La prison numérique, bientôt dans l’UE




L’école française 1950 vs 2025

[Fiction réaliste]

[Source : Zoltan_47/]

École primaire Victor Hugo, classe de CE1, 1950 :

— Les enfants, nous avons un peu de temps avant la récréation. Je vous propose donc de mettre à l’épreuve vos connaissances avec quelques questions. Celui qui remportera ce petit concours aura droit à une clémentine. Amusant, non ?

— OUI, MAÎTRESSE !

— Très bien. Tout d’abord, une question d’histoire. Quelqu’un peut-il me dire qui était roi en 960 ?

— Moi, maîtresse, moi, moi, moi !

— Oui, Jean-Luc ?

— Lothaire !

— Bravo ! Un point pour toi, Jean-Luc. Ensuite, question mathématique. Comment calcule-t-on l’aire d’un triangle ?

— Moi, maîtresse !

— Oui, Yves ?

— L’aire d’un triangle est égale au produit de la longueur d’un côté du triangle par sa hauteur, le tout divisé par 2.

— Très bien, Yves. Un point pour toi. Ensuite, une petite dernière. Question de littérature. Qui peut me citer trois œuvres de Guy de Maupassant ? Ah, Jean-Luc, tu as été plus rapide, je t’écoute.

— « Bel-Ami », « Pierre et Jean » et « Mont Ariol ».

— Oh non ! Jean-Luc ! c’est une erreur. Le livre s’appelle « Mont Oriol ». Je suis déçue, Jean-Luc, il faut que tu te ressaisisses. Personne n’aura de clémentine aujourd’hui. Vous êtes élèves de l’école française, il n’y a pas de place pour la médiocrité ici.

Collège Aya Nakamura, classe de troisième, 2025 :

— Un peu de calme s’il vous plaît. Karim, éteins-moi tout de suite cette chicha.

— Azy qu’est ce tu m’casse les couilles wesh, j’fume ma chicha pepouze et tu vas rien faire Salope.

— Pardon Karim, je voulais pas te blesser, tu as une sensibilité qui doit être respecté.

— Wesh, c’est ça t’as raison baisse les yeux.

— Bon, passons à autre chose, j’ai un petit jeu à vous proposer, quelques questions et celui qui gagne aura le droit à un caprisun.

— pète sa mère ! Azy, balance tes questions j’vais tous vous niquer vos daronne.

— Ah c’est bien Mohamed ! J’aime cet esprit positif. Alors première question facile, de mathématique. Combien font 7 fois 6 ?

— Wesh madame on a pas encore vu la table de 6 et de 7.

— Ah oui c’est vrai, merci Zineb. Alors une question plus facile. Pendant quelle période s’est déroulée la seconde guerre mondiale ?

— Wallah ! je sais, azy wesh la tepu.

— Oui Mogoulé, je t’écoute.

— Wesh c’était en 1800 j’sais pas combien avec l’autre moustachu, il a fait sa dinguerie avec les juifs.

— Hé non, désolé Mogoulé mais la réponse était 1939-1945.

— Wesh azy donne moi le point sinon j’te jure j’te déglingue sa grand mère.

— D’accord, D’accord, je te donne le point range ce couteau. Allez une question a laquelle je suis sûr que vous pourrez répondre. Qui peut me citer 3 chansons de JUL ? Oui Abdelkrim ?

— Wallah trop facile meuf, « wesh alors »,’Tchikita’ et « pow pow »

— Bravo ! De toute façon, c’était juste pour passer le temps. J’ai des Capri-Sun pour tout le monde. Vous êtes élèves de l’école publique française, ici, même la médiocrité est récompensée.




Le sénateur Johnson est à l’origine d’une lettre demandant à Biden de rejeter les accords « inacceptables » de l’OMS

[Source : ronjohnson.senate.gov]

WASHINGTON [2 mai 2024] — Mercredi, le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) a pris la tête de l’ensemble de la conférence républicaine du Sénat pour envoyer une lettre au président Biden demandant à son administration de retirer son soutien à deux accords internationaux envisagés lors de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS) de ce mois-ci, qui accorderaient une plus grande autorité à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dysfonctionnelle et risqueraient d’affaiblir la souveraineté des États-Unis.

La lettre met en lumière la réaction catastrophique de l’OMS face au COVID-19 et fait valoir que le président devrait se concentrer sur les réformes indispensables plutôt que de se lancer dans des traités et des règlements internationaux qui renforceraient considérablement l’autorité de l’OMS, réduiraient les droits de propriété intellectuelle et porteraient atteinte à la liberté d’expression.

Les sénateurs ont écrit au président :

« Certaines des plus de 300 propositions d’amendements formulées par les États membres augmenteraient considérablement les pouvoirs d’urgence sanitaire de l’OMS et constitueraient des atteintes intolérables à la souveraineté des États-Unis. »

Les sénateurs ont noté que l’échec de la réponse de l’OMS à la pandémie était « aussi total que prévisible et a causé un préjudice durable à notre pays » et qu’ils « sont profondément préoccupés par le fait que l’administration [du président Biden] continue de soutenir ces initiatives et exhortent vivement [le président Biden] à changer de cap ».

Ils concluent :

« Si vous ignorez ce conseil, nous déclarons dans les termes les plus forts que nous considérons tout accord de ce type comme un traité nécessitant l’accord des deux tiers du Sénat en vertu de l’article II, section 2, de la Constitution ».

Le sénateur Johnson est rejoint dans cette lettre par les sénateurs John Barrasso, M.D. (R-Wyo.), Marsha Blackburn (R-Tenn.), John Boozman (R-Ark.), Mike Braun (R-Ind.), Katie Boyd Britt (R-Ala.), Ted Budd (R-N.C.), Shelley Moore Capito (R-W. Va.), Bill Cassidy, M.D. (R-La.), John Cornyn (R-Texas), Tom Cotton (R-Ark.), Kevin Cramer (R-N. D.), Mike Crapo (R-Idaho), Ted Cruz (R-Texas), Steve Daines (R-Mont.), Joni Ernst (R-Iowa), Deb Fischer (R-Neb.), Lindsey Graham (R-S. C.), Chuck Grassley (R-Iowa), Bill Hagerty (R-Tenn.), Josh Hawley (R-Mo.), John Hoeven (R-N. D.), Cindy Hyde-Smith (R-Miss.), John Kennedy (R-La.), James Lankford (R-Okla.), Mike Lee (R-Utah), Cynthia Lummis (R-Wyo.), Roger Marshall, M. D. (R-Kan.), Mitch McConnell (R-Ky.), Jerry Moran (R-Kan.), Markwayne Mullin (R-Okla.), Rand Paul, M. D. (R-Ky.), Pete Ricketts (R-Neb.), James Risch (R-Idaho), Mitt Romney (R-Utah), Mike Rounds (R-S. D.), Marco Rubio (R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F), R-F).), Marco Rubio (R-Fla.), Eric Schmitt (R-Mo.), Rick Scott (R-Fla.), Tim Scott (R-S. C.), Dan Sullivan (R-Alaska), John Thune (R-S. D.), Thom Tillis (R-N. C.), Tommy Tuberville (R-Ala.), J.D. Vance (R-Ohio), Roger Wicker (R-Miss.), Lisa Murkowski (R-Alaska.), Susan Collins (R-Maine), et Todd Young (R-Ind.).

Pour en savoir plus sur la lettre du 1er mai 2024 adressée par les sénateurs au président, lisez Fox News.

Le texte intégral de la lettre est disponible ici.




«Le sexe est un fait biologique» : au Royaume-Uni, le NHS opère un tournant majeur sur le sujet de la transidentité

[Source : lefigaro.fr]

Par Jessamine Gas

Le National Health Service a publié une mise à jour de sa «Constitution». En particulier, il ne sera plus possible pour les femmes transgenres de demander l’accès aux espaces de repos et d’hygiène réservés aux femmes.

Dans un document publié le 30 avril sur son site internet et présentant les modifications à venir de sa «Constitution», le National Health Service (système de santé britannique) définit le sexe comme une réalité biologique déterminante dans les soins apportés aux patients. Un tournant majeur et significatif dans le positionnement du Royaume-Uni sur les questions liées au genre dans la sphère médicale.

La «Constitution» du NHS, mise à jour au moins une fois tous les dix ans, est un manifeste exposant ses principes, valeurs, droits et engagements. Parmi les modifications proposées il y a quelques jours et devant encore faire l’objet d’une consultation de huit semaines jusqu’au 25 juin, un paragraphe est consacré aux soins liés à la transition de genre. Dès les premières lignes du chapitre, le NHS propose une définition du sexe qui est tout sauf anodine dans le contexte actuel des revendications de genre«Nous définissons le sexe comme le sexe biologique». Une formulation accueillie par les opposants à l’idéologie du genre comme un «retour à la raison».

Soins et espaces de santé non-mixtes

Le NHS affirme par ailleurs que l’accès aux services de santé implique un droit pour les patients à «recevoir des soins et traitements qui leur soient appropriés, correspondent à leurs besoins et à leurs préférences». L’institution de santé souhaite que les patients puissent affirmer librement ces besoins et préférences, «y compris pour demander que les soins intimes soient effectués par une personne du même sexe» (le caractère intime étant associé aux soins d’hygiène du corps, ainsi qu’aux examens médicaux des seins et des organes génitaux ou rectaux).

Le NHS va même plus loin dans sa déclaration, annonçant que les patients ne pourront plus partager leurs chambres, douches et toilettes avec des patients du sexe opposé. De fait, il ne sera plus possible pour les femmes transgenres, c’est-à-dire de sexe biologique masculin, de demander l’accès aux espaces de repos et d’hygiène réservés aux femmes. Face aux précédentes directives du NHS datant de 2021, et permettant aux patients transgenres d’être placés dans des espaces en fonction de leur identité de genre et non de leur sexe, certaines patientes s’étaient plaintes d’avoir dû partager un espace de couchage avec des patients de sexe masculin.

(…)

[Voir la suite : https://www.lefigaro.fr/international/le-sexe-est-un-fait-biologique-au-royaume-uni-le-nhs-opere-un-tournant-majeur-sur-le-sujet-de-la-transidentite-20240502]




Interview d’Alexandre Douguine par Tucker Carlson

Ce philosophe politique, dont les livres sont censurés aux USA, défend les valeurs traditionnelles russes.




Tueur en série mondial

.




« L’OMS appartient désormais à un particulier »




Le business des loueurs de ventres et des importateurs de bébés

Loueur de ventres, importateur de bébés, un business d’avenir dans le nouveau monde déshumanisé. 64 900 euros à l’achat pour un bébé ukrainien sélectionné

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Je partage une fois de plus les colères de Maître Régis contre la déshumanisation de nouveau monde et l’égoïsme forcené d’hommes gays de plus de trente ans qui louent le ventre d’une pauvre femme pour lui acheter son bébé.

https://biotexcom.us/services/surrogacy

Il paraît que les hétéros sont également concernés quand la dame veut éviter les vergetures…

L’interaction entre une mère et son bébé pendant la grossesse va bien au-delà de ce que l’on pouvait imaginer.

Le phénomène du microchimérisme fœtal maternel est véritablement fascinant.

Durant la vie fœtale, il existe un échange de cellules entre la mère et le fœtus permettant le passage et la persistance à long terme de cellules fœtales pluripotentes dans le sang et dans différents tissus maternels. Ce phénomène est appelé microchimérisme fœtal.

Pendant les 41 semaines de la grossesse, des cellules du bébé migrent dans le sang de la mère, créant ainsi une connexion physique qui perdure bien après la naissance.

Ces cellules du bébé peuvent circuler dans le corps de la mère, se loger dans ses tissus, ses os, son cerveau et sa peau, et y rester pendant de nombreuses années, voire des décennies. Chaque grossesse laisse ainsi une empreinte unique dans le corps de la mère. Même en cas de fausse couche ou d’avortement, ces cellules fœtales continuent de migrer dans la circulation sanguine de la mère. Des études ont montré que ces cellules fœtales peuvent jouer un rôle bénéfique en cas de blessure ou de maladie chez la mère.

Elles ont la capacité de se diriger vers la zone affectée et de se spécialiser dans la réparation des tissus endommagés. Le bébé aide à réparer la mère, tandis que la mère construit le bébé.

C’est souvent pourquoi parfois certaines maladies disparaissent durant la grossesse. Cette interaction entre la mère et le bébé, même après la naissance, démontre à quel point le corps des mères est conçu pour protéger et soutenir leurs enfants.

L’idée que les cellules d’un bébé puissent résider dans le corps d’une mère des années après l’accouchement est véritablement étonnante et souligne la profonde connexion qui existe entre une mère et son enfant.

Cette découverte scientifique apporte une compréhension plus profonde de l’amour et de la symbiose qui caractérisent la relation mère-enfant. C’est un rappel de la manière extraordinaire dont la nature a conçu le lien entre une mère et son bébé, bien au-delà de la période de gestation.

Si vous êtes une mère, vous savez sûrement comment vous êtes capables de sentir intuitivement votre enfant. Il y a une vraie connexion très particulière. Et bien maintenant il existe des preuves scientifiques que les mamans les portent encore en partie durant des années et des années même après qu’ils soient nés… Magnifique, n’est-ce pas.1

@LeContempIateur

Dans un pays dévasté comme l’Ukraine, c’est devenu un business

[Extrait de : https://lesalonbeige.fr/ethique/]

Ihor Pechonoha, de BioTexCom (société basée en Suisse), affirme que le modèle économique qui lui a permis de créer l’une des sociétés de maternité de substitution les plus rentables au monde est une simple exploitation :

« Nous recherchons des femmes dans les anciennes républiques soviétiques parce que logiquement [les femmes] doivent provenir d’endroits plus pauvres que nos clients. »

Il n’est donc pas surprenant que la quête d’utérus rentables par BioTexCom l’ait conduite au bassin apparemment inépuisable de jeunes femmes désespérées dans une Ukraine déchirée par la guerre. Huit années de conflit civil, combinées à la guerre par procuration qui a suivi entre l’OTAN et la Russie, ont plongé l’Ukraine dans un désastre économique. Alors que les Ukrainiens sombraient dans la pauvreté, leur pays est rapidement devenu la capitale internationale de l’industrie de la maternité de substitution. Aujourd’hui, l’Ukraine contrôle au moins un quart du marché mondial, bien qu’elle abrite moins de 0,3 % de la population mondiale. Parallèlement à l’essor de l’industrie, un milieu médical minable, rempli de maltraitance des patients et de corruption, s’est emparé du pays.

Pourtant, l’industrie ukrainienne de la maternité de substitution est passée inaperçue, malgré l’injection de plus de 1,5 milliard de dollars dans l’économie du pays rien qu’en 2018. Depuis lors, le marché mondial des bébés de substitution a plus que doublé. L’industrie était évaluée à plus de 14 milliards de dollars en 2022 et devrait croître d’environ 25 % par an dans les années à venir, selon une analyse de Global Market Insights.

Alors que des pays comme l’Inde et le Népal ferment la porte aux sociétés de maternité de substitution, invoquant leurs inquiétudes selon lesquelles cette industrie est à l’origine du trafic d’êtres humains, les responsables occidentaux semblent fermer les yeux sur ce secteur florissant d’abus et d’abus dans une Ukraine déréglementée et politiquement instable.

Emma Lamberton est candidate à la maîtrise en développement international à l’Université de Pittsburgh. Récemment, elle a publié un article dans le Journal of Public and International Affairs de Princeton détaillant les risques auxquels les femmes ukrainiennes sont confrontées lorsqu’elles participent à l’industrie de la maternité de substitution du pays. 

Le BioTexCom Center for Reproduction est de loin le plus grand acteur du marché international de la maternité de substitution. Le propriétaire du fournisseur de « services de technologies de reproduction » a affirmé qu’en 2018, l’entreprise contrôlait 70 % du marché national de la maternité de substitution et 25 % du marché mondial.

Alors que le site Web de BioTexCom se vante que l’entreprise a donné « la joie d’être parent » à des milliers de couples à travers le monde, sa véritable histoire et ses opérations révèlent un schéma déchirant d’abus, de secret, de faute professionnelle et même d’allégations de trafic d’êtres humains.

Dans une interview accordée à Al Jazeera en 2018, une Ukrainienne nommée Alina a décrit les conditions qui l’ont amenée à conclure un accord contractuel de grossesse avec BioTexCom. 

« Il est difficile de trouver un emploi bien payé en Ukraine… Je voulais mettre de l’argent de côté pour les frais universitaires de mon fils — ils sont très chers », a-t-elle déclaré.





En Autriche aussi, des milliers de décès seraient dus aux vaccins anticovid

[Source : favoris-alcyonpleiades]






En Occident, le grand remplacement n’est plus une théorie

[NDLR Même situation aux USA et au Canada. Ceci a probablement été rendu possible par les actions coloniales passées des populations blanches (ne serait-ce que comme justificatif pour les élites mondiales qui se trouvent derrière la stimulation des migrations internationales et la confusion des peuples).]




Transgenrisme : les journalistes intègres sur la présentation des chiffres et les enjeux sociétaux de cette démarche ?

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Nicole Delépine

Dans deux articles successifs, le journal le Monde semble oublier les valeurs journalistiques qui ont jadis fait sa notoriété et se transformer en propagandiste trans, ignorant les faits avérés et les risques sociétaux constatés d’une telle propagande.

Ce petit article tient à rétablir la réalité des faits pour informer et aider ceux qui souffrent de dystrophie de genre, qui ne sont que de malheureuses victimes de ceux qui vivent à leurs dépens : laboratoires pharmaceutiques, médecins qui leur prescrivent à vie des hormones toxiques, chirurgiens qui les opèrent, et influenceurs responsables d’une emprise de type sectaire. Un véritable consentement éclairé est nécessaire à ces traitements invasifs et mutilants et ne semble pas être fourni dans la majorité des cas.1 2 C’est sur ces points que nous tentons d’informer les familles et candidats potentiels comme médecin et chirurgien dans notre petit livre « dysphorie de genre ».

En France, les trans genres constituent une infime minorité. L’ignorer c’est mentir

Dans un article intitulé pompeusement « Mineurs transgenres et hormonothérapie : ce que dit la science » publié le 29 mars 2024, il est écrit :

« En France, il n’existe aucune donnée sur le nombre de jeunes concernés par la transidentité ».

Pourtant, on ne peut ignorer les chiffres officiels du rapport gouvernemental sur le sujet et ceux de l’assurance maladie qui publie le nombre de demandes de prise en charge pour ALD dystrophie de genre (ALD 31) et celui des interventions de chirurgie trans ? Manque de curiosité ou d’efficacité dans les recherches ? Volonté de ne pas savoir ou désinformation volontaire ?

Les traitements d’affirmation de genre sont coûteux et l’obtention de sa prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie nécessite une demande. La demande de prise en charge des traitements constitue donc la première démarche que font tous ceux qui désirent les subir.

Selon la Caisse Nationale d’Assurance Maladie il y a eu 3 000 demandes de prise en charge pour ALD « dystrophie de genre » en 20213, et 462 demandes de prise en charge chirurgicale en 2020 pour un nombre global de trans déclarés en France de 9 000.

L’incidence annuelle de la trans-identité déclarée, tous âges confondus, est donc de 0,004 5 % en France (3 000/67 millions) et sa prévalence de 0,01 % dont une très petite minorité concerne les jeunes. Alors pourquoi la journaliste du Monde prétend qu’on ne dispose pas de données officielles en France et cite-t-elle la prévalence des transgenres au Canada (1 %) ou aux USA (0,5 %), surestimant donc considérablement la réalité française actuelle ?

En 2024, beaucoup d’adolescents français sont mal dans leur peau notamment depuis les confinements, mais il n’y a toujours qu’une infime minorité d’entre eux, souvent mal informés des inconvénients des traitements qu’on leur propose, qui s’exposent aux traitements hormonaux à vie ou acceptent des interventions chirurgicales mutilantes. Et rendre cette minorité trop visible ne lui rend malheureusement pas service, bien au contraire.

Mais au-delà de l’erreur colossale du journaliste sur l’incidence des trans en France, il faut souligner ses oublis ou mensonges par omission : sur les conséquences de cette « sur représentation » des trans, des droits dérogatoires actuels des trans et des limitations récemment imposées aux traitements trans des mineurs par la très grande majorité des pays du monde.

La surreprésentation médiatique des extrémistes trans nuit à leur cause

Les médias subventionnés, comme Le Monde, accordent aux trans une place disproportionnée4 par rapport à leur incidence réelle, croyant que leur plus grande visibilité serait susceptible de faciliter leur inclusion5 6 7 8.

