L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




Le loup-garou expliqué aux innocents

Par Jean Michel Grau

Ou comment révolter les Gaulois réfractaires en décodant le discours élyséen.

Il était une fois un apprenti président aux dents longues qui voulait changer le monde.

Comme il n’avait aucune idée pour le faire — il était énarque — il s’adressa au gros poulpe de Davos qui avait mis au point avec ses amis les requins de la finance mondialiste, une grande réinitialisation du capitalisme pour permettre à ceux-ci, réunis au sein de son Forum de Davos, de s’enrichir encore plus sur le dos des bons peuples. À l’occasion de la dernière réunion du Forum de janvier 2021, l’apprenti président expliqua donc à son maître le gros poulpe en visioconférence depuis l’Élysée(1) comment il allait s’y prendre pour faire advenir « le monde d’après » du gros poulpe à son petit peuple confiné, infantilisé, muselé, puis sous couvre-feu par le Covid 19, depuis un an déjà.

Dans un discours-fleuve de banalités, platitudes et autres idées aussi convenues que soporifiques, il s’enflamma soudain sur le « new normal », concept nébuleux qui devait faire advenir « le monde d’après », prélude à un univers radieux et enchanteur. Oui, le « new normal » allait bouleverser toute la planète, en était-il persuadé.

Seulement voilà, comment y arriver ? Le cauchemar sanitaire que les français endurent depuis un an, l’apprenti président affirma qu’il allait durer encore des mois, « certains disent même des années » ajouta-t-il avec gourmandise. Il assuma ainsi avoir « arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies ». Vraiment ? Pour un virus mortel à 0,05 % : étonnant, n’est-il pas ?… Continuons.

Il affirma ensuite que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres. Certes… sauf qu’en paralysant des pans entiers de l’économie française : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme, c’est encore bien plus de vies humaines que d’activités menacées de disparition pure et simple : la brusque augmentation des suicides par désespoir dans ces catégories sociales n’en est que la preuve la plus sinistre à mettre à son actif.

Ensuite, il confia que « ce virus nous rappelait notre vulnérabilité. » Il ajouta cyniquement qu’il en avait fait les frais en l’attrapant, comme si son petit cas personnel était comparable à celui de tous les désespérés mentionnés ci-dessus. Et il conclut que « l’économie est une science morale, car rien n’est au-dessus de la valeur humaine… » Que n’a-t-il appliqué ce beau précepte au lieu de s’acharner à détruire depuis des années, avant même d’être président, les fleurons de l’industrie française : Alstom, Alcatel, Technip, Latécoère et d’encourager toujours plus d’importations, de délocalisations et de destruction des services publics ? Où sont donc passées « la science morale » et « la valeur humaine » dans tous ces emplois détruits et toutes ces vies brisées ?

Ensuite, il affirma qu’« on ne sortira pas de la crise du Covid 19 tant que l’on n’aura pas résolu la lutte contre les inégalités. » Les gilets jaunes apprécieront, eux qui ont été systématiquement réprimés et sauvagement massacrés depuis 3 ans, au lieu d’être simplement écoutés…

L’apprenti président reconnut alors que si « le capitalisme mondial a permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes d’un côté de la planète », il a en revanche « créé de l’inégalité en favorisant des crises de délocalisation à l’autre bout. ». Il ajouta : « cela a aussi été un choc économique et social pour des centaines de millions d’autres dans le monde. » Peut-on pour autant parler de « formidable succès » comme il le claironna au gros poulpe derrière son pupitre ? Étrangement, il dénonça ensuite « la financiarisation de l’économie qui a accentué encore la progression des inégalités », alors qu’il la trouve formidable, car elle permet d’avancer plus vite.

