Trafic d’enfants, le film Sound of Freedom… et les 6 documentaires incontournables sur les réseaux

Reparler des réseaux, des dangers qui menacent les enfants et prendre action

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Depuis sa sortie le 4 juillet, l’on ne cesse de m’interpeller à propos du film Sound of Freedom, un film qui dénonce les réseaux pédocriminels. Faut-il le voir (s’il sort chez nous) ? Y a-t-il une manipulation derrière ce succès ?

Il y a quelques semaines, ce film « ultra-censuré » a cartonné au box-office américain en dépassant Indiana Jones. La nouvelle a inondé les réseaux sociaux, chez nous, Karl Zero spécialiste des sujets de pédocriminalité en a parlé dans l’émission d’André Bercoff sur Sud Radio et chez Idriss Aberkane. Les annonces et commentaires autour du film ont circulé dans des milliers de posts et vidéos (celle de Florian Philippot a récolté 280 000 vues). Peu après les médias autorisés se sont aussi emparés du sujet Le Parisien et Le Monde reprenant le sempiternel refrain du « complotisme », car les réseaux sont un fantasme.

À côté de cela, ladite complosphère est elle-même divisée. Certains estiment qu’il s’agit d’une opération destinée à manipuler l’opinion en faveur de Trump ou qui vise à faire accepter de nouvelles « mesures » liberticides, et d’autres voient dans ces suspicions une tentative de censure supplémentaire, à coups d’accusations « d’opposition contrôlée ». Au milieu de ce dilemme, on se demande : que faire de ce film et comment parler des réseaux ? Ce sont de bonnes questions !

Image du film Sound of Freedom

À propos du film

Sound of Freedom (bande-annonce ici) est une fiction qui s’inspire de l’histoire d’un ancien agent du FBI qui a démissionné de ses fonctions pour se lancer dans des opérations secrètes de sauvetage d’enfants, esclaves sexuels modernes, en dehors du territoire américain. Le film se base notamment sur les documents réalisés par Tim Ballard et ses commandos de l’Opération Underground Railroad, parmi lesquelles « l’Opération Toussaint ».

C’est Jim Caviezel qui interprète le rôle du sauveur, dans une histoire où il tente tout pour retrouver une petite fille enlevée par des trafiquants. Son enquête le mène finalement à libérer des dizaines d’enfants, esclaves de factions rebelles, au fin fond de la jungle en Colombie.

Sans être un chef d’œuvre du cinéma, le film est touchant et captivant et il a la délicatesse de ne pas exposer inutilement le spectateur à des images choquantes. Son mérite principal est de faire parler du fléau de la pédocriminalité et de l’existence des réseaux. Mais, si la bande-annonce est prometteuse en révélations en annonçant que « c’est le réseau criminel en expansion le plus rapide que le monde ait jamais vu. Il a déjà dépassé le trafic d’armes illégal et bientôt, il dépassera celui de la drogue », l’on n’en apprendra pas un mot de plus sur le sujet.

À côté du film, l’acteur principal a également donné de nombreuses interviews dans lesquelles il a soulevé d’autres sujets, accusant les stars d’Hollywood de se livrer à des actes pédocriminels et d’utiliser de l’adrénochrome, un sérum de jouvence dont l’existence est contestée et qui serait obtenu en récoltant le sang d’enfants sous l’effet de la torture. Il s’est aussi montré très émotionnel, dans le registre du sacrifice héroïque et de ses convictions religieuses. Ces déclarations ont évidemment été au centre des critiques des médias mainstream qui préfèrent fact-checker l’adrénochrome que de parler de l’existence d’un business criminel censé représenter 150 milliards de dollars.

Censure ou promotion ?

Cela fait 7 ans que je m’emploie à faire connaître des sujets tabous avec des films (ea. Vaxxed, La face cachée des vaccins, l’Affaire Wakefield, la série Plus Jamais Ça) et que je me heurte à la censure, avec des pressions sur la salle pour annuler la projection, etc. dans 90 % des cas. Derniers exemples : au mois de mai la projection de Plus Jamais Ça, c’est maintenant et mondial a provoqué l’annulation de la salle lors de l’Assemblée Générale de la LNPLV et au mois d’avril il y a eu des plaintes déposées auprès du bourgmestre de Stockel pour faire annuler le film « La face cachée des vaccins ». (tant le directeur que le bourgmestre ont tenu bon, je les en remercie).

Il n’y a pas de « renversement » spontané de l’opinion des médias, ni du monde du cinéma. Robert Kennedy Jr qui est candidat à la présidence n’est JAMAIS interviewé par les médias mainstream. À l’heure actuelle il est toujours en procès contre la censure de Google Facebook et YouTube et le consortium médiatique le « Trusted News Initiative ».

Croire qu’un film « tabou » a pu détrôner Indiana Jones par miracle, c’est avoir la nostalgie du père Noël. Ces histoires de censure et les vidéos de spectateurs bouleversés ont surtout créé le buzz d’une extraordinaire campagne de pub. Le fait que l’on en ait parlé sur tous les réseaux sociaux, sur CNN, CBS, ABC, Fox News, tous les journaux mainstream et que même Elon Musk s’en saisisse confirme qu’il y a manifestement anguille sous roche.

Pourquoi donc ? Tout en ayant des réserves par rapport à ce type de présentation de contenu, voici une vidéo qui réalise une première enquête sur la question.

L’envers du décor

Comme toujours, il faut se demander : qui sont les héros de la fable ? D’où vient et où va l’argent ? Quelles sont les solutions vers lesquelles on pousse le public ? Voici les éléments les plus significatifs :

Tim Ballard a tout d’abord loyalement servi la CIA et le département de la sûreté américain dans des missions de lutte contre le terrorisme. En 2013, lorsqu’il quitte, en apparence, les services du gouvernement, Tim Ballard crée l’Opération Underground Railroad (OUR) une organisation caritative a engrangé 47 millions de dollars de revenus. Manifestement ça rapporte et personne ne s’y oppose. Du côté de ses fréquentations, il est ordonné chevalier de l’ordre souverain militaire du temple de Jérusalem en 2015. Il fait partie du board [comité directeur] de l’organisation caritative américaine « Afghanistan World Foundation » aux côtés d’Henry Kissinger, d’Albert de Monaco et d’une brochette de stars comme Céline Dion, Anne Heche (assassinée ?) et de tout le gratin qui travaille avec la CIA. En 2019, sous l’administration Trump, il est nommé à la tête d’un service dépendant du DHS (un « ministère » intimement lié à la CIA, à la NSA et au FBI) : le partenariat public privé pour mettre fin au trafic d’êtres humains. L’image qu’il « opère tout seul dans son coin » pour pallier au manque d’action du gouvernement semble donc peu convaincante. Il semble au contraire chouchouté par les élites.

L’argent du film, selon Tim Ballard en personne, viendrait principalement de Carlos Slim et John Paul DeJora, deux milliardaires louches, proches des familles Gates et Clinton, justement accusés d’être impliqués dans les réseaux de pédocriminalité. A priori, cela semble plutôt surprenant…

Où vont les dons ? Dans la vidéo ci-dessus, Greg Reese affirme qu’Angel Studios encourage les gens à « aider à combattre le trafic d’enfants » en les renvoyant vers le Projet Polaris, qui est lié à John Podesta et aux Clinton, et qui financerait en fait le trafic d’enfants, en rapportant plus de 150 milliards de dollars par an. Neil Harmon, le patron d’Angel Studio est un mormon qui a œuvré pour les missions de l’église des derniers jours au Mexique, une institution qui a été accusée de servir de plaque tournante à toutes sortes de trafics.

On remarquera aussi que l’on ne donne jamais la parole aux victimes dans les interviews ou les projections cinéma. Cathy O’Brien, Anneke Lucas et tant d’autres femmes qui ont dénoncé les réseaux pédocriminels depuis 30 ans sont absentes de toute cette opération. Au point qu’un certain nombre de survivantes dénoncent le fait que ce film ne les aide en rien et l’estiment même contre-productif.

[Voir aussi :
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin]

Hypothèses

Toute la question est donc de savoir pourquoi ce film sort aujourd’hui avec une telle promotion du « système ». On peut faire les suppositions suivantes :

  • Face à l’éveil général du public quant à l’existence du trafic d’enfants et de l’implication des hautes sphères de pouvoir, l’on tente de détourner l’attention du public du dossier Epstein qui prend une tournure particulièrement gênante pour des gros bonnets tels que Bill Gates, Sergey Brin (Google) ou Jamie Dimon (banque JP Morgan) ou encore Woody Allen (à nouveau), Noam Chomsky, etc.
  • De manière générale, il y a une fatigue du public concernant les sujets sur le Covid et l’Ukraine, l’enlèvement d’enfants renouvelle l’angoisse du public pour le maintenir dans l’état d’hébétude nécessaire à la poursuite de l’Agenda 2030 (avec le climat).
  • En finançant le film, les personnages accusés d’être liés au réseau pédophile espèrent rétablir leur image et éliminer les accusations portées contre eux.
  • Le film et les opérations de Tim Ballard ne concernent que des réseaux qui opèrent à l’étranger. On va rechercher les enfants au fond de la jungle, alors qu’en réalité, ils se trouvent dans toutes les grandes cités. « Ça se passe ailleurs ».
  • Faire du trafic d’êtres humains une question de politique « bi-partisane » pour influencer les élections en faveur de Trump.
  • Introduire plus de contrôle ou de surveillance. Plus de 500 millions de personnes ont lancé des recherches sur le net pour savoir si l’objectif du film ne serait pas de promouvoir les puces d’identification pour les enfants. Tim Ballard s’est pour sa part défendu de jamais vouloir faire une telle chose. Mais si la puce est souvent agitée comme un épouvantail, c’est peut-être pour faire oublier la mise en place d’un système de surveillance par l’enregistrement des données biométriques et par d’autres moyens de traçage.
  • La Digital Crimes Unit de Microsoft serait prêt à déployer un attirail de solutions qui proposent par exemple de monitorer les téléphones, les plateformes internet et les réseaux sociaux et d’opérer avec des outils de surveillance par géolocalisation. (voir son « white paper pour lutter contre le trafic d’êtres humains.) Microsoft travaille avec le National Center for Missing and Exploited Children, une organisation fondée par les époux Clinton et Blair, la Child Rescue Coalition, le réseau de police international et le bureau du crime et de la drogue de l’ONU.

Il y a fort à parier que le public, hanté par l’idée du kidnapping d’enfants finisse par accepter l’une ou l’autre forme de traçage renforcé et que l’on en profite pour raboter à nouveau la protection des données privées.

9 MILLIONS DE PHOTOS, et toujours pas de réseau

Pour revenir au début de l’article où nous avons mentionné la réaction des journaux autorisés, les réseaux pédocriminels sont des fantasmes complotistes. En effet, depuis que le dossier bis de l’affaire Dutroux a été enterré, vu l’importance des noms qui y ont été cités et la trentaine ou plus de personnes décédées durant l’enquête, cette notion a définitivement disparu de nos contrées. Un exemple récent donne pourtant de quoi s’interroger à nouveau :

En mars 2020 (en pleine hystérie Covid) 5 hommes, dont 3 Belges, ont été condamnés pour détention de 9 MILLIONS de photos de pornographie enfantine, principalement de jeunes garçons.

Selon l’article de La libre Belgique : « Une grande partie de ces images étaient par ailleurs inconnues des enquêteurs, laissant imaginer qu’elles étaient l’œuvre des suspects eux-mêmes dont certains n’auraient pas hésité à se servir de leurs propres enfants. » On reste pantois !

Surtout ne pas laisser l’existence d’un réseau pédophile effleurer l’esprit des lecteurs. Avec un peu de chance, l’idée que 5 types sont parvenus à collecter 9 millions d’images avec les quelques enfants qu’ils sont parvenus à contacter individuellement finira par passer. Sur le site de Pédopolis, un média moins plébiscité, l’on parlait à la même date d’un réseau qui touche 40 pays. L’affaire a fait peu de bruit, les condamnations n’ont pas traîné. Il reste les questions principales : où sont les dizaines de milliers de victimes qui constituent ce fichier ? Qui d’autre est impliqué ?

Parler de ce qui se passe chez nous !

Nul besoin d’attendre la sortie de Sound of Freedom pour parler de ce sujet. Il faut saisir l’occasion pour revenir sur ce qui se passe chez nous. Avec l’affaire Dutroux, l’affaire Outreau, le fichier Zandvoort ou les abominations qui ont lieu en Ukraine (voir Eyes of the Devil) tout le monde sait qu’en réalité le trafic d’enfants est étroitement lié aux milieux du pouvoir dans tous les pays d’Europe.

Le fait qu’un enfant sur cinq est victime de pédocriminalité doit être une de nos priorités, d’autant que les politiques actuelles d’hypersexualisation de l’enfance aggravent les risques de violence.

Je vous invite à consulter ma lettre précédente sur les actions à mener dans votre entourage et à attirer aussi l’attention sur les films et documentaires qui en disent plus long que Sound of Freedom.

6 DOCUMENTAIRES À VOIR

  1. Innomable (2021) Retour en archives sur l’effroyable « affaire Dutroux », qui suscita au milieu des années 1990 l’émoi puis la colère du peuple belge face aux dysfonctionnements de la justice. Document en quatre parties des disparitions jusqu’au procès.

  1. L’affaire Dutroux, affaire de réseau ? » (2021) Un film qui plaide pour la réouverture du dossier bis, celui de concerne « l’élite » du pays.
    L’affaire « Dutroux » contient de nombreuses zones d’ombres, des enquêtes interrompues, beaucoup de décès étranges. Dossier wikileaks ici
  2. Outreau, l’autre vérité Outreau, un symbole de l’erreur judiciaire ? Que treize des dix-sept accusés aient été acquittés après un ou deux procès, n’est-ce pas le fonctionnement normal de la justice ? Outreau, un fiasco judiciaire ? Oui, mais ce n’est pas celui qui a été dit.
  3. Zandvoort, le fichier de la honte Dans tous les dossiers de pédocriminalité et de disparitions d’enfants, le nom de « Zandvoort » n’est jamais très loin, telle une hydre, un serpent de mer… Fantasme ? Non. Contrairement au Loch Ness, les CD Rom de Zandvoort ont l’affreux mérite d’exister. Preuve irréfutable d’un trafic épouvantable de photos et de vidéos d’enfants violés, martyrisés.
  4. Trance, l’histoire de Cathy O’Brien Tiré du livre ce documentaire retrace la vie de Cathy O’Brien, esclave sexuelle durant 30 ans, au service des présidents Ford, Reagan et Bush. Échappant à la mort in extremis et luttant pour protéger sa vie durant les années qui ont suivi, elle a dénoncé devant le congrès américain les réseaux pédocriminels liés au gouvernement et aux opérations de la CIA, notamment le programme de contrôle de l’esprit MK Ultra.
  5. 1 sur 5, le film contre la pédocriminalité Selon les chiffres officiels en France, 1 mineur sur 5 est victime de pédophilie. Voici un documentaire de Karl Zero pour expliquer la réalité des chiffres et l’urgence à agir. Cela fait environ 13 millions de victimes, il est urgent de se saisir de cet enjeu de société.



L’opération « choc et effroi » de Maui a fonctionné comme un charme, comme toujours

[Source : State of the Nation]


PSYOP MAUIGEDDON :
Ils s’en sont tirés ENCORE !

Les journées canines de l’été 2023 ont été délibérément choisies pour que les coupables aient un déni plausible.


Vraiment, combien d’actes flagrants de géoterrorisme, de pyroterrorisme et de terrorisme météorologique doivent-ils avoir lieu avant que les gens se réveillent ?!?!?!

Maui n’est que la dernière victime des géoterroristes du NOM [Nouvel Ordre Mondial] à subir un sort que beaucoup comparent à « l’enfer sur Terre ». Et, sans aucun doute, les photos publiées dans l’exposé suivant dépeignent graphiquement cette conflagration infernale.

OPÉRATION MAUI INFERNO

Des tempêtes de feu déclenchées par arme à énergie dirigée couvrent plusieurs attaques furtives de pyroterrorisme sur Lahaina, à Maiu

Tout d’abord : tout comme Paradise CA, la ville de Maui a été « rayée de la carte » — Qui l’a fait et pourquoi ?
Deuxièmement : REGARDEZ ! Preuve vidéo de tempêtes de feu déclenchées par armes à énergie dirigée à Lahaina, Maiu
Troisièmement : VOICI POURQUOI L’ATTAQUE PYROTERRISTE DÉVASTATRICE CONTRE MAUI A ÉTÉ EFFECTUÉE
Quatrièmement : À VOIR : Au moins 36 personnes ont été tuées dans des incendies dévastateurs : comté de Maui

Photos des dégâts causés par le feu

La première photographie qui suit des dégâts causés par le feu à Maui prouve que des armes à énergie dirigée ont été utilisées pour allumer les incendies, ainsi que pour incendier les véhicules soufflés et fondus.

Il n’y a pas d’autre moyen d’expliquer l’extraordinaire destruction montrée ci-dessous, si ce n’est que les bâtiments et les véhicules ont été frappés par une ou des armes énergétiques extrêmement puissantes.

Vraiment, comment tant de véhicules regroupés sont-ils complètement brûlés avec des enjoliveurs fondus et à côté du bord de l’eau, loin de l’enfer ?!?!

Conclusion

Comme toujours, les géo-ingénieurs du NOM préparent d’abord le lieu géographique ciblé avec leurs diverses technologies de modification du climat.

Ensuite, les géoterroristes agissent et préparent subrepticement l’endroit à un assortiment d’attaques sur l’environnement, qui sont à la fois d’origine naturelle et/ou manifestement d’origine humaine.

Ensuite, les pyroterroristes passent à l’acte en incendiant toute la ville sous le couvert des tempêtes de feu déclenchées par armes à énergie dirigée.

Enfin, les brasiers rapides et déchaînés qui en résultent permettent de nier de manière plausible les trois opérations terroristes, et personne ne s’arrête jamais pour souligner les preuves évidentes que sont les voitures fondues et les maisons rasées à côté d’arbres, d’herbes et d’arbustes qui n’ont pas été brûlés du tout.

Maintenant, comment provoquer l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 ? !

PLUS DE PREUVES : Des preuves tangibles prouvent qu’une tempête de feu par arme à énergie dirigée de Maui a rasé Lahaina

Toute personne raisonnable regardant ces images de dévastation totale arriverait à la même conclusion : l’enfer génocidaire était un événement délibéré d’origine humaine conçu pour anéantir la ville en quelques heures seulement. Ce qu’il a fait.

Il est tout à fait choquant que les gens ne puissent pas voir l’incendie criminel évident et l’utilisation d’armes à énergie dirigée dans cette horrible attaque bioterroriste. Oui, les armes à micro-ondes produisent exactement le type de tempête de feu qui vient d’éclater à Lahaina.

Il est inconcevable que les habitants de Lahaina ne voient pas les preuves tangibles sur le terrain et ne comprennent pas qu’ils ont été sauvagement chassés de leur ville.

Le fait que la plupart des personnes qui regardent cette émission CLIMATEGEDDON produite par les Khazars se soient laissées prendre par le canular du changement climatique provoqué par le CO2 est aussi triste que possible pour l’humanité.

Et c’est ce manque total de bon sens, de raisonnement humain, de pensée critique qui a mis toute l’Amérique dans une marmite en ébullition qui ne fait que s’échauffer de semaine en semaine.

Même les gens très intelligents, les gens conscients, les gens qui ont une pensée critique intacte, résistent à l’idée que ces tempêtes de feu sans fin sont délibérément déclenchées par des géo-ingénieurs et des pyroterroristes à la solde de la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial.

POINT CLÉ :

Tout comme les Américains ont été conditionnés sans relâche pour croire que chaque fusillade de masse est un véritable massacre perpétré par des suprémacistes blancs, et non une opération de contrôle mental sous fausse bannière de type Gladio menée par la CIA, ils ont été manipulés pour leur faire croire que ces conflagrations incessantes déclenchées par des pyroterroristes sont des événements naturels.

Lorsqu’une grande majorité de la race humaine rejette délibérément la vérité qui lui est présentée sous des couleurs et des flammes éclatantes, pour une raison quelconque, le résultat ne sera pas bon.

Quelle vérité ?

CETTE VÉRITÉ !

Le « changement climatique » fait-il cela ? Ou s’agit-il de géo-ingénierie, censée ressembler au
« changement climatique » et nous inciter à abandonner nos vies, pour « sauver la planète » ?

Plus important encore, lorsque les gens ne se défendent même pas contre des attaques hautement destructrices et meurtrières comme celles-ci, ou des agressions de toutes sortes, à quoi servent-ils ?

Personne n’appelle jamais à des comptes à rendre, à des enquêtes, à des poursuites ou à des sanctions de quelque nature que ce soit.

Vraiment, putain, sont-ils bons pour eux-mêmes, pour leurs familles, pour leurs quartiers, pour leurs églises, pour leurs entreprises, pour leurs communautés, pour leurs villes, pour leurs États, pour leurs pays, alors qu’ils ne se défendent même pas et ne défendent pas leurs enfants, contre les barbares qui sont parmi nous ?!

Ils n’enquêteront même pas, ni même ne remettront en question, comment ces tempêtes de feu déclenchées de manière transparente se sont produites.

HONNÊTEMENT, À QUOI SERVENT-ILS… À QUI QUE CE SOIT ?

DES CITOYENS LÂCHES, voilà ce qu’ils sont tous.

[Voir aussi :
Lahaina a été détruite par une arme à énergie dirigée
À qui profite l’incendie de Lahaina ?
Le feu de forêt comme arme militaire]




La révolution permanente du « zéro net » : une guerre contre la démocratie

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

Une intéressante chronique du Telegraph de Londres dénonce la guerre contre la démocratie que constitue la « révolution permanente du zéro net », cette obligation faite au Royaume-Uni (de la même manière qu’à l’Union européenne) d’arriver à des émissions de CO2 neutres dans un délai donné, sans le moindre égard pour la volonté des électeurs à ce sujet. Allister Heath y voit une nouvelle variante des fameux « plans quinquennaux » propres aux économies communistes planifiées, par lesquels des planificateurs centralisés imposent des objectifs et des moyens pour y parvenir, sans dire au public « l’horrible vérité » à leur sujet.

« Une nomenklatura “verte” dispose désormais d’un immense pouvoir », observe l’éditorialiste : au Royaume-Uni, tous les partis — conservateurs, travaillistes, « Lib Dems » — ont souscrit aux plans quinquennaux contraignants qui définissent les « budgets carbone » avec leurs émissions maximales, et au passage, font de l’ingénierie sociale à hautes doses.

« Savez-vous, cher lecteur, que nous sommes actuellement sous le régime de notre quatrième budget carbone de cette espèce, qui court de 2023 à 2027 ? Avez-vous conscience de ce que les deux suivants — qui nous mènent jusqu’en 2037 — sont déjà gravés dans le marbre de la loi, moyennant quoi les deux ou trois élections générales ne seront que des mascarades ? », écrit Allister Heath. Et tout écart par rapport à ces objectifs pourrait donner lieu à des procédures contre l’État de la part d’associations écologistes.

Le « zéro net » avec ou sans Brexit

Le Royaume-Uni a beau avoir quitté l’UE, les accords de Paris chapeautés par l’ONU s’appliquent aussi outre-Manche et aboutissent à des contraintes qui s’apparentent à celles mises en route dans l’Union. Ainsi, les Britanniques vont-ils comme nous être sévèrement bridés dans leurs choix de consommation, énergétiques notamment. D’ici à un an et demi, aucun logement neuf au Royaume-Uni ne pourra être équipé d’une chaudière à gaz. Dans 7 ans, il sera illégal d’acheter des véhicules à pétrole neufs. Dans douze ans, le remplacement d’une chaudière à gaz par un dispositif du même type sera à son tour prohibé.

Tout cela a été mis en place en 2008 par Ed Miliband, ministre de l’Énergie, avec une loi sur le « Changement climatique » votée par la quasi-totalité des membres du Parlement : « L’équivalent d’un nouveau traité de Maastricht, un bouleversement profond qui à terme, provoquera la réaction furieuse de l’électorat qui prendra conscience d’avoir perdu tout contrôle. » À l’origine, la baisse des émissions de CO2 devait atteindre 80 % en 2050 par rapport aux chiffres de 1990 ; en 2019, Theresa May a porté ce pourcentage à 100 %. Le tout selon un échéancier extrêmement strict.

Les trois premiers plans quinquennaux ont été respectés, note Alister Heath, entre 2008 et 2022, « sans trop d’efforts » : c’est la « combinaison d’une récession, de la désindustrialisation continue, de l’insuffisance de construction d’infrastructures et de logements neufs et du recours accru aux renouvelables » qui a rendu la chose possible.

Les nouveaux plans quinquennaux imposent la révolution contre la démocratie

Mais « la douleur s’installe », note le chroniqueur, alors que propriétaires et automobilistes sont de plus en plus frappés par les conséquences de cette politique. Au fur et à mesure que le pourcentage de coupes augmente, de nouveaux secteurs vont être touchés : l’aviation civile, le transport de marchandises, les obligations d’isolation par exemple. La « décarbonation » ne déplaît pas tant qu’elle ne touche pas visiblement au portefeuille des électeurs : une fois ce pas franchi, les électeurs s’y opposeront « avec fureur », prévoit Heath, et d’autant plus qu’ils comprendront que le législateur n’y pourra rien.

Le Climate Change Committee (CCC) qui pilote les plans et définit les arbitrages par secteur estime d’ailleurs que le recours aux nouvelles énergies et à d’autres moyens technologies ne suffira pas : « Les véhicules électriques ne suffiront pas, il faudra quand même rouler moins. Il nous faudra moins prendre l’avion, même en utilisant de l’énergie “durable”. Il nous faudra manger 20 à 35 % de viande et de produits laitiers en moins », avertit Allister Heath. Le CCC, précise-t-il, est une agence aux pouvoirs gigantesques, « que seule dépasse probablement la Banque d’Angleterre ».

La révolution du zéro net, une machine à appauvrir l’Occident

Ne pourrait-on pas nommer un président plus souple à l’heure où le CCC embauche son nouveau chef ? « De toute façon, le zéro net est sur pilotage automatique, et les échéances trop figées pour éviter des restrictions handicapantes, une très forte augmentation de la dette et des coupures d’énergie par roulement », constate le chroniqueur.

Décidément, la course vers le « net zéro » est une machine à appauvrir les pays développés. On le savait déjà, les politiques en place ne pouvaient l’ignorer : ce qui nous est imposé par l’Union européenne ou le CCC outre-Manche est ce qu’ils ont approuvé en toute connaissance de cause et complicité, contre les peuples.




Le feu de forêt comme arme militaire

[Source : planetes360.fr]

Traduction :

Je viens de trouver dans mes archives un document déclassifié épouvantable sur les techniques et les tactiques qui sont très pertinentes pour ce qui vient de se passer à Maui…

Forest Fire as a Military Weapon – rapport de 1970 commandé par le DoD – ARPA – US Dept of Agriculture Forest Service.

« En 1965, les chefs d’état-major interarmées ont demandé au secrétaire à la défense de lancer des recherches pour déterminer s’il était possible de mesurer les caractéristiques d’inflammabilité des forêts et de la jungle, de modifier l’inflammabilité de manière à ce que la végétation favorise la combustion et de mettre au point des mesures permettant de détruire par le feu de vastes zones de forêt ou de jungle. Ces recherches ont été menées par le Service des forêts du ministère de l’Agriculture, sous l’égide de l’Agence pour les projets de recherche avancée (ARPA) par le biais de l’ordre 818 de l’ARPA. La recherche s’est principalement concentrée sur les caractéristiques d’inflammabilité de la jungle dans les climats tropicaux et de mousson où les incendies de forêt se produisent rarement de manière naturelle ».

