Nouvelles de la guerre mondiale…

[Source : lachute]

Par Patrick Reymond

— Théâtre ukrainien : Poutine est aux abois pour l’Occident, la guerre « doit durer des années ». Pour ceux ayant un minimum d’objectivité, l’armée ukrainienne est physiquement brisée, moralement démolie, les troupes ne veulent plus monter au front, dans une proportion de 70 %. On a tenté de combler les pertes en mobilisant n’importe qui, ce qui a abaissé le niveau global de l’armée avec des soldats peu formés et encore moins motivés. De fait, le front ukrainien semble craquer, surtout la troisième ligne de défense (et la dernière). Contrairement à ce qu’on dit en ouest collectif, 2024 verra sans doute l’effondrement de l’Ukraine.
Déjà, le pouvoir se déchire et se disloque. Chose usuelle dans les régimes imposés par les USA. Les échecs apparaissent, et l’on cherche le sauveur et on zigouille le président précédent (voir les frères Ngo aux Viet Nam).

L’approvisionnement en munitions de l’Ukraine reste totalement déficient, comme un miroir de la désindustrialisation de l’ouest, son matériel est trop fragile, trop disparate. Aucune chance donc, que l’Ukraine gagne la guerre.

Non, les Russes ne perdent pas plus d’hommes que les ukrainiens, c’est l’inverse, dans un rapport de 1 à 10, on connaît le ratio depuis 1914, 80 à 90 % des tués le sont par l’artillerie, et la russe tire dix fois plus que l’ukrainienne. 40 000 morts dans un camp, 400 000 dans l’autre.

— Théâtre Gaza, le nombre de morts palestiniens s’accumule, mais politiquement, Israël a perdu, l’autorité palestinienne n’existe plus, la Jordanie palestinienne est chauffée à blanc et pourrait ouvrir un front étendu. D’une manière générale, la nébuleuse « Hamas » a gagné politiquement dans le monde arabe, et le massacre qu’Israël ne veut pas arrêter, commence à être trop visible.

Militairement, c’est un pat. Gaza résiste, au prix de sa population civile, mais les pertes militaires israéliennes sont lourdes, on parle de 1400 tués, et trois fois plus d’invalides.

Le but, ce n’est pas le Hamas, c’est de disperser la population palestinienne dans le monde, et aussi en Europe.

Israël se vante d’avoir pris un tunnel. De fait, dans l’histoire militaire, aucune fortification n’est imprenable, c’est fait pour gagner du temps, et visiblement, la défense est échelonnée.

Israël ne tient que par les livraisons d’armes US. Les dirigeants cherchent à étendre le conflit. Sans penser qu’ils pourraient, en fait être submergés par la longueur du front jordanien, la puissance de feu du Hezbollah, et la pugnacité de la résistance palestinienne à Gaza et en Cisjordanie.

La guerre dure depuis 3 mois, et il faut constater l’échec militaire d’Israël.

Les Israéliens votent aussi avec leurs pieds. 500 000 auraient quitté le pays pour un autre monde. Enfin, pour aller ailleurs, sans doute pour « continuer la résistance »… On ne compte pas, non plus, les immigrés qui ont détalé. D’une manière générale, les juifs israéliens repartent souvent. Sans doute, la vie est plus facile ailleurs et les opportunités d’emplois plus grandes.

[Voir aussi :
https://www.aa.com.tr/fr/monde/au-moins-370-000-isra%C3%A9liens-ont-quitt%C3%A9-le-pays-depuis-le-d%C3%A9but-de-la-guerre/3075890]

Biden est de plus en plus sous pression, pour abandonner les fournitures d’armes et surtout, de munitions, sans lesquels, l’IDF n’existe simplement pas du tout.

— Mer Rouge. Dans le détroit, il n’y a plus d’états favorables aux USA. Ceux-ci, abattent des drones en contreplaqués avec des missiles à 1 million de dollars. Comme au Viet Nam il y a 50 ans et plus, on peut se demander si la fourniture de cible aux Américains n’est pas simplement destinée à les saigner. Pendant les bombardements, les Nord vietnamiens reconstruisaient sans fin des ponts en bambous, souvent détruits journellement par l’aviation. Le pont ne coûtait rien du tout ou quasiment rien, les bombes US, elles, valaient des centaines de milliers de $.

Ansarallah a pris l’économie mondiale à la gorge, enfin, elle s’est prise toute seule. En effet, Ansarallah est très stricte sur les conditions d’attaque des navires. La plupart ne risquent rien, pourvu qu’ils ne soient ni israéliens, ni qu’ils se dirigent vers Israël ou y fassent escale.

Cette extension du conflit, à la mer rouge, sur un front inattendu, montre que la stratégie israélienne de l’extension du conflit n’est pas tenable. Là aussi, la force occidentale est très surestimée. Les marines ne sont pas capables de neutraliser le Yémen, et pourtant, la maîtrise aéronavale de l’Occident est absolue… Enfin, c’est ce qui se pense dans les têtes de nos dirigeants.

— Divers :

Nouvelles de VVP : il vient de survivre à son 37° cancer, son béribéri, et, dit-on, prépare sa fuite devant son renversement inéluctable.

EM, lui, préparerait sa reconversion ; il prendrait la tête d’une discothèque gay à NY.

Les sans-abri se multiplient en occident, les licenciements s’enchaînent, et la prétendue croissance économique n’est que la sous-évaluation de l’inflation.




Psychopathie en action — L’Occident attaque les piliers de sa civilisation

[Source : Hashtable via Sott]

L’année 2023 s’achève doucement et jamais il n’aura autant été évident qu’une petite clique de psychopathes s’acharne actuellement à attaquer chacun des piliers de la civilisation moderne.

© Sott.net

C’est en substance ce que Michael Shellenberger (connu pour avoir participé aux révélations des « Twitter files ») explique, à raison, dans un entretien qu’il a récemment accordé à Tucker Carlson.

Pour le journaliste californien — d’ailleurs rejoint en cela par de nombreux philosophes — le développement des civilisations repose sur quatre piliers essentiels : l’accès à de l’énergie bon marché, une hiérarchie sociale basée sur la méritocratie, l’application solide de la loi et de l’ordre et enfin la liberté d’expression.

Et lorsqu’il note que ces quatre piliers sont attaqués, on ne peut lui donner tort.

La liberté d’expression n’est plus, dans les démocraties occidentales, que l’ombre d’elle-même.

Il est maintenant assez clair que ces dernières années, les politiciens des pays occidentaux ont fait voter et mis en place différents moyens coercitifs pour s’assurer que seront punis ou cachés tous les discours contraires à ceux qu’ils prônent.

Depuis les actions directement entreprises (et maintenant démontrées) par les agences gouvernementales contre l’expression d’opinions dissidentes jusqu’aux rétorsions en déplateformant ou débancarisant les individus désignés comme (au choix, panachage possible) terroristes, désinformateurs, propagandistes pro-russes ou d’ultra-droite, en passant par l’utilisation ciblée de termes infamants (antivax, climato-sceptique, etc.), c’est bien d’une chasse aux libres penseurs qu’il est devenu question en quelques années.

Les lois d’exception qui sont actuellement poussées dans différents parlements — l’Irlande ou la France étant les derniers exemples en date — ne sont rien d’autre : exprimer une opinion contraire à des critères arbitraires décidés par des politiciens ou, pire encore, des administrations, va devenir passible de solides amendes voire de peines de prison.

De même, la loi et l’ordre ne sont plus qu’un souvenir, ces concepts n’étant plus qu’une vaste fumisterie dans la plupart des pays occidentaux.

Entre les personnes incarcérées de nombreux mois (voire années) sans procès et pour des raisons visiblement bidon (aux États-Unis par exemple), entre les criminels relâchés, voire jamais poursuivis, ou ceux qui bénéficient d’un laxisme judiciaire si évident qu’il en devient grotesque, entre les politiciens bien introduits qui bénéficient de relaxes aussi commodes qu’inexplicables ou d’une mansuétude invraisemblableil devient difficile pour ne pas dire impossible de croire encore que la loi et l’ordre règnent dans les pays occidentaux.

Ce n’est certes pas le chaos, mais tous ceux qui sont un minimum lucides se demandent essentiellement « pour combien de temps encore », sans douter que la situation ne tient plus que par habitude et non par efforts calculés.

Peut-on réellement douter de la disparition de la méritocratie lorsqu’on constate le niveau véritablement abyssal de nos élites, notamment en politique (mais pas seulement) ?

Toute la société occidentale s’efforce à présent de justement gommer cette méritocratie traditionnelle pour la remplacer par un affichage virtuel immodéré dans lequel toute compétence réelle sera examinée en dernier, bien après des critères de plus en plus accessoires, voire carrément clivants, depuis la race jusqu’au sexe en passant par les opinions politiques, l’accoutrement vestimentaire ou les accointances. Critères ESG dans les entreprises, barbouillage d’âneries « woke » partout où c’est possible, tout est fait pour que la méritocratie disparaisse définitivement.

Enfin, on ne peut plus nier l’actuelle lutte acharnée contre les énergies abondantes et bon marché comme les hydrocarbures et le nucléaire.

De propagandes grossières, mais bombardées non-stop sur tous les canaux possibles, en politiques énergétiques complètement débiles méticuleusement appliquées par les brochettes de criminels qui ont accaparé, par mensonges et duperie, tous les leviers de pouvoirs, on assiste très effectivement à une lutte acharnée des plus riches contre les plus pauvres, avec une volonté maintenant affichée des premiers de faire disparaître (lire « éliminer rapidement ») les seconds pour qu’enfin tout se déroule comme les élites l’ont ultimement décidé.

Avec la COP28, les pleurnicheries médiatiques de Greta Thunberg, les crises hystériques de gorgones à cheveux bleus sur des tableaux célèbres sous des prétextes climatiques en passant par les imbéciles qui choisissent de bloquer le trafic routier (ce qui accroît les rejets de polluants), il apparaît clairement que, ces derniers mois, les activistes les plus virulents ont résolument abandonné toute velléité de vendre l’utopie écologique un peu joyeuse dans laquelle l’Humanité vivrait en harmonie avec la Nature, pour à la place nous pousser dans le gosier la dystopie communiste pour eux indispensable d’une Humanité réduite à sa plus simple expression, de préférence dans des camps où la production de chaque millimètre cube de dioxyde de carbone sera amèrement punie.

Là où l’écologie des années 70 ou 80 consistait à sauver les baleines et lutter contre la pollution, celle des années 2020 ressemble à une longue litanie d’interdictions, de vexations, de punitions et d’admonestations acariâtres nous incitant à nous suicider aussi rapidement et proprement que possible, la noyade dans un bassin de station d’épuration représentant probablement l’aboutissement souhaité et ultime du recyclage total de notre vilain carbone individuel.

Le principal souci des attaques portées sur ces quatre piliers est qu’elles sont suffisamment puissantes pour durablement remettre en question la civilisation occidentale : sans énergie bon marché, le travail devient de plus en plus coûteux ; sans une justice efficace, le crime finit par rapporter plus que le travail honnête, effondrant l’incitation à entreprendre ; la méritocratie impose la recherche de qualité et d’amélioration sans lesquelles aucun progrès n’est possible ; et sans liberté d’expression, il devient justement impossible de pointer ces précédents problèmes et d’apporter des solutions ou même d’en débattre…

Devant ce constat du lent suicide occidental, le basculement géopolitique actuel semble logique et s’inscrit même en réponse à ces attaques : s’il y a un demi-siècle, l’Occident pouvait représenter un but à atteindre pour les pays émergents, ce n’est plus le cas actuellement.

L’année 2023 a clairement marqué une accélération des attaques portées et alors que s’écoulent ses derniers jours, souhaitons qu’au contraire, 2024 soit celle où les Occidentaux prennent conscience du problème et s’attachent enfin à le résoudre.

Pour le moment, ça n’en prend pas le chemin.

Article original publié le 22 décembre 2023




Philippe de Villiers : « Si j’avais à raconter un conte de Noël, je dirais ceci… »

[Source : Philippe de Villiers]




Marion Maréchal plaide pour « une reconnaissance des racines chrétiennes de la France »

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Marion Maréchal, tête de liste de Reconquête aux élections européennes, lors de l’inauguration d’une crèche à la mairie de Chaumontel. Photo © DR]

Par Sarita Modmesaïb

Avec 150 élus locaux, maires ou conseillers municipaux, la tête de liste de Reconquête aux Européennes a envoyé un courrier aux Français démontrant qu’à travers les attaques lancées contre Noël, c’est la civilisation française qui est en péril. Valeurs Actuelles publie ce courrier demandant « une reconnaissance des racines chrétiennes de la France ».

« En France, par définition et par essence, la culture chrétienne est partout chez elle », peut-on lire dans ce courrier au terme d’une énumération d’exemples de communes qui ne peuvent plus installer leur crèche de Noël traditionnelle dans les lieux publics tels que les mairies.

« Pourra-t-on encore fêter Noël dans 20 ans ? »

Pendant tout ce mois de décembre, Marion Maréchal est partie en croisade contre les opposants à la fête de Noël, se rendant à Nantes où les illuminations traditionnelles ont fait place à des sculptures artistiques lumineuses, ou encore inaugurant la crèche de Noël à la mairie de Chaumontel (Val-d’Oise).

Intitulé « Pourra-t-on encore fêter Noël dans 20 ans ? », ce courrier rappelle que « depuis des siècles et des siècles, Noël et le christianisme inondent nos mémoires, sculptent nos villages, façonnent notre mode de vie, grandissent nos destins. »

Pour Mme Maréchal, il est clair que « cette chasse aux crèches s’inscrit dans un mouvement plus général porté par quelques multinationales et municipalités de gauche qui rivalisent d’esprit de repentance pour faire table rase de notre histoire. Partout, en Europe, les forces islamo-gauchistes tentent de faire disparaître ce que nous sommes ».

L’interdiction d’installer des crèches de Noël ou le remplacement de traditionnelles lumières de Noël par des illuminations à thèmes variés constituent, pour la vice-présidente de Reconquête, autant de « dérives » qui « se révèlent au grand jour alors que l’immigration de masse et l’islamisation de notre patrie progressent à pas de géants ».

« Reconnaître et affirmer, jusque dans notre Constitution, les racines chrétiennes de la France et de l’Europe. »

Estimant que la France a été fondée sur le christianisme, ce collectif d’élus rappelle quelques épisodes marquants de l’Histoire de France  :

« C’est d’ailleurs dans la nuit de Noël que Clovis, le premier roi des Francs, fut baptisé, en 496, dans la cathédrale de Reims. C’est dans la nuit de Noël que Charlemagne fut couronné empereur par le pape. »

Quelques siècles avant, l’arrivée en France de Marie-Madeleine et d’une quarantaine d’apôtres de Jésus, fuyant les persécutions romaines, et, selon la légende, guidés par Dieu lui-même, sonna le début de la christianisation de cette terre gallo-romaine qui deviendra ensuite le royaume de France.

[Voir aussi :

La France mystique (p. 54, 55)

]

« Il est urgent d’en finir avec la négation de nos racines et cette guérilla insidieuse contre la culture du peuple historique de France », déplore le collectif.

« C’est pourquoi nous proposons de reconnaître et d’affirmer, jusque dans notre Constitution, les racines chrétiennes de la France et de l’Europe. Quel beau symbole serait-ce, alors même que nous fêtons, en ce Noël 2023, le 800e anniversaire de la crèche de Noël, imaginée par saint François d’Assise, à Greccio, en Italie, en 1223, tradition qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours dans nos foyers de France et que nous entendons pouvoir transmettre à notre tour. »




Convoquée par la police, le Dr Jade Allègre attaquée pour son travail sur l’argile

[Source : lemediaen442.fr]

par Yoann

Le monde de la santé alternative et naturelle est secoué par l’affaire du Dr Jade Allègre, une praticienne renommée en naturopathie. Son implication dans une controverse judiciaire, convoquée par la préfecture de police de Paris pour des accusations d’exercice illégal de la médecine, d’usurpation de titre de médecin, et de faux et usage de faux, met une nouvelle fois en évidence les frictions entre les approches conventionnelles et non conventionnelles en matière de santé.

Les fondements de cette affaire reposent sur le fait que bien qu’elle détienne un diplôme d’État de docteur en médecine obtenu à la Faculté de médecine Paris 13, ainsi que des qualifications en médecine générale et d’urgence, Jade Allègre pratique la naturopathie, mettant en avant son intérêt pour l’argilothérapie. Pourtant, l’accusation d’usurpation de titre de médecin découle du non-paiement de la cotisation à l’ordre des médecins, une condition pour pouvoir exercer sous le titre de médecin en France.

Cette affaire va au-delà des simples aspects administratifs. Elle soulève des questions plus profondes sur la coexistence des approches médicales, la reconnaissance des pratiques alternatives et les limites imposées aux professionnels de la santé. Le différend juridique autour du Dr Allègre sert de catalyseur à un débat plus large concernant la pluralité des méthodes thérapeutiques et l’intégration des médecines alternatives dans le paysage médical actuel.

Les partisans de la médecine intégrative plaident en faveur d’une approche inclusive, reconnaissant la diversité des pratiques et la nécessité de mieux comprendre les bénéfices des thérapies alternatives. Ils remettent en question les formalités administratives strictes imposées aux praticiens non conventionnels et soulignent l’importance d’une réglementation qui tienne compte de cette diversité sans restreindre les choix thérapeutiques des patients.

Le projet de loi sur les dérives sectaires risque, s’il est adopté, de contraindre les médecins à mettre en danger leurs patients. Il suffit de rendre obligatoires les produits à l’ARNm qui détruisent les codes génétiques et dont les effets létaux sont reconnus. Le dernier en date est le vaccin Covid, mais les laboratoires ne vont pas s’arrêter en si bon chemin. Avant la pseudo pandémie, l’hydroxychloroquine avait été classée produit vénéneux. Aujourd’hui ce sont les onze vaccins obligatoires qui viennent d’être classés produits vénéneux. À quand les vaccins ARNm obligatoires ? À quand l’obligation — via la loi dite antisectes — pour les médecins de les prescrire ?




L’électricité tirée de l’air ?

[Via changera4]



[NDLR L’article source ne mentionne toutefois rien sur Tesla ni sur l’énergie libre, mais que les inventeurs ont gardé leur secret :]

[Source : chroniclingamerica.loc.gov]




Noël ou l’ennemi à abattre par tous les déconstruits

[Source : quebecnouvelles.info]

[Illustration : Rue du Petit-Champlain à Noël au Québec (source).]

Par Anthony Tremblay

Nous sommes le 24 décembre. Il n’y pas de neige dehors. Pourtant, pour bien des gens, c’est une journée comme les autres. Notamment les déconstruits qui voient dans Noël une tradition réactionnaire qu’il faut détruire à tout prix. Pourquoi souhaitent-ils s’en prendre à Noël? Quelques réflexions sur le meilleur moment de l’année, et sûrement le plus attaqué également.

Vous vous souvenez de la déclaration de la commission canadienne des droits de la personne? Comme quoi fêter Noël était raciste à l’égard des minorités non chrétiennes? Même Justin Trudeau a senti qu’il devait éteindre le feu et dire que Noël n’est pas une fête raciste. Pourtant, le mal était fait. Québec Solidaire a refusé de voter une motion de la CAQ à l’Assemblée nationale pour condamner ladite commission. C’est que Noël est la cible favorite des déconstruits.

Vous trouverez toujours sur Internet des gens pour dire que Noël est une journée comme les autres, que l’on stigmatise les musulmans qui fêtent le ramadan, mais pas Noël. Pourtant, rien n’est dit sur le fait que littéralement personne dans les communautés culturelles ne souhaite annuler Noël. Que l’on fête Noël dans de nombreux pays musulmans par exemple. Regardez les images de Damas par exemple ces temps-ci, et vous verrez cette ville millénaire du monde islamique être décorée pour Noël avec sapins, guirlandes et lumières. Même chose en Chine, au Japon, en Corée.

Pour les déconstruits, ou les militants woke, Noël représente tout ce qu’ils détestent de l’Occident. Une tradition plusieurs fois centenaire, avec un vieux fond catholique. Ils estiment que Noël est soit une fête trop commerciale, ou bien la manifestation de la suprématie des blancs dans une société multiculturelle qui devraient célébrer les fêtes de toutes les religions, ou n’en célébrer aucune.

