Il faut agir tout de suite : adresser dès aujourd’hui une lettre aux députés et aux sénateurs

Par Nicole Delépine

Omicron, l’excuse pour le pass vaccinal, ne donne qu’un simple rhume et va permettre une immunité naturelle aux habitants de la planète. Notre gouvernement pressé de faire passer ses lois liberticides non sanitaires tente de continuer à aviver la peur.(([1] L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron : le cadeau du Père Noël | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Il faut joindre nos députés et leur faire comprendre l’importance de leur vote qui pourrait transformer notre société en apartheid et aboutir un jour ou l’autre à de la violence pour en sortir.

Dans l’immédiat, joignons-les dans leurs permanences ou par écrit ou téléphone, qu’ils sachent que nous savons l’horreur du projet, et que nous saurons leur prise de position.

Rodolphe Bacquet (rbacquet@mail1.alternatif-bien) a initié la pétition « non au pass vaccinal » qui devrait atteindre bientôt le million de signatures et qu’il faut continuer à transférer le plus possible dont voilà le texte :

« Le pass vaccinal est une atteinte majeure à l’État de droit.

Chers amis,

Le projet du gouvernement de transformer le pass sanitaire en pass vaccinal n’est pas une formalité administrative.

C’est un point de non-retour vers l’obligation vaccinale généralisée,

C’est autoriser une discrimination de chaque Français en fonction de son statut vaccinal.

Ne nous laissons pas faire !

Cette mesure VOUS concerne.

En laissant faire le pass vaccinal, vous autoriseriez le gouvernement à vous imposer le nombre de doses qu’il jugera utile, 3 doses, 4 doses, 5 doses, sans contrôle et avec chantage au pass sanitaire à la clé.

Si vous laissez faire cela, vous acceptez que votre vie quotidienne soit conditionnée à la vérification d’une information de santé dont la confidentialité est censée être garantie par le droit.

Il vous sera impossible d’y échapper car les tests de dépistage ni même le statut de “guéri du Covid” ne seront plus considérés.

Cette mesure inique nécessite une réaction immédiate.

La loi sur le pass sanitaire sera présentée à l’Assemblée Nationale au cours de la première semaine de janvier 2022.

Si elle est votée, il sera impossible de revenir en arrière.

C’est maintenant qu’il faut réagir : en signant cette pétition et en envoyant ce texte à votre député(e).

N’acceptons pas de livrer notre santé au gouvernement et de tirer un trait sur le consentement médical ! ».

[Pétition] NON AU PASS VACCINAL ! (leslignesbougent.org) plus de 900 000 ce 29 décembre 2021

Rodolphe Bacquet, dont beaucoup lisent la lettre alternatif bien-être, propose un canevas à adapter si vous le souhaitez pour une lettre à adresser rapidement aux députés et sénateurs.

Le temps presse. Le gouvernement fait passer en accéléré cette proposition de loi et réunit dès ce jour 29 décembre en discussion en commission parlementaire extraordinaire.

Voici un exemple de courrier proposé à adapter et adresser à votre élu(([2] Tous les députés ont une adresse mail sur le même format : leur prénom, un point, puis leur nom de famille complet suivi de l’adresse @assemblee.nationale.fr

Cela donne : prénom.nom@assemblée.nationale.fr
Pour les sénateurs, seule la première lettre de leur prénom est employée ; soit : p.nom@senat.fr

Vous trouverez dans le lien en source l’annuaire public répertoriant les noms et adresses mail de tous les députés et sénateurs de France. Sur le site de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Pour adresser un courrier postal à votre député en utilisant l’adresse suivante :
Mme ou M. le ou la Député(e) Prénom Nom
Assemblée Nationale 126 rue de l’Université 75355 Paris 07 SP

Vous pouvez interpeller votre élu local dans sa permanence en demandant rv urgent, ou sur les réseaux sociaux en utilisant, sur facebook ou twitter, la formule @prénomnom)) que vous pouvez bien sûr remplacer par un écrit de votre choix.

« Mme La députée, Mr le Député

Le projet du gouvernement de Jean Castex d’instaurer un Pass vaccinal qui remplacera le Pass sanitaire est une atteinte à l’état de droit. C’est aussi un contresens scientifique et médical dans la mesure ou les vaccinés ne sont pas protégés de la maladie et qu’ils peuvent contaminer les autres, vaccinés ou non vaccinés

Nous vous demandons solennellement, vous élus du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, d’assumer votre rôle de garants d’une loi équitable pour tous les citoyens.

Votre responsabilité est historique : si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le pass vaccinal, vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale.

Si vous autorisez cette mesure, vous acceptez de créer deux classes de citoyens — vaccinés et non-vaccinés. Vous mettez au ban de la société des citoyens qui n’auront pas accès aux mêmes droits et services que la majorité. Vous contraignez la totalité des citoyens à une vaccination tous les 4 à 6 mois, sans limite annoncée de durée.

Vous ne pouvez pas laisser faire cela.

Ces dispositions portent gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée, et non contraint.

Ces dispositions violent la loi de l’Union européenne encadrant l’instauration du pass sanitaire, qui a expressément interdit qu’un pass puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés.

Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le pass sanitaire soit temporaire.

Allez-vous accepter, vous représentants de la légalité publique, une telle atteinte à la légalité ?

Facteur aggravant, ce pass vaccinal n’a pas de fondement scientifique.

Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le pass sanitaire n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination] Le pass sanitaire n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux regorgent maintenant de doubles et triples vaccinés.

La loi portée par M. Castex est une obligation vaccinale pure et simple, assortie d’un dispositif punitif. Nous vous demandons solennellement de ne pas voter cette loi qui reviendrait à discriminer les citoyens en fonction de leur statut vaccinal et nous enfermera dans un cercle de mesures toujours plus coercitives.

Le moment est grave, chers élus. Il vous appartient aujourd’hui de défendre la liberté républicaine, la justice sociale et la non-discrimination entre les Français.

Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblé Nationale et du Sénat, l’expression de notre très haute considération. »

Il nous semble nécessaire de préciser aux élus les éléments suivants :

Rappelons à tous que cette pseudovaccination reste expérimentale, les essais n’étant pas terminés avant 2023, et que les produits géniques utilisés n’ont qu’une AMM conditionnelle. Les effets secondaires y compris graves sont maintenant reconnus publiquement par la directrice générale de l’ANSM(([3] Audition de la direction générale de l’ANSM au Sénat le 29 décembre 2021
« on le sait, il y a une sous-déclaration en pharmacovigilance.
À mi-novembre, nous avons 110 000 déclarations d’effets indésirables. Dans une année normale, nous avons 45 milles déclarations tous médicaments confondus »
.)) ainsi que par les sites de l’EMA EudraVigilance, de la FDA et des CDC le VAERS entre autres.

Les arguments scientifiques réfutant ceux du projet de loi concernant le passe vaccinal sont à lire sur aimsib.org par exemple

pour accéder au texte : https://www.aimsib.org/2021/12/25/refutation-des-arguments-scientifiques-justifiant-le-passe-vaccinal/ dont le résumé est le suivant :

« Ce projet repose sur la supposée explosion des « cas » : ces cas ne sont pas des malades et nous ne sommes donc pas en période épidémique.
Le projet de loi reconnaît que les vaccins présentent une efficacité diminuée avec le temps et que les rappels sont de nature à la rétablir ; cependant les nombreuses données récentes montrent l’inefficacité de ce rappel contre les variants actuellement circulants :

Les données de neutralisation des variants au laboratoire ainsi que d’efficacité constatée en « vie réelle » vont dans le même sens et montrent une efficacité nulle ou parfois même négative (augmentation de la susceptibilité des vaccinés au variant Omicron).
De plus le variant Omicron en circulation actuellement semble moins pathogène que les précédents, suivant en cela l’atténuation attendue des virus à ARN

Enfin comme le montre Pierre Chaillot dans le document joint la Covid-19 ne
sature pas les hôpitaux en cette fin 2021 (« Non, les non-vaccinés ne saturent pas les réanimations », ci-dessous).
L’instauration de ce passe vaccinal n’est donc aucunement justifiée scientifiquement. »




La Grande Imposture

[Source : General Martinez 2022 – Youtube]

Cette fin d’année 2021 marque le terme de deux années au cours desquelles la crise sanitaire liée au Covid-19 a complètement monopolisé le débat médiatique, occultant les dangers évoqués dans la tribune dite des généraux du printemps dernier et qui demeurent ceux qui menacent vraiment la France. Curieusement, le président de la République est resté et persiste à rester silencieux sur le constat présenté dans cette tribune pourtant approuvé par une large majorité de Français…




L’appel solennel du « Collectif des maires résistants »

[Source : FranceSoir]

[Illustration tirée de :
Les maires Fabrice Marchand et Thierry Renaux, sur le plateau du « Défi de la véritéF.
Froger / D6, pour FranceSoir / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

« L’heure est grave », lance le « Collectif des maires résistants » en introduction d’un appel solennel qu’ils lancent aux Français. [texte intégral ci-après]

Fabrice Marchand et Thierry Renaux sont tous deux maires de petites communes rurales dans les Ardennes. Ils étaient venus nous présenter leur collectif il y a un mois et demi. 

Voir aussi : « On ne croit plus dans les partis », les maires se rebellent et soutiennent un parti du peuple

Aujourd’hui, le projet gouvernemental de pass vaccinal les conduit à passer la vitesse supérieure. Leur constat d’une démocratie confisquée, et même « trahie », d’un pays dans lequel Emmanuel Macron instaure un « pouvoir absolu », avec le concours d’une partie des médias qui alimentent une « vérité sous influence », les conduit à appeler leurs concitoyens à « redevenir les maîtres de leur destin, les capitaines de leurs âmes ».

Quels sont leurs constats ? Leurs revendications ? La traduction concrète de cet appel ? Leurs projets pour peser dans la vie publique, alors que s’ouvre la campagne présidentielle ?

Les deux maires ont relevé « le Défi de la vérité » :



L’appel du Collectif des maires résistants :

Nous, le Collectif Des Maires Résistants, forts du soutien de nos concitoyens, nous adressons aux Français et aux Françaises, car l’heure est grave.

En effet, le projet de loi déposé par Jean Castex le 27 décembre 2021 est l’acte de trop d’une série de décisions iniques au cours des 18 derniers mois, entraînant la confiscation des libertés fondamentales des Français, sur la base d’une information déloyale.

Par ailleurs ce projet de loi est sciemment déposé dans l’urgence au moment des fêtes.

Il comporte des obligations et privations de liberté inacceptables dans une démocratie.

En effet, ce projet viole les principes les plus fondamentaux de droit, tels que l’égalité des citoyens et le respect de la dignité humaine pourtant protégés par notre droit et de très nombreuses conventions internationales.

LES FAITS

En détail, voici le constat que nous établissons.

Le 17 mars 2020, Emmanuel Macron a déclaré qu’il était en guerre et que rien ne serait plus jamais comme avant. Quoi qu’il en coûte

Depuis cette date, la démocratie a été confisquée aux Français au motif d’une urgence sanitaire établie et maintenue avec des données mensongères et trompeuses.

En 18 mois, Emmanuel Macron et ses gouvernements ont réussi à tout anéantir, ils ont bafoué les institutions démocratiques de France, ils ont renié les conventions internationales signées par la France, notamment en matière de droit à librement disposer de son corps.

Le 12 juillet dernier, Emmanuel Macron a définitivement déchiré le contrat sociétal en instaurant la discrimination comme principe de gouvernance, en faisant ressurgir les démons des pires heures de notre Histoire, divisant les Français, les dressant les uns contre les autres. Selon que vous êtes vaccinés ou non, vous n’aurez plus les mêmes droits.

Le 15 octobre dernier, les députés ont trahi le peuple de France en prolongeant la loi d’urgence jusqu’en juillet 2022, refusant délibérément tout débat scientifique et arguments objectifs et indépendants pour lui préférer l’information biaisée et parcellaire communiquées par le gouvernement qui ressemble désormais à une croyance plus qu’à de la science. En ignorant les scientifiques indépendants et objectifs qui prônent les traitements précoces, la représentation nationale a contribué à priver de soins de nombreux Français, entraînant de nombreux décès.

Au cours des derniers mois, le Conseil d’Etat a gravement failli à sa mission et n’a servi que de chambre d’enregistrement des décisions du gouvernement, refusant délibérément de relever les nombreux mensonges et contradictions des mémoires du gouvernement, mises en évidence par les nombreuses procédures initiées par des collectifs de citoyens.

Le Conseil constitutionnel, empêtré dans les conflits d’intérêts de son président, dont le fils travaille pour Emmanuel Macron au sein d’un cabinet de conseil américain, a lui aussi détourné l’esprit et la lettre de sa mission, trahissant ainsi les Françaises et les Français.

Jamais dans l’histoire de notre pays, un dirigeant n’a, comme Emmanuel Macron, voulu imposer le pouvoir absolu, sans contrôle indépendant des institutions parlementaires et judiciaires, qui sont devenues de facto inexistantes car capturées et sous influence.

Or, l’article 16 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 rappelle que « Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ».

 A l’évidence, les Maires de France SONT le dernier rempart de notre démocratie.

LA VERITÉ NE DOIT PLUS ÊTRE SOUS INFLUENCE

Le seul enjeu aujourd’hui est de retrouver nos droit et libertés et notamment :

  • La liberté de conscience qui est le droit accordé à chaque citoyen de conduire son existence selon les valeurs, les principes, les opinions, les religions et les croyances de son choix
  • Le droit à l’autonomie personnelle qui s’exprime particulièrement dans le droit de l’individu à disposer de son corps et au respect de la dignité humaine en toutes circonstances.

Cette liberté nous a été soustraite par une poignée de médecins, de scientifiques et de haut-fonctionnaires, dont chaque jour nous dévoile l’absurdité de leurs décisions prises sur la base d’études frauduleuses et guidées par de nombreux conflits d’intérêts.

La science a été instrumentalisée comme une croyance par un petit groupe d’individus, qui se sont octroyé le privilège du savoir scientifique et se sont érigés en tribunal de l’obscurantisme.

Avec la collaboration des médias, ils ont distillé méthodiquement, jour après jour, sur tous les plateaux télé sans contradiction, des informations fausses, soutenues par les journalistes qui manquent ainsi à l’article 1er de la charte de Munich.

Nous savons aujourd’hui que :

  • Ils ont biaisé des informations, qu’ils se sont arrangés avec la vérité de manière à manipuler les Français, en jouant sur l’émotionnel, comme l’instrumentalisation de la peur, diminuant l’esprit critique et refusant tout questionnement de bon sens, pour extorquer le consentement et inciter sous contrainte à l’injection d’un traitement expérimental, faussement appelé vaccin.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, le vaccin ne protège ni de la contamination, ni de la contagion.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, l’immunité naturelle est plus efficace que l’immunité vaccinale.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, les vaccins à ARN messager ont de nombreux effets indésirables, dont certains sont graves, dans des proportions jamais connues dans l’histoire des vaccins.
  • Deux doses ne suffisent pas à maintenir l’immunité et que ceux qui se sont fait vacciner ont souscrit à un abonnement vaccinal : trois doses, puis quatre doses, puis cinq doses.
  • Le rapport bénéfice / risque de l’injection pour les enfants est en leur défaveur.
  • La vaccination de masse en période de pandémie est une hérésie scientifique car elle favorise la mutation de variants résistants à la vaccination.
  • Des traitements précoces existent et fonctionnent, entrainant la nullité des autorisations temporaires pour ces pseudo-vaccins.
  • Le bon sens au service de l’intérêt général est de laisser les médecins prescrire, et de faire confiance à nos soignants.

NOTRE APPEL

En conséquence, nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à redevenir « les maîtres de leur destin, les capitaines de leurs âmes » en soutenant le mouvement du Collectif des maires Résistants, qui n’a pour seul et unique objectif que de restaurer la démocratie et l’Etat de droit pour le bien commun.

Pour cela, nous invitons tous les mouvements engagés pour le respect des libertés fondamentales, qui souhaitent mettre un terme définitif au simulacre de démocratie mis en scène par Emmanuel Macron, ses acolytes et commanditaires, à rejoindre le CDMR dans une démarche apolitique et non partisane

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à prendre contact avec chaque maire, chaque élu, local ou régional, pour les inciter à défendre la démocratie et à rejoindre le mouvement.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à prendre contact avec chaque membre de la représentation nationale, députés ou sénateurs, pour les mettre face à leur responsabilité dans l’hypothèse où ils s’essaieraient à voter une loi substituant un régime d’exception non démocratique puisque sans séparation véritable des pouvoirs, à l’Etat de droit pour imposer de facto la vaccination obligatoire.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à rappeler à ces élus qu’il est de leur devoir de voter, après s’être assurés d’avoir pris connaissance de toute information disponible. En faillissant à cette obligatoire morale et à ce devoir, tout élu qui contribuerait à mettre en danger la vie d’autrui par les effets indésirables causés par l’injection d’un produit toujours en phase expérimentale, s’exposerait à des poursuites judiciaires en vertu des lois nationales et des traités internationaux auxquels la France est assujettie, notamment en matière de santé des populations. Le Collectif des maires Résistants veillera à ce que la responsabilité individuelle des élus soit engagée.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à se rapprocher de leurs médecins et à les encourager à s’informer pleinement sur les alternatives thérapeutiques de traitements précoces prouvés scientifiquement et observés sur le terrain dans de nombreux pays. De nombreux médecins prescrivent ces traitements avec succès, parfois hors AMM, dans le plus grand respect de leur serment d’Hippocrate et droit d’ordonnance.

Fort du soutien des Françaises et des Français, dans un premier temps, nous saisirons les diverses instances nationales (Assemblée nationale, Sénat, Conseil d’Etat, Conseil constitutionnel) internationales, avec le soutien d’associations de citoyens et d’avocats pour faire à nouveau respecter les libertés fondamentales.

Nous demanderons à être auditionnés avec nos experts scientifiques et juridiques dans le cadre de l’évaluation du projet de loi inique déposé par Jean Castex.

A l’instar des plus éminents scientifiques dans le monde, nous demandons un moratoire sur la vaccination obligatoire, afin d’évaluer objectivement et indépendamment les choix de politique sanitaire du gouvernement.

Nous sommes la France, celle que nous construisons chaque jour avec courage et par amour pour nous enfants, comme les cathédrales en commençant par les fondations.  

Le Collectif Des Maires Résistants de France et chacun d’entre nous sommes les fondations de notre Etat démocratique et nous veillerons, avec une détermination sans faille, à ce que celui-ci ne soit plus jamais confisqué !

Le Collectif Des Maires Résistants.

Auteur(s): FranceSoir




Un journaliste brise l’omerta sur la mafia d’État en France

[Source : BLAST, Le souffle de l’info]




Covid-19 — L’Eurodéputée Italienne Francesca dénonce la manipulation

[Source : resistance-mondiale.com]






Sale temps pour le Tartour de Tunis

Par Ahmed Bensaada

Le 23 décembre dernier, Moncef Marzouki, l’ex-président par intérim de la Tunisie, a été condamné à 4 ans de prison par la justice tunisienne. Il faut dire que le « mot » président, même intérimaire, ne sied aucunement à ce personnage qui n’aura laissé à la postérité que son surnom coloré et risible : le Tartour (pantin) de Tunis. Raillé et ridiculisé par ses propres concitoyens, il a été laminé lors du premier tour de l’élection présidentielle de 2019 en récoltant un ridicule 3% des voix. Rappelons que le président tunisien actuel, Kais Saïed, a été élu au deuxième tour de cette même élection avec près de 73% des suffrages.

Plus encore, un sondage daté du 17 août 2021 place Kais Saïed très largement en tête des intentions de vote avec un score historique de 91,1% alors que le Tartour n’arrive à glaner qu’un anorexique 1,2%! Ce sondage est d’autant plus intéressant qu’il a été publié environ trois semaines après les mesures fermes prises par le président tunisien. En effet, ce dernier avait pris la décision, le 25 juillet 2021, de suspendre le parlement et de limoger le chef du gouvernement.

Cette décision, tant décriée par le Tartour et ses soutiens occidentaux ou islamistes, a été plébiscitée par la rue tunisienne de sorte que le taux de satisfaction du rendement du président tunisien est passé de 38% (juin 2021) à 82% (août 2021).

Taux de satisfaction de la rue tunisienne à l’égard du rendement du président Kais Saïed

C’est depuis cette courageuse décision prise par le président tunisien que le Tartour, sans aucune assise populaire, a commencé ses attaques contre le chef de l’État tunisien, appelant à sa destitution et le qualifiant de « putschiste » et de « dictateur ». En octobre 2021, lors d’une interview à la chaine France 24, il s’était dit « fier d’avoir participé au report du sommet de la Francophonie prévue en novembre à Djerba ».

Toutes ces attaques sur des médias étrangers ont valu au Tartour d’être accusé d’avoir tenu des propos « allant à l’encontre de la sûreté de l’Etat et nuisant aux intérêts de la Tunisie à l’étranger ».

Très longtemps proche du parti islamiste Ennahda et de son chef Rached Ghannouchi – qui lui ont permis d’accéder à la présidence -, il est considéré comme un « un pion du Qatar et de la Turquie » et un « soutien au mouvement des Frères musulmans ».

En 2016, en pleine interview sur la chaine islamiste Al Hiwar, il montra ostensiblement son soutien aux Frères musulmans en faisant le signe de Rabaa (quatre doigts levés et pouce replié, signe de ralliement de la confrérie).

Sur la chaine islamiste Al Hiwar :
Moncef Mazouki fait le signe de Rabaa
(2 février 2016)

Considérée proche des Frères musulmans, la chaine Al Hiwar a été financée par le Qatar selon les déclarations fuitées du Cheikh Hamed Ben Khalifa en personne.

C’est d’ailleurs cette allégeance « frériste » qui justifie son omniprésence sur les plateaux de la chaîne qatarie Al Jazira qui a joué un rôle funeste durant le mal nommé « printemps » arabe.

Dans une interview à cette chaîne en date du 15 octobre 2021 (voir vidéo ci-dessous), le Tartour de Tunis déclara « ne pas reconnaitre la légalité de cet homme » (i.e. Kais Saïed) et qualifia les décisions présidentielles prises en juillet 2021 de « coup d’état ». Il reconnut également avoir eu des discussions à « l’étranger » pour leur demander de ne pas « soutenir ce putschiste ».

Marzouki sur Al Jazira (15 octobre 2021)
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Aussi ridicule que cela puisse paraitre, le Tartour exhorta les Tunisiens à imiter le Hirak du « peuple grandiose d’Algérie » afin de contraindre le président Kais Saeïd à la démission comme ce fut le cas pour le président Bouteflika en Algérie.

Créer un Hirak avec une déclaration sur Al Jazira et…1,2% d’intentions de vote! Sérieusement, il faut reconnaitre que les Tunisiens ont été très magnanimes avec lui en le surnommant « Tartour ». Sous d’autres cieux, son sobriquet aurait été beaucoup plus humiliant.

Il faut dire que ce président intérimaire n’est pas à une contradiction près. Il a le toupet de plébisciter le Hirak, tout en montrant une haine viscérale contre l’Algérie et son peuple!

