Un procureur italien inculpe trois médecins après la mort d’un ado de 14 ans à la suite de sa « vaccination » anti-Covid

[Source : medias-presse.info]

En Italie, un adolescent de 14 ans est mort à la suite de sa deuxième injection de pseudo vaccin contre le Covid-19. Comme cela arrive partout y compris en France dans l’indifférence médiatique qui n’y voit au mieux qu’un simple fait divers.

Mais la différence réelle et essentielle réside précisément dans le fait qu’en Italie ce décès tragique n’a pas laissé indifférent le magistrat saisi du dossier. Bien au contraire, le procureur a inculpé trois médecins, dont celui qui a fait la deuxième injection !

La responsabilité personnelle des médecins va commencer à en faire palpiter certains. Avis aux médecins de chez nous qui se font les promoteurs inconditionnels de cette expérimentation aux graves effets secondaires ! Leur tour pourrait venir. La dictature sanitaire ne les protégera pas éternellement. Il faudra tôt ou tard rendre des comptes.




La mémoire du stress dû au WIFI est aussi angoissante que la mémoire de la douleur

[Source : Kla.TV]

[Illustration : Thinkstock]

Le transfert de données sans fil WIFI fonctionne avec des fréquences de 2,4 et 5 gigahertz. De courtes impulsions cadencées à 10 hertz sont insérées dans cette transmission radio basée sur les micro-ondes.
Le professeur Lebrecht von Klitzing a découvert que ce sont précisément ces impulsions qui peuvent provoquer des perturbations intenses dans les processus du corps. Lorsqu’elles sont utilisées fréquemment, le corps peut même former une mémoire du stress, de la même manière que la douleur forme une mémoire de la douleur sur une plus longue période.
À cause de cette mémoire du stress, une électrohypersensibilité chronique, un stress oxydatif et d’autres symptômes peuvent se développer.

Alors que dans le domaine médical, on veille strictement à ce que les patients souffrant de douleurs ne développent pas une mémoire de la douleur exténuante, on ne fait rien pour empêcher développement d’une mémoire du stress due à l’utilisation du WIFI, qui ne fait pas moins souffrir, n’est pas empêché. Au contraire, même les écoles sont équipées de WIFI, bien qu’il existe une véritable alternative sous la forme d’un réseau local câblé (LAN). Pourtant c’est surtout avec les enfants que des dommages irréparables sont à craindre, car ils sont encore en pleine croissance.

D’une certaine manière, il semble que l’esprit du temps et la politique générale des médias fassent que l’on n’entende presque que l’opinion des experts achetés par les grandes entreprises, tandis que les experts indépendants qui ont la santé publique à l’esprit sont presque complètement ignorés.

Toutefois, pour se protéger des dommages tragiques, il est essentiel d’écouter sans parti-pris toutes les voix d’experts.




Haute trahison ? Bradage de la souveraineté de la France ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Dominique Delawarde.

Trois courtes vidéos qui montrent, une fois de plus, la duplicité de ceux qui nous gouvernent.

1 – Dans un extrait d’interview de 2 minutes sur une chaîne inattaquable, du 26 Septembre 2021, Arnaud Montebourg aborde le problème du dépeçage de la France et affirme très clairement : 

« dans cette affaire, Macron n’est pas complice, il est auteur ».

https://youtu.be/5w1RqBeQjVg

2 – Dans le cadre de l’émission bien connue « C dans l’air », sur RTL matin, Olivier Marleix, président de la commission d’enquête sur l’affaire Alstom fait apparaître la duplicité de l’exécutif et le rôle trouble joué par Monsieur Macron dans la catastrophe Alstom. L’émission démontre, au passage, l’importance d’Alstom dans la sécurité énergétique nationale …. Cette vidéo date un peu, mais reste pourtant d’une actualité brulante.

https://youtu.be/BsPOfDAMIcI

3 – Dans sa dernière vidéo postée hier, Raoult revient sur le harcèlement « institutionnel » permanent dont il a été l’objet depuis 18 mois … Il revient également sur la baisse progressive de la létalité des variants Covid et explique les principales raisons de cette baisse.

En dépit des apparences, ces vidéos vont dans le même sens en faisant apparaître des méthodes mafieuses utilisées par un exécutif que les électeurs français, manipulés par une meute médiatique instrumentalisée, ont porté au pouvoir en 2017.

Bonne ré-information

Dominique Delawarde




New York lance la loi martiale médicale avec des troupes pour prendre le contrôle des hôpitaux où des travailleurs de la santé non vaxés sont licenciés en masse

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

La prise de contrôle de la société par la loi martiale a commencé à New York, où le gouverneur Kathy Hochul a annoncé le licenciement massif d’agents de santé non vaccinés, qui seront remplacés par des travailleurs étrangers et des troupes de la Garde nationale.

Ce même modèle de remplacement des travailleurs civils par des troupes militaires sera reproduit dans les forces de l’ordre, les ambulanciers paramédicaux, les pompiers, les chauffeurs de camion, les ouvriers d’usine et d’autres secteurs de l’économie qui s’effondrent rapidement en raison des restrictions de verrouillage de la covid. Le résultat est que nous assistons à une prise de contrôle militaire rapide de la société sous le couvert d’un «état d’urgence» à la suite de pénuries de personnel qui sont en fait causées par les propres politiques du gouvernement.

[Ndlr : lorsqu’un pays expérimente une mesure, une tactique ou une stratégie liberticide supplémentaire au cours de cette plandémie Covid, on peut s’attendre à ce que les autres gouvernements s’en inspirent au cours des semaines ou des mois suivants.]

La seule raison pour laquelle les hôpitaux de New York manquent désespérément de travailleurs de la santé, bien sûr, c’est parce que des dirigeants gouvernementaux corrompus ont veillé à ce que tous les travailleurs non vaxxés soient licenciés. Ce sont les mêmes travailleurs qui ont survécu à 2020 sans vaccins contre le covid, travaillant en première ligne de la « plandémie »  causée artificiellement par des protéines de pointe et du graphène, mais maintenant ils sont jetés dans la rue parce qu’ils ne prendront pas de vaccin en 2021.

« La Gouv. Kathy Hochul a déclaré samedi qu’elle était prête à déclarer l’état d’urgence si le mandat de vaccination de l’État pour l’industrie des soins de santé entraînait une pénurie ingérable de travailleurs lorsque la règle entrera en vigueur lundi », a rapporté WSKG.org ce week-end.

New York annonce également l’utilisation de troupes de la Garde nationale et une prise de contrôle fédérale des soins de santé locaux. Comme le rapporte WSKG :

L’État envisage également d’activer des membres de la Garde nationale formés médicalement pour combler les lacunes dans les effectifs de la santé, et pourrait travailler avec le gouvernement fédéral pour faire venir des équipes de travailleurs médicaux pour aider les établissements de santé locaux.

C’est la phase d’ouverture de la prise de contrôle de la loi martiale médicale sur l’Amérique, et si elle n’est pas stoppée, elle risque de se transformer rapidement en manœuvres de plus en plus totalitaires de la part du régime :

  • Postes de contrôle des vaccins militaires sur les routes et les autoroutes.
  • Des troupes militaires assurent les livraisons de nourriture et de carburant, contrôlant les infrastructures critiques.
  • La militarisation de la nourriture, de l’essence, des fournitures médicales et d’autres articles essentiels, les empêchant d’entrer dans les États rouges qui refusent de pousser les vaccins obligatoires.
  • Les troupes militaires gardant les entrées des épiceries, des églises, des centres commerciaux et d’autres bâtiments, exigeant des passeports vaccinaux « Den Ausweis, bitte» avant d’autoriser les gens à entrer.
  • Des troupes militaires extrayant involontairement des personnes de leurs maisons sous la menace d’une arme et les emmenant dans des camps de la mort dirigés par le CDC. [1]

Voici une carte des camps de la mort de covid actuellement en activité par le CDC. Vous pouvez confirmer cette carte sur le site Web du CDC.

New York crée sa propre « crise » du personnel, puis utilise la crise qu’elle a créée pour déployer la loi martiale médicale

New York a créé cette crise en licenciant des travailleurs de la santé en premier lieu. Puis, au fur et à mesure que cette «crise du personnel» se déroule, New York utilise la crise pour déployer des migrants de remplacement (pour remplacer tous les malades sur le point de mourir qui ont subi un lavage de cerveau suffisant pour qu’ils acceptent la piquouse qui les achève) et installer des troupes militaires dans des postes d’infrastructure clés. .

Une partie de cette opération psychologique consiste à habituer le peuple américain à voir des troupes tout gérer : hôpitaux, transports, usines, forces de l’ordre, etc. Une fois que toutes les troupes sont en place, Biden invoquera simplement l’Insurrection Act, et déclarera que tous les anti-vaxxers sont engagé dans une « insurrection », puis dépêchera les troupes pour rassembler et/ou exécuter tous ses ennemis politiques. Cette liste d’exécution comprendra des chrétiens, des pasteurs, des médecins au franc-parler, etc.

Je couvre tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, qui expose le programme génocidaire de l’industrie des vaccins et le régime criminel de Biden :

Brighteon.com/ce8bdd6d-8aab-48ef-b23c-82d2f73937bf

Mardi 28 septembre 2021 par Mike Adams Source




Vaccination obligatoire : l’Agence européenne des médicaments ne sait pas répondre non plus !

[Source : francesoir.fr]

[Photo : MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités. De grandes contraintes aussi. Alors que certains professionnels de santé, indispensables dans la gestion de la crise sanitaire, sont exclus de l’hôpital pour ne pas s’être soumis à l’obligation vaccinale, une bataille plus discrète se joue en ce moment même auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (AEM).

Ces autorités ont récemment été sollicitées par l’avocat de trois associations pour s’assurer du respect des règlements européens et des autorisations européennes (autorisations de mise sur le marché conditionnelles) dont bénéficient les vaccins anticovid.

Une simple visite de courtoisie qui s’avère être un pavé dans la mare puisque ni l’agence française ni l’agence européenne ne savent répondre. Me Teissedre vient en effet de recevoir cette réponse surprenante de la direction de l’Agence européenne des médicaments : « Nous examinons actuellement votre demande et vous répondrons en temps voulu ».

Curieuse réponse lorsque l’on sait que depuis plusieurs semaines le temps non seulement est venu, mais il est aussi passé ! En effet, les délais réglementaires sont expirés. C’est le cas du délai à observer pour le renouvellement annuel de chaque autorisation délivrée à chacun des vaccins actuellement sur le marché mais aussi des délais dont disposaient les fabricants pour transmettre à l’AEM les données complémentaires relatives aux caractéristiques des produits vaccinaux.

On ne parle pas de rien puisqu’il est question de connaître notamment la composition de la substance active des vaccins et des excipients ! Pourquoi alors l’agence européenne entretient-elle le mystère lorsqu’un avocat lui pose des questions aussi légitimes, sachant que l’agence française a déjà botté en touche en renvoyant l’encombrante requête vers l’Agence européenne des médicaments ?

Voir aussi : Données relatives aux vaccins : l’ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre

Les fabricants disposent évidemment d’une armada de juristes compétents qui connaissent par cœur ces délais. Alors imaginer que le calendrier relatif à l’évaluation des vaccins ne serait pas respecté est-il vraiment raisonnable ?

La réponse est oui. Et c’est même l’hypothèse privilégiée. La revue Prescrire a consacré en novembre 2017 un article à ce sujet, à l’occasion des 10 ans (2006-2016) de pratique des autorisations de mise sur le marché conditionnelles. Ces autorisations sont des autorisations anticipées répondant à une urgence. Aux termes de chacune de ces autorisations, les fabricants s’engagent à fournir à l’agence européenne régulièrement, post-autorisation, des données essentielles sur le produit mis sur le marché.

Sauf que la revue Prescrire relevait dans son article de novembre 2017 que les fabricants jouent rarement le jeu une fois l’autorisation octroyée ; l’agence ayant ensuite tendance à se montrer très laxiste. Le problème ici est que c’est le monde entier que l’on vaccine, sous la contrainte, que la vaccination des enfants européens est envisagée et on parle de 3e, de 4e dose en dehors de tout cadre alors même que de nombreux États ont retiré du marché 2 vaccins (Janssen et AstraZeneca) sur 4.

Il est donc plus que difficile dans un tel contexte de passer sous les radars… Une autre explication est également donnée par la députée européenne Madame Michèle Rivasi, qui déclare dans une vidéo récente que les fabricants ont besoin de protéger leur savoir-faire, ce qui expliquerait leur refus de livrer des informations stratégiques.

Madame Rivasi a pu poser la question à l’Agence européenne des médicaments : « Est-ce que vous savez tous les ingrédients qui ont été mis dans un vaccin ? Ils m’ont dit que non alors que normalement même s’il y a une partie confidentielle elle devrait avoir accès à ces données ».

Ce qui veut dire aussi au passage que la Commission européenne s’est contractuellement engagée à garantir les fabricants contre toutes les conséquences financières liées à des déconvenues vaccinales, incluant les honoraires des avocats, sans avoir pu préalablement évaluer le risque.

Notons qu’alors qu’elles préconisent des lois liberticides et contraignantes, les autorités sanitaires ne sont même pas en capacité de faire respecter les obligations qui sont les leurs. En droit, l’obligation vaccinale, inscrite à l’article 12 de la loi du 5 août 2021, sur la validité de laquelle le Conseil constitutionnel ne s’est pas encore prononcé, est donc plus fragile qu’il n’y paraît.

Manifestement le législateur n’est pas si sûr de lui en l’édictant puisque la loi qui l’institue prévoit aussi qu’un décret, pris après avis de la Haute autorité de santé, peut suspendre l’obligation en fonction notamment des connaissances médicales et scientifiques. Or, dans la mesure où cette connaissance est impossible, on peut considérer que la loi ne peut plus être appliquée et l’obligation ne peut plus être maintenue. L’obligation vaccinale, en l’état des connaissances, est contraire au consentement libre et éclairé, et expose en plus les pouvoirs publics à un risque considérable car la responsabilité pour l’État n’est pas la même selon que la vaccination est obligatoire ou ne l’est pas.

Auteur(s): FranceSoir




Connaissez-vous le Dolder Club ?

[Source : economiedistributive.fr via Geopolintel]

Le « DOLDER Club »

par B. BLAVETTE

Le Dolder Grand est un hôtel cinq étoiles situé dans la forêt, sur les hauteurs entourant la ville de Zurich. Avec ses tours, ses tourelles, ses colombages, le bâtiment semble sorti d’un film d’aventures ou d’espionnage.

C’est en ce lieu, à la fois ultra luxueux et discret, qu’en 1970 une trentaine de hauts dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale choisissent de se réunir pour la première fois. Depuis cette date, la rencontre se déroule une ou deux fois par an dans divers pays du monde et a adopté en toute modestie le terme de « Dolder Club » qui dans divers patois allemands et en alsacien désigne « la cime la plus haute, qui domine toutes les autres ».

C’est tout à fait par hasard que j’ai appris, il y a quelques semaines, l’existence du Dolder Club par l’intermédiaire d’un site faisant la promotion de la santé naturelle par les plantes.(([1] Il s’agit de « La lettre directe santé ». Attention, la fiabilité générale de ce site me semble par ailleurs incertaine du fait de ses attaques sans nuance à l’encontre de la médecine allopathique.)) Car, plus encore que le « Groupe de Bidelberg », cette réunion est ultra confidentielle. Le Dolder Club ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques (IFPMA pour Inter­national Federation of Pharmaceutical Manufacturers) qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants.

La dernière réunion du Dolder Club s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018. Mais cette fois l’anonymat intégral avait été brisé par une dépêche de l’AFP, reprise par différents organes de presse (La Croix, Le Point, Le Monde…), qui relate succinctement la rencontre et précise que le groupe a été reçu le 9 juillet au soir par Emmanuel Macron bien que ne figurant pas sur l’agenda officiel du Président. Le site internet de l’Elysée ne comporte pas non plus de compte rendu de ces discussions. L’AFP a pu se procurer la liste des participants au Dolder Clu : sans surprise on rencontre Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, N°1 mondial (USA), Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co (USA), Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire Navo Nordisk (Danemark), Pascal Soriot PDG de AstraZeneca (GB/Suède), Christophe Weber le directeur français de Tadeka (Japon)… La réunion est présidée par une vieille connaissance, Serge Weinberg, Président du Conseil d’Administration de Sanofi. Ce personnage s’est particulièrement illustré par son intransigeance dans le cadre du scandale de la Dépakine, cet anti épileptique produit par Sanofi qui, administré aux femmes enceintes, engendre des enfants mentalement handicapés. Selon un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) du 22/6/2018, entre 16.600 et 30.400 enfants exposés à la Dépakine avant la naissance seraient atteints de troubles du comportement. Mais le pire c’est que tout porte à croire que Sanofi connaissait les effets délétères de la Dépakine depuis au moins le milieu des années 80 grâce à un rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).(([2] Voir l’excellent article du magazine Capital du 22/10/2018.)) Pourtant l’affaire de la Dépakine ne s’arrête pas ici. Le lundi 9 juillet 2018 l’association France Nature Environnement publiait une étude montrant que l’usine Sanofi de Mourenx dans les Pyrénées Atlantiques (qui fabrique notamment la Dépakine) procédait régulièrement et depuis plusieurs dizaines d’années à des rejets toxiques dans l’atmosphère dépassant… 90.000 à 190.000 fois, suivant les cas, les normes admises. À la suite de ces révélations l’usine a été fermée pendant deux mois, le temps pour Sanofi de procéder à « quelques ajustements ». Puis la production a repris, « business as usual ». France Nature Environ­nement a déposé une plainte qui, comme d’habitude, n’est pas suspensive… Il est vrai que l’année précédente (le 7/10/2017) Christophe Castaner avait déclaré lors d’une visite du site de Sanofi à Sisteron « On ne doit pas critiquer des entreprises qui réussissent comme Sanofi » et Édouard Philippe avait renchéri (le 17/10/2017) devant l’Assemblée Natio­nale à propos de Sanofi : « Il ne faut pas dénigrer une entreprise française qui fonctionne bien ». Le cynisme, allié à la bêtise, de ces deux perroquets atteint ici des sommets. Il faut ajouter aussi que Serge Weinberg doit se penser intouchable, lui qui est un ami proche d’Emmanuel Macron, lui qui a largement contribué à son élection. En effet les deux hommes se sont rencontrés dans le cadre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » mise en place par Nicolas Sarkozy et ont rapidement sympathisé. Serge Weinberg était alors Président du Conseil d’Administration du groupe Accor et PDG du fond d’Investissement Weinberg Capital Partner et Emmanuel Macron, Inspecteur des Finances et Rapporteur général adjoint de la Commission. Par la suite Weinberg introduira Macron dans la Banque Rothschild et le soutiendra pendant toute la campagne électorale. Selon le député de la France Insoumise François Ruffin, lors de la réception donnée à l’Elysées à la suite de son élection, Macron fendra la foule de manière très remarquée pour donner l’accolade à son ami Serge…

Il n’est guère étonnant dans ces conditions qu’Emmanuel Macron « soigne les industriels du médicament » comme le déclare France-Info du 10/7/2018.(([3] Remarquons que suivant Le Canard Enchaîné du 7/6/2017 et Wikipédia, l’actuelle Ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tissé tout au long de sa carrière dans des organismes publics des liens très étroits avec plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques, ce qui a donné lieu à de multiples conflits d’intérêts. Agnés Buzyn a notamment effectué de nombreuses missions rémunérées pour Novartis, Bristol-Myers Squibb et, entre 1998 et 2011, le laboratoire Genzyme, filiale étasunienne de… Sanofi !)) En fait, selon RFI, la date de la réunion ne doit rien au hasard, elle permet aux membres du Dolder Club de participer au Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) qui s’est tenu le 10 juillet à l’Hôtel Matignon sous l’égide du Premier Ministre. Cette rencontre, qui se déroule tous les deux ans depuis 2004, est sensée établir un dialogue qui peut apparaître utile entre l’État et l’industrie pharmaceutique. Cependant, au fil des années, le CSIS s’est transformé en opération de lobbying permettant aux grands groupes pharmaceutiques de présenter, on pourrait même dire imposer, leurs revendications. Et ces revendications sont nombreuses.

À l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé deux mesures phares auxquelles l’industrie pharmaceutique est très attachée :

  • La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours actuellement. Ceci en dépit des multiples scandales qui secouent actuellement le secteur pharmaceutique : Médiator, Lévo­thy­rox, Dépakine, implants mammaires….
  • Un nouveau système de régulation du prix des médicaments : une garantie minimale annuelle de 0,5% de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans à venir, garantie pouvant aller jusqu’à 3% pour les médicaments dits “innovants”. Mais qui décidera qu’une molécule est réellement innovante ? Mais comment est-il possible qu’une entreprise privée puisse se voir offrir par la collectivité une garantie de croissance ?

Parmi les revendications que les laboratoires espèrent pouvoir faire aboutir dans un futur rapproché on citera notamment l’obligation de la vaccination contre la grippe pour les plus de 65 ans (tout comme les fournisseurs d’eau, l’industrie pharmaceutique adore les consommateurs captifs), le déremboursement, voire, dans certains cas, l’interdiction des médecines alternatives : homéopathie, utilisation des huiles essentielles…

Le marché mondial du médicament avoisine les 830 milliards d’euros annuels, ce qui donne à ses acteurs une formidable force de frappe.

On peut considérer qu’aujourd’hui l’industrie du médicament est hors de tout contrôle, qu’elle impose sa loi aux États ainsi qu’aux instances internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par une généralisation de la corruption et du conflit d’intérêts. Il s’agit là d’une atteinte supplémentaire à nos processus démocratiques.

Ajoutons qu’il m’a été impossible de connaître le lieu et la date de la prochaine réunion du Dolder Club en 2019.

Ainsi une fois de plus notre avenir collectif se décide dans des instances illégitimes, dans la plus parfaite clandestinité, dans l’indifférence générale…

Note de la rédaction :

Nous aurions aimé, par une photo, faire admirer à nos lecteurs cet hôtel absolument extraordinaire. Il aurait fallu pour cela payer à cet hôtel des droits d’auteur, ce dont nous pensons qu’il n’a pas besoin.

Mais sur internet, à l’adresse : The Dodler Grand,
vous pouvez admirer l’hôtel et son site par une foule de très belles photos… et même retenir une chambre pour vos vacances, (entre 600 et 900 € la nuit).





5758 lits d’hôpital supprimés en 2020 : ce SCANDALE en cache un autre !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Passe sanitaire : le recours devant la CEDH est possible

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : CEDH Pixabay / FS]

Auteur(s): FranceSoir

Face à la loi qui a instauré le passe sanitaire, Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit privé à l’université de Nîmes, a lancé une requête collective auprès de la Cour européenne des droits de l’homme. Opposé au passe sanitaire – mais pas à la vaccination, il nous explique dans une vidéo et un document qui se présente sous forme de questions-réponses, comment chaque personne peut déposer une requête auprès de la CEDH, une démarche dont il s’est expliqué dans un entretien donné au journal Reporterre.

Explication de cette requête

La Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) condamne toutes les violations aux droits fondamentaux commises par les États européens. Ainsi, dans le cadre du passe sanitaire, chaque particulier qui estime avoir subi un préjudice par l’instauration de cette loi, peut la saisir et attaquer le gouvernement français en envoyant une requête par la poste. C’est ensuite au gouvernement français de prouver que la personne ne possède pas la qualité de victime.

Si, en règle générale, il faut avoir épuisé toutes les voies de recours internes, le passe sanitaire constitue une exception qui permet de passer outre lorsque la violation résulte de l’existence de la loi elle-même et que le Conseil constitutionnel a déclaré cette loi conforme. Guillaume Zambrano rappelle également que le Conseil constitutionnel ne peut être saisi qu’en soulevant une question prioritaire de constitutionalité (QPC), ce qui ne peut pas être entrepris par un simple particulier.

