Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale

[Source : Profession Gendarme]

Il avait été l’un des premiers scientifiques à montrer l’agglutinement des globules rouges sous l’influence des ondes électromagnétiques des compteurs communicants (Linky et ses acolytes pour le gaz et l’eau) sous microscope à fond sombre. À l’époque on y remarquait déjà des dégradations des globules ainsi que des formations en rouleaux de pièces de monnaie qu’on a pu voir également suite aux toxines Covid.

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]




Le Russe Sergey Glazyev présente le nouveau système financier mondial

[Source : RI]

Par Pepe Escobar.

Le nouveau système monétaire mondial, soutenu par une monnaie numérique, sera adossé à un panier de nouvelles monnaies étrangères et de ressources naturelles. Et il libérera le Sud global de la dette occidentale et de l’austérité imposée par le FMI.

Sergey Glazyev est un homme qui vit en plein dans l’œil du cyclone géopolitique et géoéconomique actuel. L’un des économistes les plus influents au monde, membre de l’Académie des sciences russe et ancien conseiller du Kremlin de 2012 à 2019, il dirige depuis trois ans le portefeuille super stratégique de Moscou en tant que ministre chargé de l’Intégration et de la Macroéconomie de l’Union économique eurasiatique (UEE).

La production intellectuelle récente de Glazyev n’est rien moins que transformatrice, comme en témoignent son essai intitulé « Sanctions et souveraineté » et une discussion approfondie sur le nouveau paradigme géoéconomique émergent dans une interview accordée à un magazine économique russe.

Dans un autre de ses récents essais, Glazyev explique que « j’ai grandi à Zaporozhye, près de laquelle de violents combats ont lieu actuellement pour détruire les nazis ukrainiens, qui n’ont jamais existé dans ma petite patrie. J’ai étudié dans une école ukrainienne et je connais bien la littérature ukrainienne et la langue ukrainienne, qui, d’un point de vue scientifique, est un dialecte du russe. Je n’ai rien remarqué de russophobe dans la culture ukrainienne. Pendant les 17 années de ma vie à Zaporozhye, je n’ai jamais rencontré un seul banderiste ».

Glazyev a eu la gentillesse de prendre un peu de temps sur son emploi du temps chargé pour répondre en détail à une première série de questions dans ce qui devrait devenir une conversation permanente, particulièrement axée sur le Sud global. Il s’agit de sa première interview avec une publication étrangère depuis le début de l’Opération Z. Merci à Alexey Subottin pour la traduction russe-anglais.

The Cradle : Vous êtes à l’avant-garde d’un développement géoéconomique qui change la donne : la conception d’un nouveau système monétaire/financier par le biais d’une association entre l’UEE et la Chine, en contournant le dollar américain, dont le projet sera bientôt achevé. Pourriez-vous nous présenter certaines des caractéristiques de ce système – qui n’est certainement pas un Bretton Woods III – mais qui semble être une alternative claire au consensus de Washington et très proche des besoins du Sud global ?

Glazyev : Dans un accès d’hystérie russophobe, l’élite dirigeante des États-Unis a joué son dernier « atout » dans la guerre hybride contre la Russie. Après avoir « gelé » les réserves de change russes sur les comptes de dépôt des banques centrales occidentales, les régulateurs financiers des États-Unis, de l’UE et du Royaume-Uni ont sapé le statut du dollar, de l’euro et de la livre en tant que monnaies de réserve mondiales. Cette mesure a fortement accéléré le démantèlement en cours de l’ordre économique mondial fondé sur le dollar.

Il y a plus d’une décennie, mes collègues du Forum économique d’Astana et moi-même avons proposé de faire la transition vers un nouveau système économique mondial fondé sur une nouvelle monnaie d’échange synthétique basée sur un indice des monnaies des pays participants. Plus tard, nous avons proposé d’élargir le panier de devises sous-jacent en y ajoutant une vingtaine de produits de base négociés en bourse. Une unité monétaire basée sur un tel panier élargi a été modélisée mathématiquement et a démontré un haut degré de résilience et de stabilité.

À peu près au même moment, nous avons proposé de créer une large coalition internationale de résistance dans la guerre hybride pour la domination mondiale que l’élite financière et au pouvoir des États-Unis a déclenchée sur les pays qui restaient hors de son contrôle. Mon livre « La dernière guerre mondiale : les États-Unis pour bouger et perdre », publié en 2016, expliquait scientifiquement la nature de cette guerre à venir et plaidait pour son caractère inévitable – une conclusion fondée sur les lois objectives du développement économique à long terme. Sur la base de ces mêmes lois objectives, le livre argumentait l’inévitabilité de la défaite de l’ancienne puissance dominante.

Actuellement, les États-Unis se battent pour maintenir leur domination, mais, tout comme la Grande-Bretagne auparavant, qui a provoqué deux guerres mondiales mais n’a pas pu conserver son empire et sa position centrale dans le monde en raison de l’obsolescence de son système économique colonial, ils sont destinés à échouer. Le système économique colonial britannique basé sur l’esclavage a été dépassé par les systèmes économiques structurellement plus efficaces des États-Unis et de l’URSS. Les États-Unis et l’URSS étaient tous deux plus efficaces dans la gestion du capital humain au sein de systèmes verticalement intégrés, qui divisaient le monde en zones d’influence. Une transition vers un nouvel ordre économique mondial a commencé après la désintégration de l’URSS. Cette transition arrive maintenant à son terme avec la désintégration imminente du système économique mondial basé sur le dollar, qui a servi de base à la domination mondiale des États-Unis.

Le nouveau système économique convergent qui a émergé en RPC (République populaire de Chine) et en Inde est la prochaine étape inévitable du développement, combinant les avantages de la planification stratégique centralisée et de l’économie de marché, ainsi que du contrôle étatique de l’infrastructure monétaire et physique et de l’esprit d’entreprise. Le nouveau système économique a uni les différentes couches de leurs sociétés autour de l’objectif d’accroître le bien-être commun d’une manière sensiblement plus forte que les alternatives anglo-saxonnes et européennes. C’est la principale raison pour laquelle Washington ne sera pas en mesure de gagner la guerre hybride mondiale qu’il a déclenchée. C’est aussi la raison principale pour laquelle le système financier mondial actuel, centré sur le dollar, sera remplacé par un nouveau système, fondé sur un consensus des pays qui rejoindront le nouvel ordre économique mondial.

Dans la première phase de la transition, ces pays se contentent d’utiliser leurs monnaies nationales et leurs mécanismes de compensation, soutenus par des échanges bilatéraux de devises. À ce stade, la formation des prix est encore principalement déterminée par les prix des différentes bourses, libellés en dollars. Cette phase est presque terminée : après le « gel » des réserves de la Russie en dollars, en euros, en livres et en yens, il est peu probable qu’un pays souverain continue à accumuler des réserves dans ces monnaies. Les monnaies nationales et l’or les remplacent immédiatement.

La deuxième étape de la transition impliquera de nouveaux mécanismes de fixation des prix qui ne font pas référence au dollar. La formation des prix en monnaies nationales implique des frais généraux substantiels, mais elle restera plus attrayante que la fixation des prix en monnaies « non ancrées » et traîtresses comme le dollar, la livre, l’euro et le yen. La seule monnaie mondiale candidate restante – le yuan – ne prendra pas leur place en raison de son inconvertibilité et de l’accès externe restreint aux marchés de capitaux chinois. L’utilisation de l’or comme référence de prix est limitée par les inconvénients de son utilisation pour les paiements.

La troisième et dernière étape de la transition vers le nouvel ordre économique impliquera la création d’une nouvelle monnaie de paiement numérique fondée sur un accord international reposant sur des principes de transparence, d’équité, de bonne volonté et d’efficacité. Je m’attends à ce que le modèle d’une telle unité monétaire que nous avons développé joue son rôle à ce stade. Une telle monnaie peut être émise par un panier de réserves monétaires des pays BRICS, auquel tous les pays intéressés pourront adhérer. Le poids de chaque monnaie dans le panier pourrait être proportionnel au PIB de chaque pays (sur la base de la parité du pouvoir d’achat, par exemple), à sa part dans le commerce international, ainsi qu’à la taille de la population et du territoire des pays participants.

En outre, le panier pourrait contenir un indice des prix des principales matières premières négociées en bourse : or et autres métaux précieux, principaux métaux industriels, hydrocarbures, céréales, sucre, ainsi que l’eau et autres ressources naturelles. Pour soutenir la monnaie et la rendre plus résistante, des réserves de ressources internationales pertinentes peuvent être créées en temps voulu. Cette nouvelle monnaie serait utilisée exclusivement pour les paiements transfrontaliers et émise en faveur des pays participants sur la base d’une formule prédéfinie. Les pays participants utiliseraient plutôt leurs monnaies nationales pour la création de crédits, afin de financer les investissements nationaux et l’industrie, ainsi que pour les réserves de richesse souveraine. Les flux transfrontaliers du compte de capital resteraient régis par les réglementations des monnaies nationales.

The Cradle : Michael Hudson demande spécifiquement que si ce nouveau système permet aux nations du Sud global de suspendre la dette dollarisée et qu’il est basé sur la capacité de payer (en devises étrangères), ces prêts peuvent-ils être liés à des matières premières ou, pour la Chine, à une participation tangible dans les infrastructures financées par le crédit étranger en non-dollar ?

Glazyev : La transition vers le nouvel ordre économique mondial sera probablement accompagnée d’un refus systématique d’honorer les obligations en dollars, en euros, en livres et en yens. À cet égard, ce ne sera pas différent de l’exemple donné par les pays émetteurs de ces monnaies qui ont jugé bon de voler les réserves de change de l’Irak, de l’Iran, du Venezuela, de l’Afghanistan et de la Russie à hauteur de milliers de milliards de dollars. Puisque les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Union européenne et le Japon ont refusé d’honorer leurs obligations et ont confisqué les richesses des autres nations détenues dans leurs devises, pourquoi les autres pays devraient-ils être obligés de les rembourser et d’honorer leurs prêts ?

En tout état de cause, la participation au nouveau système économique ne sera pas limitée par les obligations de l’ancien système. Les pays du Sud peuvent être des participants à part entière du nouveau système, quelles que soient leurs dettes accumulées en dollars, en euros, en livres et en yens. Même s’ils devaient manquer à leurs obligations dans ces monnaies, cela n’aurait aucune incidence sur leur cote de crédit dans le nouveau système financier. De même, la nationalisation de l’industrie extractive ne provoquerait pas de perturbation. En outre, si ces pays réservaient une partie de leurs ressources naturelles pour soutenir le nouveau système économique, leur poids respectif dans le panier de devises de la nouvelle unité monétaire augmenterait en conséquence, ce qui permettrait à cette nation de disposer de réserves de devises et d’une capacité de crédit plus importantes. En outre, des lignes de swap bilatérales avec les pays partenaires commerciaux leur fourniraient un financement adéquat pour les co-investissements et le financement du commerce.

The Cradle : Dans l’un de vos derniers essais, « L’économie de la victoire russe », vous appelez à « une formation accélérée d’un nouveau paradigme technologique et à la formation des institutions d’un nouvel ordre économique mondial ». Parmi les recommandations, vous proposez spécifiquement la création « d’un système de paiement et de règlement dans les monnaies nationales des États membres de l’UEE » et le développement et la mise en œuvre « d’un système indépendant de règlements internationaux dans l’UEE, l’OCS et les BRICS, qui pourrait éliminer la dépendance critique du système SWIFT contrôlé par les États-Unis ». Est-il possible de prévoir un effort conjoint concerté de l’UEE et de la Chine pour « vendre » le nouveau système aux membres de l’OCS, aux autres membres des BRICS, aux membres de l’ANASE et aux nations d’Asie occidentale, d’Afrique et d’Amérique latine ? Et cela débouchera-t-il sur une géo-économie bipolaire – l’Ouest contre le Reste ?

Glazyev : En effet, c’est la direction dans laquelle nous nous dirigeons. Il est décevant de constater que les autorités monétaires russes font toujours partie du paradigme de Washington et jouent selon les règles du système basé sur le dollar, même après que les réserves de change russes aient été capturées par l’Occident. Les « agents d’influence » occidentaux contrôlent toujours les banques centrales de la plupart des pays, les obligeant à appliquer les politiques suicidaires prescrites par le FMI. Cependant, ces politiques sont à ce stade si manifestement contraires aux intérêts nationaux de ces pays non occidentaux que leurs autorités s’inquiètent à juste titre de leur sécurité financière.

Vous soulignez à juste titre les rôles potentiellement centraux de la Chine et de la Russie dans la genèse du nouvel ordre économique mondial. Malheureusement, la direction actuelle de la BCR (Banque centrale de Russie) reste coincée dans le cul-de-sac intellectuel du paradigme de Washington et est incapable de devenir un partenaire fondateur dans la création d’un nouveau cadre économique et financier mondial. Dans le même temps, la BCR a déjà dû faire face à la réalité et créer un système national de messagerie interbancaire qui ne dépend pas de SWIFT, et l’a également ouvert aux banques étrangères. Des lignes de swap inter-devises ont déjà été mises en place avec les principales nations participantes. La plupart des transactions entre les États membres de l’UEE sont déjà libellées dans les monnaies nationales et la part de ces dernières dans le commerce intérieur augmente à un rythme rapide.

Une transition similaire est en cours dans les échanges avec la Chine, l’Iran et la Turquie. L’Inde a indiqué qu’elle était prête à passer elle aussi à des paiements en monnaies nationales. Beaucoup d’efforts sont déployés pour développer des mécanismes de compensation pour les paiements en monnaie nationale. Parallèlement, des efforts sont en cours pour développer un système de paiement numérique non bancaire, qui serait lié à l’or et à d’autres matières premières négociées en bourse – les « stablecoins ».

Les récentes sanctions américaines et européennes imposées aux circuits bancaires ont entraîné une augmentation rapide de ces efforts. Le groupe de pays travaillant sur le nouveau système financier n’a plus qu’à annoncer l’achèvement du cadre et la préparation de la nouvelle monnaie commerciale et le processus de formation du nouvel ordre financier mondial s’accélérera encore à partir de là. La meilleure façon de le faire serait de l’annoncer lors des réunions régulières de l’OCS ou des BRICS. Nous y travaillons.

The Cradle : C’est une question absolument essentielle dans les discussions des analystes indépendants à travers l’Occident. La Banque centrale russe a-t-elle conseillé aux producteurs d’or russes de vendre leur or sur le marché de Londres pour obtenir un prix plus élevé que celui que le gouvernement ou la Banque centrale russe paierait ? N’y avait-il aucune anticipation que la future alternative au dollar américain devra être basée en grande partie sur l’or ? Comment qualifieriez-vous ce qui s’est passé ? Quels dommages concrets cela a-t-il infligé à l’économie russe à court et à moyen terme ?

Glazyev : La politique monétaire de la BCR, mise en œuvre conformément aux recommandations du FMI, a été dévastatrice pour l’économie russe. Les désastres combinés du « gel » d’environ 400 milliards de dollars de réserves de change et de plus d’un billiard de dollars siphonnés de l’économie par les oligarques vers des destinations offshore occidentales, se sont produits dans le contexte de politiques tout aussi désastreuses de la BCR, qui comprenaient des taux réels excessivement élevés combinés à un flottement géré du taux de change. Nous estimons que cela a entraîné un sous-investissement d’environ 20 billiards de roubles et une sous-production de biens d’environ 50 billiards de roubles.

Suivant les recommandations de Washington, la BCR a cessé d’acheter de l’or au cours des deux dernières années, obligeant de fait les mineurs d’or nationaux à exporter la totalité de leur production, soit 500 tonnes d’or. De nos jours, l’erreur et le préjudice que cela a causé sont tout à fait évidents. Aujourd’hui, la BCR a repris ses achats d’or et, espérons-le, poursuivra des politiques saines dans l’intérêt de l’économie nationale, au lieu de « cibler l’inflation » au profit des spéculateurs internationaux, comme cela a été le cas au cours de la dernière décennie.

The Cradle : La Fed ainsi que la BCE n’ont pas été consultées sur le gel des réserves étrangères russes. On dit à New York et à Francfort qu’elles s’y seraient opposées si on leur avait demandé. Vous attendiez-vous personnellement à ce gel ? Et les dirigeants russes s’y attendaient-ils ?

Glazyev : Mon livre, La dernière guerre mondiale, que j’ai déjà mentionné, et qui a été publié dès 2015, soutenait que la probabilité que cela se produise finalement était très élevée. Dans cette guerre hybride, la guerre économique et la guerre informationnelle/cognitive sont les théâtres clés du conflit. Sur ces deux fronts, les États-Unis et les pays de l’OTAN ont une supériorité écrasante et je n’avais aucun doute sur le fait qu’ils en tireraient pleinement parti en temps voulu.

Je plaide depuis longtemps pour le remplacement des dollars, des euros, des livres et des yens dans nos réserves de change par de l’or, qui est produit en abondance en Russie. Malheureusement, les agents d’influence occidentaux qui occupent des postes clés dans les banques centrales de la plupart des pays, ainsi que les agences de notation et les principales publications, ont réussi à faire taire mes idées. Pour vous donner un exemple, je ne doute pas que des fonctionnaires de haut rang de la Fed et de la BCE aient participé à l’élaboration des sanctions financières anti-russes. Ces sanctions n’ont cessé de s’intensifier et ont été mises en œuvre presque instantanément, malgré les difficultés bien connues de la prise de décision bureaucratique dans l’UE.

The Cradle : Elvira Nabiullina a été reconfirmée à la tête de la Banque centrale russe. Que feriez-vous différemment, par rapport à ses précédentes actions ? Quel est le principal principe directeur de vos différentes approches ?

Glazyev : La différence entre nos approches est très simple. Ses politiques sont une mise en œuvre orthodoxe des recommandations du FMI et des dogmes du paradigme de Washington, tandis que mes recommandations sont fondées sur la méthode scientifique et les preuves empiriques accumulées au cours des cent dernières années dans les principaux pays.

The Cradle : Le partenariat stratégique Russie-Chine semble de plus en plus inébranlable – comme les présidents Poutine et Xi eux-mêmes ne cessent de le réaffirmer. Pourtant, des voix s’élèvent contre lui, non seulement à l’Ouest, mais aussi dans certains cercles politiques russes. Dans cette conjoncture historique extrêmement délicate, dans quelle mesure la Chine est-elle un allié fiable pour la Russie ?

Glazyev : Le fondement du partenariat stratégique russo-chinois repose sur le bon sens, les intérêts communs et l’expérience de la coopération depuis des centaines d’années. L’élite dirigeante américaine a lancé une guerre hybride mondiale visant à défendre sa position hégémonique dans le monde, en ciblant la Chine comme principal concurrent économique et la Russie comme principale force de contrepoids. Au départ, les efforts géopolitiques des États-Unis visaient à créer un conflit entre la Russie et la Chine. Les agents de l’influence occidentale amplifiaient les idées xénophobes dans nos médias et bloquaient toute tentative de transition vers des paiements en monnaies nationales. Du côté chinois, les agents de l’influence occidentale poussaient le gouvernement à se conformer aux exigences des intérêts américains.

Cependant, les intérêts souverains de la Russie et de la Chine ont logiquement conduit à leur partenariat stratégique et à leur coopération croissants, afin de faire face aux menaces communes émanant de Washington. La guerre tarifaire américaine contre la Chine et la guerre des sanctions financières contre la Russie ont validé ces préoccupations et démontré le danger clair et présent auquel nos deux pays sont confrontés. Des intérêts communs de survie et de résistance unissent la Chine et la Russie, et nos deux pays sont largement symbiotiques sur le plan économique. Ils se complètent et accroissent leurs avantages concurrentiels respectifs. Ces intérêts communs persisteront sur le long terme.

Le gouvernement et le peuple chinois se souviennent très bien du rôle de l’Union soviétique dans la libération de leur pays de l’occupation japonaise et dans l’industrialisation de la Chine après la guerre. Nos deux pays ont une base historique solide pour un partenariat stratégique et nous sommes destinés à coopérer étroitement dans nos intérêts communs. J’espère que le partenariat stratégique entre la Russie et la RPC, qui est renforcé par le couplage de l’Initiative Ceinture et Route et de l’Union économique eurasiatique, deviendra le fondement du projet du président Vladimir Poutine de grand partenariat eurasiatique et le noyau du nouvel ordre économique mondial.

Pepe Escobar

source : The Cradle

traduction Réseau International




Cessez de dire aux enfants de « faire attention » (et ce qu’il faut dire à la place)

[Source : lifehacker.com]

Par Sarah Showfety

Le fait de dire sans cesse « sois prudent ! » ou « fais attention ! » peut désorienter les enfants, leur inspirer de la peur et diminuer leur confiance en eux.

Si vous avez déjà vu vos enfants, qui ne sont pas très sûrs d’eux, grimper sur une grande — très grande — structure d’escalade à la cour de récréation, se hisser au sommet d’un gros rondin bancal dans les bois ou essayer les barres de singe seuls pour la première fois (à une vitesse folle), vous avez peut-être ressenti l’envie de leur dire « Attention ! ». Et pourquoi ? Parce que les bras se cassent sur les terrains de jeux et que personne n’a envie de se rendre aux urgences. Et, probablement, parce que vous l’avez souvent entendu quand vous étiez petit.

Mais il y a plusieurs raisons pour lesquelles cette admonestation parentale maintes fois répétée peut faire plus de mal que de bien. (Et plusieurs meilleures façons d’aider vos enfants à prendre conscience des risques et à adopter des comportements sûrs). Voici pourquoi vous devriez éviter de prononcer cette phrase courante, et ce que vous pouvez dire à la place.

Pourquoi dire « fais attention ! » est-il inefficace ?

Ce n’est pas assez précis. Un « Fais attention ! » prononcé d’urgence peut signifier n’importe quoi : « Attention à cette branche d’arbre ! », ou « il y a une tarentule sur ta tête ! ». Lorsque nous disons « fais attention ! », nos enfants ne sont souvent même pas sûrs de ce à quoi ils doivent faire attention.

C’est trop utilisé. Étant donné que « fais attention ! » est une expression tellement ancrée dans les habitudes, nous avons tendance à la répéter souvent, dans des situations aussi bien grandes que petites. Nous le disons lorsqu’ils sont sur le point de sauter d’un mur et lorsqu’ils sortent de la baignoire. Mais les phrases banales fréquemment prononcées perdent leur sens avec le temps et ont tendance à être ignorées. Elles suscitent la peur. Combien de fois disons-nous « fais attention ! » parce que nous avons peur ? Si nous sommes honnêtes, la contrainte de le dire vient généralement de notre propre anxiété, que nous transmettons ensuite inutilement à nos enfants. Bien que les enfants doivent être conscients des risques situationnels et physiques, leur apprendre à avoir peur de jouer et d’autres activités quotidiennes peut créer une résistance à essayer de nouvelles choses et un manque de confiance en soi au fil du temps.

Cela entrave leur développement. Des recherches ont montré que « le fait d’imposer trop de restrictions aux jeux extérieurs à risque des enfants entrave leur développement ». Et cette étude a révélé qu’en multipliant les occasions de jouer dans la nature et de prendre des risques, on améliorait la confiance en soi, l’autorégulation et la créativité, tout en réduisant le risque de blessures.

Si nous intervenons constamment, nos enfants sont privés de la possibilité de calculer et de gérer les risques eux-mêmes — une compétence essentielle dans la vie. Plus nous les conditionnons à se fier à des sources externes pour les alerter du danger, moins ils seront enclins à faire confiance à leurs propres compétences et instincts — et à relever des défis à l’avenir.

Ce qu’il faut dire à la place

Bien sûr, en tant que parents, nous voulons éviter les blessures, et les enfants — qui ne sont pas connus pour leurs décisions prudentes — ont besoin de conseils. Comment les encourager de manière constructive à prendre conscience de la situation, à évaluer les risques et à résoudre les problèmes, sans les effrayer outre mesure ?

La première étape, en tant que responsables d’enfants, est de remarquer et d’interrompre l’habitude de dire « fais attention ! » chaque fois que nous sentons une odeur de danger pour nos enfants. Demandez-vous s’il y a un risque de danger grave en ce moment. Si ce n’est pas le cas, résistez à l’envie de dire « fais attention ! » et essayez plutôt l’une des phrases suivantes :

« Remarque comment… /Vois-tu… » 

Apprenez à votre enfant à être plus attentif à ce qui l’entoure dans les situations et implique sa propre sécurité, sans lui dire ce qu’il doit faire. Par exemple : Remarque que ce rocher est glissant. Remarque la profondeur de l’eau. Vois-tu cette marche cassée ? Vois-tu un moyen de descendre ? Vois-tu la guêpe là-bas ? 

« Est-ce que tu sens… ? » 

Demandez à votre enfant de vérifier son expérience émotionnelle et physique, en faisant une pause et en évaluant ce qui se passe sous la surface (une compétence que de nombreux adultes maîtrisent encore). Te sens-tu en sécurité ? Te sens-tu stable sur cette branche ? Vous sentez-vous fatigué ? Sens-tu la chaleur de la cuisinière ? (Ou « sens-tu si cette branche est assez solide ? » « Sais-tu si l’eau est assez profonde pour plonger ? »…)

« Quel est ton prochain mouvement ? » 

Donnez à vos enfants la possibilité de résoudre les problèmes et de créer leur propre plan d’action. S’ils grimpent en hauteur, s’ils font une randonnée jusqu’à un bord ou s’ils doivent traverser un cours d’eau impétueux, au lieu de proposer immédiatement une solution, demandez-leur : « Quelle est ta prochaine action ? » ou « Que penses-tu devoir faire ensuite ? ».

