Clarifier la question centrale de la « virologie »

[Source : johnblaid.substack.com]

Par John Blaid

Je ne sais pas combien de débats j’ai eus au cours des trois dernières années concernant ma compréhension de la « virologie » et des « virus » avec divers journalistes « alternatifs », biochimistes et simples citoyens. Ce qui ressort clairement de tous ces débats, c’est qu’aucune de ces personnes ne semble comprendre ma position et que je suis en fait entièrement d’accord avec les « virologues » sur la question qui importe le plus, à savoir : Un prétendu « virus » a-t-il été découvert, isolé et purifié directement à partir d’un échantillon prélevé sur un hôte malade sans que l’échantillon ne soit d’abord combiné à d’autres matériaux tels qu’une culture de tissus ?

La réponse est un NON retentissant dans le monde entier, certains allant même jusqu’à dire que c’est en dehors de ce qui est possible en virologie et c’est compréhensible, nous ne pouvons pas isoler quelque chose qui n’existe pas.

Image : FOIA request to the US CDC regarding documentation of the isolation of SARS-CoV-2
Le SME déclare ce qui suit :
La définition de l’« isolement » fournie dans la demande ne correspond pas à ce qui est possible en virologie, car les virus ont besoin de cellules pour se répliquer, et les cellules ont besoin d’aliments liquides. Toutefois, le virus SARS-CoV-2 peut être isolé à partir d’un échantillon clinique humain par culture cellulaire, ce qui correspond à la définition de l’« isolement » telle qu’elle est utilisée en microbiologie et telle qu’elle a été indiquée dans la précédente série de réponses dans les ressources fournies.

On ne saurait trop insister sur l’importance de cette réponse, car elle signifie indirectement que toutes les expériences scientifiques présumées reposent sur l’HYPOTHÈSE non prouvée de l’existence d’un « virus » dans les échantillons qu’elles utilisent, mais qu’elles ne le valident JAMAIS AVANT que l’expérience scientifique présumée n’ait lieu. La mise en évidence d’un effet dans une expérience scientifique présumée n’est PAS, je le répète, une preuve directe de l’existence d’un « virus », pas plus qu’une arrière-cour détruite n’est une preuve directe de l’existence des licornes.

Ce qui m’étonne, c’est que l’on puisse ignorer cette question fondamentale et la balayer du revers de la main comme si elle n’était pas importante ou ne constituait pas un problème, ou comme si le fait d’en parler faisait partie d’une psy-op [opération psychologique]. Si nous n’avons pas découvert quelque chose directement dans la nature, nous ne pouvons absolument pas essayer de l’isoler, de faire des expériences avec, de le mesurer, etc. C’est une question de bon sens que même un petit enfant peut comprendre.

Nous ne pouvons pas prétendre avoir isolé une licorne simplement parce que nous avons trouvé une arrière-cour détruite après avoir tiré des feux d’artifice tout en répandant un tas de poison sur toute la surface. Mais c’est exactement le raisonnement que suivent les gens lorsqu’ils évoquent l’effet cytopathique (mort des tissus) dans les cultures de tissus et affirment que cet effet est la « preuve » de l’existence d’un « virus ».

Certains invoquent l’excuse selon laquelle le « virus » est trop faible ou trop fragile pour être isolé, mais c’est comme prétendre qu’une licorne est trop faible ou trop fragile pour être isolée. Vous ne pouvez pas prétendre une telle chose sans avoir d’abord démontré qu’elle existe réellement. Parfois, l’excuse est que nous devons utiliser une culture de tissus pour cultiver le « virus » afin de pouvoir l’isoler, mais nous ne pouvons pas très bien attribuer des propriétés ou des besoins à quelque chose que nous n’avons jamais trouvé. Ce serait comme prétendre qu’une licorne a besoin d’arcs-en-ciel pour voler et de beaucoup de roses pour se reproduire, alors qu’il n’existe aucune preuve directe de son existence.

J’aime mettre en avant un truisme qui devrait être assez facile à comprendre, à savoir que nous ne pouvons pas mener d’expériences scientifiques avec des choses dont nous n’avons pas démontré l’existence ET qui n’ont pas été isolées et purifiées AVANT que l’expérience n’ait lieu. Prétendre le contraire reviendrait à prétendre que nous pouvons mener des expériences scientifiques avec des elfes, des gnomes, des fées et des licornes.

Ce qui devrait être évident à présent, après avoir lu et compris cela, c’est que tout ce qui se trouve en aval est par défaut faux puisque tout dépend de son existence. Cela signifie que toutes les affirmations relatives aux génomes « viraux » sont fausses, y compris les divers tests de diagnostic allégués par défaut, alors que tout traitement tel que les injections et les pilules ne peut qu’entraîner des dommages inutiles.

Je ne m’attends pas à ce que les gens viennent dire au monde qu’ils avaient tort, mais j’attends d’eux qu’ils réfléchissent sérieusement à cette question et qu’ils fassent des recherches. Il est temps d’adopter un nouveau paradigme en matière de santé, car l’ancien ne repose pas sur des bases scientifiques solides.

[Voir aussi :
Un nouveau paradigme médical
et
le dossier Vaccins et virus
dont UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)]




Billet de très mauvaise humeur : le cirque Macron-Attal s’est installé dans votre village, sauve-qui-peut !

[Source : russiepolitics]

Par Karine Bechet-Golovko

À peine dévoilé, le nouveau Gouvernement soulève beaucoup de questions, mais il apporte aussi une réponse très claire : la France n’a plus besoin de gouvernants, elle est gouvernée. Et cela vient d’être officiellement reconnu. C’est la seule explication rationnelle à la farce, qui s’engage pour le plus grand déshonneur de notre pays. Bref, le cirque Macron-Attal arrive dans vos villages, avec ses putes, ses suspects et ses jeunes foutriquets. Planquez vos poules et vos enfants !

Je ne pourrai pas entrer dans tous les détails de la triste pièce, qui a commencé à être jouée hier à Matignon, sinon il faudrait écrire un roman. En revanche, je voudrais quand même souligner certains aspects.

Tout d’abord, deux questions organisationnelles — et idéologiques — concernant les ministères.

Ainsi, l’agriculture devient également le ministère de la « Souveraineté alimentaire ». C’est amusant cette manie de nous mettre de la « souveraineté » dans toutes les appellations, surtout lorsqu’elle est détruite systématiquement depuis au moins une trentaine d’années et que la France, malheureusement, n’est même plus aujourd’hui le pâle reflet d’elle-même. À l’époque de la Guerre froide, nos élites avaient le don de pointer les faiblesses de l’autre camp et elles se moquaient de cette manie de mettre du « démocratique » dans les dénominations des pays du bloc de l’Est, comme pour indiquer où était la véritable démocratie. Désormais, le ridicule est passé dans notre camp et ces élites restent muettes — elles n’ont pas plus de mandat pour le faire, que d’esprit pour le penser.

L’hôpital, qui faisait à juste titre la fierté de notre pays, est en lambeaux, le système de soins en général est à bout de souffle, il ne mérite pas un ministère en soi. Il est ainsi regroupé avec celui du travail. Le néolibéralisme, qui accompagne la globalisation, n’a pas besoin de s’embarrasser des questions sociales. Par ailleurs, comme le chômage de masse et la généralisation du travail précaire entraînent de véritables pathologies, les deux maux (le travail et la santé) seront manifestement traités ensemble par un ministre de la « Vérité-tout-va-bien ». Il semble que, dans cette logique, la généralisation de l’euthanasie serait un moyen autrement efficace de traiter les deux domaines… Comme nous vivons une époque de progrès, n’ayons aucun doute sur le potentiel de cette voie.

Adieu le ministère de la Santé ! Il fallait oser, ils l’ont fait, sans aucun remords, sans explication, comme quelque chose de normal. Une nouvelle norme se met en place, de plus en plus orwellienne.

En ce qui concerne les personnalités, arrêtons-nous un instant sur certaines. Quelle chance de voir Rachida Dati à la Culture, elle qui critiquait le parti de Macron, quand elle pensait faire carrière dans l’opposition !

La prostitution semble bien être le seul moyen reconnu par cette clique gouvernementale d’existence politique. Mais continuons sur la même ligne — celle de la promiscuité. Nous apprenons que le conjoint pacsé du Premier ministre, Stéphane Séjourné, est nommé aux Affaires étrangères. Il n’est pas diplomate de carrière, mais quelle importance, il y a juste une guerre en cours et un conflit mondial de civilisation et de modèles de gouvernance, dans lequel la diplomatie a un rôle à reprendre. La diplomatie, mais manifestement pas la France, a priori ridiculisée sur la scène internationale par la nomination de foutriquet. Et en matière de prostitution et de convictions, car la prostitution demande aussi de la conviction, il s’adapte rapidement :

Un dernier survol de cette ménagerie pour s’arrêter un instant sur notre visionnaire ministre de l’Économie, celui qui avait annoncé la destruction de l’économie russe avec les sanctions et la guerre. À sa décharge, étant ministre d’un pays qui appartient à peine à la lointaine périphérie dans le système de gouvernance globalisé, il ne fait que rediffuser le discours atlantiste imposé, que vous trouverez notamment dans Foreign Affairs. Pendant ce temps-là, l’économie russe se redresse, puisque le pays reprend petit à petit sa souveraineté et relance son industrie et sa production. Simple et logique. Hier, le Président russe déclarait :

« C’est un résultat étonnant. Il semble que nous soyons étranglés et écrasés de toutes parts, mais nous sommes devenus les premiers en Europe en termes de volume économique dans son ensemble. Nous avons dépassé l’Allemagne et pris la cinquième place mondiale. »

Nous avons souvent écrit sur les problèmes économiques en France et les Français le sentent au quotidien, avec l’augmentation du coût de la vie, sans véritable reprise économique. Donc, Bruno Le Maire annonce triomphant que, puisqu’il remplit à merveille le programme pour lequel il est en place, il ira encore plus loin :

Et finissons en beauté avec notre nouveau Héros, Gabi le Magnifique, encensé par les écharpes rouges de la République, monté au niveau des dieux et des anges. Mais comme cela nous est expliqué, ces dieux et ces anges ne travaillent pas pour le bien des hommes, non, ils travaillent pour eux-mêmes, ils se protègent les uns les autres. Ce n’est pas ça une mafia ?

Et ce Héros, va également devenir un héros de série télé, jouant son propre rôle, poussant à l’extrême la désacralisation du pouvoir — qui ne peut exister sans sacré :

Attal est un peu le Zelensky français, que l’on nous prépare pour les prochaines présidentielles. Décidément, l’Ukraine est bien l’avenir de la France. Alors, n’oublions pas les paroles de Malraux dans La condition humaine :

« L’humanité était épaisse et lourde, lourde de chair, de sang, de souffrance éternellement collée à elle-même, comme tout ce qui meurt. »

PS : Vous pouvez mettre en commentaires vos propositions pour sortir de ce cirque — ou pour sortir ce cirque.




Les liens entre Israël et les Frères Musulmans du Hamas

[Source : Le Courrier des Stratèges]

Thierry Meyssan fait le point de la situation à Gaza, au Liban et en Iran. Il dissèque l’assassinat d’un dirigeant du Hamas à Beyrouth, et nous explique comment le gouvernement israélien élimine physiquement tous les responsables du Hamas qui ne sont pas à sa solde.




La transition écologique va faire l’objet d’un rejet social et politique croissant

[Source : institutdeslibertes.org]

Par Jean-Jacques Netter

L’Union Européenne a fait de sa politique écologique une machine infernale qui la plonge dans un malthusianisme ruineux. Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution de son PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne.

Aujourd’hui, le PIB de l’UE ne représente plus que 65 % du PIB américain contre 91 % il y a dix ans. Si on continue à ce rythme-là, la transition écologique ne sera pas supportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seraient seront trop négatives.

On a longtemps vendu à l’opinion publique l’illusion d’une transition écologique merveilleuse qui créerait des emplois et des richesses pour tous. Un des problèmes est clairement que les Français ne sont pas prêts à sacrifier un peu de leur bien être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises…

L’obscurantisme écolo-bobo-bio : incarne le camp du « bien » avec ses mots vertueux : écologie, environnement, éolienne, lanceur d’alerte, santé et leurs qualificatifs tout aussi positifs : vert, naturel, durable, circulaire, biodynamique, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé. De l’autre il y a le camp du mal : pétrole, charbon, pesticides, OGM, nucléaire, pollution, croissance, climatosceptiques, et des qualificatifs négatifs : polluant, dangereux, intensif, capitaliste, industriel, cancérigène. Bien évidemment pour le camp du bien, seul le camp du mal est corrompu…

Au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique. Ils utilisent le principe de précaution pour embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles. On assiste à la résurgence d’une pensée collectiviste dont les résultats ne seront connus que par les générations à venir…

La posture catastrophiste des écologistes idéologistes a trois inconvénients : 1/ elle implique que la partie est d’ores et déjà perdue. 2/ L’urgence qui en découle conduit à ne plus prendre le temps d’analyser l’ensemble des contraintes. 3/ La décroissance est la seule perspective proposée. On est dans une guerre idéologique où des forces anticapitalistes profitent de la crise climatique pour renverser le système économique actuel…

La triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux des énergies renouvelables.

Les climatosceptiques sont exclus du débat public…

Une proposition de loi visant à bannir le climatoscepticisme des médias a même été envisagée. L’objectif étant d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques. Tout cela se ferait au nom d’un « consensus scientifique ». Rappelons que dans les régimes à vérité officielle idéocratique les dirigeants qui pratiquent cette posture finissent souvent en gardiens de camp…

Steven Koonin est professeur de physique théorique à Cal’Tech et ancien conseiller scientifique d’Obama passe régulièrement en revue les affirmations péremptoires qui nous sont assénées sur le climat et la planète. Ce sont les politiques et les médias qui contrôlent totalement le récit. C’est pourquoi il recommande de cesser de propager la panique climatique. Il pense que les modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

L’alliance écologistes-gauche ne fonctionne plus… Aux Pays-Bas le PPV de Geert Wilders a largement battu l’alliance de la gauche et des écologistes et le centre droit. La révolte des néerlandais doit être un avertissement sans frais qui doit être entendu. On assiste à une montée contre une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Les écologistes ne pratiquent que l’écologie punitive…

L’écologie politique est une des armes de la cancel culture. Au nom du climat, elle déconstruit notre histoire et nos paysages. Elle défend un humanisme aux antipodes du terrorisme vert. Les démonstrations de force des activistes du climat révèlent le vrai visage de l’écologie politique autant que la démission presque irrémédiable de toute une société.

Voilà une sélection d’opinions émises par les écologistes les plus influents :

Marc Jancovici a défendu un système de rationnement des billets d’avion. Quatre vols pour aller découvrir le monde quand on est jeune avec les vieux qui partent en train en Corrèze !. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre le changement climatique.

Sandrine Rousseau est un mélange de cynisme et de bêtise. L’élue écologiste propose un terrifiant projet de société avec une idéologie qui veut couper des têtes et museler la liberté d’expression. Sa mesure phare consisterait à interdire immédiatement de louer des passoires thermiques

Greta Thunberg pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation est notre seule voie de salut. Ce totalitarisme mou teinté d’anticapitalisme de combat est érigé en système de pensée politique et morale. Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM elle démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Elle est devenue le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Cara New Daggett pense que la relation entre « masculinité dominante » et « pétroculture » dont découlent structure une hiérarchie de genre, de race, de classe… Les énergies fossiles ont intensifié la violence, dit-elle !

Le nucléaire français a été démantelé

En France l’État a peu à peu démissionné sur le nucléaire. Avec la globalisation les dirigeants ont pensé que la géopolitique n’était plus un problème. L’État actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. L’État régulateur s’est abrité derrière le principe de précaution introduit dans la Constitution par Jacques Chirac pour fuir ses responsabilités. Le résultat c’est une entreprise en faillite avec 60 Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise.

L’Amérique est à la poursuite du Graal énergétique. Deux entreprises tentent de percer les mystères de la fusion nucléaire. CFS a levé 2 Md $ pour réaliser la fusion nucléaire. Une installation américaine a réussi à produire plus de chaleur que ce qui avait été injecté par rayonnement…

L’ARENH (Accès Réglementé à l’Électricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25 % de sa production (100 TWh) au prix de 42 €/MWh. La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Ce mécanisme a largement fait la preuve de son échec. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. C’est ce qu’ont demandé dans une tribune collective du 06/06/2023 Henri Proglio, Arnaud Montebourg et Loïk Le Floch Prigent. L’Arenh est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public. EDF après une année 2022 catastrophique avec une production de 229 TWh table sur 300 à 330 en 2023, 350 en 2025. Le record historique est de 420 TWh.

L’éolien est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable

Si vous cherchez la France périphérique, levez les yeux au ciel. S’il est encombré d’acier et de matériaux composites, vous y êtes. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance. Les déceptions enregistrées par les sociétés les plus exposées au secteur sont nombreuses : Siemens Energy dans l’éolien en mer a récemment été sauvé par une garantie du gouvernement allemand de 7,5 Md€, Orsted le géant danois a baissé de 50 % depuis 6 mois, Iberdrola a abandonné son projet d’éolienne au large du Massachussets. Svevind AB et le fabricant de turbines Enercon sont associés dans un projet au large de la Suède. Il est au bord de la banqueroute

Bétonner la mer est l’idée technocratique la plus anti-écologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes.

La montée en puissance de l’énergie éolienne terrestre supposée écologiquement correcte s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’image verte de l’éolien, on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia… Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45 % du marché de l’éolien dans le monde !

Le Photovoltaïque est contrôlé par la Chine

Le solaire est le grand gagnant de la transition énergétique partout sauf en France…

Pourtant Il aurait été beaucoup plus efficace d’inciter l’Allemagne à sortir plus vite du charbon qui constitue encore 45 % de son mix énergétique.

La Chine possède 72 % de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35 % à ceux de l’Europe et de 20 % à ceux des États-Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montrent la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens

Les énergies fossiles ont toujours de l’avenir…

Le monde est encore avide de pétrole

La France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale. Les dernières opérations réalisées dans le secteur du pétrole sont claires. Exxon a racheté Pioneer Natural Reserves pour 59.5 Md$. Chevron a racheté Hess pour 53 Md $

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes

Là encore l’intérêt ne faiblit pas. Glencore a mis la main sur Teck au Canada dans le charbon.

La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Il faudra qu’un jour les écologistes du camp du bien comprennent que le raccordement de 100 MW d’éolien ou de solaire ne permet selon JP Morgan de débrancher que 10 à 30 MW de thermique…

Auteur : Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de la bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.




Écoutons pleurer les bébés vaccinés !

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Andrew Moulden, vous connaissez ? Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de ce neuropsychologue canadien décédé en 2013. J’ai découvert récemment qui il était et ce qu’il avait fait à travers les écrits du Dr Midwestern (pseudonyme), un médecin américain qui promeut la médecine intégrative et qui ne tarit pas d’éloges sur l’œuvre « révolutionnaire » du disparu. Spécialiste du développement neurocognitif chez les enfants, mais aussi auteur d’une thèse de doctorat sur l’imagerie cérébrale fonctionnelle et la neuroélectrophysiologie (l’activité électrique dans le corps humain), ce scientifique surdoué et multirécompensé avait en effet conjugué ses trois compétences pour étudier l’autisme et tenter d’en comprendre les causes. Au fil de ses observations, il a fini par acquérir la conviction que les vaccinations infantiles étaient à l’origine de l’épidémie affolante de troubles autistiques et de bien d’autres affections neurologiques. Comment ? Selon Moulden, chaque vaccin administré endommage les minuscules capillaires du cerveau en raison de l’afflux de globules blancs générés par la réponse immunitaire aux antigènes vaccinaux. L’obstruction qui en résulte empêche la circulation des globules rouges et provoque l’asphyxie des cellules nerveuses. C’est la définition même d’un accident vasculaire cérébral !

Un désastre pour l’humanité

Certes, il ne s’agit en général que de mini, voire de micro AVC. Mais ces événements passant le plus souvent inaperçus seraient suffisants pour entraîner des conséquences pour la santé et des séquelles neurocomportementales. Nombreuses photos à l’appui, Moulden a montré que l’administration d’un vaccin était suivie de symptômes subtils (léger strabisme, petite paralysie faciale, légère aphasie motrice…) typiques des lésions cérébrales et d’atteintes aux nerfs crâniens. Mais le chercheur-découvreur allait encore beaucoup plus loin : pour lui, l’interruption de l’apport en oxygène et l’instabilité électrostatique du flux sanguin résultant de l’altération microcirculatoire étaient les dénominateurs communs de TOUTES les maladies non héréditaires. En dehors des vaccins et de leurs adjuvants, ce sont les polluants environnementaux qui provoquent l’anoxie et font ainsi office de déclencheurs pathologiques. Exemple-phare : la poliomyélite dont la symptomatologie est parfaitement compatible avec un empoisonnement aux pesticides et dans laquelle l’agent viral ne joue aucun rôle causal. Ce n’est donc pas à la seule vaccinologie que s’en prenait Moulden, mais au paradigme médical allopathique tout entier, et à la théorie du germe en particulier. Comme l’écrit Catherine Courson dans l’introduction de son dossier-hommage à Andrew Moulden (Néosanté de janvier), les découvertes de ce dernier sapaient les fondements mêmes de la médecine pasteurienne ! S’agissant des vaccins, le savant canadien les accusait d’être à l’origine des « dommages les plus lourds que l’Humanité se soit infligés à elle-même au cours de son Histoire ».

