Quand le très mondialiste Jacques Attali prévoit « une immense crise financière »

[Source : bvoltaire.fr]

Par Marc Baudriller

Passer une vie à détruire méthodiquement les vieilles nations pour prévoir, in fine, leur écroulement : le vrai-faux prophète Jacques Attali se surpasse dans la prédiction autoréalisatrice. L’accident fatal, « l’immense crise financière », Jacques Attali en connaît la date à la semaine près : « La deuxième quinzaine d’un mois d’août : comme en 1857, en 1971, en 1982 et en 1993. » Il ne lui manque qu’un détail : l’année ! « Peut-être août 2023 », dit-il. Diable, c’est demain, ça !

Dans un billet paru sur son blog, l’ancien conseiller de Mitterrand — le Président qui plongea en 1983 le pays dans l’acide d’une Union européenne à vocation mondialiste — prévoit la ruine presque sûre du monde dont il fut le plus fervent ouvrier, cet univers dominé par une finance devenue folle et qui a remisé les frontières parmi les objets de musée.

Cette évolution fatale, l’effondrement du cadre national, l’Europe, l’immigration — une merveilleuse chance de « métissage », selon Attali —, l’abandon du franc, tout cela a été vendu aux Français avec un argument unique : la bonne santé de notre économie. Souvenez-vous… Schengen ? Merveilleux pour l’économie, nous ont dit Attali et consorts. Le Marché commun ? Bon pour l’économie. L’euro ? Indispensable pour l’économie. L’immigration ? Qui ramasserait nos poubelles, qui ferait le ménage sans nos précieux immigrés ? Ça valait bien un peu d’insécurité.

Le résultat s’étale sous nos yeux. La société française, moralement ruinée, en révolte permanente, en voie d’appauvrissement rapide pour la classe moyenne, les campagnes ou le monde ouvrier, déchirée entre communautés, en proie à une violence inédite, a vu disparaître sa puissance industrielle, agricole, commerciale (le déficit commercial bat aujourd’hui des records) dans un des pays les plus taxés et les plus endettés au monde. Jacques Attali est mieux placé que personne pour constater les dégâts. Il a conseillé tous les Présidents en place, lutté sans relâche contre la droite nationale. Il détaille donc avec le style prophétique qui a fait sa fortune ce que la plupart des économistes disent partout en France et dans le monde : la situation financière est explosive. « La situation mondiale ne tient aujourd’hui que par la force du dollar, lui-même légitimé par la puissance économique, militaire et politique des États-Unis, qui restent le premier refuge des capitaux du monde », constate le docte mondialiste. À qui la faute ? « Or, ils sont aujourd’hui menacés par une très grave crise budgétaire, financière, climatique et politique », poursuit Attali. Endettement des promoteurs, banques fragilisées, climat révolutionnaire… C’est la fête, après quarante ans de promesses d’un avenir rose bonbon dans un monde sans frontières, avec partage du travail et loisirs infinis pour regarder Netflix pénard, si possible dans le pays voisin.

La machine à rêves mondialiste et sa filiale européenne s’enrayent… « Le reste du monde souffrirait terriblement d’une telle crise », prévient le « père Attali », comme l’appela Zemmour. L’Europe, elle-même terriblement endettée, plongerait dans une récession […]. De même pour la Chine. Seule la Russie, qui n’a plus rien à perdre, aurait à y gagner » ! Le Rire du cosaque, pour reprendre le titre de feu Roger Holeindre, résonne ainsi jusqu’à nous.

Heureusement, Attali a la solution. Ou plutôt les solutions, car il en a quatre : des économies radicales, une relance budgétaire, la guerre et la surprise du chef, « une réorientation radicale de l’économie mondiale vers un mode de développement nouveau, avec un tout autre rapport à la propriété des biens de consommation et du logement, réduisant à la fois l’endettement et l’empreinte climatique ». Le communisme ? Mieux que ça ? Que ceux qui ont compris lèvent le doigt ! On ne le fera, ce monde de rêve, « vraisemblablement pas à la place de la catastrophe, encore parfaitement évitable, mais après qu’elle aura eu lieu », explique Attali. Donc, on y va, de gré ou de force.

Il n’a pas changé, Attali, 79 ans aux prunes. La France est depuis longtemps trop petite pour contenir l’idée qu’il se fait de lui-même, de ses compétences, de son destin et de la puissance de ses idées délétères. Au dos de son livre Demain, qui gouvernera le monde ?, paru en 2011, il rêvait tout haut : « Un jour, l’humanité comprendra qu’elle a tout à gagner à se rassembler autour d’un gouvernement démocratique du monde, dépassant les intérêts des nations les plus puissantes […]. Un tel gouvernement existera un jour. Après un désastre, ou à sa place. » De là à souhaiter ledit désastre pour accéder à ses rêves, il n’y a qu’un pas…

Dix ans plus tôt, en octobre 2000, dans la Revue des deux mondes, Attali se lâchait : « J’aimerais pouvoir imaginer une société idéale et les moyens d’y parvenir. Selon moi, la “société idéale” est une société mondiale non violente, dotée d’un gouvernement universel qui aiderait chaque personne humaine à trouver et réaliser son propre idéal et son génie. » On le connaît. Il nous expliquera, comme le font les européistes, que si le mondialisme ne marche pas, c’est parce qu’il n’y a pas assez de mondialisme. La réalité est plus simple : Monsieur Attali, votre société idéale mondiale est un enfer. Laissez-nous nos vieilles nations et leurs défauts, nous les aimons.






La liberté d’expression selon Musk vs selon la BBC






Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

[Source : gibraltar-messenger.net via nicolasbonnal]

Ricardo Delgado :

« Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Entretien avec Ricardo Delgado, biostatisticien, fondateur et directeur de La Quinta Columna
(à propos de l’oxyde de graphène dans les « injectables » et de son utilité).

Par Magdalena del Amo

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues [épidémiques] et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes [5G] irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.

[Voir aussi :
TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid,
Le dossier Vaccins et virus avec notamment ses nombreux articles qui déglinguent la théorie virale,
Le dossier 5G et ondes pulsées dont
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux.]


Introduction spéciale de la Conférence –
Conférence de La Quinta Columna : Les jeux sont faits (19 mars 2023)
Liens directs plus bas, après l’interview.




Ricardo Delgado nous [à Gibraltar Messenger] a aimablement accordé cette interview qui, nous l’espérons, éclaircira certains doutes de nos lecteurs.

Magdalena del Amo : Au début de cette situation appelée pandémie, vous avez cru, comme beaucoup d’autres personnes, que la cause était un virus très contagieux et que la réponse nous viendrait des biologistes. En fait, ils ont commencé à nous mettre en garde contre l’ARNm et les protéines de pointe. Quand avez-vous compris qu’il fallait changer d’optique, que la vérité était ailleurs ?

Ricardo Delgado : Nous avons compris que les réponses directes ne pouvaient venir que d’un seul endroit : l’observation directe par l’analyse des « vaccins ». La médecine et la biologie ne pouvaient guère expliquer les dommages, car elles ne connaissaient pas la véritable cause qui en était à l’origine. En revanche, des disciplines comme l’épidémiologie nous ont donné les clés. Cela a été confirmé par le fait que la « maladie à la mode » et les premiers cas de ce qu’ils ont appelé « coronavirus » ont été enregistrés dans la ville chinoise de Wuhan, à partir du 30 novembre 2019 ; précisément, la première ville du monde choisie en temps et en lieu pour l’allumage technologique du réseau 5 G.

À ce jour, nous savons, grâce à l’analyse pionnière des produits injectables réalisée par La Quinta Columna et d’autres analyses ultérieures, ainsi qu’à celles effectuées dans d’autres parties du monde, que les échantillons ne contiennent AUCUN matériel biologique. Il est évident que la plate-forme ARNm et l’affectation de la fameuse protéine spike n’étaient que des écrans de fumée destinés à détourner les recherches de tous ceux qui ont analysé les « vaccins » in situ.

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?]

Ricardo Delgado explique au public : « Ce qu’ils ont appelé Covid-19
est l’interaction de ce matériau non déclaré avec la biologie. »

Lorsque le graphène, inoculé et étiqueté comme « vaccin », entre en contact avec le sang, il génère la formation d’une couronne biomoléculaire de protéines. La fonction de cette couronne de protéines est de protéger notre biologie de l’introduction de matériel étranger pour le faire passer inaperçu. Cependant, certains groupes la qualifient de toxique et l’associent à la protéine spike. Une fois de plus, dans le seul but de détourner l’attention de l’origine de tous les dommages en biologie, puisque le mal est causé par la cause — le graphène — et non par sa conséquence — la couronne de protéines.

[Voir aussi :
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]

M del A : Partant du principe que la grande majorité des lecteurs abordent cette information pour la première fois, je voudrais décomposer les points les plus importants de la situation que nous vivons et, en particulier, du contenu des « vaccins ». Ce qu’ils ont découvert dans La Quinta Columna est alarmant. Comment en sont-ils arrivés à ces conclusions et sur quelles bases ?

R D : Nous nous appuyons sur les preuves corroborées par l’observation, sur le principe directeur de la méthode scientifique, sur l’utilisation d’outils scientifiquement validés pour connaître et caractériser ce que nous observons. Nos recherches ont été corroborées dans différentes parties du monde, ce qui nous a permis d’établir un modèle prédictif qui nous a même permis d’anticiper plus facilement ce qui allait se passer.

M del A : Ils ont trouvé de l’oxyde de graphène réduit dans les flacons, mais beaucoup en doutent et d’autres le nient. Pourquoi est-ce devenu un sujet tabou ?

R D : Les preuves de l’existence de l’oxyde de graphène réduit dans les inocula sont claires et ont été corroborées dans d’autres parties du monde par différents types de caractérisation, tels que la microscopie optique en champ clair et en champ sombre, les tests électroniques SEM et TEM, les tests de compatibilité avec l’absorption ultraviolette, la diffraction des rayons X, la comparaison optique avec les images du motif, les techniques de fluorescence et, surtout, la caractérisation par vibration RAMAN par balayage électronique, offrant la vibration RAMAN ou les pics caractéristiques de l’oxyde de graphène réduit.

Ricardo ouvre un flacon de Pfizer scellé et dépose une goutte
sur la plaque de verre du microscope, puis l’observe, devant le public.

M del A : Tout ceci est très technique et il faudrait suivre un cours pour le comprendre ; mais venons-en à la pratique : nous sommes face à un matériau quasi magique, inconnu jusqu’à récemment, doté de caractéristiques spectaculaires. Quelles sont ces qualités ?

R D : Lorsque l’on passe en revue la toxicité ou la biocompatibilité présumée du matériau en biologie humaine, la littérature scientifique est également très claire. Le graphène ou ses dérivés, comme l’oxyde de graphène réduit, possède des propriétés intrinsèques, notamment supraconductrices, magnétiques au contact des cellules vivantes, piézoélectriques, de haute capacité, radiomodulables, flexibles et transparentes.

[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Sa capacité supraconductrice explique son affinité pour les organes éminemment électriques, tels que le système cardiaque et le système nerveux central, lire les neurones et la moelle épinière.
Le magnétisme acquis au contact des molécules organiques explique le phénomène magnétique apparu chez les personnes à qui l’on a inoculé le matériau.
En raison de sa qualité piézoélectrique, l’excitation du matériau pour générer de l’électricité sous n’importe quelle pression, qu’elle soit acoustique, de poids de l’eau ou autre, est expliquée.

[Voir aussi :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive]

La capacité du matériau est telle qu’il est actuellement utilisé pour la construction de batteries de pointe. Cette qualité lui permet de condenser l’énergie obtenue à partir de foyers externes. Ceci, ajouté à sa présence dans des organes vitaux comme le cœur, signifie que les décharges électriques que le matériau condense peuvent interrompre le tissu de conduction électrique cardiaque, générant des arythmies et l’évanouissement classique (dû à un manque d’apport sanguin cérébral) qui, dans de nombreux cas, se termine par une mort subite.

Le fait que ce matériau soit radiomodulable indique clairement qu’il est excité par les micro-ondes. En bref, il agit comme un amplificateur ou un catalyseur de signaux de rayonnement électromagnétique, comme la 5G actuelle. Sa dureté extraordinaire — 200 fois plus dur que l’acier — fait que notre biologie choisit de l’expulser au lieu de le dégrader.

M del A : Expliquez la toxicité de l’oxyde de graphène, étayée par les multiples dommages qu’il produit dans l’organisme : curieusement, ce sont les mêmes que ceux attribués au Covid.

R D : Je dois souligner que nous devons tous comprendre que ce métamatériau étranger à la biologie ne peut être inoffensif en son sein. D’abord, le système immunitaire le traite comme s’il s’agissait d’un agent pathogène. Selon leur voie d’entrée dans la biologie, leur toxicité est relative.

M del A : Que voulez-vous dire exactement ?

R D : Lorsque l’oxyde de graphène pénètre dans notre biologie par voie intramusculaire, le système immunitaire agit contre lui avec un maillage de neutrophiles et de globules blancs. Lorsqu’il se retrouve dans le poumon, qui est une des voies d’élimination, il est attaqué par des enzymes comme la myéloperoxydase. Au contact du sang, il est enveloppé d’une couronne protéique appelée couronne biologique ou couronne de biodistribution moléculaire. La fonction de ces protéines structurelles est de l’envelopper pour qu’il passe inaperçu par la biologie humaine en raison de sa haute toxicité.

L’oxyde de graphène est un coagulant et, en fait, les éponges d’oxyde de graphène sont utilisées dans les traitements hémostatiques pour guérir les blessures. La coagulation facilite également l’effet Rouleaux de l’action des micro-ondes elle-même. (L’effet Rouleaux est un empilement littéral de globules rouges [érythrocytes] et une déformation de ceux-ci que nous observons actuellement dans le sang des personnes inoculées lors de séances de microscopie optique). Évidemment, après la coagulation, nous obtenons, en conséquence, tous les types de thrombogénicité, ce qui a contribué à la thromboembolie et aux accidents vasculaires cérébraux, ainsi qu’aux attaques ischémiques, aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et à d’autres troubles.

La qualité radiomodulable de l’oxyde de graphène doit également être prise en compte. En amplifiant le rayonnement micro-ondes entrant, nous amplifions également les dommages qu’il cause à l’organisme.

M del A : Quelle est la première réaction de l’organisme à l’entrée du graphène ?

Delgado parle au public du Covid-19 et de l’inflammation.

R D : Le premier mécanisme de réponse est l’inflammation partout où le matériau passe dans notre biologie. C’est pourquoi on observe des myocardites, des péricardites, des myopéricardites, des inflammations pulmonaires… Il traverse également les systèmes d’épuration tels que le foie et les reins. Dans le foie, il génère une inflammation du foie (hépatite) et d’importants problèmes dans les reins — où il reste longtemps — lorsqu’ils filtrent le sang contaminé par le matériau. Il imprègne également le système nerveux central, par affinité supraconductrice, où il altère son fonctionnement, générant des paralysies de toutes sortes. Il enflamme les neurones, entraînant divers types de neuropathies, dont la perte de mémoire initiale, l’inattention, le brouillard cérébral ou les difficultés de concentration.

En amplifiant les dégâts des rayonnements micro-ondes non ionisants, il augmente considérablement le stress oxydatif, ce qui contribue au vieillissement prématuré et à l’apparition de divers types de cancers et de tissus tumoraux.

Dans les cellules reproductrices — et selon la littérature scientifique elle-même — il affecte la motilité et la mobilité des spermatozoïdes humains, réduisant drastiquement la fertilité masculine.

Il affecte également la régulation hormonale chez les femmes, contribuant ainsi à leur infertilité et générant le syndrome post-ménopausique.

M del A : Il est entendu que ce n’est pas la même chose de recevoir un « vaccin » que d’en recevoir quatre, puisque l’organisme élimine le graphène.

R D : C’est exact. Les dommages sont directement proportionnels au nombre de doses et à la quantité de radiations électromagnétiques que le matériau absorbe, ou à la quantité d’exposition ciblée aux micro-ondes que l’inoculé reçoit.

Tous ces dommages, et d’autres que nous n’avons pas mentionnés, ne sont pas seulement la cause de la surmortalité actuelle due à ces pathologies, mais ont été clairement identifiés dans la littérature scientifique depuis des années, lorsque la cytotoxicité, la génotoxicité, la biocompatibilité et la biodistribution de l’oxyde de graphène en biologie sont passées en revue. Y compris le fameux « poumon Covid » qui n’est qu’une pneumopathie ou une inflammation pulmonaire, comme l’un des moyens d’éliminer le matériau, contribuant à la dyspnée — difficulté à respirer — et à la bronchiolite que nous voyons tous les jours.

M del A : Et tandis que la société continuait à s’effrayer d’un virus inexistant, médiatisé par des politiciens et des journalistes, La Quinta Columna, avec vous à sa tête, avait déjà découvert le véritable meurtrier de ce complot.

R D : En effet, La Quinta Columna a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, jusqu’à ce jour, personne n’a vu.

[Voir aussi :
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
L’invention du SARS-CoV-2
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]

M del A : Il ne fait aucun doute que nous parlons d’une étape importante, d’une découverte vitale et transcendante, non seulement pour l’humanité actuelle, mais aussi pour celle de l’avenir dans sa transition vers le transhumanisme. Mais pourquoi cela ne parvient-il pas à la connaissance du grand public ou, si c’est le cas, c’est accompagné d’un certain scepticisme ?

Au cours de la conférence, Richard Delgado fait le lien
entre les décès dans les maisons de retraite et la campagne.

R D : Les preuves présentées sont connues d’un grand nombre de personnes dans le monde, mais il est vrai qu’elles n’ont pas pénétré la société dans la mesure nécessaire. Nous avons montré que ce matériel a été introduit massivement lors de la campagne de grippe de 2019, dont la population directe était les personnes âgées des résidences ou les gériatres, ce qui a contribué à la grande extermination des personnes âgées, qui faisait partie de ce qu’ils ont appelé la « première vague ».

Nous avons également démontré que ce qu’ils ont appelé « épidémies » et « vagues » n’est rien d’autre que la conséquence de l’augmentation des radiations environnementales au moyen d’antennes téléphoniques [3G, 4G, 5G…], dont les micro-ondes excitent l’oxyde de graphène (radiomodulable) pour générer davantage de stress oxydatif et, en fin de compte, tous les dommages précédemment observés en biologie. Et, malgré tout, une grande partie de la société ne le sait toujours pas.

M del A : Pensez-vous qu’il s’agit d’une pure dissonance cognitive ou d’autre chose ? Y a-t-il quelque chose qui nous échappe ?

R D : À mon avis, il y a des facteurs importants qui expliquent que ces preuves n’aient pas été mises en lumière par leur propre poids, mais permettez-moi de laisser cela pour la fin.

M del A : Comme vous voulez. Continuons à parler du matériau : pourquoi introduisent-ils de l’oxyde de graphène réduit dans cette « chose » qu’ils appellent vaccin ?

R D : C’est la grande question à laquelle nous trouvons également une réponse, précisément par le biais d’institutions officielles de très haut niveau et par l’examen de la littérature scientifique elle-même.

Nous avons mentionné précédemment la nature magnétique du graphène en contact avec des molécules organiques, n’est-ce pas ? Eh bien, si nous disposons d’un support magnétique en biologie et, de surcroît, supraconducteur — en affinité avec le cœur et les neurones —, nous avons la possibilité d’y lire et d’y écrire des informations, comme sur un disque dur (d’ordinateur*). Au niveau neuronal et dans le domaine des neurosciences, la lecture d’informations est un contrôle ou une supervision neuronale. L’écriture d’informations sur ce support magnétique — qui est de l’oxyde de graphène réduit — imprégnant les neurones est connue sous le nom de neuromodulation ou neurostimulation. Il s’agit de la capacité d’introduire ou d’insérer des pensées (instructions) ou de modifier des modèles de comportement humain à distance et sans fil (micro-ondes scalaires et millimétriques). Au niveau du système cardiaque, on parle également de biocapteur du cœur ou de stimulation du cœur à distance.

[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Biocontrôle : du cauchemar à la réalité
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Nanotechnologie et « vaccins »
Transformation cybernétique de l’Humanité
Le but démontré des injections antiCovid]

* Note du Messager de Gibraltar :

Le chemin du retour ou l’affrontement du feu

3:31 Le corps humain n’est rien d’autre qu’un ordinateur organique vivant très sophistiqué (selon les normes humaines), qui s’autoreproduit et s’autorépare (s’il n’est pas trop endommagé). Il s’agit d’une combinaison d’ordinateurs plus petits, par exemple le cerveau, les reins, le foie, etc., qui constituent collectivement l’ensemble, préprogrammé pour avoir des instincts animaux égoïstes, que votre âme doit apprendre à surmonter. Le cerveau humain physique fait fonctionner le corps et ses émotions, mais l’esprit et les sentiments appartiennent à l’âme. C’est pourquoi Jésus a dit que la chair n’a aucune valeur et que seul l’esprit (l’âme — le VRAI vous) a de la valeur (Jean 3:6 ; Jean 6:63).

3:34 Le Saint-Esprit, ou voix g(o)od [« good » : bon. Et « god » : dieu.], est implanté à l’intérieur du corps animal humain, avec l’âme et relié à elle. C’est la connexion télépathique de l’âme avec Dieu. Pour essayer de simplifier les choses, pour que vous puissiez comprendre plus facilement, si vous pouvez penser, pour un moment, à Dieu comme étant comme un maître-ordinateur et une banque de mémoire (fontaine de connaissance) ; avec le Saint-Esprit, comme la connexion de l’âme et le terminal d’ordinateur personnel, relié au maître ; par lequel, chaque âme est informée et enseignée en privé, individuellement et personnellement, ce qui est bon et ce qui est mauvais, par le Seigneur ; alors vous aurez une meilleure compréhension de la façon dont les choses fonctionnent.

[Voir aussi :
Mettez au régime votre IA (Intelligence Artificielle)]

3:35 Vous pouvez demander et recevoir des informations de Dieu en apprenant à utiliser votre connexion télépathique (le Saint-Esprit — 1 Jean 2:27). « Cherchez et vous trouverez », mais SEULEMENT si vous cherchez de TOUT votre cœur (Jér. 29:13), et avec l’humilité d’un enfant.

3:36 Malheureusement, tout ce que vous faites, c’est de lui demander de vous donner ceci ou cela, ou de faire ceci ou cela pour vous. Vous ne lui demandez JAMAIS ce que VOUS pouvez faire pour lui, n’est-ce pas ? N’est-ce pas très égoïste et unilatéral ?

3:37 L’autre voix, que tout le monde a dans la tête et sait parfaitement que c’est le mal, est évidemment la voix du Diable.

M del A : Apparemment, tout cela éclot soudainement, mais il semble qu’il y ait un plan méticuleusement établi qui synchronise plusieurs fronts.

R D : En effet. Toute cette recherche et sa propre littérature scientifique sont présentes au moment même où des personnages tels que l’ancien président du Chili, Sebastian Piñera, parlent d’« insertion de pensées, d’insertion de sentiments et de surveillance neuronale » le jour de l’appel d’offres pour le réseau 5 G. Dans le même temps, la Constitution chilienne est modifiée pour tenir compte de la « loi sur les droits neuronaux », et des dizaines de millions de stations de base et d’antennes téléphoniques sont déployées dans le monde entier. Et, entre autres événements, le directeur du Forum Économique Mondial lui-même nous parle des biocapteurs dans le cerveau d’ici 2030, de la « montée du transhumanisme » ou du nouvel être humain « Human 2.0 », du « cloud » et de « l’intelligence artificielle ».

[Voir aussi :
À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Une emprise sur l’Humanité]

M del A : Tout indique que nous sommes sur la voie du transhumanisme, ou de la fin de « l’ère humaine », comme le dit José Luis Cordeiro. Ne trouvez-vous pas cela terrifiant ?

R D : En effet, c’est terrifiant, c’est la pire chose qui soit arrivée aux êtres humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres humains en un minimum de temps, malgré les graves dommages et effets secondaires de cette technologie sur les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de la supervision de tous les individus directement à partir de leurs neurones. Bref, la perte totale de l’espèce humaine actuelle. C’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « autre chose », privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui sert d’INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de manières.

M del A : Nous avions laissé pour la fin sa réponse sur les raisons pour lesquelles cette importante découverte n’a pas été révélée, qui plus est, sous la forme d’un grand scandale. Quels sont les facteurs qui ont influencé et continuent d’influencer cette dissimulation ?

R D : Il y a plusieurs facteurs. Le premier et le plus évident est le contrôle que les gouvernements exercent sur les institutions dont ils ont la charge, notamment les médias, les établissements de santé, le système judiciaire, les syndicats, etc. Cela leur permet de mener à bien leurs programmes, parfaitement planifiés à l’avance. Mais il y a un autre facteur clairement exposé et que certains, apparemment dissidents, ne veulent même pas mentionner.

Il s’agit du concept de dissidence contrôlée, de fausse dissidence ou de faux dissidents. Il s’agit de personnes qui prétendent œuvrer pour la dissidence et la clarification de la Vérité, mais qui, néanmoins, introduisent toutes sortes d’obstacles pour qu’elle ne soit pas mise en lumière. Ce phénomène a été introduit dans toutes sortes de guerres. Et je ne dévoile rien de nouveau si je dis que nous sommes dans la pire des guerres, où l’ennemi à abattre est l’être humain lui-même.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

M del A : Peut-on dire qu’il s’agit d’une action de contre-espionnage et qu’il existe un protocole d’action qui, dans ce cas précis, fonctionne ?

Ricardo Delgado sur le mal qui se cache derrière l’intention.

R D : C’est exact. Et dans cette façon d’agir, il y a plusieurs stratégies que je vais énumérer, en me référant au cas en question :

En général, les T.H.E.Y. The Hierarchy Enslaving You » : La Hiérarchie qui vous asservit. Et THEY : EUX] font tout leur possible pour retarder une première découverte, ou éliminer tous les « bons indices » qui arrivent, permettant la mise en œuvre de l’objectif qu’ils ont. Dans ce cas particulier, il s’agit de dissimuler l’utilité de l’oxyde de graphène en tant qu’interface.

— Ils se caractérisent par la négation des preuves ou des propriétés qu’elles présentent. Par exemple, ils nient l’existence du graphène dans les « vaccins », ainsi que le phénomène magnétique de l’inoculé ou l’émission d’adresses MAC détectées par Bluetooth.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

— Ils s’infiltrent dans les bonnes recherches pour tenter de les retarder, en utilisant toutes sortes de stratégies.

— Ils introduisent de nouveaux foyers, supposés nocifs, pour neutraliser les dommages générés par la véritable cause, mais qu’ils doivent couvrir à tout prix. Par exemple, ils essaient d’envelopper l’oxyde de graphène avec du venin de serpent, des isotopes radioactifs, du venin d’abeille, des métaux lourds ou la fameuse protéine Spike (qui est précisément la réponse à l’introduction du graphène dans la biologie).

— Ils essaient d’envelopper la CLÉ avec n’importe quel élément distrayant afin qu’elle perde sa force.

— Ils recourent à la violence et aux attaques personnelles, manipulant ou déformant même la vie personnelle de ceux qui découvrent les preuves qui doivent être dissimulées.

— Normalement, ils sont financés économiquement par le système lui-même, ou bénéficient de promesses de promotions sociales dans le même domaine ou d’autres types d’avantages.

— Les groupes de dissidence contrôlée ont été créés avant que de véritables collectifs de dissidents n’apparaissent naturellement face à l’avancée de la situation qui commençait à nous affecter tous. Comme dans toute guerre, l’ennemi dispose de ces groupes, créés dans différentes parties du monde et avec des étiquettes similaires pour contrecarrer, capturer, effondrer et neutraliser les découvertes des groupes humains qui cherchent la vérité. Un exemple très significatif de ces groupes est celui des collectifs « pour la vérité », créés a priori dans différentes parties du monde et qui ont tenté de discréditer toute recherche, preuve ou découverte générée à partir de l’observation par des groupes véritablement dissidents.

— Comme la version officielle elle-même, ils utilisent dans leurs noms et leurs slogans des attributs dont la signification réelle est juste à l’opposé de la façon dont ils sont étiquetés. La véritable signification de « par la vérité » est « dissimuler la vérité ».