Effectivement, juste quelques jours avant sa condamnation, il a accusé l’Algérie d’avoir accordé un prêt de 300 millions de dollars à des fins politiciennes :

« Kaïs Saïed a désormais le soutien de l’Algérie, et c’est à mon avis un soutien qui s’inscrit dans le cadre du conflit maroco-algérien. J’espère que la Tunisie ne s’immiscera pas dans cette affaire ».

Pour rappel, ce prêt a été annoncé lors de la visite d’État fraternelle du président Tebboune en Tunisie (15-16 décembre 2021).

Quelques mois plus tôt, en février 2021, le Tartour avait soulevé l’ire du peuple algérien en accusant l’Algérie d’« immixtion dans les affaires tunisiennes » durant le « printemps » tunisien.

Et ce n’est pas tout. Il a tenu des propos très hostiles envers l’Algérie, la comparant à un « marchand de rêves qui vend des illusions au Polisario » et, épousant ouvertement les positions marocaines sur le Sahara Occidental, il n’a pas hésité à imputer à l’Algérie l’échec de la construction de l’Union du Maghreb arabe.

Le roi Mohammed VI et Moncef Marzouki (30 mai 2014)

En ce qui concerne le Hirak, le Tartour n’a pas fait que le louanger platoniquement. Il y a participé activement en fricotant avec le mouvement islamiste Rachad, organisation classée terroriste par le gouvernement algérien.

C’est lui, en effet, qui a signé la préface du piètre ouvrage collectif commandité par Rachad qui était supposé répondre à mon livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien? ».

Il faut savoir que le recueil disparate de Rachad, baptisé « En défense du Hirak » a nécessité le recrutement de sept auteurs différents et qu’il est distribué gratuitement sur le Net, ce qui en dit long sur les moyens financiers du mouvement islamiste, élément central du Hirak frelaté.

Pour se faire une idée de la teneur de cet ouvrage, il est amusant de constater que le nom « Bensaada » a été cité 475 fois, soit environ 1,5 fois par page, y compris couvertures et pages blanches! S’agit-il de la recension d’un livre ou d’un ramassis d’attaques ad personam sur son auteur? Mais à sept, en compagnie du Tartour de Tunis, et sous la « bénédiction » de Rachad, ça s’apparente plutôt à une tentative avortée de « lynchage ».

Cette collaboration du Tartour avec Rachad confirme non seulement la collusion de l’ex-président intérimaire avec la nébuleuse islamiste internationale mais aussi son désir de nuire directement aux intérêts de l’Algérie.

Comme les « rachadistes » savent être reconnaissants avec leurs « collaborateurs », ils sont venus à la défense du Tartour par l’intermédiaire de leur péroreur en chef, spécialiste des logorrhées cyberspatiales, le « célébrissime » sir Zitout en personne! Et devinez sur quelle chaine? Al Hiwar, bien entendu!

Zitout sur la chaine Al Hiwar (23 décembre 2021)
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

À propos de logorrhées, il est intéressant de noter un étonnant mimétisme rhétorique entre sir Zitout et Tartour Marzouki à l’égard de leurs gouvernements respectifs. Mais sans assises populaires, ils ne sont tous deux que de vulgaires phénomènes acoustiques qui n’ont pour effet que d’irriter les tympans.

Il n’y a pas que sur l’Algérie que le Tartour déverse son fiel. Son comportement envers la Syrie lorsqu’il a été « intérimaire » est encore plus abominable.

Tout d’abord, il a été un des premiers à accueillir sur son sol le Conseil national syrien (CNS). Ainsi, les 200 membres du CNS se sont réunis à Tunis le 16 décembre 2011 avec, à leur tête, Burhan Ghalioun.

Burhan Ghalioun, président du CNS et Moncef Marzouki
(Tunis, le 16 décembre 2011)

Ensuite, il a rompu unilatéralement les relations diplomatiques de son pays avec la Syrie, en février 2012. Son ministre des Affaires Étrangères de l’époque a déclaré quelques années plus tard que « c’est l’ancien président Moncef Marzouki qui aurait pris cette décision d’une manière unilatérale et que lui, en tant que ministre des Affaires étrangères, était contre ».

Quelques semaines plus tard, le 24 février 2012, il accueillit la première conférence des « Amis du peuple syrien ».

Première Conférence des « amis » de la Syrie (Tunis, le 24 février 2012)

Le Tartour, un ami de la Syrie! On aura tout vu!

La réponse vint du ministre syrien de l’Information qui dénonça l’événement, le qualifiant de « Conférence des amis de Washington et des ennemis de la Syrie ».

Ah, ces fameux « amis » de la Syrie qui, de pays en pays, se sont réunis pour détruire systématiquement et méthodiquement ce beau pays, biberonnant des djihadistes coupeurs de tête et mangeurs de cœurs!

Ah, ces fameux « amis » de la Syrie qui ont causé la mort de centaines de milliers de citoyens syriens et poussé à l’exode des millions d’autres!

Quelle belle amitié!

Après avoir accueilli le CNS, rompu les relations diplomatiques et organisé la conférence des « amis » de la Syrie, le Tartour figure certainement dans la liste des plus grands ennemis de ce pays. L’histoire retiendra de lui l’image d’une exécrable personne aux mains maculées de sang syrien.

Ce n’est pas par hasard, d’ailleurs, qu’il a été accusé en 2017 par le vice-ministre syrien des Affaires étrangères de l’époque « d’avoir envoyé des milliers de jeunes Tunisiens en Syrie pour prêter main forte à des groupes terroristes ».

Droitdelhommiste dévoyé, politicard raté, va-t-en-guerre invétéré, « islamawiste » haineux, ce Don Quichotte en burnous a fini par se battre contre les moulins de son propre pays. Va-t-il finalement en tirer des leçons et s’évaporer dans la nature pour ne plus continuer à polluer tout ce qu’il touche?




Éric Zemmour : le vrai candidat de l’immigration

[Source : legrandsoir.info via investigaction.net]

Après des mois d’un suspense intolérable, Éric Zemmour s’est enfin déclaré candidat à la prochaine présidentielle. Voici une analyse remarquable pour comprendre pourquoi des représentants de l’élite tels que Bolloré soutiennent Zemmour, comment le thème de l’immigration est utile pour détourner la colère légitime des travailleurs et, cerise sur le gâteau, pourquoi les solutions du candidat Z sont complètement nulles. (IGA)

Par XIAO PIGNOUF

Après des mois d’un suspense intolérable, Éric Zemmour s’est enfin déclaré candidat à la prochaine présidentielle.

Pur produit médiatique, il est la créature de Vincent Bolloré, ce milliardaire français, capitaine d’industrie, actionnaire principal de Vivendi, société mère du groupe Canal Plus, dont fait partie la chaîne CNEWS sur laquelle le même Zemmour, journaliste et polémiste, officiait et où il avait, grâce à son mentor, carte blanche pour parler de ses thèmes de prédilection : l’immigration, l’islam, la délinquance, le tout saupoudré d’anti-féminisme primaire et de révisionnisme historique. Une parole libérée particulièrement attractive pour celles et ceux qui considèrent ces sujets comme les raisons fondamentales des problèmes de la nation. Loin, très loin, très très loin de la réalité, celle de l’exploitation des masses populaires et de l’environnement par le capitalisme et la grande bourgeoisie, dont Bolloré est un des plus brutaux représentants.

Le spectre électoral de Zemmour va de l’extrême-droite à la droite classique, bourgeoise, traditionaliste et réactionnaire. Pour la première, monopolisée depuis 40 ans par la famille Le Pen, le Front National puis le Rassemblement National, il est devenu le concurrent le plus dangereux en allant à l’opposé de la stratégie mariniste de dédiabolisation qui par là même a montré ses limites, en libérant la parole xénophobe et en imposant des théories inaudibles jusqu’alors, telles que le Grand Remplacement, le colonialisme positif, la remise en question de vérités historiques comme la France de Vichy, jusqu’à l’affaire Dreyfus ! La seconde, sous la pression de cet outsider radical, est obligée de reprendre ces thèmes (qu’elle n’hésitait pourtant jamais à remettre elle-même tous les cinq ans sur le tapis, quoiqu’en version light, pour des raisons bassement électoralistes) mais en mettant cette fois le cap à tribord toute. Les récents résultats de la primaire des Républicains montrent clairement cette direction par l’inattendu finaliste Ciotti aux sympathies connues pour l’extrême-droite et font la preuve que cette droite-là aussi est un réservoir pour le vote Zemmour.

Le programme économique de Zemmour est d’ailleurs un copié-collé du programme de François Fillon, candidat déchu des Républicains en 2017 et, mises à part quelques mesures symboliquement populistes, qu’on peut résumer ainsi : le patronat y est gâté, les cathos et la bourgeoisie y sont chouchoutés, les classes populaires peuvent crever.

Pourtant, c’est à la partie du programme zemmouriste concernant l’immigration que nous nous intéresserons ici, car c’est elle qui polarise toutes les amours droitières

Précisons une fois encore que selon Zemmour, l’immigration et ce qu’il considère comme ses corollaires, l’islam et la délinquance, sont le nœud des problèmes de la nation et qu’il convient d’y répondre avec force. Zemmour se classe lui-même parmi les héritiers du Trumpisme et prend pour modèle le dirigeant hongrois Orban ou le Brésilien Bolsonaro.

Admettons quelques instants que Zemmour ait raison et que l’immigration soit une menace pour l’intégrité de la France et de son peuple, qu’il faille de facto y faire face urgemment pour l’arrêter ou au moins tarir son flot. Il convient d’abord de faire une double distinction quant aux phénomènes migratoires : primo, entre immigration légale et immigration illégale, deuxio, entre immigration volontaire et immigration contrainte.

En quelques données, l’immigration légale en France (219 302 personnes en 2020), c’est : pour un tiers (75 482 personnes en 2020), une immigration familiale qui comprend pour sa plus importante part les ressortissants français rentrant ou faisant entrer leur famille et en particulier leur conjoint étranger sur le sol français, et à hauteur de 15% de ce tiers (12 082 décisions préfectorales favorables en 2020), des étrangers ayant un titre de séjour en France faisant venir leur famille (conjoint et/ou enfants) dans le cadre du regroupement familial. Pour un autre tiers (72 306 personnes en 2020), une immigration estudiantine limitée dans le temps et qui se conclut généralement par un retour dans le pays d’origine, à moins d’intégration professionnelle ou d’union avec un(e) Français(e). Pour 15% (30 739 personnes en 2020), une immigration humanitaire régie par le droit d’asile. Pour un peu plus de 12% (26 583 personnes en 2020), une immigration économique (extra et intra-européenne), c’est-à-dire des personnes venant légalement travailler en France. En 2020, l’immigration légale a compté pour 0,33% de la population totale française.

L’immigration illégale, quant à elle, n’est par essence pas mesurable annuellement, et ne peut être évaluée que par la présence de personnes en situation irrégulière à un instant t et selon le seul critère des chiffres partiels fournis par l’Aide Médicale d’État dans une fourchette aujourd’hui allant de 200 000 à 700 000 personnes présentes sur le territoire français. De 0,3 à 1% de la population totale française.

L’immigration volontaire, celle née du choix des demandeurs, comprend les immigrations familiale et estudiantine ainsi que pour partie l’immigration économique.

L’immigration contrainte, celle subie par l’émigrant, regroupe l’immigration humanitaire, une partie de l’immigration économique et l’immigration illégale dans sa quasi-totalité.

Après avoir pris connaissance de ces données et souscrit aux grandes lignes ci-dessus, on peut regarder quels sont les principaux points dans le programme du candidat Zemmour qui concernent la lutte contre l’immigration. Bien que son programme en comprenne davantage mais touchant les populations immigrées déjà présentes sur le sol français (renvoi des délinquants bi-nationaux, fin du droit du sol, fin de l’AME et des aides sociales), on en retiendra cinq : l’arrêt quasi total de l’immigration légalela suspension temporaire du droit d’asilela régulation des étudiants étrangersla fin du regroupement familial “systématique” et l’arrêt de l’immigration venue d’Afrique.

Premier paradoxe

Les mesures anti-immigration d’Éric Zemmour touchent essentiellement les flux contrôlés, c’est-à-dire légaux. Par extension, une immigration qui, dans sa grande majorité, parce qu’elle est voulue et préparée est celle qui mène le moins à la précarité et a donc le moins de conséquences sociales négatives. Le réalisme oblige à mentionner que certaines de ces mesures ne sont pas applicables dans le cadre des traités européens que le candidat Zemmour, tenu en laisse courte par son maître, et bien que populiste en apparence, n’a aucunement l’intention de remettre en question.

Deuxième paradoxe

Selon le principe des vases communicants, tout arrêt partiel ou complet de l’immigration légale augmentera exponentiellement l’immigration illégale et tout le lot de drames humains qu’elle traîne dans son sillage. Encore une fois, le réalisme oblige à rappeler que les phénomènes migratoires ont toujours été, sont et seront toujours inarrêtables. Aussi hauts que soient les murs, aussi profonds que soient les océans, aussi vastes que soient les déserts, rien n’empêchera les êtres qui par désir, par besoin, par peur ou par instinct de survie migrent. Rien, et certainement pas Éric Zemmour. Au contraire, car l’immigration illégale est le moins contrôlé et le moins contrôlable des flux humains et c’est incontestablement celui dont les conséquences sociales sont les plus sombres pour l’individu et pour la société. Éric Zemmour, s’il est élu et s’il applique son programme, contribuera à une intensification sans précédent de l’immigration illégale en France.

Troisième paradoxe, le pire d’entre tous

Si l’on excepte l’arrêt total de l’immigration venant d’Afrique, bien que celle-ci soit en grande partie légale, rien dans le programme anti-immigration de Zemmour n’indique qu’il compte lutter contre l’immigration illégale. Pour réaliser l’immensité de l’arnaque du programme anti-immigration de Zemmour, qu’on soit de droite ou de gauche et surtout doté d’un minimum d’intelligence, il faut se demander ce qui provoque une immigration contrainte, qu’elle soit légale ou illégale. Loin des fantasmes véhiculés par des idiots, l’immigration contrainte est due en premier lieu aux guerres, aux pillages des richesses nationales et aux conditions climatiques impropres à la survie ainsi qu’au dénuement économique extrême, à l’instabilité politique et sociale, aux dangers issus d’une criminalité mafieuse et aux famines qui en résultent. Ces phénomènes dont certains existent depuis le peuplement humain, se sont intensifiés avec la colonisation, la révolution industrielle et la mondialisation mais sont exacerbés par la surpopulation et la raréfaction des ressources vitales et énergétiques.

Par qui et par quoi les guerres sont-elles provoquées ? Par qui et par quoi les territoires riches en ressources, au premier rang desquels l’Afrique, sont-ils pillés et exploités ? Quelles sont les activités humaines qui contribuent le plus au réchauffement climatique, à la désertification et à la déforestation, privant ainsi les populations des ressources nécessaires à leur survie ?

La réponse ne souffre d’aucune ambiguïté : c’est le capitalisme, son bras armé, l’impérialisme et sa classe sociale, la grande bourgeoisie dont l’un des plus emblématiques représentants est Vincent Bolloré avec son empire qui s’étend de la pointe bretonne à l’Afrique. Ce sont les guerres provoquées par sa classe, le pillage et l’exploitation organisés des ressources par sa classe, le maintien de régimes totalitaires voulu par sa classe, le chaos et les systèmes mafieux qu’ils suscitent qui poussent des milliers, qui continueront à pousser des millions de gens sur les routes de l’exil en direction de l’Europe pour y échapper.

Quatrième paradoxe

Que l’on soit de droite ou de gauche, il n’existe personne de sensé qui soit favorable à l’immigration quand celle-ci est contrainte par de telles causes. Sauf la grande bourgeoisie et le patronat qui voient dans ces flux migratoires une manne de main d’oeuvre moins coûteuse, n’hésitant souvent pas à embaucher des travailleurs sans papier en échange d’une paye dérisoire, poussant ainsi au recul généralisé des salaires et des conditions de travail pour le plus grand bonheur des actionnaires et de gens comme Vincent Bolloré.

En conclusion

À gauche, pas d’illusions. Zemmour comme Le Pen, à leur corps défendant ou non, sont les pions que le système déplace à sa guise pour sa propre pérennisation et la réélection de Macron afin que celui-ci poursuive sa politique de destruction des acquis sociaux qui transformeront les masses populaires en chair à broyer pour le capitalisme et le néo-libéralisme. Zemmour élu, ça ne fera aucune différence, le maître sera différent mais les règles seront les mêmes.

À droite, voter pour Zemmour revient à accepter ces paradoxes. Voter pour Éric Zemmour, c’est voter pour un système qui favorise les comportements de prédation comme celui de Bolloré et de sa classe. Voter pour Éric Zemmour, c’est voter pour toujours plus d’immigration, toujours plus de désespérés franchissant les mers pour rejoindre nos côtes plus morts que vivants.

Éric Zemmour est le vrai candidat de l’immigration.

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[Voir aussi : L’immigration]
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Alex Jones identifie Donald Trump comme un ennemi du peuple

[Source : ]

Alex Jones pète les plombs après que Trump a dit qu’il avait reçu une dose de rappel :

« Bon sang, nous nous battons contre Bill Gates, Fauci, Biden, le Nouvel Ordre Mondial, Psaki et le Groupe de Davos… et maintenant nous avons Trump dans leur camp ! ».

Alex Jones a fait remarquer à juste titre que Donald Trump, l’ancien président qui affirme avoir remporté l’élection de 2020 est un ennemi du peuple.

Oui, un ennemi du peuple.

Jusqu’à preuve du contraire Trump a toujours été pro-vaccins.

[Note de Joseph : plus exactement il laissait libres les gens de se vacciner ou non tout en privilégiant les traitements, au moins à l’époque où il tentait de s’en prendre à Big Pharma. Néanmoins, l’hypothèse de Trump comme Témoin avec Poutine prend ici du plomb dans l’aile. Voir Les deux témoins. On pourrait toujours alléguer qu’il a un sosie qui se fait passer pour lui et le saborde, mais on tombe alors dans des arguments indémontables ou difficilement démontrables, au moins tant que l’on ne verrait pas les deux — Trump et son sosie — au même endroit. Il est vrai par ailleurs que de nos jours entre les acteurs qui peuvent se grimer avec des masques en latex et les technologies informatiques de Deep Fake, il devient de plus en plus difficile de démêler le réel de la fiction. Ce que l’on peut dire est qu’il y a un changement assez radical entre le Trump qui privilégiait les traitements contre la Covid et celui affiché dans cette vidéo. Mais ce ne serait pas la première fois que des hommes politiques tournent leur veste.]




Démontage de la propagande pass-vaccinale en France

[Source : Vivre sainement]






L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »

[Source : etresouverain.com]

[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Cher peuple américain, chers amis, depuis deux ans maintenant, un coup d’état global est en cours dans le monde entier, planifié depuis un certain temps par une élite de conspirateurs asservis aux intérêts de la haute finance internationale.

Ce coup d’État a été rendu possible par une pandémie d’urgence fondée sur la prémisse d’un virus dont le taux de mortalité est presque analogue à celui de n’importe quel autre virus de la grippe saisonnière, sur la délégitimation et l’interdiction de traitements efficaces et sur la distribution d’un sérum génétique expérimental qui est manifestement inefficace et qui comporte aussi clairement le danger d’effets secondaires graves, voire mortels.

Nous savons tous à quel point les grands médias ont contribué à soutenir le récit insensé de la pandémie, les intérêts en jeu et les objectifs de ces groupes de pouvoir : réduire la population mondiale, faire de ceux qui survivent des malades chroniques et imposer des formes de contrôle qui violent les droits fondamentaux et les libertés naturelles des citoyens.

Et pourtant, deux ans après le début de cette farce grotesque, qui a fait plus de victimes qu’une guerre et a détruit le tissu social, les économies nationales et les fondements mêmes de l’État de droit, rien n’a changé dans les politiques des Nations et leur réponse à la soi-disant pandémie.

L’année dernière, alors que beaucoup n’avaient pas encore compris la gravité de la menace imminente, j’ai été parmi les premiers à dénoncer ce coup d’État, et j’ai été promptement montré du doigt comme un théoricien du complot.

Aujourd’hui, de plus en plus de gens ouvrent les yeux et commencent à comprendre que la pandémie d’urgence et l’« urgence écologique » font partie d’un plan criminel ourdi par le Forum économique mondial, l’ONU, l’OMS et une galaxie d’organisations et de fondations qui se caractérisent idéologiquement comme clairement anti-humaines et – il faut le dire clairement – anti-chrétiennes.

L’un des éléments qui confirme sans équivoque la nature criminelle du Great Reset est la parfaite synchronisation avec laquelle toutes les différentes Nations agissent, démontrant l’existence d’un scénario unique sous une direction unique.

Et il est déconcertant de voir comment l’absence de traitement, les traitements délibérément erronés qui ont été administrés afin de provoquer davantage de décès, la décision d’imposer des confinements et des masques, le silence conspirateur sur les effets indésirables des soi-disant « vaccins » qui sont en fait des sérums génétiques, et la répétition continue d’erreurs coupables ont tous été possibles grâce à la complicité des gouvernants et des institutions.

Les dirigeants politiques et religieux, les représentants du peuple, les scientifiques et les médecins, les journalistes et ceux qui travaillent dans les médias ont littéralement trahi leur peuple, leurs lois, leurs Constitutions et les principes éthiques les plus élémentaires.

La fraude électorale de l’élection présidentielle de 2020 contre le président Trump s’est révélée organique à cette opération globale, car pour imposer des restrictions illégitimes en violation des principes du droit, il fallait pouvoir se servir d’un président américain qui soutiendrait la psycho-pandémie et appuierait son récit.

Le Parti démocrate, qui fait partie de l’État profond, accomplit sa tâche en tant que complice du système, tout comme l’Église profonde trouve en Bergoglio son propre propagandiste.

Les récents arrêts de la Cour suprême et l’action autonome de certains États américains – où l’obligation de vaccination a été déclarée inconstitutionnelle – nous donnent l’espoir que ce plan criminel puisse s’effondrer et que les responsables soient identifiés et jugés : tant en Amérique que dans le monde entier.

Comment a-t-il été possible d’en arriver à une telle trahison ? Comment en sommes-nous arrivés à être considérés comme des ennemis par ceux qui nous gouvernent, non pas pour soutenir le bien commun, mais plutôt pour alimenter une machine infernale de mort et d’esclavage ?

La réponse est désormais claire : dans le monde entier, au nom d’une conception pervertie de la liberté, nous avons progressivement effacé Dieu de la société et des lois.

Nous avons nié l’existence d’un principe éternel et transcendant, valable pour tous les hommes de tous les temps, auquel les lois des États doivent se conformer.

Nous avons remplacé ce principe absolu par l’arbitraire des individus, par le principe selon lequel chacun est son propre législateur.

Au nom de cette liberté insensée – qui est licence et libertinage – nous avons permis de violer la loi de Dieu et la loi de la nature, en légitimant le meurtre des enfants dans le sein maternel, jusqu’au moment même de la naissance ; le meurtre des malades et des vieillards dans les services hospitaliers ; la destruction de la famille naturelle et du Mariage ; nous avons reconnu des droits au vice et au péché, en faisant passer les déviations des individus avant le bien de la société.

En bref, nous avons subverti tout l’ordre moral qui constitue la base indispensable des lois et de la vie sociale d’un peuple.

