La pollution de l’air progresse fortement en Afrique et met les populations en danger

[Source : afrik.com]

Par Hélène Bailly

La pollution de l’air est une préoccupation croissante dans toutes les régions du monde, mais c’est en Afrique que la situation se détériore le plus. Sur le continent, on estime que 90% des 1,3 milliard d’habitants sont exposés à des niveaux trop élevés de pollution atmosphérique. Selon une récente étude, le Tchad est même le pays du monde où l’air est le moins propre.

L’Afrique est soumise à de multiples dangers. Mais celui de la pollution atmosphérique, s’il est moins connu, n’est pas le moins préoccupant. La pollution de l’air sur le continent est causée par une série de facteurs. Notamment l’industrialisation, les transports et l’utilisation inefficace de l’énergie, mais aussi les feux de forêt. Sur ces facteurs, certains sont compliqués à réduire, en particulier l’industrialisation. En effet, la croissance économique et démographique de la plupart des pays du continent africain implique un développement des usines et des centrales électriques, encore largement au charbon, une consommation accrue des énergies fossiles, notamment le pétrole, et bien souvent une déforestation. Autant de causes qui augmentent les émissions des polluants tels que le dioxyde de soufre et les oxydes d’azote. Ces émissions augmentent les probabilités d’être sujet à des maladies respiratoires.

Un rapport préoccupant sur la qualité de l’air en Afrique

Le rapport 2022 de l’IQAir sur la qualité de l’air dans le monde révèle que seuls 5% des pays respectent les recommandations de l’OMS en matière de pollution atmosphérique. Sur les pays étudiés, seuls six ont respecté la directive de l’OMS sur les PM2,5 (moyenne annuelle de 5 µg/m3 ou moins) : Australie, Estonie, Finlande, Grenade, Islande et Nouvelle-Zélande. Avec 89,7 µg/m3, plus de 17 fois supérieur à la recommandation annuelle de l’OMS, le Tchad est le pays le plus pollué du panel, devant l’Irak et le Pakistan. En cause notamment le développement de l’exploitation pétrolière.

Le transport est aussi un contributeur très important de la mauvaise qualité de l’air. En cause, l’augmentation du nombre de véhicules sur les routes. Outre les voitures individuelles, il y a les autobus et les camions de transport. Le tout couplé à une mauvaise qualité des carburants utilisés dans ces véhicules.

Mauvaise utilisation des ressources

L’utilisation inefficace de l’énergie est un autre facteur majeur contribuant à la pollution de l’air en Afrique. De nombreux ménages dépendent des combustibles traditionnels, bois ou charbon de bois, pour cuisiner et se chauffer. Des modes de chauffage qui produisent des polluants nocifs pouvant provoquer des maladies respiratoires. Les femmes et les enfants, qui passent davantage de temps dans les maisons mal ventilées, sont davantage touchés.

Lire aussi : Cameroun, lutter contre les véhicules polluants

La pollution de l’air est l’une des principales causes de décès prématurés dans le monde, avec environ 7 millions de morts par an. Mais le coût des maladies respiratoires, comme l’asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et le cancer du poumon, est particulièrement problématique pour les états.

Mais des mesures en cours de mise en place

C’est une des raisons qui expliquent que les gouvernements, poussés par les ONG, travaillent à prendre des mesures. Le solaire est un axe essentiel pour le continent en raison de son ensoleillement important. Mais il faut aussi œuvrer aux évolutions des modes de consommation. Et pour cela, travailler à l’éducation des ménages. Un travail de longue haleine, mais qui est chaque jour plus indispensable.




Thierry Casasnovas est la cible acharnée du gouvernement, des médias et de leurs relais de pseudos « fact-checkers »

[Source : jeune-nation.com via strategika.fr]

Par Frédéric Longpré

Le célèbre influenceur, youtubeur, formateur et entrepreneur, Thierry Casasnovas, a été placé en garde à vue pour le 9 mars pour « exercice illégal de la médecine, abus de faiblesse, et infractions financières ». Cette arrestation a provoqué une onde de choc dans le milieu de la naturopathie et de la santé naturelle, qui considère cette mesure comme un scandale et un abus de pouvoir. Il a été présenté vendredi 10 mars à un juge d’instruction qui l’a placé sous contrôle judiciaire.

Thierry Casasnovas : nutrition et santé naturelle

Ayant déjà subi une perquisition à son domicile en février pendant laquelle a été saisi tout son matériel informatique ainsi que des dizaines de milliers d’euros dus par les impôts, mais retenus sous prétexte de suspicion de blanchiment d’argent.  Il a été arrêté chez lui en catalogne française, par une troupe armée composée de gendarmes de la SR (section de recherche) de Montpellier, du GIR (groupe interministériel de recherche) de Montpellier et d’agents de l’OCLAESP (Office Central de Lutte contre les Atteintes à l’Environnement et à la Santé Publique). Rien de moins pour une personne seule et non violente.

Nous avons évidemment eu droit à toute la meute de la presse et des médias, qui d’une seule voix assassine, accuse et condamne, sans nuance et nul souci de vérité. Mais il est vrai que le contraire nous aurait étonnés. Une bonne dépêche de l’AFP régurgitée telle quelle, parfois mot pour mot. Alors qu’en est-il vraiment de ce personnage si controversé et qui regroupe autour de lui une communauté de presque 600 000 abonnés sur sa chaîne YouTube ?

Rien d’extraordinaire à première vue. Thierry Casasnovas est connu pour ses conseils en matière de nutrition et de santé naturelle, qui ont aidé des milliers de personnes à retrouver une vie plus saine et plus équilibrée. Cependant, ces derniers temps, il a été critiqué pour ses positions sur la vaccination en général et contre le Covid en particulier.

Depuis le début de la crise sanitaire, Thierry Casasnovas est la cible acharnée du gouvernement, des médias et de ses relais fact-chekers zététiciens, qui ne reculent devant aucun mensonge ni diffamation, n’hésitant pas à présenter de faux témoignages ou à manipuler des gens comme ils l’ont fait pour Clémence dans l’émission « la fabrique du mensonge » sur France télévision. Ils s’en prennent également aux finances en fermant arbitrairement les comptes en banque, en gelant les comptes, en désignant une banque tutelle qui nécessite des demandes d’autorisation pour tous les paiements, ainsi que le blocage bancaire des bénéfices des formations en ligne, mais aussi des abonnements au site internet et des prestations pour le magazine. On lui a également fermé ses comptes Patreon et Tipee. Malgré ces obstacles, l’association RGNR qu’il a créée en 2012 continue à produire du contenu en réduisant les charges et en se séparant de quelques salariés.

Nous sommes tous responsables de notre santé

Un des principaux leitmotivs de Thierry Casasnovas est le principe de responsabilité. Nous sommes tous responsables de notre santé. Cela signifie que les choix que nous faisons en matière de style de vie, d’alimentation, d’activité physique, de sommeil, de gestion du stress et de prise en charge de notre santé en général ont une influence significative sur notre bien-être physique et mental.

Ce principe reconnaît également que chaque personne est unique et que la manière dont elle gère sa santé dépend de nombreux facteurs, notamment son âge, son état de santé, son environnement, sa culture, son éducation et son accès aux soins de santé. Ainsi, chacun doit être en mesure de prendre des décisions éclairées et adaptées à sa situation individuelle pour améliorer sa santé. Il n’y a donc pas de formule toute faite et c’est à chacun de trouver ce qui lui convient.

En conséquence, il est important que chaque personne prenne la responsabilité de sa propre santé. Cela implique d’être informé sur les différents aspects de la santé, de chercher des conseils médicaux professionnels lorsque cela est nécessaire, de prendre des mesures pour prévenir les maladies et de suivre les traitements prescrits.

En fin de compte, le principe selon lequel chacun est responsable de sa santé est un appel à l’autonomie et à la responsabilisation en matière de santé. Cela permet aux individus de devenir des partenaires actifs dans leur propre santé, plutôt que de simplement suivre des directives et des conseils médicaux passivement.

Le système préfère de bons moutons bien dociles et obéissants

C’est donc un appel à la responsabilité et à l’autonomie que Thierry Casasnovas transmet depuis plusieurs années. Inutile de dire que cela ne va pas dans le sens de ce que voudrait le système qui préfère fabriquer de bons moutons bien dociles et obéissants. À cet égard on ne peut que constater que l’expérimentation du Covid a été un franc succès.

Les laboratoires pharmaceutiques ont également tout intérêt à discréditer les méthodes naturelles de santé, qui pourraient représenter une menace pour leur chiffre d’affaires. Leur énorme pouvoir financier leur permet d’avoir un poids énorme sur les décideurs pour orienter les décisions en faveur de leurs intérêts.

Thierry Casasnovas a fait l’expérience dans sa jeunesse de plusieurs années de descente aux enfers pathologique qui l’a conduit au seuil de la mort, souffrant de pathologies multiples comme la tuberculose et l’hépatite C, la dépression et fait plusieurs arrêts cardiaques, il était devenu complètement dépendant de la médecine. Par une sorte de prise de conscience mystérieuse, il a trouvé en lui la capacité de réagir et de modifier son alimentation et son hygiène de vie pour finalement retrouver progressivement la santé physique, mentale, mais aussi spirituelle par sa découverte de la foi chrétienne dont il a souvent l’occasion de parler dans ses vidéos.

Il a naturellement voulu partager son expérience et ses découvertes et a créé une chaîne YouTube qu’il a commencé à alimenter en 2011 par de nombreuses vidéos autour de la santé naturelle, de l’alimentation, de la physiologie du corps humain et de l’hygiène de vie.  Ses vidéos étaient très longues et désordonnées. Il répondait aux questions que lui posaient les gens et il était assez compliqué de pouvoir tout suivre. Ses vidéos se sont améliorées avec le temps, tout comme son état de santé et son apparence physique. Elles sont devenues plus courtes et plus concises. Elles traitent d’un sujet à la fois, avec des références scientifiques sourcées.

Alors peut-on dire que Thierry Casasnovas est un charlatan ? Qu’il exerce la médecine de façon illégale ? La vérité, c’est qu’en aucune façon et à aucun moment il ne s’est présenté comme un praticien de santé, ni avoir aucune connaissance médicale. Il ne se présente même pas comme naturopathe et n’a jamais prétendu guérir qui que ce soit. Il n’a même jamais fait aucune consultation individuelle. Il a simplement voulu partager avec le plus grand nombre le fruit de ses découvertes au fur et à mesure qu’il avançait dans ses recherches pour le plus grand bonheur de ses abonnés qui témoignent par milliers des bienfaits qu’ils en ont retirés.

En ce qui concerne l’accusation d’emprise, il faut souligner qu’il n’a pas de communauté réelle, physique. Les personnes qui suivent son travail regardent des vidéos et peuvent acheter des formations en ligne ou en présentiel pendant maximum une semaine. On est loin du gourou vivant avec ses disciples et exerçant directement son influence sur eux… RGNR n’est pas Raël ou le Mandarom ! Alors est-ce que prodiguer des conseils de santé, d’alimentation et d’hygiène de vie peut être considéré comme un exercice illégal de la médecine ? Je vous laisse juge… Les jus de légumes sont-ils plus dangereux que les dizaines de milliers de morts chaque année liés à la consommation de médicaments ? Enseigner comment vivre et vieillir en bonne santé devrait en toute logique être le boulot des organismes de protection sociale. Bizarrement il n’en est rien…

Quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage

Quand on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage, c’est bien connu.

On pardonne bien volontiers les dizaines de milliers de morts de la médecine allopathique chaque année par erreur médicale, infections, mauvais usage des médicaments, erreurs de prescription, infections nosocomiales, etc.… Mais aucune indulgence pour la médecine naturelle qui est dénoncée à la vindicte populaire au moindre souci.

Est-ce un homme assoiffé d’argent ? À l’heure où le moindre youtubeur monétise sa chaîne pour en tirer des revenus, Thierry lui, avec des centaines de vidéos depuis 12 ans et plus de 94 millions de vues, ne l’a jamais fait. Aucune pub sur ses vidéos et il a fait ce travail bénévolement pendant plusieurs années.  On lui reproche également de faire du commerce, de vendre des extracteurs de jus. Les articles de presse annoncent des prix exorbitants comme 1000 € l’appareil. Effectivement il existe des extracteurs haut de gamme qui atteignent ces prix, il n’y a rien d’extraordinaire et on peut se contenter d’appareils bien moins onéreux. Alors c’est quoi le problème en fait ? Le commerce en ligne est-il devenu illégal ou c’est juste pour lui ? Qu’est-ce qui empêche les acheteurs de se rendre sur d’autres sites ?

Il a également créé une société pour faire de la formation. On lui reproche de tromper les gens et de réclamer des sommes importantes. Encore une fois l’inscription est libre et personne ne force personne. Le prix des formations en présentiel est entre 300 et 600 € selon la durée, alimentation comprise, cela ne semble pas excessif et elles sont peu nombreuses et prises d’assaut rapidement. S’il était si vénal que cela, il aurait très facilement la possibilité d’en faire beaucoup plus.

On lui reproche aussi un nombre important de signalements à la MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires), une organisation gouvernementale qui dépend maintenant du ministère de l’Intérieur, dans le même sac que la prévention de la radicalisation.  Il n’existe aucune liste de sectes en France, uniquement des « dérives sectaires ». Un organisme qui pour s’autojustifier doit perpétuellement trouver des « dérives sectaires ». Autant dire que c’est un fourre-tout où on peut mettre à peu près tout ce qui ne plaît pas au gouvernement. Un peu comme les associations antiracistes communautaires qui traquent leurs « racistes » et « antisémites » pour justifier leur existence et générer de substantiels revenus.

Il y aurait plus de 600 signalements faits contre TC à cette organisation, seulement 54 auraient été traités. Je ne trouve pas ce chiffre si énorme que cela. En effet cela fait plusieurs années qu’il subit un harcèlement constant de petits flics de la pensée qui se sont fait une mission de dénoncer tous ses faits et gestes. Il est assez facile d’organiser des raids numériques pour signaler en masse quelqu’un à la Miviludes. Rien de très compliqué, tout peut se faire en ligne et rien n’est vérifié ni vérifiable. On ne trouve que des témoignages indirects et des appréciations hasardeuses.et subjectives.  En attendant, il n’y a aucune plainte de toutes les soi-disant victimes qui ont perdu leur santé et ont été escroquées par le « gourou du cru » ! On y trouve d’ailleurs que des témoignages indirects de gens qui connaissent des gens, tout comme dans l’histoire de l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours.

L’anathème définitif : « extrême-droite »

Thierry Casasnovas n’a pas échappé non plus à la longue liste des anathèmes dont sont frappés les dissidents et opposants. On lui reproche en vrac d’être homophobe, anti-IVG, car il explique que cet acte grave ne doit pas être banalisé. Il serait d’extrême droite, raciste, antisémite, car il a fait des conférences pour l’association Égalité et Réconciliation et avait fait la surprise de recevoir l’humoriste Dieudonné lors des dernières rencontres de la régénération en 2019 avant la crise du COVID.

« Merci à Dieudonné pour m’avoir décerné la quenelle d’or
dans la catégorie “Lanceurs d’alerte” »

En conclusion, la mise en garde à vue de Thierry Casasnovas est un sujet délicat qui soulève des questions sur la liberté d’expression, la santé publique et les intérêts financiers en jeu. En tout état de cause, les citoyens devraient pouvoir choisir librement la façon dont ils veulent s’occuper de leur santé et se soigner. La France a un énorme retard et ne semble pas vouloir le combler. La formation des naturopathes qui est laissée à l’appréciation d’une multitude d’écoles sans unité programmatique et sans contrôle. Nous sommes encore bien loin du Diplôme Fédéral de Naturopathie délivré en Suisse et du diplôme de Heilpraktiker délivré en Allemagne pour ne citer qu’eux.

Bon courage Thierry.




L’arnaque de la Cour pénale internationale

[Source : Union Populaire Républicaine via PG]

Le 17 mars 2023, la Cour pénale internationale a émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine pour « crimes de guerre », en l’accusant de déportation d’enfants ukrainiens vers la Russie.
La presse occidentale a aussitôt présenté ce mandat d’arrêt comme une nouvelle preuve du caractère criminel de la Russie et de ses dirigeants qui les mettrait au ban de toutes les autres nations.

François Asselineau revient sur cet évènement pour démontrer la supercherie que représente la CPI, laquelle n’a jamais dit un mot sur les crimes de guerre commis par les Occidentaux et infiniment plus nombreux que ceux dont on accuse la Russie. La CPI se révèle ainsi n’être qu’un des outils de propagande et de domination des États-Unis.

Le bruit que font aujourd’hui les médias occidentaux autour de ce mandat d’arrêt contre Poutine contraste singulièrement avec le silence de ces mêmes médias lorsque, en 2011, la « Commission contre les crimes de guerre de Kuala Lumpur » créée par des pays musulmans, condamna pour crimes de guerre l’ancien président des États-Unis George W Bush et l’ancien Premier ministre Britannique Anthony Blair.




Appel à la fraternité humaine

[Source : Profession Gendarme]

Par Jean-Pierre G.

NE VOUS SUICIDEZ PAS !

Déposez vos matraques et vos boucliers et rejoignez-nous. Nous sommes tous des êtres humains, habitant sur la même planète.
Nous nous adressons à vous, car nous savons que derrière le bouclier, il y a un être humain pensant et sensible, qui peut faire preuve de lucidité et être solidaire avec tous les autres.

On vous présente comme les gardiens du maintien de l’ordre.
Mais du maintien de quel ordre s’agit-il ?
Du maintien de l’ordre pour le bien commun et la sécurité de tous ?
Non, du maintien de l’ordre capitaliste, un système d’exploitation du plus grand nombre par une toute petite minorité de prédateurs insatiables.

Lorsque vous réprimez des manifestations pour plus de justice sociale, vous vous opposez à vos parents, à vos frères, qui luttent pour une vie saine et digne, pour une retraite décente avant d’être complètement brisés par un travail servile et vide de sens.
Lorsque vous réprimez des manifestations contre des grands projets, destructeurs de l’Environnement, vous hypothéquez l’avenir de vos enfants et la survie de l’Humanité sur la Terre.
Vous n’êtes considérés par les dirigeants de ce système dominant que comme des chiens de garde serviles et obéissants. Ce système n’a plus aucune légitimité. Il n’a plus que la force pour essayer de se maintenir. Vous êtes son dernier rempart. Sans votre soutien, il s’effondre comme un château de cartes.

La situation est maintenant devenue très critique, tant en termes d’inégalités sociales, qu’en termes d’impacts sur l’Environnement. Ce système à bout de souffle nous conduit vers un suicide collectif. Obéir à ces dirigeants est une autre forme de suicide.
Alors, ne vous suicidez pas. Désobéissez et rejoignez-nous.
Avec nous, vous pourrez participer à la mise en place d’un nouveau mode d’organisation de la société et du travail, d’une nouvelle manière de produire et de répartir les richesses, inventer un nouveau vivre ensemble pour un monde plus juste, plus solidaire et plus écologique.

Nous avons besoin de vous ! Nous comptons sur vous !

Jean-Pierre G.




Macron envoie à l’étranger des milliards d’euros qui pourraient servir pour les retraites

[Source : Ma France]





Les horreurs du vaccin HPV : Meurtre et invalidité dus au Gardasil, POURSUITE EN COURS, et lettre d’éminents rabbins disant « Ne vous faites pas vacciner ! »

[Source : truth613.substack.com]

[Traduction Jean Bitterlin]

Par Brucha Weisberger

J’ai été choquée lorsque j’ai découvert ce qui se passait.

Mise à jour le 1er mars à 15h00 avec de nouvelles preuves de l’inefficacité du vaccin contre le papillomavirus dans son objectif déclaré de prévention du cancer du col de l’utérus – voir la fin de l’article.

Après avoir entendu de terribles histoires sur de multiples tragédies en cours résultant directement du vaccin Gardasil dans la ville de Lakewood, dans le New Jersey, où j’ai de nombreux amis, j’ai le sentiment que je dois sensibiliser tout particulièrement aux graves dangers de ce vaccin.

Des adolescents de la communauté de Lakewood, qu’un de mes amis connaît personnellement, sont actuellement couchés dans leur lit, paralysés et complètement handicapés, à cause de ce vaccin anti-HPV empoisonné qui leur a été administré par leur médecin.

D’autres jeunes femmes sont ménopausées et n’ont même plus de follicules à cause du Gardasil. (Voir le procès ci-dessous.)

Que Dieu ait pitié ! Pourquoi ?

Dans quel but a-t-on donné du poison à ces enfants ?

L’objectif déclaré du Gardasil est de prévenir une MST (Maladie Sexuellement Transmissible) qui pourrait éventuellement entraîner un cancer du col de l’utérus lorsque les enfants seront beaucoup plus âgés.

Mais il n’existe aucune preuve que le vaccin soit réellement efficace pour prévenir le cancer. Il s’agit d’une imposture qui ne fait que provoquer la mort et la misère.

Un procès est en cours contre le fabricant du vaccin, Merck. Le cabinet d’avocats est Miller et Zois. Il déclare qu’il examine les actions en justice relatives au vaccin Gardasil dans les 50 États.

(Tout cela pour un vaccin dont le CDC mensonger prétend qu’il y a eu si peu de rapports d’effets indésirables vérifiables qu’il n’a pas pu établir de corrélation !).

Le procès Gardasil accuse Merck d’avoir dissimulé frauduleusement des preuves concernant les risques pour la santé du Gardasil tout en le présentant faussement comme un vaccin pouvant prévenir le cancer du col de l’utérus.

[Voir aussi :
Gardasil Episode 7 : Entre mensonges et corruptions
Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus
Gardasil, un vaccin de moins en moins polémique et de moins en moins dangereux au fil du temps ?
Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?
Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?
Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel
Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans
Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil
Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons
Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité]


Le procès Gardasil

[Source : millerandzois.com]

Nos avocats examinent les actions en justice relatives au vaccin Gardasil dans les 50 États pour les victimes qui ont souffert des effets secondaires du vaccin Gardasil contre le papillomavirus. Des décès et des blessures ont été liés à ce vaccin. Notre cabinet d’avocats étudie différents types de procès concernant le vaccin Gardasil, en se concentrant sur les plaintes relatives à l’insuffisance ovarienne prématurée et à la ménopause prématurée.

Cette page a pour but de vous aider à mieux comprendre si vous souhaitez intenter une action en justice concernant Gardasil et si vous pouvez prétendre à un règlement ou à un paiement par un jury. Il s’agit d’un nouveau litige et nos avocats mettent régulièrement cette page à jour (dernière mise à jour : 9 février 2023) pour vous apporter les dernières nouvelles et mises à jour concernant le procès Gardasil HPV.

Mises à jour sur le recours collectif contre le vaccin HPV Gardasil

Mise à jour mars 2023

  • 1er mars 2023 : Outre les affaires Gardasil en cours dans le MDL devant les tribunaux fédéraux, un grand nombre de procès concernant le vaccin Gardasil sont en cours devant les tribunaux de l’État de Californie. Bon nombre de ces procès ont été intentés en premier et un certain nombre d’entre eux devaient être jugés à partir du mois de septembre de cette année. Malheureusement, toutes ces dates de procès ont été reportées à septembre 2024. Ce report a été effectué afin de coordonner l’avancement du procès Gardasil en Californie avec le calendrier du MDL NdT : Le Multidistrict litigation (MDL) – litigation pour litige ou contentieux – est une procédure utilisée par les tribunaux fédéraux dans laquelle des affaires civiles impliquant des problèmes similaires et provenant de tout le pays sont consolidées et déplacées vers un seul tribunal.

Mise à jour février 2023

  • 9 février 2023 : Mardi, Merck a déposé une requête demandant au juge du MDL de rejeter toutes les plaintes déposées à son encontre sur la base de théories délictuelles fondées sur un « défaut de conception ». Le National Childhood Vaccine Injury Act exclut expressément les plaintes pour défaut de conception à l’encontre des fabricants de vaccins et oblige les demandeurs à passer par une procédure administrative connue sous le nom de « tribunal des vaccins ». La requête de Merck soutient que la plupart des plaintes en responsabilité du fait des produits déposées par les plaignants du MDL sont de facto des plaintes pour défaut de conception, même s’ils évitent d’utiliser cette expression. Si cette requête est acceptée, elle réduira considérablement le champ d’application du litige Gardasil.
  • 1er février 2023 : La semaine dernière, Merck a déposé un démenti et une liste de défenses affirmatives (denial and list of affirmative defenses, ), qui offre un aperçu détaillé de sa stratégie apparente pour défendre les actions en justice concernant le Gardasil. Merck soutiendra que les plaintes contre Gardasil fondées sur le défaut de mise en garde sont irrecevables en vertu de la loi nationale sur les vaccins pour enfants de 1986 (42 U.S.C. § 300aa-22). Merck a également l’intention de contester les allégations selon lesquelles Gardasil était « défectueux » dans sa conception et d’invoquer la défense de l’intermédiaire averti, qui fait peser sur les médecins l’obligation de mettre en garde contre les risques de Gardasil. Les avocats de Gardasil sont optimistes quant à la possibilité de faire échec à ces moyens de défense.

Mise à jour janvier 2023

  • 18 janvier 2023 : Il y a maintenant 60 procès Gardasil en cours dans le cadre de l’action collective Gardasil MDL dans le district occidental de Caroline du Nord. Le recours collectif MDL a été créé en septembre avec un peu plus de 20 cas, ce qui signifie qu’il a déjà triplé. Il est probable qu’un afflux important de nouvelles affaires se produira prochainement, à mesure que les plaintes déjà déposées pour Gardasil seront traitées par le tribunal des vaccins.
  • 12 janvier 2023 : En novembre, les plaignants du recours collectif Gardasil MDL ont déposé une requête visant à contraindre le défendeur, Merck & Co, à produire des documents supplémentaires et à compléter leurs réponses aux interrogatoires. Après avoir obtenu un délai supplémentaire pour répondre à cette requête, Merck et ses avocats ont maintenant jusqu’à la fin de cette semaine (5 janvier 2023) pour déposer une réponse à la requête (ou fournir des réponses supplémentaires à l’interrogatoire).

Mise à jour décembre 2022

La route vers le premier procès Gardasil est longue. Mais les avocats des victimes se rapprochent à mesure que l’on approche de 2023. L’obtention d’une date de procès est importante car un accord sur le Gardasil sera impossible sans une réelle pression sur les accusés. Les procès exercent une pression qui conduit à des accords.

Une proposition commune de programme bellwether (NdT : les procès Bellwether ont lieu lorsque de nombreux plaignants intentent des procès contre la même partie ou le même groupe de parties) a été soumise la semaine dernière par les avocats des deux parties au recours collectif Gardasil. Cette proposition conjointe prévoit la constitution d’un groupe de 16 dossiers, candidats à un procès au cours de l’année prochaine. Dans le cadre du plan de préparation au procès, six de ces affaires seraient sélectionnées pour le procès bellwether initial, et ces sélections seraient faites en août 2024. Le juge du MDL, Robert Conrad, approuvera et adoptera probablement le plan lors de la prochaine conférence mensuelle sur l’état d’avancement des travaux.

Mise à jour octobre 2022

La première conférence sur le statut du nouveau MDL Gardasil est prévue pour le 11 octobre devant le juge Robert Conrad, dans le district ouest de Caroline du Nord. L’un des principaux points à l’ordre du jour du juge Conrad sera la sélection des avocats qui feront partie du comité de direction des plaignants et la désignation de l’avocat principal. Le comité de direction est le groupe d’avocats qui prendra les décisions stratégiques pour tous les plaignants dans le cadre du litige.

Mise à jour août 2022

Le Panel MDL entendra les arguments visant à déterminer si les actions en justice relatives au vaccin Gardasil doivent être regroupées dans un recours collectif MDL. Les plaignants cherchent à obtenir une consolidation devant les tribunaux fédéraux de l’Arizona ou du Wisconsin, et Merck s’oppose à une action collective parce qu’elle estime que ces affaires devraient être portées devant un tribunal spécialisé dans les vaccins. L’audience du Panel MDL est prévue pour le 28 juillet 2022.

Mise à jour juin 2022

Le mois dernier, le JPML a accepté une requête visant à consolider tous les procès relatifs au vaccin Gardasil contre le papillomavirus dans un nouveau recours collectif. La nouvelle action collective – désignée sous le nom de In re : Gardasil Prod. Liab. Lit., MDL No. 3036 – a été confiée au juge Robert Conrad Jr. dans le district occidental de Caroline du Nord.

En acceptant la requête et en formant le nouveau MDL, le JPML a rejeté les arguments du défendeur Merck selon lesquels la consolidation du MDL serait en conflit avec le Vaccine Act et conduirait à l’hésitation face aux vaccins. Une conférence devant le juge aura lieu à Charlotte, en Caroline du Nord, en octobre 2022. La première conférence initiale dans le cadre de la nouvelle class action MDL Gardasil se concentrera sur la sélection des avocats qui feront partie du comité de direction ou de pilotage des plaignants.

Ce comité est composé d’avocats représentant les plaignants dans le MDL Gardasil. Les avocats des plaignants ont initialement montré peu d’intérêt pour le procès Gardasil, mais la certification de l’action collective contribuera à sensibiliser certains avocats à la viabilité de ces procès. Il sera donc intéressant de voir quels avocats poseront leur candidature au comité de pilotage.

Le comité est chargé de prendre des décisions pour tous les autres plaignants du Gardasil. La conférence abordera également d’autres questions administratives, telles que la création de formulaires de plaidoirie et d’un plan de communication de pièces – en d’autres termes, comment donner le coup d’envoi à ce litige.

Qu’est-ce que le HPV ?

Le papillomavirus humain (HPV pour Human Papillomavirus)) est une infection virale qui se transmet par contact cutané, en particulier par contact sexuel. Il existe plus de 200 souches d’HPV, dont plus de 40 peuvent être transmises par voie sexuelle.

Le papillomavirus est la maladie sexuellement transmissible la plus courante et on estime que la majorité des personnes sexuellement actives le contracteront un jour ou l’autre. Toutefois, plus de 90 % des infections à HPV ne provoquent aucun symptôme clinique et sont éliminées naturellement par le système immunitaire de l’organisme. Seul un nombre limité de souches de HPV, environ 12 à 18, est lié au cancer du col de l’utérus.

Les infections persistantes par ces souches peuvent provoquer des lésions précancéreuses, qui peuvent être détectées par frottis et éliminées. Le tabagisme et d’autres facteurs peuvent également augmenter le risque de cancer du col de l’utérus.

Le test Pap (NdT : test Papanicolaou, test à partir d’un frotti) est la réponse de santé publique de première ligne la plus efficace contre la maladie et a permis de réduire les taux de cancer du col de l’utérus dans les pays développés jusqu’à 80 %. Le cancer du col de l’utérus est dans une large mesure traitable, avec un taux de survie à cinq ans de plus de 90 % lorsqu’il est détecté à un stade précoce. Merck a cherché à accélérer la mise sur le marché d’un vaccin destiné à prévenir l’infection par quatre types d’HPV, mais seules deux de ces souches sont associées au cancer.

Poursuites judiciaires concernant le vaccin HPV Gardasil

Gardasil® est un vaccin mis au point par Merck & Co. pour prévenir le HPV (papillomavirus humain). Merck a obtenu l’approbation du Gardasil en 2006 grâce à des essais de recherche trompeurs, qui ont exagéré les avantages et largement sous-estimé les risques et les effets secondaires du vaccin. Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques de peur, de la publicité mensongère et des lobbyistes politiques pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes avec le Gardasil.

Aujourd’hui, des milliers de jeunes filles ayant reçu le vaccin Gardasil subissent de graves conséquences sur leur santé, et des centaines d’entre elles sont décédées à la suite de complications liées au vaccin. Notre cabinet est actuellement à la recherche de nouveaux cas de Gardasil. Si vous avez reçu le vaccin Gardasil contre le papillomavirus et que vous avez par la suite subi des effets secondaires, des complications ou d’autres événements indésirables pouvant être liés au vaccin, appelez-nous dès aujourd’hui au 800-553-8082 pour une consultation gratuite afin de discuter de ce qu’un procès Gardasil pourrait faire pour vous.

Approbation du vaccin Gardasil

Gardasil est un vaccin censé protéger contre le HPV. Le HPV est une infection virale très répandue qui se transmet par contact cutané. Le HPV est la maladie sexuellement transmissible la plus courante, et la majorité des personnes contracteront le HPV à un moment ou à un autre de leur vie. La plupart des cas de HPV sont bénins, mais s’ils ne sont pas traités, un très faible pourcentage de cas de HPV chez les femmes peut évoluer vers un cancer du col de l’utérus.

Merck a obtenu une autorisation accélérée de la FDA pour Gardasil en juin 2006. À l’époque, Merck était encore sous le choc des pertes d’un milliard de dollars encourues après avoir été contraint de retirer son médicament Vioxx du marché. Au sein de Merck, Gardasil était décrit comme le « Saint Graal » qui aiderait l’entreprise à remplacer les revenus perdus à cause du Vioxx. Les cadres de Merck disaient souvent que « HPV » signifiait « Help Pay for Vioxx » (aide à payer pour le Vioxx).

Au cours de la procédure d’approbation accélérée, Merck a dissimulé des faits importants concernant l’efficacité (ou l’absence d’efficacité) et la sécurité de Gardasil. Merck n’a pas effectué d’investigations et d’études médicales complètes et appropriées au cours des phases de préapprobation ou de post-approbation.

Les essais cliniques entrepris par Merck n’ont même pas examiné le potentiel de Gardasil à prévenir le cancer, mais ont seulement analysé si Gardasil pouvait prévenir des conditions précurseurs potentielles. Merck a ensuite présenté des données trompeuses suggérant que ces « conditions précurseurs » aboutissent inexorablement à un cancer.

La campagne de marketing mensongère de Merck pour promouvoir le Gardasil

Avant et après l’approbation du Gardasil, Merck s’est livrée à des tactiques de marketing peu scrupuleuses visant à exagérer les risques associés au HPV et la prétendue efficacité du Gardasil afin d’effrayer le public et de l’amener à accepter des vaccinations massives avec le vaccin Gardasil.

Avant Gardasil, il n’y avait pas d’urgence de santé publique liée au HPV aux États-Unis et peu de femmes avaient entendu parler du HPV, de sorte que la demande de vaccin contre le HPV était faible, voire inexistante. Pour garantir le succès financier de son nouveau « Saint-Graal », Merck a précédé le lancement du Gardasil par des années de marketing coûteux de « sensibilisation à la maladie » du papillomavirus.

Une fois que Gardasil a été autorisé pour les préadolescentes, Merck a lancé une campagne de propagande agressive visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n’avaient pas vacciné leurs filles avec Gardasil. La campagne de Merck impliquait que les « bons parents » vaccinent leurs enfants avec Gardasil.

Au cours de ces efforts de marketing agressifs, Merck a frauduleusement dissimulé les risques et les dangers connus du vaccin anti-HPV tout en exagérant son efficacité. Merck a commercialisé le Gardasil avec la campagne la plus agressive jamais organisée pour promouvoir un vaccin, en dépensant plus pour la publicité du Gardasil que pour toute autre campagne publicitaire antérieure sur les vaccins.

Implications dans la vie réelle de la soif de profits de Merck

Le lobbying politique de Merck pour rendre le Gardasil obligatoire

Outre sa campagne publicitaire agressive, Merck a également eu recours à des lobbyistes politiques et à des incitations financières pour amener les assemblées législatives des États à rendre le vaccin Gardasil obligatoire pour tous les enfants scolarisés. À partir de 2004, Merck a injecté des millions dans des organisations de lobbying politique telles que ‘Les Femmes dans le Gouvernement’ ( Women in Government ) et NACCHO. Ces organisations ont alors commencé à faire pression de manière agressive sur les législateurs du pays ( pushing legislators ) pour qu’ils rendent obligatoires les vaccins Gardasil pour toutes les filles de 6ème (NdT : 11 à 12 ans).

Merck a complété ces lobbyistes rémunérés par des contributions à des campagnes politiques et des millions de dollars de financement direct aux départements de santé des États. Entre 2012 et 2018, Merck a versé directement 92 millions de dollars au ministère de la santé du Maryland pour la promotion des vaccins Gardasil dans les écoles publiques. Ce financement a essentiellement permis de payer les responsables des écoles pour qu’ils trompent les élèves et les parents en leur faisant croire (deceive students and parents ) que la vaccination par Gardasil était obligatoire.

Merck a présenté de manière erronée l’efficacité de Gardasil

Pour convaincre les organismes de réglementation et les responsables de la santé publique d’accepter le Gardasil, les poursuites judiciaires relatives au Gardasil allèguent que Merck a présenté de manière erronée l’efficacité du vaccin en annonçant faussement que le Gardasil prévient le cancer du col de l’utérus. Aucune étude crédible ne démontre que Gardasil prévient le cancer du col de l’utérus.

Merck n’a pas voulu investir le temps et l’argent nécessaires pour effectuer des tests qui prouveraient que son vaccin prévient le cancer du col de l’utérus. Au lieu de cela, Merck a persuadé les autorités réglementaires de l’autoriser à utiliser des « critères de substitution » pour étayer sa théorie selon laquelle les vaccins anti-HPV seraient efficaces pour prévenir le cancer du col de l’utérus. L’utilisation de ces critères de substitution a permis à Merck de raccourcir les essais cliniques à quelques années et d’obtenir l’approbation réglementaire des vaccins sans aucune preuve que les vaccins préviendraient le cancer à long terme.