Disparition étrange

On imagine bien que pareil discours est assez mal passé. Dès que le neuropsychologue a commencé à faire connaître ses travaux, il a été censuré, ostracisé et mis au ban de la communauté scientifique. Du jour au lendemain, le brillant expert en neurodéveloppement de l’enfant a été relégué au rang de charlatan ou de « complotiste » comme on dirait aujourd’hui. L’écroulement de sa carrière l’aurait miné et poussé au suicide ? Selon une autre version de sa disparition mystérieuse à seulement 49 ans, il serait mort d’une crise cardiaque suspecte, c’est-à-dire probablement non naturelle. D’après un de ses collègues, Andrew Moulden s’apprêtait à rompre le silence qu’il s’était imposé et à publier de nouvelles recherches contenant de nouvelles preuves fatales pour l’industrie vaccinale. Sa mort subite et prématurée fut une aubaine pour Big Pharma, trop content de voir disparaître cet équivalent nord-américain du Dr Hamer. Concernant ce dernier, je n’ai jamais trop cru aux neuf tentatives d’assassinat auxquelles il prétendait avoir échappé. Scénario trop parano à mon goût. Si c’était vrai, il y en aurait au moins une qui aurait réussi alors que le médecin allemand est mort octogénaire dans son lieu d’exil norvégien. Pour Moulden, c’est différent. Les circonstances de son décès précoce sont plus qu’étranges, ses trouvailles nuisaient déjà à de puissants intérêts et ses révélations annoncées étaient susceptibles de déclencher un véritable séisme financier. Quitte à nous mettre nous-mêmes en danger, il est temps à nos yeux d’exhumer l’œuvre de ce gêneur oublié en publiant un dossier essentiellement constitué de ses déclarations publiques et explications scientifiques. À tout hasard, je signale que je n’ai aucun penchant suicidaire et que mon cœur semble en pleine forme. Pareil pour la collaboratrice qui a rédigé ce dossier explosif potentiellement dévastateur pour le business des vaccins.

Un bébé ne pleure pas pour rien

Le mensuel de janvier étant arrivé dans les boîtes mail et dans la plupart des boîtes aux lettres, j’ai déjà reçu quelques réactions négatives envers la photo que nous avons choisie pour annoncer en couverture l’article principal. Elle montre un nouveau-né qui hurle et une seringue prête à lui être enfoncée dans la peau. Choquées par cette image, les personnes qui la critiquent la trouvent inutilement « agressive » ou « sensationnaliste », certaines personnes m’accusant même de « jouer sur la peur » pour impressionner les lecteurs. Mais pourquoi diable s’en offusquer et ne pas regarder en face la cruelle vérité ? Ces griefs ne mettent-ils pas en relief l’emprise de la propagande vaccinaliste sur nos inconscients ? Il y a plus de 12 ans, en septembre 2011, nous avons suscité les mêmes reproches lorsque nous avons publié un dossier sur les pleurs des bébés et leur rapport plus que probable avec les vaccinations. Et voici ce que j’écrivais en préambule de l’article :

« Pour illustrer ce dossier, nous avons cherché des photos de bébés pleurant pendant une vaccination. Surprise : elles sont extrêmement rares, voire quasiment introuvables dans les banques d’images. Partout les mêmes clichés de jolies infirmières souriantes, de toubibs Pespsodent et de moutards rigolards. Or les parents d’enfants vaccinés le savent bien : dans la réalité, la réaction instinctive d’un nourrisson auquel on inocule le contenu d’une seringue est généralement faite de cris et de larmes. La rareté des illustrations objectives en dit long sur l’autocensure des photographes et l’ampleur de la désinformation sur ce sujet. Car les pleurs du bébé vacciné ne sont pas seulement un réflexe éphémère et anodin : ils se prolongent, augmentent en violence et se répètent souvent de manière anormale, jusqu’à devenir incessants. Ce dossier de Françoise de Joët vous révèle que la souffrance des bébés inconsolables est très probablement la conséquence fréquente de la maltraitance vaccinale. »

À l’époque, l’auteure de ce dossier n’avait pas connaissance des découvertes d’Andrew Moulden. Mais elle avait notamment rédigé cette sentence de pur bon sens :

« Quand un bébé pleure, c’est toujours parce qu’il y a quelque chose qu’il veut dire et qui le dérange. Un bébé ne pleure pas pour rien ».

Une douzaine d’années plus tard, il me semble important et opportun de méditer cette phrase compassionnelle. Un bébé qui pleure manifeste une indicible douleur et il est du devoir des adultes de ne pas y être sourds et insensibles. C’est donc par empathie et non pour « vendre du papier » que nous avons choisi d’illustrer le Néosanté de janvier avec une photo qui peut légitimement choquer. À nos yeux, l’enjeu exige de ne pas les détourner.




Les centres de fusion, les citoyens-espions et l’affaiblissement du caractère américain

[Source : thewashingtonstandard.com]

Par Karen Stewart

Que vous fassiez partie de la « résistance à Trump » ou que vous soyez un patriote de QAnon, il est probable qu’un nombre important d’entre vous aient été avilis avec succès par les centres de fusion de votre État, en dépit de vos tendances politiques. Seuls l’avarice brute et un mépris total pour la Constitution sont nécessaires.

Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est un centre de fusion, il a été décidé après le 11 septembre que les autorités fédérales, étatiques et locales ne communiquaient pas suffisamment entre elles en ce qui concerne les menaces terroristes, et des centres de fusion ont donc été créés dans chaque État pour « fusionner » les informations et les partager en un lieu central. En fonction de la taille de l’État et de sa population, il peut y avoir de un à trois centres de fusion dans un État.

Dans chaque centre de fusion se trouve une unité de lutte contre le terrorisme domestique, qui dispose même de panneaux d’affichage à divers endroits encourageant les gens à « voir quelque chose, dire quelque chose ». En outre, les Centres de Fusion recrutent des civils sur le terrain qu’ils appellent HUMINT (human intelligence [intelligence humaine]), ce qui est risible de mon point de vue d’analyste du renseignement de la National Security Agency à la retraite, où ce terme n’est pas synonyme de dupes et de voyous non avertis, comme c’est le cas ici.

Les centres de fusion recrutent des personnes ordinaires par l’intermédiaire de groupes quasi patriotiques ou même faussement patriotiques sous le nom d’« Infragard » (sous les auspices du FBI) et d’autres groupes fascistes douteux. Les centres de fusion sont même connus pour utiliser des criminels et des gangs criminels, mais je m’avance un peu.

Infragard est recruté par les centres FBI/Fusion parmi le même type de personnes que celles qui se portent volontaires pour participer aux programmes de police locale ou de police citoyenne. Nombre d’entre eux sont des personnes bienveillantes, mais beaucoup, trop, sont des brutes qui cherchent à justifier leur désir de contrôler les autres et d’exercer leur volonté sur ceux qui les entourent avec une fausse autorité et un faux pouvoir. Ces personnes sont formées à une technique de traque militariste secrète, de type relais, que la communauté du renseignement appelle « couverture [ou protection] en fonte », ce qui signifie que des équipes tournantes sont affectées à un « suspect terroriste » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, nuit et jour, à l’infini. Leur tâche consiste à suivre la cible absolument partout. Si la cible se rend à l’épicerie, plusieurs personnes se garent sur le parking pour surveiller le magasin tandis qu’une autre équipe suit la personne dans l’épicerie, jetant même un coup d’œil dans son caddie pour signaler ce qu’elle achète. C’est grave. La cible est également surveillée par téléphone (écoute via le FBI) et chaque fois qu’elle prend un rendez-vous par téléphone, il est certain que plusieurs Infragard sont présents dans la salle d’attente pour l’observer. Le centre de fusion peut même informer le médecin que la personne est sous surveillance et qu’il doit avoir accès à son dossier médical. Certains médecins obtempèrent. La famille ou les amis qu’il fréquente seront également surveillés, peut-être même menacés, et plusieurs Infragard seront stationnés dans le voisinage pour garder un œil (et une oreille) sur chaque visite. Toute autre personne passant par là verra sans aucun doute sa plaque d’immatriculation enregistrée et fera l’objet d’une enquête. Et tous les voisins de la cible, ainsi que les voisins de ses amis et de sa famille, seront informés que cette personne suspecte fait l’objet d’une enquête. Parfois pour des crimes sans nom, parfois pour des crimes qui n’ont jamais eu lieu.

Mais qu’est-ce qui place une personne sur cette liste de surveillance ? S’agit-il d’immigrants récents du Moyen-Orient ayant des liens douteux avec des terroristes potentiels ? Des personnes ayant des liens douteux avec l’étranger ? Curieusement, il n’y a pas beaucoup de personnes qui s’appellent Abdul ou Fatima sur la liste de surveillance du FBI/Fusion Center/Infragard, mais plutôt Bob, Mary, Steve, Susan, Leon, Tawanda…. Et quelques Josés et Marias, ainsi que quelques noms orientaux symboliques de personnes dont les familles sont ici depuis toujours.

Comment sommes-nous passés de la création d’un réseau de centres de fusion et d’une armée secrète et permanente de citoyens, ostensiblement en raison d’une menace émanant d’« extrémistes musulmans », au harcèlement total de nos voisins par des agents de surveillance ? Nombreux sont ceux dont les familles sont installées ici depuis des décennies, voire des siècles. Et si vous ne pensez pas qu’une telle surveillance concertée par des civils n’est pas évidente pour la cible, vous vous trompez. Il s’agit donc bien de harcèlement.

Si, dans le cadre d’une véritable opération de renseignement, vous surveillez quelqu’un de manière maladroite et évidente, vous vous attendez à ce que ce que vous espériez voir ne se produise pas en raison de l’incompétence manifeste des agents. Quel est donc l’intérêt d’une telle activité ? Vous avez grillé votre couverture. Vous avez alerté la personne supposée suspecte sur le fait que ses activités font l’objet d’un examen minutieux. L’objectif n’est manifestement pas de recueillir des preuves, mais plutôt d’intimider et de harceler la personne visée. Mais dans quel but ? L’une des réponses est de pousser la personne à agir pour que la loi puisse lui sauter dessus et lui dire : « Vous voyez, on vous l’avait bien dit ! ». Voilà, ils ont créé un faux récit pour soutenir la théorie ridicule de la « pré-criminalité » selon laquelle ils peuvent prédire les criminels et donc certaines personnes qui semblent innocentes, devraient néanmoins être arrêtées avant qu’elles ne commettent inévitablement un crime. « Faites-nous confiance, nous avons une “formule infaillible” scientifique ».

Mais le véritable objectif ne serait-il pas de former une armée secrète de drones irréfléchis et de zélotes émotionnellement immatures au sein de la population afin d’intimider et de brimer absolument n’importe qui, au pied levé, sans aucune raison discernable ? Comment mieux terroriser une nation et « garder secrètement les gens dans le droit chemin » tout en prétendant qu’ils ont tous les droits constitutionnels qu’ils ont toujours eus… à moins qu’ils n’essaient de les utiliser ? Cela ressemble-t-il aux Chemises brunes de l’Allemagne fasciste ou aux « escouades rouges » des pays communistes qui gardent leurs citoyens captifs dans le droit chemin ?

La Cour FISA est la pierre angulaire du programme des cellules terroristes citoyennes dirigées par le FBI et le Centre de fusion. La Cour FISA est un tribunal secret où le FBI présente des preuves qu’une certaine personne mérite d’être surveillée en raison d’accusations largement infondées et peut-être d’un soupçon de preuve ou peut-être pas. Puisque les tribunaux contournent le 4e amendement — le droit de chaque citoyen de savoir SI il a été accusé d’un crime, QUEL crime, et accusé par QUI — le FBI est également chargé de présenter à la cour d’éventuelles circonstances atténuantes, puisque la cible ne peut pas le faire. Quelle est la probabilité que cela devienne une réalité ? D’après l’expérience passée, c’est peu probable.

Selon Bernhoft.law, ils ont découvert, au cours de la phase de découverte d’un procès défendant le propriétaire d’une entreprise de cloisons sèches, que lorsqu’une entité puissante comme l’IRS (ou, sans doute, toute agence fédérale) veut poursuivre quelqu’un mais n’a pas de « motif », elle demande au principal centre de fusion secret un dossier de « construction parallèle » (falsifié) sur la personne afin de pouvoir la poursuivre, en l’occurrence pour dépouiller un innocent de ses biens. L’espoir est que les accusations falsifiées soient si décourageantes que la personne « acceptera ».

Maintenant, si l’on tient compte de l’argent et des efforts fédéraux investis dans les Centres de Fusion à l’échelle nationale, de leur vaste réseau civil Infragard de mouchards et de harceleurs de l’armée secrète permanente (payés par l’argent des contribuables), du pouvoir et du contrôle soudains des fiefs locaux offerts à des habitants peu avertis, de l’argent qui se déverse dans les régions où les mouchards stimulent l’économie grâce à un afflux soudain d’argent disponible, en particulier dans les entreprises qui « s’associent » à Infragard, c’est-à-dire qui reçoivent l’argent des contribuables pour fournir des services et des produits discrets à l’armée de mouchards, on obtient une industrie artisanale en plein essor, à la recherche de cibles. Les entreprises qui « s’associent » à Infragard, c’est-à-dire qui reçoivent l’argent des contribuables pour fournir des services et des produits clandestins à l’armée des mouchards, se retrouvent avec une industrie artisanale de harcèlement en plein essor, à la recherche de cibles… de n’importe quelles cibles.

Absolument n’importe qui fera l’affaire. Il n’est pas nécessaire d’avoir des liens ou des penchants terroristes.

Il s’agit donc d’un système frauduleux de surveillance des terroristes mis en place pour détourner des milliards de dollars des contribuables de la sécurité nationale des États-Unis et les transformer en un système d’enrichissement rapide pour les seigneurs des centres de fusion et des Infragard, ce qui permet aux personnes sous-qualifiées, non qualifiées et immorales de mener un style de vie relativement somptueux en s’attaquant à leurs voisins innocents, alors que leurs propres capacités, talents ou éthique de travail n’auraient jamais pu être exploités au cours de leur vie. Ils sont plus qu’heureux de ruiner la vie de Jean Dupont pour une nouvelle tondeuse à gazon autoportée ou des billets de saison, tandis que la vie de Jean Dupont subit des campagnes de calomnie et de diffamation qui lui font perdre des promotions, voire son emploi, peut-être même sa maison et sa famille, et certainement son statut social au sein de la communauté puisqu’il est désormais rejeté et devient un paria. Lui et les autres victimes de ce réseau deviennent des boucs émissaires et la nouvelle classe des « intouchables » en Amérique. Les centres de fusion (la Gestapo américaine) et leurs « exécuteurs » Infragard font comprendre non seulement aux forces de l’ordre que ces cibles doivent être privées de leurs droits fondamentaux, mais aussi à l’ensemble de la ville, qui doit s’aligner sur le programme, sous peine de subir le même sort.

Depuis de nombreuses années, des voix s’élèvent dans le désert pour crier que quelque chose ne va pas, mais l’establishment de la sécurité intérieure s’est empressé de diffuser, par l’intermédiaire d’experts en santé mentale et de forces de l’ordre complaisants, le discours selon lequel « si quelqu’un parle de harcèlement de groupe, il faut le faire taire parce qu’il délire ». Bien entendu, lorsque le nombre de personnes dénonçant le harcèlement collectif est devenu alarmant, le discours officiel s’est soudain transformé en « délire de masse », dont le concept est lui-même délirant. Une fois que vous avez de nombreuses personnes de différents lieux, âges, ethnies, religions, croyances, races, éducation, statut social, domaines de carrière, épousant à 80-90 % les mêmes expériences, il devient logiquement et statistiquement impossible de rejeter la similitude de leurs affirmations comme étant autre chose que le résultat d’un programme étroitement géré, militairement précis et exécuté par une méga-autorité.

Non seulement des innocents sont jetés sur la liste frauduleuse de surveillance des terroristes pour alimenter une « industrie » superflue de l’État policier, mais d’autres industries, sociétés, entreprises, et même des militaires et des entrepreneurs se sont « associés » à Infragard pour utiliser ces « personnes suspectes » comme sujets d’expérimentation et boucs émissaires afin de faire avancer leurs propres programmes de guerres frauduleuses profitables et sans fin et/ou de procédures médicales extrêmes. Grâce à des tours de passe-passe juridiques et à des interprétations erronées de la « loi » (inconstitutionnelle) de l’après 11 septembre, l’entreprise secrète de la sécurité nationale a déclaré que toute personne suspecte (sans motif valable) était un « terroriste » et qu’elle était donc secrètement privée de tous ses droits, qu’ils soient constitutionnels, civils ou humains. Les terroristes, voyez-vous, peuvent être assassinés, n’importe où, n’importe quand. Mais ni les moyens d’assassinat, ni le temps nécessaire pour le faire ne sont soumis à des restrictions ou à des spécifications. C’est ainsi que des masses d’innocents déclarés terroristes par un accord entre le FBI et la Cour FISA ont été classés dans la catégorie des spécimens biologiques non humains. Oui, vous avez bien lu, des échantillons biologiques non humains et non consensuels. N’importe qui, n’importe où, peut être déclaré comme tel.

Vous déposez une plainte ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vos volets sont peints d’une couleur qui déplaît à votre voisin ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous critiquez un programme de l’école de votre enfant ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous avez un problème médical spécifique ou un patrimoine génétique que quelqu’un pourrait vouloir « explorer » ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous refusez des avances sexuelles inappropriées ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous l’avez compris, la matrice frauduleuse de la liste de surveillance des terroristes a donné naissance à un cauchemar dystopique de tyrans sadiques dont l’objectif est la traite humaine de tous ceux qui ne font pas partie de leur culte parasitaire.

En ce moment, vous avez une très petite opportunité d’agir pour vous défendre, défendre vos enfants, vos petits-enfants et l’avenir de la civilisation et de l’humanité.

[…]

Karen Stewart

Karen Melton Stewart a travaillé pendant 28 ans comme analyste du renseignement avec une habilitation de sécurité Top Secret pour la National Security Agency (NSA) lorsqu’elle a été soudainement calomniée, diffamée et forcée de partir après avoir dénoncé un pot de miel mis en place au sein de la Direction générale de l’Armement et de l’Espace de la NSA par un groupe de sécurité et un bureau de l’Inspection Générale compromis afin de piéger et de faire chanter les cadres supérieurs. La NSA a tellement cherché à la détruire pour la faire taire qu’elle [la NSA] a demandé aux centres de fusion du FBI de la cibler en tant que « terroriste », y compris en utilisant des armes électroniques, pour avoir simplement demandé pourquoi une autre femme avait été récompensée pour son travail primé sur un projet sauvant des milliers de vies et avait bénéficié d’une double promotion pour cela.




Totalitarisme onusien en vue si l’OMS obtient le contrôle total de la médecine

[Source : businessbourse.com]

Selon la Dr Meryl Nass, l’OMS, agence de l’ONU, est en train de concocter un « Règlement Sanitaire International » ABSOLUMENT DYSTOPIQUE !

La Dr Meryl Nass est une experte en vaccins. Elle a témoigné à plusieurs reprises devant le Congrès. La Dr Nass a mis en garde contre les dangers du vaccin contre le CV19. Des quantités massives de décès et d’invalidités ont été documentées dans le monde entier, causées par ce que de nombreux médecins considèrent comme de simples injections d’armes biologiques. Dès le début, la Dr Nass était partisane du traitement du Covid avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, avec des résultats exceptionnels pour ses patients. Pour cela, sa licence médicale a été suspendue dans l’État du Maine il y a deux ans. Cela n’a pas empêché la Dr Nass de se battre pour faire connaître le mal causé par les vaccins contre le CV19. Juste au moment où vous pensez que c’est fini et que nous pouvons tous revenir à la normale, la Dr Nass met en garde contre un projet mondial encore plus diabolique qui vise à prendre le contrôle de votre santé (et de votre vie) lors de la prochaine pandémie. L’ONU et l’OMS souhaitent le faire d’ici mai 2024. Voici ce que la Dr Nass explique : « L’OMS est une agence relevant de l’ONU. Un document, qui n’a jamais existé auparavant, s’appelle un “Traité sur la Pandémie”, et ils sont en train de le rédiger en ce moment. L’autre est un document ordinaire appelé “Règlement Sanitaire International”. Ce qui s’est passé, c’est qu’ils veulent utiliser ce document et le modifier massivement. Ils veulent changer complètement le contenu du document et le transformer en ordres auxquels toutes les nations du monde devront obéir. La personne qui donne les ordres est le Directeur général de l’OMS. Ce directeur peut déclarer une pandémie dans toutes les circonstances qu’il veut… Cela donne au directeur général de l’OMS un pouvoir énorme pour dicter les modalités de santé à suivre et surtout concernant n’importe qui dans le monde… Ils veulent avoir la possibilité de vous imposer des vaccins à l’avenir contre les pandémies qu’ils déclarent à volonté, sans aucune norme sur ce que cela implique. Ils veulent avoir la Droit de refuser des médicaments et de faire taire votre médecin. Ainsi, le directeur général de l’OMS, Tedros, qui n’a pas de diplôme en médecine, deviendrait le médecin du monde. »

La Dr Nass poursuit en avertissant que si l’OMS obtient ce pouvoir, elle pourra vous forcer à prendre n’importe quel vaccin qu’elle souhaite vous administrer. Les personnes blessées ou tuées n’auraient aucun recours, car toutes les personnes impliquées bénéficieraient d’une protection contre toute responsabilité. En outre, Nass soutient que l’OMS aurait la Droit de censurer toute personne, dans n’importe quel pays, qui donne un avis différent sur les vaccins ou les options de traitement utilisés pour la prochaine pandémie. En bref, aucune liberté d’expression ne sera autorisée si elle n’est pas un discours approuvé par l’ONU.

