Messie ou Antéchrist ?

[Source : conscience-du-peuple]



Comment reconnaîtrons-nous Machiah le moment venu ? — Rav Ron Chaya




ARNm et dommages causés par les vaccins

[Source : wissenschafftplus.de numéro Juillet-Septembre 2023]

Par le Dr Stefan Lanka

Blessures vaccinales et hystérie ARNm : Origine, fonction et effet

Origine : lorsque les virologues ont inventé l’idée des virus Corona, ils ont intégré une protéine, qu’ils avaient trouvée dans leurs cultures cellulaires, dans le modèle de virus sous forme de protéines spike. Cette protéine, la syncytine, s’est avérée plus tard être typiquement humaine, ce que les virologues comme les critiques passent sous silence. Comme cette protéine est toujours détectée lors de « prétendues lésions par ARNm », les critiques affirment qu’il s’agit de la protéine spike des virus Corona. S’ils avaient effectué des expériences de contrôle sur des « tissus sains », ils auraient trouvé de la même manière cette protéine ou son acide nucléique partout.

Fonction : la superstition incendiaire des virus est stabilisée. Le véritable danger toxique que représentent ces vaccins est supprimé. Pendant la terreur de la grippe porcine, la présence et la dangerosité des nanoparticules dans les vaccins ont pu être abordées publiquement. Suite à cela, 93 % de la population a refusé le vaccin et la terreur a pris fin du jour au lendemain.

Effet : Celui qui prétend que l’ARNm peut pénétrer dans le corps, directement par la vaccination ou indirectement par les personnes vaccinées, y déclencher une production de protéines et des réactions auto-immunes et excréter de prétendues protéines spike, augmente la terreur de la peur du Corona à l’infini. Ceux qui sont touchés par cette peur et qui subissent ainsi des chocs conflictuels de longue durée développeront des symptômes « psychosomatiques ». De légers à graves, voire mortels, en fonction des programmes déclenchés, de leur durée et de l’apparition ou non de complications. Mot-clé : rein.

Remarque : si l’on ne remet pas tout en question, on peut aussi devenir, sans le vouloir, le meilleur ami de la terreur de la peur.

Conseil : Ne faites pas confiance à un critique qui ne connaît pas la biologie réelle.

Ce sont les nanoparticules ! L’ARNm dans les vaccins ARNm ne provoque pas de blessures vaccinales

Les personnes qui ont développé des problèmes de santé après avoir été vaccinées par le vaccin Corona pensent que ces problèmes, voire la mort, ont été causés par l’ARNm contenu dans les vaccins. Ce n’est pas vrai ! Si les lésions sont causées par des thromboses, les nanoparticules contenues dans les vaccins en sont responsables.

Tous les autres symptômes, surtout les symptômes classiques de la médecine, comme la myocardite et d’autres modifications spécifiques des organes, sont causés par la « psychosomatique » de la terreur corona prolongée. Ces symptômes se développent après un certain temps, lorsque les chocs conflictuels déclenchés par la terreur anxieuse sont dissous. Cette résolution a lieu chez toutes les victimes de choc conflictuel lorsque celles-ci se sentent à nouveau en sécurité grâce à la vaccination, lorsque la terreur s’atténue ou disparaît. L’ARNm dans les vaccins est décomposé de manière fiable par les nanoparticules agressives contenues dans les vaccins, dès que ceux-ci sont décongelés ou même pas congelés. L’ARNm dans les vaccins Corona ne peut donc, pour cette raison, causer de dommages.

Remarque : comme il n’y a pas de virus et qu’il ne peut pas exister de virus si l’on connaît la biologie réelle, il n’y a pas d’ARNm d’une protéine spike qui pourrait causer des dommages.

Conseil : n’ayez pas peur de l’ingénierie génétique ! Elle ne fonctionne pas et tous les types de molécules d’ARNm injectées dans le corps sont dégradés en quelques millisecondes.

« Les vaccins sont une tentative enfantine de faire face à la maladie ». Qui a dit cela et pourquoi ?

Cette déclaration a été faite par le professeur Heinrich Stemberger, le plus grand infectiologue d’Autriche, lors de la conférence sur la vaccination du 23 octobre 2001 à Linz. Un contrat avait été conclu au préalable avec les organisateurs, qui stipulait que le professeur Stemberger devait projeter à l’écran au moins une publication scientifique sur l’existence d’un virus pathogène et en expliquer les preuves.

Le professeur Stemberger a déclaré le 23 octobre 2001 qu’il n’était pas nécessaire de disposer de preuves scientifiques concrètes pour démontrer l’existence d’un virus. La preuve résulterait de dizaines de milliers d’observations et il faudrait avoir fait des études de médecine pour comprendre et avoir son mot à dire. Après que le professeur Stemberger ait été confronté aux règles contraignantes du travail scientifique, qui stipulent clairement que toutes les affirmations scientifiques doivent être clairement prouvées et publiées, son aveu est venu :

« Je l’admets, les vaccins sont une tentative enfantine de faire face à la maladie — nous n’avons tout simplement rien de mieux ». Pourquoi le professeur Stemberger a-t-il dit, dans cette situation exceptionnelle, la vérité sur la vaccination, qui va au-delà de la question de l’existence des virus ? Parce qu’il sait qu’il n’existe aucune preuve de l’existence des virus ET que la vaccination ne peut pas protéger de la maladie. La « science » définit en effet que la vaccination ne produit qu’une soi-disant protection immunitaire, mais que celle-ci ne protège pas contre les maladies.

Remarque : le résumé le plus court de la vaccination : en dehors des dépenses — plus les dommages dus à la vaccination et à la panique — rien n’a été fait.

Conseil : pour les débutants en matière de vaccination, ce livre : « La vaccination présentée simplement et de manière compréhensible » (en allemand « Impfen-einfach und verständlich dargestellt » (voir p. 59). Pour les plus avancés, les articles de notre magazine W+ depuis 2003.

[Traduction Jean Bitterlin 02.11.2023]




Déploiement de mini-cellules 5G alimentées par les lampadaires

[Source : echelledejacob]

AT&T [aux USA] accélère le déploiement de son réseau 5G en intégrant des petites cellules dans les lampadaires existants pour réduire les coûts et accélérer le déploiement. La société a déclaré que dans certains cas, une petite cellule peut être déployée en 15 minutes seulement.

Dans un article de blog, Gordon Mansfield, vice-président de l’accès à la mobilité et de l’architecture chez AT&T, a déclaré qu’AT&T avait testé l’année dernière des prototypes de ces petites cellules alimentées par des lampadaires et que la société est actuellement en train de tester sur le terrain et de déployer commercialement ces unités dans plusieurs villes. Une porte-parole d’AT&T a refusé de révéler les villes, mais a déclaré qu’elles avaient été sélectionnées « en raison des besoins et parce qu’elles disposaient d’une réglementation et de fournisseurs de services publics et d’éclairage locaux qui avaient des procédures et des pratiques qui facilitent le déploiement ».

Mansfield a déclaré que l’un des plus grands défis dans le déploiement d’une nouvelle infrastructure de réseau est le temps nécessaire pour acquérir des sites, concevoir des installations et obtenir des permis, notant qu’il faut souvent entre 12 et 18 mois pour installer un nouveau site.

En intégrant des radios 5G dans les lampadaires, les opérateurs peuvent réduire considérablement ce temps. Les lampadaires sont déjà alimentés en électricité et se trouvent souvent à proximité de la fibre optique pour le raccordement. De plus, ils ont la hauteur idéale pour une petite cellule, car ils mesurent généralement entre 8 et 10 mètres de haut et sont espacés d’environ 50 mètres. De plus, la plupart des lampadaires disposent d’une prise électrique commune, connue sous le nom de prise ANSI C136 (ou NEMA).

Il y a environ trois ans, Mansfield a déclaré s’être connecté avec la start-up de solutions intelligentes Ubicquia et avoir interrogé l’entreprise sur la possibilité de petites cellules alimentées par l’éclairage public. Ubicquia s’est associée à Ericsson et les deux sociétés ont développé l’Ericsson Street Radio 4402, une petite cellule qui peut être branchée sur des lampadaires existants avec une prise NEMA. L’appareil se trouve juste au-dessus du bouclier du lampadaire et à côté de la lumière afin de se fondre dans l’infrastructure existante. La radio prend en charge la 5G basse ou moyenne bande, avec un système d’antenne MIMO 4×4 entièrement intégré.

Mansfield a ajouté que les petites cellules alimentées par les lampadaires 5G sont équipées de capteurs intelligents qui peuvent détecter lorsqu’un lampadaire ne fonctionne pas parce qu’il a été endommagé lors d’une tempête ou en raison d’une panne de courant. « Cela nous aide à évaluer rapidement les dégâts et à envoyer des équipes pour les réparations ou à alerter le fournisseur d’électricité d’un problème », a-t-il déclaré.

Un autre aspect attrayant de l’Ericsson Street Radio est que lors de son déploiement, les ampoules existantes sur les lampadaires peuvent être remplacées par des lumières LED pour réduire la consommation d’énergie et contribuer aux objectifs de développement durable.

Source 

Les villes vont ressembler à des micro-ondes à ciel ouvert ! Bonjours les problèmes de santé !




Alexis Carrel et notre civilisation destructrice

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

On va laisser en parler un qui a le don de les énerver, les médias et les « élites », j’ai nommé Alexis Carrel. Prix Nobel de médecine quand même, et grande star en Amérique à l’époque de Roosevelt. Le chirurgien avait enlevé ses gants pour dire ses quatre vérités, car il savait avant les Orlov, Kunstler et autres collapsologues que nous étions bien condamnés. On cite l’édition américaine que le prestigieux Carrel avait présentée à New York avant la Guerre :

« En somme, la société moderne, cette société engendrée par la science et la technologie, commet la même faute que toutes les civilisations de l’Antiquité. Elle crée des conditions de vie où la vie de l’individu et celle de la race deviennent impossibles. Elle justifie la boutade du doyen Inge : Civilization is a disease which is almost invariably fatal [La civilisation est une maladie presque toujours mortelle]. Bien que la signification réelle des événements qui se passent en Europe et aux États-Unis échappe encore au public, elle devient de plus en plus claire à la minorité qui a le temps et le goût de penser. Toute la civilisation occidentale est en danger. Et ce danger menace à la fois la race, les nations, et les individus. Chacun de nous sera atteint par les bouleversements causés par une guerre européenne. Chacun souffre déjà du désordre de la vie et des institutions, de l’affaiblissement général du sens moral de l’insécurité économique, des charges imposées par les défectifs et les cri­minels. La crise vient de la structure même de la civilisation. Elle est une crise de l’homme. L’homme ne peut pas s’adapter au monde sorti de son cerveau et de ses mains. Il n’a pas d’autre alternative que de refaire ce monde d’après les lois de la vie. Il doit adapter son milieu à la nature de ses activités organiques aussi bien que mentales, et rénover ses habitu­des individuelles et sociales. Sinon, la société moderne rejoindra bientôt dans le néant la Grèce et l’Empire de Rome. Et la base de cette rénovation, nous ne pouvons la trouver que dans la connaissance de notre corps et de notre âme. »

À propos de Rome et de la Grèce, lisez mon livre noir : Juvénal, Suétone, Sénèque ont vu et vécu notre situation. Sans oublier Pétrone !

Carrel ramène la démocratie à une idéologie, et on est bien d’accord :

« Aucune civilisation durable ne sera jamais fondée sur des idéolo­gies philosophiques et sociales. L’idéologie démocratique elle-même, à moins de se reconstruire sur une base scientifique, n’a pas plus de chance de survivre que l’idéologie marxiste. Car, ni l’un ni l’autre de ces systèmes n’embrasse l’homme dans sa réalité totale. »

Le culte moderne de la laideur, de la hideur même, est une tare universelle maintenant.

Carrel explique :

« Le sens esthétique existe chez les êtres humains les plus primitifs, comme chez les plus civilisés. Il survit même à la disparition de l’intelligence car les idiots et les fous sont capables d’œuvres artistiques. La création de formes ou de séries de sons, qui éveillent chez ceux qui les regardent ou les entendent, une émotion esthétique, est un besoin élémentaire de notre nature. L’homme a toujours contemplé avec joie les animaux, les fleurs, les arbres, le ciel, la mer, et les montagnes. Avant l’aurore de la civilisation, il a employé ses grossiers outils à reproduire sur le bois, sur l’ivoire, et la pierre, le profil des êtres vivants. »

Nous sommes moins que des fous alors ?

Puis Carrel soulève la menace de la civilisation qui pèse sur les ouvriers et artisans condamnés à disparaître :

« Aujourd’hui même, quand son sens esthétique n’est pas détruit par son éducation, son mode de vie, et le travail de l’usine, il prend plaisir à fabriquer des objets suivant son inspiration propre. Il éprouve une jouissance esthé­tique à s’absorber dans cette œuvre. Il y a encore en Europe, et surtout en France, des cuisiniers, des charcutiers, des tailleurs de pierre, des menuisiers, des forgerons, des couteliers, des mécaniciens, qui sont des artistes. Celui qui fait une pâtisserie de belle forme, qui sculpte dans du saindoux des maisons, des hommes et des animaux, qui forge une belle ferrure de porte, qui construit un beau meuble, qui ébauche une grossière statue, qui tisse une belle étoffe de laine ou de soie, éprouve un plaisir analogue à celui du sculpteur, du peintre, du musicien, et de l’architecte. »

Carrel plaint comme le Chaplin des Temps modernes les ouvriers :

« Si l’activité esthétique reste virtuelle chez la plupart des individus, c’est parce que la civilisation industrielle nous a entourés de spectacles laids, grossiers, et vulgaires. En outre, nous avons été transformés en machines. L’ouvrier passe sa vie à répéter des milliers de fois chaque jour le même geste. D’un objet donné, il ne fabrique qu’une seule pièce. Il ne fait jamais l’objet entier. Il ne peut pas se servir de son intelligence. Il est le cheval aveugle qui tournait toute la journée autour d’un manège pour tirer l’eau du puits. »

Un petit procès d’intention contre la civilisation — procès très mal vu maintenant qu’elle est jugée fantastique et parfaite :

« L’industrialisme empêche l’usage des activités de la conscience qui sont capables de donner chaque jour à l’homme un peu de joie. Le sacrifice par la civilisation moderne de l’esprit à la matière a été une erreur. Une erreur d’autant plus dangereuse qu’elle ne provoque aucun sentiment de révolte, qu’elle est acceptée aussi facilement par tous que la vie malsaine des grandes villes, et l’emprisonnement dans les usines. Cependant, les hommes qui éprouvent un plaisir esthétique même rudimentaire dans leur travail sont plus heureux que ceux qui produisent uniquement afin de pouvoir consommer. Il est certain que l’industrie, dans sa forme actuelle, a enlevé à l’ouvrier toute originalité et toute joie. »

Le grand savant met enfin les points sur les I :

« La stupidité et la tristesse de la civilisation présente sont dues, au moins en partie, à la suppression des formes élémentaires de la jouissance esthétique dans la vie quotidienne. »

Ensuite le docteur Carrel aggrave son cas. Il célèbre en effet la beauté artisanale. Appréciez au passage ses grandes qualités littéraires qui nous changent des stylistes de science et vie ; et des alphabètes actuels sélectionnés au QCM :

« La beauté est une source inépuisable de joie pour celui qui sait la découvrir. Car elle se rencontre partout. Elle sort des mains qui modèlent, ou qui peignent la faïence grossière, qui coupent le bois et en font un meuble, qui tissent la soie, qui taillent le marbre, qui tranchent et réparent la chair humaine. Elle est dans l’art sanglant des grands chirurgiens comme dans celui des peintres, des mu­siciens, et des poètes. Elle est aussi dans les calculs de Galilée, dans les visions de Dante, dans les expériences de Pasteur, dans le lever du soleil sur l’océan, dans les tourmentes de l’hiver sur les hautes montagnes. Elle devient plus poignante encore dans l’immensité du monde sidéral et de celui des atomes, dans l’inexprimable harmonie du cerveau humain, dans l’âme de l’homme qui obscurément se sacrifie pour le salut des autres. Et dans chacune de ses formes, elle demeure l’hôte inconnu de la substance cérébrale, créatrice du visage de l’Univers… »

L’atrophie esthétique donc morale peut survenir :

« Le sens de la beauté ne se développe pas de façon spontanée. Il n’existe dans notre conscience qu’à l’état potentiel. À certaines époques, dans certaines circonstances, il reste virtuel. Il peut même disparaître chez les peuples qui autrefois le possédaient à un haut degré. C’est ainsi que la France détruit ses beautés naturelles et méprise les souvenirs de son passé. »

Comme on sait la meilleure manière de détruire tout cela reste le tourisme de masse.

L’atrophie morale et intellectuelle nous rend inaptes à recréer de la beauté et nous accoutume à une laideur épouvantable (souvenez-vous du Muriel de Resnais où la ville bombardée renaît de ses cendres, mais en béton et grands ensembles) :

« Les descendants des hommes qui ont conçu et exécuté le monastère du Mont Saint-Michel ne comprennent plus sa splendeur. Ils acceptent avec joie l’indescriptible laideur des maisons modernes de la Bretagne et de la Normandie, et surtout des environs de Paris. De même que le Mont Saint-Michel, Paris lui-même et la plupart des villes et villages de France ont été déshonorés par un hideux commercialisme. Comme le sens moral, le sens de la beauté, pendant le cours d’une civilisation, se développe, atteint son apogée, et s’évanouit ».

La culture ? Tout le monde consomme la série US ou le Da Vinci code ; un copain kiosquier me disait jadis qu’il vendait jusqu’à 300 revues de bagnole… Alexis Carrel :

« Le goût de la lecture est plus grand. On achète beaucoup plus de revues et de livres qu’autrefois. Le nombre de gens qui s’inté­ressent à la science, à la littérature, à l’art, a augmenté. Mais ce sont les formes les plus basses de la littérature et les contrefaçons de la science et de l’art qui, en général, attirent le public. Il ne paraît pas que les excel­lentes conditions hygiéniques dans lesquelles on élève les enfants, et les soins dont ils sont l’objet dans les écoles, aient réussi à élever leur niveau intellectuel et moral. On peut même se demander s’il n’y a pas souvent une sorte d’antagonisme entre leur développement physique et leur développement mental. Après tout, nous ne savons pas si l’augmentation de la stature dans une race donnée n’est pas une dégénérescence, au lieu d’un progrès, ainsi que nous le croyons aujourd’hui. »

L’individu d’aujourd’hui ? Avant l’obésité (42 % d’enfants obèses où je vis), avant l’abrutissement techno et média, avant l’effondrement du QI, Carrel écrit :

« Dans la civilisation moderne, l’individu se caractérise surtout par une activité assez grande et tournée entièrement vers le côté pratique de la vie, par beaucoup d’ignorance, par une certaine ruse, et par un état de faiblesse mentale qui lui fait subir de façon profonde l’influence de milieu où il lui arrive de se trouver. Il semble qu’en l’absence d’armature morale l’intelligence elle-même s’affaisse. C’est peut-être pour cette raison que cette faculté, jadis si caractéristique de la France, a baissé de façon aussi manifeste dans ce pays. Aux États-Unis, le niveau intellectuel reste inférieur, malgré la multiplication des écoles et des universités. »

Carrel remarque aussi :

« Le chauffage des maisons à la vapeur, l’éclairage électrique, les ascenseurs, la morale biologique, les manipulations chimiques des denrées alimentaires ont été acceptés uniquement parce que ces innovations étaient agréables et commodes. Mais leur effet probable sur les êtres humains n’a pas été pris en considération…On est arrivé ainsi à la construction des maisons géantes qui accumulent en un espace restreint des masses beaucoup trop considérables d’individus. Ceux-ci y habitent avec plaisir, car jouissant du confort et du luxe ils ne s’aperçoivent pas qu’ils sont privés du nécessaire. La ville moderne se compose de ces habitations monstrueuses et de rues obscures, pleines d’air pollué par les fumées, les poussières, les vapeurs d’essence et les produits de sa combustion, déchirées par le fracas des camions et des tramways, et encombrées sans cesse par une grande foule. Il est évident qu’elle n’a pas été construite pour le bien de ses habitants. »

On ne fait aucun progrès depuis, il ne manquerait plus que cela. Sur la médecine ou le pain blanc, Carrel avait tout dit aussi :

« Notre vie est influencée dans une très large mesure par les journaux. La publicité est faite uniquement dans l’intérêt des producteurs, et ja­mais des consommateurs. Par exemple, on a fait croire au public que le pain blanc est supérieur au brun. Aussi des quantités de produits alimentaires et pharmaceutiques, inutiles, et souvent nuisibles, sont-ils devenus une nécessité pour les hommes civilisés. C’est ainsi que l’avidité des individus assez habiles pour diriger le goût des masses populaires vers les produits qu’ils ont à vendre, joue un rôle capital dans notre civilisation. »

On dirait du Frédéric Bernays (lisez mon textes). Cerise sur le gâteau :

« On dirait que la civilisation moderne est incapable de produire une élite douée à la fois d’imagination, d’intelligence et de courage. Dans presque tous les pays, il y a une diminution du calibre intellectuel et moral chez ceux qui portent la responsabilité de la direction des affaires politiques, économiques et sociales. »

Notre penseur écrit sur l’apocalypse touristique dont la mission est essentiellement profanatrice, ensuite consumériste (il faut traîner, faire du hanging around) :

« L’attitude des touristes qui profanent les cathédrales d’Europe montre à quel point la vie moderne a oblitéré le sens religieux. L’activité mystique a été bannie de la plupart des religions. Sa signification même a été oubliée. À cet oubli est liée probablement la décadence des églises. »

Dans une société d’imbéciles, on ne propose pas des solutions. On les oublie. Carrel a aussi souligné le déclin qualitatif et quantitatif de nos populations :

« La France se dépeuple déjà. L’Angleterre et la Scandinavie se dépeupleront bientôt. Aux États-Unis, le tiers supérieur de la population se reproduit beaucoup moins rapidement que le tiers inférieur. L’Europe et les États-Unis subissent donc un affaiblissement qualitatif aussi bien que quantitatif… La civilisation occidentale ne s’est jamais trouvée en aussi grave péril qu’aujourd’hui. Même si elle évite le suicide par la guerre, elle s’achemine vers la dégénérescence grâce à la stérilité des groupes humains les plus forts et les plus intelligents. »

On le laisse conclure !

« Il faut nous lever et nous mettre en marche. Nous libérer de la technologie aveugle. »

Tel quel !

Terminons. Je sais qu’on peut lui reprocher ici et là quelques phrases (Carrel est notamment russophobe, comme nos élites, mais il a l’excuse de la peur du stalinisme). Mais avant de lui jeter la première pierre, on relit son Nietzsche :

« Les historiens naïfs appellent “objectivité” l’habitude de mesurer les opinions et les actions passées aux opinions qui ont cours au moment où ils écrivent. C’est là qu’ils trouvent le canon de toutes les vérités. Leur travail c’est d’adapter le passé à la trivialité actuelle. Par contre, ils appellent “subjective” toute façon d’écrire l’histoire qui ne considère pas comme canoniques ces opinions populaires. »

Sources

Alexis Carrel — l’homme cet inconnu

Nietzsche — Deuxième considération (sur l’histoire)

Nicolas Bonnal — Céline, la colère et les mots (Avatar éditions) ; apocalypse touristique (Amazon.fr)




Sénèque et notre temps

[Publication initiale : dedefensa.org]

[Illustration : source]

Par Nicolas Bonnal

Sénèque est par excellence le penseur du présent perpétuel. Toutes les tares de son empire romain, trop romain, sont les nôtres. Extrait de notre prochain livre : la sagesse transgressive de Sénèque, ou comment supporter des temps insupportables.

C’est la fameuse, c’est l’éternelle lettre XCV, citée par Joseph de Maistre dans la deuxième soirée de Saint-Pétersbourg… dénonciation d’une civilisation monstrueuse dite romaine et regret du bon vieux temps frugal… La civilisation procéderait en raffinement (comparer la France de Macron à celle de Louis XIV), mais alors à quel prix…

« Sans doute, comme vous le dites, cette sagesse de nos aïeux était grossière, surtout à votre naissance, ainsi que tous les autres arts qui avec le temps se sont raffinés de plus en plus. Mais aussi n’avait-on pas besoin alors de cures bien savantes. L’iniquité ne s’était ni élevée si haut, ni propagée si loin : à des vices non compliqués encore des remèdes simples pouvaient résister. »

Sénèque regrette bien entendu l’avènement de la « grande bouffe », de notre « orgie romaine ».

« Aujourd’hui il faut des moyens de guérir d’autant plus puissants que les maux qui nous attaquent ont bien plus d’énergie. La médecine était autrefois la science de quelques herbes propres à étancher le sang et à fermer les plaies ; depuis, elle est arrivée insensiblement à cette infinité de recettes si variées. Ce n’est pas merveille qu’elle ait eu moins à faire sur des tempéraments robustes, non encore altérés, nourris de substances digestibles que ne viciaient point l’art et la sensualité. »

Tout repose sur l’excitation de la faim ; tout, c’est-à-dire le déclin physique de l’humanité :

« Mais dès qu’au lieu d’apaiser la faim, on ne chercha qu’à l’irriter, et qu’on inventa mille assaisonnements afin d’aiguiser la gourmandise, ce qui pour le besoin était un aliment devint un poids pour la satiété. »

Et Sénèque se sert à merveille de l’accumulation :

« De là cette pâleur, ce tremblement de nerfs qu’a pénétrés le vin, ces maigreurs par indigestion, plus déplorables que celles de la faim ; de là cette incertaine et trébuchante démarche, cette allure, comme dans l’ivresse même, constamment chancelante ; de là cette eau infiltrée partout sous la peau, ce ventre distendu par la malheureuse habitude de recevoir outre mesure ; de là cet épanchement d’une bile jaune, ces traits décolorés, ces consomptions, vraies putréfactions d’hommes vivants, ces doigts retors aux phalanges roidies, ces nerfs insensibles, détendus et privés d’action ou mus par soubresauts, et vibrant sans relâche. Parlerai-je de ces vertiges, de ces tortures d’yeux et d’oreilles, du cerveau qui bouillonne comme un fourmillement, et des ulcères internes qui rongent tous les conduits par où le corps se débarrasse ? »

Comparaison avec le bienheureux temps jadis point marqué par le règne de la quantité gastronomique et calorique :

« On était exempt de ces fléaux quand on ne s’était pas encore laissé fondre aux délices, quand on n’avait de maître et de serviteur que soi. On s’endurcissait le corps à la peine et au vrai travail ; on le fatiguait à la course, à la chasse, aux exercices du labour. On trouvait au retour une nourriture que la faim toute seule savait rendre agréable. Aussi n’était-il pas besoin d’un si grand attirail de médecins, de fers, de boîtes à remèdes. Toute indisposition était simple comme sa cause : la multiplicité des mets a multiplié les maladies. Pour passer par un seul gosier, vois que de substances combinées par le luxe, dévastateur de la terre et de l’onde ! »

Et en effet on dévaste le monde. Avant l’ère moderne et industrielle, l’Empire romain fut la cause d’une intense dévastation.

Puis Sénèque s’en prend aux femmes modernes et jouisseuses ; en se masculinisant, elles attrapent des maladies des hommes ! Comparaison terrible, que reprendra Juvénal dans sa sixième satire :

« Le prince, et tout à la fois le fondateur de la médecine, a dit que les femmes ne sont sujettes ni à la perte des cheveux ni à la goutte aux jambes. Cependant et leurs cheveux tombent et leurs jambes souffrent de la goutte. Ce n’est pas la constitution des femmes, c’est leur vie qui a changé : c’est pour avoir lutté d’excès avec les hommes qu’elles ont subi les infirmités des hommes. Comme eux elles veillent, elles boivent comme eux ; elles les défient à la gymnastique et à l’orgie ; elles vomissent aussi bien qu’eux ce qu’elles viennent de prendre au refus de leur estomac et rendent toute la même dose du vin qu’elles ont bu ; elles mâchent également de la neige pour rafraîchir leurs entrailles brûlantes. Et leur lubricité ne le cède même pas à la nôtre : nées pour le rôle passif (maudites soient-elles par tous les dieux !), ces inventrices d’une débauche

contre nature en viennent à assaillir des hommes. »

Et face au vice la médecine devient impuissante. La femme en perd les privilèges de son sexe :

« Comment donc s’étonner que le plus grand des médecins, celui qui connaît le mieux la nature, soit pris en défaut et qu’il y ait tant de femmes chauves et podagres ? Elles ont perdu à force de vices le privilège de leur sexe ; elles ont dépouillé leur retenue de femmes, les voilà condamnées aux maladies de l’homme. »

Après c’est la formule célèbre : compte nos cuisiniers. 

« Nos maladies sont innombrables ; ne t’en étonne pas ; compte nos cuisiniers. Les études ne sont plus ; les professeurs de sciences libérales, délaissés par la foule, montent dans une chaire sans auditeurs. Aux écoles d’éloquence et de philosophie règne la solitude ; mais quelle affluence aux cuisines ! Quelle nombreuse jeunesse assiège les fourneaux des dissipateurs ! »

Et d’évoquer la pédophilie festive de nos romains diners :

« Je ne cite point ces troupeaux de malheureux enfants qui, après le service du festin, sont encore réservés aux outrages de la chambre à coucher. Je ne cite point ces bandes de mignons classés par races et par couleurs, si bien que tous ceux d’une même file ont la peau du même poli, le premier duvet de même longueur, la même nuance de cheveux, et que les chevelures lisses ne se mêlent point aux frisées. »

Citons la remarque de Joseph de Maistre sur cette page prodigieuse, immortelle :

« Avez-vous présente par hasard la tirade vigoureuse et quelquefois un peu dégoûtante de Sénèque sur les maladies de son siècle ?