En janvier 2020, une étude britannique a soulevé des doutes importants quant à la prévention du cancer du col de l’utérus par le vaccin Gardasil, comme le prétendait Merck. L’étude souligne le fait qu’il n’a jamais été prouvé que le Gardasil prévenait le cancer du col de l’utérus (ou tout autre type de cancer).

Gardasil pourrait AUGMENTER le risque de cancer du col de l’utérus

Contrairement aux affirmations de Merck, le Gardasil pourrait augmenter le risque de cancer du col de l’utérus et d’autres cancers, et non les prévenir. Plusieurs études (dont une du CDC qui, jusqu’à présent, a toujours soutenu le vaccin) ont montré qu’en supprimant certaines souches de HPV, les vaccins Gardasil peuvent favoriser des changements mutagènes dans le virus qui peuvent conduire au cancer.

Les données de santé publique semblent étayer la conclusion selon laquelle le Gardasil pourrait augmenter le taux de cancer du col de l’utérus. Après l’introduction du vaccin contre le HPV en Grande-Bretagne, les taux de cancer du col de l’utérus chez les jeunes femmes âgées de 25 à 29 ans ont augmenté de 54 %.

En Australie, 13 ans après la mise sur le marché du Gardasil et sa diffusion auprès des adolescents, il y a eu une augmentation de 16 % chez les femmes de 25 à 29 ans et de 30 % chez les femmes de 30 à 34 ans. Parallèlement, les taux diminuent chez les femmes plus âgées (qui n’ont pas été vaccinées).

En d’autres termes, le Gardasil peut augmenter le risque de cancer. C’est ce qui constituera l’essentiel de la demande pour certaines victimes qui intentent un procès contre le vaccin Gardasil. Mais il reste encore des recherches à faire sur cette question.

Pour la plupart des femmes qui intentent un procès contre le Gardasil pour effets secondaires à long terme ou troubles auto-immuns, l’accent ne sera pas mis de savoir si le Gardasil aide à prévenir le cancer du col de l’utérus. L’accent sera mis sur l’autre effet secondaire que le Gardasil peut provoquer et auquel les gens, principalement les filles, ne s’attendaient pas lorsqu’elles ont reçu le vaccin contre le HPV.

Les effets secondaires à long terme et troubles auto-immuns du Gardasil HPV

Des recherches scientifiques récentes ont montré que le Gardasil induit et augmente le risque de nombreux effets secondaires à long terme liés à des troubles auto-immuns. Plus précisément, le Gardasil a été associé aux maladies auto-immunes suivantes :

  • syndrome de Guillain-Barré
  • syndrome de tachycardie orthostatique posturale
  • polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique
  • sclérose en plaques

Le Gardasil a également été associé à une myriade d’effets secondaires à long terme liés à des maladies auto-immunes induites, y compris des dangers tels que la fibromyalgie, la dysautonomie, l’insuffisance ovarienne prématurée, le syndrome de fatigue chronique et le syndrome de douleur régionale chronique, des migraines, des maux de tête sévères, des malaises gastro-intestinaux persistants, des douleurs généralisées à caractère neuropathique, le syndrome d’encéphalite, des dysfonctionnements autonomes, des douleurs articulaires et un brouillard cérébral.

Divers articles publiés dans des revues médicales ont discuté de l’association entre le Gardasil et une myriade de lésions graves et ont fait état de patientes développant un POTS (NdT : Postural Orthostatic Tachycardia – syndrome de tachycardie orthostatique posturale, trouble de la circulation sanguine), une IO (NdT : Osteogenesis imperfecta,- Ostéogénèse Imparfaite, fragilité des os) une fibromyalgie et d’autres symptômes de déficience autonome des années plus tard après avoir été vaccinées par le Gardasil. Notre cabinet se concentre sur les demandes d’indemnisation pour insuffisance ovarienne prématurée.

Le Gardasil lié à une insuffisance ovarienne prématurée

L’insuffisance ovarienne prématurée est l’un des effets secondaires les plus graves pouvant être provoqués par le vaccin Gardasil contre le papillomavirus. L’insuffisance ovarienne prématurée (également appelée insuffisance ovarienne primaire) survient lorsque les ovaires cessent de fonctionner et de produire des ovules avant l’âge de 40 ans et avant la ménopause.

L’insuffisance ovarienne prématurée est associée à une production anormale d’œstrogènes dans les ovaires. L’insuffisance ovarienne prématurée est une affection grave car elle peut entraîner la stérilité. De nombreux facteurs peuvent entraîner une insuffisance ovarienne prématurée, tels qu’une défaillance auto-immune, des anomalies du chromosome X, des causes idiopathiques, des toxines et, bien sûr, l’ablation des ovaires.

Plusieurs études médicales récentes ont révélé que l’insuffisance ovarienne prématurée peut être déclenchée par une réaction auto-immune au vaccin Gardasil HPV. Cette réaction se produit lorsque le système immunitaire de l’organisme produit des anticorps qui attaquent le tissu des ovaires qui contient les ovules.

La première étude importante établissant un lien entre l’insuffisance ovarienne prématurée et le vaccin Gardasil a été publiée en 2020 et a identifié un nombre disproportionné de rapports d’événements indésirables liés au vaccin impliquant une insuffisance ovarienne prématurée et une ménopause prématurée. Une étude de suivi a été publiée (published ) en mars 2022 dans la revue Drugs Real World Outcomes (NdT : c’est le NIH – National Institute of Health, l’Institut National de la Santé qui a publié dans la National Library of Health, Bibliothèque Nationale de la Santé). Cette étude a également conclu à l’existence d’un lien potentiel entre l’insuffisance ovarienne prématurée et le vaccin contre le papillomavirus.

  • Étude de (Case study ) cas sur le lien entre l’insuffisance ovarienne prématurée et le vaccin contre le HPV.

Poursuites judiciaires Gardasil

L’émergence de preuves récentes établissant un lien entre le Gardasil et divers troubles auto-immuns et autres problèmes de santé a donné lieu à des poursuites en responsabilité du fait des produits Gardasil à l’encontre de Merck. Ces procès sont intentés par des femmes qui ont développé une maladie auto-immune et d’autres problèmes de santé graves tels que le syndrome de tachycardie orthostatique (POTS).

Les actions en justice contre Gardasil accusent Merck d’avoir dissimulé frauduleusement des preuves concernant les risques pour la santé du Gardasil tout en le présentant faussement comme un vaccin capable de prévenir le cancer du col de l’utérus. Les plaintes contre Merck dans le cadre d’un procès Gardasil comprennent les plaintes traditionnelles en responsabilité civile du fait des produits, telles que le défaut de mise en garde, le défaut de fabrication et la négligence.

Le recours collectif contre Gardasil comprend également des plaintes pour fraude. Ces dernières sont moins courantes dans les procès en responsabilité du fait des produits, soulignant à quel point les avocats de Gardasil se sentent à propos de la conduite de Merck.

Peu d’avocats spécialisés dans le Gardasil demandent un rappel du Gardasil. Il est important de comprendre cela pour apprécier ce qu’un procès Gardasil cherche à obtenir. Ce n’est pas que le Gardasil soit déraisonnable pour tout le monde, et c’est pourquoi il n’y a pas de vague de fond en faveur d’un rappel. Le problème est que les patients, les médecins et les parents auraient dû recevoir des informations précises sur les avantages et les effets secondaires du Gardasil.

Notre cabinet recherche actuellement de nouveaux cas Gardasil pour toute personne ayant reçu le vaccin Gardasil et ayant été diagnostiquée par la suite avec des troubles auto-immuns tels que des maladies auto-immunes et d’autres problèmes de santé graves tels que le le syndrome de tachycardie orthostatique (POTS) ou l’un des problèmes de santé connexes suivants :

Syndrome de Guillain–Barré Intolérance orthostatique
Neuropathie à petites fibres Polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique
Lupus érythémateux disséminé Sclérose en plaques
Pancréatite auto-immune Hépatite auto-immune
Fibromyalgie Insuffisance ovarienne précoce
Syndrome douloureux régional chronique

Le procès Gardasil et la loi sur les vaccins

En mars 2022, un juge fédéral du Nevada a rejeté une action en justice concernant le Gardasil au motif qu’elle était « partiellement » exclue du champ d’application de la loi sur les vaccins (Vaccine Act). La loi sur les vaccins est une loi fédérale qui interdit les plaintes pour défaut de conception et certaines plaintes pour défaut de mise en garde à l’encontre des fabricants de vaccins, mais qui autorise les plaintes pour négligence.

Dans l’affaire Flores v. Merck & Co, la plaignante allègue qu’après avoir reçu le vaccin Gardasil contre le papillomavirus, son corps s’est effondré. Elle a souffert de vertiges, de fatigue et de nausées, et ces symptômes se sont progressivement aggravés au fil du temps.

Merck a déposé une requête en irrecevabilité fondée sur la loi nationale sur les blessures causées par les vaccins aux enfants (National Childhood Vaccine Injury Act – NCVIA). Qu’est-ce que la loi sur les vaccins ? La loi sur les vaccins est une loi adoptée en 1986 qui a créé un programme d’indemnisation sans égard à la faute pour les lésions causées par les vaccins chez les enfants.

Le tribunal a convenu avec Merck que la plainte pour négligence du plaignant était une plainte pour défaut de conception « mal déguisée » et, par conséquent, interdite par la loi sur les vaccins. Le tribunal a également estimé que l’action pour défaut de mise en garde, telle qu’elle était formulée dans le procès Gardasil du demandeur, semblait être exclue par la loi sur les vaccins et devait être rejetée.

Bien que le juge ait finalement rejeté toutes les demandes de la plaignante, la plupart des rejets étaient « sans préjudice », ce qui signifie que la plaignante a la possibilité de « réessayer » en réécrivant ses demandes et en déposant une plainte modifiée.

Le procès Gardasil n’est donc pas mort. Mais une plainte modifiée doit préciser que la plainte pour négligence n’est pas une plainte pour défaut de conception. En ce qui concerne la plainte pour défaut de mise en garde, la plainte modifiée doit simplement clarifier les allégations selon lesquelles Merck n’a pas mis en garde les prestataires médicaux du plaignant contre les risques spécifiques associés au vaccin Gardasil. Une plainte modifiée a été déposée. Et, oui, Merck a déposé une nouvelle requête en irrecevabilité.

Mais la loi sur les vaccins constitue un problème pour ceux qui souhaitent intenter un procès contre Gardasil. Chaque avocat de Gardasil doit trouver un moyen de contourner la loi. Dans le cas contraire, l’action en justice relative à Gardasil sera jugée irrecevable, ce qui obligera la victime à demander une indemnisation au titre du programme national d’indemnisation des victimes de vaccins (National Vaccine Injury Compensation Program). Ces indemnités seront bien inférieures à celles que les jurés accorderaient dans le cadre d’un procès civil s’ils croyaient en la plainte de la victime.

Contactez-nous au sujet d’un procès concernant le vaccin HPV Gardasil

Si vous pensez avoir développé une maladie auto-immune ou un autre problème de santé à cause d’un vaccin HPV Gardasil, vous devriez envisager de porter plainte dans un recours contre Gardasil afin d’obtenir un verdict ou un règlement équitable pour les dommages que vous avez subis. Appelez un avocat spécialiste Gardasil dès aujourd’hui pour une consultation gratuite au 800-553-8082 ou obtenez une consultation gratuite en ligne free online consultation.


Observation à long terme des effets indésirables possibles chez les adolescentes japonaises après la vaccination contre le papillomavirus humain

[Source de l’étude : ncbi.nlm.nih.gov]

Par Akiyo Hineno1,2 and Shu-Ichi Ikeda1,3,* – Gloria Calagna, Academic Editor

Résumé

Au Japon, un nombre important d’adolescentes ont présenté des symptômes inhabituels après avoir été vaccinées contre le virus du papillome humain (HPV). La grande majorité d’entre elles ont d’abord été diagnostiquées comme souffrant de maladies psychiatriques en raison de l’absence d’images radiologiques pathologiques et d’anomalies spécifiques dans les résultats des tests de laboratoire. Par la suite, ces symptômes ont été considérés comme des effets indésirables de la vaccination contre le papillomavirus. Cependant, un lien de causalité entre la vaccination contre le HPV et l’apparition de ces symptômes n’a pas été démontré. Entre juin 2013 et mars 2021, nous avons examiné 200 patients ayant présenté divers symptômes après la vaccination contre le HPV. Au total, 87 d’entre eux ont été diagnostiqués comme présentant des symptômes liés à la vaccination contre le HPV sur la base des critères diagnostiques que nous avons proposés. Les antécédents cliniques de ces 87 patients ont été analysés. L’âge au moment de la première vaccination allait de 11 à 19 ans (moyenne ± écart-type : 13,5 ± 1,5 ans), et l’âge au moment de la première apparition des symptômes allait de 12 à 20 ans (moyenne ± écart-type : 14,3 ± 1,6 ans). Les patients ont reçu une première injection de vaccin anti-HPV entre mai 2010 et mai 2013, mais le premier patient affecté a développé des symptômes en octobre 2010, et le dernier a développé des symptômes en octobre 2015. Un groupe de patients atteints d’un trouble post-vaccination contre le HPV n’est pas apparu au Japon au cours des cinq dernières années. Notre étude montre qu’au Japon, la période de vaccination contre le HPV a considérablement chevauché celle du développement d’un trouble post-vaccination contre le HPV unique en son genre. Ce trouble apparaît comme une combinaison d’intolérance orthostatique, de syndrome douloureux régional chronique et de dysfonctionnement cognitif, mais sa pathogénie exacte reste incertaine.

1. Introduction

L’infection par le papillomavirus humain (HPV) joue un rôle crucial dans le développement des cancers du col de l’utérus (1). C’est pourquoi, en mai 2010, les vaccins contre le HPV, Cervarix® (GlaxoSmithKline, Brentford, UK), un vaccin bivalent recombinant contre le papillomavirus, et Gardasil® (Merck & Co, Inc., Kenilworth, NJ, USA), un vaccin quadrivalent recombinant contre le papillomavirus, ont été largement introduits chez les adolescentes japonaises (2,3). Depuis avril 2013, les adolescentes âgées de 13 à 16 ans sont légalement tenues de se faire vacciner. Peu de temps après le début de ce programme de vaccination, un nombre important de jeunes filles vaccinées se sont plaintes d’un trouble unique composé de mouvements involontaires violents et tremblants, de douleurs chroniques et de faiblesses dans les membres. Les médias japonais ont largement rapporté qu’une combinaison de ces symptômes n’avait jamais été observée auparavant, suggérant que ce trouble était une réaction indésirable possible à la vaccination contre le papillomavirus. Les présentations répétées à la télévision de femmes vaccinées souffrantes ont eu un fort impact sur la société japonaise, forçant le ministère japonais de la santé publique, du travail et de la protection sociale à retirer la recommandation de vaccination contre le HPV à la fin du mois de juin 2013 (4). Simultanément, un comité spécial a été mis en place pour enquêter sur les femmes japonaises affectées, et notre institution a été l’un des centres d’enquête au cours des huit dernières années.

Dans nos deux rapports précédents (5,6), nous avons décrit les caractéristiques cliniques et les critères de diagnostic des femmes japonaises concernées par le trouble post-vaccination contre le papillomavirus. Ce trouble semble inclure une dysrégulation orthostatique, un syndrome douloureux régional chronique (SDRC) et un dysfonctionnement cognitif (5,6,7). Les réactions auto-immunes anormales post-vaccinales sont supposées être responsables de ce trouble (8,9 ), mais aucun lien de cause à effet n’a été établi entre la vaccination contre le HPV et l’apparition de ces symptômes. C’est pourquoi, dans cette étude, nous avons tenté de clarifier la relation temporelle entre la vaccination contre le HPV et le développement de cette maladie particulière, en nous basant sur l’observation à long terme des femmes japonaises touchées, effectuée par notre centre unique.

2. Matériels et méthodes

Entre juin 2013 et mars 2021, nous avons examiné les symptômes et les résultats objectifs de 200 patientes vaccinées contre le HPV. Conformément aux critères diagnostiques que nous avons proposés (6 ), nous avons recueilli les informations nécessaires sur les patientes, en accordant une attention particulière à la durée écoulée entre la vaccination et l’apparition des premiers symptômes soupçonnés d’être liés au vaccin. Les patientes ont subi des examens physiques et neurologiques ainsi que des tests de laboratoire de routine. La température de la peau et un pléthysmogramme numérique ont été enregistrés et, si nécessaire, le test de Schellong a été effectué. En outre, des tests neuropsychologiques et une imagerie cérébrale fonctionnelle ont été réalisés chez les patientes présentant un dysfonctionnement cognitif. Les détails de ces méthodes sont décrits dans nos rapports précédents (5,6). Le protocole de l’étude a été approuvé par l’Institutional Review Board – Comité d’Examen Institutionnel (approbation n° 4128 et 4150) de la Shinshu University School of Medicine, Matsumoto, Japon.

3. Résultats

Au cours des huit dernières années, 200 patientes ont consulté notre hôpital en raison d’une suspicion d’effets indésirables liés au vaccin contre le HPV (33 patientes en 2013, 43 en 2014, 38 en 2015, 49 en 2016, 25 en 2017, 8 en 2018, 4 en 2019, 0 en 2020, 0 en 2021). Parmi elles, nous avons exclu 19 patientes qui présentaient des symptômes avant la vaccination et 5 qui ont reçu le vaccin anti-HPV après l’âge de 30 ans. Nous avons également exclu 28 autres patientes dont les symptômes ou les troubles s’expliquaient par des maladies connues ou qui présentaient des données de laboratoire anormales, à savoir huit patientes atteints d’épilepsie, six patientes souffrant de troubles psychiatriques ou anxieux, trois patients atteints de lupus érythémateux disséminé, une patiente souffrant d’arthrite juvénile idiopathique, une patiente souffrant de polymyosite avec anticorps anti-SGPS et neuf patientes souffrant d’autres maladies. Pour les 148 patientes restantes, les manifestations cliniques et les résultats objectifs ont été analysés. Les résultats ont montré que 32 patientes ont été diagnostiquées avec des symptômes certains liés au vaccin, et 55 avec des symptômes probables liés au vaccin. Les symptômes et signes des 87 patientes diagnostiquées sont résumés dans le tableau 1 (Table 1). Le symptôme le plus fréquent était une fatigue générale prolongée, qui entraînait une incapacité à se réveiller et à aller à l’école le matin. Des céphalées sévères, des douleurs étendues aux membres et au tronc et des symptômes dysautonomiques, notamment des évanouissements orthostatiques et des dysfonctionnements intestinaux, étaient également à l’origine d’une diminution marquée de l’activité quotidienne des patientes. En outre, la douleur généralisée se manifestait typiquement par une douleur articulaire migratoire sans aucun signe d’inflammation, et une douleur névralgique intermittente dans la poitrine ou la paroi abdominale était fréquente. Le dysfonctionnement moteur présentait des schémas variables, mais la faiblesse dominante distale des membres, qui imitait celle de la polyneuropathie, était prédominante. Les sensations anormales étaient principalement observées au niveau des cuisses ou de la partie inférieure des jambes, où la dysesthésie ou l’allodynie étaient fréquentes. Par rapport à ces symptômes, les troubles de l’apprentissage et du sommeil sont apparus plus tardivement. Les patientes se sont plaintes d’un manque de clarté mentale. Les résultats objectifs fréquemment observés étaient une dysrégulation orthostatique, y compris le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS), des enregistrements anormaux du pléthysmogramme numérique et des anomalies sur les images SPECT du cerveau. Les détails de ces observations ont été décrits dans un rapport précédent (6).

Tableau 1

Fréquence des symptômes et des signes chez les 87 patientes étudiées.

Symptômes Nombre de cas Fréquence (%)
Fatigue générale 73 83.9
Maux de tête intenses 72 82.8
Douleur généralisée 71 81.6
Symptômes dysautonomiques 71 81.6
Dysfonctionnement de la motricité 56 64.4
Sensations anormales 52 59.8
Troubles de l’apprentissage 52 59.8
Troubles du sommeil 44 50.6
Anomalies de la menstruation 44 50.6
Tremblement des membres 41 47.1

La distribution temporelle de la période de vaccination initiale et de l’apparition du premier symptôme chez les 87 patients diagnostiqués est présentée dans la Figure 1. La période de vaccination initiale s’étend de mai 2010 à mai 2013, et l’âge au moment de la vaccination initiale varie de 11 à 19 ans (moyenne ± écart-type : 13,5 ± 1,5 ans). Par ailleurs, le premier symptôme est apparu entre octobre 2010 et octobre 2015, et l’âge d’apparition des premiers symptômes était compris entre 12 et 20 ans (moyenne ± écart-type : 14,3 ± 1,6 ans). Ainsi, le délai entre la première dose de vaccin et l’apparition des symptômes était compris entre 0 et 1532 jours (médiane : 199 jours). L’intervalle entre l’apparition des symptômes et notre premier examen allait de 0 à 85 mois (médiane : 31 mois), indiquant la durée de la maladie chez les patients avant qu’ils ne se rendent dans notre centre.

Figure 1 (ci-dessous)

Relation temporelle entre la vaccination contre le HPV et l’apparition de symptômes chez les patients diagnostiqués comme présentant des symptômes liés au vaccin contre le HPV. La période présentée ici s’étend de mai 2010 à mars 2021. (a) Nombre de patients ayant reçu la première injection du vaccin anti-HPV chaque mois. La flèche indique la date à laquelle le ministère japonais de la santé publique, du travail et des affaires sociales a cessé de recommander la vaccination contre le papillomavirus. (b) Nombre de patients ayant développé des symptômes chaque mois. (c) Nombre de patients qui ont consulté notre établissement et ont été diagnostiqués comme souffrant d’un trouble post-vaccination contre le HPV chaque mois.

La relation temporelle entre la vaccination contre le HPV et l’apparition des symptômes était la suivante : la première injection du vaccin contre le HPV a eu lieu en mai 2010 et la dernière en mai 2013 (Figure 1a). La première femme vaccinée affectée a développé des symptômes en octobre 2010, et la dernière apparition des symptômes a eu lieu chez deux patientes en octobre 2015 ; la période de pointe de la première injection du vaccin anti-HPV semble se situer entre juillet 2011 et septembre 2012, et celle du développement de symptômes post-vaccinaux uniques est apparue entre septembre 2011 et août 2013 (Figure 1a,b). Au cours des cinq années précédentes, nous n’avons examiné aucune patiente nouvellement affectée par ces symptômes uniques (Figure 1b).

4. Discussion

L’innocuité du vaccin anti-HPV a été rapportée dans les pays où la vaccination anti-HPV est prédominante (10,11,12 )En Australie notamment, bien qu’une syncope se produise parfois après la vaccination HPV, la fréquence d’autres effets indésirables graves, notamment le syndrome post-traumatique, le syndrome de fatigue chronique, l’insuffisance ovarienne primaire, le syndrome de Guillain-Barré, les maladies auto-immunes et la thrombose veineuse, est très faible, ce qui suggère qu’il n’y a pas de lien de cause à effet (13 ). Cependant, le risque potentiel de vaccination contre le HPV et de dysautonomie, de CRPS ( Complex regional pain syndrome – syndrome douloureux régional complexe (SDRC) est un terme général décrivant une douleur et une inflammation excessives et prolongées) et de syndrome de fatigue chronique a été identifié sur la base d’une série de rapports de cas provenant de différents pays (14,15,16,17,18,19). Les questions de sécurité concernant les vaccins contre le papillomavirus restent donc controversées (20).

Selon les rapports d’un comité spécial japonais(21,22), 3,39 millions de Japonaises ont été vaccinées contre le papillomavirus entre mai 2010 et novembre 2016, et 2024 personnes ont été signalées comme ayant des effets indésirables, dont 673 ont présenté des symptômes graves. Cependant, l’incidence des effets indésirables au cours de cette période de vaccination a été jugée faible et non significative, même si des symptômes similaires n’ont pas été observés à la suite d’autres vaccins.

Les manifestations cliniques variables des troubles post-vaccination contre le HPV peuvent s’expliquer par une combinaison de dysrégulation orthostatique, se manifestant principalement sous la forme d’un syndrome de stress post-traumatique (POTS), de syndrome douloureux régional complexe (NdT : voir ci-dessus CRPS) et/ou d’un dysfonctionnement cognitif (5,6,23). Des recherches récentes ont montré que parmi le POTS, le SDRC et l’encéphalomyélite myalgique/fatigue chronique (EM/SFC), certaines conditions se chevauchent (24,25,26) ; en particulier pour le dysfonctionnement cognitif, la lenteur de la pensée, la difficulté à se concentrer, le manque de concentration, l’oubli et la confusion sont couramment observés dans les trois troubles et correspondent à un flou dans le processus de pensée, que l’on appelle actuellement « brouillard cérébral » (27). Ainsi, le dysfonctionnement cognitif observé chez les patients souffrant de troubles post-vaccination contre le HPV pourrait être un état pathologique induit secondairement par le POTS et/ou le CRPS de longue durée. En outre, le SOPT, le CRPS et l’EM/SFC semblent présenter des anomalies auto-immunes similaires (28) , et quelques études préliminaires (29,30,31,32,33 ) et rapports de cas (34,35,36,37) ont montré que la présence d’auto-anticorps sériques contre les récepteurs des nerfs autonomes pourrait être un facteur déterminant dans la pathogenèse de ces trois troubles. En relation avec cette hypothèse, nous avons étudié les auto-anticorps dirigés contre les récepteurs des nerfs autonomes dans le sérum des patients atteints et avons révélé que les taux sériques d’auto-anticorps dirigés contre les récepteurs adrénergiques et les récepteurs muscariniques de l’acétylcholine étaient significativement plus élevés chez les patients vaccinés contre le papillomavirus que chez les témoins (38). Cependant, il n’y avait pas d’association statistiquement significative entre les symptômes cliniques et les taux sériques élevés de ces auto-anticorps. D’autres études sont donc nécessaires pour envisager la possibilité de réactions auto-immunes anormales liées à la vaccination contre le HPV.

Dans notre rapport précédent (6), nous avons décrit une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin HPV et l’apparition d’éventuels symptômes indésirables chez 72 patients japonais, sur la base d’une observation de quatre ans. Dans la présente étude, nous avons étendu cette période d’observation à près de huit ans et le nombre de patients diagnostiqués est passé à 87, réaffirmant que la période de vaccination contre le papillomavirus s’est considérablement chevauchée avec celle du développement d’un trouble post-vaccinal unique dans notre pays. Au Japon, la couverture vaccinale contre le papillomavirus des jeunes filles âgées de 12 à 16 ans est tombée à moins de 1 % après l’abandon de la recommandation gouvernementale (39), et au cours des trois dernières années, peu de jeunes filles sont venues nous voir pour des évaluations concernant un trouble post-vaccinal présumé lié au papillomavirus. Ces observations indiquent que les injections intensives de vaccins anti-HPV entre mai 2010 et mai 2013 ont induit un groupe de patientes japonaises présentant un trouble post-vaccination anti-HPV unique. Le Japon n’est pas le seul pays exceptionnel où le taux de vaccination contre le HPV a été extrêmement bas au cours des dernières années ; des pays d’Amérique latine, comme la Colombie, ont suivi un schéma similaire (40 ). Les réactions indésirables aux vaccins HPV semblent être influencées par différents contextes génétiques, culturels et/ou religieux. Ces affections, qui ne s’accompagnent pas d’images radiologiques ou de données de laboratoire anormales, sont souvent difficiles à diagnostiquer, ce qui conduit facilement au piège du diagnostic de maladie psychiatrique.

Néanmoins, s’il est possible que des effets indésirables surviennent après la vaccination contre le HPV, ces résultats ne signifient pas nécessairement que l’utilité de ce vaccin pour la prévention du cancer du col de l’utérus est remise en question (41). Si les informations rapportées dans cette étude sont fournies et largement disponibles lors de l’introduction des vaccins HPV, il est probable qu’il n’y aura pas de désapprobation sociale pour la vaccination anti-papillomavirus (All Japan Coordinating Association of HPV Sufferers – Association japonaise de coordination des malades du papillomavirus) au Japon. Les vaccins contre le papillomavirus sont prophylactiques et non thérapeutiques, et les effets indésirables graves ne sont donc pas acceptables, même si leur incidence est faible. Une surveillance étendue et une discussion ouverte sont recommandées pour garantir la sécurité de l’annonce des vaccins HPV (42).

Contributions des auteurs

Conceptualisation, A.H. et S.-I.I. ; conception de cette étude, A.H. et S.-I.I. ; analyse des données, A.H. ; rédaction du manuscrit, A.H. et S.-I.I. Les deux auteurs ont lu et approuvé la version publiée du manuscrit.

Financement (NdT : Financement de l’étude)

Ce travail a bénéficié d’une subvention du Ministère Japonais de la Santé Publique, du Travail et des Affaires Sociales pour la recherche sur les maladies infectieuses émergentes et ré-émergentes (Mise en place d’un système de diagnostic et de traitement des symptômes après la vaccination contre le papillomavirus, n° de subvention 19HA1006) accordée à S.-I.I.

Déclaration du comité d’examen institutionnel

L’étude a été menée conformément aux directives de la Déclaration d’Helsinki et approuvée par le comité d’examen institutionnel (approbation n° 4128 et 4150) de l’Ecole de Médecine de l’Université Shinshu, à Matsumoto, au Japon.

Déclaration de consentement éclairé

Le consentement éclairé de tous les sujets participant à l’étude a été obtenu

Conflits d’intérêts

Les auteurs ne déclarent aucun conflit d’intérêt directement lié au contenu de cette étude.

Notes de bas de page

Note de l’éditeur : le MDPI reste neutre en ce qui concerne les revendications juridictionnelles dans les cartes publiées et les affiliations institutionnelles.

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Voici un témoignage bouleversant (légèrement raccourci) de 2019 :

Mon histoire de lésions causées par le vaccin HPV Gardasil

[Source : cga.ct.gov]

Par Brianne Neal

En ce qui concerne mes blessures dues à cette vaccination, l’histoire est très claire, noire et blanche : j’étais en bonne santé et me sentais bien depuis toujours, jusqu’à l’âge de 26 ans et la fin de mon diplôme d’infirmière BSN (NdT : BSN pour Bachelor of Science in Nursing – Baccalauréat en sciences infirmières) lorsque j’ai reçu la première des 3 injections Gardasil-7, et ensuite je ne l’étais plus.

J’ai consenti au vaccin Gardasil en tant que fiancée d’un militaire, il s’agissait d’un vaccin recommandé par l’armée à toutes les épouses et à tous les proches, et je voulais faire tout ce qui était « bien » et appartenir à l’armée, et être la parfaite « femme de l’armée ». Je n’avais pas réalisé que la plupart des épouses avaient refusé cette vaccination.

Je n’ai reçu aucune information sur les excipients ou les ingrédients de ce vaccin, ni sur les risques et les effets indésirables potentiels lorsque je me suis rendue chez mon médecin pour le recevoir. J’ai demandé précisément à quoi il servait – on m’a dit qu’il s’agissait de prévenir le cancer du col de l’utérus – et si j’avais des raisons de m’inquiéter ou de renoncer à la piqûre, et on m’a bien sûr répondu : « Absolument pas, nous en administrons tout le temps à des filles beaucoup plus jeunes ».

Mes symptômes de fatigue extrême et de maux de tête violents et fréquents ont été pratiquement immédiats. J’ai déménagé du Texas dans l’État de Washington avec mon mari peu de temps après la première injection de Gardasil et, dans un premier temps, j’ai mis mes symptômes sur le compte du déménagement, du changement et même du climat de l’État de Washington. Mais ils ont empiré. J’ai commencé à avoir des frissons tous les soirs sans raison, j’avais souvent des vertiges et je devais rester assise le plus possible pour éviter les étourdissements. Je n’avais guère d’appétit et je devais me forcer à manger, mais j’avais commencé à prendre du poids. Je me sentais « fatiguée » et « pas bien », et j’ai dû abandonner mon programme de transfert pour terminer mon diplôme.

Les mois appropriés s’étaient écoulés et il était temps de recevoir la deuxième dose de Gardasil-7. Je n’oublierai jamais cette belle journée de Washington et les événements fatidiques qui se sont produits. Je me suis rendue au Planning Familial pour mon deuxième vaccin de la série, car j’étais entre deux assurances maladie pendant une courte période et le vaccin était proposé à un prix raisonnable. Je me souviens que l’assistante sociale de la clinique a sorti le flacon de sa boîte et qu’elle y a apposé un grand autocollant entouré d’une épaisse ligne rouge. « Qu’est-ce que c’est que ça ? » lui ai-je demandé. Elle m’a répondu qu’elle devait m’informer que cette injection était connue pour être douloureuse et qu’il était recommandé de l’administrer à des patientes assises plutôt que debout. Je me souviens de mon hésitation et de mon malaise à ce sujet, mais encore une fois, voulant répondre aux attentes à mon égard, ayant déjà reçu la première injection et ayant appris que je devais recevoir les trois vaccins de la série pour être efficace, je me suis soumise et j’ai reçu le coup dévastateur qu’a été la deuxième injection Gardasil-7.

Le bras dans lequel j’ai reçu la piqûre a immédiatement ressenti une douleur atroce, tout le long du bras et jusqu’au bout des doigts. En silence, des larmes ont coulé de mes yeux. J’étais assis là, effrayée, et je me disais : « Ce n’est pas normal ». C’était comme si Mohamed Ali, au sommet de sa carrière, venait de frapper mon biceps d’un coup de poing, et j’étais complètement abasourdie.

La maladie qui a suivi cette deuxième piqûre a été féroce et immédiate. Ma fatigue est devenue presque narcoleptique, et mes articulations et mes muscles m’ont fait souffrir de manière insupportable, en permanence. Mes maux de tête sont devenus atroces et encore plus fréquents. J’ai rapidement développé un syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et je m’évanouissais souvent en me levant. J’ai commencé à avoir des crises d’épilepsie, régulièrement. Mon cerveau est devenu brumeux et dispersé, et non seulement je confondais des mots que j’avais connus toute ma vie, et je me perdais à deux pâtés de maisons de chez moi, mais j’avais littéralement mal à la tête en essayant de penser. J’ai perdu 30 kilogrammes, j’ai fait un arrêt cardiaque et mon cœur a développé une arythmie sévère. Mes mains tremblaient de manière incontrôlée.

Avec l’augmentation de la fréquence de mes crises, je suis devenue une habituée de l’hôpital général local, qui ne savait plus quelle était la cause de mes maux. Mon mari m’a dit, il y a quelques années, que les ambulanciers qui venaient à la maison lorsque j’étais inconsciente après des crises étaient souvent les mêmes personnes, et qu’ils lui avaient raconté qu’à cette époque, il y avait deux autres filles dans la même zone de couverture ambulancière qui, comme moi, souffraient de ces symptômes graves, mais idiopathiques. Mes symptômes neurologiques sont devenus encore plus graves. Mon élocution a été radicalement affectée, et ce que je pouvais dire donnait l’impression que j’avais un accent étranger ou, à d’autres moments, comme si j’étais sourde. Je présentais plus d’une aphasie. J’ai perdu toute fonction motrice fine dans mes mains et je ne pouvais pas saisir des couverts ou de la nourriture pour me nourrir ou tenir un instrument d’écriture. Mon mari a enroulé à maintes reprises des serviettes autour des fourchettes et des cuillères avec plusieurs couches de ruban adhésif pour que je puisse essayer de me nourrir, et ma nourriture devait être coupée en très petits morceaux. Je trébuchais sur mes propres pieds lorsque j’étais suffisamment stable pour me tenir debout avec de l’aide, ce qui n’arrivait pas souvent. J’ai même connu des périodes où je ne contrôlais pas ma continence. Comme si toutes les choses effrayantes qui m’arrivaient n’étaient pas suffisantes, je devais maintenant être dépouillée de la dernière partie de ma dignité, sachant que je ne pouvais pas garantir que je n’urinerais pas ou pire sur moi-même, ce qui m’anéantissait. Ma disposition était si mauvaise et mes crises si constantes que je n’ai même pas remarqué que j’avais eu un AIT (accident ischémique transitoire), également connu sous le nom de « mini-AVC » pendant cette période. L’IRM de mon cerveau l’a révélé quelques mois plus tard. Ma mère a dû quitter mon père sur la côte est et venir vivre avec mon mari et moi pendant un an, car j’étais très handicapée à l’époque.

Au moment où l’IRM a été demandée, tout mon système digestif était en panne ; je ne pouvais ni manger ni boire de l’eau – mon corps en expulsait violemment le contenu. Mon mari était alors affecté au premier groupe de forces spéciales à Washington, et l’un des médecins de combat de son équipe lui a proposé d’apprendre à accrocher des poches de perfusion chez nous pour moi, et à s’administrer les perfusions lui-même. Ne pas pouvoir digérer l’eau est un état extrêmement grave et nous étions rapidement à court d’options et de ressources. J’étais à l’hôpital tous les jours à cette époque, mais les médecins n’avaient pas de réponse et se détournaient de moi.