Lors de la prochaine pandémie, davantage de vaccins seront développés plus rapidement, sans essais sur les animaux. Au lieu de mettre au point un vaccin qui, ce qui prend plus de 10 ans, ils veulent un nouveau vaccin matérialisé en quatre mois seulement. C’est vrai, quatre mois !!! La Dr Nass (encore une fois, un expert en vaccins) prévient : « La FDA a effectivement accordé une licence à certains de ces vaccins contre le CV19, mais n’a utilisé aucune de ses normes normales. Ce fut un désastre total. Ce qu’ils veulent faire la prochaine fois, c’est créer un vaccin en 100 jours et le déployer auprès de l’ensemble de la population en 130 jours. Quatre mois et une semaine, et ils veulent déployer le prochain vaccin dans le monde entier. C’est complètement fou ! Il n’y aurait aucun moyen d’évaluer si cela fonctionne ou si c’est sûr en 130 jours. C’est ça le véritable projet. C’est le projet de l’OMS et du gouvernement américain, du G7, du G20, de l’UE et ils ont tous dit qu’ils voulaient un vaccin en 100 jours. Ils ont également mis en place tous ces documents pour mettre en place un système permettant de dégager la responsabilité des fabricants… Vous n’avez aucun moyen non plus de poursuivre l’OMS. Ils n’ont absolument aucun compte à rendre au public.

La Dr Nass ajoute que le gouvernement fédéral et l’administration Biden n’ont pas la Droit de superviser les soins de santé. Les soins de santé relèvent de la responsabilité des États, et la Dr Nass affirme que c’est là que l’OMS peut être arrêtée pour ses projets “désastreux”.

Source : usawatchdog.com




Auroville, quelle est cette cité « modèle » qui est en train de sombrer dans l’autoritarisme ?

[Source : ouest-france.fr]

Par Côme BASTIN

Auroville se veut une ville alternative fondée sur la spiritualité. L’harmonie de cette cité utopique indienne, proche de Pondichéry, se fissure cependant depuis 2021. Elle est désormais sous la coupe d’une nouvelle dirigeante, nommée par les nationalistes hindous au pouvoir, qui ne fait aucun cadeau à ceux qui s’opposent à son projet d’urbanisation.

Des arbres s’effondrent sous les coups des tronçonneuses et des bulldozers. « Vous n’avez pas le droit, vous allez contre la volonté des résidents d’Auroville ! », s’écrie une femme, pendant que d’autres filment. Certains ont déposé des fleurs sur les troncs éventrés. Dans les vidéos qui circulent sur cette ville indienne, la tension est palpable.

Une ville alternative fondée sur la spiritualité

Des scènes qui se multiplient depuis que le gouvernement indien a posté une nouvelle secrétaire à la tête de la fondation d’Auroville (une sorte de municipalité). Ses grands projets d’infrastructure suscitent l’opposition d’une bonne partie des Aurovilliens, qui l’accusent d’autoritarisme et de saccage écologique.

Les projets de routes à Auroville provoquent la déforestation et la colère de nombreux résidents.
(Photo : Côme Bastin)

Lancée en 1968 par la mystique française Mirra Alfassa, proche du philosophe indien Sri Aurobindo, Auroville se veut une ville alternative fondée sur la spiritualité plutôt que l’argent ou la nationalité. À proximité de Pondichéry, elle s’étend sur 20 km2, sous une canopée de millions d’arbres plantés sur un terrain autrefois aride.

Près de 500 Français

Au fil du temps, elle a attiré quelque 3 500 résidents indiens et du monde entier, dont près de 500 Français. Ils s’investissent dans les multiples projets sur place : architecture écologique, école à pédagogie alternative, centre de méditation, mais aussi entreprises dans le recyclage, le textile ou la reforestation, qui emploient de nombreux locaux dans l’État du Tamil Nadu.

L’harmonie de ce petit bout de paradis se fissure cependant depuis 2021. Jayanti Ravi, la nouvelle secrétaire, entend construire une route périphérique de 20 mètres de large qui passe au milieu de nombreuses plantations et constructions. Ceci doit servir le plan de croissance urbaine d’Auroville, qui doit, à terme, accueillir 50 000 habitants.

« Ce beau projet se transforme en régime autoritaire »

Confrontée à une fronde, la secrétaire a peu à peu mis la main sur les organes de gouvernance d’Auroville, autrefois représentatifs de la voix des habitants. Taxés « d’éléments antinationaux », certains étrangers « dissidents », qui vivaient là depuis toujours, ont été expulsés, comme le Français Satprem Maïni, figure historique d’Auroville, dont il dirigeait l’Institut de la Terre.

La nouvelle secrétaire entend construire une route périphérique de 20 mètres de large
qui passe au milieu de nombreuses plantations et constructions.
(Photo : Côme Bastin)

Saisi par les habitants, le tribunal environnemental indien avait ordonné l’arrêt des travaux, mais la Cour suprême du pays a récemment fait sauter ce verrou. L’abattage d’arbres a donc redoublé. « Certains avaient été plantés il y a plus de vingt ans, dans le cadre d’un projet financé par la Commission européenne », se désole une anonyme. Un trafic de terrains au profit de promoteurs est aussi dénoncé.

Selon les locaux, le chantage au visa, les pressions judiciaires musellent peu à peu les voix dissonantes. « Récemment, la fondation d’Auroville a fait passer sous sa coupe le comité chargé des admissions et des départs », témoigne un Français né sur place. « Ce beau projet basé sur la liberté se transforme en régime autoritaire, dans un climat de peur incompatible avec ses idéaux fondateurs. »


Voir aussi :

En Inde, une cité utopique menacée par l’État

https://reporterre.net/En-Inde-une-cite-utopique-menacee-par-l-Etat

Fondée en 1968, Auroville, cité expérimentale engagée dans l’écologie, compte 3 600 habitants d’une cinquantaine de pays. Mais le plan de croissance imposé par l’État indien menace un équilibre fragile.




« Le monde se radicalise, nous n’avons plus que 2 possibilités »

[Source : Epoch Times France]

Une vision du leadership qui consiste à « grandir en faisant grandir les autres » et qui s’appuie sur deux grandes vertus : la magnanimité et l’humilité :

« La vraie grandeur c’est la croissance des hommes et non pas la conquête d’un empire. […] Le leadership est un idéal de vie placé tout entier sous le signe de la grandeur et de l’épanouissement de la personnalité humaine. »

Pour Alexandre Havard, si l’homme moderne parle beaucoup de liberté, il en a pourtant perdu le sens véritable :

« L’homme possède une volonté libre : il est capable de faire des choix. Au-delà, toutefois, de cette liberté de base — de cette volonté libre — il existe une liberté supérieure : la liberté du cœur. »

« Un cœur libre est un cœur qui a une capacité que bien des gens n’ont pas : celle de percevoir ces valeurs transcendantes que sont le Beau, le Bien, le Vrai et d’y répondre immédiatement », souligne-t-il. « Aujourd’hui, beaucoup de gens vivent uniquement de la volonté et de l’intelligence. […] Le cœur, l’intelligence et la volonté sont trois facultés spirituelles qui se complètent et doivent constamment être en interaction. »

Selon lui, le cœur constitue d’ailleurs « la partie la plus complexe, mais aussi la plus riche de la personnalité humaine ».

« Les vérités du cœur, les vérités intuitives, sont plus souvent certaines que les vérités rationnelles, même mathématiquement démontrables. Mais surtout, et voilà ce qui est important, elles sont presque toujours plus fondamentales et plus nécessaires à notre croissance personnelle et à notre bonheur. »

Pour Alexandre Havard, il est primordial de « bonifier notre cœur » et de produire des sentiments qui nous élèvent : « L’éducation du cœur passe par l’expérience de la grandeur. Et la grandeur, la plupart du temps, on la découvre dans les réalités ordinaires de la vie. Il suffit de savoir observer. »

D’après lui, notre civilisation a d’ailleurs « enterré le cœur parce qu’elle ne connaît d’autre loyauté que la soumission aux slogans idéologiques. »

Si le XXe siècle a été marqué par la lutte contre deux grands totalitarismes, le communisme et le nazisme, Alexandre Havard estime que « les démons de l’idéologie envahissent à nouveau le monde » et que nous sommes confrontés à l’émergence d’un nouveau phénomène totalitaire :

« Nous rentrons dans la noirceur la plus totale, dans les ténèbres. Ce qui se passe actuellement n’est qu’un petit reflet de ce qui vient. »

« Des choses incroyables et bien pires que jadis sont possibles. Les hommes d’aujourd’hui semblent beaucoup moins préparés pour ce qui arrive. Nous rentrons dans le monde de l’idéologie et nous allons beaucoup souffrir. Il va falloir faire attention à notre conscience, il va falloir mener une vie héroïque. »

Selon Alexandre Havard, il est nécessaire de faire des choix et de saisir chaque opportunité de nous élever :

« Quand une société se radicalise, comme nous sommes en train de le voir en Occident, il n’y a plus que deux possibilités. Il n’y a plus de voie intermédiaire. »

« Ce n’est pas le monde qui va faire de nous ce que nous allons devenir, ce sont les décisions personnelles que nous allons prendre. Les gens mûrs peuvent toujours grandir, quelles que soient les circonstances. »

Retrouvez l’actualité d’Alexandre Havard : https://hvli.org/fr/

00:00 Introduction

02:11 Qu’est-ce que la liberté du cœur ? Pourquoi est-elle supérieure ?

18:43 Pourquoi les vérités du cœur ont-elles plus de valeur que celles produites par la raison ?

27:52 En quoi avons-nous enterré le cœur au profit de l’idéologie ? Pourquoi cela nous conduit-il à l’autodestruction ?

39:27 Pourquoi vivre selon sa conscience est-il héroïque ?

50:47 En quoi la souffrance est-elle un instrument privilégié de la formation du cœur ?

01:02:08 Qu’est-ce qui distingue les cultures occidentale et orientale ? En quoi sont-elles complémentaires ?

01:11:17 Pourquoi est-il nécessaire de cultiver nos racines ?

01:18:30 En quoi la culture hédoniste est-elle nuisible ?

01:23:21 En quoi les orientations fondamentales de notre existence se forgent-elles dès l’enfance ?

01:30:58 En quoi l’égalitarisme est-il néfaste ?

01:36:08 Que disent les crises que nous traversons de l’état du monde moderne ?




Extension et soutien européen de la grève des agriculteurs allemands

« Trop c’est trop »  : le mouvement des agriculteurs allemands s’intensifie

Mise à jour 10/01/2024


Mise à jour 09/01/2024


Mise à jour :

Déferlement de la colère des agriculteurs allemands jusqu’au blocage du pays  ?

https://www.francesoir.fr/politique-monde/deferlement-de-la-colere-des-agriculteurs-allemands-jusqu-au-blocage-du-pays

Par Lauriane Bernard, France-Soir

Ce lundi 8 janvier, le mouvement « Zu viel ist zu viel » (“Trop, c’est trop”) se déploie à travers toute l’Allemagne. Bien que le gouvernement ait partiellement reculé le jeudi 4 janvier sur la suppression des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR), les agriculteurs allemands ne décolèrent pas. Des blocages routiers et autoroutiers se profilent alors que la fédération des transports appelle à suivre le mouvement.

Comme expliqué dans notre précédent article, la Cour constitutionnelle allemande a retoqué le budget 2024 présenté par Olaf Scholz en novembre. Forcé d’opérer des coupes budgétaires, le chancelier a opté pour la suppression d’allègements fiscaux sur le diesel agricole et sur l’impôt sur les tracteurs, ce qui a déclenché la colère des agriculteurs dès décembre. 

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[Illustration : Tracteurs stationnés sur la Pariser platz, non loin de la Porte de Brandebourg, Berlin, 18 décembre 2023.
 John MacDougall]

[Source : francesoir.fr]

Par Lauriane Bernard, France-Soir

La fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR) déclenche la colère des agriculteurs allemands, qui devraient être bientôt rejoints par les cheminots et les routiers. Le mouvement de manifestation « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») s’intensifie. Une vague de manifestations sans précédent est annoncée pour le 8 janvier prochain.

Le 18 décembre dernier, plus de 1 500 tracteurs ont bloqué la circulation des rues de Berlin. Depuis, des centaines d’engins agricoles circulent dans de nombreuses autres villes allemandes.

Fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR)

À l’instar de la France, l’Allemagne se dirige vers la fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR). Dans l’Hexagone, Bruno Le Maire, soucieux de favoriser les investissements verts, a annoncé dès septembre qu’il fallait s’attendre à une défiscalisation progressive du carburant de 2024 à 2030. De l’autre côté du Rhin, on mise plutôt sur la fin des subventions, mais pour des raisons budgétaires.

En novembre, la Cour de justice de Karlsruhe a tapé sur les doigts de la coalition dirigée par Olaf Scholz. Le chancelier s’était mis en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique. Sauf que pour la Cour suprême allemande, ces 60 milliards d’euros, initialement destinés à amortir l’impact économique du Covid, ne pouvaient être dépensés pour autre chose.

Et depuis cette suppression massive de crédits, c’est le casse-tête. Non seulement contraint par la règle constitutionnelle du « frein à l’endettement » qui limite le déficit budgétaire annuel du pays à 0,35% du PIB, le gouvernement souhaite combler les trous dans le fonds de financement pour la transition écologique. Le coupable n’est-il pas tout trouvé ?

Quitte à rogner sur certaines dépenses, autant commencer par les allègements fiscaux qui favorisent la consommation d’énergies fossiles, au grand dam des agriculteurs, qui ne moissonnent pas encore en tracteur électrique.

« Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop »)

Peut-être un brin inspiré par le bon mot de leurs voisins, qui scandent : « On marche sur la tête ! » à travers les campagnes de France, mais surtout par le mouvement de révolte initié par les agriculteurs hollandais, les paysans allemands défilent par centaines depuis la mi-décembre à bord de leurs tracteurs en arborant le slogan : « Trop, c’est trop » (« Zu viel ist zu viel »).

Leurs revendications sont claires. D’après un article paru dans le Berliner Zeitung du 28 décembre, ils comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité. M. Joachim Rukwied, président de l’Union des agriculteurs allemands, appelle à une semaine d’action à partir du 8 janvier. Une grande manifestation est programmée à Berlin le 15 janvier, juste avant que la commission budgétaire du Bundestag n’arrête le budget fédéral pour 2024.

Mais la colère ne se cantonne déjà plus au monde agricole. Elle a aussi gagné les cheminots et les routiers, qui veulent se joindre au mouvement. Et risque de faire traînée de poudre et se propager aux restaurateurs. Malgré la promesse de campagne du candidat Scholz de ne pas augmenter la TVA une fois élu, la taxe sur les denrées alimentaires vient de passer de 7 à 19 % le 1er janvier. L’ancien gouvernement avait réduit la TVA il y a trois ans pour sauver les restaurants de la faillite pendant l’épidémie de Covid. Il semblerait qu’il soit désormais temps de payer l’addition.





Qui propulse Attal ?

[Source : UPR]




Exemple d’art de la fédération de Russie

[Source : UUTAi]

Par Olena UUTAi

Spectacle en direct avec tambour chamanique et khomus yakoute (guimbarde) dans la ville de Salekhard (Fédération de Russie). Fusion de sons anciens et de technologies modernes. La musique ethnique est éternelle.




Qui dirige vraiment les États-Unis ? 

[Source : Tocsin]





En Nouvelle-Zélande, cette députée maorie sidère le parlement avec son premier discours enflammé

[Source : LeHuffPost]




Stocks de vaccins anti-covid détruits en Europe

[Source : Ciel Voilé]






Analyse de l’affrontement à Gaza

[Source : voltairenet.org]

Entretien de Thierry Meyssan avec Monika Berchvok

Thierry Meyssan, qui accorde des interviews à tous ceux qui le lui demandent sans discrimination, a expliqué à Monika Berchvok son analyse de l’affrontement à Gaza.

Monika Berchvok : Pour vous, la thèse d’une attaque-surprise le 7 octobre est difficile à croire. Quelles sont les incohérences qui vous font penser à un scénario à la 11 septembre ?

Thierry Meyssan : Le gouvernement de coalition de Benjamin Netanyahu avait été alerté par un rapport des services de Renseignement militaires un an auparavant, ainsi que l’a relaté le New York Times. Il n’a pas réagi. Lorsque, cet été, son ministre de la Défense l’a rappelé à l’ordre en Conseil des ministres, il l’a révoqué, ainsi que l’a révélé Haaretz. Cependant, sous la pression de son parti, il l’a réintégré peu après.

Par la suite des rapports se sont entassés sur son bureau. Parmi ceux-ci un des Renseignements, qu’il a retourné à son auteur comme peu crédible, et qui lui a été renvoyé deux autres fois avec des introductions d’officiers différents.

Ou encore deux rapports de la CIA. Et encore une démarche d’un de ses amis personnels, le directeur du Memri. Et comme si cela ne suffisait pas, un appel téléphonique du ministre du Renseignement égyptien.

Non seulement le Premier ministre n’a rien fait, mais il a agi pour rendre cette attaque plus facile : il a pris l’initiative de démobiliser les gardes-frontières de sorte que personne n’a pu intervenir lorsque l’attaque a débuté.

Notez bien que j’ai la même lecture des événements que le pape François : lors de son message de Noël, le Saint-Père a qualifié, par deux fois, la guerre à Gaza de « folie sans excuses ». Pourtant, peu après, il a évoqué l’« odieuse attaque du 7 octobre », signifiant qu’il ne pensait pas que la guerre israélienne était une riposte à cette attaque. Il a alors demandé un arrêt des combats et la résolution de la question palestinienne.

MB : Au sein du pouvoir israélien, il y aurait donc une fracture aussi importante ? Le clan Netanyahu aurait quel but dans cette opération ?

TM : Durant les mois qui ont précédé l’attaque de la Résistance palestinienne, Israël a été le théâtre d’un coup d’État. Ce pays n’a pas de Constitution, mais des lois fondamentales. Elles régissent un équilibre des pouvoirs en confiant à la Justice la capacité de neutraliser les rivalités entre le gouvernement et la Knesset.

Sous l’impulsion du Law and Liberty Forum, financé par le straussien états-uno-israélien Elliott Abrams, la commission des Lois de la Knesset, présidée par Simtcha Rothman, par ailleurs président du Law and Liberty Forum, a détricoté les institutions israéliennes. Durant l’été, les manifestations monstres se sont multipliées. Mais rien n’y a fait. L’équipe Netanyahu a modifié les règles d’adoption des lois, éliminé la clause de « raisonnabilité » des décisions judiciaires, renforcé le pouvoir de nomination du Premier ministre, et affaibli le rôle des conseillers juridiques des ministères. En définitive, la Loi fondamentale sur la Dignité humaine et la Liberté est devenue un simple règlement. Le racisme est devenu une opinion comme une autre. Et les ultra-orthodoxes ont pu se goinfrer de subventions et privilèges divers.

Israël aujourd’hui n’est plus du tout le même pays qu’il y a six mois.

MB : La société civile israélienne est divisée et semble à bout de souffle. Pensez-vous que le modèle sioniste est mort ?

TM : Le sionisme est une idéologie d’un autre siècle. Il s’agit d’un nationalisme juif au service de l’Empire britannique. Durant des siècles, les juifs s’y sont opposés avant que Theodor Hertzl n’en fasse l’idéal de certains d’entre eux.

MB : La situation à Gaza est en train de virer à l’épuration ethnique. Tsahal, est-il capable de prendre totalement le contrôle de ce territoire et de le vider de sa population ?

TM : L’idée d’une épuration ethnique n’est pas neuve. Elle s’enracine dans les positions de l’Ukrainien Vladimir Jabotinsky dont, en Israël, Menahem Begin, Yitzhak Shamir et la famille Netanyahu se réclamaient comme, aux États-Unis, Leo Strauss et Elliott Abrams. Ce groupe, suprémaciste juif, affirme que la Palestine est « Une terre sans peuple, pour un peuple sans terre ». Dans ces conditions, les autochtones palestiniens n’existent pas. Ils doivent partir ou être massacrés.

C’est, à ma connaissance, aujourd’hui, le seul groupe au monde qui préconise publiquement un génocide.

MB : Côté Palestinien, le Hamas semble aussi divisé entre deux tendances antagonistes ?

