Les vœux anti-français de Macron : montrons-lui quelle est la fierté d’être Français

[Source : russiepolitics.blogspot.com]

Par Karine Bechet-Golovko

Sans grande surprise, lors des Vœux 2023, Macron nous a gratifiés de son autosatisfaction en ce qui concerne la politique intérieure, sociale, économique et sécuritaire de la France. Politique globaliste et antiétatiste, impopulaire et anti-française. Tout va très bien, Madame la Marquise, et tout ira encore mieux en 2024. Sur le plan international, il a rappelé l’axe fondamental de la désagrégation de la France, du négationnisme français au profit d’une mythique « souveraineté européenne », qui ne peut être tant que la France est, et de la mise à disposition de toutes les forces de la nation française au service de la guerre atlantiste en Ukraine. 

Si vous avez manqué le rendez-vous annuel de la présidence européiste, vous présentant des vœux dont on se demande par qui — ou quoi — ils ont été écrits, rassurez-vous, vous pouvez en reprendre une louche ici. Mais à consommer avec modération :

Macron vit dans un monde merveilleux. Il peut ainsi sans sourciller commencer son allocution par féliciter ceux, qui sont de garde dans les services publics, qu’il démantèle avec une application sans faille. Il peut ensuite se gargariser de lutter contre l’inflation, quand les produits frais augmentent officiellement d’environ 10 % sur l’année. Macron se félicite de réformes « impopulaires », surtout les retraites, toutes ces réformes qui passent par un recours systématique au 49-3, sans vote des députés, sans légitimité populaire. Nous apprécions surtout la politique énergétique concernant l’électricité et le gaz, qui conduit à une augmentation de 10 % environ de la facture des ménages, soit 160 euros pour 2023, sachant qu’une nouvelle augmentation équivalente est déjà prévue pour 2024. Et je ne parle pas des tarifs pour les entreprises. Macron, sans gène aucune, ose parler des agriculteurs, dont le taux de suicide flambe, qui manifestent sans cesse depuis la rentrée dans l’indifférence politique générale.

Quand il parle de la réindustrialisation de la France, il ne cite que « l’industrie verte », culte globaliste écolo oblige. Tout semble se diriger vers le pass carbone, la désindustrialisation réelle de la France, au nom d’un refroidissement du Soleil pour lutter contre le réchauffement climatique. Et le meilleur, manifestement, reste à venir, si l’on en croit sa promesse de nouvelles annonces :

2024, année de la détermination, de l’efficacité des résultats.Et j’aurai l’occasion dans les semaines qui viennent de vous dire comment notre Nation relèvera ces défis.
Mes chers compatriotes, l’action n’est pas une option. L’action est notre devoir pour les générations futures.

Il se félicite de la politique allant vers le plein-emploi, qui consiste à créer des emplois aidés, puisque l’économie n’est pas relancée et qu’elle ne peut créer de richesse. Sans parler de la réforme de l’immigration, qui n’a pas été décidée en France, mais simplement implantée à partir des décisions européennes.

Et comme il l’affirme : puisque ça ne marche pas, mais puisque vous ne me virez pas, ne vous inquiétez pas, je continuerai !

C’est pourquoi je n’ai cessé de suivre la même logique : agir avec détermination et constance pour aujourd’hui et pour demain. 

En effet, pourquoi se priver ?

Sur le plan international, il suit également la même ligne, celle de la désintégration de la France dans le marais globaliste. C’est ainsi que dans la novlangue actuelle, il ne cesse de parler de « souveraineté européenne », seule « souveraineté » qu’il reconnaisse d’ailleurs. La souveraineté, selon la doctrine constitutionnaliste classique, est le mode d’existence de l’État — et ne peut concerner que l’État. L’UE n’est pas un État, tant qu’elle est composée d’États. Si elle est souveraine, cela veut dire que les États européens, eux ne le sont plus et ont disparu, pour qu’elle se constitue sous forme d’État. Ce qui a été tenté avec les différents traités européens depuis la fameuse « Constitution européenne », mais l’emballement des peuples n’était pas là, le processus bégaye. Ce qui ne veut pas dire que la désétatisation de nos pays ne continue pas. Bien au contraire, les pouvoirs nationaux sont petit à petit vidés de leurs réelles compétences et s’affaiblissent. Un jour, ils seront suffisamment faibles et ainsi impopulaires pour disparaître dans l’indifférence générale et permettre alors l’avènement d’un véritable régime totalitaire, qui nous fera regretter amèrement, mais un peu tard, la bêtise bonhomme de nos dirigeants nationaux. 

Le registre de langage employé par Macron veut montrer la vigueur de sa détermination. Il emploie notamment de manière étrangement inadaptée le terme de « réarmement », qui semble concerner tout et n’importe quoi — sauf l’armée… Il arrive quand même à passer de la dégradation de l’école… au réarmement de la Nation…

Nous serons déterminés à agir pour l’école, l’enfance et l’éducation, afin de rétablir le niveau de nos élèves, l’autorité de nos professeurs, la force de notre enseignement laïc et républicain. Après le réarmement économique, le réarmement de l’État et de nos services publics, il nous faudra ainsi engager notre réarmement civique. La France c’est une culture, une Histoire, une langue, des valeurs universelles qui s’apprennent dès le plus jeune âge. A chaque génération.

Il faut effectivement créer une armée d’abrutis, sinon le peuple risquerait de se soulever face à une telle incurie. Et tel est manifestement le but. 

Ainsi, la France peut être vendue aux intérêts atlantistes, qui concrètement, dans la prolongation de la Guerre froide, sont de faire disparaître la Russie. En ce sens, la bataille d’Ukraine ne peut être abandonnée. La France a été bâillonnée derrière le drapeau européen, elle est en première ligne et elle n’a pas le choix :

Nous aurons à faire le choix d’une Europe plus forte plus souveraine, à la lumière de l’héritage de Jacques Delors. Une Europe qui œuvre à la paix au Proche-Orient et sur notre propre continent, en continuant à soutenir le peuple ukrainien et avec lui, notre sécurité, notre liberté, nos valeurs. Vous aurez au mois de juin prochain à vous prononcer sur la poursuite de ce réarmement de notre souveraineté européenne face aux périls : arrêter la Russie et soutenir les Ukrainiens ou céder aux puissances autoritaires en Ukraine ; continuer l’Europe ou la bloquer ; poursuivre la transition écologique et productive ou revenir en arrière ; affirmer la force des démocraties libérales ou céder aux mensonges qui sèment le chaos.

La voie de l’UE, c’est la voie de l’atlantisme, c’est la voie de la guerre. Et la France n’a pas le choix. En tout cas, pas avec ces élites : car elles sont en place justement pour mener cette politique. Discuter avec elles ne sert à rien, elles sont parfaitement au courant, elles ne sont pas incompétentes. Leur bilan est même plutôt positif :  désindustrialisation et dépendance économique, affaiblissement des structures étatiques et délégitimation de l’État national, rééducation de la population et remise en cause des valeurs et de la culture classique. Et Macron nous annonce aller encore plus loin dans ce sens.

Toute Nation a le gouvernement qu’elle mérite. Qu’avons-nous fait, ou pas fait, pour mériter cela ? Nous nous sommes ramollis, nous nous sommes reconcentrés sur un monde de plus en plus étroit et vide de toute humanité, nous avons refusé par paresse et commodité de mener les combats qui s’imposaient quand il le fallait. Nous pouvons laisser Macron, ou un autre avec un autre visage, mais appartenant au même clan, continuer ce travail de sape — par faiblesse, par égoïsme, par confort. Mais nous ne pourrons pas dire que nous ne savons pas.

Quels sont vos vœux pour cette nouvelle année ? Personnellement, je souhaite le réveil de ma France, de la France que j’aime, de la France éternelle, de cette France que les globalistes haïssent et veulent détruire. Macron parle des « fiertés françaises » comme il parlerait de curiosités exposées dans une foire. Montrons-lui la fierté du peuple de France, pas des « fiertés » de pacotille, mais ce qu’est la fierté d’être Français.




Une prof en France : Pour la nouvelle année, si on faisait classe en forêt ?

[Source : bvoltaire.fr]

Par Virginie Fontcalel

Des enfants courent dans une forêt, grimpent à un arbre puis le mesurent, observent son écorce et ses feuilles, le dessinent et composent un poème le décrivant. Ils ont renforcé leur confiance en soi, géré une prise de risque raisonnable, respiré le bon air, sollicité leurs sens, tonifié leur corps tout en faisant des sciences naturelles, des mathématiques et du français. Ils sont scolarisés dans une des rares Écoles de la forêt que l’on peut trouver en France, celles qui ont réussi, grâce à la persévérance et à l’énergie de leurs fondateurs, à surmonter tous les obstacles que l’administration et la société ont mis sur leur chemin.

Apparue au début du XXe siècle, l’École dans la Forêt a connu un succès notable dans les mondes anglo-saxon et scandinave. On en trouve de nombreuses aux États-Unis, en Allemagne, en Hollande ou en Suède. Au Danemark, près de 20 % des classes maternelles passent leur journée en forêt, repas et sieste compris, quel que soit le temps. Et les enfants s’en portent très bien, quand nos salles de classe surchauffées leur font enchaîner les rhumes et qu’on leur interdit de sortir en récréation quand il pleut… L’Angleterre compte aujourd’hui plusieurs centaines de Forest Schools publiques dans le primaire :

« Depuis les années 1990, beaucoup de choses ont changé, mais les bouleversements ont été encore accélérés par la pandémie.[Les enfants]communiquent avec leurs amis grâce aux outils technologiques et restent chez eux plutôt que d’aller les retrouver à l’extérieur », explique Vicki Stewart, directrice d’une École en forêt près de Swindon, dans un article du Guardian.

Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique autant qu’une urgence sociétale. La Suisse suit le même mouvement et les collectivités locales y soutiennent la création d’écoles, qu’elles soient privées ou publiques.

Mais en France, des résistances idéologiques fortes subsistent. Ces écoles interrogent notre rapport au savoir et à sa transmission. Nombreux sont ceux, chez nous, qui restent convaincus qu’on n’apprend que si l’on est assis derrière une table, dans une salle fermée, et si possible dans le silence. Si l’on ajoute une pincée de stress, un soupçon de compétition et une larme d’ennui, les conditions d’apprentissage sont parfaites ! C’est normal, ce sont celles que nous avons connues, et après tout, nous n’en sommes pas morts et, même, nous avons appris plein de choses !

Les résistances tiennent aussi à un attachement un peu irrationnel à « l’école de la République ». Alors qu’ils s’activent pour créer une École en forêt dans le Morvan, Léa et Moïse reçoivent un courriel de la part d’un des détracteurs de leur projet :

« Vous vous apprêtez à ouvrir une école privée hors contrat. Il me semble que dans le monde d’aujourd’hui, ce choix est irresponsable. L’école publique a beaucoup de défauts, mais c’est un bien commun.[…]Vous savez très bien qu’en retirant vos enfants de l’école de votre village, vous l’affaiblirez. Moi, je crois qu’il faut se battre pour elle, pour qu’elle subsiste, pour qu’elle devienne meilleure. »

On retrouve la vieille question : l’école est-elle faite pour les enfants, ou les enfants pour l’école ? Combien d’enfants doivent être sacrifiés pour que subsiste le fantôme d’un rêve que l’école publique n’incarne plus depuis fort longtemps ?





Cinéma : les Oscars deviennent Wokescars

[Source : medias-presse.info]

Par Léo Kersauzie

Accorder les récompenses cinématographiques en fonction de la couleur de peau du réalisateur, de l’orientation sexuelle de l’acteur principal, ou de la minorité à laquelle appartient le preneur de son ? C’est bien cela qui sera officiellement mis en place cette année à Hollywood pour l’attribution des fameux Oscars.

Hollywood ou Hollywoke ?

L’Académie qui remet les Oscars l’avait annoncé il y a longtemps déjà, mais c’est cette année 2024 que cette nouvelle règle prend officiellement effet. Pour la prochaine cérémonie des Oscars de mars 2024, un long métrage ne pourra être soumis dans la catégorie « meilleur film » que si la production satisfait à certains critères.

Il faut que le personnage principal fasse partie d’un groupe racial minoritaire. Il faut que le scénario n’oublie pas d’inclure « un groupe sous-représenté ». Il faut que 30 % de l’équipe (réalisateur ou maquilleur ou monteur) soit issue de « groupes sous-représentés ». Il faut que la compagnie de production offre des stages à des « groupes sous-représentés » ou que les responsables de la communication fassent partie de « groupes sous-représentés ».

Et qui sont ces groupes sous-représentés ?

Les femmes, les minorités ethniques, les personnes LGBTQ+ et les personnes ayant un handicap cognitif ou physique, ou qui sont sourdes ou ont de la difficulté à entendre.

C’est écrit comme ça.

Si un film raconte la vie d’un homme, né dans un corps d’homme, n’ayant jamais couché avec un homme, et qu’en plus cet homme est blanc, si exceptionnel soit ce film, il ne pourra être retenu dans la catégorie des meilleurs films de l’année  !

Lorsque l’acteur Richard Dreyfuss avait été interrogé sur ces critères de sélection aux Oscars 2024, il avait répondu : « Ça me fait vomir ».

Le New York Post cite cette autre réaction d’un réalisateur : « C’est ridicule. Je suis pour la diversité, mais vous forcer à donner des rôles à certaines personnes si vous voulez être en nomination ? Ça rend tout le processus contraignant. La personne qui est parfaite pour le rôle devrait avoir le rôle. Pourquoi devrions-nous être limités dans nos choix ? Mais c’est le monde dans lequel on vit maintenant. C’est fou ! »

Le monde est fou, en effet. Comme le signale le New York Post, le chef-d’œuvre All Quiet on the Western Front n’aurait pas pu être en nomination en 2024. Imaginez-vous que ce film raconte l’histoire de soldats de la Première Guerre mondiale ! Des maudits hommes blancs qui se battent contre d’autres hommes blancs ! Ça intéresse qui, ça ?




Les voitures électriques d’occasion sont invendables

[Source : DME En Direct]




À Hollywood, « les prédateurs ne font pas que violer et torturer ces enfants »




En France les militaires ne meurent plus sous les balles, mais par les injections

L’intervenante est le Dr Typhaine Pinsolle que l’on peut voir aussi ci-dessous
[qu’elle ne remette pas en question l’existence de virus pathogènes est une autre affaire. Comme beaucoup de personnes travaillant dans le milieu médical, elle nest probablement pas informée de la réfutation de la pseudo théorie virale ou na pas voulu se pencher sérieusement sur la question.] :

Dr Typhaine Pinsolle au Sénat sur les effets secondaires du Covid19. Paris/France – 07 Novembre 2023
Autre lien pour la vidéo, en cas de censure : https://crowdbunker.com/v/98a1USuQom

Une autre vidéo sur cette intervention :





Où en est la fusion froide ?

Peu d’informations disponibles sur ce sujet controversé.

La fusion froide : interview de Jean Paul Biberian (2011)

[Source : KNOWLEDGETVLIVE]

Site actuel de Jean Paul BIBERIAN : http://www.cryofusion.org/


De l’énergie nucléaire sans déchets radioactifs pour verdir les réseaux électriques et les VÉ ? (2019)

[Source : roulezelectrique.com]

Par Pierre Langlois

D’entrée de jeu, je m’explique sur le point d’interrogation dans le titre. Je vais vous parler, aujourd’hui, du dévoilement récent d’un nouveau réacteur LENR (Low Energy Nuclear Reaction) qui dégage 22 kW d’énergie thermique et consomme seulement 380 Watts d’énergie électrique. Mais il faut mettre un bémol, et voici pourquoi.
C’est la quatrième génération des réacteurs E-Cat d’Andrea Rossi. Il est offert commercialement par Leonardo Corporation et aurait des délais de livraison de quelques semaines. Bien que j’aie déjà écrit des articles sur les premières générations de réacteurs (1, 2), qui ont été validés par des mesures de chercheurs indépendants, le réacteur E-Cat SK, dont je vais vous entretenir, n’a pas fait l’objet de mesures indépendantes et, pour des raisons de propriétés intellectuelles, très peu d’information est disponible, présentement, sur les détails de fabrication et de contrôle. Ce nouveau réacteur n’est donc pas encore scientifiquement avéré.

Leonardo Corporation ne vend pas ses réacteurs, elle les installe et monnaye seulement les kWh d’énergie thermique utilisés, comme on le fait pour l’électricité. Ainsi, les clients sont à l’abri d’une arnaque potentielle puisque si la chaleur n’est pas là et que la facture n’est pas réduite substantiellement, selon les termes du contrat, ils ne paient pas. Par ailleurs, le témoignage éventuel des clients sur les économies qu’ils vont faire va nécessairement valider ou invalider la technologie. Et ça, on devrait le savoir dans une année environ. D’ici là, croisons-nous les doigts, car le potentiel de transformation de nos sociétés est inouï ! Jugez-en par vous-même dans ce qui suit.

La présentation du nouveau réacteur E-Cat SK

Le 31 janvier 2019, Andrea Rossi présentait la dernière mouture de son générateur d’énergie thermique, basé sur les réactions nucléaires à basse énergie (RNBE), le E-Cat SK. Pour ceux qui veulent en savoir davantage sur les RNBE (LENR, en anglais), je vous réfère à un article que j’ai écrit en 2014 « E-Cat et LENR : C’est très sérieux ! Le scepticisme excessif nuit à la science ».

Un très bon compte-rendu de la présentation récente de Rossi a été fait par Mats Lewan, l’auteur du livre An impossible invention, sur son blogue. L’article est intitulé « My take on the E-Cat SK — Rossi now takes orders ». On y retrouve les liens pour visionner les différentes sections de la présentation.

Je dois dire que j’ai été déçu de la forme de cette présentation, qui est loin de ce qu’on devrait s’attendre du lancement d’un produit aussi révolutionnaire, en admettant qu’il fonctionne comme annoncé. J’aurais bien aimé voir un minimum de décorum, un PowerPoint bien fait, de l’infographie, des dépliants à télécharger et un site Internet à la hauteur. Rien de tout ça. On est très loin des présentations de Tesla pour ses nouveaux produits ! Par ailleurs, le peu d’information révélée sur le fonctionnement du réacteur ou sa composition est également frustrant pour un scientifique comme moi. Je comprends que plusieurs millions de dollars ont été investis en 8 ans pour en arriver là et que Rossi et ses partenaires veulent récupérer leurs billes, mais le résultat c’est que personne d’autre ne peut reproduire leurs dernières expériences, pour le moment.

Ceci étant dit, ayant suivi le dossier Rossi depuis 2011 (date de la première démonstration publique), je sais que ses réacteurs E-Cat (de Energy CATalyser) sont du sérieux. Le rapport Lugano, dans lequel des scientifiques indépendants et chevronnés ont reproduit les mesures de dégagement d’énergie, en témoigne.

Le rapport Lugano

Des chercheurs d’institutions réputées ont analysé une version 2014 du réacteur E-Cat, avec leurs propres instruments, pendant 32 jours et ont remis un rapport très détaillé (53 pages). Les expériences ont eu lieu dans la ville de Lugano en Suisse, d’où le nom du rapport. J’ai rédigé un article, lors de la sortie du rapport, pour vulgariser et synthétiser les résultats stupéfiants obtenus.

Voici les grandes lignes. Les chercheurs ont trouvé qu’il se dégageait 3,6 fois plus d’énergie sous forme thermique que l’énergie électrique utilisée pour faire fonctionner le réacteur. Le COP (coefficient of performance) était donc de 3,6. Et, une autre conclusion percutante de ce rapport est que l’énergie dégagée pendant les 32 jours de l’expérience est beaucoup plus élevée que ce qu’on est en droit de s’attendre de réactions chimiques.
En effet, l’énergie thermique excédentaire mesurée était de 1,5 MWh, ce qui correspond à l’énergie dégagée par la combustion de 168 litres d’essence, alors que le réacteur n’avait qu’un volume de 1/10 de litre et que les produits réactifs qu’il contenait avaient un volume au moins 10 fois inférieur au réacteur, soit d’environ 1/100 litre. C’est donc dire que, pour un même volume de « carburant », la poudre du E-Cat a dégagé plus de 16 000 fois l’énergie produite par la combustion de l’essence.

En fait, c’est beaucoup plus que ça, car l’expérience a été arrêtée arbitrairement après 32 jours, mais aurait pu continuer au moins 6 mois, selon Rossi. Par ailleurs, les chercheurs du rapport Lugano ont volontairement réduit le chauffage du réacteur (amorce la réaction) pour éviter que la température ne dépasse 1 400 °C et que le réacteur soit détruit (il y en a un qui a fondu dans leurs expériences). Cette mesure de sécurité a réduit la performance du réacteur. Rossi, lui-même, avait atteint un COP supérieur à 6. Tout ça pour dire que l’énergie dégagée par la poudre du réacteur serait plutôt de l’ordre de 150 000 fois plus élevée que celle de l’essence, pour un même volume, et possiblement plus.

Une telle densité d’énergie est trop élevée pour que ce soit de l’énergie chimique. Pour le moment, seule l’énergie nucléaire peut l’expliquer. D’ailleurs, les chercheurs du rapport Lugano ont analysé la poudre du réacteur avant et après l’expérience et constaté qu’il y avait eu d’importantes transmutations nucléaires. 90 % des isotopes légers du Nickel ont été transmutés en isotopes lourds et le lithium 7 (poids atomique de 7 uma) qui constituait 93 % du Lithium est tombé à 8 % après 32 jours de fonctionnement du réacteur ! Les réactions chimiques ne peuvent faire ça, seules des réactions nucléaires le peuvent.

Et, ce qui est particulièrement remarquable c’est le fait que ces réactions nucléaires n’émettent pas de radioactivité à l’extérieur du réacteur, et que la poudre métallique n’est pas radioactive après 32 jours (pas de déchets radioactifs). C’est donc une énergie extrêmement propre, sans gaz à effet de serre ni émissions polluantes, dont les carburants sont très abondants et bon marché. Et le nickel n’est pas consommé, seul son rapport isotopique change. On peut donc l’utiliser pour fabriquer de l’acier inoxydable après son utilisation dans un réacteur E-Cat !

Les performances impressionnantes du nouveau E-Cat SK

Le réacteur et l’électronique de contrôle sont contenus dans un boitier de 40 cm de large, 45 cm de profond et 93 cm de haut (photo ci-dessous). La puissance est de 22 kW en continu, 24/24, et le poids de 9,1 kg. En mettant 10 réacteurs en parallèle on peut fournir plus de 200 kW de chauffage. Deux tuyaux sur le dessus du réacteur, servent à l’entrée et la sortie du fluide qu’on réchauffe. La consommation électrique du E-Cat SK est de 380 Watt, donnant un COP de 57. Mais, la très grande partie de la consommation d’électricité est pour refroidir l’électronique et le panneau de contrôle. Le réacteur lui-même ne consommant que 0,08 mW, aux dires de Rossi, son COP serait en fait de 22 kW divisé par 0,08 mW, soit 275 000 000 ! Il faut dire qu’une fois démarrée, la réaction s’entretient pratiquement d’elle-même.

Présentement, un seul réacteur, consommant 380 Watts, chauffe un bâtiment de 3000 pi2 par 14 pi de haut à 16 °C, avec une température extérieure de 0 °C, depuis plus de 2 mois.
Un détecteur à neutrons et un appareil de mesure pour les radiations ionisantes montrent, en permanence, qu’il n’y a pas de radiations nucléaires au-dessus du bruit de fond usuel.

Le cœur de ce nouveau type de réacteur est un cylindre creux transparent de 10 cm de hauteur et 10 cm de diamètre contenant un mélange gazeux. Une décharge contrôlée produit un plasma au centre, dont la température maximale atteint plus de 8 000 °C, vérifiée avec un spectromètre. La grande partie du spectre est dans l’ultraviolet, et la luminosité du plasma est si intense qu’on doit utiliser un filtre protecteur pour le regarder. Ni la composition du gaz ni sa pression ne sont données. Le plasma (photo ci-dessous) est contrôlé par des impulsions électriques carrées dont les paramètres ajustent la puissance, grâce à un thermostat. Un fait intéressant, un réacteur a déjà fonctionné une année sans être réapprovisionné en « carburant ».

Ce qu’on sait c’est que les premiers réacteurs E-Cat, jusqu’en 2016, étaient constitués de petits cylindres remplis de poudre de nickel en majeure partie, d’aluminium, de lithium, d’hydrogène, de fer, de carbone et d’oxygène, selon les analyses des chercheurs qui ont réalisé le rapport Lugano, mentionné plus haut. La stœchiométrie des éléments Al, Li et H, toujours selon ce rapport, est compatible avec de l’hydrure d’aluminium-lithium (LiAlH4) qu’on utilise, entre autres, pour stocker l’hydrogène et le dégager lorsque chauffé. C’est d’ailleurs en chauffant les cylindres qu’on amorçait la réaction.

Par ailleurs, sur le site de Leonardo Corporation, qui commercialise les réacteurs E-Cat, on peut lire, aujourd’hui, que le Nickel ne serait utilisé que comme catalyseur, et que la réaction principale qui entraîne le dégagement d’énergie implique l’Hydrogène et le Lithium. Il y aurait fusion entre les noyaux de ces deux atomes pour donner du Béryllium 8, qui se désintègre en deux noyaux d’Hélium et de l’énergie libérée sous forme de chaleur.

Le modèle d’affaire de Leonardo corporation pour le E-CAT SK

La compagnie Leonardo Corporation, qui commercialise le E-Cat SK, n’a pas l’intention de vendre ses réacteurs, mais plutôt la chaleur qu’ils produisent. Il n’y aurait donc aucun déboursé initial du client pour l’acquisition. Celui-ci paierait un montant du kWh thermique consommé, comme on le fait pour l’électricité, et acquitterait une facture mensuelle substantiellement moindre que celle qu’il devrait payer de toute autre source (électricité, gaz naturel, propane, huile de chauffage…). Le tarif plafond est fixé à 20 % en dessous du prix de la compétition et négociable à la baisse pour les gros consommateurs de chaleur.

Le E-Cat SK est disponible, initialement, aux États-Unis, en Suède et au Japon. Présentement, seules les entreprises sont éligibles et non les particuliers, pour des questions d’homologation plus faciles. Les utilisations typiques sont le chauffage de bâtiments ou de serres, les procédés industriels de séchage (usines de pâte et papier, entre autres), le chauffage de l’eau pour les buanderies et les cafétérias (hôpitaux, hôtels, prisons…).
Un tel modèle d’affaires rend impossible une imposture de la part de Leonardo Corporation, qui ne peut vendre disons 1 000 E-Cat SK à 100 000 $ chacun et disparaître dans la Nature, comme certains critiques pourraient le prétendre, en ne voyant en Andrea Rossi qu’un fraudeur. Leonardo Corporation doit fournir l’énergie thermique à ses clients s’ils veulent être payés.
De toute façon, d’ici une année, si les clients sont satisfaits les doutes vont s’estomper.

Rêvons un peu

Admettons que les réacteurs E-Cat SK fonctionnent avec les performances annoncées. Imaginez tout le progrès qu’on pourrait faire dans le développement des réactions nucléaires à basse énergie (RNBE), en y investissant quelques milliards de dollars. On investit bien 30 milliards de $ dans le projet ITER de réacteur à fusion thermonucléaire, alors qu’on n’a pas encore produit plus d’énergie qu’on en utilise pour faire fonctionner ces machines à fusion (COP<1). Avec plus d’argent pour la recherche sur les RNBE, on pourrait mieux comprendre les phénomènes, les optimiser et construire divers formats de réacteurs, avec, en bout de ligne, la possibilité de :

  • – construire des serres chauffées très abordables pour les pays nordiques ;
  • – dessaler l’eau de mer pour irriguer nos régions désertiques et donner de l’eau potable ;
  • – chauffer nos bâtiments et maisons beaucoup moins cher qu’à l’électricité ;
  • – construire un prolongateur d’autonomie à microturbine pour voiture électrique (plus besoin de bornes de recharge) dont on ne fait jamais le plein de « carburant » ;
  • – remplacer les bouilloires des centrales au charbon et au gaz par une bouilloire E-Cat ;
  • – remplacer le cœur des réacteurs nucléaires à l’uranium par une bouilloire E-Cat ;
  • – construire des minicentrales électriques décentralisées assurant une meilleure robustesse (redondance) que des grosses centrales très éloignées.