Il est intéressant de voir l’époque de Néron marquée par une affluence de maux inconnus aux temps qui la précédèrent. »

Sénèque évoque la frénésie meurtrière de l’État… 

« Notre frénésie n’est pas seulement individuelle, elle est nationale : nous réprimons les assassinats, le meurtre d’homme à homme ; mais les guerres, mais l’égorgement des nations, forfait couronné de gloire ! La cupidité, la cruauté, ne connaissent plus de frein : ces fléaux toutefois, tant qu’ils s’exercent dans l’ombre et par quelques hommes, sont moins nuisibles, moins monstrueux »

Et Sénèque de souligner que ces massacres sont légaux, politiques, encouragés par le sénat :

« … mais c’est par décrets du sénat, c’est au nom du peuple que se consomment les mêmes horreurs, et l’on commande aux citoyens en masse ce qu’on défend aux particuliers. L’acte qu’on payerait de sa tête s’il était clandestin, nous le préconisons commis en costume militaire. Loin d’en rougir, l’homme, le plus doux des êtres, met sa joie à verser le sang de son semblable et le sien, à faire des guerres, à les transmettre en héritage à ses fils, tandis qu’entre eux les plus stupides et les plus féroces animaux vivent en paix. »

L’homme vit et tue en insecte. À côté de cela se développe l’apathie (l’anesthésie, dit l’historien Stanley Payne des citoyens d’aujourd’hui). L’apathie a suivi comme toujours la libération sexuelle ou autre ; et elle est dure à corriger :

« Quant aux esprits émoussés et obtus ou que leurs habitudes dépravées dominent, il faut un long travail pour que leur rouille s’efface. Au reste, si l’on élève plus vite à la perfection les âmes qui tendent au bien, on aidera aussi les âmes faibles et on les arrachera à leurs malheureux préjugés en leur enseignant les dogmes de la philosophie dont l’importante nécessité est si visible. Il y a en nous des penchants qui nous font paresseux pour certaines choses, téméraires pour d’autres. On ne peut ni arrêter cette audace, ni réveiller cette apathie, si l’on n’en fait disparaître les causes, qui sont d’admirer et de craindre à faux. »

Un remède après ce constat de désespoir ? Il faut un noble but pour se protéger :

« Il faut se proposer un but de perfection vers lequel tendent nos efforts et qu’envisagent tous nos actes, toutes nos paroles, comme le navigateur a son étoile pour le diriger dans sa course. Vivre sans but, c’est vivre à l’aventure. Si force est à l’homme de s’en proposer un, les dogmes deviennent nécessaires. Tu m’accorderas, je pense, que rien n’est plus honteux que l’homme indécis, hésitant et timide, qui porte le pied tantôt en arrière, tantôt en avant. C’est ce qui en toutes choses nous arrivera, si nos âmes ne se dépouillent de tout ce qui nous retient en suspens et nous empêche d’agir de toutes nos forces. »




L’histoire de la vie du rabbin Yaron Reuven

[Source : Rabbi Yaron Reuven]

[Mettre les sous-titres en Français

]




Les Juifs kabbalistes fuient le navire en perdition de Biden

[Source : numidia-liberum]

[Illustration : source]

Par Edward Menez

Tout comme lors de la folie Covid (confinements, masques, vaccins) où de nombreux commentateurs juifs demandent amnistie et pardon, les Juifs demandent désormais de les détacher du Parti démocrate.

Non, il n’y aura ni pardon ni oubli de la part de ce quartier quant à ce que l’arnaque du Covid et le Parti démocrate ont infligé à ce pays et à ce monde. Les escrocs du Covid et le Parti démocrate semblent vouloir que vous oubliiez qu’ils étaient entièrement dirigés par des Juifs.

[Note de Josesph : le présent article sera incontestablement qualifié d’antisémite, même s’il y a des chances qu’il soit apprécié de juifs authentiques (qualifiés d’extrémistes) qui suivent la ligne mosaïque, mais non pas le culte du veau d’or. Voir aussi :
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
et Un rabbin prévient que ce qui est arrivé en Allemagne pourrait se répéter]

James Kunstler :

« Les Juifs américains ont également été des acteurs majeurs de la gauche politique au cours des cent dernières années, et particulièrement au sein du Parti démocrate.

Dernièrement, il semble que le Parti démocrate soit déterminé à détruire le pays, on se demande donc naturellement comment cela s’est produit et quel est le rôle des Juifs américains dans tout cela. »

[Voir l’article de Kunstler :
Le dilemme des Juifs américains]

L’excuse des Juifs : notre Tikkoun Olam (« Guérison ») n’a pas fonctionné et maintenant nous devons faire semblant d’être républicains

Comme dans le roman fantastique de George Orwell, 1984, où l’Océanie, l’Eurasie et l’Estasie entretenaient une fausse guerre pour que les gens aient constamment la colère et la peur au cœur — et les « Deux minutes de haine » nocturnes — nous avons maintenant un juif comme James Howard Kunstler, qui voit ce qui est écrit sur le mur et veut prétendre que les juifs n’ont jamais fait partie de cette folie.

Le plus exaspérant dans son article est qu’il ne donne jamais aux Juifs la moindre culpabilité dans ce qui s’est passé ces dernières années, seulement de la sympathie pour avoir essayé si dur, mais d’avoir échoué. Kunstler rejette la faute sur d’autres, comme le Parti démocrate, mais pas sur les Juifs. C’est comme dans 1984 où O’Brien dit à Winston Smith : « L’Océanie a toujours été en guerre contre l’Estasia. Depuis le début de votre vie, depuis le début du Parti, depuis le début de l’histoire, la guerre a continuait sans interruption, toujours la même guerre. Vous vous en souvenez ? »

Winston Smith savait au fond de lui que ce n’était pas vrai, car il travaillait au ministère de la Vérité, et savait quelques années auparavant que l’Océanie et l’Estasia étaient alliées et que l’Océanie était en guerre avec l’Eurasie. Winston avait lui-même changé l’histoire en brûlant les vieux articles dans le trou de la mémoire et en réécrivant essentiellement l’histoire.

Dans son article, Kunstler, à gauche, essaie de dire :

« Nous, juifs, ne sommes pas démocrates. Nous sommes républicains. Nous avons toujours été républicains. »

Crier au loup une fois de trop : ça ne marchera plus

Dans l’article de Kunstler, nous lisons :

« Les Juifs américains ont joué un rôle de premier plan dans la vie intellectuelle et politique américaine tout au long du 20e siècle et jusqu’à maintenant. Nous, les Juifs, avons dominé de plus en plus les domaines de la littérature, du monde universitaire, de la médecine, du droit, des médias et du show-biz… En Amérique, nous avons pour l’essentiel surmonté (ou semblons avoir réussi) les superstitions profondes du vieux monde à notre encontre, grâce à une assimilation culturelle quasi totale réussie. »

Permettez-moi d’appuyer l’idée de Kunstler selon laquelle les Juifs ont effectivement dominé la littérature, le monde universitaire, la médecine, le droit, les médias, le show-biz, les affaires et le gouvernement en Amérique. Mais avec un peu de chaleur, je contesterai l’affirmation de Kunstler selon laquelle les Juifs ont connu une « assimilation culturelle quasi totale ». Les Juifs ont dominé toutes les industries ci-dessus parce qu’ils sont restés Juifs — ils ne se sont pas mariés avec d’autres ni ne se sont convertis au christianisme, mais se sont pour l’essentiel mariés à d’autres familles juives riches.

Les Juifs ont même leur propre pays, Israël, qui autorise uniquement les Juifs ayant épousé d’autres Juifs à devenir citoyens à part entière. Israël est-il le pays le plus raciste au monde ? Oui.

Thèse de Kunstler

Kunstler continue dans son article avec sa prémisse principale :

« Les Juifs américains ont également été des acteurs majeurs de la gauche politique au cours des cent dernières années, et particulièrement au sein du Parti démocrate. Dernièrement, il semble que le Parti démocrate soit déterminé à détruire le pays, on se demande donc naturellement comment cela s’est produit et quel est le rôle des Juifs américains dans tout cela. »

Beaucoup d’entre nous savent que les Juifs ont particulièrement adhéré au Parti démocrate au fil des années. Je pense que beaucoup d’entre nous savent que le Parti démocrate est déterminé à détruire l’Amérique. Et je pense que beaucoup d’entre nous savent quel est le rôle des Juifs américains dans tout cela.

Kunstler poursuit en disant que les Juifs voulaient simplement le Tikkoun olam pour l’Amérique, ce qui signifie « réparer le monde ». Comme le dit Kunstler, c’est pourquoi les Juifs ont essayé si dur de réparer l’Amérique avec le mouvement des droits civiques et le multiculturalisme. Kunstler admet que le Parti démocrate a échoué en cela :

« Mais le pire résultat de tout ce tikkoun olam tragiquement erroné est que son principal véhicule politique, le Parti démocrate, est devenu si fou qu’il se consacre maintenant fanatiquement à la destruction totale de ce qui reste de notre pays. »

Kunstler dit ensuite dans son avant-dernier paragraphe un truisme, mais assurez-vous simplement de remplacer le mot « Juifs » par « Parti démocrate » pour le comprendre correctement :

« Le Parti démocrate a décidé qu’il était acceptable d’utiliser la loi de mauvaise foi pour persécuter et emprisonner ses opposants politiques. Le Parti démocrate a détruit la confiance des Américains dans les tribunaux fédéraux, le ministère de la Justice et le FBI. Le Parti démocrate autorise une invasion par des millions d’étrangers non contrôlés traversent la frontière, un bon nombre d’entre eux étant peut-être déterminés à semer le chaos ici alors que les tensions mondiales se transforment en guerre chaude. Le Parti démocrate continue de pousser les vaccinations contre le Covid, dont tout le monde comprend maintenant qu’elles sont inefficaces et dangereuses. Et le Parti démocrate fait tout son possible (avec l’aide des républicains RINO [de nom seulement, mais pas d’esprit]) pour détruire notre système financier. On pourrait facilement faire valoir que le Parti démocrate est le parti antiaméricain. »

Pour confirmer que les Juifs sont le Parti démocrate, il suffit de regarder la composition raciale du cabinet de Biden. Les Juifs ont été les principaux acteurs de l’arnaque Covid, en poussant les vaccins, en invitant des étrangers illégaux dans notre pays et en détruisant notre système financier, sur lequel ils ont un contrôle total. Les Juifs ont été synonymes du Parti démocrate ces dernières années, de manière claire et incontestable.

Conclusion : toute la faute est portée sur le Parti démocrate et les « Juifs ont toujours été républicains »

Le tout dernier paragraphe de l’article de Kunstler est sa synthèse :

« S’ils veulent vraiment réparer le monde, il est temps pour les Juifs américains de quitter le Parti démocrate et de se réassimiler à une culture américaine commune — un consensus sur la réalité — qui est compatible avec la gestion d’une société prospère, ordonnée et juste. ».

Même si Kunstler ne dit jamais implicitement que les Juifs devront rejoindre le Parti républicain en quittant le Parti démocrate, quel choix ont-ils dans ce système bipartite ? Eh bien, je suppose qu’ils ont l’AIPAC https://www.aipac.org

« Le PAC de l’AIPAC est un comité d’action politique bipartisan et pro-israélien. Il s’agit du plus grand PAC pro-israélien d’Amérique et a contribué plus de ressources directement aux candidats que tout autre PAC. 98 % des candidats soutenus par l’AIPAC ont remporté leurs élections générales en 2022. »

Je peux croire que 98 % des candidats soutenus par l’AIPAC ont remporté leurs élections en 2022, mais je ne crois pas que l’AIPAC soit très bipartite. Les Juifs ont toujours été extrêmement démocrates, mais je suppose que maintenant, dans notre monde de 1984, ils s’attendront à ce que nous croyions bientôt qu’ils ont toujours été républicains.

Si je ne pense pas que les Juifs ont toujours été républicains, ou ce que nous avons associé aux républicains, comme des droits pro-constitutionnels. Je pense plutôt qu’ils tentent depuis le début de détruire notre Constitution. Je ne pense pas que beaucoup d’entre nous croiront les Juifs s’ils disent qu’ils sont réformés et veulent fuir le Parti démocrate maintenant. Je pense que nous pouvons voir qu’ils fuient le navire de Satan en perdition.

7 novembre 2023

Source : henrymakow.com




Belgique — Le guide Evras va à contresens du développement psychique d’un enfant

[Source : lalibre.be]

En voulant nous libérer des limites oppressantes, nous avons rejeté les limites structurantes. La boussole du ressenti ne peut pas prendre la main. L’enfant n’est ni autonome, ni d’emblée responsable. Le mettre à la même place que l’adulte, comme le fait le guide Evras, est un non-sens.

Une tribune de Diane Drory (psychologue et psychanalyste, spécialiste de l’enfance), Jean-Yves Hayez (pédopsychiatre) et Jean-Pierre Lebrun (psychiatre et psychanalyste)

La question se pose : pourquoi les professionnels de la santé rencontrent-ils de plus en plus d’enfants et de jeunes manquant des repères dont ils ont besoin pour se construire psychiquement ? Pourquoi rencontrent-ils de plus en plus de parents en désarroi de ne plus trouver d’appui dans le discours social pour soutenir leur autorité ?

Il faudra interroger la nouvelle conviction actuellement promue : « l’autodétermination de l’enfant ». L’individualité de l’enfant devrait trouver son épanouissement sans entrave, sans aucun appui sur une limite qui lui serait imposée et pour ce faire, il s’agirait seulement de l’entourer d’amour. Ceci est devenu l’axe éducatif qui devrait désormais s’imposer à tous, sans qu’il y ait eu débat pour en valider les fondements ! Si l’autonomie responsable est un programme tout à fait légitime et bienvenu pour les citoyens en démocratie, il n’est pourtant pas inscrit d’emblée dans la tête de l’enfant. Aucun enfant ne peut se construire seul, ni trouver en lui-même le sens de sa vie.

Une fausse conviction

Cette fausse conviction demande qu’en place d’un cadre clair et bien défini s’impose un cadre flou laissant à l’enfant tout le loisir du choix et de la décision ; « Penses-tu que c’est l’heure de ton repas ? »« D’accord d’aller se coucher ? »… Ce programme d’éducation demande des négociations sans fin comme par exemple dans cette famille où dès leur réveil les enfants rentrent en concurrence bruyante et parfois musclée pour avoir « la » bonne place à table. À peine levés, les enfants sont alors sous l’emprise de la loi de la jungle.

Au nom de l’épanouissement, cette autodétermination sacralise les droits de l’enfant au point de délégitimer les parents. Les normes sont alors décrites comme un frein à la liberté de l’enfant. On le veut autonome alors qu’il n’a pas encore intégré ce qu’implique cette autonomie.

S’il fallait tirer le fil rouge de ce changement, nous avancerions que, certes, une volonté d’égalité démocratique accrue nous guide depuis un demi-siècle, mais aussi qu’une grande méconnaissance s’est glissée dans ce programme : en voulant nous libérer des limites oppressantes, nous avons rejeté les limites structurantes. C’est alors la boussole du ressenti qui a pu prendre la main…

Des parents emportés dans cette « idéologie »

Nous entendons de plus en plus de parents emportés dans ce qu’il faut bien appeler cette « idéologie ». Ainsi, certains veillent à ne plus appeler leur enfant d’un prénom sexué, pour d’autant mieux le laisser choisir au cas où, plus tard, il voudrait changer de genre. Pourtant, à regarder les choses d’un peu plus près, il est étonnant que lesdits parents ne s’aperçoivent pas, non seulement qu’ils n’ont fait que substituer une exigence (ne pas nommer l’enfant comme sexué) à une autre (le nommer sexué) mais qu’en plus, cette nouvelle contrainte veut faire croire à l’enfant qu’il va pouvoir choisir son genre indépendamment de son sexe anatomique — ce qui est un mensonge parce que le sujet devra toujours faire avec son anatomie de départ même s’il change d’identité de sexe ou de genre.

Le dogmatisme du guide Evras

Que penser alors du guide Evras qui explique avec une certitude parfois dogmatique que la théorie du genre devrait primer sur les caractéristiques sexuelles biologiques. Qui promeut explicitement de nous dégager de toute « hétéronormativité » et annonce l’effacement du sexe biologique au profit du genre qui vise à faire primer le ressenti. Ou lorsqu’il soutient des façons de dire comme « la notion de genre assigné à la naissance ». Ou qu’il propose « le droit à l’autodétermination indépendamment de l’âge de l’enfant comme droit humain fondamental ». Tout ceci allant à contresens du développement psychique d’un enfant.

Groupes de pression infiltrés dans les cabinets ministériels

D’où vient que les responsables politiques se soient laissés ainsi quasi unanimement convaincre au point d’adopter un décret (7 septembre 2023) qui permet d’entériner un guide dans lequel on trouve un ensemble de considérations favorables à l’autodétermination par l’enfant de son identité de genre ? Pour avoir sans coup férir la permission pour un enfant de changer de prénom dès l’âge de 12 ans (loi du 25 mai 2017). Pour se faire tellement prier pour interdire avant la majorité légale les médicaments bloqueurs de puberté, et ce malgré toutes les recommandations scientifiques ? Ce n’est pas parce que d’aucuns se sont organisés en groupes de pression et infiltrés dans les cabinets ministériels que nous avons à acquiescer à cette volonté de mainmise.

Manière de concevoir la sexualité plutôt que d’être d’abord à l’écoute des jeunes

Cela fait depuis plusieurs années que de nombreux cliniciens interviennent, efficacement et utilement, en faisant de l’EVRAS (de l’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle) dans les écoles pour permettre que les questions qui se posent aux jeunes soient entendues. Travail indispensable et fructueux. Mais aujourd’hui c’est un renversement qui est à l’œuvre : le dernier-né « guide Evras » soutient, décrit en détail pour chaque tranche d’âge, les pré-acquis et nouveaux acquis à construire. L’ensemble des 300 pages ressemble à un enseignement demandant d’appliquer une manière de concevoir la sexualité plutôt que d’être d’abord à l’écoute des jeunes. C’est une orientation que nous ne pouvons que refuser, celle de penser devoir apporter des réponses avant que de pouvoir poser ses questions ; celle de penser que l’on doit ne plus imposer une hétéronormativité sans s’apercevoir que c’est une autre normativité qu’alors on impose, celle qui exclut les termes « hommes » et « femmes » et contraint de parler de « personnes ayant un utérus » et de « personnes ayant un pénis ».

Si d’aucuns ont des doutes à ce sujet, qu’ils interrogent simplement pourquoi le guide est-il écrit en écriture inclusive ? ; pourquoi l’enfant doit-il être informé de la pertinence de son ressenti à un âge où il ne se pose pas ces questions ? ; quel intérêt à faire entendre à l’enfant qu’il pourra choisir son genre indépendamment de son anatomie ? ; qu’un ado éprouvant un malaise par rapport à son sexe biologique devrait d’emblée être soutenu dans son désir de transgenrer ? Avons-nous vraiment la liberté de tout choisir, et même si nous l’avions, ceci nous dispenserait-il d’aider l’enfant à accepter de renoncer à ce qu’il n’a pas choisi ?

Fausse route

À croire pouvoir mener toujours plus loin et plus jeune l’émancipation de l’individu, ne faisons-nous pas fausse route ? Cette autodétermination trop précoce fait perdre à l’enfant le sens de la transmission entre générations. Grandir demande de rencontrer des adultes qui n’obligent pas l’enfant à prendre des responsabilités qui ne sont pas les siennes en lui demandant son « D’accord ! » pour tous les faits et gestes de son quotidien.

Quand allons-nous nous apercevoir qu’inviter, voire inciter au libertarisme de l’autodétermination des enfants a des conséquences délétères sur la vie collective ? Cette dernière a apparemment perdu sa prévalence au profit de la particularité de chacun mais s’ensuit que ce sont alors l’autorité, l’altérité et l’antériorité qui ne sont plus au programme. Ce dont d’ailleurs tout le monde se plaint !

L’enfant n’est ni autonome, ni d’emblée responsable ; alors le mettre à la même place que l’adulte est un non-sens. Son trajet est d’avoir à « grandir », c’est-à-dire de renoncer à sa toute-puissance d’enfant.




Un rabbin prévient que ce qui est arrivé en Allemagne pourrait se répéter

[Source : profession-gendarme.com]




Gardasil, hystérie vaccinale

[Source : Salim Laïbi]

Conférence du Dr Gérard Delépine




L’OMS vise la gouvernance mondiale en 2024

[Source : Ciel Voilé]






Le Canada pourrait accueillir 500 000 réfugiés palestiniens

[Source : quebecnouvelles.info]

Par David Krayden

Alors que la guerre en Israël et à Gaza déplace des millions de personnes et crée des réfugiés, Israël a secrètement suggéré que le Canada pourrait être la destination d’une grande partie d’entre eux. Le ministère israélien du Renseignement a d’abord présenté ce plan dans un « document de réflexion » qui affirme que le Canada serait un candidat idéal pour accueillir les réfugiés en raison de sa politique d’immigration « indulgente ».

Le nombre envisagé – selon des discussions au Parlement – pourrait atteindre 500 000.

Israël souhaite que la plupart des réfugiés soient transférés en Égypte.

Le ministre de l’immigration, des réfugiés et de la citoyenneté, Marc Miller, n’a ni confirmé ni infirmé cette demande, mais il a fortement suggéré cette semaine que le Canada serait tout à fait prêt à accepter l’envoi de réfugiés.

À l’issue d’une conférence de presse consacrée à son plan d’immigration 2024-2026, un journaliste a interrogé M. Miller sur la proposition israélienne. M. Miller n’a pas rejeté la question ou le plan d’un revers de main. Bien qu’il ait déclaré ne pas être prêt à « spéculer » sur l’opportunité d’accueillir les réfugiés, il a réitéré l’engagement du Canada à accepter des réfugiés en temps de crise.

« Nous sommes ouverts à ceux qui fuient la guerre. Il s’agit d’une guerre », a-t-il déclaré.

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau n’a manifestement pas imposé de bâillon pour discuter d’une proposition qui serait cohérente avec ses déclarations et politiques antérieures. Le 28 janvier 2017, il a publié un message tristement célèbre sur les médias sociaux dans lequel il invitait virtuellement toute personne s’identifiant comme réfugié à venir au Canada comme destination préférée.

« À ceux qui fuient la persécution, la terreur et la guerre, les Canadiens vous accueilleront, quelle que soit votre foi. La diversité est notre force #WelcomeToCanada »

Le document note que la proposition « risque d’être compliquée en termes de légitimité internationale » et que « selon notre évaluation, les combats après l’évacuation de la population feraient moins de victimes civiles que si la population restait sur place ».

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale




Israël/Gaza : un scénario noir pour l’administration Biden

[Source : iveris.eu]

Par Leslie Varenne

Commencé avec la débâcle de Kaboul, le mandat de Joe Biden pourrait se terminer par un conflit généralisé au Moyen-Orient. Entre-temps, il y eut l’Ukraine où plus personne n’oserait parier sur une victoire de Kiev et de ses alliés de l’OTAN. Un mois après le début du brasier à Gaza l’administration démocrate se retrouve dans la pire des configurations possibles. Elle est coincée entre son soutien inconditionnel à Israël et la colère des opinions publiques arabes qui la renvoie à la détestation de l’Amérique sous l’ère Georges W. Bush. « Nous n’avons pas à choisir entre défendre Israël et aider les civils palestiniens. Nous pouvons et devons faire les deux. », a déclaré Anthony Blinken. Cependant, plus l’asphyxie et les bombardements sur l’enclave palestinienne se prolongent, plus ce numéro d’équilibriste devient dangereux.

L’arbre qui cache la forêt

L’attaque du 7 octobre a surpris tout le monde. Une semaine plus tôt, le conseiller à la sécurité nationale, Jack Sullivan prononçait cette phrase déjà entrée dans l’histoire : « le Moyen-Orient n’avait jamais été aussi calme depuis deux décennies ». Cela s’appelle avoir de bons capteurs et une intelligence des situations dans une région où pourtant les États-Unis sont omniprésents. En plus de leurs nombreuses emprises militaires et de leurs imposantes ambassades, le Pentagone dispose également comme le révèle Intercept, d’une base secrète au cœur du désert israélien du Néguev, à seulement 32 kilomètres de Gaza. Mais les militaires surveillaient l’Iran au lieu de regarder ce qu’ils avaient sous leurs yeux.

Deux autres événements majeurs n’auraient pas dû passer inaperçus.

Après 15 ans de luttes intestines et de très longues négociations, en octobre 2022, à Alger, 14 factions palestiniennes se sont officiellement réconciliées. Islamiques ou laïques comme le Hamas, le Djihad Islamique ou le Front Populaire de libération de la Palestine (FPLP), ces organisations se sont réunies sur la base de la cause palestinienne au-delà de leurs différences religieuses et idéologiques. Ce sont les branches armées des factions citées qui opèrent sur le front de Gaza.

L’autre fait marquant fut la coupe du monde à Doha où cette cause s’est affichée massivement dans les tribunes à tel point que certains journaux titraient : « La Palestine a remporté la coupe du monde ». (voir article de l’IVERIS). Comment dès lors continuer à penser que cette lutte était devenue surannée et invisible ? Comment imaginer que les milliers de prisonniers dans les geôles israéliennes, l’embargo sur Gaza, la colonisation en Cisjordanie pouvaient durer indéfiniment ?

L’aveuglement américain a été tel qu’il a malgré tout fait des accords d’Abraham sa priorité au Moyen-Orient. Ces accords, initiés sous le mandat de Donald Trump, signés par les Émirats Arabes Unis, le Bahreïn, le Soudan et le Maroc, rejetés par l’Autorité Palestinienne comme par le Hamas, sont pourtant basés sur le postulat que la cause palestinienne était définitivement enterrée.

Mieux, de manière incompréhensible, alors que cette normalisation avec Israël est en partie responsable de l’explosion en cours, les diplomates américains continuent à s’entêter et à multiplier les pressions sur Mohamed Ben Salmane pour qu’il la signe.

La stratégie du poulet sans tête

Depuis le 7 octobre, la Maison-Blanche mène une politique encore plus erratique qui montre à quel point elle est démunie. Une semaine après le début du conflit, le Secrétaire d’État s’est rendu en Égypte et en Jordanie avec, comme l’a raconté sur France Inter l’ancien envoyé spécial de l’ONU en Libye, Ghassam Salamé, : « l’idée folle de mettre les Palestiniens au Sinaï ». En réalité, le plan consistait à transférer les Gazaouis en Égypte et les Cisjordaniens en Jordanie. Organiser une deuxième Nakba, comme en 1948, avec des tentes en dur ? Selon une source libanaise proche du dossier, devant les ponts d’or qui lui étaient promis, le maréchal Sissi aurait un temps hésité, mais l’armée a opposé un non catégorique. Le roi Abdallah ne s’est pas montré plus enthousiaste.

Toute la stratégie américaine est à l’avenant. D’un côté, les dirigeants américains répètent inlassablement le mantra : « Israël a le droit de se défendre » ; la Maison-Blanche envoie deux porte-avions en Méditerranée ; le Pentagone fournit les armes en ne traçant pas de lignes rouges quant à leur utilisation ; le Congrès vote une aide de 14 milliards de dollars à Tel-Aviv. De l’autre, elle demande à Benjamin Netanyahu de protéger les civils. Après avoir, dix jours plus tôt, mis son veto à une résolution du Conseil de Sécurité demandant une pause humanitaire, Anthony Blinken a demandé à Tel-Aviv… une pause humanitaire ! Il espérait ainsi obtenir la libération des otages détenteurs d’un passeport américain. Tsahal a répondu à cette proposition en intensifiant les bombardements. Les appels de Joe Biden à cesser la colonisation et la répression en Cisjordanie ont reçu une réponse similaire. Résultat, le Secrétaire d’État repartira encore bredouille de son deuxième voyage dans la région.

La colère du monde

Le conflit Israël/Palestine dure depuis 75 ans, ce qui signifie qu’environ 98 % des habitants de la planète sont nés avec cette crise en héritage, le monde arabe la porte dans ses gènes. Au 5 novembre, le bilan des bombardements israéliens faisait état, selon le Hamas, de 9 488 personnes, dont 3900 enfants auxquels il faut ajouter plus de 25 000 blessés. Pour les opinions publiques de la région, ce soutien inconditionnel à Israël fait de Washington le complice de ce décompte macabre. Retour à la période de la guerre en Irak, de Guantanamo, de l’Afghanistan, avant Obama et son fameux discours du Caire…

Dans tout le monde arabo-musulman, de l’Égypte à l’Indonésie les manifestations de soutien aux Palestiniens sont impressionnantes. Les éditorialistes se sont beaucoup émus de celles qui ont eu lieu en Turquie accompagnées des propos durs à l’endroit d’Israël tenus par Recep Tayyip Erdogan. Mais le président turc parle beaucoup, agit peu, tient ses troupes et n’est pas prêt de quitter l’OTAN. En revanche, il faut prêter attention aux cortèges encore plus massifs qui se sont déroulés au Pakistan, pays de 250 millions de musulmans.

En Afrique, le Maghreb est vent debout, y compris au Maroc qui a signé les accords d’Abraham. Dans les pays d’Afrique subsaharienne, malgré les nombreux évangélistes, qui pour des raisons bibliques vénèrent Israël, l’empathie se porte majoritairement vers les Palestiniens. Une Ivoirienne membre de cette communauté explique :

« Nos églises nous demandent de soutenir les Israéliens, mais nous sommes nombreux à considérer que c’est une affaire politique. De toute façon, entre notre religion et les peuples colonisés notre solidarité va à ces derniers ».

En Amérique du Sud, la contestation prend une autre forme, avec la rupture des relations diplomatiques comme en Bolivie, ou le rappel des ambassadeurs en poste à Tel-Aviv par la Colombie, le Honduras ou encore l’Argentine.

Les États-Unis font face également à leurs divisions internes, notamment au sein de la jeunesse démocrate, woke et décolonialiste. Ils doivent aussi affronter une bronca sourde au sein de leur propre administration, de l’ONU et des ONG1. Il faut reconnaître qu’un tel bilan : décès de 88 employés des Nations Unies, de 36 journalistes sur une période aussi courte est sans précédent. Le siège moyenâgeux de Gaza, les bombardements sur les populations et les infrastructures civiles remettent également en cause le droit international que ces organisations sont censées défendre. Ce deux poids, deux mesures des États-Unis, par rapport à leur position sur d’autres théâtres, qui affaiblit tant l’Occident fragilise aussi, de manière inédite, l’édifice des organisations multilatérales.

Zéro pointé

À la veille d’entrer en campagne électorale, le bilan de la politique étrangère de Joe Biden est un désastre. Les faits sont implacables. Les États-Unis se sont mis, et avec eux leurs alliés occidentaux, une grande partie du monde arabo-musulman à dos et le reste des pays dits du Sud ne sont guère plus bienveillants. Alors que, précisément leur stratégie consistait à reconquérir ce « Sud global » pour peser dans leur confrontation avec la Chine. Raté.

La défaite ukrainienne est sur le point d’être actée. Il faudra en assumer la responsabilité d’autant que cette guerre aura renforcé le Kremlin sur le plan militaire et démuni les alliés de l’OTAN de leur armement. Dans le même mouvement, les sanctions à l’encontre de la Russie ont considérablement affaibli les économies des pays de l’Union européenne, pendant que l’axe Moscou/Pékin/Téhéran se renforçait.

