Australie : du mirage du « zéro Covid » au cauchemar totalitaire

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis maintenant plus d’un an et demi que dure la pandémie, les différents pays du globe ont adopté plusieurs stratégies, qu’elles soient d’éradication, de jugulation, de blocage ou de régulation, afin de lutter contre le SARS-CoV-2. Certains ont changé de méthode en cours de route, cherchant à s’ajuster dans l’espoir de revenir à un certain équilibre entre les mesures et leurs impacts sur le bien-être de leur population ; d’autres au contraire, ont gardé le cap depuis mars 2020 et « quoiqu’il en coûte », restent fidèles à leur objectif et peu importe les conséquences.

Parmi les stratégies utilisées par les dirigeants de la planète, la plus « ambitieuse » est à n’en point douter, celle que l’on nomme « Zéro Covid ».

Les partisans de cette stratégie « 0 » sont principalement la Chine, le Japon, la Corée du Sud, le Viet Nam, Singapour, l’Islande, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. On peut remarquer dès lors que ce sont ; soit des pays asiatiques dont les populations sont culturellement plus enclines à accepter les restrictions sanitaires (ainsi que des restrictions de liberté pratiquées bien avant la pandémie) ; soit des îles qui permettent de faciliter contrôle des flux aériens et des entrées.

Même si l’Australie est une île, contrôler la circulation d’un virus d’un territoire grand comme neuf fois la France n’est pas chose aisée. Elle devient pourtant le symbole de cette stratégie aux yeux du monde. Si l’on se penche sur l’histoire récente de ce pays appartenant au Commonwealth, on s’aperçoit qu’il a une relation particulière avec la liberté individuelle, les restrictions, le sanitaire voire l’hygiénisme ; le sport est roi et où le corps fait l’objet d’un culte.

Par exemple, les taxes sur les cigarettes sont très élevées. Le prix moyen est aujourd’hui aux alentours de 20 AUD, soit le double qu’en France. Il y est très compliqué de fumer y compris dans un lieu public extérieur, avec en prime une interdiction formelle de jeter son mégot par terre sous peine d’amende onéreuse. Et le moins que l’on puisse dire est que cette politique installée depuis plus de dix ans fait effet, avec un taux de fumeurs d’à peine 15%, essentiellement concentré sur les classes sociales les plus précaires. (1)

Le prix de l’alcool est lui aussi fort élevé. Celui des « Spirits » a grimpé en flèche ces 15 dernières années. Il est même requis dans les bars ou dans les discothèques que les boissons soient servies à l’aide d’un doseur afin de limiter la quantité d’alcool versé. Ce changement dans la liberté individuelle de pouvoir consommer arrive après 2005 et les émeutes de Cronulla. Des conflits avaient éclaté entre deux communautés (libanaise et maori) et cela avait dégénéré en raison d’un groupe très alcoolisé. Des jours de protestation avaient suivi. (2)

Une autre conséquence est l’intolérance des policiers australiens. Depuis ces émeutes, ils ne discutent et parlementent que très rarement, ne font guère de compromis et appliquent la loi à la lettre. Le symbole marquant étant les « cages à poule » derrière les véhicules servant à transporter des individus.
 

Forts de cette histoire récente empreinte de décisions protectrices envers son peuple, afin de se donner les moyens de réussir, les dirigeants de l’ile décident en premier lieu (fin mars 2020) d’une fermeture totale des frontières – au contraire de la France, notre président pariant sur le fait que « le virus n’a pas de passeport » (sic). Fermeture toujours d’actualité et envisagée jusqu’à fin 2022. Il est quasiment impossible de rentrer dans le pays, excepté pour quelques catégories de citoyens comme les diplomates, les détenteurs de Visa business, les personnes de nationalité australienne ou résidents permanents.

Concernant les deux dernières catégories, cela dépend du pays de provenance : il était par exemple interdit de venir d’Inde pendant l’émergence du variant Delta sous peine de poursuites judiciaires (50 000 AUD + 5 ans d’emprisonnement) (3). Une quarantaine de deux semaines est aussi imposée pour chaque entrant.

En effectuant cette manœuvre dès le début de la pandémie, associé à un confinement national rigoureux (même si décidé au niveau fédéral), la premièe vague est très bien contenue. Le pic des cas est inférieur à 400 et un maximum de quatre décès journaliers est enregistré. Pour un pays de 26 millions d’habitants, la réussite est totale et renforce la conviction du gouvernement dans les bienfaits de cette approche.

Le premier confinement de mars 2020 consiste comme tous les autres à rester à la maison : en empêchant les rencontres sociales, on empêchera la circulation du virus. Interdiction de se trouver dehors de 23 heures à 5 heures. Il est cependant toléré de se rendre à son travail si le télétravail impossible : idem pour les étudiants. Les rassemblements sont limités à deux personnes, cinq pour les mariages et dix pour les funérailles. Seuls les lieux essentiels tels que les commerces de première nécessité restent ouverts, avec jauge limitée. Les récalcitrants écopant d’une amende salée de AUD 1500 : il va sans dire que les mesures sont globalement bien respectées (4).

« Fermeture des frontières + confinement strict » serait donc l’antidote au niveau de la gestion sanitaire car l’épidémie de Wuhan aura été brève et peu importante en s’éteignant début mai.

Par prudence, disent les autorités, est décidé un déconfinement progressif en trois étapes avec réouverture des bars et des restaurants, puis les cinémas et salles de sport pour enfin autoriser les rassemblements de plus de cent personnes, sous réserve que l’épidémie ne reparte pas entre-temps. (5)

Malheureusement, à l’arrivée de l’hiver austral, elle repart du coté de la ville de Melbourne dans un hôtel réquisitionné pour quarantaine et se propage dans le Victoria. La vague réside essentiellement dans cet État, elle est néanmoins plus longue et plus mortelle, s’étendant jusque mi-septembre et atteignant un pic de décès cinq fois plus élevé que le premier épisode.

Un confinement similaire est alors décidé pour cet État avec fermetures des frontières fédérales. À la différence que celui-ci va durer près de quatre mois pour s’arrêter fin octobre (6). Confinement qui use à petit feu ses habitants. Ils sont néanmoins évités pour les autres contrées, au prix d’un traçage et d’une isolation des positifs poussés à l’extrême, alliant parfois le « snaplockdown » dès le ou les premiers cas.

Si cette vague fait plus de dégâts sur tous les plans, c’est encore une fois un succès sur le plan strictement sanitaire et beaucoup d’experts internationaux, particulièrement en France (Karine Lacombe, Gilbert Deray, Rémi Salomon, Antoine Flahault), saluent la performance en demandant de copier ce modèle. Ces félicitations prennent-elles en compte l’usure du peuple ?

Galvanisée par cette réussite, ainsi que les retours positifs à l’international, l’Australie continue sa gestion à base de restrictions, snaplockdowns (7) et couvres-feux , et ce de manière continue. On se rappelle celui décidé par le maire de Melbourne en plein Open d’Australie de tennis en janvier dernier (8). Convaincus, les résultats parlent en effet pour eux. Aucun départ épidémique n’est à constater du mois de septembre 2020 à juillet 2021, ce qui constitue une performance remarquable sur le plan mondial. Mais à quel prix ?

Dans la lignée de sa récente histoire et légitimées par l’efficacité, les actions entreprises sont de plus en plus radicales : drones détecteurs de virus, fouilles complètes à l’aéroport, obstruction bétonnée de SkateParks, asymptomatique en fuite déclaré ennemi public n°1, ou bien violences policières pour un masque. Ajoutons à cela l’interdiction de quitter l’île voire l’État, et donc de pouvoir visiter ses proches. Quand on voit la faible létalité, une telle rigidité est-elle nécessaire ?

Le « zéro Covid » devient une croyance et tous les moyens sont bons pour y parvenir. Et peu importe si elles sont insensées scientifiquement, le but affiché est assumé. Avec des mesures si contraignantes le virus n’aura aucune chance de se propager.

Mais il finit à nouveau par se propager. Encore une fois durant l’hiver austral suivant : il ressurgit en juillet de cette année et explose de manière exponentielle durant le mois d’août. Ce variant venu d’Inde : le Delta, apparait être plus fort que le système de défense sanitaire et devient rapidement incontrôlable. Il atteint un pic de 1770 cas mi-septembre, soit plus de trois fois le pic de l’hiver 2020.

Certains spécialistes attribuent cette recrudescence à la contagiosité du Delta, d’autres à de l’échappement vaccinal comme on a pu le voir dans d’autres régions du globe ; probablement une conjugaison des deux. Il en résulte une forte circulation jamais vue jusqu’alors malgré le reconfinement dès le 30 juin de la région de Sydney, puis début août de celle de Melbourne.

En total contraste, les décès sont deux fois moindres que la vague précédente, ce qui lui donne une létalité négligeable. Le « zéro Covid » et ses confinements court puis longue durée sont malgré tout toujours appliqués, quoiqu’il en coute.

Des promesses d’allègement des mesures sont alors émises en septembre si la population est vaccinée à 70% (9), s’empêtrant toujours un peu plus dans les dérives autoritaires, mais devant bien reconnaitre qu’il faudra vivre avec le virus et que le « zéro Covid » était trop ambitieux. Car, paraît-il, si le virus a pu repartir si vite, c’est parce que le pays a raté sa campagne vaccinale. La stratégie évolue donc et se transforme peu à peu en « vaccins pour tous = déconfinement ». La liberté ne serait plus désormais soumise à la circulation virale mais plutôt à la couverture vaccinale… laquelle n’agit que peu sur la circulation.

De deux choses l’une, pour avoir un taux de létalité si faible ; ou bien il est très contagieux mais peu virulent et dans ce cas, la réussite vaccinale mondiale vantée par tous est une belle entourloupe, ou bien le fait d’avoir vacciné en premier lieu les plus de 65 ans (ce sont les plus vaccinés) et de se concentrer sur les populations à risque est suffisant pour contenir la mortalité, et couvrir toute la population devient de fait absurde.

La vaccination par la contrainte est peut-être ce qui a enfin réveillé le peuple australien. Il était temps. Faire miroiter de retrouver certaines libertés selon le taux d’injection pour un virus tuant 1100 personnes au total, pourrait être la goutte d’eau qui a fini par lui faire perdre patience. Il est acquis que le virus circule et circulera, mais s’il ne tue pas pourquoi imposer cela ?

Qu’est-ce qui pousse alors le gouvernement à ce nouveau coup de force ? Si le « zéro Covid » ne marche pas mais qu’il n’y a pas (ou très peu) de morts, où est le problème ? Pourquoi ne réajustent-ils pas leur approche ? Alors que même en France Antoine Flahaut et Gilbert Deray ont fait machine arrière ?

Se révoltant d’abord contre les confinements répétitifs, les mouvements de protestation démarrent dès juillet à Sydney, allant crescendo en nombre et virulence, que ce soient les manifestants ou les forces de l’ordre. Mais ce qu’il se passe à Melbourne en plein sixième confinement depuis quelques jours est le signe que le peuple dit enfin stop. Le conflit démarre avec les ouvriers du bâtiment qui protestent contre la vaccination obligatoire pour leur corps de métier ; ils décident alors de bloquer les grands axes puis le lendemain l’autoroute principale de la ville dans les deux sens. (10)

Les manifestations sont journalières, et violentes. La réponse policière l’est tout autant. Ils sont nombreux et désespérés ; ils seront bientôt au chômage car ils refusent de se faire vacciner contre une maladie au taux de mortalité de 0.000044%. Il est possible que la protestation gagne toutes les classes sociales.

Il est tout de même surprenant qu’il ait fallu en arriver là avant d’avoir une vraie contestation ; comme s’il fallait être au pied du mur pour sa survie ou une injection pour enfin réagir aux abus subis. La dystopie n’est plus une fiction. Elle a engendré du chômage, de la précarité, des dépressions, de l’anxiété, de la tristesse, sans parler de l’économie en chute libre.

Pour l’heure, ils n’ont pas l’intention de desserrer l’étreinte. Obligation vaccinale pour certains corps de métier, contraintes extrêmes pour les non-vaccinés dans la fréquentation des lieux de vie, utilisation de balles en caoutchouc et jets d’eau pour repousser les manifestants. L’Australie bascule peu à peu dans le totalitarisme aux yeux de tous.



Ce gouvernement, par ses dérives, se met beaucoup de compatriotes à dos. Car après avoir reconnu que le zéro Covid était inatteignable, il continue ses restrictions liberticides malgré l’absence de surmortalité. Ce véritable acharnement doit faire réfléchir à ce que sont les véritables desseins de ces dirigeants. On se rappelle alors ce ministre faisant une paralysie de Bell en direct mais qui quelques jours après affiche fièrement son certificat de vaccination avec un œil de pirate (11).  

On ne peut qu’être confondu devant cette surenchère techno-sanitariste, qui a des relents sectaires. 

Le mouvement de ce beau pays sera à suivre, maintenant qu’il semble se rebeller. Composé d’habitants aux origines irlandaises, serbes, croates, libanaises, maoris ou encore aborigènes, ils savent ce que représente la liberté et ce qu’il en coûte pour la préserver. Peut-être le « no » australien naissant deviendra-t-il le berceau de la révolte des peuples à travers le monde ? La vague humaine de contestation qui est partie de Melbourne entraînera-t-elle un tsunami sur tous les océans ? Car si les restrictions atteignent des sommets dans le Pacifique, bon nombre de libertés ont été retirées partout. Les consciences vont-elles cesser d’être « down under » ?


Sources :

[1] https://kowala.fr/fumer-en-australie/
[2] https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/12/12/quand-la-haine-raciale-inonde-la-plage
[3] https://www.politico.com/amp/news/2021/05/03/australia-covid-lockdown-485255?fbclid=IwAR1251lyGUqv_y5sY1x9Yia6-6Vq-PS4BO7XAHzWexNw3BIoC0q7U0m1oaI
[4] 
https://www.millsoakley.com.au/thinking/nsw-under-official-lockdown-full-details-of-new-government-directions-now-published/
[5] https://www.google.com/amp/s/www.challenges.fr/monde/coronavirus-l-australie-opte-pour-un-deconfinement-en-trois-etapes_709324.amp
[6] https://www.bbc.com/news/world-australia-54654646
[7] https://www.keypointlaw.com.au/keynotes/snap-lockdowns-and-what-it-means-for-employers-and-employees/
[8] https://www.france24.com/en/live-news/20210212-melbourne-orders-snap-covid-lockdown-during-australian-open-tennis
[9] https://www.theguardian.com/australia-news/2021/sep/22/victoria-covid-restrictions-melbourne-lockdown-curfew-and-regional-vic-coronavirus-rules-explained
[10] https://www.businessbourse.com/2021/09/21/australie-enorme-les-ouvriers-du-batiment-bloquent-lautoroute-de-melbourne-dans-les-deux-sens-de-circulation-pour-protester-contre-lobligation-vaccinale-et-plusieurs-chantiers-de-la-ville-sont/australie-blocage-autoroute/
[11] https://www.sudinfo.be/id412122/article/2021-08-20/des-telespectateurs-sinquietent-de-loeil-tremblant-dun-ministre-australien-il

Auteur(s): FranceSoir




BRAS DE FER : SOIGNANTS — VÉRAN

Par Nicole Delépine

Grève de la faim de soignants à Nice. Qui en parle ?

Nice — Quatre cent cinquante soignants suspendus au CHU

Ils veulent nous faire croire que le refus de l’obligation vaccinale est anecdotique, d’autant qu’ils ont imposé depuis des mois un lavage de cerveau permanent, quotidiennement répété et des chantages (sur nos déplacements et même sur le droit au travail) pour nous extorquer l’accord à l’injection génique. La population et les élus de tous bords devraient s’interroger sur les raisons de ce refus

Les soignants comme les pompiers ne sont pas des antivax primaires (ils se sont toujours fait vacciner et ont vacciné leurs malades), mais ils sont aux premières loges pour constater les dégâts chez les vaccinés, qu’on peut à la télé transformer en malades officiellement non vaccinés, mais pas au lit du malade.

Les accidents vasculaires cérébraux, troubles neurologiques, infarctus survenus avant la quatorzaine suivant la deuxième dose ont été catalogués « prévaccinaux » et non déclarés le plus souvent comme effet indésirable du vaccin.

Les coïncidences étaient très nombreuses en cette année 2021, de quoi dégoûter tous les Mégret ou enquêteurs de police du monde !

UNE GRÈVE DE LA FAIM DÉBUTÉE LE JOUR FATIDIQUE DE L’OBLIGATION DANS LE SILENCE MÉDIATIQUE

« Je rappelle qu’il y a qui font en ce moment la grève de la faim à Nice devant l’hôpital, Christophe & Thierry aide-soignant et pompier. Nous leur manifestons tout notre soutien, ils n’ont plus de salaire et de boulot » tweet du 20 septembre pour une grève commencée le 15 septembre, date terrible pour ceux qui refusent l’injection génique aux effets secondaires multiples et sans efficacité comme le montre la malheureuse expérience israélienne hyper-vaccinée qui souffre actuellement d’une mortalité quotidienne record

Une chaîne d’humains pour les soutenir

18 sept. Nice pour les soignants et pompiers en grève de la faim depuis le 15 septembre 2021

@LE_GENERAL_OFF_ 18 sept.

4e jour de Grève de la faim pour Thierry Pompier & Agent Incendie au CHU de Nice il campe devant le CHU #Nice suspendu à cause de l’obligation vax. Pour le soutenir, ce soir une aide-soignante, suspendue elle aussi après 20 ans de service, vient camper avec lui #solidarite

Et les conséquences des suspensions : des services ou des hôpitaux fermés faute de personnel, des grèves, des déserts médicaux passés sous silence des médias complices. Pas le moment de tomber malade !

Quelques exemples

Montpellier

Des soignants de la clinique Millénaire de Montpellier en grève contre l’obligation vaccinale(([1] Mercredi 15 septembre 2021 à 6 h 14 —
Par Virginie VandevilleFrance Bleu Hérault
Montpellier))

Près de cinquante soignants étaient mobilisés devant la clinique Millénaire de Montpellier. Une mobilisation destinée à dénoncer l’obligation vaccinale, et pour réclamer des hausses de salaire et une amélioration de leurs conditions de travail. »

Une cinquantaine de soignants étaient mobilisés ce mardi devant la clinique du Millénaire.
© Radio France — Virginie Vandeville en grève devant les grilles. 

Des témoignages poignants, tous plus bouleversants les uns que les autres

Nous en trouvons à la pelle sur les réseaux sociaux, mais comme ils disent tout le monde s’en fiche, l’hôpital se meurt depuis trente ans dans l’indifférence générale et cela continue. Le réveil est individuel quand le drame frappe à la porte et qu’on découvre que ces bruits des professionnels de santé faisant depuis des années des grèves symboliques en travaillant avec une pancarte sur le dos de la blouse « en grève » correspondaient à quelque chose de grave. Évident que les pouvoirs publics nationaux ou locaux ricanaient de notre naïveté de gréviste au boulot, réquisitionné si besoin et que cela n’impressionnait personne.

« Dimanche, j’ai travaillé. C’était mon dernier jour, c’était étrange. Je me suis dit, tu sors de la clinique et tu n’auras plus le droit d’y rentrer mercredi », explique une infirmière présente. Depuis une vingtaine d’années, elle travaille en tant que CDD. Elle aimait sa vie de soignante. « Dimanche, je pouvais encore soigner des patients. Là, je ne peux plus le faire. Je ne suis plus rien. » 

Cette obligation a eu raison de l’amour de son métier.

« Évidemment de temps en temps, je me suis dit que ce n’était finalement qu’une piqûre. Mais j’ai des valeurs, des valeurs qui grandissent et je ne peux pas les bafouer », affirme celle qui souligne le caractère expérimental et le manque de recul du vaccin.

« Pour ce qui est de la suite, je vais chercher du travail dans des boîtes d’intérim, je vais demander dans des supermarchés qui ne demandent pas de pass sanitaire. Je ne m’inquiète pas trop pour cela. » 

Cassés, écoeurés, scandalisés, en colère confinant au désespoir, pour la plupart, ils ne reviendront pas

Reprendre sa vie d’infirmière plus tard ? « Il faudra des mois et des mois pour digérer tout cela. Je ne me vois plus rentrer de nouveau dans ce monde »

« Je ne savais pas que je pouvais être dans le camp des résistants. »

« Même chose pour la collègue : “J’ai peur. Mais je me dis que je ne trouve plus de sens à mon métier et qu’il est temps de changer”. Infirmière depuis 20 ans. Son opposition au vaccin s’est dessinée progressivement. “Je me suis souvent demandé de quel côté je me placerais s’il y avait une révolution dans notre pays. Je ne savais pas que je pouvais être dans le camp des résistants, enfin si l’on peut appeler cela de la résistance. Finalement, c’est ce que je fais aujourd’hui”.

Selon les délégués CGT de l’établissement de santé, les non-vaccinés représentent 10% des effectifs de la clinique. Avec leur suspension, les conditions de travail vont obligatoirement se détériorer. Lits fermés, cadences élevées, multiplication des accidents de travail, des arrêts, des burnout, démissions, etc.. QUE CROYAIT LE GOUVERNEMENT ? L’espérait-il dans son désir de fermer toujours plus de lits ?

La mascarade du Ségur de la santé de juillet 2020

Des conditions de travail déjà très dégradées avant ce coup de massue des suspensions, avec de nombreux démissions et départs dans l’établissement et partout en France à la suite en particulier du Ségur de la santé de juillet 2020 qui ne fut qu’une mascarade.

Ils inventent des primes pour incitation à recrutement :
la direction a lancé depuis fin août la prime de cooptation pour les soignants, depuis le 7 septembre pour les aides-soignants. Une prime de 300 euros destinée à inciter le personnel à recommander des personnes pour venir travailler. Même pas en rêve !

La Roche-sur-Yon

Jeanne entame son 5e jour de grève de la faim devant la préfecture de La Roche-sur-Yon.

Soutien aux soignants qu’on a applaudi l’année dernière »(([2] Tweet 19 sept.-21.@BIKETTEClash))

Digne-les-Bains

Lits fermés, records d’arrêts maladie : à l’hôpital de Digne-les-Bains, les conséquences du vaccin obligatoire”(([3] par Alice Kachaner publié le 15 septembre 2021 à 17 h 45
Lits fermés, records d’arrêts maladie : à l’hôpital de Digne-les-Bains, les conséquences du vaccin obligatoire (franceinter.fr) ))

Dans les Alpes-de-Haute-Provence, plusieurs hôpitaux sont contraints de fermer des lits, faute de bras. Avec l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale, les arrêts maladie explosent.

Face à l’obligation vaccinale, les réticences des soignants à la vaccination varient selon les établissements et les territoires, mais à l’hôpital de Digne, elles sont particulièrement importantes. Selon le dernier comptage, 82% du personnel était en règle à la veille de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale. Pour éviter des sanctions, certains agents se mettent également en arrêt maladie.

On a des arrêts de travail, beaucoup plus nombreux que d’habitude, notamment de toute une partie des personnes qui ne souhaitent pas se faire vacciner”, constate Franck Pouilly, directeur du groupement hospitalier des Alpes-de-Haute-Provence.

La semaine dernière, nous avons enregistré 20 arrêts, rien que sur l’hôpital de Digne. C’est un record jamais atteint sur une semaine. »

Des efforts supplémentaires sont demandés aux personnels vaccinés. « C’est une pression pour les agents. Il y a eu des rappels de soignants, un recours accru aux heures supplémentaires.

Le directeur qui n’exclut pas de nouvelles fermetures de lits, liées aux suspensions de contrats et démissions.

COMBIEN FAUT-IL D’EXEMPLES ?

Mulhouse

22-09-21 Urgences fermées pour 1 semaine à l’hôpital Diaconat à Mulhouse par manque de personnel suspendu pour cause de non-vaccination = 169 personnes dans tout l’hôpital !!  

Ainsi, la clinique du Diaconat a déprogrammé des opérations pour des raisons d’absence de personnel et ses urgences sont fermées jusqu’au 28 septembre.(([4] Information DNA 22-09-2021 & confirmé par France Bleu Alsace & France 3 à 12 h 30 dans leurs informations.))

Curieusement alors que les personnels non vaccinés seraient peu nombreux et ne compromettraient pas le fonctionnement du système le plan blanc est déclenché dans le Haut — Rhin.

Obligation vaccinale : les hôpitaux du Haut-Rhin contraints de déclencher le plan blanc

Le 22 septembre —L’hôpital de Mulhouse et le Groupement hospitalier Mulhouse Sud Alsace (GHRMSA) annoncent déclencher le plan blanc dans leur établissement.

En cause, l’éviction temporaire des soignants qui ne se sont pas soumis à l’obligation vaccinale. Ainsi, selon la direction du GHRMSA, environ 8 % des 5 500 agents ne sont pas vaccinés et 169 personnels ont dû être suspendus.”

Le groupe hospitalier explique être confronté à “une situation critique marquée par la poursuite de la gestion de la crise sanitaire, le besoin en renforts de ressources humaines, la réduction du nombre de lits liée à un absentéisme conséquent”. Seules les interventions urgentes sont maintenues.

Première alerte, après que, déjà, les hôpitaux de Montélimar et de Nice ont dû organiser des déprogrammations (sans activer le plan blanc) pour les mêmes raisons de manque d’effectifs.(([5] Copyright © http://www.jim.fr))

On semble loin, en tout cas, des déclarations rassurantes d’Olivier Véran qui ne comptait que 3 000 suspensions dans toute la France… bien qu’au moins 5 % des agents hospitaliers ne soient pas vaccinés, soit des dizaines de milliers de personnes.”

Le combat paye : les Antillais ont fait reculer le gouvernement

Près de 70% de soignants guadeloupéens ont décidé de refuser l’obligation vaccinale. Devant leur détermination le directeur du CHU a cédé en autorisant les non vaccinés à poursuivre leurs activités professionnelles.

À Saint-Barth

Aussi la résistance des soignants est majoritaire.

Et le ministre de la Santé a décidé de laisser tranquilles les soignants antillais et de ne pas leur imposer tout de suite la vaccination obligatoire. “Un sursis, temporaire seulement” dit-il, mais en France le temporaire dure longtemps et celui-là durera aussi longtemps que le personnel se battra pour la liberté.

Les exemples sont nombreux à travers la France

Cachés ou parfois relatés via de petits journaux locaux ou via les réseaux sociaux. Faut-il épiloguer et faire défiler la litanie des drames locaux ? Ou bien est — il temps de revenir à la réalité du pourquoi ?

Il n’existe plus aucune raison sanitaire pour une obligation d’un produit expérimental (épidémie terminée)(([6] Sources de données : https://www.sen (tiweb.fr/document/5408,
https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/ site=fr, http://www.sentiweb.fr/france/fr/
page=epidemies
Le réseau Sentinelles est développé sous la tutelle conjointe de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et de Sorbonne Université, a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus). Pour plus de détails et de commentaires sur la lecture de données vous pouvez nous contacter https://reaction19.fr/contacts))

Bulletin épidémiologique du réseau sentinelle semaine 36 (du 6 septembre au 12 septembre 2021) :

L’incidence est de 7 malades covid-19 pour 100 000 habitants.

Il n’y a donc actuellement aucune épidémie due à la covid-19 : le taux d’alerte épidémique pour la grippe saisonnière est de 170 malades pour 100 000 habitants). Pour la grippe type A (H1N1 pdm09 B) le pic d’incidence épidémique 2019 atteignait 599/100 000 (sans confinement, sans vaccination, sans imbroglio de pass sanitaire/green pass) L’incitation forcée à la “vaccination” — thérapie génique continue, mais elle n’a pas pour objectif de prévenir et d’endiguer la Covid-19

➢ Le passe sanitaire n’est qu’un moyen de chantage dont le seul objectif est de contraindre à une “vaccination” inutile (au vu des données épidémiques qui sont disponibles) et d’attribuer un QR code à tous les Français afin de préparer un flicage à la chinoise. Certains politiques du pouvoir l’ont dit clairement !

QU’ESPÈRE LE GOUVERNEMENT AVEC CE BRAS DE FER AVEC SOIGNANTS ET POMPIERS ?

A-t-il sous-estimé la résistance de terrain et cru que les manifestations suffiraient à calmer les rien, les sans dents et bientôt sans soins, les soumis permanents ?

Il continue à instrumentaliser la peur (alors que l’épidémie est terminée en France !) pour poursuivre son plan d’injection généralisée génique aux effets délétères et sans aucune efficacité réelle sur un virus très sensible aux traitements précoces.

La victoire rapide contre la maladie dans tous les pays qui utilisent les traitements comme l’Ivermectine démontre, s’il le fallait, que cette stratégie n’a rien de sanitaire, mais qu’elle est politique avec pour seul but de supprimer nos libertés fondamentales et d’instaurer une société selon le modèle chinois ou chacun est fliqué par son QR code.

LA CERISE SUR LE GÂTEAU 
POUR ÊTRE EMBAUCHÉ À L’HÔPITAL, DEUX CONDITIONS :
VACCIN ET OBÉISSANCE

Suivez sur Telegram les actualités moins censurées(([7] https://t.me/toutelesinfos/1323 Toute l’info, [Sep 22, 2021 at 2:58 a.m.])) “— Le CHU de Lille recrute une cinquantaine d’agents de service hospitalier vaccinés sans expérience”.(([8] Au CHU de Lille gros manque de personnels suite à l’obligation vaccinale où plusieurs soignants sont suspendus ou en arrêt maladie.
https://www.lavoixdunord.fr/1071084/article/2021-09-17/le-chu-de-lille-recrute-une-cinquantaine-d-agents-de-service-hospitalier-ni-cv
https://t.me/toutelesinfos))

L’agence de pôle emploi de Lille Grand Sud et le CHU de Lille vont collaborer avec l’accord de l’ARS pour recruter du personnel vacciné sans expérience et sans CV, juste en faisant un test et un entretien !

