Situation sanitaire du Bangladesh et évaluation de l’utilité du Gardasil dans ce pays

[Illustration : Mohammad Ponir Hossain/Reuter]

Par Dr Gérard Delépine

L’OMS tente d’imposer dans le monde entier sa vaccination coûteuse, mais fort rentable Gardasil. Quelle en est l’opportunité ? Nous étudierons ici l’exemple du Bangladesh.

Au Bangladesh, malgré la rareté du dépistage et l’absence de vaccination contre les papillomavirus (HPV), le cancer du col est actuellement moins fréquent (8268 cas annuels1) que dans de nombreux pays européens pourtant très dépistés et très vaccinés. Dans ce pays, l’incidence de 10,6/100 000 est proche de celui de la Grande-Bretagne ou des Pays-Bas et inférieure à celui de la Norvège (14,8/100 000) ou de la Suède (13/100000), pays qui bénéficient tous du dépistage et d’un taux de vaccination Gardasil de la population cible supérieur à 80 %.

Au Bangladesh, le cancer du col constitue la seconde cause de décès par cancer féminin dans ce pays, mais ne siège qu’à la 29e place des causes de mortalité avec un taux de 6/100000 très loin derrière les diarrhées (27,3/100 000), la tuberculose (22,6/100 000)2 ou les infections des voies respiratoires inférieures (17,9/100 000), maladies infectieuses que des traitements peu coûteux, qui ont fait leurs preuves d’efficacité certaine, pourraient éviter.

Au Bangladesh le cancer du col ne représente donc pas un problème prioritaire de santé publique.

La vaccination par Gardasil n’a toujours pas démontré qu’elle était capable d’éviter un seul cancer du col dans aucun pays du monde. Aucun essai randomisé de Gardasil n’a prouvé une quelconque diminution d’incidence des cancers invasifs, mais seulement celle des infections à HPV, des verrues génitales et de dysplasies bénignes qui régressent le plus souvent toutes seules, mais qui, considérées à tort comme des critères substitutifs des cancers, ont permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché.

La vaccination à visée anticancéreuse par Gardasil ne constitue, en réalité, qu’une expérience massive sur des populations désinformées par une propagande massive (comme lors du covid).

Après 17 ans d’utilisation, les résultats cancérologiques du Gardasil sont inquiétants, car dans aucun pays l’incidence globale (0-85 an), qui diminuait depuis les années 1990 grâce au dépistage, ne diminue plus, et dans le groupe d’âge le plus vacciné, arrivé à la période à risque (actuellement les 25-34 ans) l’incidence de ce cancer augmente paradoxalement, comme le montrent les données des registres des cancers.

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Les chiffres officiels3 montrent que, depuis la généralisation de la vaccination, le nombre global de cancers du col a augmenté (de 727 en 2006 à 942 en 2022) et que l’incidence standardisée des cancers invasifs ne diminue plus, alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques. 

Pour 2022 l’incidence est estimée à 7,1/100 000. Les nombreux articles qui claironnent l’éradication du cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur des simulations hasardeuses et l’espoir incertain que la diminution des infections à HPV entraînerait une diminution des cancers invasifs, hypothèse démentie par les faits constatés dans le monde réel.

Mais le plus inquiétant dans les données publiées par l’AIHW est l’augmentation d’incidence des cancers invasifs dans le groupe des femmes les plus vaccinées, celui des 25-34 ans4 :

La triste histoire de Sharon Tate, championne olympique à Londres, morte du cancer du col 7 ans après avoir été vaccinée est là pour illustrer ce risque.

Les données britanniques, publiées par Cancer Research UK5, confirment cette tendance très inquiétante avec une augmentation significative d’incidence (+15 %) dans le groupe le plus vacciné.

Même constat alarmant en Norvège6 7 et Finlande8 9 où, depuis le Gardasil, l’incidence standardisée des cancers invasifs augmente sur l’ensemble de la population et encore plus dans le groupe le plus vacciné des 25-34 ans.

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers qui continue de diminuer et qui est devenue significativement inférieure à celles des pays champions du Gardasil.

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV (comme ils l’ont affirmé pour le covid19). Mais en France ce cancer est exceptionnel chez l’homme (600 cas annuels), et le plus souvent curable (environ 200 morts par an) et il ne menace qu’une population très limitée (les homosexuels passifs et les malades du Sida).

De plus, la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis le Gardasil chez les filles dans les pays adeptes de la vaccination scolaire comme l’Australie, la Grande-Bretagne ou les pays scandinaves.

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires, les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

Comme tout traitement, le Gardasil expose à des complications

Tout récemment à Nantes un collégien est mort des suites de la vaccination Gardasil ; et malgré les dénégations embarrassées de l’agence régionale de santé, ce fait est indiscutable : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.10

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, le VAERS (système de déclarations des complications postvaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensés par le VAERS : Coma, Épilepsie, Paralysies des membres, Paralysie faciale Syndrome de Guillain-Barre, Thromboses, Uvéite, Choc anaphylactique, Avortement spontané, Insuffisance ovarienne…

Ces complications ont motivé des plaintes en justice :

et des manifestations dans de nombreux pays (Colombie, Japon, Irlande, Danemark) :

Ces manifestations contre le Gardasil et les nombreuses actions en justice dans plus de dix pays étrangers témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

Mais en France les agences officielles les nient comme elles ont jadis nié que les retombées du nuage de Tchernobyl aient atteint notre territoire.

L’absence de bénéfice cancérologique constaté dix-sept ans après la mise sur le marché du Gardasil et les nombreuses complications recensées rendent la balance avantage/risques négative même si l’OMS financée en grande partie par Bill Gates et nos agences prétendent le contraire.

Le prix européen considérable du Gardasil (près de 360 euros pour trois doses dont la fabrication revient à 1,5 euro), la propagande mensongère et la corruption de certains décideurs expliquent peut-être sa recommandation pour le Bangladesh, d’autant plus surprenante que l’expérience du Gardasil dans le district de Gazipur en 2016 a été entachée de nombreux problèmes éthiques 11 et n’a apporté en pratique aucun bénéfice aux jeunes filles vaccinées.

Quelle politique pour l’Occident voulant vraiment « aider » les pays encore défavorisés ?

L’exemple du Bangladesh : un des vrais fléaux médicaux curables est la tuberculose

Pour les associations humanitaires voulant aider réellement la population, il paraîtrait plus efficace de s’attaquer à la tuberculose (plus de 16 000 morts annuels dans ce pays) curable dans plus de 85 % des cas par des antibiotiques adaptés. Le prix d’un traitement complet, y compris le traitement BPaLM (composé de bédaquiline (B), de prétomanide (Pa), de linézolide (L) et de moxifloxacine (M)), permettant de traiter les personnes atteintes de tuberculose résistante aux médicaments en 6 mois (au lieu des deux ans habituels) est d’environ 500 dollars, soit à peu près le coût d’une vaccination à trois doses de Gardasil.

Chaque don de 1000 euros permettrait de sauver à coup sûr 2 tuberculeux et aussi de diminuer les transmissions de la maladie, permettant à terme d’espérer l’éradication de la maladie alors que consacrer cette somme au Gardasil n’aboutirait à aucun bénéfice mesurable ni prévisible selon les expériences relatées précédemment.

Ce n’est pas de Gardasil dont le Bangladesh a besoin, mais de médicaments et de tests contre la tuberculose et d’eau potable pour lutter contre les diarrhées mortifères.





Best-seller américain de 2023, le film « Sound of Freedom » à l’épreuve des faits

[Source : kla.tv]

À partir du 8 novembre, le film best-seller américain très discuté « Sound of Freedom », en français « Le son de la liberté », devrait également être projeté dans les cinémas allemands. Aux États-Unis, le film, un des dix les plus populaires de l’année, a déjà rapporté environ 181 millions de dollars. Selon les indications des Angel Studios, le film devrait être projeté dans près de 20 pays d’Amérique centrale et du Sud, au Royaume-Uni et en Irlande, en Australie et en Afrique du Sud.

« Sound of Freedom », une « histoire vraie », reprend des prétendus faits réels de la vie de Tim Ballard. Ballard, un ancien agent, quitte son emploi à Homeland Security Investigations [branche d’enquête du ministère américain de la Sécurité intérieure] parce que, bien qu’il arrête régulièrement des délinquants impliqués dans la pornographie enfantine, il ne peut pas sauver des enfants des mains des cartels de la drogue et des trafiquants d’êtres humains. C’est ainsi que son personnage est présenté dans le film. Peu après, Ballard serait devenu un militant des droits de l’homme très engagé, fondant en 2013 le groupe anti-trafic d’êtres humains Operation Underground Railroad [O.U.R.] afin de travailler d’arrache-pied à la découverte et à la lutte contre ces crimes. Le film met l’accent sur la traite des enfants en Amérique latine, notamment au Mexique, et sur la manière dont ces enfants se retrouvent dans le commerce du sexe. À la demande expresse de Tim Ballard, Jim Caviezel, principalement connu pour son rôle de Jésus-Christ dans le film de Mel Gibson « La Passion du Christ », incarne le personnage de Ballard.

Dans ce contexte, de nombreux lanceurs d’alerte respirent et se réjouissent que cet acteur passionné utilise son pouvoir de star pour attirer l’attention du monde sur le cruel trafic d’enfants. Kla.TV a également été informé à plusieurs reprises de l’existence de ce film et a été prié d’en faire la promotion. Fidèles à notre devoir journalistique, nous avons regardé ce film, non pas pour en faire la promotion, mais pour le mettre à l’épreuve. Pour un film de cette ampleur et de cette importance de recettes, il y a toujours un flux d’argent. C’est ce que nous avons suivi afin de déterminer si le film tient réellement ses promesses ou s’il s’engage sur des voies d’évitement.

[Voir aussi :
Trafic d’enfants, le film Sound of Freedom… et les 6 documentaires incontournables sur les réseaux
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin
Lien direct entre les fondations/organismes chargés de dénoncer la traite d’enfants et les SOCIÉTÉS PRIVÉES de « BIG DATA » ?]

Dans une émission de Kla.TV [« Till Lindemann, chanteur principal de Rammstein, et Heidi Klum, top model, devant le TRIBUNAL POPULAIRE »], dans laquelle l’autrice Loïs Sasek passe au crible quelques célébrités, elle fait déjà un excellent constat :

[Extrait de l’émission https://www.kla.tv/26833 — Minute : 0:52:29 – 0:53:55]

« Le film [Sound of Freedom] a toutefois été cofinancé par l’un des hommes les plus riches du monde, Carlos Slim Helú, qui est également accusé de trafic d’êtres humains. Il est également donateur de la Fondation Clinton. On le voit souvent photographié avec Bill Gates. […] L’Institut de la santé Carlos Slim Helú collabore également avec la Fondation Gates. Carlos Slim Helú est en relation d’affaires étroite avec les Rothschild et finance la Fondation Bill & Melinda Gates. Fabian Marta, un autre soutien du film contre le trafic d’enfants “Sound of Freedom”, a été arrêté et inculpé de complicité d’enlèvement d’enfants, selon un dossier judiciaire du Missouri. Tim Ballard, le prétendu sauveur des enfants victimes du trafic d’enfants, porte une cravate maçonnique et ressemble étrangement au prédateur sexuel “Timothy Ray Ballard”. Tim Ballard travaille avec Henry Kissinger et semble être membre de la société secrète des Templiers, tout comme Jim Caviezel. L’acteur Jim Caviezel fait ouvertement les signes de la secte […] et rencontre le pape. »

Des trafiquants d’êtres humains, des ravisseurs d’enfants ainsi que des délinquants sexuels présumés et parfois réellement accusés tournent un film sur l’enlèvement d’enfants et le trafic sexuel… Peut-on encore croire à des coïncidences ?

De même, le fait que l’Opération Underground Railroad (O.U.R.) mentionnée, créée par Ballard, soit soupçonnée d’avoir détourné des millions de dons, n’est pas un détail insignifiant. Anne Gallagher, une spécialiste en droit international dans le domaine de la traite des êtres humains, a également accusé O.U.R. de « […] manque alarmant de compréhension de la manière dont les réseaux criminels sophistiqués de traite des êtres humains doivent être abordés et démantelés […] » et a qualifié le travail de l’organisation d’« arrogant, contraire à l’éthique et illégal ». En fait, Ballard a dû quitter l’organisation à l’été 2023 après une enquête interne et des accusations d’inconduite sexuelle portées contre lui par plusieurs employés. Et ce, alors qu’en 2022 il percevait encore un salaire et des indemnités de plus d’un demi-million de dollars.

Revenons au film :

David Sorensen, journaliste connu et fondateur du site StopWorldControl.com, critique les possibilités de révélation du film sur le trafic international d’enfants comme suit :

« Sound of Freedom montre comment ça — c’est-à-dire le trafic d’enfants, etc. — se passe au plus profond des bas-fonds d’Amérique du Sud, par exemple par le cartel mexicain. C’est vrai, mais ce n’est pas du tout l’histoire complète. Si le monde pense que cela n’est le fait que de criminels dans les bas-fonds, il ne comprendra jamais que cela se passe en réalité dans les hauts et sublimes gratte-ciel de New York, dans les bâtiments officiels du gouvernement de Washington DC, dans les chefs-d’œuvre architecturaux historiques de Londres, dans les beaux châteaux d’Europe, dans les brillants centres de conférence de Davos et ainsi de suite. »

Plus loin, Sorensen explique, et c’est d’une importance extraordinaire : « Mais ce qui m’attriste, c’est que le film ne révèle en aucune manière — ou même ne suggère — qui sont les vrais coupables du trafic international d’enfants. En fait, il détourne l’attention de ceux qui sont réellement responsables de l’enlèvement, de l’abus, de la torture et de l’assassinat d’enfants dans le monde entier. »

David Sorensen voit clairement que le film ne révélera jamais les véritables atrocités ainsi que les auteurs qui se cachent derrière.

Et bien plus lourd de conséquences, « Sound of Freedom » ne semble pas seulement dissimuler les véritables coupables, il y a même de forts soupçons que le film fasse le jeu d’un « programme d’identification des enfants » mis en place par les francs-maçons en 1997.

Loïs Sasek a expliqué, dans l’émission Kla.TV déjà citée, en se référant au rapport Reese [plate-forme d’investigation], qu’il est prévu de collecter toutes les données des enfants dans le monde entier. Il s’agirait d’une étape préliminaire à la puce sous la peau.

[Extrait de l’émission https://www.kla.tv/26833 — Minute : 0:54:17 – 0:55:42]

« Selon le rapport Reese, des organisations douteuses participent à ce programme, comme par exemple la “Clinton Global Initiative” ou le “Podesta Group”, les fameux collectionneurs d’art pédophiles du scandale des e-mails Wikileaks-Podesta… Le rapport Reese révèle également que les studios Angel, qui ont produit le film “Sound of Freedom”, sont liés en tant qu’organisations d’aide aux mêmes groupes soupçonnés d’être impliqués dans le côté criminel du trafic d’enfants comme les Clinton et les Podesta.

Après la création de cette base de données sur les enfants, le trafic d’êtres humains a augmenté. En l’espace de neuf ans, le chiffre d’affaires de l’industrie de la traite des êtres humains est passé d’environ 30 milliards de dollars à 150 milliards de dollars par an. La lanceuse d’alerte du gouvernement, Tara Lee Rodas, a témoigné que le gouvernement américain était impliqué dans le trafic d’enfants sous le prétexte de programmes de protection de l’enfance. Est-ce que ce sont vraiment nos messies ? Après tout Jim Caviezel a joué le Messie qu’ils ont malmené… Jésus accroché à la croix avec un seul œil et la position de la main de Baphomet… Seulement des coïncidences ? »

Tant que Caviezel collabore avec les producteurs et les financiers du film cités précédemment, les doutes sur sa sincérité ne peuvent pas être levés, même s’il donne en même temps des interviews à des chaînes de télévision de dévoilement comme rumble.tv sur, par exemple, l’adrénochrome [« cocktail de rajeunissement » de cercles élitistes à base de sang d’enfants torturés].

Ce qui est frappant, c’est que les producteurs de films, les célébrités et les acteurs qui ont effectivement eu le courage de dévoiler les secrets cruels d’auteurs d’atrocités l’ont payé de leur vie. Loïs Sasek raconte également dans son émission [https://www.kla.tv/26833] comment de grands producteurs de films sont morts subitement de manière étrange après avoir révélé les noms et les secrets de cercles « élitistes » qui commettent des actes odieux contre des enfants.

Conclusion : Il est bon et important que « Sound of Freedom » aborde le thème important de la traite et de l’abus des enfants. Mais il est tout de même recommandé de jeter un regard plus attentif sur cette œuvre cinématographique et d’examiner attentivement le contexte décrit ainsi que les informations présentées sur les réalisateurs du film. En effet, les spectateurs du film risquent d’être tentés de se reposer sur leurs lauriers en pensant que le film et les organisations mentionnées font déjà quelque chose pour les enfants pauvres. Le dernier documentaire de Kla.TV « Secte du sang II — 111 victimes 50 témoins 50 coupables », réalisé par Loïs Sasek, montre que c’est loin d’être le cas [https://www.kla.tv/27305]. Regardez aussi La secte du sang I (de Loïs Sasek) avec les paroles de nombreuses autres victimes et témoins. En effet, ces documentaires, qui ont fait l’objet de recherches approfondies et comportent des centaines de sources, révèlent les véritables dessous du trafic d’enfants. Les victimes et les témoins eux-mêmes mettent en évidence les réseaux et les structures largement interconnectés des criminels…

Ainsi, si ce film de cinéma montre des choses et des dysfonctionnements réels sans aller au fond des choses sur qui sont les responsables et les auteurs de ces crimes pédocriminels, où le spectateur est dans le même temps détourné de ce qui se passe littéralement sous son nez.

Ne vous laissez pas tromper, suivez la piste de l’argent et écoutez ce que dit votre cœur. Ou, pour conclure avec les mots de David Sorensen :

« Que le monde se réveille vraiment. Que le mal soit vraiment révélé. Que ces monstres soient jugés, au nom du Très-Haut, le Créateur de toute vie. Que la vérité brille dans notre monde. Que les gens se réveillent de leur sommeil. Que les enfants du monde entier soient réellement libérés. Et que les porte-parole de la VRAIE vérité se lèvent dans notre monde […]. »

de abu./avr.

Sources/Liens :




NON à la traque des médecins libres !

Par AISNSH

Citoyens, Citoyennes,

Ces médecins sont chassés, traqués, punis, et pourquoi ? Pour avoir commis des erreurs médicales ?

NON

Pour avoir mis en danger la vie de leurs patients ?

NON

Pour des conflits d’intérêts ?

Encore moins…

Leur seul « crime », c’est d’avoir proposé des soins « non conventionnels » à leurs patients… ou d’avoir osé s’exprimer librement sur des « tabous de la médecine ».

48 médecins suspendus… et ça continue ! Malgré les déserts médicaux, les problèmes d’accès aux soins et la rareté des médecins, l’Ordre s’acharne.

En France, en 20221

  • L’Ordre a ouvert 1866 nouveaux dossiers (+12 % par rapport à 2021), en vue de sanctionner les praticiens (hors poursuites des médecins non-vaccinés) ;
  • 48 verdicts de suspensions et interdits d’exercer ont été rendus (c’est énorme !) ;
  • 62 médecins ont été jugés pour « faute grave » parce qu’ils ont osé proposer des solutions « non conventionnelles » à leurs patients (compléments alimentaires au curcuma, cure de propolis, probiotiques… ces solutions sont validées par la science mais restent méprisées par l’Ordre).

Les condamner, c’est VOUS condamner ! Ces hommes et ces femmes ont fait au moins 10 ans d’études pour nous soigner, sauver des milliers de vies. Aujourd’hui, ces héros ordinaires sont accusés d’être des complotistes, des lanceurs d’alerte, des inconscients…

Harcelés pour avoir dénoncé

Les plus éminents médecins de notre continent se voient interdire leur droit d’exercer la médecine et de soigner leurs patients tour à tour.

Juin 2023, en pleine période Covid : le Dr Vincent Reliquet est condamné à 3 ans d’interdiction d’exercice.

  • Médecin généraliste
  • Expert en hydrotomies marines (traitement novateur contre l’arthrose notamment)
  • Auteur de COVID 19 — L’enquête interdite
  • Critique de plusieurs traitements, dont le vaccin Gardasil, les statines et les IPP…

1er septembre 2023 : le Professeur Joyeux est condamné à un interdit d’exercer pendant 2 ans.​​​​​​​

  • Professeur de cancérologie et de chirurgie
  • Prix international de cancérologie
  • Spécialisé dans les médecines alternatives

Sanctionné durement, car il a osé « dénoncer certains abus vaccinaux ».

NON à la condamnation du Professeur Joyeux !

19 octobre 2023 : le Dr Louis Fouché est convoqué par l’Ordre des médecins.

  • Médecin anesthésiste-réanimateur
  • Fondateur du collectif réinfo covid qui visait à sensibiliser les Français sur la politique sanitaire

Même date : le Dr Amine Ulmi est convoqué devant le Conseil de l’Ordre.

  • Docteur en Pharmacie
  • Juriste en droit de la Santé

Mis en cause pour avoir dénoncé certains problèmes de pharmacovigilance (ex : affaire du Levothyrox, Covid).

Reproché d’avoir « incité à l’indiscipline collective »2.

13 septembre 2022 : Pr Christian Perronne

  • Collaborateur de l’OMS
  • Professeur à l’Institut Pasteur
  • Ancien Président de la Fédération française d’infectiologie
  • Membre du Haut Conseil de Santé Publique

Accusé de s’être exprimé sur la politique sanitaire durant la crise Covid, sur l’efficacité et la dangerosité du vaccin anti-Covid et sur les lobbies pharmaceutiques.

Par miracle, l’Ordre a annulé sa condamnation grâce aux nombreuses pétitions et signataires qui défendaient la liberté d’informer et de soigner.

Plus récemment, c’est le Dr Thierry Schmitz, qui est accusé.

Le Dr Schmitz, convoqué le 22 novembre… Aidons-le !

L’Ordre des médecins s’en prend cette fois au Dr Schmitz :

  • Docteur en médecine
  • Fondateur de l’Institut Européen de Médecine Naturelle
  • Spécialisé en médecine anti-âge, mésothérapie, homéopathie, aromathérapie, phytothérapie, micronutrition et bien d’autres thérapies naturelles
  • Père de l’Ozonothérapie en Europe, une innovation scientifique marquante du 21è siècle
  • Expert des maladies auto-immunes

Il y a quelques jours, le Dr Schmitz a reçu un courrier « personnel et confidentiel » de la part de l’Ordre.

CONVOCATION DEVANT L’ORDRE DES MÉDECINS
Le mercredi 22 novembre à 19 h 15

Motif ?

15 articles et 2 vidéos d’informations concernant le vaccin et la politique sanitaire pendant la pandémie.

Durant cette période, le Dr Schmitz a aidé et informé tous ses lecteurs sur ces sujets :

  • Protection du système immunitaire face au Covid
  • Traitements naturels existants (vitamine C, ozonothérapie)
  • Effets indésirables graves de certains vaccins
  • L’obligation vaccinale et les problèmes éthiques qu’elle soulevait

L’Ordre pointe également du doigt un article du 11 novembre 2020 dans lequel le Dr Schmitz informait ses lecteurs de leurs droits :

« L’obligation vaccinale va à l’encontre de la loi Kouchner selon laquelle un acte médical ne peut être pratiqué contre votre gré. »

On marche sur la tête !

Ceux qui vous informent sur VOS droits sont menacés de suspension…

… Par ceux qui sont censés faire appliquer la loi !

Doit-on laisser le Dr Schmitz marcher sur l’échafaud des autorités de santé bourrées de conflits d’intérêts ?

NON !

Battons-nous, comme nous l’avons fait pour le Pr Christian Perronne pour défendre NOS droits et ceux qui les respectent !

Signez cette pétition pour qu’ils dressent leur drapeau blanc et qu’enfin, nous puissions retrouver notre liberté d’être soignés !

POUR soutenir le Dr Schmitz et les médecins qui se battent pour VOS droits

CONTRE le harcèlement de ces médecins libres

CONTRE la corruption des décideurs actuels concernant VOTRE santé

Signez cette pétition à nos côtés !

Je signe cette pétition !

Rappelez-vous !

D’après la loi Kouchner, vous avez « droit à l’information et au consentement éclairé ».

Pourtant, ceux appliquent cette loi à la lettre sont accusés.

Accusés d’avoir INFORMÉ leurs patients.

Accusés de les SOIGNER par tous les moyens.

Pourquoi un tel acharnement ?

Les liens troubles entre l’Ordre des médecins et les grands laboratoires pharmaceutiques

Le 13 septembre, le Dr Schmitz et quelques confrères belges ont adressé un courrier aux dirigeants de l’Ordre.

Dans ce communiqué, il dénonce notamment le vice-président de l’Ordre national belge de s’être « vanté » de persécuter des dizaines de médecins critiques concernant le vaccin anti-Covid

… Alors que lui-même venait de déclarer, comme imposé par la loi, avoir des intérêts dans le domaine de la vaccinologie3.

C’est le monde à l’envers : ceux qui respectent les lois sont condamnés, ceux qui les enfreignent sont à la tête des grandes institutions de santé…

Il est grand temps que la tendance s’inverse.

C’est à NOUS, citoyens, de soutenir nos médecins, ceux qui défendent vraiment nos droits, ceux qui nous soignent dans le respect.

Avec notre respectueuse considération,

L’Association Santé Naturelle

PS : Amis belges, médecins, soignants citoyens et patients du Dr Schmitz organisent une manifestation pacifique le 22 novembre de 18 h 30 à 21 h 30, sur la pelouse en face du 417, avenue de Tervuren, Bruxelles.

Je vous encourage à nous rejoindre pour soutenir le Dr Schmitz qui plaidera, lui, POUR une médecine indépendante des conflits d’intérêts financiers et politiques.

Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH)
Case postale — 1211 Genève 3 — Suisse

Sources :

1 Louise Claereboudt, État pathologique, insuffisance professionnelle : l’Ordre dévoile le nombre de médecins suspendus en 2022, Egora, Mai 2023.

2 Soutien inconditionnel aux Drs Louis Fouché et Amine Ulmi, Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante, 15 octobre 2023.

3 Lettre ouverte du 13 septembre 2023 de la part d’un collectif de médecins à l’Ordre des Médecins belge




Mise en garde contre un désastre dans le transport aérien dû aux vaccins Covid

[Source : echelledejacob]

Par Sally Beck

Le capitaine Shane Murdock affirme que l’industrie aérienne est « au bord du désastre ». Pilote depuis plus de 40 ans et enquêteur qualifié sur les accidents aériens, il a présenté des données officielles qui étayent son affirmation d’une catastrophe mondiale imminente. Il ajoute :

« Lorsqu’elles sont corrélées, les données indiquent qu’il existe un énorme problème qui a et aura un impact significatif sur la sécurité aérienne dans le monde entier. Il y a suffisamment de preuves pour lancer des signaux d’alarme. »

Il y a eu de nombreuses tragédies cette année. Phil Thomas, un jeune diplômé de l’académie de formation au pilotage de Cadix, en Espagne, est tombé malade et est décédé subitement en avril. Il y a eu cinq incapacités de pilote en mars, dont un pilote de British Airways qui s’est effondré et est décédé au Caire, en Égypte, peu de temps avant son départ.

Les pilotes sont en excellente forme physique, alors pourquoi tant de morts subites ou d’effondrements ? Le Cpt Murdock conclut qu’ils souffrent de graves réactions indésirables aux vaccinations Covid-19, qui ont comme effets secondaires une myocardite (inflammation cardiaque), un brouillard cérébral, de l’insomnie, des caillots sanguins et une anaphylaxie.

Il pense que certains pilotes sont des bombes à retardement et affirme que beaucoup ne déclarent pas être en mauvaise santé. Il a déclaré :

« Ils ne signalent pas le brouillard cérébral, les battements anormaux du cœur et les étourdissements, parce qu’ils ne veulent pas perdre leur emploi. »

Les aviateurs subissent des contrôles de santé annuels complets, ou tous les six mois s’ils ont été malades. Les règles stipulent qu’ils ne peuvent réussir qu’avec moins de 1 pour cent de chances de souffrir d’une maladie qui pourrait les rendre incapables de piloter.

Comment passent-ils les examens médicaux s’ils souffrent de réactions indésirables graves ? L’année dernière, le régulateur mondial de l’aviation, la Federal Aviation Administration (FAA), a modifié les marqueurs de l’électrocardiogramme (ECG) qui mesurent « l’intervalle PR ». C’est le temps qu’il faut à une impulsion électrique pour se déplacer d’une partie du cœur à une autre et constitue un indicateur de la santé cardiaque. La nouvelle limite est 50 % plus longue que la limite précédente et signifie que si un pilote développe une maladie cardiaque, elle pourrait ne pas être détectée.

C’était le 15 novembre 2020, lorsque les compagnies aériennes australiennes ont rendu obligatoires les vaccins contre le Covid-19 pour 900 pilotes et tout le personnel navigant et au sol. Pfizer, AstraZeneca et Moderna étaient disponibles en Australie.

Aujourd’hui, c’est le troisième anniversaire de ce mandat de vaccination et le Cpt Murdock est l’un des 12 pilotes qui ont refusé l’inoculation. Il a bien sûr été licencié, accusé de faute professionnelle grave, une accusation généralement réservée aux comportements sexuels inappropriés ou aux comportements imprudents et dangereux.

M. Murdock, 60 ans, qui vit près de Sydney, en Australie, a volé en tant que capitaine de Virgin Australia pendant 20 ans et est titulaire d’une licence depuis 1984. Il est également titulaire d’une maîtrise en facteurs humains de l’aviation, la science qui sous-tend la façon dont les humains interagissent avec les machines. Il a déclaré :

« Quelque part sur le réseau international, vous découvrirez quotidiennement qu’un avion a été refoulé en raison d’une urgence sanitaire. Soit une urgence sanitaire pour les passagers, soit une urgence sanitaire pour l’équipage. »

Lorsque les pilotes lancent un appel radio au contrôle de la circulation aérienne, cet appel est surnommé « squawk ». Ils utilisent le code 7700 pour tous les appels de secours réservés aux incidents graves comme l’incapacité du pilote ou un incendie non maîtrisé à bord. Peu de scénarios justifient un Mayday ; les passagers et l’équipage doivent faire face à un véritable péril.

Il y a eu une augmentation sans précédent du nombre d’appels Mayday, suivis par un robot créé par le compte X @GCFlightAlerts. Il publie lorsqu’un pilote utilise le code 7700 n’importe où dans le monde.

Entre 2018 et 2019, la moyenne des appels de détresse représentait 29,1 % de tous les appels de détresse. En 2022, les appels de secours ont augmenté de 272 %. Au cours des trois premiers mois de 2023, l’augmentation était de 386 %. Le graphique montre qu’il y a eu une forte augmentation instantanée lorsque les vaccins ont été obligatoires pour les pilotes.

L’âge moyen du décès en Australie pendant la pandémie était de 85,3 ans. Les chiffres ne justifiaient pas d’imposer la vaccination aux pilotes en bonne santé et en bonne forme physique et de mettre en œuvre une politique sans vaccin, sans emploi. Cela a même violé leurs propres directives : selon les règles de la FAA, aucun pilote n’est autorisé à prendre un quelconque type de médicament à moins qu’il n’ait été approuvé et utilisé dans la population générale pendant 12 mois. Il est interdit aux pilotes de participer aux essais de médicaments et tous les vaccins contre le Covid-19 ont été autorisés sous autorisation d’utilisation d’urgence. La phase finale du procès se termine cette année.

Le Cpt Murdock a également examiné le nombre de licences pour équipage multiple délivrées par le régulateur australien, la Civil Aviation Safety Authority (CASA). Ils ont le pouvoir d’imposer des restrictions sur les licences de pilote de ligne (APTL). Une licence multi-équipage restreint les pilotes à opérer avec plusieurs membres d’équipage et est délivrée lorsque leur état médical montre une possibilité qu’ils puissent devenir frappés d’incapacité pendant le vol. CASA surveille et administre les certifications médicales et les licences de tous les pilotes australiens. Les données sur la liberté d’information montrent qu’il y a eu une augmentation sans précédent de 126 % des limitations.

On pourrait penser que cela entraînerait un examen majeur de la part de la CASA, mais ils ne feront rien tant que l’organisme australien de surveillance des médicaments, la Therapeutic Goods Administration (TGA), continue d’approuver la vaccination contre le Covid-19 pour tous. Il s’agit d’une porte tournante qui évite les responsabilités, ce qui est familier à ceux d’entre nous qui enquêtent sur les questions liées aux vaccins.

Le Cpt Murdock pense que l’inaction ne peut avoir qu’un seul résultat, et gardez à l’esprit que nous avons vu de nombreux avions effectuer des atterrissages d’urgence en raison de l’incapacité des pilotes. Il est sans équivoque et a déclaré :

« Des catastrophes se produiront et les équipages et les voyageurs mourront inutilement. »

Source




Lettre ouverte à Mme le docteur Claire Siret Présidente de la section Santé Publique du conseil national de l’Ordre des médecins

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par Dr Gérard Delépine

Le 12 novembre 2023

Ma chère consœur,

Je suis surpris des termes de votre lettre du 10 novembre 2023 adressée à des citoyens inquiets, et réellement stupéfait de votre croyance en « la quasi-éradication du cancer du col de l’utérus dans de nombreux pays (exemple l’Australie) qui témoigne de votre méconnaissance des données officielles de l’AIHW (Australian Institute of Health and Welfare) sur le cancer du col de l’utérus en Australie. Je me permets donc de vous adresser les données officielles qui contredisent totalement votre foi en l’efficacité anti cancéreuse du Gardasil.

En tapant «  https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » vous pourrez vérifier qu’en 2022 le nombre estimé de cancers invasifs du col atteint 922 ce qui est très loin de la « quasi éradication » claironnée comme l’atteste cette copie d’écran :

Ce chiffre correspond à une augmentation de 30% depuis le Gardasil (en 2007 seulement 727 cancers du col avaient été recensés)

Vous pourrez aussi vérifier que l’incidence standardisée du cancer du col (qui élimine les influences de la démographie australienne) ne diminue plus depuis 2006, date de l’instauration de la vaccination scolaire et que cette incidence s’est stabilisée au-dessus de 7/100000 depuis la vaccination Gardasil.

Alors qu’en France, peu vaccinée, l’incidence standardisée monde des cancers invasifs du col est, d’après Santé Publique France inférieure à 6/100000, définition OMS des maladies rares.

Je ne doute pas de votre bonne foi qui a été manifestement abusée par les communiqués fallacieux de l’INCa1 et de la HAS que vous citez, mais la démarche médicale et scientifique exige de nous tous de toujours analyser les opinions qu’on vous soumet et d’en vérifier les données brutes indiscutables.

Cette augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis le Gardasil se constate d’ailleurs dans tous les pays qui en ont instauré la vaccination scolaire et tout particulièrement chez les femmes de 25-34 ans en 2022 qui constitue le groupe le plus vacciné arrivé à l’âge de survenue des cancers du col.

Comme en Grande Bretagne (vous pouvez le vérifier en tapant : https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two)

Mais aussi dans les pays scandinaves (Norvège, Finlande et Suède) ou l’incidence des cancers invasifs du col augmente dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 25-34 ans) depuis les campagnes de vaccination scolaire comme vous pouvez le vérifier en tapant : https://nordcan.iarc.fr/en/dataviz/trends?cancers=190&sexes=1_2&populations=578&key=asr&mode=cancer&multiple_populations=0&multiple_cancers=1&age_start=5&age_end=6&years=2009_2021

Il est extrêmement triste de constater que l’INCa et la HAS nient les faits établis et trompent ainsi les nombreux médecins qui leur font confiance comme vous-même.

De plus, j’attire votre attention sur le fait qu’affirmer « l’Australie est en voie d’éradication du cancer du col » constitue une fake news caractérisée qui nuit à votre crédibilité.

Je reste bien entendu à votre entière disposition pour vous apporter toutes précisions que vous jugeriez utiles sur les résultats paradoxaux de cette vaccination, efficace sur l’infection et les dysplasies bénignes, mais pas sur les cancers invasifs que nous avons explicitées dans un livre récent.

https://www.fauves-editions.fr/livre-hysterie_vaccinale_gardasil_et_cancer_un_paradoxe_gerard_delepine_nicole_delepine-9791030204841-76856.html

Je vous prie, Madame et chère confrère d’agréer mes salutations les plus confraternelles.

Dr Gérard Delépine Chirurgien cancérologue et statisticien

Annexe : lettre réponse  du dr Claire Siret aux collectifs citoyens

[Voir aussi :

https://www.mondialisation.ca/mort-sur-ordonnance-gouvernementale-dinjection-gardasil

et :

Gardasil, hystérie vaccinale

Conférence du Dr Gérard Delépine.