Il y a aussi un militantisme venant de certains laïcards ou athées. Noël pour les cadeaux, mais dehors la crèche et les animaux! La messe de minuit? C’est pour les vieux! Toute fête religieuse dérange ces gauchistes souvent plus âgés. Vous voudriez fêter la Saint-Jean-Baptiste? Encore une fête de vieux catholiques dépassés! Chaque fête vaguement associée au passé catholique du Québec est à abattre. Par contre, les fêtes sécularisées importées des États-Unis comme l’Halloween, pas de problème!

Non, Noël n’est pas une journée comme les autres. C’est une fête religieuse célébrée depuis des siècles par nos ancêtres. Vous connaissez l’histoire du premier sapin de Noël installé à la maison des gouverneurs à Sorel? Ou bien la chasse-galerie? Noël est intimement lié à notre histoire canadienne-française. Et ce n’est pas des bureaucrates woke zélés qui y changeront quoique ce soit.




Transparence et indépendance pour tous… sauf pour les ministres ?

La mise en cause de la Ministre de la Santé doit conduire à une révision des lois et procédures « anti cadeaux » !

[Source : formindep.fr]

Par Formindep

En 2021 les services de la DGCCRF ont enquêté et mis au jour des pratiques illégales des Laboratoires URGO qui, afin d’augmenter leurs parts de marché, ont mis en place, entre 2015 et 2021, une stratégie commerciale basée sur l’octroi d’avantages en nature illicites à des pharmaciens d’officine sur l’ensemble du territoire national. En contrepartie de l’achat par le pharmacien de produits de la marque URGO, et de la renonciation au bénéfice d’une remise contractuelle sur le prix d’achat de ces produits par le pharmacien, ce dernier obtenait à titre privé une récompense sous la forme d’un ou plusieurs cadeaux, dont la valeur correspondait au montant de la remise prévue par le contrat. Le système ainsi démantelé représente une fraude massive, d’un montant total estimé à plus de 55 millions d’euros sur la période 2015-2021 (voir ici le compte rendu de la DGCCRF, et ici et deux articles de Caroline Coq-Chodorge dans Mediapart et Rozenn le Saint dans Libération sur le sujet).

L’enquête a abouti à une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité en janvier 2023. Outre la confiscation de plus de 5,4 millions d’euros ayant fait l’objet d’une saisie pénale, deux amendes d’un montant total de 1,125 million d’euros ont été prononcées à l’encontre des Laboratoires URGO. Les services d’enquête de la DGCCRF ont poursuivi les investigations auprès des pharmaciens impliqués, aboutissant à la mise en cause en particulier de l’actuelle et récente Ministre de la Santé, Mme Agnès Firmin Le Bodo, à l’époque pharmacienne au Havre, et qui a confirmé être l’objet d’une enquête à ce sujet.

Rappelons que le fait d’accepter de tels commission ou avantages illégaux est passible d’une sanction en application du dispositif « anti-cadeaux », mis en place dans les suites du scandale du Mediator, et adapté en 2013, sous peine d’un an d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende (Articles L.1453-3 à L.1454-10 du code de la santé publique). En outre, il est facile de constater sur le site Transparence Santé, dans le cas de la Ministre, qu’aucune déclaration n’en a été effectuée (ce qui aurait pu permettre de faire acte de bonne foi). Difficile d’imaginer que Mme Firmin Le Bodo puisse continuer à assurer ses missions dans ces conditions.

Le FORMINDEP a largement et souvent fait état des carences de la loi dans ce domaine, en particulier sur le plan de l’absence de procédures de contrôle des déclarations, et l’absence d’autorité compétente en la matière ; les ordres des professionnels de santé se révélant en règle générale incapables de jouer ce rôle, ne bénéficiant pas des moyens de le faire, comme en témoigne par exemple ce bilan de l’Ordre National des médecins. Cette affaire de grande ampleur est une nouvelle illustration de ces carences, et justifie une révision urgente de la loi.




Barabar, le site archéologique du futur

[Source : BÂTISSEURS DE L’ ANCIEN MONDE (BAM) – JAYAN FILMS]

Il y a 2 300 ans en Inde, 7 chambres ont été taillées à l’intérieur d’énormes roches de granite. Selon notre Histoire, elles seraient des abris contre la pluie offertes par un roi et son fils — ou petit fils — à une secte de mendiants. L’affaire était pour ainsi dire classée… jusqu’à ce que l’on décide de les scanner en 3D : les scans ont révélé une précision de réalisation totalement hors du commun. Une précision de réalisation qui change… tout. Bienvenue au cœur de l’Inde ancienne, dans un chapitre oublié de son histoire qui pourrait bien changer l’Histoire.




Noël à la source !

[Source : nice-provence.info]

Par P‑G. S.

Le Christ figuré en « bon berger ». Notons que les bergers furent les premiers à saluer l’enfant sauveur. Dans cette sculpture conservée au musée du Vatican, Jésus pourrait être Hermès criophoros (« porteur d’un animal »). Tant par la représentation du Christ (imberbe et vêtu de façon gréco-romaine) que par le thème, cette sculpture unit Paganisme antique et foi chrétienne ; autrement dit, les racines de l’Europe millénaire et qui se passerait bien d’une « diversité » migrante imposée par Bruxelles.

Noël est un moment aussi enraciné en Europe que le sont nos cathédrales ou, plus modestement, nos églises de villages

Il semblerait que sa célébration continue à offusquer certaines sensibilités non chrétiennes et les obsédés du « vivrensemble » à tout prix déploient des prodiges d’inventivité pour « gommer » le caractère supposé « ostentatoire » et « agressif » (sans blague !) de cette fête.

Avançons quelques pistes qui, je l’espère, dérangeront quelques grincheux et susciteront interrogations et curiosité chez beaucoup de lecteurs.

Commençons par l’évocation des Rois Mages qui nous transporte immédiatement en Perse avec le culte de Mithra

C’est dans l’évangile de Matthieu qu’il en est question. Et cette mention, ainsi qu’une autre, aussi essentielle, dont nous allons reparler, change totalement le regard que l’on porte sur la naissance du Christ. En effet, ce sont d’abord les bergers qui accourent pour saluer l’enfant divin ; comme, du reste, dans l’histoire de Mithra. Puis viennent les trois Rois Mages. Or, en dehors de la Sainte Famille, ce sont les personnages les plus importants de ce moment. Rien que pour cela, la Crèche et ses santons insupportent à des individus insuffisamment cultivés pour comprendre ce que cela signifie.

En effet, avant de porter turbans et habits évocateurs d’un Orient aussi fastueux que mythique, nos fameux Mages, dans les plus anciennes représentations, sont coiffés du bonnet phrygien, à l’image de Mithra et de son clergé.

Comme on le voit sur cette couverture en ivoire du manuscrit d’Etchmiadzin (Arménie), rédigé en 989, les Rois Mages arborent le bonnet — dit phrygien — de la Perse ancienne, avant son islamisation et, donc, indo-européenne. Ils apportent des galettes striées de losanges toujours présentes lorsque l’on fête les Rois.

Mosaïque de Ravenne : autre représentation des Mages
et, là encore, ils sont coiffés du bonnet phrygien.

Cette venue de trois représentants de la religion d’Ahura Mazda et de Mithra n’a pas manqué d’intriguer les théologiens. On les comprend dans la mesure où c’est la présence de la sacralité perse qui vient rendre hommage à l’enfant qu’attend une destinée hors du commun. Mais pourquoi la Perse ? Dans le légendaire de cette nation, avant que l’Iran n’existe, le peuple qui allait le composer, résidait dans une région boréale, non point blanche de glace, mais merveilleusement verdoyante. C’était l’Âge d’Or et l’harmonie régnait. Puis, en fonction de l’involution cyclique énoncée par l’Inde, la Perse et la Grèce, un froid terrible s’abattit sur ces contrées boréales et la blancheur s’en empara. Une partie de la population se dirigea vers le sud pour découvrir les plateaux de ce qui allait devenir l’Airyanem Vaehja, c’est-à-dire la « terre des Aryas »(([1] Cf. Henry CorbinTerre céleste et Corps de résurrection, de l’Iran mazdéen à l’Iran chiite, Éditions Buchet-Chastel, Paris, 1961, p. 42.)). Le dernier shah d’Iran, Mahammad Reza Pahlavi portait encore le titre de Aryamehr (« Lumière des Aryens »). Mais il faut savoir qu’avant l’anéantissement de son royaume par la glaciation, le roi de ce temps, nommé Yima(([2] Ce nom signifie « jumeau » et se fait évocateur de la double nature, mortelle et immortelle, des êtres primordiaux. De même, le Christ meurt mais, le troisième jour, manifeste son immortalité.)), fit construire, toujours selon la légende, une citadelle souterraine destinée à conserver un certain nombre d’êtres parfaits qui vécurent durant l’Âge d’Or. Et ce, dans le désir de repeupler le monde après les tribulations qu’annoncent les textes sacrés de l’Iran. Comprenons bien que cette thématique se profile en arrière-plan de la venue des Mages.

Conjointement à ces messagers perses, il y a le départ de Joseph, Marie et Jésus pour l’Égypte afin d’échapper aux tueurs du roi Hérode chargés d’assassiner tous les enfants nés durant cette période et, parmi eux, l’éventuel futur « roi d’Israël » prévu par les prophéties. Accompagnant Moïse, les Hébreux s’enfuirent d’Égypte tandis que la Sainte Famille s’y réfugie. Il faut alors imaginer Jésus grandissant à l’ombre des pyramides.

Et c’est précisément cela qui nous intéresse et permet d’établir un parallèle avec la venue des Mages iraniens.

L’un des rôles secrets de l’Égypte aura donc consisté à tracer la direction du Nord (par Ptah) et à souligner, par ses édifices les plus prestigieux (les pyramides considérées dans l’Antiquité comme l’une des Sept Merveilles du monde), le rôle magistral du Pôle.

En parallèle à Persépolis, et c’est bien le cas de le dire puisque la cité perse se situe sur le même trentième parallèle que Gizeh (qui, prolongé vers l’est, passe par le secteur de Lhassa), des guerriers figés dans la pierre semblent veiller sur un secret « polaire » que métaphorise la citadelle du Roi Yima (illustration ci-dessus à droite).

Ce que l’on nomme la « géographie sacrée »(([3] Pour reprendre ici une formule de notre regretté collègue Jean Richer.)) ne doit pas être oublié dans les événements rapportés par saint Matthieu.

La naissance du Christ est donc placée sous la protection de ces deux grands royaumes marqués de façon polaire que sont la Perse et l’Égypte

En fait, l’histoire du Khristós (terme grec, signifiant « oint ») dépasse de beaucoup le simple contexte biblique si l’on prête attention à ce qui est dit par l’ancien publicain, Matthieu, appelé à devenir l’un des douze Apôtres et surtout celui des quatre évangélistes à qui revint l’honneur de commencer le Nouveau Testament.

Bien au-delà d’une Judée sous contrôle romain, la venue des Rois Mages et le refuge en Égypte reconduisent à l’un des thèmes fondamentaux de l’Europe : un énigmatique territoire que mythes et légendes situent au nord du monde (([4] L’Hyperborée, NDLR)). Là, en des temps lointains, se serait constituée une conscience supérieure — « apollinienne » aurait dit la Grèce — de laquelle allaient surgir des civilisations diverses. Il se pourrait bien que ce thème revienne dans les esprits alors qu’on assiste peu à peu au rejet par les peuples d’idéologies mortifères s’acharnant à effacer toute forme d’appartenance ethnique et culturelle profonde au profit d’une humanité déshumanisée, déracinée, homogénéisée et servile.





La République et la destruction du peuple

[Source : Marion Sigaut – Officiel]

Émeutes, manipulations, massacres et finalement extermination d’une population désarmée, les hauts faits d’armes de la République.




L’espace : La nouvelle frontière de la grille de contrôle centrale

[Source : articles.mercola.com]

[Illustration : Getty Images]

Par Dr. Joseph Mercola

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L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

– La journaliste d’investigation Corey Lynn s’entretient avec James White, animateur de NorthWest Liberty News, au sujet de son rapport explosif — L’espace : La nouvelle frontière de la grille de contrôle centrale.

– Après des recherches approfondies, Corey Lynn se dit « 100 % convaincue » que les mondialistes sont en train de mettre en place l’opération centrale de la grille de contrôle dans l’espace.

– Des organisations telles que le Forum Économique Mondial [FÉM] et de nombreuses banques centrales encouragent le déploiement de la grille de contrôle mondialiste.

– Les centres de données basés dans l’espace, alimentés par des systèmes solaires basés dans l’espace, utiliseront des satellites et la blockchain pour créer un grand livre de comptes inviolable, automatisé et permanent pour la gouvernance depuis l’espace.

– Les satellites jouent un rôle de premier plan dans la grille de contrôle mondialiste, et ils sont rapidement lancés dans l’espace ; en 2022, plus de satellites ont été lancés (2 474 pour être exact) qu’au cours de n’importe quelle autre année antérieure.

La journaliste d’investigation Corey Lynn s’entretient avec James White, animateur de NorthWest Liberty News, au sujet de son rapport explosif — Space: The New Frontier for the Central Control Grid (L’espace : La nouvelle frontière de la grille de contrôle centrale).1 En bref, après des recherches approfondies, Lynn se dit « 100 % convaincue »2 que les mondialistes sont en train de mettre en place l’opération centrale de la grille de contrôle dans l’espace.

Les villes intelligentes, avec leurs compteurs intelligents connectés, mettent en place l’infrastructure nécessaire à une surveillance généralisée, tandis que les cartes d’identité numériques permettent de tout savoir — vos finances, vos informations de santé, vos antécédents professionnels et votre score de crédit social — en un seul endroit. Cela signifie que les mondialistes peuvent surveiller et contrôler vos dépenses et votre utilisation des ressources. Mais au lieu d’être gérées dans des villes individuelles, les opérations basées dans l’espace offrent une couverture plus large — de véritables « yeux dans le ciel »3.

« Ils regroupent beaucoup de responsabilités et de pouvoirs au sein de la Space Force », explique M. Lynn. L’U.S. Space Force est la sixième branche de l’armée américaine et, en octobre 2023, elle a accordé un contrat de 70 millions de dollars à Space X pour les satellites militaires Starshield4, destinés à « soutenir la sécurité nationale » par le biais de l’« observation de la Terre » et d’autres mesures5.

Une grille de contrôle centrale sans juridiction

Des organisations telles que le Forum Économique Mondial et de nombreuses banques centrales encouragent le déploiement de la grille de contrôle mondialiste. Une fois en place, il pourrait être impossible ou presque de vivre sans identité numérique et sans les monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

Pourtant, Lynn note : « Il ne semble pas que les CBDC soient nécessaires pour que le plan d’ensemble se mette en place, du moins pas tout de suite. Les banques seront la force motrice qui fera entrer tout le monde dans l’ère des codes QR, de la biométrie et de la tokénisation ».6 La raison pour laquelle l’espace est l’endroit idéal pour positionner la grille de contrôle est due à son manque de surveillance et de juridiction. Dans son rapport, Lynn explique :7

« Et si vous aviez la possibilité de construire le centre opérationnel central pour l’ensemble du réseau de contrôle à partir d’un lieu sans juridiction réelle, sans accessibilité ni surveillance ? Et si la source d’énergie massive dont vous avez besoin pour mener à bien cette opération pouvait être exploitée sous le couvert du “changement climatique” de manière accélérée ?

Et si vous pouviez disposer d’une surveillance et d’un armement complets avec une infrastructure financière entière en place dont les données se trouvent dans la paume de votre main pendant que vous contrôlez les leviers ? »

Le rapport cite plus de 160 éléments de preuve montrant comment « l’infrastructure centrale de la grille de contrôle de tous les actifs est en cours de construction, un pas de géant avec l’agenda de la monnaie numérique ».8 Les centres de données basés dans l’espace, alimentés par des systèmes solaires basés dans l’espace, utiliseront des satellites et la blockchain pour créer un grand livre de comptes inviolable, automatisé et permanent pour la gouvernance de l’espace.

« Ils ne peuvent pas construire des centres de données spatiaux alimentés par des systèmes solaires spatiaux qui alimentent des satellites pour maintenir le flux de données vers des satellites spéciaux appartenant au gouvernement sans incorporer la blockchain pour maintenir un enregistrement et gérer les jetons mondiaux de chaque actif, y compris les humains, n’est-ce pas ? » demande Lynn9.

L’infrastructure est déjà en place

Lynn explique que les entreprises de satellites et de technologie, ainsi que les agences spatiales et les gouvernements, affirment que les centres de données dans l’espace, ainsi que la diffusion de l’énergie du Soleil vers la Terre, sont nécessaires pour éviter une catastrophe écologique10.

« C’est une excellente couverture. Alors que certains prétendent que ce serait la façon la plus rapide de procéder, ce qui leur permettrait de contrôler l’espace, d’autres affirment que nous avons besoin des deux — de l’énergie solaire dans l’espace et sur terre. Il s’agit bien sûr de continuer à capitaliser sur l’industrie terrestre, tout en mettant en place des politiques et des réglementations qui détruisent les industries et les personnes afin que le réseau de contrôle de l’espace puisse régner. »

Depuis les années 1970, l’énergie solaire spatiale est considérée comme un moyen de remplacer les combustibles fossiles. Un rapport11 de septembre 2021 commandé par le Royaume-Uni suggère également qu’elle pourrait produire 10 GW d’électricité par an d’ici 2050, soit environ un quart de la consommation d’énergie du Royaume-Uni. L’énergie solaire spatiale est également présentée comme un outil permettant d’alimenter des foyers ou des pays entiers, à un prix inférieur de moitié à celui de l’électricité produite sur Terre. Lynn poursuit :12

« Pour mettre en place un système de monnaie numérique complet avec la blockchain, il faudrait que les populations réduisent leur consommation d’énergie d’un tiers, car il s’agit d’une source d’énergie massive. Cependant, des systèmes solaires basés dans l’espace pour alimenter les satellites où la grille de contrôle fonctionnerait pourraient minimiser considérablement la nécessité de réduire l’énergie sur terre tout en accélérant la grille de contrôle dans l’espace…

Les propriétaires de cette infrastructure pourraient alors techniquement vendre l’électricité à n’importe quel pays. Ne serait-ce pas amusant si cela devenait la principale source d’énergie et s’il suffisait de couper le faisceau quand on le souhaite ? Il s’agit plus probablement d’une histoire de couverture pour alimenter le réseau de contrôle dans l’espace… Après tout, la monnaie numérique, la blockchain et la tokénisation nécessitent un approvisionnement en énergie sans fin pour fonctionner. »

Le Japon, la Chine, la Russie, l’Australie, la Grande-Bretagne, l’Arabie saoudite et les États-Unis ont déjà lancé des initiatives en matière d’énergie solaire dans l’espace. Aux États-Unis, le programme Space Wireless Energy Laser Link (SWELL) a été lancé en mars 2023. Selon Lynn :13

« En utilisant des émetteurs laser et des récepteurs photovoltaïques, ils ont établi des liaisons de téléportation d’énergie, ce qui signifie qu’ils ont été en mesure de fournir de l’énergie par le biais d’ondes électromagnétiques de manière instantanée. Ils affirment que ce procédé est sûr et qu’il peut être utilisé pour distribuer de l’énergie sur la Lune, dans d’autres endroits de l’espace et, éventuellement, sur la Terre à partir de satellites. En juillet, ils ont annoncé qu’ils avaient dépassé les 100 jours de fonctionnement réussi du laser en orbite.