— Ils sont généralement actifs dans le Système lui-même, soit dans le domaine de la santé, soit dans le milieu universitaire ou autre (médecins, collèges officiels de biologistes, etc.).

— Ils sont organisés de manière hiérarchique, de sorte que leurs sommets sont occupés par des « porte-parole » qui gouvernent et parasitent tout le discours du collectif, de sorte que personne n’a d’opinion individuelle, et s’il en a une, elle est éclipsée par le sommet lui-même. Ainsi, ils dirigent le message où ils veulent et cachent les preuves.

— Ils introduisent des bots et des adeptes fictifs, ainsi que des trolls agressifs, sur diverses plateformes pour donner l’impression qu’ils bénéficient d’un soutien humain inconditionnel. En réalité, pratiquement personne ne les suit. Ce fait est évident lorsqu’ils donnent des conférences en public, qui sont suivies par un petit nombre de personnes.

— Ils sont chargés de capturer les personnes qui doutent de la version officielle (médecins, universitaires, avocats, journalistes, etc.) et de les introduire dans des collectifs, préalablement créés, pour éclipser le message qu’ils pourraient transmettre. Une fois à l’intérieur du collectif, ils sont liés aux directives du porte-parole de celui-ci. Par exemple : Avocats pour la vérité, ou Journalistes pour la vérité. Ils ont tendance à baser leurs « recherches » sur les « papiers » eux-mêmes, qui sont rédigés dans la version officielle, contre laquelle ils sont censés s’opposer.

— Ils ne font jamais de véritables analyses à l’aide d’outils scientifiques, car cela les obligerait à manipuler les résultats, à cacher ce qu’ils ont découvert. Au lieu de faire des recherches, ils préfèrent dire : « L’analyse des vaccins est une perte de temps » ; « Ne regardez pas au microscope, car vous ne verrez rien », ou « Obtenir des vaccins est très difficile ».

— Les travaux de ceux qui analysent au RAMAN, au microscope optique, au microscope électronique ou à toute autre technique permettant de SAVOIR comment caractériser le composant clé des « vaccins » sont ridiculisés et attaqués par cette fausse dissidence avec des arguments de pacotille. La plupart de ces attaques sont virulentes et personnelles.

— Ils utilisent leurs titres pour parler par « principe d’autorité » donné par la même institution ou celle à laquelle ils appartiennent, mais pas par « principe scientifique de preuve ».

— Ils utilisent les arguments de la version officielle — contre laquelle ils luttent apparemment — pour discréditer des travaux sérieux et indépendants. Par exemple, en s’appuyant sur les brochures officielles des « vaccins », alors que, précisément, des composants NON déclarés dans ces derniers sont dénoncés et pourraient faire tomber toute l’opération.

— Ils s’approchent des découvertes prouvées, avec lesquelles ils parviennent à capter un certain nombre d’honnêtes gens, puis se débarrassent de ce paradigme et reviennent à d’autres centres d’intérêt. Par exemple, ils admettent l’existence du graphène, mais soutiennent qu’il y en a très peu dans les « vaccins », ou reconnaissent que les vaccinés émettent des adresses MAC, mais rejettent le graphène.

— Ils se targuent de phrases telles que « Nous devons tous être unis » ou « Ensemble, nous sommes plus forts », précisément pour s’infiltrer.

— Ils se concentrent sur les dommages, mais pas sur la cause réelle qui en est à l’origine.

— Ils s’emploient à dénoncer des problèmes mineurs, afin de minimiser l’impact de ce qui est le plus dommageable. Par exemple, dénoncer les masques, la perte de libertés et de droits, ou l’inefficacité du test PCR, tout en dissimulant l’introduction de l’interface dans les produits injectables, qui est l’objectif pour atteindre le transhumanisme.

M del A : S’il en est ainsi, le citoyen ordinaire a la vie dure. D’une part, il est trompé par le système, et d’autre part, par ceux qu’il croit chercher la vérité. Avez-vous un dernier conseil à donner pour terminer ?

Richard Delgado explique au public comment nous pourrions mettre un terme
à cette évolution vers le transhumanisme.

R D : L’identification de ces « personnes » est vitale pour continuer à avancer, mettre en lumière les PREUVES et arrêter ou prévenir l’opération. La fausse dissidence est la première ligne de bataille que l’ennemi envoie dans nos rangs. Il y a des gens de bonne foi, qui n’ont pas appris à les identifier, et qui « font semblant d’avoir raison avec tout le monde », mais c’est tout simplement impossible, parce qu’ils font confiance et communiquent avec des traîtres, tous les jours et sans le savoir. Ils doivent choisir et abandonner tout autre intérêt que la Vérité, avant tout. Il n’y a pas de place pour les demi-mesures, en raison de la gravité à laquelle nous nous exposons. Nous ne pouvons pas permettre que la fausse dissidence continue à essayer de discréditer les preuves, et que celles-ci ne soient pas mises en lumière avec suffisamment de force, assurant ainsi la poursuite de l’opération contre l’être humain. C’est-à-dire la fin de l’ère humaine par le transhumanisme.

La conférence sur la chaîne Odysee de La Quinta –
Conference of La Quinta Columna: The game is over (19 March 2023)
(Aussi sur DGTV.)



Source : En espagnol : Periodista Digital – Ricardo Delgado: «A pesar de la evidencia, lo siguen negando»




TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots

[Source : newsletter.micheldogna.fr]

Par Michel Dogna

Pour comprendre quelque chose de logique au sac d’embrouilles de la sombre histoire Covid, il faut aller juste à l’essentiel des évènements factuels et oublier le narratif superficiel et stérile des médias pour égarer les esprits. Même si je commets quelques erreurs dans le méli-mélo historique cela ne change rien sur le fond de ma démarche.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid
et le dossier Vaccins et virus]

ÉPISODE 1 : Préparation panique mondiale

En 2019 la ville de Wuhan en Chine où siège le laboratoire de sécurité virale P4, est secrètement désignée pour être le lieu de lancement expérimental d’une épidémie par coronavirus. Toute la population reçoit préalablement un faux vaccin antigrippe obligatoire (chargé d’oxyde de graphène). Ceci sera dévoilé plus tard factures en main par la journaliste scientifique américaine Karen Kingston. En même temps, une installation de 10 000 antennes relais 5G est effectuée à travers la ville (détail important)

En janvier 2020 des passants à Wuhan tombent par terre çà et là dans la rue, foudroyés par une mort subite – des images parlant d’un virus mystérieux nommé (C 19) passent dans les journaux du monde entier qui donnent l’alerte d’une possible pandémie. En même temps, il tombe sur le sol des milliers d’oiseaux et d’insectes morts en plein vol. Silence radio sur ce détail…

La presse annonce une terrible grippe par un coronavirus ayant pour origine des chauves-souris et des pangolins infectés vendus sur le marché. Logiquement quand on est terrassé par une grippe, on est au fond de son lit et non pas en train de se promener dans la rue, et on ne meurt pas subitement…

Or en 2011 l’Institut Pasteur avait déposé deux brevets d’un « vaccin » type ARNm contre une maladie épidémique dont on ne connaissait pas encore l’existence (BIZARRE !)… ceci à partir d’un coronavirus SRAS2 OGM donc n’existant pas dans la nature, une chimère signée Microsoft donnant une grosse grippe pulmonaire. L’insertion confidentielle d’oxyde de graphène n’apparaîtra que dans un brevet chinois et pas dans le brevet US.

ÉPISODE 2 : Que s’est-il réellement passé à Wuhan ?

En fait le « fog » de la 5G émettrice d’une onde mortifère associée au graphène du faux vaccin ARNm a transformé les gens en antennes de réception ambulantes. Mais il ne fallait pas que cela se sache afin de capter l’attention du public vers le seul corona C19 qui a servi de faux drapeau – et tout le monde (y compris les scientifiques) s’est engouffré dans ce miroir aux alouettes. Le but était de créer une panique générale face à un faux ennemi : le C19, ce qui allait faire accepter un vaccin qui tue.

Le principe est toujours le même :
Effrayer les gens avec une vraie ou fausse maladie afin de leur proposer un « remède miracle » qui va les abîmer et rentabiliser à vie les uns ou tuer les autres.

J’ai appris tout cela en détail quelques mois plus tard par un laboratoire de recherche indépendant, ce qui m’a valu la perte de plusieurs milliers d’abonnés… J’ai expliqué que la 5G a été chargée de la fréquence 60 gigahertz (milliards de hertz) qui est la fréquence de résonance de l’oxygène – or sous cette forme excitée l’hémoglobine du sang ne peut plus s’y combiner pour le véhiculer, d’où asphyxie partielle ou complète des victimes injectées vivant sous rayonnement 5G. Depuis divers labos indépendants ont totalement confirmé cette information.

ÉPISODE 3 : Pourquoi tant de morts subites – retards ?

La propriété de supraconductibilité électrique et surtout magnétique bien connue du graphène nanométrique agit sur les globules rouges puisqu’ils contiennent du fer et les collent tous Nord/Sud comme tous les aimants, formant de grands vers en tortillons dans les circuits sanguins. Ils peuvent créer ainsi des bouchons dans des coins stratégiques comme le cœur (d’où embolies cardiaques), dans le cerveau (d’où AVC embolie cérébrale), ou dans les poumons (d’où embolie pulmonaire) .

Et ce n’est pas tout, car ce graphène nanométrique est sous forme de microscopiques lames de rasoir qui blessent à la fois les globules rouges et les parois des vaisseaux. Les plaquettes arrivent alors en masse pour cautériser les millions de microblessures, ceci créant autant de microcaillots qui épaississent le sang jusqu’à le transformer en « confiture ». Là, c’est danger de mort imminent !

Les autopsies de ces victimes montrent des sites vasculaires dévastés avec un mélange de caillots et de débris de vaisseaux impressionnants.

Et c’est pour cela qu’il convient surtout pour les vaxés de se faire établir d’urgence un D dimer (je le répète sans cesse) par un laboratoire médical qui va mesurer la viscosité du sang, la valeur en UI ne devant pas dépasser 10 fois votre âge (50 ans = 500 Ui). Mais qui parle de cela ? Quelques médecins hors pistes émancipés de la doxa officielle…

ÉPISODE 4 : De faux vaccins destructeurs

La Quinta Culumna observatoire espagnol de la santé publique suite à l’analyse de « vaccins » Pfizer et Moderna n’y a trouvé aucune trace de souche vaccinale de Covid – normal puisque ce virus chimère n’a jamais pu être capturé ni isolé. Ce n’est donc pas un vaccin.

Par contre en plus du graphène, ils ont trouvé de PROTÉINE SPIKE et de l’HYDROGEL DARPA qui sont deux poisons codants du génome.
La spike pénètre dans les cellules et les fait travailler à sa propre reproduction dans tout l’organisme. Ensuite elle détruit le programme immunitaire pour le remplacer par une réaction auto-immune de septicémie générale gravissime en cas d’attaque virale.

L’hydrogel facilite la pénétration cellulaire de la spike et inhibe la glande pinéale qui est un relais des informations cosmiques.

NOTA : Il est curieux qu’aucun des ténors virologues et épidémiologistes contestataires, à part Le Dr Astrid Stükelberger, ne parle de ces trois responsables majeurs de l’hécatombe qui sévit depuis 3 années parmi les vaxés. Font-ils face à une terrible omerta ?

ÉPISODE 5 : la découverte de 3 lots de vaccins

Il est légitime de se poser la question : pourquoi tout le monde n’est pas handicapé, voire terrassé, après avoir été injecté d’un ou plusieurs de ces poisons ? La réponse est simple : si tout le monde était touché, la relation avec le vax serait évidente. Or les analyses d’échantillonnages montrent l’existence de 3 lots :

  • Lots n° 1 ne contenant que du sérum physiologique ;
  • Lots n° 2 sous dosés en poisons (vous risquez d’être malade) ;
  • Lots n° 3 à dose maximum (vous risquez la mort prématurée).

C’est donc la roulette russe !!! Sauf pour les politiques et collabos patentés qui ont bénéficié des lots n° 1.

ÉPISODE 6 : Des mesures criminelles tous azimuts

Alors que Bill Gates préconisait l’éradication de 90% de l’humanité, Il a imposé un « vaccin » pour protéger les gens
(BIZARRE !)
C’est ainsi que :

  • Dans les EHPADS on a « protégé » les vieux en les liquidant au REMDEVISIR
  • Dans les hôpitaux on a massacré les grippés par corona aux paracétamols
  • L’on a confiné chez eux des milliers de grippés sans soins
  • L’on a interdit tous les médicaments reconnus efficaces contre le C 19
  • L’on a obligé les gens au port d’un port d’un masque inadapté aux virus et catastrophique pour les enfants à l’école
  • L’on a obligé les gens à se soumettre à un test PCR non fiable et discriminatoire
  • L’on a puni les médecins qui guérissaient leurs patients avec des traitements retirés des pharmacies en France
  • Les médias ont menti sur tous les chiffres en inversant les résultats et en cachant les succès flagrants des pays non alignés sur l’OMS

NOTA : les 20% des Français qui ont refusé le vax maudit n’ont présenté aucun des symptômes courants parmi les vaxés.

ÉPISODE 7 : Une histoire sans fin

Pourquoi régulièrement une nouvelle épidémie ? Tout simplement en raison du fait que le Covid étant un montage chimérique, donc non issu de la nature, doit muter sans cesse jusqu’à retrouver son statut d’origine, ainsi que l’a expliqué le Pr Luc Montagnier. Pour chaque mutation épidémique soi-disant plus dangereuse que jamais (tel le Marburg), il faut logiquement un nouveau vax, mais c’est du cinéma puisque nous avons vu que l’on n’a jamais pu isoler le virus.

Par contre, c’est une bonne occasion pour vous mettre une recharge supplémentaire des 3 poisons qui tuent, du moins pour ceux qui n’ont toujours pas compris que l’on s’est payé leur tête depuis le départ… et que le risque pour leur vie est cumulatif.

À noter que l’Afrique qui s’est dissociée délibérément du joug OMS depuis le départ [à part quelques pays, dont la Tunisie et l’Afrique du Sud, qui en ont scrupuleusement suivi les directives et ont eu beaucoup plus de morts par million d’habitants que les autres (voir https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)], a été très peu touchée par cette pandémie, non pas virale mais vaccinale [NDLR En toute rigueur, la mortalité relevée dans les divers pays du monde affectés a démarré avant la campagne de vaccination massive. Cependant, elle a chronologiquement accompagné le déploiement de la 5G (voir Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur)] et utilise massivement l’artemisia annua millénaire.

ÉPISODE 8 : Mort de la cabale et libération des peuples !

Une grande partie des Français se réveille enfin, précédée comme d’habitude par le peuple américain de Trump. La population se rend enfin compte qu’elle a été mortellement trompée. Il n’y a que les profiteurs collabos qui ne réclament pas la démission de Macron, ce malade mental qui est moqué par la plupart des pays étrangers.

Sur le plan mondial, ceux qui suivent autre chose que télé mensonges peuvent constater que la cabale satanique, OTAN comprise, est en pleine décomposition, que son dernier recours par une guerre nucléaire mondiale est avorté et qu’elle a définitivement perdu la partie.

Comme nous l’avions prévu, 2023 nous offre la libération des peuples par la grande sagesse stratégique des 3 mousquetaires sauveurs que j’ai toujours soutenus : TRUMP – POUTINE – XI JINPING. (Honni soit qui mal y pense). Ne vous inquiétez pas des mesures socio-culturelles et bancaires catastrophiques qu’on nous promet, elles ne pourront pas aboutir.

[NDLR Michel Dogna se montre particulièrement optimiste, trop peut-être, au moins en termes de délais.]

La mise en place d’un nouveau monde de Lumière est en cours.
Participez-y plutôt que de rester les yeux rivés sur votre rétroviseur.






France — Hospitalisation des personnes âgées : a-t-on trié les patients cet hiver ? 52 % de décès en plus en EHPAD ! Effet de la 5e dose (et plus) ?

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Au pire moment de la crise Covid 2020 on comptait trois décès en hôpital pour un en EHPAD, au début de cette année on comptait deux décès en hôpital pour un en EHPAD. Que s’est-il passé ?

Les derniers chiffres de l’INSEE interpellent. Les Français meurent majoritairement chez eux et surtout dans l’EHPAD qui les héberge. Ainsi le 27 mars dernier 70 Français sont décédés en hôpital ou clinique (-21 % en un an) contre 34 en EHPAD (+52,6 %) et 45 à domicile (+5 %).

Cette explosion des décès en EHPAD intervient à partir de décembre 2022 ; le ratio était traditionnellement de 4,5 décès en hôpital ou clinique pour un décès en EHPAD, le ratio est tombé à 2… Il se passe quelque chose !

Merci à @felicittina

En calculant le rapport entre décès des hôpitaux et ceux des établissements pour personnes âgées, on constate une anomalie qui commence dès décembre. Bien plus importante que celles déjà connues pour les confinements de 2020. Pourquoi dès décembre ? … /…

… On pouvait penser à un changement de mode de décompte en 2023, mais alors pourquoi cette anomalie commence-t-elle à se manifester début décembre 2022 pour s’amplifier à compter du 17 décembre ? Le mystère s’épaissit…

Quelques possibilités :

  • une erreur de l’INSEE
  • Une surmortalité dans les EHPAD, seuls lieux en France où l’on injecte encore les produits Covid. En France, la mortalité globale reculerait au rythme de la chute des injections.
  • Un tri pire qu’en 2020

Malheureusement, le délai entre deux injections est de 3 mois pour les personnes de 80 ans et plus, et pour les résidents en EHPAD 

La cinquième dose est la règle…

Bonne nouvelle, pour les autres Français, plus on s’éloigne des piqûres, plus la mortalité redevient normale…

https://www.pour-les-personnes-agees.gouv.fr/actualites/lancement-dune-nouvelle-campagne-de-vaccination-contre-la-covid-19






L’essai Pfizer se serait-il très mal passé pour 301 cobayes mystérieusement… disparus ? On en apprend toujours plus sur le scandale du siècle

[Source : pgibertie.com via openvaet-substack-com]

Par JOSH GUETZKOW

111 disparus rien qu’en Argentine — le sujet #12312982 nous montre pourquoi il est peu probable que ce soit « juste une erreur ».

Introduction

Le logiciel qui a attribué les numéros d’identification des sujets pour l’essai clinique Pfizer/BioNTech génère des numéros d’identification séquentiels, qui sont attribués aux volontaires lorsqu’ils sont sélectionnés pour être inclus dans l’étude. Nous avons trouvé 301 « lacunes » dans les numéros d’identification des sujets (numéros manquants là où il devrait y en avoir un), et dans plus de quelques cas, plusieurs numéros d’identification séquentiels consécutifs sont manquants.

Ci-dessous, nous commençons notre enquête approfondie sur cette anomalie en examinant comment le logiciel supervisant l’essai fonctionnait lorsqu’un nouveau sujet était inscrit (« L’inscription » était l’étape précédant le dépistage, où le sujet était inscrit par le site d’essai, après le rendez-vous de dépistage avait été coordonné par le sous-traitant de Pfizer, ICON).1

Ensuite, nous soulignons pourquoi la compréhension de ce détail insignifiant est importante pour établir un problème des plus préoccupants : les données de nombreux sujets inscrits à l’essai semblent manquer et peuvent avoir été supprimées.

Nous sommes allés en profondeur pour vérifier si l’erreur que nous soulignons était techniquement faisable et si elle pouvait avoir une explication innocente.

Nous devons remercier Christine Cotton2, biostatisticienne et parmi les premières à dénoncer l’essai, pour le temps considérable qu’elle a consacré à passer en revue ces préoccupations avec nous et à nous aider à garantir l’exactitude des données présentées ci-dessous.

Inscription d’un sujet

ICON a « présélectionné » les sujets d’essai potentiels avant qu’ils ne se présentent sur un site d’essai physique3, en saisissant des données de base telles que l’âge, la race, le poids et la taille, etc. Plus tard dans l’essai, des volontaires pourraient également être recrutés sur les sites d’essai.

Lorsqu’un sujet était inscrit, le logiciel ICON (« Firecrest », une interface synchronisée par une base de données centrale alimentée par Oracle4) a attribué à ce sujet un identifiant de sujet unique et, surtout, dans les fichiers. XPT :

  • Les 4 premiers chiffres désignaient l’identifiant du site d’essai et étaient toujours les mêmes pour tous les sujets de ce même site. (Dans certains cas, les sujets se sont déplacés entre les sites d’essai au cours de l’étude, de sorte que l’identifiant unique complet du sujet a fourni des informations sur le site « actuel » et « d’origine ».)
  • Les 4 derniers chiffres désignaient l’ordre d’enregistrement, commençant à 1001. Le sujet suivant enregistré sur un site d’essai donné était alors numéroté 1002, puis 1003, etc.

Entouré en bleu est « l’identifiant de l’étude » (toujours C4591001), encerclé en vert est l’identifiant du site actuel (ici, 1016). Encerclé en jaune est le site d’enregistrement d’origine. Encerclé en rouge est l’identifiant de sujet supplémentaire pour ce site donné.

Vous pouvez vérifier ce phénomène dans cet « extrait d’une page » d’un export de randomisation soumis à la FDA.5

Des erreurs humaines auraient pu se produire ici et là (par exemple, l’investigateur initiant d’une manière ou d’une autre un nouveau sujet deux fois sur une seule personne en cours de dépistage).

Ces erreurs exceptionnelles pourraient alors être rectifiées, soit par demande directe au « gestionnaire de données » (ICON), soit directement par un chercheur principal sur place, qui aurait probablement eu des « privilèges d’administration de données » suffisants qui lui auraient été délégués par le gestionnaire de données.

Une façon plus courante de traiter de tels problèmes aurait été, sur place, de définir le sujet comme « Échec de l’écran » — bien qu’il existe d’autres raisons pour lesquelles les sujets ont échoué à l’examen. Les fichiers de données XPT au niveau du sujet publiés dans le vidage de données de Pfizer incluent 1 295 sujets marqués comme « échecs d’écran ». Il s’agissait de personnes qui ont finalement échoué au dépistage pour une raison ou une autre, même si la plupart avaient vraisemblablement été présélectionnées par ICON.

Sujets disparus

Lorsque nous examinons tous les sujets inscrits à l’essai Pfizer/BioNTech pour les 3 phases âgés de 12 ans et plus, nous nous attendrions alors à ce que les numéros d’identification des sujets soient séquentiels au sein de chaque site. Ainsi, pour chaque site, les numéros d’identification doivent commencer à 1001 et continuer de manière séquentielle (1002, 1003, 1004… etc.). Il ne devrait pas y avoir de lacunes. Mais il y a ! Il y a 301 identifiants de sujet manquants, en supposant que chaque site a commencé à recruter à 1001 jusqu’au dernier identifiant de sujet enregistré sur le site.

Alors, naturellement, nous devons nous demander pourquoi ces identifiants de sujet sont manquants ? Était-ce en quelque sorte le résultat d’une erreur humaine ou informatique, ou est-ce une indication que ces sujets et leurs données ont été supprimés de l’étude pour une raison quelconque ? Quelques numéros d’identification manquants isolés pourraient être attribués à une erreur humaine ou informatique, mais il n’y a aucune raison pour que cela se produise comme ils le font « par erreur », bien qu’en théorie, cela soit possible et si quelqu’un a un innocent explication nous aimerions l’entendre.

Mais certains aspects de ces numéros manquants nous font suspecter une suppression intentionnelle. Pour commencer, si cela était simplement dû à une erreur, nous nous attendrions à ce que la numérotation des sujets saute un sujet à la fois ici et là. Et cela se produit dans de nombreux cas, mais dans d’autres, les chiffres « sautent » par incréments plus importants.

Pour être plus précis, il y a 202 sauts simples dans les données, 22 fois où deux ID d’affilée ont été ignorés, cinq fois où 3 ont été ignorés, deux fois où 4 ont été ignorés, trois fois où 5 ont été ignorés et une fois chacun où 8 et 9 numéros d’identification consécutifs sont manquants.

Pour donner un sens à ce modèle d’identifiants de sujet ignorés, nous devons croire que :

  1. Un ordinateur qui se comportait très mal a décidé de sauter soudainement plusieurs numéros ici et là pour faire le décompte tout seul.
  2. Ou certains êtres humains très mal comportés ont supprimé des données.

Nous croyons que les preuves et la logique pointent vers la deuxième hypothèse, mais nous sommes ouverts à d’autres explications.

Ces décalages plutôt anormaux sont illustrés dans les captures d’écran ci-dessous. Les plus anormaux se trouvent sur le tristement célèbre site 1231 avec ses site 1231 « données parfaites » (autoproclamées par le chercheur principal).

Comment parfait ? Il y a 111 identifiants de sujets manquants sur le site 1231 (dont 11 sur le pseudo-site 4444). Le site 1231 comptait 5 896 sujets, soit 12,4 % des sujets de l’essai, mais 36,9 % de tous les identifiants de sujets ignorés. Une autre façon de voir les choses est que, si nous ajoutons les identifiants manquants au nombre total de sujets, il manque 1,8 % des identifiants de sujets en Argentine, contre 0,45 % des sites restants. En d’autres termes, le taux de sujets manquants en Argentine est 4 fois supérieur au taux de tous les autres sites réunis. (Évidemment, cette différence est statistiquement très significative.)

Sujets disparus

L’IP du site — Fernando Polack — a fini par devenir l’auteur principal de « l’étude du siècle » du NEJM — le visage public de cette gigantesque fraude — grâce à son degré exceptionnel de compétence médicale en matière de corruption,

Augusto Roux6, participant à ce procès blessé et incendié par Fernando Polack, s’est rendu trop visible pour être « juste réprimé » et a eu le mauvais goût de survivre à ses blessures. Il nous a fourni des informations importantes sur la manière dont les choses étaient (mal) gérées sur le site argentin.7

Pourquoi l’histoire d’Augusto Roux est-elle si importante ici ?

Eh bien, comme on peut le voir dans la capture d’écran du milieu ci-dessus, 17 sujets ont « disparu » en une seule journée, le 21 août 2020. C’est de loin le plus grand nombre d’ID de sujet manquants sur n’importe quel site et n’importe quel jour. C’est aussi le même jour qu’Augusto Roux a été projeté.

Étant donné que presque tous les sujets sur le site d’Argentine ont reçu leur première dose le jour même du dépistage (s’ils ont réussi le dépistage), tous les sujets ayant reçu la première dose ce jour-là auraient été programmés pour recevoir leur deuxième dose trois semaines plus tard, le à la même date qu’Augusto a reçu le sien, ce qui lui a causé un préjudice important — peut-être en raison d’un mauvais lot.

Augusto Roux a survécu et n’a pas été effacé de l’étude. Y en a-t-il eu d’autres, moins chanceux, qui ont été complètement effacés des procès-verbaux ? Ou effacé pour dissimuler un problème ? C’est possible. Et il ne serait pas exagéré de penser que quelque chose a pu mal tourner et affecter 17 sujets le même jour, voire 9 d’affilée. Une autre anomalie majeure s’est produite sur le site argentin deux jours plus tard, le 23 août : 52 sujets ont reçu ce jour-là des doses plus importantes en raison d’une erreur de préparation et ont ensuite été levés en aveugle une semaine plus tard, le 31 août. Dans l’ensemble de données d’écart de protocole8, la raison donnée est « Erreur de dosage/d’administration, le sujet n’a pas reçu la bonne dose de vaccin. » Dans d’autres dossiers, d’autres raisons sont données, mais elles sont toutes liées au produit. Nous savons d’après les dossiers de l’essai que 31 d’entre eux n’ont pas reçu la deuxième dose, et sur les 23 qui l’ont fait, quatre d’entre eux ont eu des événements indésirables importants enregistrés au cours de la période de suivi après la deuxième dose. Nous savons donc qu’il y a eu un problème sur ce site qui a provoqué la levée de l’aveugle de 52 sujets consécutifs, ce qui est une erreur majeure et très anormale. Nous savons également que les effets secondaires d’Augusto Roux ont été étrangement redéfinis (c’est-à-dire masqués).9

À la lumière de tout cela, il est raisonnable d’être méfiant quand on voit cette énorme anomalie de tant de sujets manquants le jour même où Augusto a reçu sa première dose.