L’image 2 est très liée aux tempêtes de feu, qui utilisent les vents de surface pour attiser les incendies et augmenter considérablement la vitesse de combustion.

Ils peuvent donc déclencher l’incendie avec de mauvais acteurs au sol en brûlant la végétation ou l’herbe sèche ou en faisant exploser des sources de combustible, ou ils le font depuis le ciel avec des armes à énergie dirigée ciblant de multiples zones. Ce document indique que des sources d’incendie multiples entourant la cible avec des vents violents sont les plus efficaces pour anéantir une zone entière très rapidement. Vous vous souvenez du cercle de feu que les gens ont vu sur les images ?

Ils peuvent ensuite utiliser les différentes techniques de géo-ingénierie pour faire exploser la terre avec un ouragan sec et des vents à grande vitesse pour transformer une série de petits feux de broussailles en une tempête de feu déchaînée qui anéantit tout extrêmement rapidement.

L’image 3 traite des engins incendiaires et l’image 4 explique à quel point les conditions météorologiques sont cruciales pour le succès des incendies de forêt.

Tellement sauvage.

———————————————-

À un moment donné, nous devons tous prendre du recul et réfléchir à la raison pour laquelle ces choses sont étudiées à un tel degré. C’est à cela que mènent vraiment la guerre et les dépenses militaires sans fin…. une course vers le bas où les principales puissances mondiales sont déterminées par le pays ou la force militaire qui peut être le plus brutal, le plus sadique, le plus rusé, et tout simplement le plus mauvais et le plus malveillant.

Le langage et le ton de ces documents sont toujours aussi froids, calculateurs et inhumains.




Pourquoi Darmanin demande-t-il la dissolution de Civitas ?

[Source : @AgoraTVNEWS via Ciel Voilé]

La raison officielle :

La véritable raison probable :

Alain Escada, président de CIVITAS, nous dresse un paysage bien sombre mais réel des pratiques sataniques assez concentrées chez les mondialistes et chez les hommes de Pouvoir. Une vidéo immanquable pour bien comprendre toutes les abjections qui se succèdent de nos jours.

[Vidéo originale YouTube (https://www.youtube.com/watch?v=l1pcmXuwLgk) censurée.]







France — Les lois publiées depuis 1848 sont illégales

[Source : Fortabat-Labatut via michelledastier.com]

Jusqu’à une période récente où il a été illégalement modifié, le Code civil hérité de Napoléon indiquait dans son article 1 que les lois doivent être promulguées par le Roi.

https://www.fortabat-labatut.com/

https://consultation.avocat.fr/avocat-paris/philippe-fortabat-labatut-23096.html




Chaos social croissant aux États-Unis

[Source : theeconomiccollapseblog.com]

Par Michel Snyder

Certaines parties de l’Amérique sont déjà sur le point d’être ingouvernables alors que l’anarchie rampante se propage comme une traînée de poudre.

Pour qu’une société civilisée fonctionne, la plupart des gens doivent volontairement suivre les règles de cette société. Si cela se produit, les autorités chargées de l’application de la loi peuvent s’occuper des quelques personnes qui choisissent d’être anarchiques. Pendant des générations, c’est ainsi que les choses ont fonctionné en Amérique. Il y avait un haut niveau de moralité parmi la population générale, et la police a donc pu gérer avec succès les quelques pommes pourries qui insistaient pour enfreindre la loi. Mais maintenant tout a changé. À la suite de décennies de décadence morale extrême, l’anarchie est endémique et il existe de vastes multitudes de jeunes qui affichent ouvertement les règles de notre société. En fait, il y a déjà certaines régions du pays qui sont littéralement sur le point d’être ingouvernables.

[Note de Joseph : la situation est relativement similaire dans la plupart des autres pays occidentaux, voire dans la presque totalité des pays du monde, et le facteur principal apparaît bien davantage être la perte des valeurs morales que l’immigration tant décriée.]

Un exemple parfait de ce dont je parle s’est produit samedi dans le sud de la Californie.

Des dizaines de jeunes voleurs anarchiques ont systématiquement pillé le magasin Nordstrom du centre commercial Westfield Topanga, et ils ont pu s’en tirer avec des dizaines de milliers de dollars de marchandises

Les acheteurs du centre commercial Westfield Topanga à Canoga Park ont ​​été choqués lorsque des dizaines de voleurs ont saccagé le Nordstrom à l’intérieur du centre commercial le samedi 12 août, brisant des présentoirs et volant entre 60 000 et 100 000 dollars de marchandises, ont annoncé les autorités.

Le département de police de Los Angeles a répondu au centre commercial vers 16 heures après avoir entendu des informations selon lesquelles entre 20 et 50 personnes ont traversé le Nordstrom en saisissant des marchandises, en laissant certaines par terre et en emportant des pleines brassées avec elles.

Quand je grandissais, ce genre de chose n’arrivait tout simplement pas.

Mais maintenant, nous voyons des foules de pillards devenir régulièrement hors de contrôle dans tout le pays.

Ce braquage était manifestement bien coordonné, et aucun des voleurs n’a même montré le moindre remords.

Apparemment, ces jeunes ne croupissent pas exactement dans la pauvreté, car une BMW et une Lexus faisaient partie des véhicules d’évasion qu’ils ont utilisés…

Après avoir saisi entre 60 000 et 100 000 dollars de marchandises, l’équipage s’est enfui dans plusieurs voitures, dont une BMW et une Lexus, ont déclaré les flics.

Au moins un garde a été aspergé de gaz poivré, ce qui provoque une violente irritation des yeux et des voies respiratoires chez l’homme. Le gardien a été pris en charge par les ambulanciers.

Comment sommes-nous censés répondre à cela ?

Comme je l’ai dit plus tôt, nous voyons si souvent des vols de cette nature maintenant.

Quelques jours plus tôt, des dizaines de jeunes avaient pillé le magasin Yves Saint Laurent à Glendale

Plus tôt cette semaine, un magasin de conception haut de gamme à Glendale, en Californie, a été pillé par des dizaines de personnes lors d’un autre cambriolage par rassemblement éclair mardi.

Au moins 30 suspects ont « inondé » le magasin Yves Saint Laurent de The Americana at Brand mardi après-midi et ont volé des vêtements et d’autres marchandises avant de s’enfuir à pied et de quitter les lieux dans de nombreux véhicules, a indiqué la police dans un communiqué.

La perte totale est estimée à environ 300 000 $.

Certaines personnes tentent de minimiser la gravité de ces crimes en disant que ces grands détaillants peuvent se permettre les pertes qu’ils subissent.

Non, ils ne peuvent pas.

Dans l’ensemble, les détaillants américains perdront plus de 100 milliards de dollars en raison de vols cette année seulement.

C’est devenu une crise nationale majeure, et comme J. Lee Grady l’a fait remarquer avec justesse, nous sommes vraiment devenus « le pays de la liberté pour tous »…

Vous avez probablement vu les vidéos de voleurs remplissant des sacs poubelles avec des marchandises volées de CVS ou sortant de Home Depot ou de Wal-Mart avec des brassées d’outils, d’ordinateurs portables, de détergent et de chaussures de sport qu’ils n’ont pas payés. Nous avions l’habitude d’appeler cela du vol à l’étalage, et c’était un crime. Aujourd’hui, c’est ce qu’on appelle la « rupture des stocks » et cela coûte aux détaillants des milliards de dollars en pertes. Mais de nombreux politiciens indulgents envers la criminalité traitent les criminels comme des victimes et permettent à la vague de criminalité de se développer.

Certains détaillants verrouillent les articles derrière des vitrines, mais cela n’a pas empêché les criminels sans vergogne qui se contentent de casser et de saisir. D’autres détaillants avertissent en fait les employés de ne pas essayer d’arrêter les voleurs, et ils licencieront même un employé pour avoir affronté un voleur à l’étalage. Bienvenue aux États-Unis en 2023 : nous étions autrefois connus comme le pays du libre [« free » en anglais, qui peut signifier « gratuit »] ; maintenant, nous sommes le pays du « gratuit pour tous » [« free-for-all »], où les criminels peuvent prendre tout ce qu’ils veulent dans les rayons des magasins en sachant que personne ne les arrêtera.

Une grande partie de ce vol est alimentée par la pire crise de la drogue de toute l’histoire de notre pays.

Aujourd’hui, de vastes étendues de la ville de Los Angeles ont été transformées en campements géants de sans-abri remplis de « résidents ressemblant à des zombies qui fument de la drogue »…

De nouvelles photos choquantes montrent la crise dévastatrice des sans-abri qui tourmente le centre-ville de Los Angeles — où des villes de tentes délabrées et sales sont en proie à des résidents ressemblant à des zombies qui fument de la drogue, tandis que d’autres colportent des biens volés au coin des rues.

Il y a actuellement environ 42 260 personnes qui dorment dans la rue dans la Cité des Anges — une augmentation surprenante de 10 % par rapport à l’année dernière, a rapporté la Los Angeles Homeless Services Authority.

Pas plus tard que cette semaine, il est apparu que la ville avait eu recours à l’envoi d’équipes mobiles avec des bouteilles d’oxygène à Skid Row dans une tentative désespérée de prévenir les surdoses au milieu de sa crise paralysante des opioïdes.

La même chose se passe à San Francisco.

En fait, les conditions sont devenues si dangereuses dans le centre-ville de San Francisco que les employés fédéraux qui travaillent au « Nancy Pelosi Federal Building » se voient dire de travailler à domicile dans un avenir prévisible

Des responsables du département américain de la Santé et des Services sociaux ont conseillé à des centaines d’employés de San Francisco de travailler à distance dans un avenir prévisible en raison de problèmes de sécurité publique à l’extérieur du bâtiment fédéral Nancy Pelosi sur la septième rue.

L’imposante tour de 18 étages située au coin des rues Seventh et Mission abrite diverses agences fédérales, dont le HHS, le département américain du Travail, le département américain des Transports et le bureau de la présidente émérite Nancy Pelosi. La région abrite également l’un des marchés de la drogue en plein air les plus flagrants de la ville, où des dizaines de revendeurs et d’utilisateurs se rassemblent quotidiennement.

Je trouve parfaitement approprié que « l’un des marchés de la drogue en plein air les plus flagrants de la ville » fonctionne juste à l’extérieur d’une tour de bureaux géante nommée en l’honneur de Nancy Pelosi.

Des politiciens comme Pelosi ont pris des décisions horriblement mauvaises pendant des décennies, et cela a été un facteur majeur pour nous amener à ce point.

Nous récoltons vraiment ce que nous avons semé, et ce que nous vivons actuellement n’est que le début.

Finalement, les conditions se détérioreront si dramatiquement dans nos noyaux urbains que nos dirigeants seront forcés de mettre en œuvre des mesures extrêmes dans une tentative désespérée de rétablir l’ordre.

Mais en fin de compte, vous ne pouvez pas gouverner un grand nombre de personnes qui n’ont aucune intention d’être gouvernées.

Le tissu de notre société est vraiment en train de se disloquer, et nous allons voir des choses se produire dans les années à venir qui nous choqueront tous complètement.




La prochaine génération est préparée à la destruction — Voici pourquoi elle est vulnérable

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 3 aout 2023 − Source Alt-Market

La semaine dernière, la National Education Association (NEA), le plus grand syndicat d’enseignants des États-Unis, a publié des conseils sur l’utilisation de symboles militants gauchistes dans les salles de classe des écoles publiques. Dans le cadre de ses conseils aux enseignants, elle recommande d’enfreindre les règles du district et de l’État et d’accrocher des objets tels que des drapeaux de la fierté et des drapeaux BLM. Cette pratique est généralement citée comme un moyen de “démarrer une conversation”, un moyen pour les enseignants de contourner les règles de l’école. Ils ne sont peut-être pas en mesure de consacrer chaque jour à des leçons sur les concepts de la guerre, mais si un enfant pose une question sur les drapeaux présents dans la salle, ils peuvent alors fournir un “contexte”.

La NEA a été l’une des principales forces motrices de l’intrusion de l’idéologie “woke” dans le cadre de l’école publique. Environ 97 % de ses collectes de fonds politiques vont aux candidats Démocrates. Elle semble obsédée par la préparation des enfants au bercail gauchiste, avec des leçons axées sur la théorie critique de la race, la propagande sexiste et le socialisme. Si vous voulez savoir d’où vient la soudaine montée du culte de la justice sociale chez les enfants américains, c’est aux enseignants gauchistes et à la NEA qu’il faut s’en prendre.

N’oubliez pas que les syndicats d’enseignants encouragent leurs membres à enfreindre la loi et à perdre leur emploi, dans le seul but d’intensifier l’endoctrinement politique. Contrairement à la croyance populaire, les enseignants n’ont PAS le droit de s’exprimer librement sur leur lieu de travail. Les enseignants “Woke” peuvent se prendre pour Robin Williams dans Le Cercle des Poètes Disparus en luttant contre le système, mais la vérité, c’est qu’ils SONT le système. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles il est nécessaire d’établir des règles de comportement pour les enseignants.

Les enseignants narcissiques sont des parasites qui considèrent la salle de classe comme un lieu où ils doivent s’affirmer. Ils considèrent les enfants de leur classe comme un public captif dont ils peuvent se nourrir pour obtenir de l’attention, de l’admiration et des justifications. Ils considèrent les parents comme des inférieurs et traitent les élèves comme leurs marionnettes personnelles à modeler et à contrôler.

Dans leur esprit, les enfants n’appartiennent pas aux parents, mais à la “société”. Les éducateurs progressistes se considèrent comme les bergers bienveillants choisis par la collectivité pour conditionner les esprits de la prochaine génération. L’enseignement académique est secondaire – fabriquer de nouvelles recrues gauchistes est plus important pour eux. C’est sur cette colline qu’ils ont choisi de mourir et ils ne reculeront pas. Ils ont clairement fait savoir que le ciblage des enfants était leur principale préoccupation.

Il est vrai que la secte “Woke” est en perte de vitesse ces derniers temps. Même les enfants commencent à s’y opposer, avec le plus grand pic de conservatisme parmi les lycéens que les États-Unis aient connu depuis longtemps. Ils en ont assez. Mais il y a certainement de bonnes raisons pour que les gauchistes mettent en place une guerre psychologique contre la jeunesse américaine. Examinons les trois principales raisons…

Raison n° 1 : les jeunes sont les plus vulnérables sur le plan économique

La gauche politique s’appuie sur l’exploitation des disparités économiques pour se maintenir au pouvoir. Plus la situation financière du pays est bonne, moins elle a de moyens de pression pour maintenir la population dans le droit chemin. Ils s’insurgent sans cesse contre des questions telles que “l’inégalité des classes”, mais en réalité, plus l’écart de richesse est grand, plus les gauchistes ont de pouvoir.

La génération Z, par exemple, est convaincue depuis l’enfance qu’elle est née à une époque de désespoir économique historique que les générations qui l’ont précédée n’ont jamais eu à affronter. Beaucoup de ces jeunes ont une vingtaine d’années et viennent de sortir de l’université pour découvrir qu’ils ont un diplôme inutile dans un domaine où les perspectives d’emploi sont faibles, et qu’en plus, ils doivent des dizaines de milliers de dollars de prêts étudiants. Ils ont l’impression d’avoir été escroqués, et d’une certaine manière, ils l’ont été.

Ils ont été nourris d’un discours qui leur dit qu’une fois arrivé à l’âge adulte, ils ont droit à un salaire décent et à de solides perspectives de carrière, et qu’un diplôme universitaire est un billet d’or pour la prospérité. Ils pensent qu’ils sont censés accéder rapidement à la propriété et que la vie s’adapte simplement à leurs besoins. Ils pensent que c’est ainsi que les baby-boomers et la génération X ont vécu, et qu’ils ont reçu les maigres restes d’une époque plus prospère que les générations précédentes ont dilapidée.

C’est un non-sens.

Le fait est que les jeunes de toutes les générations sont économiquement vulnérables simplement parce qu’ils n’ont pratiquement aucune expérience de la vie et qu’ils n’ont pas eu le temps d’accumuler des économies et des biens. La plupart des jeunes d’une vingtaine d’années ne se lancent pas immédiatement dans une carrière, n’achètent pas de maison et ne gagnent même pas un salaire décent. Chaque génération a dû faire face à des difficultés financières. La génération Z n’est pas spéciale.

Mais qu’en est-il de l’inflation ? Qu’en est-il de la crise économique ? Oui, de nombreuses menaces fiscales pèsent depuis plusieurs années et la stagflation rend la vie difficile à tout le monde, pas seulement aux jeunes. Ces conditions ne sont toutefois pas sans précédent.

Les baby-boomers et la génération X ont connu une décennie de crise stagflationniste dans les années 70 et au début des années 80, en même temps que la guerre du Viêt Nam. Mon propre grand-père a perdu des millions dans son entreprise de transport de marchandises en raison de l’explosion des taux d’intérêt au début des années 1980. La plus grande génération a connu la Grande Dépression, la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée. Les jeunes d’aujourd’hui doivent prendre conscience de la réalité et comprendre qu’ils ne savent pas ce qu’est la véritable lutte, du moins pas encore.

Au fond, certains d’entre nous sont nés dans une période d’incertitude. Les générations précédentes ont cherché à relever le défi. La génération Z (et les milléniaux) sont les premières générations à suggérer qu’on leur doit une compensation pour leur inconfort. Il ne s’agit pas de diminuer leurs problèmes, mais de les replacer dans une perspective historique. Les gauchistes utilisent des tactiques de prédation pour attirer les jeunes en prétendant que leur vie est injuste – mais le fait est que la vie est injuste et le sera toujours.

On n’entre pas dans le monde du travail sans compétences, sans expérience et avec un diplôme universitaire sans valeur en s’attendant à une réussite immédiate. On vit d’un salaire à l’autre, on grandit en tant que personne et on finit par trouver sa voie. Si vous êtes intelligent, débrouillard, responsable et prêt à faire des efforts, vous trouverez votre voie. Dans le cas contraire, vous ne méritez pas la prospérité.

Raison n° 2 : Les jeunes adultes sont guidés par le sexe et les impulsions, et non par l’accomplissement.

Je dois préciser que les jeunes du monde occidental sont plus orientés vers le sexe que vers l’accomplissement. Dans de nombreuses autres sociétés, les jeunes sont poussés à rechercher la réussite personnelle AVANT d’avoir des relations, de se marier ou d’avoir des relations sexuelles. Dans les pays occidentaux, le sexe est purement récréatif et constitue la force motrice des adolescents, des jeunes de 20 à 30 ans et des trentenaires. Plus précisément, le sexe sans conséquences.

Je soupçonne que c’est la raison pour laquelle l’innovation, l’éthique du travail et l’excellence académique américaines sont en perpétuel déclin. La technologie a rattrapé une partie du retard en termes de productivité, mais les nouvelles générations semblent être les moins impressionnantes en termes d’ambition et d’excellence. La génération Z ne produira pas d’Albert Einstein, de Richard Feynman, de Kurt Godel, de Nikola Tesla ou même de Steve Wosniak.

La gauche politique est parfaitement consciente de cette dynamique. Elle sait que l’esprit des jeunes est facilement distrait par des pensées de révolution sexuelle, généralement parce qu’ils pensent que cela signifie un accès plus facile au sexe sans responsabilité. Pour cette raison, les adolescents et les jeunes adultes sont plus enclins à soutenir les politiques sexualisées et, ce qui n’est pas surprenant, ils sont plus enclins à soutenir l’avortement. Les gauchistes savent que le sexe fait vendre et que faciliter l’élimination des grossesses non désirées est un moyen de vendre du sexe.

Ce qui est intéressant ces derniers temps, c’est que la gauche politique devient de plus en plus hostile à la sexualité hétérosexuelle. L’amour libre pour tous était le mantra des progressistes, mais ce n’est plus le cas.

La masculinité est désormais dénoncée comme prédatrice et les femmes sont encouragées à considérer les avances masculines comme une menace. La gauche désexualise systématiquement les hétérosexuels. Dans le même temps, elle hyper-sexualise les LGBT, au point que les parades des fiertés sont applaudies pour leurs exhibitions grotesques dans les rues, devant les enfants. Les jeunes hommes hétérosexuels entrent dans un monde de rencontres qui leur dit que s’ils ne s’intéressent pas aux “femmes trans”, ils sont bigots et méchants.

L’objectif est d’amener les jeunes à se rallier aux LGBT, seul endroit où la “liberté” sexuelle est acceptée. Tant que vous ne voulez pas d’enfants ou que vous ne pouvez pas en avoir, l’establishment gauchiste est heureux de promouvoir un monde sans contrainte. Ils parlent souvent de liberté, mais ce qu’ils veulent vraiment dire, c’est l’hédonisme – la recherche du plaisir aux dépens de la conscience et du sens moral.

Raison n° 3 : Les jeunes sont désespérément à la recherche d’un sens à leur vie

Pour ceux qui se souviennent de leur adolescence et de leur vingtaine, il est courant d’être obsédé par son destin personnel presque autant que par le sexe. Dans la société occidentale, on accorde beaucoup d’importance à la célébrité et à l’héritage social. Tout le monde rêve d’être connu, apprécié, d’être à la tête d’un mouvement qui change les choses pour le mieux, de laisser sa marque. La vérité est que, statistiquement parlant, la grande majorité des gens ne feront pas grand-chose pour marquer le monde de la manière dont ils l’imaginent.

L’une des prises de conscience les plus terrifiantes pour l’adolescent et le jeune homme d’une vingtaine d’années est probablement le fait qu’il n’est pas spécial. Ils ne sont pas nés avec une grandeur innée et ne sont pas destinés à devenir des messies. S’ils veulent faire quelque chose d’extraordinaire en tant qu’individus, ils devront travailler dur pour y parvenir. En fait, la plupart des personnes qui accomplissent de grandes choses ne sont pas nécessairement plus intelligentes que le commun des mortels, elles font simplement le travail que d’autres refusent de faire.

Et puis il y a ceux qui font des économies de bouts de chandelle. L’attrait d’un but et d’une attention instantanés n’a jamais été aussi puissant qu’aujourd’hui, à l’ère numérique. Les rebelles sans cause étaient autrefois isolés les uns des autres et donc moins enclins à faire des bêtises. Aujourd’hui, ces personnes sont connectées les unes aux autres en l’espace de quelques microsecondes et peuvent s’organiser en foules abrutissantes en un clin d’œil.

Les gauchistes facilitent la recherche d’un but – vous n’avez rien à accomplir. Vous n’avez pas à lutter ou à persévérer. Vous n’avez pas à être créatif ou inventif. Il n’est pas nécessaire de rivaliser ou de se hisser au sommet de la hiérarchie. Tout ce que vous avez à faire, c’est de détruire. Tout ce que vous avez à faire, c’est de vous tenir au-dessus des structures que d’autres ont construites et de les réduire en cendres. C’est tout. C’est simple.

Un mouvement politique qui n’a pas honte est un mouvement difficile à vaincre, ne serait-ce que parce que le bien et le mal ne sont plus un facteur de participation. Lorsque la justification est fondée sur des sentiments subjectifs, des impulsions et l’enrichissement personnel plutôt que sur la raison et la conscience, il n’y a aucun moyen de dissuader ces militants d’atteindre leurs objectifs. Lorsque la destruction est le seul idéal, la diplomatie et le débat sont impensables. C’est comme essayer de négocier avec une bombe à retardement ou une tumeur au cerveau.

La destruction est la motivation la plus facile pour un mouvement. La création et la conservation sont difficiles. Les gauchistes savent que les jeunes ne sont pas enclins à réfléchir aux dix coups à venir sur l’échiquier. Ils préfèrent jeter l’échiquier par terre et se pavaner ensuite comme s’ils avaient gagné la partie.

Le problème, c’est que si le sens ne se trouve que dans le déraillement et l’incendie, et que l’héritage ne se trouve que dans la vanité, alors l’incendie criminel doit se poursuivre à l’infini. Que se passe-t-il lorsqu’il n’y a plus rien à détruire ? Il n’y a que deux issues possibles : Les gauchistes, dans leur ferveur aveugle, se détruisent les uns les autres, ou bien l’establishment pousse la prochaine génération à construire son propre goulag. Cette dernière solution semble être la finalité des élites progressistes et des globalistes : utiliser les jeunes idiots utiles comme une arme pour introduire de force un bouleversement social massif, puis les enfermer dans un camp d’esclaves et appeler cela Utopie.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La dérive totalitaire contre les enfants

[Source : infovaccin.fr]

La LNPLV ouvre au public l’accès du séminaire de référence sur les enfants dans la dérive totalitaire actuelle, expliqué de manière accessible par des experts : confinements, trahison des adultes, masques, vaccins, sexualisation..

L’association, bien qu’était loin d’avoir pu couvrir les frais occasionnés par l’événement, ouvre à tous le contenu de cet événement, qui pour nous est d’utilité publique.

Vous y trouverez en effet, explicité de manière sourcée et accessible aux profanes, l’ensemble des éléments pour comprendre et expliquer les problèmes dont les enfant sont victimes, et donner des pistes pour y remédier.

Tout parent ou professionnel devrait être conscient du contenu de ce colloque, et son contenu est une synthèse utile et de l’avis général, d’une qualité exceptionnelle.

Présentation de l’événement et des intervenants

Accès au replay

Partie 1, Intoduction, Karine Baillieu et Ariane Bilheran

Partie 2, Régis Brunod et Amandine Lafargue

Partie 3, Senta Depuydt et Nicole Delépine

Partie 4, Cécile Maïchak, Karina Terki et Virginie de Araujo-Recchia

Conférences de Presse

Interviews autour de l’Evénement

Merci à tous ceux qui ont soutenu et permis cet événement, et à tous ceux qui ont agi ou vont agir.




Hiroshima

Falsifier l’Histoire et faire le silence sur les évènements les plus troublants.

[Source : mondialisation.ca]

Par Michel Raimbaud

Par les temps sinistres que nous vivons, où s’affiche sans pudeur la dégénérescence morale, intellectuelle et politique de l’Occident, de ses sociétés et de ses élites, la négation du passé et la réécriture des faits sont devenues, dans les fameuses « grandes démocraties » où l’on prétend dire le droit et guider l’humanité, les deux subterfuges fondateurs du « récit » qui tient lieu de fil conducteur de « l’Histoire ». Résultante de plusieurs siècles d’hégémonie, la posture — ou l’imposture — est apparue dans toute sa splendeur lorsque l’Amérique s’est retrouvée propulsée aux commandes du monde suite au sabordage de l’URSS, il y a plus de trois décennies. Elle allait rapidement s’afficher avec un cynisme relevant de l’indécence pure et simple… L’Occident dit le droit et l’Amérique crée l’Histoire… Ce qui permet aux dirigeants du « camp du Bien » autoproclamé de choisir les urgences prioritaires et d’ordonner les guerres successives « imposées » par les comportements (sic) de la partie non fréquentable de l’humanité, cette « jungle » qui rassemble, excusez du peu, 85 % de la population de notre planète…

Sans vouloir troubler la torpeur de l’été et le farniente des vacanciers en évoquant des malheurs qui pourraient troubler leur bonheur, il me semble plus que légitime de s’inquiéter des bruits de botte, des déclarations martiales, du discours bravache des « experts » et « penseurs » qui écartent toute perspective de négociation, toute allusion à la diplomatie, comme s’il était incongru ou criminel ou impensable d’évoquer, même du bout des lèvres, la moindre alternative à la guerre…

Il est certes à la mode de falsifier l’Histoire et de faire le silence sur les évènements les plus troublants. En notre été où brûle un parfum d’incertitude, ce qui s’est passé au Japon le 6 août 1945, puis le 9 août 1945, ne semble pas vraiment faire recette en Occident, à quelques exceptions près, qu’il convient de saluer à leur juste valeur. Je me permettrai de joindre ma voix à la maigre cohorte du souvenir en soufflant deux mots qui devraient signifier quelque chose pour les hommes et femmes de bonne volonté : Hiroshima, Nagasaki.

