lui a été attribué en tant que « fondateur du CSI », ce qui a fortement déplu à ses pairs. Comme me l’a confirmé Louis Fouché, il est en effet de règle qu’aucun membre du CSI ne tire la couverture à lui et ne se targue d’en être le créateur. Sans en être formellement chassé, Olivier a perçu qu’il s’était mis en marge du groupe et il n’a même pas assisté à la fête célébrant la 100e réunion du conseil. Cela le peinait profondément, il se sentait lâché par le Dr Fouché et c’est de cela dont il voulait me parler il y a un mois. Son éviction est-elle à l’origine de son infarctus ? Certainement pas et il n’y a personne à blâmer. En biologie, il n’y a ni coupable ni victime, répétait souvent le Dr Claude Sabbah. Ce ne sont pas les événements, aussi douloureux soient-ils, ni leurs protagonistes, aussi méchants soient-ils, qui causent les accidents de santé. C’est le ressenti de celui ou de celle qui encaisse les coups et les somatise. Assoiffé d’amour et de reconnaissance jusqu’à flirter avec l’imposture, Olivier vivait sa mise à l’écart comme une grande injustice et comme la perte déchirante d’un territoire où il se croyait chef. Le rapport avec sa crise cardiaque est évident, car les problématiques territoriales sont précisément de nature à affecter le cœur. Par un curieux « hasard », c’est dans le tout premier numéro de Néosanté, celui parrainé par Guy Corneau, que nous avons publié notre premier article de décodage de l’infarctus du myocarde. Je vous invite à (re) lire ce texte signé Bernard Tihon (en page 19), car il va éclairer la fin de mon décryptage-hommage à Olivier.

Guérison mortelle

Vous avez bien (re) lu le dernier paragraphe ? Aussi bizarre que cela paraisse, la crise cardiaque est en effet le signe d’un basculement en guérison. C’est un orage de type épileptique qui sépare la phase de conflit actif et la phase de conflit résolu. C’est un cap périlleux et d’autant plus dangereux que le stress émotionnel a été long et intense, mais c’est paradoxalement une étape marquant le passage à l’apaisement et au lâcher-prise. Mieux que quiconque, Olivier Soulier devait donc se méfier du moment où sa pénible « perte de territoire » allait trouver un exutoire libérateur. Il n’était pas un (trop) vieux cerf renonçant instinctivement au combat pour le bien de l’espèce, mais bien un être conscient qu’une thérapie réussie pouvait déboucher sur une issue fatale. J’ai donc été étonné d’apprendre qu’au soir de sa mort, il avait assisté à une cérémonie chamanique à Paris. Se sachant vulnérable et aux prises avec ses démons territoriaux, il aurait dû au moins vérifier la présence d’un défibrillateur, une des rares techniques médicales modernes ayant démontré sa grande utilité. Selon la presse qui a rapporté les faits, les secouristes ont tenté de le ranimer, mais son cœur avait déjà flanché. Avait-il consommé de l’Ayahuasca, cette potion amazonienne qui donne des visions, répond aux questions intérieures et soigne les âmes tourmentées ? Je ne peux pas le certifier, je n’ai pas l’info, mais je fais l’hypothèse que oui. L’année dernière, avec une amie et trois amis, j’ai assisté à une cérémonie chamanique incluant l’absorption du remède végétal. Mes quatre comparses, ainsi que la trentaine d’autres participant(e)s, ont eu des visions et ressenti des choses impressionnantes. Et moi rien du tout parce que j’ai vomi trop vite le breuvage hyper amer ! Cela arrive quand les principes actifs n’ont pas le temps de franchir l’estomac et monter au cerveau. En réfléchissant à cette expérience décevante, je me suis rappelé qu’il y a une vingtaine d’années, le médecin hamérien ayant « lu » mon scanner cérébral m’avait alors mis en garde contre des conflits anciens visibles sur le cliché. Les yeux dans les yeux, il m’avait confié que « parfois, il vaut mieux ne pas guérir pour rester en vie ». Si l’ayahuasca n’a pas marché chez moi, c’est peut-être parce que mon corps a deviné pour moi que l’alcaloïde guérisseur allait m’expédier dans l’au-delà alors que mon heure n’avait pas encore sonné. Ce destin était par contre celui rencontré par le Dr Olivier Soulier le 3 juillet. Ce qui l’a tué, à mon avis, c’est moins le vaccin polluant ses veines que le changement de regard offert par la séance chamanique sur ses dérisoires conflits de territoire. Il est mort guéri de ses soucis et probablement illuminé, je me plais à l’imaginer, par une ultime compréhension intime du sens biologique des maladies. Une très belle fin à un brillant parcours terrestre, même si en se chaussant mieux il aurait pu l’allonger un peu.

Yves Rasir

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Prochaine plandémie : « Marburg » = 5G + injection

Une source de plus nous en avertit

[Source : ActuPlus11 via santeglobale.world]



[Note de Joseph : le prétendu « virus » choisi importe peu dans le plan. Il suffit que les effets qu’on lui attribue soient suffisamment effrayants. Ce sera peut-être autre chose que Marburg, même si celui-ci paraît un très bon candidat.]

[Voir aussi :
Les bizarreries de Marburg
Nouvelle plandémie en vue ?
Bill Gates prépare sa prochaine plandémie
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Pour en finir avec les plandémies]




Excellent témoignage d’un cardiologue vaxiné




Un Tweet adressé par un Suisse à Nathalie Loiseau

Par Pascal Najadi

@Najadi4Justice

Chère Nathalie,

Je crois vraiment que vous êtes soit payée pour écrire de telles accusations insensées ici sur Twitter, soit carrément pas intelligente ou, ce que j’espère sincèrement, mal informée, victime d’un lavage de cerveau.

Laisse-moi te le dire ici sans détour et sans prendre de courbes inutiles pour m’expliquer au bénéfice de ton intellect.

Je suis triplement Pfizer ARNm injecté, 2021, dernier booster décembre 2021.

Quand j’ai appris par Pfizer en octobre 2022 que leur soi-disant « vaccin » n’avait pas été testé avant d’être commercialisé, j’ai décidé de porter plainte contre le président suisse et le ministre de la Santé Alain Berset.

L’affaire a été rejetée fin avril 2023 par le procureur fédéral Nils Eckmann, à Berne.

J’ai ensuite, par l’intermédiaire de mon avocat expert en droit pénal, le Dr Walter Haefelin, poursuivi le procureur fédéral devant la Cour pénale fédérale de Suisse le 6 mai 2023 pour ne pas avoir ouvert une enquête criminelle contre Alain Berset pour abus de pouvoir et pour sa politique catastrophique et mortelle de mandat Covid Vacc et de coercition qu’il a exécutée en Suisse. 

Berset a soudainement et totalement démissionné de son poste de président suisse et de ministre de la Santé le 21 juin 2023.