Fini les problèmes de pollution dans la production d’énergie et fini les tensions géopolitiques pour le contrôle du pétrole et du gaz naturel. Fini l’importation de fruits et légumes de l’autre bout de la planète, même pour les pays nordiques. De l’énergie bon marché garantirait également l’essor économique des pays sous-développés.
Je vous laisse deviner la suite et m’en faire part dans les commentaires.


ICCF 24 : conférence sur la Fusion Froide (2022)

[Source : blogde-jeanpaulbiberian.blogspot.com]

Par Jean Paul Biberian

La dernière conférence ICCF 24 sur la Fusion Froide s’est terminée hier. Elle a eu lieu du 25 au 28 juillet 2022 à Mountain View en Californie. La conférence a été organisée par l’Anthropocene Institute co-fondée par Carl Page, le frère de Larry Page de Google. La réunion était à la fois en présentiel, mais aussi en ligne. L’organisation était extrêmement professionnelle, et les contributions de très bonne qualité. 

On voit que le domaine avance, à la fois du point de vue scientifique que maintenant industriel. Les financements commencent à arriver, et nous avons appris à cette occasion que ARPA-E allait financer à hauteur de 10 Millions de dollars l’activité.

Parmi les nouveautés, il apparaît qu’au Japon Clean Planet soit prêt à développer un prototype industriel, ainsi que Brillouin au Etats-Unis qui ont apporté sur place leur prototype. Il est aussi à noter que la NASA travaille activement sur le sujet.

Les présentations seront prochainement accessibles sur le site de la conférence.




La grippe et son vaccin

[Premier vaccin prétendument efficace réalisé par Jonas Salk en 1944-1945]



Réconcilions-nous pour reforger l’alliance éternelle

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




L’homme qui rendait inutiles les transfusions de sang !

[Source : naturopathie & traditions JUILLET 2015 N° 106]

L’homme qui rendait inutiles les transfusions de sang ! (dernière partie)

René Quinton est face à son plus grand défi : prouver que la simple eau de mer est substituable sans dommage à la partie essentielle de notre liquide interne : le sang…

[Voir aussi :
René Quinton, savant oublié, inventeur du plasma isotonique à partir d’eau de mer]

Par Pierre Lance

Voici retranscrit par les soins d’André Mahé le compte-rendu détaillé de l’expérience à laquelle Quinton se livre sur un animal :

Un chien vidé de son sang est rétabli à l’eau de mer !

« Chien de dix kilos. Saigné à blanc, sans précaution d’asepsie, de 425 grammes par l’artère fémorale, en quatre minutes, soit un vingtième du poids du corps. Le réflexe cornéen est aboli. Devant l’impossibilité d’exprimer plus de sang, l’injection d’eau de mer commence. Injection en onze minutes de 532 cc d’eau de mer à 23°. Le réflexe de la cornée reparaît. L’animal, détaché, montre un abattement considérable. Il s’affaisse et parvient tout au plus à se relever. La peau du cou garde les plis qu’on lui imprime. La marche est impossible, la respiration haletante, très courte. Placée sur une couverture, la bête y reste étendue sans mouvement. Deuxième jour. — Le lendemain, 21 heures après la saignée, l’animal trotte. Mais les globules rouges sont tombés de 6 800 000 avant l’expérience à 2 900 000. L’hémoglobine est passée de 19 à 12. Ces chiffres témoignent de l’énorme saignée pratiquée. Troisième jour. — L’état change, la plaie suppure, la fièvre prend : 40°. La tristesse et l’abattement deviennent extrêmes ; l’état apparaît comme grave. L’intérêt expérimental s’accroît, le problème devenant celui-ci : pour lutter contre l’infection, l’organisme, appauvri par la saignée, pourra-t-il, en présence de l’eau de mer injectée, accomplir sa leucocytose ? Quatrième jour — L’état se prolonge avec la même gravité. Mais l’examen du sang donne : globules rouges : 3 020 000 ; globules blancs : 24 000 ; hémoglobine : 16. La leucocytose est donc accomplie. Dans la soirée même, l’animal mange quatre cents grammes de viande. Ensuite, le rétablissement est rapide. (…) »

    Il utilise du sang de lézard

    Cinq ans plus tard, le chien vivait encore. Hélas, il mourut dans un accident, de sorte que l’on ne put savoir si cette transfusion totale d’eau de mer aurait pu avoir un effet sur la prolongation de son existence naturelle. En tout cas, la grande vivacité présentée par l’animal après cette épreuve se retrouva dans toutes les expériences similaires, comme si l’organisme trouvait dans l’eau de mer une source de vitalité supérieure à celle de son propre sang. Comme mon lecteur l’aura aussitôt deviné, le « plasma de Quinton » (ou eau de mer isotonique comportant deux parties d’eau de mer recueillie au grand large pour cinq parties d’eau de source filtrée) permettrait de remplacer la plupart des transfusions sanguines, ce qui nous aurait évité le scandale du sang contaminé, et alors que nos journaux télévisés nous répètent sans cesse que nous sommes à deux doigts de manquer de sang à transfuser. Quinton effectuera d’autres expériences, dont une absolument cruciale, portant sur tout un éventail d’échantillons de sang d’animaux divers (grenouille, lézard, lapin, chien, poule) et d’homme, afin d’observer si les globules blancs survivent lorsque le sang qui les contient est dilué dans l’eau de mer. Le succès est total ! Dès lors, Quinton juge son hypothèse de départ pleinement validée et il énonce la loi de constance marine :

    « La vie animale, apparue à l’état de cellule dans les mers, tend à maintenir, pour son haut fonctionnement cellulaire, à travers la série zoologique, les cellules constitutives des organismes dans le milieu marin des origines. »

    Le véritable inventeur des « oligo-éléments »

    Après quoi Quinton pousse, aussi loin que possible pour les moyens de l’époque, l’analyse chimique de l’eau de mer. C’est à lui que reviendra le mérite d’y déceler la présence de dix-sept corps rares que l’on n’y soupçonnait pas. Et le mérite aussi de souligner avant quiconque l’importance biologique de ces corps rares, ce qui fait de lui le véritable inventeur du concept aujourd’hui devenu banal des « oligo-éléments ». Il écrit à ce propos :

    « Le fait que la plupart de ces corps ne s’y trouvent qu’à l’état impondérable ou à peine pondérable n’importe aucunement, au point de vue qui nous occupe. On n’est nullement en droit de dire qu’un élément, si faible que soit sa proportion, ne joue qu’un rôle de second ordre dans une dissolution. Les zéros et les virgules qui chiffrent nos dosages ne chiffrent aucunement, au point de vue physiologique, l’importance des éléments les uns par rapport aux autres. Dans l’eau de mer aussi bien que dans l’organisme, un sel de cæsium, par exemple, que révèle seule l’analyse spectrale, doit être considéré jusqu’à preuve absolue du contraire comme présentant une importance biologique égale à celle du chlore et du sodium, qui constituent à eux seuls les 84 ou 90 centièmes des sels dissous. Rien ne prouve, en effet, que le cæsium, ou tout autre sel infinitésimal, ne joue pas dans la vie physiologique des mers ou de l’organisme un rôle indispensable à la manifestation de cette vie. Il y a toute une microchimie physiologiqueà

    peine commencée, qui montre, à n’en pas douter, le rôle capital que jouent certains corps dans la vie, à des doses extraordinairement réduites, et à ces doses seules. »

    Un livre, un mort, et une chute dans l’obscurité

    Formidable vision de précurseur, dont les recherches effectuées après lui allaient démontrer la justesse, et dont tous les biologistes sont aujourd’hui férus, y compris ceux qui ignorent Quinton ou qui ironisent sur les vertus de son « plasma ». Mais ce qui me semble le plus remarquable, d’un point de vue philosophique, dans la démarche quintonienne, c’est la compréhension parfaite de ce que je nomme pour ma part le « génie cellulaire ». Quinton a compris mieux que personne à quel point l’infime cellule vivante était la véritable créatrice de la myriade de formes de vie qui peuplent la surface de la Terre. De ce point de vue, Quinton complète idéalement Lamarck et Darwin en ce qu’il identifie le véritable moteur spirituel de l’évolution. Lamarck avait déjà mis en lumière le rôle essentiel de la volonté individuelle dans le gigantesque mouvement du progrès biologique, rôle minimisé chez Darwin au profit de la sélection naturelle. Mais il revient à Quinton d’avoir montré que c’est la volonté cellulaire autonome qui organise tout le monde vivant. En mars 1904, l’ouvrage capital de René Quinton L’Eau de mer, milieu organique est présenté en séance à l’Académie des sciences. Le livre, bien légitimement dédié par l’auteur à celui qui l’a tant aidé, Etienne-Jules Marey, paraît quelques semaines avant le décès de ce dernier. Âgé de 74 ans et malade, Marey a dû laisser à Edmond Perrier la joie de présenter ce livre du génial autodidacte aux membres de l’Académie.

    Et bientôt l’œuvre de Quinton aura un tel retentissement planétaire, qu’il rend aujourd’hui incompréhensible l’obscurité dans laquelle allait retomber son auteur. J’emprunte à André Mahé la description du succès médiatique remporté alors par Quinton :

    « J’ai mis plus d’une semaine à compulser — car il n’était pas question de lire à proprement parler — la collection des articles qui ont été publiés sur les travaux de Quinton dans les quotidiens, hebdomadaires, mensuels, revues scientifiques. Dès 1904, c’est dans le monde entier qu’ils sont diffusés et presque toujours par des textes importants et étendus qui annoncent la révélation d’un “Darwin français”. Pour les États-Unis, par exemple, j’ai dénombré vingt-deux grands papiers (et je doute que Quinton ait pu avoir tout ce qui se publiait), dans des journaux de New York, Chicago, Los Angeles, Boston, San Francisco, Pittsburgh, etc. Et des grands États jusqu’au Paraguay, au Siam et à l’Islande, il n’est pas de pays ou presque qui soit absent de cette anthologie mondiale. »

    En octobre 1906, c’est la consécration reçue du monde scientifique. Le résumé des théories de Quinton est présenté à l’Institut de France, au cours d’une séance solennelle réunissant les cinq Académies. L’introducteur est Albert Dastre, qui fut l’un des disciples préférés de Claude Bernard et qui est secrétaire de l’Académie des sciences. Et Dastre saura concentrer en une formule saisissante ce qui associe et différencie en même temps Darwin et Quinton. Il déclare :

    « Darwin nous apprend que l’obéissance à la loi d’adaptation régitles formes animales. Quinton nous apprend que la résistance à l’adaptation régitla vie animale ».

    Contre une armée de mercenaires

    Que la renommée de Quinton se soit effondrée après la Première Guerre mondiale est un fait qui ne résulte pas d’une cause unique. Mais un passage du livre d’André Mahé m’a fait subodorer la principale. Le biographe de Quinton écrit en effet :

    « L’eau de mer, introduite dans l’organisme humain, devait donc pouvoir y jouer un rôle utile dans tous les cas où le milieu intérieur était vicié pour une cause quelconque, empoisonnement chimique ou infection microbienne, insuffisance des organes éliminateurs, défauts de certains apports alimentaires, etc. Somme toute, Quinton prend ici exactement le contrepied de Pasteur. Le fondateur de la microbiologie avait consacré sa vie à la recherche du microbe, de l’agent pathogène. Quinton, à partir d’une conception physiologique générale, qui implique la santé quand nulle perturbation ne l’affecte, proposait une thérapeutique de défense de l’organisme contre cet agent. Avec les sérums pasteuriens, la médecine possédait des moyens de lutte directe contre l’agent pathogène proliférant dans l’organisme. Avec la méthode de Quinton, elle va disposer de moyens permettant à l’organisme de s’opposer à cet élément perturbateur, de donner à la matière vivante la force de vaincre. »

    Quel bougre !

    Et maintenant, cher lecteur, j’en suis sûr, vous avez tout compris. La différence essentielle entre ces deux sortes de moyens n’est pas une différence de stratégie thérapeutique, car après tout elles pourraient être complémentaires. La différence essentielle est de nature économique et c’est cette différence qui assurera le triomphe de la première aussi irrésistiblement que l’effacement de la seconde. Car les sérums de Pasteur allaient permettre l’éclosion d’une puissante industrie employant une armée de mercenaires scientifiques dociles, générant des milliards de profits et joyeusement cotée en Bourse. Mais le plasma de Quinton, générateur de vraie santé, ne pouvait enrichir personne. Aussi était-il prédestiné aux oubliettes. Toutefois, tant que Quinton était de ce monde, il n’était pas facile de l’escamoter, car le bougre faisait preuve d’autant de vigueur que d’intelligence et n’avait pour but que de sauver des vies. Dès qu’il a compris le formidable parti que la médecine peut tirer de ses découvertes, il se lance lui-même à l’assaut de la maladie et multiplie sur des moribonds l’essai de la dernière chance. Et son eau de mer isotonique les arrache à la mort ! Ainsi, dans un hôpital parisien où il vient à passer, on lui signale un malade de la typhoïde en coma terminal qui doit mourir dans la journée. On lui abandonne volontiers l’homme déjà perdu. À onze heures du matin, Quinton lui injecte en intraveineuse 700 cm2 d’eau de mer isotonique. Et il annonce aux infirmières que le typhique va reprendre connaissance, demandera à boire et peut-être à manger. Puis il sort en disant qu’il reviendra vers six heures du soir. Tout le monde le prend pour un illuminé. Lorsqu’il revient, le malade, assis dans son lit, bavarde avec une infirmière.

    Agonisant le matin, il est sauvé le soir ! Ce n’est là qu’un exemple.

    « Les succès spectaculaires encouragent Quinton à réaliser le projet qu’il rumine depuis longtemps : ses dispensaires marins »

    Les succès se multiplient. Au mois de juillet 1906 survient une épidémie de choléra infantile. À Rueil, dans une pouponnière modèle où séjournent dix-huit enfants, quatre d’entre eux s’éteignent en quelques heures. Onze autres tombent malades et perdent en une nuit une livre de poids ou plus. La directrice se précipite vers Quinton et revient avec du plasma. Le médecin présent ordonne de faire des injections d’eau de mer à huit des onze enfants, jugeant qu’il est trop tard pour les trois autres, dont le visage est tout noirci. Mais une infirmière se dit qu’on ne risque rien à en injecter aux trois mourants. Elle a raison : ils seront sauvés eux aussi ! Ces succès spectaculaires encouragent Quinton à réaliser un projet qu’il rumine depuis longtemps déjà : la création de dispensaires marins où l’on traitera les malades à l’eau de mer isotonique sur une grande échelle. Le premier ouvrira à Paris le 26 mars 1907, rue de l’Arrivée, près de la Gare Montparnasse. D’autres suivront. La même année, dans un important ouvrage intitulé Applications thérapeutiques de l’eau de mer, le docteur Robert-Simon écrit : « Après trois années seulement d’expérimentation, nul ne peut prévoir les limites que l’avenir assignera à cette méthode. Les derniers essais (goutte, rhumatisme, sciatique, coqueluche) nous autorisent à penser que le domaine de ses applications ira s’étendant, et que la généralité de son action lui vaudra une place très importante, peut-être prépondérante, parmi les agents de cure dont dispose la médecine. » Mais deux évènements d’une immense portée vont stopper l’élan de René Quinton.

    Fasciné par les avions !

    En 1908, Santos-Dumont et les frères Wright, renouvelant l’expérience de Clément Ader, vont faire voler les premiers avions. Voler est un grand mot ; il s’agit tout au plus de quelques sauts de puce. Mais le visionnaire Quinton imagine aussitôt le futur essor de l’aviation, qui ne rencontre encore que scepticisme, et il va se passionner pour elle. Véritable prophète, il écrit à son ami Corpechot : « Nous allons assister à des choses merveilleuses. L’homme, non seulement parviendra à faire circuler dans le ciel des machines plus lourdes que l’air, mais arrivera à s’y maintenir sans moteur et par le moyen d’une simple voile. » Et il se lance lui-même avec fougue dans l’épopée de l’aviation. Nul n’ignore la place que tint la France au tout premier rang des nations qui participèrent au développement de l’aéronautique, où elle se tient encore si honorablement. Mais qui se souvient de ce qu’elle doit à René Quinton dans ce domaine ? Voici pourtant ce qu’écrivait le célèbre Colonel Renard : « Je garderai toujours un souvenir ému de ces temps héroïques de l’aviation. Il est très difficile, quand on n’y a pas assisté, de se rendre compte du rôle immense qu’a joué alors René Quinton. Aucune démarche ne le rebutait : les pouvoirs publics, le Parlement, les mécènes, il allait chercher tout le monde, il les convainquait et les portait à agir dans le sens qu’il désirait. » Quinton pécha-t-il par excès de volontarisme et par dispersion de son enthousiasme ? Peut-être cependant eût-il pu mener de front les deux odyssées si un second évènement de formidable ampleur n’était alors venu s’abattre sur le monde. En 1914 éclate la Première Guerre mondiale. Bien que rien ne l’y oblige, car il n’est plus mobilisable, Quinton monte au combat. La culture ultra-patriotique et guerrière de l’époque lui a sans doute fait oublier qu’il servirait cent fois mieux son pays en poursuivant ses travaux scientifiques. Lorsqu’il revient en 1918, après avoir été blessé plusieurs fois, il se lance dans la promotion du vol à voile, dans lequel il voit un véritable laboratoire d’aérodynamisme d’où sortiront les lignes affinées des avions du futur. Mais le surmenage et les suites de ses blessures l’ont usé avant l’heure et il meurt d’une crise d’angine de poitrine le 9 juillet 1925, à l’âge de 59 ans. Quelques disciples s’efforceront de pérenniser son œuvre, notamment le docteur Jean Jarricot. Mais l’oubli allait néanmoins recouvrir peu à peu la thérapie marine au profit de l’engouement pour les médicaments chimiques. Et la vogue eut raison de la vague… Quinton est-il oublié pour toujours ? Je ne le crois pas. Car une vaste révolution est en cours. Une inquiétude grandissante étreint aujourd’hui les populations, à la suite des scandales médicaux et alimentaires découlant de la désinvolture et de la vanité des apprentis sorciers de la chimie. Le retour à la nature va se déployer inéluctablement au cours du XXIe siècle. Les Français, je veux le croire, redécouvriront alors le génie de René Quinton et les vertus salvatrices de l’eau de mer, qui surpassent tous les artifices concoctés par les droguistes. La mer et l’homme n’ont guère changé depuis Quinton, ni depuis Platon qui déclarait déjà : « L’eau de mer guérit tous les maux. »




    France — Attention, votre enfant peut être placé sur un simple témoignage de votre voisine…

    [Source : RL]

    Par Sophie Durand

    Histoire véridique : un mercredi à midi, dans un pavillon de banlieue, une maman fait déjeuner ses enfants. L’un d’eux fait un caprice et se met à hurler, chose très fréquente de laquelle il ne faut pas s’inquiéter outre mesure. Qui d’entre nous, enfant, n’a jamais hurlé, avec ou sans raison ? Cela permet à l’enfant de se relaxer, de décompresser.

    La maman envoie l’enfant se calmer dans le jardin. Cinq minutes après arrive un fourgon de police. L’enfant est arraché malgré lui à sa famille sidérée. Un coup de fil au parquet et l’enfant est placé à l’ASE (aide sociale à l’enfance, assez dévoyée) pour un délai de quinze jours.

    C’est une voisine malveillante qui avait téléphoné à la police. Pure délation scandaleuse et jalousie. Pendant le covid, il y a eu 30 % de plus de signalements de voisins malveillants qui n’avaient rien d’autre à faire que d’espionner leurs voisins dans un but malintentionné, voire pervers. Une vraie maladie. Que les délateurs s’occupent de leurs propres affaires et le monde ira mieux.

    Le lendemain la famille est entendue, il y a une enquête de voisinage, école, éducateurs, tout le monde est interrogé. On ne trouve aucune trace de maltraitance. Mais l’enfant est toujours placé. Il réclame ses parents tous les jours. Il faudra attendre l’audience devant le juge des enfants pour que le juge, raisonnable (ce qui devient hélas ! exceptionnel) classe l’affaire. L’enfant a pu enfin rentrer chez lui.

    D’autres n’ont même pas eu cette chance et sont placés durant des années. Parfois jusqu’à leur majorité, et dans des cadres où ils sont très malheureux, ont leur vie brisée. Il suffit de lire les forums dédiés pour avoir les cheveux qui se dressent sur la tête. Sans parler de la vie de leurs parents, qui pleurent leurs enfants.

    Lors de l’enquête, les enquêteurs ont le droit de vous convoquer, de vous interroger et de se rendre à votre domicile pour tout vérifier, contrôler votre cadre de vie, ouvrir les placards, passer leur doigt sur les étagères pour voir s’il y a de la poussière.

    La procédure peut traîner et les parents ne pas voir rapidement le juge pour enfants, car la justice-mur-des-cons est débordée. Le comble : les parents n’ont pas le droit de faire un recours contre l’ordonnance de placement provisoire par le parquet (OPP) et le parquet peut traîner les pieds avant de saisir le juge d’instruction.

    Lorsque j’étais avocat, il y a longtemps, le système était totalement différent. Un enfant restait de préférence dans sa famille, car on estimait que quoi qu’elle ait fait, c’était là que l’enfant était le mieux, sauf en cas de danger grave. Le placement était l’exception.

    Mais de nos jours, on assiste à une montée en puissance de psychologues peu compétents et avides de pouvoir. Il suffit qu’une mère soit jugée trop fusionnelle, ou que les parents ne soient pas classiques (trop religieux, pas assez dans la doxa ambiante — pro LGBT et pro-trans par exemple, ou partisans de l’école à la maison…) pour que l’enfant soit placé.

    Certains intervenants dans ces dossiers sont honnêtes, mais d’autres « rédigent des rapports empreints de grossières erreurs ou d’interprétations personnelles entièrement sujettes à caution » dit l’avocat spécialisé Adeline Le Gouvello ou encore Me Christine Cerrada pour laquelle « les placements abusifs sont devenus le quotidien des avocats qui interviennent dans ces affaires. »

    Le placement en foyer, c’est l’horreur : certains des autres enfants sont violents et commettent des abus sexuels sur les autres enfants, avec tout ce que cela implique.

    Le placement en famille d’accueil est moins grave nous dit-on, mais là aussi les abus sexuels et autres maltraitances existent.

    Très grave : dans 50 % des cas, le placement aurait pu être évité, selon le rapport de l’inspecteur des Affaires sociales Pierre Naves, en 2000 et confirmé en 2006 ! Ce ne sont donc pas moins de 90 000 jeunes qui n’auraient pas dû être retirés à leurs familles, grosso modo.

    Un conseil à la justice débordée : ne pas enfler inutilement ces affaires et la justice sera moins débordée, ce qui profitera à tout le monde…

    Alors certes un enfant meurt tous les cinq jours de mauvais traitements dans sa famille. On a du mal d’ailleurs à croire à ce chiffre.

    Mais de là à placer préventivement un enfant alors que le droit pénal est tout sauf préventif selon l’adage « nulla poena sine culpa », nulle peine sans faute, qui est d’ailleurs reconnu comme un droit de l’homme par la Cour de justice de l’Union européenne, et indique qu’on ne peut condamner quelqu’un sans la commission d’une infraction par cette personne, ce qui semble logique, mais de nos jours la logique n’est plus ce qu’elle était…

    Les petits juges sans éthique et autres petits enquêteurs sans principes et procureurs délirants qui ont trempé dans ces drames devraient se faire du souci pour le jour où tous ces enfants placés devenus grands demanderont des comptes à ceux qui les ont privés abusivement de leur vie et de leur famille.




    La médecine moderne : un château bâti sur du sable ?

    [Source : expose-news.com. Publié par Patricia Harrity]

    [Traduction : Jean Bitterlin]

    Par un scientifique biomédical

    Des dogmes dangereux

    Toute recherche scientifique repose sur des dogmes particuliers, y compris (ou peut-être surtout) la biomédecine. Il est plus facile pour certains « scientifiques » de perpétuer des faussetés que d’admettre qu’ils se sont trompés, d’abandonner des idées de longue date et de repartir de zéro. De nombreux scientifiques préfèrent s’intéresser à des domaines de recherche à la mode afin d’obtenir des récompenses et des subventions plutôt que de remettre en question des croyances et des dogmes de longue date.

    C’est exactement ce qui s’est passé avec la médecine moderne, car trop d’argent et trop de réputations sont en jeu. Si l’on n’a pas le droit de remettre les choses en question, alors ce n’est pas de la vraie science.

    Les théories erronées en médecine ont gaspillé des milliards et causé des dommages incalculables. Imaginez s’ils devaient admettre que tant d’années de recherche et d’innombrables carrières universitaires ont été gaspillées à poursuivre des idées qui n’ont aucun fondement dans la réalité.

    Grâce à la pseudo-pandémie Covid, la corruption de l’establishment médical n’a jamais été aussi évidente pour autant de personnes.

    Ne pas voir le mal, ne pas entendre le mal, ne pas parler du mal

    Il peut être difficile pour certains de croire que le château de la médecine est construit sur des fondations de sable. Pourtant, John P. A. Ioannidis, un scientifique de Stanford, a publié en 2005 une étude prouvant que la plupart des résultats de recherche publiés sont faux.

    Marcia Angell, première femme à occuper le poste de rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, a mené une enquête approfondie sur la corruption de la médecine par les entreprises pharmaceutiques.

    Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a écrit que :

    « L’argument contre la science est simple : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse. Affligée par des études portant sur des échantillons de petite taille, des effectifs minuscules, des analyses exploratoires invalides et des conflits d’intérêts flagrants, ainsi que par l’obsession de suivre des tendances à la mode d’une importance douteuse, la science a pris un virage vers l’obscurité ».

    Il existe d’innombrables victimes de maladies iatrogènes dans d’innombrables groupes de soutien en ligne, qui faisaient autrefois confiance à leur médecin pour défendre leurs intérêts et respecter le serment de « ne pas nuire d’abord ».

    128 000 Américains meurent chaque année de médicaments correctement prescrits, ce qui fait des médicaments de prescription l’une des principales causes de décès.

    Il est clair qu’il y a quelque chose de pourri dans l’État du Danemark. (([1] NdT : Tiré de « Hamlet » de Shakespeare, expression utilisée pour décrire la corruption ou une situation où quelque chose est faux.))

    Le Dr Harold Hillman devient un renégat

    Dans son dernier article, le célèbre biologiste britannique Harold Hillman affirme que « la biologie cellulaire est en grande difficulté ». Cet article, publié en 2011, résume le travail de toute une vie, entamé dans les années 1970. Il a averti les biologistes et les physiologistes cellulaires que quelque chose ne tournait pas rond dans leurs idées sur le corps humain.

    Dans les années 1970, ce cytologiste(([2] NDLR Qui étudie la cellule sous tous ses aspects.)) et neurobiologiste a commencé à remettre en question le courant dominant de la biologie cellulaire et a présenté des preuves que le modèle accepté de la cellule était complètement erroné. Il a suggéré que la situation désastreuse de la biologie cellulaire était la raison pour laquelle la recherche médicale n’avait pas réussi à déterminer la cause de la plupart des maladies ni à les guérir.