Test où les sujets sont : respect des consignes, faculté à maintenir l’attention, facilité relationnelle et capacité à travailler sous pression : CQFD

Ceux qui ont la moyenne poursuivent avec un entretien de motivation avec la direction des ressources humaines du CHU de Lille. S’ils réussissent, ils seront embauchés.

L’histoire ne dit pas sur quels critères le DRH est embauché.

On peut s’étonner de la discordance entre le faible pourcentage de personnels soignants non vaccinés, donc suspendus, et les énormes difficultés rencontrées dans tout le territoire français dont nous n’avons cité que quelques exemples : trois mille suspensions pour 2,7 millions de personnels soignants désorganiseraient-ils tellement le système, ou bien comme pour tout le reste de la gestion de cette crise, le mensonge sur le nombre de non vaccinés est-il l’explication ?

Portez-vous bien !





Le Dr Hodkinson est horrifié par ce spectacle des tests PCR bidon… le pire de l’histoire médicale!

[Source : Les 7 du quebec]

Par Robert Bibeau

Le docteur Hodkinson est indigné par la tragédie humaine qui se joue sous nos yeux, il adresse donc ce message.

Ne croyez surtout rien de ce qu’on tente de vous faire gober pour vérité, ce ne sont que mensonges et propagandes. Cette plandémie ne reste ni plus ni moins qu’une bonne veille mauvaise grippe saisonnière et rien d’autre !!! Tout ceci est construit sur la PEUR et la PROPAGANDE, articulée intentionnellement autour du test PCR qui a fabriqué 95% de faux positifs sur des gens en BONNE SANTÉ et la SURVEILLANCE TOTALITAIRE ET DICTATORIALE qui interdit et censure toute expression contraire au narratif de la pensée unique DE CES CABALISTES MACHIAVÉLIQUES qui ont pris le contrôle et verrouillé tous les pans du système, empêchant quiconque d’émettre un avis contraire !!!



Il accuse donc implicitement les médecins, les politiciens et bien sur les médias qui se rendent tous complices de cette mascarade en acceptant par lâcheté cette compromission, préférant privilégier l’argent plutôt que l’éthique. La politique qui fait de la médecine son cheval de bataille devient un jeu extrêmenent dangereux, il rappelle au passage que Fauci a crée ce virus et que nous devons tous ne plus avoir peur et refuser tout vaccin anti-covid quel qu’il soit !!!

Pour rappel, le Dr Hodkinson, n’est pas le premier venu, en effet il a obtenu ses diplômes de médecine générale à l’Université de Cambridge au Royaume-Uni (M.A., M.B., B. Chir.) où il a été chercheur au Corpus Christi College. Après une résidence à l’Université de la Colombie-Britannique, il est devenu pathologiste généraliste agréé du Collège royal (FRCPC) et également membre du College of American Pathologists (FCAP). Il est en règle avec le Collège des médecins et chirurgiens de l’Alberta et a été reconnu par la Cour du Banc de la Reine en Alberta comme un expert en pathologie.

Son impressionnant CV ici : medmaldoctors.ca/dr-roger-hodkinson

Appel à la population en pdf : drive.google.com/file

source : https://rumble.com




Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19

[Source : Sott.net]

Par M.K. Scarlett

Voici la vidéo doublée en français d’une réunion qui s’est tenue fin juillet entre notamment l’avocat Reiner Fuellmich et le docteur Bryan Ardis, et dont le contenu est, à nouveau, de grande importance. Cet entretien est par ailleurs à rapprocher de celui mené par le docteur Mercola avec le professeur Stephanie Seneff du MTI comme invitée, entretien que nous avons traduit en français et publié en début de semaine : Le lien entre protéine Spike et protéine à prion — Quels sont les effets des injections anti-Covid-19 ? Entretien exclusif entre Stephanie Seneff du MIT et le Dr Mercola.

Le docteur Bryan Ardis nous fait part de ses recherches quant au Remdésivir, présenté par Anthony Fauci comme un « médicament » soi-disant « miracle » qu’il a imposé comme étant le soi-disant « seul remède » pour soi-disant guérir du Covid-19 dans les hôpitaux des États-Unis. Le docteur Bryan Ardis évoque aussi les recherches qu’il a menées sur le protocole sanitaire en général et surtout sur la FDA qui savait TOUT des effets indésirables des injections expérimentales nommées « vaccins » anti-Covid-19 avant même que les produits ne reçoivent ne serait-ce qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

Il parle aussi d’une nouvelle maladie qui a été repéré chez les enfants vers avril 2020. Il s’agit du syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique ou PIMS— MIS-C en anglais — celui-là même qu’ils ont appelé la maladie de Kawasaki soi-disant en lien avec le Covid-19. Selon le docteur Ryan Ardis, dès que les adultes ont commencé à être injectés, plusieurs centaines d’enfants avaient développé cette maladie — avant même qu’aucun d’entre eux ne soit injecté, et au moment où la vidéo a été enregistrée, en juillet 2021, au moins 4 000 de ces enfants avaient développé un syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique.

Le docteur Bryan Ardis en a conclu que ces enfants ont contracté cette toute nouvelle maladie au contact de leurs parents — ou de toute personne avec laquelle ils passent du temps — lesquels étaient injectés avec des milliards de protéines Spike. Ces enfants n’ont pas été affectés par le Sras-CoV-2, mais bien par les injections anti-Covid qui produisent tellement de protéines Spike que le corps cherche à s’en débarrasser par tous les moyens : sudation, respiration, etc. C’est notamment à cet effet que l’interview du docteur Mercola et du professeur Stephanie Seneff traduite en français par Sott.net et récemment publiée est important.

Une fois de plus, accrochez-vous et bon visionnage !



Vidéo originale.

Source de la vidéo publiée le 15 septembre 2021 : Quadrillage traduction Odysee




« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




Suite à la mise à l’écart de plus de 300 000 soignants, le système de Santé français est à la dérive

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid. Mise à jour 2

Mise à jour :

Le Dr Théron ne se laissera pas intimider

https://t.me/Laveritecensure/6182
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 13:51]

L’avocat du Dr jean-Paul Théron s’exprime :

« Vous avez quelqu’un qui soigne, qui se bat pour soigner ses 80 patients, ils ont confisqué son téléphone et son ordinateur et l’ont mis en garde à vue »

https://t.me/Laveritecensure/6184
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 17:09]

Les conditions d’interpellation du Dr Tharon sont affreuses, dignes d’un régime communiste. Il a sauvé dernièrement plus de 80 patients grâce au traitement du Pr Raoult.

https://t.me/Laveritecensure/6186
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 19:22]

Voici les conditions d’arrestation du Dr Theron (63 ans) qui demande à plusieurs reprises l’assistance d’un médecin avant d’être violemment traîné dehors. Son tort : il soigne avec le protocole du Pr Raoult.

Témoignage de la fille de Dr Theron :

« À 9 h 17, pendant qu’il se lavait les mains aux toilettes de la salle, les gendarmes sont venus le placer en garde à vue. Le choc ! La brutalité et l’humiliation de cette arrestation jusque dans les toilettes. 63 ans, père de famille et grand-père. »

Voici Message du fils du Dr Théron, très violemment arrêté en Polynésie française :

« Le pharmacien Jérôme Rondan a rompu le secret professionnel en balançant l’ordonnance du médecin Theron sur les réseaux sociaux et est à l’origine de l’arrestation de ce dernier. »

#LiberezTheron
#Polynésie
#Theron

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https://t.me/Laveritecensure


Mise à jour 2 :

Résister peut porter ses fruits :

L’Ordre des médecins annule la décision de suspension du Dr Nagib Moatassime pour avoir prescrit de l’Ivermectine !

Le fait de déposer plainte pour prescriptions d’Ivermectine est déjà extrêmement choquant en soi. Heureusement que l’Ordre national a annulé la suspension du Dr Nagib Moatassime en espérant qu’elle fera jurisprudence et donnera du courage à ses autres confrères.

https://twitter.com/BBR_06/status/1432652912187125762?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1432652912187125762%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.lelibrepenseur.org%2Flordre-des-medecins-annule-la-decision-de-suspension-du-dr-nagib-moatassime-pour-avoir-prescrit-de-livermectine%2F



Suspension des soignants : pourquoi nous proposons de prendre l’Himalaya par la face Sud et non par la face Nord

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr]

Comment lutter juridiquement contre la suspension des soignants. Les conseils juridiques (dont les nôtres) ont fleuri sur la Toile, et pour la première fois nous souhaitons expliquer pourquoi certaines stratégies proposées par des collègues ne nous semblent pas pertinentes, voire pourraient se révéler dangereuses pour ceux qui les reprennent à leur compte. Ces remarques sont tout à fait amicales, et nous laissons chacun libre de choisir la stratégie qu’il préfère. Mais nous tentons ici de donner une perspective raisonnée sur les avantages et les inconvénients de chaque option.

La suspension des soignants divise le petit monde des juristes, et il nous paraissait important de préciser quelques points “stratégiques” à propos du projet de recours que nous avons rédigé et publié dès le mois d’août. Ce texte obéit en effet à une inspiration différente des recours présentés par les avocats qui conseillent ou animent les nombreuses associations qui ont fleuri depuis le 12 juillet. Il nous semblait important de bien expliquer les différences d’approche, pour que chaque soignant puisse se positionner en toute connaissance de cause. 

La suspension des soignants : quelle différence d’approche ?

Pour résumer la différence d’approche entre “nous” et “eux”, on peut prendre une image simple : faut-il prendre l’Himalaya par la face Nord ou par la face Sud ? Autrement dit, faut-il attaquer l’obligation vaccinale des soignants frontalement, ou faut-il ruser ?

Notre position constante depuis le mois de juillet est celle d’une préférence pour la ruse, alors que majoritairement le “marché” a recommandé une démarche frontale. 

En l’espèce, les avocats qui sont intervenus ont essentiellement proposé de plaider l’illégalité de l’obligation vaccinale, notamment en visant la question du consentement éclairé. Nous avons déconseillé d’utiliser cette voie, et préconisé de plaider sur les questions de “légalité externe”, en l’espèce le non-respect des droits de la défense au moment où une sanction est infligée. 

Nous voulions expliquer pourquoi nous préconisons cette démarche moins reluisante, moins vaillante, mais de notre point de vue plus protectrice de l’intérêt des plaignants. 

Attaquer l’obligation vaccinale : quels risques ?

Nous avons tous bien compris que l’enjeu majeur des recours contre les suspensions était de contester l’obligation vaccinale. C’est logique, puisque les soignants suspendus le sont parce qu’ils refusent le vaccin. 

Pourtant, nous ne préconisons pas d’attaquer l’obligation vaccinale en justice pour une raison tactique : nous avons la conviction profonde qu’aucun juge en France n’osera censurer cette obligation, même si, en son âme et conscience, il la soutient. Cette impossibilité condamne par principe toute contestation en justice qui contraindrait un juge à se positionner contre l’obligation vaccinale. 

Les raisons de cette impossibilité sont simples à comprendre intuitivement. L’obligation vaccinale est au coeur de la pression exercée par le gouvernement sur la société française, et une très large fraction de la magistrature est adepte de la religion du vaccin. Dans ces conditions, quel magistrat (surtout quel magistrat administratif) osera se “démarquer” du Président et de son corps en annulant, au cours d’un référé, un point aussi important dans le dispositif gouvernemental ?

Rappelons que, en référé, la décision est prise par un magistrat seul, sans examiner le fond du dossier. Il est selon nous chimérique d’imaginer qu’un président de tribunal oserait, en urgence, annuler seul, sans collégialité, une pièce maîtresse de la politique menée par la caste. Il peut le faire, certes, mais il sait qu’il renonce ce faisant à toute forme de carrière, et qu’il encourt un bannissement immédiat de la part de ses pairs. 

Pour cette raison quasi-psychologique, nous soutenons que tout référé mettant en cause l’obligation vaccinale est condamné à l’échec. La décision du tribunal de Toulouse, que nous commentons par ailleurs, le confirme. 

Contester les conditions de la suspension : quels avantages ?

On peut ici faire le pari que très peu de magistrats sont, à titre personnel, hostiles à l’obligation vaccinale, mais qu’ils peuvent plus facilement contester la façon dont elle se met en place. Notre argument déployé depuis le mois d’août consiste à soutenir que la forme normale de la suspension dans la fonction publique est d’être accompagnée d’un maintien de traitement, comme le prévoit l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983. En instaurant une suspension sans traitement, la loi du 5 août 2021 a imposé une sanction disciplinaire contre les récalcitrants. Or qui dit sanction dit droits de la défense. 

C’est précisément sur ce point que la loi du 5 août 2021 déroge à la jurisprudence du Conseil Constitutionnel. Officiellement, toute la machine administrative fait vivre le mythe selon lequel la suspension n’est pas une sanction. Mais autant cette affirmation est plaidable dès lors que la suspension est une mesure d’urgence qui conserve le traitement et qui débouche sur une procédure disciplinaire où les droits de la défense sont respectes, autant il nous semble qu’aucun juge ne peut véritablement affirmer, écrire, proclamer, que suspendre sine die le traitement d’un fonctionnaire n’est pas une sanction. 

Or toute sanction appelle le respect des droits de la défense et, sur ce point, la loi du 5 août 2021 a créé un état d’exception qui n’est pas conforme à nos principes généraux du droit (qui ont une valeur constitutionnelle, rappelons-le). 

La stratégie que nous suggérons consiste bien à tout miser sur le “confort” des juges, en leur proposant de ne prendre aucun risque de carrière sur la censure de l’obligation vaccinale, mais en leur suggérant de rétablir le versement du traitement conformément à la loi du 13 juillet 1983, pour respecter les droits de la défense, en conformité avec une jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel. C’est moins héroïque que la dénonciation pure et simple de l’obligation vaccinale, mais c’est plus facilement audible par le magistrat qui va devoir trancher. 

Le risque pour l’appareil sanitaire français

La maximisation des chances de succès par notre stratégie prudente n’est pas le seul avantage de notre solution. Elle en présente un autre : pour les hôpitaux publics, la contrainte financière qu’un rétablissement du traitement des “suspendus” constitue un vrai facteur de blocage. Pour le gouvernement, l’addition finale à payer risque d’être d’autant plus dissuasive que la loi n’a pas fixé de terme aux suspensions. On peut tout à fait imaginer une suspension payée à vie pour les non-vaccinés. 

Pour toutes ces raisons, nous maintenons notre option en faveur de recours en référé qui se cantonnent aux questions de droits de la défense, et qui évite soigneusement d’effrayer les magistrats en abordant la question de l’obligation vaccinale. 




Un « lanceur d’alerte » du ministère de la santé américain rend public des enregistrements secrets concernant les vaccins

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G. – Jodi O’Malley, infirmière diplômée du gouvernement fédéral et du HHS (United States Department of Health and Human Service) rend public des enregistrements secrets. Cette vidéo, postée par « Projet Veritas », est déjà devenue virale. Des millions de personnes l’ont partagée sur les médias sociaux.

Cet enregistrement met à mal le narratif du gouvernement Américain et du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) sur les effets secondaires de la vaccination aux Etats-Unis.

En effet, dans cet extrait, les médecins et employés incriminent directement les autorités de santé américaines de cacher aux citoyens la vérité.

1. Qu’est-ce que le Projet Veritas ?

« Project Veritas » est une organisation américaine à but non lucratif, connue pour faire un travail de fond dans l’infiltration des organisations gouvernementales et autres lobbies, afin de démonter leurs intentions partisanes et souvent mensongères. Le Projet Veritas réalise des montages audio et vidéo à partir d’informations brutes enregistrées sous couverture afin de dénoncer ces méfaits.

Fondé par James O’Keefe, un militant politique conservateur américain, Project Veritas considère que sa mission est d’enquêter et exposer la corruption, la malhonnêteté, l’égoïsme, le gaspillage, la fraude et toute autre faute dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et plus transparente.

Bien que très controversé dans le milieu main Stream et censuré par les GAFA, chacune des vidéos du Projet Veritas est souvent relayée massivement et on les retrouve même sur des chaines grand public comme FoxNews.

2. Une vidéo qui fait l’effet d’une bombe

« Le gouvernement ne veut pas montrer que le vaccin [COVID] est plein de merde »

« Ils poussent les rapports d’effets indésirables sous le tapis »

Ces extraits, issus de cette vidéo, font l’effet d’une bombe. En effet, ces propos sont tenus par des médecins et infirmières, employés Fédéraux du gouvernement de santé Américain.

En résumé, on y apprend, selon ces personnes, que les effets secondaires des vaccins ne sont pas rapportés aux autorités, alors que la « phase 3 » l’exige, notamment pour certifier ou non de la non dangerosité d’un produit.

Ils mettent, en exemple, des cas de patients souffrant de différentes pathologies post-vaccinal.

Toujours selon les affirmations de médecins filmés dans cette vidéo, on y apprend que les traitements basés sur l’ivermectine notamment sont proscrits sous peine de perdre leur travail.

Enfin, l’infirmière O’Malley  sous-entend qu’une de ses collègues, vaccinée par obligation, serait décédée quelques jours après sa 2e injection.

Depuis des années les vidéos d’infiltration de l’organisation « Projet Veritas » sont de véritables épines dans le pied des organisations gouvernementales américaines. A l’instar d’un Wikileaks, elle véhicule une information dissidente, mais toujours sourcée, des médias classiques.

Leurs montages audio et vidéo sont de plus en plus écoutés et relayés par les américains.

Voir la vidéo originale sur projectveritas.com



Le pathologiste en chef allemand sonne l’alarme sur les blessures mortelles causées par le vaccin Covid : « Le vaccin est la cause de la mort dans 30 à 40 % des autopsies de personnes récemment vaccinées »

[Source : resistance-mondiale.com]

Le directeur de l’Institut pathologique de l’Université de Heidelberg, Peter Schirmacher, a effectué plus de quarante autopsies sur des personnes décédées dans les deux semaines suivantes la réception d’un vaccin Covid-19 et a exprimé son inquiétude face à ses conclusions.

Schirmacher a déclaré que 30 à 40 % des personnes qu’il a examinées sont mortes du vaccin et qu’à son avis, la fréquence des conséquences mortelles des vaccinations est «sous-estimée».

À la suite de ses découvertes, Schirmacher a appelé à davantage d’autopsies de personnes vaccinées pour déterminer davantage si les vaccins sont liés à des décès. Il a averti que le nombre élevé de cas non signalés de décès par vaccination est dû au fait que “les pathologistes ne remarquent rien sur la plupart des patients qui meurent après et possiblement d’une vaccination”.

Malgré la sonnette d’alarme concernant les vaccins, beaucoup ont émis les conclusions de Schirmacher, l’Institut Paul Ehrlich qualifiant les déclarations du directeur d’”incompréhensibles”. Le laquais du chancelier, l’immunologiste allemand principal Thomas Mertens, a immédiatement rejeté les conclusions : “Je ne connais aucune donnée qui permet de faire une déclaration justifiable ici et je ne suppose pas un nombre non déclaré.”

L’immunologiste Christian Bogdan de l’hôpital universitaire d’Erlangen, membre de la Commission permanente de vaccination (STIKO), a également contredit l’hypothèse de Schirmacher d’un « nombre élevé de complications de vaccination non signalées, voire de décès » .

Malgré les critiques, Schirmacher a reçu le soutien de ses propres rangs, et l’Association fédérale des pathologistes allemands a déclaré que davantage d’autopsies de personnes vaccinées décédées dans un certain délai après la vaccination doivent être effectuées.

Le responsable du « Groupe de travail Autopsie » de cette association à prendre en compte les médecins généralistes et les autorités sanitaires. Fondamentalement, les médecins des patients décédés dans les jours ou semaines suivants la vaccination doivent demander une autopsie en cas de doute ou les autorités sanitaires doivent prendre des mesures,

L’Association fédérale des pathologistes l’avait déjà demandé en mars dans une lettre au ministre de la Santé Jens Spahn (CDU), mais cela est resté sans réponse.

Bien sûr, il convient de noter que l’avertissement de Schirmacher pourrait faire perdre à diverses sociétés pharmaceutiques des milliards de dollars d’activités à long terme, ce qui explique ses conclusions ont été scrutées et ternies par l’agenda pro-vaccin.

Cependant, la réputation et le sérieux de Schirmacher ne peuvent être ignorés.

Schirmacher lui-même dirige déjà un projet d’autopsie sur des personnes décédées du Covid-19, qui est subventionné par l’État. Il a ensuite élargi l’attention et a commencé à effectuer des autopsies sur plus de 40 personnes vaccinées décédées. Alors que ses résultats ne représentent qu’une petite taille d’échantillon, il s’agit d’une inquiétante d’un tableau plus large : 30 à 40 pour cent sont morts de la vaccination elle-même. Le pathologiste a cité “des effets secondaires rares et graves de la vaccination – tels que la thrombose veineuse ou les maladies auto-immunes”.

En réponse aux critiques, Schirmacher a nié un manque de compétence, déclarant: “Les collègues ont définitivement tort car ils ne peuvent pas évaluer cette question spécifique avec compétence.” De plus, le directeur a déclaré qu’il n’essayait pas de semer la peur et qu’il n’était pas opposé aux vaccinations, car il a lui-même reçu le vaccin.

Il ne sera pas surprenant de voir dans les semaines à venir la réputation de Schirmacher complètement déchirée dans les médias, en ligne et dans la communauté scientifique et médicale.

source :

German Chief Pathologist Sounds Alarm on Fatal Covid Vaccine Injuries: “Jab is Cause of Death in 30-40% of Autopsies of Recently Vaccinated”Peter Schirmacher, the director of the Pathological Institute of the University of Heidelberg. The director of the Pathological Institute of the University o




Pour Étienne Chouard, le pass sanitaire est une méthode digne de la mafia




L’arnaque des « fact-checkers » : Pierre de « Décoder l’éco » répond aux attaques

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Pierre, animateur de la chaîne Décoder l’éco
©FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

TRIBUNE – Ce 17 septembre, pour la deuxième fois concernant mes travaux statistiques, un article s’est vanté d’avoir réussi à contredire mes arguments sur la situation de la Covid-19 en Israël. Il y a quelques mois, les décodeurs du journal le Monde s’étaient prêtés à l’exercice. Ils avaient sobrement repris la vignette de ma vidéo en écrivant « FAUX » par-dessus, sans apporter d’argument contredisant ma démonstration. J’y avais répondu sous forme d’une vidéo et d’un article. Aujourd’hui c’est un petit média internet qui se lance dans cette entreprise. On y voit cette fois-ci plutôt mon visage et ma bibliothèque avec la mention « DEBUNKED », et une petite phrase qui commence par le mot « non », histoire bien évidemment de montrer que mes propos sont un mensonge, mais « avec de vrais chiffres ». 

Le comportement parasitaire des « fact-checkers » 

Dans un pays qui se dit démocratique, défendant une « liberté de la presse », il paraît tout à fait normal d’encourager les débats contradictoires. Je « m’étonne » du traitement réservé depuis 18 mois à tous ceux qui refusent de soutenir la version officielle de la terreur légitimant la « nécessité » de la mise en retrait des « Libertés » pour le « bien commun ». Je pense par exemple à Laurent Mucchielli, autrefois porté aux nues par la presse dite « de gauche » et se trouvant aujourd’hui complètement ostracisé, catalogué complotiste d’extrême-droite, voire antisémite, aucun qualificatif n’étant oublié pour discréditer une personne auprès du lectorat visé. 

Il me semble qu’un comportement « humain » raisonnable, qui devrait servir de base au métier de journaliste, est de discuter des arguments avancés par les personnes qui publient. Je m’étonne qu’à aucun moment, aucun de leurs journalistes ne soit venu discuter de mes chiffres de façon à avancer dans la compréhension du sujet. Je lis tous les messages qui me sont adressés et répond à la quasi-totalité d’entre eux. Les personnes publiant des articles ou des vidéos sur Iinternet de façon publique sont nécessairement dans une posture d’échange. Jamais aucun « fact-checker » n’a souhaité dialoguer pour lancer un débat contradictoire. Leur but n’est pas de faire avancer la connaissance et de questionner, mais de défendre leur point de vue, leur groupe. 

Ces « fact-checkers » n’ont pas d’autre horizon que d’empêcher le débat en discréditant ceux qu’ils considèrent comme leurs « adversaires ». Leurs articles posent les barrières infranchissables de l’information. La publication de petits articles avec les mots « FAUX », « DEBUNKED » ou autre « FAKE NEWS », permettent d’éviter que leur lectorat ne « s’égare » en lisant une information contraire aux croyances du groupe. Le journalisme en est réduit au niveau de harceleurs de collège où certains groupes prennent le leadership de la classe en choisissant des cibles à exclure du groupe. 

Enfin, il me semble déplorable d’encourager un journalisme dont le rôle assumé est de ne rien produire, mais de passer son temps sur le derrière de personnes qui pensent différemment d’eux, pour essayer de les dénigrer. Leur rôle n’est pas de comprendre et synthétiser les informations à leur disposition, mais de suivre paresseusement leurs cibles en vivant au crochet de leurs travaux. Il est finalement peu étonnant que ce type de journalisme du niveau cours de récré sans aucune plus-value soit financé par les réseaux sociaux. L’ère de la médiocrité intellectuelle est à l’œuvre. 

Toujours la même méthode : l’attaque ad hominem 

La première attaque des « fact-checkers » est toujours la même : discréditer l’auteur. Cette première partie est toujours composée d’attaques ad hominem. Elle permet de conforter d’emblée le lectorat sur la lecture qui suit : le monsieur est un menteur, il ne faut pas l’écouter. Il y a quelques mois il ne fallait pas m’écouter parce que j’étais un inconnu, aujourd’hui c’est parce que je suis devenu une « égérie ». La fenêtre d’écoute raisonnable semble étroite. Au passage, j’apprends que l’égérie des complotistes et des désinformateurs, c’est moi. Désolé pour tous ceux qui étaient dans la course pour ce titre en 2021, la place est prise. 

En journalisme, on apprend que seul le début de l’article est lu. Il s’agit donc de mettre l’information la plus importante en premier car l’écrasante majorité des lecteurs s’arrêtera là. Nous savons donc que l’information majeure que ce journaliste souhaite apporter : c’est que je suis un « complotiste ». Cela suffit à ce que l’article soit partagé et retweeté sans avoir besoin d’aller plus loin. Vous trouverez quelques perles de ce genre en commentaire de ma vidéo ayant subi le « fact-checking » des « Décodeurs » : des personnes se vantant de n’avoir pas regardé la vidéo, mais venant quand même mettre un post pour dire qu’elle n’est qu’un amas de « mensonges complotistes ». Je découvre la nature humaine et le besoin pour certains d’une vérité absolue sans qu’aucune nuance ne soit tolérable. 

Les fameuses questions rhétoriques 

L’auteur de l’article fait semblant de se demander pourquoi j’affirme qu’il n’y a pas de surmortalité globale, alors qu’il y a une surmortalité vaccinale. Il s’agit bien évidemment de faire croire à une contradiction. J’explique précisément dans l’article que la surmortalité liée à la vaccination est faible (quelques personnes pour 100 000). Dès lors, elle est indétectable dans la population générale en période hivernale. La mortalité hivernale est bien plus élevée que ce phénomène pour les personnes âgées. Pour cette raison, la seule population sur laquelle cette surmortalité est mesurable est la population jeune, car elle n’est pas soumise à la hausse de mortalité hivernale. En faisant le calcul, je montre une surmortalité des jeunes de 60 personnes sur la totalité de la période vaccinale. Cela ne peut pas être visible dans la mortalité générale du pays. Rappelons qu’il meurt en Israël entre 3500 et 5000 personnes tous les mois

Les soi-disant données cachées (ou ce « cherry-picking » qui serait la marque des complotistes) 

L’auteur m’accuse de masquer une partie des données. C’est assez intéressant me concernant puisque je fais l’effort de mettre tous les liens de toutes mes sources avec mes vidéos, mais qu’en plus, je prépare des fichiers prêts à l’emploi, car je sais que beaucoup se découragent au moment de télécharger les fichiers. L’auteur m’accuse donc de masquer les données de la « pandémie », autrement dit les décès estampillés Covid-19. Cela fait maintenant 18 mois que le principal apport de tous mes travaux est de montrer que les comptages Covid n’ont absolument aucun sens et qu’il faut raisonner en mortalité toutes causes confondues. La « rigueur statistique », c’est de travailler sur des données sans biais. C’est bien l’objet de mon article sur Israël. Je signale à l’auteur que toute la deuxième partie de mon article est consacré à l’absurdité du comptage de « cas » de Covid-19 en Israël à l’aide de celui des résultats de tests. Alors, oubli volontaire ? 

Les morts post-vaccination seraient des morts Covid 

L’argument suivant de l’auteur concerne les graphiques permettant d’observer une corrélation parfaite entre vaccination et mortalité. Il se base sur deux points. Le premier est de dire que les hausses de mortalité observées ne sont pas dues à la vaccination, mais à la Covid-19. L’auteur répète d’ailleurs cet argument dans un paragraphe suivant. Il serait intéressant que l’auteur nous dise où il a bien pu lire que la Covid-19 entraîne une hausse de mortalité chez les jeunes. Je signale qu’aucun pays sur lequel nous disposons de données, ni en Israël, ni dans toute l’Europe (consultez l’étude que j’ai pu réaliser sur 33 pays européens) ne montre la moindre hausse de mortalité en période Covid chez les moins de 40 ans, à l’exception des pays ayant massivement vacciné ces tranches d’âges (notamment Hongrie et Israël). La mortalité toutes causes ne montre pas de quoi décèdent ces jeunes, mais, même en considérant que c’est la Covid, faut-il quand même vacciner les jeunes si on observe que le nombre de morts Covid des jeunes augmente à cette occasion ?  