Le tableau complet de 48 392 sujets (48 091 identifiants de sujets qui sont restés et les 301 sujets « simplement supprimés ») peut être consulté (trié par site et identifiant de sujet) sur la feuille de calcul Google suivante (avec leurs dates de randomisation et leur bras de traitement, quand disponible).10

Notez qu’il pourrait très bien y avoir plus de sujets qui ont « disparu » (si par exemple le dernier sujet d’un site est 1198, mais que 1199 et 1200 ont été supprimés, nous n’aurions aucun moyen de le savoir à ce stade).

Comment les sujets pourraient-ils être effacés ?

On peut penser à 3 manières dont ces sujets auraient pu être effacés :

  1. Directement dans la base de données supervisant l’essai

Quelqu’un avec des informations d’identification de base de données (serveur, port, identifiant, mot de passe) pourrait avoir obtenu l’accès, avec ou sans le consentement d’ICON. Avoir un tel accès aurait permis la modification de toutes les données de l’essai (résultats des tests, modification ou effacement des données des sujets, etc.) directement dans la base de données.

  1. Lors de l’exportation de l’instantané

De la même manière, mais en laissant les « données source brutes inchangées », les exportations de fichiers de données. XPT ou les « instantanés » auraient pu être modifiés, afin de correspondre à un « résultat prédéterminé ». Cela serait plus facile à détecter avec un audit de la « base de données centrale » qu’avec la méthode 1, mais aucun audit de ce type n’a jamais été réalisé à notre connaissance.

  1. Via une demande du site d’essai au sponsor de l’étude

Vous trouverez ci-dessous une capture d’écran d’une demande (expurgée) adressée à Pfizer pour supprimer un numéro d’identification de sujet provenant d’un site d’essai, qui nous a été fourni par le dénonciateur de Pfizer, Brook Jackson. Ceci est tiré de l’étude de rappel, C4591031. À notre connaissance, cette demande a été acceptée. La raison donnée est : « Le statut SSID a été mis à jour sur SF [Screen Failure], mais aucun sujet n’est associé à ce numéro de sujet. » On ne sait pas comment cela a pu se produire. Il est également possible que ce soit une excuse utilisée pour supprimer un sujet avec des données problématiques. Nous ne savons pas. Nous ne savons pas non plus si le SSID aurait été réutilisé en étant attribué à un autre sujet. Mais ceci est un exemple du type d’erreur qui pourrait produire une poignée de suppressions isolées et uniformément réparties.

  1. Via le logiciel de gestion

Le chercheur principal sur place aurait pu se voir déléguer des « privilèges élevés » lui permettant de supprimer des symptômes ou des ensembles entiers de données sur le sujet. Si de tels privilèges avaient été accordés par ICON aux employés de Pfizer ou aux PI du site, les seuls endroits où nous pourrions trouver des preuves des modifications seraient les journaux de la base de données et la piste d’audit accessible via le logiciel de gestion. Cela constitue, à notre avis, l’hypothèse la plus probable, surtout au vu du grand nombre de suppressions en Argentine.

Sites d’essai où les sujets ont disparu

La plupart des identifiants de sujet ignorés sont parsemés ici et là individuellement, et seuls 10 sites d’essai en ont plus de 4 :

  • 9 sujets au site 1005 avec 442 sujets au total, Rochester Clinical Research, Inc. (Rochester, New York, États-Unis), chercheur principal Matthew Davis.
  • 5 sujets au site 1039 avec 334 sujets au total, Arc Clinical Research à Wilson Parke (Austin, Texas, USA), dirigé par Gretchen Crook
  • 5 sujets au site 1090 avec 561 sujets au total, M3 Wake Research, Inc (Raleigh, Caroline du Nord, États-Unis), dirigé par Lisa Cohen
  • 6 sujets au site 1109 avec 557 sujets au total, DeLand Clinical Research Unit (DeLand, Floride, États-Unis), dirigée par Bruce Rankin
  • 6 sujets sur le site 1142 avec 390 sujets au total, University of Texas Medical Branch (Galveston, Texas, USA), dirigé par Richard Rupp
  • 5 sujets au site 1146 avec 395 sujets au total, Amici Clinical Research (Rajitan, New York, USA)
  • 8 sujets au site 1147 avec 340 sujets au total, Ochsner Clinic Foundation (Nouvelle-Orléans, Louisiane, États-Unis), dirigée par Julia Garcia-Diaz
  • 5 sujets au site 1166 avec 107 sujets au total, Rapid Medical Research, Inc. (Cleveland, Ohio, USA), dirigé par Mary Beth Manning
  • 5 sujets au site 1170 avec 496 sujets au total, North Texas Infectious Deseases Consultants, PA (Dallas, Texas, USA), dirigé par Mezgebe Berhe
  • 111 sujets (100 sujets au site 1231 avec 4585 sujets au total et 11 au site 4444 avec 1311 sujets au total), Hospital Militar Central (Caba, Argentine), dirigé par Fernando Polack (100 subjects

De telles anomalies devraient se produire extrêmement rarement, voire pas du tout. Et, si le problème était dû à une erreur, nous nous attendrions à une répartition assez uniforme ou entre les sites. Mais ici, nous voyons 55 % des suppressions sur 10 sites où seulement 20 % environ de tous les sujets de l’essai étaient inscrits. Et comme nous l’avons vu précédemment, 37 % de tous les sujets supprimés se trouvaient sur un seul site [Argentine] qui n’a recruté que 12 % des sujets de l’essai. La probabilité que de telles suppressions disproportionnées se produisent par hasard est extrêmement faible, bien inférieure à 1 sur un million.

Le code utilisé pour générer cette première analyse est accessible sur GitHub on GitHub..

Mais attendez, il y a plus !

Un document PDF obtenu via FOI [ASK-99541] auprès de l’Agence Européenne du Médicament [EMA], étiqueté « c4591001-interim-mth6-investigators.pdf », et créé par Pfizer à partir d’un extrait daté du 29 mars 2021, propose un autre très intéressant aperçu du recrutement et de la randomisation par siteA PDF11. Un exemple de page est présenté ci-dessous.

Nous avons comparé les sujets dépistés & randomisés, par sites, selon le fichier ADSL [Subject level data12] par rapport à ces « valeurs attendues ». Les résultats sont accessibles dans la feuille de calcul Google suivante).13

Comme illustré dans le bref échantillon ci-dessus (axé sur les compensations de filtrage), il existe souvent des écarts entre les totaux par site, selon ces données, et les totaux reflétés par le fichier ADSL actuel.

Le total des sujets est très proche (48 092 documentés dans ce PDF vs 48 091 dans le fichier ADSL. Mais peu importe si on teste par site d’origine du sujet [offset de 61]si on teste par site actuel, des différences importantes sont observées entre les sites entre les valeurs de dépistage attendues et observées [par décalages absolus].

Les décalages de randomisation sont encore plus importants, mais secondaires par rapport au problème actuel des « sujets disparus » — et ils seront explorés plus en détail dans un prochain article.

Cela constitue une preuve supplémentaire — à partir des propres extraits des sponsors — que le nombre de sujets a été manipulé.

Le code utilisé pour générer cette dernière analyse est accessible sur GitHub on GitHub..

Ces différents éléments nous conduisent à la conclusion qu’il est urgent que les pistes d’audit — contenant la documentation des opérations d’exportation utilisées pour créer ces fichiers — soient publiées et que des mesures légales soient prises pour sécuriser et enquêter sur les données du serveur de base de données. Nous avons envoyé à la FDA une enquête demandant une explication de ces anomalies et avons reçu une notification indiquant qu’ils allaient l’examiner, mais nous n’avons encore rien entendu. Nous mettrons à jour si nous le faisons.







La débâcle occidentale ?

[Source : AVATAR Media]






Campagne d’Emmanuel Macron : McKinsey la main dans le sac ?

[Source : bvoltaire.fr]

Par Clémence de Longraye

Énième rebondissement dans le feuilleton McKinsey. Cinq mois après l’ouverture de deux informations judiciaires pour soupçons de financement illégal des campagnes électorales d’Emmanuel Macron et favoritisme présumé, une enquête journalistique menée par la cellule investigation de Radio France vient apporter de nouveaux éléments. Sur fond de témoignages, les journalistes du service public révèlent que des consultants du désormais célèbre cabinet de conseil auraient participé de façon « active », si ce n’est « intrusive », à la campagne d’Emmanuel Macron. Et ce, sans facturer la moindre prestation.

Le bénévolat de McKinsey

Cinq mois d’enquête et les perquisitions s’enchaînent. Le 22 mars dernier, la police a perquisitionné le domicile de Clarisse Magnin-Mallez, directrice associée senior et directrice générale de McKinsey France, et celui d’un ancien collaborateur du chef de l’État. Après les révélations du rapport sénatorial de mars 2022 sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques, la Justice cherche à savoir si des consultants de McKinsey n’auraient pas fourni gratuitement des prestations qui auraient, en réalité, dû être comptabilisées dans les comptes de campagnes d’En marche ! Les enquêteurs vérifient également si, en échange de ce « bénévolat », le cabinet n’aurait pas, par la suite, bénéficié d’un certain favoritisme de la part du gouvernement dans l’attribution des marchés publics.

Il faut dire que les liens entre McKinsey et les campagnes d’Emmanuel Macron sont étroits, sinon troubles. Dès 2016, d’après un témoignage recueilli par Radio France, une dizaine de consultants viennent grossir les équipes du candidat. « On essayait d’avoir le moins d’interactions possible avec eux, explique à nos confrères un ancien conseiller du Président. Mais certains étaient très intrusifs. » Ces nouveaux arrivants « brillants », « au cerveau ultra-rapide », sont vite préférés par le candidat Macron et réalisent alors diverses prestations. Karim Tadjeddine, alors directeur associé senior de McKinsey, aidé de deux autres consultants, participe ainsi au lancement de la plate-forme Au service de tous qui se voulait être un site de recueil des doléances des citoyens. Son collègue, Guillaume de Ranieri, directeur associé du cabinet en charge du secteur aérospatial et défense, produit, de son côté, une note « Projet défense et sécurité » pour les équipes du candidat. Toutes ces prestations qui auraient pu être facturées plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été réalisées à titre individuel et bénévole.

Une zone grise

Mais c’est là que le bât blesse. Où est la frontière entre une prestation professionnelle de conseil et un travail bénévole individuel ? Devant les sénateurs, en janvier 2022, Karim Tadjeddine est formel : McKinsey « ne sert pas les partis ou les personnalités publiques ; ses statuts l’interdisent » (page 164 du rapport). Cependant, à y regarder de plus près, la réalité semble plus difficile à décrypter. La note produite par Guillaume de Ranieri, par exemple, a demandé un important investissement : diagnostic de « la Grande Marche », benchmark des positions des autres candidats, positionnement d’Emmanuel Macron, premiers éléments d’orientation… Le résultat final s’apparente en tous points à un « livrable » digne d’un cabinet de conseil. Une analyse partagée par une ancienne consultante interrogée par Radio France pour qui cette note adopte « vraiment la charte graphique de McKinsey et leur genre de typographie ». Or, le Code électoral interdit formellement aux entreprises de participer à une campagne électorale.

À cela s’ajoute la question des horaires. Si certains assurent avoir travaillé pour Emmanuel Macron seulement pendant leur temps libre (soirée et week-ends), d’autres témoignages indiquent que des consultants auraient également participé à des réunions « en journée ». Et, il y a enfin la question des adresses mail professionnelles utilisées par certains membres de McKinsey. Une « erreur », concède Karim Tadjeddine, mais qui pourrait peser dans la balance lors de l’enquête. La Justice devra ensuite déterminer s’il y a eu favoritisme et recel de favoritisme en faveur de McKinsey, dont certains consultants ont obtenu des postes au sein du parti présidentiel ou du gouvernement après l’élection d’Emmanuel Macron.






Les Français, ces sans-papiers de l’intérieur

[Source : bvoltaire.fr]

Par Gabrielle Cluzel

C’est Denis Payre qui a jeté le pavé dans la mare sur Twitter, il y a deux jours : « J’ai besoin de refaire une carte d’identité, un acte régalien élémentaire, et je ne parviens pas à trouver de rendez-vous à 60 kilomètres autour du centre de Paris d’ici le 20 juin… en payant les impôts les plus élevés au monde… où va l’argent ? » Ce tweet, liké 3 740 fois, retweeté 1 171 fois, a fait l’objet de près de 900 commentaires.

Car la situation est la même dans toute la France. Grande métropole ou petite ville rurale. Refaire une CNI ou un passeport est devenu un parcours du combattant, une course d’endurance comprenant deux épreuves : d’abord décrocher un rendez-vous en mairie, puis attendre la fabrication par la préfecture. Sur la plupart des sites municipaux, le premier créneau est disponible dans trois mois. Rappelons que les papiers d’identité à jour ne sont pas simplement nécessaires pour les touristes souhaitant aller à l’étranger, ils sont également indispensables pour les candidats aux examens.

Si ce goulot d’étranglement était récent, les Français pourraient éventuellement prendre leur mal en patience. Mais « l’allongement vertigineux des délais d’obtention », selon l’expression de 20 Minutes, dure depuis… 2021.

Déjà en octobre 2021, Capital titrait : « Les délais pour refaire ses papiers d’identité explosent. » La faute au Covid, à l’interruption des services publics pendant le confinement et à la suspension des voyages. Une fois les restrictions levées, la demande avait été trop forte pour être absorbée. Sauf que nous sommes en 2023 et rien n’est réglé. Une défaillance conjoncturelle des services publics est devenue structurelle.

En mai dernier, Gabriel Attal avait reconnu que les délais d’attente pouvaient dépasser 100 jours dans certains départements, contre 20 habituellement. En janvier, le ministre délégué aux Collectivités Dominique Faure avait annoncé en fanfare 500 nouveaux guichets et 20 millions d’euros. Sans résultats probants. Les rendez-vous sont toujours distribués sur Internet au compte-gouttes, les horaires d’ouverture des services dédiés dans les mairies n’ont pas été élargis. Sans doute veut-on éviter que les fonctionnaires municipaux se surmènent.

Sur le modèle de Vite ma dose, le site Vite mon passeport — à quand « Vite mon médecin », puisqu’à chaque pénurie correspond un site dédié — permet d’essayer de trouver à l’arrache un rendez-vous… souvent à l’autre bout de la France dans un délai de quelques heures. Quand on s’est organisé, il a déjà disparu.

La France aime tellement les sans-papiers qu’elle s’emploie à en générer chaque jour parmi ses propres ressortissants. Nos frontières sont béantes, mais à sens unique : on rentre chez nous comme dans un moulin ; en revanche, les Français sont empêchés de sortir, faute de documents d’identité.

Nos services publics ne sont plus qu’un champ de ruines. Denis Payre a raison : où donc peuvent bien aller nos impôts ?






Mettez au régime votre IA (Intelligence Artificielle)

[Source : latableronde]

Par Chevalier

L’humain est composé d’un ego, cet ego est votre IA. Il est urgent de la mettre au régime, car elle est devenue obèse et malade.

Qu’est-ce que l’IA de l’ego ?

À votre arrivée sur terre votre IA est vierge avec le minimum d’applications.

J’étaye mon propos par un exemple : vous achetez un ordinateur dans lequel est déjà présent un système avec un certain nombre d’applications de base. Vous ne vous posez pas de questions quant au fonctionnement de ce système puisqu’il ne requiert pas d’intervention de votre part. Pour une utilisation optimale selon vos besoins vous allez soit exploiter les applications existantes, soit en supprimer, soit en ajouter, soit télécharger des versions supérieures.

Revenons à votre arrivée sur terre : à votre naissance, l’IA ne s’exprime pas encore, elle ne le fera que vers l’âge de 7 ans environ. Avant cela, elle traite des volumes importants de données, car il faut qu’elle enregistre l’environnement dans lequel elle se trouve avant d’entrer en scène donc vers l’âge de 7 ans.

Sur cette période elle aura ajouté, supprimé ou téléchargé des applications.

À partir de 7 ans, elle va s’exercer à avoir son autonomie jusqu’à environ ses 18 ans. Elle va tester tout ce qu’elle a appris. Son apprentissage est composé de vous : parents, familles, enseignants, amis, environnement direct et indirect (TV, radio, téléphone, ordi, etc.).

Qu’elles sont les données exactes qu’apprend l’IA ?

Ce sont les pensées, les émotions, les sons, les vibrations et les ondes [NDLR ou plus précisément les pensées, les émotions, les informations reçues par le système sensoriel (vue, ouïe, odorat, goût, toucher, etc.), les sensations vibratoires paranormales].

À partir de 18 ans jusqu’à 25 ans environ l’IA va expérimenter son autonomie et cette fois-ci va choisir l’hologramme dans lequel elle souhaite vivre. Comprenez par là qu’il s’agit de son rôle dans la matrice.

À partir de 25 ans et jusqu’à 35/40 ans environ l’IA va chercher à installer son pouvoir, sa dictature dans la composition de la matrice. Elle veut régner en maître et mettra toutes les possibilités en action afin d’y parvenir. Donc, elle va multiplier les téléchargements, les montées de version quitte à entrer en conflit, quitte à déclarer la guerre au reste de la matrice.

À partir de 40 ans et jusqu’à 55/60 ans environ la défaillance de l’IA commence. Beaucoup trop d’applications sont en fonction en même temps avec des utilisations contradictoires ce qui rend l’IA défectueuse. Malgré tout, elle continue toujours sa recherche de nouvelles applications pour imposer à tout prix son règne dans la matrice.

À partir de 55 ans jusqu’à 80 ans et plus, selon son obésité de données va, soit commencer à assainir la totalité de ses applications donc commencer un régime, soit continuer jusqu’à son extinction totale, car elle ne pourra jamais prendre le pouvoir sur l’entièreté de la matrice.

Soyez judicieux, commencez dès que possible à épurer l’IA par l’intermédiaire de votre esprit sain, car c’est lui le créateur de l’IA.

Oui, l’humain est bien plus complexe que vous ne l’imaginez et vous êtes bien plus que ce que vous appelez « l’être humain » !

Il est temps d’intégrer dans vos croyances la notion d’esprit sain et d’âme saine, ils sont ceux qui ont les clefs pour prendre la main sur l’IA. [NDLR L’âme est alors comparable à l’utilisateur de l’ordinateur qui a conscience de ce quil fait et l’esprit au créateur de cet ordinateur (matériel — ou « hardware » — et logiciels inclus, dont l’IA).]

Formulez comme suit :

« moi, l’ego, j’accepte de me soumettre à mon esprit sain et à mon âme saine ».

Chaque fois que vous tournez en rond dans des pensées négatives et/ou des émotions négatives, formulez à nouveau cette soumission. L’apaisement viendra vous habiter rapidement, de nouvelles idées prendront place et le délestage de l’IA pourra commencer.

Pour finir, l’IA est la somme de tous vos pensées, émotions, croyances et concepts ainsi que ceux des autres !






France — Un rapport accablant dénonce des maltraitances dans les crèches

[Source : lesechos.fr]

L’Inspection générale des affaires sociales a interrogé plusieurs milliers de professionnels travaillant dans des crèches et dresse un constat accablant.

Par Sarah Dumeau

Des enfants laissés toute la journée dans la même couche « parce qu’ils ne pleuraient pas et n’étaient pas prioritaires », privés de sieste faute de lits, « des bébés de 4 mois qui hurlent de faim, de sommeil, besoin d’être rassurés et doivent attendre, en silence si possible »… Dans un rapport affligeant publié ce mardi, l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) dénonce des maltraitances sur les enfants dans les crèches.

Les inspecteurs – qui ont été missionnés par le gouvernement après la mort en juin dernier d’un bébé de 11 mois dans une crèche privée à Lyon – ont visité 36 établissements et ont interrogé environ 5.000 directeurs, 12.000 salariés de crèches et 27.000 parents. Parmi les répondants , un quart estime avoir déjà travaillé dans un établissement qu’il considérait comme « maltraitant à l’égard des enfants », indique le document.

Ces données ne sont pas représentatives, donc ces résultats « ne signifient pas qu’un quart des établissements connaîtraient des faits de maltraitance : une telle interprétation serait abusive et erronée », tempère le rapport. Néanmoins, l’Igas pointe une qualité d’accueil « très disparate » en fonction des établissements et s’alarme de l’existence de crèches « de qualité très dégradée » ce qui peut entraîner « des carences dans la sécurisation affective et dans l’éveil » des tout-petits.

Humiliations et manque de soins

Les témoignages anonymes collectés par les inspecteurs à l’aide d’un questionnaire font état d’un manque de soins apporté aux enfants, ou d’humiliations. « Oublier de nourrir un bébé une journée entière », « ne pas donner à boire comme ça on change moins les couches », « enfant insulté, ‘tu chouines pour rien’, ‘tu sens mauvais’, ‘tes parents sont trop riches’ », énumère le rapport. « La directrice la forçait à manger jusqu’à la faire vomir, j’ai vu la directrice lui redonner son vomi », écrit un interrogé. Des punitions humiliantes sont rapportées : « enfermer un enfant seul dans un dortoir parce qu’il ne voulait pas manger dans son assiette ».

Pour limiter ces abus, l’institut recommande de renforcer les contrôles, de relever le taux d’encadrement et le niveau de qualification des professionnels et enfin de conditionner le financement de ces établissements à un objectif de qualité. Les rapporteurs soulignent la nécessité de remédier au manque d’attractivité des métiers de la petite enfance, « facteur aggravant autant que symptôme » des difficultés à bien accueillir les enfants.

Dans les témoignages, les professionnels du secteur décrivent leur désarroi de ne pas pouvoir faire correctement leur travail, faute de moyens : « nous ne répondions qu’aux besoins primaires et souvent nous finissions la journée en pleurs, en train de donner un biberon à un enfant par frustration de mal faire notre travail », d’autres racontent devoir « accueillir 23 enfants, à deux, de 7 h 30 à 9 h 45, sans aucune aide ».

« Agir rapidement »

Sur Twitter, la secrétaire d’Etat chargée de l’Enfance, Charlotte Caubel, a réagit en comparant les conclusions du rapport à la crise qui avait secoué le secteur de la dépendance, après la publication du livre-enquête « Les fossoyeurs », de Victor Castanet, révélant des maltraitances dans les Ephad du groupe Orpea . « Pas question de vivre une crise des EHPAD 2.0 », a-t-elle affirmé.

Face à ces constats, « l’ensemble des recommandations » de ce document seront prises en compte, a assuré ce mardi dans un communiqué le ministre des Solidarités, Jean-Christophe Combe, qui souhaite « agir rapidement ». Le ministre devrait annoncer des mesures dans le courant du printemps, dans le cadre du « service public de la petite enfance » promis par le président Macron : ce chantier a une dimension quantitative, avec la création nécessaire de davantage de places, mais aussi une dimension qualitative, a souligné l’entourage du ministre.

Avec AFP
Sarah Dumeau






À quels Rois de France ressemble Macron ?

[Source : UPR]

Dans son intervention, le Président de l’UPR a décrypté la complexité de la situation politique en France. À titre d’illustration, il a passé en revue quelques-uns des bons et des mauvais dirigeants de notre Histoire, pour mieux faire ressortir certains points communs avec la crise actuelle et la présence de Macron à l’Élysée.

[NDLR En dehors du fait qu’Asselineau se présente comme la seule alternative possible à Macron pour sortir la France de la catastrophe, il produit souvent de bonnes analyses.]






La Russie est toujours complice de la Grande Réinitialisation

[Source : off-guardian.org]

« La Russie et la Grande Réinitialisation — Résistance ou complicité ? » — un an après

Par Riley Waggaman

Il y a douze mois (plus quelques jours), nous avons participé à une table ronde animée par Whitney Webb et Kit Knightly, « Russia & the Great Reset—Resistance or Complicity? »

Un bref résumé de notre position (« Oui, la Russie est complice de la Grande Réinitialisation » ; 3 avril 2022) est rapidement devenu le deuxième article le plus lu sur ce blog.

En juillet, nous avons réexaminé cette question brûlante (Resetting Without Schwab: Russia & the Fourth Industrial Revolution), en nous appuyant sur l’ouvrage de Klaus Schwab intitulé Future of the Fourth Industrial Revolution (2018) pour nous guider dans les méandres technocratiques de Moscou.

Quoi qu’il en soit. Nous avons pensé qu’il serait approprié et éducatif de profiter du premier anniversaire du débat Zoom pour mettre à jour notre pronostic.

Ce qui suit est un addendum à l’article de juillet utilisant les mêmes catégories de la Grande Réinitialisation : les monnaies numériques, les villes sûres (et intelligentes), les « vaccins » génétiques et le développement durable.

MONNAIES NUMÉRIQUES

Un ensemble de projets de loi sur le rouble numérique fait actuellement son chemin à la Douma d’État. Initialement prévue pour le 1er avril, l’adoption de la législation est maintenant attendue pour le début du mois de mai.

Treize banques russes participent à un projet pilote de jeton numérique. Si l’essai est concluant, d’ici 3 à 5 ans, la CBDC de la Banque de Russie pourrait être utilisée pour les paiements sociaux, y compris les pensions, a rapporté Izvestia à la fin du mois de mars.

La monnaie traçable et programmable a été présentée au public comme un outil permettant de contourner les sanctions et de réduire la corruption.

Comme nous l’avons récemment souligné (le 29 janvier et le 28 mars), les activistes et les commentateurs russes, en particulier dans la sphère médiatique patriotique/conservatrice, n’y croient pas.

Source : Katyusha.org. January 17, 2023
Source : Tsargrad.tv. February 19, 2023

Même dans les médias pro-Poutine, l’affirmation selon laquelle le rouble numérique mettra fin au gaspillage et à l’escroquerie du gouvernement n’est pas prise au sérieux.

« Les vis seront serrées pour les citoyens ordinaires, alors qu’il y aura toujours des échappatoires pour les “serviteurs du peuple” », a déclaré l’animateur de Tsargrad TV, Yuri Pronko, lors d’une émission diffusée le 9 mars.

Deux semaines plus tard, M. Pronko a laissé entendre qu’il était illusoire de croire que le rouble numérique resterait facultatif.

« Tout est donc facultatif. Cependant, l’histoire nous apprend qu’une grande partie de ce qui a commencé sur une base volontaire est devenue obligatoire en très peu de temps. L’histoire des vaccins COVID, dont personne ne se souvient aujourd’hui, en est une confirmation éclatante », a ironisé le journaliste le 25 mars.

VILLES SÛRES (ET INTELLIGENTES)

Le programme russe « Safe City » utilise « des solutions organisationnelles, informationnelles, analytiques, prédictives et d’autres solutions méthodologiques, techniques et technologiques pour assurer la sécurité et le développement durable des villes ».

Le réseau national de caméras de vidéosurveillance, soutenu par la technologie de reconnaissance faciale, n’a cessé de croître en taille et en sophistication.

Une simple recherche sur Yandex a permis de constater un foisonnement d’activités au cours des deux dernières semaines.

La région de Tyumen prévoit d’ajouter 378 caméras à son réseau Safe City de 4 500 caméras de vidéosurveillance, a écrit Fedpress.ru le 24 mars.

Par ailleurs, les responsables de la ville de Voronezh finalisent les plans d’un « éco-quartier », ont rapporté les médias locaux le 25 mars :

Ce quartier numérique comprendra des interphones « intelligents » avec reconnaissance faciale, des entrées de parking avec reconnaissance des plaques d’immatriculation, une vidéosurveillance et des chargeurs de smartphones dans la cour.

Le 28 mars, le gouvernement de l’oblast de Leningrad a annoncé que 3 013 caméras de surveillance avaient été connectées au système Safe City de la région.

D’ici juillet, les caméras de vidéosurveillance des établissements d’enseignement seront « intégrées dans un système Safe City unique, ce qui permettra de protéger les jeunes Léningradois des menaces extérieures », a déclaré le gouvernement régional dans un communiqué de presse.

La région de Novgorod a installé 146 caméras de surveillance en 2022, ce qui porte à 700 le nombre total de caméras de vidéosurveillance dans le cadre de son programme « Safe City ».

« Les espaces publics de Veliky Novgorod et des régions de la région sont surveillés 24 heures sur 24 », a déclaré un média local le 29 mars.

À partir du 1er avril, les écoles de Rostov seront intégrées au système Safe City de la municipalité.