(Vidéo 24 min)

Lettre ouverte contre la vaccination HPV au Gardasil 9

Simples citoyens, nous sommes informés des effets indésirables et parfois graves du Gardasil donnant lieu à des procès dans plusieurs pays. Professionnels de Santé, soucieux du « primum non nocere », vous ne pouvez ignorer ces dommages alors que plus de 90 % des infections provoquées par les Human Papillomavirus (HPV) disparaissent spontanément et que la mortalité du cancer du col de l’utérus a une incidence annuelle de 0,006 %.

Ne rien en dire ou les nier, comme le fait l’actuel Ministre de la Santé et de la Prévention, Monsieur Aurélien Rousseau, pour les nombreuses victimes des vaccins anti-Covid, c’est être complice du nouveau drame qui a déjà commencé.

Mise à jour : fichiers ajoutés.

L’institut national du cancer (INCa) désinforme pour faire vendre le Gardasil prétendument anticancer

Dans une brochure récente distribuée dans les collèges en cette rentrée 2023 « une vaccination sûre et efficace pour protéger mon enfant contre les cancers HPV » l’institut du cancer (INCA) fait une promotion mensongère du Gardasil pour appuyer la campagne de vaccination du gouvernement dont elle est le porte-parole et qui la finance.

Voici ici des faits avérés qui démentent ses affirmations.

Les dangers du Gardasil

Vidéos

Informez vos enfants, parents, amis sur la propagande mensongère du Gardasil

Ne faites pas courir de risques inutiles en vaccinant vos enfants par le Gardasil, inefficace contre les cancers et responsable d’effets délétères non négligeables

Une victime de plus du Gardasil

Adriana, est décédée alors qu’elle n’avait que 17 ans et 5 mois.
« Voici son histoire et notre combat :
Nous commencerons par la fin, c’est-à-dire après son décès, le 20 octobre 2010, car jusqu’alors nous ignorions quel mal l’avait frappé. La multitude d’examens, de recherches en tous genres, qui avaient été effectués dans les différents hôpitaux où elle avait été admise, dès le 8 août 2010, n’avaient rien décelé et les nombreux diagnostics, qui avaient été avancés au fil des jours tels que : décompensation psychotique, catatonie, syndrome malin des neuroleptiques, maladie auto-immune, épilepsie…, nous avaient laissés dans l’inquiétude et la détresse la plus complète. … »

Parents en colère… contre le Gardasil

France — Alerte contre la campagne vaccinale du Gardasil pour les enfants entrant en 5e.

Gardasil : inutile, ruineux et dangereux !

Diffusion de la conférence du Dr Gérard Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Nicole Delépine, Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de l’utilité ou non du vaccin contre le cancer du col de l’utérus (Cervarix, Gardasil) qu’il estime « inutile, ruineux et dangereux » ! Les preuves sont nombreuses, elles sont toutes issues des chiffres épidémiologiques officiels de plusieurs pays occidentaux. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.

(Vidéo 29 min)

Gardasil — Laissons les enfants tranquilles

Gardasil, une vaccination dans les collèges qui fait débat.

Selon le Dr Delépine, le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications.

Nicole et Gérard Delépine — Gardasil protège-t-il des cancers du col de l’utérus ?

(Vidéo 1 h 33)

Le Gardasil inutile et dangereux — Témoignage

L’histoire de la famille Bourguignon et l’histoire d’Adriana décédée suite à ce vaccin.

(Vidéo < 8 min)

HYSTÉRIE VACCINALE
Gardasil et cancer : un paradoxe

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a pour objectif officiel de diminuer la fréquence des cancers du col utérin dans les populations vaccinées. Pourtant, ce cancer est rare (moins de 3000 par an en France, pour 1000 décès) et prévenu à plus de 80% par le dépistage.

Quand aucune urgence de santé publique n’existe, pourquoi les agences du médicament accordent-elles des autorisations à toute allure, comme s’il s’agissait de maladies gravissimes ? Pourquoi le Gardasil a-t-il été traité comme un produit d’urgence vitale et bénéficié d’une publicité et d’un soutien massif des sociétés savantes, des experts et des gouvernants ? Pourquoi chaque jour apporte un nouvel article publicitaire trompeur dans les grands médias ? Et, surtout, pourquoi le gouvernement a t-il annoncé une campagne de vaccination dès la rentrée 2023 pour tous les élèves de 5e – filles et garçons – au collège ?

Les horreurs du vaccin HPV : Meurtre et invalidité dus au Gardasil, POURSUITE EN COURS, et lettre d’éminents rabbins disant « Ne vous faites pas vacciner ! »

Dans quel but a-t-on donné du poison à ces enfants ?

L’objectif déclaré du Gardasil est de prévenir une MST (Maladie Sexuellement Transmissible) qui pourrait éventuellement entraîner un cancer du col de l’utérus lorsque les enfants seront beaucoup plus âgés.

Mais il n’existe aucune preuve que le vaccin soit réellement efficace pour prévenir le cancer. Il s’agit d’une imposture qui ne fait que provoquer la mort et la misère.

Gardasil Episode 7 : Entre mensonges et corruptions

𝟳ème et dernier épisode de la série consacrée au 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑎𝑠𝑖𝑙. Série qui pourrait être complétée en fonction de l’avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.

Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus

Depuis plusieurs semaines (en France), les lobbys des entreprises pharmaceutiques ont mobilisé les médias, notre ministre de la Santé et notre président pour faire la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus). Après avoir déploré qu’« un tiers des jeunes filles » et moins de 10 % des garçons se font vacciner », il s’être déclaré « ouvert à une vaccination obligatoire »1, et vient de déclarer des contre-vérités flagrantes dans un collège de Charente. Comment ses conseillers peuvent-ils le tromper à ce point et lui cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ? 

Gardasil, un vaccin de moins en moins polémique et de moins en moins dangereux au fil du temps ?

C’est ce que nous rapportent les médias et Google !

Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?

Arrêtons-nous un instant sur les États-Unis qui sont utilisés comme exemple pour imposer à nos enfants toutes les potions magiques qui sont injectées aux enfants américains. Nos politiques, médecins VRP et médias financés par le gouvernement nous disent souvent : regardez, les États-Unis ont rendu ce vaccin obligatoire depuis X années et tout se passe bien. Et ceci pour tous les vaccins qu’ils veulent rendre obligatoires en France.

En revanche ce qu’ils ne disent pas c’est qu’aux USA, il ne peut pas y avoir de procès contre les vaccins recommandés par le CDC, même s’ils ne sont pas obligatoires !

Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?

Dans un article récent1 le Docteur Martine Perez prétend dans le journal quotidien le Parisien que « le vaccin contre le papillomavirus est une prévention efficace contre le cancer du col de l’utérus » et rajoute « … ce cancer que d’autres pays ont réussi à éradiquer ». On a connu cette collègue plus vigilante…

Ce titre et son sous-titre, totalement mensongers exposent ce médecin et son journal à d’éventuelles plaintes de parents pour informations mensongères susceptibles de mettre en danger autrui. En effet comment des parents, abusés par cet article qui les aurait convaincus de vacciner leur enfant souffrant depuis l’injection de Gardasil de complications, ne pourraient-ils pas en vouloir à ceux qui les ont désinformés ?

Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel

Un “article” récent de l’AFP Factuel – la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans

Baum Hedlund Aristei & Goldman et Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense, ont déposé cette semaine leur première plainte pour « wrongful death » (mort injustifiée) contre Merck, alléguant que le vaccin VPH Gardasil du fabricant a causé la mort de Noah Tate Foley, 13 ans.

Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil

Pour les marchands de vaccins, limiter l’indication du Gardasil, vaccin anti-papillomavirus, à « la prévention du cancer du col de l’utérus » a un inconvénient majeur : on ne peut le vendre qu’aux femmes qui ne constituent qu’une moitié de la population mondiale. Perdre la moitié d’un marché si rentable leur est insupportable. C’est pour cela qu’une campagne de propagande pro Gardasil pour les garçons se développe actuellement dans les médias, relayée par le ministère, et des médecins trompés ou corrompus.

Il faut rappeler que les cancers liés au HPV sont rarissimes chez les hommes y compris chez les populations à risque que sont les homosexuels, quasiment les seuls concernés (800 cancers par an pour 67 millions de Français).

Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons

Tout récemment les médias, mais aussi la ligue contre le cancer et certaines ARS ont publié des tribunes, appels et/ou des tracts mensongers utilisant la peur du cancerpour promouvoir la vaccination anti HPV (papillomavirus) chez les garçons.

Le but réel de cette propagande n’est certainement pas d’éviter quelques décès d’hommes atteints de cancer de l’anus, mais plus vraisemblablement de doubler le marché du vaccin jusqu’ici centré sur les filles et de préparer la population à une nouvelle obligation qui serait évidemment pour le bien de tous mais surtout pour les actionnaires de Merckx…

Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité

Après la chute des ventes de leur vaccin à succès contre le VPH, Gardasil, pendant la pandémie de COVID-19, les ventes rebondissent à nouveau, et Merck a maintenant lancé une nouvelle campagne publicitaire ciblant les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes de leur vaccin mortel qui a tué et blessé tant de jeunes au fil des ans.

Illégalité de la campagne HPV

L’avocat Carlo Alberto Brusa, de Reaction19, a accepté d’étudier en urgence les documents reçus par les parents de 5e pour les inciter à accepter l’injection d’un nouveau vaccin après les drames des injections covid et les nombreuses victimes d’enfants pour une injection prétendue « sûre et efficace ».

Une nouvelle fois il pointe l’illégalité du procédé et singulièrement l’absence d’information sur les supposés intérêts de l’injection pour leur enfant et les effets secondaires à craindre, pourtant connus depuis que ce vaccin est injecté de par le monde, depuis sa commercialisation.

Vaccin « gratuit » contre le papillomavirus : une mise au point cruciale pour les parents !

Voici un état des lieux de la controverse du vaccin contre le papillomavirus (Gardasil). (…)

Depuis 2006, ce vaccin a déjà fait beaucoup de dégâts et de décès, désormais visibles et documentés, ce qui rend tout à fait irresponsable la campagne de promotion à l’attention des collégiens organisée cette année en France sous l’impulsion des lobbys, de l’OMS, et par l’intermédiaire du président français.

+ Témoignage

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Les dérives inquiétantes du planning familial

Par le Dr Gérard Delépine

Le planning familial a été fondé par des féministes qui voulaient promouvoir une maternité voulue et défendre les droits des femmes, et en particulier contre les violences qu’elles subissaient.

Mais depuis quelque temps, sous l’impulsion de militants trans extrémistes, il oublie ses objectifs fondateurs jusqu’à renier la réalité biologique, menacer certains droits des femmes et mettre en péril l’équilibre psychologique des enfants à l’école par la promotion de la théorie transgenre au sein de ladite éducation à la sexualité obligatoire.

Prétendre qu’un homme peut être enceint témoigne d’un déni de la réalité

Comme le reconnaît d’ailleurs le planning, pour être enceinte, il faut disposer de tout l’appareil génital qui définit une femme : un utérus, un vagin, des ovaires, des trompes de Fallope perméables…

Ce n’est pas être transphobe que de rappeler qu’être enceinte n’est possible que chez les femmes de naissance, même si cette femme de naissance se déclare homme trans et a refusé de se faire opérer pour accorder son anatomie à son ressenti. Mais c’est être antiféministe que de nier les spécificités organiques des femmes.

Je ne reproche rien aux personnes adultes qui s’affirment trans genre, c’est leur liberté de parole et leur droit. Mais il faut qu’elles en acceptent les conséquences : une femme a la possibilité de porter des enfants et un homme seulement de participer à la procréation. Se vouloir homme implique de se comporter comme tel et de renoncer aux droits et aux spécificités des femmes. Il s’agit de simple bon sens.

La philosophie transgenre nie les droits des femmes

Ainsi que le rappelait Sami Biasoni le 16/09/2021 dans le Figaro :

« Les lubies de la “diversité” et de “l’inclusion” servent aujourd’hui à légitimer certaines positions victimaires dangereuses en démocratie, loin des idéaux humanistes de justice que ces notions devraient véhiculer1. »

Les extrémistes trans exigent l’inclusion partout et les femmes trans (nées hommes et possiblement non opérées) menacent l’équité dans les compétitions sportives et la sécurité physique et morale des femmes de naissance dans tous les endroits qui leur étaient spécifiquement réservés et participent ainsi à l’invisibilisation des femmes de naissance.

Dans les compétitions sportives, inclusivité ou équité ?

La taille, le poids, les résistances osseuses, ligamentaires et la capacité cœur-poumon des femmes transgenres dépassent celles de leurs homologues cisgenres (= femmes de naissance non transformées), même après des années d’hormonothérapie. Le nier s’inscrit dans une démarche antiscientifique qui oublie le réel2.

L’inclusivité des femmes trans dans les compétitions sportives (comme Lia Thomas en natation, Emilie Bridges en cyclisme, Terry Miller, Halba Diouf et Andraya Yearwo en course à pied, Alana McLaughlin en MMA,…) a privé des femmes de naissance de records et de médailles qu’elles méritaient par leurs entraînements et leurs efforts. Navratilova, ancienne championne de tennis s’est insurgée contre la présence d’athlètes transgenres :

« Le tennis féminin n’est pas fait pour les athlètes masculins ratés, quel que soit leur âge… C’est du patriarcat pour les hommes biologiques d’insister sur le droit d’entrer dans des espaces créés pour les femmes. Est-ce difficile à comprendre ? »

Après plusieurs études et de longs débats, les fédérations internationales d’athlétisme3, de natation4 et de cyclisme se sont rangées à cette opinion et ont décidé d’exclure les femmes trans des compétitions féminines tandis que plusieurs autres (l’International Rubgy League) l’envisagent à court terme. Dans les compétitions sportives, l’équité prime peu à peu sur l’inclusivité.

Les prisons

Dans les prisons, l’inclusivité des femmes trans a été demandée le 23 juin 2023 par un amendement de la France insoumise pour que n’importe quel homme emprisonné se déclarant femme, même si celui-ci est un violeur ou un tueur de femmes, puisse être incarcéré́ dans les prisons pour femmes : « La mise à l’écrou est effectuée en fonction de l’identité́ de genre déclarée de la personne condamnée, indépendamment du genre à l’état civil au moment de la condamnation ». Monsieur qui se déclare Madame n’aurait donc même pas besoin d’avoir effectué un changement de sexe à l’état civil, ni de se faire opérer pour bénéficier de cette mesure.

Cette inclusivité des trans en prison pour femmes a été suivie par des viols de femmes de naissance par les femmes trans au Canada, aux USA et en Grande-Bretagne5. En Écosse, la loi prévoyant d’enfermer une femme trans condamnée pour deux viols dans une prison pour femme a suscité une telle indignation publique que l’administration a finalement dû l’incarcérer dans un établissement conforme à son sexe de naissance. Au Danemark6, la Haute Cour de l’Est a jugé que la présence d’une prisonnière trans non opérée dans une prison pour femmes « poserait un risque de sécurité non insignifiant pour les femmes détenues ». Cette cour a également jugé que « le placement de la détenue dans une unité masculine ne violait pas ses droits, car il n’était pas fondé sur la non-reconnaissance du genre légal, mais sur une évaluation de la sécurité. »

Vie sociale

L’inclusivité des femmes trans dans les voyages scolaires, les dortoirs, les vestiaires, les douches et les toilettes et tous les espaces jusqu’ici réservés aux femmes de naissance menace la pudeur, la sécurité physique et le bien être psychologique des femmes de naissance.

Comment le planning familial fondé pour défendre le droit des femmes peut-il aujourd’hui soutenir l’idéologie trans genre qui veut les supprimer ?

Comme le rappellent Marguerite Stern et Dora Moutot pour le mouvement, Femelliste7 :

« Nous sommes passées d’un féminisme universaliste à un féminisme orwellien soumis à l’idéologie transgenre où les femmes ne semblent plus être le sujet central du féminisme… Le transgenrisme est un cheval de Troie masculiniste s’apparentant à une religion ».

L’éducation sexuelle du planning diffuse la théorie trans genre dans les écoles8

Le planning annonce clairement ses objectifs :

« Déconstruire les idées reçues sur les questions relatives à la sexualité etl’anatomie ; lever les tabousdès le plus jeune âge, “lutter contre les LGBTphobies…”. »

Pour le planning familial comme pour Pap Ndiaye, l’éducation sexuelle prônant la théorie transgenre constitue une matière aussi importante que les mathématiques !

Et il élève les relations sexuelles multiples simultanées au rang de droit (en attendant peut-être d’en faire un devoir ?)

Ce slogan en écriture inclusive donne un aperçu de la campagne d’éducation sexuelle « MonEducSex » que le Planning familial diffuse aux enfants dans les écoles. Et de poursuivre :

« En amour, il y a plein de possibilités ! Qu’on soit enfant ou adulte, il est possible de changer souvent d’amoureux.ses, ou d’avoir plusieurs amoureux.ses en même temps. Être en couple, relation composée de deux personnes, est un modèle mais pas le seul. »

Ces slogans ont suscité des réactions scandalisées que rapporte Paul Surgy dans le figaro 9 :

« La polygamie est interdite en France, donc merci au Planning qui n’a plus rien de familial d’arrêter d’en faire la promotion » « Comment préparer les femmes à servir encore plus le patriarcat ? ». « Les mêmes impôts qui servent à payer cette propagande de destruction de la famille, sont ceux qui serviront à payer les pensions des mamans sans maris, des enfants sans papas, les psys des enfants rendus fous par ce discours délirant… ! »

Charlie Hebdo et Marianne, ont souligné que le Planning familial a adopté l’idéologie intersectionnelle (affirmant la nécessité de penser ensemble les enjeux de classe, de genre et de race) depuis plusieurs années et dont a témoigné la volonté de certaines militantes de faire retirer le mot « laïcité » de la charte de l’association lors du congrès de Niort d’octobre 2019.

Anne-Sixtine Pérardel, conseillère en vie affective et sexuelle de l’association Déclic10 et auteure d’un livre récent11, précise :

« L’idée d’avoir plusieurs amoureux en même temps est une idée d’adultes que les enfants auprès desquels j’interviens ne comprennent pas ».

Le député (LREM) François Jolive juge que :

« La méthode est assez indigne… C’est de l’idéologie à 100 %. Et je regrette que le planning familial s’éloigne de sa mission, qui est utile. Il semble inféodé lui aussi à l’esprit de déconstruction à la mode. Laissez donc les enfants se construire en liberté, plutôt que de les instrumentaliser à des fins idéologiques ».

L’historienne du genre et militante féministe Marie-Jo Bonnet conclut ainsi :

« Encourager la polygamie chez les jeunes, ça n’a plus rien à voir avec le Planning familial que j’ai connu dans mon enfance ! Cela fait longtemps que cette association est passée aux mains de militants qui ne défendent plus les droits des femmes. Ils s’imaginent progressistes, mais il y a en réalité une perte totale des valeurs. »

La mission de l’école est d’enseigner les matières fondamentales : l’écriture, la lecture, les mathématiques, la biologie, l’histoire et la géographie ; elle y parvient fort mal. Soustraire plusieurs heures d’enseignement pour les consacrer à une propagande inadaptée à l’âge des enfants est mal venu. Et confier cette « éducation sexuelle » au planning familial particulièrement dangereux pour l’équilibre de nos enfants.

Informons nos élus pour qu’ils refusent l’augmentation des subventions que réclament le planning familial et d’autres organisations partisanes pour endoctriner nos enfants à l’école.





Le Cancer revisité

[Source : wissenschafftplus.de numéro Juillet-Septembre 2023]

[Traduction : Jean Bitterlin]

Par le Dr Stefan Lanka

Diagnostic du cancer et peur

Diagnostic de cancer et anxiété, veuillez résoudre les deux

La peur primitive de son propre corps, qui sommeille inconsciemment chez l’être humain depuis des siècles et qui s’est développée au fil de l’histoire, est particulièrement forte lors des diagnostics de cancer. À cause de ces diagnostics, les gens croient que le mal qui sommeille dans leur corps s’est réveillé et qu’il est devenu plus fort que ce qui est sain.

Le cancer apparaît comme une confirmation de la prophétie. Les traitements mortels sont acceptés. La souffrance et la mort qui en résultent sont la preuve finale. Rien n’est remis en question. Les personnes concernées, les familles, l’entourage, désormais la majorité de la population, s’identifient à leurs bourreaux. Le syndrome de Stockholm. C’est la raison pour laquelle la dictature des partis fonctionne. [Dans l’esprit des gens] Seul l’État peut lutter contre le cancer et les épidémies. Autrefois, on gouvernait avec une violence ouverte, aujourd’hui avec une violence cachée. Ce faisant, la majorité effrayée à mort, aujourd’hui 70 % (de la population — NDT), ne veut pas voir, par gratitude pour ses soi-disant protecteurs, que nous sommes gouvernés via le lobbying = corruption par des personnes qui n’ont jamais été élues.

Revenons à la biologie : dans le cas des diagnostics de cancer, contrairement aux allégations d’épidémie, il faut ajouter que la personne concernée se sent toute seule, totalement isolée et « exposée ». Cela va toujours « aux reins », c’est souvent la seule cause de décès. Si le rein se « ferme », le taux de filtration est augmenté pour retenir l’eau, l’élixir de vie central. Les symptômes et les douleurs peuvent ainsi augmenter jusqu’à devenir insupportables. La mort survient alors sous l’effet de la drogue légale.

À retenir : apprenez à connaître la biologie réelle avant de vous faire piéger par des diagnostics mortels.

Conseil : les symptômes qualifiés de cancer ont un sens biologique comme tous les autres symptômes. Ils peuvent nécessiter un traitement et devenir dangereux si les situations de choc persistantes sous-jacentes (« conflits biologiques ») persistent pendant de longs mois, années et avec une grande intensité. Il faut, comme pour tous les symptômes, que la phase « conflictuelle » soit courte, que le conflit sous-jacent soit résolu. La guérison qui s’amorce alors en 0,5 à 12 heures doit être accompagnée de manière judicieuse, avec des mesures appropriées, des médicaments, des analgésiques, afin de ne pas stopper ou chroniciser la guérison.

Cancer et métastases —Un deuxième diagnostic fatal

Après un premier diagnostic « Cancer », de plus en plus de personnes remettent en question les diagnostics et les propositions de traitement. Après le deuxième diagnostic, c’est-à-dire l’affirmation que le cancer s’est propagé, presque tous abandonnent. Pourquoi ? Le deuxième diagnostic est perçu comme la preuve que le premier diagnostic, le pronostic et les recommandations thérapeutiques étaient corrects : Le mal est devenu super-méchant et s’est mis à pérégriner.

Le premier diagnostic provoque souvent d’autres « conflits biologiques ». Grâce aux examens les changements physiques qui en résultent deviennent visibles. Celui qui est « frappé » par ce diagnostic, par exemple parce qu’il pense qu’il ne peut plus se nourrir, a une croissance dans le foie. En cas de peur de la mort, les poumons réagissent. En cas d’effondrement de l’estime de soi, ce sont les os. En cas d’effondrement de l’estime de soi qui touche la personnalité, ce sont les vertèbres lombaires. Etc., pp.

Comme toutes les modifications du corps s’accompagnent toujours de signaux spécifiques aux endroits correspondants dans le cerveau, celui qui sait reconnaît que, où et pourquoi il y a une croissance ou une dégradation accrue dans le corps. Le médecin conventionnel est contraint, par sa vision purement matérielle, d’interpréter ces signaux dans le cerveau comme des métastases. Les métastases n’ont jamais été détectées. Elles sont les virus des oncologues. Cette calamité, sous sa forme actuelle, a commencé en 1858.

À retenir : la connaissance est le plus grand guérisseur, l’ignorance est la cause de tous les problèmes (sagesse de l’Inde ancienne).

Conseil : en plus de la biologie réelle, intériorisez notre histoire. Vous trouverez ainsi une sécurité supplémentaire, car vous comprendrez d’où viennent et se sont développées les idées de malignité dans le corps. Depuis 2003, j’en parle avec beaucoup d’autres dans le magazine WissenschafftPlus.


La mort de Dirk Hamer

En raison de l’actualité :
Le roi qui n’en a jamais été un.
La mort de Dirk Hamer sur Netflix. Une prise de conscience résultante pour la bénédiction de tous les êtres humains.

Netflix présente un documentaire sur les raisons de la mort de Dirk Hamer. Il a été touché par une balle tirée par le prince héritier d’Italie et a succombé plus tard à ses blessures. La balle était destinée à quelqu’un d’autre ou devait dissuader ou punir ce dernier et son groupe de voyage en bateau à moteur. Des membres du groupe de touristes avaient auparavant insulté gravement le prince héritier et sa famille dans un restaurant de luxe, ce qui n’apparaît pas dans ce documentaire, et ils avaient volé sa chaloupe et ne l’avaient pas ramenée.

Sur le plan pénal, le prince héritier, qui faisait entre autres le commerce d’armes de guerre lourdes, n’a pas été sanctionné, contrairement à tous les faits et à la loi. Il a cependant admis plus tard, ce qui a été documenté par un enregistrement vidéo, avoir atteint Dirk Hamer avec une balle de son fusil. Suite à la mort de son fils Dirk, son père, le génie exceptionnel et médecin Dr Ryke Geerd Hamer, a développé un cancer des testicules. Il a reconnu le « cancer » comme une réaction « psychosomatique » au « choc conflictuel biologique » de la mort de son fils.

Au moyen de la technique du scanner cérébral CT (NdT : CT pour tomographie assistée par ordinateur), le Dr Hamer a pu prouver que toutes les « maladies », à l’exception des carences et de l’intoxication, et notamment les modifications psychiques, ne sont pas malignes ou défectueuses, mais qu’il s’agit de programmes biologiques spéciaux judicieux, en abrégé SBS (NdT : SBS pour Sinnvolle Biologische Sonderprogramme). Ces SBS aident la personne concernée à survivre dans une situation existentielle et s’inversent lorsque les conflits biologiques ou les traumatismes sont effectivement résolus ou transformés mentalement en quelque chose de neutre ou de positif.

La quintessence : dans la biologie réelle, le mal, « l’incurable » et les porteurs de défauts matériels comme les virus n’existent pas. La biologie réagit toujours de manière sensée, toujours en symbiose, toujours en se tournant vers la préservation et le développement = l’amour. Plus encore : si je connais ma biologie, je me comprends, je comprends l’autre et je ne porterai plus de jugement. C’est une condition préalable au revirement et au pardon, à la capacité de paix de l’être humain. C’est ce que Dirk Hamer nous a offert à tous. Par sa souffrance, sa mort et par son père. Deux pour tous. Trois, car un grand merci et un grand respect reviennent à la sœur de Dirk, Birgit Hamer, qui a obtenu la justice avec un engagement total et qui diffuse avec ce documentaire la connaissance essentielle de son père, grâce à laquelle beaucoup de choses peuvent être déduites d’elles-mêmes.

À retenir : les connaissances libérées par la mort de Dirk permettent la rédemption du mal dans le domaine de la médecine et au-delà.

Conseil : Offrez-vous la joie de vivre et la confiance en comprenant et en dissipant les peurs injustifiées. Pour cela, recherchez sur Internet les détails du système de connaissance du Dr Ryke Geerd Hamer, avant que le complexe numérique-financier n’entrave ou n’empêche encore plus, par le biais de « l’IA », la découverte de ces connaissances.

Foi et santé
Comment cela fonctionne-t-il ?

Du point de vue de la biologie réelle, l’influence positive de la foi sur la santé est bio-logique. Si JE me sens désiré, intégré dans l’information et l’énergie, libre, avec des tâches à accomplir dans la vie, je peux plus rapidement résoudre de fait des expériences menaçantes pour mon existence (= conflits biologiques), les transformer mentalement vers le bas ou les dissoudre que quelqu’un qui se sent comme un assemblage de molécules créé par hasard. La phase conflictuelle se raccourcit, l’intensité du vécu diminue et, par conséquent, la durée et le degré de plainte de la phase de rétablissement (« maladie »).

Cela peut aller au point que, par exemple, les brûlures, les marches sur les braises, les effets des radiations, etc. ne laissent aucune trace. Dans le tableau de la « biologie réelle » du Dr Ryke Geerd Hamer, on voit toutes les zones du corps et des organes listées, dans quel type de « conflits biologiques » elles réagissent et de quelle manière. Comme non seulement il ne suffit pas d’un événement, mais d’un mot, pour lancer un « programme », c’est-à-dire des changements et des symptômes significatifs, il est prouvé :

Il existe dans chaque partie du corps une intelligence qui comprend les mots et le contexte et qui a la capacité d’augmenter ou de diminuer des structures et des fonctions matérielles très complexes : pour permettre à l’homme de survivre même dans des situations extrêmes. Cet ensemble de potentialités informationnelles, énergétiques et matérielles est l’esprit actif. Cet esprit est-il aussi devenu notre « chair » ?

À retenir : le corps est le traducteur de l’âme dans le visible. Christian Morgenstern

Conseil : « Croire et faire confiance » est la formule la plus courte qui soit efficace. Elle est signée Bruno Gröning.

[Voir aussi :
Une autre vision du cancer
et
La Nouvelle Biologie]




Gates produira beaucoup plus de mal que de bien avec son IA

[Source : anguillesousroche.com]

Un rapport du BMJ prévient que l’incursion de la Fondation Gates dans le domaine de « l’IA pour la santé mondiale » produira beaucoup plus de mal que de bien

Une critique familière à l’égard de la Fondation Gates.

L’« initiative IA » de la Fondation Gates est examinée et critiquée de divers points de vue. Aujourd’hui, un trio d’universitaires a donné son point de vue sur l’utilisation controversée de l’IA pour faire progresser la « santé mondiale ».

Cette réaction, rédigée par des chercheurs de l’université du Vermont, de l’université d’Oxford et de l’université du Cap, semble avoir été motivée par une annonce faite au début du mois d’août.

À l’époque, la Fondation Gates a fait savoir au monde entier qu’elle mettait en place un nouveau programme, d’une valeur de 5 millions de dollars, destiné à financer 48 projets dont la tâche était de mettre en œuvre des modèles de langage à grande échelle (LLM) « dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire afin d’améliorer les moyens de subsistance et le bien-être des communautés à l’échelle mondiale ».

Chaque fois – et cela fait maintenant plusieurs fois – que la Fondation choisit de se présenter comme le « bienfaiteur » des « pays à revenu faible ou intermédiaire » (c’est-à-dire les pays non développés ayant peu de recours pour se protéger de nombreuses choses, y compris l’apparent complexe du « sauveur » de Bill Gates), les observateurs critiques de l’organisation et des « expériences » de son fondateur se sentent quelque peu, voire beaucoup, mal à l’aise.

Mais les sentiments sont une chose et les faits scientifiques, espérons-le, en sont souvent une autre, et le document, dont l’essentiel est disponible dans un article, pose la question suivante : la Fondation Gates essaie-t-elle de « sauter les inégalités mondiales en matière de santé » ?

Comme on dit dans le sud des États-Unis, l’anatomie d’une grenouille est-elle étanche ?

Mais en langage scientifique, l’initiative annoncée le 9 août est très probablement un autre projet de la Fondation Gates qui, tout en faisant toutes les bonnes promesses – améliorer la vie et le bien-être des gens dans le monde entier, en particulier des pauvres ou de ceux qui frôlent la pauvreté (et donc évidemment très vulnérables, en particulier à un « altruisme » douteux) -, pourrait donner des résultats très différents.

L’étude ne mâche pas ses mots. Extrait d’un article connexe :

« Il y a au moins trois raisons de croire que l’imposition sans entrave de ces outils dans des systèmes de prestation de soins de santé déjà fragiles et fragmentés risque de faire beaucoup plus de mal que de bien. »

« La recherche s’intéresse ensuite à la nature même de l’”IA”, c’est-à-dire à l’apprentissage automatique. Si vous introduisez des données biaisées ou de mauvaise qualité dans une machine qui est censée “apprendre”, vous en obtiendrez une reproduction, peut-être même pire qu’avant », expliquent les auteurs.

Ainsi, si nous devons croire ce que font de nombreux chercheurs et activistes, à savoir que « le monde et l’économie politique qui le gouverne sont structurellement racistes », à quoi peut-on s’attendre comme résultat de l’apprentissage de l’« IA », à partir de cet énorme ensemble de données particulier ?

Et puis, une autre raison « de s’opposer au déploiement inconsidéré de l’IA dans la santé mondiale », selon ce document, « est l’absence presque totale de réglementation et de contrôle réels et démocratiques – une question qui s’applique à la santé mondiale de manière plus générale ».

On ne s’attendrait pas nécessairement à ce que des scientifiques s’expriment aussi profondément, mais c’est pourtant ce qu’ils font :

« En fin de compte, les bords durs et tranchants du capital, du commandement et du contrôle sont entre les mains d’un très petit nombre d’entités et d’individus, notamment la société Microsoft elle-même, qui a investi plus de 10 milliards de dollars dans l’OpenAI. »

Comment dit-on “mic drop”(([1] Un mic drop est le fait de lâcher son micro à la fin d’une performance ou d’un discours jugé particulièrement réussi par la personne qui l’a réalisé. Utiliser l’expression (initialement afro-américaine) « mic drop » est une façon de clore une discussion au sens propre ou figuré avec confiance et arrogance.)) – en langage scientifique ?

Lire aussi : Un responsable africain s’en prend à Bill Gates et George Soros : « Mon continent n’est pas votre laboratoire climatique géant »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Pour certains, le consensus fait office de vérité

[Source : ripostelaique.com]

Par Jean Saunier

Monsieur ARN messager commente :

« Une grande majorité de Français sont favorables à la contraception, à l’avortement et à l’euthanasie et c’est très bien comme cela ».

Autrement dit, le consensus fait office de vérité, l’opinion majoritaire sert l’évidence, sans discussion, sans argument.
De même, les Français ont peur du Covid, pandémie mortelle, et acceptent toutes les mesures sanitaires : port du masque, tests de dépistage, injections répétées. Pourtant des scientifiques remettent en cause et démontrent l’inutilité et les dangers de ces mesures.

De même, les Français ont peur du réchauffement climatique, déplorent les causes anthropiques de ce phénomène, et adoptent les solutions dites écologiques : voitures électriques, éoliennes, panneaux solaires. Pourtant, des scientifiques affirment le rôle bénéfique du CO2 et dénoncent les méfaits de ces solutions.
De même, les Français approuvent les réformes sociétales liées à la théorie du genre : mariage homo, éducation à la sexualité, LGBTisation de la société, transgenrisme, sexualisation des enfants, propagande homosexuelle dans les écoles, procréation artificielle, transhumanisme. Pourtant, des scientifiques expliquent que ces réformes sont contraires à l’ordre naturel.

Mais relativement à ces sujets, une pensée unique idéologique impose sa vision de tous les problèmes qui se posent. Plus de contestation possible. Plus de débat constructif. Une seule vérité, une vérité absolue. Les Français acculturés, matraqués, conditionnés, endoctrinés, se comportent comme des moutons, allusion aux moutons de Panurge mis en scène par Rabelais dans le Quart Livre en 1552. Panurge, compagnon de Pantagruel, jette un mouton à la mer, et le troupeau entier suit ce mouton, emportant sur son passage le marchand Didenaud qui s’est moqué de Panurge et le reste de l’équipage.

De plus en plus, les Français se comportent ainsi, en « suiveurs », c’est-à-dire suivent l’opinion générale sans chercher à se forger une critique propre, suivent la majorité sans se poser de questions. Cette attitude peut entraîner une submersion générale de la population française, comme la noyade des moutons de Panurge.
Le programme transhumaniste a d’abord porté sur l’espèce humaine et les races, c’était l’eugénisme. Ses promoteurs sont tous issus de la libre pensée et de la franc-maçonnerie.

Herbert Spencer, philosophe anglais (1820-1903), ajoute à la loi de l’évolution celle de la « survie du plus apte », en 1864. Au sein de l’espèce humaine, la sélection naturelle s’opère par la concurrence entre personnes, sociétés ou races, ce qui assure l’élimination des plus faibles et le triomphe des plus aptes, et engendre le progrès.
Thomas Huxley, grand-père de Julian et de Aldous (1825-1895), et Ernst Haeckel, biologiste allemand, eugéniste radical, favorable au suicide et à l’euthanasie (1834-1919), développent toute une philosophie moniste autour de l’évolutionnisme. Philosophie fondée sur l’idée d’une continuité et d’une unité fondamentale de la nature organique et de la nature inorganique, sur l’abolition des frontières entre le végétal et l’animal, entre l’animal et l’humain. Philosophie qui reconnaît l’animalité humaine et n’accepte pas la naturalité de l’homme tel qu’il existe. Haeckel fut membre de la Ligue pangermaniste, et de la Société allemande d’hygiène raciale qui contribuèrent toutes deux à la doctrine nazie.