Le deuxième point concerne une deuxième hausse de mortalité visible entre deux et trois mois après les injections de masses. L’auteur en déduit que cette deuxième hausse est une preuve que la première n’a pas de rapport avec la vaccination. Je le remercie de mordre à cet hameçon, même si j’espérais plutôt que cela vienne d’un chercheur curieux de l’étude des effets secondaires. On constate en effet une deuxième hausse dans quasiment toutes les tranches d’âges, sauf les plus âgées. Il est intéressant d’observer le biais cognitif de l’auteur qui, abreuvé de l’information que la vaccination est « nécessairement » sans risque, est incapable d’envisager que des effets secondaires puissent arriver. En effet, un décès causé par une injection ou une intervention dans les jours qui suivent est un effet primaire de l’évènement. Il s’agit d’une suite directe ce qui est subi. La corrélation parfaite que nous montrons à J+5 ne présage pas qu’il n’existe pas d’autres effets plus tardifs. Il s’agit d’ailleurs du principe des études de long terme de le déterminer. Ici nous observons une deuxième remontée après les injections. En trouver une avant aurait été un indice fort de non-causalité. En trouver une après va plutôt dans le sens de ce que nous montrons. Merci donc de la souligner. 

Par ailleurs, l’auteur soulève que cette bosse est surtout observable pour les plus jeunes, et de moins en moins pour les plus âgés. C’est un indice supplémentaire. Imaginez que vous distribuez un poison à toute une population. Les plus fragiles et les plus sensibles à ce poison vont décéder en nombre très vite. Les plus jeunes résisteront bien mieux et certains résisteront longtemps avant de succomber. Si on considère que la vaccination entraîne chez certains personnes la création de caillots sanguins, il est probable que les moins de 40 ans puissent en supporter bien plus et pendant plus longtemps que les plus de 80 ans. 

Les mauvaises fréquentations 

Afin d’enfoncer le clou sur mon compte et surtout « protéger » son lectorat des « méchants », l’auteur en profite pour rappeler que mon étude se base sur les mêmes observations que celle d’Alexandra Henrion-Caude et Steve Ohana. Nous arrivons ainsi aux mêmes conclusions. Ce procédé fonctionne comme un avertissement contre tous ceux qui souhaiteraient suivre le même chemin. Il avertit les journalistes, chercheurs, lecteurs, politiques, que toute personne surprise à oser lire, commenter ou pire, approuver le document d’une personne considérée « complotiste » rentrera immédiatement dans la même case. Un certain nombre de personnes (en accord ou désaccord avec mon point de vue) me font la remarque du « consensus » scientifique sur la gravité de la situation. 

Il n’y a pas et n’a jamais eu de consensus. Il y a une pression et un acharnement délétère envers tous ceux qui osent contredire ce qui est considéré médiatiquement comme « la vérité ». De nombreux chercheurs et auteurs français (Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint, Vincent Pavan…) autrefois considérés comme parmi les meilleurs dans leurs domaines ont subit une destruction systématique de tous leurs travaux par les médias. Qui peut croire qu’autant de personnes reconnues auraient simultanément grillé un fusible ? J’ai pu observer en direct le rejet subi par certain d’entre eux par leurs propres collègues, instituts, laboratoires. Non pas à cause d’arguments contradictoires à leurs travaux, mais bien par souci des nombreux pervers narcissiques aspirant à de hautes destinées de préserver leur précieuse image. Ces exemples destructeurs ont évidemment servi à décourager tous ceux qui souhaiteraient encore se lancer dans ce type de travaux. Je témoigne d’ailleurs (en ayant des traces mails à l’appui) avoir vu deux études se faire censurer par les hébergeurs MedRxiv et SSRN, sans aucun motif. Cette censure a bien évidemment empêché toute relecture possible par des pairs et donc toute publication. Je gage que ces deux articles ne sont pas les seuls à avoir subi ce tri. La pseudo-uniformité des résultats est donc artificiellement créée. 

La stratégie de l’inversion : me faire dire ce que je ne dis pas 

Je précise dans toutes mes vidéos que corrélation n’est pas causalité. Il n’existe pas de preuve par la statistique. D’ailleurs c’est un résultat intéressant à garder en mémoire lorsque vous lisez une étude d’un laboratoire pharmaceutique vous vantant les résultats miraculeux de son produit miracle à l’aide d’une étude statistique, souvent en double aveugle. L’étude ne vous amène qu’une corrélation et il existe autant de façon de maîtriser cette corrélation que d’auteurs rémunérés directement par ces mêmes laboratoires. On note d’ailleurs qu’une fois de plus l’auteur ne remet jamais en question le principe de causalité pour les morts de la Covid-19. On note par exemple que parmi les personnes qui décèdent, certains sont positifs aux tests Covid-19. On en déduit simplement que ces personnes sont mortes de la Covid-19. La corrélation devient causalité sans faire lever le moindre sourcil à notre « fact-checker » anglo-latiniste. On lui fera remarquer que l’écrasante majorité des personnes avec un test positif n’a absolument rien. L’auteur les classera certainement dans la case « asymptomatique », puisqu’à notre époque, « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. »  De la même manière, à aucun moment je ne suppose que les jeunes meurent tous de la vaccination. Je note une surmortalité (donc pas tous les décès, mais seulement ceux au-dessus de la mortalité habituelle) après les campagnes d’injections de masse. Je dénombre cette surmortalité et je constate qu’elle est cohérente avec les travaux déjà réalisés sur la pharmacovigilance. L’objet de cette étude est donc d’alerter les pouvoirs publics sur des corrélations parfaites dans tous les pays ayant mis en place cette stratégie. 

Auteur(s): FranceSoir




Macron débauche les personnels soignants libanais pour remplacer les non-vaccinés français !

[Source : voltairenet.org via L’Échelle de Jacob]

À l’issue d’une visite à Beyrouth, le directeur général et le directeur régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont déploré que 40 % des médecins et 30 % des infirmiers aient quitté le Liban en quelques semaines.

Tedros Adhanom Ghebreyesus et Ahmed Al-Mandhari ont dénoncé la responsabilité d’un État étranger dans cet « exode des cerveaux ». Ils ont pris l’engagement d’aider autant qu’ils le peuvent le pays à traverser cette crise supplémentaire.

Les hôpitaux ferment les uns après les autres en raison de l’absence de courant, de la pénurie de médicaments et maintenant de l’absence de personnel.

L’ambassade de France a lancé un appel aux soignants libanais et a mis en place une procédure accélérée pour leur permettre de venir travailler en FranceIl s’agit pour le président Emmanuel Macron de remplacer d’urgence les soignants français qu’il a interdit de travailler car ils refusent de se faire vacciner contre la Covid-19.

L’année dernière, la France faisait applaudir les soignants, qualifiés de « combattants de la première ligne » dans la « guerre contre la Covid-19 ». Aujourd’hui, elle en licencie sans état d’âme.

Les soignants qui avaient quitté le Liban lors de la Guerre civile, dans les années 80, n’y sont jamais rentrés. Le pays n’a donc plus de système de santé et n’en aura plus avant de longues années.




Marx et le délire administratif à la française

Par Nicolas Bonnal

La dictature sanitaire est une aubaine pour notre administration traditionnellement tyrannique. Elle est aussi parfaitement acceptée par 80 % ou plus de la population. Comprenons pourquoi car les causes sont anciennes. Tocqueville écrit déjà dans des lignes immortelles :

« Au-dessus de ceux-là s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance ; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur ; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre ; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages, que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ? »

En bon aristocrate libéral, Tocqueville accuse l’égalité :

« C’est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus rare l’emploi du libre arbitre ; qu’il renferme l’action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu à peu à chaque citoyen jusqu’à l’usage de lui-même. L’égalité a préparé les hommes à toutes ces choses : elle les a disposés à les souffrir et souvent même à les regarder comme un bienfait. »

En réalité l’égalité est une conséquence et pas une cause ; elle est aussi un leurre pour tromper la masse ; on sait en plus que les élites au pouvoir sont moins égales que nous pour parler comme Orwell. C’est le pouvoir moderne, le minotaure de Bertrand de Jouvenel, qui a enflé comme la grenouille. Et Marx écrit quelques années seulement après Tocqueville, quand le bonapartisme a tout phagocyté en France terre de liberté et des droits de l’homme ; c’est dans le dix-huit brumaire de Louis-Napoléon, le texte le plus important jamais écrit sur la condition française :

« Ce pouvoir exécutif, avec son immense organisation bureaucratique et militaire, avec son mécanisme étatique complexe et artificiel, son armée de fonctionnaires d’un demi-million d’hommes et son autre armée de cinq cent mille soldats, effroyable corps parasite, qui recouvre comme d’une membrane le corps de la société française et en bouche tous les pores, se constitua à l’époque de la monarchie absolue, au déclin de la féodalité, qu’il aida à renverser. »

Apprécions cette expression de corps parasite : n’oublions que pour Marx (ce n’est pas pour rien que le maître libertarien Rothbard l’appréciait) rêve de la disparition de l’État. Et ajoutons que les corps parasites, hauts fonctionnaires, médecins vaccinateurs, journalistes 100 % subventionnés et étatisés, profs socialistes de père en fils et autres butors de la police et de la gendarmerie s’en donnent à cœur joie en ce moment. On a cherché des Jean Moulin et on n’en a pas eu plus qu’en 1940 ; car ce fut cet étatisme (liberté, carrière, retraite) qui engendra notre soumission à Vichy.

Marx rappelle notre histoire moderne :

« La première Révolution française, qui se donna pour tâche de briser tous les pouvoirs indépendants, locaux, territoriaux, municipaux et provinciaux, pour créer l’unité bourgeoise absolue : la centralisation, mais, en même temps aussi, l’étendue, les attributs et l’appareil du pouvoir gouvernemental. Napoléon acheva de perfectionner ce mécanisme d’État. »

On arrive à la perfection sous la monarchie de Juillet (voyez mes textes sur Balzac et lisez son bref et génial Z.Marcas) :

« La monarchie légitime et la monarchie de Juillet ne firent qu’y ajouter une plus grande division du travail, croissant au fur et à mesure que la division du travail, à l’intérieur de la société bourgeoise, créait de nouveaux groupes d’intérêts, et, par conséquent, un nouveau matériel pour l’administration d’État. Chaque intérêt commun fut immédiatement détaché de la société, opposé à elle à titre d’intérêt supérieur, général, enlevé à l’initiative des membres de la société, transformé en objet de l’activité gouvernementale, depuis le pont, la maison d’école et la propriété communale du plus petit hameau jusqu’aux chemins de fer, aux biens nationaux et aux universités. »

Il n’y a rien de français en France en résumé. Tout est étatique. Et Marx observe tristement :

« Toutes les révolutions politiques n’ont fait que perfectionner cette machine, au lieu de la briser. Les partis qui luttèrent à tour de rôle pour le pouvoir considérèrent la conquête de cet immense édifice d’État comme la principale proie du vainqueur. »

J’ai comparé il y a bientôt cinq ans Macron à Louis-Napoléon. C’est l’ère de l’hyper-présidence comme disait un imbécile de la télé. Marx écrit :

« Ce n’est que sous le second Bonaparte que l’État semble être devenu complètement indépendant. La machine d’État s’est si bien renforcée en face de la société bourgeoise qu’il lui suffit d’avoir à sa tête le chef de la société du 10 décembre, chevalier de fortune venu de l’étranger, élevé sur le pavois par une soldatesque ivre, achetée avec de l’eau-de-vie et du saucisson, et à laquelle il lui faut constamment en jeter à nouveau. »

Et d’expliquer la tristesse française :

« C’est ce qui explique le morne désespoir, l’effroyable sentiment de découragement et d’humiliation qui oppresse la poitrine de la France et entrave sa respiration. Elle se sent comme déshonorée. »

Depuis on est descendu plus bas. Dans ses admirables et inépuisables Commentaires, Guy Debord écrit après avoir cité Marx :

« Voilà qui sonne tout de même un peu bucolique et, comme on dit, dépassé, puisque les spéculations de l’État d’aujourd’hui concernent plutôt les villes nouvelles et les autoroutes, la circulation souterraine et la production d’énergie électronucléaire, la recherche pétrolière et les ordinateurs, l’administration des banques et les centres socioculturels, les modifications du « paysage audiovisuel » et les exportations clandestines d’armes, la promotion immobilière et l’industrie pharmaceutique, l’agroalimentaire et la gestion des hôpitaux, les crédits militaires et les fonds secrets du département, à toute heure grandissant, qui doit gérer les nombreux services de protection de la société. »

Debord prophétisait aussi une nouvelle élite. Elle est arrivée au pouvoir avec Macron. Et je me risque non pas à une prophétie mais à une simple observation : il ne partira pas. Macron ne partira pas, Macron ne quittera pas le pouvoir, pas plus que sa clique qui se régale aux affaires en dépeçant la France.

Et tant mieux si je me trompe.

Sources :

https://www.dedefensa.org/article/balzac-et-la-prophetie-du-declin-de-la-france

http://classiques.uqac.ca/classiques/Marx_karl/18_brumaine_louis_bonaparte/18_brumaine.html

http://achard.info/debord/CommentairesSurLaSocieteDuSpectacle.pdf

http://classiques.uqac.ca/classiques/De_tocqueville_alexis/democratie_2/democratie_t2_2.pdf




Faina Savenkova – Dieu a créé le monde pour que nous vivions en paix, pas pour que nous nous battions

[Source : Donbass Insider (donbass-insider.com)]

Par Faina Savenkova

Sur notre petite planète, chaque jour, des enfants meurent de la guerre. Syrie, Afghanistan, Donbass, d’autres régions du monde… Malheureusement pour la plupart des politiciens, un autre enfant mort n’est qu’un nouveau chiffre dans le rapport. Mais pour moi, ce n’est pas le cas. Je vis à proximité de la guerre et je sais que beaucoup s’endorment en disant « Merci pour un autre jour vécu ». C’est le plus sincère des remerciements.

Nous n’aimons pas moins la vie que les autres, nous ne sommes pas différents des enfants ordinaires d’Europe ou d’Asie. C’est juste que notre « demain » dépend plus des adultes que de nous.

Aujourd’hui c’est la journée de la Paix. Et lorsque les oncles et les tantes exprimeront à nouveau leur « préoccupation » et feront de beaux discours alors qu’un autre enfant est tué par un bombardement, rien ne changera.

Parler doit mener à une sorte de décision et d’action. Sinon, on a l’impression que les politiciens divisent les enfants entre « les leurs » et « les autres », les uns étant à plaindre et les autres non. Le monde est fragile et indivisible. Et nous n’avons qu’un seul monde, il n’y en aura pas d’autre dans un avenir proche.

J’ai lu récemment les paroles d’une jeune Américaine, Samantha Smith :

« Dieu a créé le monde pour que nous vivions en paix, pas pour que nous nous battions » (« God made the world for us to live together in peace and not fight »). .

Et je suis d’accord avec elle.

Faina Savenkova

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




Aucune alerte épidémique Covid depuis 1 an !

Bulletin épidémiologique semaine 36

du 6 septembre au 12 septembre 2021

Toujours aucune alerte épidémique depuis 1 an !

Le taux d’incidence : 7 malades covid-19 pour 100.000 habitants !

Il n’y a aucune prétendue crise sanitaire due à la covid-19

Taux d’alerte épidémique : 170 malades pour 100.000 habitants

Le passe sanitaire n’a pour objectif que de forcer une « vaccination » inutile, aux vues des données épidémiques dérisoires, qui sont disponibles.

L’incitation forcée à la « vaccination » – thérapie génique continue mais elle n’a toujours pas pour objectif de prévenir et d’endiguer la Covid-19.

Les courbes ci-dessous démontrent que l’épidémie de la covid-19 était sous le seuil d’alerte déjà en 2020 bien avant que ne débute la campagne de vaccination (thérapie génique – OGM – expérimentale) !

Le « vrai » Taux d’incidence: 7/100.000 hab (personnes effectivement malades vues en consultation médicale)

À savoir :

Taux de seuil-alerte épidémique : 170/100.000 hab (taux employé historiquement pour surveiller les épidémies)

Taux incidence épidémique 2019 à son pic (grippe type A(H1N1)pdm09 B) : 599/100.000hab

(sans confinement, sans vaccination , sans imbroglio de pass sanitaire/green pass)

Sources de données :

Le réseau Sentinelles est développé sous la tutelle conjointe de Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et de Sorbonne Université, qui a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).

Pour plus de détails et de commentaires sur la lecture de données vous pouvez nous contacter
https://reaction19.fr/contacts/

Pour imprimer en une page :




Outre les morts fœtales, les bébés allaités meurent ou tombent malades à la suite des injections COVID de leur mère

[Source : Cogiito]

par Brian Shilhavy
Rédacteur, Health Impact News
HealthImpactNews.com

En avril de cette année, nous avons publié un commentaire vidéo de ReallyGraceful dans lequel elle rapportait que de nombreuses mères qui allaitaient leurs bébés voyaient leur lait maternel se tarir après avoir reçu une injection de COVID.

Alors que de plus en plus de données sont saisies dans le système gouvernemental de signalement des effets indésirables des vaccins (VAERS), nous voyons maintenant des cas où des bébés allaités souffrent de réactions indésirables aux injections de COVID que leurs mères prennent. Ces vaccins n’ont pas encore été autorisés pour les nourrissons, mais cette autorisation est attendue d’un jour à l’autre.

Celeste McGovern de LifeSite News a rapporté un cas où le bébé allaité est mort de caillots sanguins, un phénomène rarement observé chez les nourrissons, mais un effet secondaire courant chez les personnes qui prennent les injections de COVID, des caillots sanguins que le CDC déclare “rares” malgré les données du VAERS qui montrent plus de 10 000 cas de “thrombose”, dont 488 décès.

Le rapport VAERS ID 1532154 a apparemment été déposé par la mère, une femme de 36 ans vivant au Nouveau-Mexique :

Le 17 juillet, mon bébé est décédé.

J’avais allaité mon bébé de 6 semaines au moment où j’ai reçu le premier vaccin Pfizer le 4 juin 2021.

Il est devenu très malade avec une forte fièvre environ 2 semaines après avoir reçu le premier vaccin Pfizer le 21 juin. Il a été traité pendant deux semaines avec des antibiotiques par voie intraveineuse pour une supposée infection bactérienne.

Cependant, ils n’ont jamais trouvé de bactérie spécifique, et ont appelé son diagnostic septicémie à culture négative. À la fin de son séjour à l’hôpital, il a été testé positif au rhinovirus.

Après un traitement antibiotique de 14 jours, il est resté à la maison pendant une semaine, mais a présenté des symptômes étranges (paupière enflée, éruptions cutanées étranges, vomissements).

Je l’ai ramené à l’hôpital le 15 juillet, où il présentait ce qu’ils ont appelé une maladie de Kawasaki atypique.

Il est décédé peu après à cause de caillots dans ses artères gravement enflammées. Je suis curieuse de savoir si la protéine de pointe a pu passer dans le lait maternel et provoquer une réaction inflammatoire chez mon enfant.

On dit que la maladie de Kawasaki se présente de façon très similaire au syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants qu’on observe dans les infections post-Covid. (Mon bébé a également eu des circonstances de naissance inhabituelles, puisqu’il est né à 37 semaines, déclenchées par une appendicite maternelle).

CEPENDANT, SI L’ON SAIT QUE LES ANTICORPS PASSENT DANS LE LAIT MATERNEL COMME UNE BONNE CHOSE, ALORS POURQUOI LA PROTÉINE DE POINTE NE PASSERAIT-ELLE PAS AUSSI DANS LE LAIT MATERNEL ET NE CAUSERAIT-ELLE PAS DES PROBLÈMES ? (SOURCE.)

J’ai effectué une recherche dans la base de données VAERS pour voir combien d’autres rapports ont été déposés concernant des mères qui allaitent leurs bébés, et j’ai trouvé 94 cas, dont un autre décès de nourrisson. (Source.)

L’autre décès de nourrisson allaité est le cas VAERS 1166062, qui mentionne le purpura thrombocytopénique thrombotique comme l’un des symptômes. Le purpura thrombocytopénique thrombotique est un trouble sanguin rare dans lequel des caillots de sang se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps.

La patiente a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer le 17 mars 2020 alors qu’elle était au travail. Le 18 mars 2020, son bébé de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et, dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre.

La patiente a amené le bébé aux urgences locales où des évaluations ont été effectuées, l’analyse de sang a révélé des enzymes hépatiques élevées. Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé.

Diagnostic de PTT. Pas d’allergies connues. Pas de nouvelle exposition à part la vaccination de la mère la veille. (Source.)

Voici quelques autres cas dans VAERS où l’injection de COVID administrée à la mère qui allaite, a apparemment affecté le bébé.

Certains des cas de mères allaitantes ayant reçu l’injection de COVID font état d’une diminution de la montée de lait, de mastite, de thrombophlébite dans le sein, de menstruations abondantes malgré l’allaitement, etc.

Je n’inclus ici que certains des cas qui ont affecté le bébé qui était allaité, et qui n’ont PAS été vaccinés mais qui ont apparemment eu des effets secondaires en buvant le lait maternel de leurs mères qui ont été vaccinées.

Mère de 30 ans du Connecticut qui allaite son fils de 5 mois – Vomissements, diarrhée, éruption cutanée et hématurie

Cas VAERS 970309 : La patiente allaite son fils de 5 mois. Deux nuits après sa première dose de Moderna, il a eu de violents vomissements, de la diarrhée, une éruption cutanée et une hématurie (sang dans les urines).

Mère californienne de 36 ans qui allaite – urticaire

Cas VAERS 999040 (Pfizer) : Un fils allaité a eu de l’urticaire sévère pendant 5 jours.

Une mère californienne de 31 ans qui allaite son fils de 4 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1070803 (Pfizer) : J’étais exclusivement allaitante au moment où j’ai reçu les deux doses. Mon fils de 4 mois a développé une diarrhée le 1er février et cela a duré 2 semaines. Les analyses de laboratoire/études des selles ont été négatives pour toute infection bactérienne ou virale.

Mère de 38 ans du New Jersey qui allaite et dont la fille a 3 mois – Éruption cutanée

Cas VAERS 1111787 (Pfizer) : J’allaite ma fille exclusivement. Elle est née le 9 décembre 2020. Elle a environ 3 mois. Elle a eu une éruption cutanée sur tout le corps.

Mère de 35 ans de l’Alaska qui allaite son enfant de 12 mois – Choc anaphylactique

Cas VAERS 1119088 (Pfizer) : La patiente a reçu le premier vaccin covid de la série vers 9 h 15… elle a allaité son enfant de 12 mois peu de temps après sans problème. Vers 12 h 15, le bébé est devenu difficile et a été allaité pendant environ 5 minutes avant que le bébé ne fasse de l’urticaire.

Le SAMU a été appelé et de l’épinéphrine/diphénhydramine a été administrée pour la toux/la respiration sifflante, vraisemblablement une anaphylaxie.

Les autres aliments consommés par le bébé le même jour comprenaient une banane, une barre Newton aux figues pour enfants, des pommes séchées, de la viande provenant d’un repas congelé et deux morceaux de céréales (nouveaux pour le bébé). L’urgence a nécessité 4 heures de surveillance mais aucune autre intervention médicale.

Nourrisson allaité en Alaska – Choc anaphylactique

Cas VAERS 1124474 (Pfizer) : LA MÈRE D’UN GARÇON DE 12 MOIS A REÇU LA PREMIÈRE DOSE DU VACCIN COVID-19 À 9H15 ; ELLE A ALLAITÉ SON FILS DE 12 MOIS 3 HEURES PLUS TARD ET PENDANT L’ALLAITEMENT, L’ENFANT A DÉVELOPPÉ UNE ANAPHYLAXIE AIGUË. POUR ÊTRE CLAIR : LA MÈRE A REÇU LE VACCIN ET L’ENFANT A EU LA RÉACTION.

Une mère californienne de 34 ans qui allaite son enfant de 11 semaines – diminution de l’appétit, vomissements.

Cas VAERS 1139952 (Moderna) : J’allaite exclusivement mon petit garçon de 11 semaines. Je n’ai aucun effet indésirable autre qu’une douleur au bras, mais dans les 24 heures, le bébé a perdu l’appétit et a vomi une fois jusqu’à présent.

Mère de 40 ans qui allaite son bébé d’un mois – Diarrhée pendant 36 heures.

Cas VAERS 1144429 (Pfizer) : J’allaite et le jour après avoir reçu le vaccin Pfizer-BioNTech COVID19 et avoir allaité ce jour-là, mon bébé d’un mois a eu de la diarrhée pendant environ 36 heures. Il n’y a pas eu d’autres changements dans son alimentation. Environ 14 heures avant la diarrhée, j’avais pris une dose de tylenol pour soulager les douleurs dues à la réaction au vaccin.

Mère de 29 ans du New Jersey qui allaite son enfant de 15 mois – Infection de l’oreille, fièvre.

Cas VAERS 1149144 (Moderna) : La patiente qui a reçu le vaccin était une mère qui allaitait. Son enfant de 15 mois a développé une infection de l’oreille, nécessitant des antibiotiques pour la première fois, dans les 72 heures suivant l’administration du vaccin.

Son enfant de 15 mois a développé une fièvre de 102,6 environ 6 jours après l’administration du vaccin. On lui a ensuite prescrit des antibiotiques 7 jours entiers après l’administration du vaccin à la mère.

Mère de 31 ans de l’Illinois qui allaite son fils de 10 mois – Fièvre persistante de 100 – 103 F.

Cas VAERS 1168528 (Moderna) : La patiente allaite son fils de 10 mois, et l’enfant a développé une fièvre persistante de 100 – 103 F. qui a commencé 12-24 heures après la vaccination et qui persiste encore au jour 4 après la vaccination.

Mère de 34 ans de l’Indiana qui allaite son fils – Éruption cutanée

Cas VAERS 1205906 (JANSSEN) : Fatigue vers 20 heures, suivie de frissons, d’une fièvre de 101,8, de sueurs (prises vers 12 h 30), de faiblesse, de douleurs articulaires et de nausées. La fièvre et les frissons ont duré environ 5 heures. Le jour suivant, j’étais faible dans mes mains et mes articulations étaient douloureuses. Je suis une mère qui allaite et mon fils a fait une éruption cutanée le jour suivant.

Mère de 30 ans de l’Indiana qui allaite son fils – L’éruption s’est propagée de l’estomac à tout le corps.

Cas VAERS 1229118 (Pfizer) : On m’a diagnostiqué un zona le 18-3-21. J’ai commencé à avoir une éruption cutanée le 15-3-21. On m’a prescrit un médicament que je viens de commencer. J’allaite et mon fils a développé une éruption cutanée le 15-3-21. L’éruption s’est étendue de son estomac à tout son corps.

L’éruption est devenue rouge vif et des bosses étaient visibles sur tout son corps. La rougeur a diminué à partir du 3-17-21. Il a été examiné par un médecin le 19 mars 21 et on lui a dit qu’il s’agissait d’une éruption virale probablement due au vaccin, mais qu’il n’y avait rien à faire.

Indiana, 28 ans, mère allaitante avec un fils de 9,5 mois – Fièvre, selles anormales

Cas VAERS 1242964 (Moderna) : J’allaite actuellement un bébé de sexe masculin âgé de 9 mois et demi au moment où j’ai reçu mon vaccin.

Cet après-midi-là, il a fait une sieste inhabituellement longue, a été inhabituellement grincheux et léthargique pendant la journée et, le soir, il avait une fièvre de 100,7 °F. Il a dormi toute la nuit (il n’a pas fait de sieste).

Il a dormi toute la nuit (en sautant sa tétée nocturne – cela ne s’est produit que trois fois depuis sa naissance, donc c’est très rare) et était encore grincheux, fatigué et somnolent le lendemain. Sa fièvre est tombée environ 30 heures après son apparition.

Depuis, ses couches mouillées et sales ont changé de façon significative : le nombre total de couches mouillées par jour a diminué et ses couches sales sont passées de selles semi-solides à des selles très humides, plus explosives et incroyablement granuleuses (cela fait maintenant une semaine et demie depuis ma dose). J’ai continué à allaiter pendant tout ce temps.

Mère de 37 ans du New Jersey qui allaite son bébé de 3 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1258446 (Pfizer) : Un bébé de 3 mois, allaité au sein, a eu des selles molles pendant une semaine après avoir reçu la deuxième injection de Pfizer.

New York, 33 ans, mère allaitante avec un bébé – Vomissements projectiles

Cas VAERS 1262437 (Pfizer) : Un nourrisson allaité a développé des vomissements projectiles pendant des heures. Elle s’est rendue à un centre de soins d’urgence qui lui a dit que d’autres mères allaitantes s’y trouvaient avec des nourrissons malades présentant des symptômes similaires quelques jours après avoir été vaccinées.

Une mère de 27 ans de New York qui allaite son enfant de 8 semaines – Fièvre.

Cas VAERS 1275035 (Moderna) : Un bébé de 8 semaines allaité au sein a eu de la fièvre un jour après la vaccination de sa mère.

Mère de 25 ans en Floride qui allaite sa fille – Fièvre, diarrhée

Cas VAERS 1277155 (Moderna) : J’allaite et à 19h15, ma fille a commencé à avoir de la fièvre. Elle était chaude au toucher. La température de son front était de 99.7F.

Elle a depuis eu de la diarrhée et s’est montrée très collante et allaitante 24 heures sur 24. Toujours en cours à 7 h 11, le 1er mai 2021.