Lors de son discours du 4 novembre, le patron du Hezbollah, Hassan Nasrallah a clairement expliqué que l’élargissement à une guerre régionale, tant redoutée par la Maison-Blanche, était corrélé à la poursuite des hostilités en Palestine. Dans ce cas, avec quels alliés les Américains feront-ils face à tous les fronts ? Ils sont en première ligne et seuls, l’Europe est divisée, atone, et plus aucune voix ne porte dans son camp. Les dirigeants arabes, proches de Washington, ne pourront intégrer une coalition en l’état de la colère de leurs peuples.

Les bases américaines en Syrie en Irak sont déjà régulièrement attaquées. Du côté de la mer Rouge, les Houtis du Yémen ont déclaré la guerre à Israël en tirant des missiles sur Eilat et le Soudan voisin est aussi la proie des flammes. Ce conflit est un autre échec américain patent. Alors que la médiation internationale sous leur égide était censée ramener la démocratie, elle a créé les conditions de l’explosion. Les conséquences sont là aussi catastrophiques : six millions de déplacés, un million de réfugiés, des milliers de morts dont le décompte est impossible tant la situation est chaotique.

Au Moyen-Orient, plus les heures passent et plus la situation se dégrade. Si les États-Unis n’obtiennent pas un cessez-le-feu à Gaza rapidement et ne trouvent pas une issue politique, inévitablement l’embrasement aura lieu. Ils seront embourbés dans une région dont ils pensaient s’être débarrassée pour focaliser leur énergie et leurs moyens sur la Chine. Encore raté…




Une PsyOp rabbinique vieille de 2000 ans ? Les juifs ont-ils inventé le christianisme pour tromper les païens ?

[Source : theoccidentalobserver.net]

Par RockaBoatus

Toute personne lisant la littérature nationaliste blanche tombe forcément sur des articles hostiles au christianisme. La principale affirmation semble être que le christianisme lui-même a été inventé par les Juifs (que ce soit par Saint Paul ou par une cabale rabbinique inconnue) dans le but de tromper les Gentils. Le christianisme aurait donc été conçu par les Juifs comme un moyen de conditionner les Gentils pour qu’ils sympathisent avec les Juifs et les causes juives et qu’ils s’attaquent à l’Empire romain et à son éthique radicalement différente. Il serait un moyen de les influencer dès le départ pour qu’ils s’opposent à Rome, à son pouvoir et à son paganisme.

En présentant le plus grand héros du christianisme comme un humble charpentier juif devenu Messie, ainsi que ses apôtres juifs et, en particulier, le « rabbin » Paul comme son principal théologien qui a façonné ce que les chrétiens devaient croire, les Gentils se sont révélés, sans le savoir, être de grands partisans de tout ce qui est juif.

Thomas Dalton exprime bien ce point de vue :

La conclusion la plus probable de ce désordre est que le juif Paul et les auteurs juifs anonymes des évangiles ont tout inventé : qu’il n’y avait pas de Fils de Dieu faiseur de miracles, pas de naissance virginale et pas de résurrection. Ils l’ont fait, non pas pour la gloire ou l’argent, mais parce qu’ils pensaient que la promulgation d’une théologie pro-juive et anti-romaine aiderait la cause juive. (Pro-juive, parce que les chrétiens doivent adorer le Dieu juif, le rabbin juif Jésus et la « vierge » juive Marie ; anti-romaine, parce que « les puissances mondaines » de Rome sont une manifestation de Satan et doivent être vaincues). Et en fin de compte, c’est ce qui s’est passé. Le judéo-christianisme s’est épanoui, a vaincu Rome sur le plan idéologique et s’est installé à Rome même.

(« Jésus le Juif », The Occidental Observer, 22 mai 2023).

Cette position a été essentiellement défendue au fil des ans par des racialistes blancs aussi respectés que feu Revilo P. Oliver et William L. Pierce. Chacun de ces hommes a grandement contribué à la compréhension de la question juive et de la nécessité pour les Blancs de poursuivre leurs propres intérêts raciaux et culturels plutôt que les intérêts de groupes extérieurs. Il est intéressant de noter que la plupart des racialistes blancs des générations précédentes n’étaient pas aussi hostiles au christianisme qu’Oliver, Pierce, Dalton et d’autres défenseurs de la race blanche (par exemple, George Lincoln Rockwell).

Il me semble cependant que lorsqu’ils ont abordé le christianisme et les problèmes de la subversion culturelle juive, ces estimés écrivains sont allés trop loin dans leurs critiques. Leur zèle à vaincre le christianisme n’a pas toujours été fondé sur une véritable connaissance de la théologie et de l’histoire chrétiennes. Ils ont souvent fait appel à des arguments dépassés de la critique libérale supérieure contre les origines du christianisme (par exemple, la théorie de la dérivation païenne, y compris les notions selon lesquelles les évangiles ont été composés des décennies ou même des centaines d’années après la mort du Christ), sans presque savoir comment les érudits bibliques conservateurs ont réfuté de telles polémiques. Il s’agit presque toujours d’une réaction excessive à la folie et à l’obsession baveuse que beaucoup trop de chrétiens nourrissent aujourd’hui à l’égard des juifs et d’Israël. C’est aussi en grande partie le résultat de leur animosité envers les Juifs qui ont été en première ligne pour orchestrer et financer les organisations juives qui promeuvent l’immigration du tiers-monde vers l’Occident. Tout ce qui est lié au peuple juif, à Israël ou à la Torah est considéré comme fondamentalement hostile au racialisme blanc. Il n’y a pas d’exception à cette règle, et il n’y a pas non plus de « bons Juifs », bien que certains puissent faire de rares exceptions pour des Juifs tels que Gerard Menuhin, Benjamin H. Freedman, Norman Finkelstein, Gilad Atzmon, Ron Unz, et quelques autres.

Puisque le christianisme a des origines juives évidentes — y compris son fondateur, Jésus, qui était un descendant de David et d’Abraham (Matthieu 1:1) et qui était également un juif pratiquant, ainsi que Saint Paul qui a affirmé qu’il était « circoncis le huitième jour, de la nation d’Israël, de la tribu de Benjamin, hébreu des Hébreux, selon la Loi, pharisien » (Philippiens 3 : 5) — on estime qu’aucun Blanc ne devrait être associé au christianisme parce qu’il a été inventé pour tromper les non-Juifs et pour affaiblir la moindre parcelle de l’identité raciale européenne.

Mais tout cela est-il vrai ? Le christianisme a-t-il été « inventé » par Paul ou par une faction secrète de Juifs dans le but exprès de tromper les Goyim ? Et lorsque des Gentils parviennent à la foi en la personne de Jésus telle qu’elle est décrite dans le Nouveau Testament, cela fait-il simplement « partie du plan » ? Comment tout cela peut-il aider les Juifs, alors qu’une grande partie du christianisme est diamétralement opposée au judaïsme talmudique ?

L’apôtre Paul

Il y a une foule de raisons pour lesquelles nous devrions sérieusement remettre en question cette théorie. Il me semble que cette notion fait appel à ceux qui ont une animosité si profondément ancrée à l’égard des Juifs qu’ils sont incapables de voir clair dans ces questions. Ils sont tellement opposés à la subversion culturelle juive (à juste titre) qu’ils n’ont pas pris la peine de réfléchir attentivement à leur propre théorie selon laquelle le christianisme a été « inventé » par les juifs pour tromper les gentils et, ainsi, accorder au peuple juif la suprématie sur le monde. Cette théorie peut sembler convaincante à certains à première vue, mais sans une étude approfondie de la question, on ne peut être certain de sa véracité.

Il convient de noter que le but de cet article n’est pas de défendre le christianisme en tant que « vraie religion » en soi. Mon intention est plutôt de remettre en question l’idée que le christianisme est une opération psychologique juive, de montrer que certains des problèmes les plus flagrants et les plus fondamentaux qu’il pose ne sont jamais ou rarement abordés par ceux qui le promeuvent. Ils n’ont pas réfléchi attentivement aux implications de leur propre théorie. Et il ne faut pas longtemps pour que l’étudiant assidu se heurte à une série de problèmes lorsqu’il ou elle tente de soutenir que le christianisme n’est qu’un piège inventé par les Juifs pour tromper les Gentils.

Examinons quelques-uns de ces problèmes.

  1. Quoi que l’on puisse penser du christianisme, on ne peut raisonnablement nier que le christianisme, dès son origine, s’est fondamentalement opposé au judaïsme talmudique ou pharisien. Jésus a ouvertement condamné les chefs religieux de son époque en des termes très clairs : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! »… « Guides aveugles »… « Vous êtes des fous et des aveugles ! … “Pleins de rapine et de complaisance”… “Tombeaux blanchis qui paraissent beaux au dehors, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impureté”… “Pleins d’hypocrisie et d’anarchie”… “Fils de ceux qui ont tué les prophètes”… “Serpents et nichées de vipères” (Matthieu 23:1-33). Et ce n’est qu’un seul chapitre du Nouveau Testament !

L’ensemble du système rabbinique est donc condamné par Jésus, non seulement parce qu’il s’écarte des enseignements et de l’esprit de la Torah, mais aussi parce que les rabbins ont imposé au peuple juif tant de lois supplémentaires que l’observance religieuse est devenue un joug pesant (voir Actes 15:10). Au lieu de libérer leur propre peuple, les rabbins l’ont réduit en esclavage.

Pourtant, nous devons nous interroger : Comment des dénonciations aussi hostiles de la part de Jésus pourraient-elles amener les Gentils à s’intéresser aux Juifs, en particulier à leurs chefs religieux ? Si la personne de Jésus a été inventée par une cabale secrète de juifs, quel avantage y aurait-il à le présenter comme quelqu’un qui condamne continuellement l’hypocrisie rabbinique ? Pourquoi présenteraient-ils Jésus comme quelqu’un qui prend toujours le meilleur sur eux ? En quoi un Jésus “inventé” qui réfute sans cesse les rabbins et calomnie publiquement leur intégrité et leur spiritualité sert-il le “plan” ? Cela ne serait-il pas manifestement préjudiciable à leur objectif ? Tout cela est-il conforme à ce que nous savons des juifs, à savoir leur orgueil démesuré et leur caractère autoproclamé ? On pourrait penser que si les Juifs devaient “inventer” une religion pour attirer et tromper les Gentils, ils se présenteraient au moins sous leur meilleur jour, comme les vainqueurs de toutes les querelles théologiques, n’est-ce pas ? Pourtant, ce n’est jamais ce que nous constatons.

  1. Le Nouveau Testament contient de nombreux passages qui présentent le peuple juif sous un jour peu flatteur. Par exemple, dans Matthieu 27, lorsque Pilate hésite à faire tuer Jésus, les Juifs se mettent à crier de plus belle : “Crucifie-le !” Ils ont même demandé que Barabbas, un brigand et un voleur, soit libéré plutôt que Jésus. Les Juifs étaient tellement déterminés à faire crucifier Jésus qu’ils se sont écriés : “Son sang retombera sur nous et sur nos enfants”. Eh bien, il semble qu’ils aient obtenu ce qu’ils voulaient.

Dans un autre passage, Paul décrit les Juifs incrédules et leurs chefs comme ceux “qui ont tué le Seigneur Jésus et les prophètes, et qui nous ont chassés. Ils ne sont pas agréables à Dieu, mais hostiles à tous les hommes” (1 Thessaloniciens 2:15). Pourquoi les comploteurs pro-juifs penseraient-ils que des dénonciations aussi larges susciteraient la sympathie des non-Juifs à leur égard ? Une lecture juste du Nouveau Testament conduit plutôt à une vision exaltée de Jésus et de ses disciples et à une très mauvaise opinion des Juifs en général. Sérieusement, pourquoi un juif, et a fortiori un groupe de juifs, autoriserait-il ce genre de choses dans un document religieux destiné à tromper les gentils ? La nature du Juif, en général, est de se dépeindre de la manière la plus exaltée, supérieure en intelligence, et capable de toujours surpasser les Goyim à l’esprit ennuyeux qui ne sont pas différents des bêtes des champs.

Dans Apocalypse 3:9, l’apôtre Jean rapporte les paroles prophétiques de Jésus : “Voici, je ferai venir ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent, je les ferai se prosterner à tes pieds et je leur ferai connaître que je t’ai aimé”. Oups, on dirait que le comité secret des Juifs trompeurs de Goyim a oublié de retirer ce passage du Nouveau Testament ! Comment un texte comme celui-ci s’intègre-t-il dans le grand “plan” juif visant à duper tous les Gentils ? Les partisans de cette théorie fantaisiste ne nous le disent jamais vraiment.

  1. Certains ont affirmé que même de nombreux juifs reconnaissent le service bénéfique du christianisme dans la diffusion de la connaissance de Yahvé et du peuple juif dans le monde entier. Dans ce sens étroit, ils affirment que la diffusion du christianisme a profité aux juifs. Il y a une part de vérité dans cette affirmation, mais ce n’est pas toute la vérité. N’oublions jamais que les Juifs revendiquent souvent à tort la propriété et l’ » invention » de telle ou telle chose afin de promouvoir leur suprématie sur les non-Juifs. En conséquence, une grande partie du monde est trompée en croyant que les Juifs possèdent des compétences, une intelligence et des prouesses intellectuelles bien supérieures à celles des Gentils.

Ainsi, la connaissance du peuple juif et du Dieu hébreu s’est peut-être indirectement répandue dans le monde grâce au christianisme, mais cette connaissance est toujours liée à un contexte qui ne leur est pas particulièrement favorable. D’une manière ou d’une autre, les juifs vantards négligent de mentionner cette importante part de vérité.

On ne sort pas de la lecture du Nouveau Testament avec l’idée que les Juifs sont merveilleux. Au contraire, le Nouveau Testament les dépeint comme trompés [par Satan] et assez fous pour crucifier leur propre Messie tant attendu. Ils sont décrits comme de déformateurs légalistes de la loi mosaïque, aveuglés par leurs propres fausses traditions, défiant la nouvelle alliance que Jérémie avait prédite des siècles plus tôt (voir Jérémie 31), et comme des persécuteurs des premiers chrétiens — ce qu’ils ont continué à faire pendant des siècles. Si vous avez le moindre doute à ce sujet, vous pouvez regarder une multitude de vidéos sur YouTube qui montrent à quel point les juifs traitent les chrétiens de manière ignoble dans ce qu’on appelle la « Terre sainte ».

En raison de ces passages défavorables, les juifs qualifient le Nouveau Testament d’« antisémite ». Mais, là encore, nous devons nous demander pourquoi les juifs « créeraient » ou « inventeraient » un christianisme si « antisémite » ? En quoi cela leur serait-il profitable ? On ne nous le dit jamais vraiment. Les tenants de l’idée que le christianisme est une tromperie juive nous assurent simplement que tout cela « fait partie du plan ».

Il est intéressant de noter que si les Juifs condamnent le Nouveau Testament en raison de son « antisémitisme » flagrant, ils devraient certainement condamner l’Ancien Testament de la même manière. Avez-vous lu comment Yahvé décrit son propre peuple — un peuple si obstiné qu’il déclare à Moïse que sa colère s’enflammera contre lui et le détruira complètement (Exode 32:9) ? Avez-vous lu comment Moïse décrit les israélites — un peuple rebelle et têtu (Deutéronome 31:27) ? Avez-vous lu les nombreux mots descriptifs et ouvertement offensifs utilisés par les prophètes pour dénoncer les israélites ? Ce n’est pas beau à voir. Pourtant, si ces mêmes expressions étaient employées dans le Nouveau Testament (et certaines d’entre elles le sont), les juifs, dans une réaction instinctive typique, les qualifieraient d’« antisémites ». Dans ce cas, peut-être devraient-ils simplement admettre que toute la Bible est remplie d’« antisémitisme » ?

Les Juifs sont bien trop égocentriques pour se rendre compte que s’ils rendent « antisémite » tout ce qu’ils n’aiment pas, ils finiront certainement par condamner leur propre Bible hébraïque. Il est presque impossible de discerner une vérité aussi simple lorsqu’on est convaincu que son peuple est « l’éternelle victime » de l’histoire et que « l’antisémitisme » n’est que le résultat de la « jalousie » et de la « haine ».

  1. Dans le Nouveau Testament, les chrétiens païens sont décrits comme un peuple au même titre que les croyants juifs. Les Juifs et les Grecs (Gentils) sont décrits comme ne faisant qu’un dans le Christ. Ainsi, plutôt que d’exalter la supériorité des Juifs sur les Gentils, le Nouveau Testament place à plusieurs reprises les deux groupes sur un pied d’égalité (voir Galates 3:28-29). Les privilèges juifs de la circoncision, de l’ascendance juive et de la possession de la loi mosaïque ne signifient relativement rien dans les écrits de Pierre, de Paul, de l’auteur de l’épître aux Hébreux et dans le livre des Actes. Les juifs n’ont pas à s’en vanter, comme c’est souvent le cas parmi eux. Pourquoi les Juifs qui cherchent à tromper les Gentils permettraient-ils que l’on croie à de tels concepts s’ils cherchent à les contrôler ?

En fait, le Nouveau Testament emploie à l’égard des chrétiens gentils les mêmes expressions exaltées que celles utilisées autrefois pour les anciens israélites ! S’adressant aux gentils, saint Pierre les décrit comme « une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple que Dieu possède en propre » (1 Pierre 2:9). Plus tôt dans l’épître, Pierre dit à ces mêmes chrétiens gentils qu’ils ont aussi le privilège de faire ce que seuls les anciens prêtres lévitiques étaient autorisés à faire dans le temple — à savoir « offrir des sacrifices spirituels » parce qu’ils sont un « saint sacerdoce » (1 Pierre 2:5).

Pourquoi une cabale de juifs désireux de créer un christianisme pour tromper les stupides Goyim les décrirait-elle comme étant tout aussi privilégiés et spéciaux qu’eux-mêmes ? En quoi cela correspond-il à un grand « plan » visant à instaurer une suprématie juive mondiale ?

Dans Galates 6:16, Paul désigne les chrétiens gentils comme « l’Israël de Dieu ». Dans son épître aux Romains, il définit également pour ses lecteurs ce qu’est un vrai Juif : « En effet, n’est pas Juif celui qui l’est extérieurement, et la circoncision n’est pas ce qui est extérieur dans la chair. Le Juif est celui qui l’est intérieurement, et la circoncision est celle du cœur, par l’Esprit et non par la lettre, et sa louange ne vient pas des hommes, mais de Dieu » (Romains 2:28-29). Dans sa lettre aux Philippiens, il avertit les chrétiens gentils de « se méfier de la fausse circoncision, car nous sommes la vraie circoncision » (3:2-3).

L’intérêt de mentionner tous ces passages ensemble est de montrer l’absurdité de la notion selon laquelle des Juifs ethnocentriques et égoïstes auraient en quelque sorte « inventé » une religion qui placerait les Gentils méprisés sur un pied d’égalité avec eux-mêmes.

Encore une fois, est-ce ainsi que les Juifs sont connus pour penser et se comporter ? Avez-vous déjà vu des Juifs accorder un statut et une position préférentiels à des non-Juifs plutôt qu’à eux-mêmes ? Cette notion même est absurde ! Elle va à l’encontre de tout ce que nous savons sur le peuple juif.

Lettres de Paul aux sept Églises

  1. Historiquement, et en particulier dans les temps modernes, les juifs ont travaillé fiévreusement pour saper et finalement détruire le christianisme. Même lorsqu’ils ne parviennent pas à réduire à néant la foi chrétienne, ils tentent de diluer son message central de rédemption. Par le biais de nombreuses décisions de tribunaux fédéraux, les juifs ont cherché à vaincre la moindre influence religieuse que le christianisme pourrait exercer sur la place publique (par exemple, la prière à l’école, les symboles chrétiens sur les propriétés fédérales ou nationales, les efforts en faveur de l’avortement). Mais pourquoi agiraient-ils de la sorte si le christianisme est conforme à leur grand « plan » visant à tromper et finalement à contrôler les Gentils ? Ne voudraient-ils pas que l’influence du christianisme s’étende s’il était en fait conçu pour piéger les Goyim ? Comment se fait-il que des organisations militantes juives telles que l’ADL et le SPLC semblent ignorer cette grande conspiration visant à duper les Blancs au moyen du christianisme ? Même l’idée que l’Amérique est une « nation chrétienne » suscite l’indignation d’un grand nombre de Juifs. Mais pourquoi ? Cela ne correspondrait-il pas au « plan » ? Comment l’opposition à tout ce qui est chrétien pourrait-elle servir le « plan » des Juifs intelligents qui auraient « inventé » le christianisme pour tromper les Gentils ?

  1. S’il est vrai que des chrétiens individuels et des nations chrétiennes européennes ont, au cours des siècles, accordé au peuple juif un certain degré de sympathie et un refuge contre ses ennemis, il convient de garder à l’esprit certaines considérations importantes avant de succomber au point de vue selon lequel « le christianisme est une tromperie juive ».

La première est que si les Juifs ont parfois trouvé refuge auprès des nations chrétiennes, ces mêmes nations les ont également expulsés lorsque les Juifs avaient profité des indigènes. Lorsque les chrétiens en ont eu assez de leurs magouilles monétaires, de leur usure, de leurs industries du vice, de leur refus de s’assimiler et de leurs pratiques parasitaires, les juifs ont reçu le coup de pied collectif. Cela leur est arrivé plus d’une centaine de fois en fait.

La deuxième chose à noter est que les chrétiens européens n’ont pas laissé leurs sentiments « antisémites » à l’égard des Juifs s’estomper parce que le fondateur de leur religion était juif. Ils ne se sentaient pas coupables parce qu’ils comprenaient la duplicité des Juifs. Ce n’est que depuis peu que les chrétiens d’aujourd’hui se sentent coupables de tout ce qui a trait à l’Holocauste, à l’esclavage et à la race, parce qu’ils ont été constamment bombardés par la propagande juive au cours des 60 dernières années, nous disant à quel point nous sommes mauvais du simple fait d’être Blancs.

  1. Les partisans de la théorie selon laquelle le christianisme n’est qu’un « stratagème juif pour piéger les gentils crédules » n’ont pas saisi à quel point la théologie chrétienne est profondément opposée au légalisme juif, à la loi mosaïque elle-même. Les auteurs du Nouveau Testament, par exemple, considèrent la Loi comme appartenant à une ère ancienne, révolue avec la venue du Christ (Romains 7:4-6 ; 1 Corinthiens 9:20-21 ; Galates 3:24-26 ; 5:1). Le point de départ de l’obéissance chrétienne est donc ce que Jésus a dit et non ce que Moïse a déclaré sur le mont Sinaï (Matthieu 17:1-8 ; Jean 1:17 ; Hébreux 3:1-6). La Loi elle-même n’était « qu’une ombre des biens à venir et non la forme même des choses » (Hébreux 10:1). La nouvelle alliance a remplacé l’ancienne et est même décrite comme une « meilleure alliance », établie sur de « meilleures promesses » (Hébreux 7:22 ; 8:6-13). Tout le système lévitique avec ses sacrifices d’animaux, ses prêtres, son temple et même les anciennes promesses de terre ont été supprimés en Christ (Hébreux 7:12 ; 9:1-24 ; 11:8-16). Les chrétiens recherchent « une patrie meilleure, c’est-à-dire céleste » (Hébreux 11:16), et non un lopin de terre sec et poussiéreux en Palestine.

Cela étant, est-il vraiment logique de penser que des Juifs de connivence écriraient des choses aussi condamnables sur leur propre système religieux, ses lois et l’alliance même entre eux et Yahvé, dans une tentative bizarre de rendre les Gentils sympathiques à leur lutte contre l’Empire romain ? Au contraire, il semblerait que cela ait l’effet inverse, puisque les non-Juifs se rendraient compte que les croyances religieuses juives ont été abandonnées, même par leur propre Dieu ! Elle tendrait à dépeindre les juifs pratiquants qui s’accrochent encore à leurs traditions religieuses comme le faisant en vain. Comment un antijudaïsme aussi flagrant peut-il gagner les « chiens gentils » alors que le christianisme que les Juifs sont censés avoir « inventé » condamne toutes leurs croyances religieuses et leurs anciennes institutions ? Comment tout cela pourrait-il être considéré comme « pro-juif » ? Toute cette théorie est un peu trop intelligente pour son propre bien.

  1. Certains racialistes blancs antichrétiens ont affirmé que la popularité généralisée du « sionisme chrétien » aux États-Unis constitue une « preuve » de la manière dont les Juifs ont trompé les masses gentilles par le biais de la « ruse » du christianisme. Ces mêmes « sionistes chrétiens » soutiennent, il est vrai, toutes les causes juives imaginables. Ils versent également des millions de dollars chaque année à des organisations caritatives organisées par Israël et à des organisations politiques juives.

Pourtant, ce que l’on ne souligne pas souvent, c’est à quel point le mouvement « sioniste chrétien » est récent en Amérique. Oui, il existe des pasteurs chrétiens influents comme John Hagee qui ne font pratiquement rien d’autre que d’exhorter les chrétiens à « se tenir aux côtés d’Israël ». Il ne fait aucun doute non plus que la Bible Schofield de 1909 est ouvertement pro-israélienne depuis un siècle et qu’elle a largement contribué à répandre les croyances insidieuses du Dispensationalisme. Elle a été financée et promue par un juif, Samuel Untermeyer.

C.H. Schofield

Mais ce n’est pas la position historique de la plupart des Églises protestantes ni de l’Église catholique. En fait, les chrétiens protestants réformés ont été les premiers à publier des livres critiquant le « sionisme chrétien » et la théologie dispensationaliste. Des siècles avant la publication de la Bible Schofield, les chrétiens n’étaient donc pas aussi pro-juifs que certains l’imaginent. Le réformateur protestant Martin Luther n’a pas eu de crise de conscience lorsqu’il a écrit son ouvrage cinglant, Les Juifs et leurs mensonges (1543). Apparemment, le grand projet des Juifs rusés de concocter un christianisme « pro-juif » n’a pas fonctionné aussi bien qu’ils le pensaient pendant la plus grande partie de l’histoire de l’Église.

  1. Enfin, nous devons aborder la question de savoir si Saint Paul le « rabbin » a inventé le christianisme. Il s’agit d’une objection fréquemment soulevée par les théologiens libéraux, y compris ceux qui sont des racialistes blancs antichrétiens. L’espace ne nous permet pas d’examiner cette question en détail, mais quelques points notables peuvent aider le lecteur à reconnaître que cette théorie de l’origine du christianisme ne rend guère justice aux preuves lorsqu’elles sont pesées équitablement.

Paul a sans aucun doute joué un rôle de premier plan dans la formulation d’une grande partie de la théologie chrétienne, mais ce n’est pas tout à fait la même chose que d’avoir « fondé » la foi chrétienne. Certains diront que les lettres de Paul ont été constituées pour servir de diatribes « anti-romaines », mais cela semble peu convaincant si l’on considère qu’il a instruit les premiers chrétiens dans Romains 13 de « se soumettre aux autorités gouvernantes », « de ne pas leur résister parce qu’elles ont été établies par Dieu », de « prier pour elles », de « payer leurs impôts » et de « rendre honneur à qui l’honneur est dû » (vv. 1-7). De même, saint Pierre ordonne à ses lecteurs de « se soumettre, pour l’amour du Seigneur, à toute institution humaine, soit au roi en tant qu’autorité, soit aux gouverneurs envoyés par lui pour punir les malfaiteurs » (v. 13-14). Si cela n’est pas assez clair, il les exhorte à « honorer le roi » (v. 17).
Nous sommes obligés de demander : pourquoi un groupe d’écrivains « pro-juifs » dirait-il de telles choses, surtout quand leur but premier est de tromper les Gentils pour qu’ils deviennent tout aussi « anti-romains » qu’eux-mêmes ? En quoi cela constitue-t-il une théologie antiromaine ?

En toute honnêteté, je ne peux pas « prouver » ma position, du moins pas à la satisfaction de tout le monde. Le mieux que je puisse faire est de fournir des raisons, y compris des preuves internes dans les écrits du Nouveau Testament eux-mêmes, pour lesquelles la notion de Paul comme fondateur du christianisme n’est pas plausible. Par exemple, Paul était soucieux de préserver un ensemble de traditions qu’il avait reçues des apôtres (2 Thessaloniciens 2:15). À son tour, il exhorte les chrétiens à s’en tenir fermement à ces traditions. Faire appel à un ensemble de croyances et de traditions déjà en circulation et bien connues des grandes communautés chrétiennes n’a guère de sens si Paul est un franc-tireur ou un inventeur de nouveaux enseignements inconnus jusqu’alors.
Paul a pris soin de faire la distinction entre ses propres paroles ou opinions et celles de Jésus (1 Corinthiens 7:12). Cela indique qu’il n’est pas disposé à attribuer à Jésus des paroles qui ne sont que les siennes. Ce genre de choses ne correspond pas à une personne désireuse de façonner un Jésus ou de créer de nouvelles doctrines à partir de rien.

Il n’y a pas non plus de preuve convaincante que les auteurs des Évangiles ont puisé leurs idées chez Paul, comme s’il était la source incontestée de ce qu’ils étaient censés dire et écrire. En fait, il est intéressant de constater qu’aucune des controverses théologiques abordées dans les épîtres de Paul ne se retrouve dans les Évangiles. On pourrait penser que s’ils inventaient tout cela, ils trouveraient le moyen d’insérer une parole de Jésus qui clarifierait toute controverse théologique. Mais cela ne se produit jamais, ne serait-ce qu’une fois.
La raison pour laquelle Paul n’a pas toujours fait appel à des paroles ou à des événements des Évangiles (bien qu’il le fasse parfois) est que ses lettres étaient de nature ad hoc, c’est-à-dire qu’elles étaient destinées à répondre à des questions immédiates et à des controverses présentes dans les Églises qu’il avait implantées. Il s’agissait de questions qui préoccupaient les chrétiens auxquels il écrivait. Ainsi, les Évangiles présentent les fondements de la foi des chrétiens, tandis que les épîtres ultérieures de Paul et de Pierre servent d’instruction et de guide pratique pour la vie chrétienne, à savoir la manière dont les chrétiens doivent la vivre maintenant qu’ils sont venus à la foi en Jésus.