Le passe sanitaire : une sanction pénale sans jugement

Pour le juriste, ce passe porte atteinte aux droits fondamentaux, puisque son instauration constitue une véritable exclusion de la vie sociale. Sa mise en place constitue une « sanction extrajudiciaire » puisqu’il échappe à notre tradition juridique, fondée sur le principe de l’habeas corpus qui permet à toute personne privée de liberté de passer devant un juge.

À titre d’exemple, il cite le cas des personnes assignées à résidence ou condamnées à porter un bracelet électronique et rappelle que ce genre de mesures ne peuvent être appliquées que dans le cadre d’un procès, et avec l’approbation d’un juge au préalable.

Le droit peut-il condamner par omission ?

En règle générale, le droit dit qu’une personne est condamnée « pour avoir fait quelque chose, et non pour ne pas avoir fait quelque chose ». Or, le fait de ne pouvoir présenter un QR code à l’entrée des lieux publics ne peut constituer une infraction puisque le droit ne peut condamner pour omission. Par ailleurs, s’il existe le délit de non-assistance à personne en danger, son application est très restrictive.

Afin de montrer à quel point le passe sanitaire ne peut entrer dans ce cadre d’exception, il prend comme exemple le cas de personnes qui ont été condamnées pour avoir transmis le Sida, le juge ayant retenu le caractère intentionnel de ces personnes qui se savaient malades et qui ont reconnu avoir voulu contaminer d’autres personnes.

L’atteinte aux libertés fondamentales

La liberté, premier principe de la devise républicaine est un droit fondamental, inaliénable et naturel qui ne peut faire l’objet de restrictions que dans des cas particuliers et des circonstances exceptionnelles.

Pour être mises en place, ces mesures doivent répondre à trois conditions :

Le test « d’aptitude », c’est-à-dire la possibilité « d’atteindre l’objectif fixé ». Dans le cadre de l’épidémie, il s’agit de démontrer que ces mesures permettent de lutter contre la propagation du virus. La question se pose surtout depuis que l’on sait que les double-vaccinés peuvent contracter le virus et que le vaccin n’empêche pas la contagion.

Le test de « nécessité », soit la possibilité « d’un grand nombre de morts » si les mesures de restrictions n’étaient pas mises en place. À cela, le juriste répond par la négative, citant des pays comme l’Angleterre ou encore la Suède qui n’ont pas eu recours à ce passe.

Le test de « substitution » étudie la possibilité de mettre en place « des mesures alternatives moins restrictives qui permettraient de lutter contre les effets de l’épidémie ». Sur ce dernier point, Guillaume Zambrano donne une série de dispositions que le gouvernement aurait pu prendre. Parmi elles, l’ouverture de lits de réanimation, la création d’hôpitaux de campagne ou encore la possibilité aux soignants de se tester régulièrement, ce qui aurait été plus efficace que la mise en place de l’obligation vaccinale.

L’obligation vaccinale est-elle contraire au droit ?

Très encadrées par le législateur, les obligations à des actes médicaux doivent êtres effectuées dans le cadre d’un consentement libre et éclairé et répondre aux besoins d’intérêt général. Dans le cas contraire, elles peuvent être considérées comme préjudiciables à l’intégrité du corps humain.

Ce principe posé, il s’agit de se demander si la vaccination contre le SARS-CoV-2 doit être rendue obligatoire et pour quel public. Pour les enfants et les adolescents, ceux-ci ne souffrant presque jamais d’une forme grave, l’intérêt médical n’est pas prouvé. Par ailleurs, le fait que la technologie soit nouvelle et que les risques à long terme ne soient pas connus ne penche pas en faveur de l’obligation.

Chaque citoyen peut devenir juge

En principe, la loi interdit que l’on fasse justice soi-même, et le seul détenteur est le pouvoir judiciaire. Ce principe protège à la fois l’individu, l’ordre juridique et la fonction judiciaire.

Dans une logique de « répression massive », le gouvernement permet aujourd’hui « des sanctions extrajudiciaires » et confie à la population toute entière la possibilité de jouer au juge en appliquant des sanctions. Désormais, ceux qui feront office de juge seront à l’entrée des hôpitaux, des bibliothèques, des cinémas, des musées ou des centres commerciaux. Pour le juriste, le seul point de comparaison est le crédit social en Chine, qui a institué bien avant l’épidémie de coronavirus des mesures de ce type extrêmement liberticides.

Les droits de l’homme au-dessus des lois nationales

Institués afin d’éviter que des gouvernements ne sortent de l’État de droit et « ne fassent basculer un pays dans la dictature », les droits de l’homme sont les libertés fondamentales qui ont un caractère essentiel pour l’individu. S’ils sont en principe garantis par un État de droit et une démocratie, ils ont reçu une consécration normative en étant inscrits dans les juridictions internationales comme la Cour européenne des droits de l’homme et les Constitutions, ce qui les place au plus haut dans la hiérarchie des normes et par conséquent au-dessus des lois nationales.

Cette requête collective portée devant la CEDH, Guillaume Zambrano l’espère la plus large possible. Offerte aux personnes de plus de 12 ans, une saisie par des milliers de personnes obligerait la Cour à écouter les arguments de ceux qui ont fait cette démarche et qui vise à éviter que le passe sanitaire soit prolongé au-delà du 15 novembre 2021 par l’adoption d’une nouvelle loi.

Auteur(s): FranceSoir




Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

[Sources : @LaUneTV2 et Docteur Yoga Denis]

https://youtu.be/Vdg4vVmFy5g






On a enfin des résultats sur les conséquences du Pfizer sur les souris et on comprend mieux pourquoi ils refusent les autopsies post injection pour les humains décédés

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Ne dites plus « on n’a pas le recul », malheureusement les études confirment les pires inquiétudes

La fameuse protéine spike induite par la vaccination ne disparait pas rapidement, mais demeure plusieurs semaines dans l’organisme occasionnant des dégâts qui rappellent celles de sa cousine induite par la contamination.

C’est une catastrophe si par malheur l’injection ne se fait pas dans le muscle, mais dans une veine, une catastrophe également si le vacciné est déjà contaminé ou le devient dans les jours qui suivent.

On comprend mieux l’explosion des décès attribués à la Covid au printemps dernier en pleine phase vaccinale. On comprend mieux les effets secondaires… Il ne faut pas se contenter du résumé de l’étude (les injections intraveineuses sont dangereuses) mais bien lire une fois de plus tout le matériel complémentaire.

Résultats d’autopsies humaines

Toutes les sources ici :

https://www.francesoir.fr/societe-sante/allemagne-autopsies-5-deces-sur-10-lies-aux-vaccins

Soutenu par les professeurs Sucharit Bhakdi et Stefan Homburg et par le Corona Auschuss de Reiner Fuellmich, un nouvel institut de médecine légale a tenu lundi sa première conférence de presse, pour présenter les éléments de preuve désormais disponibles sur les accidents mortels qu’ont pu entraîner les injections dites anti-covid.

Selon un rapport paru dans le bulletin allemand Corona Transition, les professeurs Arne Burkhardt et Walter Lang, médecins légistes, ont présenté lundi 20 septembre à Reutlingen le résultat de dix autopsies pratiquées sur six Allemands et quatre Autrichiens, tous décédés suite aux injections.

Sur les dix décès, sept sont « probablement » liées aux injections, dont cinq le sont « très probablement ». Pour les trois derniers cas, l’un d’entre eux reste à évaluer, un autre semble être « une coïncidence », et pour le dernier, le lien « est possible, mais pas certain ».

Ils ont résumé les conséquences des injections comme une « crise de folie des lymphocytes » (Lymphozyten-Amok). Les lymphocytes sont un sous-groupe de globules blancs associés aux réactions immunitaires.

Particulièrement étrange et inattendu, Dr Arne Burkhardt a découvert trois maladies auto-immunes extrêmement rares au cours de ces autopsies : le syndrome de Sjögren, la vasculite leucoclasmique de la peau, et la maladie de Hashimoto.

Pour ce qui est de la myocardite lymphocytique, la diagnose la plus répandue, elle est difficile à déceler même sous microscope et souvent interprétée comme simple infarctus.

Au cours des dernières années en Allemagne, la mort de 20 personnes seulement a pu être mise en relation avec des vaccinations. Par contre, entre janvier et juillet 2021, c’est-à-dire depuis le lancement de la campagne d’injections anti-covid, suivies de 1 230 signalements de décès comme accidents vaccinaux. Il s’agit donc au minimum de dix fois le nombre de morts par rapport aux vaccins conventionnels, sans même parler des dizaines de milliers d’accidents vaccinaux n’ayant pas immédiatement entraîné la mort.

La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque et 100 % des souris vaccinées sont victimes de nécrose.

Cette étude a fourni des preuves in vivo que l’injection intraveineuse par inadvertance de vaccins à ARNm COVID-19 peut induire une myopéricardite. Un bref retrait du piston de la seringue pour exclure l’aspiration de sang peut être un moyen possible de réduire ce risque.

EXPERIENCES SUR LES SOURIS

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34406358/

Les meilleures analyses viennent des vétos

https://twitter.com/TheVeto3/photo



https://t.co/1d5XfUfqBk?amp=1

TheVeto
@TheVeto3 DMV, DEA ScV, PhD, Post-PhD, Assistant Professeur – Maladies infectieuses, Pathologie, Microbiologie, Biologie Moléculaire, Epidémiologie, Vaccinologie

1/13 Attention💣 à RT!
Existe-t-il une étude in vivo qui montre qu’injecter les vaccins ARNm anti-SARS-Cov-2 induit des myo/péricardites? Super! Une équipe a testé l’injection ARNm Pfizer sur des souris! Les effets sur le coeur de ces malheureuses est juste hallucinant! Let’s go!

2/13 Ils ont comparé l’injection intraveineuse (IV) et intramusculaire (IM) contre placebo avec un rappel à 14 jours. On se doute que les effets seront amplifiés par l’injection IV contre IM. A l’autopsie, le coeur change d’aspect. Cela fait vraiment envie! Cfr flèches blanches.

3/13 Résultats dans le tableau. Infiltration immunitaire myo/péricarde et dégénérescence/nécrose des cellules du coeur (cardiomyocytes) chez 100% des souris 2j après leur 2ème dose (IV ou IM) … atteinte hépatique 2j après la première dose du groupe IV (100%) et IM (50%)

4/13 Le muscle cardiaque est littéralement envahit par des cellules immunitaires et s’altère à différents endroits. La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque (cardiomyocytes, histiocytes, endothéliocytes)

5/13 Les petites souris ne meurent pas, elles ne se plaignent pas mais leur poids a diminué par rapport aux groupes contrôles. L’histoire ne dira pas si leur espérance de vie a été raccourcie. Mais on nous dit que ce n’est pas grave de faire une myocardite …

6/13 Critique: la dose injectée aux souris est environ 500x celle injectée à l’Homme, en proportion du poids. S’ils avaient du inoculer la même dose qu’à l’Homme (500x moins), ils auraient peut-être dû autopsier des millions de souris pour voir des myocardites … pauvres souris

7/13 « C’est la dose qui fait le poison » disait l’ancêtre Paracelse!
Par dose, Moderna contient 100μg d’ARNm et Pfizer 30μg. On pourrait s’attendre à avoir plus de myocardite avec Moderna.
Regardons les dernières données de l’ANSM au 24/09/2021 sur les myocardites.

8/13 Moderna: 79 myocardites pour 9.567.020 doses
Pfizer: 251 myocardites pour 68.603.875 doses
Bingo! Pour 10 millions de doses injectées il y a 83 myocardites avec Moderna et 37 myocardites avec Pfizer.
Soit 2,25 fois plus de risque de faire une myocardite avec Moderna.

9/13 Question: Pfizer étudie l’élargissement de la vaccination aux enfants de 5-11 ans sur base d’une étude portant sur seulement 2.268 enfants et une dose injectée à 10μg. Pourquoi Pfizer divise par 3 la dose d’ARNm pour les 5-11 ans? Pas trouvé la réponse.

10/13 Si j’étais responsable vaccin chez Pfizer, en voyant ce qui est dit plus haut, j’aurais aussi diminuer la dose par 3 pour diminuer le risque. Vous imaginez, injecter une dose de 30μg alors qu’ils pèsent entre 20 et 40kg? Je voudrais pas avoir la 1/2 de la planète sur le dos

11/13 Diminuer la dose, c’est risqué de diminuer l’efficacité … de toute façon cela ne se verra pas puisqu’ils ne risquent rien! Pourquoi vouloir les vacciner avec un risque d’effets indésirables alors que le contexte épidémique est calme et qu’ils ne risquent rien?💵?

12/13 Conseil: Si vous vous faites injecter l’ARNm, demandez bien à la personne qui vous injecte le vaccin d’effectuer un petite aspiration sur la seringue pour bien vérifier qu’il ne vous fait pas une injection intra-veineuse! Vous verrez qu’à la TV ils ne le font jamais!😱😯

13/13 PS: Merci aux 46 petites souris qui ont donné leur vie pour nous éclairer. RIP.


Pour comprendre ce qu’il se passe dans le corps post-vacc ARNm pourquoi ne pas biopsier la peau de ceux qui font des réactions cutanées post-vacc pour le transposer aux autres effets indésirables? Super une publication est sortie dans Clinics in Dermatology.

Le récepteur ACE-2 est exprimé dans les cellules endothéliales des vaisseaux de nombreux organes ainsi que les plaquettes sanguines. On pourrait donc s’attendre à des effets indésirables post-vacc ARNm très variables … ce que l’on observe!

Des personnes montrant des « rash » cutanés post-vacc ARNm à différents endroits du corps, les biopsies donne des vascularites lymphocytaires avec dermatite et la spike vaccinale s’y retrouve chaque fois dans les vaisseaux sanguins du derme!

D’où l’hypothèse que les spikes vaccinales pourraient passer du muscle deltoïde dans le sang et agir à distance dans le corps comme des « pseudovirions » se liant là où est exprimé le récepteur ACE-2, provoquant localement réaction immune et inflammation.

Myocardite/péricardite, lymphadénopathie, appendicite, glomérulonéphrite, thrombocytopénie, métrorragie, vascularite/thrombose, hépatite, pancréatite, dermatite, neuropathies, …

MULTIPLICATION PAR DIX DES CAS HABITUELS DE MYOCARDIES



L’une des façons d’imputer des pathologies aux vaccins contre le Covid est de comparer leur incidence habituelle et leur incidence durant la période vaccinale. On peut voir dans ce tableau des CDC l’augmentation de pathologies cardiaques chez les jeunes

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8415509/




Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

[Photo : Robert Malone]

Ils sont déjà plus de 5000. Ils ont constitué une « Alliance Internationale des médecins et des chercheurs en médecine. Et ils ont signé l’appel de Rome, lancé à l’occasion d’un Global Covid Summit qui s’est tenu du 12 au 14 septembre à Rome. Parmi les premiers signataires, on compte Robert Malone, l’un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough , cardiologue américain qui est intervenu précocement pour prévenir des dangers de vaccins encore insuffisamment testés, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins. Ils rappellent ce qu’implique le serment d’Hippocrate, avertissent les gouvernements sur les dangers qu’ils courent à ne pas laisser les médecins prescrire et expérimenter librement des traitements. Et ils demandent que l’on « restaure confiance, intégrité et professionnalisme dans l’exercice de la médecine ». Le Courrier des Stratèges vous propose la traduction française de ce texte, qui rappelle l’appel de Great Barrington lancé en 2020 et que vous pourrez aussi consulter dans la version anglaise :

DÉCLARATION DES MÉDECINS
SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE

Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux

Septembre 2021

Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit :

  • ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;
  • ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ;
  • ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;
  • ATTENDU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;
  • CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et d’échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;
  • CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;
  • CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.

PAR CONSÉQUENT, IL EST

  • RÉSOLU que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.
  • RÉSOLU que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.
  • RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D’ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.
  • RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.
  • RÉSOLU que nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.
  • RÉSOLU que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science.

EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.

Signer la déclaration




Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




3e dose vaccinale appelée « booster »

[Source : La Minute de Ricardo]

Bonjour à tous, comme ici derrière moi, la maison brûle. En novembre 2021, vous aurez le droit à la troisième dose, plus la quatrième et bien sûr, sûrement la cinquième ! La personne et son corps vont devenir une véritable éponge. Il y a aussi cette autre injection contre la grippe qui va devenir obligatoire ! Il faudra en plus faire un test tous les trois jours, un test de 75 euros, bien sûr, payant ! Mais au delà de ça, ils veulent nous faire ce que les médecins appellent une explosion sur le plan immunitaire. En gros, m’a confirmé un médecin de Marseille tout à l’heure au téléphone, on n’aura plus les moyens de se défendre contre toute agression autre que le Covid, staphylocoque, tumeurs et autres. Bref, le corps ne pourra pas lutter. Alors, ceux qui ont peur des doses vont être considérés comme hors la loi. La répression est en train de s’organiser ! Elle va, croyez moi, être violente ! On rentre maintenant dans le dur ! En Israël, la quatrième dose est votée !

Avec Natacha, nous avons rencontré une représentante de Pfizer en Europe en toute confidentialité. Elle nous confirme trois choses: 1 – Les vaccins vont être remplacés par des pilules testées en Belgique à l’heure actuelle et qui vont donc remplacer la piqûre. 2 – On ne pourra plus sortir du pays sans la troisième dose qui rendra caduques les deux premières, ce qui sera le cas en Grande-Bretagne dans les jours qui viennent. 3 – Et puis cette terrible information: savez vous comment ils appellent la troisième dose chez Pfizer ? Ils appellent ça le booster ! Cette troisième dose a pour objet de vous surcharger pendant cinq ans, ! Un booster, si vous voulez encore vous faire piquer, libre à vous, ce sera sans moi et on se battra, croyez moi, jusqu’au bout. C’est quoi tout cela ? En fait, c’est une forme d’euthanasie sans son propre consentement !






CONFÉRENCE INTERNATIONALE « L’univers de Jean Bodin », dédiée au 490e anniversaire de la naissance de Jean Bodin, homme politique et philosophe français

[Illustration : Wikipedia]

L’académie des sciences de Russie
Institut d’Histoire Universelle
Département d’Histoire Nouvelle et plus Récente
Centre d’Histoire des Idées Historiques

Institut d’État des Relations Internationales de Moscou (Université)
du Ministère des Affaires Étrangères de la Russie
Faculté des Relations Internationales
Département d’Histoire Mondiale et Nationale

CONFÉRENCE INTERNATIONALE « L’univers de Jean Bodin »,
dédiée au 490e anniversaire de la naissance de Jean Bodin,
homme politique et philosophe français.

PROGRAMME

04 OCTOBRE (LUNDI)
Institut d’État des Relations Internationales de Moscou (Université)
du Ministère des Affaires Étrangères de la Russie

10.00 – 14.00
Session plénière du matin

Ouverture de la conférence.

Ukolova Victoria I. (Docteur en sciences historiques, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
L’écriture historique dans une perspective synchrone.

Bobkova Marina S. (Docteur en sciences historiques, Chercheur principal, Chef du Centre d’histoire des idées historiques de l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
La réception des idées de Jean Bodin en Russie.

Rogozhin Alexander A. (docteur en histoire, chargé de cours, Collège musical Oryol)
L’idée de « suvrantia » dans les opinions politiques du diplomate russe Prince B.I. Kurakina (1676-1727) : le problème de l’influence de Bodin et de « l’assimilation » du concept européen dans la culture politique russe au début du XVIIIe siècle.

Doronin Andrey V. (docteur en histoire, chercheur à l’Institut historique allemand de Moscou)
Le discours de la Renaissance sur l’origine des peuples et les critères de Jean Bodin.

Pause café

Brown Elena D. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire générale de STEPS, RANEPA)
Prophéties, malédictions et punition de Dieu. Le traitement mystique des guerres des Roses dans l’historiographie Tudor.

Togoeva Olga I. (docteur en sciences historiques, chercheur principal à l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Jean Bodin et la démonologie anglaise des 16e-17e siècles.

Sakharchuk Ivan A. (auteur, traducteur, éditeur Maison d’édition CHAOSSS / PRESS)
La « démonomanie des sorciers » : Une peur ancienne ou un esprit des temps nouveaux ?

Tretyakova Marina V.(docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire et de sciences sociales, Université nationale de recherche d’État de Nijni Novgorod)
Jean Bodin vs Giacomo Soranzo : deux points de vue de contemporains sur la réforme du XVIe siècle.

Discussion

14.00 – 15.00 Déjeuner

15.00 – 17.00
Session plénière de l’après-midi

Yona Claire Dureau (Maître de conférences Qualifiée aux fonctions de professeur à l’Université de Lyon) Zoom
Bodin et Shakespeare : analyser l’influence des idées de Bodin dans les pièces du grand dramaturge.

Chernikova Tatyana V. (Docteur en sciences historiques, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
L’évaluation par Fletcher de la structure politique de la Moscovie et le concept d’Etat de Jean Bodin.

Mityureva Daria S. (Assistante du Département d’histoire moderne et de politique mondiale, Université d’Etat de Tyumen)
Quelques caractéristiques de la citation de Jean Bodin en Angleterre au XVIIe siècle.

Discussion

Pause café

17.15 – 19.30
Séance plénière du soir

Lucien Oulahbib (CLESID Lyon3, Collège Supérieur, Lyon)
La théorie de la souveraineté de Bodin et son actualisation Zoom.

Vin Yuri Ya. (Docteur en histoire, chercheur principal à l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Le concept de « Res publica » et sa réception en droit byzantin.

Sophie Nicholls (PhD Histoire, St Hugh’s College Université d’Oxford) Zoom
La métamorphose des Six Livres de la République de Jean Bodin (1576)

Zakharova Elizaveta S. (Assistante de recherche, Center for Financial Research, Higher School of Economics)
Des chapitres politiques de « Méthode … » aux « Six livres de l’État » : du constitutionnaliste à l’absolutiste.

Discussion

05 OCTOBRE (MARDI)
L’académie des Sciences de Russie
Institut d’Histoire Universelle

10.00 – 14.00
Séance plénière du matin

Guyot Adrian (École Normale Supérieure de Lyon) Zoom
Une version  » catholiquement amendée  » des six livres de la République : atténuations, modifications et suppressions dans la traduction espagnole de Gaspar de Añastro Ysunza du traité de Jean Bodin (1590).

Bayazitova Gulnara I. (docteur en histoire, chef du département d’histoire moderne et de politique mondiale, Université d’État de Tioumen)
La traduction par Johann Oswald des Six livres de la République en Allemagne : texte et contexte.

Tsivaty Vyacheslav G. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire moderne et contemporaine des pays étrangers, Université nationale Taras Shevchenko de Kiev) Zoom
Interprétations mentales et sémantiques des concepts « guerre » et « paix » dans la théorie de la souveraineté de Jean Bodin (1529/1530 – 1596) : discours politiques, diplomatiques et institutionnels. Zoom

Kaufman Igor Samuilovich (Docteur en philosophie, Université d’État de Saint-Pétersbourg)
Bodin, Spinoza et la théologie politique.

Discussion

Pause café

Dmitry Samotovinsky (Docteur en histoire, professeur associé, Université d’État de technologie chimique d’Ivanovo)
Jean Bodin et Louis Le Roy : le problème de l’influence mutuelle.

Aizenshtat Marina Pavlovna (docteur en sciences historiques, chercheur principal, Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Henry Bolingbroke sur la méthode de Bodin.

Andreas Buller (Docteur, Allemagne, Stuttgart)
Jean Bodin et Wilhelm von Humboldt sur la « forme de l’histoire ». Zoom

14.00 – 15.00 Déjeuner

15.00 – 18.00
Session plénière de l’après-midi

Landina Larisa V. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire de la Biélorussie et des études muséales de l’Université d’État de la culture et des arts de Biélorussie)
Bona Sforza (1494-1557) – le souverain-praticien de l’époque de la formation des monarchies absolues.