Mère de 35 ans qui allaite son enfant de 14 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1298064 (Moderna) : J’allaite ma fille de 14 mois 3 fois par jour. Elle a eu une légère diarrhée et de légers maux d’estomac les 5/6 et 5/7. Aucun changement de régime alimentaire n’a été constaté. La diarrhée n’est pas courante chez elle.

Mère californienne de 30 ans qui allaite et dont la fille a 22 mois – Fièvre, irritabilité

Cas VAERS 1324020 (Pfizer) : Environ dix jours après le vaccin, j’ai commencé à avoir des crampes intenses et j’ai perdu un caillot de sang. Mon ventre se resserrait et j’ai commencé à ressentir une pression vers le bas. J’avais aussi des douleurs dans le dos. J’ai été examinée à l’hôpital, et ils n’ont rien trouvé d’anormal. J’étais enceinte de 23 semaines à l’époque. Je n’ai plus eu de crampes.

J’allaite également ma petite fille et elle était grincheuse et de mauvaise humeur après chaque dose du vaccin. Elle était vraiment irritable et avait une légère fièvre. Ma fille a 22 mois. Deuxième grossesse

Mère de 32 ans qui allaite son bébé de 7 semaines – Léthargique, augmentation des régurgitations.

Cas VAERS 1334516 (Pfizer) : Maux et frissons débutant 10 à 12 heures après la dose. Également un peu de faiblesse et de fatigue. A persisté pendant environ 24 heures. Traitement modéré avec de l’acétaminophène (500 mg toutes les 6 heures). La patiente allaite ; son bébé de 7 semaines était quelque peu léthargique et avait augmenté de façon significative la fréquence et le volume de ses régurgitations au cours de la même période de 24 heures, mais il ne semblait pas être mal à l’aise.

Mère de 31 ans en Caroline du Nord qui allaite son enfant de 2 mois

Caillot de sang, selles foncées.
Cas VAERS 1347789 (Pfizer) : Cette personne a un enfant de 2 mois et l’allaitait au moment de l’administration des deux vaccins Pfizer covid19.

Quatre jours après le premier vaccin, la personne a remarqué que le nourrisson avait des crachats semblables à des caillots teintés de sang, puis des selles foncées un jour plus tard.

Deux jours après le second vaccin, la mère a remarqué un écoulement du mamelon ressemblant à un caillot de sang (qui, selon la personne, ressemblait exactement au crachat teinté de sang remarqué chez le nourrisson).

Texas, 32 ans, mère allaitante avec un enfant de 4 semaines – Fièvre, congestion nasale, perte d’appétit.

Cas VAERS 1443445 (Pfizer) : Je suis actuellement en train d’allaiter. Mon fils, âgé de 4 semaines seulement, a eu 101 ? de fièvre vers minuit le 6/12/2021 et la fièvre ne voulait pas baisser même avec du Tylenol. Il avait également une congestion nasale et ne voulait pas manger. Il a été hospitalisé le jour même, mais on n’a pas trouvé d’origine à la fièvre, etc.

Texas, 37 ans, mère allaitante avec une fille de 10 mois – Urticaire sur le visage et le corps.

Cas VAERS 1592542 (Moderna) : Dix minutes après avoir reçu le vaccin, j’ai eu l’impression que j’allais m’évanouir. J’ai dû m’asseoir sur le sol de la pharmacie. Dans les heures qui ont suivi, j’ai ressenti une légère douleur thoracique, un mal de tête léger à modéré et des symptômes semblables à ceux de la grippe. De plus, la majeure partie du côté gauche de mon visage s’est engourdie comme une paralysie de Bell (front, joue, lèvres et langue à gauche). J’ai reçu le vaccin un mardi.

Mercredi et jeudi, mon bébé de 10 mois allaité au sein a commencé à avoir de l’urticaire sur le visage et le corps. Ses oreilles étaient rouges à l’extrémité

Le CDC continue d’affirmer que les caillots sanguins sont “rares” après les injections de COVID-19, et pourtant si les caillots sanguins chez les nourrissons sont déjà extrêmement rares sans que les mères qui allaitent reçoivent une injection de COVID-19, et voilà que nous avons maintenant plusieurs cas, dont deux décès, en un court laps de temps (environ 9 mois) dans un système (VAERS) dont nous savons qu’il est largement sous-déclaré puisque des pressions sont exercées sur les infirmières et les travailleurs de la santé pour qu’ils ne signalent PAS les effets indésirables du COVID-19 (source), alors il est criminel de ne pas le signaler au public et de ne pas avertir les femmes enceintes et allaitantes de ces dangers.

A titre de comparaison, j’ai recherché les réactions indésirables chez les mères allaitantes au cours des 5 années précédant les injections de COVID-19, et en 5 ans, seuls 5 cas ont été signalés au VAERS de réactions négatives de mères allaitantes chez leurs bébés, avec ZERO décès, après TOUS les vaccins non-COVID. (Source.)

https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=AGE&EVENTS=ON&SYMPTOMS=Breast+feeding+%2810006247%29&VAX_YEAR_LOW=2015&VAX_YEAR_HIGH=2020&VAX_MONTH_HIGH=11

Il y a aussi maintenant 1 490 morts fœtales enregistrées suite à des injections de COVID-19 chez des femmes enceintes pour les 9 derniers mois.

À titre de comparaison, j’ai recherché les décès fœtaux consécutifs à TOUS les vaccins pour les 5 dernières années avant que les injections de COVID ne soient autorisées en décembre 2020, et il y a eu un total de 398 décès fœtaux consécutifs à toutes les vaccinations pour les 5 dernières années (moins un mois – décembre 2020). (Source.)

Cela représente une moyenne de 7 décès par mois avant COVID, et 165 décès par mois après les injections de COVID. 25 fois plus de morts fœtales après les injections de COVID que de morts fœtales après tous les vaccins au cours des 5 dernières années.

Cela ressemble à un plan eugénique de réduction de la population,
d’après les données gouvernementales du CDC.




Vaccinators : voici venu le temps des tueurs en série !

[Source : ripostelaique.com]

Par Christian Navis

On sait que les tueurs en série se repaissent des tortures qu’ils infligent. Observer la souffrance d’autrui, mijoter son trépas et ricaner de l’indignation que cela provoque leur procurent un plaisir indicible.

Une compensation à une libido souvent capricieuse : impuissants ou complexés par un micropénis ou des testicules atrophiés, homosexuels honteux ou gérontophiles portés sur les vieilles dames, les possibilités sont multiples. Et cumulables.

S’ils occupent une position sociale élevée, certains psychopathes deviennent plus retors. Ils évitent de s’exposer et découvrent que le voyeurisme de la souffrance peut être aussi gratifiant que l’exaction elle-même.

Ils embauchent alors des « apprentis » pour commettre à leur place les crimes dont ils se délectent.

Un aspect de leur personnalité souvent oubliée par le cinéma, sauf dans la série « Bones » inspirée de faits réels compilés par la criminologue Kathy Reichs.

Les ministres empoisonneurs, les miliciens sadiques, les fonctionnaires tortionnaires et les médicastres cupides complètent cette typologie de la complicité par incitation, émulation ou imitation. Une comparaison justifiée, puisqu’il y a là aussi d’innocentes victimes assassinées, ou meurtries et traumatisées à vie.

Ayant coché dans la monographie des serial killers rédigée par les profilers du FBI de nombreuses cases « collant » au vécu et aux actions du despote, je me suis inspiré de cette méthodologie pour l’étendre aux VRP de Big Pharma :

  • Comment devient-on vaccinator compulsif ?
  • Quels sont les traits communs de ces psychopathes ?
  • Comment passent-ils du fantasme au fanatisme ?
  • Quelles justifications invoquent-ils ?
  • Jusqu’à quel point sont-ils contagieux au point de générer des répliques ?

Qui sont-ils ?

Les meneurs occultent leur passé ou affabulent. Une éducation stricte chez les jésuites et la soutane jetée aux orties pour se faire chevaucher par une théâtreuse mature, quand on est davantage attiré par des cupidons d’ébène, c’est aussi glorieux qu’être réformé au service militaire pour les raisons qu’on peut imaginer.

Dans ces égouts du diable, où les leaders sont des imbéciles instruits sinon des « savants » sans scrupules, la masse des suiveurs est un ramassis d’anciens cancres qui ont raté leur vie et trouvent valorisant de répéter sans toujours les comprendre les formules assassines de leurs maîtres.

Quoi de plus jubilatoire pour un minus habens qui a atteint son apogée à la session de rattrapage du brevet que de pouvoir traiter d’ignorants et d’imbéciles des universitaires et des chercheurs de renommée internationale, reconnus par leurs pairs, voire des prix Nobel ?

L’humiliation avant le coup de grâce, fût-il virtuel, comme chez les tueurs en série. On se défoule comme on peut !

Terroriser leur victime, l’annihiler moralement en alternant faux espoirs et sévices, l’affaiblir par la faim, la soif et les traitements dégradants avant de l’achever, ces ignominies font partie de la panoplie usuelle des psychopathes serial killers.

La « politique sanitaire » du dictateur et de ses séides aussi psychotiques pervers que lui a suivi depuis le début le même cheminement tordu : diffuser la panique d’une pandémie imaginaire pour conditionner les victimes, puis les avoir à leur merci en alternant les faux espoirs de vaccins miracle et l’interdiction de remèdes efficaces. Culpabiliser les gens simples. Les asservir par des séquestrations à domicile. Infliger des humiliations et des punitions aux réfractaires. Conditionner l’exercice des libertés élémentaires à une injection de poison et un passeport intérieur.

Avec l’orgasme ultime qui leur secoue les tripes d’un 220 volts d’extase quand un grand nombre de leurs victimes finissent sur des lits de souffrance, avant de partir au cimetière à brève échéance.

Tout cela ressemble furieusement aux délires criminels des serial killers répertoriés par le FBI. Seule l’échelle change.

On est passé de quelques dizaines de cadavres chez les plus monstrueux, à plusieurs millions. Comme chez les nazis, le crime artisanal est devenu une industrie de la mort qui rapporte gros. En plus du plaisir sadique de détruire des vies.

Le plaisir de la transgression chez les serial vaccinators

Doués pour leurrer leur entourage, les tueurs en série restent longtemps impunis et finissent par se croire invincibles. Cela ne peut qu’encourager les récidives.

Le comportement de Macronescu, de ses courtisans et de leurs sbires, illustre jusqu’à la caricature cette constatation.

Le « procureur » que je suis rappelle, en prévision des procès à venir, ces extraits du Code de Nuremberg.

« Art premier : Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

La personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir (ndlr pas les mineurs !) et doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition.

Elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.

(…..)

Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des séquelles invalidantes surviendront. »

Mais les macronards s’assoient sur ces dispositions, comptant sur les lenteurs et la servilité de la justice pour éviter d’être condamnés. On peut même avancer que ces  détraqués éprouvent une jubilation intense à compisser les lois, comme la plupart des tueurs en série se délectent à narguer les flics et embrouiller les criminologues.

La France est devenue en 2 ans un labo démoniaque où des millions de cobayes se prêtent passivement à des expérimentations hasardeuses menées par des fous criminels.

Un espoir toutefois pour celles et ceux qui ont le courage de résister :

Si l’on en croit le milliardaire chinois en exil Guo Wen Gui (alias Miles Kwok) celui-ci expliquait le 23 août 2021 que les grands gagnants du fiasco politique covid seront ceux qui auront refusé la vaccination.

Ils seront alors en mesure de survivre à un inévitable effondrement économique à cause de la surmortalité des vaccinés à partir de 2022. Une projection plausible si l’on additionne les morts et les handicapés dont les vaccins sont déjà responsables, et qui commencent à être décomptés, malgré le black out imposé par les gouvernements.

Vidéo traduite en français :

Guo Wen Gui ne nomme pas ses compatriotes assassins (son pays a mis un contrat sur sa tête, suspendu s’il met en veilleuse) mais nous connaissons ceux qui tuent en France. Même si l’on sait qu’il sera plus difficile de leur demander des comptes qu’aux nazis dont ils s’inspirent.

Au pire pour eux, l’abolition de la peine de mort leur évitera le gibet comme leurs prédécesseurs des années 40.

Quant au despote, un jet privé a été mis à sa disposition 24 h/24 par Soros pour l’exfiltrer si nécessaire. Les autres, les complices, les demi-sel, les rabatteurs, les gros bras, les porte-flingues, les dealers de mort et les sicaires, s’ils n’ont pas réussi à fuir à temps en Amérique du Sud, ils attendront l’amnistie dans des prisons 4 étoiles.

Ruses basiques et grosses ficelles

Pendant WW2 puis la guerre froide, s’intéressant au modus operandi de Hitler et de Staline, les comportementalistes Hovland, Lumsdaine & Sheffield ont étudié de façon expérimentale les facteurs permettant d’influencer le maximum de personnes en même temps. Car les exécutions sommaires ne sauraient suffire pour contrôler le peuple. Les tyrans ont besoin de bras pour faire tourner les usines et cultiver les champs. Il leur faut aussi des miliciens et des délateurs endoctrinés.

Pour mener à bien ce genre d’étude, on constitue des groupes témoins comparables (âge, éducation, niveau social) et on les soumet à des jeux de rôles après avoir défini une situation crédible, en rapport avec l’actualité. Interprétations et extrapolations sont  les lignes directrices.

Des meneurs de jeu, les uns ostensibles, les autres dissimulés dans la masse, se font les hérauts de boniments tantôt « logiques » (syllogismes, sophismes) tantôt insolites voire dérangeants. Les réactions du public sont  notées et des statistiques établies. Quels que soient le sujet, la désinformation et les objections, des constantes apparaissent.

L’influenceur efficace sera crédible, ou du moins en donnera l’apparence (discours saupoudré de termes techniques, compétences surestimées) en différant le plus tard possible l’argument d’autorité brutal façon Stanley Milgram.

La pression sera insidieuse mais permanente, adaptée au public ciblé. En lui inspirant de l’inquiétude afin de neutraliser ses composantes affective (méfiance) relationnelle (morale sociale) et cognitive (aptitude à raisonner) pour le rendre réceptif à un message apaisant sous conditions.

On voit le rôle joué par les médias d’État qui rabâchent inlassablement les mêmes mensonges, en faisant défiler des cohortes de pseudo-experts qui se confortent les uns les autres en usant de mots différents.

« Dire toujours la même chose mais avec un vocabulaire adapté selon qu’on parle à un ouvrier, un paysan, un professeur ou un ingénieur » recommandait Goebbels.

Le message répétitif doit paraître évident, réconfortant et indiscutable, usant des grosses ficelles de la dynamique de groupe et des pulsions primaires de l’instinct grégaire. Soutenues par une claque qui applaudit bruyamment afin de donner l’illusion de l’approbation générale.

Tandis que sous l’aspect attrayant de celui qui se dévoue au nom de l’intérêt général, le polémiste sournois discréditera, ostracisera et diabolisera ceux qui « pensent mal ». Avec l’appui des cenSSeurs tapis dans l’ombre pour couper les micros puis interdire d’antenne les débateurs de talent.

Quand on est convaincu d’avoir toujours raison, pourquoi s’embarrasser de  contradicteurs ?

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres

[Source : @Nawac7]

Il mentionne en résumé notamment les faits suivants :

Les morts, lors de la première vague, venaient presque exclusivement de maisons de retraite qui avaient reçu préalablement un afflux de malades en provenance d’hôpitaux et qui avaient été traités au Midazolam.

Ils étaient tous étiquetés Covid, alors qu’ils avaient par exemple un cancer en phase 4 ou d’autres maladies.

Il n’y a pas eu plus de morts en 2020 que l’année d’avant, sauf pendant quelques semaines en mars et avril du fait des morts dans les maisons de retraite.

La deuxième vague en janvier 2020 est venue par les récents vaccinés.

Presque tous les morts Covid venaient d’être vaccinés.

Il révèle d’autres informations choquantes et révélatrices indiquant qu’il n’y a pas eu de réelle pandémie.



Son entreprise : MK Family Funeral Services (mkffs.co.uk)

Son adresse courriel : john@mkffs.co.uk

À noter qu’à la fin de la vidéo, le réalisateur de l’entretien mentionne que John O’Looney a été contacté par RT (chaîne russe pourtant souvent considérée comme alternative) pour qu’il se taise en échange de 100 000 euros.




« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast

Par Serge Monast, journaliste d’enquête québécois mort en décembre 1996

[Ndlr : au-delà de la question de l’authenticité ou non des éléments rapportés par Serge Monast en 1994, ceux-ci, réels ou fantasmagoriques, trouvent un écho tout particulier par rapport à la « plandémie » Covid-19. À chacun d’estimer s’ils sont plausibles, probables ou seulement la traduction d’un délire paranoïaque ou complotiste.]

Extraits du rapport dactylographié
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides »




Face à la résistance, le gouvernement tente de sauver son passe sanitaire

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire semble en bien mauvaise posture désormais. Face au recul évident de l’épidémie depuis le 15 août, le gouvernement ne peut plus guère invoquer le moindre motif de santé publique pour justifier son expérience de crédit social à la chinoise maquillée derrière la pudibonde appellation de « passe sanitaire ». Bien décidé, pour les raisons que nous avons plusieurs fois expliquées, à sauver cet instrument de « contact tracing », la caste cherche un moyen de le préserver sans être dans un antagonisme manifeste avec le droit constitutionnel. Ce repli prudent est d’abord l’effet des manifestations et des mobilisations de cet été, qui déstabilisent notamment les hôpitaux publics.

Le passe sanitaire survivra-t-il au recul en cours de l’épidémie ? Pour le gouvernement, la situation est épineuse et la question particulièrement délicate. 

Le passe sanitaire en sursis juridique

On a trop souvent oublié cette phrase rédigée par le Conseil Constitutionnel dans sa décision relative à la loi du 5 aout 2021 transformant officiel le passe sanitaire en outil de crédit social :

30. En second lieu, en vertu du premier alinéa des paragraphes I et II de l’article 1er de la loi du 31 mai 2021, les mesures susceptibles d’être prononcées dans le cadre du régime de gestion de la sortie de crise sanitaire ne peuvent être prises que dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19. Selon le paragraphe IV de ce même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

La rédaction des Sages est claire : les restrictions aux libertés sont prévues jusqu’au 15 novembre au plus tard, mais elles cessent dès qu’elles ne sont plus proportionnées à la situation d’urgence sanitaire. Comme le précise utilement le Conseil, “le juge est chargé de s’assurer” de cette proportionnalité. 

Le Conseil Constitutionnel a donc placé une épée de Damoclès au-dessus de l’exécutif en ouvrant expressément la possibilité d’une annulation en série pour des mesures gouvernementales qui deviendraient abusives. Certes, la notion d’abus peut être appréciée de façons très différentes, selon les juges. Mais le risque d’une pagaille judiciaire existe, dès lors que les indicateurs sanitaires reviennent dans le vert.

Et comme nous le signalons ci-dessus, les chiffres de Santé Publique France montrent que le pic en réanimation a été atteint le 21 août (soit avec une semaine de retard par rapport à la Grande-Bretagne), et que la décrue est désormais consolidée. 

Le risque d’une déroute dans les tribunaux grandit…

Les ratés d’une campagne-éclair

Si les semaines d’été ont permis à l’équipe au pouvoir d’obliger un grand nombre d’indécis à accepter une vaccination dont les conséquences à long terme pour la santé ne sont pas documentées, la résistance a été plus forte qu’attendue. 

D’une part, depuis le 12 juillet, chaque samedi, des manifestations ont lieu partout en France. Même si le gouvernement minore très fortement la participation effective à ces opérations, leur ténacité constitue un vrai marqueur politique, conforté par une montée de la contestation directe lors des déplacements du Président de la République. 

D’autre part, de l’aveu même du gouvernement, un quart des soignants non-vaccinés début août a résisté et ne présente toujours aucun schéma vaccinal. Au total, ce sont 10% des soignants qui devraient être évincés de leurs fonctions, ce qui pose un vrai problème d’organisation et de continuité des soins. 

D’ores et déjà, on signale des hôpitaux en difficulté, y compris à Paris, avec de fortes désorganisations qui ne tarderont pas à susciter la colère des vaccinés les plus hystérisés eux-mêmes. Tous ces éléments contribuent forcément au recul gouvernemental et au renforcement de la pression sur le maintien d’une mesure qui a beaucoup clivé le pays. 

L’enjeu industriel de l’identité numérique

Face à cette Real Politik, le gouvernement est pris entre le marteau et l’enclume. En Italie, Mario Draghi prend de l’avance dans la course à l’identité numérique, avec une généralisation du passe sanitaire pour les salariés à compter du 15 octobre. Cette décision a suscité de nombreuses angoisses en France. 

https://youtu.be/8CtBlPx_q1E

Nos lecteurs savent par ailleurs tout des grands industriels qui entourent l’identité numérique, dont le passe sanitaire est l’un des volets. La contrainte en sous-main est forte pour maintenir coûte-que-coûte la pression du passe et du crédit social sur les populations. 

L’option du passe sanitaire local

Pour ménager la chèvre et le chou, Gabriel Attal a donc dégainé aujourd’hui l’arme du passe sanitaire local :

« Il y a une réflexion sur la manière dont on peut adapter les règles, soit le passe sanitaire, peut-être d’autres, à la situation locale et à l’évolution de la situation locale »

Il s’agirait, dans la pratique, de garder le passe sanitaire en arrière-fond permanent, en attendant avec impatience la prétendue 5è vague, qui permettra de le réintroduire partout. Reste à voir si cette conciliation des contraires convaincra les juges. Du point de vue du gouvernement, elle permettrait en tout cas de ne pas complètement refluer sur une position doctrinale qui recouvre de vrais projets à long terme. 

Cet été, nous avions anticipé un Stalingrad de Macron dans ses projets liberticides. L’enlisement des colonnes macroniennes est finalement arrivé plus vite que prévu. 




Doug Casey sur la prochaine « crise » que l’élite mondiale a « planifiée »

[Source : Aube Digitale]

International Man : Chaque année, la classe dirigeante internationale – les dirigeants mondiaux les plus influents, les PDG des grandes entreprises, les universitaires de haut niveau et même les célébrités – se réunit à Davos. Ils discutent des sujets qui les intéressent et prescrivent leurs politiques préférées.

Quel est votre point de vue sur la foule de Davos et sur ce qu’elle fait ?

Doug Casey : La foule de Davos est devenue l’élément le plus visible de la classe dirigeante. Bien qu’ils se chevauchent avec beaucoup d’autres groupes qui défendent le même agenda – le Bilderberg, le Council on Foreign Relations et le Bohemian Grove, entre autres.

Il y a quelques années, j’ai écrit un article après avoir assisté au Concordia, qui est très similaire, avec exactement les mêmes personnes. Je n’ai pas l’intention d’y retourner. C’était dérangeant et déprimant d’écouter des gros bonnets sans âme discuter de la meilleure façon de gouverner la plèbe.

Ces gens font tous partie de ce qu’on pourrait appeler « l’État Profond Mondial ». Ils se connaissent tous. Ils assistent aux mêmes conférences et, le plus souvent, ils ont fréquenté les mêmes universités, appartiennent aux mêmes clubs sociaux et ont des enfants dans les mêmes écoles.

Mais surtout, ils partagent la même vision du monde. Ils vivent dans leur propre petit silo, où le reste des 7,9 milliards de personnes dans le monde sont des étrangers. Il est donc tout à fait naturel que des personnes appartenant à un groupe aussi soudé – bien qu’informel – conspirent.

Adam Smith a fait remarquer que lorsque deux hommes de la même profession se réunissent, ils conspirent toujours contre les intérêts du public. C’est une chose parfaitement normale et naturelle.

Mais ces gens ne sont pas seulement des marchands qui s’efforcent de gagner quelques shekels supplémentaires. Ces personnes sont les têtes pensantes de tous les gouvernements, ONG, entreprises, universités et organisations médiatiques du monde. Ils méprisent les petites gens, qu’ils traitent comme des idiots utiles ou des bouches inutiles. Ils sont intéressés par le pouvoir plus que par toute autre chose.

Comme ils l’ont récemment montré dans cet exercice du COVID, ils contrôlent à peu près le monde. Ils sont très dangereux, je les méprise.

International Man : En 2019, bien avant que le premier cas de COVID ne soit signalé, le Forum économique mondial (FEM), qui accueille les conférences annuelles de Davos, a organisé un événement pour discuter de la possibilité d’une pandémie mondiale.

En fait, il a organisé un exercice de simulation sur la manière dont le scénario pourrait se dérouler et dont les gouvernements, les grandes entreprises et les médias devraient gérer la situation.

Que pensez-vous de tout cela ? S’agit-il d’une coïncidence ?

Doug Casey : Ces gens sont assez audacieux. Ils pensent – à juste titre – que 90 % du public va manger tout ce qu’on lui donne à manger et accepter tout ce qu’on lui dit.

Je n’ai aucun doute sur le fait que ces personnes ont un accord informel entre elles sur la façon dont le monde devrait se réinitialiser à leur avantage. Il ne s’agit pas d’une conspiration formelle, en soi, mais simplement d’une conséquence naturelle de ce qui se passe inévitablement lorsque des personnes de même classe, de même vision du monde et de même philosophie sont en position de pouvoir.

Le problème est que les conflagrations mondiales du siècle dernier sont devenues beaucoup plus graves à chaque fois. La première guerre mondiale était incroyablement méchante. La deuxième guerre mondiale a été encore plus désagréable. Nous avons évité une guerre thermonucléaire mondiale avec l’Union soviétique. Mais cela ne signifie pas que la troisième guerre mondiale n’aura pas lieu. Elle sera simplement différente de ce qu’elle aurait été il y a 40 ou 50 ans.

Donc, sur la base de la tendance en cours, si la première guerre mondiale a tué 20 millions de personnes et la deuxième guerre mondiale 60 ou 80 millions de personnes, tout peut arriver dans ce qui s’avère être la troisième guerre mondiale. Peut-être 500 millions ou un milliard. Voyez grand, comme les gens qui ont rédigé le rapport Deagel.

Comme je l’ai déjà dit, cette guerre n’aura pas grand-chose à voir avec des déchets obsolètes comme les chars Abrams, les F-35 et les porte-avions de classe Ford. Ces jouets ne servent à rien d’autre qu’à mettre les États-Unis en faillite tout en enrichissant l’État profond. Il s’agira principalement d’une guerre cybernétique et biologique.

Je suis simplement surpris que plus de gens ne regardent pas et ne se réfèrent pas au film V pour Vendetta, qui tourne également autour d’un virus appelé le virus St. Le monde a désespérément besoin d’un vrai V.

Il y a vraiment beaucoup de parallèles aujourd’hui. Je me demande si les « petites gens » savent que l’élite planifie ou joue avec l’idée d’un virus depuis des années. Probablement pas – il est difficile d’imaginer que quelqu’un puisse être aussi maléfique que les Nazis, les Soviétiques ou les Chicans, car c’était de l’histoire ancienne et la nature humaine a évidemment changé. La nature humaine a manifestement changé. Un grand virus destiné à détruire l’humanité a fait l’objet de nombreux romans et films de science-fiction au fil des ans. Et maintenant, comme d’habitude, la vie imite l’art.

Fantasmons un instant. Peut-être que l’élite, qui se fait surtout passer pour des philanthropes, rationalisera son plan comme un moyen de nettoyer le patrimoine génétique, en réduisant la population de 80 ou 90 %. Je ne doute pas que ces gens pourraient justifier une peste virale comme moyen de sauver Gaia d’une peste humaine. Peut-être que le vaccin sera en fait le véritable vecteur, tuant certains après un certain temps et stérilisant le reste. Peut-être servira-t-il de catalyseur pour que les vaccinés, les 80% obéissants, mettent les 20% indépendants non vaccinés dans des camps. Peut-être que le virus actuel n’est que le premier gambit, et qu’après les souches Delta et Mu, une variante Zeta véritablement sérieuse se présentera.

Tout est possible. Nous vivons dans un monde de science-fiction à ce stade.

Même si les choses se déroulent plus ou moins comme elles le font, le COVID-19 présente de nombreux avantages de leur point de vue. L’effondrement de l’économie, la Grande Dépression, ne sera pas imputée aux banques centrales, à l’inflation et à l’État. Ils seront vendus comme des héros dans la lutte contre le virus. La dépression sera imputée au COVID – un Deus ex machina – plutôt qu’à ses véritables causes. C’est vraiment très pervers.

International Man : Au début de cette année, le FEM a commencé à faire beaucoup de bruit à propos des cyberattaques qui perturbent les chaînes d’approvisionnement mondiales.

Klaus Schwab, le fondateur du FEM, a appelé à vacciner Internet de manière préventive, ce qui signifie vraisemblablement plus de contrôles, de réglementations et moins de liberté et de vie privée.

Sont-ils en train de préfigurer la prochaine crise, réelle ou fabriquée ? Comment cela pourrait-il se passer ?

Doug Casey : Il ne fait aucun doute pour moi que les États-Unis, et en fait de nombreux pays, sont en train de devenir de véritables États policiers. C’est ce qui se passe sous nos yeux en Australie : tout le pays est verrouillé. Les gens, masqués en permanence, bien sûr, ne peuvent pas s’éloigner de leur domicile de plus de quelques kilomètres sans subir des sanctions draconiennes. Personne ne peut entrer en Australie, et – ce qui est vraiment choquant – personne ne peut en sortir. Et ce n’est même pas remis en question. Si cela peut arriver en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans certaines régions du Canada, cela peut arriver n’importe où.

Apparemment, cela commence à se produire ici aux États-Unis, Biden ayant proféré des menaces pas si subtiles contre les personnes qui ne se font pas vacciner. Il était inquiétant d’entendre cette vieille ordure sénile dire que lui, et les vertueux vaccinés, commençaient à « perdre patience » avec les Américains qui pensent contrôler leur propre corps.