Un chef-d’œuvre de « et en même temps » dans le texte. Comprenne qui pourra…

Il s’indigna ensuite que « la mondialisation et la financiarisation de l’économie avaient accru la crise des inégalités, la crise de la démocratie et la crise climatique. » Très bien tout ça… sauf qu’il en conclut que « le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ne peut plus fonctionner, car il est le fruit d’un compromis entre des sociétés démocratiques, des libertés individuelles et le progrès des classes moyennes. » Autrement dit : rien que des empêcheurs de tourner en rond et de faire des affaires… Et il ajouta qu’on a cru que les États pourraient répondre aux inégalités pour corriger ce qu’il appelle pudiquement « des externalités négatives », comprendre : les excès de la financiarisation, « en donnant la part belle aux actionnaires au détriment de l’économie réelle, à savoir l’économie des États. » Il reconnaissait enfin que « l’État ne pouvait apporter tout seul la réponse aux problèmes climatiques et aux inégalités, entraînant une dette publique trop importante et le contribuable à payer pour toutes ces crises. » Quelle clairvoyance ! Que proposait-il alors ?

Tout en affirmant à la 10e minute de l’entretien qu’il convenait de « conserver la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives, il ajouta qu’il fallait prendre en compte les inégalités sociales et les conséquences climatiques pour que les parties prenantes des entreprises : employés, dirigeants, actionnaires, intègrent dans leur comportement l’impact de leur action économique, sociale, environnementale et démocratique. » On se frotte alors les yeux et les oreilles : a-t-on bien entendu ? Formidable, non ? Pas si vite, ne nous emballons pas !

Car la fin de l’entretien part alors en vrille sur un grand délire de notre président en herbe sur

« l’innovation et l’intelligence artificielle qui permettra en matière de gestion de l’épidémie du Covid de régler en un jour des problèmes qui prennent des semaines, de régler des problèmes de diagnostic en quelques secondes, une capacité de « comodiciter » (sic) certaines industries… »

Maintenant, nous prions tout un chacun de boucler sa ceinture avant le décollage sur les impacts de l’innovation. Ainsi sur un air martial, notre petit guide de l’Élysée de déclamer haut et fort :

1) « On va continuer à innover et accélérer. »

2) « Il y aura des impacts en matière d’ajustements sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. »

C’est dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant que dans le monde que je viens d’évoquer. » Traduction : tous ceux qui croyaient encore naïvement à la 10e minute de l’entretien « qu’il faut prendre en compte les inégalités sociales » en seront pour leurs frais à la 23e. C’est d’autant plus vrai que toutes les professions impactées par la dictature sanitaire : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme ne rouvriront JAMAIS. C’est écrit noir sur blanc dans le livre du gros poulpe(2) : Covid 19, la grande réinitialisation, dont notre apprenti président est le plus servile et zélé exécutant.

3) « Tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. »

Voilà qui a le mérite d’être clair… mais parfaitement incohérent avec ce qu’il affirmait 13 minutes auparavant, à savoir « qu’il convient de conserver les libertés individuelles et collectives. »

Et pour mieux faire comprendre « les accélérateurs de problèmes » que sont les innovations « sur le plan social et démocratique », il ajouta avec une franchise désarmante : « L’expérience américaine ces dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique si besoin était. » Traduction : les machines à voter Dominion posent un problème démocratique, vu la fraude massive qu’elles ont engendrée, mais il faut l’assumer. Tout cela a un nom : cela s’appelle du foutage de gueule.

4) La seule bonne nouvelle pour notre jeune oracle est que « les nouvelles technologies de l’innovation vont permettre de répondre beaucoup plus vite aux défis climatiques. »

Et maintenant, résumons :

  • Privation des libertés de tous les Français avec l’instauration d’une dictature sanitaire sine die ;
  • Effondrement massif de pans entiers de l’économie française plongeant dans le chômage, la misère et le suicide pour certains, des millions de nos compatriotes ;
  • Disparition définitive de tout ce qui fait l’exception culturelle française : son cinéma, son spectacle vivant (concerts, opéra, théâtre), sa gastronomie, son industrie touristique avec 75 % des restaurants, comme prévu par le gros poulpe dans son bréviaire 2.0.

Tout ce cauchemar pour répondre aux défis climatiques grâce aux nouvelles technologies de l’innovation ???? On est censé être en direct de l’Élysée ou bien de la secte du Temple Solaire ????

