Témoignage de la journaliste Myriam Palomba un an après son Coup de gueule face à Laurent Alexandre

[Source : reaction19.fr]



Compte Twitter : https://twitter.com/myriampalomba

[Voir aussi :
Coup de gueule de la journaliste Myriam Palomba face à Laurent Alexandre, au sujet des non-vaccinés, du vaccin et du pass vaccinal]




Comparaison Naissances/Vaccinations en Suède






PAROLES DE SOIGNANTS SUSPENDUS

Par Marie-Hélène Doré

41 témoignages de « soignants » :
Écoutons enfin ce personnel rejeté et invisibilisé par la société

 « Nous, soignants, applaudis en 2020 et trahis en 2021, encore dans l’oubli en 2022, comprenons tous ceux qui ont cédé car nous vivons la même pression acharnée destinée à nous faire plier devant l’autorité hiérarchique. »

Dans ce livre nécessaire et engagé, Elsa Ruillère décrypte la situation mise en place et les changements de loi qui ont permis cette mise au ban de la société d’un personnel adulé et porté aux nues au début de la pandémie, puis « trahi » : de héros, ils sont devenus bannis du système.

Cet ouvrage dénonce la maltraitance qui s’est abattue sur les professions du soin, du secours, du médico-social et de la Santé, dans les secteurs privés et publics, lorsque le gouvernement a décidé de voter une loi jugée inégale, délétère et discriminante, provoquant la précarité de dizaine de milliers de « soignants ».

Pour la première fois, Elsa Ruillère donne la parole à ces personnes (infirmiers, techniciens de transport, plombiers, étudiants, secrétaires médicales, cuisiniers, cadres administratifs…) : discriminations subies, difficultés financières rencontrées, marginalisation, moyens de pression mis en place par leur hiérarchie pour les faire céder.

Ces témoignages sont essentiels pour nous révéler une réalité passée volontairement sous silence par les médias et par le gouvernement.

Elsa Ruillère, assistante de gestion de formation, a rejoint en 2018 le Groupement Hospitalier Portes de Provence (GHPP), à Montélimar. Elle est représentante du personnel depuis 2020 et son syndicat est le premier à avoir répondu aux annonces de la loi du 5 août 2021 par un préavis de grève et à manifester contre les annonces du 12 juillet 2021. Cette grève sera très médiatisée, ce qui entraînera une multitude d’appels de toute la France. À l’initiative locale du collectif « Unis 2607 », Elsa Ruillère coordonne les Collectifs Unis (site : les-collectifs-unis.info) et est élue à la commission exécutive fédérale CGT Santé depuis début avril 2022.

PAROLES DE SOIGNANTS SUSPENDUS

Elsa Ruillère

Avant-propos de Didier van Cauwelaert, écrivain
Préface de Michèle Rivasi, députée européenne de Europe Ecologie Les Verts
Postface de Maître Maud Marian, avocate en droit des affaires internationales et droit pénal des affaires
Epilogue de Laurent Mucchielli, sociologue et directeur de recherche au CNRS

Guy Trédaniel Editeur

Parution : 12 janvier 2023




Marc Doyer se porte partie civile dans un procès pour avoir la vérité sur les effets secondaires du vaccin Covid

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

« Je veux savoir pourquoi on nous a menti. Familles de victimes, rejoignez-nous, vous avez droit à la vérité. »

Marc Doyer et deux autres familles de victimes se sont portés partie civile dans un procès qui va se tenir à Paris. Il va appeler toutes les victimes des injections covid qui le souhaitent à se joindre à eux en se constituant partie civile. Marc donnera plus d’informations dans quelques jours sur la façon dont les familles de victimes peuvent rejoindre cette plainte. Faites passer le message, informez autour de vous les personnes susceptibles d’être intéressées.

Pour contacter Vérity France, l’association de victimes du vaccin, fondée par les familles de Maxime, Sofia et Mélanie, dont Marc Doyer est porte-parole, voici le lien : https://www.verity-france.org/contact-adhesion/. Ou par mail :




Usés par l’hôpital français, des soignants se tournent vers la Suisse

[Source : francetvinfo.fr]

[Illustration : La clinique privée Cecil du groupe Hirslanden, à Lausanne, en décembre 2022. (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)]

De plus en plus de soignants, dégoûtés, écœurés par leurs conditions de travail, décident de changer de vie. Ils quittent l’hôpital en France pour aller travailler en Suisse, où les conditions et le salaire sont plus attractifs. 

Par Solenne Le Hen

À Lausanne, la très chic clinique privée Cecil du groupe Hirslanden est installée dans un magnifique bâtiment historique, avec vue sur le lac Léman. Au sein de son service d’urgences, les soignants sont tous français. L’une vient de Haute-Savoie, juste de l’autre côté du lac, une autre de Lorraine, un troisième de Bordeaux et un autre est grenoblois. « On a des collègues d’Auxerre, de Lyon, de Paris, de Nantes, d’Annecy, énumère un soignant. De toute la France, en fait. » 

Parmi eux, le Dr Maurice Raphaël. Il a démissionné il y a deux ans de son poste de chef des urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, en Île-de-France. « On a une certaine idée de ce métier et évidemment c’est très difficile de lâcher les patients, donc on est là tout le temps. Moi j’étais là 28 jours sur 30 à peu près », se souvient-il. « Physiquement, on ne peut pas tenir comme ça longtemps. »

>> « Je n’avais pas signé pour ça » : huit soignants témoignent d’un hôpital public à bout de souffle

« On a le nez dans le guidon et on avance, on avance. Et on ne se rend pas compte qu’on est en train de se détruire. »

Dr Maurice Raphaël

Le Dr Maurice Raphaël, médecin à la clinique Cecil de Lausanne, ancien chef des urgences de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)
Le Dr Maurice Raphaël, médecin à la clinique Cecil de Lausanne, ancien chef des urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)

Son entourage avait réellement la crainte qu’il se tue à la tâche. « Je ne suis pas parti pour venir en Suisse, explique ce médecin. La plupart des soignants qui sont ici ne sont pas des gens qui sont venus spécialement en Suisse. C’est avant tout pour quitter le système français, pour ne plus subir. » 

Virginie Céria, infirmière aux urgences en Haute-Savoie pendant 15 ans, confirme : c’était la Suisse, ou bien tout laisser tomber et abandonner le métier. « Et pourtant j’ai adoré travailler aux urgences en France, confie-t-elle. Mais au bout d’un moment, je ne me sentais plus capable. Car dans un service d’urgence fait pour 80 passages par jour, on pouvait aller jusqu’à 200 patients, avec des manques de lits d’hospitalisation. Vous vous dites : ‘je ne peux pas vieillir dans ce métier en France’. » Elle envisageait carrément « arrêter d’être infirmière », avant qu’un collègue ne lui parle de la Suisse. 

« Ce n’est pas tout rose, mais c’est tellement mieux »

L’un des avantages de la Suisse, ce sont les salaires, entre 1 000 et 3 000 euros de plus par mois, selon les postes, par rapport au même emploi en France. Mais à la clinique Cecil de Lausanne, la rémunération n’est pas la motivation première des soignants. « Ça n’aurait pas été la Suisse, ç’aurait été le Canada. Sinon, la Belgique », affirme Agathe, infirmière auparavant en Île-de-France. « C’est un peu le chat qui se mord la queue. On n’a pas envie de quitter les soins, on a envie de rester infirmiers, de passer des journées avec des patients. »

« On aimerait être en France, mais on aimerait que ce soit bienveillant. On aimerait qu’ils comprennent que laisser des gens pendant huit heures aux urgences dans des brancards, c’est grave. On ne peut pas se permettre ça. »

Agathe, infirmière à la clinique Cecil de Lausanne

Depuis qu’elle est en Suisse, ses conditions de travail n’ont plus rien à voir. Agathe a trois fois moins de patients à prendre en charge dans son service de médecine-chirurgie. Elle se souvient d’un épisode dans son ancien hôpital francilien : « C’est aux infirmières du matin de prendre les constantes des patients, explique-t-elle. Mais on n’a pas de thermomètre. J’arrive en réunion avec sept médecins, le chef de service qui me dit : ‘Alors, est-ce qu’ils ont chauffé ?’ Eh bien je ne peux pas répondre à cette question parce que je n’ai pas de thermomètre. » Qu’en est-il dans son nouvel établissement ? « Ici, il y a 20 patients, il y a cinq thermomètres. »

Agathe ne regrette pas son exil. Pas plus que Virginie Céria, qui habite côté français et a trois heures de transports chaque jour, aller-retour. Malgré tout, venir en Suisse l’a « réconciliée avec le métier d’infirmière. Elle détaille : On a le temps de prendre en charge les patients, on a le matériel qu’il faut, Ce n’est pas tout rose mais c’est tellement mieux. J’ai trouvé où je vais finir ma carrière. »

+ 10% de soignants frontaliers dans le canton de Vaud chaque année

« Très peu font le chemin inverse », affirme Fanny Lazzarotto, la directrice des ressources humaines des deux cliniques du groupe Hirslanden à Lausanne, qui emploie 250 Français. « S’ils le font, c’est qu’ils ont une contrainte familiale. Mais à ma connaissance, si j’ai peut-être trois ou cinq collaborateurs, ces quinze derniers mois, qui ont du le faire plus que souhaité le faire, c’est le maximum. » Elle embauche chaque année des dizaines de Français. Et elle insiste, elle ne cherche pas à piller l’hôpital français, car en Suisse aussi, il y a pénurie de professionnels de santé. En fait, dit-elle, les CV français tombent pratiquement tout seuls sur son bureau.

« Aujourd’hui, 7 000 soignants – infirmiers et aide-soignants – habitant dans l’Ain et la Haute-Savoie travaillent en Suisse« , détaille Anne Reffet-Rochas, chef de projet Insee Auvergne Rhone Alpes. Elle a participé à une étude récente sur le sujet« Chez ces soignants transfrontaliers, on constate entre 2008 et 2018 une hausse de 200% de ceux qui vont travailler tous les jours vers le canton de Vaud (canton de Lausanne) et 65% vers le canton de Genève. Entre 2016 et 2021, la hausse est même davantage marquée, avec 10% par an de soignants frontaliers de plus allant travailler dans le canton de Vaud et 3% de plus vers le canton de Genève. Mais ces hausses importantes doivent être nuancées, car elles concernent de petits effectifs. »

« On constate néanmoins une omniprésence de ces infirmiers et aide-soignants français en Suisse », ajoute Charles-Julien Giraud, lui aussi auteur de cette étude.

« Dans les cliniques privées du canton de Genève, 79% des soignants ont un diplôme français, et 47% dans les cliniques privées du canton de Vaud. »

Charles-Julien Giraud, chargé d’études à l’Insee

Cet exode des soignants vers la Suisse risque de se poursuivre dans les prochains mois et les prochaines années. Virginie Céria, l’ancienne infirmière de Haute-Savoie, est toujours en contact avec ses collègues de l’époque. « Il y en a beaucoup qui sont partis depuis que je suis partie, pourtant ça ne fait pas longtemps, ça fait un peu moins de trois ans, raconte-t-elle. Ils sont allés en Suisse essentiellement. Il en reste quelques-uns, ils me posent beaucoup de questions, en disant : ‘le jour où j’aurais envie, tu me diras’… En tout cas ils se posent tous la question, ça c’est sûr. » 

Chez ces soignants qui travaillent en Suisse, on sent de la tristesse, souvent un sentiment de culpabilité d’avoir abandonné le « navire-hôpital » en plein naufrage. Pour autant, ils le disent, ils ne veulent plus mal faire leur travail. Aucun ne reviendra en France tant que l’hôpital ira si mal.





Pourquoi vaccine-t-on les employés de Pfizer avec des lots réservés ?

[Source : RL]

Par Alain Lussay

Cette question à la suite d’une information qui nous vient d’Australie, mais qui se pose pareillement en France et partout où le lobbying Big Pharma a imposé la vaccination contre le Covid comme seule sortie de crise.

Il se trouve que depuis le 19 décembre 2022, le gouvernement australien a indiqué sur son site du département de la santé que « les informations sur la libération des lots de vaccins Covid-19 sont désormais disponibles ».

Et il se trouve que dans la liste des nombreux lots Pfizer disponibles, 7 sont officiellement réservés aux employés de Pfizer !

Pourquoi donc ?

Ces lots sont-ils sans risque d’effets indésirables graves ou mortels, comme comme le suggère ce tweet :

« Savez-vous quels lots de vaccin n’ont entraîné aucun décès?
Les 7 lots réservés aux employés de Pfizer !
Non, je ne plaisante pas :
FF0884 – FA4598 – FE3064 – FA7338 – FA7812 – FC8736 – FC3558 »

Vérification faite de l’affectation des lots avec cette capture d’écran du site du gouvernement australien : https://www.tga.gov.au/batch-release-assessment-covid-19-vaccines

Voilà donc une nouvelle confirmation que les vaccinés ne sont que des cobayes dont la vie est en jeu, comme à la roulette russe, au gré de la répartition des lots et de la répétition des injections, selon le plan machiavélique de Big Pharma et des élites qui gouvernent le monde.

Voilà pourquoi en France, comme en Australie, Macron et sa bande de criminels continuent, par la terreur et la contrainte, leur propagande d’inoculation de la masse apeurée qui n’a pas encore compris que le risque de cette injection toxique est probablement plus élevé que la contamination est peu létale, d’autant que l’efficacité du soin précoce avec les antiviraux connus est sérieusement vérifiée et documentée.

Alors au moment où l’hôpital est en voie de délabrement, au moment où la médecine de ville revendique, il serait temps que Macron et sa clique sanitaire comprennent, entre autres, que la liberté de prescrire est déjà un pas dans la résolution de l’engorgement du système et de la démotivation des personnels.

Encore faudrait-il que Macron et sa clique de menteurs reconnaissent leur responsabilité dans le détournement au profit de Big Pharma des milliards de cette escroquerie vaccinale inefficace et dangereuse, qui font défaut à notre système de santé en voie d’effondrement.

Mais c’est dans ce but que ces nuisibles sont au pouvoir, et rien ne sera possible tant qu’ils y resteront.




La paix autour du sapin. Comment expliquer à sa vieille tante qu’on ment sur les chiffres à la télé… en 5 minutes !

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Pour passer un Noël paisible sous le sapin. J’ai testé l’hiver dernier, ça a marché!


En cette période de fêtes, vous allez peut-être retrouver des proches qui ne comprennent pas votre attitude, en particulier les aînés. Vous aimeriez leur démontrer que vous avez raison de douter du discours officiel et que vos actions ne sont pas égoïstes, au contraire vous vous souciez de leur santé. Malheureusement, leur principale source d’information est la télévision et elle vaut parole d’évangile. Elles n’ont ni la patience, ni les capacités de lire les excellents articles scientifiques que vous avez décortiqués. Elles pensent que vous êtes fou et extrémiste.

Je vous propose une astuce qui a fonctionné avec ma tante Renée qui a 86 ans et qui fait partie de la catégorie de personnes pour qui la modernité s’est arrêtée à la fin des années 70, sans qu’on sache trop pourquoi. Elle écrit sa liste de courses en sténo, est incapable d’utiliser un smartphone et à chaque visite elle vous torture en essayant de vous faire réparer un vieil appareil. Vous avez déjà expliqué 1000 fois qu’une adresse email ne correspond pas à une adresse physique où il y a un fonctionnaire qui va recevoir le paquet qu’elle vous demande d’envoyer à travers l’écran. Peine perdue. Quant à l’info, c’est uniquement au JT, entre l’inspecteur Derrick et une place au soleil, avec une préférence marquée pour les faits divers tragiques et les nouvelles angoissantes.

En contraste, vous êtes devenu un complotiste aguerri, rien ne vous échappe plus. Vous en êtes au 5e niveau de lecture des diverses manipulations de la mafia mondiale. Vous avez écouté Raoult et lu les bouquins de Perronne et vous savez que la CIA contrôle les agences de presse et les publications scientifiques.

Problème : vous avez 5 minutes pour essayer de tendre un pont au-dessus du gouffre abyssal entre les mondes dans lesquels vous vivez, afin de les rassurer et de passer un Noël paisible. La mission urgente est de démolir 60 ans de crédulité absolue dans les infos de la télé.

Voici ce qui a marché avec ma tante Renée :

Je l’ai invitée à regarder deux vidéos sur mon ordinateur (pas le téléphone c’est trop petit). Et je lui ai dit ceci :

Moi : Viens je vais te montrer un exemple. Tu vas voir qu’ils cachent des choses à la télé et qu’ils mentent sur les chiffres, ça ne prend que deux minutes.

Tante Renée : Bon, mais pas plus de deux minutes

Moi : Tu connais Kennedy, l’ancien président des États-Unis ?

Tante Renée : « Oui, bien sûr » (ouf !)

Moi : « Tu te souviens, après la guerre, on a construit un mur à Berlin pour arrêter les communistes et Kennedy était venu prononcer un discours historique pour défendre la démocratie » Le fameux « Ich bin ein Berliner » (imitez si vous le pouvez, c’est plus convaincant).

Tante Renée : oui, oui ça me dit quelque chose

Moi : Et bien, il a un neveu qui s’appelle Robert Kennedy Junior. C’est le fils de son frère Robert Kennedy, celui que l’on a aussi assassiné un peu plus tard.

Tante Renée : ah oui je me souviens, mais je ne connais pas son fils.

Moi : Normal, les médias ne veulent pas qu’on en parle. Et bien en 2020, Robert Kennedy Junior, le neveu, est aussi allé à Berlin, pour la plus grande manifestation en Europe depuis la fin de la guerre. Dans les traces de son oncle, il a aussi prononcé un discours historique pour défendre la démocratie. Kennedy Junior a dénoncé le fait que les gouvernements ont profité de la pandémie pour raboter les libertés des gens et mettre la main sur leurs biens. Alors que les cartels Pharma et les investisseurs privés se sont enrichis.

Tu en as entendu parler ?

Tante Renée : non, pas du tout. Jamais

Moi : et bien regarde, ici il y a la vidéo sur le site de Kennedy (montrer cette vidéo)

Et ici, il y a les images de centaines de milliers de personnes dans la foule. En tout, il y en avait peut-être plus d’un million. (monter l’autre vidéo)

Tante Renée : ah oui. Je ne savais pas du tout, c’est curieux.

Moi : Tu ne penses pas que normalement, c’est une information qui aurait dû sortir au JT ? Une manifestation de plus d’un million de personnes avec le neveu de l’ancien président des États-Unis.

Tante Renée : Si si, bien sûr.

Moi : Et tu sais ce qu’on a dit au JT en Allemagne ? Ils ont dit qu’il y avait 38 000 personnes, des manifestants d’extrême droite et ils n’ont pas parlé de Kennedy. Voilà ils ont « gommé » tous ces gens pacifiques, comme s’ils n’avaient pas été là. Pourtant, toutes ces personnes étaient dans la rue, on en a les images !

Alors, si l’on arrive à faire passer de trucs aussi gros, tu imagines à quel point, ils sont capables de mentir sur tout le reste. Par exemple sur les chiffres de la santé pour vendre des vaccins ?

Tante Renée : Ah oui, vraiment c’est incroyable. Tu as raison, ce n’est pas normal. Ça va, j’ai compris.

Moi : Merci, je suis contente que tu aies pris la peine de regarder cela avec moi.

… Prenons l’apéritif !

Bon, c’est un exemple. Évidemment pour moi, c’est d’autant plus facile que j’ai participé à cet évènement et que j’ai pu y ajouter des photos personnelles. L’important c’est de partir d’une référence positive, ancrée dans le passé de la personne et de la relier à une démonstration imagée de la mauvaise foi des médias.

Voilà, j’espère au moins vous avoir fait sourire et si jamais vous faites le test et que cela marche, n’hésitez pas à m’en faire part dans les commentaires [ici : https://sentadepuydt.substack.com/p/la-paix-autour-du-sapin-comment-expliquer].

Joyeuses fêtes à tous !




Un ado vaxiné sur 30 fait une myocardite

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Un ado vaxccc sur 30 fait une myocardite ! Les complications cardiaques ne viennent pas des complications post covid, mais des injections ! Télétoubibs, journalistes, politiques, cessez de mentir, vous avez toutes les preuves !

Une fois de plus je fournis les preuves vérifiables et elles s’accumulent face à l’explosion des problèmes cardiaques ils accusent la covid : ILS MENTENT.

Lorsque j’ai entendu sur les plateaux TV que vaccins faisaient moins de myopéricardites que la maladie covid-19, je me suis pincé à plusieurs reprises ; ignares ou menteurs ou corrompus

François Braun : Il n’y a pas d’effets secondaires des vaccins COVID-19

𝒮𝒶𝓇𝒶𝒽(@SarahHRakM)

1 DEPUIS PLUS D’UN AN, ÉLUS ET JOURNALISTES ONT TOUTES LES PREUVES

En 2021 plusieurs études démontraient l’existence de problèmes cardiaques post vaccinaux

2 LES MYOCARDITES, UNE VAGUE MASSIVE en 2022 seuls les ignares et les menteurs ne le reconnaissent pas

Selon cette étude prospective thaïlandaise sur 301 ados de 13-18 ans recevant une 2nde dose de vaccin Pfizer, le taux de myocardite (clinique ou subclinique) est de :
23 255 cas/million !
23 255/1 000 000 = 2,3 %
Équivalent à l’étude reprise par la Société Française de cardiologie qui donnait 2,8 %, soit 800 x la normale…

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36006288/

  • Avant vaccin Covid : 4 cas de myocardite/million
  • Après vaccin Covid chez 13-18 ans et après 2 ou 3 doses : 25 000 cas par million !!!!!!

3 LES INJECTIONS SEULES COUPABLES PAS LES COMPLICATIONS POST COVID

Une vaste étude évaluée par des pairs dans le Journal of Clinical Medicine de l’Université hébraïque de Jérusalem et de l’Université de Tel-Aviv a révélé que…

Une fois guéris les malades non vaccinés infectés par la covid ne connaissent pas de myocardite et de péricardite post infection. Ces maladies n’interviennent que pendant la phase aiguë de la covid pas dans les « covids longs »

L’infection post-COVID-19 n’était associée ni à la myocardite (aHR 1,08 ; IC à 95 % 0,45 à 2,56) ni à la péricardite (aHR 0,53 ; IC à 95 % 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’augmentation de l’incidence ni de la péricardite ni de la myocardite chez les patients adultes se remettant d’une infection au COVID-19.

The Incidence of Myocarditis and Pericarditis in Post COVID-19 Unvaccinated Patients-A Large Population-Based Study

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35456309/

Myocardite les risques sont multipliés par 2,6 pour un vacciné non infecté par rapport à un non-vacc non contaminé ? Pour un contaminé les risques sont majorés de 50 % Les risques supplémentaires de myocardites sont trois fois plus élevés après une vaccination qu’après un covid

Une étude publiée en juin 2022 dans IJMS prouve que c’est la Spike vaccinale qui se fixe sur les cardiomyocytes (cellules cardiaques) pour y causer l’inflammation pouvant être mortelle.

Sur 𝟭𝟱 patients ayant été vaccinés avec Pfizer (11), AstraZeneca (2), Johnson (2) avec des suspicions de myocardites :

𝟭𝟰 cas ont été confirmés et la protéine Spike a été détectée dans les cellules cardiaques de 𝟵 de ces patients.

https://www.mdpi.com/1422-0067/23/13/6940

Une étude de mai 2022 rapporte une augmentation de 25 % de crise cardiaque chez les jeunes hommes et femmes post ARNm de Pfizer tout en insistant sur le fait que l’infection elle-même n’est pas responsable de complications cardiovasculaires !

https://www.israelnationalnews.com/news/328529/

La spike vaccinale est détectée dans les cellules cardiaques des patients ayant développé myocardite après vaccin Origine auto-immune de la réaction inflammatoire

Quantité énorme de spike vaccinale produite dans muscle cardiaque en comparaison patient infecté par le virus

Rappel : essai clinique Pfizer à 6 mois montre 4 x +de risque faire arrêt cardiaque après injection/placébo Efficacité négative des vaccins après 5 mois chez les 5-11 ans ; les enfants infectés ont une protection totale et durable qui disparaît lorsqu’ils sont vaccinés

https://www.marceau2020.info/post/23-octobre-2023




De nombreuses personnes entièrement vaccinées contre le COVID-19 deviennent maintenant aveugles

[Source : anna-bellas.com]

Par bellinaanne

De nombreuses personnes entièrement vaccinées contre le COVID-19 deviennent maintenant aveugles… On en avait parlé l’année passée sur mon blog, mais voila c’est confirmé… et malgré tous ces effets secondaires les Gouvernements poussent encore a la vaccination ?

Des personnes entièrement vaccinées contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) deviennent maintenant aveugles.

Les dernières données issues du système Yellow Card du Royaume-Uni, l’équivalent du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis, montrent qu’un nombre croissant de personnes entièrement vaccinées perdent la vue.

Au total, 163 personnes ont signalé une cécité totale après l’injection du vaccin Pfizer à ARNm, ainsi que six cas de perte de vision centrale et quatre cas de perte visuelle soudaine. Dans le même temps, 21 personnes ont fait état d’une « cécité passagère », c’est-à-dire d’une perturbation ou d’une perte de la vue dans un œil pendant quelques secondes, voire quelques minutes, après leur vaccination.

« Au total, 8 016 troubles oculaires ont été signalés comme des effets indésirables de la piqûre Pfizer au 6 avril 2022 », indique le Daily Expose dans un rapport.

Un autre vaccin à ARNm, celui de Moderna, a été lié à 1 519 problèmes liés à la vision. Trente-quatre rapports de cécité et 56 rapports de déficience visuelle étaient liés au vaccin à ARNm, ce qui a été attribué au nombre inférieur de doses injectées dans les bras des Britanniques.

Le vaccin AstraZeneca COVID-19 a également été lié à 14 895 troubles de la vision. Au total, 324 rapports de cécité, trois rapports de perte de vision centrale, cinq rapports de perte de vision soudaine et 29 rapports de cécité transitoire ont été liés au vaccin à vecteur adénoviral.

« Au total, si l’on inclut les effets indésirables signalés pour lesquels la marque du vaccin n’était pas précisée, 24 516 troubles oculaires ont été signalés en tant qu’effets indésirables des injections de COVID-19, dont 525 cas de cécité complète. », indique l’Expose.

La question est maintenant de savoir si cela vaut la peine d’être « protégé » contre le COVID-19 pour ensuite devenir aveugle.

Une étude révèle que les vaccins COVID-19 endommagent les yeux
Bien que le mécanisme par lequel les injections de COVID-19 endommagent les yeux ne soit pas entièrement compris, une étude a établi un lien entre les problèmes oculaires et les injections.

En septembre dernier, une étude publiée dans Vaccines a examiné des cas de neuropathie optique après la vaccination au COVID-19. Les auteurs de l’étude ont examiné 45 cas de patients ayant développé des problèmes oculaires liés aux vaccins. « Les patients diagnostiqués avec [une neuropathie optique] étaient plus souvent jeunes », ont déclaré les auteurs, ajoutant que « la vaccination COVID-19 peut être associée à différentes formes de neuropathie optique. »

Ils ont finalement conclu que « tous les sous-types de vaccins COVID-19 — y compris les vaccins à ARNm, à vecteur viral et à virus inactivé — étaient associés à la neuropathie optique. L’association temporelle entre l’administration du vaccin et le développement des neuropathies optiques dans ces cas rend plausible un lien de causalité. »

La Dr Lynell Lowry, ophtalmologiste basée à San Antonio, a quant à elle déclaré à l’Epoch Times qu’elle avait constaté un plus grand nombre de problèmes oculaires inhabituels depuis la mise en place des vaccins COVID-19.

« De nombreuses personnes se présentent avec des troubles visuels que nous ne pouvons pas expliquer », a-t-elle déclaré. « Une patiente voyait sans cesse des tourbillons de lumière dans sa vision. Elle avait environ six semaines après la vaccination quand elle est finalement venue me voir. » Lowry a également partagé qu’une autre patiente a eu une vision double dans les 24 heures suivant l’administration de sa première dose de vaccin COVID-19.

« Je n’ai jamais pensé de ma vie à demander le statut vaccinal. Maintenant, c’est une question standard ».

SOURCES




« Joyeux Noël ! » de Jean-Dominique Michel

[Source : Jean-Dominique Michel]

Quelques extraits de cette belle vidéo à écouter pour apaisement, qu’on soit ou non croyant :

« La tentation de déraciner, la fureur destructrice en Europe de raser les églises, les crèches, les statues est très étrange.

« Placer en chaque homme une dignité égale qu’elle que soit son origine était le fondement de la chrétienté, pour les croyants et les non-croyants… La peur de la mort est le lot actuel de l’Occident et seule permet d’expliquer la folie covidiste.

« Le sens du sacré est fondamental dans la vie de chacun d’entre nous. Et s’il est perdu, la société l’est aussi. La mort s’oppose à la naissance, mais pas à la vie. Se savoir naître, se savoir mourir. Noël est la forme archétypique du mystère de la vie. La naissance dans l’émerveillement et l’incompréhension de ce mystère. Évacuer Noël est étonnant, qu’on soit chrétien ou non.

« Si un enfant demande qu’est-ce que Dieu, le sage Maurice Zundel répond : “DIEU C’EST QUAND TU T’EMERVEILLES.” »

Très beau texte à partager en ce soir de Noël.
– (Nicole)




Mort subite multipliée par 10 en Allemagne : Les données de 72 millions d’assurés révèlent l’ampleur du désastre de la vaccination Covid

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Nombre de morts subites, selon les données des caisses d’assurance-maladies KBV.

La faillite des organismes de santé

Il a fallu invoquer les droits à l’information et à la transparence pour obtenir auprès de l’association allemande des médecins-conseils des caisses d’assurances maladie les données concernant les différents effets indésirables suivant la vaccination Covid. La KBV, la Kassenartzliche bundesvereinigung, s’est finalement exécutée fin novembre suite à l’insistance du Dr Edgar Franke, un médecin parlementaire de l’opposition au Bundestag qui s’étonnait de ne pas voir de rapport sur cette question à l’Institut Paul Ehrlich. L’institut, chargé de la pharmacovigilance pour les données de vaccination en Allemagne avec l’institut Robert Koch, avait été peu loquace sur la question, arguant un manque de visibilité et de données permettant de faire des rapports concluants. L’analyse des données des caisses d’assurance maladie faisait pourtant partie des missions spécifiques qui lui avaient été conférées, notamment en vertu du paragraphe 13 de la loi pandémie, autorisant le début des vaccinations Covid en Allemagne. Elle reprend les données recueillies auprès de 72 millions d’assurés, lors de consultations privées auprès des médecins généralistes ou spécialistes, en dehors des hôpitaux.

L’institut Paul Ehrlich est un des principaux centres de suivi des politiques vaccinales en Europe, on pourrait dire que c’est l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur en France. Avec l’Institut Robert Kock, il sert de référence dans l’évaluation de l’efficacité et de la qualité des vaccins nécessaires à l’autorisation de mise sur le marché des injections et effectue des missions de pharmacovigilance, ainsi que des recommandations de politiques vaccinales. Cette mission était non seulement d’importance critique pour l’Allemagne, mais aussi dans le cadre du suive des campagnes de vaccination en Europe, puisque les bases de données allemandes sont les plus importantes en nombre et en qualité de données.

Dans une conférence de presse du 14 janvier 2021, donnée par la Dr Brigitte Keller-Stanislawski de l’Institut Paul Erhlich, le programme de surveillance active des vaccinations Covid prévoyait d’effectuer l’analyse des données des caisses assurances, dès le début du 2e trimestre 2021. Pourquoi l’Institut n’a-t-il pas rempli cette mission, qui est d’une importance capitale pour le suivi de la sécurité des vaccins Covid et l’évaluation de la nécessité de poursuivre le programme vaccinal ?

Pourquoi a-t-il fallu attendre qu’un expert indépendant soit mandaté par un parti politique pour « faire le boulot » et faire parler les données ? Sans doute parce que les responsables se doutaient qu’elles laisseraient le monde sans voix.

Des chiffres qui laissent muet

Car après avoir épluché les 90 tableaux fournis par la KBV, l’analyste Tom Lausen est parvenu à une effroyable conclusion : la vaccination Covid est tout simplement une hécatombe.

Certes, la manière dont les données sont recueillies et présentées dans le dédale des classifications médicales internationales ne facilite pas l’analyse et « noie trop souvent le signal ». Ainsi, l’expert a dû naviguer entre les 16 000 codes utilisés pour déclarer les différents effets indésirables, dont beaucoup se recoupent. Par exemple la mort subite sans autre cause connue, est répertoriée sous les codes 146.1 « soudain arrêt cardiaque », mais aussi R96.0 « mort survenant subitement », R96.1 « mort survenant dans les 24 h de la déclaration d’un symptôme, sans autre facteur », R98 « mort sans la présence d’une autre personne », et R99 « mort sans autre cause spécifiée ». Il faut donc consolider ces chiffres pour avoir une idée du nombre de personnes « mortes subitement ».

De manière générale, la base de données comptait environ 1 déclaration d’effet indésirable pour 350 vaccinations jusqu’en 2020, alors que depuis le début de la campagne Covid, ce taux est monté à 1 sur 60.

Ainsi sur 153 750 725 vaccinations (153 millions), 2 487 526 (2,4 millions) de personnes ont rapporté des effets indésirables en consultation médicale.

La différence entre les chiffres rapportés dans le système officiel de pharmacovigilance STIKO du Paul Erhlich Institut (PEI) et ceux rapportés par les caisses d’assurance maladie tient notamment au fait que les chiffres de la KBV se basent sur les effets indésirables ayant fait l’objet de consultations médicales, alors que ceux du système de pharmacovigilance ne tiennent compte que des effets qui font l’objet d’une déclaration obligatoire. Or, dans le cadre spécifique de la loi pandémie la STIKO a spécifié qu’il n’est pas nécessaire d’enregistrer ce qu’elle considère comme « les effets indésirables habituels de la vaccination ». En commentant le tableau ci-dessus au mois établi au mois de mars 2022, la fédération des caisses d’assurances avait précisé ceci :

Le nombre de vaccinations effectuées dans le secteur conventionné pour l’année 2021 n’est pas encore entièrement disponible auprès de l’Institut central pour les soins médicaux conventionnés (Zi), si bien qu’une série de données n’est pas encore reprise dans le tableau ci-dessus.