Enfin, bien que l’on puisse prétendre que Paul était un trompeur et qu’il a « tout inventé », ce n’est pas le genre de personnage que l’on trouve dans ses épîtres. Au contraire, nous trouvons une personne qui semble dévouée à la vérité, prête à subir de mauvais traitements et le rejet pour l’amour de l’Évangile, prête à vivre dans la pauvreté plutôt que de s’enrichir aux dépens des autres, prête à être ridiculisée plutôt que de détruire son témoignage personnel, et tout en exhortant fortement les chrétiens individuels et les dirigeants de l’Église à vivre avec circonspection, de manière sainte et honorable dans tout ce qu’ils font (voir Actes 20:33-35).
Même Pierre parle de Paul avec affection et évoque « la sagesse qui lui a été donnée » par Dieu (2 Pierre 3:15-16). Rien de tout cela n’indique qu’il ait fait preuve de duplicité ou qu’il ait manipulé les gens et les événements pour concocter une religion destinée à renverser Rome.

Conclusion

L’idée que le christianisme a été inventé par les Juifs pour tromper les Gentils et les rendre ainsi hostiles aux Romains et favorables aux Juifs ne tient pas la route. Elle ne peut expliquer les nombreuses déclarations antipharisiennes explicites que l’on trouve dans le Nouveau Testament. Elle ne peut expliquer logiquement pourquoi ces auteurs pro-juifs placeraient les Gentils méprisés sur le même pied qu’eux-mêmes. Tout cela va à l’encontre de ce que nous savons historiquement et expérimentalement du peuple juif en termes d’ethnocentrisme, d’orgueil démesuré et d’autoglorification.
Une lecture juste du livre des Actes, y compris des lettres de Paul et de Pierre, dépeint les premiers chrétiens comme n’étant pas particulièrement anti-romains. Cela ne signifie pas qu’ils ne considéraient pas Rome comme moralement corrompue et polythéiste, mais seulement que ce n’était pas leur préoccupation première. En fait, les passages condamnant les fausses traditions religieuses des rabbins, y compris les mises en garde contre les faux enseignants juifs, sont bien plus nombreux que ceux qui vilipendent l’Empire romain (voir Philippiens 3:1-9).

La théorie d’une théologie trompeuse et manipulatrice créée et promue par les Juifs échoue parce que ses partisans ne prennent jamais ou rarement la peine d’aller jusqu’au bout du résultat logique ou des implications de cette théorie. Pourquoi, par exemple, une série de documents (le Nouveau Testament) rédigés par des auteurs « pro-juifs » ne cesserait-elle de dépeindre le peuple juif sous le pire jour possible, attaquant non seulement les anciennes ascendances abrahamiques dans lesquelles il avait confiance, mais exposant tout le système rabbinique de l’époque comme une imposture ? En quoi cela inciterait-il les Gentils à être « pro-juifs » ? Pourquoi ces mêmes auteurs inciteraient-ils les disciples de Jésus à se soumettre au gouvernement romain et à d’autres dirigeants païens si leurs efforts étaient motivés par une « théologie antiromaine » ?
Rien de tout cela n’a le moindre sens parce que la théorie est de nature réactionnaire et émotionnelle. Elle est cultivée et diffusée par ceux qui ne connaissent que peu ou pas du tout le christianisme, son histoire et sa théologie. Elle n’est convaincante que pour ceux qui n’ont pas la perspicacité de creuser et de poser des questions sérieuses à ce sujet.




Les quatre guerres

[Source : kunstler.com]

Par James Howard Kunstler

« Il n’y a jamais eu de guerre prolongée dont un pays ait tiré profit ».

Sun Tzu

La grande stratégie de la Chine pour dominer à son tour la scène mondiale repose sur l’enlisement des États-Unis dans quatre guerres à la fois. Comment cela fonctionne-t-il jusqu’à présent ? Plutôt bien. Étonnamment, la Chine n’a pratiquement pas eu à lever le petit doigt pour y parvenir, même si elle a signé quelques chèques à l’ancien escroc sans âme qui siège à la Maison-Blanche. Notre pays a organisé de main de maître son effondrement et sa chute.

Guerre n° 1 : il n’était absolument pas nécessaire de déclencher la guerre en Ukraine, vous comprenez, qui a non seulement saigné à blanc la jeune population masculine ukrainienne, mais qui a également vidé notre propre armée de ses armes de campagne et de ses munitions. Après l’effondrement de l’Union soviétique, l’Ukraine a vécu comme un pauvre trou perdu dans l’orbite de la Russie, ne causant de problèmes à personne — sauf à elle-même, en raison d’une corruption de niveau mondial — jusqu’à ce que les États-Unis fassent pression pour l’inclure dans l’OTAN. Nos néoconservateurs ont clairement indiqué que l’objectif était d’enfermer et d’affaiblir la Russie. Cette politique a alarmé et exaspéré les Russes, qui ont clairement fait savoir que les Ukrainiens n’adhéreraient pas à l’OTAN.

Les États-Unis ont persisté, ont organisé un coup d’État en 2014 contre le président Ianoukovitch, qui était favorable à la Russie, et ont incité ses remplaçants, d’abord Porochenko puis Zelensky, à bombarder de roquettes et d’artillerie les provinces ethniquement russes du Donbass pendant des années. Pendant ce temps, nous avons formé, armé et approvisionné une importante armée ukrainienne et refusé de négocier de bonne foi l’arrêt de l’expansion de l’OTAN, jusqu’à ce que M. Poutine en ait assez en 2022 et prenne des mesures pour mettre un terme à toutes ces singeries.

Après quelques faux pas initiaux, les Russes ont commencé à l’emporter au début de l’année 2023. Aujourd’hui, tout le monde s’accorde à dire que la Russie contrôle l’espace de bataille grâce à la supériorité de ses munitions et de ses troupes, et que le conflit est sur le point de s’achever. Nos alliés de l’OTAN ne cachent pas leur dégoût face à ce fiasco. L’Ukraine est anéantie. Reste à savoir comment le régime de « Joe Biden » réagira à une nouvelle humiliation majeure à l’étranger. À mon avis, M. Poutine doit faire de son mieux pour ne pas en rajouter, car notre pays est en proie à une fugue psychotique et pourrait être capable d’une folie qui mettrait le monde à feu et à sang.

Guerre n° 2 : Il y a un peu plus d’un mois, on pensait que le Moyen-Orient avait atteint un moment de stabilité louable, selon le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, Jake Sullivan. Nous attendions une amélioration des accords d’Abraham normalisant les relations entre l’Arabie saoudite et Israël. Puis, l’opération sauvage du Hamas du 7 octobre a tout fait exploser. Le dilemme israélo-palestinien ne semble pas avoir de solution possible.

Les Palestiniens veulent leur propre État, bien sûr, mais ils font pression pour qu’il soit établi sur l’ensemble du territoire qu’Israël occupe actuellement. (Du fleuve à la mer…). Les Israéliens n’ont pas l’intention d’être chassés, et ils s’opposent à d’autres divisions possibles du territoire qui pourraient servir à satisfaire le désir des Palestiniens d’avoir leur propre pays. Israël comprend que l’un des principes fondamentaux de l’islam djihadiste, exprimé clairement et souvent, est d’exterminer les Juifs, et qu’il n’y a aucun moyen d’y échapper. Les adversaires d’Israël ne semblent pas comprendre le sens de l’expression « plus jamais ça ».

Israël doit maintenant faire face au dernier affront à son existence et son objectif clair est de désarmer et de détruire l’organisation terroriste Hamas. À la grande horreur du monde, il s’y prend brutalement à Gaza, car le Hamas est retranché dans un vaste réseau de tunnels sous la surface civile des maisons, des magasins, des écoles et des hôpitaux. Que pourrait faire d’autre Israël ? Probablement sceller le réseau de tunnels dans lequel se trouve le Hamas, créant ainsi un gigantesque cimetière de martyrs islamiques — une recette pour de futurs cycles de vengeance.

Comme vous pouvez le constater, il semble qu’il n’y ait aucune chance que cela se termine bien pour qui que ce soit. D’autres grands acteurs islamiques attendent sur la touche, se contentant jusqu’à présent de gestes menaçants. Je doute que l’Iran mette en péril son infrastructure pétrolière et son réseau électrique pour intervenir. Et malgré les tambours de M. Erdogan et sa grande armée, l’économie et la monnaie turques (la lire) s’effondreraient s’il intervenait. L’Égypte n’a aucun appétit pour la guerre. Il ne reste plus que le Hezbollah, mandataire de l’Iran, à la frontière nord d’Israël. S’ils intensifient suffisamment les choses, Damas et Beyrouth pourraient devenir des cendriers.

Je m’attends donc à ce qu’Israël s’emploie méthodiquement à mettre le Hamas hors d’état de nuire et à ce que la région retourne à sa misérable impasse, jusqu’à ce que la prochaine génération de Palestiniens en colère entame un nouveau cycle de violence. Pendant ce temps, Israël doit faire face à ses propres problèmes politiques internes. Et pendant ce temps, les Palestiniens et les Israéliens rivalisent par le taux de natalité pour surpeupler l’autre camp — une compétition qui pourrait s’arrêter soudainement avec l’effondrement économique des États-Unis et de l’Europe, et la fin des relations économiques mondiales actuelles, y compris un commerce pétrolier ordonné, qui a produit près d’un siècle de super-prospérité mondiale permettant aux populations de s’étendre comme elles l’ont fait. (Il faut également tenir compte du taux de vaccination Covid de 90 % en Israël, avec ses effets néfastes sur la santé et la reproduction). Dans la course désespérée aux ressources qui s’ensuit, les choses qui ne peuvent plus continuer s’arrêtent.

Ce qui nous amène à la troisième guerre : la guerre du gouvernement américain contre ses propres citoyens. Cette guerre dure depuis que M. Trump est entré en scène, et a inclus une guerre semi-succès contre M. Trump personnellement — sauf que non seulement elle n’a pas réussi à le mettre hors d’état de nuire en tant qu’homme politique, mais elle a étayé bon nombre des affirmations qu’il a faites au sujet d’un gouvernement corrompu et perfide, qui ont abouti à son élection en 2016. Tout cela n’a fait qu’améliorer son score dans les sondages. Par ailleurs, les poursuites judiciaires sans fondement et de mauvaise foi engagées contre lui ont démontré que le gouvernement américain a sombré dans la malfaisance délibérée et que le ministère de la Justice a arrêté et injustement persécuté des centaines d’Américains innocents qui soutiennent M. Trump.

Une grande partie de la guerre du gouvernement contre les citoyens américains a été l’épisode bizarre de Covid-19 et l’effort de longue haleine des fonctionnaires pour tromper la population à ce sujet, y compris les fermetures et la destruction des petites entreprises, la suppression malhonnête des traitements viables, la censure grossière sur les méfaits des vaccins à ARNm, et la tromperie sur les origines des vaccins dans les coulisses de notre ministère de la défense.

Un autre front de cette guerre est la frontière mexicaine largement ouverte, un état de non-droit créé comme une politique délibérée par nos secrétaires d’État, et ce à un moment où il existe une animosité énorme contre les États-Unis de la part de nombreuses autres nations qui envoient des milliers de jeunes hommes peu recommandables dans notre pays sans que nos fonctionnaires des frontières n’essaient de déterminer qui ils sont.

Il semble que l’affaire « Joe Biden » sera bientôt réglée lorsque la Chambre des représentants, réorganisée sous la houlette d’un nouveau président jeune et dynamique, révélera les relevés bancaires de la famille Biden et entamera la procédure de mise en accusation du président pour corruption. Le parti de « Joe Biden » fait comme si de rien n’était et semble n’avoir aucun plan pour faire face aux conséquences. Pour l’instant, il le présente encore stupidement comme son candidat pour l’élection de 2024, un autre mensonge grossier que l’on peut ajouter aux mille et un affronts contre le public que ce parti a tenté de faire passer. De nombreux Américains soupçonnent qu’il n’y aura pas d’élections en 2024, et plus précisément que le président de l’année prochaine, quel qu’il soit, invoquera une nouvelle fois l’état d’urgence national pour les reporter sous des prétextes fallacieux. Beaucoup sont également loin d’être persuadés que l’élection de 2020 qui a mis en place « Joe Biden » était honnête et légitime.

Ce qui nous amène à la guerre n° 4 : la guerre du peuple américain contre un gouvernement hors-la-loi. Il est évident qu’elle n’a pas encore commencé, mais il est facile de voir comment elle pourrait se développer. Je pense qu’elle pourrait commencer à la suite d’une calamité financière qui se prépare visiblement sur les marchés de la dette. Le résultat net sera l’effondrement du niveau de vie de tous les Américains, la rupture des chaînes d’approvisionnement et des activités quotidiennes, et une très forte perte de légitimité pour les personnes qui ont été en charge de quoi que ce soit dans ce pays.

Nous émergerons de cette catastrophe comme une société presque médiévale avec une population fortement réduite, incapable de résister à la tentative de colonisation de la Chine. Plutôt effrayant, non ? Continuons à faire ce que nous faisons.




Les États-Unis pensent qu’ils sont impuissants à arrêter le génocide à Gaza

[Source : caitlinjohnstone.com.au]

Par Caitlin Johnstone

Dans un nouvel article bizarre intitulé « La Maison-Blanche est frustrée par l’assaut d’Israël, mais ne voit que peu d’options », le Washington Post rapporte que l’administration Biden pense qu’Israël est allé trop loin et tue trop de civils dans son assaut sur Gaza, mais qu’elle est impuissante à faire quoi que ce soit à ce sujet.

Yasmeen Abutaleb, du Post, écrit ce qui suit, citant des fonctionnaires américains anonymes :

« Alors que l’invasion terrestre de Gaza par Israël s’intensifie, l’administration Biden se trouve dans une position précaire : les responsables de l’administration affirment que la contre-attaque d’Israël contre le Hamas a été trop sévère, qu’elle a coûté trop cher en victimes civiles et qu’elle n’a pas de finalité cohérente, mais ils sont incapables d’exercer une influence significative sur le plus proche allié de l’Amérique au Moyen-Orient pour qu’il change de cap.

Les efforts déployés par les États-Unis pour amener Israël à réduire sa contre-attaque en réponse aux tueries perpétrées par le Hamas le 7 octobre, qui ont fait au moins 1 400 morts parmi les Israéliens, ont échoué ou n’ont pas été suffisants. L’administration Biden a exhorté Israël à ne pas procéder à une invasion terrestre, lui a demandé en privé de tenir compte de la proportionnalité dans ses attaques, a préconisé d’accorder une plus grande priorité à la prévention des pertes civiles et a appelé à une pause humanitaire, mais les responsables israéliens ont rejeté toutes ces suggestions.

Ces derniers jours, ont-ils dit, l’administration s’est sentie profondément mal à l’aise face à certaines tactiques israéliennes. La semaine dernière, Israël a bombardé deux jours de suite le camp de réfugiés de Jabalya, très peuplé, une attaque qui, selon Israël, a tué un dirigeant du Hamas, mais qui a également tué des dizaines de civils. Vendredi, une frappe aérienne israélienne a touché l’entrée de l’hôpital Al Shifa dans la ville de Gaza, une frappe qui, selon l’armée israélienne, visait une ambulance “utilisée par une cellule terroriste du Hamas”. Les autorités israéliennes ont récemment expulsé des milliers de Palestiniens qui s’étaient rendus en Israël pour y travailler, les renvoyant dans la bande de Gaza alors même qu’elles continuent de bombarder l’enclave. »

Tout ce branle-bas de combat se révèle être un ramassis de conneries ridicules quelques paragraphes plus bas, dans le même article :

« Washington est le plus grand soutien militaire d’Israël et la Maison-Blanche a demandé au Congrès une aide supplémentaire de 14 milliards de dollars pour Israël à la suite des attaques du Hamas. Mais les fonctionnaires et les conseillers de l’administration affirment que les leviers dont disposent théoriquement les États-Unis sur Israël, tels que le conditionnement de l’aide militaire à une campagne militaire plus ciblée, ne sont pas envisageables, en partie parce qu’ils seraient politiquement impopulaires dans n’importe quelle administration et en partie parce que, disent les conseillers, M. Biden lui-même a un attachement personnel à Israël ».

Ainsi, l’administration Biden dispose en fait d’une multitude de moyens de pression qu’elle pourrait utiliser pour mettre fin au massacre génocidaire à Gaza, mais elle ne veut pas le faire parce que ce serait « politiquement impopulaire » et parce que « Biden lui-même a un attachement personnel à Israël ».

Le président américain a en effet un attachement personnel à Israël. M. Biden s’est fièrement décrit comme un sioniste et a déclaré publiquement que si Israël n’existait pas, les États-Unis devraient inventer un Israël pour promouvoir leurs intérêts au Moyen-Orient.

En résumé, cet article du Washington Post nous dit que Biden est impuissant à arrêter le massacre génocidaire à Gaza parce qu’il aime vraiment les auteurs du génocide et qu’il ne veut pas les en empêcher.

On nous a demandé de croire beaucoup de choses très stupides depuis que cet assaut a commencé le mois dernier, mais l’idée que l’administration Biden est impuissante à arrêter un génocide qu’elle arme et approvisionne directement doit être la plus stupide qui soit.

Bien sûr que les États-Unis peuvent arrêter cela. Bien sûr qu’ils le peuvent. Les États-Unis fournissent actuellement des armes à Israël presque quotidiennement, versent des milliards de dollars à Israël et s’apprêtent à en verser d’autres, et assistent physiquement les opérations israéliennes à Gaza avec des drones et des forces d’opérations spéciales tandis que des navires de guerre américains sillonnent la Méditerranée orientale. Tout cela peut facilement disparaître si Israël refuse d’arrêter d’assassiner des enfants par milliers dans le cadre d’une campagne de bombardements aveugles qui, semble-t-il, n’infligent même pas de dommages significatifs au Hamas.

Qu’est-ce que c’est que ça ? Vous ne saviez pas que cette campagne de bombardements meurtriers ne causait aucun dommage significatif au Hamas ? Eh bien, mettons les choses au clair.

Un nouveau rapport du New York Times cite un responsable militaire américain anonyme qui affirme qu’Israël « n’est pas près » de détruire la direction du Hamas ou même son commandement de niveau intermédiaire.

« Un haut responsable de la défense américaine, qui a parlé sous le couvert de l’anonymat pour discuter de détails sensibles, a déclaré que les opérations menées jusqu’à présent n’ont pas permis de détruire les dirigeants et les cadres moyens du Hamas », rapporte le New York Times.

Cette révélation est dévastatrice pour le discours israélien sur ce qu’il a réellement fait à Gaza. Israël a déclaré jeudi qu’il avait bombardé quelque 12 000 cibles à Gaza depuis le 7 octobre, et ce chiffre devrait être encore plus élevé à l’heure actuelle, surtout si l’on tient compte des niveaux de frappes sans précédent signalés par les personnes sur le terrain. Le Hamas ne compterait que 20 à 25 000 membres au total, ce qui signifie que le nombre de frappes aériennes s’approche rapidement du nombre total de membres du Hamas, et pourtant, d’après le rapport du New York Times, le Hamas lui-même n’a pas subi de dommages significatifs.

Et ce, malgré le fait que l’on nous dise que le Hamas utilise fréquemment des « boucliers humains », cachant ses unités dans des groupes de civils pour se protéger. Comment Israël a-t-il pu tuer quelque dix mille Palestiniens à Gaza sans parvenir à infliger de réels dommages au Hamas si les combattants du Hamas se cachent parmi tous ces civils ? On pourrait penser que, par la simple loi de la moyenne, ils auraient éliminé quelques dirigeants importants avec tous ces massacres de civils ?

Peut-être que le Hamas utilise des boucliers humains de très haut niveau, du genre de ceux derrière lesquels ne se cachent même pas des combattants du Hamas. Il s’agit d’un bouclier humain à 100 % et d’un combattant à 0 % — le type de bouclier humain le plus sûr qui soit !

L’article du Washington Post sur l’impuissance imaginaire de Biden à arrêter ce massacre prend un peu plus de sens lorsqu’on lit un article de NBC News paru quelques jours plus tôt, qui rapporte que les dirigeants de la Maison-Blanche s’inquiètent de l’émergence d’un « récit » selon lequel Biden soutiendrait les tueries à Gaza.

NBC News rapporte ce qui suit :

« Au cours de la semaine écoulée, Joe Biden et ses principaux collaborateurs ont modifié le message public de l’administration pour mettre l’accent sur la préoccupation pour les civils palestiniens et sur les efforts déployés par les États-Unis pour leur apporter une aide humanitaire. Ce changement fait suite aux critiques de plus en plus nombreuses, dans le pays et à l’étranger, concernant la décision de M. Biden de soutenir rapidement et fermement la riposte militaire d’Israël contre le Hamas, tout en s’exprimant initialement avec moins de vigueur sur la protection des Palestiniens ; pendant ce temps, les images de victimes civiles à Gaza continuent de faire le tour du monde.

Si les choses tournent mal, nous voulons pouvoir nous référer à nos déclarations antérieures », a déclaré un haut fonctionnaire américain. Ce responsable a déclaré que l’administration était particulièrement inquiète de voir s’installer un discours selon lequel M. Biden soutient toutes les actions militaires israéliennes et que des armes fournies par les États-Unis ont été utilisées pour tuer des civils palestiniens, dont beaucoup de femmes et d’enfants. Le ministère de la Défense a déclaré que les États-Unis n’imposaient aucune limite ou restriction aux armes qu’ils fournissent à Israël ».

Il y a donc fort à parier que les fonctionnaires américains anonymes qui ont parlé au Washington Post de la « frustration » de la Maison-Blanche face à la folie meurtrière débridée d’Israël sont des fonctionnaires de la Maison-Blanche qui tentent de gérer l’image publique de Biden. Ils essaient de laisser la Maison-Blanche de Biden se laver les mains de ce massacre génocidaire comme Ponce Pilate, alors même qu’elle soutient ce même massacre à bout de bras.

Je l’ai déjà dit et je le répète : les États-Unis sont tout aussi coupables du meurtre de tous ces civils qu’Israël. Ne laissez pas les gestionnaires narratifs de l’empire essayer de vous dire le contraire.




Génétique : Le génome en dissolution

[Source : telegra.ph 1]

Par Ulrich Bahnsen – 6 novembre 2008

Le génome était considéré comme le schéma directeur immuable de l’être humain, déterminé au début de notre vie. La science doit dire adieu à cette idée. En réalité, notre patrimoine génétique est en constante évolution.

Il y a deux ans [en 2006, donc — NDT], 25 généticiens se sont réunis à l’université de Californie à Berkeley pour répondre à cette question apparemment simple : qu’est-ce qu’un gène ? Mais la tentative de définir précisément le concept de base de leur discipline s’est avérée extrêmement difficile. La réunion d’experts a failli tourner au désastre, se souvient Karen Eilbeck, professeur de génétique humaine à Berkeley et hôte de la table ronde :

« Nous avons eu des réunions pendant des heures. Tout le monde criait sur tout le monde ».

La dispute à Berkeley n’a pas grand-chose à voir avec l’état de préparation de la recherche. C’était un premier symptôme que les sciences de la vie — encore inaperçues du public — sont à l’aube d’un tournant. Ce que les chercheurs mettent en évidence dans les brins chromosomiques des humains ou des animaux dépasse les schémas de pensée antérieurs de la génétique. Comme au début du XXe siècle, lorsqu’Einstein et ses compagnons d’armes ont élaboré une nouvelle vision du monde physique, l’ère de la génétique relativiste est peut-être en train de s’ouvrir.

La recherche médicale, en particulier, est confrontée à de nouveaux défis. Les premières esquisses montrent que le corps et l’âme, leur santé, leur maladie, leur développement et leur vieillissement sont soumis à une interaction génétique dont la complexité dépasse toutes les conceptions antérieures. Les généticiens doivent abandonner l’image d’un génome stable, dont les modifications sont des exceptions pathologiques. Le génome de chaque individu est en constante transformation. Par conséquent, chaque organisme, chaque être humain, voire chaque cellule du corps, est un univers génétique en soi.

La première analyse du génome humain était encore une affaire longue et coûteuse, le résultat — célébré en 2000 par le président américain Bill Clinton comme le « Livre de la vie » — étant une séquence de trois milliards de lettres. Depuis, les nouvelles techniques de laboratoire, qui permettent de générer et d’analyser d’énormes quantités de données, ont généré un flot de nouvelles découvertes sur la vie intérieure du génome humain en particulier. Ce faisant, le livre se dissout sous les yeux des lecteurs. Le génome n’est pas un texte stable. L’état des connaissances soulève également des questions philosophiques fondamentales, telles que l’identité génétique et donc biophysique de l’être humain, et exige éventuellement des réponses radicalement différentes. Les généticiens ont en vue un nouveau « projet humain » — devise : Tout sur l’ego.

« Nos hypothèses étaient si naïves que c’en est presque embarrassant », déclare Craig Venter

Les derniers résultats montrent plus que jamais que l’homme est le produit de processus génétiques. Mais aussi que ces processus sont dotés de nombreux degrés de liberté. Ils forment un système ouvert dans lequel tout n’est pas prédéterminé.

Après le premier codage du génome, seules quelques personnes s’en doutaient. Les experts pensaient avoir compris comment un gène se présente et fonctionne, quels principes fonctionnels le génome humain ou microbien suit. « Rétrospectivement, nos hypothèses sur le fonctionnement du génome à l’époque étaient si naïves qu’elles en sont presque embarrassantes », déclare Craig Venter, qui a participé au projet avec sa société Celera. Nous nous attendions à une collection de recettes compliquées, mais compréhensibles pour les processus de la vie. Aujourd’hui, les choses sont claires : le livre de la vie est rempli d’une prose énigmatique.

Ce n’est que le premier point culminant du bouleversement, lorsqu’il y a quelques mois, la conviction de l’uniformité génétique et donc de l’identité de l’humanité s’est effondrée. Jusqu’alors, on supposait que le matériel génétique de deux personnes ne différait que d’environ un pour mille de tous les éléments constitutifs de l’ADN. Mais les différences dans le patrimoine génétique des êtres humains sont en réalité si grandes que la science confirme aujourd’hui ce que le langage populaire sait depuis longtemps :

« Chaque homme est différent. Complètement différent ! »

Craig Venter lui-même a grandement contribué à cette découverte. Le charismatique gourou de la génétique, originaire de Rockville, dans l’État américain du Maryland, a vu son propre patrimoine génétique décrypté. Presque simultanément, des experts de la société 454 Life Sciences ont décodé le génome du prix Nobel James Watson, découvreur de la double hélice de l’ADN et ennemi intime de Venter. Il ne voulait pas espérer, disait Venter, que l’on découvre trop de similitudes entre lui et Watson.

Après le séquençage des divas de la recherche, des scientifiques de Shenzhen ont annoncé qu’ils avaient complètement décodé un Chinois Han anonyme. Il y a quelques jours, le généticien Gert-Jan van Ommen de l’université de Leiden a annoncé le premier décodage d’une femme. Il s’agit de la généticienne clinique Marjolein Kriek, membre de l’équipe de van Ommen. Les analyses détaillées des données génétiques révèlent maintenant que le génome humain est aussi diversifié que le corps et le psychisme.

Grâce au génome de Venter, il a été possible pour la première fois de cataloguer les différences. Le génome des cellules somatiques humaines est constitué pour moitié d’un ensemble de chromosomes hérités du père et pour moitié d’un ensemble de chromosomes hérités de la mère. Les chercheurs s’attendaient à ce que le patrimoine parental présente des différences ; on sait depuis longtemps qu’il existe de nombreux échanges de lettres individuelles dans le génome (appelés SNP — single nucleotide polymorphisms). Cependant, ils ont été surpris par l’ampleur réelle des différences : dans presque un gène sur deux du chercheur, ils ont trouvé des différences entre les copies du gène maternel et du gène paternel. Au cours de la comparaison, les experts ont également détecté un grand nombre d’indels2 : des millions de fois, des sections entières avaient été nouvellement incorporées dans les molécules génétiques (inversion) ou avaient simplement disparu (suppression). D’autres ont été détachées de leur environnement et réinsérées à l’envers.

La conviction antérieure selon laquelle chaque gène n’existe généralement que deux fois dans le génome (une fois dans le jeu de chromosomes hérité du père et une fois dans celui hérité de la mère) est également erronée. En réalité, une grande partie de l’information génétique est soumise à un processus de duplication et existe jusqu’à 16 copies dans le noyau cellulaire. Diverses équipes de recherche ont maintenant découvert de tels variants du nombre de copies (CNV) dans au moins 1500 gènes humains ; il y a probablement beaucoup plus de ces gènes Xerox, chaque personne ayant un profil CNV différent. L’explosion des découvertes est exacerbée par le fait que les profils CNV dans le génome ne sont en aucun cas stables, que le nombre de copies des gènes peut diminuer ou augmenter, et que même les cellules somatiques d’un individu humain diffèrent les unes des autres.

L’idée que le génome représente une constante naturelle, un code source fixe de l’être humain, s’effondre maintenant sous le poids des découvertes. Le généticien américain Matthew Hahn comparait déjà le génome à une porte tournante :

« Des gènes apparaissent constamment, d’autres disparaissent ».

Les fonctions cérébrales semblent particulièrement touchées : Les CNV sont la cause principale de diverses formes de retard mental, d’autisme, de schizophrénie et d’autres troubles cérébraux organiques. Toutefois, en interaction avec d’autres processus génétiques, elles régulent probablement aussi l’expression de caractéristiques mentales saines. « Il s’agit de l’un des nouveaux domaines les plus passionnants et les plus fructueux de la génétique humaine », déclare le généticien américain David Haussler, de l’université de Californie à Santa Cruz. La recherche de telles variations génétiques à l’échelle du génome a déjà donné des résultats étonnants. La médecine du futur, prédit le chercheur, sera caractérisée par les résultats du séquençage ultrarapide du génome et de la puissance de calcul massive :

« Nous devons garder un œil sur des centaines, voire des milliers de gènes simultanément pour comprendre les maladies. »

[NDLR Cette approche reste toujours prisonnière d’une vision matérialiste de la vie. Alors que lors de cette réunion de 2006, ces 25 généticiens ont pratiquement démoli les fondements de la génétique, les généticiens continuent plus de quinze ans plus tard à espérer trouver la cause de maladies dans des gènes dont ils ont pourtant reconnu la grande mutabilité, voire l’instabilité fondamentale. Et si les gênes n’étaient en réalité que des auxiliaires permettant la création de protéines spécifiques et l’ajustement de tissus biologiques au gré des besoins d’adaptation au monde extérieur, une sorte de logiciel élaboré, changeant et utilisé en définitive par l’âme ou par l’esprit de l’Homme (ou l’équivalent pour le cas des animaux et du monde végétal) ? Et si la maladie est en réalité le résultat de déséquilibres (par excès ou déficience) sur un ou plusieurs domaines de la vie (physique, hormonal, chimique en général, électrique, électromagnétique, émotionnel, mental, psychique… et même spirituel) alors la connaissance scientifique génétique ne sera pas d’un grand secours dans le rétablissement des équilibres rompus. Si l’âme ou l’esprit de l’Homme est le véritable maître, la santé provient de la capacité de l’individu ou de l’ego à se laisser guider par cette source intérieure, elle seule se montrant réellement apte à rétablir l’équilibre, l’harmonie, et à utiliser adéquatement le logiciel génétique.]