… Il est clair qu’il y a une course pour fournir de l’énergie dans l’espace, mais il se peut que certains de ces “faisceaux d’énergie” soient transportés sur Terre comme une nouvelle industrie de blanchiment d’argent et pour se couvrir. Une question se pose : quel sera l’impact de toutes ces ondes électromagnétiques et de ces lasers sur les compagnies aériennes, les oiseaux ou les personnes ? Le plus inquiétant est de savoir si ces faisceaux électromagnétiques pourraient être accompagnés d’une série de fréquences altérant l’esprit. »

Les satellites jouent le « rôle le plus important » dans la mise en place du réseau de contrôle

Les satellites jouent un rôle de premier plan dans la grille de contrôle mondialiste, et ils sont rapidement lancés dans l’espace. En 2022, plus de satellites ont été lancés (2 474 pour être exact) qu’au cours de n’importe quelle autre année antérieure, et en juin 2023, 11 330 satellites étaient en orbite. D’ici la fin de la décennie, il pourrait y avoir jusqu’à 150 000 satellites dans l’espace.

« La croissance est exponentielle, avec une augmentation de 53,84 % des satellites de communication, de 13,30 % des satellites d’observation de la Terre et de 7,53 % des satellites de développement/démonstration de technologies depuis janvier 2022 », note M. Lynn. « Les États-Unis dépassent tous les autres pays avec près de huit fois leur nombre de satellites dans l’espace, suivis de la Chine, du Royaume-Uni et de la Russie »14.

Entre-temps, le FÉM a mis en place le premier système d’évaluation de la durabilité spatiale (Space Sustainability Rating — SSR) pour réduire les débris dans l’espace, et l’industrie spatiale, d’une valeur de 350 milliards de dollars, devrait atteindre plus de 1 000 milliards de dollars d’ici 2040.15 Toutes les entreprises spatiales — dont les plus importantes sont Boeing, SpaceX, Raytheon, Lockheed Martin, Northrop Grumman, Blue Origin, Sierra Nevada, Astra, Virgin Galactic et General Dynamics — sont impatientes d’obtenir une part de ce gâteau. Lynn explique :16

« Les satellites stockent et déplacent des données, la blockchain fait son chemin vers ces données, le système financier numérique s’accélère, la grille spatiale surveille, les systèmes solaires et de données basés dans l’espace sont en cours de construction, et les lois (ou l’anarchie) de la gestion de cette opération complète dans l’espace sont de leur côté, ce qui coïncide parfaitement avec les nombreuses immunités et les privilèges dont jouissent déjà les banques centrales et de nombreuses organisations.

Imaginez que vous puissiez gérer un réseau de contrôle depuis l’espace, avec une surveillance mondiale, la capacité de produire de l’énergie 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de conserver et de stocker toutes les données, de manipuler la météo et l’atmosphère, de disposer d’armes capables d’émettre des fréquences pour modifier les comportements ou d’incinérer instantanément des quartiers avec des armes à énergie dirigée. Imaginez. Tout est sur la table et la concurrence est palpable ».

Space Fence — Le radar le plus avancé au monde

On estime que 200 000 débris spatiaux d’une taille comprise entre 1 et 10 centimètres flottent dans l’espace. Le réseau de surveillance spatiale des États-Unis (Space Surveillance Network — SSN) suit également 15 000 autres débris spatiaux de plus de 10 centimètres (cm) de diamètre. En ce qui concerne les débris spatiaux de moins d’un centimètre, leur nombre pourrait s’élever à plusieurs millions.17

Une fois en orbite, les débris n’y restent pas nécessairement. Les débris de faible altitude — moins de 600 km — resteront en orbite pendant quelques années avant de retomber sur Terre. Mais les débris spatiaux en orbite à 1 000 km dans l’espace peuvent circuler pendant des centaines d’années.18 Une fois dans l’espace, même de minuscules débris d’une taille inférieure à 1 mm peuvent être catastrophiques en cas de collision.

La Space Fence de Lockheed Martin, exploitée par l’U.S. Space Force, a été présentée comme un outil avancé pour surveiller les débris spatiaux. Décrit comme le « radar le plus avancé au monde », le système peut détecter, suivre et mesurer les objets spatiaux, y compris les satellites et autres débris en orbite terrestre basse.

Lockheed Martin indique que « selon la Space Force, le système est le radar de recherche le plus sensible du SSN, capable de détecter des objets en orbite aussi petits qu’une bille en orbite terrestre basse (OTB) »19.

Mais Lynn souligne que « Space Fence ne sert pas uniquement à repérer les débris. Le 20e escadron de surveillance spatiale de la base aérienne d’Eglin est un escadron de 250 membres qui assure 24 heures sur 24 les opérations de commandement et de contrôle de deux systèmes d’armes : le radar à réseaux phasés et la barrière spatiale »20.

Peut-on stopper la grille de contrôle ?

Lynn insiste sur le fait que son rapport n’a pas pour but de susciter la peur, mais plutôt de faire prendre conscience de ce que les mondialistes préparent — et de fournir des informations préalables dans l’espoir de faire échouer certains de ces plans21.

« Il est clair qu’une course à l’espace et une course à la monnaie numérique se déroulent simultanément. Alors quils nont pas besoin des CBDC pour verrouiller les mécanismes de contrôle, ils ont l’intention de les intégrer aux systèmes de paiement rapide et ils sont déjà prêts à les mettre en œuvre dès qu’ils auront le feu vert…

Il est également évident qu’ils ont toujours l’intention d’utiliser les banques pour piloter les codes QR et la biométrie, qui serviront en fin de compte d’identification numérique ou de “laissez-passer”.

… Le complexe militaro-industriel de l’espace passe à la vitesse supérieure, avec beaucoup plus de responsabilités transférées à la Space Force. Les États-Unis et d’autres pays ont consacré beaucoup d’argent à la construction d’infrastructures et à l’installation de satellites et de systèmes de surveillance dans le ciel.

Bien qu’ils aient tous des objectifs communs, la concurrence est bien réelle. Le niveau d’armement et les mécanismes de contrôle déjà en place prouvent qu’ils ne plaisantent pas.

Les livres blancs, les financements, les décrets et les documents relatifs aux nanotechnologies, à la biosécurité, aux puces cérébrales et à la capacité de transférer des pensées et des communications d’un humain à l’autre par le biais de la technologie montrent que le programme du transhumanisme semble de plus en plus plausible. Les robots et l’IA sont destinés à notre avenir, si l’on en croit la vitesse à laquelle ils développent l’apprentissage automatique et d’autres technologies.

En tenant compte de toutes les informations contenues dans ce rapport, et de beaucoup d’autres qui n’y figurent même pas, je pense qu’ils construisent les principales opérations centrales de la grille de contrôle dans l’espace, équipées d’une surveillance complète, de nœuds dans toutes les villes, de centres de données, d’Internet, de systèmes solaires pour alimenter les satellites et les centres de données, d’un ensemble d’armes, d’une infrastructure financière basée sur la blockchain, et probablement en équipant les téléphones cellulaires de matériel et de logiciels supplémentaires qui ont des données biométriques et s’intègrent mieux à leur système de surveillance par satellite. Tout cela est très intelligent. »

Vous vous demandez peut-être ce que vous pouvez faire. Sortez autant que possible de la grille de contrôle. D’un point de vue financier, Catherine Austin Fitts, gourou de la finance et éditrice du Solari Report22, recommande de penser petit et de répartir ses liquidités dans différents endroits, y compris en dehors du système bancaire et de courtage.

Gardez vos liquidités à la maison, dans un ou deux coffres-forts ignifuges ; vous pouvez également les conserver dans un dépôt, une banque locale et un coffre-fort dans une banque locale — ou tout cela à la fois. Utilisez de l’argent liquide pour tout ce que vous pouvez, et ne soutenez pas les établissements qui n’acceptent plus d’argent liquide. Faites de petits achats locaux, y compris pour votre nourriture, en soutenant les agriculteurs locaux plutôt que les géants de l’industrie.

Vous pouvez également vous débarrasser de votre smartphone, que Lynn décrit comme une « arme de surveillance et plus encore ». Toutes ces actions — si elles sont menées par un nombre suffisant de personnes — peuvent avoir un effet puissant sur la protection de la liberté et de l’autonomie. Lynn dit :23

« Je crois que tout ce que nous faisons pour ne pas nous plier aux tyrans a un impact, la diffusion d’informations importantes est essentielle et, surtout, le fait de passer à une conscience supérieure et de reconnaître notre véritable pouvoir inné et la capacité que nous avons de manifester la réalité que nous voulons pour notre avenir est de loin l’outil le plus puissant de notre boîte à outils. »

[Voir aussi :
Ne plus nourrir la Bête
et
Libérez-Vous !]

Sources et Références

1 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

2 Rumble, Dig It! #202: Space: The New Frontier for the Central Control Grid — Special Report October 30, 2023, 3:15

3 Rumble, Dig It! #202: Space: The New Frontier for the Central Control Grid — Special Report October 30, 2023, 4:47

4 Space October 2, 2023

5 SpaceX, Starshield

6 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

7 Idem

8 Idem

9 Idem

10 Idem

11 UK Government Space Based Solar Power

12 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

13 Idem

14 Idem

15 Idem

16 Idem

17 Britannica Space Debris

18 Idem

19 Lockheed Martin, Space Fence

20 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

21 Idem

22 The Solari Report

23 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023




L’idéologie contre la science et la médecine

[Source : Chaîne officielle TVL]

Nicole Delépine est pédiatre et oncologue en retraite, Gérard Delépine est chirurgien orthopédiste et oncologue en retraite. Après une vie professionnelle marquée par un engagement total au service des malades et tout particulièrement des enfants, ils poursuivent inlassablement leur mission pour alerter le plus grand nombre sur les dangers qui menacent tous les pans de la santé publique.

Leur dernier ouvrage, Dysphorie de genre, publié aux Éditions Fauves, (disponible ici 📖 https://boutiquetvl.fr/notre-selection/nicole-et-gerard-delepine-dysphorie-de-genre) n’échappe pas à la règle. Il est un manuel pour comprendre, décrypter et résister à la propagande woke qui contamine les écoles et déboussole les enfants jusqu’à leur nuire dans leur être profond.

À l’heure du relativisme, de la corruption généralisée, des études tronquées et caviardées, d’une science idéologisée et d’une médecine mise en coupe réglée par l’État, ils publient un livre édifiant sur les ravages de la promotion de la dysphorie de genre.

Nicole Delépine et Gérard Delépine expliquent combien le seul souci fondamental d’un bon médecin doit être la prise en charge du patient dans sa singularité, dans une atmosphère de confiance totale, seul principe lui permettant ensuite de donner son consentement éclairé.




COVIDISME, CLIMAT ET WOKISME : LES NOUVELLES RELIGIONS ; Les Religions Postchrétiennes Occidentales 

[Source : planetes360.fr]

Par Aldo Sterone

Contrairement à ce qu’aime affirmer une certaine presse qui me « décode » régulièrement, je ne suis pas conspirationniste. Au contraire, je crois que les choses sont ce qu’elles ont l’air d’être.

On ne peut pas me pisser dessus et dire qu’il pleut. Si ceci arrive, je vais te dire : mais c’est de l’urine ce truc ! À ce moment, le décodeur va intervenir : le liquide en question n’a pas été soumis à des laboratoires certifiés. Il n’y aucune preuve qu’il s’agit d’urine comme l’affirmait Aldo Sterone dans un Tweet partagé cinq mille fois en début de semaine…

[Source : Amazon]

Chapitre Premier
Où l’on fait connaissance et nous nous échangeons plein de points Godwin.

Ça fait trente ans que j’ai quitté mon pays natal, l’Algérie, pour débarquer en Occident, ou ce qu’il en reste. En 1991, pendant que je regardais défiler les côtes d’Oran, de Mostaganem et de Chlef depuis le hublot du 737-200 qui entamait son vol vers Genève, les premiers islamistes prenaient le maquis. Dans de nombreuses villes du pays, les groupes terroristes s’organisaient et recrutaient. Les premières armes automatiques circulaient ; pas au grand jour encore.

Une guerre bestiale, une véritable boucherie, était sur le point de se déclencher. Elle n’allait épargner personne. Pas une famille qui ne sera touchée durant ce qu’on nomma par la suite « la décennie noire ». Cette appellation, incluant la couleur noire dans un contexte négatif, serait considérée comme douteuse dans l’Occident d’aujourd’hui. Essayez de balancer un « noir de monde » dans un VTC parisien pour voir…

La guerre civile sur fond de religion exacerbée ne nous est pas tombée dessus du ciel (le jeu de mots est accidentel). Elle faisait suite à dix ans, les années quatre-vingt, d’hystérie collective autour d’idéologies importées et introduites de force dans notre société.

En tout cas, j’étais jeune et naïf. Le cœur plein d’espoirs et de rêves, en quittant l’Algérie, j’avais l’impression de m’évader d’un asile psychiatrique. Je ne savais pas que j’allais atterrir dans un autre…

En Algérie, nous avions une seule religion. En Occident, il y en a mille. Après sa déchristianisation à pas forcés, ce monde a développé un rapport dogmatique et malsain avec tout ce qui l’entoure ; de la religiosité sans religion dirait René Guénon. L’Occident a aussi ses idéologues, ses intégristes, ses officines de chasse aux sorcières. En plus de tout ce monde, il a les islamistes également. Le Covid, l’Ukraine, les LGBT+, le Brexit, la vaccination… chaque sujet est religion.

Dans ce livre, les problèmes de ce monde seront couverts sous un angle particulier : celui de la France. Le même agenda se déroule au Royaume-Uni, en Suisse, en Belgique… dans pratiquement tout le monde Blanc postchrétien. On exclut la Russie qui reste en dehors tant que Poutine sera à sa tête. Le jour où il partira, ce grand pays sera une priorité pour les forces de destruction. Ou bien elles tomberont sur un autre os, ou bien on verra un grand chantier démolition pour rattraper le retard sur la feuille de route.

Ce monde, dont la France n’est qu’un cas particulier, est en plein coulage. Cette chute inexorable n’est pas un accident, ni une fatalité. Elle correspond au déroulement d’un plan, d’un agenda bien huilé. Il est impossible que des actions aussi diverses et variées viennent s’emboîter comme par magie et concourir dans la même direction sans qu’il y ait une intention derrière. Nier l’existence d’un plan est une position intellectuellement intenable. C’est comme prétendre qu’un tas de pièces détachées renversées par un tremblement de terre se soient organisées, agencées et structurées par hasard pour fabriquer une voiture prête à circuler. C’est croire à la génération spontanée.

Rassurez-vous, l’existence d’un agenda ne suppose nullement l’existence d’un méchant au ricanement diabolique caressant un chat endormi d’une main couverte de bagues et de tatouages représentant des têtes de mort. L’organisation derrière le plan est plus subtile. L’époque est à la décentralisation. On dirait même à l’uberisation. Le plan n’est pas une liste d’ordres à destination de personnes précises ; ce n’est pas non plus une recette de cuisine. C’est plutôt une plateforme diffuse. Au plus fort, elle impliquera des millions de personnes qui agissent chacune pour une raison différente, mais toutes dans la même direction. L’auteur du plan se fiche pas mal pourquoi telle ou telle personne y participe. L’important est que l’agenda avance. Certains y viendront par appât du gain, d’autres par idéologie, ou par conformisme, ou par lâcheté, ou parce qu’ils ne « faisaient que leur travail »… chaque participant en bout de chaîne ne voit que sa pièce du puzzle, mais jamais l’image entière.

Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis utilisaient les trains pour déporter des familles entières depuis les territoires sous leur zone d’influence. Rien que le 16 et le 17 juillet 1942, c’est 4115 enfants, 2916 femmes et 1129 hommes qui ont été raflés par la police française et entassés dans le Vélodrome d’Hiver à deux pas de la Tour Eiffel. Au-delà de l’horreur du crime, cela montre comment à l’époque tout était centralisé ou concentré au même endroit. D’où l’idée des camps de concentration.

Serait-on capable de perpétrer les mêmes crimes aujourd’hui ? Certainement. Avec les mêmes méthodes ? Probablement pas. Tout d’abord, si on devait déporter de nos jours, on n’utiliserait pas le train nécessairement. En effet, pour la régularité, il faudrait créer des « contrats déportation » et les ouvrir à la concurrence. Les entreprises de transport aérien, routier et ferroviaire soumettraient leurs offres. Naturellement, on ne retiendra pas la plus efficace, ni la moins chère, mais celle qui offre les meilleurs pots-de-vin, qui finance les campagnes électorales ou qui offre un poste de cadre supérieur au petit qui vient de finir son université. C’est ce qu’on appelle pudiquement « le marché libre ».

En réalité, ça ne se passerait pas complètement ainsi de nos jours. Nous vivons dans un monde décentralisé. À quoi bon rassembler les gens dans un vélodrome puis les transporter vers des lieux de concentration ? En plus, avec ce genre de procédures, on finira toujours par mettre trop de responsabilités entre peu de mains. Regardez Maurice Papon ! Il a été poursuivi pour avoir déporté 1600 juifs. Avec la décentralisation, ça ne serait plus possible parce que le crime serait dissous entre beaucoup d’intervenants tellement ubérisés que nul n’y serait à plein temps ou ne comprendrait à quoi il a participé. Il n’y aura plus de « gardien de camp de concentration entre 1941 et 1943 », mais uniquement des gens qui « font des heures » qu’ils traquent sur une « appli » qui affiche les sous qui rentrent. Le gars est sur un mirador entre 13 h et 17 h 15 et le soir il frappe chez les gens pour livrer des pizzas. Le matin, il conduit un van qui se gare comme une loque pour décharger une cuisinière à gaz achetée en ligne à tempérament sur le site d’une grande enseigne. L’après-midi, il livrerait des canettes de Zyklon-B et comme personne n’est là pour signer, il les laisserait devant l’entrée et des gamins viendraient piquer le consignement et l’ouvrir sur une aire de jeux.

Honnêtement, si le crime était commis aujourd’hui, on aurait 12 millions de morts, mais 120 millions de coupables.

Je n’ai encore jamais participé à un peloton d’exécution, mais on dit qu’il y a toujours un fusil chargé à blanc et on ne sait pas qui le porte. Ça permet à chacun de se dire plus tard : « c’était peut-être le mien » et ainsi dormir plus tranquillement. Notez la faillite morale dissimulée par un micro-string. Si la personne se joint au peloton, pointe un fusil et tire, le reste, c’est du détail. Le fait que le fusil ne marche pas ou qu’il n’était peut-être pas chargé ne change rien au fait que l’intervenant a participé à une exécution. Si on veut faire une virée sur le plan physique, tirer avec un fusil chargé offre un tel recul (ça tape fort sur l’épaule) qu’il est difficile de ne pas s’en rendre compte.

Dans le paragraphe plus haut, remarquez comme le fusil est chargé à « Blanc ». Cela veut dire qu’il ne tue pas. Qu’il n’est pas dangereux. Décidément, il y a beaucoup de justice sociale à faire sur la langue. Un gros chantier de déconstruction.

La digression sur les pelotons d’exécution vient de mon côté africain. D’ailleurs ce livre n’est rien d’autre qu’une vision africaine de l’Occident. Quand il est à l’école, l’Occidental se tape un zéro pour un hors sujet. Des légions de profs sont chargées par l’éducation nationale de détruire tout germe de pensée humaine chez les têtes blondes (ou ce qu’il en reste. Les Jules et les Prosper ne seront pas la France de demain). On leur impose une pensée structurée et organisée en silos. En fait, c’est de la pensée dirigée qui doit rester dans les limites imposées ; penser, mais pas trop. Écrire une dissertation sur la Seconde Guerre mondiale peut ramener un 17 sur 20. Parler de ceux qui l’ont financée est un hors sujet valant zéro. Dans notre monde, tout est connecté à tout. Or, travailler sur ces connexions est un réflexe anti-pavlovien. Des millions de gens se contentent d’une vision zoomée, comme au microscope, sur un aspect précis du problème. Dès qu’on cherche à dézoomer, les coups de bâton arrivent sur la tête. Seuls vos maîtres qui planifient votre sort ont le droit de voir la vision globale de l’image que forme le puzzle. Le citoyen moyen doit rester avec des miettes d’image qu’il tournera dans sa tête sans jamais comprendre. Cette incompréhension nourrira ses peurs, ses angoisses, ses inquiétudes et le rendra enfin mûr à être manipulé.

Un homme manipulé (ou manipulée) deviendra, sans s’en rendre compte, l’ennemi de sa famille, de sa nation et même de sa propre personne. Il soutiendra ses oppresseurs. Il répètera leur propagande comme un perroquet. On hésite entre le bousculer mentalement, le prendre en pitié ou bien lui offrir un sachet de cacahuètes de production organique et carbone neutre.