Le 6 août1945, à 8 h 15, une « forteresse volante » (autrement dit un avion bombardier) répondant au joyeux nom de Enola Gay largue sur Hiroshima, ville de 350 000 habitants, une bombe nucléaire à l’uranium 235. Cet engin expérimental explose à 600 mètres d’altitude au-dessus du centre-ville. Entre la déflagration et les deux semaines qui suivent, la moitié de la population (150 000 morts et 80 000 blessés) sera exterminée. La ville est rasée à plus de 90 %…

Trois jours plus tard, le 9 août au matin, c’est au tour des 250 000 habitants de Nagasaki d’être ciblés : une bombe au plutonium (subtilement nommée Fat Man, le gros bonhomme) est lancée elle aussi sur le centre-ville et tombe en fait sur la banlieue, faisant 70 000 morts et autant de blessés, démolissant 36 % des bâtiments. Clôturé en 1994, le bilan définitif et global (entre le souffle, les incendies, les radiations, les brûlures et les innombrables effets à terme) fera état de 300 000 morts, dont 187 000 morts pour Hiroshima, et 102 300 victimes pour Nagasaki, tous des civils.

Pourquoi Nagasaki, qui jusque là avait été épargnée ? De source japonaise, on dévoilera le motif particulièrement cynique qui aurait été celui de l’Amérique, déjà si bonne en ce temps-là : la ville avait été épargnée par les bombardements dans le seul but de pouvoir dresser un bilan précis de l’impact de la bombe nucléaire à venir (sic)… Le double bombardement « atomique » était intervenu alors que le Japon était vaincu et essayait d’entrer en pourparlers avec les États-Unis. La capitulation interviendra une semaine plus tard, le 15 août 1945 et sera signée le 2 septembre à Tokyo, devant le Général Douglas Mac Arthur.

Hiroshima est le premier exploit hors normes de l’Oncle Sam au sortir de la grande boucherie de la Seconde guerre mondiale. C’est le lieu d’un massacre de masse entièrement gratuit, qui suscita en son temps l’admiration des populations occidentales enivrées par le rêve américain et ayant pris pour argent comptant la propagande américaine : ayant coupé court aux velléités japonaises, les massacres d’Hiroshima et de Nagasaki auraient mis fin à une plus grande hécatombe… Des chefs militaires américains avaient exprimé leur vive réprobation, notamment le commandant en chef du Corps expéditionnaire allié en Europe, Dwight Eisenhower qui, élu ultérieurement Président des États-Unis, dénoncera les menées clandestines du « complexe militaro-industriel ».

Si le double « essai » n’avait pas suscité beaucoup d’indignation » au sein du « monde libre », ancêtre du sinistre Camp du Bien, c’est que l’on y partageait volontiers le principal objectif de Washington, à savoir intimider les Soviétiques, préfigurant les dérives guerrières à venir de « l’Occident collectif » ? Cette extase face à notre « Leader maximo » ne s’est jamais évaporée, l’épisode gaulliste mis à part et servant de référence nostalgique.

En 2023, « le monde en ébullition », ce slogan écologique à la mode que brandit le Secrétaire Général de l’ONU, ne se référerait-il pas à l’ébullition cérébrale de nos grands esprits qui sans le dire poussent les masses préconditionnées à attendre la guerre comme une fatalité. Le changement climatique est-il la principale menace, dans un monde empoisonné par de nouveaux produits, des médicaments, des déchets radioactifs, etc. déversés sans être testés ? Que dire enfin des guerres et des conflits, leurs morts, blessés et handicapés, les destructions, les bombardements, les armes chimiques, les armes à uranium appauvri ou enrichi, les armes nucléaires, licites quand elles appartiennent aux grandes puissances bienfaitrices si occidentales, tandis qu’elles sont criminelles et diaboliques quand elles sont détenues hors de l’Occident (Russie, Chine, Iran, Inde, Pakistan, Corée du Nord, etc.).

Certains esprits, sûrement malveillants, ont dénombré depuis 1945 environ 400 opérations militaires de l’Occident, des États-Unis essentiellement, qui auraient fait un nombre pharaonique de victimes (invérifiable, mais on ne prête qu’aux riches). On se limitera ici à la centaine d’agressions fomentées par Washington et ses alliés dans le Grand Moyen-Orient, particulièrement ciblé.

Pour le seul Irak, il faudrait compter 200 000 Irakiens pour la première guerre du Golfe (1991) et 1 700 000 pour la période 1991/2001 (dont 500 000 enfants), ainsi qu’un autre million de victimes civiles en vingt ans au titre de la « guerre contre le terrorisme » lancée en vertu de la « doctrine Bush » (de 2001/2002 à nos jours), selon le Strategic Foresight Group (SFG). Le score serait de 220 000 morts en Afghanistan. Le bilan des printemps arabes » (de 2011 à 2021) n’est pas moins impressionnant : 1,5 million de morts et blessés (ou plus) dont 450 000 morts en Syrie et un nombre incalculable de blessés, d’estropiés ou de traumatisés de 2011 à 2021, sans oublier 20 millions de réfugiés et déplacés…

Si l’on prend en considération les guerres du Soudan et du Yémen et les « prolongations » de ces équipées, toujours en cours en 2023 sous la forme des guerres hybrides, sanctions, blocus, embargos et mesures coercitives, imposées par les seuls États-Unis et l’Union Européenne, les opérations de démocratisation et d’assouplissement auraient fait au bas mot plus de quatre millions de morts, et sans doute bien plus.

La menace de guerre nucléaire imminente, sans cesse agitée et banalisée, sans jamais proposer d’alternative, ne s’inscrirait-elle pas dans la continuité des urgences successives qui semblent destinées à assurer la pérennité d’une hégémonie occidentale menacée et contestée ? Comment expliquer autrement le surréalisme cultivé par un Occident agonisant, face à la crise ukrainienne et sur tous les fronts « rebelles », sinon par une peur cachée de l’inconnu qui l’attend lorsqu’il aura déposé son hégémonie au vestiaire ?

Notre ineffable Axe du Bien dispose depuis vingt ans d’un joujou créé en 2005 au temps de sa toute-puissance, la Cour Pénale Internationale, chargée de juger, non les États dérangeants, mais leurs dirigeants. Et il n’y a pas besoin d’avoir le QI d’Einstein pour savoir où se situe actuellement le gisement de coupables potentiels, à ne pas confondre surtout avec les « intouchables », douillettement à l’abri à Washington, à Tel-Aviv et en Occident. À en juger par leurs investigations les plus récentes, nos chasseurs de têtes ne manqueraient-ils pas d’imagination, confirmant un vice de fabrication inhérent à la nature de cette CPI aux ordres ? Pourtant, je ne suis pas loin de penser qu’approche le moment où, sur ce point comme sur tous les autres, il faudra changer de GPS ou de logiciel. Destination Washington et autres capitales de l’Axe du Bien…. Au privilège de leur grand âge, il faudra ménager Joe Biden, « Dubia » Bush et tous les autres consorts avant qu’ils ne s’envolent vers un autre monde et qu’ils n’aient oublié leurs exploits. Qu’ils se rassurent, ils retrouveront tous leurs complices au Tribunal du Ciel ou de l’Histoire, et Saint-Pierre leur dira où aller.

Michel Raimbaud, le 6 août 2023

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Michel Raimbaud, Mondialisation.ca, 2023




Lahaina a été détruite par une arme à énergie dirigée

[Source : greatmountainpublishing.com]

Par Edward Hendrie

Étrangement, les bâtiments qui auraient été détruits par un incendie sont entourés d’arbres intacts par les flammes.

Il y avait des choses étranges à propos du prétendu incendie de forêt à Lahaina, à Hawaï. Notamment, le porte-parole qui a expliqué ce qui s’est passé n’était PAS un responsable des incendies ou quiconque du gouvernement local ayant une connaissance de la lutte contre les incendies ou des urgences. Au lieu de cela, nous trouvons le major général Kenneth Hara, le général commandant de la Garde nationale de l’armée d’Hawaï. Il a déclaré qu’il ne savait pas ce qui avait allumé les incendies. Mais il a estimé qu’une faible humidité et des vents violents « créaient les conditions des incendies de forêt. » C’est un général d’armée ; que sait-il des incendies de forêt ?

Il y a des raisons de remettre en question l’affirmation du général. L’incendie de forêt n’aurait de sens que si une forêt d’arbres entourait la ville de Lahaina. C’est le premier problème de l’histoire. Il n’y a pas de forêt près de la ville. En effet, la photo satellite ci-dessous montre que les arbres les plus hauts près de la ville appartiennent à la ferme de cacao Maui Kuaia Estate. Les cacaoyers sont assez petits et mesurent entre 13 et 26 pieds de hauteur [entre 4 et 8 mètres]. Mais ces arbres sont de l’autre côté d’une autoroute à plusieurs centaines de mètres du bâtiment le plus proche.

Qu’en est-il des arbres dans la ville elle-même ? Il y a beaucoup d’arbres dans la ville. Mais quand on regarde les photos de la ville après le prétendu incendie, on constate que les arbres de la ville sont pour la plupart intacts. Étrangement, les bâtiments qui auraient été détruits par un incendie sont entourés d’arbres intacts.

Il se passe autre chose ici. Cette autre chose est de l’énergie dirigée. Les bâtiments ont été détruits par des armes à énergie dirigée. Celles-ci utilisent des micro-ondes. Elles provoquent la destruction moléculaire des matériaux qui les absorbent. Le bois résiste, car il absorbe très peu le rayonnement micro-ondes. C’est similaire à la façon dont vous pouvez mettre une assiette en carton dans un four à micro-ondes sans craindre qu’elle ne prenne feu. Mais si vous mettez du papier d’aluminium dans ce même four à micro-ondes, il commencera rapidement à faire des étincelles et à s’enflammer.

L’énergie dirigée n’est pas une nouvelle technologie. Des armes à énergie dirigée ont [probablement] été utilisées lors des attaques du 11 septembre contre le World Trade Center. Le livre 9/11 — Enemies Foreign and Domestic détaille les preuves que des armes à énergie dirigée ont été utilisées le 9/11.

Les images ci-dessus et ci-dessous sont tirées d’une vidéo aérienne des incendies de forêt qui auraient détruit la ville de Lahaina, à Hawaï. Les autorités ne savent pas comment ces incendies se sont déclarés. Remarquez que les bâtiments sont rasés, mais que des arbres encore debout entourent les bâtiments détruits. Comment la ville a-t-elle pu être détruite par des incendies alors que les arbres de la ville n’ont pas été touchés par les flammes ? Dans la capture vidéo ci-dessous, on peut voir deux bâtiments complètement rasés, entourés d’arbres non brûlés. Les bâtiments voisins n’ont pas été touchés par les flammes. Il s’agit là d’une preuve flagrante de l’existence d’armes à énergie dirigée.




545 dirigeants responsables devant plus de 300 millions d’Américains

[Source : @quantumleaptraduction]

[Quelques centaines de corrompus et leurs marionnettistes financiers face à des centaines de millions d’impuissants ou d’endormis ? (Une proportion voisine dans les autres nations du monde.)]






Le plan de dépopulation mondiale et sa stratégie

[Source : expose-news.com]

[Illustration : Getty Images]

Les chiffres de Deagel concernant la dépopulation en 2025 sont un objectif et non une estimation. Parce qu’on n’a plus besoin de vous en raison de la naissance de l’intelligence artificielle et que la prochaine étape du plan de l’élite est d’utiliser la propagande de l’ébullition mondiale pour vous convaincre que vous êtes l’empreinte carbone qui doit être éliminée.
Un plan effrayant a été découvert, qui devrait vous choquer au plus haut point.

Depuis des décennies, les puissances mondiales orchestrent une stratégie de dépopulation, dissimulée sous le couvert de crises de santé publique, d’instabilité économique et de préoccupations environnementales.

Aujourd’hui, à l’aube de la révolution de l’intelligence artificielle, que Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, appelle affectueusement la quatrième révolution industrielle, le monde est confronté à un avenir inquiétant.

L’intelligence artificielle étant sur le point de remplacer la main-d’œuvre faiblement rémunérée, la main-d’œuvre humaine, autrefois indispensable, est soudain dépeinte comme le méchant d’une soi-disant saga environnementale qui a été baptisée de nombreux noms :

« Réchauffement de la planète », « Changement climatique » et maintenant même « Ébullition de la planète », comme le Secrétaire général des Nations unies l’a scandaleusement annoncé au monde le 27 juillet 2023 en proclamant à tort :

« Le changement climatique est là. Il est terrifiant. Et ce n’est que le début. »

« L’ère du réchauffement climatique est terminée ; l’ère de l’ébullition mondiale est arrivée. »

« L’air est irrespirable. »

António Guterres, secrétaire général des Nations unies, lors de sa conférence de presse sur le climat.
Source

En réalité, la prétendue crise du changement climatique n’est qu’un autre rouage d’un programme de dépopulation dissimulé, habilement mis au point par les pouvoirs en place.

Et la seule empreinte carbone qu’ils veulent éliminer, c’est vous.

Préparez-vous à vous aventurer au cœur de cette histoire qui fait froid dans le dos, en naviguant dans le labyrinthe des prévisions inquiétantes, des documents ultrasecrets, des politiques stratégiques et de l’histoire du changement climatique qui fait partie d’un grand dessein inquiétant.

Section 1 : Un monde piloté par l’IA et la proposition impensable

L’intelligence artificielle (IA) devient omniprésente et promet un avenir aux possibilités infinies. Mais y aurait-il un revers à la médaille ?
Imaginez un peu :
À mesure que l’IA continue d’évoluer, des millions, voire des milliards d’êtres humains ne seront plus nécessaires pour les emplois quotidiens qui, par construction, sont faiblement rémunérés.
Ils deviendront en fait des « mangeurs inutiles ».
L’establishment n’ayant pas l’intention de payer pour qu’ils vivent, un plan est en cours d’élaboration depuis des décennies, qui consiste à réduire délibérément la population humaine.
Bienvenue dans une vérité qui fait froid dans le dos et qui nous plonge dans les bas-fonds de prédictions inquiétantes et de schémas sinistres que vous ne trouverez pas sur BBC News.

Section 2 : L’oracle de la ruine — Les prévisions de Deagel en matière de dépopulation

Deagel.com est une obscure entité en ligne connue pour ses données exhaustives sur les capacités militaires et ses prévisions sourcilleuses de dépopulation pour 2025.
Nous pouvons révéler que des découvertes récentes relient directement Deagel à des acteurs importants sur la scène mondiale : La Central Intelligence Agency (CIA), le Département de la Défense des États-Unis (DoD) et la Fondation Rockefeller.
Les prévisions apocalyptiques de Deagel en matière de dépopulation pour 2025 annoncent une baisse significative de la population dans différents pays, ce qui suscite un certain malaise compte tenu des données actuelles sur la surmortalité enregistrées dans le monde entier.
Les [tristement célèbres] prévisions de Deagel.com pour 2025 ont été retirées de leur site web au cours de l’année 2020. Toutefois, grâce à la Wayback Machine/Internet Archive, nous pouvons consulter les prévisions originales avant qu’elles ne soient découvertes par des penseurs critiques.
En 2020, Deagel proposait une série de prédictions étonnantes : en 2025, ils prévoyaient que la population du Royaume-Uni diminuerait d’un pourcentage stupéfiant de 77,1 %.

Les États-Unis n’étaient pas loin derrière avec une diminution prévue de 68,5 %. L’Allemagne devrait connaître une réduction de 65,1 %, tandis que l’Australie devrait voir sa population diminuer de 34,6 %. Ces projections ont également mis en évidence des baisses significatives dans de nombreux autres pays occidentaux.

Source

Une liste complète des prédictions apocalyptiques originales de Deagel sur la dépopulation peut être consultée ici.
Nous pouvons confirmer que le Dr Edwin A. Deagle Jr, qui est décédé le 16 février 2021, est la figure de proue confirmée que les autorités voudraient vous faire croire qu’il est le seul à être à l’origine de Deagel.com.
Au cours de sa vie, le Dr Edwin a occupé les fonctions d’assistant du secrétaire à la défense et de secrétaire adjoint à la défense. Il a également été directeur des relations internationales de la Fondation Rockefeller, une influente organisation philanthropique mondiale.
Mais des documents déclassifiés, publiés à la suite de demandes présentées en vertu de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act), révèlent les communications de M. Deagle avec le directeur du renseignement central des États-Unis de l’époque, Stansfield Turner, ce qui prouve l’existence d’une relation avec les hauts responsables de la CIA.
L’un de ces documents, daté de 1977, fait référence à un événement décrit comme « le plus important dans le domaine du renseignement depuis 1947 ».

Source
Source

Le texte intégral de la lettre adressée à Stansfield Turner, alors directeur de la CIA, par Edwin A. Deagle Jr, directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller.

Source
Lettre complète adressée au Dr Edwin A. Deagle Jr,
directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller,
par Stansfield Turner, alors directeur de la CIA.

La CIA a publié 23 articles FOIA concernant le Dr Deagle, la Fondation Rockefeller, le ministère américain de la Défense et l’ancien directeur de la CIA.

Ces informations montrent que Deagel.com n’est pas l’œuvre d’un seul homme, mais qu’il s’agit plutôt d’un effort concerté des principaux éléments du complexe militaro-industriel américain, à savoir la CIA, le ministère américain de la Défense et l’énigmatique Fondation Rockefeller.

Ces liens confèrent une gravité inquiétante aux sombres prédictions de Deagel en matière de dépopulation. Elles soulèvent une question qui devrait vous faire frissonner : pourquoi une organisation, étroitement liée aux structures du pouvoir mondial, prévoit-elle un avenir aussi effrayant ?

Section 3 : Le fantôme de Kissinger et la stratégie de dépopulation

Se référant à un mémorandum rédigé par le général Taylor en 1973, le général Draper et ses collègues ont présenté leur point de vue selon lequel l’explosion démographique dans les pays en développement constituait non seulement une menace pour les intérêts américains en matière d’économie et de développement de ces pays, mais aussi, plus fondamentalement, un danger pour les intérêts politico-militaires des États-Unis.

L’ombre de l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger plane sur ce discours. C’est sous sa direction qu’a été conçu le National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200), connu familièrement sous le nom de « rapport Kissinger ».

« La dépopulation devrait être la plus haute priorité
de la politique étrangère envers le tiers-monde. » — Henry Kissinger

Le rapport, formulé en 1974, a représenté un changement radical dans la politique étrangère américaine, en plaçant le contrôle de la population au premier plan de sa stratégie de sécurité. Son objectif déclaré était de s’attaquer à la croissance démographique dans les pays en développement, mais les machinations qui le sous-tendaient étaient sans doute bien plus sinistres.

Le rapport NSSM 200 identifiait 13 pays considérés comme particulièrement problématiques en raison de la croissance rapide de leur population. Le rapport préconisait des mesures de contrôle de la population et approuvait même l’idée d’utiliser la nourriture comme arme pour faire appliquer ces mesures, donnant ainsi un aperçu d’un état d’esprit déconcertant.

Une analyse complète du rapport Kissinger est disponible ici.

Source

La NSSM 200 et ses implications effrayantes nous amènent à poser la question suivante : se pourrait-il que la même philosophie, l’idée même du contrôle de la population à des fins stratégiques, se soit infiltrée dans le récit du monde d’aujourd’hui ? Et cette philosophie pourrait-elle être à l’origine des forces qui façonnent notre présent et notre avenir ?
Les faits le suggèrent certainement.

Section 4 : Agenda 2030 de l’ONU, écoterroristes, propagande et mensonges : Problème, Réaction, Solution

L’objectif initial présumé de l’Agenda 21 était de parvenir à un développement durable mondial d’ici l’an 2000, le « 21 » de l’Agenda 21 faisant référence à l’objectif initial du 21e siècle.
L’Agenda 2030 des Nations unies, également connu sous le nom d’Objectifs de développement durable, était un ensemble d’objectifs décidés lors du Sommet des Nations unies (« ONU ») sur le développement durable en 2015. L’Agenda 2030 a repris tous les objectifs fixés par l’Agenda 21 et les a réaffirmés comme étant la base du « développement durable ».

L’Agenda 2030 prétend protéger la biodiversité. Mais dans les méandres de ses récits et de ses intrigues secondaires se cache un sinistre scénario pour un monde avec moins d’êtres humains.

Si nous regardons au-delà de la langue de bois qu’ils utilisent pour tenter de vous convaincre qu’ils sont une force pour le bien, nous pouvons voir quels sont leurs véritables objectifs. Les docteurs Michael Coffman et Henry Lamb ont une partie des réponses.

Le Dr Michael Coffman était un auteur, un chercheur, un conférencier et un contributeur fondateur de la lutte contre l’Agenda 21 pour le développement durable. Il a été président de Environmental Perspectives, inc. et directeur exécutif de Sovereignty International.

M. Coffman a joué un rôle crucial dans l’arrêt de la ratification du traité sur la biodiversité au Sénat américain. Il est malheureusement décédé en 2017.

Henry Lamb a été le premier à découvrir l’Agenda 21 et à tirer la sonnette d’alarme. Il a écrit le livre « The Rise of Global Governance, and Agenda 21 ». Il a également produit une série de vidéos sur l’Agenda 21. Celles-ci constituent des outils inestimables pour tous ceux qui veulent savoir d’où vient cet agenda maléfique et pourquoi il faut l’arrêter. Lamb est décédé en 2012.

La conservation de la diversité biologique fait l’objet du chapitre 15 de l’Agenda 21 et a été traduite dans l’Agenda 2030 en tant qu’ODD [Objectif de Développement Durable] 15.

Protéger, restaurer et promouvoir l’utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, stopper et inverser la dégradation des sols et enrayer la perte de biodiversité.

Mais ne vous laissez pas abuser par l’utilisation des mots « conservation », « protéger » et « restaurer », car vous verrez que l’ODD 15 n’a rien à voir avec la conservation. Il n’a pas non plus grand-chose à voir avec la diversité biologique.

Les véritables objectifs de l’ODD 15 sont enfouis dans trois documents fondateurs des Nations unies. Ces trois documents sont le traité sur la biodiversité de 1992, le projet Wildlands de 1992 et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995.

Signée par 150 chefs d’État et de gouvernement lors du Sommet de la Terre de Rio en 1992, la Convention sur la diversité biologique vise à promouvoir le « développement durable ». La Convention sur la diversité biologique est également connue sous le nom de Traité sur la biodiversité.

Si la Convention sur la diversité biologique, le traité sur la biodiversité, avait été signée par le Sénat américain au cours de l’été 1994, elle « aurait imposé une réduction de deux tiers de la population humaine de la Terre en 30 à 50 ans ».

Les États-Unis peuvent remercier le Dr Michael Coffman pour cela. Mais sa contribution au retard dans l’édifice du plan de l’establishment visant à dépeupler la planète a malheureusement été enterrée avec lui en 2017.

Le concept des terres sauvages est principalement l’œuvre de David Foreman, principal fondateur du groupe écoterroriste Earth First ! et ancien membre du conseil d’administration du Sierra Club.

Le groupe utilisait des tactiques d’action directe et, contrairement aux efforts de lobbying prudents des organisations environnementales établies, le « monkeywrenching » (sabotage industriel traditionnellement associé aux luttes syndicales) allait devenir la principale tactique du mouvement Earth First ! dans les années 1980.

Le Earth First! Journal, issu de la lettre d’information Earth First !, était édité par Foreman. Dans son premier numéro, Foreman définit les objectifs de l’organisation :

« Nous ne ferons pas de compromis politiques. Laissons les autres groupes s’en charger. EARTH FIRST exposera la position pure, dure et radicale de ceux qui croient en la Terre d’abord. »

Le journal a confirmé que Earth First ! était un groupe écoterroriste.

En 1990, Foreman a été l’une des cinq personnes arrêtées par le Federal Bureau of Investigation (FBI) à la suite de l’opération THERMCON, au cours de laquelle des agents du FBI ont infiltré un groupe d’Arizona Earth First ! et l’ont encouragé à saboter une ligne électrique alimentant une station de pompage d’eau.

Bien que Foreman n’ait pas joué de rôle direct dans la tentative de sabotage, il a finalement plaidé coupable d’un délit mineur pour avoir remis deux exemplaires d’Ecodefense à un informateur du FBI et a été condamné à une peine avec sursis.

David Foreman de World First!

Le concept inhabituel proposé par le Wildlands Scheme exige une réorganisation radicale de la civilisation humaine. Il s’agit notamment de fermer les mines, de supprimer les routes dans les paysages naturels, d’arrêter l’exploitation du bois et même de déplacer les populations humaines. L’objectif est de remodeler radicalement notre interaction avec l’environnement.

« À la page 15 de The Wildlands Project, Reed Noss affirme que nous devons convertir au moins 50 % de la superficie de l’Amérique du Nord en zones de nature sauvage interdites à l’homme.

« Ces zones centrales de nature sauvage doivent être reliées entre elles par des corridors de nature sauvage interdits à l’homme. Ces zones de nature sauvage doivent être entourées de zones tampons où l’utilisation des ressources peut être limitée, sous la supervision et avec l’autorisation du gouvernement fédéral, en collaboration avec des organisations non gouvernementales. »

« La population humaine doit être réinstallée sur les 25 % restants du territoire dans des communautés qualifiées de “communautés durables”. »

L’organisation environnementale Earth First!, créée en 1980, a inauguré une forme d’action directe pour mettre fin aux menaces perçues pour l’environnement, ouvrant la voie à des groupes modernes tels que Just Stop Oil et Extinction Rebellion.

Tout comme Earth First!, ces nouveaux groupes utilisent des stratégies d’action directe et de désobéissance civile pour sensibiliser l’opinion publique et faire pression sur les gouvernements et les entreprises pour qu’ils s’attaquent aux problèmes environnementaux.

Cependant, alors que les actions de Earth First! se concentraient principalement sur des menaces spécifiques telles que la déforestation et le développement urbain, Just Stop Oil! et Extinction Rebellion opèrent avec un mandat plus large, ciblant des problèmes systémiques tels que la dépendance aux combustibles fossiles et le changement climatique.

Elles visent à transformer radicalement la relation de la société avec l’environnement afin d’atténuer les effets du changement climatique. Cependant, ils partagent tous la même conviction, à savoir la nécessité de prendre des mesures radicales pour préserver et restaurer les écosystèmes de la Terre.

Mais il est extrêmement intéressant de noter qui finance réellement ces groupes. La principale source de revenus de Just Stop Oil provient d’Aileen Getty, l’héritière milliardaire de la fortune de Getty Oil. La Getty Oil Company était une société américaine de commercialisation du pétrole, issue de la grande société pétrolière intégrée fondée par J. Paul Getty.

Le plus grand donateur d’Extinction Rebellion est le milliardaire britannique Sir Chris Hohn, qui gère le fonds spéculatif TCI. Mais TCI a fait une grande partie de sa fortune grâce à un producteur de charbon indien et possède encore aujourd’hui des parts dans trois chemins de fer qui brûlent des tonnes de diesel et expédient des combustibles fossiles. Cela inclut les sables bitumineux, l’une des pires sources de prétendus gaz à effet de serre.

Pourquoi des entités profondément liées à l’industrie du pétrole et du charbon financeraient-elles des groupes qui prônent exactement le contraire, à savoir un monde libéré de la dépendance aux combustibles fossiles ?