TM : Le Hamas est la branche palestinienne de la Confrérie des Frères musulmans. Son nom est l’acronyme de « Mouvement de la Résistance islamique », ce qui correspond au mot arabe « zèle ». Son idéologie n’a rien à voir avec la libération de la Palestine, mais avec l’établissement d’un Califat. Son slogan est : « Dieu est son objectif, le Prophète est son modèle, le Coran sa constitution : le jihad est son chemin et la mort pour l’amour de Dieu est le plus élevé de ses souhaits. » Depuis sa création, il bénéficie de toute l’aide de la famille Natanyahu qui voyait en lui une alternative au Fatah laïque de Yasser Arafat. Le prince de Galles et actuel Charles III a été un des protecteurs de la Confrérie. Barack Obama, a placé un agent de liaison de la Confrérie au sein du Conseil national de sécurité états-unien. Un dirigeant de la Confrérie a même été reçu à la Maison-Blanche en juin 2013.

Cependant, au vu de l’échec des Frères musulmans durant le prétendu « printemps arabe », une faction du Hamas a pris ses distances avec la Confrérie. Il n’y a donc plus un Hamas, mais deux. Le Hamas historique est gouverné par Mahmoud Al-Zahar, Guide la Confrérie à Gaza. Sous ses ordres, le milliardaire Khaled Mechaal au Qatar et Yahya Sinwar à Gaza. Au contraire, la branche du Hamas ayant rejoint la Résistance palestinienne est dirigée par Khalil Hayya.

Cette division du Hamas n’est pas couverte par les médias occidentaux, mais uniquement par certains médias arabes. Le président Bachar el-Assad s’est réconcilié, en octobre 2022, avec Khalil Hayya alors qu’il a refusé de recevoir Khaled Mechaal. À ses yeux, et aux miens, le Premier ministre de Gaza, Ismaïl Haniyyeh, a organisé l’attaque de la ville de réfugiés palestiniens en Syrie, Yarmouk, en 2012. À l’époque, les combattants du Hamas et ceux d’Al-Qaïda étaient entrés dans la ville pour éliminer les « ennemis de Dieu ». Ils étaient encadrés par des officiers du Mossad israélien et se sont dirigés vers les demeures des cadres du FPLP, qu’ils ont assassinés. Parmi eux, un de mes amis. Le président Bachar el-Assad vient, il y a quelques jours, de prononcer un discours contre le Hamas historique et pour celui qui a rejoint la Résistance palestinienne.

MB : Que représente l’authentique résistance palestinienne pour vous ?

TM : La Résistance palestinienne n’a rien à voir avec l’obscurantisme des Frères musulmans, ni avec l’opportunisme des milliardaires du Hamas. C’est un mouvement de libération nationale face au colonialisme des suprémacistes juifs.

MB : Pouvez-vous revenir sur l’histoire de la Confrérie des Frères Musulmans. Cette société secrète tente-t-elle de revenir dans le jeu après ses défaites en Syrie et en Egypte ?

TM : La Confrérie a été fondée, en 1928, par Hassan el -Banna, en Égypte. J’ai consacré une partie de mon dernier livre à son histoire internationale. Cependant, je ne suis pas parvenu à éclaircir les soutiens dont elle a bénéficié à ses débuts. Toujours est-il qu’après la Seconde Guerre mondiale, elle est devenue un outil au service du MI6 britannique et bientôt de la CIA états-unienne. Elle s’est dotée d’un « Appareil secret » qui s’est spécialisé dans les assassinats politiques en Égypte. Un franc-maçon égyptien, Sayyed Qutob, est devenu son théoricien du jihad. L’organisation de la Confrérie a été copiée sur celle de la Grande Loge Unie d’Angleterre. La Confrérie s’est étendue au Pakistan avec le gendre d’Al-Banna, Saïd Ramadan, le père de Tariq Ramadan, et le philosophe Sayyid Abul Ala Maududi.

Par la suite, Ramadan est allé travailler à Munich pour la CIA, à Radio Free Europe, aux côtés de l’Ukrainien Stepan Bandera, grand massacreur de juifs.

La Confrérie a débuté son action militaire lors de la guerre du Yémen du Nord, dans les années 60, contre les nationalistes arabes de Gamal Abdel Nasser. Mais c’est avec Zbigniew Brzezinski qu’elle est devenue un acteur indispensable de la stratégie états-unienne en Afghanistan. Ce dernier a placé au pouvoir au Pakistan la dictature frériste du général Zia-ul-Haq et a lancé en Afghanistan, contre les Soviétiques, les combattants du milliardaire frériste saoudien Oussama Ben Laden.

Dans cette période, l’Arabie saoudite utilisait la Ligue islamique mondiale pour armer la Confrérie avec un budget plus important que celui consacré à sa propre armée nationale.

La Confrérie a tenté, en vain, de prendre le pouvoir dans plusieurs États, notamment en Syrie avec l’opération de Hama. Elle s’est impliquée dans la guerre de Bosnie-Herzégovine, où elle a créé la Légion arabe. Oussama Ben Laden est devenu conseiller militaire du président Alija Izetbegovic, dont le straussien états-unien Richard Perle est devenu le conseiller diplomatique et le Français Bernard-Henri Lévy, le conseiller en communication.

Mais le grand œuvre de la Confrérie n’est arrivé qu’avec Al-Qaïda et Daesh. Ces organisations jihadistes, en tout point comparables au Hamas historique, ont été utilisées par la CIA et le Pentagone, principalement en Algérie, en Iraq, en Libye, en Syrie en Égypte et en Tunisie, pour détruire des capacités de résistance des pays arabes,

La France, qui avait donné asile à leurs dirigeants durant la Guerre froide, les a combattus avec l’alliance entre François Mitterrand et Charles Pasqua. Elle a réalisé que le Groupe islamique armé (GIA) n’était qu’une manœuvre britannique pour l’exclure du Maghreb.

Cependant aujourd’hui, personne ne comprend que la Confrérie n’est qu’un outil de manipulation des masses. Nos dirigeants, d’Emmanuel Macron à Jean-Luc Mélenchon, se laissent berner par son discours qu’ils prennent au pied de la lettre. Ils la traitent comme une organisation religieuse, ce qu’elle n’est pas du tout.

MB : Le Qatar à un rôle plus que trouble. Quelle est sa place dans la conspiration ?

TM : Au début, le Qatar s’est placé comme une puissance neutre, apportant ses bons offices. Mais beaucoup se sont inquiétés du fait qu’il héberge la branche politique du Hamas, que certains sont des amis personnels de l’émir et qu’il rémunère les fonctionnaires du Hamas à Gaza.

Le Qatar a répondu qu’il faisait tout cela à la demande des États-Unis comme il l’avait fait pour les Talibans.

En réalité, après qu’Abdel Fattah al-Sissi eut renversé la dictature de Mohamed Morsi, à la demande du peuple égyptien, dont 40 millions de citoyens ont défilé, il a informé l’Arabie saoudite que les Frères préparaient un coup d’État contre le roi Salman. Brusquement la Confrérie, qui avait été choyée durant des années, est devenue l’ennemie du Royaume. Le Qatar a alors publiquement assumé son rôle de parrain de l’islamisme, tandis que le prince héritier MBS tentait d’ouvrir son pays.

Lorsque Donald Trump a prononcé son discours contre le terrorisme à Riyad, en 2017, l’Arabie saoudite a mis en garde le Qatar de cesser immédiatement ses relations avec la Confrérie et ses milices, Al-Qaeda et Daesh. Ce fut la crise du Golfe.

Les choses se sont éclaircies ces jours-ci : l’émir Al-Thani a envoyé une de ses ministres, Lolwah Al-Khater, à Tel-Aviv. Elle a participé au conseil de guerre israélien pour aplanir les difficultés dans l’accord de libération des otages. Mais elle n’a pas compris que le cabinet de guerre comprenait des opposants à la dictature de Benjamin Netanyahu, dont le général Benny Gantz. Elle s’est montrée pour ce qu’elle est : non pas une négociatrice neutre, mais une autorité capable de prendre des décisions au nom du Hamas. C’est pourquoi, à la sortie de cette réunion, Joshua Zarka, directeur général adjoint des Affaires stratégiques du ministère des Affaires étrangères, a déclaré qu’Israël « réglera ses comptes avec le Qatar » dès qu’il aura terminé son rôle de médiateur.

Au sein du cabinet de guerre, l’opposition à Netanyahu a commencé à se demander si tout cela, le coup d’État cet été et l’attaque du 7 octobre, n’était pas une mise en scène de l’administration Biden.

MB : Les États-Unis seraient donc à la manœuvre. Quelle serait la stratégie de Biden dans la région ?

TM : Joe Biden n’a pas toutes ses capacités. Aux États-Unis, il y a même une émission de télévision hebdomadaire sur ses problèmes de santé et ses absences intellectuelles. Dans son ombre, un petit groupe a relancé la stratégie de George W. Bush et Barack Obama : détruire toutes les structures politiques du « Moyen-Orient élargi » à l’exception de celles d’Israël.

C’est ce qui se passe en Libye, au Soudan, à Gaza et que l’on poursuit au Yémen.

L’administration Biden assure vouloir faire cesser le massacre à Gaza, mais poursuit ses livraisons d’obus et de bombes pour qu’il continue. Il prétend vouloir maintenir la liberté de circulation en mer Rouge, mais forme une coalition internationale contre Ansar Allah qu’il qualifie à tort d’antisémite et qu’il affuble du sobriquet de « Houthis » (c’est-à-dire de « bande la famille al-Houthis »). Washington vient de faire annuler la signature du traité de paix au Yémen, sous les auspices des Nations unies. Il relance une guerre qui avait déjà pris fin.

MB : Au regard de ce chaos, quel est le bilan de Trump dans la géopolitique du Proche-Orient ? Son retour pourrait amener une autre voie pour sortir de ce conflit ?

TM : Donald Trump est un ovni politique. Il se réclame de l’ancien président Andrew Jackson (1829-1837) et n’a aucun rapport avec les idéologies républicaine et démocrate. Sa première décision lorsqu’il est arrivé à la Maison-Blanche a été de priver le directeur de la CIA de son siège au Conseil national de Sécurité. Cela a provoqué ses premiers ennuis et la démission forcée du général Mike Flynn.

Donald Trump souhaitait résoudre les problèmes internationaux par le commerce et non par les armes. On peut considérer que c’est une voie illusoire, mais il est le seul président US qui n’a jamais déclenché de guerre. Il a interrompu brutalement l’usage par Washington de proxys terroristes, notamment Al-Qaeda et Daesh. Il a mis en cause le rôle de l’OTAN ; une alliance militaire qui vise selon les mots de son premier secrétaire général à « Garder les Américains à l’intérieur, les Russes à l’extérieur et les Allemands sous tutelle ».

S’il était au pouvoir, il aiderait la majorité des citoyens israéliens à se débarrasser des « sionistes révisionnistes », c’est-à-dire le groupe de Benjamin Netanyahu ; il poursuivrait la mise en application des Accords d’Abraham et mettrait fin au soutien occidental à la Confrérie des Frères musulmans ; il aiderait la majorité des Ukrainiens à se débarrasser de Volodymyr Zelensky et ferait la paix avec la Russie. Etc.

Toutefois, Donald Trump n’est pas encore élu et l’équipe au pouvoir actuellement tente de le contraindre à renoncer à son programme pour pouvoir accéder à la Maison-Blanche.

MB : À terme, l’Occident incarné par l’axe américano-sioniste est-il condamné à mourir ?

TM : Vous qualifiez d’« américano-sioniste » le groupe qui dirigea actuellement l’Occident politique. C’est une manière de voir. Je pense cependant qu’elle n’est pas liée à un État. Il se trouve que ces gens sont au pouvoir aux États-Unis et en Israël, mais ils pourraient l’être ailleurs. Il se trouve qu’ils se réclament du nationalisme juif, mais ils ne sont pas nationalistes. Ces gens sont des suprémacistes. Ils récusent l’égalité entre les personnes humaines et considèrent comme insignifiant de massacrer des masses humaines. Pour eux, « On ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs ».

C’est cette manière de penser qui a provoqué la Seconde Guerre mondiale et ses gigantesques massacres de civils.

Aujourd’hui, de nombreux dirigeants du monde réalisent qu’ils ne sont pas différents des nazis et apportent les mêmes horreurs. Le Tiers-Monde est désormais éduqué et membre des Nations unies. Il ne peut plus supporter le pouvoir de ces gens-là. La Russie aspire à rétablir le Droit international que le tsar Nicolas II avait créé avec le Prix Nobel français Léon Bourgeois lors de la conférence de La Haye, en 1899. La Chine aspire à la Justice et ne tolérera plus de « traités inégaux ».

Il me semble que ce système de gouvernance est déjà mort. Aux Nations unies, la résolution annuelle exigeant la fin du blocus de Cuba a été adoptée par 197 États contre 2 (les États-Unis et Israël). La résolution pour un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza a été adoptée par 153 États, c’est un peu moins, mais l’enjeu est bien plus grand. Quoi qu’il en soit, nous voyons bien qu’une majorité se dégage contre la politique de ces gens. Lorsque la digue cédera, et nous sommes proches de ce moment, l’Occident politique s’effondrera. Nous devons absolument nous détacher de ce radeau avant qu’il ne coule.




Le projet des Frères musulmans

Par Jacques Amiot

[Article écrit vers fin 2019]

La stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le monde

Les Frères musulmans représentent un très grave danger pour le monde et surtout pour la France, en raison principalement, de la naïveté et de la complaisance d’élus dans un premier temps, puis de la connivence jusqu’au plus haut niveau de l’État.

Les auteurs du livre cité dans le titre (Éditions l’Artilleur) affirment que, s’il n’y a pas une réaction rapide et ferme de nos dirigeants, les générations à venir vivront dans la soumission à L’Islam.

Ces deux auteurs, Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi, spécialistes du monde arabo-musulman, ont enquêté pendant 15 ans pour écrire ce livre de plus de 500 pages et arriver à leur conclusion.

Comme nous savons, compte tenu du volume de l’ouvrage, qu’il risque d’être peu lu, nous avons décidé d’en extraire l’essentiel en quelques pages, afin d’éclairer, nos correspondants, nos concitoyens et si possible les élus. Cependant ceux qui liront le livre ne seront pas déçus. En effet, ce court document ne peut pas exprimer toute la richesse de son contenu.

Objectif

L’objectif des Frères musulmans est le règne de la Charia et du Califat sur toute la terre, par la guerre si nécessaire, mais surtout par le prosélytisme et l’entrisme (pénétration d’une structure de manière à en modifier les objectifs et la finalité), Il s’agit d’islamiser le monde par étapes en commençant par l’individu musulman, puis le foyer, le peuple, le gouvernement islamique, le califat pour aboutir à la domination planétaire (Tamkine). Ils sont patients et estiment que le temps travaille pour eux.

La stratégie des Frères musulmans n’est plus secrète, mais son efficacité pour instaurer l’Islam en Occident est très largement sous-estimée.

Historique

Cette stratégie a été initiée en 1928 par Hassan Al-Banna. Son manifeste en cinquante points rédigés en 1936 éclaire sur la nature totalitaire du mouvement. Saîd Ramadan, père de Tarik Ramadan et gendre d’Al Banna, a établi plus tard en Allemagne et en Suisse les premières bases des Frères avec le soutien du banquier suisse François Genoud, héritier du trésor du 3e Reich et sponsor des organisations terroristes pro-palestiniennes.

Plus récemment, on peut citer Youssef-al-Qardaoui, fondateur, président de la plupart des structures des Frères musulmans en Europe, auteur de fatwas justifiant des attentats kamikazes.

Puis les protagonistes de la matrice frériste du jihadisme : Saiyyd Qutb responsable de la Mission des Frères qui a inspiré Oussama Ben Laden, Abduullah Azzam inspirateur d’Al-Qaïda, le Hamas, l’Ayatollah Khomeini et même Mohamed Merah ou les Frères Kouachi.

Organisation islamiste pro-nazie

Hassan Al Banna écrivait « Hitler et Mussolini ont conduit leur pays vers l’unité, la discipline, le progrès et le pouvoir. Ils ont imposé des réformes intérieures et contribué à donner à leurs pays un grand prestige ». Amin al Husseini, le grand Mufti de Jérusalem, missionné par Al Banna, supervisa le recrutement des divisions SS musulmanes, puis conseilla Hitler. Après la défaite Al Banna dira : « L’Allemagne et Hitler ne sont plus, mais Amin al Husseini poursuivra le combat. »

Youssef al-Qardaoui a déclaré sur Al-Jazeera en 2009 : « tout au long de l’histoire, Allah a imposé aux Juifs des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler… et bien qu’ils aient exagéré les faits, il a réussi à les remettre à leur place. C’était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois ce sera par la main des musulmans. »

Mode opératoire

Il est erroné d’opposer les islamistes salafistes (extrémistes) aux islamistes réformistes (modérés) que seraient les Ikwans (Frères musulmans en arabe) qui en fait sont recouverts d’un vernis réformiste. En effet seul la méthode change ; le but est le même : aboutir au califat mondial. Les Ikwans agissent par pénétration progressive (soft power).

Longtemps demeuré secret ce projet a été décrypté par la police égyptienne en 1992 lorsqu’elle a mis la main sur le « document de Tamkine », un texte de 13 pages dont le programme consistait, à travers un réseau d’institutions, à faire accéder par étapes les Ikwans au pouvoir local, régional, national et mondial.

Ils manient constamment le mensonge et la dissimulation (taqiya), licitent dans le coran. Comme par exemple le fait de ne citer que des versets pacifiques du coran de la période mecquoise tout en sachant qu’ils ont été abrogés par des versets belliqueux médinois post-hégire, il y a donc 14 siècles !

Ils sont experts pour se faire passer pour des victimes de la soi-disant islamophobie et du racisme des Européens et notamment de Français, alors qu’il n’y pas pires intolérants qu’eux puisque, tous ceux qui ne sont pas musulmans sont pour eux des mécréants qui, au final, doivent être soumis ou exterminés.

Ils s’instruisent et s’adaptent à notre mode de vie de manière à pouvoir s’insérer dans la société et occuper des postes élevés. Ils maîtrisent parfaitement Internet et les réseaux sociaux ; ils déclarent eux-mêmes qu’ils sont capables de faire la guerre sans arme.

La politique intérieure

Les auteurs se posent des questions légitimes et vitales pour les démocraties : pourquoi nos politiques laissent-ils prospérer pratiquement sans entrave les organisations islamiques le plus souvent sous forme d’associations culturelles ?

Nos sociétés ne doivent pas confondre ouverture et naïveté, car le fait d’encourager ou tolérer un islamisme totalitaire importé de l’étranger n’est pas une marque de tolérance, mais le symptôme d’une pathologie collective qui confine à l’autodestruction.

La progression du salafisme islamique et l’appel des fréro-salafistes aux musulmans à se « désassimiler » ont été banalisés dans nos sociétés, alors que dans le même temps on empêche des maires d’installer des crèches dans les mairies, on stigmatise l’identité majoritairement judéo-chrétienne de la France et on renie ses racines.

En somme, pendant que la bien-pensance disqualifie tout patriote ou défenseur de l’identité occidentale en le stigmatisant comme « dangereux identitaire », les adeptes d’une idéologie qui a pourtant flirté avec le nazisme et qui demeure foncièrement anti-occidentale progressent tranquillement avec l’appui des forces dites « progressistes », des collectivités publiques, des vigiles antifascistes et de nos dirigeants.

Pourtant on devrait être prévenu. Ahmed Jaballah, cofondateur de l’ex-Union des organisations islamiques de France avait déclaré dans les années 1990 que « cette structure est une fusée à deux étages. Le premier est démocratique, le second mettra sur orbite une société islamique » !

Aspects financiers

Une banque a joué depuis des décennies un rôle déterminant : Al-Taqwa Bank (en fait un système bancaire disposant de bureaux dans plusieurs pays : Suisse, Bahamas, Italie, Liechtenstein…). Elle a été fondée en 1988 par de hauts dignitaires des Frères musulmans et elle a prospéré pendant des années en récoltant des fonds en provenance de pays du Golfe pour les redistribuer ensuite à de très nombreuses organisations fréristes européennes.

En 2001 les US ont classé cette banque comme organisation terroriste en raison de son soutien financier à Al-Quaïda.

Lors d’une perquisition au siège d’Al-Taqwa Bank, la police suisse a trouvé un texte détaillant les structures financières créées par les dirigeants des Frères et notamment l’existence d’une autre place forte en Europe, le Luxembourg, où une autre entité islamique, l’ARINCO, gère des investissements à long terme.

Le Qatar, petit pays, mais géant économique, joue un très grand rôle dans le financement de l’Islam et en particulier des Frères musulmans. Il investit des sommes très importantes en Europe et notamment en France, mais en contrepartie de ces investissements généreux il finance des dizaines de mosquées et de centres culturels islamiques notamment par la QCO (Qatar Charity Organization) dont le but est de garantir la propagation de l’identité islamique en Europe et dans le monde.

La Turquie d’Erdogan apporte également un soutien inconditionnel aux Frères. Bien que faisant partie de l’OTAN elle est un ennemi acharné de l’occident !

Aux fonds provenant du Golfe, il faut bien sûr ajouter beaucoup d’autres sources de financement comme par exemple les revenus provenant de l’abattement rituel Halal.