Je disais que la pensée africaine dont ce livre est l’issue est déstructurée. Pour ceux qui font l’informatique, c’est une sorte de NoSQL. L’absence de structure formelle permet d’associer des données non semblables sans relation entre elles et qui seraient impossibles à faire tenir ensemble dans un cadre où une structure forte est imposée.

Connaissant mes lecteurs, je perçois d’ici l’agacement de certains : mais alors toi l’Einstein africain, si votre pensée est si puissante, pourquoi vous vivez dans la galère sur votre vaste continent et que nombre d’entre vous ne rêvent que d’immigrer chez nous ? Présentement, nous ne sommes ni plus ni moins intelligents que les Occidentaux. Nous avons nos forces et nos travers, mais ceux-ci sont différents des vôtres. Quelque part, nous sommes complémentaires. C’est pour cela aussi que j’écris ce livre.

L’Occidental a une très forte intelligence organisationnelle. Nous l’admirons pour cela. Là où il est capable de lancer une industrie qui emploie 100 000 personnes et conquiert le monde, nous ouvrons un atelier avec deux cousins et un copain. Notre structuration est si faible, que nous n’arrivons même pas à faire respecter des règles collectives aussi simples que le Code de la route. Chaque fois que je débarque en Algérie, je vois des morts : des bus dans des ravins, des taxis renversés, des piétons dans un arbre, un motard porté disparu, un carambolage dans le brouillard, un camion-citerne qui déchire une Renault 4 TL pleine de pommes de terre, une mobylette qui rentre dans une boulangerie à plus de 80 km/h, un vélo qui se prend un portail, un accident face à face, une Dacia sous un semi, un tracteur renversé… C’est le prix de la liberté.

Je n’ai pas toujours pensé ainsi. Au départ, à mon atterrissage en Suisse, j’admirais l’ordre et l’organisation. Le courrier A qui arrive exactement le lendemain. Le courrier B arrive dans deux jours. Le bus qui vient à l’heure. Le croyez-vous ? ils avaient même des tables, genre Excel, avec les heures exactes de passage. Ça donnait des trucs du style : 10 h 17, 10 h 33, 10 h 41… et ça marchait. Il m’arrivait d’observer le manège montre en pogne juste pour la beauté de la chose. En Algérie, nous avions le bus 34, celui de la cité des 200 logements, qui ne passait plus parce que des jeunes se sont bagarrés avec des contrôleurs puis ça a fini avec un parpaing dans le pare-brise et une grosse fitna. Tu peux devenir fou quand tu passes d’un monde à l’autre, moi je te le dis.

Maintenant, il faut aussi voir le bon côté des choses. Si Adolf Hitler avait surgi en Algérie, nous l’aurions appelé « Moustache » et ses projets n’auraient pas pu aller trop loin. Si tu veux construire un camp d’extermination près d’Alger, je vais te dire ce qui va se passer. Cinq ans après le début du projet, nous attendons toujours les autorisations nécessaires. Puis, on change de chef de projet et le nouveau venu découvre que le budget a été détourné et que les caisses sont vides. Le terrain pressenti pour la construction est inondable. Le matériel laissé sur place a été volé sauf un engin trop lourd pour être pris, mais qui a été vandalisé par des jeunes qui s’amusaient. Le Zyklon B vient de Chine. Il est bloqué au port parce qu’il manque des documents. On graisse la patte à un douanier qui promet de s’en occuper puis on apprend qu’il a été arrêté dans une affaire de viande d’âne alors qu’il revenait d’un pèlerinage à la Mecque. Enfin, quand les canettes de gaz arrivent, elles sont éventées et ce sont peut-être même des fakes parce que le gars qui s’occupait des achats s’est arrangé avec son frère qui tient une boucherie hallal à Barbès pour fabriquer un société écran et commander du faux gaz surfacturé.

Si nous avions besoin de commettre un crime pareil dans mon pays d’origine, nous devrions probablement faire appel à des entreprises allemandes. Même Saddam, quand il a voulu bombarder les Kurdes, a fait venir les gaz de chez Heberger AG (prononcer le G comme dans hamburger) et Karl Kolb Gmbh. Pour des raisons évidentes, l’opinion publique allemande est généralement très sensible sur les crimes utilisant des produits chimiques sauf quand ce sont des sous-hommes qui se font tuer.

Avant de critiquer, laissez-moi vous dire quelque chose : j’ai déjà vécu en Allemagne. Toutes ces histoires de mémoire, c’est du folklore germanique. À force de répétition, c’est devenu un peu comme ces fêtes de village ou parfois interviennent des acteurs masqués et des chorégraphies étranges, mais que peu de gens savent expliquer. Il faut parfois remonter loin dans l’Histoire pour trouver des événements, parfois tragiques, à l’origine de ces fêtes. Ça se passe ainsi en Allemagne : des courbettes mémorielles, des salamalecs, de la contrition, mais prêts à recommencer demain matin.

En Afrique, notre désorganisation nous empêche de fabriquer des industries de large échelle et viables. Dans le même ordre d’idée, elle nous empêcherait d’industrialiser l’horreur. Hors guerres civiles, un dictateur africain c’est cinquante morts par décennie. Les plus ignobles tournent autour de 2 ou 3 kilomorts par mandat.




Brigitte Bardot : « La France est foutue mais elle peut renaître »

[Source : Valeurs actuelles]

[Illustration : Brigitte Bardot avec un galgo, ce lévrier espagnol exploité par les chasseurs. La cause animale est le combat de sa vie. Photo © Fondation Brigitte Bardot]

ENTRETIEN. À 89 ans, « BB » n’a rien perdu de son énergie, de sa colère et de sa liberté. La légende du cinéma et militante de la cause animale s’est longuement confiée à Valeurs actuelles sur le combat de sa vie, sa foi, la droite et l’avenir du pays.

Par Amaury Brelet et Quentin Hoster

Valeurs actuelles : Comment vous sentez-vous, en cette fin d’année, après vos petits soucis de santé cet été ?
Brigitte Bardot :
Je vais très bien. Mes petits soucis sont passés très vite, c’était la chaleur, je ne supporte pas la canicule.

Nous voici à Noël, fête de moins en moins religieuse et de plus en plus commerciale, avec sa consommation débridée, ses cadeaux, son foie gras. Cela ne doit pas ravir la croyante et l’amoureuse des animaux que vous êtes…
C’est désolant. Noël est la plus sacrée des fêtes chrétiennes. C’est la naissance de Jésus, le début d’une ère nouvelle dont nous allons fêter le 2024e anniversaire, la naissance d’une religion, le catholicisme. Le petit Jésus est né dans une étable réchauffée par l’haleine du bœuf et de l’âne, dans une simplicité et un dépouillement exemplaires. Cette débauche de luxe, la somptuosité des repas, le tralala impudique du commerce qui entourent cet événement sont en totale contradiction avec ce qu’il devrait être, hélas ! Les animaux en payent très cher le prix. Moi, je fêterai Noël en famille avec mes animaux.

Puisqu’il est un symbole chrétien, Noël est désormais dans le viseur des déconstructeurs, qui veulent l’effacer ou n’osent même plus le nommer ?
Voilà encore une de ces nouveautés sorties du cerveau malade de nos contemporains qui salissent tout ce qui est beau, pur, vrai, pour moderniser et mondialiser les valeurs ancestrales et traditionnelles auxquelles il serait sacrilège de toucher. Le « wokisme » est une mode ridicule. Or, je n’admets pas qu’on salisse ou qu’on ridiculise le sublime.

Les Français le savent peu, mais vous êtes croyante et très attachée à certaines grandes figures de l’Église. Quel rapport entretenez-vous avec la foi ?
Je suis croyante à ma façon. J’ai des rapports directs avec celle que j’appelle « ma petite Vierge » sans passer par des intermédiaires. Je l’aime parce que c’est une femme et que le bon Dieu est débordé, j’ai une communication charmante avec elle. Elle m’a beaucoup protégée dans ma vie, sinon, je ne serais plus là. Saint François d’Assise, lui, est mon guide, mon phare, mon… (Lire la suite sur valeursactuelles.com)



[Source : sudouest.fr]

Tout y passe, à commencer par le pape François II. « C’est un branquignol », qui fait « un mal de chien à l’Église », assène Brigitte Bardot qui assure : « On dirait un représentant du diable ». L’occasion d’évoquer le président de la République Emmanuel Macron, « pire que le pape », étant donné son « inaction, sa lâcheté et son mépris des Français ». Bref, « nul dans tout ce qu’il fait ».

La France, elle, est « foutue pour le moment. Mais avec une reprise en main par un gouvernement autoritaire et avec des couilles, elle peut renaître de ses cendres ». Salut qui ne passera pas par EELV. « Les écologistes, je ne peux pas les voir. »




Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?

[via santeglobale.world]

Rien de biologique dans les vaxxins, que des nanotechnologies métalliques. L’être humain est « hacké », implanté, hybridé avec des matériaux synthétiques… on fabrique des transhumains ! La pandémie de graphène est en route.

À 1 h 15 Dominique GUILLET (Xochipelli) apporte sa vision du danger de la graphénisation de l’humanité. Depuis un siècle, les vaxxins sont des armes léthales. Il montre que Raoult, Fouché, Henrion-Caude et d’autres n’ont rien compris au vrai problème : le graphène et autres particules métalliques qui sont partout et ont pour but de génocider l’humanité (avec la 5G).

Delgado (Quinta Columna) : il y a des « prédateurs invisibles », des « entités énergétiques » (les Archontes) qui se nourrissent des émotions négatives et de la souffrance humaine et agissent à travers la franc-maçonnerie et les gouvernements. Il s’agit d’une « lutte pour les âmes ». Les prédateurs passent inaperçus en contrôlant les institutions et en traitant de « non scientifiques » ceux qui leur résistent.

Ceux qui occultent le graphène sont les jouets des forces sataniques… Graphène et 5G sont des outils pour neuromoduler ou tuer les êtres humains.

D’autres civilisations avant la nôtre ont été implantées, domestiquées, manipulées, parasitées…

Tout le monde a été trompé, sur toute la planète, avec la supercherie vaxxinale.

Combien faut-il de millions de gens conscients pour lever enfin le « Secret Défense » qui règne encore ?

Chacun, ayant reçu ces informations capitales, doit se repositionner et sortir de cette « usine du mensonge ». Aucune entité ne peut vous dominer si vous vous reliez à votre souveraineté pour dire NON à leur domination.

Note de TAL : cette vidéo est IMPORTANTE, faites circuler !! Le temps est venu de montrer la vérité du combat titanesque entre les forces de l’ombre et les forces de la lumière, qui ne peuvent que gagner lorsque les consciences s’éveillent !

[NDLR En complément,
voir les dossier 5G et ondes pulsées
et Vaccins et virus]

Direct avec Next Dose, Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et Dominique Guillet




[Source : xochipelli.fr]




L’archevêque Viganò sur le Pizzagate, Gaza, l’Ukraine, le Forum Économique Mondial…

[Source : Ciel Voilé]



Extrait plus complet, en anglais :

Intervention intégrale, en anglais :

Transcription de la conférence en français :

[Source : medias-presse.info]

« Le Pape est-il catholique ? » 

Conférence de son Exc. Mgr Carlo Maria Viganò

en ligne organisée par le professeur Edmund Mazza (USA) 

« Aspicite nobis illusiones » – Ils disent aux voyants : « N’ayez pas de visions » et aux prophètes : « Ne nous faites pas de prophéties sincères,  dites-nous des choses agréables, prophétisez des illusions » [Is 30, 10]

Avant-propos

Cette conférence en ligne organisée par le Professeur Edmund Mazza a pour thème un sujet qui n’apparaît que récemment dans le domaine public, après plus de dix ans d’horreurs pires que celles dont nous avons été témoins au cours des soixante dernières années, mais parfaitement cohérentes avec les fondements philosophiques et théologiques posés à la crise actuelle par le Concile Vatican II. Le Pape est-il catholique ? En d’autres temps, une telle question aurait presque résonné comme un blasphème, tant le respect et l’amour des fidèles pour le Pontife Romain, considéré comme le doux Christ sur terre, étaient profondément enracinés. Qui, à l’époque de Pie XII, aurait osé remettre en cause son autorité morale et magistérielle ? Et d’autre part, pourquoi les fidèles auraient-ils manifesté leur désaccord à l’égard d’un Pape dont la voix était l’expression d’une continuité ininterrompue avec ses Prédécesseurs et le divin Maître ? En écoutant Jorge Mario Bergoglio parler aujourd’hui et en comparant ses paroles avec celles du Pastor angelicus (Pie XII), nous réalisons l’abîme qui sépare un Pape de sa grotesque parodie, le gouffre qui sépare le Vicaire du Christ de la simia Pontificis. L’autorité hiératique de tous les Papes, de saint Pierre à Pie XII, intimement liée à l’autorité divine du Christ Prêtre souverain et éternel, s’est pervertie en autoritarisme arrogant et en tyrannie ; le sentiment d’appartenance à l’Ordre sacré des clercs et des prélats s’est corrompu en cléricalisme ; l’immuabilité de la Vérité révélée, fondée sur l’immuabilité parfaite de Dieu – et appuyée sur ce qui est naturellement connaissable par la raison – a succombé à la révolution permanente et au chaos, au provisoire du « Loquimini nobis placentia » [Dites-nous des choses agréables], à l’arbitraire du discutable : « Aspicite nobis illusiones » [Annoncez-nous des illusions.] (Isaïe 30,10)

Dissonance cognitive

Mais tout comme face à la mort subite de millions de personnes dans le monde après la criminelle campagne d’inoculation qui a suivi la fraude psycho-pandémique, il y a ceux qui refusent encore d’admettre la relation de cause à effet entre l’administration du sérum génique expérimental et l’extermination de masse planifiée et déclarée par l’élite ; de même, dans le domaine ecclésial, face aux ravages causés par la révolution conciliaire et la prétendue réforme liturgique, il y a encore des gens qui ne veulent pas admettre la relation de cause à effet entre l’action des experts et consulteurs – notoirement modernistes bien avant Vatican II et, en tant que tels, justement condamnés par le Saint-Office ou considérés avec suspicion par les Évêques – qui ont utilisé rien de moins qu’un Concile Œcuménique comme une scène prestigieuse sur laquelle jouer la pièce mensongère et trompeuse du dialogue avec le monde, de l’œcuménisme, de la démocratisation et de la parlementarisation de l’Église, avec l’aval des « Papes du Concile ». C’est à juste titre que cette assemblée a été appelée par ses auteurs « le 1789 de l’Église ». Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul I, Jean-Paul II et Benoît XVI n’ont pas manqué de souligner comment les principes révolutionnaires et maçonniques – liberté, égalité, fraternité – pouvaient en quelque sorte être partagés et adoptés par le Catholicisme, à commencer par l’acceptation, voire la promotion convaincue de la laïcité de l’État et l’annulation substantielle de la Royauté divine et universelle de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Si vous avez la patience de me suivre dans cet examen, vous verrez que la Royauté sociale du Christ est la pierre d’achoppement sur laquelle s’écrasent indistinctement tous les complices du plan anti-christique du Nouvel Ordre Mondial.

La relation de causalité

La vexata questio – « Bergoglio est-il catholique ? » – est abordée de plusieurs côtés selon différents critères et à partir de différents héritages culturels : l’héritage traditionnel et scolastique, l’héritage modéré et conciliaire – nous pourrions dire montinien – et celui qui oscille, pour ainsi dire, entre les deux versants, reconnaissant Bergoglio comme Pape tout en étant de facto canoniquement indépendant de lui. Mais nous devons reconnaître qu’il est aujourd’hui possible de partager avec les prêtres et les fidèles le sentiment de grave malaise et de grand scandale face à la présence encombrante du Jésuite Argentin. Nous pouvons aujourd’hui nous demander si Bergoglio est catholique, et c’est déjà un bon point de départ, car son hétérogénéité à la Papauté est désormais évidente et perçue par les simples fidèles autant que par une grande partie du clergé et même par certaines franges des médias. La Hiérarchie se contente de faire preuve de lâcheté ou de complicité avec le tyran, et les quelques voix dissidentes n’osent pas tirer les conclusions qui s’imposent face aux hérésies et aux grossièretés du locataire de Santa Marta [la résidence de Bergoglio au Vatican]. Parce qu’ils sont en désaccord avec lui, mais pas avec Vatican II ; ils ne veulent pas non plus reconnaître que c’est précisément de ce Concile qu’a découlé ce processus révolutionnaire qui a permis à une personne comme Jorge Mario d’entrer dans la Compagnie de Jésus, d’être ordonné, de devenir évêque, d’être créé cardinal et enfin d’entrer au Conclave pour en sortir comme « pape ». On peut (selon eux) critiquer Bergoglio, à condition de ne pas critiquer l’idole conciliaire, fétiche intouchable des montiniens qui, aujourd’hui, comparés aux horreurs du Jésuite Argentin, font figure de paladins de l’orthodoxie catholique.

Et nous en arrivons au punctum dolens, c’est-à-dire à la grande contradiction qui unit les partisans de Vatican II à ses adversaires historiques – la Fraternité Saint-Pie X in primis – en voulant procéder à une évaluation de faits objectivement extraordinaires en recourant à des normes ordinaires. Comme je l’ai dit à plusieurs reprises, il me semble que certains tiennent plus à la doctrine de la Papauté qu’au salut des âmes, de sorte qu’ils préfèrent être gouvernés par un pape hérétique et apostat plutôt que de reconnaître qu’un hérétique ou un apostat ne peut être à la tête de l’Église à laquelle, en tant que tel, il n’appartient pas. D’où les distinctions entre hérésie formelle et matérielle, qui n’entravent en rien l’action destructrice de Bergoglio. L’objection selon laquelle l’accusation d’hérésie ou d’apostasie du « Pontife régnant » pourrait provoquer division et scandale est démentie par l’évidence de la division et du scandale déjà largement en cours dans le corps ecclésial précisément à cause de son hérésie et de son apostasie, qui est, pour ainsi dire, la pointe de l’iceberg d’une crise bien plus grave et généralisée de la Hiérarchie et du Clergé qui a commencé il y a soixante ans et qui a maintenant presque atteint son apogée.

Un unique plan subversif

Il y a quelques semaines, un important associé d’Hillary Clinton et de John Podesta a été arrêté pour pédophilie et pédopornographie : il s’agit de Slade Sohmer, lié au monde de Broadway et du cinéma, qui avait participé au debunking du tristement fameux Pizzagate, c’est-à-dire du réseau de complicités ignobles et de crimes horribles sur mineurs qui gravite autour de l’État profond international. Nous avons appris que Jeffrey Epstein et très probablement Gislaine Maxwell étaient membres du Mossad israélien. Cela nous fait comprendre que les fameux voyages de tant de personnalités sur l’île d’Epstein ont servi à recueillir des preuves de leur culpabilité dans les odieux crimes rituels sur mineurs afin de les faire chanter. Et si, face aux massacres de civils dans la bande de Gaza, les chefs d’État et de gouvernement du monde occidental n’osent souffler mot, on peut supposer que cette attitude est due aux nombreux dossiers et vidéos en possession des services israéliens. Il a dû en être de même pour la préparation de la fausse urgence pandémique, servilement reproduite dans tous les pays membres du Forum Économique Mondial et de l’ONU, mais aussi pour la farce de la crise ukrainienne. (N’oublions pas qu’il y a des gisements de méthane en face de Gaza qui sont très demandés à l’heure où les livraisons de gaz en provenance de la Russie sont empêchées par les sanctions, au profit des multinationales et des fonds d’investissement dont elles font partie.) Mais si ce chantage contre les puissants de ce monde constitue l’élément unificateur du projet subversif mondialiste, on ne peut s’empêcher de penser que le rôle indispensable joué par l’Église Catholique a été quelque peu forcé non seulement par la nomination de Bergoglio comme émissaire des ennemis de l’Église à son sommet, mais aussi par les scandales sexuels et financiers qui n’ont que partiellement émergé sur le compte de nombreux Prélats adeptes de l’Église profonde. Comment penser qu’un personnage comme McCarrick, qui entrait à la Maison Blanche sans avoir besoin d’être annoncé et qui continuait à suivre les affaires diplomatiques du Vatican en Chine même après avoir été accusé d’être un prédateur en série, n’a pas bénéficié du soutien de ces puissants qui partageaient avec lui les vices les plus ignobles et les crimes les plus odieux ? Doit-on penser que l’association entre l’État profond et l’Église profonde se limitait à une complicité dans la spéculation financière, alors qu’un pédophile comme Slade Sohmer collaborait avec les Clinton et Obama, impliqués dans le Pizzagate ? Ou que les nombreux vols de Bill Gates vers l’île d’Epstein, ainsi que ceux d’acteurs, de membres de familles royales, de politiciens, de banquiers et de VIP n’avaient rien à voir avec le réseau de complicité de la lavander mafia [le lobby homosexuel] ?