Une autre épouse de militaire, qui était au courant de la gravité de ma maladie, nous a orientés vers une infirmière praticienne qui avait exercé la médecine allopathique pendant 45 ans et qui facilitait désormais les remèdes holistiques parallèlement aux traitements allopathiques. Elle m’a orientée vers un médecin naturopathe et, entre-temps, a amélioré mes problèmes digestifs en effectuant des tests qui ont permis de déterminer que mon corps ne produisait pas d’acide gastrique du tout et que c’était la raison pour laquelle mon corps vidait immédiatement mon estomac, parce qu’il savait que je ne pouvais pas digérer le contenu de mon estomac. Il est étonnant de constater à quel point les comprimés de chlorhydrate de bétaïne et de pepsine ont fait une énorme différence dans ma digestion, tout comme le vinaigre de cidre de pomme. J’ai pu absorber un peu de nourriture et un peu de liquide, mais j’avais encore toute une montagne à gravir pour me remettre de mes graves difficultés neurologiques. Les naturopathes avaient vu la même présentation à de nombreuses reprises, de plus en plus fréquemment au cours des dernières années. Ils ont effectué toute une série de tests sur les substances toxiques et les métaux lourds, et mes chiffres étaient hors normes. J’avais pour l’essentiel été empoisonnée, et beaucoup de ces poisons avaient atteint mon cerveau et mes tissus neuronaux.

Lorsque tout a été dit et terminé, mes nombreux diagnostics comprenaient : la thyroïdite de Hashimoto, la maladie d’Addison avec trois crises d’Addison distinctes, la fibromyalgie, le prolapsus de la valve mitrale, la polyarthrite rhumatoïde – avec une concentration dans mon bras gauche et le côté gauche de ma colonne cervicale ; le même biceps où j’ai reçu la deuxième injection de la série Gardasil 7, le syndrome de l’intestin irritable, la discopathie dégénérative, les polypes cervicaux et les ovaires kystiques – pour n’en nommer que quelques-uns. Aujourd’hui encore, la douleur intramusculaire et nerveuse dans mon bras gauche, à l’endroit où j’ai reçu la deuxième injection de Gardasil, persiste. Elle n’a jamais disparu. Mes nombreux spécialistes n’ont jamais pu mettre un nom sur mes déficits neurologiques.

Au cours des années qui ont suivi, j’ai rencontré de nombreuses femmes dont les sagas médicales étaient extrêmement similaires, des femmes d’âges différents, venant d’endroits différents, d’ethnies différentes et de milieux socio-économiques différents – la SEULE chose que nous avions toutes en commun était d’avoir reçu le vaccin Gardasil.

Grâce à de nombreuses années de désintoxication médicalement assistée, de chélation, d’alimentation biologique, de sauna, de séances de caisson hyperbare, de thérapie physique, d’ergothérapie, de thérapie psychologique, d’innombrables suppléments de haute qualité recommandés par les médecins et de médicaments allopathiques appropriés, j’ai pu retrouver ce qui étaient mes déficits neurologiques. Mes céphalées en grappe sont désormais contrôlables, mais d’autres diagnostics subsistent, chacun à des degrés divers qui varient en fonction du stress. Je suis incapable d’occuper un emploi conventionnel. Je fonctionne très bien pour mes diagnostics et j’ai de nombreuses journées décentes et productives, mais il y a encore des jours où je dois prendre du répit dans les limites sûres de ma propre maison.

J’en suis arrivée à un point où les médecins allopathes et holistiques ont dit que j’étais suffisamment en bonne santé avec les médicaments et que j’avais été bien dépistée lors des examens pré conceptionnels, et que j’avais également de bonnes réserves de vitamines, et j’ai reçu le feu vert pour commencer à essayer de concevoir un enfant. C’était il y a plus de trois ans. J’ai 34 ans et la réserve ovarienne d’une jeune femme de 19 ans, mais j’ai fait plusieurs fausses couches, y compris une fausse couche manquée au deuxième trimestre. Bien qu’il ne soit pas totalement inaccessible, il semble que mon parcours vers la maternité sera compliqué et nécessitera des thérapies et de l’aide.

J’AVAIS 26 ANS LORSQUE J’AI ÉTÉ VACCINÉE. JE N’AI JAMAIS REÇU LA TROISIÈME ET DERNIÈRE INJECTION DE LA SÉRIE GARDISIL 7. JE NE PEUX MÊME PAS IMAGINER CE QUE CELA AURAIT FAIT À MON CORPS D’ADOLESCENTE QUI N’ÉTAIT PAS ENCORE COMPLÈTEMENT DÉVELOPPÉ !!!

LE JAPON A INTERDIT CE VACCIN CAR DES DIZAINES DE JEUNES FILLES ONT ÉTÉ BLESSÉES ET PARALYSÉES LORS DE SON INTRODUCTION DANS LE PAYS.

LES MÉDECINS ALLOPATHES NE SONT PAS FORMÉS AUX EFFETS INDÉSIRABLES GRAVES ATTRIBUÉS À CETTE VACCINATION. LES SPÉCIALISTES M’ONT DIT À PLUSIEURS REPRISES QU’ILS NE SAVAIENT PAS COMMENT M’AIDER.

SI C’ÉTAIT À REFAIRE, JE NE ME SOUMETTRAIS JAMAIS, JAMAIS, À CETTE VACCINATION.

JE SUIS CHRÉTIENNE ET, AU LYCÉE, J’AI SUIVI UN COURS D’ÉDUCATION SEXUELLE APPROFONDI PORTANT SUR LES MÉTHODES DE PRÉVENTION DES MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES. CES CONVICTIONS ET CES MÉTHODES ONT FONCTIONNÉ POUR MOI.

J’AI TOUJOURS EU UN COL DE L’UTÉRUS ET DES FROTTIS SAINS ET MAINTENANT JE DOIS RÉGULIÈREMENT ME FAIRE ENLEVER DES POLYPES DU COL DE L’UTÉRUS.

CE VACCIN N’A JAMAIS ÉTÉ TESTÉ POUR SES EFFETS MUTAGÈNES, CANCÉRIGÈNES OU DE DIMINUTION DE LA FERTILITÉ – OFFICIELLEMENT. CEPENDANT, LES PREUVES ANECDOTIQUES SONT ACCABLANTES ET MONTRENT QUE CE VACCIN PROVOQUE TOUS CES EFFETS NÉGATIFS.

S’IL VOUS PLAÎT, S’IL VOUS PLAÎT, ÉCOUTEZ MES APPELS DÉSESPÉRÉS !!! S’IL VOUS PLAÎT, NE SOUMETTEZ PAS VOS PRÉCIEUX ENFANTS À CE VACCIN INUTILE !!!

MON CORPS ÉTAIT DÉVELOPPÉ, FORT ET SAIN, ET MAINTENANT JE NE SERAI PLUS JAMAIS LA MÊME. JE SOUFFRIRAI DE DOULEURS CHRONIQUES SÉVÈRES JUSQU’À LA FIN DE MA VIE.

Pour les anglophones voici la notice qui accompagne le vaccin Gardasil 9 :

https://www.merck.com/product/usa/pi_circulars/g/gardasil_9/gardasil_9_pi.pdf

J’ai une question : pour quelle raison cette injection visiblement donnée pour prévenir le cancer du col de l’utérus est-elle administrée à des GARCONS ?


Les principaux rabbins de Lakewood mettent en garde contre l’utilisation du vaccin HPV Gardasil

[Source : https://www.emes.news]

L’article commence par une lettre signée au printemps 2021 par de grands rabbins de Lakewood (New Jersey), exhortant les gens à s’abstenir de recevoir le vaccin Gardasil.

La lettre de Lakewood… indique que « le vaccin a tragiquement infligé à de nombreux enfants de notre communauté des blessures graves qui ont changé leur vie ».

Cela correspond à ce que des milliers de femmes et de filles (ainsi que des garçons –  boys – NdT : les images de la vidéo sont bouleversantes) du monde entier ont déclaré à propos de ce vaccin. Plusieurs documentaires ont été produits (voir iciiciici et ici) qui décrivent ces expériences horribles et douloureuses ainsi que la négligence et le ridicule que ces victimes de dommages causés par les vaccins (y compris la paralysie, la ménopause chez les adolescentes et la mort) ont enduré dans leurs efforts pour obtenir une reconnaissance et une indemnisation.

(Il est difficile de trouver des informations précises à ce sujet en utilisant Google, probablement parce qu’Alphabet Inc., la société mère de Google, possède des entreprises partenaires avec des sociétés pharmaceutiques, notamment GlaxoSmithKlineNovartis, Sanofi, and Pfizer et others) (NdT : GSK pour GlaxoSmithKline, others signifie « autres »)

Il convient de noter que lors des essais cliniques du Gardasil, Merck a fait vacciner les jeunes filles du groupe de contrôle (c’est-à-dire celles qui n’ont pas reçu le vaccin) peu de temps après la fin de l’essai.

Cela a empêché la science de constater d’éventuels effets à long terme en comparant les résultats à long terme du groupe ayant reçu le vaccin à ceux du groupe n’ayant pas reçu le vaccin. Pourquoi Merck essaierait-il de détruire ce type de preuves scientifiques ? La science ne cherche-t-elle pas toujours à obtenir des résultats à long terme ?

Un schéma identique de sabotage scientifique a lieu aujourd’hui, les personnes qui faisaient partie du groupe de contrôle pour la piqûre de COVID-19 se sont ensuite vu injecter la piqûre elle-même, ce qui nous empêche de découvrir les effets indésirables à long terme de cette injection covid.

(Merck s’est également associé à Johnson & Johnson (partnered with Johnson & Johnson)pour l’injection de COVID. Johnson & Johnson a également un long passé de fraude et d’autres condamnations à son encontre). (long history of fraud and other convictions)

Il convient également de noter que Merck, le fabricant du vaccin Gardasil, est la même société qui a créé le Vioxx. Selon drugwatch , « le Vioxx était autrefois un médicament populaire pour traiter l’arthrite. Mais le fabricant Merck & Co. l’a retiré du marché en 2004 pour des raisons de sécurité. Des recherches ont établi un lien entre le médicament et des milliers de crises cardiaques mortelles ».

Même avant le retrait du Vioxx en 2004, des médecins du monde entier ont exprimé leur vive inquiétude face aux effets secondaires graves et aux décès qu’ils observaient chez leurs patients qui utilisaient le Vioxx.

Au lieu d’enquêter sur ces préoccupations et de retirer le produit du marché, Merck a décidé de passer à l’offensive. Selon The Australian, d’après des courriels internes de l’entreprise divulgués à l’époque devant les tribunaux australiens, Merck avait déclaré qu’elle attaquerait tout médecin qui remettrait en question la sécurité du Vioxx, et que « nous pourrions avoir besoin de les rechercher et de les détruire là où ils vivent », créant ainsi une liste de médecins dissidents à abattre.

Le courrier électronique, qui a été révélé au tribunal fédéral de Melbourne dans le cadre d’une action collective contre le laboratoire pharmaceutique, contenait les mots « neutraliser », « neutralisé » ou « discréditer » en regard des noms de certains médecins.

Merck est également le fabricant du vaccin ROR, utilisé pour prévenir les oreillons, la rougeole et la rubéole, et détient les droits de licence exclusifs lui permettant de vendre ce vaccin aux États-Unis.

En 2010, plusieurs scientifiques de Merck ont dénoncé le fait que la société avait délibérément menti sur l’efficacité de la partie du vaccin ROR contre les oreillons en falsifiant des données. En fait, ils ont affirmé que le vaccin contre les oreillons ne fonctionnait pas vraiment, sur la base de données véridiques.

À la suite de cette découverte, le gouvernement des États-Unis a lui-même porté plainte contre Merck. Ce procès est connu sous le nom de United States versus Merck. Ce procès dure depuis plus de dix ans. Il y a environ un an, les dossiers de l’affaire ont été mis sous scellés.

L’auteur se demande pourquoi il serait nécessaire de dissimuler les dossiers dans le cas où Merck serait réellement innocent de ces allégations. Ne souhaiteraient-ils pas que les dossiers ne soient pas scellés, afin que leur dossier puisse être justifié devant le tribunal de l’opinion publique ?

Nous avons pu obtenir des copies de la plainte originale déposée par le gouvernement : Download as PDF (NdT : voilà un document qui mériterait d’être traduit)

Tout ce qui précède a permis de documenter les dommages causés par le vaccin contre le papillomavirus, mais ce dernier est-il au moins efficace dans son objectif déclaré de prévention du cancer du col de l’utérus ?

Il semble évident que le vaccin HPV est une vaste escroquerie, comme tant d’autres, et que les souffrances humaines qu’il provoque ne servent à rien d’autre qu’à remplir les poches de ceux qui le fabriquent et le distribuent.

J’ai demandé à mes lecteurs de m’aider à trouver des informations à ce sujet.

Un abonné, docteur en médecine, m’a envoyé deux courriels que je reproduis ici sous forme abrégée. Toute documentation supplémentaire que d’autres lecteurs pourraient m’envoyer à l’adresse truth613@substack.com, ou dans les commentaires, serait très appréciée.

Gardasil était une fraude dès le premier jour. Comme mon camarade de classe du programme de doctorat en médecine de l’université de New York a passé six ans à étudier le papillome (virus de la verrue), je n’ai pas pu m’empêcher d’apprendre tout ce qu’il y avait à savoir à ce sujet. Ce virus est bien connu et intensément étudié depuis un siècle maintenant. Certains l’ont toujours soupçonné de provoquer le cancer, mais après cent ans, il n’y a toujours pas la moindre preuve crédible qu’il provoque autre chose que des verrues.

Lorsque le Gardasil a été mis sur le marché, il était censé « réduire le cancer du col de l’utérus de 75 % » (chiffre approximatif, mais ENORME). J’ai tout de suite senti le pot aux roses, mais comment pouvais-je dire à mes patientes de refuser un « vaccin » qui entraînait une réduction aussi spectaculaire du nombre de cancers ? Je n’ai donc rien dit.

Mais le battage médiatique s’est poursuivi, et il est devenu évident qu’ils allaient administrer ce vaccin à des petites écolières.

Finalement, la puanteur de la fraude est devenue trop accablante et j’ai pris le temps de faire des recherches. La première chose que j’ai lue était la notice, qui indiquait avec précision que le « vaccin » était destiné à lutter contre le papillomavirus, et non contre le « cancer du col de l’utérus ». La notice ne prétendait pas être un remède contre le cancer, mais indiquait que le vaccin était conçu pour prévenir les verrues, qui « pourraient » subir une transformation maligne. Vraiment ? Comment se fait-il alors que cent ans de recherche n’aient pas permis de mettre en évidence une telle transformation maligne ? Que manque-t-il à cette image ?

J’ai ensuite recherché l’histoire de ce soi-disant « vaccin ». Les deux femmes qui ont mis au point le vaccin de Merck (je n’arrive pas à me souvenir de leurs noms maintenant), lorsqu’elles ont pris conscience des mensonges que Merck employait pour faire croire aux gens qu’il s’agissait d’un « vaccin contre le cancer », ont dénoncé publiquement la campagne de marketing de Merck. Ils sont donc en bonne compagnie avec Kary Mullis, le lauréat du prix Nobel inventeur de la PCR, et Robert Malone, l’inventeur du vaccin à ARNm.

(N’oublions pas non plus l’aide apportée par Merck dans la mise au point du gaz toxique pour les chambres à gaz d’Hitler).

Le 2ème courriel du médecin :

J’ai fait quelques recherches pour savoir ce que l’on prétend aujourd’hui à propos du HPV. À ma grande horreur, ils ont conclu que le HPV est à l’origine de « la plupart des cas » de cancer du col de l’utérus.

Est-ce que j’y crois ? Je n’y crois pas du tout. Si, après un siècle de recherche, aucun lien clair n’a pu être établi entre le HPV et le cancer, qu’est-ce qui a changé ?

Au cours des 10 à 20 dernières années, un certain nombre d’« études » ont été publiées, proclamant que la majorité des carcinomes du col de l’utérus « ont de l’ADN de papillomavirus dans leurs cellules ». Cela ne prouve pas nécessairement quelque chose, mais la première question à se poser est : « Comment cela a-t-il été déterminé ? »

La plupart des articles que j’ai essayé de consulter sont payants, et je ne paierai pas (il y a très peu de cas où j’ai appris quelque chose de valable à partir d’un article dont la lecture exigeait un paiement). Les études visibles ne font que renvoyer à des études antérieures qui posent plus de questions qu’elles n’apportent de réponses. Tout d’abord, la plupart des statistiques proviennent de pays étrangers, où la « recherche scientifique » » se traduit souvent par « « acceptation d’un pot-de-vin du gouvernement » (ou d’une entreprise pharmaceutique). Deuxièmement, qu’appelle-t-on exactement « cancer » ? Cette question est loin d’être anodine.

Tout d’abord, la théorie selon laquelle le célèbre « frottis » permet d’identifier les « lésions précancéreuses du col de l’utérus » n’a jamais été testée. J’ai demandé un jour à un pathologiste de me donner la référence d’une étude prospective randomisée comparant le taux de mortalité par cancer chez les femmes qui subissent l’inutile frottis de Papanicolaou et chez celles qui le refusent. Il m’a répondu : « Ce n’est pas possible, ce n’est pas éthique« .

« Pas éthique » ? Si l’efficacité du frottis en matière de prévention du cancer n’a jamais été testée, parce qu’un tel test ne serait pas « éthique », comment le frottis a-t-il pu atteindre le statut quasi obligatoire qui est le sien (je pense que vous connaissez la réponse à cette question : le marketing de masse et les profits des médecins et des pharmaciens).

Question suivante : Quelles sont ces lésions que l’on appelle « cancer » du col de l’utérus ? Existe-t-il des preuves qu’elles sont réellement malignes ? Ou s’agit-il simplement d’une nouvelle escroquerie au « carcinome basocellulaire » ? (Le carcinome basocellulaire, véritable vache à lait pour les dermatologues, n’est absolument pas malin, mais s’ils disaient la vérité et cessaient de l’appeler « carcinome », l’industrie dermatologique perdrait des tonnes d’argent).

En voici d’autres – merci au lecteur pour sa contribution !


La vaccination contre le HPV permet-elle de prévenir le cancer du col de l’utérus ?

[Source : journals.sagepub.com]

Claire P Rees https://orcid.org/0000-0001-5649-7835, Petra Brhlikova, et Allyson M Pollock allyson.pollock@ncl.ac.uk View all authors and affiliations (Voir tous les auteurs et leurs affiliations). Volume 113, 2ème édition – 1ère publication le 21 janvier 2020

Résumé

Nous avons procédé à une évaluation critique des essais d’efficacité de phase 2 et 3 publiés dans le cadre de la prévention du cancer du col de l’utérus chez les femmes. Notre analyse montre que les essais eux-mêmes ont généré des incertitudes significatives qui sapent les affirmations d’efficacité de ces données. Douze essais contrôlés randomisés (ECR) ont été menés sur Cervarix et Gardasil. Les populations des essais ne reflétaient pas les groupes cibles de la vaccination en raison des différences d’âge et des critères d’inclusion restrictifs des essais. L’utilisation de résultats composites et de résultats de substitution éloignés ne permet pas de déterminer les effets sur les résultats cliniquement significatifs. On ne sait toujours pas si la vaccination contre le virus du papillome humain (HPV) prévient le cancer du col de l’utérus, car les essais n’ont pas été conçus pour détecter ce résultat, qui met des dizaines d’années à se développer. Bien qu’il existe des preuves que la vaccination prévient la néoplasie intraépithéliale cervicale de grade 1 (CIN1), il ne s’agit pas d’un résultat cliniquement important (aucun traitement n’est administré). Les essais ont utilisé des résultats de substitution composites incluant la CIN1. Une efficacité élevée contre les CIN1+ (CIN1, 2, 3 et adénocarcinome in situ (AIS)) ne signifie pas nécessairement une efficacité élevée contre les CIN3+ (CIN3 et AIS), qui surviennent beaucoup moins fréquemment. Les données sont trop peu nombreuses pour que l’on puisse conclure clairement que le vaccin anti-HPV prévient les CIN3+. Il est probable que les CIN en général aient été surdiagnostiquées dans les essais, car la cytologie cervicale a été effectuée à des intervalles de 6 à 12 mois plutôt qu’à l’intervalle normal de dépistage de 36 mois. Cela signifie que les essais peuvent avoir surestimé l’efficacité du vaccin, car certaines lésions auraient régressé spontanément. De nombreux essais ont diagnostiqué une infection persistante sur la base de tests fréquents à intervalles courts, c’est-à-dire moins de six mois. Il n’est pas certain que les infections détectées disparaissent ou persistent et entraînent des modifications du col de l’utérus.

Le programme de vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Dans le monde, le cancer du col de l’utérus est diagnostiqué chaque année chez environ 13,1/100 000 femmes2. En règle générale, la vaccination est proposée aux jeunes filles âgées de 9 à 13 ans avant leur entrée dans la vie sexuelle et n’ayant jamais été infectées par le VPH.

Octroi des licences

– Les vaccins Gardasil, Gardasil-9 et Cervarix ont été approuvés pour la commercialisation et utilisés chez les femmes et les hommes à partir de l’âge de 9 ans dans le monde entier pour prévenir le cancer du col de l’utérus.

– L’Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ont autorisé la mise sur le marché de Gardasil en 2006, et de Cervarix en 2007 et 2009, respectivement.

– Le Gardasil-9 a été approuvé en 2014 par la FDA et en 2015 par l’EMA, mais il n’est pas encore utilisé au Royaume-Uni.

– L’EMA a homologué les trois vaccins pour les femmes et les hommes, sans limite d’âge. La FDA (NdT : Food and Drug Administration – organisme fédéral américain qui délivre les autorisations de mise sur le marché pour les médicaments et les denrées alimentaires) a autorisé Gardasil jusqu’à 26 ans et Gardasil-9 jusqu’à 45 ans pour les femmes et les hommes, et Cervarix jusqu’à 25 ans pour les femmes uniquement.

Lignes directrices

– Les centres américains de contrôle et de prévention des maladies recommandent une vaccination systématique à l’âge de 11 ou 12 ans. (La vaccination peut commencer à l’âge de 9 ans.) L’Advisory Committee on Immunization Practices (Comité Consultatif sur les Pratiques de Vaccination) recommande également la vaccination pour les femmes âgées de 13 à 26 ans qui n’ont pas été suffisamment vaccinées auparavant3.

– Le Royaume-Uni utilise le Gardasil. Public Health England (NdT : Santé Publique Angleterre) conseille aux jeunes filles de se faire vacciner entre 12 et 18 ans. Immunisation Scotland propose le vaccin aux filles âgées de 11 à 13 ans. Il est prévu d’étendre le vaccin aux garçons âgés de 12 à 13 ans en Angleterre et en Écosse.

Directives

– Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies recommandent « une vaccination systématique à l’âge de 11 ou 12 ans (la vaccination peut commencer à l’âge de 9 ans). L’Advisory Committee on Immunization Practices recommande également la vaccination pour les femmes âgées de 13 à 26 ans qui n’ont pas été suffisamment vaccinées auparavant » 3.

– Le Royaume-Uni utilise le Gardasil. Public Health England conseille aux jeunes filles de se faire vacciner entre 12 et 18 ans. Immunisation Scotland propose le vaccin aux filles âgées de 11 à 13 ans. Il est prévu d’étendre le vaccin aux garçons âgés de 12 à 13 ans en Angleterre et en Écosse.

Les agences de santé publique défendent la position selon laquelle il a été démontré que le vaccin prévient le cancer du col de l’utérus (voir supplément 1). Toutes ne soulignent pas systématiquement les limites des preuves ou les incertitudes dont nous allons parler.

Contexte

La complexité de l’épidémiologie des sous-types de HPV et des lésions utilisées comme critères de substitution pour le cancer du col de l’utérus constitue un problème majeur pour la conception des essais et des études d’efficacité, chacun ayant sa propre histoire naturelle, sa prévalence, son incidence et la force de son association avec le cancer. Ces mesures, en particulier lorsqu’elles sont combinées en tant que critères de substitution composites dans les essais, génèrent de nouvelles incertitudes.

I Infection par le HPV

Il existe plus de 100 types de HPV : 12 d’entre eux sont cancérigènes pour l’homme, selon l’Association internationale de recherche sur le cancer (IARC)4. Les types varient en prévalence, tout comme leur association avec le cancer du col de l’utérus. Les vaccins anti-HPV sont homologués contre les types oncogènes 16 et 18 et maintenant 31, 33, 45, 52 et 58 dans le Gardasil-9. Gardasil et Gardasil-9 sont également homologués contre les types 6 et 11 non oncogènes associés aux verrues génitales.

Le risque d’infection à HPV au cours de la vie est de 79 %5 ; la majorité des infections à HPV sont transitoires et 67 % disparaissent en l’espace d’un an 6. Environ 10 % des femmes sans CIN sont infectées par HPV à un moment donné 7.7 Le mécanisme de progression de l’infection à HPV vers le cancer du col de l’utérus et ses précurseurs n’est pas bien compris 4,811.

II Cancer du col de l’utérus et lésions précancéreuses comme critères de substitution

Les taux estimés de régression et de progression pour les CIN1, 2 et 3 sont présentés dans la Figure 1.12 Toutefois, des incertitudes subsistent en raison de problèmes méthodologiques dans les études épidémiologiques à l’origine de ces résultats12.

Figure 1 : Histoire naturelle des CNI (Données Ostör, 1993)

Infection persistante

Taux de régression vers un col normal Taux d’évolution vers le cancer du col de l’utérus

L’IARC a reconnu que les critères d’évaluation composites dans les études d’intervention portant sur la CIN2 sont sous-optimaux13 car la CIN2 est souvent mal classée en raison de la faible reproductibilité et validité de son diagnostic14 . Les femmes présentant une CIN2 se voient actuellement proposer un traitement, ce qui complique la recherche sur l’évolution vers la CIN3.

Les femmes atteintes d’une CIN2 se voient actuellement proposer un traitement, ce qui complique les recherches sur l’évolution vers une CIN3. Une CIN3 peut se développer suite à l’évolution d’une CIN1 et d’une CIN2 ou directement suite à une infection par le HPV. Le taux de progression d’une CIN3 vers un cancer invasif est probablement plus élevé que l’estimation d’Ostör, qui est de >12 %12 . Le risque à vie peut atteindre 40 % en l’absence de dépistage et de traitement du cancer du col de l’utérus15.

Objectif

Décrire les incertitudes générées par la conception des essais d’efficacité de phase 2 et 3 pour la prévention du cancer du col de l’utérus et de ses précurseurs et la façon dont elles affectent l’interprétation des données d’efficacité.

Méthodes et analyses

Nous avons recherché dans Embase et Medline des articles relatifs à des essais contrôlés en aveugle de la vaccination contre le HPV chez les femmes, en considérant l’efficacité contre le cancer du col de l’utérus et ses précurseurs. La stratégie de recherche est décrite dans le supplément 2. Aucun essai n’a testé les vaccins Gardasil et Cervarix face à face en utilisant des résultats cliniques (plutôt que des résultats immunologiques). Nous avons examiné 35 articles publiés portant sur 12 essais de phase 2 et 3, randomisés et en aveugle, contrôlés par des vaccins non-HPV, de Gardasil et Cervarix menés entre 2001 et 2016 et évaluant l’efficacité contre le cancer du col de l’utérus et ses précurseurs (Table 1 et Figure 2) (tableau 1 et figure 2). Tout au long de cet article, nous nous référons aux essais par le nom de leur protocole, tel qu’il apparaît en gras dans la Table 1. Cependant, pour les essais 104798 et 107638, nous utilisons le nom de leurs premiers auteurs, Konno et Zhu, respectivement.

Ci-dessous : Trials (Essais)

The study was sponsored and funded by NCI but it was done under an FDA investigational new drug application (IND) for which the manufacturer has to function as sponsor (Cette étude a été parrainée et financée par le NCI, mais elle a été réalisée dans le cadre d’une demande de nouveau médicament expérimental (IND) de la FDA pour laquelle le fabricant doit faire office de promoteur doit agir en tant que sponsor.)

Figure 2. Essais contrôlés randomisés de phase 2 et 3 sur l’efficacité de la vaccination HPV.

Tableau 1. Tous les essais de phase 2 et 3 par vaccin et contrôle, promoteur, pays, dates de début et de fin, nombre et âge des participants et durée du suivi. (NdT : Voir le tableau en cliquant sur le lien https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0141076819899308 ).

Messages clés :

– Nous ne savons pas dans quelle mesure la vaccination contre le papillomavirus protège contre le cancer du col de l’utérus. Les essais ne se sont pas concentrés sur l’issue du cancer du col de l’utérus parce qu’ils comptaient trop peu de participantes et ne les ont pas suivies suffisamment longtemps : le cancer du col de l’utérus peut mettre des décennies à se développer.

– Les chiffres publiés à partir d’essais contrôlés randomisés peuvent surestimer l’efficacité pour les raisons suivantes : (a) les tests ont été trop fréquents dans les essais alors que, dans le monde réel, les lésions peuvent régresser spontanément ; (b) les essais ont utilisé des résultats de substitution composites, dont certains, tels que l’infection par le HPV et la CIN1, surviennent plus fréquemment que d’autres et sont très peu susceptibles d’évoluer vers un cancer ; et (c) les sous-groupes ont été analysés de manière trop approfondie.

– Les populations des essais ont une pertinence et une validité limitées pour le monde réel : par exemple, les femmes participant aux essais étaient plus âgées que la population cible ; nous ne disposons pas de suffisamment de données sur les avantages pour les femmes qui peuvent avoir été exposées au HPV avant d’être vaccinées et qui ne connaissent pas leur statut en matière de HPV.

– Nous ne disposons pas de suffisamment de données sur l’impact du vaccin sur les CIN3, qui sont plus susceptibles que les CIN1 et 2 d’évoluer vers un cancer du col de l’utérus. Nous disposons également de moins de données sur l’impact des maladies du col de l’utérus dues à n’importe quel type de HPV, plutôt que sur les seules lésions dues aux HPV 16 et 18.

– Les femmes doivent continuer à se soumettre à un dépistage régulier du cancer du col de l’utérus, car l’efficacité de la prévention des précurseurs du cancer du col de l’utérus est inférieure à 100 % et il existe davantage de types oncogènes que ceux couverts par les vaccins. Il est prouvé que le dépistage du cancer du col de l’utérus réduit de manière significative le risque de cancer du col de l’utérus chez les femmes, qu’elles aient été vaccinées ou non. Le nombre de nouveaux cancers et de décès a nettement diminué, de sorte que le cancer du col de l’utérus ne représente plus que 1 % des décès par cancer chez les femmes au Royaume-Uni (854 décès en 2016) 1.

– Les informations tirées des essais peuvent nous renseigner sur ce qui se passe entre cinq et neuf ans après la vaccination, mais nous ne savons pas si la protection diminue après cette période.

– Une étude d’observation récente fournit des preuves de l’efficacité de la vaccination contre les CIN3+ chez les filles vaccinées avant leur entrée dans la vie sexuelle. Les études d’observation en cours peuvent nous renseigner sur l’effet à long terme sur les taux de cancer du col de l’utérus, mais il faudra de nombreuses années avant que nous disposions de ces données.

Nous avons exclu les essais portant sur le vaccin monovalent contre le HPV 16 (car il n’était pas homologué et les données suggèrent que sa pharmacodynamique est différente de celle du Gardasil et du Cervarix 16 ) et l’unique essai d’efficacité du Gardasil-9 (car le contrôle était le Gardasil, et non un placebo) 17 ; ce qui, en soi, a suscité des inquiétudes 11. Nous avons choisi de nous concentrer sur les essais contrôlés randomisés, car ils offrent le niveau de preuve le plus élevé, et ce sont eux qui sont utilisés pour les décisions des organismes de réglementation et les décisions relatives au lancement des programmes de vaccination.

Nous avons également trouvé 39 méta-analyses et revues systématiques sur l’efficacité des vaccins anti-HPV, dont beaucoup se limitent à des analyses a posteriori de sous-groupes et combinent de manière inappropriée des essais dans la même analyse, par exemple pour des vaccins différents (voir complément 3). La revue Cochrane de 2018 18 a été critiquée pour ne pas avoir inclus tous les essais pertinents, pour avoir ignoré les preuves des effets néfastes et pour avoir utilisé des critères d’évaluation composites avec des histoires naturelles différentes 19.

Nous avons comparé les critères d’éligibilité, les méthodes de dépistage du HPV et des lésions cervicales, les mesures des résultats, la durée du suivi, le groupe cible et les définitions des sous-groupes utilisés dans les différents essais. Nous nous sommes concentrés sur les preuves d’efficacité pour les CIN3+ et l’infection persistante à 12 mois, qui sont considérées comme les mesures de résultats les plus strictes.

Le vaccin contre le papillomavirus prévient-il le cancer du col de l’utérus ?

Aucun des essais n’a été conçu pour déterminer l’efficacité contre le cancer du col de l’utérus. Aucun essai n’a fait état de cas de cancer du col de l’utérus ; un cas de carcinome vulvaire a été signalé dans le groupe vacciné de l’essai FUTURE I 48.

Le délai entre la première exposition au HPV et l’apparition du pic de CIN3 est de 7 à 10 ans 13 . D’après les études d’histoire naturelle, il faut encore une dizaine d’années pour que le cancer du col de l’utérus se développe 13. Tous les essais ont eu une durée moyenne de suivi de six ans ou moins, à l’exception de l’extension HPV-023 qui a eu une durée moyenne de suivi de 8,9 ans.

Le vaccin contre le HPV prévient-il les lésions précancéreuses ?

Les essais ont utilisé huit critères d’évaluation de la maladie du col de l’utérus, qui étaient tous des critères de substitution ou des critères de substitution composites (Table 2). Les résultats de substitution sont des biomarqueurs utilisés comme substituts des résultats cliniques et utilisés pour prédire les bénéfices d’une intervention. Les principaux essais préalables à la mise sur le marché ont évalué l’effet des vaccins anti-HPV sur les lésions précancéreuses, critères acceptés par les autorités comme substituts du cancer du col de l’utérus. Les résultats de substitution présentent des limites en général 54 , ainsi que pour le HPV et le cancer du col de l’utérus. L’utilisation de résultats de substitution composites (combinant deux ou plusieurs résultats de substitution) est problématique en raison des différences dans l’épidémiologie, l’histoire naturelle et la prise en charge – voir la section « Contexte » et la Figure 1 . Cinq des 12 essais (VIVIANE, V01-007, FUTURE III, V501-027, V501-041) avaient la puissance nécessaire pour obtenir des résultats composites combinant la maladie cervicale et l’infection persistante par le VPH 43,47,5153. Quatre essais ont combiné la maladie cervicale et les verrues génitales dans le même résultat primaire (FUTURE III, V501-007 et V501-027, V501-041), ce qui a gonflé les mesures d’efficacité 47,5153.

Tableau 2. Critères d’évaluation validés pour l’ensemble des essais.
Critère d’évaluation alimenté Nombre d’essais utilisant le critère d’évaluation Vaccin utilisant le critère d’évaluation

CIN 1+

Les résultats de l’essai comprenaient les critères de substitution CIN1 et CIN2, qui sont plus fréquents que les CIN3/AIS et le cancer du col de l’utérus, mais qui régressent souvent et ne posent qu’un problème clinique limité (voir la section « Contexte » et la Figure 1 ). Par exemple, l’intervention n’est pas recommandée pour les CIN1. Sept essais (FUTURE I, VIVIANE, V01-007, FUTURE III, V501-027, Zhu, V501-041) ont inclu la CIN1 avec la CIN2, la CIN3 et l’AIS dans le même résultat primaire (ce qui constitue un résultat composite), ce qui risque de gonfler l’efficacité du vaccin car il y a beaucoup plus de cas de CIN1 que de CIN2+ 43,45,47,48,5153 .

CIN 2+

L’incidence (taux de détection) des CIN2, CIN3 et AIS dans les essais était faible, de sorte que même si de nombreux essais ont montré une grande efficacité du vaccin, c’était dans le contexte d’un très petit nombre de cas de CIN2+. Par exemple, l’essai HPV-023 a montré une grande efficacité du vaccin (100 % contre les CIN2 et CIN3 sur un suivi de neuf ans) avec une très faible incidence (seulement trois cas, tous dans le groupe témoin, sur 212 participantes)25. Les essais étaient alimentés par le nombre minimum d’événements nécessaires pour obtenir un résultat statistiquement significatif, et de nombreux essais ont été conçus pour s’arrêter une fois ce nombre atteint. Les essais étaient alimentés par le nombre minimum d’événements nécessaires pour obtenir un résultat statistiquement significatif, et de nombreux essais étaient conçus pour s’arrêter une fois ce nombre atteint. Au lieu de mener plusieurs essais de courte durée, il aurait été possible de surmonter ce problème de puissance en menant un grand essai de plus longue durée dans chaque pays.

CIN 3+

Il est généralement admis que la CIN3 est le meilleur marqueur du risque de cancer du col de l’utérus, avec des taux de progression d’au moins 12 %12. De nouvelles données suggèrent qu’il est préférable de réserver l’intervention clinique après la détection lors du dépistage aux femmes présentant une CIN355. Seuls trois des 12 essais (FUTURE I, FUTURE II, PATRICIA) ont fait état de CIN3+ ou d’AIS dans des sous-groupes représentatifs de la population cible de femmes naïves vis-à-vis du HPV (voir supplément 4)30,49,56. L’incidence des AIS dans les essais est très faible et seuls trois essais (FUTURE I, FUTURE II, PATRICIA) ont publié des résultats pour les AIS uniquement30,49,56.

Dans ces trois essais, l’efficacité du vaccin contre les CIN3 et les AIS dus aux HPV 16/18 était de 100 % (voir Supplément 4), mais les chiffres étaient faibles et les intervalles de confiance larges, parfois non significatifs (lorsque l’intervalle de confiance passe par zéro)49,56. L’efficacité du vaccin contre les CIN3 et les AIS dus à n’importe quel type de HPV variait considérablement d’un vaccin à l’autre30,56.

Quelles sont les preuves que la vaccination prévient les infections à HPV cliniquement significatives ?