En France, Clémence Royer, fondatrice de l’obédience maçonnique Droit humain (1830-1902), introduit l’eugénisme radical. Elle traduit L’origine des espèces de Darwin et dénonce les « représentants déchus ou dégénérés de l’espèce ».
Paul Robin, anarchiste proche de Bakounine, pionnier de l’éducation libertaire, eugéniste (1837-1912), fonde en 1896 une Ligue pour la Régénération humaine qui promeut la contraception, l’avortement et la liberté sexuelle. Il souhaite œuvrer à l’émergence d’une « nouvelle race, scientifiquement tant améliorée » que disparaîtraient tous les « résidus d’une fausse civilisation ». Pour lui, le respect « de la chasteté, de la pureté, est le dernier lambeau le plus résistant à la destruction des doctrines métaphysiques qui ont toujours opprimé les humains ».
Charles Richet, prix Nobel de médecine en 1913 et vice-président de la Société française d’eugénisme (1850-1935), préconise « l’élimination des races inférieures et des anormaux ».

Tous sont persuadés d’avoir découvert la vérité du progrès humain, comme les genristes, les libertaires, les avorteurs, les transhumanistes d’aujourd’hui. Tous détestent le christianisme et son ordre naturel. Tous dénoncent le caractère antinaturel de la charité envers les faibles.

Margaret Sanger, fondatrice du Planning familial (1879-1966), veut séparer la sexualité et la procréation, elle dit en 1922 : « aucun espoir de progrès n’est possible tant que l’on n’atteint pas une nouvelle conception du sexe, qui ne soit pas simplement un acte procréatif, une nécessité biologique pour la perpétuation de la race humaine, mais un mode d’expression psychique et spirituelle ».
Le contrôle de la procréation a donc une double finalité. Finalité eugénique : « prévenir la naissance de ceux qui transmettraient une imbécillité à leur descendance ». Finalité spirituelle : « un instrument de libération et de développement humain ».
Pour Margaret Sanger, « par le sexe, l’humanité peut atteindre la plus grande illumination spirituelle qui va transformer le monde, qui va illuminer l’unique chemin vers un paradis terrestre ». Toujours cette illusion millénariste et socialiste de paradis terrestre.

Julian Huxley, premier directeur de l’UNESCO, théoricien de l’eugénisme (1887-1975), milite également pour la diffusion de la contraception et de l’avortement, comme moyens de limitation des naissances des êtres « inférieurs ». Il recommande d’agir sur la sexualité, en la stérilisant, et aussi sur la procréation, en la sélectionnant. N’est-ce pas ce qui se passe aujourd’hui ? Les injections géniques n’ont-elles pas pour fonction entre autres de stériliser la jeunesse ? L’avortement généralisé n’opère-t-il pas une sélection de l’espèce humaine ?

Pour Julian Huxley, « toutes sortes de possibilités pourraient émerger » si la société adoptait le système recommandé par Hermann Müller consistant à « séparer les deux fonctions de la sexualité et de la reproduction » et d’utiliser pour la procréation les gamètes de « quelques mâles hautement doués ». Cette séparation améliorerait non seulement la race humaine, mais rendrait les relations sociales plus altruistes, car moins marquées par la concurrence sexuelle, à l’instar des sociétés de fourmis ou d’abeilles. Les vœux de Huxley n’ont-ils pas été exaucés ? La procréation artificielle et le choix des gamètes ne sont-ils pas mis en œuvre par une certaine caste ? Quant aux relations sociales plus altruistes, on risque d’attendre longtemps.

Hermann Müller (1899-1965), chimiste suisse, prix Nobel en 1948, proposa la création d’une banque de sperme dans le but de collecter et de diffuser les semences d’hommes supérieurs. En 1936, il proposa à Staline de contribuer et d’employer cette banque de sperme pour régénérer la population de l’URSS. Avec de telles références, on peut évidemment vulgariser et propager l’avortement, accréditer les thèses relatives à l’euthanasie et à l’eugénisme. Les idéologues
mondialistes n’ont-ils pas pour mission de régénérer l’humanité ?

La « Ligue mondiale pour la réforme sexuelle », fondée en 1928, milite à la fois pour la contraception, l’eugénisme, et l’acceptation « des personnes sexuellement anormales ». D’où le lien entre eugénisme et révolution sexuelle. Margaret Sanger, les héritiers de Paul Robin, Julian Huxley, figurent parmi les membres et les soutiens de cette fondation. Peu après, ces individus s’engagent dans des mouvements en faveur de la légalisation de l’euthanasie. Beaucoup d’entre eux sont issus des sociétés eugénistes. Ils veulent dominer la vie. IIs veulent transcender l’ordre naturel.

La contraception permet de séparer la sexualité de la procréation, c’est le premier degré.
La fécondation in vitro permet de séparer la procréation de la sexualité, c’est le deuxième degré.
La gestation d’avec le corps, gestation par utérus artificiel, appelée ectogenèse, conçue en 1923 par le généticien britannique John Burdon Sanderson Haldane (1892-1945), n’est pas encore réalisée à ce jour, mais est préparée dans des laboratoires, et par la diffusion de sa forme « artisanale », la Gestation pour Autrui, GPA. C’est le troisième degré.

Julian Huxley, John Burdon Sanderson Haldane, et Hermann Müller se connaissaient bien. En 1939, ils ont cosigné un « manifeste des généticiens » recommandant aux gouvernements d’adopter « une sorte d’encadrement conscient de la sélection » pour rendre possible une amélioration génétique des générations futures.
Julian Huxley, président de la fondation de l’Union internationale humaniste et éthique, a donné un nom à cette vision prométhéenne de l’humanité, le « transhumanisme », et l’a déclarée « religion de l’avenir ». Humaniste, éthique, ces beaux mots enveloppent l’idéologie eugéniste.
Eugénisme : il faut cacher ce mot à la connotation nazie répulsive.

Günthers Anders, philosophe allemand (1902-1992), appelle ce phénomène « la honte prométhéenne ». Un sentiment de faiblesse s’empare de l’homme quand celui-ci compare sa condition biologique à la toute-puissance de la machine. L’homme serait dépassé par sa création, il souhaiterait devenir lui-même une machine. Mais qui est cet homme qui se sent réellement honteux face à ses propres prouesses techniques ? En quoi cette honte pourrait-elle l’aider à surmonter sa condition pour adopter la condition d’une machine ?

Aldous Huxley, frère de Julian, et petit-fils de Thomas, a exposé cette perception dans le Meilleur des mondes. Il n’a rien inventé, il a écouté ses proches.
Ces grandes figures ont eu des héritiers, que l’on trouve principalement au sein de la franc-maçonnerie : Pierre Simon, Henri Caillavet, Jean-Louis Touraine, Macron.
Le 14 octobre 2019, lors d’une conférence à l’école Polytechnique, Laurent Alexandre exprime sa vision de l’homme :

« … En revanche, vous dans cette salle, vous allez vivre un âge d’or, et nous devons créer une société inclusive… Ce que Harari appelle des dieux et des inutiles, les dieux, vous, qui maîtriserez, contrôlerez, managerez les technologies transhumanistes, et les inutiles, les gens moins favorisés, qui auront du mal dans le monde compliqué dans lequel nous rentrons… »

« La protection de la planète et la prétendue lutte contre le changement climatique sont des arguments utilisés depuis des années par certaines agences et certaines personnes très puissantes pour vendre la nécessité de réduire la population mondiale et de répandre l’avortement et la contraception… »

Le monde des Harari, Alexandre, Attali, Macron, est le monde de l’avortement, de l’euthanasie, du transhumanisme, donc de l’eugénisme. Un monde inhumain, barbare, insensible, monstrueux, sanguinaire. Des Français déculturés, manipulés, éduqués, formatés, ayant perdu tout sens de la morale et de l’humanité se rapprochent de ce monde.
Avortement dans certains cas ciblés, oui, mais quelles sont les conséquences de l’avortement popularisé pour la mère, pour le fœtus, pour la population ?
Soins palliatifs pour les personnes en fin de vie, oui, mais l’euthanasie légalisée produira des abus incontrôlables.
En tout cas, ces pratiques relèvent d’un eugénisme intolérable.

L’erreur est-elle utile à la découverte de la vérité ? Oui assurément. Mais si l’erreur est multiple, la vérité est une. Le dialogue donne lieu à l’approche de la vérité, mais les gaucho-mondialistes refusent l’échange et ne connaissent que l’insulte. En fait, la vérité absolue est inaccessible, hors de portée.




Pourquoi tous les « virus » proviennent-ils des laboratoires ?

[Source : @TheAmir]

L’histoire de la « fuite du laboratoire » du COVID-19 est diffusée sur les plateformes grand public depuis le début de l’année 2020.

Cependant, de nombreux membres de la communauté dite « de la liberté » présentent l’histoire comme une dissimulation de haut niveau. Ils affirment que la recherche est devenue incontrôlable et que des « agents pathogènes artificiels » sont en liberté.

Cependant, sur quelles preuves s’appuient ces affirmations ?
Comprennent-ils vraiment les articles essentiels de virologie sur le « gain de fonction » ?

Dans cette vidéo, nous verrons pourquoi tous les « virus » proviennent de laboratoires, mais [aussi] pourquoi vous n’avez rien à craindre.

Samantha Bailey



References




Le racket NewsGuard : La vérification des faits, offerte par Big Pharma

[Source : childrenshealthdefense.org]

NewsGuard, une organisation de vérification des faits à but lucratif soutenue par Big Pharma, Big Tech, le syndicat des enseignants et le gouvernement américain, s’est érigée en arbitre mondial autoproclamé de ce que sont les informations « dignes de confiance ».

Par Dr. Joseph Mercola

L’histoire en un coup d’œil :

  • NewsGuard est une organisation de vérification des faits à but lucratif soutenue par les grandes sociétés pharmaceutiques et technologiques, le syndicat des enseignants et le gouvernement américain.
  • NewsGuard s’est autoproclamé arbitre mondial des informations « dignes de confiance » sur la base de neuf facteurs de « crédibilité et de transparence », pour les informations consultées sur des appareils électroniques privés, dans les écoles et dans les bibliothèques publiques. Sa véritable raison d’être est cependant de mettre en faillite les sites de médias alternatifs en faisant fuir les annonceurs.
  • Fin octobre, Consortium News a poursuivi NewsGuard et le gouvernement américain pour diffamation et violation du premier amendement, arguant que l’organisme de vérification des faits était de connivence avec les services de renseignement américains pour supprimer les opinions divergentes en matière de politique étrangère.
  • NewsGuard a qualifié Consortium News d’organisation médiatique « anti-américaine », bien qu’il n’ait critiqué que six de ses plus de 20 000 articles et aucune de ses vidéos.
  • L’un des PDG de NewsGuard, Louis Gordon Crovitz, est membre du Council on Foreign Relations (CFR), un acteur clé de la Grande Réinitialisation. Depuis sa création, le CFR a pour objectif de saper la souveraineté et l’indépendance nationale des États-Unis afin d’instaurer un gouvernement mondial unique et tout-puissant.

Dans la vidéo ci-dessous, Marissa Streit, PDG de PragerU, s’intéresse à NewsGuard, un organisme de vérification des faits à but lucratif soutenu par Big Pharma, Big Tech, le syndicat des enseignants et le gouvernement américain.

NewsGuard s’est autoproclamé arbitre mondial des informations « dignes de confiance » sur la base de neuf facteurs de « crédibilité et de transparence », pour les informations consultées sur des appareils électroniques privés, dans les écoles et dans les bibliothèques publiques.

Le démarrage de NewsGuard, qui a coûté 6 millions de dollars, a été financé en partie par le groupe Publicis, l’une des plus grandes sociétés de relations publiques au monde. Nombre des plus grandes entreprises pharmaceutiques font appel à leurs services, et le conseil d’administration de Publicis Health se compose également d’un groupe de personnalités de premier plan ayant des antécédents ou des affiliations dans le secteur des grandes entreprises pharmaceutiques. J’ai détaillé ces liens dans mon article du 5 octobre 2021 intitulé « The Web of Players Trying to Silence Truth » (La toile des acteurs qui tentent de faire taire la vérité).


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NewsGuard censure la vérité, pas les fausses nouvelles

Au printemps 2020, NewsGuard a classé mercola.com dans la catégorie des « fake news » parce que nous avions signalé que le virus du SRAS-CoV-2 avait potentiellement fui du laboratoire de niveau de biosécurité 4 de la ville de Wuhan, en Chine, épicentre de l’épidémie de COVID-19.

Un an plus tard, le Congrès américain a lancé une enquête pour explorer la théorie de l’accident de laboratoire après qu’il est apparu que les National Institutes of Health avaient financé des recherches sur les coronavirus de chauve-souris à l’Institut de virologie de Wuhan.

Il est intéressant de noter qu’un rapport de CNN daté du 16 avril 2020 a révélé que la censure des articles mentionnant la possibilité que le SRAS-CoV-2 ait pu s’échapper de l’installation de niveau de biosécurité 4 de Wuhan semble être dirigée par la Chine, ce qui signifie que NewsGuard a protégé de manière fonctionnelle les intérêts chinois.

[Note de Joseph : l’affaire du supposé virus échappé d’un labo n’a pas plus de justification scientifique que celle de son échappement d’un pangolin ou d’une chauve-souris. Ce n’est qu’un écran de fumée destiné à maintenir vivante la croyance en l’existence de méchants virus en dépit du fait que l’hypothèse virale a été réfutée il y a déjà sept décennies. Voir notamment C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et Un adieu à la virologie dans le dossier Vaccins et virus. La science véritable évolue par la remise en question permanente de ses théories, mais quand une hypothèse prétendument scientifique devient indiscutable, elle relève désormais de l’ordre des croyances religieuses. Il y a longtemps que la virologie n’est plus une science, car notamment les expériences de contrôle indispensables à la démonstration scientifique ne sont jamais effectuées par les virologues. À la place, ils pratiquent des rituels relevant de mauvaise cuisine, comme la prétendue « culture » virale.]

Comme le note Streit, si vous êtes une société à but lucratif payée par Big Pharma, dans quelle mesure pouvez-vous être neutre et impartial lorsque vous vérifiez les faits des articles qui critiquent l’industrie ? Il est bien connu que celui qui tient les cordons de la bourse a beaucoup d’influence.

Le racket de NewsGuard

Selon M. Streit, la plupart des employés de NewsGuard sont également des « activistes de gauche » qui ne supportent pas les médias non libéraux comme PragerU, The Daily Wire, The Federalist et Breitbart.

Elle explique correctement comment fonctionne leur petit jeu d’« enquête impartiale ». Tout d’abord, ils vous envoient un courrier électronique contenant une liste de questions accusatrices sur un sujet brûlant que vous avez abordé sur votre site.

Si vous répondez, ils ignorent vos réponses et vous envoient une nouvelle liste de questions. Si vous ne répondez pas, vous avez confirmé à leurs yeux que vous n’êtes pas une source fiable.

« Pile ils gagnent, face vous perdez », dit Streit.

Quelle que soit l’approche utilisée, NewsGuard apposera une étiquette « fake news » sur votre site afin de faire fuir les lecteurs et de dire aux agences de publicité et aux grandes entreprises de se tenir à l’écart et de placer leur budget publicitaire ailleurs.

Comme le fait remarquer Mme Streit, pour les organes de presse qui ont besoin d’annonceurs pour rester à flot, « cela peut coûter très cher, très vite ». Les entreprises peuvent facilement être acculées à la faillite de cette manière, et « bien sûr, c’est ce qui est prévu », dit-elle.

NewsGuard sert également de pare-feu pour protéger les grandes entreprises technologiques contre les accusations de censure.

Lorsque des sources conservatrices affirment que les grandes entreprises technologiques censurent leurs opinions, celles-ci se contentent de répondre : « Nous n’avons porté aucun jugement. Nous avons engagé un vérificateur de faits tiers qui nous a dit que cette histoire, ou ce site web, n’était pas digne de confiance ».

« En bref, NewsGuard leur permet de censurer la parole sans laisser d’empreintes digitales », explique M. Streit.

NewsGuard poursuivi en justice pour avoir supprimé des opinions divergentes en matière de politique étrangère

N’oublions pas non plus que le gouvernement américain sponsorise NewsGuard. Le ministère américain de la Défense a versé 750 000 dollars à NewsGuard « pour surveiller les tendances en matière de “désinformation” en ligne », « ce qui est une façon orwellienne de dire “les informations que le ministère de la Défense n’aime pas” », explique M. Streit.

Exemple : fin octobre, Consortium News a poursuivi NewsGuard et le gouvernement américain pour diffamation et violation du premier amendement, arguant que le vérificateur de faits était de connivence avec les services de renseignement américains pour supprimer les opinions divergentes en matière de politique étrangère.

Comme l’a rapporté Consortium News le 23 octobre :

« Le gouvernement des États-Unis et le “chien de garde” de l’Internet NewsGuard Technologies, Inc. ont été poursuivis aujourd’hui devant le tribunal fédéral de Manhattan pour violation du premier amendement et diffamation par le Consortium for Independent Journalism, une organisation à but non lucratif qui publie Consortium News.

La plainte déposée par Consortium News accuse le Cyber Command du Pentagone, un élément de l’Intelligence Community, d’avoir passé un contrat avec NewsGuard pour identifier, rapporter et restreindre le discours des médias américains qui s’opposent aux positions officielles des États-Unis en matière de politique étrangère.

Dans le cadre de son contrat avec le Pentagone, NewsGuard “agit conjointement ou de concert avec les États-Unis pour contraindre les organismes de presse à modifier leurs points de vue” sur l’Ukraine, la Russie et la Syrie, imposant une forme de “censure et de répression des points de vue” qui diffèrent ou s’opposent aux politiques des États-Unis et de leurs alliés…

Lorsque des groupes de médias sont condamnés par le gouvernement comme étant “anti-américains” et sont accusés de publier du “faux contenu” parce qu’ils ne sont pas d’accord avec les politiques américaines, le résultat est l’autocensure et la destruction du débat public prévu par le premier amendement », a déclaré Bruce Afran, l’avocat de Consortium News. »

Selon la plainte, NewsGuard utilise un logiciel pour marquer les sites ciblés avec des étiquettes d’avertissement qui décrivent le contenu comme étant de la « désinformation » ou du « faux contenu ».

Dans le cas de Consortium News, son site a été qualifié d’organisation médiatique « anti-américaine », bien que NewsGuard n’ait critiqué que six de ses plus de 20 000 articles et aucune de ses vidéos.

Selon Consortium News :

« La plainte demande une injonction permanente déclarant le programme conjoint inconstitutionnel, interdisant au gouvernement et à NewsGuard de poursuivre de telles pratiques et plus de 13 millions de dollars de dommages et intérêts pour diffamation et violation des droits civils. »

Le gouvernement américain a également été pris en flagrant délit de financement du Global Disinformation Index (GDI), aujourd’hui discrédité, qui ciblait sélectivement les médias conservateurs et non libéraux.

Selon le Washington Examiner, le GDI a envoyé des listes noires à des sociétés de publicité « dans le but de défrayer et de fermer des sites web qui colportent de la prétendue “désinformation”. »

NewsGuard a pour mission de réduire au silence les médias alternatifs

L’opération Mockingbird de la CIA a été officiellement annulée en 1976, mais cela ne signifie pas que son contrôle sur les médias a pris fin.

Si les trois dernières années nous ont montré quelque chose, c’est que tous les grands médias sont désormais totalement contrôlés.

Si vous voulez avoir une opinion différente de celle qui prévaut, vous devez rechercher des sources d’information indépendantes, et ce sont ces sources que NewsGuard tente de détruire.

Caitlin Johnstone a abordé cette question dans un article de janvier 2019 :

« Un rapport diffusé dans les médias grand public par des fonctionnaires anonymes des services de renseignement en septembre affirmait que des employés du gouvernement américain à Cuba avaient subi des lésions cérébrales semblables à des commotions cérébrales après avoir entendu des bruits étranges dans des maisons et des hôtels, le coupable le plus probable étant des “micro-ondes sophistiquées ou un autre type d’arme électromagnétique” en provenance de Russie.

L’enregistrement d’une de ces attaques hautement sophistiquées a été analysé par des scientifiques et s’est avéré être l’appel à l’accouplement du grillon mâle à queue courte des Indes… L’histoire réelle, débarrassée de l’hyperventilation et de la panique russe, est que des employés du gouvernement ont entendu des grillons à Cuba…

Ce n’est que le dernier épisode d’une longue série de terribles débâcles dans les médias de masse, les journalistes désireux de démontrer leur fidélité inconditionnelle à l’empire centralisé des États-Unis s’empressant de rapporter toute histoire qui donne une mauvaise image de la Russie, sans faire preuve de la diligence nécessaire.

Les seules voix qui ont remis en question le récit russe de l’establishment […] sont celles que les médias de masse refusent de diffuser. Les médias alternatifs sont les seules grandes plateformes de dissidence par rapport aux récits autorisés de la classe politique/médiatique détenue par les ploutocrates.

Imaginez donc à quel point il serait désastreux que ces derniers bastions du scepticisme et de la responsabilisation du pouvoir soient éliminés du paysage médiatique. C’est exactement ce que tente de faire une organisation douteuse appelée NewsGuard…

Un nouveau rapport de la journaliste Whitney Webb pour MintPress News explique en détail comment NewsGuard s’efforce de cacher et de démonétiser les médias alternatifs comme MintPress. »

Comme le souligne Johnstone, NewsGuard est « dirigé par certains des individus les plus virulemment pro-impérialistes d’Amérique » et « son programme visant à renforcer le contrôle narratif pour le pouvoir en place est clair ».

NewsGuard lié au conseil antiaméricain des relations étrangères

En effet, l’un des PDG de NewsGuard, Louis Gordon Crovitz, est membre du CFR, un acteur clé de la Grande Réinitialisation.

Le CFR est financé en partie par les fondations Gates, Rockefeller, Ford et Carnegie, et a influencé la politique étrangère des États-Unis depuis sa création il y a 95 ans.

Presque tous les secrétaires américains à la défense ont été membres à vie, de même que la plupart des directeurs de la CIA. Cela revêt une importance cruciale, étant donné que l’objectif du CFR, depuis le début, est d’instaurer un gouvernement totalitaire à l’échelle mondiale, un Nouvel Ordre Mondial avec un pouvoir global du haut vers le bas.

« Depuis sa création, l’objectif du CFR est de saper la souveraineté et l’indépendance nationale des États-Unis afin d’instaurer un gouvernement mondial unique et tout-puissant. »

En 1950, le fils de l’un des fondateurs du CFR, James Warburg, a déclaré devant la commission sénatoriale des affaires étrangères : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non — par la conquête ou par le consentement ». De même, en 1975, l’amiral Chester Ward, un initié du CFR, a écrit que l’objectif du CFR était de « submerger la souveraineté et l’indépendance nationale des États-Unis dans un gouvernement mondial tout-puissant ».

Selon Ward, le désir de « renoncer à la souveraineté et à l’indépendance des États-Unis est omniprésent chez la plupart de ses membres » et « dans tout le lexique du CFR, il n’y a pas de terme de répulsion qui ait une signification aussi profonde que “l’Amérique d’abord”. »

En gardant à l’esprit le dernier commentaire de Ward, publié en 1975, il est intéressant de contempler qui s’est opposé au programme « America First » du président Trump, et pourquoi.

De nombreux Américains, même s’ils n’aiment pas ou ne soutiennent pas Trump personnellement, s’accordent à dire que s’occuper de l’Amérique et des intérêts des Américains en premier est une décision rationnelle pour tout dirigeant, et ils ont eu du mal à comprendre comment une politique anti-America First peut être bonne pour la nation.

Ward nous donne la réponse. Ceux qui s’opposent à la politique de « l’Amérique d’abord » le font parce qu’ils travaillent pour le compte d’un réseau qui cherche à éliminer le nationalisme.

L’idée d’un gouvernement menant une guerre contre ses propres citoyens semble totalement irrationnelle et inexplicable — jusqu’à ce que l’on réalise que le CFR contrôle les relations étrangères des États-Unis depuis près d’un siècle, et que son objectif principal a toujours été de saper la souveraineté des États-Unis et de favoriser la création d’un gouvernement mondial unique.

Le comité consultatif de NewsGuard compte également de nombreux membres de groupes de réflexion néoconservateurs, dont Tom Ridge (secrétaire à la sécurité intérieure de George W. Bush), Michael Hayden (un initié de la communauté du renseignement) et Richard Stengel (sous-secrétaire d’État à la diplomatie publique et aux affaires publiques d’Obama et ancien rédacteur en chef de Time Magazine).

Fait révélateur, Stengel a déclaré publiquement qu’il soutenait l’utilisation de la propagande intérieure contre les citoyens américains.

Comme le note Johnstone :

« Celui qui contrôle la narration contrôle le monde. Le désir du pouvoir en place de réglementer l’accès des gens à l’information est si désespéré qu’il est devenu aussi maladroit qu’un adolescent tripotant son rendez-vous sur la banquette arrière d’une voiture, et c’est à peu près aussi agréable.

Ils ne cachent même plus leur désir de contrôler nos esprits, alors il ne devrait pas être trop difficile d’éveiller tout le monde à leurs manipulations. Nous devons utiliser chaque centimètre de notre capacité à communiquer les uns avec les autres avant qu’elle ne s’éteigne pour de bon. »

« Middleware » — Le dernier plan en date pour mettre fin à la liberté d’expression

Dans une vidéo publiée le 1er août sur Twitter/X, Mike Benz, directeur exécutif de la Fondation pour la liberté en ligne, a présenté la dernière stratégie en date dans le cadre des efforts déployés à l’échelle mondiale pour mettre fin à la liberté d’expression. Elle s’appelle « middleware ». Ce terme désigne les organisations de censure tierces, telles que NewsGuard.

En bref, ils tentent de restructurer le secteur de la censure « en passant d’un modèle gouvernemental descendant » à un « modèle intermédiaire concurrentiel » dans lequel la « curation de contenu » (lire censure) est simplement externalisée auprès d’organisations tierces.

De cette manière, un marché « légal » de la désinformation est créé tandis que le gouvernement peut prétendre qu’il n’a rien à voir avec le contrôle de l’information.

Fondamentalement, nous assistons à l’émergence d’une censure d’entreprise organisée à l’échelle mondiale. Bien entendu, l’intelligence artificielle sera également utilisée à plus grande échelle pour « identifier et ralentir la diffusion de contenus erronés et nuisibles ».

NewsGuard travaillerait également avec l’Union européenne sur un nouveau « code de désinformation » afin de faire respecter les nouvelles normes mondiales de la Commission européenne, qui obligent les marques et les sociétés de technologie publicitaire à empêcher la publicité sur les sites qui publient de « fausses informations ».

Une fois de plus, il s’agit de fermer les médias alternatifs en les privant de revenus publicitaires.

Fin octobre, Elon Musk, propriétaire de Twitter, rebaptisé X, a qualifié les évaluations de NewsGuard d’’escroquerie », déclarant qu’elles devraient être « dissoutes immédiatement ».

La déclaration de M. Musk fait suite à des messages de M. Benz et de Tim Pool, PDG de Timcast News, qui a déclaré que NewsGuard avait rétrogradé son site « parce que nous avions publié cinq articles sur près de 5 000 qui citaient M. Trump ».

Ils ont prétendu qu’il était irresponsable de rapporter les déclarations de M. Trump parce que nous devrions plutôt vérifier ses faits et que M. Trump avait tort. Ils prétendent maintenant que nous ne corrigeons pas les erreurs parce que nous n’avons pas répondu à leurs fausses affirmations le mois dernier ».

Ce que vous pouvez faire pour mettre fin à ces abus

En fin de compte, NewsGuard n’est qu’une entreprise de plus destinée à protéger l’alliance mondialiste de gouvernements et d’entreprises privées qui tentent de mettre en place un régime totalitaire de gouvernement mondial unique.

Pour ce faire, ils discréditent et éliminent les concurrents et les analystes indésirables qui vous fournissent des informations allant à l’encontre du discours officiel.

Pour en savoir plus sur NewsGuard, lisez mon précédent article intitulé « NewsGuard, la nouvelle police de la pensée, appartient à Big Pharma ».

Si vous êtes aussi troublé que moi par cette censure croissante, n’hésitez pas à contacter votre bibliothèque locale dès aujourd’hui pour savoir si elle utilise NewsGuard.

Si c’est le cas, demandez-leur s’ils sont au courant de la censure de NewsGuard sur les informations véridiques, qui empiète désormais sur la liberté scientifique et menace les racines mêmes de notre démocratie.

Si votre bibliothèque locale utilise NewsGuard, lancez une campagne pour le faire retirer. Prévenez également votre cercle social de l’utilisation de NewsGuard.

Comme le note Streit :

« Si vous ne voulez plus penser par vous-même, NewsGuard vous couvre. Mais si vous voulez penser par vous-même, vous êtes prévenu. Si NewsGuard a mis un drapeau rouge sur une source, tout ce que vous devez savoir, c’est que la gauche ne veut pas que vous la lisiez, la regardiez ou l’entendiez. Et qu’est-ce que cela vous donne envie de faire ? ».

Publié à l’origine par Mercola.




ARNm et dommages causés par les vaccins

[Source : wissenschafftplus.de numéro Juillet-Septembre 2023]

Par le Dr Stefan Lanka

Blessures vaccinales et hystérie ARNm : Origine, fonction et effet

Origine : lorsque les virologues ont inventé l’idée des virus Corona, ils ont intégré une protéine, qu’ils avaient trouvée dans leurs cultures cellulaires, dans le modèle de virus sous forme de protéines spike. Cette protéine, la syncytine, s’est avérée plus tard être typiquement humaine, ce que les virologues comme les critiques passent sous silence. Comme cette protéine est toujours détectée lors de « prétendues lésions par ARNm », les critiques affirment qu’il s’agit de la protéine spike des virus Corona. S’ils avaient effectué des expériences de contrôle sur des « tissus sains », ils auraient trouvé de la même manière cette protéine ou son acide nucléique partout.

Fonction : la superstition incendiaire des virus est stabilisée. Le véritable danger toxique que représentent ces vaccins est supprimé. Pendant la terreur de la grippe porcine, la présence et la dangerosité des nanoparticules dans les vaccins ont pu être abordées publiquement. Suite à cela, 93 % de la population a refusé le vaccin et la terreur a pris fin du jour au lendemain.

Effet : Celui qui prétend que l’ARNm peut pénétrer dans le corps, directement par la vaccination ou indirectement par les personnes vaccinées, y déclencher une production de protéines et des réactions auto-immunes et excréter de prétendues protéines spike, augmente la terreur de la peur du Corona à l’infini. Ceux qui sont touchés par cette peur et qui subissent ainsi des chocs conflictuels de longue durée développeront des symptômes « psychosomatiques ». De légers à graves, voire mortels, en fonction des programmes déclenchés, de leur durée et de l’apparition ou non de complications. Mot-clé : rein.

Remarque : si l’on ne remet pas tout en question, on peut aussi devenir, sans le vouloir, le meilleur ami de la terreur de la peur.

Conseil : Ne faites pas confiance à un critique qui ne connaît pas la biologie réelle.

Ce sont les nanoparticules ! L’ARNm dans les vaccins ARNm ne provoque pas de blessures vaccinales

Les personnes qui ont développé des problèmes de santé après avoir été vaccinées par le vaccin Corona pensent que ces problèmes, voire la mort, ont été causés par l’ARNm contenu dans les vaccins. Ce n’est pas vrai ! Si les lésions sont causées par des thromboses, les nanoparticules contenues dans les vaccins en sont responsables.

Tous les autres symptômes, surtout les symptômes classiques de la médecine, comme la myocardite et d’autres modifications spécifiques des organes, sont causés par la « psychosomatique » de la terreur corona prolongée. Ces symptômes se développent après un certain temps, lorsque les chocs conflictuels déclenchés par la terreur anxieuse sont dissous. Cette résolution a lieu chez toutes les victimes de choc conflictuel lorsque celles-ci se sentent à nouveau en sécurité grâce à la vaccination, lorsque la terreur s’atténue ou disparaît. L’ARNm dans les vaccins est décomposé de manière fiable par les nanoparticules agressives contenues dans les vaccins, dès que ceux-ci sont décongelés ou même pas congelés. L’ARNm dans les vaccins Corona ne peut donc, pour cette raison, causer de dommages.

Remarque : comme il n’y a pas de virus et qu’il ne peut pas exister de virus si l’on connaît la biologie réelle, il n’y a pas d’ARNm d’une protéine spike qui pourrait causer des dommages.

Conseil : n’ayez pas peur de l’ingénierie génétique ! Elle ne fonctionne pas et tous les types de molécules d’ARNm injectées dans le corps sont dégradés en quelques millisecondes.

« Les vaccins sont une tentative enfantine de faire face à la maladie ». Qui a dit cela et pourquoi ?

Cette déclaration a été faite par le professeur Heinrich Stemberger, le plus grand infectiologue d’Autriche, lors de la conférence sur la vaccination du 23 octobre 2001 à Linz. Un contrat avait été conclu au préalable avec les organisateurs, qui stipulait que le professeur Stemberger devait projeter à l’écran au moins une publication scientifique sur l’existence d’un virus pathogène et en expliquer les preuves.

Le professeur Stemberger a déclaré le 23 octobre 2001 qu’il n’était pas nécessaire de disposer de preuves scientifiques concrètes pour démontrer l’existence d’un virus. La preuve résulterait de dizaines de milliers d’observations et il faudrait avoir fait des études de médecine pour comprendre et avoir son mot à dire. Après que le professeur Stemberger ait été confronté aux règles contraignantes du travail scientifique, qui stipulent clairement que toutes les affirmations scientifiques doivent être clairement prouvées et publiées, son aveu est venu :

« Je l’admets, les vaccins sont une tentative enfantine de faire face à la maladie — nous n’avons tout simplement rien de mieux ». Pourquoi le professeur Stemberger a-t-il dit, dans cette situation exceptionnelle, la vérité sur la vaccination, qui va au-delà de la question de l’existence des virus ? Parce qu’il sait qu’il n’existe aucune preuve de l’existence des virus ET que la vaccination ne peut pas protéger de la maladie. La « science » définit en effet que la vaccination ne produit qu’une soi-disant protection immunitaire, mais que celle-ci ne protège pas contre les maladies.

Remarque : le résumé le plus court de la vaccination : en dehors des dépenses — plus les dommages dus à la vaccination et à la panique — rien n’a été fait.

Conseil : pour les débutants en matière de vaccination, ce livre : « La vaccination présentée simplement et de manière compréhensible » (en allemand « Impfen-einfach und verständlich dargestellt » (voir p. 59). Pour les plus avancés, les articles de notre magazine W+ depuis 2003.

[Traduction Jean Bitterlin 02.11.2023]




Déploiement de mini-cellules 5G alimentées par les lampadaires

[Source : echelledejacob]

AT&T [aux USA] accélère le déploiement de son réseau 5G en intégrant des petites cellules dans les lampadaires existants pour réduire les coûts et accélérer le déploiement. La société a déclaré que dans certains cas, une petite cellule peut être déployée en 15 minutes seulement.

Dans un article de blog, Gordon Mansfield, vice-président de l’accès à la mobilité et de l’architecture chez AT&T, a déclaré qu’AT&T avait testé l’année dernière des prototypes de ces petites cellules alimentées par des lampadaires et que la société est actuellement en train de tester sur le terrain et de déployer commercialement ces unités dans plusieurs villes. Une porte-parole d’AT&T a refusé de révéler les villes, mais a déclaré qu’elles avaient été sélectionnées « en raison des besoins et parce qu’elles disposaient d’une réglementation et de fournisseurs de services publics et d’éclairage locaux qui avaient des procédures et des pratiques qui facilitent le déploiement ».

Mansfield a déclaré que l’un des plus grands défis dans le déploiement d’une nouvelle infrastructure de réseau est le temps nécessaire pour acquérir des sites, concevoir des installations et obtenir des permis, notant qu’il faut souvent entre 12 et 18 mois pour installer un nouveau site.

En intégrant des radios 5G dans les lampadaires, les opérateurs peuvent réduire considérablement ce temps. Les lampadaires sont déjà alimentés en électricité et se trouvent souvent à proximité de la fibre optique pour le raccordement. De plus, ils ont la hauteur idéale pour une petite cellule, car ils mesurent généralement entre 8 et 10 mètres de haut et sont espacés d’environ 50 mètres. De plus, la plupart des lampadaires disposent d’une prise électrique commune, connue sous le nom de prise ANSI C136 (ou NEMA).