D’après les courriels divulgués dans l’affaire Wikileaks, nous savons que John Podesta travaillait pour le compte de Hillary Clinton et d’Obama – et de l’élite mondialiste en général – afin de promouvoir au sein de l’Église cette révolution colorée qui évincerait Benoît XVI de la Papauté, ferait élire un pape ultra-progressiste et modifierait substantiellement le Magistère catholique en lui faisant embrasser les instances de l’Agenda 2030 : égalité des sexes, introduction de la théorie du genre et de la doctrine LGBTQ+, démocratisation du gouvernement de l’Église, collaboration avec le projet néo-malthusien de la Grande Réinitialisation, coopération sur l’immigrationnisme, cancel culture [annulation des cultures]. Il me semble évident que ce projet subversif a trouvé un parfait accomplissement dans la nomination de Bergoglio – c’est exprès que je dis la nomination – et qu’il est confirmé par sa ligne ininterrompue de gouvernement et de magistère, tant public que privé, au cours de cette décennie malheureuse. Une action qui a en fait répondu aux desiderata [souhaits] – ou plutôt aux mandata, aux ordres de l’élite, point par point, et de manière si précise qu’elle est sans équivoque : égalité des sexes avec l’ouverture aux femmes aux fonctions de gouvernement et de ministère ; légitimation morale de la sodomie et du genre avec l’admission des sodomites et des transsexuels au rôle de parrains et de témoins de mariage ; démocratisation factice, calquée sur le modèle des oligarchies dans la sphère civile, par le biais de la synodalité ; acceptation des instances pseudo-environnementales avec une réduction drastique de la condamnation de l’avortement, de l’euthanasie et des manipulations génétiques par la subversion de l’Académie Pontificale pour la Vie ; la campagne d’accueil des immigrés clandestins, au nom d’un inévitable métissage non exempt d’intérêts économiques ; cancel culture avec le dénigrement de l’histoire de l’Église et la falsification des Saintes Écritures. En effet, à y regarder de plus près, c’est toujours la contrepartie économique qui lie les membres de l’Église profonde et ceux de l’État profond, à qui l’élite a payé le pretium sanguinis [le prix du sang] de leur trahison par des parrainages et des financements. Je me demande si les tentatives grotesques de Bergoglio de revaloriser Judas ne trahissent pas la sympathie instinctive d’un traître pour l’Iscariote, mercator pessimus [le pire des trafiquants].

Revenons donc au pretium sanguinis, la rémunération des services rendus par des personnes soumises au chantage non seulement de ceux qui connaissent leurs secrets les plus déroutants et les plus sombres, mais aussi de ceux qui les partagent, tout en occupant des postes similaires dans d’autres nations, au Parlement Européen, à l’ONU, à la Banque Mondiale ou dans d’autres institutions internationales. Imaginez que Trudeau ait osé se dissocier de certaines questions – par exemple, le silence sur les crimes de guerre de Netanyahou à Gaza – désobéissant ainsi aux ordres qui lui ont été donnés. Avant même que la nouvelle ne parvienne aux médias, ses homologues en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis, en France, aux Pays-Bas, en Belgique et Dieu sait où, auraient fait pression sur lui pour qu’il se taise, sachant pertinemment que le Mossad n’hésiterait pas un instant à entraîner dans le scandale – et en prison – non seulement Trudeau (qui est accusé de viol d’enfant, actuellement en cours d’enquête dans le bureau de quelque Procureur), mais aussi les membres de l’élite pédophile internationale qui détiennent des preuves d’autres crimes sur Justin Trudeau lui-même. C’est pourquoi il était nécessaire que la corruption soit endémique dans le système, afin que le cancer mondialiste puisse y être incité.

Et il serait stupide ou irresponsable de croire que la hiérarchie bergoglienne est exempte de ce chantage, alors que nous savons qu’elle est largement impliquée dans les mêmes vices, avec la protection de Bergoglio lui-même. D’autre part, quelle crédibilité peut avoir le Jésuite Argentin qui s’est réservé le cas de McCarrick, en déclarant de son autorité res judicata la condamnation sans procès de l’un des Cardinaux les plus puissants de ces cinquante dernières années, en évitant l’audition de témoins qui auraient pu nommer ses complices, aujourd’hui promus au sommet de l’Église ou des institutions publiques ? Croyez-vous qu’il était possible de perpétrer la fraude électorale pour évincer Donald Trump de la Maison Blanche en toute impunité, et qu’ils n’ont pas réussi à faire de même au Conclave, compte tenu de la compromission de la majorité du Collège des cardinaux ? Le fait que la fraude soit publique et toujours impunie est, au contraire, une aggravation donnée par l’arrogance de se croire omnipotent et invincible.

Le cas du Pape hérétique entre hypothèse abstraite et réalité concrète

Lorsque saint Robert Bellarmin a posé l’hypothèse de l’hérésie du Pontife Romain comme cas d’école, il a imaginé un Pape qui, convaincu de rester catholique, adhérerait matériellement ou formellement à une hérésie spécifique, dans un contexte général où le corps social et ecclésial serait catholique. Il ne pouvait même pas imaginer qu’un émissaire de la Franc-Maçonnerie puisse se faire élire Pape dans le but de démolir l’Église de l’intérieur, en usant et abusant du pouvoir de la Papauté elle-même. Il n’aurait pas non plus pu imaginer que ce Pape irait au-delà de l’hérésie jusqu’à l’apostasie. Aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé le cas d’un Pape apostat, ni d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances ouvertement ennemies du Christ, car une telle énormité ne peut se produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de la persécution finale annoncée par le Prophète Daniel et décrite par Saint Paul. L’avertissement Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation (Mt 24, 15) doit être compris comme tel précisément en raison de son caractère absolument unique et du fait que tous verront s’accomplir – qui avec horreur, qui avec une satisfaction satanique – l’abomination de la désolation se tenant dans le lieu saint : que celui qui lit comprenne (Mc 13, 14).

Les Catholiques sont scandalisés par le silence lâche des Cardinaux et des Évêques pour la même raison que les citoyens sont choqués par la complicité des politiciens, des médecins, des journalistes, des magistrats et des forces de l’ordre dans la trahison du pacte social. Ils ont compris que c’est tout le système qui est l’otage de l’ennemi et qu’il est vain d’espérer la justice et la vérité de la part de ceux qui se plient au coup d’État mondial, que ce soit dans le monde civil ou ecclésiastique. L’opération subversive est si efficace et organisée qu’elle démontre sans équivoque l’œuvre d’une intelligence luciférienne qui va bien au-delà des prétendues ruses de Klaus Schwab ou d’un Rockefeller. C’est pourquoi le « problème Bergoglio » ne peut être résolu de manière ordinaire : aucune société ne peut survivre à la corruption totale de l’Autorité qui la gouverne, et l’Église n’est pas différente, quand ses membres – et surtout ses Pasteurs – refusent de reconnaître les causes de cette corruption doctrinale, morale et spirituelle et se limitent à déplorer les excès de tel ou tel discours de Bergoglio, sans se rendre compte qu’ils ont devant eux l’homo iniquus et dolosus [l’homme inique et trompeur] du Psaume 42 ; iniquus quant aux buts qu’il se fixe, dolosus par les moyens qu’il adopte.

Disserter d’hérésie formelle dans le cas de Bergoglio, c’est comme accuser de détournements de fonds des criminels qui tuent des millions de personnes avec les sérums mortels, l’air et l’eau empoisonnés, les aliments nocifs ou artificiels, les famines et les pandémies planifiées, la stérilité induite et la mort (physique ou civile) imposée par la loi. Nous sommes au-delà de l’hérésie comme nous sommes au-delà des crimes normaux dont un chef d’État peut être accusé, avec la circonstance aggravante que le coupable sait (ou espère) qu’il peut se sauver de la condamnation parce que ses principaux accusateurs le reconnaissent comme Souverain Pontife et, à ce titre, exempt de tout tribunal humain. Prima Sedes a nemine judicatur [Le Premier Siège n’est jugé par personne]. C’est précisément sur cela que se sont appuyés ceux qui l’ont fait élire Pape, en oubliant toutefois un petit détail : l’intention de nuire à l’Église en agissant pour le compte d’une puissance ennemie n’est pas compatible avec l’acceptation de la Papauté, et il y a donc un vice dans le consentement donné en raison de la volonté – confirmée par les paroles et les actes de ces dix dernières années – d’agir en in fraudem legis, en contournant la loi canonique et en dissimulant ses intentions dès sa première apparition sur la Loge du Vatican. Je le répète : il ne s’agit pas d’un Pape qui adhère à une hérésie spécifique – ce que Bergoglio a d’ailleurs fait à maintes reprises –, mais d’une personne envoyée au Conclave avec l’ordre de révolutionner l’Église depuis le sommet de la Chaire de Pierre. Et encore : il n’a pas assumé la Papauté sans réserve pour se laisser ensuite persuader par de mauvais conseillers d’agir d’une manière douteuse. Au contraire, la préméditation est évidente, confirmée à la fois par la correspondance de ses actions avec les ordres de l’Église profonde donnés dès le Pontificat de Benoît XVI – conspirateurs de la Mafia de Saint-Gall ou du Pacte des Catacombes, peu importe – et par les rencontres répétées du Jésuite Argentin avec des représentants de l’élite mondialiste et des potentats financiers de la planète, sous les yeux de tous.

Le vice du consentement (1)

Il est plausible, compte tenu des éléments critiques magistralement mis en évidence par le Professeur Enrico Maria Radaelli, que la démission de Benoît XVI ait déterminé une situation antérieure d’irrégularité canonique telle qu’elle invalide et rende nulle et non avenue, avec elle, l’élection du successeur de Benoît XVI, que ce soit Bergoglio ou un nouveau Pie X qui soit élu. Mais même si Benoît XVI avait légitimement abdiqué – bien que conscient du risque de rendre matériellement possible l’élection du Jésuite Argentin – c’est l’intention délibérée d’abuser de l’autorité et du pouvoir de la Papauté, en l’assumant par la tromperie, qui rend réel le vitium consensus, et fait de Bergoglio un usurpateur du Trône de Pierre. Le consensus et le soutien au Jésuite Argentin proviennent en grande partie de l’aile ultra-progressiste et pro-hérétique qui a parrainé son élection : tous des membres bien connus de l’Église profonde et proches du lobby homosexuel et pédophile de l’État profond.

Si certains insistent pour regarder le doigt de ceux qui dénoncent ce coup d’État et non la lune de la congruence évidente de Bergoglio avec cela, nous ne pouvons pas nous comporter comme si nous étions en train de résoudre une question de droit canonique : le Seigneur est outragé, l’Église est humiliée et les âmes sont perdues à cause de la présence sur le Trône d’un usurpateur dont les actions de gouvernement et de magistère peuvent être jugées à la lumière des paroles de Notre-Seigneur : Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous en vêtements de brebis, mais qui sont en réalité des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des ronces ? Tout bon arbre produit de bons fruits, et tout mauvais arbre produit de mauvais fruits ; un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, et un mauvais arbre ne peut pas produire de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez (Mt 7,15-20).

Vous avez bien entendu : un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre de bons fruits, ce qui signifie que le comportement ininterrompu de Bergoglio – avant, pendant et après son élection – constitue à lui seul la preuve de son iniquité intrinsèque.

Pouvons-nous donc être moralement certains que le locataire de Santa Marta est un faux prophète ? Ma réponse est : oui. Sommes-nous alors autorisés en conscience à révoquer notre obéissance à celui qui, se présentant comme Pape, agit en réalité comme le sanglier biblique dans la Vigne du Seigneur, ou comme le mercenaire, qui n’est pas le berger et à qui les brebis n’appartiennent pas (Jn 10, 12), et qui n’a nul souci des brebis (Jn 10, 13) ? Oui. Ce que nous ne pouvons pas faire, parce que nous n’en avons pas l’autorité, c’est déclarer officiellement que Jorge Mario Bergoglio n’est pas Pape. La terrible impasse dans laquelle nous nous trouvons rend impossible toute solution humaine.

Notre tâche ne doit pas être de nous engager dans des spéculations abstraites de canonistes, mais de résister de toutes nos forces – et avec l’aide de la Grâce de Dieu – à l’action explicitement destructrice du Jésuite Argentin, en rejetant avec courage et détermination toute collaboration, même indirecte, avec lui et ses complices.

Le rejet de la Royauté de l’Homme-Dieu

Le mal de ce monde est intrinsèquement lié au refus de reconnaître que, dans l’État comme dans l’Église, l’autorité vicaire de ceux qui gouvernent émane directement de l’union hypostatique, c’est-à-dire de l’union de la divinité et de l’humanité en Notre Seigneur Jésus-Christ, Roi et Pontife. La haine des méchants contre le Christ-Roi est née dans l’éternité des temps, lorsque la Sainte Trinité a mis Lucifer à l’épreuve et qu’il s’est rendu compte qu’il devait adorer et obéir à l’Homme-Dieu, qu’il devait Le reconnaître comme Roi et Seigneur dans l’humiliation d’assumer un corps humain et dans l’infamie du supplice de la Croix. C’est alors que Lucifer a crié son Non serviam.

Ce cri de révolte qui valut la damnation éternelle d’une partie des esprits angéliques, nous le retrouvons dans les vêtements déchirés de Caïphe, dans les manœuvres des grands prêtres et des scribes du peuple pour envoyer à la mort le Messie promis, coupable de ne pas s’être prêté aux visées de pouvoir du Sanhédrin. On retrouve cela dans le délire théologique du Sionisme qui, depuis le Congrès de Bâle en 1897, se pose comme une sorte de Vatican II du Judaïsme, remplaçant la figure d’un Messie personnel par l’avènement de l’État d’Israël. Ce concile juif a proclamé la déification de l’État et son indépendance par rapport à la volonté divine, prémisse de la tyrannie. Les membres du Sanhédrin moderniste n’ont pas agi différemment lorsque, au nom de la laïcité de l’État et de la liberté religieuse, ils ont foulé aux pieds la doctrine de la Royauté sociale du Christ récemment proclamée par Pie XI. Le Non serviam avait déjà résonné dans l’Allemagne de l’hérésiarque Luther et dans l’Angleterre d’Henri VIII avec le rejet de l’autorité du Vicaire du Christ ; il retentit à nouveau avec arrogance dans la France révolutionnaire, avec la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, et encore avec le Libéralisme, qui soustrait à la Seigneurie de Dieu non seulement la domination des nations, mais aussi la primauté de la Morale sur les règles de l’économie. On retrouve le Non serviam dans le matérialisme athée du Communisme, faux pendant du Libéralisme, qui l’a voulu et alimenté pour détruire le tissu social par la lutte des classes. Et aujourd’hui, ce cri infernal résonne avec les horreurs de l’avortement, de l’euthanasie, de la transition de genre et de l’ingénierie génétique, dont le seul but est d’effacer toute trace du divin dans l’homme et dans la Création, et de briser le lien entre l’homme et Dieu accompli dans l’Incarnation.

Tant que nous ne reconnaîtrons pas l’inéluctabilité de la victoire de l’Homme-Dieu en tant que Roi et Seigneur universel, et celle de la Vierge Mère de Dieu en tant que Reine et Dame par la Grâce ; tant que les nations et les peuples ne plieront pas le genou devant l’unique Sauveur et Rédempteur de l’humanité ; tant que la société et l’Église seront les otages des ennemis du Christ-Roi et de sa très auguste Mère, nous ne pourrons pas espérer la fin de cette épreuve très douloureuse, parce que nous n’aurons pas fait le choix nécessaire que le Seigneur attend de nous pour nous faire participer à son triomphe total et définitif sur Satan. Ne nous faisons pas d’illusions : celui qui persiste à lire la situation actuelle avec des yeux humains s’expose non seulement lui-même, mais l’humanité tout entière, à la poursuite et à l’aggravation de cette situation : car notre combat n’est pas contre des créatures de chair et de sang, mais contre les principautés et les pouvoirs, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits mauvais qui habitent les régions célestes (Ep 6,12).

Conclusion

Que les nations autrefois chrétiennes reviennent donc à la Foi de leurs pères. Que les dissidents renouent avec l’unité catholique. Que les peuples plongés dans les ténèbres de la superstition et de l’idolâtrie se convertissent au Dieu vivant et vrai. Que le peuple autrefois élu reconnaisse le vrai Messie en rejetant de l’hérésie sioniste. Que les hommes sortent de leur torpeur, surtout ceux qui détiennent l’autorité, et reconnaissent avec confiance qu’il n’y a de pouvoir que de Dieu. C’est là – et là seulement – la condition de la concorde entre les peuples, de la justice, de la paix. Et si les Pasteurs manquent à cet éveil général des consciences, qu’ils se souviennent des redoutables paroles du Seigneur : Si ceux-ci se taisent, les pierres crieront (Lc 19, 40).

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque 

9 décembre 2023, Infra Octavam Imm. Conc. B.M.V 

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò





3 ans de combat. Et après ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Par Alexandre Juving-Brunet

Je vous livrerai une rétrospective des trois dernières années de combat mené depuis le choc du Covid-19 et jusqu’à la Foncière Financière Libre, en passant par les manifestations, blocages de péages, pétitions, campagnes présidentielle puis législative, Franc Libre, emprisonnement, coups bas et tordus, les belles rencontres comme les grandes déceptions. L’heure est au bilan chers amis pour aborder la prochaine étape ou plutôt…la prochaine grande Epreuve collective.

« Nous sommes piégés dans un narratif, nous sommes piégés dans un bocal dont on ne peut pas sortir (…) Nous sommes tous des poissons rouges dans un bocal. Ce bocal, il va falloir le percer ou le renverser. Ce bocal, c’est la République. Il a été créé exprès pour vous maintenir en fait avec une illusion de liberté, une illusion de bonheur matériel et une illusion de paix. »

Alexandre Juving-Brunet (vers 50 min dans la vidéo ci-dessous)

[NDLR Alexandre semble faire un lapsus à quelques reprises en désignant par « provax » les Français à ses côtés dans la résistance contre le Nouvel Ordre Mondial, alors que dans la pratique, ils sont plutôt antivax ou qualifiés ainsi.]

Mise à jour :

Vous souhaitez que Justice soit faite ? Alors allez la chercher.




AIMEZ-VOUS LA FRANCE ? (sondage de rue aux réponses surprenantes)

[Source : Vincent Lapierre]

Question simple, réponse simple ? Pas si sûr ! Micro-trottoir !




Dix choses qui changent sans les combustibles fossiles

[Source : ourfiniteworld.com]

Par Gail Tverberg

Il est aujourd’hui courant de parler de l’abandon des combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique. C’est à peu près le même résultat qui se produit si nous manquons de combustibles fossiles : nous perdons des combustibles fossiles, mais c’est parce que nous ne pouvons pas les extraire. Pratiquement personne ne nous dit à quel point le système actuel dépend des combustibles fossiles.

[Voir aussi :
Sans pétrole, pas d’électricité !]

L’économie est extraordinairement dépendante des combustibles fossiles. S’il n’y a pas assez de combustibles fossiles pour tout le monde, il est probable que l’on se batte pour obtenir ce qui est disponible. Certains pays risquent d’obtenir bien plus que leur juste part, tandis que le reste de la population mondiale ne disposera que de très peu de combustibles fossiles, voire d’aucun.