Les réponses peuvent être multiples : il s’agit peut-être d’un stratagème astucieux pour paraître plus respectueux de l’environnement, ou peut-être d’une tentative de contrôler le discours et d’influencer la vitesse et la direction de l’inévitable évolution vers des énergies plus « vertes ».

Quelles que soient les motivations, cette étrange alliance met en lumière l’enchevêtrement des intérêts et des influences au sein du mouvement écologiste, laissant entrevoir un tableau bien plus complexe en filigrane.

Mais revenons aux véritables objectifs de l’ODD 15, enfouis dans trois des documents fondateurs des Nations unies.

En 1996, Henry Lamb s’est exprimé au Forum de Grenade. Son discours contenait des révélations sur l’évaluation mondiale de la biodiversité :

« La Convention sur la diversité biologique fait 16 pages. Très fade, extrêmement vague… [Cependant, elle stipule] qu’une Conférence des Parties [‘COP’] doit créer un organe subsidiaire qui produira une évaluation mondiale de la biodiversité… Lors de la première réunion [de la COP tenue en 1994 ou COP1], le Programme des Nations unies pour l’environnement [‘PNUE’] leur a présenté une évaluation mondiale de la biodiversité. »

Le plan visant à « étendre les habitats naturels et les corridors pour couvrir jusqu’à 30 % de la surface terrestre » est ce que l’on appelle aujourd’hui le plan « 30 par 30 ». Ce plan a de nouveau été présenté lors de la COP15 — la conférence de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (“UNCBD”) — qui s’est tenue en décembre 2022, 30 ans après que l’écoterroriste et le porte-parole autoproclamé des oracles l’aient conçu pour la première fois.

30 par 30 est le plus grand accaparement de terres de l’histoire, commercialisé sous le couvert de la « protection de la biodiversité ». Survival International estime que ce plan infâme déplacera environ 300 millions de personnes indigènes dans le monde entier de leurs terres et forêts d’origine au nom de la « conservation ». Ce faisant, il rendra quelques privilégiés extrêmement riches.

Mais le plan en faveur de la biodiversité est plus sinistre que l’appât du gain : il déplace des populations, les entasse dans des centres urbains et leur interdit l’accès à la nature et au monde naturel. L’alternative, comme l’indique l’évaluation mondiale de la biodiversité, est la dépopulation.

Global Biodiversity Assessment, UNEP, 1995, p. 773

Les principaux objectifs de l’ODD 15, une initiative clé des Nations unies, sont subtilement inscrits dans trois de ses documents fondamentaux : le traité de 1992 sur la biodiversité, le projet de 1992 sur les zones sauvages et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995. En reliant ces politiques distinctes, mais interdépendantes, nous découvrons une feuille de route potentielle pour une réduction massive de la population mondiale.

Pris ensemble, ces documents brossent un tableau déconcertant. Sous le noble couvert de la conservation de la biodiversité, on pourrait interpréter ces initiatives comme un plan graduel et systématique visant à limiter les populations humaines, le tout sous les auspices de la protection de notre planète.

Une planète qui serait entrée dans une ère d’« ébullition globale » où « l’air est irrespirable », selon le secrétaire général de l’ONU António Guterres.

Secretaire Général de l’ONU : António Guterres

Les techniques classiques de propagande entrent ici en jeu, en particulier l’appel à la peur, qui est une méthode puissante pour influencer l’opinion publique et susciter des changements de comportement.

L’appel à la peur fonctionne en présentant une menace suffisamment grave pour inquiéter le public, puis en proposant une recommandation spécifique pour atténuer cette menace. Dans le cas présent, la menace présumée est l’« ébullition mondiale » et l’« air irrespirable ».

Un langage aussi vif et dramatique génère une anxiété immédiate quant à l’état de notre planète et à notre survie sur celle-ci. Et ce, même s’il s’agit de mensonges éhontés.

Une fois que le public est suffisamment préoccupé par la menace, le propagandiste peut alors présenter l’action recommandée. Dans ce cas, il peut s’agir de politiques climatiques agressives, de changements de mode de vie ou peut-être, comme le suggère l’objet de notre enquête, d’un plaidoyer en faveur d’une réduction de la population mondiale afin de diminuer l’impact de l’homme sur l’environnement.

Ces déclarations extrêmes créent un récit qui fait apparaître l’action souhaitée non seulement comme raisonnable, mais aussi comme absolument nécessaire à la survie. Le public, poussé par la peur et le désir de sécurité, est plus enclin à accepter cette « solution », même si elle implique des changements ou des sacrifices drastiques.

Malheureusement, ces mesures incluront le contrôle de la population/dépopulation, déguisé en réponse vitale à la fausse crise climatique.

Section 5 : Les documents confidentiels de Pfizer : Un regard sur ce que la FDA a essayé de cacher

Attachez vos ceintures, car notre enquête ouvre maintenant une boîte de Pandore : les documents classifiés de Pfizer sur son vaccin à ARNm Covid-19.

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté de retarder de 75 ans la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer, bien qu’elle ait approuvé l’injection après seulement 108 jours d’examen de la sécurité le 11 décembre 2020.

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages à la fin du mois de janvier.

Depuis, le PHMPT a publié tous les documents sur son site web.

L’un des documents contenus dans le dumping de données est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf », et il révèle ce qui suit :

90 % des femmes enceintes vaccinées par Covid ont perdu leur bébé

Pfizer indique dans le document qu’au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse.

Source — Page 12

Compte tenu du fait que les organismes de réglementation médicale, les médecins et les sages-femmes ont contraint les femmes enceintes à recevoir le vaccin Covid-19 en affirmant qu’il était sûr à « 100 % », il est extrêmement préoccupant de constater que Pfizer déclare que sur les 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse, ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé dans 238 d’entre eux.
Mais voici les résultats connus des grossesses restantes :

97 % de tous les résultats connus de la vaccination Covid-19 pendant la grossesse se sont soldés par la perte de l’enfant.

Mais si l’on inclut les 5 cas pour lesquels le résultat était encore en suspens, on obtient 82 %. Cela équivaut donc à une moyenne d’environ 90 % entre les chiffres de 82 % et de 97 %.

Pfizer et les autorités médicales ont caché les dangers de la vaccination par Covid-19 pendant la grossesse, une étude animale ayant révélé un risque accru de malformations congénitales et d’infertilité.

L’étude peut être consultée dans son intégralité ici et est intitulée « Absence d’effets sur la fertilité des femelles et le développement prénatal et postnatal de la progéniture chez les rats ayant reçu le BNT162b2, un vaccin Covid-19 à base d’ARNm ».
L’étude a été réalisée sur 42 rats Wistar Han femelles. Vingt et un ont reçu l’injection de Covid-19 de Pfizer, et 21 n’ont pas reçu l’injection.
Voici les résultats de l’étude :

Source

Le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe témoin était de 3/3 (2,1). En revanche, le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe vacciné était de 6/12 (8,3). Par conséquent, en moyenne, le taux d’occurrence était 295 % plus élevé dans le groupe vacciné.

Les côtes surnuméraires, également appelées côtes accessoires, sont une variante peu courante de côtes supplémentaires provenant le plus souvent des vertèbres cervicales ou lombaires.

Cette étude a donc mis en évidence des anomalies dans la formation du fœtus et des malformations congénitales causées par l’injection du Covid-19 de Pfizer.

Mais les résultats anormaux de l’étude ne s’arrêtent pas là. Le taux de « perte préimplantatoire » dans le groupe de rats vaccinés était deux fois plus élevé que dans le groupe témoin.

Source

La perte préimplantatoire désigne les ovules fécondés qui ne s’implantent pas. Cette étude confirme donc que l’injection de Covid-19 de Pfizer réduit les chances d’une femme de tomber enceinte. Elle augmente donc le risque d’infertilité.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires.

Une autre étude, qui figure dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été contrainte de publier sur injonction judiciaire, a été réalisée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

Chaque rat a reçu une dose intramusculaire unique de l’injection de Covid-19 de Pfizer, puis la teneur et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminées à des moments prédéfinis après l’administration.

En d’autres termes, les scientifiques qui ont mené l’étude ont mesuré la quantité de l’injection de Covid-19 qui s’est répandue dans d’autres parties du corps telles que la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

Mais l’une des conclusions les plus inquiétantes de l’étude est que l’injection de Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

Dans les 15 premières minutes suivant l’injection du vaccin Pfizer, les chercheurs ont constaté que la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml. Cette concentration est ensuite passée à 1,34 ml après 1 heure, à 2,34 ml après 4 heures et à 12,3 ml après 48 heures.

Les scientifiques n’ont toutefois pas mené d’autres recherches sur l’accumulation après une période de 48 heures, de sorte que nous ne savons tout simplement pas si cette accumulation inquiétante s’est poursuivie.

Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland, que l’on peut consulter ici, offrent quelques indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

Les chiffres relatifs au nombre de personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne 2017-2019.

Cancer ovarien — Source

Le graphique ci-dessus montre les chiffres jusqu’en juin 2021, mais les graphiques trouvés sur le tableau de bord de Public Health Scotland [Santé publique d’Écosse] montrent maintenant les chiffres jusqu’en mai 2022, et révèlent malheureusement que l’écart s’est encore creusé avec le nombre de femmes souffrant d’un cancer de l’ovaire qui a augmenté de manière significative.

Une analyse complète des documents de Pfizer peut être lue ici, mais un résumé des conclusions est présenté ci-dessous :

Dans les documents de Pfizer obtenus grâce aux demandes de la loi sur la liberté d’information (FOIA), on trouve des détails notables concernant l’impact du vaccin pendant la grossesse et son accumulation dans les ovaires.

1. Risques liés à la grossesse : Les documents révèlent un taux inquiétant de fausses couches et de morts fœtales chez les femmes enceintes ayant reçu le vaccin Covid-19. Il est confirmé qu’un pourcentage significatif de femmes vaccinées pendant la grossesse ont perdu leur bébé.

2. Accumulation d’ovaires : Les documents confidentiels de Pfizer révèlent également que le vaccin s’accumule dans les ovaires, ce qui suscite des inquiétudes quant aux effets potentiels sur la fertilité des femmes.

Si l’on examine les données réelles, certaines observations semblent correspondre aux conclusions de ces documents :

– Augmentation des cas de cancer de l’ovaire : Les données post-vaccination en provenance d’Écosse montrent une augmentation des cas de cancer de l’ovaire à des niveaux jamais atteints. La question de savoir si cette augmentation est directement imputable à la vaccination est encore à l’étude.

– Taux de mortalité des nouveau-nés : L’Écosse a également connu un niveau critique de décès de nouveau-nés à deux reprises sur une période de sept mois.

Source

– Risque de fausse couche : Une étude de données réelles suggère que la vaccination Covid-19 augmente le risque de fausse couche d’au moins 1 517 %.

Ce résumé ne présente qu’un infime pourcentage des préoccupations soulevées dans les documents confidentiels de Pfizer et des données réelles qui étayent les conclusions.

Les révélations malvenues concernant les effets néfastes sur la grossesse et les dommages potentiels aux ovaires font dresser les cheveux sur la tête. Associées à l’augmentation des taux de cancer de l’ovaire et de mortalité néonatale, elles suggèrent que cette campagne de vaccination est plus complexe qu’il n’y paraît.

En effet, ces résultats contiennent à eux seuls suffisamment d’éléments pour conclure que la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation.

Section 6 : La grande remise à zéro — un Nouvel Ordre Mondial ?

C’est là qu’intervient Klaus Schwab, l’énigmatique fondateur et président exécutif du Forum économique mondial. Schwab est un visionnaire qui a élaboré un plan baptisé « Grande Réinitialisation » ou « Quatrième révolution industrielle ». Sa vision laisse entrevoir un monde où l’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation occuperont le devant de la scène, dépassant et surpassant les capacités humaines dans de nombreux secteurs.

La vision de Schwab est celle d’un monde où les machines, grâce à leur efficacité infatigable, remplacent des millions d’emplois. Dans ce monde, les machines ne se fatiguent pas, ne tombent pas malades et ne demandent pas d’augmentation de salaire.

En substance, Schwab envisage un avenir où le besoin de main-d’œuvre humaine faiblement rémunérée est considérablement réduit, ce qui nous amène à reconsidérer nos rôles dans une société dominée par l’IA.

À ce stade, vous vous demandez peut-être quel est le lien avec les inquiétantes prédictions de Deagel en matière de dépopulation.

La mise à l’écart des humains par l’IA entraîne-t-elle une réduction du « stock » humain, et est-ce là ce que les chiffres inquiétants de Deagel laissent entrevoir ?

Les points semblent se rejoindre, créant une ligne de spéculation surprenante.

Les progrès de l’IA et de l’automatisation, un programme fortement encouragé par des personnalités influentes telles que Klaus Schwab, pourraient-ils être le prélude à une stratégie de dépopulation ? Sommes-nous en train de nous diriger vers un monde qui n’a plus besoin d’humains en grand nombre ?

Section 7 : Le récit du changement climatique — un jeu de miroir et de fumée ?

En épluchant les couches de ce récit troublant, un thème provocateur émerge du discours dominant : le dioxyde de carbone, le gaz que chacun d’entre nous émet à chaque respiration, a été présenté comme le principal adversaire de la santé de la Terre.

Ce récit pourrait-il insinuer subtilement une vérité plus dérangeante ? L’« empreinte carbone » souvent mentionnée est-elle en fait une référence voilée à notre existence en tant que « problème » ?

Ce chemin que nous avons soigneusement démêlé indique un scénario troublant d’une réalité amère à laquelle l’establishment a décidé que nous étions destinés à faire face.

En guise de conclusion, une question déconcertante se pose : dans l’ère imminente dominée par l’intelligence artificielle, la race humaine pourrait-elle être la victime ultime ? L’avènement de l’IA, considéré comme l’aube d’une nouvelle révolution industrielle, est-il inextricablement lié à une stratégie globale visant à réduire la population humaine ?

La logique est d’une simplicité effrayante : l’IA et l’automatisation prenant en charge les tâches laborieuses, la demande de main-d’œuvre humaine diminue drastiquement. La « Grande Réinitialisation » pourrait-elle donc être en réalité une « grande réduction » du nombre d’êtres humains ?

Nous sommes à l’aube d’un avenir qui défie les paradigmes traditionnels. Pourrions-nous, sans le savoir, ouvrir la voie à notre propre perte, poussés par la vision du progrès ?

Avec Deagel.com, une plateforme influencée par des entités telles que la CIA, le ministère de la Défense et la Fondation Rockefeller, qui fournit des prévisions alarmantes de dépopulation pour 2025, il semble que nous nous rapprochions à grands pas de cet avenir.

En effet, les données actuelles sur la surmortalité en Occident suggèrent fortement que les prévisions de Deagel en matière de dépopulation ne sont pas seulement une estimation, mais qu’il s’agit en fait d’un objectif qui est en passe d’être atteint, en partie grâce aux effets mortels de la vaccination Covid-19.

Source

Au terme de cette exploration de l’impensable, considérons ceci : le dioxyde de carbone — un gaz que nous exhalons [et que les plantes utilisent pour la photosynthèse] — est présenté comme l’ennemi juré de la planète.

Est-il possible que nous soyons amenés à accepter une dure vérité : pour réduire notre empreinte carbone, nous devons réduire notre empreinte humaine ?

L’histoire que nous avons décrite brosse un tableau inquiétant. Mais s’agit-il d’une théorie du complot farfelue ou d’une vérité dérangeante ? Seul l’avenir nous le dira. En guise de conclusion, nous vous laissons réfléchir à une idée qui fait froid dans le dos : dans un monde où l’IA règne en maître, l’humanité sera-t-elle le prix à payer ? Préparez-vous à un avenir tout sauf ordinaire.




France — Après la dissolution de Civitas, une députée Renaissance suggère de dissoudre LFI pour lutter contre l’antisémitisme : la polémique

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Jean-Luc Mélenchon. (Photo : LIONEL BONAVENTURE/AFP via Getty Images)]

Par Etienne Fauchaire

Dans la foulée de la procédure de dissolution engagée par le ministre de l’Intérieur contre le parti catholique traditionaliste Civitas pour antisémitisme, la députée de Paris Caroline Yadan a suggéré de dissoudre également La France Insoumise, scandalisant ainsi la gauche.

« L’antisémitisme n’a pas sa place dans notre pays. » : lundi 7 août, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé saisir le Procureur de la République d’une part et, d’autre part, engager la dissolution de Civitas, en raison du discours tenu par l’essayiste Pierre Hillard lors de l’université d’été du parti catholique traditionaliste, en juillet.

Retour sur la polémique

Une mesure qui fait suite à un extrait vidéo de son intervention partagée par le compte Twitter/X « Jugé coupable », dans laquelle le docteur en sciences politiques dit : « En septembre 1791, vous avez eu un évènement : la naturalisation des juifs. Avant 1789, un juif, un musulman, un bouddhiste, etc. ne pouvaient pas devenir français. Pourquoi ? Parce que c’étaient des hérétiques. Et la naturalisation des juifs en 1791 ouvre la porte à l’immigration. Parce qu’à partir du moment où vous donnez la nationalité française aux juifs, tôt ou tard, on ne pouvait pas la refuser aux bouddhistes, aux musulmans, etc. Lorsqu’Éric Zemmour parle avec justesse d’invasion migratoire, il oublie de dire que ce sont ses coreligionnaires qui ont ouvert les portes de l’immigration. Et évidemment si on rétablit les lois de catholicité et qu’on fait du catholicisme traditionnel la religion d’État, peut-être faudrait-il retrouver la situation d’avant 1789. »

Des propos qui ont rapidement embrasé la toile. « Ces gens agissent depuis des années sans souci, contre l’IVG, contre les droits des femmes, des personnes LGBT… Plus récemment, Civitas était à la manœuvre à Saint-Brevin et à Callac contre des centres d’accueil de réfugiés. Pas étonnant. À vomir », a fustigé par exemple la députée LFI Nadège Abomangoli, à l’instar du chef de file LFI Jean-Luc Mélenchon : « En France en 2023, quelqu’un demande de revenir sur la nationalité et citoyenneté française des juifs décidées par la grande Révolution de 1789 ! L’antisémitisme doit être puni sans faiblesse. Que fait Darmanin ? ».

« Allô Gérald Darmanin, c’est quand la dissolution de Civitas qui appelle à déchoir les juifs et musulmans de la nationalité française ? », s’est également écrié sur Twitter/X Cemil Şanlı, journaliste au Média, comme son confrère Didier Maïsto : « Depuis que les chaînes d’info invitent n’importe qui pour déverser sa haine, beaucoup se désinhibent totalement. Parce qu’il est là, le fond du problème ». De son côté, Edwy Plenel, président de Mediapart, a chargé Gérald Darmanin en taclant : « Ce serait encore mieux s’il était lui-même au clair sur le sujet », relayant une vidéo sur France 5 en mars 2021 dans laquelle il accuse le ministre de l’Intérieur d’avoir relayé dans son livre Le Séparatisme islamiste les « pires clichés antisémites » véhiculés par Napoléon Bonaparte dans le cadre de sa politique d’intégration des juifs à la nation française.

D’autres personnalités à droite ont également sévèrement critiqué l’intervention de Pierre Hillard : « Le cadavre puant de l’extrême droite antisémite bouge encore. Avocats Sans Frontières va se le faire », a, par exemple, tonné Gilles-William Goldnadel. Dans un article paru sur le Courrier des Stratèges, l’historien Édouard Husson note, pour sa part, « l’accumulation d’erreurs historiques en moins d’une minute ». Ce dernier fait valoir que l’intégration des juifs avait été lancée par Louis XVI, que des protestants ont servi les rois, même après la révocation de l’Édit de Nantes, que l’expression « lois de catholicité » est inconnue de l’Ancien Régime, ou encore que les rois de France depuis François Ier se sont opposés au catholicisme d’État par refus de reconnaître l’autorité pleine du Pape dans un certain nombre de domaines de la vie de l’Église de France.

Sur Twitter/X, répondant au tweet de Jean-Luc Mélenchon, Pierre Hillard a, lui, ouvertement soupçonné Christian Bouchet, auteur nationaliste et ami du théoricien russe Alexandre Douguine, d’être à la manœuvre derrière cette polémique : « S’appelant lui-même “Frater Marcion” Bouchet est un haut initié de Memphis-Misraïm, qui a prétendu être le chef de l’OTO. Memphis appartenant au Grand Orient de France, comme Mélenchon. Curieux, aucun tweet pour vous réjouir du bon timing, « Frère » Christian Bouchet ? » Les deux hommes s’étaient pris à partie plus tôt sur le réseau social à propos des critiques de Pierre Hillard à l’encontre d’Alexandre Douguine, décrit comme un proche de Poutine et du Kremlin, que l’essayiste a accusé en juillet d’avoir des affinités avec « l’occultisme ».

Pour Pierre Hillard, les grands évènements de l’histoire, comme la Révolution française ou la Révolution bolchévique, sont influencés par les juifs, mais aussi les non-juifs imprégnés de la pensée maçonnique, « héritée de la synagogue talmudique qui est l’essence même de la Révolution », expliquait-il en 2017 sur Facebook, rapporte Libération. Ce jusqu’à la guerre entre la Russie et l’Ukraine qui, avance-t-il, « est une guerre de clans juifs », anglo-saxon et russe. L’essayiste estime en effet que Vladimir Poutine est contrôlé par le mouvement juif des Loubavitch et que le président russe désire, comme les Atlantistes, une « numérisation du monde complète, d’où la volonté de mettre en place des monnaies numériques. La figure de proue est la Chine et le deuxième pays à la pointe est la Russie de Poutine ». « C’est une guerre entre factions » qui s’affrontent entre elles pour obtenir la tête de la gouvernance mondiale, estime-t-il.

Quant à Civitas, l’organisation catholique traditionaliste a indiqué sur le réseau social soupçonner derrière l’annonce de sa dissolution un lien avec une vidéo de son président, Alain Escada, dans laquelle ce dernier parle de « pédocriminalité et rites sataniques parmi les élites ».

Dissoudre La France Insoumise pour lutter contre l’antisémitisme

Après l’annonce de Gérald Darmanin relative à la dissolution du mouvement catholique Civitas, Jean-Luc Mélenchon s’est félicité que le ministre « donne une réponse claire à l’interpellation des insoumis et de la Licra ». Et d’ajouter : « L’antisémitisme va être puni. Civitas sera dissout et le procureur de la République est saisi des propos de Pierre Hillard. »

Sauf que : interpellant le leader de La France Insoumise, l’élue de Paris (Renaissance) Caroline Yadan en a profité pour suggérer… de dissoudre également le parti d’extrême gauche. « Magnifique récupération de Jean-Luc Mélenchon. […] Et la dissolution de LFI pour lutter contre l’antisémitisme, c’est une idée aussi, non ? » a-t-elle lancé, ironique, sur Twitter/X.

De quoi susciter, mardi 8 août, l’émoi de plusieurs élus LFI et du patron du Parti socialiste, Olivier Faure. L’eurodéputée LFI Manon Aubry a ainsi étrillé cette « conception de la démocratie », en se demandant « où sont tous les défenseurs de la République ». « Ils se drapent dans les habits de grands démocrates, mais marchent ensemble vers l’arc réactionnaire, celui du parti unique », a renchéri le député mélenchoniste Thomas Portes, qui avait apporté son soutien au dirigeant de la CGT interpellé après des insultes antisémites contre Éric Zemmour en juin. Aymeric Caron, député LFI de Paris et voisin de circonscription de Caroline Yadan, a encore jugé que sa collègue macroniste « instrumentalise sans cesse la lutte contre l’antisémitisme pour salir (ses) adversaires politiques », la qualifiant de « honte pour la vie politique de ce pays ». Pour sa part, Olivier Faure a interpellé la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et le président du groupe Renaissance dans l’hémicycle, Sylvain Maillard, en les mettant en garde contre leur « silence » qui cautionnerait selon lui les propos de Caroline Yadan.

La France Insoumise et Jean-Luc Mélenchon font régulièrement l’objet d’accusations d’antisémitisme. Mi-juillet, le président du conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) Yonathan Arfi avait même accusé le triple candidat malheureux à la présidentielle de se « compromettre loin du pacte républicain », en estimant que « les porte-voix de La France Insoumise (faisaient) davantage partie du problème que de la solution ». En réaction, Jean-Luc Mélenchon avait répliqué à son tour en accusant le Crif d’être « d’extrême droite ».




Comprendre les neuf voiles qui recouvrent l’humanité

[Source : fr.sott.net]

Par A. True Ott, PhD
shiftfrequency.com

« Quatre-vingt-dix pour cent de toute l’humanité vivra et mourra sans avoir levé le premier voile »

Don Harkins

Il y a une dizaine d’années, mon grand ami et collègue Don Harkins a écrit un article intitulé « L’esclavage et les huit voiles », qui donne profondément matière à réflexion.

Avant sa mort prématurée, nous avons littéralement passé des heures à discuter de cette « théorie des huit voiles », et Don a fini par me demander d’écrire un article à ce sujet pour son journal, The Idaho Observer. S’il l’a fait, c’est parce que j’avais partagé une grande partie de mes recherches avec lui, et que nous en étions arrivés à la conclusion qu’en réalité, NEUF voiles recouvraient l’âme humaine (c’est-à-dire l’intelligence), et que toute progression spirituelle, et donc une pleine connaissance de LA VÉRITÉ, nécessitait de lever ces Neuf Voiles.

Pour plaisanter, je lui avais répondu que même en y consacrant un numéro entier de The Idaho Observer, on ne ferait qu’effleurer le sujet. C’était l’un des talents éditoriaux de Don — prendre un thème complexe et le condenser en un format plus lisible. En mémoire de Don Harkins, voici l’article auquel nous avions songé, sous la forme la plus concise possible.

Pourquoi neuf voiles et non huit

Tout chercheur de vérité consciencieux finit par tomber sur l’incroyable structure symétrique des mathématiques, ce qui est particulièrement vrai dans la géométrie fractale impliquant les nombres entiers de 1 à 9. En guise d’exemple relativement simple, regardez ces neuf équations :

(1×8) + 1= 9

(12 x 8) + 2 = 98

(123 x 8) + 3 = 987

(1234 x 8) + 4 = 9876

(12345 x 8) + 5 = 98765

(123456 x 8) + 6 = 987654

(1234567 x 8) + 7 = 9876543

(12345678 x 8) + 8 = 98765432

(123456789 x 8) + 9 = 987654321

Incroyable, n’est-ce pas ? Par ailleurs, il est particulièrement intéressant que tous les grands philosophes de l’histoire tels Archimède, Copernic, Socrate et Léonard de Vinci étaient avant tout des mathématiciens.

Je suggère que tout — des prophéties bibliques aux brins d’ADN — est construit et basé sur des formules et des modèles mathématiques assez simples. Mais je brûle les étapes par rapport à la suite de l’article, car comprendre le rôle des mathématiques constitue en soi l’un de ces neuf voiles cachés.

Considérez également ce qu’on appelle les « écoles des mystères » de l’Antiquité. Dans les temples obscurs de Sumer et de Babylone, la Kabbale montrait le chemin vers l’ultime « Saint des Saints » — les révélations (c’est-à-dire la séparation des voiles) de la vie, de la création, de Dieu et, si l’on se montrait suffisamment digne et sincère, les origines mêmes de l’Homme. Pour cela, il fallait systématiquement appréhender et adopter 9 niveaux de compréhension ou « plateaux de vérité » avant de pouvoir atteindre le « Nirvana » (ou l’unité ultime avec Dieu), tel que le décrivent les « tapis de loge » modernes.

À l’instar d’un Sudoku géant, l’expérience humaine que nous appelons la vie évolue véritablement autour des nombres 1 à 9 de mille manières tout à fait remarquables. Tout a sa place dans le système et s’intègre parfaitement et précisément dans la grille éternelle du temps et de l’espace.