Cette propagande pro trans s’exprime dans tous ces médias comme une véritable transmania9. Tout feuilleton télévisuel doit montrer des personnages LGBTQ+ pour bénéficier de la complaisance de l’Arcom10 et des diffuseurs des chaînes. Aux USA, en 2022, GLAAD11 comptabilisait 637 personnages LGBTQ+ à la télévision et sur les plateformes US12 soit 11,9 % des personnages, alors que les trans n’y rassemblent qu’environ 0,5 % de la population.

Cette surreprésentation considérable des trans s’accompagne de campagnes de harcèlement organisées par les extrémistes trans contre leurs opposants qu’ils traitent de TERF13 et de manifestations violentes pour empêcher tout débat contradictoire sur la théorie du genre et les résultats à long terme des transitions de genre chez les mineurs14 15.

La surreprésentation médiatique et la censure violente qu’exercent des extrémistes trans sur le débat démocratique nuisent en réalité beaucoup à leur communauté et constituent un des moteurs de l’augmentation des actes agressifs contre les minorités sexuelles.

En France de 2016 à 2021, le nombre de crimes ou délits anti-LGBT+ enregistrés par les services de police et de gendarmerie a doublé (+104 %). L’enquête Cadre de vie et sécurité a estimé que les violences à caractère anti-LGBT+ touchent 7 000 personnes chaque année, les menaces 25 000 et les injures 160 000. En Grande-Bretagne, le « Washington Post » a rapporté que le nombre d’incidents liés à la transphobie est passé de 75 en 2013 à 428 en 2021.

« Pour vivre heureux, vivons cachés » estiment les nombreux homosexuels et trans qui n’aspirent qu’à une vie tranquille et s’estiment instrumentalisés, contre leur volonté, en « icônes » par les militants extrémistes trans.

Les conséquences des droits dérogatoires des trans

En se victimisant, et en accusant la société de leur mal être, les extrémistes trans ont obtenu des droits dérogatoires comme la reconnaissance de leur transidentité sur simple affirmation sans devoir entreprendre un quelconque traitement pour se mettre en accord avec leur désir.

Mais aussi d’exiger de leurs camarades de classe qu’ils les appellent du prénom de leur choix tout en interdisant au professeur d’expliquer le problème du genre aux autres élèves. Cette recommandation officielle est souvent responsable de problèmes psychologiques chez ces derniers.

Les droits des femmes trans de pénétrer dans les vestiaires, les toilettes des femmes, partager leurs prisons mettent la sécurité des femmes de naissance en danger. En prison plusieurs cas de viols de femmes de naissance par des femmes trans (nées hommes et non opérées) ont été rapportés aux USA, Canada16 et Grande-Bretagne17 et pousse ces pays à ne plus considérer pour le choix des prisons que le sexe de naissance.

Le droit de concourir dans les épreuves sportives de haut niveau contre les femmes de naissance, contraire à l’équité sportive, a privé beaucoup de championnes de titres et médailles qu’elles méritaient. L’injustice des résultats observés, la fronde médiatique et les procès intentés par les femmes de naissance ont finalement convaincu la plupart des fédérations sportives internationales à exclure les femmes trans des compétitions féminines pour privilégier l’équité à l’inclusivité.

Le droit des trans d’accuser de transphobie ceux qui énoncent des faits biologiques.

Un étudiant canadien a été exclu de son école puis arrêté par la police18 pour avoir dit « il n’y a que deux sexes ». Mais là aussi l’idéologie se heurte à la réalité et le Premier ministre britannique, Rishi Sunak a rappelé, au congrès du Parti conservateur du 4 octobre 2023 :

« Un homme est un homme et une femme est une femme…C’est juste du bon sens. »

« Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance que les gens peuvent avoir que le sexe de leur choix. »

L’absence de données probantes que les hormones diminueraient véritablement les symptômes de dysphorie, de dépression, d’anxiété et les idées suicidaires chez les jeunes (40 % des trans), qu’elles exposent à des complications médicales en particulier cardiovasculaires19 et que les trans traités souffrent d’une mortalité double de celle de la population générale20 a incité de nombreux pays européens pionniers des transitions de genre (Suède, Norvège, Finlande, Danemark et Angleterre), à imposer des restrictions d’âge aux traitements médicaux.

Les excès des extrémistes trans ont entraîné le vote de lois restreignant les droits des minorités sexuelles dans la très grande majorité des pays du monde et/ou interdisant les traitements trans affirmatifs chez les mineurs aux USA21 22 23, en Russie24 en Afrique25 ou en Chine. En France, après le communiqué de l’Académie de médecine alertant sur les risques des traitements trans affirmatifs chez les mineurs26, un rapport sénatorial27 propose d’interdire tout traitement actif de transition aux mineurs suivant l’exemple des pays précédemment cités.

Il est triste de constater que Le Monde préfère diffuser des informations erronées plutôt que d’exposer plus globalement l’évolution mondiale actuelle de la question.

Les trans genres sont des victimes qu’il faut comprendre pour les aider

L’adolescence est pour beaucoup une période difficile, car il faut intégrer le processus de changement complexe de son corps qu’entraîne la puberté. C’est une expérience très gênante et inconfortable.

Ce malaise fréquent a été considérablement amplifié par les confinements qui ont entraîné la rupture des relations amicales et amoureuses à un moment où ils étaient particulièrement importants. Et lorsqu’un gourou internet attribue ce mal être au genre il risque d’être cru et de diriger l’ado vers des traitements et une communauté qui piège l’individu dans une nasse communautaire, ou sa complexité comme sa culture sont réduites à un fonctionnalisme d’appartenance dont les formes deviennent progressivement sectaires.

Il faut savoir que la majorité des adolescents qui croient souffrir de dysphorie verront cette souffrance disparaître après leur puberté28 29 30, et que cette dystrophie apparente exprime dans 70 à 80 % des cas une pathologie psychiatrique sous-jacente en particulier autisme, anxiété ou dépression, ou un vécu de traumatisme dont la méconnaissance empêcherait un traitement adapté.

L’enfant dysphorique est en proie à la confusion ou à la détresse. Les parents doivent s’efforcer d’entendre, d’écouter, de poser des questions et d’en savoir plus sur ce que dit l’enfant.

Devant un enfant qui croit souffrir d’une dystrophie de genre « Il est très important que les parents ne réagissent pas d’une manière terriblement négative ou en portant un jugement, même s’ils ont l’impression sur le moment que c’est de la folie et que cela n’a aucun sens », conseille la psychiatre Miriam Grossman31 32 :

« Il faut lui dire que vous comprenez qu’il traverse une période difficile, que c’est quelque chose d’important pour lui, que c’est quelque chose de sérieux, et que vous allez en apprendre le plus possible à ce sujet ».

Il faut faire preuve d’amour et de soutien, sans pour autant être d’accord avec ce que dit votre enfant : qu’il est du sexe opposé, ou que vous allez utiliser le nouveau nom et les nouveaux prénoms… Il est important que l’enfant et l’adulte comprennent qu’il est possible d’avoir une relation aimante même s’il y a de gros désaccords.

Le chemin pour sortir l’enfant de sa confusion sexuelle peut être long, allant de plusieurs mois à quelques années, mais dans tous les cas le soutien sans faille de la famille est essentiel.




Selon un député allemand, fin des maisons et véhicules privés en vue, sauf pour les élites

Incroyable discours de Thomas Ehrhorn député AfD au parlement allemand.

Extrait :

… Cela signifie concrètement que si l’on s’en tient à l’exigence maximale de la norme Euro 7, c’est-à-dire que chaque véhicule devant être immatriculé à partir du milieu de l’année 2025 devra être conforme à la norme Euro 7 et non uniquement les nouvelles séries produites. Cela conduira inévitablement à l’effondrement d’une grande partie de la production automobile en 2025.

Il me vient à l’esprit qu’en 2025 nous avons des élections et je suppose que beaucoup d’entre vous ne seront plus ici après cette échéance. De ce fait, cette situation est plutôt positive. Il faut en particulier bien comprendre une chose, à savoir que les durcissements de plus en plus absurdes des valeurs limites ne concernent ni le climat ni la protection de la santé (mort due soi-disant aux particules fines).

Il ne s’agit pas non plus de remplacer 50 millions de voitures à moteur à combustion par 50 millions de véhicules électriques. Non, il s’agit de rendre, à moyen terme, la mobilité privée si chère qu’elle ne sera plus disponible que pour une élite triée sur le volet. Cela signifie donc que la plupart des citoyens devant leur écran d’ordinateur n’en feront malheureusement plus partie.

Il est important de le comprendre. Car dans les plans d’avenir des Verts, socialistes et communistes, qui donnent actuellement le ton ici, il n’est prévu ni de maison privée ni de voiture privée. Le vieil homme blanc, qui crée de la richesse par son travail et son éducation, qui accumule de la propriété privée et qui, peut-être, roule à 180 km/h dans un SUV, c’est un véritable cauchemar et il est détesté.

C’est le portrait de l’ennemi de l’idéologie de gauche. Nationaliser, exproprier, redistribuer, ce sont les objectifs de tous ceux qui gouvernent ce pays en le détruisant sous nos yeux. Et quand les citoyens l’auront compris, mesdames et messieurs du gouvernement, vous aurez un sérieux problème. Merci beaucoup.

Traduction : Christine.

https://twitter.com/silvano_trotta/status/1783206340619379095




Censure France — le cauchemar d’Orwell en passe de devenir réalité

[Source : crashdebug.fr]

Si nous ne faisons rien, toutes les opinions alternatives seront bannies en France.

Signez d’urgence la pétition !


Madame, Monsieur,

Notre pays est en train de rompre avec près de 80 ans de libertés d’expression en instaurant un véritable Ministère de la Censure.

Avec sa nouvelle agence VIGINUM, l’État est en train de développer à grande vitesse une effrayante machine de censure et de surveillance des citoyens.

Si nous ne faisons rien, les analystes et médias indépendants seront bientôt totalement empêchés de VOUS informer sur les sujets sensibles.

Et vous, en tant que citoyen curieux, vous serez systématiquement fichés pour les opinions « incorrectes » que vous exprimerez sur les réseaux, y compris sous pseudonyme et pire encore, vous serez associés aux opinions de vos proches, contacts ou simplement ceux avec qui vous discutez en ligne !

Vous doutez de l’innocuité d’un vaccin ? Fiché !

Vous vous interrogez sur la corruption des grands lobbies ? Fiché !

Vous avez un avis « différent » sur les gilets jaunes, la révolte des agriculteurs ou la guerre ukrainienne ? Fiché !

Et votre vie pourra alors BASCULER.

Ceci n’est pas une exagération, et je vais vous le démontrer dans une seconde.

Je m’appelle Guy de la Fortelle, je suis analyste indépendant et cofondateur du média Tocsin, avec la journaliste Clémence Houdiakova.

Je lance aujourd’hui un appel urgent à tous ceux qui veulent défendre la liberté d’expression.

Je vous demande de signer notre grande pétition pour dire NON au Ministère de la Censure en France.

Car si vous jetez un œil à l’actualité de la liberté d’expression, vous voyez que tous les signaux sont au rouge écarlate :

  • Le 14 février dernier, l’Assemblée nationale a rétabli l’article 4 liberticide de la « loi sur les dérives sectaires » (Olivier Véran lui-même l’a reconnu en traitant le Pr Raoult de « gourou qui porte la blouse comme Raël porte la tunique » : l’objectif est bien de punir les « opinions dissidentes en médecine ») ;
  • La veille, le 13 février, le Conseil d’État a sommé l’Arcom, l’Autorité qui régule radios et télévisions en France, de mieux contrôler l’orientation idéologique de CNews — comme si c’était le rôle de l’État de décider quelles idées sont dignes d’être « vues à la TV » !
  • En ce moment, aussi, sont réunis les « états généraux de l’information » voulus par Emmanuel Macron. L’un de ses objectifs est de mettre au pas les réseaux sociaux contre les soi-disant « fake news ». Et savez-vous à qui E. Macron a confié la direction de ces états généraux ? Au secrétaire général de Reporter Sans Frontières, l’homme qui a cherché à censurer CNews !
  • Et le 17 février dernier est entré en vigueur le DSA, le Digital Service Act, une loi européenne voulue par Thierry Breton pour mieux censurer sur les réseaux sociaux, et en particulier Twitter (X), qui persiste à promouvoir la liberté d’expression sur sa plateforme.

Mais il y a encore pire.

Le plus inquiétant, c’est ce que vient daccomplir lagence d’état Viginum, bras armé du nouveau Ministère de la Censure.

Le 12 février dernier, Viginum a publié un rapport qui a permis au gouvernement de fermer immédiatement une vingtaine de chaînes d’informations sur Telegram.

Ce qui était reproché à ces chaînes, c’était de diffuser des informations pro-russes sur la guerre en Ukraine. 

Selon le rapport, ces chaînes Telegram posaient problème, car elles « présentent positivement l’invasion russe aux populations occidentales » et « dénigrent l’Ukraine et ses dirigeants, régulièrement présentés comme “corrompus”, “nazis” ou “incompétents”.

Officiellement, l’objectif est de lutter contre “l’ingérence étrangère” sur l’information.

Mais cela fait penser aux méthodes du parti communiste chinois, qui empêche ses citoyens d’accéder aux informations occidentales sur Internet.

Dans une vraie démocratie, n’est-ce pas au citoyen libre de se faire sa propre opinion, à partir de toutes les sources d’information possible ?

D’ailleurs, sur le conflit en Ukraine, qui a désinformé qui ?

  • N’est-ce pas plutôt le ministre qui disait que les sanctions allaient “mettre à genoux l’économie russe” ?
  • Ou certains généraux de plateaux TV, qui nous assuraient que l’armée russe était tellement arriérée qu’elle était obligée de récupérer des puces électroniques sur des frigo ?
  • Ou encore ceux qui garantissaient que la contre-offensive allait permettre à l’Ukraine de récupérer triomphalement la Crimée ?

Ce qui est visé par Viginum, ce n’est pas tant l’ingérence étrangère que notre accès à “un autre son de cloche” sur l’information !

La preuve : les chaînes Telegram pro-russes n’ont pas été fermées à cause du seul conflit en Ukraine. Ce qui est leur est reproché, c’est aussi de contester le “narratif officiel” sur tous les sujets.

C’est écrit noir sur blanc dans le rapport de Viginum :

“Ces chaînes publient également sur dautres thématiques proches des sphères complotistes francophones qui tendent à remettre en cause la parole politique, les médias ou encore les différentes décisions prises au sein des organisations internationales comme lOTAN, lONU ou lUE par exemple”

Donc, que ces chaînes soient ou non financées par le Kremlin est accessoire pour Viginum et le système de censure gouvernemental.

Sous prétexte de supposée “ingérence étrangère”, le pouvoir cherche manifestement à faire taire les opinions qui le dérangent.

Et pour cela, l’État français dispose désormais d’une arme redoutable à sa disposition, avec l’Agence Viginum.

Cette “arme de guerre” a été créée en 2021 par le gouvernement Emmanuel Macron, par simple décret, sans même passer par le Parlement.

La CNIL avait alors exprimé de lourdes craintes, car l’agence s’est vu octroyer le droit, via la surveillance des réseaux sociaux, d’obtenir une fiche précise de vos opinions en croisant tout ce que vous dites sur Facebook, Twitter (X), YouTube, etc., et de communiquer tout cela à d’autres services de l’État.

Vous avez “aimé” l’opinion d’un opposant au président Macron ? Viginum le sait.

Un petit pouce bleu pour soutenir le professeur Raoult ? Viginum le sait.

L’agence peut faire le compte de vos “mauvaises opinions”.

Et conduire à vous faire censurer.

Ce sera pire encore si elle vous considère comme quelqu’un de trop “influent”. Qui sait, dans ce cas-là, si vous n’aurez pas le droit à la “totale” ? (contrôle fiscal, fermeture de votre compte bancaire, poursuites judiciaires, etc..)

Viginum est un véritable cauchemar pour nos libertés.

Mais pourquoi cette agence n’a pas fait parler d’elle avant, alors qu’elle a été créée il y a deux ans ?

La raison est qu’elle était dirigée jusqu’à l’été dernier par un haut fonctionnaire apparemment intègre, Gabriel Ferriol.

Problème : il n’était pas suffisamment agressif contre certains mouvements d’idées, alors il a été viré.

C’est écrit noir sur blanc dans la Lettre A, et cela fait froid dans le dos :

“Sa relecture en profondeur des notes d’analyse produites par le service et les modifications apportées jusqu’à en dénaturer le fond — notamment en minimisant l’influence de mouvances d’extrême droite complotiste — ont progressivement créé un malaise” (Lettre A)

Maintenant qu’il est parti, nous pouvons craindre le pire, et c’est pourquoi je vous demande de signer d’urgence notre grande pétition :

JE SIGNE LA PÉTITION CONTRE LA SURVEILLANCE GÉNÉRALISÉE :

NON AU MINISTÈRE DE LA CENSURE

La censure d’une vingtaine de chaînes Telegram n’est que le début.

Avec les pouvoirs dont dispose Viginum, tout est désormais possible contre les opinions divergentes de l’idéologie dominante.

Je vous donne quelques exemples :

  • Si le mouvement des agriculteurs dégénère, on pourra dire que la déstabilisation vient de Russie ou de Chine pour mieux organiser une censure de masse ;
  • Même chose avec des informations critiques sur l’état réel de nos banques ou les risques pesant sur nos assurances vie (saviez-vous qu’en 2023, les Français avaient retiré 27 milliards de ce placement ?). Pourquoi ne pas censurer les informations sur ces sujets, dès lors que “l’intérêt national supérieur” est en jeu ?
  • Même problème avec le sujet très sensible de l’immigration : saviez-vous que l’ancien patron de Frontex, un haut fonctionnaire français passé par l’ENA, a déclaré, je cite, “La Commission européenne voit l’immigration illégale comme un projet et non pas comme un problème”. À quand la censure de ce propos sur toutes les plateformes, au motif qu’il ferait “le jeu des mouvances complotistes ou d’extrême droite” ?

“Qui veut tuer son chien l’accuse d’avoir la rage” disait l’adage.

Aujourd’hui, si vous êtes critique vis-à-vis des vaccins Covid, si vous avez un doute sur le narratif climatique, ou si vous êtes contre le wokisme à l’école, vous êtes forcément d’extrême droite ou complotiste, et donc forcément coupable de désinformation.

Je n’exagère pas. Quand France Inter demande à un Prof de Sciences-Po de définir la désinformation, voici sa réponse : 

“Vous avez de la droite identitaire, de la droite nationale-populiste, de la ‘réinformation’. Tout cela constitue un réseau : Papacito, TV Libertés, Réinformation TV, Thierry Casasnovas, Silvano Trotta, etc.”

Et puisque ces opinions sont qualifiées de “désinformation”, l’État se donne le droit de les censurer, et s’est organisé pour le faire massivement avec Viginum.

Et vous pouvez être certain que la censure ne touchera pas seulement les opinions “politiquement incorrectes”.

La censure sera utilisée, aussi, pour écarter les informations qui gênent le pouvoir en place.

Si vous ne me croyez pas, c’est écrit noir sur blanc sur le site de France Inter :

“En 2017, l’entre-deux-tours de la présidentielle est perturbé par ce qu’on appelle les ‘Macron Leaks’. Il s’agit de la fuite de dizaines de milliers de courriers électroniques du mouvement En Marche ! d’Emmanuel Macron. C’est justement pour contrer ce genre d’attaques numériques venues de l’étranger que le gouvernement français a décidé de mettre en place Viginum”*

Problème : personne n’a pu prouver que ces Macron Leaks venaient de l’étranger.

Ce qui est certain, c’est que leur contenu était très gênant pour le pouvoir, qui a donc décidé de se doter des outils pour les censurer !

C’est chose faite avec Viginum, et c’est pour cela que je vous demande d’agir maintenant.

Signez notre grande pétition, Non au Ministère de la Censure en France, et transférez-la à tous vos contacts.

Je compte sur vous : ce sont nos libertés les plus fondamentales qui sont en jeu.

Guy de la Fortelle

Co-fondateur de Tocsin

JE SIGNE LA PÉTITION CONTRE LA SURVEILLANCE GÉNÉRALISÉE :

NON AU MINISTÈRE DE LA CENSURE

Source : Tocsin-media.fr




Vaccins périmés, manipulations et vidéos, le scandale belge qui éclabousse la France et l’Europe

(Des espions dans le Covid #1)

[Source : blast-info.fr]

[illustration : Diane Lataste]

Par Thierry Gadault et Philippe Engels

Quatre ans après le confinement, le Covid fait un retour fracassant : en exclusivité, Blast dévoile des vidéos, documents et témoignages explosifs sur la gestion de la crise par le gouvernement belge. Nos révélations pointent la toute-puissance et l’inefficacité des cabinets de conseil — ici, Deloitte —, conjuguée aux manœuvres des autorités et d’une haute fonctionnaire. Elles donnent à cette affaire une dimension internationale. Pour virer l’opérateur qui dénonçait le gaspillage de l’argent public, les autorités belges se sont appuyées sur une société française, qui a pris sa place : Movianto, une filiale du groupe familial Walden, présidée par Stéphane Baudry. Sans une incroyable opération d’espionnage, menée par des anciens des services secrets israéliens, le scandale serait passé inaperçu. Premier volet de notre série.