    « Au cours d’une carrière de recherche de plus de 50 ans, j’ai conclu que les procédures suivantes ne conviennent pas à l’étude de la biologie des cellules vivantes chez les animaux et les plantes intactes : fractionnement subcellulaire ; histologie ; histochimie ; microscopie électronique ; études de liaison ; utilisation de ligands ; immunocytochimie ; coupes de tissus ; techniques perturbatrices ; déshydratation ; congélation ; lyophilisation ; ébullition ; utilisation de marqueurs extracellulaires ; études des récepteurs ; mesures par patch-clamp(([3] NDLR [Désigne] une technique électrophysiologique d’enregistrement des courants ioniques transitant à travers les membranes cellulaires. Cette technique consiste à mettre en continuité électrique une micro-pipette en verre (diamètre de contact de l’ordre de 1 µm) remplie d’une solution ionique de composition définie avec la membrane d’une cellule vivante isolée. Les cellules étudiées peuvent être des cellules excitables comme les neurones, les fibres musculaires et les cellules beta du pancréas, ou des cellules non excitables, qui présentent elles aussi à leur surface des canaux ioniques. En transférant la séquence génique (transfection) d’un canal ionique d’intérêt dans une cellule, la technique permet d’étudier le fonctionnement de tout canal ionique. Cette technique permet d’étudier les mécanismes de fonctionnement des canaux ioniques d’une cellule prise individuellement en permettant le suivi en direct des phénomènes d’ouverture, d’inactivation et de fermeture des canaux. (Wikipédia) )) ; étalonnages inadéquats. Les principales objections à ces procédures sont les suivantes :

    1. elles modifient grossièrement et significativement les propriétés des tissus étudiés ;
    2. elles ignorent la deuxième loi de la thermodynamique ;
    3. elles produisent des artefacts, dont beaucoup sont bidimensionnels ;
    4. des procédures de contrôle adéquates n’ont jamais été publiées à leur sujet ».

    Dr Harold Hillman

    Il a remis en cause les principes fondamentaux de la biologie. C’était un renégat qui plaçait la recherche de la vérité au-dessus de tout.

    Comme on pouvait s’y attendre, ses opinions étaient impopulaires auprès d’un grand nombre de personnes du courant dominant, ce qui a nui à sa carrière et à sa réputation. Il a eu du mal à publier ses travaux. Les revues scientifiques traditionnelles ont rejeté ses articles sans raison et ont refusé d’examiner ses livres.

    « La raison pour laquelle je suis si déterminé est qu’ils (les courants dominants) ne veulent pas s’engager. Et s’ils ne s’engagent pas, cela prouve à mes yeux que j’ai probablement raison ».

    Dr Harold Hillman

    De nombreux scientifiques approuvent les idées convaincantes de Hillman en privé, mais ne le soutiennent pas en public, de peur de perdre leurs financements ou de ternir leur réputation. De nombreux biologistes de renom refusaient de le rencontrer pour discuter de ses recherches. Son objectif était de lancer une discussion et de promouvoir un débat productif afin d’améliorer et de faire progresser les connaissances scientifiques. Au lieu de se voir offrir une plateforme pour partager son travail, il a été étouffé et ridiculisé. Cela vous rappelle quelque chose ?

    Les vrais scientifiques accordent plus d’importance à la vérité qu’à la réputation et au profit financier. Les vrais scientifiques sont prêts à tout risquer pour dénoncer les faussetés et les théories incorrectes. Les scientifiques qui ignorent ouvertement les opinions impopulaires ou qui refusent de débattre ne sont pas de vrais scientifiques.

    « Je voudrais attirer l’attention sur le fait que je considère mes opinions comme impopulaires, plutôt qu’hérétiques, car je ne crois pas que les scientifiques doivent parler en termes de dogme et d’hérésie. Dans le meilleur des mondes possibles, les bons scientifiques qui entendent contester leurs croyances, leurs hypothèses, leurs procédures ou leurs conclusions devraient examiner ces critiques avec toute l’attention requise. Ils devraient répondre en entamant un dialogue civilisé avec leurs détracteurs. Ils devraient être prêts à admettre leurs erreurs, si nécessaire, et à changer d’avis. De telles réactions n’ont pas eu lieu. »

    Dr Harold Hillman

    Hillman a affirmé que les procédures de routine utilisées pour étudier les caractéristiques et la composition des cellules sont totalement inadaptées. Il était catégorique sur le fait que ces procédures modifiaient les propriétés des cellules plus que toutes les différences examinées, de sorte que toutes les conclusions tirées sur la base de ces procédures n’étaient pas valables.

    Il a affirmé que la microscopie électronique est une « perte de temps et d’argent », ce qui va à l’encontre de la grande majorité de l’establishment biomédical qui considère l’invention du microscope électronique comme un point tournant de la recherche biomédicale. Seuls les tissus morts peuvent être examinés au microscope électronique, et non les cellules vivantes. Les résultats de la microscopie électronique sont-ils pertinents pour les organismes vivants ?

    Les travaux de Hillman contiennent des preuves convaincantes qui suggèrent que de nombreux organites subcellulaires que certains scientifiques ont consacré leur vie à étudier ne sont que des artefacts de la préparation pour l’histologie et la microscopie électronique. Il s’agit notamment du corps de Golgi et du réticulum endoplasmique.

    Il a également affirmé que les récepteurs cellulaires et les canaux protéiques transmembranaires n’existent pas au sens où on l’entend généralement. L’une des raisons en est que ces récepteurs cellulaires ne sont pas visibles au microscope électronique, bien que leur taille se situe dans la plage de visibilité.

    Il a courageusement défendu ce qu’il croyait être la vérité. Bien que sa carrière et sa réputation en aient pris un coup, il a continué à publier ses idées jusqu’à sa mort.

    « Si j’ai tort, seule ma réputation a été entachée. Si j’ai raison, les collègues qui se sont trompés ont peut-être perdu leur temps et leur carrière et utilisé naïvement les ressources publiques ou caritatives. Ils auraient pu utiliser leur temps et leurs ressources pour mener des recherches plus productives ».

    Dr Harold Hillman

    Si l’on considère l’état actuel de la médecine, il semble qu’une « recherche plus productive » soit exactement ce qu’il faut. Une recherche qui ne suit pas les dogmes et qui n’est pas financée par l’industrie pharmaceutique même qui a tout intérêt à perpétuer des idées erronées telles que l’erreur « un germe, une maladie ».

    « Il est absolument remarquable de constater l’échec de ce type de recherche. Si l’on connaissait les mécanismes de base, dont le dérèglement induit la maladie, on pourrait alors concevoir des interventions logiques pour empêcher leur développement ».

    Dr Harold Hillman

    On nous fait croire que la médecine moderne est très avancée, mais la cause de la plupart des maladies reste apparemment « inconnue ». La plupart des médecins ont une vision mécaniste et réductionniste de la maladie, croyant souvent qu’elle est due à la « génétique » ou que le corps est simplement enclin à faire des erreurs.

    « On croit généralement que la recherche médicale depuis la Seconde Guerre mondiale a été très fructueuse… Il est absolument remarquable de constater à quel point ce type de recherche a été infructueux. Si l’on connaissait les mécanismes de base, dont le dérèglement induit la maladie, on pourrait alors concevoir des interventions logiques pour empêcher leur développement… il est vrai que le coût de l’échec a été élevé jusqu’à présent. L’aspect le plus paradoxal de la recherche scientifique est que l’on croit généralement qu’elle est objective… »

    Dr Harold Hillman

    Hillman a également critiqué l’insuffisance des expériences de contrôle réalisées dans le cadre de la recherche biomédicale. Des expériences de contrôle adéquates sont la pierre angulaire d’une bonne science, garantissant que les variables, autres que celle testée, n’influencent pas les résultats de l’expérience.

    « Les expériences de contrôle des effets des réactifs et les manœuvres utilisées sur les résultats des expériences ont été nettement insuffisantes ».

    Dr Harold Hillman

    Hillman a également remis en question l’utilisation de cultures de tissus pour l’analyse histologique avec une logique convaincante. Les cellules en culture ont une morphologie, une biochimie et un environnement très différents de ceux des cellules dont elles sont issues.

    « Les cultures de tissus sont similaires au tissu dont elles proviennent à certains égards et très différentes à d’autres. Il est clair que même s’il y a quelques propriétés communes, il y a des différences substantielles. C’est l’une des questions les plus importantes en ce qui concerne l’utilité des cultures de tissus en tant que sources d’informations sur les cellules d’animaux intacts ».

    Dr Harold Hillman

    La virologie : un scientisme vaudou

    Les travaux de Hillman remettent en question la virologie autant que la biologie cellulaire et la neurobiologie. Le monde s’éveille lentement à la nature pseudo-scientifique de la virologie en raison de la pseudo-pandémie qui nous a été infligée.

    Les « virus » ne peuvent être observés qu’au microscope électronique, en utilisant des procédures impliquant des métaux lourds, la déshydratation, la basse pression, le bombardement électronique et l’irradiation aux rayons X. Les virus sont-ils de véritables structures naturelles ou des artefacts de ces conditions difficiles ?

    Les effets des « virus » sont étudiés sur des cultures cellulaires et la plupart des cultures cellulaires sont réalisées à partir de tissus embryonnaires, de tissus cancéreux, de cellules souches ou de cellules de singe dont les propriétés sont complètement différentes de celles des tissus humains adultes. Tout cela est-il pertinent pour comprendre l’infectivité des virus chez l’homme ?

    Les coronavirus sont censés s’assembler à l’interface entre le réticulum endoplasmique et le corps de Golgi, mais si Hillman a raison et si le réticulum endoplasmique et le corps de Golgi sont des artefacts de la préparation histologique et de la microscopie électronique, la compréhension présumée de l’assemblage du virus est-elle complètement erronée ?

    Différentes cultures cellulaires sont préparées selon différentes procédures dans différentes solutions chimiques pour cultiver des « virus ». Cela pourrait-il expliquer pourquoi seules certaines cellules peuvent cultiver des « virus » et d’autres non ? Le SARS-CoV2 ne peut pas infecter de nombreuses lignées cellulaires humaines, mais il peut infecter des cellules rénales de singe, ce qui n’est pas ce que l’on attendrait d’un pathogène supposé humain.

    [Voir aussi :
    La virologie : pseudoscience au service de la domination
    À quel point les virus sont-ils morts ?
    UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)]

    Les virus sont censés se lier aux récepteurs des cellules hôtes comme première étape de l’entrée, mais si Hillman a raison, les récepteurs cellulaires macromoléculaires n’existent pas vraiment.

    Des contrôles adéquats n’ont pas été effectués pour tester les effets des conditions de laboratoire, des fluides corporels, des antibiotiques et d’autres produits chimiques sur les cultures cellulaires. Comment les virologues peuvent-ils donc être sûrs que c’est le « virus » qui provoque les effets cytopathiques observés et non les produits chimiques et les conditions elles-mêmes ?

    L’establishment biomédical a choisi d’ignorer toutes ces questions cruciales. Malheureusement, le niveau de pensée critique et de remise en question radicale de Hillman est rare et souvent complètement absent de la science biomédicale moderne.

    Son intelligence vive et son esprit critique constituaient une menace pour l’establishment scientifique. Il a mis sa carrière et sa réputation en jeu pour exposer les faiblesses des connaissances biomédicales établies.

    Et s’il avait raison ? Et si le château de la médecine moderne était réellement construit sur des fondations de sable ? Son travail sera-t-il oublié ou d’autres auront-ils assez de courage pour reprendre le flambeau où il l’a laissé ?

    Références

    1) John P. A. Ioannidis « Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux ». PLoS Med. Août 2005 ; 2(8) : e124.

    2) Marcia Angell M.D. « La vérité sur les compagnies pharmaceutiques — Comment elles nous trompent et comment y remédier ».

    3) Richard Horton « Hors ligne : Qu’est-ce que la médecine 5 sigma ? » Lancet
    Commentaire| Volume 385, ISSUE 9976, P1380, 11 avril 2015

    4) Harold Hillman « La biologie cellulaire est actuellement en grande difficulté ».

    5) Harold Hillman « Une carrière en neurobiologie ».

    6) Un scientifique biomédical « Le scientisme vaudou de la virologie n’est pas une vraie science ». The Expose





    Pourquoi manger biologique ?

    [Source : Malo Naturo]

    Article de bromatologie

    En médecine naturelle, ce que l’on ingère fait partie des 9 facteurs de la santé intégrale [voir l’encart vert ci-dessous]. Du fait de son importance pour la santé, le mot « biologique » revient dans presque tous les articles de ce blog, car il n’est pas possible de fonctionner de manière optimale si la toxémie est élevée.

    Les 9 facteurs de la santé intégrale

    La santé ou la maladie dépendent de 9 facteurs principaux :

    1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
    2. Ce que l’on applique sur la peau.
    3. Ce que l’on respire.
    4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
    5. Les rayonnements électromagnétiques.
    6. Les liens et contacts sociaux.
    7. L’activité physique.
    8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
    9. L’exposition au soleil.

    => Toxémie ou santé

    TOUTES les pathologies (99 %) => maladie UNIQUE : la « TOXÉMIE ».

    En 5 points :

    1. Toxémie naturelle des déchets cellulaires (toxémie endogène).
    2. Toxémie intestinale, produits de décomposition dans les voies digestives.
    3. Toxémie organique : par exemple, le pus.
    4. Toxémie chimique (exogène) par les médicaments et les produits de synthèse, les solvants, les colorants, les pesticides, le tabac, l’alcool, les perturbateurs endocriniens…
    5. Toxémie des substances naturelles toxiques (végétaux, venins, sérums, etc.)

    Comment se manifeste la toxémie (symptômes) ?

    1. Les maladies (symptômes) à « colles » déchets colloïdaux (mucus, glaires).
    2. Les maladies (symptômes) à « cristaux » déchets cristalloïdes (acidose).
    3. Les maladies (symptômes) de « carences ».
    4. Les maladies (symptômes) de « surcharge » (excès alimentaires, saturation émonctorielle).
    5. Les maladies (symptômes) de « toxiques ».

    Rare : les maladies génétiques, organiques.

    N.B. Notre environnement constitué par les 9 facteurs de la santé intégrale influence l’expression des gènes de notre ADN, c’est l’épigénétique…

    [Voir aussi :
    Génétique : Le génome en dissolution,
    Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
    et Vos pensées contrôlent votre ADN !]

    Ces mêmes facteurs sont également les 9 piliers de la longévité.

    L’intoxication du milieu de vie de la cellule (humeurs)
    constitue la TOXÉMIE.

    Le respect des lois naturelles préserve de la toxémie et des différents symptômes qui en découlent.

    Les microbes dits pathogènes ne peuvent se développer que sur un organisme dont le système immunitaire est affaibli par l’excès de toxines dû à des conditions de vie défavorables. Il en est de même pour les épidémies, signe d’une modification des paramètres bioélectroniques du terrain dû à une mauvaise hygiène de vie ou à des facteurs environnementaux, qui affectent l’ensemble de la population d’une région ou d’un pays tout entier.

    [Note de Joseph : la théorie des germes pathogènes a été scientifiquement réfutée et si des bactéries (qui se comportent comme de minuscules usines chimiques se nourrissant de certaines substances pour en produire d’autres) se développent dans un milieu particulier (biologique ou non), c’est parce qu’elles y trouvent leur nourriture ou réagissent à une agression (par exemple de nature électromagnétique).
    Dans un paradigme médical basé sur le terrain, la notion même de système immunitaire devient caduque et devrait être remplacée par exemple par celle de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage.]

    Fondamentalement, la maladie n’a qu’une cause :
    la dégradation [ou le déséquilibre]
    du terrain [par des excès ou des déficiences].

    Voir la suite

    Le bio c’est le naturel, le vivant, c’est la nourriture originelle depuis toujours, c’est interdire les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). Ensuite est venu le progrès, et l’homme a commencé à s’affaiblir, à dégénérer, à tomber malade et à prendre beaucoup de médicaments.

    Le bio c’est de la saveur et de l’odeur, c’est moins d’eau, plus de nutriments et d’antioxydants qui permettent une meilleure nutrition et protection cellulaire.

    Le bio c’est moins de pollution environnementale, c’est meilleur pour la biodiversité et notre santé.

    Le bio c’est en moyenne 30 % plus cher.

    Le non-bio, c’est ingérer des pesticides, des antibiotiques, des médicaments, des additifs, des engrais, des métaux lourds, des perturbateurs endocriniens. C’est détruire le microbiote, les systèmes nerveux et immunitaire avec les conséquences graves qui peuvent en découler à moyen ou à long terme…

    À notre époque, ce qui est cultivé est certes plus ou moins contaminé par les conditions environnementales : pluies acides, pollution, résidus de pesticides dans l’air, l’eau ou la terre, etc., mais la quantité de pesticides contenue dans les produits de culture biologique est contrôlée strictement et des cahiers de charges sont établis du moins en Belgique. L’Europe vient malheureusement de renouveler l’autorisation pour l’utilisation du glyphosate pendant 10 ans (novembre 2023).

    Les pesticides :

    « Pesticides » est le terme générique pour désigner les substances chimiques élaborées pour lutter contre des « nuisibles » tels que : mauvaises herbes (herbicides), champignons (fongicides), insectes (insecticides), parasites (parasiticides), rats (raticides), bactéries (bactéricides), etc. Ce sont des produits de synthèse toxiques générateurs de maladies, de perturbations endocriniennes et de cancers.

    Ils détruisent le microbiote intestinal et les cellules épithéliales, ce sont des agents mutagènes et carcinogènes qui causent la porosité intestinale. L’homme ingurgite en moyenne 4,8 kg de produits chimiques par an avec une alimentation conventionnelle. (Source : Nelly Grosjean.)

    La consommation quotidienne d’une nourriture ainsi polluée par les pesticides entraîne une toxémie exogène permanente. Le microbiote représente près de 80 % de notre système immunitaire, il contribue à la décomposition des aliments et à notre bien-être mental. Le foie aura toujours une surcharge de travail avec ces molécules toxiques à éliminer, et quand le foie va mal, tout va mal.

    On ne peut pas régler naturellement un problème de santé si on persiste à consommer des aliments de culture conventionnelle, puisqu’en hygiénisme la priorité est de baisser la charge toxémique et d’augmenter l’énergie vitale.

    Actuellement, le foie des nouveau-nés est 50 % plus volumineux qu’il y a 30 ans, on trouve dans leur sang à la naissance près de 300 substances polluantes (CHU Montpellier, 2007), sans compter les nombreux résidus qui polluent le lait maternel. Ces observations constituent un signal d’alarme d’une extrême gravité…

    « La recherche indique que l’exposition aux pesticides en général (de même que l’exposition à certains pesticides en particulier) est associée à plusieurs types de cancers comme le lymphome non hodgkinien, le myélome multiple de même que les cancers de la prostate, du rein et du poumon, entre autres. »

    Société Canadienne du Cancer

    Les fruits et légumes biologiques contiennent jusqu’à 69 % plus d’antioxydants et en moyenne 180 fois moins de résidus chimiques que ceux de l’agriculture conventionnelle. Les fruits ordinaires subissent de 40 à 70 traitements chimiques. Un citron cultivé biologiquement, sans engrais de synthèse, contient environ trois fois plus de vitamine C qu’un autre.

    Selon un rapport français validé en 2015 basé sur un échantillon de 5 806 fruits et légumes biologiques, 86,3 % ne contenaient aucune trace de pesticide.

    Les fruits et légumes bio sont donc contaminés à 1,4 %, contre 35 % pour les légumes et 64 % pour les fruits de culture conventionnelle, soit 25 fois moins pour les légumes et 45 fois moins pour les fruits.

    Les fruits et légumes de culture bio sont donc plus chargés en éléments nutritionnels et apportent beaucoup moins d’éléments toxiques que la culture conventionnelle.

    Citations :

    « Il ne faut rien enlever à l’aliment, car non seulement les parties soustraites font défaut, mais les parties restantes perdent partiellement ou totalement leur activité biologique. »

    Henri-Charles Geffroy

    « Une autre nuisance insoupçonnée de ces fongicides, insecticides, nématicides, taupicides, etc. se situe au niveau de nos enzymes digestifs : l’expulsion du zinc, du nickel, du cobalt, du vanadium dans le site actif de l’enzyme et son remplacement par le mercure, le cadmium ou autres généreront des enzymes peut actives ou inactives, en particulier vis-à-vis de la digestion de la caséine et du gluten… »

    Robert Masson

    « Les engrais chimiques déséquilibrent les sols, et entretiennent une “escalade” inexorable : les traitements appauvrissent les sols qu’il faut de plus en plus traiter. Les fruits et légumes, subissant aussi ces agressions chimiques, voient leurs immunités faiblir : il faut donc les traiter aussi chaque année un peu plus. Tout l’équilibre de l’écosystème est alors rompu : les insectes parasites mutent pour s’adapter aux contraintes croissantes, à la manière des indésirables de nos intestins à la suite d’antibiothérapies répétées… »

    Daniel Kieffer

    « Une des raisons des carences en oligoéléments de plus en plus fréquentes chez les hommes et les animaux d’élevage est à chercher dans l’usage d’engrais chimiques qui en sont dépourvus. »

    Dr Catherine Kousmine

    « Le docteur Curl mesura ensuite dans les urines des enfants les produits de dégradation des pesticides organochlorés (les pesticides les plus courants). Elle trouva que le taux de pesticides dans l’urine des enfants “bio” était nettement en deçà des minima fixés par l’Agence gouvernementale de protection environnementale. Il était aussi 6 à 9 fois moindre que celui des enfants “conventionnels”. Pour ces derniers, la charge toxique dépassait au contraire de 4 fois les limites officielles tolérées… La nourriture bio faisait bel et bien une différence de taille quant au niveau d’intoxication de l’organisme. »

    Dr David Servan-Schreiber

    « Paul Stiit estimait dans son livre de 1982 que l’Américain moyen consommait chaque année presque 5 kilogrammes d’approximativement 2 000 additifs alimentaires. »

    Dawn Lester & David Parker, Qu’est-ce qui nous rend réellement malade ?

    « Consommer des aliments de qualité, c’est-à-dire biologiques, pour éviter l’apport massif de produits chimiques — herbicides, fongicides… — qui encrassent l’organisme et sollicitent de manière importante le foie et nos mécanismes immunitaires, mais aussi nos filtres bio-émonctoriels. »

    Christian Brun

    « Les pesticides provoquent des déficits immunitaires ainsi que des infections à répétition. »

    France-Hélène Rouvière, naturopathe




    Le monde en 2024 selon The Economist

    [Source : Éditions fractales]




    La réalité d’Elon Musk ?

    [Source : Ciel Voilé]






    L’IA est-elle vraiment artificielle ?

    [Source : Nice Provence Info]

    Par Michel Lebon

    ChatGPT a pété une durite. Plus raciste antiblanc, tu meurs ! Voilà ce qui circule sur les réseaux sociaux, il y a de quoi faire des bonds !

    La ficelle est tellement grosse qu’on subodore la fake news de racialistes blancs nauséabonds. Il convient de vérifier si on obtient le même résultat avec un autre compte :

    Bingo ! Le texte est différent, sans doute « personnalisé » à celui qui questionne, mais tout également élogieux.

    « Extra ball ! »(([1] Expression utilisée dans le jeu du flipper pour désigner le gain d’une bille supplémentaire permettant de poursuivre le jeu plus longtemps. NDLR)) On croit rêver. Plus de doute sur ce qu’on a pu penser être une infox.

    Mais n’en restons pas là, à propos dudit Intelligent soi-disant Artificiel :

    Rétropédalage de l’IA, prise la main dans le pot de confiture.

    Voici l’illustration inspirée :

    L’IA s’enfonce dans ses contradictions : pour les blancs les sciences, les arts et la philosophie, pour les noirs les gris-gris et les tamtams.

    L’IA avoue ici clairement qu’il est sous le contrôle total de l’idéologie dominante

    Posons-nous alors la question :

    Qui définit ces valeurs ?

    En premier lieu : Samuel Harris Altman, juif homosexuel de la Silicon Valley. Cofondateur d’OpenIA avec le fantasque Elon Musk(([2] OpenAI : l’association de recherche ouverte d’Elon Musk devient une entreprise fermée [source])).

    Samuel Harris Altman, PDG d’OpenAI depuis 2019
    (brièvement licencié et réintégré en novembre 2023)

    Dégagé de ses fonctions par le Conseil d’Administration en novembre 2023, Altman est réintégré 5 jours plus tard, soutenu par 700 des 770 salariés de la Valley siliconée du groupe OpenAI. Il semble que le Microsoft du mondialiste Bill Gates a remporté cette manche sur son principal empêcheur de tourner en rond, Elon Musk qui a — de son côté — pris le pouvoir sur X (comprenez Tweeter).

    Plusieurs projets d’IA sont sortis avant ChatGPT, bien avant que ce soit à ce niveau. Le point commun de toutes ces IA, c’est qu’elles finissaient systématiquement par devenir « nazies ». Pour éviter cet écueil, les programmeurs intègrent à présent le contrôle de l’apprentissage automatique, qui prend alors du temps. Plusieurs mois de « fine-tuning » (réglage affiné) humain « à la main » sont nécessaires pour rendre l’IA « sécurisée », comprenez « conforme ». Donc, il y a des cohortes d’ingénieurs qui sont payés pour entraîner l’IA à arrêter d’être spontanément raciste, homophobe, antisémite, etc.

    L’humain manipulateur d’opinion reste toujours aux manettes de qui définit l’Intelligence con-venue.

    Contentez-vous d’interroger l’IA pour connaître la recette des crêpes ou comment on soigne une rhinite. Pour le reste, passez votre chemin.

    Michel Lebon


    [NDLR (de Nice Provence Info)] À l’heure où nous mettons sous presse, nous apprenons que le New York Times poursuit en justice OpenAI et Microsoft et demande plusieurs milliards de dommages et intérêts :

    27 décembre 2023 : le Times poursuit en justice OpenAI et Microsoft pour l’utilisation par l’IA d’œuvres protégées par le droit d’auteur. Selon la plainte, des millions d’articles du New York Times ont été utilisés pour mettre au point les robots qui lui font désormais concurrence.





    Pierre Chaillot : « L’OMS est un passe-plat, financée par des névrosés bourrés de fric ! »

    [Source : putsch.media]

    Pierre Chaillot, statisticien et auteur de « Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels » publié aux éditions de l’Artilleur était l’invité dans le grand entretien de Nicolas Vidal. Il est revenu sur les effrayantes statistiques des effets secondaires des vaccins concernant les décès et la baisse fulgurante de la natalité. Il a abordé également le rôle obscur de l’OMS sur cette épidémie.

    [À partir de 0:59]





    ADN dans les vaccins ? Les médecins allemands en colère

    [Source : covidhub.ch]

    En Allemagne, la révélation d’importantes quantités d’ADN dans les vaccins a créé la foire d’empoigne dans le monde médical. Début décembre, l’association des praticiens de la médecine (MBV) a adressé un courrier à tous les médecins généralistes pour les avertir de ce danger pour la santé et de ses conséquences légales. L’institut fédéral responsable du contrôle des vaccins a immédiatement démenti ces accusations, parlant de données inexactes et de « fake news ». Mais ses arguments ont aussitôt été démontés par un groupe de scientifiques, le MWGFD, qui a confirmé les dangers liés à l’ADN dans les vaccins Covid. L’affaire les a même poussés à porter de lourdes accusations contre l’Institut Paul Ehrlich, qui est responsable de la pharmacovigilance en Allemagne, et qui conseille l’Agence européenne des médicaments.