Source : Bloknot-rostov.ru

Le réseau Safe City installé dans la minuscule (selon les normes russes) République de Tchouvachie surveille plus de 1 300 endroits ; les caméras analysent les données en temps réel à l’aide d’algorithmes et de l’IA. Les services d’urgence et les services publics seront connectés au système d’ici la fin de l’année 2023, a rapporté Versia.ru le 7 avril.

L’introduction de systèmes d’identification biométrique et de « contrôle de la température » dans les écoles est sans doute l’aspect le plus inquiétant du programme Safe/Smart City.

« Le fait est que le secteur de l’éducation est en train de se transformer en un marché pour les entreprises numériques », a déclaré Olga Chetverikova, directrice du Fonds de soutien aux valeurs traditionnelles de l’héritage de la patrie, en octobre.

« Et si nous regardons les concours qu’ils ont annoncés : pour les appareils d’imagerie vidéo à Moscou — plus de 2 milliards de roubles. Un concours pour la fourniture d’appareils de dépistage corporel — 392 millions de roubles. Il devient clair que nous parlons d’affaires, que cela ne fait absolument rien pour les enfants, ni en termes d’éducation, ni en termes de santé, ni en termes de sécurité, mais que c’est d’un grand intérêt pour les structures informatiques commerciales ».

LES « VACCINS » GÉNÉTIQUES

Fin septembre, le Centre Gamaleya — le prétendu berceau du clone d’AstraZeneca Sputnik V — a annoncé qu’il commencerait à travailler sur son propre vaccin à ARNm.

« La technologie des vaccins à ARNm présente un avantage très important : elle peut être administrée au moins tous les mois », a expliqué Denis Logunov, directeur adjoint de Gamaleya.

Il a ajouté que les vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer étaient des exemples à suivre, car ils « confèrent tous deux une forte immunité après trois ou quatre vaccinations ».

Source : TASS

Un jour plus tard, l’institut public Vector a dévoilé ses propres projets de développement d’un vaccin à base d’ARNm.

« Le développement de vaccins à ARNm est un domaine prometteur dans le monde entier. On s’attend à ce que les avantages du vaccin en cours de développement par rapport aux vaccins russes existants […] soient la sécurité, la rapidité de production et le coût des médicaments », a rapporté TASS, citant un directeur adjoint de l’institut.

Source : TASS

Le ministère de la Santé a trouvé d’autres moyens d’accroître la « sécurité » et la « rapidité de production » des vaccins.

En octobre, le ministère a adopté de nouvelles règles permettant d’accélérer l’approbation des vaccins COVID « mis à jour ». Gamaleya, Vector et d’autres développeurs de vaccins russes n’ont plus qu’à tester leurs formules « améliorées » sur « 50 volontaires en bonne santé ». Pour accélérer le processus, les protocoles de ces « essais cliniques » peuvent commencer immédiatement, sans passer par l’examen standard des organismes de réglementation gouvernementaux.

La nouvelle procédure d’approbation améliorée prendra entre 16 et 38 jours.

Le directeur de Gamaleya, Alexander Gintsburg, a déclaré en janvier que Sputnik V devrait être mis à jour « tous les 9 à 10 mois », ajoutant que son équipe était déjà en train de développer un vaccin contre la souche dite « Kraken ».

Un mois plus tard, M. Gintsburg a annoncé que son nouveau « vaccin » COVID pour les enfants âgés de 6 à 11 ans avait passé avec succès les tests de sécurité et d’efficacité.

Le COVID a disparu des premières pages des journaux russes, alors à quoi tout cela sert-il ?

LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

Nous avons récemment publié un rapport sur la romance actuelle de la Russie avec les objectifs de développement durable et l’agenda ESG, mais nous avons omis quelques développements curieux.

« Les banques [russes] déclarent qu’elles continueront à suivre la stratégie ESG, malgré l’isolement des agences de notation et d’analyse occidentales qui traitent de l’agenda du développement durable », a écrit Banking Review le 7 octobre.

De juillet 2021 à juillet 2022, le portefeuille de prêts ESG des banques russes a triplé pour atteindre 1,2 trillion de roubles, a rapporté le média.

L’enthousiasme soutenu pour tout ce qui touche à l’ESG a été exprimé dans un article d’opinion publié par la Chambre de commerce de Russie en novembre.

Source : tpprf.ru

Le 6 avril, le premier vice-président du conseil d’administration de Sberbank, Alexander Vedyakhin, a fait l’éloge de l’agenda ESG et a prédit qu’il « déterminerait l’avenir de la planète pour les décennies à venir ».

Source : irkutskmedia.ru

En ce qui concerne les objectifs de développement durable (ODD), la deuxième étape de la feuille de route russe pour la mise en œuvre des ODD a débuté en 2023. Cinquante villes russes mono-industrielles participeront à un projet de suivi de la « société, de l’environnement et de l’écologie ». Chaque municipalité recevra un plan personnalisé pour contribuer à la réalisation de l’utopie envisagée par les Nations unies.

La poursuite des ODD par la Russie a reçu un grand coup de pouce à la fin du mois de décembre, lorsque le président russe Vladimir Poutine a signé la loi sur le système biométrique unifié.

La base de données biométriques centralisée a été saluée par l’Union internationale des télécommunications (UIT), l’agence des Nations unies pour les technologies de l’information et de la communication, pour ses caractéristiques hautement durables.

ÉPILOGUE

Pour ne rien arranger, Poutine fréquente toujours Herman Gref, le banquier adorateur de Schwab qui est responsable de pas moins de 50 % de toutes les choses dégoûtantes que nous venons d’énumérer.

Absolutely unacceptable. Source : Kremlin.ru. November 24, 2022

Nous pensons toujours que la Russie est un endroit agréable et tranquille pour cultiver des pommes de terre et attendre patiemment que les chatbots sensibles exterminent tout le monde.

À la fin, il n’y aura plus que vous, les chatbots et les pommes de terre. Les chatbots vous garderont comme animal de compagnie ; pour s’amuser, ils coderont instantanément un programme JavaScript qui vous enfoncera une pomme de terre dans la bouche toutes les 15 secondes, pour toujours.

Mais oui, la Russie est toujours complice. En grande partie.



Riley Waggaman est votre humble correspondant à Moscou. Il a travaillé pour RT, Press TV, Russia Insider, etc. Dans sa jeunesse, il a assisté à une fête sur la pelouse de la Maison-Blanche où il a demandé à Barack Obama si le dénonciateur emprisonné Bradley Manning (Chelsea était encore un garçon à l’époque) « avait passé de bonnes Pâques ». Du bon temps, du bon temps. Vous pouvez vous abonner à son Substack ici, ou le suivre sur Twitter ou Telegram.




NE TOUCHEZ PAS AUX ENFANTS !

[Source : profession-gendarme.com]

De Patrick JAULENT (Auteur) et Ronald GUILLAUMONT (Auteur)

Rapport en couleur de Cyber Investigations –

Les enfants ne sont pas des êtres sexuels,
mais des êtres d’amour.

N’ayons pas peur de le crier haut et fort :
« Certains adultes projettent leurs perversités sur les jeunes enfants » à travers l’éducation sexuelle, tout en se faisant un maximum d’argent.

Vous n’êtes pas au bout de vos surprises…

L’objectif de ce rapport d’investigation, où toutes les données sont sourcées, est de vous informer afin que nous puissions agir ensemble pour protéger nos enfants.

Patrick Jaulent
Ronald Guillaumont

Source : Amazon

Un kit d’affiches utilisées en France depuis 2021 pour les cours d’éducation sexuelle :

Ces jours-ci nous constatons un début de prise de conscience de certains médias qui enfin osent aborder la question de l’éducation sexuelle (obligatoire) aux jeunes enfants et des traumatismes que cela leur occasionne.

À cet effet nous vous invitons à regarder attentivement cette vidéo qui ne fait que confirmer le contenu de notre livre :

Éducation sexuelle : des enfants traumatisés – Face à l’Info du 05/04/2023
SOS Éducation






Le sang de l’Humanité est-il en cours de modification ?

[Source : JDLM]

👉 Analyses à l’appui, le Dr Ana Mihalcea dresse un portrait sombre de la situation. Injections, chemtrails, nourriture, hydrogel, graphène, tout est passé au crible.

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins (et liens inclus)
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays (idem)
Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie (idem)
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ? (idem)
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Chemtrails
Documentaire sur les chemtrails
Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels]




Protocole du Dr Ana Mihalcea

Le protocole du Dr Ana Mihalcea pour nettoyer le sang de l’hydrogel synthétique et de l’oxyde de graphène.
👉 Écoutez bien tout ce qu’elle énonce, car l’EDTA n’est pas une substance anodine ! Une observation du sang au microscope est impérative au préalable.

[Voir aussi :
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]








Invisibili — Documentaire sur les effets secondaires des vaccins

[Source : Playmastermovie]

Ce documentaire censuré par YouTube se veut un témoignage indélébile des actes anticonstitutionnels du gouvernement italien qui a fait chanter des millions de citoyens au nom d’une thérapie expérimentale qui s’est avérée inutile et nuisible.








Opération Crimson Mist

[Source : educate-yourself.org]

Opération Crimson Mist(([1] « Crimson Mist » : littéralement « Brume pourpre »)),
Massacre électronique au Rwanda

Par Joe Vialls
29 mai 2003

Les barbouzes utilisent désormais à Bagdad une technologie qui a fait ses preuves sur un million d’Africains morts au Rwanda. [NDLR Lors de la Guerre d’Irak en 2003, sous le prétexte d’armes de destructions massives.]

Titre original : Le contrôle mental américain à Bagdad

[NDLR L’article suivant peut paraître à certains relever de science-fiction et à d’autres de contes de fées. Cependant, même s’il manque de références sourcées, on peut le mettre en parallèle avec :
R. Fuellmich : « La 5G peut détruire n’importe quel pays en 1 an, les antennes doivent être enlevées »
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
►Le dossier 5G et ondes pulsées et notamment :
5G La nouvelle utopie
Premières victimes reconnues des antennes 5G
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]


Opération Crimson Mist

Le 6 avril 1994, en fin d’après-midi, une pluie d’obus a déchiré le fuselage d’un avion de ligne qui survolait le centre du Rwanda. Quelques secondes plus tard, l’avion en flammes a explosé lors de l’impact avec le sol, tuant le président Habyarimana du Rwanda, le président Ntaryamira du Burundi et la plupart des hauts fonctionnaires de leur gouvernement. En cette milliseconde fatale, toute la structure de commandement politique de l’Afrique centrale a été décapitée, laissant le champ libre à l’opération « Crimson Mist », l’expérience de contrôle mental terminal la plus obscène jamais mise en place par les États-Unis d’Amérique contre une nation souveraine. Il ne fait plus aucun doute que l’opération « Crimson Mist » a été à nouveau utilisée récemment, à plus petite échelle, en Irak.

Pendant que Habyarimana et ses collègues effectuaient leur plongeon de la mort, un petit groupe d’hommes et de femmes américains se prélassaient dans une grande hutte au bord d’une discrète piste d’atterrissage en gravier située à quelques kilomètres de la capitale rwandaise Kigali, lieu d’accueil temporaire de leurs trois avions de transport Hercules C-130 non marqués. Tous les membres de l’équipage portaient de faux documents d’identité indiquant qu’ils étaient des « chercheurs atmosphériques » employés par une authentique agence civile américaine, mais ces documents ne servaient qu’à des fins d’identification en cas d’urgence si l’un des avions était contraint d’effectuer un atterrissage imprévu en territoire hostile. Pour des raisons pratiques de sécurité, [officiellement] ni eux ni leurs trois gros avions ne se trouvaient en Afrique.

Lorsque la nouvelle de l’accident présidentiel a été annoncée par radio VHF, l’un des Hercules a été rapidement préparé au décollage. Le mécanicien de bord vérifie la fixation des packs RATO (Rocket Assisted Takeoff [Décollage assisté par fusée]), tandis que les scientifiques procèdent aux derniers réglages d’une grande antenne à micro-ondes installée sur la rampe de chargement arrière de l’avion. C’est cette pièce d’équipement étrange et ésotérique qui, à elle seule, contribuera directement à la mort de plus d’un million de civils africains au cours des cent jours qui suivront. Bien que totalement silencieuse, cette simple antenne à micro-ondes avait un potentiel meurtrier supérieur à celui d’un escadron entier d’AC -130 Spectre armé de cinquante canons Gatling.

La volonté de commettre des meurtres de masse

Bien qu’il s’agisse officiellement d’une « expérience », aucune des personnes présentes ne doutait qu’il ne s’agissait que d’une couverture cosmétique pour l’effroyable travail opérationnel à venir. Chaque membre a fait l’objet d’un examen minutieux, puis a été à nouveau contrôlé par les services de renseignement américains afin de s’assurer qu’il avait la « bonne étoffe » et qu’il était philosophiquement engagé dans deux objectifs.

Le premier était la nécessité croissante de contrôler ou d’éliminer la dissidence politique par des moyens à distance à l’aube du 21e siècle, et le second était la nécessité d’endiguer ou d’inverser l’augmentation massive de la population dans le monde, qui menaçait de submerger les ressources naturelles existantes, en particulier l’eau et les denrées alimentaires. Intrinsèquement, cela nécessitait une volonté de commettre des meurtres de masse, et toutes les personnes présentes avaient passé ce test critique avec brio. [NDLR Avec probablement un profil de psychopathes.]

Alors que les moteurs de l’Hercule démarraient en trombe, les agents américains à Kigali travaillaient aux côtés de fonctionnaires locaux et de membres de l’armée.

Kigali travaillait aux côtés de fonctionnaires locaux et de membres des services de sécurité rwandais, renforçant les soupçons du public quant à l’implication d’un acte criminel dans l’accident de l’avion présidentiel. Poussés par des fonctionnaires corrompus, les membres des tribus hutues ont commencé à marcher sur les membres des tribus tutsies et à leur jeter quelques pierres. Au départ, ces actes étaient assez innocents, même s’ils comportaient quelques entailles à la machette ici et là. Mais lorsque le C-130 Hercules a effectué un passage soigneusement calculé au-dessus des Hutus qui avançaient, ces derniers sont soudain devenus fous furieux. L’humeur de la foule hutue, les yeux vitreux, est passée de la simple colère à une rage incontrôlable et, en l’espace de quelques minutes, des centaines de morceaux de corps de Tutsis ont volé dans les airs.

Créer la rage électronique

Ce que l’équipage d’Hercule vient de réaliser est un secret de polichinelle depuis la fin des années cinquante, lorsque des chercheurs ont accidentellement découvert qu’il existe une onde cérébrale « de contrôle » précise pour littéralement tout ce que nous faisons et tout ce que nous ressentons. Le problème à l’époque était que chacune de ces ondes cérébrales de contrôle (rage, peur, panique, léthargie, vomissements, etc.) devait être transmise avec une précision de trois décimales, faute de quoi elle ne fonctionnait tout simplement pas. Mais au fil des années et avec l’avènement des transistors et des microprocesseurs, l’application opérationnelle d’un contrôle précis des ondes cérébrales est devenue une réalité pratique.

Il est important de noter ici que le tour mortel répété des centaines de fois par le C-130 Hercules au Rwanda entre avril et juillet 1994 n’était pas un « contrôle mental classique » au sens conspirationniste du terme, c’est-à-dire lorsque les gens prétendent entendre des messages compliqués dans leur tête, ou lorsque l’on craint que la NSA [ou similaire] ait l’intention de transformer tout le monde en zombies sans défense en leur implantant des puces électroniques dans les bras ou le cou. En réalité, l’équipage du C-130 a procédé à une « augmentation électromagnétique » d’un état préexistant. N’oubliez pas que les agents et le personnel des services de sécurité devaient d’abord orienter les membres des tribus hutues vers les Tutsis, provoquer une colère raisonnable et s’assurer qu’ils étaient armés de manière appropriée. Ce n’est qu’ensuite que le C-130 a pu travailler avec l’onde cérébrale de contrôle précise de la « rage », augmentant ainsi le comportement de la foule de manifestants en colère pour les transformer en maniaques génocidaires incontrôlables. Bien que cela ne soit pas « classique », il s’agissait et il s’agit incontestablement de manipulation mentale, pour la simple raison que des moyens externes ont été utilisés pour forcer un changement de comportement irrésistible.

Pour ceux qui veulent vraiment savoir comment les gouvernements ou les agences modifient le comportement du public sur un coup de tête, l’explication n’est pas trop compliquée, bien qu’il soit pratiquement impossible d’obtenir des détails sur les fréquences cérébrales de contrôle classifiées. Plusieurs universitaires ont en fait démontré certains de ces effets de manière quasi publique au fil des ans, ce qui constitue une réalité tangible pour les sceptiques.

L’une des figures de proue dans ce domaine est le Dr Elizabeth Rauscher-Bise, qui a été chercheur en sciences nucléaires au Lawrence Berkeley National Laboratory et au Stanford Research Institute, professeur de physique à l’université John F. Kennedy de Californie, consultante en recherche auprès de la NASA et de la marine américaine, et membre de l’IEEE, de l’APS, de l’AAAS, de la MAA, de l’ANA et de l’AAMI. Elizabeth Rauscher-Bise a identifié des effets de fréquences spécifiques pour induire la nausée, le bonheur et de nombreux autres états comportementaux il y a plusieurs décennies. De toute évidence, le Dr Rauscher-Bise est une passionnée :

« Donnez-moi l’argent et trois mois », se vante-t-elle, « et je serai capable d’influencer le comportement de 80 % des habitants de cette ville sans qu’ils s’en rendent compte. Je les rendrai heureux — ou du moins ils penseront qu’ils sont heureux. Ou agressifs ».

Contrairement à de nombreux chercheurs dans ce domaine, Elizabeth Rauscher-Bise a tendance à parler ouvertement de son travail, a démontré les effets à de nombreuses reprises dans des forums quasi publics et affirme n’expérimenter que sur des personnes parfaitement informées. Il y a plusieurs années, lors d’une démonstration mémorable en Californie, elle a envoyé une onde cérébrale spécifique à tous les étudiants du côté gauche de l’auditorium, qui se sont alors mis à claquer des dents collectivement et de manière incontrôlée. Lorsque les étudiants non affectés du côté droit de l’auditorium ont suggéré qu’il s’agissait d’une sorte de tour de passe-passe, Elizabeth Rauscher-Bise a calmement dirigé l’onde cérébrale spécifique sur eux. Le côté droit subit alors exactement le même sort, sous le regard des étudiants du côté gauche, stupéfaits, mais qui n’étaient plus affectés.

Très basses fréquences (ELF)

Le principal problème réside dans la transmission de ces ondes cérébrales à la cible, car elles se situent toutes dans le spectre extrêmement bas, entre 0,1 et 25 Hertz [cycles], toutes les ondes cérébrales de contrôle se trouvant dans une bande centrale encore plus étroite, entre 0,6 et 10,2 Hertz. Ces fréquences sont en fait les mêmes que les fréquences « terrestres », ce qui signifie qu’il est très difficile de les diriger par le biais d’une transmission radio conventionnelle. N’oubliez pas que pour être efficace dans l’augmentation sélective du comportement des foules, vous devez être en mesure de limiter la diffusion à des foules clairement définies dans des zones clairement définies. Pour ce faire, on utilise un faisceau de micro-ondes à très haute fréquence, qui est ensuite modulé en amplitude exactement au même rythme que l’onde cérébrale de contrôle souhaitée. C’est beaucoup plus facile à expliquer avec des images, alors regardez bien le diagramme ci-dessous :

Transmission d’ondes de contrôle cérébral par modulation de faisceau micro-ondes

Les micro-ondes de 1,0 à 3,0 gigahertz se déplacent en ligne parfaitement droite, comme la lumière, ce qui les rend faciles à contrôler en termes de direction, quelle que soit la puissance délivrée. Dans la plupart des cas, les micro-ondes sont transmises par une antenne parabolique du type de celles que l’on voit souvent placées en bas d’un grand mât d’émission de télévision. Ces antennes sont conçues pour transférer des volumes importants de données électroniques entre le studio de télévision et l’émetteur, et vice versa.

Là où les « Mind Controllers » américains marquent des points avec leur équipement aéroporté ou monté sur camion, c’est en utilisant des antennes à micro-ondes qui peuvent être ajustées, exactement de la même manière que vous ajusteriez la mise au point d’une lampe de poche à faisceau variable. Le deuxième diagramme à droite montre comment cela se passe. [Les quatre petites incrustations carrées dans le dessin ci-dessus donnent une idée de la procédure.]

Dans l’exemple des tribus hutues rwandaises présenté au début de ce rapport, l’équipage du C-130 Hercules n’avait besoin que de connaître la largeur de la foule cible au sol et la largeur de son propre faisceau de micro-ondes à toute altitude réelle donnée en pieds (telle que lue directement sur l’altimètre du radar). Avec ces deux valeurs disponibles, il est alors facile d’ajuster la largeur du faisceau pour cadrer avec précision la foule cible à partir de n’importe quelle altitude choisie.

Le « pillage » de Bagdad

Mais cet équipement n’est pas seulement déployé dans les gros avions de transport Hercules. Ces dernières semaines, des experts européens en sécurité ont conclu que des versions plus petites de Crimson Mist avaient été récemment déployées dans les rues de Bagdad, en partie pour renforcer la ligne de propagande des médias selon laquelle les citoyens irakiens sont de dangereux sauvages, qui ont tous besoin d’une supervision directe de la part des autorités américaines « démocratiques ». Un exemple classique est le « pillage » du musée de Bagdad, apparemment par une foule de voyous indisciplinés, mais les images vidéo racontent une histoire bien différente. Pour réaliser ce coup d’éclat, les autorités américaines avaient besoin de rassembler une foule, ce qu’elles ont réussi à faire assez facilement en promettant de la nourriture gratuite. Elles devaient ensuite placer la foule à l’extérieur du musée, ce qui, là encore, était facile puisqu’elles avaient placé la nourriture gratuite à l’extérieur du musée lui-même. Ensuite, il fallait attirer l’attention de la foule sur le musée lui-même, ce qui a été fait de manière spectaculaire en tirant deux obus de 120 mm d’un canon de char Abrams directement à travers les portes principales.

Tout va bien jusqu’ici, mais comment les faire pénétrer à l’intérieur ? La vidéo montre deux soldats gesticulant vers la foule, l’incitant à entrer et à se servir, identifiant ainsi clairement la cible « à la rwandaise ». C’est alors que les choses deviennent vraiment intéressantes ! Les deux soldats se retirent rapidement, laissant les Irakiens sans chef devant les portes ouvertes, et puis CLIC, comme on appuie sur un interrupteur, toute la foule devient folle absolument simultanément, ce qui n’arrive jamais dans la vraie vie. Dans le monde réel, il y a toujours un leader qui anime visiblement la foule et la prépare à l’action, mais pas à l’extérieur du musée de Bagdad. Une seconde, ces gens sont de mornes Irakiens affamés, la seconde suivante, ce sont des maniaques incontrôlables qui affluent par les portes du musée.

On soupçonne également que le même équipement a été utilisé pour renforcer les « attaques de pillage » contre divers hôpitaux du centre de Bagdad, bien que cette affirmation semble reposer autant sur la logique que sur des séquences vidéo. Ces soi-disant « pilleurs » sont des citoyens irakiens qui bénéficiaient essentiellement de soins de santé gratuits dans les hôpitaux sous Saddam Hussein. De plus, leurs femmes et leurs enfants sont bombardés et abattus par les Américains, ce qui signifie que ces hôpitaux gratuits sont absolument essentiels pour eux, et donc les lieux mêmes qu’ils devraient normalement défendre en premier lieu. En gardant cette logique à l’esprit, il semble probable que les experts européens en matière de sécurité aient également raison.

La « sécurité » intérieure

S’il est peu probable que les Américains, les Britanniques et les Australiens se préoccupent beaucoup du sort des Irakiens dans les rues de Bagdad, il est peut-être temps d’examiner ce qui risque de se produire dans nos propres pays « démocratiques » si la situation devient plus incontrôlable qu’elle ne l’est aujourd’hui. Rappelons que la manifestation de 2,2 millions de personnes à Londres, juste avant l’invasion illégale de l’Irak, n’avait pas grand-chose à voir avec le fait que les Anglais aimaient Saddam Hussein. L’Irak n’était qu’un prétexte pour que cette masse sans précédent d’êtres humains migre vers Londres en brandissant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire « Not in Our Name » (pas en notre nom) à l’encontre de politiciens corrompus.

En fin de compte, la prochaine fois que 2,2 millions de citoyens britanniques descendront dans la capitale pour s’en prendre aux politiciens [leurs véritables cibles], ils pourraient porter quelque chose de bien plus dangereux que des banderoles. Tous les policiers et militaires savent très bien qu’une masse de 2,2 millions de personnes aux intentions hostiles ne peut tout simplement pas être arrêtée par les techniques antiémeutes habituelles, ni par les balles tirées par les soldats dans les rues. Même si les soldats britanniques pouvaient être persuadés d’ouvrir le feu sur leurs propres voisins (ce qui est très improbable), l’ensemble de l’armée serait impuissante à agir. Que se passerait-il alors ?

De l’autre côté de l’Atlantique, en Amérique et en Australie, la situation n’est guère meilleure. À l’heure où j’écris ces lignes, le dollar américain se dirige tout droit vers les niveaux les plus bas, ce qui entraînera une dépression et une colère accrue de la part de tous les Américains, visant en grande partie les politiciens corrompus du Capitole. Naturellement, les politiciens essaieront d’abattre le peuple, comme d’habitude, mais que se passera-t-il si, cette fois-ci, s’ils vont trop loin ? Et si quelques centaines ou quelques milliers des 260 millions d’armes privées détenues par les Américains entraient en jeu, que se passerait-il ?

Il y a fort à parier que dans tous les pays occidentaux concernés, les hommes politiques et leurs véritables maîtres tenteront d’invoquer l’utilisation d’armes hautement non conventionnelles pour essayer de sauver leur peau. Le succès qu’ils obtiendront le jour venu, qui ne manquera pas d’arriver, dépend en grande partie de vous.

Joe Vialls



À propos de l’auteur

D’après Wikipédia, Joe Vialls (né vers 1944 – 17 juillet 2005) était un théoricien de la conspiration et un journaliste Internet basé à Perth, en Australie occidentale. Ses affirmations selon lesquelles des incidents majeurs tels que le massacre de Port Arthur, les attentats terroristes de Bali et de Jakarta et le tsunami de 2004 en Asie étaient l’œuvre d’agents secrets israéliens et américains ont acquis une certaine notoriété en Australie, en Amérique et en Indonésie.





Le bilan de 28 mois de plandémie COVID pour les enfants en France

[Source : conseil-scientifique-independant.org]

Points à retenir :

Seulement 4 enfants seraient décédés du COVID en plus de 2 ans.
Les hospitalisations depuis décembre 2021 sont surtout de moins de 3 jours et « pour surveiller ».
272 PIMS et 0 décès sur les 11 derniers mois depuis le rapport étudié ici.

La santé des enfants est une préoccupation naturelle. Les protéger est un devoir.

Mais il faut adapter les mesures de protection à la dangerosité du problème considéré. Sans quoi, on risque de choisir de les enfermer pour limiter les risques. De les priver d’école, de sport, de leur famille, de vie sociale… Entraînant alors des conséquences dramatiques (doublement de l’obésité chez les enfants, hausse des suicides chez les enfants et les adolescents).

Après 28 mois (mars 2020- juillet 2022) de « crise » COVID, il semble utile de faire un retour sur le cas particulier des enfants en examinant les chiffres officiels, donnés par les structures sanitaires officielles (Santé Publique France).

Voir le détail sur :






Européennes : la liste souverainiste française conciliera-t-elle élus et Frexit ?

[Source : RL]

La contradiction sourde depuis un bon moment déjà. Mais avec la mise en ligne de la pétition de Les Patriotes pour unifier une liste souverainiste aux élections européennes (les prochaines élections sont les élections sénatoriales le 24 septembre 2023, puis les élections européennes en 2024), il faut déployer l’argumentaire ad hoc qui saura figer la meute politico- journalistique qui ne manquera pas de pointer cette contradiction de ne plus vouloir faire partie de l’Union européenne, dont les miasmes d’Ursula von der Leyen sauront produire de nouvelles larves, tout en présentant des candidats souverainistes.