Des jumeaux identiques se développent génétiquement différemment dès l’état d’embryon

Le projet 1000 génomes a été lancé pour déterminer l’étendue réelle des travaux de construction du patrimoine génétique. Sur une période de trois ans, le consortium de centres de séquençage aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Chine séquencera les génomes de 1000 personnes du monde entier, enregistrant ainsi la variance des données génétiques de diverses populations dans le monde.

L’interaction du génome humain n’est pas seulement capable d’expliquer les particularités individuelles, elle produit également l’assortiment génétique à partir duquel l’évolution continue de façonner l’homme. Cela permet de comprendre une autre constatation troublante : l’espèce Homo sapiens est apparemment en train de subir une turboévolution. Des centaines de zones du génome ont changé beaucoup plus rapidement que chez les autres primates. De nouvelles recherches concluent même que la civilisation a dû accélérer l’évolution humaine d’un facteur 100 depuis le début de l’ère néolithique.

Le magazine Science a désigné la découverte de ces variations génétiques comme la percée de l’année 2007. Il y a à peine un an, la revue se réjouissait de la perspective de pouvoir bientôt distiller les facteurs qui marquent l’évolution de l’Homo sapiens grâce à la comparaison précise des génomes de l’homme et du chimpanzé. Mais avant même de répondre à la question de savoir ce qui, dans notre ADN, fait de nous des êtres humains, la question suivante se pose déjà :

« Qu’est-ce qui, dans mon ADN, fait de moi un être humain ? »

L’une des premières découvertes de la nouvelle génétique rend cette question presque obsolète. Tout indique une réponse surprenante : Je suis multiple.

Au moins physiquement, l’homme n’apparaît plus comme un individu, mais comme une association de colonies de cellules égoïstes. Dans près de dix pour cent de l’ensemble du matériel génétique — et peut-être beaucoup plus — la variante maternelle ou la variante paternelle est active. Ce modèle, appelé « expression monoallélique autosomique » dans le jargon technique, est déjà établi dans l’embryon. Et c’est là que chaque cellule prend sa propre décision. « Nous pensons que cela se produit lorsque l’embryon s’implante », explique le généticien Andrew Chess de l’université de Harvard. En conséquence, l’organisme adulte ressemble à un patchwork de groupes de cellules dont les réseaux génétiques sont tricotés différemment.

Le fait que l’information génétique individuelle dans ces cascades de gènes provienne du père ou de la mère a des conséquences radicales, contrairement à ce que l’on pensait jusqu’à présent. Leur contenu en informations peut présenter des différences subtiles, mais celles-ci ont des conséquences profondes sur les réseaux extrêmement complexes qui contrôlent les caractéristiques humaines. Une autre découverte fascinante provient du laboratoire d’Andrew Chess à Harvard : l’expression monoallélique est particulièrement fréquente dans les gènes qui ont connu une évolution accélérée au cours du développement humain et dans ceux qui ont des fonctions importantes dans le système nerveux central. Ce que cela signifie pour le fonctionnement du cerveau et la construction de la psyché ne peut même pas être estimé à l’heure actuelle.

Depuis lors, on croit que l’organisme sain représente au moins un système harmonieux qui fonctionne en harmonie avec lui-même. Au contraire, les résultats de la recherche donnent l’image d’un puzzle fragile composé d’unités biologiquement disparates. La santé serait donc un état instable dans lequel les égoïsmes des pièces de la mosaïque sont maintenus en échec. En tout état de cause, c’est même l’identité biologique de l’individu qui est en jeu. Ce qui semble effrayant pour beaucoup est une idée inspirante pour le généticien américain Steven Henikoff : « J’aime l’idée que nous sommes des mosaïques. »

Au fond, cela menace aussi le travail des scientifiques qui veulent mesurer l’influence de l’environnement sur le développement humain. Depuis des décennies, ils tentent de distinguer l’influence de l’environnement de celle des gènes en comparant des jumeaux monozygotes et dizygotes. Ils ont utilisé les différences entre les paires de jumeaux identiques pour mesurer l’influence de l’environnement sur les caractéristiques des êtres humains — après tout, ces jumeaux ont des gènes totalement identiques. Par conséquent, toutes les différences doivent être déterminées par la culture et non par la biologie.

Or, il s’avère aujourd’hui qu’il n’en est rien : c’est un fait que les vrais jumeaux ne sont pas génétiquement identiques, affirme M. Chess, « c’est un résultat vraiment passionnant ». Non seulement le schéma d’activité exclusivement maternelle ou paternelle de leurs gènes, mais aussi leur schéma CNV présentent des différences évidentes. « Nous nous sommes toujours demandé pourquoi il existe des différences entre les vrais jumeaux, par exemple en ce qui concerne leur susceptibilité à des maladies complexes », explique M. Chess, « notre découverte est une explication ». Des facteurs externes, sociaux et matériels, peuvent également façonner une personne en passant par la biologie, en modifiant les fonctions de ses gènes. Par le biais de processus dits épigénétiques, le stress ou la torture, le manque de nourriture ou l’absence d’amour peuvent apparemment avoir un effet jusque dans le noyau cellulaire.

Face à l’afflux de ces découvertes encore largement mystérieuses, les chercheurs en génétique sont confrontés à un sort similaire à celui des cosmologistes qui étudient depuis plusieurs années la mystérieuse « matière noire » de l’univers. Les bioscientifiques s’interrogent eux aussi sur la matière noire du génome.

Notre génome ne détermine pas le type de personne qui en est issu

Ils pourraient trouver le sombre secret dans la partie du matériel génétique qu’ils ont jusqu’à présent rejetée comme un déchet, comme de l’ » ADN poubelle ». Pour eux, seuls les quelques pour cent du génome qui, en tant que gènes selon la définition conventionnelle, contiennent les informations nécessaires à la construction des protéines dans les cellules étaient pertinents. Le reste était considéré comme de la camelote évolutive. Au mieux, cette partie du génome pouvait être considérée comme un élément stabilisateur, une sorte de ciment de liaison entre les informations génétiques réellement importantes.

Aujourd’hui, il est clair que c’est surtout la matière noire de l’ADN dans les chromosomes qui est à l’origine d’un grand nombre des processus nouvellement découverts. Apparemment, les « déchets » sont pleins de gènes inconnus, peuplés de modules de contrôle. En particulier, les microARN, une classe d’information génétique inconnue jusqu’à récemment, régulent une multitude de processus de développement et de maladies.

La conclusion de toutes ces nouvelles découvertes ne peut être que la suivante : bien que les caractéristiques d’un être humain soient enracinées dans son génome, dans le système ouvert du génome embryonnaire, il n’est nullement déterminé quel être humain en sortira un jour. Même si un embryon reproduit à l’identique jusqu’à la dernière molécule pouvait se développer dans l’utérus dans des conditions identiques, « un autre être humain en sortirait », assure le généticien berlinois Nikolaus Rajewsky. Et ce, même sans l’influence de l’éducation et de la culture.

Au vu de la complexité et de l’indétermination des processus génétiques, de nombreuses visions de l’homme au design optimisé, mais aussi de nombreuses mises en garde contre les dangers de la recherche génétique se révèlent aujourd’hui comme un vulgaire biologisme simplifié à l’extrême. Le bricolage du génome s’avère beaucoup plus compliqué que prévu. Et le fantasme selon lequel le clonage pourrait être utilisé pour ressusciter à l’identique des artistes doués, des chercheurs brillants ou simplement un être cher restera probablement à jamais un vœu pieux.





La Nouvelle Biologie

[Source : @ObjetsPerdus]

[Voir aussi, abordés dans les vidéos suivantes :
Génétique : Le génome en dissolution
L’eau PI]





  • Conférence du Dr Stefan Lanka enregistrée en allemand, le 21 janvier 2022
    « La biologie telle qu’elle n’est pas – réfutation de la génétique, de la virologie et de la théorie cellulaire »
  • Description du site de conférence original
    « Biologiste et biologiste marin. Bien sûr, Stefan Lanka nous raconte l’histoire de la virologie. Il réfute les connaissances antérieures sur la génétique, la virologie et la théorie cellulaire. En tant que virologue, il s’est agenouillé dans les concepts précédents et a compris qu’ils ne sont pas corrects. La plupart des gens croient en une biologie de la terreur dans laquelle nos propres molécules se retournent contre nous-mêmes et veulent seulement tuer et peuvent errer. Lanka réfute cette fausse doctrine « .
  • À propos du Dr Stefan Lanka
    Dr Stefan Lanka, Ph.D. est un biologiste allemand et ancien virologue. Il a longtemps parlé des méthodes pseudo-scientifiques utilisées pour prouver l’existence de soi-disant virus et il a mené une étude pour réfuter la virologie une fois pour toutes.
    … Retrouvez plus d’infos sur le travail du Dr Lanka : (anglais) https://odysee.com/@drsambailey:c/Stefan-Lanka-Virus-Its-Time-To-Go
  • Les crédits vont à
    Traduction anglophone et 1ère édition :
    Northern Tracey « No Fear Tracey’s Here » – https://odysee.com/@northerntracey
    John Blaid « Le chercheur de vérité » – https://truthseeker.se/
    Traduction & sous-titre français & ré-ré-édition : https://odysee.com/@ObjetsPerdus
  • Livres référés
    « The Cross of Reality: The Hegemony of Spaces » (traduction anglaise de « Soziology vol.1 »), Eugene Rosenstock
    « Anthem », Ayn Rand, roman, 1946
    « The Nemesis of Medicine », Ivan Illich, 1976
    « Early History Of Virology » par Karl Heinz Ludtke, Institut Max Planck, 1999
    « The Genome In Dissolution », 2008, (anglais) https://telegra.ph/Genetics-Genome-in-Dissolution-11-01
    « What is a gene ? », Karen Ellbech, Université de Californie à Berkeley, 2008
  • Plus d’info
    Source : Odysee (allemand) : https://odysee.com/@WIR:b/Stefan-Lanka_Die_Biologie_T1:5



« La rééducation culturelle, la mise aux normes de nos films, nos livres et nos séries est pour les woke la mère de toutes les batailles »

[Source : epochtimes.fr]

Par Étienne Fauchaire

ENTRETIEN — Les films et séries sont devenus un puissant vecteur du wokisme, dont Samuel Fitoussi, à travers son brillant essai Woke Fiction, décrypte avec rigueur la manière dont cette pensée façonne et contraint aussi bien le processus de création que de production. Première victime de cette offensive idéologique, la liberté artistique. En infiltrant et en s’emparant du monde de la culture, les éveillés ont réussi à faire de la fiction un outil insidieux de rééducation.

Epoch Times : Ces dernières années, les ouvrages sur la thématique du wokisme se succèdent en librairie. Pourquoi avoir décidé d’écrire à propos de l’influence de cette idéologie sur nos films et séries ?

Samuel Fitoussi : Passionné de cinéma, j’ai vu les contenus changer au fil des années, en particulier depuis 2020, et perdre en qualité, en acuité psychologique, en réalisme, en humour… En creusant, j’ai découvert que les scénarios doivent désormais souvent répondre à un véritable cahier des charges idéologique. Il existe désormais un certain nombre de schémas narratifs, de dynamiques relationnelles ou de types de personnages, qui, pour des raisons idéologiques, ne passent plus. Nous pouvons regarder une série qui nous semble apolitique sans nous douter qu’une forte autocensure a existé en amont, au moment de l’écriture, puis de la relecture du scénario par des cabinets de conseils spécialisés en diversité et inclusion — qui se multiplient à Hollywood. Il y a encore dix ans, les scénaristes se seraient permis d’inclure certaines blagues — aujourd’hui jugées « problématiques » —, de montrer des rapports de séduction asymétriques et plus authentiques — on suggèrerait aujourd’hui qu’ils alimentent la « culture du viol » — de montrer un Blanc aider un Noir si l’intrigue l’exige — aujourd’hui, les woke affirment que cela constitue une négation de l’autonomie des Noirs — c’est le concept du « sauveur blanc »… C’est pourquoi, quand on parle de cancel culture, on passe sans doute à côté de l’essentiel : le problème aujourd’hui n’est pas ce qui est annulé, mais ce qui n’est plus produit, voire ce qui n’est même plus écrit ni imaginé.

Comment définissez-vous le wokisme ? Peut-on évoquer un « marxisme culturel », comme il est courant de le faire aux États-Unis ?

Je définis le wokisme comme ceci : le militant est celui qui croit que le racisme, la misogynie, la transphobie et l’homophobie sont omniprésents en Occident — même si leurs manifestations sont parfois subtiles, voire invisibles, imbriquées dans des discours et des mécanismes en apparence universels — et constituent le fait social majeur de notre époque. Il pense par conséquent que certains se voient dotés dès la naissance d’un privilège qui les accompagnera à toutes les étapes de leur vie, d’autres d’un handicap presque insurmontable. Cette inégalité des chances n’est pas fonction de facteurs socio-économiques, mais des déterminismes identitaires de chacun (couleur de peau, sexe, orientation sexuelle…). Ayant pris conscience de cette réalité, le militant woke doit éveiller les autres aux mécaniques d’oppression qui structurent notre société et, surtout, tenter de contrebalancer le racisme mauvais de la société par un racisme vertueux : il assigne chacun à des catégories identitaires devant être soumises à un traitement différencié.

Quelles sont, selon vous, les causes à l’origine de cette déferlante woke sur le monde du cinéma ? 

D’abord, la gauche a toujours été surreprésentée dans le monde de la culture. Aujourd’hui, pour ne prendre qu’un exemple, le directeur des contenus et des programmes de France Télévisions — à la tête d’enveloppes de plusieurs centaines de millions d’euros tous les ans d’argent public, et d’une équipe de centaines de personnes — s’appelle Stéphane Sitbon Gomez. Il a été directeur de campagne d’Éva Joly en 2012, et son engagement passé à l’extrême-gauche est de notoriété publique.

Ensuite, la rééducation culturelle, la mise aux normes de nos films, nos livres et nos séries est pour les woke la mère de toutes les batailles.

D’abord, il y a, au cœur de cette idéologie, un constat (éminemment discutable) sur les sociétés occidentales, qui seraient patriarcales et racistes. Pourtant, la discrimination selon le sexe ou la couleur de peau est illégale. Alors où se trouve — selon les woke — la source du mal ? Dans nos mœurs, nos conventions sociales, nos représentations collectives, nos inconscients (malades de préjugés). Il en découle que le privé est politique et que le combat pour la justice sociale, gagné dans la loi au 20e siècle, doit se poursuivre en transformant nos comportements, en nous rééduquant moralement, en révolutionnant nos représentations culturelles. C’est par exemple pour cela que certains éditeurs ont jugé utile de caviarder les romans de Roald Dahl, Ian Fleming ou Agatha Christie en supprimant tous les passages jugés « problématiques ».

Ensuite, l’idée que les artistes ont le devoir moral de guider la société dans le bon sens découle peut-être, au moins en partie, d’une idée fausse de la nature humaine. En 1987, l’intellectuel américain Thomas Sowell a distingué deux visions de la nature humaine. La première est la vision tragique : l’homme possède en lui une part d’ange, mais aussi une part d’ombre, le mal est inhérent à la nature humaine et on ne peut le combattre collectivement qu’au prix d’arbitrages coûteux (prisons, police…). La seconde est la vision candide, dont Rousseau est le meilleur ambassadeur : l’homme est naturellement bon et la société le corrompt. Avec cette vision, à laquelle les woke semblent se ranger, on peut combattre la criminalité en combattant la société. Les criminels ne sont plus la cause des crimes, mais les symptômes d’une trop forte prévalence de certains discours ; les harceleurs de rue ne sont plus les responsables du harcèlement, mais les produits de nos stéréotypes de genre ; les violeurs ne sont pas la cause des viols, mais les victimes d’une misogynie qu’ils ont intériorisée en raison d’un « continuum de violence » qui commence avec l’absence de parité autour du barbecue ou l’écriture insuffisamment inclusive. Les scénaristes, parce qu’il est en leur pouvoir de remodeler notre environnement, de bousculer nos représentations culturelles, de combattre les influences corruptrices, auraient donc un lourd devoir moral.

Autrement dit, ceux qui adhèrent à la vision tragique comprennent que si le mal apparaît dans les films et les séries (le viol, les féminicides, etc.), c’est parce qu’il est une possibilité humaine intemporelle, une part inexpugnable de notre nature. Ceux qui adhèrent à la vision candide inversent la causalité : le mal serait culturellement construit, la nature humaine serait infiniment malléable et nous reproduirions ce que nous voyons à l’écran.

Les tenants du wokisme dans le monde de la culture s’imaginent lutter contre une normativité hégémonique (racisme systémique, patriarcat…) alors que l’industrie du cinéma dans son ensemble intègre ces commandements idéologiques. Attribuez-vous cette attitude à une forme de malhonnêteté intellectuelle ou à de l’aveuglement ?

Les woke s’imaginent dissidents, en lutte contre un ordre moral encore problématique et hégémonique — le patriarcat, le racisme systémique, etc. Pourtant, l’idéologie woke, aujourd’hui, est largement dominante dans le monde de la culture occidentale, et même au-delà.

Les woke sont minoritaires dans la population, mais majoritaires dans l’industrie du cinéma et du théâtre, dans les départements de science sociale de toutes les prestigieuses universités, les grandes entreprises californiennes et dans une poignée d’institutions clé — au hasard : Disney et Netflix, l’Académie des Oscars, des Césars, et souvent, les services publics. Au niveau institutionnel, les critères woke deviennent « systémiques », c’est-à-dire obligatoires pour concourir à des prix – Oscars, Baftas… — ou obtenir des subventions (CNC), et sont imposés jusqu’au monde de l’entreprise et de la finance via les critères RSE, souvent le cheval de Troie de l’idéologie.

Au-delà des institutions, il est, dans un nombre croissant de secteurs, beaucoup plus risqué socialement d’exprimer publiquement un désaccord avec l’idéologie woke que de signaler ouvertement son adhésion. Je cite dans mon livre des exemples d’acteurs à Hollywood obligés de présenter des excuses publiques après un faux-pas idéologique en nuançant un discours woke ; cela n’arrive jamais dans l’autre sens. Dans son dernier livre, Pierre Valentin rappelle que la papesse woke Robin di Angelo affirme que la chose dont les Blancs ont le plus peur est « d’être traité de raciste ». Pourtant, c’est un cinglant démenti de l’idée selon laquelle le racisme serait omniprésent, normalisé voire encouragé. Valentin cite aussi l’intellectuel américain Ibram Kendi, qui s’est un jour scandalisé que de nombreux étudiants américains Blancs se fassent passer pour Noirs dans leurs dossiers universitaires pour maximiser leurs chances d’admission. Pourtant, le fait que des milliers d’étudiants jugent bénéfique de faire cela offre là aussi un cinglant démenti de l’idée selon laquelle il existerait un racisme systémique discriminant les Noirs dans les institutions occidentales.

Dans le cas du féminisme, la théorie du continuum de violence, du patriarcat, ou du sexisme ordinaire postule que les préjugés hostiles aux femmes sont encore courants, que nous avons tous intériorisé des idées misogynes, et que les discours et les attitudes hostiles aux femmes sont banalisés. Pourtant, qui pourrait imaginer qu’un homme écrivant Le Génie homosexuel — essai dans lequel il confesse sa haine des femmes et promet de ne plus jamais lire de livre écrit par une femme et de s’en prendre physiquement à une femme à la fin de sa vie — soit invité sur France Inter pour défendre son livre ? Alice Coffin, autrice du livre inverse, a pourtant été invitée. De même, Le Figaro a récemment dédié une pleine page au titre « Les femmes sont de meilleures chirurgiennes que les hommes ». Qui pourrait imaginer qu’il se serait permis — dans le cas où des études corroboraient cette idée — de titrer « Les hommes sont de meilleurs chirurgiens que les femmes » ? Et qui peut imaginer que s’il l’avait fait, cela n’aurait pas provoqué une vague d’indignation ? Ajoutons que dans les films et les séries ces cinq dernières années, c’est la misandrie, et non la misogynie, qui se banalise. Comme l’écrit le philosophe slovène Slavoj Zizek (cité par Michéa, cité par Eugénie Bastié) : « L’affirmation critique selon laquelle l’idéologie dominante patriarcale continue d’être l’idéologie dominante d’aujourd’hui EST l’idéologie dominante d’aujourd’hui ».

Quels dangers ces nouvelles injonctions morales qui ont gagné le champ du divertissement font-elles courir à notre jeunesse ?  

Les dangers pour la jeunesse sont nombreux, j’en évoquerai ici seulement trois.

D’abord, puisque les fictions woke dépeignent l’Occident comme fondamentalement raciste, homophobe et patriarcal, il est possible qu’elles entretiennent un récit victimaire qui alimente la paranoïa de millions de jeunes, les pousse à filtrer la réalité pour ne garder que le négatif, à remplacer la complexité des interactions humaines par des rapports oppresseurs-opprimés, et à déceler dans chacune de leurs déconvenues individuelles la confirmation d’une injustice liée à une identité communautaire. Un des résultats les plus robustes en sciences cognitives, c’est que le cerveau humain est une machine à trouver les confirmations des récits auxquels il a adhéré, même s’il doit pour cela mésinterpréter la réalité. Il est possible que les scénaristes woke rendent frustrés, malheureux et pleins de ressentiment les gens qu’ils croient défendre. Ou à se construire socialement autour de leur statut de victime de la société, et à devoir dénicher sans cesse de nouvelles injustices dont ils seraient victimes pour s’accrocher à cette construction identitaire.

Deuxièmement, le nouveau paradigme racial — par exemple : l’idée que chaque spectateur ne pourrait s’identifier qu’à des personnages qui lui ressemblent ethniquement — crée des barrières entre les gens qui ne se ressemblent pas, congédie l’idée d’une universalité des émotions et de la nature humaine. Pourtant, une étude IFOP montre que les films Disney que préfèrent les Français sont Le Roi Lion et Bambi : si l’on peut s’identifier aux tourments d’animaux, alors on peut très bien se reconnaître dans des personnages qui ne partagent pas notre couleur de peau…. Le risque, c’est que la pensée woke produise ce qu’elle dénonce, puisque lorsqu’une appartenance à un groupe est légitimée — institutionnalisée comme une catégorie devant être « représentée » — elle commence à prendre de la place dans l’idée que chacun se forge de sa propre identité́. L’identité‐singularité cède sa place à une identité‐conformité, une identité de rattachement au groupe de ceux qui nous ressemblent physiquement — mécanisme performatif que les intellectuels woke décrivent et dénoncent eux-mêmes à propos de l’identification à des catégories de genre.

Enfin, sur un tout autre sujet, l’augmentation considérable des personnages transgenres dans les fictions pour enfants — y compris régulièrement sur le service public — pose question. La transition de genre — accompagnée de prises d’hormones et d’opérations chirurgicales — est toujours présentée comme une transformation dont les personnages sortent pleinement satisfaits. Or c’est loin d’être le cas en réalité. Inciter des milliers d’enfants à traduire leur mal-être en dysphorie de genre et à prendre des décisions irréversibles, à un âge où on ne peut se tatouer et encore moins voter, n’est pas forcément une bonne chose.

En voulant communiquer sur la diversité sexuelle, la marque de bière Bud Light a vu ses ventes décrocher outre-Atlantique. Une sanction des consommateurs récalcitrants face à cette offensive woke, qui a obligé la société Anheuser-Busch à faire marche arrière. À terme, peut-on s’attendre à ce que la loi du marché contraigne l’industrie du cinéma à renoncer à ses commandements woke ?

Je ne suis pas si optimiste. En France, la culture est souvent protégée des pressions du marché parce qu’elle est très subventionnée. La déconnexion entre le monde de la culture et le public peut continuer à augmenter, sans forte obligation de résultats pour les producteurs et scénaristes.

Plus largement, je pense qu’on oublie que dans le monde de la culture — davantage que dans l’industrie de la bière — les gens penchent très nettement à gauche, et croient profondément à la justesse des causes qu’ils défendent, croyant par exemple avoir le devoir moral de ne pas propager de stéréotypes de genre dans les fictions qu’ils produisent. Ce ne sont pas uniquement des gens cyniques guidés par leurs intérêts économiques. Disney, par exemple, a dans le passé reconnu être prêt à refuser de produire de super scénarios qui ne « remplissaient pas les conditions d’inclusivité ». Je suis convaincu que c’est l’idéologie qui mène le monde, pas les intérêts économiques.

Woke fiction — Comment l’idéologie change nos films et nos séries.
Samuel Fitoussi. Éditions du Cherche-Midi, 368 p., 20,90 €.



Le dilemme des Juifs américains

[Source : kunstler.com]

[Illustration : source ici]

Par James Howard Kunstler

En ce moment, alors que la place des Hébreux dans le monde fait l’objet d’une lutte terrible — si terrible que l’on attend que la troisième guerre mondiale vaporise tout ce à quoi on a jamais tenu — on observe la scène juive américaine avec inquiétude. Étant donné que je suis un Juif américain, je vais simplement jeter cette question sur la table, comme s’il s’agissait de viande, pour voir quel genre d’animaux elle fait sortir du bois pour se battre à son sujet.

La guerre du Hamas a mis en lumière un profond courant d’animosité contre Israël et contre les Juifs en général dans le monde entier, même ici. Tout cela, vous le comprenez, se produit à un moment où l’on pourrait parler d’une maladie mentale politique mondiale épique. Une psychose de formation de masse semble s’emparer de nombreux groupes de population, chacun à sa manière, mais s’exprimant souvent par une aspiration à la mort, allant du suicide économique de l’Europe occidentale à la montée du Djihad en passant par le nihilisme désolant de la jeunesse américaine en mal de repères.

Les Juifs américains ont joué un rôle de premier plan dans la vie intellectuelle et politique américaine tout au long du XXe siècle et jusqu’à aujourd’hui. Nous, les Juifs, avons de plus en plus dominé les arènes de la littérature, de l’université, de la médecine, du droit, des médias et du show-biz. Le monde des affaires et le gouvernement aussi. En Amérique, nous avons en grande partie surmonté (ou semblé surmonter) les profondes superstitions de l’ancien monde à notre encontre, grâce à une assimilation culturelle presque totale. Par exemple, je suis issu d’une famille juive beaucoup plus intéressée par le baseball que par le Talmud, qui installait un sapin de Noël dans le salon et mangeait fréquemment du porc aigre-doux. Cela faisait peut-être de nous de « mauvais » Juifs, mais franchement, il était plus important d’être de bons Américains, c’est-à-dire des personnes qui se souciaient davantage de leur pays que de leurs origines ancestrales.

Les Juifs américains ont également été des acteurs majeurs de la gauche politique au cours des cent dernières années, en particulier au sein du parti démocrate. Dernièrement, il semble que le parti démocrate soit déterminé à détruire le pays, de sorte que l’on se demande naturellement comment cela s’est produit et quel est le rôle des Juifs américains dans cette affaire. Je propose une hypothèse.

Les Juifs de l’Ancien Monde, dispersés en diaspora parmi des nations étrangères, ont été unis pendant des siècles par le désir ardent de retourner à Jérusalem, la patrie ancestrale. « L’année prochaine à Jérusalem » est le toast qui conclut chaque Séder [un rituel juif] de Pessa’h [Pâques]. La manifestation militante moderne de ce désir, qui a débuté au XIXe siècle en Europe, a été le sionisme, le mouvement politique visant à réintégrer la terre biblique du Moyen-Orient. L’étiquette « sionisme » a récemment été associée à l’idée qu’il s’agit d’un sentiment de supériorité dédaigneuse des Juifs à l’égard des non-juifs.

Il s’agit là, bien entendu, d’une conception erronée. Il s’agit surtout d’une projection envieuse parce que les Juifs ont si bien réussi en Amérique, et ils ont réussi, comme je l’ai dit plus haut, en grande partie parce qu’ils se sont complètement assimilés. Sinon, comment expliquer qu’un Juif comme Samuel Goldwyn (né Szmuel Gelbfisz, plus tard Samuel Goldfish) de Gloversville, dans l’État de New York, se soit hissé à la tête du studio MGM d’Hollywood et ait produit des films comme Autant en emporte le vent, qui ont montré au reste de la nation ce qu’était l’Amérique ? Ou encore Irving Berlin, qui a écrit God Bless America ?

Pour les Juifs qui sont arrivés ici à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, l’Amérique est devenue une terre promise encore plus importante que cette parcelle de terre biblique au bord de la Méditerranée. Ils y ont réussi au-delà de leurs rêves les plus fous. Pourquoi rêver de retourner au Moyen-Orient alors que les États-Unis se sont révélés être la véritable Terre de lait et de miel ? Une révision du judaïsme américain s’imposait donc. L’année prochaine à Jérusalem a été remplacée comme principe central d’animation par un autre schibboleth : Tikkoun Olam.

Tikkoun Olam signifie réparer le monde. C’est ce qui anime le judaïsme américain depuis le début du XXe siècle. Entre-temps, le génocide des années 1940 a donné un nouvel élan à l’année suivante à Jérusalem pour ce qui restait des Juifs européens, et c’est ainsi que l’on a obtenu la création d’Israël en 1948 — sans tenir compte de l’artifice géopolitique qui en a été la cause. Les Juifs américains, bien qu’ayant une certaine sympathie pour la création d’Israël et qu’ils se soient profondément investis émotionnellement dans son succès, avaient un programme différent aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale. Ils se sont efforcés de réparer l’Amérique. Tikkoun Olam !

Cela s’est surtout traduit par le soutien et l’engagement des Juifs dans le mouvement des droits civiques, car la fin de la discrimination à l’égard de quiconque était considérée comme une bonne chose pour les Juifs et pour l’humanité en général. Le pays avait besoin d’une réparation morale, surtout après avoir vaincu le mal manifeste lors de la Grande Guerre. Cet effort a culminé au milieu des années 1960 avec la législation fédérale qui a mis fin à la politique Jim Crow en matière de vote et d’hébergement public. Une grande partie du travail sur le terrain a été accomplie par des juristes juifs. C’est un fait, pas une accusation.