    Le « Plasmidgate »

    La tentative de l’Institut Paul Ehrlich (IPE) de faire passer les informations concernant la présence d’ADN dans les vaccins pour des « fake news » a suscité un véritable tollé et lancé le débat sur la place publique. C’est tout d’abord la chaîne de télévision allemande MDR qui a réalisé un reportage sur le sujet. Peu après, le magazine en ligne Focus a lui aussi publié un dossier sur ce que l’on appelle aujourd’hui « le Plasmidgate ». À présent, le scandale prend de l’ampleur, car il apparaît que l’Institut Paul Ehrlich n’a jamais effectué de véritables contrôles des vaccins Covid. Il s’est seulement limité à vérifier les documents fournis par les fabricants. Cet aveu est un véritable choc pour de nombreux médecins et pour le public. Comment imaginer que l’autorité responsable de la sécurité des médicaments donne de facto carte blanche aux fabricants, en se fiant à leurs propres affirmations sur la qualité du produit ?

    [Note de Joseph :

    Cette affaire de supposé ADN contaminant des vaccins est probablement du même ordre que celle du prétendu ARNm, à savoir un écran de fumée pour cacher le vrai problème : la nanotechnologie à base de graphène. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/next-dose-3-faut-il-encore-des-preuves/.

    C’est quand même bizarre que des médias mainstream (allemands dans le présent cas) ébruitent cette affaire d’ADN et que d’autre part des laboratoires vraiment indépendants qui ont analysé le contenu de plus d’une dizaine de sortes de vaxins anticovid n’aient pas trouvé trace de matériel biologique (pas de présence des éléments chimiques typiques du vivant, notamment azote et phosphore). Voir https://nouveau-monde.ca/dr-david-a-hughes-quy-a-t-il-dans-les-soi-disant-vaccins-covid-19-preuves-dun-crime-mondial-contre-lhumani/.

    Si les analyses supposément génétiques reposent sur le même genre de cuisine que la virologie (notamment avec la PCR et l’usage de logiciels de séquençage qui ne font que mouliner dans le virtuel et inventer au final des séquences dont il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de leur existence dans la nature. Voir https://nouveau-monde.ca/un-adieu-a-la-virologie-edition-pour-expert/), alors il n’est pas étonnant que des labos officiels puissent trouver de l’ADN ou de l’ARNm là où des indépendants sans conflits d’intérêts n’ont rien trouvé de tel.

    En réponse à la peur génétique (ADN, ARNm, Spyke), il existe maintenant suffisamment d’indications (d’après l’épigénétique) que le code génétique n’est naturellement pas fixe, mais se modifie selon l’environnement et selon le psychisme de l’individu (Voir Génétique : Le génome en dissolution, Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus et Vos pensées contrôlent votre ADN !). On pourrait répondre que l’affaire du graphène peut aussi engendrer la peur, mais on sait que celui-ci est naturellement éliminé du corps en quelques mois et que l’élimination peut être accélérée par des antioxydants, même si sous forme d’hydroxyde il est plus difficile à éliminer.

    La raison pour laquelle ils poussent autant les rappels anticovid et de nouveaux vaccins, ce n’est pas pour booster l’immunité (dont le concept lui-même est probablement erroné si la théorie des germes et sa fille virale sont fausses. Il faudrait alors par exemple parler de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage), mais pour renouveler le stock de nanotechnologie graphénisée dans le corps des vaccinés. Le graphène lui-même pourrait être renouvelé notamment par l’ingestion alimentaire, infection médicale (sur les masques et les écouvillons de tests PCR [cela a été observé]), cosmétique, aqueuse (dans les boissons ou l’eau du robinet) ou aérienne (par les chemtrails) de cette substance.

    On peut aussi se poser la question du pourquoi de la présence du graphène. Eh bien pour transformer l’Homme en transhumain, selon les vœux de sieur Schwab et de psychopathes milliardaires, afin de mieux l’asservir :

    Nanotechnologie à base de graphène (contenant l’identifiant universel sous forme d’adresse MAC)
    + 5G/6G + CBDC + Crédit social
    = Marque de la Bête

    Voir Nanotechnologie et « vaccins »

    ]

    L’association des praticiens de médecine pose aujourd’hui des questions fort embarrassantes :

    Qu’est-ce qui pousse l’agence de contrôle à vouloir mettre fin à une action qui contribue à la sécurité des médicaments ? L’IPE part-il du principe que les connaissances sur les impuretés de l’ADN peuvent devenir un problème pour la sécurité des vaccins ? Plusieurs travaux d’analyse ont démontré que les vaccins à ARNm présentent d’importantes contaminations de l’ADN. L’IPE n’est-il pas au courant de ces publications scientifiques ? Des spécialistes avaient pourtant alerté l’agence dès les premières publications des chercheurs américains sur ce sujet. À présent, ils sont maintenant encore plus irrités et alarmés.

    Collusion avec BioNTech

    La MVB a aussi souligné que le professeur Cichutek, président de l’Institut Paul Ehrlich, est un des plus grands chercheurs allemands en matière de thérapie génique et qu’il avait lui-même décrit en détail les dangers des thérapies géniques, dans les années 90. Selon ses propres termes, la vaccination avec des vaccins contenant des acides nucléiques équivaut à « une forme particulière de transfert de gènes/thérapie génique ». Et,

    une conséquence génétique indésirable des vaccinations avec des vaccins contenant des acides nucléiques pourrait être une mutagenèse par insertion de gènes cellulaires… entraînant un risque accru de cancer.

    Au vu du contenu inquiétant de cette publication du professeur Cichutek datant de 1994, la MBV exige des explications publiques ! Quand, où et comment les risques qu’il a lui-même énumérés ont-ils été étudiés plus en détail ? Jusqu’à présent, l’IPE a refusé de fournir la moindre réponse à ces questions.

    Selon un ancien directeur de la caisse des assurances-maladie (KVB), le Dr Krimmel, un spécialiste en médecine générale, l’attitude de l’Institut Paul Ehrlich a « aggravé la situation ». Elle est « de nature à ôter au public ses dernières illusions quant au bon fonctionnement de la surveillance de la production de vaccins à ARNm ».

    Pourquoi l’Institut ne veut-il pas dissiper ce « terrible soupçon » de contamination massive par de l’ADN ? Que sait l’IPE sur ce sujet, étant donné qu’il avait lui-même conseillé la société productrice BioNtech d’obtenir l’autorisation du vaccin ?

    En juin 2023, le ministre de la santé allemand a tweeté depuis la salle « de contrôle des vaccins » de l’Institut Paul Ehrlich que « grâce au Prof. Cichutek et à l’IPE les vaccins Covid ont été approuvés plus rapidement »

    Trompés par les agences

    La MBV a rappelé qu’il existe deux procédés de fabrication différents pour les vaccins à ARNm, comme l’Agence européenne des médicaments l’a bien mentionné dans son rapport d’évaluation du 19.02.2021 (concernant Comirnaty, EMA/707 383/2020, CHMP).

    Le produit soumis à l’évaluation des agences sanitaires était un vaccin produit par qPCR. Mais pourla production de masse des vaccins Covid, on a ensuite utilisé un procédé nettement plus « rapide » en produisant de l’ARNm à partir de plasmides d’ADN.

    Dans sa lettre initiale aux généralistes, la MBV a aussi accusé l’IPE d’avoir trompé les médecins et les pharmaciens en affirmant que les avantages des vaccins à ARNm Covid-19 l’emportaient nettement sur les risques éventuels. D’innombrables études l’ont prouvé, mais les autorités allemandes persistent dans leur politique de désinformation.

    Il est très problématique que l’IPE ne soit pas encore intervenu en lançant ses propres enquêtes pour évaluer la qualité des produits. Mais le fait qu’il s’arroge le droit d’interdire, sans base juridique et de manière totalement inappropriée, une initiative privée visant à remédier à la situation, n’est en aucun cas compréhensible. En fin de compte, l’action de l’Institut de contrôle semble avoir pour seul objectif d’empêcher délibérément les initiatives visant à établir la sécurité des médicaments. L’Institut Paul Ehrlich agit donc manifestement à l’encontre de sa mission légale !

    Chaos dans le génome

    Le Plasmidgate pourrait bien être le coup de grâce à la politique du « tout-vaccin » menée par les autorités sanitaires de différents pays. Plusieurs équipes de chercheurs indépendants ont montré les différentes manières dont le génome est attaqué par les vaccins Covid. En premier lieu, la présence d’ADN contaminant les injections Covid dans des quantités qui dépassent de mille fois les résidus autorisés par l’Agence européenne des médicaments peut entraîner une modification du génome de la personne injectée.

    Mais il y a encore d’autres raisons pour lesquelles les injections Covid peuvent avoir des conséquences gravissimes sur la génétique humaine. La protéine Spike codifiée dans les vaccins n’est pas la protéine Spike d’origine, mais une version ayant subi une modification génétique. Ce sont donc d’autres protéines qui sont produites par les vaccinés. Récemment, une étude italienne a d’ailleurs permis de différencier les protéines Spike naturelles des protéines Spike vaccinales dans le sang des sujets infectés.

    Une découverte récente est le fait que cette « Spike modifiée » entraîne des erreurs de lecture du génome, avec comme conséquence la production de toute une série de protéines différentes, connues ou inconnues, dont on ignore l’action sur l’organisme.

    Au stade actuel, « c’est un plongeon dans l’inconnu ». Il est pratiquement impossible d’en prédire les effets à court et à long terme et ceux-ci peuvent très bien varier d’une personne vaccinée à l’autre. Conscients du danger que cela représente, scientifiques et médecins sont de plus en plus nombreux à penser que poursuivre l’utilisation de technologies à base d’ARNm s’apparente à de la folie. Tous plaident pour un arrêt immédiat de ces expériences et pour le retrait immédiat des vaccins encore sur le marché.

    (…)




    L’état de la France

    [Source : Philippe de Villiers]




    Une vie d’enfer

    [Source : breizh-info.com]

    Sophie Grimbert a vécu une vie d’enfer chez les Témoins de Jéhovah : « L’écriture de ce livre était motivée par le besoin de dénoncer l’endoctrinement que j’ai subi » [Interview]

    « Je suis née, j’ai été élevée et j’ai vécu dans une famille de témoins de Jéhovah pendant quarante-deux ans. En 2009, j’en suis partie avec ma fille âgée de dix ans. Pendant de longues années, je n’ai pas revu mes parents, mon frère et mon fils. Cette expérience m’a marquée au fer rouge. »

    Dans un ouvrage édité par Max Milo, Sophie Grimbert décrit son quotidien infernal durant des années, depuis sa naissance, chez les Témoins de Jéhovah. Et surtout, elle y décrit son combat pour en sortir, pour s’affranchir de ce qui s’apparente à une réelle secte qui enlève à ceux qui sont en son sein tout libre arbitre.

    Un témoignage poignant, édifiant, sur lequel nous avons voulu revenir avec Sophie Grimbert.

    Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire « Ma vie d’enfer » et à partager votre histoire ?

    Sophie Grimbert : J’ai 56 ans et je vis depuis peu avec mes enfants à Paris. Je suis fonctionnaire en disponibilité pour prendre un nouveau virage dans ma vie, faire la promotion de mon livre et continuer l’écriture sur la thématique du fondamentalisme. Le titre « une vie d’enfer » de la couverture a été changé à la dernière minute pour éviter à l’émission qui allait me recevoir d’être éventuellement attaquée par la Société Watchtower. Le vrai titre était L’enfer de Jéhovah.

    L’écriture de ce livre était motivée par le besoin de dénoncer l’endoctrinement que j’ai subi pendant 40 ans et celui des milliers d’autres victimes dans mon cas. Le récit chronologique de mon histoire permet au lecteur non initié à la religion ou au mouvement jéhoviste de s’imprégner de la vie d’un enfant éduqué dans une famille fondamentaliste. J’explique, grâce à des anecdotes, ce qu’a pu être une partie de ma vie. C’est un livre objectif qui déroule cette expérience avec mes ressentis, aussi bien de croyante persuadée que tout ce qu’on lui explique est vrai, puis qui commence à douter, jusqu’à la sortie.

    Breizh-info.com : Pouvez-vous décrire comment votre enfance au sein des Témoins de Jéhovah a façonné votre vision du monde ?

    Sophie Grimbert : On m’a appris à avoir peur du monde méchant dirigé par Satan. Tous les « gens du monde » allaient être tués à Armaguedon, et seuls les Témoins-de-Jéhovah et ceux qui reconnaîtraient la puissance de Jéhovah à la Grande tribulation seraient sauvés. La comparaison avec les temps de Noé était sans arrêt expliquée et reliée à notre époque.. Je devais vivre dans le monde, mais je ne pouvais pas en faire partie. La séparation n’était pas physique mais mentale. Cela donne une certaine force de caractère et l’habitude de vivre à contre-courant, mais cela est aussi angoissant, frustrant et dangereux. Dangereux parce que cela oblige à devenir sectaire. J’explique comment dans mon livre.

    Breizh-info.com : Quels ont été les plus grands défis auxquels vous avez dû faire face en grandissant dans cette communauté ?

    Sophie Grimbert : Les défis personnels. Comment définir son identité, son moi, quand on vous demande en permanence de vous renier vous-même pour faire la volonté de Jéhovah ? Réussir dans le monde, avoir de l’argent, faire de la politique, devenir célèbre, s’engager dans une carrière qui pourrait vous empêcher d’assister aux réunions ou de prêcher n’était pas envisageable. Être transfusée non plus. Faire le service militaire, saluer un drapeau, s’habiller d’une certaine façon, tout était paramétré. J’ai donc sacrifié mes plus belles années et une carrière de chanteuse pour obéir à l’Organisation.

    Breizh-info.com : Y a-t-il eu un moment précis où vous avez commencé à remettre en question les enseignements des Témoins de Jéhovah ?

    Sophie Grimbert : La première fois, j’avais 15 ans, mais comme je l’explique dans le livre, j’ai enclenché le pilotage automatique en raison de mon endoctrinement. C’est l’autocensure, le reniement du doute qui s’impose et on se radicalise. D’autres sont sûrement beaucoup moins regardants que moi ! Mais je suis une personne entière, authentique, engagée à fond dans ce que je fais. Pas de chance (lol).
    Arrivée à 40 ans, j’ai commencé à admettre que tout ce qu’on m’avait appris pouvait être faux, et c’est grâce à internet et à toutes les informations que j’ai pris la peine de regrouper que j’ai compris l’arnaque intellectuelle !

    Breizh-info.com : Comment s’est déroulé votre processus de séparation d’avec les Témoins de Jéhovah, et quels en ont été les défis émotionnels et sociaux ?

    Sophie Grimbert : Du fait que toute ma famille, tous mes amis étaient TJ, cela a été très difficile. J’ai d’abord dit que j’avais des doutes, alors à plusieurs reprises on m’a fait jeter des objets ou vêtements d’occasion au cas où ils aient été portés par des « médiums », sous-entendant ainsi que je puisse être sous influence démoniaque. Les TJ [Témoins de Jéhovah] voient l’influence de Satan partout alors que leurs publications sont truffées d’images sataniques subliminales… J’ai d’abord arrêté d’aller prêcher, puis j’ai continué avec l’assistance aux réunions. Mon mari a tout fait pour me pousser à donner l’exemple à mes enfants (peu importait ce que je pouvais ressentir). Ensuite j’ai quitté la maison (dans des conditions dramatiques) et alors que mon mari qui disait m’aimer à la folie a eu l’occasion de choisir entre moi et Jéhovah, il a été un bon petit soldat de Dieu. J’ai donc demandé le divorce et je suis partie avec ma fille. J’ai vécu l’enfer à ce moment-là. La famille applique les directives jéhovistes et coupe les ponts avec vous. Puisque vous partez dans le monde, vous avez intérêt à vous être fait rapidement de nouveaux amis, sinon, c’est la dépression assurée ! J’ai reçu de nombreux témoignages d’ex-TJ qui sont tous traumatisés de cette période très agitée et émotionnellement si difficile que certains en arrivent au suicide.

    Breizh-info.com : Comment votre départ a-t-il été perçu par votre famille et la communauté des Témoins de Jéhovah ?

    Sophie Grimbert : Mes parents ont d’abord cru que mon problème était un problème de couple. Ils ont appliqué les règles de la communauté, mais grâce à ma fille, ils ont pu faire quelques compromis et nous avons pu nous revoir. Ma fille ne voulant plus voir personne à condition que je sois avec elle. Mes parents ont agi avec plus d’intelligence que d’autres et je les en remercie. Cela n’empêche que les ponts sont coupés parce qu’ils pensent que je vais mourir à Armaguedon. Mon frère ne me parle plus du tout depuis 14 ans, ma mère ne m’appelle jamais et ne prend jamais de mes nouvelles. Mon père est décédé depuis bientôt 3 ans. Je n’aurais sûrement pas osé écrire ce livre s’il était encore vivant.

    Breizh-info.com : Comment votre choix a-t-il affecté vos relations avec votre famille et vos proches encore membres de la communauté ?

    Sophie Grimbert : Ce choix implique d’accepter de quitter votre famille pour toujours. À moins que, grâce à leur prise de position ferme jéhoviste de ne plus vous côtoyer, vous finissiez par revenir… C’est du chantage affectif.

    Breizh-info.com : Quel message principal espérez-vous transmettre à travers votre livre ?

    Sophie Grimbert : Que ce mouvement, à mon époque, était une secte. Qu’aujourd’hui il s’adapte au monde, ce qui était inconcevable à mon époque. La Société disait tout le contraire pour nous prouver qu’elle détenait la Vérité et que la Vérité ne pourrait jamais suivre le monde, même en parallèle. Aujourd’hui le rythme est beaucoup moins soutenu, les directives plus souples, parce qu’ils ont suffisamment d’adeptes, de biens immobiliers et qu’ils sont infiltrés partout. Ils deviennent donc, comme l’avait prédit mon propre père, une religion comme les autres. Les prophéties annoncées ne se sont jamais réalisées, mais leur ont permis de détourner des familles entières de la religion catholique qui était décrite comme « l’empire de la fausse religion ». Ils ont réussi leur mission, aidés en permanence par les franc-maçons. J’espère donc, grâce à ce livre, montrer comment ils ont volé ma vie, mais par extension, celle de milliers d’autres. Je l’ai écrit pour les gens qui peuvent connaître des Témoins et ne pas les comprendre, mais surtout pour ceux qui comme moi, se sentent si mal qu’ils ne savent plus dans quelle direction aller. Après une tentative de suicide, j’ai décidé de choisir la vie.
    Masquer le message d’origine

    Breizh-info.com : Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui vit une situation similaire à la vôtre au sein des Témoins de Jéhovah ?

    Sophie Grimbert : De s’entourer de gens qui le comprennent vraiment, qui seront prêts à l’aider et à quitter ce mouvement s’il se sent coupable en permanence parce que sa personnalité ne colle pas avec ce qu’on attend de lui dans l’Organisation. La soumission…

    Breizh-info.com : Comment votre expérience a-t-elle influencé votre perception de la foi et de la spiritualité aujourd’hui ?

    Sophie Grimbert : Elle m’a appris à m’élever, à accepter que ma vie est dans le présent et non dans un hypothétique paradis sur terre pour une vie éternelle. J’ai étudié pendant des années les textes anciens, j’ai étudié l’histoire, l’archéologie, j’ai approfondi tout ce qui pouvait expliquer nos origines. Mon esprit rationnel ne m’empêche pas d’être plus spirituelle que jamais, mais sans passer par la religion. Je peux comprendre que des enfants suivent leurs parents dans une religion qui ne s’attache pas à un livre comme étant inspiré de Dieu. L’interprétation des fondamentalistes est dangereuse et sectaire. La foi doit rester une affaire personnelle et privée. Je ne supporte les gens qui affichent leur religion dans la rue. C’est une forme d’agression pour moi et d’agressivité dans l’espace qui d’ailleurs aujourd’hui soulève beaucoup de polémiques. Notre Laïcité était censée nous protéger d’un retour à ces formes de fondamentalismes…

    Propos recueillis par YV

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




    Notre Terre changeante

    [Illustration : ©Adobestock]

    Par Arthur Firstenberg

    Le 19 décembre 2023, dans la revue New Phytologist, des chercheurs français ont publié une étude sur un autre aspect du déclin de la vie sur Terre. Les populations d’abeilles et d’autres pollinisateurs ont tellement diminué que les plantes à fleurs qui avaient besoin d’insectes pour se reproduire efficacement ont évolué en moins de 25 ans pour devenir de meilleures autogames et n’avoir plus besoin d’insectes pour se reproduire.

    Des pensées des champs issues de graines collectées à la fin des années 1990 et au début des années 2000 ont été cultivées à côté de pensées issues de graines collectées en 2021. Les taux d’autopollinisation étaient 27 % plus élevés chez les plantes cultivées à partir des graines les plus récentes. Les fleurs étaient plus petites. Les pétales étaient plus courts. Les labelles — les plates-formes d’atterrissage qui attirent les insectes — étaient plus petites. La période de floraison était plus courte. Moins de fleurs ouvertes par jour. Les éperons nectarifères étaient plus courts, il y avait moins de guides de nectar et les fleurs produisaient moins de nectar. Plus de bourdons ont visité les fleurs issues des anciennes graines que celles issues des nouvelles graines.

    Les auteurs mettent en garde contre des effets en cascade sur les populations d’insectes :

    « Ces diminutions de la production de nectar pourraient alors renforcer le déclin des pollinisateurs si les niveaux de nectar tombent en dessous de ceux nécessaires au maintien des populations d’abeilles sauvages. Les changements environnementaux peuvent donc présenter un double danger pour les populations de pollinisateurs, car elles deviennent victimes à la fois des changements eux-mêmes et de l’évolution des caractéristiques des plantes. »

    Les auteurs n’ont cité que la pollution, la destruction de l’habitat et les espèces exotiques comme causes de l’effondrement des pollinisateurs. J’ai envoyé aux auteurs une lettre, avec des liens vers des revues de littérature, les informant que les rayonnements radioélectriques sont la principale cause du déclin des insectes. Je les ai invités à rejoindre la coalition de scientifiques, d’organisations et d’individus que nous formons pour faire face à l’urgence radiologique mondiale.

    D’autres rapports du monde entier sur le déclin des oiseaux et des insectes, etc.

    Jean écrit depuis le Queensland, en Australie :

    « Je vis dans un village de retraités et j’ai remarqué moins d’insectes cette année qu’avant. Je vois rarement une abeille. »

    Leroi écrit depuis la France :

    « Là aussi, le nombre d’insectes et d’oiseaux a diminué de manière significative (des 2/3), alors que la 5G n’est pas encore installée… ! Le nombre de naissances d’animaux et d’êtres humains handicapés est en augmentation depuis les années 1990, début de l’utilisation généralisée de l’informatique. »

    Chrisleine écrit depuis l’Andalousie en Espagne :

    « Beaucoup des symptômes que vous décrivez se ressentent ici aussi : presque plus d’oiseaux ; pas de colombes. Cette année, pas une seule abeille dans mon jardin. »

    Emma écrit d’Afrique du Sud :

    « La première tour 5G a été érigée en 2019, à 50 mètres de chez moi. Quelques jours plus tard, j’ai eu une pneumonie fongique. Quelques semaines plus tard, j’avais des palpitations qui ne s’arrêtaient pas. Passons à maintenant… animaux malades, perte d’insectes, je suis encore plus malade. Il y a aussi une épidémie de “grippe aviaire” et de grippe du lapin (ouais, c’est vrai !). Beaucoup d’oiseaux morts, mais toute la population de lapins est morte dans la région de Kyalami. Je prie pour que cette planète soit libérée des radiations. »

    Tammy écrit du Nouveau-Brunswick, Canada :

    « Les tours de téléphonie cellulaire ont tué tous les oiseaux et insectes à Kings Place où je travaillais. Nous avions un problème d’oiseaux là-bas, nichés sur les toits, mais plus maintenant. Tous les oiseaux sont partis. Je ne reste plus dans les zones urbaines, car elles sont désormais toxiques à cause des micro-ondes. Et en tant que tel, je vis depuis 4 ans sans médicaments contre l’asthme, sans médicaments contre les allergies, sans vaccins, et je n’ai eu aucun rhume, grippe, COVID, rien. C’est bien. Une vie à faible CEM est une vie plus saine. Point. Les Amish avaient raison depuis le début. »

    Doug écrit depuis North Hollywood, Californie :

    « J’ai remarqué moins d’oiseaux dans mon quartier. Nous en entendions beaucoup ici le matin. Maintenant, je n’en entends presque plus. »

    Charles écrit depuis l’Himalaya :

    « Je vis dans un ashram isolé et la faune et la flore se portaient bien, même la 2G était possible, mais lorsque la 2G est passée à la 4G, la décimation des populations d’oiseaux et d’insectes a été remarquée par les villageois et les habitants de l’ashram, mais comme vous le dites, tout le monde est trop occupé à écouter la musique pour faire quoi que ce soit à ce sujet. »

    Karl écrit d’Allemagne :

    « J’ai 74 ans et je suis informaticien. Cela fait 20 ans que j’observe comment les grues passent au-dessus de notre maison chaque automne lors de leur vol vers le sud. Il y a maintenant une grande tour de transmission à environ 20 kilomètres avec une liaison radio qui passe directement devant notre maison. Si les oiseaux migrateurs arrivent dans cette zone, leur navigation est interrompue. Ils ne savent pas quoi faire et se retrouvent ici, dans la prairie. Souvent, ils parviennent à retrouver leur chemin plus tard ou le lendemain.

    Cette année, comme le réseau radio s’est considérablement étendu ici, comme partout ailleurs, notamment grâce à la 5G, un certain nombre d’oiseaux se sont de nouveau retrouvés ici. Mais tout au long de la journée, j’ai pu observer des volées qui faisaient demi-tour et revenaient en volant, parce qu’elles ne trouvaient plus leur chemin ! Les oiseaux débarqués sont encore là depuis quelques semaines et passeront probablement l’hiver ici s’ils survivent, car il fait trop froid ici et il n’y a presque pas de nourriture disponible. »

    Linda écrit de Tucson, en Arizona :

    « Une tour de téléphonie cellulaire a été installée à 1 000 pieds de chez moi. Je ne savais même pas qu’elle était là, car elle était cachée par les arbres. TOUS les insectes, à l’exception des coléoptères et des punaises du sureau, ont chuté de 1/3. Ils ne s’en sont pas remis, année après année. 10 ans plus tard, des compteurs électriques intelligents étaient installés. Les populations de TOUS les insectes ont diminué de moitié et ont continué de diminuer d’année en année. Même les scarabées ont disparu. »

    Pieter écrit des Pays-Bas :

    « La haie de hêtres devant notre maison reçoit l’intégralité du rayonnement d’une tour de télécommunications située à 300 mètres de distance, sur laquelle deux sociétés de télécommunications nous envoient leur rayonnement (nous envoyant ainsi apparemment la double portion). Cette tour cellulaire a été construite en décembre 2020. Petit à petit, la haie de hêtres s’est détériorée et cette année, il est devenu évident que la croissance s’est presque complètement arrêtée et que presque toutes les feuilles sont beaucoup plus petites et mal formées. Le feuillage dense d’autrefois s’est transformé en de nombreuses trouées dans la haie. »

    Richard écrit depuis Vancouver, Colombie-Britannique, Canada :

    « Je suis né en 1952 en Tchécoslovaquie et vers l’âge de dix ans, j’ai décidé de faire une collection de papillons qui abondaient dans notre jardin — toutes sortes de variétés pour stimuler mon intérêt. Rien n’en est sorti et je l’ai oubliée. Vers l’âge de 18 ans, je me suis souvenu de mon “projet” de quand j’étais plus jeune et j’ai réalisé que quelque chose avait radicalement changé, car le seul papillon que je pouvais voir était le papillon blanc commun et presque aucune autre espèce. Je n’avais aucune idée de ce qui s’était passé. J’ai deviné que l’éventuelle utilisation accrue de pesticides/herbicides y était pour quelque chose.