Pour l’année 2021, le nombre total de vaccinations contre le Covid-19 effectuées dans le secteur conventionné et non conventionné (source : Zi) est comparé aux effets secondaires des vaccins codés dans le secteur conventionné. Les effets secondaires dus à des vaccinations effectuées par exemple dans un centre de vaccination ou par une équipe mobile de vaccination ne sont pas traités ou documentés et déclarés par ces derniers, mais en règle générale par les médecins agréés.

Les données publiées par le PEI sur les effets secondaires des vaccins diffèrent des effets secondaires des vaccins documentés par les médecins agréés via les codes CIM-10 susmentionnés pour les raisons suivantes :

Conformément à l’article 6, paragraphe 1, phrase 1, point 3, de la loi sur la protection contre les infections (IfSG) (« loi pandémie »), toute suspicion d’atteinte à la santé dépassant l’ampleur habituelle d’une réaction vaccinale doit être signalée au PEI. Cette déclaration fait partie des tâches médicales.

Afin de distinguer une réaction vaccinale habituelle d’une atteinte à la santé dépassant l’ampleur habituelle d’une réaction vaccinale — toutes deux documentées par les codes CIM-10 susmentionnés, mais dont seule la deuxième doit être déclarée — la STIKO a développé des critères et défini des caractéristiques pour les réactions vaccinales habituelles, conformément à l’article 20, paragraphe 2, phrase 3 de la loi sur la vaccination. Les réactions vaccinales habituelles, et donc non soumises à déclaration, sont des réactions locales et générales transitoires ne dépassant pas les proportions habituelles, qui doivent être considérées comme l’expression de la confrontation de l’organisme avec le vaccin. La STIKO a développé les critères suivants pour les réactions vaccinales habituelles :

« Rougeur, gonflement ou douleur au site d’injection persistant pendant 1 à 3 jours (parfois plus).

» Pour une durée de 1 à 3 jours, fièvre < 39,5 °C (mesurée par voie rectale), maux de tête et douleurs articulaires, fatigue, malaise, nausées, agitation, gonflement des ganglions lymphatiques régionaux.

« Symptômes à interpréter dans le sens d’une « maladie vaccinale » 1 à 3 semaines après l’administration de vaccins vivants atténués : par ex. un léger gonflement de la parotide, des arthralgies de courte durée ou un exanthème passager après la vaccination contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la varicelle ou des troubles gastro-intestinaux légers, par ex. après la vaccination orale contre le rotavirus ou la typhoïde.

» Sont également exclues de la déclaration obligatoire les manifestations de la maladie qui ont manifestement une autre cause que la vaccination.

« Toutes les autres réactions au vaccin doivent être déclarées.

Dans l’information professionnelle de Comirnaty® de BioNTech/Pfizer, par exemple, les effets secondaires les plus fréquemment observés chez les personnes de 16 ans et plus ayant reçu 2 doses et participant à l’étude d’autorisation de mise sur le marché sont les douleurs au site d’injection (> 80 %), la fatigue (> 60 %), maux de tête (> 50 %), myalgie (> 40 %), frissons (> 30 %), arthralgie (> 20) %), fièvre et gonflement au site d’injection (> 10 %), qui étaient généralement d’intensité légère ou modérée et ont disparu dans les jours suivant la vaccination. Une fréquence légèrement plus faible des événements de réactogénicité était associée à un âge plus avancé. Le profil de sécurité global pour la dose de rappel était similaire à celui observé après 2 doses. Les effets indésirables les plus fréquents chez les participants âgés de 18 à 55 ans étaient la douleur au site d’injection (> 80 %), la fatigue (> 60 %), les céphalées (> 40 %), la myalgie (> 30 %), les frissons et l’arthralgie (> 20 %).

Les données concernant le Spikevax® de Moderna, par exemple, sont comparables chez les personnes âgées de 18 ans et plus : Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans l’étude d’autorisation de mise sur le marché étaient la douleur au site d’injection (92 %), la fatigue (70 %), les céphalées (64,7 %), la myalgie (61,5 %), l’arthralgie (46,4 %), frissons (45,4 %), nausées/vomissements (23 %), gonflement/sensibilité des ganglions lymphatiques axillaires (19,8 %), fièvre (15,5 %), gonflement au site d’injection (14,7 %) et rougeur (10 %). Les effets secondaires étaient généralement légers ou modérés et ont disparu dans les jours suivant la vaccination. Les événements réactogènes étaient un peu moins fréquents chez les sujets âgés.

Les effets secondaires de la vaccination les plus fréquemment rencontrés dans les études d’autorisation de mise sur le marché mentionnées ci-dessus sont généralement classés parmi les réactions vaccinales habituelles et ne sont donc pas déclarés par les médecins au PEI, car ils ne sont pas soumis à déclaration obligatoire, comme indiqué ci-dessus. Elles sont cependant

— Dans la mesure où les patients se rendent au cabinet médical pour cette raison ou en font état et/ou ont éventuellement besoin d’un certificat d’incapacité de travail, ils sont documentés par rapport au patient via les codes CIM-10 correspondants. L’étendue de la documentation relative au patient par le biais du code CIM-10, en comparaison avec les vaccins établis depuis des années contre d’autres maladies, doit être adaptée aux spécificités du patient.

Dans le cas d’une nouvelle vaccination soumise à des conditions d’autorisation particulières, comme c’est le cas pour les vaccins Covid 19, il faut s’attendre à ce que les patients et les médecins soient plus attentifs aux réactions vaccinales et à ce qu’ils soient plus motivés à en parler ou à les documenter que dans le cas de vaccins connus depuis des années. La différence entre les réactions vaccinales documentées par les médecins et celles déclarées au PEI est donc compréhensible et attendue.

L’on ne peut que noter la contradiction entre le fait d’attendre une plus grande vigilance de la part des médecins et des patients face à un produit expérimental et le fait de les enjoindre à ne pas enregistrer la plupart des réactions aux vaccins dans le système de pharmacovigilance officiel, sous prétexte qu’elles sont « attendues puisque le fabricant les a lui-même constatées ».

Une phrase telle que « sont également exclues de la déclaration obligatoire les manifestations de la maladie qui ont manifestement une autre cause que la vaccination » ouvre la porte à l’arbitraire. Ceci va à l’encontre des principes fondamentaux de la pharmacovigilance. Il ne s’agit justement pas d’ignorer la majorité des effets indésirables pour ne rapporter que ceux que l’on n’a jamais constatés ou dont la gravité immédiate ne peut exclure une autre cause. Cette disposition invalide complètement le travail de la pharmacovigilance et porte les médecins à sous-déclarer les effets indésirables, y compris ceux qui sont graves. En principe, une surveillance active impose au contraire de tout déclarer afin de détecter des signaux au plus vite et de corriger le tir. Et le fait que l’ensemble des signaux soient déclarés est indispensable pour établir des diagnostics complexes et confirmer ou rejeter un éventuel lien de causalité.

Une interview récente, de l’analyste Tom Lausen le confirme. Il explique avoir interrogé un des experts de l’institut Paul Erlich au sujet des décès rapportés après la vaccination. Selon ce dernier, près de 3000 décès avaient été signalés, mais sans autopsie et dans 90 % des cas, les déclarations avaient été faites par les familles et non par des médecins. Ceux-ci ont par contre augmenté le nombre de déclarations de morts subites « inexpliquées ».

Il a également attiré l’attention sur le fait que près de 400 diagnostics divers ont sont en nette augmentation : l’on note ainsi une flambée des cancers, des troubles neurologiques, des certaines maladies rénales et même d’un nombre croissant de pathologies infectieuses. Il y a donc une diminution globale nette de l’état de santé général de la population depuis le début de la vaccination. Le groupe parlementaire ayant commandité cette enquête exige désormais l’arrêt urgent de la vaccination et un débat sur la vaccination au Bundestag. Il demande à ce que des autopsies soient réalisées et que des investigations soient faites pour avoir des réponses quant aux causes de cette catastrophe sans précédent.

Ils exigent aussi que les instituts Paul Erhlich et Robert Koch se saisissent de ces informations et fassent le travail pour lequel ils ont été mandatés.

En réalité, la planète entière doit se pencher sur ces données, issues d’un des systèmes de santé les plus fiables au monde, et agir en urgence pour mettre fin à cette tragédie. Toutes les agences de santé et instances de gouvernance en Europe sont tenues de réagir. Ne rien faire, c’est être complice.

Sources de l’article : J’ai reçu ces informations d’un avocat allemand et je me suis basée sur la conférence de presse et le powerpoint de l’analyste Tom Lausen. La conférence a été organisée par des parlementaires AFD et la présentation powerpoint est accessible sur leur site. Comme ce parti est considéré d’extrême droite, j’ai préféré ne pas renvoyer le lecteur vers leur site, mais je trouve que ces informations sont trop importantes pour ne pas circuler. C’est pourquoi je les intègre ici :

  • Vous pouvez aussi télécharger les tableaux de la présentation powerpoint ici.

  • Depuis la parution de mon article la conférence de presse a été doublée en français voir le lien ici.

  • Tom Lausen a créé un site au sujet des dommages vaccinaux, sur lequel les données allemandes doivent être accessibles : https://www.corih.de



La responsabilité des injecteurs du pseudovax examinée en justice

Par Nicole Delépine

Un médecin belge est poursuivi. Et maintenant une infirmière américaine condamnée.

« Une vidéo qui montre L. P Russo injectant le vaccin Covid-19 dans le bras d’un adolescent de 17 ans a suscité l’indignation, vidéo partagée sur TikTok en janvier 2022. L’ancienne enseignante de Long Island a été accusée d’avoir injecté un vaccin COVID-19 à un adolescent chez elle à l’insu de ses parents. Elle a été condamnée à des travaux d’intérêt général et à une période de probation ».1

« Début janvier 2022, les CDC ont annoncé que les enfants de 12 à 17 ans devront faire un rappel de vaccin Covid-19 dans un délai de 5 mois après la première dose de pseudovaccination. Et le Dr Rochelle Walensky a prétendu “c’est un moyen de les protéger contre les complications et les maladies graves”.

Ignorait-il que Fin novembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait rappelé que “les bénéfices d’une vaccination anti covid chez les plus jeunes n’étaient pas encore prouvés, les enfants ne présentant pas de facteurs de risques”.

En janvier 2022, cette ancienne enseignante dans un lycée de Long Island a administré une dose de vaccin Johnson & Johnson à un adolescent de 17 ans, fils d’une de ses connaissances, à l’insu des parents de ce dernier. Elle a été arrêtée sur plainte de la mère de l’ado vacciné sans son accord, et accusée de tentative d’exercice non autorisé de la médecine. Lors de sa comparution devant le tribunal de Mineola, New York, elle a plaidé coupable de “conduite désordonnée”. Évitant une accusation de crime qui aurait pu l’envoyer en prison, elle a été condamnée à des travaux d’intérêt général et à une probation.

« Selon le site Newsday, l’ancienne enseignante a obtenu le vaccin lorsqu’elle a demandé à un pharmacien de lui donner les doses expirées afin de les utiliser comme décoration de Noël. Ce qu’elle a fait constitue un véritable délit et normalement, elle devait encourir une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 4 ans. Mais en plaidant coupable, sa sanction a été allégée. »

Pourquoi ce délire activiste entraînant un adolescent dans sa course ?

Nous n’avons pas la version personnelle de l’infirmière. Cette dérive est emblématique des excès auxquels la mystification COVID-19 orchestrée par l’OMS au service de Bill Gates, Big Pharma et le gouvernement mondial de Schwab et cie, oubliant le serment d’Hippocrate et le code de Nuremberg, aura porté une partie de la population sous hypnose à ne plus accepter la liberté de l’autre à exercer leur droit, leur liberté de refuser des injections expérimentales grevées de complications à court et moyen terme aux conséquences lointaines inconnues.

UN MÉDECIN BELGE ÉTONNÉ DE LA PLAINTE D’UNE PATIENTE POUR INOCULATION SANS CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ.

En Belgique début novembre 2022, un médecin s’étonnait d’être poursuivi :

« Un médecin belge accusé d’avoir inoculé un vaccin “expérimental’“à sa patiente.

Un médecin généraliste exerçant dans le Brabant wallon a reçu une citation à comparaître devant le tribunal de première instance de Nivelles fin septembre 2022, à la suite d’une plainte d’une patiente ayant été vaccinée contre le Covid-19, selon une information publiée par le journal Le Soir.2

La plaignante lui reproche de lui avoir inoculé un vaccin anticovid qui ne disposait que d’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché. La plaignante évoque un “empoisonnement par un produit expérimental, mentionnant des effets secondaires d’ordre neurologique. Elle dit ne pas avoir été informée que le vaccin reçu ne disposait alors que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle de la part de l’Agence européenne du médicament (EMA) et estime dès lors que son consentement écrit aurait été nécessaire avant l’injection. Toutefois, comme le rappelle Le Soir, si la loi de 2002 sur le droit du patient prévoit que ce dernier soit correctement informé, il n’y est pas fait mention de consentement écrit.

L’Aviq, l’Agence wallonne pour une vie de qualité, responsable de la campagne de vaccination en Wallonie, est également concernée par cette citation à comparaître. »

LE PIRE : LE REFUS DE SOINS AUX NON-VACCINÉS3

L’accès aux soins est-il différent selon que l’on soit vacciné contre le covid ou pas ? Selon plusieurs patients non-vaccinés, la réponse est oui. Plusieurs patients témoignent avoir été refusés par leur médecin à cause de leur statut vaccinal. Soins dentaires, médecine générale, dermatologie : plusieurs domaines concernés. Inès, non-vaccinée pour des raisons d’ordre médical, s’est ainsi vue refuser un rendez-vous chez son dentiste,

« Il n’est pas question de refuser de soigner quelqu’un pour sa couleur de peau. C’est la même chose ici. On ne peut pas refuser les non-vaccinés. »

« On ne peut pas interdire au médecin d’avoir des convictions. Mais ce n’est pas de la philosophie, c’est de la politique. Et la politique, je suis désolé, mais comme la religion, on doit la mettre de côté quand nous soignons les gens », ajoute Philippe Boxho. Même avis du côté du Groupement Belge des Omnipraticiens (GBO). « On ne peut pas accepter cela. Si on devait exclure tous ceux qui ont des comportements qui nous semblent inadéquats, on exclurait beaucoup de monde », explique Paul de Munck, président du GBO.

COMPORTEMENT TOTALITAIRE INCOMPRÉHENSIBLE DANS UNE DÉMOCRATIE

Par quel miracle, tant de concitoyens “normaux” se sont-ils transformés si rapidement en quelques semaines en agents du KGB ou de la STASI français ? Au début du confinement une amie ayant osé sortir son heure autorisée sur un chemin de campagne s’était fait insulter par une voisine d’une fenêtre, car elle passait “trop près” de la maison. Ça promettait déjà !

Puis les injections ont aggravé ce phénomène chez un certain nombre de personnes dont le comportement est devenu très différent et qu’on commence à bien décrire.4

« Les vaccins endommagent les petits capillaires dans le cerveau, outrepassent la barrière hématoencéphalique et causent des lésions cérébrales généralisées qui conduisent souvent à des changements de personnalité extrêmes.

Chez certains qui reçoivent les injections d’ARNm, la volonté est brisée, ce qui n’est pas exactement un effet secondaire normal d’un ‘vaccin’. Qu’est-ce que ces choses font aux gens pour changer la façon dont leur cerveau fonctionne ? C’était le sujet de la discussion, que vous pouvez suivre intégralement ci-dessous. »

« Les gens, mes collègues qui ont été injectés, pensent de manière beaucoup plus dualiste, beaucoup plus rigide — et si vous connaissez la structure du cerveau, cela a du sens », explique Wolf.

« Lorsque la pensée des gens est plus rigide et que les structures neuronales sont endommagées, cela semble être quelque chose à craindre davantage. Je savais aussi que les gens étaient beaucoup plus en colère et moins capables de réguler leurs émotions — ils réagissaient aux provocations de manière beaucoup plus primaire. Les gens ont également dit que les changements sont affectifs — les gens qui étaient chaleureux et aimants sont devenus froids et distants ou ont coupé les autres. »

UNE TELLE SOUMISSION

Tous ceux qui avaient décodé le mythe covid transformant une grippe banale en fléau mondial ont eu du mal à comprendre comment des collègues médecins, des infirmiers, des kinés ou des pharmaciens, toutes professions autrefois “raisonnables” s’étaient précipités dans l’injection à outrance, omettant le consentement éclairé autrefois sacré et accompagné de rituelles signatures d’épais documents.

Certes, le bénéfice financier ne fut pas étranger à la motivation de certains, mais il ne suffit pas à tout expliquer. Dans les services hospitaliers et les EHPAD le personnel fut certes “contraint”, mais on imagine bien que les équipes qui auraient refusé “en bloc” ensemble, par principe de précaution (inscrit dans la constitution !) auraient alors été écoutées par la direction contrainte et forcée de faire tourner la boutique. Les mondialistes du WEF avaient réussi leur opération “peur, terreur” qui permit tout comme depuis des siècles.

LA PEUR ET LES MOUTONS

Est-ce cela l’explication selon le beau texte extrait de “à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde” par Agnès Beaufeuil ?

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées.

Dociles, maladifs, médiocres”, disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Cet Instinct nous pousse tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, “de manière aveugle et sans réflexion”. Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage. »

Au contraire nous dit plus tard l’auteur :

« Dire “je”, exprimer ses pensées et oser s’opposer à un courant commun qui nous maintient en état de subordination, c’est être capable de s’affirmer dans sa singularité. C’est être soi-même ; c’est avoir reconnu ses qualités comme ses défauts. C’est être authentique, être parvenu à être “soi”, “sans mauvaise foi” dirait Sartre. C’est être acteur de sa vie tout autant que metteur en scène et auteur agissant. C’est vivre une vie de rêve. C’est jouer le jeu de la vie où le “je” et le “jeu” s’entrelacent comme dans une danse joyeuse, ainsi que le disait le philosophe Marc-Alain Ouaknin, avec lequel j’ai eu le plaisir d’échanger cet été, en juillet.C’est aussi recevoir la vie comme un cadeau. C’est pouvoir offrir son bonheur de vivre en partage avec un autre tout aussi libre que moi. C’est être délivré de liens pour pouvoir aller vers l’autre librement, vers toutes ces “brebis perdues”. »

La population qui accepte de se soumettre devrait méditer ce proverbe Géorgien qui rappelle :

« Toute sa vie le mouton a peur du loup et confiance en son berger. Mais à la fin c’est son berger qui le mange. »





France — Le déclin de l’orthographe

[Source : observatoiredumensonge.com]

Vidéo d’Alexandre Goldfarb

Le déclin de l’orthographe contribue à préparer une société décomposée et servile.

Par Maxime Tandonnet

[Mon dernier papier pour Figaro Vox, issu d’un billet sur ce site enrichi grâce aux nombreux commentaires qui s’y sont exprimés. ]

En 2021[sur une même dictée] les élèves font en moyenne 19,4 erreurs contre 18 en 2015, 14,7 en 2007 et 10,7 en 1987. La baisse des résultats continue de concerner l’ensemble des élèves, quels que soient leur sexe et leur âge […] C’est l’orthographe grammaticale (règles d’accord entre le sujet et le verbe, accords dans le groupe nominal, accords du participe passé) qui demeure la source principale de difficultés.

La baisse du niveau scolaire moyen, notamment en orthographe, n’a rien d’un mythe décliniste comme le prouve une nouvelle étude du ministère de l’Education nationale.

La dégradation du niveau d’orthographe est un phénomène de long terme dont il serait excessif d’accabler les seuls dirigeants politiques actuels. Elle s’explique, très partiellement, par des facteurs extérieurs au milieu scolaire, qui tiennent à l’évolution de la société, notamment au déclin de la lecture au profit des réseaux sociaux et des jeux vidéo, ou aux difficultés de l’apprentissage de populations n’ayant pas le français comme langue maternelle. Mais c’est pourtant bien à l’intérieur de l’école que se situent ses causes essentielles.

D’ailleurs, cette dégradation ne semble pas figurer parmi les préoccupations prioritaires des autorités politiques qui privilégient les missions à caractère sociétal de l’école sur celle de transmission des savoirs fondamentaux. Enseigner l’éducation à la sexualité et lutter contre les inégalités entre les filles et les garçons est un moyen de donner à chacun les clés de sa réussite expliquait le ministre de l’Education nationale le 12 septembre dernier dans un tweet de rentrée, sans dire un mot sur la question de l’orthographe et du niveau scolaire. Lui-même ne faisait que poursuivre ainsi dans la voie engagée par ses prédécesseurs.

Ce déclin spectaculaire n’est évidemment pas imputable aux élèves ni à leurs professeurs. Il est le fruit d’un choix idéologique de long terme qui tend à affaiblir l’enseignement du français, c’est-à-dire essentiellement de l’orthographe dans le primaire. Selon Mme Agnès Joste, professeur de français, auteur d’une étude publiée par le groupe de recherche sur la démocratisation scolaire :

« Pendant ce temps les horaires diminuent (la moyenne de l’horaire hebdomadaire d’enseignement du français dans le primaire passe de 10 heures à 7,7 heures entre 1969 et 2002). L’utilisation du français dans toutes les matières (« pratique transversale de la langue ») étant censée remplacer son étude, les contenus baissent… »

Il faut y voir le résultat d’une volonté de nivellement par le bas, assumée depuis plusieurs décennies, dans une perspective égalitariste. La maîtrise de l’orthographe et plus généralement du français est considérée – à tort – comme emblématique d’un code de reconnaissance sociale et donc de reproduction des inégalités. Ce raisonnement est aux antipodes de la méritocratie républicaine sous la IIIe République qui voyait bien au contraire dans l’excellence scolaire – notamment l’orthographe – un mode de promotion et d’égalité des chances fondé sur le travail et l’intelligence, à l’opposé de la cooptation par la fortune et les relations de famille.

La baisse du niveau en orthographe n’est bien entendu pas le seul symptôme du déclin scolaire. Le classement international PISA situe la France au 23e rang mondial pour la compréhension de texte. Selon l’étude Timss, la France est désormais avant dernière de l’OCDE en mathématiques devant le Chili. Mais à travers l’orthographe, en particulier la grammaire, c’est la maîtrise du français qui est frappée de plein fouet. Or, la langue écrite, la capacité à la comprendre, à s’exprimer, former des phrases intelligibles et cohérentes, est la porte d’accès à la vie professionnelle et sociale, à la capacité de raisonnement et à la culture.

Le choix d’affaiblir le niveau de maîtrise de la langue écrite relève de l’idéologie de la table rase.  Pour affaiblir l’intelligence collective d’un peuple et son esprit critique, rien n’est plus efficace que de s’attaquer à sa langue écrite. La déconstruction de l’intelligence commence sans doute par le sabotage de l’orthographe, de génération en génération. Il est infiniment plus facile de manipuler des individus qui n’ont pas appris à écrire correctement. L’incapacité à s’exprimer par écrit rejaillit sur tous les autres apprentissages : l’histoire, la littérature, les langues et la science. Subrepticement, on fabrique ainsi un individu privé de culture, sans racines intellectuelles, soumis à toutes les influences et les peurs, dépersonnalisé, privé de la curiosité livresque, de l’esprit critique et indéfiniment manipulable par toute sortes d’idoles de notre temps. Le déclin de l’orthographe contribue à préparer une société servile et décomposée.

[Voir aussi :
Pour la survie du français face à la langue qui tue]

Maxime Tandonnet

max t

Ancien conseiller à la Présidence de la République sous Sarkozy, auteur de plusieurs essais, passionné d’histoire…
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Maxime Tandonnet pour Maxime Tandonnet – Mon blog personnel




Protégez vos enfants : ne les injectez pas par ce produit génique inefficace et dangereux

Par Nicole Delépine

Dans un avis publié le 19 décembre 20221, la Haute autorité de santé recommande d’élargir la pseudovaccination contre le Covid à certains enfants âgés de 6 mois à 4 ans :

« Si les parents concernés décident de vacciner leur bébé, ce sera avec un vaccin moins dosé et qui se donne en trois injections.2 C’est une première en France : des bébés seront bientôt vaccinés contre le Covid3 ».

FAUX ! De fait quelques milliers de petits ont été déjà injectés sur avis de leur « spécialiste » les trouvant « à risque » et les vigilants ont eu grand mal à trouver le suivi.

« Coupable d’avoir commis un mensonge d’état par omission d’une gravité exceptionnelle pour les enfants de France, revoilà Adrien Taquet !

Par deux fois au cours de cette interview (*), Taquet, alors Secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance, a fait semblant d’ignorer les plus de 4500 enfants de moins de cinq ans et les plus de 20 000 enfants âgés de 5 à 11 ans injectés avec des doses adultes en 2021, avant ses déclarations mensongères.

Alors le Premier ministre, vous l’avez entendu, a parlé de nécessité, je crois, en fin de semaine dernière, il y a déjà eu un avis de la Haute autorité de santé, notamment pour les enfants les plus vulnérables, et d’ailleurs, (la) campagne de vaccination pour ces 360 000 enfants atteints de maladies chroniques, de cancers, débute aujourd’hui…”

Il a déjà été décidé d’ouvrir la vaccination pour les enfants fragiles, ça commence aujourd’hui, ça, c’est une certitude, on attend les décisions des autorités de santé… 4

Avec Christèle Gras-Le Guen, sa complice dans la scandaleuse affaire des injections des sérums Pfizer pour adultes sans AMM perpétrées contre près de 30 000 enfants de France en 2021, au cours du printemps prochain, il va présider les Assises de la Pédiatrie et de la Santé de l’enfant ! Adrien Taquet coprésidera le comité d’orientation des Assises de la Pédiatrie et de la Santé de l’enfant”. »5

Et voici ce que l’on sait enfin en France (sûrement très parcellaire)

« 14 enfants de moins de 5 ans (*) gravement malades (dont un enfant décédé) par suite de l’injection non autorisée d’ARNm de Pfizer en France !!! Ces données “brutes” émanent de l’ANSM et sont rapportées par Emmanuelle Darles et Vincent Pavan. Les médecins qui ont piqué ces enfants gravement handicapés ou décédés — sans autorisation de mise sur le marché de ces pseudo “vaccins” pour les enfants de moins de cinq ans — ont-ils été mis en examen ?

Alors que ces données datent de l’été dernier (rapport publié le 8 septembre 2022), l’ANSM dans son rapport du 24 novembre 2022 continue d’ignorer l’existence des plus de 4512 enfants de moins de 5 ans injectés avec des doses adultes avant la mi-novembre 2021 et tous ceux qui ont été injectés avec des doses adultes et/ou pédiatriques depuis lors. Pourquoi ? Dans ce rapport, l’ANSM évoque 15 enfants de moins de 5 ans gravement atteints après vaccination. Et, comme expliqué, au cours du Conseil Scientifique Indépendant du 15 décembre, les données présentées dans les rapports de l’ANSM concernant les enfants sont sous-estimées par rapport aux données brutes. »6

PFIZER PUBLIE LES EFFETS INDÉSIRABLES RECONNUS7

Effets indésirables

1. Résumé du profil de sécurité

Nourrissons âgés de 6 à 23 mois — après 3 doses

« Dans une analyse de l’étude 3 (phase 2/3), 1 776 nourrissons (1 178 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 598 ayant reçu le placebo) étaient âgés de 6 à 23 mois. D’après les données de la période de suivi en aveugle, contrôlé contre placebo, jusqu’à la date limite du 29 avril 2022, 570 nourrissons âgés de 6 à 23 mois ayant reçu les 3 doses du schéma de primo-vaccination (386 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 184 ayant reçu le placebo) ont été suivis pendant une durée médiane de 1,3 mois après la troisième dose.

Les effets indésirables les plus fréquents, chez les nourrissons âgés de 6 à 23 mois ayant reçu une dose quelconque du schéma de primo-vaccination, étaient une irritabilité (> 60 %), une somnolence (> 40 %), une diminution de l’appétit (> 30 %), une sensibilité au site d’injection (> 20 %), une rougeur au site d’injection et une fièvre (> 10 %).

Enfants âgés de 2 à 4 ans — après 3 doses

Dans une analyse de l’étude 3 (phase 2/3), 2 750 enfants (1 835 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 915 ayant reçu le placebo) étaient âgés de 2 à 4 ans. D’après les données de la période de suivi en aveugle, contrôlé contre placebo, jusqu’à la date limite du 29 avril 2022, 886 enfants âgés de 2 à 4 ans ayant reçu les 3 doses du schéma de primo-vaccination (606 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 280 ayant reçu le placebo) ont été suivis pendant une durée médiane de 1,4 mois après la troisième dose.

Les effets indésirables les plus fréquents, chez les enfants âgés de 2 à 4 ans ayant reçu une dose quelconque du schéma de primo-vaccination, étaient une douleur au site d’injection et une fatigue (> 40 %), une rougeur au site d’injection et une fièvre (> 10 %). »

2. Liste récapitulative des effets indésirables observés dans les études cliniques et dans le cadre de la surveillance après l’autorisation chez les personnes âgées de 6 mois et plus.

Les effets indésirables observés au cours des études cliniques, énumérés ci-dessous, sont classés selon les catégories de fréquence suivantes :

  • très fréquent (≥ 1/10) ;
  • fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ;
  • peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100) ;
  • rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000) ;
  • très rare (< 1/10 000) ;
  • indéterminée (la fréquence ne peut être estimée à partir des données disponibles).
Affections hématologiques et du système lymphatique

  • Peu fréquent : lymphadénopathie 1.
Affections du système immunitaire

  • Peu fréquent : réactions d’hypersensibilité (par exemple éruption 9, prurit, urticaire, angio-œdème 2).
  • Indéterminée : anaphylaxie.
Troubles du métabolisme et de la nutrition

  • Peu fréquent : diminution de l’appétit 10.
Affections psychiatriques

  • Très fréquent : irritabilité 11.
  • Peu fréquent : insomnie.
Affections du système nerveux

  • Très fréquent : céphalées, somnolence 11.
  • Peu fréquent : léthargie.
  • Rare : paralysie faciale périphérique aiguë 3.
  • Indéterminée : paresthésie 4, hypoesthésie 4.
Affections cardiaques

  • Très rare : myocardite 4 et péricardite 4.
Affections gastro-intestinales

  • Très fréquent : diarrhée 4.
  • Fréquent : nausées, vomissements 4.
Trouble de la peau et du tissu sous-cutané

  • Peu fréquent : hyperhidrose ; sueurs nocturnes.
  • Indéterminée : Érythème polymorphe 4.
Affections musculo-squelettiques et systémiques

  • Très fréquent : arthralgies, myalgies.
  • Peu fréquent : douleurs des extrémités 5.
Affections des organes de reproduction et du sein

  • Indéterminée : saignements menstruels importants 12. (Ajout lors de la mise à jour du 06/12/2022)
Troubles généraux et anomalies au site d’administration

  • Très fréquent : douleur au site d’injection 11 ; fatigue, frissons, fièvre 6, gonflement au site d’injection 11.
  • Fréquent : rougeur au site d’injection 8.
  • Peu fréquent : asthénie, malaise, prurit au site d’injection.
  • Indéterminée : gonflement étendu du membre vacciné 3, gonflement du visage 7.

1 : une fréquence plus élevée de lymphadénopathie a été observée chez les participants âgés de 5 à 11 ans dans l’étude 3 (2,5 % contre 0,9 %) et chez les participants âgés de 16 ans et plus dans l’étude 4 (2,8 % contre 0,4 %) recevant une dose de rappel par comparaison avec les participants ayant reçu les 2 premières doses.
2 : la fréquence dans laquelle l’angioœdème a été classé est « rare » ;
3 : sur la période de suivi de la sécurité de l’essai clinique jusqu’au 14 novembre 2020, une paralysie faciale périphérique aiguë (paralysie de Bell) a été rapportée chez quatre participants dans le groupe vaccin à ARNm contre la covid 19. La paralysie faciale est apparue le jour 37 après la première dose (ce participant n’a pas reçu la dose 2) et les jours 3, 9 et 48 après la dose 2. Aucun cas de paralysie faciale périphérique aiguë (paralysie de Bell) n’a été rapporté dans le groupe placebo ;
4 : effet indésirable déterminé après autorisation ;
5 : fait référence au bras dans lequel le vaccin a été administré ;
6 : une fréquence plus élevée de fièvre a été observée après la deuxième dose par rapport à la première dose ;
7 : des cas de gonflement du visage chez les personnes vaccinées ayant reçu des injections de produits de comblement dermique ont été signalés lors de la phase post-commercialisation ;
8 : la rougeur au site d’injection est survenue plus fréquemment (très fréquente) chez les enfants âgés de 6 mois à 11 ans ;
9 : la fréquence dans laquelle le rash a été classé est « fréquent » chez les participants âgés de 6 à 23 mois ;
10 : la fréquence dans laquelle la diminution de l’appétit a été classée est « très fréquent » chez les participants âgés de 6 à 23 mois ;
11 : l’irritabilité, la sensibilité au site d’injection et la somnolence concernent uniquement les participants âgés de 6 à 23 mois ;
12 : La plupart des cas se sont révélés de nature non grave et temporaire. »

CONTRATS PERDUS EN ISRAËL, REFUS DE RÉPONDRE AU PARLEMENT EUROPÉEN

À l’heure où le ministère israélien prétend avoir « perdu » les contrats avec Pfizer8, et que le PDG Bourla de Pfizer refuse de répondre aux questions du parlement européen9, les fraudes, les mensonges apparaissent aux yeux du monde entier. Et en même temps l’accumulation dramatique des effets toxiques, mortalité directe liée à l’injection, mais aussi surmortalité globale (toutes causes confondues) dans les pays injectés fortement, témoignent au minimum d’une baisse immunitaire importante.

En Allemagne, les informations arrivent au Parlement et sur les médias mainstream

« À force de persévérance l’analyste allemand Tom Lausen a marqué un beau coup. Après avoir obtenu et analysé les données de la KVB, l’association des caisses d’assurance maladie, qui comprend 72 millions d’assurés, et constaté le décuplement des “morts subites inexpliquées” en 2021 et 2022, soit depuis le début de la vaccination Covid, l’expert est parvenu à faire remonter son dossier explosif jusqu’au niveau fédéral. »

La conférence de presse du 12 décembre, où il a présenté les données indiquant que les chiffres des décès et de différentes autres maladies sont absolument hors-norme, a été suivie d’une interpellation au parlement fédéral par des députés de l’opposition. Les partis de la majorité sont sur la sellette et contre-attaquent en force.