Je n’ai pas l’intention de me faire vacciner. Au mieux, le vaccin n’est pas prouvé – et il est possible que nous ne sachions pas à quel point il est risqué avant plusieurs années. C’est pourquoi, dans le passé, les nouvelles thérapies radicales ont toujours dû être testées pendant des années. Mais cela ne s’est pas produit dans ce cas.

Mais la psychose du vaccin n’est qu’un aspect de cette guerre. Même si l’élite veut vendre l’événement du 6 janvier à Washington, DC comme l’équivalent de l’incendie du Reichstag, je ne pense pas que l’Américain moyen y croit. Par conséquent, quelque chose de réel ou d’imaginaire va peut-être se produire pour leur permettre de désigner toute une catégorie de citoyens américains comme des terroristes nationaux.

Nous avons maintenant des gens vraiment fous qui contrôlent l’appareil d’État. Ils ont exactement le même profil psychologique et philosophique que les bolcheviks ou les jacobins. Ils ne vont pas lâcher le pouvoir volontairement. Tout est possible à ce stade ; nous n’en sommes qu’aux premiers jours.

Alors que nous entrons dans la dernière ligne droite de la Grande Dépression, il y a en fait quelque chose de beaucoup plus sérieux à considérer dans la situation mondiale. Les choses sont semblables à celles de 1914 ou 1939. Qui sait exactement ce qui se passera ensuite ?

International Man : L’hystérie du COVID a exceptionnellement bien fonctionné pour les politiciens assoiffés de pouvoir du monde entier. Le public a désormais accepté un niveau sans précédent de contrôle gouvernemental sur sa vie quotidienne.

S’il y a une soi-disant « cyberpandémie » comme le laissent entendre les élites, quelles seraient les conséquences pour la liberté individuelle ?

Doug Casey : Comme je l’ai dit plus tôt, la troisième guerre mondiale ne concernera pas les armes nucléaires ou les armées conventionnelles, mais la biologie et les ordinateurs. L’aspect cyberguerre sera énorme car le monde entier fonctionne désormais sur des ordinateurs. En fait, le monde commence à fonctionner grâce à l’intelligence artificielle. Je ne doute pas que la robotique s’imposera bientôt.

En ce qui concerne la cyberpandémie et la fermeture de l’Internet, je dirais que c’est une quasi-certitude. Ils veulent absolument le faire, car le fait est qu’on ne vit que si l’on peut communiquer avec les autres.

Si vous ne pouvez pas transmettre vos pensées ou vos informations à d’autres personnes, vous pouvez tout aussi bien être enfermé dans une tombe. Il est logique que les personnes qui veulent contrôler les autres veuillent réduire les moyens de communication populaires. Ils trouveront des excuses pour écarter d’Internet ce qu’ils considèrent comme des opinions peu judicieuses. Cela s’est déjà produit en ce qui concerne la soi-disant pandémie. Les opinions contraires, même si elles sont bien argumentées et factuelles, même si elles proviennent de sources renommées, sont étouffées. La dissidence, ou même la discussion, n’est pas tolérée. Vous constaterez que cela s’étend à tous les autres domaines du discours intellectuel et politique.

Nous ne pouvons déjà pas voyager facilement ; les vols intérieurs sont peu pratiques et les vols internationaux ont diminué d’environ 85 %. Les passeports vaccinaux sont en cours d’élaboration. Dans de nombreux endroits, nous ne pouvons pas nous réunir, même en petits groupes. Et bien sûr, la prochaine grande chose – la grande chose – est un internet fortement contrôlé.

À ce moment-là, tout ce que vous aurez, c’est ce qu’on vous dira officiellement et ce que vous pourrez voir dans votre propre petite zone locale. Ces gens ne pensent qu’à étouffer la communication. C’est une excellente formule, critique, vraiment, pour le contrôle. Ils ne veulent pas que les gens s’organisent pour les défier.

Dans le récent discours de Biden, il a plusieurs fois présenté les non-vaxxés comme un ennemi potentiel, un danger domestique.

Ce n’est pas une coïncidence si les personnes qui ne veulent pas se faire vacciner ont une forte corrélation avec les personnes ayant des opinions conventionnelles de droite, les électeurs de Trump et les conservateurs culturels. Les lignes de bataille sont tracées. C’est vraiment devenu une guerre de classe et d’idéologie.

Ils jouent la carte de la santé avec cette absurdité de COVID. Ils jouent la carte de la race et du terrorisme intérieur. Ils réussissent à délégitimer les valeurs et l’histoire américaines, ainsi que la masculinité en général et les hommes blancs en particulier. Ensuite, ils mettront à nouveau l’accent sur l’arnaque du réchauffement climatique. La plèbe n’aura pas le droit de faire quoi que ce soit, et la plupart des gens accepteront parce qu’ils ont été endoctrinés pendant plusieurs générations pour croire que c’est bien. L’élite fait tout ce qui est en son pouvoir pour augmenter la peur. La peur pour votre santé, la peur de la terreur intérieure, la peur de la non-conformité et la peur de la destruction de la planète par le climat.

Comme je l’ai dit précédemment, la peur est l’outil le plus puissant dont disposent les gouvernements pour contrôler le peuple. C’est la raison d’être des gouvernements. Ils se nourrissent de la peur. La peur est la santé de l’État.

International Man : Que peut faire le citoyen moyen pour se protéger de ces tendances inquiétantes ?

Doug Casey : Dans l’Archipel du Goulag de Soljenitsyne, il raconte comment, lorsqu’ils sont tous réunis au Goulag dans les pires conditions possibles, ils disent : « Si seulement nous avions su, lorsqu’ils sont venus nous rassembler en tant qu’individus… si seulement nous avions pris une poêle à frire, un tuyau ou une pierre et attaqué ces criminels… ». Mais ils avaient peur. Et ils ne pensaient pas que les choses pouvaient être aussi mauvaises qu’elles l’étaient en réalité.

Il est compréhensible qu’ils aient hésité à attaquer les apparatchiks de l’État lorsqu’ils sont partis au goulag, tout comme les Juifs ont rarement attaqué la Gestapo lorsqu’elle les rassemblait pour les emmener dans des camps.

Vous pourriez naturellement penser : « Ces gens ne peuvent pas être si sérieux. Ces gens ne peuvent pas être aussi mauvais…. ». Et vous auriez tort.

Il faut beaucoup de courage physique pour ne serait-ce que penser à ces choses.

Pourquoi aucun des membres de la nomenklatura autour de Staline ne l’a simplement tué ? Ils savaient tous qu’il y avait de fortes chances qu’il finisse par les tuer. On pourrait penser que n’importe lequel des rats qui l’entouraient lui aurait tranché la gorge.

Mais tout le monde a peur de prendre des mesures physiques parce que nous avons tendance à être optimistes. Nous avons tendance à espérer le meilleur, comme nous le faisons en ce moment. Nous espérons que ça va se calmer, et peut-être que ça le fera. Mais tout se résume à ce que vous ferez, peut-être dans cinq minutes, lorsque vous serez confronté en tête-à-tête avec un apparatchik de l’État qui vous donnera un ordre.

Que ferez-vous ?

Il est trop dangereux d’agir physiquement contre ce type, car cela pourrait faire peser sur vous tout le poids de l’organisation de l’État.

Alors comment résister ? Eh bien, à moins que vous ne vouliez être un héros, la seule chose à laquelle je pense est d’avoir suffisamment d’atouts pour vous isoler des méchants ou de vous déplacer physiquement vers un autre endroit.

Nous nous dirigeons vers une période très difficile de l’histoire des États-Unis, surtout pour les trois ou quatre prochaines années.

Doug CaseyInternational Man, le 16 septembre 2021

Traduit par Aube Digitale




Les révélations de Pfizer devant la FDA

[Source : Le Salon Beige]

De Pierre-Antoine Pontoizeau, consultant, pour le Salon beige:

Pfizer a été auditionné le 17 septembre par la FDA (Food and Drug Administration, administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments). Rappelons que la thérapie génique-vaccin a été validée très récemment le 23 août 2021.

J’ai lu le document de référence de Pfizer intitulé : BNT162b2 [COMIRNATY (COVID-19 Vaccine, mRNA)] Evaluation of a Booster Dose (Third Dose) VACCINES AND RELATED BIOLOGICAL PRODUCTS ADVISORY COMMITTEE BRIEFING DOCUMENT

Rappel de la situation

Rappelons au lecteur que cette thérapie nous a été présentée comme un vaccin devant répondre aux trois propriétés de tous les vaccins disponibles : innocuité, protection, durée. Pfizer avait surtout insisté sur la qualité de la protection avec le fameux 95 %, et rien annoncé sur la durée. L’expérience a duré moins de 2 mois ! Il avait communiqué quelques informations optimistes sur l’innocuité.

Rappelons qu’avec si peu d’informations disponibles, le dictionnaire Vidal du médicament note dans son édition de juillet 2021 : « Si ces résultats sont globalement encourageants, de nombreux questions persistent, tant sur la durée de l’immunité conférée que sur la protection des personnes les plus à risque de formes sévères, l’impact sur la transmission du virus par les personnes vaccinées, ou la toxicité à long terme. » [la coquille de “nombreux” est dans le texte du dictionnaire]

Pfizer admet la faible protection dans la durée

Que nous dit ce document utilisé lors de cette audition ? Essentiellement quatre enseignements :

  1. « La protection contre l’infection à Covid-19 diminue environ 6 à 8 mois après la deuxième dose » (p.6).  Ces nouveaux vaccins-thérapies géniques trahissent cette propriété et l’engagement moral des États et des patients. Ils avaient tous à l’esprit une protection durable. Pfizer reconnaît donc ce 17 septembre 2021 que son produit ne protège que temporairement. Il en induit donc un marché renouvelable de la vaccination entraînant des dépenses de santé considérables et inaccessibles pour de très nombreux pays. Le lecteur aura noté le mensonge par omission de la première publicité, pour ne pas dire la propagande du laboratoire.

Pfizer précise : « l’efficacité du vaccin diminue avec le temps depuis la vaccination complète, quel que soit le variant. »

Pfizer confirme cela par l’écart à une date de référence pour montrer que plus les personnes ont été vaccinées tôt, plus la probabilité de contracter de nouveau la maladie était élevée : « Le temps moyen entre la dose 2 de BNT162b2 et le 1er juillet 2021 était d’environ 5 mois pour le groupe croisé et 10 mois pour le groupe initial. Les résultats ont montré que l’incidence des cas de percée était plus élevés chez les personnes qui ont reçu la dose 2 au moins 8 mois avant le 1 juillet par rapport à ceux qui ont reçu la dose 2 moins de 4 mois avant le 1er juillet 2021, confirmant la baisse de l’efficacité du vaccin dans le temps. »

La promotion douteuse de la 3e dose

  1. Pfizer promeut évidemment le principe d’une troisième dose applicable à des centaines de millions de personnes. Le laboratoire fonde sa recommandation sur l’étude suivante dont le lecteur appréciera le sérieux au regard du nombre déjà : « 23 participants âgés de 24 à 75 ans démontrent qu’une dose de rappel (troisième) de 30 μg BNT162b2 administrée environ 6 mois après la deuxième vaccination de BNT162b2 avait un profil d’innocuité acceptable et induisait des réponses immunitaires contre le type sauvage (souche de référence), ainsi que contre le Beta et le variant delta, préoccupant. ». Que veut dire une innocuité acceptable ? Que veut dire une réponse immunitaire sans précision ? Le marketing reprendrait-il le dessus ? Le discours est lénifiant, non argumenté et les termes antiscientifiques. L’acceptabilité est un terme juridique, contractuel, moral aussi. Cela signifie en creux qu’il y a des problèmes – lesquels, dans quelle proportion ?

Continuons : « La phase 3 de la sous-étude menée chez 306 participants de 18 à 55 ans, a montré que le vaccin était aussi bien toléré que la deuxième dose primaire et a provoqué des réactions immunitaires (titres neutralisants de 50 % du SRAS-CoV-2) contre le type sauvage, 1 mois après la troisième dose non inférieures aux réponses immunitaires observées ». Pfizer se fonde là encore sur une étude ridicule en nombre pour attester d’un effet mesuré à un mois. Il ne préjuge pas de nouveau de la protection future. Deux remarques. Peut-on fonder des opérations sur des centaines de millions de personnes avec un échantillon aussi faible ? Est-ce bien représentatif ? Est-ce suffisant ? Ensuite, le laboratoire ne s’engage pas au-delà d’une réponse à un mois pour justifier l’injection de la 3e dose. Qu’en est-il à 6 mois ?  Même stratégie qu’au départ. Frauduleux tout simplement. La décision de la 3e dose se prend sans recul à 6 ou 8 mois de nouveau. Dans 7 mois, nous redirons la même chose pour acter une 4e dose ? Rien ne vient étayer que cette 3e dose résout le problème initial de la protection durable.

Pfizer induit tacitement une vaccination annuelle, voire semestrielle. Ce n’est plus de la vaccination, c’est un traitement permanent pour protéger les populations d’une maladie à la létalité extrêmement faible. Le coût d’une telle opération récurrente sur 10 ans pour quelques milliards d’habitants s’élèvent cette fois à quelques centaines de milliards de dollars. N’y a-t-il pas mieux à faire en matière de santé publique pour une maladie qui a tué en 18 mois 4 millions de personnes ? Pour les 60 millions de décès par an, avec des causes de mortalité qui mériteraient des fonds, ces milliards seraient sans doute infiniment plus utiles. Folie pure sur le plan du ratio investissement/enjeu de protection des personnes.

L’éthique du cobaye confirmée sans vergogne

  1. L’expérience sans protocole. « Enfin, les données d’un programme de vaccination de rappel (troisième dose) récemment lancé dans l’ensemblede la population éligible d’Israël indique que, face à la baisse de l’immunité et dans la période où le delta est la variante dominante, une dose de rappel de BNT162b2 a une réactogénicité au profil similaire à celui observé après réception de la deuxième dose de la série primaire élevant les niveaux de protection contre la Covid-19 (c.-à-d. retour à une protection d’environ 95 %) ». Pfizer n’est plus l’organisateur des phases 2 et 3 avec constitution des échantillons, mesures des effets et analyse complète. Pfizer assume que l’expérience de la 3e dose se fait dans le cadre d’un programme assumé par un État. Sa population sert donc bien de matériel d’expérimentation. C’est inédit, éthiquement très contestable, et scientifiquement très limité. En effet, nous parlons d’une population dans un pays sans aucun regard sur d’autres populations. Trois critiques a minima : une extrapolation hasardeuse, une mesure à très courte durée, une assertion sur la protection fidèle à la promesse marketing. Étonnant que la 3e dose n’obtienne pas mieux par exemple.

L’impasse sur la question de l’innocuité

  1. Concernant l’innocuité, Pfizer présente un tableau intitulé : Participants signalant des événements systémiques, selon la gravité maximale, dans les 7 jours suivant la dose de rappel – Phase 3 – BNT162b2-Sujets expérimentés qui ont reçu une dose de rappel de BNT162b2 (30 ug)(cf. page 39) Alors que les résultats de pharmacovigilance mentionnent des décès post-vaccinaux à quelques heures ou quelques jours sur des publics réputés en bonne santé, rien ne vient documenter, expliquer ou rassurer. Rien concernant les autopsies pratiquées dans quelques pays, embarrassantes dans leurs conclusions, ni même des recommandations : contre-indications, interactions médicamenteuses, etc.

Pfizer explique que sa thérapie protège bien, puis peu et pas très longtemps après avoir vendu à la terre entière une thérapie prétendument sûre à 95 % pour une durée indéfinie. Créant la confusion de vocabulaire en prétendant être un vaccin bien plus qu’un médicament, il a entretenu sciemment l’illusion d’une longue protection. C’est ce que tout le monde a compris. Est-ce une omission en vue d’une tromperie ? Nous le saurons dans les jours qui vont suivre cette audition qui piège la FDA depuis sa reconnaissance de la thérapie comme vaccin, tordant le cou à la qualité même de la protection vaccinale.

Un modèle économie amoral au regard du risque couvert

Pfizer facture quelques dizaines de dollars la vaccination. Si nous étions sûr de son caractère définitif, les États pouvaient consentir un investissement une bonne fois pour toute. Or, l’audition de ce jour aboutit au constat incroyable que la thérapie de Pfizer engendre un investissement annuel ou semestriel. Pour les USA, à 20$ le vaccin multiplié par 300 millions de personnes vaccinées au minimum, ce serait chaque année 6 milliards de dollars. Pour deux milliards d’habitants pour lesquels le procédé serait retenu par exemple, nous parlons de 40 milliards de dollars par an. Et ce, pour une protection efficace quelques mois et une baisse assez rapide aujourd’hui admise par le laboratoire.

La FDA et l’Union européenne peuvent-elles continuer à dilapider de telles sommes d’argent ? C’est le sens même des propositions de l’Union européenne affirmant promouvoir un éventail de thérapeutiques auprès des malades lors du diagnostic, aux premiers symptômes : cibler, soigner, dépenser efficacement. D’autant que d’autres maladies bien plus mortifères manquent de ressources pour soigner les populations. L’alternative tout à la fois médicale et économique pourrait porter un coup fatal à Pfizer face à un modèle injustifiable.

Un risque sanitaire toujours non évalué dans la durée

Reste la dimension des risques liés à l’accumulation des doses dans l’organisme. Rien sur cette question. C’est la grande question de la toxicité dans la durée. La FDA et l’Union européenne peuvent-elle faire courir un risque totalement inconnu à des populations en centaines de millions de patients ? Le risque sanitaire est réel, l’imprudence est manifeste. Pfizer ne sait rien de l’effet cumulatif de sa thérapie sur le système immunitaire. Il ne sait rien sur la question éthiquement essentielle de la relation ARN/ADN par addition des injections ? L’ont-ils fait sur des animaux, ne serait-ce que pour vérifier ? Ce document ne donne pas d’assurance. C’est irresponsable et dangereux. On ne fait pas de la science avec des théories et des affirmations mais avec des faits d’expérience.

Le risque politique deviendrait rapidement insupportable. Si d’aventure des injections obligatoires et à répétition avaient des effets sur des parts, même infime de la population, ce serait explosif. Rappelons que 1 % de cas graves pour 100 millions de patients, ce serait 1 million de cas graves. Est-ce un risque acceptable ? Je ne crois pas. Il est urgent de tourner la page du délire « vaccinal » au profit de thérapies, comme l’Union européenne l’annonce depuis juin 2021.





Le modèle Kubler-Ross et la grande fatigue des résistants au passe sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Il y a quelques mois le Saker a énervé bien des opposants au système et à la tyrannie vaccinale en se moquant cruellement d’eux, présumés complotistes et débiles : il semble d’ailleurs qu’il était sur cette affaire comme sur d’autres plus royaliste que le roi (à force de défendre un camp présumé du bien et un gouvernement…). Je n’ai aucune envie de polémiquer avec lui : s’il ignore ce que Reset, Schwab, Gates, Yellen, Leyen (anagramme), Green Deal et Black Rock veulent dire, c’est son affaire.

Par contre il évoquait le modèle Kubler-Ross. Et alors que nous voyons la résistance à son étiage, le passe imposé partout, on peut se poser la question : ce modèle tant critiqué par des psychiatres aux ordres est-il d’actualité ? Il semblerait que oui. Car après l’emballement de cet été on voit que nos résistants commencent à être fatigués ; je ne vais pas les nommer. Les manifs systématiques et brouillonnes agonisent. Lucien Cerise disait récemment dans une interview :

 « Il faut sortir du spontanéisme révolutionnaire, qui est une forme d’analphabétisme politique. Les manifestations ne servent strictement à rien si elles n’ont pas un débouché institutionnel, par la conquête du pouvoir, c’est-à-dire la conquête de la bureaucratie et de la technocratie administrative d’État… »

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[Voir aussi : Sortir de la crise]
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Or à multiplier des manifs chaque samedi, Philippot et les siens fatiguent le monde et donc renforcent un pouvoir qui a été patient. Philippot ne cesse de vanter son succès alors que les troupes se délitent (contrairement à une idée reçue il faut faire les révolutions l’été, pas à la rentrée, voyez 1789 ou 1830). Je ne sais pas si Philippot, que j’ai soutenu faute de grives, est une opposition contrôlée : je ne crois pas à cette notion galvaudée (Eric Zemmour, opposition contrôlée !!!), je constate qu’il est impossible de s’opposer à ce système mondialiste-tyrannique qui s’écroulera ou triomphera totalement.

Hier Avic écrivait justement (et courageusement) ici même [Sur Réseau International] à propos des événements de Melbourne :

« Nous sommes loin des gentilles petites manifestations à la française bien balisées, bien réglementées, infiltrées par un réseau dense de policiers chargés de surveiller les faits et gestes de chaque participant, de sorte que le moindre éternuement non autorisé est aussitôt étouffé et le coupable maitrisé sans ménagement et escorté vers le camion de police le plus proche par deux ou trois individus sortis de nulle part.

Des décennies de défilés derrière des leaders syndicaux, dont le rôle est précisément de calmer et canaliser les colères, a fini par enfermer les Français dans cette façon soumise de protester. D’où la volonté des médias de masse et du gouvernement de vouloir absolument doter le mouvement des Gilets Jaunes de chefs fabriqués de toutes pièces dans leurs officines de communication. »

Mais comme me le disait Lucien cette manif australienne n’a pas débouché sur grand-chose non plus. Le Nouvel Ordre Mondial a de beaux jours devant lui jusqu’à son écroulement énergétique total (voyez mon livre collectif sur grand reset et grand effondrement vendu aussi à prix coûtant) et surtout prochain. Le fascisme vert et le Green Deal vont accélérer le grand effondrement occidental qui veut encore en plus faire la guerre à tout le monde (Chine, Russie, Iran, en attendant le reste).

Pour être sincère j’ai vécu une jeunesse entourée de manifs autrement fortes que nos petites manifs estivales, festives et coloriées, organisées par la CGT ou le PCF ; elles n’ont pas servi à grand-chose non plus. Davos s’est imposé partout avec ses oligarques et son totalitarisme étatique.

Ce qui nous guette, c’est le recul et la résignation ; voyons notre modèle Kubler-Ross :

Les cinq étapes du modèle sont :

Déni (denial). Exemple : « Ce n’est pas possible, ils ont dû se tromper. »

Colère (anger). Exemple : « Pourquoi moi et pas un autre ? Ce n’est pas juste ! »

Marchandage (bargaining). Exemple : « Laissez-moi vivre pour voir mes enfants être diplômés, se marier… », « Je ferai ce que vous voudrez, faites-moi vivre quelques années de plus. »

Dépression (depression). Exemple : « Je suis si triste, pourquoi se préoccuper de quoi que ce soit ? », « Je vais mourir… Et alors ? », « Je vais bientôt mourir, alors à quoi tout cela sert-il ? »

Acceptation (acceptance). Exemple : « Maintenant, je suis prêt, j’attends mon dernier souffle avec sérénité. », « Ça va aller. », « Je ne peux pas le combattre; je fais aussi bien de me préparer. »

Ce modèle est bon selon moi à rappeler pour la résistance : il s’agit de comprendre les reculades des uns, la lassitude des autres. De cette manière, on peut préparer une contre-attaque. Mais pas mal de mes lecteurs (ceux qui travaillent) me disent que tout le monde est vacciné autour d’eux, et que les terrasses sont pleines, comme disait déjà Ortega Y Gasset dans son livre sur la rébellion des masses.

Car on n’est pas encore sortis de l’auberge.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_K%C3%BCbler-Ross

https://www.zerohedge.com/economics/skyrocketing-energy-prices-could-cripple-europes-economy

https://www.dedefensa.org/article/ortega-y-gasset-et-la-montee-eschatologique-de-la-stupidite




Remarques sur la condition nécropolitique en Occident

[Source : reseauinternational.net]

Par Nicolas Bonnal

Ce sujet vaut un livre mais il y a longtemps que j’ai compris que mieux vaut un mauvais article qu’un bon livre par les temps qui courent. L’important est de sensibiliser, pas de donner à penser : il est tard…

Nécropolitique. Le mot était trop simple. Il fallait y penser à partir du cimetière de zombies popularisé par Michael Jackson, par Don Siegel ou par Jarmusch. J’ai découvert ce mot grâce à mon ami écrivain et ethnologue Panagiotis Grigoriou (voyez son blog greek-crisis.com) ; il existait sous la plume d’Achille Mbembe, penseur camerounais qui reprenait Foucault (encore lui…) pour bellement décrire la condition du colonisé ou du palestinien.

Mais je vais faire en bon helléniste de ce mot ce qui me convient. La dernière partie de « La Cité antique » de Fustel de Coulanges éclairera les plus entreprenants. Les cités naissent, croissent et meurent plus vite qu’on ne le croit : Ibn Khaldun leur donne quatre générations, alors… Ce qui se passe en occident en ce moment est prodigieux pour le froid observateur : dégénérescence morale, physique, économique, diplomatique, effondrement culturel et spirituel ; il ne reste plus rien, on peut évoquer les tombeaux pleins d’ossements dont parle le Christ. Dès les années vingt Zweig ou Bernanos voient cette entropie, et Guénon essaie de nous éclaircir sur ce point dans sa « Crise du monde moderne ». Malheureusement elle se poursuit et nous tombons plus bas. Ce n’est pas ce qui gêne la majorité qui ne sait pas qu’elle est morte sur le plan politique ou spirituel. Les imbéciles qui font mine de découvrir l’inféodation de toujours de la république aux anglo-saxons (aux banquiers de la City donc) en seront pour leurs frais. On peut être un vivant et un mort : c’est le sens du mot nécropolitique. On verra qui de Zemmour ou de Macron nos morts vivants préfèreront l’an prochain. Si élections il y a. Car la nécropolitique est aussi une dictature, si elle est une dictature populaire.

En même temps la tyrannie vaccinale se répand, et le contrôle informatique par le techno-nazisme des GAFA (le nazisme est un avatar irrationnel, technologique et bureaucratique de la démocratie capitaliste, c’est tout). En même temps on ne peut parler de dictature (Hitler n’était pas un tyran) : les populations approuvent dans leur immense majorité, comme je le dis depuis le début à ceux qui voient des Jean Moulin partout. La masse approuve, et on n’est pas en dictature. On est dans le domaine de la nécropolitique. J’aime aussi le mot d’hystérésis qui évoque une causalité morte. Notre civilisation helléno-chrétienne ou autre (je n’ai vraiment plus envie de gloser dessus) est morte depuis longtemps, mais quelque chose lui survit, quelque chose qui est mort – et ce depuis longtemps. Les grands écrivains ont senti venir cette mort au dix-neuvième siècle (voyez mes recueils), fils des révolutions industrielles britannique et politique française (la démocratie, le parlement, etc.). C’est ce qui a donné les horreurs de la révolution industrielle qui prend fin (déplétion généralisée quoiqu’on en pense), des guerres dites mondiales, du conditionnement des masses (via leur instruction – voyez mon texte sur Lévi-Strauss), de la propagande à la Bernays, de la télé, du consumérisme, de la destruction des cultures orientale ou primitives encore vivantes, du colonialisme, etc. Tout cela a accru la monotonie (Zweig), le dégoût de la liberté (Bernanos), l’abrutissement médiatique (Bernays)  ou technoscientifique. On vit une accélération via le smartphone qui étymologiquement est un instrument de mort (smert en russe) ou d’assassinat de l’esprit (phonè, meurtre en grec).

Le mot nécro-politique induit bien des sens ; il signe la mort du politique ; ou le citoyen mort. Ou même la ville morte : une ville qui ne vit que du tourisme est une ville morte par exemple. Je reviens de Tolède-citadelle qui s’est vidée de ses habitants : 4000 habitants contre 70 000 au précédent siècle. Le commerce crève aussi de ne plus avoir ses charters de chinois. La plupart des villes en occident ne vivent que du tourisme et de l’administration qui a pris une dimension tentaculaire – et n’a pas attendu la crise sanitaire – au point d’exterminer via les règlements, les lois, les impôts, les préjugés toute volonté de vivre et de travailler (Tocqueville…). L’administration a créé aussi le citoyen superflu dont parle Nietzche, encadré et protégé par des bataillons de fonctionnaires. Le triomphe des imprimantes a créé aussi cela : une nécro-économie qui vit de la finance, de l’assurance, de l’immobilier (FIRE) et du tourisme a remplacé l’économie réelle.

Nous faire vivre comme des morts est le rêve de Schwab, Gates et autres techno-nécromanciens, sans doute avant de nous tuer. Il faut vivre comme un mort avant de mourir, tel est l’esprit de la nécropolitique selon Macron ou les ogresses Lagarde, Leyen, Yellen, Merkel. Lisez enfin pour comprendre ce que je veux dire la fin du conte La Belle au Bois dormant. Ce projet s’est accompagné d’une philosophie grotesque (le diable est mauvais théologien, dixit Guénon) et d’un fantastique abrutissement des masses occidentales, abrutissement qui menace une grande partie du monde. Les masses ne remarquent pas par exemple comme mon taxi de Tolède que les hommes politiques les détestent. Les nécropoliticiens veulent les piquer, les emprisonner, les marquer, les ruiner, les affamer, les remplacer, les faire crever de froid, de chaud, de n’importe quoi. Les phénomènes woke ou de repentance sont aussi utilisés pour neutraliser notoirement ces masses. Freud parlait de la liquidation de l’agressivité et de la sexualité comme fait fondamental de la civilisation (Guénon explique que la notion de civilisation apparait quand elle achève de disparaître la civilisation) ; en fait dans notre anti-civilisation sexualité et agressivité sont censurées et on débouche sur une liquidation en règle et parfaitement acceptée puisque la vieille race blanche comme je l’ai nommée préfère se laisser tuer que continuer de polluer. Ce n’est pas pour cela du reste qu’elle renonce au code QR et aux terrasses de café. Mais dans la nécropolitique on ne sait pas si on est vivant.