Kuzmichev Valery Vasilievich (employé de la branche moscovite du Centre d’information orthodoxe russe de St. Vladimir)
Charles Fontaine et la Pléiade : une « guerre littéraire » acharnée de personnes partageant les mêmes idées.

Aurov Oleg Valentinovich (docteur en histoire, professeur associé, chercheur principal à l’École de recherche humanitaire contemporaine, Institut des sciences sociales)
Juan de Mariana (1536-1624) : aux origines de l’historiographie espagnole moderne.

Discussion

Résultats de la conférence




Pourquoi les élites accélèrent-elles leur agenda ?

[Source : TVL]

Trahison des institutions : la mort de l’État ?

« Les institutions françaises n’existent plus… l’État est mort ! »

Valérie Bugault

L’invitée de « Politique & Eco », Valérie Bugault, explique pourquoi l’État français a disparu avec la première loi d’urgence sanitaire du 23 mars 2020 et en quoi elle viole la Constitution de la Vème République. Dès cette date, l’exécutif s’est affranchi des règles institutionnelles françaises au profit d’entreprises mondialisées, en témoigne la réception par Emmanuel Macron du club du Dolder (Big Pharma), en août dernier, présidé par le PDG de Pfizer, Albert Bourla. Dans cet état de vide juridique, nous sommes désormais entrés dans une période de transition. Période débouchant le 1er janvier 2022 sur la présidence française de l’UE qui, selon Valérie Bugault, actera une liquidation de l’État français au profit d’une intégration de l’Europe fédérale, antichambre d’un gouvernement mondial. En attendant, Valérie Bugault appelle les Français à prendre conscience de la scission entre l’exécutif et les institutions dans le but d’imposer un projet alternatif.




Enquête indépendante du DRASTIC sur l’origine du SRAS-CoV-2

[Sources : yetiblog.org, 20minutes.fr, drasticresearch.org]

yetiblog

La création du virus du Covid-19 est bien d’origine humaine !

Par Pierrick Tillet

Ce que nous n’osions pas imaginer est en train de se transformer un réalité. Le virus du Covid-19 résulte bien de manipulations humaines impliquant l’administration US et le labo chinois de Wuhan.

[NDLR Autre capture du site que celle proposée par le Yéti :]

Une collusion avérée entre l’administration US et le labo de Wuhan

En 2018, une ONG américaine, EcoHealth Alliance (EHA), financée principalement par l’administration US (et les grands labos pharmaceutiques), a demandé un financement de 14 millions de dollars pour un projet consistant à créer un virus Sars-CoV à partir de coronavirus de chauves-souris.

Dès 2014, 600 000 dollars de subventions avaient déjà été versés par un sous-traitant de l’EHA à l’ Institut de virologie de Wuhan pour poursuivre les travaux de séquençage et d’échantillonnage des coronavirus dans les régions rurales du sud de la Chine.

L’affaire est suffisamment sérieuse pour que les médias mainstream ne puissent se priver de la reprendre (en France, Le Point). Que ceux-là tentent par tous les moyens de dédouaner l’administration US (celle-ci aurait refusé la demande de subvention) n’est guère surprenant, mais apparaît comme une manoeuvre dérisoire et bien insuffisante. Car le constat est accablant :

  • il y avait bel et bien collusion entre l’EHA et le labo chinois de Wuhan ;
  • ceux-ci travaillaient à la création d’un virus Sars-CoV du même type que celui du Covid-19 ;
  • l’administration US ne pouvait pas l’ignorer, ni les autorités sanitaires, ni les grands labos pharmaceutiques.

De la “théorie du complot” à sa réalité

Laissons à l’état d’hypothèses ce qui n’est pas encore démontré : fuite accidentelle du virus ? virus plus agressif qu’escompté par ses créateurs ? Il n’en demeure pas moins que les mensonges répétés des responsables politiques, sanitaires (Dr Fauci) et médiatiques occidentaux apparaissent dans toute leur cruelle vérité.

N’ont-ils pas condamné comme “théorie du complot”, notamment à travers un article du Lancet publié en 2020, ce qui apparaît aujourd’hui comme une réalité indéniable ? N’ont-ils pas essayé de traîner dans la boue le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui lui aussi affirmait que le virus du Covid-19 ne pouvait être que d’origine humaine ? Le film Hold-Up n’avait-il pas raison avec un peu d’avance et des conclusions qui n’entraient pas dans leurs plans ?

Mais pourquoi cette manipulation de virus ? Pourquoi ces mensonges ? Pourquoi ces tentatives de discréditer aussi salement celles et ceux qui portaient la vérité ? Là encore, les réponses ne peuvent être clairement affirmées, mais elles ne tarderont pas à l’être, comptez-y. Elles éclaireront alors nos questions du moment :

  • comment qualifie-t-on la création artificielle de virus à des fins aussi possiblement mercantiles ?
  • pourquoi ont-ils si obstinément interdit la prescription de vieux médicaments (sans valeur lucrative) comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine… en attendant que leurs produits géniques arrivent sur le marché et soient imposé massivement à toutes les populations sans même attendre leur validation définitive ?
  • comment appelle-t-on une interdiction artificielle de soins pour une maladie qui a causé à ce jour 4,7 millions de morts ?
  • que méritent les responsables de telles exactions lorsque celles-ci sont avérées ?


D.R.A.S.T.I.C. Research




Mme Whitmer, gouverneur du Michigan, interdit le port du masque et la vaccination obligatoire

[Source : lemediaen442.fr]

Comme le rapporte Fox News le gouverneur démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer, et la législature de l’État se sont mis d’accord sur une proposition de budget qui interdit aux responsables de la santé d’ordonner le port du masque dans les écoles et aux agences publiques de l’État d’obliger employés ou clients à se faire vacciner.


La gouverneure démocrate a accepté une disposition des républicains interdisant d’aller plus loin que les plans du président Joe Biden : donc pas de vaccination obligatoire dans les entreprises de moins de 100 salariés et dans celles n’appartenant pas au secteur de santé.

« Le directeur ou l’agent de santé local ne doit pas émettre ni appliquer d’ordonnances ou d’autres directives exigeant qu’une personne de moins de 18 ans dans cet État porte un masque facial ou un couvre-visage », selon le nouveau projet de loi budgétaire du Michigan.

L’accord budgétaire de 70 milliards de dollars empêcherait également les agences publiques du Michigan d’appliquer la vaccination aux employés et aux clients. « Je suis ravi que la législature et moi ayons pu nous mettre d’accord sur un budget bipartite », a déclaré Whitmer dans un communiqué, selon MLive. 

« Notre collaboration témoigne de ce qui est possible lorsque nous travaillons ensemble et donnons la priorité à nos familles, nos communautés et nos petites entreprises. »

Après avoir soutenu les restrictions, le confinement… l’impopularité a obligé Gretchen Whitmer à s’attaquer aux masques et à la vaccination obligatoire en se soumettant au désir de la population. En mai 2020 des manifestants armés avaient pénétré la maison d’État du Michigan pour protester contre les restrictions.

Traduction Le Média en 4-4-2  




L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ? Mise à jour

[Source : Le Saker Francophone]

[Mise à jour : une fuite WikiLeaks]

Wikileaks révèle des scènes coupées de l’alunissage filmées dans le désert du Nevada.


L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ?

Une introduction à la mère de toutes les théories du complot


Par Moon Landing Skeptic – Le 1er avril 2019 – Source Unz Review

D’après une enquête, 52% des britanniques pensent que l’alunissage est une infox

Le 50e anniversaire de l’alunissage d’Apollo 11 approche à grands pas. En 2016, une enquête a montré que 52 % du public britannique pensait que les missions Apollo étaient truquées. Le scepticisme est plus élevé chez ceux qui étaient trop jeunes pour le voir en direct à la télévision : 73 % des 25-34 ans croient que nous n’avons pas atterri sur la lune, comparativement à 38 % de ceux de 55 ans ou plus. Ces chiffres semblent augmenter chaque année. Les incroyants britanniques n’étaient que 25 % il y a dix ans. On ne sait pas combien ils sont aujourd’hui, mais un sondage réalisé en 2018 par le Centre russe de recherche sur l’opinion publique a révélé que 57 % des Russes croient qu’il n’y a jamais eu d’alunissage habité.

En d’autres termes, plus les gens sont instruits et plus ils sont capables de raisonner rationnellement, moins ils croient aux alunissages. Aux États-Unis, ce pourcentage semble beaucoup plus faible : Un sondage Gallup de 1999 a révélé que seulement 6 % des Américains doutent des débarquements sur la lune, et un sondage Pew Research de 2013 a montré que ce chiffre n’est passé qu’à 7 %. Il n’est donc pas surprenant qu’un sondage Pew Research de 2010 ait montré que 63% des Américains étaient confiants que la NASA allait faire atterrir un astronaute sur Mars d’ici 2050.

Les croyants sont-ils en danger d’extinction ?

La théorie du canular lunaire était presque inconnue avant l’arrivée d’Internet et elle a pris de l’ampleur avec le développement de YouTube, qui a permis à quiconque s’y intéressait d’examiner de près les images d’Apollo. Auparavant, les personnes qui avaient de sérieux doutes avaient peu de moyens de les partager et de rendre leur cas convaincant. L’un des pionniers a été Bill Kaysing, qui a abordé le sujet en 1976 avec son livre qu’il a publié lui-même : On n’est jamais allé sur la lune ; L’escroquerie américaine à 30 milliards de dollars. On peut le qualifier de lanceur d’alerte, puisqu’il travaillait pour Rocketdyne, la société qui a conçu et construit les fusées Apollo. Ralph René est ensuite arrivé avec son NASA Mooned America ! également auto-publié.

La recherche a gagné en profondeur et en ampleur, et l’incrédulité est devenue virale autour du 30e anniversaire d’Apollo 11, grâce en grande partie au directeur de la photographie britannique David Percy, co-auteur du livre Dark Moon avec Mary Bennett, et réalisateur du documentaire de trois heures « What Happened on the Moon ? An Investigation into Apollo » (2000), présenté par Ronnie Stronge. Il demeure à ce jour très précieux pour quiconque est disposé à se faire une opinion éclairée.

Puis, il y a eu « A Funny Thing Happened on the way to the Moon » (2001), réalisé par Bart Sibrel, qui apporte un éclairage précieux sur le contexte historique. Sibrel a également mis les astronautes de la NASA au défi de jurer sur la Bible, devant la caméra, qu’ils avaient marché sur la lune, et il a compilé ces séquences dans « Astronauts Gone Wild », ainsi que des séquences plus utiles de déclarations embarrassantes faites par des astronautes de la NASA qui sont censés avoir marché sur la lune mais semblent peu convaincants et consistants ; Alan Bean d’Apollo 12 qui apprend par Sibrel que le passage à la ceinture de radiation Van Allen est « à voir absolument ».

Puis, à partir de ces films et d’autres sources, est arrivé le documentaire télévisé novateur « Did we land on the moon ? » (2001),
réalisé par John Moffet pour Fox TV. À ma connaissance et à mon avis,
c’est encore la meilleure introduction aux arguments des « théoriciens du canular lunaire » : Vous pouvez le regarder ici à partir de sa rediffusion en 2013 sur Channel 5 :

Il y a très peu de livres disponibles sur le sujet. Je ne suis pas au courant d’une recherche plus approfondie que One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space par le chercheur allemand Gerhard Wisnewski, publié à l’origine en 2005, dont je citerai plusieurs extraits.

Je ne vais pas discuter de toutes les preuves présentées dans ces
sources. Je ne peux que les recommander, ainsi que quelques autres en
passant. Je vais simplement trier ce que je considère comme les
arguments les plus convaincants, ajouter quelques développements
récents, donner ma meilleure conclusion, placer la question dans une
perspective historique plus large et en tirer quelques leçons sur la
Matrice dans laquelle nous vivons.

Tout d’abord, nous devons être clairs quant à l’objectif d’une telle enquête. Nous ne devons pas nous attendre à une preuve concluante que Neil Armstrong, ou tout autre marcheur sur la lune d’Apollo, n’a pas marché sur la lune. Cela ne peut être prouvé, en l’absence de preuves indiscutables qu’il était ailleurs (en orbite autour de la terre, par exemple) au moment précis où il prétendait avoir passé sur la lune. Dans la plupart des cas, vous ne pouvez pas prouver que quelque chose ne s’est pas produit, tout comme vous ne pouvez pas prouver que quelque chose n’existe pas. Vous ne pouvez pas prouver, par exemple, que les licornes n’existent pas. C’est pourquoi le fardeau de la preuve incombe à quiconque prétend qu’elle existe. Si je vous dis que j’ai marché sur la lune, vous me demanderez de le prouver, et vous ne prendrez pas pour réponse : « Non, prouve le toi que je n’y suis pas allé. » Est-ce que ça fait une différence si je suis la NASA ? C’est le cas, car traiter la NASA de menteuse vous amènera inévitablement à remettre en question tout ce à quoi votre gouvernement et les médias grand public vous ont fait croire. C’est un pas de géant ! Tout comme les enfants de parents violents, les citoyens honnêtes des gouvernements violents auront tendance à réprimer les preuves de la malveillance de leur gouvernement. Ainsi, les gens choisissent de croire à l’alunissage, sans même demander de preuves, simplement parce que : « Ils ne nous auraient pas menti pendant plus de 50 ans, n’est-ce pas ? Les médias auraient dénoncé le mensonge il y a longtemps (n’oubliez pas le Watergate) ! Et qu’en est-il des 250 000 personnes impliquées dans le projet ? Quelqu’un aurait parlé. » En fait, je m’entends parler comme ça il y a encore 10 ans à peine. Toutes ces objections doivent en effet être prises en compte.

Mais avant cela, la chose scientifique à faire est de commencer par
la question : la NASA peut-elle prouver qu’elle a envoyé des hommes sur
la lune ? Si la réponse est non, la prochaine étape consiste à décider
si nous les croyons sur parole ou non. Pour cela, il faut se demander
quelles auraient pu être les raisons d’un mensonge d’une telle ampleur.
Nous y viendrons.

Mais, tout d’abord, la NASA peut-elle fournir des preuves tangibles de l’atterrissage sur la lune ?

Des preuves solides comme le roc depuis l’Antarctique

Si, ils le peuvent. Ils ont rapporté des morceaux de lune : environ
380 kilogrammes de roches lunaires et d’échantillons de sol, toutes
missions Apollo confondues. Les roches lunaires prouvent l’atterrissage
sur la lune, n’est-ce pas ? Oui, mais seulement s’il peut être fermement
établi qu’elles n’ont pas été extraites sur Terre. Et c’est là le
problème. Comme expliqué ici, « des météorites ont été
trouvées en Antarctique qui ont prouvé qu’elles avaient les mêmes
caractéristiques que les roches lunaires »
. Il peut être utile de
savoir qu’en 1967, deux ans avant Apollo 11, la NASA a organisé une
expédition en Antarctique, rejointe par Wernher Von Braun, le principal
propagandiste de la NASA pour les missions lunaires ; l’Antarctique est
la région de la Terre qui compte la plus grande concentration de
météorites, mais on ignore si l’expédition a inclus des géologues et si
des météorites ont été rapportées. En fait, ce n’est qu’en 1972 que les
météorites lunaires ont été officiellement découvertes en Antarctique ;
leur origine lunaire, bien sûr, a été déterminée par comparaison avec
les échantillons lunaires rapportés par les équipes d’Apollo (Wisnewksi
202).

Les rochers de la lune sont donc loin de prouver l’atterrissage sur la lune. En fait, on ne peut prouver qu’aucune des soi-disant roches lunaires n’a été ramenée de la lune plutôt que de l’Antarctique ou d’ailleurs sur terre. Mais la situation s’aggrave : il a été prouvé de manière concluante que certaines des soi-disant roches de la lune sont fausses. Dans les années 1990, l’astrobiologiste britannique Andrew Steele a eu le privilège spécial d’approcher certains des précieux échantillons enfermés dans des coffres-forts de la NASA et, imaginez sa surprise quand il y découvre une soie, des morceaux de plastique, du nylon, du téflon et de petits animaux terrestres (Wisnewski 207). Une autre pierre de lune a fait la une des journaux lorsque, 40 ans après avoir été remise personnellement par Neil Armstrong et Buzz Aldrin au premier ministre néerlandais, elle a été examinée de près et s’est révélée être du bois pétrifié. Certes, quelques fausses pierres de lune ne prouvent pas que toutes les pierres de lune sont fausses. Mais ce devrait être une raison suffisante pour commencer un examen scientifique systématique des douzaines d’autres échantillons que les États-Unis ont cédé de façon officielle en 1969 et dans les années 1970.

La preuve photographique

Quelles sont les autres preuves que la NASA a de l’atterrissage sur
la lune ? Les films et les photos, bien sûr ! Les films sont notoirement
flous, ce qui rend leur examen difficile. Comment, par exemple,
pouvez-vous être sûr que l’astronaute David Scott d’Apollo 15 fait
tomber un vrai marteau et une vraie plume pour démontrer la gravité
newtonienne dans un environnement sans atmosphère, quand vous pouvez à
peine voir les objets ? Nous avons une photo claire du marteau et de la
plume sur le sol, mais comment savoir s’ils sont identiques aux objets
flous déposés dans le film ?

Ce qui serait utile pour une enquête correcte, ce sont les images originales de la NASA. Les chercheurs demandent l’accès à ces films depuis des décennies, en vertu du Freedom of Information Act. En 2006, ils ont reçu une réponse. Voici ce que vous pouvez lire sur Reuters :

La NASA a admis en 2006 que personne n’avait trouvé les
enregistrements vidéo originaux de l’atterrissage du 20 juillet 1969.
Depuis lors, Richard Nafzger, ingénieur au Goddard Space Flight Center
de la NASA dans le Maryland, qui a supervisé le traitement télévisuel
sur les sites de suivi au sol pendant la mission Apollo 11, les cherche.
La bonne nouvelle, c’est qu’il a trouvé où ils sont allés. La mauvaise
nouvelle, c’est qu’ils faisaient partie d’un lot de 200 000 cassettes
qui ont été magnétiquement effacées et réutilisées pour économiser de
l’argent.

Les Russes sont si méchants : à la suite de cet aveu de la NASA, les autorités russes ont commencé à exiger une enquête internationale.

Heureusement, nous avons les photos. En plus de planter un drapeau américain et de recueillir des échantillons de roches, les astronautes ont passé beaucoup de temps à prendre des photos sur la lune. Et soyons justes : en 2015, la NASA en a publié des milliers en haute résolution. Elles sont accessibles ici, et peuvent être examinées en détail. La plupart d’entre elles sont remarquables par leur qualité.

L’équipage d’Apollo 11 a utilisé un Hasselblad 500C standard avec
quelques modifications, dont le retrait du miroir réfléchissant. Le film
utilisé était un film diapositif Kodak Ektachrome standard, 160 ASA.
C’est un film étonnamment sensible pour un endroit où la lumière du
soleil n’est filtrée par aucune atmosphère, surtout si l’on considère
que certaines photos, parfaitement exposées, ont été prises directement
contre le soleil. Il y a aussi des problèmes techniques avec la
fiabilité de ce matériau à la surface de la lune, où les températures
vont de moins de 100°C à plus de 100°C : la seule protection contre la
chaleur pour la caméra et le chargeur était un revêtement réflexif. (La
façon dont les astronautes survivent à de telles températures est un
problème encore plus grave).

Un autre aspect problématique est la qualité professionnelle de la
plupart de ces photos. Chaque plan pris par Neil Armstrong, par exemple,
est parfaitement cadré et exposé. Wisnewski (144-149) souligne à juste
titre à quel point c’est incroyable, étant donné qu’Armstrong (ou tout
autre astronaute) ne pouvait pas viser, puisque la caméra était fixée
sur sa poitrine où il ne pouvait même pas la voir. Sans parler de la
difficulté de régler manuellement l’ouverture, le temps d’exposition, la
mise au point et le champ de vision avec ses gants pressurisés et
aucune vision de l’appareil, et sans aucune expérience de la
photographie sur l’environnement lunaire. Nous devons nous rappeler que
la photographie était un métier très spécialisé à l’époque, même sur
terre, et il est assez étonnant de voir que toutes les photos
d’Armstrong sont parfaites.

Plus précisément, y a-t-il des preuves que ces photos ont été prises
sur la lune ? Aucune, quelle qu’elle soit. Elles sont faciles à
fabriquer en studio. En fait, la NASA a fait beaucoup d’efforts pour
entraîner les astronautes à l’intérieur en reproduisant l’état de la
surface lunaire tel qu’ils l’imaginaient, en fabriquant des tonnes de « poussière de lune »
à cette fin (avant même que quiconque ait vu la vraie poussière
lunaire), et même en simulant le ciel noir. Certaines des photographies
prises dans ces studios de cinéma, comme celle qui suit, tirée des
archives de la NASA, seraient difficiles à distinguer de la « vraie » chose, si elles étaient cadrées différemment.

Armstrong et Aldrin s’exerçant sur de la fausse poussière de lune sous un faux ciel noir

Soyons réalistes : il n’y a aucune preuve que l’une ou l’autre des
photographies d’Apollo soit authentique. Ce n’est peut-être pas
suffisant pour déstabiliser les croyants. Mais qu’est-ce que cela veut
dire que bon nombre de ces photographies sont « pleines d’incohérences et d’anomalies », pour reprendre les mots de David Percy, qui prouve son point de vue dans « What Happened on the Moon ? ».
Le film contient une interview de Jan Lundberg, ingénieur de projet
pour l’Apollo Hasselblad. Lorsqu’on lui demande d’expliquer certaines
des incohérences concernant les ombres et l’exposition (par exemple, les
astronautes entièrement éclairés bien qu’ils soient dans l’ombre du
module lunaire, comme dans la photo reproduite sur la couverture du
livre de Wisnewski), il répond : « Je ne peux pas expliquer ça. Cela m’échappe… pourquoi. »

Soit dit en passant, l’aveu embarrassé de Lundberg illustre
parfaitement à quel point le cloisonnement a pu rendre possible le
canular lunaire. Comme les centaines de milliers de personnes impliquées
dans le projet, il a travaillé sur la base du « ce que tu as besoin de savoir »
et n’avait aucune raison de soupçonner qu’il travaillait pour autre
chose que ce qu’on lui avait dit, du moins jusqu’à ce qu’on lui demande
d’expliquer des images impossibles. Seule une poignée de personnes
devaient connaître le tableau global, et il n’est même pas certain que
le président Nixon était parmi eux. Comme l’illustre Wisnewski (121-126)
avec le programme Corona alias Discoverer (un satellite de
recherche américain lancé vers 1959 dans le but secret d’espionner
l’Union soviétique), il est faux de supposer que les communautés
militaires, spatiales et du renseignement américaines ne peuvent garder
un secret. Pour prendre un autre exemple, des centaines de milliers de
personnes ont travaillé sur le projet Manhattan, qui est resté
complètement caché du public jusqu’à ce que la bombe soit larguée sur
Hiroshima.

Je ne vais pas énumérer et examiner les anomalies des photographies d’Apollo, car elles sont analysées dans les documentaires mentionnés ci-dessus. Mais je recommande de parcourir et de zoomer sur les photographies haute définition du site d’archives de la NASA, dans le but d’évaluer leur crédibilité avec un minimum de bon sens. Demandez-vous, par exemple, si vous pouvez croire que le module lunaire Apollo 11 Eagle (ici, ici ou ici) aurait pu faire atterrir deux astronautes sur la lune et les renvoyer en orbite lunaire pour se reconnecter avec le module de commandement orbital. Ou choisissez le LM Antares d’Apollo 14 (ici), ou le LM Orion d’Apollo 16 (ici, ou ici avec le rover qui s’en est miraculeusement sorti), ou le LM Challenger d’Apollo 17 (ici). Rappelons que ces huttes minables devaient être pressurisées hermétiquement dans un environnement sous vide et que, dans les deux derniers cas, deux astronautes ont passé plus de 3 jours (respectivement 71 heures et 76 heures) sur la lune et dormi 3 nuits dans le module. Si vous voulez être guidé dans cette réflexion, je peux vous recommander cette vidéo de 15 minutes.