Déjà au quatrième siècle avant J.-C., Platon écrivait ces choses dans sa dernière œuvre, les Lois, et identifiait la cause de la crise politique athénienne précisément dans la rupture de l’ordre divin – le cosmos – entre ces principes éternels et les lois humaines.

Ces principes moraux naturels du monde gréco-romain ont trouvé leur accomplissement dans le christianisme, qui a construit la civilisation occidentale en leur donnant un élan surnaturel.

Le christianisme est la plus forte défense contre l’injustice, la plus forte garnison contre l’oppression des puissants sur les faibles, des violents sur les pacifiques et des méchants sur les bons, car la morale chrétienne rend chacun de nous responsable de ses actes devant Dieu et son prochain, en tant que citoyen et en tant que dirigeant.

Le Fils de Dieu, dont nous célébrerons la naissance dans quelques jours, s’est incarné dans le temps et dans l’histoire afin de guérir une ancienne blessure et de restaurer par la Grâce l’ordre brisé par la désobéissance.

Sa royauté sociale a été le principe générateur de l’ordo Christianus qui, depuis deux siècles, est farouchement combattu par la franc-maçonnerie : parce que la Révolution qu’elle promeut est le chaos, le désordre, la rébellion infernale contre l’ordre divin pour imposer la tyrannie de Satan.

Maintenant, en voyant ce qui se passe autour de nous, nous comprenons combien étaient mensongères les promesses de progrès et de liberté faites par ceux qui ont détruit la société chrétienne, et combien était trompeuse la perspective d’une nouvelle Tour de Babel, construite non seulement sans égard pour Dieu mais même en opposition directe avec Lui.

Le défi infernal de l’Ennemi se répète à travers les siècles sans changement, mais il est voué à un échec inexorable.

Derrière cette conspiration millénaire, l’adversaire est toujours le même, et la seule chose qui change, ce sont les individus particuliers qui coopèrent avec lui.

Chers frères et sœurs américains ! Chers patriotes, nous vivons un moment crucial pour l’avenir des États-Unis d’Amérique et de l’humanité entière.

Mais l’urgence pandémique, la farce du réchauffement climatique et de l’économie verte, et la crise économique délibérément induite par la Grande Reset avec la complicité de l’État profond, tout cela n’est que la conséquence d’un problème beaucoup plus grave, et il est essentiel de le comprendre en profondeur si nous voulons le vaincre.

Ce problème est essentiellement moral ; en fait, il est religieux.

Nous devons remettre Dieu à la première place non seulement dans notre vie personnelle, mais aussi dans la vie de notre société.

Il faut rendre à Notre Seigneur Jésus-Christ la couronne que la Révolution lui a arrachée, et pour cela il faut une véritable et profonde conversion des individus et de la société.

Car il est absolument impossible d’espérer la fin de cette tyrannie mondiale si nous continuons à écarter du Royaume du Christ les nations qui lui appartiennent et doivent lui appartenir.

C’est pourquoi le mouvement pour l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade acquiert également une signification très importante, car le respect du caractère sacré de la vie à naître doit être sanctionné par le droit positif pour être le miroir de la Loi éternelle.

Vous êtes animé d’un désir de justice, et c’est un désir légitime et bon.

« Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice », dit le Seigneur (Mt 5, 6).

Mais cette Justice doit être fondée sur la conscience qu’il s’agit d’une bataille spirituelle dans laquelle il faut prendre parti sans équivoque et sans compromis, en retenant des références transcendantes et éternelles que même les philosophes païens ont entrevues et qui ont trouvé leur accomplissement dans la Révélation du Fils de Dieu, le Divin Maître.

Mon appel à une Alliance anti-mondialiste – que je renouvelle aujourd’hui – vise précisément à constituer un mouvement de renaissance morale et spirituelle qui inspire l’action civile, sociale et politique de ceux qui ne veulent pas être asservis comme des esclaves au Nouvel Ordre Mondial.

Un mouvement qui, au niveau national et local, sera capable de trouver un moyen de s’opposer au Great Reset et qui coordonne la dénonciation du coup d’État en cours.

Parce que dans la conscience de qui est notre adversaire et quels sont ses objectifs et ses buts, nous pouvons perturber l’action criminelle qu’il entend poursuivre et le forcer à reculer.

En cela, l’opposition à la farce de la pandémie et à l’obligation vaccinale doit être déterminée et courageuse de la part de chacun d’entre vous.

La vôtre doit donc être une œuvre de vérité, mettant en lumière les mensonges et les tromperies du Nouvel Ordre Mondial et leur matrice anti-humaine et antichristique.

Et en cela, ce sont principalement les laïcs et toutes les personnes de bonne volonté – chacun dans le rôle professionnel et civil qu’il occupe – qui doivent se coordonner et s’organiser ensemble pour opposer une résistance ferme mais pacifique, afin de ne pas légitimer sa répression violente par ceux qui détiennent aujourd’hui le pouvoir.

Soyez fiers de votre identité de patriotes américains et de la Foi qui doit animer votre vie.

Ne permettez à personne de vous faire sentir inférieurs simplement parce que vous aimez votre patrie, parce que vous êtes honnêtes au travail, parce que vous voulez protéger votre famille et élever vos enfants avec des valeurs saines, parce que vous respectez les personnes âgées, parce que vous protégez la vie de la conception à sa fin naturelle.

Ne vous laissez pas intimider ou séduire par ceux qui propagent un monde dystopique dans lequel un pouvoir sans visage vous impose le mépris de la Loi de Dieu, présente le péché et le vice comme licites et désirables, méprise la droiture et la Morale, détruit la famille naturelle et promeut les pires perversions, planifie la mort de créatures sans défense et faibles, et exploite l’humanité pour son propre profit ou pour préserver le pouvoir.

Soyez les dignes héritiers du grand Archevêque Fulton Sheen, et ne suivez pas ceux de vos Pasteurs qui ont trahi le mandat qu’ils ont reçu de Notre Seigneur, qui vous imposent des ordres iniques ou qui restent silencieux devant l’évidence d’un crime inouï contre Dieu et l’humanité.

Que ce Saint Noël illumine vos esprits et enflamme vos cœurs devant l’Enfant Roi qui repose dans la crèche.

Et de même que les chœurs des Anges et l’hommage des Mages s’unissaient à la simple adoration des Bergers, de même aujourd’hui votre engagement pour la renaissance morale des Etats-Unis d’Amérique – une Nation sous Dieu – aura la bénédiction de Notre Seigneur et rassemblera autour de vous ceux qui vous gouvernent. Amen.

Que Dieu vous bénisse, et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique.

Carlo Maria Viganò, archevêque

Source




Une étude révèle que les non-vaccinés sont mieux informés que les vaccinés

[Source : Aube Digitale]

La politologue allemande Ulrike Guérot a démontré comment les opposants à la vaccination sont mieux informés, citant une étude du MAT, qui a analysé très attentivement les tweets des soi-disant agents anti-vaccination.

En Allemagne, quelque 70 % de la population est vaccinée, 30 % ne l’est pas, et sur ces 70 %, environ 40 % ne se sont pas fait vacciner parce qu’ils ont cru à la propagande, mais parce qu’ils y ont été contraints pour pouvoir travailler et se déplacer librement. Et ceux qui ne sont pas vaccinés sont non seulement mieux informés mais ne seront jamais convaincus de se faire vacciner, a montré l’étude du MAT.

Mme Guérot, politologue à l’université de Bonn, estime que la vaccination obligatoire est introduite en Allemagne et en Autriche par la porte dérobée des règles 2G – permettant uniquement à ceux qui sont vaccinés et guéris de prendre part à la société.

« La pandémie a absolument divisé la société, un processus de tri est en cours : Vous n’invitez chez vous, pour des spaghettis et du vin, que les personnes qui sont sur la même longueur d’onde en ce qui concerne le corona. En fait, je n’ai plus d’amis de la politique Zéro Covid, mais je m’entoure de nombreuses personnes qui, comme moi, critiquent les mesures. »

[Voir aussi : L’épée, le bon grain et l’ivraie
et Pays les plus restrictifs en matière de mesures prétendument sanitaires]

« Surtout en public, nous n’avons plus du tout de discussions factuelles. Le dénigrement des penseurs latéraux, des personnes qui devraient en fait être les bienvenues dans une démocratie, a fait que personne n’ose s’exprimer en tant que critique de la politique du corona. Il en est résulté un plafond d’opinion complètement fermé : Les mesures sont bonnes – et quiconque s’y oppose est un « corona-négationniste » et, de surcroît, de droite. C’est une évolution très dangereuse », explique Mme Guérot, professeure de politique européenne et codirecteur du Centre Ernst Robert Curtius à la Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität de Bonn.

Et un manifeste dont elle est coauteure et qui vise à mettre fin à la discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées est disponible sur coronaaussoehnung.org.

« Depuis le début de la pandémie, les objectifs ont été déplacés de plus en plus. Au début, il s’agissait de protéger les groupes à risque, maintenant on crée des instruments de contrôle pour exclure les personnes non vaccinées de la vie publique. Qui garantit que cela s’arrêtera lorsque le danger aura été écarté ? »

« Lorsque des politiciens me demandent de me faire vacciner et donc de porter un passeport numérique de vaccination dans les espaces publics, j’aimerais que ces politiciens clarifient au préalable les questions suivantes, sur lesquelles je mets personnellement en jeu ma volonté de me faire vacciner et de devenir titulaire d’un passeport sanitaire : Quels sont les critères pour mettre fin à l’urgence épidémique ? Mais surtout : la règle « 2-G » sera-t-elle terminée lorsque le corona sera fini ou sous contrôle, qu’aucune surcharge des hôpitaux ne pourra être signalée, qu’aucune surmortalité liée au corona ne pourra être enregistrée ? »

« Ou bien le passeport numérique sera-t-il conservé ? Une prochaine phase est-elle prévue ? Va-t-il bientôt collecter d’autres données qui limiteront ma participation à la société ? Devra-t-il à l’avenir documenter également d’autres vaccinations, ou a-t-on le droit d’aller au cinéma avec la grippe mais pas avec le corona ? Va-t-il bientôt indiquer si j’ai une température légèrement élevée, de l’herpès, un pied d’athlète… ? »

Traduction de Free West Media par Aube Digitale




Philippe de Villiers dénonce l’apartheid vaccinal, alors que son ami Zemmour est favorable à la vaccination

[Source : RL]

« Mon message est sans ambiguïté : j’invite toutes ces personnes âgées et fragiles qui ne le seraient pas déjà à se faire vacciner, y compris avec une troisième dose, afin qu’elles réduisent les chances de faire des formes graves de la maladie et d’engorger notre système hospitalier. »

Éric Zemmour

Dans une tribune publiée  dans L’Opinion Éric Zemmour a clarifié sa position quant à la politique « sanitaire » de Macron.  

Vacciné lui même, il croit aux vertus de ces technologies pour bétail,  qui ne marchent même pas après la troisième dose…  et qui ont de redoutables effets secondaires, sans parler de qui pourra advenir dans le futur… Il ne dénonce pas la mafia Big Pharma, ses dérives gravissimes et ses sbires… pas davantage la société atrocement liberticide ainsi instaurée et les outils numériques en place et à venir, tel l’ignoble portefeuille digital et la société totalitaire que nous prépare l’UE…  Déjà lors de son voyage en Alsace, il avait évoqué les « nouveaux traitements », sans parler de ceux existant…

Il a le mérite d’être enfin très clair et de permettre à ceux qui sont révoltés par ces mesures ignobles de ne pas voter pour lui malgré ses nombreuses qualités.

Plus courageux ou plus lucide, invité d’Europe1, Philippe de Villiers a évoqué la vaccination, comparant le passe sanitaire à l’apartheid :

« Je dis : liberté vaccinale. Je pense qu’il y a des publics très anciens ou avec des comorbidités qui ont intérêt à utiliser le vaccin. Mais la liberté vaccinale doit être première. Je suis hostile à la vaccination des enfants et je suis hostile au pass sanitaire parce que le pass sanitaire, c’est de l’apartheid. Il y a deux catégories de citoyens. » « Quand vous désignez dans une société un bouc-émissaire, ça s’appelle comment? On explique que c’est à cause des non-vaccinés qu’on se trouve dans cette situation. C’est scandaleux, c’est un mensonge ».

« Quand vous choisissez de gouverner par la peur, dans l’histoire ça a toujours été comme ça, quand vous faites peur à un peuple, il obéit. Il ne pense plus, il ne pense plus qu’à sa santé. Mettre cette peur au-dessus de tout permet de le tenir au calme. C’est une aubaine pour Macron, en pleine campagne présidentielle, ça permet de ne plus faire de meetings, ça ne permet plus aux candidats d’aller sur le terrain. Ça change la donne, mais ça va se retourner contre lui ».

Philippe de Villiers nous avait avisé de tout.

Le passe dit sanitaire n’est qu’une étape d’une feuille de route écrite depuis des années. Il s’agit d’un plan mortifère d’asservissement mondial des peuples au  profit d’une élite mondialisée, dont les politiques français et les GAFAM se réjouissent.

Décideurs et scientifiques savaient depuis longtemps qu’un jour ou l’autre, sur une planète sans frontières de cinq milliards d’individus, adviendrait une pandémie.

Le 12 septembre 2019, à l’initiative de la Commission de Bruxelles et des chefs d’État européens, lors d’un sommet avec l’OMS se décida un passeport vaccinal obligatoire.

Le 19 décembre, Le Monde publiait un article expliquant que le Kenya et le Malawi étaient des zones tests pour un carnet de vaccination injecté sous la peau, encapsulé dans des nanoparticules.

Le 18 octobre 2019, à New York, Big Data, Big Finance, Big Pharma ont procédé à un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus dans des ports brésiliens, engendrant 45 millions de décès.

Le  2 juin 2020, le président du Forum de Davos, celui qui avait adoubé Macron en 2016, Klauss  Schwab, publiait Covid-19 La grande réinitialisation du monde, ouvrage dans lequel il considérait que cette épidémie était une chance, représentant une fenêtre d’opportunités…

À l’été 2020, Elon Musk, le milliardaire américain à l’origine de Tesla et de Space X, a vanté les avancées d’un projet sur les implants cérébraux, piloté par sa Start up Neuralink, innovation expérimentée sur des cochons.

Le 19 décembre suivant, Ouest France expliquait que le Chili allait modifier sa Constitution afin d’empêcher que les cerveaux de ses concitoyens puissent être hackés ou manipulés. Le gouvernement s’opposait vivement aux implants cérébraux,  permettant aux géants du numérique et aux politiques de lire dans les ondes cérébrales, pour mieux installer leur surveillance marchande.

Toutes ces informations sont sourcées dans l’ouvrage de Philippe de Villiers, Le jour d’après.

Depuis le printemps dernier et la sortie de ce livre, il a multiplié les alertes , appelant à la « résistance », persuadé que la France a basculé « dans un régime totalitaire »,  et contre les « trois grands remplacements » qui mettraient la France « en danger de mort » :

« Un remplacement de la population par une autre population, (…) un remplacement de notre civilisation par une autre civilisation (…) et un grand remplacement de nos repères de vie, d’une société millénaire par une autre société hygiéniste, eugéniste, transhumaniste ».

L’on ne peut que déplorer que le valeureux Philippe de Villiers ne soit pas candidat tant nous aurions besoin d’un homme tel que lui pour sauver et protéger les Français.

Mitrophane Crapoussin




Foire aux questions avec Philippe Argillier

[Source : RDH]

Partie 1

https://www.youtube.com/watch?v=zhLMlgui_po

Partie 2

https://www.youtube.com/watch?v=KsgQ6oCx-Qs

Partie 3

https://youtu.be/RsXTyja3E7s

[Voir aussi : Philippe Argillier répond]




François Boulo atomise la droite et la gauche, ou comment reconnaître les candidats politiques imposteurs

[Source : PRAXIS – par François Boulo]




La République en marche… vers la Mondialisation

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La République en marche… vers la Mondialisation en deux preuves flagrantes, mais peu connues, avec d’autres documents qui vont vous le faire comprendre

Intervention commune de Macron et de Klaus Schwab lors du Forum Économique Mondial (Forum de Davos janvier 2021)

Klaus Schwab est l’ingénieur qui a fondé le Forum Économique Mondial (Forum de Davos), spécialiste de transhumanisme, à l’origine du Great Reset (La Grande Réinialisation).(([1] https://nouveau-monde.ca/le-great-reset-nest-pas-du-complotisme/)) Son père Eugen Schwab fut à la tête d’une entreprise qui participa à l’effort de guerre nazi. Nous ne savons pas s’il fut contraint et forcé. Par contre ce qui est sûr, c’est que Klaus Schwab a vraiment un parcours professionnel et des activités pour le moins particulières, qui dénotent une fascination pour le contrôle, comme le montre les passages qui le concerne dans cette rare biographie familiale.(([2] https://nouveau-monde.ca/les-valeurs-familiales-de-schwab/))

Peu de temps auparavant, Macron avait prononcé le discours d’ouverture du Sommet Finance en Commun, une initiative de la finance et des instances internationales qui se servent du prétexte de la crise sanitaire pour se refaire une virginité, mais surtout pour chapeauter toutes les décisions futures et court-circuiter les citoyens, comme les états. 12 NOVEMBRE 2020. (([3] https://nouveau-monde.ca/le-choc-en-retour-ii/))

Mesdames et messieurs,

Je suis très heureux de participer aujourd’hui, même par ce truchement d’une visioconférence, à la première réunion jamais organisée réunissant toutes les banques publiques de développement du monde et tous leurs partenaires.

Parce que nous avons tous compris qu’il nous faut changer en profondeur et reconstruire, c’est une initiative forte et utile. J’en félicite les organisateurs et tous les partenaires du Sommet Finance en commun. En particulier la Fédération mondiale des institutions financières de développement (WFDFI). Les banques multilatérales partenaires. Et l’International Development Finance Club (IDFC) que préside l’Agence Française de Développement, à l’origine de ce Sommet.

Nous venons, avec plusieurs autres chefs d’État, avec le Secrétaire Général des Nations Unies, la Directrice Générale du Fonds Monétaire Internationale, la Présidente de la Commission européenne, de débattre et de dégager les principes d’une action internationale renouvelée et renforcée pour dépasser cette crise, et changer ce qui doit l’être dans nos façons de produire, de consommer et de coopérer, pour que les liens sociaux et l’environnement soient préservés, protégés, reconstruits.

Dans la continuité de cet échange sur les principes qui doivent refonder le multilatéralisme, nous avons tenu à participer au Sommet Finance en Commun, pour passer à l’action en mobilisant le plus fortement possible nos banques publiques.

Ce sommet est une preuve. Une preuve que notre transformation est possible. En vous réunissant aujourd’hui, en faisant émerger une coalition inédite par son ampleur, sa diversité et son rôle de plateforme entre tous les acteurs financiers, vous venez nous rappeler qu’il est possible de construire des réponses communes, cohérentes, concertées, aux grands défis globaux. Votre présence à tous l’atteste : un consensus profond existe sur l’urgence de combattre le dérèglement climatique et sur la nécessité de construire un monde plus juste, équitable et durable. Mais aussi sur la nécessaire complémentarité de ces agendas. Nous ne pouvons plus parler désormais de trajectoires de développement sans prendre en compte les impacts du changement climatique. Nous ne pouvons plus agir pour le climat sans prendre en compte les inégalités sociales. 

Il y a quelques jours, les États-Unis sont sortis officiellement de l’accord de Paris sur le climat. Le résultat des élections ouvre la voie à un retour au premier jour. Nous l’avons souhaité, dès les premières heures vous le savez, nous nous sommes battus pour cela, et c’est la preuve qu’il fallait tenir bon face à tous les vents mauvais. Je me souviens des One Planet Summit, du G7 de Biarritz, du sommet Action Climat de New York en septembre 2019, et de tant d’autres réunions internationales organisées depuis trois ans pour sauver notre capacité d’action collective. Nous y sommes parvenus.

Il y a quelques semaines la Chine a confirmé sa disposition à avancer conformément aux engagements pris. L’Union européenne prendra dans les jours et semaines à venir des décisions structurantes pour elle-même. Le 12 décembre, jour du cinquième anniversaire de l’accord de Paris, sera le temps de la clarification. Des engagements tenus et à venir.

Soyons collectivement au rendez-vous. Maintenant. Plus que jamais. Make our planet great again est une possibilité. Pas seulement dans les mots. Dans la réalité.

Ici, il ne s’agit plus de rechercher un accord international — nous l’avons trouvé il y a cinq ans déjà avec l’accord de Paris sur le climat, celui de New York sur les Objectifs de Développement Durable et à Addis Abeba sur le financement du développement. Non, il s’agit de passer à l’acte, de passer à l’échelle et d’entraîner avec nous tous les acteurs de bonne volonté.

Je suis donc heureux de voir qu’aujourd’hui, à ce moment très précis de notre vie internationale, vous venez vers nous avec la volonté de « financer en commun » nos politiques et notre transformation. Avec la capacité d’agir à tous les niveaux, multilatéral, international, régional, national et local, puisqu’il existe des banques publiques de développement dans chacun des pays du monde. Avec la volonté de répondre en même temps, dans chacun des projets que vous financez, aux enjeux environnementaux et sociaux. Et avec l’ambition de démultiplier les 2 300 milliards de dollars que vous investissez déjà chaque année, en agissant comme des plateformes dans chacun des pays, comme le G20 l’a appelé de ses vœux.

Ce que vous êtes en train de créer, c’est une nouvelle infrastructure financière publique globale, qui n’avait jamais été conçue à cette échelle et dont nous avons tellement besoin, aux côtés des budgets des gouvernements et des outils des banques centrales. Une nouvelle infrastructure capable de relancer l’investissement public, de façon contra-cyclique pendant les crises, et d’accélérer la mobilisation de la finance privée au service de l’Accord de Paris et des ODD. Une architecture capable de mobiliser l’épargne partout où elle se trouve dans le monde et de l’orienter plus efficacement là où sont les opportunités d’investissement les plus prometteuses, au Sud, en particulier. Une architecture capable de stimuler les investissements de développement durable.

Je vous invite à faire entendre votre voix plus fortement, distinctement dans les débats internationaux. Une voix concrète, constructive, entrant en dialogue avec celles, tout aussi essentielles, des collectivités locales, des financiers privés, des entreprises, de la société civile, des philanthropes.

J’y suis particulièrement sensible, car les banques publiques de développement ont joué un rôle majeur dans l’histoire économique de la France. Et elles sont aujourd’hui aux avant-postes face à la crise de la COVID19 et pour la transformation que j’ai engagée depuis plus de trois ans.

C’est en France qu’est née en 1816 la plus ancienne banque publique de développement du monde, devenue le groupe Caisse des Dépôts et Consignations. Et dans la crise que nous traversons, ce groupe s’est immédiatement mis au service de la relance et consacre une part importante de ses fonds propres, à hauteur de 26 Mds € pour que la reprise économique soit la plus rapide, la plus responsable, la plus durable possible, dans de nombreux domaines comme le logement ou le soutien aux entreprises et à l’économie, le renforcement de la cohésion sociale et bien sûr de la transition écologique et énergétique. Avec la Banque des Territoires et Bpifrance, ce sont plus de 40 Mds d’euros consacrés à la lutte contre le changement climatique d’ici à 2024, en changeant d’échelle sur de nombreux sujets qui permettront de réduire nos émissions de CO2. Il n’y a donc aucune fatalité, et ce groupe aide un écosystème d’innovation en matière de développement durable pour qu’il se structure, et pour avancer aussi en matière de prêts et de fonds propres.