Si la perte totale ou quasi totale des combustibles fossiles représente un risque pour une partie de la population mondiale, il pourrait être utile de réfléchir à certaines des choses qui pourraient mal tourner. Voici quelques-unes de mes idées sur les choses qui changent, principalement pour le pire, dans une économie privée de combustibles fossiles.

[1] Les banques, telles que nous les connaissons, vont probablement faire faillite

Avant que les banques ne fassent faillite dans les régions pratiquement dépourvues de combustibles fossiles, je pense que nous assisterons généralement à une hyperinflation. Les gouvernements augmenteront considérablement la masse monétaire dans une vaine tentative de faire croire aux gens qu’ils produisent davantage de biens et de services. Cette approche sera utilisée parce que les gens assimilent le fait d’avoir plus d’argent à la capacité d’acheter plus de biens et de services. Malheureusement, sans les combustibles fossiles, il sera très difficile de produire beaucoup de biens.

Plus d’argent entraînera simplement plus d’inflation parce qu’il faut des ressources physiques, y compris les types d’énergie appropriés, pour faire fonctionner toutes sortes de machines afin de produire des biens. La création de services nécessite également de l’énergie fossile, mais généralement dans une moindre mesure que la création de biens. Par exemple, la paire de ciseaux utilisée pour couper les cheveux est fabriquée à l’aide d’énergie fossile. La personne qui coupe les cheveux doit être payée ; son salaire doit être suffisamment élevé pour couvrir les coûts liés à l’énergie, tels que l’achat et la cuisson des aliments. Le magasin où l’on coupe les cheveux devra également payer l’énergie fossile nécessaire au chauffage et à l’éclairage, à supposer que cette énergie soit disponible.

Les banques feront faillite parce qu’une part trop importante des dettes ne pourra pas être remboursée avec des intérêts. Une partie du problème résidera dans le fait qu’alors que les salaires augmenteront, les prix des biens et des services augmenteront encore plus rapidement, rendant les biens inabordables. Une autre partie du problème est que les économies de services, telles que celles des États-Unis et de la zone euro, seront affectées de manière disproportionnée par une économie en déclin. Dans une telle économie, les gens se feront couper les cheveux moins souvent. Ils dépenseront plutôt leur argent dans des produits de première nécessité, tels que la nourriture, l’eau et les ustensiles de cuisine. Les entreprises de services, telles que les salons de coiffure et les restaurants, feront faillite par manque de clients, ce qui entraînera des défauts de paiement.

[2] Les gouvernements actuels feront faillite

Si les banques font faillite, les gouvernements d’aujourd’hui feront également faillite. Ils échoueront en partie à cause des tentatives de renflouement des banques. Un autre problème sera la baisse des recettes fiscales en raison de la diminution de la production de biens et de services. Les programmes de retraite deviendront de plus en plus difficiles à financer. Toutes ces questions conduiront à des politiques de plus en plus conflictuelles. Dans certains cas, les gouvernements centraux peuvent se dissoudre, laissant les États et d’autres unités plus petites, comme les provinces d’aujourd’hui, continuer à fonctionner seuls.

Les organisations intergouvernementales, telles que les Nations unies et l’OTAN, seront de moins en moins écoutées avant de disparaître. L’obtention d’un financement suffisant de la part des États membres deviendra un problème de plus en plus important.

Les dictatures dirigées par des chefs au pouvoir absolu et les aristocraties dirigées par des chefs aux droits héréditaires sont les types de gouvernements les moins gourmands en énergie. Ils sont susceptibles de devenir plus courants sans les combustibles fossiles.

[3] Presque toutes les entreprises d’aujourd’hui feront faillite

Les combustibles fossiles sont essentiels pour tous les types d’entreprises. Ils sont utilisés pour l’extraction des matières premières et le transport des marchandises. Nous utilisons des combustibles fossiles pour paver les routes et construire la quasi-totalité des bâtiments actuels. Sans combustibles fossiles, même de simples réparations de l’infrastructure existante deviennent impossibles. Sans combustibles fossiles adéquats, les entreprises internationales risquent tout particulièrement de se diviser en unités plus petites. Il leur sera impossible d’opérer dans des régions du monde où l’approvisionnement en combustibles fossiles est pratiquement inexistant.

Les combustibles fossiles sont même utilisés pour fabriquer des panneaux solaires, des éoliennes et des pièces de rechange pour les véhicules électriques. Parler de l’énergie solaire et de l’énergie éolienne comme de « sources d’énergie renouvelables » est dans une large mesure trompeur. Au mieux, on peut les décrire comme des « prolongateurs » de combustibles fossiles. Elles peuvent aider à résoudre un problème d’approvisionnement en combustibles fossiles légèrement insuffisant, mais elles sont loin d’être des substituts adéquats.

[4] Les réseaux électriques et l’Internet disparaîtront

Les combustibles fossiles sont importants pour maintenir le système de transmission électrique. Par exemple, le rétablissement des lignes électriques tombées en panne après une tempête nécessite des combustibles fossiles. Le raccordement de panneaux solaires ou de turbines éoliennes au réseau électrique nécessite des combustibles fossiles. Les systèmes de panneaux solaires domestiques peuvent fonctionner jusqu’à ce que leurs onduleurs tombent en panne. Une fois que les onduleurs tombent en panne, leur utilité se dégrade considérablement. Les combustibles fossiles sont nécessaires pour fabriquer de nouveaux onduleurs.

Les combustibles fossiles sont également importants pour l’entretien de toutes les parties du système Internet. En outre, sans réseau électrique, il devient impossible d’utiliser des ordinateurs pour se connecter à l’Internet.

[5] Le commerce international sera fortement réduit

À cette époque de l’année, beaucoup d’entre nous se souviennent de l’histoire des trois rois d’Orient venus rendre visite à l’Enfant Jésus avec de précieux cadeaux. Nous nous souvenons également des récits bibliques où Paul se rend dans des pays lointains. Grâce à ces exemples et à bien d’autres, nous savons que le commerce et les voyages internationaux peuvent se poursuivre sans combustibles fossiles.

Le problème, c’est que sans les combustibles fossiles, certaines régions du monde n’auront pas grand-chose à offrir en échange de produits fabriqués avec des combustibles fossiles. Les pays utilisant des combustibles fossiles se rendront rapidement compte que la dette publique des pays sans combustibles fossiles ne représente pas grand-chose lorsqu’il s’agit de payer des biens et des services. Par conséquent, les échanges commerciaux seront réduits pour correspondre aux exportations disponibles. Les exportations de biens seront probablement très limitées pour les régions du monde qui fonctionnent sans combustibles fossiles.

[6] L’agriculture deviendra beaucoup moins efficace

L’agriculture d’aujourd’hui a été rendue incroyablement efficace grâce à l’utilisation de gros équipements mécaniques, généralement alimentés par du diesel, et d’un grand nombre de produits chimiques, notamment des herbicides, des insecticides et des engrais. En outre, des clôtures et des filets fabriqués à l’aide de combustibles fossiles sont utilisés pour éloigner les animaux nuisibles indésirables. Dans certains cas, des serres sont utilisées pour fournir un climat contrôlé aux plantes. Les combustibles fossiles permettent de mettre au point des semences hybrides spécialisées qui mettent l’accent sur les caractéristiques que les agriculteurs jugent souhaitables. Toutes ces « aides » sont appelées à disparaître.

Sans ces aides, l’agriculture deviendra beaucoup moins efficace. La figure 1 montre que même avec la faible réduction de l’utilisation des combustibles fossiles en 2020, la part de l’emploi fournie par l’agriculture a augmenté.

Figure 1. Emploi mondial dans l’agriculture en pourcentage de l’emploi total, tel que compilé par la Banque mondiale.

L’emploi dans l’agriculture est essentiel. Ces travailleurs n’ont pas été licenciés, même si les travailleurs du tourisme et de la confection ont perdu leur emploi, de sorte que la part des emplois agricoles dans l’emploi total a augmenté.

[7] Les besoins futurs en main-d’œuvre seront probablement disproportionnés dans le secteur agricole

Les gens ont besoin de manger. Même si l’économie fonctionne de manière très inefficace, les gens auront besoin de nourriture. On peut s’attendre à ce que la part des personnes travaillant dans l’agriculture (y compris la chasse et la cueillette) augmente considérablement.

Certains espèrent que le passage à la permaculture résoudra le problème de la dépendance de l’agriculture à l’égard des combustibles fossiles. Je considère la permaculture comme un moyen de prolonger l’utilisation des combustibles fossiles plutôt que comme une solution permettant de s’en passer, car elle suppose l’utilisation de nombreux dispositifs basés sur les combustibles fossiles, tels que les clôtures modernes et les outils d’aujourd’hui. En outre, dans le meilleur des cas, la permaculture ne résout que partiellement le problème de l’inefficacité, car elle nécessite une énorme quantité de travail manuel.

[NDLR La permaculture sur de petites surfaces sera probablement toujours possible, car certaines de ses approches déjà démontrées se passent de technologie et de machines, en recherchant au contraire une symbiose avec la nature. Celle-ci peut subsister sans industries.]

Figure 2. Comparaison de la part de l’emploi agricole aux États-Unis par rapport à l’emploi total, avec un ratio similaire pour les pays les moins avancés des Nations unies, sur la base des données de la Banque mondiale.

Aujourd’hui, il existe un large fossé entre la part de l’emploi dans l’agriculture aux États-Unis et la même statistique pour le groupe des pays les moins avancés des Nations unies. La plupart de ces pays se trouvent en Afrique subsaharienne. Ils utilisent très peu de combustibles fossiles.

La part de l’emploi agricole aux États-Unis a récemment été d’environ 1,7 %. Dans la partie de l’Europe qui utilise l’euro, la part de l’emploi dans l’agriculture a récemment atteint une moyenne d’environ 3,0 %. Que ce soit aux États-Unis ou en Europe, il faudrait un énorme changement dans l’emploi pour atteindre 70 % d’emplois agricoles (comme on l’a vu au début des années 1990 pour le groupe le moins développé des Nations unies), ou même 55 % (comme on l’a vu récemment pour le même groupe).

[8] Le chauffage domestique deviendra un produit de luxe réservé aux riches

En l’absence de combustibles fossiles, le bois fera l’objet d’une forte demande pour son pouvoir calorifique. Le bois sera nécessaire pour la cuisson des aliments ; il est très difficile de subsister avec un régime composé uniquement d’aliments crus. Le bois sera également demandé pour fabriquer du charbon de bois, qui peut à son tour être utilisé pour fondre certains métaux. Compte tenu de ces besoins en bois, la déforestation risque de devenir un problème majeur dans de nombreuses régions du monde. Le bois en général sera assez cher, étant donné le coût considérable de sa récolte et de son transport sur de longues distances sans l’avantage des combustibles fossiles.

Les personnes vivant dans des régions boisées peu peuplées pourront peut-être ramasser leur propre bois pour se chauffer. Pour les autres, le chauffage domestique deviendra probablement un luxe, accessible uniquement aux personnes très riches

[9] Vivre seul deviendra une chose du passé

Sans chauffage suffisant et avec à peine assez de bois pour cuisiner, les gens (et leurs animaux) devront se serrer davantage les uns contre les autres. Les maisons abritant plusieurs générations, construites sur un lieu d’élevage d’animaux de ferme, pourraient redevenir populaires. Il sera plus efficace de cuisiner pour de grands groupes que pour une seule personne à la fois. Dans les régions froides, les gens se serreront les uns contre les autres dans leur lit pour se réchauffer. Ou bien ils se blottissent contre leurs chiens, comme dans le dicton « three dog night », qui signifie une nuit suffisamment froide pour que trois chiens soient nécessaires pour garder une personne au chaud.

Même dans les régions chaudes du monde, les gens vivront en groupe, tout simplement parce qu’entretenir un foyer pour une personne seule devient impossible. La nourriture et le combustible pour cuisiner absorberont une grande partie des revenus d’une famille. Il ne restera plus grand-chose pour les autres dépenses.

[10] Les gouvernements et leurs lois perdront de leur importance

Au lieu de cela, de nouvelles traditions et de nouvelles religions joueront un rôle plus important dans le maintien de l’ordre.

Les gouvernements ont fait des dizaines de promesses, mais sans un approvisionnement croissant en combustibles fossiles (ou un substitut adéquat), ils ne seront pas en mesure de les tenir. Les retraites disparaîtront. La capacité des gouvernements à faire respecter les lois sur la propriété disparaîtra probablement. En l’absence d’un bon substitut aux combustibles fossiles, on peut s’attendre à un désordre généralisé.

Les gens ont besoin d’ordre. Sans ordre, il est impossible de faire des affaires. L’expérience récente nous a appris que les « groupes de durabilité », constitués par des personnes ayant un intérêt commun pour la durabilité, ne fonctionnent pas suffisamment bien pour assurer l’ordre. Ils ont tendance à s’effondrer dès que des obstacles surgissent.

Ce qui a semblé fonctionner pour assurer l’ordre dans le passé, c’est une certaine combinaison de traditions et de religions. Dans un monde en mutation, les traditions et les religions sont susceptibles de devoir changer. Dans le livre Communities that Abide, de Dmitry Orlov et coll. les auteurs soulignent que le fait d’avoir un leader fort (non élu) et un ensemble de croyances religieuses partagées aide à maintenir la cohésion d’un groupe. En fait, le fait que le groupe soit quelque peu persécuté est un atout. La lutte pour une cause commune fait partie de ce qui maintient la cohésion du groupe.

Les dix commandements de la Bible sont interprétés d’une manière qui suggère fortement qu’il s’agit de règles de comportement au sein du groupe, et non de comportement en général. Par exemple, « Tu ne tueras point » s’applique aux autres membres du groupe ; les guerres contre d’autres groupes étaient très attendues. Dans ces guerres, on s’attendait à ce que des membres d’un autre groupe soient tués. Cela semble autoriser Israël à tuer des membres du Hamas aujourd’hui. Faute de combustibles fossiles en quantité suffisante, les combats deviennent plus fréquents.

Conclusion

À mon avis, le problème auquel le monde est confronté aujourd’hui est le même que celui auquel les petites économies ont été confrontées, à maintes reprises, par le passé : la population est devenue trop importante pour la base de ressources de l’économie, qui comprend désormais les combustibles fossiles. Pour rendre la situation moins effrayante, les dirigeants d’aujourd’hui reformulent le problème en disant qu’il faut volontairement abandonner les combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique.

Selon moi, le monde doit réduire son utilisation des combustibles fossiles car, en fin de compte, ce sont les lois de la physique qui déterminent les prix de vente des combustibles fossiles. Nous extrayons d’abord les combustibles fossiles peu coûteux à produire. Le problème est que les prix de vente des combustibles fossiles ne peuvent pas augmenter arbitrairement. Les prix doivent être à la fois :

  • — Suffisamment élevés pour que les producteurs fassent des bénéfices et qu’il leur reste des fonds à réinvestir et des taxes adéquates pour leurs gouvernements ;
  • — suffisamment bas pour que les consommateurs puissent se permettre d’acheter de la nourriture et d’autres biens de consommation produits à partir de ces combustibles fossiles.

Si nous supposons que tous les combustibles fossiles qui semblent se trouver sous le sol peuvent réellement être extraits, le changement climatique dû à leur combustion pourrait effectivement constituer un problème. Mais il est difficile d’imaginer qu’ils puissent réellement être extraits, étant donné la question de l’accessibilité financière. Les hommes politiques maintiendront les prix à la baisse pour inciter les électeurs à voter pour eux, ne serait-ce que pour cela.

Les chercheurs ont travaillé avec diligence pour trouver des solutions, mais jusqu’à présent, ils n’ont pas eu beaucoup de succès. Toutes les solutions supposées nécessitent un recours important aux combustibles fossiles. Nous devons donc réfléchir à ce qui pourrait se passer si nous étions contraints de nous passer des combustibles fossiles et si nous ne disposions pas d’un substitut adéquat.

À propos de Gail Tverberg

Je m’appelle Gail Tverberg. Je suis actuaire et je m’intéresse aux problèmes du monde fini — épuisement du pétrole, épuisement du gaz naturel, pénuries d’eau et changement climatique. Les limites du pétrole sont très différentes de ce que la plupart des gens pensent, avec des prix élevés menant à la récession, et des prix bas menant à des problèmes financiers pour les producteurs de pétrole et pour les pays exportateurs de pétrole. Il s’agit en fait d’un problème physique qui touche simultanément de nombreux secteurs de l’économie, y compris les salaires et le système financier. J’essaie d’examiner le problème dans son ensemble.




Quand on entend pleurer la France

[Source : La Rose et l’Épée]

ON ENTEND PLEURER LA FRANCE

Dites-moi mes amis, que faisons nous ici ?
Est-ce encore un pays ? Il faut croire que oui
Hantés par un passé qu’on ne peut effacer
Et qui vient nous chercher pour ne plus nous lâcher

Quand on entend pleurer la France

Sur la lande enchantée où nos pères ont chanté
Sous le chêne sacré où Jeanne venait rêver… la, la, la
Dans la boue des tranchées où le sang a coulé
L’offrande des sacrifiés des siècles oubliés

On entend pleurer la France

Dites-moi mes amis est-ce encore un pays
Car l’ange qui le conduit s’est perdu dans la nuit
Tout au fond du terroir près de l’âtre le soir
On ne conte plus l’histoire du chevalier Bayard

Mais on entend pleurer la France

Au ciel de l’innocence monte dans le silence
Le chant de repentance des pauvres gens de France… la, la, la
En ces temps de tempête où les fous font la fête
Allons-nous disparaître ou relever la tête

Quand on entend pleurer la France

Dites-moi mes amis, que faisons nous ici ?
Est-ce encore un pays ? Il faut croire que oui

Tant qu’on entend chanter la France




La folie contre-nature, avec la « bénédiction » de Rome

[Source : havresaintjoseph-tradition.fr via MPI]

Par un décret signé de François, « Fiducia supplicans », Rome vient de déclarer la possibilité de « bénir les couples irréguliers ».

Plusieurs voix se lèvent, et non des moindres.

Mgr Viganò vient d’écrire une déclaration forte et motivée sur cet acte horrible contre la morale :

« (…) La délirante Déclaration de Fiducia supplicans, récemment publiée par la parodie de l’ancien Saint-Office nouvellement appelé Dicastère, perce définitivement le voile d’hypocrisie et de tromperie de la Hiérarchie bergoglienne, montrant ces faux pasteurs pour ce qu’ils sont : des serviteurs de Satan et ses alliés les plus zélés, à commencer par l’usurpateur qui siège — abomination de la désolation — sur le trône de Pierre. (…). »

https://www.medias-presse.info/declaration-de-mgr-vigano-a-propos-du-document-du-vatican-fiducia-supplicans-sur-la-liceite-de-benir-les-couples-irreguliers/183857/

Il n’est pas étonnant, même si cela devait prendre des années, que la Foi ayant été abandonnée depuis Vatican II au profit d’un relativisme religieux, la Morale elle-même serait abandonnée. C’est fait.

Mgr Viganò n’est pas l’unique voix à s’élever pour condamner ce document.

Reconnaissons le courage de l’abbé Pagliarani, supérieur général de la FSSPX, d’avoir pour la première fois depuis son élection en 2018 dénoncé la faute publique de François :

https://www.medias-presse.info/le-superieur-general-de-la-fraternite-sacerdotale-saint-pie-x-soppose-a-la-decision-de-francois-de-benir-les-couples-en-situation-irreguliere-et-les-couples-de-meme-sexe/183805/

https://fsspx.news/fr/news/communique-du-superieur-general-la-fraternite-sacerdotale-saint-pie-x-41522

Des pays d’Afrique s’insurgent contre cette abomination et ne pouvons que féliciter ces prêtres qui ont gardé le bon sens et la morale chrétienne :

https://www.medias-presse.info/afrique-non-benediction-homosexuelle/183867/

On attend la réaction de l’épiscopat de France… Il est fort probable qu’elle ne viendra pas. Malheur aux chiens muets…




« 2 grands facteurs permettent au pouvoir de dominer les masses »

[Source : Epoch Times France]

Marie-Estelle Dupont est psychologue clinicienne, elle vient de publier « Être parents en temps de crise – Comment restaurer l’équilibre psychique de nos enfants » (éditions Trédaniel).