Mais il s’est passé quelque chose. Plusieurs choses. Tout d’abord, l’Amérique noire n’a pas nécessairement considéré le mouvement des droits civiques comme la grande victoire morale qu’il était censé être. Dans les années 1960, de nombreux jeunes Noirs se sont retirés très tôt du mouvement et ont suivi leur propre voie au sein de divers mouvements séparatistes noirs. D’un point de vue pratique, il est également devenu peu à peu évident que les nouvelles lois sur les droits civiques n’ont pas sorti la classe inférieure noire de la pauvreté et de la misère. Les apostats libéraux juifs allaient même jusqu’à affirmer que les vastes programmes fédéraux de sécurité sociale qui accompagnaient Civil Rights Inc. ne faisaient qu’aggraver la situation des Noirs pauvres.

Le fiasco s’est amplifié pour les libéraux juifs américains qui, dans les années 1980, se sont efforcés d’imposer une autre série de réparations (plus de tikkoun olam) à la société américaine : le multiculturalisme, qui signifie qu’il n’est plus nécessaire de promouvoir une culture commune à laquelle les gens seraient encouragés à s’assimiler, à adhérer à un consensus de valeurs et de comportements. Au lieu de cela, toutes les cultures pouvaient se comporter selon leurs propres règles. Cela n’a pas très bien fonctionné non plus, et les réparateurs mondiaux ont récemment dû recourir à la coercition, par exemple en adoptant des politiques tyranniques en matière de diversité, d’équité et d’inclusion, et en écartant l’égalité des chances au profit de l’égalité des résultats (« équité »). Cette entreprise n’a fait que produire des conséquences inattendues, telles que la nouvelle épidémie d’incompétence institutionnelle et le ressentiment d’au moins la moitié de la population à l’égard des nouvelles formes de contre-discrimination (le marxisme culturel, en somme).

Un autre sous-produit mal compris de cette incapacité à réparer le monde est la culpabilité et la honte secrètement ressenties par la gauche libérale américaine face à l’échec apparent du mouvement des droits civiques pour lequel elle s’est tant battue, et aux efforts infructueux déployés par la suite pour le modifier et le sauver (encore plus de tikkoun olam). C’est ainsi que nous assistons à l’absurde « antiracisme » raciste des universités, et à tant d’autres affronts au bon sens et à la réalité elle-même.

Mais le pire sous-produit de tout ce tikkoun olam tragiquement erroné est que le principal vecteur politique, le parti démocrate, est devenu si fou qu’il se consacre maintenant fanatiquement à la destruction totale de ce qu’il reste de notre pays. C’est particulièrement vrai dans le domaine du droit, qui pourrait être considéré comme la colonne vertébrale de l’Amérique. Des avocats spécialisés dans la défense du droit, tels que Marc Elias, travaillent sans relâche pour mettre la loi électorale américaine sens dessus dessous et à l’envers, de sorte qu’il devient de plus en plus impossible de savoir qui vote et si les bulletins de vote sont légitimes.

Le parti démocrate a décidé qu’il était acceptable d’utiliser la loi de mauvaise foi pour persécuter et emprisonner ses opposants politiques. Le Parti démocrate a détruit la confiance des Américains dans les tribunaux fédéraux, le ministère de la Justice et le FBI. Le parti démocrate autorise l’invasion de millions d’étrangers non contrôlés à travers la frontière, dont un grand nombre pourrait avoir l’intention de semer le désordre ici, alors que les tensions mondiales s’orientent vers une guerre chaude. Le parti démocrate continue de promouvoir les vaccinations Covid, dont on sait aujourd’hui qu’elles sont inefficaces et dangereuses. Et le parti démocrate fait tout ce qui est en son pouvoir (avec l’aide des républicains RINO) pour détruire notre système financier. On pourrait facilement affirmer que le parti démocrate est le parti antiaméricain.

S’ils veulent vraiment réparer le monde, il est temps pour les Juifs américains de quitter le Parti démocrate et de se réassimiler à une culture américaine commune — un consensus sur la réalité — qui est compatible avec la gestion d’une société prospère, ordonnée et juste.




Un Américain sur quatre connaît quelqu’un qui est mort à cause du vaxin

[Source : LLP]

L’ampleur des effets indésirables des vaccins covid-19 est telle que 25 % des Américains connaissent quelqu’un qui est décédé après l’injection ! Les fonctionnaires sont 40 % à en connaître à cause de l’obligation vaccinale gouvernementale ! C’est juste effrayant !

24 % des Américains connaissent quelqu’un qui est mort à cause des vaccins à ARNm. C’est incroyable. Ce qui est choquant, c’est que cette proportion est également répartie sur le plan politique (25 % de républicains et 24 % de démocrates).

Les travailleurs du secteur public (40 %) sont deux fois plus nombreux que les travailleurs du secteur privé (18 %) à déclarer connaître quelqu’un qui est décédé.

[NDLR Ceci est bien sûr à mettre en proportion du nombre moyen de personnes connues par un individu donné. Selon que ce nombre est 1000 ou 10000, par exemple, le chiffre que l’on peut en déduire sur la proportion d’Américains tués effectivement par le vaxin n’est pas le même. Dans le premier cas, 0,025 % d’Américains seraient morts du vaxin, soit environ 8 ou 9 millions au pire. Dans le second 0,0025 %, soit un peu moins d’un million. Cependant, le nombre réel serait moindre puisque des personnes différentes peuvent connaître les mêmes décédés du vaxin. Quoi qu’il en soit, un mort du vaxin est un mort de trop quand par ailleurs il aurait (soi-disant) dû être au contraire protégé. Noter que nous utilisons le néologisme « vaxin » pour désigner la thérapie non pasteurienne dite à ARNm, mais qui a été analysée contenir du graphène.]




La paix dans le monde n’est plus envisagée

[Source : businessbourse.com]

Par Greg Hunter

« La volonté des MONDIALISTES est de créer le CHAOS total et surtout d’instaurer LA LOI MARTIALE… Nous serons tous à nouveau CONFINES ! Un défaut de paiement sur la DETTE va ruiner l’économie et il y aura des millions d’individus complètement FAUCHES… En pleine guerre civile, les gens seront hyper surveillés !!! »

Martin Armstrong

Martin Armstrong, analyste légendaire des cycles financiers et géopolitiques, a commencé l’année 2023 en anticipant que le « chaos » allait s’abattre sur le monde entier. Nous avons une guerre sanglante en Ukraine, un nouveau conflit avec Gaza et Israël, et une frontière américaine grande ouverte avec le FBI qui prédit d’énormes attaques terroristes contre l’Amérique. Ce type de déstabilisation est-ce une coïncidence ou s’agit-il d’un projet mondialiste de l’État Profond ? Pourquoi les puissances démoniaques des ténèbres empêchent-elles la paix sur terre et prévoient-elles de grands événements terroristes en Amérique ? Voici ce qu’Armstrong affirme :

« C’est très simple. Fondamentalement, le l’administration Biden n’a plus sa place et pour autant nous sommes gouvernés par défaut. Les gouvernements sont poussés à bout à ce stade. Vous avez même entendu le chef de la Fed, Jay Powell, s’exprimer la semaine dernière et déclarer que “les dépenses ne sont pas viables”. L’administration Biden est un désastre absolu et totalement corrompu. Ce n’est pas vraiment Biden. . . il est juste là pour signer tout ce qu’ils mettent devant lui. »

Ainsi, un défaut de paiement de la dette va ruiner l’économie et rendre des millions d’Américains pauvres et fauchés du jour au lendemain. C’est dans la pauvreté et la faillite que commencent les révolutions et les troubles civils, en particulier contre le gouvernement qui a causé tous les problèmes. Armstrong affirme que c’est la raison pour laquelle la frontière sud des États-Unis est restée grande ouverte ces trois dernières années. L’administration Biden, corrompue par le Deep State (y compris les républicains de RINO), veut que les terroristes viennent en Amérique et commettent d’horribles actes de violence et de meurtres. Pourquoi font-ils tout ça ? Voici ce qu’Armstrong explique :

« Vous avez des néoconservateurs qui poussent à la guerre sur tous les fronts possibles… Le terrorisme va faciliter la mise en place de nouveaux confinements. Dès que vous commencerez à comprendre cela, vous verrez que les dirigeants voudront savoir ce que tous les gens font et surtout où ils vont. Vous entendrez à nouveau “Papiers, s’il vous plaît”… Les confinements vont revenir en Amérique, absolument. Il s’agit de la seule manière d’éviter des troubles civils aux USA. Ils veulent donc que les terroristes fassent exploser des tas de trucs. Cela leur donnera une excuse pour appliquer efficacement la loi martiale. Toute cette stratégie va aider le gouvernement à conserver le pouvoir. »

Armstrong pense que les taux d’intérêt et l’inflation vont augmenter pendant un certain temps. Il pense que le dollar américain se renforcera parce que les capitaux afflueront vers les États-Unis en temps de crise et de guerre. Armstrong pense que le Hamas a gagné la guerre des relations publiques et tente d’isoler Israël sur la scène mondiale. Cette attaque est bien plus profonde que quiconque ne l’imagine et ce qui se profile va être apocalyptique. Armstrong conseille d’obtenir des actifs refuges, et cela inclut l’or et l’argent comme actifs de base. Il pense également que l’économie mondiale va imploser, mais que les États-Unis tomberont en dernier. Armstrong affirme que l’économie va s’effondrer en Amérique, mais qu’elle sera bien pire dans les États bleus comme New York, la Californie et l’Illinois.

L’interview de 56 minutes contient bien d’autres informations :

Source : usawatchdog.com




Mais au fait, qui est vraiment chez lui en Palestine ?

[Source : nice-provence.info]

Par Michel Lebon

La guerre entre les Sémites musulmans et les Sémites juifs, agite la Terre entière. Les Sémites chrétiens d’Orient ont été violemment éjectés de la région par les Sémites venus de la péninsule arabique(([1] Le terme « sémite » a été inventé en 1781 par l’orientaliste allemand August Ludwig Schlözer, à partir du nom d’un des fils de Noé, Sem, pour désigner des langues dont la parenté avait été établie dès le Moyen-Âge par les savants juifs : l’hébreu, l’araméen, l’arabe. Les spécialistes ont ensuite regroupés sous l’appellation de « sémites » tout un ensemble de peuples qui, dans le courant du IIIe millénaire avant Jésus-Christ, émigrèrent de la péninsule arabique vers la Mésopotamie, la Syrie, la Palestine, puis, vers 700 avant Jésus-Christ, vers la corne de l’Afrique.
Les sémites se caractérisent par leur appartenance à une même famille linguistique.
Par suite… quelle est la signification du terme « antisémite » ? )), au nom de leur nouvelle religion, l’Islam (qui signifie, rappelons-le : « soumission »). Les chrétiens sont priés toutefois de prendre parti dans ce conflit, même s’ils n’y participent pas directement… pour le moment.(([2] De langue sémite hébraïque, les Israéliens sont un peu plus de 7 millions, auxquels il convient d’ajouter la diaspora juive de 9 millions (source), ce qui fait un total de 16 millions.
Jésus était Galiléen, donc Palestinien et parlait le sémite araméen. Il a initié au Moyen-Orient la Chrétienté devenue la religion la plus répartie au monde avec 2,6 milliards, sous diverses composantes, dont 1,3 milliards de catholiques.
De langue sémite arabe, les musulmans sont évalués à 1,8 milliards de fidèles et développent un prosélytisme très actif.
Les Juifs représentent ainsi 0,06 % des Chrétiens et 0,08 % des musulmans. ))

[NDLR Pour être plus précis, la majorité des juifs actuels n’est pas d’origine sémite, mais khazare ou turco-mongole.]

Au-delà du fracas des armes sur la bande de Gaza, une autre guerre sévit dans le reste du monde : la guerre médiatique à coups de communiqués politiques, d’activités sur les réseaux sociaux et d’opérations sous faux drapeau. La désinformation et la manipulation sont élevées en œuvre d’art par ceux qui ont le pouvoir médiatique. C’est qu’il faut préparer la suite où tous les pays la planète devront avoir choisi leur camp.

Pour de nombreux Juifs, le pays palestinien ou l’État palestinien n’a jamais existé. Voici un exemple de ce qui circule activement sur les réseaux sociaux [source Petah Tiqwa, Hamerkaz, Israël] :

1) Avant le pays israélien moderne, il y avait un mandat britannique, pas un pays palestinien.
2) Avant le mandat britannique, l’Empire ottoman existait, pas l’État palestinien.
3) Avant l’Empire ottoman, il y avait un État complètement islamique d’Égypte, pas l’État palestinien.
5) Avant l’empire de Jobid, il existait le Royaume chrétien de Jérusalem, pas l’État palestinien.
6) Avant le royaume de Jérusalem, il y avait des empires Omayad et Fatimide, pas l’État palestinien.
7) Avant les empires de l’Umaid et de la Fatimide, il y avait l’Empire byzantin, pas l’État palestinien.
8) Avant l’Empire byzantin, il y avait l’Empire romain, pas l’État palestinien.
9) Avant l’Empire romain, l’État pieuvre existait, pas l’État palestinien.
10) Avant l’État de Shamansk, c’était un État slavkid, pas l’État palestinien.
11) Avant l’empire des Slavkids, l’empire d’Alexandre, la Macédoine existait, pas l’État palestinien.
12) Avant l’empire d’Alexandre de Macédoine, l’Empire perse existait, pas l’État palestinien.
13) Avant l’Empire perse, l’empire Babylone existait, pas l’État palestinien.
14) Avant l’empire de Babylone, il y avait des royaumes de Judée, et la Judée n’était pas l’État palestinien.
15) Avant les royaumes d’Israël et de Judée était le royaume d’Israël, pas l’État palestinien.
16) Avant le royaume d’Israël, il y avait une théocratie des tribus israéliennes, pas de l’État palestinien.
17) Avant la théocratie d’Israël vieille de dix ans, il y avait une agglomération de villes cananéennes indépendantes, pas l’État palestinien.

La répétition n’y changera rien, car il existe une Palestine qui remonte à bien avant l’existence très éphémère de l’empire des rois David et Salomon (quelques dizaines d’années, il y a… 3 000 ans !). Qu’on le veuille ou non, la Palestine est bien là, depuis des millénaires :

Les peuples palestiniens
à l’époque de Jésus, le Galiléen

Toutes les peuplades qui se sont succédé dans cette région habitaient la Palestine. À ce titre, elles étaient toutes palestiniennes.

Mais avant les Palestiniens, il y avait là les Philistins qui ont donné le nom à cette région. Palestine vient de Philistin. Lesquels Philistins, incirconcis, venaient probablement de Crête. Ils n’étaient donc ni juifs, ni arabes, ni même sémites.

Quel peuple d’aujourd’hui est alors légitime sur ces terres ? Pas plus les uns que les autres !

La Palestine est donc condamnée à cet affrontement de civilisation. Cela fait 70 ans que ça dure, depuis la création sur une terre palestinienne de l’État israélien afin d’offrir un territoire aux Juifs de la Diaspora. Mais on n’a pas créé dans le même temps un État pour les populations sémites locales, donc palestiniennes. Ainsi est né le conflit entre les Sémites juifs et les Sémites musulmans. Cette guerre « israélo-palestinienne » est mal nommée. Dès le départ, c’est une guerre palestinienne de religion. S’appuyant sur cette légitimité étatique toute fraîche, les Sémites juifs ont grignoté les territoires des Sémites musulmans.

Le grignotage méthodique des terres « palestiniennes » par Israël :

Ce conflit s’est exporté. Tous les musulmans prennent spontanément parti pour les Palestiniens musulmans. Et bien tendu toute la diaspora juive prend parti pour Israël. Afin de « faire le poids » face aux presque deux milliards de musulmans, le « camp » juif s’efforce d’entraîner à sa suite l’Occident, anciennement chrétien, qui est sommé de prendre parti pour Israël sous peine d’être traité d’antisémite, ce qui n’a pas de sens.

S’il faut rendre telle ou telle région du monde à tel autre pays, au prétexte que dans l’Histoire avec un grand H, il en fut l’occupant antérieur, c’est la Terre entière qu’il faut politiquement redessiner. On n’est pas sorti de l’auberge.
• C’est toute l’Amérique qu’il faut rendre aux primo-occupants en créant des États sioux, algonquin, osage, apache, inca, etc. Mais avant ceux-ci, qui y avait-il ?
• C’est l’Algérie qu’il faut rendre aux Pieds noirs qui ont créé ce pays qui n’existait pas avant eux.

• C’est l’Afrique, découpée artificiellement par la colonisation européenne en méridiens et parallèles, qu’il faut rendre aux Bamilékés, Bantous, Pygmées, etc.
• C’est, tant qu’on y est, rendre l’Auvergne à la diaspora des Bougnats devenus marchands de vins et charbons, en leur créant un État arverne.

Halte au feu ! Revenons à nos moutons, chameaux et autres phacochères. Pour la Palestine, il n’y aura pas d’autre solution qu’un compromis, de gré ou de force, imposé par la communauté internationale.
Si on part du modèle westphalien « Un peuple, un territoire »(([3] Plus d’information : Le traité de Westphalie de 1648 : Acte juridique fondateur de l’Europe politique moderne ? )):
• ou bien on considère que les Sémites forment un peuple multiconfessionnel, et on crée une grande Palestine. Cependant, je doute que ces gens qui se sont étripés puissent un jour vivre ensemble.
• ou bien on considère que les Sémites juifs, les Sémites chrétiens et les Sémites musulmans forment trois peuples distincts, et on crée les États-Unis de Palestine, avec trois États indépendants (Chrétien, Musulman, Juif) dont les territoires seraient proportionnels aux populations respectives et dont la capitale fédérale serait Jérusalem sanctuarisé.




La réinitialisation mondiale pour un appauvrissement mondial

[Source : telegra.ph]

Par Enrique Refoyo, Politologue, docteur en géographie militaire et géopolitique, traducteur et journaliste, Espagne

Bonjour, chers collègues. Je suis très reconnaissant de l’occasion qui m’est donnée de m’exprimer dans le cadre de ce forum. J’espère que l’année prochaine, je pourrai être présent à Chisinau, une ville magnifique dans laquelle j’ai séjourné il y a quelques années.

Je voudrais commencer par un exemple espagnol qui, à première vue, peut sembler absurde et inutile, mais qui est également révélateur de la réalité dans laquelle nous vivons.

Vous savez peut-être que l’équipe nationale espagnole de football féminin a récemment remporté la Coupe du monde. Ce grand succès sportif devrait faire la une de l’actualité internationale. Cependant, nous ne vivons pas dans un monde de gagnants, mais d’éternelles victimes. L’excuse pour lancer une opération psychologique complète de distraction massive de la part de l’oligarchie politique et de ses médias contre tous les Espagnols était due à un comportement général regrettable du président de la Fédération royale espagnole de football. Le comportement spécifique qui a servi de détonateur à cette opération de l’establishment a été un petit baiser entre ledit président et une joueuse de l’équipe nationale espagnole.

Dès lors, nous avons assisté à une escalade sans fin, où toutes les branches du système, ses médias et ses associations connexes ont lancé une campagne de criminalisation sans précédent, appelant non seulement à la démission du président, mais aussi à son emprisonnement en tant que violeur le plus infâme de l’univers. Les manifestations féministes n’ont pas tardé, et dans le même temps, des réponses dissidentes à la situation se sont élevées. Certaines personnes se sont demandé pourquoi l’establishment, sous le déguisement de féministes, n’est pas venu protester contre la dizaine de cas réels de viols qui se sont produits en Espagne parallèlement à l’affaire des médias (« le baiser »). S’ils sont si préoccupés par les violeurs, pourquoi ne protestent-ils pas contre les cas réels ? Ah, oui, c’est vrai, le système ne cherche que des cas concrets qui favorisent sa propre histoire et oublie le reste.

Autrefois, on disait que l’establishment offrait toujours « du pain et des jeux ». Eh bien, en Espagne, il n’offre que les jeux. Du pain uniquement pour leurs collègues des partis politiques. Et pour les autres… seulement l’oubli et la misère. Il se trouve que les prix des denrées alimentaires et des carburants, les loyers et les prêts hypothécaires continuent d’augmenter. Et l’« establishment » ne se préoccupe que de créer davantage d’impôts pour payer les nouvelles représentations des jeux du cirque. L’équipe de clowns publics ne cesse de s’agrandir. Et là, de plus en plus de dissidents se demandent où est l’oligarchie politique lorsqu’il s’agit de poursuivre les vrais criminels ou de s’attaquer aux problèmes qui touchent les travailleurs. Elle n’est tout simplement pas là, et on ne s’attend pas à ce qu’elle le fasse.

À partir de cet exemple actuel, examinons la ligne historique des événements. Il s’avère qu’au cours de ces 23 années du 21e siècle, nous avons assisté à une augmentation brutale du nombre d’affaires traitées par les médias du système contre le peuple. Ces affaires sont présentées comme la quintessence des prophéties politiques et visent à consolider ce qu’ils appellent le « consensus social ». Un consensus qui repose sur le fait que les gens doivent avaler la version officielle du moment. Sinon, ils deviennent de terribles et méchants « négationnistes ». C’est ainsi que le terme « tragacionista » (avaleur) est apparu en Espagne pour désigner les personnes qui avalent l’histoire officielle, quelle qu’elle soit. Ces avaleurs sont ceux qui attaquent leurs compatriotes pour défendre les politiciens de leur propre parti politique.

La bataille n’est pas perdue. Au contraire, elle est de plus en plus contestée, car le système organise des opérations psychologiques de plus en plus absurdes et éloignées de la réalité. Ils savent que les gens souffrent de la réalité, et les politiciens le leur disent : Qui allez-vous croire, vos yeux ou l’histoire officielle ? Il y a de plus en plus de dissidents, parce que la réalité est de plus en plus précaire et que le cirque politique est de plus en plus intense. La polarisation sociale continue de s’accentuer.

D’un autre côté, approfondissons les questions qui mettent les gens en colère et les transforment en « négationnistes » de l’establishment. On parle beaucoup de l’Agenda 2030 et de cette phrase : « Vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Lorsque je l’ai entendue, j’ai réalisé que cet agenda n’est pas apparu en 2020, mais qu’il préparait le terrain depuis les années 2010 (au moins). Au cours de la dernière décennie, on parlait déjà du précariat, de la romantisation de la pauvreté comme moyen de la normaliser. Les médias de l’establishment parlaient de nouvelles tendances, de nouvelles modes : Faire les poubelles n’est pas synonyme de pauvreté, c’est profiter des opportunités. Ne pas sortir de chez soi n’était pas non plus synonyme de pauvreté, mais une occasion de se détendre. Partager une maison avec des inconnus n’était pas la pauvreté, mais l’occasion de faire de nouvelles rencontres…

Ensuite, on observe et on assemble les pièces du puzzle : Les membres de l’« establishment » peuvent non seulement profiter de tous les luxes, mais c’est aussi un sujet d’actualité et un motif d’admiration pour les médias. Mais les autres, les gens normaux, doivent accepter de vivre avec des restrictions parce que… [ils donneront toujours une raison fondée sur la peur pour justifier le contrôle social]. Par exemple, le changement climatique. C’est le problème des « avaleurs » en 2023. En 2022, c’était la guerre (en Ukraine). En 2021, c’était les vaccins. Et en 2020, la pandémie. Nous avons connu quatre années consécutives de dénigrement massif de la part de l’establishment. Que nous réserve l’année prochaine ? En Espagne, on parle de se préparer à de nouvelles fermetures, soit à cause d’une nouvelle pandémie, soit à cause du changement climatique. Oui, ils parlent déjà de « lockdowns climatiques ». Tout cela, bien sûr, pour des raisons de « science scientifique », très bien fondées.

Quoi qu’il en soit, après avoir comparé les gros titres avec la réalité des faits, après cette diffusion de l’« agenda 2030 » (nom de code pour « la grande réinitialisation »), il n’y a que trois phases :

1) Normalisation de la pauvreté

2) Justification de la pauvreté

3) Obligation de pauvreté

En Europe, nous sommes déjà dans la phase 2. D’autres continents, comme l’Amérique du Sud, en sont encore à la phase 1. Dans tous les cas, l’agenda progresse régulièrement et intègre même régulièrement la normalisation du transhumanisme et des monnaies numériques qui, ensemble, constitueraient le contrôle financier à distance de la population. Le système contrôlerait ce à quoi l’argent est dépensé, si vous pouvez le dépenser ou non, voire sa saisie en cas de protestation contre le système (pour les « négationnistes »)…. Nous l’avons déjà vu au Canada avec le « progressiste » Justin Trudeau [dans l’affaire du convoi de camionneurs pour la liberté, NDT].

Il y a d’autres actions que l’on voit en Espagne pour créer de la pauvreté : Destruction des barrages (importance de l’eau et de l’énergie), démolition des centrales électriques (thermiques et nucléaires), destruction de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, fermeture ou inaction dans l’exploitation minière…. En fait, le gouvernement et l’opposition s’entendent pour nous priver de nos moyens de subsistance afin de nous conduire au sous-développement. Avec ces actions, s’il y a moins de stockage d’eau et moins d’énergie disponible, alors ils auront une excuse plus forte pour dire que nous sommes forcés de suivre un « verrouillage climatique », et ajouté à une monnaie numérique, imaginez : L’establishment contrôlera en temps réel et de manière absolue toute l’eau, l’énergie et les biens que nous dépensons.

Il est vrai que l’« establishment » dispose de fonds gigantesques pour acheter des volontés, pour acheter des mercenaires dans la société. Mais ils ne peuvent pas non plus acheter tout le monde, ni dissimuler la vérité avec de l’argent. Comme je l’ai dit dans d’autres forums, nous sommes la dernière génération. Si nous échouons, il ne restera qu’un système de techno-esclavage dont il sera impossible de s’échapper. Oui, nous pourrons choisir notre sexe parmi de nombreuses options, mais aucune de ces options ne consistera à changer le système, mais à l’accepter et à être une marionnette inoffensive dans la chaîne de production et de consommation. La seule chose qui reste est de lutter jusqu’à la victoire de l’humanité réelle :

Nous devons être conscients de la réalité et l’affronter avec tous les moyens dont chacun d’entre nous dispose. Le peuple est la majorité et l’establishment et ses mercenaires sont une minorité. Avec la vérité entre nos mains, nous les vaincrons. Ils veulent faire la grande réinitialisation, et nous les confronterons au grand réveil.






Un point de vue sur les prophéties

[Extrait de numidia-liberum]

Rituel satanique de sacrifice humain de masse

Tout d’abord, quelques informations essentielles pour bien comprendre la tradition hébraïque unique de la prophétie biblique et l’accomplissement ultérieur.

« Les Écritures sacrées se transforment en écritures profanes »

Par Historiens révisionnistes pour la paix mondiale

Les affaires banales de l’humanité sont souvent contrôlées par des prophéties scripturaires énigmatiques et d’obscures prédictions calendaires. La plupart de ces prophéties séculaires et des prédictions qui les soutiennent ont été transmises à l’origine par le biais d’anciennes traditions orales. Lorsqu’elles arrivaient, elles étaient ensuite écrites sur des rouleaux et sur des tablettes. De cette façon, on pourrait s’y référer à des moments critiques pour impressionner les générations futures de la puissance et de la véracité impressionnantes des prophètes. Finalement, toutes les prophéties importantes furent enregistrées par les scribes, tout comme les prédictions les plus importantes furent préservées par les astrologues.

*Il y a un vieux dicton paraphrasé comme suit :

L’autorité religieuse l’emporte toujours sur le pouvoir financier/économique, qui à son tour l’emporte toujours sur l’influence politique ; Le pouvoir et l’influence politiques, à leur tour, l’emportent toujours sur la force militaire.

Ce que l’on sait peu, c’est que les principales traditions monothéistes du monde judéo-chrétien-islamique avaient chacune leurs propres agendas respectifs en ce qui concerne leur prophétie de la fin des temps. Au fil des millénaires, la « prophétie de la carotte et du bâton » est devenue un outil très utile pour garder la congrégation sous contrôle, ainsi que des populations entières sous contrôle. À mesure que les villes surgissaient des plaines et parsemaient les côtes, l’immoralité et les méfaits augmentaient. La classe dirigeante se tournait de plus en plus vers les prophètes et les astrologues pour obtenir l’intercession divine.

Pour ces raisons et d’autres encore, les programmes prophétiques de certains royaumes sont devenus plus intéressés et manipulateurs au fil du temps. Dans certains contextes historiques, ils sont devenus carrément exploiteurs et oppressifs. Le genre tout entier des sociétés secrètes s’est développé en réponse à ce type d’abus et d’utilisation abusive de l’influence prophétique, des connaissances occultes et du pouvoir mystique. Peu à peu, la tension sociétale qui en a résulté a évolué vers une polarité toujours présente qui s’est encore concrétisée dans les conflits nombreux et divers de cette ÈRE DE CONFLIT actuelle.

Le point clé ici est que certaines des organisations religieuses les plus tribales et les plus contrôlantes, issues de ce contexte toujours polarisant, ont utilisé à la fois la prophétie et la prédiction d’une manière peu honorable. Dans certains lieux et à certaines époques, les prophéties étaient effectivement prononcées et/ou écrites afin qu’elles puissent ensuite se réaliser. Dans ces cas-là, les « prophètes » choisis par la cabale au pouvoir, qui avaient fabriqué la prophétie, étaient également en mesure de garantir leur manifestation… à un jour donné et dans un lieu spécifique. De même, de nombreux astrologues de cour sont connus pour utiliser leurs « pouvoirs » de la même manière. De cette manière hautement scénarisée, les rois et les reines devinrent des dieux et des déesses ; les prêtres et les prophètes sont devenus des divinités.

Parce que la tradition judaïque est la plus ancienne des trois principales religions occidentales, elle a eu le plus long temps pour que des « opportunités » se présentent dans lesquelles « les Écritures sacrées se transforment en écritures profanes ». C’est là que réside le nœud de cet essai. Le pouvoir prédictif intégré aux Écritures juives et au calendrier hébreu est désormais incontestable.

Encore une fois, ce qui est présenté ici est l’idée selon laquelle les auteurs de la prophétie ont assuré, à travers leur future lignée religieuse, que les déclarations prophétiques se réaliseraient… exactement telles qu’elles sont écrites. Parce que les prophéties (et prédictions) étaient littéralement conçues et planifiées à l’avance, elles pouvaient être correctement exécutées au moment convenu et au bon endroit. De cette façon, les prophètes et les auteurs sont devenus partenaires dans un complot multimillénaire visant à emprisonner l’humanité soit dans un pénitencier financier, soit dans une plantation économique, soit dans les deux.