Alors que la dictature sanitaire de la Grande Réinitialisation est déjà enclenchée depuis un an, l’apprenti sorcier président a l’outrecuidance de terminer par ces mots :

« Les innovations vont nous permettre de créer de la valeur et de répondre aux défis économiques. Mais elles vont poser des problèmes auxquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales. »

Autrement dit : Les innovations vont nous mener au bord du gouffre, c’est pourquoi je vous propose de faire un grand pas en avant.

Et le gros poulpe de Davos de conclure enthousiaste :

« Il y a des dirigeants qui ont une idée très claire de ce qu’ils veulent faire de cet avenir que l’on veut construire… pour le bien de tout le monde. »

Et notre apprenti sorcier président de parachever dans un grand élan lyrique :

« N’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie… bonne, avec les vertus qui vont avec, et la volonté de respecter l’autre. »

Les millions de Français confinés et reconfinés depuis un an, sous couvre-feu et muselés avec leurs enfants pour sortir de chez eux, applaudiront frénétiquement, c’est sûr…

Voilà. Pour tous ceux qui n’auraient toujours pas compris, après cette visioconférence entre Davos et l’Élysée, que cette dictature sanitaire nous mène droit à l’esclavage et ne s’arrêtera que le jour où l’on aura arrêté cette bande de criminels mondialistes, on ne peut que leur prodiguer ce conseil avisé du grand dramaturge irlandais quand il ne restera plus personne pour protester :

RÉSISTANCE MAINTENANT OU JAMAIS !

Notes

(1) https://youtu.be/mGHt1N0MYGA

(2) Klaus Schwab, Covid 19 : la grande réinitialisation, Forum Publishing




Les dix commandements de Jupiter aux Playmobil

Par Jean-Michel Grau

1- Un seul dieu à l’Assemblée tu honoreras et c’est moi

2- Tous les autres tu blasphémeras au nom de la liberté d’expression

3- La collection entière de toutes mes lois liberticides tu voteras sans te poser de questions

4- Tu rejetteras tous les amendements des complotistes qui se mettent en travers de ma route

5- Tu ne tueras pas, du moins pas avec tes mains, mais à coups de 49.3

6- Tu ne violeras pas, sauf la constitution quand je te le demanderai

7- Tu battras des mains en chœur en te levant pour soutenir tous les décrets du gouvernement

8- Tu ramperas jusqu’à moi, prêt à toutes les compromissions pour garder ton siège

9- Tu te soucieras des plus faibles comme de l’an 40 et aideras ceux qui s’enrichissent sur leur dos

10- Te regarder dans la glace tu éviteras si tu ne veux pas avoir la gerbe de ce que j’aurai fait de toi

PCNC (Pour copie non conforme) : Dieu et Philippe Geluck




Nous sommes les 99 % : libérons-nous lundi 1er Février !

Par Jean-Michel Grau

Quand la terreur devient une loi, la désobéissance civile devient un devoir.

Le 1er février doit devenir la première grande journée de désobéissance citoyenne, premier acte de la résistance de tous les français aux mondialistes qui veulent nous soumettre en esclavage pour mettre en œuvre leur plan monstrueux de grande réinitialisation du capitalisme mondial.

Le 1er février, mettons un coup d’arrêt définitif à la vie de cauchemar de cette dictature sanitaire(1) dans laquelle la finance mondialiste, via les diktats de l’Union Européenne, veut nous enfermer :