Voilà où nous en sommes dans mon pays.

Je suis suisse avec aussi une citoyenneté britannique, mais je suis né et j’ai grandi en Suisse, un ancien officier de l’armée de l’air suisse et mon grand-oncle maternel Rudolf Minger était le président jusqu’à et pendant la Seconde Guerre mondiale et le fondateur de l’armée suisse moderne ainsi que le fondateur du plus grand parti politique, l’UDC.

Jusqu’aux opérations psychologiques de Covid, je n’ai jamais été antivaxx.

Mais depuis, mon opinion a changé de 180 degrés, en raison de ma triple maladie auto-immune diagnostiquée en phase terminale de l’ARNm de Pfizer et d’autres blessures graves de l’ARNm de Pfizer.

J’ai plus de 180 pg/ml de pics toxiques dans mon sang, mesurés en février 2023 par le professeur Dr König en Allemagne.

Je suis ton spécimen vivant de mort lente, exemple d’une des millions blessures ARNm ou pire, de morts subites.

Aujourd’hui, nous savons que des éléments malhonnêtes de la DARPA, l’armée américaine, ont conçu ces substances ARNm comme une arme biologique et ont pris le contrôle de leur développement et de leur déploiement dans le monde entier.

La guerre des labels Pfizer et Moderna n’a servi que d’agents de démonstration et d’exercice d’image de marque pour les labels.

Tu dois comprendre que ces soi-disant vaccins Covid n’ont jamais été conçus pour protéger de la Corona, mais pour nuire et tuer, c’est une arme biologique et la recherche sur la fonction spike protein a été menée par le Dr Fauci et le Dr Baric à Wuhan en Chine de 2012 à 2014 pendant les sanctions sur la recherche d’armes biologiques imposées aux États-Unis et au Canada, ce qui constitue déjà une violation flagrante de ces sanctions.

Nathalie, je suis en train de mourir au ralenti.

Je suis un banquier d’affaires international qui a conseillé des chefs d’États et des ministres dans des crises incluant le Continent africain, tout le Moyen-Orient, ex Iran, La Fédération de Russie, l’Asie centrale et l’Europe centrale de 1990 à 2008.

Je ne suis pas un manifestant alternatif, un anti-vaxx, un casseur ou quoi que ce soit de ce genre.

Je représente l’establishment, mais j’ai rompu avec eux, car ils ont manifestement et ouvertement attaqué l’humanité avec une exécution de dépopulation planifiée de la sorte la plus perverse et la plus odieuse depuis que l’humanité enregistre des temps.

Vous ne pouvez pas et ne devriez jamais nous accuser, nous les victimes et les scientifiques, d’être des complotistes ou quoi que ce soit d’approchant.

Nous sommes ici pour alerter l’humanité et, nous l’espérons, la sauver de la mort.

L’OMS, tous les éléments des gouvernements voyous et les millions de médecins criminels qui ont injecté 5,7 milliards d’humains avec intention seront traduits en justice.

Je vous le promets jusqu’à mon dernier souffle et aussi longtemps qu’il me sera permis d’exister dans cette dimension.

En fait, en tant que Russe orthodoxe et croyant, j’ai demandé à Dieu de prendre les choses en main et de ne pas attendre ma dernière heure d’inactivité après ce que j’ai dû apprendre à mes dépens.

L’humanité d’abord, Nathalie, c’est aussi ce que tu devrais promettre de ton vivant et si ce n’est pas le cas, que Dieu te vienne en aide.

Ton insulte à nous les victimes et aux scientifiques qui révèlent le plus grand génocide de tous les temps m’a blessé personnellement, mais je te pardonne et j’espère que tu te réveilleras.

Je termine cette lettre avec Platon : « Et la qualité d’un bon jugement est clairement une forme de connaissance et de compétence, car c’est grâce à la connaissance et non à l’ignorance que nous jugeons bien. »

Avec tous mes bons vœux,

Sincèrement, Pascal Najadi, Suisse




Gardasil : inutile, ruineux et dangereux !

[Source : @LeLibrePenseur.org]

Diffusion de la conférence du Dr Gérard Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Nicole Delépine, Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de l’utilité ou non du vaccin contre le cancer du col de l’utérus (Cervarix, Gardasil) qu’il estime « inutile, ruineux et dangereux » ! Les preuves sont nombreuses, elles sont toutes issues des chiffres épidémiologiques officiels de plusieurs pays occidentaux. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.



Diapositives de la conférence




Comment les « traumatismes » ont été détournés par des activistes pour créer une nouvelle génération de « victimes »

[Source : quebecnouvelles.info]

Traduit de l’anglais (Article d’Alastair Mordey pour Quillette, publié le 16 juillet 2023 sur le site du National Post.)

Dans son article de 2016 intitulé « Concept creep : Psychology’s expanding concepts of harm and pathology », Nick Haslam, professeur de psychologie, aborde la manière dont la psychologie s’est politisée par le biais de manipulations du langage et de la terminologie : « Les concepts qui se réfèrent aux aspects négatifs de l’expérience et du comportement humains ont élargi leur signification de sorte qu’ils englobent désormais un éventail de phénomènes beaucoup plus large qu’auparavant… (produisant) une sensibilité de plus en plus grande aux préjudices ». Selon M. Haslam, une telle dérive conceptuelle « risque de pathologiser l’expérience quotidienne et d’encourager un sentiment de victimisation vertueux mais impuissant ».

L’un des meilleurs exemples de ce type de dérive conceptuelle est la redéfinition du mot « traumatisme ». Les cliniciens utilisent aujourd’hui ce mot pour décrire presque n’importe quelle adversité.

Ce changement d’usage est motivé par un agenda politique spécifique. Le mot « traumatisme » est devenu un terme utile pour les praticiens de la santé mentale qui sont impliqués dans l’activisme pour la justice sociale, car il rend certaines de leurs préoccupations essentielles, telles que l’inégalité sociale, plus menaçantes et alarmantes. Il est à la fois vrai et regrettable que certaines personnes aient une vie plus difficile que d’autres. Mais si nous disons à ces personnes qu’elles sont des victimes de traumatismes, cela améliorera-t-il leur santé mentale ? Et est-ce même vrai ?

La déclaration suivante du Centre pour la non-violence et la justice sociale de l’université de Drexel justifie l’utilisation excessive du terme que l’on retrouve dans le verbiage de tous les campus universitaires, centres de désintoxication et centres de conseil d’aujourd’hui :

Le mot « traumatisme » est utilisé pour décrire des expériences ou des situations qui sont émotionnellement douloureuses et pénibles, et qui dépassent la capacité des gens à y faire face, les laissant impuissants. Le traumatisme a parfois été défini en référence à des circonstances qui sortent du cadre de l’expérience humaine normale. Malheureusement, cette définition n’est pas toujours vraie. Pour certains groupes de personnes, les traumatismes peuvent être fréquents et faire partie de l’expérience humaine commune… Outre les événements terrifiants tels que la violence et les agressions, nous pensons que des formes relativement plus subtiles et insidieuses de traumatisme — telles que la discrimination, le racisme, l’oppression et la pauvreté — sont omniprésentes et, lorsqu’elles sont vécues de manière chronique, ont un impact cumulatif qui peut fondamentalement changer la vie.