« Essaie… » 

Lorsque vos enfants semblent incertains et demandent de l’aide, au lieu de leur donner la réponse en bloc (sauf s’ils sont en danger), encouragez-les à « essayer » différentes choses. Essaie d’utiliser tes bras. Essaie de bouger tes pieds lentement. Essaie d’aller sur le côté.

Qui/quoi/où/comment ?

Encouragez vos enfants à envisager les possibilités, les prochaines étapes, les conséquences logiques et les ressources à leur disposition avec les questions qui/quoi/où/comment. Qui va t’accompagner ? Que vas-tu faire avec ce bâton ? Où vas-tu mettre ton sac à dos ? Comment vas-tu descendre ?

« Souviens-toi… » 

Le simple fait d’inciter les enfants à se souvenir de leur environnement, des propriétés des objets dangereux qu’ils aiment tenir et des conséquences négatives potentielles peut contribuer grandement à assurer leur sécurité (et celle de ceux qui les entourent). N’oublie pas que les pierres sont lourdes et peuvent blesser les gens. N’oublie pas que les bâtons sont pointus et nécessitent beaucoup d’espace. N’oublie pas que tout le monde n’aime pas se balancer aussi haut.

Références (en anglais)



Le Dr Peter McCullough : « Il se passe quelque chose de très, très gros et qui est bien plus important que le covid-19. Tout est fait à ciel ouvert, ils ne s’en cachent pas »

[Source : planetes360.fr]

[Voir aussi :
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !
Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »
Qui possède le monde ?
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
François, pape des pauvres et de l’écologie ? Ou pape de l’élite globale ?
Théorie du complot : Jesse Ventura était informé du plan « vaccinal » génocidaire en 2009 par Alex Jones
Un système d’esclavage à tous les étages
Philippe de Villiers : Ce que je ne savais pas… et vous non plus, sur « Le jour d’après »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »
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Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire]




L’armée canadienne a-t-elle formé des membres du bataillon néonazi Azov en Ukraine ?

[Source : francais.rt.com]

[Photo : Soldats ukrainiens, dont un arborant un écusson associé à Azov lors d’un entraînement donné par l’armée canadienne en novembre 2020.]

Selon une enquête de Radio Canada basée sur l’analyse d’écussons perceptibles sur des photos officielles de soldats, des instructeurs militaires canadiens auraient formé des membres du bataillon néonazi Azov, contrairement aux engagements du pays.

L’armée canadienne, qui depuis 2014 participe à la formation des combattants ukrainiens pour leur faire intégrer les normes militaires occidentales, pourrait avoir par la même occasion formé des éléments du bataillon notoirement néonazi Azov, comme le révèle une enquête publiée le 11 avril par Radio Canada.

Basée entre autres sur des images publiées en novembre 2020 sur les réseaux sociaux par la garde nationale ukrainienne (à laquelle Azov a été intégré), l’enquête conclut que deux participants à une formation dispensée par des militaires canadiens portent un écusson emblématique du régiment.

L'armée canadienne a-t-elle formé des membres du bataillon néonazi Azov en Ukraine ?
Soldat arborant un écusson du régiment Azov au cours d’un entraînement dispensé par des militaires canadiens en Ukraine en 2020.

Autre élément gênant, sur une autre photo de la formation publiée cette fois par les forces canadiennes : un homme arbore un écusson de la division de la Waffen SS «Galicie», formée en 1943 avec des Ukrainiens, et dont la mémoire est encore célébrée de nos jours par des militants d’extrême droite dans le pays. Gêné par un de ces hommages, le président Volodymyr Zelensky et les autorités ukrainiennes avaient dû condamner cette pratique en 2021 en rappelant que l’utilisation de symboles du nazisme est interdite en Ukraine.

Interrogée, l’armée canadienne a démenti former des membres d’Azov, conformément aux engagements pris par le pays dès 2015. «Les militaires participant à l’op[ération] Unifier ont toujours reçu l’ordre de ne pas s’entraîner avec les membres du bataillon Azov et de n’avoir aucun contact avec eux», précise même l’institution dans un courriel. Mais dans le même temps, l’armée a reconnu ne pas avoir le pouvoir de contrôler les participants aux formations. 

Côté garde nationale ukrainienne, le démenti est total, mais l’enquête note pourtant qu’un communiqué publié sur son propre site web en août 2021 aurait mentionné «que des éléments du régiment Azov (aussi connu sous le nom de détachement spécial de l’unité militaire 3057) avaient reçu un entraînement auprès d’instructeurs formés selon un programme élaboré avec la participation de représentants de l’opération Unifier, appelé PR-1».

L’unité Azov est accusée dans un rapport de 2016 du Haut-Commissariat aux droits de l’Homme des Nations unies de crimes de guerre perpétrés pendant la guerre du Donbass. Elle a été formée par le militant néonazi Andriy Biletsky (député de 2014 à 2019) et son emblème originel faisait figurer un «soleil noir» (symbole du mysticisme nazi), ainsi qu’un Wolfsangel, symbole germanique qui fut utilisé comme emblème par la division SS Das Reich, responsable de nombreuses exactions comme le massacre d’Oradour-sur-Glane pendant la Seconde Guerre mondiale.

Aujourd’hui, les autorités ukrainiennes et Azov lui-même prétendent que le régiment s’est délesté de sa composante idéologique en rejoignant les forces armées pour n’être plus qu’une simple unité combattante, ce que certains observateurs réfutent. L’unité affronte notamment l’armée russe et les forces de la République autoproclamée de Donetsk à Marioupol

Des symboles gênants

La présence de combattants à l’idéologie explicite en Ukraine est régulièrement dénoncée par la Russie qui a justifié son intervention dans le pays par la nécessité d’une «dénazification». À contrario, Kiev et ses soutiens occidentaux démentent ces accusations, les désignant comme de la propagande prétexte à une invasion. 

Il n’empêche que des symboles nazis sont parfois visibles sur des uniformes de combattants ou miliciens ukrainiens. Le 8 mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le ministère des Affaires étrangères ukrainien a publié une photo montrant une femme en treillis arborer un Soleil noir sur la poitrine. 




La vaccination Covid : un marquage de « type bétail » pour prendre le contrôle de nos vies

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que « la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ». Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.

Quelle coïncidence ! Il se trouve que Bill Gates – l’ami de Seth Berkley – qui siège également au conseil d’administration de GAVI et du CEPI, les deux mamelles de la politique mondiale de vaccination avec en toile de fond l’OMS et l’industrie pharmaceutique – dispose déjà de cet outil dans sa besace.

[Voir aussi : Dossier Implants numériques]

Certains l’ont déjà oublié mais en 2019, le soi-disant philanthrope avait déjà testé son dispositif dans deux pays d’Afrique, le Kenya et le Malawi où les gouvernements sont moins regardant sur les questions d’éthique. Avant l’épidémie de Covid, Bill Gates testait déjà cette innovation technologique avec la collaboration du MIT, il l’a donc financée des années avant. Voici que cette innovation va maintenant servir pour marquer la population mondiale.

La numérisation des carnets de vaccination

Une vidéo de 2 minutes nous explique la suite, c’est-à-dire l’agenda tel qu’il va être maintenant déroulé et auquel collabore – plutôt avec zèle – le transhumaniste Macron.

« En fournissant à chaque enfant une identité biométrique numérique, GAVI double ses efforts en devenant membre fondateur d’ID 2020, un partenariat public privé (Microsoft et GAVI sont parties prenantes) qui a évolué vers l’essor de l’identité biométrique numérique mondiale.

Ce vaccin peut être administré à l’aide d’un patch soluble via un réseau de micro-aiguilles solubles qui délivre un motif de microparticules sur la peau émettant de la lumière dans l’infrarouge proche de la peau (du point de vaccination). Elles délivrent une marque de particules sur la peau des vaccinés qui sont invisibles à l’œil nu mais sui peuvent être visualisés à l’aide de smartphones équipés (lecteur). Quelque chose comme un code barre tatoué.

Kevin McHugh, professeur assistant en bioingénieurie à la faculté de Rice (USA) et cocréateur du marquage sous cutané des vaccins financés par Gates déclare : « La fondation Bill et Melinda Gates est venue nous voir et nous a dit : Hé, nous avons un vrai problème pour savoir qui est vacciné (…) donc notre idée était de mettre le marquage sur la personne ». Ce sera un marqueur numérique lié à une identification biométrique. Bien sûr, cette petite équipe ne s’est pas embarrassée de savoir si marquer les êtres humains comme du bétail pouvait poser un problème éthique.

Un système de contrôle liberticide pensé depuis de nombreuses années

Bill Gates s’exprime dans la même vidéo (cf. supra) : « Par la suite nous devrons avoir un certificat garantissant le rétablissement ou la vaccination des personnes ». C’est actuellement mis en œuvre par un certain nombre de gouvernements. Onfido – dans laquelle Miscrosoft a investi en 2017 – propose déjà une application à l’aide d’une reconnaissance faciale et d’autres données biométriques reliant ces informations à un test d’anticorps Sars-Cov 2 ou à une preuve de vaccination contre le coronavirus.

Les citoyens vaccinés peuvent ensuite se faire prendre en photo pour prouver leur immunité à chaque fois qu’ils souhaitent accéder à un espace restrictif (c’est à dire réglementé par les autorités publiques comme en Chine dès qu’on veut sortir de chez soi).

En 2012, la Fondation Bill et Melinda Gates (encore et toujours) a aidé à fonder la Better Than Cash Alliance – dans laquelle on retrouve le système des Nations-Unies, l’USAID et la BERD – afin d’accélérer la transition vers les paiements numériques à l’échelle mondiale. Ils travaillent à un basculement du monde vers un système de paiement numérique lié à l’identité biométrique.

La vidéo conclue sur les différents niveaux de contrôle de la population qui s’emboitent comme les pièces d’un puzzle et qui sont conduits simultanément en les justifiant sous des motifs fallacieux, que les populations acquiesceront… ou pas.

Le vaccin n’est pas fait pour Covid mais Covid pour vacciner la population mondiale

La campagne de vaccination est liée à la campagne d’identification biométrique (numérique) qui est elle-même liée à la campagne de numérisation de la monnaie et à la disparition programmée de la monnaie papier.

Gates et ses partenaires gouvernementaux, conduits par McKinsey dont Macron est un fervent consommateur – car c’est eux qui donnent les instructions du Great Reset comme s’ils étaient indépendants – imposeront les vaccins aux populations afin que nos données biométriques soient saisies et enregistrées au niveau national, associées à une identité numérique puis intégrées à un réseau mondial.

Ces identités numériques seront liées à toutes les actions et transactions. Ces dernières pourront être jugées illégales par ceux qui les contrôlent – nos gouvernements – et bloquer toute transaction financière. Ceux qui ne se conformeront pas à la doxa, ne pourront plus ni acheter ni vendre.  

Chaque transaction et mouvement de chaque citoyen seront analysés en permanence et les données enregistrées en temps réel sur des super ordinateurs. Si les citoyens ne s’y opposent pas fermement, tout sera sous contrôle de ceux qui prendront nos vies : un système d’identification biométrique lié à une infrastructure de paiement numérique sera utilisé pour suivre, cataloguer et contrôler chaque mouvement, chaque transaction et chaque interaction des citoyens. Pour cela une micropuce biométrique sera injectée dans le corps et servira de passe identitaire, de passe sanitaire, de moyen de paiement numérique…seul autorisé.

Une fois cette structure du mal acceptée, il ne sera plus humainement possible d’en sortir. Accepter la vaccination revient à se soumettre à cet agenda liberticide et mortifère.




Selon un psychiatre italien, « Macron est un psychopathe »

[Source : Global INFOPRESS]

Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse en 2017 du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée :

« Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »

Il confirme maintenant son diagnostic et va même plus loin :

« Macron est dangereux pour l’Europe entière »

gloria.tv

Pour voir la nouvelle vidéo (enlever les sous-titres italiens en cliquant sur cc vers le bas et à gauche de la vidéo, à côté du mot « italien ») :
https://www.gloria.tv/post/6N4fUnnr6N2G1HPrLZGDbHdn4#305




Lettre ouverte à Marine Le Pen

[Source : observatoiredumensonge.com]

L‘enjeu est tel que si vous ne vous adaptez pas, vous n’aurez aucune change de l’emporter.

Merci aux lecteurs qui pourraient lui faire parvenir cette lettre…


Par Jean-Jacques Badine

Comment voulez battre quelqu’un que l’on ne combat pas ?

Aujourd’hui l’électeur n’attend plus qu’un candidat lui dresse un programme de promesses dont il sait bien que ces dernières seront enterrées sitôt élu.

Le Président-candidat-sortant occupe le terrain :
tout le terrain !
Il possède le soutien inconditionnel des médias subventionnés, les chaînes de télévision, les grandes radios et toute la presse écrite vendue en kiosque.
Ensuite, Macron est en train de ressusciter facilement le Front républicain contre vous.

Tout cela vous place évidemment en challenger.
Alors, quitte à être challenger, profitez-en pour changer votre approche et concentrez-vous sur trois points :
1 – Le pouvoir d’achat détruit par le quinquennat Macron,
2 – L’insécurité qui n’a jamais été aussi haute en France depuis 2017 !
3 – La dialectique utilisée pour vous nuire.

Le premier point est très parlant avec les hausses vertigineuses des produits énergétiques (Essence, fioul, gazole, gaz, etc.) et dès que Macron sera réélu, les hausses exploseront de plus belle. Or, cela touche à peu près tous les Français. Sans oublier le retour des mesures contraignantes, lesquelles ont toutes échoué face au COVID-19, lesquelles mesures réapparaîtront après les législatives au mieux. Les promesses non tenues du quinquennat actuel notamment en matière de logements et l’augmentation criante et visible de la paupérisation des Français.
Des exemples concrets : dans Paris, un logement social de 25 à 30 mètres carrés est loué 650 euros par mois aux Français quand souvent il est attribué gratuitement aux étrangers. Déjà le prix mensuel est exorbitant et clairement les Français paient pour les autres. Y compris dans des mairies dites ou supposées de droite !

Le second point est simple avec une insécurité, violences, agressions, meurtres en constante hausse. Avec des forces de police aux moyens peu adaptés, euphémisme.

Le troisième point est essentiel pour vous !
Sachant que tous les autres ou presque seront contre vous, il faut vite adopter vos discours en conséquence. Vous avez plus à gagner en répondant aux fausses accusations qu’en les laissant sans réponse.
Ce n’est pas en cherchant à proposer un catalogue ou programme de mesures tous azimuts que vous augmenterez vos voix, bien au contraire. C’est en vous focalisant sur le mauvais bilan, celui-ci bien réel, du Président Macron que vous pourrez inverser les scores.

Le Président Macron occulte son bilan catastrophique.

C’est le troisième point que je viens de vous proposer : ne rien laisser passer et parler aux électeurs des problèmes réels qui les concernent directement.

Vous savez, Madame, pertinemment que vous allez être attaquée comme fasciste d’extrême droite, que vous représentez un danger pour la France et là vous devez répondre sans aucune faiblesse.

Qui a gouverné la France très mal pendant ces cinq ans ? Qui est en train de ruiner l’économie ? Qui a privé les Français à plusieurs reprises de leur liberté sans contrepartie et surtout sans aucun résultat tangible ? Qui est finalement le fasciste dans cette affaire ?
Qui a menti aux Français et n’a pas respecté ses principaux engagements de sa campagne 2017 ?
Vous devez absolument remettre les choses en perspective et refuser d’être le vilain petit canard alors que le vrai danger pour la France c’est l’actuel pouvoir.

Ne vous laissez pas enfermer dans ce débat stérile et dialectique que veulent vous imposer Macron, la gauche, LR et les médias, qui sont tous de connivence.

Ne perdez pas votre temps avec un catalogue, un programme de mesures qui ne vous permettra jamais de vous faire élire.

Madame, ne vous leurrez pas !

Nous vivons dans l’irréel, un pays imaginaire dirigé par des idéalistes qui n’ont aucune notion du peuple et qui osent faire croire qu’ils s’en préoccupent.
Pourtant le nombre de pauvres n’a cessé d’augmenter sous Macron.
Pire l’économie s’est effondrée sans que les médias ne daignent en parler alors que la Cour des Comptes a pourtant alerté le pouvoir sur la situation catastrophique en cours.
Les chiffres sont sans appel :
L’explosion des dépenses de l’Etat représente 560 milliards d’euros en deux ans dont seulement 100 liés au « quoi qu’il en coûte » sanitaire (Cour des Comptes).
C’est là qu’il faut porter votre action sur cette réalité des faits et marteler ces faits.

Les Français votent majoritairement à gauche et la gauche va tout leur piquer. Certes ce sera bien fait pour eux, mais pour les autres aussi.

Madame, vous devez jouer vos atouts et ne pas vous laissez piéger dans le grossier traquenard que la caste politico-médiatique met en place.

Essayons quand même d’éviter cette fatalité que nous propose le « déconstructeur » Macron.

Ras le bol généralisé de l’indifférence manifestée ouvertement par les élus face aux réalités de la vie de tous les jours !

#ToutSaufMacron

Jean-Jacques Badine

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier : Jean-Jacques Badine pour Observatoire du MENSONGE ou http://observatoiredumensonge.com

Imaginez le nazisme aujourd’hui, avec cette société « ULTRALIGHT » :

la caste politico-médiatique, qui n’arrive toujours pas à appeler un chat un chat, vous expliquerait pendant des heures qu’il ne faut pas confondre nazi et nazisme !
Avec de nombreux experts, témoins, spécialistes et autres habitués, « les cireurs de botte » tenteraient de démontrer que le SS qui vient d’égorger ou de poignarder des passants est un « déséquilibré » et qu’il ne faut surtout pas faire d’amalgame.
Mieux, la caste prétendrait qu’il faut attendre de connaître les motivations dudit « déséquilibré » pour aller plus avant. Petit détail, ce ne sont plus des nazis en vert-de-gris mais de gentils islamistes en vert tout court.
Curieusement, le même acte intolérable peut devenir tolérable.
Question d’époque et de lâcheté.

Articles à lire :

Dernière ligne droite avant déconstruction finale de la France

Sauvez les enfants de la République




Jacques Baud : « Les Russes sont en passe d’atteindre leurs objectifs. »

[Source : Sud Radio]

Avec Jacques Baud, Ex-membre du renseignement stratégique suisse. Il a été partie prenante des négociations après la chute de l’URSS et a suivi de près la révolution de Maïdan en 2014.




François Asselineau : « Faire barrage à Macron »

[Source : TV Finance]

Avec François Asselineau, Président et fondateur de l’Union Populaire Républicaine, analyse du vote du 1er tour de l’élection présidentielle en France. Les raisons de la forte poussée des partis extrémistes, et les raisons du rejet des thèses libérales.




Rémi Tell : « Je me méfie plus de l’extrême centre que de l’extrême droite ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Rémi Tell, entrepreneur et cofondateur du collectif Peuple Libre, auteur de Paroles révoltées, aux éditions Perspectives Libres.




Selon un journaliste français de retour d’Ukraine, les Américains sont « responsables » de la guerre

[Source : anguillesousroche.com]

« Je me suis retrouvé face au Pentagone. »

Un journaliste français qui est rentré d’Ukraine après avoir accompagné des combattants volontaires a déclaré au diffuseur CNews que les Américains sont directement « en charge » de la guerre sur le terrain.

Cette affirmation a été faite par le correspondant international senior du Figaro, Georges Malbrunot.

Malbrunot a déclaré qu’il avait accompagné des combattants volontaires français, dont deux avaient déjà combattu contre ISIS.

« J’ai eu la surprise, et eux aussi, de découvrir que pour pouvoir entrer dans l’armée ukrainienne, eh bien ce sont les Américains qui commandent », a déclaré Malbrunot.

Ajoutant que lui et les volontaires « ont presque été arrêtés » par les Américains, qui affirmaient être les responsables, le journaliste a ensuite révélé qu’ils ont été contraints de signer un contrat « jusqu’à la fin de la guerre ».

« Et qui est responsable ? Ce sont les Américains, je l’ai vu de mes propres yeux », a déclaré Malbrunot, ajoutant : « Je pensais être avec les brigades internationales, et je me suis retrouvé face au Pentagone. »

Malbrunot a également mentionné que l’Amérique fournissait à l’Ukraine des drones suicide à cran d’arrêt, ce que le secrétaire à la défense Lloyd Austin a souligné dans un tweet qui a révélé que les soldats ukrainiens étaient formés à l’utilisation de ces appareils à Biloxi, dans le Mississippi.

Citant une source du renseignement français, Malbrunot a également tweeté que des unités SAS britanniques « sont présentes en Ukraine depuis le début de la guerre, tout comme les Deltas américains ».

La Russie est apparemment bien au courant de la « guerre secrète » menée en Ukraine par des commandos étrangers qui sont dans la région depuis février.

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont tous deux affirmé publiquement qu’il n’y aurait pas de « bottes sur le terrain » en Ukraine, mais il semble qu’il y ait une présence militaire américano-britannique depuis le début de la guerre.

« Les sondages ont montré qu’à l’approche de la guerre, l’écrasante majorité des Américains souhaitaient que notre gouvernement ne s’en mêle pas, mais nos dirigeants savent ce qu’il en est et sont plus qu’heureux de risquer une troisième guerre mondiale pour défendre le régime fantoche de l’Ukraine », écrit Chris Menahan.

Lire aussi : Twitter bannit un ancien inspecteur en désarmement de l’ONU pour avoir remis en question le récit de l’Ukraine




Pour une transparence totale sur la mortalité des moins de 45 ans en fonction du statut vaccinal

[Source : leslignesbougent.org]

Par Thibaut de Santé Non Censurée

Pétition

Adressé à : Mesdames et Messieurs de l’Assemblée nationale, Mesdames et Messieurs les SénateursPour une transparence totale sur la mortalité des moins de 45 ans en fonction du statut vaccinal

Chers amis,

Est-il possible que les Français de moins de 45 ans aient connu plus de décès en 2021 que les années précédentes ? Et que cette mortalité : 

  1. n’ait rien à voir avec le Covid…
  2. Et ait tout à voir avec la gestion de l’épidémie, en particulier les campagnes de vaccination de masse ?

C’est la question archi-brûlante que se posent plus de 900 chercheurs, universitaires, professionnels de santé et de droit à la suite du Dr Laurent Toubiana.

Ce dernier, épidémiologiste désormais bien connu, s’est vu refusé par le Sénat l’accès aux données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal…[1]

Seules ces données permettraient de faire la lumière complète sur la mortalité anormale enregistrée chez les moins de 45 ans en France et dans de nombreux pays européens.

Ces informations permettraient d’écarter ou de confirmer l’hypothèse d’un vaccin dangereux.

En effet, sachant que la moyenne des décès du Covid s’établit à 82 ans[2], il n’est guère possible d’attribuer un quelconque effet significatif du Covid sur la mortalité des moins de 45 ans…

Or c’est bien ce qu’enregistre le site Euromomo[3], qui surveille la mortalité européenne : une surmortalité anormale chez les 15-44 ans en 2021…

-> Ces décès supplémentaires sont-ils dus aux injections ARN ? 

-> Ou faut-il aller chercher une explication ailleurs ?

Il est impossible de tirer des conclusions tant que le Sénat refuse de révéler cette information pourtant disponible dans le Système National des Données de Santé (SNDS)[4].

En ouvrant les données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal, les chercheurs pourront dire si les 15-44 ans vaccinés ont connu une mortalité supérieure ou inférieure à celle des 15-44 ans non-vaccinés.

Il est fondamental que ces données puissent être ouvertes avant le premier tour de l’élection présidentielle.

Comment juger le bilan du Président sortant si une telle information n’est pas analysée, discutée et révélée aux électeurs ?

Le Gouvernement et les Parlementaires ont rendu la vaccination quasi obligatoire en France, en affirmant que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Qu’ont-ils à craindre ?

N’est-ce pas là l’occasion rêvée de faire taire les “complotistes” et les vaccino-sceptiques ?

Devant ce manque de transparence de nos autorités, j’ai décidé de soutenir la demande de Laurent Toubiana et des 900 chercheurs, et je vous demande, cher lecteur, de la soutenir avec moi, afin que ces données soient révélées aux citoyens français AVANT les élections présidentielles.

Seule une mobilisation populaire de grande ampleur peut les convaincre de revenir sur leur refus d’ouvrir ces accès !

POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL

JE SIGNE LA PÉTITION

Les rapports qui suggèrent un lien entre surmortalité et vaccination de plus en plus nombreux

Ce refus du Sénat de publier ces informations n’est peut-être pas anodin.

Il intervient en pleine campagne présidentielle et au moment où l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament), Eudravigilance (base de données européenne de rapports d’effets indésirables au niveau européen) ou encore VAERS (base de données des effets secondaires des vaccins aux Etats-Unis) émettent des rapports alarmants.

Les chiffres officiels sur les effets indésirables des vaccins sont inquiétants[5,6,7,8] :

  • L’ANSM met en avant plus de 137 000 effets indésirables à la suite de la vaccination en France, dont plus de 30 000 considérés comme graves ;
  • Eudravigilance rapporte 1 327 876 signalements d’effets indésirables et 36 267 décès ;
  • VAERS rapporte 21 000 décès confirmés et plus d’un million d’effets secondaires.