  • Une vie où chacun d’entre nous est parqué chez soi arbitrairement de 18 h à 6 h pour un couvre-feu que seule une guerre peut justifier ;
  • Une vie où l’on ne peut plus se réunir à plus de 6 personnes, y compris chez soi ;
  • Une vie où l’on n’a plus aucune vie sociale, où l’on est isolé, claquemuré comme du bétail ;
  • Une vie où l’on n’a même plus le droit à la moindre détente, car les restaurants, les bars, les cinémas, les théâtres, les salles de concert, les discothèques et les salles de sport ont tous fermé ;
  • Une vie où l’on ne peut plus faire aucun projet de vacances, car tous les établissements hôteliers et touristiques ont fermé et que l’on est tous à la merci d’un nouveau confinement ;
  • Une vie paranoïaque où toute opposition est bannie et qualifiée de complotiste ;
  • Une vie où l’on interdit de se soigner avec les traitements qui on fait leurs preuves contre le Covid, car ceux-ci sont désormais interdits ;
  • Une vie où des conseils d’experts gouvernementaux autoproclamés décident de notre avenir et de celui de nos enfants sans nous consulter ;
  • Une vie où ces mêmes « experts » décident qui va à l’école, qui n’y va pas, qui travaille, qui ne travaille pas, qui sort, qui ne sort pas, sur des bases totalement arbitraires et non scientifiques ;
  • Une vie où l’on doit s’autoriser à sortir uniquement pour des « raisons essentielles » en période de confinement avec un « ausweis » dûment rempli sous peine d’amende sévère ;
  • Une vie où l’on ne peut sortir de chez soi qu’avec une muselière imposée dès l’âge de 6 ans, et où même les bébés sont privés du sourire de leurs assistantes maternelles à la crèche ;
  • Une vie où il est programmé de tous nous piquer comme des poulets génétiquement modifiés pour mieux nous tracer et nous enfermer dans une peur permanente de la contamination ;
  • Une vie où l’obligation d’un passeport vaccinal va créer des Alpha + et des Beta -;
  • Une vie à deux vitesses où seuls ceux qui auront pris le risque de servir de cobayes aux labos pharmaceutiques pourront circuler et voyager librement ;
  • Une vie où toute vie festive aura disparu et où la majorité d’entre nous n’aura plus d’emploi, car jugés « non essentiels » pour la « nouvelle société » que les mondialistes nous préparent ;
  • Une vie où les seuls signes de reconnaissance qui nous restent sont les gestes-barrière ;
  • Une vie avec au bout la grande pauvreté et la mort sociale quand ce n’est pas la mort tout court ;
  • Une vie si cruelle que même les nazis les plus fanatiques n’auraient jamais osé l’imaginer.

Tout ça pour un virus dont la létalité est de 0,05 % ?

Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

« Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne » (Le chant des partisans)

La France n’a pas aboli l’esclavage pendant la révolution de 1848 pour nous soumettre en 2021 à la volonté des tyrans mondialistes du Forum de Davos parce qu’une oligarchie corrompue de la finance, des GAFAM et des médias a décidé que nous allions dorénavant vivre à genoux.

La France n’a pas écrit la Déclaration des droits de l’homme en 1789 pour laisser en 2021 les 1 % les plus riches de la planète ruiner toute notre économie pour sauver leur néo-libéralisme casino avec une pandémie entretenue H24 par la peur médiatique en nous confinant ad vitam aeternam.

  • Nous refusons le monde cauchemardesque de leur dictature sanitaire !
  • Nous refusons leurs muselières, marques de notre soumission à leur projet mortifère !
  • Nous refusons leurs gestes barrières pour créer la distanciation jusqu’à la mort sociale !
  • Nous refusons la ruine programmée de notre pays pour nous faire basculer dans la pauvreté !
  • Nous refusons leurs tests truqués pour alimenter la peur généralisée !
  • Nous refusons leurs piqûres géniques pour modifier notre ADN comme des poulets OGM !
  • Nous refusons leur enfer transhumaniste et leur Great Reset [Grande Réinitialisation] populicide !

Personne ne leur a donné aucun mandat pour réaliser un pareil massacre à grande échelle ! Démasquons dès maintenant la supercherie de leur agenda mortifère !

Cessons d’être dupes de leurs mensonges et de leurs manipulations virales ! Rejetons massivement leur idéologie toxique nourrie chez Hitler et Staline ! Résistons tous ensemble à leur asservissement programmé !

Tant que nous ne nous révolterons pas, les restaurants, les bars, les cafés, les discothèques, les cinémas, les théâtres, les salles de spectacle ne rouvriront jamais ! C’est prévu de longue date et écrit noir sur blanc dans le livre de Klaus Schwab le dirigeant fondateur du Forum de Davos, grand architecte du Great Reset capitaliste.(2)

« Ces règles gouvernementales sont absurdes, il faut commencer à désobéir. Les Français doivent faire comprendre à ce gouvernement qu’on ne peut pas gouverner indéfiniment contre son peuple.