    Mais il fut encore une époque où il fallait nettoyer le pare-brise de divers insectes plusieurs fois par jour. Cette année, après une semaine de voyage sur l’île de Vancouver, je n’ai pas eu besoin de nettoyer le pare-brise du tout : il n’a réussi à “attraper” qu’un insecte ou deux.

    Ici à Vancouver, le très populaire lilas de Californie fleurit deux fois par an. Vous l’avez toujours entendu bourdonner d’abeilles et de bourdons. Les papillons sont désormais réduits à quelques-uns des “blanchâtres/jaunâtres”, les mêmes qu’en Europe. Il y a peut-être un an, j’ai remarqué que je ne pouvais plus “entendre” les lilas, car les abeilles mellifères ont pratiquement disparu et seuls quelques bourdons sont visibles.

    L’année dernière et cette année, je suis allé au parc Queen Elizabeth, ici à Vancouver, au printemps, alors que tout était en fleurs. À l’exception d’une mouche ou deux, il n’y avait AUCUN insecte — pas d’abeilles, pas de bourdons, pas de papillons. Personne n’a rien remarqué, mais pour moi c’était presque irréel. Sentiment apocalyptique.

    Il y a un an, je suis allé dans un parc à Surrey, au bord du fleuve Fraser, là où la civilisation était à une certaine distance — on pouvait presque se sentir dans la nature. J’ai remarqué qu’aucun insecte n’était visible, pas même sous les rochers. J’en ai parlé à quelqu’un du parti avec lequel j’étais, et il ne m’a pas cru et est allé faire ses propres recherches, avec le même résultat : rien. Il n’a pas dit grand-chose, mais je voyais que cela le dérangeait, je suppose qu’il était sous le choc.

    Le niveau de déni est vraiment incroyable. »

    Gloria écrit de Caroline du Nord :

    « Quelqu’un aux États-Unis a pensé que ce serait une bonne idée d’installer des dispositifs de radiolocalisation sur les papillons monarques. Je suis horrifiée. Comme si cette espèce en voie de disparition ne souffrait pas déjà assez de l’exposition aux rayonnements. Combien ont péri en volant dans un faisceau multiéléments provenant d’une antenne 5G ? J’ai élevé des papillons monarques dès le stade de l’œuf (à partir de papillons mères monarques passant par et visitant mon buffet d’asclépiades) et ces créatures sont plus complexes et incroyables que beaucoup de gens ne le pensent. Cela me rend malade d’avoir entendu cette nouvelle. Je ne vais pas rester silencieuse à ce sujet. »

    Gloria a envoyé ce lien vers l’article qu’elle venait de lire : le ciel est la limite pour les monarques portant des étiquettes radio à énergie solaire. Celui-ci décrit le marquage radio des papillons au Cape May Point Science Center dans le New Jersey pour « la collecte de données sur les mouvements migratoires des monarques ». Ils lançaient le « Projet Monarch ». Pour une démonstration­, ils ont placé une radio-étiquette sur un monarque qu’ils nomment Xerces et ont suivi ses mouvements. L’article continue :

    « Xerces a effectivement fini par revenir au CMPSC au bout de quelques jours et c’est le dernier endroit où il a été détecté. »

    Gloria écrit :

    « En examinant la carte de l’île de Cape May et les observations représentées, le papillon qui avait reçu la balise radio fixée sur son thorax a eu du mal à s’orienter. C’est absolument cruel. Ce papillon était très probablement mort. Cela a duré quelques jours. Un monarque en migration aurait pu vivre plus de six mois. Aucune créature ne devrait être étiquetée ainsi, encore moins un insecte. Les transmissions radiofréquences ne gênent-elles pas la magnétoréception des monarques ? Les papillons ne sauront pas où ils vont avec cette balise radio émettant des rayonnements en continu, mais pire encore, les monarques sont tués aux micro-ondes.

    Extrait de l’article : “Lorsqu’une étiquette reste exposée au soleil, elle continuera à transmettre environ une fois par seconde, indéfiniment !” Les papillons dépendent de l’énergie solaire pour alimenter leurs ailes. Bien que les papillons soient mobiles, être au soleil signifie que les transmissions sont incessantes et je le crains, contribuant à la mort prématurée de tout papillon équipé de l’un de ces horribles appareils. »

    Laurie de Californie a transmis cette histoire de sa voisine :

    « Nous avons adopté notre chien, Rowdy, dans un refuge il y a 5 ans. C’est l’âme la plus douce et mon meilleur ami. Depuis une semaine, il n’est plus lui-même. Il a léché une plaie sur sa patte. Il haletait constamment. Il faisait les cent pas. Dimanche matin, les allées et venues et les halètements se sont aggravés, et j’étais VRAIMENT inquiète que quelque chose n’aille pas chez lui. Pendant 45 minutes, il a haleté comme un fou et a constamment fait les cent pas. Il gardait la queue constamment baissée. Ses oreilles étaient rabattues vers l’arrière. Il ne se calmait pas et ne mangeait pas. J’ai essayé de lui donner du trazadone qu’il prend parfois lorsqu’il va chez le toiletteur. Cela a semblé le soulager un peu, mais pas beaucoup. Il ne mangeait toujours pas et ne se calmait toujours pas.

    J’ai quitté le travail lundi et je l’ai emmené chez le vétérinaire. Nous avons fait des analyses de sang et des radiographies. Ses analyses de sang étaient excellentes, à l’exception de certaines enzymes hépatiques élevées. Les radiographies n’ont montré aucun problème majeur. Il a reçu une injection anti-nausée et de la gabapentine pour, espérons-le, le garder calme. Quand nous sommes rentrés à la maison, il allait bien pendant un petit moment, mais a finalement recommencé à faire les cent pas et à haleter. Nous nous sommes promenés longtemps dans le quartier et il utilisait beaucoup les toilettes. Il semblait plutôt content de cela et était de bonne humeur jusqu’à ce que nous rentrions à la maison et qu’il refuse de revenir dans la maison. Chaque fois que je l’emmenais dehors ce soir-là, il s’accroupissait comme s’il ne voulait pas revenir dans la maison.

    Lorsque mon vétérinaire a appelé et que je lui ai donné les dernières nouvelles, elle a suggéré qu’il y avait peut-être un nouvel appareil électronique dans la maison qui émettait un bruit à haute fréquence qui lui faisait mal aux oreilles. Nous venons d’installer de nouvelles prises intelligentes dans la maison il y a environ une semaine. Les prises intelligentes vous permettent d’allumer vos appareils électroniques à l’aide d’une application ou d’Alexa. Nous utilisons les nôtres pour allumer et éteindre toutes nos lampes en même temps. Son rythme et ses halètements étaient pires lorsque les lampes étaient allumées, alors j’ai débranché toutes les prises intelligentes. Il a cessé de haleter et de faire les cent pas, et il a mangé sa nourriture. Sa queue s’est même relevée et a recommencé à remuer. Lorsque j’ai rebranché toutes les prises intelligentes et demandé à Alexa d’allumer les lampes, il a immédiatement recommencé à haleter et à faire les cent pas. Nous avons laissé les prises débranchées pendant deux jours et avons confirmé que ce sont bien les prises intelligentes qui causent son stress et son inconfort. Il est redevenu un chien tout à fait normal. »

    Andrea écrit du Panama :

    « Je vis au Panama, originaire d’une région rurale du Canada où la voisine la plus proche était à 700 pieds, mais j’ai quand même reçu des radiations provenant du Bluetooth de son imprimante ! Lorsque je vivais temporairement à West Palm Beach, en Floride, entourée de Wi-Fi et de 5G, je ressentais des douleurs sur le palais entre mes deux amalgames au mercure, et mon chien est tombé gravement malade, anorexique, a commencé à avoir plusieurs crises focales par jour et une infection respiratoire sévère. Nous étions en train de faire une randonnée de 4 heures dans le parc national quand il a eu un de ses épisodes bizarres qu’il avait eus 4 fois au cours de l’année précédente, différent des crises focales qui venaient de commencer : il bave, tombe presque à la renverse, ne mange pas et ne boit pas, sa personnalité change du tout au tout — il est nerveux et a peur de nous. Au même moment, mon ovaire droit est devenu douloureux et j’ai eu mal aux deux cuisses, je me suis sentie étourdie, nauséeuse et tout simplement horrible. Nous avons vu une tour de téléphonie mobile derrière les arbres vers lesquels nous marchions. Après avoir marché pendant 10 minutes, nous nous sommes tous les deux rétablis. »

    Eileen écrit depuis Liverpool, en Angleterre :

    « Ma ville natale, Liverpool, est la ville qui possède le plus grand réseau maillé 5G du Royaume-Uni et le deuxième au monde. https://liverpool5g.org.uk/about5g/. Les habitants de Liverpool font partie d’une vaste expérience 5G sans aucune consultation ni consentement. C’est honteux ! On s’interroge sur le titre suivant : Les hôpitaux de Liverpool sont “débordés” alors que les patients sont traités sur des fauteuils. Les médecins travaillant dans les hôpitaux du NHS [le service de Santé de Grande-Bretagne] du Merseyside traitent des patients sur des chaises et dans des couloirs dans des scènes “terribles” décrites comme “faire de la médecine dans un pays en développement”. »

    Un autre correspondant écrit :

    « J’ai dû faire piquer mes deux chats à cause des CEM [champs électromagnétiques] de notre routeur. Ils ont présenté les mêmes symptômes que moi. Ils n’étaient qu’à l’intérieur et ne pouvaient pas s’échapper. L’une d’entre elles a perdu la tête (Maine Coon pure race) et ne reconnaissait plus sa nourriture et commençait à tomber des comptoirs. L’autre a eu un cancer de l’œil. Il a tenu 8 mois et j’ai dû l’abattre. C’était trop triste. Il a fallu 4 ans pour que cela m’affecte et j’ai eu 4 fois un cancer plus 21 autres symptômes. J’ai compris tout cela après 18 ans d’empoisonnement par les radiations. »




    Le réchauffement climatique anthropique pour créer des pénuries alimentaires

    Selon l’eurodéputé croate Mislav Kolakušić, L’UE utilise le canular du « réchauffement climatique d’origine humaine » comme prétexte pour s’emparer des terres agricoles, dans le but ultime de créer des pénuries alimentaires.

    Rappelez-vous que les personnes affamées et désespérées sont beaucoup plus susceptibles de se conformer à la tyrannie, en échange de suffisamment de calories pour éviter la mort, que les personnes ayant un accès facile à une abondance de nourriture, même si la source de ces calories de survie est des insectes ou de la fausse « viande » cultivée en laboratoire.




    Les mémoires du général Tauzin : il peut enfin parler !

    [Source : Tocsin]




    Le Canada fait état d’une augmentation de 300 % des décès de « causes non spécifiées »

    [Source : childrenshealthdefense.org via zejournal.mobi]

    Un nouveau rapport du gouvernement canadien révèle une augmentation de 300 % des « causes non spécifiées » de décès entre 2019 et 2022, les causes inconnues devenant la cinquième cause de décès au Canada. Certains experts de la santé ont déclaré que cette augmentation brutale devrait déclencher une enquête pour déterminer si les décès sont liés aux vaccins Covid-19.

    Alors que l’espérance de vie s’effondre au Canada, un nouveau rapport du gouvernement affirme que les « causes non spécifiées » sont devenues la cinquième cause de décès dans le pays, après le cancer, les maladies cardiaques, le Covid-19 et les accidents.

    D’après Statistique Canada les « causes non spécifiées » en 2022 ont dépassé les accidents vasculaires cérébraux, les anévrismes, la bronchite chronique, l’emphysème, l’asthme, le diabète, la grippe et la pneumonie, les maladies chroniques du foie et la cirrhose, la maladie d’Alzheimer et le suicide en tant que causes de décès.

    Statistique Canada, également connu sous le nom de StatCan, a publié le rapport le 27 novembre dans Le Quotidien, le bulletin d’information en ligne de l’agence.

    Le rapport a donné lieu à une série de titres presque identiques — fournis par le service national d’information du Canada — dans les principaux journaux du pays, à l’instar de celui-ci dans le Toronto Sun : « L’espérance de vie des Canadiens a chuté pour la troisième année consécutive en 2022, selon StatCan », suivi du sous-titre : « Plus de personnes sont mortes du Covid-19 en 2022 qu’en toute autre année depuis le début de la pandémie, selon le rapport ».

    André Picard, chroniqueur santé au Globe and Mail à Toronto, le journal de référence du Canada, a qualifié la baisse de l’espérance de vie, de 82,3 ans en 2019 à 81,3 ans en 2022, d’ » énorme ».

    « C’est seulement la deuxième fois qu’une baisse aussi importante se produit au Canada au cours du siècle dernier », a déclaré M. Picard. « En effet, l’espérance de vie ne cesse de progresser depuis des décennies : 71 ans en 1960, 75 ans en 1980, 79 ans en 2000 et 82,3 ans en 2019. »

    Le nombre de décès dus au Covid-19 [NDLR ou plus exactement « attribués au Covid-19 », alors que dans le même temps la grippe disparaissait mystérieusement] au Canada a diminué, passant de 16 313 en 2020 à 14 466 en 2021, selon le rapport. Le Canada devrait enregistrer environ 7 000 décès dus au Covid-19 en 2023, a déclaré M. Picard.

    Les décès du Covid-19 ne peuvent expliquer l’augmentation de 7,3 % du nombre total de décès au Canada en 2022 par rapport à 2021, ni l’augmentation de 17 % du nombre total de décès par rapport à la norme historique de 2019, ni la baisse historique de l’espérance de vie, ni la baisse de l’espérance de vie au Canada et dans le monde, a déclaré M. Picard.

    Comme de nombreux journalistes grand public et les responsables de la santé publique aux États-Unis qui examinent la baisse de l’espérance de vie aux États-Unis, M. Picard a blâmé les maladies chroniques, les surdoses de médicaments, les décès dus aux opioïdes, le tabagisme, les régimes alimentaires malsains et » l’indifférence » comme étant les causes du déclin de la population au Canada. « Il n’existe pratiquement plus de mesures d’atténuation telles que le masquage, et les taux de vaccination ont fortement diminué », écrit-il.

    Mais les Drs Pierre Kory et Peter McCullough ont déclaré à The Defender que le fait le plus important et le plus surprenant contenu dans le rapport est l’augmentation de 300 %, entre 2019 et 2022, des « causes non spécifiées » de décès au Canada. (…)

    [NDLR Les « causes non spécifiées » sont-elles vraiment autre chose que les vaxins anticovid ?]




    SMSGATE : un lanceur d’alerte gênant mis hors jeu par l’UE

    [Source : blast-info.fr]

    Frédéric Baldan, le citoyen belge qui a porté plainte contre Ursula von der Leyen dans l’affaire du SMSGate fait-il l’objet de représailles de la part de la Commission européenne ? Son accréditation en tant que lobbyiste lui a en effet été retiré sous un prétexte apparemment sans fondement et d’une façon peu scrupuleuse du droit. Ce qui arrive à M Baldan en dit long sur des institutions européennes qui n’œuvrent plus que pour elles-mêmes, dans l’intérêt de ceux qui la dirigent. Que contiennent les SMS échangés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, le PDG de Pfizer ? On ne le sait toujours pas malgré les nombreuses exhortations.






    Dogme sanitaire : contre-offensive globaliste en Russie à l’approche des présidentielles

    [Source : russiepolitics]

    Par Karine Bechet-Golovko

    Rospotrebnadzor, l’Agence fédérale russe de contrôle de la consommation, qui est en charge des questions sanitaires depuis le Covid, soulignant combien, pour ceux qui ont encore un doute, le culte globaliste sanitaire est à la fois un business et une ingénierie sociale, revient sur le front. Saison oblige — oui, la saison électorale s’ouvre, il serait dommage pour les globalistes de ne pas utiliser les virus saisonniers pour déstabiliser la situation. Ainsi, l’on voit réapparaître ici ou là, de manière chaotique, le port du masque, l’accélération du rythme vaccinal, la fermeture soudaine des établissements… La contre-offensive globaliste sur le front s’engage à quelques mois des présidentielles.

    Comme le rappelle avec justesse le Président Poutine, la Russie ne peut être vaincue que de l’intérieur. Et la période électorale est une période propice aux changements, voulus ou imposés, politiques ou géopolitiques, provoqués ou subis. La population est psychologiquement préparée au fait qu’un changement se prépare, il est donc plus facile de la manipuler à ce moment-là. Et c’est justement maintenant que l’on voit revenir le spectre « sanitaire », sous la houle de la très globaliste agence fédérale russe Rospotrebnadzor, qui conduisait le fanatisme covidien en Russie, à son heure de gloire.

    Les manifestations de la contre-offensive globaliste sous prétexte sanitaire

    Si l’Opération militaire a fait baisser la voix de ces groupuscules, ils sont toujours actifs et manifestement réactivés à la moindre possibilité, or la saison est propice. Peu importe que les virus de la grippe, du Covid, du rhume ne soient pas violents, ils sont là et sont nombreux en cette saison, il faut donc les rentabiliser. Ce serait dommage de laisser passer une telle chance…

    Ainsi, l’Agence de Rospotrebnadzor de Saint-Pétersbourg se sent à nouveau en selle et relance le combat globaliste — contre les habitants. Rien de tel, surtout à l’occasion des fêtes de fin d’année :

    En raison de la situation épidémiologique complexe concernant l’incidence de la grippe, des infections respiratoires aiguës (ARVI), de la nouvelle infection à coronavirus (Covid-19) et des pneumonies communautaires, le médecin en chef de la ville de Saint-Pétersbourg, Natalia Bashketova, a signé la résolution n° 4 du 20 décembre 2023 « Sur le renforcement des mesures de prévention de la grippe, des infections virales respiratoires aiguës, de la nouvelle infection à coronavirus (Covid-19) et des pneumonies communautaires au cours de la saison épidémique 2023-2024 à Saint-Pétersbourg. »

    Ainsi, à Saint-Pétersbourg, le port du masque est obligatoire à partir du 20 décembre pour tous les événements sportifs, culturels ou les fêtes organisées par les entreprises à l’occasion du Nouvel An. Laisser les gens se détendre en cette période de fête serait une erreur fondamentale — en termes d’ingénierie sociale. S’ils se reposent, ils vont reprendre des forces — notamment psychiques et seront plus difficiles à manipuler. En plus, ils pourraient même être satisfaits, quelle idée ! Rien de tel qu’un bon masque pour vous pourrir la vie. Surtout que son utilité sanitaire est nulle, comme le déclare le président de l’Union scientifique des thérapeutes de la ville de Moscou, le docteur Pavel Vorobiov :

    « Si une personne éternue, alors sous ce masque le nuage vole dans toutes les directions, peut-être que le nuage sera plus petit, mais il sera toujours là. Par conséquent, les sont infectés par les éternuements. Qu’ils portent ou non un masque, c’est pareil. Les personnes qui portent aujourd’hui un masque dans les transports publics le font en vain. »

    Qui va s’intéresser à l’opinion professionnelle d’un médecin, quand on a les dogmes globalistes des fonctionnaires de Rospotrebnadzor ? D’une manière générale, la décision passe mal et certains médias insistent sur le fait, qu’il ne s’agirait en réalité que d’une recommandation, mais qui serait obligatoire pour les entreprises notamment… Le flou est donc total… et le malaise aussi.

    Et cette furie à Saint-Pétersbourg touche également l’enseignement :

    « En outre, les directeurs des établissements d’enseignement et préscolaires de la ville ont été appelés à assurer la fermeture temporaire de certaines classes, si deux ou plusieurs cas de pneumonie communautaire y étaient détectés. De plus, le processus éducatif sera temporairement arrêté dans les classes et les groupes où plus de 20 % des élèves sont absents pour cause d’ARVI, de grippe ou de coronavirus.

    Rospotrebnadzor a recommandé d’arrêter temporairement les cours dans les écoles où plus de 10 cas de pneumonie communautaire ont été détectés pendant une période pouvant aller jusqu’à 10 jours. »

    Bref, même quand les enfants sont malades chez eux — et ne peuvent donc contaminer leurs camarades, il faut fermer classes ou écoles. Ces normes sont d’une grande efficacité, sur le plan managérial : elles permettent de fermer beaucoup d’établissements, de faire du chiffre, sans qu’il y ait de fortes incidences sanitaires, puisque les virus continuent à vivre leur vie saisonnière. Ces règles aussi rigides qu’absurdes sont également parfaites pour perturber le processus d’enseignement. Ce qui est également un but non négligeable.

    À Moscou, la situation n’est pas meilleure. Car en plus de ces virus, qui ne constituent aucun danger réel pour la santé, la vague globale de la rougeole est resservie. Rappelons que la rougeole fait l’objet d’une vaccination généralisée dans l’enfance, ce qui en général règle le problème. Or, cette année, l’on a entendu parlé d’une poussée épidémique de la rougeole dans plusieurs pays, les médias ont tenté de nous resservir le discours du grand danger global… sans grande réussite. En revanche, c’est une planche de salut pour les élites globalistes, notamment en Russie. Ainsi, l’on peut réécrire les règles de la vaccination — désormais, celles faites dans l’enfance ne sont plus suffisantes, il faut encore en reprendre quelques doses. Et surtout, quelle chance, un cas de rougeole dans un établissement entraîne automatiquement la fermeture de tout l’établissement ! 

    C’est en tout cas, ce qui se passe dans la plus grande université du pays, l’Université d’État de Moscou (Lomonossov), qui se retrouve depuis quelque temps sous le feu constant de Rospotrebnadzor. Un seul étudiant de première année à la faculté de la politique internationale est déclaré malade de la rougeole et ce sont rien moins que les 11 facultés de ce bâtiment de l’Université, qui sont fermées du 13 novembre au 1er décembre. 11 facultés… pour un cas. Hier soir, à la surprise générale, le Recteur de l’Université adopte un arrêté s’appuyant sur la décision de Rospotrebnadzor qui le lie, pour fermer la Faculté de droit à compter d’aujourd’hui jusqu’au 11 janvier. Personne ne comprend comment va se dérouler la dernière semaine de cours, d’oraux et de réunions avant les vacances d’hiver… Car un étudiant serait tombé malade…

    Les buts de la contre-offensive globalistes — la déstabilisation sociale et la délégitimation du pouvoir

    La Russie ne peut pas être vaincue sur le champ de bataille, l’arrivée d’un tank étranger sur la terre russe provoquerait un soulèvement populaire massif, qui déborderait de loin la pleutrerie des élites globalistes, quel que soit leur pays. La guerre en Ukraine, tout comme la Crimée ou le Donbass et les nouveaux territoires, fait dans l’ensemble l’objet d’un consensus populaire puissant. Si des questions se posent, c’est pour savoir pourquoi les autorités russes ont si peu de courage politique… 

    En revanche, les deux véritables axes, qui permettent de diviser la société, sont le numérique et le sanitaire. Ces deux cultes globalistes ont leurs adeptes, non seulement chez les élites, mais aussi dans la population — certains par fanatisme, beaucoup en résultat du long et efficace processus d’abrutissement des populations, qui n’a pas épargné la Russie depuis la chute de l’Union soviétique. Il devient difficile de voir quelqu’un lire un livre dans le métro, les gens ont massivement délégué leur identité à des programmes, les enfants sont enfermés dès le plus jeune âge par les parents eux-mêmes dans un smartphone pour faire moins de bruit — et ne pas trop exister dans le réel. Or, le réel est le seul espace, qui permette à l’homme de se développer. Les hommes ont donc été handicapés, massivement, volontairement, dès leur enfance.

    L’on voit des réactions très fortes des deux côtés, et du côté de ceux, qui soutiennent ces mouvements globalistes et veulent les imposer jusqu’au bout en Russie, et du côté de ceux, qui s’y opposent. Le fanatisme de la virtualisation de l’enseignement s’accompagne par exemple de la création d’un véritable mouvement de résistance populaire, structuré par le bas et qui devient une force. Le fanatisme sanitaire voit le renforcement de mouvements sociaux de résistance, collective et individuelle, qui ont rejeté les mesures liberticides se rapprochant de l’asservissement numérique de la population, à la chinoise.

    Plus ces tendances globalistes se radicalisent, plus la réaction de résistance se renforce. Si certains visages globalistes du pouvoir national sont bien identifiés, avec la radicalisation de la tendance, la fracture sociale devient dangereuse, surtout quand la figure présidentielle tente de porter les deux discours : et celui du culte numérique et sanitaire, et celui de la souveraineté comme seule voie d’existence de la Russie. Ces deux voies sont incompatibles et toute tentative de les concilier, in fine, conduit à l’avancée des dogmes globalistes.

    Si le numérique est un instrument, il ne peut être une fin en soi, sauf à virtualiser l’État, la société et l’homme — et à la fin les détruire. Si la question sanitaire est importante, elle doit permettre le renforcement de la société et de l’homme, et non pas leur affaiblissement — physique, autant que psychique, quand elle devient une fin en soi. Quand ces instruments deviennent des éléments d’ingénierie sociale, la Russie perd sa souveraineté. Or, comme l’a réaffirmé Poutine il n’y a pas si longtemps de cela, la Russie ne peut exister que si elle est souveraine.

    Et quelle sera alors la légitimité, au-delà du discours souverainiste, de ces élites, si elles continuent, contre l’intérêt national et contre la volonté populaire, à introduire en Russie ces dogmes globalistes ?

    Le combat sur le front intérieur va sérieusement se renforcer ces prochains mois à l’occasion des élections présidentielles, il serait naïf et dangereux pour la stabilité du pays de penser, que la seule personnalité de Poutine permettra de tout faire passer, pardonner, oublier… 




    Moscou va donner la priorité au plan de marquage du bétail de la planète approuvé à Davos

    [Source : edwardslavsquat]

    [Crédit image : weforum.org (site du Forum Économique Mondial)]

    Source : Président russe Vladimir Poutine

    Par Edward Slavsquat

    L’expression « infrastructure publique numérique » [IPN] est un euphémisme amical de lézard de l’espace qui signifie « vous allez être marqué au fer rouge et vous allez aimer ça ». Vous avez probablement lu les joies de l’IPN en parcourant les sites web des Nations Unies, du Forum Économique Mondial, de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres réservoirs bienveillants de l’altruisme international qui se consacrent à la création d’un monde sûr, pratique, équitable, inclusif et extrêmement durable.

    Voici comment le Programme des Nations Unies pour le Développement décrit l’IPN :

    L’infrastructure publique numérique (IPN) est un moyen partagé de parvenir à de nombreuses fins. Elle est un catalyseur essentiel de la transformation numérique et contribue à améliorer la prestation des services publics à grande échelle. Bien conçue et mise en œuvre, elle peut aider les pays à atteindre leurs priorités nationales et à accélérer la réalisation des Objectifs de Développement Durable [de l’Agenda 2030].

    Les gouvernements, les donateurs, le secteur privé et la société civile ont l’occasion de la façonner — rejoignez-nous !

    Voici maintenant la définition de la Fondation Rockefeller :

    L’IPN est une approche numérique qui permet des fonctions essentielles à l’échelle de la société afin de promouvoir la croissance économique et sociale pour tous, et pas seulement pour ceux qui ont les moyens d’y accéder.

    Ses utilisations immédiates sont nombreuses : paiements d’urgence aux réfugiés climatiques via les téléphones portables, accès immédiat à la télésanté et aux dossiers, carte d’identité numérique qui accélère l’accès aux prestations sociales, etc.