Il y a environ trois ans, Mansfield a déclaré s’être connecté avec la start-up de solutions intelligentes Ubicquia et avoir interrogé l’entreprise sur la possibilité de petites cellules alimentées par l’éclairage public. Ubicquia s’est associée à Ericsson et les deux sociétés ont développé l’Ericsson Street Radio 4402, une petite cellule qui peut être branchée sur des lampadaires existants avec une prise NEMA. L’appareil se trouve juste au-dessus du bouclier du lampadaire et à côté de la lumière afin de se fondre dans l’infrastructure existante. La radio prend en charge la 5G basse ou moyenne bande, avec un système d’antenne MIMO 4×4 entièrement intégré.

Mansfield a ajouté que les petites cellules alimentées par les lampadaires 5G sont équipées de capteurs intelligents qui peuvent détecter lorsqu’un lampadaire ne fonctionne pas parce qu’il a été endommagé lors d’une tempête ou en raison d’une panne de courant. « Cela nous aide à évaluer rapidement les dégâts et à envoyer des équipes pour les réparations ou à alerter le fournisseur d’électricité d’un problème », a-t-il déclaré.

Un autre aspect attrayant de l’Ericsson Street Radio est que lors de son déploiement, les ampoules existantes sur les lampadaires peuvent être remplacées par des lumières LED pour réduire la consommation d’énergie et contribuer aux objectifs de développement durable.

Source 

Les villes vont ressembler à des micro-ondes à ciel ouvert ! Bonjours les problèmes de santé !




Révélations sur les chemtrails

[Illustration : source]

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Quand Sénèque évoque nos problèmes de santé

Par Nicolas Bonnal

La médecine moderne, toujours plus chère et techno, nous ruine ou nous déçoit ; tout est liquidé sans gloire et on se prépare à nous rembourser et à nous soigner toujours plus mal ; la durée de vie diminue dans plusieurs pays. D’ailleurs à quoi sert-elle ? Ce qui compte c’est une bonne vie, pas une longue vie. Mais allez l’expliquer.

En relisant mon Sénèque, je tombe sur la LETTRE XCV, sous-titrée Insuffisance des préceptes philosophiques. Il faut encore des principes généraux. Sur l’intempérance.

Cette lettre, je l’ai redécouverte grâce à Joseph de Maistre qui en est effaré — et qui l’évoque surtout dans ses Soirées de Saint-Pétersbourg.

Voici ce qu’il écrit, reflet du présent éternel dans lequel nous vivons, nous qui feignons de voir du progrès — depuis l’illusion industrielle en fait :

« L’antique sagesse, dit-on, ne prescrivait rien de plus que ce qu’il faut faire ou éviter ; et les hommes d’alors en valaient beaucoup mieux ; depuis que sont venus les docteurs, les gens de bien ont disparu (boni desunt) ».

Dans son élégant latin (comme Nietzsche plus tard, il se plaindra déjà de ceux qui corrompent et simplifient nos langues), Sénèque écrit :

« Antiqua » inquit « sapientia nihil aliud quam facienda ac vitanda praecepit, et tunc longe meliores erant viri : postquam docti prodierunt, boni desunt. »

Mais restons-en au français :

« Sans doute cette sagesse de nos aïeux était grossière, surtout à sa naissance, ainsi que tous les autres arts qui avec le temps se sont raffinés de plus en plus. Mais aussi n’avait-on pas besoin alors de cures bien savantes. L’iniquité ne s’était ni élevée si haut, ni propagée si loin : à des vices non compliqués encore des remèdes simples pouvaient résister. Aujourd’hui il faut des moyens de guérir d’autant plus puissants que les maux qui nous attaquent ont bien plus d’énergie. »

La société complexe ne peut plus être dirigée, et sa santé non plus. Sénèque ici marche sur les brisées des grands anciens taoïstes. Tchouang Tse et Lao Tse ne sont pas loin, qui rejetaient six siècles auparavant le monde techno et complexe.

Mais Sénèque dénonce surtout dans cette lettre l’intempérance.

Il commence nûment par le classique et bref éloge de la vie dure des Anciens, à la manière de César ou Tacite :

« Rappellerai-je tant d’autres maladies, innombrables supplices de la mollesse ? On était exempt de ces fléaux quand on ne s’était pas encore laissé fondre aux délices, quand on n’avait de maître et de serviteur que soi. On s’endurcissait le corps à la peine et au vrai travail ; on le fatiguait à la course, à la chasse, aux exercices du labour. On trouvait au retour une nourriture que la faim toute seule savait rendre agréable. Aussi n’était-il pas besoin d’un si grand attirail de médecins, de fers, de boîtes à remèdes. »

Enfin Sénèque mène rondement une attaque contre la cuisine :

« Toute indisposition était simple comme sa cause : la multiplicité des mets a multiplié les maladies. Pour passer par un seul gosier, vois que de substances combinées par le luxe, dévastateur, de la terre et de l’onde ! »

En latin cela donne (pour les amateurs qui resteraient !) :

Simplex erat ex causa simplici valetudo : multos morbos multa fericula fecerunt. Vide quantum rerum per unam gulam transiturarum permisceat luxuria, terrarum marisque vastatrix.

Puis Sénèque s’en prend aux femmes qui prennent nos vices et donc nos maladies. Le passage est cinglant — et sa crudité choque Joseph de Maistre :

« Cependant et leurs cheveux tombent et leurs jambes souffrent de la goutte. Ce n’est pas la constitution des femmes, c’est leur vie qui a changé : c’est pour avoir lutté d’excès avec les hommes qu’elles ont subi les infirmités des hommes. Comme eux elles veillent, elles boivent comme eux ; elles les défient à la gymnastique et à l’orgie ; elles vomissent aussi bien qu’eux ce qu’elles viennent de prendre au refus de leur estomac et rendent toute la même dose du vin qu’elles ont bu ; elles mâchent également de la neige pour rafraîchir leurs entrailles brûlantes. Et leur lubricité ne le cède même pas à la nôtre : nées pour le rôle passif (maudites soient-elles par tous les dieux !), ces inventrices d’une débauche contre nature en viennent à assaillir des hommes. »

Il conclut froidement :

« Elles ont perdu à force de vices le privilège de leur sexe ; elles ont dépouillé leur retenue de femmes, les voilà condamnées aux maladies de l’homme. »

Beneficium sexus sui vitiis perdiderunt et, quia feminam exuerant, damnatae sunt morbis virilibus.

Et Bernays n’était pas encore passé par là pour les faire fumer !

Sénèque comme Platon accuse la cuisine. Mais il le fait plus pratiquement, car à son époque comme à la nôtre (c’est la même) on est obsédé par la cuisine et les cuisiniers :

« Nos maladies sont innombrables ; ne t’en étonne pas ; compte nos cuisiniers. »

Innumerabiles esse morbos non miraberis : cocos numera.

Tout le monde veut devenir cuisinier pour passer à la télé !

« Les études ne sont plus ; les professeurs de sciences libérales, délaissés par la foule, montent dans une chaire sans auditeurs. Aux écoles d’éloquence et de philosophie règne la solitude ; mais quelle affluence aux cuisines ! Quelle nombreuse jeunesse assiège les fourneaux des dissipateurs ! »

Sénèque lâche cette phrase avec la belle sobriété dont il a le secret :

« Bons dieux ! Que d’hommes un seul ventre met en mouvement ! »

Comment faut-il vivre ? Il le dit dans la lettre suivante :

« Eh bien, la vie, Lucilius, c’est la guerre. Ainsi ceux qui, toujours alertes, vont gravissant des rocs escarpés ou plongent dans d’affreux ravins, et qui tentent les expéditions les plus hasardeuses, sont les braves et l’élite du camp ; mais ceux qu’une ignoble inertie, lorsque autour d’eux tout travaille, enchaîne à leur bien-être, sont les lâches qu’on laisse vivre par mépris. »

Et si on revivait à la dure ?

Bibliographie

  • Nicolas Bonnal – À l’ouest rien de « moderne » — Chroniques de la Fin de l’Histoire
  • Nietzsche — Considération inactuelle (sur David Strauss)
  • Sénèque — Lettres à Lucilius (sur wikisource), lettres XCV, XCVI
  • Joseph de Maistre —Les Soirées de Saint-Pétersbourg, premier entretien



Belgique — Le guide Evras va à contresens du développement psychique d’un enfant

[Source : lalibre.be]

En voulant nous libérer des limites oppressantes, nous avons rejeté les limites structurantes. La boussole du ressenti ne peut pas prendre la main. L’enfant n’est ni autonome, ni d’emblée responsable. Le mettre à la même place que l’adulte, comme le fait le guide Evras, est un non-sens.

Une tribune de Diane Drory (psychologue et psychanalyste, spécialiste de l’enfance), Jean-Yves Hayez (pédopsychiatre) et Jean-Pierre Lebrun (psychiatre et psychanalyste)

La question se pose : pourquoi les professionnels de la santé rencontrent-ils de plus en plus d’enfants et de jeunes manquant des repères dont ils ont besoin pour se construire psychiquement ? Pourquoi rencontrent-ils de plus en plus de parents en désarroi de ne plus trouver d’appui dans le discours social pour soutenir leur autorité ?

Il faudra interroger la nouvelle conviction actuellement promue : « l’autodétermination de l’enfant ». L’individualité de l’enfant devrait trouver son épanouissement sans entrave, sans aucun appui sur une limite qui lui serait imposée et pour ce faire, il s’agirait seulement de l’entourer d’amour. Ceci est devenu l’axe éducatif qui devrait désormais s’imposer à tous, sans qu’il y ait eu débat pour en valider les fondements ! Si l’autonomie responsable est un programme tout à fait légitime et bienvenu pour les citoyens en démocratie, il n’est pourtant pas inscrit d’emblée dans la tête de l’enfant. Aucun enfant ne peut se construire seul, ni trouver en lui-même le sens de sa vie.

Une fausse conviction

Cette fausse conviction demande qu’en place d’un cadre clair et bien défini s’impose un cadre flou laissant à l’enfant tout le loisir du choix et de la décision ; « Penses-tu que c’est l’heure de ton repas ? »« D’accord d’aller se coucher ? »… Ce programme d’éducation demande des négociations sans fin comme par exemple dans cette famille où dès leur réveil les enfants rentrent en concurrence bruyante et parfois musclée pour avoir « la » bonne place à table. À peine levés, les enfants sont alors sous l’emprise de la loi de la jungle.

Au nom de l’épanouissement, cette autodétermination sacralise les droits de l’enfant au point de délégitimer les parents. Les normes sont alors décrites comme un frein à la liberté de l’enfant. On le veut autonome alors qu’il n’a pas encore intégré ce qu’implique cette autonomie.

S’il fallait tirer le fil rouge de ce changement, nous avancerions que, certes, une volonté d’égalité démocratique accrue nous guide depuis un demi-siècle, mais aussi qu’une grande méconnaissance s’est glissée dans ce programme : en voulant nous libérer des limites oppressantes, nous avons rejeté les limites structurantes. C’est alors la boussole du ressenti qui a pu prendre la main…

Des parents emportés dans cette « idéologie »

Nous entendons de plus en plus de parents emportés dans ce qu’il faut bien appeler cette « idéologie ». Ainsi, certains veillent à ne plus appeler leur enfant d’un prénom sexué, pour d’autant mieux le laisser choisir au cas où, plus tard, il voudrait changer de genre. Pourtant, à regarder les choses d’un peu plus près, il est étonnant que lesdits parents ne s’aperçoivent pas, non seulement qu’ils n’ont fait que substituer une exigence (ne pas nommer l’enfant comme sexué) à une autre (le nommer sexué) mais qu’en plus, cette nouvelle contrainte veut faire croire à l’enfant qu’il va pouvoir choisir son genre indépendamment de son sexe anatomique — ce qui est un mensonge parce que le sujet devra toujours faire avec son anatomie de départ même s’il change d’identité de sexe ou de genre.

Le dogmatisme du guide Evras

Que penser alors du guide Evras qui explique avec une certitude parfois dogmatique que la théorie du genre devrait primer sur les caractéristiques sexuelles biologiques. Qui promeut explicitement de nous dégager de toute « hétéronormativité » et annonce l’effacement du sexe biologique au profit du genre qui vise à faire primer le ressenti. Ou lorsqu’il soutient des façons de dire comme « la notion de genre assigné à la naissance ». Ou qu’il propose « le droit à l’autodétermination indépendamment de l’âge de l’enfant comme droit humain fondamental ». Tout ceci allant à contresens du développement psychique d’un enfant.

Groupes de pression infiltrés dans les cabinets ministériels

D’où vient que les responsables politiques se soient laissés ainsi quasi unanimement convaincre au point d’adopter un décret (7 septembre 2023) qui permet d’entériner un guide dans lequel on trouve un ensemble de considérations favorables à l’autodétermination par l’enfant de son identité de genre ? Pour avoir sans coup férir la permission pour un enfant de changer de prénom dès l’âge de 12 ans (loi du 25 mai 2017). Pour se faire tellement prier pour interdire avant la majorité légale les médicaments bloqueurs de puberté, et ce malgré toutes les recommandations scientifiques ? Ce n’est pas parce que d’aucuns se sont organisés en groupes de pression et infiltrés dans les cabinets ministériels que nous avons à acquiescer à cette volonté de mainmise.

Manière de concevoir la sexualité plutôt que d’être d’abord à l’écoute des jeunes

Cela fait depuis plusieurs années que de nombreux cliniciens interviennent, efficacement et utilement, en faisant de l’EVRAS (de l’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle) dans les écoles pour permettre que les questions qui se posent aux jeunes soient entendues. Travail indispensable et fructueux. Mais aujourd’hui c’est un renversement qui est à l’œuvre : le dernier-né « guide Evras » soutient, décrit en détail pour chaque tranche d’âge, les pré-acquis et nouveaux acquis à construire. L’ensemble des 300 pages ressemble à un enseignement demandant d’appliquer une manière de concevoir la sexualité plutôt que d’être d’abord à l’écoute des jeunes. C’est une orientation que nous ne pouvons que refuser, celle de penser devoir apporter des réponses avant que de pouvoir poser ses questions ; celle de penser que l’on doit ne plus imposer une hétéronormativité sans s’apercevoir que c’est une autre normativité qu’alors on impose, celle qui exclut les termes « hommes » et « femmes » et contraint de parler de « personnes ayant un utérus » et de « personnes ayant un pénis ».

Si d’aucuns ont des doutes à ce sujet, qu’ils interrogent simplement pourquoi le guide est-il écrit en écriture inclusive ? ; pourquoi l’enfant doit-il être informé de la pertinence de son ressenti à un âge où il ne se pose pas ces questions ? ; quel intérêt à faire entendre à l’enfant qu’il pourra choisir son genre indépendamment de son anatomie ? ; qu’un ado éprouvant un malaise par rapport à son sexe biologique devrait d’emblée être soutenu dans son désir de transgenrer ? Avons-nous vraiment la liberté de tout choisir, et même si nous l’avions, ceci nous dispenserait-il d’aider l’enfant à accepter de renoncer à ce qu’il n’a pas choisi ?

Fausse route

À croire pouvoir mener toujours plus loin et plus jeune l’émancipation de l’individu, ne faisons-nous pas fausse route ? Cette autodétermination trop précoce fait perdre à l’enfant le sens de la transmission entre générations. Grandir demande de rencontrer des adultes qui n’obligent pas l’enfant à prendre des responsabilités qui ne sont pas les siennes en lui demandant son « D’accord ! » pour tous les faits et gestes de son quotidien.

Quand allons-nous nous apercevoir qu’inviter, voire inciter au libertarisme de l’autodétermination des enfants a des conséquences délétères sur la vie collective ? Cette dernière a apparemment perdu sa prévalence au profit de la particularité de chacun mais s’ensuit que ce sont alors l’autorité, l’altérité et l’antériorité qui ne sont plus au programme. Ce dont d’ailleurs tout le monde se plaint !

L’enfant n’est ni autonome, ni d’emblée responsable ; alors le mettre à la même place que l’adulte est un non-sens. Son trajet est d’avoir à « grandir », c’est-à-dire de renoncer à sa toute-puissance d’enfant.




Gardasil, hystérie vaccinale

[Source : Salim Laïbi]

Conférence du Dr Gérard Delépine




L’OMS vise la gouvernance mondiale en 2024

[Source : Ciel Voilé]






Génétique : Le génome en dissolution

[Source : telegra.ph 1]

Par Ulrich Bahnsen – 6 novembre 2008

Le génome était considéré comme le schéma directeur immuable de l’être humain, déterminé au début de notre vie. La science doit dire adieu à cette idée. En réalité, notre patrimoine génétique est en constante évolution.

Il y a deux ans [en 2006, donc — NDT], 25 généticiens se sont réunis à l’université de Californie à Berkeley pour répondre à cette question apparemment simple : qu’est-ce qu’un gène ? Mais la tentative de définir précisément le concept de base de leur discipline s’est avérée extrêmement difficile. La réunion d’experts a failli tourner au désastre, se souvient Karen Eilbeck, professeur de génétique humaine à Berkeley et hôte de la table ronde :

« Nous avons eu des réunions pendant des heures. Tout le monde criait sur tout le monde ».

La dispute à Berkeley n’a pas grand-chose à voir avec l’état de préparation de la recherche. C’était un premier symptôme que les sciences de la vie — encore inaperçues du public — sont à l’aube d’un tournant. Ce que les chercheurs mettent en évidence dans les brins chromosomiques des humains ou des animaux dépasse les schémas de pensée antérieurs de la génétique. Comme au début du XXe siècle, lorsqu’Einstein et ses compagnons d’armes ont élaboré une nouvelle vision du monde physique, l’ère de la génétique relativiste est peut-être en train de s’ouvrir.

La recherche médicale, en particulier, est confrontée à de nouveaux défis. Les premières esquisses montrent que le corps et l’âme, leur santé, leur maladie, leur développement et leur vieillissement sont soumis à une interaction génétique dont la complexité dépasse toutes les conceptions antérieures. Les généticiens doivent abandonner l’image d’un génome stable, dont les modifications sont des exceptions pathologiques. Le génome de chaque individu est en constante transformation. Par conséquent, chaque organisme, chaque être humain, voire chaque cellule du corps, est un univers génétique en soi.

La première analyse du génome humain était encore une affaire longue et coûteuse, le résultat — célébré en 2000 par le président américain Bill Clinton comme le « Livre de la vie » — étant une séquence de trois milliards de lettres. Depuis, les nouvelles techniques de laboratoire, qui permettent de générer et d’analyser d’énormes quantités de données, ont généré un flot de nouvelles découvertes sur la vie intérieure du génome humain en particulier. Ce faisant, le livre se dissout sous les yeux des lecteurs. Le génome n’est pas un texte stable. L’état des connaissances soulève également des questions philosophiques fondamentales, telles que l’identité génétique et donc biophysique de l’être humain, et exige éventuellement des réponses radicalement différentes. Les généticiens ont en vue un nouveau « projet humain » — devise : Tout sur l’ego.

« Nos hypothèses étaient si naïves que c’en est presque embarrassant », déclare Craig Venter

Les derniers résultats montrent plus que jamais que l’homme est le produit de processus génétiques. Mais aussi que ces processus sont dotés de nombreux degrés de liberté. Ils forment un système ouvert dans lequel tout n’est pas prédéterminé.

Après le premier codage du génome, seules quelques personnes s’en doutaient. Les experts pensaient avoir compris comment un gène se présente et fonctionne, quels principes fonctionnels le génome humain ou microbien suit. « Rétrospectivement, nos hypothèses sur le fonctionnement du génome à l’époque étaient si naïves qu’elles en sont presque embarrassantes », déclare Craig Venter, qui a participé au projet avec sa société Celera. Nous nous attendions à une collection de recettes compliquées, mais compréhensibles pour les processus de la vie. Aujourd’hui, les choses sont claires : le livre de la vie est rempli d’une prose énigmatique.

Ce n’est que le premier point culminant du bouleversement, lorsqu’il y a quelques mois, la conviction de l’uniformité génétique et donc de l’identité de l’humanité s’est effondrée. Jusqu’alors, on supposait que le matériel génétique de deux personnes ne différait que d’environ un pour mille de tous les éléments constitutifs de l’ADN. Mais les différences dans le patrimoine génétique des êtres humains sont en réalité si grandes que la science confirme aujourd’hui ce que le langage populaire sait depuis longtemps :

« Chaque homme est différent. Complètement différent ! »

Craig Venter lui-même a grandement contribué à cette découverte. Le charismatique gourou de la génétique, originaire de Rockville, dans l’État américain du Maryland, a vu son propre patrimoine génétique décrypté. Presque simultanément, des experts de la société 454 Life Sciences ont décodé le génome du prix Nobel James Watson, découvreur de la double hélice de l’ADN et ennemi intime de Venter. Il ne voulait pas espérer, disait Venter, que l’on découvre trop de similitudes entre lui et Watson.

Après le séquençage des divas de la recherche, des scientifiques de Shenzhen ont annoncé qu’ils avaient complètement décodé un Chinois Han anonyme. Il y a quelques jours, le généticien Gert-Jan van Ommen de l’université de Leiden a annoncé le premier décodage d’une femme. Il s’agit de la généticienne clinique Marjolein Kriek, membre de l’équipe de van Ommen. Les analyses détaillées des données génétiques révèlent maintenant que le génome humain est aussi diversifié que le corps et le psychisme.

Grâce au génome de Venter, il a été possible pour la première fois de cataloguer les différences. Le génome des cellules somatiques humaines est constitué pour moitié d’un ensemble de chromosomes hérités du père et pour moitié d’un ensemble de chromosomes hérités de la mère. Les chercheurs s’attendaient à ce que le patrimoine parental présente des différences ; on sait depuis longtemps qu’il existe de nombreux échanges de lettres individuelles dans le génome (appelés SNP — single nucleotide polymorphisms). Cependant, ils ont été surpris par l’ampleur réelle des différences : dans presque un gène sur deux du chercheur, ils ont trouvé des différences entre les copies du gène maternel et du gène paternel. Au cours de la comparaison, les experts ont également détecté un grand nombre d’indels2 : des millions de fois, des sections entières avaient été nouvellement incorporées dans les molécules génétiques (inversion) ou avaient simplement disparu (suppression). D’autres ont été détachées de leur environnement et réinsérées à l’envers.

La conviction antérieure selon laquelle chaque gène n’existe généralement que deux fois dans le génome (une fois dans le jeu de chromosomes hérité du père et une fois dans celui hérité de la mère) est également erronée. En réalité, une grande partie de l’information génétique est soumise à un processus de duplication et existe jusqu’à 16 copies dans le noyau cellulaire. Diverses équipes de recherche ont maintenant découvert de tels variants du nombre de copies (CNV) dans au moins 1500 gènes humains ; il y a probablement beaucoup plus de ces gènes Xerox, chaque personne ayant un profil CNV différent. L’explosion des découvertes est exacerbée par le fait que les profils CNV dans le génome ne sont en aucun cas stables, que le nombre de copies des gènes peut diminuer ou augmenter, et que même les cellules somatiques d’un individu humain diffèrent les unes des autres.

L’idée que le génome représente une constante naturelle, un code source fixe de l’être humain, s’effondre maintenant sous le poids des découvertes. Le généticien américain Matthew Hahn comparait déjà le génome à une porte tournante :

« Des gènes apparaissent constamment, d’autres disparaissent ».

Les fonctions cérébrales semblent particulièrement touchées : Les CNV sont la cause principale de diverses formes de retard mental, d’autisme, de schizophrénie et d’autres troubles cérébraux organiques. Toutefois, en interaction avec d’autres processus génétiques, elles régulent probablement aussi l’expression de caractéristiques mentales saines. « Il s’agit de l’un des nouveaux domaines les plus passionnants et les plus fructueux de la génétique humaine », déclare le généticien américain David Haussler, de l’université de Californie à Santa Cruz. La recherche de telles variations génétiques à l’échelle du génome a déjà donné des résultats étonnants. La médecine du futur, prédit le chercheur, sera caractérisée par les résultats du séquençage ultrarapide du génome et de la puissance de calcul massive :

« Nous devons garder un œil sur des centaines, voire des milliers de gènes simultanément pour comprendre les maladies. »

[NDLR Cette approche reste toujours prisonnière d’une vision matérialiste de la vie. Alors que lors de cette réunion de 2006, ces 25 généticiens ont pratiquement démoli les fondements de la génétique, les généticiens continuent plus de quinze ans plus tard à espérer trouver la cause de maladies dans des gènes dont ils ont pourtant reconnu la grande mutabilité, voire l’instabilité fondamentale. Et si les gênes n’étaient en réalité que des auxiliaires permettant la création de protéines spécifiques et l’ajustement de tissus biologiques au gré des besoins d’adaptation au monde extérieur, une sorte de logiciel élaboré, changeant et utilisé en définitive par l’âme ou par l’esprit de l’Homme (ou l’équivalent pour le cas des animaux et du monde végétal) ? Et si la maladie est en réalité le résultat de déséquilibres (par excès ou déficience) sur un ou plusieurs domaines de la vie (physique, hormonal, chimique en général, électrique, électromagnétique, émotionnel, mental, psychique… et même spirituel) alors la connaissance scientifique génétique ne sera pas d’un grand secours dans le rétablissement des équilibres rompus. Si l’âme ou l’esprit de l’Homme est le véritable maître, la santé provient de la capacité de l’individu ou de l’ego à se laisser guider par cette source intérieure, elle seule se montrant réellement apte à rétablir l’équilibre, l’harmonie, et à utiliser adéquatement le logiciel génétique.]

Des jumeaux identiques se développent génétiquement différemment dès l’état d’embryon

Le projet 1000 génomes a été lancé pour déterminer l’étendue réelle des travaux de construction du patrimoine génétique. Sur une période de trois ans, le consortium de centres de séquençage aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Chine séquencera les génomes de 1000 personnes du monde entier, enregistrant ainsi la variance des données génétiques de diverses populations dans le monde.

L’interaction du génome humain n’est pas seulement capable d’expliquer les particularités individuelles, elle produit également l’assortiment génétique à partir duquel l’évolution continue de façonner l’homme. Cela permet de comprendre une autre constatation troublante : l’espèce Homo sapiens est apparemment en train de subir une turboévolution. Des centaines de zones du génome ont changé beaucoup plus rapidement que chez les autres primates. De nouvelles recherches concluent même que la civilisation a dû accélérer l’évolution humaine d’un facteur 100 depuis le début de l’ère néolithique.

Le magazine Science a désigné la découverte de ces variations génétiques comme la percée de l’année 2007. Il y a à peine un an, la revue se réjouissait de la perspective de pouvoir bientôt distiller les facteurs qui marquent l’évolution de l’Homo sapiens grâce à la comparaison précise des génomes de l’homme et du chimpanzé. Mais avant même de répondre à la question de savoir ce qui, dans notre ADN, fait de nous des êtres humains, la question suivante se pose déjà :

« Qu’est-ce qui, dans mon ADN, fait de moi un être humain ? »

L’une des premières découvertes de la nouvelle génétique rend cette question presque obsolète. Tout indique une réponse surprenante : Je suis multiple.

Au moins physiquement, l’homme n’apparaît plus comme un individu, mais comme une association de colonies de cellules égoïstes. Dans près de dix pour cent de l’ensemble du matériel génétique — et peut-être beaucoup plus — la variante maternelle ou la variante paternelle est active. Ce modèle, appelé « expression monoallélique autosomique » dans le jargon technique, est déjà établi dans l’embryon. Et c’est là que chaque cellule prend sa propre décision. « Nous pensons que cela se produit lorsque l’embryon s’implante », explique le généticien Andrew Chess de l’université de Harvard. En conséquence, l’organisme adulte ressemble à un patchwork de groupes de cellules dont les réseaux génétiques sont tricotés différemment.

Le fait que l’information génétique individuelle dans ces cascades de gènes provienne du père ou de la mère a des conséquences radicales, contrairement à ce que l’on pensait jusqu’à présent. Leur contenu en informations peut présenter des différences subtiles, mais celles-ci ont des conséquences profondes sur les réseaux extrêmement complexes qui contrôlent les caractéristiques humaines. Une autre découverte fascinante provient du laboratoire d’Andrew Chess à Harvard : l’expression monoallélique est particulièrement fréquente dans les gènes qui ont connu une évolution accélérée au cours du développement humain et dans ceux qui ont des fonctions importantes dans le système nerveux central. Ce que cela signifie pour le fonctionnement du cerveau et la construction de la psyché ne peut même pas être estimé à l’heure actuelle.

Depuis lors, on croit que l’organisme sain représente au moins un système harmonieux qui fonctionne en harmonie avec lui-même. Au contraire, les résultats de la recherche donnent l’image d’un puzzle fragile composé d’unités biologiquement disparates. La santé serait donc un état instable dans lequel les égoïsmes des pièces de la mosaïque sont maintenus en échec. En tout état de cause, c’est même l’identité biologique de l’individu qui est en jeu. Ce qui semble effrayant pour beaucoup est une idée inspirante pour le généticien américain Steven Henikoff : « J’aime l’idée que nous sommes des mosaïques. »

Au fond, cela menace aussi le travail des scientifiques qui veulent mesurer l’influence de l’environnement sur le développement humain. Depuis des décennies, ils tentent de distinguer l’influence de l’environnement de celle des gènes en comparant des jumeaux monozygotes et dizygotes. Ils ont utilisé les différences entre les paires de jumeaux identiques pour mesurer l’influence de l’environnement sur les caractéristiques des êtres humains — après tout, ces jumeaux ont des gènes totalement identiques. Par conséquent, toutes les différences doivent être déterminées par la culture et non par la biologie.

Or, il s’avère aujourd’hui qu’il n’en est rien : c’est un fait que les vrais jumeaux ne sont pas génétiquement identiques, affirme M. Chess, « c’est un résultat vraiment passionnant ». Non seulement le schéma d’activité exclusivement maternelle ou paternelle de leurs gènes, mais aussi leur schéma CNV présentent des différences évidentes. « Nous nous sommes toujours demandé pourquoi il existe des différences entre les vrais jumeaux, par exemple en ce qui concerne leur susceptibilité à des maladies complexes », explique M. Chess, « notre découverte est une explication ». Des facteurs externes, sociaux et matériels, peuvent également façonner une personne en passant par la biologie, en modifiant les fonctions de ses gènes. Par le biais de processus dits épigénétiques, le stress ou la torture, le manque de nourriture ou l’absence d’amour peuvent apparemment avoir un effet jusque dans le noyau cellulaire.

Face à l’afflux de ces découvertes encore largement mystérieuses, les chercheurs en génétique sont confrontés à un sort similaire à celui des cosmologistes qui étudient depuis plusieurs années la mystérieuse « matière noire » de l’univers. Les bioscientifiques s’interrogent eux aussi sur la matière noire du génome.

Notre génome ne détermine pas le type de personne qui en est issu

Ils pourraient trouver le sombre secret dans la partie du matériel génétique qu’ils ont jusqu’à présent rejetée comme un déchet, comme de l’ » ADN poubelle ». Pour eux, seuls les quelques pour cent du génome qui, en tant que gènes selon la définition conventionnelle, contiennent les informations nécessaires à la construction des protéines dans les cellules étaient pertinents. Le reste était considéré comme de la camelote évolutive. Au mieux, cette partie du génome pouvait être considérée comme un élément stabilisateur, une sorte de ciment de liaison entre les informations génétiques réellement importantes.

Aujourd’hui, il est clair que c’est surtout la matière noire de l’ADN dans les chromosomes qui est à l’origine d’un grand nombre des processus nouvellement découverts. Apparemment, les « déchets » sont pleins de gènes inconnus, peuplés de modules de contrôle. En particulier, les microARN, une classe d’information génétique inconnue jusqu’à récemment, régulent une multitude de processus de développement et de maladies.

La conclusion de toutes ces nouvelles découvertes ne peut être que la suivante : bien que les caractéristiques d’un être humain soient enracinées dans son génome, dans le système ouvert du génome embryonnaire, il n’est nullement déterminé quel être humain en sortira un jour. Même si un embryon reproduit à l’identique jusqu’à la dernière molécule pouvait se développer dans l’utérus dans des conditions identiques, « un autre être humain en sortirait », assure le généticien berlinois Nikolaus Rajewsky. Et ce, même sans l’influence de l’éducation et de la culture.

Au vu de la complexité et de l’indétermination des processus génétiques, de nombreuses visions de l’homme au design optimisé, mais aussi de nombreuses mises en garde contre les dangers de la recherche génétique se révèlent aujourd’hui comme un vulgaire biologisme simplifié à l’extrême. Le bricolage du génome s’avère beaucoup plus compliqué que prévu. Et le fantasme selon lequel le clonage pourrait être utilisé pour ressusciter à l’identique des artistes doués, des chercheurs brillants ou simplement un être cher restera probablement à jamais un vœu pieux.





La Nouvelle Biologie

[Source : @ObjetsPerdus]

[Voir aussi, abordés dans les vidéos suivantes :
Génétique : Le génome en dissolution
L’eau PI]





  • Conférence du Dr Stefan Lanka enregistrée en allemand, le 21 janvier 2022
    « La biologie telle qu’elle n’est pas – réfutation de la génétique, de la virologie et de la théorie cellulaire »
  • Description du site de conférence original
    « Biologiste et biologiste marin. Bien sûr, Stefan Lanka nous raconte l’histoire de la virologie. Il réfute les connaissances antérieures sur la génétique, la virologie et la théorie cellulaire. En tant que virologue, il s’est agenouillé dans les concepts précédents et a compris qu’ils ne sont pas corrects. La plupart des gens croient en une biologie de la terreur dans laquelle nos propres molécules se retournent contre nous-mêmes et veulent seulement tuer et peuvent errer. Lanka réfute cette fausse doctrine « .
  • À propos du Dr Stefan Lanka
    Dr Stefan Lanka, Ph.D. est un biologiste allemand et ancien virologue. Il a longtemps parlé des méthodes pseudo-scientifiques utilisées pour prouver l’existence de soi-disant virus et il a mené une étude pour réfuter la virologie une fois pour toutes.
    … Retrouvez plus d’infos sur le travail du Dr Lanka : (anglais) https://odysee.com/@drsambailey:c/Stefan-Lanka-Virus-Its-Time-To-Go
  • Les crédits vont à
    Traduction anglophone et 1ère édition :
    Northern Tracey « No Fear Tracey’s Here » – https://odysee.com/@northerntracey
    John Blaid « Le chercheur de vérité » – https://truthseeker.se/
    Traduction & sous-titre français & ré-ré-édition : https://odysee.com/@ObjetsPerdus
  • Livres référés
    « The Cross of Reality: The Hegemony of Spaces » (traduction anglaise de « Soziology vol.1 »), Eugene Rosenstock
    « Anthem », Ayn Rand, roman, 1946
    « The Nemesis of Medicine », Ivan Illich, 1976
    « Early History Of Virology » par Karl Heinz Ludtke, Institut Max Planck, 1999
    « The Genome In Dissolution », 2008, (anglais) https://telegra.ph/Genetics-Genome-in-Dissolution-11-01
    « What is a gene ? », Karen Ellbech, Université de Californie à Berkeley, 2008
  • Plus d’info
    Source : Odysee (allemand) : https://odysee.com/@WIR:b/Stefan-Lanka_Die_Biologie_T1:5



Un Américain sur quatre connaît quelqu’un qui est mort à cause du vaxin

[Source : LLP]

L’ampleur des effets indésirables des vaccins covid-19 est telle que 25 % des Américains connaissent quelqu’un qui est décédé après l’injection ! Les fonctionnaires sont 40 % à en connaître à cause de l’obligation vaccinale gouvernementale ! C’est juste effrayant !

24 % des Américains connaissent quelqu’un qui est mort à cause des vaccins à ARNm. C’est incroyable. Ce qui est choquant, c’est que cette proportion est également répartie sur le plan politique (25 % de républicains et 24 % de démocrates).

Les travailleurs du secteur public (40 %) sont deux fois plus nombreux que les travailleurs du secteur privé (18 %) à déclarer connaître quelqu’un qui est décédé.

[NDLR Ceci est bien sûr à mettre en proportion du nombre moyen de personnes connues par un individu donné. Selon que ce nombre est 1000 ou 10000, par exemple, le chiffre que l’on peut en déduire sur la proportion d’Américains tués effectivement par le vaxin n’est pas le même. Dans le premier cas, 0,025 % d’Américains seraient morts du vaxin, soit environ 8 ou 9 millions au pire. Dans le second 0,0025 %, soit un peu moins d’un million. Cependant, le nombre réel serait moindre puisque des personnes différentes peuvent connaître les mêmes décédés du vaxin. Quoi qu’il en soit, un mort du vaxin est un mort de trop quand par ailleurs il aurait (soi-disant) dû être au contraire protégé. Noter que nous utilisons le néologisme « vaxin » pour désigner la thérapie non pasteurienne dite à ARNm, mais qui a été analysée contenir du graphène.]