Ce n’est donc qu’une définition de la vérité parmi d’autres — une connaissance secrète ésotérique qui s’intègre parfaitement dans la grille mathématique que l’on appelle logique. Comme le disait Yeshua (alias Jésus de Nazareth) à ses disciples : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira ».

Pourquoi les gens ne parviennent-ils pas à voir la vérité ?

Ce sont les sages paroles de Don Harkins, écrites en 2001, qui répondront le mieux à cette question :

« Au cours des dernières années, j’ai élaboré et rejeté plusieurs théories pour tenter d’expliquer pourquoi la plupart des gens ne parviennent pas à voir la vérité, même lorsqu’elle les frappe au visage. Nous qui voyons « la conspiration »ne cessons de discuter de la frustration que nous ressentons face à l’incapacité de la plupart des gens à comprendre les arguments extrêmement étayés qui nous permettent de décrire le processus de notre asservissement et de notre exploitation collectifs. L’explication la plus courante à laquelle on aboutit est que la plupart des gens « ne veulent tout simplement pas voir » ce qui se passe réellement.

Des hommes et des femmes extrêmement pervers qui forment une puissante élite mondiale ont intelligemment cultivé un pâturage virtuel dont l’herbe est si verte qu’il devient rarissime que des gens prennent la peine de lever les yeux suffisamment longtemps pour remarquer les étiquettes aux couleurs vives agrafées à leurs oreilles.

Ces mêmes personnes qui ne parviennent pas à voir qu’elles sont esclaves de ces verts pâturages ont tendance à considérer que ceux d’entre nous qui voient au-delà de la ferme jusque dans le petit salon du château du seigneur féodal sont des « complotistes » déments.

Enfin, je comprends pourquoi.

Ce n’est pas que ceux qui ne voient pas qu’une puissante élite leur enlève leur liberté « ne veulent pas le voir » — ils ne parviennent tout simplement pas à le voir à cause des voiles qui obstruent leur champ de vision.

Toutes les activités humaines constituent un processus de filtration. Le sport en est l’un des meilleurs exemples. Nous pratiquons des sports spécifiques jusqu’à ce que nous soyons expulsés du terrain. Les athlètes professionnels grassement payés pour être regardés ne se font jamais expulser. Des millions d’enfants concourent pour la petite ligue chaque printemps et sont peu à peu éliminés jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que 50 qui participeront à la Série mondiale en octobre.

Derrière le premier voile, il y a plus de sept milliards de personnes sur la planète. La plupart d’entre elles vivent et meurent sans avoir sérieusement envisagé autre chose que ce qui est nécessaire à leur quotidien.

Quatre-vingt-dix pour cent de toute l’humanité vivra et mourra sans avoir levé le premier voile.

On peut effectivement dire que moins de 1 % des 7 milliards d’êtres humains de la planète lèveront les neuf voiles, et il semblerait que même cette petite minorité ne cesse de diminuer. Afin que le « pâturage virtuel » reste vert, l’élite mondiale réussit également à corrompre de nombreuses personnes qui ont levé de multiples voiles dans le but d’égarer ceux qui pourraient se rapprocher de la vérité dans de nombreux domaines. J’appelle tout bonnement cela de la prostitution intellectuelle — vendre le droit imprescriptible à la Vérité Universelle pour un pot-de-vin dérisoire. Les paillettes dorées de la richesse, de la renommée et de l’élévation sociale ont séduit plus d’un intellectuel de talent.

En hommage à Don Harkins, voici maintenant la nouvelle version des « neufs voiles ».

Le premier voile : Dix pour cent d’entre nous lèveront le premier voile et découvriront le monde de la politique. Nous voterons, deviendrons actifs et nous forgerons une opinion. Nos opinions seront façonnées par le monde physique qui nous entoure ; nos années passées sur les bancs de l’école nous auront « conditionnés » à accepter que les représentants du gouvernement, les personnalités des chaînes de télévision et autres « experts » soient les principales voix de l’autorité. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le deuxième voile.

Le deuxième voile : Dix pour cent d’entre nous lèveront également le deuxième voile pour explorer le monde de l’histoire, de la relation entre l’homme et le gouvernement et ce que signifie l’autonomie politique garantie par le droit constitutionnel et la loi. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le troisième voile.

Le troisième voile : Dix pour cent de ceux qui lèvent le deuxième voile finiront par lever le troisième pour découvrir de manière probante que les ressources du monde, y compris les personnes, sont contrôlées par des familles extrêmement riches et puissantes dont les sociétés d’antan sont devenues, grâce aux stratégies d’extorsion modernes, la cause de l’endettement actuel de toute l’économie mondiale. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le quatrième voile.

Le quatrième voile : Dix pour cent lèveront alors le quatrième voile pour découvrir les Illuminati, la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes. Ces sociétés recourent à des symboles et accomplissent des cérémonies qui perpétuent les transferts générationnels de connaissances ésotériques utilisées pour maintenir les gens ordinaires dans une servitude politique, économique et spirituelle vis-à-vis des plus anciennes lignées de la terre. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le cinquième voile.

Le cinquième voile : Dix pour cent progresseront et lèveront le cinquième voile pour apprendre que les sociétés secrètes sont si avancées technologiquement que le voyage dans le temps et les communications interstellaires n’ont pas de frontières, et que leurs membres contrôlent les pensées, voire les actes des gens, avec autant de désinvolture que nous disons à nos enfants d’aller au lit. Comme au temps de Noé, cette technologie crée même des formes de vie synthétiques, alors que l’homme cherche à supplanter Dieu. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le sixième voile.

Le sixième voile : Dix pour cent progresseront pour lever le sixième voile où nous apprenons que les dragons, les lézards et les extraterrestres que nous prenions pour des monstres fictifs de la littérature enfantine sont bien réels, et qu’ils sont en réalité les véritables forces de contrôle à l’œuvre derrière les sociétés secrètes dévoilées en soulevant le quatrième voile. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans lever le septième voile.

Le septième voile : Dix pour cent progresseront pour lever le septième voile où le monde incroyable de la géométrie fractale et la loi universelle des nombres seront pleinement compris et embrassés. La force créatrice de l’univers entier se révèle liée à des formules et des séquences de codes numériques, et tous les « mystères », y compris la structure même du temps, de l’espace, des univers parallèles, ainsi que les moyens d’y accéder sont percés à jour.

Ceux qui possèdent un intellect leur permettant de lever le septième voile succombent souvent à l’attrait d’une immense richesse promise par l’élite dirigeante, et ainsi plus de quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans lever le huitième voile.

Commentaire : Dans la version originale de Don Harkins, il est écrit :

« Le septième voile : Je ne sais pas ce qu’il y a derrière le septième voile. Je pense que c’est là que votre âme a évolué au point que vous pouvez exister sur terre et être l’homme qu’était Gandhi, ou la femme de Peace Pilgrim — des gens si éclairés qu’ils illuminent le monde qui les entoure quoi qu’il arrive. »

Le huitième voile : Lever le huitième voile révèle Dieu et l’énergie pure connue sous le nom d’AMOUR, c’est-à-dire la force de vie pure dans tous les êtres vivants — qui ne font qu’un. Une profonde humilité est nécessaire pour espérer lever ce voile.

Le neuvième voile : Lever le neuvième voile signifie perfectionner l’énergie pure qu’est l’amour et devenir ainsi véritablement un avec Dieu et ses formulations. En perfectionnant cette énergie pure, on embrasse alors pleinement la charité et on comprend ainsi pleinement le plan universel de sacrifice [symbolisé par la Crucifiction], de mort et de rédemption ; la vie elle-même devient alors complète, la boucle est bouclée, et l’on regarde le monde à travers les yeux d’un enfant innocent, mais avec la sagesse la plus profonde née du pur AMOUR du huitième voile.

[Note de Joseph : les piliers de l’enseignement du Christ sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité. L’application de cet enseignement permet alors de lever ces neuf voiles.]

Considérez ceci : si cette théorie est juste, seules 70 000 personnes environ sur la planète ont réussi à percer le sixième voile. L’ironie ici est trop incroyable : ceux qui sont coincés derrière les voiles un à cinq n’ont d’autre choix que de considérer que les personnes qui ont levé davantage de voiles sont dangereusement folles. À chaque voile levé, un nombre exponentiellement décroissant de personnes de plus en plus éclairées sont considérées comme folles par des masses exponentiellement croissantes de personnes de moins en moins éclairées.

Pire encore, plus une personne qui a levé le sixième voile ou plus essaie d’expliquer ce qu’il est capable de voir à ceux qui ne le peuvent pas, plus elle leur semble folle. Cette vérité va de soi. De plus, des institutions telles que le vénérable « Southern Poverty Law Center » sont fondées et financées par l’élite dirigeante pour accuser efficacement nombre de ces individus éveillés d’« inciter à la haine » et d’être des « terroristes ».

Notre ennemi, l’État

Derrière les deux premiers voiles, nous retrouvons la grande majorité des habitants de la planète. Ce sont des instruments de l’État : les personnes qui restent sous le deuxième voile sont des électeurs crédules dont l’ignorance justifie les actions des politiciens qui envoient les millions de gens qui n’ont pas levé le premier voile mourir dans des pays étrangers et servir de chair à canon — leurs rôles combinés dans la vie consistent simplement à croire que les machinations intéressées de l’élite au pouvoir relèvent de la sécurité nationale et valent la peine de mourir.

Pour l’État, les personnes qui ont levé les troisième, quatrième, cinquième et sixième voiles représentent de plus en plus un frein en raison de leur capacité décroissante à être utilisés comme outils pour concentrer le pouvoir et la richesse du plus grand nombre entre les mains de quelques élites au pouvoir. Il est également courant que ces personnes sacrifient davantage leurs relations avec leurs amis et leur famille, leur carrière professionnelle et leur liberté personnelle à chaque voile qu’elles lèvent.

Albert Jay Nock (1870-1945), auteur de Our Enemy, The State (1935), a expliqué ce qui arrive à ceux qui soulèvent les deux derniers voiles :

« Qu’est-ce que l’État a réussi à faire de mieux avec un vrai Socrate et un vrai Jésus quand il les avait ? Tout simplement empoisonner l’un et crucifier l’autre, pour l’unique raison qu’ils étaient bien trop embarrassants pour qu’il leur soit permis de vivre plus longtemps. »

Conclusion

Comme l’écrivait Don Harkins :

« Et donc, maintenant, nous savons que ce n’est pas parce que nos compatriotes sont tellement attachés à leur vie qu’“ils ne veulent pas voir” les mécanismes de leur asservissement et de leur exploitation. Ils “ne parviennent tout simplement pas à le voir” aussi sûrement que je ne peux pas voir ce qu’il y a de l’autre côté d’un rideau fermé. »

Le but de cet essai est triple :

1— Aider la poignée de personnes qui ont levé les derniers voiles à comprendre pourquoi les masses n’ont d’autre choix que d’interpréter leur lucidité comme de la folie ;

2— Aider les personnes derrière les deux premiers voiles à comprendre que vivre, respirer et penser, ce n’est que le début et ;

3— Montrer aux gens que la plus grande aventure de notre vie se trouve derrière le voile suivant, car c’est juste un voile de moins entre nous et Dieu alias « La plus haute vibration ».

Source de l’article initialement publié en anglais le 30 mars 2015 : IN5D —Your Esoteric Metaphysical Spiritual Database

Traduction : sott.net




Champs électromagnétiques artificiels et naturels : pourquoi le Wi-Fi, le Bluetooth et les téléphones portables endommagent-ils les cellules ?

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : vovan, This Lama/Shutterstock]

Par Marina Zhang

Alors que des cas mystérieux de syndrome des micro-ondes continuent de faire surface, des doutes croissants émergent quant aux dommages causés par la 4G, la 5G et d’autres champs électromagnétiques (CEM). Cependant, de nombreuses personnes ignorent que les CEM sont un élément essentiel dont notre corps a besoin, au même titre que l’eau et l’air.

Que sont exactement les rayonnements électromagnétiques ?

Le rayonnement électromagnétique, également appelé champ électromagnétique ou CEM, est l’une des quatre forces fondamentales de la nature, avec la gravité, la force nucléaire forte et la force nucléaire faible. Il s’agit d’une « force » invisible qui est présente partout et qui est créée par des charges électriques et des ondes magnétiques.

Les CEM englobent toutes les formes de lumière et de vie (PDF). Les êtres humains émettent également des rayonnements électromagnétiques, tels que la chaleur, qui peut être détectée à l’aide de caméras infrarouges.

Il existe différents types de CEM.

Les CEM dont les fréquences sont inférieures au spectre de la lumière visible sont des rayonnements non ionisants. Ces CEM comprennent l’électricité dans les lignes électriques, les rayonnements de radiofréquence (y compris les micro-ondes) et les rayonnements infrarouges.

Les rayonnements non ionisants sont généralement considérés comme sans danger pour l’homme, car ils ne peuvent pas enlever les électrons des atomes et des molécules qui composent les cellules. L’élimination des électrons provoque l’oxydation, ce qui expose les cellules à un risque de cancer.

En revanche, les rayonnements ionisants, c’est-à-dire les CEM dont les fréquences sont plus élevées, ont plus d’énergie et peuvent arracher des électrons. Il s’agit notamment des rayons ultraviolets, des rayons X et des rayons gamma. Une exposition prolongée à ces rayonnements peut provoquer un cancer.

Le spectre électromagnétique (Epoch Times)

Nocif d’une autre manière

Parmi les CEM « sans danger », des recherches suggèrent que les CEM de radiofréquence, souvent créés par l’homme, peuvent avoir des effets néfastes sur la santé, sans pour autant éliminer des électrons.

Les CEM de radiofréquence, le plus souvent émis par les téléphones, le Wi-Fi, les appareils électroniques intelligents, les appareils Bluetooth et les téléviseurs, affectent les vibrations des particules chargées à l’intérieur du corps, les amenant à changer de trajectoire.

Le professeur émérite Martin Pall, de l’université de l’État de Washington, estime que ces champs peuvent modifier l’environnement électrique qui entoure les canaux calciques dépendants du voltage présents dans les surfaces cellulaires. Les canaux peuvent alors s’ouvrir, provoquant un afflux soudain d’ions calcium.

Ce phénomène peut entraîner un stress oxydatif à l’intérieur des cellules et provoquer des lésions de l’ADN, des dommages cellulaires, une inflammation, la mort des cellules et d’autres pathologies associées.

M. Pall a avancé cette théorie après avoir constaté que les médicaments qui bloquent ces canaux calciques dépendant du potentiel pouvaient également bloquer l’activité des CEM. Des études cellulaires ultérieures ont montré que les CEM peuvent à la fois inhiber et activer les canaux calciques à potentiel, ce qui affecterait un éventail encore plus large d’activités cellulaires potentielles.

En revanche, les CEM naturels, comme le feu et la lumière, produisent des effets thermiques et endommagent le corps par la chaleur.

« Nous parlons de deux choses complètement différentes », a déclaré M. Pall.

CEM artificiels et naturels

1. Les CEM artificiels sont polarisés et ont un impact plus important

La polarisation est un facteur déterminant qui différencie les CEM naturels des CEM artificiels.

Les CEM des fréquences radioélectriques sont polarisés. Ils peuvent avoir un effet biologique plus important car leurs ondes électromagnétiques se déplacent toutes selon une orientation uniforme.

« Ils se comportent comme un seul objet », a expliqué M. Pall.

À l’inverse, les CEM naturels émettent une énergie incohérente qui se neutralise. Par exemple, le feu émet de la chaleur et de la lumière dans toutes les directions, distribuant des CEM uniformément dans son environnement.

(Fouad A. Saad/Shutterstock)
2. Les CEM naturels peuvent avoir des effets curatifs, ils sont essentiels pour le corps

Certains CEM naturels peuvent même favoriser la guérison du corps humain.

Les décharges de foudre produisent des CEM oscillants dans l’atmosphère terrestre, connus sous le nom de résonances de Schumann. La fréquence des ondes cérébrales humaines est fortement corrélée aux résonances de Schumann. Les thérapies qui utilisent ces résonances se sont avérées efficaces pour favoriser le sommeil. Certains scientifiques soupçonnent que le mal de l’espace (PDF) dont souffrent les astronautes dans l’espace extra-atmosphérique pourrait résulter de cette absence de résonances de Schumann.

La lumière du soleil génère également des CEM salutaires comme la lumière infrarouge, qui améliore la fonction mitochondriale et favorise le rythme circadien.

« Nous [les êtres humains] sommes en fait des êtres électromagnétiques », a déclaré Magda Havas, professeure à l’université de Trent, au journal Epoch Times. « Tout comme il existe des nutriments indispensables, il y a des fréquences essentielles dont nous avons également besoin ». Les oreilles humaines ne peuvent pas entendre ces impulsions, mais le corps y réagit.

Les appareils thérapeutiques qui émettent des CEM pulsés, en imitant les impulsions naturelles, ont été utilisés pour la cicatrisation des os et l’amélioration de la circulation sanguine. La stimulation transcrânienne du cerveau (TMS) est une thérapie qui émet des impulsions magnétiques transitoires dans le cerveau. Elle est utilisée pour traiter les maladies mentales.

3. Les CEM de télécommunication pulsent, et causent des dommages

Alors que les CEM naturels émettent des ondes lisses et continues, la plupart des CEM de radiofréquence sont irréguliers, pulsés et potentiellement nuisibles (certains CEM de radiofréquence, tels que les radios analogiques, émettent des ondes continues qui semblent moins dangereuses).

« Comme le bruit par rapport à la musique », a indiqué Mme Havas.

Des études sur les problèmes de santé potentiels liés aux radars, qui émettent des radiofréquences pulsées, ont commencé à faire surface au milieu des années 1900. Un rapport sur le personnel militaire qui travaillait avec des radars a révélé que ces personnes avaient tendance à avoir des niveaux plus faibles de cellules immunitaires circulantes, avec des signes de dommages aux cellules et à l’ADN.

En cas d’exposition accidentelle ou de surexposition au radar, les militaires se plaignaient de maux de tête, de nausées, de fatigue, de malaises et de palpitations, sans qu’il fût possible de déterminer avec certitude qu’il s’agissait d’un phénomène lié à l’anxiété.

L’exposition aux technologies 2G, 3G, 4G et Wi-Fi a également été associée au stress oxydatif, à l’inflammation, aux dommages cellulaires et à la mort cellulaire lors d’études sur des cellules animales et humaines (PDF).

Ces télécommunications sont « comme un marteau-piqueur », a souligné Mme Havas.

Ils utilisent des impulsions pour transmettre des données aux téléphones mobiles, aux dispositifs Wi-Fi et Bluetooth. Ces appareils doivent constamment vérifier les connexions avec les antennes, les tours de téléphonie cellulaire et les routeurs Wi-Fi environnants. Les CEM pulsés sont donc émis 24 heures sur 24, 365 jours par an.

L’intensité des impulsions peut varier en fonction de l’activité des télécommunications. Lorsque les signaux du réseau sont faibles, ou lorsque nous téléphonons dans un ascenseur, la puissance des impulsions augmente.

Des impulsions plus fortes ne sont pas nécessairement plus nocives. « Des études ont montré qu’une gamme spécifique d’intensités produit des effets biologiques maximaux », a indiqué M. Pall.

Toutefois, plus le nombre d’impulsions émises est élevé, plus la probabilité d’effets biologiques potentiels est grande. Les réseaux utilisant des fréquences plus élevées, comme la 5G et la 4G, produisent plus d’impulsions que la 3G et la 2G.

Les normes industrielles en vigueur ne sont pas « pertinentes » sur le plan biologique

Selon les normes industrielles, notre corps ne doit pas être exposé à plus de 1,6 watts par kilogramme, en moyenne sur 1 gramme de tissu, pendant une période de 30 minutes. Cette norme de sécurité fixée par la Commission fédérale des communications (FCC) des États-Unis est restée inchangée depuis 1996.

Cependant, la plupart des utilisateurs de smartphones dépassent déjà cette norme de sécurité quotidienne en gardant leur téléphone dans leur poche, en le portant dans leur soutien-gorge ou en le tenant près de leur oreille pendant les appels.

De plus, selon M. Pall, la norme actuelle établie par la FCC, qui prend en compte l’intensité moyenne sur quelques minutes, n’est pas pertinente pour la biologie.

Même si certaines intensités de CEM ne durent que quelques nanosecondes, elles peuvent avoir des effets significatifs sur le plan biologique, a souligné M. Pall. Compte tenu de cette caractéristique, il est plus utile de déterminer les pics d’intensité que les valeurs moyennes.

Cela revient à dire qu’une balle n’est pas mortelle si l’on fait la moyenne de sa force sur une demi-heure.

« Vous vous adressez à l’agence de réglementation et vous dites : “J’ai peur de me faire tirer dessus par un fusil de forte puissance” », explique M. Pall à titre d’exemple, « et leur réponse est : “Oh, vous n’avez pas besoin de vous en inquiéter. Car si vous faites la moyenne des forces exercées sur votre corps sur une période de six minutes ou de 30 minutes, l’intensité moyenne est réduite d’un facteur égal à 100 millions ou autre, et il est donc impossible qu’il en résulte quoi que ce soit” ».

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]




France — Un village normand de 64 habitants dépense une fortune pour sauver son église

[Source : ouest-france.fr]

Par Fabienne GÉRAULT

En vingt-cinq ans, la commune de Comblot (Orne) a dépensé l’équivalent de dix fois son budget annuel pour sauvegarder son église et sa chapelle. Une action qui vaut à ce village du Perche ornais, de concourir au prix Trévise 2023 de la fondation La sauvegarde de l’art français. Candidature que le public est invité à soutenir par un vote avant le 25 août.

Comblot, 64 habitants, son église, sa chapelle. Deux petits édifices qui mobilisent toutes les énergies de ce village du Perche ornais depuis vingt-cinq ans. Plus de 420 000 € ont été investis pour les sauvegarder. L’équivalent de dix fois le budget annuel actuel de la commune. Et, grâce à la restauration de la voûte, une dotation de 5 000 € pourrait encore être décrochée.

La voûte de la nef et du chœur restaurée

Six édifices religieux briguent le prix Trévise 2023 de la fondation La sauvegarde de l’art français, basé sur le vote du public. L’église Saint-Hilaire est la seule à avoir été retenue en Normandie. Aussi, Xavier Goutte et Béatrice de Villaine, maire et adjointe au maire, aimeraient mobiliser autour de leur candidature. En effet, ce n’est pas la soixantaine de villageois qui fera pencher la balance…

Cette femme enthousiaste est, avec son époux Roland aujourd’hui décédé, à l’origine de la création, en 1996, de Comblot sauvegarde. « Notre association de défense du patrimoine a été la première de ce type dans l’Orne », souligne-t-elle. Elle est également devenue déléguée pour l’Orne de La sauvegarde de l’art français.

Béatrice de Villaine, présidente de l’association Comblot sauvegarde
et Xavier Goutte, maire de Comblot,
devant l’une des portes de l’église Saint-Hilaire.
(Ouest-France)

Plusieurs décennies de mobilisation

Depuis la fin des années 1990 donc, l’église dont la construction a commencé à la fin du XIIe siècle, est l’objet de toutes les attentions. « Il a fallu d’abord consolider le clos et le couvert car les murs s’écartaient et la toiture fuyait », rappelle Xavier Goutte. Des travaux de gros œuvre qui se chiffraient, à l’époque, en centaines de milliers de francs. 

Ensuite, à l’intérieur, le chevet et le retable ont été restaurés, pour un montant d’environ 66 000 € hors taxes chacun. Puis, les deux autels latéraux, presque 16 000 €. Les tableaux, près de 20 000 €. « D’autres travaux ont permis de remettre en état les baies, les vitraux, le lutrin, la chaire, le confessionnal… » énumère Béatrice de Villaine. On avoisine encore les 20 000 €.

« Il fallait réunir l’argent »

Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2023-08-08/ce-village-normand-de-64-habitants-depense-une-fortune-pour-sauver-son-eglise-a-tout-prix-f65f95cc-be7b-4578-bb67-2d44ad4a5048




Réchauffement climatique : la sécheresse dans les mers !

[Source : santeglobale.world]

Extraits de la lettre du libre consentement éclairé

Ce n’est pas seulement le cas en matière de santé, comme avec la fausse science vaccinale, qui est tout aussi fausse que l’était la « science » du tabac avec ces médecins qui nous expliquaient à la télévision qu’il n’y avait pas de lien entre le cancer du poumon et le tabac, ou encore avec la fausse science de l’amiante et ces médecins qui nous expliquaient qu’il n’y avait pas de lien entre le cancer du poumon et l’amiante.

« La sécheresse dans les mers et les océans »

C’est également le cas en matière de climatologie et de météorologie, et après la fausse pandémie au « C19 », nous avons maintenant droit au faux réchauffement climatique d’origine humaine qui fait « bouillir » la planète et à cause duquel il y a « la sécheresse dans les mers et les océans », selon Mathilde Panot (elle a vraiment dit cela), la députée de la France soumise à Bill Gates et à l’OMS du raciste anti-blond aux yeux bleus, Jean-Luc Mélenchon.

« Il fait plus froid parce que la Terre se réchauffe », et il pleut à cause de la sécheresse…

Décidément, en matière de climatologie, on a droit à des affirmations qui auraient valu à leurs auteurs l’internement psychiatrique au siècle dernier (auteurs qui sont maintenant recrutés par les universités ou qui deviennent chefs d’État et de gouvernement).

Rappelons-nous Al Gore, l’ex-vice-président de Bill Clinton qui en 2006 déclara que le pôle nord serait libre de glaces d’ici 5 ou 7 ans, soit entre 2011 et 2013, et qui déclara en 2018, et alors que les États-Unis luttaient contre une vague de froid glacial sans précédent : « Il fait plus froid qu’avant parce que la Terre se réchauffe » (il a vraiment dit cela).

Je rappelle qu’Al Gore n’a jamais exercé la profession de clown dans un cirque, mais qu’il est l’un des principaux responsables du Parti démocrate aux États-Unis, ancien candidat à la présidence des États-Unis et ancien vice-président des États-Unis.

Il pleut, mais c’est la sécheresse, on se les gèle, mais c’est à cause du réchauffement climatique…

Aujourd’hui, comme leur propagande et leurs mensonges ont porté leurs fruits lors de la fausse pandémie au « C19 », ils continuent.

Et alors qu’ils nous annoncent depuis des mois que la Terre « bouillonne » et que la canicule et la sécheresse seraient terriblement meurtrières en France, il ne cesse de pleuvoir (mais c’est à cause de la sécheresse) et il fait franchement frisquet (mais c’est à cause du réchauffement climatique).

En fait, si tout cela n’était pas utilisé dans le cadre de leur plan général de dépopulation de la planète et pour justifier l’arrêt de l’économie non nécessaire aux plaisirs des psychopathes qui fréquentent Davos, on pourrait en rire.

On pourrait en rire en se disant que nous avons affaire à des clowns qui sont incapables de prévoir la météo sur 3 semaines, mais qui veulent nous faire croire qu’ils savent ce que sera le climat sur Terre dans 30 ans.

Mais il ne faut surtout pas en rire. Ces gens sont dangereux, extrêmement dangereux, et ce n’est pas rire d’eux qu’il faut, mais c’est les combattre. Les combattre jusqu’au dernier (je précise aux procureurs que je parle de combat intellectuel) !

Même le pape s’en mêle : « vive l’écologie intégrale » et donc la dépopulation forcée !