Entretien avec Tom Lausen :

« Bonjour et merci de partager ces informations ailleurs en Europe, c’est très important. Je vous avoue que depuis la conférence de presse et l’interpellation du député Stichert, c’est assez intense. Hier les députés du Bundestag (le parlement fédéral allemand) ont passé plus d’une heure à se réunir au sein de leurs partis pour décider de la stratégie à adopter en réponse à ce scandale. Ils sont dans une position très embarrassante, car les données de la KVB sont vraiment les plus fiables dont on dispose. Elles consolident les informations de tous les médecins d’Allemagne, à l’exception des données provenant des hôpitaux. »10

DES ÉLUS ALLEMANDS EXIGENT LES AUTOPSIES DES DÉCÉDÉS APRÈS VACCIN

Publié le 14 décembre 2022.

Le monde politique allemand — notamment le vice-président du Parlement — réagit à la suite d’une étude montrant que 30 % des morts suspectes après vaccination sont dues aux injections.

Des élus de haut niveau exigent un suivi systématique, une récolte de données sérieuse et des autopsies pour tous les cas problématiques. Et les chercheurs souhaitent mener d’autres investigations pour lever les nombreuses questions encore en suspens.

Le vice-président du Bundestag Wolfgang Kubicki, également vice-président du FDP (Parti libéral-démocrate), veut que l’on s’intéresse de plus près aux éventuels dommages causés par les vaccins Covid.

« Je pense qu’il est indispensable que tout décès inexpliqué survenant dans les 14 jours suivant une vaccination soit automatiquement enregistré comme cas suspect auprès de l’Institut Paul-Ehrlich. Ce n’est manifestement pas encore le cas », a-t-il déclaré au journal Welt.

Une étude aux résultats inquiétants : le politicien s’est référé à une étude récemment publiée par le Pr Peter Schirmacher, pathologiste en chef de l’hôpital universitaire de Heidelberg : à la suite d’autopsies de personnes décédées peu après avoir été vaccinées, il s’est avéré que la vaccination était la cause dans 30 % des cas.11

COMMENT OSER RECOMMANDER L’INJECTION DES BÉBÉS ?

Bébés qui sont à risque zéro du covid, et singulièrement des plus fragiles alors qu’il est maintenant démontré chez les vieillards que les pseudo vaccins, loin de les protéger, les rendent plus vulnérables à toute agression infectieuse ou autre12.

LA RECOMMANDATION HONTEUSE DE LA HAS CONTRAIRE A TOUT BON SENS MÉDICAL

« Seuls les tout-petits à risque de développer une forme grave de la maladie, ou de décès, seront éligibles à l’injection par le Pfizer et BioNTech ». Cela comprend pour la HAS « les enfants qui ont une de ces comorbidités : les cardiopathies congénitales, les maladies hépatiques chroniques, les maladies cardiaques et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère nécessitant un traitement continu), les maladies neurologiques, l’immunodéficience primitive ou induite par médicaments, l’obésité, le diabète, les hémopathies malignes, la drépanocytose et la trisomie 21. À cela s’ajoutent les cas de cancer récent, maladie rénale chronique ou handicap neurologique. La vaccination est aussi recommandée aux bébés dont l’entourage est à risque de forme grave du Covid. »

Ajouter le cancer à cette liste est particulièrement choquant quand les démonstrations nombreuses de la multiplication de tumeurs malignes chez les vaccinés, dont beaucoup chez les jeunes, et la récidive précoce des cancers en rémission est devenue explosive. Comment ignorer ces observations cliniques mondiales ? 13

LES MENSONGES SE POURSUIVENT MALGRÉ L’EXPLOSION DES RÉVÉLATIONS INTERNATIONALES

Cet avis de la HAS s’inscrit dans un contexte où très peu d’enfants français sont vaccinés contre le Covid, alors que la vaccination est ouverte aux moins de douze ans depuis la fin 2021. Actuellement, à peine 5 % des enfants de cinq à onze ans sont vaccinés en France.

Le mensonge de la Cour des comptes suivant est impressionnant :

« L’échec de la vaccination des enfants contribue à expliquer les moins bons résultats globaux de la vaccination en France par rapport à l’Italie, à l’Espagne et au Portugal », a noté la Cour des comptes dans un récent rapport sur la vaccination anti-Covid en France.

On se demande d’où la Cour des comptes tire son expertise et son affirmation tellement inexacte. Juge-t-elle le résultat médical d’une vaccination au seul pourcentage de vaccinés sans en regarder les résultats médicaux ? Car presque partout dans le monde, plus on est vacciné plus la mortalité est élevée.

Dans aucun pays la vaccination anticovid ou dite telle n’a présenté de résultats positifs. Partout dans le monde, ce sont les victimes de l’injection qui s’accumulent pour une maladie bénigne et à risque zéro chez le jeune et chez l’enfant, maladie de surcroît curable avec des médicaments sans risque et à faible coût (ivermectine, hydroxychloroquine, macrolides, zinc, etc.).

Nous avons déjà listé les effets secondaires importants chez les enfants qui auraient dû conduire à l’interdiction de ce produit toxique14, selon l’avis de nombreux groupes de professionnels anglais, canadiens, etc..

Chaque jour apparaissent de nouvelles études confirmant les inquiétudes : par exemple cette publication portugaise :

Health chiefs call attention to risks of myocarditis/pericarditis in children “within 14 days of Pfizer Covid jabs”—Portugal Resident 15 :

« Les responsables de la santé attirent l’attention sur les risques de myocardite/péricardite chez les enfants “dans les 14 jours suivant les injections Covid de Pfizer”»

Au Portugal, seul le vaccin Pfizer Cominarty est offert aux enfants : les responsables de la santé ont publié aujourd’hui une nouvelle norme sur le site officiel du pays, recommandant aux professionnels de la santé de rechercher « des signes de myocardite et de péricardite chez les enfants au cours des 14 premiers jours » suivant l’administration du vaccin Pfizer Covid. L’autorité sanitaire fait également remarquer que :

« Dans la mesure du possible, un intervalle de deux semaines devrait être respecté en ce qui concerne l’administration d’autres vaccins, quel que soit le vaccin ».

La « norma » « Vaccination contre le Covid-19 : Cominarty Original/Omicron BA, 4-5 5 10μg/dose® de vaccin — Formulation pédiatrique pour les 5 à 11 ans » fait référence à de « très rares cas » de myocardite et de péricardite qui « ont été observés après la vaccination avec Comirnaty » (…) « le plus souvent après la deuxième dose et chez les garçons les plus jeunes ».

Dans la norme, la DGS appelle également les professionnels de la santé, avant la vaccination, à :

« alerter les parents/tuteurs de consulter immédiatement un médecin si (les enfants) développent des symptômes évocateurs d’une myocardite ou d’une péricardite après la vaccination, tels que des douleurs thoraciques aiguës et persistantes, une dyspnée ou des palpitations. »

« Les données disponibles suggèrent que l’évolution clinique de la myocardite et de la péricardite après la vaccination n’est pas différente de celle de la myocardite et de la péricardite en général, c’est-à-dire qu’elle a généralement une évolution bénigne après le repos et/ou le traitement symptomatique », lit-on dans le document.

« Si ce problème survient après l’administration d’une dose de Comirnaty Original/Omicron BA.4-5® 10μg/dose, l’administration de la dose suivante doit être reportée au moins jusqu’à la résolution complète du tableau clinique et le bénéfice de son administration doit être évalué au cas par cas par le médecin traitant », indique le DGS, Terminant par le conseil que « les effets indésirables les plus fréquents sont d’intensité légère ou modérée et disparaissent quelques jours après la vaccination : douleur au site d’injection, fatigue, maux de tête, frissons, douleurs articulaires, fièvre (plus fréquente après la 2e dose par rapport à la 1re), gonflement et rougeur au site d’injection ».

Comment accepter même de rares myocardites chez l’enfant pour une maladie bénigne et curable par de simples médicaments ? Et affirmer que l’évolution de la péricardite ou de la myocardite sera bénigne relève de Mme Soleil. Les lésions ne sont pas réversibles et les séquelles sont impossibles à estimer sans recul.

La plainte posée par un mouvement de protection des enfants portugais n’a toujours pas reçu de réponse. Alors que les autorités sanitaires admettent essayer d’encourager davantage d’enfants et de jeunes à accepter l’offre de vaccins contre le Covid, le mouvement civique « pelas crianças e jovens na pandemia » a déposé une plainte de 36 pages auprès du bureau du procureur général. Il présente des données qui, selon lui, montrent :

« De graves manquements en matière de sécurité dans la transparence de l’information, la pharmacovigilance et la réglementation des médicaments en ce qui concerne les vaccins Covid-19 chez les enfants et les jeunes au Portugal ».

« Le groupe met en évidence les données de pharmacovigilance envoyées par les autorités de ce pays au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) des États-Unis qui, selon lui, ont été “cachées au niveau national”, mais “qui permettent la détection d’indications graves de problèmes avec les vaccins chez les enfants” »

Sur 116 pages, les différents incidents sont donnés dans leur intégralité — y compris les « évanouissements » d’adolescents décrits dans les premiers jours du déploiement du vaccin, les convulsions, la perte temporaire de la vision, la perte de la fonction motrice, la surdité, la mycocardite, etc.

L’enfant de six ans décédé des suites d’une vaccination en janvier figure dans la liste — à la page 82 — la gravité de la réaction répertoriée comme « mortelle ».

« Ils soutiennent qu’en ne signalant pas pleinement les effets indésirables du vaccin dans ce pays, INFARMED et les autorités sanitaires ont essentiellement “caché” ce qui, dans de nombreux cas, est des situations “scandaleusement graves” »

« Une autre question concerne le consentement éclairé. Le groupe se demande pourquoi les parents ne sont pas “dûment informés… en ce qui concerne le caractère génétique et expérimental de ces vaccins” ; les “effets indésirables possibles déjà connus et leur fréquence” ; “l’absence d’études sur les effets indésirables à long terme” ; “l’absence d’études sur les effets sur la grossesse, l’allaitement, l’embryon et le fœtus ; sur les immunodéprimés, sur la génotoxicité et sur la cancérogénicité”. D’où l’appel au procureur général de la République “pour enquêter sur la vérité factuelle”. »

Au Canada

Pourtant des décès symboliques devraient alerter comme celui de ce canadien de 35 ans, fervent adepte de la vaccination mort subitement…16 ou l’annulation des tournées de Justin Bieber et de Céline Dion peu de temps après leur vaccination et leur exigence de vacciner les spectateurs. Certains parlent de karma…

En France et en Europe, les chiffres cachés apparaissent peu à peu

Surmortalité des enfants européens de moins de 15 ans par rapport aux trois années d’avant vaccination (2020 covid sans vaccin en marron, 2021 en bleu foncé, 2022 en bleu clair)

https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps 17

ATTENTION À CETTE ALERTE :
NE FAITES PAS INJECTER VOS PETITS PAR LE PSEUDO VACCIN COVID
et MÉFIEZ-VOUS DE LA SUITE PRÉVUE À ÉVITER ABSOLUMENT !

« Prévenir les parents

Le vaccin Covid va être associé au ROR et tous les enfants recevront ce combo
Publié le 29 Juillet 2022

Maintenant, ils veulent lier le C19-modRNA avec le ROR — La vaccination obligatoire pour les enfants par la porte dérobée. Dès qu’il sera sur le marché, les autres fabricants retireront complètement leur vaccin ROR normal du marché, et il n’y aura alors que des médicaments de thérapie génique MMR-C19modRNA pour les enfants. Dites-le à tous les parents !18 »

ET OBTENIR LA SUPPRESSION DE TOUTES CES INJECTIONS





Revue d’actualités par Jean-Dominique Michel

[Source : Jean-Dominique Michel]

Au programme : corruption généralisée ; données alarmantes ; plaintes et démarches ; la sagesse populaire et les mensonges des « élites ».






Pour la survie du français face à la langue qui tue

[Source : imperatif-francais.org]

Par Charles Xavier Durand

Langue française et Francophonie au XXIe siècle

VOLET 15 — La langue qui tue…

VOLET 14 — L’anglais comme véhicule de diffusion de la pseudo-science (suite)

VOLET 13 — L’anglais comme véhicule de diffusion de la pseudo-science

VOLET 12 — Les effets pervers liés à l’usage de l’espéranglais
dans les sciences et les techniques par les non-anglophones

VOLET 11 — L’anglais, facteur déterminant
de l’occultation des sciences non anglo-saxonnes

VOLET 10 — Si ce n’est pas rédigé en anglais, ça ne vaut pas la peine d’être lu !

VOLET 9 — Les conditions pour développer une science originale

VOLET 8 — Petit retour en arrière et contributions de Humboldt

VOLET 7 — Quelques fondamentaux…

VOLET 6 — Langue et science
Suite…

VOLET 5 — Langue et science
Introduction au problème…

VOLET 4 — Les officines de la guerre culturelle et linguistique

VOLET 3 — La main pas très invisible des Américains

VOLET 2 — La « pensée unique » et la colonisation linguistique et culturelle

Réinformation de la langue française
VOLET 1 — L’empire anglosaxon ou anglo-américain :
La guerre contre les autres langues et cultures

Nous avons besoin de vous

Contribuez à Impératif français en faisant un don ou en devenant membre !

Devenir membre et faire un don


Cliquer sur l’image pour l’agrandir



Le vaccin COVID-19 de Pfizer lié à la coagulation du sang, selon la FDA

[Source : crashdebug.fr]

[Illustration : Nathan Howard/Getty Images]

Zachary Stieber

Par Zachary Stieber

Le vaccin COVID-19 de Pfizer a été lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées, selon la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

Les chercheurs de la FDA, qui ont analysé les données d’une base de données de personnes âgées aux États-Unis, ont constaté que l’embolie pulmonaire — la coagulation du sang dans les poumons — avait atteint le seuil initial d’un signal statistique et continuait de répondre aux critères après une évaluation plus approfondie.

Selon les chercheurs, trois autres résultats intéressants — un manque d’oxygène au niveau du cœur, un trouble des plaquettes sanguines appelé thrombocytopénie immunitaire et un autre type de coagulation appelé coagulation intravasculaire — ont initialement déclenché des signaux d’alarme. Des évaluations plus approfondies, telles que des comparaisons avec des populations ayant reçu des vaccins contre la grippe, ont montré que ces trois cas n’atteignaient plus les seuils statistiques d’un signal.

Les chercheurs ont examiné les données concernant 17,4 millions d’Américains âgés qui ont reçu un total de 34,6 millions de doses de vaccin entre le 10 décembre 2020 et le 16 janvier 2022.

L’étude a été publiée dans la revue Vaccine le 1er décembre.

La FDA a déclaré qu’elle ne prenait aucune mesure concernant les résultats parce qu’ils ne prouvent pas que les vaccins sont à l’origine de l’une ou l’autre des quatre conséquences, et parce que les conclusions « sont toujours en cours d’investigation et nécessitent une étude plus solide ».

Le Dr Peter McCullough, conseiller médical en chef de la Fondation Truth for Health, a déclaré à The Epoch Times par courrier électronique que le nouveau document « corrobore les préoccupations des médecins selon lesquelles la forte augmentation des caillots sanguins, la progression des maladies cardiaques athérosclérotiques et les troubles sanguins sont indépendamment associés à la vaccination par le COVID-19 ».

Pfizer n’a pas répondu à une demande de commentaire.

pfizer headquarters 1200x800
Un piéton passe devant le siège de Pfizer à New York, dans une photo d’archive.
(Jeenah Moon/Getty Images)

Comment la recherche a été effectuée

Les chercheurs de la FDA, avec l’aide de chercheurs des Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS), ont analysé les données de la base CMS. Ils ont inclus les bénéficiaires de Medicare Fee-for-Service âgés de 65 ans ou plus qui ont reçu un vaccin dans le délai imparti, qui ont été inscrits lorsqu’ils ont été vaccinés et qui ont été inscrits pendant une « fenêtre propre » de temps avant la vaccination. Cette fenêtre était de 183 jours ou 365 jours, selon le résultat.

Environ 25 millions de personnes bénéficient du système Medicare Fee-for-Service, mais seulement 17 millions environ ont été vaccinées pendant la période étudiée.

Les chercheurs ont utilisé des tests de probabilité pour détecter un risque accru d’un ou plusieurs des 14 résultats après la vaccination. L’objectif était de voir si la vaccination pouvait augmenter le risque d’effets indésirables, tels que l’embolie pulmonaire, ou la formation de caillots sanguins dans les poumons. Si un résultat atteignait un certain seuil statistique, cela signifiait qu’il pouvait augmenter le risque.

Les premiers résultats de la surveillance de la sécurité ont détecté un risque accru de quatre événements, a annoncé la FDA le 12 juillet 2021. Il s’agit des mêmes quatre événements décrits dans le nouveau document, qui constitue la première mise à jour de l’agence sur le sujet depuis son annonce.

Au 15 janvier 2022, 9.065 cas de manque d’oxygène au cœur — connus sous le nom d’infarctus aigu du myocarde — ont été détectés, ont révélé les chercheurs dans la nouvelle étude. À la même date, 6.346 cas d’embolie pulmonaire, 1.064 cas de thrombocytopénie immunitaire et 263 cas de coagulation ont été détectés.

Un des tableaux du nouveau document.

L’analyse primaire a montré un signal de sécurité pour les quatre résultats. Les chercheurs ont essayé d’ajuster les chiffres en utilisant différentes variables. Par exemple, à un moment donné, ils ont ajusté la variation des taux de base, ou les taux de chaque résultat dans la population générale avant la pandémie. Après certains ajustements — pas tous — l’infarctus du myocarde, la thrombocytopénie immunitaire et la coagulation intravasculaire ont cessé d’être statistiquement significatifs.

L’embolie pulmonaire, en revanche, est restée statistiquement significative, ont indiqué les chercheurs. L’embolie pulmonaire est une affection grave qui peut entraîner la mort.

Les limites de l’étude incluent la possibilité de faux signaux et de signaux manqués dus à des facteurs tels que des paramètres mal spécifiés.

Les conditions qui n’ont pas déclenché de signal comprenaient l’accident vasculaire cérébral, l’inflammation cardiaque et l’appendicite.

Les signaux n’ont été détectés qu’après la vaccination par Pfizer. Les analyses des signaux après la réception des vaccins Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas révélé de problèmes.

Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

Effets secondaires

Les trois vaccins ont été associés à un certain nombre d’effets secondaires. Des experts du monde entier ont confirmé que l’inflammation cardiaque est liée aux vaccins Moderna et Pfizer, tandis que le vaccin de Johnson & Johnson a été associé à des caillots sanguins.

D’autres pathologies, telles que l’embolie pulmonaire, ont été signalées aux autorités et décrites dans des études, bien que certains articles n’aient constaté aucune augmentation du risque après la vaccination.

Environ 4.214 rapports d’embolie pulmonaire post-vaccination, dont 1. 886 après réception du vaccin de Pfizer, ont été signalés au U.S. Vaccine Adverse Event Reporting System en date du 9 décembre.

À la même date, 1.434 rapports d’infarctus du myocarde post-vaccination, dont 736 après réception du vaccin Pfizer, 469 rapports de thrombocytopénie immunitaire post-vaccination, dont 234 après réception du vaccin Pfizer, et 78 rapports de coagulation intravasculaire post-vaccination, dont 42 après réception du vaccin Pfizer, ont été signalés.

Les rapports au système peuvent être faits par n’importe qui, mais la plupart sont déposés par des travailleurs de la santé, selon les études. Le nombre de rapports est un sous-dénombrement, selon les études.

La nouvelle étude indique que la FDA « croit fermement que les avantages potentiels de la vaccination contre le COVID-19 l’emportent sur les risques potentiels de l’infection par le COVID-19. » Aucune preuve n’a été citée à l’appui de cette conviction.

La FDA doit rencontrer son groupe consultatif sur les vaccins en janvier 2023 au sujet de l’avenir des vaccins COVID-19, car les vaccins ont été beaucoup moins performants contre Omicron et ses sous-variantes.

McCullough a déclaré à The Epoch Times : « Une des lacunes du système de surveillance de la CMS est qu’il n’a pas saisi les infections antérieures et ultérieures au SRAS-CoV-2 qui accentuent le risque cumulatif de la vaccination COVID-19. Étant donné le grand nombre d’individus qui ont été vaccinés, la fraction attribuable à la population des problèmes médicaux attribués aux vaccins est énorme. Je m’inquiète de la charge future que représentera pour le système de santé la vaccination massive et indiscriminée contre le COVID-19. »

Source : Theepochtimes.com




Le sang des non-vaccinés est maintenant très demandé

[Source : articles.mercola.com]

Par le Dr Joseph Mercola

17 décembre 2022

RÉSUMÉ

Un nombre croissant de personnes ayant besoin de transfusions sanguines demandent du sang provenant de personnes n’ayant pas reçu de vaccin anti-COVID-19.

Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a comparé les inconnues actuelles concernant le « sang des vaccinés » au sang contaminé par le VIH qui était utilisé pour les transfusions dans les années 1980.

Les dons dirigés et les dons autologues, ou autodons, sont des options pour recevoir du sang exempt d’ARNm, mais dans les deux cas, il faut que votre médecin soumette un formulaire d’ordre de prélèvement spécial de la Croix-Rouge.

Une campagne de don « Safe Blood » a également été mise sur pied pour mettre en relation les donneurs et les receveurs de sang qui n’ont pas été vaccinés contre le COVID-19.

On ignore si le sang donné par des personnes ayant reçu des injections à ARNm anti-COVID-19 présente un risque pour ceux qui le reçoivent. Cependant, un nombre croissant de personnes ne veulent pas prendre de risques et demandent du sang provenant de patients non vaccinés. Un cas très médiatisé concerne un bébé de 4 mois, Will Savage-Reeves, en Nouvelle-Zélande, qui doit être opéré pour un problème de valve cardiaque.

Ses parents, Samantha et Cole, ont demandé que le nourrisson ne reçoive du sang que de donneurs n’ayant pas été vaccinés contre le COVID-19. Bien que du sang de non-vacciné soit disponible, les médecins et l’hôpital ont refusé d’accéder à cette demande. L’affaire a été portée devant un tribunal néo-zélandais, qui s’est rangé du côté des médecins et a pris la tutelle de l’enfant pour procéder à l’opération en utilisant du sang de vacciné.1 2

Un hôpital refuse la demande d’une famille pour du sang de non-vacciné

L’issue du cas de bébé Will peut être un signe avant-coureur des choses à venir. L’hôpital a fait valoir que l’opération devait se dérouler avec du sang de vacciné en raison de l’importance de trouver un donneur de qualité. Un grand nombre de donneurs de sang augmente les chances de trouver un donneur de la plus haute qualité.

En outre, selon Steve Kirsch, directeur exécutif de la Vaccine Safety Research Foundation, un autre de leurs arguments est le suivant : « S’il y avait un signal de sécurité lié à l’utilisation de sang de vacciné pour les transfusions, il aurait déjà fait surface. » Ils veulent également sauver les apparences, et permettre à un patient d’utiliser du sang de non-vacciné pourrait ouvrir les vannes à d’autres personnes demandant la même chose. Kirsch a noté :3

« S’ils acceptent d’utiliser du sang de non vacciné, cela pourrait être interprété comme un aveu que le sang de vacciné n’est pas sûr et pourrait conduire tout le monde à demander du sang de non vacciné, ce qui créerait alors de graves pénuries de sang pour un bénéfice douteux. »

En outre, le Service néo-zélandais du sang (NZBS) gère les dons et les collectes de sang en Nouvelle-Zélande. Seul un médecin spécialiste peut demander un don dirigé pour que le bébé reçoive du sang de non-vacciné.

L’hôpital ne peut pas obliger le NZBS à faire ce qu’il dit, par exemple, même si les médecins étaient d’accord avec les parents, le NZBS peut toujours refuser de fournir le sang s’il pense que la demande n’est pas justifiée4.

L’hôpital a également affirmé que les injections à ARNm « restent sûres à ce jour ».5 Selon Kirsch, « le tribunal, qui n’a pas la capacité juridique et technique d’évaluer les médecins, s’est donc rangé à l’avis expert de ces derniers ».6

Les médias, quant à eux, décrivent la demande raisonnable de respecter le principe de précaution comme une théorie du complot et une désinformation imaginée par des « anti-vaxxers » marginaux. Par exemple, le New York Times a rapporté ce qui suit :7

« L’affaire et les arguments scientifiques erronés de la famille mettent en lumière les dangers persistants de la désinformation en ligne et des narratifs complotistes, selon les experts. Le conflit est “devenu une cause célèbre de la manière la plus toxique qui soit”, provoquant un pic de discours haineux sur les plateformes marginales où les théories du complot sont monnaie courante, a déclaré Sanjana Hattotuwa, chercheur au Disinformation Project, un groupe de surveillance néo-zélandais. »

Non seulement le service de santé néo-zélandais a refusé la demande de la famille, mais la Haute Cour de Nouvelle-Zélande a accordé à deux médecins l’autorité de prendre des décisions médicales concernant le bébé Will.8 Il n’était pas nécessaire d’aller aussi loin, ont déclaré les partisans, puisque le sang provenant de donneurs non vaccinés est facilement disponible.9

Dans une affaire similaire en Italie, cependant, un juge s’est également prononcé contre les parents qui demandaient que des transfusions sanguines provenant uniquement de donneurs non vaccinés soient utilisées lors de l’opération cardiaque de leur fils de 2 ans.10

Les embaumeurs découvrent des caillots inhabituels dans les veines après une injection

Richard Hirschman, embaumeur et directeur de pompes funèbres certifié par le conseil d’administration avec plus de 20 ans d’expérience, a déclaré que, depuis que les injections anti-COVID-19 ont été lancées, à partir du milieu de l’année 2021, il a trouvé des « caillots étranges » dans les corps des défunts.

« Quand je fais l’embaumement, je dois aller dans la veine. Et pour le processus d’embaumement, je dois permettre au sang d’être drainé. J’ai donc retiré cet énorme et long caillot — d’apparence fibreuse — avant l’embaumement », a déclaré Hirschman11.

Le début du caillot, qui ressemble à un ver blanc et caoutchouteux, apparaît rouge et comme un caillot normal. Mais la majeure partie du caillot est différente : elle est composée d’une matière blanche et fibreuse. « Ce n’est tout simplement pas normal », a-t-il déclaré, ajoutant :12

« En général, un caillot sanguin est lisse ; c’est du sang qui a coagulé ensemble. Mais lorsque vous le pressez, le touchez ou essayez de le ramasser, il se désagrège généralement… vous pouvez presque le presser entre vos doigts et le transformer à nouveau en sang. Mais cette substance fibreuse blanche est plutôt solide. Elle n’est pas faible du tout. Vous pouvez la manipuler, elle est très souple. Ce n’est pas dur… ce n’est pas normal. Je ne sais pas comment quelqu’un peut vivre avec quelque chose comme ça en lui. »

Il est important de noter que les embaumeurs ont signalé avoir trouvé des caillots inhabituels non seulement chez des personnes décédées qui avaient reçu des injections, mais aussi chez celles qui avaient reçu une transfusion sanguine. Ainsi, bien que nous ne sachions pas quel risque il y a à recevoir du sang d’une personne ayant reçu des injections anti-COVID-19, « le risque n’est pas nul », a déclaré Kirsch. 13

Un autre cas concerne un bébé, Alexander, qui a reçu une transfusion de sang de non-vacciné et a développé « un énorme caillot qui a fini par s’étendre de son genou gauche jusqu’à son cœur » et est décédé.14 Selon Kirsch, l’hôpital a ensuite supprimé tous les dossiers médicaux associés :15

« L’hôpital Sacred Heart, dans l’État de Washington, a effacé tous les dossiers relatifs au décès du bébé Alex, mort d’un caillot de sang après avoir reçu une transfusion d’un patient vacciné. Il n’y a donc plus aucune preuve d’un problème. Ils l’ont effacé, tout comme le CDC a effacé toutes les données liant les vaccins et l’autisme. C’est ainsi que fonctionne la science de nos jours. »

L’approvisionnement en sang est-il sûr ? Personne ne le sait

Aux États-Unis, une personne a besoin de sang toutes les deux secondes.16 En cas d’urgence médicale, une transfusion sanguine peut vous sauver la vie. Mais les patients devraient-ils avoir la possibilité de choisir de recevoir du sang qui n’a pas été exposé à l’ARNm anti-COVID-19 ?

La Croix-Rouge affirme qu’elle suit les directives de la Food and Drug Administration des États-Unis concernant l’admissibilité au don de sang, qui stipulent que « dans la plupart des cas, il n’y a pas de période d’exclusion pour les personnes qui ont reçu un vaccin anti-COVID-19 tant qu’elles ne présentent pas de symptômes et se sentent bien au moment du don »17.

« Alors que les anticorps produits par le système immunitaire stimulé en réponse à la vaccination se retrouvent dans la circulation sanguine, les composants du vaccin ne le sont pas », a déclaré Jessa Merrill, directrice des communications biomédicales de la Croix-Rouge, au Daily Beast.18 De plus, après avoir parlé au Dr Peter McCullough, cardiologue, interniste et épidémiologiste, Kirsch a rapporté :19

« Il a dit qu’il prendrait le sang d’un vacciné en raison de la nature critique du processus de compatibilité. Avec le sang de donneurs, la qualité de la compatibilité ne serait pas aussi bonne parce que le bassin dans lequel on peut puiser est plus petit et qu’il n’y a pas que le groupe sanguin qui est apparié.

Personne n’a quantifié le risque lié à l’utilisation de sang de vacciné. Il a dit que si le risque était élevé, on l’aurait déjà remarqué (je ne suis pas sûr d’être d’accord avec cela ; il y a beaucoup d’aveuglement volontaire pour tout ce qui est associé au vaccin). »

De nombreuses personnes ont contracté le SIDA grâce à des transfusions sanguines contaminées

Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a comparé les inconnues actuelles concernant le « sang de vacciné » au sang contaminé par le VIH qui était utilisé pour les transfusions dans les années 198020.

« Nous ne savons pas. Personne ne le sait. J’ai des caillots de personnes décédées non vaccinées qui ont été transfusées et ont formé de gros caillots après la transfusion et sont mortes. Aucune banque de sang ne vérifie. On ne peut pas trouver ce que l’on ne cherche pas ». Cela ressemble aux banques de sang, aux hémophiles et au VIH dans les années 1980. Ce n’est peut-être pas un problème.

Cependant, cela peut l’être. Il existe des tests académiques pour vérifier la présence de la protéine spike en circulation. C’est une négligence criminelle de ne pas assurer la sécurité de l’approvisionnement en sang sur la base de déclarations bureaucratiques sans explorations scientifiques. »

De même, en janvier 1983, après que les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis aient révélé des preuves suggérant fortement que le sang et les produits sanguins transmettaient le SIDA et que la maladie était sexuellement transmissible, ils ont recommandé aux banques de sang d’interroger directement les donneurs sur leur comportement sexuel et de soumettre les dons de sang à une série de tests de dépistage21.

La communauté des banques de sang a publié une déclaration peu après, affirmant que « les questions directes ou indirectes sur les préférences sexuelles d’un donneur sont inappropriées » et ne recommandant aucun test de dépistage en laboratoire.22 Comme le note Encyclopedia.com :23

« En fait, dans les premières années de la maladie, beaucoup de personnes qui ont contracté le SIDA ont été infectées par des transfusions sanguines. Comme il a fallu plus de cinq ans pour mettre au point un test permettant de détecter le SIDA dans le sang avant qu’il ne soit utilisé pour une transfusion, de nombreuses personnes ont contracté la maladie dans les hôpitaux.

L’épidémie de SIDA a continué à se développer en Afrique et en Asie dans les années 1990 et même au début du XXIe siècle, car de nombreux pays ont tardé à adopter les tests sanguins. »

Dans les années 1980, les craintes croissantes concernant les transfusions contaminées ont conduit de nombreuses personnes à déclarer qu’elles refuseraient totalement les dons de sang. Un homme, dont la femme est morte du SIDA contracté par une transfusion contaminée, a déclaré à l’AP en 1985 : « Vous voulez jouer à la roulette russe ? Même s’il s’agissait d’une urgence — et j’avais mon mot à dire en la matière — je ne prendrais pas de sang du pool »24.

Aujourd’hui, des décennies plus tard, les médecins entendent des préoccupations similaires de la part des patients concernant le sang vacciné. Le Dr Davinder Sidhu, chef de la division de médecine transfusionnelle et de transplantation du sud de l’Alberta, au Canada, a déclaré à CTV News qu’il recevait des demandes de sang de donneurs non vaccinés « au moins une ou deux fois par mois au cours des derniers mois »25.

Avez-vous le droit de recevoir du sang de « non vacciné » ?

À l’heure actuelle, les centres de don du sang peuvent demander à leurs donneurs s’ils ont reçu des vaccins26, mais il n’est pas garanti que cette information soit transmise aux consommateurs. La Croix-Rouge déclare également : « Si vous avez reçu un vaccin anti-COVID-19, vous devrez fournir le nom du fabricant lorsque vous viendrez faire un don »27.

Pourtant, il est peu probable que la plupart des hôpitaux divulguent volontiers cette information lorsqu’il s’agit de recevoir une transfusion sanguine. Quelles sont donc vos options si vous cherchez du sang provenant d’un donneur qui n’a pas reçu d’injection anti-COVID-19 ? Les dons dirigés, dans lesquels un donneur donne son sang pour un receveur spécifique, sont une option, mais ils ne sont généralement utilisés que dans les cas où le sang compatible n’est pas disponible en raison de groupes sanguins extrêmement rares28.

Le don autologue, ou don de soi, est une autre option, qui consiste à donner du sang pour son propre usage, par exemple avant une intervention médicale comme une opération. Dans les deux cas, vous devez demander à votre médecin de soumettre un formulaire d’ordre de prélèvement spécial de la Croix-Rouge pour effectuer un don de sang autologue ou dirigé.29

Une campagne de don « Safe Blood » a également été mise sur pied pour mettre en relation les donneurs et les receveurs de sang qui n’ont pas été vaccinés contre le COVID-19. Pour l’instant, ils servent de ressource pour mettre en relation les donneurs et les personnes ayant besoin de sang, mais l’espoir est qu’une banque de sang sans ARNm soit créée30.