Bientôt sur Netflix ? On prend les paris : tous les ingrédients sont là pour faire du scandale Medista la story de l’année, non seulement en Belgique, mais aussi en France et en Europe. À coup sûr, les scénaristes auraient de quoi alimenter une série d’espionnage trépidante, située dans le monde feutré de l’industrie pharmaceutique.

Dans toute bonne histoire, il faut des vedettes. Ici, la tête d’affiche s’appelle Frank Vandenbroucke. Poids lourd de la politique à Bruxelles depuis des décennies (lire en encadré), le ministre de la Santé belge se voyait devenir commissaire européen dans quelques semaines, pour couronner sa longue carrière. Il est directement mis en cause.

À l’approche des élections générales et européennes outre-Quiévrain, le 9 juin, l’avenir de cet homme parmi les plus puissants du royaume paraît pour le moins compromis.

Frank Vandenbroucke, le ministre des Affaires sociales et de la Santé publique en titre et vice-premier ministre du gouvernement de coalition (en costume à carreaux, avec les lunettes), surmontera-t-il le scandale qui explose aujourd’hui ?
Image compte Facebook de Franck Vandenbroucke

Au cœur de la crise du Covid

Medista, qui donne son nom à cette affaire, est une PME belge qui exerce donc dans le secteur de la santé. Créée au début des années 2000, la société a vendu sa base de données et sa marque en 2017 à un tour de table monté par Sarah Taybi. Cette spécialiste de la logistique devient sa directrice générale. Elle a de l’ambition pour Medista : en faire une référence dans la traçabilité des médicaments. Un enjeu crucial pour l’industrie.

Pour y parvenir, la nouvelle direction s’attelle d’abord à une première tâche : obtenir les indispensables agréments auprès des autorités belges. Les premières années d’après rachat y sont consacrées. En 2020, la mission accomplie, c’est le jackpot : le Covid — et la crise qui va avec — déferle sur l’Europe. En mars, alors que la pandémie s’est propagée à tout le continent, poussant les gouvernements à confiner leurs populations durant de longues semaines, l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (l’AFMPS) confie à Medista un contrat-cadre pour prendre en charge la logistique de l’ensemble du matériel médical destiné aux hôpitaux. Dans la foulée, la société remporte deux appels d’offres : un premier en septembre 2020, pour la distribution des tests, un second en février 2021, pour les vaccins.

En avril 2021, dans les colonnes du quotidien flamand De Morgen, alors que l’Europe est confinée et que la crise du Covid fait rage avec une troisième vague, Frank Vandenbroucke alerte ses citoyens : « Les capacités d’admission des hôpitaux atteignent leurs limites ».
Image De Morgen

Pour faire face à cette montée en charge, l’entreprise investit, lourdement. Dans des entrepôts et dans des frigos fonctionnant à — 80 degrés, pour stocker les vaccins produits par Pfizer.

Avec l’agence belge du médicament, dont elle est la prestataire, en relation directe, tout se passe bien. Mais en mars 2021 la gestion de la logistique Covid remonte au service public fédéral de la santé (le SPF, autre nom du « ministère »), sous la tutelle du socialiste Frank Vandenbroucke.

Les errances de Deloitte

Dans un long entretien, Sarah Taybi s’est longuement confiée à Blast, en exclusivité. Une interview enregistrée à Paris. C’est la première fois qu’elle s’exprime face à une caméra.

Elle le raconte, rapidement après le transfert du dossier au SPF, Medista se rend compte que quelque chose cloche : le cabinet Deloitte, choisi en 2020 par le gouvernement fédéral pour l’aider dans la gestion de la pandémie, s’emmêle les pinceaux dans les achats de matériels et de tests. Les conséquences de cet amateurisme sont lourdes : des lots de produits périmés, les dates de validité trop courtes pour assurer la distribution, une succession de contrefaçons, notamment pour les tests…

Sarah Taybi sur le rôle et les manquements de Deloitte dans la gestion des achats des tests et du matériel Covid, dans l’interview exclusive qu’elle nous a accordée.
Document et images Blast

Évidemment, face à ces dysfonctionnements, Medista alerte les pouvoirs publics. Selon la direction de la société, Deloitte aurait fait dépenser au gouvernement belge quelque 150 millions d’euros en produits inutilisables ou frauduleux. Et là tout déraille : au lieu de se retourner vers son consultant pour lui réclamer des comptes — ou lui demander au minimum de revoir d’urgence ses process pour l’avenir —, la haute fonctionnaire en charge du dossier au SPF Santé publique s’en prend au lanceur d’alerte. Dès lors, elle va s’acharner pour tenter de prouver, multipliant les audits et les contrôles fiscaux, que tous les problèmes signalés viennent de chez… Medista. 

Pour Medista, la relation avec le donneur d’ordre se dégrade. Sarah Taybi témoigne. Quelque chose ne tourne pas rond…
Document et images Blast

La situation va vite devenir intenable. Le ministère de la Santé cherche même à imposer à son prestataire de distribuer lui-même des matériels et des vaccins périmés. Ce que l’entreprise se refusera de faire. Dans le même temps, sa directrice l’affirme, elle éprouve de plus en plus de difficultés à se faire régler les factures adressées en règlement de ses missions.

L’alerte fatale

Devant ces obstructions, la petite entreprise décide d’alerter le ministre. Elle le fait après avoir reçu un courrier dressant la liste des reproches qui lui sont faits. La goutte d’eau qui fait déborder le vase : le 16 janvier 2022, Medista adresse à Frank Vandenbroucke une missive en réplique aux accusations portées par son administration.

Blast s’est procuré ce document. Nous en dévoilons en exclusivité le contenu explosif (en intégralité ici, dans sa version originale flamande). 

« Notre client conteste expressément le contenu de cette lettre et les allégations et prétentions qui y sont formulées par le SPF, écrit en amorce le cabinet d’avocats de Medista. Notre client rejette également toute réclamation du SPF pour de prétendus dommages subis, qui ne sont en aucun cas fondés et prouvés. »

La première page (extraits) du courrier du cabinet Simmons & Simmons au ministre et à Carolien Sonck, la directrice des appuis
(services support) au SPF Santé publique (document traduit par nos soins).
Document Blast

D’entrée, le ton est donné. La suite étale sur 17 pages une série sidérante de manquements et d’errances. Après avoir rappelé que « Medista exécute les instructions du SPF et distribue les produits demandés via la procédure normale connue ou à la demande du SPF », les avocats mettent le doigt sur « un autre problème ». Il a de quoi fâcher.

Des contrefaçons

Ce problème « concerne les différentes marchandises que Medista a dû mettre en quarantaine parce que, après avoir été contrôlées par l’AFMPS (l’agence fédérale des médicaments et des produits de santé, NDLR), elles se sont avérées être des contrefaçons ». À ce stade, autant préciser les choses : « Là encore, Medista a clairement indiqué aux acheteurs Deloitte/AFMPS/SPF qu’elle n’était pas responsable de l’achat de ces marchandises, précise la missive. En effet, la vérification de l’authenticité des certificats est effectuée par les acheteurs eux-mêmes. »

Revenir aux « principes pharmaceutiques »

Le réquisitoire se poursuit. Implacable sur la gestion défaillante des pouvoirs publics, sa lecture est édifiante. « Compte tenu de l’importance hallucinante du stock et de la quantité de produits contrefaits créés par le SPF (et que ce dernier conserve dans les locaux de Medista), Medista est donc extrêmement surprise que le SPF tente aujourd’hui de récupérer ces produits périmés auprès de Medista. Depuis un certain temps, Medista demande au SPF de prendre les décisions nécessaires à cet égard afin que Medista puisse faire détruire ces marchandises (aux frais du SPF) et revenir aux “principes pharmaceutiques” normaux et applicables (à savoir la destruction des produits périmés dans un court délai). »

Cette retentissante mise au point se poursuit sur une invite. « Il est donc grand temps que le SPF prenne ses responsabilités et les assume, au lieu d’essayer, sans fondement, de rejeter tout cela sur Medista. C’est inacceptable et c’est un manque total de réalisme. » Et s’achève sèchement, après plusieurs pages encore :

« De telles démarches de la part du SPF ne sont en aucun cas le parangon d’un gouvernement diligent et d’un partenaire contractuel digne de ce nom. »

Le courrier d’alerte des avocats de Medista à Frank Vandenbroucke du 16 janvier 2022.
Le ministre va très mal le prendre (document traduit par nos soins).
Document Blast

La note fantôme de Vandenbroucke

La lecture de ce courrier des avocats de Medista ne laisse pas indifférent le ministre Vandenbroucke. Il va le prendre visiblement comme une déclaration de guerre. Et, au lieu de remettre de l’ordre dans ses services, s’attaquer à son tour à la PME.

En décembre 2021, le ministère de la Santé a lancé un nouvel appel d’offres pour regrouper l’ensemble des activités liées au Covid, dans un seul contrat. À la mi-février 2022, Medista est informée de la rupture et de la perte de ses marchés de gestion des tests et des vaccins. Ils courent pourtant jusqu’en 2025.

Pour justifier ce choix brutal, les autorités belges invoquent des dépassements budgétaires signalés par une note du ministère des Finances. Existe-t-elle seulement, cette note ? Depuis l’été 2022, l’opposition, incarnée par la députée nationaliste flamande Kathleen Depoorter, demande à Vandenbroucke de produire ce document. Rien ne vient. Un an et demi plus tard, la parlementaire ne se prive pas de confier à Blast ce qu’elle pense du sujet : « Une affaire qui démarre par un mensonge, c’est qu’elle est grave », cingle-t-elle, aujourd’hui.

Sarah Taybi, sur la mystérieuse note fantôme des finances, justification officielle de l’éviction de sa société…
Document et images Blast

Si les conditions de cette rupture de contrat et de la mise à l’écart par l’administration de son prestataire sont plus que nébuleuses, les conséquences sont en revanche bien établies. Celles-là tout à fait palpables : en 2022, une partie des factures de Medista n’a toujours pas été payée par le ministère de la Santé — l’addition se chiffre alors à plus de 5 millions d’euros, selon Sarah Taybi — et Medista finit de perdre tous ses contrats. À la place, un nouvel acteur fait son apparition : Movianto est une filiale du groupe familial français Walden. Cette irruption dans les affaires belges est étonnante. En effet, la société ne dispose d’aucune infrastructure en Belgique, ni des licences nécessaires pour gérer la distribution des vaccins.

Les marchés publics de la santé en Belgique, toute une histoire ! Sarah Taybi, directrice générale de Medista, pour Blast.
Document et images Blast

Désormais hors-jeu, Medista se tourne alors vers le Conseil d’État belge pour contester la procédure de mise en concurrence qui a définitivement acté son éjection. La haute juridiction ne trouve rien à redire à tout cela : l’entreprise est déboutée.

L’histoire aurait pu et dû s’achever ainsi. Mais chez Medista, la pilule passe mal, c’est peu dire. D’autant plus mal qu’au cours des appels d’offres Sarah Taybi a repéré une petite annonce d’emploi diffusée par Movianto qui a attiré son attention. L’offre est intrigante : l’entreprise française recrutait alors un salarié pour travailler, pour son compte, au sein du SPF Santé, le service fédéral belge… Comme si l’affaire était d’ores et déjà réglée et que ses dirigeants savaient par avance qu’elle allait gagner.

Les hommes et les méthodes de Black Cube

Perdu pour perdu, chez Medista, on considère désormais qu’on n’a plus le choix des armes. L’affaire bascule dans une autre dimension, encore. Et l’histoire se transforme alors en film d’espionnage.

Soupçonnant des contacts informels entre le ministère de la Santé et son concurrent français, Sarah Taybi décide d’employer les grands moyens. Elle prend attache avec une société spécialisée dans des missions spéciales.

Inconnue du grand public, la réputation de Black Cube est bien établie dans le milieu de l’intelligence économique. La firme a été créée par des anciens du Mossad. Elle va se montrer à la hauteur de son slogan : « Black Cube est une société de renseignement qui vous aide à gagner quand personne d’autre ne le peut. »

Enlever un marché public en Belgique quand on est une société française : mode d’emploi, sous… pilotage. Explications Sarah Taybi.
Document et images Blast

Pour harponner leur cible, les hommes de Black Cube vont créer de toutes pièces une fausse société pharmaceutique. La voilà désormais dotée d’une existence en ligne. Cette vitrine de façade en place, ils passent à la phase 2.

Au printemps 2023, les espions piègent la haute fonctionnaire du SPF Santé publique avec laquelle Medista était en contact, dans le cadre de l’exécution de ses contrats. Toujours sous couverture de leur fausse identité, ils établissent le contact également avec le directeur commercial de Movianto, l’opérateur français devenu le prestataire des autorités belges. Et le poisson mord. Le tout — ces rencontres — est filmé en caméra cachée.

Ce que montrent les vidéos est insensé. Les deux cibles de l’opération Black Cube reconnaissent avoir été en contact… Mieux, ou pire selon les points de vue, le dirigeant de Movianto harponné confirme le rôle décisif joué par la haute fonctionnaire du SPF dans le succès de son entreprise : c’est grâce à son aide qu’elle a réussi à s’imposer et obtenir le marché auprès du ministère de la Santé.

La corruption comme dans un film

Blast a pu visionner l’intégralité de ces séquences captées en caméra cachée — au total plus de cinq heures d’enregistrement. Ces vidéos constituent autant de pièces à conviction qui établissent, contrairement à ce que le Conseil d’État belge a acté dans sa décision, que l’éviction de Medista et son remplacement par Movianto ont été savamment orchestrés. Ce n’est pas banal : selon ces images, pendant la mise en concurrence sur un marché public, d’environ 50 millions d’euros tout de même, une société qui candidatait a reçu via une haute fonctionnaire des conseils et informations confidentielles, relatives aux tarifs de ses concurrents. Une sorte de plan à respecter à la lettre pour décrocher la timbale. Bref, elle aurait été la favorite du pouvoir.

Évidemment, ce tutoring constitue une atteinte flagrante à la règle d’égalité entre candidats, et il est parfaitement illégal. L’affaire prend une tournure ici d’autant plus exceptionnelle que de telles infractions, quand elles sont commises, sont difficilement détectables, donc compliquées à prouver et démontrer étant entendu qu’elles laissent généralement peu de traces. Et certainement pas des confidences sur vidéos. Du jamais vu.

Quand une responsable du SPF Santé publique (de la logistique Covid), par ailleurs haute-fonctionnaire, reconnaît avoir aidé Movianto à gagner les appels d’offres pour évincer Medista…
Document et images Blast

Retour en arrière… À l’année 2023. L’existence de ces images explosives va parvenir jusqu’aux oreilles de quelques journalistes, particulièrement informés et spécialistes des dossiers sensibles. Au cours du premier semestre de l’année dernière, Jeroen Bossaert commence à travailler sur les coulisses de la gestion de la crise du Covid en Belgique. Pour les besoins de son enquête, ce confrère flamand qui exerce au sein de la rédaction du quotidien HLN adresse une demande au ministère de la Santé. Il veut consulter les documents en sa possession. Il a reçu pour cela l’aval de la Commission d’accès aux documents administratifs, la CADA belge, qu’il a sollicitée. Pourtant, le ministre de la Santé refuse d’appliquer cette décision (lire en encadré).

Après des premières révélations publiées en fin d’année dernière, Bossaert diffuse les premiers extraits des vidéos de Black Cube réalisées pour le compte de Medista.

Pour Frank Vandenbroucke, l’alerte cette fois est très sérieuse. Le ministre doit réagir. En décembre dernier, il convoque en urgence une conférence de presse au cours de laquelle les journalistes sont priés… de couper leurs téléphones portables. Étrange, on en conviendra. Selon Claude Archer, l’un des responsables de l’ONG Transparencia, au lieu de répondre aux révélations de notre confrère du HLN, Vandenbroucke aurait interdit à la presse wallonne de poser des questions sur l’affaire Medista… Ce qui expliquerait, dans un pays où la presse vit sous perfusion des aides publiques, que les principaux journaux francophones du pays se soient contentés du service minimum sur ce dossier. Et que personne n’ait réellement embrayé, pour lancer des enquêtes.

L’autre affaire française

Dans ce contexte singulier, les images et documents exclusifs publiés et diffusés par Blast constituent un nouveau coup de tonnerre. D’autant que, chez Medista, on va aujourd’hui encore plus loin : estimant désormais disposer des preuves que les appels d’offres qui l’ont évincée ont bien été truqués, la directrice Sarah Taybi entend demander des comptes en justice. Après avoir adressé des mises en demeure à l’entreprise française qui l’a remplacée, une plainte au pénal serait sur le point d’être déposée.

Mais ce n’est pas tout. Car — c’est une autre révélation de Blast —, derrière l’affaire il y a, semble-t-il, une autre affaire. En effet, grâce aux recherches effectuées par Black Cube, la société belge a également découvert que son concurrent français Movianto a décroché auprès du gouvernement fédéral, dès avril 2022, un contrat d’aide à l’Ukraine dans le cadre du programme européen RescEU — qui permet de mobiliser des moyens notamment contre les incendies ou pour de l’assistance médicale. Une nouvelle conquête pour Movianto obtenue sans… passer par un marché public.

Là encore, l’histoire se répète : Medista avait géré les premières aides d’urgence, et là encore elle a été mise sur la touche au profit du même nouveau venu.

Derrière le scandale de la gestion de la crise du Covid, c’est donc un second front qui, potentiellement, risque d’exploser à la gueule du gouvernement belge et de son ministre de la Santé.

La haute fonctionnaire lâchée par le ministre

Du côté de Frank Vandenbroucke justement, l’heure est au sauve-qui-peut et à la recherche d’un bouc émissaire. Les parapluies sont grands ouverts, dans une ambiance surréaliste : la semaine dernière, mardi 26 mars, le ministre a dévoilé les conclusions d’un audit interne, réalisé par l’administration, sur la gestion du dossier (du Covid).

Il pointe à son tour du doigt la haute fonctionnaire(1) qui en avait la charge, et qu’il a protégée jusqu’alors, et annonce le dépôt d’une plainte contre celle-ci. Parallèlement, tout à sa contre-attaque, Vandenbroucke a surtout dénoncé les manœuvres de Medista pour faire éclater la vérité. Là aussi, il promet une plainte, cette fois pour tentative d’extorsion.

Le vice-premier ministre belge le 13 mars lors d’une cérémonie pour les 4 ans du premier confinement : « Le coronavirus a défié notre société d’une manière sans précédent. Grâce à la solidarité qui s’est manifestée alors, nous avons enfin vaincu le virus ».
Image compte Facebook FV

Extorsion… À croire que le ministre belge et le groupe Walden, la maison-mère de Movianto, se sont donné le mot. Dans sa réponse à la mise en demeure adressée par Medista, le groupe français l’accuse exactement dans les mêmes termes.

« Nous ajouterons donc votre lettre du 13 décembre 2023, votre lettre du 11 décembre adressée au Premier ministre et au Président du Parlement, ainsi que tous les articles de presse diffamatoires que vous avez envoyés au monde entier par l’intermédiaire d’un journaliste de Het Laatste Nieuws, à la plainte pénale que nous avons déjà déposée pour (tentative) d’extorsion de fonds, entre autres. »

La mise en demeure de Medista à Movianto a provoqué une réponse agressive, dans laquelle le Français (le second) accuse le Belge d’extorsion. Extrait du courrier du 21 décembre 2023 (document traduit par nos soins).
Document Blast

Contactée par Blast, à Paris, la direction de Walden s’affirme abasourdie « par les pratiques très agressives et inacceptables de Medista », « qui incluent l’organisation de pièges, des tournages non autorisés, la diffusion de fausses allégations et l’utilisation de pressions. »

Des propos parfaitement vertueux, dans une affaire et un scandale hors-norme par bien des aspects. D’après ce plaidoyer, le recours aux services d’un cabinet d’intelligence économique, pour réunir les preuves de comportements potentiellement délictueux, ne doit pas faire partie des mœurs en vigueur. Visiblement, la méthode choque les consciences d’un milieu qui préfère les coulisses pour monter, et régler, ses petites affaires. Vertu pour vertu, la leçon de morale risque de revenir par effet boomerang au visage de ceux qui la brandissent.