Module lunaire Apollo 11 avec Neil Armstrong
Scène d’ascension du module lunaire d’Apollo 17, photographié à partir du module de commandement avant le rendez-vous.

Où sont passées toutes les étoiles ?

Si les équipages d’Apollo avaient photographié le ciel étoilé de la
lune, cela aurait pu servir à la NASA pour contrer l’accusation de
fraude. Dans les années 1960, il aurait été très difficile d’effectuer
les calculs informatiques nécessaires à la cohérence de la constellation
d’étoiles. Malheureusement, personne n’y a pensé à la NASA. On a
demandé aux astronautes de regarder en bas et de ramasser des roches, et
non de regarder vers le haut et d’étudier les étoiles. C’est comme si
la NASA était une congrégation de géologues qui méprisaient
l’astronomie. Et dire qu’ils dépensent des milliards de dollars pour
envoyer des télescopes sur orbite terrestre ! Pour être honnête, j’ai lu
un article sur un télescope installé par l’équipage d’Apollo 16, mais
il semble que personne n’ait jamais vu ce qui en est ressorti. En tout
cas, pas une seule photo des archives de la NASA ne montre une étoile
dans le ciel.

L’explication officielle ? Il n’y avait tout simplement pas d’étoiles visibles dans le ciel lunaire. Point final. C’est tellement incroyable que même certains « démineurs de canulars lunaires » préfèrent expliquer le ciel noir de toutes les photographies Apollo comme résultant d’une faible exposition. Mais ils ont tort : les astronautes n’ont vu aucune étoile de leurs propres yeux. Tous, d’Apollon 11 à Apollon 17, déclaraient constamment que le ciel était complètement noir, « un immense ciel de velours noir – totalement noir », selon les mots d’Edgar Mitchell, le sixième homme sur la lune.

Était-ce parce que la luminosité de la surface de la lune était trop
forte, de sorte que leurs yeux ne pouvaient pas s’ajuster ? (un jour sur
la lune dure 27 jours terrestres, de sorte que les astronautes qui ont
atterri sur le côté illuminé de la lune n’ont jamais vécu une nuit sur
la lune). Si c’était la raison, alors au moins, les astronautes auraient
dû voir beaucoup d’étoiles lorsqu’ils voyageaient entre la terre et la
lune. Ils n’en ont pas vu. Quand ils ont orbité autour de la lune et
sont passés dans son ombre, ils se sont retrouvés dans l’obscurité
totale, et n’ont vu aucune étoile. Michael Collins, qui a orbité autour
de la lune plusieurs fois dans le module de commandement pendant
qu’Aldrin et Armstrong étaient sur la lune, a déclaré dans leur
conférence de presse 1969 : « Je ne me souviens pas en avoir vu ! ».
C’est l’une des remarques les plus étranges que l’on puisse trouver
chez un astronaute, mais toute la conférence de presse est une
expérience bizarre à regarder.

Ne demandez rien à Neil Armstrong

L’interview de Neil Armstrong en novembre 1970 est tout aussi bizarre. Elle a été utilisée par plusieurs sceptiques comme preuve qu’il ment. Je recommande vivement cette analyse très professionnelle commandée par Richard D. Hall de RichPlanet TV à Peter Hyatt, un expert reconnu à l’échelle nationale dans la détection de la tromperie. Je trouve cela dévastateur pour la crédibilité d’Armstrong.

Après cela, Armstrong a dû recevoir l’ordre de se tenir à l’écart des interviews. Mais lorsqu’on lui a permis de faire une dernière apparition à l’occasion du 40e anniversaire de sa marche sur la lune, il en a profité pour se comparer à un perroquet, « le seul oiseau qui pouvait parler » mais « ne volait pas très bien », et pour conclure par une remarque énigmatique sur « les percées disponibles pour ceux qui peuvent enlever une couche protectrice de la vérité ». Dieu seul sait ce qu’il dirait s’il était maintenant invité à prendre la parole pour le 50e anniversaire ! Heureusement pour la crédibilité des missions Apollo, il a maintenant quitté la terre pour de bon, et son histoire peut maintenant être racontée par Hollywood.

Attachez votre ceinture Van Allen

Nous avons cherché à savoir s’il y a des preuves que l’atterrissage sur la lune était réel. Nous n’en avons pas trouvé. Au lieu de cela, nous avons trouvé des preuves qu’ils n’étaient pas réels. Mais en fait, c’était à peine nécessaire : Les ingénieurs de la NASA eux-mêmes nous disent que cela est impossible, pour la simple raison que les astronautes devaient traverser la ceinture de rayonnement Van Allen, ce qui les aurait tué et aurait endommagé également l’équipement électronique. Écoutez, dans la vidéo de 10 minutes ci-dessous, des astrophysiciens et des astronautes admettant par inadvertance que la technologie permettant d’envoyer des hommes au-delà de l’orbite terrestre inférieure n’est pas encore disponible.

C’est peut-être la raison pour laquelle, depuis la présidence de
Tricky Dick, aucune mission habitée sur la lune, ni même au-delà de
l’orbite terrestre basse, n’a jamais été entreprise. N’oubliez pas que
la Station spatiale internationale est en orbite à une distance de 250
milles de la Terre, alors que la lune est à environ 237 000 milles de la
Terre. Le 14 janvier 2004, le président George W. Bush, s’exprimant au
siège de la NASA, a annoncé une nouvelle tentative pour « mettre a nouveau pied sur la lune » et au-delà, et a fait remarquer : « Au
cours des 30 dernières années, aucun être humain n’a mis le pied sur un
autre monde, ou ne s’est aventuré plus loin dans l’espace que 386
milles, soit approximativement la distance entre Washington D.C. et
Boston, Massachusetts »,
(cité dans Wisnewski 329). Aucune annonce de mission habitée sur la lune n’est sortie de cette annonce.

Le temps travaille à l’avantage des théoriciens du canular lunaire, car chaque année qui passe amène les gens à s’interroger : « S’il était si facile d’envoyer un homme sur la lune entre 1969 et 1972, pourquoi n’a-t-on pas recommencé depuis ? » .
Moins de la moitié des Britanniques et des Russes croient encore à un
atterrissage sur la lune. Parmi les personnes instruites, ce pourcentage
diminue rapidement. Que se passera-t-il dans vingt ans, quand les
Américains réaliseront que presque personne d’autre qu’eux n’y croit ?
Les États-Unis d’Amérique survivront-ils à l’exposition de ce canular
géant ?

La fabrication de la croyance

Si les alunissages d’Apollo ont été simulés, de sérieuses questions
devraient être posées au sujet de la NASA, pour commencer. Ensuite, il
serait nécessaire de réfléchir en profondeur à ce qu’il est advenu des
États-Unis depuis la Seconde guerre mondiale. Et au-delà, le canular
lunaire est le point de départ idéal pour réfléchir sur le contrôle
hypnotique que la télévision et les médias ont acquis sur notre esprit.
Ce n’est pas seulement une question politique. C’est une bataille pour
nos âmes.

La première étape consiste à sortir de nos croyances infantiles au
sujet de la NASA et à faire une étude de base sur ce dont il s’agit. La National Aeronautics and Space Administration
a été fondée en 1958 par le président Eisenhower. Nombreux sont ceux
qui aujourd’hui félicitent Eisenhower d’avoir mis en garde les
Américains, à leur départ, contre la menace croissante du complexe
militaro-industriel et le « risque d’une montée désastreuse du pouvoir entre de mauvaises mains ».
Ironiquement, la fondation de la NASA a été en soi un pas de géant pour
le complexe militaro-industriel. Il ne fait aucun doute que le
soi-disant « programme spatial civil » de la NASA
était d’abord et avant tout une couverture pour un programme militaire.
La loi sur la NASA de 1958 prévoyait explicitement une collaboration
étroite avec le ministère de la Défense et, en pratique, le Pentagone a
participé à toutes les décisions concernant les programmes Mercury,
Gemini et Apollo. Erlend Kennan et Edmund Harvey ont documenté ce point
dans « Mission vers la lune : un examen critique de la NASA et du programme spatial », dès 1969, et ont conclu :

Il demeure impératif que la NASA conserve son statut de
porte-parole décent de l’ère spatiale afin d’obtenir le soutien du
public pour tous les projets spatiaux et de donner aux efforts spatiaux
du ministère de la Défense une « couverture » efficace. (cité dans
Wisnewski 296).

Outre le lancement de satellites à des fins d’espionnage, la NASA
devait contribuer au développement de fusées transcontinentales. Car
après la Seconde guerre mondiale, l’équation était simple : « Fusée + bombe atomique = puissance mondiale », (Wisnewski 62).

Le but paramilitaire de la NASA est essentiel pour comprendre le canular Apollo. Car en matière de programmes militaires, « ce
que le public sait est aussi connu de l’ennemi. Cela signifie qu’en
principe, le public et l’ennemi peuvent être considérés comme une seule
et même chose »,
(Wisnewski 7). Par conséquent, nous devons
comprendre que tromper le public américain n’était pas une perversion de
l’objectif initial de la NASA, mais une partie intégrante de celui-ci.

Il incombait à Kennedy de vendre le programme lunaire au Congrès et au public américain afin d’augmenter considérablement le budget de la NASA. Le 25 mai 1961, à peine 43 jours après que Yuri Gagarine eu terminé une orbite autour de la terre, Kennedy a livré devant le Congrès un message spécial sur les « besoins nationaux urgents ». Il a demandé 7 à 9 milliards de dollars supplémentaires au cours des cinq prochaines années pour le programme spatial, dans le but, selon lui, d’« atteindre l’objectif, avant la fin de cette décennie, de faire atterrir un homme sur la lune et de le ramener en toute sécurité sur Terre. Aucun projet spatial de cette période ne sera plus impressionnant pour l’humanité ou plus important pour l’exploration spatiale à longue distance. »

Kennedy peut être blâmé pour avoir dupé le public américain, mais il est probable qu’il ait été dupé lui-même, tout comme la CIA l’avait piégé dans l’invasion désastreuse de la Baie des cochons, un mois auparavant. Quoi qu’il en soit, la lune était l’idée de Johnson, pas celle de Kennedy. On croit que Kennedy a été convaincu par un mémorandum de Lyndon Johnson, intitulé « Evaluation of Space Program », daté du 28 avril 1961, supposément basé sur des délibérations avec de hauts responsables de la NASA. Le mémo assurait le président de la faisabilité d’un « atterrissage et d’un retour en toute sécurité d’un homme sur la lune d’ici 1966 ou 1967 », si « un effort sérieux » était fait. Pour ce qui est de l’avantage, Johnson l’a exprimé de cette façon :

Les autres nations, indépendamment de leur appréciation
de nos valeurs idéalistes, auront tendance à s’aligner sur le pays
qu’elles croient être le chef de file mondial – le gagnant à long terme.
Les réalisations spectaculaires dans l’espace sont de plus en plus
considérées comme un indicateur majeur du leadership mondial.

Un mois après son discours au Congrès, Kennedy a officiellement nommé son vice-président à la tête du National Aeronautics and Space Council, chargé d’explorer le projet lunaire. Comme Alan Wasser l’a dit :

Peu de gens aujourd’hui réalisent ou se souviennent, mais
un seul homme, Lyndon Baines Johnson, ‘LBJ’, est le principal
responsable du début et de la fin de La Course à l’espace.

Cela explique pourquoi les industries texanes ont été les plus
grandes bénéficiaires du programme spatial, et pourquoi le Centre des
engins spatiaux habités de la NASA à Houston, a été rebaptisé le Lyndon B. Johnson Space Center en 1973.

Sous Eisenhower, Johnson était à la fois le leader de la majorité au
Sénat et un acteur clé dans le secteur texan du complexe
militaro-industriel. Il est intéressant de savoir que l’ébauche
originale du discours d’adieu d’Eisenhower, écrite par ses assistants
Malcolm Moos et Ralph Williams, parlait du « Complexe militaro-industriel du Congrès »,
mais Eisenhower a abandonné la citation du Congrès –  par peur,
peut-être, de Johnson. La corruption de Johnson s’est aggravée après
qu’il est devenu vice-président et a nommé ses amis texans à la tête de
la Marine : d’abord John Connally, puis Fred Korth, qui a démissionné en
octobre 1963, après que le ministère de la Justice (dirigé par Robert
Kennedy) l’ait impliqué pour corruption dans le contrat des avions TFX
de la Force aérienne et de la Marine.

La NASA n’était pas seulement un camouflage pour les développements
militaires. C’était un rêve fabriqué pour laisser les Américains
regarder le ciel pendant que leur gouvernement commettait des atrocités
au Vietnam. Ainsi, la NASA avait aussi des liens étroits avec
l’industrie cinématographique. Son premier patron, T. Keith Glennan
(1958-1961) avait une longue expérience dans la gestion de studios de
cinéma à Hollywood (Wisnewski 298).

Walt Disney avec Wernher von Braun, « Père de la science des fusées », en 1954

Pendant la période de transition entre Johnson et Nixon, Apollo 8
aurait transporté trois astronautes dix fois autour de la lune. Puis,
après deux autres missions d’essais (Apollo 9 et 10), six membres de
l’équipage d’Apollo ont atterri sur la Lune de 1969 à 1972, le tout sous
la présidence de Nixon. Wisnewski (130-139) fournit un parallèle
spectaculaire montrant comment les nouvelles de dernière heure liées au
programme Apollo ont commodément détourné l’attention du public
américain des crimes de guerre au Vietnam. Apollo 11 a atterri sur la
lune deux mois après que les médias eurent révélé des bombardements
illégaux au Cambodge, et le programme Apollo a cessé juste après la fin
officielle de l’engagement des États-Unis en Asie du Sud-Est. Alors,
écrit Wisnewski :

Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des
milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts
vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient
en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une
conquête d’un tout autre genre. (131)

Pour le reste du monde, le frisson culturel et technologique provoqué
par l’alunissage a dû être aussi bouleversant et désarmant que le coup
négatif du 11 septembre. Jusqu’à ce jour, les États-Unis tirent leur
force de l’admiration sans bornes suscitée par ces alunissages. Et je
maintiens toujours que cette « conquête » de la lune, ce mythe antique
de l’humanité, a élevé l’Amérique au statut de nation quasi-divine. Les
alunissages s’inscrivent dans la stratégie psychologique globale
d’auto-agrandissement du pays, associée à l’asservissement, à
l’affaiblissement et à la démoralisation des autres. (287)

Les voyages spatiaux civils sont devenus une forme d’« opium pour le
peuple », une promesse de rédemption apportant un avenir nouveau et
meilleur pour l’univers. (63)

En effet, voyager sur la lune et revenir vivant est un exploit aux
proportions mythiques. C’est comme voyager dans l’Autre Monde et revenir
dans le monde des vivants avec son corps physique. Cela fait des
astronautes de la NASA les égaux des anciens héros surnaturels, des
demi-dieux immortels, et cette qualité semi-divine se reflète sur les
États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages
d’Apollo : il s’agissait d’une nouvelle religion mondiale qui élevait
les États-Unis au-dessus de toutes les autres nations terrestres. On a
beaucoup parlé des religions institutionnelles comme moyen de contrôle
mental collectif. Mais aucune croyance religieuse ne peut se comparer au
débarquement sur la lune en termes d’abus cyniques de la crédulité des
gens. Et aucune religion ne pouvait rivaliser, jusqu’à récemment, pour
le nombre de croyants dans le monde.

La leçon la plus profonde est que cela a été rendu possible par la
télévision, et aurait été impossible autrement. Personne ne l’aurait cru
s’il ne l’avait pas vu de ses propres yeux.

Dans « Par-delà le miroir » de Lewis Carroll, Alice dit à la Reine Blanche qu’« on ne peut pas croire des choses impossibles », mais la Reine insiste sur le fait que c’est possible avec assez de pratique : « Quand
j’avais ton âge, je le faisais toujours une demi-heure par jour.
Parfois, j’ai cru jusqu’à six choses impossibles avant le
petit-déjeuner. »
Avec la télévision, croire en six alunissages impossibles est venu sans effort.

Annexe : l’hypothèse de Kubrick

Avant d’être diffusés à la télévision, les alunissages d’Apollo étaient des productions de studio. Il n’est donc pas étonnant que l’un des dénonciateurs les plus influents ait été le cinéaste hollywoodien Peter Hyams avec son film Capricorn One (1978).

Bien qu’il n’ait aucun rapport avec la question de la réalité ou de
la possibilité de l’alunissage, et ne devrait pas être pris comme
argument, je voudrais mentionner ici l’un des développements les plus
intrigants de la théorie du complot du canular lunaire : la suggestion
que le réalisateur Stanley Kubrick a collaboré avec la NASA dans la
réalisation des films lunaires Apollo pendant son film « 2001 : Odyssée de l’Espace », (1968), auquel il a commencé à travailler dès 1964, peu après la fin de son film antimilitaire « Dr Folamour ».
Selon la rumeur, Kubrick aurait ensuite été contraint de conclure un
pacte faustien en échange de financements et d’autres formes d’aide. Que
Kubrick ait reçu le soutien de la NASA pour son film 2001
n’est en fait un secret pour personne : le scénario a été co-écrit par
Arthur C. Clark, un supporter enthousiaste et contributeur aux aventures
de la NASA, et plusieurs assistants pour le film, tels que Harry Lange
et Frederick Ordway, avaient travaillé pour la NASA et des entrepreneurs
aérospatiaux. Certains croient donc que 2001 faisait partie
d’un programme de la NASA à la fois pour fasciner le public avec les
voyages spatiaux et pour tester les techniques de production.

Cette hypothèse s’est d’abord posée lorsque les sceptiques qui étudiaient les photos et les films d’Apollo se sont convaincus qu’ils avaient été réalisés dans des studios de cinéma en utilisant la technique appelée projection sur écran, qui avait été perfectionnée par Stanley Kubrick pour son film 2001.

La théorie existait déjà depuis un certain temps, lorsqu’un « fauxdocumentaire »  français intitulé « Dark Side of the Moon », réalisé par William Karel, a été diffusé sur Arte en 2002, comme une tentative très intelligente mais futile de le démystifier.

Mais la théorie a gagné une nouvelle vigueur lorsque le réalisateur Jay Weidner y a ajouté l’hypothèse que Kubrick a avoué sa participation de façon énigmatique dans son film « The Shining » de 1980. Weidner présente ses arguments dans son documentaire « Kubrick’s Odyssey : Secrets Hidden in the Films of Stanley Kubrick. Part One : Kubrick and Apollo ». Il donne également un bref résumé de sa théorie dans le film documentaire Room 237 (2012), disponible sur vimeo (la contribution de Weidner se situe entre 00:44:25 et 00:51:55, et entre 1:16:00 et 1:16:45). Vous pouvez voir ici la contribution de Weidner sur YouTube :

Quand j’ai entendu parler de cette théorie pour la première fois et que j’ai regardé Room 237 (je n’ai pas regardé le film Odyssée de Kubrick), je n’y ai pas beaucoup pensé. Mais après avoir regardé à nouveau The Shining avec cela à l’esprit, après avoir étudié les autres films de Kubrick (en particulier Eyes Wide Shut,
qui l’a tué d’une façon ou d’une autre) et leurs couches de sens
cachés, et après avoir appris son obsession perfectionniste pour chaque
détail, je trouve cette théorie fascinante, mais aussi très plausible.

Le point de départ de Weidner est l’observation que, bien que le film The Shining
soit prétendument basé sur le roman du même titre de Stephen King,
Kubrick a ignoré le scénario adapté par King lui-même, et a changé
tellement de choses dans l’histoire qu’on peut dire que c’est une
histoire totalement différente, ce qui a rendu King très amer. Kubrick
semble avoir utilisé le roman de King comme couverture pour une histoire
à lui. Ce qui est donc intéressant, c’est de se concentrer
exclusivement sur les éléments du film qui s’écartent du roman de King,
et sur les détails qui ne semblent pas avoir d’incidence directe sur le
récit principal. Weidner n’est pas le seul à adopter cette approche : de
nombreux admirateurs de Kubrick pensent que le film a des
significations cachées. Certains prétendent, de façon convaincante je
crois, qu’il contient des références énigmatiques à la maltraitance des
enfants, un thème sous-jacent également dans Eyes Wide Shut.
Mais Weidner lit dans le film un sous-texte qui équivaut à une
confession autobiographique du rôle de Kubrick dans la simulation de
l’alunissage d’Apollo onze ans auparavant.

Selon cette interprétation, Jack Torrance (Jack Nicholson) représente
Kubrick lui-même, tandis que l’hôtel Overlook (construit sur un
cimetière indien) représente l’Amérique. Le gérant de l’hôtel, Stuart
Ullman (Barry Nelson), maquillé en JFK, représente le gouvernement
américain (ainsi que peut-être le JFK Space Center), tandis que son
assistant Bill Watson, qui observe Torrance sans dire un mot, représente
le monde des renseignements.

Stuart Ullmann (l’État) et Bill Watson (l’État profond)

Deux scènes en particulier donnent les clés de ce récit énigmatique.
La première, c’est lorsque Danny (représentant l’enfant de Kubrick,
c’est-à-dire les films Apollo) se lève en portant un pull Apollo 11, sur
un tapis au design similaire au Launch Complex d’où les fusées
Apollo ont été tirées. Peu après, Danny entre dans la chambre n°237,
qui contient le secret de l’hôtel. Le numéro de chambre était 217 dans
le roman de King, mais Kubrick l’a changé à 237 en référence à la
distance de 237,000 miles qui sépare la terre de la lune (selon
l’estimation courante à l’époque). La « chambre 237 » est en fait la « chambre lunaire », car « chambre/room » ressemble à « lune/moon » lorsqu’on lit le mot à l’envers, et Kubrick nous a appris à lire les mots à l’envers dans la scène où le mot « redrum » devient « meurtre/murder » dans le miroir.

Danny (l’enfant de Jack/Kubrick) est Apollo 11 (une production Disney ?)

La deuxième scène la plus importante du point de vue du sous-texte
énigmatique de Kubrick est lorsque Wendy découvre que Jack, qui est
censé écrire un roman, a tapé une seule phrase à maintes reprises : « Le travail et le manque de loisir font de Jack un garçon ennuyeux. »
Cette phrase, qui doit avoir été choisie par Kubrick pour un but bien
précis, prend un sens secondaire une fois que l’on se rend compte que
Tout/All, dans un script de machine à écrire américaine, ne peut être
distingué de A11, qui peut signifier Apollo 11.

La femme du réalisateur découvre qu’il a fait A(pollo) 11, sans loisir. [Regardez le pllay de la 1ere ligne, NdT]

Lorsque Jack surprend Wendy en train de lire les pages, il lui dit à quel point son contrat est sérieux :

As-tu déjà pensé un seul instant à mes responsabilités
envers mes employeurs ? (…) Est-ce important pour vous que les
propriétaires m’aient fait entièrement confiance et que j’aie signé une
lettre d’entente, un contrat, dans lequel j’ai accepté cette
responsabilité ? (…) Vous est-il déjà venu à l’esprit ce qui arriverait à
mon avenir si je n’assumais pas mes responsabilités ?

Outre ces deux scènes, il existe un certain nombre d’autres indices
qui étayent cette lecture subliminale. Pourquoi Kubrick, par exemple,
a-t-il fait ressembler le dessin de la tapisserie indienne dans le salon
principal à des fusées ? Est-ce que le fait que Jack les vise avec une
balle représente Kubrick « en train de tourner » les films d’Apollo ?