Il est possible de diagnostiquer les nouvelles infections à HPV (incidentes) et les infections en cours (persistantes). Des études ont montré que la durée médiane de l’infection par le HPV 16 était de 8,5 à 19,4 mois et celle de l’infection par le HPV 18 de 7,8 à 12 mois 13.

L’essai HPV001/007/023 a utilisé l’infection incidente à HPV 16/18 comme résultat primaire20,22,25. Les résultats ne sont pas pertinents pour la prise de décision politique car le consensus actuel rapporté par l’OMS est que l’infection incidente à HPV n’est pas un résultat de substitution adéquat car elle évolue rarement vers une maladie du col de l’utérus57.

Il n’y a pas d’accord sur la période qui définit une infection persistante13 et les essais peuvent avoir surestimé l’efficacité du vaccin en choisissant des périodes plus courtes que la durée de la plupart des infections autolimitées, par exemple six mois. Dans certains essais, l’intervalle de test pour diagnostiquer une infection persistante à six mois était de quatre mois 36,47,52 ou de cinq mois44,51,53.

Un seul essai Gardasil, V501-041, a utilisé l’infection persistante à 12 mois comme critère de jugement ; cependant, les auteurs de l’étude n’ont présenté des données que pour les HPV combinés 6/11/16/18, et non pour 16/18 ou tout autre type oncogène 53 . Dans les essais sur Cervarix, l’efficacité du vaccin contre l’infection persistante à 12 mois causée par le VPH 16/18 variait de 85,3 à 100 % (voir le supplément 5) 25,27,29,33,45. L’efficacité du vaccin contre l’infection persistante à 12 mois causée par tout type de VPH oncogène variait de 10,4 % à 50,1 % dans tous les essais, avec de larges intervalles de confiance pour la plupart des essais25,27,29,33,45. Les résultats n’étaient pas statistiquement significatifs pour l’essai HPV-023 et Zhu (voir le supplément 5) 25,45.

Tous les essais n’ont pas analysé séparément les types 16 et 18 du HPV. L’incidence de l’infection par le VPH varie selon le type de VPH30. Le VPH 18 était beaucoup moins courant que le VPH 16. En combinant leurs résultats, l’efficacité contre le VPH 18 semble plus solide. Dans certains essais, les résultats concernant le HPV 18 n’étaient pas statistiquement significatifs en soi et ne l’étaient que lorsqu’ils étaient combinés aux résultats concernant le HPV 16. Par exemple, dans le sous-groupe de population per-protocole de l’essai V501-027, l’efficacité du vaccin contre l’infection persistante ou la maladie génitale à six mois (le résultat principal de l’essai) était de 100 % (59,7,100) pour le HPV 16, de 86,0 % (-8,9, 99,7) pour le HPV 18 et de 94,5 % (65,2, 99.9) pour le HPV 16/1852. Dans le sous-groupe de la cohorte conforme au protocole pour l’efficacité (ATP-E) de l’essai PATRICIA, l’efficacité du vaccin contre les CIN3+ était de 90,2 % (59,7, 98,9) pour le VPH 16, de 100 % (-8,2, 100) pour le VPH 18 et de 91,7 % (66,6, 99,1) pour le VPH 16/18, respectivement30 . Cela signifie que le vaccin pourrait ne pas protéger aussi bien contre le cancer du col de l’utérus lié au HPV 18. La proportion de cancers du col de l’utérus liés au HPV 18 varie de 13% en Amérique du Sud/Centrale à 22% en Amérique du Nord58.

Quelles sont les informations disponibles sur les résultats à long terme et sur la durée de la protection ?

Tous les essais ont duré six ans ou moins, à l’exception de l’étude de prolongation HPV-023 avec un suivi moyen de 8,9 ans (qui a maintenu l’insu et conservé un groupe témoin), qui n’a inclus que 437 des 1113 participantes initiales à HPV-00125. L’étude la plus longue sur Gardasil a été V501-041, qui a été prolongée de 30 à 78 mois avec 2601 participantes sur les 3006 initiales53.

Les caractéristiques des essais peuvent fausser les résultats en surestimant l’efficacité à long terme. Par exemple, les CIN3 liées au HPV 16/18 se présentent plus tôt que les CIN3 de type non-vaccinal, de sorte que les essais d’efficacité plus courts seront biaisés en faveur de la découverte de CIN3 liées au HPV 16/1859.

Bien que l’incidence et la progression de la maladie diffèrent dans le temps et selon l’âge, l’essai V501-007 a combiné les résultats des participantes de l’essai initial avec ceux des participantes qui ont complété une extension supplémentaire de deux ans47. Dans les essais HPV-007 et HPV-023, les résultats des participantes des essais précédents ont été pris en compte ensemble22,25.

Dans quelle mesure les femmes participant aux essais étaient-elles semblables aux groupes cibles de la vaccination ?

Les femmes participant aux essais sont généralement plus âgées que celles qui participent aux programmes de vaccination en situation réelle, et il n’est pas certain que les résultats soient similaires. Nous ne connaissons pas les taux d’efficacité chez les filles âgées de 9 à 13 ans.

Les participantes les plus jeunes aux essais étaient âgées de 15 ans et les essais n’ont pas limité le recrutement aux filles avant leur entrée dans la vie sexuelle. Il est donc probable que certaines filles aient déjà été exposées au VPH. Des sous-groupes per-protocole comptant beaucoup moins de participantes ont été utilisés pour analyser celles dont l’exposition antérieure au HPV n’était pas prouvée, mais comme indiqué précédemment, la plupart des essais n’ont pas présenté de données sur les résultats concernant les CIN3+ dans ces sous-groupes.

L’efficacité chez les filles âgées de 9 à 13 ans a été estimée à l’aide d’essais de pontage immunitaire (où les niveaux de réponse immunitaire sont mesurés) (NdT : Les études de pontage immunitaire sont des essais contrôlés, utilisant des placebos ou d’autres contrôles et des corrélats de protection tels que les paramètres immunitaires humoraux et/ou cellulaires pour établir si une intervention est efficace) plutôt qu’à l’aide de résultats cliniques60. Nous ne savons pas quel niveau de titres d’anticorps définit un niveau de substitution de protection contre le cancer du col de l’utérus ou ses précurseurs et combien de temps la protection durera (les titres anti-HPV 18 de Gardasil ne sont pas différents de l’infection naturelle dès 24 mois après la vaccination) 60. Par conséquent, il est possible que la protection s’estompe au moment du pic d’exposition lorsque la vaccination est effectuée à un âge plus précoce.

Trois essais ont recruté des femmes plus âgées (FUTURE III (24-45 ans), VIVIANE (26+) et V501-041 (20-45 ans) 42,50,53. Dans l’essai VIVIANE, un sous-ensemble allant jusqu’à 15 % de femmes ayant des antécédents d’infection ou de maladie associée au VPH a été inclus (défini par au moins deux frottis anormaux consécutifs, une colposcopie anormale ou une biopsie ou un traitement du col de l’utérus après un frottis ou une colposcopie anormaux), mais cela signifie que la cohorte totale du vaccin ne reflète peut-être pas la proportion de femmes ayant des antécédents de maladie associée au VPH dans l’ensemble de la population 42. Des restrictions fondées sur l’ADN du VPH et le statut sérologique ont ensuite été imposées pour l’inclusion dans la cohorte conforme au protocole pour l’efficacité et dans la cohorte vaccinale totale pour les sous-groupes d’efficacité. Dans FUTURE III, les femmes ayant des antécédents de verrues génitales ou de maladie du col de l’utérus, passés ou présents, ont été exclues ; les principaux tests d’efficacité ont été effectués dans le cadre des analyses d’efficacité per-protocole (EPP) spécifiques au type de VPH, qui exigeaient que les femmes soient séronégatives pour le type concerné au jour 1 et que la PCR soit négative pour ce type dans les écouvillons du col de l’utérus ou les échantillons de biopsie, ou les deux, du jour 1 jusqu’au mois 7 50. L’étude V501-041 excluait les femmes ayant eu plus de quatre partenaires sexuels et celles ayant des antécédents de verrues génitales ou de « maladie cervicale significative » – les auteurs de l’étude n’ont pas précisé ce que cela signifiait 53.

Sept essais ont exclu les femmes ayant eu plus de quatre à six partenaires sexuels auparavant 20,28,46,48,52,53,61. Cinq essais ont exclu les femmes ayant eu des frottis cervicaux anormaux 20,46,48,52,61 et trois autres ont exclu les femmes ayant eu des antécédents de colposcopie 26,28,44. L’essai CVT était le seul à ne pas comporter de restrictions fondées sur les verrues génitales ou les antécédents cervicaux ou sexuels 36. Ces restrictions peuvent faire en sorte que le vaccin semble plus efficace dans la population en intention de traiter (ITT) que dans la population générale de femmes du même âge. Dans l’étude CVT, l’efficacité dans le groupe ITT pour l’infection persistante à 12 mois par tout type de VPH oncogène était de 11 % (IC à 95 % : 2,2, 19,5) ; l’efficacité contre les CIN3+ n’a pas été démontrée dans le groupe ITT 36.

L’épidémiologie du VPH varie également d’un pays à l’autre, ce qui signifie que les résultats des essais peuvent être difficilement généralisables à certains contextes, y compris l’Afrique ; il est donc important de savoir si les résultats diffèrent selon la région étudiée. Aucun des essais portant sur les résultats d’efficacité n’a été mené en Afrique (nous n’avons connaissance que d’un essai d’innocuité et d’immunogénicité en Afrique 62), bien qu’il s’agisse de la région du monde où l’incidence du cancer du col de l’utérus est de loin la plus élevée 2. L’étude Cochrane reconnaît que « des différences dans la prévalence du HPV dans les sites d’essai, ou des différences dans les protocoles d’étude et les tests utilisés, peuvent expliquer le contraste d’efficacité » entre le Cervarix et le Gardasil 18

Quel est le risque de substitution oncogène du type de HPV ?

Les vaccins peuvent protéger contre des types de HPV qui ne sont pas inclus dans le vaccin. Il existe des preuves de protection croisée contre trois types de HPV à haut risque (31, 33 et 45) pour Cervarix (voir supplément 6) 31,36,43,45 . Il existe une protection croisée contre un type de HPV non inclus dans le vaccin par Gardasil 31 (voir supplément 6)63. Mais il existe des preuves d’un risque accru statistiquement significatif des types de HPV 51 et 58 dans les essais de Cervarix, par rapport au vaccin de contrôle 31,36. On ne sait pas si le ciblage du vaccin conduira à une substitution par d’autres types oncogènes, comme c’est le cas avec la vaccination antipneumococcique 64.

Facteurs méthodologiques des essais susceptibles d’affecter l’interprétation des résultats

Analyses multiples insuffisantes

Tous les essais ont procédé à de multiples analyses de sous-groupes, ce qui augmente la probabilité de résultats statistiques positifs en l’absence d’effet réel. Les définitions des sous-groupes varient d’un essai à l’autre, de sorte que les résultats ne peuvent être comparés d’un essai à l’autre. Les résultats n’ont pas été donnés pour tous les sous-groupes et n’ont pas été ventilés par pays, par site d’étude ou pour chaque résultat. Ce point est important étant donné les différences d’épidémiologie du HPV dans les différentes régions du monde. Il est possible que les données aient été rapportées de cette manière parce que l’incidence était faible. Nous avons inclus un tableau présentant les différentes définitions des sous-groupes dans le supplément 7.

Problèmes liés à la présentation des résultats des essais

Les essais rapportent l’efficacité du vaccin comme résultat primaire, ce qui montre la réduction relative du risque. Cela peut donner trop d’importance à l’efficacité par rapport à la réduction du risque absolu, comme le nombre de personnes à vacciner, qui est plus utile pour les cliniciens, les patients et les décideurs politiques. Aucun des essais n’a indiqué le nombre de vaccins nécessaires. L’essai CVT est le seul à avoir présenté des résultats en termes de réduction du risque absolu .36,38,39. La réduction du risque absolu de l’essai PATRICIA pour les CIN3+ dues à tout type de HPV oncogène (voir Supplément 4) (notre calcul) est de 0,75 %, ce qui donne un nombre nécessaire de 133 personnes à vacciner.

Fréquence du dépistage du cancer du col de l’utérus

Tous les essais ont effectué une cytologie de Pap à des intervalles de 6 à 12 mois. Le dépistage du cancer du col de l’utérus est recommandé en Angleterre tous les trois ans, entre 25 et 49 ans 65. L’augmentation de la fréquence du dépistage peut entraîner un surdiagnostic et un surtraitement des anomalies cytologiques qui devraient normalement se résorber et ne pas être détectées 66. L’augmentation de la fréquence des tests permet d’achever rapidement les essais, mais peut surestimer l’efficacité du vaccin.

Méthodes de dépistage du HPV

Les tests de positivité de l’ADN pour un type particulier de VPH (indiquant une infection en cours) et de séropositivité (indiquant une infection antérieure) ont une spécificité et une sensibilité limitées 67. C’est une autre raison pour laquelle l’infection par le VPH a des limites en tant que substitut du cancer du col de l’utérus. Seuls 50 à 70 % des infections à HPV donnent lieu à des réponses anti-HPV détectables 51, et la séropositivité initiale peut devenir négative 68. Des sous-groupes de femmes considérées comme naïves à l’égard du HPV peuvent donc avoir été exposées antérieurement. Par ailleurs, une infection latente peut être indétectable par les tests actuels. Le CIRC a noté qu' »on ne sait pas à quelle fréquence cette [infection latente] se produit chez les individus immunocompétents, combien de temps elle dure, ce qui provoque la réémergence dans un état détectable ou quelle fraction des cancers survient après une période de latence » 13 . Cela soulève également la question de savoir si les sous-groupes naïfs au VPH peuvent représenter de manière fiable les filles avant le début de leur vie sexuelle, et si l’infection par le VPH est un résultat de substitution valable.

Méta-analyse d’une valeur limitée en raison de l’hétérogénéité des essais

Les différences entre les critères d’évaluation des essais et les sous-groupes limitent la possibilité de comparer et d’agréger les données des essais. Cette situation est aggravée par le manque de normalisation entre les études pour toute une série de mesures : tests d’exposition antérieure au HPV, tests sérologiques pour détecter l’infection par le HPV et méthodes d’échantillonnage, y compris la fréquence des tests 67.

Il n’existe pas de critères convenus pour définir le type de VPH responsable des lésions cliniques, et les essais ont utilisé des critères différents (voir supplément 8). Il n’existe pas d’approche standard pour évaluer l’efficacité contre la maladie et l’infection dues à des types de HPV non présents dans le vaccin, par exemple pour savoir s’ils prenaient en compte les types oncogènes non vaccinaux ou tous les types de HPV non vaccinaux (voir le complément 9). Étant donné que Merck et GSK ont participé à tous les essais, on ne sait pas très bien pourquoi il n’y a pas eu de cohérence dans les méthodes et les tests d’un essai à l’autre.

Les recherches en cours sont-elles susceptibles de lever les incertitudes ?

Le présent document se concentre sur les essais contrôlés randomisés, mais nous avons également examiné si les études d’observation pouvaient répondre à certaines des incertitudes, en reconnaissant qu’il s’agit d’un niveau de preuve inférieur, mais pratiquement la source la plus probable d’informations futures en l’absence d’essais contrôlés randomisés à long terme. Nous avons identifié 19 études de suivi de phase 4, observationnelles et sans insu (y compris une méta-analyse d’études écologiques) qui sont potentiellement pertinentes pour les incertitudes discutées dans ce document (voir supplément 10). Aucune de ces études n’est idéale. Nombre d’entre elles sont de petite taille, de courte durée ou ne portent pas sur les CIN3+. Une étude d’observation (#5) a montré une réduction du risque relatif de CIN3 de 0,45 chez les personnes vaccinées 69 . Le suivi de l’essai PATRICIA (n° 3), le seul essai prévu 20 ans après la vaccination, et l’essai mexicain FASTER (n° 18) sont susceptibles de fournir davantage de données d’efficacité à long terme sur les critères d’efficacité les plus pertinents d’un point de vue clinique.

L’étude observationnelle récemment publiée, menée en Écosse par Palmer et al. 70 , apporte de nouvelles preuves de la réduction des CIN3+, quel que soit le type de HPV. Les auteurs notent les limites suivantes qui peuvent avoir gonflé les mesures d’efficacité : l’étude n’a recueilli des données que sur le premier cycle de dépistage du cancer du col de l’utérus à l’âge de 20 ans (maintenant modifié à l’âge de 25 ans en accord avec l’Angleterre) avec une sous-représentation du groupe non vacciné (23% de participation au dépistage contre 51% dans le groupe vacciné à l’âge de 20 ou 21 ans) ; et le temps de suivi plus court pour les femmes nées en 1995 et 1996 affecte nécessairement la robustesse de l’estimation de l’efficacité du vaccin pour les femmes plus jeunes. En outre, la base de l’affirmation de la protection de groupe n’est pas bien expliquée pour les femmes non vaccinées de la cohorte 1995-1996, par rapport aux femmes non vaccinées de 1988-1990. Les auteurs n’examinent pas non plus comment les changements dans l’activité sexuelle ont pu contribuer à la diminution observée de la prévalence de la CIN indépendamment du vaccin : entre 2002 et 2014 (la dernière période pour laquelle il existe des données), la proportion de jeunes écossais de 15 ans ayant déjà eu des rapports sexuels a diminué, bien que des inégalités socio-économiques persistent en ce qui concerne l’initiation sexuelle et l’utilisation de préservatifs 71. Le recours au dépistage varie également en fonction du statut socio-économique 72.

Que devons-nous faire face à l’incertitude ?

Sur le plan politique

Nous demandons aux décideurs politiques de :

1. Établir des données épidémiologiques nationales de référence sur l’incidence du cancer, la mortalité et la prévalence des sous-types de HPV afin de soutenir les décisions fondées sur des données probantes quant à la question de savoir si les vaccins actuellement disponibles sont susceptibles d’être rentables et s’ils devraient constituer une priorité.

2. Veiller à ce que la surveillance du cancer et les registres soient en place avant la mise en œuvre de tout programme de vaccination, afin de pouvoir étudier l’évolution de l’incidence du cancer du col de l’utérus et de ses précurseurs.

3. Lancer des études nationales à long terme sur l’efficacité et l’efficience qui ne soient pas financées par l’industrie, qui se concentrent sur des résultats cliniquement significatifs, et qui recrutent et analysent les populations cibles des vaccins.

La recherche

Au Royaume-Uni, on estime que le dépistage du cancer du col de l’utérus prévient plus de 80 % des cancers du col de l’utérus 15. Une analyse coût-efficacité réalisée en Australie suggère que la vaccination n’est pas rentable dans les contextes où le dépistage du cancer du col de l’utérus est établi 73 . Nous ne savons toujours pas combien de cas de maladies du col de l’utérus évités par la vaccination auraient été détectés par le dépistage du cancer du col de l’utérus. Nous ne savons toujours pas combien de cas de maladie cervicale évités par la vaccination auraient été détectés par le dépistage du col de l’utérus. L’encadré 2 (Box 2) présente nos recommandations pour la poursuite de la recherche afin de lever les incertitudes. Nous demandons également que la recherche sur le papillomavirus ne soit pas financée par l’industrie.

Encadré 2. Recommandations pour de futurs essais afin de lever les incertitudes.

– Vacciner avant le début de l’activité sexuelle et commencer l’évaluation des critères d’évaluation à l’âge du dépistage cervical habituel une fois que l’on est sexuellement actif.

– Rendre publics tous les rapports d’études cliniques, y compris les données individuelles anonymes des patientes.

– Séparer les essais pour évaluer les bénéfices chez les femmes déjà exposées au HPV, sans restrictions basées sur les facteurs de risque.

– Analyser les données par pays et par site d’étude.

– Veiller à ce que l’intervalle entre les tests soit conforme aux protocoles habituels de dépistage du cancer du col de l’utérus.

– Poursuivre le suivi pendant au moins 20 ans à partir de l’entrée dans la vie sexuelle.

– Établir la puissance des essais pour le résultat composite principal CIN3/AIS/cancer du col de l’utérus dû à des types de HPV oncogènes.

– Définir le résultat secondaire de l’infection persistante par le HPV 16/18 après au moins 12 mois.

– Utiliser des méthodes de test standardisées pour la détection du HPV.

– Entreprendre un essai d’efficacité du Gardasil-9 contrôlé par placebo avec une solution saline chez des participantes non vaccinées auparavant, car il est difficile de tirer des conclusions sur l’efficacité et le risque d’effets nocifs sur la base de l’essai comparant le Gardasil-9 au Gardasil.

Conclusion

Cet examen a révélé de nombreux problèmes méthodologiques dans les essais d’efficacité de phase 2 et 3 de la vaccination anti-HPV, ce qui entraîne des incertitudes quant à la compréhension de son efficacité.

1. Cancer du col de l’utérus – Il n’est pas certain que la vaccination contre le HPV prévienne le cancer du col de l’utérus. Les essais n’ont pas été conçus pour détecter ce résultat, qui prend des décennies à se développer. Pour la plupart des résultats, les données de suivi n’existent en moyenne que pour quatre ou cinq ans.

2. CIN – Il existe des preuves que la vaccination prévient la CIN1 ; toutefois, il ne s’agit pas d’un résultat cliniquement important (aucun traitement n’est administré). Les essais ont utilisé des résultats de substitution composites incluant la CIN1, mais une efficacité élevée contre la CIN1+ (CIN1, 2, 3 et AIS) ne signifie pas nécessairement une efficacité élevée contre la CIN3+ (CIN3 et AIS), qui survient beaucoup moins fréquemment. Les données sont trop peu nombreuses pour que l’on puisse conclure clairement que le vaccin anti-HPV prévient les CIN3+. Il est probable que les CIN en général aient été surdiagnostiquées dans les essais, car la plupart d’entre eux ont effectué une cytologie cervicale à des intervalles de 6 à 12 mois plutôt qu’à l’intervalle normal de dépistage de 36 mois. Cela signifie que les essais ont peut-être surestimé l’efficacité du vaccin, car certaines lésions auraient régressé spontanément.

3. Infection persistante par le HPV – Les résultats de l’infection par le HPV sont difficiles à interpréter. De nombreux essais ont diagnostiqué une infection persistante sur la base de tests fréquents à intervalles courts, c’est-à-dire moins de six mois. Cela ne permet pas de savoir si les infections détectées disparaissent ou persistent et entraînent des modifications du col de l’utérus. Dans le programme actuel de dépistage du cancer du col de l’utérus de Public Health England, les patientes qui sont positives au HPV mais dont la cytologie est négative ne sont pas testées à nouveau avant 12 mois 74.

4. Différences entre les essais et les populations réelles – La plupart des participants aux essais étaient plus âgés que les enfants de 9 à 13 ans à qui l’on propose généralement la vaccination. L’efficacité chez les filles âgées de 9 à 13 ans a été estimée à l’aide d’essais de pontage immunitaire (où les niveaux de réponse immunitaire sont mesurés) plutôt qu’à l’aide de résultats d’efficacité clinique 60. Nous ne savons pas quel niveau de titres d’anticorps protège contre le cancer du col de l’utérus et ses précurseurs, ni combien de temps la protection durera60 . De même, les données sur les résultats obtenus chez les femmes de plus de 24 ans sont limitées et tous les essais, à l’exception du Costa Rica Vaccine Trial (CVT), comportaient des exclusions liées aux antécédents sexuels ou aux antécédents de verrues génitales ou de maladies du col de l’utérus, ce qui limite la généralisation aux populations vaccinées en rattrapage 36. L’épidémiologie du VPH varie d’un pays à l’autre. Aucune étude d’efficacité n’a été réalisée en Afrique.

5. Protection croisée et substitution de types de HPV – Il n’est pas certain que le vaccin assure une protection croisée contre les types de HPV oncogènes non ciblés par les vaccins. Il existe également un risque de substitution, lorsqu’un type de HPV oncogène non ciblé par le vaccin comble le vide laissé par la réduction d’un type de HPV ciblé par les vaccins.

6. Considérations méthodologiques – De nombreux essais comportaient de multiples analyses de sous-groupes manquant de puissance, ce qui augmente le risque de résultats faussement positifs. Tous les essais, à l’exception du CVT, ont rapporté des effets relatifs plutôt qu’absolus, ce qui tend à surestimer l’efficacité, et aucun n’a fourni le nombre de personnes à vacciner.

Remerciements

Nous remercions Peter Roderick pour ses commentaires sur les versions préliminaires et son aide à la rédaction, ainsi que les réviseurs et l’équipe éditoriale du BMJ (NdT : British Medical Journal, une des revues les plus prestigieuses au Monde dans le domaine médical). Nous souhaitons également remercier l’équipe PPI de l’université de Newcastle pour ses commentaires utiles.

Conflits d’intérêt

Aucun conflit d’intérêt déclaré

Financement

Aucun financement déclaré

Déclarations

Approbation éthique

Sans objet.

Garant

AMP.

Contribution

L’AMP a eu l’idée de l’article ; le CPR a effectué l’analyse de la littérature et rédigé les premières versions de l’article ; le CPR, l’AMP et PB ont contribué à l’analyse et à la reformulation de l’article.

Provenance

Pas de commande ; révision éditoriale des commentaires d’une autre revue et révision ultérieure.

Matériel supplémentaire

Le matériel supplémentaire pour cet article est disponible en ligne.

Références

Les références sont dans l’article original :

https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0141076819899308

S’il vous plaît, diffusez largement la dénonciation de la fraude du vaccin HPV !

Si Dieu le veut, nous contribuerons, avec un peu de chance, à sauver quelques enfants de cette tragédie.

Traduction Jean Bitterlin 24 mars 2023


Par Jamila Buret




Changement d’heure : Ne vous trompez pas !!

Par Gérard Le Maître

Ce changement d’heure deux fois par an devait s’arrêter, mais s’agissant d’une décision européenne comme d’hab’ aucune décision n’a encore été prise…

C’est encore un cafouillage de L’Europe ! ! 

S’il est synonyme « dune heure de sommeil en moins » dans les esprits, il demeure en sursis depuis plusieurs années en raison de la feuille de route de l’Union européenne, qui souhaite y mettre fin, mais toujours repoussé… aux calendes grecques ? ?(([1] https://actu.orange.fr/france/passage-a-l-heure-d-hiver-le-changement-d-heure-fait-de-la-resistance-magic-CNT000001FUsmf.html))

Mais rappelons que nous serons et resterons en France à « l’heure de Berlin » soit avec une heure d’avance sur le soleil (deux heures en été) alors que le Méridien zéro dit de Greenwich traverse La France !

Mais savez-vous ce qu’est L’Heure de Berlin ? 

C’est Hitler en 1940 qui a imposé que Paris soit à l’heure de Berlin ! 

Et La France vit encore sur le fuseau horaire de l’occupation !

À l’arrivée des nazis en 1940, la France a avancé ses horloges d’une heure pour s’aligner avec l’Allemagne.

Cette décision n’a jamais été annulée.(([2] http://www.slate.fr/story/79264/heure-hiver-allemagne-france-occupation))

Le méridien de Greenwich est le méridien qui sert de référence internationale de longitude, d’où son nom de « méridien origine ». (([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9ridien_de_Greenwich))





L’ÉCHIQUIER MONDIAL. Chine : la nouvelle hyperpuissance ?

[Source : RT FRANCE]

La Chine est-elle la nouvelle hyperpuissance ? Dans ce nouveau numéro de L’Echiquier mondial, Xavier Moreau et Pepe Escobar, analyste géopolitique, auteur, nous livrent leur analyse géopolitique de la situation.






Retraites : Macron ne nous laisse pas le choix, faut tout bloquer !

[Source : ripostelaique.com]

Par Robert CLORIC

Dans la vie il faut savoir ce qu’on veut. On veut que ça change, oui ou non ? J’ai ai assez des pleurnichards qui se plaignent en disant qu’ils languissent que tout s’arrête, car bientôt ils ne vont pas pouvoir travailler. Il est des situations qui méritent un sacrifice. Et celle que nous vivons aujourd’hui en mérite un, et même un gros. 2 ans de plus à travailler c’est énorme et va impacter nos vies au-delà de ce que l’on peut imaginer. Il peut s’en passer des choses, en 2 ans. À l’époque de la retraite à 60 ans, un jeune retraité est venu s’installer dans notre lotissement. Deux ans plus tard, il a été emporté en 4 mois par un cancer à 62 ans. Ce n’est pas le cas de tout le monde, mais ça fait réfléchir.

L’histoire de l’homme tend vers plus de progrès social. La retraire était à 65 ans et Mitterrand l’a passée à 60 ans. Cela va dans le sens du progrès, vers un mieux-vivre et une juste répartition du travail. Je préfère payer des retraités fatigués que des RSA en pleine forme. Par solution de facilité, différents gouvernements ont (pour faire simple) passé cet âge de départ à 62 et dernièrement à 64 ans. À l’encontre de ce que voudrait une évolution normale des conditions de vie et de travail. Dites-vous bien que si cette réforme reste en place, vous aurez la même dans 5 ou 6 ans pour passer la retraite à 65, 66 voire 67 ans. Et ainsi de suite. Le but ultime étant de ne plus payer de retraités, car ceux-ci seront morts au boulot.

Je soutiens entièrement les actions en cours. Quitte à être bloqué, à ne plus pouvoir me déplacer ou autre. J’ai fait quelques provisions et je suis paré. J’ai expliqué tout cela dans un article précédent.
https://ripostelaique.com/antilles-letat-comme-les-racailles-ne-comprend-que-le-rapport-de-force.html

Comme disait Napoléon, à un moment donné, il faut aller au contact. Et ce temps est venu. Le pouvoir ne cédera qu’avec la force. Vous avez entendu la réponse de Macron. La foule n’est rien, seul le peuple est légitime grâce aux élus. Oui, mais on n’écoute pas le peuple et les élus se comportent en voyous. En passant, merci Ciotti. Ceux qui commencent à râler ne comprennent pas que c’est leurs vies qui sont en jeu et celle de leurs enfants. En plus ce sont les mêmes qui ont bien fermé leurs gueules pendant les confinements et probablement qui ont voté Macron au second tour.

La France est en train de partie à vau-l’eau. Plus d’industrie, plus d’indépendance énergétique, plus d’agriculture, plus d’instruction, plus de cohésion sociale ni populaire, les réseaux routier, ferroviaire, électrique qui partent en c…, les ventes à la découpe de nos fleurons, les privatisations à outrance, les investissements hasardeux avec le pognon des Français, j’en passe et des pires. Si le peuple ne reprend pas la main, nous allons vivre des heures sombres et catastrophiques.

Alors oui, il faut manifester. Oui ça en gêne certains, mais que ceux-là se disent que le sacrifice en vaut la peine et qu’ils doivent rejoindre le mouvement. Manifester à la pépère, le pouvoir n’en a rien à cirer. Tout casser, ce n’est pas la solution. Reste juste à tout bloquer.

[Note de Joseph : et si plutôt que de simplement tout bloquer et tout paralyser, au risque d’asphyxie économique, les gens impliqués dans ces manifestations et autres mouvements sociaux s’organisaient localement, départementalement, régionalement et même nationalement (avec Internet, c’est faisable) pour bâtir des réseaux parallèles d’échange, d’entraide et de vie économique, à l’image des CSP d’Alexandre Juving-Brunet ou dans leur prolongement, ou encore avec leur appui ? Le blocage est similaire à une destruction, à l’image d’un caillot sanguin qui produit un infarctus puis la mort. Alors que des réseaux parallèles sont similaires à de nouveaux vaisseaux qui se créent sur le cœur pour remplacer ceux qui sont mal en point.
Il existe déjà en France des initiatives éparpillées et multiples, semble-t-il, qui vont dans le sens de la création d’un Nouveau Monde. À un moment, elles pourraient converger et s’unir ou au moins s’épauler mutuellement et s’entraider dans leurs différentes approches.
Manifeste pour un nouveau monde (les sept groupes qui sont indiqués dans ce petit ouvrage représentent essentiellement une modélisation des tendances et prédispositions humaines dans la gestion du monde formel.)]




Nous avons vécu la fin d’un siècle : c’est la fin d’un système

[Source : reseauinternational.net]

Par Miri Anne Finch

« Le viol pourrait tout aussi bien être légal à Londres », a déclaré un officier de haut rang de la police de Londres, comme l’ont rapporté les journaux nationaux cette semaine.

« Je ne dénoncerais pas mon propre viol », a ajouté une autre policière, commentant l’incapacité totale des forces de police londoniennes à enquêter de manière appropriée sur les crimes sexuels.

Il s’agit là de l’une des déclarations les plus accablantes et cataclysmiques qu’il soit possible de faire au sujet d’une institution ostensiblement conçue pour nous protéger, et de l’une des preuves les plus irrévocables et les plus accablantes que le Royaume-Uni est devenu un État en faillite. L’incapacité à fournir des garanties et des protections de base à sa population est un facteur déterminant d’un État qui a dépassé les stades préliminaires de « fragile » et de « crise » pour atteindre la destination finale « en faillite ».

Dire que le viol « pourrait tout aussi bien être légal » dans la capitale d’un pays démocratique du premier monde (nous ne parlons pas ici d’un village médiéval barbare et arriéré, après tout, mais de l’une des villes les plus cosmopolites et les plus riches du monde), c’est signer l’arrêt de mort de ce pays : la capitale donne le ton culturel au reste du pays, et si le viol est maintenant effectivement légal à Londres, il ne faudra pas longtemps avant que cela ne se répande dans le reste du pays également.

Il s’agit bien sûr d’une volonté délibérée. Si ce n’était pas le cas, cette nouvelle terrifiante, une menace énorme pour la sécurité nationale et la sécurité des femmes, n’aurait jamais fait l’objet d’un coup de sirène à la une des journaux du pays, pour des raisons qui sont certainement assez évidentes.

La loi a un effet dissuasif sur les criminels en puissance. Tout le monde n’a pas un sens moral parfaitement opérationnel, malheureusement, mais presque tout le monde a peur d’être appréhendé par la police et d’aller en prison. Le fait que le viol ait toujours été considéré comme l’un des crimes les plus abjects, juste après le meurtre, a un effet dissuasif efficace sur les personnes qui, si la loi était plus laxiste, seraient susceptibles de commettre ce type d’infraction.

Ainsi, le fait d’annoncer dans tous les journaux du pays que le viol est désormais légal et que les chances de poursuite des violeurs sont quasiment nulles est un grand feu vert donné aux délinquants sexuels en puissance pour qu’ils commencent à s’attaquer aux femmes en toute impunité. C’est évident. Si les services de sécurité britanniques s’intéressaient de près ou de loin à la protection des femmes, ils n’en parleraient pas du tout dans les journaux — s’il y a un cas où les journaux devraient être frappés d’une D-Notice (interdiction de diffusion), c’est bien celui-là — et travailleraient discrètement dans les coulisses pour réformer rapidement la culture policière.

Ainsi, la raison évidente pour laquelle cette affaire a été étalée dans tous les journaux est explicitement de miner davantage l’infrastructure de sécurité du Royaume-Uni, dans le cadre de la démolition planifiée et contrôlée de notre culture actuelle — et de toutes les démocraties occidentales et libérales dans le monde entier. N’oubliez pas non plus que le Royaume-Uni importe actuellement des milliers de jeunes hommes célibataires en provenance de pays qui ont des attitudes moyenâgeuses en matière de consentement sexuel et de droits des femmes — des pays qui pensent, par exemple, que si une femme sort en public sans être couverte de la tête aux pieds et sans être accompagnée d’un chaperon masculin, c’est une pute (et donc a une bonne raison de se faire agresser).

Par conséquent, le but des publireportages « hey, les violeurs, le viol est maintenant légal » est le même que celui des reportages « les politiciens maladroits et incompétents » (Alexander « Boris » Johnson ayant maintenant déclaré publiquement : « Je ne suis pas un menteur, je suis juste un crétin »). Il s’agit de nous faire perdre totalement confiance dans toutes les structures existantes afin qu’elles soient entièrement démolies et remplacées par quelque chose de nouveau (« 6uild 6ack 6etter »).

Un article très opportun a été publié dans le Daily Mail (le deuxième journal le plus lu du pays) cette semaine, de concert avec les histoires de « viol légal » :

« La MORT de la démocratie : Alors que Xi Jinping déclare qu’un changement sans précédent depuis 100 ans est en train de se produire, un expert explique comment les dirigeants occidentaux ineptes ouvrent la voie aux autocrates pour qu’ils prennent le contrôle du monde en ne s’attaquant pas aux problèmes nationaux ».

Je vous recommande vivement de lire l’article dans son intégralité (même si vous voudrez peut-être boire un café extra-fort, peut-être irlandais, avant), car c’est l’un des résumés les plus succincts et les plus plausibles que j’aie lus depuis un certain temps de ce vers quoi nous nous dirigeons probablement, et pourquoi. Le fait que les grands médias le publient suggère qu’il s’agit d’une forme de programmation prédictive — non pas un « si » mais un « quand ».

Citant le nouveau livre « Vaincre les dictateurs », de l’expert politique Charles Dunst, l’article déclare :

« La victoire n’appartiendra pas à celui qui possède la plus grande armée. », affirme Dunst. Elle sera remportée par celui qui prouvera que son système fonctionne le mieux. »

Dans sa vision apocalyptique, les États-Unis perdent face à la Chine non pas parce qu’ils manquent d’armes, mais parce qu’ils manquent de conviction dans leur propre mode de vie.