Implantations

L’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) basé à Château-Chinon, ouvert en 1990, avec l’assentiment et même l’aide de Mitterrand, en dit long sur la galaxie frériste. Il forme annuellement une dizaine d’Imans et 250 étudiants. Il dispose d’un site Internet très actif et d’une banque à Dijon. Deux antennes à Paris et Strasbourg ont été ouvertes respectivement en 1999 et 2008.

Un ancien cadre de la DST (maintenant DGSI) a expliqué aux auteurs que des notes ont été établies, mais qu’il était impossible de se faire entendre de la hiérarchie ; il y avait un blocus total.

Cet agent a déclaré « Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre ce qui se passe. D’une part, il y a le Qatar qui protège les Frères musulmans et fait du chantage aux contrats commerciaux. Cela implique que si la France ferme ou interdit ces associations, ils arrêteront de commander des avions ou d’ouvrir leurs chantiers de construction aux sociétés françaises. D’autre part, il y a le cynisme sans limites de certains élus, maires ou députés, qui font de l’électoralisme en se montrant complaisants avec les associations liées aux Frères… »

Beaucoup d’autres pays notamment européens sont largement infiltrés par les Frères musulmans.

La Suède est la plus perméable au projet d’islamisation des Frères. L’Allemagne comme la Suisse est depuis les années 50 une terre de refuge des Ikhwans et de la famille Ramadan. En Espagne les Frères musulmans « d’Al-Andalous » sont sous influence syrienne et marocaine.

Les Frères sont partis à la conquête de l’Amérique du Nord aidés en cela par l’administration démocrate. Ils ont très largement financé la campagne d’Hillary Clinton.

Par contre les Frères musulmans sont officiellement interdits en Russie ! Ses dirigeants seraient-ils moins stupides que les nôtres ?

L’avis des services de renseignements

Les auteurs expliquent qu’ils ont eu, pendant les 15 années de leur enquête, de nombreux contacts avec des responsables des services de renseignements qui font un constat sévère.

Dans de nombreux rapports, ils ont mis en exergue le double discours des Frères musulmans et la mise en place d’un vaste réseau d’associations, de centres culturels… sans que la vérité soit regardée en face par nos « élites ».

Ils savent que le projet de conquête passe par la déconstruction de note identité et la réduction à néant de notre pensée, mais se heurtent souvent à la naïveté. Mais il n’y a pas que les naïfs qui aident la doctrine des Frères ; il y a tous ceux qui servent l’Islam politique, consciemment, par intérêt financier ou personnel.

Selon eux, en 30 ans, la France est devenue la cible d’une stratégie de destruction préalable au projet de conquête de la république. La France a fini par perdre la plupart de ses repères, désacralisé ses propres institutions, remisé ses mythes fondateurs au profit d’autres importés depuis les rives orientales de la Méditerranée.

La cohésion nationale, l’histoire et l’identité de la France sont ainsi remises en question au profit d’un discours communautariste dont l’un des objectifs immédiats est de laisser la place à une souveraineté indigéniste–séparatiste préalable au califat.

Il y a un certain « ras le bol » d’agents des services de renseignements qui ne comprennent pas le laxisme et l’inaction de nos dirigeants devant ce grave danger.

Méthodologie des auteurs

Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi sont des hommes d’une grande culture et d’une grande expérience du monde arabo-musulman.

Comme il a été dit précédemment, leur enquête s’est étalée sur quinze années ; ils sont allés à la rencontre d’un grand nombre de hauts responsables, de cadres, de militants, dans des pays musulmans et non musulmans. Ils ont compulsé des centaines de documents originaux…

Leur objectif a été de réaliser un ouvrage le plus fiable possible en s’appuyant sur un grand nombre de sources afin d’étayer leur propos par des faits indiscutables ; ils ont confronté, recoupé leurs analyses…

En résumé ils ont procédé à une étude très approfondie, que les dirigeants occidentaux, notamment français devraient prendre très au sérieux.

Conclusion

Pour conclure, reprenons une partie du dernier paragraphe du livre :

« C’est donc un ensemble de postures qu’il faut adopter pour en finir avec un totalitarisme théocratique qui risque de nous mener à la confrontation entre Français. La première d’entre elles est de faire face à la vérité, de nommer les choses, comme nous l’avons fait tout au long de ce livre, et d’en finir avec les organisations fréristes et salafistes en les fermant, au même titre que sont fermées les associations qui prônent le néonazisme ; la seconde est de renouer avec notre roman national, et de nous réconcilier avec notre histoire. En ce sens l’éducation nationale et les enseignants jouent un rôle déterminant. Le reste est affaire de courage politique est de fermeté.

Si l’on n’agit pas de la sorte, alors les Frères musulmans et les autres pôles de l’islamisme conquérant, actifs dans nos sociétés ouvertes à tous les vents totalitaires, auront gagné ; d’autant, qu’en raison de l’immigration massive et de l’importante différence de natalité, les musulmans seront majoritaires en France dans 2 ou 3 décennies.

La France n’aura alors plus qu’un seul choix : celui de la soumission ».

Les nombreux avertissements contenus dans ce livre, qui s’ajoutent à ceux des services de renseignements, ne laissent à nos dirigeants aucune possibilité de dire qu’ils ne savaient pas.

S’ils n’agissent pas rapidement et avec une grande fermeté, ils auront fait le choix délibéré de la soumission pour les futures générations.


Mise à jour :

Résumé très succinct d’un livre très important : Le Projet

LE PROJET : La stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le monde (Éditions l’Artilleur)

Les 2 auteurs, Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi, spécialistes du monde arabo-musulman ont enquêté pendant 15 ans pour écrire ce livre. Leur conclusion est claire : s’il n’y a pas une réaction rapide et ferme de nos dirigeants, les générations à venir vivront dans la soumission à l’Islam.

La stratégie des Frères musulmans a été initiée en 1928 par Hassan d’Al Banna ; c’est une organisation totalitaire qui a été pro-nazie, elle a soutenu Hitler et Mussolini. Amin al Husseini, le grand Mufti de Jérusalem, missionné par Al Banna, supervisa le recrutement des divisions SS musulmanes.

L’objectif des Frères musulmans est le règne de la Charia et du Califat sur toute la terre. C’est le même que celui des autres structures islamiques, mais ils procèdent différemment, par étapes en se faisant passer pour des réformateurs. Leur mode opératoire est beaucoup plus insidieux.

Longtemps demeuré secret ce projet a été décrypté par la police égyptienne en 1992 lorsqu’elle a mis la main sur un texte de 13 pages dont le programme consistait, à travers un réseau d’institutions, à faire accéder les Ikwans (Frères musulmans en arabe) au pouvoir local, régional, national et mondial.

Ils sont experts pour se faire passer pour victimes de la soi-disant islamophobie et du racisme. Ils manient constamment le mensonge et la dissimulation (taqiya).

Ils s’instruisent et s’adaptent à notre mode de vie de manière à pouvoir s’insérer dans la société, occuper des postes élevés, pénétrer nos structures (associations, administrations…). Ils maîtrisent parfaitement Internet et les réseaux sociaux et se déclarent eux-mêmes capables de faire la guerre sans arme.

Les Frères musulmans sont largement financés par les pays arabes, notamment la Turquie et surtout le Qatar qui finance des dizaines de mosquées, centres « culturels »…

Une banque (en fait un système bancaire) joue un rôle déterminant : Al-Taqwa Bank. Elle dispose de bureaux dans de nombreux pays notamment la Suisse. Lors d’une perquisition au siège de la banque, la police suisse a trouvé un texte détaillant les structures financières des Frères musulmans et l’existence d’une autre place forte, le Luxembourg, où une autre entité islamique, l’ARINCO, gère des investissements à long terme.

Les auteurs s’étonnent que nos politiques laissent prospérer sans entrave cette organisation islamique totalitaire. Ils considèrent que ce n’est pas une marque de tolérance, mais le symptôme d’une pathologie qui confine à l’autodestruction. Pourtant ils devraient être prévenus ; Ahmed Jaballah avait déclaré dans les années 1990 que la structure des Frères musulmans est une fusée à 2 étages. Le premier est démocratique, le second mettra sur orbite une société islamique.

Les auteurs ont eu de nombreux contacts avec les services de renseignements qui font un constat sévère. Dans de nombreux rapports, ils ont mis en exergue le double discours des Frères musulmans. Ils savent que le projet de conquête passe par la déconstruction de notre identité et la réduction à néant de notre pensée. Ils en informent régulièrement leur hiérarchie sans que cela influe sur le laxisme et l’inaction de nos dirigeants.

Aux intérêts financiers s’ajoute le cynisme sans limites de certains élus, maires, députés… jusqu’au sommet de l’État, qui font de l’électoralisme en se montrant complaisant avec les associations liées aux Frères.

L’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) basé à Château-Chinon s’est ouvert en 1990 avec l’aide de Mitterrand. Il forme annuellement une dizaine d’Imans et 250 étudiants. Il dispose d’un site Internet très actif, d’une banque à Dijon et de deux antennes à Paris et Strasbourg.

Beaucoup d’autres pays européens sont infiltrés par les Frères musulmans notamment la Suisse terre de refuge de la famille Ramadan. Les États-Unis sont également concernés ; les Frères ont largement financé la campagne d’Hillary Clinton. Par contre ils sont interdits en Russie !

Pour conclure, on peut reprendre une partie du dernier paragraphe du livre : « C’est donc un ensemble de postures qu’il faut adopter pour en finir avec un totalitarisme théocratique qui risque de nous mener à la confrontation entre Français. Il faut faire face à la vérité, nommer les choses… Il faut en finir avec les organisations des Frères et salafistes en les fermant, au même titre que sont fermées les associations qui prônent le néonazisme… Il faut renouer avec notre roman national et nous réconcilier avec notre histoire…

Dans le cas contraire, la France n’aura plus qu’un seul choix : celui de la soumission.

S’ajoutant à ceux des services de renseignements les avertissements de ce livre ne laissent aucune possibilité à nos dirigeants de dire qu’ils ne savaient pas.




Le christianisme comme bouclier à une modernité débridée

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Franck Pengam

Le christianisme peut-il nous protéger des dérives progressistes ?

À l’ère de Tiktok, notre monde occidental semble perdre toute notion de bon sens.

Avant de voir comment le christianisme est un bouclier face à ce désastre, il va être important de comprendre l’impact même du christianisme dans la formation du monde moderne.

L’Europe, depuis le début du XVIIIe siècle, a connu une transformation radicale, passant d’un ordre dominé par le religieux à une logique d’autonomie marquée par la subjectivation, la différenciation et la rationalisation. Ce changement a déplacé le principe d’hétéronomie, où tout était lié à la loi de Dieu, vers un monde où l’autonomie prévaut.

Cette transition a été caractérisée par une nouvelle conception du sujet, où l’Homme, autrefois perçu comme une créature dépendante de Dieu, est devenu un « moi plein », libre de toute soumission à un ordre extérieur.

Cela a conduit à un changement dans la nature du politique, où le rôle du prince, autrefois perçu comme un instrument de la Providence, a été réduit à assurer la coexistence paisible de ses sujets, reléguant la religion au domaine privé.

Contrairement à la thèse de la modernisation/liquidation, le christianisme a non seulement survécu, mais a activement influencé la formation de la modernité européenne. Les Lumières, souvent créditées de l’avènement de la modernité, ont été significativement influencées par les idées chrétiennes avec notamment sa branche protestante.

Le christianisme a offert des concepts clés tels que l’égalité et la liberté des personnes, préparant le terrain pour les idées modernes de droits de l’homme et de démocratie. De plus, la distinction entre les sphères temporelle et spirituelle, un concept central dans le christianisme, a été essentielle pour le développement de la séparation entre le politique et le religieux, une pierre angulaire de la modernité.

Pourtant la modernité semble souvent nous éloigner de nos racines et de nos valeurs fondamentales, surtout quand celle-ci devient complètement débridée. Le christianisme émerge encore une fois comme source de stabilité et de sens. Alors que la société moderne est marquée par une quête incessante de progrès matériel, technologique et idéologique, la vision plus holistique et centrée sur l’homme dans sa relation à Dieu fait sens.

Nous observons un renouveau du christianisme et d’autres religions, réagissant aux déficits moraux et existentiels de notre époque. Ce renouveau religieux n’est pas un simple retour au passé. Au contraire, il représente une intégration consciente des valeurs spirituelles dans notre vie quotidienne, offrant un équilibre nécessaire à l’individualisme et au matérialisme prédominants dans la culture moderne. Le christianisme, en particulier, avec son message d’amour, de pardon et de communauté, propose une alternative rafraîchissante et profondément nécessaire à la société contemporaine.

GÉOPOLITIQUE-PROFONDE




Quand l’Histoire frappe à votre porte : Une Italienne revendique une maison anglaise au nom de l’Empire romain

[Source : lemediaen442.fr]

À Bath, une Italienne sonne à la porte d’un résident pour lui expliquer que c’est sa maison puisque l’Empire romain occupait l’Angleterre au 5e siècle, et que ce droit a été proclamé par Jupiter [pas Macron, mais le vrai dieu romain].

Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence.




« S’opposer aux récits “officiels” du COVID, c’est comme affronter Goliath »

[Source : Business Bourse]

Par Tyler Durden

17 MILLIONS DE DÉCÈS À CAUSE DES VACCINS CONTRE LE COVID-19 : « C’est comme un bilan de guerre mondiale… L’OMS va imposer des contrôles TOTALITAIRES sur toutes les nations ! »

Tucker Carlson s’est entretenu avec le biologiste évolutionniste Bret Weinstein, et les deux ont disséqué le réseau complexe de récits autour du COVID-19, l’industrie pharmaceutique et les changements mondiaux en matière de gouvernance et de politique de santé publique.

Selon Weinstein, s’opposer aux récits « officiels » du COVID, c’est comme affronter Goliath — avec des experts compétents et courageux dans divers domaines qui ont été agressivement censurés pendant la pandémie. Cela a conduit à la formation d’une « Dream Team » de dissidents.

« J’appelle la force que nous affrontons Goliath. Goliath a commis une terrible erreur et l’a commise de la manière la plus flagrante pendant la période du COVID, c’est-à-dire qu’il a pris toutes les personnes compétentes, toutes les personnes courageuses, et les a chassées des institutions, là où elles s’accrochaient. Et cela a créé, ce faisant, la “Dream Team”. Cela a créé tous les joueurs que vous pourriez souhaiter dans votre équipe pour mener une bataille historique contre un mal terrible », a-t-il déclaré, suggérant que la « Dream Team » est particulièrement qualifiée, pour lutter contre ceux qui ont bâclé la stratégie médicale face à la pandémie, avec des conséquences mortelles.

Weinstein a également discuté de la diabolisation des traitements alternatifs tels que l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine, et a affirmé qu’il y a eu 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID-19.

« Donc, je ne suis pas un génie en mathématiques, mais une injection sur huit cents multipliée par milliards, cela représente beaucoup de gens… 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID ? » demanda Tucker. « Juste pour mettre en perspective. Je veux dire, c’est comme le bilan d’une guerre mondiale. »

Ce à quoi Weinstein a répondu : « Oui, absolument. C’est une grande tragédie de l’histoire. Donc on est vraiment dans cette proportion. Et étonnamment, il n’y a aucune chance que cela soit fini. Je veux dire, ils nous recommandent toujours ces choses pour les enfants en bonne santé. »

Weinstein et Carlson ont également discuté de ce qu’ils perçoivent comme un changement de pouvoir mondial orchestré par les politiques de santé publique. Ils ont discuté du plan de préparation à une pandémie proposé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exprimant leurs inquiétudes quant à d’éventuelles atteintes à la souveraineté nationale. Weinstein a mis en garde contre une « planète totalitaire clé en main », dans laquelle l’OMS serait en mesure d’imposer des contrôles sans précédent sur les nations et leurs citoyens.

Source : zerohedge




Un général américain à la retraite explique pourquoi l’armée américaine est la moins nombreuse depuis 1940

[Source : sputnikglobe.com]

[Illustration : Des soldats américains sont vus pendant les exercices militaires Saber Strike de l’OTAN, le 16 juin 2017 à Orzysz, en Pologne.]

Par Oleg Burunov

L’armée américaine étant actuellement confrontée à un déficit de recrutement, il est peu probable que l’injection de fonds supplémentaires dans le budget de recrutement améliore la situation, a déclaré à Sputnik Paul E. Vallely, général de division de l’armée américaine à la retraite et président de la Stand Up America US Foundation.

À la fin de l’année 2023, l’armée américaine ne comptera plus que 452 000 soldats en service actif, soit la force la plus réduite depuis 1940, a récemment rapporté Defense News.

Dans le même ordre d’idées, le média militaire international a souligné que le manque de recrutement dans l’armée américaine pourrait entraîner la suppression de 3 000 soldats des opérations spéciales de l’armée avant la fin de l’année.

Plusieurs facteurs ont contribué à la diminution des effectifs des forces armées [américaines], a déclaré à Sputnik Paul E. Vallely, général de division de l’armée américaine à la retraite et président de la Stand Up America US Foundation.

Le premier et le plus important est la pandémie de COVID-19, au cours de laquelle un certain nombre de soldats américains ont été renvoyés de l’armée sans solde parce qu’ils ne voulaient pas se faire vacciner, selon M. Vallely.

« Bien sûr, ils ont maintenant changé la donne et essaient de réintégrer ces personnes dans les forces armées, mais cela ne se passe pas comme prévu. Ils ne veulent pas revenir ».

Le deuxième facteur, selon M. Vallely, est « la capitulation et le retrait d’Afghanistan ». Selon lui, « de nombreux futurs soldats ont décidé de ne pas s’engager dans les forces armées en raison de la mauvaise gestion de certains généraux et amiraux ».

« Je pense que la troisième chose est que, sur la base de ce type de normes de performance raciales plutôt qu’équitables, ils vont vous sélectionner sur la base de votre race, plutôt que sur votre capacité à piloter un avion ou autre, selon ce que nous appelons la théorie de la race critique, qui a à voir avec la DEI, [à savoir] la diversité, l’équité et l’inclusion. »

Le major général de l’armée américaine à la retraite a accusé l’aile gauche du système politique américain d’essayer « de vous juger sur la base de votre composition raciale, plutôt que sur votre capacité et votre compétence à mener certaines actions requises dans l’armée ».

« Et puis il y a cette tendance à la diversité avec les LGBTQ, et les jeunes Américains, pour la plupart, n’y adhèrent pas. Ils ne vont pas s’engager dans l’armée de l’air, l’armée de terre ou les forces spéciales s’il y a une personne transgenre à côté d’eux ou dans la douche, etc. Ce sont donc ces questions qui ont affecté à la fois le réengagement et l’engagement de nouvelles personnes ».

M. Vallely reste pessimiste quant à l’espoir du Pentagone que l’augmentation du budget de recrutement aidera les recruteurs à attirer davantage de personnes dans l’armée. « Je ne pense pas que cela aura un quelconque effet », a-t-il fait remarquer.

Interrogé sur le fait de savoir si les changements structurels à venir dans l’armée américaine reflètent également les défis auxquels l’Amérique est confrontée à l’étranger et à l’intérieur du pays, M. Vallely a évoqué la crise migratoire en déclarant : « Ce que l’armée doit faire, c’est protéger notre frontière méridionale ».

« Des milliers de personnes franchissent illégalement notre frontière méridionale, financées et soutenues par les cartels mexicains. Notre armée doit donc faire quelque chose. Nous ne pouvons pas compter sur la police ou les patrouilles frontalières dans la situation actuelle et cela va être un défi majeur pour les États-Unis de protéger leurs frontières. Nous avons des gens qui viennent du monde entier », a-t-il ajouté.

Commentant la réduction imminente des forces d’opérations spéciales, M. Vallely a souligné que « beaucoup d’autres domaines sont concernés » et que, par exemple, l’armée américaine « manque en fait de pilotes ».

« Les forces spéciales ne représentent qu’un faible pourcentage de l’ensemble des forces armées américaines. Mais elles sont très importantes, c’est certain. Nous devons chercher un nouveau leadership [et] de nouveaux généraux […] pour créer une force capable de contrer toutes les menaces nationales ou internationales qui pèsent sur nos citoyens », a conclu le major général de l’armée américaine à la retraite.


[NDLR À comparer avec l’état de la garnison tchétchène de Grozny, forte de 25 000 hommes :]




Réponse du Dr Colignon sur l’étude attribuant 17000 décès à l’hydroxychloroquine

[Source : bam.news]

En guise de nouvel an, la RTBF et la DH exhume une vieille étude que BAM avait déjà debuncké en juillet 2023(([1] Une nouvelle fraude pour accuser l’Hydroxychloroquine)) et attribuant près de 17000 décès à l’hydroxychloroquine. Voici la réponse du Dr Colignon :

Par Dr Alain Colignon

Cher Confrère LEGA,

J’ai eu l’occasion de prendre connaissance de la méta‑analyse sur les dangers de l’hydroxychloroquine administrée pour traiter les infections à SARS CoV2 que vous venez de publier et qui fait grand bruit dans les médias mondiaux.