C’est à Lisbonne que le drôle de pape des catholiques, dont on se demande de plus en plus s’il n’est pas un infiltré des mondialonazis envoyé au Vatican par Bill et George pour détruire l’Église catholique, aurait affirmé devant des centaines de milliers de jeunes catholiques (on parle du million de jeunes présents) : « il ne faut pas oublier l’urgence dramatique du défi climatique » tout en défendant le concept d’« écologie intégrale ».

Cette écologie au nom de laquelle Bill Gates déclara en 2010 qu’il fallait viser le zéro rejet de CO2 d’origine humaine dans l’atmosphère, et que grâce aux nouveaux vaccins et aux nouveaux médicaments, on allait pouvoir réduire la population de 10 à 15 %, mais que ce n’était pas suffisant !

N’en doutez pas une seconde, leur fumeux concept d’« écologie intégrale », ne cache que leur programme de la disparition des nations et des peuples occidentaux, préalable, pour eux, à l’application stricte de leur programme de réduction drastique de la dépopulation de la Terre.

Et qu’Antony Blinken, le secrétaire d’État du fantoche actuel président des États-Unis, déclare que « la guerre nucléaire ne représenterait pas une plus grande menace pour l’humanité que le changement climatique ».




« C’était Pelosi » — L’ancien chef de la police du Capitole révèle le « coup monté » derrière le 6 janvier

[Source : zerohedge.com]

Par Tyler Durden

Tucker Carlson a publié mercredi une interview choc de l’ancien chef de la police du Capitole, Steven Sund, au cours de laquelle ce dernier explique dans les moindres détails ce qui s’est passé le 6 janvier 2021.

Carlson et Sund avaient notamment enregistré une interview complète sur Fox News, qui n’a jamais été diffusée.

Le plus accablant est peut-être l’affirmation de Sund selon laquelle la présidente de la Chambre des représentants de l’époque, Nancy Pelosi (D-CA), a refusé d’autoriser le déploiement de la Garde nationale au Capitole malgré les supplications de Sund, et que les agences fédérales ont dissimulé des informations et des signes avant-coureurs de dangers potentiels avant l’émeute.

« Il ne semble pas que les gens veuillent vraiment aller au fond des choses », a déclaré M. Sund, ajoutant : « Ce n’est vraiment pas le cas. Et la situation ne fait qu’empirer. Les choses ne font qu’empirer. »

Sund a reçu l’autorisation de faire intervenir la Garde nationale à 14 h 9. Avant d’obtenir cette autorisation, il aurait supplié plusieurs généraux, dont le général Michael Flynn, de faire intervenir la Garde nationale. Les fonctionnaires ont dit à Sund qu’ils “n’aimaient pas l’image de la Garde nationale” alors qu’il aurait supplié leur aide pour intervenir dans la violence. — Daily Caller

« Cela ressemble à un coup monté », a déclaré Carlson, ajoutant : “Je suis désolé, c’est le cas”.

Ce à quoi Sund a répondu :

« C’est de mieux en mieux. J’ai donc supplié et supplié, et il m’a dit “bon, je vais aller dans le couloir et nous parlerons au secrétaire à la défense ou à qui que ce soit d’autre”. C’est alors que je reçois une notification, oh, je suis toujours en ligne, nous avons la fusillade d’Ashli Babbitt. Et j’ai dit que des coups de feu avaient été tirés, je me souviens encore d’avoir crié au téléphone. Des coups de feu ont été tirés sur le Capitole, est-ce assez urgent pour vous ? »

Selon Sund, la Garde nationale n’est arrivée qu’à 18 heures, soit plusieurs heures après les tirs mortels sur Babbitt. Il a également affirmé que le Pentagone avait déployé des ressources aux domiciles des généraux, mais pas au Capitole.




Feu ! Feu ! Feu ! … Mais attendez un instant…

Le CO2 et la tromperie climatique

[Source : mondialisation.ca]

[Source illustration : mideastdiscourse.com]

Par Julian Rose

Les maîtres potentiels du contrôle totalitaire ont fait augmenter la température dans un but précis, afin de s’assurer que la responsabilité des incendies de brousse et de forêt qui se sont produits dans la région méditerranéenne pendant la récente vague de chaleur soit clairement attribuée au « réchauffement climatique ».

Il n’y a pas eu un seul jour en juillet où « l’horreur » de ces événements n’a pas fait les gros titres de la presse mainstream britannique et d’autres médias conformes à la politique du sommet.

L’horreur est sans aucun doute très réelle là où les incendies sont devenus incontrôlables, mettant des vies et des biens sous une menace directe — et nous devrions avoir une pensée pour ceux qui en sont victimes.

Mais la répétition incessante de gros titres annonçant « Record de chaleurs ! », « Des incendies dévastateurs ! », « L’Enfer sur Terre ! » sont devenus des expressions courantes pour ceux qui ont vu venir les escroqueries alarmistes de Covid en 2020/2021. Un public de plus en plus méfiant n’est plus aussi facilement séduit par les manipulations médiatiques contrôlant l’esprit utilisées pour faire accepter au public le « grand canular du réchauffement climatique [anthropique] ».

Les choses ne se sont pas si bien passées pour le lobby « Net Zero » [zéro émission nette] récemment. Le grand public ne veut plus de ces gros titres simplistes « à l’emporte-pièce » » spécialement conçus pour provoquer la peur et la panique ; surtout lorsque l’agenda des médias mainstream entièrement isolé supprime complètement toute tentative d’exprimer une autre opinion.

Les îles grecques de Rhodes et de Corfou suivent le modèle d’une grande partie de la Grèce continentale. Ils ont des étés chauds et secs. Il n’est pas rare que les températures atteignent les 30 ou 40 degrés centigrades.

C’est Vanessa Beeley, du journal britannique Column News, qui a souligné que les incendies signalés à Rhodes ont en fait causé des dégâts importants dans trois villages seulement et sur les terres agricoles environnantes, dont certaines ont été gravement brûlées par les incendies provoqués par le vent, ce qui a entraîné de graves pertes de revenus pour les agriculteurs concernés, sans aucun doute pour les années à venir.

Les dirigeants du Forum économique mondial ont déclaré qu’ils n’aimaient pas les petites exploitations agricoles (fermes) produisant de la « vraie » nourriture. Son Pacte Vert (Green Deal) veut que de telles fermes soient remplacées par des laboratoires synthétiques. Ce point de vue est maintenant partagé par tous les gouvernements qui adhèrent à la Grande réinitialisation (« The Great Reset »).

La Grèce compte le plus grand nombre de petites exploitations agricoles de tous les pays d’Europe occidentale. Ses agriculteurs ont souvent apporté leur aide au « peuple » pendant les crises politiques, en vendant des aliments de base directement dans leurs remorques à des prix dérisoires. Cependant, ils dépendent fortement du commerce touristique pendant les mois d’été, car les ventes pendant cette saison leur permettent de survivre pendant l’hiver.

La campagne de peur de la BBC et des médias mainstream en général a fait fuir les visiteurs cet été, avec des rapports fabriqués de toute pièce indiquant que les températures dépassaient régulièrement la norme.

Le sud de la Grèce semble avoir été la cible d’un traitement spécial de la part de ceux qui définissent le « programme d’action » imposé aux pays qui ne veulent pas se conformer aux règles de l’insidieux programme de lutte contre le changement climatique « net zéro » du Forum économique mondial (FEM).

Ajoutant au dilemme d’un pays déjà sec selon la plupart des normes européennes, s’ajoute la récente ruée vers l’installation d’éoliennes « vertes » dans les campagnes.

Comme cela a été le cas dans le nord de l’Allemagne et le nord de la Pologne ces dernières années, les pales de ces éoliennes génèrent un flux d’air unique dont l’effet est de réduire les précipitations et de modifier subtilement les conditions météorologiques locales, rendant ainsi les zones dans lesquelles elles sont situées plus sèches que la normale. Les incendies, dont certains sont rapportés par la presse grecque comme des cas probables d’incendie criminel, se sont propagés plus rapidement et ont fait plus de dégâts en raison de cet assèchement.

Je suis convaincu que les forces hostiles à la vie derrière le dogme du réchauffement climatique anthropique sont en train d’intensifier leur projet via un programme coordonné à l’échelle mondiale de perturbations météorologiques délibérées et de la diffusion simultanée d’informations biaisées de manière critique.

Pour maintenir l’escroquerie « Stop CO2 » Net Zero [Zéro émission nette] sur la bonne voie, les pouvoirs en place au sein du Forum économique mondial, des Nations Unies et des institutions commerciales et bancaires affiliées doivent proposer un menu régulier de catastrophes apparemment causées par un excès de CO2. Ils doivent promulguer des histoires de hausse des températures menaçant l’avenir de la vie sur terre.

C’est une politique que la cabale d’élite mène depuis plus de trois décennies. Cette politique est gravée dans la pierre — et toutes les autres activités/problèmes lui sont subordonnés. « Arrêter le réchauffement climatique » est tout simplement l’alibi concocté pour imposer toutes les formes imaginables de restriction aux droits fondamentaux de toute l’humanité.

Considérez le fait que les récentes éruptions volcaniques émettant du CO2 dans un certain nombre de pays sont tenues à l’écart de l’actualité. Comment cela se fait-il ? Les volcans sont-ils désormais classés dans la catégorie des « théories du complot », qu’il convient de vérifier et de soustraire à l’attention du public ?

Cela pourrait-il être dû au fait que la quantité de CO2 libérée dans l’atmosphère par ces éruptions est plus importante que celle produite par les activités humaines ? Et si les citoyens devaient prendre conscience du fait que l’activité volcanique n’est pas considérée comme une menace sérieuse pour la réalisation du grand programme Net Zero/Zéro émission nette d’ici 2045 ? De la même manière que la « guerre » a été éliminée de la contribution au carbone.

Nous devrions être à l’affût d’une « nouvelle découverte scientifique » ; quelque chose du genre « Il a été récemment établi que l’analyse précédente de la matière libérée lors des éruptions volcaniques était incorrecte. Les scientifiques ont analysé de nouveau des données récentes et découvert que le CO2 ne constitue qu’une partie minime des éléments libérés lors des éruptions. »

N’est-il pas étrange que la composition de la haute atmosphère contienne une si petite proportion de CO2 — seulement 0,04 % selon la recherche scientifique. Mais peut-être pas si étrange, si l’on tient compte du fait que le CO2 est 1,5 fois plus lourd que l’air (oxygène). Quelle est la quantité de CO2 qui parvient à atteindre la haute atmosphère ?

Je répète souvent ces observations dans mes articles, car nous avons besoin que chaque mortel encore capable de pensée rationnelle et d’éprouver une réaction émotionnelle saisisse la signification de cette vaste tromperie climatique.

Une tromperie dont la perpétuation réussie forme la masse critique dont dépend actuellement toute la mainmise mondialiste de l’État profond sur la planète.

Il suffit de détruire cette fabrication mondiale trompeuse — ce mensonge hypertrophié — pour que s’effondre le faux programme sur lequel repose l’ensemble de la « Grande réinitialisation » du Nouvel Ordre Mondial.

Incendies au Canada, incendies aux États-Unis ; incendies en Chine et incendies en Europe. Maintenant, il faudra que de tels incendies fassent la une des journaux chaque année. Ils devront devenir plus extrêmes, n’est-ce pas ? Sinon, l’histoire des catastrophes causées par le « réchauffement climatique » anthropique continu cessera de tenir et l’humanité cessera d’être envoûtée par son horreur.

Compte tenu de ces enjeux exceptionnellement importants, les auteurs ne pourraient-ils pas se tourner de plus en plus vers la technologie avancée des CEM [Champs électromagnétiques], des armes scalaires et des instruments de violence similaires pour déclencher des incendies et les entretenir ?

Depuis combien de temps de telles armes — comme HAARP — sont-elles déjà utilisées pour provoquer des tremblements de terre et modifier les conditions météorologiques ?

Jusqu’où la cabale d’élite psychopathe ira-t-elle pour atteindre sa planète transhumaine « Net Zero »/« Zéro émission nette » ?

Vous connaissez la réponse.

Mais, comme je le souligne aussi toujours dans mes écrits, nous qui sommes éveillés avons le pouvoir de mettre un terme à cette émeute diabolique de destruction. Nous devons juste nous mettre dans la tête qu’« ils » ne reculeront devant rien pour réaliser leur cauchemar luciférien.

Ils effaceront l’œuvre de Dieu et la remplaceront par leur version, comme l’a récemment déclaré le professeur Yuval Noah Harari. Eh bien, n’est-ce pas la meilleure incitation possible pour lui prouver le contraire ?

Pourrait-il y avoir une raison plus importante pour canaliser nos énergies vitales dans la défense inébranlable de la création de Dieu ?

Y a-t-il une cause plus importante à laquelle s’engager que celle de libérer ce merveilleux monde, qui nous est offert comme notre maison physique, des griffes mortelles d’un petit groupe de psychopathes obsédés ?

Pour moi, il n’y en a pas.

Julian Rose

Lien vers l’article original :
Fire! Fire! Fire! … But Wait a Moment, 7 août 2023

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca


Julian Rose est l’un des premiers pionniers de l’agriculture biologique au Royaume-Uni, un écrivain, un diffuseur et un activiste international. Il est co-directeur de la Coalition internationale pour la protection de la campagne polonaise et un militant de longue date pour la survie des petites exploitations agricoles à travers le monde. Voir son site www.julianrose.info.
Il contribue régulièrement à Global Research.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Julian Rose, Mondialisation.ca, 2023




La corruption de la recherche médicale

[Source : Covid non-censuré]

Ah, la belle science, honnête, humble et intègre !
Pas en médecine ? Ah bon ?!
Mais alors les publications « révisées par les pairs » dans de prestigieuses revues ?!?
Récit d’une imposture scientiste…






Driss Ghali : « Le multiculturalisme est la recette du malheur collectif »

[Source : agoravox.tv]

Driss Ghali partage sa position en tant qu’écrivain et spécialiste des relations internationales sur l’immigration, l’identité nationale, le destin de la France et les causes de son déclin.

L’entretien dans son intégralité :

00:00:00 – Générique
00:00:20 – Présentation
00:00:49 – Êtes-vous immunisé contre la folie française ?
00:02:45 – Pourquoi comparer les immigrés ultra enracinés aux français de souche déracinés ?
00:04:56 – Qu’est-ce que le renoncement français ?
00:10:15 – Magazines Livre Noir !
00:10:59 – Quelle est l’idée derrière le financement massif, via l’argent public, des zones de non-droit ?
00:14:23 – Qu’est-ce que l’irritation de la sensibilité ?
00:18:02 – Le multiculturalisme a-t-il tué l’exotisme ?
00:21:15 – Quelles sont les raisons de l’aliénation française ?
00:26:37 – Qu’est-ce que la « tropicalisation » que vous avancez comme concept de société ?
00:34:50 – Votre dernier ouvrage s’intitule « Contre histoire de la colonisation française », quel est le but de ce livre ainsi que des thèmes évoqués ?
00:39:31 – Le résultat final des épisodes coloniaux est-il à nuancer ?
00:43:33 – Colonisation, une entreprise de mauvaises affaires ?
00:45:36 – Lobby coloniale et lobby multiculturaliste, comparaison anachronique mais même combat ?
00:45:36 – Vous rappelez que les guerres de décolonisation ont été des guerres civiles, comment expliquer cela ?
00:51:05 – Quel est l’intérêt, pour certains pays, de jouer la carte du ressentiment à l’égard des anciens pays colonisateurs ?
00:56:12 – Quel est le « deal » de l’immigration entre les pays du nord et du sud ?
01:02:20 – Mot de la fin
01:02:47 – Magazines Livre Noir !




La lèpre de retour en Occident ?

[Source : lepointcritique.fr]

La lèpre est-elle un effet secondaire des vaccins anti-COVID ? C’est l’hypothèse émise par une équipe de chercheurs anglais dans une étude publiée le 4 août dernier, après la découverte d’une série de cas dans le monde, dont deux survenus au Royaume-Uni. Le point commun entre les patients ? 98 % d’entre eux avaient reçu entre 1 et 3 doses de vaccin Pfizer. Faut-il s’inquiéter ou se contenter d’ajouter la lèpre à la liste des 1 291 types d’effets indésirables d’intérêt particulier que Pfizer avait découverts dès mars 2021 ?

On croyait la lèpre éradiquée des pays occidentaux. Une équipe de chercheurs britanniques (de Barros et coll.[1] alerte aujourd’hui sur sa résurgence au Royaume-Uni, où plusieurs cas de contamination autochtone ont été recensés en 2021 alors que le pays en était exempt depuis 1954. Des voyageurs ou des migrants provenant de zones où la lèpre demeure endémique continuent d’être diagnostiqués au Royaume-Uni, mais aucun cas de contamination survenue sur le sol anglais chez des patients n’ayant pas été exposés à des malades n’avait été observé depuis près de 70 ans.

Contexte de l’étude

Les personnes atteintes de la lèpre ont un risque de réactions de complications immunologiques nécessitant la prise d’un traitement immunosuppresseur. Elles sont sur ce principe également à risque de développer une forme grave de COVID-19 en cas d’exposition au virus. En raison de ces facteurs de risque communs, la vaccination contre le COVID-19 est recommandée au Royaume-Uni aux patients porteurs de la lèpre, et plus généralement aux personnes immunodéprimées atteintes de la maladie, qui ont « bénéficié » d’un accès prioritaire aux vaccins dès 2021.

Toutefois, bien que celui-ci soit présenté comme purement théorique, le risque de déclencher ou d’aggraver la forme clinique de la maladie en provoquant une réponse immunologique à une infection latente au bacille de la lèpre (Mycobacterium leprae) est une conséquence possible de la vaccination contre le COVID-19. Ce risque est également documenté pour la vaccination BCG contre la tuberculose, certains sujets ayant développé la maladie au contact de personnes atteintes de la lèpre dans les douze semaines suivant l’administration du vaccin.

Objectif et résultats de l’étude

Les auteurs ont réalisé une étude rétrospective pour déterminer le statut vaccinal des personnes diagnostiquées avec la lèpre ayant fréquenté en 2021 la Clinique de la lèpre, le Centre national de référence clinique au Royaume-Uni pour les patients atteints de la maladie. Ils ont notamment cherché à savoir si certaines personnes avaient développé la lèpre ou présenté une nouvelle réaction lépreuse dans les douze semaines suivant la réception d’une dose de vaccin COVID.

Sur les 52 personnes ayant fréquenté la clinique en 2021, 49 avaient été vaccinées contre le COVID : 1 (2 %) avait reçu une dose unique, 11 (22 %) avaient reçu 2 injections et 30 (60 %) avaient également reçu une dose de rappel. Pour 7 d’entre elles (14 %), le schéma vaccinal n’était pas connu. Deux d’entre elles ont reçu un diagnostic de lèpre, respectivement une semaine après une deuxième dose de vaccin Pfizer et huit semaines après une première dose de vaccin Pfizer, précédé d’une double injection de vaccin Sinovac trois mois plus tôt.

Sur la base de la définition retenue par les auteurs, ils estiment que dans ces 2 cas (4 %), la lèpre pouvait être considérée comme un effet secondaire de la vaccination.

Données complémentaires de la littérature

Les auteurs ont également effectué un recensement des cas documentés dans la littérature. Ils ont identifié 14 personnes (en plus des deux patients de l’étude) ayant présenté des effets indésirables de la lèpre associés aux vaccins contre le COVID dans six rapports publiés, avec les caractéristiques suivantes :

  • les patients étaient issus de milieux endémiques ou non endémiques de la lèpre : Italie, Taïwan, Inde, Singapour, Israël, Brésil Inde, Indonésie ;
  • ces cas ont tous été signalés entre 5 et 14 jours après une injection ;
  • dix d’entre eux (71,4 %) ont présenté un événement indésirable de la lèpre après une 1re dose, trois après une 2e dose (21,4 %) et un (7,2 %) après une 3e dose ;
  • dans 4 cas (28,6 %), les patients étaient déjà porteurs de la lèpre. Dans chacun de ces cas, ils ont été associés à une réaction lépreuse.

Les auteurs précisent que, sur la base d’une revue systématique (Avallone et coll.[2] des affections dermatologiques provoquées par une réaction inflammatoire sévère, observées après la vaccination contre le SRAS-CoV-2, que « l’association entre les complications inflammatoires à médiation immunitaire de la lèpre telles que la réaction de type 1 (T1R), l’érythème noueux (ENL) et la névrite et la vaccination contre le SRAS-CoV-2 sont compatibles avec les lymphocytes T, les cytokines et d’autres réponses immunitaires provoquées par les vaccins ».

En d’autres termes, les cas de lèpre présentés dans l’étude sont cohérents avec le mécanisme d’action aujourd’hui connu du vaccin.

L’étude a été publiée le 4 août 2023 dans la revue à comité de lecture PLoS Neglected Tropical Diseases. Conformément à l’usage imposé depuis 2 ans dans la presse scientifique, les chercheurs précisent que les résultats de l’étude ne remettent pas en cause le bénéfice de la vaccination.

Faut-il s’inquiéter ?

Les auteurs rappellent que l’infection est guérissable avec un traitement antimicrobien. Le Manuel MSD précise qu’elle n’est pas hautement contagieuse, rarement mortelle et qu’elle peut être efficacement traitée par des antibiotiques, mais qu’elle est associée à des handicaps et à un impact psychologique souvent importants.

Ils souhaitent toutefois attirer également l’attention sur l’incidence retrouvée dans cette étude qui a été évaluée à 2 cas sur 50, soit 4 %. À titre de comparaison, le BCG n’était associé au développement de la lèpre que chez 0,33 % des contacts sains de personnes atteintes de la lèpre dans les 12 semaines suivant l’administration.

Il est bien évidemment prématuré et excessif d’en conclure que la vaccination contre le COVID a permis le retour de la lèpre en Occident, mais cette publication rappelle que deux ans après le déploiement des injections, nous découvrons encore de nouveaux effets secondaires potentiels. Le laboratoire Pfizer avait établi en mars 2021, à l’issue des premiers mois de vaccination, un document que nous n’étions pas censés voir avant 75 ans, recensant 1 291 événements indésirables d’intérêt particulier (AESI), c’est-à-dire dont il estimait qu’ils devaient être suivis attentivement…

Les autorités sanitaires n’ont jamais prêté attention à cette liste, qui ne dit rien de la fréquence de ces événements indésirables ni de leur lien avec le vaccin (si ce n’est qu’ils ont été identifiés par le laboratoire en personne). Pourtant, ni les turbocancers dont l’incidence donne aujourd’hui des vertiges aux oncologues, ni la lèpre n’en font partie.

Quelle est donc cette technologie révolutionnaire qui a peut-être permis à l’Occident de retourner au Moyen Âge, c’est-à-dire aux antipodes de cette promesse ?


Références

[1] de Barros B, Pierce R, Sprenger C, Ong ELH, Walker SL. COVID-19 vaccination and leprosy—A UK hospital-based retrospective cohort study. PLoS Negl Trop Dis. 2023 Aug 4;17(8):e0011493. DOI: https://www.doi.org/10.1371/journal.pntd.0011493.

[2] Avallone G, Quaglino P, Cavallo F, Roccuzzo G, Ribero S, Zalaudek I, et al. SARS-CoV-2 vaccine-related cutaneous manifestations: a systematic review Int J Dermatol. 2022 Oct;61(10):1187-1204. DOI: https://doi.org/10.1111/ijd.16063.




L’industrie des droits de l’homme

[Source : schweizer-standpunkt.ch via arretsurinfo.ch]

Alfred de Zayas : Réflexions d’un spécialiste de longue date de la défense des droits de l’homme

Par Hans Köchler, président, International Progress Organization, www.i-p-o.org, Autriche

(Vienne, juillet 2023) « The Human Rights Industry » (L’industrie des droits de l’homme), rédigé par Alfred de Zayas, est l’évaluation et la critique les plus complètes et les plus honnêtes à ce jour des performances des institutions mises en place par la communauté internationale pour contrôler le respect des principes qui sous-tendent la justice et l’État de droit au niveau mondial.

Que ce soit dans son propre pays ou dans les relations entre États souverains, la politique doit être conforme à la dignité humaine et le pouvoir de l’État ne doit être utilisé que pour faire respecter le droit, et non pour le saper au nom du simple pouvoir.

C’est l’idée de base de tous les institutions et instruments internationaux créés dans le cadre de la Charte des Nations Unies et, en particulier, en réponse à la Déclaration universelle des droits de l’homme adoptée par l’Assemblée générale de l’organisation en 1948.

L’auteur de cet ouvrage soigneusement documenté nous a fait prendre conscience de l’importance de comprendre les procédures et les mécanismes souvent cachés par lesquels ces institutions exercent leur mandat. Il le fait avec une extrême authenticité, ayant occupé pendant plusieurs décennies diverses fonctions au sein des Nations Unies, dont celle de premier Expert indépendant des Nations Unies sur la promotion d’un ordre international démocratique et équitable de 2012 à 2018.

Au vu de son expérience de première main et de son engagement dans l’« industrie » des droits de l’homme, le point central de son étude peut être décrit avec justesse par le dicton de Juvénal « Quis custodiet ipsos custodes? » (Qui va garder les gardiens ?) Le résultat de l’enquête de l’auteur est un diagnostic sans illusion, qui aidera néanmoins le lecteur à saisir certaines des subtilités de la diplomatie internationale, à l’intersection du droit et du pouvoir.

Alfred de Zayas. L’industrie des droits de l’homme :
Reflections of a Veteran Human Rights Defender.
Atlanta, GA (USA): Clarity Press, 2023 xx + 329 p.,
ISBN 978-1-949762-52-5

L’ouvrage examine l’« industrie des droits de l’homme » dans quelques-uns des projets et réalisations les plus importants, tant sous l’égide de l’ONU qu’en dehors du cadre institutionnel de cette organisation. L’auteur fournit une évaluation et une analyse détaillées du travail et des méthodes du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies (jusqu’en 2006 : Commission des droits de l’homme) et du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH). Il se penche également sur la Cour pénale internationale (CPI) et brièvement sur l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), en soulignant les cas d’ingérence politique dans le travail de ces deux institutions importantes pour l’application du droit international humanitaire.

Il aborde de manière critique le comportement de vote des États en matière de droits de l’homme ainsi que le rôle de la société civile — organisations non gouvernementales et médias — dans la promotion des droits de l’homme. Le travail se conclut par une multitude de recommandations concrètes visant à améliorer la surveillance et l’application des droits de l’homme, mais aussi à mieux définir la doctrine des droits de l’homme dans le contexte des relations de pouvoir mondiales.

En accord avec la philosophie de la Charte des Nations Unies, l’auteur souligne la priorité de la paix comme condition sine qua non de la réalisation des droits de l’homme. Il critique vivement la dilution de la « Déclaration sur le droit à la paix » du Conseil des droits de l’homme de 2016 et attire l’attention sur le fait que le document — bien que les États aient édulcoré le texte au point de rendre la déclaration presque insignifiante — a été rejeté par tous les États occidentaux membres du Conseil. Selon l’auteur, cela soulève la question de la crédibilité de ceux qui se considèrent comme les principaux défenseurs des droits de l’homme dans le système mondial actuel.

En ce qui concerne la paix, il fait également référence aux déclarations unilatérales du Haut-Commissaire aux droits de l’homme sur le conflit persistant en Ukraine et déplore ce qu’il appelle « nommer et dénoncer en portant un jugement de valeur » (judgmental naming and shaming), sans aborder les véritables problèmes. Son évaluation franche, basée sur son expérience vécue en tant que responsable des droits de l’homme, le fait douter de l’intégrité de l’approche du Bureau des droits de l’homme.