Dunst, membre associé du Centre for Strategic and International Studies, a déclaré : « Nous avons déjà assisté à ce type de choc des idéaux pendant la guerre froide. Mais le défi auquel nous sommes confrontés aujourd’hui est plus grave qu’il ne l’était contre les Soviétiques. »

Personne ne s’est rendu à Moscou dans les années 1980 et n’est rentré chez lui en se disant : « Je veux que ma ville soit comme ça ». Mais il y a un risque que les gens qui se rendent aujourd’hui dans des pays comme la Chine, qui voient leurs gratte-ciel et leurs autoroutes, rentrent chez eux en le pensant.

Cela a affaibli le soutien à la démocratie dans le monde entier. L’armée est importante, mais nous ne pouvons pas nous concentrer uniquement sur la défense, il faut mettre l’accent sur la bonne gouvernance — c’est en fin de compte plus important.

Comment pouvons-nous défendre la démocratie à l’étranger si elle ne fonctionne pas chez nous ?

Et c’est là que réside le nœud du problème : comment pouvons-nous nous battre pour défendre nos démocraties si elles ne fonctionnent manifestement pas ? L’article se poursuit ainsi :

Il y a vingt ans, la démocratie semblait être le meilleur système de gouvernance parce que tous les pays les plus riches et les plus puissants, avec les meilleurs niveaux de vie, utilisaient ce système.

Mais en 2020, l’espérance de vie aux Émirats arabes unis a dépassé celle des États-Unis pour la première fois. La même année, le Forum économique mondial a classé Singapour — qui vit sous un régime de parti unique depuis 1959 — au-dessus du Royaume-Uni pour ce qui est de la mobilité sociale.

La Chine, qui devance l’Occident en termes de croissance économique depuis des décennies, dépense aujourd’hui plus en infrastructures que les États-Unis et l’Europe réunis. Elle a également été la première à déployer des technologies telles que la 5G.

Cela explique peut-être pourquoi « l’indice de démocratie » annuel de The Economist sur la solidité du système dans le monde a connu une baisse chaque année depuis 2015.

La chute la plus importante jamais enregistrée s’est produite entre 2020 et 2021 pour atteindre un niveau historiquement bas depuis la première publication de l’indice en 2006, et il a stagné depuis lors.

L’auteur conclut en disant qu’en fin de compte, la plupart des gens préfèrent la sécurité à la liberté et que lorsque les libertés démocratiques ne parviennent pas à protéger leurs besoins les plus fondamentaux en matière de sécurité, ils optent volontiers pour des autocraties.

Le Royaume-Uni est depuis longtemps une démocratie libérale, qui met l’accent sur la liberté individuelle et se sépare d’institutions considérées comme désuètes et oppressives, telles que la religion, la tradition et les valeurs familiales « à l’ancienne ». Depuis les années 1960, on raconte que ces superstitions dépassées et vieillottes oppriment les gens et que ce dont ils ont vraiment besoin, c’est d’être libérés de ces choses, afin de pouvoir « découvrir qui ils sont vraiment ». On a supposé que libérer les gens des chaînes de la tradition et de l’obligation les rendrait plus heureux et plus épanouis.

Ce n’est pas le cas.

C’est le problème fondamental auquel nous sommes confrontés dans les démocraties libérales occidentales, et la raison pour laquelle nous aurons tant de mal à opposer une défense solide aux puissantes forces autocratiques qui nous prennent pour cible : notre « mode de vie » repose sur un grand nombre d’illusions et de mensonges. Les attitudes libérales qui ont libéré les gens du « fardeau » de la tradition, de la culture et de la communauté n’ont pas seulement échoué à les rendre plus heureux, elles ont même eu l’effet exactement inverse, les adolescents issus de familles libérales étant beaucoup plus enclins à la dépression que ceux issus de milieux plus conservateurs (avec un petit « c ») (et les adultes qui s’identifient comme politiquement/culturellement libéraux sont beaucoup plus susceptibles d’être en mauvaise santé mentale).

En effet, contrairement aux dogmes libéraux à la mode, les gens ne naissent pas parfaitement formés, avec des personnalités, des passions et des objectifs pleinement réalisés, qu’il suffit de laisser tranquilles pour qu’ils « soient ce qu’ils sont vraiment ». Ils naissent plutôt beaucoup plus informes et malléables que cela, avec un profond besoin de richesse culturelle, d’une vie communautaire, d’un sens et d’un but au-delà du matériel. Si ces éléments ne leur sont pas accessibles et qu’ils reçoivent à la place de vagues messages sur la « libération » et la « liberté » et sur le fait d’être ce qu’ils sont vraiment, la dépression est souvent un résultat inévitable, car nous ne sommes pas « ce que nous sommes vraiment » dès la naissance. L’impact de l’éducation et de l’environnement est énorme, et les adultes humains — bien qu’ils puissent certainement avoir certaines prédispositions et prédilections innées — sont en fin de compte faits, et non nés. Après tout, lorsqu’une fleur ne s’épanouit pas, on ne répare pas la fleur — on l’envoie en thérapie, on la soigne, etc. — nous corrigeons l’environnement dans lequel elle pousse.

Cependant, le Royaume-Uni libéral et démocratique — qui a certainement eu un jour une culture florissante et facilement définissable — existe aujourd’hui dans une sorte de vide « post-culturel », où personne ne sait vraiment ce qu’est notre culture. Si je demandais à une centaine de résidents britanniques de longue date : « Qu’est-ce que la culture britannique ? » En revanche, si je posais la même question à cent habitants d’un pays autocratique, comme la Chine ou l’Iran, les réponses que je recevrais seraient pour la plupart très similaires.

De toute évidence, il est impératif d’être en mesure d’identifier ce qu’est votre culture pour pouvoir la défendre vigoureusement. Puis-je moi-même définir la culture britannique ? Non, pas vraiment. Je connais les valeurs politiques et civiques que nous sommes censés défendre (et ce sont de bonnes valeurs), comme la liberté d’expression et l’égalité des chances, mais la culture, c’est bien plus que de la politique. La culture, ce sont les valeurs morales, la communauté, l’art, la littérature, la cuisine et, oui, dans presque tous les cas, la religion — il est très rare qu’une culture solide existe et prospère sans religion. Il est très rare qu’une culture solide existe et prospère sans religion. Ce n’est pas un commentaire sur le fait que la religion soit bonne ou mauvaise, c’est juste une observation historique. Les religions peuvent devenir des facteurs de division lorsqu’elles sont opposées les unes aux autres, mais dans les pays où elles prospèrent, elles peuvent agir comme des adhésifs culturels, dans la mesure où, même si les gens ont d’autres désaccords (comme c’est toujours le cas), ils ont au moins cette croyance fondamentale partagée.

La bataille perpétuelle que les êtres humains ont toujours dû mener consiste à trouver un équilibre entre le désir d’autonomie personnelle et le besoin d’appartenance et de communauté, et, nécessairement, plus on a l’un, moins on a l’autre. Le Royaume-Uni s’est fortement orienté vers l’autonomie personnelle au cours des décennies d’après-guerre, et si cela a manifestement été bénéfique pour certains, cela n’a pas avantagé la société dans son ensemble, la plupart de nos communautés étant aujourd’hui fracturées et dispersées et les gens plus seuls et malheureux que jamais. Nous avons donc recherché l’autonomie personnelle à tout prix, pensant que c’était la voie vers un bonheur et un épanouissement accrus, et que tous les sacrifices requis en cours de route en valaient la peine — et nous nous sommes lourdement trompés.

D’autres cultures n’ont pas fait les mêmes choix et, bien qu’elles soient en fin de compte plus oppressives — souvent de manière obscène —, il n’en reste pas moins que leurs membres sont souvent moins seuls, plus connectés à leur communauté et — comme nous l’avons expliqué au début de cet article — plus en sécurité.

Lorsque vous vivez dans une culture qui, comme la nôtre, encourage la mutilation chirurgicale et la stérilisation d’adolescents en bonne santé, tout en organisant des spectacles de drag queens pornographiques explicites pour les bébés, il est difficile d’affirmer que vivre sous un système autocratique pourrait être pire. En effet, un régime qui promeut les valeurs morales et adopte une ligne dure à l’égard de la dégénérescence sera, pour de nombreuses personnes, beaucoup plus attrayant que ce que nous avons aujourd’hui. Nous ne pourrons jamais « tout avoir » et sacrifier une partie de la liberté individuelle et des valeurs civiques libérales en échange d’une culture « nettoyée » avec une meilleure sécurité et de meilleures protections, peut sembler une offre très attrayante pour certains.

Voilà donc l’avenir redoutable auquel nous devons faire face : lorsque la Chine, la Russie ou qui que ce soit d’autre déclarera qu’elle abandonne les systèmes politiques démocratiques et les valeurs sociales libérales pour les remplacer par un conservatisme sévère et un gouvernement mondial unique, y aura-t-il suffisamment de gens pour s’y opposer ?

Je soupçonne que la réponse est non, et que ce processus a été minutieusement planifié sur plusieurs décennies, et qu’il a atteint son point culminant avec le « Covid ». Afin de donner aux démocraties leur coup de grâce, il faut prouver au peuple qu’elles sont corrompues et brisées à un degré irrémédiable. Le discours habituel sur l’incompétence et la cupidité des hommes politiques ne suffira pas à provoquer des appels massifs en faveur du démantèlement de la démocratie. Il faudra quelque chose de bien pire que cela.

Que diriez-vous donc de la révélation que des acteurs politiques (tant l’administration actuelle que l’opposition) ont parrainé et promu avec force un programme qui a brutalement abrégé la vie de millions de personnes ?

Que le gouvernement démocratiquement élu a injecté aux frères et sœurs, aux parents, aux maris et aux femmes, et même aux enfants de la nation, un sérum mortel qui déchire actuellement les familles alors que de plus en plus de jeunes individus en bonne santé « meurent subitement » ?

Lorsqu’il sera enfin révélé sur la scène mondiale ce que ces injections ont fait aux gens — que des millions d’entre eux ont été mutilés à vie et que leur espérance de vie a été réduite de plusieurs décennies — alors ce sera la fin. La colère et la trahison des masses seront telles que rien ne suffira, si ce n’est, comme je l’ai vu dans un récent message d’indignation sur les médias sociaux, de « tout brûler ».

Et cela, comme je l’ai dit, est voulu. Si votre gouvernement démocratiquement élu (et son opposition) peut être d’une incompétence et/ou d’une méchanceté si colossale et inconcevable qu’il vous fait cela, comment peut-on encore faire confiance à ce système ?

C’est ainsi que je crois que l’histoire sera racontée et, dans l’état actuel des choses, je pense qu’il est très probable que les prochaines élections générales au Royaume-Uni seront les dernières. Avec une participation électorale en chute libre d’année en année, et un nouvel obstacle introduit cette année en termes d’identification des électeurs, il semble assez évident que ce système est à bout de souffle, et qu’il n’est pas destiné à avoir un avenir à long terme.

Pouvons-nous arrêter cette descente en avant vers une tyrannie autocratique explicite ? Nous pouvons certainement essayer. Mais en nous fortifiant pour l’avenir, il est également important de reconnaître que nous sommes réellement un « État défaillant » et que, quoi que nous fassions, l’avenir sera très différent du passé, même du passé très récent. Nous ne reviendrons jamais en arrière.

Pourtant, ce n’est pas une mauvaise chose, et je suis sûr que beaucoup en conviendront. Après tout, ce n’est pas comme si nous vivions dans une utopie béate que le « Covid » aurait soudainement fait disparaître. Le Covid était simplement l’aboutissement de décennies et de décennies de mauvaise planification, d’institutions corrompues et de pourriture culturelle.

Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute que l’avenir sera difficile et bien moins « confortable » que la vie que beaucoup d’entre nous ont pu mener avant la pandémie. Mais n’oubliez pas que dans certains dialectes anciens, le symbole du « danger » est aussi celui de « l’opportunité ».

Source : Miri AF

traduction Réseau International




Retraites : « Madame la Ministre, rendez les armes ! »

[Source : assemblee-nationale.fr]

Par FABIEN ROUSSEL, Député du Nord (20ème circonscription)

Publié le 21 mars 2023

Madame la Première ministre, je m’adresse à vous avec une extrême gravité alors même que le pays vous signifie que votre coup de force sur la retraite à 64 ans est non seulement inadmissible, mais dangereux.

Quand le peuple rejette aussi massivement votre réforme, quand toutes les organisations syndicales font front commun, quand le Parlement est piétiné, c’est la France, la République, que vous abîmez. Non seulement vous plongez le pays dans une crise profonde, mais vous faites maintenant le choix de la matraque, de la répression syndicale et des réquisitions pour faire taire la contestation.

Je vous le dis solennellement : face au chaos provoqué par vos choix, nous ne répondrons pas par le chaos. Nous appelons au respect du peuple et de la démocratie sociale (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR-NUPES et sur quelques bancs du groupe SOC), au respect des organisations syndicales, avec qui vous ne dialoguez plus depuis le 10 janvier !

Nous appelons aussi au respect du Parlement : 160 députés, issus de cinq groupes, ont déposé cet après-midi un recours devant le Conseil constitutionnel. (M. Inaki Echaniz et Mme Christine Arrighi applaudissent.) Ainsi, 252 parlementaires, issus de neuf groupes du Sénat et de l’Assemblée nationale, ont déposé une demande de référendum d’initiative partagée (RIP), un dispositif inscrit dans notre Constitution. Nous direz-vous aussi que cette démarche est illégitime ? Ces seuls recours devraient vous conduire à ne pas promulguer la loi. Respectez-les, respectez-nous !

Respectez aussi ces millions de salariés qui continuent de faire grève pacifiquement et qui manifesteront jeudi prochain, le 23 mars. J’appelle les Français à faire de cette journée la plus puissante des journées de mobilisation de notre pays. (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR-NUPES et SOC. — M. François Cormier-Bouligeon s’exclame.)

Madame la Première ministre, rendez les armes ! Nous voulons la paix civile. Retirez votre réforme des retraites ! Les Français ont besoin de retrouver la confiance dans leur démocratie et dans leur République.

(Applaudissements sur les bancs des groupes GDR-NUPES, SOC et Écolo-NUPES.)

Mme la présidente

La parole est à M. le ministre du Travail, du plein emploi et de l’insertion.

Avant de revenir sur la réforme des retraites, je tiens à souligner deux points de votre intervention, monsieur Roussel.

Tout d’abord, le Gouvernement a fait le choix d’une répression « par la matraque », dites-vous. Nous ne pouvons accepter l’utilisation d’une telle expression ! (Exclamations sur les bancs des groupes LFI-NUPES, Écolo-NUPES et GDR-NUPES.)

Cette précision me donne l’occasion de souligner le soutien du Gouvernement aux forces de police qui assurent et ramènent l’ordre dans les rues de Paris comme dans celles des autres villes de France. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe RE.) Sous l’autorité du ministre de l’Intérieur et des outre-mer, elles protègent les bâtiments publics et les élus. Leur travail doit aussi être salué parce que le maintien de l’ordre permet de garantir nos libertés, parmi lesquelles la liberté d’expression.

Vous dites, ensuite, que le Parlement a été piétiné, ce que je ne peux pas non plus accepter. Comment pouvez-vous affirmer cela alors qu’il y a eu 175 heures de débat sur le projet de loi et que le seul moment où le Parlement n’a pas pu délibérer a été celui où les groupes de gauche de l’Assemblée nationale (Exclamations sur plusieurs bancs des groupes LFI-NUPES, Écolo-NUPES et GDR-NUPES) ont organisé une obstruction systématique pour l’empêcher de débattre ? Ils ont ainsi privé les députés de l’essence même de leur fonction : le pouvoir du vote.

Enfin, vous nous appelez à la responsabilité, mais notre responsabilité est précisément de mener la réforme, et de la mener maintenant. Notre système de retraite est en déficit, vous le savez. Faire une pause, attendre, reporter ? (Mêmes mouvements.)

Malheureusement, un déficit ne cesse pas de se creuser si on recule devant une réforme. Or les défis sont ensuite plus difficiles à relever encore.

Être responsable, c’est garantir l’avenir de notre système par répartition et de notre système de solidarité. Tel est notre choix. Il est l’honneur de la majorité. (Applaudissements sur plusieurs bancs des groupes RE et Dem.)




L’Iran appelle la France à engager le dialogue avec son peuple

[Source : french.presstv.ir]

[Photo : Départ d’incendie lors d’une manifestation à Toulouse, le 23 mars 2023. ©AFP]

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a appelé les autorités françaises à répondre aux exigences des centaines de milliers de Français qui ont défilé à travers tout leur pays et contre la réforme des retraites, plutôt que d’attiser les troubles dans d’autres pays. [NDLR La honte pour le gouvernement français.]

Nasser Kanaani, a réagi dans un tweet aux protestations contre le projet du gouvernement français de relever l’âge de la retraite de 62 à 64 ans, sans vote parlementaire.

Réforme des retraites: des rassemblements partout en France
[Affrontements entre policiers et manifestations, le 23 mars à Paris. ©Reuters]

« Il est rapporté que des manifestants ont incendié la mairie de Bordeaux et que les pompiers se sont joints aux manifestations nationales dans la dernière d’une série de protestations violentes qui secouent la France », a-t-il fait remarquer.

« Ceux qui sèment le vent récoltent la tempête », a poursuivi le haut diplomate iranien. « Bien que Téhéran ne soutienne pas le sabotage et le chaos, il préconise tout de même aux responsables français de se soumettre plutôt aux exigences du peuple français et d’éviter l’exercice de la violence à son encontre et d’éviter aussi si possible de semer le chaos dans d’autres pays souverains ! », a écrit Kanaani dans un tweet.

« Le gouvernement français devrait engager le dialogue avec son peuple et entendre sa voix. Ce genre d’attitude ne ressemble en rien avec celle habituelle des responsables français consistant à prêcher la morale aux autres », a-t-il dit avec une pointe d’ironie.

« Les manifestants français attendent également de voir le clip vidéo collectif réalisé par des femmes ministres européennes, australiennes et canadiennes, en soutien aux femmes françaises qui manifestent », a souligné le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères.

[Voir la suite sur https://french.presstv.ir]




France — Renationaliser les autoroutes pour financer les retraites ?

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

De quoi financer les retraites ! Autoroute, le gouvernement reconnait que nous avons été couillonnés !

Le ministre Bruno Le Maire a reconnu que les calculs de rentabilité pour les actionnaires remontant à la privatisation des autoroutes en 2006 n’avaient « pas été bons ».

Le gouvernement a demandé au Conseil d’État de quelle manière il serait possible de raccourcir « de quelques années » la durée des concessions de certaines sociétés autoroutières, qui ont été plus rentables que prévu, a indiqué mercredi le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, voulant « éviter toute rente ». Il a reconnu devant les commissions des Finances et du Développement durable de l’Assemblée nationale que les calculs de rentabilité pour les actionnaires remontant à la privatisation des autoroutes en 2006 n’avaient « pas été bons ».

Sérieux ?

Cela fait des années que nous sommes très nombreux à dire que ce qu’il s’est passé avec la privatisation des autoroutes est du vol en bande organisée de la nation, du bien commun.




Russie-OTAN : La guerre jusqu’au dernier ukr… européen ?

[Source : rusreinfo.ru]

Par Boris Guenadevitch Karpov

On a coutume de dire que l’OTAN est prête à se battre « jusqu’au dernier ukrainien », mais les événements actuels tendent à faire évoluer le conflit vers une guerre « jusqu’au dernier européen ». Le fait que les divers pays d’Europe soient en quasi-concurrence pour fournir les armes les plus meurtrières possibles à l’Ukraine montre en effet que le conflit pour l’instant local va d’évidence se transformer en conflit régional sur l’ensemble de l’Europe, et très probablement mondial puisque les États-Unis ne resteront bien entendu pas à l’abri.

Les escalades ont été nombreuses, régulières, et constantes. De la livraison de matériel défensif, on est vite passé au matériel offensif léger, puis offensif lourd (chars et avions), et l’Angleterre annonce tranquillement maintenant livrer des munitions à uranium appauvri qui sont en fait des « munitions nucléaires ».

Qui parmi les hommes sains d’esprit peut imaginer que la Russie reste sans réagir ? Jusqu’a aujourd’hui sa réaction a été modérée, trop modérée pour beaucoup. Malgré cela, les Ukrainiens subissent de très lourdes pertes qui ne sont compensables que par l’envoi de retraités et de très jeunes gens au front. Les mercenaires étrangers également, très nombreux, sont lourdement frappés et il devient difficile à l’Ukraine de former de nouvelles unités pour remplacer celles détruites. Par ailleurs c’est un secret de polichinelle que de nombreux militaires européens sortent officiellement de leurs armées pour s’engager dans les forces ukrainiennes. Ils sont donc comptabilisés comme « militaires ukrainiens », mais sont en fait des militaires de l’OTAN.

Le fait est donc bien que la Russie n’est pas en guerre contre l’Ukraine, mais contre l’OTAN et c’est la raison essentielle pourquoi toutes nos armes ne sont pas encore entrées en jeu. Beaucoup s’étonnent que les chars « Armata » par exemple ne soient pas encore intervenus. Patience, ça va venir. De même les missiles hypersoniques sont actuellement utilisés avec parcimonie, réservés qu’ils sont pour frapper les pays de l’OTAN quand le moment sera venu.

La décision de la Cour Pénale Internationale d’ordonner l’arrestation du Président Poutine n’a bien entendu pas été prise sans l’assentiment des pays occidentaux, voire sous leur instruction directe. Ceci n’a aucune incidence sur les opérations militaires, mais est très lourd de signification et de symbolisme : L’Europe s’attaque directement à Vladimir Poutine, et donc à la Russie. Il ne s’agit donc plus maintenant de défendre l’Ukraine, mais de détruire la Russie et, si ceci était parfaitement clair depuis le début pour seulement les plus initiés, c’est maintenant clair pour tout le monde.

La Russie adapte donc ses actions en conséquence et on peut facilement devenir dans quelle direction : Vers l’Europe.

Vers l’Europe, car les armes utilisées par l’Ukraine transitent toutes par l’Europe. On peut donc s’attendre à des frappes sur les lieux de stockage et sur les lieux de production. Où qu’ils soient en Europe. Il est par exemple plus facile de détruire l’usine de Bourges en France qui fabrique les canons Caesar que de chercher ces canons disséminés en Ukraine. Il est tout aussi facile de frapper massivement une base de stockage en Roumanie ou en Pologne plutôt que de chercher ensuite les chars sur le terrain en Ukraine et les détruire un par un.

Ces frappes qui, si l’Angleterre envoie effectivement des « munitions nucléaires » à l’Ukraine, pourront être nucléaires de faible intensité déclencheront bien entendu la fureur des gouvernements européens, sans exception. On constate aujourd’hui que même ceux qui, avant d’être élus, promettaient une position modérée, sont les plus acharnés contre la Russie. La scène d’hystérie du Premier ministre italien Meloni par exemple tourne en boucle sur internet… Il y aura donc une déclaration de guerre de l’OTAN contre la Russie, et l’on verra alors le véritable état pitoyable des armées européennes que nous détruirons méthodiquement.

Une fois que le dernier militaire européen aura été mis hors d’état de nuire, les États-Unis auront du mal à poursuivre leurs attaques contre la Russie, à moins de lancer des frappes nucléaires massives. Ceci est difficile à envisager puisqu’ils savent qu’ils seront détruits en retour. De plus, on constate depuis quelques mois de mystérieux incendies et destructions de très nombreuses structures industrielles et énergétiques aux États-Unis. Croire que ceci est une série de coïncidences est une plaisanterie, et il est facile de comprendre l’intérêt de ces destructions…

L’ancien Président Dmitry Medvedeev le répète régulièrement, nous nous rapprochons à grands pas d’un conflit ouvert contre l’OTAN, mais il semble que ses déclarations soient ignorées, voire méprisées par les dirigeants occidentaux. Ceci est une nouvelle erreur parmi les très nombreuses qu’ils ont commises depuis 2014, mais ce sera leur dernière.

La seule et unique chance d’éviter la destruction de l’Europe serait que leurs peuples renversent les gouvernements en place. Mais à part la défense de leurs petits intérêts corporatistes, ils ne sont capables de rien. Les Français se révoltent aujourd’hui contre la modification de l’âge de la retraite. Mais quelle importance une fois que l’Europe et donc la France seront détruites ?

Boris Guenadevitch Karpov
https://boriskarpov.tvs24.ru




Exclusion des athlètes transgenres de la catégorie féminine par la Fédération internationale d’athlétisme

[Source : lemediaen442.fr]

Le président de la Fédération internationale d’athlétisme (World Athletics), Sebastian Coe, a annoncé jeudi 23 mars que les athlètes transgenres seraient désormais exclus des compétitions féminines internationales. Cette décision vise à «protéger» la catégorie féminine et s’appliquera à partir du 31 mars. La biologie semble reprendre le dessus sur l’idéologie du wokisme.

Cette annonce a surpris alors que World Athletics avait indiqué fin janvier étudier une « option prioritaire » pour durcir le règlement actuel. Ce dernier encadrait la participation des transgenres en leur demandant de réguler leur taux de testostérone.

Au cours des deux premiers mois de l’année, World Athletics a consulté plusieurs parties prenantes, y compris des fédérations membres, des entraîneurs et des associations de défense des droits des personnes transgenres et des droits de l’homme. Selon World Athletics, il y avait peu de soutien pour la première option proposée. Nombreux sont ceux qui ont estimé les femmes transgenres avaient un avantage sur les femmes biologiques.

« Pour beaucoup, les preuves que les femmes trans ne conservent pas un avantage sur les femmes biologiques sont insuffisantes »

Sebastian Coe, président de World Athletics

De nombreux internautes ont salué cette décision qui permettra aux femmes biologiques de retrouver leur place sur le podium. Ces dernières années, elles se voyaient souvent devancées par des athlètes transgenres dans toutes les compétitions confondues.




À Moscou, Xi et Poutine enterrent la Pax Americana

[Source : reseauinternational.net]

Par Pepe Escobar

À Moscou cette semaine, les dirigeants chinois et russe ont révélé leur engagement commun à redéfinir l’ordre mondial, une entreprise qui n’a « pas été vue depuis 100 ans ».

Ce qui vient de se passer à Moscou n’est rien de moins qu’un nouveau Yalta, qui, soit dit en passant, se trouve en Crimée. Mais contrairement à la rencontre capitale entre le président des États-Unis Franklin Roosevelt, le dirigeant soviétique Joseph Staline et le Premier ministre britannique Winston Churchill en Crimée, territoire de l’URSS, en 1945, c’est la première fois depuis sans doute cinq siècles qu’aucun dirigeant politique de l’Occident ne fixe l’ordre du jour mondial.

Ce sont les présidents chinois Xi Jinping et russe Vladimir Poutine qui dirigent désormais le spectacle multilatéral et multipolaire. Les exceptionnalistes occidentaux peuvent déployer leur routine de pleurnichards autant qu’ils le veulent : rien ne changera les aspects spectaculaires et la substance sous-jacente de cet ordre mondial en développement, en particulier pour le Sud mondial.

Les objectifs de Xi et de Poutine ont été expliqués en détail avant leur sommet, dans deux articles d’opinion rédigés par les présidents eux-mêmes. Tel un ballet russe hautement synchronisé, la vision de Poutine a été exposée dans le Quotidien du Peuple en Chine, en mettant l’accent sur un « partenariat tourné vers l’avenir », tandis que celle de Xi a été publiée dans la Gazette russe et sur le site web de RIA Novosti, en mettant l’accent sur un nouveau chapitre de la coopération et du développement commun.

Dès le début du sommet, les discours de Xi et de Poutine ont plongé la foule de l’OTAN dans une frénésie hystérique de colère et d’envie : la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a parfaitement saisi l’ambiance lorsqu’elle a fait remarquer que l’Occident avait « l’écume à la bouche ».

La première page de la Gazette russe de lundi était emblématique : Poutine visitant la ville de Marioupol, libérée des nazis, et discutant avec les habitants, côte à côte avec l’éditorial de Xi. C’était, en résumé, la réponse laconique de Moscou à la cascade du MQ-9 Reaper de Washington et aux manigances du tribunal kangourou de la Cour pénale internationale (CPI). « Écume à la bouche » autant que vous voulez, l’OTAN est en train d’être complètement humiliée en Ukraine.

Lors de leur première rencontre « informelle », Xi et Poutine se sont entretenus pendant pas moins de quatre heures et demie. À la fin, Poutine a personnellement escorté Xi jusqu’à sa limousine. Cette conversation était la véritable affaire : tracer les lignes directrices de la multipolarité, qui commence par une solution pour l’Ukraine.

Comme on pouvait s’y attendre, il y a eu très peu de fuites de la part des sherpas, mais il y en a eu une assez importante concernant leur « échange approfondi » sur l’Ukraine. Poutine a poliment souligné qu’il respectait la position de la Chine, exprimée dans le plan de résolution du conflit en 12 points de Pékin, qui a été complètement rejeté par Washington. Mais la position russe reste inébranlable : démilitarisation, neutralité de l’Ukraine et prise en compte des nouveaux faits sur le terrain.

Parallèlement, le ministère russe des Affaires étrangères a totalement exclu que les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne puissent jouer un rôle dans les futures négociations sur l’Ukraine : ils ne sont pas considérés comme des médiateurs neutres.

Un patchwork multipolaire

La journée suivante a été consacrée aux affaires : de l’énergie à la coopération « militaro-technique » en passant par l’amélioration de l’efficacité des corridors commerciaux et économiques traversant l’Eurasie.

La Russie est déjà le premier fournisseur de gaz naturel de la Chine, devant le Turkménistan et le Qatar. La majeure partie de ce gaz est acheminée par le gazoduc Force de Sibérie, d’une longueur de 3000 km, qui relie la Sibérie à la province chinoise du Heilongjiang, dans le nord-est du pays, et qui sera mis en service en décembre 2019. Les négociations sur le gazoduc Force de Sibérie II, qui passera par la Mongolie, progressent rapidement.

La coopération sino-russe dans le domaine de la haute technologie va exploser : 79 projets pour plus de 165 milliards de dollars. Tout y passe, du gaz naturel liquéfié (GNL) à la construction aéronautique, en passant par la construction de machines-outils, la recherche spatiale, l’agro-industrie et les corridors économiques améliorés.

Le président chinois a explicitement déclaré qu’il souhaitait lier les projets de la nouvelle route de la soie à l’Union économique eurasiatique (UEE). Cette interpolation entre la BRI et l’UEE est une évolution naturelle. La Chine a déjà signé un accord de coopération économique avec l’UEE. Les idées du stratège macroéconomique russe Sergey Glazyev portent enfin leurs fruits.

Enfin, il y aura un nouvel élan vers des règlements mutuels en monnaies nationales – et entre l’Asie et l’Afrique, et l’Amérique latine. À toutes fins utiles, Poutine a approuvé le rôle du yuan chinois en tant que nouvelle monnaie commerciale de choix, tandis que les discussions complexes sur une nouvelle monnaie de réserve adossée à l’or et/ou aux matières premières se poursuivent.

Cette offensive économique et commerciale conjointe s’inscrit dans le cadre de l’offensive diplomatique concertée entre la Russie et la Chine visant à remodeler de vastes pans de l’Asie occidentale et de l’Afrique.

La diplomatie chinoise fonctionne comme la matryoshka (poupées russes empilées) en termes de transmission de messages subtils. Le fait que le voyage de Xi à Moscou coïncide exactement avec le 20ème anniversaire de l’opération américaine « Choc et Effroi » et de l’invasion, de l’occupation et de la destruction illégales de l’Irak est loin d’être une coïncidence.

Parallèlement, plus de 40 délégations africaines sont arrivées à Moscou un jour avant Xi pour participer à une conférence parlementaire intitulée « Russie-Afrique dans le monde multipolaire », en prélude au deuxième sommet Russie-Afrique qui se tiendra en juillet prochain.

La zone entourant la Douma ressemblait à l’ancienne époque du Mouvement des non-alignés (MNA), lorsque la plupart des pays africains entretenaient des relations anti-impérialistes très étroites avec l’URSS.

Poutine a choisi ce moment précis pour annuler plus de 20 milliards de dollars de dettes africaines.

En Asie occidentale, la Russie et la Chine agissent de manière totalement synchronisée. Asie de l’Ouest. Le rapprochement entre l’Arabie saoudite et l’Iran a été lancé par la Russie à Bagdad et à Oman : ce sont ces négociations qui ont abouti à la signature de l’accord à Pékin. Moscou coordonne également les discussions sur le rapprochement Syrie-Turquie. La diplomatie russe avec l’Iran – désormais sous le statut de partenariat stratégique – est maintenue à l’écart.

Des sources diplomatiques confirment que les services de renseignement chinois, par le biais de leurs propres enquêtes, sont désormais pleinement convaincus de la grande popularité de Poutine dans toute la Russie, et même au sein des élites politiques du pays. Cela signifie que les conspirations de type changement de régime sont hors de question. Cet élément a joué un rôle fondamental dans la décision de Xi et du Zhongnanhai (le siège central du parti et de l’État chinois) de « parier » sur Poutine en tant que partenaire de confiance dans les années à venir, étant donné qu’il pourrait se présenter aux prochaines élections présidentielles et les remporter. La Chine s’inscrit toujours dans la continuité.

Le sommet Xi-Poutine a donc définitivement consacré la Chine et la Russie comme des partenaires stratégiques globaux à long terme, déterminés à développer une concurrence géopolitique et géoéconomique sérieuse avec les hégémons occidentaux en déclin.

Tel est le nouveau monde né à Moscou cette semaine. Poutine l’avait précédemment défini comme une nouvelle politique anticoloniale. Il s’agit désormais d’un patchwork multipolaire. La démolition des vestiges de la Pax Americana est irréversible.

« Des changements qui n’ont pas eu lieu depuis 100 ans »

Dans « Avant l’hégémonie européenne : Le système mondial après 1250-1350 », Janet Abu-Lughod a soigneusement construit un récit montrant l’ordre multipolaire qui prévalait lorsque l’Occident était « à la traîne de l’Orient ». Plus tard, l’Occident n’a pris de l’avance que parce que l’Orient était temporairement en désarroi.

Il se peut que nous assistions à un changement historique similaire, marqué par un renouveau du confucianisme (respect de l’autorité, accent mis sur l’harmonie sociale), de l’équilibre inhérent au Tao et du pouvoir spirituel de l’orthodoxie orientale. Il s’agit bien d’un combat civilisationnel.

Moscou, qui accueille enfin les premiers jours ensoleillés du printemps, a fourni cette semaine une illustration plus grande que nature des « semaines où il se passe des décennies » par rapport aux « décennies où il ne se passe rien ».

Les deux présidents ont fait leurs adieux de manière poignante.

Xi : « Aujourd’hui, il y a des changements qui n’ont pas eu lieu depuis 100 ans. Lorsque nous sommes ensemble, nous conduisons ces changements. »

Poutine : « Je suis d’accord. »

Xi : « Prends soin de toi, cher ami. »

Poutine : « Bon voyage. »

À l’aube d’un nouveau jour, du pays du Soleil levant aux steppes eurasiennes.

Pepe Escobar

source : The Cradle

traduction Réseau International




France – La mobilisation se poursuit




Gardasil Episode 7 : Entre mensonges et corruptions

[Source : aimsib.org]

Par La rédaction de l’AIMSIB

Il n’est pas de meilleure compagnie qui ne se quitte, provisoirement nous l’espérons, et Marceau nous livre ici le dernier opus de sa série concernant ce révoltant plan mondial de vaccination. Contre un risque qui n’a jamais été démontré, d’abord, avec un produit dont la toxicité féroce demeure toujours soigneusement camouflée, ensuite, et pour finir à un tarif flirtant avec les 400€ par enfant. Les « valises de biftons » (cf infra) parcourent le monde, les vigilances indépendantes s’évanouissent et le camp retranché tenu par les défenseurs des enfants va bientôt devoir nécessiter que des troupes fraîches prennent part au conflit. Politiciens, décideurs, journalistes, médecins, parents, la santé de nos enfants est clairement mise en danger par le culte du veau d’or de l’argent sale, aidez-nous, aidez-vous. À bientôt Marceau et merci. Bonne lecture.

𝟳ème et dernier épisode de la série consacrée au 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑎𝑠𝑖𝑙. Série qui pourrait être complétée en fonction de l’avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.

[Voir aussi :
Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus
Gardasil, un vaccin de moins en moins polémique et de moins en moins dangereux au fil du temps ?
Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?
Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?
Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel
Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans
Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil
Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons
Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité]

Récapitulatif des épisodes précédents

Rappelons (voir tous les épisodes 1-6) que le Gardasil est un vaccin développé par Merck pour la « prévention » des cancers causés par une famille de virus appelés les papillomavirus humains (PVH). La firme pharmaceutique a obtenu la mise sur le marché de ce vaccin par une procédure accélérée en juin 2006 avec des résultats d’essais cliniques trompeurs qui ont exagéré les avantages et largement sous-estimé les risques et les effets indésirables du vaccin.

Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques alarmistes, de fausses publicités et des lobbyistes politiques pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes avec le Gardasil.

Aujourd’hui, des milliers de filles qui ont reçu le vaccin Gardasil subissent de graves conséquences néfastes pour leur santé et des centaines sont décédées des suites de complications liées au vaccin dans le silence complice des autorités sanitaires.

L’infection virale à PVH est la maladie sexuellement transmissible la plus courante et la majorité des gens contracteront le PVH à un moment donné de leur vie. La plupart des cas de PVH sont entièrement bénins, mais s’ils ne sont pas traités, un très faible pourcentage de cas de PVH (<1%) chez les femmes peuvent éventuellement se transformer en cancer du col de l’utérus. La meilleure prévention étant donc le dépistage qui fonctionne très bien en France, alors pourquoi vouloir imposer ce vaccin ?