Juste après cette photo, Wendy et Danny vont dans le labyrinthe de
haies. Jack regarde ensuite un modèle du labyrinthe à l’intérieur du
salon, qui se confond avec le vrai labyrinthe en fondu enchaîné,
suggérant que le labyrinthe n’est pas réel. Le plan aérien de l’hôtel
Overlook, qui montre clairement qu’il n’y a pas de labyrinthe à côté de
l’hôtel, laisse également deviner ce fait. Venant de Kubrick, ça ne peut
pas être une erreur de continuité.

Des impossibilités spatiales déconcertantes dans le film ont également été découvertes par des gens étudiant attentivement ce film tels que Rob Ager. Ce ne sont pas des erreurs, car Kubrick s’est donné beaucoup de mal pour les produire. Par conséquent, elles doivent avoir un message à faire passer, peut-être que ce qui semble être à l’extérieur a en fait été filmé à l’intérieur.

Il y a aussi deux brèves allusions à la télévision qui correspondent au prétendu sous-texte : une remarque sarcastique sur la notion que ce qui est vu à la télévision est « OK » (voir la scène ici), et une télévision mystérieusement sans fil (impossible en 1980) montrant le film Summer of 42.

« Tu vois, c’est bon, il l’a vu à la télé ! »

Un autre indice possible laissé par Kubrick pour nous faire savoir qu’il avait l’intention de lire The Shining comme une autobiographie énigmatique, est le documentaire qu’il a demandé à sa fille Vivian de tourner sur le plateau du film (maintenant inclus comme bonus dans les DVDs). Il fait apparaître Kubrick comme un miroir de Jack Torrance. Cela a été détecté même par des critiques sans intérêt pour la théorie d’Apollo, comme Rob Ager, qui écrit :

La décision de Kubrick d’autoriser le tournage d’un documentaire sur le plateau de The Shining
a constitué une rupture sans précédent par rapport à sa politique de
travail ultra-secrète habituelle. Toutes les images de l’arrière-scène
ont été filmées par sa fille Vivian. Sans s’en rendre compte, de
nombreux critiques de cinéma et biographes ont accidentellement
identifié le motif de Kubrick pour la sortie de ce documentaire. À
maintes reprises, ils ont décrit son comportement dans les coulisses
comme étant comparable à celui du personnage principal du film, Jack
Torrance. Une des biographies que j’ai lues (…) affirmait même qu’il y
avait des blagues sur les similitudes d’apparence et de comportement
entre le personnage de Jack Nicholson et Stanley Kubrick. Ma théorie est
que Kubrick a délibérément créé ces parallèles entre lui et Jack, à la
fois dans le documentaire et parmi son équipe en général. Mais l’exemple
le plus frappant de ce parallèle est le traitement dégradant de
l’actrice Shelley Duvall (Wendy) et de l’acteur Scatman Crothers
(Halloran) par Kubrick, tous deux victimes de la folie de Jack Torrance.

Jack is writing a horror story, and so is Stanley, here shown typing in his daughter’s documentary
Jack écrit une histoire d’horreur, tout comme Stanley, ici montré en train de taper un textes dans le documentaire de sa fille.

Moon Landing Skeptic

Note du Saker Francophone : Il semble que Ron Unz soit en guerre personnelle pour dévoiler l'envers du décors, touche après touche. La pression monte doucement mais sûrement et on peut se demander à quel moment le rideau va tomber. On ne perd pas de vue que la crise économique menace, fragilisant encore un peu plus un système bien mal en point. Ou alors c'est un poisson d'avril ... qui sait.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le plus grand flou règne sur l’ampleur exacte des effets secondaires du vaccin. On doit à l’OMS et à sa base partagée par le centre d’Uppsala, la base VigiAccess, de donner quelques éléments d’informations un peu plus fiables que les éléments transmis par l’ANSM en France, et par quelques autres. On retiendra que cette base recense plus d’un million de cas d’effets secondaires pour la seule Europe, et pour la seule année 2021, du fait de la vaccination contre le COVID. Un chiffre qui sème le trouble sur la sincérité des chiffres en France.

Les effets secondaires du vaccin (ou des vaccins) contre le COVID constituent le grand tabou de la communication gouvernementale partout en Europe. Officiellement, le vaccin nous délivre de la maladie et se révèle parfaitement sûr. Sauf que les chiffres officiels, les quelques chiffres qui percent, ne disent pas exactement cela. 

Les effets secondaires selon l’OMS

On en veut pour preuve les chiffres globaux donnés par cette très dangereuse institution complotiste appelée l’OMS, sur la base VigiAccess opérée par l’Uppsala Monitoring Centre, tout ce qu’il y a de plus officiel donc. Nous reproduisons ci-dessus le nombre d’effets secondaires du vaccin comptabilisés par continent, tous vaccins confondus. 

On s’aperçoit que l’Europe est championne de l’effet secondaire, alors qu’elle compte environ 280 millions d’habitants vaccinés (on en compterait 380 millions aux Etats-Unis). Pour être exact, 1.074.200 effets secondaires étaient comptabilisés sur notre continent, soit un cas toutes les 560 millions d’injections environ, ou 1 cas pour 280 vaccinés. Ce n’est quand même pas rien.

Assez étonnamment, la proportion aux Etats-Unis est beaucoup moins importante. 

L’OMS contredit l’ANSM

En France, l’ANSM vient péniblement de reconnaître 90.000 cas d’effets secondaires (mais les autorités françaises sont avares sur les chiffres). 

On sait que la France a pratiqué environ 90 millions d’injections (nous nous contentons ici de cottes mal taillées, car tout recensement au jour le jour est impossible), soit un effet secondaire pour 1.000 injections. Autrement dit deux fois moins en France qu’en Europe. Mais c’est quand même bizarre.

Une fois de plus, ces incohérences dans les données officielles posent la question de la transparence sur les effets du vaccin. Et sur ce point, le débat est ouvert : la démocratie gagnerait à informer le public de façon transparente sur la réalité vaccinale. 

Quels effets secondaires des vaccins ?

Si les chiffres de l’OMS présentent l’inconvénient de ne pas décomposer plus précisément (notamment par vaccins) les effets secondaires, ils ont l’avantage de faire une synthèse chiffrées des différents types d’effets secondaires. 

Certains chiffres alertent. On constate ainsi plus de 100.000 problèmes cardiaques, plus de 115.000 problèmes vasculaires, 225.000 problèmes respiratoires, près de 300.000 problèmes dermatologiques, près de 650.000 problèmes musculosquelettiques… sans compter les 100.000 problèmes psychiatriques. 

On aimerait disposer en France d’un tableau clinique aussi précis. Cela aiderait au consentement libre et éclairé




« La seule urgence, c’est le sursaut parlementaire » : lettre ouverte

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : F.Froger / D6 – FS]

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir

LETTRE OUVERTE – Chambon-sur-Lignon, le 20 septembre 2021 – Madame, Monsieur, chers parlementaires,

Depuis le début de cette mandature, vous légiférez dans l’urgence plus souvent qu’il n’est souhaitable, cela vous agace et c’est bien légitime. Le nombre de motions de rejet préalable et de rappels au règlement occupent plus de place dans vos débats que les échanges constructifs sur le fond. Il est intolérable pour le peuple que vous représentez de voir que l’on coupe vos micros quand votre temps de parole est écoulé, sans vous laisser finir vos phrases.

Sur Public Sénat, deux sénateurs ont témoigné : l’un raconte qu’il a légiféré « avec un pistolet sur la tempe », l’autre qu’elle a eu le sentiment d’être en garde à vue, de ne pouvoir sortir qu’une fois qu’elle aura, non pas avoué, mais voté. C’est édifiant. À travers les parlementaires, c’est le peuple qui est méprisé par le pouvoir en place, et vous ne pouvez pas laisser perdurer cette situation. Il serait long de revenir sur toutes les lois que vous avez votées dans l’urgence, je vous propose de nous concentrer sur la dernière.

Les chiffres officiels

Au moment où vous légifériez dans l’urgence, voilà ce que disaient les chiffres officiels du réseau Sentinelles sur le nombre de cas symptomatiques remontés par les médecins généralistes :

Le seuil d’alerte est de 170 cas pour 100 000 habitants. La semaine où vous légifériez dans l’urgence, on était à moins de dix ! Les chiffres de Santé Publique France sur le nombre de décès avec la covid étaient aussi en baisse. Mais, après que le président s’est exprimé le 12 juillet, ils remontent, avec la reprise de la vaccination. Le jour où vous légifériez dans l’urgence, selon les chiffres officiels, 20 personnes en moyenne mouraient avec la covid, sur plus de 1 600 décès :

Mais ce qui devrait beaucoup plus retenir votre attention, ce sont les chiffres de la pharmacovigilance, pris sur le très officiel site de l’ANSM, sur la mortalité post-vaccination. À ce jour, on a déjà constaté en France :

  • 761 décès suite à la vaccination Pfizzer
  • 206 décès suite à la vaccination AstraZeneca
  • 17 décès suite au vaccin Janssen
  • 44 décès suite au vaccin Moderna

Ces vaccins ont tué plus en six mois, que tous les vaccins confondus en 30 ans. Le minimum que l’on puisse attendre d’un vaccin, c’est son innocuité. Force est de constater qu’elle n’est pas scientifiquement prouvée.

Alors pourquoi avez-vous légiféré dans l’urgence ?

Vous l’avez fait sur la base d’une projection mathématique prépubliée sur le site de l’Institut Pasteur, et retenue par le Conseil scientifique. Or, il se trouve que vous avez été trompés. Cette étude fait l’objet d’une plainte car le modèle mathématique est critiquable du point de vue de plusieurs scientifiques, qui en ont fait une relecture minutieuse. Depuis ce dépôt de plainte, cette étude, comme celle qui avait été publiée par le Lancet sur les traitements précoces, semble avoir été rétractée. La loi cadre que vous aviez votée prévoyait qu’en cas d’amélioration, le décret puisse être levé. Le fait est que le pic épidémique annoncé ne s’est pas produit, et que les chiffres du réseau sentinelles montrent clairement une amélioration ces derniers jours :

De nombreux scientifiques s’appuient sur leur domaine de compétence pour dénoncer les exagérations sanitaires. Au lieu de les faire taire, ne vaudrait-il pas mieux les entendre dans un débat d’idées équilibré ? Il est impossible de les citer tous, mais parlons au moins que quelques-uns d’entre eux : Vincent Pavan, qui dénonce l’étude sur laquelle repose nos privations de liberté ; Amine Umlil, qui souhaite débattre avec Olivier Véran ; Christian Vélot, qui explique pourquoi la vaccination de masse n’est pas nécessairement une bonne idée dans le cas précis du coronavirus, devraient être écoutés. Je ne sais pas s’ils se trompent ou s’ils ont raison. Mais les parlementaires devraient faire en sorte qu’on les entende et que leurs arguments soient confrontés à ceux des ministres. J’attire également votre attention sur la lettre ouverte que BonSens adresse au président de la République.

S’agissant du passe sanitaire

L’OMS ne le recommandait pas, le Conseil européen non plus, les pays qui l’avaient préconisé l’ont abandonné au moment même où vous l’adoptiez dans l’urgence. Soyons pragmatiques et réfléchissons : les vaccins n’empêchent ni la contamination ni la transmission, ils permettent seulement d’atténuer les effets du virus pour éviter les formes graves. Ce sont les bases sur lesquelles les AMM conditionnelles ont été délivrées. Olivier Véran le rappelle au Conseil d’État quand un octogénaire demande, après avoir été vacciné, à ne plus respecter les gestes barrière. Si l’on n’a pas la certitude que les personnes vaccinées ne peuvent pas transmettre le virus, alors il faut exiger pour sa délivrance un test négatif pour tout le monde, pas seulement pour les non-vaccinés. Si cela devait s’avérer inapplicable, alors on s’abstiendrait de le mettre en place.

S’agissant de l’obligation vaccinale

Il faut écouter les scientifiques exposer leurs arguments. Est-ce que la vaccination contre le coronavirus s’apparente à la grippe (nombreux variants) ? Est-ce qu’on peut obtenir une immunité collective avec les quatre vaccins dont on dispose ? Il semble que les effets indésirables graves (1 028 décès après vaccination sur les sept premiers mois) disqualifient les quatre vaccins préconisés aujourd’hui en France, faut-il persister ? Ne vaudrait-il pas mieux s’intéresser à d’autres technologies ? Au vaccin de Valneva par exemple ?

En conséquence, vous devez être inventifs

Le moment est venu de trouver des solutions pour éviter de vous laissez enfermer dans la prochaine procédure d’urgence. Vous connaissez les règles de fonctionnement du Parlement. Vous connaissez la Constitution. Vous avez le pouvoir de nous représenter mais c’est aussi un devoir : pouvoir législatif et pouvoir de contrôle de l’exécutif. Que nous soyons vaccinés volontairement, vaccinés par obligation professionnelle, ou non vaccinés, nous sommes tous pour la liberté et le triomphe de la démocratie !
 
Si vous arrivez à stopper la marche forcée qui vous est imposée, quelque soit la solution que vous proposerez pour sortir de cette impasse, et restaurer la démocratie qui nous est chère, nous, le peuple, vous soutiendrons.
 
Dans l’attente de votre sursaut, nous vous prions d’agréer, nos salutations républicaines.

Dominique Bard, pour un collectif du Haut-Lignon

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir




Bayonne — des soignants virés témoignent




Tous vaccinés, tous menacés

[Source : ripostelaique.com]

Par Laurent Droit

« Tous vaccinés, tous condamnés !! »

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Sur les chaînes de télévision, l’État continue de diffuser toute la journée des spots publicitaires du genre « lutte contre le sida » dans le but de faire « vacciner » un maximum de gens contre le Coronavirus, quels que soient ses autres noms.

Sous le titre/thème « Spot TV sur la vaccination – le débat » celui-ci met en scène une famille ou une bande d’amis à table qui débattent sur l’intérêt ou non du vaccin. Débat, donc avis différents.
Ce qui est clair, c’est que cela représente la grande masse des Français peu instruits de ces choses et en ignorant à peu près tout.
Leur discussion est donc assez stérile.
Voir le spot : https://www.dailymotion.com/video/x83jaht

Cela se termine par un texte froid de l’autorité publique :

– « On peut débattre de tout… sauf des chiffres »
– « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »
– « Tous vaccinés, tous protégés. »
– « Plus d’informations sur les lieux de vaccination sur www.sante.fr »

Et la fin traditionnelle des communications gouvernementales :

À noter qu’aujourd’hui la santé passe après les « solidarités » dans un ministère fourre-tout où on considère que la santé a peu d’importance et passe largement après les solidarités (qui restent à définir et à préciser)…!
C’est totalement stupide comme ordre des priorités…

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Je souhaite maintenant revenir sur la dialectique de ce message de fin.

Primo, « on peut débattre de tout sauf des chiffres. »

Je me demande bien ce que peuvent faire tous nos fantastiques scientifiques qui débattent sans arrêt entre eux de choses chiffrées d’un très haut niveau pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin dans nos vies, dans le monde entier.
On peut parfaitement débattre des chiffres sur leur précision, mais lorsque la démonstration de l’exactitude d’un chiffre a été faite et reconnue par la communauté scientifique, il devient assez difficile de le contester, sauf à apporter une autre démonstration tout aussi exacte mais différente.
Cette formule est donc fausse.
C’est un mensonge.
C’est une « fake-news » d’État !
Elle est faite pour endormir les naïfs et les crédules dans le but de les contraindre mentalement et de les culpabiliser à se faire vacciner.
Pourquoi ? Parce que Macron est le manipulateur en chef de toutes les manipulations de masse en France et que Macron et ses subalternes ont pour mission de faire injecter à tous les Français une substance nocive, dangereuse et à terme mortelle afin de faire diminuer la population française de souche d’origine, dans le cadre du Grand Remplacement et du Great Reset mondial décidé par les mondialistes.
À noter que les immigrés ne sont pas invités au bal des injections.

Secundo, « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »

Cette allégation gratuite est parfaitement mensongère aujourd’hui. C’est en effet tout le contraire qui se passe, car la vérité démontrée et dénoncée par d’innombrables médecins, biologistes et scientifiques non soumis au diktat de la doxa macronienne qui l’ont exprimée de nombreuses fois et de nombreuses manières :
En France et dans le monde, aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées dans des états désespérés ont déjà reçu une ou deux doses d’un des vaccins.
Et leur état désespéré est précisément lié aux effets secondaires dramatiques des pseudo-vaccins de grande toxicité.
J’en ai parlé suffisamment longuement dans mon livre avec tous les liens nécessaires pour en faire une preuve indiscutable : http://cabalard.free.fr/1zemmour.html

Mais je vous ai quand même noté quelques liens importants à la fin de cet article.

Par ailleurs, on ne doit pas dire « le covid », mais « la covid-19 » car il s’agit de LA maladie covid identifiée en 2019.

Tercio, enfin, ce slogan qui fleure bon le dentifrice ou la lessive miracle :
« Tous vaccinés, tous protégés. » est également l’exact contraire de la réalité démontrée dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire que les vaccins sont très dangereux et introduisent dans l’organisme humain de nombreuses substances nocives, toxiques pouvant apporter des pathologies nombreuses et très graves susceptibles d’entraîner la mort dans des délais qui vont de quelques minutes après l’injection à plusieurs mois ou plusieurs années, sans plus de précisions, car nous n’avons pas encore assez de recul pour en juger (il faudrait au moins 5 ans).

La seule vérité c’est que « tous vaccinés » signifie en réalité « tous condamnés à mort » dans des délais inconnus, mais sans doute pas très longs. Mais en aucun cas protégés.

Je souhaite aussi préciser que ces substances hautement toxiques fabriquées et vendues par l’industrie pharmaceutique sont tout sauf des vaccins, comme je l’ai aussi déjà expliqué en long et en large dans mon livre et dans des articles, avec tous les témoignages de nombreux scientifiques non politisés dont la sincérité et l’honnêteté ne peuvent pas être mises en doute.

Nous vivons malheureusement une période extrêmement grave et pénible sur le plan sanitaire où, en plus, l’État Macron totalitaire s’ingénie à mentir au peuple français à longueur de temps dans des buts qui sont aujourd’hui connus de tous, même si beaucoup en doutent encore, tant cela peut paraître incroyable.
Mais des choses encore plus incroyables se sont produites tout au cours notre histoire et il faut quand même que les Français ouvrent un peu les yeux…

Attention, des articles prétendant démentir que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires dangereux et que le rapport bénéfice/risque est largement favorable, courent sur le web. Ce sont des mensonges.
Ne les croyez pas !!!
L’État Macron fait tout pour vous cacher la vérité.

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Ne croyez jamais ce gouvernement de menteurs professionnels, mettez en doute toutes leurs déclarations concernant cette crise sanitaire, éloignez-vous de ces vaccins, refusez-les et avertissez vos amis et votre famille de leurs dangers mortels et aussi exigez que soient largement vendus et distribués les vrais traitements curatifs anciens, connus et efficaces qui ont déjà sauvé des centaines de milliers de personnes atteintes de la Covid-19. Chloroquine et Ivermectine associées à des antibiotiques qui éviteront les complications comme l’azithromycine ou la clarithromycine.

Cela dit, je ne vais pas refaire mon livre ici. Vous n’avez qu’à le lire, il est gratuit et en ligne.

Laurent Droit

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Liens :

Vidéo récente qui semble montrer que Pfizer refuse d’endosser toute responsabilité devant les États quant aux effets secondaires probablement nombreux et létaux de leurs « vaccins. »
Chacun en tirera ses propres conclusions…
« La députée @MicheleRivasi au CSI : beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusent les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires. »
https://twitter.com/boutaour/status/1441354445980258311

« Film Covid, 26 raisons pour refuser les vaccins » 
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

« Dr Zelenko nous dit tout sur le Covid et l’acharnement vaccinal. Accrochez-vous, c’est dur !! »
https://rumble.com/vky0dy-dr-zelenko-nous-dit-tout-sur-le-covid-et-lacharnement-vaccinal.-accrochez-v.html

« Décrypter le coup du passe sanitaire et la stratégie de la caste mondialisée »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

« Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ? » 
https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q

« Covid-19 : la stratégie d’immunité collective par la vaccination est-elle remise en cause en Islande ? »
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-strategie-d-immunite-collective-par-la-vaccination-est-elle-remise-en-cause-en-islande-20210811

« La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique » 
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique

« 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” Covid-19 »
https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

« TRIBUNE – Un aperçu sur le scandale du vaccin COVID-19 et du passe sanitaire »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-le-regne-de-la-cupidite-et-la-chute-de-la-medecine-occidentale-moderne

« Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène (très dangereux) dans les injections Covid et leur létalité » Vidéo très importante en anglais sous-titré de 22’49. 
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Alerte-!-Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-confirme-la-pr%C3%A9sence-d’oxyde-de-graph%C3%A8ne-dans-les-injections-Covid-et-leur-l%C3%A9talit%C3%A9.:c

Docteur Nicole Delépine : « Tous vaccinés, mais pas protégés ! » 
https://ripostelaique.com/tous-vaccines-mais-pas-proteges.html
et aussi :
« Sortir du délire : les thérapies géniques ne sont pas des vaccins » 
https://ripostelaique.com/sortir-du-delire-les-therapies-geniques-ne-sont-pas-des-vaccins.html

Docteur Nicole Delépine : « Des témoignages personnels dramatiques avec l’injection génique se multiplient »
https://ripostelaique.com/des-temoignages-personnels-dramatiques-avec-linjection-genique-se-multiplient.html

Docteur Nicole Delépine, encore une excellente étude de sa part sur le scandale de la vaccination des enfants :
« Il faut stopper la publicité à la vaccination des enfants » 
https://ripostelaique.com/il-faut-stopper-la-publicite-a-la-vaccination-des-enfants.html

« Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur – à coeur ouvert »
La vérité sur les traitements, les tests et procédures, sur l’efficacité des injections.
https://rumble.com/vkybzq-le-dr.-laurent-montesino-ranimateur-coeur-ouvert.html

Le témoignage de cet homme, directeur d’une entreprise de pompes funèbres australienne, est tout aussi important que courageux.
« Le témoignage capital d’un directeur des pompes funèbres » 
https://reseauinternational.net/un-temoignage-capital/
Autre source :
http://www.urantia-gaia.info/2021/09/21/un-temoignage-capital/#more-9853

« Les surprises d’analyses de sang de personnes vaccinées » Observations par plusieurs personnes, dans un laboratoire, d’anomalies sanguines dangereuses, sur une vidéo de microbiologie. Commenté en français.
La conclusion est qu’il s’agit d’un crime à grande échelle, de l’euthanasie collective.
https://rumble.com/vluavl-les-surprises-danalyses-de-sang-de-personne-vaccines.html




Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma

[Source : courriel]

Le graphique ci-dessus montre les liens entre la Fondation Gates, le Wellcome Trust, l’OMS, GAVI, d’autres ONG et Big Pharma… Il contient environ 6500 objets tels que des personnes, des ONG, des entreprises, des documents, etc. Il comprend également plus de 7200 liens entre eux.

Toutes les informations sont accessibles au public.

Les diapositives suivantes présentent quelques organisations sélectionnées dans ce graphique. En raison de sa complexité, il ne montre que le premier niveau de connexions.

Dans un premier temps, vous obtiendrez des informations générales sur les personnes des agences gouvernementales, des entreprises et des organisations non gouvernementales, ainsi que sur certains événements ou groupes importants. Plus loin dans ce document, vous trouverez une analyse des liens entre ces « parties prenantes ».

Les lignes rouges sont toujours des paiements, mais il se peut que certaines lignes noires soient également des paiements. Veuillez consulter la description du lien.

Faites-vous votre propre opinion et faites vos propres recherches !