C’est à partir de 11’54 ci-dessous :

C’est justement pour ces raisons que nombre de Français qui souffrent des effets secondaires de la complicité US mondialiste et de l’UE imposée, autant qu’ils souffrent des effets secondaires du bouillon de onze heures que la Commission européenne leur a servi, sans bien évidemment y toucher elle-même, ne veulent confusément plus de Pfizergate et Bruxellesgate.

D’autant qu’ils ont enfin compris que depuis l’euro, ils ont perdu 30 % de leur pouvoir d’achat, que l’inflation prétendument imputée à la guerre que l’Ukraine otanisée mène contre la Russie n’est pas prête de s’arrêter (1) et que les petits propriétaires occupants vont bientôt laisser leurs baraques aux migrants. Et bien d’autres décisions actées à l’agenda 2030.

Mais comme disait le Dr Destouches, alias l’écrivain Louis-Ferdinand Céline, « ils sont lourds » (2).

Coluche aurait dit plus prosaïquement qu’il « fallait les secouer longtemps pour leur décoller la pulpe du fond », et c’est pas gagné !

 Il semble qu’ils ne soient toujours pas disposés à faire tilter le juke-box américain qui joue les airs à la mode pour la clientèle européenne.

Ainsi la pétition pour l’union des souverainistes en vue des Européennes de 2024 (infra), mérite d’être davantage cadrée.

L’analyse de la rédaction de Jeune Nation parue ce mois, rappelle utilement :

« L’Europe n’est pas l’Union européenne

L’un des éléments les plus énervants des conversations sur l’Europe, c’est la confusion systématiquement faite entre « Europe » et « Union européenne » au point d’entendre dire couramment « l’Europe » quand on veut désigner « l’Union européenne ». Bien entendu, l’UE joue sur cette confusion et l’entretient. C’est de bonne guerre de propagande, pourrait-on dire, mais c’est tout ce qu’il y a de plus faux.

L’Europe est un support géographique peuplé par des communautés humaines multimillénaires dotées de cultures cousines très tôt différenciées par l’histoire. Ce sont ceux que nous appelons, au sens fort, les Albo-Européens.

L’Union européenne est une organisation inter-étatique, née par… https://jeune-nation.com/kultur/culture/leurope-nest-pas-reductible-au-nationalisme-blanc

« Pétition pour l’union des souverainistes en vue des Européennes de 2024 

Jamais la question de la souveraineté n’a été autant au centre des débats politiques ! Sur l’énergie, sur la politique étrangère et la guerre, sur l’alimentation et l’eau, sur la santé et le sanitaire, sur la maîtrise de notre modèle social, sur les grands sujets démocratiques,…

Des millions de Français ont compris que notre pays devait reprendre sa souveraineté nationale, et notre peuple sa souveraineté populaire, pour pouvoir se redresser et retrouver un avenir possible !

Les mouvements et personnalités souverainistes ont le devoir sacré de répondre à cette attente, en se rassemblant, en s’unissant. On ne leur demande pas de devenir forcément les meilleurs amis du monde, mais d’être capables de travailler ensemble pour la France et le Bien commun.

Des progrès ont été accomplis ces derniers mois, à travers des participations communes à des manifestations, notamment, à travers un début d’alliance électorale souverainiste aux élections législatives de 2022.

Il faut aller beaucoup plus loin.
La préparation des élections européennes de 2024 doit être l’occasion historique de faire l’union des souverainistes ! Avec pour objectif final, évidemment, une liste unique des souverainistes à cette élection. Les souverainistes favorables au Frexit en particulier doivent être les fers de lance de cette dynamique de rassemblement !

Par cette pétition nationale, nous demandons à tous les mouvements et personnalités souverainistes de participer à cette dynamique de rassemblement qui débouchera sur une liste unique en 2024 aux élections européennes.

Aucun prétexte, aucune fausse excuse, aucun ego mal placé ne tiendra face à cette exigence pour la survie de notre pays et de nos valeurs !

Cette liste sera une marque d’intelligence du camp souverainiste, tout autant qu’elle suscitera une grande espérance parmi des millions et des millions de Français ! »






Comment détruire un île en 30 ans

[Source : Draw my economy]

OK, c’est donc à ça que ressemble l’Apocalypse

Un pays dont le PIB par habitant est 3 fois supérieur aux US ! Cette île avait tout pour devenir le pays le plus riche au monde. En 1974, ce pays est même devenu une destination phare pour les millionnaires qui y amènent leurs yachts et leurs fêtes. L’argent coule à flots. Pourquoi ? Parce que la petite île d’à peine 21,3 km² à découvert une poule aux œufs d’or : le phosphate.

Et pourtant, 30 ans plus tard, c’est le chaos. Le pays recense le taux d’obésité le plus élevé au monde, le chômage touche 90 % des actifs, l’île s’est transformée en catastrophe écologique. Il est impossible de pêcher quoi que ce soit, les poissons ne viennent plus, et les déchets s’empilent sur terre comme dans la mer. Le seul moyen pour ce pays de subsister est de compter sur un approvisionnement mensuel de nourriture et d’eau.

Et non, je ne vous parle pas d’un pays théorique ni même d’une île que j’ai vue dans un film. Je vous parle d’une île bien réelle. L’île de Nauru.

Mais, qu’a-t-il bien pu arriver pour qu’une île passe d’un succès exponentiel et sans précédent à une faillite totale et sans appel ?

L’île prend son indépendance

Situés à 42 km de l’équateur, et au large de la Papouasie–Nouvelle-Guinée, les Nauruans sont une population de pêcheurs. Leur île étant trop petite pour y mener une quelconque activité agricole, le peuple avait mis en place des techniques de pêche très sophistiquées.

Puis, en 1798, le navigateur John Fern découvre l’île. C’est alors que celle-ci est soumise à l’influence culturelle et religieuse occidentale. Entre 1888 et 1914, l’île tombe sous la tutelle coloniale de l’Allemagne. Puis, de 1914 à son indépendance, en 1968, ce sont les Australiens qui prennent le relais. Bien que l’on peut noter qu’entre 1942 et 1945, dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale, l’île est sous l’occupation japonaise.

Avec seulement quelques milliers d’habitants, les Nauruans sont rapidement englobés dans la culture occidentale. De plus, des évangélistes catholiques et protestants vont convertir la population. L’île est aujourd’hui très majoritairement protestante.

Ce n’est qu’à partir de 1906 que l’on découvre un trésor caché à Nauru : du phosphate pur. Le phosphate est un engrais très prisé, utilisé dans les agricultures, notamment dans celles anglaises et australiennes.

C’est ainsi que les Allemands et les Australiens vont, tour à tour, commencer à puiser les ressources du pays. Et ce, à travers des entreprises privées et publiques. Les Nauruans alors mis de côté, car non intégrés au système économique mondiale, se retrouvent à tenir des bibliothèques et des écoles pour les étrangers venant puiser le phosphate de l’île.

Mais alors, vous, si vous aviez à votre disposition une ressource qui pourrait vous rapporter des millions, mais que ce n’est que votre voisin qui en profite, seriez vous vraiment satisfait ? Où chercheriez-vous à vous réapproprier ce qui vous appartient ? 

C’est ce que firent les Nauruans en 1968. Excédés de voir leur poule aux œufs d’or n’être profitable qu’aux entreprises et états étrangers, la petite île décide de prendre son envole. C’est donc le 31 janvier 1968 que Nauru obtient son indépendance et devient la plus petite république au monde.

30 ans de rêve

C’est donc le président Hammer Derobert qui prend les rênes. Et, son premier geste mais aussi tous ceux qui suivirent furent très, très socialistes. 

En premier, il nationalise l’extraction de phosphate. Est donc créé le Nauru phosphate corporation. 

Puis, le gouvernement décide de verser une partie des revenus des mines à ses habitants. Et comme le phosphate, ça rapporte beaucoup, les habitants se retrouvent du jour au lendemain, de passer d’un salaire de prof à celui d’un millionnaire. Et ce, sans rien faire. Car le travail à la mine est donné, non pas à des Nauruans, mais à des immigrés chinois.

Et les politiques de Derobert ne s’arrêtent pas là ! L’eau potable et l’électricité sont désormais offertes aux habitants qui ne payent, évidemment, plus d’impôts.

Ayant toujours trop d’argent à son goût, le gouvernement de l’île fait bâtir un hôpital à la pointe de la technologie de l’époque. Et bien sûr, l’accès y est gratuit.

Puis, le gouvernement, toujours en quête de distribution monétaire, va assurer à chaque foyer nauruan une femme de ménage.

Bref, les Nauruans vivent dans l’opulence la plus grossière qui soit. Et, n’ayant aucune obligation d’aller travailler, la pêche, activité traditionnelle de l’île, se perd peu à peu.

En 1970, le gouvernement décide qu’il n’en fait toujours pas assez pour ses citoyens. Il va donc leur assurer 6 ou 7 voitures par foyer… alors que l’île ne comprend qu’une seule route. Plutôt ironique non ?

Ne sachant que faire de tout l’argent maintenant à disposition, et n’ayant aucune éducation financière, les Nauruans achètent de la technologie de pointe et la changent dès que mieux apparaît.

Ainsi, plus rien n’est réparé. Tout est abandonné en bordure de route ou dans la mer. Parce qu’après tout, pourquoi s’embêter à réparer quelque chose quand on peut simplement acheter mieux… ?

Les Nauruans sont donc devenus peu à peu oisifs. La vie à Nauru était une perpétuelle fête dans laquelle les habitants vivaient dans l’abondance la plus totale.

Et tant qu’il y aurait du phosphate, cette fête continuerait.

La descente aux enfers

Un seul problème. Le phosphate est une matière première non renouvelable. Lorsque vous épuisez vos stocks, vous n’en avez pas d’avantage. Et évidemment, ce fait est loin d’être méconnu. 

Alors, vous devez être en train de penser que, sachant pertinemment que leurs ressources de phosphate allaient tôt ou tard s’épuiser, l’État a fait des prévisions et pensé à l’avenir ? Eh bien non ! En fait, s’étant habitué à l’opulence excessive qu’apportent les mines de phosphate, l’état a été peu regardant sur les investissements qu’il effectuait. Du coup, ce dernier a fait des placements aberrants, espérant que leurs rentes seraient suffisantes à maintenir leur train de vie post-phosphate. Investissements qui leur ont fait perdre beaucoup d’argent et qui, comme nous pouvons aujourd’hui le voir, n’étaient pas judicieux et n’ont pas amené l’effet escompté.

Ce qui veut dire qu’à la fin des années 90, lorsque le pays a commencé à manquer de phosphate, l’état s’est rapidement retrouvé au pied du mur.  

C’est dos au ravin que le pays à décidé, pour essayer de garder à flot ce qui restait de l’île, de se plonger dans l’illégalité.

Blanchiment d’argent pour les mafias, vente de passeports à tout vas, Nauru, pays socialiste, invite volontiers les gens immensément riches et peu scrupuleux à créer des sociétés-écran sur l’île afin d’éviter de payer des taxes dans leur pays d’origine. C’est le chaos, et rapidement Nauru rejoint la liste noire des paradis fiscaux.

Afin de s’en extraire, elle met fin à sa possibilité de blanchiment d’argent. Mais pas pour autant à son business de ventes de passeports qui va encore de bon train.

Cependant, criblé de dettes, le petit pays est obligé de vendre ses biens immobiliers. Notamment un immeuble à Melbourne. Or, ça ne couvre pas l’entièreté des dettes. Loin de là.

Nauru passe alors deux marchés. Un avec Taïwan afin de leur vendre la ligne faisant des allers-retours entre l’île et l’Australie, et ce pour 10 millions d’euros. Le deuxième marché conclu est, toujours avec Taïwan, un approvisionnement continuel de l’île en eau et nourriture. Et ce, en échange d’un soutien de Nauru. Taïwan cherchant à intégrer l’ONU, dans lequel siège déjà Nauru, le soutien de l’île lui est très précieux.

Nauru décide également de conclure un marché avec l’Australie. L’île abrite une prison pour réfugiés entièrement à disposition de l’Australie. Celle-ci est plus connue sous le nom de la « Solution du pacifique » et abrite des immigrants illégaux repêchés aux côtes australiennes. Dans cette prison, car c’est le mot approprié, les immigrés sont privés de tous droits. Leurs douches sont peu fréquentes et minutées, ils ont interdiction de sortir de leurs cellules et se font souvent harasser par les locaux.

Cependant, ce marché a pris fin lorsque ces agissements ont créé une polémique en Australie.

Bref, le pays est maintenant au fond du trou financièrement et éthiquement.

Pourquoi les habitants ne reprennent-ils pas leur vie d’antan ?

Peuple de pêcheurs, il est légitime de se demander pourquoi les Nauruans ne reprennent pas la pêche et leur rythme pré-découverte du phosphate. La réponse est simple, ils ne le peuvent pas.

Outre le fait que Nauru soit aujourd’hui le pays avec l’indice d’obésité le plus élevé au monde, 80 % de leur population souffrant d’obésité morbide, en 30 ans, leur culture a totalement disparu.

Remplacée par l’oisiveté et l’opulence, les habitants de l’île ont quasi totalement perdu leur culture ainsi que les techniques de pêche sophistiquées qu’ils avaient mis des millénaires à acquérir.

Et si ce n’était pas assez, les quelques habitants ayant gardé leur culture ne peuvent pas non plus pêcher. La pollution liée à tous les déchets jetés par les habitants durant ces 30 ans a totalement détruit les coraux. Coraux qui abritent des milliers d’espèces différentes de poissons. Ceux-ci se sont d’ailleurs éloignés de l’île, les eaux de Nauru étant devenues trop polluées pour que des poissons y vivent. 

Quant aux magnifiques oiseaux de l’île ? Ceux-ci ont également disparu à cause de la déforestation de masse. Autrefois une île paradisiaque, Nauru est maintenant un désert de cailloux ; la terre de l’île ayant été très majoritairement retournée pour y trouver le phosphate. De plus, les montagnes de déchets causés par les habitants ont fait de l’île une décharge. 

Il est juste de dire que Nauru représente une catastrophe sociologique, écologique et financière.

Conclusion

De l’île paradisiaque au dépotoir, l’île est le contre-exemple de ce que doit faire un gouvernement. Surtout que, contrairement à Nauru, beaucoup de pays, tels que l’Arabie Saoudite, qui est le pays le plus riche au monde, s’en sortent très bien, malgré le fait que la majeure partie de leur économie soit basée sur une ressource naturelle insulaire.

Et vous qu’en pensez-vous ? Quelles leçons peuvent être tirées de la chute de Nauru ?



Sources




Suspendre les développements en Intelligence artificielle n’est pas suffisant. Il faut tout arrêter

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Eliezer Yudkowsky − Le 29 mars 2023 − Source Time Magazine

Une lettre ouverte publiée aujourd’hui appelle « tous les laboratoires d’IA à interrompre immédiatement, pour une durée d’au moins six mois, la formation de systèmes d’IA plus puissants que le GPT-4 ».

Ce moratoire de six mois est déjà préférable à l’absence de moratoire. J’ai du respect pour tous ceux qui l’ont signée. C’est une amélioration.

Mais je me suis abstenu de le signer parce que je pense que cette lettre sous-estime la gravité de la situation et demande trop peu pour la résoudre.

La question essentielle n’est pas celle de l’intelligence « concurrentielle àl’humaine » (comme le dit la lettre ouverte) ; il s’agit de savoir ce qui se passera une fois que l’IA sera devenue plus intelligente que l’homme. Les seuils clés ne sont peut-être pas évidents, nous ne pouvons certainement pas calculer à l’avance ce qui se passera à ce moment-là, et il semble actuellement concevable qu’un laboratoire de recherche franchisse les limites critiques sans s’en apercevoir.

De nombreux chercheurs spécialisés dans ces questions, dont je fais partie, estiment que le résultat le plus probable de la construction d’une IA surhumainement intelligente, dans des conditions proches des circonstances actuelles, est la mort de tous les habitants de la Terre. Non pas comme dans « peut-être une chance infime », mais comme dans « c’est la chose évidente qui se produirait ». Ce n’est pas que vous ne puissiez pas, en principe, survivre à la création d’un objet beaucoup plus intelligent que vous ; c’est que cela nécessiterait de la précision, de la préparation et de nouvelles connaissances scientifiques, et probablement pas des systèmes d’intelligence artificielle composés de gigantesques et impénétrables tableaux de nombres fractionnaires.

Sans cette précision et cette préparation, le résultat le plus probable est une IA qui ne fait pas ce que nous voulons et qui ne se soucie pas de nous ni de la vie sensible en général. Ce type d’attention pourrait en principe être insufflé dans une IA, mais nous ne sommes pas prêts et nous ne savons pas comment le faire à l’heure actuelle.

En l’absence de cette bienveillance, nous obtenons :

« L’IA ne vous aime pas, elle ne vous hait pas, et vous êtes fait d’atomes qu’elle peut utiliser pour autre chose ».

Le résultat probable de l’humanité face à une intelligence surhumaine opposée est une perte totale. Parmi les métaphores valables, citons « un enfant de 10 ans essayant de jouer aux échecs contre Stockfish 15 », « le 11e siècle essayant de lutter contre le 21e siècle » et « l’australopithèque essayant de lutter contre l’homo sapiens ».

Pour visualiser une IA surhumaine hostile, n’imaginez pas un penseur sans vie, intelligent comme un livre, qui habiterait sur l’Internet et enverrait des courriels mal intentionnés. Imaginez une civilisation extraterrestre entière, pensant à des millions de fois la vitesse humaine, initialement confinée aux ordinateurs, dans un monde de créatures qui sont, de son point de vue, très stupides et très lentes. Une IA suffisamment intelligente ne restera pas longtemps confinée aux ordinateurs. Dans le monde d’aujourd’hui, il est possible d’envoyer par courrier électronique des chaînes d’ADN à des laboratoires qui produiront des protéines à la demande, ce qui permet à une IA initialement confinée à l’Internet de construire des formes de vie artificielles ou de passer directement à la fabrication de molécules post-biologiques.

Si quelqu’un construit une IA trop puissante, dans les conditions actuelles, je m’attends à ce que chaque membre de l’espèce humaine et toute vie biologique sur Terre meurent peu de temps après.

Aucun plan n’a été proposé pour nous permettre de faire une telle chose et de survivre. L’intention ouvertement déclarée d’OpenAI est de faire en sorte qu’une future IA fasse notre travail d’alignement de l’IA. Le simple fait d’entendre qu’il s’agit là d’un plan devrait suffire à faire paniquer toute personne sensée. L’autre grand laboratoire d’IA, DeepMind, n’a aucun plan.

Une parenthèse : Ce danger ne dépend pas de la question de savoir si les IA sont ou peuvent être conscientes ; il est intrinsèque à la notion de systèmes cognitifs puissants qui optimisent durement et calculent des résultats qui répondent à des critères suffisamment compliqués. Cela dit, je manquerais à mes devoirs moraux en tant qu’être humain si je ne mentionnais pas que nous n’avons aucune idée de la manière de déterminer si les systèmes d’IA sont conscients d’eux-mêmes — puisque nous n’avons aucune idée de la manière de décoder tout ce qui se passe dans les gigantesques réseaux impénétrables — et que nous pourrions donc, à un moment donné, créer par inadvertance des esprits numériques qui sont réellement conscients, qui devraient avoir des droits et qui ne devraient pas être possédés.

La règle que la plupart des personnes conscientes de ces questions auraient approuvée il y a 50 ans, était que si un système d’IA peut parler couramment et dit qu’il est conscient de lui-même et qu’il exige des droits de l’homme, cela devrait être un frein à la possession de cette IA et à son utilisation au-delà de ce point. Nous avons déjà dépassé cette limite. Je suis d’accord pour dire que les IA actuelles ne font probablement qu’imiter le discours sur la conscience de soi à partir de leurs données d’apprentissage. Mais je pense qu’avec le peu d’informations dont nous disposons sur les mécanismes internes de ces systèmes, nous ne savons pas vraiment ce qu’il en est.

Si tel est notre état d’ignorance pour le GPT-4, et que le GPT-5 est un pas de géant de la même ampleur que le passage du GPT-3 au GPT-4, je pense que nous ne pourrons plus dire à juste titre « probablement pas conscient de lui-même » si nous laissons les gens fabriquer des GPT-5. Ce sera simplement « je ne sais pas ; personne ne sait ». Si vous ne pouvez pas être sûr de créer une IA consciente d’elle-même, c’est alarmant, non seulement en raison des implications morales de la partie « consciente d’elle-même », mais aussi parce qu’être incertain signifie que vous n’avez aucune idée de ce que vous faites et que c’est dangereux et que vous devriez arrêter.

***

Le 7 février, Satya Nadella, PDG de Microsoft, déclarait publiquement que le nouveau Bing obligerait Google à « montrer qu’il sait danser ». « Je veux que les gens sachent que nous les avons fait danser », a-t-il déclaré.

Ce n’est pas ainsi que le PDG de Microsoft devrait parler dans un monde sain. Cela montre l’écart considérable entre le sérieux avec lequel nous prenons le problème et le sérieux avec lequel nous aurions dû le prendre il y a 30 ans.

Nous n’allons pas combler ce fossé en six mois.

Il a fallu plus de 60 ans entre le moment où la notion d’intelligence artificielle a été proposée et étudiée pour la première fois et le moment où nous avons atteint les capacités actuelles. Résoudre le problème de la sécurité d’une intelligence surhumaine — non pas la sécurité parfaite, mais la sécurité au sens de « ne pas tuer littéralement tout le monde » — pourrait très raisonnablement prendre au moins la moitié de ce temps. Et le problème avec l’intelligence surhumaine, c’est que si l’on se trompe sur le premier coup, on ne peut pas apprendre de ses erreurs, parce qu’on est mort. L’humanité n’apprendra pas de ses erreurs et ne recommencera pas, comme pour d’autres défis que nous avons relevés au cours de notre histoire, parce que nous serons tous morts.

Essayer de réussir quelque chose au premier essai vraiment critique est une tâche extraordinaire, tant en science qu’en ingénierie. Nous ne disposons pas de l’approche nécessaire pour y parvenir avec succès. Si nous appliquions au domaine naissant de l’intelligence artificielle générale les mêmes normes de rigueur technique que celles qui s’appliquent à un pont destiné à supporter quelques milliers de voitures, tout le domaine serait fermé demain.

Nous ne sommes pas prêts. Nous ne sommes pas en mesure de nous préparer dans un délai raisonnable. Il n’y a pas de plan. Les progrès en matière de capacités d’IA sont très, très en avance sur les progrès en matière d’alignement de l’IA ou même sur les progrès en matière de compréhension de ce qui se passe à l’intérieur de ces systèmes. Si nous y parvenons, nous allons tous mourir.

De nombreux chercheurs travaillant sur ces systèmes pensent que nous nous dirigeons vers une catastrophe, et ils sont plus nombreux à oser le dire en privé qu’en public ; mais ils pensent qu’ils ne peuvent pas arrêter unilatéralement cette plongée en avant, que les autres continueront même s’ils quittent personnellement leur emploi. Alors, ils se disent tous qu’ils feraient mieux de continuer. C’est une situation stupide et une façon indigne pour la Terre de mourir, et le reste de l’humanité devrait intervenir à ce stade et aider l’industrie à résoudre son problème d’action collective.

Certains de mes amis m’ont récemment rapporté que lorsque des personnes extérieures à l’industrie de l’IA entendent parler pour la première fois du risque d’extinction lié à l’intelligence artificielle générale, leur réaction est la suivante :

« Peut-être que nous ne devrions pas construire d’IAG, alors ».

Cette réaction m’a donné un petit éclair d’espoir, car elle est plus simple, plus sensée et franchement plus saine que celle que j’ai entendue au cours des 20 dernières années, au cours desquelles j’ai essayé d’amener les gens de l’industrie à prendre les choses au sérieux. Quiconque parle avec autant de bon sens mérite d’entendre à quel point la situation est grave, et non de se faire dire qu’un moratoire de six mois va régler le problème.

Le 16 mars, ma partenaire m’a envoyé ce courriel. (Elle m’a ensuite autorisé à le reproduire ici.)

« Nina a perdu une dent ! Comme le font habituellement les enfants, et non par négligence ! Le fait de voir GPT4 pulvériser ces tests standardisés le jour même où Nina atteignait une étape importante de son enfance a provoqué une vague d’émotions qui m’a fait perdre pied pendant une minute. Tout va trop vite. Je crains que le fait de partager cela n’accentue ton propre chagrin, mais je préfère que tu le saches plutôt que chacun d’entre nous souffre seul ».

Lorsque la conversation entre initiés porte sur la douleur de voir sa fille perdre sa première dent et de penser qu’elle n’aura pas la chance de grandir, je pense que nous avons dépassé le stade des échecs politiques sur un moratoire de six mois.

S’il existait un plan de survie pour la Terre, si seulement nous adoptions un moratoire de six mois, je soutiendrais ce plan. Ce plan n’existe pas.

Voici ce qu’il faudrait faire :

Le moratoire sur les nouveaux grands circuits d’entraînement doit être indéfini et mondial. Il ne peut y avoir aucune exception, y compris pour les gouvernements ou les armées. Si la politique commence aux États-Unis, la Chine doit comprendre que les États-Unis ne cherchent pas à obtenir un avantage, mais qu’ils essaient plutôt d’empêcher l’utilisation d’une technologie horriblement dangereuse qui ne peut avoir de véritable propriétaire et qui tuera tout le monde aux États-Unis, en Chine et sur Terre. Si je disposais d’une liberté infinie pour rédiger des lois, je pourrais prévoir une seule exception pour les IA formées uniquement pour résoudre des problèmes de biologie et de biotechnologie, non formées sur des textes provenant d’Internet, et pas au point de commencer à parler ou à planifier ; mais si cela compliquait un tant soit peu la question, je rejetterais immédiatement cette proposition et je dirais qu’il faut tout arrêter.

Arrêter toutes les grandes grappes de GPU (les grandes fermes d’ordinateurs où les IA les plus puissantes sont affinées). Arrêter tous les grands cycles d’entraînement. Fixer un plafond à la puissance de calcul que chacun est autorisé à utiliser pour entraîner un système d’IA, et le réduire au cours des prochaines années pour compenser l’apparition d’algorithmes d’entraînement plus efficaces. Aucune exception pour les gouvernements et les armées. Il convient de conclure immédiatement des accords multinationaux afin d’empêcher que les activités interdites ne soient transférées ailleurs. Suivre toutes les ventes de GPU. Si les services de renseignement indiquent qu’un pays non signataire de l’accord construit une grappe de GPU, il faut moins craindre un conflit armé entre les nations que la violation du moratoire ; il faut être prêt à détruire un centre de données hors-la-loi par une frappe aérienne.

N’envisagez rien comme un conflit entre des intérêts nationaux et dites clairement que quiconque parle de course à l’armement est un imbécile. Le fait que nous vivions ou mourions tous ensemble n’est pas une politique mais un fait naturel. Expliquez explicitement dans la diplomatie internationale que la prévention des scénarios d’extinction de l’IA est considérée comme une priorité par rapport à la prévention d’un échange nucléaire complet, et que les pays nucléaires alliés sont prêts à courir un certain risque d’échange nucléaire si c’est ce qu’il faut pour réduire le risque de grandes séries d’entraînement de l’IA.

C’est le genre de changement de politique qui nous amènerait, mon partenaire et moi, à nous serrer l’un contre l’autre et à nous dire qu’un miracle s’est produit et qu’il y a maintenant une chance que Nina vive. Les personnes saines d’esprit qui entendent parler de cette question pour la première fois et qui se disent raisonnablement « peut-être ne devrions -nous pas » méritent d’entendre, honnêtement, ce qu’il faudrait faire pour que cela se produise. Et lorsque la demande politique est aussi importante, la seule façon de la faire passer est que les décideurs politiques réalisent que s’ils continuent à faire ce qui est politiquement facile, cela signifie que leurs propres enfants vont aussi mourir.

Il faut tout arrêter.

Nous ne sommes pas prêts. Nous ne sommes pas en passe d’être significativement plus prêts dans un avenir prévisible. Si nous poursuivons dans cette voie, tout le monde mourra, y compris des enfants qui n’ont pas choisi cette voie et qui n’ont rien fait de mal.