Un ministre qui brûle ou étouffe

Prendre une leçon, Frank Vandenbroucke, 68 ans, déteste ça. En temps normal, c’est lui, « le prof », comme on surnomme le ministre le plus expérimenté du gouvernement belge, qui les délivre. Alors, au Parlement fédéral, en décembre, en janvier, en février et encore en mars dernier, l’universitaire et économiste diplômé de Cambridge et d’Oxford s’est montré contrarié et nerveux, et impatient (forcément) face à un interrogatoire en règle sur sa gestion du Covid.

Le « prof » Vandenbroucke déteste qu’on inverse les rôles : habituellement, il mène la danse.
Image compte Facebook FV

Cette affaire pourrait lui valoir son troisième renvoi de la scène publique, en autant de décennies. En 1995, Frank Vandenbroucke avait quitté une première fois le monde politique pour l’université. Un retrait forcé lié à l’énorme scandale de corruption qui avait ébranlé la classe politique belge autour des contrats d’achat des hélicoptères et des chasseurs-bombardiers F16 pour l’armée belge.

Alors président du PS flamand, Vandenbroucke avait affirmé… avoir brûlé l’argent des pots-de-vin versés à sa formation par les constructeurs Agusta (Italie) et Dassault. En 2011, rebelote, le prof s’en était retourné neuf ans durant à ses chères études universitaires : son tempérament de donneur de leçons avait fini par lasser ses partenaires du gouvernement, et rendre son voisinage insupportable à leurs yeux.

Frank Vandenbroucke quand il présidait le PS flamand. En 1995, également ministre des Affaires étrangères, il est contraint de reconnaître avoir ordonné à son trésorier de brûler plusieurs millions de francs cachés dans le coffre du parti… Avant de démissionner.
Image compte Facebook FV

Une presse sans mordant

Ce grand bûcheur est ensuite revenu aux affaires. Et il résiste aujourd’hui, le social-démocrate « Frankie », chaud partisan de l’État social actif.

Et parce qu’il refuse de démissionner, il inquiète sa formation politique (Vooruit, l’équivalent flamand du PS) et une part grandissante de ses partenaires, à la table du gouvernement : un scandale qui perdure, à deux mois des élections et alors que l’extrême-droite est largement en tête dans les sondages, ça sent le fond d’écurie. D’autant que l’affaire Medista, comme les révélations de Blast le démontrent, aurait de quoi mobiliser les moyens de la presse mainstream. Heureusement pour lui, ce n’est pas (encore ?) le cas, constat qui confirme le manque de mordant des rédactions les plus installées au pays du roi Philippe, dès lors qu’il s’agit de sujets pas faciles à résumer en première page. Car le personnage clé de cette folle histoire est un pilier majeur de la coalition unissant dans la douleur la gauche, la droite, les écologistes et une partie des centristes, face à la menace séparatiste et extrémiste. Car il s’agit d’un Flamand accusé de favoriser une firme française. Et parce que les principes mis en cause sont très symboliques : la transparence, l’honnêteté, le respect des institutions.

Le modèle Reynders

Personne ne le relève en Belgique, mais ce qui se produit aujourd’hui avec Frankie Vandenbroucke, pressenti à un poste de commissaire européen, rappelle la fin de règne du néolibéral Didier Reynders. Il y a cinq ans : accumulant les casseroles après quasi vingt ans de présence au pouvoir, le ministre belge des Finances puis des Affaires étrangères avait à ce point contribué à la fragilisation de l’État, notamment avec l’affaire du Kazakhgate, qu’il n’aurait jamais dû faire partie de l’exécutif européen piloté par l’Allemande Ursula von der Leyen. Surtout avec le portefeuille de la Justice et de la Protection de… l’État de droit.

Le 24 mars, sur le plateau de la chaîne d’info flamande VTM Nieuws.
Image VTM Nieuws

Toutes proportions gardées, Frank Vandenbroucke s’inspire sans doute du même « modèle », de fin de mandat. Le ministre socialiste a trouvé des appuis au sein du gouvernement — les mêmes que ceux qui avaient aidé Reynders, il y a dix ans — pour faire amender en bout de course un projet de loi censé améliorer la transparence des décisions politiques et administratives.

Dans la grande coalition dirigée par le libéral flamand Alexander De Croo, les Verts étaient les plus fervents partisans de cette réforme. Ils défendaient un texte qui aurait obligé l’homonyme belge de la CADA française (la commission d’accès — censée indépendante — aux documents administratifs) à délivrer aux partis d’opposition, aux journalistes curieux ou aux simples citoyens les documents qu’ils demandent.

L’impossible transparence

Inacceptable pour Vandenbroucke, sachant qu’un sixième environ des demandes concernent des matières sous sa responsabilité politique, dont ces fameuses questions piquantes relatives aux contrats décrochés par Movianto. Autant de documents que le ministre des Affaires sociales et de la Santé publique refusait de dévoiler. Un des membres de son cabinet l’a expliqué à Claude Archer, le patron de Transparencia.

« Après mon audition au Parlement l’an dernier, explique ce militant de la transparence à Blast, lors de l’examen du projet de loi, j’ai été contacté par un de ses conseillers qui m’a expliqué que Frank Vandenbroucke s’opposait au durcissement de la loi, car il ne voulait pas rendre publics les documents liés à la crise Covid. »

La transparence ? Pas pour lui, et certainement pas par lui…
Image compte FB FV

Finalement, la CADA belge ne sera pas contrainte de fournir chaque pièce sollicitée, le projet de loi sur la transparence en restant à ce stade. Mais au fait, pourquoi les écologistes ont-ils cédé ? Faut-il comprendre qu’il fait si peur, ce vice-premier ministre doté d’une intelligence supérieure à la moyenne ? Fallait-il gommer à tout prix tout signe de tension, au sein de ce gouvernement de la dernière chance, avant une prise de pouvoir (possible) par une alliance des nationalistes et de l’extrême-droite flamande ?

Il n’y a pas encore de réponses à ces questions.

[Suite :
https://www.blast-info.fr/articles/2024/des-espions-dans-le-covid-2-scandale-medista-la-bombe-ukrainienne-rescue-explose-dans-la-politique-belge-KYF3FqiFTcW-78dLG2EkJw]


(1) Contactée, Viviane H., la haute fonctionnaire du Service public fédéral belge de la santé (le SPF Santé publique), contre qui le ministre Vandenbroucke a annoncé la semaine dernière le dépôt d’une plainte, n’a pas répondu au moment où nous publions cet article.




Selon le Dr Michael Nehls, les vaccins anticovid ont transformé les gens en zombies décérébrés

[Source : makismd.substack.com]

Michael Nehls est un médecin allemand titulaire d’un doctorat en génétique moléculaire.

Il a publié deux articles avec des lauréats du prix Nobel.

D’après Wikipedia :

« Le livre de Michael Nehls, The Indoctrinated Brain (Le cerveau endoctriné), a suscité une vive controverse en raison de ses affirmations audacieuses concernant les effets des vaccins à ARNm COVID-19 sur la cognition et l’autonomie humaines. Nehls suggère que ces vaccins, parmi d’autres pressions modernes, font partie d’un assaut global de manipulation de l’esprit humain, visant à faciliter un contrôle gouvernemental accru sur les individus. Ses théories s’alignent sur des récits conspirationnistes plus larges, qui ont été diffusés par le biais de diverses plateformes connues pour héberger ce type de contenu.

Les travaux de Nehls ont été présentés lors d’une discussion avec Tucker Carlson, où il a exposé son point de vue sur la manipulation de la mémoire et de la cognition humaines par la peur, suggérant un effort délibéré pour contrôler la population. En outre, les théories de Nehls ont été citées par des sites conspirationnistes tels qu’Infowars dans un article intitulé “Molecular Geneticist Explains How mRNA Vaccines Were Designed to Conquer the Human Mind” (Un généticien moléculaire explique comment les vaccins ARNm ont été conçus pour conquérir l’esprit humain), ce qui associe encore davantage ses travaux à des récits marginaux.

En outre, The Indoctrinated Brain a été publié par Skyhorse Publishing, une société qui a l’habitude de publier des ouvrages à caractère conspirationniste. Skyhorse Publishing s’est fait une réputation en acceptant des auteurs que d’autres maisons évitent, y compris des personnalités qui ont propagé des informations erronées, notamment de fausses théories sur les vaccins contre le coronavirus. Cette toile de fond place le travail de Nehls dans un contexte spécifique de littérature controversée.

Si les hypothèses de Nehls ont été soutenues par certains cercles, notamment par des personnalités telles que Naomi Wolf et Stephanie Seneff, elles n’ont pas été largement acceptées par la communauté scientifique dominante. Les principales organisations de santé, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), continuent de soutenir la sécurité et l’efficacité des vaccins COVID-19, réfutant les allégations selon lesquelles ils seraient des outils de manipulation gouvernementale.

Le débat autour de The Indoctrinated Brain illustre la tension entre les théories marginales et le consensus scientifique établi, soulignant les défis de la communication en matière de santé publique et de la lutte contre la désinformation à l’ère du COVID-19. »

[NDLR La véritable science ne fonctionne pas sur la base du consensus (qui n’est lui-même pas un argument scientifique, pas davantage que la notoriété du supposé scientifique), mais sur le doute, la remise en question permanente des connaissances en fonction des nouvelles expériences et des nouvelles données observationnelles, et le respect de la méthode scientifique. Par contre le scientisme moderne (que l’on voit notamment fleurir en climatologie et en médecine) s’appuie sur un consensus guidé ou imposé par la finance et la politique et promu par les médias mainstream (et dans certains cas par des médias alternatifs).]

Michael Nehls est né en 1962. Après un doctorat en médecine et une thèse en génétique moléculaire, il a mené, au sein de grands groupes privés, des recherches sur les solutions médicamenteuses des maladies dites « de civilisation » (diabète, obésité, maladies du cœur, excès de cholestérol). Il a publié plus de cinquante articles scientifiques et travaillé comme directeur de recherche dans plusieurs universités et sociétés privées en Allemagne et aux Etats-Unis. En 2007, ayant lui-même retrouvé la santé grâce à des solutions non médicamenteuses, il quitte ses fonctions et poursuit en tant que chercheur et auteur indépendant. Il a publié quatre livres à succès, dont deux sur Alzheimer.

(Actes Sud)

[Voir aussi :
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme]

Partout dans le monde, les performances mentales diminuent, en particulier chez les jeunes, tandis que les taux de dépression augmentent de façon spectaculaire. Une personne sur quarante souffre aujourd’hui de la maladie d’Alzheimer, et l’âge d’apparition de la maladie recule rapidement. Mais les causes ne sont pas éliminées. S’agit-il d’une coïncidence ? « The Indoctrinated Brain » présente un mécanisme neurobiologique puissant et largement méconnu, dont les multiples perturbations, passées le plus souvent inaperçues, sont à l’origine de ces évolutions catastrophiques. Dans ce livre, le Dr Michael Nehls, médecin et généticien moléculaire de renommée internationale, expose une chaîne de preuves stupéfiante qui suggère que derrière ces nombreuses influences négatives se cache une attaque ciblée et magistralement exécutée contre notre individualité, dans le but de priver les gens de leur capacité à penser par eux-mêmes. Mais il n’est pas trop tard. En révélant ces processus qui endommagent le cerveau et en décrivant des contre-mesures applicables individuellement, Nehls apporte de la lumière et de l’espoir à ce chapitre funeste de l’histoire de l’humanité. La question de savoir si notre espèce sera capable de préserver son humanité et son pouvoir créatif, ou si elle les perdra irrémédiablement, ne sera rien de moins que décidée à notre époque.

https://michael-nehls.com/


Bonus






Explosion de cancers vaxinaux aux USA, selon le CDC




Refusons la tyrannie pseudo-sanitaire que l’OMS veut nous imposer

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par Dr Gérard Delépine

Durant la crise Covid, l’OMS a été l’instigatrice de mesures contraires aux libertés et aux données de la science. Elles se sont révélées inefficaces contre la maladie, extrêmement dommageables pour les populations qui y ont été soumises et source de profits colossaux pour les élites.

Mais l’OMS, institution non démocratique, non élue et financée à plus de 80 % par des groupes d’influence privés, veut recommencer et, pour y parvenir plus facilement, disposer de pouvoirs supranationaux qui lui permettraient d’imposer une dictature mondiale totale au service de Big Pharma, des GAFAM et des milliardaires.

Les dramatiques échecs des recommandations OMS contre le Covid

Les chiffres de l’épidémie de Covid, publiés par l’OMS et mis en courbe par l’université J. Hopkins, montrent qu’aucune des mesures contraignantes de l’OMS (confinements, obligations du port des masques, pass, obligations vaccinales) n’a été efficace contre la maladie. 939 000 scientifiques et médecins de tous les pays du monde l’avaient clairement annoncé par la déclaration du Great Barrington1.

Nous avions, dès le 27 mars 2020, dénoncé l’imposture des confinements aveugles2 3 4 5. La comparaison des données des Pays-Bas (non confinés) et de la Belgique (sévèrement confinée) a depuis illustré leur nocivité tant sur la recrudescence des infections que sur la mortalité. Avant le confinement, le nombre de contaminations journalières et la mortalité par million étaient semblables dans ces deux pays voisins semblables par leurs démographies et leur mode de vie. Le confinement a fait exploser les contaminations puis la mortalité en Belgique, tandis qu’elles augmentaient deux fois moins aux Pays-Bas non confinés.

Nous avions aussi rappelé6 que la littérature internationale7 montrait que le port généralisé du masque ne protège pas des infections virales. Les données OMS l’ont confirmé : lors du pic d’Omicron les français, soumis à l’obligation du masque ont souffert de 50 % de plus de contaminations journalières/million que les Suédois, non masqués (6000/M versus 4000/M).

Les pseudo vaccins recommandés par l’OMS, et présentés par notre ministre de la santé comme très efficaces, ont été incapables de prévenir la transmission de l’épidémie comme chacun a pu l’observer autour de soi et comme le montrent les comparaisons des données OMS entre les pays très vaccinés et les autres :

Et, contrairement à la propagande de l’OMS et des gouvernements occidentaux, les pseudovaccins n’ont pas non plus protégé les populations ni des formes graves, ni de la mort8 9 :

L’OMS a également prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces et milité pour leur interdiction, alors que l’usage du traitement Raoult a sauvé les populations des pays qui l’ont utilisé comme la Côte d’Ivoire, le Sénégal ou l’Algérie (ou la proportion de plus de 65 ans est égale à celle de la France)

Totalement inefficaces les recommandations de l’OMS ont été de plus extrêmement dommageables pour les populations qui les ont subies.

Les confinements ont été source de troubles psychologiques graves persistants10 11, de retards scolaires12, de retard de traitements13, de pertes économiques sans précédent14 et d’un endettement colossal15, d’une aggravation mortifère de la famine en Afrique16.

Les masques ont souvent aggravé les infections respiratoires.

Les pseudo vaccins ont été responsables de nombreuses complications en particulier cardiaques (myocardites), neurologiques, de troubles menstruels et de morts subites.

Les mesures Covid de l’OMS ont permis un enrichissement colossal des milliardaires17.

La fortune des milliardaires dans le monde a augmenté en 19 mois de pandémie Covid plus qu’au cours de toute la décennie précédente.

De mars 2020 à octobre 2021, la fortune des milliardaires français a augmenté de 86 %. Les 5 premières fortunes de France ont gagné 173 milliards d’euros et doublé ainsi leur richesse d’avant le début de la pandémie. Ils ont ainsi capté l’équivalent des trois quarts des 240 milliards du « quoi qu’il en coûte »18. Les 5 milliardaires français les plus riches possèdent désormais autant que les 40 % de leurs compatriotes les plus pauvres.

Avec les milliards d’euros engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on aurait pu quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

La politique de l’OMS est dictée par ses financeurs privés

Lors de sa création par l’ONU en 1948, l’OMS était financée uniquement par les états en fonction de la fortune et de la population de chaque pays. Mais progressivement les principaux états contributeurs, déçus des politiques adoptées, ont diminué leurs contributions tandis que des entités privées (dont des laboratoires pharmaceutiques, Bill Gates et les fondations Gavi et Bill Melinda Gates prenaient le relais.

Lors de l’exercice 2022-2023, seulement 16 % des ressources de l’OMS provenaient des contributions obligatoires des États membres19 tandis que Bill Gates y participait pour près de 40 %, directement ou indirectement, par ses fondations. Bill Gates est devenu le premier financeur de l’OMS et son influence sur les décisions de l’organisme est d’autant plus importante que la majorité de ses contributions sont fléchées, destinées uniquement à un but précis (pour Bill Gates les vaccinations, si possibles obligatoires, pour toutes les maladies, partout et toujours).

German Velasquez, ancien directeur à l’OMS déclarait à l’occasion d’un entretien sur la politique OMS contre le paludisme20 :

«  Les acteurs privés, comme la Fondation Bill et Melinda Gates, ont pris le contrôle de l’organisation. »

En mars 2020, Tim Schwab21 a souligné les risques moraux de la Fondation Gates qui a donné des centaines de millions de dollars à des sociétés dont elle détient des actions ou des obligations, dont Merck, Sanofi, Lily, Pfizer, Novartis, Teva qui font de plus partie des plus grandes entreprises du monde, telles que GlaxoSmithKline qui développent de nouveaux vaccins et médicaments.

Lionel Astruc estime :

« Une telle participation financière devrait être soumise à un droit de regard des États et des citoyens, tant son pouvoir est grand et sa menace lourde sur nos démocraties »22.

Lors d’une interview au Spiegel23 l’épidémiologiste Tom Jefferson, démontrait les conséquences de la privatisation de l’OMS lors de la crise de la grippe H1N1 :

« Une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là, à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie… L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffi qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle… « Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies ».

Lors de la crise H1N1, l’OMS et les gouvernements n’avaient pas réussi à convaincre les populations de la réalité du danger et de l’utilité des vaccins, car les médecins étaient septiques et les médias partagés. Leurs bénéfices des milliardaires ont été moindres qu’espérés, mais ils en ont tiré les enseignements. Lors du Covid, ils contrôlaient totalement l’information officielle et ont disqualifié et/ou interdit les médecins prudents qui s’exprimaient.

L’argent est une drogue très addictive et les super riches en veulent toujours plus. Ils poussent l’OMS à s’arroger encore plus de pouvoir pour asservir davantage et mieux bâillonner les populations lors de la prochaine prétendue épidémie. C’est le but réel des modifications que l’OMS veut apporter au traité sanitaire international (RIS).

Les propositions totalitaires mondiales de l’OMS24 25 26

Le neuvième cycle de négociations sur l’accord mondial de prévention contre les pandémies a commencé le 25 mars 2024. Le directeur de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a présenté son projet de Traité contre les Pandémies et un nouveau règlement sanitaire international prévoyant des transferts majeurs de souveraineté des pays membres vers l’OMS afin de lui permettre de décider d’une politique sanitaire mondiale contraignante à appliquer partout.

1°) Ce projet veut rendre obligatoires les décisions de l’OMS qui jusque-là n’étaient que des recommandations non contraignantes.

2°) Son article 4 veut limiter la souveraineté des états en stipulant « le droit souverain des États n’existe que dans la mesure où les activités des États ne nuisent pas à leurs populations, ni aux autres pays ».

3°) Son article 15 confierait au Directeur général le pouvoir exorbitant de décider seul s’il y a une urgence sanitaire et de son ampleur avec une vaste extension des éventualités pour justifier une urgence, incluant non plus seulement les pandémies, mais aussi le changement climatique, la perte de diversité…

4°) L’article 18 du règlement sanitaire international (RSI) permettrait à l’OMS :

  • – d’exiger des examens médicaux ou une vaccination ou toute autre mesure prophylactique, et d’en rechercher les preuves ;
  • – de placer en quarantaine les personnes suspectes ou leur appliquer d’autres mesures sanitaires, d’isoler ou de traiter les personnes affectées ;
  • – de rechercher les contacts des personnes suspectes ou affectées ou de les soumettre à un dépistage.