Notre constitution reconnaît le droit de résister à l’oppression quand elle devient une loi. »

Jean-Frédéric Poisson (3)

« On ne peut enfermer des peuples comme cela pendant un an, ça n’a jamais existé dans l’histoire de l’humanité. A un moment, la cocotte-minute explose et tout le monde se réveille. L’esprit gaulois réfractaire qui déplaît tant à Macron va se réveiller, la France est le pays des révolutions. »

Florian Philippot (4)

« Le confinement n’est pas une baguette magique. Il faut arrêter de penser que les gens vont vivre indéfiniment enfermés, ça n’est pas une issue possible. »

Professeur Raoult (5)

Lundi 1er février :

  • Libérons-nous des muselières !
  • Boycottons ce confinement moyenâgeux !
  • Boycottons ce couvre-feu de la France de Vichy !
  • Vivons libres en 2021 et non enfermés comme en 41 !
  • Ouvrons massivement nos restaurants, bars et cafés, comme à Monaco !
  • Ouvrons à nouveau les cinémas, les théâtres et les salles de spectacles !
  • Faisons la fête dans les discothèques, dansons et embrassons-nous !

Jamais nous ne nous soumettrons !

Car nous sommes le peuple français.

Le peuple des Droits de l’Homme.

Le peuple de la Révolution.

Nous sommes les 99 %.

RESISTANCE !


Notes

(1) Une dictature reconnue même par notre chef de l’État à Saclay le 21 janvier 2021 : reseauinternational.net/macron-annonce-que-nous-vivons-bien-sous-une-dictature/

(2) Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing

(3) Jean-Frédéric Poisson appelle à la désobéissance civile face aux restrictions sanitaires – Sputnik France (sputniknews.com)

(4) Troisième confinement: «La France est le pays des révolutions» et «on est à la limite», lance Philippot – Sputnik France (sputniknews.com)

(5) Pr Raoult: «Il faut arrêter de penser que les gens vont vivre indéfiniment enfermés» – entretien exclusif – Sputnik France (sputniknews.com)




Le grand silence de la mort politique française

Par Jean-Michel Grau

Au moment où tous les rouages de la grande prise d’otage de masse du Covid planifiée par le psychopathe mondialiste Klaus Schwab et les oligarques de la finance, des grandes entreprises et des médias du Forum de Davos apparaissent au grand jour, en revanche, les élus politiques censés faire fonctionner les garde-fous des démocraties sont aux abonnés absents.

Ceci est particulièrement vrai en France où plus personne, ni à l’assemblée, ni au Sénat, ni au Conseil d’État, ni même au Conseil Constitutionnel, ne vient s’offusquer de toutes les mesures liberticides enfilées les unes après les autres pour mieux verrouiller et cadenasser la parole publique et avec elle, les français, via toutes les injonctions de l’Union européenne répétées en boucle pour anéantir les peuples : confinements, couvre-feux, ausweis, port obligatoire de muselières, sabordage de l’hôpital, des écoles et des universités, fermeture programmée des restaurants, bars, cafés, discothèques, salles de sport, cinémas, théâtres, musées, salles de concert, petits commerces, PMI-PME ainsi que toutes les activités des indépendants jugées non essentielles, avec au bout :
la mort sociale, avec des millions de chômeurs et de SDF à la clé.
Ainsi, après le premier confinement, 1 million de gens ont basculé dans la pauvreté.

C’est un gigantesque suicide collectif qui se profile à l’horizon.

Un suicide d’autant plus grave qu’il n’a rien de virtuel pour certains, avec tous les suicides de plus en plus nombreux d’étudiants, de commerçants, d’agriculteurs et d’indépendants de toutes professions ne pouvant plus faire face à leurs dettes, que l’on rapporte un peu plus chaque jour.

Dans une démocratie digne de ce nom, n’importe quelle personne censée pourrait à bon droit se dire qu’elle peut se tourner vers les politiques, autrement dit, ses élus, pour lui venir en aide, afin d’enrayer au plus vite les décisions aussi aberrantes que criminelles de cette société devenue complètement folle et prête à ruiner toute l’économie pour éradiquer un virus à la létalité de 0,05 %.