En relevant des données de la littérature que vous croisez dans cette analyse, vous déterminez de façon spéculative le nombre de décès iatrogènes attribuables à l’hydroxychloroquine dans 8 pays industrialisés…

Si j’ai bien compris votre démarche, la séquence des opérations comptables est la suivante :

  • 1. déterminer le nombre total de patients hospitalisés pour Covid au cours de cette période, dans chacun des 8 pays (N).
  • 2. déterminer pour chaque pays la proportion de patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine ®
  • 3. En déduire le nombre absolu de patients hospitalisés pour Covid, traités à l’hydroxychloroquine (R*N)
  • 4. Déterminer l’ODDS Ratio de mortalité iatrogène liée à l’Hydroxychloroquine à partir d’études spécifiques (OR)
  • 5. En déduire pour chaque pays, le nombre de décès iatrogènes secondaires à l’administration d’Hydroxychloroquine par combinaison de l’ODDS (OR/conv. 1‑1/1;11 soit 0,09909).et du R*N

Etant donné que je suis Belge, j’ai été interpellé par les chiffres que vous avez recueilli pour mon pays.

  •  1. N est bien égal à 19.644 au regard des chiffres avancés par Sciensano. C’est exact.
  • 2. R est évalué à 0,51 conformément aux chiffres annoncés dans l’étude conduite par Nicolas Dauby et Lucy Catteau intitulée Low‑dose Hydroxychloroquine therapy end mortality in hospitalised patients with Covid‑19.
    Il s’agit d’une étude prospective dans laquelle le pourcentage de 0,51 entre dans une logique méthodologique, même s’il ne s’agit pas d’une étude RCT. Ce ratio est exact, mais l’extrapoler à l’ensemble des hôpitaux de Belgique qui n’étaient nullement concernés par le protocole de l’étude de Sciensano/CHU Saint‑Pierre est une faute grossière qu’on ne pardonnerait pas à un mauvais étudiant en médecine.
  • 3. Le chiffre (R*N) de 10.018 patients traités est donc nécessairement faux par excès.
  • 4. Déterminer l’ODDS ratio sur base d’études où des doses mortelles d’hydroxychloroquine (2400 mg / jour)ont été administrées – ce que vous admettez dans votre étude –  et appliquer cet ODDS incongru à une étude où les doses utilisées sont 4 à 6 fois moins élevées est un mélange de genre indigne d’un scientifique.

En suivant votre raisonnement, vous considérez de facto que dans la série de Catteau/Dauby, qui dénombre 4542 patients hospitalisés sous hydroxychloroquine parmi lesquels on dénombre 804 décès, 80 d’entre eux  (0,09909 * 804) sont dus à l’hydroxychloroquine. Par une extrapolation linéaire simpliste jusqu’à l’indicible, la Belgique devrait selon vous déplorer 240 décès iatrogènes dû à l’hydroxychloroquine.

Or, on peut lire dans cette étude de catteau et Dauby dont vous vous prévalez : 

Our study provides further support to the claim that this regimen is not associated with increased short term risk of cardiotoxicity and mortality in the hospital setting and in well‑selected COVID‑19 patients. Accordingly, as of 17 June 2020, the Federal Agency for Medicines and Health Products had registered in total eight reports of adverse reactions suspected to be associated with HCQ use for the treatment of COVID‑19 in Belgium, among which were three cases of cardiac toxicity (all having received concomitant medication), and no reported deaths.
[Notre étude apporte un soutien supplémentaire à l’affirmation selon laquelle ce régime n’est pas associé à un risque accru à court terme de cardiotoxicité et de mortalité en milieu hospitalier et chez des patients COVID-19 bien sélectionnés. En conséquence, au 17 juin 2020, l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé avait enregistré au total huit rapports d’effets indésirables soupçonnés d’être associés à l’utilisation de l’HCQ pour le traitement de COVID-19 en Belgique, dont trois cas de toxicité cardiaque (tous ayant reçu des médicaments concomitants), et aucun décès signalé.]

Ma question vient immédiatement : Qui se trompe, qui ment, qui se fout de la gueule de ses confrères ? Catteau et Dauby qui prétendent qu’ils n’ont aucune mortalité par cardiotoxicité secondaire à l’administration d’hydroxychloroquine ou vous qui prétendez qu’ils ont tué 80 personnes par leur incurie ?

Non, monsieur Lega, Nicolas Dauby et Lucy Catteau n’ont pas tué 80 personnes… ils en ont sauvé beaucoup et si quelqu’un doit aller en prison pour homicide involontaire, c’est vous et non lui !

Cher confrère,

Votre analyse est un ramassis d’inepties qui déshonorent notre profession et qui ne peuvent trouver leur source que dans l’incompétence ou la malhonnêteté. Vous n’imaginez pas à quel point j’aimerais me tromper et trouver dans votre réponse des arguments qui me donnent tort… car je me jetterais à vos pieds, pour implorer votre pardon.

Alain Colignon

Chirurgie Vasculaire




Pourquoi la jeunesse africaine rejette-t-elle l’occident ?

[Source : Alain Foka Officiel]

Par Alain Foka

Longtemps considéré comme le modèle, l’Occident fait désormais l’objet de nombreuses manifestations d’hostilité et de critiques. Comment expliquer ce désamour profond ? Quelles sont les raisons objectives de ce rejet ? Émotion ou raison ? Est-ce l’opportunité pour cette génération de prendre son indépendance, de concevoir son propre modèle de société ?




« À l’hôpital, j’étais isolé. En privé, on venait me demander si leur pathologie avait un lien avec la vaccination »

[Source : francesoir.fr]

Alors que depuis deux ans, de nombreux patients attestent que leurs médecins leur disent en privé que leur pathologie est probablement liée à la vaccination contre le Covid-19, ils sont encore très peu à oser prendre la parole, de peur d’être convoqués par l’Ordre. Le docteur ZL a accepté de témoigner sous couvert d’anonymat. Chercheur en neurosciences et médecin en CHU, fort d’une quinzaine d’années d’expérience en milieu hospitalier, il évoque sa réintégration et les problèmes rencontrés alors dans ses rapports sociaux.






Selon Willie Soon, expert en climatologie, le carbone n’a rien à voir avec les changements climatiques

[Source : aubedigitale.com]

Un grand expert en climatologie tire la sonnette d’alarme : Le dioxyde de carbone n’est pas à l’origine du « réchauffement de la planète »

L’un des plus grands experts mondiaux du climat s’est exprimé pour avertir le public que l’affirmation du programme vert mondialiste selon laquelle le dioxyde de carbone est à l’origine du « réchauffement de la planète » est « totalement fausse ».

Ces dernières années, des bureaucrates non élus, des élites du monde des affaires et leurs alliés au sein des gouvernements mondiaux et des médias ont promu le programme de « décarbonisation ».

Ce programme, défendu par le Forum Économique Mondial (FÉM) et les Nations unies (ONU), prétend que le dioxyde de carbone est à l’origine de la soi-disant « crise climatique ».

La solution à cette supposée « crise » consiste pour les gouvernements du monde à se conformer aux objectifs « Net Zéro » du FEM afin de respecter « l’Agenda 2030 » et « l’Agenda 2050. »

Le plan du FEM cherche à éliminer les « émissions d’origine humaine » telles que le dioxyde de carbone pour « sauver la planète. »

Cependant, les critiques soutiennent que la « décarbonisation » n’est qu’un euphémisme pour l’agenda anti-humain du FEM.

Bien entendu, la principale source de dioxyde de carbone sur Terre est l’homme et ses activités, telles que la combustion de combustibles fossiles.

L’homme moyen exhale environ 1 kg de dioxyde de carbone par jour.

Si l’on multiplie ce chiffre par une population mondiale de 8,1 milliards de personnes respirant 365,25 jours par an, on obtient une production annuelle de CO2 de 3,4 milliards de tonnes.

Toutefois, les experts s’empressent de souligner que ce chiffre n’a pas de sens puisque la respiration humaine fait partie d’un « cycle fermé » dans lequel notre production de dioxyde de carbone est compensée par le dioxyde de carbone absorbé par le blé, le maïs, le céleri et les fruits de l’Ougli que nous mangeons.

Néanmoins, l’agenda anti-carbone cible directement les humains et les activités humaines.

La réponse, selon le FEM, est que le grand public doit réduire drastiquement sa qualité de vie tout en remettant d’importantes sommes d’argent à l’élite mondiale.

Selon Willie Soon, expert en climatologie, le carbone n’a rien à voir avec les changements climatiques.

Soon dénonce aujourd’hui le programme des écologistes et avertit le public que les affirmations anti-carbone ne sont que des mensonges.

L’expert explique que les changements climatiques sont des phénomènes naturels qui se produisent depuis des milliards d’années et qu’ils n’ont rien à voir avec l’activité humaine.

Il ajoute que l’humanité devrait regarder au-delà de la Terre pour en trouver la source.

Soon, membre invité du comité consultatif scientifique du Centre pour l’énergie, le climat et l’environnement de la Heritage Foundation, affirme que c’est la rotation de la Terre autour du Soleil qui influe sur la température de la planète, et non le dioxyde de carbone comme le prétendent les élites du pouvoir mondial.

Par exemple, les glaciers « ont fondu parce que le Soleil a commencé à devenir… plus brillant et a fourni plus d’énergie solaire au système climatique », selon M. Soon.

Tout au long de sa carrière, M. Soon, ancien chercheur au Centre d’astrophysique de Harvard et à l’Institut Smithsonian, explique qu’il a cherché à établir les faits entourant les changements climatiques parce que « la science n’est pas une question de croyance ».

« La science est une affaire de données », affirme-t-il.

Les mondialistes prétendent que « l’augmentation du dioxyde de carbone est le principal facteur […] qui affecte le changement climatique, ce qui est totalement faux », affirme Soon.

« C’est une vision tellement déformée que je pense qu’elle doit être corrigée. »

REGARDEZ :

Soon explique le faux programme anti-carbone lors d’une interview sur « The Daily Signal Podcast » pour la deuxième partie d’une série en trois parties sur le « changement climatique ».

Il explique pourquoi le soleil est la source du changement climatique et comment il affecte les cycles de réchauffement et de refroidissement de la Terre.

Les bureaucrates « wokes » et les élites du monde des affaires ne peuvent pas changer ces cycles, note-t-il.

ÉCOUTEZ :






Vœux du Professeur Christian Perronne

[Source : bonsens.info]

Vœux 2024

Chers résistants, chers éveillés,

Voilà bientôt quatre ans que notre beau pays est tombé bien bas par la volonté d’un petit groupe de personnes ultrariches et ultrapuissantes qui ne nous veulent pas du bien. L’Union européenne a renié toutes ses valeurs démocratiques en se laissant diriger par une Commission qui outrepasse ses droits. C’est le cas notamment pour l’achat par dizaines de milliards de produits expérimentaux que les médias aux ordres nous ont fait passer pour des vaccins et pour la dépense de dizaines de milliards pour des guerres injustes et perdues d’avance. Le peuple de France souffre, comme beaucoup de peuples en Europe. On attaque la protection sociale et on détruit le système de santé. Les urgences des hôpitaux ferment faute de personnel. Les médecins sont en voie de raréfaction et même de disparition pour certaines spécialités. On profite de la répression Covid pour pourchasser les médecins qui soignent la maladie de Lyme chronique qui touche des millions de personnes en Europe et en Amérique du Nord, dont beaucoup meurent à petit feu, abandonnées par le système de santé, pour protéger des intérêts militaires. Une rare bonne nouvelle en 2023 a été la reconnaissance par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention), centre de surveillance des maladies aux États-Unis, de l’existence de la forme chronique de la maladie de Lyme, déniée depuis des décennies. Mais l’élite est à des années-lumière de la souffrance des citoyens, elle profite dans son monde. Il y a un feu d’artifice de personnalités politiques mises en examen pour des scandales sexuels ou financiers, mais personne n’est condamné. On dirait que c’est devenu la norme pour avoir des responsabilités républicaines. Le parlement est piétiné. La liberté d’expression est bâillonnée et l’on va profiter des Jeux Olympiques pour renforcer, de façon pérenne, le contrôle sur les citoyens. La mortalité augmente de façon très inquiétante depuis les campagnes « vaccinales » Covid, y compris chez les jeunes avec beaucoup de crises cardiaques, d’accidents vasculaires et de cancers d’évolution fulgurante. Cette surmortalité est reconnue, mais officiellement la cause est inconnue et l’on nous bloque l’accès aux données de santé qui sont devenues secret d’État ! La fertilité est en baisse, et cela depuis quelques mois après le début des campagnes d’inoculation. La France, par nature optimiste, qui avait un des taux de natalité les plus élevés en Europe, fait beaucoup moins d’enfants. Jamais depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’horizon n’a été aussi sombre. Les jeunes sont tristes, rivés à leur smartphone, et préfèrent se soumettre sans se poser de questions, plutôt que d’affronter la réalité de plein fouet. Pourtant je vois une immense lueur d’espoir. Après la phase d’abnégation où les Français ont été terrorisés par des messages de peur incessants, de plus en plus de personnes se réveillent de ce cauchemar et ne lisent plus ou n’écoutent plus les médias de grand chemin. Ces médias n’existeraient plus aujourd’hui sans les milliards de subventions donnés par le gouvernement. Les Français apprennent à se prendre en charge sans compter sur l’État qui n’est plus là pour les protéger ni les aider. Les Français apprennent à dire non aux diktats injustes. Un immense esprit de solidarité parcourt à nouveau le pays. Les valeurs familiales n’ont jamais été aussi fortes. Il faut parfois surmonter des épreuves pour connaître le meilleur. La crise Covid et les manipulations de masse ont provoqué des fractures graves dans les familles et parmi les amis. Il est très difficile pour une personne qui s’est soumise aux injonctions brutales de l’autorité, en pensant bien, d’accepter l’idée de s’être laissée abuser et de le reconnaître. La conséquence peut être la colère, mais c’est encore souvent le déni. La réalité est trop violente à regarder en face. Il faut donc faire preuve de bienveillance et de patience pour retrouver nos liens si chers. Ces milliardaires qui nous organisent ces crises auront permis à des millions de Français de découvrir que nous ne vivons plus en démocratie. L’éveil a déjà touché des milliards d’habitants sur la planète et ce mouvement est inarrêtable. Alors tous ensemble, marchons avec le cœur au ventre vers la libération et une ère nouvelle pleine d’humanité. Je vous remercie infiniment pour votre soutien constant et si chaleureux et vous souhaite pour vous, votre famille et vos proches une excellente année 2024.

Christian PERRONNE




Un agriculteur a un message pour Macron

[Source : PERNNEIL]



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Les consommateurs rejettent le « Great Reset »

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Mon ami a loué une Tesla pendant les vacances. C’est sans aucun doute la référence pour les voitures électriques (VE) et c’est un vrai plaisir de la conduire. Mais il y a un problème  : ce n’est pas du tout une voiture pratique. L’ami roulait dans le froid et sa batterie était presque vide au bout de deux heures. La recherche d’une recharge n’a pas été une mince affaire. La première ne fonctionnait pas. La deuxième indiquait qu’elle pouvait charger en 10 heures, le temps que mon ami n’avait pas. La troisième a chargé la voiture en une heure, mais c’était quand même une heure entière de perdue (heureusement qu’il ne fallait pas attendre la fin du chargement d’autres voitures).

La conclusion de mon ami : il s’agit bel et bien d’une voiturette de golf couverte d’éloges, mais conçue pour vous maintenir à la maison et sous la coupe du fabricant. Et ce n’était qu’un test. Les réparations et leurs coûts, en particulier du remplacement de la batterie, sont des surprises bien pires. N’oubliez pas qu’il s’agit d’une Tesla — ce que l’industrie des VE a de mieux à offrir. Les autres fabricants de ces engins produisent des véhicules qui sont loin d’être aussi bien notés, ce qui explique pourquoi tant d’entre eux restent invendus et pourquoi leurs commandes sont en chute libre.

Il semble que l’engouement pour les VE ait déjà atteint son apogée. En Amérique, la croissance de la demande pour des voitures à essence est aujourd’hui bien supérieure à celle des voitures électriques, inversant la tendance d’il y a 12 mois. Les consommateurs ont enfin compris. C’est une bonne deuxième voiture, à condition de rouler dans sa propre ville, d’avoir un branchement à la maison et de pouvoir la recharger pendant la nuit, et de ne pas devoir soudain quitter la ville. C’est un jouet, parfois amusant, mais pas une vraie voiture. Pour cela, il faut de l’essence.

L’idée que la VE va permettre de passer à une « énergie propre » est absurde. Si toutes les voitures étaient électriques, le réseau électrique s’effondrerait et le rationnement serait la norme. Et c’est peut-être là tout l’intérêt. Vous ne conduirez que si vous en avez la permission. Vous n’aurez aucun contrôle sur vos déplacements. Les autorités décideront de tout à votre place. C’est une stratégie parfaite pour créer une société de dépendants.

Heureusement, les consommateurs ne jouent pas le jeu. Nous vivons encore avec les vestiges d’un système capitaliste dans lequel les fabricants doivent faire des bénéfices. C’est donc un grave problème pour l’ensemble de l’industrie des VE qui pourrait faire face à une vraie crise en 2024.

Bien sûr, Tesla continuera à fabriquer des voitures de luxe pour les citadins aisés. Mais ce n’est pas pour tout le monde. Et ce n’est même pas pour ceux qui ont encore un long chemin à parcourir.

Puisque nous parlons d’échecs, pensons à la fausse viande. Vous vous souvenez qu’elle allait remplacer la vraie viande ? Eh bien, jetez un coup d’œil dans les épiceries américaines aujourd’hui. C’est un autre produit qui a atteint son apogée. L’action du fabricant de la fausse viande « Beyond Meat » était à 196 dollars en 2019. Elle n’a cessé de chuter. Actuellement, elle est offerte à environ 8 dollars, sans que personne n’y soit particulièrement intéressé. Il semble que cette société ne restera pas non plus sur le marché pour longtemps, ce qui amène à se demander pourquoi tous ces magouilleurs continuent à nous faire avaler leurs trucs. Les consommateurs commencent à en avoir marre.

Il en va de même pour les vaccins contre le Covid-19, payés par vos impôts. Les sociétés pharmaceutiques ont effectué de grandes ventes, ont obtenu des brevets et ont vu une demande publique apparente. Mais il y a un problème : ces vaccins ne fonctionnent pas. Ils sont également très dangereux. Il s’agit d’un vrai désastre pour Moderna et Pfizer. En deux ans, l’action Pfizer est passée de 59 à 28 dollars. Moderna a chuté de 384 à 100 dollars au cours de la même période. Les deux entreprises possèdent d’énormes stocks de ces vaccins, alors qu’il ne reste pratiquement plus de demandes de la part des gens malgré leurs interminables rappels. Ces sociétés font également l’objet de poursuites judiciaires pour avoir exagéré les avantages qu’ils procurent. En tout état de cause, ces vaccins n’ont jamais été nécessaires pour la grande majorité de la population et certainement pas pour les enfants.

Une fois de plus, nous devons remercier les vestiges du capitalisme pour cela. Le gouvernement a essayé de forcer tout le monde à se faire vacciner. Et il y est parvenu auprès de certains segments de la population pendant un certain temps. Il a également fait appel à des stars d’Hollywood et à toutes sortes « d’influenceurs » pour inciter les gens à se faire vacciner. En Amérique, des villes entières (New York, Nouvelle-Orléans, Chicago et Boston) ont même été fermées aux personnes non vaccinées. À tout le moins, les entreprises et les responsables gouvernementaux qui ont coopéré devraient présenter des excuses pour ce désastre.

En même temps, pensons aussi à Threads, l’alternative de Mark Zuckerberg à X (ex-Twitter). Ce média social a été lancé en début de 2023 en grande pompe. Il a démarré avec 4 millions d’utilisateurs, principalement en repêchant les utilisateurs d’Instagram. Aujourd’hui, il n’en compte plus qu’un million, mais même eux sont à peine actifs.

Pour ma part, lorsque j’ai vu comment on abusait d’Instagram, j’ai immédiatement supprimé mon compte et un millier d’images avec. Quel soulagement ! Il se trouve que je détestais ce truc de toute façon. Bon débarras !

Threads a été un désastre qui s’est ajouté aux problèmes de l’espace virtuel partagé (métavers) de M. Zuckerberg qui est vide et ennuyeux. Il s’avère qu’il n’est pas du tout un bon homme d’affaires. En ce qui concerne le Facebook, lancé également par Zuckerberg, il n’est plus qu’une plateforme publicitaire qui commercialise vos données. Il n’est vraiment utile que pour son propre marché. Il est étonnant que le cours de son action n’ait pas encore été touché, pas pour le moment.

Vous voyez une tendance ? Les marchés du monde réel rejettent le « Great Reset » (Grande réinitialisation), ce plan radical international socialiste conçu pour formater l’économie mondiale. Que l’on mange des insectes, que l’on conduise des voitures électriques, que l’on mange de la fausse viande ou que l’on vive dans le monde du métavers censuré, rien de tout cela ne marche. Nous ne pouvons qu’espérer que cette tendance se poursuive en 2024 et qu’elle entraîne la faillite des sociétés qui se sont lancées dans ces affaires bien douteuses. Espérons que le marché des consommateurs puisse rendre son jugement final avant que tous ces trucs ne deviennent obligatoires — ce qui est le véritable objectif.