Ces organismes, bien sûr, refusent à ce jour d’établir un lien de causalité entre la vaccination et les décès. 

Aucune enquête n’est diligentée. 

On se contente d’accuser les citoyens ou scientifiques qui s’interrogent d’être des « complotistes » ou “d’extrême-droite”.

Les candidats à la présidence française font tout pour évacuer le sujet ne sachant trop s’ils sauront en profiter électoralement…

C’est donc à nous simples citoyens de faire le travail ! Nous devons faire pression pour que toute la lumière soit faite sur les chiffres de surmortalité chez les jeunes.

POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL

JE SIGNE LA PÉTITION

Je rappelle que les chiffres de surmortalité chez les jeunes sont issus d’un institut indépendant[9] et proviennent de sources fiables.

Ils sont incontestables.  Nos voisins enregistrent d’ailleurs la même chose !

EUROPE

Sur ces graphiques, on visualise nettement que la courbe bleu foncé des décès des 15-44 ans entre 2018 et 2022, augmente nettement à partir de 2021, et finit par dépasser le taux moyen de mortalité des années précédentes (en gris).

N’est-il pas urgent de faire toute la lumière sur ce phénomène ?

Des Français, des Anglais, des Allemands de 45 ans ou moins sont-ils morts en cherchant à se protéger d’une maladie qui ne les menaçaient pas ? Nous devons en avoir le cœur net !

POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL

JE SIGNE LA PÉTITION

Faire la lumière sur le lien entre surmortalité et vaccination

Nous, citoyens français, sommes en droit de savoir si oui ou non il y a un lien entre les décès de nos jeunes et la vaccination.

Ce n’est pas question d’être pro-vax ou anti-vax.

Ce n’est pas non plus une question politique.

Nous avons besoin de faire la lumière et commencer à établir un premier bilan de la politique vaccinale.

En donnant un accès aux données de mortalité toutes causes confondues, à des chercheurs indépendants, sans lien avec le Gouvernement qui a trop à perdre dans cette histoire, et encore moins avec les fabricants de vaccins, il sera possible :

  • d’établir ou non un lien entre les décès et les injections ;
  • de vérifier si les personnes non vaccinées meurent plus que les personnes vaccinées, à âge égal ;
  • de vérifier s’il existe un lien ou non entre la date de vaccination et la date de décès.

Je signe la pétition

Nous avons le droit de savoir, et nous sommes tous concernés.

Pour rappel, il y a eu en France 140 millions de doses administrées, et 94% des plus de 12 ans en ont reçu au moins une.

Ce n’était jamais arrivé dans l’Histoire de la France.

N’oublions pas que les vaccins ont été mis au point en quelques mois seulement alors qu’il faut normalement plusieurs années et de nombreux essais thérapeutiques avant la mise sur le marché.

N’oublions pas que les campagnes de vaccination successives n’ont pas empêché d’attraper le virus et de se retrouver à l’hôpital. Selon la Drees, 70% des personnes à l’hôpital en février étaient vaccinées.[10]

Nous avons le droit de savoir.

Je signe la pétition

Sources

Auteur : Thibaut de Santé Non Censurée




Canada – Trudeau indique que les « risques » du marché obligent le gouvernement à étudier une éventuelle « monnaie numérique de la banque centrale »

[Source : medias-presse.info]

Canada – L’idée d’une monnaie numérique de banque centrale soulève des inquiétudes quant à la confidentialité des transactions financières personnelles, ainsi qu’à la possibilité, du moins à l’avenir, d’utiliser encore les espèces comme moyen de paiement.
Le budget 2022 du Canada, annoncé la semaine dernière par la ministre canadienne des Finances du Parti libéral, Chrystia Freeland, contient un texte disant que le gouvernement examinera le «besoin potentiel» pour le pays d’avoir un type de «monnaie numérique de la banque centrale».

À la page 214 du budget , sous le chapitre 9 intitulé « Équité fiscale et gouvernement efficace », dans la sous-section « Faire face à la numérisation de la monnaie », le texte indique que le gouvernement « examinera, entre autres facteurs : comment adapter le secteur financier pour gérer les nouveaux risques liés à la numérisation.

Dans ce cadre, le gouvernement canadien examinera comment « maintenir la sécurité et la stabilité du système financier à la lumière de l’évolution de ces modèles commerciaux et de ces capacités technologiques » ainsi que le besoin potentiel d’une monnaie numérique de banque centrale au Canada.

Le gouvernement canadien explorera également la réglementation de la crypto-monnaie ainsi que l’obligation pour les sites de financement participatif de signaler les « transactions suspectes ».

Après que le premier ministre Justin Trudeau a promulgué la Loi sur les mesures d’urgence en février pour punir les camionneurs du Freedom Convoy, le gouvernement a gelé les comptes bancaires personnels et les portefeuilles numériques de certains Canadiens.

Le budget libéral de 2022 a annoncé qu’il y aura un «examen législatif» de l’utilisation des crypto-monnaies, l’objectif étant de mettre en œuvre des mesures réglementaires plus strictes sur les sites de financement participatif et les processeurs de paiement.

La ministre Freeland est membre du Forum économique mondial, qui est le groupe à l’origine du programme « Great Reset ».

Le Canada n’est pas le seul pays à envisager une monnaie numérique émise par le gouvernement.

Le président américain Joe Biden a récemment publié un décret qui demandait aux agences fédérales d’étudier les monnaies numériques et de produire des rapports sur leur utilisation possible ainsi que sur la réglementation par le gouvernement fédéral.

Une monnaie numérique est également à l’étude au Royaume-Uni, qui a demandé l’été dernier à la Banque d’Angleterre d’élaborer des plans pour une monnaie numérique qui pourrait être utilisée « avec » de l’argent liquide.

Le député conservateur britannique Steve Baker a toutefois averti qu’une monnaie numérique émise par le gouvernement « pourrait permettre une augmentation spectaculaire du contrôle de l’État sur nos vies ».




Great Reset : la Bête est-elle là ?

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, présente son dernier ouvrage « Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation » publié chez Culture et Racines. Cet entretien pour « Politique & Eco » consiste à présenter les racines du mondialisme et ses fruits. Selon l’auteur, le covid n’est qu’un outil au service d’une cause supérieure :

« Il y a des manœuvres idéologiques, financières et politiques visant à amplifier l’effet de cette pathologie sur la société française ».

Le but étant l’avènement du « Great Reset », promu par le Forum économique mondial de Davos, qui prévoit une réduction de la population mondiale, un programme de technologies implantables et une monnaie numérique mondiale permettant un suivi à la trace. Pierre Hillard analyse également la guerre en Ukraine, conflit entre deux factions du mondialisme en rivalité. Et rappelle que « le fond de l’histoire et toujours religieux ». Un entretien qui décoiffe !




La connivence de Mélenchon avec Macron




Un ancien conseiller climat d’Obama : le GIEC se trompe et ment

[Source : hommelibre]

La science aurait réglé la question climatique ? Détrompez-vous. Voici un des scientifiques de haut niveau qui conteste les méthodes et les conclusions du GIEC. Il a pourtant été un des conseillers climat de Barak Obama.

Le doute

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Il se nomme Steven Koonin. Cet homme tranquille est une tête, multidiplômé d’éminentes universités. Tranquille mais actif pour l’environnement, il a entre autres travaillé chez BP pour étudier le développement à long terme des énergies renouvelables.

Il a également travaillé pour le président Obama comme haut responsable du Département de l’énergie. Ce Département a d’ailleurs publié un article élogieux à son sujet. Extrait:

« Le Dr Koonin a particulièrement défendu les programmes de recherche en simulation haute performance, calcul exascale, énergie de fusion inertielle et surveillance, rapport et vérification des gaz à effet de serre. (…) En tant que scientifique en chef chez BP de 2004 au début de 2009, le Dr Koonin a développé la stratégie technologique à long terme pour les sources d’énergie alternatives et renouvelables. »

Ce n’est pas un fantaisiste. 

Pour Steve Koonin ce que les médias, les politiciens et les militants disent à propos de la science du climat, est si éloigné de la science actuelle que c’est absurdement, manifestement faux.

Après avoir adhéré aux thèses du GIEC, le doute s’est installé. 

Impossibles prévisions

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En 2013 il réalisait que:

« Les humains exercent une influence croissante, mais physiquement faible, sur le réchauffement climatique. Les résultats de nombreux modèles climatiques différents sont en désaccord, voire en contradiction, les uns avec les autres et avec de nombreux types d’observations.

En bref, la science est insuffisante pour faire des prévisions utiles sur la façon dont le climat va changer au cours des prochaines décennies, et encore moins sur l’effet que nos actions auront sur lui. »

Il vient de publier un livre sur la science, dont le titre est explicite:

« Non établie ? Ce que la science du climat nous dit, ce qu’elle ne dit pas, et pourquoi c’est important ». 

Sa critique est sévère. Selon cet article qui résume son livre :

« Steven Koonin explique qu’il a commencé à avoir des doutes sur la solidité des conclusions du GIEC en lisant le dernier rapport du GIEC, en 2014 : « La science du climat était beaucoup moins mûre que je ne l’avais supposé… La science ne peut pas faire des prévisions utiles sur le changement climatique des décennies à venir et encore moins sur les effets de nos actions… » »

Impact humain minime

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« Je sentis que la communauté scientifique désinformait le public en ne disant pas toute la vérité ».

Il fit paraître dans le Wall Street Journal du 19 septembre 2014 un article intitulé « La science du climat n’est pas établie ». Il y écrivait :

« L’impact de l’activité humaine sur le climat semble comparable à la variation naturelle du climat ».

Certains de ses collègues ont défendu une forme d’omerta :

« Certains scientifiques pensaient qu’il n’y a pas de mal à un peu de désinformation si cela aide à « sauver la planète » et qu’il ne fallait pas « mentionner les doutes qu’ils pouvaient avoir ». Paul Watson, cofondateur de Greenpeace, disait : « Ce qui compte n’est pas ce qui est vrai, mais ce que les gens croient vrai ». Ils préféraient la persuasion à l’information, l’efficacité à l’honnêteté. »

On a demandé son exclusion de sa chaire de la New York University. C’est une conception particulière des partisans de l’inclusion: l’annulation des personnes qui dérangent la doctrine officielle.

L’alarmisme climatique dominait les media, les ONG, la politique et donc les autorités et responsables scientifiques. Steven Koonin en fut choqué. Car pour lui, « l’impact économique du réchauffement dû à l’homme sera minime (environ deux ans de croissance économique) jusqu’à la fin du siècle » (même avec un réchauffement de 6°C, quatre fois celui visé par les Accords de Paris).

Contradiction

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Il relève des problèmes d’insuffisance de données dans les rapports du GIEC, par exemple :

« Les nuages posent un problème, car ils sont généralement plus petits que les dimensions d’une boite. Ils doivent être remplacés par des hypothèses de caractéristiques homogènes dans la boite. Leur influence sur le climat est en fait très mal connue. Les aérosols posent aussi un problème, car ils refroidissent l’atmosphère dans des conditions mal connues. »

Ce spécialiste des modélisations affirme :

« Certaines des hypothèses des modèles ont été faites pour que les résultats des modèles correspondent à l’historique des températures passées, d’autres pour obtenir les hausses de température futures souhaitées par leurs auteurs. »

D’ailleurs :

« … les résultats des modèles sont en contradiction les uns avec les autres et avec beaucoup d’observations et sont devenus de plus en plus divergents avec chaque génération de modèle. »

Il semble que de plus en plus de gens, et de scientifiques, commencent à ne plus supporter l’alarmisme climatique. Je rappelle aussi la contrition de Michael Shellenberger, ancien activiste revenu à la raison. Son livre : Never Apocalypse. (image 4)

Après avoir pointé les mensonges du GIEC, Steve Koonin va plus loin dans la critique de l’alarmisme des vecteurs dédiés à la peur: alarmisme  des médias, des politiques et des militants. Il relativise le rôle du CO2.

0,7 %

Son récent livre n’est pas encore traduit en français et il faudra le lire pour disposer de plus de détails sur ses affirmations. Heureusement cet article le résume avantageusement. Suite des extraits :

« Steven Koonin donne une raison scientifique essentielle pour laquelle le CO2 émis par l’homme a peu d’influence sur la température de l’atmosphère : la saturation de l’effet de serre du CO2 par le CO2 naturel. 

Il compare ce phénomène à celui d’une « vitre noire » : une première couche de peinture noire sur une vitre transparente la rend en partie opaque ; une deuxième couche ne change pratiquement rien à son opacité. De même le CO2 anthropique ne change presque rien au réchauffement dû au CO2 naturel : la chaleur absorbée par tout le CO2 émis par l’homme depuis 1750 ne représente que 0,7% de la chaleur absorbée par le CO2 naturel. »

Je fais confiance à ses calculs, n’ayant pas la possibilité de les vérifier par moi-même. 

Simulations

Il n’est pas le seul à aboutir à ces conclusions. En 2014, avec la méthode de l’identification*, un scientifique français spécialiste mondial des modèles, Philippe de Larminat (image 2 : son livre), écrivait:

« Les simulations de l’auteur (ndla: lui-même) sont bien moins alarmistes que celle présentées dans le dernier rapport du GIEC qui indique des augmentations de température dans une fourchette de 2 °C à 6 °C dans les 100 prochaines années. Les simulations de l’auteur indiquent quant à elles une fourchette comprise entre 0,5 °C et 2 °C sur la même période. » 

Il ajoute:

« Dans son ouvrage l’auteur démontre tout l’intérêt de la méthode d’identification* qui, sur la base des données, montre la contribution essentielle de l’activité solaire dans l’augmentation de la température du globe, alors que cette dernière est très largement minimisée dans les modèles du GIEC. 

Une analyse statistique met en évidence que cette minimisation est d’au moins un facteur 10 ! Dans cette situation les modèles du GIEC n’ont pas été en mesure de prédire la pause climatique** en vigueur depuis presque 20 ans. »

Agence politique

Sur l’image 3 on voit l’évolution de la température mondiale moyenne depuis 2002. On constate bien la pause jusqu’en 2016, année d’un El Niño extrêmement intense qui a provoqué une bouffée de chaleur peu résorbée ensuite par une Niña faible.

L’image 4 montre l’évolution des températures de surface des océans, les réelles en noir en bas du graphique, comparées aux prévisions délirantes des modèles qui tous déforment et exagèrent. C’est sur la base des pires estimations de ces modèles que se fonde l’idée d’urgence climatique. On dirait que le réel n’est pas d’accord et veut casser le moral du GIEC.

Le GIEC se trompe, et il cache la vérité, selon ces observations, et selon les expériences réalisées par les deux scientifiques de pointe que je cite aujourd’hui.

Le problème du GIEC est sa politisation. Comme indiqué dans ses statuts, il a été créé pour prouver le réchauffement par tous les moyens, pas pour étudier le climat de manière objective et contradictoire. Ses membres et soutiens sont pour beacoup des activistes écopolitiques, ou des flippés comme Greta.

Leurre

D’ailleurs les rapports du GIEC sont séparés en deux. Une version longue, plutôt nuancée, et une version courte pour les décideurs politiques, version beaucoup plus alarmiste. Et ses chiffres laissent place à une très large approximation. Par exemple

« Selon le nouveau rapport des experts du climat du Giec adopté ce vendredi à Stockholm, la température moyenne sur la Terre devrait augmenter de 0,3° à 4,8° d’ici à 2100. Ce qui représente une hausse du niveau des océans de 26 à 82 cm. »

Augmentation entre 0,3° et 4,8°, un rapport de 1 à 16 (ça fait quand-même beaucoup !) dont les médias alarmistes et les activistes radicologistes ne retiennent que la valeur la plus élevée – qui est la plus alarmiste et anxiogène et pourtant la moins probable. Idem pour les océans: de 26 à 82 cm, il y a un battement inutilisable car on ne sait pas quelle sera la réalité.

L’urgence climatique est un leurre, écrivait François Gervais récemment. Plus je creuse le sujet, plus j’en viens à la même conclusion.

Et je suis extrêmement attristé de voir tant de gens suivre aveuglément ces discours de peur qu’on nous injecte comme un poison, ou comme un formatage de type religieux. On n’est pas loin d’une sorte de hold-up économique et moral sur la société dans son ensemble.

Hypnose

À la télé l’autre jour, des activistes du climat s’exprimaient. L’un disait: « Je ne prendrai plus l’avion ». Quel dommage pour lui. Un autre affirmait qu’être végan est une condition de base pour être activiste du climat. Une condition ? Les petits tyrans affûtent leurs armes. 

Une autre s’opposait à cela. Mais comment se rendra-t-elle en Amérique, continent qu’elle souhaite visiter? « En voilier » dit-elle. Construire des voiliers pollue, les matériaux polluent, la présence de dizaines de milliers de voiliers sur les océans va polluer pire que le plastic. Bon, ils sont à l’âge où l’on dit des conneries avec beaucoup de sérieux. J’attends de les voir s’émanciper de la peur.

Le réchauffement n’est pas la question environnementale majeure, c’est bien plus la pollution.

On peut espérer que le réalisme reprendra ses droits. Ou alors, à force de renoncements (ils savent déjà interdire), l’économie s’écroulera. Qui ça, « ils »? Les rouges, les activistes, les politiques intéressés à faire des voix, les réacs du climat, les fachos du thermomètre, et les autres. Ils seront chômeurs de par leur propre initiative. Cette génération qui a tout reçu va-t-elle détruire les acquis dont notre notre vie bénéficie tant? Il me semble que c’est un vrai débat dont les enjeux ne sont pas encore transparents.

Résiste !

Le GIEC n’est pas un organisme scientifique neutre mais une officine politique et le fer de lance de lobbys de plus en plus puissants. Les grandes questions environnementales à quoi je souscris sont la réduction des pollutions, l’aménagement des territoires et des villes, la santé des forêts, les économies d’énergie. Cette courte liste n’est pas exhaustive.

Il devient nécessaire, urgent peut-être, de mettre en cause sans ménagement les méthodes et conclusions du GIEC, et la doctrine politico-médiatique de l’apocalypse, avant que la folie de l’urgentisme climatique ait durablement porté atteinte à notre civilisation, et ait engendré une génération de « sauveurs » qui deviendront nos tyrans en grandissant.

Une nouvelle oppression se met en place, avec notre consentement aveugle. La critique de ce système d’oppression ne suffit pas, il faut une résistance active.

Il nous faut réfléchir au comment résister.

[Voir aussi le dossier Climat]


*Note 1

« L’identification est la détermination d’un modèle mathématique à partir des observations en entrée et en sortie du système que l’on souhaite étudier. En d’autres termes, trouver (identifier) les liens entre les causes et les effets. Dans le sujet qui nous intéresse, les entrées sont la concentration du dioxyde de carbone atmosphérique, l’activité solaire ou encore l’activité volcanique. La sortie est la température de surface du globe. On parle ici de modèle « boite noire », c’est-à-dire que les liens entre les entrées et la sortie sont purement mathématiques, à aucun moment cette modélisation ne cherche à représenter physiquement la réalité des processus mis en œuvre. La méthode est donc « libre » et non contrainte a priori.

Les modèles du GIEC1 sont tout le contraire : ce sont des modèles numériques basés sur les lois physiques. Ainsi les résultats obtenus par ces modèles dépendent fortement des lois implémentées. Ces modèles sont donc d’une part fortement contraints par les variables et paramètres des équations qui les construisent et d’autre part évidemment incapables de reproduire des processus qui n’ont pas été pris en compte parce que, par exemple, trop complexes. »

**Note 2:

La pause a duré jusqu’en 2015. Un très puissant et long El Niño a ensuite envoyé une grosse bouffée de chaleur dans l’atmosphère et fait monter les moyennes. Il a fallu attendre quatre ans pour qu’une Niña digne de ce nom, puissante, commence à inverser la tendance. La contribution des océans au réchauffement est remarquable à chaque épisode El Niño intense depuis 30 ans.




Fraude électorale avec les machines à voter : la preuve en images




Macron annonce que s’il est réélu le 24 avril, il ne s’interdira pas « d’avoir recours au pass vaccinal »

[Source : lemediaen442.fr]

Après que le gouvernement a suspendu les livraisons de « vaccin » Pfizer pendant les élections, Macron a lâché une information de taille qui ne va pas rassurer les Français qui pensaient être libres de tout mouvement. Ils vont peut-être devoir revenir au vaccin pour partir en vacances.


Lors d’une interview sur le pure player français Brut, le présidentiable Emmanuel Macron laisse entrevoir ses projets pour le peuple de France. S’il est réélu le 24 avril 2022, il ne s’interdira pas de réintroduire le pass vaccinal et donc l’obligation vaccinale pour accéder aux lieux de loisirs, bars, restaurants, transports… « La loi a donné la possibilité au gouvernement de l’utiliser jusqu’en juillet. Et donc s’il y avait une remontée très forte, qui s’accompagnait d’une montée des hospitalisations et en réanimation, qui conduit à une déprogrammation des opérations, il ne faut pas s’interdire de réutiliser le pass vaccinal », a expliqué l’actuel président.

Après les élections les affaires reprennent : les livraisons de Pfizer ne sont suspendues que jusqu’au 27 avril 2022. Le virus, ce pilier de bar, a horreur des isoloirs, donc même non vacciné, vous pourrez en toute décontraction aller voter Macron. Une fois Macron réélu et votre location d’été réservée, vous devrez vous faire injecter une dose. Sinon vous devrez rester chez vous !

La veille de l’élection, Macron montre qu’il fait le job jusqu’au bout pour que les principaux actionnaires de Pfizer, BlackRock et Vanguard, lui gardent une place au chaud bien payée. Au risque de ne pas être réélu…




L’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec est pire qu’en France

[Source : putsch.media]

Julien Garon-Carrier : « Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec? »

Les médias n’avaient pas bonne presse bien avant la crise sanitaire aussi bien en France qu’au Québec. Et la défiance s’est accélérée pendant la pandémie de Covid19, toujours aussi bien au Québec qu’en France.

Julien Garon-Carrier, Éditeur en chef, d’un nouveau média en lancement au Québec « Libre Média » explique dans les colonnes de Putsch cette méfiance pour les médias et la naissance de « Libre Média » actuellement en cours de financement participatif.

Quel est l’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec?

Comme dans le reste du monde occidental, la liberté de presse a été particulièrement mise à mal durant les deux dernières années, soit depuis le début de la crise sanitaire. Aujourd’hui, elle est peut-être bien dans un état plus lamentable au Québec qu’ailleurs, puisque l’écosystème médiatique québécois forme un microcosme unique et hermétique.
Ainsi, la plupart des grands médias pendant la pandémie se sont alimentés aux mêmes sources, soit strictement des experts médicaux québécois, qui sont quasiment devenus des vedettes médiatiques : invités à la radio et à la télévision, cités dans les journaux quotidiennement.
Or, ces experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec (confinement, couvre-feux, port du masque, distance entre les individus) et sur la vaccination. Et leurs points de vue ont été très peu nuancés, c’est-à-dire que trop souvent ils s’imbriquaient parfaitement à ceux du gouvernement et de la Santé publique du Québec.

« Les experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec »

Dans ce contexte, les médias ont manqué à leur obligation critique d’exercer pleinement leur rôle de chien de garde de la démocratie, celui propre au quatrième pouvoir. En somme, ils n’ont été que la courroie de transmission des discours des experts médicaux et des politiques.
Il n’y a eu aucun espace dans le débat public pour les opinions divergentes ou les propos d’experts qui allaient à l’encontre de la doxa. Et parlons franchement, il y a eu de la censure et de l’intimidation de la part des médias, et l’utilisation de techniques de manipulation psychologique de la part du gouvernement.

Bref, l’espace mental du libre arbitre s’est significativement rétréci depuis deux ans au Québec. Après tout, plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement. Avec Libre Média, nous comptons y remédier.

« Plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement »

Vous évoquez dans une vidéo que les sources de financement québécois ne favorisent pas leur indépendance ? Pouvez-vous nous en dire quelques mots?

Le financement des médias québécois pose problème pour deux raisons. D’une part, le gouvernement fédéral (gouvernement du Canada) subventionne le salaire de plusieurs journalistes. Et d’autre part, le gouvernement provincial (gouvernement du Québec) a acheté une quantité de publicité phénoménale pendant la pandémie, représentant des centaines de millions de dollars, pour inciter la population à respecter les mesures sanitaires et à se faire vacciner.
Un adage vieux comme le monde stipule qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit. Cet adage prend tout son sens dans le contexte actuel : il révèle l’évidence.
Que se serait-il passé si un média de masse avait décidé de donner la parole chaque semaine à des experts qui n’auraient pas endossé le récit dominant, qui auraient véhiculé des hypothèses différentes, qui auraient émis des réserves sur l’approche à adopter pour la gestion sociale de la pandémie ?

Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents-conseils que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? Ce qui fait polémique en France est balayé sous le tapis de l’autre côté de l’Atlantique. Le financement est, et sera toujours, un levier pour effectuer des pressions sur les contenus.

« Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? »

L’impartialité des grands médias a été remise en cause par beaucoup pendant la crise sanitaire. Quelle analyse faites-vous de cette situation ?