Il faut tout arrêter.

Eliezer Yudkowsky est un théoricien étasunien qui dirige les recherches de l’Institut de recherche sur l’intelligence des machines. Il travaille sur l’alignement de l’intelligence artificielle générale depuis 2001 et est largement considéré comme l’un des fondateurs de ce domaine.

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.






R. Fuellmich : « La 5G peut détruire n’importe quel pays en 1 an, les antennes doivent être enlevées »

[Source : Infos et Culture]

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
► le dossier 5G et ondes pulsées et notamment :
Premières victimes reconnues des antennes 5G
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]








Macron sociopathe ?! Essai de profiling d’un président à la dérive

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Nous ne le cachons pas : l’exercice est périlleux. La tentation a en effet existé de tout temps de dévoyer le débat politique en psychiatrisant les opposants ou même ses adversaires.

Ce fut en particulier, de sinistre mémoire, un trait caractéristique des régimes totalitaires. On se souvient ainsi comment Andreï et Elena Sakharov furent séquestrés en hôpital psychiatrique et médiqués à grands coups de neuroleptiques pour leur apprendre à critiquer le régime soviétique.

Plus récemment, Shirin Hatam, éminente juriste de l’organisation en santé mentale que je dirigeais alors, a rédigé une excellente analyse pour critiquer le recours à des étiquettes psychopathologiques pour qualifier Donald Trump – et croyez-moi, ses propres convictions politiques n’inclinaient aucunement dans le sens de celles du magnat de l’immobilier new-yorkais. Son point était de rappeler que nul ne doit ni ne peut juridiquement souffrir de discriminations du fait d’un diagnostic psychiatrique.

  • Pour lire « Trump et les droits des personnes souffrant de troubles psychiques » dans Le Temps : cliquer ici.

On a aussi vu, lors du diligent travail de propagande mené par les médias mainstream contre l’opposition à la politique sanitaire absurde et destructrice qui nous était imposée, certains titres avoir recours à des pseudo-études scientifiques pour dénigrer un peu plus les opposants. On a ainsi entendu que les gens qui refusaient de porter le masque (parfaitement inutile et nocif pour la santé) étaient des « narcissiques », des « personnalités antisociales » sinon « borderline ».

C’est dire s’il convient de prendre des précautions avant de s’aventurer sur ce terrain même sur lequel je prends ici la responsabilité de vous inviter.

Il importe malgré tout de ne pas être aveugle quant la réalité des risques liés aux caractéristiques psychopathologiques des personnalités avides de pouvoir ou y ayant accédé.

L’usage frénétique et malhonnête de l’éthique de « complotiste » par la presse corrompue a réalisé le travail de sape attendu des bons repères anthropologiques et culturels à cet égard.

  • Pour lire « Complotiste » : une étiquette manipulatoire  sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire « Misère de l’anticomplotisme » par Christian Ferrié, docteur en philosophie et en sciences politiques : cliquer ici.

Avant cette manipulation soigneusement orchestrée, il était non seulement de notoriété publique mais faisait même partie de notre bagage culturel ancestral que la recherche compulsive du pouvoir était en elle-même pathologique. Les obsédés dont il est question ayant comme particularité de n’avoir ni scrupules ni vergogne et donc d’être prêts à tout pour se hisser au pouvoir. Puis, une fois qu’ils y sont parvenus, pour s’y maintenir.

Le paradoxe du pouvoir

L’autre processus incontournable est que l’accession à des positions de pouvoir tend à faire perdre un ensemble de compétences utiles pour y accéder. Cela été abondamment étudié dans le domaine de la neuropsychologie sous la dénomination de « paradoxe du pouvoir » : l’exercice du pouvoir isole, tend à faire perdre l’empathie et même une capacité d’écoute élémentaire de tout point de vue divergent. Ce que décrit depuis longtemps l’entourage d’Emmanuel Macron…

  • Pour lire « Power Causes Brain Damage » sur Atlantico (en anglais) : cliquer ici.
  • Pour lire Emmanuel Macron “n’écoute personne”, le président s’isole au grand dam de ses soutiens dans Gala (si, si!) : cliquer ici.

Le vénérable Lord Acton avait troussé à la fin du XIXe siècle cette petite formule que nous avons tous entendue  :

Il existe donc une difficile réalité psychopathologique impliquée dans les réalités du pouvoir et a fortiori lorsque son exercice dérape dans des formes d’autoritarisme, de violence et même d’absolutisme.

C’est hélas la configuration dans laquelle se retrouve actuellement la France.

Le président actuel montre en effet -c’est ce que je montre dans l’analyse qui suit- un ensemble de caractéristiques propres aux profils les plus dangereux que l’on qualifie aujourd’hui de « sociopathes ». La sociopathie est une structure de la personnalité ainsi qu’un état d’esprit caractérisé par ce que les criminologues appellent désormais la tétrade noire.

Il s’agit de la combinaison de quatre traits principaux qui sont :

  • le narcissisme : « moi seul existe, les autres ne sont que des marionnettes sur la scène de mon monde » ;
  • le machiavélisme : « je suis prêt à toutes les manipulations et ne suis jamais engagé en aucune manière par ma parole ni les principes éthiques ou déontologiques qui prévalent » ;
  • la psychopathie, soit l’absence totale d’affect vis-à-vis des émotions des autres, en particulier l’expression de la douleur ;
  • le sadisme, c’est-à-dire la jubilation à infliger de la souffrance ou de l’humiliation à autrui.

Albert Jacquard nous avait averti, il y a une trentaine d’années, que nous étions en train de construire une société dangereuse : la compétition à outrance, qui s’est progressivement instaurée au détriment de la coopération comme mode par défaut de tous nos systèmes sociaux, tend à privilégier l’accession au pouvoir de profil sans foi ni loi, prêts à marcher sur les autres ou à user de tous les coups tordus pour arriver à leurs fins. Ainsi que de profils conformes, ceux qui ne prendront jamais aucun risque pour défendre l’éthique, la vérité ou l’honneur, excellant de ce fait dans la banalité du mal.

Force est de constater que c’est la situation qui prévaut aujourd’hui en France comme dans d’innombrables pays.

Le Conseil constitutionnel est composé d’un certain nombre de repris de justice ou de personnes ayant trempé dans des scandales extrêmement graves. Le gouvernement compte un nombre de « mis en examen » sans précédent. Le « président de la république » se comporte comme un autocrate complètement isolé et replié sur lui-même, de l’aveu même de ses propres troupes, avec des manières qui sont celles d’une petite frappe de banlieue. La violence d’état, verbale comme physique, avec le mensonge, sont devenus le registre banal de la clique au pouvoir.

Ajoutez à l’équation que l’État est infiltré par des intérêts économiques étrangers, par le biais de cabinets de conseil qui se sont vus attribuer des mandats faramineux pour se substituer à l’administration et aux corps constitués. Ainsi que l’existence d’une véritable « mafia d’état », pseudo élite privilégiée dont le but, depuis longtemps, est la préservation de ses propres intérêts et privilèges sans plus d’égards pour le bien commun et l’intérêt public.

  • Pour voir la présentation du livre « La mafia d’état » par Vincent Jauvert aux éditions du Seuil : cliquer ici.
  • Pour voir la présentation du livre « Les Infiltrés » de Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre  aux éditions Allary : cliquer ici.

Une vaillante capitaine de police vient d’indiquer dans une interview à QG, un média libre : « nous ne sommes plus une police républicaine mais un bras armé du gouvernement. »

  • Lien vers l’interview «Police: se taire ou dégager» sur Quartier Interdit : cliquer ici.

La représentation nationale, en pleine faillite politique et morale, passant son temps à se chamailler sur des chiffons idéologiques brandis par le pouvoir en guise de détournement d’attention (comme la prochaine figuration de Marianne Schiappa dans Playboy) le peuple est laissé sans protection et sans défense face aux abus violents et illégaux du pouvoir macronien.

Les ministres en vue montrant les mêmes traits de caractère que ceux de la psychopathologie présidentielle, il nous faut oser l’hypothèse que nous faisons désormais face à un système gouvernemental  pervers, violent et dangereux.

C’est ce que je me suis permis de décrypter à votre attention dans la vidéo qui suit.

Si ce constat n’est évidemment pas rassurant, il avait accessoirement déjà été dessiné par un psychiatre italien, le Pr Adriano Segatori, dont je fais figurer deux éclairages à la suite de ma présentation.

Donner de l’intelligibilité aux choses reste une priorité absolue si nous voulons entretenir l’espoir d’un sursaut civique et citoyen, d’un réveil de la conscience populaire pour ne pas nous laisser maltraiter plus avant de la manière odieuse et profondément illégitime qui est mise en œuvre par la clique au pouvoir.

« Macron est un psychopathe », l’analyse d’un psychiatre italien

Qui est vraiment Emmanuel Macron ? par Adriano Segatori






La Suisse arrête la vaccination Covid

[Source : report24.news]

La Suisse retire toutes les recommandations de vaccination Covid

La Suisse arrête les vaccinations Covid : Toutes les recommandations de vaccination ont été retirées, les médecins ne peuvent administrer les vaccins controversés que dans des cas individuels sous certaines conditions, mais assument alors le risque de responsabilité pour les dommages de vaccination. Quand des pays comme l’Allemagne et l’Autriche suivront-ils cet exemple ?

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les questions de vaccination (EKIF) précisent, au 3.4.23, dans leur recommandation de vaccination ( à retrouver sur ce site ) :

En principe, l’OFSP et l’EKIF ne formuleront pas de recommandation de vaccination contre le Covid-19 au printemps/été 2023 en raison de la faible circulation attendue du virus et du niveau élevé d’immunité de la population.

La vaccination n’est possible que dans des cas individuels, à savoir :

La vaccination est possible pour les personnes particulièrement à risque (BGP) ≥ 16 ans si le médecin traitant considère que cela est médicalement indiqué dans la situation épidémiologique respective dans le cas individuel, une protection temporairement accrue contre les maladies graves est à prévoir et la dernière dose de vaccination datant d’au moins 6 mois.

Cependant, aucune recommandation de vaccination pour les patients à risque n’est explicitement donnée ici.

Addendum, 9 avril 2023 : les critiques notent que la prolongation (prétendument illégale) de l’approbation des vaccins de cinq ans supplémentaires ne doit PAS être considérée comme un retrait. Cependant, cela ne change rien au fait des recommandations officielles citées ci-dessus. Ce sont deux faits indépendants.

(…)






Le capitaine répond (gentiment) à ses détracteurs

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

les vidéos des différents détracteurs :






Loukachenko recadre Macron sur la prolifération nucléaire

[Source : QActus]









L’Arche d’Alliance a-t-elle été trouvée ?

[Source : Ark Files via michelledastier.com]

L’archéologue américain Ron Wyatt a prétendu avoir découvert l’Arche et la tables de la Loi en 1982. Voir la découverte spéciale et ce que Dieu a l’intention [selon Wyatt] de faire à notre époque devant le monde entier.

[Voir aussi :

1)- L’hypothèse alternative de l’Arche de Gabriel qui serait l’Arche d’Alliance retrouvée par les musulmans ou en serait un genre de copie.
2)- Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial :

Érection du monument le 22 Mars 1980 [peu de temps avant la découverte de Ron Wyatt].

Les dix commandements pour un nouvel âge de raison sont :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
3. Unir l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
4. Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.
5. Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
6. Laisser toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
7. Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.
8. Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.
9. Faire primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
10. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature.

3)- L’hypothèse la marque de la Bête par la vaxination et les cryptomonnaies de banque centrale (CBDC) :

Nanotechnologie et « vaccins » (et liens inclus)
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée
La secrétaire de presse de la Maison Blanche qualifie les vaccinés de « personnes marquées » — La marque de la bête !
CBDC : Comment le COVID est devenu la voie de la surveillance financière mondiale
Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
L’état de contrôle – Le film
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »]






Robert F. Kennedy, Jr candidat aux élections américaines!

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Chers amis,

C’est confirmé Robert F. Kennedy, Jr. vient de déposer son dossier officiel de candidature à la Présidence des États-Unis. Ce n’est pas qu’il soit dévoré par des ambitions politiques, mais c’est avant tout pour tenter de restaurer la santé et la démocratie qui sont en complète déliquescence. Comme il l’avait précisé récemment :

Si je me présente, ma première priorité sera de mettre fin à la fusion corrompue entre le pouvoir de l’État et celui des entreprises, qui a ruiné notre économie, brisé la classe moyenne, pollué nos paysages et nos eaux, empoisonné nos enfants et nous a privés de nos valeurs et de nos libertés. Ensemble, nous pouvons restaurer la démocratie américaine.

L’effondrement de l’influence des États-Unis sur l’Arabie saoudite et les nouvelles alliances du royaume avec la Chine et l’Iran sont les emblèmes douloureux de l’échec abyssal de la stratégie néocon qui consistait à maintenir l’hégémonie mondiale des États-Unis par des projections agressives de puissance militaire. La Chine a supplanté l’empire américain en projetant habilement sa puissance économique. Au cours de la dernière décennie, notre pays a dépensé des milliers de milliards pour construire des routes, des ports, des ponts et des aéroports. La Chine a dépensé l’équivalent pour construire la même chose dans les pays en développement. La guerre en Ukraine est l’effondrement final de l’éphémère « siècle américain » des néoconservateurs. Les projets néocons en Irak et en Ukraine ont coûté 8 100 milliards de dollars, vidé notre classe moyenne de sa substance, fait de la puissance militaire et de l’autorité morale des États-Unis la risée de tous, poussé la Chine et la Russie à former une alliance invincible, détruit le dollar en tant que monnaie mondiale, coûté des millions de vies et n’ont rien fait pour faire progresser la démocratie, gagner des amitiés ou de l’influence.

Kennedy devra se battre contre tous les lobbies et la presse, et déjouer la censure féroce dont il est l’objet. L’an dernier son compte Instagram qui comptait plus de 700 000 abonnés avait été supprimé. Son livre phénoménal « Antony Fauci, Bill Gates, Big Pharma: leur guerre contre la santé publique et la démocratie » n’a jamais reçu une ligne de commentaire dans les chroniques littéraires, malgré le fait qu’il ait été n° 1 des ventes aux États-Unis, avec plusieurs millions de copies. La semaine dernière, il a intenté un procès contre le Président Biden et Antony Fauci pour avoir poussé la Maison-Blanche à le censurer sur les réseaux sociaux, principalement Facebook, Twitter et YouTube.

En tant qu’ancienne fondatrice de son association Children’s Health Defense en Europe, cette nouvelle me réjouit, car je sais que c’est quelqu’un qui a le cœur à la bonne place et qui a la force nécessaire pour se lancer dans cette bataille. « Bobby » a grandi entouré de serpents. Les commanditaires des assassinats de son père et de son oncle étaient les premiers à venir consoler les veuves et les orphelins. Depuis cette époque, le parti démocrate a été totalement vérolé et RFK, Jr. comme on le nomme aux États-Unis a dû progressivement ouvrir les yeux sur cette constante et inimaginable perversion.

C’est un contexte difficile, car l’on ne sait jamais vraiment à qui se fier. Robert F. Kennedy, Jr. n’est ni un saint, ni messie, il n’est pas infaillible et même s’il était élu Président, il ne sauverait pas le monde d’un coup de baguette magique. Par contre, ce dont je peux attester, c’est que c’est un homme sensible, courageux, intelligent, sincère et qu’il se demande chaque matin comment il va pouvoir servir Dieu et son prochain. Il a la capacité d’inspirer beaucoup d’autres personnes à le suivre dans la reconquête de notre humanité et des millions d’Américains sont prêts à le suivre, bien plus que ce que la propagande de la presstitution ne laisse imaginer. Toutes mes pensées l’accompagnent dans ce valeureux combat !




Le prix de l’eau

[Source : alternatif-bien-etre.com]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Ce qui se passe depuis plusieurs mois autour de l’eau m’inquiète.

Je ne vous parle pas de la sécheresse que nous avons vécue l’été et l’hiver derniers, mais plutôt de ce à quoi cette sécheresse sert de prétexte : la confiscation de l’eau.

Et, pire que cela, sa privatisation et sa transformation en objet de spéculation boursière, au même titre que des matières premières comme l’or ou le pétrole.

Nous sommes, depuis plusieurs mois et en ce moment même, en train de rentrer dans cette logique très grave de transformation d’un bien commun, indispensable à la vie, en un objet coté en bourse.

Ces derniers jours, les évènements autour de la mégabassine de Sainte-Soline et les annonces d’Emmanuel Macron au sujet d’un futur « éco-watt » de l’eau pour en restreindre la consommation donnent corps à ce changement très préoccupant.

Je vais y revenir plus en détail dans un instant, mais avant j’aimerais rappeler le caractère absolument essentiel de l’eau pour notre santé.

Les premiers problèmes de santé commencent dès 1 % d’eau en moins

Nous sommes faits d’eau. Une mauvaise hydratation a des conséquences bien plus sévères que la seule sensation d’une bouche pâteuse et d’une gorge sèche.

Il suffit d’une perte d’eau d’1 % à peine pour que votre corps ne puisse plus réguler sa température correctement, que votre endurance à l’effort s’amenuise et que vous vous sentiez plus fatigué [1].

Le cerveau, qui contient 76 % d’eau, se ratatine littéralement s’il manque d’eau. Une perte de 2 % d’eau suffit à altérer l’humeur, la mémoire et la vigilance. Si cette faible déshydratation se prolonge, les principales fonctions cognitives peuvent être durablement perturbées [2].

Les premiers signes d’une déshydratation se logent à peu près à tous les étages de votre organisme :

  • Vous avez les yeux secs ;
  • La voix enrouée, ou cassée ;
  • À plus long terme, votre peau se durcit, les rides apparaissent plus vite, ainsi que des taches cutanées ;
  • Votre transit intestinal se ralentit, et vous souffrez régulièrement de constipation ;
  • Vous accumulez les toxines dans les reins et la vessie, qui n’ont plus assez de liquide pour les évacuer ;
  • Vous êtes plus sujet à la fièvre (à cause du rôle de l’eau dans la fonction métabolique de thermorégulation) ;
  • Etc.

L’accès à l’eau potable est donc non seulement un droit fondamental, mais une nécessité sanitaire absolue.

En France, comme dans la plupart des autres pays de l’OCDE, cette nécessité semble, sans jeu de mots, couler de source. Contrairement à plusieurs autres pays moins bien lotis, l’eau n’a pratiquement jamais cessé de couler du robinet.

C’est plutôt le contenu de cette eau qui devient très préoccupant, et qui depuis plusieurs décennies préfigure la confiscation de l’eau à laquelle nous arrivons peu à peu.

De moins en moins d’eau… de plus en plus contaminée

En France, la potabilité de l’eau répond à des normes précises : 63 critères exactement, qui fixent les seuils de valeurs à ne pas dépasser concernant le chlore, les nitrates, l’arsenic, le cyanure, le mercure, etc., etc.

Mais il y a deux problèmes avec ces normes.

Le premier, c’est que ces seuils sont insuffisants : le chlore à lui seul a déjà été démontré comme dangereux aux seuils officiellement admis en France, augmentant les risques de fausse couche chez la femme enceinte, et de cancers de la vessie ou du côlon dans la population générale [3].

Le second problème, c’est que dépasser ces seuils… n’empêche pas l’eau d’être distribuée. Il suffit à la commune de demander une dérogation. Il y a dix ans, en France, 400 communes disposaient d’une telle dérogation [4] (dont un tiers en seule Seine-et-Marne).

Je n’ai pas trouvé les chiffres des dérogations pour 2023. Mais je peux déjà vous livrer une information sûre et certaine, et qui n’a rien d’un scoop : l’eau potable, en France, est aujourd’hui encore plus polluée qu’il y a dix ans.

Ce jeudi 6 avril, l’ANSES a publié un rapport démontrant que la proportion de contamination de l’eau potable a atteint dans notre pays des proportions inouïes, en particulier celle des eaux souterraines et de surface provoquée par un produit de dégradation d’un pesticide utilisé en France entre 1970 et 2019, le chlorothalonil R471811 [5].

Ce métabolite (issu de la dégradation du pesticide après usage) est classé parmi les substances cancérigènes.

L’ensemble du bassin parisien, capitale comprise, recevrait une eau 4 à 5 fois plus concentrée en résidus de chlorothalonil que les seuils tolérés.

Toujours d’après l’ANSES, ce serait aujourd’hui au moins 34 % de l’eau potable distribuée en France métropolitaine qui serait non-conforme aux réglementations sanitaires ; et d’après le journal Le Monde, qui a interrogé un opérateur d’eau public, ce serait en réalité plus de la moitié de la population française qui serait concernée [6].

Même les eaux en bouteille, comme celle d’Evian, ne seraient pas épargnées !

Ne comptez pas sur les politiques au pouvoir pour vous défendre

Une fois ce constat hallucinant effectué, on pourrait espérer que les pouvoirs publics se saisissent du problème et décident de réduire drastiquement les sources de contamination par des substances cancérigènes, et rétablissent des seuils de potabilité corrects.

D’une, c’est (hélas) très difficile.

Et de deux… la volonté de dépolluer l’eau, au plus haut niveau de l’État, est absente.

Il y a à cela une raison désespérément limpide : l’argent des lobbys.

On voit, avec le chlorothalonil, comment cinquante années d’utilisation ininterrompue d’un pesticide ont irrémédiablement dégradé, en surface (l’eau des rivières, des fleuves) comme sous terre (les nappes phréatiques), les eaux.

Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, il faudrait a minima réduire voire interdire les pesticides dont le caractère polluant et dangereux pour la santé est avéré.

C’est exactement l’inverse qui se produit.

Notre ministre de l’agriculture actuel, Marc Fesneau, est actuellement engagé dans une croisade… pour contrecarrer l’interdiction du S-Métolachlore, substance active d’un herbicide utilisé pour désherber, notamment les champs de maïs, de soja ou de tournesols [7].

Là encore, c’est la dégradation de ce produit, une fois usagé, qui pollue l’eau de notre pays.

Aussi l’ANSES a-t-elle demandé l’interdiction de cet herbicide au nom de la santé des Français… mais le ministre de l’agriculture lui-même défend son usage pour, officiellement, que les produits issus de l’agriculture française restent compétitifs !

L’eau est-elle une matière première comme les autres ?

La même logique est à l’œuvre avec l’ahurissante affaire des mégabassines.

Je le rappelle, le principe des mégabassines consiste à puiser l’eau des nappes phréatiques où elle reste au frais, pour la stocker en surface… où elle peut donc s’évaporer.

Cette opération est donc non seulement absurde, mais illustre la gestion à venir de l’eau dans notre pays, placée sous le signe de l’appropriation et de la confiscation.

Au nom de quoi ?

Du profit, et seulement du profit. Cette opération d’extraction et de stockage de l’eau s’apparente à celle du pétrole : on considère que le produit appartient à celui qui fore, aspire et exploite l’eau en sous-sol, comme si c’était une matière première parmi d’autres.

Et au détriment de quoi ?

De la santé publique, puisque le niveau des nappes phréatiques, déjà anormalement abaissé par les sécheresses successives, va directement déterminer nos accès à l’eau potable dans les prochains mois.

Et c’est là que nous entrons dans une logique insidieuse, mais implacable.

Car ce stress hydrique pousse les pouvoirs publics, et M. Macron en tête, à prendre des mesures « préventives » en vue des pénuries d’eau à venir.

Or la démarche du pouvoir ne consiste pas à interdire ce phénomène de confiscation de l’eau à des fins mercantiles… mais à le renforcer.

L’entrée en Bourse de l’eau

Le Président de la République a annoncé les grands axes de son « plan eau », le 30 mars dernier.

Ce plan, qui consiste en 53 mesures, peut se consulter dans le dossier de presse réalisé par le gouvernement (et, je suppose, McKinsey ou quelque autre « cabinet de conseil »), disponible dans le lien en source [8].

Ce plan part d’un constat de bon sens — l’eau est précieuse — et d’une bonne intention — économisons-la.

Mais certaines mesures interpellent, notamment la n° 50 :

« Un outil simple d’accès et d’utilisation sera déployé afin que chacun puisse connaître les restrictions qui s’appliquent en fonction de sa géolocalisation et de sa catégorie d’usager, et les éco-gestes recommandés au regard de la situation hydrologique locale. »

Le déploiement de cet « outil » est prévu pour l’été 2023 ; autrement dit demain. On l’appelle déjà l’« écowatt de l’eau » : il incite à faire des économies d’eau — O.K., très bien — mais reste flou quant à la vraie dimension contraignante de son emploi.

Je crains, pour ma part, que cet outil rejoigne le système de crédit social qui se met progressivement en place dans notre pays et dans la plupart des pays développés [9].

La surveillance et le contrôle de l’usage individuel de l’eau réunissent les critères pour nourrir le modèle social dont le pass vaccinal a été la première expérimentation : le conditionnement d’une existence sociale normale à de « bons comportements » dictés par le pouvoir.

Ces « bons comportements », dont la règle de conduite est en apparence déterminée par le bien commun, est en réalité dictée par la finance et une idéologie de marchandisation tous azimuts, où tout citoyen est puni ou récompensé selon son mode de consommation.

J’en veux pour preuve le changement discret, mais gravissime du statut de l’eau, qui entérine sa confiscation par les sphères financières privées, et son exploitation comme matière première.

Le 7 décembre 2020, l’eau est en effet entrée en bourse au Chicago Mercantile Exchange [10].

Pour le dire simplement : l’eau est devenue, officiellement, une valeur financière sur laquelle on peut spéculer et faire varier les prix selon le bon vouloir des places financières.

Concrètement, l’eau n’est plus seulement considérée comme une ressource à vendre et à acheter (ce qu’elle est depuis longtemps, puisque vous achetez votre eau en bouteille au supermarché), mais comme un « indice » dont on peut faire artificiellement varier la valeur.

Concrètement, ce système fait qu’il peut devenir plus rentable, pour un agriculteur, de vendre l’eau dont il dispose, que de s’en servir pour arroser ses cultures. C’est déjà ce qui se produit en Californie [11].

C’est insensé. L’usage et l’exploitation de l’eau deviennent ainsi un « marché » dont la valeur varie en fonction des circonstances : inutile de vous dire qu’en cas de sécheresse, le « prix de l’eau » va atteindre des sommets…

Ce sera une catastrophe pour 99,99 % de la population humaine, mais une opération financière juteuse pour les 0,01 % ayant des parts dans les sociétés intéressées.

Le rapporteur spécial pour l’ONU Pédro Arrojo-Agudo dénonçait, fin 2021, cette financiarisation de la ressource naturelle :

« Sous le prétexte originel d’être plus performants pour répondre à une période de sécheresse, les acteurs privés ont priorisé le marché au détriment des droits humains et de l’intérêt général. [12] »

Je ne saurais mieux dire.

Au lieu d’économiser l’eau, on spécule dessus

Résumons-nous : nous sommes face à un État qui,

  • 1 — complice des géants de l’agroalimentaire, laisse l’eau, bien universel et essentiel à la vie, être irrémédiablement polluée par des substances dangereuses pour la santé ;
  • 2 — est en train de préparer et d’organiser la confiscation à grande échelle de l’eau et sa gestion « rationnalisée » sur le modèle de n’importe quelle autre matière première non essentielle et cotée en bourse.

Cette financiarisation de l’eau fait complètement abstraction de son statut de ressource vitale.

Autrement dit, l’eau était déjà, depuis l’avènement de l’ère industrielle, une victime collatérale de la recherche effrénée de profit — par la pollution de l’eau douce, ou salée — et devient, par sa raréfaction même et le stress écologique qu’elle subit… une source de profit purement financier.

Je suis convaincu que nous devons nous battre, de toutes nos forces, contre cette dénaturation et cette confiscation de l’eau.

Nous arriverons bientôt pour de bon dans un monde où l’accès à une eau pure et potable, voire à l’eau tout court, sera un privilège accessible à ceux qui en auront les moyens… qu’ils auront acquis sur le dos de la planète, et de la population mondiale.

Si vous avez des idées ou des initiatives pour contrer cette perspective glaçante, merci de les partager en commentaire.