Lettre ouverte contre la vaccination HPV au Gardasil 9

Par Collectif Parents & Citoyens France

Vaccination HPV au Gardasil 9

Lettre ouverte

  • au Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, Docteur François ARNAULT,
  • aux Vice-présidents, Docteurs Marie-Pierre GLAVIANO-CECCALDI, Jean-Marcel MOURGUES, Gilles MUNIER, Jacqueline ROSSANT-LUMBROSO,
  • à tous les membres des Conseils Départementaux, Régionaux et National de l’Ordre de Médecins,
  • à la Direction de la Haute Autorité de Santé, Professeur Lionel COLLET,
  • à la Gouvernance des Agences Régionales de Santé,
  • au Conseil de l’Ordre des Pharmaciens National et Régionaux,
  • au Conseil de l’Ordre des Sage-Femmes National et Départementaux,
  • au Conseil de l’Ordre des Infirmiers National et Départementaux,
  • à Mesdames et Messieurs les Ministres,
  • à tous les Élus, Députés Européens, Sénateurs, Députés, Conseillers Généraux et Départementaux et Maires de France.

Le 3 novembre 2023

Mesdames, Messieurs,

Simples citoyens, nous sommes informés des effets indésirables et parfois graves du Gardasil donnant lieu à des procès dans plusieurs pays. Professionnels de Santé, soucieux du « primum non nocere », vous ne pouvez ignorer ces dommages alors que plus de 90 % des infections provoquées par les Human Papillomavirus (HPV) disparaissent spontanément et que la mortalité du cancer du col de l’utérus a une incidence annuelle de 0,006 %.1 2

Ne rien en dire ou les nier, comme le fait l’actuel Ministre de la Santé et de la Prévention, Monsieur Aurélien Rousseau, pour les nombreuses victimes des vaccins anti-Covid, c’est être complice du nouveau drame qui a déjà commencé.

Après le malaise de 22 collégiens d’un établissement de Morlanwels en Belgique et d’autres cas signalés en Colombie, en France un collégien de Saint-Herblain (44) a été à son tour hospitalisé, victime d’un malaise après l’injection. Cet adolescent est décédé le 27 octobre 2023.

Sur le site d’EudraVigilance (base de données européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation des médicaments) consultée le 30 octobre 2023, sont notifiés 10 108 effets indésirables, dont 58 décès.3

Plus que jamais, la santé de nos enfants relève de votre responsabilité.

Les brochures du Ministère de la Santé et de la Prévention, de l’Institut National du Cancer (INCA), distribuées aux familles sont muettes sur les effets indésirables du Gardasil 9. Elles mentionnent uniquement un « excellent profil de sécurité » et prétendent qu’« aucun lien entre ces vaccins et les maladies auto-immunes n’a été démontré ».

Pourtant, comment peut-on passer sous silence les nombreux jeunes en bonne santé, aujourd’hui décédés (Adriana, Élodie, Marion…) ou dont les vies ont été brisées à la suite des précédentes campagnes vaccinales avec le Gardasil 4, déjà agressives ?

L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour la France et l’Agence européenne des médicaments (EMA) publient cependant les effets indésirables de ce produit alors que l’affiche officielle envoyée aux collèges les ignore totalement.

L’ANSM, dans ses recommandations aux professionnels de santé, se contente de mettre en garde contre des chocs anaphylactiques et de préciser que « certains effets indésirables peuvent être graves ou inattendus ». Pourquoi ne pas donner une information complète aux parents ?

L’EMA, dans les comptes-rendus de réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP) concernant la notice du Gardasil 9, il est relevé page 7 des effets indésirables nombreux et potentiellement très sévères : syndrome de Guillain-Barré, encéphalomyélite aiguë disséminée, purpura thrombopénique… La liste est longue et seuls les effets à court terme sont mentionnés. Or, il est reconnu qu’une grande partie des effets indésirables des vaccins surviennent sur le long terme.4

Les enfants sont notre bien le plus cher : nous veillons sur eux chaque jour et exigeons que les familles reçoivent une information appropriée concernant un acte médical irréversible qui demande impérativement de recueillir leur consentement libre et éclairé.

Jamais on n’a autant prétendu protéger la jeunesse et jamais, pourtant, la souffrance en milieu scolaire n’a été aussi grande.

Le principe de précaution doit prévaloir : nos enfants ne doivent pas être exposés à des risques réels et avérés, a fortiori quand le risque de cancer imputable aux HPV est si faible. De plus, le laboratoire Pfizer lui-même ayant déclaré ignorer les interactions possibles avec d’autres vaccins, il paraît donc très imprudent de poursuivre l’administration du Gardasil 9 (ou autres thérapies immunisantes, quelle qu’en soit la marque ou l’indication), chez les personnes injectées contre la Covid sans information scientifique complémentaire.5

L’extension de la vaccination aux garçons, sous prétexte de non-discrimination et de protection contre la transmission, ne peut que multiplier ces effets indésirables.

Comment faire confiance quand les notices de l’EMA et de la Food and Drug Administration (FDA) divergent autant sur les effets indésirables pour le seul produit Gardasil 9 ?6 7

L’organisme EPI-PHARE a reconnu dans une étude un risque aggravé de syndrome de Guillain-Barré pour ce vaccin.

De nombreux procès sont en cours contre le fabricant, y compris en France. Aux États-Unis, un cas de narcolepsie vient d’être reconnu, celui du jeune Trey Cobb, âgé de 14 ans lors de la troisième injection.

La responsabilité du laboratoire Merck est établie.

« L’expert médical de Cobb a soutenu avec succès auprès du Juge qu’il existe une homologie entre l’orexine et certaines parties du vaccin Gardasil, entraînant des réactions croisées, provoquant la destruction des neurones producteurs d’orexine » et causant la narcolepsie auto-immune avec cataplexie, concluant à une indemnisation.8

Nous avons déjà été témoins de trop nombreux scandales sanitaires : sang contaminé, hormone de croissance, H1N1, Distilbène, hépatite B, Mediator, Dépakine, Vioxx… avec le Gardasil sommes-nous une fois de plus confrontés à un nouveau scandale ?

Lors du démarrage de la campagne vaccinale anti-Covid 19, les autorités de Santé avaient affirmé que les injections anti-Covid 19 étaient sûres et efficaces… et ont ignoré les avertissements de nombreux scientifiques de renom.

Il est par ailleurs inacceptable que les nombreux effets indésirables liés à la vaccination contre l’Hépatite B ne fassent toujours pas à ce jour l’objet d’aucun avertissement.

Il est urgent de renoncer.

Nous vous exhortons, au nom du principe de précaution et du respect du libre choix des familles, à diffuser largement des informations loyales, claires et adaptées, plutôt que d’utiliser la propagande et le harcèlement.

Nous devons tous prendre nos responsabilités.

Dans les pays qui ont systématiquement vacciné les années précédentes, il a été constaté une recrudescence des cancers du col de l’utérus. Il faut y ajouter la négligence des personnes qui se croient protégées. Concernant la France, qui à la suite de plusieurs accidents vaccinaux, était restée sur un faible taux d’injection, elle n’a vu aucune recrudescence de ces cancers.

En effet, le dépistage régulier est le meilleur moyen et le moins onéreux pour se protéger.

À ce titre, nous vous rappelons l’article 121-3 du Code pénal :

« […] les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer. »

et l’article L1111-2 du Code de la santé publique :

« Toute personne a le droit d’être informée sur son état de santé. Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus […]. Lorsque, postérieurement à l’exécution des investigations, traitements ou actions de prévention, des risques nouveaux sont identifiés, la personne concernée doit en être informée, sauf en cas d’impossibilité de la retrouver. Cette information incombe à tout professionnel de santé dans le cadre de ses compétences et dans le respect des règles professionnelles qui lui sont applicables. Seules l’urgence ou l’impossibilité d’informer peuvent l’en dispenser. »

Il est de votre devoir d’alerter sur les effets indésirables du Gardasil 9.

L’absence de dénonciation revient à accepter de désinformer par omission sur les effets secondaires et à se rendre coupable par complicité.

Le droit ou le devoir de réserve cessent d’être légitimes lorsque la santé des enfants est en jeu.

Nous faisons appel à vous, gardiens de la déontologie et des bonnes pratiques, pour ne pas cautionner le scandale en cours.

L’ouverture du débat est indispensable et il est urgent d’instaurer un moratoire.
Avec l’espoir d’être enfin entendus.

Collectif Parents & Citoyens France,

Cosignataires :

AIMSIB – Alliance Citoyens Libres — Alliances Citoyennes 79 — Antenne Reinfo 01/Pays de Gex — Association NEC MERGITUR 17 — Association SOS Libertés — Basic 37 — BOL D’AIR — Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens — Collectif Liberté 07 — Collectif Saintais — Collectif santé 44 — Collectif Santé Mauges — Collectif Soignants Résistants 85 — Comité de Soutien aux Parents en Presqu’île de Crozon — Corse Humanis — Corse Unis — Eveil Citoyen 47 — l’Ordre Universel des Praticiens de Santé — Les Masques Blancs — Liberté 78 — Ligue pour la Liberté Vaccinale — Nopass 24 — Police Pour La Vérité — Reinfo les Collectifs — Pour la Liberté de Choix 01/Reinfo Bourg 01 — Reinfocitoyens 91 — Réinfoliberté 86 — Reinfo Paris — Reinfo 49 — REVAV — Solidarité Objectif Santé — Sport Sur Ordonnance Carcassonne — STOPALAMASQUARADE 44 — UNIC 67 — VERITY France.





L’UE veut maintenant vacciner en priorité les femmes enceintes…




Un éleveur breton a perdu deux cents bêtes en trois ans et demi, à cause des ondes électromagnétiques

[Voir aussi (15 août 2019) :
https://www.ouest-france.fr/bretagne/allineuc-22460/allineuc-stephane-le-bechec-perdu-200-vaches-en-trois-ans-6481406]

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3 octobre 2020 : Ondes électromagnétiques : Stéphane Le Béchec a « perdu 250 vaches en quatre ans 1/2 » !

14 septembre 2022 : Ondes électromagnétiques : cet éleveur obtient gain de cause face au ministre de l’Agriculture

22 juin 2023 : Méfaits des ondes électromagnétiques : l’éleveur breton invité à témoigner en Bulgarie




Les pompiers californiens rendus malades par la 5G nous alertent

[Source : changera4]

Les Pompiers tombent malades avec les Tours Téléphoniques de la 5G installées près de leurs Casernes !

Le Réveil des Pompiers est salutaire pour nous tous !

Par Susan Foster

Les prochains jours pourraient marquer un tournant politique sans retour, et les pompiers — toujours en première ligne en matière de santé et de sécurité — ont un message pour nous tous à travers leur position proactive. Les pompiers se sont battus pour obtenir une exemption pour les tours de leurs stations, car des années de vie avec des tours de téléphonie cellulaire leur ont appris des leçons dont nous devrions tous tenir compte.

Un projet de loi sans précédent, le SB 649, est en attente devant l’Assemblée de Californie et sera entendu à la Chambre des représentants.

Comité des communications et des transports le mercredi 12 juillet. Beaucoup pensent que c’est le dernier endroit pour arrêter le projet de loi. Pour les Californiens, vérifiez si votre représentant fait partie du comité :
http://acom.assembly.ca.gov/membersstaff.
Pour une vérification rapide de l’identité de votre représentant :
http://findyourrep.legislature.ca.gov/
Demandez instamment à votre membre de l’Assemblée de dire NON au SB 649.

Si cette loi est adoptée et devient loi à compter du 1er janvier 2018, presque toutes les tours de téléphonie cellulaire pourraient être implantées par des opérateurs de télécommunications sans aucun contrôle local.

Un amendement a été ajouté au projet de loi à la dernière minute pour accorder un laissez-passer aux macro-tours, permettant ainsi l’implantation de tours de téléphonie cellulaire de formes et de tailles multiples sans que les villes ou les résidents locaux n’aient leur mot à dire en la matière. Malgré toute la connectivité que les gens souhaitent, personne ne veut se réveiller avec une tour rayonnant ou dominant sa maison.

Avant cet amendement de grande envergure, faisant passer la législation proposée de mauvaise à orwellienne, le projet de loi 649 du Sénat avait été conçu pour permettre le déploiement rapide de petites tours de téléphonie cellulaire devant être placées tous les 5 à 10 foyers sans les procédures de zonage locales garanties depuis 20 ans par la loi sur les télécommunications de 1996. Cette expansion fait partie de la construction à venir de l’infrastructure 5 G.

Le législateur californien, favorable à l’industrie, prétend peut-être ne rien savoir des problèmes de santé, mais en réalité, il le sait.

Le législateur a accordé une exemption du SB 649 aux pompiers qui combattent les tours de téléphonie cellulaire sur leurs postes devant les tribunaux et dans leurs villes depuis près de 20 ans.

Dans toute la Californie, les pompiers se plaignent depuis longtemps de symptômes souvent invalidants provenant des tours de téléphonie cellulaire de leurs postes. Les villes louent fréquemment des espaces dans les casernes de pompiers pour augmenter leurs revenus. Les pompiers vivent et dorment dans les casernes lorsqu’ils sont en service et ont été exposés à une exposition importante aux rayonnements RF.

Une étude SPECT réalisée en 2004 auprès de pompiers du centre de la Californie a révélé des anomalies cérébrales chez tous les hommes testés, ainsi qu’un retard de réaction, un manque de contrôle des impulsions et des troubles cognitifs. Aucun des hommes n’a travaillé sur des matières dangereuses, donc l’exposition à des produits chimiques a été exclue.

Tous les pompiers testés souffraient de troubles du sommeil, de maux de tête, de manque de concentration et de pertes de mémoire suite à l’installation d’une tour adjacente à leur caserne cinq ans plus tôt. Ils ont poursuivi la société de téléphonie sans fil qui leur avait assuré que les tours étaient parfaitement inoffensives, mais la Sec. 704 de la loi sur les télécommunications de 1996 ne permet pas de prendre en compte la santé lors de l’implantation d’une tour, le juge a donc rejeté le procès.

Ainsi, l’exemption actuelle pour les pompiers ne précise pas la « santé » comme motif d’exemption. Pourtant, l’histoire des pompiers est bien connue et la société dépend d’eux en cas d’urgence en matière de santé et de sécurité. Cette exemption est une reconnaissance implicite du risque pour la santé, et les pompiers méritent cette exemption.

Le fait est que nous méritons tous une exemption. Étant donné que l’octroi par l’État d’une exemption pour les casernes de pompiers implique la reconnaissance du risque pour la santé des pompiers, cela soulève la question évidente : qu’en est-il du reste d’entre nous qui sommes intrinsèquement plus vulnérables — en particulier les enfants à naître, les enfants, les adolescents, ceux qui sont malades et handicapés et personnes âgées ? Nous devrions tous être autorisés à conserver le contrôle local et à avoir autant de voix que possible pour protéger nos communautés et nos familles.

Susan Foster est une rédactrice médicale qui travaille depuis 2000 avec les pompiers sur la santé, la sécurité et la politique relative aux tours de téléphonie cellulaire dans leurs stations. Elle a organisé une étude sur le cerveau des pompiers californiens en 2004 et a été l’auteur original de la résolution 15 adoptée par l’IAFF. en 2004. Elle est pompière honoraire du service d’incendie de San Diego.

Lire Susan Fosters a déposé un affidavit auprès de la FCC

Lisez le communiqué de presse sur la résolution et l’étude de recherche ici

VIDÉOS DE TÉMOIGNAGE DES POMPIERS

OPPOSITION DE L’ASSOCIATION INTERNATIONALE DES POMPIERS (IAFF) AUX TOURS CELLULAIRES DANS LES CASERNES D’INCENDIE

« L’AIP s’oppose à l’utilisation de casernes de pompiers comme stations de base pour des tours et/ou des antennes pour la conduction des transmissions de téléphones portables jusqu’à ce qu’une étude présentant le plus haut mérite et intégrité scientifique sur les effets sur la santé de l’exposition aux rayonnements RF/MW de faible intensité soit menée. et il est prouvé que de tels emplacements ne présentent pas de danger pour la santé de nos membres. »

  • Cette position a été lancée après l’augmentation des plaintes parmi les pompiers ayant des antennes cellulaires sur leurs postes, couplée à l’étude californienne montrant des dommages neurologiques chez les pompiers californiens menée par le Dr Gunnar Heuser. L’étude pilote (2004) menée auprès des pompiers de Californie a montré des anomalies cérébrales, des troubles cognitifs, un temps de réaction retardé et un manque de contrôle des impulsions chez les 6 pompiers testés (Lire l’affidavit déposé par Susan Fosters auprès de la FCC, Lire le communiqué de presse sur la résolution et l’étude de recherche ici). Cette étude a conduit à l’adoption massive de la résolution 15 par l’Association internationale des pompiers de Boston en août 2004. Res. 15 a demandé une étude plus approfondie et a été modifié pour imposer un moratoire sur l’installation de tours de téléphonie cellulaire dans les casernes de pompiers aux États-Unis et au Canada.

Section locale 1014 des pompiers du comté de Los Angeles

« En tant que pompiers et ambulanciers, nous vivons dans ces casernes. Quel effet ces tours auront-elles sur nous ? Quels sont les risques pour nos voisins ? Il va de soi que le comté de Los Angeles aurait dû au moins mener une étude approfondie avant de placer des antennes micro-ondes haute puissance de 60 mètres au-dessus de nos têtes. »

Dave Gillotte, capitaine des pompiers en service actif
Président, section locale 1014 des pompiers du comté de Los Angeles

Regardez-le témoigner sur cette question ici.

La section locale 112 des pompiers unis de la ville de Los Angeles, IAFF-CIO-CLC, s’oppose aux tours de téléphonie cellulaire dans leurs stations

  • « Il est inexcusable qu’une fois de plus, nos pompiers sur le terrain aient été les derniers informés d’un projet colossal de 150 millions de dollars qui pourrait mettre en péril leur santé et leur sécurité. … personne ne nous a parlé et nous n’avons pas entendu un seul expert nous dire que ce projet serait sûr.
  • « L’UFLAC s’opposera fermement à l’utilisation des casernes de pompiers comme bases pour les tours de téléphonie cellulaire et/ou les antennes »
  • Téléchargez la lettre de la section locale 112 du syndicat des pompiers de Los Angeles demandant l’arrêt immédiat des tours de téléphonie cellulaire dans les casernes de pompiers.



Derrière les transitions de genre : les intérêts de Big Pharma

[Source : Tocsin]

Avec Gérard et Nicole Delépine, respectivement chirurgien orthopédique, oncologue et pédiatre, oncologue.

Émission qui porte bien son nom TOCSIN qui nous a permis de partager notre tristesse et nos inquiétudes pour tous ces jeunes embarqués dans une transition sans en connaître le terrible parcours qui les mènera du paradis promis ou espéré à l’enfer quotidien, du bien portant au malade chronique devant prendre des médicaments tous les jours et subir les inconvénients de la chirurgie pratiquée pour ceux qui auront franchi ces étapes…

INFORMEZ LES JEUNES DE VOS CONNAISSANCES VOUS SAUVEREZ QUELQUES GAMINS D’UNE VIE GÂCHÉE.

Nicole Delépine




Bill Gates et la FDA concluent un accord pour faciliter l’approbation des médicaments…

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

En 2017, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a conclu des accords de principe avec la Fondation Bill & Melinda Gates.

En vertu de ce protocole, les deux entités ont accepté de partager des informations pour « faciliter le développement de produits innovants, y compris des contre-mesures médicales », telles que des diagnostics, des vaccins et des thérapies pour lutter contre la transmission des maladies pendant une pandémie.

La FDA a ce type d’accords avec de nombreuses organisations universitaires à but non lucratif, mais peu ont autant à gagner que la fondation de Bill Gates.

Les experts craignent qu’elle n’exerce une influence indue sur les décisions réglementaires de la FDA concernant notamment les mesures de lutte contre les urgences sanitaires.

David Gortler, ancien conseiller principal du commissaire de la FDA entre 2019 et 2021, se méfie de cette alliance.

« Si la Fondation Gates établit un protocole d’accord avec un régulateur sur un produit qu’elle souhaite développer, il semble qu’il y ait un conflit d’intérêts. Que dirait-on si toutes les entreprises pharmaceutiques faisaient exactement la même chose ? »

Aujourd’hui chercheur au Centre d’éthique et de politique publique de Washington, il explique que, normalement, les comptes-rendus des réunions entre les promoteurs et les autorités de réglementation sont censés être ouverts à la consultation publique.

« Cet accord permet de contourner les exigences habituelles en matière de transparence des communications officielles, de cette manière leurs négociations peuvent rester secrètes. »

David Bell, un ancien médecin de l’OMS qui travaille aujourd’hui comme médecin de santé publique et consultant en biotechnologie, estime également que cela peut corrompre le processus réglementaire.

« Il y a cette idée selon laquelle les fondations philanthropiques ne peuvent être que bien intentionnées, parce qu’elles “fabriquent des vaccins et sauvent des milliers de vies”. Il faut leur faciliter les formalités administratives et aider la FDA à agir rapidement, faute de quoi des “enfants mourront”. Mais en réalité, cela risque de corrompre l’ensemble du système. »

M. Bell ajoute :

« Or de façon générale, les relations étroites entre les régulateurs et les développeurs augmentent inévitablement le risque de ne plus avoir la rigueur suffisante dans l’évaluation des produits. Cela peut mettre le public en danger. »

Services récompensés

La FDA a été sévèrement critiquée pour sa politique de « portes tournantes ». Dix des onze derniers commissaires de la FDA ont quitté l’agence pour prendre des postes élevés au sein des entreprises pharmaceutiques qu’ils contrôlaient auparavant.

C’est aussi le cas à la Fondation Gates qui a embauché des membres haut placés de la FDA, pour faciliter l’approbation de ses produits.

Par exemple, Murray Lumpkin a fait une carrière de 24 ans à la FDA, en tant que conseiller principal du commissaire de la FDA et représentant pour les questions mondiales.

Il est aujourd’hui directeur adjoint des affaires réglementaires à la Fondation Gates et signataire du protocole d’accord.

Margaret Hamburg, qui a été commissaire de la FDA entre 2009 et 2015, fait désormais partie du conseil scientifique de la Fondation Gates.

Bell n’a aucun doute sur le fait que ces nominations étaient stratégiques pour « exploiter le système » : « Si je travaillais à la Fondation Gates, j’embaucherais certainement quelqu’un comme Murray Lumpkin. »

Le seul moyen de résoudre le problème des portes tournantes, selon Bell, est d’inclure une « clause de non-concurrence » dans les contrats.

« Elle pourrait stipuler que les employés de la FDA ne peuvent pas travailler pour les personnes qu’ils ont réglementées pendant au moins dix ans. Il y a des endroits qui ont ces règles — les entreprises privées ont des accords selon lesquels vous ne pouvez pas travailler pour un rival », a déclaré M. Bell.

La FDA a rejeté les questions concernant les risques de conflits d’intérêts ou le manque de transparence de ses communications avec la Fondation Gates.

Dans un communiqué, la FDA a déclaré : « La prise de décision réglementaire de la FDA est fondée sur la science :

« Les décisions réglementaires de la FDA sont fondées sur la science. Les anciens fonctionnaires de la FDA n’ont aucun impact sur les décisions réglementaires. La FDA ne collabore avec la Fondation Bill et Melinda Gates que dans le cadre du protocole d’accord tel qu’il est décrit ».

Gates a des milliards à y gagner

Bill Gates s’est vanté d’avoir obtenu un rendement de 20 pour 1 sur son investissement de 10 milliards de dollars dans le « financement et la fourniture » de médicaments et de vaccins.

« C’est le meilleur investissement que j’aie jamais fait », a-t-il déclaré au Wall Street Journal. « Il y a plusieurs dizaines d’années, ces investissements n’étaient pas des paris sûrs, mais aujourd’hui, ils sont presque toujours très rentables. »

En septembre 2019, juste avant la pandémie, les documents déposés auprès de la Commission des opérations de bourse des États-Unis montrent que la fondation a acheté plus d’un million d’actions de BioNTech (partenaire de Pfizer) au prix de 18,10 dollars par action. En novembre 2021, la fondation s’est débarrassée de la plupart des actions pour un montant moyen de 300 dollars par action, avant d’admettre l’inefficacité des vaccins concernés.

Selon le journaliste d’investigation Jordan Schachtel, la fondation a empoché environ 260 millions de dollars de bénéfices, soit plus de 15 fois son investissement initial, dont la majeure partie n’a pas été imposée parce qu’elle a été investie par l’intermédiaire de la fondation.

Dans son récent ouvrage intitulé « Comment éviter la prochaine pandémie », M. Gates prévient que les futures pandémies constituent la plus grande menace pour l’humanité et que la survie dépend de stratégies mondiales de préparation aux pandémies, se positionnant ainsi fermement au centre de l’élaboration de l’ordre du jour.

En octobre 2019, la Fondation Gates et le Forum économique mondial ont organisé l’Event 201, qui a rassemblé des agences gouvernementales, des entreprises de médias sociaux et des organisations de sécurité nationale pour jouer à la guerre contre une pandémie mondiale « fictive ».

Les principales recommandations de l’événement étaient qu’une telle crise nécessiterait le déploiement de nouveaux vaccins, la surveillance et le contrôle des informations et des comportements humains, en orchestrant la coopération et la coordination des industries clés, des gouvernements nationaux et des institutions internationales.

Plusieurs semaines plus tard, lorsque la pandémie de COVID-19 est apparue, de nombreux aspects de ce « scénario hypothétique » sont devenus une réalité effrayante.

La Fondation Gates, qui détient des parts dans une série de sociétés pharmaceutiques, dont Merck, Pfizer et Johnson & Johnson, est aujourd’hui considérée comme exerçant une influence significative sur l’orientation de la réponse mondiale à la pandémie, affirmant que son objectif est de « vacciner le monde entier » avec un vaccin contre le COVID-19.

Domination mondiale

La Fondation Gates a consacré des millions au financement d’organisations non gouvernementales, de médias et d’agences internationales, ce qui lui a permis d’acquérir une influence politique considérable.

Les contributions financières aux médias ont permis à M. Gates de bénéficier d’une couverture médiatique favorable, se vantant sur le site web de la fondation d’avoir engagé près de 3,5 millions de dollars pour le Guardian entre 2020 et 2023.

L’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a révélé qu’elle avait reçu environ 3 millions de dollars de la Fondation Gates en 2022, ce qui correspond à plusieurs exercices financiers.

Le candidat à la présidence Robert Kennedy Jr a qualifié Gates d’« homme le plus puissant de la santé publique » parce qu’il a réussi à orienter la stratégie de l’OMS en matière de pandémie pour qu’elle se concentre principalement sur la vaccination.

M. Kennedy a déclaré dans une interview que l’OMS « supplie à genoux » pour obtenir le financement de M. Gates, qui représente aujourd’hui plus de 88 % du montant total des dons de l’OMS provenant de fondations philanthropiques.

« Je pense que [Gates] croit qu’il est en quelque sorte divinement ordonné pour apporter le salut au monde par le biais de la technologie », a déclaré Kenney. « Il pense que le seul chemin vers la santé se trouve à l’intérieur d’une seringue. »

La Fondation Bill & Melinda Gates représente à elle seule plus de 88 % du montant total des dons des fondations philanthropiques à l’OMS. Parmi les autres contributeurs figurent la Fondation de la famille Bloomberg (3,5 %), le Wellcome Trust (1,1 %) et la Fondation Rockefeller (0,8 %).

Le directeur général de la Fondation Gates, Mark Suzman, a répondu aux inquiétudes concernant l’influence disproportionnée de la fondation dans la définition des programmes nationaux et mondiaux, sans aucune responsabilité formelle devant les électeurs ou les organismes internationaux.

« Il est vrai qu’avec nos dollars, notre voix et notre pouvoir de mobilisation, nous avons un accès et une influence que beaucoup d’autres n’ont pas », a admis M. Suzman dans sa lettre annuelle pour 2023.

« Mais ne vous y trompez pas : lorsqu’il existe une solution susceptible d’améliorer les moyens de subsistance et de sauver des vies, nous la défendons sans relâche. Nous ne cesserons pas d’user de notre influence, ainsi que de nos engagements financiers, pour trouver des solutions »…

D’après un article du Brownstone Institute republié par le Defender, le 25 octobre 2023




Essence et motivation de la recherche de nouvelles connaissances

[Source : wissenschafftplus.de numéro Juillet-Septembre 2023]

[Traduction : Jean Bitterlin]

Par le Dr Stefan Lanka

Mes contributions sur le canal Telegram LankaVision, âme de la science, reproduites ici dans le magazine W+, complétées et poursuivies en exclusivité, servent à maintenir, approfondir et retrouver la paix. La paix entre les individus, les grands groupes et ce que nous appelons la Nature et la Création. La science est au service des hommes, donc de la paix et de la vie. La biologie nous en donne l’exemple. Sous tous ses aspects. Elle montre tout. Comment la paix et la vie sont possibles. Avec amour. Le dévouement inconditionnel et la résolution pacifique de tous les défis à relever.

En biologie, la violence n’est utilisée qu’à court terme pour préserver sa propre espèce, lorsque les ressources se raréfient de manière inattendue et qu’une autre solution, symbiotique, n’est pas possible. En tant qu’êtres humains et humanité, nous sommes en mesure d’éviter les pénuries, de sorte que chacun peut être sûr de la solidarité de tous les autres s’il devait lui-même se trouver un jour dans le besoin. Je ne peux aller bien que si tout le monde va bien. Il faut atteindre ce point Oméga1. L’activité scientifique est couronnée de succès lorsqu’elle a ce point pour objectif et pour défi.

Comme nous faisons partie intégrante de la vie, nous n’avons pas de vue d’ensemble. Nous sommes bien avisés de toujours considérer les réponses trouvées comme les secondes meilleures, qui seront complétées ou remplacées par de meilleures. Nous devons donc toujours améliorer nos questions et toujours remettre en question nos résultats et nos découvertes. Croire ou affirmer que l’on a trouvé la vérité est dangereux. Toutes les théories scientifiques de l’histoire de l’humanité sur la vie et la « maladie »2 se sont révélées fausses ou ont été tellement modifiées qu’elles n’ont plus rien de commun avec les idées initiales.

Bien sûr, il existe des certitudes éternelles de grands maîtres, de poètes doués, de fondateurs de religions, de philosophes, de sociologues, de médecins, de biologistes et de scientifiques. Nous serions bien avisés d’accepter et d’assimiler leurs connaissances. Chaque roue ne demande pas à être réinventée. C’est pourquoi vous trouverez toujours de telles certitudes aux endroits des textes courts où elles approfondissent ce qui a été écrit, afin de donner plus de contenu et d’espace aux pensées et sentiments respectifs.

Notre science « institutionnalisée » actuelle a du mal à gérer les connaissances qui peuvent être qualifiées de « spirituelles », car « elle » n’admet comme réelles que la matière tangible et les interactions matérielles. Toutes les autres observations, possibilités de réflexion et connaissances qui dépassent les modèles d’explication matériels de la « science » institutionnalisée sont rejetées3. Permettez-moi d’illustrer mon propos : La science enseignée dans les institutions publiques se considère comme la gardienne du seul véritable « système noir et blanc ». Ici, sous un contrôle strict (par exemple par le biais de la « Révision par les pairs »), on ne peut débattre des nuances de gris que si les règles du noir/blanc sont respectées. Le seul fait d’accepter des couleurs est déjà la preuve d’une hostilité absolue à la science. C’est ainsi que « la science » s’est créé une caverne en forme d’impasse, que Platon a décrite avec justesse.

Une impasse dangereuse pour la vie

Quelle leçon en tirons-nous ? Parler de couleurs à un dogmatique du noir et blanc n’a de sens que si celui-ci souhaite sortir de lui-même de sa grotte (de son enfer ?) en noir et blanc et n’est pas entraîné de force dans le monde des couleurs du jour. Cela s’applique aussi tout particulièrement aux scientifiques qui se heurtent à des contradictions, mais qui restent strictement dans le système noir et blanc avec leurs critiques. Ce qui m’a fait le plus mal ici, c’est de constater que dans le cadre de « l’information » sur le VIH/SIDA, la vaccination et la maladie Corona, les scientifiques qui se montrent critiques constituent un obstacle majeur au progrès. Les critiques qui, comme les personnes critiquées, ne remettent jamais en question leur propre système de référence, ne font que remarquer les contradictions, ne les résolvent pas, mais augmentent indéfiniment la peur avec la même logique obsessionnelle4.

Le génial penseur, historien et sociologue Eugen Rosenstock-Huessy a identifié et publié il y a cent ans un mécanisme très simple expliquant pourquoi la science établie, c’est-à-dire institutionnalisée, devient AUTOMATIQUEMENT et inévitablement une pseudo-science :

« Les savants sont des gens compétents et donc tout à fait incapables d’aimer le renversement de leur vertu. Ce sont des fonctionnaires de la science, et ils s’opposent toujours à l’amateur. Mais comme la science fait officiellement partie de la recherche, tout comme le Saint-Esprit fait partie de l’Église, il existe une masse de pseudo-recherches qui rivalisent avec le progrès de la recherche libre ; et seule la première est consciencieusement soutenue par les instances et les fondations officielles, car elle seule semble digne d’être soutenue par le fonctionnaire professionnel de la science. Cette fausse recherche agit selon le principe : “Lave-moi la peau, mais ne me mouille pas”. Elle étudie le cancer selon les idées dépassées de Pasteur, comme s’il s’agissait de la rage ».5

Il y a cent ans, il était donc déjà clair que les théories sur l’infection et le cancer étaient fausses. Comment se fait-il que l’on continue aujourd’hui encore à pratiquer la chimiothérapie avec des dérivés de gaz toxiques et à effrayer les gens à mort avec tous les diagnostics vaudous d’infection et de cancer impossibles ? Comme nous l’avons déjà dit, il y aura à l’avenir de meilleures explications que celles qui suivent, mais un fait traverse les millénaires : « Celui qui fait peur a le pouvoir »6. Dans notre histoire occidentale, ce sont les églises qui ont transformé les certitudes de la foi en terreur de la peur, afin de « convertir » tous les hommes, d’étendre et de maintenir leur pouvoir. Georg Büchner a reconnu que la soi-disant Révolution française avait été mise en scène par « l’aristocratie de l’argent » afin de détrôner l’ancienne noblesse et l’Église7. C’est là que les moyens de faire peur ont changé, passant de théologiques à séculiers. Charles Wright Mills a publié en 1956 un livre sur la manière dont les super-riches Américains, qui n’ont jamais été limités par la noblesse et l’Église, sont devenus l’élite du pouvoir agissant à l’échelle mondiale, livre qui est paru en allemand en 2019 sous le titre « Die Machtelite »8. (NdT : « Macht » = pouvoir)

Dans ce livre, nous découvrons qu’avec la « Seconde Guerre mondiale », l’industrie de l’armement est devenue l’industrie de loin la plus importante, qui a également été construite de manière à pouvoir produire des biens civils. Comme il est également vrai que « qui a beaucoup d’argent a beaucoup de pouvoir », il est compréhensible, grâce à C.W. Mills, que l’armée se soit subordonnée depuis 1945 à l’ensemble de la recherche fondamentale, celle-ci étant payée par le gigantesque budget militaire. Ce fait permet de comprendre à qui servent les théories sur l’infection, l’immunité, la génétique et le cancer, réfutées depuis longtemps : À la création de la peur laïque pour le maintien au pouvoir par le désormais « complexe militaro-industriel ».

Autrefois, les gens payaient volontiers les indulgences pour se racheter de leurs péchés et éloigner de leur corps le diable qui les guettait partout. Aujourd’hui, nous payons avec grand plaisir des impôts toujours plus élevés, car la recherche et le traitement des prétendus dangers mortels de notre biologie coûtent de plus en plus cher. Et nous dénudons nos bébés pour qu’ils ne soient pas piqués, mais qu’on implante dans leur corps, par une aiguille creuse, un cocktail agressif de poisons qui, s’il était injecté dans la veine, serait instantanément mortel. Cet acte de vaccination est, selon moi, la forme laïque du baptême dans la secte la plus violente et la plus importante de la planète.

Bien sûr, tous les injecteurs de poison n’en sont pas conscients, car il existe effectivement des personnes naïves, mais attention, il y en a aussi qui se font passer pour des naïfs. Mais ceux qui prétendent qu’il existe ou qu’il a existé une preuve scientifique, même pour un tout petit détail, dans tout le domaine des « théories de l’infection, de l’immunité, de la génétique et du cancer », mentent. Plus encore, la science est liée aux lois de la pensée et de la logique, et il en résulte automatiquement les règles strictes du travail et de l’action scientifiques : à savoir se remettre constamment en question, remettre en question le système de pensée de ses idées, c’est-à-dire chercher soi-même les contradictions. Celui qui fait cela constate que tout le château de cartes des « théories de l’infection, de l’immunité, de la génétique et du cancer » s’effondre instantanément, car la biologie réelle est différente. La biologie est toujours symbiotique, en elle-même et avec son environnement.