L’impartialité est un principe associé à celui de l’équilibre des points de vue, afin d’offrir un texte objectif aux lecteurs. Or, sous le couvert du consensus scientifique, les médias de masse nous ont balancé les propos d’experts qui, en fait, n’exposaient qu’un seul côté de la médaille, n’exploitaient qu’une seule facette de l’histoire.
Par exemple, nulle part dans les médias québécois, les risques des effets à long terme des injections ARN-m n’ont été sérieusement discutés. Lorsqu’ils étaient évoqués, ses détracteurs s’empressaient de lui opposer le risque de la forme longue de la maladie à coronavirus.
Ou encore, lorsque l’ancien animateur vedette de Radio-Canada, Stéphane Bureau, a interviewé le professeur Raoult à l’été 2021, cela lui a vivement été reproché, alors que les points de vue opposés à la chloroquine se sont maintes fois fait entendre sur les ondes du média d’État. Il a même reçu un blâme de l’ombudsman de Radio-Canada. Et au terme de cette saga, M. Bureau a choisi de ne pas renouveler son contrat avec le média d’État.
Et je pourrais continuer comme ça en dressant une liste effarante de sujets, de thèmes et d’angles qui ont, à toutes fins pratiques, soit été ignorés par les grands médias, soit reçus un traitement biaisé.
Bref, l’impartialité en a pris pour son rhume dans les médias au Québec pendant la pandémie de COVID-19.


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Le rôle du journaliste consiste à dévoiler la vérité au grand jour, dans une optique de probité publique.
Cela s’inscrit dans une démarche d’indépendance d’esprit, voire de marginalité, afin de promouvoir le libre-arbitre et de produire une information qui colle à la réalité, ce qui n’est pas une mince tâche, puisque les contraintes structurelles des organes de presse pèsent lourd sur le journaliste. Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui. Chez Libre Média, nous souhaitons offrir de la latitude à nos journalistes, tout en respectant l’éthique de la profession.

« Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui »

Quel sera votre modèle économique chez Libre Média ? Uniquement de l’abonnement ?

Nous revendiquons être un média financé par le peuple et pour le peuple, donc oui les abonnements constitueront une bonne part de nos recettes. Cependant, nous souhaitons avoir une couverture médiatique d’envergure à terme et cela nécessitera des revenus d’annonceurs, mais attention, pas n’importe lesquels. Nous désirons des annonceurs publicitaires dont la vision et les valeurs s’arrimeront à 100 % avec celles de Libre Média, afin d’assurer l’entière indépendance de pensée de nos contenus.

« Ni de gauche, ni de droite, nous créons un nouveau paradigme ». Néanmoins quelle sera votre ligne éditoriale ?

Notre ligne éditoriale mise sur le respect des valeurs de notre coopérative, soit la liberté, la transparence et la bienveillance. Nous voulons éviter les grilles de lecture prédéterminées qui encadrent la réflexion et la cloisonnent dans un espace mental restreint. Il y a de bonnes idées à gauche et de bonnes idées à droite. Néanmoins, la transcendance des clivages pour donner préséance à l’humain dans toute sa sacralité oriente notre ligne éditoriale.
En ce sens, la mission de Libre Média consiste également à mettre en vitrine l’émergence de modèles régénératifs économiques et de gouvernance du développement territorial. S’inscrivant dans un paradigme de décentralisation du pouvoir décisionnel et un retour à l’équilibre avec notre environnement naturel, ce mouvement régénératif s’accélère particulièrement depuis quelques années au Québec et à l’échelle de l’Occident.

Allez-vous aussi traiter de sujets internationaux ou vous concentrer sur le Québec ?

Naturellement, nous allons nous concentrer sur le Québec et le Canada. L’information internationale s’avère complexe et chaque région du monde possède ses enjeux géopolitiques stratégiques et ses particularités culturelles et politiques. Cela requiert des journalistes d’expérience avec un bon bagage, des études et une bonne tête, ce qui est assez dispendieux.
Par exemple, faute de budget, au Québec la plupart des médias de masse francophone, pour ne pas dire l’ensemble d’entre eux, emploient les services de l’AFP pour les nouvelles internationales. Nous voyons mal comment un média indépendant comme Libre Média pourrait diffuser les articles de l’AFP, qui admettons-le, sont « orientés ». Donc, oui, développer l’information internationale, mais sur le long terme, pour bien faire les choses.

Est-ce que les Québécois sont enclins aujourd’hui à s’abonner de nouveaux médias indépendants ?

Il y a deux ans, soit avant la crise sanitaire, la réponse à cette question aurait été toute autre, mais aujourd’hui, il y a une partie substantielle de la population qui est prête à poser ce geste. Le peuple n’est pas dupe. Une prise de conscience s’est opérée. Il a vu le « storytelling » des médias, la propagande des gouvernements, les articles biaisés en faveur d’un point de vue! Le peuple a soif d’une information qui sort de l’ordinaire.
Et à en juger par notre campagne de financement sur notre page libremedia.ca, ayant permis d’amasser plus de 80 000 $ en trois semaines, je crois que nous sommes sur la bonne voie. Il y a certainement un lectorat prêt à investir, c’est indéniable et de bon augure.

Pour en savoir plus sur Libre Media : https://libremedia.ca/




Baisse des performances sportives après vaccination par un vaccin COVID-mRNA

[Source : reinfocovid.fr]

À RETENIR

  • Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau antérieur à la vaccination.
  • Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
  • Ces effets sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination des premiers sportifs.

Cet article est une traduction de l’article de J. Murphy, C. Huber, “Student athletes perform worse than controls following COVID vaccines”(([1]  J. Murphy, C. Huber, Student athletes perform worser than controls following COVID vaccines 20 jan 22 https://pdmj.org/papers/Student_athletes_perform_worse_than_controls_following_COVID_vaccines))

Il s’agit de l’étude rétrospective des performances sportives de vingt jeunes athlètes-étudiants de Lycées et Collèges après vaccination par un vaccin anti-COVIDmRNA.(([1]  J. Murphy, C. Huber, Student athletes perform worser than controls following COVID vaccines 20 jan 22 https://pdmj.org/papers/Student_athletes_perform_worse_than_controls_following_COVID_vaccines)) La moitié d’entre eux était vaccinée et l’autre ne l’était pas (décision prise au préalable par leurs parents). Les activités sportives des deux groupes étaient les mêmes. Les auteurs ont aussi comparé les performances des sujets vaccinés avec leurs résultats antérieurs à la vaccination. On verra que les modifications observées après vaccination sont utiles pour illustrer les modifications cardiovasculaires apparaissant lors de la vaccination.

[Voir aussi :
Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !
15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami « pour des raisons de santé »
Stop au poison ! Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19]

Les preuves de corrélation entre des lésions et des décès avec l’administration de vaccins CovidmRNA sont en train de s’accumuler et les études cliniques consacrées à ce phénomène se comptent par centaines(([2] COVID vaccines scientific proof lethal. Jan 5 2022
https://www.saveusnow.org.uk/covid-vacciine-scientific-proof-lethal/)). Plus de1.500 types d’effets indésirables, dont beaucoup sont connus pour entraîner un handicap permanent, avec un total dépassant 158.000 cas, ont été trouvés après l’utilisation de vaccin anti-Covid Pfizer, et les auteurs encouragent les lecteurs à en lire la liste sur les 9 dernières pages du rapport joint ici(([3]  Cumulative analysis of post-authorization adverse event reports of PF-07302048 (BNT62B2) received through 28_Feb-2021 Pp. 30-38
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experiencce.pdf)). Ce document de Pfizer n’avait pas été ouvert au public par la FDA qui voulait le rendre inaccessible avant 75 ans, a été déclassifié en décembre 2021 sur Ordre du Tribunal(([4] US District Court. Northern District of Texas. Public Health and Medical Professionals for Transparency v Food and Drug Administration. Complaint for declaratory and injunctive relief
https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/10/001-Complaint-101021.pdf)). Les médecins et les scientifiques du monde entier se sont alarmés de voir les risques de lésions sévères et de décès dûs à cette vaccination. Le Dr Sucharit  BHAKDI, immunologiste et microbiologiste renommé, et le Dr A. BURKHARDT, pathologiste, ont résumé le rôle direct de la vaccination dans les morts observées(([5]  S. BHAKDI, A. BURKHARDT. On COVID Vaccines : why they cannot work, and irrefutable evidence of their causative role in deaths after vaccination. 
https://doctors4covidethics.org/wp-content/uploads/2021/12/end-covax.pdf)). Les résultats d’autopsie montrent plus d’anomalies au niveau cardio-vasculaire que pour n’importe quel autre organe. L’élévation des marqueurs d’inflammation est corrélée avec les vaccins anti-COVID(([6]  S. Gundry. Abstract 10712 : Observational findings of PULS cardiac test finding for inflammatory markers in patients receiving mRNA vaccines. Circulation. Nov 8 2021
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712)). Et on pense que les morts soudaines observées parmi les athlètes pendant l’année 2021 depuis l’expansion de l’utilisation des vaccins anti-COVID est principalement dûe à une pathologie cardiaque ou cardiovasculaie sévère.

Deux entraineurs partageaient l’entraînement des athlètes-étudiants et avaient des relations franches et informelles avec leurs élèves. Ils ont ainsi pu connaître leurs réactions après vaccination, de même qu’ils ont pu facilement savoir qui était vacciné et qui ne l’était pas. Une stricte anonymisation des sportifs, de leurs parents et de leurs entraîneurs a été respectée pour éviter l’aspect émotionnel lié à la propagande faite pour la vaccination par les leaders politiques. Le choix des parents, quant à la vaccination de leur enfant, n’a pas été connu ni par les entraîneur ni par les auteurs de l’étude avant que celle-ci soit terminée.

Voici le rapport des entraîneurs obtenu rétrospectivement après leur observation des sujets vaccinés :

  1. Aucun des sujets vaccinés n’a pu atteindre son niveau de performance antérieur à la vaccination. Tous ont été en dessous de leur niveau en 2020, selon les évaluations des deux entraîneurs.
  2. Aucun des sujets vaccinés ne peut soutenir le même exercice pendant la durée qu’ils toléraient pourtant avant la vaccination.
  3. Le temps de récupération après l’effort était plus long chez les vaccinés qu’avant la vaccination ; il était également plus long que chez les non vaccinés.
  4. Après les injections de vaccin, la plupart sinon tous les vaccinés se plaignaient de l’une ou plus des réactions suivantes après vaccination :
    1. Douleur thoracique
    2. Sensation de vertige
    3. Voir des étoiles
    4. Se sentir près de s’évanouir
    5. Souffle court

Les jeunes sportifs parlaient à leur entraîneur spontanément et librement de ces symptômes.

  1. Les filles non-vaccinées étaient maintenant capables de battre les garçons vaccinés en compétition. Ceci est inattendu et considéré comme inhabituel par les entraîneurs.

1), 2), 3) et 5) sont encore observés chez tous les sportifs vaccinés, jusqu’à plusieurs mois après la vaccination.

Par contre, les sportifs non-vaccinés n’ont eu aucun des symptômes ou déficit de leurs performances sportives ou de diminution de leur endurance, comme observé par les deux entraîneurs, et continuent à améliorer leurs performances et leur endurance, comme s’y attendaient les entraîneurs.

On peut s’attendre à ce que les athlètes aient une circulation sanguine plus efficace pendant un exercice que s’ils étaient sédentaires. Cette augmentation de la circulation a pour but de suppléer au besoin accru d’Oxygène du corps et à l’élévation d’activité métabolique que requiert cet exercice.

Augmenter le flux sanguin requiert une augmentation du débit cardiaque et une vasodilatation artérielle. La vasodilatation coronaire est contrôlé par des mécanismes autorégulateurs, de même que l’innervation neurologique vasculaire médiée par le système nerveux autonome et les hormones servent à ajuster vasodilatation et vasoconstriction, si c’est rendu nécessaire par une activité physique.

Les vaccins COVIDmRNA démarrent leur activité par la production de protéine Spike partout dans le corps. Les effets de cette protéine Spike sur les récepteurs ACE2 dans l’endothélium vasculaire sont une vasoconstriction. Le résultat peut être l’empêchement d’augmentation de flux sanguin et d’oxygène, au moment où la demande est la plus importante, pendant l’exercice. Les facteurs immunitaires et inflammatoires associés à la protéine Spike peuvent aussi affecter les cellules périvasculaires et périartérielles, aboutissant à une infiltration de lymphocytes T-CD8 et de lymphoctes NK(([6]  S. Gundry. Abstract 10712 : Observational findings of PULS cardiac test finding for inflammatory markers in patients receiving mRNA vaccines. Circulation. Nov 8 2021
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712)). Tout cela peut diminuer la vasodilatation coronaire.

De plus, les positions et les effets de la protéine Spike viennent compliquer le problème de l’apport de sang aux tissus coronaires et périphériques. Exsudant de la surface endothéliale, les protéines Spike sont arrimées sur les récepteurs ACE2. Ceux-ci sont suspectés d’affecter défavorablement un flux sanguin turbulent plutôt qu’un flux laminaire. Quand le sang stagnant s‘accumule, la cascade des réactions de coagulation démarre de façon ubiquitaire dans tout le corps. De tels micro-caillots s’épaississent et ralentissent le flux sanguin, ce qui va encore plus empêcher la livraison de sang et d’oxygène dans les lits capillaires du cœur et à la périphérie.

Donc, le flux sanguin coronaire peut être défavorablement affecté par une viscosité élevée, qui est aussi causée par une agrégation des globules rouges, provoquée par la protéine Spike par le biais d’une adhésion via la molécule CD 147. En résultat, le cœur se fatigue à pousser au travers des artérioles et des capillaires du corps un liquide plus visqueux que le sang normal.

Un tel mécanisme, décrit plus loin ici(([7]  C.Huber. Heart damage from the COVID vaccines : is it avoidable ? PDMJ 3 Jul 14 2021
https://pdmj.org/papers/myocarditis_paper)) crée un obstacle au passage optimal du sang, ce qui affectera nécessairement tous les receveurs de vaccins anti-COVID générateurs de protéines Spike. Nous devons donc recommander d’éviter l’utilisation de tout vaccin anti-COVID  pour tous les enfants ou jeunes adultes qui prévoient ou réalisent un engagement dans les exercices physiques.

Références




On a ce qu’on mérite

[Source : oumma.com]

Par Hocine Kerzazi
10 avril 2022, 9 h 39 min

L’élection présidentielle annonce des lendemains difficiles et celui du 24 avril sera particulièrement violent. La France se réveillera dans la douleur et il faudra se regarder en face. À moins qu’un sursaut salvateur ne se produise.

La France a besoin d’un bouleversement, d’une prise de conscience radicale. L’état de santé démocratique du pays est préoccupanti mais, à en croire les sondages, trop peu de Français en mesurent la gravitéii.

Et pour cause, de savants procédés de soumissioniii et de manipulation des massesiv sont déployés par le président depuis cinq ans, et ça marche : une foule d’adeptes sensibles aux grosses ficelles médiatiques s’interdit de réaliser qu’un désastre se prépare sous leur nez. Ils persistent à nier le péril démocratique en cours et refusent tout ce qui invalide désormais la légitimité du président-candidat. Ils font prévaloir la logorrhée médiatique, leur dogmatisme ou leur carrière sur la réalité du bilan présidentiel.

Quand on leur présente des faits concrets, ils refusent de les voir, s’enferment dans des calculs politiciens, des attaques personnelles et des raisonnements par étiquettes, déconsidérant les messagers pour s’épargner à bon compte de juger le réel. Ils sont comme le coyote du cartoon qui galope dans le vide sans s’apercevoir que le sol s’est dérobé sous ses pieds. La chute n’est pas moins inévitable.

Aussi, il y a là de quoi être particulièrement inquiet de ces attitudes d’aveuglement volontaire. Inquiet d’abord de voir des Français se résigner et attendre l’homme providentiel qu’on choisira pour eux. Inquiet ensuite d’en voir se défausser, et participer à leur propre naufrage.

Je suis d’autant plus préoccupé que j’ai dressé le bilan social catastrophique d’Emmanuel Macron, et que je tente d’alerter sur ce qui se joue sous leurs yeuxv. Je montre en effet dans mon livre qu’il est encore temps d’agir contre ce déclin de la démocratie et l’autoritarisme en cours. Par exemple, avec les mesures politiques de bon sens dont je rends compte dans le dernier chapitre, mais surtout par la critique à la racine du macronismevi, par le dévoilement de ses ressorts idéologiquesvii, de la teneur de son projetviii et de son échec manifesteix.

Le fait est que toutes ses belles promesses se sont envoléesx. Les mirages de la novlangue et du jargon techno-managérial se sont évanouisxi. Ne restent que le vide moral et les scandalesxii. Les milliardaires d’Open-Luxxiii privent nos services publics de milliers de milliards d’eurosxiv, mais le scandale continue d’être occulté par des gouvernants complaisants et une machine médiatique complicexv. Comment admettre qu’une infime part du peuple français « s’exonère, en cachette, des charges communes et de l’intérêt général »xvi alors que, dans le même temps, un président arrose de millions des cabinets privés américainsxvii, explique « qu’il n’y a pas d’argent magique » pour les hôpitaux aux aboisxviii, qu’il faut « se serrer la ceinture »xix, et donc travailler plus longtempsxx ?

À l’heure où les scandales sapent les bases de notre société, l’urgence du moment commande de ne plus faire semblant de rien. Les Français ne sont pas des moins que rien tout juste bons à consommer, à obéir et à se taire. Nombre d’entre eux oppose une résistance farouche à l’apathie que les empires du divertissement s’appliquent à instiller dans leurs esprits. Mais ils doivent encore se libérer d’une triple aliénation : celle des mass-médias qu’il est temps de rendre véritablement indépendantsxxi ; celle de l’oligarchie dont il faut révoquer les privilègesxxii ; celle de la croissance aveugle et forcenée qui mine le progrès humainxxiii.

Ce n’est qu’à cette condition, en développant une conscience avertie, libre et humaine, qu’ils pourront s’extraire du défaitisme ambiant et regagner leur souveraineté.

Mais pour que s’accomplisse cette espérance, un chemin tortueux reste à parcourir. L’élection présidentielle ouvre la voie et nous place devant nos responsabilités : décider de notre destin collectif ou se complaire dans l’effondrement. Alors, quelle que soit l’issue du scrutin, « on aura ce qu’on mérite ».

Notes

i https://www.economist.com/graphic-detail/2021/02/02/global-democracy-has-a-very-bad-year?utm_campaign=editorial-social&utm_medium=social-organic&utm_source=twitter

ii La situation tient en six points : 1. « Grand effondrement » des services publics : https://www.ouest-france.fr/elections/presidentielle/presidentielle-plusieurs-associations-alertent-du-grand-effondrement-des-services-publics-87115970-8dbd-11ec-b752-e3a9d18d1e6e; 2. Appauvrissement des plus pauvres : https://www.ouest-france.fr/economie/social/les-francais-les-plus-riches-s-enrichissent-les-plus-pauvres-s-appauvrissent-6971836 ; 3. Surveillance de masse : https://www.la-croix.com/France/Radicalisation-algorithmes-traquer-signaux-faibles-2021-04-28-1201153078 ; https://www.lci.fr/justice-faits-divers/fichiers-de-renseignement-le-conseil-d-etat-autorise-le-fichage-des-opinions-politiques-ou-appartenances-syndicales-2174615.html ; 4. Recul du droit à l’information : https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/18/loi-securite-globale-le-conseil-de-l-europe-exhorte-led-senat-a-amender-le-texte_6063815_3210.html ; 5. Limitation des libertés: https://www.laquadrature.net/2019/05/09/une-loi-contre-la-haine-anti-macron/https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3452_proposition-loi; 6. Répression violente : https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/24/un-nouveau-camp-de-migrants-au-c-ur-de-paris-aussitot-violemment-demantele_6060869_3224.htmlhttps://www.lefigaro.fr/marches-des-libertes-un-photographe-syrien-blesse-rsf-denonce-des-violences-policieres-20201128https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/videos-le-journaliste-remy-buisine-frappe-au-sol-par-un-policier-a-paris-enquete-ouverte_37683319.htmlhttps://www.mediapart.fr/journal/france/030121/comment-les-forces-de-l-ordre-ont-sabote-la-manifestation-du-12-decembre-2020?onglet=fullhttps://www.amnesty.org/fr/latest/news/2020/11/france-is-not-the-free-speech-champion-it-says-it-is/http://www.snj.fr/thèmes/liberté ; https://rsf.org/fr/observatoire19-Coronavirus-Covid19https://www.lemonde.fr/police-justice/video/2019/12/11/notre-enquete-video-comment-la-police-a-grievement-blesse-un-gilet-jaune-le-16-novembre-sur-la-place-d-italie-a-paris_6022448_1653578.html ; https://www.lemonde.fr/police-justice/video/2019/10/17/gilets-jaunes-comment-un-policier-a-tire-au-lbd-40-dans-la-tete-d-un-manifestant_6015828_1653578.htmlhttp://www.snj.fr/thèmes/liberté ; https://rsf.org/fr/observatoire19-Coronavirus-Covid19https://www.mediapart.fr/journal/france/180619/liberte-d-expression-nicole-belloubet-veut-s-attaquer-la-loi-de-1881https://vincennesparisot.wordpress.com/page/3/, https://www.lemonde.fr/…/gilets-jaunes-reporters-sans… , https://www.coe.int/fr/web/commissioner/-/maintaining-public-order-and-freedom-of-assembly-in-the-context-of-the-yellow-vest-movement-recommendations-by-the-council-of-europe-commissioner-for-https://news.un.org/fr/story/2019/03/1037951, https://www.nouvelobs.com/societe/20190312.OBS1572/gilets-jaunes-le-defenseur-des-droits-denonce-un-renforcement-de-la-repression-en-france.html…

iii Comme l’écrit Français Ruffin, Emmanuel Macron a perdu le consentement du peuple : « Vous ne dirigez plus. Il ne vous reste que la force de coercition : la police tous les samedis, les matraques et les gaz lacrymogènes. Vous ne dirigez plus : vous dominez ». Ce qui importe à Emmanuel Macron n’est pas de gouverner le peuple français mais de le soumettre. https://francoisruffin.fr/pacte-aeroports-de-paris/.

iv Pour gérer la crise sanitaire, on attendait d’un Président de la République qu’il réunisse les experts français de santé publique et qu’il consulte les organes officiels. Cependant, Emmanuel Macron a préféré monter de toutes pièces un pseudo « conseil scientifique » créé par cooptation, sans valeur scientifique, ni aucune attribution en santé publique. Pire, il a préféré engager des organisations privées, des Nudge Unit, spécialisées dans le neuro-marketing, la suggestion mentale et les techniques manipulatoires d’incitation et de modulation des comportements. Celles-ci ont ainsi été chargées de prendre toutes les décisions concernant la crise sanitaire afin, espérait le président, nous conduire dans la « bonne direction ». https://www.francebleu.fr/infos/societe/coronavirus-comment-les-sciences-comportementales-aident-les-politiques-a-gerer-la-crise-sanitaire-1585316002,

v Hocine Kerzazi, Islamo-diversion. Un quinquennat de casse sociale, Paris : L’Harmattan, 2021, 196 p.

vi https://oumma.com/emmanuel-zemmour/

vii https://oumma.com/sublime-imposture/

viii https://oumma.com/si-macron-est-reelu/

ix https://oumma.com/2022-lapocalypse/

x https://www.acrimed.org/Les-editocrates-eblouis-par-Macron-et-en-rage, https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/04/04/a-l-assemblee-le-grand-debat-accouche-d-une-souris_5445660_823448.html

xi https://www.marianne.net/politique/emmanuel-macron-elu-il-va-falloir-s-habituer-sa-novlanguehttps://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-novlangue-manageriale-un-instrument-de-manipulation-au-service-du-pouvoir/

xii https://oumma.com/lautre-scandale-de-macron/

xiii OpenLux est une enquête monumentale lancée par Le Monde et un consortium international de journalistes. Elle révèle l’ampleur de l’évasion et de la fraude fiscales : 37 des 50 familles les plus riches de France échappent ainsi au fisc. Des dizaines de privilégiés gravitant dans les arcanes de la finance, des médias et de la politique privent les caisses publiques françaises de centaines de milliards d’euros chaque année. 6 500 milliards de fortunes planqués dans des paradis fiscaux. Autant de recettes en moins pour nos hôpitaux, pour nos écoles, pour nos retraites.

xiv https://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/11/06/25001-20171106ARTFIG00212-paradise-papers-face-a-l-evasion-fiscale-la-classe-politique-demunie.php

xv Pas un mot (ou presque), dans les médias de milliardaires parfois mis en cause. Rien dans Le Parisien et Les Échos du milliardaire Bernard Arnault ; rien sur BFM-TV, RMC, Libération du milliardaire Patrick Drahi ; rien sur Challenges et Sciences et Avenir du groupe Nouvel Observateur du milliardaire Claude Perdriel ; rien dans Paris Match, Journal du Dimanche et Europe 1 du milliardaire Arnaud Lagardère. https://www.francetvinfo.fr/economie/impots/paradis-fiscaux/paradis-fiscaux-on-vous-resume-openlux-ces-revelations-qui-epinglent-le-luxembourg-et-des-grandes-fortunes-francaises_4289725.html

xvi https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/02/08/openlux-en-n-osant-pas-nommer-un-paradis-fiscal-on-ne-s-attaque-pas-aux-questions-qui-minent-nos-democraties_6069135_3232.html

xvii https://www.humanite.fr/politique/vaccination/derriere-le-fiasco-vaccinal-les-ravages-dune-gestion-confiee-aux-cabinets

xviii https://www.franceculture.fr/emissions/le-temps-du-debat/budget-largent-est-il-devenu-magique

xix https://www.20minutes.fr/economie/2095087-20170629-jusqu-point-france-va-devoir-serrer-ceinture-cour-comptes-rend-rapport ; https://www.lepoint.fr/economie/comment-les-collectivites-locales-vont-devoir-se-serrer-la-ceinture-17-07-2017-2143796_28.php ; https://www.capital.fr/economie-politique/les-chambres-de-commerce-priees-de-se-serrer-la-ceinture-1297351 ;

xx https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/04/29/non-les-salaries-francais-ne-travaillent-pas-moins-que-leurs-voisins_5456229_4355770.html#:~:text=Les%20décodeurs-,Non%2C%20les%20salariés%20français%20ne%20travaillent%20pas%20moins%20que%20leurs,ou%20plus%20que%20leurs%20voisins.

xxi Cagé, J. Huet, B. L’Information est un bien public. Refonder la propriété des médias, Seuil, février 2021.

xxii https://www.bastamag.net/Herve-Kempf-Il-est-vital-pour-l

xxiii https://www.traxmag.com/elon-musk-veut-diffuser-de-la-musique-directement-dans-votre-cerveau/https://www.francetvinfo.fr/sciences/high-tech/bill-gates-steve-jobs-quand-les-patrons-de-la-silicon-valley-interdisent-les-portables-et-les-reseaux-a-leurs-enfants_2514445.html, https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/implantation-sous-cutanee-des-micropuces-rfid-ou-en-est-on-91046/




Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

[Source : mondialisation.ca]

Les « cas confirmés Covid-19 » par PCR n’ont aucun sens. Le projet de test d’antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux

Par Prof Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement le 28 mars 2022.