« Aucune banque de sang ne propose encore de sang sans ARNm, pas même chez nous. Et, bien que nous ayons déjà demandé à des centaines de cliniques, pour le moment — du moins en Europe — toutes refusent encore d’autoriser le droit humain du libre choix du sang chez elles — ou du moins ne veulent pas être mentionnées, car sinon elles craignent des représailles. Cependant, nous vous promettons que nous n’abandonnerons pas jusqu’à ce que nous puissions offrir un réseau mondial de telles cliniques. »

Quant au bébé Will, dont les espoirs des parents d’une transfusion sanguine sans ARNm ont été déçus, Kirsch a déclaré :31

« Qu’est-il arrivé au principe de précaution en médecine ? À mon avis, il ne s’agit pas d’un principe de précaution. Nous ne pouvons pas savoir aujourd’hui si l’approvisionnement en sang est sûr parce que personne ne veut même pas poser la question et faire les expériences nécessaires pour y répondre. Pour cette raison, la demande des parents de Baby Will d’utiliser du sang de non vacciné doit être respectée. »

Sources et références




LE MONDE CHANGE : GRAND RÉVEIL EN MARCHE

Par Nicole Delépine

Reprenons le moral avec le père Noël en avance ! Informons, entre autres, nos politiques en retard d’une guerre qui n’acceptent pas la réintégration des soignants. Et pourtant :

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/le-congres-americain-supprime-l-obligation-vaccinale-pour-les-militaires-20221216

Chers collègues, il faudra bien reconnaître vos torts, cette injection était une énorme arnaque et il est temps d’aider les victimes de dégâts plutôt que de se cacher.

Ainsi en Allemagne :

Allemagne : des milliers de victimes de la « vaccination » Covid appellent à l’aide

« Ils voulaient faire preuve de solidarité, mais maintenant ils sont abandonnés. Grande ruée vers la hotline d’une association médicale, le MWGFD (Médecins et Scientifiques pour la Santé, la Liberté et la Démocratie) pour les victimes de la vaccination en Allemagne.

La Hotline a tout de suite été renforcée, car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point — et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.

En effet les médecins disent :

« nous sommes au milieu d’une nouvelle pandémie, une pandémie de dommages causés par les vaccins dont on a longtemps été averti. La souffrance des personnes atteintes de dommages causés par les vaccins s’est vraiment abattue sur nous. Entendre les histoires de malheur dans un volume aussi dense vous fait crier de colère ou vous taire de désespoir. »

« Les gens se plaignent de symptômes neurologiques, de fatigue chronique, de problèmes cardiaques, de problèmes de coagulation, de sensations de brûlure dans tout le corps, de picotements nerveux et de douleurs chroniques. Beaucoup sont incapables de travailler depuis des mois et ont de grands besoins financiers.

En plus des plaintes physiques, la déception et la perplexité face à l’ignorance dont ils font preuve sont particulièrement perceptibles. »

« Quelques chiffres ? L’État avait prévu pour McKinsey 604 000 euros de budget en 2021. Le cabinet, véritable cerveau de cette crise, a finalement facturé, l’an dernier… 4,4 millions d’euros pour ses précieux conseils en « stratégie vaccinale ». Plus de sept fois la somme prévue ! À lui seul, le cabinet chéri de la Macronie a englouti près de la moitié du budget de consulting prévu par la Direction générale de la santé (DGS) au titre de la crise du Covid-19 (9,5 millions au total). Résultat : les stocks de masques et autres matériels sont énormes… »

https://www.lematin.ch/story/macron-en-hitler-condamnation-annulee-263479768215

La Cour de cassation, la plus haute juridiction française, a annulé mardi la condamnation d’un afficheur qui avait publié des affiches représentant le président Emmanuel Macron en Hitler, estimant qu’il n’a « pas dépassé les limites admissibles de la liberté d’expression ».

il faut poursuivre l’État et les autres pour publicités mensongères (à nos frais)

ET après la vice-présidente (grecque) du Parlement européen derrière les barreaux, la membre de la Commission européenne chargée de la santé, prise sur le fait :

@roger_mm1 sur tweeter (non censuré !)‬‬

EU Health Commissionner Stella Kyriakides (yes, the one signant the Covid deals) received money from Pfizer, AstraZeneca and Johnson&Johnson. Also her account “unexpectedly ended up” with 4 Mio Euros. #Covid19 #NoVaccinePassports #CORRUPTION 11/12/2022 22:35

La commissaire UE à la santé Stella Kyriakides qui a signé les accords Covid a reçu de l’argent de Pfizer, AstraZeneca, Johnson & Johnson. Et son compte « a terminé de manière inattendue » avec 4 millions d’euros. #Covid19 #NoVaccinePassports #CORRUPTION

https://en.rua.gr/2021/05/05/vaccine-makers-bribed-the-european-commissioner/

MAIS IL FAUT CONTINUER À AVERTIR

Pourquoi les personnes vaccinées meurent ? (reseauinternational.net)

Car les mondialistes en déroute se battent bec et ongles pour poursuivre leur tragique scénario. Le pseudovax covid étant démasqué, un « vaccin » antigrippal à ARNm est déjà autorisé avec évidemment les mêmes inconvénients majeurs que celui anticovid. ET :

Sucharit Bhakdi, qui est venu à la conférence de presse « A Better Way Forward ». Extraits. Mais prenez le temps de lire la conférence dans sa totalité.

« Je suis venu à cette conférence, qui est la première (sur ce sujet), car je sentais que c’était nécessaire, car les choses évoluent dans une direction si alarmante.

 L’OMS, le CDC, la FDA, toutes les agences font pression pour un vaccin basé sur les gènes qui remplacera tous les autres vaccins actuellement utilisés dans le monde : rougeole, oreillons, rubéole, tous les autres vaccins, grippe.

Quand nous avons entendu cela, nous avons pensé “oh mon dieu, c’est ce que nous craignons depuis juin” lorsque j’ai exprimé pour la première fois ma crainte que cela ne se produise.

Ce qui se passe maintenant, c’est que le vaccin corona est lentement, lentement tombé en disgrâce parce que les gens ont vu les effets secondaires graves. Ce qui se passe maintenant, c’est que l’attention est attirée sur la protéine de pointe du vaccin lui-même, qui est le coupable. Et ils disent : “Oh, c’est parce que le vaccin corona code pour la protéine de pointe, et c’est dangereux”, et bla, bla, bla.»

(…)Il ne fait aucun doute que cette protéine de pointe est dangereuse, c’est vrai. Mais ne tombez pas dans le panneau, les amis ! Vous devez comprendre que tout vaccin génétiquement modifié sera dangereux.

« Ce que les gens ne comprennent pas, c’est que ces anticorps qui apparaissent à la suite de la vaccination ne sont pas là pour attraper le virus à l’entrée, car le virus ne pénètre pas dans le sang, mais à la porte d’entrée (c’est-à-dire dans les voies respiratoires), et les anticorps ne sont tout simplement pas là. Ils ne sont pas là. C’est pourquoi toutes ces vaccinations contre le virus corona et aussi contre la grippe ne fonctionneront pas. Ils ne peuvent pas travailler, n’ont jamais travaillé et ne travailleront jamais.

La seule chose qu’ils peuvent faire, c’est vous tuer. Pourquoi ?

Ceci est un vaisseau sanguin. L’un est une paroi vasculaire intacte. »

« Pfizer, Moderna, ont ouvert le système vasculaire créé par la nature, de sorte que des gènes étrangers peuvent pénétrer dans les tissus, le cerveau, le cœur, le foie, les poumons, n’importe quel organe et passer par le même processus, et de bien sûr, c’est le début d’une autre attaque contre vos propres cellules, une autoattaque, un processus auto-immun qui ne peut pas être arrêté. Il ne peut pas être arrêté ! »…

« Il existe maintenant des preuves sans équivoque que les protéines de pointe provoquent une inflammation et des dommages aux parois des plus petits vaisseaux du corps. Lorsque cela se produit dans le cerveau et le cœur, des défauts irréversibles subsistent. »…

« Les médecins remarquent maintenant des changements dans la psyché qu’ils n’ont jamais vue auparavant. La perte d’empathie, m’a-t-on dit, a été remarquée. Les gens perdent le contrôle de leur propre esprit, de leur volonté. L’humanité est brisée. L’essence de l’homme est le cerveau.

Et puis il y a le cœur. Vous voyez tous ces athlètes de haut niveau mourir ou abandonner et vous dites qu’ils ne reviendront jamais. Quand on voit tous ces athlètes, on se rend compte qu’ils ont des problèmes cardiaques ».

Sergio Aguero (star argentine) a été éliminé à la 41e minute lors du dernier match contre Barcelone. Le footballeur souffrait de problèmes respiratoires. En septembre, il recommandait fortement de vacciner les enfants de 12 ans avec le sérum Covid.

« Cela arrive parce que ces athlètes poussent leur cœur au-delà de leurs limites absolues, et comme nous le savons, chaque cellule est soumise à un stress énorme et brûle beaucoup d’oxygène, l’épuisant. Et si vous commencez à obstruer les plus petits vaisseaux, ces cellules mourront. Il n’y a pas beaucoup de cellules qui meurent dans une zone, mais plutôt des îlots de cellules qui meurent occasionnellement ».

ET le virologue termine ainsi :

Comme vous le savez peut-être, le premier vaccin à ARN messager contre la grippe a maintenant été approuvé pour une utilisation en association avec Corona.

Si cela ne peut pas être considéré comme une minute après minuit (c’est-à-dire trop tard), alors je ne sais pas ce que c’est.

EXIGEONS L’ARRÊT IMMÉDIAT DES INJECTIONS
ET INFORMONS NOS AMIS, FAMILLES, ETC. !

GARDONS LE MORAL ET L’ÉNERGIE POUR COMBATTRE :
MÊME DANS LES PIRES DICTATURES LE COMBAT PAYE

LES INFOS SE MULTIPLIENT PROVENANT D’INSTANCES OFFICIELLES

https://www.judicialwatch.org/mrna-test-rats-born-with-skeletal-deformations/

Judicial Watch a annoncé aujourd’hui avoir reçu 699 pages de dossiers du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) concernant les données que Moderna a soumises à la Food and Drug Administration (FDA) sur son vaccin ARNm COVID-19, qui indique un nombre « statistiquement significatif » de rats sont nés avec des déformations squelettiques après l’injection du vaccin à leurs mères. Les documents révèlent également que Moderna a choisi de ne pas mener un certain nombre d’études pharmacologiques standard sur les animaux de laboratoire.

Le « Résumé » indique :

  • Aucune étude d’absorption avec l’ARNm-1273 [utilisé dans le vaccin COVID de Moderna] n’a été réalisée.
  • Aucune étude de métabolisme avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune étude d’excrétion avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune étude PK [pharmacocinétique] avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune autre étude pharmacocinétique avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.

Donc si je résume, les rats de laboratoires à l’échelle mondiale, cette fois, c’était des milliards d’humains.

Et certains continuent…

https://www.judicialwatch.org/mrna-test-rats-born-with-skeletal-deformations/ ?

MÊME EN DICTATURE LE COMBAT PAYE : LE GRAND RETOURNEMENT EN CHINE

Après plusieurs semaines de violentes protestations de la part des citoyens chinois, le gouvernement a fini par lâcher sa politique zéro-Covid abandonnée depuis longtemps par tous les autres pays qui l’avaient tentée.

Du jour au lendemain, les Chinois, dont la vie avait été mise en suspens pendant près de trois ans, ont obtenu :

  • L’abandon des mesures de confinement,
  • La réouverture de nombreux magasins, d’hôtels, de restaurants, de cinémas, de banques ou encore de parcs,
  • L’arrêt des placements systématiques de personnes positives dans des centres de confinement,
  • L’abandon des tests PCR « obligatoires » à grande échelle dans plusieurs localités,
  • La possibilité de retourner dans des lieux publics sans devoir présenter un test PCR négatif de moins de 48 heures,
  • L’arrêt de l’application de traçage des déplacements des citoyens,
  • La possibilité de voyager dans le pays sans test PCR requis

Et surtout, un changement radical dans le discours officiel !

Les Chinois y sont parvenus !

En France, par nos combats nous parviendrons aussi à obtenir :

  • La suppression des obligations d’injection covid inutiles de toutes les professions
  • La réintégration des soignants suspendus
  • L’abandon des tests PCR trompeurs et inutiles chez les asymptomatiques
  • La suppression des fichiers de traçage des citoyens
  • L’arrêt des tentatives d’identité numérique des citoyens
  • L’arrêt des mensonges d’état permanents

LE COMBAT PAYE ! Continuons le combat.




Nouvelles de la reconstruction de Notre-Dame

Par Claude Gaucherand

Venu du fond de ma province passer quelques jours à Paris, je suis allé rendre visite à Notre-Dame comme je le fais chaque fois que je viens dans la capitale depuis 1959.

Comme tout un chacun, croyant ou pas, j’ai toujours considéré cette cathédrale comme le cœur de la nation pourtant devenue salle de spectacle vandalisée et entrepôt de vins pendant la révolution…

Sans doute un effet lointain des Lumières orchestré par les fratries ?

C’est bien au cœur de la nation que l’on — mais qui « on » ? — s’est attaqué en y mettant le feu dans la perspective de son écroulement.

Comme chaque fois depuis le 15 avril 2019, j’en fais le tour, ma façon d’en prendre le pouls puisque décidément le cœur continue de battre. Sur le côté nord et sur le parvis, des tableaux explicatifs illustrés de grandes photos permettent de prendre la mesure de l’énergie dépensée pour lui faire recouvrer la santé et d’appréhender la multiplicité des corps de métiers et des talents que cela nécessite.

Alors, oui pour la bonne humeur. Le peuple de France a su trouver en lui tous les hommes et toutes les femmes, tous les talents et toutes les expertises nécessaires pour mener à bien ce travail de Romain. Et ceci intervient, étrange paradoxe, dans une France où l’on voudrait — mais qui « on » ? — nous faire croire que le laïcisme est devenu une quasi-religion d’État.

Et comme Notre-Dame est un symbole dont le rayonnement passe les frontières, nul doute que des talents sont aussi venus d’ailleurs pour prêter main forte.

Réconfortant, non ?




Décès après vaccin covid : des élus allemands exigent des autopsies

[Source : covidhub.ch]

Le monde politique allemand – notamment le vice-président du Parlement – réagit suite à une étude montrant que 30% des morts suspectes après vaccination sont dues aux injections. Des élus de haut niveau exigent un suivi systématique, une récolte de données sérieuse et des autopsies pour tous les cas problématiques. Et les chercheurs souhaitent mener d’autres investigations pour lever les nombreuses questions encore en suspens. (D’après le journal Welt.de)

Le vice-président du Bundestag (photo), Wolfgang Kubicki, également vice-président du FDP (Parti libéral-démocrate), veut que l’on s’intéresse de plus près aux éventuels dommages causés par les vaccins Covid. « Je pense qu’il est indispensable que tout décès inexpliqué survenant dans les 14 jours suivant une vaccination soit automatiquement enregistré comme cas suspect auprès de l’Institut Paul-Ehrlich. Ce n’est manifestement pas encore le cas », a-t-il déclaré au journal Welt.

Une étude aux résultats inquiétants

Le politicien s’est référé à une étude récemment publiée par le Pr Peter Schirmacher, pathologiste en chef de l’hôpital universitaire de Heidelberg: suite à des autopsies de personnes décédées peu après avoir été vaccinées, il s’est avéré que la vaccination était la cause dans 30% des cas.

« Nous parlons d’un nombre important qui rend nécessaire une approche systématique de ce problème », a-t-il encore déclaré au Welt. Selon lui, les autorités sanitaires devraient autopsier régulièrement toutes les personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination. Il justifie la démarche par le fait que « l’autorisation conditionnelle de ces vaccins a eu lieu sous une énorme pression temporelle ».

Manque de données pertinentes

Selon Tino Sorge (CDU), porte-parole de son groupe parlementaire pour la politique de la santé au Bundestag, l’étude du professeur Schirmacher « est inquiétante – notamment parce qu’elle montre à quel point nous en savons peu sur les risques des vaccins, même après deux ans ».

Il constate que l’Allemagne « manque toujours de données solides et pertinentes, pourtant d’une importance capitale pour l’évaluation des bénéfices et des risques. ».

Appel à des recherches plus poussées

Dans une interview publiée le 12 décembre 2022, le Pr Schirmacher a appelé à mener davantage d’études sur les dommages causés par les vaccins: « Il existe d’importantes questions ouvertes qui devraient être clarifiées soit par un enregistrement complet de tous les effets indésirables, soit dans le cadre de recherches plus générales pour améliorer la vaccination, déterminer quand elle est indiquée et mieux protéger la population ».

Le pathologiste se demande s’il existe « des facteurs génétiques ou certaines maladies préexistantes – par exemple des maladies auto-immunes – qui prédisposent à des conséquences graves de la vaccination ? » En outre, il pose la question de savoir quelles sont les composants du vaccin qui déclenchent quels dégâts et si certains modes d’application jouent un rôle ? Par exemple pour les myocardites.

[Voir aussi :

https://reseauinternational.net/berlin-le-vice-president-du-bundestag-kubicki-exige-des-autorites-dordonner-des-autopsies-des-personnes-victimes-de-mort-subite-suite-aux-injections-dites/

]




Comment Rockefeller a créé Big Pharma

[Source : medias-presse.info]

Voici la version en français d’un reportage qui résume comment la famille Rockefeller est à l’origine du cartel pharmaceutique appelé aujourd’hui Big Pharma. Ce reportage nous rappelle également comment des traitements naturels contre le cancer ont été combattus et empêchés d’être mis en circulation parce qu’ils ne convenaient pas aux intérêts financiers du lobby pharmaceutique.



Le contenu du reportage est directement inspiré du remarquable livre d’E. Richard Brown, Les guérisseurs Rockefeller : médecine et capitalisme en Amérique.

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Ce livre raconte l’histoire cachée des manipulations financières, politiques et institutionnelles qui expliquent comment une gamme diversifiée et éclectique de traitements naturels disponibles pour le public nord-américain a été sommairement réduite à un style de médecine singulier qui allait devenir la médecine prédominante du monde occidental et une force majeure dans la culture médicale mondiale au XXe siècle. Cela a été provoqué en grande partie par la collaboration de l’American Medical Association, les pseudo-philanthropies d’Andrew Carnegie et de John D. Rockefeller, et le développement d’un programme révolutionnaire par la Johns Hopkins School of Medicine.

De façon documentée, l’auteur fait ainsi apparaître comment une puissante élite professionnelle a acquis une hégémonie virtuelle sur le théâtre occidental de la guérison en prenant efficacement le contrôle de l’éthos et de la pratique de la médecine occidentale. E. Richard Brown décrit comment, en 1905, le nouveau Council on Medical Education de l’American Medical Association financé par Carnegie et Rockefeller a commencé ses activités. Ils ont employé les services d’Abraham Flexner qui a ensuite visité et «évalué» chaque faculté de médecine aux États-Unis et au Canada. Cela a été suivi d’un véritable bouleversement dans le monde des écoles de médecine partout aux États-Unis.

En 1910, 30 écoles avaient fusionné et 21 avaient fermé leurs portes. Sur les 166 écoles de médecine en activité en 1904, 133 avaient survécu en 1910, se réduisant à 104 en 1915. Quinze ans plus tard, seules 76 écoles de médecine existaient encore aux États-Unis. Toutes uniformisées et proposant le même cursus. Brown montre comment les processus sociaux et politiques ont été consciemment manipulés par une élite médicale agissant de concert avec l’immense richesse des entreprises pour créer un système de médecine qui servait avant tout des intentions économiques et hégémoniques.




L’ordre des Médecins : les Bons, les Justes et les Méchants

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

Poursuivi par l’Ordre des médecins qui possède une juridiction d’exception qui ne devrait pas exister dans un pays démocratique, je ne me faisais pas beaucoup d’illusions. Pour moi c’est un tribunal d’exception, car ce sont les mêmes qui définissent ce qu’ils considèrent comme une faute, qui vous poursuivent et qui vous jugent. La justice ne peut être indépendante et donc juste, quand on est à la fois juge et partie. 

J’avais tort : il existe de bons juges, honnêtes, qui ne font pas de politique et jugent sur les faits, contrairement à l’accusation. Si je suis bien tombé, ce n’est malheureusement pas le cas partout, tant il y a de différences d’un département à l’autre, d’une région à l’autre. Ceci n’est pas acceptable, la justice doit être la même pour tous. En effet j’ai rencontré les deux extrêmes : un confrère condamné à 18 mois de suspension pour une ordonnance d’Ivermectine (j’ai écrit une, ce n’est pas un lapsus), et d’autres pour lesquels le département refuse de poursuivre pour 100 prescriptions, au nom de la liberté de prescription, quand celle-ci ne présente pas de danger.

LES MAUVAIS

Je suis convoqué le 17 février 2021 par le CDOM 84, Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins du Vaucluse, par téléphone, « pour parler de mon blog », à la demande du CNOM, Conseil National de l’Ordre des Médecins. Sans plus de précision sur les motifs de la convocation, et ayant besoin d’un justificatif de sortie (confinement), je réclame une convocation écrite, et la reçois par mail 2 jours avant, mail précisant que :

« Le Conseil National nous demande de recueillir vos explications sur les affirmations que vous portez au sujet de certains traitements controversés ».

Je me présente donc à cette réunion, avec 3 « confrères » en face de moi. Comme ils n’avaient aucun élément à me présenter, aucun écrit litigieux de ma part pour que je puisse m’expliquer sur un quelconque manquement, je leur propose de lire un courrier que j’avais fait, à destination du Président du National, afin qu’ils le lui remettent. Ce courrier décrivait ce que je faisais, comment, et dans quel esprit. Ils m’ont coupé avant la fin, pour ne me poser qu’une seule et unique question : « quelle est votre spécialité ?», ce qu’ils savaient parfaitement. Je n’ai jamais eu de réponse à ce courrier, ni à la plainte qu’elle contenait.

Première surprise, au lieu de se contenter de transmettre mes explications, démarche demandée par le CNOM et pour laquelle j’avais été convoqué, le CDOM décide de porter plainte devant la chambre disciplinaire, sans que j’aie pu savoir quelle faute j’aurais pu commettre et sans que je puisse m’en expliquer et donc sans que je puisse m’en défendre !  Ils appellent cela sans doute de la confraternité, l’affaire était entendue, ils n’avaient pas l’intention de m’écouter ni de m’entendre, leur décision était prise d’avance.

Le 8 avril 2021, je reçois un courrier m’avisant que « le Conseil a examiné de nombreux articles » (lesquels ?) que j’ai publié dans le Quotidien du Médecin, et « a décidé de porter plainte, considérant que depuis décembre 2020, dans des billets hautement polémiques, vous vous opposez aux recommandations, que vous appelez à prescrire des thérapeutiques non éprouvées, que les études citées ne font pas la preuve de rigueur scientifique ». On me reproche aussi le fait que le QDM soit accessible au grand public, que je ne suis pas infectiologue, et que je sème le trouble chez les médecins et le grand public.

 Ils joignent à la plainte 4 billets et 11 pièces, le tout ne m’ayant jamais été opposé pour discussion, la première convocation étant censée statutairement être une « réunion de conciliation ».

Billet du 30 janvier 2021, où je reprends ce qu’a écrit l’ANSM dans son mémoire au Conseil d’Etat, rappelant aux médecins qui prescrivent, les lois qu’ils doivent respecter avec un lien sur tous les articles des Codes de la Santé Publique, de la Sécurité Sociale et de Déontologie qu’ils doivent respecter, ainsi que le mémoire de l’ANSM qui les autorise à prescrire. Où est le problème ? Interdit de reprendre ce qu’écrit l’ANSM ? Ce n’est pas précisé.

Billet d’actualités du 7 janvier 2021 où je m’étonne de la création d’un “Conseil des citoyens pour la vaccination”, alors qu’il y a déjà pléthore de Conseils traitant du sujet en en citant une quinzaine, auxquels s’ajoute McKinsey, et je pose la question : “à quoi servent toutes ces administrations et tous ces énarques qui nous coûtent très cher ? ». Je signale également les difficultés de mise en place de la vaccination, citant la presse et Xavier Bertrand. Je fais également le tour de l’actualité sur l’ivermectine, avec l’OMS ayant chargé Andrew Hill d’une méta-analyse, je cite ses résultats, et des articles de presse favorables sur Paris Match, The Times, Daily Mail avec liens correspondants, le tout sans commentaire de ma part. Je cite ensuite une étude intéressante sur la nigelle, proposant de faire des études pour confirmer. Je termine sur les vaccins pour dire que j’ai découvert le possible phénomène ADE (anticorps facilitants), qui est à suivre, et j’évoque l’apparition de variants, à surveiller. Des faits, publiés, et des questions. Où est le problème ? Ce n’est pas précisé.

Troisième billet du 31 décembre 2020 sur les vaccins. Là c’est le scandale, la pièce fournie au dossier a été manipulée à charge ! Nous sommes dans la confraternité ! En effet, c’est un billet édité en 4 pages, et ils n’ont donné que 2 pages contrairement aux autres billets de 4 pages, la première et la dernière. Relisez le billet, je cite les 250 vaccins en cours, je parle de l’intérêt du rapport bénéfice/risque, reprochant des commandes passées avant connaître ce rapport, signalant que les laboratoires, pas fous, n’ont pas voulu assumer le facteur risque. Je décris les différents types de vaccins, je parle des risques possibles, posant plusieurs questions sans rien affirmer. Mais surtout après toutes ces questions, je propose pour rassurer, d’aller sur le site de la Société de pathologie infectieuse, avec un lien vers 4 pages rassurantes sur les vaccins. Ceci n’est bien évidemment pas dans les pages fournies mais écartées. Est-il interdit de poser des questions, de s’inquiéter et de rassurer ? Où est le problème ?

Quatrième billet du 2 février 2021 où je démonte, liens à l’appui, les fact-cheking de l’AFP, de l’Inserm et de la Société Française de Pharmacologie. Chacun cite plusieurs études, moi je détaille ce qui est réellement écrit dans ces études citées, en donnant chaque fois les liens, pour que le lecteur puisse se faire lui-même son opinion. Il s’agit d’un débat, est-ce interdit ? On n’a pas le droit de dire que l’on a une interprétation différente ? Eux ont le droit de donner leur opinion sur ces études et pas moi ? En vertu de quel principe ? Quelle loi ? Le débat est-il interdit ? Comme pour les autres pièces, données sans commentaire, les propos interdits ne sont pas précisés, je ne peux donc argumenter et me défendre.

À ces quatre billets, sont jointes 11 pièces surprenantes, toutes en ma faveur :

L’article de Charlotte BERNIGAUD (montrant l’efficacité à 100% de l’ivermectine en ehpad), notre mémoire pour convaincre le Conseil d’Etat (avec notamment le rapport du Dr Andrew Hill pour l’OMS montrant une division par 4 de la mortalité sous ivermectine), le mémoire de l’ANSM précisant entre autres que les médecins peuvent prescrire, en le soulignant dans le texte), le jugement du référé (sans objet l’ANSM ayant démarré l’évaluation 8 jours plus tôt), un courrier de Me TEISSEDRE apportant des éléments complémentaires promis à l’audience, un article d’Ivmmeta.com (devenu c19ivm.org) signalant 40 études (à l’époque) sur l’ivermectine (dont la moyenne donne 89% de résultat en prophylaxie et 78% sur la mortalité), le pré-rapport de HILL pour l’OMS (aux résultats exceptionnels), un article de Pierre KORY qui dit la même chose, une présentation de Paul MARIK (idem), la méta-analyse de Tess LAWRIE, une lettre de Marc WATHELET, virologue, au Ministre de la santé Belge (qui demande la même chose que nous, avec les mêmes arguments), et l’article de Prescrire pour lequel j’ai déposé plainte (ignorée par l’Ordre). Prescrire cite 2 études positives et 9 « négatives », alors que les conclusions de ces études disent le contraire ! J’avais fait un billet pour le démontrer, que le CDOM s’est bien gardé de donner : le débat contradictoire, béaba de la justice, connaît pas !

Manifestement le CDOM 84, pour démontrer que l’Ivermectine est peu recommandable et ne doit pas être prescrite, n’a lu aucune de ces pièces présentées , car toutes démontrent le contraire ! Ou alors il ne sait pas lire.

Par la suite j’ai présenté un mémoire en défense, démontant toute l’accusation infondée, puis le 21 avril 2021, le CDOM 84 a fait une réponse à notre réponse, ajoutant 2 pièces pour étayer son accusation.

La première est la décision négative de l’ANSM, datée du 1 avril 2021. Comment pouvais-je  avoir connaissance de cette décision 4 mois plus tôt ? Drôle d’accusation s’appuyant sur des éléments postérieurs aux faits ! Ceci serait rejeté par n’importe quel tribunal normal. La seconde tente de faire croire à la toxicité de l’Ivermectine avec un article concernant le centre anti poison de l’Oregon, signalant que des américains avaient pris des formes vétérinaires jusqu’à 10 fois la dose (aucun décès). Quel rapport avec les prescriptions faites par des médecins ? De plus c’est ce qui arrive quand on interdit. Personnellement je regarde plutôt les rapports de pharmacovigilance, qui à l’époque (N°18 du 11 janvier 2021), ne signalaient aucun effet secondaire déclaré pour l’ivermectine, même bénin, contre 219 pour le Lopinavir par exemple.

LES JUSTES

Je me présente donc à l’audience le 13 octobre 2022. En face, un Président, magistrat non médecin, Président honoraire des tribunaux administratifs et des cours d’appel administratives, et 6 juges, médecins. Le Président est venu me voir avant, pour me dire de ne pas en vouloir à mon avocat s’il ne plaidait pas, il n’en avait pas le droit, car c’est une procédure écrite, on ne parle que si les juges posent des questions pour éclaircir certains points. Je lui dis que j’avais préparé une petite intervention de 5-10 minutes, il me répond que c’est 5-10 minutes de trop, pas question. Drôle de procédure depuis le début, où l’accusé ne peut s’exprimer face aux juges.

Le rapporteur présente alors le dossier, tout à fait correct, expliquant qu’en gros, j’avais relaté toutes mes démarches avec l’administration, je le (la en fait) sens favorable. Elle ne posera qu’une question au Président du CDOM 84, pour signaler que l’accès au QDM n’est pas si évident que cela pour le public.

Le Président de la Chambre Disciplinaire s’exprime, il a manifestement bien épluché le dossier de A à Z, je sens qu’il a compris beaucoup de choses sur le fond du problème. Après une petite joute amicale entre spécialistes avec mon avocat, concernant les droits à la défense (à laquelle je ne comprends pas grand-chose), il insiste sur son attachement à la liberté d’expression. À la fin, pour appuyer les remarques du rapporteur au président du CDOM 84, il fera une petite erreur en précisant que pour accéder au QDM, il fallait un n° de RPPS. Erreur excusable pour un non médecin, mais surpris de voir que ni le Président du CDOM 84, ni les 6 assesseurs médecins n’ont relevé l’erreur, ce qui montre que les médecins ne lisent pas beaucoup la presse professionnelle, surtout le CDOM 84 qui m’accuse de quelque chose qu’ils ne connaissent pas.

À la fin, le Président me donne la parole par sympathie, « pour que je ne sois pas déçu de n’avoir pas pu parler ». Correct, je fais au plus court, me contentant de ne relever deux points soulevés en audience par le CDOM 84, signalant d’une part que je ne suis pas responsable si le public peut accéder au QDM, et que c’est le cas pour toutes les revues médicales, même les plus pointues, et qu’ensuite, comme le CDOM insistait sur le fait que je ne suis pas infectiologue, je précise que je n’ai jamais eu cette prétention, mais que par contre je suis un de ceux qui en France connaît le mieux l’ivermectine, avec une bibliographie de plus de 450 articles fournis par Medincell.

Le Président clôt la séance (15 mn en tout), en remerciant de manière appuyée sur le fait que je suis venu seul, dans le calme, qu’il l’avait remarqué et apprécié. Je suppose que certains avaient dû le prévenir qu’il y aurait une manifestation. Au début de son intervention, il avait aussi salué la qualité du dossier “très bien argumenté”.

LE DÉNOUEMENT

Fin novembre 2022 je reçois la décision de la chambre disciplinaire : la plainte du CDOM 84 est rejetée, et une somme de 3 000 € est mise à la charge du CDOM.

Suite mais pas fin, il y a 10 jours je reçois une lettre recommandée, le CDOM 84 fait appel, appel qui est suspensif. Je pensais que cela viendrait du National, non c’est le Départemental qui s’acharne. Je dis s’acharne car lors de l’audience, alors qu’on ne lui demandait rien, le Président du CDOM a dit qu’il ne s’agissait pas d’un acharnement à l’égard du Dr Maudrux. Puisqu’il le dit, je suis bien obligé d’en conclure, que devant un dossier si vide, un jugement clair, qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Vengeances syndicales, ordinales, de la part de membres du CDOM ? Je n’en sais rien.

Cette action ne vient pas de patients ou de politiques, mais de confrères qui tentent de salir une carrière complète exemplaire, sans aucun faux pas, au service des patients, des confrères dans le bénévolat total, dévouement reconnu par les patients et par les confrères. Ceci pour avoir défendu une certaine idée de la médecine, pour avoir défendu l’obligation de soigner et la liberté de prescription du médecin, tous deux inscrits dans la Loi et le Code de déontologie, et pour avoir voulu appliquer le Serment d’Hippocrate, le Code International d’Ethique, des déclarations Genève de 1947 d’Helsinki de 1964, toutes signées par l’Ordre, et qui stipulent, je cite : « Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé».

S’ils sont là pour contrôler et empêcher le mensonge, ils ne sont pas là pour interdire le débat scientifique, inventer un délit d’opinion, ignorer la bonne foi si nécessaire (reconnue par les autres tribunaux), et se prendre pour une police politique, au lieu de faire de la médecine. Les polices politiques sont les images les plus sombres de certains pays, et de certaines périodes chez nous.

Distilbène, Dépakine, Médiator, Lévothyrox, Isoméride, hormone de croissance, Stalinon, chlordécone, amiante, Vioxx et d’autres, toutes des affaires soulevées par la base, médecins, patients, contre des substances « éprouvées », et défendues par les autorités. Avec les méthodes actuelles, tous ces produits auraient fait encore plus de morts.

Je ne sais pas ce que donnera l’appel, le CDOM tentant de se rapprocher des donneurs d’ordre pour juger au National après avoir échoué en province, mais ils ont déjà gagné : deux ans de censure, deux ans de soucis, et des frais correspondants à 2 mois de retraite, et c’est reparti pour un tour. Ils n’ont sans doute pas remarqué, que dans confrères, il y a aussi le mot frères.