Cette redéfinition du mot « traumatisme » est motivée par la politique, déguisée en diagnostic médical.

Jusqu’à récemment, tout le monde savait ce que signifiait le terme « traumatisme ». Dans le dernier Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), le traumatisme est défini comme un trouble psychiatrique présentant des symptômes indubitables et extrêmement débilitants, plus proches de ceux de la psychose que de la dépression. Ces symptômes peuvent survenir après que des personnes ont été soumises ou ont été témoins « d’une mort, d’une blessure grave ou d’une violence sexuelle, réelle ou menacée », c’est-à-dire de choses qui sortent du cadre de « l’expérience humaine normale ». Cela n’inclut pas les préjudices « plus subtils et insidieux », tels que le racisme ou l’oppression (même s’ils sont moralement répréhensibles).

Nous devrions également remettre en question l’idée selon laquelle les situations « douloureuses et pénibles » dépassent nécessairement la capacité des gens à y faire face. Cela suppose que la plupart des gens sont fragiles et impuissants face à l’adversité. Ce n’est tout simplement pas vrai. La plupart des êtres humains (y compris les enfants) sont extrêmement résistants, même lorsqu’ils sont confrontés à des événements véritablement traumatisants. Une étude de 2008, par exemple, a examiné le bien-être subjectif de ressortissants allemands sur une période de vingt ans avant, pendant et après le décès d’un être cher. Environ 60 % des sujets ont relativement bien géré le deuil et se sont rétablis en l’espace d’un an. Vingt autres pour cent ont considérablement souffert pendant la période de crise, mais ont retrouvé leur niveau antérieur de bien-être subjectif au cours des deux ou trois années suivantes. Les 20 % restants étaient encore en deuil de nombreuses années plus tard, mais beaucoup d’entre eux avaient déjà déclaré souffrir de problèmes de santé mentale avant le décès.

es auteurs notent que les êtres humains ont tendance à « revenir à un niveau de bien-être relativement rapidement après les événements de la vie, qu’ils soient les plus pénibles ou les plus favorables ». Les psychologues le savent depuis les années 1970. Alors pourquoi la plupart des professionnels de la santé mentale ne le savent-ils pas ou l’ignorent-ils aujourd’hui ? Peut-être parce que la psychologie universitaire et la psychologie clinique ont été complètement absorbées par la politique de justice sociale qui, comme l’ont expliqué les sociologues Bradley Campbell et Jason Manning, valorise le statut de victime.

En fait, relativement peu de personnes souffrent de traumatismes (au sens traditionnel du terme), même parmi les populations les plus vulnérables. Les taux de SSPT chez les toxicomanes, par exemple, sont inférieurs à ceux d’autres troubles mentaux. Dans une étude citée par la Substance Abuse and Mental Health Service Administration (SAMHSA), la plus grande organisation de services de santé mentale aux États-Unis, des chercheurs ont examiné la prévalence des troubles psychiatriques parmi un échantillon de consommateurs chroniques de crack dans une communauté pauvre. Alors que 24 % des consommateurs avaient reçu un diagnostic de trouble de la personnalité antisociale et que 17,8 % souffraient de dépression, seuls 11,8 % d’entre eux avaient souffert d’un syndrome de stress post-traumatique. Il est intéressant de noter que les chercheurs ont constaté que les toxicomanes blancs étaient plus susceptibles de souffrir de troubles mentaux que les toxicomanes noirs, ce qui suggère que, contrairement à la déclaration de l’université Drexel citée plus haut, les traumatismes ne sont pas principalement le résultat d’un racisme institutionnalisé.

Une étude portant sur des consommateurs de crack brésiliens, également citée par la SAMHSA, a révélé que l’extrême violence de la rue et la dégradation à laquelle ils étaient soumis et exposés en raison de leur consommation de drogue étaient la principale source de leur traumatisme. En tant que personne ayant passé beaucoup de temps à travailler avec des toxicomanes par voie intraveineuse, je ne trouve pas cela surprenant.

Selon les lignes directrices de la SAMHSA sur les soins tenant compte des traumatismes (dernière mise à jour en 2014), le traumatisme résulte d’un « événement, d’une série d’événements ou d’un ensemble de circonstances vécus par un individu comme physiquement ou émotionnellement nuisibles ou menaçants et qui ont des effets négatifs durables sur le fonctionnement et le bien-être physique, social, émotionnel ou spirituel de l’individu ».

Le problème est que cette définition du traumatisme est une question d’interprétation subjective : elle suggère que n’importe quelle expérience peut être traumatisante si elle fait que la personne qui en souffre se sent mal. Le divorce des parents et d’autres adversités courantes pourraient être définis comme des « traumatismes » s’ils sont « vécus » comme néfastes. Si le guide de la SAMHSA suit le DSM-5 en reconnaissant que le traumatisme n’est susceptible de se produire que lorsque les personnes sont exposées « à la mort, à des blessures graves ou à des violences sexuelles, réelles ou menacées », il dilue la définition en affirmant que le traumatisme psychologique n’est « pas limité à ces critères de diagnostic » et peut être « caractérisé de manière plus large ». Ce n’est pas la nature des événements eux-mêmes qui les définit comme traumatisants, mais la réaction émotionnelle de l’individu à ces événements. Selon cette définition, un enfant en bas âge qui refuse de se coucher à l’heure et dont les ressources émotionnelles sont « submergées » par l’heure du coucher au point de provoquer des crises de colère nocturnes pourrait être considéré comme souffrant d’un « traumatisme ».

Cet élargissement de la définition a naturellement entraîné une augmentation du nombre de personnes déclarant avoir subi un traumatisme. Les professionnels de la santé mentale ont réagi en proposant des soins tenant compte des traumatismes (TIC). Selon la SAMHSA, la plupart des plus de 10 000 programmes de soins de santé comportementale aux États-Unis proposent aujourd’hui une forme ou une autre de TIC.

Selon le Centre de recherche sociale de l’université de Buffalo, les soins tenant compte des traumatismes « partent du principe qu’une personne a plus de chances qu’une autre d’avoir des antécédents de traumatisme… tiennent compte de la nature omniprésente des traumatismes et favorisent des environnements de guérison et de rétablissement plutôt que des pratiques et des services qui peuvent involontairement traumatiser à nouveau ». Les patients peuvent être traumatisés à nouveau, selon eux, en étant « traités comme des numéros », en « ne se sentant pas vus ou entendus », en manquant de « sécurité émotionnelle » et/ou en étant victimes de « microagressions ».