Un livre dans lequel elle analyse les séquelles de la crise sanitaire sur la santé mentale des jeunes, la remise en question de l’autorité parentale de la part de l’État, l’émergence d’une société de contrôle et d’autorisations ainsi que les facteurs qui permettent au pouvoir d’obtenir l’adhésion de la population.

« Aujourd’hui, les 18-25 ans sont la tranche de la population qui va le plus mal sur le plan psychologique. La levée des mesures sanitaires n’a pas mis fin au mal-être de cette jeunesse », souligne-t-elle.

Selon la psychologue, « de plus en plus de jeunes adultes rentrent dans le groupe des “états limites” (personnalités borderline, notamment) », ce qui amène les cliniciens « à revoir l’étalonnage des tests de personnalité et à considérer désormais comme quasi normales des conduites déviantes, tant leur fréquence augmente ».

Si les conséquences des mesures sanitaires ont mis du temps à être prises en compte, Marie-Estelle Dupont estime que le covid nous a fait « toucher le paroxysme d’une lecture chiffrée et statistique du vivant ».

Une vision de la médecine qui réduit la santé des individus à des données mathématiques, niant leur histoire, leur singularité et leur humanité : « Quand les chiffres prennent le dessus sur la parole, on peut manipuler à l’envi, et on détruit le sujet. Ce modus operandi inhumain se fait au nom du progrès, du bien, de l’efficacité ; alors qu’il est tout-puissant et évidemment inhumain et déshumanisant. »

Pour la psychologue, la crise sanitaire a également vu la mise en œuvre de « mécanismes puissants d’ingénierie sociale », notamment la technique du « nudge ».

« Les régimes libéraux actuels, fortement bureaucratisés et faisant sans cesse appel à des cabinets privés pour “manager” la population telle un troupeau indifférencié, manient à merveille l’art du nudge, l’art de distiller des coups de coude aux citoyens de sorte que le troupeau aille dans la bonne direction, sans les y obliger ouvertement. »

« C’est la base de la manipulation de masse quand le régime ne veut pas passer pour dictatorial mais qu’il n’a plus de démocratique que le nom, tant la possibilité d’exercer sa souveraineté est pour le peuple réduite à peau de chagrin. »

D’après Marie-Estelle Dupont, la crise sanitaire marque « une étape clé dans l’évolution de notre société » et « la proposition de société qui a été faite pendant le Covid, avec un crédit social important, est quelque chose qui séduit énormément les technocrates de Bruxelles. » Selon elle, il est « fort probable que nous allions vers une société de plus en plus liberticide, où le moindre de nos mouvements sera enregistré et contrôlé ».

Les mécanismes d’ingénierie utilisés pendant le Covid pourraient ainsi être reconduits à la faveur d’autres crises, énergétique, sécuritaire ou climatique : « Il y a un bénéfice secondaire énorme trouvé par les politiques. Les crises sont surlignées, mises en lumière pour justifier le contrôle de la population. Au nom du bien, le pire du totalitarisme sera autorisé. »

Une société orwellienne consacrant « le mariage entre le pire du socialisme et le pire du néolibéralisme » qui pourrait obtenir les faveurs d’une partie de la population, persuadée que la perte de ses libertés constitue un pis-aller face aux dangers qui la menacent : « Beaucoup de gens sont tellement endoctrinés qu’ils pensent que nous n’avons pas le choix. Nous n’avons rien retenu de l’expérience totalitaire du XXe siècle et du communisme. »

00:00 Intro
02:02 Quel est l’état de la santé mentale des jeunes ?
14:07 L’importance donnée aux chiffres par la médecine est-elle exagérée ?
21:24 Quels sont les mécanismes d’ingénierie sociale déployés pendant la crise ?
29:24 Ces mécanismes vont-ils se développer ?
39:24 Comment la corruption du langage permet-elle d’annihiler l’esprit critique ?
44:22 La société de consommation favorise-t-elle la soumission à l’idéologie ?
48:23 Comment résister à l’idéologie ?
55:13 En quoi les idéologies de déconstruction sont-elles une agression contre les enfants ?
01:03:00 Quelles sont les conséquences de l’éducation à la sexualité ?
01:07:56 Y a-t-il un lien entre la désinstruction et la montée de la violence ?
01:10:15 Comment aider les enfants à retrouver leur équilibre ?




Turbos cancer et surmortalité mondiale : ne vous faites plus ou pas injecter !

Le point le 18 décembre 2023

Par Nicole Delepine

Les autorités françaises continuent à inciter la population à se faire injecter les pseudovaccins anticovid, éventuellement associées au vaccin contre la grippe (ce qui aggrave le risque d’AVC) y compris chez les enfants. Aberrant (aucun risque du Covid et très faible risque de la grippe).

Ils n’hésitent pas à falsifier les résultats actuels en France et à nier les effets dévastateurs des injections démontrés dans de nombreux autres pays. Ils reprennent ainsi le vieux mythe du temps de Tchernobyl : « grâce à nos frontières qui existent encore pour nous protéger des virus et des complications des vaccins, pas de problème ».

Ne pouvant plus nier les multiples accidents cardiaques ni l’augmentation de la mortalité constatés chez nos proches ou amis, l’inénarrable Libération prétend qu’ils seraient liés au vilain virus qui tuerait à retardement et même peut être au « port du masque tombé en désuétude » ! Mais n’espérez pas que les injections qui ont été incapables de vous protéger hier vous protégeraient demain. Elles sont déjà responsables de nombreuses victimes par le monde, et il n’est pas nécessaire d’en rajouter !

Il semble donc opportun de rappeler à tous, y compris ceux qui croient que la plandémie covid 1 est terminée, que le risque de ces injections expérimentales est élevé à moyen terme et encore impossible à estimer à long terme.

En effet, après l’apparition des accidents cardiaques y compris brutaux, puis des atteintes neurologiques, des troubles des règles et de la fertilité et des turbocancers depuis quelques mois, chacun doit s’inquiéter et surtout éviter de s’injecter à nouveau ou de faire injecter les enfants ou les personnes âgées qui nous font confiance. L’apparition de dissonances cognitives plus tardive fait craindre que nous ne soyons pas au bout de nos découvertes post-poison.

En attendant, un seul mot d’ordre devrait inonder la planète à la suite des spécialistes comme Alexandra Henrion Caude2, Robert Malone ou le Dr Makis pour n’en citer que trois mondialement connus :

STOP AU POISON PARTOUT DANS LE MONDE !

Ainsi les turbocancers que nous évoquions il y a déjà deux ans se sont multipliés depuis quelques mois par centaines laissant craindre une explosion de cancers à distance des injections.

Voici par exemple la distribution des cancers au Royaume-Uni rapporté par le cancérologue William Makis3 :

Alors Pfizer veut nous rassurer et certainement aussi améliorer ses perspectives de ventes : il achète les labos fabriquant les remèdes contre le cancer. Ainsi Makis, le 14 décembre 2023 dans un nouvel article, met en exergue l’acquisition par Pfizer de la firme Seagen pour 43 milliards de dollars pour une petite entreprise de médicaments contre le cancer qui gagne à peine 2 milliards de dollars par an. Cherchez la raison. D’autant que Pfizer émettra également 31 milliards de dollars de dette pour l’acquérir.

Que se cache-t-il dans ces détails si ce n’est le fait que les vaccins anticovid provoquent de nombreux turbocancers, ce qui permettra, Pfizer l’espère, de traiter les maladies qu’on a créées ?

Dans la description de Makis 5 principaux cancers apparaissant chez les injectés à l’ARNm

  • Des lymphomes de différents types,
  • Des cancers du cerveau (surtout glioblastomes)
  • Des cancers du sein surtout triples négatifs avancés (stade 3 ou 4)
  • Des cancers du poumon le plus souvent stade 4 d’emblée
  • Mais aussi des leucémies graves, des mélanomes stade 4, des sarcomes (stade 3 et 4), des cancers du testicule et ovaire, de progression rapide et des cancers du rein (stade 4)

La nouvelle acquisition de Pfizer permettra de traiter deux de ces cancers et Bourla le PDG annonce, au cours d’une tournée publicitaire, que 33 % des gens auront un cancer. C’est un bon commerçant et il continue ses pronostics morbides, tout en vantant l’efficacité de ses futurs produits ciblés et sa capacité grâce à son réseau mondial de « disposer de moyens rapides de finir les essais cliniques ! » Pourquoi a-t-il besoin de tant d’antipoison si ce n’est qu’il SAIT ce qu’ils ont fait ?4

Ces nouveaux traitements seraient « des missiles » contre le cancer. Et quoi encore ? En tous cas tout est bien planifié. Un bien portant n’est pas un client, alors les rendre malades puis produire des médicaments pour guérir des maladies induites par les poisons et ainsi de suite, le rêve de tout patron d’entreprise de médicaments.

Malheureusement, nous ne pouvons actuellement que constater la surmortalité démontrée depuis 2021 dans de nombreux pays plus transparents que le nôtre. Cette surmortalité, toutes causes confondues, est probablement liée en grande partie aux complications du poison injecté, car ce sont les pays les plus injectés qui ont la surmortalité la plus forte.

Voici quelques tableaux d’information afin de vous faire votre propre opinion :

Sources :
@felicittina #Surmortalité @HMDatabase continue à produire ces chiffres de surmortalité sans qu’aucun des grands instituts qui l’ont créée (Berkeley, Max Planck, @InedFr il ne semble s’en intriguer. On y trouve pourtant les plus prestigieux démographes…]

Sur l’ensemble des 26 pays, la surmortalité « post-ARNm » représente 2,4 fois celle constatée précédemment :

Et ça continue :

Les chiffres sont malheureusement très parlants et BFM Tv est encore actuellement en train de nier les effets secondaires du poison-vaccin.

Écoutez pour conclure la dernière interview de Didier Raoult :





L’Europe est en train de sortir de l’Histoire !

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Émission spéciale sur l’inquiétant déclin de l’Europe dans tous les domaines. Économie, démographie ou encore immigration : tous les indicateurs sont aux rouges.

  • 00:00 Introduction
  • 03:34 Le déclin démographique
  • 09:59 Le déclin économique
  • 16:28 La punition écologique
  • 20:33 Conclusion



La survie de la domination de Washington sur l’ONU

[Source : voltairenet.org]

[Illustration : Le 12 décembre 2023, l’Assemblée générale des Nations unies a exigé, à 153 voix de majorité, un cessez-le-feu humanitaire immédiat à Gaza.]

Par Thierry Meyssan

Lors de leur création, les Nations unies portaient un idéal d’égalité des peuples et des nations. Cependant, dès les premiers mois de son fonctionnement, Washington et Londres ont soutenu Israël contre le peuple palestinien. Puis, Washington a falsifié le Conseil de sécurité en faisant siéger Formose à la place de la Chine et en provoquant le boycott de l’URSS. Aujourd’hui, la domination des États-Unis sur cette institution est dénoncée par une vaste majorité d’États membres. Tandis que les BRICS se placent en ordre de bataille pour que l’institution revienne au Droit international.

En une année, l’Assemblée générale des Nations unies s’est profondément modifiée : en octobre 2022, 143 États, conduits par Washington, condamnaient les « annexions illégales » de la Russie en Ukraine, tandis qu’en décembre 2023, 153 États appelaient à un cessez-le-feu humanitaire immédiat à Gaza, contre l’avis de Washington.

Par le passé, Washington pouvait menacer quantité d’États et leur imposer de se prononcer comme lui et d’adopter ses règles. Aujourd’hui il fait moins peur :
Certes, le Commandement des opérations spéciales des États-Unis (USSoCom) peut à tout instant mener des ingérences militaires secrètes dans n’importe quel pays dans le monde et assassiner tel ou tel de ses dirigeants, mais ce déploiement semble de plus en plus improbable dans de grands pays.
Certes, le département du Trésor peut interdire de commercer avec tel ou tel État et ainsi couler l’économie du récalcitrant, voire affamer sa population. Mais, désormais, la Russie et la Chine offrent un moyen de briser ce siège économique.
Certes la gigantesque machine d’interception des communications des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni) peut révéler les turpitudes de n’importe quel récalcitrant, mais certains dirigeants sont honnêtes et ne peuvent donc faire l’objet de chantage au détriment de leur population.

De ce point de vue, la liste des États ayant voté contre le cessez-le-feu à Gaza est éclairante, outre les États-Unis et Israël, elle comporte un certain nombre de régimes aux caractères surprenants :
• Autriche
Karl Nehammer est un formateur en communication politique. Il serait capable de faire passer à peu près n’importe quelle décision tant il excelle en la matière. Militaire de carrière, il a travaillé avec Washington en tant que formateur des officiers de Renseignement. Il est aujourd’hui chancelier de cet ancien État neutre.
• Guatemala
Le président italo-guatémaltèque, Alejandro Giammattei, est le représentant d’un petit groupe de capitalistes. Il lutte avec force contre ceux qui luttent contre la corruption, incarcérant des procureurs, des leaders d’associations de Droits humains et des journalistes trop curieux. Allié fidèle des États-Unis, il est le seul chef d’État latino-américain à s’être rendu à Kiev et à Taïwan.
• Liberia
Le pays est encore présidé par le footballer et chanteur George Weah. Le président élu Joseph Boakai n’ayant pas encore été intronisé. N’ayant aucune expérience politique, Weah a choisi comme vice-présidente Jewel Taylor, épouse du criminel contre l’humanité Charles Taylor.
• Micronésie
La Micronésie était occupée par les États-Unis jusqu’à ce que le président Ronal Reagan accepte son indépendance. Aujourd’hui, elle reste cependant sous tutelle, sa défense étant assurée par le Pentagone.
• Nauru
Petit pays de moins de 10 000 habitants, Nauru n’est indépendant de l’Empire britannique que depuis 1968. Chacun sait, aux Nations Unies que le « président » David Adeang est opportuniste et corrompu. Il est toujours possible à celui qui paie d’obtenir un vote favorable de ce pays.
• Papouasie–Nouvelle-Guinée
La Papouasie Nouvelle-Guinée n’est indépendante de l’Empire britannique que depuis 1975. Il y a sept mois, son actuel Premier ministre, James Marape, a signé un accord autorisant les États-Unis à utiliser son territoire comme base avancée dans le Pacifique. Ils ont un accès total à tous ses ports et aéroports en échange de divers investissements. Lorsqu’il a déplacé son ambassade en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, James Marape a déclaré : « Pour nous qui nous disons chrétiens, nous ne pouvons pas respecter pleinement Dieu à moins de reconnaître que Jérusalem est la capitale universelle du peuple et de la nation d’Israël ».
• Paraguay
Son actuel président, Santiago Peña, tente de donner un coup de jeune aux institutions tout en faisant l’éloge de la dictature anticommuniste du général Alfredo Stroessner.
• Tchéquie
Probablement êtes-vous surpris de voir un second membre de l’Union européenne dans cette liste. C’est que vous avez manqué l’élection de son nouveau président, le général Petr Pavel, ami personnel de l’ambassadeur US à Prague. Il a été formé aux USA et au Royaume-Uni et est devenu président du comité militaire de l’OTAN. Ancien collaborateur de l’occupant soviétique, il a complètement réécrit sa biographie et s’est transformé en Occidental moderne, mais il utilise son pouvoir pour aligner son pays sur Washington.

Vingt-trois autres États se sont abstenus. Il s’agit d’alliés de Washington et non pas de simples marionnettes comme les précédents. Quoi qu’il en soit, les Occidentaux n’ont plus la majorité (97 voix). Le G7 n’est plus un point de repère.

À ce sujet comment ne pas relever la situation actuelle du Japon où une enquête judiciaire a mis en lumière la corruption généralisée de la classe politique. Au moins 500 millions de dollars ont été versés, entre 2018 et 2022, à 99 parlementaires du Parti libéral-démocrate, au pouvoir sans discontinuer depuis 67 ans (sauf deux intermèdes totalisant 4 années). Ce qui est présenté comme une « grande démocratie » n’est en réalité qu’une mise en scène masquant un système mafieux.
Comment le G7 peut-il prétendre incarner et défendre de nobles valeurs ?

Les Brics, dont les nouveaux membres occuperont leur place le 1° janvier 2024, représentent désormais plus de la moitié de l’humanité. Ils œuvrent à un monde multipolaire. Dans leur esprit et contrairement aux cauchemars occidentaux (le piège de Thucydide), il ne s’agit pas de remplacer les États-Unis par le duopole Chine-Russie, mais d’abandonner les règles occidentales et de revenir au Droit international. Si vous ne comprenez pas ce dont je parle, lisez mon article sur ce sujet : « Quel ordre international ? »1. La plupart d’entre nous ignorent que les membres de la « communauté internationale » (c’est-à-dire Washington et ses vassaux) ne respectent plus leurs signatures et violent leurs engagements, à commencer par la résolution 1812 qui prévoyait la création d’un État palestinien ou, plus récemment, la résolution 2202 qui devait prévenir la guerre en Ukraine. Ils ignorent que leurs prétendues « sanctions » sont des armes de guerre et violent les principes de la Charte des Nations unies.

L’évolution de l’Assemblée générale des Nations unies (ONU) la place dans la même situation que la Société des Nations (SDN) en 1939. Alors que le président des États-Unis, Woodrow Wilson, avait profondément modifié le projet original de la SDN en refusant l’égalité entre les peuples, l’ONU la reconnaît dans ses textes, mais pas en pratique, comme le montre par exemple le traitement de la question palestinienne. Dans les deux cas, il s’agit de préserver la domination anglo-saxonne sur le monde, de l’extérieur de la SDN (que Washington refusa d’intégrer après en avoir modifié les statuts) ou de l’intérieur de l’ONU (que Washington intégra, mais dont ils n’a jamais respecté les statuts). D’où la question : les Brics parviendront-ils à réformer l’ONU et à le ramener au respect de ses principes ou échoueront-ils à préserver la paix ?

Dans cette perspective, l’Assemblée générale ne s’est pas contentée d’exiger un cessez-le-feu humanitaire immédiat à Gaza3. Elle a d’abord adopté une série de résolutions exigeant l’application de la résolution 181, celle dont la non-application avait engendré le désordre actuel. Elle exige notamment qu’Israël indemnise les biens des Palestiniens qu’il a expulsés, il y a soixante-quinze ans4.


1 « Quel ordre international ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 novembre 2023.

2 « Résolution 181 (II) de l’Assemblée générale des Nations Unies », ONU (Assemblée générale), Réseau Voltaire, 29 novembre 1947.

3 « Protection des civils et respect des obligations juridiques et humanitaires à Gaza », Réseau Voltaire, 12 décembre 2023.

4 « Biens appartenant à des réfugiés de Palestine et produit de ces biens », Réseau Voltaire, 7 décembre 2023.




Le récit de « l’urgence climatique provoquée par l’homme » en prend pour son grade

[Source : @Myltraduction]

[Illustration : Alex Newman à droite.]

Le journaliste primé Alex Newman explique pourquoi le récit de «l’urgence climatique provoquée par l’homme» s’effondre.

Le barrage est enfin en train de craquer.

[Source en anglais :
https://www.theepochtimes.com/epochtv/new-papers-completely-undermine-the-so-called-settled-science-on-manmade-global-warming-alex-newman-5512688]






Des scientifiques « wokes » accusent la respiration humaine d’être à l’origine du changement climatique

[Source : aubedigitale.com]

Par David Lindfield

Un groupe de scientifiques « wokes » a affirmé que la respiration humaine contribuait au « changement climatique ».

La lutte des mondialistes contre la prétendue « crise climatique » devait toujours se résumer à restreindre l’activité biologique humaine de base, essentielle.

L’agenda a toujours été une guerre contre l’humanité elle-même.

En 2010, Bill Gates, cofondateur de Microsoft, l’a admis lors d’un Ted Talk.

Les commentaires anti-humains de Gates ont été accueillis par une cacophonie d’applaudissements flagorneurs de la part de son public lobotomisé.

« Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants », a déclaré Gates.

« Nous nous dirigeons vers neuf milliards d’individus. »

« Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 pour cent…

« Nous émettons beaucoup de dioxyde de carbone chaque année — plus de 26 milliards de tonnes », a expliqué Gates.