L’Humanité est-elle condamnée à la disparition, même sans bombe nucléaire ?

« Est-ce bien la Terre qui est en danger ? Depuis plus de quatre milliards d’années, notre planète poursuit, imperturbable, son tournoiement sur elle-même et son parcours en ellipse autour du Soleil ; pour elle, les seules influences venues de l’univers qui soient immédiatement décelables sont les liens gravitationnels qui la rendent solidaire du Soleil et de la Lune ; le premier, par sa masse énorme, la maintient rigoureusement sur son orbite, la seconde, par sa proximité, la stabilise et ralentit peu à peu son mouvement de toupie. Vue de Sirius, son histoire actuelle ne comporte guère d’événements marquants »1

Par contre l’humanité est-elle condamnée si on n’y prend garde ? Pendant que les bobos qui veulent sauver la planète refusent l’extrême bonheur d’avoir un tout petit à élever, câliner, aimer (le sel de la vie), les chutes actuelles de la natalité couplées aux effets précoces connus des injections géniques cumulées (la moitié des femmes injectées aurait déjà des troubles menstruels) et inconnues à long terme font craindre le pire. Les fausses-couches et enfants mort-nés se multiplient même si le mot « coïncidence » a fleuri sur les réseaux… (et pas sur les médias mainstream qui sont muets…)

« Cherchez le coupable » disait Columbo. « Je ne crois pas aux coïncidences, demandez à ma femme ».

Chute de la fertilité2 affirmée par l’ONU

En juillet 2022, l’ONU constatait qu’en 2021 la fécondité moyenne de la population mondiale était de 2,3 naissances par femme au cours de la vie. Elle était de 5 dans les années 1950. Pour l’ONU, elle devrait encore baisser d’ici à 2050 pour atteindre 2,1, soit le taux supposé stabiliser la population. Mais selon la tendance récente observée, le recul pourrait être plus important et plus rapide.3

Ainsi, pour les Échos, la population mondiale risque de diminuer de moitié d’ici à 2100

Au rythme actuel de baisse du taux de fécondité (avant les pseudovaccins covid), la population mondiale pourrait être diminuée de moitié à la fin du siècle à un peu plus de 4 milliards d’habitants. Le pic pourrait être atteint au milieu du siècle avant un déclin certain. L’Europe se verrait amputer de 400 millions d’habitants en quelque 80 années4.

La population chinoise pourrait reculer à 1,17 milliard d’habitants en 2050 au regard de la tendance observée du taux de fertilité du pays. (metamorworks/Shutterstock).

Et encore probablement cet article ne tenait-il pas compte de la baisse importante de la natalité observée depuis l’utilisation à échelle mondiale des injections expérimentales anticovid dont l’effet est dissimulé dans les médias, malgré les évidences statistiques.

Décembre 2022 : la natalité en chute libre en Union européenne et dans le monde :
ET SI LA NATALITÉ CHUTAIT ENCORE PLUS À LA SUITE DU PSEUDOVACCIN ANTICOVID ?

Les effets délétères des injections anticovid géniques expérimentales sont de plus en plus difficiles à cacher même si les chiffres des agences sont éminemment variables. En tous cas il est difficile de ne pas s’inquiéter du taux important de mortalité néonatale et de fausses couches dans les pays hautement « vaccinés ».

Il paraît donc légitime de se demander quel est l’état de la natalité dans nos pays et dans le monde après ces trois ans de délire collectif. D’autant plus que l’ONU prévoyait déjà une descente de la natalité. Nous étions déjà inquiets de l’effet des dégâts environnementaux du fait de la baisse du nombre de spermatozoïdes depuis plusieurs décennies chez nos jeunes hommes (alimentation, rejets hormonaux en masse dans nos eaux, etc. pesticides et modificateurs hormonaux des cosmétiques…).

Les attitudes alarmistes et sectaires de certains d’écologistes peu instruits de la réalité qui essayent de mettre dans la tête de nos enfants l’idée de ne pas faire d’enfants pour « sauver la planète » sont choquantes. Inculture, prétention et vanité vont de pair. Elles conduisent à refuser la paternité ou maternité ; poussent certains à la vasectomie ou à la ligature de trompes ?. Quel manque d’humilité de la part de ces « humains »… D’autres n’hésitent pas à écrire que le changement climatique serait responsable de cette baisse de natalité, mais le mensonge est bien sûr la chose du monde la plus répandue… avec la lâcheté et la bêtise.

PAS DE BABY-BOOM POST CONFINEMENT

Les confinements imposés pendant de longues périodes dans les pays occidentaux et asiatiques avaient conduit certains à prédire un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, la consolation de la couette remplaçant les vidéos lassantes. Manifestement il n’en fut rien et les explications fusent, plus ou moins logiques, ou probables.

La dépression collective induite par la succession de peurs suscitées puis répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée via les médias aux ordres y est sûrement pour quelque chose. L’angoisse d’une guerre nucléaire, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries organisées (pas de moutarde en France et des rayons pleins en Italie) la hausse du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité, bref le pouvoir ne manque pas d’idées pour maintenir l’angoisse dans la population…

La dépendance aux écrans remplaçant de plus en plus les relations humaines joue aussi un rôle. Une banale observation de clients d’un restaurant conduit à cette désespérante évidence : les gens, couples, familles, ne se parlent plus qu’à travers leurs portables et une réponse même à table est plus vite obtenue via un SMS qu’une conversation normale. La vie virtuelle imposée par nos gouvernants remplacerait-elle la vie réelle ?Des analystes japonais blâment les divertissements nippons, tels que certains mangas ou des jeux vidéo, qui proposent à leurs utilisateurs tout un panel de plaisirs virtuels et les éloigneraient des formes de plaisirs réels.5

Bref les multiples explications se bousculent, dont certaines ne datent pas de l’affaire covid, mais de mauvais esprits (complotistes d’extrême droite… ?) ont osé évoquer le rôle possible des injections géniques dans une probable chute de la natalité.

Quels sont les faits avérés ?

En France, l’INSEE vient de publier des chiffres très alarmants

L’INSEE confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudovaccination.

2 décembre 2022 :

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte des 85 % de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d’août, c’est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce trou d’air inquiétant pour l’avenir démographique du pays ».

Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2.100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de COVID. Ils n’ont été que 2.000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce phénomène très inquiétant…

Aux USA la natalité a baissé aussi depuis 2008 6

« Entre 2000 et 2019, le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,39 % par an. Le rythme de la baisse s’est accéléré entre 2010 et 2019, lorsque le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,96 % par an. Mais la baisse a été beaucoup plus forte en 2020 : le nombre moyen de naissances quotidiennes était inférieur de 4,06 % à celui de 2019 ».

Et en 2022, aggravation probable.

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

Ces tableaux issus du VAERS de recueil des données américaines pour les CDC et la FDA montrent une augmentation considérable des fausses couches et de la mortalité néonatale depuis la période des vaccins covid.
La même constatation peut se faire sur le tableau des troubles menstruels et hémorragies depuis le début de l’expérimentation.

Selon Brighteon.TV :

« La seule chose qui a changé au début de l’année 2021, c’est que Donald Trump a pleinement lancé l’opération Warp Speed, libérant des milliards d’injections chimiques expérimentales sur le monde. Et environ neuf mois plus tard, les taux de natalité dans le monde entier ont plongé.

Le Dr Naomi Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins qui vont bien au-delà du simple échec de la reproduction. Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme, la fonction de la prostate et donc la fertilité.

La FDA a été informée à ce sujet le 1er avril 2021, sans aucune réponse. Des problèmes de fertilité féminine, qui ont également été ignorés par les régulateurs fédéraux. Des échographies montrant une inflammation et une calcification anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection. Mais aussi des lésions péniennes dont Pfizer reconnaît l’existence dans ses propres documents internes. Des fausses couches avec un taux variable selon l’âge de la grossesse, mais qui peut atteindre 87,5 %. »

AUTRES EXEMPLES DE BAISSE DE LA NATALITÉ DANS LE MONDE

L’Australie enregistre une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés7.

Information publiée par le Bureau australien des statistiques (ABS) depuis le lancement des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. De novembre à décembre 2021, soit un mois plus tard seulement, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre était environ neuf mois après le lancement des vaccins COVID », note David James de LifeSiteNews à propos de la période difficile entre la conception et la naissance.

« La Therapeutic Goods Administration (la FDA australienne) a commis des meurtres de masse contre des citoyens.
Il y a vraiment de fortes chances que personne dans la politique australienne, à l’exception peut-être de quelques individus “marginaux”, ne dise un mot de ces données accablantes. C’est parce qu’elles exposent les vaccins contre la grippe de Fauci comme un outil de dépeuplement
. »

La Therapeutic Goods Administration (TGA), la version australienne de la FDA, a-t-elle pris la peine d’examiner tout cela lorsqu’elle a autorisé, approuvé, puis rendu obligatoires les vaccins contre la grippe de Fauci pour ses citoyens ? Si elle l’a fait, comment la TGA est-elle parvenue à la conclusion que ces vaccins sont sans danger pour tout le monde, et encore moins pour les femmes enceintes ?

Le Dr Luke McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patients après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed, le taux de fausses couches chez les patients de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes « vaccinées », il a atteint 74 %.

« Il faudra du temps pour répondre aux premières interrogations, mais elles doivent être posées : “Pourquoi la baisse du taux de fécondité se produit-elle ? Pourquoi le taux de mortalité en Australie a-t-il bondi ? » 8

https://www.naturalnews.com/2022-11-17-australia-63-percent-drop-births-covid-vaccines.html

Taiwan a connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.
La Suisse

a connu un recul inouï (-3,4 écart-types de la moyenne à long terme) de sa natalité, exactement neuf mois après le début de la vaccination anti-Covid de ses citoyens âgés de 20 à 49 ans9

BAISSE DU NOMBRE DE NAISSANCES D’UNE AMPLEUR JAMAIS VUE EN 150 ANS — EST-CE DÛ À LA VACCINATION CONTRE LE COVID-19 ?

Les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS) permettent d’établir que, depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes s’est abaissé comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne1. En février 2022, seules 628 naissances vivantes ont été enregistrées.

D’après nos calculs, cette valeur s’écarte de 3,4 écarts-types de la moyenne à long terme (de janvier 2015 à juin 2022). Il s’agit de la plus forte baisse depuis que l’OFS récolte les données relatives aux naissances vivantes (1872).

« Il est urgent de déterminer les causes précises de cette baisse ». Certes il est impossible de conclure à une causalité sur la base d’une simple corrélation temporelle, mais les observations exposées ci-dessous sont tout de même inquiétantes.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. Ensuite, en comparant entre les régions, on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %) ».

Les données ne permettent pas de faire de rapprochement entre la dénatalité et le nombre de cas de COVID-19 ou d’hospitalisations liées au COVID-19.

Les graphiques suivants sont tirés du document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 20222 :

D’après Konstantin Beck, professeur à l’Université de Lucerne et conseiller spécialisé en économie de la santé, cette méthode ne permet pas de prouver formellement qu’il y a un lien entre la baisse du nombre de naissances vivantes et l’accroissement de la couverture vaccinale3.

Néanmoins il suppute :

« Au vu des données dont nous disposons concernant les naissances en Suisse, nous pouvons supposer que la vaccination est à l’origine du surprenant et considérable recul du nombre de naissances vivantes »4.

Israel a publié les conséquences néfastes de l’injection génique sur la mortalité périnatale, les fausses couches spontanées, etc.

Les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur la mortalité périnatale, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées10 CHD.TV Israël — « Vaccins et allaitement » : un sujet peu paru dans les médias… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » 11

L’Allemagne et la Suède
L’Espagne

Au cœur de la réserve naturelle des Arribes del Duero Fermoselle l’exemple d’une Espagne qui se dépeuple12

Si l’Espagne a enregistré le plus faible taux de natalité de ces 20 dernières années, Fermoselle un triste record : c’est la plus grande municipalité d’Espagne (1131 habitants recensés en 2021) parmi celles qui n’ont pas eu une seule naissance ces deux dernières années. « Nous sommes la capitale d’une Espagne qui se vide », se vantent les habitants, comme s’ils avaient été choisis pour accueillir les Jeux olympiques.

En 2018, il n’y a eu aucun nouveau-né dans le village, et cette année, une fillette est morte quelques jours après sa naissance. « À ce rythme-là, nous allons finir par disparaître », déplore le maire, de retour d’une réunion de la Junta [gouvernement de la région autonome] de Castille et Léon, au cours de laquelle 3,5 millions d’euros de fonds européens ont été débloqués pour protéger les oiseaux du Parc naturel d’Arribes de Duero.

« C’est très bien que l’aigle de Bonelli ou le percnoptère ne s’éteignent pas, je ne dis pas non, mais il ne faudrait pas qu’on s’éteigne nous aussi, fait-il valoir. Qu’est-ce qu’ils vont faire quand on ne sera plus que 4 habitants dans le village ? Nous cloner ? »

José Manuel Pilo a remporté les élections municipales en mai sous les couleurs d’une plateforme citoyenne créée après les incendies qui ont ravagé le village en 2017. Il a mis fin aux 30 ans de règne du Parti populaire (PP, conservateur) et détient la majorité absolue [au conseil municipal]. Il a autant de conseillers municipaux qu’il y a d’enfants inscrits à la garderie municipale : cinq.

Le taux de natalité est au plus bas en Angleterre et au Pays de Galles

En 2018, le taux de natalité a atteint un niveau historiquement bas en Angleterre et au pays de Galles, représentant une baisse de 46 % par rapport au record historique de 1947.

Depuis le début du recensement des naissances en Angleterre et au pays de Galles, le nombre de nouveau-nés n’a jamais été aussi bas, rapporte The Guardian. Le record de naissances avait eu lieu en 1947. Comparé à cette date, le nombre de naissances a chuté de 46 % l’an dernier.

En 2018, 657 076 naissances ont été enregistrées. Cela représente une baisse de 3,2 % par rapport à l’année précédente, et de 10 % par rapport à 2010. Le taux s’est élevé à 11,1 naissances pour 1 000 habitants. « Les chiffres, fournis par l’Institut national des statistiques [l’Office for National Statistics (ONS)], montrent également que le pourcentage de bébés vivants dont la mère n’est pas née au Royaume-Uni a diminué pour la première fois depuis 1990, passant de 28,4 % à 28,2 % », détaille The Guardian.

Le taux de fécondité global a lui aussi baissé. Il était de 1,7 enfant par femme en 2018, soit une baisse de 3,4 % par rapport à l’année précédente. Citée par le quotidien britannique, Ann Berrington, professeure de démographie et de statistiques sociales à l’Université de Southampton, explique ces données par l’évolution des aspirations, l’éducation, mais également l’accès à la contraception.13 Qu’en sera-t-il après les ravages de l’injection génique ?

Beaucoup s’interrogent : @elonmusk

« Ces faibles poids à la naissance et ces malformations du génome humain après le développement du vaccin covid sont tout simplement épouvantables, comment la Terre prévoit-elle de réparer cette erreur d’interprétation génétique créée par l’homme ? »

Et concluons par une belle citation de Victor Hugo :

« Seigneur, préservez-moi, préservez ceux que j’aime, frères, parents, amis, et mes ennemis mêmes dans le mal triomphant, de jamais voir, Seigneur, l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants ! »





Une organisation suisse veut créer des banques de « sang non-vacciné » contre le Covid

[Source : FranceSoir]

Le rejet du vaccin anti-Covid prend une tout autre forme. « Horrifié » par le sang contenant un vaccin anti-Covid, George Della Dietra, un naturopathe suisse, a fondé Safe Blood Donation (don de sang sain, Ndlr), une organisation à but non lucratif, dont l’objectif est de mettre en relation des demandeurs et donneurs de sang non vaccinés et constituer, à terme, une banque de sang issue des dons de personnes non-vaccinées. En Nouvelle-Zélande, des parents ont refusé que leur enfant malade reçoive du « sang de vacciné » et en ont partiellement perdu la garde mercredi 7 décembre.

George Della Dietra a exprimé dans une déclaration son “horreur” après avoir étudié un sang ayant reçu un vaccin anti-Covid. “Je n’ai jamais vu de sang comme ça. C’était, pour être honnête, la principale raison pour laquelle j’ai commencé tout ça, parce que quand j’ai vu ça, j’étais tellement horrifié”, a-t-il déclaré. Il s’est dit convaincu que « toute cette affaire de vaccination” a pour but de “contrôler les gens”. Il estime ainsi que toute personne n’ayant pas été vaccinée a le droit de recevoir du sang qui ne contient pas de technologie ARNm.

En créant Safe Blood Donation, ce naturopathe explique ainsi sa volonté d’être “une plateforme pour les personnes qui souhaitent avoir le libre choix des donneurs de sang… Qu’ils pensent qu’il existe une véritable théorie du complot, que le Nouvel Ordre Mondial est en train de se produire, ou qu’ils disent simplement qu’ils ne veulent pas de ce sang pour une raison quelconque”a-t-il déclaré.

“Faire pression sur les autorités”

La tâche s’annonce ardue. À se référer au New York Times, environ 71,1 % de la population mondiale a déjà reçu une dose d’un vaccin contre le Covid-19. Aux États-Unis, une étude de septembre 2021 publiée dans le journal de l’American Medical Association affirme que 83,3% des dons de sang avaient des anticorps combinés en raison de la vaccination. “Je reçois des centaines d’e-mails me demandant : ‘Avez-vous du sang, parce que je dois être opéré dans trois semaines’”, a déclaré Della Dietra.

Outre la création de banques de sang “non-vacciné”, SafeBlood Donation, qui compte des membres dans au moins 16 pays, entend “faire pression sur les hôpitaux et les autorités sanitaires du monde entier pour qu’ils autorisent des “dons dirigés” de sang” ne contenant pas de traces du vaccin, explique encore son fondateur. Les membres de cette organisation demandent ainsi aux autorités de modifier leurs politiques. “Dès que nous aurons suffisamment de partenaires médicaux (pour l’application, la collecte et le traitement du sang), nous commencerons par la médiation », affirme son fondateur.

Les autorités médicales n’autorisent effectivement pas ces “dons dirigés”. Les autorités sanitaires de plusieurs pays, comme les États-Unis ou le Canada affirment qu’il y a “aucun risque à recevoir du sang de personnes ayant été vaccinées”. En plus de cela, la réception des dons de sang dans les centres de transfusion n’est pas organisée selon le statut vaccinal des donneurs.

Un couple néo-zélandais perd la garde de son enfant

Les cas de personnes non vaccinées qui demandent un don de sang provenant de personnes non vaccinées, se font de plus en plus entendre depuis l’été dernier. En Nouvelle-Zélande, un couple a perdu mercredi 7 décembre la garde de leur fils de quatre mois en raison de son refus qu’il reçoive du sang provenant de personnes vaccinées avant une opération cardiaque.

Le nourrisson de quatre mois souffre de sténose valvulaire pulmonaire et l’intervention chirurgicale a été retardée. Leur demande de transfuser leur enfant avec un sang « non-vacciné » a été rejetée car les hôpitaux de Nouvelle-Zélande ne séparent pas le sang donné selon le statut vaccinal des donneurs.

Les parents, accusés de « complotisme » par l’avocat de la partie adverse, ont perdu temporairement la garde de leur enfant, les autorités ayant demandé à la justice de leur confier la garde partielle du bébé. Le couple conservera son autorité sur leur enfant à l’exception de ce qui concerne les affaires médicales.




Carte de France des suspendus !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Suspendus : beaucoup plus de monde que ce qu’on nous dit !

Vous êtes suspendu ?
Contactez directement Marius Jacob :



https://www.google.com/maps/d/u/0/edit?hl=fr&mid=1aGrhoLEC4Sowi-3T-tCJTnZzMbIskGM&ll=47.758316174021616%2C2.087203398463235&z=5

  • Source : Télégram : @mariusjacob7891



Propagande Covid délirante pour des masques inefficaces

Par Dr Gérard Delépine

Depuis quelques jours le gouvernement et les médias tentent de raviver la peur à l’aide d’une épidémie de tests et de réimposer le port de masques alors que l’expérience des 30 mois d’épidémie a prouvé :

  • 1°) Que chez les asymptomatiques les tests ne servent à rien ;
  • 2°) Que le port généralisé du masque n’empêche pas les contaminations.

Rappelons que l’évolution d’une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.

Il n’y a plus d’épidémie Covid menaçante en France

Pour surveiller objectivement l’évolution d’une épidémie, il faut se fier uniquement au nombre de malades (personnes qui souffrent de symptômes) et au nombre de décès quotidiens occasionnés par la maladie.

Dans le monde, l’épidémie covid est en voie d’extinction : le premier décembre 2022 d’après l’OMS moins de 800 décès lui ont été attribués (0,4 % de la mortalité toutes causes confondues) :

Le ministre tente d’effrayer la population en agitant l’augmentation des cas, personnes asymptomatiques qui ont eu le malheur de faire un test PCR revenu positif. Mais un test positif ne signifie pas que l’on est malade du covid, ni porteur de virus, ni contaminant12.

Chez les asymptomatiques, les tests PCR réalisés avec plus de 30 séquences d’amplification sont des faux positifs dans 97 % des cas34.

Le réseau sentinelle5 estime l’incidence des malades covid à 57 cas pour 100 000 très loin des seuils d’alerte6 alors qu’elle dépasse les 300/100000 pour la grippe actuellement en poussée épidémique saisonnière.

De même, la mortalité covid pourtant largement surestimée diminue depuis plus de 6 mois et atteint à peine le quinzième de ce qu’elle était en mars 2020 :

Le 2 12 2022 le directeur de l’OMS a déclaré7 « L’OMS estime qu’au moins 90 % de la population mondiale présente actuellement une certaine forme d’immunité face au virus SARS-CoV-2 ». 

Ne craignez pas l’épidémie de tests PCR faux positifs que nos gouvernants et les médias agitent ! En France comme partout dans le monde la maladie ne tue presque plus.

Le masque est incapable d’empêcher les contaminations virales8 9

Le Dr Colin Axon, membre du conseil scientifique britannique (Scientific Advisory Group for Emergencies ou SAGE)10 a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pas grand-chose pour freiner la propagation du covid, rappelant que la taille du virus COVID-19 est 5 000 fois plus petite que les trous des masques et précisant :

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers ».11

Le port généralisé du masque ne protège donc pas de la contamination virale. L’analyse des 3365 articles de la littérature internationale référencés sur PubMed le 1/12/2022 sous la dénomination « facial mask for Covid » confirme ce fait : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque en population générale protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup démontrent le contraire12.

L’exemple du Brigham and Women’s Hospital de Boston qui a souffert d’une forte poussée de covid-1913, malgré l’emploi systématique des équipements de protection dont les masques, est révélateur.

L’exemple du Meir Medical Center 14 est encore plus frappant, car, outre le port de masques, 92 % des contaminés avaient reçu deux doses de Pfizer. De même le port du masque chez 30 074 athlètes du Visconsin15 s’est révélé inefficace.

Dans le comté texan de Brexar16 :

« Il n’y a pas eu de réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs des patients positifs au COVID-19 attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de port de masques ».

L’étude de Zacharias Fögen, comparant au Kansas (États-Unis) les 17 districts qui imposaient le port du masque aux non masqués (88) entre le 1er août et le 15 octobre 2020, conclut :

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure. »

et envisage le mécanisme par lequel le port du masque agit. 17

Initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, conclusion tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté18 19 20 21 22.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une revue de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». En recommandant le masque, l’OMS reconnaissait d’ailleurs :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité ».

Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour éviter de s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévenait :

« Le masque peut créer un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais, même dans ces conditions particulières à haut risque, il n’existe pas d’étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination23.

La seule étude prospective randomisée évaluant l’utilité du port du masque généralisé contre le covid, Danmasq1924 25, pourtant réalisée par des partisans du port du masque, ne retrouve aucune baisse significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas : le masque ne protège pas celui qui le porte.

Le Dr Fauci, interrogé sous serment le 23 novembre 2020, n’a pu présenter aucune étude qui plaiderait pour l’utilité des masques26. Le procureur général du Missouri, Éric Schmitt, présent lors de la déposition dans le Maryland, a confirmé sur les médias sociaux que le Dr Fauci « ne pouvait pas citer une seule étude » pour étayer son affirmation selon laquelle les masques étaient efficaces contre le Covid-19.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, et sur l’avis d’experts « qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique concrète.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques, habituées au masque, seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens.

Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations Omicron par million d’habitants en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque interdit seulement lors des manifestations27) montre que le masquage généralisé de la population asiatique n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire honnêtement en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune démonstration scientifique, et que de nombreux faits avérés, militent pour son inefficacité ?

En réalité le masque, parfaitement incapable de limiter les contaminations covid, ne constitue qu’une muselière symbolique des pouvoirs désireux de contrôler leur population28.

Si les obligations de port du masque ont été si largement imposées par les politiciens, c’est que le masque représente une forme visible du théâtre d’hygiène, qu’il véhicule un sentiment intuitif de sécurité et transfère la responsabilité du contrôle de la pandémie sur la population.

La surpopulation des unités de soins intensifs peut être ainsi imputée au mauvais comportement des « anti-masques », plutôt qu’à l’allocation insuffisante et mal ciblée des ressources par les gouvernements et les bureaucrates des hôpitaux. Lorsque les cas et les décès augmentent, c’est la faute des citoyens, pas des dirigeants.

Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et doit être respecté, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux et particulièrement nocifs chez les enfants innocents du covid.

Le port généralisé du masque est source de nombreuses complications29

Au 5 décembre 2022, la base de données PubMed recense 1118 articles décrivant des complications du port de masques faciaux. Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

Une rapide revue des articles publiés30 31 32 33 34 35 met en évidence les cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente.

Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. La symptomatologie varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %).

Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques. Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène, la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et coll.36 ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans. Kisielinski K et ses coauteurs37 montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Les complications physiologiques, psychologiques et sociales associées au port du masque sont nombreuses. La perception des émotions est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère. La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique.

Les enfants en sont particulièrement victimes38 39.

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage de la reconnaissance des émotions et de la parole est particulièrement menacé. Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui. En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ?

Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent. Les orthophonistes sont débordés40.

La brimade inutile du masque a suscité le mouvement « Saturnay burning » (« brûlez les masques ») qui a enflammé l’Idaho41.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge où ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques sont favorisés par le port du masque, facteur de stress et de morosité..

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque.

Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux lits de psychiatrie générale à l’hôpital (atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS) et fuite des psychiatres de l’hôpital public (30 % des postes de titulaires sont vacants).

Les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes. Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province. D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.

Les masques usagés constituent aussi un fléau pour la planète et les animaux42 43

Les masques à usage unique sont jetés sur les trottoirs, dans les rivières et sur les plages de tous les pays où ils ont été rendus obligatoires dans les espaces publics. Fabriqués à base de polyester et polypropylène, ils peuvent mettre plusieurs centaines d’années avant de se décomposer et menacent l’environnement et les animaux.

Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants.

Vive nos libertés. À bas les masques !





RADIATION : AU TOUR DU DR MARC GIRARD éminent expert auprès des tribunaux. Personne n’échappe à la chasse aux sorcières. Jusqu’à quand ?

Par Nicole Delépine

HOMMAGE AUX PERSONNELS SUSPENDUS PAR MARC GIRARD (sur son site)

« Le contraste entre la misère objective où se trouvent acculés les soignants (les petits, surtout : aides-soignants, femmes de ménage et personnel de service) et le ridicule du prétexte sanitaire (se défendre contre les rhumes) en dit tristement long sur l’état de sauvagerie où en sont arrivés tous ceux qui, sous prétexte de soins, se voient dépositaires d’une mission sacrée : tenir à distance la maladie (sinon la mort) et, surtout, faire preuve d’autorité à l’endroit des plus faibles. »

INLASSABLE LANCEUR D’ALERTE DEPUIS LES ANNÉES 90, le Dr Marc Girard a informé ceux qui ont accepté de l’écouter (car la pensée unique ne date pas d’aujourd’hui) sur le distilbène, l’hormone de croissance, le vaccin contre l’hépatite B1, la dangerosité du vaccin H1N1, les dangers du Gardasil inutile et dangereux2, les inconvénients de la mammographie, du dépistage du cancer de la prostate par le PSA, sur la mascarade du procès mediator etc.. sur les risques des imprégnations hormonales des femmes… et bien sûr sa critique clairvoyante de la gestion du rhume covid.3 Son parcours émaillé de la révélation de tant de scandales médicaux-sociaux l’ont conduit à son propre drame personnel par la persécution des autorités depuis de longues décennies. Son roman de vie mériterait un volume en soi qui éclairerait son parcours personnel en le remerciant, mais surtout l’état de la pharmacovigilance en France depuis les années 90. 4

Que de sujets tabous a-t-il abordé au grand jour à l’heure où les médias étaient un peu moins fermés qu’aujourd’hui bien que déjà travaillés au corps par big pharma. Je l’ai rencontré sur le plateau de C dans l’air en 2011 environ, alors qu’il présentait un livre sur les dangers des médicaments et que j’étais invitée à propos de mon livre « la face cachée des médicaments ». Nous étions en phase, encore tolérés sur les plateaux (à peine) et cela ne m’étonne pas que ce médecin instruit, pionnier de la pharmacovigilance française, déterminé, honnête, d’un autre monde finalement, ait été persécuté jusqu’à la radiation… 5

INSUPPORTABLE une nouvelle fois, après la censure et l’interdiction d’exercer la médecine de nos parlementaires6, on apprend ce jour la radiation du Dr Marc Girard, en même temps que fleurissent à nouveau sur nos antennes (on va casser nos télés avant longtemps) des pseudo médecins statisticiens, généralistes, urgentistes ou autres qui en plus des mensonges avérés qu’ils recrachent, insultent les médecins. Le pseudovax éviterait les formes graves contre toutes les évidences statistiques. Ils traitent les collègues vaccino prudents de « rien », de déchets ou autres galanteries. Quand les citoyens les poursuivront-ils pour mensonges, intoxication aux conséquences dangereuses et insultes discriminatoires de leurs collègues médecins ? 7

Radiation définitive du Dr Marc Girard – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) 8

Qui est le docteur Marc Girard ? Voilà la description de son parcours sur son site fort instructif qu’il faut lire, en particulier pour ceux qui s’intéressent au scandale précurseur de la vaccination contre l’hépatite B (encore obligatoire chez les nourrissons suite à la loi de Mme Buzyn), mais aussi à l’histoire cocasse du médiator, etc..

Ses livres, tous riches en informations bien cachées par les médias sont sûrement autant d’aiguillons qui ont heurté les représentants de notre profession qui ne se préoccupent plus que de la censure contre tout ce qui n’est pas la doxa des pouvoirs publics au service de Big Pharma, lui-même serviteur parmi les plus « zélés » du Nouvel Ordre Mondial.

Et cerise sur le gâteau, à l’heure de la retraite, lorsqu’il déménage, l’ordre « perd » son dossier.

« Il refournit tous les documents, mais au lieu de délivrer la carte professionnelle en s’excusant, il est réévalué par des nuls et est radié ! »

https://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/ 5:28 PM · 1er déc. 2022

La question à poser est jusqu’à quand la passivité des citoyens ?

Ils pleurent (à juste raison) à l’arrivée des services d’urgence quand ils attendent des heures sans boire, sans manger, sans soulagement, mais laissent nos médecins compétents, solides se faire virer sans ménagement… y compris les courageux médecins suspendus pour avoir eu le courage de leurs opinions, quand les ministres qui les insultent avouent eux-mêmes ne pas être injectés ou que beaucoup de leurs collègues députés ou sénateurs ne le sont pas. Et chaque jour, une nouvelle radiation ou nouvelle suspension pour avoir trop parlé !9

Si vous voulez que renaisse la médecine, il faut nous aider, vous tous citoyens et ne pas tourner la tête, à reconquérir notre pouvoir médical et supprimer celui des instances bureaucratiques et singulièrement celui des agences régionales de santé qui gèrent financièrement la médecine.

Pourtant la médecine n’est pas une marchandise et faire des pubs télé pour les pseudovax comme pour des parfums est insupportable.

Une réflexion déjà ancienne sur la médicalisation et ce qu’elle dissimule : la vie, la sexualité, la mort…

Étudiant en mathématiques, Marc Girard était frappé de voir que les collégiens mis en échec par les « math modernes » étaient naturellement adressés à des médecins, alors que ces derniers se targuaient plutôt d’avoir été formés aux « humanités ». En cette époque où la conscience écologique naissante s’exerçait sur le scandale du « veau aux hormones », il ne comprenait pas non plus pourquoi saturer le corps fascinant des contemporaines avec ces mêmes hormones sous prétexte de contraception devait être tenu pour une « émancipation ».

Devenu médecin non par vocation, mais par engagement politique à l’encontre d’un métier dont le potentiel totalitaire était déjà patent, il a cru bon mettre sa compétence de spécialiste du médicament au service de la justice, avant de constater qu’entre sanctionner les criminels de la santé et ceux qui les dénonçaient, la justice avait choisi la seconde option.

Le présent site récapitule les réflexions nées de ces interrogations anciennes, mais dont l’actualité serait difficile à ignorer. »

ET VOICI SA RÉACTION SUR SON SITE À CETTE MONSTRUEUSE INTERDICTION DE MÊME SE PRESCRIRE UN ANTIBIOTIQUE OU UN ANTICOAGULANT

Radiation définitive du Dr Marc Girard

30 novembre 2022

Eh bien ! Ça y est, c’est fait ! Je ne suis plus médecin. Plus du tout. Plus jamais. Définitivement radié de l’Ordre. Donc interdit de prescrire même des antalgiques banals, même des médicaments contre le rhume, même des somnifères réputés anodins…

Parce que je me suis lancé sur un sujet hautement polémique, comme le Covid, comme telle ou telle vaccination, comme la mammographie, comme le dépistage du cancer de la prostate, comme les nouveaux anticancéreux ? Que nenni ! Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu’en 40 ans de pratique intensive, je n’ai pas eu un seul sinistre…

Radiation d’autant plus sidérante que, aussi bien chez les experts judiciaires que chez les médecins, je n’ai quasiment jamais vu de suspension, si motivée fût-elle, qui ne soit temporaire : même après une faute grave, on tend presque toujours à passer l’éponge après un certain temps. Mais le Dr Girard, ça doit soulager de le virer définitivement.10 11

Sans me fourvoyer dans la doléance égocentrique, je crois qu’il est utile d’entrer un peu dans l’historique de cette situation. Après des études brillantes, menées dans un CHU prestigieux (Necker EM) et couronnées par un prix de thèse, j’ai eu une pratique intensive de médecin généraliste, pas intéressé par l’internat (concours dont la débilité m’est toujours apparue flagrante). Domicilié dans les Yvelines, j’étais dûment inscrit à l’Ordre de ce département durant 35 ans. En 2018, ayant décidé de me replier dans la Mayenne natale pour ma retraite, je me tournais naturellement vers l’Ordre de ce département pour obtenir le transfert de mon dossier et mon inscription en Mayenne. Là, première surprise : mon dossier s’est révélé introuvable. Après un moment de panique, j’ai retrouvé — et fourni — tous les documents attestant mon parcours et authentifiant mes titres : ils n’avaient pas été obtenus à la sauvette ou moyennant finance.