Parce que les lobbys de Merck poussent devant le risque de la fin de la poule aux œufs d’or avec les procès qui vont commencer aux USA ?

Une promotion aussi repoussante qu’efficace

Après la mort de plusieurs petites indiennes, Bill Gates veut à présent s’en prendre à nos enfants ! [1]

Le même Bill Gates – via l’OMS et Gavi – fait une priorité de cette vaccination de tous nos ados, pourquoi ? [2] [3]

Merck incite les politiques du monde entier à rendre ce vaccin obligatoire afin de ne plus être responsable des effets secondaires graves de ses injections comme nous l’avons montré dans les épisodes précédents. [4] [5]

Nous osons à peine évoquer la proposition de loi opportune du député Pierre MOREL À L’HUISSIER pour rendre la vaccination contre le PVH obligatoire.

Qu’est-ce qui a bien pu le pousser à pondre ce torchon le 15 novembre 2022 ? [6]

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Intéressant de parcourir quelques-unes des dernières actualités de son parcours… [7] [8] [9] [10] [11]

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Le 8 décembre dernier, le Président Macron et son ministre de la Santé Braun se disent eux aussi favorables à rendre ce produit obligatoire 🥶, ils ont été suivis le 10 décembre par le clip de propagande de la députée macroniste Prisca Thevenot aussitôt applaudie par un lobby LGBT+ (associé Renaissance), quelle est cette manie de systématiquement vouloir sexualiser les enfants et maintenant leur imposer cette vaccination ?

La vaccination obligatoire, techniquement ça change tout

De quoi se mêle-t-il ce lobby ? Fichez la paix à NOS enfants ! [12]

En cas d’obligation, les victimes devront alors prouver le lien entre leurs maladies et le Gardasil pour recevoir une compensation minable de l’état. Mais l’état français ne reconnait aucun lien entre la vaccination et les effets secondaires sans y être contraint une fois que d’autres pays reconnaissent ces liens.

Ce que sait faire le gouvernement français, c’est contraindre et étouffer les affaires ! Nous ne sommes que du bétail pour ces gens et Macron voudrait rendre ce produit obligatoire pour exonérer Merck de toute responsabilité ? Comment compte-t-il faire ? Demander à Sainte-Ursula de négocier des contrats à l’échelon européen avec Merck par SMS ?

Combien de personnalités politiques Merck a-t-il déjà corrompues pour leur faire voter l’obligation vaccinale pour le Gardasil ?

Comme démontré précédemment,

Merck a dissimulé des faits importants sur l’efficacité (ou l’absence d’efficacité) et la sécurité du Gardasil au cours du processus d’approbation accéléré. Merck n’a pas non plus effectué d’investigations et d’études médicales complètes et appropriées au cours des étapes de pré-approbation ou de post approbation. Les essais cliniques entrepris par Merck n’ont même pas examiné le potentiel du Gardasil pour prévenir le cancer, mais uniquement l’immunogénicité !

Ça ne vous rappelle rien ?! [13] [14]

Le CDC américain l’écrit lui-même sur son site : aucune corrélation entre immunogénicité et protection. Post-autorisation de mise sur le marché, ils disent que ces injections préviendraient des verrues cervicales, ce qui n’est pas un cancer ! Ces verrues se résorbent toutes seules sans traitement. [15]

Post-approbation ils ont fait des études bidon pour analyser si le Gardasil pouvait prévenir les conditions précurseurs potentielles (verrues, lésions) qui disparaissent seules dans >> 99% des cas sans conduire à des cancers !

Merck a ensuite soumis des données trompeuses suggérant que ces « conditions précurseurs » entraînent inexorablement le cancer, ce qui est FAUX !

La campagne marketing trompeuse de Merck et la corruption des politiques et autres ONG/lobbys pour rendre la vaccination Gardasil obligatoire.

Avant et après l’approbation du Gardasil, Merck s’est engagé dans des tactiques de marketing sans scrupule conçues pour surestimer à la fois les risques associés au PVH et la prétendue efficacité de Gardasil afin d’effrayer le public et de l’amener à accepter des vaccinations de masse des adolescents.

Avant le Gardasil, il n’y avait pas d’urgence de santé publique contre le PVH aux États-Unis et dans d’autres pays comme la France, et peu de femmes avaient même entendu parler du PVH. Il y avait donc peu ou pas de demande pour un vaccin contre le PVH.

Parenthèse : c’est comme pour la propagande cette année au sujet des VRS (Virus Respiratoires Syncytiaux) qui étaient jusque-là de simples virus respiratoires hivernaux donnant des symptômes grippaux avec comme traitement du doliprane et de l’amoxicilline. Cette année ils sont subitement devenus terribles avec un nom « VRS » dont l’écrasante majorité des français n’a jamais entendu parler auparavant. Et rupture de l’antibiotique amoxicilline pour que les gens, surtout les enfants, morflent bien. Pourquoi ? Car Pfizer arrive l’an prochain avec le vaccin contre les VRS. Les mêmes gens se souviendront des 10 jours cloués au lit et de leurs enfants au tapis toussant dans la douleur à cause de ces méchants « VRS » et ils iront courir se faire vacciner sans faire le lien. Fermons la parenthèse !

Afin d’assurer le succès financier de son nouveau « Saint Graal », Merck a précédé le déploiement du Gardasil par des années de marketing coûteux de « sensibilisation à la maladie » du PVH.

Sans parler des lobbys et de la corruption des politiques dans tous les pays développés, poussant initialement au remboursement accéléré de ce vaccin et à des campagnes agressives de culpabilisation pour pousser les parents à vacciner leurs filles dans un premier temps puis tous les ados, sans aucun fondement scientifique. [16]

En plus de sa campagne publicitaire agressive et culpabilisante pour les parents, Merck a également utilisé des lobbyistes politiques et des incitations financières pour essayer de convaincre les législatures des États américains (pareil dans d’autres pays) à rendre le vaccin Gardasil obligatoire.

À partir de 2004, Merck a injecté des millions de dollars dans des organisations de lobbying politique telles que Women in Government et NACCHO aux USA. Ces organisations ont alors commencé à pousser agressivement les législateurs à travers le pays pour rendre obligatoires les vaccins Gardasil pour toutes les filles américaines.

Merck a complété ces lobbyistes rémunérés par des contributions aux campagnes politiques et des millions en financement direct aux services de santé des États.

Entre 2012 et 2018, Merck a directement acheminé 92 millions de dollars au ministère de la Santé du Maryland pour la promotion des vaccins Gardasil dans les écoles publiques. Ce financement a essentiellement servi à payer les responsables scolaires pour tromper les élèves et les parents en leur faisant croire que la vaccination Gardasil était obligatoire alors qu’elle ne l’était pas ! En Europe et en France vous pensez une seule seconde qu’ils n’ont pas opéré de la même manière ?

Merck a fait pression sur tous les politiques avec ses lobbys pour faire progresser l’utilisation des vaccins Gardasil.

Merck irait même plus loin et présenterait son programme aux politiciens au pouvoir pour placer son produit dans une position favorable. La société pharmaceutique a dépensé des millions de dollars en incitations financières, en contributions de campagne et en financement direct aux politiciens et aux institutions de l’État avec le pouvoir d’offrir le Gardasil au plus grand nombre d’enfants possible et de présenter leur produit comme une étape nécessaire pour arrêter un problème qu’ils ont dépeint comme plus grave que la réalité.

Aux USA, face à la révolte des parents, des médecins et des associations de consommateurs, Merck a promis d’arrêter ses campagnes de lobbying agressives pour faire passer des lois d’obligation vaccinale pour les pré-adolescentes. [17] [18]

Mais qui peut leur faire confiance ? Qui pour vérifier ce qui se déroule dans les couloirs des parlements à travers le monde ou dans les bureaux des chefs d’États ?

En effet, dès 2014, d’un seul coup et en chœur les parlementaires de tous les pays européens ont poussé le Gardasil dans leurs pays respectifs. Le Président Hollande inclura le Gardasil comme arme dans son plan cancer 2014-2019 en visant 60% de vaccination des adolescentes. [19]

Le ministre de la Santé Xavier Bertrand avait validé le Gardasil et son remboursement avant même que les autorités de santé françaises ne se soient prononcées ! Regardez cette vidéo de France 5 jusqu’au bout et enregistrez-la pour les batailles à venir. Regardez les parlementaires plaider pour le Gardasil dans leur pays respectif, et les mains de Xavier Bertrand trembler après avoir fait son annonce devant le parlement. Regardez son expression corporelle ! Il n’est pas à son aise. [20]

Quelle est la probabilité que tout ceci ne se passe en même temps sans la pression des lobbys de Merck ? Combien ces parlementaires ont-ils été payés ?

Combien de valises de « biftons » comme a dit lui-même le PGD de Merck ?

https://web.archive.org/web/20130614114735/http://www.liberation.fr/economie/06014396-le-laboratoire-merck-et-les-valises-de-biftons [21]

Agnès Buzyn aussi a envisagé de le rendre obligatoire en 2018 avec les autres 11 vaccins mais, devant la mauvaise presse de ce produit, elle a reculé et aujourd’hui Macron voudrait le rendre obligatoire « quand tout cela sera installé… » ?

Combien ces gens ont-ils été payés pour mettre la vie de nos enfants en jeu ?

COMBIEN ????!!! [22]

En 2019 des voix s’élèvent contre la corruption par les labos poussant ce vaccin et demandent un moratoire [23] :

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Et ce produit qui est considéré comme le vaccin le plus dangereux avant les injections COVID-19 est aussi le plus cher jamais approuvé :

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Le Cervarix, vaccin bivalent de GSK contre 2 souches du papillomavirus, est la même daube ! [24] Une fois que le Gardasil a été approuvé pour les préadolescentes, Merck a lancé une campagne de propagande agressive visant à effrayer et à culpabiliser les parents qui n’ont pas vacciné leurs filles avec le Gardasil. La campagne de Merck impliquait que les « bons parents » vaccinent leurs enfants avec le Gardasil. [25]

Au cours de ces efforts de marketing agressif, Merck a frauduleusement dissimulé les risques et les dangers connus du vaccin contre le PVH tout en exagérant son efficacité. Merck a commercialisé le Gardasil avec la campagne la plus agressive jamais montée pour promouvoir un vaccin, dépensant plus en publicité Gardasil que toute autre campagne publicitaire de vaccin précédente. (voir extrait à partir de 15 min 40 sec dans la vidéo) [26]

Au passage, la même émission de France 5 « Le magazine de la santé » présentée par Marina Carrère d’Encausse diffusait ce documentaire en 2014-2015 mais aujourd’hui, c’est devenu impossible, les mêmes personnes servent la propagande… [27]

La publicité de Merck laissait entendre que vous étiez un mauvais parent si vous ne vacciniez pas votre enfant avec le Gardasil pour le protéger contre le cancer.

Ce que la publicité a laissé de côté, c’est qu’il n’y a pas une seule étude pour soutenir l’affirmation de Merck selon laquelle le Gardasil prévient certains types de cancer.

Au contraire, des études ont montré que le Gardasil pourrait être plus susceptible de provoquer le cancer que de le prévenir (voir épisode 6).

« Merck sait que s’ils divulguaient la vérité sur le potentiel du Gardasil à provoquer des réactions indésirables graves et des maladies horribles, y compris des maladies auto-immunes, et la mort de certains receveurs, personne ne recevrait le vaccin », Merck a profité de milliards en faisant peur aux parents et en cachant les faits. [28]

L’inquiétude concernant la sécurité du Gardasil augmente

Au fil des ans, les parents sont devenus de plus en plus préoccupés par la sécurité du Gardasil. Selon une enquête de 2021, 23 % des parents qui ont refusé la vaccination contre le PVH pour leur enfant en 2018 ont fait part de préoccupations concernant la sécurité, contre 13 % en 2015. [29] Normalement, les médicaments deviennent plus acceptés au fil du temps à mesure que leur innocuité est démontrée dans le monde réel. Ce n’est pourtant pas le cas avec le Gardasil, ce qui pourrait être une indication que de plus en plus de gens connaissent ou ont entendu parler de jeunes souffrant de problèmes graves.

Tout comme lesdits « vaccins » COVID-19 ! [30]

L’innocuité d’un vaccin comme le Gardasil devrait être totale car il est administré à des enfants et des adolescents en parfaite santé dont le risque futur de mourir d’un cancer du col de l’utérus est nul au moment où il est administré, et seulement 2,2 pour 100 000 à l’âge de 58 ans sans dépistage et sans traitement.

Merck a donc promis aux régulateurs, aux pédiatres et au public que les inoculations administrées aux filles de 9 à 12 ans conféreraient une immunité contre un cancer relativement rare qui ne tue généralement pas avant l’âge de 58 ans !

De plus, il convient de noter que les facteurs de risque d’infection au PVH chez les jeunes femmes sont [31] [32] :

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Alors, considérant que les principaux facteurs de risque sont des choix de comportements modifiables, ne serait-il pas plus logique d’éduquer les jeunes femmes et hommes aux risques et comment les éviter, plutôt que de vouloir rendre ce vaccin obligatoire et décréter les capotes gratuites dès 15 ans pour les inciter à faire EXACTEMENT l’inverse de la prévention ???

Il existe également de nombreuses preuves montrant que les frottis vaginaux peu coûteux sont le moyen le plus efficace d’identifier une infection au PVH et, en la traitant, d’empêcher qu’elle ne se transforme en cancer.

Ancien employé de Merck, la société américaine qui a développé le Gardasil, le Dr Bernard Dalbergue a affirmé dans une interview accordée en 2014 au magazine français Principes de Santé, que le médicament avait été mis sur le marché trop rapidement, et le qualifie de « conte de fées médical ». Il a déclaré que le vaccin ne faisait rien pour prévenir le cancer du col de l’utérus et que « les très nombreux effets indésirables détruisaient des vies et même tuaient », mais que son approbation hâtive du financement aux États-Unis et en Europe était motivée par les marges bénéficiaires des fabricants.

Il a déclaré que Gardasil « sera le plus grand scandale médical de tous les temps », mais ça c’était avant les injections COVID-19 ! Le Dr Dalbergue n’est pas anti-vaccins. [33] [34] [35] [36]

Conclusion provisoire

La série Gardasil se termine donc et je ne doute pas qu’avec ces informations vous ne ferez pas vacciner vos ados. Il faut faire circuler et éduquer le grand public pour faire bloc contre Macron quand il viendra avec cette aberration d’obligation vaccinale.

Pour finir jetons à nouveau un œil sur l’état du compteur des amendes auxquelles Merck a déjà été condamné depuis 2000…

10 467 160 581 $ [37]

Dix milliards quatre-cent-soixante-sept millions cent- soixante mille cinq-cent-quatre-vingt-un dollars

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Et n’hésitons pas à relire la fabuleuse histoire de la contribution de Merck au sabordage organisé de l’ivermectine dès début 2021. [38]

Voici également un ouvrage qui m’a été conseillé [39] :

Hasard du calendrier, en sortant de consultation chez la pédiatre avec ma fille, je me suis rendu compte qu’elle avait rajouté sur l’ordonnance en plus de la vitamine D annuelle le fameux sérum, alors même que je venais aimablement de décliner sa proposition… !

Marceau
Mars 2023

Pour revenir au premier épisode:

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

Notes et références :




Participer à une manifestation non déclarée ne fait pas de vous un délinquant

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Manifestation contre la réforme des retraites, le 15 mars 2023 à Paris.
 AFP – Alain JOCARD]

Par Lauriane Bernard, France-Soir

Depuis plusieurs jours, des images d’arrestations de manifestants nous parviennent sur les réseaux sociaux. La Cour de cassation a pourtant rappelé en juin 2022 qu’aucun texte de loi n’incrimine le seul fait d’être présent à une manifestation non déclarée.  

Contrairement à ce qu’a laissé entendre le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin aux journalistes de BFMTV, participer à une manifestation non déclarée n’est pas illégal. Il en va autrement de la participation à une manifestation expressément interdite : cela constitue alors une infraction. 

Seule la commission d’une infraction justifie une arrestation pendant une manifestation non déclarée 

La liberté de manifester n’est pas dans la Constitution. Néanmoins, le Conseil constitutionnel lui a reconnu une valeur constitutionnelle, dans une certaine limite. Une liberté doit toujours se concilier avec d’autres devoirs.  

Si par exemple un manifestant s’en prend à la sécurité des biens et des personnes qui l’entourent à l’occasion d’un rassemblement, il ne peut pas invoquer sa liberté absolue de manifester pour se défendre des infractions qu’on pourrait lui reprocher. La commission d’une infraction justifie toujours une arrestation pendant une manifestation, qu’elle soit déclarée ou non.  

Participer n’est pas organiser 

Le code de la sécurité intérieure impose la règle de la déclaration préalable pour toutes les manifestations organisées sur la voie publique. Cependant, dans le cas d’un évènement mal déclaré ou pas déclaré du tout, l’organisateur est la seule personne susceptible d’encourir des poursuites.  

Assister à une manifestation non-déclarée ne constitue ni un délit, ni une contravention et les forces de l’ordre ne peuvent donc même pas délivrer une amende de 135 € pour ce motif. Comment se fait-il alors que les interpellations se succèdent depuis jeudi dernier ?  

« Pas d’interpellations injustifiées” selon le préfet de police de Paris  

Sur le plateau de BFMTV, le préfet de police de Paris Laurent Nunez assure, ce mardi 21 mars, qu’il n’y a pas eu d’interpellations injustifiées. Toutes les personnes escortées au poste de police auraient été suspectées d’avoir commis des actes de violence. 

Des propos qui contrastent avec les images rapportées par Cemil Sanli sur son compte Twitter. Le journaliste a couvert les manifestations du 19 mars dans les rues de Paris. Il a filmé plusieurs riverains désorientés, dont cette femme, confuse, ne semblant pas comprendre pourquoi elle se fait arrêter par la police. Elle se défend d’être une manifestante et clame qu’elle ne faisait que passer par là.

Toujours selon BFMTV :

sur les 292 interpellations réalisées à Paris le 16 mars au soir, à la place de la Concorde, seules neuf personnes ont été déférées devant la justice”.   




Arrêter Poutine — ou arrêter les dirigeants occidentaux ?

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Finian Cunningham

Si quelqu’un doit faire face à des poursuites pour crimes de guerre, c’est bien le président ukrainien Vladimir Zelensky et ses commandants adeptes des nazis, ainsi que leurs parrains : les dirigeants américains, européens et de l’OTAN.

Les organes de propagande occidentaux (également connus sous le nom de « médias d’information ») sont soudainement pleins d’informations selon lesquelles la Cour pénale internationale basée à La Haye a émis un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine.

La couverture exagérée (c’est-à-dire l’orchestration) est destinée à donner au stratagème juridique ridicule une impression de gravité et de signification alors qu’en réalité le soi-disant mandat d’arrêt n’a pas de sens et fait partie du théâtre politisé kitsch.

Aux côtés de Poutine, la commissaire russe aux droits de l’enfant, Maria Lvova-Belova, est également désignée comme personne recherchée pour faire face à des poursuites pour « crimes de guerre ». Les crimes présumés sont liés à la supposée expulsion d’enfants vers la Russie lors de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine menée depuis février 2022.

La base du mouvement de la CPI est aussi fragile qu’un ballon météo errant. C’est aussi une déformation audacieuse et ridicule de la réalité. La Russie a évacué des milliers de civils, y compris des enfants, des régions anciennement de l’est de l’Ukraine qui font maintenant partie de la Fédération de Russie pour la raison précise de les mettre à l’abri du régime nazi de Kiev soutenu par l’OTAN, et dont les forces ont aveuglément bombardé Donbass et d’autres régions.

Si quelqu’un doit faire face à des poursuites pour crimes de guerre, c’est bien le président ukrainien Vladimir Zelensky et ses commandants adeptes des nazis, ainsi que leurs parrains : les dirigeants américains, européens et de l’OTAN.

Le régime de Kiev bombarde le Donbass depuis neuf ans, depuis que le coup d’État de la CIA a porté au pouvoir cette junte fasciste. L’OTAN a formé le bataillon Azov et d’autres paramilitaires, de type Waffen SS, qui tirent des roquettes HIMARS fournies par les États-Unis avec l’aide de mercenaires américains, britanniques, français, allemands, canadiens et polonais. La Russie est intervenue en Ukraine l’année dernière pour mettre fin au génocide dont Washington et l’Europe ainsi que leurs médias occidentaux sont complices. Pas un mot de cela n’est rapporté dans les soi-disant bastions du journalisme, dont le New York Times, la BBC et autres BFM-WC. Ils sont trop occupés à vendre de la propagande sur la CPI et la Russie.

Est-ce le meilleur cas que la CPI et ses gestionnaires occidentaux peuvent vraiment trouver contre la Russie ? Kidnapping d’enfants ? Qu’en est-il de toutes les autres allégations concernant le bombardement d’immeubles et de civils par la Russie ? S’il y avait une part de vérité dans ces affirmations largement colportées dans les médias occidentaux, pourquoi ces allégations n’ont-elles pas été citées pour des poursuites ? Ils ne l’ont pas fait parce qu’il y a si peu de preuves.

En fait, le régime de Kiev soutenu par l’OTAN est coupable d’avoir utilisé des immeubles d’habitation comme des boucliers humains civils. D’où le recours à une question émotionnellement attrayante d’enlèvement d’enfant présumé (cela nous rappelle le canular les bébés koweïtiens enlevés des maternités par les soldats irakiens).

Mais la fragilité de tout cela ne fait que rendre les revendications occidentales et la CPI encore plus absurdes qu’elles ne le sont déjà.

De toute façon, la CPI n’a aucune juridiction sur la Russie, donc les mandats d’arrêt sont lettre morte. Ils ne sont pas censés être pris au sérieux de toute façon. Tout cela n’est que du théâtre politique visant à salir Moscou.

Le tribunal n’a pas non plus compétence sur les États-Unis. Tout aussi bien, pourrait-on dire, car s’il existait de véritables principes de justice, le président américain Joe Biden devrait être sur le banc des accusés face à de multiples accusations de crimes de guerre en lien avec les guerres illégales américaines en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie et au Yémen, entre autres pays.

Concernant les crimes plus récents, Biden et ses partenaires criminels de l’OTAN devraient sur le banc des accusés pour l’explosion des gazoducs Nord Stream.

Ou pour avoir parrainé et militarisé les nouveaux crimes de guerre du régime israélien contre les Palestiniens.

Ou pour avoir persécuté et torturé l’éditeur Julian Assange parce qu’il a osé révéler la vérité sur les crimes de guerre américains et britanniques.

L’hypocrisie stupéfiante et les doubles standards sont une autre preuve — si une telle preuve était nécessaire — que la dernière manœuvre de la CPI contre la Russie est un coup politique bon marché pour renforcer l’autorité dont les États-Unis et leurs sbires occidentaux ont cruellement besoin.

Cette semaine, alors que les dirigeants américains et britanniques saluent les actes d’accusation de la CPI contre la Russie, marque également le 20e anniversaire de la guerre menée par les États-Unis en Irak. Une guerre qui a tué jusqu’à un million de civils et détruit une nation (la plus ancienne civilisation du monde), basée sur des mensonges purement et simplement fabriqués, des mensonges que Biden, alors qu’il était sénateur, a contribué à promouvoir.

Les principaux architectes de ces crimes, George W Bush et Tony Blair n’ont jamais été mentionnés, même en passant, par les avocats de la CPI. Pourquoi donc ? Parce que la CPI est un tribunal kangourou et un jouet politique que l’impérialisme occidental utilise pour poursuivre ses ennemis politiques.

En attendant, dans d’autres nouvelles…

Nous avons plus de rapports confirmant les allégations précédentes selon lesquelles Joe Biden et sa famille auraient reçu des paiements illégaux d’une valeur de millions de dollars des entreprises chinoises. Biden et son fils toxicomane Hunter (qui frappait la veuve de son frère décédé) sont jusqu’aux yeux dans la corruption due à des manœuvres louches et à l’utilisation du bureau politique du « grand gars » comme garantie. La même routine d’escroquerie a été utilisée dans les relations commerciales non officielles de Biden avec l’Ukraine après le coup d’État de la CIA en 2014.

Pendant ce temps, la semaine dernière a vu le système bancaire américain vaciller sur un autre effondrement historique à la suite de l’implosion de la Silicon Valley Bank endettée et d’autres. Pour soutenir l’avalanche financière à venir dans l’ensemble du secteur financier, l’administration Biden jette une fois de plus des centaines de milliards d’argent des contribuables pour renflouer Wall Street.

Pendant ce temps, aux États-Unis et dans toute l’Europe, des millions de travailleurs descendent dans la rue dans des grèves et des manifestations sans précédent contre les régimes capitalistes corrompus. Les conditions révolutionnaires sont à leur point d’ébullition en France où le président élitiste Emmanuel Macron (une figure de Louis XVI s’il en est une) impose des coupes dans les dépenses publiques par décret, contournant délibérément le processus parlementaire (enfin, c’est une imposture de toute façon).

Mais partout en Europe et aux États-Unis, l’opinion publique devient de plus en plus intolérante et méprisante à l’égard des soi-disant gouvernements qui dépensent des centaines de milliards pour parrainer une folle guerre par procuration en Ukraine contre la Russie à puissance nucléaire alors qu’en même temps, ces mêmes gouvernements occidentaux les dirigeants d’élite exigent plus d’austérité économique sur le public qui souffre. C’est alors que l’inégalité, la privation, le sans-abrisme, la faim et la pauvreté écrasent les sociétés.

Pendant ce temps, nous recevons cette semaine des reportages des médias occidentaux soi-disant optimistes selon lesquels l’axe de l’OTAN dirigé par les États-Unis envisage maintenant d’envoyer des avions de guerre au régime de Kiev en plus des mesures précédentes pour fournir des chars de combat Leopard, Abrams, Leclerc et Challenger — une folie qui conduira à une guerre totale avec la Russie. La dissonance entre les élites occidentales et leurs chambres d’écho médiatiques est si profonde qu’elle courtise la colère révolutionnaire, à la Marie-Antoinette, et sa fameuse remarque « S’ils n’ont pas de pain, qu’on leur donne des croissants ».

La liste des accusations s’allonge sur la montée quotidienne de la colère et du dégoût face à l’effondrement du racket occidental corrompu autrement appelé démocratie capitaliste occidentale, autrement connue sous le nom de dictature des milliardaires et des fauteurs de guerre.

Biden, Macron, von der Leyen, Stoltenberg, Trudeau, Sunak, Scholz & Co (remplissez le nom de votre clown ici : …) ne sont pas réellement préoccupés par l’arrestation de Poutine. Ils se chient pour arrêter la révolte publique croissante contre le spectacle de clown capitaliste occidental.

Finian Cunningham
Finian a beaucoup écrit sur les affaires internationales, avec des articles publiés en plusieurs langues. Pendant près de 20 ans, il a travaillé comme rédacteur en chef et écrivain dans de grands médias d’information, dont The Mirror, Irish Times et Independent.

SOURCE : Information Clearing House




Dr Andy Kaufman — COVID 19(84) — La SImulation Informatique mise à nu

[Source : Vidéos du net]






Quel renversement du monde nous attend pour 2023 ?

[Source : reseauinternational.net]

par Thierry Mourrain

Ceux d’entre nous qui ont déjà lu des romans dystopiques, tels « 1984 », « le Maître du Haut Château », « le Meilleur des Mondes », « Fahrenheit 451 », « un Bonheur Insoutenable », se sont sûrement dit un jour : « C’est pas possible que la planète parte ainsi en sucette ! Heureusement que c’est une fiction, sinon je ne sais pas comment j’aurais supporté cette réalité ».

Je crois qu’en 2023 nous sommes arrivés à ce point de bascule où le monde qui vient n’aura plus rien à voir avec celui que nous connaissons actuellement. En d’autres termes, nous allons probablement vivre cette expérience saisissante de passer de l’autre côté du miroir de façon brutale et irréversible.

Sommes-nous prêts ? Allons-nous regretter la vie d’avant ? Ça dépendra du scénario qui l’emporte. Et c’est ce que nous allons voir ensemble plus bas. 

Mais examinons tout d’abord les raisons qui nous poussent, tel un piston hydraulique géant, vers un grand renversement.

  • Tensions critiques entre Russie-Chine-Corée du Nord et Occident
  • Jusqu’au-boutisme de l’hégémon USA-UK-Israël
  • Dérapage nucléaire d’un des belligérants
  • Luttes entre les idéologues mondialistes dégénérés et mortifères (wokisme, cancel culture, écologie, eugénisme, pédophilie, satanisme, LGBTisme) et les peuples du monde qui veulent vivre 
  • Krach gigantesque sur des marchés financiers en surchauffe
  • Déclassement et précarité croissants
  • Inflation alimentaire et énergétique 
  • Catastrophes et désastres écologiques déclenchés par l’homme ou par un événement naturel ou les deux (IA, Z machine, pandémie, tremblements de terre, tsunami)

L’accumulation de vecteurs de force aussi antagonistes est une anomalie dans notre Histoire. Jamais l’humanité n’a rencontré une telle volonté destructrice de l’âme, de l’esprit et du corps, tout en prétendant défendre le contraire.

Si on écoute les eschatologues, nous cochons toutes les cases pour entrer dans une ère pré-apocalyptique. En analysant les faits objectivement, on est obligé d’admettre que la situation mondiale est franchement aberrante et qu’une petite étincelle pourrait tout emporter.

Dans quelle direction ? C’est ce que nous allons tenter d’ébaucher ici au travers de ces six scénarios.

2023, les gens ont compris que le changement, c’est maintenant !

Pandémies, pénuries, guerres, écologisme culpabilisant et autres joyeusetés, les peuples ont appris à ne plus gober ces arnaques de la propagande occidentale basées sur l’instrumentalisation de la peur et la volonté de diviser. 

Les médias, principaux apôtres de cette idéologie, sont en berne, plus personne ne s’intéresse vraiment à leur bavardage. Idem pour le milieu politique, artistique et médical, larbins notoires du pouvoir.

Les gens ont compris quels étaient le vrai visage et la nature diabolique de leurs élites. Ils ont aussi réalisé qu’un des moyens de les abattre était de démolir d’une façon ou d’une autre la pyramide au-dessus de laquelle elles trônent.

Consommation raisonnée, alimentation locale, éducation des enfants à la maison, entraide, éco-lieux autonomes, suppression des écrans, lecture, réveil spirituel, retour des traditions, etc.. En faisant sécession avec le Système, les gens l’ont peu à peu précipité vers sa chute.

Ce n’était pas gagné, car au début, le confort bourgeois et le fétichisme de la marchandise les rattrapaient, puis, crise après crise, vexation après vexation, la prise de conscience a surgit. « Non, je ne signerais pas ce putain de pacte avec le diable ! »

Aujourd’hui, le rouleau compresseur mondialiste est au point mort, car il n’a plus de prises. Nul doute qu’il renaîtra un jour de ses cendres, mais pour le moment les populations sont immunisées.

Bien sûr, tout le monde a bien compris que ce scénario improbable ne se produira jamais. À cause de notre lâcheté ou de notre aveuglement, on sait tous, au fond, qu’on a perdu depuis longtemps le fil de notre histoire. Nous sommes à bord d’un train fou, commandé par des fous, qui nous entraîne loin, bien loin de notre Salut.

Subsistent de petits groupes d’humains isolés, insubordonnés, réfractaires au Système. Leur survie dépendra de leur aptitude à se cacher, s’unir et passer entre les mailles du filet. Bonne chance à eux. Bonne chance aussi aux autres !

2023, la Russie est vaincue en Ukraine

Le front s’est étendu et la Russie a fini par tomber. Elle est à rebâtir, ainsi que l’Ukraine, la Pologne, les Pays baltes et l’Europe du Nord, dévastés dans les bombardements.

Un plan Marshall V2.0 est enclenché pour aider à la reconstruction via le prêt et la dette. 

C’est la curée pour se partager le territoire russe qui part à la découpe. Changement de régime en Serbie et en Hongrie. L’Europe s’étire dorénavant jusqu’à Vladivostok. Moscou devient la capitale mondiale de la fierté LGBTQ+. L’Occident affaibli par la guerre ne peut se payer le luxe de s’emparer de Taïwan. La Corée du Nord résiste à une attaque massive de drones kamikazes.

Et hop, c’est reparti pour un tour ! On a échappé de peu à une troisième guerre mondiale dévastatrice et la machine économique et idéologique occidentale est relancée, jusqu’à la prochaine crise.

En Occident, sous prétexte d’empêcher de nouveaux conflits, le totalitarisme accélère le pas. La guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force !

Des IA traquent sur le Net les opinions divergentes. Tout dissident est placé en détention dans des camps de rééducation aménagés en Sibérie. L’utilisation de VPN est prohibée. La monnaie papier et la cryptomonnaie deviennent illégales. L’argent sur les comptes bancaires est transformé en monnaie numérique. 

Les identités biologiques et digitales fusionnent. Basé sur une technologie d’implants nanoscopiques électromagnétiques autoalimentés, chacun de nous émet dorénavant à vie un signal radio unique. Adopter ce procédé nommé « Trackme » devient la seule identification autorisée et la condition sine qua non d’une vie sociale. 

L’inemploi et les cessations d’activité ont tellement augmenté qu’un revenu universel s’est substitué aux allocations chômage.

Dorénavant les populations disposent d’un quota carbone mensuel, les incitant à se regrouper dans des habitations collectives.

Des brigades du peuple parcourent les campagnes afin de collecter la taxe foncière. Quand l’impôt ne peut être assumé, les propriétaires sont expulsés et la réquisition des champs justifiée comme un juste tribut pour nourrir la population.

L’euthanasie choisie est légalisée, y compris sur les enfants, sans même l’accord des parents.

Le taux de natalité s’effondre. 

90 % de la population est désormais contingentée dans de grands ensembles d’habitations collectives où les virus ne cessent de se propager malgré les plans de vaccination obligatoire.

On ne prend plus ni l’avion, ni même le train ou la voiture. Ça coûte tellement cher en malus carbone que ça éteint toute velléité de se déplacer autrement qu’à pied ou en vélo.

Des groupes de rebelles, indétectables, car ayant boycotté « Trackme » dès le début, se constituent et forment des poches de résistance, loin des villes. 

Privilégiant la low-tech et le camouflage pour se rendre invisibles des drones tueurs qui sillonnent le territoire, certains parviennent à pirater les systèmes contrôlant les accès aux cités dortoirs.

De petits combats en petites victoires, les rebelles deviennent peu à peu le clou dans la botte du pouvoir technocratique mondial en place.

Tracts, brouillages, attentats, recrutement de nouveaux dissidents dans les cités, les élites ne l’ont pas encore vu venir, mais la fin de leur règne approche. 

C’est après avoir cartographié patiemment leurs lieux de pouvoirs et de résidences qu’une attaque coordonnée sera lancée un matin. 

Avec le soutien de la Chine et de la Corée du Nord, par les airs et par le sol, les élites seront délogées et décimées en quelques jours dans une violence dévastatrice inouïe.

Le renouveau de l’humanité prendra du temps, mais, après la grande purge, la grande réinitialisation du monde pourra commencer. 

Cette fois-ci sur des bases réellement égalitaires et fraternelles.

2023, la Russie gagne en Ukraine

L’armée russe a vaincu l’armée ukrainienne. Le Donbass est repris en totalité. L’armée otanienne tente de contenir la ligne de front, mais celle-ci cède et la Russie s’empare de toute l’Ukraine. 

Dans un geste désespéré et fanatique, la Pologne, télécommandée par les USA, envoie une salve de missiles conventionnels longue portée vers Minsk, Moscou, Saint-Pétersbourg et Odessa.

Panique générale. Les sirènes retentissent dans le monde entier. Les chaînes de TV, qui avaient préparé l’opinion publique à cette éventualité, retransmettent les images en direct. Sur nos écrans, nous voyons à l’œuvre les batteries antimissiles russes S400 stopper net, haut dans le ciel, les fournées destinées au sol russe. En revanche, Minsk, trop près de la zone de tir, est touchée à plusieurs reprises en plein centre-ville.

La planète retient son souffle. On attend la réplique. Mais rien ne se passe.

Une heure plus tard, retransmis en simultané, Loukachenko et Poutine apparaissent côte à côte dans leur QG respectif. Loukachenko prend la parole en premier pour annoncer le bilan. Le nombre de victimes civiles dépasse les 10 000 morts et 30 000 blessés, beaucoup de bâtiments sont détruits dans la capitale biélorusse, dont le palais de la république et de nombreux musées. 

Poutine, dans un discours d’anthologie qui restera à jamais gravé dans les livres d’histoire, tient tout d’abord à rassurer les populations civiles occidentales.  Il ne cédera pas à la provocation qu’on attend de lui. La solution de représailles choisie, inoffensive pour l’homme, est en chemin et ne sera pas de type nucléaire, ni même conventionnel. Une dizaine de planeurs hypersoniques Avangard survolent actuellement les cibles, toutes occidentales. Centres de commandement de l’OTAN, bâtiments administratifs, zones de contingents militaires, usines de fabrications d’armes et de microprocesseurs, vont être rendus inutilisables suite à des explosions électromagnétiques déclenchées depuis la troposphère.

Vladimir Poutine prévoit de grandes perturbations et demande à toutes les populations d’être patientes. Les avions disposent de 2 heures pour atterrir sur le plus proche aéroport.