2021-09-12


Le document complet est en anglais et seule la première page a été traduite (ci-dessus)


Quelques diagrammes et tableaux extraits du document

Total Grants by Bill & Melinda Gates Foundation (1994-2021) – Top 50 Rows

https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants

World Economic Forum (WEF) [Forum Économique Mondial]

GAVI




Obélix et le Pass sanitaire

[Transmis par Christine Côte]

[Note de Joseph : n’étant pas Obélix et n’ayant pas ne serait-ce que le dixième de sa force physique, le commun des mortels gagne bien sûr à trouver des solutions plus adaptées que la violence.]




Parodies vaccinales

Par Frédéric H.

2 vidéos parodiques en réaction au clip de propagande vaccinale actuel (« on peut débattre de tout, sauf des chiffres ») :

Le seul vaccin disponible, c’est notre IMMUNITÉ naturelle Cultivons la, préservons la :




Effondrement prévisible du système de santé du Québec ?

[Source : samizdat.qc.ca]

Paul Gosselin (23/9/2021)

À ce stade de la crise du Covid, on a probablement tous entendu parler, entre les branches, de personnes devenues gravement malades, voire décédées suite à suite de son vaccin. Dans mon cas, un beau-frère est décédé dans son sommeil une semaine après son vaccin. Puisqu’on n’a pas fait d’autopsie, alors ça évite d’établir la cause. Je me doute que pour ces cas le système médical québécois recommande fortement aux familles de ne pas demander d’autopsie, si ce n’est de REFUSER toute demande d’autopsie (même de la part des membres des familles directement concernés). Mais avec un laps de temps aussi court, il est LOGIQUE de faire ce lien et poser des questions sérieuses.

Un contact québécois m’a parlé d’un père de famille qu’il connaît, un gars super-athlète, probablement dans le top 5 % des Québécois pour la forme physique (faisant la traversée à la nage du Lac St-Jean), mais qui est décédé deux semaines après sa double dose du vaccin anti-Covid. Il avait des enfants… Évidemment certains n’ont pas été exposés à de telles choses et peuvent penser que ça ne peut t’être que de quelques cas isolés, car après tout: « On nous dit que les vaccins anti-Covid sont efficaces et sécuritaires ». À ceux-là, je vous invite à lire l’article de Hartnett dans les références.

Mais là, non seulement le premier ministre du Québec François Legault met de plus en plus de pression sur la population en général pour imposer le vaccin, mais le 7 septembre il a annoncé qu’à partir du 15 octobre, que tout le personnel médical du Québec doit être vacciné. Cela implique la perte d’emploi pour ceux qui osent refuser. Quel chantage extraordinaire pour imposer le vaccin !! Et le écise que cette exigence vise les organismes suivants :

  • les centres locaux de services communautaires;
  • les centres hospitaliers;
  • les centres d’hébergement et de soins de longue durée, publics, privés non conventionnés et conventionnés;
  • les centres de protection de l’enfance et de la jeunesse;
  • les centres de réadaptation;
  • les établissements privés conventionnés autres que les CHSLD;
  • les ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF);
  • les résidences privées pour aînés;
  • les groupes de médecine familiale (GMF);
  • les titulaires de permis d’exploitation de services ambulanciers et la Corporation d’Urgences-santé;
  • les laboratoires d’imagerie médicale offrant des services publics;
  • les entreprises d’économie sociale en aide à domicile;
  • certains groupes communautaires et acteurs qui offrent des services aux personnes vulnérables.

C’est d’ailleurs le même scénario en France où officiellement que c’est 3,000 membres du personnel médical du système médical français qui seront mis à pied. Mais cette infirmière française rejette ces chiffres et affirme que c’est plutôt 300,000 membres du personnel médical qui seront mis à pied !

UNE INFIRMIÈRE parle vrai :

« Vous pensez vraiment qu’il n’y a que 3 000 soignants mis à la porte ? Les vrais chiffres sont 300 000 !! […] »

(Laurent Du Mcse – VK – 7 minutes – 16/9/2021)



Au Québec, il ne faut pas se leurrer, il est probable que les conséquences du geste irresponsable de François Legault touchant l’imposition du vaccin anti-Covid sur le personnel médical seront EXACTEMENT les mêmes que celles prévues par cette infirmière, c’est-à-dire d’exclure du système de santé un grand nombre de personnes compétentes à un moment où il en faudrait justement plus de personnel. À ce sujet, récemment un autre contact ayant longtemps travaillé dans le système de santé québécois m’a avoué

Je sais de sources sures que le système de santé du Québec s’effondre d’ici quelques mois, un an tout au plus…

Et si on entend parler de plus en plus des conséquences dramatiques des vaccins sur la population en générale, qu’en est-il du personnel médical vacciné ? Un de me contacts m’a raconté l’anecdote (histoire vraie) suivante :

Je connais un gars travaillant dans un CHSLD, un gars en forme, actif, svelte. Un gars jamais malade, pas de diabète, pas de boisson ni de drogue. Quelques jours après son 2e “ vaccin ”, il éprouve une forte douleur dans l’un de ses pieds. Plusieurs médicaments antidouleurs plus tard, il passe une très mauvaise nuit. Le lendemain la douleur est trop forte malgré les analgésiques, il va à l’hôpital et les médecins lui apprennent que son pied est comblé de caillots sanguins et qu’ils doivent l’amputer… Et c’est ce qu’ils ont fait.

Mais ce n’est qu’un cas connu. Et si effectivement au Québec dans les prochaines semaines et mois on commence à faire face de plus en plus aux conséquences dramatiques des vaccins anti-Covid sur le personnel médical vacciné, logiquement on va faire face à événement dramatique et sans précédent, c’est-à-dire une implosion du système de santé. Le premier coup de démolition du système de santé ce sera l’exclusion du personnel médical non-vacciné, mais le deuxième premier coup de démolition du système sera le personnel vacciné qui commencera à tomber suite aux répercussions toxiques du vaccin à l’ARNm… Et à moins de voir reculer le gouvernement sur l’exclusion du personnel médical non vacciné alors il ne faut pas s’étonner que le gouvernement soit pris pour traiter avec une crise de grande envergure. Comment s’en sortiront-ils sans subir (eux-mêmes…) trop de répercussions directes ? À vrai dire le hargne que le gouvernement met pour imposer, par toutes sortes de moyens (et par la menace essentiellement…), le vaccin expose le fait que les Legault et Arruda savent bien qu’il leur reste peu de temps avant que les retombés catastrophiques du vaccin deviennent évidentes aux yeux de toute la population.

On peut s’attendre à quel genre de réaction du gouvernement ?

Que va faire le gouvernement Legault lorsque les conséquences de ses décisions de saboter le système de santé seront manifestes aux yeux de tous ? Que va-t-il se passer quand les gens vont hurler qu’ils paient leurs taxes pour avoir accès au système de santé et que (faute de personnel adéquat) on leur REFUSE les services auxquels ils ont droit ?

Mais on voit une constante dans la gestion gouvernementale, il y a toujours une porte de sortie pour les menteurs et les manipulateurs… Dans ce cas-ci, il faudra créer des coupables. Et ces coupables sont là, tout prêts. Eh oui, vous l’avez deviné, ce sont les non—vaccinés. Ainsi lorsque la crise du système de santé deviendra INDÉNIABLE, Legault et Dubé vont trouver quelques cas de personnes non-vaccinés qui auraient contaminé le personnel médical vacciné. Ah quel horreur ?? Mais, vous vous demandez peut-être comment des personnes vaccinées peuvent attraper le Covid s’ils sont vaccinés ?? Sans doute on vous dira que vous vous posez trop de questions, taisez-vous… Mais enfin, voyant tout le blabla débile sur les variants Delta, Epsilon, etc. il ne sera PAS étonnant qu’on met de l’avant un truc manipulateur du genre : “ On vient de découvrir que chez les non-vaccinés, le Covid fait des mutations multiples qui mettent en danger TOUTE la population. Ainsi pour leur bien (et le bien de la population en général), il faut mettre en isolation obligatoire les non-vaccinés, les mettre en quarantaine, les interner dans des camps(([1] – Et NON, ce n’est pas une blague ou “fake news”. En octobre l’an dernier, le député ontarien Randy Hillier a osé poser des questions à ce sujet, mais on lui a RAPIDEMENT coupé la parole…
Doug Ford gov’t won’t deny COVID-19 quarantine camps are coming to Ontario
(YouTube – 5 minutes – 9/10/2020) )) (ou, si nécessaire, les exterminer)… ” Évidemment l’avenir seulement diras si ces spéculations seront complètement réfutées et à coté de la plaque ou s’ils seront dépassées par la réalité des événements…

Évidemment ça peut sembler complètement farfelu, si ce n’est irresponsable, de se permettre de telles spéculations, mais faisons face à la dure réalité actuelle. Cher lecteur/lectrice, si tu pouvais reculer dans le temps et raconter à ton moi du premier janvier 2020 TOUTES les restrictions, violations de liberté et changements de comportement que tu as déjà vus, ne penses-tu pas que ton moi du début 2020 ne trouverais pas complètement farfelues tes affirmations et te demanderait pas si tu as (peut-être) fait des abus de substances hallucinogènes, si ce n’est de te traiter de complètement dérangé, cinglé et irrationnel ??

Comment on construit un bouc émissaire commode

Voyons le cas du Mega Fitness Gym à Saint-Romuald. (avril 2021). Ce qui est un fait est qu’un client du gym, Étienne Desrochers-Jean est décédé à cette époque. La journaliste de RadioCan Marie Maude Pontbriand (7/4/2021) précise au sujet de Desrochers-Jean que

Il avait auparavant reçu un résultat positif à un test de dépistage de la COVID-19, mais rien ne permet d’affirmer qu’il a contracté le virus au Mega Fitness Gym.

Est-ce que l’on peut prouver que le Covid a vraiment tué cet homme ? Je me le demande… Enfin, si la famille de Étienne Desrochers-Jean a toutes mes sympathies les plus sincères, évidemment pour le gouvernement ce décès est TRÈS commode et ce n’est pas un hasard non plus que les grands médias leur ont donné toute cette attention à ce cas de décès particulier (et pas à d’autres).(([2] – Tout en ignorant totalement les pertes d’emploi et suicides résultant des politiques de restrictions et isolement qu’a mis en place le régime de Legault.)) Dans un article par le journaliste Alain Rochefort (RadioCan – 7/4/2021), le Mathieu Boivin, le porte-parole du CIUSSS de la Capitale-Nationale, fit ces commentaires :

Bien sûr, dans le contexte épidémiologique actuel, nous n’hésiterons pas à utiliser tous les moyens et leviers à notre disposition pour contrer toute menace à la santé et la sécurité de la population de la Capitale-Nationale. C’est ce que nous avons fait dans cet établissement, ajoute M. Boivin.

Et le titre cet article ultra-culpabilisant de Rochefort fait valoir que 419 cas de covid sont liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. Oh, encore des cas, c’est-à-dire des positifs au test PCR que tous savent ne signifient rien… En général les gens classés positifs au test PCR ne sont pas malades, c’est-à-dire n’ont pas de symptômes de Covid. Et Rochefort va plus loin en insinuant (à mots couverts) que la troisième vague de Covid dans la région de Québec (et TOUTES les restrictions qui suivent) soit de la faute du Mega Fitness Gym.

L’éclosion dans ce gym, propriété de Daniel Marino, qui a  défié la santé publique à quelques reprises, ne peut cependant être considérée comme la cause unique de la troisième vague à Québec, insiste la santé publique.

Et dans le dossier du Mega Fitness Gym on a même vu RadioCan (Marie Maude Pontbriand – 5/4/2021) donner la parole au maire de la ville de Québec afin qu’il s’en prenne au poste Radio X qui avait un moment appuyé le Mega Fitness Gym. Dans l’article de Pontbriand, Labeaume a d’ailleurs traité RadioX de dangereux et les proprios du gym, d’irresponsables. Dans un autre article par Sébastien Tanguay (RadioCan – 3/4/2021) on a encore donné la parole au maire Labeaume qui a proféré la menace légale suivante (pas très voilée) à l’égard du proprio du gym, menace qui évidemment vise tout autre commerce osant braver les restrictions.

Selon le maire de Québec, autant le Mega Fitness Gym que le [bar] Kirouac sont bien chanceux qu’au point de vue légal, la loi ne puisse pas les rejoindre.

Et dans le même article de Tanguay, Labeaume en rajoute du guilt-mongering au sujet du proprio du gym :

C’est le cas parfait. Le gars, grand génie, contestait les mesures sanitaires et ironiquement, ironiquement, ce grand monsieur-là, tout d’un coup, a fait que la pandémie déferle en ville. Il en est grandement responsable. 

Récemment un copain m’écrivait disant :

Plus le temps passe et plus l’on est enclin à penser que plusieurs États et gouvernements profitent d’un maintien de la crise à des fins autres (politiques). Il est étonnant de constater le silence généralisé des ordres professionnels du milieu de la santé, des syndicats, des partis d’opposition, etc. Avec l’expérience on apprend que quand tous les médias disent de regarder quelque part, l’action véritable se passe souvent ailleurs. Peut-on suggérer par exemple, des objectifs tels que la mort planifiée des États-Nations souverains, la disparition des classes moyennes instruites avec un retour vers une prochaine génération moins (ou mal) instruite et dont le principal caractéristique serait la docilité ?

Un autre contact m’a souligné qu’au Québec, les partis de l’opposition politique ne sont pas silencieux, mais en fait sont manifestement tout à fait complices du néo-totalitarisme que l’on installe au Québec, décret par décret, loi spéciale, par loi spéciale… Voici une nouvelle (offert par les journalistes Vincent Larin et Geneviève Lajoie de TVA – 23/9/2021) qui offre un élément de preuve de plus de cette tendance, soit l’adoption par l’Assemblée nationale du Québec d’une loi interdisant aux “ antivaccins ” de manifester à moins de 50 mètres des garderies, écoles, hôpitaux ou de centres de vaccination et de dépistage. Larin et Lajoie observent :

“ Si la version initiale du projet de loi du gouvernement prévoyait déjà des amendes salées, de 1000 à 6000 $ pour les manifestations et de 2000 à 12 000 $ pour les menaces ou l’intimidation, elles ont finalement été doublées. (…) Geneviève Guilbault a toutefois rejeté la demande du Parti libéral du Québec de permettre aux tribunaux d’emprisonner jusqu’à six mois les multirécidivistes, une mesure qu’elle juge “excessive”. ”

On constate ici que la supposée « opposition » est en fait un acteur très important pour aider à maintenir une dictature, car ils demandent toujours pire que ce que la CAQ finit par appliquer. Quelle folie! Et les journalistes Larin et Lajoie citent la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault qui dit :

« Geneviève Guilbault voit aussi “un lien manifeste” entre les critiques contre les mesures sanitaires et celles contre le gouvernement. C’est pourquoi “si quelqu’un, sur Facebook, écrivait « le gouvernement, dictature, blablabla, allons protester […] devant telle école », le policier pourrait déjà interdire”, dit-elle.  »

C’est curieux comment cette classe dirigeante tolère si peu les critiques. Mais s’ils n’aiment pas se faire traiter de totalitaires, la solution est pourtant simple. Ils n’ont qu’à commencer à montrer du respect de la Charte des droits ainsi que du respect envers le peuple. Et qui sait? Et si cette nouvelle loi anti-manifestations n’est justement pour but de se protéger des effets qu’ils ont prévus de l’effondrement du système de santé du Québec suite à leur exclusion du personnel médical refusant le vaccin? Une telle loi laisse bien entendre que l’effondrement du système de santé est non pas un accident, mais voulu…

Il est donc clair que cette classe dirigeante a un mépris très profond des droits du peuple. La liberté d’expression ? Oui, on veut bien vous accorder ce privilège, mais à la condition que vous pensez exactement (et servilement) comme nous… On se retrouve donc avec un régime tout à fait comparable aux régimes islamiques. Sous un régime islamique intégriste, où règne la Charia, puisque l’État est considéré “ défenseur de l’Islam ”, alors un critique contre l’État (ou ses dirigeants) est alors considéré intolérable, car implicitement une critique contre l’Islam. Ainsi, au Québec avec le parti de François Legault on se retrouve avec un régime intégriste, totalitaire où le covidisme devient Vérité (ou religion) d’État et ainsi la critique contre le covidisme est désormais considérée une hérésie qu’il faut chasser. On a donc affaire à une nouvelle Inquisition High Tech. Qu’auraient fait les inquisiteurs du Âge avec le contact-tracing je me le demande ? On peu supposer que ça leur aurait grandement facilité leur travail…


Ressources

Le fanatisme religieux Covidien /Covidian Religious Fanaticism.


Références

John Gideon Hartnett (2021) Les injections anti-COVID tuent un grand nombre de personnes, prévient le docteur COVID de haut niveau Peter McCullough. (Samizdat)

Lance D Johnson – Canadian government erecting a network of covid detainment camps and “isolation” sites to incarcerate those who don’t cooperate with medical tyranny. (JellyFIsh News – 16/410/2020)

Vincent Larin et Geneviève Lajoie – La loi pour repousser les manifestations en lien avec les mesures sanitaires adoptée. (TVA Nouvelles – 23/9/2021)

François Legault – Pandémie de COVID-19 – Le gouvernement du Québec annonce la vaccination obligatoire des intervenants de la santé et des services sociaux. (Publié par : Cabinet du ministre de la Santé et des Services sociaux ; En collaboration avec : Cabinet du premier ministre) – 7 septembre 2021, 17 h 23

François Legault – CONCERNANT l’ordonnance de mesures visant à protéger la santé de la population dans la situation de pandémie de la COVID-19. [la version administrative du décret numéro 1276-2021 du 24 septembre 2021] -> loi anti-manifestations

Marie Maude Pontbriand – COVID-19 : le coroner enquête sur la mort d’un membre du Mega Fitness Gym. (RadioCan –7/4/2021)

Alain Rochefort – 419 cas liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. (RadioCan – 7/4/2021)

Marie Maude Pontbriand – Régis Labeaume s’en prend à Dan Marino et aux propriétaires de CHOI. (RadioCan – 5/4/2021)

Sébastien Tanguay – Le maire Labeaume vitriolique envers le Mega Fitness Gym. (RadioCan – 3/4/2021)


Notes




Le professeur Jacques van Helden, de l’université Aix-Marseille, explose les mensonges du Dr Fauci dans The Lancet

[Source : ZEjournal]

Auteur : Jean-Patrick Grumberg

La principale revue médicale au monde, The Lancet, vient de publier un article (1) condamnant explicitement les positions conspirationnistes d’Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui déclarait le 17 février 2020 à USA Today (2) que le risque de coronavirus aux États-Unis était « minuscule », puis niait qu’il sortait du laboratoire de Wuhan dont il a financé les travaux de recherche. 

Dans leur appel « pour un débat scientifique objectif, ouvert et transparent sur l’origine du SRAS-CoV-2 », publié le 17 septembre dans The Lancet (1), une quinzaine de scientifiques français et étrangers accusent implicitement le Dr Fauci d’avoir menti, et de continuer à mentir sur les origines du coronavirus, sous le fallacieux prétexte qu’il fallait « suivre la science et non les spéculations ».

Typique travers de la nature humaine, où le voleur accuse celui qu’il vient de dérober d’être le voleur, si bien illustré par le loup furieux contre l’agneau qui « trouble son breuvage », alors que d’une part, l’agneau se désaltérait déjà quand le loup est arrivé, et qu’au surplus, l’innocent accusé se trouvait « plus de vingt pas au-dessous » du loup dans le courant. Jean de la Fontaine (merci, Gérard Pierre, pour la mention) décrit ce que nous observons quotidiennement dans les médias : être traité de conspirationniste par les conspirationnistes, et accusés de Fake News par les industriels de la Fake News.

En réalité, dans l’origine du coronavirus, les faits pointent vers tout l’inverse de ce qu’affirmait Fauci, comme le loup qui pollue l’eau de l’agneau et lui reproche de troubler son breuvage : la science semble indiquer que le virus est de fabrication humaine, et les spéculations l’attribuent à une origine animale.

Mais revenons à nos moutons…

Source de la controverse

  • Nous sommes au tout début de ce qui deviendra une pandémie. Nous sommes le 1er février 2020, et lorsqu’il a été confronté aux premiers indices que le Covid pouvait provenir du laboratoire de Wuhan qu’il a financé via EcoHealth Alliance de Peter Daszak, président de l’organisation basée à New York, le docteur Fauci a organisé une conférence téléphonique secrète pour discuter de la manière de supprimer cette information dangereuse, puisque la piste menait directement à eux.

« Un groupe d’élite de scientifiques internationaux a donc eu une réunion téléphonique pour discuter d’une possibilité choquante : Le virus semblait avoir été créé dans un laboratoire », explique Alison Young, membre de l’équipe d’investigation de USA TODAY, qui couvre les questions de santé, d’environnement et de consommation.

https://www.usatoday.com/story/opinion/2021/06/17/covid-19-fauci-lab-leaks-wuhan-china-origins/7737494002/

  • Le 19 février 2020, Peter Daszak et 27 autres scientifiques ont publié une lettre dans The Lancet (3), disant :

« Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle ».

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext

Cette lettre a ensuite été utilisée par tous les médias pendant plus d’un an pour supprimer et censurer toutes discussions – et même toute question – suggérant que le virus est sorti d’un laboratoire chinois. Les médias sociaux ont tous apporté leur concours à cette censure. Les sites qui combattent les théories conspirationnistes ont ridiculisé ceux qui posaient des questions, et les organismes de vérifications des faits, en prenant pour référence la lettre du 19 février, ont rejeté comme Fake news tout avis contraire. Pendant plus d’un an.

  • La veille, soit le 18 février 2020, Dreuz a été le premier média en langue française à émettre des doutes sur l’origine du coronavirus et à pointer du doigt le laboratoire de Wuhan (4).

Ce qui, dans la lettre des élites scientifiques de février avait attiré les doutes de l’homme simple que je suis, n’était pas difficile à déceler : comment ces messieurs, sans faire d’enquête, sans encore rien connaître au virus, pouvaient-ils affirmer de manière absolue et définitive que le Covid-19 était d’origine naturelle, et ne pouvait absolument pas venir d’un laboratoire. Ils ne présentaient aucune preuve scientifique de leurs affirmations parce qu’ils n’en avaient pas. A la place, ils se servaient de l’autorité et du prestige de leur position pour demander qu’on les croie.

Et cela doit nous servir de leçon : ce n’est pas parce qu’un grand scientifique, réputé, honoré et honorable par ailleurs, affirme quelque chose, que ce soit suffisant pour le croire.

  • Le 17 septembre 2021, un nouvel article paru dans The Lancet, rédigé par Jacques van Helden de l’université d’Aix-Marseille en France, Richard Ebright de l’université Rutgers et 14 autres auteurs français et américains, a mis à mal les Fake news de la clique des élites de Fauci qui prétendaient apporter un soutien écrasant à l’hypothèse selon laquelle le nouveau coronavirus à l’origine de la pandémie de COVID-19 provenait de la faune sauvage.

« Les auteurs ont associé tout point de vue alternatif à des théories du complot, en déclarant : « Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle ».

Cette déclaration a eu pour effet de réduire au silence le débat scientifique au sens large, y compris parmi les journalistes scientifiques », accuse van Helden.

Contrairement à ce qu’affirmaient ces élites scientifiques, poursuit l’article,

« Il n’y a pas de soutien direct à l’origine naturelle du SRAS-CoV-2, et un accident lié à un laboratoire est plausible. Il n’existe à ce jour aucune preuve scientifiquement validée qui soutienne directement une origine naturelle. »

« Ni l’option de l’hôte, de la chauve-souris à l’homme, ni la route géographique du Yunnan (où les virus les plus proches du SRAS-CoV-2 ont été échantillonnés) à Wuhan (où la pandémie a émergé) n’ont été identifiées.

Plus de 80 000 échantillons prélevés dans des sites sauvages et des fermes d’élevage chinoises se sont tous révélés négatifs », écrivent les chercheurs.