Commentant une autre déclaration du Haut-Commissaire adjoint sur le conflit ukrainien, il qualifie la manière dont le Bureau traite cette question d’« exercice de confirmation des préjugés occidentaux ». L’auteur déplore la pratique des Nations Unies consistant à nommer des représentants politiques à des postes de haut niveau, souligne la « politisation croissante » du HCDH et critique la sélectivité des enquêtes lancées par l’Office.

Il constate en outre que de nombreux éléments prouvent que le HCDH « cède aux pressions politiques des gouvernements et des donateurs ». Selon lui, « il ne fait guère de doute que le HCDH s’est vu attribuer un rôle de soutien dans la guerre hybride que les États-Unis mènent pour maintenir un monde unipolaire » (p. 30). En ce qui concerne l’indépendance et l’intégrité du travail en matière de droits de l’homme, l’auteur souligne à maintes reprises que le Haut-Commissariat ne devrait pas accepter de « contributions volontaires ».

En évaluant l’état de l’industrie des droits de l’homme dans son ensemble, de Zayas diagnostique ce qu’il appelle une « prise de contrôle hostile » de nombreuses organisations de droits de l’homme par des gouvernements, des services secrets et des intérêts (cachés) d’entreprises. Il attire notamment l’attention sur l’infiltration de la Cour pénale internationale, mais aussi des médias grand public et sociaux par les services secrets.

Tout cela a contribué à l’instrumentalisation politique et à l’utilisation abusive des droits de l’homme comme arme, ce qui, dans la constellation mondiale actuelle, implique de plus en plus une approche binaire du « bien » versus le « mal » et sape les efforts de dialogue et de règlement pacifique des différends.

Les statistiques du chapitre 8 du livre, « The Voting Record of States », sont particulièrement révélatrices du rôle de la politique de force dans le discours mondial actuel sur les droits de l’homme et l’État de droit.

Qu’il s’agisse du « droit des peuples à la paix » (Assemblée générale des Nations Unies, 1984), de la « Déclaration sur le droit à la paix » déjà mentionnée (par le Conseil des droits de l’homme), d’une résolution sur la « Promotion de la paix en tant que condition essentielle du plein exercice par tous de tous les droits de l’homme » (2022) ou des résolutions répétées du Conseil des droits de l’homme sur « l’impact négatif des mesures coercitives unilatérales sur la jouissance des droits de l’homme » : les États, notamment occidentaux, qui se considèrent comme des pionniers en matière de respect des droits de l’homme ont soit voté contre, soit se sont abstenus. Dans l’analyse de l’auteur, ces États sont toutefois plutôt à classer dans la catégorie des « saboteurs des valeurs humaines » ou des « vandales des droits de l’homme » (p. 252).

La description sans fioritures de De Zayas du statu quo des droits de l’homme dans le système international actuel sert un objectif constructif. Il rappelle au lecteur qu’il faut d’abord identifier les problèmes pour pouvoir ensuite les corriger. Il décrit sa position comme celle d’un « humanisme survivaliste » (survivalist humanism) et évoque une « lacune significative » dans l’application des pactes et des résolutions sur les droits de l’homme, due à la politique internationale de puissance et à la pratique de la double morale qui en résulte.

S’appuyant sur des décennies d’étude de l’appareil des droits de l’homme des Nations Unies, il présente une série de recommandations précises visant à rendre plus crédible et plus efficace l’engagement de la communauté internationale en faveur des droits de l’homme et de l’État de droit. Parmi les priorités de la politique globale, il cite notamment la « paix mondiale », le passage de la « sécurité militaire » à la « sécurité humaine », l’abandon des mesures coercitives unilatérales (qu’il considère comme faisant partie d’une guerre hybride), la pleine reconnaissance du droit à l’autodétermination et une approche holistique des droits de l’homme.

Sur la base de ces critères, l’auteur élabore un « plan d’action » qui prévoit notamment la ratification par tous les États des principaux traités des Nations Unies relatifs aux droits de l’homme, l’adoption d’un accord international sur la responsabilité sociale des entreprises et le renforcement des tribunaux régionaux et internationaux chargés des droits de l’homme.

En ce qui concerne le fonctionnement du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, il présente l’idée d’un « rapportage préventif », la mise en place de procédures visant à prévenir le harcèlement et les attaques ad hominem contre les représentants et les militants des droits de l’homme, ainsi que l’adoption d’une « Charte des droits des lanceurs d’alerte ».

Il propose en outre que le Conseil inscrive le droit à l’autodétermination comme point permanent à son ordre du jour et qu’il se penche spécifiquement sur les dangers de la propagande de guerre. En ce qui concerne le poste de Haut-Commissaire aux droits de l’homme, l’auteur estime que des mesures doivent être prises pour éviter complètement le financement dit « volontaire » et pour mettre fin à la pratique consistant à nommer d’anciens hommes politiques au poste de Haut-Commissaire.

Dans l’évaluation globale de l’auteur, l’Assemblée générale des Nations Unies a une responsabilité particulière en ce qui concerne la crédibilité de la politique mondiale des droits de l’homme. Les États membres devraient rejeter les tentatives persistantes de diviser le monde en « bons » et « mauvais » pays.

En outre, l’Assemblée devrait faire un meilleur usage de l’article 96 de la Charte des Nations Unies, qui l’autorise à demander des avis consultatifs à la Cour internationale de justice, et elle devrait accorder un statut spécial aux représentants des peuples autochtones lors des sessions de l’Assemblée. Elle devrait également envisager de nommer un conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le droit à l’autodétermination. Selon l’auteur, le principe d’intégrité territoriale n’est pas absolu et doit être interprété dans le contexte du droit à l’autodétermination.

En ce qui concerne la participation de la société civile internationale au travail des Nations Unies en matière de droits de l’homme, il convient de s’assurer que les pays puissants n’exercent pas de pressions déraisonnables pour accorder un statut consultatif aux organisations non gouvernementales ou pour les bloquer. En outre, la science et les médias ne doivent pas céder à la « cancel culture » ou imposer de manière dogmatique le « politiquement correct ». Ils devraient s’engager à laisser une place à la pluralité des points de vue. En ce qui concerne Internet et les médias sociaux, l’auteur propose entre autres de punir la censure du secteur privé et la manipulation de l’opinion publique par les algorithmes des moteurs de recherche.

La richesse des analyses et des critiques, combinée à des propositions concrètes de réforme, fait des idées rassemblées dans ce volume un véritable antidote à l’autojustification des « gestionnaires de récits » (narrative managers, selon l’expression de l’auteur), qui ont trop souvent détourné et manipulé l’agenda mondial des droits de l’homme pour servir des intérêts politiques étroits. L’ouvrage est en effet un plaidoyer convaincant pour que la communauté internationale revienne à ce que de Zayas appelle la « spiritualité » de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Hans Köchler est né le 18 octobre 1948 dans la ville de Schwaz, au Tyrol, en Autriche. Il a obtenu un doctorat en philosophie (Dr. phil.) avec les plus hautes distinctions (sub auspiciis praesidentis rei publicae) à l’Université d’Innsbruck (Autriche). De 1982 à 2014, il a été professeur universitaire de philosophie (avec une spécialisation en philosophie politique et en anthropologie philosophique). Il est titulaire de doctorats honorifiques de l’Université d’Etat de Mindanao (Philippines) et de l’Université pédagogique d’Etat d’Arménie, ainsi que d’une chaire honoraire de philosophie de l’Université de Pamukkale (Turquie). De 1990 à 2008, il a été président du département de philosophie de l’université d’Innsbruck. Dans son université, le professeur Köchler a également été président de l’Arbeitsgemeinschaft für Wissenschaft und Politik (groupe de travail pour les sciences et la politique) de 1971 à 2014. De 1974 à 1988, il a été membre du conseil d’administration du Österreichisches College (Collège autrichien, Vienne) et membre du comité de programme du Forum européen d’Alpbach. En 1998, il a été professeur invité à l’Université de Malaya à Kuala Lumpur (Malaisie). En 2004, il a été nommé professeur invité à l’Université polytechnique des Philippines, à Manille. Après avoir été élu membre à vie en 2006, il a été élu coprésident de l’Académie internationale de philosophie en 2010. De 2019 à 2021, il a été membre du conseil universitaire de l’Université des sciences numériques (Berlin). En 2018, il a rejoint la faculté de l’Académie de la diplomatie culturelle à Berlin, en Allemagne.

(Traduction de l’anglais par «Point de vue Suisse»)




Le Pr Perronne admet s’être fait manipuler pendant 15 ans sur les vaccins

[Source : PG]

Le Pr Perronne (NDLR, qui dirigea en France les campagnes de vaccination [avant Covid], la commission infectio du Haut Conseil Santé publique et le service infectio du CHU de Garches [APHP]… admet s’être fait manipuler pendant 15 ans sur les vaccins… La vidéo a déjà sauté partout… C’est sur un compte non officiel d’odyssée qu’elle est encore disponible.

[À partir de 1:10]






L’Amérique est-elle condamnée ?

[Source : theeconomiccollapseblog.com]

Par Michael Snyder

Le temps presse-t-il pour l’Amérique ? Tout au long de l’histoire humaine, de grandes civilisations se sont élevées et sont tombées, et beaucoup pensent que les États-Unis ne feront pas exception. À ce stade, nous nous sommes déjà tellement éloignés de nos valeurs fondamentales que nos fondateurs, s’ils étaient vivants aujourd’hui, ne pourraient même pas reconnaître la République qu’ils ont établie. Bien sûr, la plupart des Américains se rendent compte que quelque chose a terriblement mal tourné, mais la plupart d’entre eux croient également que l’envoi des bonnes personnes à Washington est la solution. Mais est-ce vraiment la solution à nos maux ?

Selon un tout nouveau sondage Rasmussen qui vient d’être publié, 40 % des électeurs américains probables pensent que Joe Biden doit gagner la prochaine élection présidentielle « ou les États-Unis sont condamnés »

Selon le sondage, 40 % des électeurs américains probables sont d’accord avec l’affirmation « Joe Biden doit être réélu président l’année prochaine, ou les États-Unis sont condamnés », dont 25 % qui sont tout à fait d’accord. 53 % sont en désaccord, dont 43 % qui sont fortement en désaccord.

C’est fou.

Près de la moitié du pays croit littéralement que notre nation est « condamnée » si Joe Biden ne gagne pas en 2024.

Le même sondage a également révélé que 45 % des électeurs américains probables pensent que Donald Trump doit gagner la prochaine élection présidentielle « ou les États-Unis sont condamnés »

45 % sont d’accord avec l’affirmation, « Donald Trump doit être réélu président l’année prochaine ou les États-Unis sont condamnés », dont 26 % qui sont tout à fait d’accord. 53 % sont en désaccord, dont 44 % qui sont fortement en désaccord.

Je suppose qu’il n’y a pas de chevauchement entre ces deux groupes.

Si cela est vrai, cela signifie que 85 % des électeurs américains probables pensent que notre nation est « condamnée » si le candidat qu’ils soutiennent ne remporte pas la prochaine élection présidentielle.

Je n’ai jamais vu de chiffres comme celui-ci auparavant.

Les enjeux en 2024 sont incroyablement élevés, et l’équipe qui perd sera absolument dévastée.

Au cours de la prochaine année, il y aura des campagnes interminables à l’approche des prochaines élections, mais pendant ce temps, notre société est déchirée en lambeaux sous nos yeux.

À Chicago, les prédateurs parcourent littéralement les rues dans leurs véhicules en pleine journée à la recherche de quelqu’un à attaquer.

Lorsqu’une cible appropriée est identifiée, une violence brutale s’ensuit souvent.

Autrefois, les voleurs attendaient au moins la couverture de la nuit pour sortir et faire leur truc.

Mais maintenant, on craint très peu la police.

Il y a plus de 1 000 gangs identifiables dans la ville de Chicago aujourd’hui, et les meurtres de type mafieux sont devenus assez courants

Trois suspects ont abattu un homme qu’ils auraient également renversé avec une voiture dans une station-service de Chicago, lors d’une fusillade éhontée survenue en plein jour.

Un petit mémorial a été laissé par des membres de la famille pour Anton Benoit, 31 ans, après qu’il ait été tué par balle lors d’une fusillade de type gang dans une station-service Shell à Chatham, un quartier de Chicago. Chatham est situé du côté sud et compte environ 32 000 habitants.

Je ne veux pas m’en prendre uniquement à Chicago, et parlons donc un peu des grandes villes de la côte ouest.

Cette semaine, une vidéo publiée par une femme de San Francisco nommée Hanna Ayla est devenue virale, car elle transmettait avec précision les émotions que tant d’autres habitants de San Francisco ressentent en ce moment…

« Je faisais juste l’épicerie et je vis à San Francisco, et je ne me sens jamais vraiment en sécurité. Si vous vivez à San Francisco, je suis sûre que vous savez de quoi je parle. Et je viens de faire l’épicerie, je sors du magasin, et ce type passe devant moi et dit : “Déplacez-vous stupide p****” et il me crache au visage ! » dit-elle.

« Des crachats sur mon visage », répète-t-elle.

« Et je dis : “Excusez-moi, vous venez de me cracher au visage ?” Et il dit : “Bouge ou je te viole”. Il y a aussi des gens partout et tout le monde passe à côté parce qu’ils se disent que je ne peux pas supporter autre chose à San Francisco, il y a toujours autre chose ! », a poursuivi Ayla.

« Je ne sais même pas pourquoi je poste ça », a-t-elle conclu. « Si vous vivez à San Francisco, vous sentez-vous ainsi tout le temps ? Je ne me sens pas en sécurité. Jamais. Je ne me sens littéralement jamais en sécurité. C’est mieux quand il fait jour, mais la nuit ? Non. Ne pas quitter ma maison. »

Je ne pense pas que quiconque vit à San Francisco se sente vraiment en sécurité à ce stade.

La criminalité est complètement hors de contrôle, mais beaucoup diraient que les conditions à Oakland sont encore pires.

En effet, une femme de 48 ans qui y a vécu toute sa vie se dit obligée de déménager, car elle a « trop peur » pour sortir de chez elle…

>Une habitante de longue date d’Oakland a pris la décision déchirante de quitter la ville après que la montée en flèche de la criminalité l’a rendue « trop effrayée » pour sortir.

Kristin Cook, 48 ans, s’est exprimée au nom de nombreux habitants d’Oakland en sanglotant : « Je n’en peux plus. J’en suis arrivée au point où j’avais trop peur pour sortir de chez moi ».

« Le fait que l’on me pousse à partir parce que je n’en peux plus émotionnellement est horrible », a-t-elle ajouté.

Le nombre de cambriolages dans la ville a augmenté de 41 % par rapport à l’année dernière et les vols ont augmenté de plus de 20 %, selon les données de la police. Les viols sont également en hausse de 12 %.

Nos villes ont dégénéré et sont devenues des taudis où règne la criminalité, et notre pays n’a pas d’avenir si nous continuons sur cette voie.
Mais au lieu de travailler à l’amélioration de nos villes, Joe Biden continue d’envoyer des montagnes d’argent à l’étranger.
Par exemple, on rapporte qu’il a donné plus de deux milliards de dollars aux talibans au cours des deux dernières années…

Un rapport de l’Inspecteur général spécial pour la reconstruction de l’Afghanistan (SIGAR) note que l’administration Biden a donné 2,35 milliards de dollars à l’Afghanistan au cours des deux dernières années, malgré le fait qu’il soit à nouveau gouverné par les talibans après le retrait désastreux des États-Unis en 2021.

Le Washington Free Beacon a partagé mardi les détails des découvertes, notant que les fonds pourraient soutenir le gouvernement terroriste des talibans.

Bien sûr, deux milliards de dollars ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan par rapport à ce que Biden a donné à l’Ukraine.

Pendant ce temps, notre propre pays est dans un état absolument horrible.

J’écris beaucoup sur nos problèmes économiques en croissance rapide, mais la décadence morale qui ronge les fondements de notre culture est une crise encore plus grave.

Nous pouvons voir cette décadence morale dans les grandes villes d’un océan à l’autre, et nous pouvons aussi la voir dans les régions rurales. Voici juste un exemple

Une femme au Texas a été placée en état d’arrestation après la découverte de dizaines de chevaux et de chiens morts dans un ranch qui serait sous son contrôle.

La cruauté envers les animaux était soupçonnée depuis un certain temps dans un ranch de Westminster, au Texas, à environ 50 miles au nord-est de Dallas. Depuis 2019, la police avait reçu au moins 15 fois des signalements de cruauté envers les animaux dans cette propriété.

Récemment, la police avait reçu un autre rapport concernant la maltraitance des animaux. Les paysagistes qui travaillaient au ranch ont appelé les autorités pour affirmer qu’ils avaient vu les restes en décomposition de plusieurs animaux.

Lire cela vous a probablement mis très en colère.

Et ça devrait.

Si la police avait pris au sérieux les précédents rapports de cruauté envers les animaux, bon nombre de ces décès auraient pu être évités.

Mais ce ne sont pas seulement quelques cinglés comme cette femme qui sont notre problème.

La vérité est que toute notre société est profondément malade. Il est rapporté que Pornhub est visité 115 millions de fois par jour, et beaucoup de ces visiteurs sont de jeunes adultes et des enfants…

Pornhub, le YouTube de la pornographie, attire plus d’utilisateurs mondiaux qu’Amazon ou Netflix. En 2019, la dernière année où Pornhub a publié ses données, le site a été visité 42 milliards de fois, soit 115 millions de fois chaque jour.

Pour mettre ces chiffres en perspective, il n’y a que 331 millions de personnes vivant aux États-Unis.

Et s’il vous plaît, gardez à l’esprit que nous ne parlons que d’un site Web. Il existe des milliers d’autres sites Web qui s’attaquent également à nos jeunes.

Je suis extrêmement passionné par ces questions, car l’avenir de notre pays est littéralement en jeu.

Pendant des décennies, les gauchistes d’extrême gauche ont fait progresser rapidement leur programme, et cela nous a amenés là où nous en sommes aujourd’hui.

À peu près toutes les formes de mal que vous pouvez imaginer explosent tout autour de nous, et si nous ne trouvons pas un moyen de changer les choses, l’Amérique est vraiment condamnée.

[NDLR Il semble bien que les autres pays monde suivent malheureusement de plus ou moins près le même chemin de perdition.]




Macron poursuit avec application le travail de sape de ses maîtres mondialistes

[Source : Ma France]

Par Onyx

Pourquoi s’en priverait-il ? Avec une opposition aux abonnés absents et des députés endormis sur leurs prérogatives, il reprend quelque peu du pouvoir perdu.

Il semble qu’il n’ait toujours rien compris aux difficultés sociétales du pays. Pour lui, tout va très bien, madame la marquise. Son récent voyage dans le Pacifique ne lui a pas ouvert les yeux, bien au contraire. Le langage est le même, mais avec plus d’assurance encore. Il refuse toujours de faire le lien pourtant évident entre les dernières émeutes et l’immigration.

« Celui qui ne sait pas est un ignorant, celui qui sait et qui se tait est un criminel »

Bertold Brecht

Comment pourrait-il en avoir, puisque, dit-il, 90 % des casseurs sont français ? Des Kévin et des Mattéo peut-être ? Et il compte toujours répartir ces nouveaux Français (de papier) sur tout le territoire. » Beaucoup de gens disent : Nous on ne veut pas voir arriver de nouveaux venus chez nous. Moi je pense qu’on intègre d’autant mieux qu’on le fait de manière diffuse. Si vous mettez toutes les familles ukrainiennes qui arrivent dans les mêmes endroits, vous ne les intégrez pas ».

Il a choisi là le plus mauvais exemple qui soit. Pour la bonne raison, faut-il le rappeler encore et encore, que les Ukrainiens sont des Européens, proches des Français et que pour eux l’intégration se fait toute seule. Les immigrés qui venaient de Pologne, d’Italie, d’Espagne de l’ex-Yougoslavie et d’ailleurs n’ont jamais posé de problème d’intégration. Faut-il mettre les points sur les i ? Quant aux descendants des derniers arrivés vers 1960, de 2e, 3e génération, qu’il fait semblant de ne pas voir, c’est un commissariat attaqué aux mortiers avec ses 4 voitures de fonction incendiées, 7 autobus de ville cramés et un territoire aux 110 coups de couteau par jour. Sans compter le coût exorbitant de cette faillite sociale.

Il faut construire la société de demain, annonce-t-il du haut de sa superbe. Sans doute, pense-t-il à une société mondialisée dont il rêve. Celle du World Economic Forum de Davos, celle de son ex-employeur Rothschild et de son gourou Klaus Schwab. Une société de l’argent roi, celui des banquiers, avec des riches toujours plus riches qui régneront sur des peuples soumis et « créolisés » qui n’auront rien, mais seront heureux. Cette société monsieur Macron et (Mélanchon son sicaire et son idiot utile) on n’en veut pas !

Et pour terminer, il repart avec son idée fixe « La France a toujours été un pays d’immigration et doit le rester ». On peut toujours prendre ses désirs pour des réalités, mais ça ne change rien à la Réalité, car c’est faux ! L’immigration de travail a commencé au milieu du 19e siècle, avec des ouvriers venus de pays frontaliers et s’est poursuivie et continue avec une immigration de peuplement, après le désastreux regroupement familial de Giscard d’Estaing. Et avec ces dernières émeutes suicidaires pour le pays, on n’arrête pas d’en payer les conséquences.

Il semble dire aussi, pour justifier l’immigration, que seuls les Français ne peuvent assurer un renouvellement suffisant des générations. Alors dans ces conditions, pourquoi ne pas réserver tout l’argent que son gouvernement s’applique à encourager cette immigration ruineuse pour nos finances à une POLITIQUE NATALISTE. Idée de courte durée émise par Jacques Chirac et vite enterrée par le Conseil constitutionnel.

Et comme preuve de son grand respect de la démocratie, il nous promet l’usage renouvelé du 49.3 contre toute opposition à ces derniers engagements. Avec un refus absolu d’un référendum sur ce sujet, vital pour notre pays, qui est l’immigration.

« La France est le seul pays où les envahisseurs sont considérés comme des victimes et les anti-migrants comme des salauds » (William Goldnadel, Avocat).




Le mouvement trans devient de plus en plus violent : normal, ce sont des hommes !

[Source : dreuz.info]

« Seules les femmes ont leurs règles. »

J. K. Rowling

Par Jean-Patrick Grumberg

Apparemment, des personnes armées de couteaux menacent les salles de spectacles.

Le week-end dernier, les autorités ont annoncé qu’il y aurait des fouilles de sacs et des détecteurs de métaux lors d’un spectacle à guichets fermés pendant le Festival d’Édimbourg, en Grande-Bretagne. Le lieu prend également une mesure sans précédent, à savoir la mise en place d’un système de fouille pendant le spectacle.

Qu’est-ce qui a bien pu effrayer ce vénérable club de comédie ? Pourquoi ce spectacle d’Édimbourg a-t-il besoin de toute cette sécurité renforcée ? Une féministe.

La vedette est en fait une féministe éminemment critique à l’égard des théories du genre. En l’occurrence, il s’agit de la députée Joanna Cherry. Et la menace de violence vient du mouvement « transactiviste ».

Il n’y a aujourd’hui au Royaume-Uni qu’un seul courant activiste qui menace de violence ses opposants politiques

Alors que Just Stop Oil et d’autres écoactivistes sont prêts à enfreindre la loi en bloquant des routes et en perturbant des événements culturels, seule la foule trans représente une menace de violences physiques.

Le fait même qu’il y ait maintenant une menace crédible de violence contre l’apparition de Joanna Cherry à Édimbourg démontre amplement le tournant sombre qu’a pris le militantisme trans. Il fut un temps où les activistes trans se seraient contentés de faire taire et d’humilier les femmes qui avaient la témérité de parler de leurs droits. Cette époque est révolue depuis longtemps.

En mars dernier, un ancien étudiant d’une école de Nashville, Tennessee, qui s’identifie comme transgenre, a assassiné trois enfants âgés de neuf ans et trois adultes dans une école chrétienne privée.

Audrey Elizabeth Hale a finalement été tué par la police après une confrontation avec les agents. Hale possédait un manifeste que les autorités refusent de rendre public, jusqu’à ce jour. Des procès sont en cours.

Une menace visant presque exclusivement les femmes

  • Au début du mois, Sarah Jane Baker, un militant trans violent qui a purgé une peine de 30 ans pour enlèvement et tentative de meurtre, a appelé la foule, lors de la « marche des fiertés+Trans » de Londres, à « frapper » les TERF (c’est-à-dire les femmes critiques à l’égard des théories du genre) « dans leur putain de visage ».
  • L’auteure de Harry Potter JK Rowling s’est retrouvée malgré elle la cible des trans. Gretchen Felker-Martin, un auteur transgenre, après avoir condamné le New York Times pour sa défense de Rowling, a carrément menacé de lui trancher la gorge.

« Il y a du sang sur les mains de Rowling », a tweeté Felker-Martin.« S’ils avaient tous une seule gorge, mec ».

Cela a été perçu comme une menace à peine voilée de trancher la gorge de JK Rowling, suite à la mort par arme blanche d’un adolescent transgenre pour lequel Felker-Martin tient Rowling responsable.

  • En 2021, trois activistes trans ont doxé (publié l’adresse personnelle) Rowling sur Twitter. Subséquemment, elle a déclaré qu’elle avait reçu « tellement de menaces de mort que j’aurais pu en recouvrir toute la maison » et que « des familles ont été mises dans un état de peur et de détresse » par des activistes transgenres.
    Rowling a révélé qu’elle et d’autres femmes qui se sont exprimées sur les questions de genre sont confrontées à des « campagnes d’intimidation », de traque et de harcèlement, mais a juré qu’elle ne se laisserait pas réduire au silence.
  • Rowling a depuis déclaré qu’elle était « consternée » d’entendre diverses femmes qui s’étaient exprimées sur les questions de transgenre, y compris celles qui n’étaient pas des célébrités, et qui avaient subi des abus, y compris des menaces de viol.

« Aucune de ces femmes n’est protégée comme je le suis », a-t-elle déclaré ».

  • En novembre 2022, plusieurs militants transgenres ont menacé un groupe de manifestantes en faveur des droits des femmes lors d’un rassemblement à Manhattan, déclarant qu’ils allaient « frapper » les participantes.
    Le rassemblement « Let Women Speak » était une tournée nationale destinée à donner aux femmes une tribune pour parler des effets négatifs de l’idéologie du genre.
    L’événement a été considéré comme « transphobe » et des activistes trans ont commencé à menacer violemment les participantes au rassemblement.
  • Un militant transgenre, Tara Jay, a averti les femmes qui tentaient de l’empêcher d’utiliser les toilettes pour femmes que « ce sera la dernière erreur que vous ferez » dans une vidéo terrifiante.
    Jay, qui a commencé une « transition » en 2017, a également exhorté d’autres personnes transgenres et LGBTQ à acheter des armes à feu pour leur propre sécurité.

Pour faire taire les critiques de l’islam, ils ont inventé l’islamophobie. Pour faire taire les féministes, ils ont inventé la transphobie

En mars de cette année, une réunion intitulée « Réduire les femmes au silence : Liberté académique et pensées impensables », au cours de laquelle trois éminents professeurs présentaient leur combat en faveur de la recherche fondée sur le sexe a été menacée par des activistes qui ont tenté d’empêcher cette réunion de se tenir.

La réponse des activistes trans aux femmes universitaires qui parlent de la façon dont les accusations de « transphobie » sont utilisées pour les faire taire est d’essayer de les faire taire pour ne pas le dire.

« Nous pensons que cet événement ne devrait pas avoir lieu », disait une pétition sur Change.org, affirmant « qu’elle encouragera la transphobie… et que cela se fera au détriment de la sécurité des personnes trans ».

Les mêmes méthodes que pour faire interdire les invités conservateurs et les empêcher de parler dans les universités.