Compte à rebours : 2 h, 00

Afin d’en finir avec la guerre énergétique éternelle, source inépuisable de conflits, Poutine présente le plan de relance Sakharov qui a été conçu dans le plus grand secret par le Kremlin et ses alliés. Énergie libre pour tout le monde ! 

Des capteurs d’énergie libre ainsi que des adaptateurs pour moteurs thermiques et électriques sont déjà en production, les plans et modes d’emploi téléchargeables en open source. 

Hôpitaux, maisons de retraite et cliniques privées seront livrés les premiers. Des stocks ont été constitués pour les administrations et entreprises qui en feront la demande.

Devant la poussée populaire, les gouvernements mondialistes sont renversés ou rendent le tablier. Des élections anticipées s’organisent dans ces pays. Les partis souverainistes sont largement plébiscités. En France, Alain Soral remporte les élections avec 85 % des suffrages et un taux record d’abstention de 6,66 %.

Un nouveau monde abondant, fertile, fraternel, créatif, émancipateur est en train d’émerger. 

2023, guerre nucléaire

Des mini-nukes explosent à Kiev et dans un entrepôt militaire près de la frontière polonaise. Bilan : plusieurs dizaines de milliers de morts et des centaines de kilomètres carrés contaminés par la radioactivité.

Pour les médias, ça ne fait aucun doute, c’est la Russie. Des sondages la rendent responsable à 85 %. La diplomatie russe explique que c’est un false-flag mais reste inaudible.

Sur ordre de Joe Biden, Emmanuel Macron prend la tête du commandement militaire unifié européen. Depuis Jérusalem, il s’adresse à tous les membres de l’UE. La troisième guerre mondiale est déclarée contre la Russie. La mobilisation des troupes démarre dès l’âge de 14 ans. Des bataillons LGBTQ+ intègrent tous les corps d’armée.

Le lendemain, une dizaine d’ogives nucléaires sont tirées depuis les bases de l’OTAN vers la Russie.

Immédiatement, alors que le premier impact n’a pas encore eu lieu sur le sol russe, Paris, Londres, Berlin et Varsovie sont foudroyées et anéanties. Puis c’est le tour de Jérusalem, car elle abrite le QG du commandement mondial de l’OTAN. 

Réfugiés dans les bunkers, 95 % des équipes gouvernementales mondialistes sont vaporisées. 

Au large des côtes anglaises, américaines et pacifiques, suite à de gigantesques explosions sous-marines, des vagues géantes de 500 mètres de haut sont en approche.

Quelques ogives parviennent à pénétrer la défense aérienne russe et atteignent mortellement leur cible. Moscou n’est pas touchée, mais les principales grandes métropoles comme Kazan, Novossibirsk, Nijni Novgorod, Saint-Pétersbourg se volatilisent en poussières.

En zone Asie-Océanie, la Corée du Nord, alliée à la Chine, affronte le Japon, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Des dizaines d’explosions nucléaires sont enregistrées dans cette région. Le Japon disparaît. Les deux Corées n’existent plus. Déclenché par l’ampleur de l’onde de choc, un séisme parcourt la Mer de Chine, se dirigeant droit vers l’Amérique latine, emportant tout sur son passage. 

Avant de disparaître, la Corée du Nord lance deux de ses plus gros missiles hypersoniques nucléaires vers les États-Unis. La déflagration est tellement puissante que ⅔ du pays de l’Oncle Sam se vitrifie instantanément.

En Afrique et en Russie, les survivants s’organisent pour reconstruire le monde. 

Il faudra des siècles pour que refleurissent les campagnes, s’éclaircisse le ciel crépusculaire et revienne la paix dans les âmes et les cœurs.

2023, intervention exogène V1

Début 2023, des objets volants non identifiés commencent à apparaître dans le ciel au-dessus de petites villes et villages de campagne, majoritairement en Amérique latine, Asie et Afrique.

Dans le monde entier, des témoignages visuels affluent de toutes parts. Photos, vidéos, livres, les réseaux sociaux et les chaînes d’info regorgent de contenus montrant d’étranges objets ovoïdes volant à basse altitude dans le ciel. 

Ce qui surprend le plus, c’est le design épuré et le silence de ces engins volants.

Les premières prises de contact se produisent dans de petites agglomérations où les visiteurs arrivent de nuit, choisissant de se poser sur les places publiques ou près de lieux de cultes.

Peu à peu, les gens se familiarisent avec ces êtres humanoïdes et leurs fantastiques machines. Le calme, la puissance tranquille et la sérénité qu’ils dégagent étonnent et rassurent à la fois. Ils sont comme nous, des gens normaux, occupés à leur besogne, parlant la langue du pays, saluant les passants. Habillés de vêtements clairs et sobres, ils ne donnent pas l’impression d’être dans une tenue militaire, mais plutôt civile décontractée. 

Ici et là, ils invitent les curieux qui le souhaitent à entrer dans leur astronef. Parfois ils proposent de faire une balade de quelques heures. 

Ils répondent à toutes les questions, laissent prendre des photos, montrent des images de leur monde.

Tant que des militaires ou policiers ne viennent pas rôder alentour, les visiteurs prolongent leur séjour et tissent des liens avec les populations. Dès que rappliquent des forces armées, ils se retirent, prenant bien soin de laisser derrière eux des messages d’amitié et de paix.

En quelques semaines, tout le monde a bien compris que leur volonté n’est pas de convoler avec les puissants, encore moins de chercher à en tirer avantage, mais bien de communiquer avec les gens et d’instruire ceux qui le désirent. 

On apprend ainsi que de nombreuses civilisations évoluées existent dans l’univers, qu’elles nous étudient depuis des millénaires, y compris nos prières, attendant le moment opportun pour entrer en contact.

Ne voyant dans nos élites aucune volonté de tirer leurs peuples vers le haut, ils ont demandé à leurs émissaires de partir à la rencontre des communautés terriennes les plus avancées spirituellement. Charge à elles d’assurer la médiation avec les autres habitants de la terre.

La proposition est simple. Quiconque est intéressé par l’élévation de sa conscience doit prier et agir comme tel. Il sera alors contacté et recevra la connaissance nécessaire lui permettant d’éveiller son esprit.

Ce sera le début de l’âge d’or de l’humanité. 

2023, intervention exogène V2

Mai 2023. D’étranges objets survolent les grandes capitales partout dans le monde. Furtifs, véloces, ils apparaissent, s’immobilisent quelques instants dans le ciel, comme s’ils évaluaient nos infrastructures, puis s’évanouissent dans les airs. Leur envergure correspond à un cylindre d’une cinquantaine de mètres de long pour une dizaine de mètres de diamètre. Un gros sous-marin. La couleur est indéfinissable, car elle change constamment en fonction de l’environnement. Autour, un halo scintillant pulse en émettant un fort bourdonnement. 

C’est tellement hors-norme que cela provoque un mélange confus de sentiments, entre stupeur et effroi. Certains, consternés, ne savent s’ils contemplent un spectacle en 3DMax et doivent s’émerveiller ou s’enfuir en courant dans un bunker. L’imaginaire des blockbusters hollywoodiens et autres films catastrophes est certainement passé par là. 

En quelques jours, la nouvelle se répand dans le monde entier, envahissant les médias et les réseaux sociaux. Les extraterrestres sont arrivés sur terre ! Qui sont-ils ? Que veulent-ils ? Sont-ils amicaux ? Vont-ils prendre contact avec nous ? Nous exterminer ?

Des spécialistes sont invités sur les plateaux télé. On assiste à des débats houleux entre les partisans de la paix, de la guerre, ou de l’apocalypse. Religieux, militaires, scientifiques, politiques, people, tout le monde veut placer sa tirade. Certains commentateurs, toujours les mêmes, vont jusqu’à envisager un complot des Reptiliens pour instaurer un gouvernement mondial. Tout est bon, pourvu que ça suscite de l’émotion et pétrifie les gens devant leurs écrans.

Juin 2023. Les USA prennent le leadership. Ils décident d’envoyer des avions de chasse intercepter ces objets volants. Grâce aux caméras embarquées, on assiste en direct aux tentatives d’approches. La technologie de ces engins est juste prodigieuse. On ressent la tension des pilotes. « Mais comment peut-on suivre des oiseaux pareils, nom de Dieu ?! », crache d’une voix grésillante un des pilotes. « C’est une aberration, on croise à Mach 2.5 et ça virevolte comme si les lois de la physique… pshhhhhhhh ». On ne connaîtra pas la suite, le F15 disparaîtra brutalement des écrans radars.

Au même moment, sur les chaînes d’info sont retransmises des images nocturnes terrifiantes. Des villes, frappées par des orbes d’énergie dévastatrices, s’aplatissent comme des crêpes, puis s’enflamment ou explosent en particules embrasées. On reconnaît Londres, Berlin, Paris, New-York, Tokyo, San-Francisco, México, São-Paulo, Tel-Aviv… que des grandes métropoles mises à mort devant nos yeux. L’horreur. Les déflagrations sont titanesques. Quand des fragments incandescents s’élèvent dans l’atmosphère, on peut voir le ciel comme en plein jour. Et ce qu’on y voit est cauchemardesque.

Immobiles et imposantes, des formes sombres aux ventres hérissés de canons contemplent le chaos qu’elles propagent. On y est, les extraterrestres commencent à nous décimer !

Ce jour-là, le cours de la vie humaine sur terre changea à jamais.

Les sirènes se mirent à hurler jour et nuit. La loi martiale et le confinement général décrétés. Aucun avion civil ou commercial ne fut autorisé à circuler. Idem pour les bateaux, les trains et tous types de véhicules terrestres. 

L’effondrement des marchés financiers s’ensuivit, puis les émeutes et les pillages quelques jours après.

Septembre 2023. Sous le haut commandement du président des États-Unis, un Gouvernement Global de la Guerre (GGG) fut instauré, ordonnant deux mesures prioritaires : 1) la construction d’abris souterrains pour protéger les populations civiles, 2) la subordination totale à l’effort de guerre pour vaincre l’envahisseur.

Janvier 2789. Quelques siècles plus tard, l’humanité enterrée renversera la tyrannie et sortira enfin de sa geôle. Dehors, abasourdie, elle découvrira peu à peu la vérité. Le mythe des extraterrestres était un mensonge. Des milliards de vies innocentes furent massacrées. Quelques pays se dressèrent contre cette mystification, mais d’autres les empêchèrent d’intervenir.

En exhumant les archives de l’époque, on apprendra qu’un projet de psyop, ourdi par la CIA dans les années 1960-1970, portait le nom de « Blue Beam ». Cette opération consistait, grâce à divers moyens techniques et l’aide des médias de masse, à créer l’illusion d’une invasion extraterrestre. Objectif : terroriser et asservir les peuples. Parmi les moyens employés : d’immenses projections holographiques dans le ciel, des ondes électromagnétiques 5G pour parasiter le cerveau, la propulsion MHD procurant une grande agilité dans l’air à haute vitesse, l’utilisation de mini missiles nucléaires propres. 

Éradiquer la population en faisant porter le chapeau à des pseudo aliens envahisseurs, c’était ça le projet ! D’ailleurs, les abris souterrains avaient été construits secrètement pour loger quelques dizaines de millions d’habitants, pas des milliards ! 

En ces temps anciens, les false flags étaient fréquemment utilisés par les élites pour terroriser les masses en tuant d’innocents civils. Celui-ci fut en quelque sorte leur ultime chef-d’œuvre.




L’ENNEMI MIS A NU, NE VOUS TROMPEZ PAS DE CIBLE

Dossier en trois parties présenté par les Gilets Jaunes de la Victoire

I QUI EST L’ENNEMI ?

Depuis plusieurs siècles, s’est développé, dans l’ombre, un acteur géopolitique nouveau, anonyme et de nature privée, appelé par facilité de langage « puissances d’argent ».

Cet acteur est déroutant à plus d’un égard, car le fait d’être anonyme rend difficile son appréhension précise et la mesure de sa puissance, par rapport aux traditionnels États.

Ensuite, cet acteur ne répond pas aux mêmes règles d’engagement, pour employer une terminologie militaire, que les États. D’une part, ces « puissances d’argent » sont des acteurs privés, et non publics, qui répondent donc à des intérêts d’ordre strictement catégoriel, en aucun cas à un quelconque « intérêt général ». Mais, comme par essence ils sont anonymes, on a du mal à discerner leur présence autrement que par des déductions et recoupements d’informations.

D’autre part, et peut-être surtout, ces acteurs, qui ne sont pas géographiquement délimités (pas de contraintes géographiques), ne fonctionnent fondamentalement pas selon la même logique que les États traditionnels. Alors que les États, quelle que soit leur taille, sont limités par des frontières et répondent à une logique d’ordre sédentaire, ces nouveaux acteurs politiques (que d’aucuns, tel que Peter Scott Dale, nomment « État profond ») répondent à une logique de type nomade.

Comprendre ce phénomène, nouveau dans son ampleur, car sa création remonte loin dans le temps est pourtant fondamental puisqu’il permet de percevoir que ce nouvel acteur géopolitique a, in fine, un seul ennemi mortel : la présence d’États au sens politique du terme, c’est-à-dire d’États souverains. Ainsi, dans le contexte d’un rapport de force et de puissance, les États sont, par construction, les pires ennemis des « banquiers-commerçants ».

À ce propos, rappelons que dans un entretien accordé à la revue « Entreprise » (ancêtre de la revue l’« Expansion »), et publié en juillet 1970, Edmond de Rothschild, déclarait : « Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la nation ! » (n° 775 du 18/07/1970, p.64)

La première puissance à avoir intégré la caste des « banquiers-commerçants » en tant que nouvel acteur politique est l’Angleterre. Le choix d’Oliver Cromwell (1599-1658) de développer l’Empire britannique en adossant la puissance des armes à celle des banques a créé un nouveau paradigme politique. Dire cela ne signifie pas que l’Angleterre porte l’acte de naissance de cet acteur géopolitique nouveau, anonyme, appelé par facilité de langage « puissances d’argent ». Sa naissance est plutôt à rechercher dans les Républiques commerçantes de Gênes, de Florence ou de Venise.

(…)

Le pouvoir économique actuel, caché derrière des hommes politiques de paille interchangeables, est structurellement hors de tout contrôle ; une collectivité ne peut mettre en œuvre des contrôles que sur un pouvoir dont elle connaît l’existence, l’origine et la nature. Les collectivités humaines ne sont pas en capacité de lutter contre un ennemi caché, anonyme, qui reste non identifiable.

La première condition du renouveau civilisationnel consiste donc à faire apparaître juridiquement la réalité, qui transparaît derrière l’anonymat des capitaux, au grand jour.

Posté par Annwn à propos de l’article du Général Henri Roure :

https://www.profession-gendarme.com/qui-est-lennemi/

II MACRON ET L’AMERICANISATION DE LA FRANCE 

Macron et l’américanisation de la France — France Medias Numerique

III LA RÉSERVE FÉDÉRALE

La FED n’est ni une Réserve, ni Fédérale, ni Américaine

La Réserve fédérale des États-Unis a été créée en 1913 en réaction à plusieurs crises bancaires, la plus récente étant la panique de 1907, où les banquiers privés ont dû engager leurs fonds propres pour réinjecter des liquidités sur le marché. Si la nouvelle institution est placée sous la direction du gouvernement, elle ne semble cependant pas être ce qu’indique sa dénomination. Voici quelques éléments qui, malgré la relative opacité qui entoure le fonctionnement de la banque centrale américaine, invitent à relativiser l’exactitude du titre de l’institution.

En premier lieu, la Fed n’est pas à proprement parler une réserve, elle est un syndicat d’émission monétaire. Alors que le choix du mot « réserve » laisse entendre que son rôle principal est de conserver de la monnaie en réserve afin de parer à une éventuelle crise bancaire comme celle de 1907 — tel était un des arguments principaux en faveur de sa création — la fonction majeure de la Fed est celle de toute banque centrale, à savoir « battre monnaie ». Le premier mot du nom de la banque centrale américaine masque donc le fait qu’elle détient le pouvoir régalien de créer la monnaie.

Ensuite, la Fed n’est pas une institution fédérale, mais plutôt mixte. Elle demeure fédérale au sens où elle n’est pas locale, mais elle est mixte au sens où elle n’est pas intégralement publique. En effet, si le système monétaire américain est dirigé par une agence de l’État fédéral, nommée Conseil des gouverneurs (désignés par le Président des États-Unis), la gestion courante est déléguée à douze banques régionales qui fonctionnent comme des entreprises privées : elles émettent des actions à l’intention de banques privées partenaires. De plus, deux tiers des membres administrateurs de ces antennes régionales représentent des banques privées.

Enfin, la Fed n’est pas à strictement parler américaine. En effet, il découle de sa nature mixte, publique et privée, que des actionnaires privés étrangers à l’intérêt général américain peuvent avoir accès aux cercles de décision des banques régionales. Ainsi, dans les premières années de l’institution, ses détracteurs soulignaient par exemple les forts intérêts britanniques présents dans les trois banques qui détenaient la majorité des actions de la Réserve Fédérale de New York, la National City Bank, la First National Bank et la National Bank of Commerce.

Citation

Romain Treffel : « La FED n’est ni une Réserve, ni Fédérale, ni Américaine ». Analyse publiée sur « leconomiste.eu » le 02/03/2015. Anecdote économique extraite du recueil intitulé « 50 anecdotes économiques pour surprendre son auditoire ».

https://www.leconomiste.eu/decryptage-economie/369-la-fed-n-est-ni-une-reserve-ni-federale-ni-americaine.html

CONCLUSION

C’est bien les banquiers apatrides qui mènent la danse, servis par une armée de valets sans foi ni loi qui sont bien conscients de ce qu’ils font. Tous cherchent à détruire les États pour mettre en place un gouvernement mondial dirigé par une oligarchie où le citoyen n’aura plus qu’à obéir aux ordres, n’est-ce pas la France de Macron ! La plupart des organismes internationaux comme des États sont infiltrés par cette engeance qui au fil des ans est arrivée aux postes clefs. C’est une mafia de la pire espèce.

Quant aux ignorants qui ne comprennent pas ce qui se passe, s’ils veulent avoir un avenir, nous leur conseillons de se réveiller très rapidement avant que nous soyons pris irrémédiablement dans leur nasse.




Allons-nous réellement vers plus d’ouragans ?

[Source : jacqueshenry.wordpress.com]

Par Jacques Henry

Le gyre de l’Atlantique Nord, le climat européen et les ouragans

Les spécialistes du climat s’accordent pour affirmer que les conditions climatiques particulières de l’Europe occidentale dépendent étroitement des courants marins qui structurent les eaux de l’Atlantique Nord de par leur salinité et de leur température. Il s’agit du « gyre » de cette partie septentrionale de l’Océan dont les courants tournent dans le sens des aiguilles d’une montre. Il existe un autre gyre dans l’Atlantique Sud dont la rotation est inversée, un autre dans l’Océan Indien et deux gyres dans l’Océan Pacifique. Il est nécessaire d’examiner en détail la carte ci-dessous pour comprendre la suite de cet exposé qui n’a comme seule prétention d’aider à comprendre quelles sont les conséquences de ce gyre sur le climat de l’Europe et également sur les phénomènes météorologiques violents qui affectent le continent nord-américain périodiquement, nommément les ouragans.

Le gyre de l’Atlantique Nord a pour conséquence un transport de l’énergie thermique en provenance de la zone de convergence intertropicale (ITCZ) vers le nord en passant à travers de l’arc antillais résultant dans la formation du grand courant chaud du Gulf Stream. Ce courant chaud tempère le climat de l’Europe occidentale et permet par exemple au port de Reykjavík d’être libre de glaces toute l’année bien qu’étant situé tout près du Cercle polaire. Des diverticules viennent tempérer le Golfe de Gascogne et la Mer du Nord ainsi que la côte sud du Groenland ayant pour désagréable effet de provoquer la migration des icebergs vers le sud et l’est. Les lignes rouges en pointillé et en points sur cette carte sont les limites habituelles de ces icebergs et limites absolues relevées, pour l’anecdote, depuis le milieu du dix-neuvième siècle par les pêcheurs de morue et les baleiniers.

Entre l’été et l’hiver boréal, l’intensité des courants du gyre varie imperceptiblement, car seule la profondeur du courant est affectée. Les différences de salinité expliquent les diverticules mentionnés précédemment, car outre la température des eaux du gyre la densité et également la teneur en sel dépendent de la température, la salinité augmentant avec l’évaporation dans la zone intertropicale. Les évènements météorologiques violents, les ouragans, prennent naissance à proximité de l’archipel du Cap Vert en raison des perturbations provoquées par le puissant courant froid des Canaries dont la cause est une remontée des eaux profondes froides vers la surface (upwelling en anglais) qui, combinées aux vents alizés de nord-est donnent naissance à des foyers de dépression atmosphérique qui vont se charger en énergie thermique en traversant l’Atlantique au nord de l’ITCZ pour arriver finalement vers le golfe du Mexique ou la côte est des États-Unis. Il s’agit des vortex de Von Karman bien décrits dans la littérature spécialisée. Il faut ajouter à ce bref résumé le fait que plus on s’éloigne des côtes atlantiques de l’Europe moins l’influence du courant chaud de l’Atlantique Nord se fait sentir. Il y a un autre élément peu mentionné, mais tout de même bien réel : le courant des Canaries est froid, il y a donc peu d’évaporation des eaux océaniques, les vents dans cette région sont orientés de secteur nord-est et c’est l’une des explications de la présence d’une vaste zone désertique sur le nord du continent africain en particulier dans le sud marocain.

Si ce large système de courants marins était stable, tout se passerait bien, mais il n’en est rien. La position de l’ITCZ varie pour une raison encore mal connue. La précession des équinoxes a été évoquée ainsi que l’angle du plan de l’écliptique mais sans conclusions satisfaisantes. Ce qui a pourtant été montré avec certitude est une remontée d’environ 25 degrés de latitude vers le nord de l’ITCZ à la fin du Dryas récent. La fonte massive des glaciers européens et nord-américains à la fin brutale de la dernière glaciation aurait provoqué un afflux d’eau douce perturbant alors cette zone de convergence des gyres nord et sud atlantiques, les eaux de surface moins salées en raison de cet afflux d’eau douce provenant de la fonte des icebergs ayant eu pour effet la création d’un conflit dans la zone de convergence et aurait eu pour conséquence une remontée significative de celle-ci vers le nord. Mais cette explication n’a pas remporté l’unanimité des spécialistes. Néanmoins il s’agit de la cause première de la luxuriance du Sahara durant l’Holocène, période suivant immédiatement le Dryas, alors soumis au régime de moussons normalement situé le long du grand Golfe de Guinée. Cette conséquence est alors facile à comprendre, le Sahara fut pendant près de dix mille ans une zone de savane arborée parcourue de rivières et parsemée de lacs.

Toute l’Europe occidentale profita d’un climat particulièrement doux durant cette période qui dura plus de 8000 ans, l’optimum de l’Holocène, avec un recul prononcé des glaciers alpins et une remontée de la zone arborée jusqu’à 2500 mètres d’altitude comme en atteste la découverte de grosses souches d’arbres à ces altitudes dans tout l’arc alpin. Les paléoclimatologues ont confirmé ces faits et ont même évalué la température moyenne à celle supérieure de 4,5 °C aux températures moyennes actuelles. S’affoler d’un réchauffement du climat de 1,5 °C est à l’évidence une stupidité. Loin de moi la prétention de vouloir prédire l’avenir, mais il existe un signal faible, comme mentionné dans un récent billet, qui autorise une constatation que chacun est libre d’admettre compte tenu de la propagande climatique actuelle. Il s’agit des évènements météorologiques violents qui sont une indication de la tendance du climat.

Nous avons vu que les ouragans suivent grosso modo la partie sud du gyre de l’Atlantique Nord en se chargeant d’énergie thermique au cours de leur cheminement vers l’Amérique du Nord. La source de cette énergie thermique n’a qu’une seule cause : la température des eaux de surface de l’océan. Cette température n’a qu’une seule origine, l’irradiance solaire. Collecter des données météorologiques relatives à ces évènements violents est d’une simplicité abécédaire. Il apparaît que depuis plus de 40 ans l’énergie cumulée des ouragans dans l’Atlantique Nord est stable, voire déclinante, alors que les modèles climatologiques provenant des compilations de l’IPCC [NDLR Dénomination anglophone du GIEC] prévoient une augmentation de cette énergie beaucoup plus élevée comme le montre la figure ci-dessous :

Le nombre cumulé d’ouragans (Atlantique Nord), de cyclones (Océan Indien et Pacifique Sud) et de typhons (Pacifique Nord) reste remarquablement stable si on considère seulement leur énergie. Au cours des 40 dernières années la moyenne de ces énergies indique que l’année 2022 a été de 30 % inférieure à cette moyenne et si on s’attarde sur le caractère dévastateur de ces évènements on constate que la tendance est une diminution de ce dernier :

Où est l’erreur ? Il m’a fallu beaucoup de temps de réflexion pour comprendre ce que signifiaient les données présentées par ces graphiques. Que le nombre cumulé d’évènements cycloniques violents soit stable est facile à comprendre. Il s’agit d’une conséquence de l’inertie thermique des océans au moins jusqu’aux premiers 100 mètres de profondeur. Avec une surface couvrant près de 70 % de la surface de la Terre les océans représentent une réserve d’énergie qu’un être humain a de la peine à imaginer et les océans sont l’un des premiers acteurs de la stabilité toute relative du climat, dont celui de l’Atlantique Nord en ce qui concerne l’Europe occidentale. L’énergie cumulée d’un cyclone est une grandeur métrique calculée à partir de la somme des vitesses des vents relevées toutes les six heures exprimée en miles nautiques par heure élevée au carré et cette somme est divisée par 10 000, une image de cette énergie admise par les spécialistes dans ce domaine. Bref, si le nombre d’évènements météorologiques reste stable leur énergie est stable, ce qui signifie que l’apport solaire en énergie est stable depuis au moins quarante ans contrairement aux prévisions de l’PCC systématiquement alarmistes, organisme qui clame que le réchauffement du climat est irréversible et détruira la planète.

Les dernières preuves de l’arrivée d’un climat plus froid et donc que l’énergie que peut accumuler un ouragan en traversant l’Atlantique Nord diminue est le nombre d’ouragans violents ayant atteint les États-Unis au cours des 50 dernières années. Comme l’indique le graphique ci-dessous la tendance générale est une nette diminution que seuls les esprits chagrins contesteront :

Il s’agit d’un autre signal faible précurseur d’un changement dans l’évolution du climat qu’il faudra surveiller au cours des années à venir. Toujours dans cet ordre de constatation de signaux faibles si la région sahélienne se reverdit lentement en raison d’une augmentation presque insignifiante de la teneur en CO2 atmosphérique la sécheresse prendra le dessus comme cette évolution existe depuis plus de 3000 ans, alors on parlera en Europe de réfugiés climatiques non pas en raison du réchauffement, mais du refroidissement du climat avec comme corollaire une sécheresse provoquée par la diminution de l’évaporation des océans. 

Sources : variées et illustrations Wattsupwiththat.com 




L’autorité judiciaire n’est pas au service de la répression du mouvement social

[Source : syndicat-magistrature.fr]

Les images de la répression policière des manifestations dénonçant l’utilisation de l’article 49-3 dans le cadre de l’examen d’une réforme qui a suscité une très forte mobilisation depuis plusieurs semaines sont choquantes. Nous avons vu ces scènes indignes d’une démocratie : des policiers exerçant des violences illégitimes contre des manifestants et des street medics, des interpellations collectives de manifestants enjoints de s’asseoir par dizaines à terre, mains sur la tête, des journalistes faisant leur métier menacés ou brutalisés.

Mais derrière ces images terrifiantes, il y a les décisions qui les sous-tendent et les mécanismes institutionnels à l’œuvre : des directives données par le ministre de l’Intérieur à tous les préfets de France, et des forces de sécurité intérieure sommées de réprimer les manifestations qui s’organisent dans de nombreuses villes pour exprimer la colère sociale face au déni de démocratie. Le Gouvernement continue de mépriser le mouvement social et la violence ne fait que croître.

Des centaines d’interpellations et de mesures de garde à vue ont été décidées depuis jeudi dernier. La très grande majorité de ces mesures n’a reçu aucune suite judiciaire (à Paris, après la manifestation de jeudi place de la Concorde, sur 292 gardes à vue de manifestants, seules 9 ont donné lieu à des poursuites pénales).

Nous ne devons pas nous satisfaire de cette présentation de façade d’une autorité judiciaire assumant son rôle en ne donnant pas suite à des mesures policières infondées. Ces chiffres montrent que les forces de sécurité intérieure utilisent très abusivement la garde à vue, déclinaison concrète d’une volonté politique de museler la contestation en brisant les manifestations en cours et en dissuadant — par la peur — les manifestations futures.

Que peut l’autorité judiciaire face à cette violence d’État ? Comment incarner l’institution constitutionnellement gardienne de la liberté individuelle, et donc chargée de contrôler les mesures privatives de liberté et de mettre un terme à celles qui seraient infondées ?

Jouer pleinement notre rôle doit nous conduire à refuser le détournement de la procédure pénale au profit du maintien de l’ordre, à refuser de donner un vernis judiciaire à des opérations de police qui ne sont plus au service de la protection de la population, mais de sa répression. Notre place n’est pas dans les salles de commandement, car en nous associant aux autorités de police en amont de la réponse judiciaire, nous contribuons à la pénalisation du mouvement social et nous nous privons de notre capacité de contrôle en aval. Notre place n’est pas au côté des préfets pour préparer la répression des manifestants, mais de protéger les justiciables dans l’exercice de leur citoyenneté. Notre contrôle de toutes les procédures initiées lors des manifestations doit être exigeant et minutieux.

Apprenons de nos expériences passées, l’indignation ne suffit pas : il est aujourd’hui évident que lors du mouvement des gilets jaunes, l’institution judiciaire s’est mise au service d’une répression violente du mouvement social. Le rôle de l’autorité judiciaire est de garantir les droits et libertés des personnes. Nous devons donc les protéger dans l’exercice de droits essentiels à la démocratie : la liberté d’expression et de manifestation.




La communauté du Franc Libre après 111 jours de détention

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

https://www.comitedesalutpublic.fr/livreblanc-tournee-nationale :




« La seule souveraineté, c’est le peuple »

[Source : fr.news.yahoo.com]

Yahoo Actualités, le 18 mars 2023.

En 1958, le fondateur de la Ve République déclarait :

« La seule souveraineté, c’est le peuple, et le président de la République fait appel à lui en cas de conflit. »

Michel Debré, 1912-1996, est un haut fonctionnaire, résistant et homme d’État français.

Il est le premier à exercer la fonction de Premier ministre de la VRépublique, du 8 janvier 1959 au 14 avril 1962…

Nommé Premier ministre à la suite de l’élection du général de Gaulle à la présidence de la République… Il occupe par la suite les fonctions de ministre de l’Économie et des Finances de 1966 à 1968, puis des Affaires étrangères de 1968 à 1969, et enfin de la Défense nationale de 1969 à 1973…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Debr%C3%A9

« La seule souveraineté, c’est le peuple »

« La seule souveraineté, c’est le peuple et le président de la République fait appel à lui en cas de conflit. »

Cette phrase de Michel Debré, prononcée en septembre 1958 pour expliquer le projet de Constitution aux Français, résonne doucement à l’oreille des opposants à Emmanuel Macron après l’utilisation du 49.3 sur la réforme des retraites.

Michel Debré prend très précisément l’exemple d’un Premier ministre choisi par le président de la République mais désapprouvé par la représentation nationale lors du vote de confiance.

« Il n’y a qu’une manière de régler le conflit (…) : c’est de donner la parole au peuple par voie de dissolution », explique-t-il, réfutant l’idée que « la souveraineté nationale est donnée à une assemblée ».

« En réalité, il n’y a pas d’assemblée souveraine. La seule souveraineté, c’est le peuple et le président de la République fait appel à lui en cas de conflit. Il n’y a pas de méthode plus démocratique et plus libérale si l’on veut rester dans un régime de liberté », achève-t-il…




La limite de la patience russe

[Source : reseauinternational.net]

Par Alexandre Douguine

L’histoire du Tribunal de La Haye est symbolique. La Russie ne s’est jamais interrogée sur la nature de cette institution. En réalité, elle fait partie de la mise en œuvre du gouvernement mondial, un système politique supranational créé au-dessus des États-nations qui sont invités à céder une partie de leur souveraineté à cette structure. Cela inclut la Cour européenne des droits de l’homme et l’UE elle-même, mais aussi la Banque mondiale, le Fonds monétaire international, l’OMS, etc. La Société des Nations, puis l’ONU, ont été conçues comme une étape préparatoire à l’établissement d’un gouvernement mondial.

Le bâton du libéralisme

Parlons du libéralisme dans les relations internationales, une composante de l’idéologie libérale dans son ensemble. Les libéraux considèrent comme irréversible la loi du « progrès », dont l’essence est que le capitalisme, le marché, la démocratie libérale, l’individualisme, les LGBT, les transgenres, les migrations de masse, etc. se répandent dans l’humanité. Dans la doctrine libérale des relations internationales, le « progrès » signifie le passage d’États-nations souverains à des instances de pouvoir supranationales. Le but de ce « progrès » est l’établissement d’un gouvernement mondial. Les manuels de relations internationales l’affirment explicitement et sans équivoque. Tous les pays qui ne veulent pas du « progrès » sont, selon cette théorie, des ennemis du « progrès », des « ennemis d’une société ouverte », ils sont donc « fascistes » et doivent être jugés (au Tribunal de La Haye) et détruits (« leur infliger une défaite stratégique » – Blinken) et à la place des dirigeants souverains, on met des libéraux – de préférence des transsexuels.

Telle est la position idéologique du Parti démocrate des États-Unis, de l’administration Biden et de la plupart des élites européennes. Toutes les forces des pays non occidentaux, qui soutiennent l’Occident collectif et les mondialistes américains, jurent également par cette idéologie. Et c’est précisément cette idéologie : radicale, rigide, totalitaire.

Le défi est relevé

Il est quelque peu surprenant que la Russie, depuis 23 ans sous un dirigeant pleinement souverain, n’ait pas pris la peine d’affronter le libéralisme et ait, jusqu’à un certain point, accepté la légitimité de ses règles, de ses structures et de ses institutions.

Ce ne sont pas eux qui ont changé, c’est la Russie qui a changé avec le début de l’opération militaire spéciale, et une escalade légitime de la part des libéraux mondiaux s’en est suivie. Il n’y a rien de désinvolte là-dedans : c’est simplement du libéralisme. Tant que nous n’aurons pas renversé cette idéologie, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, l’escalade ne fera que s’amplifier.

Nous ne pouvons tout simplement pas aller plus loin sans notre idéologie.

La décision du Tribunal de La Haye d’arrêter le président russe Vladimir Poutine et la médiatrice pour les droits de l’enfant Maria Lvova-Belova est tellement scandaleuse qu’il est tout simplement impossible de ne pas réagir. C’est une insulte au pays, au peuple, à la société, à chaque personne, à chaque femme russe, à chaque mère, à chaque enfant. Comment peut-on répondre à cela avec dignité ?

À mon avis, il y a de vrais coupables dans toute cette situation et ils ne se trouvent pas à Washington ou à La Haye : ils se trouvent en Russie même. Il s’agit d’un groupe de libéraux qui, depuis 23 ans, convainquent le président par tous les moyens possibles que l’amitié avec l’Occident est une nécessité, que c’est la seule voie à suivre et que l’adoption de l’idéologie libérale, ainsi que l’intégration dans les structures et institutions internationales libérales mondialistes (notamment la reconnaissance de la Cour pénale internationale, de la Cour européenne des droits de l’homme, de l’Organisation mondiale de la santé, etc. Ils ont également discrédité le camp patriotique, de gauche comme de droite, en convainquant le chef de l’État qu’ils ne rêvent que d’organiser un « Maïdan ». En réalité, les patriotes, de gauche comme de droite, sont le peuple et le principal soutien de Poutine. Ils sont son soutien, ses fervents partisans, mais les libéraux au pouvoir ont toujours fait l’éloge de l’Occident et vilipendé les patriotes. Cela dure depuis 23 ans, depuis que Poutine est arrivé au pouvoir.

L’heure des comptes

Nous sommes logiquement arrivés au point où l’Occident encensé s’est révélé être une structure terroriste qui nous assassine, fait sauter des oléoducs, vole de l’argent, et nous, après avoir été à sa botte pendant si longtemps, nous nous sommes retrouvés dans une dépendance humiliante ; il y a 23 ans, nous aurions dû suivre la voie pour établir notre civilisation eurasienne russe.

Poutine s’est concentré sur la souveraineté. On a supposé – précisément sous l’influence des libéraux – que l’Occident accepterait cette souveraineté tant que Moscou resterait dans le cadre général de la civilisation occidentale, tant qu’elle participerait à ses structures et institutions, tant qu’elle accepterait les valeurs occidentales (capitalisme, démocratie libérale, numérisation, culture de l’anéantissement, « wokisme », c’est-à-dire l’obligation de dénoncer quiconque n’est pas d’accord avec le libéralisme, LGBT). Il s’agit d’une tromperie depuis le début et cette tromperie a des individus spécifiques : le bloc libéral dans le cercle rapproché du président. Ce sont eux qui ont contribué à ce qui se passe aujourd’hui, qui ont entravé le réveil patriotique, qui ont fait tout leur possible pour séparer le président du peuple, du noyau russe, des porteurs de la conscience patriotique.