Comme un con, j’ai imaginé que le problème était résolu, et j’ai commencé à attendre mon caducée, ma nouvelle carte professionnelle et mes ordonnances. Mais au lieu de s’excuser pour cette gabegie dans son archivage, l’Ordre mayennais s’est mis en tête de m’évaluer. Malheureusement, surtout quand on est un médecin nourri de presse médicale type Le Quotidien du médecin, on n’évalue pas le Dr Girard sans avoir autant réfléchi que lui : sans apercevoir l’incongruité du propos, l’un des « experts » autoproclamés chargés de m’évaluer n’avait aucune notion des objections qu’on peut — qu’on doit — adresser aux statines et à leurs prescripteurs ; un autre refusait même l’idée qu’au-delà de trois médicaments par personne — surtout chez une vieille dame de 85 ans — on nage dans l’inconnu (outre les trois principes actifs, on a la bouteille à l’encre de tous les métabolites) — mais peut-être mes évaluateurs ignorent-ils ce qu’est un métabolite. On peut également alléger une ordonnance : l’expérience atteste que diminuer le nombre de médicaments prescrits tue rarement le patient concerné, alors que l’inverse n’est pas vrai.

Il est notoire pourtant que certaines régions françaises (la Mayenne, justement) souffrent d’une pénurie grave de médecins, conduisant à recruter soit des étudiants ayant échoué au concours, soit même des médecins étrangers baragouinant un français approximatif, mais ayant obtenu — Europe oblige — le titre de médecin dans un pays étranger au terme d’études non moins approximatives, par exemple en Bulgarie où la pègre fait sa loi et où, si l’on en croit Le Figaro (02/10/22), « la corruption est endémique ». Voici quelques semaines, la presse locale faisait état des files d’attente occasionnées par la réinstallation d’un médecin retraité (qui avait dû finir par s’ennuyer), à côté desquelles celles occasionnées par l’enterrement récent de la Reine d’Angleterre avaient l’allure d’un aimable pique-nique. Il est non moins notoire qu’Internet fourmille de menaces sanitaires et d’offres de soins plus que douteuses qui devraient appeler une réaction ferme et coordonnée des professionnels.

Bon, bref. Je ne compte pas me laisser faire ni prendre des cours de français. Mais il me paraît utile d’informer les gens de ce qui m’arrive et qui dit beaucoup du milieu médical français (à l’égard duquel j’ai toujours eu une position très critique). J’invite tous mes lecteurs à retransmettre cette histoire exemplaire à leurs proches, à la presse, à leurs responsables politiques…

L’Ordre n’a qu’à bien se tenir…

Sur le coup, c’est vexant d’être radié. Mais est-il si flatteur d’en être ? »

QUELQUES RÉFLEXIONS DE TWITTOS SCANDALISÉS

@FabriceMegrot
#radiation du Dr Marc GIRARD. Encore un grand médecin maltraité. À lire, ses travaux et son site Internet riche
@BanounHelene 1er déc.

Encore un médecin compétent et courageux radié par l’Ordre : il s’est opposé à Big Pharma depuis bien longtemps ! C’est un expert en pharmacovigilance
https://rolandsimion.org/radiation-definitive-du-dr-marc-girard/

Dès 2009, le Dr Marc Girard a contesté les affirmations de Madame Bachelot alors ministre de la Santé, ancienne pharmacienne sur la vaccination H1N1. Elle défendait son vaccin anti H1N1 avec les mêmes mots qu’elle a défendu la vax anticovid. Jouer sur la peur, on prend les mêmes et on recommence. Les représentants du pouvoir ont été beaucoup plus efficaces avec le covid dans la désinformation ; mais n’ont pas pardonné au Dr Marc Girard sa clairvoyance.

En 2020, il a alerté à nouveau la population et rappelé les techniques de manipulation utilisées par le gouvernement, qui auraient dû rendre prudents les citoyens.

Parmi les méthodes de promotion mensongère, on relève « la dramatisation de l’anecdotique » (p. 173), une « rhétorique de globalisation » (p. 175) et la collusion des professionnels de santé (p. 177), plus prompts à amplifier de leur autorité les sornettes glanées à la télé qu’à parler sérieusement de ce dont ils ont une expérience effective (qui se résume parfois à très peu). »

Et ce chapitre de réflexion générale : « Élever le débat en 2009, c’était — exemple parmi bien d’autres — créer les conditions pour que, sans éprouver le besoin d’en modifier la moindre ligne, ce livre soit remis dans l’actualité après “la divine surprise” (pour les patrons…) de Macron-président et son coup d’État du 16 mars 2020.

Élever le débat, c’est proposer des événements une triple lecture, politique, scientifique, morale.

  • Omniprésente dans les pages qui ont précédé, la lecture politique rappelle que la menace qui pèse le plus sur l’expertise, ce n’est pas celle des liens d’intérêts (à la révélation desquels je pense pourtant avoir puissamment contribué) : c’est celle de l’incompétence.
  • La lecture scientifique, c’est comprendre que la recherche clinique en général, et l’évaluation des médicaments en particulier, n’ont rien (ou pas grand-chose) à voir avec le travail dit classiquement “scientifique”, centré sur une épistémologie tirée des sciences physiques ou, à la rigueur, de la biologie. Rien à voir, donc, avec les références intellectuelles de tous “les sages et les savants” qui se prévalent bruyamment d’une agrégation, d’un doctorat d’État ou de quelque autre affiliation censément prestigieuse (CNRS, INSERM…), mais peu pertinente pour l’espèce.
  • La lecture morale, enfin, c’est comprendre que la faute des autres, pour patente qu’elle soit, ne saurait résumer à elle seule la misère du monde : se demander, par conséquent, en quoi les engagements personnels participent du processus général de récupération par lequel, pourtant condamné à mort par application des lois sacrées du “matérialisme historique”, le capitalisme renaît chaque fois de ses cendres, et chaque fois plus fort. Dans un livre consacré aux ravages de la médicalisation, c’est une invitation à y inclure les fausses “alternatives” des médecines douces, holistiques, homéopathiques, parallèles, ainsi que les emprunts aux traditions thérapeutiques du monde qui fascinent d’autant plus que, voyage organisé parmi d’autres, elles sont exotiques (et qu’elles n’impliquent évidemment rien des contraintes culturelles qui donneraient du sens à cette forme de tourisme…). »

et comme disent des commentateurs sur twitter : Patricia Chaibriant 19 août 2021

« Macron et Veran ne se sont pas foulés pour essayer de nous terroriser avec le covid afin de caser du vax, ils ont repris les rôles de Sarkozy et Bachelot dans l’arnaque de la fausse pandémie H1N1 de 2009 ».

« Marc Girard et la Bachelot qui nous a coûté des millions € »

L’imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale »

L’imposture de la grippe A dévoilée sur la chaîne « La Locale » Emission du 25 Octobre 2009 — 23 h.
Intervenants sur « La Locale » :
—Christian Cotten (Journaliste),
—Dr Vercoutere (Docteur),
—Jean-Frédéric (citoyen),
Intervenants sur France 24 :
—Jennifer Knock (Spécialiste Santé à France24),
—Marc Girard (Médecin) C*0*V*I*D* : TOUTES RESSEMBLANCES AVEC DES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS NE SERAIENT QUE PUR HASARD ! (lol si le hasard existe, bien sûr)

Le Dr Marc Girard a aussi combattu les effets secondaires des vaccins comme le Gardasil contre le HPV

@FrancoisTribun 23 nov.

« Je partage le travail de Dr Marc Girard, pionnier de la pharmacovigilance. Il expose le danger réel d’effets secondaires graves pour des vaccins comme le Gardasil (HPV). Si un casque peut vous étrangler alors son usage devient aberrant. »

En 2020 il croyait qu’on pouvait discuter ensemble des vaccins, etc..12 il avait beaucoup d’illusions comme la suite du scénario covid l’a démontré

https://www.facebook.com/watch/?v=1316075092092376

Plongez-vous dans son site, vous ne perdrez pas votre temps, car Marc Girard a été précurseur de la réflexion sur la conduite à tenir sur les sujets qui nous agitent depuis 2020. Par exemple

« Principe de précaution

Le quatrième chapitre est peut-être celui qui m’a le plus coûté compte tenu du débraillé terminologique qui règne à ce sujet, tout autant chez les “experts”, chez les présumés sachants (tels que les avocats), chez les victimes, chez les intarissables blaireaux de la Toile : “prudence”, “prévention”, “précaution”…

Ma réticence initiale à traiter du sujet venait du fait que le concept de précaution est né d’une réflexion sur la protection de l’environnement : il s’imposait d’autant moins en médecine que les médecins ont un concept bien plus ancien et bien plus fort, celui de prudence. D’où mon constat tiré d’une expérience assez intensive et dont la pertinence s’est démesurément confirmée depuis les quelque vingt ans où j’ai commencé de griffonner sur le sujet : quand, en médecine, on vous parle de “précaution”, commencez par rechercher le cadavre de la prudence — et retrouvez les assassins. »

Et même si Marc a parfois la dent dure, c’est un honnête homme, un tendre qui aime profondément les autres humains et refuse toute concession au politiquement correct et au langage diplomatique.

« Nous en arrivons à la conclusion de ce livre publié en septembre 2009

« La triste réalité, c’est qu’il n’est simplement pas possible d’être un professionnel du médicament sans devenir farouchement anti-européen au constat des éléments suivants dont les effets se font sentir à chaque instant : l’effarante efficacité des lobbies, l’impuissance rare des politiques, leur ignoble complaisance et leur déprimante incompétence(…) »

Alors chers concitoyens, si vous ne voulez pas collaborer à l’enterrement définitif de la médecine française, et la disparition de ses représentants authentiques les plus courageux, défendez bec et ongles les soignants, médecins, personnels administratifs, pompiers, enseignants13, etc. suspendus contre TOUTE LOGIQUE SANITAIRE. Ne laissez pas notre belle France devenir un état totalitaire où seules des injections « préventives » seraient proposées contre toutes les maladies.


1 Vaccin contre l’hépatite B : l’urgence d’une ré-évaluation – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)
https://www.rolandsimion.org/wp-content/uploads/2004/09/vaccin_hepatite_B_URGENCE.pdf

2 Gardasil et questions de tolérance – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

3 Un exemple de dictature médicale – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

4 L’exemple récent du dr amine umlil : Les experts de santé ont-ils droit à la liberté d’expression ? Le pharmacien Amine Umlil que nous avons eu l’occasion de recevoir dans les débriefings voit son poste menacé au Centre hospitalier de Cholet, dans le Maine-et-Loire. Son président, Pierre Vollot le dénonce au CNG (Centre national de gestion) le menaçant de « sanctions disciplinaires » ainsi que de « poursuites pénales ». Le Dr Amine Umlil, pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction | FranceSoir

Dr Amine Umlil au Sénat : « Le seul critère juridique pour imposer le vaccin, c’est que le vaccin empêche la transmission virale » (lemediaen442.fr) 24 mai 22 « depuis décembre 2020, date du lancement de la campagne de vaccination, la preuve n’a pas été donnée de l’efficacité du vaccin sur les formes graves et la transmission virale. Le rapport, étant donné qu’il s’agit de personnes en bonne santé, est forcément défavorable. On a oublié d’informer les gens que l’essai clinique était toujours en cours et qu’il s’agissait d’un produit expérimental.

5 « Fin septembre 2009, en pleine panique “pandémique” (dûment attisée, entre autres, par des “experts” dont certains sévissent encore au Conseil scientifique COVID-19 réuni autour du président Macron), un éditeur, intrigué par le contenu antagoniste de mon blog, vint me demander d’écrire un livre sur la grippe H1N1. Je tins scrupuleusement le délai de 8 jours qu’il m’avait laissé pour lui remettre le manuscrit, et le livre parut le 8 octobre 2009, sous le titre “Alertes grippales. Comprendre et choisir”.

Dès l’Introduction, je posais que les gens avaient parfaitement senti que les autorités cherchaient à leur faire peur, mais que le scepticisme populaire autour de la menace H1N1 attendait qu’un professionnel (un vrai…) leur fournisse les mots “pour organiser un contre-discours rigoureux” : le présent livre, disais-je, est destiné à soutenir les “citoyens qui ne veulent pas se laisser faire”. D’où la question centrale, éminemment démocratique et que mes fidèles reconnaîtront sans peine :

“Lorsqu’on est profane, est-il possible d’auditer le discours des experts ?”.
Alertes grippales — comprendre et choisir — Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

6 A. houpert et M. Wonner

7

vidéo à écouter et partager !

8 Le site de Rolandsimion est le site du DR Marc Girard en hommage à son oncle résistant :

« Roland Simion était un jeune ouvrier de la France d’en bas, qui refusa de partir pour le STO institué par l’occupant durant la seconde guerre mondiale. Il resta durant des années dans le maquis aux alentours d’Evreux. Il fut capturé et immédiatement assassiné par les soldats allemands juste le jour précédant la libération de sa ville. Il était âgé de 20 ans.

Pour un spécialiste du médicament (cf. 29), il est moins héroïque de rester indépendant tout en s’astreignant à rester compétent — ce qui requiert forcément de travailler avec les fabricants : mais, dans un monde où “l’industrie pharmaceutique a fait main basse sur les autorités sanitaires” (Brit Med J, 16 Nov 2002), c’est aussi une forme de résistance.

Ce site est dédié à la mémoire de Roland, qui fut — et qui reste mon oncle. Il sera le lieu d’une réflexion sur la médicalisation, et sur tout ce que dissimule cette aliénation : la vie, la sexualité, la mort… »

9 L’Ordre des Médecins va juger le Docteur Loridan parce qu’il a entièrement raison sur les masques — AIMSIB :

« Après la sanction révoltante infligée par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins du Grand Est contre l’ancienne Députée et médecin psychiatre Martine Wonner (*), c’est au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Il a eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d’un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu’en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu’en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ? Bonne lecture.

Quid de la liberté de parole dans une société qui, trop souvent, se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ? »

10 Il y a quelques semaines le dr Gayet médecin hospitalier toujours mesuré dans ses interventions fut aussi radié contre toute évidence. « Dr Stéphane Gayet Médecin infectiologue et hygiéniste.

« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté ».

https://odysee.com/$/embed/@Cielvoile:e/gayetr:4?r=6rKHgmeCEdX1bto9c7WSjHtJta1RbQZy

11 « Pour être précis, comme expert judiciaire, je n’ai pas été viré (ce qui m’aurait ouvert la porte d’un appel), mais non réinscrit (l’inscription sur les listes n’étant pas un droit, il n’y avait aucun appel possible) »

12 ttps://www.lelibrepenseur.org/les-experts-sont-les-hommes-de-paille-des-lobbys-financiers-par-le-dr-marc-girard/

13

Et pourtant des autopsies ont prouvé que les microfibres entraînent de graves formations de nodules dans les poumons, etc..




France — Enseignants suspendus pour ne pas avoir imposé le port du masque aux élèves






Refuser la marche forcée pour injecter petits et femmes enceintes par un médicament génique expérimental

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

En Californie, l’échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.

« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d’engouement. À ce jour, près de 70 % des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l’Association médicale de Californie, l’Académie américaine de pédiatrie, l’Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l’immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu’à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n’est apparu. Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions. »1

Des chiffres d’origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l’Association médicale de Californie et ses partenaires, même si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis. On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.

Pour illustrer le faible risque vital que courent les enfants le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children’s Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :

« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l’un d’eux ne s’en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »

De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d’une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :

« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »… “dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».

Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d’enfants par mois brandi par l’association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d’enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts,5 permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d’enfants par cancer.

Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l’Humanité.

👉IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1 000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022

« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1 112 de ces enfants ont souffert d’une complication mettant leur vie en danger ou d’un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie. »6

LES PARENTS OUVRENT LES YEUX 7 ET LES MENSONGES ACCUMULÉS SUR L’INJECTION COVID JETTENT LE TROUBLE SUR LES AUTRES VACCINS

16/11/2022

Dr McCullough (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/9495) explique à Robert Kennedy Jr (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6891) que les parents sont beaucoup plus réticents à faire des vaccins depuis le “désastre de l’injection Covid19” :

« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d’essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j’étais petit, il n’y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.

Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l’assainissement ou à d’autres formes de soins médicaux.

Donc, ce qui se passe maintenant, c’est qu’ils avaient l’habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu’on appelle : ‘l’hésitation aux vaccins’ aux États-Unis. Ce taux était d’environ 2,5 % de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l’état a fortement chuté et l’hésitation aux vaccins dépasse les 25 %.

J’ai fait une excellente interview avec le Dr Sherri Tenpenny (https://www.tenpennyimc.com/sherri-tenpenny-bio) récemment.

Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n’a jamais pris un seul vaccin de sa vie !

Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d’accord, c’est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.

Rien n’a de permanence, rien n’a de talisman, rien n’a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l’année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l’objet d’une évaluation critique.

Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30 % des parents sont maintenant très préoccupés par l’ensemble du calendrier vaccinal. »8

MORTINAISSANCES AVOUÉES EN AUSTRALIE

Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?

AUX USA, FAUSSES COUCHES ET MORTALITÉ PÉRINATALE IMPORTANTES

Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes.9

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

LA DUPERIE COMMENCE À ÊTRE RÉVÉLÉE : SCOOP !

Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle » 10

ET LA MORTALITÉ GLOBALE AUGMENTE

🔵🌍Nos enfants meurent du vaccin covid
Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.
Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :
215 morts en 2020
Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l’EMA.
481 morts
2022 : Vaccinations et rappels des enfants
+ de 807 morts
C’est un record absolu.
Pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro.11

EUDRAVIGILANCE POUR UE

EudraVigilance data updates

Data status 19/11/2022

– EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022):
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).

– Affected children:
→ 40,567 cases (+242)
→ 243 deaths (+0)
→ 14,501 serious adverse events (+56)

Et si vous souhaitez écouter une vidéo sur les problèmes des fœtus :

Et globalement en UE effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à ceux des effets des vaccins administrés en UE de 2010 à 2022 NOV :

Au niveau mondial, les données de mortalité de l’OMS montrent que l’épidémie est en voie d’extinction :

NE VACCINEZ NI LES ENFANTS,
NI LES FEMMES ENCEINTES,
NI TOUTE PERSONNE JEUNE OU VIEILLE QUE VOUS AIMEZ !





La corruption détruit la science, la médecine, le journalisme, la politique et menace la démocratie

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

« Un conflit d’intérêts naît d’une situation dans laquelle une personne employée par un organisme public ou privé possède, à titre privé, des intérêts qui pourraient influer ou paraître influer sur la manière dont elle s’acquitte de ses fonctions et des responsabilités qui lui ont été confiées par cet organisme ».

(Service central de prévention de la corruption, Rapport 2004)

Depuis trente ans la mondialisation a permis l’émergence de très grandes entreprises mondiales qui utilisent leur puissance financière considérable pour créer des liens financiers et extra financiers avec les scientifiques, les fonctionnaires et les politiques pour favoriser leurs intérêts. Cette corruption croissante atteint un tel degré, et dans tant de domaines qu’elle menace la science, la médecine, l’information et la possibilité de s’exprimer et ainsi la démocratie.

Dans cette tribune, nous décrirons quelques dégâts de la corruption sur la science et la médecine, car la liste en est longue…

La corruption de la science menace les progrès de la connaissance

Les liens d’intérêts financiers entre les chercheurs, médecins et industrie sont extrêmement fréquents dans la recherche biomédicale. Les essais cliniques sont majoritairement initiés et financés par l’industrie et consistent principalement en des études pilotes privilégiant l’innovation plutôt que les études comparatives des médicaments nouveaux aux médicaments anciens qui ont prouvé leur efficacité1.

Il existe une hiérarchie des rétributions selon l’utilité des intervenants : quelques centaines d’euros pour un médecin, quelques milliers pour un investigateur qui inclue des malades dans un essai thérapeutique, quelques dizaines ou centaines de milliers pour le promoteur d’un essai important ou un leader d’opinion.

En France, un médecin peut être à la fois : chef de service hospitalier, professeur des universités et donc enseignant, consultant rémunéré par l’industrie pharmaceutique, membre d’une agence gouvernementale régulant le marché du médicament, interviewé par les médias sur les avantages et inconvénients d’un médicament en oubliant de préciser ses liens avec la firme qui le commercialise (acte contraire à la loi transparence-santé de 2011, mais que le conseil de l’ordre des médecins, qui en est légalement, chargé ne poursuit que très exceptionnellement.)2

Ce cumul des fonctions, caricature des conflits d’intérêts est extrêmement rentable. Des sommes de 10 000 euros par mois ne sont pas exceptionnelles et l’Inspection Générale des Affaires Sociales a révélé qu’un leader d’opinion peut toucher plus de 600 000 euros pour un seul contrat de consultant, bien plus que son traitement annuel d’hospitalo-universitaire pendant 5 ans !

Selon les recherches effectuées par l’AFP sur Euros for Docs, près de 195 000 euros ont été déclarés par des industriels à la Pr Karine Lacombe, ce qu’elle a généralement omis de mentionner lors de ses prises de parole concernant les médicaments sur les plateaux TV alors que la loi transparence santé l’exige.

France Soir a établi un top 13 des « revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique » à des médecins3 en vue :

Pr François Raffi4 de Nantes aurait touché 541 729 €, dont 52 812 € de Gilead.

Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291 741 €, dont 48 006 € de Gilead et 64 493 € d’Abbvie.

Le Pr Jean Michel Molina co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses, journal officiel de la SPILF, sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. 184 034 €, dont 26 950 € de Gilead et 22 864 € d’Abbvie.

Le Pr Gilbert Deray, néphrologue très présent sur les plateaux télé 160.649 €.

Le Pr Jean-Paul Stahl, de Grenoble. 100 358 €, dont 4 552 € d’Abbvie. À noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI et que Jean-Paul Stahl, rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses a comparé le Plaquénil au papier toilette.

Le Pr Christian Chidiac, président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine aurait touché 90 741 €, dont 16 563 € de Gilead.

Le Pr Bruno Hoen, de l’Institut Pasteur : 82 610 €, dont 52 012 € de Gilead. Qui a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.

Le Pr Pierre Tattevin, de Rennes, président de la SPILF : 79 956 €, dont 15 028 € de Gilead. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68 435 €, dont 4 776 € de Gilead et 9 642 € d’Abbvie. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63 873 €, dont 15 054 € de Gilead.

Pour la seule année 2018, Transparence CHU a montré5 que la base Transparence Santé liste plus de 2,5 millions de déclarations des entreprises représentant près de 1,36 milliard d’euros qui irriguent le système de santé français.

Aux USA, les sommes sont plus importantes et la psychiatrie est l’une des spécialités les plus corrompues. Ainsi entre 2000 et 2007, le Dr Biederman, psychiatre, a reçu au moins 1,6 million de dollars pour promouvoir l’utilisation de médicaments antipsychotiques pour les enfants, pour lesquels ils n’avaient pas été approuvés.

Deux de ses collègues ont reçu des montants similaires. Le Dr Alan F. Schatzberg, président du département de psychiatrie de Stanford et président de l’American Psychiatric Association contrôlait plus de 6 millions de dollars d’actions dans Corcept Therapeutics, une société qu’il a cofondée et qui teste la mifépristone comme traitement de la dépression psychotique, tout en étant le chercheur principal bénéficiaire d’une subvention de l’Institut national de la santé mentale qui comprenait des recherches sur la mifépristone pour cette utilisation et co-auteur de trois articles sur le sujet vantant les mérites de médicament abortif (RU-486).

Marianne a révélé6 que lors de la crise covid :

« Entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l’hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449 389 euros d’avantages à neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19. »

De tous les membres du Conseil scientifique, c’est Yazdan Yazdanpanah, qui a touché 134 684 euros, suivi de Denis Malvy et Bruno Lina7.

Pour le médecin très lié aux labos les avantages ne s’arrêtent pas à l’argent, aux flatteries et aux beaux voyages et hôtels payés. Il bénéficie aussi habituellement d’une amplification de sa renommée par le réseau de communication rodé des labos, d’une aide à sa carrière académique, et d’une capacité accrue à obtenir des fonds de recherche. Les firmes assurent aux « leaders d’opinion » qu’elles choisissent, la reconnaissance professionnelle grâce à leur puissante logistique événementielle (congrès, symposiums, colloques, agences de presse), l’appartenance à un groupe « reconnu », l’acceptation des communications en congrès et des articles dans les grandes revues…

Ces conflits d’intérêts non financiers, plus difficilement mesurables, sont tout aussi responsables que les conflits financiers, en termes de dommages systémiques qu’ils causent à la science et ne paraissent pas correctement pris en compte en tant que risques dans le cadre de la recherche universitaire.

Les chercheurs ayant des liens d’intérêts avec l’entreprise qui fabrique le produit étudié sont plus susceptibles d’arriver à des conclusions positives, que ce soit par le financement préférentiel des projets susceptibles de réussir, par la conceptionbiaisée de l’étude, par la minoration ou la suppression de résultats négatifs, ou d’une interprétation tendancieuse des résultats. La signature initiale d’un contrat limitant la liberté de publier du contractant en est le moyen le plus caché et le plus efficace du contrôle de la firme sur le consultant.

Toutes les études comparant les résultats présentés par des auteurs liés aux firmes et ceux publiés par des auteurs indépendants démontrent que les premiers favorisent les produits ou appareils que produisent leurs sponsors. Le phénomène bien connu pour le tabac8, affecte tous les domaines de la médecine : traitement des cancers9, du glaucome10, le bronzage11, du diabète12, de l’hypertension, de l’hypercholestérolémie, des coronaropathies…, tous ceux où un candidat traitement pourrait ouvrir un marché prometteur.

Ces liens d’intérêts expliquent pourquoi la majorité des résultats de recherche publiés sont faux13 exagèrent l’utilité des nouveaux médicaments et dissimulent leurs toxicités.

Des auteurs du réseau Cochrane14 ont analysé des essais cliniques inclus dans des méta-analyses et prouvé que les essais cliniques financés par les firmes sont cinq fois plus favorables aux médicaments testés que ceux financés par des organismes indépendants des firmes.

Voir aussi le livre du Professeur Goetsche, un des fondateurs du réseau Cochrane :

Et celui du PR Even :

Les sociétés savantes corrompues par l’industrie lui servent de porte-parole, voire de bras armé.

Aujourd’hui, beaucoup de sociétés autrefois savantes ne vivent plus des cotisations de leurs membres, mais essentiellement de la générosité des entreprises de leur spécialité. Les sommes allouées peuvent être considérables.

Aux États-Unis, la transparence plus grande permet de mieux les connaître15 16. Ainsi l’American Society of Clinical Oncology a bénéficié de 54 millions de dollars et l’American College of Cardiology, 21 millions de dollars. Des paiements importants, regroupant des frais de conseil, des rémunérations pour prise de parole, des redevances d’hospitalité ont également été versés aux dirigeants de la North American Spine Society pour 9,5 millions de dollars et de l’Orthopedic Trauma Association pour 4,7 millions.

En France le site transparence santé gouv, de consultation très difficile, ne permet pas d’obtenir le montant précis des sommes allouées aux sociétés savantes, car leur montant est le plus souvent affublé de la mention « non renseigné ».

L’exemple de la Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), qui a porté plainte contre le professeur Raoult est démonstratif.

D’après son site cette société regrouperait 500 membres actifs dont le montant de la cotisation s’élève à 100 euros soit 50 000 euros annuels de ressources indépendantes des firmes. Elle en reçoit plus de 20 fois plus de l’industrie (Dont 800 000 euros de Gilead d’après M Wonner17 et plus 100 000 annuels de Pfizer).

L’application du proverbe « Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es » permet de supposer que cette société aurait agi contre Didier Raoult comme le bras armé de ses sponsors et en l’occurrence de Gilead fabricant du Remdesivir. Car Gilead voulait empêcher l’utilisation de tout traitement ancien et bon marché tel que la chloroquine pour imposer son poulain Remdesivir qui lui a rapporté près de 2 milliards de dollars lors du seul 3trimestre 2021, alors qu’il est fortement déconseillé par l’OMS et que son l’utilisation sans consentement éclairé fait actuellement l’objet de plusieurs plaintes pénales aux USA.18

La plupart des autres sociétés savantes françaises dont nous avons analysé le financement se sont révélées extrêmement dépendantes de l’industrie qui représente leur principale source de financement. Lorsqu’elles traitent d’un produit rentable pour leurs partenaires industriels, les recommandations thérapeutiques qu’elles émettent reproduisent trop souvent la propagande des services de communication de ceux-ci sans grand égard pour les données scientifiques réelles.

La corruption des revues scientifiques et des médias les transforme en outils de propagande

Depuis l’arrivée d’Internet, les revues médicales jadis prestigieuses ont perdu un grand nombre d’abonnés et sont également devenues extrêmement dépendantes de l’industrie pharmaceutique qui les maintient en vie par les publicités de médicaments et des numéros spéciaux qu’elle leur commande pour vanter leurs produits.

Marcia Angell, l’ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, a fait publiquement part de son écœurement19 :

« Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »

Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, a déclaré :

« Un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses. »

Dr John Ioannidis avait précédemment regretté20 :

« Quelque chose est pourri dans l’état de la recherche biomédicale. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine le savent à un certain niveau. Nous applaudissons les présentations de nos collègues lors de conférences, en espérant qu’ils nous feront preuve de la même courtoisie, mais nous savons dans notre cœur que la majorité, voire la grande majorité de nos affirmations en matière de recherche sont fausses. »

En Allemagne, la corruption des revues financées par l’industrie a été démontrée par Annette Becker, de l’université de Marburg en Allemagne, et ses collaborateurs après analyse des recommandations de prescription faites par onze revues allemandes dédiées à la Formation Médicale Continue. Les auteurs concluent que les recommandations visant à l’utilisation ou non d’un médicament dépendent de la source de financement des revues.

En France, en 2004 les firmes dépensaient en promotion 25 000 euros par an et par médecin d’après le rapport de l’IGAS. Elles consacraient plus d’un milliard d’euros par an aux visites médicales et 120 millions aux congrès.

Une étude du LEM21 estime qu’un euro supplémentaire investi dans la promotion des ventes auprès de l’ensemble des médecins libéraux d’une région pourrait rapporter un peu plus de 5,15 euros de ventes. L’effet est plus marqué pour les généralistes (1 euro supplémentaire rapportant 6,41 euros).

En outre, les laboratoires qui accordent les paiements les plus élevés (supérieurs au troisième quartile des paiements dans une région), augmentent significativement les montants de leurs ventes : +8 % des ventes grâce à la promotion auprès des salariés, +22 % grâce à celle auprès des spécialistes libéraux, par rapport à des laboratoires qui effectueraient une promotion de faible ampleur.

Pierre Frouard co-auteur d’une étude de l’Université Rennes 1 sur les prescriptions des médecins et leurs liens avec l’industrie rappelle que :

« Si ça n’était pas efficace, les firmes ne mettraient pas autant d’argent dans le lobbying ».

La formation continue des médecins, rendue obligatoire par la loi, est presque uniquement prise en charge par l’industrie pharmaceutique. Les médecins qui participent à ces sessions n’ont pas la possibilité d’entendre tous les points de vue, lors d’une formation supposée être libre de l’influence de l’industrie22. Ces formations réalisées, ou au moins sponsorisées par un laboratoire donnent droit à des points pour valider la formation continue obligatoire. Se faire acheter est devenu une obligation légale !

La corruption des agences sanitaires et des ministères menace la sécurité sanitaire de la population

L’ancien directeur de directeur de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits alimentaires en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a été exécuté le 10 juillet 2007 pour corruption. Il avait été reconnu coupable d’avoir touché 6,4 millions de yuans (620 000 euros) de pots-de-vin d’entreprises pharmaceutiques.

En 1991, Le Président de SmithKline Beecham, fabricant du vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné à Francesco de Lorenzo, ministre italien de la Santé, 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été condamné à plusieurs années de prison ferme. Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, ont été également condamnés dans des affaires similaires.

En 2011 un rapport de l’IGAS concluait :

« L’Afssaps, agence de sécurité sanitaire, se trouve à l’heure actuelle structurellement et culturellement dans une situation de conflit d’intérêt. ». 

Malgré quelques minimes efforts récents des agences pour améliorer leur transparence ou lutter contre les conflits d’intérêts, ceux-ci règnent toujours en maîtres. 

Les procédures d’AMM23 facilitent les manipulations. Dans les pays démocratiques, les débats en justice sont publics et contradictoires. « À charge et à décharge ».

À l’inverse, les jugements actuels d’AMM sont secrets (ni le dossier d’AMM ni les débats ne sont publiés) et instruits uniquement par une partie (le laboratoire) dont personne ne remet les dires en doute. Dans tous les pays démocratiques, les juges sont payés par l’état et ne doivent en aucun cas avoir de lien quelconque avec l’une de parties qui se présentent devant eux « on ne peut pas être juge et partie ».

Dans la commission d’AMM, presque aucun expert n’est indépendant des laboratoires. Beaucoup en vivent et parfois très largement. Comment s’étonner alors de la facilité avec laquelle les médicaments soumis à la commission d’AMM sont déclarés « novateurs », « avec une balance efficacité/risque très positive » dont récemment les pseudo vaccins anti-covid pourtant manifestement incapables de prévenir d’attraper et de transmettre la maladie ni d’éviter les formes graves, comme le montre l’évolution de la mortalité covid publiée par l’OMS.

L’indépendance est également exceptionnelle dans la commission de fixation des prix et dans celle fixant le taux de remboursement.