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale




Tous vaccinés, tous en danger ?

Vaccins à ARNm et corruption :
les vérités sur la crise sanitaire

Par Jean-Loup Izambert

[Source : is-edition.com]

« Tous vaccinés, tous en danger ? » est le quatrième ouvrage d’une série entamée en 2020 par Jean-Loup Izambert avec « Le virus et le Président » (co-écrit avec Claude Janvier), livre qui explorait les origines de la crise sanitaire vécue en France et qui s’est vendu à plusieurs milliers d’exemplaires.

Avec la précision d’un détective et le courage d’un lanceur d’alerte, Jean-Loup Izambert dévoile dans ce nouveau livre une histoire troublante de corruption et de désinformation qui a conduit des millions de Français à se faire vacciner contre la Covid-19 au mépris du principe de précaution, souvent sous la contrainte d’un Pass Sanitaire liberticide, et malgré un bénéfice-risque très peu élevé pour la grande majorité de la population en bonne santé.

Problématiques majeures abordées :

– Vaccins à ARNm : Jean-Loup Izambert démantèle les mythes entourant les vaccins à ARNm avec l’appui du Docteur Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS. Il s’interroge sur les risques potentiels pour la santé publique en matière d’effets secondaires, soulignant les inquiétudes concernant la rapidité de production de ces vaccins et leur stabilité.

– Scandale de l’Ivermectine : le livre expose comment l’Ivermectine, un médicament peu coûteux, largement documenté scientifiquement et efficace contre la Covid-19, a été marginalisé au profit de nouveaux vaccins potentiellement dangereux. Jean-Loup Izambert dénonce également la surprenante volte-face du chercheur Andrew Hill, chargé d’une étude sur l’Ivermectine pour le compte de l’OMS, qui ouvrira la porte à la plus grande campagne de vaccination de tous les temps.

– Corruption et désinformation : Jean-Loup Izambert critique enfin le manque de transparence dans des transactions qui ont impliqué des milliards d’euros de fonds publics et des grands laboratoires, et l’absence de contrôles pour détecter et prévenir les abus de corruption.

Une enquête d’intérêt public ?

Publié par un éditeur libre car ne percevant aucune subvention, « Tous vaccinés, tous en danger? » est une lecture qui poussera le lecteur à réfléchir et questionner les dirigeants politiques sur l’usage qui a été fait de leur santé, de leurs libertés et de leurs impôts durant une des périodes les plus sombres de l’histoire.

« Tous vaccinés, tous en danger ? » paraît ce vendredi aux formats papier comme numériques (formats ePub, Mobi/Kindle et PDF), dans tous les réseaux de librairies via nos distributeurs Hachette Livre (livre imprimé) et Immateriel (eBooks).

Conformément à nos habitudes, deux livres papier et deux livres numériques sont également à gagner cette semaine sur nos réseaux sociaux Facebook et Twitter, rendez-vous donc sur nos pages pour en savoir plus !




Le journaliste Serge Garde s’exprime sur la difficulté de dénoncer la pédophilie en France

[Voir aussi :
https://pedopolis.com/category/les-sources/qui-ose-parler/serge-garde/,
https://www.decitre.fr/livres/le-livre-de-la-honte-9782862749167.html
et
Serge Garde, réalisateur du documentaire « Outreau, l’autre vérité »]




PCB : Le monde de la science dure met en garde contre l’autodestruction

[Source : vkpatriarhat.org]

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Après la fin de la campagne mondiale de vaccination expérimentale contre le Covid-19, de nombreux scientifiques, plus de 26 équipes, ont été chargés d’évaluer ces vaccins. Ils ont découvert des métaux tels que le gadolinium, l’aluminium, le césium, le strontium et le tungstène dans le sang des personnes vaccinées. Le strontium est particulièrement cancérigène.

Le Dr Mihalcea, des États-Unis, a mis en évidence le lien entre le Covid-19 et la géo-ingénierie. Le chercheur Clifford Carnicom étudie depuis plus de 20 ans le phénomène appelé morgellons et son lien avec les fibres polymères pulvérisées par les avions commerciaux et militaires. Les experts ont récemment trouvé une correspondance chimique entre ces fibres qui ont été pulvérisées dans l’environnement et les nanoparticules lipidiques contenues dans les vaccins Covid. La raison pour laquelle ils pulvérisent ces substances sur nous consiste à créer une fusion entre la biologie synthétique et notre biologie afin de nous transformer en cyborgs transhumains.

[Voir aussi :
Le sang de l’Humanité est-il en cours de modification ?
Sur les chemtrails :
« Il s’agit d’une lente opération d’empoisonnement de la population »
L’arme du climat, une guerre invisible
La maîtrise de la météo – une guerre secrète
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails]

Le Dr David Nixon a découvert que les vaccinés contre le Covid émettent une adresse MAC, et il a trouvé dans leur sang des fibres que le laboratoire La Quinta Columna avait décrites comme étant de l’oxyde de graphène. L’ingénieur Matt Taylor en a récemment découvert dans l’eau de pluie ou dans la masse.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
La nanotechnologie dans les vaccins
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Nanotechnologie et « vaccins »]

En 2020, il y a eu une conférence en Europe intitulée « Euro Science — Open Forum ». On y a mentionné que ces technologies transhumanistes peuvent également être appliquées aux insectes dans l’agriculture.

La science maléfique modifie notre ADN, nos protéines grâce à la technologie moderne. On peut dire que ce plan diabolique vise à faire de la terre un véritable enfer. Puis à exterminer l’humanité et à l’envoyer dans l’enfer éternel. Le Dr Mihalcea étudie les effets des vaccins et du coronavirus, dont on sait déjà qu’il a été produit de façon artificielle. Au cours de ses expériences, elle a constaté qu’il réduisait jusqu’à 47 % la connectivité électrique du sang. Elle a clairement indiqué que les gens sont délibérément privés de leur force vitale. Cela s’applique également aux cas après vaccination et à ce que l’on appelle le Covid long.

Le Dr Mihalcea explique que les personnes atteintes de ce « Covid long » présentent les symptômes suivants : fatigue chronique, problèmes de mémoire, alors qu’elles n’ont que 20 ans, symptômes proches de la démence avec difficultés à trouver les mots, brouillard cérébral, anxiété extrême et dépression, ce qui, nous le savons, raccourcit l’espérance de vie. Et puis, avec cette fatigue chronique, les gens ne peuvent même pas monter les escaliers sans se sentir essoufflés ou sans avoir des palpitations cardiaques, parce que le sang s’est agglutiné dans ce que l’on appelle les rouleaux. D’autres symptômes sont les crises cardiaques ou les caillots sanguins.