L’emprisonnement accepté via les camps australiens et canadiens (éternelles colonies pénitentiaires du Deep State anglais finalement), le passe sanitaire, les masques, les gestes-barrière, signes tous plus aberrants les uns que les autres marquent une mortalité beaucoup plus grave et vexante que celle du Covid, une mortalité psychique. Déjà Bernanos ou Céline ne se faisaient pas d’illusions sur notre condition ; et Chateaubriand ajoutait : « qui vit trop meurt vivant ». Car la nécropolitique repose sur le vieillard.

Bienvenus dans la nécropole mondialiste.

Nicolas Bonnal

sources :

• defensa.org/article/rene-guenon-et-notre-civilisation-hallucinatoire
• dedefensa.org/article/sigmund-freud-politiquement-incorrect
• amazon.fr/Grand-Reset-grand-effondrement-Alexandre




Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

[Source : REINFOCOVID]

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Cet article tente de faire le point au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai. VERSION PDF

Les nanoparticules de graphènes (oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit et graphène quantum dots) : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

À RETENIR

  • Les études de toxicités des nanoparticules d’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux.
  • L’élimination rapide par le système immunitaire des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse.

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (voir encadré). Certains sont même allés jusqu’à évoquer son utilisation (frauduleuse donc) pour une connexion des individus à la 5G et ont proposé des méthodes de détoxification au glutathion, N acétylcystéine (acides aminé précurseur du glutathion endogène), Zinc et autres [1]. Ricardo Delgado de La Quinta Columna [2] affirme avoir fait réaliser par des chercheurs espagnols des études observationnelles de doses de vaccin par microscopie optique et électronique, allant jusqu’à affirmer avoir dosé 747 ng de graphène. Certains sites vont jusqu’à affirmer que cette substance serait également présente dans les tests PCR, antigénique et les masques [3]. Mais il n’existe à ce jour aucune publication revue par des pairs.

Cet article tente de faire le point sur les propriétés physico chimiques, l’état de la recherche et les applications industrielles en cours, particulièrement dans les vaccins, la toxicité et la réglementation actuelle au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai.

Composition du produit PFIZER (source : 
https://faqs.in.gov/hc/en-us/articles/360054190632-What-are-the-components-of-the-Pfizer-vaccine-shot-)

Ingredient actif

  • ARNm modifié codant pour la glycoproteine virale Spike du SARS-CoV-2

Lipides

  • (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis (ALC-3015)
  • (2- hexyldecanoate),2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide (ALC-0159)
  • 1,2-distearoyl-snglycero-3-phosphocholine (DPSC)
  • cholesterol

Sels

  • potassium chloride
  • monobasic potassium phosphate
  • sodium chloride
  • basic sodium phosphate dihydrate

Autre

  • sucrose

1/ Propriétés chimiques et physiques de l’oxyde de grahène NP

Le GO est un isolant et un semi-conducteur électrique (cependant moins fort que le Graphène pur). Il s’agit d’une monocouche de carbone de structure hexagonale en nid d’abeille avec des groupes hydroxyde (OH) et carboxyliques COOH.

En raison de ses défauts dans la structure, des propriétés magnétiques locales ont été observées de différents types (ferromagnétique, paramagnétique, antiferromagnétique) du fait de ses propriétés semi-métalliques. Pour résumer, le magnétisme n’est pas une propriété inhérente du GO mais liée à la quantité de défauts de structures et son analyse physique est en cours.

Concernant le magnétisme des nanoparticules de ces composés, des recherches visent actuellement à régler deux problématiques pour activer leur magnétisme :

  1. la nécessité d’une consommation élevée d’énergie
  2. la contrainte d’un température ambiante (20°C) pour réussir à activer ce magnétisme

2/ Recherches et applications Industrielles

On distingue 3 structures : l’oxyde de graphène (GO), l’oxyde de graphène réduit (rGO) et le graphène quantum dots (GQD) qui sont des nanoparticules (donc de moins de 100 nm).

Les nanoparticules de GO sont actuellement étudiées et développées comme nano-supports pour une variété d’agents biologiquement actifs (biocatalyseurs, biocapteurs et médicaments).

De nombreuses applications utilisant des nanoparticules (NP) de GO sont envisagées :

  • Environnementale : formant des complexes avec des polluants organiques / métalliques, il peut être utilisé comme dépolluant, pour purifier l’eau (salée) en améliorant l’hydrophilie des membranes de purification et en facilitant la photo-oxydation des molécules polluantes de l’eau.
  • La production d’énergie par conversion de lipides en carburants par des lipases encapsulées.
  • Médecine : les quantum dots (nanocristaux semi-conducteurs) – de graphène et de nano-composites magnétiques (Fe3O4) offrent un ensemble unique de propriétés optiques et magnétiques pour les futures applications énergétiques et médicales. Ils peuvent également être utilisés en imagerie médicale comme agent de contraste. De plus, les propriétés magnétiques des nanoparticules Fe3O4 en font un excellent agent de contraste pour les applications IRM. Ils montrent également une excellente réponse à la luminescence lorsqu’ils sont exposés à la lumière UV, entraînant une émission de lumière visible.

Les GO peuvent être utilisés pour faciliter la pénétration et l’absorption d’anticorps, d’enzyme, des médicaments, des protéines. Cependant des limitations à l’usage et l’application des nanoparticules magnétiques telle que l’agrégation et la précipitation à l’intérieur des vaisseaux sanguins, peuvent entraîner de graves conséquences. Enfin il y a des applications potentielles en thérapies anticancéreuses par ciblage actif de cellules tumorales ou ciblage passif quand des NP chargées positivement s’accumulent au niveau des sites tumoraux en raison des fuites vasculaires et de la faiblesse du système immunitaire fonctionnel de la région. Toutes ces applications n’ont pas encore abouti à des applications commerciales concrètes.

3/ La nanotechnologie et les vaccins à base d’ARNm basés sur le SARS-CoV-2 

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna utilisent un ARNm de synthèse protégé par une bicouche lipidique, elle-même constituée de nanoparticules lipidiques (McGill COVID19 Vaccine Tracker Team, 2021) afin de permettre l’entrée de l’ARNm dans la cellule. Il n’y a pas de GO déclaré par le fabricant.

Pourtant, les NP GO et Graphène ont retenu l’attention en raison de leurs propriétés antimicrobiennes et antivirales. Le graphène favorise l’absorption de médicaments et de macromolécules (acides nucléiques, protéines…). Gao et al., en 2020 [4] ont développé un nouveau vaccin contre le COVID-19 en utilisant la combinaison d’un nano adjuvant et d’oxyde de graphène. Cette étude, réalisée sur souris, montre que ce vaccin peut induire des anticorps anti-SARS-CoV-2 RBD à titre élevé neutralisant le SARS-CoV-2 chez la souris en 2 semaines. Les auteurs concluent sur l’efficacité du vaccin à induire une réponse immunitaire mais également sur la nécessité d’études complémentaires sur la dégradation du graphène in vivo afin de construire un vaccin répondant aux critères de sécurité et de biocompatibilité

Des équipes de recherches travaillant actuellement sur NP de GO-Polyethylène glycol- polyethyleneimine, dans le cadre du développement d’immunothérapies anticancéreuses, tentent de retarder leur phagocytose (absorption et destruction de molécules par certaines cellules immunitaires) afin de rendre possible leur utilisation dans de telles thérapies.

Un autre aspect limitant de son utilisation est la toxicité potentielle in vivo du graphène. Ce sujet de débat et le manque d’informations suffisantes pour autoriser légalement les applications humaines semblent sa commercialisation peu probable dans l’état actuel des connaissances. Ainsi, son instabilité et l’agrégation du graphène en solution sont un défi supplémentaire alors que la solution des médicaments et des vaccins a besoin de stabilité [5].

4/ Toxicité des nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO)

Le projet européen Graphene Flagship étudie la toxicité de ce matériau (environnemental, santé) du fait de l’utilisation prometteuse dans l’administration de médicaments, la bio-imagerie, l’ingénierie tissulaire, la biodétection [6]. Un rapport de 2016 de l’Agence suédoise KEMI fournit un état des lieux très complet en 2019 sur l’absorption et la biodistribution de NPs, étape cruciale avant la toxicité potentielle des NPs [7].

Leur toxicité est dépendante de la biodégradation qui dépend elle-même fortement du pourcentage d’oxygène, du type de groupes fonctionnels (comme des epoxy), des défauts, de la taille et du nombre de couches. Plusieurs mécanismes cellulaires de toxicité des nanomatériaux de GO ont été identifiés : le stress oxydatif (inflammation), dommages à l’ADN (impact de la réplication cellulaire), réponse inflammatoire ou encore la destruction cellulaire par différents mécanismes : apoptose, autophagie, nécrose.

Le GO serait dégradé par une enzyme (la myéloperoxydase) produite par des globules blancs (neutrophiles) arrivant sur un site d’infection.

Toxicité cutanée : Selon Wang et al, 2016 [8], la majorité des études existantes suggèrent que les graphène quantum dots (GQD) ont une toxicité in vivo et in vitro relativement faible et une excellente biocompatibilité, par rapport avec notamment l’oxyde de graphène (GO), les nanotubes de carbone et les semi-conducteurs conventionnels. Mais le profil de toxicité des GQD varie selon les tests et la production de GQD. Les GQD voient leur pénétration cutanée augmenter avec l’exposition aux UV ou si la barrière cutanée est détériorée. D’une manière générale l’absorption systémique dépend de nombreux facteurs comme la taille, la charge de surface, le revêtement des NP, l’agglomération des NP, la composition du milieu et son pH. D’une manière générale, par la voie cutanée, la voie de pénétration par les follicules pileux (cavité à la base du poil) serait considérable, surtout pour les petites NP inférieures à 20 nm.

En intramusculaire et en sous cutané chez la souris, les QD de carbone se diffusent rapidement depuis le point d’injection. Après 24h, il n’y a plus d’identification dans aucun organe, suggérant une élimination totale des nanoparticules de carbone. En injection sous-cutanée, ils se retrouvent dans les ganglions lymphatiques entraînant une importante réponse immunitaire rapide.

Administrées par voie intranasale, des NPs de polymères de carbone polyanhydre sont aussi rapidement dispersées. Certaines, hydrophobes, peuvent persister cependant dans le tissu pulmonaire. D’une manière générale, les NPs par voie intranasale, surtout quand elles sont très petites, traversent la muqueuse olfactive et sont véhiculées en quantité importante dans le bulbe olfactif et autres parties du cerveau.

Injectés directement dans le sang, les quantum dots (QD) se retrouvent principalement dans le foie, la rate et les reins, qui sont les organes de « détoxifications » et en faible quantité dans le cerveau (0.1%). D’une manière générale, injectées dans le sang, les NP, en fonction de leur taille et de leur charge, peuvent subir une adsorption ou une opsonisation (= liaison à un anticorps) par les protéines sériques. Cette opsonisation favorise sa clairance (la purification par cette voie dépend de la taille des particules : plus le diamètre est grand, plus la clairance est cependant ralentie). Les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, forment une barrière semi-sélective selon la taille des nanoparticules : au niveau de l’endothélium vasculaire, des pores de 5nm permettent le passage des QD, ce qui fait qu’ils atteignent rapidement l’espace extracellulaire extravasculaire alors que les plus grandes >5nm restent plus longtemps dans la circulation sanguine où elles subissent une phagocytose et sont donc évacuées.

En résumé, les NP de Graphène (Go, G, GQD) sont d’autant plus toxiques que leur taille est grande (micron). Les groupements époxy du GO peuvent entraîner un stress oxydatif (inflammation) pouvant conduire à la mort cellulaire. Elles sont cependant plus facilement dégradées par des enzymes comme les peroxydases.

Des études visant à réduire leur toxicité en les liant à des polymères biocompatibles sont actuellement en cours. A l’heure actuelle, la toxicité du graphène est encore insuffisamment définie et seuls les effets aigus (court terme) et subaigu (moyen terme) ont été déterminés.

Le schéma de distribution des NP confirme que les molécules sont phagocytées et donc rapidement neutralisées. Cette distribution et leur accumulation/dégradation dépendent de la taille, la forme et la charge de surface des particules mais également de l’organe cible, le flux sanguin, le nombre de cellules phagocytaires.

5/ Réglementation

L’UE ne précise pas de consignes particulières concernant les nanomatériaux utilisées dans les dispositifs médicaux, il y a peu de détails dans le règlement 2017/74/CE mais d’autres Réglementations Européennes telles que REACH 1907/2006/CE (qui concerne la mise sur le marché des produits chimiques) considèrent les propriétés et dangerosités propres aux nanomatériaux.

Il existe un guide du comité scientifique dédié aux risques émergents (SCENIHR) de 2015 qui précise certaines recommandations pour l’évaluation des risques sanitaires et environnementaux des nanomatériaux. Ces risques sont principalement liés aux NP libres dans les dispositifs médicaux et la durée d’exposition ainsi que la nécessité d’étudier la distribution et la persistance dans des organes spécifiques.

L’oxyde de graphène (GO) n’est pas officiellement classifié selon le règlement relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage, CLP 1272/2008/CE. Il existe cependant une Valeur Limite Professionnelle de 3.6 mg/m3 par inhalation.

Il est à noter également, que les nanomatériaux de la famille du graphène ne sont pas approuvés par la FDA aux États-Unis pour la consommation humaine. Selon la FDA, le graphène, l’oxyde de graphène et l’oxyde de graphène réduit provoquent des effets toxiques à la fois in vitro et in vivo et leurs utilisations ne sont donc pas autorisées.

RETOUR à LA RUMEUR ….

La présence de l’oxyde de graphène dans le vaccin est née d’une observation au microscope électronique à transmission demandée par R. Delgado Martin au Prof. Dr. Pablo Campra Madrid (Ecole supérieure d’ingénieurs Univ. Almeria, Espagne). Il ne s’agit donc pas d’un travail de recherche revu par des pairs mais d’une commande privée. Ce dernier a rendu un rapport non publié dans une revue à comité de lecture. Il a comparé le résultat à un article de Choucair publié en 2009 dans Nature Nanotechnology [9] montrant une observation de graphène. La lecture de ces deux publications souligne deux points qui s’opposent à la présence supposée d’oxyde de graphène dans les vaccins à ARNm :

  1. La publication de référence (Choucair et al., 2009) montre une analyse en microscopie électronique de graphène obtenu par pyrolyse et non d’oxyde de graphène. L’obtention de l’échantillon par pyrolyse confirme que cette référence ne montre pas un oxyde de graphène.
  2. Cette analyse proposée par Delgado est basée sur des observations par diverses techniques et il est surprenant qu’elles n’aient pas été confirmées par une analyse chimique qui validerait le résultat et la substance observée dans l’échantillon étudié.

C’est d’autant plus surprenant qu’un brevet, intitulé « Vaccin recombinant nano-coronavirus prenant de l’oxyde de graphène comme vecteur » a été déposé par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd depuis le 27 Septembre 2020 et n’a à ce jour pas été accepté [10].

CONCLUSION

Face à la crainte légitime qu’inspire actuellement le projet transhumaniste, il est compréhensible de s’interroger sur les intentions et applications possibles et souhaitables pour l’humanité.  Cependant il faut bien distinguer les utilisations existantes, possibles et potentielles.

L’oxyde de graphène peut jouer un rôle de vecteur ou de ciblage comme le montrent certains projets de recherche biomédicale en cours. Mais, à ce jour, peut-on répondre de la manière la plus objective possible, à la question : est –il possible qu’il y ait de l’oxyde de graphène dans les vaccins et pourquoi y en aurait-il ?

Au regard de la réglementation, les études de toxicités des NP de l’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux. Si des progrès certains sont à noter dans le domaine de leurs propriétés de surfaces pour améliorer leur biosolubilité et leur biocompatibilité, il reste encore trop de données manquantes en toxicité in vivo, mais aussi en cancérogénèse, mutagénèse et génotoxicité ainsi que dans la compréhension de la phagocytose dans les monocytes (foie, rate, ganglions lymphatiques). Ces données issues de tests standardisés sont nécessaires aux fins d’autorisation réglementaire et cela exclut l’usage actuel dans le domaine des vaccins, même si cela est envisagé.

Dans le cas des « vaccins » actuels contre la COVID-19, administrés en injection intramusculaire, l’élimination rapide par phagocytose des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse en vue d’une connexion furtive à la 5G qui plus est. Il paraît plus probable que si une telle connexion était à envisager entre un serveur et un individu, elle se fera d’abord par des objets connectés portés de manière volontaire ou contrainte (smartphones), puis par une micropuce sous-cutanée implantée, mais pas via une injection systémique de NP dispersées censées s’accumuler dans un organe (cerveau, cœur…), compte tenu de leur élimination rapide que ce soit par réactions d’oxydation pour le GO ou par phagocytose pour le graphène. Par la voie systémique, l’utilisation à venir dans un avenir proche ne peut qu’être ponctuelle comme en imagerie ou en thérapie anticancéreuse par exemple.

BIBLIOGRAPHIE

[1] https://rumble.com/vkipvb-comment-degrader-loxyde-de-graphene-version-franaise.html

[2] https://www.henrymakow.com/upload_docs/4_5976673186836646447.pdf

[3] https://chemicalviolence.com/2021-07-14-spanish-study-pfizer-vaccine-toxic-graphene-oxide.html

[4] Gao A., Liang H., Shen Q., Zhou C., Chen X.M., Tian J., …Cui D. Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2. Nano Biomedicine and Engineering. 2020;12(4):321–324.

[5] Ghaemi F, Amiri A, Bajuri MY,Yuhana NY,Ferrara M, Role of different types of nanomaterials against diagnosis, prevention and therapy of COVID-19. Sustainable Cities and Society, 25 May 2021, 72:103046

[6] https://graphene-flagship.eu/

[7] https://www.kemi.dtu.dk/nyheder/2019/07/opening_the_door_to_hybrid_2d_materials?id=363e4fee-645b-42ba-8aa1-ce8ca23528e6

[8] S. Wang, I. S. Cole, and Q. Li, “The toxicity of graphene quantum dots,” RSC Advances, vol. 6, no. 92, pp. 89867–89878, 2016.

[9] Mohammad Choucair, Pall Thordarson and John A. Stride, 10.1038/NNANO.2008.365 “Gram-scale production of graphene based on solvothermal synthesis and sonication, Feb 2009.

Uptake and biodistribution of nanoparticles – a review, Report 12/16, Swedish Chemicals Agency. Stockholm 2016

[10] Nano coronavirus recombinant vaccine taking graphene oxide as carrier (depuis 27/9/2020) par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd
https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en




Sept signes d’alerte indiquant que quelqu’un que vous connaissez est en train de devenir « woke »

[Source : anguillesousroche.com]

Le covid n’est pas le seul virus qui balaie l’Occident. Selon des experts, le fait d’être « woke » pourrait en fait être un type de « virus » qui infecte l’esprit et altère la personnalité d’une personne.

L’historien Brett Sinclair a identifié sept traits de personnalité distincts qui suggèrent que quelqu’un est devenu ou est en train de devenir « woke ».

« Woke » est aujourd’hui un terme courant pour désigner ceux qui deviennent insupportablement furieux sur des questions de justice sociale faussement progressistes. Souvent, cette obsession prend la forme d’un activisme de protestation suffisant et agressif – qui s’infiltre dans tous les aspects de la vie d’une personne.

Rt.com rapporte : Bien qu’il existe des marqueurs physiques bien connus indiquant qu’il s’agit d’une personne « woke » (cheveux bleus ou violets, obésité, androgynie, barbes folles chez les hommes, lunettes gênantes), je suis depuis quelque temps un étudiant curieux de leurs habitudes et de leurs maniérismes psychologiques, dont j’ai également remarqué, avec les traits physiques, qu’ils ont des qualités universelles.

Jusqu’à récemment, j’avais supposé que ces traits de personnalité universels étaient la preuve d’un état existant d’abord chez la personne (c’est-à-dire une confiance excessive en soi) qui la rendait sensible aux « idées bizarres ». Mais de plus en plus d’expériences anecdotiques m’apprennent que le fait de devenir woke, ou de contracter le « virus woke », crée son propre type de psyché humaine chez l’hôte sans méfiance, qui est reconnaissable dans de nombreux cas observables. Je pense que cette psyché est le résultat du virus de l’esprit, et pas nécessairement une qualité préexistante. Ainsi, si c’est vrai, cela signifie que le wokeness lui-même remodèle l’esprit.

Ces qualités sont :

  1. La suffisance. Une attitude absolue, inébranlable et arrogante de condescendance envers toutes les opinions non wokes. Bien qu’il s’agisse d’un trait de caractère en soi, il est lié au numéro 2.
  2. Absence d’introspection. Aucune trace d’auto-questionnement ou de monologue intérieur apparent. Aucun sens de l’équité ou de la compréhension de l’opinion relative.
  3. La rapidité de la colère. Volonté non seulement d’exprimer son opinion en toute occasion, avec n’importe qui, même en infériorité numérique, mais aussi de le faire avec colère. La volonté de couper les ponts avec tout ami ou membre de la famille qui ne se conforme pas à leur croyance.
  4. Un athéisme nihiliste. Ils déblatèrent beaucoup sur la science, tout en ignorant la science qui ne correspond pas à leurs croyances. Ils ont tendance à supposer que vous êtes dogmatiquement religieux si vous n’êtes pas d’accord avec eux. Ils s’accrochent à un nihilisme fortement négatif, croyant que tout est finalement sans espoir, et que c’est de l’orgueil sardonique que de faire ou de croire en quoi que ce soit (ce qui rejoint le point 6).
  5. La malhonnêteté. Ils sont prêts à être ouvertement malhonnêtes pour faire avancer leurs idées virales. S’ils perdent un point dans un argument, ils passent à un nouveau point, sans jamais reconnaître ou acquiescer qu’un point a été perdu. Lorsque tous les points d’attaque sont utilisés, les attaques personnelles commencent. Le passé est une ardoise vierge ouverte à la révision.
  6. L’égocentrisme. J’ai mis du temps à m’en apercevoir, mais il s’agit d’une idiosyncrasie qui indique que vous avez affaire à une infection woke si la personne est devenue anormalement égocentrique et que, dans la conversation, elle ne rend pas la pareille, mais parle plutôt d’elle-même, toujours de façon positive ou en s’exaltant, souvent de façon irréaliste. Elle peut également s’apitoyer sur son sort, ce qui semble généralement exacerber un besoin de recherche d’attention.
  7. Dépression, faible estime de soi, anxiété. Je ne l’ai remarqué que récemment, c’est probablement le résultat subconscient des numéros 4 et 6 en particulier. Tout véritable questionnement personnel sur le sujet révèle généralement des inquiétudes et des angoisses profondes, et souvent des problèmes de santé mentale.

Une expérience récente avec une connaissance, une femme d’âge moyen qui, grâce à un nouveau cercle d’amis, est passée de normale et apolitique à pleinement woke, m’a permis d’étudier les changements (avec une horreur détachée) au fur et à mesure qu’ils se produisaient. Tout d’abord, elle a commencé à faire preuve d’un égocentrisme extrême, car ce nouveau groupe social de pairs est devenu important pour elle (je crois qu’il s’agissait d’un « club de lecture »). Elle est devenue apparemment incapable de parler d’autre chose que d’elle-même. J’avais déjà remarqué cette qualité chez d’autres amis de l’époque de la veille, et je me souviens que beaucoup d’entre eux n’étaient pas comme ça auparavant, mais c’était la première personne adulte à faire une transition lente sous mes yeux, alors j’ai sorti mon bloc-notes et j’ai pris des notes.

Elle est devenue quelque peu maniaque, très anxieuse, plus inquiétante et moins saine d’esprit. En même temps, elle faisait des remarques politiques désinvoltes dans les conversations polies. Il va sans dire qu’elle publiait constamment des messages sur Facebook à propos de la politique woke, d’elle-même ou de la combinaison idéale : des messages sur elle-même, woke-croisades. Auparavant, rien de tout cela ne faisait partie de sa personnalité, bien que la politique « woke » soit présente depuis de nombreuses années maintenant. Cela a commencé pour elle avec un nouveau cercle de pairs qu’elle souhaitait manifestement impressionner et cela culmine actuellement avec ses amis et sa famille qui envisagent sérieusement une intervention d’aide psychologique, non pas à cause de la signalisation constante de la vertu, mais pour les autres changements de personnalité plus autodestructeurs.

Cela me rappelle la science de la psychopathie. J’ai été très intéressé d’apprendre dans ma jeunesse, non seulement que les psychopathes ont essentiellement peu ou pas de sentiments émotionnels, et certainement pas d’empathie, mais qu’ils existent parmi nous en grand nombre. Ils ne deviennent pas tous des tueurs en série, mais il y a des gens que vous connaissez qui sont des psychopathes et que vous n’auriez jamais devinés parce qu’ils apprennent à imiter le comportement humain. Un traumatisme sévère dans la jeunesse peut sembler créer la psychopathie, donc il peut s’agir d’une condition environnementale.

Je ne dis pas que les wokes sont des psychopathes (bien qu’ils partagent tous le narcissisme), je dis que des conditions psychologiques peuvent être créées, et que le monde moderne, avec son consumérisme matérialiste effréné, son athéisme dogmatique et son système éducatif qui se déteste, est peut-être en train de fabriquer une nouvelle psyché humaine, à la fois fragile et fragile et, à sa manière perverse, impitoyable.

Observez la propagation du virus, observez, étudiez et espérez être immunisé.




Covid : la Russie rejette le Pass Sanitaire, devenu obligatoire pour entrer au siège de l’ONU

[Source : Le courrier du soir (lecourrier-du-soir.com)]

L’ambassadeur russe auprès des Nations-Unies, Vassily Nebenza, a manifesté, dans une lettre adressée au secrétaire-générale de l’ONU, son profond désaccord à l’idée que seules les personnes munies d’une preuve de vaccination doivent être autorisées à avoir accès à la salle où se tiennent les réunions de l’Assemblée Générale.

Le Pass Sanitaire, devenu obligatoire pour assister à un débat au siège de l’ONU, ne passe pas. La décision exaspère l’Etat russe dont l’ambassadeur auprès des Nations-Unies, Vassily Nebenza, s’y est formellement opposé à travers une lettre adressée aux autorités de l’institution.

C’est en tout cas l’information que l’agence de presse russe Tass nous a apprise ce 16 septembre. En effet, d’après ce média, dans sa lettre, l’ambassadeur russe n’a pas été tendre envers Abdoullah Shahid, président de l’Assemblée Générale des Nations-Unies. C’est ce dernier qui a notifié les diplomates que l’accès aux salles de l’ONU est désormais exclusivement réservée aux diplomates vaccinés.

“Une violation”

“Nous rejetons formellement l’idée que seules les personnes munies d’une preuve de vaccination sont autorisées à accéder à la salle où se tiennent les réunions de l’Assemblée Générale”, déplore le diplomate. Selon Tass qui a consulté la lettre, Vassily Nebenza dénonce une décision qui, selon lui, viole la charte de l’ONU, car ne prenant en compte les droits des personnes exemptées de vaccination pour raison médicale ou qui ont été immunisées par des vaccins qui ne sont pas encore reconnus par le CDC (Centrer for Disease Control).

Selon Tass, la décision répond à une mesure sanitaire décrétée par l’Etat de New York (où se trouve le siège de l’ONU) et qui exige que des personnes qui participent à des réunions à huis-clos soient obligatoirement munies d’un Pass Sanitaire.




L’HRC fait marche arrière et interdit l’ivermectine malgré des centaines de bons résultats

[Source : limpertinentmedia.com]

Par Amèle Debey

Dernièrement, les loufoqueries américaines ont remplacé les relais d’études sérieuses dans les médias francophones qui abordent le thème de l’ivermectine. Pourtant, il existe bel et bien une expérience clinique qui plaide en faveur de la molécule. En Suisse romande aussi, des médecins la prescrivent au sein d’une institution reconnue. Du moins, c’était le cas jusqu’à la semaine dernière. Explications.

Les réseaux sociaux influenceraient-ils les décisions médicales? Selon une source de la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat: malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite.

Si le porte-parole de l’Hôpital Riviera-Chablais confirme l’interdiction, il ne répond pas directement sur ce qui l’a motivée. Et surtout pourquoi maintenant? «Le Comité Médical de l’HRC a décidé d’édicter que seules les recommandations nationales et internationales concernant le traitement du COVID-19 devaient guider la prise en charge des cas COVID dans l’ensemble des structures de l’Hôpital Riviera-Chablais, explique Christophe Schull. Ceci exclut notamment l’emploi de protocoles à base d’ivermectine par l’ensemble des médecins de l’Institution. Cette décision a été prise suite à l’exposé de la littérature actuelle, qui ne démontre pas de bénéfices de ce traitement pour le COVID-19.»

Et d’ajouter: «Les règles internes de l’HRC donnent la compétence au Comité Médical de statuer sur la liberté thérapeutique à l’intérieur des règlements de services. C’est sur cette base que le Comité Médical de l’HRC a pris sa décision, après avoir entendu un expert reconnu qui a présenté une mise à jour de la littérature internationale.»

L’expert reconnu en question, c’est le professeur Oriol Manuel, spécialiste des maladies infectieuses et chercheur au CHUV. Ce dernier s’exprime volontiers dans les médias pour témoigner de l’inefficacité de l’ivermectine. Cependant et de son propre aveu, il ne maîtrise pas les données du cas particulier du HRC: «Je ne peux pas me prononcer concernant les patients à Rennaz parce je ne connais pas leur âge ou leur taux de comorbidités. Le taux d’hospitalisation pour des patients Covid est extrêmement faible, donc probablement que si nous leur donnions n’importe quel médicament, l’évolution clinique serait favorable de toute façon.»