Mais telle une grenouille dans une eau de plus en plus chaude, notre culture européenne tant évoquée s’est habituée à être cuite à point par les églises, la médecine et les pseudo-sciences et vend cette attitude, ainsi que la logique forcée du matérialisme du bien et du mal9, comme un prétendu progrès aux pays en voie de développement. Ces pays du tiers-monde ont été envahis par l’Europe il y a 500 ans, alors qu’ils avaient le même niveau artisanal, culturel et économique que nous, afin de les tenir à l’écart du développement et de les exploiter jusqu’à aujourd’hui. Nous devons également assumer ces faits avec responsabilité, c’est-à-dire utiliser notre prospérité de manière « globale et durable » et la partager si nous voulons jouir de la prospérité et avoir ainsi la liberté de prendre soin de notre santé. Donner d’abord, recevoir ensuite. C’est l’un des principes de la biologie. En résumé : « Celui qui craint la contradiction n’entend pas l’oracle », selon le théologien Paul Schwarzenau. Cela vaut pour tous les domaines.

L’environnement efficace de la science

Avec ces explications, vous êtes préparés à d’autres faits décisifs, justement dans le prétendu calme et le léchage des plaies de l’après-Corona. Car après « Corona », c’est avant la prochaine folie. Conformément à notre système monétaire, qui provoque AUTOMATIQUEMENT l’obligation de rendement et donc l’éternelle obligation d’exagération et donc une cupidité insatiable, le « Corona reloaded » (NdT : reloaded signifie rechargé) à venir sera automatiquement plus violent, sans qu’un homme ou un groupe de criminels le planifie concrètement. Notre longue tradition de la politique de la peur, avec la peur des épidémies10, couplée à l’obligation de rendement de notre système monétaire, a jusqu’à présent engendré toutes les épidémies. Pas de plandémie, mais le Dr Oetker : on prend toujours n’importe quel symptôme, on affirme une nouvelle maladie, on invente un nom terrifiant et les « peuples reconnaissants que la science finance abondamment » (Eugen Rosenstock-Huessy) avalent et se font injecter et implanter avec reconnaissance tout ce qui est proposé. À l’Ouest, rien de nouveau (NdT : titre du magnifique livre d’Erich Maria Remarque sur la 1re guerre mondiale).

Les scientifiques impliqués sont dépassés par la dynamique propre du développement, par les fantômes qu’ils ont appelés et tentent d’éviter des fleurs de marais plus ou moins mortelles de la folie. Ainsi, la grippe porcine a été annulée du jour au lendemain lorsque le Drosten11 de l’époque de la grippe porcine a appelé à doubler la concentration de Tamiflu, le « tueur de virus de la grippe porcine », ce qui aurait eu pour effet de rendre cet épaississant sanguin massivement mortel et de provoquer un effondrement de l’ordre public pendant deux à cinq ans, conformément aux plans de pandémie. En 2009, notre culture occidentale s’est presque bombardée elle-même à l’âge de pierre avec une chimiothérapie présentée comme un antiviral. Nous n’avons pas besoin d’une bombe atomique pour cela. La dynamique de la peur, nos pseudo-sciences qui affirment tout pour l’argent et l’obligation de rendement suffisent à nous détruire tous.

Ce dont nous avons besoin pour nous libérer nous-mêmes de ces mécanismes, c’est de devenir des êtres humains à part entière et des citoyens qui se portent garants, plutôt que des électeurs de figurines en carton (NdT : de marionnettes) dans un théâtre qui prétend être une démocratie. Sylvio Gesell est, pour le domaine du système monétaire, des monnaies régionales, des femmes et des mères (sic !), l’un des précieux précurseurs, Rudolf Steiner, avec son « tripartisme social », est le garant d’une symbiose entre la vie spirituelle, la vie juridique et la vie économique, la nécessité de la démocratie directe s’explique d’elle-même et Ryke Geerd Hamer nous libère de la logique contraignante du Mal et nous offre l’une des conditions de la capacité de paix des hommes.

Dans le prochain article, je présenterai la biologie réelle, le système de connaissance du Dr Ryke Geerd Hamer. De courtes contributions sur des aspects de ce sujet sont disponibles en permanence sur mon canal LankaVision sur Telegram.

Traduction Jean Bitterlin 31.10.2023

Références

1 Pierre Teilhard de Chardin. Dans l’esprit : « L’humanité est encore loin du point Oméga pour se comprendre comme une famille sur une planète ».

2 Voir la contribution de LV sur Telegram à « kranke Krankheit dreifach irreführend » (maladie malade induisant triplement en erreur) du 15.3.2023 et dans W+ n° 2/2023, page 23.

3 « Sortir du piège de la pensée mécanique pour comprendre » (en allemand « Aus der mechanischen Denkfalle ins Verstehen » Livre de Stefan Lanka et Ursula Stoll. Praxis Neue Medizin Verlag, 2022.

4 Voir les contributions de LV sur Telegram concernant le SIDA et les critiques de la vaccination du 25 juin et du 1er juillet 2023 et dans ce numéro.

5 Eugen Rosenstock-Huessy. Sociologie (I), Die Übermacht der Räume (La surpuissance des espaces), Stuttgart 1956, p. 115

6 « Qui fait peur a le pouvoir. Apprendre du Corona » contribution LV du 9.3.2023 sur Telegram et à la page 11 de W+ n° 2/2023.

7 Livre de Simonetta Sanna : L’autre révolution. La mort de Danton de Georg Büchner et la recherche d’alternatives plus pacifiques. Editions Wilhelm Fink, 2010. Voir : www.literaturkritik.de/id/15216

8 L’élite du pouvoir. Charles Wright Mills. Westend (Editions), 2019.

9 Voir 3

10 La panique, c’est essentiel. Un nouveau regard sur les pandémies en Europe. Drs Gerd et Renate Reuther. Editions Engelsdorfer, 2023

11 S’il y a un homme qui voit clair dans la mise en scène des épidémies et a sciemment poussé Corona, ce ne peut être que le professeur Christian Drosten. Voir à ce sujet : Fehldeutung Virus II (Mauvaise interprétation du virus). Début et fin de la crise Corona. W+ n° 2/2020. Disponible gratuitement sur Internet à l’adresse : https://wissenschafftplus.de/uploads/article/wissenschafftplus-fehldeutungvirus-teil-2.pdf




Situation désespérée pour les soignants suspendus non réintégrés

Le collectif Les Essentiels sonne l’alerte

[Source : francesoir.fr]

En avril dernier, des soignants semblaient enfin voir le bout du tunnel avec la fin de leur suspension, 18 mois après avoir refusé de se soumettre à l’obligation vaccinale. Pourtant, près de six mois plus tard, la réintégration se passe mal pour des milliers d’entre eux, alerte le collectif Les Essentiels, fondé par Jean-Louis. Pour certains, les conditions de retour ne sont pas tenables, puisqu’ils ne sont pas réintégrés aux postes qu’ils avaient quittés le 15 septembre 2021. Dans cet entretien, Jean-Louis est accompagné de Vincent, docteur en médecine et de Pascale, infirmière. Cette dernière est un exemple type de ce qu’il se passe actuellement. Sentant qu’elle ne pouvait pas accepter les conditions que l’on lui proposait pour sa réintégration, elle a fait le choix de se mettre en disponibilité, tout en se sentant forcée de prendre cette décision : « On a l’impression d’un véritable acharnement de certains personnels administratifs », regrette Jean-Louis, le fondateur du collectif.






Bon appétit et bonne santé, vos farines d’insectes sont avancées

[Source : AIMSIB]

Ainsi va la vie des affaires que nos chercheurs et scientifiques rebelles soient obligés de requérir l’anonymat pour publier leurs données, sous peine de voir leurs carrières s’arrêter net. Alimenter les humains et les animaux avec des farines d’insectes, beaucoup d’industriels en rêvent, mais bien peu se soucient des dangers encourus par les consommateurs, de toute façon le problème est ailleurs, car jamais nos élites ne consommeront ces produits. Donner à manger de l’oxyde de graphène à des insectes pour les consommer ensuite, peut-on imaginer plus abominable en termes de mauvaise idée ? Parfaitement, plein d’autres même, vous n’allez pas en revenir. Merci à nos « anonymes » et bonne lecture.


Par Auteur anonyme

Introduction

Le Forum Économique Mondial (FEM) propose de remplacer une partie des protéines animales habituellement consommées par des protéines d’insectes. Le FEM craint une crise alimentaire imminente et au lieu de promouvoir une agriculture différente, il préconise des solutions industrielles : production de viande en laboratoire et incorporation d’insectes dans l’alimentation
(https://www.weforum.org/agenda/2021/07/why-we-need-to-give-insects-the-role-they-deserve-in-our-food-systems/).
Le FEM promeut aussi une sorte « soft » de cannibalisme (production de steak humain en laboratoire
https://childrenshealthdefense.org/defender/insect-farming-maggots-food-menu-cola/). Pour faire avaler ces horreurs, le FEM propose d’abord d’introduire les insectes sous forme de farines invisibles dans l’alimentation.
Un groupe de scientifiques et médecins qui préfèrent rester anonymes ouvre le débat sur le blog de l’AIMSIB en faisant part de ses craintes d’un point de vue toxicologique à propos de cette innovation. L’aspect économique et éthique devra être aussi discuté plus tard !

Contexte

L’Union européenne (UE) a signé plusieurs conventions afin d’autoriser la mise sur le marché d’insectes entiers et produits dérivés d’insectes comme les farines d’insectes (ou poudres d’insectes). Ces farines d’origine animale seront mélangées à divers aliments de consommation courante. Deux conventions ont été signées début janvier 2023 ; elles concernent l’autorisation de mise sur le marché :

– de la poudre d’Acheta domesticus
(grillon domestique) [1]
– de formes congelées, lyophilisées en pâte et en poudre de larves d’Alphitobius diaperinus
(petit ténébrion mat) [2]

Il existe aussi deux autres textes qui datent de 2021 autorisant la mise sur le marché :

– de larves séchées de Tenebrio molitor
(ver de farine) [3]
– de formes congelées, séchées et en poudre de Locataria migratoria
(criquet migrateur) [4]

Selon le rapport de l’agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) en 2014, le projet émane d’institutions internationales et d’industriels qui proposent un projet global sur l’hypothèse d’une insécurité alimentaire liée à une augmentation croissante de la population mondiale. Cette croissance de la population nécessiterait de produire des protéines animales autres que celles des élevages traditionnels. Les insectes deviendraient une source alternative de protéines animales pour la consommation humaine (et aussi animale). Ce projet s’appuie sur un recyclage de matières organiques (déchets ou coproduits de l’agriculture et des industries alimentaires) [5].

Ce projet d’élevage d’insectes pose des questions de fond sur les risques de sécurité sanitaire et sur les risques environnementaux d’autre part.

La consommation de certains insectes pratiquée de façon traditionnelle par certaines populations dans le monde n’a rien à voir avec la généralisation d’une consommation de farine d’insectes obtenue par un élevage intensif et une transformation industrielle (même s’il existe une activité industrielle d’élevage d’insectes dans certains pays d’Asie [5]). Cette consommation traditionnelle se fait selon des modes de préparation culinaire et dans le cadre de régimes alimentaires particuliers ; en effet, elle ne constitue pas une source alimentaire continue, mais occasionnelle et intégrée dans une alimentation aux sources variées. Les insectes consommés le sont tels quels, « nature », c’est-à-dire après préparation manuelle (retrait des parties de l’animal qui peuvent présenter un danger alimentaire ou qui sont peu digestibles) et cuisson. Il n’y a pas de transformation par des procédés industriels, en particulier il n’y a pas d’ajout de substances.

La chitine, ça vous dit ?

La chitine (et ses dérivés dont le chitosan) est un constituant fondamental de l’exosquelette des arthropodes (tels les crustacés et les insectes), de différents organes de mollusques, des parois cellulaires des moisissures, de la cuticule des acariens et de l’enveloppe externe des helminthes (vers). Les insectes autorisés par l’UE sont riches en chitine (5).
Certains animaux sont insectivores comme les oiseaux, les reptiles… Ils ont naturellement la capacité de digérer les substances contenues dans les insectes comme la chitine (grâce à la présence d’enzymes appropriées).
Les animaux dont l’appareil digestif est dépourvu de l’enzyme chitinase ne peuvent pas la digérer (risque de troubles intestinaux jusqu’à l’occlusion). Le problème de digestibilité risque de se poser aussi chez l’homme dont les chitinases identifiées paraissent insuffisantes pour lyser ce polymère de chitine (5). La poudre de L. migratoria (criquets) est obtenue par le broyage mécanique des insectes, pattes et ailes comprises [4].
Ceci permet de reconsidérer la destination naturelle des insectes dans la chaîne alimentaire des conditions naturelles de la vie.

Ces nouveaux produits, nommés « nouveaux aliments », relèvent du règlement de l’UE (2015/2283) [6]. Par ce règlement, l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA, European Food Sanity Authority), à la demande de la Commission européenne élabore un document qui sera complété par le demandeur de l’autorisation de mise sur le marché de ces produits. Ce document contient un ensemble d’informations sur le « nouvel aliment », dont les évaluations qui démontrent son innocuité [7].
Pour rendre son avis, l’EFSA se baserait seulement sur les informations contenues dans le rapport réalisé par l’entreprise (le demandeur) d’autorisation de mise sur le marché [7].

Ce rapport serait confidentiel et son contenu ne serait accessible que plusieurs années après l’entrée en vigueur du règlement (délai de 5 années après l’entrée en vigueur du règlement) [1] [2] [3] [4].

Il est important de noter que cette autorisation de mise sur le marché est dédiée à un seul demandeur qui a l’exclusivité sur la vente de sa production pendant plusieurs années, avec le maintien d’une confidentialité stricte sur les procédés que le demandeur peut utiliser. Par exemple, s’agissant de la convention relative à A. Domesticus, on peut lire [1] :
Article 13 « La requérante a déclaré qu’elle détenait des droits de propriété et exclusifs de référence aux études scientifiques et aux données relatives à la description détaillée du procédé de production… les tiers ne peuvent légalement accéder à ces données et études, les utiliser ou s’y référer.
Article 14… En conséquence, seul le demandeur devrait être autorisé à mettre sur le marché de l’Acheta domesticus (grillon domestique) une poudre partiellement dégraissée dans l’Union européenne pendant une période de cinq ans à compter de l’entrée en vigueur du présent règlement. »

Les principaux aliments concernés par ces farines sont :

– pour A. Domesticus : pains et petits pains, barres de céréales, prémélanges pour produits de boulangerie, pâtes, pâtes farcies, produits transformés à base de pomme de terre, de légumineuses, soupes, soupes en poudre, confiseries chocolatées, noix et oléagineux, préparations de viandes… [1]
– pour A. Diaperinus : barres de céréales, pains, pâtes, pâtes farcies, céréales petit déjeuner, pommes de terre frites, chips, produits à base de céréales, sandwichs prêts à consommer, préparations de viande, confiseries au chocolat, compléments alimentaires… [2]
– pour T. Molinor : biscuits, plats à base de légumes, produits à base de pâtes… [3]
– pour L. Migratoria : produits de pomme de terre transformés, plats à base de légumes, produits à base de pâtes, substituts de viande, soupes, légumineuses et légumes en conserve en bocal, salades, saucisses, confiserie au chocolat, boisson type bière… [4]

Les risques sanitaires liés à la consommation d’insectes

On s’appuie surtout sur le rapport de l’ANSES de 2014 qui donne un état des lieux des connaissances scientifiques et des risques potentiels liés à la consommation d’insectes en tant que « nouveaux aliments ». Ces risques sont variés et se trouvent aux différents stades de la mise en œuvre du procédé industriel de l’élevage au produit fini.

1— Les dangers liés à la transformation de l’insecte

La transformation en poudre des insectes d’élevage passe par plusieurs étapes successives. Elle est ainsi décrite dans la convention relative à la transformation d’A. domesticus : une période de jeûne de 24 heures pour que les insectes vident leur tube digestif, une mise à mort par congélation, lavage, traitement thermique, séchage, extraction de l’huile (par extrusion mécanique) et mouture [1]. Les insectes séchés sont commercialisés entiers ou sous forme de farines après broyage. Les dangers sanitaires liés aux insectes ou produits dérivés d’insectes sont soit spécifiques à l’espèce (présence de corps étrangers, substances toxiques, allergènes…), soit liés à la production, de l’élevage au transport.

Le rapport insiste surtout sur le manque de connaissances scientifiques concernant ces dangers sanitaires, aussi bien pour les produits destinés à l’animal que ceux destinés à l’homme (5). Le rapport de l’EFSA 2015 le confirme : les données sur la consommation d’insectes par les humains (et aussi par les animaux) sont pratiquement inexistantes [8].

– Les contaminants : comme pour tous les aliments transformés, ils peuvent être présents à différents stades de la production d’insectes. Il peut s’agir de bactéries comme celles qui provoquent l’anthrax (B. anthracis) ou qui sont liées à des intoxications alimentaires (B. cereus) ; elles peuvent être transmises par des insectes eux-mêmes contaminés à partir de sol servant de substrat d’élevage [5]. Il peut aussi s’agir de matériau tels les supports plastiques grignotés par les insectes [5]

Il y a peu de données sur les risques de contamination des insectes par des contaminants chimiques situés dans les différents substrats d’élevage [8].
Le rapport de l’EFSA de 2018 [9] soulève les risques potentiels des nanoparticules en contact avec la nourriture : les études désignées sont expérimentales et en cours d’évaluation.

L’oxyde de graphène (OG) est un nanomatériau semi-conducteur ayant une structure fine et capable d’extensibilité ; il est utilisé pour de nombreuses applications dans les domaines de l’industrie (écrans, cellules photovoltaïques…). Il est utilisé aussi pour les élevages de certains insectes (Lepidoptera et Diptera) pour pallier au manque de nourriture destinée à ces insectes, et favoriser leur prolifération, selon le brevet chinois de 2021 (Université de Hebei) [10]. Il pourrait ainsi participer à la réduction du coût de la production des insectes. Son utilisation pourrait-elle s’étendre aux élevages d’autres espèces d’insectes ? Si de tels traitements sont appliqués, on s’interroge sur le risque sanitaire de l’OG sur l’homme par ingestion, d’autant que le broyage des insectes augmente la biodisponibilité de ces substances indésirables.

Certaines expérimentations chez les souris montrent que l’ingestion d’une faible dose d’OG entraîne des lésions de la paroi digestive ; cette effraction pourrait être à l’origine d’une distribution du nanomatériau dans le corps de la souris [11].

Les insectes subissant le même processus pourraient contaminer l’homme lorsque celui-ci les consomme. Les risques chez l’homme liés à l’OG dépendent de multiples facteurs dont les caractéristiques de ce nanomatériau. Leur toxicité dans les études expérimentales est surtout liée à la génotoxicité : les dommages à l’ADN peuvent entraîner des maladies cancéreuses et menacer la santé de la génération suivante si les cellules reproductrices sont aussi atteintes [11] [12].

– Les substances néoformées : Les procédés de transformation induisent des réactions chimiques au sein des aliments pouvant amener à la formation de composés néoformés toxiques [13] [14]. Ces derniers peuvent se former au cours de traitements thermiques, au cours des procédés de fermentation ou au cours de différentes étapes de conservation [13] [14].
Les amines aromatiques hétérocycliques (AAHs) sont des composés néoformés lors des procédés thermiques [13]. Les AAHs sont mutagènes et génotoxiques (IARC, 1993). En effet, même à de très faibles concentrations, elles induisent des dommages génétiques en formant des adduits avec l’ADN (fixation à l’ADN de manière covalente) [13].

– Accidents au cours de la production (par exemple, accident de manipulation de solvant)

2— les dangers microbiologiques

Là aussi il y a peu de documentation sur ce type de dangers. Il n’y a pas seulement des risques liés aux bactéries (cf. ci-dessus) ; on sait que des parasites ont été mis en évidence dans des échantillons d’insectes ; cela veut dire que les insectes peuvent être porteurs de parasites potentiellement néfastes pour la santé de l’homme. Il peut s’agir de parasitoses à cercaires et métacercaires [5] (dont certaines donnent des cécités).

Le risque infectieux lié aux prions (agents transmissibles non conventionnels) ne peut être exclu [5]. Le prion est une protéine pathogène qui peut entraîner des maladies neurodégénératives mortelles comme l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ou maladie de la vache folle chez les bovins, ou la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez l’homme. L’ESB est liée au type d’alimentation donnée aux bovins : des farines animales contaminées par le prion pathogène (parties d’os et de viandes non utilisées dans l’alimentation humaine, transformées et réduites en farines). À partir de 1990, ces farines ont été interdites et malgré cela, d’autres cas d’ESB sont apparus : ces bovins malades étaient alimentés dès leur plus jeune âge par des aliments composés du commerce [15] [16] [17].
De même, les insectes d’élevage pourraient être porteurs de prions si le substrat leur servant d’alimentation comporte des protéines d’origine humaine ou animale comme les ruminants ; une évaluation de ces risques doit être réalisée [8]. Or, selon le rapport de l’ANSES 2015, l’alimentation fournie aux insectes dans les élevages s’appuie sur le recyclage de déchets organiques.
Ce risque est bien connu et demande de faire preuve de la plus grande prudence : le règlement de l’UE 2017/893, entré en vigueur le 1er juillet 2017, a permis d’inclure une liste restreinte de 7 espèces d’insectes dans les aliments pour l’élevage de poissons (aquaculture). Avant cela, l’ajout de tout insecte pour les animaux d’élevage n’était pas autorisé en raison du risque de maladies liées aux prions [6].

Ce risque peut aussi être lié au mésusage de produits destinés à l’alimentation animale réorientés pour l’homme [5]. Le prion pathogène est résistant aux processus industriels d’inactivation notamment ceux utilisant de la chaleur [18].

3— Le danger allergène

Les insectes ont des allergènes communs à d’autres organismes comme les crustacés, les mollusques, les acariens…
Les cas d’allergie alimentaire liés à une ingestion d’insectes rapportés sont probablement sous-estimés ; ceux qui ont pu être rapportés concernent le ver de farine (T. molitor) et autres types de ver [5]. Ces accidents peuvent être sévères, et mettre en danger la vie du consommateur (réaction anaphylactique).

Certains de ces allergènes d’insectes correspondent à des protéines que l’on retrouve un peu partout dans d’autres organismes, ce qui peut donner lieu à des réactions croisées, par exemple celle qui concerne le ver de farine et les acariens [5]. La consommation d’insectes par des individus allergiques aux acariens ou aux crevettes pourrait très bien déclencher des réactions allergiques imputables à cette réactivité croisée [5].

La chitine est aussi considérée comme un allergène avec des effets complexes sur le système immunitaire [5].
L’effet allergique peut aussi être renforcé par stabilisation de la protéine allergisante lors de certaines réactions chimiques (réaction de Maillard) [14].
L’EFSA a exigé, du fait de risques allergiques, un étiquetage des produits alimentaires qui contiendront des produits industriels dérivés des insectes [1] [2] [3] [4].

De ce fait, les personnes allergiques seront privées d’une grande variété de spécialités alimentaires de consommation courante, y compris le pain.

En effet on estime en France environ 100 000 personnes, soit la population d’une ville française moyenne, qui pourraient être potentiellement concernées par ces réactions ou allergies croisées [5].

4— Les dangers chimiques : les substances toxiques

Les insectes via l’environnement ou l’alimentation peuvent accumuler dans leur organisme (bioaccumulation) des substances toxiques telles que les polluants organiques persistants, les pesticides, les métaux lourds. La bioaccumulation est une des stratégies adaptatives de l’insecte pour éviter toute intoxication. Les criquets sont des bioaccumulateurs de pesticides ; on retrouve aussi un métal lourd dans les larves de T. molitor : le cadmium [5]. Ce dernier se trouve dans les matières fertilisantes utilisées dans l’agriculture, contamine le sol, les végétaux, les insectes et l’homme par l’alimentation. Ce toxique est reconnu comme cancérigène, mutagène et toxique pour la reproduction [19].
Les pesticides, comme les polluants organiques persistants résistent généralement aux traitements thermiques [5].
Les données publiées sur les produits chimiques des insectes en élevage sont rares [8].

5— Les dangers chimiques : les facteurs antinutritionnels

Là aussi, il y a un manque de données sur la concentration de ces substances chimiques dans les insectes et leurs dérivés. Les animaux sont sensibles à ces facteurs antinutritionnels [5].
On peut citer par exemple l’acide phytique dont le risque est de former avec certains minéraux de l’organisme humain des complexes insolubles qui ne seront pas absorbés ; il peut en résulter une carence de ces minéraux (comme le phosphore).

La chitine et l’un de ses dérivés, le chitosan, ont un rôle similaire ; en se liant à des lipides, ils forment des gels qui emprisonnent certaines vitamines et minéraux diminuant ainsi leur biodisponibilité [5].

L’acide cyanhydrique utilisé pour fabriquer des pesticides se retrouve dans l’organisme des insectes ; il peut aussi provenir des plantes riches en glycosides cyanogènes consommés par les insectes (les glycosides cyanogènes libèrent de l’acide cyanhydrique).
Les intoxications liées à l’acide cyanhydrique sont habituellement d’ordre professionnel par inhalation. On le retrouve aussi dans la fumée de tabac et les gaz d’échappement. Il agit aussi par ingestion ou par contact cutané. Il est rapidement absorbé sous forme de cyanure, métabolisé par le foie et excrété surtout par voie rénale [20] [21].
Il est hautement toxique chez l’homme : l’acide cyanhydrique et les cyanures métalliques sont inscrits au tableau A des substances vénéneuses.

Il existe quelques données expérimentales sur le risque lié à une exposition chronique du cyanure par ingestion : études avec le rat où l’on observe à fortes doses une réduction du nombre des spermatozoïdes ; études avec le porc qui développe des perturbations comportementales avec un allongement du temps de réponse aux stimuli nerveux (en faveur d’une souffrance neurologique) [22]. D’autres études expérimentales avec le rat ont aussi rapporté des effets neurologiques, thyroïdiens et sur la reproduction avec des malformations chez les fœtus de rats exposés [23] [24].
Il existe aussi quelques données cliniques chez l’homme : des études épidémiologiques confirment l’existence d’une association entre l’exposition chronique au cyanure par ingestion (consommation de manioc amer riche en glycosides cyanogènes) et des troubles neurologiques. Ces troubles sont de type neuropathie ataxique tropicale ou de type konzo (apparition brutale d’une paraplégie spastique parfois associée à des troubles visuels) [18] [25].
L’intoxication liée à l’exposition chronique à l’acide cyanhydrique par inhalation a aussi été le sujet de quelques observations cliniques chez l’homme avec des troubles de la vision, des troubles de la fonction de la thyroïde, et la survenue d’une anémie dite pernicieuse (carence en vitamine B12) [24]. Ces observations confortent le fait qu’une exposition chronique avec des seuils en dessous de ceux provoquant les signes cliniques d’une intoxication aiguë entraîne des effets délétères sur la santé humaine à long terme.

Ce risque potentiel lié à l’exposition chronique à l’acide cyanhydrique par ingestion est d’autant plus préoccupant pour les jeunes enfants en plein développement et maturation cérébrale.

Plusieurs seuils de concentration liés au risque de toxicité aiguë par l’acide cyanhydrique ont été proposés ; l’UE en 2009 a estimé une concentration d’acide cyanhydrique devant être inférieure ou égale à 0,5 mg/kg de denrée alimentaire solide pour éviter une intoxication aiguë [22]. Le rapport de l’ANSES 2014 (annexe 2) nous donne une concentration d’acide cyanhydrique estimée à 2,19 mg/100 g de poids sec pour une espèce de la famille des Gryllidae (communément appelée grillons), soit 21,9 mg/kg de poids sec [5]. C’est une concentration bien supérieure à celle préconisée par l’UE.
Les populations de grillons dans le cadre de la convention 1 ont un taux d’acide cyanhydrique inférieur ou égal à 0,5 mg/kg de poudre poids sec [1]. Comment expliquer cette différence aussi importante avec le résultat d’analyse des populations décrites dans le rapport de l’ANSES 2014 (annexe 2) : la différence semble trop importante pour être attribuée à des méthodes de détection et/ou d’analyse différentes. Il serait raisonnable de penser que la différence pourrait se situer au niveau de l’apport alimentaire en terme de qualité ; si c’est le cas, quel type d’aliments pour la population d’insectes d’élevage ?
Les analyses de la convention concernant les criquets ne mentionnent pas le composant toxique acide cyanhydrique [4].
Par ailleurs il n’existe pas de données chez l’homme sur la cancérogenèse du cyanure [22] [23]. De même, les effets génotoxiques ne sont pas documentés [23]). Ces données doivent être complétées par des études toxicologiques approfondies.

6— Utilisation d’insectes génétiquement modifiés

La possibilité d’utiliser des insectes génétiquement modifiés est soulevée ; c’est aussi le problème global de l’impact sanitaire des aliments génétiquement modifiés qui refait surface avec le risque sanitaire potentiel chez l’homme et chez l’animal, mais aussi le risque d’altération irréversible de l’écosystème [26].

Discussion et conclusion

1— Manque de données scientifiques de toxicité

Il existe un manque de données scientifiques de toxicité sur les risques sanitaires liés à la consommation d’insectes. Le rapport de l’ANSES 2014 a mis en évidence un fort déficit d’informations scientifiques et d’études toxicologiques pour démontrer l’innocuité de ces insectes, et a fortiori, de ces insectes transformés par des procédés industriels. Ces lacunes sont soulignées dans le rapport même de l’EFSA de 2015 qui note l’absence de collecte de données sur la consommation animale et humaine d’insectes et qui recommande fortement la production d’études toxicologiques [8].

Le caractère confidentiel des procédés, études et analyses sur la toxicité des demandeurs interroge.

L’exposition chronique à ces produits industriels d’insectes et dérivés d’insectes sera réelle puisqu’ils vont se retrouver dans un nombre considérable d’aliments ou de préparations alimentaires consommés de façon régulière, tous les jours comme par exemple le pain : les risques de toxicité chronique seront amplifiés par la généralisation de la consommation de cette farine d’insectes dans les divers aliments fournis par l’industrie agroalimentaire. Les doses même infimes de ces substances indésirables (substances néoformées, contaminants, toxiques, substances non identifiées, résidus des produits utilisés pour le lavage des insectes…) consommées régulièrement peuvent être à l’origine d’une intoxication chronique.
L’hypothèse d’un lien entre l’exposition chronique à certains contaminants contenus dans les aliments et la recrudescence de certaines pathologies telles que les cancers, maladies neurodégénératives a déjà été soulevée (9) ; de même pour les composés néoformés même s’ils sont à l’état de trace dans les aliments [13].
Les études scientifiques sur le long cours sont manquantes. Il est indiqué dans la convention 2 qu’une surveillance a été réalisée sur un laps de temps de 90 jours [2]. S’il s’agit d’une surveillance post-exposition aux produits, nous ne savons pas quelle dose de produits a été consommée et pendant combien de temps. Dans les intoxications chroniques, il faut souvent envisager une surveillance sur une durée plus longue ; en effet, les effets néfastes potentiels peuvent apparaître plusieurs mois voire plusieurs années après l’exposition et dans le cas d’un risque d’atteinte génotoxique, il faut envisager une surveillance transgénérationnelle. Les études relatives à la génotoxicité sont aussi manquantes. La question de la génotoxicité a été soulevée dans le cadre des analyses réalisées pour les criquets [4].

Les données sur les interactions entre ces différents éléments chimiques sont aussi manquantes : quel est leur impact sur la santé humaine ? Là aussi, on a peu de données ; le mélange de contaminants néoformés peut avoir un effet synergique ou antagoniste. Les teneurs en métaux lourds varient selon les farines issues des différents insectes. Par exemple la teneur maximale en cadmium est ≤ 0,025 mg/kg de poudre A. domesticus ; ≤ 0,05 mg/kg de poudre A. diaperinus ; ≤ 0,05 mg/kg de poudre L migratoria [1] [2] [4]. Ces quantités vont se retrouver cumulées puisqu’un aliment déjà commercialisé pourra contenir des farines d’insectes issues de différents insectes (exemple : les pâtes).
Il faudrait aussi prendre en compte l’ajout de toute cette diversité chimique à celle qui existe déjà dans les produits agroalimentaires actuellement commercialisés.
La dose de poudre issue d’A. Diaperinus admise varie de 5 g/100 g de denrée alimentaire (dans les confiseries chocolatées par exemple) à 20 g pour les sandwichs prêts à consommer. Or, la dose maximale admise dans les compléments alimentaires est de 4 g/100 g [2] : s’agit-il d’interactions néfastes entre les composés de cette poudre et ceux des compléments alimentaires ?
En outre toutes ces substances ne sont pas forcément identifiées et/ou détectées comme c’est le cas pour les composants néoformés [13] et les prions [9].

Ces risques sanitaires posent davantage d’inquiétude pour les personnes vulnérables comme les nourrissons et les personnes âgées à l’égard des composés néoformés qui peuvent induire des pathologies chroniques inflammatoires [9]. Par analogie, les études déjà citées à propos de l’ESB ont montré que les jeunes bovins soumis à des aliments industriels durant leurs premiers mois de vie ont une augmentation significative du risque de contracter l’ESB [15] [16] [17].
Les facteurs antinutritionnels posent aussi un problème chez les personnes carencées en vitamines ou autre nutriment important [5].
L’étude déjà citée sur le mélange A. diaperinus et les compléments alimentaires indique que ces compléments alimentaires ne devraient pas être consommés par les jeunes de moins de 18 ans [2].
Un autre exemple : celui du cyanure qui est métabolisé par le foie et éliminé par voie rénale. Les personnes ayant déjà des défaillances de ces organes pourraient être plus sensibles à ce toxique, des doses plus faibles pouvant causer des effets potentiellement graves chez ces personnes. On souligne à nouveau le risque potentiel de la toxicité neurologique du cyanure chez les enfants en pleine croissance.
En France, les actions des comités indépendants des autorités sanitaires s’attachent à mettre en œuvre des études indépendantes, indispensables pour éviter tout conflit d’intérêts : quels sont ces comités ?

2— Problème de traçabilité

En effet, la distribution concernera une grande majorité de produits alimentaires. L’exposition généralisée de la population à ces substances ne permettra pas de rechercher un lien de causalité en cas de survenue d’effets néfastes qui pourraient être liés à ces produits industriels.
Le mélange de ces différentes poudres dans un même aliment rendra aussi impossible, en cas de survenue d’effets néfastes, d’identifier le nouvel aliment responsable.
En outre le mélange de ces diverses substances d’une part, la méconnaissance de la quantité de ces poudres ingérées par un individu d’autre part, ne permettront pas de mettre en place d’études d’évaluation des niveaux d’exposition et des risques spécifiques à chacune de ces substances.

3— Rapport bénéfice/risque

L’importance des risques potentiels sur la santé et l’environnement semble sous-estimée. Le rapport bénéfice/risque est dès lors très discutable. En outre, adopter de « nouveaux aliments » doit aussi prendre en compte l’environnement en termes de protection. L’usage de solvant, d’engrais, d’énergie (l’élevage d’insectes nécessite par exemple une température constante et élevée), de moyens de transport, d’emballage, de rejets de déchets chimiques, polluants, toxiques… utilisés dans la transformation complexe d’une matière première n’est pas à la faveur de la contribution à la sauvegarde de l’environnement. Des textes internationaux promeuvent le contrôle voire l’élimination des émissions de ces substances dans l’environnement (protocole d’Aarhus 1998, convention de Stockholm 2001). Ces éléments vont à l’encontre de l’objectif émanant de l’hypothèse à l’origine de cette proposition d’élevage d’insectes. La mise en œuvre de « nouveaux aliments » va à nouveau générer des déchets ou coproduits de ces industries agroalimentaires inhérents au mode de production et de commercialisation (fixation des prix au nom du profit, destruction de la partie invendue). Ces aspects ne répondent pas à la question du gaspillage alimentaire. On note aussi que certaines de ces sociétés se situent hors continent européen.
Très peu d’études existent sur l’impact environnemental de l’élevage des insectes. Selon le rapport EFSA de 2015, les dangers liés à l’environnement devraient être comparables à ceux d’autres systèmes de production animale. Dans l’hypothèse où les risques générés pour l’environnement liés aux élevages d’insectes sont comparables à ceux liés aux élevages traditionnels, il faut ajouter aux risques sanitaires pour l’homme et pour l’animal la question du bénéfice nutritionnel ; quelle est la quantité de protéine assimilable issue de ces farines ? Et quelle est la qualité nutritive après ces transformations et stockages ?
Aucune évaluation de ces mesures ne peut être mise en œuvre : les indicateurs ne sont pas définis et les objectifs de l’étude restent imprécis.
Il faut rappeler la différence fondamentale entre la consommation traditionnelle, occasionnelle d’insectes par certains groupes d’individus et la consommation généralisée de produits industriels à base d’insectes et cette différence doit être prise en compte sur les plans sanitaire et environnemental, et aussi sociologique et culturel.
L’existence d’une consommation traditionnelle naturelle de certains insectes par certaines populations ne devrait pas justifier une consommation, d’autant au long cours, d’insectes et produits dérivés d’insectes obtenus par des procédés industriels qui peuvent engendrer de nouveaux risques sanitaires et environnementaux.