Portez-vous bien,

Rodolphe







Traitements précoces : quand randomisation rime avec escroquerie intellectuelle

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

Alors que j’avais déjà commencé ce nouveau billet pour démontrer le très faible « niveau de preuves » des essais randomisés contrôlés (ERC), relevant plus de la manipulation que de la recherche de la vérité scientifique, l’ANSM vient de publier le 5 avril 2023 un communiqué participant à cette désinformation, où on peut lire :

« Les résultats de plusieurs essais randomisés contre placebo, de bonne qualité méthodologique, permettent aujourd’hui d’affirmer l’absence d’efficacité de l’ivermectine, quelle que soit la dose utilisée en prévention ou en traitement du Covid-19. ».

Personne ne l’a remarqué, mais il y a eu deux phases dans les publications concernant l’ivermectine. Une première vague d’études, toutes favorables, puis après 18 mois, une seconde vague, toutes ne montrant aucune supériorité de l’ivermectine sur le placebo. Surprenant. Les dernières études auxquelles l’ANSM fait allusion sont principalement Together et Activ-6, sans oublier la tentative Principle.

À quoi est due cette différence dans les résultats, alors qu’il s’agit du même traitement, de la même maladie, des mêmes patients et que les résultats devraient donc être les mêmes ? Avec de telles différences, il y en a forcément qui font de grosses erreurs, qui manipulent ou qui mentent.

PREMIÈRE CONSTATATION : comment la méthode pourrait changer le résultat ?

Les premières études, favorables, sont observationnelles, alors que les secondes, défavorables, sont « randomisées et contrôlées ». On ne devrait d’ailleurs pas parler de défavorables, mais de neutres, car le placebo n’a pas encore été démontré comme étant supérieur au produit, mais cela peut encore arriver avec les biais qu’ils introduisent.

Nous avons souvent cité ici l’étude d’Anglemeyer, travail indiscutable fait en 2014 et publié dans Cochrane. Cet énorme recueil de 1 583 méta-analyses avait pour objectif de comparer le résultat des études randomisées avec les études observationnelles, pour voir s’il y avait une différence entre ces deux types d’études. Cela n’a pas été fait sur une seule pathologie, mais sur 228 pathologies différentes, évitant ainsi les biais liés à la pathologie. Le résultat de ce travail montre qu’il n’existe aucune différence entre les études ERC dites « gold standard » et les études observationnelles. C’est logique ! … comment voulez-vous que la méthodologie de l’étude change le résultat du traitement ?

Conclusion, s’il y a pour l’ivermectine une différence entre ces deux types de publications, c’est ailleurs qu’il faut en rechercher la cause, pas dans la nature observationnelle ou ERC.

DEUXIÈME CONSTATATION : le biais intellectuel et financier

Ceux qui rejettent les études observationnelles émettent quelque part un doute quant à l’honnêteté de celui qui a fait l’étude. Permettez-moi d’émettre le même doute quant aux praticiens des études randomisées, et ce d’autant plus que, pour les premiers, il n’est pas question d’argent, ce qui n’est pas le cas pour les seconds.

Les études observationnelles sont faites par des médecins qui traitent, colligent leurs résultats et les publient s’ils sont intéressants. C’est le cas de ces médecins de République Dominicaine qui recevaient les patients dans un centre de soins et les traitaient, avec un rapport sincère pour lequel ils ne recevaient aucune rémunération.

À l’inverse, les patients dans les études ERC sont recrutés par des médecins rémunérés pour cela et pour la charge administrative. Cela n’est pas sans inconvénient, j’en sais quelque chose ayant participé à ce genre d’ » études ». J’ai vite abandonné après la seconde, trop chronophage au détriment des autres soins. Ce n’était pas des soins et ça ne me convenait pas. J’ai pu constater qu’il est facile de biaiser, changer une date ou omettre un élément pour ne pas perdre le temps investi, et le temps, c’est de l’argent… Ce biais important n’est jamais évoqué.

Cette différence, entre des études faites par des praticiens non rémunérés pour l’étude et dont le premier objectif est de soigner, ou par des non-soignants rémunérés, n’est pas anodine. L’intérêt de celui ou de ceux qui sont prêts à investir plusieurs millions dans l’étude est également à prendre en compte. Nombre d’études défavorables à l’égard des traitements ont pour financiers des personnes ou des entreprises liées aux vaccins, et les trois premiers auteurs de Together ont reconnu avoir reçu des fonds du NIH. Ces études ne sont pas indépendantes, alors que les études observationnelles le sont.

TROISIÈME CONSTATATION : le biais matériel et scientifique

Cette troisième constatation est la plus importante, le biais n’étant plus intellectuel ou financier, mais matériel et scientifique. Des faits, rien que des faits : ces études ERC, vantées dans les hautes sphères et seules reconnues, sont inadaptées pour étudier un traitement précoce, quel qu’il soit. S’appuyer sur des études ERC est une escroquerie intellectuelle. Il y a accumulation de biais qui sont trop importants, insurmontables. Je le dis, je l’affirme et je le démontre. Pour rentrer dans le protocole de ce genre d’étude, il y a des délais incompressibles. Il faut plusieurs jours pour la mise en œuvre, beaucoup trop pour pouvoir parler de traitement précoce.

Le patient, qui va se plaindre de troubles, a été contaminé il y a 2-3 jours. Il va alors voir son médecin qui prescrit un test, puis retourne chez le médecin, soit 1 ou 2 jours de plus. On est au mieux en moyenne entre 3 et 5 jours. Pour faire rentrer ce patient dans une étude randomisée « de bonne qualité méthodologique » comme le dit l’ANSM, il faut que le patient réponde à certains critères et qu’il ait un dossier, avec nombre d’examens, qui sont alors prescrits. Il faut donc 1 ou 2 jours de plus pour avoir un dossier complet et voir s’il coche toutes les cases pour être randomisé. Si c’est le cas, le médecin prévient le laboratoire ou l’équipe responsable, qui va contrôler le dossier, effectuer la randomisation, puis envoyer les produits numérotés, étiquetés, au médecin. Ce dernier va reconvoquer le patient pour les lui remettre. Dans le meilleur des cas, il est très difficile de faire tenir tout cela en 4 jours, qui s’ajoutent aux 2-3 jours incompressibles après contamination.

Ainsi quand vous regardez l’étude Activ-6, 3 457 malades voulaient rentrer dans l’étude, seuls 1 591 ont été sélectionnés et la moyenne des traitements a démarré après 7 jours. Un quart des patients a démarré le traitement après plus de 8 jours, sans garantie que cela ne soit pas le 11e ou 12e jour, date arrangée à 10 jours pour ne pas perdre tout le travail antérieur. Un des patients a raconté s’être déclaré au 5e jour, et avoir reçu son colis au 6e jour après déclaration (par la poste, à cause du week-end), soit un total de 11 jours. Il a fait partie de l’étude, soit dans les moins de 10 jours. Il est signalé que 209 patients sélectionnés n’ont pu rentrer dans l’étude, faute d’avoir reçu leurs produits dans les délais. Cela montre bien que démarrer un traitement dans une étude ERC, dans les 3-4 jours qui suivent les premiers troubles, c’est impossible. Quand ils parlent d’évaluer l’efficacité d’un traitement précoce, ils mentent. Le biais est insurmontable. Une étude ERC, avec la qualité demandée à ces études, ne peut être précoce.

Or, on le sait très bien, toutes les études concernant l’ivermectine le disent, plus le traitement est pris tôt, plus il est efficace. Et pour cause : l’ivermectine est censée empêcher le virus de rentrer dans les cellules. Désolé, après 5 jours, ils sont déjà tous rentrés, et cette fonction de l’ivermectine devient sans objet (reste l’immuno-modulation, qui n’est pas la fonction première).

[Note de Joseph : l’ivermectine n’est-elle pas censée être un antiparasitaire ? Quel rapport avec empêcher un supposé virus d’entrer dans les cellules ? De plus en plus de médecins et de chercheurs en médecine contestent la théorie virale qu’ils démontrent non scientifique et relevant aussi d’escroquerie intellectuelle, voire carrément de fraude. Voir le dossier Vaccins et virus. Il est très difficile de remettre en cause une idée quasi universellement admise, surtout lorsqu’elle est défendue par des personnes de grande notoriété comme des prix Nobel. Il est beaucoup plus facile d’écarter les trublions, les empêcheurs de tourner en rond, de les traiter de farfelus, de complotistes ou de gourous de secte.]

L’étude de la République Dominicaine est à l’opposé de ces études ERC, et démontre parfaitement que seules les études observationnelles peuvent évaluer correctement un traitement précoce. Les patients avaient été classés en 4 groupes correspondant à la gravité et l’ancienneté des troubles. Les résultats les plus spectaculaires sont dans le premier groupe, patients renvoyés chez eux avec traitement. En revanche, comme dans les études ERC, ils ne constatent pas de bénéfice du traitement dans le dernier groupe, le plus évolué avec des patients traités tardivement. Même chose dans les constatations du Dr Loué en EHPAD : son seul décès est le patient traité le plus tardivement, au 18ejour.

AUTRES BIAIS

Je ne les citerai pas tous, tant il y en a, plusieurs dizaines pour les plus importants (80 ici pour Together), dans ces études montées secondairement dans le but de prouver qu’il n’y a pas de traitement efficace possible contre le covid. Ces études sont de vastes fumisteries, la première étant celle du Lancetgate à l’été 2021, ce qui ne les empêche pas d’être les seules utilisées par les autorités qui les mettent en avant.

Dans quasiment toutes ces études « neutres », tout a été fait pour que cela soit neutre. L’ivermectine a été donnée en monothérapie, alors que tous les protocoles l’associent avec de la Doxycycline ou de l’Azithromycine. Il est également connu que c’est un ionophore de zinc, et qu’elle est donc plus efficace avec du zinc qui augmente sa biodisponibilité. Vous avez une trithérapie pour le VIH, si vous passez en monothérapie, ce n’est plus la même chose ! Outre cette monothérapie, on a toujours étudié avec le dosage le plus bas, et surtout avec des prises à jeun, en toute connaissance de cause, alors que l’on sait que l’absorption est deux fois plus importante avec un bon repas.

Le groupe placebo n’était pas forcément sans traitement. L’essai Together se déroulait au Brésil, dans une région où l’on pouvait se procurer de l’ivermectine sans ordonnance, et où elle connaissait un pic de consommation. Sa réputation d’efficacité en prévention et en traitement était donc assez répandue. Or, le protocole expérimental ne fixait aucune condition d’exclusion de l’essai liée à la consommation d’ivermectine préalablement à l’enrôlement. Il n’est donc pas exclu qu’une partie du groupe placebo ait été « sous ivermectine » du fait d’un traitement préventif. Dans une autre étude, Médina, vantée par les autorités, le groupe placebo avait reçu par ailleurs de l’ivermectine par erreur, ce qui n’a pour autant pas arrêté l’étude !

La quasi-totalité de ces études porte sur des populations à moyenne d’âge faible. Dans l’étude Activ-6, 60 % des patients avaient moins de 50 ans. De plus on peut se demander quelle maladie ils ont traitée et si les cobayes étaient vraiment malades, car quand il y a dans le groupe placebo 1 % d’hospitalisations et 0 décès, comment voulez-vous arriver à démontrer que l’ivermectine peut faire mieux ? Dans une population qui guérit seule de la maladie, comment voulez démontrer qu’un traitement fait mieux ? Le résultat ne peut être que neutre. Dans les études observationnelles en EHPAD de Charlotte Bernigaud et de Pierre Loué, les moyennes d’âge étaient de 90 et 83,5 ans, les comorbidités multiples. Là on est dans le concret pour juger des résultats, sans biais concernant l’âge.

Dans l’étude Activ-6 toujours, la moitié des patients étaient vaccinés. Quand on vous dit que cela protège des formes graves, cela fait un peu désordre dans le groupe placebo !

Dans cette étude RCT :

  • Les dossiers médicaux étaient faits via une plateforme internet par les patients eux-mêmes, de même que la description des symptômes et des résultats, alors que dans les études observationnelles, c’est au moins fait par des médecins !
  • Une seule visite à 3 mois, alors que les critères définissant les résultats sont évalués à 7, 14 et 28 jours.
  • Quand on apprend que ces « cobayes » étaient rémunérés via un bon d’achat Amazon de 100 €, et que certains pouvaient appeler les copains « viens, si tu veux gagner un bon d’achat, il suffit de raconter n’importe quoi sur leur site et tu es accepté », d’où le rush inattendu pour les inscriptions. Je ne dis pas que cela s’est passé comme cela, mais tout est fait pour que cela arrive, et la seule chose contrôlée a été le test, pas la manière de remplir les dossiers en ligne, ni les dates et troubles avant et après traitement.
  • Dans la version complémentaire avec dosage plus important (Activ-6 600), 109 patients étaient asymptomatiques lorsqu’ils ont reçu le médicament, mais ont été inclus dans les données, car positifs, avec « infection faible à modérée » qui rentre dans les critères d’admission. Sans commentaire.

Passons sur les nombreuses entorses comme des changements de protocoles en cours d’étude, les résultats préliminaires ne convenant sans doute pas, résultats par ailleurs non publiés alors que dans le protocole initial cela devait être fait tous les 300 patients. Passons sur les data non disponibles pour certaines études, qui renvoient sur des sites hébergeurs qui prétendent ne rien avoir et n’avoir rien reçu (Together). Passons sur les délais pour publier afin de tourner le tout dans un bon sens, les chiffres annoncés en conférence de presse n’étant plus les mêmes dans la publication 7 mois plus tard.

Le « biais » de l’étude Principle relève d’une sorte de mensonge par omission.

Cette étude pilotée par l’Université d’Oxford a sombré dans le ridicule. Les premiers résultats n’étant sans doute pas conformes à ce qu’ils étaient censés démontrer, cette étude a été arrêtée… faute de trouver de l’ivermectine ! ! ! Des milliards de doses étaient disponibles sur la planète, n’importe qui peut en acheter en Inde par 10 kg pour une poignée d’euros. Sans commentaire. Cette Université est aussi celle qui a surdosé l’étude sur l’hydroxychloroquine pour arriver aux conclusions que le produit était dangereux. On sait aussi que c’est elle qui a reçu 40 millions quand le rapport Andrew Hill sur l’ivermectine est sorti. Cela fait beaucoup de coïncidences concernant l’honnêteté de ces études ERC.

Malgré tous ces efforts pour rendre ces études défavorables, malgré des traitements toujours tardifs, toutes ces études montrent dans les chiffres un avantage favorable à l’ivermectine, mais « statistiquement non significatif ». Mission accomplie.

Les autorités sanitaires sont les mieux placées pour constater ces faits, elles ne peuvent les ignorer. Dans ces conditions, leur attitude et leur discours relèvent soit de l’incompétence (ils ne voient rien), soit de la manipulation mensongère (ils savent). Notons au passage que quand l’ANSM se permet d’affirmer que « plusieurs essais randomisés contre placebo, de bonne qualité méthodologique, permettent aujourd’hui d’affirmer l’absence d’efficacité de l’ivermectine… en prévention du Covid-19 », ces études permettant de l’affirmer n’existent pas ! Il n’y a à ce jour « que » 18 études dans le monde en prévention, et toutes donnent des résultats extrêmement positifs. Un mensonge de plus.

Le communiqué défavorable de l’ANSM a été immédiatement diffusé par le Quotidien du Médecin, ce même 5 avril 2023, qui nous a permis d’en prendre connaissance. Mais, quand une étude dit le contraire, ce journal est aux abonnés absents, tout comme les autres d’ailleurs. On est plus proche de la pensée unique qui doit obligatoirement manipuler pour exister, que d’une information plurielle où toutes les opinions s’expriment. Il est vrai que pour ces journaux, comme pour les médecins participant aux études, leur existence tient à leurs sponsors, et l’on a déjà vu de gros laboratoires pharmaceutiques menacer de retirer leurs contrats publicitaires si les journaux publiaient certains articles. Face à l’argent, la liberté d’expression est bien démunie.






Une petite leçon d’histoire sur les véritables fondations des États-Unis ou la genèse des miroirs déformants

[Source : legrandsoir.info]

Par Oleg Nesterenko

L’histoire émouvante et touchante de la fondation des États-Unis d’Amérique qui a nourri des générations de patriotes et s’est exportée dans le monde entier en tant qu’exemple à suivre, n’est rien d’autre que la déformation la plus grossière et hypocrite des réalités, beaucoup moins colorées et, encore moins, adaptées pour servir d’inspiration.

Il y a tant à dire sur l’histoire des origines de ce formidable pays, mais je me limiterai ici à commenter le début du deuxième paragraphe de la déclaration d’indépendance des États-Unis du 4 juillet 1776, écrite par Thomas Jefferson, l’inspirateur de la démocratie aux EU, le personnage d’une profonde humanité, l’une des figures les plus illustres et attachantes de la révolution étasunienne, l’homme de lumière et de progrès :

We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal, that they are endowed by their Creator with certain unalienable Rights, that among these are Life, Liberty and the pursuit of Happiness

— « Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont nés égaux ; ils sont dotés par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

Le petit bémol c’est que « l’histoire » des EU oublie d’ajouter le fait que Thomas Jefferson, personnage d’une profonde humanité, figure des lumières et du progrès, n’était personne d’autre qu’un esclavagiste sanguinaire.

L’air de rien, l’auteur des lignes de la déclaration de 1776 « tous les hommes sont nés égaux ; ils sont dotés par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur », huit ans après les avoir écrites — non pas huit jours ou semaines, mais huit ans après — avait toujours en sa possession… 200 esclaves.

Par conséquent, Thomas Jefferson devait être tout à fait certain que le meilleur endroit et la meilleure qualité pour les Noirs sur le chemin de la liberté et de la recherche du bonheur étaient sa plantation en Virginie et la qualité d’esclave.

Mais, les deux cents unités de sa propriété — de vrais ingrats — considéraient obstinément les magnifiques conditions de leur séjour dans les possessions de ce merveilleux personnage d’une profonde humanité si terrible qu’elles ne faisaient que s’enfuir. Un dixième de ses esclaves a pu s’échapper définitivement de l’enfer sur terre de Thomas Jefferson sans être attrapé et torturé avant de retourner à la « recherche du bonheur ». Les autres n’ont pas eu cette chance.

Je vous laisse l’appréciation du degré de la dégénérescence morale de cet individu qui milite farouchement au Congrès des États-Unis d’Amérique en faveur de l’abolition de l’esclavage et, en même temps, « oublie » qu’il est lui-même un grand esclavagiste.

La réalité prosaïque est dans le fait qu’au moment de l’indépendance de la Grande-Bretagne, il y avait environ 9 millions de personnes vivant aux États-Unis, dont les Blancs n’étaient qu’une petite minorité par rapport à la population amérindienne et aux esclaves noirs.

La déclaration d’indépendance non seulement ne concernait nullement les Amérindiens ou les esclaves — ils n’étaient pas considérés comme appartenant à la race humaine — mais ne concernait pas non plus ni les femmes, ni même les hommes blancs d’origine sociale modeste.

Les véritables bénéficiaires ou, plus exactement, profiteurs de l’indépendance des colonies d’Amérique du Nord vis-à-vis de la couronne britannique n’ont été qu’environ 50 000 blancs riches de sexe masculin. Soit, moins de 1 % de la population et qui a inventé toute cette histoire d’indépendance avec un objectif précis : faire croître leur enrichissement personnel.

C’est à cette période qu’il faut attribuer les origines de ce qu’on appelle communément « l’État profond ».

Pour revenir à Thomas Jefferson, il faut, néanmoins, lui rendre son dû : c’était un homme de grand progrès, puisqu’il ne considérait plus les esclaves noirs comme des singes, mais juste comme des sous-hommes.

Il reconnaissait que les Noirs étaient quand même dotés d’une âme et qu’ils appartenaient au genre humain. C’est juste que leurs capacités dans les domaines scientifiques, leurs capacités cognitives à l’expression des sentiments et de la foi religieuse étaient primitives et ne pouvait être comparées à celle des hommes blancs. À ce sujet, Jefferson a laissé ses écrits au profit de la postérité pour nous éclairer.

C’est bien ce merveilleux personnage qui est l’un des principaux héros du peuple des EU, dont chaque représentant porte fièrement le portrait de ce dernier dans son portefeuille.

Et, pour évoquer des larmes émouvantes de fierté chez la postérité reconnaissante, la maison dans laquelle Jefferson est né est dessinée au verso du billet de deux dollars : la maison de sa plantation esclavagiste de Monticello.

Post-scriptum :

Ici, j’ai juste commenté le début du deuxième paragraphe de la Déclaration d’indépendance des États-Unis d’Amérique, sans me permettre le luxe de demander aux représentants de la nation américaine de lire le début du tout premier paragraphe de la déclaration du point de vue des habitants de la Crimée et du Donbass qui ne souhaitent plus faire partie de l’Ukraine :

« When in the Course of human events, it becomes necessary for one people to dissolve the political bonds which have connected them with another, and to assume among the powers of the earth, the separate and equal station to which the Laws of Nature and of Nature’s God entitle them… »

— « Lorsque, dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l’ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la Terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit… ».

L’arbre pourrit par ses racines. L’histoire, si elle est oubliée et déformée, conduit inévitablement à la suprématie du royaume des miroirs déformants.

Oleg Nesterenko
Président du Centre de Commerce & d’Industrie Européen www.c-cie.eu
Ancien directeur de l’Institut International de la Reconstruction Anthropologique,
Ancien directeur de l’MBA, professeur auprès des masters des Grandes Ecoles de Commerce de Paris.






Dr Sam Bailey : Pourquoi faisons-nous cela ?

[Source : Vidéos du net]

Cette vidéo est différente de ce que nous avons fait jusqu’à présent…

Les Bailey sont rejoints par le Dr Thomas Cowan et le Dr Andrew Kaufman pour publier une déclaration commune intitulée « Pourquoi faisons-nous cela ? » [Voir le PDF et sa traduction française après les vidéos.]. Cette déclaration aborde le fossé qui s’est creusé au sein de la communauté de la liberté entre les positions « pro-virus » et « non-virus ».

À la suite de cette déclaration, chacun de nous quatre partagera son point de vue personnel sur la situation actuelle et sur la direction que nous pensons devoir prendre.

Dr Sam Bailey



[Source originale en anglais : Dr. Sam Bailey]



[Source en anglais sous-titré : Hmanpro]



POURQUOI FAISONS-NOUS CELA ?

Avril 2023

Malheureusement, le niveau de rancœur entre ceux qui, dans la communauté de la « liberté », adoptent la position « sans virus » et ceux qui adoptent la position « pro-virus » a atteint des niveaux de plus en plus élevés. Des vidéos, des posts Instagram et des tweets sont diffusés par les deux camps qui prétendent « démystifier » l’autre camp ou parfois simplement l’insulter. Mikki Willis, producteur et réalisateur de la série documentaire Plandemic, a créé une nouvelle vidéo appelant à l’unité parmi ceux qui prétendent être du côté de la liberté, tout en accusant subtilement les dissidents de cette unité d’être des agents de désinformation classiques.

Dans ce contexte, nous avons pensé, en tant que leaders reconnus de l’équipe « sans virus », qu’il s’agissait d’une bonne occasion de reprendre contact et même de réaffirmer les raisons de notre action. Pourquoi ne pas simplement être de bons joueurs d’équipe et participer au mouvement mondial croissant qui lutte pour les principes universels de liberté, d’autonomie corporelle et de capacité à guider sa vie en fonction de ses propres croyances et décisions ? Pourquoi continuer à s’exprimer ?

Il nous semble évident, et c’est d’ailleurs un principe qui nous a guidés tout au long de notre vie, qu’une vie fondée sur la liberté et l’intégrité doit s’appuyer sur des bases solides et factuelles. En d’autres termes, si les fondations ne reposent pas sur la vérité, telle que nous pouvons la percevoir, notre vie entière est basée sur des mensonges et risque de s’effondrer à tout moment. [Note de Joseph : le mensonge est par essence contraire à la notion et au principe de liberté, car lui-même nous enferme dans sa fausse logique et dans la nécessité de le poursuivre afin de ne pas être « découvert ». L’être libre se découvre au contraire, symboliquement se met à nu, n’a plus rien à cacher ni à masquer. Il élimine toute opacité pour devenir transparent, laisser la lumière le pénétrer, l’éclairer, et réciproquement il laisse sa propre lumière éclairer l’extérieur. « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. » — Jean 8:32] Imaginez que vous construisiez une relation, une famille, un foyer basé sur l’amour entre deux personnes alors que la réalité est que, plutôt que l’amour, il y a de la méfiance, de la suspicion et même de la mauvaise volonté. Tôt ou tard, cette vie s’effondrera. Il en va de même pour un système financier fondé sur la monnaie fiduciaire, un système agricole fondé sur l’inattention à la santé du sol ou un système médical fondé sur des hypothèses médicales anti-scientifiques. Après des années d’examen des recherches et des théories médicales, et trois années d’enquête intensive sur la question de savoir si les particules ou, peut-être mieux, les entités connues sous le nom de virus existent réellement, nous sommes parvenus à la conclusion claire qu’aucune particule de ce type n’a jamais existé, et encore moins causé de maladie chez les plantes, les animaux ou les êtres humains. Pour nous, cette conclusion est un fait évident.

Il est également évident que les événements dramatiques de ces trois dernières années, qui ont dévasté la vie de nombreuses personnes dans le monde entier, sont basés sur cette idée fausse de l’existence de soi-disant virus pathogènes. Cette idée fausse existe depuis très longtemps et a conduit à des mesures de santé publique préjudiciables, dont la plus connue est celle des vaccins, qui ont eux-mêmes blessé et tué des millions d’animaux et de personnes au cours de leur longue et sordide histoire.

Ce carnage doit cesser.

Les gens doivent découvrir le monde avec un nouveau regard et une nouvelle conception de la vie, de la biologie et de la santé. Cette nouvelle conception ne peut commencer que lorsque nous réalisons, une fois pour toutes, que l’idée de la contagion n’est pas une réalité,

que l’idée de virus contagieux et pathogènes, ou d’entités virales de quelque sorte que ce soit – naturelles, créées en laboratoire, clonées ou autres – n’est qu’une idée scientifique erronée, voire une fraude.

La raison pour laquelle nous faisons cela est simple : c’est pour que plus jamais une femme, un homme, un enfant ou un animal ne soit soumis à des abus fondés sur une théorie de la biologie et de la médecine qui a fait long feu et qui est en faillite. Nous n’avons rien à gagner personnellement dans cette quête. Aucune récompense prestigieuse ne nous sera décernée, et nous n’obtiendrons probablement que du mépris et de la dérision de la part de nos collègues, des institutions publiques et des médias en général. Pourtant, lorsque nous pensons à nos enfants, à nos petits-enfants, à nos amis, à nos familles, à nos animaux bien-aimés et aux animaux de laboratoire qui sont torturés et tués dans cet effort manifestement futile de démontrer la « réalité » des virus, tout en nous crie « cela doit cesser ».

C’est pourquoi nous demandons à toutes les personnes de bonne volonté de relever le défi suivant. Veuillez nous envoyer toute information scientifique authentique démontrant que les virus existent et provoquent des maladies. Nous ne sommes pas intéressés par les commentaires sur nos motivations ou les conséquences de nos recherches pour nous personnellement. En l’absence d’une telle preuve, nous et nos bons amis continuerons à avancer. Nous pensons que l’avenir de chacun d’entre nous en dépend.

Thomas Cowan
Dr Andrew Kaufman
Samantha et Mark Bailey






DU GRAND RÉVEIL

[Source : stanislasberton.com]

Par Stanislas Berton

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Jean 8:32

L’événement le plus considérable de notre époque est le déchirement progressif du voile du mensonge qui recouvrait la réalité. Peu à peu, les populations occidentales découvrent un monde bien différent de celui qui leur avait été enseigné à l’école, présenté par les pouvoirs publics et diffusé par les médias de masse. Si une part croissante de la population a compris qu’elle vit sous « l’empire du mensonge » et qu’une minorité de dangereux fanatiques a pris le contrôle de l’État et utilise désormais les moyens de ce dernier pour mener une guerre impitoyable à son propre peuple, moins nombreux sont ceux à avoir compris l’ampleur des mensonges sur lesquels sont fondées nos sociétés.