Rappel des faits

En novembre dernier, comme le révélait L’Impertinent, c’est la direction de l’Hôpital Riviera-Chablais elle-même qui décide d’autoriser ses médecins à prescrire de l’ivermectine, juste après avoir interdit le traitement du Dr. Zelenco à base d’hydroxychloroquine. Une première dans un établissement public romand.

A (re)lire: L’invraisemblable désaveu des traitements précoces

Une trithérapie est mise au point dès janvier. La prise en charge en prophylactique, qui requiert une surveillance moindre qu’avec l’HCQ, fait ses preuves. L’ivermectine est non seulement sans danger, mais en plus les résultats sont au rendez-vous. En neuf mois, de 350 à 400 patients sont traités, selon la fiche d’information destinée à assurer le consentement éclairé du malade. Parmi ceux-ci, seuls quatre doivent finalement être hospitalisés et aucun ne succombera au Covid.

Dès la semaine dernière, et l’interdiction formelle des hôpitaux de continuer à assurer à ses médecins leur liberté de prescrire, c’est la consternation dans la permanence veveysanne. Les professionnels de la santé sont abasourdis et ne comprennent pas qu’on leur interdise de traiter leurs patients. Ils se préparent psychologiquement à devoir renvoyer à la maison avec du paracétamol les souffrants qui viennent leur demander de l’aide, alors même qu’en leur âme et conscience ils estiment qu’un traitement est disponible.

À suivre sur L’Impertinent: que reste-t-il des droits et des devoirs des médecins?

Pourtant, les études et les données tendant à valider l’efficacité de l’ivermectine sont légion. En Inde, notamment, certains états seraient parvenus à contrer le variant delta grâce à la molécule, largement distribuée aux citoyens. Au Mexique et au Pérou également. Mais rien ne semble probant pour l’OMS et la communauté scientifique, qui martèlent que seules les études randomisées contrôlées feraient foi.

Même son de cloche du côté du porte-parole de l’hôpital: «Nous constatons aujourd’hui que la communauté scientifique internationale et nationale ne recommande pas d’administrer ce médicament, sur la base d’un manque d’évidence scientifique. Or, le faible nombre de patients traités ne permet aucunement de tirer des conclusions scientifiquement valables. En effet, une étude solide nécessite plusieurs dizaines de milliers de patients, et notamment un groupe témoin. Ces deux conditions ne sont pas réunies ici. Dès lors, il n’est pas possible de se prononcer sur d’éventuels bons résultats, nous nous alignons donc sur les recommandations internationales et nationales.»

Cependant, comment obtenir des données sur des milliers de patients si on n’autorise pas les expériences cliniques sans danger? Personne ne semble disposé à répondre à cette question. Dans le même temps, le rémdesivir de Gilead, désavoué par l’OMS, potentiellement toxique et dont l’utilité n’a pas non plus été soumise à des études randomisées contrôlées, a été approuvé par Swissmedic qui a autorisé un élargissement de son utilisation l’année dernière.

De plus, et selon la littérature scientifique sur le sujet, seules les entreprises pharmaceutiques seraient en mesure de financer des études sur plusieurs dizaines de milliers de patients.

Une solution alternative?

Depuis juin, la Task force conseille les anticorps monoclonaux pour lutter contre le Covid dès les premiers jours de l’infection. Ce traitement, bien que validé par Swissmedic, ne bénéficie pas d’autorisation de mise sur le marché. Il est plus coûteux que l’ivermectine et n’a pas fait ses preuves non plus. Mais, selon Oriol Manuel, «les données des anticorps monoclonaux, même sans être miraculeuses, sont beaucoup plus convaincantes qu’avec l’ivermectine».

Ce qui est sûr, c’est que ce traitement représente une manne non négligeable pour Roche. Comme le rapportaient Le Matin et Le Temps en avril déjà, la Confédération a acheté 3000 doses d’anticrops monoclonaux pour un usage postérieur à l’hospitalisation, pour un montant confidentiel.

Pour rappel, l’absence de traitement alternatif fait partie des conditions de la FDA (équivalent américain de Swissmedic) pour la validation express d’un vaccin. Qui plus est, les contrats signés entre les pharmas et les Etats stipulent que ceux-ci ne pourront être rompus, même en cas de découverte d’un traitement alternatif au vaccin.

Depuis le début de cette pandémie, il semble y avoir autant d’avis que d’individus et autant d’études contradictoires que d’avis. C’est pourquoi il est important de s’en tenir aux faits, à la réalité du terrain. Une réalité que le Comité médical de l’hôpital de Rennaz semble pourtant avoir choisi d’ignorer.

Les précédentes enquêtes d’Amèle Debey:




« Il ne s’agit pas de guérison. » Le point de vue d’une ancienne représentante pharmaceutique

[Source : Kla.TV]



Regardez maintenant une interview de Juliane Alt avec l’ancienne représentante pharmaceutique Elisabeth Linder. « Filmgeschichten.com » nous a aimablement donné les droits de diffusion.

Intro : Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est juste cruel, ce qui s’est passé là…

Elisabeth Linder : Je m’appelle Elisabeth Linder. J’ai travaillé en pharmacie pendant de nombreuses années, dans le domaine des vaccins. J’y suis venue parce que j’étais mère célibataire et que je devais simplement gagner de l’argent, et c’est grâce à une de mes amies qui travaillait en pharmacie, que je suis arrivée là. En 1980 j’ai suivi une formation de représentant pharmaceutique, puis j’ai commencé à travailler pour une grande entreprise, la première société de vaccins sur le marché mondial. Au début déjà je n’étais pas d’accord avec ce qui se passait. Mais comme je devais nourrir mon enfant et que nous devions aussi nous loger, je me suis dit, – Ok, c’est l’opportunité où je peux le mieux gérer mon temps, où je peux gagner assez d’argent pour subvenir à nos besoins à tous les deux.
Et oui, au début, il n’y avait que quelques vaccins, je pouvais vivre avec ça. L’hépatite B et le tétanos, la diphtérie, la polio et ainsi de suite, et puis au fil des années, il y en a eu de plus en plus. J’ai toujours cru ce qu’on nous disait, que les vaccins sont si important et que nous en avons besoin, et c’est ainsi que les maladies infectieuses déclineront. Je croyais tout ça à l’époque, j’étais complètement nouvelle. Et au fil des années et des cours de formation, et de ce que nous avons entendu, j’ai eu peu à peu le sentiment que ce que je faisais n’était peut-être pas aussi bien après tout. Que ce n’est pas quelque chose qui aide vraiment l’humanité. La première fois que la polio a été injectée, ce sentiment s’est cristallisé de plus en plus lorsque le vaccin a été disponible. Ce n’était pas parce que tant de personnes mouraient lorsqu’il était administré par voie orale, mais parce qu’il était plus cher, dans les 45 marks de l’époque. Puis quand le vaccin suivant est arrivée, ça m’a fait beaucoup réfléchir. C’était à l’époque où il y avait le vaccin contre la varicelle. Et lors d’un événement, il a été dit littéralement : « Nous créons des marchés. » Il ne s’agit pas des enfants, c’est ce qui m’a immédiatement traversé l’esprit. Il ne s’agit pas de protéger les enfants. Je l’ai calculé très vite. Il s’agissait du fait que c’était un problème économique et cela m’a choquée. Déjà à l’époque toute la Commission permanente des vaccinations (en abrégé STIKO) était là, avec leur slogan « Nous créons des marchés. »- : Nous créons des marchés signifie qu’il n’y a en fait aucun marché pour cela. Aussi brutal que cela puisse paraître. J’ai eu une boule dans l’estomac parce que j’ai pensé : « Qu’est-ce que vous voulez dire, par – Nous créons des marchés ? » Et puis nous avons dû aller voir les médecins et leur vendre le vaccin….; et ensuite beaucoup d’enfants sont morts à cause de cela. Aucun pédiatre n’a eu d’enfants qui sont morts de la varicelle.
Finalement, c’est une question d’argent, oui !

Filmgeschichten.com : Et ensuite, comment ça s’est passé pour toi ?

Elisabeth Linder : Ça, c’était l’histoire du vaccin contre la varicelle. Qu’est-ce qui s’est passé ensuite ? Ah oui, ensuite il y a eu le tétanos, puis le vaccin quadruple : tétanos, diphtérie, polio et coqueluche ; puis le quintuple et enfin le vaccin sextuple avec l’hépatite B ; avec l’argument que les mères n’emmèneraient plus leurs enfants se faire vacciner par la suite, car aucun bébé ne contracte l’hépatite B s’il n’a pas une mère infectée. Bien sûr, cela se transmet ensuite au bébé, mais les bébés n’ont aucun, comment dire, aucun risque de tomber malade d’une hépatite B. Oui, et puis il s’est avéré que quand je l’ai présenté aux pédiatres, alors que je n’étais plus du tout d’accord, il y a eu les premiers effets secondaires graves. Et bien sûr, je l’ai signalé. Puisque c’est obligatoire. Ça n’a jamais abouti à rien. Il y a eu les premiers décès à l’époque déjà. Et alors, après que cela ne pouvait plus être balayé sous le tapis, ils ont dit : « Une étude doit donc être faite », à Munich à l’époque. « Tous les enfants qui décèdent d’une mort subite du nourrisson doivent être autopsiés. Et il faut voir quelle en était la cause ». Cette étude n’a jamais été publiée. Oui, avec les connaissances que j’ai aujourd’hui, tout est clair pour moi. Et c’était un point important pour moi, j’avais le moins de ventes avec ça, mais je m’en fichais. Et quand un pédiatre me demandait ce que je ressentais à ce sujet ou ce que je pensais, je disais toujours que je ne le ferais pas. Et bien sûr, quand mon premier petit-enfant est venu au monde et que ma belle-fille m’a demandé, j’ai juste dit : « Pour l’amour de Dieu, surtout pas de vaccin sextuple. » Donc mes inquiétudes, mes doutes, mon intuition… m’ont de plus en plus montré que ce n’est pas un travail en accord avec mon opinion. Ça devenait de plus en plus évident.

Filmgeschichten.com : Et combien d’années as-tu travaillé là-bas ?

Elisabeth Linder : 28 ans. Quand j’ai réalisé tout ca, je pense que j’y étais déjà depuis 8 ou 9 ans. Et tu peux calculer toi-même, les années restantes ont été dures pour moi, mais j’avais besoin de cet argent. C’est comme être dépendant de drogues. On était bien payé, et avec ça j’avais une bonne qualité de vie. Oui, et avec mon enfant… c’est ce cercle vicieux. Avec le recul, je ne referais plus jamais ça. C’est ce cercle vicieux ! Puis mon enfant a dû aller à l’école, où il était pris en charge toute la journée, et cette école était très chère. Oui, j’aurais pu tout avoir autrement. Mais c’est passé. Actuellement, je l’ai fait, je suis allée jusqu’au bout jusqu’à ma retraite, parce que j’ai pensé que je ne m’arrêterais pas quatre ou cinq ans avant. C’était vraiment très difficile pour moi. Puis il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Et il y a eu une année, je ne sais pas si tu t’en souviens. Un an auparavant, le sujet du cancer du col de l’utérus était omniprésent dans toutes les émissions de radio et de télévision. C’était affreux pour les femmes… et elles ont été interviewées. Et ça a vraiment duré une année, et ça s’appelle le pré-marketing. Et puis j’ai dit à mes collègues de l’époque : « Dites-moi, ne remarquez-vous pas ce qui se passe ici ? » Nous recevons le vaccin dans un an et maintenant toutes les émissions ne parle que du cancer du col de l’utérus. Ça me rappelle…, et je ne sais pas pourquoi j’ai fais cette association d’idée, cela m’a rappelé la Thalidomide. Et c’est ce que j’ai dit : « Ça me fait penser à la Thalidomide. Il se passe quelque chose, personne ne dit rien, personne ne l’arrête. » Et ensuite j’ai principalement rendu visite à des pédiatres et des gynécologues, un gynécologue ne m’a pas reçue à Starnberg.
Ça, je n’oublierai jamais – je n’ai pas compris pourquoi il disait qu’il ne reçoit personne de mon entreprise. Mais moi aussi je suis têtue et j’ai dit que je voulais simplement qu’il me reçoive, parce qu’il ne savait pas quelle était mon opinion. Oui, c’est ce que j’ai dit à sa secrétaire, et ensuite il m’a en effet proposé une conversation, et c’était très intéressant, parce qu’il m’a raconté comment les études étaient faites dans les pays dits du tiers monde. Et à l’époque ça m’a vraiment coupé l’herbe sous les pieds. Parce que je me suis dit : « Qu’est ce qui se passe ici ? Qu’est-ce que je fais, où est-ce que je travaille ? Et je dois vendre ça aux médecins comme si c’était une bonne chose. »

Dans les pays dits « du tiers monde », comme on le dit toujours, je trouve cela tellement méprisant d’ailleurs, les vierges, c’est-à-dire des enfants qui n’avaient pas encore leurs règles, des jeunes filles qui n’avaient pas encore eu leurs règles, étaient vaccinées avec ce vaccin, alors que nous savons, ce que fait ce vaccin et que ça n’a absolument aucun sens et c’est ça qui est pervers.
Sur 47 souches de vaccin, il y en avait trois qui pouvaient éventuellement offrir une protection. Les gynécologues m’ont aussi informée que grâce à l‘amélioration des examens et la sensibilisation des femmes pour le test Papillomavirus, il n’y a presque plus de cancer du col de l’utérus, ou plus dans la même mesure. Et ce n’est pas du tout prouvé que ce vaccin soit efficace.
Mais ils ont accepté, la probabilité de mourir, qui existait déjà à l’époque, et qui est bien sûr beaucoup, beaucoup, beaucoup plus probable aujourd’hui. Et puis on a fait des projections : combien d’enfants sont vierges, combien de petites filles avons-nous ? Et puis ils ont fait des calculs. La triple vaccination coûtait déjà alors 500 € au total ; et ensuite vous pouvez calculer vous-même l’ampleur de ce marché.
Et puis les filles ne leur ont pas suffi. Ils ont voulu aussi les garçons, parce que ceux –ci pouvaient être transmetteurs. Et je suis arrivée au point où j’ai dit : « ça, je ne peux plus le faire. »
Si j’imaginais que j’aurais pu le faire – c’est-à-dire avec conviction – cela aurait été un tel mensonge, et tout en moi a crié : « Ce n’est pas bien, ce qui se passe. » Cela ne va absolument pas. » Et pour couronner le tout, ils ont également embarqué les garçons. Avec ce vaccin la ligne rouge a été franchie.
Et quand j’ai eu plus d’informations par des médecins critiques, j’ai dit… Alors j’ai souvent dit à mes collègues : « Vous ne vous rendez pas compte de ce qui se passe ici ? » Non, ils ne s’en sont pas rendu compte.

Filmgeschichten.com : Tu étais donc la seule ?

Elisabeth Linder : oui ! J’étais en fait la seule dans un groupe de dix personnes.

Filmgeschichten.com : Es-tu toujours en contact avec certains d’entre eux ?

Elisabeth Linder : Oui, même avec ma chef de l’époque, mais plus maintenant. Ils savaient également que je consultais des médecins homéopathes en privé depuis de très nombreuses années et que je pensais différemment.
Mais je dirais qu’il y a certaines choses que je pouvais encore vendre, parce que – encore une fois – je n’avais pas les connaissances d’aujourd’hui non plus. Mais cela n’incluait pas le vaccin à 6 doses, ni le vaccin contre la varicelle, ni enfin le vaccin contre le VPH [papillomavirus humain]. C’est là que j’ai arrêté.
C’est un crime. C’est un crime contre les jeunes. Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est juste cruel, ce qui s’est passé là.
Je n’étais pas au courant. Je ne me suis pas – comment dire – informée davantage à l’époque. Juste ce que j’ai entendu par bribes – et c’était une telle catastrophe pour moi d’y être impliquée. Et quand j’ai entendu un enfant crier, et que le médecin a dit : « Regardez, c’est votre vaccin. » C’était comme si on m’arrachait le cœur.
Je me suis dit : « Comment vais-je traverser les prochaines années ? »

Filmgeschichten.com : On peut dire que les trois dernières années de ta carrière ont été particulièrement difficiles.

Elisabeth Linder : Oui, c’était le cas lorsqu’il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. C’est à ce moment là, que la ligne rouge a été franchie pour moi. Je ne pouvais pas faire ça.
Je n’ai tout simplement pas parlé de ce vaccin dans les cabinets. J’ai pris cette liberté d’agir ainsi et quand ma chef m’accompagnait, – car elle est souvent venue avec moi – j’ai dit que j’aimerais qu‘elle fasse l’entretien afin de voir comment elle amenait ces choses auprès du médecin
Je n’ai pas fait ça. Je ne pouvais donc plus faire semblant. Et c’était pour moi les trois dernières années, – j’ai prié tous les jours :
Mon Dieu, fais que je traverse ce temps maintenant, que j’en arrive à la fin car cette chose me tue – c’est à la limite d’un meurtre – rien qu’en pensant à ces jeunes filles
C’était mon lot : je ne pouvais pas le faire. Oui, nous avons été formés par l’entreprise. Nous avons eu des entretiens de vente. C’était lors des conférences et toutes les 2 semaines, c’était de nouveau répété. Il y avait toujours des études présentées, qui étaient bien sûr farfelues, comme je le sais aujourd’hui. Et en fait – nous recevions constamment de nouveaux documents – c’était là où je disais souvent : Qu’est-ce que je dois faire avec ça ? Ce n’est pas juste du tout. Et ce qui me frappe, c’est que les médecins le croyaient. En fait oui, je peux faire le lien par rapport à aujourd’hui…En fait c’est vraiment ce que nous avons aujourd’hui : les médecins le croient.
Et ça me choque. ; parce que je suis une simple représentante médicale, et parce que je suis de la Firme Untel, et parce que je lui montre des études, ils le croient. Rien n’est remis en question.
Il y a très peu de médecins qui ont un avis critique en ce qui concerne les cadeaux publicitaires, il y en a très peu qui disent qu’ils ne veulent pas de cela, qu’ils ne se font pas acheter -. Donc un très petit pourcentage.
J‘ai donc démontré ces choses en espérant que le médecin commanderait mon vaccin à la pharmacie. Il ne pouvait pas commander un vaccin chez moi, il devait le commander à la pharmacie. Et la pharmacie a ensuite transmis les commandes à la société. Et donc on pouvait calculer si j’avais un bon chiffre d’affaires ou pas.

Filmgeschichten.com : ça veut dire que tu l’as découvert par…

Elisabeth Linder : … par les pharmacies.

Filmgeschichten.com : OK.

Elisabeth Linder : Exactement. La seule exception, et là on en vient à parler de la situation actuelle. La seule exception était le vaccin contre la grippe. Nous avons dû les vendre à l’avance. Donc, j’avais un bloc-notes et j’ai dit : Quels patients avez-vous eu l’année dernière qui ont pris le vaccin ? Et puis oui, vous ne voulez pas en commander d’autres cette année ? – C’était horrible pour moi. Et puis il a commandé directement. Et alors je suis allée à la pharmacie avec la commande. Ils l’ont signée. Et là, j’ai su avec certitude qu’il avait commandé tant et tant de vaccins contre la grippe, chez moi. Mais c’était la seule exception.

Les souches ont été cultivées sur des œufs de poule, pour ainsi dire. Et ensuite, le vaccin a été fabriqué à partir de cela. Mais je ne connais plus le processus exact. C’était l’argument, car il change encore et encore. C’est pourquoi il fallait le commander à l’avance.

Ces dernières années, les conversations ne portaient plus sur les vaccins, sauf si quelqu’un me le demandait. Mais je connaissais chaque médecin, je connaissais le nom de chaque secrétaire. Je connaissais les dates d’anniversaires. Pour moi, c’était – c’était le bon côté de mon métier. Je dis toujours que j’étais en fait une psychothérapeute. Combien de choses m’ont été racontées – par les médecins aussi. Ils ont utilisé le temps et m’ont parlé de leur vie. Et c’était mon point fort. C’est mon point fort en général, je peux écouter parce que je suis vraiment intéressée. Et parce que je suis honnête. Quand ils m’ont demandé ce que j’en pensais, j’ai honnêtement donné mon avis. Avec ce que je leur disait, ils auraient pu téléphoner l’entreprise et dire, « Mais qu’est ce qu’elle raconte, Mme Linder ? Elle travaille bien pour vous ? »
Je m’en fichais.

Filmgeschichten.com : À quoi ressemblait ta journée de travail normale en tant que représentant pharmaceutique ?

Elisabeth Linder : Je ne suis jamais partie avant 9 heures. Je préparais ma tournée le soir, je savais où je voulais aller. Je n’ai pas pris de rendez-vous. J’ai refusé. Puis je me suis rendue aux cabinets et j’ai été relativement bien accueillie, car je travaillais dans la région depuis de nombreuses années, et je faisais mes entretiens. Puis je rentrais chez moi l’après-midi. Je travaillais aussi parfois le vendredi après-midi. Je devais me rendre chaque jour chez neuf médecins – entre neuf et dix médecins – et encore dans des pharmacies.

Et quand je rentrais chez moi, je dînais le soir et puis mon travail continuait. Parce que nous devions noter qui je visitais, de quoi nous avions parlé et ce que j’avais laissé comme échantillons ; à l’époque il y avait déjà l’ordinateur portable, nous avons eu un ordinateur portable très tôt, Ensuite, les commandes. À l’époque, il y avait encore beaucoup, beaucoup de cadeaux promotionnels. Je recevais parfois vingt ou trente paquets d’articles promotionnels. Et comme je l’ai dit, j’ai dû organiser moi-même de nombreuses formations avec des intervenants. J’ai commencé à chercher des conférenciers, en fonction du sujet, qu’il s’agisse de vaccins pour enfants ou pour adultes. Ou dans le cabinet du pédiatre, nous avons également organisé des séminaires d’urgence. C’était donc intéressant. Même s’il y avait des formations continues, « des formations continues… » – dans ces beaux hôtels, avec les conjoints, avec tout. Nous avons dû tout organiser.

J’ai donc vu beaucoup de choses du monde entier. C’était beaucoup. J’étais en plus, en quelque sorte une agence de voyage. Tout cela était encore possible à l’époque. Et en fait, je ne quittais pas mon bureau avant neuf heures, neuf heures et demie du soir. La journée était donc longue. Même si tout le monde disait : « Oh, les représentants pharmaceutiques, ont la belle vie. Ils visitent quelques médecins et puis c’est fini. » Eh bien, ce n’était pas comme ça pour moi. J’ai vraiment eu beaucoup de temps de préparation et je travaillais aussi avec des fiches, ça les faisait tous rire. J’écrivais tout : Les anniversaires, les enfants, – parce que pour moi c’est du respect que je porte pour mon vis à vis, – parce que je voulais m’adresser à eux par leur nom. Et c’était ma force, bien sûr.

Oui, la journée était longue. Ce qui était bien, c’est que j’étais indépendante.
Personne, du moins dans ce domaine, ne m’a dit ce qu’il fallait faire, quand le faire et ce qu’il fallait faire ou ne pas faire. …Et je gagnais 4 500 € et des primes en plus. Et en plus une voiture de fonction !
La voiture plus l’essence, c’était déjà lucratif. J’ai toujours dit quand quelqu’un me disait « Oui, c’est génial ce que vous faites. Vous avez de la chance avec ce que vous faites. » Je répondais : « Allez-y, faites-le. Je paie un prix élevé pour ça. » C’est vrai, c’est beaucoup d’argent, la voiture était gratuite. L’essence était gratuite, en plus les primes et beaucoup de voyages. Les voyages j’aurais aussi pu m’en passer. Mais d’un point de vue financier, vous êtes dans une bonne position. Oui, ils le savent, ils le savent très bien. C’est comme ça qu’ils vous tiennent. Et c’est pourquoi il y a cette pression pour vendre. Je n’ai pas fait mes ventes parce que j’ai parlé des vaccins, mais simplement d’un point de vue humain, les médecins ont commandé mes vaccins, même si j’ai parfois dit : « Au fait je ne veux pas tout ça , car je ne suis pas d’accord avec tout ça. »

Filmgeschichten.com : Quelles conséquences physiques et émotionnelles ce dilemme a produites sur toi?

Elisabeth Linder : Une douleur totale. D’un point de vue actuel et de ce que j’ai vécu dans les dernières années, au fond cela n’a pas arrêté, c’était de devoir s’ajuster constamment.

C’était une tension constante. J’étais tout le temps comme une patate chaude, et je me demandais aussi pourquoi je n’avais pas arrêté plus tôt. Entre temps, j’ai essayé de trouver un autre emploi, mais… j’ai essayé ça à 48 ans, je crois. Ils m’ont dit que j’étais trop vieille. J’ai trouvé ça drôle à l’époque. Mais oui, mon père nous disait toujours : « Les enfants, si vous n’êtes plus heureux dans votre travail, alors vous devez chercher autre chose ». Malheureusement, il est mort beaucoup trop tôt. J’étais encore très jeune à l’époque, 13 ans. Mais j’ai toujours eu mauvaise conscience. Tu n’y es pas arrivée. Tu n’as pas lutté et cherché un autre emploi. C’était grave. En rétrospective, les deux choses : premièrement , en vendant un produit que je n’approuvais pas. C’est-à-dire que je ne l’ai pas vraiment vendu à l’époque.
Mais j’ai aussi dû me rendre à l’évidence que je n’ai pas arrêté, que j’ai continué à le faire. Juste par amour de l’argent. Sans aucun doute.

Filmgeschichten.com : Vous connaissez le secteur, vous y avez travaillé pendant longtemps. Comment décririez-vous l’industrie pharmaceutique ? Est-ce une industrie qui veut vraiment guérir ?

Elisabeth Linder : Ils sont si loin de la guérison – je ne sais pas, quel est le plus loin, quel corps céleste est le plus loin ? C’est la distance qui les sépare. Il ne s’agit pas du tout de guérison. Zéro, zéro, zéro. Et cela, – quand vous avez compris, – alors c’est en fait aussi clair que n’importe quoi d’autre, vous ne vaccinez certainement plus un seul enfant, un seul être vivant. Cette histoire de vaccination… parce que je ne savais pas tout ça non plus. Cela remonte – si ce n’est pas à des centaines d’années, – mais au moins à partir de 1800 – Cela a déjà commencé avec la grippe espagnole – c’était quand, la grippe espagnole ?
C’est incroyable. Ils ne sont pas morts de la grippe. Ils sont morts à cause du vaccin. Et c’est ce que j’ai encore entendu au cours de l’année ou de l’année et demie qui vient de s’écouler….. Tu sais. Le pire, c’est que je fais immédiatement le rapprochement et que je ne me demande même pas une seconde si c’est vrai ou non, je sais que c’est la vérité. Toutes les cruautés, les crimes sont vrais. Mais je dois me prendre par la peau du cou, je ne me suis pas posé de questions non plus. J’ai posé des questions, mais bien trop peu, bien trop tard. D’accord, je le fais maintenant. Mais ce que nous, les humains, faisons avec les vaccins, ou les animaux d’ailleurs, c‘est la même chose. Les crimes qui sont commis sont fondamentalement insupportables. Mes animaux n’ont pas été vaccinés depuis que je les ai eus. Quand les gens disent : « Oui, tu veux partir en voyage. » Eh bien, je ne voyage pas. Mais je n’envisagerais pas de vacciner un chien, un chat ou autre. C’est là que ça commence. Les chevaux sont vaccinés jusqu’à la mort. Ensuite, ils disent que s’ils vont à une course… Ce qu’on nous dit toujours, c’est le pire. Pourquoi cela devrait se produire ? Ce n’est pas vrai du tout. Et les animaux ne peuvent pas se défendre, tout comme les enfants ne peuvent pas se défendre.

Et c’est une torture de voir des enfants – pour moi, c’était un viol – quand des enfants sont assis là, criant, et qui se font piquer et qu’on leurs injecte quelque chose qui n’est pas du tout bon pour eux.

Toutes les maladies qui ont suivi, c’était il y a longtemps, c’était au tout début, c’était il y a 38 ans maintenant, ou même il y a plus longtemps, quand lorsqu’on a dit qu’il existe un lien entre l’hépatite B et l’autisme, bien sûr nous, les représentants pharmaceutiques, nous avons dit « quelle absurdité ! »,
Non. C’était la vérité. De nos jours ça a été prouvé. Et toutes ces choses ont simplement été passées sous silence. Mais je répète il y a le côté de ceux qui diffusent quelque chose qui en fait partie, et le médecin qui ne se pose pas de questions en fait également partie.
Car le commerce des vaccins rapporte beaucoup d’argent!

Filmgeschichten.com: Et les clients, ils en font également partie.

Elisabeth Linder: Ils en font également partie. Oui, en fait, ce sont les moins bien lotis, voire les plus pauvres, car ils font confiance aux médecins. Les médecins font peur aux jeunes mères: Vous savez, si vous ne faites pas cela, votre enfant ne sera pas protégé ». C’est ainsi que l’on procède encore aujourd’hui , toujours par la peur. Et ce sont en fait les intermédiaires qui sont aussi les moins informés. Mais après l’industrie pharmaceutique, les pires sont le corps médical qui ne se lève pas pour dire : « Mais qu’est-ce qui se passe?“ Mhmh.

Filmgeschichten.com: Quand t’en es-tu rendu compte ? Est-ce que tu le savais déjà avant, lorsque tout a commencé et que ce virus est soudain apparu ?