C’est au service de la France et de l’Afrique qu’est née également, à Londres en 1941 fondée par le Général de Gaulle pour être la Caisse de la France libre, la plus ancienne banque publique internationale du monde : le groupe Agence Française de Développement. Au service du climat, de la biodiversité et des ODD, en Afrique, dans le monde émergent et dans nos outremers, ce groupe œuvre pour un monde en commun, et atteint 14 Md€ de financement annuel en 2019. L’AFD ira plus loin dans l’appui aux politiques publiques de nos partenaires avec l’entrée d’Expertise France dans le groupe AFD. Je remercie aussi l’AFD d’aider à faire de Paris une capitale des solutions pour le développement durable, avec toutes les institutions internationales qui y résident, et avec notre Place financière, à la pointe du combat pour la finance verte et durable.

Je veux enfin souligner le rôle important des banques publiques de développement dans la nouvelle étape de la construction de l’Union Européenne. Je sais que la BEI, la BERD, la Banque de développement du Conseil de l’Europe et les banques publiques de différents États d’Europe ont participé très activement à vos travaux. Elles sont engagées avec force pour soutenir le Green New Deal européen et dans la coopération internationale, en particulier avec l’Afrique. Avec nos partenaires européens, nous allons transformer, renforcer la BEI pour en faire une véritable « Banque européenne du climat », renforcer la force de frappe des banques européennes de développement en structurant un système d’action plus lisible, plus articulé, plus coordonné. 

Vous l’avez compris, nos banques publiques proposent aujourd’hui, de contribuer à engager une nouvelle étape du développement de nos sociétés. Faite de respect, de coopération internationale, d’engagement de chacun de nos États, le local, le national, le régional, du productif au social. Nos banques nous proposent au fond de relier, de réconcilier, comme jamais, les échelles d’espace, de temps, et la cohérence d’une action pour aider au développement durable. En insistant sur notre devoir de solidarité et le souci des plus pauvres, dans le monde comme dans chacune de nos sociétés.

Alors je souhaite vraiment longue vie au mouvement « finance en commun », que vous lancez tous aujourd’hui. J’accueille très positivement la force de vos engagements collectifs et ferai en sorte que vos travaux soient reconnus et encouragés au plan international, à l’occasion des grands sommets de 2021 sur la biodiversité, le climat, le financement des économies africaines, l’égalité femme-homme et sur la sécurité alimentaire. Je souhaite en tout cas que vos travaux puissent nous éclairer au G7, au G20, et puissent surtout changer concrètement la vie de toutes celles et ceux à qui elles se destinent. Changer la vie de chacun, permettre de la rendre meilleure, c’est notre objectif à tous.

Je vous remercie

Compléments, les médias au service du Nouvel Ordre Mondial, omissions, désinformations et censures

Manipulations à tous les étages, comment faire peur à la population pour vendre des vaccins à tour de bras : l’exemple de la gestion en Belgique de l’épidémie H1N1 en 2009

Marc van Ranst (actuellement membre du Comité scientifique coronavirus qui donne des avis aux autorités de la santé en Belgique) a fait une conférence en janvier 2019 devant des membres du Royal Institute of International Affairs — plus souvent appelé Chatham House qui est l’un des think tanks (groupe de réflexion) les plus influents au monde — pour expliquer comment il a géré en 2009 l’épidémie H1N1. Il raconte comment à l’époque, après avoir été nommé responsable de cette opération, il a pu convaincre les belges à se faire vacciner pour favoriser les intérêts du lobby pharmaceutique. Tous les médias belges cherchant des infos sur l’épidémie passaient par son intermédiaire. Un quasi copié-collé de l’arnaque, vaccins covid-19. La vidéo de cette conférence, où l’on entend, de plus, l’assistance composée de gens de la haute glousser de plaisir au récit de cette manipulation, est tellement dérangeante pour les covidistes, qu’elle a été censurée il y a quelques mois.

Si cela n’était pas extrêmement grave, ce serait risible.

https://nice-provence.info/2021/12/17/mandarins-dans-petrin/

https://www.fawkes-news.com/2021/12/bfm-fait-une-entrevue-lhopital-dun.html

Palombi serait donc un antivax? Ce n’est pourtant pas ce qui ressortait de cet article de BFM en juillet dernier ou il incitait les gens à aller se faire vacciner.

Palombi était candidat La République en marche en Lozère aux élections Législatives

Pour enfoncer le clou, par les comploteurs eux-mêmes, les preuves absolues d’un gigantesque complot qui cherche à contrôler les populations :

Conclusion

La quasi-totalité des médias dominants est dans les mains d’intérêts privés,(([4] Concernant la France :
https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA)) de personnes qui cherchent à vous influencer, pour parler plus directement à vous manipuler :
n’est-ce pas « la crise sanitaire » ? Aussi, dès que vous verrez les médias du système mettre en avant à l’unisson un candidat lors des prochaines élections présidentielles, vous pouvez être sûr qu’il ne faut surtout pas voter pour lui (ou pour elle). Si nous en sommes là actuellement, c’est aussi en grande partie à cause des corrompus qui sont à la tête de l’Union Européennes. Il nous faut voter pour un candidat qui veut impérativement sortir de ce nid de vipères, car les députés européens honnêtes et lucides sont actuellement très largement minoritaires. Quand nous avons fait l’Union Européenne, nous ne l’avons pas fait pour ça !!!





Canada : Justin Trudeau dit qu’ils ont une échappatoire pour enlever vos droits et qu’ils vont le faire…

[Source : qactus]



Justin Trudeau défie directement les Canadiens : 

« Indépendamment du fait que nous attaquons vos droits fondamentaux… ou que nous limitons vos droits fondamentaux, et que la Charte dit que c’est mal, nous allons quand même aller de l’avant et le faire. C’est essentiellement une échappatoire qui permet à une majorité d’outrepasser les droits fondamentaux d’une minorité… »

C’est comme dire : 

« Nous vous volons, nous savons que c’est mal et contraire à la loi, et nous allons continuer à vous voler ! »

Que feriez-vous si vos employés vous disaient cela ?

Je demande si nous sommes une minorité.

Le premier ministre du Canada admet que lui et son gouvernement « attaquent nos droits fondamentaux ». Et, en toute connaissance de cause, ils vont continuer sur cette voie sombre du mépris de notre Constitution, et de nos droits et libertés constitutionnels selon la Charte canadienne des droits et libertés.
Si ce n’est pas du mépris, je ne sais pas ce que c’est !

Qu’allez-vous faire, VOUS, Canadiens, hommes et femmes, à ce sujet ? Je sais ce que je vais faire à ce sujet. Et vous ?

Voyez le reportage ci-dessous et pourquoi il se vante autant :

« La Charte canadienne des droits n’est pas une loi et elle a été établie par Pierre Elliott Trudeau [Le père de « Juste un Trou d’eau » comme il est surnommé par certains Québécois]. La seule que nous, le peuple, devrions invoquer est la Déclaration des droits. C’est celle qu’ils ne veulent pas que vous connaissiez. »

Le sale secret de la Charte

[Cette vidéo mentionne qu’au Canada les lois doivent être agréées par la Reine (d’Angleterre) pour être valables. Or, la Charte canadienne des droits et libertés n’a jamais reçu son agrément, contrairement à la Déclarations des droits montrée plus bas.]

La Charte cache-t-elle des détails importants ? Devrions-nous même utiliser la Charte ? Ou serait-il préférable d’utiliser la Déclaration des droits ? laws-lois.justice.gc.ca

[Voir aussi : Pays les plus restrictifs en matière de mesures prétendument sanitaires]




L’insanité cynique de la Secte au pouvoir se précise

Par Lucien SA Oulahbib

La monstruosité n’a pas de limites, par définition, avec comme exemple ce qui se passe aujourd’hui en matière de santé. En l’occurrence, ce dernier « mutant » aux effets si infimes, si epsilonesques [minuscules] qu’il nécessite une propagande hors pair pour en amplifier les dégâts supposés tout en rejetant son émergence sur les non injectés. On jete alors des millions, voire des milliards de personnes dans l’angoisse effroyable de la morbidité permanente, anxiogène, productrice d’effets secondaires encore plus redoutables, puisqu’ils font baisser par le stress l’efficience du système immunitaire naturel. Ces effets dramatiques (perte de sommeil, crises d’angoisse, boulimies, catalepsies progressives inédites — immobilité accrue avec injections de séries télévisées à répétition pour compenser une vie sociale atone) s’ajoutent à ceux, cachés, de ces injections expérimentales (toujours sous AMM conditionnelle) qui nécessitent plusieurs doses par an, ce qui est également inédit, du jamais vu dans l’histoire vaccinale, surtout pour un virus si peu létal.

Au fond, ces injections (loin d’ailleurs de protéger à la différence des vaccins classiques) complexifient les données de santé au sens de s’ajouter négativement à tous ces autres traitements palliatifs qui tentent vainement de contrer toutes ces maladies chroniques produites par un mode de vie urbain si critique que certains spécialistes parlent plutôt désormais de syndémie. Ce terme est bien plus exact que cettedite « pandémie » que d’aucuns stipulent sans aucune preuve qu’elle serait essentiellement transmise (la virulence pas la contagion) par les « asymptomatiques » et les « enfants », d’où la [prétendue] nécessité d’injecter et de museler tout le monde ce qui est faux du moins si l’on ne confond pas « cas » et « malades » comme l’indiquent d’innombrables études désormais.

Mais comme l’indique Laurent Toubiana, il y a bien plus grave, car « nous sommes sortis de la rationalité », ce qui veut dire semble-t-il que nous sommes désormais en dehors d’elle, entremêlant alors l’irrationalité magique (croyance en des gris-gris comme les muselières, la ségrégation, distanciation, injections d’élixirs douteux) et anti-rationalité (mise à l’index des savants disant le contraire et des médicaments susceptibles de soigner efficacement, insultes et ségrégation pour les récalcitrants).

Cette sortie « hors de la rationalité », dans ces deux dimensions ci-dessus, amène nécessairement vers la bouffée délirante de la transe psychotique qui structure brusquement les comportements des foules prises dans des injonctions paradoxales (certaines cocasses : fermer les boîtes de nuit et non les boîtes échangistes, forçant les premières à se métamorphoser en direction des secondes ?).

La tension monte donc. Une sensation de se faire berner imprègne l’atmosphère, ce qui fait que ces foules surchauffées par des médias aux ordres peuvent à terme se ruer sur les boucs-émissaires en l’occurrence non plus les « antivax », mais les « nonvax » tout court, les insultant de plus en plus fort par des seconds couteaux qui profitent de l’aubaine pour se faire mousser, les menaçant même (« notre patience a des limites » tonne une Caroline Fourest que l’on ne connaissait pas infectiologue), les internant dans certains pays, inscrivant sur leurs vitrines comme en Allemagne (à nouveau) des menaces, et faisant même appel juridiquement à l’encontre de blâmes jugés pas assez punitifs envers des médecins qui ont osé soigner de façon traditionnelle (avec des résultats pourtant très probants comme l’a indiqué, malgré les dénis vindicatifs, le doctothon).

Tout ceci donna, en d’autres temps, l’amplification de la ségrégation légale pour ainsi « purifier ». Ceci implique, peu à peu, de passer des violences indirectes actuelles (mises à l’index, dénonciations verbales, perte d’emplois, impossibilité de voyager se restaurer d’avoir des loisirs faire du sport en salle) à des violences de plus en plus directes comme furent justifiés les pogroms et génocides d’autrefois qui ont souvent commencé tout aussi « doucement ». Ainsi, même la « nuit de cristal » aura mis cinq ans à arriver : 1938.

Comparaison n’est pas raison, certes, mais tout de même, la montée d’un cran vers la ségrégation globale pour une maladie de moins en moins létale résulte bien d’une montée aux extrêmes aux conséquences non encore calculables, sauf sur un point peut-être : une telle mise sous tension ne peut pas être d’origine médicale (la létalité étant epsilon comparée aux autres maladies infectieuses telles les insuffisances respiratoires aiguës), mais bel et bien politique. Elle vise à mettre au pas peu à peu la population mondiale en lui imposant la substitution de son système immunitaire naturel par un système immunitaire artificiel à obsolescence programmée.

Ce qui fait que nous voyons émerger la constitution mondialisée d’une Secte globale hygiéniste et affairiste qui au nom de la Science impose d’un côté des traitements divers à vie (la syndémie) et, de l’autre, des « transitions » énergétiques à vie, elles aussi sachant pourtant sur ce dernier point que le passage du thermique au tout électrique « saccage » bien plus la planète qu’une énergie fossile issue de la nature et dont les effets négatifs sont de plus en plus contrôlés.

À cela s’ajoute la mise à l’index de la peau blanche, la fin de la différence entre les sexes (ainsi l’OPA des dits « trans » sur le concours Miss France), la réduction du terme de « nation » — transcendant, pourtant racines ethniques et culturelles vers un être ensemble permettant une meilleure circulation des compétences — à un obstacle majeur envers cette métamorphose inédite de l’individu en terminal cybernétique de plus en hybride…

C’est la victoire idéologique du nazisme au sens heideggérien de construction d’une « race métaphysique » transcendant ontologiquement le léninisme et le fascisme avec comme hantise commune le libéralisme ; car ce dernier est philosophiquement antinomique au formatage uniforme nécessaire pour les ambitions étatistes d’expansionnisme impérialiste. Mais le maoïsme a montré qu’en isolant dans le libéralisme la protéine SC (pour Système Capitaliste), il était possible de mieux organiser les flux d’offres et demandes et par là assurer la vie luxuriante de la Secte (cette nouvelle « race métaphysique ») jusqu’à désormais inclure l’intériorité des corps et des esprits et non plus seulement leur « force » physique et intellectuelle.

C’est le passage de la mécanique des fluides vers la pneumatique dynamique ondulatoire : celle qui considère les individus en autant de systèmes de particules ou synthèses culturelles multiformes qu’il est possible de diffracter, matricer en points cibles divers afin par exemple ici de remplacer telle « pièce » (une immunité) jugée défectueuse par une injection, ou ailleurs par une série télévisée plus « dégenrée », plus « colorée », le tout porté par les photocopies et affiches (leaders d’opinion appelés aujourd’hui « influenceurs ») à la mode…

Quel est l’intérêt d’une telle qualification ?  Indiquer que nous avons à faire à une Secte imbue d’elle-même, sûre de sa supériorité, méprisant ceux qui la critiquent en les cataloguant avec des termes infâmes, refusant enfin toute rationalité désormais au profit de la pure logique ami/ennemi qui caractérise la cristallisation sectaire.

Or, celle-ci en passant de « l’espace infini au monde clos » (à l’inverse de ce qui s’était passé naguère) nous amène vers une période inédite que d’aucuns nomment génocidaire (nécessitant un Tribunal ad hoc) d’autres, totalitaire. J’estime pour ma part qu’il s’agit d’un processus sectaire cooptant ses membres sur des bases puristes articulant les prémisses de l’un et l’autre mouvement, mais nous ne pouvons encore à ce stade l’affirmer tel quel, même si les germes de 38 étaient là dès 25 et 33, ou ceux des grands massacres communistes (URSS, Chine maoïste, Cambodge de Pol Pot) étaient en germe dès 1917, d’autant que les pleins effets secondaires des injonctions et injections actuelles bien que montant crescendo (explosion des maladies chroniques, des suicides, de la prise d’opiacés légaux et illégaux, des bouffées délirantes) n’atteindront leur acmé que dans deux à trois ans au niveau sanitaire et un peu plus au niveau politique global. La destruction des nations et des individus prend bien plus de temps que prévu, d’où la nécessité de corréler à l’alarmisme sanitaire le catastrophisme climatique. Le premier confond (intentionnellement) cas et malades, le second météo et climat avec la même intention de nuire et ce de façon méticuleuse. Ceci est bien la caractéristique du tueur en série qui est aussi un pédocriminel en distanciel (piquer les enfants) tout en se prétendant artiste façon Néron : mettre le feu (à l’économie la société) et jouir de voir des millions de particules se ruer vers l’injection forgeant ainsi en temps réels toutes ces courbes exponentielles progressant dynamiquement sur les écrans qui font office de support à l’instar des cadres en bois d’autrefois.

Le hic pour cette Secte est que jamais dans l’Histoire ses aînées n’ont pu tenir bien longtemps, à l’exception sans doute de sa tendance soviétique (72 ans) et le fait que la maoïste, elle, grâce à son injection de la protéine SC tient encore et même mène la danse en compagnie de diverses cinquièmes colonnes. Mais le pot aux roses se dévoile, et à moins de surprises toujours possibles, cette Secte ira rejoindre les autres dans le fameux « puits sans fond de l’Histoire ».

*

PS : Le dernier numéro de la revue Dogma : https://dogma.lu/wp-content/uploads/2021/12/Edition-17._Dogma.pdf




Jacques Julliard et l’Algérie : L’aveuglement devant l’histoire

Par Abdellali Merdaci*

[Illustration : Jacques Julliard.]

Depuis les années 1960 et le désaveu cinglant du pouvoir en Algérie par Simone de Beauvoir, c’était après le renversement d’Ahmed Ben Bella par le colonel Boumediene, plusieurs intellectuels français, qui ont soutenu l’insurrection anticoloniale, sont revenus dans des autocritiques, parfois pathétiques, sur leur engagement en faveur d’une Algérie libérée de l’aliénation coloniale française. C’était, ces dernières semaines, celle de Jacques Julliard, écrivain, professeur d’Université et éditorialiste du magazine parisien « Marianne », de Natacha Polony et du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, qui n’a absolument aucune parenté avec celui de Jean-François Kahn — même s’il a conservé les mêmes habillages et personnels.

Jacques Julliard s’émeut-il de voir son pays rejeté partout dans le monde, principalement par ses alliés, notamment américains, qui lui tondent la laine sur le dos dans un contrat militaire faramineux avec l’Australie. Et, aussi, l’Allemagne qui « fait bande à part ». L’éditorialiste peut même piquer un fard : « La France entretient à l’heure actuelle des relations détestables avec d’autres pays, au premier chef l’Algérie, mais aussi la Turquie, le Mali, l’Afghanistan »(([1] Jaques Julliard, « La France seule », « Marianne » (Paris), 12 au 18 novembre 2021.)). Il s’en prend, spécialement, à l’Algérie après le conflit mémoriel provoqué par le président Macron(([2] Réunissant au palais de l’Élysée des jeunes Français d’origine algérienne, le 15 octobre 2021, le président Macron a exprimé son profond scepticisme sur l’existence d’une nation algérienne avant la conquête française. Propos de précampagne électorale qui ont été à l’origine d’une brouille entre les deux pays. L’Algérie a rappelé son ambassadeur à Paris et interdit son espace aérien aux avions militaires français.)) et reproche à son pays de faire des « génuflexions » devant le pouvoir algérien, qu’il traite en ces termes : « Dans le cas de l’Algérie, la naïveté et la maladresse d’Emmanuel Macron, dépourvu de toute expérience en la matière, y sont pour beaucoup. Comment imaginer un gentleman’s agreement avec un gouvernement corrompu, incompétent, qui ne se maintient que par la force militaire, comme l’ont démontré les révoltes populaires du Hirak. »(([3] « La France seule », art. cité.)). Et, le coup de grâce, cette tardive contrition :

« Je suis de ceux qui ont combattu de toutes leurs forces le colonialisme français et la sale guerre d’Algérie quand il le fallait, mais nos prosternations répétées, non suivies d’effets, devant des potentats aussi cyniques, aussi méprisables, ne sont pas un acte de justice, mais une absurde humiliation volontaire. »(([4] Id.))

La France et la carte de l’islamisme

Il n’est jamais tard pour battre sa coulpe pour de bonnes raisons. Mais Jacques Julliard en a-t-il sur l’Algérie indépendante ? Il reste dans le sillage d’un de ses maîtres d’antan, le socialiste François Mitterrand, président de la France, de 1981 à 1995, qui a appuyé dans les années 1990 la terrible guerre islamiste contre l’État algérien, son pouvoir et son peuple. C’est ce président, connu pour son infamie pendant la guerre d’Algérie (« L’Algérie, c’est la France »), qui a ouvert le territoire de la France, son droit d’asile et ses centres d’accueil aux islamistes. À Paris, sous la protection de la France, Mourad Dhina, membre de l’instance de commandement du FIS à l’étranger et porte-parole des groupes islamistes, égrenait quotidiennement devant la presse internationale la litanie des morts infligées au peuple algérien. En ces années 1990, chaque jour d’Algérie correspondait à dix « Bataclan », car, partout dans le monde, les victimes innocentes de la barbarie islamiste méritent le même respect et la même foi, particulièrement en Algérie et en France. Des civils, hommes et femmes de toutes conditions, ont été tués et des nourrissons jetés dans des fours à chaux par les groupes islamistes armés. Et, à l’ombre des mihrabs, des tribunaux islamistes collationnaient des listes d’Algériens dont le sang était licité. En France, le pouvoir politique qui était scrupuleusement informé de la réalité du terrain et de ses victimes civiles, les élites et les médias ont fait le choix de l’islamisme contre le peuple algérien — convient-il de le rappeler ? Nos morts leur étaient indifférents.

Parmi ceux qui criaient le plus fort, Jacques Julliard et une presse française sans honneur. Ils ont monté contre l’Armée nationale populaire (ANP), l’ultime recours de l’Algérie et des Algériens contre les tueries islamistes et l’anéantissement de leur pays, l’accusation odieuse du « Qui-tue-qui ? ». Dans cette guerre, la France a joué la carte de l’islamisme pour châtier un gouvernement républicain, de surcroît indépendant des partis. Cette crapulerie politique, à l’enseigne du socialisme, restera.

Les Français n’ont jamais surmonté le traumatisme de la guerre et de l’indépendance de l’Algérie et, surtout, le morne ressentiment envers ses pouvoirs issus du FLN, qui a conduit le combat pour la libération du pays. Relativement à l’Algérie, en près de soixante années d’indépendance, la France, dans toutes ses nuances politiques, persiste dans la même et immuable hypocrisie. Ses responsables politiques, dans les gouvernements et dans les partis, maintiennent coûte que coûte le contact avec les gouvernants algériens pour préserver les intérêts économiques et commerciaux de leur pays, mais ses élites peuvent leur « taper » dessus à l’envi. Une distribution de rôles scélérate.

Dans ce sordide arrangement, Julliard tient sa partition. Mais, sur le fond, qu’en sait-il de l’histoire présente de l’Algérie ? Est-il un indiscutable spécialiste de ce pays, comme il l’est du champ politique français ? Il reprend, certes, l’image dysphorique de l’Algérie et de ses régimes politiques, largement répandue dans les médias et dans l’intelligentsia de son pays. Mais la France est-elle le comptable ad vitam aeternam du destin de son ancienne colonie ?