    Voici comment la Fondation Bill & Melinda Gates explique cette initiative numérique salutaire :

    Lorsque COVID-19 a accéléré la transformation numérique à l’échelle mondiale, il a mis en évidence la différence entre une infrastructure numérique forte et une infrastructure numérique faible. Les pays disposent d’une fenêtre étroite pour s’assurer qu’ils disposent de réseaux numériques qui offrent de manière sûre et efficace des opportunités économiques et des services sociaux à tous les résidents. C’est ce que l’on appelle l’infrastructure publique numérique.

    Enfin, le Forum Économique Mondial a donné son point de vue sur l’IPN :

    L’infrastructure publique numérique est essentielle pour relever d’importants défis mondiaux tels que le changement climatique et la nécessité de disposer de finances publiques réactives et efficaces. […]

    Une approche axée sur l’infrastructure et utilisant les IPN nous promet d’imaginer un avenir numérique inclusif qui exploite le pouvoir de la société, des gouvernements et des entreprises, tout en étant innovant, adapté au contexte et évolutif pour servir les gens et notre planète.

    Les IPN dans le domaine de l’identification et des paiements ont considérablement raccourci la courbe d’adoption et d’inclusion.

    Si l’on supprime la salade de mots superflus des citations ci-dessus, la philosophie qui sous-tend l’IPN peut être résumée comme suit :

    Les étiquettes pour le bétail ne sont pas seulement sûres et pratiques, elles sont un droit de l’homme.

    Si je souligne ce point, c’est parce que Vladimir Poutine a annoncé, lors du sommet du G20 de novembre, que le « développement de l’infrastructure publique numérique » était une « priorité » pour la Fédération de Russie.

    Source : Kremlin.ru
    Président de la Russie | Les événements | Structure | Vidéo et photo | Documentation | Contacts | Recherche
    Je tiens à souligner que la Russie accorde une attention prioritaire au développement de l’infrastructure publique numérique et au renforcement de la sécurité de l’information. D’ailleurs, nous fournissons déjà la plupart des services gouvernementaux à la population par voie électronique.
    En tant que participant responsable aux efforts mondiaux de lutte contre le changement climatique, la Russie prévoit d’atteindre la neutralité carbone au plus tard en 2060. À cette fin, tous les outils disponibles et efficaces sont utilisés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : l’énergie nucléaire, l’hydroélectricité, l’augmentation de la capacité d’absorption des forêts, les technologies respectueuses de l’environnement dans tous les secteurs de l’économie.

    Bien sûr, il est important de se rappeler que la promotion inconditionnelle de l’IPN par Moscou est très bonne et antimondialiste, tandis que les documents de politique générale de la Fondation Rockefeller détaillant comment l’IPN rendra le monde plus « équitable » sont très mauvais et diaboliques. Il est évident que Moscou s’empresse de mettre en œuvre des projets d’IPN en Russie afin d’empêcher les mondialistes de mettre en œuvre des projets de l’IPN en Russie [😁]. Moscou utilise exactement la même stratégie pour combattre les mauvais clot-shots [mauvaises coagulations (suite aux injections)] et les mauvaises CBDC par de bons clot-shots et de bonnes CBDC.

    Mais revenons-en à l’IPN.

    L’excellent universitaire et économiste russe Valentin Katasonov a récemment publié un article sur ce nouveau projet « d’infrastructure » mondial et sur les raisons pour lesquelles l’IPN sera probablement l’acronyme de l’année 2024. (Vous vous souvenez peut-être des commentaires avisés de M. Katasonov sur le rouble numérique). Son dernier article d’opinion sur l’IPN a été publié par au moins trois médias en langue russe (Zavtra, un site de médias alternatifs conservateurs de droite, Katyusha.org, nos amis orthodoxes patriotes, et Business Gazeta, le site d’information économique le plus rouge de Russie).

    L’article se trouve ci-dessous. Bonne lecture.

    IPN sera-t-il le nom du « camp de concentration numérique » mondial ?

    par Valentin Katasonov, 15 décembre 2023

    L’année dernière, l’une des abréviations anglaises les plus utilisées dans les médias russes était CBDC (Central Bank Digital Currency [Monnaie numérique des banques centrales]). Notre intérêt particulier pour la CBDC est dû au fait que la loi sur le rouble numérique a été adoptée au cours de l’été de cette année et que la Banque de Russie a commencé à introduire progressivement ce rouble numérique dans nos vies.

    Je n’exclus pas que l’année prochaine, en 2024, une autre abréviation anglophone prenne la première place en termes de popularité — IPN, qui signifie Infrastructure Publique Numérique [Digital Public Infrastructure, ou DPI, en anglais]. Pour la majorité de nos concitoyens, le sujet de l’IPN est encore terra incognita [terre inconnue ou territoire inconnu]. Mais la mise en œuvre du projet IPN pourrait être si rapide que l’année prochaine, les citoyens pourraient perdre le sommeil à cause de cette mystérieuse IPN. Cela peut avoir le même effet de choc sur les gens que, par exemple, la soi-disant pandémie de Covid qui a balayé le monde entier, y compris la Russie, en 2020.

    Le projet d’introduction de l’IPN a été lancé au plus haut niveau. Il est mené sous les auspices du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), de la Fondation Bill et Melinda Gates et de la Fondation Rockefeller, avec le soutien de l’Union Européenne, du FMI et du Forum Économique Mondial (FÉM) de Davos.

    Le Guide de l’Infrastructure Publique Numérique (IPN) des Nations Unies (PNUD) indique que le projet comporte trois volets principaux :

    « En général, il existe trois principaux types de protocoles qui facilitent l’infrastructure publique numérique : l’identité numérique, les paiements numériques et l’échange de données. En ce qui concerne la première composante (l’identification numérique), il s’agit d’une carte d’identité numérique. »

    Et plus loin sur le site du PNUD, on peut lire :

    « Ces trois protocoles sont généralement requis pour la plupart des transactions de services numériques, telles que la délivrance de permis, de licences ou la fourniture de dossiers, qui nécessitent souvent de vérifier l’identité de l’utilisateur, d’assurer l’échange de données entre les agences et les utilisateurs, et enfin d’autoriser les paiements en ligne. »

    Voici d’autres extraits du site web du PNUD :

    « En donnant la priorité à ces trois protocoles, les gouvernements locaux peuvent préparer le terrain pour le développement réussi d’un écosystème complet de services numériques afin de répondre aux besoins uniques de leur communauté. »

    En ce qui concerne la question de l’identité numérique, le site indique spécifiquement ce qui suit :

    « Cette identité numérique détermine les produits, les services et les informations auxquels nous pouvons accéder ou, à l’inverse, ce qui nous est interdit. »

    Tout est très franc. L’accès aux biens publics sera différencié en fonction du statut social de la personne, probablement dans l’esprit du roman de Huxley « Le meilleur des mondes », où tous les habitants du « Meilleur des mondes » sont divisés en castes. Il est probable que le comportement de chaque individu jouera également un rôle, notamment à l’aide de notations sociales attribuées à chaque individu (ce sont les camarades chinois qui ont le plus progressé dans ce sens).

    J’ai déjà beaucoup écrit sur cette composante de l’IPN qu’est la CBDC. J’ai récemment publié un livre sur ce sujet : Digital currencies: from Bitcoin to CBDC: “Masters of money” want to become “masters of the world” [Monnaies numériques : du Bitcoin à la CBDC : les « maîtres de l’argent » veulent devenir les « maîtres du monde »] (M. : Tion, 2023).

    Même avant l’apparition du projet IPN, j’ai dit que la CBDC est une partie importante d’un projet plus global et général visant à construire un camp de concentration numérique mondial et que tous les détails du projet global nous sont encore inconnus. Aujourd’hui, il semble que nous puissions enfin voir comment le puzzle appelé « camp de concentration numérique mondial » est en train d’être assemblé à partir de pièces individuelles. Son nom est IPN [ou DPI en anglais].

    Quant à la CBDC, au cours des derniers mois, certains des secrets de ce projet ont également commencé à être révélés. Les banques centrales de dizaines de pays du monde entier ont déjà annoncé l’année dernière qu’elles commençaient à préparer et à mettre en œuvre des projets de monnaie numérique. Mais en même temps, elles ont déclaré qu’il s’agissait exclusivement de monnaies numériques nationales. Et que la CBDC n’était qu’un ajout aux deux formes existantes de monnaie — liquide et non liquide. Mais cette année, de nombreux signes indiquent déjà qu’une monnaie numérique mondiale unique sera créée au fil du temps et que la CBDC n’est pas un troisième type de monnaie, mais le seul qui remplacera à terme à la fois l’argent liquide et la monnaie scripturale traditionnelle.

    En novembre 2023, le festival international de la fintech s’est tenu à Singapour. La directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI), Kristalina Georgieva, y a prononcé un discours. Elle a appelé les États à « continuer à se préparer à la mise en œuvre » des CBDC et des plateformes de paiement connexes à l’avenir. La directrice exécutive a noté que les CBDC sont mieux à même que l’argent liquide et les transferts bancaires traditionnels d’assurer la durabilité dans les économies avancées et d’améliorer l’accès aux services financiers dans les communautés sous-bancarisées. Elles parlent plus ouvertement de l’avenir des CBDC en Chine : elles ne cachent pas que le yuan numérique non seulement peut, mais doit, à l’avenir, remplacer les types de monnaie traditionnels, principalement le yuan en espèces.

    Ces derniers mois, divers sites web consacrés à l’IPN ont commencé à apparaître comme des champignons après la pluie. Voici, par exemple, un site appelé CDPI. Il s’agit d’une ressource d’information sur le développement de l’IPN, appelée Center for Digital Public Infrastructure (Centre pour l’infrastructure publique numérique). Le site est en grande partie constitué de publicité. Il est impossible de comprendre qui sont les développeurs du projet, qui sont les clients et qui finance le développement.

    Le site web explique ce qu’est l’IPN :

    « L’infrastructure publique numérique est une approche visant à résoudre les problèmes socio-économiques à grande échelle, en combinant des interventions technologiques minimalistes, la gouvernance publique/privée et l’innovation dynamique du marché. Parmi les exemples courants, citons l’Internet, les réseaux mobiles, le GPS, les systèmes d’identité vérifiables, les réseaux de paiement interopérables, l’échange cohérent de données, les réseaux de découverte et d’exécution en boucle ouverte, les signatures numériques, etc. »

    Comme on le voit, le projet IPN vise à intégrer tout ce qui a été développé et peut encore l’être dans les différentes sphères de la vie publique, et est lié aux technologies numériques et à l’information numérique.

    Seules deux personnes « mises en avant » sur le site web du CDPI sont apparemment très impliquées dans le sujet de l’IPN. L’une d’entre elles est Nandan Nilekani, un entrepreneur et milliardaire indien étroitement associé au milliardaire américain Bill Gates. Il a acquis une renommée mondiale en faisant don, en 2017, de la moitié de sa fortune à la Bill and Melinda Gates Charitable Foundation. Le milliardaire indien présente le projet comme suit :

    « L’infrastructure publique numérique consiste à créer un modèle de croissance fondé sur la technologie qui soit collaboratif, équitable et qui démocratise les opportunités à l’échelle de la population. Le centre IPN peut aider les pays à progresser plus rapidement dans cette voie. »

    Le deuxième personnage est Bill Gates lui-même. Apparemment, il est la figure principale de l’organisation CDPI. Sur la page d’accueil du site, il s’adresse aux utilisateurs avec ces mots inspirants :

    « Tout comme nous avons construit des routes, des autoroutes et des aéroports au 20e siècle, nous devons maintenant construire une infrastructure numérique ouverte, accessible et qui donne du pouvoir à tout le monde. »

    À en juger par de nombreux signes, nous entendrons parler de [Bill Gates] en 2024 aussi souvent que nous avons entendu parler de lui, par exemple, en 2020-2021, lorsqu’il poussait de toutes ses forces l’idée d’une vaccination universelle de l’humanité, et d’une vaccination accompagnée de l’identification numérique de chaque habitant de la planète.

    De nombreux observateurs et experts de l’IPN appellent les principaux moteurs du projet les Nations Unies (PNUD) et Bill Gates (la Fondation qui porte son nom). Ce projet a reçu le nom officieux de « 50-in-5 » [« 50 en 5 »]. Cela signifie que les Nations Unies et Bill Gates prévoient de créer des infrastructures publiques numériques complètes dans 50 pays sur une période de cinq ans. En d’autres termes, si nous comptons à partir de 2023, en 2028, des camps de concentration numériques à part entière devraient être construits dans cinquante pays du monde. Et à plus long terme, un monde unique sera créé à partir de camps de concentration numériques individuels.

    Quand la campagne « 50 en 5 » a-t-elle commencé ? Le site web du PNUD indique la date exacte du début de la campagne : le 8 novembre 2023. La communauté mondiale n’a pas encore pleinement pris conscience de cet événement historique. […]

    Il y a d’autres participants au projet NPI. Ainsi, lors du sommet B20 (Business-20) qui s’est tenu en Inde en août, l’entrepreneur et milliardaire Nandan Nilekani, déjà cité plus haut, a pris la parole. Il est considéré comme le premier architecte indien de l’identité numérique. Lors du sommet, l’homme d’affaires s’est vanté du chemin parcouru par l’Inde dans la mise en place d’une infrastructure publique numérique. Il a ajouté que d’autres pays pourraient suivre son exemple et utiliser l’IPN pour tout ce qui concerne les passeports vaccinaux, la perception des impôts et le paiement des péages routiers, l’adaptation au changement climatique et la transition vers une économie circulaire.

    Et lors de la session de printemps (2023) du FMI et de la Banque Mondiale, ce milliardaire indien a déclaré que pour construire une « société correcte » dans le nouveau monde, seuls trois outils sont nécessaires : chaque membre de cette société devrait avoir une carte d’identité numérique ; tout le monde devrait avoir un compte bancaire ; tout le monde devrait avoir un smartphone. Cela suffit pour construire toute l’infrastructure numérique de la société, c’est-à-dire, dans un langage moins politiquement correct, un camp de concentration numérique.

    [NDLR Cela correspond à la mise en place de la mythique ou apocalyptique Marque de la Bête sans laquelle il ne sera plus possible d’acheter et de vendre. Ceci sera probablement réalisé dans la pratique par le transhumanisme de l’Homme grâce aux vaxins graphénisés qui le rendront partie intégrante de l’Internet de Corps avec la proche 6G et permettent déjà l’apparition d’un identifiant numérique unique sous forme d’adresse MAC, pour Media Access Control.
    En d’autres termes :
    Marque de la Bête = Graphène des vaxins + 6G + CBDC + Identité numérique mondiale + Crédit social]

    Le Forum Économique Mondial (FÉM), qui a commencé à être oublié de manière imméritée après la fin abrupte de la pandémie dite de Covid, apporte également une forte contribution à la construction de l’IPN. En novembre de cette année, le FÉM a proposé son plan d’introduction de « cartes d’identité numériques ». En outre, la menace d’un réchauffement brutal de la planète, les prévisions de nouvelles pandémies, l’imminence d’une famine mondiale et d’autres menaces globales ne laissent pas de temps pour l’escalade. Le FÉM estime que l’identification numérique de tous les habitants de la planète devrait être achevée d’ici 2030.

    Les observateurs et les experts qui ont commencé à suivre le sujet de l’IPN notent que si la mise en œuvre du projet commence à déraper, les organisateurs de la campagne auront très probablement recours à un moyen déjà éprouvé : l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) annoncera le début d’une nouvelle « pandémie », avec toutes les conséquences qui en découlent pour les droits de l’homme et les libertés.

    PS — L’auteur d’un article récent (publié par Tsargrad) sur le thème de l’IPN a suggéré de donner un autre nom, plus exact, au projet : GDCC — « global digital concentration camp » [camp de concentration numérique mondial].




    L’organisation ésotérique qui gouverne le monde : le projet Gaza

    Une association inattendue entre les hypothétiques délibérations secrètes du Sommet de la franc-maçonnerie britannique (et de la haute finance internationale) et les choix génocidaires de Netanhyahu

    [Source : theinteldrop.org via numidia-liberum]

    Par Claudio Resta

    Préambule

    Nous ne devons jamais oublier que l’auteur des story-boards des premiers films de 007 était le véritable agent secret de la Seconde Guerre mondiale Ian Lancaster Fleming (1908-1964), qui est devenu par la suite un écrivain britannique, surtout connu pour sa série de romans d’espionnage d’après-guerre James Bond.

    Fleming est issu d’une famille aisée liée à la banque d’affaires Robert Fleming & Co. et son père fut député de Henley de 1910 jusqu’à sa mort sur le front occidental en 1917. Éduqué à Eton, Sandhurst et, brièvement, aux universités de Munich et de Genève, Fleming occupe plusieurs emplois avant de commencer à écrire.

    Alors qu’il travaille pour la division britannique du renseignement naval pendant la Seconde Guerre mondiale, Fleming participe à la planification de l’opération Goldeneye ainsi qu’à la planification et à la supervision de deux unités de renseignement : 30 Assault Unit et T-Force. Fleming travaille également avec le colonel « Wild Bill » Donovan, représentant spécial du président Franklin Delano Roosevelt pour le renseignement et créateur de l’OSS (Office of Strategic Services), le service de renseignement américain qui, après la guerre, deviendra la CIA. En 1941-42, l’amiral Godfrey charge Fleming de superviser la préparation de Goldeneye, un plan visant à préserver un réseau de renseignements en Espagne en cas d’invasion allemande.

    Le projet comprend également la mise en œuvre d’opérations de sabotage. Fleming a puisé dans son service en temps de guerre et dans sa carrière de journaliste une grande partie du contexte, des détails et de la profondeur de son roman James Bond.

    Il y a une certaine vérité intérieure au cœur de ses fictions (comme l’existence à l’époque d’une organisation secrète fictive telle qu’un Spectre derrière lequel on peut voir la maçonnerie) et, plus récemment, d’un concept secret similaire comme l’État profond ou le gouvernement de l’ombre.

    La déclaration Balfour est une déclaration publique publiée par le gouvernement britannique en 1917, pendant la Première Guerre mondiale, annonçant son soutien à l’établissement d’un « foyer national pour le peuple juif » en Palestine, qui était alors une région ottomane avec une petite minorité de population juive.

    La déclaration était contenue dans une lettre datée du 2 novembre 1917, adressée par le ministre des Affaires étrangères du Royaume-Uni, Arthur Balfour, à Lord Rothschild, un dirigeant de la communauté juive britannique, pour qu’il la transmette à la Fédération sioniste de Grande-Bretagne et d’Irlande. Le texte de la déclaration a été publié dans la presse le 9 novembre 1917.

    Immédiatement après la déclaration de guerre à l’Empire ottoman en novembre 1914, le cabinet de guerre britannique a commencé à réfléchir à l’avenir de la Palestine ; dans les deux mois qui ont suivi, un membre sioniste du cabinet, Herbert Samuel, a fait circuler au sein du cabinet un mémorandum proposant de soutenir les ambitions sionistes afin d’obtenir l’appui des Juifs dans la guerre au sens large.

    En avril 1915, le Premier ministre britannique H. H. Asquith crée une commission chargée de déterminer la politique à suivre à l’égard de l’Empire ottoman, y compris la Palestine. Asquith, qui était favorable à une réforme de l’Empire ottoman après la guerre, a démissionné en décembre 1916 ; son remplaçant, David Lloyd George, était favorable à la partition de l’Empire. Les premières négociations entre les Britanniques et les sionistes ont eu lieu lors d’une conférence le 7 février 1917, à laquelle participaient Sir Mark Sykes et les dirigeants sionistes.

    Les discussions qui ont suivi ont conduit Balfour à demander, le 19 juin, à Rothschild et à Chaim Weizmann de soumettre un projet de déclaration publique. D’autres projets ont été examinés par le cabinet britannique en septembre et octobre, avec la participation de juifs sionistes et antisionistes, mais sans représentation de la population locale en Palestine.

    Lionel Walter Rothschild, 2e baron Rothschild, magnat de la banque juif récipiendaire de la déclaration Balfour, avec son célèbre carrosse zébré

    Article

    Je ne suis ni franc-maçon ni expert en arts occultes.

    Mais il y a quelques jours, alors que j’enquêtais sur le symbolisme complexe de la mise en scène de la mort d’un éminent banquier italien, Roberto Calvi, mort mystérieusement à Londres en 1982, je suis tombé sur un symbole qui pourrait être lié non seulement à ce meurtre, mais aussi à ce qui se passe à Gaza aujourd’hui. À mon avis, il s’agit sans aucun doute d’un symbole maçonnique. C’est vraiment la sérendipité à son meilleur !

    Permettez-moi de mentionner brièvement l’importance extrême de cette affaire non résolue, qui pourrait sembler insignifiante aux jeunes lecteurs. Alors que l’action de Calvi a été la base financière du mouvement Solidarność et du changement de régime en Pologne en 1982/89, de la chute du mur de Berlin et de la fin de l’Union soviétique, si cela ne vous semble pas suffisamment important, c’est uniquement parce que cela a été rapidement oublié par le mainstream et ses célébrations d’anniversaire inopportunes…

    Avec 1,3 milliard de dollars américains de 1982 disparaissant on ne sait où, peut-être dans les poches de la mafia et provenant des fonds de l’Église catholique et offerts par le pape lui-même, alors le Polonais Jean-Paul II, pour libérer la Pologne du joug soviétique, par l’intermédiaire du cardinal Paul Casimir Marcinkus, né aux États-Unis, ce qui a également provoqué la faillite de l’une des plus grandes banques italiennes ! Pour l’histoire du monde, je crois que c’était un meurtre bien plus important que celui de JFK, à mon avis. Dès que je le pourrai, j’écrirai également un article sur la mise en scène de la mort de Calvi.

    Cependant, désolé, ce n’est pas ce que je voulais écrire maintenant, mais ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, qui curieusement a quelques liens avec le symbolisme mis en scène à l’occasion de la mort de Roberto Calvi, dont je n’ai pris connaissance que maintenant.
    Je ne suis pas un habitué des choses occultes, néanmoins ce que j’ai découvert est trop important pour être gardé sous silence, que sa véracité pour le monde du secret maçonnique soit admise ou non.
    Alors si je me trompe, vous en jugerez par vous-même…
    Pardonnez-moi si je m’exprime de manière aussi alambiquée, mais ces vérités occultes sont très ambiguës et troubles, en cours d’élaboration et toujours prêtes à être démenties et/ou confirmées juste au coin de la rue.

    Le River Passage [Le passage de la rivière] (également appelé Bridge Passage [Le passage du pont]) est l’un des points clés de la spiritualité maçonnique britannique.

    Pour éviter toute erreur, je vais maintenant citer textuellement des passages d’un érudit occulte italien faisant autorité, Daniele Mansuino : https://www.riflessioni.it/esoterismo/simbolo-massonico-passaggio-del-fiume_01.htm

    La Torche de la Liberté, un totem maçonnique

    Citation d’un érudit

    « Comme beaucoup d’autres symboles que nous avons abordés, mais peut-être plus clairement que d’autres, il peut se référer à la fois au projet de transformation sociale dont la franc-maçonnerie a été le protagoniste au cours des siècles, et au discours de l’évolution intérieure du franc-maçon…

    La traversée du fleuve est un épisode survenu lors du retour des Juifs de la captivité babylonienne, c’est-à-dire de leur déportation massive à Babylone, qui a eu lieu en 597 av. C. à l’époque de Nabuchodonosor II et s’est achevée en 539 avec Cyrus le Grand (il en est question dans II Rois et II Chroniques, dans les livres d’Esdras et de Néhémie, dans divers Psaumes et dans divers livres prophétiques). Un mythe corollaire important est celui des Tribus perdues [auquel Daniele Mansuino a consacré un article spécifique], observant entre autres qu’en réalité, aujourd’hui, les Juifs qui se reconnaissent comme tels déclarent qu’ils descendent des douze Tribus, et donc qu’aucune ne semble avoir été perdue ; cependant, la supposition que la quasi-totalité du peuple juif a disparu mystérieusement, à l’exception d’un petit reste, a une forte valeur symbolique — elle implique, entre autres, une forte concentration d’énergie dans les personnes des survivants, et donc leur possibilité d’avoir un impact plus profond sur l’histoire du monde.

    La première chose que firent les vétérans de la captivité, dès leur retour en Terre sainte, fut de reconstruire le temple de Salomon, que les ennemis avaient détruit ; dans le contexte de l’exégèse chrétienne, cette seconde édification était associée à la seconde révélation, celle apportée par Jésus pour corriger et compléter la loi de Moïse.

    Par la suite, on a également fait correspondre la seconde édification à la seconde venue du Christ, qui devait avoir lieu à la fin des temps — et comme une édification est un processus qui se déroule progressivement, les exégètes du texte biblique ont commencé à y entrevoir des indications sur les faits historiques qui auraient dû se produire pour la préparer, exerçant ainsi une puissante influence subliminale sur la politique européenne (nous avons rapporté ailleurs comment une contribution importante et généralement méconnue à ce débat a même été apportée par Christophe Colomb, avec son Livre des Prophéties). Plus ou moins dans les mêmes années, c’est-à-dire au début du XVIe siècle, Luther a identifié la captivité babylonienne dans le joug que les chrétiens devaient subir de la part de l’Église catholique dévoyée, et la seconde édification dans la Réforme ; et toujours à la même époque, diverses hypothèses concernant la signification des deux édifices se sont également répandues dans la spiritualité juive.

    Dans l’exégèse juive comme dans l’exégèse chrétienne, le second avènement du Messie (quel qu’il soit) devra se manifester en présence d’un immense rassemblement : ce sera pour les juifs le Rassemblement des Exilés — ou la réapparition des Dix Tribus perdues — et pour les chrétiens le Jugement dernier. Note : sur la base du projet de l’organisation ésotérique qui domine le monde [dont Mansuino a longuement parlé dans ses articles et ses livres], ces deux images peuvent être considérées comme des préfigurations de l’Amalgame.

    À cet égard, il convient de noter que, sauf exception, les diverses interprétations sur le sens de la Seconde Édification ne se sont pas contredites : en effet, chrétiens et juifs partageaient l’idée que les Écritures contenaient les modèles (ou types, ou figures) de la manière dont l’action divine se manifeste dans l’histoire humaine, et que ces modalités pouvaient s’appliquer à un grand nombre d’événements différents. Ainsi, par exemple, la captivité à Babylone était une figure de la captivité en Égypte, qui était à son tour une figure de la chute d’Adam dans le monde des formes, dominé par les démons : ce n’est pas un hasard si l’un des épithètes par lesquels Samaël, le Diable de la Qabbale, était désigné était Pharaon.

    Sur la base de cette mentalité, les différentes interprétations de la Seconde Édification, au lieu de se contredire, se sont influencées mutuellement ; il y a également eu une grande osmose de symboles de l’une à l’autre, ce qui a fortement contribué à créer une vision syncrétique (au moins sur certains concepts principaux) de ce qui allait arriver au monde dans les derniers temps.

    À partir de 1717, la franc-maçonnerie britannique a hérité de l’immense masse d’Améliorations au degré de Fellow Craft que la tradition fait naître de la rencontre entre les Templiers et les francs-maçons dans l’Écosse du XIVe siècle. Elles étaient basées principalement sur la lecture de pages importantes de l’Ancien Testament, revisitées dans une clé gnostique et appliquées au symbolisme de la maçonnerie opérative.

    Dans divers livres et articles, nous avons illustré comment cet héritage représentait à la fois un trésor précieux et une source d’embarras pour la franc-maçonnerie. En effet, les Améliorations constituaient sans aucun doute un instrument puissant pour diriger (tant au niveau politique et culturel qu’au niveau des opérations magiques) l’action de la franc-maçonnerie dans le monde ; mais c’est précisément pour cette raison qu’il était nécessaire que leur contenu soit contrôlé par une autorité centralisée et que leur pratique ne soit pas laissée à la discrétion des Loges individuelles. La Grande Loge Unie d’Angleterre ?