[Traduction de https://stateofthenation.co/?p=193985]




La désillusion Méloni




Lettre ouverte contre la vaccination HPV au Gardasil 9

Par Collectif Parents & Citoyens France

Vaccination HPV au Gardasil 9

Lettre ouverte

  • au Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, Docteur François ARNAULT,
  • aux Vice-présidents, Docteurs Marie-Pierre GLAVIANO-CECCALDI, Jean-Marcel MOURGUES, Gilles MUNIER, Jacqueline ROSSANT-LUMBROSO,
  • à tous les membres des Conseils Départementaux, Régionaux et National de l’Ordre de Médecins,
  • à la Direction de la Haute Autorité de Santé, Professeur Lionel COLLET,
  • à la Gouvernance des Agences Régionales de Santé,
  • au Conseil de l’Ordre des Pharmaciens National et Régionaux,
  • au Conseil de l’Ordre des Sage-Femmes National et Départementaux,
  • au Conseil de l’Ordre des Infirmiers National et Départementaux,
  • à Mesdames et Messieurs les Ministres,
  • à tous les Élus, Députés Européens, Sénateurs, Députés, Conseillers Généraux et Départementaux et Maires de France.

Le 3 novembre 2023

Mesdames, Messieurs,

Simples citoyens, nous sommes informés des effets indésirables et parfois graves du Gardasil donnant lieu à des procès dans plusieurs pays. Professionnels de Santé, soucieux du « primum non nocere », vous ne pouvez ignorer ces dommages alors que plus de 90 % des infections provoquées par les Human Papillomavirus (HPV) disparaissent spontanément et que la mortalité du cancer du col de l’utérus a une incidence annuelle de 0,006 %.1 2

Ne rien en dire ou les nier, comme le fait l’actuel Ministre de la Santé et de la Prévention, Monsieur Aurélien Rousseau, pour les nombreuses victimes des vaccins anti-Covid, c’est être complice du nouveau drame qui a déjà commencé.

Après le malaise de 22 collégiens d’un établissement de Morlanwels en Belgique et d’autres cas signalés en Colombie, en France un collégien de Saint-Herblain (44) a été à son tour hospitalisé, victime d’un malaise après l’injection. Cet adolescent est décédé le 27 octobre 2023.

Sur le site d’EudraVigilance (base de données européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation des médicaments) consultée le 30 octobre 2023, sont notifiés 10 108 effets indésirables, dont 58 décès.3

Plus que jamais, la santé de nos enfants relève de votre responsabilité.

Les brochures du Ministère de la Santé et de la Prévention, de l’Institut National du Cancer (INCA), distribuées aux familles sont muettes sur les effets indésirables du Gardasil 9. Elles mentionnent uniquement un « excellent profil de sécurité » et prétendent qu’« aucun lien entre ces vaccins et les maladies auto-immunes n’a été démontré ».

Pourtant, comment peut-on passer sous silence les nombreux jeunes en bonne santé, aujourd’hui décédés (Adriana, Élodie, Marion…) ou dont les vies ont été brisées à la suite des précédentes campagnes vaccinales avec le Gardasil 4, déjà agressives ?

L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour la France et l’Agence européenne des médicaments (EMA) publient cependant les effets indésirables de ce produit alors que l’affiche officielle envoyée aux collèges les ignore totalement.

L’ANSM, dans ses recommandations aux professionnels de santé, se contente de mettre en garde contre des chocs anaphylactiques et de préciser que « certains effets indésirables peuvent être graves ou inattendus ». Pourquoi ne pas donner une information complète aux parents ?

L’EMA, dans les comptes-rendus de réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP) concernant la notice du Gardasil 9, il est relevé page 7 des effets indésirables nombreux et potentiellement très sévères : syndrome de Guillain-Barré, encéphalomyélite aiguë disséminée, purpura thrombopénique… La liste est longue et seuls les effets à court terme sont mentionnés. Or, il est reconnu qu’une grande partie des effets indésirables des vaccins surviennent sur le long terme.4

Les enfants sont notre bien le plus cher : nous veillons sur eux chaque jour et exigeons que les familles reçoivent une information appropriée concernant un acte médical irréversible qui demande impérativement de recueillir leur consentement libre et éclairé.

Jamais on n’a autant prétendu protéger la jeunesse et jamais, pourtant, la souffrance en milieu scolaire n’a été aussi grande.

Le principe de précaution doit prévaloir : nos enfants ne doivent pas être exposés à des risques réels et avérés, a fortiori quand le risque de cancer imputable aux HPV est si faible. De plus, le laboratoire Pfizer lui-même ayant déclaré ignorer les interactions possibles avec d’autres vaccins, il paraît donc très imprudent de poursuivre l’administration du Gardasil 9 (ou autres thérapies immunisantes, quelle qu’en soit la marque ou l’indication), chez les personnes injectées contre la Covid sans information scientifique complémentaire.5

L’extension de la vaccination aux garçons, sous prétexte de non-discrimination et de protection contre la transmission, ne peut que multiplier ces effets indésirables.

Comment faire confiance quand les notices de l’EMA et de la Food and Drug Administration (FDA) divergent autant sur les effets indésirables pour le seul produit Gardasil 9 ?6 7

L’organisme EPI-PHARE a reconnu dans une étude un risque aggravé de syndrome de Guillain-Barré pour ce vaccin.

De nombreux procès sont en cours contre le fabricant, y compris en France. Aux États-Unis, un cas de narcolepsie vient d’être reconnu, celui du jeune Trey Cobb, âgé de 14 ans lors de la troisième injection.

La responsabilité du laboratoire Merck est établie.

« L’expert médical de Cobb a soutenu avec succès auprès du Juge qu’il existe une homologie entre l’orexine et certaines parties du vaccin Gardasil, entraînant des réactions croisées, provoquant la destruction des neurones producteurs d’orexine » et causant la narcolepsie auto-immune avec cataplexie, concluant à une indemnisation.8

Nous avons déjà été témoins de trop nombreux scandales sanitaires : sang contaminé, hormone de croissance, H1N1, Distilbène, hépatite B, Mediator, Dépakine, Vioxx… avec le Gardasil sommes-nous une fois de plus confrontés à un nouveau scandale ?

Lors du démarrage de la campagne vaccinale anti-Covid 19, les autorités de Santé avaient affirmé que les injections anti-Covid 19 étaient sûres et efficaces… et ont ignoré les avertissements de nombreux scientifiques de renom.

Il est par ailleurs inacceptable que les nombreux effets indésirables liés à la vaccination contre l’Hépatite B ne fassent toujours pas à ce jour l’objet d’aucun avertissement.

Il est urgent de renoncer.

Nous vous exhortons, au nom du principe de précaution et du respect du libre choix des familles, à diffuser largement des informations loyales, claires et adaptées, plutôt que d’utiliser la propagande et le harcèlement.

Nous devons tous prendre nos responsabilités.

Dans les pays qui ont systématiquement vacciné les années précédentes, il a été constaté une recrudescence des cancers du col de l’utérus. Il faut y ajouter la négligence des personnes qui se croient protégées. Concernant la France, qui à la suite de plusieurs accidents vaccinaux, était restée sur un faible taux d’injection, elle n’a vu aucune recrudescence de ces cancers.

En effet, le dépistage régulier est le meilleur moyen et le moins onéreux pour se protéger.

À ce titre, nous vous rappelons l’article 121-3 du Code pénal :

« […] les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer. »

et l’article L1111-2 du Code de la santé publique :

« Toute personne a le droit d’être informée sur son état de santé. Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou graves normalement prévisibles qu’ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus […]. Lorsque, postérieurement à l’exécution des investigations, traitements ou actions de prévention, des risques nouveaux sont identifiés, la personne concernée doit en être informée, sauf en cas d’impossibilité de la retrouver. Cette information incombe à tout professionnel de santé dans le cadre de ses compétences et dans le respect des règles professionnelles qui lui sont applicables. Seules l’urgence ou l’impossibilité d’informer peuvent l’en dispenser. »

Il est de votre devoir d’alerter sur les effets indésirables du Gardasil 9.

L’absence de dénonciation revient à accepter de désinformer par omission sur les effets secondaires et à se rendre coupable par complicité.

Le droit ou le devoir de réserve cessent d’être légitimes lorsque la santé des enfants est en jeu.

Nous faisons appel à vous, gardiens de la déontologie et des bonnes pratiques, pour ne pas cautionner le scandale en cours.

L’ouverture du débat est indispensable et il est urgent d’instaurer un moratoire.
Avec l’espoir d’être enfin entendus.

Collectif Parents & Citoyens France,

Cosignataires :

AIMSIB – Alliance Citoyens Libres — Alliances Citoyennes 79 — Antenne Reinfo 01/Pays de Gex — Association NEC MERGITUR 17 — Association SOS Libertés — Basic 37 — BOL D’AIR — Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens — Collectif Liberté 07 — Collectif Saintais — Collectif santé 44 — Collectif Santé Mauges — Collectif Soignants Résistants 85 — Comité de Soutien aux Parents en Presqu’île de Crozon — Corse Humanis — Corse Unis — Eveil Citoyen 47 — l’Ordre Universel des Praticiens de Santé — Les Masques Blancs — Liberté 78 — Ligue pour la Liberté Vaccinale — Nopass 24 — Police Pour La Vérité — Reinfo les Collectifs — Pour la Liberté de Choix 01/Reinfo Bourg 01 — Reinfocitoyens 91 — Réinfoliberté 86 — Reinfo Paris — Reinfo 49 — REVAV — Solidarité Objectif Santé — Sport Sur Ordonnance Carcassonne — STOPALAMASQUARADE 44 — UNIC 67 — VERITY France.





Quand Cicéron explique Macron…

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Pour parler de lui et de ce qu’il nous inspire, je ne connais rien de mieux que cet extrait de la Biographie universelle, publiée en 1814 et retrouvée par votre serviteur grâce à Google books :

« Étonné d’entendre une vieille femme prier les dieux de conserver les jours de Denys, il voulut connaître le motif d’une prière si extraordinaire, tant il connaissait la haine qu’on lui portait. “Je prie les dieux, lui dit cette femme, de te donner une longue vie, parce que je crains que celui qui te succédera” ne soit plus méchant que toi, puisque tu es pire que tous ceux qui t’ont précédé(([1] Biographie universelle, ancienne et moderne. 1814, Google books, tome onzième, p. 120.)). »

Eh oui, certains se plaignaient du président Coty, qui eurent la cinquième république ; de de Gaulle, qui eurent Pompidou et Giscard ; de Mitterrand, qui eurent Chirac ; de Sarkozy et de Hollande, qui eurent Macron. Jusqu’où ne descendrons-nous pas ? Mais comme dit un de mes lecteurs commentateurs préférés, quand on touche le fond, on creuse encore ! Ah Bush, ah Obama, ah Trump en attendant Omar !

Et comme on parlait de lui (de Denys donc) et de Cicéron, on citera le livre V des magnifiques Tusculanes (un jour, promis, je parlerai du songe de Scipion) :

« XX. Denys devint tyran de Syracuse à vingt-cinq ans ; et pendant un règne de trente-huit, il fit cruellement sentir le poids de la servitude à une ville si belle et si opulente. De bons auteurs nous apprennent qu’il avait de grandes qualités car il était sobre, actif, capable de gouverner ; mais d’un naturel malfaisant et injuste ; et par conséquent, si l’on en juge avec équité, le plus malheureux des hommes. En effet, quoiqu’il fût parvenu à la souveraine puissance, qu’il avait si fort ambitionnée, il ne s’en croyait pourtant pas encore bien assuré. En vain descendait-il d’une famille noble et illustre ; quoique ce point soit contesté par quelques historiens. »

Le caractère de Denys est la méfiance — la paranoïa !!! — vis-à-vis de ses proches et des Syracusains :

« En vain avait-il grand nombre de parents et de courtisans, et même de ces jeunes amis, dont l’attachement et la fidélité sont si connus dans la Grèce. Il ne se fiait à aucun d’eux. Il avait donné toute sa confiance à de vils esclaves, qu’il avait enlevés aux plus riches citoyens et à qui il avait ôté le nom qui marquait leur servitude, afin de se les attacher davantage. Pour la garde de sa personne, il avait choisi des étrangers féroces et barbares. Enfin la crainte de perdre son injuste domination l’avait réduit à s’emprisonner, pour ainsi dire, dans son palais. »

On sait que notre président a des gardes du corps du Mossad… Mais évitons les ennuis et revenons à Denys. Lui a au moins des filles qui lui font la barbe :

« Il avait même porté la défiance si loin, que, n’osant confier sa tête à un barbier, il avait fait apprendre à raser à ses propres filles. Ainsi ces princesses s’abaissant par ses ordres à une fonction que nous regardons comme indigne d’une personne libre, faisaient la barbe et les cheveux à ce malheureux père. Encore, dit-on, que quand elles furent un peu grandes, craignant le rasoir jusque dans leurs mains, il imagina de se faire brûler par elles les cheveux et la barbe avec des écorces ardentes. »

Denys adore les perquisitions :

« On raconte, de plus, que quand il voulait aller passer la nuit avec l’une de ses deux femmes, Aristomaque de Syracuse, et Doris de Locres, il commençait, en entrant dans leur appartement, par les perquisitions les plus exactes, pour voir s’il n’y avait rien à craindre ; et comme il avait fait entourer leur chambre d’un large fossé, sur lequel il y avait un petit pont de bois ; il le levait aussitôt qu’il était avec elles, après avoir pris la précaution de fermer lui-même la porte en dedans. »

Cicéron (qui finit les mains et la tête coupées) poursuit son amusante énumération :

« Fallait-il parler au peuple ? Comme il n’eût osé paraître dans la tribune ordinaire, il ne haranguait que du haut d’une tour. Étant obligé de se déshabiller pour jouer à la paume, qu’il aimait beaucoup, il ne confiait son épée qu’à un jeune homme son favori. Sur quoi un de ses amis lui ayant dit un jour en riant : Voilà donc une personne à qui vous confiez votre vie, et le tyran s’étant aperçu que le jeune homme en souriait, il les fit mourir tous deux ; l’un pour avoir indiqué un moyen de l’assassiner ; l’autre, parce qu’il semblait avoir approuvé la chose par un sourire. »

Mais Denys est lié au mythe de Damoclès (pour moi c’est un mythe plus qu’une histoire). Et cela donne sous la plume acérée comme on dit du maître de la prose latine : 

« XXI. Un de ses flatteurs, nommé Damoclès, ayant voulu le féliciter sur sa puissance, sur ses troupes, sur l’éclat de sa cour, sur ses trésors immenses, et sur la magnificence de ses palais, ajoutant que jamais prince n’avait été si heureux que lui : Damoclès, lui dit-il, puisque mon sort te paraît si doux, serais-tu tenté d’en goûter un peu, et de le mettre en ma place ? Damoclès ayant témoigné qu’il en ferait volontiers l’épreuve, Denys le fit asseoir sur un lit d’or, couvert de riches carreaux, et d’un tapis dont l’ouvrage était magnifique. Il fit orner ses buffets d’une superbe vaisselle d’or et d’argent. Ensuite ayant fait approcher la table, il ordonna que Damoclès y fît servi par de jeunes esclaves, les plus beaux qu’il eût, et qui devaient exécuter ses ordres au moindre signal. Parfums, couronnes, cassolettes, mets exquis, rien n’y fut épargné. »

Évidemment il y a un prix à payer, ajoute notre sage et sarcastique Cicéron :

« Ainsi Damoclès se croyait le plus fortuné des hommes, lorsque tout d’un coup, au milieu du festin, il aperçut au-dessus de sa tête une épée nue, que Denys y avait fait attacher, et qui ne tenait au plancher que par un simple crin de cheval. Aussitôt les yeux de notre bienheureux se troublèrent : ils ne virent plus, ni ces beaux garçons, qui le servaient, ni la magnifique vaisselle qui était devant lui : ses mains n’osèrent plus toucher aux plats : sa couronne tomba de sa tête. Que dis-je ? Il demanda en grâce au tyran la permission de s’en aller, ne voulant plus être heureux à ce prix(([2] Cicéron, Tusculanes, V, Remacle.org)). »

Peut-être que grâce à Damoclès l’autre ne restera pas…

Notes




Israël consolide sa réputation de criminel de guerre, les États-Unis sentent la pression et le Hezbollah réagit

[Source : sonar21.com]

Par Larry Johnson

Je continue à insister sur le fait que les attaques aveugles d’Israël à Gaza, bien qu’elles soient louées ou tolérées en Occident, ont l’effet inverse dans le reste du monde. Le bombardement et le mitraillage de civils palestiniens dans des hôpitaux et des écoles suscitent une indignation croissante en dehors de l’Occident et dressent contre Israël de nombreuses nations qui entretenaient des relations relativement étroites avec lui. J’ai noté dans un billet précédent que le Chili, la Colombie et la Bolivie ont rappelé leurs ambassadeurs, ce qui constitue une rupture de facto des relations. Nous pouvons maintenant ajouter à cette liste le Bahreïn et le Honduras.

Au Moyen-Orient, en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie, on s’accorde de plus en plus à dire qu’Israël commet des crimes de guerre. Israël, s’il espère survivre, ne peut le faire en s’aliénant des nations qu’il considérait comme des amis. La Turquie est le cas le plus alarmant. Elle a maintenu des liens étroits avec Israël même lors de l’invasion du Sud-Liban en 2006. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Cette relation est rompue. Il reste à voir si Erdogan, le président turc, accompagnera sa rhétorique anti-israélienne d’actions concrètes, telles que l’arrêt de l’approvisionnement en pétrole.

Le Seaviolet, un pétrolier immatriculé à Malte, a récemment transporté 1 million de barils de brut azerbaïdjanais du port turc de Ceyhan au port israélien d’Eilat, selon un rapport de Bloomberg, dans un contexte de détérioration des relations diplomatiques entre la Turquie et Israël, alimentée par la rhétorique pro-palestinienne du président turc Recep Tayyip Erdoğan.

L’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan fournit environ 40 % de la consommation annuelle de pétrole d’Israël. Après les dommages subis par son principal dock pétrolier à Ashkelon à la suite de l’attaque du 7 octobre par des militants du Hamas, Israël a reçu la cargaison dans le port d’Eilat, sur la mer Rouge, selon Bloomberg.

Les images et les vidéos ci-dessous constituent l’un des principaux moteurs de la montée du sentiment anti-israélien. Je les publie pour montrer aux Américains et aux Européens de l’Ouest ce que le reste du monde voit. Si vous regardez la télévision américaine, vous ne verrez probablement rien de tout cela. Il ne s’agit pas d’attentats à la bombe accidentels — cela arrive en temps de guerre. Il s’agit d’attaques délibérées et planifiées.

Je vous préviens à l’avance. Certains de ces documents sont horribles et nauséabonds. VOUS LE REGARDEZ À VOS RISQUES ET PÉRILS. La première photo montre le sauvetage d’un enfant dans un quartier de Gaza.

La vidéo suivante montre des secouristes en train d’extraire une fillette des décombres de la maison de la famille Abu Awaad à Khan Younis.



Voici Mahmoud Sammi Al Hissi, un jeune garçon, recevant des soins médicaux dans un hôpital de Gaza.



Cette vidéo provient de l’école Osama Byn Saad à Gaza. Les secouristes collectent des morceaux de corps. C’est épouvantable.



La vidéo suivante montre les conséquences d’une frappe israélienne à l’extérieur de l’hôpital Al Shifa à Gaza. Comme je l’ai indiqué plus haut, il ne s’agit pas d’incidents isolés ou rares.



L’armée de l’air israélienne a également mitraillé et bombardé une colonne civile qui, en réponse aux avertissements israéliens, a quitté le nord de Gaza et s’est dirigée vers le sud sur la rue Al Rashid.



Gaza est devenu un charnier et les États-Unis ressentent la pression diplomatique. Le secrétaire d’État Tony Blinken a rencontré aujourd’hui Bibi Netanyahu en Israël et a évoqué la nécessité d’une « pause humanitaire ». En langage diplomatique, cela signifie « cessez-le-feu ». Une demi-heure plus tard, Bibi a publié une déclaration disant :

« Absolument pas !

Blinken se rend en Jordanie pour tenter de convaincre le roi de calmer la situation. La Jordanie a en effet rappelé son ambassadeur d’Israël. Je soupçonne le roi Abdallah d’avoir un message simple pour Blinken : dire à Israël d’arrêter les massacres.

Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah

Ce matin, les Américains ont beaucoup spéculé sur le fait que le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, allait déclarer la guerre à Israël lors de son sermon très attendu. Il ne l’a pas fait. Du moins, pas encore. Certains analystes postulent que le Hezbollah a peur d’entrer en conflit avec l’Amérique et que c’est la raison pour laquelle Nasrallah n’a pas lancé d’appel aux armes. Je suppose qu’ils n’ont pas écouté ou lu son sermon. Voici l’un des points saillants qu’il a soulevés :

Une troisième question, non moins importante, est que les opérations à la frontière libanaise et dans les fermes de Chebaa ont suscité un état de peur et de panique parmi les dirigeants israéliens — politiques et militaires — semblable à celui des Américains, dont nous parlerons plus tard.

Cette inquiétude ou cette crainte d’une nouvelle escalade ou d’une guerre totale s’exacerbera sur ce front, ou ils craignent que sur le front du nord de la Palestine occupée, l’armée israélienne ne tombe dans une guerre totale. C’est une possibilité très probable. Les Israéliens en tiennent compte et cela fait partie de leurs calculs, ce qui se reflète dans toute la rhétorique et les déclarations des chefs d’État américains, européens et même arabes.

Cet état d’incertitude, de peur et de panique parmi les dirigeants de l’ennemi sert deux objectifs.

Premièrement, il incite notre ennemi à calculer ses mouvements vers le Liban. Et c’est là que nous parlons de dissuasion — nous parlons d’une véritable peur de la part d’Israël. Si une seule opération avait été menée contre un poste israélien, un char israélien ou un groupe de personnel à la frontière, ils n’auraient pas pris le (inaudible). Pourtant, les Israéliens encaissent tous ces coups, ajustent et calculent très méticuleusement leurs actions, simplement par peur de l’avenir. Je le répète, notre présence sur le front, nos opérations et notre état de préparation — nos opérations quotidiennes sur le front — font que notre ennemi reste craintif, hésitant et en proie à la panique. Nous avons entendu de nombreuses déclarations de leurs ministres, parlant et misant sur le soutien total des États-Unis pour mener une guerre contre le Liban. Je vous assure que nous disons à l’ennemi que s’il pense à attaquer le Liban ou à mener une attaque préventive contre le Liban, ce sera le plus grand acte de folie de l’histoire de son existence.

Ils pensent que les Libanais craindraient ce dont ils sont témoins à Gaza. Nous avons vu cela depuis 1948 à (inaudible), au contraire, les scènes que nous voyons à Gaza nous rendront plus résolus, plus fidèles, à rester inébranlables, à résister avec défiance et à ne pas supplier ou tomber à genoux, quel qu’en soit le prix.

Deuxièmement, et c’est le plus important, dans cet état de panique et d’incertitude, l’ennemi doit calculer ses mouvements pendant qu’il agit à Gaza, et c’est ce qu’il fait. Voici quelques-uns des résultats de nos opérations dans le sud du Liban. Sans parler des pertes matérielles et humaines subies par l’ennemi au cours des dernières semaines, ces opérations dans le sud, le sang de nos martyrs tombés au combat et les sacrifices des compagnons de lutte et de nos hommes honnêtes et nobles qui restent dans le sud ou ceux qui sont temporairement déplacés, ils se sacrifient tous pour cette bataille, qui est digne de chaque sacrifice. C’est l’expression de notre solidarité et de notre soutien à Gaza et aux Gazaouis. Grâce au noble sang des martyrs tombés au combat, en restant inébranlables, nous faisons ce que nous pouvons pour alléger et réduire la pression qui pèse sur eux, alors que l’ennemi agit de manière insensée, tant sur le plan militaire que politique.

Nous en arrivons ici au point le plus important.

Que le monde sache, depuis des semaines, des communications, des pressions, depuis le premier jour, que si nous commençons une opération et si nous ouvrons un front dans le sud, toutes ces flottes américaines sont venues pour nous ; nous serons bombardés par les avions de guerre américains. Cela nous a été dit le 8 octobre, et en détail, lorsque certains combattants de la résistance palestinienne se sont infiltrés depuis le Liban à la suite de leur première opération — nous avons reçu une menace selon laquelle les avions de guerre américains bombarderaient le Liban. Je vous assure que de nombreux résistants se sont infiltrés et qu’ils continueront à le faire. Les menaces que nous recevons ne changeront pas notre position.

La crainte de voir le Hezbollah entrer en guerre a contraint Israël à abandonner des colonies et des avant-postes militaires le long de la frontière avec le Liban. Même si Nasrallah n’a pas lancé d’appel à la guerre, le Hezbollah mène des patrouilles et des embuscades le long de la frontière avec Israël et ce dernier subit des pertes. Le Hezbollah aussi.

Je partage l’avis de Scott Ritter selon lequel le Hezbollah ne ressent pas l’urgence d’intervenir parce que le Hamas, malgré les pertes subies, reste confiant dans sa capacité à infliger de lourdes pertes aux Israéliens. Des vidéos ont fait surface sur Telegram montrant des combattants du Hamas faisant exploser au moins deux chars israéliens.

Bibi Netanyahou est confronté à deux menaces qui pèsent sur sa capacité à poursuivre son plan de guerre. Tout d’abord, le tollé international grandissant contre les bombardements aveugles d’Israël à Gaza, qui tuent et blessent des milliers de civils, en particulier des femmes et des enfants. Deuxièmement, la base politique de Bibi en Israël est chancelante. Les récentes révélations de la presse israélienne selon lesquelles les forces de défense israéliennes ont tué un certain nombre d’Israéliens retenus en otage par le Hamas vont accroître la pression pour qu’il démissionne et qu’il rende des comptes.

Nous restons sur le fil du rasoir et les événements en Israël et à Gaza pourraient rapidement échapper à tout contrôle et déboucher sur une guerre régionale, voire mondiale. Prions pour la paix.

Ray McGovern et moi-même discutons de ces questions avec le juge :




Guerres, famines, effondrements financiers… Chaque crise inventée est une histoire de couverture d’un crime ou d’une prise de pouvoir mondialiste de plus grande envergure

[Source : marie-claire-tellier]

Par Mike Adams

Traduction MCT

Chaque crise en cours est conçue pour dissimuler un crime plus important ou une prise de pouvoir commise contre l’humanité par l’élite mondialiste.

Il faut de nombreuses années d’expérience dans l’étude et la dénonciation des tromperies mondialistes pour comprendre ce schéma. Les analystes qui ont une vue d’ensemble de la situation et qui la perçoivent clairement sont Alex Jones, Steve Quayle, David Icke, Paul Craig Roberts et moi-même, entre autres. Chacun d’entre nous couvre ce sujet depuis plus de 20 ans. Au cours de cette période, nous avons vu le même scénario se répéter encore et encore : Crise artificielle -> Manipulation émotionnelle -> Réaction -> Objectif final des mondialistes. (Souvent simplifié comme « Problème-Réaction-Solution » ou dialectique hégélienne).

Le 11 septembre a été un événement manigancé. Il a été conçu pour manipuler le peuple américain afin qu’il soutienne une « guerre contre le terrorisme », qui a déclenché l’État de surveillance qui a été (illégalement) déployé contre le peuple américain jusqu’à ce jour. Le 11 septembre, tout comme le 7 octobre (Israël), était une mise en veille planifiée visant à commettre un acte terroriste odieux contre notre propre nation, afin que le gouvernement et l’armée puissent justifier les mesures onéreuses qu’ils voulaient prendre depuis le début.

L’attentat à la bombe d’Oklahoma City était un autre événement de ce type. Il est à noter qu’une garderie située dans le bâtiment visé a raconté des histoires de « bébés explosés », ce qui fait exactement écho à ce que nous entendons aujourd’hui au sujet d’Israël et du Hamas. Chaque fois qu’il est question de bébés, il faut fortement soupçonner une manipulation émotionnelle et des événements faussement conçus. (La fiction actuelle poussée par des sources pro-israéliennes est que le Hamas a fait cuire un bébé israélien dans un four. Cela est censé provoquer l’indignation des mêmes Américains et Israéliens qui approuvent ouvertement le massacre des bébés dans le ventre de leur mère, au cas où vous auriez suivi l’évolution de la situation).

L’objectif final d’Oklahoma City était de parvenir à une confiscation des armes à feu à l’échelle nationale. Cela s’est produit peu de temps après l’adoption par le Congrès et la signature de la loi sur l’interdiction des armes d’assaut en 1994. Cette loi a expiré en 2004. Les ventes d’AR-15 ont explosé depuis lors, et aujourd’hui, quiconque soutient que les citoyens n’ont pas besoin d’armes à feu pour se défendre est considéré à juste titre comme un idiot inconscient… surtout après le 7 octobre.

Aujourd’hui, les pouvoirs en place (TPTB) ont besoin d’un effondrement financier pour masquer les crimes financiers qu’ils commettent depuis des décennies en imprimant de la monnaie, en pillant les comptes bancaires (et les pensions) des Américains et en manipulant les marchés financiers pour s’enrichir pendant que les masses laborieuses restent asservies dans un cycle de pauvreté. Sans toutes ces opérations de contrefaçon de la monnaie, la plupart des Américains s’en sortiraient plutôt bien et pourraient récolter les fruits de leur propre travail, sans le fardeau de l’inflation autour de leur cou. Mais si un effondrement financier peut être imputé à la Russie (ou à la Chine, ou à l’Iran), alors les criminels qui ont mené ce vol de masse peuvent pointer du doigt un bouc émissaire et s’en tirer à bon compte.

Une nation de consommateurs incapables de faire des calculs élémentaires ne s’en rendra pas compte.

Couvrir les décès dus aux vaccins et invoquer le terrorisme intérieur pour faire de votre gouvernement votre sauveur

De même, ces mêmes élitistes mondialistes assoiffés de pouvoir ont besoin d’un appel sous les drapeaux (et d’un grand nombre de victimes de guerre) pour dissimuler les décès dus aux vaccins. Il n’y a rien de tel que la guerre pour occulter le nombre choquant de jeunes Américains qui meurent d’une injection d’armes biologiques. C’est pourquoi la guerre au Moyen-Orient est une certitude : L’élite mondialiste a besoin d’un événement qui fasse un grand nombre de victimes pour masquer les décès dus aux armes biologiques injectées dans les vaccins, afin que les statisticiens les plus pointus (comme Ed Dowd et ses partenaires) ne puissent pas trouver d’autres signaux dans tout ce bruit (de mort).