Ces propositions supprimeraient en pratique le consentement libre et éclairé des citoyens aux soins et la liberté de prescription des médecins

5°) Les articles 1 et 2 du traité évoquent les « produits de santé » sur lesquels l’OMS aura une autorité totale de se substituer aux agences sanitaires nationales en s’arrogeant :

  • – Le droit de choisir les produits de santé, alors même que plusieurs contributeurs de l’OMS sont très liés à l’industrie pharmaceutique.
  • – De dresser et publier une liste des produits de santé nécessaires. Détablir et publier des spécifications pour la production des produits de santé nécessaires.
  • – D’élaborer des lignes directrices adéquates à l’intention des autorités de réglementation pour l’homologation rapide des produits de santé (…).
  • – De créer une base de données sur les matières premières et les fournisseurs éventuels.
  • – De créer une bibliothèque des lignées cellulaires pour accélérer la production et l’homologation des produits biothérapeutiques similaires et des vaccins.
  • – De passer en revue et mettre à jour la liste des autorités afin de faciliter les homologations qu’elle jugerait utiles.

6°) L’article 44 et l’article 18 du règlement sanitaire international institueraient une censure mondiale pire que celle qu’on a subie depuis le Covid.

En vue de « contrer la diffusion d’informations erronées ou non fiables » et « combattre les informations fausses et trompeuses ou la désinformation ». La définition des informations « fausses et trompeuses ») serait celle de l’OMS :

« [des informations] qui font “obstacle à l’adhésion aux mesures sociales (…) et qui sapent la confiance envers la science et les institutions de santé publique”. »

L’OMS veut ainsi s’ériger ainsi en juge de la vérité scientifique, grand prête du crédo officiel, pouvant décréter hérétique et censurer toute opinion qui serait contraire aux intérêts de ses financeurs, comme l’a fait d’ailleurs fait en France le gouvernement Macron avec son « conseil scientifique Covid » dont les délibérations sont toujours protégées par le secret défense.

Contre l’OMS, réaffirmons partout nos droits fondamentaux !

Lors d’une conférence de presse à Genève le 28 mai 2023, l’Alliance internationale pour la justice et la démocratie a alerté :

« La centralisation du pouvoir dans les mains de l’OMS menace la démocratie ».

Le président Macron, Ursula von der Leyen et le gouvernement américain actuel sont favorables à ces textes liberticides qui vont être reproposés au vote le 26 mai 2024. S’ils étaient acceptés, nous n’aurions plus de recours légaux.

Si nous voulons refuser que notre santé et nos libertés fondamentales dépendent du bon vouloir de l’OMS, des entreprises privées et des milliardaires qui la financent et qui l’inspirent, c’est maintenant que nous devons nous battre !

Les menaces que ce projet de traité font peser sur nos libertés paraissent autrement plus importantes que la discrimination capillaire qui a récemment occupé nos parlementaires ! Exigeons que l’Assemblée Nationale en débatte, que le Sénat crée une commission d’enquête et/ou que la décision soit soumise à référendum.

Nous ne sommes pas seuls à nous battre pour défendre les libertés fondamentales des citoyens : le Syndicat Liberté Santé27, Bon sens,le Collectif des 300, des juristes français et lInternational Association of Lawyers for Human Rightset bien d’autres au travers le monde se sont déjà mobilisés.

De nombreux pays ont d’ailleurs déjà refusé de donner leur accord aux propositions autoritaires de l’OMS : dont plusieurs nations africaines avec l’Ouganda comme tête de file, mais aussi l’Iran, la Malaisie, l’Estonie, les Philippines et le Brésil28.

Le ministre britannique adjoint aux Affaires étrangères, Andrew Mitchell, a déclaré au Telegraph « qu’il bloquerait toute loi empêchant le Royaume-Uni d’établir sa propre politique de santé ».

Le Sénat de l’État de Louisiane a adopté à l’unanimité le projet de loi 133, une déclaration claire de souveraineté contre l’agenda de l’ONU, de l’OMS et du FEM.

« Aucune règle, réglementation, frais, taxe, politique ou mandat de quelque nature que ce soit de l’Organisation mondiale de la santé, des Nations Unies et du Forum économique mondial ne sera appliqué ou mis en œuvre par l’État de Louisiane ou par toute agence, département, conseil, commission, subdivision politique, entité gouvernementale de l’État, paroisse, municipalité ou toute autre entité politique ».

Informons nos élus pour qu’ils prennent conscience du problème et qu’ils persuadent notre gouvernement d’adopter une attitude semblable. La France ne peut pas abandonner le premier terme de sa devise : LIBERTÉ.

Lire ou écouter aussi :

Appel solennel de N. Farage ex-député européen Nigel Farage plaide pour que tout le monde dise non au Traité sur la pandémie de l’OMS :

« Il s’agit littéralement d’un traité mondialiste qui enlève le pouvoir à l’État-nation. Nous ne devrions pas verser d’argent à cette épouvantable organisation. »

« Là où le Professeur Perronne pourrait aller plus loin, c’est que c’est vrai pour l’environnement, pour les antibiotiques, c’est vrai pour tout !»

@DIVIZIO1

alerte sur l’élargissement considérable du champ d’action de l’OMS dans le cadre de son action #OneHealth. De la…

Et bien d’autres. Le combat est international. Poursuivons-le et nous le gagnerons !





Pérou : une nouvelle loi protège les droits de l’enfant à naître

[Source : droitdenaitre.org]

Par J.P. Mauro

Quelques mois après avoir modifié sa Constitution pour reconnaître que la vie commence dès le moment de la conception, le Pérou vient de mettre en place des protections pour la mère et l’enfant.

Les législateurs péruviens ont adopté un projet de loi visant à protéger les femmes enceintes et les enfants à naître à tous les stades de la grossesse. En outre, la législation est rédigée de manière à accorder une importance égale à la vie de la mère et de l’enfant.

Le projet de loi a ainsi été adopté par le Congrès péruvien par 87 voix pour, 18 contre et sept abstentions. Il est maintenant sur le bureau de la présidente Dina Boluarte, qui devrait le promulguer.

La loi obligera l’État et les institutions privées à offrir une protection spéciale, notamment une couverture médicale complète, aux femmes enceintes et à son bébé à tous les stades de la grossesse et du post-partum.

En outre, elle reconnaît les droits du père en lui accordant les mêmes avantages en matière de grossesse.

De plus, la loi empêchera l’utilisation du Code pénal péruvien pour faire valoir l’existence d’un droit à l’avortement dans le pays.

Carlos Polo, directeur du bureau Amérique latine de l’Institut de recherche sur la population, a déclaré à ACI Prensa qu’un arrêt de la Cour interaméricaine — a déterminé que la vie et la santé d’une mère enceinte ont plus de valeur que celles de l’enfant à naître. Cette affaire a été utilisée ces derniers mois pour soutenir que l’autorisation de l’avortement par le Code pénal dans les cas de protection de la vie ou de la santé de la mère peut justifier les « avortements thérapeutiques ».

La loi établit et reconnaît le droit des bébés à naître dans « un environnement sain, digne et sûr ».

Cette mesure constitue un grand pas en avant pour les défenseurs de la vie, à l’heure où certains pays inscrivent l’avortement dans leur constitution… Quel contraste !

Source : https://es.aleteia.org/2024/03/19/peru-congreso-aprueba-proyecto-de-ley-para-garantizar-los-derechos-del-feto/




De Gaulle et le référendum

Alors que le Conseil constitutionnel vient de rejeter le référendum d’initiative partagée (RIP) sur l’immigration, rappelons ce que disait le Général de Gaulle, dans son dernier entretien télévisé, le 10 avril 1969, sur sa conception du référendum :

« Pour un bon nombre de professionnels de la politique qui ne se résignent pas à voir le peuple exercer directement sa souveraineté par-dessus leur intermédiaire, et aussi pour certains juristes qui en sont restés au droit tel qu’il était à l’époque où cette pratique éminemment démocratique n’existait pas dans nos institutions, le référendum apparaît comme fâcheux et anormal. Et cela parce qu’il est la participation directe de chaque français aux décisions qui règlent le sort de la France.

En 1945, c’est malgré ces objecteurs que j’ai institué le référendum afin qu’il rouvre la porte à la démocratie, et qu’il devienne ensuite la sanction obligatoire de toute constitution.

En 1958, comme le danger public contraignait leurs habitudes, et foudroyait le régime des partis, ces opposants de principe et ces juristes engagés se sont, sur le moment, pliés à l’inévitable. J’ai alors établi la constitution nouvelle et l’ai proposé au pays par un référendum.

Mais dès lors que le référendum s’était imposé, d’abord comme le moyen éclatant de rétablir la république, après la Libération, et ensuite comme la source même de nos actuelles institutions, tout commandait de prévoir désormais comme un recours normal en matière constitutionnelle. Et de fait, l’actuelle constitution l’a prévu et d’une manière tellement explicite, qu’il est incroyable qu’on puisse le nier.

L’article 11, en tête de ceux qui fixent les pouvoirs du Président de la République, lui attribue le droit de soumettre au référendum, sur la proposition du gouvernement, tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics. Je répète et je souligne : tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics.

Or qu’est-ce que c’est qu’une constitution, sinon précisément l’organisation des pouvoirs publics ? Si bien que la loi constitutionnelle de 1875, d’où est sortie la République, était intitulée tout justement “loi sur l’organisation des pouvoirs publics”.

Par conséquent, ne pas admettre qu’on puisse proposer au pays un changement de la constitution, portant sur l’organisation des pouvoirs publics, c’est nier que ce qui est écrit est écrit.

C’est ne tenir aucun compte de l’évènement capital suivant lequel, depuis 1945, c’est le peuple qui détient directement le pouvoir constituant. C’est ne pas vouloir reconnaître ce qui a été décidé par 75 % des Français par leur vote.

C’est fermer les yeux sur le fait qu’étant moi-même le principal auteur de l’actuelle constitution, puisque c’est moi qui étais chargé de l’élaborer avec mon gouvernement et de la soumettre au pays, j’en ai arrêté et proposé le texte, parce que l’article 11 signifie ce qu’il signifie. Et je n’aurais certainement ni arrêté, ni proposé autrement.

Certes, il est de bon sens, quand il s’agit de modifications qui peuvent être apportées à la constitution, à cause de la marche du temps, comme c’est le cas pour tout ce qui est humain, il est de bon sens que la voie parlementaire soit ouverte à la révision, parallèlement à celle du référendum. Et c’est pourquoi l’article 89 de la constitution prévoit cette procédure.

Étant donné la nature de ce qui est en cause, et le changement de structure très important qu’il comporte, le mieux, de toute façon, c’est de le soumettre à la direction, à la décision directe du pays. Mais il se trouve, en outre, que le référendum est la seule voie possible. En effet, l’article 46 de la constitution interdit de procéder par la voie parlementaire à tout changement qui n’aurait pas la, concernant le sénat, et qui n’aurait pas l’accord du sénat. Cette voie-là est donc bouchée, et ça devrait suffire, me semble-t-il, à faire taire ceux qui prétendent qu’on ne peut pas utiliser l’article 11. Car adopter leur thèse, ce serait reconnaître au Sénat le privilège unique et sans précédent, d’être à son gré, de siècle en siècle, et quoiqu’il arrive, immuable et intangible.

La querelle qui m’était faite, en 1965, en 1962 veux-je dire, et qui m’est refaite aujourd’hui, quant à l’emploi de l’article 11, en matière constitutionnelle, est donc la mauvaise querelle des partis pris, et de la routine. Il est vrai que l’indignation apparente, qui, à la suite de la soi-disant violation de la constitution sur ce sujet, soulevait les opposants, n’a nullement empêché tel et tel de leurs principaux représentants de s’efforcer, en 1965, de devenir chef de l’État, en empruntant cette voie, qu’ils prétendaient maudite et illégitime. Alors, sans aller jusqu’à suspecter leur vertu, on s’interroge sur leur sincérité. »




L’armée peut-elle stopper la folie de Macron ?

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

Dans un contexte de tensions accrues tant sur le plan national qu’international, le général André Coustou, figure respectée de l’armée française à la retraite, prend la parole pour évaluer l’état actuel de la France sous la présidence de Emmanuel Macron. Alors que le monde a les yeux rivés sur des conflits tels que la guerre en Ukraine, impliquant des acteurs majeurs comme la Russie et l’OTAN, la situation interne en France soulève des questions cruciales sur la légitimité et la direction de son gouvernement.

Pourquoi un général à la retraite décide-t-il de s’exprimer maintenant ?

Cela reflète une inquiétude profonde concernant les ordres donnés à l’armée pendant les manifestations des Gilets Jaunes, où il a été rapporté que les soldats avaient reçu l’ordre de protéger des bâtiments clés tel que l’Élysée, en utilisant la force si nécessaire. Ces actions posent la question de l’utilisation de l’armée dans le maintien de l’ordre public et des droits civils en France.

Le régime de Macron est-il encore légitime ?

Emmanuel Macron fait face à se vives critiques sur la gestion des crises, notamment sa réponse aux attentats et au terrorisme, ainsi que sa politique étrangère avec des pays comme la Chine et Israël.

La position de la France dans la géopolitique mondiale, notamment sa relation avec les États-Unis sous la présidence de Joe Biden, et son rôle dans la guerre Ukraine-Russie, est également mise en lumière. La diplomatie française, sous la houlette de Macron, oscille entre coopération et confrontation, notamment en ce qui concerne les discussions sur l’OTAN et ses interactions avec des leaders tels que Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky.

La question brûlante que qui se doit d’être posée est de savoir si la France se trouve à une période pré-révolutionnaire. Les actions militaires internes, combinées à une politique de plus en plus contestée, pourraient-elles mener à un changement radical ?

Le témoignage du général Coustou nous invite à une réflexion urgente sur la situation actuelle de la France. Entre gestion interne de la sécurité et rôle sur la scène internationale, il est impératif que les citoyens et les dirigeants reconsidèrent les stratégies adoptées pour naviguer dans ce paysage complexe et interconnecté. Est-il temps pour un renouveau politique ?

Les mois à venir pourraient bien déterminer le cours de l’histoire française moderne.




Reiner Fuellmich, prisonnier politique ? 1re partie : un coup monté ?

[Source et illustration : bam.news]

Par KAro

Révélation fracassante au procès Fuellmich : il était ciblé par les services fédéraux allemands, qui avaient pour consigne d’infiltrer son entourage, de compromettre sa réputation et de coopérer avec le ministère public pour faciliter son inculpation. Analyse d’un document explosif qui pourrait tourner au scandale d’état !

C’est un véritable coup de théâtre qui a eu lieu mardi 2 avril, durant la 9e journée du procès contre Reiner Fuellmich1. L’un des trois avocats de la défense, Christof Miseré, a lu devant la cour un document top secret, provenant vraisemblablement du BKA, l’office fédéral de la police criminelle, ou du BNA, le service fédéral du renseignement intérieur. Il s’agit d’un dossier, ouvert en août 2021, qui révèle que la Sûreté nationale allemande avait mené une enquête approfondie sur les activités de Reiner Fuellmich, considéré comme une personnalité dangereuse du fait de son audience considérable2 et fiché en tant que menace pour la démocratie et la sécurité intérieure !

Nous reproduisons ici la traduction du document confidentiel (divisé en trois encadrés), obtenu par notre correspondante allemande, Kerstin Heusinger, présente au procès.

Date : 24 août 2021 / Auteur : B**

Objet : Analyse complète et recommandations concernant Reiner Fuellmich

Introduction :
Le B** a mené une enquête approfondie sur les activités de Reiner Fuellmich, une personne de plus en plus perçue comme une
menace potentielle pour la sécurité publique et l’ordre démocratique de la République fédérale d’Allemagne. En raison de ses déclarations publiques, de ses ambitions politiques et de la mobilisation d’un nombre significatif de partisans, une évaluation détaillée de ses actions et de l’influence qui en résulte sur le climat social est nécessaire.

Données factuelles :
Reiner Fuellmich a créé, par son rôle, une plate‑forme qui pourrait lui permettre d’exercer une influence considérable sur le tableau de l’opinion politique et sociale. Ses messages, qui présentent souvent des
tendances antidémocratiques et pourraient inciter à des troubles, exigent une réponse adéquate et ferme de la part des autorités de sécurité.

Analyse élargie :
Il y a de sérieuses raisons de craindre que les efforts de Reiner Fuellmich pour influencer les processus politiques ou obtenir une fonction politique de premier plan, puissent saper les fondements de notre société démocratique. Ses activités doivent non seulement être considérées comme potentiellement illégales, mais elles constituent également une
menace pour la sécurité intérieure. L’attribution ou la possibilité d’obtenir des fonctions politiques de premier plan doit être empêchée par tous les moyens légaux.

Étaient‑ce les projets politiques de Reiner Fuellmich qui représentaient une « menace » pour la Sûreté allemande, ou plus largement ses actions juridiques (Comité Corona, Grand Jury3) contre les instigateurs des mesures liberticides sous prétexte de « pandémie Covid » ?

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Détruire Fuellmich ou ses projets politiques ?

Fuellmich souhaitait en effet s’engager en politique et avait annoncé sa candidature aux élections fédérales, sur la liste du parti citoyen Die Basis, dont il est l’un des fondateurs. Cependant, si les documents de police identifient clairement l’avocat comme étant une menace, ils n’avancent aucune preuve de ses supposées « tendances antidémocratiques », ni d’un risque de trouble à l’ordre public ou de mise en danger du « processus démocratique ». Reiner Fuellmich ne défendait‑il pas justement des principes démocratiques tels que la liberté d’expression et la transparence ?

Recommandations :

1. Intensifier la surveillance :
Il est recommandé de
recruter et de faire appel à des personnes de confiance de l’entourage proche de Reiner Fuellmich. Cela doit permettre d’obtenir des informations plus approfondies sur les activités prévues, les structures des adeptes et les scénarios de menaces potentielles.

2. Incompatibilité politique et actions en justice :
Déclaration d’incompatibilité : une analyse devrait être effectuée afin d’évaluer la possibilité d’une
déclaration d’incompatibilité interdisant à Reiner Fuellmich d’exercer des fonctions politiques en raison de tendances antidémocratiques avérées.

3. Procédure pénale : L’introduction d’une procédure pénale sur la base des preuves collectées contre Reiner Fuellmich doit être préparée. Cela implique la coopération avec le ministère publique et la préparation d’inculpations en cas de violations avérées du droit. Le cas échéant, les constructions nécessaires doivent être évaluées et des acteurs tiers appropriés doivent être recrutés.

4. Communication publique et prévention :
Communication publique : Il est essentiel de mettre en place une stratégie de
sensibilisation du public aux risques et aux effets négatifs des actions de Reiner Fuellmich. L’objectif est de sensibiliser les gens et de lutter contre la désinformation.

Mesures préventives : La promotion de programmes de prévention de l’extrémisme ciblant les partisans de Reiner Fuellmich et la coopération avec les organisations de la société civile, sont des étapes importantes pour limiter son influence.

Une accumulation d’anomalies

À la lumière de ces recommandations, le procès pour abus de confiance, ouvert par le parquet de Göttingen contre Reiner Fuellmich se révèle sous un jour nouveau. Accusations incongrues, méthodes peu orthodoxes, procédures bancales ou radicales, flirtant avec les limites de la légalité : l’accumulation des anomalies qui émaillent cette affaire trouve un début d’explication.

En quoi consiste l’affaire Fuellmich ? Revenons rapidement sur les chefs d’accusation et la chronologie des faits. Justus Hoffmann et Antonia Fischer sont deux jeunes avocats allemands, membres fondateurs, avec Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, du Comité d’Enquête Corona, créé en 2020. Cependant, suite à des désaccords internes, les deux jeunes avocats décident, en août 2022, de déposer une plainte contre Fuellmich, en l’accusant d’avoir détourné une partie des dons reçus par le Comité Corona.

Fonds du Comité Corona, argent détourné ou sécurisé ?

Actuellement, un seul chef d’accusation est retenu contre Reiner Fuellmich par le parquet de Göttingen, sur les dix‑huit qui lui étaient initialement reprochés. Il concerne un emprunt d’un montant de 700 000 € effectué par Fuellmich, sur les fonds du Comité Corona. La défense de Reiner Fuellmich assure néanmoins avoir fourni à la justice tous les documents prouvant que Fuellmich avait rempli toutes les formalités nécessaires pour emprunter légalement l’argent, avec l’accord de Viviane Fischer. Argent qu’il s’était engagé à rembourser à l’issue de la vente imminente de sa maison en Allemagne. La défense explique également que Reiner et Viviane avaient voulu sécuriser les fonds du Comité Corona, en les répartissant sur différents comptes, car ils craignaient que le compte du Comité soit potentiellement menacé.

À cela s’ajoute toute une série de bizarreries dans la procédure judiciaire. Un premier dossier d’accusation aurait initialement été soumis à un procureur expérimenté du parquet de Göttingen et rejeté pour manque de substance dans l’accusation. Suite à cela, un jeune procureur, celui actuellement chargé de l’affaire, aurait été transféré du parquet de Hanovre. Il aurait alors repris l’affaire à son compte et engagé les poursuites officielles, débouchant sur un mandat d’arrêt contre Fuellmich émis au niveau fédéral puis européen en mars puis mai 2023.