Il en est de même pour la plupart de membres chargés de la pharmacovigilance dont la société scientifique est largement sponsorisée par l’industrie. Ces conflits d’intérêts expliquent en très grande partie les « incompréhensibles » défaillances du système de pharmacovigilance relevées par l’IGAS dans le scandale du Médiator.

L’AFSSAPS, agence chargée de délivrer les autorisations de mise sur le marché (AMM) aux médicaments et l’agence européenne (l’EMA) sont financées dans leur quasi-totalité par les firmes pharmaceutiques. Ceci est dénoncé par la commission d’enquête du Sénat sur le médicament, comme par la Cour des Comptes, qui use de la litote : « le mode de financement retenu n’est pas de nature à assurer l’indépendance de l’agence ».

Bernard Bégaud constate :

« C’est compliqué de considérer de façon très neutre une molécule alors que fondamentalement le choix aura une incidence (…) pas neutre sur quelqu’un qui, quelque part est un ami »

et conclut :

« il ne devrait pas du tout être possible, quand on a travaillé dans un labo, d’aller dans une administration publique tout particulièrement dans une agence d’évaluation. »

Quand la science, certains médecins, les revues médicales, les agences sanitaires et l’OMS sont corrompus, c’est la santé de l’humanité toute entière qui est menacée.





Flambée de cancers sous pseudovax : conseils aux naïfs tentés par un nième booster

Par Dr Nicole Delépine

Si répéter est la base de l’enseignement, il est bien une technique que possèdent les gouvernants du Nouvel Ordre Mondial (et donc les nôtres), celui de ressasser encore et encore une propagande contraire aux faits avérés pour conduire les administrés à obéir et à se faire injecter ce poison inefficace et dangereux alors qu’elle est démentie par des milliers d’articles internationaux.

Il convient de répéter aux menteurs compulsifs (et grassement payés ?) des plateaux télé :

Non, le masque ne protège pas de ce virus contrairement aux dires et supplications de la ministre.1

Non, le pseudovax n’est pas un vaccin, malgré les changements de définition du Petit Robert et cette injection encore expérimentale en AMM provisoire ne protège ni des contaminations ni des formes graves sinon il n’y aurait pas plus de décès2 liés, reconnus par les agences de santé internationales, chez les vax que chez les non-vax. Les appels internationaux à stopper le désastre sont nombreux.3

REFUSEZ LE BOOSTER À CEUX QUE VOUS AIMEZ

Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, et surtout le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, dont une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.

Comme clinicienne, je veux attirer votre attention sur les flambées de cancer qui désolent les cancérologues pourtant taiseux.

En octobre dernier 2022, une étude suédoise a révélé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et encourageant peut-être la formation de cellules cancéreuses.

En mars 2021, le Dr Ryan Cole a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID.

« Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ». En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse de vos cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.

En janvier 2022 trois militaires décorés de haut rang, médecins et responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %.4

Un post d’alexandra pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid5

« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le “gentle giant” (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure dans l’aorte. Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo. En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie… Cancer pédiatrique du foie ». 6

Ces cancers foudroyants que médecins et vétérinaires n’essaient même pas de traiter, nous les appelons entre cancérologues les TURBO CANCERS. Merci d’en parler autour de vous, car il nous faut trouver un moyen pour les prendre en charge, mais aussi pour en limiter l’incidence, ce qui revient probablement à la sagesse de la déclaration du médecin en chef Dr @LeibowitzRaya : NE PLUS SE FAIRE INJECTER

Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontre. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.

Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…

Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement via la censure7.

« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ». Et suit une lettre du Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ.

Il écrit à l’appui de l’appel d’un collègue au Dr Abbasi pour que le BMJ fasse du consentement éclairé valide pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.

« Cher Kamran Abbasi,

Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes est de 81 ans et en baisse.

Le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79 % d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)

Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel — une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.

J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis.

Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire — et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire.

Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».

Angus Dalgleish Professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres.

Quant aux mécanismes ils sont débattus par les chercheurs8, mais l’urgence pour chacun d’entre nous est de résister à l’injection poison dont les effets toxiques ne sont plus à démontrer.

https://twitter.com/JosefSa39957439
La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés qui peuvent l’expliquer… Mieux que quiconque, les scientifiques qui travaillent sur l’immunologie/pathologie peuvent l’expliquer et montrer comment la hausse des cancers depuis 2021 est désormais de 9-sigma…
Le cancer est à une hausse de 9 sigma. Les chiffres sont plus que clairs à ce sujet.
Le cancer est un navire difficile à tourner, lent à se déplacer 1-sigma. C’est un virage difficile pour le cancer, ce qui signifie que quelque chose est devant nous. Et le CDC a suffisamment paniqué à ce sujet pour risquer une fraude pour le dissimuler.


L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence. De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.

« Les dépistages différés n’ont pas produit cela. Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite » selon THE Random Dude ☀ @EthicalSkeptic sur twitter9

Et si vous n’y croyez toujours pas, pensez à ce voisin dont le cancer a flambé et lisez l’article suivant 10

Par exemple on comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :

« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un “vaccin” », a déclaré le Dr Blaylock.

Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.

« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »

Il insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme. « Chez le bébé, il y a le même processus qui se produit chez les adultes, l’amorçage et l’activation et une activation microgliale à long terme — par exemple, lors de l’examen de l’autisme adulte, après 40 ans, la microglie était toujours activée. Le Dr Blaylock a averti :

« Je pense que nous allons tout voir [comme conséquence des injections de Covid]. Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.

“Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.

Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »

Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.

De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.





Le « vaccin tueur » Covid. Des gens meurent dans le monde entier. C’est une opération criminelle

[Source : Mondialisation.ca]

Par Prof Michel Chossudovsky

Nous sommes accusés de « diffuser de la désinformation » concernant le vaccin Covid-19.

Les « traqueurs » médiatiques Reuters et AP vont s’employer à dénigrer les témoignages des parents qui ont perdu leurs enfants.

« Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de retour en arrière possible. La folie prévaut. Le monde est complètement bouleversé. »

Ne nous faisons pas d’illusions, l’injection Covid n’est pas seulement « expérimental », c’est un « vaccin tueur » de Big Pharma qui modifie le génome humain. Les preuves de la mortalité et de la morbidité résultant de l’inoculation du vaccin, qu’elles soient immédiates (données officielles) ou futures (par exemple, des caillots sanguins microscopiques non détectés) sont accablantes.

Les données officielles (mortalité et morbidité) ainsi que de nombreuses études scientifiques confirment la nature du vaccin à ARNm Covid-19 qui est imposé à l’humanité entière.

Des rapports évalués par des experts confirment les causes des décès et des « événements indésirables » (blessures) liés au vaccin, notamment les caillots sanguins, les thromboses, les myocardites et les arrêts cardiaques.

L’objectif déclaré est d’imposer la vaccination mondiale de 8 milliards de personnes dans plus de 190 pays, suivie de l’imposition d’un « passeport vaccinal » numérisé. Inutile de dire qu’il s’agit d’une opération de plusieurs milliards de dollars au profit de Big Pharma. C’est un crime contre l’humanité.

Le projet mondial de vaccin intitulé COVAX est coordonné au niveau mondial par l’OMS, GAVI, CEPI, la Fondation Bill et Melinda Gates en lien avec le Forum économique mondial (WEF), le Wellcome Trust, DARPA et Big Pharma [les grandes sociétés pharmaceutiques] qui est de plus en plus dominé par le partenariat Pfizer-GSK qui avait été établi à peine quatre mois avant le début de la crise du Covid-19, début janvier 2020.

Le « vaccin » Covid-19 a favorisé, dès le début en janvier 2021, un accroissement de la mortalité à l’échelle mondiale.

https://www.youtube.com/embed/xSrc_s2Gqfw

Ce n’est pas un homicide involontaire. C’est un meurtre

Oui, c’est un vaccin meurtrier [tueur]. Ce message doit être fort et clair.

Cela se passe partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.

Crimes contre l’humanité, crimes contre nos enfants.

Moins de deux mois après le lancement du « vaccin » à ARNm de Pfizer, une grande marche funèbre a été organisée pour les enfants décédés à la suite de l’administration du vaccin à Genève en Suisse (29 janvier 2021)



Myocardite, arrêt cardiaque : « Les jeunes meurent ». Mort subite à grande échelle

La Fondation pour la recherche sur la sécurité des vaccins a récemment publié « Until Proven Otherwise » (jusqu’à preuve du contraire), un court documentaire vidéo sur les conclusions concordantes de deux éminents cardiologues.


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"v1oyvsc","div":"rumble_v1oyvsc"});

Nos enfants sont les victimes

Partagez les vidéos suivantes qui montrent ce que les parents ont déjà vécu en perdant leurs enfants.



Sofia Benharira, 16 ans, meurt suite à la vaccination Pfizer :



Mères enceintes vaccinées contre la Covid. Fausses couches. « Précieux bébés qui ne sont plus en vie »



Nos athlètes meurent

La vidéo ci-dessous présente des reportages sur les « 1 000 athlètes qui s’effondrent, meurent, ont des problèmes cardiaques ou des caillots sanguins – mars 2021 à juin 2022 ».


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"v1gocmv","div":"rumble_v1gocmv"});

La criminalité de Pfizer ne fait aucun doute

Mais saviez-vous que Pfizer a déjà un casier judiciaire auprès du ministère de la Justice des États-Unis pour « marketing frauduleux ».

Et personne n’est au courant du casier judiciaire de Pfizer parce que les médias n’en parlent pas.



Peut-on faire confiance à un conglomérat de vaccins de Big Pharma qui, en 2009, a plaidé coupable à des accusations criminelles portées par le ministère américain de la justice (DoJ), notamment de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?

En 2009, Pfizer a été mis en « probation » par le ministère américain de la Justice :

« Dans le cadre du règlement, Pfizer a également accepté de conclure un accord étendu sur l’intégrité de l’entreprise avec le Bureau de l’Inspecteur général du Département de la santé et des services sociaux. Cet accord prévoit la mise en place de procédures et d’examens pour éviter et détecter rapidement des comportements similaires à ceux qui ont donné lieu à cette affaire. »

Intégrité de l’entreprise ??? Où sont les procédures et les examens ?

Cette « conduite similaire » de Pfizer se répète en 2020-2022 à une échelle bien plus grande que celle de 2009.

Ce qui se déroule est le « marketing frauduleux » mondial d’un « vaccin tueur« , qui constitue un crime contre l’humanité.

Une bombe. Le Mea Culpa de Pfizer

Pfizer révèle dans un rapport secret (déclassifié dans le cadre de la liberté d’information) que son vaccin à ARNm est un « vaccin tueur ». Les preuves proviennent de la « bouche du cheval »

« En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés, dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.

Gardez à l’esprit qu’il s’agit des propres données de Pfizer.

Dans une ironie tordue, les données révélées dans ce « rapport d’initié » réfutent le récit officiel sur les vaccins mis en avant par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » de l’ARNm.

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer sont des preuves détaillées sur les impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « bouche du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour confronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’elle commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.

C’est aussi un Mea Culpa et une trahison de la part de gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et corrompus par Big Pharma.

Aucun nombre de tentatives a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.

On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies. » 

Michel Chossudovsky

Cliquez ici pour lire le rapport « confidentiel » de Pfizer.

Les autorités sanitaires nationales affirment que le « vaccin » contre le Covid-19 sauvera des vies. C’est un mensonge

« Si vous permettez que cela aille de l’avant [vaccin], je vous garantis qu’il y aura des décès évitables d’enfants en parfaite santé et des maladies graves dix fois plus. Et sans avantage possible. Savoir ce que je sais après 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet abus extraordinaire d’enfants innocents sous nos soins ne peut être classé d’autre sens que le meurtre » Dr. Michael Yeadon, éminent scientifique, ancien vice-président de Pfizer

« Cette campagne de vaccination sera le plus grand scandale de l’histoire de la santé, … de plus, elle sera connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » 

La députée Christine Anderson, membre du Parlement européen, juillet 2022

Ce qui est présenté ci-dessus n’est que la « pointe de l’iceberg » de ce qui se passe dans le monde entier

  • NE VOUS FAITES PAS VACCINER.
  • SOYEZ SOLIDAIRES AVEC LES PERSONNES QUI ONT ÉTÉ VACCINÉES.
  • INFORMER LES GENS À TRAVERS LE PAYS SUR LES RISQUES DE L’INJECTION POUR LA SANTÉ.
  • ADOPTEZ  UNE POSITION FERME CONTRE LE PASSEPORT VACCINAL.

La légitimité des politiciens et de leurs sponsors Big Money doit être remise en question.

Nous devons agir d’une seule et même voix au niveau national et international.

Notre première tâche est de bloquer la campagne de peur

Le programme de « vaccination » contre la COVID-19 devrait être immédiatement arrêté dans le monde entier.

Veuillez partager cet article. Les moteurs de recherche ne le reprendront pas.

Pour une analyse plus détaillée et plus complète. Voir le livre récemment publié de Michel Chossudovsky sur la crise mondiale  Covid. Cliquez ici : Téléchargement GRATUIT [Version originale en anglais]


Dans cette interview de septembre, Michel Chossudovsky décrit les développements récents concernant le vaccin à ARNm Covid-19.

Vidéo : Prof. Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux



Le vaccin est-il sans danger ?

Si vous n’êtes toujours pas convaincu des dangers du Vaxx de Big Pharma, jetez un coup d’œil à la vidéo de recherche suivante qui, selon le Dr. Gary G Kohl est :

« une vidéo incontournable, totalement fausse, basée sur la science, et alphabétisée en vaccinologie pour tous ceux qui envisagent d’obtenir un rappel (ou même une première injection) ».

Vidéo, cliquez sur le coin inférieur droit pour agrandir l’écran



Source : JRickey Productions Studio

 Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

The Covid “Killer Vaccine”. People Are Dying All Over the World. It’s A Criminal Undertaking
Prof Michel Chossudovsky, 26 novembre 2022
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Censure et répression des scientifiques et médecins hétérodoxes durant la crise sanitaire

[Source : qg.media]

Par Laurent Mucchielli

La Covid-19 a donné lieu à de nombreuses controverses. Pour contrer la menace que représentaient les médecins et les scientifiques contestant la position des autorités sanitaires gouvernementales et intergouvernementales, des partisans de l’orthodoxie ont entrepris de les censurer et de les réprimer. Les résultats montrent le rôle central joué par les organisations médiatiques, et en particulier par les entreprises de technologie de l’information. En lieu et place d’une discussion ouverte et équitable, elles ont porté atteinte à la réputation et à la carrière des médecins et des scientifiques dissidents. Et ceci a eu des implications délétères et de grande portée pour la médecine, la science et la santé publique.

Par Yaffa SHIR‑RAZ (University of Haifa, Israël), Ety ELISHA (Max Stern Yezreel Valley College, Israël), Brian MARTIN (University of Wollongong, Australie), Natti RONEL (Bar Ilan University, Israël) et Josh GUETZKOW (Hebrew University of Jerusalem, Israël).

Ce texte constitue la traduction de la plus grande partie de l’article paru dans la revue de sociologie des sciences Minerva le 1er novembre 2022 sous le titre « Censorship and Suppression of Covid‑19 Heterodoxy: Tactics and Counter‑Tactics ». Je remercie les auteurs pour leur accord. J’ai choisi de traduire cet article car, bien que ses matériaux proviennent des pays anglophones, il illustre particulièrement bien ce que nous avons vécu également en France. Tout ce qui est décrit et analysé dans cet article est directement transposable dans l’hexagone et nous serons nombreux parmi les scientifiques et les médecins à nous y reconnaître. Il s’agit de phénomènes qui ont traversé de façon largement comparable l’ensemble du monde occidental et ses zones d’influence (LM).


Par Yaffa Shir-RazEty ElishaBrian MartinNatti Ronel & Josh Guetzkow

Introduction

L’émergence du COVID-19 a donné lieu à de très nombreux différends et désaccords (Liester 2022), notamment sur l’origine du virus SRAS-CoV-2 (van Helden et al. 2021), les mesures restrictives prises par la plupart des gouvernements, telles que la « distanciation sociale », le confinement, la recherche des contacts et l’obligation de porter un masque (Biana et Joaquin 2020), l’utilisation de certains traitements de la maladie et l’exclusion d’autres (Mucchielli 2020), l’innocuité et l’efficacité des vaccins contre le COVID-19, et la mise en œuvre de « pass vaccinaux » dans de nombreux pays (Palmer 2021). Harambam (2020) a qualifié ces conflits de « guerres de la vérité sur le Corona ».

Depuis le début de la pandémie, alors que les gouvernements et les autorités sanitaires ont soutenu que les politiques restrictives de confinement étaient nécessaires pour faire face à la pandémie et prévenir les décès, de nombreux scientifiques et praticiens médicaux ont remis en question l’éthique et la moralité de telles tactiques, y compris des lauréats du prix Nobel et des médecins et universitaires de premier plan (par exemple, AIER 2020 ; Abbasi 2020 ; Bavli et al. 2020 ; Brown 2020 ; Ioannidis 2020a ; Lenzer 2020 ; Levitt 2020). En outre, à partir du début de l’année 2020, un nombre croissant de scientifiques et de médecins ont soutenu que la pandémie, ainsi que les chiffres de morbidité et de mortalité, étaient gonflés et exagérés (Ioannidis 2020 ; Brown 2020) ; que les politiques et les restrictions extrêmes violaient les droits fondamentaux (Biana et Joaquin 2020 ; Stolow et al. 2020) ; et que les gouvernements utilisaient des campagnes de peur fondées sur des hypothèses spéculatives et des modèles prédictifs peu fiables (Brown 2020 ; Dodsworth 2021). Certains universitaires, médecins et avocats ont souligné les biais, la dissimulation et les distorsions d’informations vitales concernant les taux de morbidité et de mortalité du COVID-19 qui ont induit en erreur les décideurs et le public (AAPS 2021 ; Abbasi 2020 ; AIER, 2020 ; Fuellmich 2020 ; King 2020).

Il a été affirmé qu’une grande partie de la discussion autour de la pandémie COVID-19 a été politisée (Bavli et al. 2020), et que la science et les scientifiques ont été bafoués en raison d’intérêts politiques et économiques (Bavli et al. 2020 ; King 2020 ; Mucchielli 2020). Ces critiques se sont multipliées, notamment après le lancement de la campagne de vaccination. Les critiques ont porté sur la rapidité avec laquelle les vaccins à ARNm ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA, même pour les enfants ; la qualité des essais cliniques qui ont conduit à l’autorisation des vaccins (y compris les violations des protocoles de recherche et les preuves de fraude) ; le manque de transparence concernant le processus et les données qui ont conduit à l’autorisation ; l’exagérations trompeuse des estimations d’efficacité ; et la minimisation ou l’ignorance des événements indésirables (Doshi 2020, 2021 ; Fraiman et al. 2022 ; Thacker 2021).

Des critiques ont affirmé que le discours scientifique et politique entourant le Covid-19 n’a pas été mené sur un pied d’égalité en raison de la censure et de la suppression des opinions contraires à celles soutenues par les autorités sanitaires et gouvernementales (Cáceres 2022 ; Cadegiani 2022 ; Liester, 2022 ; Mucchielli 2020).  Certains gouvernements et entreprises technologiques, tels que Facebook, Google, Twitter et LinkedIn, ont pris des mesures pour censurer les points de vue contraires, arguant que les opinions remettant en cause les politiques gouvernementales sont de la désinformation dangereuse, et que la censure est donc justifiée pour protéger la santé publique (Martin 2021).

Orthodoxie et hétérodoxie

Décrire un point de vue ou une position sur le Covid-19 comme hétérodoxe implique l’existence d’une position orthodoxe, qui fait ici référence à la position dominante soutenue par la plupart des grandes agences de santé gouvernementales et intergouvernementales. Liester (2022) fournit une liste comparant ce qu’il appelle les points de vue dominants et les points de vue dissidents, qui comprend l’origine du virus (zoonose ou produit de laboratoire ?), les obligations de se masquer (cela empêche-t-il ou pas la propagation ?), le traitement précoce avec des médicaments tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine (inefficace et dangereux ou efficace et sûr ?), l’utilité de l’usage de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine dans le traitement, l’utilité des mesures de confinement et d’autres restrictions (efficace et bénéfique ou bien inefficace et nuisible ?), les vaccins anti-Covid (sûr et efficace ou bien non sûr et dangereux ?), et les obligations et passeports vaccinaux (nécessaire et éthique ou bien nuisible et non éthique ?). S’il est vrai qu’aucune de ces positions dominantes n’a été adoptée par tous les gouvernements du monde au même degré ou dans les moindres détails, il n’en reste pas moins qu’une position dominante ou orthodoxe sur toutes ces questions peut être identifiée pays par pays, avec de fortes similitudes au-delà des frontières nationales.

Il convient de noter que les positions orthodoxes peuvent changer. Par exemple, au milieu du printemps 2020, la discussion sur les potentielles origines de laboratoire du SRAS-CoV-2 était interdite sur certains sites de médias sociaux, comme Twitter et Facebook (Jacobs 2021). Plus récemment, la théorie de la fuite en laboratoire a gagné en légitimité, notamment à la suite d’articles parus dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (Harrison et Sachs 2022), Frontiers in Virology (Ambati 2022) et Vanity Fair (Eban 2022) ainsi que d’une déclaration du directeur général de l’OMS, Ghebreyesus, qui a commenté un rapport intermédiaire du Groupe consultatif scientifique sur les origines des nouveaux agents pathogènes, en déclarant que toutes les hypothèses doivent être prises en compte et en critiquant le rapport pour son évaluation inadéquate de l’hypothèse de la fuite en laboratoire (OMS 2022). Un autre exemple concerne la nécessité du port du masque. Des responsables américains tels que le directeur du National Institute of Allergic and Infectious Diseases (NIAID), Anthony Fauci, ont recommandé de ne pas porter de masque universel en mars 2020, avant de changer de position en avril et de le recommander (Roche 2021).

Les entreprises de technologie de l’information et leurs liens avec le pouvoir politique

Depuis le début de l’année 2020, on assiste à une recrudescence des plaintes pour censure de la part d’individus et de groupes présentant des points de vue et des informations hétérodoxes liés au Covid, avec une recrudescence des plaintes en 2021 suite au déploiement des vaccins anti-Covid. De nombreux cas concernent la censure sur les médias sociaux, notamment la suppression de comptes (« déplatforming ») ou le blocage de la visibilité du contenu d’un utilisateur sans l’en informer (« shadow banning ») (Martin 2021).

Même si des plaintes concernant la censure et la discréditation de scientifiques avaient existé avant la pandémie (Elisha et al. 2021, 2022 ; Martin 2015), une caractéristique de l’ère Covid est le rôle prépondérant joué par les entreprises de technologie de l’information telles que Facebook et Google (Martin 2021). Un exemple frappant a été le déclassement du site Web de la Déclaration de Great Barrington par Google (Myers 2020).  La Déclaration, menée par trois épidémiologistes des universités de Harvard, Stanford et Oxford, a été publiée en octobre 2020 (Kulldorff et al. 2020) et signée par de nombreux scientifiques et médecins de renom, dont le lauréat du prix Nobel Michael Levitt. La Déclaration plaidait contre les confinements pour appeler en retour à se concentrer sur la protection des groupes réellement vulnérables. Toutefois, pour réduire sa visibilité, Google a modifié son algorithme de recherche (Myers 2020). En février 2021, Facebook a supprimé une page mise en place par un groupe de scientifiques impliqués dans la déclaration (Rankovic 2021). En avril 2021, YouTube a supprimé l’enregistrement d’une audience publique officielle sur la pandémie à laquelle participaient le gouverneur de Floride Ron DeSantis et les auteurs de la déclaration de Great Barrington.  L’un d’eux, le professeur Kulldorff, qui est l’un des épidémiologistes et experts en maladies infectieuses les plus cités au monde, a lui-même été censuré par Twitter en mars 2021 (Sarkissian 2021). Bien que son tweet affirmant que tout le monde n’a pas besoin d’un vaccin anti-Covid n’ait pas été retiré, il a été averti et les utilisateurs n’ont pas pu approuver ou retweeter le message (Tucker 2021).

Les cas similaires sont nombreux. Par exemple, le site de recherche et de réseautage ResearchGate a supprimé l’article du physicien Denis Rancourt sur les masques (Rancourt 2020) et, en 2021, il l’a complètement banni (Jones 2021).  En juillet 2021, LinkedIn a suspendu le compte du Dr Robert Malone, un virologue et immunologiste de renommée internationale, une action répétée par Twitter en décembre 2021 (Pandolfo 2021). Ce ne sont là que quelques-uns des nombreux exemples de censure liés à Covid.

Une autre caractéristique nouvelle de la censure liée à Covid est ses cibles. Bon nombre des médecins et des chercheurs censurés par les plus grandes entreprises technologiques mondiales ne sont pas des personnalités marginales. Comme dans les exemples ci-dessus, il s’agit de scientifiques classiques, dont beaucoup sont des experts de premier plan travaillant dans des universités et/ou des hôpitaux prestigieux, et dont certains ont écrit des livres et publié des dizaines, voire des centaines d’articles, et dont les études ont été largement citées. Certains d’entre eux sont rédacteurs de revues scientifiques/médicales et d’autres sont à la tête de services médicaux ou de cliniques.

Cette lourde censure s’est faite avec l’encouragement des gouvernements (Bose 2021 ; O’Neill 2021), qui ont coopéré avec des entreprises technologiques telles que Facebook, Twitter et Google. Par exemple, le 7 mars 2022, le chirurgien général américain Vivek Murthy a demandé aux entreprises technologiques de signaler au gouvernement fédéral les « fausses informations sur la santé » et d’intensifier leurs efforts pour les supprimer (Pavlich 2022). Par la suite, des courriels publiés dans le cadre de procédures judiciaires ont documenté la manière dont les responsables gouvernementaux ont directement coordonné avec des entreprises technologiques comme Twitter et Facebook pour censurer des médecins, des scientifiques et des journalistes (Lungariello et Chamberlain 2022 ; Ramaswamy et Rubenfeld 2022). En décembre 2021, un courriel datant de l’automne 2020 a été publié via une demande de la loi sur la liberté d’information (FOIA). Il révélait un effort en coulisses de Francis Collins, alors directeur des National Institutes of Health (NIH), à son collègue Anthony Fauci, directeur du NIAID, pour discréditer la déclaration de Great Barrington et dénigrer ses auteurs.  Dans ce courriel, M. Collins a déclaré à M. Fauci que « cette proposition des trois épidémiologistes marginaux (…) semble faire l’objet d’une grande attention », ajoutant qu’« il faut publier un démantèlement rapide et dévastateur de ses prémisses. Je ne vois rien de tel en ligne pour l’instant – est-ce en cours ? » (Wall Street Journal 2021).

Des pratiques de censure ont également été utilisées par le ministère israélien de la santé (IMOH) et les médias contre les médecins et les chercheurs dont les opinions vont à l’encontre de l’orthodoxie institutionnelle. L’un de ces exemples est celui du Conseil public israélien d’urgence pour la crise du Covid. Cette organisation, composée de médecins et de scientifiques de premier plan, a été prise pour cible par l’IMOH et les médias à de nombreuses reprises, y compris sous forme d’attaques individuelles contre des membres de l’organisation (Reisfeld 2021).

Le retour de la censure

Cette censure et cette exclusion des opinions des experts dissidents se constatent dans de nombreux autres domaines controversés de la science et de la médecine, comme le sida, les études environnementales, la fluoration et la vaccination (Delborne 2016 ; Elisha et al. 2021, 2022 ; Kuehn 2004 ; Martin 1991, 1999 ; Vernon 2017). En fait, la censure a une longue histoire, et son but est de supprimer la liberté de parole, les publications et d’autres formes d’expression d’idées et de positions perçues comme une menace pour des organismes puissants tels que les gouvernements et les grandes entreprises.

La censure d’opinions et de points de vue opposés ou alternatifs peut être préjudiciable au public (Elisha et al. 2022), en particulier lors de situations de crise et d’incertitude telles que les épidémies, car elle peut conduire à ignorer des points de vue, des informations et des preuves scientifiques importants. En outre, le déni ou la réduction au silence des opinions contraires peut susciter la méfiance du public (Gesser-Edelsburg et ShirRaz 2016 ; Wynne 2001). Des études ont indiqué que dans des situations de risque, en particulier de risque impliquant une incertitude, le public préfère une transparence totale de l’information, y compris des points de vue différents, et que le fait de la fournir ne soulève pas de réactions négatives en termes de comportement, mais contribue plutôt à réduire les sentiments négatifs et à accroître le respect du public pour l’agence d’évaluation des risques (De Vocht et al. 2014 ; Lofstedt 2006 ; Slovic 1994). Comme le prévient Wynne (2001), les tentatives de la science institutionnelle d’exagérer son contrôle intellectuel et d’utiliser les connaissances pour justifier les engagements politiques, tout en ignorant ses limites, ne font qu’aliéner le public et accroître la méfiance.

En outre, la censure peut être contre-productive, se retourner contre elle, car elle peut conduire à accorder une plus grande attention à l’information censurée, susciter de la sympathie pour ceux qui sont censurés et promouvoir la méfiance du public envers les acteurs et les agences engagés dans la censure (Jansen et Martin 2003, 2004, 2015). Ce phénomène est particulièrement évident à l’ère d’internet. Si les entreprises de technologies de l’information telles que Google et Facebook jouent un rôle de premier plan dans cette censure (Martin 2021), il s’agit pour elles d’un sérieux défi à relever pour y parvenir complètement. La visibilité des voix discordantes dans les médias et dans les résultats de recherche sur Internet peut être réduite, mais il existe trop d’options de communication alternatives pour empêcher les dissidents de communiquer leurs positions (Cialdini 2016). Par conséquent, les tentatives de faire taire et de censurer les critiques peuvent parfois se retourner contre leurs auteurs.

Compte tenu de l’ampleur de la censure signalée pendant l’ère du Covid-19, ainsi que de l’implication importante des entreprises technologiques, d’une part, et des gouvernements, d’autre part, il est important d’étudier ce phénomène. La présente étude a pour but d’explorer les perceptions subjectives de médecins et de scientifiques reconnus et compétents qui ont été victimes de censure et/ou de suppression après avoir exprimé des positions non orthodoxes concernant la gestion de la pandémie, et la façon dont ils ont réagi. Par le biais d’entretiens, nous examinons les tactiques de censure utilisées par l’establishment médical et les médias (grand public et sociaux), ainsi que les contre-tactiques employées par leurs cibles. Il s’agit donc d’une étude qualitative (Aspers 2004), qui vise à identifier les perceptions internes du point de vue de ceux qui ont vécu le phénomène en question.

Participants

Les participants à l’étude sont 13 médecins et scientifiques reconnus (12 hommes et 1 femme), originaires de différents pays du monde (Australie, Canada, République tchèque, Allemagne, Israël, Royaume-Uni et États-Unis). Parmi eux, 11 ont une formation médicale dans divers domaines (par exemple, épidémiologie, radiologie, oncologie, cardiologie, pédiatrie, gynécologie, gestion des urgences) et deux sont des chercheurs scientifiques d’autres disciplines (gestion des risques et psychologie). Tous les participants sont titulaires d’un diplôme de médecine ou d’un doctorat, et quatre sont titulaires des deux. La plupart d’entre eux sont bien connus dans leur domaine, avec une expérience de recherche avérée qui comprend de nombreuses publications universitaires.

Nous avons utilisé une méthode d’échantillonnage volontaire, c’est-à-dire un échantillonnage non probabiliste selon lequel une sélection délibérée est effectuée parmi les personnes susceptibles de nous apprendre quelque chose sur le phénomène étudié (Creswell 2012). Afin de préserver l’anonymat des répondants, les détails qui pourraient conduire à leur identification sont omis.

Outil et procédure de recherche

L’étude est basée sur des entretiens approfondis utilisant un guide d’entretien semi-directif. Les questions portaient sur la position des répondants à l’égard du Covid, les événements qu’ils ont vécus en raison de leur position, les implications de ces événements sur leur vie professionnelle et personnelle, et leurs réponses à ces événements.

Le recrutement s’est fait de plusieurs manières. Tout d’abord, grâce à une recherche sur Google, nous avons trouvé les coordonnées de médecins et de chercheurs connus pour leurs positions critiques à l’égard des mesures et des politiques de lutte contre la pandémie. Ensuite, nous avons utilisé la méthode de la « boule de neige » pour atteindre d’autres répondants. Le premier contact avec les répondants s’est fait par e-mail, dans lequel nous avons expliqué l’objectif de l’étude et demandé leur consentement pour être interviewés de manière anonyme. Les entretiens ont été menés par Skype, Zoom ou téléphone, et ont duré environ une heure et demie en moyenne. Chaque personne interrogée a été invitée à signer un formulaire de consentement éclairé. Les entretiens ont été enregistrés et transcrits.

L’analyse et le codage des données ont été basés sur l’identification des questions clés qui ont émergé des entretiens, tout en les classant et en les regroupant dans des catégories significatives. Nous avons assuré la fiabilité et la validité de l’étude en appliquant différentes méthodes. L’analyse des données a été discutée par chacun d’entre nous en tant que groupe de pairs experts, et différentes sources de données ont servi à trianguler les données (par exemple, les documents et la correspondance qui nous ont été fournis par les personnes interrogées). Les citations dans le texte sont fournies à titre d’illustration (Creswell 2012).

Réduire au silence la dissidence : tactiques de censure et d’invisibilisation

Les tactiques de censure et de discréditation décrites par nos répondants comprennent l’exclusion, l’étiquetage désobligeant, les commentaires hostiles et les déclarations menaçantes par les médias, tant grand public que sociaux ; le licenciement par les employeurs des répondants ; les enquêtes officielles ; la révocation des licences médicales ; les poursuites judiciaires ; et la rétractation des articles scientifiques après publication.

Exclusion

Les personnes interrogées ont rapporté comment, à un stade très précoce de l’épidémie, alors qu’elles commençaient tout juste à exprimer des critiques ou leur position différente, elles ont été surprises de découvrir que les grands médias, qui les avaient jusqu’alors considérées comme des personnes souhaitables à interviewer, ont cessé de les interviewer et d’accepter leurs articles d’opinion.

« Ni X ni Y [deux journaux centraux dans le pays de la personne interrogée] n’ont voulu publier mes articles.  Sans véritable explication.  Ils ont simplement cessé de recevoir des articles. C’était assez flagrant, ils ont cessé d’accepter des articles exprimant une opinion différente de celle du ministère de la santé (MOH). Le nombre de journalistes à qui l’on peut vraiment parler, qui sont prêts à écouter une autre opinion, à publier, a été fortement réduit, et la plupart des journalistes de santé d’aujourd’hui sont très partiaux envers le MOH » (#10).