En 2021, comme sous le règne de François Mitterrand, rien n’aura donc changé pour la France concernant l’Algérie : un soutien sans limites à toute opposition déclarée. Dans tous les domaines. Ainsi, dans le champ culturel, lorsque l’Académie française attribue contre ses propres principes, en 2015, son grand Prix du roman à un fatras islamophobe de Boualem Sansal, écrit d’une plume de tâcheron, très vite entré dans l’oubli(([5] Abdellali Merdaci, « L’indigne compromission de l’Académie française », Afrique-Asie.fr, 30 octobre 2015.)). Mais le sinistre individu, porte-parole du sionisme international, dépiautait l’Algérie sur tous les plateaux de radios et de télés de France. Cette manière de casser l’Algérie et les Algériens reste l’ordinaire des médias français. Une passion triste.

Jacques Julliard peut se réclamer du hirak et de ses « révoltes populaires », qu’il ne connaît pas. Simplement, parce que ce hirak est contre le gouvernement d’Alger : l’ennemi de mon ennemi… Vieille ritournelle. Faisons de la pédagogie pour ce professeur d’histoire politique sans discernement. Aux mois de février et de mars 2019, des manifestations de rue, vite dénommées « hirak » sur le modèle de celles qui ont enflammé le Rif marocain, ont précipité la chute du président Abdelaziz Bouteflika, démissionnaire le 2 avril 2019, et de son clan corrompu, régnant sans partage sur le pays pendant vingt ans (1999-2019). Mais, il est difficile, aujourd’hui, pour un historien de reconnaître et de décrire les raisons de la chute d’un pouvoir d’airain, soutenu par plusieurs puissances mondiales, entre autres la France et les États-Unis.

Au-delà des marches, aux attentes souvent débridées, quels ont été les acteurs de la confrontation, ouverte dès l’installation d’un pouvoir intérimaire chargé, selon les dispositions constitutionnelles, d’officialiser l’élection présidentielle, confiée à un organisme indépendant ? Si la Russie et la Chine se sont cantonnées dans une position d’observateurs neutres, les États-Unis d’Amérique avaient déjà leurs pions dans la partie feutrée qui s’annonçait. C’est un de leurs conférenciers, coutumier des arcanes de la NED (National Endownent for Democracy), ordonnatrice de la « démocratisation » du Grand Moyen Orient, le Français Lahouari Addi, qui imposera, en l’absence de toute délibération des marcheurs, une feuille de route du hirak : une présidence collégiale de l’Algérie, dévolue aux avocats Mustapha Bouchachi, Zoubida Assoul, présidente de l’UCP, un parti agréé, et de l’activiste Karim Tabbou, agents de l’agit-prop formés et financés par la NED(([6] Voir sur cet aspect, l’ouvrage d’Ahmed Bensaada, « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak ? », Alger, APIC Éditions, 2020.)). Cette présidence collégiale devait coopter une Assemblée constituante et nommer un gouvernement. Il s’agissait, alors, de refuser toute voie démocratique et de privilégier le coup de force. Le pouvoir chancelant d’Alger n’avait d’autre ressource que de remettre les clés de la Mouradia, siège de la présidence de la République, au triumvir désigné par les Américains. Cette solution était fermement soutenue par les bobos algérois, clients de la France et de ses « services » à Alger.

Dans quelle mesure, cet objectif de rupture radicale engagé par des acteurs politiques structurés dans une opposition clairement fomentée par « la main de l’étranger » pouvait-il recueillir l’adhésion des marcheurs, notamment dans les villes et villages de l’intérieur, traditionnellement attachés au pouvoir central ? De fait, leurs slogans en appelaient à l’ANP, incontournable gardien de la sécurité du territoire et, surtout, de la cohésion nationale. Le « khawa-khawa », nettement doctrinal, confortant le lien entre le peuple et son armée, entonné par des centaines de milliers de marcheurs, de Tlemcen à Souk-Ahras, d’Alger à Tamanrasset, marquait un tournant dans le hirak algérien. Le haut commandement de l’ANP, mettant au premier plan le général Ahmed Gaïd Salah, chef de l’État major, vice-ministre de la Défense, n’excédait pas les recommandations de la Constitution en vigueur, précisément un retour aux urnes. Son premier effet, le plus perceptible dans les marches du vendredi, était une notable dispersion des marcheurs. Les familles algériennes qui leur ont imprimé leurs couleurs d’espoir ont choisi leur camp. Il est vrai, aussi, que les Algériens ne marcheront jamais contre leur armée, avec laquelle ils ont partagé dans l’effroyable adversité islamiste des années 1990 les épreuves et la solidarité. Le hirak originel du 22 février 2019, dévoyé, perdait la légitimité populaire.

Les amis algériens de Jacques Julliard

Le 12 décembre 2019, l’élection dans une compétition régulière et légale de M. Abdelmadjid Tebboune, sixième président de la République algérienne démocratique et populaire depuis l’indépendance, en 1962, devait marquer la fin du hirak. Mais dans un néo-hirak, qui va tirer ses cartouches à la veille de l’élection présidentielle, qu’il appelle à boycotter, un nouveau groupe s’impose, celui des islamistes emmenés par Rachad, succédant au FIS-dissous avec les mêmes cadres et les mêmes desperados harnachés de tenues afghanes et d’épées, recevant ses ordres de sa direction domiciliée à Londres et Genève, où l’ancien porte-parole des groupes islamistes armés, Mourad Dhina, reprend du service. Ce néo-hirak, qui prétendait rassembler plus de « trente millions d’Algériens », a refusé les élections présidentielles de juillet 2019, annulées faute de candidats, et de décembre 2019. Lorsqu’on dispose de « trente millions » de marcheurs en âge de voter, on peut contrôler de bout en bout une élection et faire approuver son programme politique par un plébiscite populaire. La « démocratie » du néo-hirak reste celle du gourdin des nervis islamistes, qui recherchent le passage en force : faire tomber le régime — « un cadavre à la renverse », exultaient les bobos d’Alger — sans passer par les urnes. Et, c’est encore le deal aujourd’hui.

Les marcheurs égaillés du néo-hirak où se distinguaient déjà les islamistes de Rachad, en chefs de file, les agents de la NED et leurs partisans, les bobos dîneurs à l’ambassade de France, les communistes du MDS et les trotskystes du PST, partis agréés, font la jonction avec le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK), une ligue séparatiste, soutenue par la France, Israël et le Maroc, qui prône la lutte armée pour la dislocation du territoire algérien et la fin de l’État républicain. Plus que jamais, le néo-hirak, c’est la partition de l’Algérie : une part pour une funambulesque oumma de l’Islam sous la férule du calife Erdogan, l’autre, la Kabylie, en protectorat franco-israélien. La France et ses médias applaudissent. Cependant, M. Tebboune et son gouvernement ne devaient-ils pas faire face à ce mouvement insurrectionnel ? Avec fermeté. Mais, aucun marcheur n’a été ni tué ni estropié, comme en Colombie, au Myanmar et en France. Certes, relevait-on, ici et là, quelques arrestations dans la stricte application de lois civiles.

La stratégie rouée de Rachad et du MAK met face au pouvoir les forces supplétives des agents américains, des bobos d’Alger et des gauchistes du MDS et du PST. A-t-on jamais entendu parler d’un islamiste de Rachad arrêté et déféré dans la justice ? Ou d’un activiste du MAK ? Dans le pays, durement frappé par la pandémie du coronavirus, où les manifestations de rue sont réglementées, ce sont les néo-hirakistes des grandes cités qui occupent la scène judiciaire dans une rébellion urbaine aux provocations calculées. Des exemples typiques ? Khaled Drareni, correspondant (sans carte) de TV5-Monde, de l’ONG française « Reporters sans frontières » (RSF), fondateur du site d’informations en ligne « Casbah Tribune », chouchou des médias français, a été accusé d’« attroupement non armé » et d’« atteinte à l’unité nationale », condamné à une peine de prison, puis gracié par le président de la République. Après chaque marche, il aurait été débriefé par les « services » français, dans les locaux de l’ambassade de France à Alger. C’est du boulot ! À Oran, un trotskyste réputé de l’Université, membre de la Ligue algérienne de Défense des Droits de l’Homme (LADDH), agitateur doué, a été arrêté et jugé une demi-douzaine de fois. Un journaliste, à Annaba, élisait domicile dans les prétoires. Et, des dizaines d’activistes sortis du néant. Pendant que les bobos et les « gauchos » harcelaient les forces de police, Rachad ramassait de l’argent dans l’arrière-pays et le MAK des armes de guerre.

Ces trublions citadins se sont comptés, ces derniers jours, à l’occasion du soixante-treizième anniversaire de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de l’ONU et de la Journée mondiale des Droits de l’Homme, le 10 décembre 2021. Ils étaient exactement, d’après un recensement de la presse, cent cinquante signataires d’une pétition contre l’État algérien adressé aux Nations unies. Il y a même parmi eux de nombreux Français d’origine algérienne, singulièrement une élue du Parti socialiste, qui n’ont aucun lien avec l’Algérie, qui n’est plus leur pays. Que peut un gouvernement contre ces francs-tireurs des beaux quartiers de la capitale et des leurs commanditaires, visibles ou masqués ?

Derrière les « révoltes populaires » qu’évoque Jacques Julliard, dont l’écho s’est depuis bien longtemps dissipé, il ne reste qu’un mouvement terroriste soutenu par les bobos d’Alger, bien-nés, et leur presse, qui savent faire du bruit à Alger et à Paris. Ces factotums de l’islamisme et du séparatisme kabyle peuvent faire feu de tout bois pour hâter la chute du régime. Ainsi cette veillée d’armes d’opposants au pouvoir d’Alger, vers la mi-octobre 2021, dans l’amphithéâtre de l’Assemblée nationale française, sous la direction de Mme Marie-George Buffet, député du Parti communiste français. Comme au temps de Charles X et de l’expédition contre Alger(([7] Voir Georges Fleury, « Comment l’Algérie devint française », Paris, Perrin, 2008.)), Mme Buffet a promis à ses convives de lever les chars français, et derrière eux ceux de l’OTAN, contre le pouvoir d’Alger(([8] Ahmed Bensaada, « Algérie : les tribulations tartarinesques de Marie-George Buffet » (https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=586:2021-11-17-21-55-07&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119).)). Des bobos d’Alger se voient déjà entrant dans la capitale algérienne sur les chars de l’Occident, qui ont détruit la Libye, pour offrir le pouvoir aux islamistes de Rachad et aux séparatistes du MAK. Il se répète, à Alger, qu’ils ne sont dans le néo-hirak que pour chauffer les tambours de l’islamisme de Rachad. Un de leurs maîtres à penser, un professeur de sociologie de l’Université d’Alger, n’a-t-il pas délivré à l’islamisme de Rachad l’onction démocratique dans les colonnes d’un quotidien francophone d’Alger ?

Passons, donc. Ce qui est détestable dans la prose de Jacques Julliard, c’est cette arrogance affichée envers les Algériens et leur gouvernement : « un gouvernement corrompu, incompétent, qui ne se maintient que par la force militaire », « des potentats aussi cyniques, aussi méprisables ». Une exécution nocturne en rase campagne. Une morgue foncièrement néo-colonialiste. Un racisme scrofuleux. Une haine suintante. Jacques Julliard se dresse devant l’Algérie avec son casque colonial, ses guêtres et sa cravache. Comme dans les cruelles années 1990, la France de Jacques Julliard soutient ouvertement les ennemis de l’Algérie sans s’embarrasser de ses contradictions. Contre l’islamisme, à Paris, tueur, en 2015, à « Charlie Hebdo », à l’« Hyper Casher », sur les terrasses des restaurants et des brasseries et au « Bataclan », en 2016, à Nice, qui continue à décapiter des Français ; avec l’islamisme à Alger et ses 200 000 victimes de la « décennie noire ».

Lectures à courte vue

Ce n’est pas la seule fois, ces dernières semaines, où Jacques Julliard s’est exprimé véhémentement sur le pouvoir d’Alger, colligeant un corpus malveillant, emprunté à la terminologie de son opposition islamiste et séparatiste kabyle, nourrie, logée et blanchie par le pouvoir de Paris. Que reproche-t-il aux hauts responsables de l’État algérien ? Que l’on en juge : « […] les raisons du caractère détestable des relations franco-algériennes actuelles sont plus profondes : la vérité est que le gouvernement militaro-autoritaire qui règne sur l’Algérie, par son absence de représentativité, est incapable d’entraîner son pays et ses habitants dans un processus sincère de réconciliation avec l’ancienne puissance coloniale »(([9] Jacques Julliard, « De la repentance », « Marianne », 15 au 21 octobre 2021.)). Reprenons donc les griefs de l’éditorialiste parisien :

Un « gouvernement militaro-autoritaire ». Sur quelles données formellement établies, Jacques Julliard fonde-t-il un gouvernement militaire de l’Algérie ? L’Armée nationale populaire, éloignée de la politique politicienne, est une institution républicaine dont les missions ne déparent pas de celles des armées des grandes démocraties mondiales. Cette vaillante armée du peuple, il serait difficile de lui coller une carte de parti, quel qu’il soit, autre que celle de l’Algérie. Le chef de cette armée, comme dans toute démocratie, est un civil, en l’espèce M. Abdelmadjid Tebboune, président de la République, ministre de la Défense et chef suprême des forces armées.

Jacques Julliard a décidé de mettre un militaire derrière chaque Algérien et derrière chaque élu algérien, quelles qu’en soient l’appartenance politique et la charte idéologique. Mais la France, toute proche, de l’Appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle et de l’État de Vichy du maréchal Pétain, n’était-elle pas foncièrement dans une compétition de chefs militaires ? Ne convient-il pas de rappeler à l’insulteur des Algériens et de leur gouvernement que le fondateur de la Ve République française, le général Charles de Gaulle, ne manquait pas de proclamer sa filiation militaire et de revêtir solennellement l’habit en plusieurs circonstances de la vie politique de son pays ? Et, récemment, ce sont des militaires qui ont censuré l’action politique du président Macron dans une sévère pétition publiée par le magazine « Valeurs actuelles ». Dans la France de ce début de XXIe siècle, c’est aussi un militaire, le général de Villiers, qui est pressenti par les Français pour sortir leur pays du déclin. Rien de tel en Algérie, les militaires ne font pas de politique.

Une « absence de représentativité ». En termes de représentativité réelle, en dehors des alliances du second tour propres au système électoral français, un président de la République française, rassemble au mieux un quart des électeurs au premier tour. C’était le cas en 2017 pour M. Macron, et, aussi, dans les prévisions actuelles du président-candidat en 2022. En 2019, M. Tebboune, élu au premier tour, réunissait les deux tiers des électeurs participant au vote. Quant à la désaffection des électeurs, elle est du même niveau en Algérie et en France.

En quoi l’éditorialiste infatué de « Marianne » peut-il donner des leçons à l’Algérie ? La France est-elle plus démocratique et l’Algérie le serait moins ? Toutes les instances représentatives du pays sont élues, ainsi le président de la République, les députés, une partie des membres du Conseil de la Nation (équivalent du Sénat en France), les conseillers de wilaya (département), les conseillers municipaux et les maires.

Une « sincère réconciliation ». Il faut en parler. Et, revenir nécessairement à l’éclairage de déchirantes pages d’histoire coloniale française en Algérie. La France entre en Algérie, en 1830, sans y être invitée, procède à une longue et sanglante guerre de conquête (1830-1870), parsemée de génocides, comme dans les enfumades du Dahra dirigées, en 1845, par le lieutenant-colonel Pélissier(([10] Le 19 juin 1845, plus de 700 Algériens ont été asphyxiés dans les grottes du Dahra par les troupes du colonel Pélissier. Ce meurtre collectif a été salué à la Chambre des députés (Cf. François Maspero, « L’Honneur de Saint-Arnaud », Paris, Plon, 1993).)). Pour maintenir la colonisation, elle procède distinctement à des massacres à Sétif, Guelma et Kherrata, en 1945, et tue des centaines de milliers d’Algériens dans une féroce guerre coloniale (1954-1962). La France a déstructuré le pays, son économie, son système de formation, déplacé des centaines de tribus dépossédées de leurs terres. La colonisation française n’a jamais été heureuse pour l’Algérie et les Algériens. Elle a été un facteur de retard et d’effondrement. C’est le jeune Kateb Yacine qui pariait, en 1948, que l’Algérie sans la France aurait eu le potentiel socio-économique de l’Égypte (11). Ce passif douloureux devrait-il s’effacer par un trait de plume ?

Quelle réconciliation est aujourd’hui envisageable entre Algériens et Français sur un passé qui divise toujours ? Faudrait-il encore que les Algériens mettent genou à terre devant leur ancien oppresseur pour un « processus sincère de réconciliation » en subissant, chaque jour, les imputations de « rente mémorielle » — des candidats Macron et Zemmour, unis dans leurs fariboles néocoloniales ? Les querelles mémorielles de ces derniers mois entre Paris et Alger ne montrent-elles pas qu’une telle projection reste hâtive ? Ce n’est pas seulement, comme le pense Julliard, une question de gouvernants. Les Français encensent l’exemplaire réconciliation franco-allemande. Or l’Algérie et l’Allemagne face à la France ne sont pas dans la semblable complexité historique. La rivalité de nations européennes chevronnées qu’entretenaient Français et Allemands ne s’inscrivait pas dans une trame coloniale — même si de part et d’autre des territoires étaient convoités. Il est encore tôt, trop tôt pour les Algériens, pour éveiller et rendre possible une réconciliation avec la France selon le protocole franco-allemand.

Au-delà d’une indécidable « réconciliation sincère » attendue par la France, ce qui dérange désormais les Français, c’est un changement imprévu : l’Algérie possède un président de la République à l’écoute de son peuple, plus que de Paris comme cela était, à juste titre, rattaché à son prédécesseur. L’Algérie n’a pas rencontré ce profil de chef d’État, soucieux de la personnalité et de la dignité de son pays, depuis Houari Boumediene (1965-1978) et Liamine Zeroual (1996-1999) et c’est un très bon signe pour une nation qui affirme son autonomie régionale et internationale. M. Tebboune, parlant au nom des Algériens, a insisté sur le fait qu’Alger ne reprendra ses relations avec Paris, que d’égal à égal, dans un strict respect. Il a aussi insisté sur le fait que l’Algérie, offensée par les propos inconsidérés du président Macron sur son histoire, ne fera jamais le « premier pas ». Le message est sans fioriture et il semble qu’il a été entendu à Paris. Julliard s’inquiète-t-il des « génuflexions » et des « prosternations » des autorités françaises ? C’est ce que vient de faire, ces jours-ci à Alger après la bourrasque mémorielle, Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères ? L’éditorialiste de « Marianne » ne se doute-t-il pas que les Algériens auraient pu attendre du haut-représentant de la France plus que des regrets ? L’aman, sûrement, ce vieux rite punitif de la France coloniale en Algérie.

Dans les chromos de l’Algérie française, ce qui demeure d’une culture coloniale indigente, figurent des images sépia de populations indigènes, le front et les genoux dans le sol boueux, suppliant l’aman à un officier français au-devant de ses mousquetons et de ses canons. Il ne suffisait pas à la France coloniale inhumaine de pourchasser et de tuer les Algériens sans armes, il lui fallait aussi humilier leurs survivants dans cette cérémonie victorieuse de l’aman, le pardon. À Alger, M. Le Drian, autrefois grand mamamouchi socialiste, rapetassé dans une livrée macroniste, n’a pas été soumis à l’aman, il a même été reçu en audience par M. Tebboune, qui a été, en la grave circonstance, singulièrement aimable, qui n’a pas exhumé des reliques de l’histoire commune algéro-française ce sacré éventail du dey Hussein. Dans ce bref contentieux mémoriel avec la France, qui devra bien s’épuiser, rien n’est perdu : l’Algérie a gagné un président patriote et déterminé, qui a rendu aux Algériens leur fierté et leur grandeur de peuple libre dans un État souverain. Contre Jacques Julliard et ses lectures à courte vue, l’Histoire des Algériens en témoignera.


* Linguiste, écrivain, critique et historien de la littérature.

Notes




Le peuple syrien pris en otage par un embargo criminel. Lettre ouverte aux hommes de bonne volonté

Par Claude Janvier

Au cours d’un voyage d’études, les signataires de ce texte ont pu constater les conséquences désastreuses de l’embargo imposé à la République Arabe Syrienne par les États-Unis et l’Union européenne.

Pour avoir visité les villes principales de Syrie, nous pouvons témoigner que l’embargo a pour effet de poursuivre la guerre sur le plan économique. C’est pourquoi nous appelons à la levée immédiate de la loi « César » qui n’a d’autre but que d’asphyxier financièrement le gouvernement syrien. Ceci afin d’empêcher toute reconstruction en détruisant la société civile syrienne dans le but d’imposer un changement de régime. L’inefficacité de ces sanctions, destinées à séparer le président du peuple qui l’aime, est assurée !

La Syrie, pourtant détentrice d’importantes ressources pétrolières, voit celles-ci confisquées par les forces américaines occupant les zones de production. Il en résulte une pénurie énergétique permanente, qui se traduit par des fournitures d’électricité intermittentes. La vie quotidienne des Syriens en est gravement perturbée.

Si officiellement, ces sanctions américaines et européennes ne concernent pas les aides humanitaires, leurs conséquences sont néanmoins dramatiques, car aucune banque ou entreprise n’ose exporter des équipements pour les hôpitaux ou des médicaments vers la Syrie par crainte de sanctions des États-Unis. Ceux-ci pratiquent en effet l’extraterritorialité juridique qui pénalise lourdement toutes relations avec les états sous embargo. Enfin, cette situation comporte aussi le risque — connu et calculé par les promoteurs de l’embargo — de créer à terme des troubles civils plus ou moins graves.

Le démantèlement de la Syrie, qui n’a pu être obtenu par les moyens militaires et les actions terroristes, pourrait l’être ainsi en réactivant des antagonismes communautaires qui ressurgiraient à l’occasion de pénuries économiques graves.

Aujourd’hui, l’État syrien est parvenu au miracle de réaliser l’unité nationale autour d’un idéal de vie commun sous couvert d’une stricte laïcité.

Cette réussite exceptionnelle, politique et sociétale, doit être préservée. En premier lieu par la levée en urgence d’un blocus légalement injustifié et moralement condamnable.

Notre diagnostic a été établi par la visite des villes suivantes :

  • Damas, la ville du jasmin. Peu d’éclairage public fonctionnel. Les lumières existantes sont produites par les commerçants, grâce à des groupes électrogènes. Les banlieues nord et sud ont été totalement détruites, après d’âpres combats entre l’armée arabe syrienne loyale, épaulée par la Russie et l’Iran, qui a légitimement défendu l’intégrité du territoire de la Syrie, contre des terroristes d’al-Qaïda, de Daesh, des djihadistes proches des frères musulmans et des rebelles de l’armée syrienne libre soutenus par la coalition extérieure internationale, déterminés à provoquer un changement de régime. De nombreux réfugiés couchent dans des tentes au milieu des décombres.
  • Alep, ville martyre, détruite à 70 %. Les souks séculaires du 14e siècle entièrement rasés ainsi que la grande mosquée. Pourquoi dynamiter des bâtiments historiques ? Les terroristes obéissent à une seule devise : faire table rase de la Syrie actuelle, tout à la fois société laïque moderne et mémoire des civilisations, afin d’imposer un islam radical.
  • Lattaquié, grande ville portuaire qui commence à se remettre de l’agression des rebelles et des terroristes. L’électricité est aussi intermittente.
  • Soueïda, grande ville du sud syrien. Électricité défaillante et de facto pas de chauffage. Il faut préciser que les États-Unis ont créé dans la région de la localité syrienne d’al-Tanf (frontalière avec la province de Soueïda), une base sur l’axe stratégique Bagdad — Damas pour soutenir les rebelles de l’armée syrienne libre (ASL) composée de terroristes islamistes.
  • Daraa. Dernière étape de notre visite. Comme Alep, c’est une ville martyre. Un accord récent — moins de deux mois — pour déposer les armes a été négocié entre le gouvernement syrien légitime — avec l’aide des Russes — et les chefs des groupes rebelles.