Tout est parti d’une phrase

J. K. Rowling

Les menaces ont commencé en 2019, lorsque Rowling, une féministe, a critiqué, dans un tweet, l’utilisation de l’expression « personnes qui ont leurs règles » et dit que seules les femmes ont leurs règles.

Rowling, conformément à son engagement qu’on ne la ferait pas taire, a écrit un essai en 2020 pour expliquer son point de vue sur les points d’affrontement entre le féminisme et le mouvement transgenre.

Pour les trans, « il ne suffit pas que les femmes soient des alliées trans. Les femmes doivent accepter et admettre qu’il n’y a pas de différence matérielle entre les femmes trans et elles-mêmes », écrit Rowling.

« Comme de nombreuses femmes l’ont dit avant moi, poursuit Rowling, “la femme” n’est pas un costume. La “femme” n’est pas une idée dans la tête d’un homme. La “femme” n’est pas un cerveau rose, un penchant pour les [chaussures] Jimmy Choos ou n’importe quelle autre idée sexiste aujourd’hui présentée comme progressiste ».

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Sources consultées pour cet article :




Tout ce que vous devez savoir sur le variant « Eris » de la Covid

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

La grande nouvelle de ces derniers jours, c’est que le « Covid » est de retour… à nouveau. Cette fois, il s’agit du variant « Eris », nommé d’après la déesse grecque des conflits et de la discorde, qui serait à l’origine d’un pic de cas pour la première fois depuis… on ne sait combien de temps.

L’essentiel des articles consacrés à cette maladie explique en détail comment elle est censée être liée à Omicron ou Arcturus ou à tous les autres noms qui font la une des journaux.

Ça, ou les symptômes.

Il s’agit d’un écoulement nasal, d’un mal de gorge et… de tout le reste. La seule chose digne d’intérêt à mentionner ici est que la « perte de goût ou d’odorat » — longtemps vendue comme la carte de visite de Covid — n’est plus considérée comme un symptôme courant.

Yahoo a même rapporté — sans la moindre ironie — que la prétendue hausse des « cas » était due au fait que les gens passent plus de temps à l’intérieur :

Le mauvais temps, qui incite les gens à passer plus de temps à l’intérieur, et la baisse de l’immunité ont été incriminés pour expliquer cette hausse.

… une position particulière, étant donné que le confinement est censé avoir aidé, la dernière fois.
Quoi qu’il en soit, sans plus attendre, voici tout ce qu’il faut savoir sur le variant Eris :

C’est des conneries.
Comme tous les autres.

[Voir le dossier Vaccins et virus]

Il n’y a rien d’autre à dire, n’est-ce pas ?

Bien sûr, les médias préparent des balles molles pour que nous puissions les balancer, en parlant à nouveau de « symptômes » et de « taux d’infection », comme si les trois dernières années n’avaient pas rendu tous ces mots vides de sens. Mais nous avons — ou devrions avoir — largement dépassé le stade de l’argumentation à contre-courant.

Nous savons tout ce qu’il y a à savoir sur les symptômes — ils sont « généralement légers » et « semblables à ceux de la grippe », parce que la Covid n’est rien d’autre que des maladies respiratoires endémiques rebaptisées. Nous savons que les statistiques de décès sont inventées et que les tests ne fonctionnent pas, sauf pour fabriquer des cas.

Nous savons tout cela, même cette répétition n’est pas nécessaire, pour être honnête.

Le seul aspect d’Eris qui vaille la peine d’être discuté est la raison pour laquelle il est dans les journaux, et même cette réponse est plus brève que d’habitude.

Eris existe parce que la vague de chaleur « Cerberus » est terminée et que le mois de juillet a été anormalement froid et humide au Royaume-Uni. Parce que l’automne va bientôt s’installer et qu’il n’y a plus d’événements sportifs majeurs à perturber pour Just Stop Oil [Stop au pétrole] pendant un certain temps.

En bref, Eris est ce qui arrive lorsque les gens refusent de paniquer à propos du changement climatique.

En fait, nous pouvons probablement nous attendre à ce que les journaux fassent le lien entre Eris et le climat dans les prochains jours.

Le problème, c’est que, tout comme pour le changement climatique, les mots ne peuvent effrayer les gens que pendant un certain temps. Les médias ont tellement répété « réchauffement climatique » que les mots ont perdu leur sens, et ont rempli les journaux de tant de prédictions apocalyptiques qui ne se sont jamais réalisées que les gens se sont engourdis, ils les filtrent maintenant même s’ils ne s’en rendent pas compte.

Il en ira de même pour la Covid ; plus ils la ramèneront pour faire peur, moins les gens vont sursauter.

C’est probablement la raison pour laquelle ils préparent le terrain pour « la prochaine pandémie » de la « maladie X ».




La promotion de pseudo-maladies par l’industrie pharmaceutique et la surmédicalisation

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

Un immense merci à tous ceux qui m’aident à produire et propager de l’information cruciale pour comprendre notre monde en faisant un don ou en partageant !

Virement Interac : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse : tribunal)
Stripe : https://buy.stripe.com/8wMbKy3i26CM6cw7ss
Où me trouver : https://linktr.ee/julielevesque

***

Connaissez-vous l’expression « disease mongering », le « façonnage de maladie » ?

Selon une édition spéciale de la revue médicale PLOS sur ce sujet en 2018, il s’agit de pratiques consistant à « “vendre des maladies” afin de promouvoir la vente de médicaments ».

Sur les comprimés :
Conquérez la timidité, améliorez votre mémoire, bonheur, meilleur sexe, pas de sautes d’humeur.

Dans l’article La stratégie de Knock, publié en 2017, le Collectif Formindep dénonce ces techniques lucratives qu’il décrit comme « un ensemble de pratiques destinées à accroître le marché d’un produit de santé par la création ou la modification d’entités nosographiques », ces dernières étant mieux connues sous le nom de « maladies ».

Créé en 2004, Formindep est une association française regroupant « des professionnels de santé, des patients et des citoyens soucieux de favoriser une formation professionnelle et une information, auprès du public, indépendantes, c’est-à-dire dégagées de toute influence d’organismes pouvant avoir d’autres finalités que l’intérêt seul des patients ».

Le Collectif ajoute dans l’article de 2017 :

« Ces pratiques visent à étendre le domaine de la maladie. Elles orientent les plans de recherche, soutiennent des actions de communication grand public, incitent les autorités sanitaires à lancer des campagnes de dépistage systématisé et biaisent la formation médicale continue et les recommandations de bonnes pratiques. » (Soulignements ajoutés)

Déjà-vu ?

Formindep écrit que ces pratiques prenaient une telle ampleur il y a une dizaine d’années que le Parlement européen a commandé un rapport à ce sujet en 2012 : Disease Mongering (Pseudo-Disease Promotion) (Le façonnage de maladie (la promotion de pseudo-maladies).

Voici le résumé du rapport :

« Le façonnage de maladies est la promotion des pseudo-maladies par l’industrie pharmaceutique dans le but d’en tirer des avantages économiques. Les fabricants d’équipement médical, les compagnies d’assurance, les médecins ou les groupes de patients peuvent également l’utiliser pour réaliser des gains monétaires ou exercer une influence.Cette pratique a augmenté parallèlement à la “médicalisation” de la société et à la croissance du complexe pharmaceutique. En raison des investissements massifs dans le marketing et le lobbying, de l’utilisation abondante d’Internet et des médias, et de l’émergence de nouveaux marchés, la question devient préoccupante, et les décideurs devraient être conscients de ses dangers et de ses conséquences. » (Soulignements ajoutés)

Par croissance du complexe pharmaceutique, on précise plus loin que cela comprend « son pouvoir et son influence ». Un exemple cité de pseudo-maladie est le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Les auteurs du rapport notent plus loin que ce phénomène date des années 1990 :

« Un nombre croissant de publications médicales et scientifiques (en grande partie datant du début des années 90, mais plus particulièrement des dix dernières années) prouve l’émergence de ce phénomène. » (Soulignements ajoutés)

Ils concluent :

« Le façonnage de maladie (promotion des pseudo-maladies) est une réalitécompte tenu de la littérature scientifique disponible, en particulier dans les économies développées, les États-Unis, l’Australie et l’UE. » (Soulignements ajoutés)

Chez nous, on le sait, l’industrie est vénérée et les pilules ont la cote.

En avril 2021, TVA rapportait que les Québécois sont « les champions des médicaments » au pays :

En 2019, un média de l’UQAM, Pourquoi. media affirmait que le Québec était surmédicamenté en ce qui a trait au TDAH :

« Le Québec est un champion incontesté en ce qui a trait à la proportion d’adolescents qui consomment des médicaments reliés au trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Dans les faits, le taux de prévalence de consommation au Québec est trois fois plus élevé que dans le reste du Canada.Le taux de prévalence du TDAH chez les adolescents québécois, lui, est de deux à trois fois plus élevé que celui observé dans la population mondiale. » (Soulignements ajoutés)

On explique ce phénomène, entre autres, par l’accès plus facile aux médicaments en raison des assurances et à « une panoplie de professionnels de la santé […] en droit de porter un diagnostic selon leur propre grille d’analyse ».

Parmi les types de façonnages de maladie, le Collectif Formindep cite ceux-ci :

  • « la transformation de facteurs de risque (hypercholestérolémie, hypertension artérielle, glycémie) en maladie définie par le franchissement de seuils de marqueurs (exemples : cholestérolémie, tension artérielle), indépendamment des caractéristiques cliniques du sujet. L’abaissement continu des valeurs considérées normales fait basculer mécaniquement un nombre croissant de personnes de l’état de santé à celui de malade et de client potentiel, et l’intensification des traitements accroît le marché par patient traité ;
  • l’élargissement de la définition des maladies par l’élargissement des critères diagnostiques, la création de pré-maladies (exemples : trouble cognitif léger, pré-diabète, ostéopénie) ;
  • la création de nouvelles entités nosographiques par le rassemblement de symptômes en syndromes et maladies (exemples : syndrome métabolique, fatigue chronique, fibromyalgie, maladie de Lyme chronique) ;
  • la pathologisation de conditions normales (exemple : ménopause, ostéoporose liée à l’âge, timidité, fluctuations de la libido). » (Soulignements ajoutés)

Les auteurs ajoutent que les campagnes de sensibilisation des maladies sont des campagnes de marketing déguisées, permettant « aux firmes pharmaceutiques d’atteindre directement le consommateur, contournant ainsi l’interdiction qui leur est faite de communiquer sur leurs produits ». C’est ainsi que, selon eux, le mois d’octobre est devenu le mois rose de la sensibilisation au cancer du sein et que novembre est devenu Movember, un mois bleu dédié à la santé masculine.

« Le message délivré suit un schéma invariable : il existe une maladie sournoise, avançant sans symptômes ou sous des symptômes anodins et peu spécifiques, beaucoup plus répandue et grave qu’on ne le croit, qu’il faut dépister et traiter tôt. Nombre de ces campagnes s’accompagnent de pseudo-tests (questionnaires) de dépistage qui se caractérisent par leur faible valeur prédictive positive, multipliant les faux positifs et alarmant à tort la population [4]

Si les bénéfices d’un dépistage et d’une prise en charge précoce sont indéniables dans certains cas, de nombreux travaux ont remis en question l’utilité de ces campagnes et ont permis de mettre en évidence les problèmes de santé publique liés au surdiagnostic, au surtraitement et à la iatrogénèse qu’elles entraînent [5].

Toutes ces pratiques concourent à multiplier le nombre de personnes étiquetées “malades”, la proportion des personnes à traiter parmi elles, et pour chacune à accroître l’intensité du traitement. Il s’agit d’un disease mongering à visée purement quantitative, jouant sur la définition des maladies pour accroître les volumes de ventes. » (Soulignements ajoutés)

On ne peut faire autrement que penser aux « malades asymptomatiques » à la lecture de ces pratiques de façonnage de maladies.

Ce phénomène, le Dr Sauveur Boukris l’avait déjà exploré dans son livre paru en 2013, La Fabrique de malades : Ces maladies qu’on nous invente.

Le résumé de ce livre regorge de parallèles avec la crise covid :

« Cholestérol, hypertension, cancer, dépression, ostéoporose, ménopause, etc. : et si l’on en faisait un peu trop ?L’excès de médecine nuirait-il à la santé ?

“Tout bien portant est un malade qui s’ignore”, disait le docteur Knock. Aujourd’hui, “tout bien portant est quelqu’un qui n’a pas eu de dépistage”. Des centaines de milliers de Français consultent à l’hôpital ou en cabinet pour pratiquer un bilan médical, radiologique ou biologique. Inquiets et prudents, ils pensent qu’il vaut mieux prévenir que guérir et comptent ainsi éviter une maladie silencieuse.

Dans ce livre, le docteur Boukris évoque la “médecine marketing” et montre comment on manipule médecins et malades en jouant sur les peurs, comment on médicalise nos vies pour pratiquer davantage d’examens biologiques, de radiographies et faire consommer toujours plus de médicaments.

Transformer des sujets bien portants en malades potentiels, tel est l’objectif de certains secteurs médicaux, privés ou publics, qui transmettent un message trompeur, lequel engendre de l’anxiété et génère un gâchis financier.

Surmédicalisation, surdiagnostic, surtraitement, ce document nous ouvre les yeux sur des pratiques du monde médico-industriel qui peuvent être nuisibles pour la santé et bouleverse de nombreuses idées reçues. » (Soulignements ajoutés)

Malgré toute la littérature pré-covid sur le façonnage de maladies, les journalistes n’ont pas abordé ce sujet pourtant révélateur des mécanismes trompeurs employés par une industrie qui commande la foi et envers laquelle trop de critiques sont qualifiées d’« antiscience » et de complotisme.

Douter des motivations profondes d’une industrie à but hautement lucratif n’a rien de complotiste. Au contraire, ces doutes sont fondés sur des phénomènes très bien documentés et répétitifs de manipulation, de fraude, de mensonges et de corruption, au point de satisfaire les critères du racket dans la loi américaine Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act (RICO) de 1970, comme l’explique Pete Gøtzsche dans Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, un livre publié aux Presses de l’Université Laval :

« Le racket consiste à commettre un certain type d’offense à plus d’une reprise. La liste des offenses qui constituent du racket inclut l’extorsion, la fraude, les infractions fédérales liées à la drogue, la corruption, les détournements de fonds, l’obstruction de la justice, l’obstruction de l’application de la loi, la subornation de témoins et la corruption politique. Les grosses pharmaceutiques s’adonnent si souvent à tout cela constamment qu’il ne peut y avoir aucun doute que son modèle d’affaires satisfait aux critères du crime organisé. » (Soulignements ajoutés)

Dans sa recension du livre, publiée sur le site de L’association canadienne de justice pénale, partenaire de la Société de criminologie du Québec, André Normandeau, criminologue et professeur à l’Université de Montréal écrit :

« Un rare livre criminologique écrit à la fois de façon populaire tout en étant bien assis sur la recherche de la vérité. Un jour, nous aurons besoin d’un autre Peter Gotzsche pour faire le procès scientifique de la pandémie du coronavirus, dit le Covic-19 (sic), en pensant aux lacunes “peut-être de nature criminelle” du monde médical et du monde politique qui n’ont pas prévu de façon satisfaisante la crise sanitaire que nous avons vécu en 2020 et qui n’ont pas préparé la réponse médicale à cette crise de façon appropriée, me semble-t-il. »

(Soulignements ajoutés)

Alors que bon nombre de citoyens se retrouvent devant les tribunaux pour avoir désobéi aux règles arbitraires et antiscientifiques mises en place en 2020, l’industrie s’en tire avec des profits records et quelques questions embarrassantes sur leurs injections de la part de députés qui font leur travail, comme on l’a vu en Australie le 3 août dernier (audiences intégrales).

Les représentants de Pfizer n’ont jamais répondu à la question « Pfizer a-t-il testé l’efficacité de son vaccin covid pour arrêter ou baisser la transmission du virus ? » :

En 2023, le slogan « sûr et efficace » a perdu énormément de crédibilité et les représentants des pharmaceutiques ne font pas bonne figure lorsqu’ils tentent de le justifier… en répétant que leurs injections sont sûres et efficaces, malgré les preuves du contraire établies par de nombreux chercheurs indépendants qualifiés, comme le World Council for HealthDoctors for Covid Ethics et un groupe de chercheurs danois, ayant découvert des différences considérables dans l’incidence d’effets secondaires entre les lots d’injections, dont un provoquant des effets secondaires 1 fois sur 20.

Cette étude est bien vulgarisée par le Dr John Campbell dans cette vidéo :

Comme l’explique Lynn Payer dans un livre avant-gardiste sur le sujet publié en 1992, Disease-Mongers : How Doctors, Drug Companies, and Insurers Are Making You Feel Sick (Les façonneurs de maladies : Comment les médecins, les sociétés pharmaceutiques et les assureurs vous font sentir malade) :

“Essayer de convaincre les gens qu’ils sont malades ou ceux qui sont légèrement malades qu’ils sont très malades est très lucratif.”

Essayer de convaincre les gens qu’ils risquent d’être malades l’est peut-être encore plus.




L’UE soutient le plan de Bill Gates visant à lutter contre le réchauffement de la planète en bloquant le Soleil

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

L’Union européenne (UE) a apporté son soutien au projet radical du cofondateur de Microsoft, Bill Gates, de « lutter contre le réchauffement climatique » en bloquant la lumière du soleil pour faire baisser la température sur Terre.

L’UE se joindra à un effort international mondialiste visant à examiner l’efficacité du plan.

Les gouvernements de plusieurs pays se joignent à des agences bureaucratiques non élues pour déterminer si une intervention à grande échelle telle que la déviation des rayons du soleil ou la modification des schémas météorologiques de la Terre sont des options viables pour « lutter contre le changement climatique ».

Comme Slay News l’a précédemment rapporté, Bill Gates défend depuis longtemps le projet de lutte contre le « réchauffement climatique » en recourant à la géo-ingénierie expérimentale pour bloquer le soleil.

L’idée, défendue par Bill Gates et le milliardaire gauchiste George Soros, consiste à injecter des nuages blancs artificiels dans l’atmosphère afin de réfléchir la lumière du soleil loin de la surface de la planète.

Ce projet radical permettrait d’abaisser la température de la planète et de « lutter contre le réchauffement climatique ».

Soros prétend que cette technologie contribuera à empêcher la fonte des calottes glaciaires.

Selon lui, la fonte des calottes glaciaires du Groenland, en particulier, pourrait condamner la civilisation humaine.

« Notre civilisation risque de s’effondrer en raison de l’avancée inexorable du changement climatique », a déclaré Soros.

« La fonte de la calotte glaciaire du Groenland augmenterait le niveau des océans de sept mètres. »

« Cela menace la survie de notre civilisation », a-t-il affirmé.

La méthode préconisée par Bill Gates consiste à augmenter les concentrations d’aérosols dans la stratosphère afin de réfléchir le rayonnement solaire loin de la Terre.

Bill Gates a financé un important projet à Harvard utilisant des ballons pour déployer des aérosols.

Ce projet a toutefois été interrompu à la suite d’une levée de boucliers de la part de l’opinion publique.

Selon un projet de document consulté par Bloomberg, l’Union européenne évalue les conséquences du « réchauffement climatique » sur la sécurité, notamment le risque que la pénurie d’eau ou de nourriture ne déclenche des conflits et des migrations.

Une partie de cette évaluation comprend l’étude des dangers potentiels de la réingénierie de l’atmosphère.

« Ces technologies présentent de nouveaux risques pour les personnes et les écosystèmes, mais elles pourraient également accroître les déséquilibres de pouvoir entre les nations, déclencher des conflits et soulever une myriade de questions éthiques, juridiques, politiques et de gouvernance », selon le document, qui est susceptible d’être modifié.

En se lançant dans ces recherches, l’Union européenne se trouve au cœur du débat sur la question de savoir si la géo-ingénierie du climat est une bonne science ou si elle n’est qu’une distraction de science-fiction.

Ces projets de géo-ingénierie ont des conséquences potentiellement dangereuses pour la planète et son atmosphère.

L’Union européenne souhaiterait que des discussions internationales aient lieu sur l’élaboration de règles applicables à ce secteur naissant.

« L’UE soutiendra les efforts internationaux visant à évaluer de manière exhaustive les risques et les incertitudes liés aux interventions sur le climat, y compris la modification du rayonnement solaire », selon le document.

Ces interventions à grande échelle sont apparues parallèlement aux progrès scientifiques et à la crainte croissante que les pays ne dépassent l’objectif de l’agenda vert, qui est de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius.

Le blocage des rayons du soleil est désormais fréquemment présenté comme un moyen de lutter contre ce qu’on appelle la « crise climatique ».

Les critiques mettent toutefois en garde contre les effets secondaires imprévus de plans aussi radicaux, tels que l’altération de régimes pluviométriques vitaux ou un refroidissement excessif de la Terre qui entraînerait une ère glaciaire.

Certains scientifiques ont appelé à la conclusion d’un accord international de non-utilisation de ces solutions.

D’autres experts, quant à eux, affirment que les rapports faisant état d’une « crise climatique » sont un canular destiné à attiser la peur du public dans le but d’augmenter les impôts et de restreindre les libertés.

Comme Slay News l’a déjà rapporté, le célèbre écologiste Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, avertit le public que le discours contre le dioxyde de carbone est une escroquerie.

Moore, écologiste et militant écologiste depuis plus de 50 ans, affirme que l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est bénéfique.

Selon lui, les affirmations selon lesquelles le changement climatique est « causé par l’homme » sont de la « propagande » qu’il qualifie de « dangereuse ».

Les commentaires de Moore, un expert de premier plan en matière d’environnementalisme, vont directement à l’encontre de l’agenda vert mis en avant par l’administration de Biden et les groupes mondialistes tels que l’Organisation des Nations unies (ONU) et le Forum économique mondial (FEM).

Selon Moore, l’environnementalisme a été détourné et le mouvement a « abandonné la science et la logique au profit de l’émotion et du sensationnel ».

« Lorsque Greenpeace a commencé, nous avions une forte orientation humanitaire, pour sauver la civilisation de la destruction par une guerre nucléaire totale », a déclaré Moore.

Au fil des ans, la « paix » de Greenpeace s’est progressivement perdue et mon organisation, comme une grande partie du mouvement écologiste, a dérivé vers la conviction que les humains sont les ennemis de la Terre.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Le cash, va-t-il disparaître ?

[Source : Nicolas Bonnal]

Oui, tout est fait pour

Par Amal

Nous savons que nos chers mondialistes satanistes souhaitent se débarrasser du cash pour introduire la monnaie numérique — « le CBDC » — et de mettre en place un contrôle efficace et à distance de nos pauvres âmes.

Le cash a commencé à être difficile à obtenir. Ici, dans ma commune, vous pouvez retirer dans la journée un montant de 300 €, mais pas un penny de plus.

À la poste, les dépôts supérieurs à 1 500 € doivent être justifiés : d’où vient l’argent ? Pourquoi un tel dépôt ? Deux pièces d’identité, justificatif de domicile et son contrat de compte. Et tant qu’on y est, pourquoi pas, l’autorisation du père, du fils et du Saint-Esprit.

Quant aux artisans qui souhaitent disposer de monnaie pour leur caisse, c’est toute une histoire :
contacter la banque par téléphone, faire un e-mail avec le détail de la monnaie souhaitée, attendre le retour par e-mail de la banque pour la mise à disposition, et enfin se déplacer pour récupérer sa monnaie avec le mail en poche.

On a vu juste avant le coronacircus, l’arrivée des paiements sans contact. Le plafond était limité à 20 €. Une fois que le virus était là, on a augmenté le plafond à 50 € et surtout, on a commencé à diaboliser le cash, car il était un facteur de transmission du virus. Par contre, composer son code sur le pin pad ça, c’est hygiénique, no problemo, lui n’est pas infecté. C’est là que l’on se rend compte de la bêtise et du manque de discernement des froncés.

Pendant les confinements, on a supprimé pas mal de DAB dans les grandes villes. Il y en a de moins en moins.

En 2021, il était impossible de payer en espèces certaines factures d’énergie, notamment celles d’ANTARGAZ. Ils ne proposent plus que des paiements par carte, par TIP ou par chèque. Les espèces, c’est niet.

Depuis juin 2023, et toujours chez nos amis de la poste, il n’est plus possible de régler les factures d’énergie supérieures à 200 €. Si vous ne possédez pas de compte bancaire et bien, c’est la merde.

Depuis juin de cette année, à Carrefour, les caisses autonomes dites rapides ne prennent plus d’espèces. Les paiements ne se font que par carte bleue. Le message est sur un bout de papier scotché à la caisse.

Les paiements dans les stations-service se font généralement qu’avec CB, sauf une ou deux enseignes qui acceptent les espèces. Vous devez vous présenter au guichet, dire combien vous souhaitez régler et après paiement, ils vous débloquent la pompe.

Tout est fait pour que les espèces disparaissent de notre quotidien et que nous privilégions les paiements par carte. Un moyen très efficace de connaître chacun de nos faits et gestes, et dans un futur proche, avec le pass carbone, de nous punir en bloquant nos paiements.

Le crédit social pointe le bout de son nez et Voldemort en bon élève va appliquer toutes les mesures soufflées par Davos & Co.

Nous ne sommes pas sortis de l’auberge, à moins que nous trouvions un moyen de faire renaître massivement le troc pour éviter d’être constamment pistés. Ceci dit, avec les froncés qui vont être tellement contents de payer avec la puce qu’ils auront dans la main, ce n’est pas gagné !




La vie, la mort et la réincarnation dans la tradition juive

[Source : Torah-Box]




L’OMS reconnaît officiellement que ses gros chiffres sur la mortalité Covid étaient faux

Par Cheikh Dieng

Interrogés par la revue scientifique Nature, des experts de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) reconnaissent officiellement s’être trompés dans leurs chiffres liés à la mortalité Covid.

L’OMS reconnaît s’être plantée dans ses chiffres sur la mortalité liée au Covid. En effet, en mai dernier, l’Organisation Mondiale de la Santé avait publié de nouveaux chiffres estimant que près de 15 millions de personnes avaient été tuées par le virus lors de la pandémie à Coronavirus.

Plus de trois semaines plus tard, un article de la revue scientifique Nature révèle que l’organisation reconnaît s’être trompée sur plusieurs pays, dont l’Allemagne et l’Inde. Concernant l’Allemagne, par exemple, l’OMS estimait le nombre de morts dans ce pays à 233 sur 100 000 habitants, soit plus que la France qui, d’après l’OMS, n’a enregistré que 125 décès sur 100 000 habitants. Des chiffres totalement faux qui ont immédiatement été contestés par les scientifiques de l’organisation.

« Immédiatement, nous nous sommes rendu compte qu’il y avait un problème », réagit Jon Wakefield, expert en statistiques à l’Université de Washington aux États-Unis et cadre chez l’OMS. L’Inde respire. Il faut dire que tout juste après la publication des données de l’OMS, le gouvernement indien avait fait part de sa grosse déception, qualifiant les chiffres de l’OMS faux.

Et pour cause. L’OMS comptabilisait 4,7 millions de morts dus au Covid dans ce pays (Inde), soit 10 fois plus que les chiffres officiels présentés par le gouvernement de Modi. Plus de deux semaines plus tard, l’Inde est soulagée. Car l’OMS reconnaît en effet que ses estimations étaient erronées. « Nous voulons supprimer rapidement parce que c’est faux. Nous devons le corriger », reconnaît Wakefield interrogé par la revue scientifique Nature.

L’affaire est d’autant plus embarrassante que la revue Nature souligne que les chiffres concernant plusieurs autres pays étaient erronés.

Sur les réseaux sociaux, les réactions à ce mea-culpa ont été nombreuses