[NDLR les symptômes du « Covid long » sont les mêmes que certains des effets des ondes pulsées vécus par les personnes électrohypersensibles.
Voir :
Le cauchemar de l’intolérance aux champs électromagnétiques
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
Témoignage d’une électrohypersensible
Les effets des ondes sur l’organisme
Présentation de l’électrohypersensibilité (EHS) par le Docteur Magali KOELMAN
et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

Le Dr Peter Garyaev, de Russie, qui était candidat au prix Nobel en 2021, a déclaré qu’il était possible, grâce à la 5G, de replier et de déployer les gènes pathogènes du coronavirus et de le rendre plus virulent. Il est décédé deux semaines après l’avoir annoncé.

Les élitistes mondiaux qui jouent le rôle de Dieu essaient de changer l’ordre des choses, de nous modifier, principalement de changer notre façon de penser depuis le vrai vers le faux, depuis le moral vers l’immoral. Que recouvre le concept de pensée ou d’esprit ? Ce n’est pas seulement la raison ou la logique ; c’est un concept plus large. Notre esprit est influencé par l’éducation, les informations vraies ou fausses, l’expérience personnelle, la vie morale ou immorale, les diverses dépendances. Les personnes dépendantes ne sont pas libres ; elles n’acceptent pas la vérité objective. C’est pourquoi nous devons faire la distinction entre la vraie et la fausse pensée.

La pensée est inspirée par un esprit, soit l’esprit de vérité, soit l’esprit de mensonge. Les inspirations peuvent être vraies ou fausses. Un homme bon recherche la vérité objective et le bien ; un homme mauvais cherche à détourner une certaine vérité pour tromper les autres et promouvoir le mal. Derrière l’homme mauvais se cache l’esprit du mensonge et de mort : le diable. Il est donc important de savoir dans quoi vous êtes enraciné. Si vous êtes enraciné dans l’aura de votre ego, vous êtes donc enraciné dans l’esprit du mensonge et de l’auto-illusion. Cet esprit pénètre alors l’ensemble de votre pensée et a un effet suggestif sur votre environnement. A l’extérieur, un tel menteur professionnel se présente comme un ange de lumière (cf. 2Cor 11:14f).

Comme le dit le proverbe, « Dis-moi ce que tu lis, ou éventuellement ce que tu écoutes, et je te dirai qui tu es ». Les gens d’aujourd’hui passent le plus clair de leur temps à écouter les menteurs professionnels du courant dominant. Ils sont remplis de mensonges et de vanité et sont donc incapables d’accepter et d’aimer la vérité, et encore moins de se sacrifier pour elle. Ils adoptent ces mensonges comme étant les leurs et sont prêts non seulement à faire des sacrifices, mais même à perdre leur vie pour l’amour d’un mensonge. Le mensonge est devenu l’arme la plus puissante dans le processus d’autodestruction de l’humanité. Derrière le mensonge se cache l’esprit du mensonge : le diable.

Jésus a dit à ceux qui avaient l’esprit du mensonge :

« Vous êtes de votre père, le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il fut un meurtrier dès le commencement… il est menteur et père du mensonge » (Jn 8:44).

Nous devons savoir que tous les êtres humains sont entachés du péché originel — la source du mal, la semence du diable, qui est programmée afin de provoquer l’autodestruction progressive de l’homme, non seulement temporelle mais aussi éternelle.

Nous assistons à une déchristianisation systématique. Elle est perpétrée de la manière la plus efficace par des théologiens hérétiques et des prélats apostats dirigés par le pseudo-pape François. Ils introduisent l’idolâtrie et la reconnaissance légale des perversions sexuelles par le biais du soi-disant parcours synodal LGBTQ.

L’intronisation du démon Pachamama au Vatican et le rituel sacrificiel au Canada constituent un exemple d’idolâtrie. Ici, le pseudo-pape, ainsi que les prélats présents, se sont fait consacrer à Satan pendant qu’un sorcier soufflait dans un sifflet en forme d’os de dinde sauvage.

Un cas effrayant de mensonge diabolique est le geste du pseudo-pape Bergoglio, qui a fait vacciner tout le Vatican à deux reprises. Ce faisant, il a créé un précédent des plus pernicieux pour toute l’humanité. Bergoglio connaissait la vérité et pourtant, il s’est cyniquement opposé à cette vérité et a menti de manière suggestive à toute l’humanité. S’il avait mis en garde contre la vaccination expérimentale depuis sa position de pape, qu’il occupe illégalement, tout le système de cette vaccination mortellement dangereuse aurait fait faillite.

La vérité, fruit du christianisme, protège l’individu et la société contre l’invasion du mensonge et du mal. Le christianisme formait l’opinion publique sur une base juste et sur des principes moraux naturels. L’opinion publique était ainsi intégrée aux commandements de Dieu. Elle favorisait un profond respect de l’homme. En revanche, le néopaganisme rampant, fondé sur le mensonge, favorise l’injustice, le mal et l’immoralité.

La stratégie du diable consiste à stimuler le mal qui prend sa source dans le cœur de l’homme. C’est pourquoi il tente de supprimer les inhibitions, telles que la conscience, la raison, les lois morales et les vérités, qui nous rappellent la mort, le jugement et l’éternité. La réalité du péché, et donc aussi la mort rédemptrice du Christ sur la croix, est reniée. La repentance salvatrice n’est plus proclamée. En conséquence, le mal, la perversion, le mensonge et le satanisme sont libres de progresser.

Nous assistons à la montée d’une nouvelle opinion publique qui accepte toutes les dépravations et tous les crimes. Ce résultat est obtenu grâce aux médias grand public, ou usines à mensonges, qui conduisent délibérément le monde à une dépopulation suicidaire. Le Dr Fuellmich affirme que le public a été hypnotisé par la manipulation diabolique des médias. Le terrorisme médiatique a été déclenché. Un exemple de cela est l’apparition d’une psychose de masse lors d’une fausse pandémie.

À qui revient-il en premier lieu de lutter pour le rétablissement de la société et le salut de l’humanité ? C’est avant tout la tâche de ceux qui se disent chrétiens. Par la repentance, c’est-à-dire par un véritable changement de mentalité — la metanoia —, les évêques, les prêtres et les croyants tièdes doivent devenir des disciples et des témoins du Christ — des martyres. Cela ouvrira la porte à Dieu et à Sa puissance salvatrice. Cette réforme spirituelle ne peut commencer sans un lien avec la transcendance. Il s’agit essentiellement de la prière intérieure, de la connexion de notre esprit à Dieu, la Vérité. Aucun changement positif n’est possible sans ce fondement spirituel de la prière et du repentir ou, en d’autres termes, sans un changement de pensée depuis le faux vers le vrai. Le bonheur véritable et éternel nous est donné en Jésus seul, crucifié et ressuscité.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 25 juin 2023



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L’Allemagne se débarrasse des millions de vaxins qu’elle n’a pas pu fourguer

L’Allemagne s’est débarrassée de 80 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 pour cause de faible demande

L’Allemagne a jeté des millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros.