Dénigrement

Les personnes interrogées ont indiqué que l’exclusion n’était que la première étape. Peu de temps après, elles ont commencé à faire l’objet de diffamation de la part des médias, et à être dénigrées en tant qu’« anti-vax », « négateurs du Covid », « diffuseurs de dis/mésinformation » et/ou « théoriciens du complot » :

« Après la publication de ce rapport (…), j’étais à la Une du Sunday Times. On disait que X [le nom du répondant], professeur à A [l’institution dans laquelle travaille ce répondant], est co-auteur du rapport anti-vax (…). On me disait que j’étais anti-vaccin » (#9). « J’ai été vilipendé (…), on m’a traité de charlatan, d’anti-vax et de négationniste du Covid, de théoricien de la conspiration » (#13).

Recruter des « tierces parties » pour aider à la discréditation

Selon nos répondants, l’une des principales tactiques utilisées par les médias pour les discréditer consiste à faire appel à des « sources tierces » apparemment indépendantes, telles que d’autres médecins, pour les affaiblir, par exemple en écrivant des articles diffamatoires :

« J’ai été choqué par ce qui est sorti le lendemain dans le Wall Street Journal (…). Nous avions donc trois des médecins les plus expérimentés avec des centaines et des centaines de publications et une crédibilité scientifique à notre actif et un grand média a permis à un jeune médecin de publier un article diffamatoire alors qu’il n’avait aucun statut académique ou antécédent » (#6).

Une autre source « tierce partie » utilisée par les médias, selon nos répondants, était les organisations de « vérification des faits » (fact-checking), une pratique qui vise ostensiblement à vérifier les informations publiées afin de promouvoir la véracité des reportages. Cependant, certains répondants ont allégué que ces groupes de « vérificateurs des faits » étaient recrutés et gérés par des entreprises ou d’autres parties prenantes afin de les discréditer et d’essayer de discréditer les informations qu’ils présentent :

« les vérificateurs de faits sont une source de désinformation, donc bien qu’ils puissent examiner quelque chose et dire ‘le Dr X a dit quelque chose’, ils font une contre-attaque. Les contre-affirmations ne sont jamais citées dans les données (…) elles remontent toutes aux fabricants de vaccins ou aux parties prenantes des vaccins » (#6). « Les vérificateurs de faits (…) ont essayé de discréditer S, mais aussi, parce que j’étais co-auteur, ils s’en sont pris à moi » (#4).

Certains répondants ont déclaré que les médias les ont persécutés au point de noircir leur nom sur leur lieu de travail, ce qui a entraîné leur licenciement, ou qu’ils ont été contraints de démissionner :

« J’ai perdu mon emploi, je travaillais depuis 20 ans à X [nom de l’institution]. Et donc, les médias ont commencé à venir à X, il y a eu un effort concerté pour ruiner ma réputation, même si, c’est incroyable, ils avaient le taux de mortalité le plus bas du monde en gros, et le médecin qui leur a apporté ça, est vilipendé et calomnié. Donc, je suis parti de mon propre chef… Ma réputation a été calomniée. Je veux témoigner sur le niveau de traitement auquel je ne m’attendais pas et ces abus » (#1).

Censure en ligne

Certains répondants ont déclaré avoir été censurés sur les réseaux de médias sociaux (par exemple, Facebook, Twitter, TikTok, YouTube, Google, LinkedIn), et ont dit que certains de leurs posts, tweets, vidéos ou même comptes ont été retirés par les réseaux.

« Mes vidéos YouTube étaient retirées. Facebook m’a mis en prison, « Facebook Jail ». Et je me suis rendu compte que j’étais dé-plateformé partout » (#1). « J’ai toujours eu des vidéos, juste mon matériel d’enseignement que je mettais sur YouTube, mais j’ai aussi commencé à mettre du matériel autour de ça, juste pour parler de certaines recherches, regarder les données sur l’efficacité des vaccins (…) et YouTube a commencé à les retirer.  Et donc maintenant je ne peux pas poster, je ne peux même pas mentionner les vaccins, parce qu’en quelques secondes, dès que j’essaie de télécharger la vidéo, YouTube dit que cette vidéo va à l’encontre de nos directives » (#3). « J’ai été banni de TikTok. D’un seul coup, j’ai été banni de façon permanente parce que j’ai vraisemblablement commis une violation de la communauté » (#2). « J’en suis à mon sixième compte twitter. Le dernier a été fermé soi-disant pour un tweet sur le laboratoire de X [le nom du laboratoire], mais il était à venir. J’ai hérissé trop de poils (#2).

Comme on peut le voir dans les exemples ci-dessus, les répondants ont indiqué que le retrait de leurs documents des réseaux sociaux s’accompagnait d’un avis affirmant qu’ils avaient violé les « règles de la communauté ». Ils ont insisté sur le fait qu’il s’agissait de documents universitaires, étayés scientifiquement :

« J’ai appris qu’une vidéo universitaire sur YouTube que j’avais réalisée au sujet de l’article publié dans la revue XXX avait été retirée par YouTube, et j’ai reçu un avis indiquant qu’elle avait enfreint les conditions de la communauté YouTube, sans jamais avoir reçu de conditions d’utilisation de YouTube qui expliqueraient quels types de conditions s’appliqueraient à une vidéo scientifique de quatre diapositives PowerPoint » (#6).

L’une des personnes interrogées a fait état d’une censure même dans Google Docs, ce qui signifie que même les communications privées sont censurées :

« Google Docs a commencé à restreindre et à censurer ma capacité à partager des documents. Ce n’est pas Twitter qui me jette comme il l’a fait. C’est une organisation qui me dit que je ne peux pas envoyer une communication privée à un collègue, à un ami ou à un membre de ma famille » (#1).

Censure et répression par l’establishment médical et universitaire

Certaines des personnes interrogées ont déclaré avoir été victimes de diffamation de la part de leur propre institution, avec l’intention apparente de nuire à leur réputation et à leur carrière. Par exemple :

« dans [mon pays], nous avons environ 55 000 médecins. Mon nom est apparu sur le site officiel du ministère de la Santé, prétendant que je suis la seule personne, le seul médecin, qui propage de la désinformation » (#12). « Il y a eu un effort concerté pour ruiner ma réputation même si, c’est incroyable, ils [l’hôpital où je travaille] avaient le taux de mortalité le plus bas du monde » (#1).

Certains participants ont également déclaré avoir reçu un message clair de la part de l’institution où ils travaillaient, selon lequel ils n’étaient pas autorisés à s’identifier à l’institution lorsqu’ils donnaient une interview ou un témoignage ou qu’ils exprimaient leurs opinions – dans certains cas, il s’agissait d’une condition de renouvellement de leur contrat.

« J’ai donné le témoignage de X (un certain traitement), et c’est en quelque sorte devenu viral. Et l’hôpital n’était pas content parce que mon affiliation était apparue. Ils m’ont proposé un nouveau contrat. Ils ont dit ‘nous avons de nouvelles conditions pour vous’, parce que mon ancien contrat n’était pas restreint. Le nouveau contrat comportait sept ou huit restrictions de mes droits au premier amendement, en gros je ne pouvais pas parler à la presse, je ne pouvais pas parler en public, sauf si je disais que ce sont mes opinions et non celles de mon employeur. C’était une conversation relativement courte. J’ai dit que cela n’arriverait jamais, que je ne signerais jamais cette chose, et nous nous sommes dit au revoir » (#9).

Dans certains cas, les répondants ont rapporté qu’à la suite d’une position ou d’une critique qu’ils ont exprimée, ils ont été renvoyés de leur établissement, ou ont été informés que leur contrat ne serait pas renouvelé.

« On m’a dit que mon contrat [à la clinique médicale] n’allait pas être renouvelé. Il y a toute une série de listes de contrôle pour que le contrat ne soit pas renouvelé, il doit y avoir une procédure régulière, et la première alerte est qu’il n’y a pas eu de procédure régulière. J’ai demandé précisément s’il y avait eu un vote du conseil d’administration et la réponse a été non, et j’ai demandé pourquoi cette action a été prise, et leur réponse a été ‘aucune raison’. [Plus tard] j’ai reçu une lettre de l’Université [X] disant que j’avais été privé de mon poste de professeur, sans procédure régulière, sans sénat de la faculté, rien. Ensuite, j’ai reçu une lettre de l’Université [Y], encore une fois sans procédure régulière, sans réunion de la faculté, sans explication » (#6).

De même, les répondants ont dit avoir été sommairement congédiés ou disqualifiés de postes prestigieux, comme la participation à des comités scientifiques ou de santé de premier plan, ou la rédaction de revues médicales, sans procédure régulière ni transparence :

« Le directeur général du ministère de [X] m’a approché et m’a dit que le ministre avait conclu un accord avec le ministère de la Santé, qu’il mettait un représentant au comité du panel [de médicaments sur ordonnance], et elle a dit que tous m’avaient pointé du doigt. Puis, après une semaine, elle m’a téléphoné et m’a dit : « Écoutez, votre nom a déjà été transmis au comité du panel de médicaments à la demande du ministre, et il a été disqualifié sans équivoque parce que vous vous opposez aux vaccinations [COVID] chez les enfants ». J’ai été choqué. Jusqu’alors, les réponses que je recevais venaient d’en bas. Voici une réponse du haut de l’échelle » (n° 11). « Il y a eu toute une série de mesures prises, encore une fois sans procédure régulière et sans explication. J’ai reçu un avis de [l’association médicale] m’informant que j’étais démis d’un poste au sein d’un comité. J’ai reçu une lettre d’une revue dont j’étais le rédacteur en chef, qui m’a retiré la rédaction, encore une fois sans procédure régulière, sans appels téléphoniques, sans explication traçable. J’ai reçu une lettre des National Institutes of Health me privant d’un poste au sein d’un comité de longue date, dont je faisais partie depuis plusieurs décennies et dont on m’a retiré le poste, là encore sans appel téléphonique, sans procédure régulière, sans explication » (n° 6).

Dans un cas, le répondant avait appris que l’équivalent dans son pays des Centers for Disease Control (CDC) était intervenu et avait demandé à l’université d’« examiner son cas » :

« le président de mon université m’a invité à parler de la crise. Lors de cette réunion, j’ai été informé que [l’autorité sanitaire équivalente au CDC dans le pays des personnes interrogées] avait écrit une lettre au président, lui demandant d’examiner mon cas parce que, selon la lettre ministérielle, je rendais publiques des choses méthodologiquement discutables. Selon le président, l’université n’a jamais reçu de demandes similaires auparavant » (#12).

Certaines des personnes interrogées ont déclaré que l’établissement de santé n’avait pas seulement terni leur réputation et pris de graves mesures à leur encontre, mais qu’il avait également coopéré avec les médias et veillé à diffuser l’information sur ces mesures par leur intermédiaire :

« Vous savez, le communiqué de presse est sorti, je suis un médecin éminent aux États-Unis, donc, en fait, je crois que le système de santé a rédigé un communiqué de presse disant qu’ils me poursuivaient en justice, et donc le sujet a été abordé [pendant l’interview avec la presse], « donc vous êtes poursuivi en justice, et quelle est votre réaction ? » » (#6).

Enquêtes officielles

Certains médecins ont fait état d’enquêtes officielles lancées à leur encontre, telles que des enquêtes ou des menaces de retrait de leur licence médicale :

« ma licence a fait l’objet d’une enquête. À ce moment-là, j’avais l’impression que la commission médicale était militarisée. Ma licence a fini par faire l’objet d’une enquête. Trois fois maintenant, et à chaque fois sans aucune sanction ou réprimande ou quoi que ce soit. Mais cela montre simplement qu’il est très facile de se faire censurer ou annuler » (#2). « Suite à un post que j’ai écrit sur les événements indésirables, j’ai reçu une lettre du comité de X [nom du comité]. Ils m’ont prétendument demandé les coordonnées de ces patients (les patients dont l’interviewé a signalé les effets indésirables dans son billet), mais s’il s’agissait d’un véritable souhait de leur part, ce n’est pas ce comité, qui s’occupe en fait de Y [la définition des activités du comité] qui m’aurait demandé les coordonnées, mais un véritable fonctionnaire du ministère de la Santé. Je leur ai répondu par l’intermédiaire de A [mon avocat], une réponse plus juridique et moins médicale. Il s’agit essentiellement d’un comité sans pouvoir. Je ne pense même pas avoir le droit de leur transmettre les noms des patients » (#2).

L’un des répondants rapporte qu’un procès d’un million de dollars a été intenté contre lui :

« Et puis ma femme m’appelle et me dit que le système de santé nous poursuit pour plus d’un million de dollars, alors je viens de réunir des équipes d’avocats et de les envoyer au tribunal. L’accusation est que je viole les termes de mon accord de séparation, spécifiquement que le système de santé est impliqué dans mes présentations médiatiques, et je n’ai jamais fait aucune déclaration [de ce genre] » (#6).

Un autre répondant fait état d’une perquisition policière effectuée dans sa clinique privée, à son domicile :

« Le [conseil médical] s’est présenté à l’improviste un jour sans mandat pour fouiller ma maison, qui était répertoriée dans leurs dossiers comme étant mon bureau, afin de procéder à une inspection du bureau médical, ce qui ne nécessite pas de mandat [dans mon pays] » (#7).

Rétractation d’articles scientifiques

Certains chercheurs et médecins ont raconté comment leurs recherches avaient été rétractées par la revue après leur publication :

« Cinq jours avant la réunion pédiatrique de la FDA sur la vaccination, [la maison d’édition] retire l’article de la National Library of Medicine et dit qu’elle le rétracte. L’explication, qu’ils nous donnent quelques jours plus tard, c’est qu’ils pensent qu’ils n’ont pas invité l’article pour commencer. Et je peux vous dire, en tant qu’éditeur, que l’article a été clairement accueilli, et qu’il est passé par le processus standard d’examen par les pairs. Le seul motif pour retirer légalement un article de la National Library of Medicine est s’il est scientifiquement invalide, et ce n’était pas le cas » (#6). « Alors je l’ai soumis à X [nom de la revue] et bien, c’était un rejet de bureau. En fait, de mon point de vue, il n’y avait pas d’arguments solides. Je ne sais pas pourquoi il a été rejeté, et puis je l’ai soumis à plusieurs autres canaux, et finalement j’ai arrêté d’essayer de le publier dans la littérature scientifique. Il a été publié en tant que pré-print » (#8).

Un autre thème qui est apparu à plusieurs reprises au cours des entretiens est que les recherches critiques ont été traitées d’une manière que les personnes interrogées n’avaient jamais rencontrée auparavant dans leur carrière. Ainsi, des articles ont été rejetés par des revues (souvent à plusieurs reprises) sans examen par les pairs, le processus d’examen et de publication d’une revue a pris plusieurs mois de plus que la normale pour la revue, et même des articles ont été rejetés par des serveurs de préimpression tels que MedRXiv :

« Au début de la pandémie, nous obtenions beaucoup de publications. Cela ne remettait pas du tout en cause le récit orthodoxe. Et puis nous avons fait cette analyse sur [X] et quand cela s’est produit, oh mon Dieu, ils ont pété les plombs, nous avons été attaqués. Ce travail n’a jamais été publié. (…) Et c’est à ce moment-là que nos travaux ont commencé à être rejetés par arXiv et medRxiv… le seul endroit où nous pouvions faire publier ces travaux était sur ResearchGate » (#4).

Dans un cas, une personne interrogée a déclaré qu’elle se sentait tellement menacée par l’establishment médical qu’elle s’abstenait de mettre son nom sur les articles qu’elle avait cosignés avec d’autres chercheurs, et que ceux dont les noms apparaissent sur les articles essayaient de se cacher ou de rester sous le radar jusqu’à ce que l’article soit publié :

« Nous avons un article qui est prêt à être publié dans [une revue importante], et le groupe qui l’a publié se cache depuis un an. Maintenant, je ne peux pas être sur l’article, vous savez » (#5).

Contre-réaction : se défendre

Les personnes interrogées ont indiqué que leur première réaction aux attaques et à la censure a été le choc et la surprise. Pour la première fois de leur vie, elles se sont senties exclues de la communauté scientifique/médicale, attaquées par les médias et parfois par leurs employeurs, et/ou dénigrées comme des « théoriciens du complot » qui mettent en danger la santé publique. Pourtant, malgré la censure, les attaques personnelles et la diffamation, les licenciements, l’atteinte à la réputation et le prix économique, toutes les personnes interrogées ont néanmoins déclaré que rien de tout cela ne les dissuadait et qu’elles avaient décidé de se battre, en utilisant diverses contre-tactiques.

Premières réactions : Choc et surprise

« J’étais sans voix. Cela ne m’arrive pas à moi. Je n’imaginais pas. Toutes ces attaques étaient terriblement menaçantes pour moi. Il m’a fallu un mois pour me remettre de la compréhension que c’est le pays dans lequel nous vivons. J’étais en état de choc. J’étais surprise. Je pense que mon rythme cardiaque était de 200 par minute » (#11). « En tant que personne qui a fait partie intégrante du système [de santé] et qui connaît personnellement les détenteurs de rôles – le fossé que je ressens est très profond » (#1).

Les personnes interrogées ont déclaré qu’elles avaient le sentiment que les menaces, les licenciements et les attaques dont elles faisaient l’objet étaient en fait une tentative de les faire taire, simplement parce que leurs opinions ne correspondaient pas à celles dictées par les autorités :

« tout a été fait au départ pour supprimer ma voix, parce que j’étais le seul à crier » (#1).

Certains répondants ont ajouté qu’ils avaient l’impression que la censure et les attaques sans précédent qu’ils ont subies étaient particulièrement vicieuses parce que ceux qui les faisaient savaient qu’ils étaient appréciés et influents :

« ils essayaient en fait de me faire taire dans les médias. Il semble à première vue que ce procès était essentiellement une tentative de me censurer. Je suis un collaborateur fréquent de Fox News, je viens de témoigner au Sénat américain, mes conseils sont appréciés dans le monde entier, et je pense que c’était une tentative de clocher pour me censurer » (#6).

Déterminés à se battre

Nos répondants ont déclaré que la censure et la suppression qu’ils ont subies leur ont donné envie de se battre et de faire entendre leur voix davantage, au nom de la liberté d’expression et de leur souci de la santé publique.

« C’est une question intéressante de savoir ce que j’ai l’impression de payer. Parce que je pense qu’il y a des [coûts]. Le fait est que j’ai failli partir. Pourquoi suis-je resté ? Parce que je me suis rendu compte qu’il y avait un prix que je n’étais pas prêt à payer – qu’ils allaient me faire taire » (#11). « Pour moi, la question la plus importante est : pourquoi est-ce que je (continue) à faire cela ? Parce que si je ne vis pas en accord avec mes valeurs et la liberté d’expression, alors je ne vivrai pas » (n° 9).

Certains d’entre eux ont même fait remarquer que les attaques contre leur réputation les rendaient encore plus déterminés et désireux d’exposer les informations qui étaient censurées.

« En fait, cela me rend plus déterminé. Je suis un peu comme un pitbull. Alors, nous allons continuer à faire passer le message » (#2).

Certaines des personnes interrogées ont déclaré avoir décidé de prendre des mesures officielles ou juridiques contre les organisations qui les ont censurées :

« Je vais porter plainte pour rupture de contrat, puisque nous avions un contrat de publication et qu’ils l’ont signé et accepté. Ils vont être poursuivis pour interférence délictuelle car ils ont effectivement interféré avec l’activité de publication d’informations scientifiques valides. J’imagine que cela va être très préjudiciable et très médiatisé pour [l’éditeur] » (#6). « J’ai déposé une demande de liberté d’information auprès de toutes les entités qui m’ont dépouillé de divers titres et postes afin de commencer à découvrir ce qui stimule tout cela » (n° 2).

Les contre-réactions des personnes interrogées ont été exprimées de plusieurs manières : le désir de divulguer l’acte de censure et les informations censurées, qui, selon elles, sont fondées sur des preuves ; l’utilisation de canaux alternatifs afin de diffuser publiquement leurs positions et leurs points de vue sur le Covid ; la création de réseaux de soutien avec des collègues ; et le développement de systèmes alternatifs d’information médicale et sanitaire. En d’autres termes, ils ont créé une sorte de monde parallèle à l’establishment traditionnel.

Exposer la censure

Certaines personnes interrogées ont souligné qu’elles voulaient dénoncer la loi de censure elle-même. Par exemple :

« J’ai pris contact avec quelques personnes puissantes, et elles m’ont orienté vers le Media Resource Centre à Washington, qui est une organisation à but non lucratif pour lutter contre la censure. Je leur ai raconté ce qui s’était passé. Et ils ont déjà rédigé un article à ce sujet. Cet article est en train d’être publié sur différents sites. J’ai fait une interview sur One American News Network. Je l’ai en quelque sorte fait connaître au monde entier » (#1).

Utilisation de canaux alternatifs

Les répondants ont indiqué que, lorsqu’ils ont compris qu’ils étaient censurés par les grands médias, ils ont décidé d’utiliser des canaux alternatifs, tels que les plateformes de médias sociaux, pour diffuser leur position et des informations contraires et exprimer leurs opinions en public : « Heureusement, je me suis constitué un petit nombre de followers sur Twitter… 34 000 ou quelque chose comme ça, alors vous pouvez faire passer le message » (#4).

Certaines des personnes interrogées ont déclaré que pour se protéger, elles ont été contraintes d’ouvrir des comptes télégrammes « secrets » ou des comptes Twitter anonymes. Bien qu’ils expriment leur frustration, ils continuent à le faire afin de diffuser des informations. Par exemple, un participant a fait remarquer qu’il est absurde que les scientifiques doivent tenir des comptes télégrammes secrets pour que le gouvernement ne leur retire pas leur licence ou ne porte pas atteinte à leur réputation (#5).

Création de réseaux de soutien social

Certaines personnes interrogées ont révélé qu’elles avaient créé des réseaux de soutien composés de collègues scientifiques, de médecins, d’avocats et de politiciens ayant des vues et des opinions similaires. Ces réseaux ont été utilisés non seulement pour échanger des informations, mais aussi pour recevoir le soutien et l’empathie d’« étrangers » comme eux, pour se faire de nouveaux amis et créer une nouvelle communauté :

« c’est vraiment agréable de se faire un réseau entier et croissant d’amis dans la vie, qui connaissent aussi ces vérités. J’ai l’impression de créer une nouvelle communauté avec de nouveaux amis à qui je peux parler, qui comprennent le monde, qui comprennent la corruption et qui peuvent vraiment s’y retrouver dans tout ça. Donc, en même temps que je me suis réveillé avec une toute nouvelle collection de collègues et d’amis, mais beaucoup d’entre nous sont en dehors de la science » (#9). « Et puis quelques collègues se sont joints à nous. Et tout d’un coup, j’avais des poids lourds, des leaders universitaires qui défendaient mon travail » (#1).

Développer des systèmes alternatifs d’information médicale et sanitaire

Au-delà de leurs activités de diffusion d’informations et de données, certaines des personnes interrogées ont indiqué qu’elles travaillaient à l’établissement de nouvelles plates-formes et organisations alternatives dédiées au développement et à la fourniture d’informations sur la santé et les traitements médicaux – y compris de nouvelles revues et organisations à but non lucratif, au lieu de celles qui existent déjà et qui, selon elles, ont échoué et déçu. Elles l’expliquent comme un moyen de faire face à la censure et à la suppression qu’ils ont subies en raison de leurs positions opposées, ce qui leur donne un sentiment d’espoir et l’impression de construire « un nouveau monde » :

« J’ai une nouvelle chose dans la vie. N et moi, nous avons créé l’organisation X, dont la seule mission est d’essayer de comprendre et d’aider les gens à traiter le Covid. Et je pense que nous avons rendu un vrai service au monde » (#9). « On parle de plus en plus de lancer un journal. Tess Lawrie a créé le Conseil mondial de la santé. On parle de plus en plus de créer un nouveau système de santé. Par exemple, les gens veulent aller dans des hôpitaux où les médecins peuvent être des médecins et pas l’autre rôle de toutes ces réglementations et agences corrompues, alors vous savez, il y a peut-être un nouveau monde qui va se former » (#4).

Discussion

Nos résultats font écho aux arguments avancés dans des études antérieures sur la suppression de la dissidence dans des domaines controversés tels que la vaccination (Elisha et al. 2021, 2022 ; Cernic 2018 ; DeLong 2012 ; Gatto et al. 2013 ; Martin 2015 ; Vernon 2017), le sida, les études environnementales et la fluoration (par exemple, Delborne 2016 ; Kuehn 2004 ; Martin 1981, 1991, 1999). À l’instar de ces études, les résultats de notre recherche indiquent une implication significative des médias et de l’establishment médical dans la censure et la suppression des dissidents. Cependant, il existe trois différences principales.

Premièrement, lorsqu’il s’agit de connaissances liées au Covid, les tactiques de censure utilisées contre les dissidents sont extrêmes et sans précédent dans leur intensité et leur étendue, les journaux scientifiques et les institutions académiques et médicales prenant une part active et impliquée dans la censure des voix critiques. En fait, comme l’indique l’un de nos répondants, même les serveurs de préimpression et les sites de réseaux sociaux universitaires censurent les articles scientifiques qui ne s’alignent pas sur le discours dominant, et cela semble être une tendance croissante. Un exemple récent est un rapport d’étude de Verkerk et al. (2022), qui a analysé une enquête sur plus de 300 000 personnes dans 175 pays qui avaient choisi de ne pas recevoir les vaccins Covid-19, qui a été retiré de ResearchGate.net après 9 jours, citant une violation de leurs termes et conditions (Conseil mondial de la santé 2022).  En outre, ce que nos répondants décrivent va bien au-delà de la censure, et comprend un large éventail de méthodes de suppression visant à détruire leur réputation et leur carrière, uniquement parce qu’ils ont osé adopter une position différente de celle dictée par l’establishment médical.

Deuxièmement, si les études précédentes ont également fait état de cas isolés où des chercheurs et des médecins aux CV irréprochables, voire au statut d’universitaire ou de médecin de haut rang, ont été censurés s’ils osaient exprimer des opinions dissidentes, la présente étude montre que dans le cas du Covid, la censure de médecins et de chercheurs de cette stature est devenue un phénomène régulier. Les participants à notre étude, ainsi que ceux mentionnés dans l’introduction et beaucoup d’autres non inclus dans notre échantillon, ne sont pas des scientifiques marginaux. La plupart d’entre eux sont des figures de proue : des chercheurs et des médecins qui, avant l’ère Covid-19, avaient un statut respectable, avec de nombreuses publications dans la littérature scientifique, certains d’entre eux ayant des livres et des centaines de publications, certains dirigeant des départements universitaires ou médicaux, certains étant rédacteurs en chef de revues médicales, et certains ayant remporté des prix importants. Néanmoins, comme le montrent nos résultats, ils n’ont pas été protégés de la censure, ni de la campagne de suppression et de diffamation lancée contre eux. Le message est que personne n’est à l’abri de la censure et qu’aucun statut universitaire ou médical, aussi élevé soit-il, ne constitue un bouclier garanti contre elle.

La troisième différence importante relevée dans notre étude est le rôle significatif joué par les organisations médiatiques pendant la pandémie de Covid, et en particulier par les sociétés d’information technologique, dans la censure des positions contraires. D’un point de vue pratique, ceux qui détiennent le pouvoir ont une plus grande capacité et de plus grandes possibilités de contrôler la connaissance et la diffusion de l’information, et par là, de fixer et de contrôler l’agenda. Bien que nos résultats ne montrent pas la direction de la relation entre ces détenteurs d’intérêts, ils peuvent indiquer des collaborations entre l’establishment médical et ces sociétés.

Des documents récemment publiés dans le cadre d’affaires judiciaires indiquent qu’au moins une partie de cette censure est orchestrée par des représentants du gouvernement (Lungariello et Chamberlain 2022 ; Ramaswamy et Rubenfeld 2022). Nos résultats pointent aussi indirectement vers d’autres parties prenantes impliquées dans le phénomène de censure évident dans la crise actuelle, notamment les entreprises pharmaceutiques. Bien que notre étude se soit penchée sur les perceptions subjectives des personnes visées par la censure plutôt que sur l’implication des parties prenantes et d’autres parties intéressées, les rapports de nos répondants font écho aux conclusions d’autres études, menées avant l’ère Covid-19 (Ravelli 2015) et plus récemment (Mucchielli 2020), qui indiquent l’implication importante des sociétés pharmaceutiques et informatiques dans la réduction au silence des informations et des études qui peuvent leur être défavorables. Étant donné le rôle central de ces entreprises aux côtés des décideurs des autorités sanitaires et des gouvernements dans le monde, il est très préoccupant de constater que des intérêts substantiels, notamment financiers et politiques, ainsi que des intérêts liés à la réputation et à la carrière, peuvent se cacher derrière les efforts de suppression.  L’intérêt des sociétés pharmaceutiques à contrôler le discours sur le Covid-19 est évident. Par exemple, comme l’ont indiqué certains de nos participants, l’une des principales controverses non résolues concernant Covid-19 est liée au traitement précoce avec des médicaments réadaptés, et il a été affirmé que des mesures très inhabituelles ont été prises pour empêcher les médecins de les utiliser (Physicians’ Declaration 2021). Comme le note Cáceres (2022), cette prétendue fin injustifiée de ce débat initial peut avoir eu d’énormes conséquences économiques (par exemple, le feu vert donné aux vaccins et aux nouveaux médicaments dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en urgence), financières (par exemple, des gains énormes pour les plus grandes entreprises) et politiques (par exemple, des restrictions mondiales des libertés individuelles).

Les sociétés d’information technologique ont également tout intérêt à contrôler le discours concernant la pandémie de Covid-19.  Par exemple, en juin 2021, il a été révélé que Google, qui a été accusé de faire taire la théorie de la fuite du virus SRAS-CoV-2 de l’Institut de virologie de Wuhan, a financé des recherches sur le virus menées par un scientifique lié à Wuhan, Peter Daszak, par le biais de sa branche caritative, Google.org, pendant plus de dix ans. Google a également investi un million de dollars dans une entreprise qui fait appel à des épidémiologistes et à des analyses de données massives pour prévoir et suivre les épidémies.

Le British Medical Journal a révélé que le processus de « vérification des faits » de Facebook et YouTube repose sur des partenariats avec des vérificateurs de faits tiers, réunis sous l’égide de l’International Fact-Checking Network (Clarke 2021). Cette organisation est dirigée par le Poynter Institute for Media Studies, une école de journalisme à but non lucratif dont les principaux soutiens financiers sont Google et Facebook.

En ce qui concerne les intérêts personnels des décideurs politiques, un groupe de surveillance du gouvernement américain a exigé des données clés sur l’histoire financière et professionnelle du Dr Anthony Fauci, affirmant que « Pendant la pandémie, le Dr Fauci a largement profité de son emploi fédéral, de ses redevances, de ses avantages de voyage et de ses gains d’investissement », alors que son salaire pendant ces deux années n’a pas été rendu public, ni les actions et obligations qu’il a pu acheter et vendre en 2020 ou 2021, alors qu’il influençait les politiques du Covid, ni ce qu’il a reçu – ou pas – en redevances. Comme indiqué plus haut, une demande de FOIA aux États-Unis a révélé que Francis Collins, alors à la tête du NIH, avait demandé à Fauci de discréditer la Déclaration de Great Barrington et de dénigrer ses auteurs (Wilson 2021).  Roussel et Raoult (2020) ont trouvé des conflits d’intérêts similaires parmi les médecins français qui ont pris publiquement position contre l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

La censure sape la confiance du public dans les autorités, surtout si les informations cachées et révélées par la suite auraient pu coûter des vies humaines, comme lors des pandémies qui mettent en jeu des maladies, des traitements et des vaccins (Gesser-Edelsburg et ShirRaz 2018). En outre, la censure et la manipulation de l’information sont incompatibles avec l’essence de la science, puisque la recherche scientifique exige un discours et un débat vigoureux. En effet, les chercheurs ont averti qu’au lieu d’être débattues, les controverses sur le Covid sont utilisées pour alimenter la polarisation, ce qui conduit souvent à la diabolisation et à la censure des perspectives alternatives et à l’imposition des points de vue dominants comme s’ils étaient la vérité absolue (Cáceres 2022 ; Marcon et Caulfield 2021).

Cáceres (2022) a affirmé que le fait que le débat ait été réduit au silence et que les positions alternatives aient été censurées constitue en fait un détournement de la « science normale » (Kuhn 1962), qui suppose que différentes explications et réponses aux faits d’intérêt scientifique émergent normalement et ont la possibilité d’être résolues dans le cadre d’un débat scientifique conventionnel. Selon Cáceres, un tel détournement de la praxis scientifique « normale » suggère que des influences « non scientifiques » sont à l’œuvre. Ce détournement est particulièrement préoccupant lorsque les voix réduites au silence sont celles d’un nombre croissant de scientifiques et de médecins éminents et renommés.  La volonté de censurer et de rejeter les opinions dissidentes en les qualifiant de « désinformation » présente des similitudes étroites avec le « travail sur les limites » de la science, qui consiste à maintenir le pouvoir et l’autorité de la science en délimitant certains domaines de recherche scientifique comme étant hors limites et en les discréditant comme étant essentiellement non scientifiques (Gieryn 1999 ; voir également Harambam 2014). Créer un faux consensus en censurant l’information et en empêchant les débats scientifiques peut conduire les scientifiques, et donc aussi les décideurs politiques, à se couler dans le paradigme dominant, les amenant à ignorer d’autres options plus efficaces pour faire face à la crise ou peut-être même la prévenir.  Un tel « consensus » conduit à une vision étroite du monde, qui nuit à la capacité du public à prendre des décisions éclairées et érode la confiance du public dans la science médicale et la santé publique (Cernic 2018 ; Delborne 2016 ; Martin 2014, 2015 ; Vernon 2017).

Des chercheurs ont déjà averti que la crise de COVID-19 confirme les préoccupations antérieures concernant les implications délétères de la censure (Cáceres 2022 ; Mucchielli 2020). Nous sommes d’accord avec l’affirmation de Cáceres selon laquelle la censure et le dogme sont étrangers à la vraie science et doivent être abandonnés et remplacés par une discussion ouverte et équitable.

Consulter ici la bibliographie de cet article