80 % des Syriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les prix des produits alimentaires ont grimpé de 133 %. Ce qui se passe sur le sol syrien est un crime contre l’humanité. Mais, malgré le fait que le gouvernement est obligé de donner des cartes de rationnement pour les produits de base afin de lutter contre la spéculation et malgré le fait d’une grande quantité d’immeubles dont la construction est paralysée depuis des années, les échoppes revivent. Des légumes, des fruits et des produits de première nécessité se vendent à tous les coins de rue. La ténacité, le courage et le patriotisme du peuple syrien forcent le respect.

Un fait récent permet de vérifier que cet embargo constitue en soi un acte de guerre déguisé. En effet, sous couvert d’aide humanitaire, des semences de blé contaminantes ont été livrées fin novembre 2021 au peuple syrien. Les effets auraient été dévastateurs : pourriture des épis et baisse de la germination de plus de 80 % par stérilisation des sols.(([1] https://parstoday.com/fr/news/world-i104350-syrie_l%27adm_am%C3%A9ricaine_frappe_!))

Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s’arrêter sans délai. La France, patrie des droits de l’homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes.

Nous demandons solennellement l’arrêt immédiat de l’embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles et les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser immédiatement et impérativement.

Nous remercions M. Adnan Azzam, écrivain syrien, humaniste et homme de cœur, pour avoir parfaitement organisé ce périple. Nous remercions chaleureusement M. Mahdi Dakhlalah, membre du commandement central du parti Baas pour son aide précieuse et nous remercions vivement M. Mohammed al Hourani, président de l’Association des Écrivains Arabes Syriens et ses membres de nous avoir invités.

Signataires de la délégation française :

  • Jean-Michel Vernochet. Journaliste et écrivain.
  • Emmanuel Leroy. Politologue et président de l’Institut 1717
  • Pierre-Emmanuel Thomann. Géopolitologue, président d’Eurocontinent
  • Maria Poumier. Universitaire émérite et Maître de Conférences Paris VIII.
  • Yves Béraud. Général (2S) en retraite de l’armée de terre.
  • Claude Janvier. Écrivain et essayiste.

Contact : clojea@gmail.com

Notes :




Mehdi Belhaj Kacem : « Un nouveau totalitarisme est en train de se mettre en place »

[Source : FranceSoir]

Philosophe autodidacte et reconnu, comme en témoignent ses publications dans les plus grandes maisons d’édition (Gallimard, Grasset, Fayard…), Mehdi Belhaj Kacem est venu nous accorder un « Entretien essentiel ».

[Voir aussi : Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne]



L’écrivain avait fait du bruit le mois dernier, en publiant un long texte de réponse à un édito pro-vaccin rédigé par le maire de sa commune. 

Au-delà de cette controverse, dont FranceSoir s’est fait le relais, ce libre penseur nous fait part de ses réflexions sur « le nouveau totalitarisme » en place, visant « sciemment à rendre les gens fous » et qui promeut le transhumanisme.

Pour autant, même s’il considère que nous vivons « la période la plus sombre de notre histoire », Mehdi Belhaj Kacem se dit optimiste, « car à long terme, ils ne peuvent pas gagner ».

Auteur(s): FranceSoir




Castex, Véran et Blanquer visés par une nouvelle plainte à la Cour de justice de la République

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Nous avions rapporté à la mi-novembre la plainte des associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) contre X, notamment les médias grand public et leurs directeurs de publication. L’objet : un traitement médiatique partial qui se traduit par une diffusion en continu d’une information déloyale et biaisée, conduisant à l’exercice d’une pression psychologique visant à soumettre le public à un essai clinique de thérapie génique, qui présente des risques pour la santé.

Une nouvelle fois, BonSens s’associe à l’AIMSIB dans le cadre d’une plainte contre Jean Castex, Premier ministre, Olivier Véran, ministre de la Santé, et Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, pour des faits d’abus de faiblesse et d’ignorance, d’extorsion de consentement et de tentative d’extorsion de consentement, d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, d’escroquerie et de tentative d’escroquerie en bande organisée, de tromperie aggravée et de tentative de tromperie aggravée en bande organisée, de génocide.

En premier lieu, les associations estiment que nous vivons actuellement, non pas une crise sanitaire, mais une crise mondiale financière sur fond d’idéologie mondialiste et néomalthusienne. Une crise dont les membres du gouvernement se sont saisis pour inciter la population à se faire injecter des produits pharmaceutiques expérimentaux appelés à tort « vaccins » au moyen de mesures coercitives sans précédent.

Il leur est reproché les publicités mensongères à propos de ces produits expérimentaux sans jamais informer les Français sur les risques encourus, sur le fait qu’il s’agisse d’un essai clinique, sur les décès survenus en France et à l’international.

À l’appui de leur dossier de plainte, de nombreux éléments sont apportés pour démontrer les liens d’intérêt financier entre les grands médias, les GAFAM, l’OMS, GAVI, différentes fondations, les intervenants de plateau, les agences de conseil sélectionnées par le gouvernement et les laboratoires pharmaceutiques commercialisant les « thérapies géniques expérimentales » (condamnés à de multiples reprises pour corruption de chefs d’État, fausse publicité, atteinte au principe du consentement libre et éclairé, blessures et homicides).

BonSens et AIMSIB concluent qu’il faut donc évoquer ici une collusion se manifestant par un ensemble d’actes depuis janvier 2020 qui démontrent une volonté d’atteinte à la vie, à l’intégrité physique et psychique d’un grand nombre de citoyens français.

Pour étayer leur argumentaire, le dossier de 135 pages comporte une avalanche de faits et de documents notamment sur les mécanismes de torture psychologique et de manipulation de masse, le recours à des tests PCR pour créer une pandémie de tests positifs et de faux malades, l’exploitation d’un taux d’incidence fixé à un niveau de cas extrêmement bas pour justifier la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, le faible taux d’hospitalisation Covid pour l’année 2020 contrastant avec le discours de peur tenu par Olivier Véran, le nombre de morts causés par le Covid augmentés artificiellement, l’interdiction de traitements efficaces mondialement connus au motif qu’il n’y aurait « aucune preuve scientifique » alors qu’il en existe une abondance, la dépendance des médias français vis-à-vis des géants financiers américains empêchant les citoyens de se former un consentement libre et éclairé, les violences, menaces, discriminations et incitations à la haine à l’endroit des personnes qui ne se soumettent pas à l’expérience scientifique en cours, ou encore le haut niveau d’effets secondaires et de décès liés à la vaccination.

Au regard de ces éléments, des premiers décès survenus au moment de la vaccination de masse, des multiples alertes d’experts mondiaux, les associations jugent que l’éthique médicale et le principe de précaution auraient dû pousser à la cessation immédiate de cette expérimentation.

Elles accusent donc les membres du gouvernement de persister dans une voie « meurtrière » et de dramatiser aujourd’hui une cinquième vague qui n’existe pas afin de contraindre les Français à courir vers une troisième injection, adolescents compris, qui, elles soulignent, s’ils sont loin d’être la cible du Covid, sont, en revanche, fortement susceptibles de développer des effets secondaires.

S’appuyant sur les définitions juridiques, elles estiment que les éléments constitutifs d’un génocide sont réunis, posant la question : « Quelle idéologie ou raison financière peut pousser un gouvernement à terroriser et sacrifier ainsi sa population ? »

Pour l’ensemble de ces raisons, BonSens et AIMSIB ont choisi de déposer une plainte auprès de la Commission des Requêtes.

Retrouvez ici l’intégralité de la plainte (PDF) [135 pages]

Auteur(s): FranceSoir




Crise des réfugiés en Biélorussie : les accusations contre Loukachenko à l’épreuve des faits réels

[Source : Kla.tv]

Depuis juillet 2021, des migrants tentent d’entrer dans l’Union européenne en passant par la Biélorussie. Cependant, le 2 septembre, le gouvernement polonais a fermé sa frontière avec la Biélorussie. Environ 2 100 réfugiés se sont retrouvés bloqués à la frontière. Les médias et les politiques occidentaux ont parlé de « crise humanitaire » et ont notamment accusé Alexandre Loukachenko, le chef d’État de la Biélorussie, d’utiliser « la migration comme arme » contre l’UE. Mais qu’en est-il de ces accusations répétées comme un moulin à prières par les médias occidentaux ? Kla.TV a soumis ces accusations à une vérification des faits. 



Les accusations véhémentes sont portées contre Alexandre Loukachenko, le chef d’Etat de la Biélorussie.

L’UE accuse Loukachenko d’utiliser « la migration comme arme ».(([1] EU-Außenminister zu Belarus: „Migration als Waffe“
https://www.tagesschau.de/ausland/europa/belarus-eu-aussenminister-105.html))

Le ministre allemand de l’Intérieur, Horst Seehofer, a accusé Loukachenko de « mener une guerre hybride ».(([2] Politische Reaktionen und Folgen
https://de.wikipedia.org/wiki/Migrationskrise_an_der_Grenze_zwischen_Belarus_und_der_Europ%C3%A4ischen_Union#Politische_Reaktionen_und_Folgen))
[Guerre hybride= mélange de tactiques régulières évidentes et irrégulières dissimulées pour déstabiliser un pays ciblé].

La radio et télévision suisse SRF a titré : « Le chantage de Loukachenko avec les migrants n’a pas fonctionné ».(([3] „Lukaschenkos Erpressung mit Migranten hat nicht funktioniert“
https://www.srf.ch/news/international/konflikt-belarus-eu-lukaschenkos-erpressung-mit-migranten-hat-nicht-funktioniert))

Le ministre allemand des Affaires étrangères Heiko Maas a qualifié Loukachenko de « chef d’un cercle étatique de passeurs » et préconise de nouvelles sanctions « contre le dictateur de la Biélorussie». (([2] Politische Reaktionen und Folgen
https://de.wikipedia.org/wiki/Migrationskrise_an_der_Grenze_zwischen_Belarus_und_der_Europ%C3%A4ischen_Union#Politische_Reaktionen_und_Folgen))

Le ministre de l’Intérieur du Brandebourg, Michael Stübgen, affirme que Loukachenko accepte à bon compte que des personnes meurent de froid et de faim sur leur route.

Mais qu’en est-il de ces accusations répétées comme un moulin à prières par les médias occidentaux, et qu’est-ce qui se cache derrière ?

Kla.TV a vérifié les faits de ces accusations.

Voyons maintenant les choses dans l’ordre. Que s’est-il passé ?

Depuis juillet 2021, des migrants tentent d’entrer dans l’Union européenne en passant par le territoire de la Biélorussie – c’est également appelé « route de la Biélorussie ». Il s’agit en majorité de réfugiés en provenance du Proche et du Moyen-Orient, comme l’Irak, la Syrie, le Yémen, le Liban ou l’Afghanistan. On estime à environ 10 000 le nombre de réfugiés qui ont tenté d’entrer dans l’UE via la Biélorussie cette année.(([4] Die mediale Desinformation über die Flüchtlingskrise an der weißrussischen Grenze
https://www.anti-spiegel.ru/2021/lukaschenko-droht-im-falle-neuer-eu-sanktionen-den-gashahn-zuzudrehen/
&
https://www.anti-spiegel.ru/2021/die-mediale-desinformation-ueber-die-fluechtlingskrise-an-der-weissrussischen-grenze/))

Le 2 septembre, le gouvernement polonais a déclaré l’état d’urgence dans la zone frontalière avec la Biélorussie. Une clôture provisoire constituée de rouleaux de fil de fer barbelé a été érigée.

• L’accès aux organisations de défense des droits de l’homme, aux journalistes et autres a été interdit.
• Environ 15 000 à 20 000 soldats polonais équipés de chars sécurisent la frontière vers la Biélorussie.
• Environ 2 100 réfugiés qui ont continué à essayer d’entrer dans l’UE sont restés bloqués à la frontière.
• Les soldats polonais ont utilisé des grenades sonores et aveuglantes ainsi que des canons à eau pour les empêcher d’entrer.(([5] Migranten an der weißrussisch-polnischen Grenze – Lage vor Ort (Wasserwerfer gegen Migranten)
https://www.youtube.com/watch?v=dNMJIv50QtY&t=14112s))

Ce sont les autorités biélorusses qui ont tout mis en œuvre pour protéger les réfugiés bloqués :

• Des tentes ont été montées.
• Du bois de chauffage a été livré.
• Des enfants et des femmes ont reçu des repas chauds.
• Des médecins ont été dépêchés sur place, etc.

Le 18 novembre, tous les réfugiés ont quitté volontairement le camp de fortune installé à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne et ont été transportés dans un centre logistique en Biélorussie en raison de la dégradation des conditions météorologiques qui mettaient leur vie en danger.(([6] Belarus: Migranten aus Nahost in Logistikzentrum untergebracht
https://snanews.de/20211119/belarus-migranten-in-logistikzentrum-4384293.html)) Ils y ont reçu des repas chauds, des vêtements chauds et des produits de première nécessité, ont pu se laver et recevoir des soins médicaux. Ainsi, l’une des accusations, selon laquelle Loukachenko aurait laissé les réfugiés « mourir de froid et de faim », est réfutée de manière avérée.

Passons maintenant aux autres accusations portées contre Loukachenko :

  1. Est-ce Loukachenko qui a incité les réfugiés à vouloir entrer dans l’UE via la Biélorussie ?

Tout d’abord, il faut noter que Loukachenko n’a absolument rien à voir avec le fait que les migrants veulent venir dans l’UE. L’Afghanistan, l’Irak, la Syrie et d’autres pays du Proche et du Moyen-Orient ont vécu des guerres menées par les États-Unis et l’OTAN, ce qui a entraîné des destructions sociales, économiques et politiques. Même le magazine d’information « Der Spiegel » n’a pas pu s’empêcher de citer Loukachenko :

« Les gens n’y auraient plus de moyens de subsistance et utiliseraient désormais différentes routes vers l’Europe pour se construire un avenir ».(([7] https://www.spiegel.de/ausland/belarus-lukaschenko-sieht-schuld-fuer-migrationskrise-bei-schleusernetzwerken-a-a91e43f3-361c-4f73-b557-bfd375d8abca))

Les migrants invoquent l’ancienne invitation de la chancelière Merkel et savent très bien que les prestations sociales accordées aux réfugiés dans les pays de l’UE sont plusieurs fois supérieures à ce qu’un bon travailleur pourrait jamais gagner dans son pays d’origine.

Il y a une raison simple pour laquelle de plus en plus de réfugiés tentent d’entrer dans l’UE via la Biélorussie. Les voyageurs de nombreux pays d’origine n’ont pas besoin de visa pour la Biélorussie. Ils peuvent également demander un visa touristique qui serait ensuite remis par un consulat biélorusse dans le cadre de procédures et de délais internationaux.(([8] Lukaschenko: „Sie haben ein Loch bei uns entdeckt.“
https://www.anti-spiegel.ru/2021/die-fluechtlinge-zeigen-was-die-eu-und-all-ihre-werte-wert-sind/))
Cela ne date pas de cette année. Maintenant, les organisations internationales de passeurs – les mêmes qui opèrent sur d’autres routes- ont commencé à exploiter la brèche via la Biélorussie.

La Biélorussie s’en tient strictement aux bases juridiques internationales.Selon ses propres indications, elle a renvoyé dans leur pays d’origine environ 5 000 réfugiés entrés illégalement, et ce,de juin 2021 jusqu’à novembre 2021.(([9] Lukaschenko erzählt über sein Telefonat mit Merkel im Detail
https://www.youtube.com/watch?v=Zab9bEsZfFQ&t=618s)) Cela n’aurait sans doute pas été sensé si Loukachenko avait été le « chef d’un cercle de passeurs étatiques ».

  1. Est-ce que Loukachenko a utilisé les réfugiés comme « arme » pour déstabiliser l’UE ?

Il est facile de répondre à cette question si on regarde le nombre de réfugiés qui entrent dans l’UE par d’autres biais.

Lorsqu’en 2015, environ 1,5 million de réfugiés ont afflué dans l’UE, on disait qu’ils étaient un enrichissement. L’Allemagne à elle seule a accueilli 131 000 réfugiés de janvier à septembre 2021 sans que les médias et les politiques ne parlent de déstabilisation. Par conséquent, comment 10 000 réfugiés pourraient-ils soudainement devenir une « arme » et déstabiliser l’UE, simplement parce qu’ils sont passés par la Biélorussie ? (([5] Migranten an der weißrussisch-polnischen Grenze – Lage vor Ort (Wasserwerfer gegen Migranten)
https://www.youtube.com/watch?v=dNMJIv50QtY&t=14112s))

  1. Sur l’accusation de « guerre hybride »

En tant que voix dissidente, écoutez Loukachenko lui-mêmes’exprimer à propos de l’accusation de « guerre hybride » :

« Les Polonais, c’est-à-dire les dirigeants de l’Etat, exercent une pression sur l’Union européenne en annonçant que nous menons ici une attaque hybride contre l’UE. Nous savons que tout cela est absurde et nous l’avons dit maintes fois.Vous avez invité les prétendus migrants chez vous, alors accueillez-les. Vous les avez appelés chez vous, vous avez ruiné ces pays. Vous êtes responsables du fait que les gens fuient la guerre dans ces pays pour venir en Occident et vous devez vous en préoccuper. Et j’ai maintes fois précisé qu’il s’agit d’une bande internationale qui de là-bas envoie les gens et pas seulement par le biais de la Biélorussie. Écoutez, il y a beaucoup plus de gens qui entrent dans l’Union européenne par la Méditerranée. Ils viennent en masse, et tout cela est arrangé par des personnes qui organisent et rassemblent ces gens dans leurs pays. Ils financent même en partie ces personnes et les font ensuite monter dans l’avion pour venir ici et profitent de l’exemption de visa qui existe chez nous. Là aussi, ils sont accueillis par des personnes désignées. Celles-ci les amènent ensuite à la frontière et les font passer. Et c’est là, chez vous, en Pologne, en Lituanie et dans d’autres pays, que se trouvent les tout derniers bandits qui rassemblent les migrants, et qui les emmènent ensuite en Allemagne. […] Et je l’ai déjà dit ouvertement, vous avez déclenché une guerre hybride contre nous, vous menez contre nous une guerre de sanctions et maintenant vous voulez en plus qu’on vous protège? »

Toutes les accusations contre Loukachenko, soutenues de manière répétitive par les médias et la politique, ne peuvent guère résister à une vérification indépendante des faits. Il faut plutôt en conclure que la crise humanitaire à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne est instrumentalisée par les médias et les politiciens occidentaux afin de pousser Loukachenko dans ses derniers retranchements :

  • médiatiquement, pour justifier des tentatives de renversement contre Loukachenko ;
  • militairement, pour justifier des armements militaires à la frontière avec la Biélorussie ;
  • économiquement, pour justifier et étendre les sanctions contre la Biélorussie.

Il est un chef d’Etat indésirable qui n’est pas prêt de
se soumettre aux diktats du FMI, de l’OMS,
ni de se soumettre aux valeurs occidentales, etc.
et qui gère par exemple sa propre politique contre le covid-19. Par conséquent
son pays doit être déstabilisé jusqu’au renversement de son gouvernement. (www.kla.tv/20879)

L’exemple de Loukachenko révèle comment les médias et les politiciens occidentaux parviennent toujours à faire porter le chapeau aux autres pour des actes qu’ils commettent eux-mêmes : déstabiliser un pays indésirable à l’aide d’une guerre hybride.

Afin de se faire une idée impartiale de Loukachenko, il est recommandé de visionner la vidéo suivante, dans laquelle Loukachenko raconte son entretien téléphonique avec Angela Merkel :

de dd.

Sources / Liens :




La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

UN ARTICLE DE ABRAHAM BLONDEAU — Le 1er juillet est la Fête du Canada, lorsque tout le Canada peut célébrer collectivement notre fondation en tant que nation libre. Mais tout le monde ne fait pas la fête. À Toronto, Ontario ; Victoria, Colombie Britannique ; et d’autres endroits, la Fête du Canada a été annulée. Il s’agit en partie d’une réaction à la découverte de plusieurs centaines de corps sur les propriétés des pensionnats, ce qui, selon certains, justifient l’annulation de la célébration positive de l’histoire du Canada. Mais la Fête du Canada est également annulée pour une autre raison : la COVID-19. La réaction du gouvernement au virus a révélé quelques vérités choquantes sur le Canada.

Premièrement, elle a montré à quel point nos dirigeants fédéraux et provinciaux sont prêts à confiner les gens dans leurs maisons, à empiéter sur nos droits et libertés garantis par la Charte canadienne des droits et libertés, et à exercer un régime autocratique.

Deuxièmement, elle a démontré à quel point les Canadiens sont devenus dociles pour suivre les directives du gouvernement, même lorsque ces directives violent leurs droits. Il semble y avoir une majorité silencieuse croissante qui n’est pas d’accord avec une partie ou la totalité des politiques gouvernementales. Mais le mal est déjà fait. Le coronavirus était la tempête parfaite pour que ces dirigeants profitent de la société polie et docile du Canada.

Mais comment le Canada en est-il arrivé là ? Devrions-nous annuler la Fête du Canada, ou devrions-nous célébrer notre patrimoine ? Les dirigeants s’emparent-ils délibérément du pouvoir, ou s’agit-il de mesures bien intentionnées pour assurer la sécurité des Canadiens ? Les gens ont-ils été conditionnés à être dociles, ou s’agit-il simplement d’une théorie du complot ?

La vérité est que le Canada est un exemple de ce qui arrive quand une nation succombe à l’infiltration communiste de son gouvernement et de son système éducatif. La propension de nos dirigeants à être des autocrates et la société politiquement correcte et docile du Canada ont été délibérément manipulées pour transformer le Canada en une dictature communiste. Cette attaque est en cours depuis des décennies.

Cependant, un homme avertissait contre cette attaque et prophétisa ce qui arriverait au Canada il y a plus de 70 ans.