Comme nous l’avons couvert à plusieurs reprises avec le correspondant de guerre Michael Yon, les frontières largement ouvertes à travers le sud des États-Unis sont destinées à permettre aux terroristes radicalisés du Moyen-Orient d’introduire clandestinement des armes et des soldats sur le territoire américain. En provoquant la colère de tous les adeptes de l’islam (en procédant à des bombardements massifs et génocidaires de civils à Gaza), les dirigeants occidentaux ont calculé qu’ils déclencheraient des attaques terroristes contre des cibles intérieures américaines, telles que des infrastructures et des civils. Ceci, à son tour, fournit le prétexte à Biden pour déclarer la loi martiale et même potentiellement annuler les élections de 2024. Plus les bombardements sont fanatiques, plus le gouvernement prend de pouvoir « pour votre protection ».



Il ne s’agit là que de quelques exemples de la manière dont les événements de crise sont utilisés pour dissimuler des crimes et s’emparer du pouvoir. La paix est l’ennemie de tout cela, et c’est pourquoi quiconque appelle à la paix en ce moment est qualifié de larbin de Poutine ou d’antisémite. La paix ne peut jamais intervenir dans les objectifs de l’élite mondialiste qui prévoit d’exterminer l’humanité (dépopulation mondiale). Mais pour y parvenir, ils ont besoin d’un contrôle total, du désarmement des populations civiles, de la destruction de la Déclaration des droits, du contrôle de tous les discours en ligne et d’un soutien social suffisant pendant qu’ils commettent un génocide contre l’humanité.

Tout ce que vous voyez se dérouler en ce moment même est conçu pour atteindre ces objectifs. C’est pourquoi les forces de défense israéliennes ont reçu l’ordre de se retirer le 7 octobre, par exemple. C’est pourquoi George Soros finance des groupes universitaires pro-palestiniens pour qu’ils scandent des slogans radicalement anti-israéliens afin d’invoquer une répression de la liberté d’expression par des conservateurs tels que le gouverneur de Floride Ron DeSantis. Il s’agit d’un scénario qui se déroule contre l’humanité, avec des résultats facilement prévisibles puisque la neurologie humaine est facilement contrôlée par les gouvernements, les médias et l’invocation de la haine. C’est exactement la raison pour laquelle des histoires fictives telles que « le Hamas a décapité 40 bébés » ont dû être créées et présentées comme des faits — parce qu’elles suscitent la réaction émotionnelle dont les gouvernements ont besoin pour justifier un génocide contre l’humanité dans son ensemble.

Rappelez-vous : Ce qu’ils font à Gaza en ce moment n’est que le premier chapitre. L’ensemble de la population humaine est la prochaine étape…

Chaque crise inventée est lancée pour couvrir un crime ou une prise de pouvoir à utiliser contre l’humanité

Voici un résumé des crises les plus notables qui sont provoquées en ce moment pour couvrir des crimes plus importants perpétrés par l’élite mondialiste :

– L’EFFONDREMENT FINANCIER couvre les crimes financiers du gouvernement et explique la pauvreté de masse en accusant les ennemis de l’Amérique de mener des « guerres monétaires ». Il fournit également un récit commode pour les gouvernements qui déploient les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) tout en éliminant la plupart des banques de détail de niveau intermédiaire, concentrant ainsi le pouvoir financier entre les mains de quelques banques mondialistes comme Wells Fargo, JP Morgan et Bank of America.

– UN PROJET MILITAIRE dissimule la montée en flèche des décès dus aux vaccins chez les jeunes Américains, en attribuant ces décès à la guerre (avec l’Islam, selon toute vraisemblance). Il dissimule également les décès de militaires en service actif vaccinés.

– Le TERRORISME DOMESTIQUE (de la part des islamistes radicaux qui traversent les frontières) justifie les appels à la loi martiale nationale qui permet au gouvernement de tenter de confisquer les armes à feu dans tout le pays tout en prétendant « protéger » les citoyens. Observez attentivement comment les prochains actes de sabotage, de terrorisme et de mort massive sur le territoire continental des États-Unis seront perpétrés avec les armes que l’administration souhaite interdire : AR-15, « ghost guns », pistolets AR armés, chargeurs de grande capacité, etc.

– La LOI MARTIALE, quant à elle, interrompt les élections et met fin à tout véritable bilan politique pour le même régime démocrate qui a truqué les élections de 2020 et plongé l’Amérique dans l’inflation, la guerre et le désespoir. C’est pourquoi les fonctionnaires du régime Biden agissent sans aucun sens des responsabilités. Ils ne prévoient jamais d’être tenus pour responsables de quoi que ce soit. Le vrai pouvoir, c’est de ne jamais avoir à compter sur la volonté des électeurs pour approuver ce que l’on fait. Ces efforts sont soutenus par le GOP, qui ne veut toujours pas exiger de bulletins de vote en papier… et qui, par conséquent, se fera à nouveau écraser s’il y a des élections en 2024. (Les républicains ne peuvent jouer que le rôle de perdants, pas de leaders, et leur seule véritable loyauté va à Israël, pas à l’Amérique).

– L’insécurité alimentaire se répand en Amérique grâce à l’inflation alimentaire, à la géo-ingénierie (armes météorologiques) et au sabotage systématique de l’infrastructure alimentaire américaine (installations de production alimentaire, stockage des céréales, etc.) Cette crise est conçue pour forcer les gens à participer aux programmes de coupons alimentaires du gouvernement, qui seront bien sûr fusionnés avec les CBDC et la conformité des vaccins, de sorte que les seules personnes autorisées à entrer dans les épiceries et à recevoir les aides alimentaires allouées par le gouvernement seront celles qui prennent les vaccins requis et ne critiquent pas Israël.

– L’expulsion massive du peuple américain est en train d’être préparée par la montée en flèche des taux hypothécaires et des loyers inabordables. Des millions d’Américains vont perdre leur maison (qui sera reprise par Blackrock et diverses banques) pour vivre dans des villes de tentes qui sont déjà en train d’être installées à Chicago, à New York et dans d’autres endroits pour héberger les immigrés illégaux. Dans le cadre d’un « échange de places » choquant, les migrants illégaux se verront offrir les maisons précédemment occupées par les Américains, grâce à divers programmes de subventions gouvernementales qui favorisent déjà les migrants par rapport aux vétérans américains, par exemple, en leur offrant de généreuses aides et des logements gratuits. En fait, les villes de tentes des migrants seront remplacées par des Américains sans ressources, tandis que les migrants vivront dans les maisons que les Américains ne peuvent plus s’offrir. Des millions d’Américains finiront par vivre dans des villages de tentes, entièrement dépendants des largesses du gouvernement en matière de nourriture et de logement (limité).

– La GEOENGINEERING/WEATHER WEAPONIZATION est utilisée pour détruire les villes (Acapulco, par exemple) et anéantir les cultures et les réserves d’eau, pour finalement forcer de grandes masses de personnes à se réfugier dans des villes de 15 minutes où elles sont surveillées, contrôlées et tuées par le biais de vaccins et de la violence. Grâce à l’armement météorologique, un « Holodomor mondial » est en train de se déclencher contre l’humanité, rendant de plus en plus difficile pour quiconque de parvenir à l’autosuffisance alimentaire et de résister ainsi aux efforts de contrôle total des mondialistes. Dane Wigington (GeoengineeringWatch.org) et David DuByne (Adapt 2030) sont deux sources remarquables sur ce sujet.



Il n’y aura ni paix ni abondance, car cela ne sert pas les intérêts des mondialistes qui travaillent à l’extermination de l’humanité

Dans tout cela, n’oubliez pas que les mondialistes travaillent activement à dépeupler la planète Terre en exterminant des milliards d’êtres humains. C’est pourquoi il n’y aura ni paix, ni abondance, ni liberté dans notre monde tant que ces mondialistes ne seront pas vaincus. Certains pensent que les « bonnets blancs » (white hats) vaincront les mondialistes. D’autres pensent que le Christ reviendra et vaincra le mal, et que toutes les bonnes personnes seront « enlevées » avant que l’effondrement total ne commence. Ces deux points de vue sont probablement très optimistes. Je pense que la souffrance ne fait que commencer et que nous sommes loin de toute victoire contre les forces anti-humaines qui dominent actuellement la planète Terre.

Dans un entretien récent avec Greg Hunter de USA Watchdog, l’expert et analyste des cycles Charles Nenner a déclaré qu’au cours de ce cycle de guerre, environ 2 milliards d’êtres humains seront tués (soit environ un quart de la population mondiale actuelle).

J’ai également prédit qu’en raison de la famine, de la guerre et de l’effondrement financier, nous verrons entre 1 et 4 milliards de personnes tuées au cours de la prochaine décennie, principalement à cause de la famine, de la violence et de la guerre.

Le bon côté des choses, c’est que même ceux d’entre nous qui voient les mondialistes réussir (jusqu’à présent) dans leurs plans d’extermination conviennent qu’ils ne peuvent pas tous nous tuer. Il y aura des survivants, et il pourrait s’agir de la moitié (ou plus) de la population humaine actuelle. La vraie question pour vous, cher lecteur, est de savoir si vous souhaitez rejoindre les survivants. Pour cela, il faut une véritable préparation, car l’élite mondialiste a mis au point des pénuries et des crises conçues pour vous laisser sans ressources, affamés, désespérés et sans abri.

Comment faire partie des milliards de survivants, même si des milliards d’autres sont exterminés ?

Voici les principaux domaines dans lesquels vous devez vous préparer (avec des liens vers diverses solutions, dont certaines sont des sponsors rémunérés de mon podcast). Pour un cours de survie plus détaillé donné par votre serviteur, téléchargez mon livre audio gratuit « Resilient Prepping » sur ResilientPrepping.com.

SURVIE FINANCIÈRE : Sortez autant que possible du système de la monnaie fiduciaire. Considérez l’or, l’argent et les crypto-monnaies (comme Monero) comme des solutions qui conserveront probablement leur valeur bien mieux que les monnaies fiduciaires. Fournisseur d’or que nous recommandons : Treasure Island Coins and Precious Metals. Regardez ma nouvelle émission Decentralize TV sur Decentralize.TV pour plus de 20 interviews puissantes sur la survie financière et plus encore.

SURVIE ALIMENTAIRE : Disposer d’une réserve de nourriture de secours importante et être capable de cultiver sa propre nourriture de manière durable. Cela signifie comprendre les sols, le compost, la conservation des semences, la permaculture et bien plus encore. Solutions à envisager : ARKseedkits.com et les seaux Ranger certifiés biologiques et testés en laboratoire sur HealthRangerStore.com.

LA SURVIE CINÉTIQUE : Posséder des armes à feu et s’entraîner à les utiliser pour l’autodéfense. Stockez les munitions nécessaires. Envisagez de porter des gilets de protection balistique. Restez dans la légalité. Sources à prendre en considération : HopliteArmor.com pour les gilets balistiques. ShieldArms.com pour les Glocks, les AR-15 pliables et les chargeurs haut de gamme compatibles avec les Glocks. (Le code de réduction « ranger » vous permet d’économiser 10 % sur tout.) Portez des armes à feu sur vous lorsque c’est légal et pratique.

Pensez également à nos nouveaux couteaux « Health Ranger Survival Gear » (HRSG), que j’ai conçus en collaboration avec Dawson Knives. Ils sont fabriqués avec l’alliage d’acier révolutionnaire MagnaCut (presque à l’épreuve de la corrosion) et sont disponibles dès maintenant dans la boutique Health Ranger à l’adresse suivante : https://www.healthrangerstore.com/collections/knives.

SURVIE MÉDICALE : Posséder un filtre à eau non électrique de qualité. Stockez les articles de premiers secours nécessaires, y compris les traitements antibactériens topiques tels que l’alcool isopropylique, la povidone iodée, le dioxyde de chlore, etc. Safrax.com vend des comprimés de dioxyde de chlore secs, portables et très abordables. Je ne serais pas confronté à une pandémie sans ces comprimés.

SURVIE HORS RÉSEAU : assurez-vous de disposer de sources d’énergie de secours. Je possède un tracteur équipé d’un générateur Winco PTO. Avec cette configuration, le diesel stocké peut être converti en électricité (le diesel peut être stocké pendant de nombreuses années). Pour des solutions à plus petite échelle, pensez à BeReady123.com, qui propose des ensembles de générateurs solaires capables de stocker la lumière du soleil sous forme d’énergie, de charger vos appareils ou même de faire fonctionner des mélangeurs ou de petits congélateurs.

SURVIE DES COMMUNICATIONS : Assurez-vous de disposer d’un équipement de communication de secours. Les opérateurs radio HAM sont bien équipés. Pensez aux communications par satellite telles que les téléphones satellite et les clés Bivy (messagerie texte par satellite). SAT123.com est notre sponsor dans cet espace et sert des dizaines de milliers de nos lecteurs et clients. Ne vous retrouvez pas sans une solution de communication de secours.

Par-dessus tout, restez informé et soyez prêt à affronter ce qui s’en vient, car il est clair que les mondialistes conduisent notre monde à la guerre, à la famine, à l’effondrement financier, au terrorisme et à des bouleversements extrêmes. Je m’attends pleinement à voir des réfugiés américains fuir les villes en ruine dirigées par les démocrates, par exemple. Les banques alimentaires seront envahies. La vente de munitions en ligne sera probablement interdite en vertu de la loi martiale. L’or, l’argent, les graines et les munitions deviendront des objets de troc courants au niveau local, les cryptomonnaies remplissant le rôle de transactions à distance. Les économies de la plupart des gens (comptes bancaires, pensions, droits) seront complètement anéanties. Seuls ceux qui détiennent des actifs réels (or, argent, terrains, munitions, etc.) survivront à l’apocalypse financière qui se prépare.

Vous verrez une famine massive, de la violence et du désespoir dans une Amérique effondrée. Cette guerre mondiale vient tout juste de commencer, et le mal ne fait que commencer. C’est probablement la raison pour laquelle Martin Armstrong m’a dit que ce cycle d’effondrement ne se terminerait qu’en 2032.



Préparez-vous en conséquence et regardez mes interviews et mes émissions Brighteon chaque jour pour rester informé :

Source




L’UE veut maintenant vacciner en priorité les femmes enceintes…




Définir les narrations dominantes et créer un nouveau paradigme

[Source : arcaluinoe.info]

Par Calistrat Marvin Atudorei

Un ex-agent du KGB nommé Yuri Bezmenov, qui a fait défection aux États-Unis dans les années 1970, a expliqué dans une interview à la télévision américaine en 1984 que 85 % de l’activité des services secrets soviétiques visait à contrôler la perception de la réalité au niveau de la population.1 Mais cette affirmation était certainement vraie (et c’est toujours le cas) pour les services secrets de toutes les autres grandes puissances du monde. Et il ne s’agit pas seulement de la population d’un État ennemi, mais en premier lieu de la population de son propre pays ou de la sphère d’influence de cette grande puissance.

Pour confirmer avec la situation de la population américaine, je me souviens de la déclaration de 1981 de l’ancien directeur de la CIA, William J. Casey, qui déclarait ce qui suit à propos d’un des programmes de contrôle mental :

Nous saurons que notre programme de désinformation est terminé quand tout ce que le public américain croit est sous contrôle.2

Bezmenov, l’ancien agent du KGB, a également déclaré que lorsque la subversion idéologique (opération psychologique) atteint un stade avancé, alors « exposer les sujets à la véritable information n’a plus d’importance du tout. Une personne qui a subi un lavage de cerveau n’est plus capable de traiter l’information. Les faits ne lui disent plus rien. Même si on lui fais une douche d’informations, avec des preuves authentiques, avec des documents, des photos… il refusera de croire ! ».3

Le problème des opérations psychologiques est bien plus important qu’il n’y paraît à première vue. Parce que souvent un analyste politique, un philosophe ou — de manière générique — un penseur bien intentionné se trouve dans une situation où, même s’il « crie » la vérité à ses pairs pour les réveiller de leur léthargie morbide, il semble que presque personne ne l’entende plus. L’explication est que le processus de « lavage de cerveau » génère un phénomène psychologique appelé « dissonance cognitive » dans lequel un sujet qui a été « hypnotisé » par des suggestions répétées qui ont induit/configuré une Fausse Réalité dans sa conscience, n’est plus capable d’accepter les vérités élémentaires et des preuves aussi évidentes que possible.

Nous nous voyons dans la situation où, face à l’appareil mondialiste (comme un rouleau compresseur) d’induire une Fausse Réalité (en particulier à travers les mass-medias obéissants), dire la Vérité n’a presque plus de pertinence pour beaucoup de nos pairs. Nous avons constaté cela dans le cas de la campagne génocidaire de vaccination « anti-Covid » par exemple, lorsque dans de nombreux pays occidentaux « civilisés » le pourcentage de population injectée dépassait 70-80 %, même s’il y avait des personnalités bien informées qui signalaient l’immense danger des soi-disant « vaccins ».

Par une analyse attentive, nous découvrons qu’au cours des dernières décennies les autorités politiques et universitaires alignées sur l’agenda mondialiste ont énormément imposé de nombreuses autres anomalies flagrantes afin de déformer un certain paradigme social. Malgré l’absurdité de la version officielle, ces narrations ont été largement adoptées.

Je mentionne brièvement quelques exemples :

  • le genre (l’identité sexuelle) est fluide, c’est la liberté de chacun (un droit fondamental) de s’identifier à ce qu’il veut ;
  • les réfugiés musulmans et africains sont défavorisés, pas de leur faute, dans leur pays d’origine et il est donc du devoir des peuples du monde (en particulier ceux d’Europe et d’Amérique du Nord) de les adopter à bras ouverts. De plus, les États d’accueil doivent modifier leurs habitudes socioculturelles afin de ne pas nuire aux conceptions des nouveaux arrivants ;
  • l’Humanité a été naturellement frappée en 2019 par une terrible pandémie. Il est très possible que la situation se répète et c’est précisément pourquoi il est nécessaire d’établir un Traité Mondial sur la Pandémie impliquant la vaccination obligatoire au niveau de l’ONU et de l’Organisation Mondiale de la Santé ;
  • l’Ukraine est un pays libre et souverain que la Russie a attaqué de manière brutale et totalement injustifiable sur les ordres insensés de Vladimir Poutine. Sous la direction du héros-président Volodymyr Zelensky, l’Ukraine résiste avec l’aide désintéressée de tous les États démocratiques ;
  • nous assistons à de nombreux changements climatiques dans le monde entier qui se produisent à travers le rejet de CO2 dans l’atmosphère, fait qui est le résultat du mode de vie irrationnel des gens ;
  • nous pourrions également ajouter les récits officiels sur la Révolution Française, la Révolution Bolchevique, les deux Guerres Mondiales, la Révolution Roumaine de 1989, sur la création et les objectifs de l’Union Européenne, sur les attentats du 11 septembre 2001, sur l’atterrissage sur la Lune en 1969, etc., etc., etc.

Toutes ces narrations sont en réalité des mensonges ridicules, des manipulations grossières. Mais parce qu’elles ont été répétées systématiquement et avec aplomb comme étant des positions officielles soutenues par les « plus grands experts », non seulement la grande masse ne les remet plus en question, mais elle acquiesce à l’avertissement selon lequel toute autre version ne serait qu’une stupide « théorie du complot ».

En réalité — et c’est une conclusion importante que je souhaite souligner — le monde a longtemps été systématiquement contrôlé par des opérations psychologiques massives.

Un corollaire à la conclusion ci-dessus, qu’il convient également de garder à l’esprit, est le suivant : l’impact sur la grande masse des gens n’est pas déterminé principalement par la valeur de vérité, mais par le pouvoir de suggestion.

Qui lance ces opérations psychologiques, dans quel but et à travers quelle infrastructure sociale ?

La réponse apparaît de plus en plus clairement sous nos yeux. C’est l’acteur mondialiste qui vise à établir un Gouvernement Mondial tyrannique. C’est une possibilité contre laquelle d’innombrables personnalités notables au cours des cent dernières années nous ont très sérieusement mis en garde. Il faut noter parmi eux plusieurs présidents des États-Unis d’Amérique comme Théodore Roosevelt, Dwight Eisenhower ou encore John Fitzgerald Kennedy.

Rappelons plus concrètement ce qu’ils ont dit, car leurs expressions sont particulièrement suggestives :

Théodore Roosevelt soulignait en 1912 que :

Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnaît aucune responsabilité.4

Dwight Eisenhower a averti en 1961 que :

Nous devons nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de ce complexe militaro-industriel mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques.5

John Fitzgerald Kennedy notait avec le plus grand sérieux en 1962, peu avant son assassinat :

Nous sommes confrontés dans le monde entier à une conspiration monolithique et impitoyable qui s’appuie principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence. (…) C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.6

Ainsi, partout dans le monde, les grandes décisions ont été prises depuis longtemps par une organisation transnationale extrêmement efficace et coordonnée, dont nous constatons sa présence aujourd’hui plus concrètement que jamais. Cette organisation cherche à imposer et à accélérer de plus en plus un programme visant à l’établir un Gouvernement Mondial unique visible et le « Nouvel Ordre Mondial » tant annoncé.

Le projet d’ensemble des « élites » ressort des programmes rendus publics dans les forums internationaux les plus prestigieux. Je mentionne parmi ces programmes l’Agenda 2030 de l’ONU, le Grand Reset du Forum Économique Mondial (WEF) en réponse à la pandémie, aux crises climatiques et économiques ou la Quatrième Révolution Industrielle du même WEF, corrélée à l’introduction sociale invasive de l’Intelligence Artificielle. Bref, au-delà des déclarations « politiquement correctes », le plan global apparaît comme une combinaison de vaccinations répétées et de concentration de populations ethniquement métissées, confuses, malades, abêties et moralement désemparées dans de soi-disant « villes intelligentes » totalement surveillées grâce à des moyens artificiels. Le projet globaliste vise à ce que le nombre de personnes soit « régulé » jusqu’au seuil souhaité par les dirigeants (500 millions, selon les Georgia Guiding Stones), et le reste soit strictement contrôlé physiquement et mentalement dans la position d’esclaves (c’est-à-dire privé de toute liberté, non seulement externe, mais aussi interne/de conscience).

Que pouvons-nous faire à part dire la vérité ? Que faire de ceux qui, hypnotisés, se jettent aveuglément dans l’abîme ?

À mon avis, il est nécessaire d’aborder la question un peu plus sérieusement du point de vue psychologique et même spirituel. Sans comprendre ces processus, il est irréaliste d’espérer que nos messages d’éveil auront un impact significatif.

Voyons d’abord comment cet état collectif de transe maléfique est induit. Le mécanisme principal est celui de la suggestion persuasive. Une fois qu’une suggestion franchit la barrière du discernement, elle est considérée comme allant de soi et peut même devenir une sorte de commande insidieuse. Les suggestions peuvent être liminales (adressées au mental conscient) ou subliminales (adressées directement au subconscient). Pour la première catégorie on utilise les messages délivrés par les officiels, par les « experts », par les influenceurs médiatiques, etc. Pour la deuxième catégorie, on utilise des mots-clés, des expressions clés (codes, ancres psychiques), des dispositifs psychotroniques, des images symboliques ou des rituels/cérémonies sataniques impactant massivement l’inconscient collectif (voir par exemple le rituel CERN/Suisse de 2016 ou les nombreuses cérémonies bizarres depuis l’ouverture de certains Jeux Olympiques).7

Bien entendu, toutes ces opérations psychologiques nécessitent de maintenir la population au niveau de conscience le plus bas possible, où prédominent les instincts primaires et l’égoïsme, sans éveiller les hautes valeurs morales qui font vibrer l’âme. Cela se fait en induisant un état continu de peur, en maintenant un stade avancé d’inculture et même de stupidité, en bloquant la créativité supérieure, en détournant les véritables voies spirituelles.

Il faut dire que les « élites » mondialistes disposent depuis des décennies d’instituts spécialisés qui s’occupent intensivement de la gestion psychologique du contrôle des masses. En philosophie sociale la branche postmoderniste (initiée notamment par l’École de Francfort) s’est développée de manière très intensive, dans laquelle se distingue la théorie critique du langage ou le constructivisme social. Conformément aux découvertes de la physique quantique, on a repris l’idée selon laquelle la réalité n’est pas un fait objectif, mais elle tend d’être façonnée par ce que nous croyons fermement qu’elle est. C’est pourquoi le subconscient collectif est de plus en plus amené par ces marionnettistes d’ombres à contribuer inconsciemment à un certain état d’esprit induit par la programmation neurolinguistique (NLP) et la programmation prédictive (films hollywoodiens, proclamations du Forum Économique de Davos, etc.).

Une fois que nous comprenons les méthodes de base de l’élite obscure, nous commençons déjà à distinguer les manières dont nous pouvons agir plus efficacement. Il est nécessaire de sortir de la « boîte de pensée » dans laquelle la population mondiale est conceptuellement tenue captive (« Think Out of the Box ») et de développer des lignes de compréhension et d’action qui libèrent l’énorme potentiel de l’Humanité.

J’évoque brièvement quelques pistes d’action qui peuvent être développées largement et intensivement :

  • déconstruire/exposer en clair les méthodes d’hypnose collective par lesquelles l’Humanité est retenue captive. J’insiste encore une fois sur le fait que cet exposé de leur principal schéma d’action peut grandement amplifier nos efforts pour dire la Vérité. Dire la vérité nous est nécessaire pour arriver à une forme d’éducation de la conscience des masses par la répétition systématique, comme une forme d’imprégnation bénéfique de l’inconscient collectif ;
  • créer un nouveau paradigme en termes d’histoire réelle, mettre en lumière les principes géopolitiques fondamentaux, les principes moraux, restaurer les connaissances essentielles qui donnent le pouvoir. Insistons surtout sur les vérités fondamentales que nous répétons de manière presque didactique pour former et renforcer un nouveau cadre conceptuel ;
  • comme exemple de distorsion d’une réalité fondamentale, il convient de noter que dans les analyses géopolitiques promues par le système mondialiste le principal acteur international est complètement ignoré. Personne ne parle des organisations transnationales secrètes qui matérialisent l’acteur mondialiste, celui qui planifie un Gouvernement Mondial et orchestre la scène politique, économique et militaire mondiale depuis au moins 150 ans ;
  • il faut sortir du mécanisme réactif dans lequel on ne fait que contredire les thèses lancées par les mondialistes sataniques. Devenons proactifs et établissons de nouvelles écoles de pensée, de nouvelles structures de compréhension et de nouveaux noyaux de lumière spirituelle ;
  • il est important de clarifier que la perception de la vraie réalité est déterminée par le niveau de conscience à partir duquel nous vivons notre vie. Une conscience ancrée dans les instincts primaires, la peur, l’égoïsme et l’extériorité est non seulement insensible aux vérités fondamentales, mais peut également être facilement programmée/hypnotisée. Au lieu de cela, une conscience qui a découvert le lien essentiel entre sa dimension intérieure (psychomentale et spirituelle) et Dieu Tout-Puissant n’a plus peur. Une telle conscience éveillée comprend clairement la Vérité et est prête à sacrifier tout aspect matériel plutôt que de se déconnecter du Sens divin de l’Existence ;
  • élever le niveau de conscience des communautés par la présentation de principes de base dans le domaine de la psychologie de masse, en offrant des solutions nouvelles et efficaces dans le domaine social, scientifique, social et, surtout, en promouvant une spiritualité authentique ;
  • Je mentionne que la grande masse des gens a été délibérément maintenue dans une ignorance grossière pendant des décennies, même s’il existe depuis longtemps des solutions technico-scientifiques efficaces et viables, validées et faciles à mettre en pratique. Nous avons dans tous les pays des inventeurs de génie dont les projets ont été jusqu’ici bloqués et refusés par les autorités. Nous pouvons créer des communautés autonomes sur des principes écologiques. Nous avons besoin d’une agriculture bio ; il existe certaines possibilités de mettre en œuvre des techniques de guérison holistiques nouvelles et révolutionnaires ; il existe de brillants projets de production de diverses formes d’énergie, par de multiples méthodes. Plusieurs alliances internationales ont déjà commencé à apparaître, dont la principale ligne d’action est précisément la réalisation de ces objectifs.

N’oublions pas que nous constituons plus de 99 % de la population mondiale et que nous avons la Vérité, la Justice et surtout Dieu à nos côtés.







L’affaire Assange

[Source : Libre Média]

Qui est Julian Assange ? Qu’est-ce que Wikileaks ? Qu’a-t-il révélé ? De l’homme de l’année à l’homme recherché par Interpol, que s’est-il passé ?

Dans ce premier épisode consacré à l’affaire Assange, Viktor Dedaj, spécialiste et co-fondateur du comité de soutien de Julian Assange retrace la genèse de Wikileaks. Entre lynchages et manipulations, il éclaire les différents scandales qui ont détruit l’image de son fondateur. Entretien réalisé le 25 mai 2023

Dans ce nouvel épisode de Délit d’opinion, Viktor Dedaj, spécialiste de l’affaire Assange, revient sur les conditions de vie du fondateur de Wikileaks. Son isolement pendant 7 ans dans l’ambassade d’équateur en Angleterre puis son transfert dans la prison de haute sécurité de Belmarsh. Il nous parle de Nils Melzer, rapporteur spécial de la torture à l’ONU, qui jouera un rôle primordial dans la dénonciation des conditions de sa détention. «Jusqu’où avons-nous sombré si nous poursuivons ceux qui dénoncent les crimes de guerre ?». Nils Melzer participera aussi à la défense d’Assange dans les multiples manipulations judiciaires, notamment celle pour viol. Il en publiera un livre, «L’affaire Assange, histoire d’une persécution politique». Entretien réalisé le 25 mai 2023.

Dans ce dernier et troisième épisode de ce numéro spécial de Délit d’opinion, Viktor Dedaj, spécialiste de l’affaire Assange, revient sur l’enquête des cablegate. Une fuite de 120 000 câbles diplomatiques classés top secret. Comment un mot de passe donnant accès à ces fichiers confidentiels s’est retrouvé dans la nature ? Où pouvait-on le retrouver ? Qui l’a utilisé? Pendant une heure, Julian Assange téléphone au département d’État américain pour avertir du danger. Personne ne donnera suite. «Cryptome», un site américain similaire à wikileaks accède aux données et met tout en ligne. Cette révélation publique lors du procès n’innocentera pas Assange. Nils Melzer, rapporteur spécial de la torture à l’ONU, innocente Assange sur l’ensemble les accusations qui lui sont reprochées : le viol, la mise de vie en danger d’autrui… Les journalistes qui avaient utilisé et publié les données sont restés silencieux. Un journaliste osera prendre la défense lors du procès d’Assange : John Goetz du journal allemand Der Spiegel.




La Russie est-elle un agent du mondialisme ?

Débat entre Pierre Hillard et Xavier Moreau

[Source : @STRATPOL]