Introduction

Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.

La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.

Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité. 

Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations. 

Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.

Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars. 

Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.

En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)

Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.

« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

La base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide.

La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides. 

L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)   (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de  détecter et identifier le SRAS-CoV-2. 

Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir :  Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »

Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.

Cliquez ici ou sur l’écran pour voir la vidéo



Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC),  les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases »  (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.

Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR 

Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de  créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire  une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :

« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS »

Mercola

Le traité sur la pandémie   est lié au  projet de code de vérification QR de l’OMS ,  qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020  et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.

Peter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Selon  David Scripac   « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales  [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC). 

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».

La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».

Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption: 

1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020 Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.

2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.

3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.

4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.

5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.

Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.

Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19

Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».

La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :

83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).

Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.

Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,

Le jour suivant, le 31 janvier 2020 :   le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis  étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.

20 février 2020 :  Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un  briefing à Genève, le directeur général de l’OMSLe Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:

« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…

« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »

Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.

Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros. 

11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales.

Une pandémie est généralement définie comme:

« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population »

(Webster-Merriam , emphase ajoutée)

En supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.

C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020

Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .

« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».

L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le  nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de   44279 et 1440 décès  (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.

(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).

Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès  (« présomptifs » plus PCR confirmés).

Selon l’OMS,  le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.

Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait  3 457 «cas confirmés»  sur une population de 329,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.

C’EST UNE FRAUDE. UN GROS MENSONGE.  

Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère

Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.

Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.

Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure.

De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.

Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.

Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.

Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.

Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid

Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm

https://www.youtube.com/embed/xSrc_s2Gqfw

Source : HeathData.org

#Oui, c’est un « Vaccin tueur »

Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels  indiquent environ :

65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis.

Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.

Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » !

Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme  un « virus tueur ».

Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .

« Il  y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel  … »

Nature

Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre :  « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :

« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …

Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite » 

La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …

Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.

Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.

En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?)Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19

« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. »

D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:

« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .

Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »

Si le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.

Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.

Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron

Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?

Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.

Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche.  Cela a incité les gens à se faire vacciner.

L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :

«  Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »  

À son tour,  le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins.  … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )

Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.

Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.

Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale

Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]

Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.

Au Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.

Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.

Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21)

Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 »

Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à  faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».

En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.

L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes  

Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :

 » Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ». 

Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.

À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)

Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.

Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).

Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes

Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de  94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.

140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.

Le Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne. 

Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.

Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)

Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)

Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standardSelon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :

Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)

Ce que le NYT ne mentionne  pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)

La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippeNous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.

  • 31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide
  • Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue)
  • Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres
  • 12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés 

Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».

L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.

Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.

« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19

Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années..En décembre 2021, Bloomberg rapportait que.« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « ..Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars. .Qui détient les droits de propriété intellectuelle ?  .La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021..« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates)

En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont  investi dans

« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».

Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».

Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du  Global Access Health de la Fondation Gates.

L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».

Michel Chossudovsky

L’article a été publié initialement en anglais le 19 mars 2022.

Traduction et révision par l’auteur.


À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?

[Source : agoravox]

Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?

Lien vers les vidéos : 

Partie 1 : https://youtu.be/ZPCkx1zwY20

Partie 2 : https://odysee.com/@decoderleco:c/surmortalite_jeunes_vaccins



Une surmortalité trop fréquente partout en Europe

Pour savoir si un pays a plus de morts que l’attendu, Euromomo propose un z-score par pays et semaine. Le z-score est la différence entre le nombre de décès constaté (x) et le nombre de décès attendu (μ) divisé par l’écart-type de la distribution (&#120648 ;).

S’il est positif, c’est qu’il y a une surmortalité et s’il est négatif c’est qu’il y a une sous-mortalité. Il sera d’autant plus grand que la différence entre les décès constatés et les décès attendus est éloignée des différences habituelles.

On constate alors que les z-score des 15-44 ans sont très souvent positifs depuis le milieu de l’année 2021 pour une grosse majorité de pays. La plupart des pays ne franchissent pas la courbe en pointillés représentant une surmortalité anormale. En revanche, au niveau européen, lorsque les données des pays sont agrégées, on observe ce franchissement. Cela signifie qu’en Europe, on constate une légère surmortalité partout en même temps.

Pour se rendre compte que cette surmortalité est vraiment anormale dans chaque pays, même si elle ne franchit pas les pointillés, faisons l’hypothèse qu’elle est due au hasard. Constater une surmortalité ou une sous-mortalité revient alors à jouer à pile ou face. Entre la semaine 20 et la semaine 52 de 2021, il y a 33 semaines. Cela représente donc 33 lancers. Cela fait 2^33 résultats possibles (soit un peu plus de 8,5 milliards). Le nombre de lancers où l’on obtient k fois « pile » est donné par la formule :

On peut alors calculer la probabilité de faire n’importe que nombre de fois « pile » en 33 lancers.
La probabilité de chaque résultat est donnée par la courbe ci-dessous :

En 33 lancers, on réalise entre 9 et 24 « pile » dans 99,5 % des cas. Sur 33 semaines, nous pouvons donc considérer « normal » d’avoir un z-score négatif entre 9 et 24 fois. Il n’y a qu’une chance sur 200 d’obtenir moins de 9 z-score négatifs ou plus de 24 z-score négatifs sur 33 semaines.

On constate alors qu’en 2021, le z-score est très peu souvent négatif pour une majorité de pays d’Europe. Par exemple, en France, il n’y a que 3 semaines qui ont un z-score négatif. Sur les 26 zones considérées, 12 ont moins de 9 z-scores négatifs sur 33 périodes (et 3 en ont plus de 24). Cette situation est exceptionnelle au regard des mêmes périodes les années précédentes. Le résultat est sans appel : il y a trop de morts en 2021 depuis cet été chez les 15-44 ans selon les projections euromomo.

Une vérification s’impose

Évidemment, découvrir qu’il y a plus de morts que prévu impose de vérifier l’origine de la prédiction, tout spécialement en période de « crise ». En effet, depuis 2 ans nos institutions composées de « grands spécialistes » poussent des cris d’orfraie devant « l’hécatombe Covid » en oubliant que la population vieillit et que des hausses mortalités « anormales » arrivent en fait tous les 2 à 3 ans. Malheureusement, Euromomo ne nous donne pas le détail du calcul de son z-score. Il nous faut donc télécharger les données pour vérifier par d’autres méthodes si nous trouvons les mêmes résultats. Pour mémoire, toutes les données utilisées sur la chaîne Décoder l’éco sont publiques et en provenance des instituts officiels, et tous mes programmes sont publics et en ligne sur github. J’invite tout chercheur qui souhaiterait les utiliser à me contacter si besoin.

La majorité des pays d’Europe fournit les données de décès hebdomadaires et de population par tranche d’âge. Nous pouvons donc reconstruire une prévision des années 2019, 2020 et 2021, à partir des années 2013 à 2018, pour mesurer toute surmortalité.

Nous avons réalisé 2 projections différentes pour vérifier si elles sont cohérentes entre elles et avec celle d’euromomo. Les tranches d’âge sont les 15-24 ans, les 25-49 ans, les 50-59 ans, les 60-69 ans, les 70-79 ans et les plus de 80 ans. Comme Euromo, nous réalisons des projections hebdomadaires.

Ces projections doivent nécessairement prendre en compte :

–    1) L’évolution tendancielle du nombre de décès (due à l’évolution de la pyramide des âges et éventuellement à celles des quotients de mortalité) ;

–    2) La saisonnalité (plus de décès en été pour les jeunes, plus de décès en hiver pour les plus âgés).

Par exemple, pour les 70-79 ans au Danemark, on constate qu’il y a de plus en plus de décès. Cela signifie que cette population augmente à cause du vieillissement des baby-boomers. De plus, les décès sont bien plus nombreux l’hiver que l’été pour cette tranche d’âge. On les relie aux maladies hivernales. Notre projection doit donc prévoir cette hausse des décès et cette mortalité hivernale.

À l’inverse, le nombre de décès des 15-24 ans en Pologne a tendance à baisser. La Pologne est également un pays qui vieillit. On y trouve de moins en moins de jeunes. Contrairement aux personnes âgées, les décès sont plus nombreux l’été. On les relie aux comportements à risque des jeunes pendant cette période. Notre projection pour les jeunes doit continuer cette baisse et prévoir plus de morts l’été.

De manière naturelle la saisonnalité sera gérée en utilisant pour chaque semaine que l’on souhaite projeter les mêmes semaines des années du passé. Par exemple, la prédiction de la semaine 10 de 2020 est construite à partir des semaines 10 des années 2013 à 2018.

La tendance longue est gérée de manière différente dans les 2 modèles.

–    Le premier modèle ne tient compte que du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine. Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès, de manière linéaire, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que toutes les tendances d’évolution de population et de quotients de mortalité se prolongent 3 années de plus. La courbe rouge représente les décès observés et la courbe grise les décès prévus par le modèle. La partie noire est la période servant à la construction du modèle et la partie violette est la partie testée.

Il suffit ensuite de calculer la différence entre le modèle et la réalité pour savoir s’il y a une surmortalité ou une sous-mortalité. Avec ce modèle, le constat est simple : quasiment tous les pays connaissent une surmortalité depuis l’été 2021 chez les jeunes. Par exemple, si on somme tous nos pays d’Europe fournissant les données, on obtient le graphique ci-dessous pour les 15-24 ans. Une barre rouge représente une surmortalité et une barre verte une sous-mortalité. La courbe bleue représente une tendance de 6 semaines. Elle reste nettement au-dessus de 0.

–    Le deuxième modèle tient compte du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine et de la population de cette tranche d’âge chaque semaine. Pour se faire, le modèle calcule la mortalité standardisée par âge (retrouvez le détail du calcul des décès standardisés dans cette vidéo). 

Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès standardisés, de manière linéaire, comme précédemment, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que les changements du nombre de décès d’une année sur l’autre s’expliquent par l’évolution de la pyramide des âges et par l’évolution de la tendance des quotients de mortalité. On retrouve encore le même résultat : les jeunes meurent trop.

Donc, quel que soit le modèle que l’on choisit pour projeter les décès, que ce soit les modèles Euromomo ou ceux que nous venons de voir, on conclut qu’il y a trop de décès chez les jeunes européens depuis l’été 2021. Mais pourquoi meurent-ils ? Que s’est-il passé de spécial dans une majorité de pays d’Europe depuis l’été 2021 ?

Le Sénat refuse d’analyser la mortalité selon le statut vaccinal

Nous venons donc de voir que nos jeunes européens meurent trop depuis cet été. C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux pass-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.

En France, d’après les chiffres du gouvernement, 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire. Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 148 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de Santé. Aux États-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont encore plus impressionnants.

Nombre de remontées de pharmacovigilance déclarées sur Eudravigilance au 17/02/2022 :

Le 9 février 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a été saisi par le Sénat pour étudier les effets secondaires des vaccins. Pour s’assurer que les travaux de cette commission permettraient réellement de conclure sur le sujet et pas d’enterrer cette question, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans le Système National des Données de Santé (SNDS). Elles nous permettraient de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès. Cette demande, pourtant naturelle et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions.

Il y a donc une censure extrêmement grave de la part de la commission du Sénat, qui refuse que soit rendue publique la possibilité de cette analyse de la mortalité post-vaccinale. Pour dénoncer cette censure, Laurent Mucchielli a écrit une tribune déjà signée par plus de 600 chercheurs, scientifiques, avocats et professionnels de santé. Il est nécessaire aujourd’hui de mettre en lumière ce refus du Sénat et d’obliger le gouvernement à publier ces données essentielles. De quoi peut donc bien avoir peur le Sénat ? Pourquoi l’analyse de la mortalité à la suite d’injections de vaccins sûrs et efficaces poserait problème ? N’aurait-on pas dû suivre précisément les chiffres de mortalité suite aux injections depuis plus d’un an ? En particulier avant de les proposer aux enfants et de forcer la main aux plus de 12 ans ?

Des surmortalités synchronisées avec les campagnes vaccinales

Le site de l’ecdc fournit une base de données du nombre de vaccins distribués dans chaque pays, chaque semaine, et par tranche d’âge. Il est alors possible de joindre ces données de vaccination aux données de mortalité que nous avons calculées précédemment. 

On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne. Ces hausses sont visibles aussi bien avec le modèle de mortalité simple qu’avec le modèle de mortalité standardisée. 

Il faut souligner que, si ces injections engendraient des problèmes de santé, on aurait exactement les mêmes courbes. On observerait tout d’abord des hausses de mortalité pour les quelques personnes qui ne supportent pas l’injection et qui font une réaction forte, puis une mortalité un peu plus élevée que d’habitude pour les personnes que l’injection a rendues durablement malades. Voici une dizaine d’exemples parmi tous les cas possibles :

Pour les 15-24 ans du Portugal et de Pologne, on observe une surmortalité au moment des campagnes vaccinales. Elle est particulièrement forte au Portugal qui a injecté 95 % de sa population jeune en très peu de temps, et plus diffuse en Pologne qui n’a injecté que 55 % de ces jeunes et sur un temps plus long.

Pour les 25-49 ans en Estonie et en Hongrie on observe également des hausses de mortalité au moment des injections. La Hongrie est le premier pays à avoir massivement vacciné ses jeunes et connaît une hausse de mortalité très tôt dans l’année.

Pour les 50-59 ans en France et en Grèce on observe différentes vagues de mortalité depuis le début des campagnes vaccinales également.

Pour les 60-69 ans en Autriche et en Croatie les courbes de surmortalité épousent presque parfaitement les courbes des vaccinations.

Pour les 70-79 ans au Danemark et en Italie on observe bien une surmortalité au printemps, au moment où la mortalité hivernale est censée descendre. Tout se passe comme si les injections avaient déclenché une nouvelle vague de mortalité hivernale dans l’année. Pour mémoire la vague de mortalité d’octobre 2020, a lieu exactement au moment des injections des vaccins antigrippaux.

En plus de ces concordances sur les graphiques, nous avons vérifié si un pic de vaccination correspond à un pic de décès. Vous trouverez les résultats en ligne sous forme de tableau. Pour cela nous regardons les 2 plus gros pics de surmortalité depuis le début de la vaccination, et nous vérifions s’ils se trouvent à moins de 2 semaines d’un pic de vaccination. Par exemple, il y a en moyenne 41 semaines depuis le début de la vaccination des 25-49 ans. Il y a donc une probabilité de 5 sur 41 (soit 12 %) que le plus gros pic de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Il y a une probabilité de 23 % que l’un des 2 plus gros pics de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Nous constatons que sur nos 17 pays étudiés, cela arrive dans 40 % des cas, ce qui est significativement trop : les pics de mortalité sont trop souvent proches des pics vaccinaux pour que cela soit dû au hasard. Les pics de mortalité des jeunes sont trop souvent proches des pics de vaccination des doses 1 et 2, et les pics de mortalité des plus âgés sont trop souvent proches du pic de vaccination de la dose 3.

Nous ne sommes pas les seuls à trouver toutes ces concordances. Le chercheur belge Patrick Meyer a publié un préprint qui conclut à un lien significatif entre le nombre d’injections et la surmortalité dans de nombreux pays européens en utilisant des méthodes de machine-learning. Les chercheurs Sprio Pantazatos et Hervé Seligmann ont publié un préprint montrant un lien entre le nombre de personnes vaccinées et la surmortalité constatée dans les différents États américains. Les chercheurs Steve Ohana et Alexandra Henrion-Caude ont également publié un préprint montrant les liens entre la vaccination et les hausses de mortalité des jeunes en Israël. C’est également ce que montre Christof Kuhbandner sur les données détaillées allemandes.

Il est assez surprenant de voir autant de statistiques aller dans le même sens, sans que cela ne fasse aucun bruit dans les médias. Ce sont pourtant ce genre de statistiques qui ont amené autant de monde à conclure qu’un virus était responsable des hausses de mortalité. On se demande donc à quoi joue la commission du Sénat en refusant d’étudier la mortalité toutes causes post-vaccinale. Qui a conseillé à la commission d’enterrer cette requête de Laurent Toubiana ? Est-ce le même cabinet de conseil qui depuis le début de la crise conseille la DREES dans ces choix statistiques ?

Quelle que soit votre opinion sur les vaccins, les virus ou la pandémie de Covid-19, la seule chose certaine c’est que nous n’aurons jamais les réponses à nos questions si nous n’exigeons pas d’avoir tous les éléments. Nous avons donc tous besoin d’avoir les chiffres à disposition pour enfin savoir et trancher. Il faut absolument forcer le Sénat et le Ministère de la Santé à publier toutes ses données. C’est une question vitale de Santé Publique et même de Souveraineté et de Démocratie. Au-delà même de cette question des vaccins, il est nécessaire de nous battre pour obtenir le droit de savoir et de décider.




Effets secondaires des vaccins : les scientifiques allemands jettent plusieurs pavés dans la mare

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Tabou pour certains, scandale pour d’autres, les effets secondaires de la vaccination anti-Covid sont un sujet de plus en plus prégnant, qui prend la forme d’une dangereuse cocotte minute… Médecins et scientifiques allemands travaillent d’arrache-pied à ce que la glace soit brisée. Si bien que la presse mainstream n’arrive plus à éluder la question et se voit bien obligée de rapporter des propos pour le moins inquiétants quant à la campagne de vaccination.

Les observations du généraliste Eric Freisleben

Ainsi, la Berliner Zeitung ou encore la télévision nationale ont dû rapporter ces jours-ci les observations d’un médecin berlinois très en vue, le généraliste Erich Freisleben. Un relai inhabituel étant donné que celui-ci s’est déclaré à maintes reprises contre toute obligation vaccinale, et avait publié en 2021 un livre réquisitoire : Medizin ohne Moral (Médecine sans morale).

En 35 ans d’exercice, Eric Freisleben déclare avoir vu, jusqu’en 2021, environ cinq cas d’effets secondaires graves des vaccins. Or, depuis 2021 et les injections anti-Covid, il a vu « 96 cas avérés » et a dû embaucher un autre médecin à son cabinet pour y faire face. Il explique 3 % de ces patients vaccinés sont en incapacité totale de travailler. Sur un échantillon de 60 patients vaccinés, les D-dimères sont anormalement élevés chez 40 % d’entre eux ; ce sont les signaux de micro-caillots diffus.

Il a également trouvé des « anticorps antagonistes », observés normalement sur environ 3 % des poches de sang, et seulement chez un malade grave ou chronique. Mais, sur les patients présentant des effets secondaires que voit désormais le médecin, « 90 % d’entre eux sont dans ce cas. » Ces récepteurs se trouvant dans le cœur, les yeux, les reins, cela expliquerait la diversité des symptômes. « Nous connaissons leur existence, mais pour combien de temps ces anticorps entraveront-ils le trajet des signaux, nous n’en savons rien encore. De tels incidents n’ont jamais été observés avec d’autres formes de vaccin », explique-t-il.

Déplorant la passivité des autorités et l’absence de toute recherche officielle sur les effets secondaires, Eric Freisleben expérimente actuellement un traitement à la cortisone, qui fonctionne relativement bien chez environ 70 % des blessés, car suppose-t-il, les injections auraient déclenché un processus inflammatoire massif et généralisé. Il relève également, chez 95 % des patients présentant des effets secondaires, un manque flagrant de « Memory-Tc cells », des cellules qui jouent un rôle essentiel dans l’immunité.

À l’instar de ce médecin généraliste, en amont du vote au Parlement qui a eu lieu jeudi 7 avril, d’autres scientifiques de renom ont donné de la voix.

Surmortalité post-vaccinale

55 scientifiques, dont 43 professeurs titulaires d’université, ont décidé de tirer groupés pour défendre le professeur Christof Kuhbandner.

Le 21 janvier 2022, Christof Kuhbandner, expert des techniques statistiques et de modélisation mathématique, avait publié en open source un article de 28 pages intitulé « La surmortalité grimpe en corrélation chronologique avec les vaccinations-COVID« . Il y concluait que « la courbe des décès en 2021, ainsi que celle de la surmortalité, réflètent avec un léger décalage dans le temps, presqu’exactement la courbe de la 1ère et 2ème dose des vaccins puis des rappels ». Cet article a déclenché un barrage hostile, notamment de la part de l’Institut Leibniz pour la recherche en économie, sur la rubrique de leur site : « La non-statistique du mois ». (Unstatistik des Monats: Impfquote und Übersterblichkeit, eine „Spurious Correlation“ = Taux de vaccinés et surmortalité – une corrélation fallacieuse).

Le 3 avril, les susnommés 55 scientifiques ont signé et publié une lettre ouverte argumentée, appelant au retrait immédiat de l’article de la rubrique « Unstatistik des Monats » :

« Nous nous agaçons de ce que la rubrique renommée Unstatistik des Monats puisse publier un texte aussi mal recherché et douteux de point de vue factuel, texte qui de surcroît et de manière flagrante désinforme le grand public au sujet d’un signal d’alarme qui existe et qui indique des effets secondaires possibles des injections anti-COVID. Ainsi, nous exigeons le retrait immédiat de ce texte et la publication d’une mise au point. Des publications aussi peu sérieuses entravent la bonne pratique scientifique en vue du développement de médicaments sûrs, ce qui – ainsi que le démontre l’histoire de la pharmacovigilance – met en danger la santé et la vie d’innombrables êtres humains et nourrit la défiance envers tous les vaccins dans la population. »

Le Paul-Ehrlich Institut en prend pour son grade

À la mi-mars, cinq professeurs titulaires de chimie à cinq universités différentes, en Suisse et en Allemagne, avaient cosigné plusieurs lettres au Paul-Ehrlich Institut (PEI, équivalent de l’ANSM), exigeant d’avoir accès aux données « sur le potentiel oncogène des injections à ARNm ». Ils demandaient aussi l’accès aux études validant l’utilisation des adjuvants des injections ALC-0159 et ALC-0350, des réponses précises sur le contrôle qualité des lots, ainsi que le détail des dispositifs officiels prévus pour le signalement des effets secondaires. Ces lettres pointent des manquements notables. Mais, n’ayant pas reçu de réponse satisfaisante dans les 15 jours fixés comme échéance, les professeurs ont fait publier l’une des lettres en précisant leurs exigences dans les journaux allemands.

Les dangers de la protéine Spike

De même, à la mi-mars et depuis son laboratoire de pathologie à Reutlingen, le médecin légiste Arne Burkhardt a envoyé une série de lettres au PEI, dans laquelle il expose les résultats actualisés des 40 autopsies qu’il a supervisées et appelle à un arrêt immédiat à la campagne de vaccination. Dans la lettre du 16 mars, désormais publique, il écrit notamment :

« Dans tous les tissus des organes étudiés, notamment le système vasculaire, le cœur et le cerveau des personnes subitement décédées en relation temporelle avec la vaccination contre le SARS-CoV-2 (dont la majorité ne prenaient aucun traitement et n’étaient pas hospitalisés), apparaissent des lésions correspondant à l’action de substances toxiques, accompagnées de réactions inflammatoires, témoin de lésions intravitales. Les résultats histologiques sont, dans leur combinaison, extrêmement inhabituels et dans certains cas jamais observés auparavant. […] Dans ces lésions et les zones inflammatoires autour des vaisseaux, il a été possible d’identifier nettement l’expression de la protéine Spike grâce à l’immunohistochimie, qui est particulièrement spécifique. Ainsi a-t-on pu démontrer que cela est provoqué par la vaccination plutôt que par une infection au virus SARS-CoV-2. »

Et le Pr Burkhardt conclut sa lettre au PEI ainsi :

« Pour ces motifs, nous vous demandons instamment, en ce qui concerne ces médicaments (appelés vaccins) basés sur l’ARNm ou pro-ARNm :

a.  Comirnaty
b.  Spikevax
c.  Vaxzevria
d.  Vaccin Covid-19 Janssen

1. le retrait immédiat desdits médicaments actuellement en circulation ;
2. la suspension immédiate des autorisations de leur mise sur le marché ;
3. la présentation au signataire de cette lettre avant le 18 mars 2022 d’une copie de vos décisions en la matière. »

Si la lettre est restée sans réponse, elle a toutefois été lue par des dizaines de milliers d’Allemands avant le vote sur l’obligation vaccinale.