Infiltration communiste

Au début de la Guerre froide, l’accent était mis en grande partie sur le potentiel d’affrontements militaires entre les forces soviétiques et américaines et la perspective d’une guerre nucléaire. L’Occident fut lent à reconnaître que le danger évident et présent résidait dans la guerre idéologique et la subversion par les communistes au sein de nos propres nations. Pourtant, en 1956, Herbert W. Armstrong avertissait de cette guerre exacte dans laquelle l’Amérique et l’Occident se trouvaient engagés :

« C’est une sorte de guerre que nous ne comprenons pas, ou que nous ne savons pas comment gérer. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l’intérieur, saper nos forces, pervertir nos mœurs, saboter notre système éducatif, détruire notre structure sociale, détruire notre vie spirituelle et religieuse, affaiblir notre puissance industrielle et économique, démoraliser nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, renverser notre gouvernement par la force et la violence ! Tout ceci, habilement déguisé en un parti politique inoffensif ! Le communisme est une guerre psychologique mondiale ! »

La Trompette a rapporté et documenté cette infiltration aux États-Unis durant les années 1960 et 1970. (Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez la brochure gratuite “Il avait raison”, et l’article de Gerald Flurry, le rédacteur en chef de la Trompette, « Les racines du dangereux virage vers la gauche de l’Amérique »). M. Armstrong et M. Flurry ont tous deux souligné de façon précise que l’attaque la plus efficace avait été la conquête du système éducatif. M. Flurry a écrit : 

« C’est dans le système éducatif que la gauche a pris pied dans la nation : d’abord dans les collèges, puis les lycées et même les écoles primaires. C’est à partir du système d’éducation qu’une nation tire son leadership. D’où viennent les idées des dirigeants américains aujourd’hui ? De nos établissements d’enseignement. »

Si vous contrôlez la classe, alors vous façonnez les esprits des générations futures. De ces générations viennent les dirigeants et les éducateurs, et le cycle ne cesse de se répéter. Cette infiltration qui se produisait aux États-Unis a également eu lieu dans tous les pays occidentaux durant cette période, spécialement en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Dans son livre historique “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”, M. Armstrong prouva que les États-Unis et le Royaume-Uni sont les descendants de l’Israël biblique. Les nations du Commonwealth britannique, qui comprend le Canada, sont des descendants de la tribu d’Éphraïm, en particulier. L’idéologie communiste athée attaque spécialement les nations qui ont une histoire avec Dieu. Cette attaque communiste s’est manifestée différemment dans chaque nation, et particulièrement au Canada, qui a toujours chevauché les mondes de l’anglais et le français.

Français contre Anglais

S’il y a un mot pour résumer l’histoire et le caractère canadien, c’est bien le compromis.

Les Français arrivèrent pour la première fois dans ce qui allait devenir le Canada au milieu des années 1500. Durant les nombreux conflits entre la Grande-Bretagne et la France, les Britanniques ont mené une politique de lutte contre la France dans ses colonies au lieu de l’Europe continentale. La Bataille de Québec en 1759 sur les Plaines d’Abraham à l’extérieur de la ville de Québec durant la Guerre de sept ans a finalement donné à la Grande-Bretagne le contrôle de pratiquement toute l’Amérique du Nord.

Les Britanniques ont permis aux Français de rester au Québec et se sont engagés dans une politique de compromis après des tentatives infructueuses d’assimilation des habitants français. Ce fut le début de l’instabilité inhérente du Canada. Les Britanniques considéraient 1759 comme le début de l’histoire canadienne ; les Français le voyaient comme la fin tragique de l’histoire canadienne. Les Britanniques sont majoritairement protestants ; les Français sont catholiques. Les uns parlent anglais, les autres parlent français. Qui plus est, M. Armstrong montra que les Britanniques sont de la tribu d’Éphraïm et les Français de la tribu de Ruben, ce qui ajoute une rivalité fraternelle aux couches de la concurrence entre les deux peuples. (Ces faits peuvent être prouvés en lisant “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”.)

Il n’existe pas d’histoire unificatrice d’une naissance nationale qui transcende l’ascendance et la race au Canada comme elle existe aux États-Unis, mais seulement une construction juridique engageant le gouvernement à faire des compromis entre les deux parties. La division s’amplifia après la Seconde Guerre mondiale lorsque le mouvement séparatiste germa au Québec et prit une grande partie de son élan avec Charles de Gaulle, qui le visita en 1967 et déclara « Vive le Québec libre ! ».

Cet esprit de compromis a saturé chaque aspect de la loi canadienne, du gouvernement et de la société. Il fut enseigné comme une voie de vie aux Canadiens. Cette façon de gouverner et de penser ouvrit la voie à l’attaque communiste sur le système éducatif.

Transformer l’éducation

En 1997, l’auteur et historien canadien J.L. Granatstein a fourni les preuves de l’infiltration des marxistes dans les écoles du Canada dans son livre “Qui a tué l’histoire canadienne ?”. Ces faits correspondent directement à l’avertissement de M. Armstrong. La première bataille entre les marxistes et les éducateurs traditionnels commença dans l’histoire du travail. Au lieu d’enquêter sur la raison pour lesquelles des syndicats furent créés et sur les griefs des travailleurs, les marxistes ont demandé aux étudiants ; Pourquoi se sont-ils levés contre leurs oppresseurs ? et Comment une grève générale peut-elle être utilisée comme une arme ? M. Granatstein explique :

« Les deux camps se sont combattus avec vigueur, mais personne ne peut rivaliser avec les marxistes dans la vitupération. Les historiens du travail institutionnel à l’ancienne étaient soit chassés soit livré à eux-mêmes pour chercher de nouveaux domaines dans lesquels travailler. Les marxistes avaient le contrôle complet du domaine de l’histoire du travail, y compris les journaux et les étudiants, et ils le maintiennent encore malgré le discrédit du marxisme partout dans le monde. Les universités, à l’abri du monde réel, continuent de protéger leurs marxistes. »

Cette attaque se propagea rapidement à tous les autres champs de l’histoire, chaque groupe d’intérêt spécial faisant valoir sa revendication. M. Granatstein poursuit :

« Il était beaucoup plus important d’étudier comment les travailleurs résistaient à l’industrialisation, déclaraient les historiens marxistes ; pour enquêter sur la manière dont le contrôle des naissances était pratiqué avant la pilule, ont maintenu les historiennes féministes ; ou pour documenter les expériences des hommes gais dans les bains publics de Toronto, que pour étudier les vies ennuyeuses des Premiers ministres, les efforts du Corps expéditionnaire canadien dans la Grande Guerre, ou la Révolution tranquille au Québec. Le blâme devait être attribué. Le Canada s’était rendu coupable de génocide contre les Indiens, du bombardement de l’Allemagne, du viol écologique du paysage, et d’autres choses encore. Leur objectif était d’utiliser l’histoire, ou leur version de l’histoire, pour guérir les mâles blancs de leur sentiment de supériorité. »

Les éducateurs marxistes protégés ont changé les programmes d’histoire dans les écoles primaires, secondaires et universitaires pour rendre nos jeunes gens honteux de leur histoire et remplis de haine de soi. Ils visent également à effacer toute l’histoire des hommes blancs et britanniques. Ils voulaient les « guérir » de leur supériorité sur les autres groupes et races. M. Granatstein explique, à l’aide d’un aperçu d’un manuel d’histoire populaire pour les universités intitulé “L’Histoire des peuples canadiens” :

« Il s’agit d’une histoire des peuples canadiens—il faut notez l’utilisation politiquement correct du pluriel—qui vise délibérément à parler des gens ordinaires, non pas des rois, des Premiers ministres et des élites. Comme sa préface l’affirme fièrement, il s’agit d’une histoire écrite pour contrer celle produite dans le passé par « une petite élite d’hommes blancs instruits, pour être lue par d’autres personnes comme eux ». Ce n’est pas une histoire de guerre et de développements politiques « dans laquelle eux et leurs pairs ont participé », ni d’une histoire écrite « du point de vue de gens qui dominaient de tels événements ». De plus, il ne s’agit pas d’une histoire écrite d’un point de vue canadien central. Au lieu de cela, c’est plutôt de l’histoire du point de vue des femmes, de la classe ouvrière, des minorités et des régions. »

Cette vue historique a été enseignée pour diviser les Canadiens en de petites factions et proclamer le faux récit de comment le Canada a opprimé les femmes et les minorités. Mais pourquoi cette attaque contre l’histoire des blancs anglais ? La raison est exposée par ce que M. Armstrong a écrit dans “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”. Le Canada faisait partie de l’héritage d’Éphraïm, ou il faisait partie du domaine de la Grande-Bretagne, non pas de celui de Ruben (la France).

Une fois que vous changez l’histoire de comment une nation est apparue et qui est cette nation, vous pouvez changer le peuple. Quand vous combinez cette attaque contre l’identité et l’histoire du Canada avec l’esprit de compromis saturé dans la pensée canadienne, vous avez une combinaison mortelle.

Les fruits des efforts communistes pour endoctriner les Canadiens ont atteint leur plein épanouissement grâce à la dynastie politique d’une famille : les Trudeau.

Le Trudeauisme

Il n’y pas eu de premier ministre du Canada plus charismatique que Pierre Trudeau. On parlait de la « Trudeau manie ». Mais les fruits de son leadership sont profondément troublants. Particulièrement, la famille Trudeau a toujours eu une histoire constante d’avoir un « penchant » pour les tyrans, comme l’écrivain Mark Milke le soulignait dans l’article « La famille Trudeau aime les tyrans » publié dans la revue Maclean’s en 2018. M. Milke a écrit :

« Avoir un penchant pour les tyrans provoque plusieurs angles morts, que ce soit sur la démocratie, l’économie ou, plus récemment, sur l’environnement. Tous ont été exposés dans l’engouement continu de la famille Trudeau pour les tyrannies et les autocraties dans les commentaires d’Alexandre, Margaret et Justin Trudeau. Nous voyons des preuves de la longue histoire d’amour de la famille Trudeau avec les autocrates et les tyrans du monde. Mais le problème commença avec Pierre. »

Cet engouement est plus qu’un « penchant » mais c’est une claire amitié avec des gens d’un même esprit. Dans le numéro de la Trompette de janvier 2016, le contributeur Robert Morley exposa l’éducation, l’histoire et les politiques communistes de Pierre Trudeau et de son fils, l’actuel Premier ministre canadien Justin Trudeau. Dans son article « Tel père, tel fils », M. Morley a révélé que les deux ont fait l’éloge des dictatures communistes brutales et ont fait étalage des droits légitimes des Canadiens. Cet amour pour les Communistes était également évident dans les politiques sur l’éducation et la réforme constitutionnelle de Pierre Trudeau.

En 1965, l’enseignant d’histoire canadienne, A. B. Hodgetts convainquit le gouvernement de produire un rapport sur la façon dont l’enseignement de l’histoire au Canada affectait l’attitude des Canadiens à l’égard de leur gouvernement et de leur nation. Granatstein écrit, « Le rapport de Hodgetts suscita un intérêt croissant pour le Canada », ce qui incita le gouvernement Trudeau à fournir un financement supplémentaire aux provinces pour des « études canadiennes ». Mais ce n’était pas ce qu’il semblait être, pourtant. Granatstein poursuit :

« L’essor des études canadiennes s’est avéré très différent d’un intérêt pour le passé canadien. Les études canadiennes étaient… peu importe ce que ceux qui enseignaient quelque chose, n’importe quoi sur le Canada voulaient qu’il soit—un amalgame de littérature, d’art, d’actualité, de politique et d’enjeux publics, et d’environnement. »

Ce mouvement n’a fait que d’accélérer le remplacement de l’histoire canadienne par la propagande communiste. Ce qui créa plus de confusion et de division, c’est le fait que l’éducation était contrôlée au niveau provincial et territorial, ce qui a fait en sorte qu’il y ait 13 versions différentes de l’éducation canadienne. Cela commença à avoir une incidence sur la façon dont les Canadiens considéraient leur patrimoine et leurs traditions, ce qui permit à Pierre Trudeau de complètement remanier la Constitution canadienne en 1982 et d’inscrire cette façon de penser dans la loi. Granatstein écrit :

« Le boom des études canadiennes s’inscrivait dans le cadre d’un changement plus large des attitudes à l’égard de l’apprentissage… Dans la société en général (et surtout après l’entrée en vigueur de la Charte canadienne des droits et libertés), l’accent est passé des droits et libertés communautaires aux droits et libertés individuels, et hors du Québec, les droits collectifs ont commencé à être perçus comme anti-démocratiques. Les écoles reflétaient le changement… Pour les théoriciens de l’éducation, l’histoire était ennuyeuse, hors de propos, et ne convenait qu’au tas de scories, à l’exception de petites pépites qui pouvaient être extraites du passé et rendues utiles pour les préoccupations actuelles concernant le racisme, l’équité entre les sexes, et le sort des peuples autochtones. Que tout ce saccage de l’histoire et du patrimoine soit destructeur et une source de division, plutôt qu’une force unificatrice, ne semblait pas avoir d’importance. »

Trudeau tenta pendant des années de réformer la Constitution canadienne (créée le 1er juillet, 1867), mais il n’a pu réussir qu’en 1982, quand il ajouta la Charte des droits et libertés aux lois constitutionnelles. Bien que la charte consacre de nombreux droits importants pour les Canadiens, elle consacre aussi les valeurs insérées par les éducateurs marxistes, en mettant l’accent sur le multiculturalisme, les droits des minorités et les droits de l’individu, et elle plaça le Québec en position de pouvoir sur le reste du Canada anglais. Bien que les droits ne soient pas mauvais en eux-mêmes, c’est le contexte qui leur a été donné par les éducateurs qui cause le problème. La charte et le programme d’études communiste vont de pair pour imposer leur manière de penser aux Canadiens et donner aux « victimes opprimées » le pouvoir d’agir contre les traditions du Canada. Les juges et avocats radicaux ont utilisé la charte pour forcer continuellement la majorité des Canadiens à faire des compromis, même s’ils ne sont pas d’accord avec elle. Comme Granatstein écrit :

« Le résultat de ce point de vue, comme Michael Bliss l’exprima en 1991, a été la « scission » de l’histoire canadienne, une scission qui reflétait la fragmentation de la nation. Le résultat avec lequel nous vivons chaque jour est un Québec à l’esprit séparatiste, un Occident malheureux, et une Charte des droits qui met l’accent sur les droits individuels ou collectifs. »

Rien n’illustre ceci plus clairement que la réponse à la COVID-19. La nation se fracture en plusieurs groupes, et dans chaque province, chaque région sanitaire agit indépendamment l’une de l’autre, sans uniformité. Cela illustre à quel point les Canadiens sont prêts à faire des compromis avec leurs propres droits parce qu’on leur a enseigné à faire des compromis avec leurs propres valeurs dans des salles de classes partout dans le pays.

Pierre Trudeau était peut-être le produit le plus visible du système éducatif communiste, mais nous avons toute une génération de dirigeants qui pensent de la même manière. Certains peuvent se dire conservateurs, libéraux ou néo-démocrates, mais un léopard ne peut pas changer ses taches : tous les dirigeants de tous les partis ont accumulé du pouvoir et violé les droits des Canadiens. Le Trudeauisme est l’intégration d’un régime de style communiste dans le gouvernement.

La normalisation du communisme

Le transfuge du KGB Yuri Bezmenov a mis en garde l’Amérique dans les années 1970 que la guerre idéologique communiste se faisait en quatre étapes : 1) la démoralisation, 2) la déstabilisation, 3) la crise, 4) la normalisation. Les États-Unis et le Canada ont vu leur système d’éducation infiltré par les communistes, comme M. Armstrong l’avait prévenu il y a 70 ans, mais les deux nations sont à des stades différents de cette guerre idéologique. En Amérique, il y a une guerre sur l’âme de la nation. Au Canada, la normalisation du communisme bat son plein.

Au Canada, il n’y a pas de leadership pour s’opposer aux politiques radicales de gauche des gouvernements provinciaux et fédéraux. Il y a peut-être une majorité croissante qui n’est pas d’accord avec le fait que leurs droits soient bafoués et que les gouvernements accumulent du pouvoir, mais ils n’ont aucune voix ou moyen organisé pour s’opposer aux autocrates au pouvoir. Le remplacement de l’histoire dans les écoles par le féminisme, la victimisation et l’idéologie marxiste a enseigné aux Canadiens à penser comme leurs éducateurs : Socialistes, Marxistes, Communistes. L’introduction des soins de santé nationalisés, de règlements détaillés et d’un système d’aide sociale généreux a appris aux Canadiens à se fier au gouvernement. Ceci n’existe pas en Amérique. L’esprit de compromis, ancré dans la vie des Canadiens, a été utilisé contre les Canadiens pour transiger avec leurs croyances fondamentales. Une nouvelle identité nationale a été fabriquée par les éducateurs et les médias qui se concentrent sur les excuses, le féminisme, le politiquement correct, et le multiculturalisme. L’identité du Canada a été pratiquement effacée !

Les États-Unis sont un exemple de cas où une infiltration communiste mène à une guerre pour sa survie ; le Canada est un exemple de cas où une infiltration communiste a pratiquement terminé le coup d’État.

Abraham Blondeau
Abraham Blondeau
Rédacteur, laTrompette.fr



Grande-Bretagne — Selon la chambre des Lords, les preuves sont insuffisantes pour rendre la vaccination obligatoire chez les soignants

[Source : REINFOCOVID]

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords.

La chambre des Lords est la chambre haute du parlement britannique dont le rôle s’apparente à celui du Sénat français.

Un article, paru dans le British Medical Journal, rapporte les échanges entre l’équivalent du Ministère de la Santé et la Chambre des Lords.

Les points importants de ce débat politique britannique sont les suivants :

  • Les plans du gouvernement n’ont pas fait l’objet d’une réflexion approfondie selon la chambre ;
  • 126 000 soignants quitteraient leur emploi si la vaccination devenait obligatoire, selon la chambre ;
  • Le gouvernement ne propose pas de plan d’impact de cette perte de soignants ;
  • Cette obligation vaccinale des soignants engendrerait un surcoût de 270 millions de livres sterling.

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords

Traduction de l’article

https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf

Un comité de la Chambre des Lords a soulevé plusieurs préoccupations concernant la proposition de loi visant à rendre obligatoire la vaccination contre le SARS-CoV-2 pour l’ensemble du personnel soignant en Angleterre, particulièrement de savoir si le bénéfice de la vaccination des 8 % des soignants non vaccinés était proportionnée et comment le système de soin ferait face à la perte des 5,4 % qui ne veulent pas être vaccinés.

Le Secondary Legislation Scrutiny Committee a déclaré que les plans du gouvernement n’avaient pas fait l’objet d’une réflexion approfondie, empêchant la chambre des Lords d’examiner la proposition de loi.

Le 9 novembre, le ministre anglais de la santé et de l’aide sociale, Sajid Javid, a annoncé que tous les membres du personnel travaillant dans des établissements de santé et d’aide sociale réglementés par le gouvernement britannique seraient tenus de se faire vacciner d’ici le 1er avril. « Nous devons éviter les dommages évitables et protéger les patients du système de soins, nos collègues du système de soins et le système de soins lui-même.

Mais dans un rapport publié le 30 novembre, la commission a déclaré que l’avantage d’augmenter la couverture vaccinale du personnel “peut être marginal” et que le gouvernement n’a pas publié de plans d’urgence sur la façon dont il ferait face à la perte de personnel qui ne veut pas du vaccin.

Le rapport indique que sur les 208 000 membres du personnel du Système de Santé National qui ne sont pas actuellement vaccinés, 54 000 (26 %) se feraient vacciner en vertu de la loi et 126 000 (61%) quitteraient leur emploi.

“Étant donné que l’on s’attend à ce que la législation entraîne des coûts supplémentaires de recrutement et de formation de 270 millions de livres sterling et des perturbations majeures de l’offre de soins à la fin de la période de grâce, des preuves très solides devraient être fournies pour soutenir ce choix politique.

Le DHSC [Department for Health and Social Care] (NDLR : équivalent du ministère de la Santé) n’a pas fourni de telles preuves”, a-t-elle déclaré.

La commission a également critiqué le ministère pour ne pas avoir inclus dans la législation des détails pratiques sur comment des expressions telles que “face à face” ou “autrement engagé” seraient appliquées, renvoyant à la place à des directives qui seront produites à l’avenir.

Le président de la commission, Robin Hodgson, a déclaré : “Nous sommes tout à fait favorables à des niveaux élevés de vaccination, mais le DHSC est responsable de ses décisions devant le Parlement et doit nous donner une idée claire sur les effets de ces réglementations, sur de l’effet de l’inaction et de toute autre solution envisagée, afin que le Parlement comprenne pleinement toutes les conséquences de ce que le DHSC lui demande d’accepter.

Ceci est particulièrement important lorsque le Système National de Santé est déjà soumis à une telle pression.

“Le DHSC n’a fourni aucune déclaration cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener, et cela nuit à la capacité de la Chambre à entreprendre un examen efficace de la législation proposée.”

Références

Référence : https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf  BMJ 2021;375:n2957 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.n2957




Totalitarisme sanitaire avant 3e guerre mondiale ?

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

« Nous ne vivons pas en république »

Valérie Bugault




Ah, elle est belle l’Europe ! A Vomir !! – « 1 000 milliards €, ce serait le coût annuel de la corruption au sein de l’Union européenne. »

[Source : businessbourse.com]

Voir aussi :
Le président de la Cour des comptes européenne refuse tout audit indépendant sur ses dépenses — RT en français




Les dix mesures à prendre immédiatement dès mai 2022, mais pourtant proposées par aucun candidat

par Lucien Oulahbib

Ces dix mesures ne sont pas hiérarchisées : elles doivent être prises ensemble.