En outre, poursuivent les auteurs :

La communauté internationale des chercheurs « n’a pas accès aux sites, échantillons ou données brutes » liés au laboratoire de Wuhan et à l’épidémie de Covid.

Même le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a maintenant déclaré « que toutes les hypothèses restaient sur la table, y compris celle d’une fuite de laboratoire. »

Et donc, ajoutent les scientifiques, l’origine pointe plutôt vers un virus fabriqué par l’homme :

L’origine de la pandémie par une fuite en laboratoire est « plausible. Certaines caractéristiques inhabituelles de la séquence du génome du SRAS-CoV-2 suggèrent qu’elles pourraient résulter du génie génétique. »

Le professeur de l’université Aix-Marseille poursuit ainsi :

En tant que scientifiques, nous devons évaluer toutes les hypothèses sur une base rationnelle, et peser leur probabilité sur la base de faits et de preuves, sans spéculation quant à d’éventuels impacts politiques.

Contrairement à la première lettre publiée dans The Lancet … nous ne pensons pas que les scientifiques doivent promouvoir l’ »unité » (« Nous soutenons l’appel du directeur général de l’OMS à promouvoir les preuves scientifiques et l’unité plutôt que la désinformation et les conjectures »).

Comme nous l’avons montré ci-dessus, les hypothèses liées à la recherche ne sont pas de la désinformation et des conjectures. Plus important encore, la science accepte les hypothèses alternatives, les arguments contradictoires, la vérification, la réfutabilité et la controverse. S’écarter de ce principe risque d’établir des dogmes, d’abandonner l’essence de la science et, pire encore, d’ouvrir la voie aux théories du complot. Au lieu de cela, la communauté scientifique devrait amener ce débat là où il doit être : dans les colonnes des journaux scientifiques ».

Conclusion

Lorsque je faisais des recherches sur Dreuz pour retrouver l’historique de nos publications – je ne fais pas confiance dans les médias traditionnels à moins qu’ils fournissent leurs sources, ce qu’ils ne font pas – j’ai compris une partie du légitime rejet du vaccin par une partie du public informé : ils ont très tôt été pris pour des imbéciles par les autorités, et dès cet instant, ont décidé de ne plus leur faire confiance en rien concernant leur santé et la pandémie.

J’ai également remarqué que très tôt, je me suis personnellement, ainsi que tous les auteurs de Dreuz.info, positionné en faveur des médicaments comme l’hydroxy, tandis que des lecteurs me reprochent aujourd’hui de soutenir son interdiction – qu’ils fassent une recherche dans mes articles passés, ils verront qu’ils se trompent. Ils verront également que j’ai été le premier, en 2020, à évoquer les dangers révélés lors des tests grandeur nature du vaccin – là encore, les mêmes m’accusent à tort d’être pro-vaccin, qu’ils fassent une recherche. Mais qu’ils se rassurent, je crois avoir compris qu’au train où vont les dons – qui se sont taris, Dreuz ne sera plus là très longtemps pour les embêter avec son refus d’être anti-vaccin.

Enfin, je m’étonne qu’autant de politiques et de scientifiques mettent l’accent sur la dangerosité pour la vie de l’homme du réchauffement climatique – une certitude du futur selon eux – et qu’ils réclament qu’on ait confiance dans leur désir de protéger notre bien-être, alors qu’ils ne réclament pas d’enquête internationale sur l’origine d’un virus qui a déjà tué 5 millions de personnes, qu’ils ne menacent pas la Chine de sanction si elles s’obstinent à refuser la visite d’experts, et ne demandent pas des précautions extraordinaires et des observateurs indépendants au laboratoire chinois d’où est plus que probablement sorti le virus.

Références :

  1. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)02019-5
  2. https://www.usatoday.com/story/news/health/2020/02/17/nih-disease-official-anthony-fauci-risk-of-coronavirus-in-u-s-is-minuscule-skip-mask-and-wash-hands/4787209002/
  3. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext
  4. https://www.dreuz.info/2020/02/coronavirus-celui-par-qui-la-theorie-du-complot-est-partie-rompt-le-silence-207081.html

Lire aussi : RÉVÉLÉ : 26 des 27 scientifiques du Lancet qui ont réfuté la théorie selon laquelle le Covid aurait fui d’un laboratoire chinois ont des liens avec des chercheurs de Wuhan
– Source : Dreuz Info




URGENT : Véran rétropédale sur les sanctions aux soignants non-vaccinés en arrêt-maladie

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Après avoir annoncé en toute illégalité l’interruption des versements maladies pour les soignants non-vaccinés, Olivier Véran a bien dû manger son chapeau. Alors que, depuis plusieurs semaines, les directeurs d’hôpitaux avaient affirmé aux non-vaccinés que, même en arrêt-maladie, ils ne percevraient aucun revenu, une circulaire diffusée par les ARS aux chefs d’établissement a finalement rétabli le droit. On y verra un signe supplémentaire de la « légèreté » avec laquelle l’équipe actuellement au pouvoir traite les dossiers du pays.

Les soignants non-vaccinés ont fait l’objet, depuis le mois d’août, d’un déferlement de violence managériale sans égal, dans l’indifférence générale des organisations syndicales représentatives dont il faudra se souvenir le jour J.

Cette violence inouïe d’une institution vis-à-vis de ses salariés ne s’est pas seulement déployée dans des comportements de harcèlement ponctuel (nous avons reçu des témoignages accablants sur des chefs d’équipe interpellant des collaborateurs en réunion pour les interroger sur leur statut vaccinal et les humilier sans complexe sur leur refus du vaccin). Elle s’est aussi traduite par un harcèlement institutionnel, avec une multitude de mails, de SMS, de courriers recommandés ou non, contenant des menaces et des intimidations. 

Dans la panoplie de ce harcèlement, les hôpitaux ont utilisé une arme absolument illégale, qui a beaucoup inquiété les soignants : l’interruption des indemnités maladie pour les soignants non-vaccinés. Beaucoup ont en effet légitimement craqué sous la pression haineuse qui s’est exercée sur eux au mois d’août, et ont souvent plongé dans un désespoir et une angoisse qui les ont obligés à s’arrêter avant le 15 septembre. 

Une menace illégale des hôpitaux

Nous avons eu l’occasion à plusieurs reprises, depuis le mois d’août, de rappeler que l’interruption des versements maladie était illégale en cas de suspension de l’agent. La règle est simple : un agent malade peut être suspendu (sans traitement) durant sa maladie, mais l’interruption de traitement ne commence qu’à la fin de l’arrêt-maladie

Cette règle vaut pour les suspensions intervenues après le début de l’arrêt-maladie, mais aussi pour les arrêts maladie qui interviennent pendant la suspension. Une jurisprudence constante prévoit qu’un agent suspendu bénéficie d’une indemnisation de sa maladie. Comme on le voit dans la capture d’écran ci-dessus : le ministère de la Santé a fait un premier pas en appliquant la règle du maintien de l’indemnisation maladie commencé avant la suspension. Reste à franchir la deuxième étape, qui est de reconnaître clairement qu’un agent suspendu qui tombe malade doit être indemnisé. 

Une violence patronale rare

Il faudra quand même un jour tirer le bilan des six semaines qui viennent de s’écouler, en documentant les fautes commises par le gouvernement relevant de la correctionnelle (et incontestablement, menacer illégalement des fonctionnaires a participé à un harcèlement moral qui relève du code pénal), et mener les procédures utiles pour obtenir réparation de ces fautes.

Dans la pratique, le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet a donné le signal d’un déferlement de haine contre les non-vaccinés que certains affidés se sont chargés de propager. On pense au président de la Fédération Hospitalière Française (FHF), Frédéric Valletoux, accessoirement maire de Fontainebleau, qui a consciencieusement adopté les lignes les plus extrémistes, violant la loi au passage, contre les soignants résistants. 

Il en est ressorti une violence patronale dans les hôpitaux qui méritera d’être réparée comme il se devra. 




Les Opérations d’influence chinoises

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

L’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) en France a récemment publié un rapport de 646 pages intitulé « Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien ». Ce volumineux rapport a été rédigé par Paul Charon (directeur du domaine « Renseignement, anticipation et menaces hybrides » de l’IRSEM) et Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (directeur de l’IRSEM).

Pendant longtemps, on a pu dire que la Chine, contrairement à la Russie, cherchait davantage à être aimée que crainte ; qu’elle voulait séduire, projeter une image positive d’elle-même dans le monde, susciter l’admiration. Pékin n’a pas renoncé à séduire, à son attractivité et à son ambition de façonner les normes internationales, et il reste essentiel pour le Parti communiste de ne pas « perdre la face ». Mais, en même temps, Pékin assume de plus en plus d’infiltrer et de contraindre : ses opérations d’influence se sont considérablement durcies ces dernières années et ses méthodes ressemblent de plus en plus à celles employées par Moscou. C’est un « moment machiavélien » au sens où le Parti-État semble désormais estimer que, comme l’écrivait Machiavel dans Le Prince, « il est plus sûr d’être craint que d’être aimé ». Ce qui correspond à une « russianisation » des opérations d’influence chinoises.

Ce rapport s’intéresse à cette évolution, avec l’ambition de couvrir tout le spectre de l’influence, de la plus bénigne (diplomatie publique) à la plus maligne, c’est-à-dire l’ingérence (activités clandestines). Pour ce faire, il procède en quatre parties, présentant successivement les principaux concepts ; les acteurs mettant en œuvre ces opérations, notamment la base 311 de l’Armée populaire de libération ; les actions conduites par Pékin à l’égard des diasporas, des médias, de la diplomatie, de l’économie, de la politique, de l’éducation, des think tanks et en termes de manipulations de l’information, entre autres leviers ; et enfin quelques études de cas (Taïwan, Singapour, Suède, Canada, et les opérations ayant visé les manifestants hongkongais en 2019 ou cherché à faire croire à l’origine américaine de la Covid-19 en 2020). La conclusion revient sur cette « russianisation », qui a trois composantes : Pékin s’inspire de Moscou dans plusieurs registres, il subsiste évidemment des différences entre les deux, et il existe aussi un certain degré de coopération. Pour finir, le rapport évalue l’efficacité de cette nouvelle posture chinoise qui peut s’enorgueillir de certains succès tactiques, mais constitue un échec stratégique.


Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien

Pour lire la suite : L’Institut de recherche stratégique de l’École militaire a publié son rapport : Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien




Dictature sanitaire : bon résumé par un professeur de droit

https://twitter.com/PATRIOTOSORUS/status/1441613423788298240?s=20



Urgence vitale : appel à l’aide de Jeanne pour les soignants

[Source et auteur : Alexandra Henrion Caude]



Par sa gentillesse et sa détermination, Jeanne, aide-soignante devant la Préfecture de la Roche-sur-Yon nous interpelle viscéralement. Nous ne pouvons pas laisser perdre pied tous ces soignants dévoués.
Il est IMPÉRATIF SUR LE PLAN MÉDICAL d’exclure de la vaccination :

  • toute personne ayant contracté la COVID19 (immunité naturelle avec ou sans anticorps)
  • toute contre-indication (dont les contre-indications psychologiques).
    Il est rappelé que ce traitement n’a pas reçu d’Autorisation de Mise sur le Marché définitive et donc NE PEUT ÊTRE IMPOSÉ à qui que ce soit!
https://youtu.be/XREaHE2rznI



La Lettre de la Médecine du Sens n°341

[Source : lessymboles.com]

« Je m’entête affreusement à adorer la liberté libre. »

Arthur Rimbaud

 « Ce n’est pas une crise, c’est un changement de monde. »

Michel Serres

« Pour un pervers narcissique, un mensonge réussi vaut une vérité. »

Paul-Claude Racamier

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Le 15 septembre restera le jour de la honte nationale. Le jour où des soignants qui se sont sacrifiés pour chaque français ont été mis au pilori, forcés, violés.

Et pourtant rien ne justifie tout cela.

Les 20 et 25 août le Conseil Scientifique de Macron a bien confirmé que le vaccin ne protégeait pas (à 50%) de la contamination et que les vaccinés transmettent autant le virus que les non vaccinés ce qui enlève tout intérêt au vaccin obligatoire et au pass sanitaire. Le CDC, la plus haute autorité sanitaire américaine, et faisant autorité dans le monde, confirme ces données. 

Le vaccin se retrouve à rester utile pour certaines franges de la population : les personnes âgées et/ou avec comorbidités.

[Ndlr : et encore, ceci reste à réellement démontrer.]

C’est donc uniquement une mesure politique et plus du tout sanitaire. Une épreuve de soumission, mais surtout une entreprise de numérisation des populations.

Ceux qui ont eu le Covid et qui ont donc une immunité bien supérieure aux doubles vaccinés sont donc priés de se vacciner !

Les chiffre d’Israël sont encore plus parlants.

Mais si le vaccin ne fonctionne pas et ne protège personne, la mortalité elle est en explosion. L’Australie pays super vaccinateur avoue dans ses chiffres officiels (lien France Soir : https://www.francesoir.fr/societe-sante/australie-trois-fois-plus-de-deces-rapportes-vaccins-vs-covid) que le vaccin tue 3 fois plus que le Covid (2,91). En Europe les chiffres de Eudra vigilance montrent plus de 25 000 morts et 2,5 millions d’effets secondaires dont plus de la moitié sont graves (handicap à vie).

En France, l’ANSM dans ses chiffres montre que pour 100 000 habitants il y a 5 morts du Covid et 7 morts du vaccin. Avec des jeunes qui ne devraient jamais mourir.

Un thanatopracteur raconte qu’il rencontre une super mortalité des jeunes qui n’auraient jamais du mourir depuis le vaccin (Voir plus bas la vidéo du CSI n° 22).

« Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’il mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir. » 

Alexandre Soljenitsyne

Cependant la résistance est bien là, bien que toute la propagande tente de démontrer le contraire.

Plus de 15 millions de Français refusent encore de se faire vacciner.

300 000 soignants dont 10 000 médecins, qui n’hésitent pas à prendre le risque de perdre leur travail. Ce sont de véridivs héros.

Un certain nombre de soignants se sont organisés en syndicat devant l’inaction des syndicats classiques et la gravité et l’urgence de la situation.

Le Syndicat Liberté Santé a été crée le 1er septembre

www.syndicat-liberte-sante.com

A ce jour il compte déjà plus de 4500 adhérents. Une formidable réponse à la situation actuelle.

Rejoignez-le massivement. Vous tous, qui en raison de votre travail dans le domaine de la santé et du soin, êtes soumis à l’obligation vaccinale par la loi du 5 août 2021. Médecins, paramédicaux, agents administratifs et pompiers.

Tout l’été l’équipe a travaillé sur les points juridiques pour fournir les meilleurs stratégies de défense. Le syndicat a regroupé sur toute la France un nombre important d’avocats pour que vous puissiez vous défendre, baisser le prix de procédures graves et grâce à la volonté des avocats d’aider à la justice.

Transmettez l’information à tous les soignants que vous connaissez.

Le gouvernement pensait en finir rapidement, mais un peu partout en France les soignants, les nouveaux héros résistent.

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

C’est tout un système de santé qui s’effondre contrairement à ce qu’avait pensé le gouvernement en orchestrant sa propagande.

Regardez le nombre impressionnant de services qui résistent en France et en Outremer.

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

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Regardez sur le site officiel Géodes

Le nombre de vaccinations par jour est en effondrement après un pic à la suite des déclarations du 12 juillet. En clair, ceux qui restent ne vont plus se faire vacciner d’où la pression et la désinformation du gouvernement.

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=vacsi_s.n_dose1&s=2021-09-15&t=a01&view=map2

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Macron et la vaccination ? C’est bidon !

 « Macron disait s’être fait vacciné le 31 mai (tweet).
Mais son certificat indique le 13 juillet.
« Erreur de transmission » pour l’Elysée.
Bref, on ne sait même pas s’il s’est fait vraiment fait vacciner. Faites ce que je dis, pas ce que je fais ?! « 
Source: Tweet de Florian Philippot-26/08/2021

Lien de l’article Mediapart : Imbroglio autour de la vaccination de Macron

https://www.mediapart.fr/journal/france/260821/imbroglio-autour-de-la-vaccination-de-macron

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Guadeloupe

Un juge du tribunal de Basse Terre ordonne la commande d’hydroxychloroquine et d’Ivermectine pour soigner les populations de la Guadeloupe.

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Des experts de la FDA révèlent que les vaccins Covid-19 tuent au moins 2 personnes pour 1 vie qu’ils sauvent

Ils votent contre l’approbation des injections de rappel

Lien (article en anglais): https://theexpose.uk/2021/09/18/fda-experts-reveal-the-covid-19-vaccines-are-killing-2-people-for-every-1-life-saved/

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Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination.

C’est confirmé.

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

Parallèlement au retrait des médecins, les Länder envisagent déjà de mettre fin à leurs centres de vaccination.

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Vaccins : des effets secondaires terribles par milliers

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Des thanatopracteurs observent une surmortalité chez les jeunes

CSI n° 22 du 9 septembre 2021

VACCINATION : Des thanatopracteurs dans le monde observent une surmortalité chez des jeunes qui n’auraient jamais dû mourir.

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Ontario plus de 100 myocardites chez les jeunes avec vaccin ARN

Santé publique Ontario (SPO) a publié un rapport jusqu’à présent passé largement inaperçu regroupant les événements indésirables de la vaccination COVID-19  signalés dans la solution de gestion des cas et des contrats de santé publique. Pour la période du 13 décembre 2020 au 7 août 2021, SPO signale un groupe important d’activités d’innocuité des vaccins associées au programme COVID-19 en cours. Sur la base des vaccins associés à la fois à Pfizer-BioNTech et à Moderna, le rapport révèle qu’au 7 août, 106 cas de myocardite/péricardite ont été signalés chez des résidents de l’Ontario de moins de 25 ans, ce qui représente plus de cinquante pour cent du nombre total d’incidents. Segmentés par âge, 31 du total des cas ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, tandis que 75 du total appartenaient au groupe des 18 à 24 ans. En d’autres termes, 80 % du total des MAPI étaient des jeunes de 24 ans et moins.

Lien (article en anglais) : https://trialsitenews.com/public-health-ontario-reports-100-youth-hospitalizations-involving-heart-problems-post-covid-19-mrna-vaccination/?utm_source=Contextly&utm_medium=ChannelEmail&utm_campaign=COVID-19&utm_content=Notification

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Les vaccins présentent plus de risques que le virus

Nous reprenons et vous partageons cet article dans son entièreté car il a été censuré par Mediapart.

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

7 cas graves pour 100 000 vaccinés / mois, contre 5 décès de la COVID-19 pour 100 000 habitants / mois

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Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Les autorités ont depuis surveillé leurs proches et accusé une famille au franc-parler de divulguer des « secrets d’État ».

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Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Ces vaccins portent une partie de l’ARN du virus codant pour sa protéine de surface permettant sa fixation sur des cellules-cibles. Les fabricants de ces vaccins ont naïvement cru et fait croire que les organismes injectés allaient monter une forte réponse en anticorps neutralisant cette protéine de surface et ainsi empêcher la transmission du virus. Or les faits contredisent cet espoir : les vaccins Pfizer , Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la transmission du virus de personne à personne et les vaccinés sont aussi transmetteurs que les non-vaccinés. Par conséquent l’espoir d’une « immunité collective » par une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain. L’explication de cet échec est simple : la haute capacité de mutation du virus liée à sa haute transmissibilité permettent la sélection de variants résistant aux vaccins.

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Sur la base de données encore expérimentales, ils ont permis et encouragé des campagnes d’inoculation massive de nouveaux types de vaccins.

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Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

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Explications à la Chinoise

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Le ministre australien Victor Dominello paralysé du visage après une vaccination

Lien : https://lemediaen442.fr/le-ministre-australien-victor-dominello-paralyse-du-visage-apres-une-vaccination/

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Des anticorps renforçant l’infection ont été détectés dans les Covid-19 symptomatiques ;

or, l’augmentation des anticorps dépendant de l’infection (ADE) est une préoccupation potentielle pour les vaccins. Les anticorps renforçant l’infection reconnaissent à la fois la souche Wuhan et les variants delta, faisant de l’ADE un risque potentiel pour les vaccinés infectés par les variants delta (Journal of Infection, article en impression).

Lien (article en anglais) : https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00392-3/fulltext#relatedArticles

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Ariane Bilherian : Chronique du totalitarisme – Hommage aux héros français du 15 septembre 2021 

Chroniques du totalitarisme

Chroniques du totalitarisme

Ce qui s’est passé en France ce 15 septembre 2021 est un scandale moral, éthique et déontologique qui place au rang de parias des catégories de citoyens.

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RADIO COURTOISIE : « La Tyrannie en marche »
avec Vincent Reliquet, Louis Fouché, Olivier Soulier…

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HUMOUR

Une conséquence inattendue de la vaccination !

Augmentation du prix du sperme des non-vaccinés !

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Bonne semaine à toutes et à tous !




La promesse millénaire de la France

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Illustration : Le Baptême de Clovis à Reims le 25 décembre 496, par François-Louis Dejuinne.]

La France est quasiment née d’un miracle, il y a 1500 ans, la promesse d’un héritage civilisationnel bienveillant protégeant les individus de la barbarie. Son histoire parle à chacun d’entre nous, elle est le terreau d’une profonde unité. Elle inspire aussi bien le respect dans sa foi divine que dans sa culture et ses valeurs universelles. Des valeurs défendues depuis quinze siècles qui garantissent nos libertés individuelles et la dignité de chaque individu.

1500 ans après sa naissance, nous sommes aujourd’hui à une époque charnière, un moment où notre pays peut basculer d’une société libre et bienveillante à une société totalitaire.

Mais bien que la France traverse ce moment de crise, nous ne pouvons pas dire qu’il est trop tard.

Les Francs, libres et combattants

Il y a 1500 ans, un jeune roi barbare fait le choix d’un dieu bienveillant à ses anciens dieux barbares et son geste a fondé la civilisation française. « Pour moi, l’histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France », disait le général De Gaulle.

Ce roi est Clovis, et son peuple, les Francs.

Clovis recevant la fleur de lys, Heures de Bedford, XVe siècle.

Clovis succède à son père Childéric en 481 à l’âge de 15 ans. Les Francs sont alors des descendants de peuples indo-européens et du semi-mythique roi Mérovée. Ce dernier serait né de la rencontre de sa mère avec une ancienne créature marine semblable au Quinotaure. Ainsi aurait commencé la dynastie des Mérovingiens, première dynastie française.

L’origine communément admise du terme « Franc » est celle de « Francus » qui signifie « homme libre ». Dans l’antiquité tardive, le peuple franc voue un culte à Wotan (connu aussi sous le nom d’Odin), le père des dieux dans la mythologie nordique et une divinité de guerre et de sang. Le paradis des Francs est un paradis de héros guerriers, le Walhalla, où les dieux les accueillent, armes à la main, pour d’éternels festins et batailles célestes.

Francs. Hommes libres et intrépides guerriers. Les Francs sont des guerriers redoutés dans toute l’Europe occidentale. Ils sont les seuls au IVe siècle à chasser des marais d’Europe centrale la tribu barbare des Alains descendue des montagnes d’Iran et d’Arménie, que Rome n’arrivait pas à déloger. Plus tard, le père de Clovis aidera les Romains à arrêter Attila le « fléau de dieu » et les Vandales, lors de la bataille des champs Catalauniques en 451. Installés dans la Belgique actuelle, les Francs sont dès la fin du IIIe siècle les alliés de Rome pour garantir la sécurité et la liberté de la Gaulle romaine, la défendant des invasions barbares venant de l’est de Rhin.

Mais le Ve siècle sonne le déclin et la fin de l’empire romain en 476. L’église nicéenne (de Rome) devient la plus haute autorité spirituelle et voit dans le jeune Clovis la seule alternative pouvant les protéger de l’arianisme. Cette doctrine germanique, à ne pas confondre avec l’aryanisme, ne reconnait pas l’essence divine du Christ et est pour cela appréciée par les peuples barbares païens. Mais Clovis possède intrinsèquement en lui cette nature innée qui lui fera dire : « Que n’aurais-je été là pour empêcher cela » en apprenant le supplice de la passion de Jésus-Christ.