Lire aussi : En faisant produire la protéine Spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie

La BKK Pro Vita avait sonné l’alerte

Fin février 2022, Andreas Schöfbeck, alors président du conseil de BKK ProVita, l’une des caisses d’assurance maladie d’entreprise les plus importantes du pays, pulvérisait les rapports officiels en assurant dans une lettre que le nombre d’effets secondaires était sous-estimé d’un facteur 10.

Lire aussi : Effets secondaires des vaccins: un assureur allemand pulvérise les rapports officiels

Début mars, Andreas Schöfbeck a été congédié, le jour même où il avait prévu sa rencontre avec le Paul-Ehrlich Institut.

Quelques semaines après qu’il a été remplacé, le mathématicien et analyste des données Tom Lausen a déposé une plainte visant le nouveau chef de la mutuelle BKK Pro Vita. Et ce devant une centaine de procureurs allemands.

Lire aussi : Obligation vaccinale en Allemagne: procureurs et magistrats accusent le coup avec force

Dans un premier temps, Tom Lausen avait écrit au PEI pour demander si la nouvelle direction du BKK avait transmis les données chiffrées dont faisait état Andreas Schöfbeck, et si le PEI veillait à ce que les associations de médecins conventionnés transmettent, elles aussi, les données de pharmacovigilance conformément à la loi. Le long silence qui s’ensuivit a incité le mathématicien à prendre un avocat. Puis, il a déposé plainte, car « il est tout à fait possible que la vaccination provoque des blessures que les vaccinés ne peuvent imaginer d’avance. Ce sont des délits potentiels. »




Un des objectifs cachés de la guerre en Ukraine : la ruine et le dépeçage de l’Europe

[Source : srp-presse.fr]

Par François Martin

Parmi les diverses formes d’impensé politique que constitue l’atlantisme américain1, l’économie figure en bonne place. La guerre d’Ukraine offre aux néo-conservateurs et aux hommes d’affaires de ce pays une opportunité exceptionnelle, d’abord pour ruiner l’Europe, ensuite pour la dépecer.

À supposer que les herbivores aient une forme de conscience d’eux-mêmes, on peut penser qu’ils ne se perçoivent pas d’abord comme de la viande. Le problème, c’est que les carnivores, eux, ne voient pas les choses à la même enseigne. C’est toute la question de l’Europe.

Hubert Védrine a souvent dit que l’aventure européenne souffrait d’un défaut rédhibitoire, c’est le fait qu’elle était «un projet d’herbivores au milieu de carnivores». Et, de fait, l’Europe est construite depuis le départ sur une équivoque, une faiblesse si grave qu’il est essentiel, comme toutes les faiblesses majeures, de ne jamais la rappeler, même si elle est visible par tous : sa propre défense.

L’«AMITIÉ AMÉRICAINE» : PETITE RÉTROSPECTIVE

Cette prérogative essentielle est confiée, à travers l’OTAN, aux États-Unis2. Or il n’existe pas d’exemple dans l’Histoire où un pays ait eu à assurer durablement la sécurité d’un pays ou d’un groupe de pays sans qu’il ait perçu ces autres, à un moment donné, comme «de la viande». Les appétits du protecteur s’aiguisant, et les protégés étant à sa merci, il arrivera forcément un jour où il «passera à l’acte».

C’est dans la nature des choses : imaginons que nous engagions un «homme fort», suffisamment armé et au caractère bien trempé, pour protéger notre famille et notre maison. Il vit avec nous, il partage tous nos instants. Qui empêchera qu’un jour, quand l’envie lui en prendra, il se serve dans le frigidaire, puis dans la caisse domestique ? Puis il nous menacera si nous protestons. Il changera la décoration si celle-ci ne lui plaît pas, puis il battra nos enfants, enfin, il dormira dans notre lit, de préférence avec notre femme… Et ceci d’autant plus que le contexte du quartier sera plus dangereux. Dans ce cas-là, il se croira tout permis. Qui l’en empêchera, surtout si, pendant des décennies, nous lui renouvelons notre confiance malgré ses abus, sans jamais chercher ni à nous écarter de lui, ni à équilibrer nos relations en nous rapprochant d’un autre protecteur ? Certainement, ce moment arrivera un jour. L’Europe s’est mise dans cette situation, et ce jour, celui d’un pas supplémentaire dans la sujétion et l’humiliation, et demain la pauvreté et la misère, est arrivé.

D’abord, il faut remarquer que les USA, lorsqu’ils veulent quelque chose, ne font pas dans le détail, y compris avec leurs amis. Un exemple des plus éclairants est le plan du Débarquement de juin 1944. Ceux qui ne croient pas aveuglément l’Histoire officielle (celle des «libérateurs» de l’Europe) savent que le plan ne consistait pas à sauver Paris, mais au contraire à contourner le Bassin parisien, par le sud et par le nord, de façon à enfermer l’armée allemande dans une poche. Ainsi, cette dernière se serait certainement acharnée sur Paris3, ce qui aurait eu deux avantages : faire gagner du temps aux armées alliées pour foncer sur Berlin et, par ailleurs, faciliter ensuite la «prise en main» de la France, profondément traumatisée par une destruction atroce de sa capitale, par le système politique et administratif américain, ses gouverneurs et même sa monnaie. C’est le génie manœuvrier de de Gaulle et sa force de caractère qui nous ont sauvés de cette tragédie4.

Les Américains ont agi de même dans de nombreuses occasions, en trahissant, puis en ruinant leurs propres alliés :

En Iran, à l’époque du Shah5, celui-ci s’est d’abord appuyé sur les USA, grâce à son amitié avec Eisenhower, puis avec Nixon, pour prendre, puis consolider son pouvoir. Lorsque, plus tard, il tente de s’émanciper un peu en se rapprochant de l’Union soviétique et de la Chine, puis de l’Europe, les Américains se serviront précisément des oppositions internes à sa politique, jugée trop moderne, pro-occidentale et pro-américaine (ce qui est un comble !). Ils pousseront Komeyni pour le faire renverser. Il finira ses jours, atteint d’un cancer, en Égypte. On sait où en est l’Iran d’aujourd’hui, un pays où se conjuguent isolement et pauvreté.

Saddam Hussein6 est un autre exemple de «l’amitié» américaine. Il faut rappeler qu’à l’époque, l’Irak était, malgré ou à cause des méthodes du dictateur, le pays le plus développé du Proche-Orient. Lesquelles méthodes ne gênaient nullement l’Amérique7. D’aucuns ont affirmé que lorsque Saddam décide d’envahir le Koweït, en 1990, il a obtenu l’aval préalable de ses «grands amis». Mal lui en prend, comme on le sait8. Ensuite, l’Histoire a montré que la deuxième guerre du Golfe, en 2003, n’était pas une «guerre préventive», mais bien une opération de prédation pure, menée de main de maître, certainement, par Georges W Bush et son entourage néo-conservateur9. Aujourd’hui, l’Irak est un champ de ruines, économique et politique. On pourrait continuer la liste.

UNE OPÉRATION MINUTIEUSEMENT PRÉPARÉE DEPUIS 2014

Pour ces politiciens américains, souvent dirigeants eux-mêmes de groupes pétroliers et militaro-industriels américains, aucune opportunité n’est inintéressante10. Pour ces chasseurs invétérés, toujours en quête de proies, aucun gibier n’est négligeable. Lorsqu’on est persuadé de cela, suite à ces exemples historiques, il est facile d’imaginer à quel point la crise ukrainienne est pour eux une chance formidable, une opération minutieusement préparée depuis 201411 et déclenchée au moment choisi.

D’abord, le début coïncide très précisément avec la fin, assez calamiteuse, de leurs «affaires» en Irak, en Syrie et en Afghanistan, à l’été dernier12. Le début de la «phase opérationnelle» de l’affaire ukrainienne, démarrée au printemps avec le «carpet bombing13 médiatique », est trop parfait pour être l’effet du hasard. L’OTAN n’a jamais été «en état de mort cérébrale». Les questions moyen-orientales une fois soldées, le temps était venu d’ouvrir ce nouveau chapitre de la «lutte pour la liberté des peuples» soumis, cette fois-ci, à l’arbitraire russe. Est-ce qu’on n’a pas déjà entendu chanter cette chanson ?

Ensuite, la guerre a provoqué deux réflexes, de la part des Occidentaux, ces «herbivores» objets de la prochaine chasse :

Le premier a consisté à augmenter très fortement les budgets d’armements. La réaction la plus spectaculaire a été celle de l’Allemagne, qui a débloqué immédiatement une enveloppe de 100 Mds d’euros, avec la promesse d’augmenter ensuite son budget régulièrement14. Et ceci pour acheter principalement, cela va sans dire, du matériel américain15. Ce processus est le même pour tous les autres pays de l’OTAN, y compris la France16. Le tout début de cette guerre est donc déjà une extraordinaire opportunité pour l’industrie militaire américaine. On peut penser, d’ailleurs, que l’un de ses sous-objectifs, dans ce domaine, sera de ruiner et de piller dès que possible l’industrie d’armement française, qui représente, par rapport à ce «nouveau marché» européen qui s’ouvre à eux, une concurrence qu’ils vont rapidement considérer comme intolérable17.

L’autre «réflexe» européen a été celui des sanctions. Il a été unanime et fort important. On peut penser qu’il a été moins guidé par le choix d’une méthode propre à arrêter Poutine (quelques instants de réflexion suffisent pour comprendre que ce ne sera pas le cas) que par la nécessité d’allumer un «contre-feu médiatique» aux images, véhiculées par la presse, du malheur du peuple ukrainien. En effet, le choix, presque exclusif de la part des gouvernements occidentaux, d’une politique du verbe, de l’image et de la posture, au détriment d’une politique de l’action, les rend extrêmement sensibles aux campagnes médiatiques lancées par les autres, une chose que les Américains, des spécialistes de ce type de stratégie, ont bien compris, et dont ils se sont servis sans limite, avant et pendant ce conflit, et aussi par le passé.

Il est à remarquer par ailleurs que la façon dont ces sanctions ont été votées est particulièrement significative de la faiblesse européenne. En effet, selon ce qui a été indiqué par la presse, les sanctions auraient été mises au point directement par le Département d’État américain, avec la Commission européenne, sans que les États-membres n’aient eu voix au chapitre, et qu’ils en ont été informés vingt-quatre heures avant leur promulgation. Si c’est le cas, c’est particulièrement inquiétant.

Nonobstant le fait qu’il va falloir maintenant, et ça ne va pas être une mince affaire, expliquer aux opinions qu’on a violemment impacté leur pouvoir d’achat pour une guerre qui n’était pas dirigée contre eux18, cette «délégation» aux Américains d’une politique de sanctions qui concerne essentiellement l’Europe19 ouvre évidemment la porte, pour l’entourage de Biden, à des choix qui non seulement «embêtent» les Russes, mais favorisent également l’affaiblissement de l’industrie européenne, dans le but d’une future prédation sur nos industries et nos ressources.

Qui pourrait empêcher que nos «amis» de l’Ouest n’aient envie de raisonner ainsi, puisque nous avons indiqué, d’entrée de jeu, que nous le leur permettions ? Pourquoi se gêneraient-ils pour venir faire leur marché » chez nous, alors que nous leur ouvrons si complaisamment la porte ? Et pourquoi s’empêcheraient-ils, dès aujourd’hui, de préparer ce futur raid en choisissant les sanctions qui font le plus mal aux Russes, mais aussi à nous, puisque, visiblement, nous ne faisons rien pour leur dire non ? La problématique actuelle est bien le fait que nous servons, dans ce conflit, de «chair à canon», puisque c’est nous qui sommes en première ligne et qui prenons tous les risques, économiques, militaires et aussi nucléaires20. À l’évidence, la suite des opérations sera le fait que nous soyons aussi les «morceaux» qui seront ramassés, au moindre prix. Qu’est-ce qui montre, aujourd’hui, que les choses risquent de se passer différemment ?

DEUX CONFIRMATIONS

Un des exemples qui tendent à prouver que c’est bien dans ce sens que les choses se dessinent est la question du paiement des exportations russes en roubles. On sait en effet que Poutine, très intelligemment, a exigé, pour lutter contre la dépréciation du rouble induite par les sanctions, que les exportations de ses produits vers les pays «inamicaux» soient payées en roubles. Cela ne gêne en aucune façon, en principe, les pays européens. Qu’est-ce qui les empêche, en effet, d’acheter du rouble ? Les seuls que cela gêne – et c’est pour eux un point très important –, ce sont les USA, parce que cela tend à remettre en cause le monopole du USD pour les transactions internationales. Si demain, l’habitude se répand que les grandes transactions internationales soient payées en yuans, en euros, en roubles ou en yens, c’en est fini de l’avantage américain. Ce serait un affaiblissement politique de première grandeur. Pour cette raison, ils tiennent à ce «dogme» comme à la prunelle de leurs yeux.

Ils ont donc fait répondre, par l’Allemagne et la France entre autres, le refus de cette modalité. Mais si, demain matin, les Russes ne livrent plus leur gaz à l’Europe parce que nous refusons d’acheter des roubles (parce que les Américains nous l’interdisent, alors que cela ne nous gêne pas), ce sera la faillite pour de nombreuses entreprises européennes21. S’ouvrira alors, pour les fonds et les «majors» américaines, un «marché de la casse» dont ils seront bien bêtes de ne pas profiter. Dans une telle affaire, nous sommes clairement les «dindons de la farce», et les choses sont parties pour durer, puisqu’il est clair, nous l’avons démontré, que si les Russes ont tout intérêt à écourter le conflit, lorsqu’ils auront obtenu ce qu’ils veulent (la «finlandisation» de l’Ukraine), et à rentrer chez eux, les Américains, eux, ont un objectif principal, embourber les Russes sur place et «vietnamiser» leurs adversaires22.

Un autre exemple est le blocage commercial imposé par les sanctions. Il se développe dans trois directions :

  •  L’achat de produits russes : à mesure que les sanctions nous interdisent d’acheter aux Russes, nous sommes obligés de trouver des fournisseurs de substitution. Devinons, comme dans le cas du gaz, qui nous est imposé en priorité ?
  •  La vente de produits aux Russes : la Russie représentait pour nous un débouché important. Si nous ne pouvons plus leur vendre, nos entreprises seront très fragilisées. Devinons, là aussi, qui sera en première ligne pour nous racheter ?
  •  Enfin, les partenariats commerciaux avec la Russie, essentiellement par le biais de nos filiales sur place. C’est le pire scénario des trois puisque, nous le savons, le gouvernement russe a déjà présenté à la Douma un projet de loi visant à nationaliser les entreprises étrangères qui cesseraient, même momentanément, de travailler en Russie. Ainsi sont menacés des fleurons français comme Renault, Total, Auchan ou Décathlon. Si Auchan et Décathlon ont déjà indiqué qu’ils n’interrompraient pas leurs activités russes, il n’en est pas de même pour Renault, cloué au pilori (dans son message aux parlementaires français !) par le zélé Zélinsky, toujours bien disposé à relayer les injonctions américaines23. Ceci est particulièrement dangereux puisque, dans ce cas, nous perdrons à la fois notre CA et notre capital24. Malgré ce risque, notre propre État ne nous défend pas, et il laissera nos entreprises se faire «lyncher» par les médias si elles n’obtempèrent pas aux ordres américains. Et lorsqu’elles auront fait faillite, devinons, là aussi, d’où viendront les fonds pour les «sauver» ?

À QUI LE CRIME PROFITERA-T-IL ?

Dans tous ces cas, à qui le crime profite-t-il25 ? Et surtout, à qui profitera-t-il demain puisque, c’est une évidence, ce conflit va durer, non pas parce que les Russes le souhaitent, mais parce que les Américains le veulent26. Où en sera notre économie dans six mois, dans un an, dans deux ans, dans dix ans ? Et l’on comprend bien que la base, ce qui permet de faire justifier auprès d’opinions crédules, dans une certaine mesure27, les sacrifices et les souffrances qu’elles endurent, et celles qu’elles endureront à l’avenir, c’est la guerre. C’est elle qui peut faire accepter la veulerie des États européens, car, face à la menace, «les Américains nous protègent» et «nécessité fait loi28». C’est elle qui doit permettre, en fin de compte, d’accélérer la prédation. Il sera donc essentiel, aux yeux des stratèges américains de la communication, de faire en sorte que l’injonction «C’est la guerre !» et sa mise en scène durent le plus longtemps possible.

Ceci est d’autant plus grave que, encore une fois, cette guerre ne nous concernait pas29… jusqu’à ce que nous acceptions de nous-mêmes d’y entrer, en décidant de livrer des armes et en devenant cobelligérants. On comprend mieux pourquoi il était essentiel pour les Américains de nous pousser dans cette direction. On comprend aussi l’erreur magistrale que nous avons commise en ne refusant pas de nous engager sur ce terrain. Pourquoi ne pas nous être limités à l’humanitaire ? Maintenant, nous sommes de plein pied dans une «logique de guerre». En temps de paix, nous avons déjà eu la monstruosité arbitraire de l’extraterritorialité du droit américain. En temps de guerre, un temps qui justifie tout, où s’arrêteront les exigences de nos «protecteurs» ?

Il ne sert à rien de proposer de réparer la maison vétuste sur la plage, si l’on ne voit pas arriver l’énorme tsunami, dont la crête se découpe déjà sur l’horizon. Face à une telle mécanique, un processus terrifiant, qui se met en place sous nos yeux, et pour lequel rien ne semble montrer qu’il devrait s’arrêter (puisque personne ne le dénonce !), rien moins que la ruine programmée et consentante de l’Europe et ensuite sa vente à la découpe30, les propositions franco-françaises de tous les candidats à la future présidentielle seront de bien peu d’importance. La seule chose qui pourra influer sur le cours des choses, en réalité, sera notre politique étrangère.

François Martin

Image UE : Kaonos / Shutterstock


1 – Voir «L’atlantisme, un impensé politique français» dans la Smart Reading Press du 18 mars 2022.

2 – Mise à part celle de la France, mais uniquement dans sa composante nucléaire. Pour le reste, la France fait partie de l’OTAN. S’y applique donc le Traité de Lisbonne, qui indique que, pour la défense européenne, l’OTAN reste «le fondement de la défense et l’instance de la mise en œuvre» de la PESC (cf. article supra, NDBP no 15).

3 – Comme elle en avait l’habitude. C’est ce qui s’était déjà passé à Varsovie, en août 1944. Suite à l’insurrection, les Allemands s’étaient atrocement vengés sur la ville, qu’ils avaient entièrement détruite. Sur l’autre rive de la Vistule, les Russes avaient attendu patiemment la fin du martyre pour intervenir… (Voir sur Wikipédia. Le plan initial américain était de permettre la même chose avec Paris.)

4 – Voir TV5Monde.

5 – Voir Wikipédia.

6 – Voir Wikipédia.

7 – En 1983, le néo-conservateur Donald Rumsfeld lui vend le gaz moutarde avec lequel il gazera ensuite les Kurdes, l’un des méfaits qu’on lui reprochera. Voir sur cette vidéo.

8 – Voir Wikipédia.

9 – Dans les jours suivant l’invasion américaine, les 7 milliards de USD de la réserve du Trésor irakien disparaîtront comme par enchantement. Voir Wikipédia.

10 – À son époque, Eisenhower se plaignait déjà de leur rapacité. Il faut rappeler que le mari de Victoria Nuland, l’égérie de l’affaire ukrainienne, n’est autre que Robert Kagan, le chef de file des néo-conservateurs américains (voir Wikipédia). Et le budget de la défense américain est passé, entre 2001 et 2022, de 280 à 773 milliards de USD. Les enjeux industriels et commerciaux sont donc colossaux.

11 – Voir «Ukraine : le piège s’est refermé… sur Poutine» dans la Smart Rading Press du 25 février 2022.

12 – Voir «Afghanistan : le changement des fondamentaux géopolitiques» dans la Smart Reading Press du 24 septembre 2021.

13 – Tapis de bombes.

14 – De façon à atteindre 2 % du PIB.

15 – Comment les Français, dans un tel contexte, ont-ils pu s’étonner d’être ainsi «trahis»&nbsp,? Cette réaction est de la pure mise en scène, ou alors une incroyable naïveté !

16 – 2 % du PIB au minimum également, pour tous les pays européens. Voir touteleurope.eu.

17 – Ce sont les Allemands, semble-t-il, qui sont chargés de cette «basse besogne».

18 – Du moins, elle ne l’était pas avant que l’on ne décide de livrer des armes aux Ukrainiens…

19 – Les Américains, en effet, ne sont pas impactés par les sanctions. Elles leur profitent même, en particulier pour le gaz de roche-mère, dont ils sont exportateurs, alors que nous nous en sommes volontairement privés. Nous nous sommes enfoncés dans le piège énergétique. Voir atlantico.fr.

20 – Voir Ukraine : et maintenant ? (Smart Reading Press) et le développement sur le «parapluie nucléaire américain».

21 – D’après l’économiste Charles Gave, si la Russie ne livre plus, elle peut tenir deux ans, mais l’Allemagne peut tenir quatre jours avant que son industrie ne s’arrête. Voir Sud Radio.

22 – Voir Ukraine : et maintenant ? (Smart Reading Press) et la stratégie américaine.

23 – Lorsqu’un «parrain» prête à un emprunteur 10 milliards de USD, ce dernier fait exactement ce que l’autre lui demande, sinon, il risque très vite une balle dans la tête. Depuis le début des négociations entre Russes et Ukrainiens à la frontière biélorusse, deux des négociateurs ukrainiens, sans doute un peu trop zélés, ont été assassinés à leur retour à Kiev…

24 – Depuis que Renault a annoncé l’arrêt de son activité en Russie, et sans même attendre que ses activités soient nationalisées, l’action a déjà baissé de 25 %, et la direction a annoncé 2 milliards d’euros de pertes pour cette année. Comment l’entreprise s’en relèvera-t-elle ?

25 – Voir le tweet de Jean-Frédéric Poisson du 26 mars 2022.

26 – Voir ci-dessus, NDBP n° 22.

27 – Et de moins en moins, il faut l’espérer.

28 – En vérité, ils ne nous protègent pas. C’est nous qui les protégeons… en faisant le tampon !

29 – Ce qui ne veut pas dire que nous ne devons pas nous protéger aussi contre les Russes. La règle «si vis pacem, para bellum» ne doit souffrir aucune exception.

30 – Voir : Laurent Izard, La France vendue à la découpe, L’Artilleur, 2019




Pour la paix en Syrie. Stop à l’embargo inhumain contre le peuple syrien

Pétition

Par Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples

La pétition

Pour avoir visité les villes principales de Syrie, nous pouvons témoigner que l’embargo a pour effet de poursuivre la guerre en Syrie sur le plan économique. 

La Syrie, pourtant détentrice d’importantes ressources pétrolières, voit celle-ci confisquées par les forces américaines occupant les zones de production. Il en résulte une pénurie énergétique permanente, qui se traduit par des fournitures d’électricité intermittentes. La vie quotidienne des Syriens en est gravement perturbée.

Si officiellement, ces sanctions américaines et européennes ne concernent pas les aides humanitaires, leurs conséquences sont néanmoins dramatiques, car aucune banque ou entreprise n’ose exporter des équipements pour les hôpitaux ou des médicaments vers la Syrie par crainte de sanctions des États-Unis. Ceux-ci pratiquent en effet l’extraterritorialité juridique qui pénalise lourdement toutes relations avec les états sous embargo. Enfin, cette situation comporte aussi le risque, – connu et calculé par les promoteurs de l’embargo -, de créer à terme des troubles civils plus ou moins graves.

80 % des Syriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les prix des produits alimentaires ont grimpé de 133 %. Ce qui se passe sur le sol syrien est un crime contre l’humanité.  

Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s’arrêter sans délai. Nous demandons solennellement l’arrêt immédiat de l’embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles et les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser immédiatement et impérativement.

La ténacité, le courage et le patriotisme du peuple syrien forcent le respect. Aidons-le. Signez et diffusez largement cette pétition. La France, patrie des Droits de l’Homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes en disant : Stop à l’embargo contre le peuple Syrien. 

Pour signer :
site de la pétition




Un exemple du bras long de l’OTAN et accessoirement de Soros dans le récit médiatique anti-russe

[Source : ahmedbensaada.com]

Soros et Le Quotidien d’Oran

Par Ahmed Bensaada

J’ai longtemps écrit pour Le Quotidien d’Oran (LQO). C’était un réel plaisir de composer des textes pour ce journal. En fait, ce n’était pas pour le « Quotidien » lui-même, mais pour « Oran », ma ville, mon phare, le centre de gravité de mes pérégrinations.