Références bibliographiques

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  • [1] Règlement d’exécution (ue) 2023/5 de la commission du 3 janvier 2023 autorisant la mise sur le marché de poudre partiellement dégraissée d’Acheta domesticus (grillon domestique) en tant que nouvel aliment… EUR-Lex-32023R0005-EN-EUR-Lex
  • [2] Règlement d’exécution (ue) 2023/58 de la commission du 5 janvier 2023 autorisant la mise sur le marché des formes congelée, lyophilisée en pâte et en poudre de larves d’Alphitobius diaperinus (petit ténébrion mat) en tant que nouvel aliment… EUR-Lex-32023R0058-EN-EUR-Lex
  • [3] Règlement d’exécution (ue) 2021/882 de la commission du 1er juin 2021 autorisant la mise sur le marché de larves séchées de Ténébrio molitor en tant que nouvel aliment… EUR-Lex-32021R0882
  • [4] Règlement d’exécution (ue) 2021/1975 de la commission du 12 novembre 2021 autorisant la mise sur le marché de formes congelée, séchée, en poudre de Locataria migratoria (criquet migrateur) en tant que nouvel aliment… L_2021402FR.01001001.xml-Europa
  • [5] ANSES saisine 2014-SA — 0153 du 12/02/2015
  • Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire relatif à la valorisation des insectes dans l’alimentation et l’état des lieux des connaissances scientifiques sur les risques sanitaires en lien avec la consommation des insectes BIORISKS 2014 sa 0153.pdf
  • [6] Efsa journal 2019 ; 17 (S2) : e170907 Insectes dans les denrées alimentaires et les aliments pour les animaux-évaluation des risques d’allergénicité et détection analytique https://doi.org/j.efsa.2019.e170907
  • [7] Efsa journal 2016 ; 14 (11) : 4594 Orientations sur la préparation et la présentation d’une demande d’autorisation d’un nouvel aliment dans le cadre du règlement (ue) 2015/2283 https://doi.org/10.2093/j.efsa.2016.4594
  • [8] Efsa journal 2015 ; 13 (10) : 4257 Profil de risque lié à la production et à la consommation d’insectes destinés à l’alimentation humaine ou animale https://doi.org/10.2093/j.efsa.2015.4257
  • [9] Efsa journal 2018 ; 16 (7) : 5327 risque des nanotechnologies sur les denrées alimentaires https://doi.org/ 10.2903/j.efsa.2018.5327
  • [10] CN 109497353B-Application of graphene oxide in preparation of feed for lepidoptera and diptera insects
  • [11] particleandfibretoxicology.biomedcontrol.com/articles/10-1186/s12989-016-0168-y (« toxicité des nanoparticules de la famille des graphènes : revue générale des origines et des mécanismes »)
  • [12] particleandfibretoxicology.biomedcontrol.com/articles/10.1186/s12989-022-00502-w (« La récupération pulmonaire des dommages à l’ADN induits par l’oxyde de graphène dépend de la taille de la dose et du profil d’inflammation »
  • [13] Les composés néoformés toxiques et leur remédiation : foccus sur les produits carnés Meurillon M. et Engel E. Revue « Innovations agronomiques » 2019 INRA UR 370 Qual A [attention, rechercher la référence exacte comme noté sur l’article en mentionnant l’url ou doi]
  • [14] Anses, 2015. Dangers chimiques liés à la présence de substances néoformées dans les aliments au cours des procédés de fabrication, de transformation et de préparation des aliments. Fiche outils
  • [15] N. Jarrige, C. Ducrot, G. Cazeau, E. Morignat, & D. Calavas, « Contamination alimentaire des bovins naïfs atteints d’ESB ; Études complémentaires sur la période de distribution des aliments composés aux bovins et sur le rôle des aliments pour volailles » [archive], J. Epidémiol. et santé anim., vol. 49, 2006, p. 45-53.
  • [16] N. Jarrige, C. Ducrot, G. Cazeau, E. Morignat & D. Calavas, « Les aliments pour bovins, principale cause des cas d’ESB nés après l’interdiction des farines animales », dans 13. Rencontres autour des Recherches sur les Ruminants [3R], 2006-12-06/2006-12-07, Paris, FRA. Institut de l’Élevage.
  • [17]N. Jarrige, C. Ducrot, G. Cazeau, E. Morignat, C. La Bonnardière, & D. Calavas, « Case-control study on feed risk factors for BSE cases born after the feed ban in France » [archive], Veterinary research, vol. 38, no 3, 2007, p. 505-516.
  • [18] Organisation Mondiale Santé Animale « encephalopathie spongiforme bovine »
  • [19] ANSES — saisine 2015-SA-0140 Avis de l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail relatif à l’exposition au cadmium CAS 7440 — 43-9
  • [20] Medecinelégale. wordpress.com>2010>10>31/intoxication-par-lacide-cyanhydrique
  • [21] Sfmu.org/toxin/PROTOCOL/ACCYA
  • [22] ANSES — saisine n° 2009-SA-0320 Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement du travail relatif à la contamination de lots de sarrazin et de farines de sarrazin par de l’acide cyanhydrique RCCP 2009sa0320.pdf
  • [23] inrs institut national de recherche et de sécurité inrs.fr fiche toxicologique numéro 111 Cyanure de sodium, cyanure de potassium Edition septembre 2022
  • [24] ineris institut national de l’environnement industriel des risques. Fiche de données toxicologiques et environnementales des substances chimiques cyanures et dérivés M.Bisson, J.Bureau, S.Denys…
  • [25] Substances toxiques et facteurs antinutritifs [fao.org/3/t0207f/T0207F0/c/htm]
  • [26] efsa journal 2020 evaluation des risques environnementaux des insectes modifiés par l’entraînement génétique 10/2093/sp.efsa.2020.FR-1819




Mourant de « vaccination » (avec sa mère), Pascal Najadi, fils du co-fondateur du WEF, appelle à l’ARRESTATION de Gates, Schwab, la direction de l’OMS, Big Tech, Pfizer

[Source : lezarceleurs]

Mark Crispin Miller

28 oct. 2023

« Tout le mal dans le monde lié au démocide vient malheureusement de Genève. »

« Tous les “vaccinés”, les injectés, sachant qu’ils sont empoisonnés, et nous sommes la masse. Nous sommes des milliards de personnes. Levons-nous et disons : “Arrêtez”. Nous ne nous conformerons pas. »

« Nous sommes les gardiens de l’humanité et notre lumière effacera les ténèbres du mal. Toujours. »

S’il vous plaît, partagez largement.

WOW — Pascal Najadi, le fils de Hussain Najadi, cofondateur du WEF, demande l’arrestation de Bill Gates, des dirigeants de l’OMS, du WEF, de Klaus Schwab, de Big Tech et de Pfizer.
Il affirme que sa mère et lui sont en train de mourir à cause du vaccin, qu’il qualifie de « poison ».

[Voir :
Pascal Najadi témoigne des graves effets secondaires depuis ses injections Pfizer]




Dossier : Peut-on guérir le monde du fléau du complotisme ?

La pire pandémie qu’ait connue l’Humanité et qui pourrait conduire à l’extinction.

Guide de survie à l’usage des citoyens normaux1.

2

Par Alain Tortosa

Mise en garde

De nombreuses thèses complotistes sont détaillées dans ce texte à la fois pour les combattre et les ridiculiser.
Si vous êtes comploti-sensible ou que certains membres de votre famille le sont, merci de ne pas prendre de risque en lisant ce qui suit.

Préambule

Les médias nous alertent à propos de guerres, de réchauffement climatique, de virus et d’autres fléaux qui nous menacent au quotidien.
Il est évident que ces sujets sont gravissimes et si ne nous prenons pas toutes les mesures de bon sens que les complotistes nomment « dangereuses, inefficaces et liberticides », cela pourrait sonner le glas de l’Humanité.

Les ruisseaux font les fleuves, c’est du même ordre de ne pas faire fuir les grandes fortunes en défiscalisant leurs bénéfices afin que nous puissions être un maximum à bénéficier du ruissellement. Alors, essayons tous de mettre une pierre à l’édifice.

Ces dangers, réels cités précédemment, ne sont rien à côté d’un mal sournois qui nous ronge de l’intérieur, le « complotisme ». Au risque de choquer, l’immonde Poutine, pardon l’immonde Hamas, n’est rien !

Il n’est que justice que l’on donne un prix Nobel à celles et ceux qui ont participé à la mise au point des vaccins ARNm aujourd’hui réputés pour leur efficacité et leur innocuité totalement inédite. Quel fou pourrait émettre une critique à ce sujet, tout à l’honneur et l’indépendance du comité Nobel.
C’est bien beau de récompenser une technique d’avenir qui permettra de sauver des milliards de vies en la généralisant à l’ensemble des vaccins classiques (formidables, mais dépassés par la course incessante des mutations virales).
Mais à quoi bon promouvoir de tels progrès si le monde bascule dans le complotisme et détruit la réputation de ces formidables injections.

« Si le complotisme gagne, plus personne n’acceptera de s’injecter des vaccins ou de se chauffer à 17 °C pour sauver la planète et se débarrasser de Poutine ! »

Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs et l’on doit s’attaquer en priorité au Mal Absolu, le complotisme !

Ce fléau est pire que la crise des opioïdes qui a provoqué plusieurs centaines de milliers de morts aux USA.
Un fléau qui nous touche tous !

Nous pouvons faire semblant, ignorer la chose, mais je ne connais pas une famille, pas une communauté, pas une entreprise, sans un membre infecté par cette gangrène.
Nous ne pouvons plus faire semblant, chaque minute qui passe apporte de nouveaux contaminés !

Qui sont ces sous-hommes ?

Des êtres abjects, des aigris analphabètes en quête de sens qui ont raté leur vie à la différence des fact-checker qui sont au service de la Vérité et de la communauté.

(Je profite de l’occasion pour les féliciter de la journée #NoTwitterDay3 pour lutter contre la désinformation et le Mal véhiculé par Elon Musk sur X.
Hélas ! les complotistes ont décidé d’occuper le terrain notamment en faisant la promotion de #RudyKissMyAss4 qui fait plus de 137 000 posts à l’écriture de ces lignes versus 35 000 pour le #NoTwitterDay.)

Même si nous savons que ces malades sont principalement des gueux sans éducation, hélas ! tous les milieux sont touchés.
C’est d’autant plus déstabilisant alors que les populations issues de milieux aisés sont plus intelligentes et éduquées que les classes populaires, type « gilets jaunes ».

Deux mots pourraient qualifier ces déviants en dehors de « folie » :

  • Paranoïa.
  • Narcissisme.

Pour le premier ils ne voient que manigances, tromperies, corruptions et même satanisme.
Tout n’est que mensonge et on ne peut rien croire qui viendrait de la bouche des autorités ou des médias officiels.

Quant au second, il est évident qu’ils ont une haute opinion d’eux-mêmes. « Les gens normaux (les “normies” comme ils les appellent) sont des cons, des moutons, des lâches, des décérébrés, des manipulés » alors que eux ont compris, eux savent et eux détiennent la vérité, une vérité de malades mentaux.

Raison pour laquelle ils sont si dangereux, car totalement inconscients de leur folie.

Ils demeurent les champions de l’inversion accusatoire en reprochant aux personnes saines ce qu’ils sont eux-mêmes.

C’est extrêmement déstabilisant pour un citoyen lambda, bon et naïf au bon sens du terme.
Bon citoyen qui est conscient de l’évidente dangerosité du Covid, de l’évidente efficacité des vaccins, de l’évidente innocuité des injections, de l’évident réchauffement climatique causé par les émissions de CO2 humaines, de l’évidente écologie des énergies renouvelables ou de l’évidente criminalité de Poutine ou du Hamas pour ne citer que ces exemples.

Les personnes normales, éduquées, honnêtes ont appris à réfléchir et ont bien compris certaines réalités scientifiques indiscutables :

  • Le masque ne protège pas soi-même, mais les autres.
  • La distanciation, les gestes barrières, le fait de ne pas fréquenter les rayons livres ou jouet, de manger assis, etc. limite les contaminations.
  • Un porteur asymptomatique dont les traces virales sont au fond de l’écouvillon peut excréter le virus sans tousser ni moucher et ainsi contaminer son voisin ou une famille entière.
  • Les sanctions contre la Russie vont étouffer son économie.
  • Il est indispensable de se vacciner pour protéger les autres quand bien même le vaccin n’empêcherait pas la contamination et que son efficacité ne dépasse pas les quelques semaines.
  • En jetant notre vieille voiture bien qu’elle fonctionne parfaitement et en achetant une voiture neuve, on participe au sauvetage de la planète.
  • Nous avons la chance de vivre en démocratie.

Je me vois désolé de rappeler ces banalités. Pour autant on trouve des gens éduqués qui basculent dans la folie criminelle et critiquent ces faits scientifiques qui font consensus auprès de tous les spécialistes qui ont gardé leur raison.

Personne n’est à l’abri, ne parlons pas de Cnews connu pour ses dérives multiples, mais LCI élève exemplaire, prononçait il y a encore quelques jours les mots « bande de gaza, prison à ciel ouvert, mettre les palestiniens au régime sans les faire mourir de faim, juste au-dessus du seuil de malnutrition ».
Preuve en est que la Mal Complotiste peut surgir de partout quand on l’attend le moins.

Les porteurs asymptomatiques

Les malades déclarés sont facilement repérables grâce à leurs déclarations délirantes et paranoïaques. Il est donc relativement facile de s’en protéger avec des gestes barrières.

Il existe, hélas, des complotistes qui s’ignorent, des porteurs asymptomatiques.

Ceux-ci sont les plus dangereux, car non seulement ils sont inconscients de leur contagiosité, mais ils peuvent nous contaminer à notre insu en profitant d’un instant de faiblesse et en abusant d’un capital sympathie.

« Un seul contact avec un malade peut suffire pour nous contaminer et décimer des familles entières. »

Ne riez pas, le sujet est dramatique !
J’ai assisté il y a quelques jours à la destruction d’une famille, abonnée à Libé et pratiquant tous les jours le journal de 20 h de BFM.
Une famille moderne constituée d’un père de couleur et d’un autre père avec des enfants issus de mariages antérieurs ou de GPA, bref une famille amenée à devenir on ne peut plus banale dans un monde de tolérance et d’inclusivité.

Rendez-vous compte qu’il a suffi que leur voisin trans (donc au-dessus de tout soupçon) leur dise, sur le pas du palier, « Quel été pourri ! » pour que le ver pénètre leur esprit.
Des gens normaux (appelés fidèles par les complotistes) qui ont toujours porté le masque, respecté les distanciations, vaccinés de la première heure, qui ont signalé tous les voisins qui écoutaient de la musique les fenêtres ouvertes après le couvre-feu… sont tombés comme des mouches !
Une famille décimée, porteuse d’avenir à la veille où le petit de 5 ans allait annoncer sa transition de genre lors d’une petite fête improvisée à l’école !

Reconnaissez que le phénomène est plus grave que rater les travaux pratiques sur la sexualité.

Je présente mes excuses à celles et ceux qui sont choqués par ma dernière phrase. Je ne mets nullement en doute la nécessité d’apprendre la sexualité dès 3 ans, je sais bien que c’est vital pour le développement et l’équilibre psychologique des plus petits. Ces siècles d’obscurantisme et de christianisme ont fait des dégâts inimaginables. Un enfant a des droits tout comme un adulte avec lequel il peut avoir des rapports sexuels du moment qu’il est consenti et que l’enfant ne subit aucune pression, autorité ou chantage. L’amour n’a rien à voir avec l’âge, le sexe ou les orientations sexuelles et ce n’est pas notre Président qui me contredirait.
« Quand il était avocat, Dupond-Moretti a pu plaider que l’inceste d’un homme avec l’une de ses filles était un exemple d’inceste heureux5. »

Je ne suis pas taré au point de nier ces réalités scientifiques sur le développement, néanmoins j’affirme que le complotisme est beaucoup plus grave, c’est tout. S’ils prennent le pouvoir, alors adieu tous ces idéaux !

Il est donc vital d’apprendre à reconnaître un porteur asymptomatique.
Celui est capable de dire :

  • Plaisanter sur Jean-Michel ou Michael6.
  • « Mais quel été pourri ! »
  • « Je ne comprends pas pourquoi quand Poutine tue une poignée de civils en Ukraine lors d’un bombardement c’est un crime contre l’Humanité et quand des milliers de civils, hommes femmes et enfants sont tués en Palestine aussi lors de bombardements, c’est de la légitime défense et un bien triste dommage collatéral ».
  • « J’ai déjà 5 doses, je vais bien, pourquoi ferais-je un nouveau rappel ? »
  • « Mon voisin a été malade comme un chien après sa deuxième dose et en plus il a attrapé ensuite le Covid. »
  • « Tu as vu, la femme de Zelensky7, ce héros qui nous protège de l’horreur, a acheté pour 1 million de dollars de bijoux chez Cartier lors du passage à l’ONU de son mari réclamant des fonds pour l’Ukraine (en octobre 2023). »
  • « Ah quel con ce Poutine, il fait péter son propre gazoduc et pense même pas à le couper ! »
  • « C’est bizarre toutes ces célébrités et tous ces hommes politiques qui achètent ou se font encore construire des villas de rêve au bord de l’eau alors qu’il y a le réchauffement climatique et une montée inexorable des mers à court terme.8 »
  • « Tu connais toi des personnes jeunes et en bonne santé qui sont mortes du Covid ? »
  • « Je me suis inscrit sur un groupe Telegram. »

Toutes ces phrases sont des portes dérobées qui peuvent mener au complotisme.

Nous devons détecter, signaler et isoler les porteurs asymptomatiques.

Toute personne positive au test qcm-c (c comme complotisme) devra être identifiée et devrait porter un signe distinctif afin de protéger les honnêtes gens.
Le test QCM-C comprendrait une vingtaine de questions dont voici un large extrait.

« Êtes-vous plus ou moins d’accord avec les phrases suivantes : »

« Le masque protège les autres, mais pas soi-même, c’est pour cela que tout le monde doit le porter. »
« Les non-vaccinés menacent les vaccinés même si le vaccin est efficace. »
« Alors que le CO2 représente 0,04 % de l’air, que la France représente 1 % des émissions mondiales de carbone, leur diminution de 50 % aiderait la planète. »
« Jeter une vieille voiture fonctionnelle et la remplacer par une voiture neuve électrique protège la planète. »
« Nous ne sommes pas encore en capacité de retourner sur la Lune parce que le savoir de 1960 a été perdu et que les ingénieurs sont à la retraite ou décédés. »
« Lorsqu’il fait trop chaud en été, c’est la preuve du réchauffement climatique alors que lorsqu’il fait froid c’est un phénomène météorologique qui n’a rien à voir avec le climat. »
« Le 11 septembre, deux avions ont percuté chacun un tour et trois tours sont tombées, car un projectile a frappé une troisième tour qui a pris feu et qui est donc tombée. »
« La Terre est plate. »
« Les radars automatiques sauvent des vies. »
« Les sanctions contre la Russie sont efficaces. »
« Tous les vaccins passés, présents et futurs sont sûrs et efficaces sinon ils ne seraient pas commercialisés. »
« Le sport, la sieste, la douche, le rhume, tondre sa pelouse, regarder la télé, prendre l’avion, manger une glace, avaler de l’Humex,… peut provoquer des myocardites. »
« En 1990, des soldats irakiens sont entrés avec leurs armes dans la maternité de l’hôpital de Koweït City. Ils ont arraché les bébés des couveuses, les ont emportés et les ont laissés mourir sur le sol froid9. »
« Poutine a saboté son propre gazoduc qui lui a coûté des milliards, oubliant qu’il pouvait fermer le robinet pour exercer un chantage, juste pour faire accuser les Américains. »
« Les vaccins ne peuvent PAS provoquer de myocardites, une malchance sur dix millions. »
« Poutine est le seul responsable de la guerre en Ukraine. »
« Les Palestiniens et les pays arabes sont les seuls responsables du conflit israélo-palestinien. »
« La monnaie numérique permettra la fin des fraudes et des crimes. »

En cas de positivité, il est indispensable d’isoler le malade, mais aussi son entourage à qui l’on fera passer le test.
Tout complotiste asymptomatique doit être placé à l’isolement puis refaire un 2e test 15 jours plus tard.

Notez qu’au-delà de deux erreurs, les enquêteurs du Ministère de la Santé (de la « Vérité » comme ils disent) seront dépêchés sur place afin de jauger des mesures à prendre comme la mise en quarantaine de l’immeuble ou du quartier.
Le gouvernement réfléchirait à un projet de loi qui permettrait l’affiche des noms, adresses et photos des complotistes sur des panneaux publicitaires 4 x 3 mètres, mais il est à craindre que les citoyens ne soient pas encore suffisamment mûrs ou conscients du fléau pour y adhérer (les Chinois ont franchi le pas, eux).

Le déni :

Le déni est quelque chose de terrible dans les maladies psychiatriques et le complotisme n’échappe pas à la règle.
Nous avons d’un côté ceux qui s’assument, qui sont joyeux, fiers, révolutionnaires et j’en passe…
Mais nous avons aussi les complotistes qui se mentent à eux-mêmes.
Je ne suis pas dans la tête de ces malades qui s’ignorent, mais j’imagine qu’il leur est indispensable, non pas de mentir aux autres, mais à eux-mêmes.

« Tout comme l’alcoolique ou le toxicomane qui se dit utiliser des drogues récréatives, le complotiste dans le déni refuse d’assumer l’horrible vérité. »

Eux seuls arrivent à se convaincre plus ou moins de leurs mensonges.
Ni les honnêtes gens ni les complotistes assumés ne se font d’illusion sur la réalité complotiste de ces personnes qui ne s’assument pas.

Ils ont presque un côté sympathique avec leurs :

« Bonjour, avant de prendre la parole je voudrais dire que je ne suis pas antivax. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas complotiste. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas pro Poutine. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas platiste. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas climatosceptique. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas pro-palestinien. »

La suite de leur discours n’est pourtant que mensonges, blasphèmes et complotisme !

Je ne citerai aucun nom, mais en écrivant ceci je ne peux m’empêcher de penser à un certain avocat dont la notoriété ne suffisait plus et qui a cherché à illuminer sa triste vie en basculant du côté obscur.

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne fais que du droit et que je ne suis pas complotiste. »

Ce triste sire ne trompe que lui…

Il est fou d’imaginer tous ces complotistes fiers de ne pas avoir porté de masque ou aidé d’autres à ne pas le porter, contourné les confinements, les passe-sanitaires et j’en passe.
Quand j’y pense, je suis glacé d’effroi en pensant à toutes les pauvres victimes qui ne se sont pas injecté le vaccin (aussi nommé « Sainte Ampoule » par les complotistes) à cause de ces dangereux criminels qui se prennent pour des Don Quichotte.

Les complotistes dans le déni sont quand même plus faciles à repérer et donc à s’en protéger que les complotistes asymptomatiques, mais ils demeurent extrêmement difficiles à soigner.
Ils ne pourront pas entreprendre un travail sur eux-mêmes sans ouvrir les yeux.
Il est donc de notre devoir de citoyens bienveillants de les forcer à voir leur réalité.

Dépendance

« Le complotisme est une drogue dure pire que l’héroïne. »

Autant je connais des personnes qui ont pu sortir de la toxicomanie, autant je n’en connais aucune qui soit revenue de leur déviance.

Vous imaginez une réunion des complotistes anonymes ?

  • « Bonjour, je m’appelle Marcel, cela fait deux jours que je ne me suis pas connecté sur le compte de Silvano Trotta. »

« Bravo Marcel ! »

  • « Bonjour, moi c’est Henri, cela fait une semaine que je ne regarde que BFM. »

« Bravo Henri ! »

  • « Bonjour, moi c’est Julien, je regarde tous les jours Météo Climat. »

« Bravo Julien ! »

  • « Bonjour, moi c’est Charles-Henri, j’ai arrêté le caviar russe depuis 3 semaines. »

« Bravo Charles-Henri ! »

  • « Bonjour, moi c’est Alfred, hier j’ai regardé TV Liberté »

« Hou, c’est pas bien ! »

Non tout ceci relève de l’optimisme pour ne pas dire de l’utopie.
Non seulement les complotistes sont addictes, mais ils ne cherchent absolument pas à en sortir, bien au contraire.

Nous l’avons vu avec les asymptomatiques, il est possible de tomber dans la drogue sans s’en rendre compte.
Une seule fois suffit !

Cette addiction ne fait que croître, le complotiste va passer sans fin d’une théorie du complot à une autre au fur et à mesure de ses « recherches », de ses délires devrions-nous dire.
Aucun sujet ne sera épargné et il prendra toute nouvelle actualité diffusée dans les médias mainstream pour un nouveau complot.
Il n’en aura jamais assez et sera à l’affût de toute nouvelle information (vérifiée) qu’il pourra rejeter.

Symptômes

Il serait bon d’expliciter un peu plus les conséquences de cette terrible maladie extrêmement contagieuse.

« À l’instar de la toxicomanie, le sujet n’est pas conscient de sa dépendance croissante et de sa perte de contact avec la réalité.
Plus la maladie progresse et plus le malade se croit sain et en bonne santé.
Il pense que la masse des gens normaux est folle et manipulée par de prétendues puissances occultes. »

La paranoïa ne fait que croître. Il en vient à imaginer qu’une poignée d’élites contrôlerait le monde avec des visées sataniques.
Dans son univers, le meurtre, les réseaux pédophiles, la traite des humains, les rituels de sacrifices humains ne relèvent pas du folklore ou de la fiction hollywoodienne, mais d’une réalité « objective ». Non, non, je ne plaisante pas !
Il pense que toutes les sphères de la société sont gangrenées et que 100 % des journaux mainstream sont corrompus et financés par ces mêmes élites.
Pour lui, comme aurait dit Coluche, la seule chose qui est vraie dans le journal, c’est la date !

Pavlov. Au même titre qu’un boxeur se lève immédiatement dès qu’il entend la cloche de reprise, le complotiste branche immédiatement ses circuits neuronaux déviants dès la moindre information.

« Une attaque terroriste dans une école ? ».
« C’est sûrement une attaque sous faux drapeau menée par le gouvernement ou des officines mondialistes ! »

C’est une maladie neurodégénérative qui nourrit
des symptômes psychiatriques de plus en plus aigus.

Jusqu’à la folie

Il n’existe quasi aucun sujet pour lequel le malade demeure un tant soit peu les pieds sur terre.

Plus le temps passe et plus le complotiste défend des thèses de plus en plus délirantes.

En voici une liste non exhaustive.

Pour eux tout ceci relève du mensonge et du complot :
(Je mets en note quelques références utilisées par les complotistes pour nourrir leur délire.)

  • 11 septembre : 2 avions qui volent à des vitesses impossibles selon le constructeur et qui font effondrer 3 tours à la vitesse de la démolition contrôlée. Tour 710.
  • L’assassinat de JFK par un malade isolé11.
  • L’homme sur la lune avec une technologie perdue depuis12.
  • Poutine qui saborde son gazoduc réduisant à néant ses possibilités de chantage13.
  • Le Covid une maladie où il faut subir des tests ou porter des masques pour connaître son existence.
  • La fiole d’anthrax14 ou les bébés15 tués dans leur couveuse pour justifier la guerre en Irak.
  • Le réchauffement climatique qui touche toutes les planètes du système solaire16 tandis qu’il a fait 60 °C cet été en Espagne17.
  • Le vaccin Pfizer qui n’a aucun effet secondaire18, le Vidal19 se trompe en reconnaissant qu’il peut tuer tandis que Pfizer20 ne connaît pas les effets secondaires lors de sa commercialisation.
  • La température de la lune a augmenté du fait des missions lunaires21.
  • Le fait qu’il n’a jamais fait aussi chaud depuis 100 000 ans22 soit bien avant l’invention du thermomètre.
  • Un vaccin protecteur, fait dont Pfizer lui-même n’est pas informé23, qui n’empêche pas la transmission, mais qui néanmoins protège les autres tout en faisant des non-vaccinés des assassins potentiels.
  • « Des femmes, des enfants ont eu la tête coupée. La mort est partout » lors de l’attaque du Hamas24.
  • Le vaccin HPV25 qui a permis d’éradiquer le cancer du col de l’utérus en Australie alors que le nombre de cas de cancers ne fait que croître depuis la vaccination massive.
  • Nous vivons dans une dictature mondiale, la démocratie n’étant qu’une illusion.
  • Etc.

Rien n’y échappe pas même Israël où ces fous de complotistes s’étonnent que l’on accuse Poutine de crime de guerre26 lorsque 5 civils (Ukrainiens je précise) sont tués par un missile tandis que Netanyahou est dans la légitime défense27 lorsque des centaines d’enfants palestiniens périssent, simples dommages collatéraux.

Ils vont même jusqu’à s’étonner de l’absence de condamnation des USA pour crime contre l’Humanité ayant tué des centaines de milliers de civils irakiens28.
C’est vous dire la folie de ces complotistes.

Il va de soi que nos gouvernants pensent à la planète en cherchant à limiter le CO2 même si c’est uniquement dans les pays occidentaux, la production de CO2 ne faisant qu’augmenter dans le monde29 et en continuant à autoriser en parallèle l’usage du Glyphosate, car sa dangerosité n’est pas prouvée.

En quoi cette maladie est si dramatique, ne pourrions-nous pas les ignorer ?

J’imagine que vous rigolez là !
Le chaos provoqué par la contamination totale de la planète serait pire que les 7 plaies d’Égypte.

Si les complotistes gagnaient, le monde ne serait que pur chaos !

Je précise que je ne fais que relayer les délires complotistes.

Imaginez un monde :

  • Qui ferait des lois pour interdire et combattre l’optimisation ou évasion fiscale30 qui se monte à 1000 milliards d’euros en 2022. à titre de comparaison la fraude aux prestations sociales31 en France serait de 6 à 8 milliards.
  • Qui condamnerait l’industrie pharmaceutique pour ses mensonges, ses corruptions et pour ses morts.
  • Qui mettrait en œuvre le référendum d’initiative citoyenne.
  • Qui permettrait aux peuples et aux États de décider de leur destin.
  • Qui prônerait le droit à l’eau, à l’énergie, à la nourriture et une répartition honnête des richesses tout en permettant la réussite personnelle basée sur autre chose que l’esclavagisme d’autrui.
  • Qui ferait la promotion de la famille avec un papa une maman et des enfants sans pour autant condamner les exceptions. Et dans lequel l’hétérosexualité se voudrait la norme et l’homosexualité confinée à la sphère privée.
  • Qui lutterait contre la corruption et les lobbies.
  • Qui interdirait toute censure, toutes lois mémorielles et ouvrirait les débats sur les médias nationaux.
  • Qui ne chercherait pas à les réduire en esclavage au bénéfice d’une infime minorité.
  • Où l’on prônerait le couple, le mariage, la fidélité ou l’abstinence et non la débauche, les clubs échangistes (ouverts durant le confinement) ou la pornographie à tous les étages.
  • Qui mettrait fin à la faim dans le monde pour un coût ridicule de 30 milliards par an durant 10 ans, la famine étant la volonté des gouvernants.
  • Qui soutiendrait une politique nataliste et apporterait une aide psychologique et/ou économique, sociale, aux femmes qui désirent avorter tout en leur montrant la réalité de l’acte, les conséquences psychologiques et le développement du fœtus au fil des semaines.
  • Qui prônerait des valeurs simples, la relation à la nature, le partage, l’entraide et non uniquement la réussite individuelle.
  • Où l’euthanasie des vieux, des malades, des fous, des pauvres, des toxicomanes serait interdite et remplacée par une aide et une solidarité aux personnes en souffrance.
  • Où les libertés et les droits de l’homme seraient au centre.
  • Qui mettrait à mal les lobbies d’armement.
  • Qui interdirait les lobbies LGBT, la transition de genre pour les mineurs.
  • Qui mettrait en œuvre des processus démocratiques et de destituions d’élus qui ont trahi.
  • Où l’éducation sexuelle pour les enfants de moins de 15 ans serait bannie des programmes scolaires.
  • Qui ne donnerait pas une valeur différente à des enfants palestiniens, israéliens, ukrainiens, russes, et j’en passe…
  • Où l’on affirmerait qu’il n’existe que deux genres, les hommes et les femmes sans faire de l’exceptionnel une norme.
  • Qui ne gouvernerait pas les citoyens par la peur, le mensonge, le chantage et la manipulation.
  • Qui lutterait activement contre la sexualisation des enfants, la pédophilie, ses réseaux et le trafic d’êtres humains.
  • Qui ferait revenir une science honnête sur le climat, les médicaments et les virus.
  • Qui éradiquerait le satanisme et prônerait l’amour. Qui prônerait la diversité en termes d’information et rendrait les médias indépendants.
  • Qui offrirait une prime à celles et ceux qui gardent leurs objets, leurs véhicules plus de 10 ans et qui le répareraient dans un esprit de décroissance.
  • Qui condamnerait tout personnage politique dont le patrimoine aurait explosé durant son mandat.

etc.

J’espère que vous avez pu lire tout ceci sans être écœuré par autant de folie et d’obscurantisme.

En voulez-vous encore ou avez-vous compris que cette vision d’enfer pourrait devenir réalité si le complotisme gagnait la population générale ?
Tout ceci prouve qu’il est Vital pour l’avenir de l’Humanité d’anéantir cette déviance et poursuivre vers le chemin d’une gouvernance mondiale protégée par les grands de ce monde (« les puissances d’argent » diraient les complotistes).

Contagion, protection

On ne le redira jamais assez, les complotistes sont extrêmement dangereux et il faut s’en protéger.
Il faut les tenir à distance le plus possible et d’autant plus qu’il existe les porteurs asymptomatiques qui ravagent des familles entières.

Il vous faut mettre en œuvre des gestes barrières.

Il ne faut jamais discuter avec un déviant, mais le rejeter et en faire un paria.

Vous devez couper les ponts, les rayer de votre vie, de vos contacts,
de vos listes sur les réseaux sociaux, il n’y a pas d’autres solutions !

Oubliez qu’hier vous étiez amis, oubliez que vous pouviez discuter de tout, oubliez qu’il est de votre sang, soyez conscient que la personne que vous appréciez ou que même vous aimiez n’existe plus. Seul son corps subsiste, mais son cerveau a subi des dommages irréparables. Si vous en doutez encore remémorez-vous ses théories délirantes.

Lors des vagues les autorités sanitaires bienveillantes nous disaient avec raison et sagesse de faire deux tables au réveillon de Noël et faire manger papi et mamie dans la cuisine pour les protéger du Fléau.
C’était aussi humaniste et généreux que de ne pas rendre visite à nos anciens dans les EHPAD au risque de les tuer.
Ne regrettez rien, le personnel médical a été exemplaire en ne leur donnant aucun traitement qui se serait avéré plus dangereux et qui leur a permis de partir dans la paix et la sérénité.
Quand la fin approchait, l’amour d’un médecin ou d’une infirmière était présent leur injectant du Rivotril pour qu’ils partent sans souffrances.
Je ne nie pas que ces protocoles ont sauvé des millions de vie de par le monde au nom de l’amour, mais une fois de plus nous n’étions pas focalisés sur le principal ennemi.
C’est un peu comme le gouvernement qui cherche à limiter les vitesses sur autoroute alors que plus de 95 % des accidents mortels se produisent sur le réseau secondaire.

Point pour le moins intéressant et désarmant :

« Plus la maladie complotiste progresse et moins elle est contagieuse. »

Cela s’explique aisément, car plus le temps passe et plus le malade adhère à des théories de plus en plus délirantes. Si au début ils vous expliquent que le virus n’est pas bien dangereux ou que les masques ne servent à rien, les complots sont de plus en plus grandioses.