Un roi barbare sensible au faible et au sacré.

Ainsi, l’Église choisit la France pour perpétuer l’héritage civilisationnel de Rome et protéger la foi en un dieu bienveillant. Et c’est pour défendre cet héritage antique que la France n’a cessé de combattre ses ennemis de l’intérieur et de l’extérieur depuis 1500 ans.

Antoine-Jean Gros (1771-1835). « Clovis et Clotilde », esquisse.
Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Petit Palais.

L’unité face à la barbarie : la vocation de la France

Sous l’impulsion de l’évêque de Reims Saint Rémi – qui a l’oreille du jeune roi, Clovis rencontre Clotilde, une princesse burgonde pleurant le massacre de sa famille par les barbares Wisigoths. Entre les deux êtres, qu’un mariage de raison avait réuni, naît le premier miracle : un amour mutuel. C’est le mariage de Clovis avec Clotilde qui fait évoluer les conceptions du jeune souverain. Son épouse s’efforce de le convaincre de renoncer à ses coutumes barbares. Le respect de Clovis pour les croyances de son épouse, l’ouverture d’esprit pour ce qui le dépasse, font parties des pièces du puzzle qui ont construit l’histoire millénaire de la France.

C’est au cours de la difficile bataille de Tolbiac en 496 contre la tribu germanique des Alamans qu’a lieu le deuxième miracle. L’affrontement entre les deux armées barbares tourne vite au massacre et Clovis voit la victoire lui filer entre les doigts. Bien qu’il invoque plusieurs fois ses anciennes idoles nordiques, aucune ne répond. Il se rappelle alors les mots de Clotilde et s’adresse au ciel : « O toi, Dieu de Clotilde, je sollicite avec dévotion la gloire de ton assistance: si tu m’accordes la victoire sur ces ennemis, et si j’expérimente ta vertu miraculeuse je croirai en toi, et me ferai baptiser en ton nom. J’ai en effet invoqué mes dieux, et, comme j’en fais l’expérience, ils se sont abstenus de m’aider […]. C’est toi que j’invoque maintenant, je désire croire en toi ; pourvu que je sois arraché à mes adversaires ».

Aussitôt le chef Alaman est tué d’une francisque (une hache franque) et la victoire revient à Clovis. Le jeune roi n’oubliera pas cette promesse ni cette aide venue du ciel pour le secourir.

Joseph Blanc (Français, 1846-1904)- La bataille de Tolbiac,
toile marouflée, Panthéon de Paris, France.

Selon les historiens, Clovis se fera baptiser entre 496 et 508, un baptême qui aurait pu prendre plus de dix années de réflexion. Clovis hésite car une partie de son peuple voue encore un culte au dieu Wotan. La reine Clotilde demande l’appui de l’évêque Saint Rémi dont une amitié le lie au souverain franc. À la suite des grands miracles que ce dernier a vus à Tours sur le tombeau de Saint Martin, Clovis confirme son baptême ainsi que celui de trois mille de ses plus proches guerriers.

Il est baptisé un 25 décembre. Selon la légende, une colombe blanche serait descendue du ciel pour apporter une huile sacrée, une huile qui servira dès lors au sacre des rois de France. Cette colombe blanche symbolisera le Saint-Esprit apportant la paix aux hommes de bonne volonté.

« Adoucis-toi, fier Sicambre, et courbe la tête ; adore ce que tu as brûlé et brûle ce que tu as adoré », lui dit Saint Rémi.

«Je m’avance devant le bassin sacré : je déclare renoncer à Satan», dit Clovis.

« Relève les habitants de tes cités, soulage les affligés, accorde soutien aux veuves, nourriture aux orphelins puisqu’il est préférable que tu enseignes à tous à t’aimer et à te craindre », continua l’évêque de Reims.

La France naît de ce choix divin.

Clovis devient le protecteur du faible et du sacré et fait le vœu de combattre les tyrans.

La légende rémoise de la colombe est un emprunt direct aux Évangiles
avec le baptême du Christ dans le Jourdain
où le Saint-Esprit est apparu sous forme d’une colombe.

Clovis unifiera les différents royaumes barbares de la Gaule autour de l’héritage de Rome et de l’Église. « Tout lui réussissait, parce qu’il marchait le cœur droit devant Dieu », écrivait Grégoire de Tours dans L’Histoire des Francs. Et comme pour l’épisode du vase de Soissons – où le jeune roi trancha la tête d’un soldat récalcitrant ayant brisé le vase sacré de Soissons (le fameux « Souviens-toi du vase de Soissons ! »), Clovis n’hésitera pas à utiliser la force de son armée pour unifier le pays. Il défendra cette unité civilisationnelle qui garantit la sécurité et la liberté du peuple, la protection du faible et du sacré, et il s’opposera à la tyrannie.

Clovis meurt à l’âge de 45 ans en 511. Il a fait du royaume franc la première puissance de l’Europe occidentale et s’est imposé comme l’héritier de l’empire romain d’occident. Sainte Geneviève lui ouvrira les portes de Paris pour en faire sa capitale. Leurs tombeaux, ainsi que celui de la reine Sainte Clotilde, seront inhumés au sommet de la Montagne Sainte Geneviève, à côté de l’actuel Panthéon.

Retrouver la promesse de la France

Cette histoire de Clovis construit notre imaginaire national aussi bien qu’individuel. Il montre que dans les situations les plus difficiles, la France a su trouver un nouvel espoir en invoquant la confiance et le choix dans ce qui nous dépasse. Depuis 1500 ans, la France offre à ses citoyens la protection d’une société civilisée et des libertés parmi les plus importantes : la liberté de croire et de penser.

Ces valeurs universelles prennent naissance dans le choix de Clovis, un choix qui, 1500 ans plus tôt, a dépassé toutes les parties en présence. L’amour et le respect d’une femme, l’amitié d’un Saint et l’affinité du jeune roi pour le spirituel lui font abandonner ses croyances barbares pour la foi d’un dieu bienveillant. Clovis fait le choix de l’unité face à la barbarie, de la défense du sacré et du faible, l’opposition aux tyrans. C’est la promesse millénaire de la France.

Depuis lors et jusqu’à aujourd’hui, la France n’a cessé d’y puiser son inspiration. Elle a été la nation des plus grands progrès scientifiques et technologiques, de l’excellence en matière de transmission des connaissances et de formations des élites. La France a mené aussi des guerres dans le monde entier pour défendre les libertés face aux totalitarismes aussi bien du temps des rois, que de l’Empire et de la République.

Cette promesse est aujourd’hui menacée. Dans notre premier éditorial « Pourquoi Epoch Times veut défendre la France « , nous exposions le danger de l’infiltration du régime communiste chinois et des théories néo-progressistes en France. Aujourd’hui, dans notre société de plus en plus matérialiste, le lien avec le divin et les valeurs universelles de notre pays est presque détruit, les jeunes générations y sont de moins en moins sensibilisés, alors qu’il est à la base de notre histoire personnelle et collective. Même dans les plus hautes sphères de l’État, on dit qu’il «  n’y a pas de culture française «  et que l’histoire française doit être  » déconstruite « . Pourtant notre pays possède l’une des histoires les plus riches de notre civilisation humaine et celle qui a été le mieux préservée.

La culture et l’histoire françaises sont notre bien commun, elles font partie de l’âme française, c’est-à-dire de l’âme de chacun de ses citoyens. Elles nous inspirent et nous rappellent d’être courageux et loyal, de garder espoir face aux périodes les plus sombres de notre histoire. Elles montrent la grandeur et le destin de notre pays, incarnés par un homme ou par une femme, comme il pourrait l’être par chacun.

« Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un respect profond du passé » disait le philosophe et historien Ernest Renan.

Avec « Défendre la France », Epoch Times veut rappeler aux Français les valeurs et la riche histoire de notre nation. Si les Français cherchent à mieux comprendre la profondeur de leur histoire, son lien millénaire avec ce qui nous dépasse, ils trouveront alors une alternative profonde à la confusion du moment.

[Voir aussi : La France revivra-t-elle?]

Nous espérons que nos lecteurs participeront à cet effort en faisant connaître nos publications à leurs amis et à leur famille. N’hésitez pas non plus à nous écrire sur redaction@epochtimes.fr pour nous dire, selon vous, quelles sont les valeurs et les épisodes de l’histoire de la France qui valent la peine d’être défendues.

Sources:

– L’histoire des Francs, Grégoire de Tours
– Le Mystère Clovis, Philippe de Villiers aux éditions Albin Michel
– Clovis et les Francs, HérodoteVidéo
– Les Premiers Rois Francs, ProGallia
– La conversion et le baptême de Clovis, Léon Levillain




Australie : du mirage du « zéro Covid » au cauchemar totalitaire

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis maintenant plus d’un an et demi que dure la pandémie, les différents pays du globe ont adopté plusieurs stratégies, qu’elles soient d’éradication, de jugulation, de blocage ou de régulation, afin de lutter contre le SARS-CoV-2. Certains ont changé de méthode en cours de route, cherchant à s’ajuster dans l’espoir de revenir à un certain équilibre entre les mesures et leurs impacts sur le bien-être de leur population ; d’autres au contraire, ont gardé le cap depuis mars 2020 et « quoiqu’il en coûte », restent fidèles à leur objectif et peu importe les conséquences.

Parmi les stratégies utilisées par les dirigeants de la planète, la plus « ambitieuse » est à n’en point douter, celle que l’on nomme « Zéro Covid ».

Les partisans de cette stratégie « 0 » sont principalement la Chine, le Japon, la Corée du Sud, le Viet Nam, Singapour, l’Islande, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. On peut remarquer dès lors que ce sont ; soit des pays asiatiques dont les populations sont culturellement plus enclines à accepter les restrictions sanitaires (ainsi que des restrictions de liberté pratiquées bien avant la pandémie) ; soit des îles qui permettent de faciliter contrôle des flux aériens et des entrées.

Même si l’Australie est une île, contrôler la circulation d’un virus d’un territoire grand comme neuf fois la France n’est pas chose aisée. Elle devient pourtant le symbole de cette stratégie aux yeux du monde. Si l’on se penche sur l’histoire récente de ce pays appartenant au Commonwealth, on s’aperçoit qu’il a une relation particulière avec la liberté individuelle, les restrictions, le sanitaire voire l’hygiénisme ; le sport est roi et où le corps fait l’objet d’un culte.

Par exemple, les taxes sur les cigarettes sont très élevées. Le prix moyen est aujourd’hui aux alentours de 20 AUD, soit le double qu’en France. Il y est très compliqué de fumer y compris dans un lieu public extérieur, avec en prime une interdiction formelle de jeter son mégot par terre sous peine d’amende onéreuse. Et le moins que l’on puisse dire est que cette politique installée depuis plus de dix ans fait effet, avec un taux de fumeurs d’à peine 15%, essentiellement concentré sur les classes sociales les plus précaires. (1)

Le prix de l’alcool est lui aussi fort élevé. Celui des « Spirits » a grimpé en flèche ces 15 dernières années. Il est même requis dans les bars ou dans les discothèques que les boissons soient servies à l’aide d’un doseur afin de limiter la quantité d’alcool versé. Ce changement dans la liberté individuelle de pouvoir consommer arrive après 2005 et les émeutes de Cronulla. Des conflits avaient éclaté entre deux communautés (libanaise et maori) et cela avait dégénéré en raison d’un groupe très alcoolisé. Des jours de protestation avaient suivi. (2)

Une autre conséquence est l’intolérance des policiers australiens. Depuis ces émeutes, ils ne discutent et parlementent que très rarement, ne font guère de compromis et appliquent la loi à la lettre. Le symbole marquant étant les « cages à poule » derrière les véhicules servant à transporter des individus.
 

Forts de cette histoire récente empreinte de décisions protectrices envers son peuple, afin de se donner les moyens de réussir, les dirigeants de l’ile décident en premier lieu (fin mars 2020) d’une fermeture totale des frontières – au contraire de la France, notre président pariant sur le fait que « le virus n’a pas de passeport » (sic). Fermeture toujours d’actualité et envisagée jusqu’à fin 2022. Il est quasiment impossible de rentrer dans le pays, excepté pour quelques catégories de citoyens comme les diplomates, les détenteurs de Visa business, les personnes de nationalité australienne ou résidents permanents.

Concernant les deux dernières catégories, cela dépend du pays de provenance : il était par exemple interdit de venir d’Inde pendant l’émergence du variant Delta sous peine de poursuites judiciaires (50 000 AUD + 5 ans d’emprisonnement) (3). Une quarantaine de deux semaines est aussi imposée pour chaque entrant.

En effectuant cette manœuvre dès le début de la pandémie, associé à un confinement national rigoureux (même si décidé au niveau fédéral), la premièe vague est très bien contenue. Le pic des cas est inférieur à 400 et un maximum de quatre décès journaliers est enregistré. Pour un pays de 26 millions d’habitants, la réussite est totale et renforce la conviction du gouvernement dans les bienfaits de cette approche.

Le premier confinement de mars 2020 consiste comme tous les autres à rester à la maison : en empêchant les rencontres sociales, on empêchera la circulation du virus. Interdiction de se trouver dehors de 23 heures à 5 heures. Il est cependant toléré de se rendre à son travail si le télétravail impossible : idem pour les étudiants. Les rassemblements sont limités à deux personnes, cinq pour les mariages et dix pour les funérailles. Seuls les lieux essentiels tels que les commerces de première nécessité restent ouverts, avec jauge limitée. Les récalcitrants écopant d’une amende salée de AUD 1500 : il va sans dire que les mesures sont globalement bien respectées (4).

« Fermeture des frontières + confinement strict » serait donc l’antidote au niveau de la gestion sanitaire car l’épidémie de Wuhan aura été brève et peu importante en s’éteignant début mai.

Par prudence, disent les autorités, est décidé un déconfinement progressif en trois étapes avec réouverture des bars et des restaurants, puis les cinémas et salles de sport pour enfin autoriser les rassemblements de plus de cent personnes, sous réserve que l’épidémie ne reparte pas entre-temps. (5)

Malheureusement, à l’arrivée de l’hiver austral, elle repart du coté de la ville de Melbourne dans un hôtel réquisitionné pour quarantaine et se propage dans le Victoria. La vague réside essentiellement dans cet État, elle est néanmoins plus longue et plus mortelle, s’étendant jusque mi-septembre et atteignant un pic de décès cinq fois plus élevé que le premier épisode.

Un confinement similaire est alors décidé pour cet État avec fermetures des frontières fédérales. À la différence que celui-ci va durer près de quatre mois pour s’arrêter fin octobre (6). Confinement qui use à petit feu ses habitants. Ils sont néanmoins évités pour les autres contrées, au prix d’un traçage et d’une isolation des positifs poussés à l’extrême, alliant parfois le « snaplockdown » dès le ou les premiers cas.

Si cette vague fait plus de dégâts sur tous les plans, c’est encore une fois un succès sur le plan strictement sanitaire et beaucoup d’experts internationaux, particulièrement en France (Karine Lacombe, Gilbert Deray, Rémi Salomon, Antoine Flahault), saluent la performance en demandant de copier ce modèle. Ces félicitations prennent-elles en compte l’usure du peuple ?

Galvanisée par cette réussite, ainsi que les retours positifs à l’international, l’Australie continue sa gestion à base de restrictions, snaplockdowns (7) et couvres-feux , et ce de manière continue. On se rappelle celui décidé par le maire de Melbourne en plein Open d’Australie de tennis en janvier dernier (8). Convaincus, les résultats parlent en effet pour eux. Aucun départ épidémique n’est à constater du mois de septembre 2020 à juillet 2021, ce qui constitue une performance remarquable sur le plan mondial. Mais à quel prix ?

Dans la lignée de sa récente histoire et légitimées par l’efficacité, les actions entreprises sont de plus en plus radicales : drones détecteurs de virus, fouilles complètes à l’aéroport, obstruction bétonnée de SkateParks, asymptomatique en fuite déclaré ennemi public n°1, ou bien violences policières pour un masque. Ajoutons à cela l’interdiction de quitter l’île voire l’État, et donc de pouvoir visiter ses proches. Quand on voit la faible létalité, une telle rigidité est-elle nécessaire ?

Le « zéro Covid » devient une croyance et tous les moyens sont bons pour y parvenir. Et peu importe si elles sont insensées scientifiquement, le but affiché est assumé. Avec des mesures si contraignantes le virus n’aura aucune chance de se propager.

Mais il finit à nouveau par se propager. Encore une fois durant l’hiver austral suivant : il ressurgit en juillet de cette année et explose de manière exponentielle durant le mois d’août. Ce variant venu d’Inde : le Delta, apparait être plus fort que le système de défense sanitaire et devient rapidement incontrôlable. Il atteint un pic de 1770 cas mi-septembre, soit plus de trois fois le pic de l’hiver 2020.

Certains spécialistes attribuent cette recrudescence à la contagiosité du Delta, d’autres à de l’échappement vaccinal comme on a pu le voir dans d’autres régions du globe ; probablement une conjugaison des deux. Il en résulte une forte circulation jamais vue jusqu’alors malgré le reconfinement dès le 30 juin de la région de Sydney, puis début août de celle de Melbourne.

En total contraste, les décès sont deux fois moindres que la vague précédente, ce qui lui donne une létalité négligeable. Le « zéro Covid » et ses confinements court puis longue durée sont malgré tout toujours appliqués, quoiqu’il en coute.

Des promesses d’allègement des mesures sont alors émises en septembre si la population est vaccinée à 70% (9), s’empêtrant toujours un peu plus dans les dérives autoritaires, mais devant bien reconnaitre qu’il faudra vivre avec le virus et que le « zéro Covid » était trop ambitieux. Car, paraît-il, si le virus a pu repartir si vite, c’est parce que le pays a raté sa campagne vaccinale. La stratégie évolue donc et se transforme peu à peu en « vaccins pour tous = déconfinement ». La liberté ne serait plus désormais soumise à la circulation virale mais plutôt à la couverture vaccinale… laquelle n’agit que peu sur la circulation.

De deux choses l’une, pour avoir un taux de létalité si faible ; ou bien il est très contagieux mais peu virulent et dans ce cas, la réussite vaccinale mondiale vantée par tous est une belle entourloupe, ou bien le fait d’avoir vacciné en premier lieu les plus de 65 ans (ce sont les plus vaccinés) et de se concentrer sur les populations à risque est suffisant pour contenir la mortalité, et couvrir toute la population devient de fait absurde.

La vaccination par la contrainte est peut-être ce qui a enfin réveillé le peuple australien. Il était temps. Faire miroiter de retrouver certaines libertés selon le taux d’injection pour un virus tuant 1100 personnes au total, pourrait être la goutte d’eau qui a fini par lui faire perdre patience. Il est acquis que le virus circule et circulera, mais s’il ne tue pas pourquoi imposer cela ?

Qu’est-ce qui pousse alors le gouvernement à ce nouveau coup de force ? Si le « zéro Covid » ne marche pas mais qu’il n’y a pas (ou très peu) de morts, où est le problème ? Pourquoi ne réajustent-ils pas leur approche ? Alors que même en France Antoine Flahaut et Gilbert Deray ont fait machine arrière ?

Se révoltant d’abord contre les confinements répétitifs, les mouvements de protestation démarrent dès juillet à Sydney, allant crescendo en nombre et virulence, que ce soient les manifestants ou les forces de l’ordre. Mais ce qu’il se passe à Melbourne en plein sixième confinement depuis quelques jours est le signe que le peuple dit enfin stop. Le conflit démarre avec les ouvriers du bâtiment qui protestent contre la vaccination obligatoire pour leur corps de métier ; ils décident alors de bloquer les grands axes puis le lendemain l’autoroute principale de la ville dans les deux sens. (10)

Les manifestations sont journalières, et violentes. La réponse policière l’est tout autant. Ils sont nombreux et désespérés ; ils seront bientôt au chômage car ils refusent de se faire vacciner contre une maladie au taux de mortalité de 0.000044%. Il est possible que la protestation gagne toutes les classes sociales.

Il est tout de même surprenant qu’il ait fallu en arriver là avant d’avoir une vraie contestation ; comme s’il fallait être au pied du mur pour sa survie ou une injection pour enfin réagir aux abus subis. La dystopie n’est plus une fiction. Elle a engendré du chômage, de la précarité, des dépressions, de l’anxiété, de la tristesse, sans parler de l’économie en chute libre.

Pour l’heure, ils n’ont pas l’intention de desserrer l’étreinte. Obligation vaccinale pour certains corps de métier, contraintes extrêmes pour les non-vaccinés dans la fréquentation des lieux de vie, utilisation de balles en caoutchouc et jets d’eau pour repousser les manifestants. L’Australie bascule peu à peu dans le totalitarisme aux yeux de tous.



Ce gouvernement, par ses dérives, se met beaucoup de compatriotes à dos. Car après avoir reconnu que le zéro Covid était inatteignable, il continue ses restrictions liberticides malgré l’absence de surmortalité. Ce véritable acharnement doit faire réfléchir à ce que sont les véritables desseins de ces dirigeants. On se rappelle alors ce ministre faisant une paralysie de Bell en direct mais qui quelques jours après affiche fièrement son certificat de vaccination avec un œil de pirate (11).  

On ne peut qu’être confondu devant cette surenchère techno-sanitariste, qui a des relents sectaires. 

Le mouvement de ce beau pays sera à suivre, maintenant qu’il semble se rebeller. Composé d’habitants aux origines irlandaises, serbes, croates, libanaises, maoris ou encore aborigènes, ils savent ce que représente la liberté et ce qu’il en coûte pour la préserver. Peut-être le « no » australien naissant deviendra-t-il le berceau de la révolte des peuples à travers le monde ? La vague humaine de contestation qui est partie de Melbourne entraînera-t-elle un tsunami sur tous les océans ? Car si les restrictions atteignent des sommets dans le Pacifique, bon nombre de libertés ont été retirées partout. Les consciences vont-elles cesser d’être « down under » ?


Sources :

[1] https://kowala.fr/fumer-en-australie/
[2] https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/12/12/quand-la-haine-raciale-inonde-la-plage
[3] https://www.politico.com/amp/news/2021/05/03/australia-covid-lockdown-485255?fbclid=IwAR1251lyGUqv_y5sY1x9Yia6-6Vq-PS4BO7XAHzWexNw3BIoC0q7U0m1oaI
[4] 
https://www.millsoakley.com.au/thinking/nsw-under-official-lockdown-full-details-of-new-government-directions-now-published/
[5] https://www.google.com/amp/s/www.challenges.fr/monde/coronavirus-l-australie-opte-pour-un-deconfinement-en-trois-etapes_709324.amp
[6] https://www.bbc.com/news/world-australia-54654646
[7] https://www.keypointlaw.com.au/keynotes/snap-lockdowns-and-what-it-means-for-employers-and-employees/
[8] https://www.france24.com/en/live-news/20210212-melbourne-orders-snap-covid-lockdown-during-australian-open-tennis
[9] https://www.theguardian.com/australia-news/2021/sep/22/victoria-covid-restrictions-melbourne-lockdown-curfew-and-regional-vic-coronavirus-rules-explained
[10] https://www.businessbourse.com/2021/09/21/australie-enorme-les-ouvriers-du-batiment-bloquent-lautoroute-de-melbourne-dans-les-deux-sens-de-circulation-pour-protester-contre-lobligation-vaccinale-et-plusieurs-chantiers-de-la-ville-sont/australie-blocage-autoroute/
[11] https://www.sudinfo.be/id412122/article/2021-08-20/des-telespectateurs-sinquietent-de-loeil-tremblant-dun-ministre-australien-il

Auteur(s): FranceSoir