120 millions de doses supplémentaires bientôt périmées, d’une valeur de 4 milliards d’euros, sont sur le point d’être éliminées d’ici la fin de l’année, car la Commission européenne continue de ne pas être en mesure ou de ne pas vouloir réviser de manière significative ses contrats d’achat de vaccins.

L’Allemagne a jeté 83 millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros, et est sur la bonne voie pour en jeter plus de cent millions de plus, a écrit Politico le mardi 11 juillet. Malgré la chute de la demande, le pays devrait recevoir encore plus de doses grâce à l’approvisionnement commun de l’UE.

(…)




Selon l’avocat Philipp Kruse, l’OMS est une plus grande menace pour le monde que n’importe quelle pandémie

[Source : @Cielvoile]



[Voir aussi :
Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?]




Le mensonge sur la maladie de Lyme

[Source : @TheAmir]

Par Sam Bailey

Lorsqu’il s’agit de maladies redoutées, la maladie de Lyme se classe parmi les pires. Cependant, l’histoire du grand public pose un problème majeur. La « nouvelle » maladie n’est apparue que dans les années 1970, les tiques et les « germes » Borrelia ayant été accusés peu après.

Il est temps d’exposer les documents scientifiques sur lesquels repose toute cette histoire et de souligner un autre problème fondamental : comment cette « maladie » peut-elle être diagnostiquée ?

Il s’agit d’un sujet important, car les campagnes de marketing impliquant les tiques comme cause d’une grande épidémie et même comme « armes biologiques » potentielles ont déjà commencé…

[À partir de 1:45]



References




Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal

[Source : @TheAmir]

Par Sam Bailey

Si la quasi-totalité de la communauté des défenseurs de la liberté de la santé s’accorde à dire que les vaccins COVID-19 sont dangereux, de nombreux désaccords subsistent sur les raisons de cette dangerosité. Il y a aussi la question de savoir si l’excrétion de particules par les vaccinés peut rendre malades les non-vaccinés.

Le Dr Peter McCullough a réalisé un travail remarquable en 2021, en mettant en garde le monde contre les dangers des injections de COVID-19. Toutefois, en 2022, nous avons été déçus de le voir applaudir la pseudo-science des virologues. Malheureusement, il suscite aujourd’hui la peur en promouvant l’absurdité de l’excrétion vaccinale.

Examinons l’état des preuves scientifiques concernant le « shedding » et révélons les véritables origines de ce récit.

[À partir de 1:45]



Références




La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Transcription

En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

C’est ainsi que des millions de personnes atteintes errent depuis deux ans à travers le système de santé. Elles voyagent d’une ville à l’autre parce qu’elles ne sont plus acceptées nulle part pour un traitement ou un diagnostic et parce que les caisses d’assurance maladie ne prennent pas en charge le traitement de la maladie non reconnue.
L’Institut Paul Ehrlich en Allemagne et l’EMA en Europe ne reconnaissent notamment pas les dommages causés par le vaccin Covid-19 comme une maladie en raison d’images cliniques diffuses. Tout le poids est maintenant mis sur les épaules des victimes et des médecins. Par exemple par Thomas Mertens, le chef de la commission STIKO en personne. Il rejette désormais toute la responsabilité du problème des personnes atteintes, qui ne sont pas aidées sur la médecine clinique. Celle-ci doit « créer une définition de cas ». Et c’est là que le bât blesse. Je le cite textuellement :

« Ce que je ne comprends pas bien, c’est pourquoi les coûts du traitement de cette maladie ne sont en principe pas pris en charge par l’assurance maladie. Si quelqu’un, si vous (dit-il à une personne concernée) étiez par exemple allé chez le médecin maintenant, et pas tout de suite en sachant qu’il s’agissait d’un trouble provoqué par un vaccin, alors ces traitements qui suivraient seraient certainement pris en charge par l’assurance maladie. »

On pouvait presque entendre, pendant la courte pause de réflexion, le mot hideux à éviter de « dommage vaccinal ». Avec cette recommandation, le chef de la commission STIKO admet qu’il existe une forte incitation, générée par la réglementation, pour les victimes de la vaccination à ne pas mettre leurs symptômes en relation avec une vaccination. Sinon, elles sont sanctionnées par un refus de prise en charge. Et c’est ainsi que des millions de personnes concernées dans le monde entier sont en train de sombrer dans un chaos délibérément planifié — sans aucune aide, sans aucun pouvoir, sans aucun droit.
Et c’est ainsi que la situation chaotique se développe actuellement dans les chiffres. Il convient toutefois de garder à l’esprit que ces chiffres sont, comme toujours, à comprendre sans aucun des cas non déclarés. Selon des expertises, c’est-à-dire des études spécifiques sur les cas non déclarés, il faudrait ajouter au moins un zéro aux chiffres suivants, voire deux zéros pour certains d’entre eux :

Des données officielles de l’OMS montrent une augmentation spectaculaire des maladies graves après la vaccination contre le Covid-19 : jusqu’à 4 600 %. La liste affichée derrière moi résume une évaluation systématique de la base de données de l’OMS.
Il s’agit de preuves qui résument actuellement environ 200 études. Plus de 200 études supplémentaires attendent d’être examinées et incluses. Celles qui ont déjà été évaluées témoignent d’un lien de causalité pour 53 maladies ou tableaux cliniques. Elles peuvent être consultées dans le cadre bleu sous l’émission, toutes, oui. Toutes les maladies graves se trouvent dans ce fichier, ainsi que les références des travaux scientifiques qui ont prouvé la causalité.

Le point de départ de cette analyse systématique des effets secondaires dont il est prouvé qu’ils sont provoqués par l’injection contre le Covid-19 est la base de données de l’OMS « VigiAccess ». Cette base de données recense une partie des événements sanitaires survenant effectivement après l’injection antiCovid-19, probablement quelque part entre 10 % et 15 %. La base de données de l’OMS a été utilisée comme base pour analyser l’ACCUMULATION de différentes maladies et classes de maladies causées par l’injection antiCovid-19. Nous sommes ainsi en mesure d’illustrer l’évolution des déclarations à la base de données de l’OMS d’« effets secondaires de la vaccination ». Et ce, pour la période du 3 mai 2021 au 3 mai 2023, c’est-à-dire pour deux années complètes.

La valeur qui en résulte est 6,03 fois supérieure : le nombre de notifications de maladies enregistrées dans la base de données de l’OMS est passé de près d’un million et demi de notifications au 3 mai 2021, à près de dix millions au 3 mai 2023. Ces deux chiffres concernent des maladies et non des malades individuels. Au 3 mai 2023, plus de cinq millions de notifications d’effets indésirables étaient enregistrées dans la base de données de l’OMS. Ces rapports couvrent donc, dans la plupart des cas, plus d’une maladie par personne. Cela permet de déterminer comment la fréquence de certaines maladies est influencée par l’injection antiCovid-19.