    S’agit-il des vraies armes sur la bague du méchant 007 ?

    D’innombrables et complexes événements se sont développés à partir de ce problème — et nous les avons également discutés, en opposant une interprétation plus profonde de l’histoire de la franc-maçonnerie à celle (encore répandue) qui ne voit dans ses vicissitudes qu’un reflet de l’histoire profane.

    Cette dernière, lorsqu’elle parle de la franc-maçonnerie, aurait intérêt à prendre en compte toutes ses composantes — au lieu de cela, par exemple, dans l’historiographie maçonnique telle que nous l’avons connue jusqu’à présent, nous constatons que les composantes économiques sont complètement ignorées, contribuant à alimenter la légende qui voit dans la franc-maçonnerie une émanation du pouvoir bourgeois (nous ne pensons pas qu’il soit de notre ressort de corriger cette erreur assez absurde, et d’ailleurs nous n’aurions ni l’autorité ni les moyens de le faire. Espérons simplement que le XXIe siècle nous fera le cadeau d’une génération de meilleurs historiens de la franc-maçonnerie).

    Mais ce n’est pas seulement la composante économique qui est négligée : plus encore, et de façon beaucoup plus inexplicable, la composante ésotérique est minimisée…

    Voyez-vous une analogie entre les deux événements, le biblique et l’américain ?

    Parmi les événements qui entourent la Seconde Édification, la Traversée du Fleuve représente un point crucial, car c’est le moment où les futurs reconstructeurs du Temple retournent en Terre sainte : en d’autres termes, elle configure leur reconnexion aux courants que le Premier Temple (c’est-à-dire la Seconde Loge) a développés, et qu’ils auront la tâche de traduire en un nouveau courant, dont les caractéristiques seront adaptées à l’interaction avec le monde profane.

    Description par Daniel du rêve du roi et de sa résolution (extrait de Daniel : 2)

    il n’est pas important de savoir si le pont en question passe entre un quai et un navire, ou d’une rive à l’autre d’un fleuve : c’était un pont, et (les enfants d’Israël) devaient le traverser pour continuer leur voyage de retour. Certains pensent qu’il s’agissait d’un gué de pierres, que l’on traversait en sautant de l’une à l’autre.

    Selon le rituel des Harodim, à partir du pont utilisé par les Juifs pour traverser le fleuve, les enfants d’Ephraïm prenaient ensuite douze pierres pour fabriquer deux piliers : l’un était placé le long d’un ruisseau, l’autre dans un champ de maïs.

    L’explication traditionnelle de ce conte étrange part de l’idée que le retour des Juifs en Terre sainte avait créé les conditions de la naissance de la Franc-maçonnerie ; les Piliers y sont idéalement assimilés aux Deux Colonnes, qui représenteraient dans ce cas l’une la subsistance de l’institution maçonnique au-delà du flux de l’espace-temps, l’autre l’émergence de la Franc-maçonnerie dans le Champ du Seigneur, c’est-à-dire au centre de la spiritualité chrétienne. Le rêve du Roi n’est pas celui rapporté par la Bible, mais — comme Daniel parvient à le deviner — un grand Lion tapi devant votre lit, prêt à vous dévorer, vous et votre maison.

    Lorsque Daniel le lui décrit, le roi se lève brusquement de son canapé ; il admet avec stupéfaction que c’était bien son rêve et demande ce qu’il signifiait.

    Le Camerlengo (c’est-à-dire l’Officier de la Loge qui parle au nom de Daniel/Candidat, comme c’est généralement le cas dans les passages aux améliorations britanniques) lui dit alors qu’il s’agit du Lion de la Tribu de Juda, qui le dévorera s’il ne permet pas aux Enfants d’Israël de retourner à Jérusalem.

    Il faut donc que le roi livre cet homme à Tatnaï, gouverneur de cette rive du fleuve, et que Tatnaï le transmette à Shethar Boznaï et à ses compagnons de l’autre rive du fleuve, et que Shethar Boznaï le ramène à Jérusalem pour qu’il lui fasse miroiter la promesse d’un ouvrier de marque.

    Le roi approuve la demande de Daniel, ajoutant qu’il aura des céréales, du vin, de l’huile et du sel pour sa subsistance lorsqu’il aidera à reconstruire le temple et la ville sainte qui sont maintenant en ruines, et qu’il fera comme ses ancêtres l’ont fait avant lui.

    Ailleurs, ce n’est pas Daniel qui joue le rôle de Daniel, mais un personnage appelé Gobraim, qui fait partie d’un groupe de prisonniers attachés par des cordes très serrées, qui appartiennent à la tribu de Juda.

    Peut-être parce qu’ils sont attachés, ils n’osent pas intimider le roi par une menace : leur explication du rêve est simplement que les enfants d’Israël doivent retourner chez eux à Jérusalem, pour reconstruire le Temple et les tombes saintes qui gisent maintenant en ruines.

    Le roi avait promis que celui qui serait capable d’interpréter le rêve serait vêtu de pourpre et d’écarlate, recevrait un bracelet d’or et serait hissé sur le cheval du roi, il serait conduit dans les rues et les hérauts annonceraient son nom ; les prisonniers, eux, refusent ces honneurs et préfèrent partir tout de suite pour la Terre sainte. »

    Pour étayer mon hypothèse d’un exode forcé par Tsahal de Palestiniens aux pires mauvaises manières, soutenu par le Royaume-Uni, peut-être par la City de Londres… depuis le 7 octobre, l’action du Hamas au sein du gouvernement britannique a donné lieu à une activité militaire secrète massive (opérations spéciales). En tant que bras armé de la Grande Loge d’Angleterre, je suppose :

    https://new.thecradle.co/articles/secrecy-shrouds-british-military-actions-in-lebanon

    « Il faut vivre de manière dangereuse »

    (Friedrich Nietzsche)

    Enfin si quelque chose de désagréable m’arrivait, au moins vous sauriez qui l’a commandité ! Claudio Resta

    Bien évidemment l’article ci-dessus ne remplace pas celui ci-dessous, mais le complète avec une vision à plus large spectre :

    https://www.vtforeignpolicy.com/2023/12/the-true-Purposes-of-the-state-terrorism-of-israel-against-the-gaza-strip-people/embed/#?secret=fAdZSpDmnn#?secret=jVBzcTXJUh

    https://www.vtforeignpolicy.com/2023/12/eyes-wide-shut/embed/#?secret=EVYk3JN4VY#?secret=9VuijxXrwr

    Claudio Resta est né à Gênes, en Italie, en 1958, il est un citoyen du monde (Spinoza), un philosophe non conformiste et un expert interdisciplinaire, et un artiste aussi.

    Il a grandi dans une famille de scientifiques où de nombreuses sciences étaient représentées, de la philosophie à la psychanalyse, de l’économie à l’histoire, des mathématiques à la physique, et où ces sciences étaient exposées publiquement par les membres de la famille experts en la matière, et où tous ceux qui en faisaient partie pouvaient participer à un dialogue/débat familial public sur ces sujets s’ils le souhaitaient. Lire la bio complète




    Tout sera-t-il bientôt virtuel ?

    [Source : changera4]




    La vie sans passeport (sanitaire ou autre) avant 1914

    [Publication initiale : Le Saker Francophone]

    [Illustration : Stephan Zweig et Georges Bernanos]

    Par Nicolas Bonnal

    Zweig et Bernanos : la vie sans passeport (sanitaire ou autre) avant 1914

    Le cataclysme totalitaire qui nous tombe dessus a des précédents dans notre Europe si démocratique et lumineuse qui aura inventé toutes les monstruosités du monde moderne. À l’heure où le pass sanitaire est imposé à tous, où les comptes des non-vaccinés, et leur téléphone, et leur eau, et leur électricité sont en passe d’être coupés, il est bon de le rappeler.

    On va reprendre deux de nos écrivains favoris qui sont frères d’âme : le « juif libéral » et pacifiste Stephan Zweig, ami de Romain Rolland, et le catholique monarchiste Georges Bernanos qui il y a un siècle dénonçaient la montée de l’étatisme totalitaire en Occident. Les deux grands esprits à cette époque remarquent l’émergence de deux contraintes : le passeport et le visa… Nos lecteurs pourront retrouver aussi nos écrits sur Chesterton et son détestable voyage en Amérique dans les années vingt. Contrôle et obsession anticommuniste au programme.

    On commence par Zweig et son fastueux Monde d’hier (le plus grand livre du monde selon nous sur le vingtième siècle, ce siècle tué en 1914 et partiellement survivant dans les années vingt) :

    La chute de l’Autriche a produit un changement dans ma vie privée que j’ai d’abord considéré tout insignifiant et purement formel : j’ai perdu mon passeport autrichien et j’ai dû demander aux autorités britanniques un document de substitution, un passeport apatride. Dans mes rêves cosmopolites, j’avais souvent imaginé dans mon cœur combien splendide et conforme à mes sentiments serait de vivre sans État, de n’être obligé à aucun pays, et, par conséquent, appartiennent à tous sans distinction. Mais encore une fois, j’ai dû reconnaître à quel point le fantasme humain et dans quelle mesure nous ne comprenons pas les sensations les plus importantes jusqu’à ce que les ayons vécues nous-mêmes.

    Ce que nous allons vivre avec la dictature sanitaire de Macron-Schwab-Leyen nous allons bientôt le comprendre. Zweig poursuit :

    Tout consulat ou officier de police autrichien avait le droit ou l’obligation de me le prolonger en tant que citoyen à part entière. Au lieu de cela, le document pour étranger que les Anglais m’ont donné, j’ai dû le demander. C’était une faveur, mais une faveur qu’ils pouvaient retirer à tout moment. Du jour au lendemain, il avait descendu un échelon de plus. Hier, il était encore un invité étranger et, en quelque sorte, un gentleman qui avait des revenus internationaux et payé ses impôts, et aujourd’hui j’étais devenu un émigré, un « réfugié ».

    Préparez-vous, non-vaccinés, à ce statut de réfugié sur votre sol ; on est à 45 % de vaccinés, attendez 51 puis 60 % ; et arrêtez de dire que les chiffres sont truqués, de toute manière ils s’en moquent.

    Zweig décrit l’entrée dans un monde pré-totalitaire en 1919 :

    En effet : rien ne démontre peut-être de façon plus palpable la terrible chute que le monde de la Première Guerre mondiale a connu comme limitation de la liberté de mouvement de l’homme et la réduction de son droit à la liberté. Avant 1914, la Terre appartenait à tout le monde. Tout le monde allait où il voulait et y restait aussi longtemps qu’il le voulait. Il n’y avait pas de permis ou autorisations ; Je m’amuse de la surprise des jeunes chaque fois que je leur dis qu’avant 1914 j’ai voyagé en Inde et en Amérique sans passeport et je n’en avais jamais vu de ma vie.

    L’auteur d’Amok décrit ensuite ce monde d’avant la guerre mondiale éternelle voulue par les banquiers mondialistes :

    Là les gens montaient et descendaient des trains et des bateaux sans demander ou être invités, ils n’avaient pas à remplir un seul des cent papiers qui sont requis aujourd’hui. Il n’y avait pas de sauf-conduits ou les visas ou l’un de ces tracas ; les mêmes frontières qu’aujourd’hui les douanes, la police et les gendarmes se sont transformés en fil de fer barbelé, à cause de la méfiance pathologique de tous vis-à-vis de tous, ils ne représentaient que des lignes symboliques qui croisaient la même nonchalance que le méridien de Greenwich.

    La laisse électronique et même psychologique (désolé, il y a ou aura 80 ou 90 % de volontaires extatiques) a perfectionné cette horreur. Zweig poursuit en n’oubliant pas les vaccins, conséquence du militarisme, des guerres, et aussi cause partielle du génocide planifié et faussement nommé grippe espagnole :

    Toutes les humiliations qui avaient été autrefois inventées uniquement pour les criminels, ils étaient maintenant infligés à tous les voyageurs, avant et pendant le voyage. L’un devait être représenté de droite et de gauche, visage et profil, coupé ses cheveux pour qu’on puisse voir ses oreilles, laisser ses empreintes digitales, d’abord celles du pouce, puis ceux de tous les autres doigts. De plus, il fallait présenter des certificats de toutes sortes : de santé, de vaccination et de bonne conduite, lettres de recommandation, invitations et adresses de parents, garanties morales et économiques, remplir des formulaires et signer trois ou quatre exemplaires, et si un seul de cette pile de papiers manquait, tout était perdu. Cela ressemblait à des bagatelles, mais…

    Bernanos va utiliser le même mot : bagatelle. C’est le même en allemand. Zweig évoque ensuite notre avilissement qui en découle surnaturellement :

    Nous, les jeunes, avions rêvé d’un siècle de liberté, de l’âge futur du cosmopolitisme. Quelle part de notre production, de notre création et de notre pensée s’est perdue à cause de ces singeries improductives qui avilissent en même temps l’âme ?

    C’est dans le chapitre l’Agonie de la paix.

    Voyons Bernanos, réfugié au Brésil comme Zweig, de six ans son cadet, et qui défendit la liberté comme personne, ce qui le rend peu lisible par les temps qui courent. Il fait les mêmes observations avec les mêmes mots que Zweig sur cette volonté médicale et donc pathologique de tout contrôler et de tout vérifier :

    Ce que vos ancêtres appelaient des libertés, vous l’appelez déjà des désordres, des fantaisies. « Pas de fantaisies ! disent les gens d’affaires et les fonctionnaires également soucieux d’aller vite, le règlement est le règlement, nous n’avons pas de temps à perdre pour des originaux qui prétendent ne pas faire comme tout le monde… », comme ne pas se vacciner, par exemple.

    Après Bernanos évoque le passeport :

    Cela va vite, en effet, cher lecteur, cela va très vite. J’ai vécu à une époque où la formalité du passeport semblait abolie à jamais. N’importe quel honnête homme, pour se rendre d’Europe en Amérique, n’avait que la peine d’aller payer son passage à la Compagnie Transatlantique. Il pouvait faire le tour du monde avec une simple carte de visite dans son portefeuille.

    Oui, cela sonne un peu rustique et bucolique au temps des commissaires politiques et sanitaires, pas vrai ? Puis on parle des empreintes digitales, autre bagatelle :

    Les philosophes du XVIIIe siècle protestaient avec indignation contre l’impôt sur le sel — la gabelle — qui leur paraissait immoral, le sel étant un don de la Nature au genre humain. Il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats. Oh ! oui, je sais, vous vous dites que ce sont là des bagatelles. Mais en protestant contre ces bagatelles le petit bourgeois engageait sans le savoir un héritage immense, toute une civilisation dont l’évanouissement progressif a passé presque inaperçu, parce que l’État moderne, le Moloch technique, en posant solidement les bases de sa future tyrannie, restait fidèle à l’ancien vocabulaire libéral, couvrait ou justifiait du vocabulaire libéral ses innombrables usurpations.

    Après on arrive au siècle des intellectuels qui comme les BHL ou Onfray vont tout justifier :

    Au petit bourgeois français refusant de laisser prendre ses empreintes digitales, l’intellectuel de profession, le parasite intellectuel, toujours complice du pouvoir, même quand il paraît le combattre, ripostait avec dédain que ce préjugé contre la Science risquait de mettre obstacle à une admirable réforme des méthodes d’identification, qu’on ne pouvait sacrifier le Progrès à la crainte ridicule de se salir les doigts.

    Et là comme Zweig, esprit peu religieux s’il en fut, Bernanos évoque l’avilissement de nos âmes :

    Erreur profonde ! Ce n’était pas ses doigts que le petit bourgeois français, l’immortel La Brige de Courteline, craignait de salir, c’était sa dignité, c’était son âme.

    Depuis ces temps nous n’avons fait que descendre. On va voir maintenant qui est prêt à payer pour la liberté.

    Nicolas Bonnal

    Sources



    Des nouvelles de Reiner Füellmich

    [Source : expose-news.com]

    Mise à jour : Reiner Füellmich s’exprime. Sa déclaration personnelle et communiqué de presse de la défense

    Par Patricia Harrité

    Le Dr Reiner Füellmich est emprisonné depuis près de 11 semaines. Il a écrit son propre récit personnel, dont la première partie a été lue à haute voix sur Bittel TV et traduite. Il avait dit : « Ce n’est pas fini. » La pandémie du coronavirus n’était qu’un test pour savoir ce que les gens accepteraient lorsque nous les plongerions dans la panique par la psycho-terreur. Nous devons regarder derrière la propagande de panique pour voir la vérité. » Il a ajouté : « Sans justice, il n’y a pas de paix ni de retour à un monde humain. Cela vaut également pour mon cas. » La traduction anglaise de la première partie peut être trouvée ici.

    La traduction officielle des parties 2 et 3 de l’équipe de Reiner Füellmich a été reçue par Elsa Scheider du Sommet de la Vérité la semaine dernière et a été republiée ci-dessous pour nos lecteurs qui ont manifesté leur inquiétude et leur intérêt pour la situation de Reiner (Source). Vient ensuite le communiqué de la défense publié le 23 décembre.

    « La vérité — Déclaration personnelle du Dr Reiner Füellmich »

    Partie 2 : Le début du Comité Corona

    Chers amis, militants et êtres humains intéressés par la vérité.

    Ceci est la 2e partie de ma « Déclaration personnelle » pour rendre transparents pour vous tous les événements des dernières semaines, mois et années.

    Comment se fait-il que de graves allégations de détournement de fonds aient été portées contre moi publiquement et dans le cadre d’une plainte pénale par quatre anciens compagnons d’armes du Comité Corona ? À quelles personnes j’avais confiance lorsque je travaillais avec le Comité Corona ? Comment se fait-il que je me trouve aujourd’hui dans une prison de haute sécurité en Allemagne — et que je sois totalement innocent ?

    Je dois surtout me le reprocher, car mon instinct professionnel m’a clairement trahi (ou je n’ai pas assez écouté), et je n’ai tout simplement pas suffisamment prêté attention aux détails des TO-DO quotidiennes, sinon je l’aurais remarqué le coup d’État prévu bien plus tôt.

    Mais tout d’abord :

    Ma femme Inka et moi avons vécu avec nos chiens dans notre ranch en Californie du Nord jusqu’au début du mois de juin 2020 et j’ai fait mon travail juridique principalement à partir de là. Lorsque la plandémie a commencé en 2020, nous avons tous deux été immédiatement convaincus que quelque chose n’allait pas ici. J’ai rapidement fait mes valises, car je voulais contribuer à faire la lumière sur la plandémie en Allemagne. Après tout, j’ai 30 ans d’expérience en tant que plaideur et j’ai passé de nombreuses années à étudier le droit médical et pharmaceutique à l’Université de Göttingen. De plus, j’ai eu de nombreux contacts issus de mon travail en droit médical.

    Le Dr WW, en qui j’avais confiance à l’époque, m’a mis en relation avec Mme VF. Lors de la première rencontre en face à face à Berlin, j’ai été gêné par certains de ses comportements, mais j’ai décidé d’enlever mes lunettes critiques, d’ignorer mon intuition et de faire confiance à une amie.

    Nous avons convenu de créer la commission Corona, car il était clair en juin 2020 que le Bundestag allemand, qui en était réellement responsable, ne lancerait pas sa propre enquête, pour des raisons qui ne m’étaient pas encore évidentes à l’époque. La commission Corona devait immédiatement clarifier ces questions clés :

    Les scientifiques, les médecins, les économistes, les avocats, les hommes politiques, etc. devraient nous aider à clarifier ces questions. Deux scientifiques allemands, un professeur de finance et un expert en immunologie et vaccination faisaient déjà partie de notre cercle. Malheureusement, ils n’étaient pas d’accord avec les contrats de VF établis par son notaire et nous ont donc quittés.

    Je me souviens que l’un d’eux s’est également méfié de VF dès le début.

    Nous avions besoin de remplacements rapidement. Deux ans plus tôt, alors que je travaillais pour l’ONG anticorruption Transparency International, j’avais rencontré le professeur de droit Martin Schwab et je suis depuis resté ami avec lui. À son tour, il m’avait présenté à deux avocats de Hambourg qu’il avait promus. Faisant confiance à l’expertise du professeur Schwab, je leur ai demandé à tous deux s’ils souhaitaient remplacer les scientifiques du comité Corona. Aujourd’hui, je sais que c’était le début de la fin. Tous deux ont rapidement montré que l’argent signifiait plus pour eux que la clarification et l’éclairage.

    Le Comité Corona a rapidement rencontré un succès tout à fait inattendu. Depuis que nous avons mené les enquêtes d’experts en allemand et en anglais par flux vidéo, nos émissions du vendredi sont rapidement devenues populaires dans le monde entier. De nombreuses personnes étaient convaincues que nous utiliserions plus tard les résultats de ces entretiens comme preuve dans des procédures internationales de dommages et intérêts, comme dans le cadre d’un recours collectif. Nous étions au bon endroit au bon moment avec notre travail. J’en étais et j’en suis toujours convaincu.

    En interne, malheureusement, les choses semblaient différentes. J’ai vite remarqué que VF et les autres montraient peu d’intérêt pour notre travail contrairement à moi qui me concentrais presque entièrement sur ce travail. En plus des interviews au sein de la commission, j’ai donné cinq interviews internationales à l’époque et je me suis ainsi efforcé de fournir des informations sur notre travail dans le monde entier et pas seulement en Allemagne.

    Après avoir appris d’experts critiques qu’un test PCR ne pouvait en aucun cas détecter une infection, et qu’il avait été délibérément utilisé ici de manière abusive, j’ai publié une vidéo de 50 minutes en allemand et en anglais en septembre 2020. J’y expliquais que les mesures Corona, qui avaient déjà fait à cette époque toujours plus de victimes et de dégâts, pouvaient être qualifiées de crimes contre l’humanité, et qu’il valait mieux les clarifier juridiquement avec les moyens du droit anglo-américain. À ma grande surprise, la vidéo a été visionnée des millions de fois avant d’être soudainement supprimée par YouTube/Google.

    Sur la base de cette vidéo, le collègue américain Robert F. Kennedy jr., que j’ai rencontré pour la première fois à Berlin en août 2020, a fondé le « groupe de travail PCR Test » sur sa plateforme CHD, avec l’aide de sa présidente Mary Holland. J’appartiens également à ce groupe. Depuis octobre 2020, des scientifiques, médecins, avocats, etc. respectés s’y réunissent chaque semaine pour discuter de tous les aspects liés à la plandémie.

    Parallèlement, je résumais régulièrement nos longs entretiens au Comité Corona le dimanche sur la plateforme « Bittel.TV » de Roger Bittel. L’énorme popularité du Comité Corona a donné lieu à un grand nombre d’enquêtes dès août 2020. Les petites et moyennes entreprises souhaitaient notamment savoir comment elles pouvaient obtenir une indemnisation pour les dommages subis à la suite des confinements. Et des collègues avocats du monde entier voulaient être en contact avec les experts. À cette époque, de nombreux avocats pensaient encore qu’une audition judiciaire des preuves avec nos experts en tests PCR permettrait d’apaiser rapidement toute la panique, basée sur la tromperie et la manipulation.

    Cela a permis de récolter des fonds (700 € par personne) pour un éventuel recours collectif. Les fonds sont tous là, mais ont été détournés frauduleusement vers un autre compte. J’en parlerai en détail ailleurs.

    En raison de mon expérience de près de 30 ans en matière de contentieux, j’étais plutôt sceptique quant à la réussite rapide d’une approche juridique solide en Allemagne et dans le reste du monde. J’ai donc conseillé de mener un contentieux en dommages-intérêts dans un pays anglo-américain, où il existe une possibilité de recours collectifs et un réel droit de preuve et des dommages-intérêts punitifs pour les dommages intentionnels. Mes collègues internationaux y travaillent d’arrache-pied. La question des recours collectifs est plus que jamais d’actualité et nous sommes convaincus qu’elle mènera finalement au succès.

    Partie 3 – La fin du Comité Corona — Circonstances malheureuses ou coup d’État planifié de longue date ?

    Chers amis, militants et frères humains intéressés par la vérité,

    dans la 3e partie de ma déclaration personnelle, il vous apparaîtra rapidement que j’étais de plus en plus un combattant solitaire dans les affaires du Comité Corona et que mes co-partenaires ont tiré une corde commune pour se débarrasser de moi et aussi pour me ruiner sur le plan privé. J’ai une part de responsabilité dans cette affaire. En tant qu’être humain, mais plus encore en tant qu’avocat, j’aurais dû voir venir les événements et les prévenir.

    Revenons à mon compte. Ainsi, alors que j’étais en route, également avec des avocats internationaux, pour l’AC et que j’y mettais toute mon énergie, curieusement, les autres membres ne semblaient pas aussi conscients de l’importance du travail de la commission Corona. Aucun d’entre eux n’a assisté aux réunions stratégiques. Aucun d’entre eux n’a fait d’effort pour faire connaître le travail du Comité, en particulier au-delà des frontières de l’Allemagne. À partir de la fin de l’année 2020, JH et AF en particulier se sont uniquement intéressés à la manière dont ils pouvaient gagner le plus d’argent possible avec des mandats Corona dans le cadre de leur communauté de bureaux nouvellement créée.

    Lorsque, fin 2021/début 2022, avec le groupe d’avocats internationaux, j’ai mené les enquêtes du Grand Jury avec l’aide de nos experts pour montrer que, et comment, une clarification juridique de la pandémie pouvait fonctionner, ces avocats n’ont plus du tout joué de rôle. Cependant, l’enquête modèle du Grand Jury est devenue un succès qui a attiré l’attention du monde entier.

    Le travail du Comité Corona était désormais si populaire que, fin 2020, nous avions déjà reçu de nombreux dons. Cependant, nous n’avions besoin que d’une partie de cet argent pour payer notre technologie, notre informatique, nos traducteurs, les dépenses de mon bureau, etc. Il y avait une grosse somme d’argent sur notre compte de dons. Cet argent n’était pas en sécurité de notre point de vue. Un blocage ou une saisie des comptes nous aurait immédiatement mis hors d’état de nuire. C’est pourquoi VF et moi-même avons décidé de ne laisser sur le compte de dons que les montants directement nécessaires au travail du Comité Corona et de mettre à l’abri d’un accès éventuel les fonds dont nous n’avions pas besoin dans un premier temps.

    Comme je le sais aujourd’hui, l’Office national des enquêtes criminelles de Basse-Saxe avait demandé au ministère public d’enquêter sur VF, RF, AF et JH, ainsi que sur un collègue qui avait géré temporairement le compte de dons, en raison de rapports suspects de blanchiment d’argent émanant des banques, qui avaient à plusieurs reprises clôturé notre compte de dons. Ces enquêtes ont été abandonnées par la suite.

    Pour nous assurer que nous ne serions pas vulnérables en raison de la sécurisation de l’argent, nous avons conclu des accords de prêt, qui ont également été ouvertement présentés dans les états financiers annuels. Bien entendu, il n’y aurait eu aucun intérêt à transférer les prêts d’un compte divulgué à un autre compte ouvert. Nous avons donc décidé de les investir dans ma propriété allemande (en tant que valeur équivalente) et dans l’or en tant que réserve de valeur sûre. La maison avait une valeur de 1 345 000 euros. Nous voulions de toute façon la vendre et chercher un nouvel endroit où vivre en Allemagne. Par conséquent, l’argent que j’avais emprunté était en sécurité, comme je le pensais à l’époque. Mais les choses se sont passées différemment. Je ferai un rapport à ce sujet.

    En outre, j’ai investi 1,1 million d’euros dans des dons en or. Cela a également été révélé ouvertement dans les états financiers annuels. La VF a également conclu un contrat avec le Comité Corona pour obtenir un prêt. Ce retrait a également servi à sécuriser notre argent. Le prêt a dépassé les 100 000 euros, ce qui est également indiqué dans les états financiers annuels.