Je me suis éloigné de ce quotidien lorsque j’ai constaté que mes écrits (notamment « Arabesque$ ») sur le rôle néfaste de l’Occident dans la politique du monde arabe en général et de l’Algérie en particulier dérangeaient sa ligne éditoriale. Il en a été de même avec mon livre sur Kamel Daoud ou celui sur les « ténors autoproclamés du Hirak » dont les sujets sont directement ou indirectement liés au thème précédent.

Non seulement mes livres n’ont jamais fait l’objet de recensions sérieuses, ni de critiques argumentées, ni d’interviews sérieuses comme c’est le cas dans d’autres médias algériens ou étrangers, mais ils ont été systématiquement l’objet de sordides attaques et d’ignobles dénigrements sur les colonnes même du LQO.

C’est Ahcène-Djaballah (BAD pour les intimes), qui s’est chargé de ces basses besognes. Ah, ce sacré BAD! Avec un CV pédant aussi long que la Muraille de Chine, ce vénérable « môssieu » tient, sur LQO, la rubrique littéraire la plus malhonnête, la plus insignifiante et la plus insipide qu’il m’ait été donné de lire.

Voici deux exemples pour illustrer mon propos. Alors qu’il avoua ne pas avoir encore lu mon livre (sic) sur Kamel Daoud, BAD ne se priva pas de pondre une lamentable critique truffée de faussetés et d’attaques ad personam. Un vrai professionnel ce BAD!

J’ai adressé un texte à la direction de LQO pour faire valoir mon droit de réponse. Résultat? Motus et bouche cousue en parfaite contradiction avec l’éthique journalistique. J’attends toujours une réponse depuis…2016!

Au sujet de mon livre sur le Hirak, il le traita de « petit livre » « truffé de complots… mais, heureusement que les complots n’ont jamais fait l’Histoire ». Un langage identique, presque mot à mot, à celui d’un certain Zitout, sujet de Sa Majesté et accessoirement dirigeant du mouvement « Rachad » : LQO, BAD, Rachad, même combat?

Échaudé par ma première expérience et connaissant parfaitement la notion de « liberté d’expression » chez LQO, je n’ai pas osé demander un droit de réponse. Néanmoins, un honnête journaliste a décidé de ne pas laisser passer la chose.

Ah, j’oubliais. Il parait que BAD est « Professeur associé à l’École supérieure de journalisme et des sciences de l’information d’Alger/Ben Aknoun). Non, sérieux, ce n’est pas une blague?

Après cette nécessaire introduction pour situer dans quelle fange se vautre LQO, allons à notre sujet principal.

Il y a quelques jours, un ami me fit parvenir une copie du LQO datée du 23 mars 2022. J’allais poliment la mettre dans la corbeille lorsqu’un encadré, bien visible sur la une, attira mon intention.

Il s’agissait de trois articles présentés comme « supplément autour du monde » :

  • « Les conséquences économiques de la guerre en Ukraine » par Mohamed A. El-Erian;
  • « Des sanctions économiques, une arme de destruction massive », par Raghuram Rajan;
  • « Le Potemkine militaire de Poutine », par Daniel Gros.

Il est donc question de trois articles traitant tous du conflit entre la Russie et l’Ukraine. Intéressant à lire, n’est-ce pas?

Certes, mais on se rend vite compte que les articles en question sont politiquement orientés selon une vision occidentale, clairement anti-russe. On aurait cru qu’ils étaient écrits par le secrétaire général de l’OTAN en personne.

Extrait de la une du LQO du 23 mars 2022

Dans le premier texte, on peut lire, par exemple :

« La Russie va être confrontée à de graves problèmes de change, des pénuries massives, l’effondrement du rouble, des arriérés de plus en plus importants et aux prévisions d’une population qui s’attend à ce que sa situation se dégrade ».

Mais avec ce portrait de fin du monde en Russie, l’auteur est beaucoup plus indulgent quant aux conséquences du conflit sur les pays occidentaux qui ne cessent de souffler sur la braise de la guerre au lieu de chercher des solutions pour une rapide fin de crise.

Dans le second, l’auteur traite la Russie de « nain économique relativement à sa puissance militaire » et prédit que les sanctions contre la Russie « porteront atteinte au niveau de vie et la santé de la population russe et pousseront à la hausse son taux de mortalité ». Il qualifie les sanctions contre la Russie de « moyen efficace (autrement dit, douloureux) mais civilisé de répondre à l’agression et à la barbarie », tout en encourageant de « s’en prendre aux biens des élites du pays agresseur ».

On aurait bien aimé l’entendre parler de l’isolement politique de l’Occident par rapport au reste du monde, ou des conséquences économiques de ces sanctions sur les pays occidentaux eux-mêmes.

Dans le troisième et dernier article, Daniel Gros nous apprend que « les Ukrainiens qui défendent chèrement leur patrie, semblent avoir un net avantage sur les forces russes d’invasion », que « la corruption a envahi la gouvernance russe », que « les pilotes russes semblent avoir peu d’expérience », que « Poutine a déclaré une guerre à partir d’un point de départ matériel faible » et qu’il « a mis la Russie sur la voie d’un déclin économique démoralisant ».

Il ne s’agit pas d’un article d’analyse, mais d’un pamphlet de pure propagande otanesque anti-russe.

Dans ces trois textes, aucun mot n’a été prononcé sur les causes réelles du conflit, sur la position agressive de l’OTAN et son inexorable expansion vers l’Est, sur le coup d’État de l’Euromaïdan, sur les conséquences négatives des sanctions sur les pays occidentaux et sur l’isolement historique de l’Occident.

Mais pourquoi LQO publie-t-il les textes de propagande de l’OTAN? Pourquoi participe-t-il à la gigantesque opération de désinformation menée par les médias occidentaux? Que viennent faire ces trois auteurs dans un journal algérien?

La réponse se trouve dans le petit rectangle placé au-dessus des noms des auteurs : « Project Syndicate : an association of newspapers around the world ».

Logo de « Project Syndicate »

Une visite sur le site officiel de « Project Syndicate » nous donne nombre d’informations sur cet organisme.

Tout d’abord, sur la page d’accueil on peut lire une série d’articles idéologiquement orientés contre la Russie. Pas un seul petit billet qui pourrait nuancer la vision du conflit ou donner la parole à des analystes susceptibles de faire la part des choses. NIET!

Mais quel est cet organisme et quelle est sa mission? La réponse est sur leur site.

Tout d’abord voici son slogan :

« Nous croyons que le monde entier mérite d’avoir accès à ses plus grands esprits. Notre mission est d’atteindre ceux qui n’ont pas cette opportunité ».

Sa mission est définie comme suit :

« Project Syndicate produit et diffuse des commentaires originaux de haute qualité à un public mondial. Avec des contributions exclusives d’éminents dirigeants politiques, décideurs, universitaires, chefs d’entreprise et militants civiques du monde entier, nous fournissons aux médias et à leurs lecteurs des analyses et des informations de pointe, quelle que soit leur capacité de paiement. Nos membres comprennent plus de 600 médias – dont plus de la moitié reçoivent nos commentaires gratuitement ou à des tarifs subventionnés – dans 156 pays ».

Ainsi, cet organisme s’est fixé comme tâche, entre autres, de diffuser les écrits des « plus grands esprits » occidentaux ou non, pourvu qu’ils interprètent les évènements avec une grille d’analyse occidentale. Car, même si les noms des auteurs des trois articles cités précédemment ne sont pas tous occidentaux, il n’en demeure pas moins que leurs écrits épousent les thèses occidentales, sans nuance aucune. Comme nous l’avons souligné à maintes reprises par le passé, l’Occident a besoin de ses « néocolonisés » et de ses « alibis ethniques ».

Cette vision occidentale est ensuite propagée dans les pays moins développés et ce, en plusieurs langues. Tout cela gratuitement ou à des coûts très modiques.

Parmi les auteurs estampillés « grands esprits » par « Project Syndicate », on peut citer de célèbres noms comme Donald Rumsfeld, secrétaire à la Défense (2001-2006) de George W. Bush, George Robertson, secrétaire d’État à la Défense (1997-1999) de Tony Blair et secrétaire général de l’OTAN (1999-2003), Joseph S. Nye, concepteur américain du « Soft power », Zbigniew Brzezinski, conseiller à la sécurité nationale (1977-1981) du président Jimmy Carter, Saad Eddin Ibrahim (le collègue de Lahouari Addi à la NED), activiste égyptien largement financé par l’administration américaine et George Soros, spéculateur financier et milliardaire américain. N’oublions pas que Soros est le grand promoteur de la « société ouverte », qu’il a parmi ses multiples « réalisations », le financement des « révolutions colorées », en particulier la « révolution orange » (Ukraine 2004) et qu’il a été partie prenante dans la formation des cyberactivistes arabes qui ont été fortement impliqués dans le « printemps » arabe.

Comme on peut le constater, il s’agit bien de « grands esprits » qui ont servi avec ardeur le bellicisme de l’OTAN et l’hégémonie américaine à travers le monde.

À titre indicatif, il faut savoir que le plus récent article de George Soros publié sur le site de « Project Syndicate » a pour titre : « Vladimir Poutine et le risque de la IIIe guerre mondiale ». Pour se faire une idée sur sa teneur, il suffit de lire la dernière phrase :

« Nous ne pouvons qu’espérer que Poutine et Xi [Jinping] seront chassés du pouvoir avant qu’ils ne puissent détruire notre civilisation ».

Avec une telle animosité, on comprend bien pourquoi la fondation « Open Society » de Soros a été bannie de la Russie en 2015.

D’autre part, « Open Society » a récemment créé le « Fonds ukrainien pour la démocratie » doté de 25 millions de dollars, ce qui en dit long sur le positionnement de Soros et de sa fondation en ce qui concerne le conflit entre la Russie et l’Ukraine.

Et, bien entendu, si le nom de Soros est cité dans « Project Syndicate » son chéquier ne doit pas être très loin. En effet, le site officiel de « Project Syndicate » indique que « Open society » figure en première place parmi ses contributeurs financiers et cela a été ainsi depuis plusieurs années. À titre d’exemple, pour les années 2000 et 2002, la contribution de la fondation Soros a été respectivement de 902 000$ et 1 151 000$.

Dans un article universitaire intitulé « L' »empire » des médias Soros : le pouvoir de la philanthropie pour créer le consentement » publié en 2008, Michael Barker cite une « une liste non exhaustive de projets médiatiques financés par Soros pour illustrer la gamme d’organisations que Soros utilise pour manipuler la démocratie dans le monde ». Bien évidemment, « Project Syndicate » y figure.

Sur un autre document, on apprend que seuls deux journaux algériens ont été en relation avec « Project Syndicate » : LQO et La Tribune. Le second n’existant plus depuis quelques années, seul LQO continue à s’abreuver du savoir des « grands esprits » occidentalistes et à le disséminer dans les cerveaux de ses lecteurs.

LQO et La Tribune, les deux seuls membres algériens de « Project Syndicate »

En résumé, nous pouvons dire que le « Project Syndicate » sert à diffuser des analyses typiquement occidentales et otanesques. Financé, entre autres, par « Open Society » de George Soros, il permet actuellement à LQO à diffuser la propagande de l’OTAN en Algérie dans le cadre du conflit russo-ukrainien.

Sachant que nous vivons à l’ère des guerres de quatrième génération (G4G) et que l’information est devenue un produit « arsenalisé », il est inquiétant pour notre pays de constater que de tels points de vue, totalement orientés, puissent être aussi facilement publiés dans des journaux algériens et fallacieusement considérés comme émanant de « sommités » mondiales. Pourtant, les trois articles cités auparavant sont d’une navrante médiocrité.

D’autant plus que cela se fait par l’intermédiaire d’une organisation occidentale qui sous-entend que les « grands esprits » ne sont que celles ou ceux qui produisent des analyses qui sont en accord avec les intérêts occidentaux ou considérés comme tels. Ajoutons à cela un schéma de diffusion de l’information à sens unique, purement néocolonial : de l’Occident vers les pays moins développés.

Cela veut dire aussi qu’il est impossible à un « petit esprit » (non occidentaliste, bien sûr!) de publier, dans un journal occidental, un point de vue différent de celui dicté par les médias mainstream. Cela est encore plus clair actuellement, dans le contexte de la guerre russo-ukrainienne.

Tout cela tendrait à expliquer pourquoi mes livres dérangent tant la ligne éditoriale de LQO et pourquoi BAD a été chargé des basses besognes : Ahmed Bensaada n’a été adoubé ni par « Project Syndicate », ni par « Open Society ». Il ne sera donc jamais un « grand esprit » à leurs yeux parce qu’il ne parle pas leur langage.

Et toute voix discordante est automatiquement traitée de complotiste. N’est-ce pas BAD?




Les « Russes » commettent encore une « atrocité » ?

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par The Saker – Le 8 avril 2022 – Source The Saker’s Blog

La grande nouvelle du jour est que les méchants Russes ont tiré un missile Tochka-U avec une ogive à fragmentation sur la ville de Kramatorsk, tuant des dizaines de civils innocents. Le « monde civilisé tout entier » est dégoûté et a immédiatement annoncé encore PLUS de sanctions, PLUS de condamnations et PLUS de signaux de vertu anti-russes.

Petit problème : La Russie n’a pas de missiles Tochka-U, qui sont des missiles soviétiques vieux de 30 ans qui ont été largement surpassés par les missiles russes modernes (dont la Russie dispose en quantité suffisante). Comment savons-nous que c’est le Tochka-U qui a été utilisé ?

Grâce à la section de la queue qui se sépare de la tête explosive pendant le vol. C’est ici :

Aucun missile tactique russe en service avec une telle section de queue, et seuls les Tochka-U ukrainiens en ont.

Queue et gouvernes du Tochka-U

À quel point est-ce un problème pour l’Empire de la haine et du mensonge ?

Très mineur, vraiment. Rappelez-vous que leurs PSYOPS sont dirigés vers deux types de personnes :

  • Ceux qui ont une faible intelligence ;
  • Ceux qui ne se soucient pas de la vérité.

La Russie n’avait pas non plus l’ancien modèle de Buk qui aurait abattu le MH-17, ce qui n’a pas empêché l’Empire de la haine et du mensonge de rejeter instantanément la responsabilité de l’accident sur la Russie. Et la Russie a depuis longtemps liquidé ses stocks d’armes chimiques, contrairement aux États-Unis ou au Royaume-Uni, soit dit en passant.

Mais qui se soucie de cela quand la haine de la Russie et des Russes est tout ce qui compte vraiment ?

En fait, c’est tout droit sorti du livre des PSYOPs occidentales :

  1. Exécuter un faux drapeau, puis
  2. Accusez immédiatement la Russie et demandez à toutes vos colonies de faire de même au nom de la « solidarité » occidentale.
  3. De cette façon, vous êtes absolument certain qu’aucune enquête réelle ne pourra avoir lieu ou, si elle a lieu, elle sera si loin dans le temps que personne ne s’en souciera.

Nous avons donc eu un faux-drapeau majeur à Bucha, et maintenant nous avons cette Tochka-U à Kramatorsk. Que se passera-t-il ensuite ?

Dieu seul le sait, mais l’objectif est d’associer les « Russes » aux « atrocités » dans ce qui reste de l’esprit des serfs avides de scatophilie de la zone A.

Pendant ce temps, en Russie, un scandale se prépare avec les dernières déclarations de Dmitry Peskov qui a dit beaucoup de choses très stupides dans ses dernières interviews. Franchement, le jour où Poutine licenciera Peskov, je ressentirai personnellement un immense soulagement. En temps de paix, il est déjà assez pénible d’avoir des gens comme Medinski et Peskov, mais en temps de guerre, les gens avec leur état d’esprit sont un véritable DANGER pour la Russie, car ils injectent directement la peur, l’incertitude et le doute dans l’esprit du public russe. La seule bonne nouvelle, mais c’est une très bonne nouvelle, c’est que de plus en plus de Russes sont vraiment contrariés par ces personnages : ils soutiennent Poutine et l’opération militaire, et ils en ont vraiment assez des intégrationnistes atlantiques et de leur façon de patronner les 5èmes colonnes (ce qu’a fait Peskov).

J’espère vivement le jour où des gens comme Peskov et Medinski seront mis à la retraite et remplacés par des personnes d’un tout autre genre.

Aparté

Je me demande si ceux qui ont catégoriquement nié l’existence même des intégrationnistes atlantiques auront un jour l’honnêteté d’admettre qu’ils avaient tort. Probablement pas.

Examinons maintenant le récent vote visant à suspendre la Russie du Conseil des droits de l’homme de l’ONU :

Premièrement, remarquez que ni la Hongrie ni la Serbie n’ont eu le courage et la décence de s’abstenir (et encore moins de s’opposer).

Deuxièmement, bien que cette carte ne reflète pas exactement ce que les habitants de ces pays ressentent à propos de cette guerre, cette carte fait un superbe travail en nous montrant la liste des classes dirigeantes coloniales compradores pures. Voici donc le score pour notre planète : l’Empire, bien que déjà mort, règne encore, par impulsion, sur 151 gouvernements et seuls 24 pays ont ce qu’il faut pour s’opposer ouvertement aux directives de vote de l’Empire de la haine et du mensonge. Les 58 pays qui, comme Pilate, se sont lavés les mains de ce vote sont particulièrement pathétiques, tout comme ceux qui n’ont même pas eu le courage de se présenter au vote.

Quant à ceux qui ont « voté vert », j’aimerais pouvoir leur envoyer à chacun un petit sac contenant 30 pièces d’argent.

Radovka a publié une carte intéressante montrant comment le monde est divisé :

Légende : de gauche à droite : pro Ukraine, sympathisant de l’Ukraine, neutre, sympathisant de la Russie, pro russe.

Et voici une carte des sanctions sur laquelle je suis tombé récemment :

Bien sûr, il ne s’agit que d’un cliché d’une situation en évolution. Mais le véritable intérêt de ces cartes est qu’elles montrent trois groupes différents :

  • Les vrais nazis modernes (CA+US+EU+AUS+NZ+JP).
  • Les régimes compradores qui votent « correctement » mais dont beaucoup ne veulent pas joindre l’acte à la parole et qui veulent aussi obtenir des biens et des services de la Russie (je pense que ces pays ont des estomacs énormes mais des couilles minuscules).
  • Les 25 pays qui ont osé défier l’Empire de la haine et du mensonge et ont ouvertement voté « non ».

Depuis le début de cette guerre, les Russes ont subi de nombreuses pertes en s’efforçant de NE PAS blesser les civils ou l’infrastructure civile. Les Ukronazis ont fait tout le contraire : non seulement ils ont enlevé des milliers de personnes qui ont « disparu », mais ils ont aussi ouvertement attaqué les civils en LDNR et, depuis l’Opération Spéciale, ils ont déchaîné leur haine contre presque toutes les villes qu’ils ont dû évacuer (pour faire payer les « séparatistes » locaux et tout mettre sur le compte des « atrocités russes »).

Et l’Occident n’a absolument rien remarqué.

Du moins officiellement. En réalité, bien sûr, c’est directement le résultat du type d’« instruction » que les Ukronazis ont reçu de leurs maîtres anglo-saxons.

Voici l’horrible vérité que personne ne veut admettre ouvertement : l’Occident veut génocider la Russie et l’Occident génocide DÉJÀ le peuple ukrainien. Si l’Empire de la haine et du mensonge suit son cours, cette guerre durera aussi longtemps que possible, comprendra autant d’atrocités horribles que possible et une destruction totale de l’infrastructure civile de l’Ukraine.

Quant à la Russie et au peuple russe, il n’y a qu’une seule chose que je n’ai pas encore entendue de la part de nos merveilleux voisins occidentaux : les cris « crucifiez-les ! crucifiez-les ! crucifiez-les ! ». Bien sûr, ce n’est pas ainsi que les croisés modernes expriment leurs sentiments, ils veulent simplement « annuler la Russie ». Des mots différents pour la même signification.

Si tout cela semble démoniaque, c’est parce que ça l’est. Littéralement. Et l’histoire de la Russie est remplie de telles invasions génocidaires, et aujourd’hui, pour conclure, plutôt que d’utiliser des mots, je veux utiliser quelques peintures de l’artiste russe Il’ia Glazunov. Je ne veux pas les « expliquer », regardez-les simplement et vous comprendrez peut-être un peu mieux qu’avant le peuple russe et son histoire, du moins c’est ce que j’espère.

Andrei

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Vos pensées contrôlent votre ADN !

[Source : https://www.theepochtimes.com via santeglobale.world]

L’idée commune selon laquelle l’ADN détermine une grande partie de qui nous sommes — non seulement la couleur de nos yeux ou de nos cheveux, par exemple, mais aussi nos dépendances, nos troubles ou notre susceptibilité au cancer — est une idée fausse, a déclaré le biologiste des cellules souches Bruce Lipton, PhD.

« Vous vous retrouvez plus ou moins victime de votre hérédité », a déclaré Lipton dans le documentaire « Biology of Belief » [La biologie des croyances]. « Le problème avec ce système de croyances est qu’il s’étend à un autre niveau. … Vous devenez irresponsable. Vous dites, « Je ne peux rien y faire, alors pourquoi essayer ? » »

« Ce concept dit que vous êtes moins puissant que vos gènes », a expliqué Lipton.

Il a dit que la perception d’une personne, et non la programmation génétique, est ce qui stimule toute action dans le corps :

« Ce sont en fait nos croyances qui sélectionnent nos gènes, qui sélectionnent notre comportement. »

Pour expliquer comment cela fonctionne, il a commencé au niveau des 50 à 65 milliards de cellules qui composent le corps humain. Il a montré comment une cellule fonctionne indépendamment de l’ADN et comment ses perceptions des stimuli environnementaux affectent l’ADN. Il a ensuite appliqué les mêmes principes au corps humain dans son ensemble, montrant le pouvoir que nos perceptions, nos croyances, ont sur l’ADN.

Ce qui suit est un résumé simpliste de la compréhension de Lipton. Pour plus de détails, vous pouvez regarder son documentaire plus bas [dans l’article original en anglais].

Explication en 5 étapes

1. La cellule est comme un corps humain et fonctionne sans ADN

La cellule est comme un corps humain. Il est capable de respirer, de digérer, de se reproduire et d’autres fonctions vitales. Le noyau, qui contient les gènes, est traditionnellement considéré comme le centre de contrôle, le cerveau de la cellule.

Pourtant, lorsque le noyau est retiré, la cellule continue ses fonctions vitales pendant un mois ou plus et elle peut encore reconnaître les toxines et les nutriments. Il semble que le noyau — et l’ADN qu’il contient — ne contrôle pas la cellule.

Il y a 50 ans, les scientifiques ont supposé que les gènes contrôlent la biologie. « Cela semblait tellement correct. Nous avons acheté l’histoire », a déclaré Lipton. « Nous n’avons pas les bonnes hypothèses. »

2. L’ADN est contrôlé par l’environnement

Les protéines remplissent les fonctions dans les cellules et sont les éléments constitutifs de la vie. On a longtemps pensé que l’ADN contrôle ou détermine les actions des protéines.

Lipton propose un modèle différent. Les stimuli environnementaux qui entrent en contact avec la membrane cellulaire sont perçus par les protéines réceptrices de la membrane. Cela déclenche une réaction en chaîne de protéines transmettant ce qui pourrait être décrit comme des messages à d’autres protéines, motivant l’action dans la cellule.

L’ADN est recouvert d’une gaine protectrice de protéine. Les signaux environnementaux agissent sur cette protéine, l’amenant à s’ouvrir et à sélectionner certains gènes à utiliser, des gènes spécifiquement nécessaires pour réagir à l’environnement actuel.

Fondamentalement, l’ADN n’est pas le début de la réaction en chaîne. Au lieu de cela, la perception de l’environnement par la membrane cellulaire est la première étape.

S’il n’y a pas de perceptions, l’ADN est inactif.

« Les gènes ne peuvent pas s’activer ou se désactiver… ils ne peuvent pas se contrôler », a déclaré Lipton. Si une cellule est coupée de tout stimulus environnemental, elle ne fait rien. 

« La vie est due à la façon dont la cellule réagit à l’environnement. »

3. La perception de l’environnement n’est pas nécessairement la réalité de l’environnement

Lipton a cité une étude de 1988 de John Cairns publiée dans la revue Nature intitulée « L’origine des mutants ». Cairns a montré que les mutations de l’ADN n’étaient pas aléatoires, mais se produisaient de manière prédéterminée en réponse à des stress environnementaux.

« Dans chacune de vos cellules, vous avez des gènes dont la fonction est de réécrire et d’adapter les gènes si nécessaire », a expliqué Lipton. Dans un tableau illustrant les découvertes de Cairns dans le journal, les signaux environnementaux se sont révélés distincts de la perception des signaux environnementaux par l’organisme.

La perception de l’environnement par un être agit comme un filtre entre la réalité de l’environnement et la réaction biologique à celui-ci.

« La perception réécrit les gènes », a déclaré Lipton.

4. Croyances humaines, choisir de percevoir un environnement positif ou négatif

Tout comme une cellule possède des protéines réceptrices pour percevoir l’environnement à l’extérieur de la membrane cellulaire, les humains ont les cinq sens.

C’est ce qui aide une personne à déterminer quels gènes doivent être activés pour une situation donnée.

Les gènes sont comme des programmes sur un disque d’ordinateur, a déclaré Lipton. Ces programmes peuvent être divisés en deux classes : la première concerne la croissance, ou la reproduction ; le second concerne la protection.