Elisabeth Linder: Eh bien pour moi le réveil s’est fait assez tôt. En fait, dès les trois ou quatre premières semaines j’ai pensé que quelque chose n’allait pas. Leur narratif ne collait pas. Pourquoi ce danger soudain, alors qu’on ne parlait pas encore de pandémie ? Et s’il est une chose sur laquelle je peux vraiment compter, quand tout à coup quelque chose me perturbe, c’est bien ma voix intérieure. .
Alors j’ai pensé que quelque chose n’allait pas. Ensuite c’est allé très vite. Je ne sais plus comment ça s’est produit, ni par quelles voies je suis parvenue jusqu’à ces médias.
Mais c’est vraiment arrivé, j’ai été guidée jusque là et j’en remercie le bon Dieu.

Filmgeschichten.com: Tu veux dire que pendant toutes ces années tu t’es informée en consultant des médias classiques, dits de qualité ?

Elisabeth Linder: Je sais, c’est affreux.
Je ne connaissais pas Rubikon, (ndlr. Magazine pour lecteurs ayant conservé leur sens critique) je ne savais pas qui était KenFM (ndlr. chaine internet de tv alternative), je ne savais pas qui était Reitschuster.
(ndlr. Journaliste indépendant spécialiste de la Russie).

Tous les médias libres m’étaient inconnus. Aujourd’hui, je pourrais remettre à chacun d’eux un prix Nobel de la paix. J’ignorais tout ça .

Et c’est ce qui me choque encore chaque jour , enfin plus maintenant, : avoir cru en tout cela. ARD, ZDF – bon, Bayern 3 n’a jamais été ma chaîne préférée – mais ARD, – j’adorais leurs « Questions d’actualité » et je les regardais tous les soirs.

Je n’aimais pas certains d’entre eux, comme Slomka, qui était toujours très subjective. On pouvait deviner quelle était son opinion, mais je la croyais. Que quelqu’un puisse être si perfide, si fourbe, si cruel, mentir comme ça et manipuler les gens, les masses de cette façon, c’était pour moi… je ne pouvais tout simplement pas l’imaginer. Je ne peux toujours pas aujourd’hui, mais maintenant nous sommes au courant..

Filmgeschichten.com: Peux-tu imaginer… ?
…encore cette question, car j’ai également travaillé pendant de nombreuses années pour une station ARD, que ces journalistes sont aussi dans leur bulle ou penses-tu qu’en réalité ils en savent plus?

Elisabeth Linder: Eh bien je pense, c’est un chiffre qui me vient spontanément, qu’ils sont peut-être 30 % à en savoir plus.
Et il y en a peut-être trente autres pour cent qui se doutent de quelque chose, et le reste ne savent vraiment pas grand-chose, étant aussi ingénus que moi à l’époque: ils ne se posent pas de questions, ne font pas de recherches, ne regardent pas dans les coins. Voilà ce qu’il en est, ce que je peux en dire spontanément. Et ceux qui savent sont, pour moi, les prochains criminels après Drosten (ndlr. Inventeur du test pcr allemand à 45 cycles) , Spahn (homme politique accusé de mauvaise gestion de la pandémie et de conflits d’intérets dans un marché d’achat de masques FFP2), peu importe leurs noms.. Parce que s’ils n’agissaient pas ainsi, les gens seraient informés. Je l’entends dire encore et encore, que ce soit par des voisins ou des connaissances: « Oui, mais ils l’ont dit aux infos et c’est clair, c’est exact.“
Alors je me dis toujours, oui, c’est vrai, vous l’avez entendu. Et cela me rend un peu plus douce envers les gens, parce que je me dis à moi-même « Elisabeth, arrête. Avant tu y croyais aussi , toi non plus tu ne te remettais pas en question. »

Et pour moi ce que ces journalistes font, ce n’est pas criminel, c’est pire que criminel.
Encore une fois, il y a certainement des gens, comme moi, qui ont des familles, qui essaient juste de s’en sortir, mais qui se sentent mal à l’aise à cause de ça. Il serait temps pour eux de se lever.

Filmgeschichten.com : La normalité ne sera possible, selon notre chancelière, que lorsque tout le monde aura été vacciné.

Elisabeth Linder : Exactement, et j’ai ri très fort, mais tellement fort que j’ai failli m’étrangler. Parce que j’ai pensé, c’est exactement ça.

Filmgeschichten.com : Qu’est-ce qui t’est passé par la tête ? Je dirai, c’était…

Elisabeth Linder : Oui, j’aurais pu crier. Tout est passé par moi, toutes les années de l’industrie pharmaceutique me sont passées comme un film dans ma tête, où je… C’est aussi cette impuissance. J’étais plantée là et j’ai pensé : Et les gens croient ça. À quel point faut-il être stupide ? C’était tellement évident. C’est ce qui m’a le plus rappelé la vaccination du col de l’utérus, parce qu’à l’époque aussi ils ont extrapolé. Et puis, ce qui est encore pire dans ce cas actuel, ils veulent vraiment décimer la population. Mais l’autre vaccin n’est pas mieux. Les jeunes filles ou les garçons sont décimés de la même manière… Seulement, ce n’est pas aussi grave que maintenant avec ce vaccin. Mais j’ai vraiment ri très fort devant la télé. J’ai pensé… ça je n’y crois pas. J’étais désespérée. Ça m’est passé comme un film, j’aurais vraiment pu crier. Puis j’ai toujours pensé : « Les gens, réveillez-vous ! ». Vous devez réaliser que ça ne peut pas être vrai. Mais, bon… et puis c’est arrivé très vite : les manifestations, le fait d’être exclue. J’ai perdu la plupart de mes amis. Mais en fait, je n’ai pas vraiment perdu d’amis. Si je suis honnête, ce n’étaient pas mes amis proches avant, car sinon ils m’auraient au moins demandée comment j’en arrive à penser telle chose.

de nm.

Sources / Liens :
https://vimeo.com/582624672
https://www.filmgeschichten.com/#start




Belgique : vaccins covid en milieu scolaire — la Ministre Caroline Désir mise en demeure de répondre et de suspendre la campagne, le temps de lever les opacités

[Source : Le site d’Initiative Citoyenne]

[Photo : Caroline Désir, ministre de l’Éducation. – Dominique Duchesnes.]

Ce vendredi 17 septembre 2021, le collectif Initiative Citoyenne convie les journalistes pour les informer de la récente mise en demeure envoyée ce mercredi 15 septembre par notre avocat, Me George Henri Beauthier, à la Ministre Caroline Désir, Ministre de l’Education en Fédération Wallonie-Bruxelles, avec copie et recommandé aux Associations de parents UFAPEC et FAPEO. 

Vous trouverez ici, le texte d’invitation aux médias.

Vous trouverez ici notre communiqué de presse de ce vendredi 17 septembre.

Et vous trouverez enfin ici copie intégrale de ce courrier envoyé à la Ministre sur le cadre de cette vaccination scolaire, qui concerne tous nos jeunes.

SI VOUS ÊTES PARENT, ENSEIGNANT, DIRECTEUR, JEUNE/ADO, PROFESSIONNEL DE SANTE, peu importe, vous avez chacun un rôle constructif possible à jouer: dispatchez le plus massivement possible ces infos svpfaites connaître l’existence de cette initiative dans vos classes, dans vos foyers, par mails ou via les réseaux sociaux à vos amis, elles doivent circuler partoutdans toutes les classes, dans toutes les écoles, dans tous les groupes, pour qu’un choix réellement libre et éclairé puisse se faire et que la loi du 22 août 2002 relative aux droits des patients puisse réellement être respectée pour tous. Ne restez pas les bras croisés, soyez acteurs de vos droits et libertés!

NOS JEUNES NE SONT PAS VOS COBAYES!




Est-ce la fin de la médecine libre ?

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

[Également transmis par Christine Côte]

Par Jérôme (Fondation Hippocrate)

– Vous n’avez jamais tué quelqu’un, docteur ?
– Sans ordonnance, jamais !
Cet extrait d’un sketch de Raymond Devos m’a longtemps fait sourire.

Aujourd’hui, c’est la médecine intégrative que l’on tue. Et cela se fait par décret. Le gouvernement a pris la peine d’établir un arrêt de mort officiel.

L’apparence du droit et de la démocratie est respectée. Toutefois, le résultat est le même : à partir du 15 septembre 2021, des milliers de soignants et de médecins en France se trouvent bannis du système de santé.

Il leur est imposé une obligation vaccinale contre la covid 19 sans laquelle ils ne peuvent plus exercer. S’ils sont hospitaliers du public ou du privé, ils seront suspendus le temps de l’état d’urgence et de l’obligation vaccinale. Ils ne seront pas payés. (1)

S’ils pratiquent leur discipline en libéral en tant que médecin, ostéopathe ou kiné, leur cabinet peut être fermé à tout moment s’ils ne montrent pas la preuve de leur “passe sanitaire”.

Or, comme les tests PCR vont devenir payants et qu’ils doivent en faire un tous les trois jours, c’est une obligation vaccinale déguisée.

10% d’irréductibles !

Au mois d’août dernier, 9 médecins généralistes sur 10 auraient été vaccinés contre la covid 19. Il resterait donc 10% d’irréductibles. (2)

Cela pourrait représenter 10 000 médecins sur les un peu plus de 100 000 médecins généralistes qui exercent en France. (3)

Au niveau des hôpitaux, le chiffre serait de 13% sur les 1,1 millions de soignants. (4)

Cela fait tout de même plus de 100 000 soignants !

En tout, 300 000 thérapeutes et soignants pourraient refuser d’appliquer l’obligation vaccinale. (5)

L’obligation vaccinale imposée aux médecins et aux soignants est donc une mesure qui va toucher des millions de Français. Pour l’instant, ils ne se doutent de rien. La mesure a été peu commentée dans les médias. Elle est presque passée inaperçue. Pourtant, ces conséquences à court et à long termes devraient être considérables.

Cette décision pourrait aboutir à un véritable désastre sanitaire. Explications.

Le cadre juridique

Comment, un gouvernement, peut-il, en toute légalité, licencier 10% des effectifs d’un secteur économique entier ?

Cette décision a été prise au début du mois d’août, en quelques jours. Elle a été actée par un décret du 1er ministre du 7 août 2021. (1)

Il faut comprendre que de telles décisions sont possibles sans discussion parce que nous sommes en état d’urgence sanitaire. (6)

Cet état de droit d’exception a été institué une première fois par décret le 17 octobre 2020 à minuit. Il a été prolongé :

  • par une loi du 14 novembre 2020 jusqu’au 16 février 2021.
    par une loi du 15 février 2021 jusqu’au 1er juin.
    par une loi du du 31 mai 2021 jusqu’au 30 septembre 2021.
    par une loi du 5 août 2021 jusqu’au 15 novembre 2021.
    Nul doute que le 14 novembre 2021, nos députés voteront sagement une nouvelle loi pour étendre encore et toujours l’état d’urgence sanitaire…

En tout cas, ce cadre juridique permet au gouvernement d’agir vite et sans débat. En effet, lorsque les mesures ne sont pas discutées au Parlement, elles sont moins reprises par les médias. Cela fait moins de polémiques.

Un décret du 7 août 2021 a instauré le fameux “passe sanitaire”. (1)

Depuis le 15 août, ce document ou “QR code” est exigé de tous les majeurs pour accéder aux :

  • restaurants, bars et musées ;
    hôpitaux, Ephad et maisons de retraite ;
    transports publics longue distance (train, avion) mais pas aux métros ni aux bus urbains ;
    centres commerciaux supérieurs à 20 000 m2.
    événements de plus de 50 personnes.
    Il est exigible pour tous les majeurs. Il le sera pour les adolescents de plus de 12 ans à partir du 30 septembre 2021.

Celui qui ne présente pas son “passe sanitaire” s’expose à une amende de 135 euros. Les commerçants qui ne contrôlent pas les “passes sanitaires” risquent, eux, une amende de 1000 euros. (1)

Enfin, les soignants hospitaliers ou libéraux ont l’obligation de se vacciner avant le 15 septembre. S’ils ont déjà reçu une dose de vaccin, ils ont jusqu’au 15 octobre pour faire la deuxième.

Le refus des soignants libres et ses conséquences

Comprenez bien la situation. Les soignants fonctionnaires ne seront pas payés. Mais ils n’auront pas le droit non plus d’avoir une autre activité salariée en raison de leur statut, sauf illégalement. Ils risquent donc d’être à la rue.

Les salariés du privé pourront essayer de trouver un emploi ailleurs.

Les médecins ou les libéraux, habitués à une gestion plus souple de leur activité, la mettront entre parenthèses en espérant tenir sur leurs réserves ou prendront leur retraite pour ceux qui le peuvent.

Dans ces conditions, certains se feront vacciner et continueront à travailler avec beaucoup d’amertume. Vous serez soignés par des personnes qui détesteront les autorités, la société et peut-être même leurs patients.

D’autres partiront à l’étranger ou changeront de voie.

Personne ne sait aujourd’hui combien de thérapeutes, d’infirmiers, d’ostéopathes, etc. vont cesser de travailler.

Même s’il n’y en avait “que” 100 000, c’est énorme pour un système de santé exsangue où le “turn over” et les “burn out” sont déjà très élevés. (7,8)

Le départ de nombreux médecins libéraux va accentuer encore les déserts médicaux. De nombreux patients ne pourront plus se soigner

Pourquoi refusent-ils ?

Vous me direz mais pourquoi ces médecins et ces soignants refusent-ils l’obligation vaccinale contre la covid 19 ?

Pourquoi sont-ils prêts à tout perdre pour ne pas se soumettre aux obligations du gouvernement?

Il y a trois raisons essentielles à cela :

1/ Ils ne veulent pas des effets secondaires des vaccins. La covid 19 tue certaines personnes, c’est vrai. Néanmoins, les vaccins provoquent de nombreux effets secondaires et peuvent tuer également. (9)

Plusieurs milliers de personnes pourraient avoir trouvé la mort à cause du vaccin en Europe, même si ces chiffres font débat parce qu’il n’est pas toujours simple d’établir le lien entre une vaccination et un décès. (9)

C’est moins que la covid 19 mais ce n’est pas un détail non plus.

Par exemple, beaucoup de jeunes infirmières redoutent les effets secondaires douloureux des vaccins. Elles risquent de voir leurs cycles menstruels très perturbés, elles ne savent pas si le vaccin n’impacte pas leur fertilité alors qu’elles savent que la covid 19 ne représente pas un danger pour elles. (10)

Par ailleurs, elles font extrêmement attention aux gestes barrières et sont très prudentes avec leurs patients. Pour elles, le bénéfice du vaccin est vraiment discutable.

2/ Ils savent que les vaccins ne jouent pas ou peu sur l’épidémie. Ces soignants ont en tête la situation sanitaire dans des pays comme Israël ou l’Islande. Ces pays sont ultra vaccinés mais connaissent toujours des vagues épidémiques. Les contaminations y sont à la hausse ! (11,12)

Les vaccinés y sont autant hospitalisés que les non vaccinés et le virus tue autant les uns que les autres. Il est possible que chez les personnes à risque, ayant des comorbidités, le vaccin permet d’éviter les formes graves de la covid 19. Mais pour des soignants de moins de 60 ans en bonne santé, le risque mortel est faible.

3/ Ils savent que la covid 19 fait peu de victimes. Le taux de létalité du SARS- CoV-2 est faible. (13) La moyenne d’âge des morts est au-dessus de 80 ans. (14) La très grande majorité des morts avaient des comorbidités. On dit qu’ils sont morts de la covid 19 mais on aurait pu les compter dans les victimes du cancer, du diabète de type II, de l’obésité ou simplement de la grande vieillesse.

La vaccination obligatoire n’est pas une fatalité !

Les soignants dont nous parlons sont-ils égoïstes ? Prennent-ils le risque de contaminer leurs patients ?

Ce n’est pas le cas.

Ces soignants comme la majorité des thérapeutes ont choisi ce métier par vocation, par amour de leur prochain. C’est le désir d’aider les autres qui les a mis là où ils sont.

Il faut comprendre qu’ils refusent de se soumettre à une obligation vaccinale qui crée une situation absurde du point de vue sanitaire.

En effet, les vaccins Janssen et AstraZeneca ne fonctionnent pas ou peu. (15,16) Ils n’empêchent pas la transmissibilité du virus. Or ces vaccins ont beaucoup été utilisés pour les personnels hospitaliers. Les soignants concernés ne sont pas protégés et sont des vecteurs possibles de la maladie sans en avoir nécessairement conscience.

À l’inverse, ceux qui ne sont pas vaccinés le savent. Ils font donc très attention. Ils seraient disposés à faire deux tests PCR par semaine s’il le fallait, si ces derniers restaient gratuits.

En clair, il était possible de construire une politique sanitaire prudente fondée sur la confiance et le dialogue avec les patients. Ce n’est pas le choix qui a été fait. Le gouvernement passe en force.

Qui sont ces soignants ?

Parmi les médecins et les thérapeutes qui refusent la vaccination, beaucoup pratiquent des médecines intégratives.

Ils pratiquent l’homéopathie, l’acupuncture, la nutrition, l’hypnose, l’ostéopathie, toutes ces disciplines douces qui s’appuient sur le terrain du patient autant que sur le remède pour l’aider à guérir.

Pour eux, c’est la relation entre le patient et le médecin qui compte avant tout.

Ils refusent d’être les exécutants d’un système médico-technocratique qui ne fait plus qu’appliquer des protocoles de santé validés par l’industrie pharmaceutique et semble ne plus s’occuper des patients.

La perte pour les patients sera donc énorme à la fois au niveau du nombre de médecins mais aussi de la pluralité de l’offre médicale.

Il était déjà difficile de trouver un nutritionniste ou un phytothérapeute. Cela deviendra quasi impossible. Vous n’aurez plus que des médecins prescripteurs de paracétamol – potentiellement dangereux pour la Covid 19 (17) -, d’antibiotiques et de statines.

C’est la grande victoire de la médecine chimique et systématique !

Et c’est de fait, la mort programmée des médecines intégratives, faute de praticiens…

Un désastre sanitaire

Cette victoire toutefois sera de courte durée.

L’innovation dans la médecine vient de ceux qui pensent librement. Toute la recherche actuelle sur le microbiote est venue de gastro-entérologues et nutritionnistes courageux qui ont cherché à comprendre le rôle du monde bactérien dans la santé humaine.

Cela a permis de découvrir de nouvelles pathologies : l’intestin poreux, le SIBO ou l’intestin qui fermente, etc. (18)

Cela a surtout permis de développer de nouveaux traitements et thérapies pour de très nombreuses maladies : digestives mais aussi neurologiques et psychiques. L’importance du lien entre le cerveau et l’intestin n’est plus à démontrer !

La médecine y perd donc et les patients aussi.

Ces médecines intégratives permettent d’agir au niveau préventif. Elles proposent des solutions efficaces pour traiter le stress, les troubles divers, les douleurs multiples…

D’une manière ou d’une autre, donc, compte tenu de leur efficacité, ces médecins reviendront. Mais que de souffrances endurées ! Que de temps perdu !

Enfin, ce passe sanitaire, de manière plus générale, coûte cher aux patients.

Il y a le défaut de soignants, la complexité administrative, les oublis de passe sanitaire, les fraudes, la perte de confiance dans le système médical et la science plus généralement…

Comment chiffrer tout cela ?

Jusqu’où iront les injonctions sanitaires ?

Quand s’arrêtera la chasse aux sorcières contre les médecins alternatifs ?

Combien d’injections vaccinales faudra-t-il pour calmer la machine gouvernementale ?

Voilà les questions que se posent ces soignants libres, dont certains ont tout perdu depuis le 15 septembre 2021.

Jérôme
Responsable communication
Fondation Hippocrate

Références

  1. https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15084
  2. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-la-vaccination-des-soignants-a-fait-un-bond-en-quelques-semaines-1339505
  3. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  4. https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/13-des-soignants-non-vaccines-la-federation-hospitaliere-de-france-relativise-les-chiffres-a71b3bf2-10a2-11ec-9117-940091b907ce
  5. https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/les-infos-de-6h-obligation-vaccinale-des-soignants-c-est-abject-reagit-une-infirmiere-7900072410
  6. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  7. https://www.actusoins.com/344397/turnover-et-absenteisme-a-lhopital-une-hausse-sensible-et-constante.html
  8. https://www.caducee.net/actualite-medicale/15406/burn-out-dans-la-sante-98-des-soignants-reconnaissent-avoir-deja-ressenti-les-symptomes-de-l-epuisement-professionnel.html
  9. https://www.precisionvaccinations.com/european-agency-confirms-covid-19-vaccine-fatalities
  10. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/06/covid-19-vaccins-et-perturbation-des-regles-des-signaux-et-beaucoup-d-incertitudes_6090781_4355770.html
  11. https://www.la-croix.com/Monde/Record-contaminations-Israel-pays-continue-miser-vaccin-2021-09-02-1201173431
  12. https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-08-17/pourquoi-les-contaminations-au-covid-19-sont-en-hausse-en-islande-lun-des-pays-les-plus-vaccines-558ccfd9-594f-4f37-9919-c62a80a7a5e8
  13. https://fr.statista.com/themes/6050/le-coronavirus-covid-19/
  14. https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/04/18/qui-sont-les-100-000-morts-francais-du-covid-19
  15. https://fr.sott.net/article/37419-Conclusion-d-un-rapport-du-centre-francais-d-evaluation-des-medicaments-la-vaccination-avec-les-produits-Pfizer-Moderna-AstraZeneca-et-Janssen-doit-etre-interrompue
  16. https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-sont-ils-tous-efficaces-contre-le-variant-delta-on-vous-repond-fc7b1bd8-d8e6-11eb-9333-fd7799748e3d
  17. https://www.20minutes.fr/sante/2900083-20201103-coronavirus-ibuprofene-reellement-dangereux-face-covid-19
  18. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sibo-symptomes-traitements-cette-infection



Où en sont les effets indésirables des « vax » anti-Covid ? MàJ

[Source : Centre for Research on Globalization]

[Mise à jour : ajout d’autres témoignages après l’article]

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

Par Brian Shilhavy

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires consécutifs aux injections de COVID signalés sur la base de données de l’Union Européenne sur les effets indésirables des médicaments.

La base de données de l’Union Européenne des déclarations d’effets indésirables des médicaments s’appelle EudraVigilance, et elle fait état de 24 526 décès et de 2 317 495 effets indésirables suite à des injections anti COVID-19.

Un abonné européen de Health Impact News nous a rappelé que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays. Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50. (Il existe quelques divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe).

Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou atteintes d’effets secondaires à la suite des injections de COVID-19 en Europe serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

La base de données EudraVigilance indique que jusqu’au 11 septembre 2021, 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires ont été signalés suite à l’injection de quatre vaccins expérimentaux anti-COVID-19 :

COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH
LE VACCIN COVID-19 MRNA MODERNA (CX-024414)
VACCIN COVID-19 ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
VACCIN COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S)

Sur le total des effets secondaires enregistrés, près de la moitié (1 126 869) sont des effets graves.

« La gravité fournit des informations sur l’effet indésirable suspecté ; il peut être classé comme « grave » s’il correspond à un événement médical qui entraîne la mort, met en danger la vie du patient, nécessite une hospitalisation, entraîne une autre affection médicalement importante ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraîne un handicap ou une incapacité persistante ou importante, ou constitue une anomalie congénitale/défaut de naissance. »

Un abonné de Health Impact News en Europe a regroupé les déclarations pour chacune des quatre injections anti-COVID-19 que nous incluons ici. C’est un travail considérable que d’établir un tableau de chaque réaction avec les effets indésirables et les décès, car il n’y a pas d’endroit sur le système EudraVigilance que nous avons trouvé pour établir un tableau de tous les résultats.

Depuis que nous avons commencé à publier ces données, d’autres personnes en Europe ont également calculé les chiffres et confirmé les totaux*.

[ Définition : syndrome médiastinal : envahissement de la plèvre par du pus, à la suite d’un abcès profond du poumon ou des ganglions lymphatiques médiastinaux ou de l’entrée de la poitrine (Gardin,Guide vétér.,1944, p.112). ]

Voici le résumé des données jusqu’au 11 septembre 2021

Total des réactions pour le vaccin

ARNm Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

11 711 décès et 980 474 effets secondaires jusqu’au 11/09/2021

26 6341 Troubles du sang et du système lymphatique dont 156 décès
26 940 Troubles cardiaques dont 1 745 décès
253 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 21 décès
13 005 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 9 décès
728 Troubles endocriniens dont 5 décès
15 314 Troubles oculaires dont 28 décès
87 239 Troubles gastro-intestinaux dont 489 décès
256 117 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 3 330 décès
1 098 Troubles hépato-biliaires dont 55 décès
10 351 Troubles du système immunitaire dont 64 décès
32 834 Infections et infestations dont 1 141 décès
12 714 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 179 décès
24 765 Investigations dont 368 décès
7 178 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 210 décès
130 077 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 149 décès
757 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 67 décès
173 079 Troubles du système nerveux dont 1.278 décès
1 211 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 36 décès
168 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
17 756 Troubles psychiatriques dont 156 décès
3 348 Troubles rénaux et urinaires dont 198 décès
19 084 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
43 232 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 1 376 décès
47 012 Troubles de la peau et du tissu sous-cutané dont 105 décès
1 805 Circonstances sociales dont 14 décès
887 Interventions chirurgicales et médicales dont 31 décès
26 888 Troubles vasculaires dont 497 décès

Total des réactions pour le vaccin ARNm mRNA-1273 (CX-024414) de Moderna

6 358 décès et 281 505 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/ AstraZeneca

5,254 décès et 980,909 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S) de Johnson & Johnson

1 203 décès et 74 607 effets secondaires au 11/09/2021

690 Troubles du sang et du système lymphatique dont 31 décès
1 201 Troubles cardiaques dont 120 décès
25 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques
560 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
42 Troubles endocriniens dont 1 décès
1 006 Troubles oculaires dont 5 décès
6 822 Troubles gastro-intestinaux dont 56 décès
19 539 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 303 décès
96 Troubles hépato-biliaires dont 9 décès
302 Troubles du système immunitaire dont 7 décès
1 679 Infections et infestations dont 66 décès
694 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 16 décès
3 861 Investigations dont 72 décès
431 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 26 décès
11 861 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 30 décès
31 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 2 décès
15 493 Troubles du système nerveux dont 142 décès
26 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 1 décès
20 Problèmes liés aux produits
988 Troubles psychiatriques dont 11 décès
280 Troubles rénaux et urinaires dont 11 décès
863 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 4 décès
2 629 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 136 décès
2 296 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 5 décès
212 Circonstances sociales dont 4 décès
546 Interventions chirurgicales et médicales dont 38 décès
2.414 Troubles vasculaires dont 106 décès

Témoignages

https://twitter.com/i/status/1438579909924954113

https://twitter.com/i/status/1437789784068534287

Royaume-Uni : proposition de loi pour l’indemnisation des effets secondaires vaccinaux (francesoir.fr) 



https://twitter.com/BBR_06/status/1438621506217693184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438621506217693184%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]
https://twitter.com/GaumontRene/status/1438623061721460742?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438623061721460742%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]

Révolte contre l’obligation vaccinale

« Mais quelle démocratie fait ça ? » : des soignants manifestent contre l’obligation vaccinale – Aphadolie




Moratoire sur la Loi Française d’obligation vaccinale des soignants

[Source : AIMSIB]

Par Dr Vincent Reliquet

FLASH SPÉCIAL

Plus que quelques heures avant le Congrès de l’Aimsib, retransmis intégralement, gratuitement et en ligne Samedi 18 Septembre à partir de ces liens

Direct de 9h30 à 12h :

Direct de 15h à 18h :

Surprise de fin de matinée, alors que nous avions réclamé fin août 2021 à l’ANSM des nouvelles concernant la régularité des AMM conditionnelles régissant le destin commercial des quatre vaccins distribués en France (1), stupeur, cette agence nous répond… qu’elle n’en sait rien. Même si la France ne qualifie plus que deux produits en en ayant escamoté deux sans explication (2), il n’en demeure pas moins qu’elle cherche à imposer par la Loi une obligation vaccinale manifestement extorquée à la représentation nationale.

Ce vote aurait-il été le même si nos parlementaires avaient été tenu au courant que ces produits étaient possiblement distribués dans l’espace européen sans aucune autorisation communautaire valide? Certainement pas. La Loi du 5 août doit donc être immédiatement ajournée le temps que le décret d’application de son Art. 12 Div.II soit correctement rédigé et que ces AMM conditionnelles soient clairement déclarées comme prolongées selon nos lois en vigueur, et non selon les appétits démesurés des industriels du secteur.

À ce jour personne n’est capable de nous renseigner sur la qualification exacte de la substance active, sur l’entièreté du produit fini, ni sur les résultats des contrôles de qualité. Avec 24.000 morts européens minimum en dix mois d’utilisation de ces vaccins (3), n’est-ce pas le minimum?

Les explication de Me JC Teissedre interrogé par Xavier Azalbert, bon visionnage :

https://www.francesoir.fr/societe-sante/donnees-vaccins-ansm-ne-sait-pas-repondre-a-me-tesseidre?fbclid=IwAR2kdWfLV30tJvNL3zyPs2-ZSqtGjeTdwLuSKDstScUZJPSZ4U1nFkMxSmE



ANSM, courrier

Note et source

(1) https://www.aimsib.org/2021/09/04/obligation-vaccinale-des-soignants-la-lettre-quil-faut-envoyer-a-tous-les-directeurs-ars-de-france/
(2) https://www.aimsib.org/2021/09/12/soignants-contaminants-ca-va-etre-pire-en-bonus-la-francafrique-revient/

(3)