Or, il ne peut y avoir de grand réveil ou de libération des peuples sans découverte de cette vérité maintenue cachée par les tyrans qui nous gouvernent et pour lesquels le mensonge est devenu un mode à part entière de gouvernement. Comme l’explique Martin Geddes dans un essai récemment traduit sur ce sitecette prise de conscience s’apparente à un retour à l’école primaire : quand tout est faux, tout est à réapprendre.

Dans cet essai, je vous propose une liste non exhaustive des principaux mensonges politiques, financiers, économiques, historiques, médicaux, scientifiques, culturels, philosophiques et spirituels afin de vous aider à évaluer le chemin que vous avez déjà parcouru vers le grand réveil et le travail qu’il vous reste peut-être à accomplir.

– politique

Savez-vous que nos dirigeants politiques, tous bords confondus, ne sont que des marionnettes sélectionnées en amont dont la légitimité repose sur des sondages bidons, des élections truquées et dont l’obéissance est garantie par la menace et le chantage ? Savez-vous que le vrai pouvoir réside dans des institutions comme le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg ou le Forum économique mondial de Davos où nos dirigeants élus « démocratiquement » vont chaque année recevoir leur feuille de route ? Savez-vous que les dirigeants de ces organisations se vantent publiquement d’être parvenus à infiltrer la plupart des gouvernements de la planète ? Savez-vous que ces institutions elles-mêmes sont contrôlées par de puissantes dynasties familiales (Rothschild, Rockefeller, Warburg,…) qui ont remplacé ou coopté l’ancienne aristocratie ? Savez-vous que ces puissantes familles ont pour projet la dépopulation, la gouvernance mondiale et l’avènement d’une société de la surveillance généralisée dans laquelle « vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux » ?

[Voir aussi :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?
Les projets des Maîtres du Monde
Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »
Entrevue intégrale de Mila Aleckovic (docteur en psychopathologies) pour comprendre ces psychopathes qui nous gouvernent
Les Nations-Unies sous le contrôle des oligarques
►Articles et vidéos de Monseigneur Viganò
►Articles sur Klaus Schwab
►Articles sur la Réinitialisation (ou Great Reset), le transhumanisme ou la dépopulation
Les fake news de l’État profond : Les manipulateurs du gouvernement contrôlent le cycle de l’information]

– économique

Savez-vous ce qu’est une banque centrale ? Savez-vous qu’en dépit de leur intitulé « officiel » (Banque d’Angleterre/Réserve Fédérale), il s’agit en réalité d’organisations privées possédant un monopole sur l’émission de la monnaie et utilisant ce privilège pour contrôler les États et les gouvernements par la dette ? Savez-vous que la Banque de France fut créée par Napoléon en 1804 et qu’il en fut l’un des principaux actionnaires avec des banquiers suisses ? Savez-vous que la loi 3 janvier 1973 imposa à l’État français de se financer auprès des banques privées et non auprès de la Banque de France, nationalisée en 1945 ? Avez-vous conscience de la quantité astronomique de monnaie créée dans le monde depuis la crise de 2008 ? Savez-vous que cette fausse monnaie été utilisée pour acheter des actifs bien réels (actions d’entreprise, terres agricoles, immobilier) et que cette création monétaire débridée s’apparente à un véritable casse du siècle au profit des plus riches et au détriment des plus pauvres et des classes moyennes ? Avez-vous conscience que la « richesse » de nos pays « développés » est en grande partie fictive, car elle ne repose plus sur une production réelle, mais principalement sur des flux financiers et des activités de service ? Pour finir, savez-vous que nous nous dirigeons vers des monnaies numériques directement contrôlées par les banques centrales où chacune de vos transactions pourra être identifiée et surveillée ?

https://youtu.be/QgttY3S_aBU

[Voir aussi :
Les financiers sont les maîtres du système
De l’empire britannique au IVème Reich
Le pari satanique des autorités financières mondiales
D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »
Vers la dématérialisation complète de la monnaie ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés]

– historique

Dans quelle mesure avez-vous conscience que l’Histoire enseignée à l’école et diffusée par les médias ne correspond pas à la réalité ? Savez-vous par exemple que le Moyen-Age était loin d’être cette époque barbare et obscurantiste, mais peut-être légitimement considéré comme l’âge d’or de la civilisation occidentale ? Savez-vous que nombre des philosophes des « Lumières » comme Voltaire étaient des menteurs, des escrocs et ne pratiquaient pas en privé les valeurs qu’ils prétendaient défendre en public ? Savez-vous que la Révolution Française ne fut pas un mouvement populaire spontané, mais une « révolution de couleur » préparée de longue date par des sociétés secrètes dont la Franc-Maçonnerie ? Savez-vous que la destruction du catholicisme, l’abolition de la monarchie et la mort du roi Louis XVI furent décidées dès 1782 au Congrès de Wilhemsbad ? Savez-vous qu’en 1917, la révolution bolchevique fut financée par des grandes sociétés financières de Wall Street dont Trotski était l’agent ? Connaissez-vous le rôle joué par les puissances financières américaines et anglaises dans le financement du parti nazi et l’ascension d’Hitler ? Savez-vous que la déclassification récente de documents par le gouvernement américain met en évidence le rôle de la CIA dans l’assassinat du président Kennedy ? Savez-vous que le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a publiquement accusé les États-Unis d’être responsables du 11-septembre ? Vous souvenez-vous des « preuves » concernant les armes de destruction massive qui justifièrent l’intervention militaire américaine en Irak ?

[Voir aussi :
Les nazis ont-ils gagné la guerre ?
Les fondateurs de l’UE étaient financés par les USA pour installer un nazi comme président
Souvenirs de la montée du nazisme
Le discours de John F. Kennedy révélant l’existence des sociétés secrètes 10 jours avant son assassinat !
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
La synagogue de Satan
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus]

– médical

Savez-vous que la médecine « moderne » dite allopathique devrait plutôt s’appeler « rockfellerienne » ? Savez-vous qu’elle s’est imposée uniquement grâce à un puissant lobbying doublé d’une prise de contrôle total des écoles de médecine avec pour but d’imposer le médicament « synthétique » et les vaccins comme seuls remèdes aux problèmes de santé ? Savez-vous que de nombreuses études mettent en évidence les problèmes graves causés par la vaccination obligatoire des nourrissons et remettent en cause le rôle des vaccins dans la disparition des maladies infectieuses ? Savez-vous que la psychiatrie moderne et le recours massif aux antidépresseurs ont été dénoncés par de nombreux professionnels de santé ainsi que des chercheurs comme une gigantesque arnaque ? Savez-vous que l’ivermectine n’est pas seulement un remède efficace contre le Covid, mais pourrait également être un traitement extrêmement bon marché contre certaines formes de cancer ?

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus avec notamment de nombreux articles qui remettent en cause même la théorie virale, de manière étayée, argumentée et scientifique, qui exposent le caractère non scientifique et frauduleux de la virologie, ou qui proposent un nouveau paradigme dans le domaine de la santé.]

– scientifique

Savez-vous que les plus grands scientifiques russes et ukrainiens ont développé une théorie remettant en cause l’origine fossile du pétrole ? Savez-vous que les prédictions alarmistes du GIEC et l’influence de l’activité humaine sur les changements climatiques sont largement contestées par nombre de scientifiques, y compris plusieurs prix Nobel ? Savez-vous que les principes d’évolution et de sélection naturelle chers à Darwin sont aujourd’hui largement remis en cause par les biologistes et les généticiens ? Savez-vous que plusieurs responsables de revues scientifiques réputées ont reconnu qu’une large partie de la littérature scientifique était falsifiée, exagérée ou tout simplement fausse ? Savez-vous que la transfusion de sang jeune (parabiose hétérochronique) constitue une véritable cure de jouvence utilisée comme remède miracle par les puissants de ce monde ? Savez-vous que la CIA a développé durant des décennies un programme de contrôle mental extrêmement puissant (MK Ultra) qui permet de contrôler des individus sans même que ceux-ci en aient conscience ? Savez-vous qu’il existe de nombreuses recherches sur l’utilisation des nanotechnologies, y compris sous formes injectables, pour contrôler directement la pensée et le comportement ? Comprenez-vous ce que veut dire le professeur James Giordano quand il affirme devant les futurs officiers de l’armée américaine que « le cerveau humain sera le champ de bataille du XXIe siècle » ?

[Voir aussi :
Quand la science devient pseudo-science
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée et les autres articles du dossier Climat
►Dossier 5G et ondes pulsées avec notamment l’impact des ondes em et des champs électriques sur la santé
La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra
La fabrication des perceptions
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Comment fonctionne le contrôle mental réel
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous]

– culturel

Saviez-vous que la révolution sexuelle et la « libération des femmes » n’ont pas été des phénomènes spontanés, mais sont les fruits d’une grande opération d’ingénierie sociale organisée par des racistes et des eugénistes comme Margaret Sanger ? Savez-vous que de nombreux groupes de musique de la contre-culture des années 60-70 possédaient des liens étroits avec la CIA et l’armée américaine ? Savez-vous que Disney, ainsi que tous les studios de cinéma, les labels musicaux et les éditeurs de jeux vidéo, son étroitement liés à la CIA ainsi qu’au complexe militaro-industriel américain ? Avez-vous conscience que le divertissement de masse et la culture populaire ont été utilisés pour normaliser certains comportements (homosexualité, transgenre) ou croyances (magie, sorcellerie, satanisme) dans le cadre de programmes sophistiqués d’ingénierie sociale ?

[Voir aussi :
Transgenre
La guerre de Cinquième Génération et les Psyops contre les peuples
Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
Tyrannie technologique et caractère démoniaque du monde moderne — Un rappel de monseigneur Gaume
L’empoisonnement des nations : Pharmakéia, sorcellerie et BigPharma]

– philosophique

Savez-vous que toute la philosophie moderne repose sur la vision déterministe et mécaniste de l’homme comparé à une machine ? Avez-vous conscience que cette vision s’oppose totalement à la doctrine chrétienne du libre arbitre ainsi qu’à la philosophie thomiste et aristotélicienne sur laquelle fut fondée la civilisation occidentale ? Comprenez-vous que dans la philosophie moderne, les choses ne possèdent plus d’essence propre, mais ne sont plus que ce que nous en pensons ? Avez-vous conscience que cette vision qui place l’Homme et sa subjectivité au centre de toute chose a pour conséquence directe le relativisme, le transhumanisme et la remise en cause de l’idée même de Bien et de Mal ? Comprenez-vous que le matriarcat et le culte de la Terre-Mère ne constituent pas des « progrès », mais correspondent à un retour à la barbarie pré-chrétienne où le sang des sacrifices finit toujours par couler pour souder le groupe et apaiser la colère des dieux (René Girard) ?

[Voir aussi :
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Le transhumanisme et l’image de Dieu]

– spirituel

Comprenez-vous que la réduction de l’existence à sa simple dimension matérielle (naturalisme) conduit à nier le surnaturel, c’est-à-dire le pouvoir de la prière, la possibilité des miracles et l’existence des anges et des démons ? Avez-vous conscience que la déchristianisation de l’Occident est le fruit d’une gigantesque opération ingénierie sociale visant à détacher l’Homme de Dieu jusqu’à lui rendre impossible d’imaginer qu’Il existe ? Savez-vous que la neutralité religieuse est impossible et que la « laïcité » n’est que le nom officiel donné à la religion républicaine de l’égalité, du progrès et des droits de l’homme à laquelle la plupart des Français ont été convertis sans même en avoir conscience ? Comprenez-vous la différence entre la vision satanique du monde qui prétend faire de l’homme l’égal de Dieu et la vision chrétienne fondée sur la liberté, la charité et l’amour du Créateur pour sa création ? Que savez-vous de la pratique du satanisme, des sacrifices humains et du trafic d’enfants chez nos classes dirigeantes ? Vous êtes-vous déjà penché sur les attributs du Diable et établi un lien entre ces caractéristiques et l’explosion du phénomène transgenre ? Que voulait dire Baudelaire quand il écrivait que la plus grande ruse du diable est de vous faire croire qu’il n’existe pas ?

[Voir aussi :
Inversion
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Une emprise sur l’Humanité
La religion de l’Antéchrist]

Ce quelques exemples vous permettront peut-être de mieux comprendre pourquoi le monde moderne est fondé sur une accumulation de mensonges ainsi que sur une inversion diabolique du sens même des mots. Vous comprendrez donc peut-être mieux pourquoi tous ceux qui osent se poser des questions et cherchent à sortir de la prison cognitive dans laquelle nous avons été enfermés sont systématiquement désignés comme des fous, des extrémistes et des complotistes.

Vous comprendrez mieux pourquoi le pouvoir a construit un système social, éducatif et culturel conçu pour récompenser ceux qui acceptent cette soumission mentale et punir impitoyablement ceux qui refusent de s’y plier. Dans un tel système, les gens « éduqués » ou « informés » (universitaires, élus, médecins, journalistes, intellectuels) sont souvent ceux qui ont été le plus exposés à la propagande de ce système et pour lesquels la contestation de sa légitimité, ainsi que la remise en cause de leurs propres croyances, serait le plus risqué, pénible et coûteux.

Pour empêcher le grand réveil des peuples, ce système a eu la suprême habileté d’encadrer sa propre critique et de définir, y compris pour les résistants, les thèmes qu’il est acceptable ou non d’aborder. A titre d’exemple, s’il est désormais possible de parler du Grand Remplacement, il n’est toujours pas possible d’évoquer les réseaux mondialistes qui ont théorisé, organisé et imposé ce dernier. S’il est possible de dénoncer les excès du capitalisme financier, il est impossible de porter la critique jusqu’aux banques centrales et le rôle joué par la famille Rothschild dans leur création et leur gestion. S’il est possible de dénoncer les effets secondaires des vaccins Covid et les risques de l’ARN messager, plus rares sont ceux qui parlent de l’oxyde de graphène, de la convergence biodigitale ou du projet global de dépopulation. Pour finir, si beaucoup de gens se battent aujourd’hui pour sauver la France, peu nombreux sont ceux qui affirment que ce combat est avant tout spirituel et qu’il est illusoire d’espérer le remporter sans l’aide de Dieu.

Lors de sa dernière rencontre avec Vladimir Poutine, Xi Jiping déclarait :

« Ensemble, nous mettons en œuvre des changements qui ne se sont pas produits depuis cent ans. »

Le Grand Réveil s’inscrit pleinement dans ce processus et nous impose, quel que soit notre statut, nos connaissances et nos responsabilités, de sortir de notre zone de confort et de remettre en cause nos certitudes pour nous libérer du conditionnement mental auquel nous avons été soumis. Charles Péguy disait qu’il faut toujours dire ce que l’on voit, mais que ce qui est encore plus difficile est de voir ce que l’on voit. Notre vie durant nous avons été conditionnés à ne pas voir et à rejeter ce que nous voyions par peur du ridicule, de la sanction ou de l’ostracisation sociale. Le Grand Réveil consiste à dépasser cette peur, à ouvrir les yeux et enfin dire « je vois ».

« Heureux les humbles » nous disent les Béatitudes. Heureux en effet ceux qui ont su rester humbles ou garder « l’esprit du débutant », car il leur sera plus facile d’ouvrir les yeux, de rejeter « Satan, ses œuvres et ses pompes » et d’accepter le nouveau monde qui est en train de naître. Lacan disait : le réel, c’est quand on se cogne et pour l’Occident ainsi que tous ceux convaincus de la supériorité d’un modèle civilisationnel aujourd’hui en faillite, le retour au réel risque d’être rude. Quant à ceux qui ont ouvert les yeux, à eux d’anticiper le choc, de sauver tout ce qui peut encore l’être et de se préparer à reconstruire notre civilisation sur un gigantesque champ de ruines.

« Aux hommes, cela est impossible, mais à Dieu, tout est possible. »

Matthieu 19:26

Pour aller plus loin :

De l’empire du mensonge (Geddes)
De la désinformation
Des bonnes questions (Geddes)
De l’état du front (Geddes)




Les origines allemandes de la famille royale britannique

[Source : GEO]

Les Windsor : comment la famille royale a renié ses origines allemandes

Elle s’appelait Saxe-Cobourg-Gotha. Depuis le XVIIIe siècle, par le biais de mariages d’intérêt, la monarchie britannique avait du sang allemand dans les veines. Cette alliance anglo-saxonne vola en éclats lors de la grande guerre. En 1917, le roi George V prit la décision de renoncer au nom germanique de sa famille pour le remplacer par celui de Windsor. Ce fut l’acte fondateur de cette nouvelle dynastie.

Par VOLKER SAUX

C’est la panique à Londres. Le 13 juin 1917, l’est de la capitale anglaise est victime d’une attaque venue du ciel. Une escadrille de bombardiers allemands largue en plein jour ses bombes sur des quartiers de civils, éventrant des immeubles, faisant plus de 160 morts, dont 18 enfants dans une école. Certes, ce n’est pas encore le Blitz, cette campagne de bombardements menée par le IIIe Reich sur la capitale anglaise, de septembre 1940 à mai 1941, et qui fit 50 000 victimes. Et les pertes humaines sont infimes comparées aux nombres de soldats tués sur les champs de bataille de la Grande Guerre. Mais ce raid choque l’opinion. Par son côté inédit, d’abord : l’aviation militaire n’en est qu’à ses débuts, et c’est la première fois que les Allemands utilisent des biplans pour une offensive d’ampleur contre une grande ville. Ils utilisaient auparavant des dirigeables, des Zeppelin, qui n’opéraient que de nuit et étaient peu efficaces. Mais la population est surtout abasourdie à cause du nom de ces avions mortifères : les Gotha IV, nommés ainsi car fabriqués par une entreprise de construction métallique implantée à Gotha, dans le centre de l’Empire germanique. Or, pour les Britanniques, à cette époque, le nom de Gotha n’évoque pas qu’une ville d’outre-Rhin : c’est aussi celui du roi qui trône à Buckingham…

Le roi Georges V, le petit-fils de la reine Victoria, est issu de la maison Saxe-Cobourg-Gotha

Shocking, non ? George V (1865-1936), cet homme pondéré au teint cireux, qui règne depuis 1910 sur le Royaume-Uni et censé incarner l’unité du pays dans l’épreuve de la guerre, est d’origine allemande ! Le souverain est issu de la maison Saxe-Cobourg-Gotha, une dynastie née au XIXe siècle en Haute Franconie, au nord de la Bavière. De petite noblesse à l’origine, elle sut étendre ses branches à force d’habiles mariages jusqu’à régner sur le Portugal, la Bulgarie et la Belgique. Et l’Angleterre. En 1840, l’un de ses membres, le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha (1819-1861), a épousé la jeune reine Victoria (1819-1901), propulsant sa lignée sur le trône britannique. Le roi George V est leur petit-fils. A priori, l’homme, qui servit longtemps dans la Royal Navy avant d’accéder au trône, est on ne peut plus british. Mais en pleine guerre contre l’Allemagne, ses racines germaniques deviennent embarrassantes, et l’affaire des bombardiers Gotha ne fait qu’amplifier le trouble. Jusqu’à pousser le roi à un choix radical en cette année 1917 : jeter son nom aux oubliettes, et renommer sa famille en « l’anglicisant ». Un acte fondateur qui donna naissance à une nouvelle dynastie : les Windsor.

Deux siècles de souverains issus de la maison de Hanovre

Le geste n’est pas anodin, et vient clore un chapitre de plus de deux siècles dans l’histoire de la monarchie britannique. En réalité, le pedigree allemand de la famille royale remonte plus loin que les épousailles d’Albert et de Victoria… En 1714, à la mort sans héritier d’Anne de Grande-Bretagne (1665-1714), la dernière de la maison Stuart, sa succession incombe à son plus proche parent protestant, en vertu de l’Acte d’établissement de 1701, censé empêcher l’avènement d’un souverain catholique.

Ce parent est en réalité très éloigné : il s’agit de George Ier (1660-1727), prince-électeur de Hanovre, dont le lien avec Anne remonte à trois générations ! Problème, le nouveau roi est certes protestant, mais il n’est pas né en terre britannique, et ne parle même pas l’anglais. Pendant son règne, il s’absente autant que possible des îles britanniques. Tous ses successeurs sont issus de cette même maison de Hanovre : George II (1683-1760), George III (1738-1820)… jusqu’à la reine Victoria, qui règne pendant soixante-quatre ans au XIXe siècle. « Victoria et son fils aîné, le futur roi Edouard VII, sont au moins aussi allemands que britanniques », écrit l’historien David Cannadine dans sa biographie George V : the unexpected king (éd. Penguin, 2014, non traduit). La mère et son héritier sont à l’aise dans les cours et capitales d’Europe. Les deux parlent couramment le français et l’allemand mais aussi l’anglais… avec un accent guttural très prononcé. Des purs produits de ce monde cosmopolite des têtes couronnées d’Europe au XIXe siècle, où l’on s’unit allègrement par-delà les frontières, où les liens tissés entre grandes maisons servent aussi à réguler les relations internationales. Sauf que l’heure, désormais, est au nationalisme…

Au XIXe siècle, les armoiries de la famille royale étaient ornées de la devise allemande « Treu und fest » (« Fidèle et fort »). Elle fut remplacée en 1917 par « Dieu et mon droit » (en français dans le texte) qui avait cours sous les Plantagenets (XIIe-XVe siècle).
© Wikimedia commons

Bien sûr, au fil du temps, l’intérêt de ces souverains « allemands » pour les affaires britanniques, de même que leur « âme anglaise », s’est largement affirmé. Dès George III, couronné en 1760, tous sont nés à Londres. Et qui plus que la reine Victoria incarne la stabilité et le prestige de la Couronne ? Il n’empêche : au moment où éclate la Première Guerre mondiale, George V, monté sur le trône en 1910, reste dans l’esprit de bon nombre de ses sujets associé à ses origines teutonnes. Et ses liens familiaux n’aident pas. Le roi du Royaume-Uni est non seulement le cousin du tsar de Russie Nicolas II (1868-1918) – leurs mères étant sœurs –, mais aussi de Guillaume II (1859-1941), le Kaiser allemand, lui aussi petit-fils de la reine Victoria !

En 1911, George V recevait en grandes pompes son cousin, l’empereur allemand Guillaume II,
afin de se recueillir sur la tombe de leur aïeule, la reine Victoria.
© akg-images / Interfoto

Les trois souverains se retrouvent d’ailleurs à Berlin, en 1913, pour le mariage de la fille de Guillaume. Un an plus tard, alors qu’éclate le premier conflit mondial, l’heure n’est plus à la « cousinade ». Et dans l’opinion, la parentèle du roi alimente les soupçons : est-il un patriote ? Peut-on lui faire confiance pour mener le pays dans la guerre ? Et s’il était secrètement pro-allemand ?

Une vague anti-germanique grandit au sein de la population britannique

Plus les bruits de bottes augmentent, en ce début du XXe siècle, plus le militarisme allemand inquiète, créant une vague anti-germanique au sein de la population britannique. Elle franchit un cap au début de la guerre, attisée par la presse et la propagande, et exacerbée par des événements comme le torpillage du paquebot Lusitania par un sous-marin allemand en 1915. La haine du « Hun » débouche même sur des émeutes et des attaques contre des commerces germaniques. A cette époque, la capitale abrite une communauté de 68 000 Allemands, tous parfaitement intégrés. Devant la pression populaire, des noms de rues rappelant l’outre-Rhin, comme Berlin Road à Londres, sont débaptisés.

Ce climat de germanophobie gagne aussi les hautes sphères. Le cas le plus marquant est celui de l’amiral Louis de Battenberg (1854-1921), commandant de la Royal Navy. Ce natif de Graz, en Autriche, naturalisé anglais et s’exprimant avec un fort accent germanique, est poussé à la démission en octobre 1914. Le roi George V, lui, vit mal les allusions à ses racines. Quand le romancier H. G. Wells dénonce, en la famille royale, une « cour étrangère et médiocre », il réplique : « Je suis peut-être médiocre, mais que je sois damné si je suis étranger ! » Il n’empêche, la présence à Buckingham d’un prince de Saxe-Cobourg-Gotha devient « une anomalie de plus en plus indécente, alors que des centaines de milliers de morts et de blessés, défigurés, gazés, mutilés sont victimes de l’Empire allemand », écrit Jean des Cars dans La Saga des Windsor. De l’Empire britannique au Commonwealth (éd. Perrin, 2011). Et d’ajouter : « Des millions de Britanniques, militaires et civils, en sont plus qu’embarrassés, jugeant cette situation malsaine. »

En 1917, Georges V se rend sur le front franco-britannique à Abbeville (Somme).
© Universal Images Group via Getty

Naissance d’une nouvelle dynastie : les Windsor

Pour y mettre fin, George V ne peut certes pas changer de famille. Il peut, par contre, en modifier le nom, et se débarrasser de ses titres encombrants. Le 17 juillet 1917, un mois après le bombardement de Londres, qui sert de déclencheur, le souverain annonce une décision très forte devant le Private Council, un organe chargé de le conseiller. Le Court Circular, le journal officiel de la cour, la rapporte ainsi : « Pour nous-mêmes et pour nos descendants, l’usage des grades, titres, dignités et honneurs de ducs et duchesses de Saxe, de princes et de princesses de Saxe-Cobourg-Gotha et autres dénominations allemandes ne nous appartiennent plus. » D’un royal claquement de doigts, des générations d’ancêtres sont effacées de l’arbre généalogique. Et immédiatement, le nouveau nom de la dynastie est proclamé : Windsor. C’est Lord Stamfordham, le secrétaire privé du roi, qui en aurait eu l’idée, en référence à l’immense château de l’ouest de Londres, bastion de la monarchie, où ont régné presque tous les rois et reines depuis Guillaume le Conquérant (1027-1087). Le nom fait sensation. Et par sa seule magie, cette famille royale, aux origines suspectes, devient tout à coup inscrite dans une continuité millénaire.

Le grand ménage ne s’arrête pas là

En 1917, tous les proches de la famille royale aux patronymes un peu trop germaniques sont « anglicisés ». Louis de Battenberg devient Louis Mountbatten, marquis de Milford Haven. Les ducs et princes de Teck, issus de la maison allemande de Wurtemberg et frères de la « Queen Mary » (1867-1953), l’épouse de George V, sont rebaptisés Cambridge. Le roi décide aussi que les membres de la royal family n’ont plus l’obligation de s’unir à des têtes couronnées européennes, mais peuvent épouser de « simples » nobles britanniques. Et pour afficher ses distances avec ses attaches familiales continentales, il refuse l’asile à son cousin le tsar Nicolas II, renversé par la Révolution russe en 1917 puis exécuté dans une cave en Sibérie, un an plus tard. « Le résultat est un repositionnement fondamental de la monarchie britannique, s’éloignant du cousinage royal transnational traditionnel, et des amitiés personnelles qui vont avec, pour se tourner vers la nation et l’Empire britannique », écrit David Cannadine.

Sur cette illustration du journal britannique Punch, en 1917,
George V fait le ménage au sein de la Couronne britannique
en donnant un coup de balai sur ses titres de noblesse germaniques.
© akg-images / UIG / Universal History Archive

Comment fut accueilli ce reniement familial en Allemagne ? Avec ironie. Le Kaiser Guillaume II parla des « joyeuses commères de Saxe-Cobourg-Gotha », en faisant allusion à la célèbre pièce de théâtre de William ShakespeareLes Joyeuses Commères de Windsor (1602). Après la victoire de la Triple Entente sur l’Allemagne, en 1918, George V, nouveau roi Windsor, deviendra populaire et respecté. « Il incarne l’Etat viscéralement britannique », conclut Jean des Cars. Son génie est d’être intervenu au bon moment, à une époque où le patriotisme interdisait le moindre doute et où l’Allemagne semblait aussi se diriger vers la défaite… Avec ce changement de patronyme, le souverain sauva probablement la Couronne d’Angleterre et fit preuve d’un esprit moderne. Un journaliste du Times écrivit à ce propos : « Cette époque est propice à l’innovation ». Un mot qui sera le leitmotiv des Windsor.


L’Aigle et le Léopard

Quelques mots pour découvrir mon dernier ouvrage sur les liaisons dangereuses entre l’Angleterre et Hitler : L’Aigle et le Léopard, paru aux éditions Perrin.

Eric Branca

[Voir aussi :
Racines nazies de la famille royale britannique ?]

Éditions PERRIN