  1. Toujours pas proposé par aucun candidat : gel de la construction de mosquées, de temples (hindous) d’instituts (Confucius) tant que la réciproque n’est pas perceptible dans les pays dont les demandeurs sont originaires, en matière de liberté religieuse, se concrétisant par l’édification d’édifices et de centres idoines.
  2. Toujours pas proposé par aucun candidat : il ne suffit pas de sortir de l’OTAN, il faut également (menacer dans un premier temps) sortir de l’ONU, l’UNESCO, l’Unicef, la Banque Mondiale, le FMI… Tant que tous ces organismes ne se mettent pas en route ensemble pour solutionner pas à pas à la fois le problème des réfugiés, la question du développement et de l’anticorruption, avec la ligne de conduite suivante (esquissée par certains candidats cependant) : gel de l’aide au développement et des avoirs des classes dirigeantes si tous les efforts ne sont pas faits pour s’occuper réellement des réfugiés, les placer dans des lieux adéquats s’ils sont déboutés, les réfugiés acceptés devant uniquement l’être sur des critères liés à l’oppression politique et religieuse et non pas économique, voire climatique.
  3. Toujours pas proposé par aucun candidat : concernant les réfugiés correspondant à ces critères politiques et religieux (les autres devant être pris en charge par la « communauté internationale » sous peine de voir la France quitter toutes ces instances) il faut agir par ancienneté dans l’allocation des aides en ce sens où il n’y a aucune raison que des réfugiés passent avant des citoyens français alors que sous le prétexte qu’ils ont des enfants ils devraient passer en priorité. Non, chacun fait la queue. On ne passe pas devant tout le monde en agitant des priorités, ce qui ne veut pas dire qu’il ne faille pas penser à des solutions transitoires en attendant, surtout concernant les réfugiés politiques et religieux qui sont la priorité.
  4. Toujours pas proposé par aucun candidat : si l’on veut une France forte avec cent millions d’habitants d’ici 2050, il faut une réelle politique familiale en aidant dès le premier enfant et en incitant les jeunes filles et femmes hésitantes à ne pas avorter, mais plutôt à accoucher sous X, tant la demande d’adoption est grande. Ceci est bien plus prioritaire que la suppression du droit du sol qui est un acquis historique.
  5. Proposé par certains candidats, mais bien trop peu : la PMA sans père, la GPA implicite (faite à l’étranger, puis forcing pour la légalisation en France) sera interdite, les enfants ont le droit d ’avoir un père ET une mère, l’adoption peut être possible pour les couples de même sexe sur la base du volontariat d’enfants âgés de plus de 7 ans.
  6. Toujours pas proposé par aucun candidat : il sera remis à chaque famille un chèque « instruction publique » afin qu’elle choisisse l’école de son choix, celle-ci étant libre par ailleurs de recruter et d’opter pour la pédagogie de son choix, le Ministère de l’Instruction (et non plus de l’Éducation) intervenant a posteriori en cas de dérives circonscrites par les institutions idoines et la libre action des citoyens.
  7. Toujours pas proposé par aucun candidat : il sera remis à chaque salarié les 2/3 de ses cotisations sociales et 1/3 des cotisations patronales afférentes afin de choisir la sécurité sociale de son choix, les tiers restants étant pour 2/3 supprimés pour les petites et moyennes entreprises, tandis que le tiers restant (salariés et PME) ainsi que les 2/3 concernant les grandes entreprises seront consacrés à un Fonds Commun de Solidarité (FCS) qui fonctionnera comme fonds de pension permettant de renforcer le système de santé qui sera par ailleurs mutualisé concernant les soins lourds.
  8. Toujours pas proposé par aucun candidat : la liberté de prescrire sera renforcée, les médecins devant être protégés au même titre que les juges d’instruction. Le chantage à l’obligation de prendre des expérimentations sous AMM sera proscrit et l’État pourra se porter partie civile contre les structures publiques et privées qui l’exigerait. Et, bien sûr, tout ce qui est restriction pour des maladies ne dépassant pas 2 % des hospitalisations sera levé. Des dommages et intérêts pourront par ailleurs être demandés à l’encontre de ceux qui ont refusé de soigner et qui ont négligé la réalité d’effets secondaires graves (comme vient de le faire le Japon en exigeant que cela soit désormais inscrit sur les flacons idoines).
  9. Toujours pas proposé par aucun candidat : le Parquet doit être rendu indépendant du Ministère et l’indépendance des juges d’instruction renforcés, sauf celle du juge d’exécution des peines qui ne pourra plus infirmer la décision de ses collègues, mais juste la moduler cas par cas. Bien sûr la remise à niveau budgétaire devra suivre un audit conséquent des besoins dédiés.
  10. Proposé par certains candidats, mais trop peu : il faut une vaste politique de réaménagement du territoire (ministère désormais majeur chapeautant tous les autres ministères avec l’appui effectif du 1er Ministre) afin de tout rééquilibrer : villes/campagnes, industries/services, énergies/environnement, protectionnisme/ouverture, police/justice/défense, solidarité/droits sociaux, tout doit être revu secteur par secteur région par région et cas par cas.

Il ne s’agit donc pas ici de revenir sur diverses propositions déjà indiquées ici et là, mais d’avancer les plus essentielles et susceptibles de faire consensus parmi les citoyens amoureux de la France réelle et non pas seulement imaginée ; le tout de telle sorte que les arguments adverses refusant cette singularité française soient pris en quinconce et détruits bien en amont afin que l’assaut politique propre aux joutes démocratiques (tel le tournoi final entre les deux finalistes) se constitue au sein de conditions les plus épurées au possible.




La Pologne rejoint les pays rendant obligatoires les « vaccins » contre le COVID-19

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Le pays à majorité catholique « suit les traces de l’Allemagne et de l’Autriche » et impose le « vaccin » anti-Covid à différentes catégories professionnelles, notamment aux soignants, aux pompiers, aux policiers, aux militaires et aux enseignants, a annoncé le ministre polonais de la Santé.

Le ministre de la Santé, Adam Niedzielski, a déclaré mardi lors d’une conférence de presse que tous les enseignants, les professionnels de la santé et les professions « en première ligne », y compris les policiers et les pompiers, devaient être « complètement vaccinés » d’ici le 1er mars pour conserver leur emploi. L’obligation s’appliquera également aux militaires.

Le ministre de la Santé a ajouté qu’à partir du 15 décembre, les églises, les hôtels, les restaurants et les théâtres devront réduire leur capacité d’accueil à 30 %. Les transports publics seront limités à 75 % de leur capacité et les discothèques seront entièrement fermées.

Les écoles polonaises passeront également à l’apprentissage en ligne.

Le pouvoir en Pologne envisage même de permettre aux employeurs d’accéder aux résultats des tests COVID-19 des travailleurs. Niedzielski a déclaré mardi que « l’employeur – conformément à cette nouvelle approche – aura le droit d’attendre que le résultat du test soit présenté par l’employé – précisément afin de créer un environnement de travail sûr ».

Toute personne qui partage une maison avec une personne testée positive au COVID-19 sera soumise à des tests obligatoires à partir de la semaine prochaine, quel que soit son statut COVID.

Bien que plus de la moitié des Polonais soient « complètement vaccinés », la Pologne, comme de nombreux pays européens, signale des niveaux de cas presque record, comparables à la même période l’année dernière, avant même le début du déploiement du vaccin.

« Il n’y a aucun signe d’une nette tendance à la baisse », a déclaré Niedzielski, ajoutant qu’ »il y a un risque que la mutation Omicron apparaisse ». « Ces deux facteurs nous obligent à prendre des mesures décisives », a-t-il déclaré.

Pourtant, aucun décès dans le monde n’a encore été attribué à Omicron, en date de vendredi. Les premiers rapports indiquent que le variant est moins grave que les autres formes de coronavirus.

Le mois dernier, l’Autriche est devenue le premier pays occidental à imposer le « vaccin » anti-Covid à tous les citoyens âgés de 14 ans et plus. La Grèce a annoncé mardi dernier des plans pour une obligation similaire pour les seniors.

[Note de Joseph : plus le temps passe et plus le caractère prophétique de l’Apocalypse semble se démontrer, auquel cas rien n’empêchera la finalisation du règne de la Bête — le Nouvel Ordre Mondial — puis sa rapide destruction lors d’un événement d’ordre surnaturel ou aliénigène. En dehors de cela, aucune solution ne paraît pour l’instant fonctionner.]




Covid-19 : Pourquoi et comment les initiateurs du confinement mondial pourraient être poursuivis pour Crimes contre l’Humanité

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Julien G

Des centaines d’avocats et de médecins ont uni leurs forces pour poursuivre les CDC (Centres pour le Contrôle et la prévention des Maladies), l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et le Groupe de Davos (Forum Économique Mondial) pour crimes contre l’humanité, dans ce qu’il convient d’appeler un « second tribunal de Nuremberg ».

Reiner Fuellmich et son équipe ont collecté des milliers de preuves scientifiques attestant du manque de fiabilité total des tests PCR et de la fraude qui les sous-tend. Le 15 novembre dernier, Fuellmich a été l’invité d’une commission d’enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19, à Varsovie.

1. Le plus grand procès de l’histoire depuis celui de Nuremberg se prépare…

[Voir aussi :
L’heure de la justice
et
Reiner Fuellmich : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire »]

Humansarefree en a fait état en mars : les technocrates qui ont poussé les gouvernements à confiner leurs citoyens doivent-ils être jugés pour crimes contre l’humanité ?

C’est en tout cas ce que pense une équipe de plus de centaines  d’avocats et d’experts médicaux dirigée par l’Allemand Reiner Fuellmich, l’un des avocats les plus puissants d’Europe, a lancé la plus grande action en justice de l’histoire contre l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et le Davos Group (Forum économique mondial dirigé par Klaus Schwab, plus de 80 ans) pour crimes contre l’humanité.

Le Dr Reiner Fuellmich est un avocat germano-américain, c’est lui qui a gagné des procès de plusieurs millions de dollars contre la fraude de la Deutsche Bank et celui contre Volkswagen pour la fraude au Dieselgate.

Il est membre fondateur du “Comité Corona”.

Beaucoup d’informations erronées ont circulé sur l’action qu’il mène avec un groupe d’avocats de plusieurs pays et il très conscient du fait que la désinformation fait rage et sert possiblement à dénigrer ou dévaloriser l’action que son groupe mène.

C’est pourquoi Il a confirmé qu’il y aura un procès, mais ce ne sera pas un Nuremberg 2.0 mais plutôt un Tribunal International établi spécifiquement pour la crise du Corona.

Dans une interview, Fuellmich expose sa vision des choses, dont voici quelques extraits :

« Selon l’article 147, la conduite d’expériences biologiques sur des humains est une violation grave de la Convention. »

« Le vaccin « expérimental » viole les 10 codes de Nuremberg qui prévoient la peine de mort pour ceux qui violent ces traités internationaux. »

Fuellmich a également ajouté que tout cela était déjà prévu depuis un certain temps pour être « mis en œuvre en 2050 »

Il pense que c’est dans cette précipitation qu’ils font tant d’erreurs. Par exemple, « les fabricants de vaccins n’avaient pas prévu qu’il y aurait autant d’effets secondaires et de décès »

 “L’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. C’est parce qu’elle est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent mettre l’Europe sous contrôle avant que les gens sachent qu’ils sont. ce qui se passe”. poursuit Fuellmich.

Mais qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? 

« C’est un groupe d’environ 3 000 super-riches. Ce groupe comprend, entre autres, la clique de Davos autour de Klaus Schwab », selon Fuellmich.

Ce qu’ils veulent? 

« Le contrôle total sur les personnes. Ils soudoient les médecins, le personnel hospitalier et les politiciens »

« Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens ».

« Les médias grand public racontent une fausse réalité, affirmant que la majorité des gens sont favorables aux mesures et aux vaccins » conclut Fuellmich.

« Ce n’est certainement pas vrai. »

« Presque tout le monde à qui je parle en Allemagne sait, par exemple, qu’un masque ne protège de rien, c’est parce que maintenant presque tout le monde est informé via les médias alternatifs. Les vieux médias sont en train de mourir ».

Pour affirmer ces propos, il a mené plus de 150 interviews avec des experts du monde entier, tels que le Pr Luc Montagnier et Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, pour en arriver à la conclusion que “tout ceci n’a rien de sanitaire, et n’a jamais rien eu de sanitaire”.

Il revient notamment sur l’aspect économique de la pandémie, en montrant que “ceux qui récupèrent actuellement des parts de marchés dans le monde, sont aussi ceux, si on suit l’argent, qui sont derrière ce qui est en train de se passer”.

Selon lui, les PME, notamment occidentales, sont en train d’être phagocytées par les géants économiques tels qu’Amazon ou rachetées par les chinois.
Toujours selon lui, les populations du monde entier se rendent petit à petit compte que les gouvernements continuent de placer leurs pions pour contrôler leur “vie quotidienne”.

En assemblant tous les éléments qu’il liste, il en arrive à la conclusion que : “Tout ceci n’est pas un accident. C’est intentionnel.”

2. « L’arnaque » des tests PCR.

[Voir aussi :
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
et
Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre…]

La guerre a éclaté dans la littérature scientifique qui frappe le noyau existentiel de Covid-19 et son virus causal proposé.

Au cœur de la controverse se trouve le fait que les créateurs du test le plus couramment utilisé, la RT-PCR, ont publié des instructions sur la manière de tester le CoV-2 du SRAS « sans avoir de matériel viral disponible », selon leurs propres termes, en se basant plutôt sur la séquence génétique des scientifiques chinois publiée sur Internet

L’article « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par PCR en temps réel » a été publié 24 heures après avoir été soumis à Eurosurveillance, échappant clairement à l’examen des pairs.

Ses auteurs principaux étaient Christian Drosten et Victor Corman, d’où le titre « article Corman-Drosten ».

Il a fourni la « recette », ou le flux de travail pour le test de diagnostic Covid-19, rapidement appliqué dans le monde entier, après qu’il ait été accepté comme norme de test par l’OMS.

La vérité se révèle dans les chiffres, a déclaré M. Fuellmich, citant des chiffres qui montrent que le COVID-19 n’a pas provoqué d’augmentation statistiquement significative du nombre de décès en 2020 par rapport aux années précédentes.

Le groupe d’avocats et de médecins affirment que les tests utilisés pour identifier le COVID-19 étaient défectueux et qu’ils ont été utilisés pour commettre des crimes contre l’humanité.

Fuellmich et son équipe présentent les tests PCR comme défectueux, et affirment que l’ordre donné aux médecins de qualifier tout décès par comorbidité comme un décès Covid, comme une fraude.

Le test PCR n’a jamais été conçu pour détecter des agents pathogènes et son résultat est inexact dans presque 100% des cas à 35 cycles. Tous les tests PCR contrôlés par le CDC sont réglés entre 37 et 45 cycles.

Même le CDC reconnaît que les tests de plus de 28 cycles ne permettent pas d’obtenir un résultat positif fiable.

Cela invalide plus de 90 % des prétendus cas de « contaminations » par le Covid détectés par l’utilisation de ce test défectueux.

Au cours des mois pénibles qui ont suivi, au milieu des fermetures d’usines, de l’effondrement économique, des fermetures d’écoles et de la panique générale, peu de gens étaient conscients des immenses problèmes que posait le papier, qui proposait tragiquement une méthode de test qui donnerait entre 80 et 97 pour cent de faux résultats positifs, en raison de l’absence d’un étalon-or qui serait le virus lui-même.

Tout a commencé le 30 novembre 2020, lorsque le document de base de Corman-Drosten a été remis en question par 22 scientifiques internationaux qui ont écrit une lettre demandant la rétractation du document, ainsi qu’une critique approfondie citant 10 erreurs dans le document qu’ils jugeaient « fatales ».

Intitulé « L’examen externe par les pairs du test RTPCR pour détecter le SRAS-Cov-2 révèle 10 failles majeures au niveau moléculaire et méthodologique : L’auteur principal de l’article est le Dr Pieter Borger, un expert en biologie moléculaire de l’expression des gènes. Plusieurs autres noms estimés sont associés à cet article, notamment celui du Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et critique sans détour d’une grande partie de la soi-disant science qui se cache derrière les mesures de verrouillage, de masquage et de fermeture des écoles prises par l’OMS à l’échelle mondiale.

Reiner Fuellmich a déclaré dans une interview : « Nous pensons que pour faire s’écrouler ce château de cartes, nous devons nous attaquer au test PCR. Le fait est qu’il n’y a pas d’infections asymptomatiques ».

Cette affirmation aurait été étayée par un article de Wuhan, publié par Nature.com, qui n’a trouvé aucun « virus viable » dans les cas de PCR positifs.

3. Un « Nuremberg 2.0 » en Pologne ?

Le 15 novembre dernier, Me Reiner Fuellmich a été l’invité d’une commission d’enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19.

À Varsovie, il a ainsi participé à l’inauguration du projet “Nuremberg 2.0”, à l’initiative de cette même commission, qui se trouve être un think-tank d’intellectuels polonais. On y retrouve par exemple Grzegorz Braun, le professeur Mirosław Piotrowski, Paweł Skutecki et Me Jacek Wilk, secondés par les avocats Arkadiusz Tetela, Krzysztof Łopatowski et Jarosław Litwin.

En description du vidéo retraçant la conférence (de trois heures), le projet est ainsi présenté :

« Une initiative citoyenne née tant de l’urgence du moment que d’un cri du cœur. L’objectif est de pousser les Polonais conscients et responsables à rassembler la documentation qui décrit les délits, violations du droit, abus et omissions des autorités et à témoigner au sujet des tragédies individuelles dont le public général n’est peut-être pas au courant aujourd’hui…
[…] Nous allons nous-mêmes rassembler et classer la documentation ; nous préparons des actions en justice où les accusations sont spécifiées, et nous agirons en justice contre les fauteurs directs ou indirects des délits en question. Nous dresserons également des archives de documentation professionnelle, sur lequel fondement nous publierons des annales juridiques intitulées “Les annales Nuremberg 2.0” ».

Ce projet a été lancé suite aux « décisions du gouvernement polonais, et plus spécifiquement celles du ministère de la Santé et des agences qui lui sont subordonnées, qui ont causé de graves préjudices et injustices, dont la plupart des victimes sont des Polonais – des citoyens de la République de Pologne. »

Concernant son titre, qui ne paraitra surement provocateur pour certains lecteurs, les auteurs précisent qu’il « fait référence aux procès que rapportent les livres d’histoire, où le système NSDAP du Troisième Reich a été poursuivi pour les délits perpétrés par ceux qui portaient les politiques et ordonnances mises en œuvre par ledit système. Le nom du projet est purement symbolique ».

Le lendemain de la conférence, les instigateurs du projet ont rédigé une « Déclaration de Varsovie contre le nouveau totalitarisme », qui marque les débuts de ces travaux.

Ce document conclu ainsi :

« Il est de notre devoir de résister à l’autorité qui abuse de ses prérogatives, de même qu’il est nécessaire de lutter contre la dictature sous toutes ses formes. Nous ne protestons pas uniquement contre les différentes formes de harcèlement, mais avant tout contre la puissance tyrannique qui n’a pas de nom qui gouverne aujourd’hui le monde de la finance, des médias, de la surveillance policière et de la politique.

La dignité humaine, la vérité et la loi naturelle ne pourront pas à titre définitif perdre contre le nouveau totalitarisme. Restons fermement aux côtés des valeurs humaines les plus précieuses. Soyons unis, gardons le courage et soyons actifs. Nous allons certainement gagner ! »




Frédéric Delavier: « Analysons le programme de Zemmour »

[Source : businessbourse.com]




La Résistance

[Source : Renard Buté]

https://youtu.be/Qqm9ftNjtmY

[Voir aussi :
Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ?
L’heure est venue de passer à l’action !

France, relève-toi !

France — Une croix pour faire tomber le régime

La clef de la libération

Ne plus nourrir la Bête]




Le couple Macron continue de massacrer le palais de l’Élysée

[Source : Contre-Info]

[Note de Joseph : si l’art est représentatif de l’époque, les choix de Macron vont bien dans le sens de la destruction du pays grandement favorisée par ses soins. Voir : Effets de l’art moderne]

Avant :

Image

Après :

Image

Ceux qui ont du mal à le croire peuvent vérifier ici.

Et une photo prise dans le « salon Cléopâtre », du nom de l’ancienne tapisserie des Gobelins qui s’y trouvait jusqu’en 2019, avant d’être remplacée par une « œuvre » d’un certain Yves Oppeinheim (coût inconnu) :

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Un autre tapis :

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Cette cheminée n’était pas assez jolie aux yeux des Macron :

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Au moins, cela correspond mieux aux orgies afro-homosexuelles dont semble friand le Président.

Pour un coût de 500 000 euros, le couple avait déjà transformé la salle des fêtes du palais en une vulgaire salle des fêtes municipale, presque un funérarium…

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Ce n’est guère étonnant quand on se rappelle ces déclarations du banquier cosmopolite :

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Députés et Sénateurs, vous ne servez plus à rien : « ils » décident pour vous — les preuves en trois exemples

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Modification du génome humain

Rapports de l’OMS : Des recommandations mondiales sur la modification du génome humain – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Implantation d’une puce dans le corps pour contrôle de la population

Mark of the Beast is here: Subcutaneous quantum dot “vaccine passports” from Bill Gates are ready to be injected into human subjects – NaturalNews.com [anglais]

Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Implantation mondiale de la 5G

PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial

La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)


Voilà le résultat de votre complicité ou de votre incompréhension totale de ce qui se passe de nos jours : les instances supranationales profitent de la crise sanitaire pour imposer leur volonté à l’ensemble de la planète pour faire émerger le Nouvel Ordre Mondial.

Bientôt pour vous, le chômage, mais plus grave encore, le Peuple saura reconnaître en chacun de vous un des principaux responsables de la mort de la Démocratie et de la République ; nous ne pouvons pas vous garantir un avenir serein.

[Voir aussi :
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]


N’hésitez pas à transmettre à vos représentants :

sénateurs :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
4 Agences de presse :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse




C19, Zemmour : la bêtise ambiante est aussi très vicieuse

Par Lucien Samir Oulahbib

Le scorpion piquant brusquement la grenouille qui l’aide pourtant à traverser l’étang répond à l’étonnement de celle-ci que « c’est dans sa nature ». Aussi faut-il s’attendre à autant de la part du gouvernement et de ses diverses prothèses : il est dans leur nature que de continuer par exemple à confondre, concernant le prétexte sanitaire actuel, « incidence positive à des tests » et « malades » tout en cachant que pour ces derniers il s’agit de gens non soignés de manière précoce (T.A.P), qu’ils soient injectés ou pas.

Les scorpions continuent à faire croire qu’ils sont utiles et bien sûr disent qu’ils ne roulent pas pour des intérêts divers ce qui est à l’évidence faux, mais ils s’en fichent. Ils l’avouent même au milieu du gué (pour avoir sa quatrième dose dans cinq mois — voire trois — il faudra bien passer par la troisième et ainsi de suite). Ce dernier constat n’a pour eux aucun autre intérêt que cela puisse glisser doucement sur leur peau lisse de vampires au cortex rabougri jusqu’à fermer les discothèques à nouveau, sans compter l’acharnement sur les enfants qu’ils mettent de plus en plus en danger psychique en les muselant, alors qu’ils ne sont en aucun cas un « danger », car ils n’infectent pas, combien bien même seraient-ils porteurs.

S’agissant du reste, telles ces autres prothèses, apprenties vampires, bébés néo-nazis affublés « anti-racistes » au meeting de Zemmour (néo-nazis parce qu’ils sont pour la discrimination racialiste antiblanc et la manipulation hormonale et génitale), sans doute que des nerfs d’acier n’auraient pas été inutiles pour les laisser dans leur coin, en les prenant ainsi à leur propre jeu. Car voilà l’exemple type du vicieux vampire qui ne sait faire que des crasses parce qu’il n’a plus rien d’autre à plomber, hormis son basculement vers le racisme inversé afin de se sustenter de soutiens grassement payés par la Secte transhumaniste affairiste globalisée qui l’a envoyé faire ses classes de trublion banal.

Il a été d’ailleurs dommage d’observer à Villepinte cette belle jeunesse sous muselière derrière les orateurs. Heureusement que le Chevalier Poisson a sauvé l’honneur en parlant de « liberté » en matière thérapeutique. Le « Roy » Zemmour (au sens des « deux corps du Roy ») aurait pu en parler un peu plus, ne serait-ce qu’en réaffirmant encore qu’aussitôt élu il abrogerait toutes les mesures liberticides et redonnerait pleinement aux médecins le droit de prescrire, bref de pouvoir faire leur métier. Peut-être que la « grâce » l’illuminera à temps…

Par contre, très belle idée que de parler de Reconquistacar cela désigne très bien cet effort civilisationnel de secouer le joug des envahisseurs, ce qui n’est toujours pas donné tant personne n’y croit, surtout lorsque « personne » est au pouvoir pour précisément masquer que la place est en réalité vide. Le « roi est nu », mais, chut, petit enfant, va te faire piquouzer plutôt, ou le fantasme facile de la pédocriminalité gracile.

Définition de la psychose : lorsque la distinction entre le principe de réalité et le principe de plaisir est vigoureusement niée. Traitant de « complotiste » ceux qui l’indiquent, le psychopathe est aussi paranoïaque, en particulier contre les enfants dont il envie la vie en éclosion alors que chez lui elle fuit.

Le cauchemar continue donc.

Pourtant, le Poste grésille, les personnages sur l’écran s’effilochent, rétrécissant à l’état micro d’électrons agités (du bocal).

Qui va (le) débrancher ? Qui ? That’s the question.