Infiltration : quel rôle trouble joué par la police ?

Si on se réfère à la date du dossier monté par la Sûreté de l’État allemand, on constate qu’à l’époque de l’ouverture de la procédure contre Reiner Fuellmich, la consigne des services de police était de faciliter une procédure pénale en coopérant avec le ministère public afin d’aboutir à une inculpation. Alors, le procès contre Fuellmich est‑il la conséquence de graves malversations ? Est‑ce le résultat de ressentiments accumulés par les membres du Comité restés dans l’ombre ? Ou bien est‑ce avant tout le fruit de l’ingérence d’agents infiltrés dans l’entourage de Reiner Fuellmich, avec pour mission de recruter des « tiers appropriés », instrumentalisés pour lancer des accusations et demander l’arrestation de la figure de proue du Comité Corona ?

Un plaignant qui manque d’assurance

On remarque en effet d’étranges réticences ou craintes de la part de Justus Hoffmann qui, selon nos informateurs allemands, aurait accepté de déposer plainte à la condition que Reiner Fuellmich n’ait pas la possibilité de s’exprimer publiquement avant le début du procès. Il avait également réclamé un procès à huis clos, rejeté par le tribunal.

Cela explique cependant pourquoi Reiner Fuellmich, qui résidait alors au Mexique, ne fut informé ni de la plainte déposée contre lui, ni des mandats d’arrêt lancés à son encontre. Quel fut le rôle de la Sûreté de l’État dans les conditions rocambolesques de l’interpellation de l’avocat à Tijuana, en l’absence de tout mandat d’arrêt international ?

Un kidnapping sur le sol mexicain ?

Suite à la perte de son passeport, Reiner Fuellmich fut convoqué à l’ambassade d’Allemagne le 11 octobre 2023, pour récupérer un nouveau passeport. C’est là qu’il fut interpellé illégalement et escorté dans un avion à destination de l’Allemagne pour qu’il puisse être arrêté, cette fois légalement, aussitôt le pied posé sur le sol allemand.

Depuis, Fuellmich est incarcéré à la prison de haute sécurité de Rosdorf dans des conditions qui semblent disproportionnées par rapport aux faits reprochés. Ses demandes de liberté conditionnelle, dans l’attente d’un verdict, ont systématiquement été rejetées. Justification de l’objection : un risque élevé de fuite à l’étranger.

Il est important de noter que la quatrième membre du Comité Corona, Viviane Fischer, n’a pas été autorisée à se joindre aux plaignants, malgré deux demandes successives. Est‑ce parce qu’elle a, tout comme Reiner, emprunté de l’argent au Comité Corona, mais sans pour autant être inquiétée par la justice ?

Piège, vengeance, ou succession de malentendus ?

Dernier élément important du dossier : l’argent qu’on reproche à Reiner d’avoir détourné n’est plus en sa possession. Il est cependant accusé de ne pas l’avoir remboursé suite à la vente de sa propriété (ce qui était prévu par le contrat). C’est, là encore, la conséquence d’invraisemblables anomalies de procédure. Parmi les plaignants contre Reiner Fuellmich figure un cinquième avocat, Marcel Templin. Il avait été mandaté par Fuellmich, dans le cadre de la préparation d’une série de Class Actions, pour recueillir les mandats et dépôts de fonds de ceux qui souhaitaient rejoindre des procédures collectives internationales. Cependant, suite à des irrégularités dans la protection des données, Fuellmich avait dessaisi le cabinet Templin du dossier et s’était vu confier la grande majorité des mandats en direct.

Marcel Templin est néanmoins parvenu à faire ajouter une demande de recouvrement de créance dans la vente de la propriété de Reiner Fuellmich, estimant qu’avec les intérêts, un montant de 1,15 million d’euros lui était dû. Cela entraîna le versement de la quasi‑totalité du montant de la vente immobilière directement sur le compte de Marcel Templin, laissant Reiner dans l’impossibilité de rembourser le Comité Corona et justifiant ainsi les poursuites contre lui. Piège et timing imparables. Intentionnels ou pas ?

Des révélations qui mettent en cause l’impartialité de la justice

Revenons aux conséquences du dossier de police sur Reiner Fuellmich, lu par son avocat, devant le tribunal. Face à des juges devenus livides et un procureur ne parvenant pas à retenir un petit rire nerveux, l’avocat de Reiner réclama la suspension du procès, estimant que la neutralité de la justice ne pouvait pas être garantie. Il annonça également son intention de déposer plusieurs plaintes. Sa demande de suspension fut cependant rejetée par les juges, qui nièrent avoir eu connaissance d’un fichage de l’accusé et des procédures préconisées par la police. Le procès Fuellmich se poursuivra donc comme prévu. Les prochaines séances sont planifiées les 19 et 24 avril 2024.

Note :
Les activités de Reiner Fuellmich constituent un défi complexe pour les services de sécurité, défi qui nécessite
une réponse coordonnée et multidimensionnelle. La mise en œuvre des mesures recommandées doit contribuer à mettre fin à sa viabilité politique et à protéger la sécurité et les valeurs démocratiques de la République fédérale d’Allemagne.

Qui a peur de Reiner Fuellmich ?

En quoi a donc consisté la réponse « multidimensionnelle » déployée par les autorités fédérales allemandes pour neutraliser Reiner Fuellmich ? Comment est‑il possible, au nom d’une sauvegarde de la « démocratie », de ruiner impunément la carrière et la vie d’un individu dont le seul « crime » est d’avoir défendu les droits de l’homme et les libertés fondamentales, attaqués depuis la « pandémie » ? On remarque aussi, dans ce dossier, une référence à la nécessité de « lutter contre la désinformation » que Reiner Fuellmich est accusé de propager. Lutter contre la désinformation, c’est la rengaine reprise en chœur par de nombreux gouvernements et par la Commission européenne, qui justifie la multiplication des lois liberticides, telles que le DSA (Digital Service Act).

[Voir aussi :
Censure Internet européenne en marche avec le Digital Services Act]

Mais qui les services de police cherchent‑ils réellement à protéger ? La population, jugée incapable de se faire, par elle‑même, une opinion argumentée ? Ou des dirigeants qui méprisent leurs citoyens autant qu’il les craignent ?

KAro pour BAM ! — avec Kerstin

À SUIVRE :

– Les temps forts du procès Fuellmich, par la correspondante de BAM au tribunal de Göttingen, Kerstin Heusinger.

– Les conditions de détention choquantes de Reiner Fuellmich, dans un reportage de notre correspondante.


1 Reiner Fuellmich est un avocat inscrit au barreau allemand et californien, spécialisé dans la défense des consommateurs, avec des victoires remarquées contre des multinationales, telles Deutsche Bank, Volkswagen, Kuehne+Nagel.

2 Depuis juillet 2020, il est une figure emblématique de la résistance mondiale à la « plandémie ». Il est le fondateur avec Viviane Fischer du Comité d’Enquête Corona et du Grand Jury – Tribunal populaire de l’opinion publique, destinés à révéler la vérité sur la crise Covid et sur ses fondements totalitaires. Les auditions, retransmises en direct, de plus de 150 experts internationaux ont notamment permis d’étayer la culpabilité de responsables tels qu’Anthony Fauci, Bill Gates, ou Tedros Ghebreyesus, directeur de l’OMS…

3 Depuis juillet 2020, il est une figure emblématique de la résistance mondiale à la « plandémie ». Il est le fondateur avec Viviane Fischer du Comité d’Enquête Corona et du Grand Jury – Tribunal populaire de l’opinion publique, destinés à révéler la vérité sur la crise Covid et sur ses fondements totalitaires. Les auditions, retransmises en direct, de plus de 150 experts internationaux ont notamment permis d’étayer la culpabilité de responsables tels qu’Anthony Fauci, Bill Gates, ou Tedros Ghebreyesus, directeur de l’OMS…




Au Canada, un nouveau projet de loi promet d’étouffer la liberté d’expression en prétendant punir des crimes non encore commis

[Source : reinformation.tv]

Par Clémentine Jallais

Parmi les pays occidentaux, le Canada fonctionne un peu comme une boule de cristal. Écoutez ce qu’il dit, voyez ce qu’il fait et vous aurez une petite idée de ce qui risque de vous arriver prochainement… La loi présentée le 24 février dernier est à analyser gravement. Elle consiste à mettre en œuvre un puissant régime de censure, indépendant du Parlement, qui signifierait la fin de la liberté d’expression au Canada. Si elle passe, Justin Trudeau aura réussi à faire advenir un nouveau type d’État totalitaire woke.

Alors bien sûr, elle affiche la visée de protéger les enfants contre les abus en ligne, à stopper la propagation du terrorisme extrême et du génocide, mais, dans les faits (serait-ce même sa seule intention ?), elle qualifie de « crime » une opinion contradictoire et introduit de nouvelles dispositions qui révolutionnent le droit. Et puis quand on lit par ailleurs que Trudeau vient de rejeter la possibilité de vérifier l’âge pour les sites pornographiques, l’argumentaire de la protection de l’enfance fait doucement rigoler — il y a bien autre chose.

[Voir aussi :
Novolangue et pré-crime : la loi C-63 au Canada]

« Créer un espace en ligne plus sûr et plus inclusif » — et parfaitement totalitaire

À la base, le projet de loi C-63 a donc été présenté comme un moyen de promouvoir la sécurité en ligne des personnes au Canada et d’y réduire les contenus préjudiciables, en imposant notamment certaines obligations aux plates-formes de médias sociaux. Comme le faisait remarquer le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), c’est bien beau de vouloir supprimer la vengeance pornographique, le partage non consensuel d’images intimes, les contenus qui intimident les enfants ou qui les victimisent sexuellement : mais il y a déjà des lois pour ça.

Pourquoi cette duplication inutile du Code criminel ? Il faut chercher plus loin, dans cet article 13, dont une proposition antérieure avait déjà soulevé des problèmes constitutionnels, et ses fameux discours dits de haine :

« Quiconque commet une infraction à la présente loi ou à toute autre loi fédérale, si la commission de l’infraction est motivée par la haine fondée sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, un handicap mental ou physique, un handicap sexuel, l’orientation sexuelle, l’identité ou l’expression de genre est coupable d’un acte criminel et passible de l’emprisonnement à perpétuité. »

La haine, vue comme une « émotion qui implique la détestation ou la diffamation » pourrait donc emmener en prison tout Canadien qui posterait en ligne, motivé par elle, un contenu préjudiciable.

À cet effet seront créées trois nouvelles entités juridiques sur la sécurité numérique qui réglementeront presque toute personne ou entité opérant comme un « service de médias sociaux » au Canada. Elles pourront établir de nouveaux règlements, sans qu’ils aient besoin d’être débattus, votés ou approuvés par le Parlement, sans donc aucune consultation, ni débat public. Et surtout, la Commission canadienne des droits de la personne aura des pouvoirs supplémentaires pour enquêter sur toutes les plaintes de « discours haineux en ligne » et punir le cas échéant.

Comment, par une loi, plumer tous les Canadiens qui s’opposent à l’orthodoxie progressiste

Faut-il une victime ? Pas nécessairement ! Comme le note le JCCF, « aucune victime réelle n’est requise pour que la Commission canadienne des droits de la personne déclare coupable ou impose des sanctions ». Mais, en revanche, tout le monde peut se déclarer victime, du moment qu’on se sent offensé par une prétendue « haine »… Les accusations anonymes et les témoignages secrets sont également autorisés ! Pour transposer en France, un homme de Poitiers pourra porter plainte contre une femme de Lyon qui a fait des remarques désobligeantes en ligne à propos d’une mosquée de Toulon, sans révéler même son identité. On imagine les abus potentiels.

Dans un processus juridique opaque, le citoyen perdra ainsi le droit ancien et bien fondé de faire face à son accusateur et de pouvoir l’interroger. Sous prétexte que certains plaignants pourraient être soumis à « des menaces, des intimidations ou des discriminations », on les dédouane de toute responsabilité, élément inhérent et nécessaire des procédures judiciaires pénales et civiles comme le rappelait le JCCF.

Mieux, on leur propose de l’argent ! Si, à l’issue d’une enquête, le tribunal se prononce contre vous pour pratique discriminatoire haineuse, vous pouvez être condamné à payer jusqu’à 50 000 dollars canadiens au gouvernement et jusqu’à 20 000 dollars à chaque personne désignée comme « victime »… Et il n’y a pas de limite au nombre de plaintes qui peuvent être déposées (hormis la sanction pécuniaire qui ne pourra pas dépasser 6 % du revenu brut global de la personne… on est rassuré !).

Le fait de prôner ou de fomenter le génocide est le discours de haine le plus sévèrement puni, puisqu’il est désormais passible de l’emprisonnement à perpétuité (contre 5 ans actuellement), soit une peine maximale plus longue que pour quelqu’un qui viole un enfant… Les autres risquent « seulement » entre 2 et 5 ans de prison.

Cerise sur le gâteau, il semble que tout cela s’applique de manière rétroactive, ce qui signifie qu’une personne peut être traduite devant le Tribunal pour tout document publié en ligne, quelle que soit sa date de publication.

La criminalisation de l’opinion serait effective au Canada

Le pire est encore à venir. D’aucuns se souviennent du film Minority Report où Tom Cruise recherchait et coffrait les « futurs » criminels, avant même qu’ils ne commettent les crimes dont on avait estimé qu’ils pourraient en être les auteurs. Le projet de loi propose justement d’accorder aux juges le pouvoir d’assigner une personne à résidence pendant 12 mois, s’ils craignent, après dénonciation d’autrui, qu’elle ne soit susceptible de se livrer à une « conduite haineuse »…

Sans qu’elle n’ait rien commis, la personne devra « porter un dispositif de surveillance électronique », « retourner et demeurer à son lieu de résidence à des heures précisées », et « s’abstenir de consommer des drogues… de l’alcool »… qui pourraient libérer son venin ! Le non-respect de ces restrictions entraînerait une peine de prison pouvant aller jusqu’à deux ans de prison.

Comme le notait le JCCF, c’est une rupture radicale avec des siècles de tradition de common law : « Le respect que notre système juridique accorde aux droits et libertés individuels signifie qu’un accusé est présumé innocent jusqu’à ce qu’il soit prouvé coupable au terme d’un procès équitable, tenu devant un tribunal indépendant et impartial. » Désormais, on punira parce qu’on présuppose ! Ce serait sans doute la première occurrence d’une telle billevesée dans un pays dit démocratique.

Rendre coupables de crimes les tenants de la liberté d’expression

Avec quelle facilité, muni d’une telle loi, un gouvernement pourrait faire taire toute dissidence d’opinion… retirant les mots de la bouche, les billets des poches et la marche des pieds… Le courage se paiera cher. Et comment le ministre de la Justice canadien a-t-il qualifié ce projet de loi typiquement orwellien ? D’« engagement pour la paix »… La paix grinçante des dictatures où rien se ne passe, ni ne se pense trop fort qui ne soit dirigé ou permis. Gageons que le Premier ministre Justin Trudeau apprécierait ce nouvel outil, lui, le fervent admirateur du régime communiste chinois et fan du communiste cubain, Fidel Castro, comme le rappelait The New American.

Ainsi, beaucoup d’accusés seront les vraies victimes de la Haine. Assujettis à la dénonciation de leurs comparses et à l’avis idéologique de bureaucrates non élus, ils seront les jouets de la pensée de groupe, celle du wokisme. Que deviendront le psychologue Jordan Peterson, ou la féministe critique du genre Meghan Murphy ? Il suffira d’un signe, un matin, et leur carrière, leur influence pourraient prendre fin. Et c’est sans parler de tout le mouvement pro-vie et pro-famille. En France, avec le délit d’apologie et de contestation non publique de crime contre l’humanité, voté par les députés le 6 mars, nous sentons les mêmes frémissements. Comme en Irlande, où Elon Musk a promis de s’opposer à la future loi sur la haine en ligne…




Le Royaume-Uni dépense des dizaines de millions pour la recherche sur les homosexuels

[Source : europeanconservative.com]

[Illustration : Rishi Sunak
Photo : Paul ELLIS/POOL/AFP]

Un article sur « L’Europe que le porno gay a construite » a reçu près d’un million d’euros.

Par Michael Curzon—3 avril 2024

Les Britanniques qui luttent contre la crise du coût de la vie pourraient avoir du mal à comprendre pourquoi plus de 750 000 livres sterling (880 000 euros) de l’argent des contribuables ont été attribuées à un document de recherche universitaire sur « Les bandes dessinées et la race en Amérique latine ». Mais il ne s’agit là que de la partie émergée de l’iceberg.

Les médias britanniques commencent à s’intéresser à la façon dont des « dizaines de millions de livres » sont allouées à ce que Patrick Christys, de GB News, a qualifié de « recherche universitaire inutile ». Un projet sur « L’Europe que le porno gay a construite » a été particulièrement critiqué, mais seulement après avoir reçu 841 830 livres sterling (981 000 euros), encore une fois de l’argent des contribuables.

Le financement a été accordé par l’organisme non ministériel UK Research and Innovation (UKRI) du gouvernement britannique. Les ministres du parti conservateur l’autorisent à investir chaque année 8 milliards de livres (9,33 milliards d’euros) de l’argent des contribuables.

La journaliste Charlotte Gill, qui a passé ces dernières semaines à faire des recherches dans ce domaine, a découvert que les titres de recherche suivants avaient reçu des sommes particulièrement importantes :

Pendant ce temps, de prétendus conservateurs préconisent de tuer les personnes âgées et infirmes afin de faire économiser de l’argent à l’État.

La liste complète de Gill est disponible ici. Le partage des titres a rapidement incité de nombreux membres de la gauche en ligne à lui reprocher de « susciter encore plus d’absurdités liées à la guerre culturelle ». Richard Bentall, professeur de psychologie à l’université de Sheffield, a même comparé son travail à celui des nazis et des staliniens, qui « essayaient de dicter quel type de science était acceptable ».

Réagissant aux réactions, Gill a écrit : « Réfléchissez à ce que je fais. Je copie et colle des études que le contribuable a financées, avec quelques commentaires. Ensuite, regardez le vitriol. Ce n’est pas normal.

Les universitaires sur Twitter disent que ces études sont “réellement” brillantes. Mais ils sont également apoplectiques à l’idée qu’elles aient été partagées. »

Joanna Williams, auteur d’un livre intitulé How Woke Won, a récemment déclaré au Daily Telegraph que « l’UKRI devrait utiliser l’argent des contribuables pour financer la recherche universitaire, et non l’activisme politique ». L’organisme lui-même a répondu aux critiques en insistant sur le fait que « les décisions de financement [étaient] prises à l’issue d’un examen rigoureux par des experts indépendants issus du monde universitaire et des affaires », ce qui soulève d’autres questions quant à la composition politique des groupes d’examen par les pairs.

Michael Curzon est rédacteur pour The European Conservative, basé dans les Midlands en Angleterre. Il est également rédacteur en chef de Bournbrook Magazine, qu’il a fondé en 2019, et a précédemment écrit pour l’Express Online de Londres. Son compte Twitter est @MichaelWCurzon.




Asseli qui ?

[Source : @campagnoltvl]

[Le meilleur candidats aux élections européennes pour emm… Macron ?]



La suite :






L’Humanité vampirisée

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam

Chers amis,

Après moult cyberpéripéties, nous nous sommes décidés quand même à diffuser cet ouvrage qui déchaîne la fureur du système. Ne me demandez pas pourquoi. Je ne saurais vous répondre.

Ce que je peux supposer, c’est que dans un monde régi par les systèmes de l’Information, que j’ai baptisés système d’info-bit, les discours contrariants ne sont pas les bienvenus. Si vous ajoutez de surcroît le fait que cet ouvrage est le 3e d’une trilogie qui tente de « déplomber » le concept qui a servi à construire le Nouveau Monde, on commence à comprendre que le coup de projecteur pourrait être considéré comme trop cru, en cette veille de finalisation de l’Accord de l’OMS en matière de futures pandémies.

Ce Traité est vital pour les modélisateurs de la nouvelle société. L’enjeu final, selon les technologies étudiées dans cet ouvrage (NBIC), serait le transhumanisme, et partant la cyborgisation [transformation en cyborg — NDLR] de l’humanité.

À l’issue de l’étude des deux premiers tomes, nous avions conclu que le modèle du Nouveau Monde relevait de la mutation de la planète en une corporation unique, de structure complexe, systémique et transversale, traversée par des myriades de processus et d’interactions.

En 2019, avec Coup d’État planétaire, nous avions annoncé avant l’heure un RESET qui devait révolutionner la société.