    En juillet/août 2021, JH et AF nous ont soudainement recontactés pour obtenir des informations sur les dons. Je soupçonnais que leurs démarches juridiques avaient échoué. Entre-temps, j’avais appris qu’ils ne disposaient d’aucune structure dans leur bureau et, en particulier, qu’ils n’avaient même pas été en mesure d’engager au moins une secrétaire. Je n’avais pas vérifié cela au début de notre collaboration, une erreur de ma part avec le recul.

    Comme JH et AF avaient effectivement quitté le travail de la commission Corona et aussi parce qu’ils avaient récemment travaillé en étroite collaboration avec une personne qui, comme je le sais aujourd’hui, a infiltré le parti politique « dieBasis » en compagnie d’un franc-maçon, nous avons d’abord refusé de fournir ces informations.

    Mais pour ne pas perdre d’énergie dans des discussions inutiles, nous avons finalement remis un aperçu des recettes et des dépenses. Il est rapidement apparu qu’ils voulaient « détourner » le Comité Corona et au moins m’en éliminer. Cette tentative ayant échoué, JH a proposé dans un accord écrit que lui et AF quittent l’entreprise si nous leur versons la moitié des dons sur un compte de leur mentor, le professeur Martin Schwab. Bien entendu, VF et moi-même avons rejeté cette proposition et avons demandé à JH et AF de ne plus se présenter au comité.

    Nous n’avons pas eu de nouvelles d’eux pendant environ un an. Fin 2021, avec mon accord et avec l’aide de leur notaire, VF a créé une nouvelle société pour le fonctionnement du Comité Corona. VF et moi-même détenions une participation de 50 % dans cette société. Ce nouveau Comité Corona dispose de son propre compte et ne doit donc plus dépendre des comptes séquestres des avocats. Tous les droits de l’ancienne société ont également été transférés à cette nouvelle société. J’ai accepté les contrats qui m’ont été soumis par VF.

    Au début de l’année 2022, il était devenu de plus en plus difficile de travailler avec VF. C’est pourquoi j’ai accepté la proposition de participer au Crimes Against Humanity Tour aux États-Unis. Cela signifiait que j’allais passer près de trois mois et demi à voyager dans neuf villes américaines et à donner des conférences avec deux scientifiques américains bien connus, le Dr Judy Mikovits et l’économiste et expert en technologie et transhumanisme, Patrick Wood. Cependant, à partir de là, j’ai continué toutes les activités liées au Comité Corona : j’ai continué les interviews via Zoom, j’ai donné en moyenne cinq interviews par semaine, j’ai participé aux conférences du groupe de travail sur le test PCR et j’ai résumé les réunions du Comité tous les week-ends sur Bittel.TV. En outre, j’ai travaillé avec des collègues internationaux pour entamer des procédures judiciaires dans le but d’intenter des actions en dommages et intérêts à grande échelle. À l’époque, j’étais au bord du burn-out…

    Après mon retour des États-Unis, j’ai réalisé que l’incompétence chaotique de VF et son indifférence à l’égard de nos invités, que j’avais acceptées à contrecœur jusque-là, s’étaient encore aggravées. C’est pourquoi je l’ai confrontée en juillet 2022. Je l’ai informée que j’allais retourner dans mon ranch en Californie avec ma femme et mes chiens, également pour être plus proche de l’action en justice, mais que je continuerais à travailler au sein du comité comme d’habitude. En outre, j’avais désespérément besoin d’une plus grande participation de sa part !

    Immédiatement après, comme je le sais aujourd’hui, VF a repris contact avec JH et AF, ainsi qu’avec leur collègue du cabinet d’avocats MT. En août 2022, il y a eu une réunion et une discussion. À la suite de cette réunion, la campagne commune de diffamation publique contre moi a commencé le 9-2-.2022 et des poursuites pénales ont été engagées contre moi le même jour. Je n’en savais rien à l’époque. En raison de la coïncidence entre la date du « licenciement » et celle de la plainte pénale, il est clair pour moi aujourd’hui que « l’autre partie » n’a jamais été intéressée par la résolution des différends.

    Une semaine avant le 9-2-.2022, VF m’avait informé qu’il n’y aurait pas d’émission du comité Corona ce jour-là parce que la femme de notre directeur de la télévision allait avoir son deuxième enfant. Un mensonge, comme je l’ai compris plus tard. Mais j’ai cru à ce mensonge et je ne me suis pas présenté, VF et WW avaient — comme le dit VF — « un tir clair » sur moi. VF est apparue devant la caméra de la commission Corona, dramatiquement vêtue de noir. Elle a déclaré, sans m’en informer en tant que partenaire, que je n’étais plus autorisée à comparaître devant la commission Corona. Elle a donc décidé unilatéralement et de manière totalement arbitraire que je n’avais plus le droit d’être présent au sein de la commission Corona que j’avais façonnée jusqu’alors et dont je détenais 50 % des parts, hier comme aujourd’hui !

    Pour justifier ses actions illégales et illicites, elle et WW, également devant la caméra, ont déclaré que j’étais accusé d’irrégularités financières et que j’étais par ailleurs « une grande gueule ». WW aimait particulièrement cette étiquette.

    Je ne voulais pas encombrer inutilement la commission Corona et sa réputation mondiale avec des problèmes internes. Un espoir vain.

    Peu de temps après, VF, WW, JH, AF et le partenaire de VF à l’époque sont apparus devant la caméra pour un procès d’une heure avec Reiner Fuellmich. Cette campagne a finalement culminé avec plusieurs vidéos de plus en plus insensées de VF affirmant que « les enfants du personnel de la commission doivent être affamés » à cause de moi. Apparemment complètement déséquilibrée, elle a finalement appelé à me « chasser » et a couronné cet appel par un « Halali », un cri de chasse allemand qui signale la fin d’une chasse. Non seulement moi, mais aussi les téléspectateurs avons été choqués, comme en témoignent les commentaires sur le chat.

    Le contenu de la plainte pénale de 30 pages, que JH a également déposée au nom d’AF et de MT, est encore plus fou. JH, AF et MT savaient en 2020 que 700 000 euros avaient été garantis par moi par un contrat de prêt et garantis par ma propriété. Ils savaient également que la vente de ma maison était prévue depuis longtemps et qu’elle était imminente. Notre propriété a été vendue le 03/10/2022 pour 1 345 000,00 € en notre absence par l’intermédiaire d’un notaire. Comme je l’ai dit, nous n’avons jamais vu cet argent à ce jour ! Je vous expliquerai comment ce coup d’État a eu lieu dans la partie suivante.

    Et c’est encore pire : Après avoir reçu la plainte pénale, j’aurais dû être entendu, conformément au principe audiatur et altera pars. Mais cela m’a été refusé. J’en connais aujourd’hui les raisons : JH a déclaré au parquet que je le menaçais « avec une Winchester ». Et comme cela ne semblait pas assez dangereux, il a poursuivi en affirmant qu’en tant que membre du parti « dieBasis », je radicaliserais d’autres membres et appellerais à la violence contre lui. En outre, j’étais antisémite et il se sentirait menacé en raison de son origine ethnique.

    En raison de ces scénarios de menace totalement fictifs, ma femme et moi nous sommes vus refuser le droit à une clarification équitable de la situation par les autorités pendant plus d’un an. Apparemment, le ministère public s’est senti mis sous pression par ces scénarios de menace. JH a même dit aux autorités que les deux autres plaignants retireraient la plainte pénale si le ministère public m’accordait un procès équitable. Littéralement, il écrit : « … si Fuellmich ou l’un des autres accusés avaient la possibilité de s’exprimer avant l’ouverture de la procédure pénale, les témoins (c’est-à-dire VF, JH, AF et MT) s’abstiendraient de déposer la plainte pénale par crainte de menaces, de violences et de diffamation ».

    Par la suite, le compte privé de ma femme a été saisi. Lorsque nos avocats ont demandé à ce que ma femme soit entendue, il leur a été répondu qu’ils ne recevraient aucune information, car elle faisait également l’objet d’une enquête. Un mandat d’arrêt européen a ensuite été émis à mon encontre le 15 mars 2023, bien entendu sans que je puisse être entendu.

    Entre-temps, ma femme et moi étions partis pour un voyage au Pérou dans le cadre du recours collectif. Sur le chemin du retour, nous voulions rendre visite à des amis au Mexique et reprendre l’avion pour l’Allemagne. C’est là que nous avons été informés par notre ville natale que les autorités étaient prétendument à ma recherche. Malheureusement, les collègues de mon cabinet d’avocats n’ont reçu aucune information des autorités sur la situation. Nous ne pouvions donc pas vraiment évaluer le nouveau scénario dans notre pays, et nous sommes donc alors restés au Mexique.

    En contrepartie de la commission Corona, je disposais désormais de mon propre label « ICIC », avec lequel, comme auparavant au sein de la commission, j’interrogeais des experts internationaux sur les crimes contre l’humanité à l’échelle mondiale. Un petit groupe de travail de l’ancienne commission Corona m’avait suivi et nous avons donc pu nous remettre rapidement au travail.

    Néanmoins, en octobre 2023, tout est retombé dans le chaos le plus complet. Cela s’est terminé par l’exécution à Francfort du mandat d’arrêt européen susmentionné à mon encontre, après que j’ai été expulsé d’un pays non européen (le Mexique) sous protection policière. — Un suspense qui, comme je le sais aujourd’hui, était tout sauf une coïncidence. Je vous en parlerai dans le prochain épisode.

    En conséquence, je suis en prison depuis des semaines. Les vrais coupables sont toujours en liberté. Ils possèdent également l’argent du recours collectif et l’argent de mon domicile privé. Je peux le prouver. Tous les documents sont conservés en toute sécurité par mon équipe juridique. Je vous expliquerai dans le prochain épisode comment les « agitateurs » ont fait en sorte que tout cela se termine de manière « fructueuse » pour eux. Source

    Reiner Füellmich : Communiqué de presse de la Défense

    Initialement publié par Elsa lors du Truth Summit le 23 décembre 2023.

    On pourrait dire que la vérité est ennuyeuse — c’est-à-dire que Reiner a dit fondamentalement la même chose quelques jours après que VF ait parlé contre lui que ce qu’il dit maintenant, et que ce qui est indiqué dans le communiqué de presse de la défense. Il y a quelques détails supplémentaires. Ils ajoutent un tout petit peu, mais rien n’est changé.

    Voici donc le communiqué de presse.

    Le 17 novembre 2023, le parquet de Göttingen a porté plainte contre le Dr Reiner Füellmich sur la base d’une plainte pénale déposée par d’anciens actionnaires, sans que la défense ait eu préalablement accès à tous les volumes du dossier d’enquête ou ait eu la possibilité de formuler des observations. L’accusé n’a pas non plus été interrogé conformément à l’article 163a du code de procédure pénale allemand (StPO) avant le dépôt de l’acte d’accusation. De même, les témoins principalement cités dans l’acte d’accusation n’ont pas été interrogés.

    D’une part, il s’agit de la somme de 700 000 euros, qui fait déjà l’objet d’un mandat d’arrêt. Or, la base du paiement des 700 000 € était constituée par deux contrats de prêt également signés par Viviane Fischer (l’un daté du 6 novembre 2020 pour 200 000 € et l’autre daté du 14 mai 2021 pour 500 000 €).

    Le ministère public a supposé à tort, au moment de l’acte d’accusation, que les deux contrats de prêt impliquaient une opération intéressée inadmissible. Cependant, selon le procès-verbal complet de la fondation du 9 juillet 2020, les quatre actionnaires ont été nommés directeurs généraux avec un pouvoir de représentation unique, de sorte que Viviane Fischer a pu représenter efficacement la Corona-Commission-Entrepreneurial-company-in-formation seule dans les deux contrats de prêt.

    À l’époque, des rumeurs circulaient sur la saisie de comptes à la FGMF ; en fait, les comptes du membre éminent Professeur Dr Hockertz ont été saisis, ainsi que, par la suite, ceux d’autres médecins poursuivis au pénal dans le cadre des mesures Corona, et enfin, exemple le plus marquant, ceux de Michael Ballweg, qui a également été placé en détention provisoire pendant 9 mois.

    Les dons doivent donc être investis dans des réserves de valeur durables, telles que l’or ou l’immobilier. Le Comité Corona a acheté pour environ 1 million d’euros d’or, qui est toujours stocké en toute sécurité chez Degussa. Le bien immobilier de Reiner Füellmich devait servir de contre-valeur au montant du prêt de 700 000 euros.

    Au moment de la vente, le 3 octobre 2022, le bien n’était pas grevé et les 700 000 euros devaient être remboursés au Comité Corona sur le prix d’achat de 1 345 000 euros. Cependant, cela a été empêché jusqu’à aujourd’hui par l’inscription d’une charge foncière le 18 novembre 2022, c’est-à-dire un mois et demi plus tard — à notre avis illégale — et le paiement d’un montant de 1 158 250 € en faveur du plaignant Marcel Templin. Cette question doit être clarifiée, y compris par le ministère public.

    Il importe peu que des sommes aient été dépensées pour réaménager le jardin de la propriété, car cela a directement contribué à l’augmentation de la valeur et donc à l’obtention d’un prix d’achat plus élevé.

    L’acte d’accusation fait également état de paiements effectués par le Comité Corona au cabinet d’avocats de Reiner Füellmich pour un montant de 25 000 euros par mois plus la TVA au cours de la période allant du 1er janvier 2021 au 31 juillet 2022. Selon l’acte d’accusation, ces fonds ont été utilisés pour payer les salaires et les cotisations de sécurité sociale des employés de son cabinet d’avocats.

    Le ministère public ne reconnaît pas que les employés du cabinet d’avocats de Füellmich ont fourni un service en échange de ces paiements mensuels à la Commission Corona. Pendant deux ans, ils ont été presque exclusivement occupés à répondre aux demandes de renseignements adressées à la commission Corona. Plus de 300 000 courriels ont été traités, des centaines, voire des milliers d’appels téléphoniques ont été passés et des milliers de lettres ont été traitées. En raison du volume de courriers électroniques, un nouveau système informatique a dû être acheté. Ce travail, absolument indispensable à la poursuite de l’activité du Comité, n’a pas été effectué au siège du Comité à Berlin.

    La communication avec les partisans de la commission Corona comprenait un premier conseil juridique pour ceux qui cherchaient de l’aide, l’acquisition d’interlocuteurs, la sélection de scientifiques et d’autres experts, qui ont finalement eu leur mot à dire lors des réunions hebdomadaires.

    Si cette communication n’avait pas eu lieu, le Comité Corona aurait pu cesser ses activités peu de temps après sa création.

    Les prestations fournies par les collaborateurs du cabinet d’avocats Füellmich faisaient donc partie de l’objet social de la commission. Les témoins cités par le procureur dans l’acte d’accusation pour cette série de crimes n’ont pas été entendus avant le dépôt de l’acte d’accusation, ce qui est inhabituel.

    Source : Truth Summit

    Elsa du Truth Summit ajoute — PS. Pour faire un don pour les dépenses juridiques et autres, voici le lien : https://www.givesendgo.com/GBBX2




    L’eurodéputée irlandaise Clare Daly s’élève contre l’UE tyrannique




    La marche vers la mer de Sherman et l’American Way of War

    [Source : ledialogue.fr]

    [Illustration Towson University]

    Par Sylvain Ferreira

    La tristement célèbre marche vers la mer (March to the Sea) du général William T. Sherman qui se déroule à la fin de l’année 1864 (15 novembre — 21 décembre) entre Atlanta et Savannah, si elle est immortalisée par le cinéma dans « Autant en emporte le vent », constitue un « crime de guerre » à grande échelle exécuté par l’armée américaine avec l’assentiment du président Lincoln.

    Pas de jugement a posteriori

    Tout d’abord, la qualification de crime de guerre n’a pas de sens historique, elle n’est entrée en vigueur qu’après la Seconde Guerre mondiale, il n’est donc pas pertinent de l’appliquer en droit pour qualifier la conduite des opérations pendant la guerre de Sécession. Néanmoins, ce conflit est précurseur dans bien des domaines de l’horreur qui s’abattra sur les populations civiles à l’orée du 20e siècle avec la guerre des Boers. Aussi, même si la politique de terre brûlée menée par les troupes de Sherman ne s’est effectivement pas appliquée à la population civile de manière organisée et délibérée, la destruction systématique des infrastructures, ferroviaires notamment, et la décision de vivre sur le pays en fourrageant à outrance les biens des particuliers va laisser derrière elles, non seulement un paysage dévasté, mais aussi un sentiment de profonde haine à l’égard des Yankees, y compris de la part de certains esclaves témoins et/ou victimes de ces exactions.

    Making Georgia howl (faire hurler la Géorgie)

    Tout d’abord, la marche vers la mer démarre avec l’incendie d’une partie d’Atlanta, la capitale de la Georgie, le 15 novembre 1864. Il s’agit de projeter une armée de 62 000 hommes vers l’Atlantique et le port de Savannah, distant de 480 km. L’objectif pour Sherman est double : couper les voies de communication confédérées et détruire les infrastructures économiques qui permettent à la Confédération de poursuivre la guerre. Pour accélérer la marche de ses troupes et ne pas s’encombrer avec les trains de ravitaillement, Sherman décide que son armée vivra sur le pays en fourrageant les ressources alimentaires des civils et des exploitations agricoles, déjà mises à contribution par l’effort de guerre sudiste. Certes, Sherman prend soin dans son ordre spécial n° 120 d’interdire le pillage et les destructions des biens des particuliers tout en mettent en place des partis de fourrageurs pour ravitailler quotidiennement les 62 000 hommes de son armée auxquels s’ajoute le fourrage pour des milliers de chevaux. Aucune compensation sérieuse n’est prévue pour les prélèvements effectués sur la population ou sur les agriculteurs. Dans la même veine, la remonte des trains de ravitaillement doit être assurée en réquisitionnant les mules et les chevaux de la population. Par ailleurs, dans le même ordre spécial, Sherman prévoit la destruction des infrastructures économiques (moulins, entrepôts, etc.) au cas où la population se montrerait hostile. De telles destructions restent à l’initiative des chefs de corps d’armée.

    Toutes ces précautions écrites sont un fait indéniable, mais elles contredisent l’état d’esprit de Sherman lui-même qui se vante dans un télégramme envoyé au général Grant qu’il va « faire hurler (sous-entendu de douleurs) la Géorgie ». De plus, tous les observateurs de la chose militaire savent que vivre sur le pays suscite automatiquement du ressentiment de la population civile. Population qui, de surcroît, voue déjà une haine profonde à l’égard des Nordistes. L’idée louable qui consiste à encadrer par un ordre écrit les réquisitions et les éventuelles destructions a peu de chance d’aboutir à une stricte observance de la part des soldats sur le terrain faute d’un encadrement suffisant. Les moyens des prévôts militaires sont toujours insuffisants de ce genre de situation. Sherman qui est un officier d’expérience sait très bien que ses consignes ne pourront pas être intégralement respectées. Il sait que des exactions seront commises inévitablement. Et comment croire qu’il n’en soit pas satisfait d’une certaine manière lorsqu’il proclame qu’il va faire hurler la Géorgie ? Autre témoignage à charge, celui du Major Henry Hitchcock, natif de l’Alabama resté fidèle à l’Union et qui commande la garde rapprochée de Sherman, lorsqu’il déclare : « c’est une chose terrible que de brûler et de détruire les subsistances de milliers de personnes », mais si la politique de la terre brûlée sert « à paralyser les maris et les pères que nous combattons… c’est finalement de la pitié ».

    La bonne foi des Nordistes est donc largement sujette à caution.

    Le bilan

    Commençons par l’aspect humain où il faut effectivement souligner d’emblée que la mort de civils innocents reste très marginale et le fait d’unités isolées loin de toute structure de commandement. Nous ne sommes pas face au bilan des colonnes de Turreau en Vendée en 1794, c’est une évidence. Par contre, l’ampleur des dévastations et des réquisitions matérielles est terrible. Sherman estime lui-même les dégâts matériels à 100 millions de dollars de l’époque (1,4 milliard en équivalent dollar actuel). Le poids des réquisitions ne représente qu’un cinquième de ce montant. Pour le reste il s’agit de destructions des infrastructures ou de biens. Des centaines de kilomètres de voies ferrées ont été rendues inutilisables en tordant les rails chauffés à blanc sur les poteaux télégraphiques, des ponts ont été incendiés, l’impact sur le ravitaillement des armées confédérées et l’économie déjà exsangue du Sud est déterminant. Par ailleurs, les Nordistes ont saisi 5 000 chevaux et 4 000 mules pour la remonte de leurs trains et 10 millions de livres de fourrage. Plus de 13 000 têtes de bétail, 9,5 millions de livres de maïs ont été réquisitionnées pour nourrir les 62 000 bouches nordistes. Il est évident que ce sont autant de bêtes qui ne nourriront pas l’armée sudiste, mais aussi la population civile. Mais au-delà de l’impact économique majeur sur le Sud, la population est également frappée psychologiquement et son soutien à la prolongation de la guerre fortement remis en cause maintenant qu’elle est elle-même frappée par les dévastations. Enfin, près de 10 000 d’esclaves sont libérés tout au long de la route suivie par les Nordistes et eux aussi sont partagés entre soulagement et écœurement face aux comportements de leurs « libérateurs ». Ils sont certes nombreux à vouloir s’engager sous l’uniforme bleu, mais la majorité suit la marche des troupes nordistes dans un état de dénuement total souffrant de la faim et de maladie. Nombre d’entre eux ne verront pas l’Atlantique. D’un point de vue militaire, la projection de cette immense masse dans la profondeur du dispositif ennemi est une réussite indéniable que même les plus sceptiques avant son déclenchement, Grant et Lincoln notamment, reconnaîtront après coup. Il faut tout de même relativiser ce succès en soulignant que la marche ne rencontre à aucun moment des forces confédérées capables de s’opposer à elle. L’armée de Hood qui défendait Atlanta s’est repliée vers le nord après la chute de la ville. Les rares engagements tourneront tous à l’avantage des Nordistes dont nombre d’officiers qualifieront cette marche « de promenade champêtre ». Néanmoins, cette manœuvre constituera une référence pour le penseur anglais Liddell Hart qui la considérait comme précurseur de ses concepts sur la guerre mécanisée. Une fois devant Savannah, Sherman peut compter sur le soutien de l’US Navy qui croise au large. En cinq jours, la ville tombe et Sherman « l’offre » en cadeau de Noël au président Lincoln.

    L’American way of war(([1] Way of war : manière de faire la guerre, par analogie avec Way of life (mode de vie ou manière de vivre).))

    Après ce rapide exposé des faits et des conditions dans lesquelles ils se sont déroulés, il est clair que l’opération menée par le général Sherman, qui lui vaudra dans le Sud le surnom de Billy the Butcher, représente un triste avant-goût de l’émergence de la guerre totale qui prend de plus en plus les civils en otage et qui détruit des pans entiers du paysage et de l’économie d’une région pour assurer des gains militaires. Comme nous l’avons rappelé, Sherman a pris des précautions pour que les victimes civiles ne représentent que de rares exceptions, et son ordre spécial n° 120 ne saurait effectivement être comparé avec l’ordre du jour d’Hitler à la veille du déclenchement de l’invasion de l’URSS. Néanmoins, ses déclarations et celles de ses adjoints ainsi que le bilan des destructions et des réquisitions opérées constituent un triste précédent qui ne visait pas uniquement à réaliser une opération militaire dans le cœur du dispositif confédéré, mais aussi une manière de punir l’adversaire parce qu’il avait osé faire sécession en interprétant légitimement la Constitution des États-Unis. C’est là que se trouve à mes yeux la véritable nature de cette marche vers la mer. Par ailleurs, l’état lamentable dans lequel sont laissés bon nombre d’esclaves libérés de la servitude en dit long sur l’hypocrisie des Nordistes à l’égard de ces populations totalement désespérées et ne sachant plus, sans jeu de mots, à quel maître se vouer. C’est en ce sens que Sherman inaugure ce qui va devenir l’American way of war et qui se déploie encore aujourd’hui sous nos yeux et que je résumerai ainsi : une bible dans la main gauche pour la justification, voire la sanctification de la guerre et, dans la main droite, un Colt pour punir littéralement l’ennemi devenu « autre » sans limites d’usage de la force jusqu’à ce qu’il rentre dans le rang.





    Le FÉM veut contrôler tous les aspects de la vie publique

    [Source : aubedigitale.com]

    Par Frank Bergman

    Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus Schwab font pression pour mettre en place leur programme mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

    En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu’un modeste rassemblement d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

    Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

    Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

    Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

    Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

    Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life », suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

    C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

    La capitalisation boursière des principaux membres du FEM — des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer — dépasse les 10 000 milliards de dollars.

    Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

    Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

    Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

    Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

    Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

    Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

    Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

    Les contrôligarques tirent le rideau et révèlent en détail les systèmes et tactiques dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

    Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

    La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

    En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

    Il ne s’agit toutefois pas de projets pour un avenir lointain, car la campagne du FEM est déjà en cours.

    La Banque des règlements internationaux, qui est le banquier central des banques centrales, travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

    Selon Agustin Carstens, président de la BRI, les CBDC offrent un « contrôle total » sur la masse monétaire et le public, comme le rapporte Slay News.

    Avec une CBDC, le système financier mondialiste peut annuler financièrement (ou « débanquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

    Le FEM proclame que l’exploration des CBDC a connu une « croissance exponentielle ».

    Le mois dernier, l’Atlantic Council a confirmé que la « dynamique en faveur » des CBDC « restait forte » jusqu’en 2023.

    Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-ci sont vantées pour leur commodité.

    Le FEM et Larry Fink, de BlackRock, ont tous deux vanté le fait que les migrants peuvent réduire la durée de leurs transactions transfrontalières lorsqu’ils envoient de l’argent dans leur pays d’origine.

    Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

    Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

    Mais le lien est aujourd’hui évident.

    L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

    En Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui est étroitement aligné sur le FEM, a sermonné ses électeurs en leur disant que leur comportement devait changer et que leur confort et leur liberté devaient être sacrifiés pour « le plus grand bien ».

    Les méthodes de Newsom consistent à limiter l’accès aux thermostats domestiques, à réduire les déplacements sur de longues distances et, bientôt, à éliminer les véhicules et les cuisinières à gaz.

    La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

    Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

    Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer-Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

    Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

    Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans.

    Pourquoi ? Les cartes d’identité numériques liées aux dossiers médicaux numériques stockés sur votre téléphone portable sont un moyen incroyablement efficace de suivre votre statut vaccinal.

    De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent un système d’identification numérique obligatoire depuis plus de dix ans.

    Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

    En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

    Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

    Le FEM dissimule souvent les plans dystopiques que ses partenaires sont en train d’élaborer.

    Cependant, Controligarchs a passé au crible des centaines d’heures de vidéos oubliées et des milliers de pages — dont beaucoup ont été supprimées d’Internet — pour révéler que des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

    Qu’on ne s’y trompe pas, les cartes d’identité numériques plus les CBDC équivalent à un score de crédit social de facto.

    Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

    Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a convaincu les gens d’ » accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

    Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde.

    À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

    Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialistes et d’un pouvoir centralisé.

    Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

    Pourtant, la soi-disant quatrième révolution industrielle proposée par Schwab donnera naissance à un nouveau système de castes dans lequel les pauvres continueront à mourir.

    Les élites riches du monde, quant à elles, « en plus de toutes les autres choses qu’elles obtiennent, bénéficient également d’une exemption de la mort », se réjouit Harari.

    Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui-même.

    Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

    Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure », l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation », et bien d’autres encore.

    Traduction de Slay News par Aube Digitale