Il est donc plus facile de se faire contaminer sur des thèses qui ne semblent pas folles que lorsqu’ils vous expliquent qu’une élite pédophile vole des enfants pour ensuite les tuer et boire leur sang dans des rituels sataniques pour ensuite vendre leurs organes32.
Quelle personne un peu censée pour gober un truc aussi délirant ?
Non, aucune personne avec les pieds sur terre ne peut prêter foi à de telles allégations qui ne reposent sur rien, ce qui prouve que le risque de contamination est bien moindre chez ceux qui sont proches de la psychose.

À la porte de la folie, lorsqu’ils en sont à vous expliquer que la terre est plate et que les amphibiens ont pris le pouvoir, leur contagiosité disparaît totalement, ils demeurent alors plus pittoresques que dangereux.
À ce stade il est à nouveau possible de les fréquenter et les inviter à « un dîner de cons33 » dans lequel ils pourront déblatérer toutes ces théories pour la plus grande distraction du public.

Pour résumer, le complotiste demeure largement plus dangereux que le virus et d’autant plus durant les phases asymptomatiques.
C’est donc eux qu’il aurait fallu et qu’il faut parquer pour protéger les honnêtes gens !

Si au moins mon texte permettait de ne sauver qu’une seule personne de cette gangrène, je pourrais me dire « c’est au moins une vie de sauvée ».

Ce qu’il ne faut jamais faire

Le problème est que lorsque l’on dit la triste vérité, il n’est pas rare de ne pas être pris au sérieux.
Certains se croient plus malins que les autres et pensent qu’ils vont pouvoir raisonner le malade, lui faire entendre raison.

« Il est intelligent, il ne pourra pas résister à des arguments imparables de Vérité et sera bien obligé de revenir les pieds sur terre et reconnaître ses erreurs si je lui ouvre les yeux ! »

Gardez-vous de cet objectif quand bien même il est d’une grande noblesse, vous allez vous faire balayer par la mauvaise foi, la folie et le fanatisme du complotiste.

Et vous voilà parti avec votre bâton de pèlerin pour tenter de raisonner le forcené…

Vous aurez beau lui dire :

« Mais tu n’es pas un spécialiste, tu n’es pas médecin, biologiste, climatologue, économiste », etc. que rien n’y fera.

Avec son bon sens, toute personne censée (appelée « normie » ou « mouton » par les complotistes) aura adhéré à toutes ces Vérités scientifiques, car elle sait bien qu’elle n’a pas les compétences pour juger de la véracité des choses, mais aussi, et surtout que :

Les autorités politiques et scientifiques sont là pour notre bien à de rares exceptions.

Et c’est là que nous voyons à quel point les médias, les scientifiques de plateaux et les politiques sont indispensables pour nous expliquer la vérité.
Qui dans son coin aurait pu soupçonner que le Covid était une maladie extrêmement contagieuse et mortelle sans leur apport et leurs explications sur l’indispensable test PCR.

Et les complotistes de rajouter :

« Merci à vous tous sans qui nous n’aurions jamais su que cette maladie existait
et que nous aurions pris pour une simple grippe,
maladie dont nous ne connaissons aucune personne jeune
et en bonne santé qui en serait morte hormis celles étiquetées Covid
quand bien même elles sont mortes d’un cancer. »

Il est vain de tenter de leur assener des arguments de bon sens pourtant tellement plus crédibles que les délires complotistes :

  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que même si les mailles du masque sont 100 fois plus grandes qu’un virus, il les bloque en grande partie ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le masque est là pour protéger ceux qui sont autour, mais pas son porteur ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le confinement est efficace (et les complotistes de préciser que c’est comme attendre que le virus soit rentré dans le village puis enfermer tous les habitants, y compris ceux qui ne sont pas malades). »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que plus les effets secondaires du vaccin sont importants et plus il est efficace34. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le virus a ses heures, ses lieux, ses debout ou assis, ses plages, ses chemins en montagne, ses rayons livres dans les supermarchés et j’en passe. »
  • « Mais veux-tu entendre que la paranoïa suscitée par les punaises de lit est un coup des Russes35. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre qu’il n’existe pas de trafics d’enfants et de réseaux pédophiles au profit de personnes haut placées. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que les sanctions contre la Russie, l’embargo sur le pétrole qui fond exploser les cours du brut ne profite pas à l’économie russe. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la vaccination et le passe sanitaire sont la seule solution et que les non-vaccinés mettent en danger les vaccinés protégés par leur vaccin efficace ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la légitime récupération des terres palestiniennes par les israéliens, de la prison à ciel ouvert depuis des dizaines d’années, l’absence totale d’espoir, le financement du Hamas par Israël ne justifie en rien les attaques du Hamas. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le CO2 va nous tuer quand bien même il était 20 fois plus important du temps des dinosaures et ne représente que 0,04 % de la composition de l’atmosphère ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la guerre civile dans le Donbass depuis 2014 et les populations civiles bombardées n’explique et ne justifie en rien l’agression de Poutine ! »

Je pourrais multiplier par cent tous ces exemples, mais vous comprendrez que c’est peine perdue.
Vous savez quand un gars en est à mettre en doute sur le fait que :

  • « Deux avions peuvent faire tomber trois tours, la faute à pas de chance. » ou que :
  • « Les Russes ont saboté leur propre gazoduc en oubliant qu’ils pouvaient utiliser un robinet pour fermer le gaz, uniquement pour faire accuser les USA. »

On peut dire que c’est foutu, rien ne rentrera dans leur tête !

Non seulement vous perdez votre temps, mais vous prenez un risque énorme, celui de devenir à votre tour porteur asymptomatique.
Qu’est-ce qui vous dit que quelques heures, jours ou semaines plus tard vous n’allez pas glisser à votre voisin :

« C’est quand même bizarre que le gouvernement ait interdit aux médecins de soigner, conseillé aux malades de rester chez eux et de n’appeler les urgences qu’à l’article de la mort36. »

ou

« Tu savais que l’industrie pharmaceutique était la plus corrompue, corruptrice et condamnée, Pfizer, 2,3 milliards de dollars d’amendes37 en 2009 ? ».

Et voilà, c’est ainsi que l’on propage le complotisme avec des petites phrases qui sur le coup peuvent sembler innocentes.

Même les plus grands, les plus forts, les plus iconiques peuvent basculer dans la folie.
Greta Thunberg, l’idole de toute une génération, toujours présente pour sauver la planète, ne pas condamner Davos et ses centaines de déplacements aériens, a publié une tribune contre Israël et pour la Palestine38.
Les autorités scientifiques et politiques israéliennes veillent sur nous et viennent à juste titre et avec bienveillance de retirer Sainte Greta des manuels scolaires39 pour apologie du terrorisme avec son appel immonde à la protection des populations civiles en Palestine.
Alors, ne croyez pas que vous, misérable pion, soyez plus fort et plus à même de résister.

La seule action positive que vous puissiez faire après l’avoir rayée de votre vie est de la délation. Faire circuler au maximum l’information afin de protéger un maximum d’innocents qui pourraient être contaminés par ce monstre !

Traitements, pronostic et guérison ?

L’épidémie est inquiétante, car on ne voit pas comment s’en sortir.
N’espérez pas entendre un ancien complotiste vous dire :

« J’ai été vraiment stupide, j’aurais dû m’injecter ce vaccin contre le Covid
que j’appelais poison ou médicament expérimental,
si vous saviez à quel point je regrette aujourd’hui ! »

Ceci est d’autant plus « fou » que l’on croise régulièrement des personnes, pourtant saines d’esprit, des vaccinés plusieurs doses qui affirment regretter la vaccination ??!!

À l’heure où j’écris ces lignes, seules 2 % des personnes éligibles au rappel l’auraient fait (la « Sainte Ampoule » pour les complotistes).
Un monde dans lequel le Ministre de la Santé40 rappelait encore récemment des vérités triviales comme « On a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il n’y a pas d’effets secondaires41 ».
Comment pourrait-on mettre en doute les paroles d’un ministre, qui plus est, ancien directeur de l’Agence Régionale de Santé d’île de France ?

Pourtant les faits sont là et la Science avance tous les jours vers le chemin de la vérité.
Le vaccin Covid nous a apporté d’immenses progrès dans tous les domaines de la médecine.
Alors que nous l’ignorions ou n’y prêtions pas suffisamment attention, nous avons découvert que tous les sports, toutes les activités humaines, tous les médicaments, toutes les pathologies même prétendues bénignes comme le rhume pouvaient provoquer des myocardites et des crises cardiaques.

Ceci n’aurait pas été rendu possible sans l’avènement de ces vaccins révolutionnaires à base d’ARNm efficaces et sans effet secondaire, comme l’a rappelé le Ministre.

Est-ce à dire que les complotistes auraient gagné ?

Rassurez-vous il n’en est rien. Le peuple, dans son infinie sagesse, a remplacé son soutien au vaccin Covid par son soutien à la cause climatique puis son soutien à l’Ukraine et aujourd’hui son soutien à Israël, et ce avant de rebasculer vers une nouvelle cause.
Oui, mais… Le phénomène de contagion demeure pour autant réel.

Alors existe-t-il des traitements pour guérir ?

C’est là le fond du problème. Un des principaux symptômes de la maladie est la paranoïa.
N’espérez donc pas leur faire suivre une thérapie ou prendre le moindre médicament qu’ils interpréteraient immédiatement pour une menace.

Tout ce qui pourrait être pris pour de la manipulation ou un danger ne ferait que nourrir leurs délires et théories conspirationnistes.

Les manipuler pour leur faire croire que la molécule pour les guérir serait une graine guatémaltèque marinée dans de la pisse de lama ?
Je n’y crois pas et d’autant moins qu’il n’existe pas de médicaments contre ce type de folie.

Les chemtrails ? Toute personne censée sait bien que cela n’existe pas et leur utilisation toucherait l’ensemble de la population saine d’esprit.

Il resterait les centres de rééducation, de reprogrammation comme savaient si bien le faire certains régimes totalitaires.
Mais il faudrait qu’ils acceptent de s’y rendre en masse et la contrainte risquerait de les rendre violents. Forcer quelques individus passe encore, mais des centaines de milliers c’est une autre paire de manches. Sans compter que si vous les mettez ensemble cela ne fera qu’accroître leur folie et leurs croyances dans les théories les plus folles.

Plus le temps passe, plus les symptômes s’aggravent. Si au début ils peuvent affirmer que « le Covid est une simple petite grippe », plus le temps passe et plus cela empire.
Ils passent facilement du « vaccin ARNm expérimental dangereux » à « tous les vaccins sont des poisons qui n’ont jamais été évalués et qui n’ont jamais sauvé la moindre personne ».

Ces individus n’étant pas traitables, une communication rationnelle étant impossible, le pronostic est sans appel, ils deviennent fous !

À ce stade tout n’est que mensonge dans leur monde et les plus atteints en sont à nous expliquer que la Terre est plate ou que l’élite mondiale est dirigée par des reptiles extra-terrestres.

Sans traitements, que faire ?

Dès lors qu’il est impossible de les raisonner ou de les soigner, que faire ?

Les fact-checker font un travail formidable, mais ils se révèlent contre-productifs.
Comme on dit, il n’y a pas de fumée sans feu.
Et même s’ils font un travail extraordinaire de vérification des faits en interrogeant des spécialistes qui se contentent d’affirmer avec justesse que telle ou telle théorie complotiste est fausse, cela peut faire germer des idées délirantes chez des esprits faibles.

Nous faisons face à une question aussi vieille que le monde qui interroge tous les merveilleux journalistes de notre planète.
Il est évident qu’aucun ne cherche le scoop pour le scoop et prend du recul avant de transmettre une information.

Devons-nous parler des complotistes, devons-nous informer les braves gens
de leur existence ou pas, au risque de créer des vocations ?

  • Ne pas en parler c’est laisser les gens normaux (« normies ») sans défense qui peuvent se faire happer au détour d’une conversation, pardon d’une manipulation abjecte d’un complotiste.
  • En parler c’est leur faire de la publicité et faire germer des idées délirantes dans des cerveaux faibles, la majorité des complotistes étant plutôt des crétins analphabètes et influençables.

Reste alors la censure qui est une arme à double tranchant. Le problème est qu’elle nourrit le complotisme.
Les complotistes ont beau jeu de dire :

« Si vous avez la preuve que ce que vous dites est vrai, pourquoi refusez-vous le débat,
censurer est bien la preuve de votre absence d’argument et nous avons raison. »

Les réseaux sociaux

Des personnes très bien prônent le contrôle de la liberté d’expression et l’interdiction des réseaux sociaux.

L’idée d’interdire pour défendre les libertés et la démocratie est sans aucun doute positive.

Les esprits faibles qui croisent des théories délirantes peuvent être facilement embrigadés.
C’est bien pour cela que nous devons façonner (« formater » selon les complotistes) les cerveaux des plus jeunes le plus tôt possible afin qu’ils ne se risquent pas de se poser les mauvaises questions.
Nous ne le dirons jamais assez :

« Poser des questions sur les vérités triviales relève de la déviance et sont les signes d’une maladie. »

Quand allez-vous comprendre que dès lors que tous les médias mainstream, tous les scientifiques qui ont accès à ces médias, tous les politiques qui ont accès à ces médias, mais aussi l’OMS ou le GIEC disent TOUS la même chose c’est que c’est la Vérité et qu’il ne saurait exister de complot mondial hormis dans votre tête de malade ?

« Si tout le monde le dit, c’est que c’est vrai, et se poser la question relève de la psychiatrie. »

Mais alors, si ces médias sociaux, Facebook, YouTube, X sont si dangereux pourquoi ne pas délivrer d’autorisation à ceux qui sont pour la démocratie basée sur l’interdit et censurer les autres ?
Poser cette question relève de la méconnaissance de ces outils.
Ces médias vivent de la publicité et sont donc conçus pour vous apporter ce que vous désirez. Devant les milliards de publications, il n’est pas possible de tout vous afficher.

Les algorithmes sont là pour vous cerner, vous connaître, noter vos favoris, noter vos commentaires, ce qui leur permet de créer votre profil.

Alors même s’il existe des outils pour déréférencer certaines chaînes, ce n’est même pas utile42.

Ces réseaux sociaux montrent des publications complotistes aux complotistes
et des publications honnêtes aux honnêtes gens.
Le public est acquis !

En clair les complotistes se publient entre eux, c’est un entre-soi, leur pouvoir de nuisance est négligeable pour ne pas dire quasiment nul.
Plus ils seront à se faire plaisir entre eux sur les réseaux sociaux, plus ils y passeront de temps et moins ils répandront leur folie.

« Les réseaux sociaux sont ni plus ni moins qu’une prison à ciel ouvert,
un centre de détention pour idées complotistes.
Il est donc vital de les maintenir dans une illusion de liberté.
Les attaques médiatiques régulières ne servant qu’à les manipuler

et leur faire croire que c’est un espace de liberté qui menace les bonnes gens
et les illusionner dans une prétendue perversion ou dangerosité de leurs actions.
Les parquer dans ces réseaux sociaux permet de les contenir, les compter, les contrôler.

Bref, un piège à cons dans lequel ils se complaisent
et dont ils ne doivent sortir sur aucun prétexte. »

La loi au service de la lutte contre le complotisme

La censure a montré ses limites dans la lutte contre ce fléau.
L’arsenal juridique doit être mis à jour pour nous protéger du complotisme, il en va de la survie du monde libre et de la démocratie.
La loi doit être non pas au service de chaque individu, mais au service du « grand tout », du « plan » et de la lutte contre la désinformation.

La liberté d’expression doit être exclusivement réservée aux sujets autorisés
par les autorités bienveillantes, sujets qui ne relèvent pas de la Vérité.
Non, tout ne se discute pas !

« Nous devons interdire au nom de la liberté ! »

En France nous avons la chance et l’intelligence d’avoir une loi mémorielle qui protège de l’antisémitisme et empêche de questionner sur la Shoah !
Encore heureux, me direz-vous, et ce n’est certainement pas moi qui vous dirais le contraire.

Imaginez que l’on puisse mettre en doute, interroger, questionner sur cette pire horreur qu’ait connue l’histoire du monde ? Il évidemment sain, logique et moral que les antisémites soient condamnés et qu’ils ne puissent s’exprimer librement.

Il faudrait donc étendre cette loi à tous les sujets qui font consensus et relèvent de la Vérité.
Cela permettrait d’identifier les sujets non discutables qui ne peuvent se revendiquer de la liberté d’expression.

Nous pourrions pénaliser et condamner tous les sujets
qui sont de l’ordre du « Blasphème Scientifique » !

D’aucuns naïfs imaginent que ce type de loi pourrait être contre-productif et ne comprennent pas pourquoi certains sujets ne peuvent être discutés.
Ils nous rétorquent :

« Nous avons évidemment toutes les preuves nécessaires pour prouver l’existence de la Shoah. Les données, les faits, les chiffres, le nombre de morts, les rendements des chambres à gaz, le nombre de survivants ne mentent pas. Nous disposons de tous les éléments matériels objectifs pour démontrer la réalité des faits, alors pourquoi ne pas autoriser le débat contradictoire ? »

Quand bien même nous disposons de toutes les preuves pour faire s’effondrer toutes les théories complotistes, le débat est impossible avec ces menteurs paranoïaques.
Encore une fois je vous rappelle que leur donner une tribune ne peut que répandre leur folie.

Débattre c’est nourrir le complotisme, la Vérité ne se discute pas !

Alors quelles sont les idées qui devraient être pénalisées ? La réponse est simple : TOUTES les pensées déviantes et théories complotistes sans exception !

Il devrait être interdit de remettre en cause ou questionner :

  • L’efficacité et l’innocuité de tous les vaccins passés, présents et futurs.
  • La théorie virale.
  • L’homme sur la lune.
  • Le 11 septembre.
  • L’existence du SIDA.
  • L’avortement qui, rappelons-le, ne tue pas un être humain en formation.
  • Le nombre de genres et les théories pardon les réalités scientifiques LGBT.
  • Le réchauffement climatique.
  • L’assassinat de JFK.
  • Le massacre de Srebrenica.
  • Le sabotage de Nordstream.
  • L’efficacité et l’innocuité des masques.
  • L’existence de réseaux pédophiles et de trafic d’êtres humains.
  • L’immigration.
  • Le sexe de naissance de certaines personnalités françaises ou américaines.
  • Les capacités cognitives du Président Biden.
  • L’apprentissage de la sexualité dès 3 ans.
  • Les chemtrails.
  • L’unique culpabilité de Poutine indépendamment du coup d’État américain de la révolution orange43 en 2014.
  • Les campagnes massives de dépistage du cancer du sein comme octobre rose créée par la division pharmaceutique d’Imperial Chemical Industries44.
  • L’origine de l’incendie de Notre-Dame.
  • L’unique culpabilité du Hamas45 financé par Israël
  • La sortie de l’Europe.
  • L’efficacité du gouvernement.
  • Etc.

Pour se faire :

Un comité des sages indépendants et objectifs nommés par le gouvernement
avec l’approbation des députés se réunirait tous les mois
afin de mettre à jour la liste des Vérités scientifiques.

Aucun déviant ne serait admis à participer aux débats qui se tiendraient à huis clos et sans retranscription pour des raisons évidentes de sécurité.

Il est certain que nous serions amenés à construire de nombreuses prisons, mais cela créerait de l’emploi.
Les centaines de milliers de complotistes français réfléchiraient à deux fois avant de répandre de fausses informations et le monde serait tellement plus libre.

Les éliminer ?

Il faut être un idéaliste pour formuler une telle solution. Hélas ! notre monde est devenu trop laxiste et faible pour agir de la sorte.
C’est comme pour le terrorisme, c’est uniquement en faisant des lois liberticides qui supprimeraient les droits de l’homme pour notre bien que nous pourrions en venir à bout : « œil pour œil et dent pour dent ».
C’est pourtant bien séduisant, mais cela risquerait d’être impopulaire auprès d’un peuple bon et naïf.
Le danger serait aussi la création de martyres. Telle l’hydre, chaque tête coupée pourrait en faire repousser deux.

Il existe d’autres solutions mises en œuvre dont l’efficacité n’est pas discutable.

  • La campagne de dénigrement quand bien même vous seriez un spécialiste reconnu par le passé, voir prix Nobel, « il a pété les plombs ».
  • On pourrait aussi leur retirer leurs enfants afin de les protéger de la folie de leurs parents.
  • L’accusation d’antisémitisme, ce qu’ils sont tous, bien sûr.
  • L’accusation d’agression sexuelle ou de viol, même si cela ne débouche pas sur une information judiciaire. C’est toujours efficace pour détruire une réputation, ça marche toujours.
  • Les ridiculiser en les mettant au même niveau que les platistes ou les Reptiliens.
  • Les faire passer pour fous, ce qu’ils sont, leur faire passer des expertises psychiatriques, et si possible les interner et les mettre à l’isolement.
  • Tenter de les rendre encore plus fous, donc plus inoffensifs grâce aux trolls qui les convaincraient de théories encore plus délirantes que le bon peuple ne pourrait pas gober et qui permettraient de les disqualifier sans violence. C’est une option intéressante, car nous avons vu que plus ils s’approchent de la folie et moins ils sont contagieux. Dès lors qu’il est impossible de les guérir, accélérer leur maladie, les abreuver de théories les plus loufoques les unes que les autres peut les faire passer pour le fou du village et sauver des vies. Notons que cette immersion totale peut provoquer un électrochoc chez celles et ceux qui ont encore un semblant de neurones et ainsi les faire revenir les pieds sur terre. « Comment ai-je pu délirer autant, le gouvernement et l’industrie pharmaceutique œuvrent pour le bien du public, c’est un fait connu. »

Prévention ?

Inutile de rappeler à tout un chacun que :

Poser des questions ne relève pas de la curiosité scientifique ou intellectuelle, mais de l’abject.

Raison pour laquelle il est indispensable de formater d’éduquer dès le plus jeune âge.
Mettre l’accent sur les disciplines importantes comme l’obéissance ou l’éducation sexuelle.
Mais surtout les ouvrir sur la réalité des multiples dangers du monde (chômage, immigration, retraites, épidémies, terrorisme, changement climatique, guerres, fin du pétrole, danger du nucléaire, transition écologique, montée des eaux, OVNI et j’en passe…).
Plus ils seront informés et moins ils auront l’idée de remettre en doute les vérités officielles.
Des médias complémentaires, soit, mais qui énoncent tous les mêmes vérités afin de ne pas entraîner de confusion dans les esprits.
Un système électoral qui empêche les dissidents de pouvoir être élus et même de se présenter afin que le pire ne se produise pas.
Marteler que nous vivons en démocratie et que les dictatures c’est horrible, mais surtout ailleurs !
Marteler qu’il n’existe pas d’autres systèmes que l’ultralibéralisme qui autorise l’ascenseur social et permet aux classes moyennes d’exister grâce à la théorie du ruissellement.

Et surtout rabâcher cette Vérité.

« Les gouvernements occidentaux démocratiques sont bons et au service du peuple. »

Ces futurs adultes pourront plus facilement résister aux théories complotistes.

Souffrance des gens normaux

Cette maladie entraîne des souffrances et du malheur de part et d’autre.
Pour autant les gens normaux ne l’ont pas mérité. Oui il est vital de couper les ponts avec un proche complotiste, oui il est vital d’en faire un paria, un intouchable, un non-être !

Vous croyez que c’est facile dans une famille de répondre lorsqu’on lui demande des nouvelles d’un fils, d’une mère, d’une sœur ?! Imaginez la honte ressentie. Alors on botte en touche, on élude la question, on ment sur cette horrible réalité.

Et puis merde, pourquoi devrions-nous nous sentir coupables de leur exclusion du monde des gens normaux, on ne leur a rien imposé, c’est eux qui ont fait ce choix délirant, c’est leur décision, leur « liberté » de malades. C’est comme les habitants du Donbass ou les Palestiniens qui sont tués chaque jour, ils n’avaient qu’à se débarrasser de Poutine ou du Hamas en temps et en heure.
Il en est de même de toutes les guerres justes menées par les Américains depuis des décennies et les centaines de milliers de morts civils, ce n’est pas de notre faute si ces gens-là n’avaient pas les bons gouvernants. Ils veulent la paix, alors qu’ils chassent leurs dirigeants sinon ils en paieront le prix !

Alors le complotiste qui souffrirait ou se sentirait seul, qui ne pouvait plus aller au restaurant parce qu’il n’était pas vacciné, dont l’enfant ne pouvait plus faire du sport, qui ne peut plus prendre sa voiture en ville parce qu’il refuse de participer à la sauvegarde de la planète avec une voiture électrique ou qui a perdu son emploi, ce n’est pas mon problème, mais uniquement le sien !
Et si demain il est assigné à résidence et interdit de travail lors de la prochaine pandémie mortelle parce qu’il refuse de se faire injecter le vaccin (« Sainte Ampoule » pour les complotistes) sûr et efficace ou qu’il est assigné à résidence parce qu’il a dépassé son quota carbone avec sa vieille bagnole et son chauffage au fuel, c’est son problème, son choix, sa décision !
Je ne vois pas en quoi je serais responsable de son incarcération à domicile ou dans un camp si celui-ci ne respecte pas les règles du vivre ensemble et de la société démocratique.

Michel Onfray46 est sans doute un de ceux qui résument si bien la notion de droit.

« J’ai fait savoir effectivement que j’étais pour le pass sanitaire en disant, mais vous avez bien sûr le droit de contaminer les gens ; il y a aucun problème. Vous pouvez aussi quand vous avez le SIDA d’avoir des rapports sexuels avec des gens non protégés, c’est un droit, allez-y à estimer qu’effectivement c’est une jeune fille qui vous plaît, vous avez le droit de la violer, mais cette façon de concevoir que le droit de nuire est un droit me sidère. »

Je veux bien être un bon chrétien, mais le complotiste doit assumer ses choix délirants et arrête de débloquer avec ses « droits de l’homme ».

L’égoïsme du complotiste

Le complotiste n’est qu’égoïsme, il ne pense qu’à sa gueule. Il n’en a rien à faire de semer la mort sur son passage en refusant le masque, les gestes barrières ou la vaccination du salut.
Pire que ça, on peut l’entendre se vanter de n’avoir jamais porté ce masque qu’il nomme « muselière ».
Mais quel débile qui n’a toujours pas compris qu’il ne doit sa vie sauve qu’à tous les honnêtes gens qui justement ont porté le masque, respecté les gestes barrières, les confinements et se sont vaccinés cinq ou six fois avec cette injection sûre et efficace !

Et aujourd’hui ces mêmes crétins criminels parlent de paix en Ukraine ou en Israël. Ils voudraient que l’on cesse immédiatement les combats et que l’on négocie avec les terroristes.

Ah ! elle est belle leur morale qui consiste à faire gagner les monstres.
S’il faut raser le Donbass ou la Palestine, voire même la Russie ou l’ensemble des pays du Moyen-Orient pour obtenir une paix durable, alors faisons-le, parce que ce n’est que justice.
Le camp du bien gagnera et au diable les millions de corps de (jeunes) soldats, hommes, femmes ou enfants déchiquetés pour la victoire de la démocratie et de la paix !

Ils ne sont pas moins égoïstes avec le changement climatique. Ces fous nous mènent à la destruction, au chaos et à la mort. Ils ne pensent qu’à leur petit confort immédiat, leur petite voiture diesel, leur passoire thermique, leur pouvoir d’achat, à sauver leur emploi dans une industrie mortifère et à manger de la viande tous les 15 jours quand ils en ont encore les moyens !
Ces crétins nous agressent avec leurs théories délirantes de changement climatique « naturel » lié à l’activité solaire, ou de quantité infinitésimale de CO2 émis par la France, d’éoliennes qui polluent et de batteries électriques dont la production génère mort47, misère et pollution dans les pays pauvres.

Je ne vois pas comment nous pourrions avoir de l’empathie pour ces personnes dont les projets vont vers l’Armageddon.

La souffrance du complotiste

Mais qu’est-ce qu’on en a à foutre.

  • Il pense à nous lui quand il nous fait honte ?
  • Il pense à nous quand des amis voient qu’il est dans notre liste Facebook ?
  • Il pense à nous en nous contaminant avec des virus mortels ?
  • Il pense à nous quand il nous met en danger, prône la paix avec des dictateurs ou refuse de sauver la planète du réchauffement climatique ?
  • Il pense à nous en gardant sa vieille bagnole et en mangeant du steak ?

Je me suis promis d’être le plus exhaustif possible et je vais donc tenter de me placer dans la tête de ces minables malades mentaux. Après tout, il est important de connaître son ennemi.

Nous pensions le complotiste comme une sorte de psychopathe dénué d’émotions,
des études semblent prouver le contraire.

Il était pourtant logique de penser qu’il n’en a pas, ce que les médias nous ont expliqué jour après jour depuis des mois. Comment penser le contraire quand on voit que ces fous provoquent drames et désolations avec leurs comportements au ban de la société ?

Pour faire simple, ils refusent systématiquement tout ce qui est bon pour le pays et les citoyens. Ils ont généralement plusieurs angles d’attaques délirants :

  • La mesure est « inefficace ».
  • La mesure est « contre-productive et dangereuse ».
  • Les effets secondaires sont « pires que l’inaction ».
  • La mesure est une « atteinte aux droits de l’homme et aux libertés individuelles ».

Toujours le même disque : Masques, confinements, passe sanitaire, vaccination, sanctions économiques contre la Russie, guerres, blocus de la Palestine, énergies renouvelables, voitures électriques, etc.. Tout y passe dans leur logique biaisée.

Alors oui ils souffrent à des degrés divers.

Rappelons que :

  • Ils croient dur comme fer détenir la vérité.
  • Ils croient que les honnêtes gens sont manipulés et victimes d’une gouvernance mondiale qui ne cherche pas leur bonheur, mais à les réduire en esclavage.
  • Ils croient que toutes les mesures qui font consensus sont mauvaises et dangereuses.
  • Ils croient que l’augmentation des myocardites, des décès chez les moins de 60 ans, des fausses couches et de la baisse de natalité (qui sont statistiquement réels selon les chiffres officiels) est due au vaccin. Pourtant vous et moi savons que la cause en est le changement climatique et le stress induit notamment par l’immonde Poutine.

Ces fous sont persuadés que les gens normaux (« normies ») sont manipulés
tels les membres d’une secte et qu’ils n’ont plus accès à la réalité et à la réflexion.

D’autant plus risible venant de personnes qui pensent que nous ne sommes jamais allés sur la lune ou que le 11 septembre est un coup monté, une attaque sous faux drapeau.

Leur souffrance vient :

  • De leur échec.
  • De leur incapacité à « ouvrir les yeux » des bons citoyens.
  • De leur privation du droit de discuter pour convaincre.
  • De leur impossibilité de pouvoir délivrer leurs messages délirants dans des médias de grande écoute.
  • De la « volonté » des masses de rien savoir.
  • Bref de leur sentiment de totale impuissance.

Souffrance d’autant plus profonde alors qu’eux « savent » que :

« L’impuissance du complotiste, son impossibilité de communiquer avec ses proches
qui refusent tout dialogue et s’injectent des “poisons” potentiellement mortels
est du domaine de l’infernal. »

Ces parias ont beau essayer de faire comme les gens normaux qui condamnent les complotistes et dire « ils l’ont bien cherché » ; ce n’est que maigre consolation.

Le plus atroce est cette privation du droit à expliquer, à communiquer.
Ils sentent bien à quel point ceux qu’ils nomment les « normies » refusent tout dialogue, « surtout, ne me dis rien ! »

Cette attitude qui protège les gens biens de la contamination complotiste ne fait que renforcer leurs croyances.

« Si tu refuses la communication, c’est bien que tu as peur de mes propos,
c’est bien que tu sens que tu pourrais être touché par mes arguments,
c’est bien la preuve que j’ai raison et que tu n’as aucun argument contre. »
« Une Vérité qui ne peut être discutée relève du mensonge ! » 

C’est donc cette impuissance au quotidien qui ronge le complotiste, qui lui fait penser « à quoi bon, ceci ne sert à rien » et qui se tord de douleur en cherchant un moyen de sortir du cauchemar de la « dictature mondiale ».

Quel avenir pour l’Humanité ?

Vaste débat, quid des forces du bien, donc des USA, des politiques, des banques, de l’industrie pharmaceutique, des industries militaires occidentales, des politiques, des lobbies, de l’OMS, des médecins affiliés, des médias mainstream, des philanthropes, des mouvements LGBT, des démocrates, des gauchistes anticléricaux, des Greta Thunberg, ah non, elle vient de basculer du côté obscur, vont gagner cette guerre contre le Mal ?

Vision positive avec la victoire du bon sens et de la Vérité indiscutable :

Une écrasante majorité du peuple accepte et demande des augmentations de sécurité, donc des diminutions de liberté.
Port du masque, confinement, passe sanitaire, vaccin obligatoire, guerre en Ukraine, sanctions contre la Russie, changement climatique, soutien inconditionnel à Israël, passe carbone et j’en passe.
Quand nous voyons son adhésion à toutes ces mesures, quand on voir son absence de critiques et de questionnement, quand on voit qu’il accepte de payer 2 euros le litre carburant (moins de 1 euro aux USA48), on ne peut que se réjouir et dire que le complotisme n’est pas près de gagner.

Vision négative et victoire du complotisme

Le nombre de personnes qui se sont fait injecter le rappel, qui disent « plus jamais de vaccin Covid », le nombre qui commencent à douter de l’honnêteté ou du charisme de Zelensky, qui pensent qu’on se fout de leur gueule sur le réchauffement climatique, qui refusent que les populations civiles palestiniennes soient éliminées, alors on ne peut que s’inquiéter et se dire que le complotisme gagne du terrain.
Sans compter, comme je l’ai maintes fois écrit, on ne verra jamais un complotiste regretter de ne pas s’être fait vacciner tandis que tous les jours de nouvelles personnes basculent.

Mathématiquement le nombre de complotistes ne fera que croître,
la question qui se pose c’est « à quel rythme ? »

Selon un sondage récent49, donc évidemment mis en doute par les complotistes, 60 % des Français ont du mal à savoir si l’information véhiculée par les médias est vraie ou fausse !
Médias moribonds qui ne survivent qu’à coup de milliards de subventions et quand on sait que c’est le payeur qui dirige l’information, nous pouvons imaginer que cela n’est pas près de s’arranger.
De fait et en toute logique, les citoyens seront de plus en plus enclins à chercher l’information sur des médias « alternatifs » et qui n’adhèrent pas à la Vérité consensuelle.

Alors les bons citoyens vont-ils majoritairement continuer à ne se poser aucune question, à accepter les diminutions de liberté et de pouvoir d’achat, à obéir, à voter pour les partis autorisés qui ne feront aucune réforme structurelle ?
Vaste question !

Merci

Alain Tortosa50

27 octobre 2023 https://7milliards.fr/tortosa20231027-en-finir-avec-le-complotisme.pdf





La vérité sur les antibiotiques

[Source : @TheAmir]

Les antibiotiques sont souvent considérés comme l’une des plus grandes découvertes de la science médicale. On leur attribue le mérite d’avoir sauvé des dizaines de soldats pendant la Seconde Guerre mondiale et des millions de vies depuis lors. Cependant, cette histoire promulguée par l’establishment médical et l’industrie pharmaceutique pose des problèmes majeurs.

Dans cette vidéo, nous examinons l’histoire de la pénicilline et l’état des preuves scientifiques, y compris les préoccupations récentes concernant la « résistance aux antimicrobiens ». Les antibiotiques sont-ils toujours utiles et pourquoi semblent-ils parfois fonctionner si la théorie des germes de la maladie présente des failles fatales ?

Dr. Samantha Bailey



References




Phonegate : le scandale des téléphones portables

[Source : CONTACT AVEC STÉPHAN BUREAU]

Le géant Apple vient de mettre à jour son iPhone 12 après que l’Agence française des fréquences a suspendu, en septembre, la vente de l’appareil qui n’était pas conforme aux normes européennes en matière d’ondes électromagnétiques. C’était le 43e modèle de portable à être retiré du marché pour ne pas avoir respecté la réglementation au cours des dernières années ! Une statistique qui ne fait pas très souvent la manchette. L’actualité récente donne du poids aux mises en garde répétées du Dr Marc Arazi.

Le lanceur d’alerte et auteur de l’essai Le Phonegate — Tous surexposés, tous trompés, tous mis en danger par nos portables est absolument catégorique sur la complicité de tous les grands acteurs de l’industrie et des agences réglementaires. Un scandale qu’il juge « monstrueux et planétaire ». Le Dr Arazi est aussi le fondateur de l’organisation Phonegate Alert.

[Voir aussi le dossier 5G et ondes pulsées
dont notamment :
Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables, un article qui tend à contredire le docteur Arazi lorsque celui-ci pense ne pas prendre le moindre risque en utilisant le smartphone à distance. Le seul moyen de ne prendre aucun risque est de ne pas utiliser du tout ce genre de technologie et d’être suffisamment loin des antennes.]

Liens officiels du podcast :

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