Avec le 3e tome, je me suis rendu compte avec stupéfaction que l’organisation unique s’appuyait sur des croyances spirituelles. L’athéisme avait servi à se débarrasser des grandes religions monothéistes. Il s’est avéré que le projet des architectes du nouveau monde était fortement cadré par une techno-religion.

Les cyberprophètes, qui défilent depuis plus d’un siècle, font référence à des croyances qui vont du Christ cosmique ou universel à la Singularité technologique. Si les mots changent, l’idée directrice reste sensiblement la même. Ces personnages croient dans la convergence de l’Humanité avec la technologie jusqu’à une fusion totale des entités. À ce moment-là devrait émerger une superpuissance divinisée qui devrait régler les problèmes « techniques » de la mort, et offrir la vie éternelle…

Cette convergence devrait s’appuyer sur un concept babélien, dont la technologie appelée blockchain promet un chaînage des blocs. Or l’humain, selon le concept, ne pourrait plus agir hors de ce système. Connecté jour et nuit, le Vivant deviendrait élément constitutif de la structure elle-même. Un redoutable techno-esclavage serait alors incontournable.

Tout ce qui précède a fait poindre l’image d’une CyberBabel… Extrait :

Nous avons, par exemple, découvert une référence à Babel faite par l’historien Michel Faucheux quand il traite de la Conférence de Macy lors de laquelle la cybernétique de Norbert Wiener aurait vu le jour :

« Ainsi, la machine cybernétique marie le mythe du rachat à celui de la langue originelle d’avant Babel, lorsqu’elle promeut l’avènement d’un nouveau langage nommé communication qui permettra de refonder le savoir, de forger un nouveau Verbe (ce qui est un nouvel emprunt mythique), car sera franchi “le golfe séparant les sciences naturelles et les sciences sociales” ».

En schématisant, nous pourrions dire que nous avons dans ce tome une double structure qui s’enchevêtre pour créer une œuvre babélienne d’un genre techno-scientifique. Il est question de la construction d’une machine informationnelle cybernétique et numérique, qui tend à prendre en charge l’ensemble des données issues des interactions, des échanges et autres activités qui ont lieu n’importe où sur la terre,
provenant de n’importe quel vivant ou objet. Toutes les informations ayant vocation à être captées dans le but d’arriver à terme à anticiper et prédire les événements tel que Dieu pourrait le faire. Nous imaginons que pour y arriver, il faudrait modifier l’environnement de la terre, de la biosphère, voire plus. Comment ? En artificialisant le tout pour le connecter aux serveurs de Planète finance.

In fine, la machine devrait s’humaniser et l’humain se mécaniser…

Avec l’achèvement de cet ouvrage, j’aurais tenté de vous offrir, si possible avec anticipation, quelques contours du techno-monde en cours de finalisation. (Par chance, nous démontrons dans le livre que tout n’est pas si idyllique que ce qui est présenté par TF1/RTS).

Au vu des ennuis qui se sont présentés, dès lors que j’ai dû travailler sur des appareils connectés, je mets en accès libre le manuscrit. Je vous laisse le soin, si vous le souhaitez, de faire bon usage de toutes ces informations.

De mon côté, je vais prendre un peu de recul, car une personne de ma famille a été mise en danger, il y a quelques jours, via une cyberattaque (y compris menaces de mort, référence à son enfant, etc.) émise depuis mon compte Telegram, en pleine nuit (entre minuit et 2 heures du matin ! Trace laissée sur ma page, autrement je n’aurais pas cru la personne). Soit au moment où mon ordi était déconnecté et débranché. Le personnage avait même poussé le vice jusqu’à reprendre ma voix.

Voilà, j’ai tenu ma promesse de mener cet ouvrage à son terme. Ma mission et ma responsabilité s’arrêtent là. La suite appartient au public.

Avec mes chaleureuses pensées.

LHK

Pour l’instant, il est disponible en version papier ici :

Manuscrit à disposition. Les règles de respect de la propriété intellectuelle restent requises.

Cliquer pour accéder à l_humanite_vampirisee-Fichier-internet.pdf

Si vous souhaitez contribuer à cette production, vous pouvez soutenir les familles libanaises (plus d’une cinquantaine) dont nous nous chargeons à l’année.

Coordonnées bancaires des Sarments de Lavaux

Compte en franc suisse
Banque Cantonal du Valais
Avenue de la Gare
CH-3963 Crans-Montana
Compte CHF : IBAN : CH 32 0076 5001 0264 1000 2
Compte Euros : IBAN : CH 95 0076 5001 0539 9110 9
Paiement par Stripe est aussi possible en CHF
https://sarmentsdelavaux.org/comment-nous-rejoindre/

NB Si vous optez pour le virement bancaire, prière de bien contrôler que vous avez inscrit votre nom, le nom de l’association, ainsi que le IBAN.




France — Un général rejoint la liste Frexit d’Asselineau

[Source : UPR]

Le Général Henri Roure (2S) sera en 3e position sur la liste ASSELINEAU-UPR-FREXIT

Officier-général issu des troupes de Marine, Saint-Cyrien, breveté de l’École Supérieure de Guerre, le Général Henri Roure est Docteur d’État en Science Politique. Présent sur la liste de Dupont-Aignan et Debout la France pour les élections européennes de 2019, il a décidé de rallier la liste ASSELINEAU-UPR-FREXIT pour les européennes de 2024, où il occupera la 3e place.





Éducation à la sexualité : « Les parents ? On se fiche bien de leur avis ! »

[Source : Nexus]

C’est maintenant chose acquise pour le gouvernement. Le 5 mars 2024, le Conseil supérieur des programmes, instance dépendante de l’Éducation nationale, a dévoilé son projet qui tient en 65 pages. Ce projet, qui va concerner dès la rentrée de septembre 2024 la totalité des élèves de la maternelle à la terminale, portera sur l’éducation à la sexualité. Pour SOS Éducation et pour l’association Les Mamans Louves, « parler de sexualité trop tôt à un enfant, c’est prendre le risque d’entraver son développement, de provoquer un choc traumatique ».





« … quand vous vous apercevez que l’État providence, la mère patrie vous a trahis… »




L’OTAN et l’hegemon anglo-saxon

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Depuis l’effondrement du bloc soviétique, l’expansion du couple anglo-américain est sans pitié.

Cette interview de Jacques Hogard est importante, car elle n’est pas seulement une analyse “extérieure” aux faits. Elle repose largement sur l’expérience personnelle de cet officier qui fut aux premières loges de la première guerre de l’OTAN en Europe dans l’ère post-soviétique.

De cette interview détaillée, on peut retenir plusieurs points essentiels :

  • le rôle cynique des Anglo-Saxons dans le génocide au Rwanda
  • le suivisme français vis-à-vis de l’OTAN dans l’affaire du Kosovo
  • les dégâts causés dans nos relations historiques par cet alignement sur la stratégie américaine
  • les “affaires” qui entachent notre image, comme le silence gênant de Bernard Kouchner au Kosovo face aux trafics d’organe
  • le resserrement progressif, mais constant, de l’étau otanien autour de la Russie
  • le constat, partagé par de nombreux officiers généraux, des déséquilibres personnels d’Emmanuel Macron



Les États-Unis ont ravagé l’Occident

[Source : Chaîne officielle TVL]

Dans son dernier ouvrage « Dieu n’a pas béni l’Amérique » publié aux éditions Sigest, le général issu des troupes de marine Henri Roure livre un constat implacable sur l’obsession hégémonique des États-Unis. Il revient sur ces techniques bien rodées pour s’imposer au monde, depuis ce « charcutage géographique » qui façonne les frontières à la prédation territoriale à l’œuvre en Ukraine avec BlackRock.

Dans un texte précis et efficace, le général Henri Roure décrit les outils de domination mis en place par Washington, depuis l’omniprésence du dollar et de la langue anglaise, à l’extra-territorialité du droit américain en passant par des agents d’influence répartis partout sur le globe, à l’image des 800 bases militaires. Le Forum de Davos, la Trilatérale, Bilderberg, l’Open Society, le Dolder Group, mais aussi la CIA et bien d’autres officines sont à pied d’œuvre pour imposer leurs intérêts. Des intérêts qui, bien que dictés depuis Washington, sont loin de servir la population américaine, laquelle subit un déclassement économique, social, sécuritaire et sanitaire depuis des années, au point de pousser les États-Unis vers un déclin qui pourrait entraîner définitivement notre pays, dépourvu de sa souveraineté par la trahison de ses élites.


[Source : Dialogue Franco-Russe]

0:01:00 Les Etats-Unis, c’est une hégémonie
0:02:39 Nous allons gagner la guerre contre les Etats-Unis
0:03:22 La fin de l’URSS était une catastrophe
0:04:23 Calvinisme/ protestantisme ou une destinée manifeste des Etats-Unis
0:05:40 Le racisme contre les amérindiens
0:18:12 WASP
0:09:00 Le nouveau peuple élu
0:13:14 La nation française
0:14:05 L’expansion des Etats-Unis était inévitable
0:15:00 Alaska
0:15:30 Le Groenland et l’Islande
0:17:00 La doctrine de Monroe
0:18:20 Robert Knox et Halford John Mackinder
0:20:59 Projet for the new american century ( Robert Kagan, Dick Cheney)
0:22:14 Paul Wolfowitz
0:23:19 George Soros et Klaus Schwab
0:25:25 Jean Monnet et Robert Schuman
0:26:56 Le groupe Bilderberg
0:28:00 Noam Chomsky
0:29:50 La monnaie et l’armée
0:33:10 Le plan Marshall
0:34:33 Les lois extraterritoriales américaines
0:35:35 La guerre est un formidable outil de développement
0:37:30 Les américains n’ont gagné aucune guerre
0:39:59 Les américains vont quitter l’Ukraine
0:43:30 Roosevelt a proposé la création de l’Etat  »Wallonia » en 1943
0:44:36 Révolutions de couleur
0:46:05 L’accord Quincy
0:46:57 La fin de guerre de Japon
0:49:40 L’affaire Mistral
0:51:37 Gorbatchev et James Baker
0:52:36 L’Ukraine
0:56:13 La CIA ont 800 bases dans le monde
0:58:26 Von Braun ( futur NASA)
1:03:02 Alstom, Exxelia
1:06:05 Le contrôle des arts
1:09:52 L’Amérique est malade
1:15:34 Taiwan. » L’Ukraine, c’est plié »
1:21:24 La civilisation occidentale




Ukraine : comment, depuis 2014, la CIA a formé et équipé les agents de Kiev

[Illustration : Le sceau de la Central Intelligence Agency (CIA), dans le hall du siège de l’agence à Langley, en Virginie, le 14 août 2008.]

[Source : francais.rt.com]

Une enquête du New York Times a levé le voile sur la collaboration, post-Maïdan, entre la CIA et les services ukrainiens. Un soutien qui, au-delà d’un réseau de bases « secrètes » établi à la frontière russe, a également permis aux Ukrainiens de mener des opérations clandestines en Russie avant l’éclatement du conflit.

« Un secret jalousement gardé depuis une décennie » ébruité ? Dans une enquête basée sur « 200 entretiens », publiée le 26 février, le New York Times (NYT) vient mettre plus en lumière la coopération de longue date entre la CIA et le renseignement ukrainien, notamment comment Langley aurait « supporté un réseau de bases d’espionnage » au cours des huit dernières années et qui « comprend 12 lieux secrets le long de la frontière russe ».

La CIA a également, « vers 2016 », souligne le quotidien, « commencé à former un commando d’élite ukrainien, connu sous le nom d’Unité 2245 ». L’agence américaine « a également aidé à former une nouvelle génération d’espions ukrainiens qui ont opéré en Russie, en Europe, à Cuba et dans d’autres endroits où les Russes sont très présents », toujours selon le NYT.

Collaboration qui, selon la même source, aurait débuté dès le 24 février 2014, soit au lendemain du coup d’État pro-occidental de Maïdan. Au bout de dix ans, « cela a transformé l’Ukraine […] en l’un des partenaires de renseignement les plus importants de Washington contre le Kremlin aujourd’hui », stipule le média américain.

Des Ukrainiens « impatients » face aux « lignes rouges » de Washington

Si jusqu’à l’éclatement du conflit en février 2022, la CIA n’aurait pas aidé les Ukrainiens à commettre des assassinats dans le Donbass ainsi qu’en Russie, les éléments qu’elle a formés ne s’en sont pas privés. Les Ukrainiens se seraient en effet, selon le NYT, montrés « impatients » face aux « lignes rouges » américaines « qu’ils considéraient comme une prudence excessive »

Le média américain revient notamment sur l’assassinat en octobre 2016 d’Arséni Pavlov, dit « Motorola », colonel du bataillon Sparta. Opération ukrainienne qui aurait provoqué la colère de « certains conseillers » de Barack Obama, relate le quotidien, avant d’ajouter : « L’élection présidentielle opposant Donald Trump à Hillary Clinton était dans trois semaines — et les assassinats se sont poursuivis. »

En février 2017, ce fut au tour de Mikhaïl Tolstykh, alias « Givi », commandant du bataillon Somalia, d’être tué par les services ukrainiens. En réponse, les Russes auraient fait exploser la voiture du chef de l’unité 2245, Maksim Shapoval, au mois de juin suivant, alors qu’il « se rendait à Kiev pour rencontrer des officiers de la CIA », toujours selon le NYT. « À la veillée funéraire du colonel, l’ambassadrice américaine en Ukraine, Marie Yovanovitch, se tenait en deuil aux côtés du chef de station de la CIA », relate-t-il.

Des assassinats considérés comme gênants par la Maison-Blanche

Le quotidien américain revient également sur un épisode auquel a pris part l’actuel chef du renseignement militaire ukrainien, le général Kirill Boudanov, « étoile montante de l’Unité 2245 » que la CIA « avait formé ». Sans préciser de date précise, ce dernier aurait ainsi mené « des commandos » en Crimée en 2016 afin de « placer des explosifs » sur un aérodrome de la péninsule où étaient stationnés des « hélicoptères d’attaque » russes. La mission fut un échec, et des soldats russes furent tués. Cet événement aurait provoqué la « colère » de Vladimir Poutine, assure le New York Times. « Il ne fait aucun doute que nous ne laisserons pas passer ces choses », avait alors assuré le président russe. 

Une description qui semble faire directement référence à une série d’événements survenus début août 2016, au cours desquels un agent du Service fédéral de sécurité (FSB) et un soldat russe avaient été tués. Le FSB avait notamment indiqué que le groupe avait en sa possession une vingtaine d’engins artisanaux, équivalents à plus de 40 kilos de TNT. Des affirmations russes reléguées dans la catégorie « allégations » par une partie de la presse occidentale, reprenant les démentis ukrainiens et qualifiant les propos de Vladimir Poutine de « belliqueux ».

Un fiasco ukrainien qui avait également agacé côté américain, selon le New York Times, notamment Joe Biden, le « défenseur de l’aide à l’Ukraine ». « Cela pose un problème gigantesque », se serait emporté le vice-président de Barack Obama auprès du président ukrainien Petro Porochenko, arguant du fait qu’il serait dorénavant beaucoup plus difficile pour lui de présenter des arguments aux États-Unis.

Des conseillers de Barack Obama auraient alors voulu mettre fin au programme de la CIA en Ukraine. Le patron de l’agence les aurait toutefois « persuadés que cela serait contre-productif » relate le NYT, « étant donné que cette relation commençait à produire des renseignements sur les Russes alors que la CIA enquêtait sur l’ingérence russe dans les élections » américaines.

Un réseau qui a poursuivi son développement sous l’ère Trump

Auprès de son homologue ukrainien, le général Kondratiuk, le directeur de la CIA, John Brennan, aurait alors réitéré les fameuses « lignes rouges » de Washington. Un rappel à l’ordre qui, selon le New York Times, aurait « bouleversé » l’officier ukrainien. « La réaction de Washington a coûté son poste au général Kondratiuk. Mais l’Ukraine n’a pas reculé », précise le média.

Les États-Unis, non plus, n’ont pas reculé, à en croire le récit du quotidien new-yorkais. Si l’élection de Donald Trump en novembre 2016 « a mis les Ukrainiens et leurs partenaires de la CIA sur les nerfs », l’implication des États-Unis en Ukraine n’aurait eu de cesse de se renforcer. « Quoi que dise et fasse » Donald Trump, « son administration est souvent allée dans la direction opposée », souligne le New York Times, qui évoque une multiplication par dix des effectifs d’une des bases du renseignement ukrainien à la frontière russe. « Empêcher la Russie d’interférer dans les futures élections américaines était une priorité absolue de la CIA au cours de cette période », a encore ajouté le quotidien.

Une présence américaine qui perdura malgré le lancement de l’offensive russe en février 2022, date à partir de laquelle les « lignes rouges » de Washington furent levées. « La Maison-Blanche de Biden a autorisé les agences d’espionnage à fournir un soutien en matière de renseignement aux opérations meurtrières contre les forces russes sur le sol ukrainien », souligne le média américain. Celui-ci relate également que des agents américains qui « ne voulaient pas abandonner leurs partenaires » ukrainiens seraient restés « dans un complexe hôtelier dans l’ouest » du pays, où ils rencontraient « leurs contacts ukrainiens pour leur transmettre des informations ».

Ces révélations, concernant dix années d’investissements américains dans la reprise en main des services ukrainiens, surviennent alors que l’aide militaire américaine demeure bloquée au Congrès des États-Unis.

En octobre 2023, une enquête du Washington Post avait déjà révélé la participation active des États-Unis dans la modernisation des agences de renseignements ukrainiennes (SBU et GUR) et la montée en puissance des commandos ukrainiens formés aux opérations clandestines.


[Voir aussi :

Yougoslavie 24 mars 1999 : la guerre fondatrice de la nouvelle Otan

Par Manlio Dinucci

L’agression illégale de l’Otan contre la Serbie, il y a exactement 25 ans, a été le premier pas vers la transformation de l’Otan. D’une alliance visant, non pas à protéger d’une éventuelle attaque de l’URSS, mais à « Garder l’Union soviétique à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et les Allemands sous tutelle », selon les mots de son premier secrétaire général, Lord Hastings Lionel Ismay, elle est devenue une organisation visant à détruire la Fédération de Russie.

https://www.voltairenet.org/article220615.html

]




Bébés fabriqués à la chaîne en Ukraine, puis vendus à l’Occident


Olivia, née de GPA, se bat pour abolir cette pratique




Immoralité et consumérisme

[Extrait de 01 — Tradition : Echapper à la catastrophe sociale, écologique et migratoire.]

Par Sylvain Marcelli

Ce que cette histoire nous révèle est capital. Edward Bernays savait que lorsque la morale s’efface, le consumérisme se propage. Il a donc entrepris de briser un tabou tenace : celui du tabagisme féminin, afin que les investisseurs puissent accroître leurs profits.

Tout comme les fabricants de cigarettes de cette époque, notre société est soumise à l’impératif de croissance économique : il faut vendre et produire toujours plus de richesses, et pour ce faire, le monde occidental n’a pas d’autre choix que de « déconstruire » son propre héritage moral, dans l’espoir de créer de nouveaux comportements consuméristes qui n’existaient pas auparavant.

Origine et sens de la morale

Le problème, c’est que la morale est nécessaire à l’équilibre d’une société. Elle est apparue dans un but précis : émanciper l’individu de ses propres pulsions, afin qu’il vive en harmonie avec les siens. C’est ainsi que sont apparus les commandements bibliques tel « tu ne tueras point ». De nos jours, cette leçon nous semble évidente, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Il reste possible à cet égard que cette tentation vous gagne, fût-ce inconsciemment, sous le coup d’une colère passagère ou d’une jalousie intense. C’est humain, et pourtant nous ne cédons pas à cette envie, parce que nous avons appris à modérer nos instincts.

D’autres commandements, tels que « tu ne voleras point » ou « tu ne commettras pas d’adultère », ont également contribué à façonner notre civilisation, en dépit des tentations qui peuvent nous inciter à commettre ces péchés. Il est donc crucial de souligner ce qui suit : la modération des comportements n’est pas quelque chose d’inné. Elle s’acquiert dans le cadre d’un processus éducatif particulièrement long et rigoureux, « car la chair, dit la Bible, a des désirs contraires à l’esprit, et l’esprit en a de contraires à la chair ».

Parmi les œuvres de la chair figurent, selon les Saintes Écritures, « l’adultère, la fornication, les querelles, la jalousie, les disputes, le meurtre, les ivrogneries, la débauche et toutes les choses semblables. Ceux qui commettent de telles choses, conclut ce passage, n’hériteront pas du Royaume des cieux, car les fruits de l’Esprit sont la charité, la joie, la paix, la patience, la bonté, l’amour, le bien, la fidélité, la tempérance ».

