Barbara Butch et ses drag-queens ont bien interprété Jésus et les apôtres

Ils assument le NEW GAY TESTAMENT,
mais pas les journalistes qui réinventent l’histoire de l’Art

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Étrange, les artistes assument, les journalistes trouvent des interprétations foireuses. On nous parle de Sequana la déesse de la Seine symbolisée par le cavalier de l’Apocalypse ? On n’a jamais représenté cette déesse par un cheval, c’est idiot.

On nous parle d’un festin des Dieux avec Bacchus sauf que si on trouve un faune dans le tableau, il n’y a pas Bacchus.

Il suffit de comparer les différents tableaux sur le thème du festin des dieux grecs à la Cène de Vinci, il n’y a pas d’équivoque possible.

La représentation des Bacchantes (Ménades) proches de Dionysos n’a jamais été liée à des hommes travestis, mais à des femmes.

Bacchus en bleu et sans vin ? Jamais vu, mais le Diable oui.

Les artistes sont au moins honnêtes, ils assument :

Placée avec ses platines au centre de la passerelle Debilly, dans une scénographie rappelant La Cène de Léonard de Vinci, Barbara Butch, habillée d’une coiffe digne d’une déesse grecque, était accompagnée des drag-queens françaises Nicky Doll, Paloma et Piche, ainsi que du danseur étoile Germain Louvet ou de la danseuse Princess Madoki.

Une consécration. La DJ Leslie Barbara Butch, icône lesbienne des nuits parisiennes, a animé, ce vendredi 26 juillet, le huitième tableau de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, mise en scène par Thomas Jolly. Intitulé « Festivité », il conclut la parade avec l’arrivée des dernières délégations et celle de la France.

Placée avec ses platines au centre de la passerelle Debilly, dans une scénographie rappelant La Cène de Léonard de Vinci, l’artiste de 43 ans, habillée d’une coiffe digne d’une déesse grecque, était accompagnée des drag-queens françaises Nicky Doll, Paloma et Piche, ainsi que du danseur étoile Germain Louvet ou de la danseuse Princess Madoki.

Le chanteur a interprété son titre « Nu » dans le plus simple appareil, peint en bleu, dans un tableau revisitant la « Cène » avec Barbara Butch et des drag-queens.

Une « polémique » qui n’inquiète pas franchement Philippe Katerine au lendemain de la cérémonie. Au micro de BFMTV ce samedi 27 juillet, le chanteur a réagi avec beaucoup d’humour et de détachement :

« Les polémiques, à vrai dire s’il n’y en avait pas, ce ne serait pas marrant. Si tout le monde était d’accord et avait le même avis, quel ennui sur cette terre ! Ça serait un autre fascisme. »

La thématique de l’inclusion prônée par le directeur artistique Thomas Jolly tout au long du spectacle est « très bonne » :

« On ne va pas choisir l’exclusion, ce serait quelque chose d’horrible. Donc c’est l’évidence qui a parlé hier ! »

De ces tableaux, duquel la représentation de la cérémonie des jeux est elle la plus proche ?

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