Lorsqu’une cellule rencontre des nutriments, les gènes de croissance sont activés et utilisés. Lorsqu’une cellule rencontre des toxines, les gènes de protection sont activés et utilisés.

Lorsqu’un être humain rencontre l’amour, les gènes de croissance sont activés. Lorsqu’un être humain rencontre la peur, les gènes de protection sont activés.

Une personne peut percevoir un environnement négatif alors qu’il existe en fait un environnement favorable ou positif. Lorsque cette perception négative active les gènes de protection, la réponse du corps est de passer en mode combat ou fuite.

5. Combat ou fuite

Le flux sanguin est dirigé des organes vitaux vers les membres, qui sont utilisés pour se battre et courir. Le système immunitaire devient de moindre importance. Si vous imaginez les réponses dont nous avions autrefois besoin pour fuir un lion, par exemple, les jambes auraient été infiniment plus importantes dans cette situation immédiate que le système immunitaire. Ainsi, le corps privilégie les jambes et néglige le système immunitaire.

Ainsi, lorsqu’une personne perçoit un environnement négatif, le corps a tendance à négliger le système immunitaire et les organes vitaux. Le stress nous rend aussi moins intelligents, moins lucides. La partie du cerveau liée aux réflexes a plus d’importance en mode combat ou fuite que la partie liée à la mémoire et aux autres fonctions mentales.

Lorsqu’une personne perçoit un environnement aimant, le corps active les gènes de croissance et nourrit le corps.

Lipton a donné l’exemple des orphelinats d’Europe de l’Est, où les enfants reçoivent beaucoup de nutriments, mais peu d’amour. Il a été constaté que les enfants placés dans ces institutions présentaient un retard de développement en termes de taille, d’apprentissage et d’autres domaines. L’incidence de l’autisme est également élevée. Lipton a déclaré que l’autisme dans ce cas est un symptôme d’activation des gènes de protection, comme la construction de murs.

« Les croyances agissent comme un filtre entre l’environnement réel et votre biologie », a-t-il déclaré. Ainsi, les gens ont le pouvoir de changer leur biologie. Il est important de garder une perception claire, a-t-il dit, car sinon vous ne développerez pas biologiquement les bonnes choses pour l’environnement réel qui vous entoure.

« Vous n’êtes pas victimes de gènes », a-t-il dit, demandant au public de réfléchir :

« Avec quelles croyances sélectionnez-vous des gènes? »

[Voir aussi (avec vidéos) :
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]




Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques

[Source : aimsib.org via santeglobale.world]

Source image : Pixabay

Par La rédaction de l’AIMSIB

Brigitte Fau nous propose de revoir ici une expérience singulière et dérangeante que chacun peut vérifier dans sa cuisine, tendant à infirmer totalement les hypothèses pasteuriennes qui président à la vision actuelle du vivant et de son interaction avec les microbes. Abandonner définitivement Pasteur, êtes-vous prêt ? Bonne lecture.


En Juillet 2017 dans une lettre ouverte à notre ministre de la santé(([1] http://www.andrefougerousse-recherche.fr/435764009)), le Pr A. Fougerousse parle des « dogmes erronés de PASTEUR »et demande que les travaux de Béchamp et Tissot soient repris avec les moyens modernes par des universitaires indépendants. Il y a de quoi interpeller quiconque s’interroge sur l’obligation vaccinale.

En Janvier 2019, un article(([2] https://www.researchgate.net/publication/330453639_Multi- Method_Characterization_of_the_Human_Circulating_Microbiome)) étudiant le « microbiome(([3] Matériel génétique associé à des microbes)) circulant » nous présente sous une forme discrète, comme anodine dans les nombreux méandres de la science :

« Alors que la colonisation de diverses niches corporelles (l’intestin, par exemple) par des communautés dynamiques de micro-organismes est maintenant universellement acceptée, l’existence de populations microbiennes dans d’autres zones « classiquement stériles», y compris le sang, est un concept relativement nouveau »

« classiquement stériles », « concept nouveau » : Non ! Pas pour ceux qui connaissent les travaux de Béchamp. C’est ainsi 140 années d’erreurs, d’errance, pour la science se basant sur des principes non démontrés, et combien encore ?

[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Les Racines de nos Maladies
Épidémies et contagions
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons]

Remontons l’histoire

Dans la pratique des sciences, …l’imagination … qui tend à nous porter continuellement au delà du vrai, l’amour-propre et la confiance en nous-mêmes qu’il sait si bien nous inspirer, nous sollicitent à tirer des conséquences qui ne dérivent pas des faits…

-« il n’est donc pas étonnant que dans les sciences physiques en général, on ait souvent supposé au lieu de conclure ; que les suppositions, transmises d’âge en âge, soient devenues de plus en plus imposantes par le poids des autorités qu’elles ont acquises, et qu’elles aient enfin été adoptées et regardées comme des vérités fondamentales, même par de très bons esprits… »

Lavoisier(([4] Lavoisier Extrait du discours préliminaire du Traité élémentaire de chimie))

La vaccination et la pathologie sont basées sur les principes de Pasteur suivants(([5] L. Pasteur. Recherches sur la putréfaction p.1189. « le corps des animaux est fermé dans les cas ordinaires, à l’introduction des germes des êtres inférieurs…)):

  • Le milieu intérieur est stérile (« asepsie des organismes vivants »),
  • Il faut le protéger des « microbes » venant de l’extérieur (« panspermie atmosphérique »)

Suivant les conseils sages de Lavoisier, posons-nous la question : Ces principes sont-ils des suppositions devenues des vérités ou bien sont-ils tirés des faits ? Comment Pasteur a-t-il tenté de prouver l’asepsie ?

Une expérience consiste à laisser à température ambiante un morceau de viande fraichement prélevé à un animal sain, totalement débarrassé et isolé des germes de l’air. En l’absence de germes externes et internes (asepsie des animaux), celle-ci ne doit pas subir de putréfaction.

Voyons quelles expériences de ce type ont été menées :
De nombreux chercheurs ont utilisé des méthodes diverses et parfois très sophistiquées pour s‘assurer qu’aucun germe de l’air ne pouvait intervenir(([6] A. Béchamp : « les microzymas . avec l’hétérogènie… » 4e conférence)). Pasteur s’est inspiré des expériences de ses prédécesseurs (Schwann, Helmholtz, Cl. Bernard…) légèrement modifiées. Dans le principe il fait bouillir des infusions (ici, le morceau de viande) pendant quelques minutes de façon que les vapeurs balaient et tuent les germes puis il l’expose dans de l’air calciné ou filtré par du coton… Sans rentrer dans les détails, tous sont d’accord pour s’être assurés qu’aucun germe de l’air n’intervient.

Résultat des expériences :
Toutes les expériences aboutissent systématiquement à une altération de la viande avec dégagement gazeux malodorant. Exception faite des cas où la viande a subi une ébullition prolongée au point d’en coaguler tous les sucs (Expérience de Schoeder et Dusch). Pasteur dit :

« j’ai constaté que la viande se faisande d’une manière prononcée si elle est en petites quantités et qu’elle se gangrène si elle est en masse plus considérable »(([7] L. Pasteur. Recherches sur la putréfaction p.1194 – A noter que Pasteur reconnaîtra beaucoup plus tard (s’inspirant, seulement en partie malheureusement, des travaux d’Antoine Béchamp) et parlant de fruits blets, que les fruits subissent effectivement une fermentation « de leur cellule » après la mort, persistant donc à nier toute cause provocatrice interne, et ne démontrant aucunement cette conclusion. (cf. L. Pasteur, « Faits nouveaux pour servir à la théorie de la fermentation »). A. Béchamp explique que les cellules disparaissent beaucoup trop rapidement pour en être la cause.))

Pasteur, convaincu que les germes ne peuvent provenir que de l’air, nie que cette altération soit due à une quelconque cause provocatrice interne à la viande. Et en l’absence d’approfondissement voilà l’explication servant de conclusion qu’il donne :

« loin de la putréfaction…la gangrène me paraît être l’état … d’une partie d’organe conservé, malgré la mort, à l’abri de la putréfaction… …Il est impossible aux températures ordinaires de soustraire cette chair à la réaction des liquides et des solides les uns sur les autres »(([7] L. Pasteur. Recherches sur la putréfaction p.1194 – A noter que Pasteur reconnaîtra beaucoup plus tard (s’inspirant, seulement en partie malheureusement, des travaux d’Antoine Béchamp) et parlant de fruits blets, que les fruits subissent effectivement une fermentation « de leur cellule » après la mort, persistant donc à nier toute cause provocatrice interne, et ne démontrant aucunement cette conclusion. (cf. L. Pasteur, « Faits nouveaux pour servir à la théorie de la fermentation »). A. Béchamp explique que les cellules disparaissent beaucoup trop rapidement pour en être la cause.))

Pasteur a ainsi admis l’asepsie des êtres vivants.

Comment la « science » a-t-elle pu se contenter d’une si faible conclusion ayant autant de conséquences ? Ce qu’en disait A. Béchamp :

« J’affirme que si on mettait ensemble tous les liquides et tous les solides du même organisme, mais préalablement réduits à l’état de principes immédiats, ils ne produiraient rien de semblable à ce que M. Pasteur appelle viande faisandée ou réduite à l’état de gangrène ».

Et il s’inquiète :

«… Je ne pouvais m’empêcher de faire remarquer qu’ayant pris pour bases de ses derniers travaux sur l’étiologie des maladies, une hypothèse non vérifiée et des principes que l’observation n’a jamais confirmés, il engageait la médecine dans une mauvaise voie »

Et en effet, la médecine et la science n’ont jamais remis en question les dogmes de Pasteur, qui ont été admis comme des vérités absolues sans jamais avoir été vérifiés. Demandons-nous quelles devraient être les conclusions de l’expérience. Béchamp (et son équipe) démontre que l’analyse des produits issus de l’altération de la viande, témoignent d’une fermentation donc de la présence de ferments internes d’une part et cela explique que dans le cas de l’ébullition prolongée, les ferments sont détruits entièrement grâce à quoi la viande ne subit aucune altération.

30 années de recherche ont été consacrées à comprendre le rôle de ce ferment qu’il a su isolé, qu’il appelle microzyma. On trouve des microzymas dans l’air, mais également dans la craie, et surtout dans tous les êtres organisés, au sein de leurs tissus, de leurs humeurs … dans lesquels ils jouent un rôle essentiel et ils peuvent devenir morbides et évoluer (polymorphisme) en bactéries uniquement si le milieu dans lequel ils exercent leur fonction se déséquilibre.

Retour à nos jours

La science découvre donc ENFIN, la présence d’un microbiome dans nos milieux si longtemps considérés stériles, remettant en cause le dogme de l’asepsie des organismes supérieurs. Il faut bien comprendre la nuance entre « microbiote » et « microbiome » :

Le terme microbiome décrit le matériel génétique codant pour les différentes populations microbiennes (microbiote) qui peuplent notre corps.

Les scientifiques détournés (volontairement, sans aucun doute) des découvertes de Béchamp, n’ont encore aucune idée de la localisation de ce matériel génétique, ADN / ARN « bactérien » et l’associe à d’éventuelles bactéries qui seraient en dormance dans les individus sains. Nous n’en avons pas fini avec ce lavage de cerveau que nous avons tous subi en suivant la voie de Pasteur ; les scientifiques ne peuvent s’empêcher de penser pasteurien, ils admettent toujours que ces éléments microbiens sont étrangers à nos organismes. Ils admettent toujours qu’ils sont de formes invariables (monomorphisme).

Pourtant constatant que le premier dogme de Pasteur est faux, il devrait douter de ses autres dogmes admis, non ? Eh bien non, parce qu’ils ne connaissent pas les travaux de Pasteur, ils font confiance à ce qu’ils ont appris et « ce qui appartient à l’histoire est du passé ». Dommage ! En remontant à la source des erreurs, on peut repartir sur de meilleures bases. Alors combien d’années encore et de détours sans fin attendrons-nous pour comprendre que ces éléments sont vitaux.

Comprenez-bien ce qu’Antoine Béchamp a démontré : Prenez tous les constituants de notre organisme, sans ces petits êtres qui nous peuplent, rien ne se passerait, rien ne bougerait ;

  • Qu’est-ce qui anime tout ce qui se passe dans nos corps ?
  • Comment la cellule se constitue, s’organise ?
  • Comment l’ADN se retrouve dans un noyau, dans une cellule, elle-même transitoire ?
  • Comment …. ?

Notre science analyse nos constituants, constate des événements, des changements qui s’opèrent, mais il manque un chainon essentiel : Qui est l’organisateur ? « les microzymas sont à la racine même de l’organisation, sans eux pas d’organisation, pas de matière vivante »

Les microzymas nous survivent !…

Les découvertes d’A.Béchamp sont toujours en avance sur notre science malgré nos moyens techniques impressionnants. Pourtant rien ne sera fait pour faciliter la tâche des scientifiques. Il faut savoir que les travaux de Béchamp ont été cachés. Pour preuves :

  • Il n’apparaît même pas dans l’encyclopédie Universalis qui nous servait de référence dans nos recherches estudiantines à une époque pas si lointaine.
  • Anecdote que m’a confiée le Pr A. Fougerousse : « En visitant la Faculté de Médecine de Montpellier à l’occasion des journées du patrimoine (il y a quelques années), j’ai vu que le portrait de BECHAMP avait été retiré de la Salle des Actes, où figurent tous ses collègues. C’est dans cette salle que se déroulent toutes les soutenances. Il y a certes une petite ruelle située en face de la Fac de Médecine qui porte le nom d’Antoine BECHAMP. Et une rue porte son nom à OSTWALD, ville de la banlieue de Strasbourg, depuis 1982, ville dont j’ai été le maire de 1979 à 1991 ».
  • Il ne faut pas tuer la poule aux œufs d’or et tout sera fait pour détourner toute velléité de s’y intéresser.
  • Une étude datant de 2017(([8] https://www.nature.com/articles/s41598-017-10479-8)), commanditée probablement, analyse des particules du sang, inférieurs à 0,2 μ et n’y trouvant aucun matériel génétique, conclut à l’inexistence de particules vivantes et balaye ainsi sans autre approfondissement les travaux considérables de Béchamp, Enderlein, Naessens, Villequez…

Alors, que ces personnes nous expliquent où se situe ce fameux microbiome ! Et s’ils n’ont pas trouvé ce matériel génétique dans les particules qu’ils ont analysés, ils n’ont sans doute pas analysé les bonnes particules dont les tailles sont variables suivant les centres où elles se trouvent. Béchamp les mesurait de l’ordre de 0,5 μ dans le foie et les trouvaient effectivement plus petites, logées plutôt dans la fibrine du sang(([9] Des condensés des travaux de Béchamp sont à votre disposition sur mon site
https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/)). Mais ont-ils seulement tenté d’utiliser un filtre entre 0,2 et 0,5 μ ?

Les scientifiques se contentent parfois de vraiment peu pour confirmer leur vision. Beaucoup auraient des leçons à prendre de Béchamp précisément qui remettait sans cesse en cause ses propres résultats pour être sûr de ne rien laisser passer.

Il avait aussi conscience des limites techniques de son époque et posait les questions auxquelles je suis impatiente de connaître les réponses grâce à nos nouvelles techniques. Alors quand ? Ces travaux sont publiés, ils ont été étouffés par la propagande pasteurienne, dont on découvre seulement les mensonges. Il faut plus que jamais rétablir cette injustice.

Conclusion

Suivons attentivement les travaux sur le microbiome et attendons (patiemment !) la suite, puisque notre gouvernement refuse de confier à des universitaires indépendants la reprise des travaux de Béchamp, Tissot … avec les nouveaux moyens, malgré les demandes insistantes du Pr A. Fougerousse…(([1] http://www.andrefougerousse-recherche.fr/435764009))

Sources




Laurent Mucchielli : « Nous contredisons des forces politiques et financières extrêmement puissantes »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les médias grand public, il avait droit de cité. Il en est désormais « blacklisté ». Jusqu’au déclenchement de la crise du Covid-19, il était considéré comme un adversaire majeur de l’extrême-droite. Le voilà désormais taxé d’extrême-droite. Laurent Mucchielli, directeur de recherche et sociologue au CNRS, est venu sur notre plateau témoigner de son combat d’universitaire au cours de ces deux dernières années et, en sa qualité de sociologue, livrer son analyse des causes et des mécanismes de cette « guerre d’influence » à laquelle nous sommes confrontés. Le chercheur, auteur de deux ouvrages sur la  « doxa du Covid », en est certain : « Nous enfreignons un tabou et nous venons contredire des forces politiques et financières extrêmement puissantes au niveau mondial ».



Le chercheur en sociologie, connu pour ses ouvrages sur la thématique de l’insécurité, compare la situation sociétale dans laquelle nous sommes plongés depuis le début de la crise du Covid-19 à celle de la période des « guerres de religion ». Une impression de rétropédalage au XVIᵉ siècle. Remettre en cause le bien-fondé des diverses mesures sanitaires ou celui du « miracle vaccinal », c’est professer une hérésie et s’excommunier, un phénomène particulièrement prégnant au sein de la communauté scientifique, nous rapporte Laurent Mucchielli : « Les plus agressifs, les plus arrogants sont une partie de mes collègues. C’est quelque chose que j’avais déjà analysé au moment du mouvement des gilets jaunes il y a 2 ans : une forme de racisme du diplôme ». Le directeur de recherche au CNRS rappelle que, pourtant, le fondement de la science, c’est « soumettre une vérité à la possibilité d’une réfutation ». Et de déplorer : « Or, là, on se heurte à des discours totalement dogmatiques qui, par définition, ne sont pas de la science ».

Il analyse aussi la communication médiatique branchée sur le registre émotionnel de la peur, une tactique qui a permis d’éteindre complètement les capacités d’analyse critique de nombreux Français. Cette peur qui « rend fou » traverse toute la société et n’a aucun rapport avec le niveau de diplôme, souligne le chercheur qui raconte : « J’ai vu d’éminents collègues se comporter comme des petits enfants, être prêt à gober n’importe quoi, et être incapable d’avoir la moindre argumentation, tout simplement parce qu’ils étaient terrorisés. »

Au cours de cet entretien, Laurent Mucchielli a aussi exprimé son effarement face à la censure qui sévit dans les médias largement responsables de cette panique, tel Médiapart, ou encore sur les réseaux sociaux. Autrefois porteurs d’une promesse de liberté et d’une meilleure participation des citoyens au débat public, pour le chercheur, ils sont aujourd’hui devenus « d’incroyables machines à formater la pensée ».

L’occasion aussi pour lui de dénoncer la malhonnêteté intellectuelle qui sous-tend le débat public. Dès 1984, sa première manifestation, alors qu’il n’était encore qu’au lycée, était organisée pour s’opposer à la venue de Jean-Marie le Pen dans sa ville. 36 années plus tard, en mars 2020, juste avant la crise du Covid-19, Laurent Mucchielli publiait un nouvel ouvrage intitulé La France telle qu’elle est : Pour en finir avec la complainte nationaliste. « Une sorte de manuel anti-Zemmour », explique-t-il. Pourtant, depuis ses prises de position sur le Covid, le sociologue serait désormais, pour une certaine presse… d’extrême-droite.

Autre exemple à l’appui de sa démonstration. La classe journalistique avait discrédité l’hydroxychloroquine en faisant valoir un rapport de pharmacovigilance de l’ANSM qui rapportait quatre morts, dont trois pourtant décédés par automédication, le quatrième s’étant suicidé par overdose plurimédicamenteuse. Or, mettre en avant la même pharmacovigilance pour alerter sur les effets secondaires du vaccin anti-Covid est, selon les mêmes personnes, une méthode qui « ne vaut rien ». « Le principe et la source même vous conviennent quand ça vous arrange et ne vous conviennent plus quand ça vous dérange », résume l’universitaire.

Laurent Mucchielli est aussi revenu sur l’International Covid Summit (ICS), congrès qui a réuni des experts scientifiques venus du monde entier à l’IHU Méditerranée Infection dirigé par le Pr Didier Raoult. Un succès, selon lui, qui a permis de faire vivre le débat scientifique. En fin d’entretien, le chercheur termine en expliquant que la crise que nous vivons est, au même titre que toutes les autres crises, « un moment d’accélération de l’histoire ». Cependant, en dépit des pressions, M. Mucchielli l’assure : « J’irai jusqu’au bout parce que le sujet le demande. »




Selon le chef du Service de renseignement extérieur (SVR) russe, il n’y aura pas de retour à l’ancien monde

[Source : rusreinfo.ru]

Note: Le rôle du SVR dans la situation actuelle est primordial puisqu’il contrôle des centaines d’agents opérant sous couverture dans le monde entier et pouvant être « activés » à tout moment en fonction des intérêts de la Russie.
Malgré les prétendues « informations » de certains « experts » auto-proclamés Sergey Narishkin reste une figure cle du gouvernement russe. Il peut être considéré comme un successeur potentiel de Vladimir Poutine.

Le chef du SVR (service de renseignement extérieur, équivalent de la CIA), Sergei Naryshkin, sur la situation en Ukraine et dans le monde

L’opération militaire spéciale de la Russie a été un véritable moment de vérité pour le monde russe, déclarant fermement qu’il était prêt à défendre pleinement son droit à une existence originale face au mondialisme agressif incarné par l’hégémonie américaine, l’élargissement de l’OTAN, la politique de « l’interventionnisme libéral » et la propagande LGBT.

L’amertume de la confrontation indique clairement que nous parlons de quelque chose de bien plus vaste que le sort du régime de Kiev. En fait, l’architecture de tout l’ordre mondial est en jeu. Nous pouvons dire avec confiance : il n’y aura pas de retour à l’ancien monde.

L’opération spéciale russe mettra définitivement fin aux tentatives de transformer l’Ukraine en un État fantoche russophobe, construisant son identité sur la base de la diabolisation de tout ce qui la relie objectivement à la Russie.

Au stade actuel, Washington considère que sa tâche principale est de prolonger le conflit autant que possible, de le rendre aussi coûteux que possible à la fois pour Moscou et Kiev, et en même temps d’empêcher l’escalade de se propager plus loin vers l’Occident. L’OTAN, comme le soulignent les « stratèges » américains, tente de transformer l’Ukraine « en une sorte d’Afghanistan ».

N’ayant ni la force ni le courage de défier la Russie ouvertement et honnêtement, l’Occident essaie d’organiser un blocus économique, informationnel et humanitaire pour notre pays, de créer une atmosphère de «toxicité» autour de lui qui y rendrait impossible la poursuite de la normalité la vie.

Tactiquement, cela utilise le mécanisme de la « culture d’annulation » élaboré par les élites libérales de gauche américaines sur leurs concurrents de droite, et désormais étendu au niveau mondial.

Une vie confortable et sécurisée, en particulier pour la classe moyenne, est depuis de nombreuses années l’un des piliers de la stabilité politique des pays occidentaux. Aujourd’hui, à cause de la « croisade » de Washington contre la Russie, la population des États-Unis et des pays de l’UE est confrontée à une hausse sans précédent des prix du carburant, de l’électricité et de la nourriture.

Les résidents d’Europe ont déjà commencé à se préparer mentalement aux perspectives d’introduire des cartes alimentaires et de couper les radiateurs, qui, il s’avère, « peuvent être facilement remplacées par des pulls ». Et tout cela sous prétexte d’aider le peuple ukrainien, alors que c’est précisément pour les ukrainiens que toutes ces mesures ne changent absolument rien.

Les élites occidentales utilisent simplement la situation actuelle pour mettre en œuvre des plans longtemps caressés pour l’élimination de facto de la classe moyenne dans l’esprit du scénario bien connu proposé par le Forum économique mondial de Davos : « D’ici 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ! »

[Voir :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux]

La volonté de maintenir le rôle d’hégémon mondial pousse les États-Unis à de dangereuses aventures militaro-politiques. Le développement de la confrontation géopolitique sur le théâtre d’opérations européen est suivi de près par les dirigeants des pays du monde non occidental. Tous, y compris les alliés des États-Unis, ne sont pas opposés à tester la force de l’hégémonie qui s’affaiblit en élargissant les limites de ce qui est possible en matière de politique étrangère et intérieure.

En ce moment, une étape fondamentalement nouvelle de l’histoire européenne et mondiale se déroule sous nos yeux. Son essence réside dans l’effondrement du monde unipolaire et du système de relations internationales fondé sur le droit du plus fort, c’est-à-dire les États-Unis, de détruire d’autres États afin d’empêcher la moindre possibilité de leur transformation en centres de pouvoir alternatifs.

Aujourd’hui, la Russie conteste ouvertement ce système – créant un monde véritablement multipolaire qui n’a jamais existé auparavant et dont tout le monde bénéficiera à l’avenir, même nos adversaires actuels.




Poutine, Macron, Biden : qui est le plus sain d’esprit ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

Depuis une dizaine d’années, la presse occidentale s’en donne à cœur joie pour essayer de dénicher toutes les pathologies possibles chez Vladimir Poutine.

Et c’est encore bien pire depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie : à en croire les médias euro-atlantistes, Poutine serait paranoïaque, complètement fou, victime de nombreux symptômes psychiatriques, etc.

Mais arrêtons-nous un instant sur des comparaisons internationales.
Qui, entre Poutine, Macron et Biden est le plus sain d’esprit ?

François Asselineau vous propose son analyse sur le sujet.