Société de consommation

La morale chrétienne est certes l’une des expressions les plus connues de l’enseignement traditionnel, mais elle n’en est pour autant pas la seule. Fort longtemps avant elle, le philosophe Aristote mettait déjà en garde contre les dérives induites par nos propres sentiments, ainsi que nos émotions et nos tentations, qui « privent l’homme de sa faculté à raisonner ».

Le problème, c’est que cet enseignement est incompatible avec l’impératif de croissance qui caractérise notre société. Car le consumérisme n’a pas besoin de sages ni de philosophes qui se gardent de céder à leurs tentations, mais bien au contraire de gens « qui se lâchent » sans aucune forme de retenue. Le consumérisme implique à cet égard de consentir à l’excès. Il suppose de se soumettre à toutes les pulsions qui traversent nos corps. Par conséquent, l’humanité nouvelle dont le monde moderne a besoin est plus que jamais émotive, impulsive et compulsive. C’est pourquoi notre société promeut tant que faire se peut les comportements les plus débridés qui soient : YOLO et carpe diem ! Au nom du profit, personne ne doit plus entendre parler de retenue comportementale. Il s’agit de délaisser notre morale et nos traditions. Alors au diable nos vieux enseignements de modération. On disqualifiera socialement ceux qui persisteront à s’en réclamer. On dira d’eux qu’ils sont ringards, « réacs » et parfois même « fascistes ». N’essayez pas de comprendre. Contentez-vous de consommer. Soumettez-vous aux désirs que les communicants stimulent dans votre inconscient, et surtout prenez du plaisir, encore et encore, jusqu’à ce que vous deveniez accros à ce mode de vie.

Soumission consentie

Indéniablement, l’idéologie du Progrès est séduisante. Car même le plus sage d’entre nous ne cessera jamais d’être tenté. Nous apprenons certes à dominer nos pulsions, mais il n’est pas possible de s’en défaire totalement. Elles continuent de vivre en nous. Le Système se consacre donc à les solliciter, beaucoup plus qu’elles ne sont naturellement censées l’être, jusqu’à ce qu’on y cède.

Alors on cède. Cela peut arriver n’importe quand, dans un moment de faiblesse par exemple. Ce n’est pas quelque chose de grave, car on se contente généralement de céder avec modération. Et puis, à force, cela devient une habitude. Il faut dire que nos vies ne sont pas toujours simples. Le travail et le stress nous incitent à relâcher la pression. C’est ainsi que, peu à peu, la soumission consentie aux pulsions qui nous traversent devient un véritable mode de vie, et nous devenons ainsi les esclaves du monde moderne.

Ainsi, et afin de ne nous laisser aucune chance d’y échapper, nos sociétés modernes sont devenues progressivement le lieu d’une hypersexualisation du désir. Ce n’est pas surprenant, car le plaisir charnel est de toutes nos tentations la plus puissante et incontrôlable qui soit. C’est elle qui plus que toute autre est susceptible de nous convaincre de nous « laisser aller », au point de renoncer peu à peu à toutes les frontières morales que l’on s’était précédemment imposées. C’est elle qui plus que toute autre nous conditionne au diktat de nos propres émotions. C’est elle qui plus que toute autre peut nous convaincre de renoncer aux limites qui jadis garantissaient notre liberté. Le système est malin. Il sait que nul n’est plus esclave que celui qui chérit ses chaînes : celles du désir, celles de l’envie, celles du plaisir.

Il n’est pas surprenant, dans de telles conditions, que notre société soit devenue le vecteur de tout un tas de revendications d’apparence « libertaires », à l’instar des discours ultra-déconstructivistes que revendiquent les LGBT. Le but est ici inchangé : inciter les peuples à l’abandon progressif de leurs anciennes frontières morales. Célébrer l’exubérance individuelle et l’impulsivité sexuelle au profit d’une société nouvelle et outrancièrement consumériste.

Déconstruction et éducation

L’enseignement public français contribue largement au conditionnement mental de notre jeunesse, comme en témoigne le propos suivant de Vincent Peillon, ami revendiqué des francs-maçons et ancien ministre de l’Education nationale, dans un ouvrage intitulé La Révolution française n’est pas terminée.

L’auteur y déclare sans détour que la morale laïque — c’est-à-dire déconstruite — « doit permettre à tout un chacun de s’émanciper dans le respect des libertés ». Mais de quoi précisément les progressistes voudraient-ils nous émanciper ? La réponse est donnée plus loin : « Il faut être capable d’arracher l’enfant à tous ses déterminismes : familial, ethnique et culturel… » Il s’agit donc ici d’une « libération » dans la déconstruction cognitive totale. Cette méthode devrait nous inciter à la plus grande méfiance. Notons que Vincent Peillon n’a pas jugé utile d’en appliquer le principe à ses propres enfants, dont les prénoms ne révèlent aucun souhait apparent d’éducation « déconstruite ». Il serait donc légitime de demander pourquoi les progressistes ont si souvent tendance à prôner pour les autres enfants presque tout l’inverse de ce qu’ils réservent aux leurs. Le lecteur trouvera sans doute « par lui-même » l’explication qui lui semblera la plus juste.




Avis juridique sur l’envoi de troupes françaises en Ukraine

[Illustration : © Crédit photo : Archives Philippe Salvat / SUD OUEST]

Avis juridique sur l’envoi de troupes françaises en Ukraine

En droit pénal il existe la condamnation de l’obéissance à un ordre manifestement illégal. Voici un mémo transmis par une équipe de juristes, qui s’inquiète à juste titre.


22 mars 2024 : URGENT, merci de diffuser.

Même sous la constitution la plus libre,
un peuple ignorant est esclave.

Nicolas De Condorcet (1743-1794)

Envoi de troupes françaises en Ukraine ? :

En l’état actuel du droit → INCONSTITUTIONNALITÉ

L’Accord de coopération en matière de sécurité France-Ukraine, signé à Paris le 16 février 2024 par le Président de la République, Chef des armées (Art. 15 de la Constitution) prévoit plusieurs stipulations importantes au regard d’une éventuelle opération : (III, al. 2 et 3 ; IV, al. 1er)

III. Coopération en cas d’agression armée future

« En cas de future agression armée russe contre l’Ukraine, à la demande de l’un ou l’autre des Participants, les Participants mèneront des consultations dans les 24 heures pour déterminer les mesures nécessaires pour contrer ou dissuader l’agression.

Dans ces circonstances, et conformément à ses obligations légales et constitutionnelles, le Participant français fournira à l’Ukraine une assistance rapide et soutenue en matière de sécurité, des équipements militaires modernes dans tous les domaines, selon les besoins, et une assistance économique ; il imposera des coûts, économiques notamment, à la Russie et consultera l’Ukraine sur ses besoins dans le cadre de l’exercice de son droit à la légitime défense consacré par l’article 51 de la Charte des Nations unies. » […]

VI. mise en œuvre de la coopération

« Les Participants mettront en œuvre cette coopération conformément à leurs obligations internationales et nationales, ainsi qu’aux engagements européens de la France. »

Dix jours plus tard, dans la foulée de la signature de cet accord qui n’est publié à ce jour que sur le site Internet de l’Élysée, le Président de la République, Chef des armées a procédé à plusieurs déclarations officielles relatives à une opération au sol sur le territoire ukrainien, alors qu’une telle opération ne relève aucunement de l’accord précité :

« De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa » ;

(hors micro à l’Élysée, le 21 février 2024 devant une poignée d’invités – Le Monde, 14 mars 2024 « Guerre en Ukraine : la métamorphose d’Emmanuel Macron, colombe devenue faucon »)

« Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre » ;

(Le Parisien, 26 février 2024)

Une avancée du front « vers Odessa ou vers Kiev », « ce qui pourrait engager une intervention », car « il ne faudrait en aucune manière laisser faire [Moscou] » ;

(Réunion des chefs de partis à l’Élysée le 7 mars 2024 in Le Monde)

« Toutes ces options sont possibles » ;

(Interview J.T. de TF1-France 2, 14 mars 2024)

« Peut-être qu’à un moment donné — je ne le souhaite pas, n’en prendrai pas l’initiative —, il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu’elles soient, pour contrer les forces russes. La force de la France, c’est que nous pouvons le faire. » ;

(Le Parisien, 16 mars 2024)

L’armée française « se tient prête. Quelles que soient les évolutions de la situation internationale, les Français peuvent en être convaincus : leurs soldats répondront présent » ; « Pour se prémunir d’agressions à son égard et défendre ses intérêts, l’armée française se prépare aux engagements les plus durs, le fait savoir et le démontre » ;

(Pierre Schill, Chef d’état-major de l’armée de terre in Le Monde, 19 mars 2024

Pourtant, l’article 20, § 1er du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques du 16 décembre 1966 voté par l’Assemblée Générale des Nations Unies ne stipule-t-il pas que :

« TOUTE PROPAGANDE EN FAVEUR DE LA GUERRE EST INTERDITE PAR LA LOI » ?

Un sondage Odoxa pour Le FigaroBackbone Consulting du 29 février 2024 a montré que 68 % des Français estiment qu’Emmanuel Macron a eu tort de dire que l’envoi de troupes occidentales en Ukraine n’était pas exclu.

Or, il faut rappeler que l’alinéa 14 du Préambule de la constitution de 1946 dispose que :

« La République française, fidèle à ses traditions, se conforme aux règles du droit public international. Elle n’entreprendra aucune guerre dans des vues de conquête et n’emploiera jamais ses forces contre la liberté d’aucun peuple. »

Le texte dispose clairement, à la Libération, que la France n’emploiera jamais ses forces contre la liberté d’aucun peuple.

Or, d’une part, les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk ont choisi la séparation avec l’Ukraine à 96 % (3,8 % contre) pour Lougansk et à 89,07 % (10,19 % contre, 0,74 % nuls) pour Donetsk lors de deux référendums non reconnus par la communauté internationale du 11 mai 2014 ;

D’autre part, les peuples de la Crimée et du Donbass ont confirmé leur choix de rejoindre la Russie par des référendums aux résultats difficilement contestables :

  • à 96,77 % (2,51 % contre) pour la Crimée le 16 mars 2014 ;
  • à 99,05 % (0,95 % contre) pour l’Oblast de Kherson, le 27 septembre 2022 ;
  • à 97,11 % (2,89 % contre) pour l’Oblast de Zaporijjia, le 27 septembre 2022 ;
  • à 99,91 % (0,09 % contre) pour la République Populaire de Donetsk, le 27 septembre 2022 ;
  • à 99,42 % (0,58 % contre) pour la République Populaire de Lougansk, le 27 septembre 2022 ;

Ces peuples viennent de voter massivement pour les élections législatives russes du 17 au 19 décembre 2021 et pour les élections présidentielles du 15 au 17 mars 2024.

89,1 % des habitants de la République populaire de Donetsk ont déclaré vouloir obtenir la nationalité russe
(enquête DNR Live, décembre 2018)
http://dnr-live.ru/grazhdanstvo-rf-dlya-zhiteley-dnr-sotsopros/

Aussi, ces peuples ont exprimé librement leur choix dans le cadre du droit de tous les peuples à disposer d’eux-mêmes. La France, en aidant l’Ukraine à reconquérir ces territoires, viendrait s’opposer aux principes qu’elle proclame dans l’alinéa 14 en ne respectant pas leur Habeas Corpus et violerait ces principes.

Par ailleurs, la République française ne pouvant jamais employer ses forces contre la liberté d’aucun peuple, a fortiori le sien, si les Français désapprouvent un tel emploi de la force à 68 %.

Qui plus est, en aucun cas l’accord franco-ukrainien ne prévoit explicitement l’envoi de troupes au sol malgré les propos du Président de la République, Chef des armées, les 26 février, 16, 14 et 16 mars 2024 précités.

Mais l’accord signé est encore inconstitutionnel pour d’autres raisons :

Cet « accord », qui est un traité au sens de la Convention de Vienne de 1969, n’a jamais été ratifié en la forme. Il faut le vote d’une loi, pas un simple vote par les Chambres tels qu’ils ont eu lieu le 12 mars 2024 (372 pour, 29 contre, 101 abstenons) pour l’Assemblée nationale et le 13 mars 2024 pour le Sénat (293 pour, 22 contre). Tel que rédigé, il ne peut valoir déclaration de guerre — et donc ne peut servir de base conventionnelle à l’envoi de quelconques troupes françaises au sol.

En effet, l’article 35 de la Constitution implique une autorisation parlementaire en la forme. Comme l’envoi de

troupes au sol implique une déclaration de guerre, celle-ci relève du Parlement (al. 1er), le Gouvernement disposant de trois jours pour l’en informer (al. 2). Cette opération ne peut excéder 4 mois sans l’autorisation expresse du Parlement (al. 4).

Or, aucune « autorisaon » du Parlement n’est encore intervenue (le Parlement a discuté puis voté un avis sur un traité de coopération, en aucun cas une déclaration de guerre) :

Article 35 de la Constitution

« La déclaration de guerre est autorisée par le Parlement.
Le Gouvernement informe le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l’étranger, au plus tard trois jours après le début de l’intervention. Il précise les objectifs poursuivis. Cette information peut donner lieu à un débat qui n’est suivi d’aucun vote.
Lorsque la durée de l’intervention excède quatre mois, le Gouvernement soumet sa prolongation à l’autorisation du Parlement. Il peut demander à l’Assemblée nationale de décider en dernier ressort. »

Plus encore, même si la déclaration de guerre se faisait sur le fondement de l’accord franco-ukrainien du 16 février 2024, celui-ci n’a pas été ratifié en la forme exigée par l’article 53 de la Constitution :

Article 53 de la Constitution

« Les traités de paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l’organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l’État, ceux qui modifient des dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l’état des personnes, ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi.
Ils ne prennent effet qu’après avoir été ratifiés ou approuvés. […] »

En vertu de l’article 53 de la Constitution, tout traité qui a trait à l’organisation internationale ou engage les finances de l’État, est considéré comme un traité qu’il incombe de ratifier en forme solennelle, c’est-à-dire par le vote d’une loi.

En effet, ce traité du 16 février 2024 porte sur l’organisation internationale (I. soutien à l’intégration de l’Ukraine dans les institutions européennes et euro-atlantiques, notamment en soutenant l’adhésion de l’Ukraine à l’UE et l’interopérabilité avec l’OTAN) ; II, 1) Le Participant français fournira une assistance militaire et civile pour permettre à l’Ukraine de défendre sa souveraineté, son indépendance et son intégrité territoriale face à l’agression de la Fédération de Russie, de manière bilatérale par le biais d’accords, ainsi que par l’intermédiaire des institutions et organisations auxquelles elle est partie)

Et il faut ajouter que ce traité du 16 février 2024 engage à l’évidence les finances de l’État : (IV, 7) in fine, al. 15)

« La France a fourni à l’Ukraine une aide militaire d’une valeur totale de 1,7 milliard d’euros en 2022 et de 2,1 milliards d’euros en 2023. En 2024, la France fournira jusqu’à 3 milliards d’euros de soutien supplémentaire » ; IV, 8, al. 2 : « Le Participant français contribuera au développement de la base industrielle de défense de l’Ukraine, notamment par le biais d’investissements français, de la localisation de la production en Ukraine et de la production conjointe pour la fabrication d’armes et de munitions prioritaires ».

Plus encore, ce traité porte atteinte au domaine de la loi tel que protégé par l’article 34 de la Constitution. En effet, la partie IV, 8 : coopération des industries de défense et de sécurité – touche au domaine régalien relevant du législateur :

Article 34 de la Constitution

« La loi détermine les principes fondamentaux : — de l’organisation générale de la Défense nationale ; »

Pour toutes ces raisons, le vote d’une loi de ratification en bonne et due forme était nécessaire. Or, l’accord du 16 février n’a eu qu’un débat sur la base de l’arc le 50-1 de la Constitution (« Devant l’une ou l’autre des assemblées, le Gouvernement peut, de sa propre initiative […], faire, sur un sujet déterminé, une déclaration qui donne lieu à débat et peut, s’il le décide, faire l’objet d’un vote sans engager sa responsabilité »).

Il demeure qu’un tel vote (comme ceux des 12 et 13 mars 2024 respectivement à l’Assemblée nationale et au Sénat) ne vaut pas ratification législative comme le requière explicitement l’article 53 pour un traité ayant trait à l’organisation internationale et aux finances de l’État.

Or, l’article 5 de la Constitution dispose pourtant que le Président de la République (Chef des armées) « veille au respect de la Constitution ».

Aucun envoi de troupes n’est donc possible en l’état actuel du droit, car inconstitutionnel. Ce qui n’est pas sans conséquences.

Nota : https://www.vie-publique.fr/fiches/275483-quest-ce-que-le-bloc-de-constitutionnalite

* *
*

Pour toutes ces raisons, en l’état actuel du droit,
l’envoi de troupes au sol est inconstitutionnel.

Article D. 4122-3, 3° du Code de la Défense :

« En tant que subordonné, le militaire : […]
3° Ne doit pas exécuter un ordre prescrivant d’accomplir un acte manifestement illégal ou contraire aux règles du droit international applicable dans les conflits armés et aux conventions internationales en vigueur.
»

Ce devoir de désobéir existe en matière civile depuis l’arrêt du Conseil d’État, 10 novembre 1944, Langneur, Rec. 248. Cette jurisprudence est constante : l’obéissance à un ordre manifestement illégal n’exonère pas le fonctionnaire de sa sanction. Cette circonstance particulière implique donc de désobéir.

Cette jurisprudence est constante : Conseil d’État, 3 mai 1961, Pouzelgues, rec. 280 ; Conseil d’État, 4 janvier 1964, Charlet et Limonier, req. n° 56786, rec. 1, AJDA 1964, p. 447, RDP 1964, p.453, note Waline ; Conseil d’État, 21 juillet 1995, Bureau d’Aide Sociale de la Ville de Paris, req. n° 115332 ; Cour de cassation, Crim., 23 janvier 1997, 96-84.822, Bull. Crim. 1997, n° 32, p. 86 (affaire Papon) ; Cour de cassation, Crim., 13 octobre 2004, req. n° 03-81.763 ; 00-86.727 ; 00-86.726 ; 01-83.943 ; 01-83.945 ; 01-83.944, Bull. Crim. 2004, n° 243, p. 885 (affaire relative à l’incendie d’une paillote en Corse ordonné par le Préfet) ; CAA Lyon, 24 octobre 2017,

M. B c/ Syndicat mixte du Lac d’Annecy, req. n° 16LY00300 ; CAA Versailles, 15 mars 2018, Commune de Garges-Lès-Gonesse, req. n° 16VE03904.

L’article L. 121-10 du Code général de la fonction publique le confirme :

« L’agent public doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à comprome.re gravement un intérêt public. »

Les trois conditions (cumulatives) sont claires :

  • L’ordre doit être non seulement illégal ;

  • Cette illégalité doit être manifestement établie ;

Un simple ordre illégal ne suffit pas pour désobéir. En l’espèce il s’agit d’un ordre de nature inconstitutionnel en ce que son fondement n’a pas été ratifié en la forme parlementaire approuvée par la Constitution.

  • L’ordre doit compromettre gravement un intérêt public.

Pour ce cas, un sondage Odoxa pour Le FigaroBackbone consulting, 29 février 2024 a montré que 68% des français estiment qu’Emmanuel Macron a eu tort de di re que l’envoi de troupes occidentales en Ukraine n’était pas exclu.

L’ordre de l’exécutif, au-delà de n’avoir pas été validé en la forme, entrerait en contradiction avec la volonté de l’opinion publique.

Toutefois, cette condition de compromettre gravement un intérêt public ne s’applique pas explicitement pour les militaires et n’est pas prévue non plus par le Code pénal :

En effet, aux termes de l’article 122-4, alinéa 2 du Code pénal :

« N’est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l’autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal ».

Et pour le militaire, le Code de la Défense dispose à l’article L. 4122-1 :

« Les militaires doivent obéissance aux ordres de leurs supérieurs et sont responsables de l’exécution des missions qui leur sont confiées.
Toutefois, il ne peut leur être ordonné et ils ne peuvent accomplir des actes qui sont contraires aux lois, aux coutumes de la guerre et aux conventions internationales. […] »

Article renforcé par des dispositions réglementaires :

Article D. 4122-3 Code de la Défense :

« En tant que subordonné, le militaire :
1° Exécute loyalement les ordres qu’il reçoit. […]
[…]
Ne doit pas exécuter un ordre prescrivant d’accomplir un acte manifestement illégal ou contraire aux règles du droit international applicable dans les conflits armés et aux conventions internationales en vigueur. »