Si les injections antiCovid-19 n’avaient aucune conséquence sur la santé, les rapports reçus par l’OMS devraient se répartir de manière aléatoire. Il ne devrait y avoir aucune différence dans la croissance globale ou dans la croissance des différentes maladies. Cela signifie que les chiffres calculés mathématiquement dans la dernière colonne du tableau devraient se situer à 100.

Comme le montre le tableau, l’hypothèse n’est pas correcte, mais aussi fausse qu’elle peut l’être. Pour différentes maladies graves, on constate des différences exorbitantes, par exemple un nombre démesuré de + 1 670 % de déclarations pour le syndrome de Basedow, une maladie de la glande thyroïde, un nombre démesuré de + 1 460 % de déclarations pour la péricardite et de + 746 % pour la myocardite, un nombre démesuré de + 1 580 % pour les déclarations de cas d’hépatite auto-immune après l’injection et une augmentation exorbitante de 4 957 % pour le syndrome multi-inflammatoire, souvent mortel, et le cancer, avec une croissance de 493 %.
En parlant de cancer, des centaines de YouTubers qui ont fait la promotion des « vaccins » Covid pendant la pandémie souffrent également aujourd’hui d’un turbo-cancer. Beaucoup d’entre eux ont été payés par le gouvernement et Big Pharma pour convaincre leurs partisans que l’introduction du vaccin était une bonne chose. Regardez une 1re collection de ces influenceurs sociaux désormais en pleurs sur Pravda-TV ; tout l’argent du monde ne leur sert plus à rien et tout secours arrive trop tard pour eux.

Revenons à notre liste. Elle montre également un nombre démesuré de déclarations de mort de fœtus ou de bébés mort-nés, soit 446 % en pourcentage, puis la liste interminable des déclarations de fausses couches qui ont largement dépassé les 375 % de déclarations attendues — ils donnent également l’image effrayante d’une ingérence médicale qui fait des dégâts à grande échelle.
En fait, peu importe ce que l’on considère : le système lymphatique endommagé, les AVC, les maladies du système nerveux central, partout on trouve des feux rouges en mode clignotant permanent.

Mais toutes ces tragédies ne mènent à aucune aide réelle. Elles font partie d’une gestion volontaire du chaos, planifiée avec précision par des élites au pouvoir dénoncées depuis longtemps. Nous nous trouvons au bord du gouffre infernal d’un plan de destruction du monde qui est mis en œuvre de manière ciblée depuis plusieurs décennies. Le professeur Bhakdi et tous les autres l’ont annoncé en temps voulu. C’est maintenant chose faite ! Pourtant, la quasi-totalité des parquets du monde refusent toujours de prendre des plaintes, bien que des dizaines de milliers de plaintes pénales aient été déposées. La population mondiale doit découvrir ensemble pourquoi les variantes les plus diverses de génocides sont actuellement quasiment couvertes par les procureurs et les tribunaux. En effet ils refusent également de nombreuses autres poursuites pénales extrêmement graves. Et ce, malgré le fait que des millions de personnes souffrantes témoignent que les ondes de la téléphonie mobile (Wi-Fi, antennes 4G, 5G, etc.) ont endommagé leur santé. Ils n’ouvrent pas non plus de procédures pénales contre l’escroc Big-Pharma, bien que des milliers d’études spécialisées de haut niveau aient révélé ses œuvres meurtrières et exigé des poursuites. De même, les procureurs et la justice évitent catégoriquement d’engager des poursuites pénales contre les innombrables sectes sanguinaires et leurs meurtres rituels qui ont été découverts. Et ce, bien que d’innombrables victimes témoignent de l’existence de ces réseaux mondiaux de trafic d’enfants et que les réseaux d’agresseurs d’enfants atteignent les plus hauts étages des gouvernements et des hommes de pouvoir de toutes sortes. Aujourd’hui encore, ces mêmes magistrats condamnent de vieux soldats du Troisième Reich comme complices d’assassins du peuple, alors qu’ils n’ont fait qu’obéir à leurs supérieurs en pleine guerre. Ils auraient été des déserteurs s’ils ne l’avaient pas fait.

Mais le Japon a déjà ordonné une enquête sur les vaccins Covid, car le nombre de décès a tellement augmenté qu’on parle d’une crise nationale. C’est un cas prometteur, où la théorie du complot d’hier devient une réalité d’aujourd’hui : les médias grand public rapportent enfin ce que nous avons toujours su. Biden, Fauci et Gates nous ont nourris de désinformation. Il n’y a justement pas eu « de période noire avec des maladies graves et des décès » pour les personnes non vaccinées. En réalité, il s’agit d’une pandémie de personnes vaccinées.
De nouvelles données montrent que le nombre de décès au Japon a augmenté de 400 % depuis que Pfizer a mis sur le marché la troisième dose du vaccin de rappel l’année dernière. « Le nombre de décès excédentaires a été environ quatre fois plus élevé qu’en 2017, 2018, 2019 et 2021 », peut-on lire dans un rapport publié dans The Exposé. Ces statistiques ont ébranlé la classe dirigeante japonaise. Des enquêtes officielles sont donc en cours et des plaintes sont préparées. L’ensemble de la population mondiale doit s’unir de cette manière, en ce moment même. Elle doit appliquer les mêmes critères à tous les détenteurs de pouvoir dans le domaine de la justice et des autorités de surveillance, qui refusent toujours d’agir à l’heure actuelle.

Nous avons besoin de toute urgence d’instances judiciaires nouvelles et indépendantes qui sanctionnent de manière professionnelle toute couverture de génocides attestés et de bellicismes clandestins. Mais, et c’est peut-être la partie la plus grave de toute la tragédie, la plupart de nos contemporains sont comme plongés dans un profond sommeil hypnotique. Du matin au soir, ils fixent à chaque occasion l’écran maudit de leur téléphone portable, se déplaçant d’une zone de rayonnement à une autre. Ce faisant, leurs pensées et leurs émotions sont constamment diminuées par le WI-FI et les antennes de téléphonie mobile. Si cela continue, la plupart d’entre eux ne s’éveilleront que lorsque le chaos sournoisement planifié, les maladies diaboliquement suscitées, la ruine financière, etc. leur tomberont directement dessus. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se rendront compte de ce qui se passe. Mais alors, il sera trop tard — il y aura du retard, mes chers amis.