En attendant, soyons reconnaissants pour tout ce qui reste de capitalisme, car les marchés libres sont synonymes de choix pour les consommateurs. Et lorsqu’ils ont le choix, nous pouvons constater aujourd’hui que les consommateurs n’aiment pas les projets envisagés pour notre vie par Klaus Schwab, même s’ils sont soutenus par Bill Gates.




Message personnel de Reiner Fuellmich au début de l’année

[Source : https://t.me/s/ReinerFuellmichEnglish ou https://t.me/s/ReinerFuellmich (allemand)]

Rosdorf, 03/01/2024

Chers amis, sympathisants et compagnons ! ❤️

Je souhaite à tous une bonne année et j’assure à chacun que je continuerai. Nous ne relâcherons pas notre travail d’éducation et l’enquête juridique qui s’ensuit sur la pandémie.

Bien sûr, il est très difficile pour moi d’être loin de ma femme, de mes chiens, de ma famille et de mes amis. Mais le fait que je reçoive toujours de nouvelles informations par le biais des nombreuses lettres et cartes postales, ainsi que des messages et des récits très personnels, m’aide beaucoup. Tout cela m’aide beaucoup. C’est pourquoi je peux encore dire avec une conviction et une détermination totales : certains craquent sous la pression, pas moi !

Les collègues internationaux, mon ami Dexter et tous les autres sont également toujours prêts à garantir la justice pour tous. Cette fois-ci, le système défaillant ne pourra pas se dresser pour [aider ou faire] le mal.

Dans une communication un peu plus longue dans les prochains jours, je serai en mesure d’expliquer des détails importants concernant à la fois le procès contre moi et notre travail juridique international.

Il ne fait aucun doute que les choses évoluent de plus en plus rapidement dans notre direction. Mais il ne fait aucun doute non plus que l’autre partie lutte pour sa survie, c’est-à-dire qu’elle reste très dangereuse. Ne vous laissez pas intimider ni même décourager : nous exposerons tout ce qui doit être mis au jour et nous ferons en sorte que l’effondrement du système et la transition vers une nouvelle coexistence humaine sans corruption et sans violence soient rendus possibles avec l’aide de la justice.

❤️ Je vous remercie encore pour votre soutien et je remercie notre équipe ICIC pour son travail. ❤️

Je suis convaincu que les criminels qui tentent de nous paralyser et de nous saigner financièrement, moi, ma femme, ma famille et mes amis, non seulement échoueront, mais que chacun d’entre eux paiera. Nous pouvons être ralentis, mais nous ne pouvons pas être arrêtés.

Meilleures salutations, Reiner Fuellmich




Hydroxychloroquine : LES CHIFFRES SONT INVENTÉS ! Molimard et sa bande sont en passe de remplacer la call-girl du Lancet Gate

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Molimard fait mieux que la Call Girl Ariane Anderson, il resuce les résultats des fameuses études RECOVERY ET DISCOVERY et invente des chiffres dignes du Gorafi :

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X#bib20

MAIS COMMENT ONT ILS TROUVÉ LE % DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ ? ILS LES ONT INVENTÉS !

Non il ne s’agit pas de données officielles, mais d’une INVENTION ; ils sont partis du pourcentage de patients traités à l’HCQ dans des études choisies par eux puis ils ont fait une moyenne qui est devenu… le % de patients traités à l’HCQ dans le pays.

Mais ces études n’ont jamais été représentatives des pratiques hospitalières !

Comment s’étonner qu’ils nous donnent des taux de traitement de 16 % en France et 51 % EN Belgique ou 80 % en Espagne

CES DIFFÉRENCES SONT INCOHÉRENTES ET PROUVENT LE CARACTÈRE FANTAISISTE DES CHIFFRES

Nous avons mené une revue systématique et une méta-analyse d’ études de cohorte pour estimer les taux de mortalité et la proportion d’exposition à l’HCQ chez les patients hospitalisés dans chaque pays représenté dans les études disponibles. Nous avons effectué une recherche documentaire pour identifier toutes les études publiées rapportant le nombre de patients sous tous les traitements examinés dans le cadre du Covid-19. Nous avons effectué une recherche dans Pubmed, du 1er décembre 2019 au 15 mars 2021, en utilisant les mots-clés « coronavirus », « coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 », « SARS-CoV-2 », « nouveau coronavirus », « nCoV », « 2019-nCoV » et « Covid-19 » et « cohorte ». Depuis Pubmed, nous avons sélectionné les études selon les critères d’inclusion suivants : étude multicentrique, taille de l’étude ≥ 500 patients pour éviter l’effet centre, étude rapportant les traitements utilisés dans le Covid-19 et le nombre de patients traités avec ces médicaments. Les études incluant uniquement les patients recevant de l’HCQ, ayant reçu de l’HCQ à partir d’août 2020, et les patients déjà traités par HCQ pour des maladies auto-immunes ont été exclues, ainsi que les études menées dans des pays pour lesquels les données sur la mortalité manquaient

COMME DANS LE LANCET GATE, LES CHIFFRES DONNÉS POUR ÉVALUER LE NOMBRE DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ SONT TOTALEMENT FANTAISISTES COMME LE DÉMONTRE L’EXEMPLE BELGE

En France on apprend que 16 % des hospitalisés ont été traités à l’HCQ… PIPO ils n’en savent rien, ils ont choisi deux études de référence portant sur 2285 patients… Ils en ont déduit 15,6 % de traités à l’HCQ pour 100 000 patients.

En réalité de 10 à 80 %, on n’en sait rien !

En Espagne ils nous disent que 83.5 % des hospitalisés sont traités à l’HCQ… Pourquoi cette différence ? ON N’EN SAIT RIEN.

Tout part de là : de 25 000 cas étudiés, ils en déduisent ce qui s’est passé pour 104 750.

MAIS POUR LA BELGIQUE NOUS AVONS LES VRAIS CHIFFRES OFFICIELS ET LEURS DONNÉES SONT ENCORE UNE FOIS INVENTÉES — LES PREUVES
La démonstration de Véronique Baudoux

Véronique Baudoux
@VBaudoux

Il y a eu en réalité 4 542 traités sur 19 644 hospitalisés

Il y a eu pour la période concernée deux fois plus de patients traités à l’HCQ que dans la réalité (chiffres du ministère)

Les auteurs estiment ce nombre à 10.018. Comment l’ont-ils obtenu ? En se référant à l’étude nationale belge qui s’est déroulée jusqu’au 24 mai 2020.

De cette étude, ils ont extrait le taux de prescription d’HCQ de 51 % et ils l’ont appliqué à TOUS les patients hospitalisés (19.644) alors qu’en réalité, ce ne sont que 51 % des 8910 patients inclus dans l’étude qui ont reçu l’HCQ, soit 4542 personnes

La première erreur méthodologique est donc de généraliser ce taux de prescription de 51 % extrait de l’étude à l’ensemble des patients belges hospitalisés pour Covid. Car cela aboutit à un nombre de 10 018 personnes au lieu de 4 542. C’est une grosse différence !La question a été posée lors de la séance à la Chambre des Représentants du 16 juin 2020, et la ministre belge de la Santé a répondu que 5 000 personnes avaient reçu l’HCQ en Belgique.

Le 24 mai 2020, il y avait eu 17 357 patients hospitalisés pour Covid en Belgique. Et 4 542 patients avaient reçu l’HCQ. L’ÉTUDE EN TROUVE DEUX FOIS PLUS QUE LA RÉALITÉ.

À moins d’accuser Sciensano et la ministre de la Santé belge de mentir, ce chiffre de 10.018 patients belges ayant reçu de l’HCQ est donc FAUX !

COMMENT ONT-ILS TROUVÉ LE TAUX MOYEN DE SURMORTALITÉ LIÉ À L’HCQ ? ILS L’ONT INVENTÉ !

Il a fallu un an et demi pour publier cette étude annoncée en juin 2022 et dont les résultats ont changé à plusieurs reprises : 9 500 décès [1], puis 16 000 [2] dans 8 pays et enfin 16 000 dans 6 pays [3]. Cette étude s’appuie sur deux données importantes dont l’interprétation est erronée.

La méthode est la même, partir d’études choisies et extrapoler avec des différences extravagantes (du simple au double pour la mortalité toute cause entre la France et ses voisins.

Le nombre de patients traités par HCQ pour Covid-19 pour chaque pays variait de 10 018 à 551 417, avec une exposition hétérogène variant de 16 % [France] à 84 % [Espagne]. Les taux de mortalité ont été calculés à partir des données d’une [Belgique][19] à 20 cohortes [USA] [Fig. 2][40][41][42][43][44][45][46][47][48][49][50][51][52][53] [54][55][56][57][58][59].La mortalité toutes causes confondues des patients hospitalisés variait de 6 % [Turquie] à 23 % [Italie]

Mais le chiffre de surmortalité lié à l’HCQ est le même partout, il est complètement inventé : 11 %

Il provient de l’interprétation d’une étude qui reprenait les expériences RECOVERY ET SOLIDARITY pour lesquelles la dose d’HCQ était… TOXIQUE ET 12 FOIS PLUS ÉLEVÉE QUE CELLE PRESCRITE PAR RAOULT

Le nombre médian de décès liés à l’HCQ en Belgique, en Turquie, en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis était de 240 [fourchette non estimable], 95 [fourchette 92-128], 199 [fourchette non estimable], 1822 [fourchette 1170-128]. 2 063), 1 895 (plage de 1 475 à 2 094) et 12 739 (plage de 3 244 à 15 570), respectivement. Dans l’ensemble, en utilisant les estimations médianes de l’utilisation du HCQ dans chaque pays, nous avons estimé que 16 990 décès à l’hôpital liés au HCQ (plage de 6 420 à 20 294) sont survenus dans les pays pour lesquels des données sont disponibles.

En effet, les auteurs ont appliqué un taux moyen de surmortalité de l’HCQ tiré de la méta-analyse Axfors dont on sait qu’elle reprend des études dans lesquelles les dosages d’HCQ sont nettement supérieurs aux dosages utilisés en Belgique.

Étude anglaise Recovery : ils ont assassiné les cardiaques…

Publié le 9 octobre 2020 par pgibertie

La grande étude anglaise Recovery posait problème, nous en savons plus ; ils ont assassiné les cardiaques ! C’est ce que nous apprennent de nouvelles données… Leur dose d’HCQ était 12 fois plus forte que ce qui est conseillé dans le Royaume-Uni (200 mg jour) : https://www.medicines.org.uk/emc/files/pil.11516.pdf.

Rappelons que l’hydroxychloroquine est efficace dès les premiers symptômes, ensuite il faut préférer anticoagulants et stéroïdes.

Elle permet d’éviter l’intubation c’est son intérêt.

Les malades de Recovery étaient. avant de recevoir l’hydroxychloroquine :

Malade en moyenne depuis 9 jours
sous oxygène pour 77 % d’entre eux et un sur six déjà intubé

L’hydroxychloroquine ne doit pas être donnée aux cardiaques, un électrocardiogramme est nécessaire. Nous constatons que les malades anglais étaient non seulement affaiblis, maispour 27 % d’entre eux l’hydroxychloroquine posait problème (422 sur 1 561). Aux cardiaques s’ajoutaient des posologies contre-indiquées : 119 et 8 % surtout des insuffisances rénales sévères.

AU MOINS UN TIERS DES MALADES NE POUVAIENT PAS RECEVOIR DE L’HYDROXYCHLOROQUINE EN TOUS CAS PAS A FORTES DOSES

Les auteurs citent Axfors et coll. [11] insinuant que, quelle que soit la posologie, l’HCQ seule est associée à une mortalité accrue. Cette interprétation est erronée, comme indiqué dans les compléments, ce risque n’existe pas à faibles doses. Cela a été confirmé par Ioannidis lui-même [12].

Recovery et solidarity représentent 90 % du poids d’Axfors et coll.

Axfors et coll. [13— Suppléments Tableau S3] ont constaté une augmentation du risque de 12 % uniquement pour l’HCQ à forte dose (récupération, sollicitude, plafond de remappage), dans 3 études impliquant 6 711 patients. Le groupe HCQ à faible dose (23 études, 3 301 patients) n’a réduit ce risque que de 1 %, alors que le RC était de 0,97 (0,71, 1,30). il est impossible que l’HCQ à faible dose entraîne un excès de risque de 11 %, risque non démontré par un grand nombre d’études observationnelles (HCQ à faible dose). L’ICMR d’Inde a mis en garde l’OMS contre les doses élevées de récupération.

Les auteurs n’ont pas indiqué le schéma thérapeutique utilisé dans les différents hôpitaux. Ceci est préoccupant, car les seuls essais cliniques faisant état d’une tendance à la nocivité (sans signification statistique) ont utilisé des doses totales beaucoup plus élevées que dans le cadre d’un usage compassionnel. Extrapoler un effet cardiotoxique putatif sans tenir compte de l’effet établi dépendant de la concentration de la chloroquine est erroné.

La majeure partie du poids de la méta-analyse d’Axfors provient d’essais cliniques à fortes doses (Recovery/SOLIDARITÉ). Avez-vous procédé à une comparaison du modèle que vous proposez avec les résultats réels des études incluses dans votre analyse pour valider sa pertinence ?

https://pubpeer.com/publications/CC52948B43670BCD51E1B617E7BDAC

LA MÉTHODE DE L’ÉTUDE

ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites.

On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé.

On le multiplie par le nombre de décès Covid.

ON ARRIVE À UN RÉSULTAT REPRIS PAR LES MÉDIAS.




Mythes et légendes de l’écologie

[Source : @TVL]

Mathématicien, enseignant chercheur en mathématiques, Benoît Rittaud montre que la science sert désormais d’outil de censure au profit d’une idéologie qui, sous couvert de sauver la planète, installe ses rituels, ses légendes et ses prescriptions toujours plus exigeantes au cœur de notre société. Dans « Mythes et légendes écologistes », le scientifique démontre que la mythologie écologiste postmoderne n’a rien d’une vision naïve et bien intentionnée. Pour Benoît Rittaud, derrière son sympathique imaginaire de façade, se cache en réalité un projet totalitaire qui combat l’aspiration même à un monde plus prospère et plus libre.
Dans un entretien sans concessions, Benoît Rittaud évoque la mascarade de la Cop28 et revendique son statut « d’environnementaliste raisonnable » refusant de verser dans le catastrophisme global émanant d’un cartel de recherche qui interdit la dissidence et ne tolère pas la nuance.

[Le site des climato-réalistes de Benoît Rittaud :
https://www.climato-realistes.fr]






Un mauvais pronostic pour le colonialisme anglo-saxon

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Dmitry Orlov – Le 24 décembre 2023 — Source Club Orlov

Le colonialisme anglo-saxon a connu plusieurs itérations, chacune impliquant un type de piraterie différent. Dans sa forme initiale, il s’agissait de violer et de piller les navires en mer (les galions espagnols en particulier) et les communautés côtières, souvent par l’intermédiaire de corsaires — un euphémisme pour désigner les pirates officiellement sanctionnés. Dans sa forme intermédiaire, elle impliquait l’occupation, principalement de communautés côtières, la nomination d’un gouverneur et le stationnement de troupes, l’objectif global de l’entreprise, c’est-à-dire la piraterie, restant intact : l’extraction de richesses, mais avec l’avantage supplémentaire de maintenir des monopoles de marché pour les industries nationales dans le centre impérial. Divers mouvements de libération nationale au cours du XXe siècle ont mis fin à ce type de piraterie, et les industries nationales, pour rester rentables, ont été contraintes de délocaliser leur production, se passant de la plupart des types d’exportations physiques (à l’exception des armes, des marchandises et des déchets) en faveur des services, principalement financiers — un euphémisme pour divers types d’usure et d’extorsion.

Au lieu d’un contrôle colonial pur et simple, c’est un système plutôt raffiné de contrôle politique, financier, militaire et logistique qui a vu le jour :

Le contrôle politique a été exercé par l’utilisation de diverses technologies politiques déployées sous le couvert de la libre entreprise et de la démocratie. Par exemple, lorsqu’il s’est avéré récemment que l’Argentine n’était plus solvable en tant qu’entité souveraine, un certain Xavier Milei a été propulsé sur la scène dans le but exprès de fermer les services sociaux de l’Argentine et de démanteler et d’exproprier sa richesse publique. Les technologies politiques sont si efficaces que les Argentins ont élu Milei, comme autant de vaches volontaires pour être mangées !

Au lieu d’envoyer un gouverneur pour gouverner une colonie, il est désormais possible de déployer des talents locaux, formés dans des endroits tels que la Kennedy School of Government. Ces talents locaux sont choisis pour leur niveau élevé de sociopathie, leur manque d’empathie et leur facilité de manipulation. Il leur est généralement demandé de conserver leurs richesses au centre impérial et d’envoyer leurs enfants dans les écoles impériales, ce qui consolide le contrôle impérial sur leur comportement. Ils sont d’abord séduits par les histoires sur le caractère sacré de la propriété privée, avant d’apprendre que leur propriété peut leur être retirée instantanément s’ils se conduisent mal.

Par exemple, les parents de Vladimir Zelensky — la figure de proue théorique de l’ancienne Ukraine — se trouvent en Israël (une possession impériale) et sa femme et ses enfants passent du temps à Londres (un centre impérial). Cela rend Zelensky docile, complaisant et prêt à envoyer les Ukrainiens se faire massacrer jusqu’au dernier vieillard invalide. Mais c’est là que réside le danger : à un moment donné, la population locale se rend compte que son chef est un traître et le tue avant qu’il n’ait une chance de s’échapper.

Il y a eu un défilé constant de ces non-spécialistes sociopathes comme candidats à des postes de haut niveau. Certains d’entre eux n’ont jamais atteint les plus hautes fonctions : Svetlana Tikhanovskaya, du Belarus, et Juan Guaidó, du Venezuela, croupissent aujourd’hui dans l’oubli. Dans d’autres cas, le pari a réussi : la Roumaine Maia Sandu est en train de détruire la Moldavie et le stagiaire de Soros, Nikol Pashinyan, fait de même avec l’Arménie. Et un succès vraiment éclatant a été obtenu en Allemagne, où le Bundeskanzler est un modeste Bürgermeister, la ministre des Affaires étrangères est une gymnaste et le ministre de l’Économie est un auteur de livres pour enfants : un tiercé de cancres.

Ces technologies politiques peuvent encore fonctionner, mais il y a un problème : l’image de l’Amérique, et de l’Occident avec elle, comme une ville brillante sur une colline, un phare de la liberté et de la démocratie, le seul pourvoyeur du rêve américain et un puissant rempart contre la dictature et le despotisme — toute cette marque politique occidentale — est sérieusement ternie et n’est plus en mesure de projeter une image positive d’elle-même. Tout le monde voit désormais l’Occident pour ce qu’il est : une corporatocratie corrompue et une oligarchie dont les chefs d’État, très impopulaires et souvent non élus, sont redevables d’intérêts étrangers et transnationaux et n’ont aucune capacité à définir, et encore moins à faire respecter, les intérêts nationaux des nations dont ils ont la charge.

Et puis il y a les éléments carrément toxiques de la culture politique occidentale contemporaine : Le marxisme culturel et la folie LGBT. Le marxisme culturel tente de diviser la société en oppresseurs (essentiellement les hommes blancs) et en opprimés (à peu près tous les autres). L’objectif de la justice sociale est d’arrêter (et d’inverser) l’oppression. Mais la plupart des gens dans le monde considèrent que des éléments du dogme marxiste culturel tels que « les opprimés ne peuvent pas être aussi les oppresseurs », par exemple « les Noirs ne peuvent pas être racistes », sont de pures absurdités et les rejettent d’emblée. Il en va de même pour les LGBT : la majeure partie de la planète est socialement conservatrice et rejette catégoriquement la notion de genre, préférant s’en tenir au sexe à l’ancienne. Ils savent a priori que les animaux ont trois sexes — mâle, femelle et castré — et n’admettent aucun argument contraire.

Dmitry Orlov
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Bonne année 1974

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

Difficile de souhaiter quoi que ce soit quand on ne croit pas dans cet univers d’hypocrites, que l’on pense que cela ne peut arriver tant la situation se dégrade dans un monde dont le bien-être des individus est la dernière des préoccupations, celui du système et de ses dirigeants passant en premier.

Comment vous souhaiter du mieux, une amélioration, tant que les moutons ne se réveilleront pas ? Plus rien ne va dans ce pays. Trouvez-moi une seule chose allant dans le bon sens dans ce pays, allant vers le progrès social et devant améliorer le bien-être des individus.

La santé ? Le nombre de lits d’hôpitaux diminue, et par décisions politiques, et faute de personnel. De plus en plus de maternités disparaissent, de plus en plus de services d’urgence ferment la nuit. À Manosque, il faut faire maintenant 60 km en cas d’urgence la nuit. De moins en moins de médecins, et ceux qui restent sont devenus des officiers de santé, aux ordres non de la santé, mais des politiques. Un bouton bizarre ? Le temps que vous ayez un rendez-vous dermatologue dans 3-4 mois, si c’est malin, c’est trop tard. De moins en moins de médicaments, 8 000 en « rupture de stock ». C’était mieux il y a 50 ans.