« D’une manière ou d’une autre, nous devons apporter des changements qui ramèneront ce chiffre à zéro… »

« Cette équation comporte quatre facteurs, un peu de multiplication… »

« Il y a donc un facteur à gauche, le CO2, que l’on veut ramener à zéro, et ce facteur sera basé sur le nombre de personnes, les services que chaque personne utilise en moyenne, l’énergie, en moyenne, pour chaque service, et le CO2 émis par unité d’énergie. »

« Examinons donc chacun de ces éléments et voyons comment nous pouvons les ramener à zéro. »

« Il est probable que l’un de ces chiffres devra s’approcher de zéro. »

Puis le public se met à rire.

REGARDEZ :

En ajoutant le qualificatif « l’un de ces nombres » et en ne le précisant pas, M. Gates a maintenu un déni plausible sur ce qu’il voulait dire exactement.

Mais nous savons ce que lui et ses collègues transhumains voulaient dire.

Selon le Daily Mail, les scientifiques avertissent désormais que les gens provoquent un « changement climatique » par le simple fait de respirer.

La nouvelle étude a été menée par Nicholas Cowan, physicien de l’atmosphère au Centre britannique d’écologie et d’hydrologie d’Édimbourg.

L’étude affirme que les gaz contenus dans l’air expiré par les poumons humains alimentent le réchauffement de la planète.

Selon les scientifiques, le méthane et l’oxyde nitreux présents dans l’air expiré représentent 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni.

Et ce chiffre ne tient même pas compte des gaz que nous rejetons en rotant et en pétant.

Les soi-disant « émissions » proviennent également de notre peau sans que nous nous en rendions compte, prévient la science « woke ».

« L’haleine humaine peut contenir de faibles concentrations élevées de méthane (CH4) et d’oxyde nitreux (N2O), qui contribuent tous deux au réchauffement de la planète », préviennent le Dr Cowan et son équipe.

« Nous invitons à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions d’origine humaine sont négligeables ».

La manière dont les humains sont censés faire preuve de prudence lorsqu’il s’agit de respirer n’est toutefois pas claire.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Une contre-révolution sous nos yeux ?

Ce que révèlent les affaires Depardieu et Cesari

[Source : contrepoints.org]

[Illustration : source Wikimedia.]

Par Vincent Tournier

Deux événements se sont produits simultanément le 7 décembre 2023.

Le premier concerne la bronca qui a gagné un collège des Yvelines à la suite de la présentation en cours de français d’un tableau de Giuseppe Cesari datant du XVIIe siècle, Diane et Actéon. Parce que ce tableau représente des femmes dénudées, des élèves musulmans de 6e ont exprimé leur réprobation. Des tensions et des menaces ont suivi, ce qui a conduit les enseignants à faire valoir leur droit de retrait, avant que le ministre Gabriel Attal ne se rende sur place.

Le second événement concerne l’acteur Gérard Depardieu. Dans un documentaire, le magazine « Complément d’enquête » a diffusé des extraits d’une vidéo tournée en 2018 dans laquelle le comédien tient des propos particulièrement crus et vulgaires sur les femmes, y compris sur une très jeune fille d’une dizaine d’années.

Si ces deux événements méritent d’être rapprochés, malgré leurs différences, c’est parce que, chacun à leur manière, ils nous parlent des transformations actuelles de la société française.

Cachez cette nudité

Commençons par l’affaire du tableau de Cesari. On peut légitimement discuter pour savoir s’il était judicieux de montrer un tel tableau à des élèves de 6e. Mais l’essentiel n’est pas là.

Il fut un temps pas si lointain où, face à des images à caractère sexuel, entraperçues par exemple dans un film ou un documentaire, les collégiens avaient tendance à manifester, non pas leur dégoût, mais bien un enthousiasme typiquement juvénile, où se mêlaient gloussements émerveillés et clameurs grivoises.

Que des élèves de 6e adoptent aujourd’hui une attitude exactement inverse, surtout à un âge aussi précoce, en dit long sur le type d’éducation qu’ils reçoivent et sur les valeurs qu’ils entendent affirmer. Visiblement, cette affaire confirme l’existence d’un clivage profond qui place l’école en porte-à-faux vis-à-vis d’une partie de la population, comme l’avaient déjà révélé les incidents lors de l’hommage à Samuel Paty et à Dominique Bernard, ou les nombreux conflits sur les signes religieux et les atteintes à la laïcité.

Cachez cette sexualité

Concernant Gérard Depardieu, le problème se présente différemment. Il est évidemment légitime d’être choqué par les propos de l’acteur, lesquels dépassent très largement ce que la décence commune peut tolérer.

On évitera cependant d’être hypocrite. Lorsqu’ils sont entre eux, il arrive aux hommes de parler crûment des femmes et de la sexualité, car rares sont ceux qui échappent totalement aux pulsions de leur cerveau reptilien. Cela vaut sans doute aussi dans l’autre sens. On peut en effet remarquer que l’un des clips actuellement les plus populaires est une chanson de rap interprétée par deux femmes qui s’intitule WAP, ce qui signifie Wet Ass Pussy. Or, les paroles n’ont rien à envier à la trivialité de Depardieu : « Il y a des salopes dans cette maison / Amène un seau et une serpillière pour cette chatte bien mouillée / Mets cette chatte sur ton visage, glisse ton nez comme une carte de crédit / Crache dans ma bouche / Dans la chaîne alimentaire, je suis celle qui t’avale / Je veux que tu touches ce petit trucmuche qui pendouille au fond de ma gorge. » Ce clip a été encensé encore récemment sur le site Slate.fr.

Il ne s’agit pas de dire que tout est permis. La vie civilisée consiste justement à s’abstenir de toute vulgarité dans la vie publique : la sexualité est une affaire privée. Mais rien ne dit que les propos de Depardieu étaient destinés à être diffusés. On aimerait d’ailleurs savoir pourquoi la chaîne publique s’est autorisée à diffuser ces images, violant sans scrupules le droit à la vie privée de l’acteur.

Cachez ce monstre

Le problème concerne cependant moins Depardieu lui-même que l’évolution de son statut dans la société. Car Depardieu n’a pas toujours été ce personnage exécré qu’il est devenu. Historiquement, il a au contraire incarné l’audace modernisatrice, la provocation progressiste, la critique iconoclaste.

Le film qui l’a propulsé vers la gloire, en l’occurrence Les Valseuses de Bertrand Blier (1975), dont le titre était déjà tout un programme, devait son succès à ses dialogues crus et à ses scènes de sexe délibérément destinées à choquer le bourgeois. Les radios publiques lui rendent encore hommage, que ce soit France Inter ou plus récemment France Culture.

C’est donc en grande partie pour son côté iconoclaste que Depardieu a été encensé. Même les institutions de la République y sont allées de leur reconnaissance, d’abord en le faisant chevalier de l’ordre national du Mérite de la part de François Mitterrand en 1988 (précisons toutefois qu’il avait appelé à voter pour le candidat socialiste), puis en lui attribuant la Légion d’honneur (Jacques Chirac en 1996).

Cette consécration artistique et politique a forcément eu des effets sur ses manières d’être et de s’exprimer. Tout au long de sa vie, Depardieu a probablement été adulé par son entourage pour son côté libéré et provocateur. Personne ne se fait tout seul, et Depardieu n’échappe pas à cette règle : à sa façon, il est le fruit de cette France d’après 1968 qui ambitionnait de bouleverser la morale traditionnelle au profit de la liberté amoureuse et sexuelle.

Le retournement est aujourd’hui total. Depardieu est maintenant présenté comme un « ogre » ou un « monstre ». La ministre de la Culture n’hésite pas à dire qu’il fait « honte à la France », et parle de lui retirer la Légion d’honneur. Elle n’a pas appelé à brûler ses films, mais ce n’est peut-être qu’une question de temps.

On pense à la célèbre formule de l’Évêque de Reims lors de la conversion de Clovis au christianisme :

« Adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré ».

C’est probablement à cela qu’on reconnaît un changement d’époque : c’est lorsqu’une société aspire à se débarrasser de ses idoles d’hier, à briser ses anciennes icônes devenues insupportables, que l’on comprend qu’une nouvelle religion émerge, même si on ne sait pas très bien quelles personnalités vont incarner la nouvelle vertu.

La contre-révolution est en marche

Les affaires Cesari et Depardieu pourraient rester dans le registre du fait divers si elles ne venaient pas à la suite de nombreuses polémiques du même type. On pense par exemple au baiser de Blanche-Neige, dont nous avons essayé d’esquisser une analyse.

Une contre-révolution morale est manifestement en marche. Serge Gainsbourg, un autre provocateur du même acabit, en a fait les frais dernièrement. Autrefois, les jeunes traitaient leurs aînés de « vieux cons » et dénonçaient leurs opinions réactionnaires ; désormais, ils reprochent aux générations précédentes d’avoir été progressistes.

Si cette dynamique contre-révolutionnaire s’annonce profonde et durable, c’est parce qu’elle est portée par un agrégat de groupes différents soutenus par une démographie et des mutations sociologiques favorables, dont le point commun est de promouvoir un agenda néo-puritain. La polémique sur le tableau de Guiseppe Cesari est ici très significative : elle a été lancée par des familles musulmanes, mais elle aurait très bien pu être initiée par des néo-féministes. L’islam rigoriste se retrouve sur la même ligne qu’une partie du féminisme moralisateur, tandis que la gauche, loin de se détourner de ces deux causes, aspire à les englober dans un salmigondis idéologique aussi indigeste que fragile.

Il faut donc s’attendre à ce que les polémiques de ce type se multiplient. On doit se préparer à aller de surprise en surprise, car les nouvelles sensibilités sont toujours pleines de ressources et de créativité lorsqu’il s’agit de désigner des icônes à abattre. C’est ce qui en fait tout l’intérêt, un peu comme pour une bonne série télé : on a hâte de découvrir la prochaine saison.




Les billets de banque bientôt éliminés pour cause d’empreinte carbone ?

[Source : jovanovic.com]

HARO SUR LES BILLETS DE BANQUE QUI ONT UNE EMPREINTE CARBONE

Par Pierre Jovanovic

du 18 au 24 décembre 2023

Celle-là je ne l’ai pas vue venir, et pourtant, je suis vraiment informé :

« L’utilisation des billets de banque a un impact sur l’environnement équivalent à 8 km en voiture ou à 0,01 % de l’impact environnemental total moyen de la consommation d’un Européen. C’est ce qui ressort d’une étude de la Banque Centrale Européenne. »

!!!!!!!!!!!!!!!! ??????????? !!!!!!!!!!!!

Prendre les citoyens pour des imbéciles à un tel niveau relève clairement des Jeux Olympiques, restez assis :

« Pour l’étude, l’impact environnemental du cycle de vie complet des billets a été examiné, y compris l’extraction des matières premières, la fabrication, la distribution et la circulation jusqu’à la destruction finale des billets.

La plus grande charge environnementale provient de la consommation d’énergie des distributeurs automatiques de billets, suivie par le traitement des billets dans les banques centrales, le transport, la production de papier à partir de coton durable et le processus de vérification des billets en magasin.

L’euro est la monnaie de 346 millions d’Européens dans 20 pays. L’utilisation des pièces de monnaie et des transactions électroniques, qui passent par des connexions Internet et des centres de données, n’a pas été étudiée dans le rapport. La BCE souhaite réduire davantage l’impact environnemental des billets de banque en recyclant plus de matériaux provenant de billets usagés et s’attend à des distributeurs automatiques de billets encore plus économes en énergie. »

Le message est on ne peut plus clair ! lire ici De Telegraaf, merci à nos lecteurs.




Zemmour pour l’Église et contre le Christ

[Source : lemediaen442.fr]

Voici une déclaration du Président de « Reconquête ! » passée totalement inaperçue. Nous sommes le samedi 15 septembre 2018, dans l’émission de France Inter « Le Grand face-à-face » qui oppose Raphaël Glucksmann à Éric Zemmour. Lors de cet échange houleux entre les deux hommes, Raphaël Glucksmann rappelle les écrits de Zemmour : « Vous écrivez dans votre livre quelque chose d’intéressant. Vous dites clairement : Je suis pour l’Église et contre le Christ ! » Ce à quoi Éric Zemmour répond avec affirmation :

« Oui ! Oui, je le dis clairement ! […] Le Christ c’est pas la liberté, c’est la mort ! »



Les chrétiens pro-Zemmour vont en prendre un coup ! Comment être pour l’Église et contre le Christ ? La Bible dit dans Colossiens 1.18 : « Il est la tête du corps de l’Église ; Il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier. » Sans le Christ il n’y a pas d’Église, car l’Église est le Corps de Christ.

C’est l’occasion pour nos lecteurs de revenir sur l’analyse de Éric Zemmour que fait Marcel D. :




Sommes nous dégénérés ?

[Source : Fabien Moine – Exuvie TV]

QI, obésité, stérilité, cancer, dépression…

Sommes-nous dégénérés ? C’est la question (violente) qu’on doit se poser lorsqu’on observe froidement : la baisse de QI, l’augmentation de l’obésité, l’infertilité grandissante, l’explosion des maladies chroniques et des cancers, la chute de l’immunité, les dépressions banalisées et la baisse de l’espérance de vie. Malgré tout ce qui est narré, promu, vanté et ressassé dans les médias par le Système, non notre civilisation n’est pas à son apogée, elle est en plein déclin, au bout, à l’agonie et nous entendons son dernier râle. Pourtant tout est décrit comme parfait , dans le meilleur des mondes cotonneux. Dans cette étrange fin de cycle, il nous faut regarder le réel en face et s’élancer pour changer le modèle. Pourquoi et Comment ? Réponses dans cette vidéo…




Répression COVID — Mise à jour pour la Nouvelle-Zélande

[Source : @TheAmir]



Références




Bill Gates, ou le mythe du bon milliardaire

[Source : reinformation.tv]

Par Anne Dolhein

Un récent livre du journaliste américain Tim Schwab (pas de lien avec Klaus !) est venu contester le « mythe » Bill Gates, le milliardaire qui se « rachète » de sa richesse fabuleuse en s’adonnant à une philanthropie tapageuse. The Bill Gates Problem: Reckoning With The Myth Of The Good Billionaires, pose de multiples questions sur la sincérité, l’utilité, l’efficacité et même l’altruisme de ce prétendu bienfaiteur de l’humanité. L’homme qui a fait preuve d’une ambition agressive pour prendre le pouvoir sur Microsoft aurait-il tant changé qu’il mérite aujourd’hui le genre d’hommages qu’on lui a prodigué en Inde, où un « love-in » avait été organisé pour ses soixante ans dans un lycée en 2015 ? Près de 2 000 enfants brandissaient le portrait du héros sous le slogan : « Grow rich, help others » (devenez riche, aidez les autres).

Le livre est sorti quelques jours à peine après Controligarchs de Seamus Bruner, qui dénonce lui aussi Bill Gates et ses achats frénétiques de terres agricoles…

Pour Tim Schwab, Gates s’est en réalité beaucoup aidé lui-même. Sa promesse de donner 95 % de sa fortune (pour éradiquer la polio, on y reviendra) remonte à 2010. Il assurait trois ans plus tard que l’argent ne lui servait à rien au-delà d’un certain seuil ; il fallait « faire le travail de Dieu ». La Fondation Bill et Melinda Gates a été créée en 2000 (quelques mois à peine après que Microsoft fut retoqué pour « abus de monopole ») et a reçu de leur part au fil des ans une « dot » de 67 milliards. Mais dans le même temps, la fortune de Gates a plus que doublé en vingt ans : il « vaut » aujourd’hui 117 milliards de dollars. Et les dons, ainsi que le veut le droit fiscal américain, lui ont permis de récupérer une somme rondelette sur les impôts : 50 %, pour être précis.

[Voir aussi :
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
et
Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates]

Bill Gates, un milliardaire qui vit comme tel

Avec une fortune qui ressemble au PIB d’un pays comme l’Équateur ou la Slovaquie, il peut s’offrir à peu près ce qu’il veut en termes d’immobilier, de voitures de luxe et de jet privé ; il paraît même qu’il importe du sable des Caraïbes pour agrémenter le lac privé de sa demeure de Xanadu dans l’État de Washington. Pour quelqu’un qui prétend lutter contre le « changement climatique », et surtout l’agriculture traditionnelle, il n’a pas peur de dépenser de l’énergie et de laisser son « empreinte carbone » partout où il passe. Cela ne parvient pas à ternir sa réputation, tant il est mis en avant comme le « gentil » universel.

Pour Schwab, il est grand temps de voir la réalité au sujet de sa Fondation et de sa bienfaisance affichée : « Elle est un outil manié par Bill Gates pour faire progresser sa vision du monde. Ce n’est pas tellement qu’il donne de l’argent ; il achète de l’influence. »

De manière « totalement irresponsable, antidémocratique et non transparent », Gates peut peser sur le cours des choses, persuadé qu’il est d’avoir raison sur tout. Et s’il finance fortement l’aide internationale — en faisant la promotion de la contraception en particulier — par son pouvoir, il entraîne également les gouvernements à investir dans les projets qu’il affectionne. Manière d’exercer le pouvoir sur l’argent du contribuable…

Bienfaisance ou influence ? Bill Gates « travaille pour lui »

En lançant une lutte acharnée contre la polio et en finançant des programmes de vaccination massive et de recherche sur les vaccins, Gates a peut-être fait plus de mal que de bien, argumente Tim Schwab. Sa Fondation prétend avoir sauvé la vie de « 122 millions d’enfants » ; mais il s’agit du nombre d’enfants de moins de cinq ans qui seraient morts depuis 1990 si le taux de mortalité infantile était resté le même depuis lors — or s’il s’est amélioré, la Fondation ne peut s’en attribuer seule le mérite, d’autant que l’augmentation globale du niveau de vie a certainement joué un rôle.

Schawb rappelle notamment la recherche en vue d’un vaccin contre le papillomavirus humain menée en Inde. Sept filles d’âge scolaire sont mortes du fait de ces études menées — on l’a su plus tard — sans consentement personnel et parental, assure le journaliste. Si la Fondation nie énergiquement, assurant que les morts sont attribuables à d’autres causes, Schwab affirme qu’il n’y a jamais eu d’autopsie.

Sur le front de la polio, la focalisation de Gates sur cette maladie contribue à détourner des fonds d’autres maladies bien plus létales comme la diphtérie et la rougeole, d’autant que l’éradication complète des tout derniers cas en arrive à la phase la plus difficile, la plus chère et la moins « rentable ». Au point que Gates a obtenu que le Pakistan considère la lutte contre la polio comme la priorité des priorités là où 25 millions de personnes font face à d’autres maladies tropicales et que 28 millions souffrent de malnutrition.

[Voir aussi :
La grande tromperie des vaccins depuis Pasteur l’imposteur, le pire étant le vaccin contre La Polio
La poliomyélite n’a pas été éradiquée par la vaccination, mais par le traitement des eaux !
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?]

Le mythe du bon millionnaire Bill Gates lui permet de peser sur le pouvoir politique

Bill Gates a joué un rôle de premier plan quant au vaccin anti-covid ; Schwab lui reproche surtout d’avoir favorisé les brevets et la protection de la propriété pour des laboratoires comme Pfizer et Merck pour empêcher la technologie de profiter à tous, au détriment de l’Afrique (une bénédiction déguisée, plutôt ?). Par ailleurs, les dons de sa fondation représentent 88 % des fonds donnés par des organisations philanthropiques à l’OMS. Vous avez dit influence et pouvoir ?

Schwab, qui a la réputation d’être de gauche, affirme : « Un homme dont la fortune repose en grande partie sur les méthodes ingénieuses de Microsoft en vue de l’évitement légal de l’impôt dans le monde entier servirait mieux la planète s’il donnait cet argent aux gouvernements pour qu’ils le consacrent à l’aide et au développement, plutôt que d’agir comme s’il était Dieu. »

Cela ne nous épargnerait sans doute pas de la tyrannie de la bien-pensance. Mais il est sûr qu’avec ses milliards de dollars, Gates l’impose à sa propre façon, ajoutant le poids du monopole au penchant totalitaire du pouvoir.