Pour conclure, je vais donc vous montrer comment l’OMS et l’ONU s’efforcent de tirer profit de notre état d’esprit indifférent. En effet, ce sont justement ces institutions, responsables d’avoir causé de graves dommages à des millions de personnes dans le monde entier, qui tentent à présent de se hisser à la domination unique. Ainsi, au lieu de s’incliner devant les dizaines de milliers de professionnels indépendants, de reconnaître leurs erreurs et de se rendre comme des criminels pris en flagrant délit, ils ajoutent une couche par-dessus. Comme un tueur de masse qui menace tous les témoins et cherche à les tuer, les institutions suivantes menacent tous les témoins de la vérité. Elles le font en prenant des décisions visant à éliminer mentalement, en ligne et par tous les moyens, toutes les vraies voix spécialisées et tous les témoins compétents. De cette manière, elles espèrent échapper aux arrestations et aux lourdes condamnations demandées dans le monde entier. Notez leurs récents « plans d’évasion » en trois étapes :

Le premier a eu lieu le 31 janvier 2023. Dans un article du Foreign Affairs recommandé par l’OMS, des scientifiques de la santé et des fonctionnaires conseillent justement les gouvernements auxquels une grande partie de la population ne fait plus confiance depuis le Covid-19. Ils leur conseillent « d’investir » dans des institutions et des personnes dignes de confiance afin que celles-ci fassent la promotion des mesures en cas de pandémie. En bref, l’OMS incite justement les gouvernements qui ont perdu toute confiance à engager des individus fourbes. Ainsi, ils peuvent en quelque sorte détourner l’attention de tous les « cadavres dans le placard » — et tous les peuples trompés disent à haute voix à ce sujet : « Non, pas comme ça ! Non, pas comme ça ! » Ce dont l’OMS a besoin maintenant, ce n’est pas de candidats fourbes qui font aussi de nouvelles pubs pour elle. Ce qu’il faut maintenant, ce sont des armées entières de procureurs et de fonctionnaires de justice restante qui se dressent contre l’OMS et imposent enfin des poursuites pour les crimes de masse délibérés et dissimulés — il ne s’agit pas seulement de déposer une plainte pénale, mais de l’imposer — et de traîner l’OMS devant un tribunal équitable !

Le 31 mai 2023, soit exactement quatre mois plus tard, les membres de l’OMS ont fait un deuxième pas dans la mauvaise direction. Ils n’ont pu le faire que parce que l’OMS n’avait pas été retirée de la circulation professionnellement. C’est ainsi que les États membres ont adopté une résolution lors de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève. Celle-ci demande à tous les gouvernements et à l’OMS de renforcer et d’utiliser systématiquement les sciences comportementales. Cela dans le but de contrecarrer « la désinformation et la mauvaise information liées à la santé » et de garantir ainsi la demande de vaccins, et non notre santé. En clair, cela signifie que des membres de l’OMS ont pris une décision de manipulation de l’opinion publique en toute connaissance de cause ! Et nous disons : c’est exactement le contraire qui doit avoir lieu ici ! L’opinion publique doit encore être totalement informée des crimes de l’OMS et de ses complices.

Mais comme cette nécessité n’a pas non plus été satisfaite à temps, ces destructeurs de peuple sont allés encore plus loin le 13 juin 2023. Ce jour-là, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a présenté un programme. Avec celui-ci, l’organisation mondiale veut veiller à ce que les contenus qui perturbent le « consensus empiriquement fondé sur les faits, la science et le savoir » disparaissent des plateformes en ligne et des médias. Car leur capacité à « saper par la désinformation les faits scientifiquement établis “constitue” un risque existentiel pour l’humanité ». En clair, cela signifie que l’ONU veut imposer l’approche européenne de la censure en ligne au monde entier ! Et la censure s’exerce bien entendu comme d’habitude uniquement contre tous les scientifiques réellement indépendants et les médias libres. C’est-à-dire contre ceux qui ont compris toute la tromperie mondiale de Big Pharma et de tout le système de vaccination et qui souhaitent enfin la dévoiler. Parce qu’ici aussi, le débat public exigé a été systématiquement refusé ou a eu lieu dans un cadre trop restreint, les assassins insolents tentent de se rendre intouchables et en même temps tout-puissants par une attaque générale. C’est pourquoi, là aussi, il faut faire exactement le contraire. Ces grands criminels doivent enfin être condamnés par tous les scientifiques véritablement indépendants. Il faut dévoiler la désinformation des véritables criminels grâce au consensus empirique de scientifiques authentiques et indépendants. Car ce sont bien les grands criminels de l’industrie pharmaceutique et de l’OMS qui ont systématiquement sapé tous les faits authentiques et scientifiquement établis. Ceux qui ont martyrisé les peuples tout au long de la campagne Covid, qui ont causé de graves dommages à la classe moyenne, blessé des millions de personnes et tué des dizaines de milliers d’autres — ceux-là seuls représentent un risque existentiel pour l’humanité. Donc, si la population mondiale ne s’unit pas maintenant pour passer à l’action et mettre en place des tribunaux réellement indépendants, elle sera perdue à court terme. Il n’y a pas d’autre solution : toutes les lois et les institutions judiciaires qui n’ont pas fonctionné pendant la période de plandémie, parce que les signataires autorisés ne se sont souciés de rien, oui, ils n’ont pas bougé le petit doigt malgré des dizaines de milliers de plaintes pénales, doivent être retirés de leur position de pouvoir. Les peuples trompés doivent tous les déclarer démis de leurs fonctions pour haute trahison. Si nous ne le faisons pas, les forces des ténèbres poursuivront leurs plans de destruction totale de tous les lanceurs d’alerte libres et de toutes les vérités salutaires. Alors toute véritable science prendra fin. C’est exactement ce que nous voulons éviter ensemble, d’accord ? Quiconque souhaite apporter son soutien doit s’allier à tous les scientifiques libres, aux services juridiques et aux médias libres. C’est-à-dire avec ceux qui ont encore le courage de s’opposer à cette conspiration mondiale de la santé.

Il n’y a qu’un seul comportement pratique correct à avoir vis-à-vis de toutes ces calamités : prenez cette émission et diffusez-la partout où vous pouvez. Faites de même avec toutes nos émissions phares de Kla.TV. Dans nos douze rubriques, vous trouverez des révélations sur de nombreuses autres formes de ce chaos délibérément attisé. Engagez-vous d’une manière ou d’une autre, par exemple en vous inscrivant aujourd’hui même sur « Kla.TV — devenir actif ! » (www.kla.tv/aktiv-werden). Participez à cette lutte pour l’information tant que la censure totale n’est pas encore là — mais elle pourrait bien être une amère réalité dès demain, couverte par la loi. Ce serait alors notre problème.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Vetopedia, l’encyclopédie libre des contre voix. Vetopedia établit une vue d’ensemble des cas de dommages liés à la vaccination. Il est ainsi possible de vérifier si ceux-ci sont effectivement aussi rares dans la réalité que ce qu’admettent les instances officielles.

Utilisez vous aussi la plate-forme de déclaration contradictoire Vetopedia.org pour signaler les cas de dommages dont vous avez connaissance. Faites connaître cette possibilité aux victimes de la vaccination, afin que les cas de dommages liés à la vaccination ne soient plus passés sous silence, mais qu’ils soient rendus publics.

de is.

Sources/Liens :