L’heure est venue de régler les comptes. Ou elle est sur le point d’arriver. Je ne sais pas ce qui doit encore se passer pour que les libéraux au pouvoir soient mis au pied du mur et sévèrement remis en question. Peut-être manque-t-il quelque chose d’autre, mais en tout cas cela ne tardera pas. L’épée de la vengeance est sur la tête des libéraux russes au pouvoir et rien ne peut empêcher le châtiment naturel, il peut être retardé un peu mais il ne peut être évité.

Les libéraux russes doivent répondre de tous leurs crimes. Sans cela, il n’y aura ni purification ni victoire.

source : Geopolitika

traduction Réseau International




WOKISME, THÉORIE du GENRE, toutes les dérives de cette Société LGBTQ+ qu’« ILS » veulent nous imposer par tous les moyens…

Par Gérard Le Maître

Nos enfants sont en grave danger
Ce monde devient complètement fou…

Cinéma, série TV Netflix et autres regorgent de scènes woke-transgenre. Disney est aussi très actif avec des dessins animés pour les enfants et n’est pas avare de comportements équivoques qui ne peuvent que troubler les cerveaux des jeunes enfants…

Greg Toussaint atomise les trans qui veulent pervertir nos enfants

Parents vigilants : des milliers de cris d’alarme

Chaque jour, des dizaines de messages sont envoyés à la plateforme de Parent vigilant sur le site : protegeons-nos-enfants.fr. Parents, élèves et professeurs racontent une éducation dévorée par la bêtise idéologique, le conformisme et le renoncement à toute exigence. Dans le privé comme dans le public.

Transsexualité chez les ados : les bloqueurs de puberté sont de plus en plus prescrits et pourtant personne ne maîtrise vraiment leurs effets de long terme

Ces médicaments controversés, qui ont pour but de retarder ou stopper la puberté chez les adolescents, divisent la communauté médicale en ce qui concerne la réalité de leurs effets secondaires sur le long terme.

Cette circulaire contribue à la stratégie macronesque de faire lancer par des subalternes des ballons d’essai afin de jauger l’opinion sans apparaître comme étant l’initiateur. Le malheureux Jean Castex en fait mille fois les frais, c’est au tour de Jean-Michel Blanquer de s’y coller. 

Transsexualité chez les ados : les bloqueurs de puberté sont de plus en plus prescrits et pourtant personne ne maîtrise vraiment leurs effets de long terme | Atlantico.fr

Un enseignant transgenre — un travesti : disons les choses telles qu’elles sont — a manipulé une fillette de CM2 pour qu’elle adopte un prénom et des pronoms masculins, ce qui a provoqué des pensées suicidaires chez l’enfant.

WOKISME : La Suède freine les traitements de changement de sexe des mineurs :

En Suède, un hôpital de référence a arrêté de prescrire des hormones aux mineurs qui veulent changer de sexe. Confronté à une explosion des demandes, il se pose des questions sur le phénomène. D’autres établissements lui ont depuis emboîté le pas, en attendant une prise de position des autorités sanitaires.

La Suède freine sur la question du changement de sexe des mineurs — rts.ch — Monde

En France : Le Conseil national de l’Ordre des médecins valide les chirurgies des enfants « transsexuels ».



Les couleurs LGBT en vogue un peu partout, mais même les chevaux ont compris…

Beaucoup de villes « progressistes » se croient obligées d’afficher un peu partout les couleurs LGBTQ… pour faire plaisir à une minorité (très) agissante et des lobbies très puissants…

Dans la banque de données des « émojis » on trouve désormais des hommes enceints !




Le Poisson pourrit par la tête

[Source : bvoltaire.fr]

Par Jacques Myard

L’adage est connu : le peuple sait pertinemment que la faillite de tout organisme, de tout pouvoir, est la faute des élites dont la fonction est d’assumer leurs missions sans faiblir. Si les élites renoncent à leurs missions et démissionnent, l’échec est couru d’avance.

L’emploi du 49.3 pour faire passer le projet des retraites à l’Assemblée nationale illustre parfaitement l’échec du gouvernement et surtout du président de la République, qui ont présenté et défendu un projet ni fait ni à faire, un projet bâclé, rejeté par plus de 70 % des Français. Ils sont les seuls responsables de cette situation.

Mais l’échec de Macron ne se limite pas à l’enjeu des retraites. On ne peut qu’être atterré par son attitude lors de son dernier voyage en Afrique, au Congo-Kinshasa, où il a tenu des propos critiques à l’égard de son hôte congolais en déclarant : « Depuis 1994, ce n’est pas la faute de la France si vous n’avez jamais été capable de restaurer la souveraineté ni militaire, ni sécuritaire, ni administrative de votre pays. » Ces nobles propos sont allés droit au cœur du président congolais Felix Tshisekedi, qui lui a répondu vertement : « Respectez-nous, arrêtez de nous regarder avec un œil paternaliste. » Parfaite ambiance diplomatique !

Le summum de Macron-Jupiter a été atteint par des images proprement incroyables où l’on découvre le président de la République française, la nuit, dans une rue à Kinshasa, près d’une boîte de nuit, en tenue vestimentaire débraillée, buvant une bière à la bouteille… Les Africains n’avaient jamais vu un président français se trémousser de cette manière dans la foule, eux qui cultivent le respect et vénèrent l’autorité du chef !

Toutefois, l’aveuglement des élites est aussi l’apanage de nos alliés qui s’identifient à l’Occident, sûr de lui-même et dominateur. Cet Occident a décidé qu’il incarnait la vérité et a voulu rallier à lui la planète pour condamner la Russie. Le vote à l’ONU est édifiant sur la réalité du monde. Le 23 février dernier, l’Assemblée générale des Nations unies a approuvé, à une très grande majorité des États, la résolution qui exige de la Russie de cesser son agression contre l’Ukraine — les trois quarts des pays ont approuvé cette résolution —, mais la majorité démographique de la planète s’est abstenue ou n’a pas participé au vote.

« La vérité, c’est que les Américains finiront par se faire détester par tout le monde ».

Charles de Gaulle, 6 novembre 1963

« L’Occident ne mesure pas toujours la haine que lui vouent des peuples humiliés ».

Alain Peyrefitte, 13 août 1990

L’Occident sûr de lui-même et dominateur est tout simplement minoritaire en population sur la planète. Inutile de fantasmer, la réalité est là, c’est la chute historique attendue par tous les peuples humiliés depuis plus de deux siècles.

La présidente de la commission de l’Union européenne, sûre de sa mission, excelle dans sa volonté d’être la reine de l’Europe. Elle multiplie les initiatives pour forcer les États à reconnaître qu’elle incarne le sens de l’Histoire. L’élargissement de l’Union européenne à l’Ukraine — un pays où règnent la probité et l’honnêteté à tous les étages… — en est un très bel exemple. C’est là le meilleur moyen pour ruiner l’UE, déjà fort malade et traversée par de multiples forces centrifuges.

Ursula von der Leyen devrait méditer Raymond Aron :

« Ce sont les hommes qui écrivent l’Histoire, mais ils ne savent pas l’Histoire qu’ils écrivent. »

Pas certain qu’elle ouvre les yeux… L’aveuglement politique des princes que nous gouvernent est saisissant. Il confirme que les élites, comme les poissons, pourrissent toujours par la tête, c’est une constante de l’Histoire. Que ces élites aveugles prennent garde : « Quand les brebis enragent, elles sont pires que les loups. »




Après le rejet des motions de censure : où va la France ?

[Source : Union Populaire Républicaine]





Pédosatanisme, sujet tabou et étouffé par les médias ?

[Sources : Alexandre Lebreton et archive.org]

La journaliste Élise Lucet, dans un magistral aplatissement médiatique, semble avoir tout oublié du contenu de la célèbre investigation de Pascale Justice. Vous pourrez constater par vous-mêmes s’il s’agit simplement d’un « réseau de prostitution » en visionnant l’intégralité du documentaire (suivi d’un débat historique) le plus censuré de France :



Viols d’enfants : la fin du silence ? est un reportage télévisé suivi d’un débat, diffusé en 2000 sur France 3 dans l’émission Paroles d’enfants, réalisé par les journalistes Pascale Justice, Stéphane Taponier et Cécile Toulec. Présenté par Élise Lucet, le document enquête sur une affaire judiciaire classée sans suite à propos d’un potentiel réseau pédophile à caractère sectaire.

Reportage : Suite aux troubles comportementaux et aux aveux progressifs de ses deux enfants Marie et Pierre, une mère décide de porter plainte contre son mari pour inceste et appartenance à une secte pédophile. Le reportage propose une chronologie de l’enquête judiciaire avec les témoignages de Marie et de sa mère, mais aussi des représentants de la justice impliqués dans l’instruction. Après trois ans d’enquête et de doutes sur la véracité des aveux de Marie, la plainte aboutit sur un non-lieu. Commentaire sur des images factuelles, alternant avec les interviews de Marie et sa mère, de Pierre SABOURIN, psychiatre, psychanalyste et thérapeute familial, de l’avocate de la mère des enfants Catherine LARDON GALEOTE, de Nicole TRICART, chef de la brigade de protection des mineurs de Paris, de Christiane BERKANI, premier juge d’instruction au Tribunal de Grande Instance de Paris, et de Georges GLATZ, fondateur du comité international pour la dignité de l’enfant

Débat : Élise LUCET reçoit des invités pour débattre autour du reportage « Parole d’enfants » sur les aveux des enfants victimes de viol, les efforts faite par la justice pour recueillir les aveux des enfants dans les meilleures conditions, et sur l’existence de réseaux pédophiles en France. Les invités sont Jean Yves le GUENNEC, commissaire principal, chef de la sûreté départementale des hauts de Seine, Frédérique BREDIN, députée de Seine-Maritime, Martine BOUILLON, substitut du procureur au tribunal de Bobigny, Martine NISSE, thérapeute familiale et Georges GLATZ, comité international pour la dignité de l’enfant.

Transcription partielle :

– Voix off : Des deux enfants, c’est surtout l’aînée, Marie (pseudonyme) qui raconte. Ici, elle nous parle de son père et des lieux où il les aurait emmenés.

– Marie (en train de dessiner) : Il y avait un endroit à Paris, dont lui était le chef. Il disait qu’il était un grand mage et qu’il s’appelait « Bouknoubour ». Dans cet endroit, ils portaient des grandes robes blanches avec des bords dorés (elle dessine ici un personnage portant une toge avec sur le buste un triangle dans un cercle). Puis ils faisaient des prières, ils violaient les enfants, ils leur faisaient peur… Il y avait plusieurs autres personnes qui nous violaient, ils nous endormaient avec des espèces de bouillies. Ils nous attachaient aussi sur des tables puis nous frappaient ou ils nous mettaient des aiguilles auprès des yeux pour nous faire croire qu’ils voulaient nous crever les yeux.

– Journaliste : Est-ce qu’ils vous faisaient réellement du mal ? Est-ce qu’ils vous donnaient des coups ? – M : Oui, ils nous frappaient…
– 
J :
Qu’est-ce que tu nous as dessiné Pierre (pseudonyme) ?
– 
Pierre (qui dessine tout en pleurant) :…
Y’avait des monstres… C’était horrible… Ils m’ont violé…

– J : Ils t’ont violé ? C’est quoi violer Pierre ?

– P : C’était toucher le zizi… jouer avec… faire des… J’avais 6 ans, je comprenais pas encore ce qu’ils faisaient…
(…)
Marie (qui dessine également en pleurs) :
Ils les tuaient…

– J : Ils tuaient les enfants ?

– M :oui…

– J : Comment tu le sais ça ?

– M : Parce que je l’ai vu… C’était des petits enfants qui étaient un peu arabe ou des choses comme ça…. Ils leur coupaient la tête…

– J : Quand tu voyais qu’ils coupaient la tête à un enfant, c’était la vérité, ça se passait devant toi ou ça aurait pu être un film ?

– M : Non, c’était pour de vrai, parce que les enfants criaient. Et puis après ils nous disaient qu’ils allaient nous couper la tête aussi, alors ils nous mettaient pareil sur ça… Et après on avait très peur et on croyait qu’on était mort…

– J : Mais pourquoi ils faisaient ça ces gens-là ?
– 
M :
Je sais pas, parce qu’ils sont méchants, ils sont fous ! Je sais pas pourquoi ils faisaient ça, ils sont méchants ! Nous on n’a rien fait, on était des enfants (Marie est en pleurs).

– Voix off : Dès juillet 1996, dès les premières révélations, la mère confie les enfants à un pédopsychiatre qui a déjà traité des cas semblables. Durant trois ans, c’est avec des dessins que le Dr Sabourin a recueilli leur témoignage. Des dizaines de dessins, des dizaines d’heures d’écoutes qui ont forgé sa conviction : il croit les enfants.

– Dr Sabourin : Bien sûr, je crois qu’ils ont vécu des choses incroyables, très difficiles à synthétiser pour eux et à mettre en scène. Ils ont tous les deux une capacité personnelle à les dessiner, ce qui n’est pas toujours le cas…

– Voix off : Marie a dessiné une immense statue plantée, dit-elle, au milieu de la salle de cérémonie. Puis elle a dessiné le pendule et la roue qui auraient servi à des séances d’hypnose sur les enfants, et toujours les déguisements, de grandes capes rouges ou blanches, et des crucifix. Nous avons soumis au Dr Sabourin le dernier dessin que Marie nous a fait.

– Dr Sabourin : Dans ses dessins récents, je retrouve plusieurs thèmes… 4 thèmes qui existaient déjà, où on a une cérémonie avec des gens qui sont visiblement déguisés, avec des croix sur les épaules, ce qu’on retrouve ici (montrant d’autres dessins), on en a trois ici… et le crucifix ici, c’est un crucifix très spécial… Elle disait que c’était un crucifix entouré d’herbe. Alors d’où a-t-elle sorti ça ?! Je n’en sais rien… Est-ce que c’est son imagination, est-ce que c’est une enfant qui délire ? Je ne le crois pas… C’est-à-dire que face à ce type de choses extrêmement précises et surprenantes, moi j’ai plutôt tendance à dire que c’est un élément de la mémoire qui réapparaît. Toujours lorsqu’il s’agit d’un enfant et bien sûr quand il s’agit d’un adolescent ou d’un adulte, ces mémoires de traumatismes précoces sont en mille morceaux. Et c’est avec beaucoup de difficultés, avec beaucoup d’émotions, beaucoup de tensions intérieures et de craintes — ce sont des enfants qui ont peur, ils sont sous la terreur — qu’ils arrivent à livrer un petit passage, un petit morceau de souvenir, ce qui laisse tout le monde sidéré. On se dit : mais enfin, comment se fait-il qu’ils n’aient pas parlé plus tôt ? Comment se fait-il qu’ils ne puissent pas décrire cela tout comme un adulte qui décrirait un scénario, c’est là le gros travail des thérapeutes et des policiers (…)

– Voix off : C’est une véritable organisation impliquant de nombreux adultes que décrivent ces enfants ; et s’ils sont incapables d’indiquer le lieu des cérémonies, en revanche Marie nous a dessiné un plan très précis de l’immeuble et de ses sous-sols.

– Marie (décrivant son dessin) : Alors on arrive en voiture ici… On tournait à un rond-point. Il y avait un groom qui venait nous ouvrir la porte. Ensuite on rentrait dans endroit qui semblait être un hôtel assez chic. Il allait chercher les clés et ensuite on continuait dans un couloir jusqu’à un ascenseur. Ensuite on descendait dans un labyrinthe où il faisait froid, il faisait noir, et ça avait l’air d’être un sous-sol. Ici, il y avait un vestiaire où on allait pour s’habiller avec les vêtements blancs et rouge, ensuite on allait ici : une salle où ils violaient les enfants. Ici c’était la partie où il y avait surtout les filles qui violaient les garçons et mon petit frère, puis ici c’était les hommes qui violaient les filles. Ensuite ici, c’était une grande salle, comme une grande grotte en forme de cathédrale ou de crèche et il y avait beaucoup beaucoup de monde. Il y avait aussi ici une très très grande statue d’un dieu africain ou noir, et quand il grognait, les gens mettaient de l’argent dans de grandes corbeilles qui circulaient. Autour de cette statue, il y avait des cendres, avec des têtes d’enfants sur des piques dans ces cendres…

– Voix off : Des têtes d’enfants au bout de piques… Des têtes d’enfants dont Marie nous dit qu’ils auraient été décapités sous ses yeux, et qu’on retrouve dans plusieurs de ses dessins. Pour accéder à ces sous-sols, Marie décrit en surface un immeuble, une sorte de grand hôtel avec tapis rouge face à un rond-point dans Paris ou sa région. Un bâtiment chic orné d’un perron en arrondi (…)

– Marie (parlant de son père) : Comme il nous violait aussi chez lui, il y avait quelqu’un qui venait à la maison et il se déshabillait. Ils nous mettaient leur zizi dans notre bouche et ils nous filmaient, ou alors, avec mon frère, ils nous disaient de faire des choses…

– Journaliste : Et tout ça ils le filmaient ?
– 
M :
Oui ils filmaient… et après ils amenaient les cassettes dans un endroit qui était je pense à Paris, où il y avait plein de livres sur le sexe et tout ça… et ils déposaient les cassettes là-bas. (…)

– Voix off : Le cadre sectaire et les faits décrits par les enfants sont-ils donc crédibles ou inimaginables comme l’a écrit la juge d’instruction ? Nous avons posé la question à Paul Ariès, sociologue spécialiste des sectes et de la maltraitance des enfants, qui a mené des études pour le ministère de la santé. Nous lui avons soumis l’ensemble des déclarations de Pierre et Marie :

– Enregistrement de Marie : Ils faisaient des prières, ils disaient qu’ils étaient des « pures femmes », ils disaient qu’un jour tous les gens de cette planète s’étaient éparpillés sur la terre et que maintenant il fallait qu’ils les rassemblent, le peuple… en fait il y avait un espèce de dieu, un messager des dieux… qui venait leur dire qu’il fallait bientôt partir sur leur planète ou un truc comme ça…

– Paul Ariès : Moi j’aurais tendance à dire que ce qui nous est raconté ici est complètement inimaginable, c’est à dire qu’un enfant ne peut pas l’imaginer, un enfant ne peut pas l’inventer. Premier élément, ce sont ces éléments de doctrine. C’est-à-dire que nous faisons partie — si l’on se situe du point de vue des adeptes de ce groupe — nous faisons partie d’une élite qui provient d’une autre planète et qui est pour l’instant sur terre et qui sera bientôt appelée à partir. Ça fait partie globalement du fond commun de toutes sortes de réseaux aujourd’hui. La nécessité de tuer quelqu’un pour le sauver ou pour sauver l’humanité. Il y a également toutes sortes de rites où l’on nous parle à un moment donné de ces hommes en disant que ce sont des « pures femmes ». Alors ça c’est quelque chose que l’on trouve relativement fréquemment dans la littérature, la femme est celle qui féconde, ce qu’il faut faire ici, c’est arriver effectivement à féconder ce que l’on appelle « l’Homonculus », c’est à dire le sur- homme. Il me semble que l’on se trouve ici finalement à un croisement entre deux types de réseaux : d’un côté des réseaux soucoupistes — qui croient aux extra-terrestres — et puis d’un autre côté des réseaux de magie sexuelle, et on sait que ces connexions s’établissent de plus en plus.

– Enregistrement de Marie : Il y avait des gens qui avaient des espèces de… pas des masques de plongées, mais des espèces de lunettes avec un truc sur la bouche (masques à gaz ?)… habillés avec des blouses. Et il y avait une table avec dessus des mains d’enfants découpées, une tête d’enfant et puis des espèces de… je sais pas si c’était des boyaux… des trucs comme ça. Et ils mettaient ces choses, les mains et tout ça, dans des bocaux.

– Paul Ariès : Ces mains coupées dans des bocaux, c’est quelque chose qui existe… Alors là encore, il y a plusieurs interprétations possibles. L’on peut avoir tout simplement des pratiques de type cannibalisme, l’objectif étant d’arriver à augmenter sa propre puissance, apprendre aussi à souffrir, j’allais dire apprendre à faire souffrir pour devenir plus puissant…




Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

[NDLR Le terme plus approprié qu’adrénochrome mentionné par Alain Escada est la parabiose hétérochromique]




La loterie des lots pourris, le talon d’Achille de Big Pharma

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Chers lecteurs,

la raison pour laquelle j’ai publié un dossier sur la qualité des vaccins Covid dans le numéro de mars de Néosanté, c’est parce qu’en réalité c’est LE talon d’Achille de Big Pharma.

Vous vous souvenez certainement de la légende d’Achille le célèbre guerrier de la mythologie grecque que sa mère avait plongé dans le Styx, le fleuve des enfers, afin de le rendre invulnérable. On a parfois l’impression qu’avec Big Pharma, c’est la même chose. Ils sont intouchables, ils ont pris un bain complet d’immunité juridique, médiatique et politique. On est dans l’univers du mythe, personne ne peut toucher à la vaccination qui a « sauvé des millions de vie ».

Et pourtant… Achille avait un point faible, ce fameux talon par lequel sa mère le tenait en le plongeant dans le fleuve, et qui fut sa perte, lorsque Pâris tira précisément sa flèche à cet endroit-là. Et bien, je prétends que Big Pharma aussi a son talon d’Achille, et c’est la qualité des vaccins.

1. Pro-vax ou anti-vax, tout le monde s’accorde sur l’importance de la qualité des vaccins

Il y a trois raisons qui me font penser cela. Tout d’abord, c’est un sujet sur lequel tout le monde peut tomber d’accord. Peu importe que l’on soit pour ou contre les vaccins, il y aura unanimité pour dire que ces fioles ne doivent contenir ni plus, ni moins que ce qu’elles sont censées contenir et qui est marqué sur la notice. Sinon, c’est de la fraude et on met la vie des gens en danger. C’est comme cela pour n’importe quel autre produit. Le chocolat doit contenir un certain pourcentage de cacao, la viande ne doit pas être périmée, le lait ne doit pas être contaminé de bactéries. Il y a des inspecteurs qui font des contrôles « au hasard » dans les points de vente, et lorsqu’il y a un problème, on rappelle le produit, on suspend tout immédiatement.

Idem pour les vaccins, non ?

Non.

2. Pour la qualité, Pharma garde sa responsabilité

La deuxième raison pour penser que la qualité est le point faible de l’industrie du vaccin est que juridiquement, c’est à peu près le seul cas où Big Pharma reste responsable. Si vous avez vu le film 1986 the Act : quand Pharma fait la loi, vous savez qu’aux États-Unis, tous les procès liés à des dommages vaccinaux sont sortis du circuit normal de la justice. Ils sont d’office traités par un tribunal administratif spécial affecté à la vaccination, qui a un mode de fonctionnement inique et dont l’objectif est évidemment d’indemniser le moins de victimes possible. De par ce système, l’industrie est exemptée de toute responsabilité légale depuis des décennies (discussion sur ce film avec Marc Daoud de Nexus). Chez nous, cela se passe toujours dans le circuit judiciaire normal, en responsabilité civile, mais dans la pratique, les procès traînent parfois 20 ans, « la science » ne permet jamais de conclure à un lien de causalité et les victimes restent sur le carreau. En fait, la seule chose qui est de la responsabilité directe du fabricant, que ce soit aux États-Unis ou en Europe, c’est de livrer un produit conforme à ce qu’il a annoncé dans les dossiers d’autorisation de mise sur le marché, et ce pour chaque lot.

3. Il y a incontestablement des lots pourris et non conformes en circulation

Depuis le début de la vaccination, le lot pourri ou « hot lot » est la terreur des producteurs, au point qu’aux États-Unis, après avoir eu quelques expériences qui ont failli coûter cher à l’industrie, celle-ci a décidé de régler le problème en séparant les lots pour les distribuer aux quatre coins du territoire, afin d’éviter qu’un lot problème ne soit trop voyant. (voir film 1986 The act). Car, si 20 personnes tombent raides après une vaccination dans la même ville, l’on s’apercevra de suite qu’il y a un mauvais lot, et plus personne ne voudra se faire vacciner. Tandis que s’il n’y a qu’une personne dans 20 états, on a beaucoup moins de chance de voir un « signal » indiquant que l’on est tombé sur un lot pourri. L’on pourra éventuellement le détecter dans une base de données, mais peu risquent de s’en apercevoir.

L’on objectera que c’était « avant », mais qu’aujourd’hui cela a bien changé et, comme me dit une connaissance qui travaillé dans l’industrie du vaccin « tu n’imagines pas le nombre de contrôles »… » stricts », « rigoureux », etc., je veux bien le croire, mais ces contrôles « stricts » portent sur un nombre de paramètres limité.

Je maintiens : la qualité des lots pose problème. On peut y trouver toutes sortes de contaminations ou de pollutions, et les principes actifs se dégradent facilement avec la température.

C’est un sujet auquel j’ai déjà consacré plusieurs articles (Nexus 121) avant la vaccination Covid, principalement à partir des analyses indépendantes sur les vaccins pédiatriques, effectuées par l’association italienne Corvelva.

Connues sous le nom de « Vaccinegate » les résultats des analyses toxicologiques, metagénomiques et microscopiques (nanoparticules) publiés par Corvelva avaient montré que la plupart des lots diffèrent et que de nombreux vaccins sont non-conformes ou « sales » : pollutions avec des nanoparticules métalliques, traces de pesticides ou de médicaments (amphétamines, antibiotiques, antiépileptiques), contamination par des virus et de l’ADN, et aussi incroyable que cela puisse paraître dans quelques cas, l’on ne retrouvait pas l’agent pathogène en quantité suffisante (dans ce cas inutile de vacciner si l’agent actif ne s’y trouve pas).

Au minimum, l’on peut parler de grave négligence, car ces anomalies peuvent être dangereuses pour la santé. Avec d’autres produits, il y aurait un rappel, une inspection, un retrait du marché. Ici, l’on temporise ou l’on censure. L’on ne peut pas affirmer qu’il y ait eu une intention de nuire et que l’on y aurait mis volontairement des crasses. En revanche, il y a un silence et une inaction coupables, car toutes les compagnies pharmaceutiques et toutes les agences de santé ont été notifiées et, après plusieurs années de déboire devant les tribunaux, le gouvernement refuse toujours d’effectuer les analyses ordonnées par les tribunaux afin de vérifier ou d’infirmer les résultats présentés.

À mon humble avis, avant le Covid, il y avait déjà de quoi mettre la clé sous la porte des usines à vaccins. En attendant, il y a plus urgent que les « bons vieux vaccins à l’ancienne ». En effet, il semble qu’avec les lots de vaccins Covid, l’on passe réellement à la vitesse supérieure.

4. La loterie des vaccins Covid : pas de pot pour ceux qui tombent sur le mauvais lot !

Tout le monde aura été étonné d’entendre certaines personnes se plaindre des effets épouvantables qu’elles ont éprouvés suite à une ou plusieurs injections Covid, alors que d’autres n’ont vraiment absolument rien eu. Évidemment, il peut y avoir de multiples raisons pour cela, mais une des hypothèses à considérer c’est qu’on ne leur pas injecté la même chose…

Aux États-Unis, la base de données VAERS qui enregistre les évènements indésirables suivant une vaccination fait mention du numéro de lot (ce n’est pas le cas en Europe). C’est grâce à cela que des chercheurs indépendants ont pu informer le public en répertoriant les effets et les décès par lots des vaccins Covid sur le site How Bad Is My Batch. L’on constate d’ailleurs un très grand intérêt du public pour cette question, puisqu’au moment d’écrire cet article, leur compteur affiche pas moins de 112 035 225 visites !

Voici ce qui devrait convaincre tout le monde de cesser immédiatement ces campagnes de vaccination :

* De toute évidence certains lots sont beaucoup plus toxiques que d’autres.

* Les lots toxiques ont un étiquetage spécifique dans des séries qui se suivent. La présence de séries de lots différents ne peut donc pas être un hasard. Des produits différents ont été fabriqués à différents moments.

Il est IMPÉRATIF DE RÉFLÉCHIR À TOUT CE QUE CES DEUX CONSTATS IMPLIQUENT.

Voici quelques exemples qui ont été relevés :

Lots Pfizer

X représente le nombre d’effets indésirables et Y les numéros de lots.

Lorsque les codes de lots Pfizer sont classés par ordre alphanumérique le long de l’axe des x, le schéma suivant apparaît —

Comme vous pouvez le constater, les lots sont classés par ordre alphanumérique dans des fourchettes de toxicité spécifiques. Et ces fourchettes diminuent linéairement à mesure que l’on monte dans l’alphabet, de telle sorte que —

EN > EP EP > ER ER > EW

FA > FC FC > FD FD > FE FE > FH

On peut débattre de la question de savoir si cela est délibéré ou non ; en tout cas, cela semble délibéré — et les scientifiques ont l’habitude d’étiqueter soigneusement chaque condition expérimentale afin d’en surveiller et d’en enregistrer les effets. Il se pourrait bien que des lots de toxicité variable aient été soigneusement étiquetés et testés sur le public, produisant différentes gammes de réactions indésirables. Par exemple :

La série EN de Pfizer (turquoise)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EN en turquoise. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots avec 2000 à 3000 effets indésirables chacun — mais en dessous de ce groupe il y a un grand vide, et enfin il y a un grand nombre de lots EN très proches de l’axe des x.

Un examen approfondi révèle que 12 lots se situent dans la fourchette 2000-3000. Ensuite, il y a 678 lots dans la fourchette 1-37 — et rien entre les deux. Examinez les données ci-dessous pour la série EN. La chute soudaine de 2000 à 37 est remarquable. Ce modèle de variation de la toxicité ne semble pas aléatoire, car s’il l’était, nous nous attendrions à une gradation avec des nuances de toxicité entre le haut et le bas.

L’impression de non aléatoire est renforcée par l’observation que tous les lots de l’intervalle 2000-3000 ont les codes de lot suivants —

EN6198 EN6199

EN6200 EN6201 EN6202 EN6203 EN6204 EN6205 EN6206 EN6207 EN6208

Les codes des lots se suivent dans une série mathématique parfaite. C’est comme si ces lots supertoxiques avaient été soigneusement étiquetés, afin que leurs effets puissent être suivis et enregistrés. Nous avons ici 12 lots — chacun produisant 100 fois plus d’effets indésirables que les autres lots — aucun d’entre eux n’a été rappelé par Pfizer — Pfizer a permis que ces lots soient déployés l’un après l’autre.

Le même phénomène se produit avec les séries EO, ER et EW.

La série EW de Pfizer (vert)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EW en vert. Vous verrez qu’il y a un groupe de 30 lots produisant entre 2500 et 1200 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il n’y a que 3 lots produisant 100 à 300 déclarations d’effets indésirables, puis tous les lots restants produisent moins de 22 déclarations d’effets indésirables.

Il semble évident que 30 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 30 lots sont les suivants : —

EW0150 EW0151 EW0153 EW0158

EW0161 EW0162 EW0164 EW0165 EW0167 EW0168 EW0169

EW0170 EW0171 EW0172 EW0173 EW0175 EW0176 EW0177 EW0178 EW0179

EW0180 EW0181 EW0182 EW0183 EW0185 EW0186 EW0187

EW0191 EW0196 EW0198

EW0202 EW0217

Les codes des lots super toxiques font tous partie d’une série mathématique continue.

La éérie ER de Pfizer (jaune)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série ER en jaune. Vous verrez qu’il y a un groupe de 11 lots produisant entre 1570 et 3337 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, tous les lots restants produisent 22 déclarations d’effets indésirables ou moins.

Il semble évident que 11 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 11 lots sont —

ER8727 ER8729 ER8730 ER8731 ER8732 ER8733 ER8734 ER8735 ER8736 ER8737

ER2613

Tous les codes de ces lots super-toxiques font partie d’une série mathématique continue.

Série EL de Pfizer (bleu marine)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EL en bleu marine. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots produisant entre 1169 et 2675 rapports d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il y a une chute rapide et soudaine des effets indésirables.

Les lots les plus toxiques de la série EL ont souvent des codes de lot qui font partie d’une série mathématique.

EL0140 EL0142

EL1283 EL1284

EL3246 EL3247 EL3248 EL3249

EL3302

EL8982

EL9261. EL9262. EL9263. EL926 EL9265. EL9266. EL9267. EL9269

Les codes de ces lots super-toxiques font partie de séries mathématiques continues.

5. Coup de bol ou placébo ?

Qu’est-ce qui peut expliquer cette variation du genre « tout ou rien » ?

Selon Craig Paardekooper, la raison des lots super toxiques pourrait correspondre à une expérience à grande échelle entre des lots « biologiquement actifs » et des placébos.

En s’intéressant à la liste de dates d’expiration des lots publiée sur le site du CDC. — CDC Expiry List and Biologically Active Lots (Liste d’expiration du CDC et lots biologiquement actifs) le chercheur et a fait une observation assez surprenante, à savoir que l’on n’y retrouve pas tous les numéros de lots apparaissant dans la banque de données VAERS, mais principalement les lots toxiques ou qui seraient « biologiquement actifs ».

Voici sa démarche :

« Le CDC publie une liste de tous les lots fabriqués avec les dates de péremption. Une liste complète est publiée en annexe. J’ai émis l’hypothèse que la liste de péremption était une liste des lots biologiquement actifs parce que seuls les lots biologiquement actifs sont dangereux une fois périmés. Le sérum physiologique se périme, mais sur une période beaucoup plus longue, et ne présente qu’un risque minime (certains affirment même que le sérum physiologique ne se périme pas). Seuls les lots biologiquement actifs auraient été fabriqués par Pfizer, Moderna, etc.. Les services d’une société pharmaceutique très coûteuse n’auraient pas été nécessaires pour fabriquer du sérum physiologique inerte.

Sur la base de ces deux raisons, j’ai supposé que la liste de péremption était une liste définitive des lots biologiquement actifs.

Mon objectif dans cette étude était donc d’examiner la base de données VAERS afin d’identifier les lots ayant les effets biologiques les plus importants et de voir si ces lots correspondaient à ceux figurant sur la liste de péremption du CDC.

Mon hypothèse était qu’il y aurait une forte correspondance.

La méthode

J’ai utilisé la base de données VAERS pour les États-Unis uniquement et pour l’année 2021. J’ai compté le nombre de rapports d’effets indésirables, de décès, d’invalidités et de maladies mettant la vie en danger associés à chaque code de lot Pfizer, puis j’ai classé les lots en fonction du nombre le plus élevé d’effets indésirables.

Résultats

Voici un gros plan de la série EK de Pfizer dans les données VAERS.

Les lots biologiquement actifs (avec le plus d’effets secondaires graves) semblent être EK9231, EK5730 et EK4176. La liste d’expiration de lots du CDC ne mentionne que 4 lots EK. 3 correspondent, l’on n’a pas de trace du 4e.

EK4176

EK4244

EK5730

EK9231

Voici la série EL

Sur la liste d’expiration des lots du CDC les lots EL sont :

EL0140 EL0142 EL1283 EL1284 EL3246 EL3247 EL3248 EL3249 EL3302 EL8982 EL9261 EL9262 EL9263 EL9264

EL9265 EL9266 EL9267 EL9269

La correspondance est parfaite !

Toujours selon Paardekooper :

“Il se peut que les lots présentant peu d’effets indésirables constituent le groupe placebo/de contrôle. Il a été suggéré qu’il s’agissait simplement d’une erreur d’orthographe des lots hautement toxiques et qu’ils n’existaient donc pas vraiment. En d’autres termes, certaines personnes ont suggéré que tous les lots sont également toxiques et qu’il n’y a pas de placebos. Ils en concluent donc que les lots présentant un faible nombre d’effets indésirables ne sont que des erreurs d’orthographe des lots toxiques.

Afin d’examiner cette question, j’ai dressé une liste de tous les codes de lots présentant un faible nombre d’effets indésirables pour la série EL. Le format correct pour ces lots devrait être EL suivi de 4 chiffres. J’ai éliminé tous les codes de lots qui n’avaient pas ce format. Il me restait 360 codes de lots avec le format correct, mais simplement avec des effets indésirables faibles. Ces codes de lot se répartissaient également en séries mathématiques distinctes, et ces séries étaient très différentes des séries toxiques.

L’analyse des séries à faible toxicité révélera sans aucun doute une certaine systématisation des nombres et des gammes de ces lots. Les placebos, tout comme les lots biologiquement actifs, ne seraient pas distribués de manière aléatoire ou non planifiée.

Quels sont les risques de dommages ? 5 % des lots sont toxiques

La série EL comptait 18 lots hautement toxiques et 360 lots faiblement toxiques. Le rapport entre les mauvais lots et les bons lots est donc de 18 : 360, soit 1 : 20. Le maintien des mauvais lots à un niveau de 5 % les maintiendra juste sous le radar de la perception.

Si 1 lot sur 20 est toxique, et si chaque personne reçoit deux injections de vaccin par an, alors —

au bout d’un an, le risque de recevoir un lot toxique est de 1 sur 10

après 2 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 5

après 3 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 3.

Bien entendu, cela suppose que le pourcentage de lots super-toxiques reste constant à 5 %.

D’autres questions se posent évidemment : notamment quelle est la taille des différents lots et où ont-ils été expédiés ? À suivre dans un prochain article sur ce thème !

Et pour finir…

Ce qui m’inspire aujourd’hui

Prendre de la hauteur !

Fermer les yeux et se donner un moment de répit avant de continuer d’affronter ce monde en pleine métamorphose. Albatross m’est tout à coup revenu en mémoire, ce thème lancinant que l’on écoutait à l’âge ado pour s’évader dans l’imaginaire, d’autres lieux, une autre époque. Ce n’est pas très sophistiqué, mais ça fonctionne (en tous cas chez moi !) Ça fait du bien de se replonger dans une époque où nous avions au moins l’impression d’être libres 🙂