L’éducation ? De pire en pire. Au rythme de ces dernières décennies, bientôt les bacheliers ne sauront plus ni lire ni compter. Que fait-on ? Des dizaines de « réformes », chacune dégradant la situation. Ils ne savent plus compter ? On impose des cours sur la sexualité, pour expliquer aux très jeunes qu’ils doivent se poser des questions sur leur genre, problème le plus urgent pour nos derniers ministres. C’était mieux il y a 50 ans.

Les services publics ? De plus en plus informatisés, ne recevant plus les citoyens, mais de moins en moins efficaces. De plus en plus de fonctionnaires, mais que font-ils ? 4 à 6 mois et souvent des dizaines de kilomètres à faire simplement pour renouveler une carte d’identité. Tout le reste suit, et il faut de plus en plus se battre seuls avec des sites souvent bornés. Quand j’étais jeune, les poubelles étaient ramassées tous les jours, gratuitement. Depuis le premier janvier, ici, c’est un ramassage par mois, contre une fortune. C’était mieux il y a 50 ans.

Le logement ? En décourageant les propriétaires, on a de moins en moins de logements, de plus en plus chers. Les locataires qui ne paient pas ont tous les droits, les propriétaires aucun. Les taxes foncières évoluent sans limites et sans contrôle, et tout est taxable, jusqu’à la cabane de jardin pour abriter la tondeuse. Bientôt le tour de la niche. Si vous avez le malheur de partir 3 jours et que quelqu’un vient forcer et changer votre serrure, vous n’avez pas le droit de faire de même pour récupérer votre bien, et le nouvel occupant vous brandira les textes de lois qui le protègent et qui ont plus de valeur que votre acte de propriété. La justice vous le rendra (peut-être) dans 2-3 ans dans un état lamentable. Quant à France Stratégie, ex-Commissariat au plan, voilà qu’elle propose d’intégrer dans votre revenu imposable un loyer fictif que le fisc calculera, car si vous ne payez pas de loyer en tant que propriétaire, c’est un scandale. Etc. C’était mieux il y a 50 ans.

La France ? La France était un beau pays, où en circulant on voyait ici et là de belles maisons, des petits châteaux, des moulins, des maisons isolées, typiques dans chaque région. Savez-vous qu’il est maintenant interdit de construire hors zone urbanisée ? Tous en lotissements de 500 à 1000 m2. Chez moi, l’ancien est en pierre, le nouveau je ne sais pas, car dans tous les lotissements on commence par construire des murs de protection en agglos même pas crépis. Chaque petit chemin n’est que murs des deux côtés, c’est le nouveau paysage de la France, le reste est interdit. C’était mieux il y a 50 ans.

Les déplacements ? Des transports en commun bientôt plus chers que la voiture, bientôt interdite partout. Bientôt vous ne pourrez plus rendre visite à la famille si elle est à plus de 200 km, sauf à y passer la journée. Alors que le baril est 20 % moins cher qu’il y a 10 ans, le gasoil lui est 50 % plus cher à la pompe. Quant à l’électrique, soyez sans crainte la taxe sur les produits pétroliers, ex-TIPP, a été remplacée par la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques, TICPE, pour pouvoir taxer l’énergie de votre voiture électrique, via le module ERL de votre Linky, qui passera un jour d’optionnel à obligatoire, tout est en place. Chez moi tous les chemins communaux en enrobé il y a 40 ans, ne sont plus entretenus et deviennent routes de cailloux. Tout pour les ronds-points, rien pour le reste. C’était mieux il y a 50 ans.

Nourriture ? Il y a 50 ans, on savait ce qu’on mangeait, aujourd’hui on ne sait plus, c’est décidé par l’industrie, tout comme nos traitements. Même les aliments les plus simples ne sont plus simples, mais reconstitués, même chose pour les goûts, ils sont reconstitués : plus un gramme de chocolat, mais « goût chocolat ». Heureusement il y a encore des producteurs dans nos campagnes, mais des milliers disparaissent chaque année. C’était mieux il y a 50 ans.

Énergie ? Qu’attendre quand un président dit une année qu’il fermera des centrales, pour se réjouir quelques années plus tard de relancer ce qu’il a détruit, après avoir vendu les droits industriels aux États-Unis qui peuvent maintenant contrôler toutes nos filières par la maintenance ? Il a signé des contrats nous obligeant à vendre au prix plancher et à racheter la même chose au prix fort, et sans raison hexagonale, depuis son arrivée (2017), dans 1 mois (2024) l’électricité aura augmenté de 50 %. Et on supprime les autres énergies bien que de plus en plus de Français ne peuvent plus payer leur électricité. C’était mieux il y a 50 ans.

La sécurité ? De plus en plus de no man’s land dans les villes, et plus aucune femme ne peut sortir la nuit tombée. Pour aggraver les choses, on supprime l’éclairage public, au nom de l’économie d’énergie, après avoir remplacé à grands frais par des LED consommant 5 fois moins. Dans les villes, on ne sort plus, dans les villages on s’emmure, quant aux petits retraités isolés qui croient pouvoir se défendre avec un vieux fusil de chasse, depuis ce jour, c’est 75 000 euros et 5 ans de prison s’ils le gardent. Seuls les agresseurs peuvent être armés. On ne peut plus rien laisser traîner, ni même planter des fleurs dans les espaces publics, tout est ramassé immédiatement. La France est un pays de voleurs, qui vont même jusqu’à voler au Secours populaire. Voler n’est plus un délit, il faut aider ces voleurs, car ils ont plus de problèmes que vous, vous devriez le comprendre. Il est vrai que le vol commence au plus haut niveau de l’État. Il confisque tout pour dépenser 57 % de ce que nous produisons, et il en fait quoi, quand on voit les progrès régressions de notre quotidien ? C’était mieux il y a 50 ans.

La solution à nos problèmes, comment vous la souhaiter ? Vous l’avez compris, il faut effacer ces 50 dernières années. Revenir au système de soins d’il y a 50 ans, qui fonctionnait bien, pour moins cher, avec beaucoup de médecins et d’hôpitaux. Même chose pour l’école, le logement, la prison pour les voleurs, et pour tout ce qui relève de l’État.

Mais que s’est-il donc passé il y a 50 ans ? Pourquoi cette France triste et bourrée d’anxiolytiques ? Il y a exactement 50 ans, c’est pour la première fois l’arrivée au plus haut niveau de l’État d’un énarque. Depuis, ils dirigent tout, même les ministres non-énarques sont à leurs ordres dans tous les cabinets. L’ENA, vous savez cette école dont notre président a changé le nom pour faire croire qu’elle était réformée. Cette école dont un ancien secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme de l’État et de la Simplification, disait que c’est « une aberration absolue. Il n’y a pas de professeurs, des gens viennent faire des conférences : on considère que, parce que vous avez réussi le concours, vous savez déjà tout et êtes aptes à diriger. On ne vous apprend qu’à rédiger des décrets et des circulaires, c’est-à-dire à soumettre les citoyens à vos décisions ».

Liberté ? Ces énarques sont partout, une vraie armée (6 000 ?), qui se croient obligés de réglementer, de pondre décrets et lois, pour décider de notre quotidien à notre place : ce que nous devons faire, et comment nous devons le faire. Dans ce pays, il n’y a plus aucune liberté, sinon celle d’obéir à un dictateur sans nom, une dictature administrative.

Alors comme Saint Simon et sa parabole (1819), je vous souhaite qu’un rêve se réalise : il imaginait une société expurgée de son élite administrative et militaire affirmant que cela ne mettrait pas la société en péril, mais le contraire (la Suisse en est un bel exemple avec une administration et un pouvoir politiques réduits au minimum). Ces propos lui ont valu des poursuites. S’il a été innocenté par la Cour d’Assise, aujourd’hui ce ne serait pas pareil, la loi s’applique et s’impose à la Cour : grosse amende et prison.

« Si la liberté d’expression nous est enlevée alors, muets et silencieux, nous pourrons être conduits à l’abattoir comme des brebis ». Georges Washington




Contre le cancer, la vitamine C concurrence les labos, mais elle menace aussi le prestige du médecin

[Source : xavier-bazin.fr]

Par Xavier Bazin

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Dans les années 1970, le grand Linus Pauling a fait la promotion de la vitamine C contre le cancer.

Ce prix Nobel de chimie avait étudié à fond les effets de la vitamine C. Puis, il s’était allié avec un médecin écossais renommé pour conduire une étude sur des patients en phase terminale. Avec des résultats très prometteurs !

Mais deux grandes études « officielles » publiées en 1979(([1] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/384241/ )) et 1985(([2] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3880867/ )) ont conclu que cela ne « marchait pas », ce qui a freiné la recherche pendant des années.

Heureusement, des scientifiques indépendants ont continué à travailler. Et depuis les années 2000, ils montré que la vitamine C améliore clairement la qualité de vie des patients cancéreux… et pourrait même contribuer à prolonger leur vie !

Alors, que s’est-il passé à la fin des années 1970 ?

Pourquoi les études « officielles » ont-elles conclu à l’inefficacité de la vitamine C ?

Quand on se plonge dans la façon dont ces essais cliniques ont été menés, on comprend le problème.

En fait, le protocole de Linus Pauling a été totalement trahi(([3] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3951764/ )) :

  • On a donné la vitamine C aux patients cancéreux par voie orale uniquement (en comprimés) alors que le protocole Pauling prévoyait aussi de la donner en intraveineuse (ce qui a des effets totalement différents) ;
  • On a demandé aux patients d’arrêter la prise de vitamine C beaucoup trop tôt, au bout de 2 mois et demi en moyenne, alors que le protocole Pauling exigeait une prise au long cours (c’est d’autant plus crucial qu’un arrêt brutal provoque un « effet rebond » problématique) ;
  • Et pour couronner le tout, le protocole n’a pas été respecté par les patients eux-mêmes : des participants du groupe « placebo » prenaient eux-mêmes de la vitamine C à haute dose !

Bref, on dirait que tout a été fait pour conclure que la vitamine C ne marche pas.

Alors, je me suis intéressé à l’auteur principal de ces études, le Dr Charles Moertel, un cancérologue reconnu à l’époque.

J’étais à peu près certain que j’allais trouver des liens étroits avec Big Pharma.

Eh bien pas du tout !

Non seulement je n’ai trouvé aucun conflit d’intérêts le concernant… mais il s’avère que le Dr Moertel n’hésitait pas à condamner publiquement la cupidité de l’industrie pharmaceutique(([4] https://www.latimes.com/archives/la-xpm-1993-09-12-mn-34516-story.html )) !

Alors, comment expliquer la mauvaise foi avec laquelle il a conduit ses études sur la vitamine C ?

La réponse est simple.

Vous allez comprendre pourquoi les traitements naturels ont autant de mal à trouver leur place dans la médecine conventionnelle.

Car l’influence de Big Pharma n’explique pas tout.

De façon plus profonde, les approches naturelles menacent le prestige du médecin.

Quand on comprend que, pour éloigner les maladies, il faut d’abord s’occuper de notre « terrain »… c’est-à-dire optimiser notre « capital santé » pour renforcer notre organisme…

… on comprend que le « naturopathe » (au sens large) est au moins aussi important que le médecin !

Celui qui vous aide à mieux manger, mieux dormir, moins stresser… celui qui vous aide à vous détoxifier… celui qui vous aide à prendre les micronutriments dont votre corps a absolument besoin pour être « au top », etc., etc.

… celui-là est au moins aussi important (si ce n’est davantage !) que le médecin qui a d’abord appris à « attaquer » de front la maladie avec des médicaments ciblés.

Et ça, c’est inacceptable pour le corps médical.

Il faut mesurer les sacrifices inouïs que les médecins ont consentis pour décrocher leur diplôme :

  • Une « première année » abominable, qui demande d’apprendre par cœur des livres entiers, du matin au soir, 7 jours sur 7, pendant une année entière (voire 2 ans dans les cas fréquents de redoublement) ;
  • Des études interminables — les futurs médecins sont encore en classe ou en stage quand leurs camarades de classe profitent des avantages de la vie active ;
  • Des stages hospitaliers éprouvants, avec des périodes de quarante-huit heures d’activité sans sommeil, ou presque.

Après tous ces sacrifices, il est normal que le « diplôme » prenne une valeur démesurée.

Il est compréhensible qu’on n’ait pas envie d’être comparé à un « vulgaire » naturopathe, dont on n’est même pas sûr qu’il ait décroché son bac.

Je ne dis pas que c’est bien, je dis que c’est humain.

C’est pourquoi il est si difficile pour les médecins de prendre du recul et d’accepter de remettre en cause les dogmes de leur profession.

Et l’un des dogmes les plus établis, consciencieusement intériorisé pendant les études médicales, c’est que les approches « naturelles » sont globalement du charlatanisme.

L’objectif de ce dogme absurde est très simple : il s’agit de protéger le prestige du corps médical contre la concurrence des « naturo ».

L’utilisation de la vitamine C en est un excellent exemple.

Elle a tout pour déchoir la blouse blanche de son piédestal :

  • C’est une molécule naturelle, connue depuis plus d’un siècle — et non une nouvelle molécule complexe découverte par la recherche de pointe ;
  • C’est une molécule qui peut se prendre en automédication, sans ordonnance, ce qui court-circuite l’intervention du médecin ;
  • C’est une molécule qui ne comporte quasiment aucun effet indésirable ou contre-indication, ce qui rend son usage accessible au plus grand nombre, sans avoir besoin d’avis de spécialiste ;
  • Et c’est une molécule dont l’objectif premier est de restaurer la santé, d’aider le corps à lutter contre la maladie, plutôt que de viser directement les symptômes de la maladie elle-même (la tumeur cancéreuse), comme les médecins sont habitués à le faire.

La seule chose qui est un peu « médicale », avec la vitamine C, c’est son utilisation en perfusion intraveineuse, ce qui justifie a minima l’intervention d’une infirmière qualifiée.

C’est d’ailleurs précisément ce qui a permis le regain de la recherche médicale depuis 20 ans !

C’est parce qu’on a découvert un mécanisme par lequel, à haute dose et en intraveineuse, la vitamine C parvient à détruire directement les cellules cancéreuses.

On retrouve ici la philosophie très médicale de la « chimiothérapie » (tuer l’ennemi) qui s’oppose au paradigme naturopathique visant en priorité à restaurer la santé.

Mais cet effet inattendu de la vitamine C en intraveineuse n’était pas encore connu, dans les années 1970.

Ni par le prix Nobel Linus Pauling, qui la défendait… ni par Charles Moertel, l’homme qui a saboté les études sur la vitamine C contre le cancer.

En fait, si Charles Moertel était hostile à la vitamine C, ce n’était pas pour protéger les profits des laboratoires pharmaceutiques…

… c’est parce qu’en médecin classique, il voulait lutter contre le soi-disant « charlatanisme » des approches naturelles… et préserver ainsi le prestige de sa profession.

Je ne dis pas cela en l’air. Je vais vous en donner la preuve :

Le Dr Moertel accepte d’infliger aux patients une chimiothérapie à laquelle il ne croit pas… mais refuse de leur donner de « faux espoirs » avec la vitamine C !

Dans les années 1970, les chimiothérapies n’étaient pas aussi répandues qu’aujourd’hui face aux tumeurs solides.

Mais certains cancérologues utilisaient déjà le 5-FU (fluorouracile), un médicament de chimio très puissant et aux lourds effets indésirables.

Le Dr Charles Moertel, lui, ne croyait pas en l’efficacité du 5-FU. Mais cela ne l’a pas empêché, dans son deuxième essai clinique sur la vitamine C, de placer sous 5-FU les patients qui ne semblaient pas « répondre » à la vitamine C(([5] Voir l’excellent article : https://www.jstor.org/stable/284966 )) !

D’un côté, donc, il déconseillait la vitamine C en disant qu’il ne fallait pas donner de faux espoirs aux patients avec des traitements non prouvés…

… et de l’autre, il n’a pas hésité à donner à ses patients un traitement toxique (5-FU)… qui n’avait jamais été testé dans le cadre d’études randomisées contre placebo… et qu’il jugeait lui-même inefficace !

La seule différence était que le 5-FU était une molécule :

  • découverte peu de temps avant et synthétisée par une firme pharmaceutique (Roche-Hoffman) ;
  • qui s’intégrait bien dans le paradigme médical visant à détruire les cellules cancéreuses ;
  • et suffisamment toxique pour exiger l’expertise d’un oncologue pour l’administrer.

Le « deux poids, deux mesures » entre la vitamine C (naturelle) et le 5-FU (pharmacochimique) est évident.

Et si vous avez encore un doute, sachez que le Dr Moertel est aussi celui qui a « enterré » un autre traitement naturel prometteur contre le cancer, connu sous le nom de « vitamine B 17 ».

Il s’agissait du laetrile, une substance naturelle (mais assez toxique) contenue dans les noyaux d’abricots.

Eh bien le Dr Moertel s’est appuyé sur une étude qui n’était ni randomisée, ni contrôlée, pour conclure que le laetrile ne fonctionnait pas contre le cancer !

C’est le même médecin qui, à propos de la vitamine C, a rejeté les conclusions des études très prometteuses de Linus Pauling contre le cancer au prétexte qu’elles n’étaient pas randomisées contre placebo !

Clairement, le corps médical a de grosses difficultés à accepter les traitements qui heurtent frontalement le prestige de leur profession.

En voici une dernière preuve :

Pour enfoncer le clou : regardez comment a été accepté l’interféron par rapport à la vitamine C

L’interféron n’est presque plus utilisé en oncologie aujourd’hui, mais il a été pendant longtemps le traitement de référence de plusieurs cancers relativement rares.

Or l’interféron a des points communs évidents avec la vitamine C(([6] Cette section repose également sur cette excellente revue
https://www.jstor.org/stable/284966 )).

  • C’est une molécule naturelle : elle est produite par notre système immunitaire en réaction à une infection virale ;
  • Contre le cancer, l’objectif est donc, comme pour la vitamine C, d’aider le système immunitaire à combattre les cellules cancéreuses (plutôt que de les détruire directement avec de la chimio).

Sans surprise, donc, dans les années 1970, les partisans de l’interféron ont dû faire face, eux aussi, au scepticisme des oncologues partisans de la chimiothérapie.

De plus, les premiers essais cliniques qui ont testé l’interféron contre le cancer ont été négatifs — comme pour la vitamine C.

Alors pourquoi, dans les années 1970-1980, l’interféron a-t-il fini par être accepté comme traitement officiel de certains cancers, là où la vitamine C a été massivement rejetée par l’establishment médical ?

Une grande différence est le mode de production.

Pour produire de l’interféron en quantité suffisante, il faut utiliser des techniques génétiques de pointe — ce qui passe par l’intervention de laboratoires ayant de gros moyens.

Résultat : des entreprises privées de biotechnologie se sont mobilisées. Puis, de grosses firmes pharmaceutiques (dont Hoffmann Roche) se sont battues pour obtenir des brevets sur l’interféron — alors qu’il était bien sûr impossible d’obtenir le moindre droit sur la vitamine C.

Et l’Institut national du cancer, si frileux pour tester la vitamine C, a débloqué des millions pour organiser des essais cliniques sur l’interféron.

C’est d’autant plus frappant que, contrairement à la vitamine C, l’interféron a de lourds effets indésirables — comparables à ceux de la chimiothérapie.

Mais pour les médecins, cela présente l’avantage du « contrôle » : l’interféron est un traitement accessible uniquement sur ordonnance et administré à l’hôpital.

De plus, l’interféron a été rapidement perçu comme un traitement complémentaire de la chimiothérapie — là où Linus Pauling insistait au contraire sur l’incompatibilité totale entre la vitamine C (booster du système immunitaire), et la chimiothérapie (qui détruit l’immunité).

L’interféron n’a donc pas été vécu par les partisans de la chimio comme une menace frontale, et a pu être testé en combinaison avec des médicaments de chimiothérapie.

L’ironie de l’histoire, c’est que Linus Pauling lui-même a essayé de « surfer » sur l’engouement en faveur de l’interféron… en expliquant que l’un des effets anticancer de la vitamine C venait du fait qu’elle facilitait la production d’interféron par le système immunitaire !

Mais comme on le sait, cela n’a pas suffi pour faire accepter son traitement.

La vitamine C était trop éloignée de la culture médicale et des intérêts des labos.

Mais comme vous le voyez, les deux vont de pair.

Il ne faut forcément pas crier à la corruption, quand on observe qu’un traitement naturel est injustement écarté par la médecine.

Le Dr Charles Moertel, l’homme qui a « tué » la vitamine C, n’était pas du tout corrompu par l’industrie.

Mais il était corrompu intellectuellement, par les dogmes de sa profession.

Des dogmes bâtis pour protéger le prestige du médecin.

Souvenez-vous de cette critique acerbe des médecins par Molière dans le Malade imaginaire :

« Les médecins savent parler en beau latin, savent nommer en grec toutes les maladies, les définir, et les diviser (…)

Toute l’excellence de leur art, consiste en un pompeux galimatias, en un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

Quatre siècles plus tard, la médecine a fait des progrès considérables, évidemment.

Mais il reste vrai que les médecins tirent d’abord leur prestige de la maîtrise d’un savoir complexe et inaccessible à la plèbe.

Le problème de la vitamine C n’est pas seulement qu’elle n’est « pas assez chère ».

Son problème est aussi qu’elle est « trop simple ».

Bonne santé,
Xavier Bazin

Sources