« Le fait de détruire méthodiquement le pays pour une maladie avec un taux de mortalité aussi faible relève du pétage de plombs. Un troisième confinement serait une très mauvaise décision, car le pays est déjà exsangue. Il a reçu des coups extrêmement durs sur le plan économique, social et psychologique, mais aussi sur le plan des libertés publiques » explique le philosophe Jean-Loup Bonnamy. « Je redoute l’apparition d’une génération sacrifiée, avec des conséquences extrêmement lourdes pour les plus jeunes. Un pays ne peut sacrifier sa jeunesse. » conclut-il. (1)

Oui, mais voilà : entend-on les voix des politiques qui devraient être les premiers à s’offusquer de ces mesures de plus en plus délirantes et les dénoncer : tests tous azimuts (alors que même l’OMS reconnaît aujourd’hui que le protocole du Dr Drosten qui les a mis au point est bidon), confinements moyenâgeux, couvre-feux d’états de guerre, établissement de zones de contagion du rouge au rouge foncé dans toute l’Europe pour développer et entretenir la peur, seule garante de maintenir en place cette gigantesque supercherie pour faire advenir le Great Reset [= la Grande Réinitialisation] de la société occidentale ? Tout cela, parce que quelques gourous illuminés, comme Schwab ou Attali l’ont décrété pour refaire le monde à leur image, du fond de leur fauteuil du forum de Davos, tout comme notre Jupiter de salle de bains du fond de sa baignoire ?

« La liberté d’exploiter l’humain pour en tirer des profits gargantuesques incompatibles avec le bien commun et la survie des générations futures n’est pas une liberté. C’est une folie. » conclut Nicolas Teterel dans son livre : « Les esclaves de l’anthropocène » (2) Quels politiques ont-ils aujourd’hui pris la mesure de cette folie en train d’auto-détruire toute la société occidentale ?

Où sont-ils les politiques pour dénoncer ce plan populicide monstrueux ?

Ohé ! Ohé !! Ohé !!! Y’a quelqu’un ?? Y’A QUELQU’UN ???

À l’Assemblée ? Au Sénat ? Au Conseil d’État ? Au Conseil constitutionnel ? Y’A QUELQU’UN ??

  • À l’Assemblée : que dire de tous ces Playmobil en Marche, « pourvus d’un moteur électrique incorporé qui leur permet de battre des mains, de se lever et de tourner la tête en même temps vers l’Élysée, et même de ramper » (3), prêts à voter sans broncher toutes les lois liberticides, mais par contre, à refuser de voter l’allongement de congé de deuil pour un enfant ?
  • Au Sénat, où sont donc passés les brillants orateurs de la Commission d’enquête de l’affaire Benalla ? Disparus dans la nature, tout comme les barbouzes interrogés ?
  • Au Conseil d’État, où l’on valide sans discuter toutes les décisions liberticides du gouvernement ?
  • Au Conseil constitutionnel, où l’on valide sans sourciller, la loi prorogeant jusqu’en juin 2021 l’État d’urgence sanitaire en vigueur depuis déjà 3 mois ? Depuis quand un état d’urgence peut-il se pérenniser ? Ou comment donner les pleins pouvoirs à un chef d’État qui n’attendait que cela…

2020 serait-il donc un remake de 1940 ? Nos députés se sont-ils finalement couchés comme leurs aînés devant la dictature ? Sommes-nous aujourd’hui dans le même cas de figure que le 10 juillet 40 où l’écrasante majorité de 569 députés sur 649 a voté les pleins pouvoirs au Maréchal ? Sommes-nous autorisés à penser que le slogan de la campagne électorale de Macron « La France en marche » n’était finalement qu’un copié/collé de la France de Pétain ? Tout le laisse à penser.

Quant à l’opposition de 2021, où est-elle ? De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon, y a-t-il encore une voix pour protester ? Ont-ils bien tous pris la bonne mesure de la gravité de la situation ?

Si même eux ne protestent pas, que restera-t-il au peuple français pour protester à part la loi de la rue, où le pire est à craindre comme on commence à le voir avec les émeutes des Pays-Bas ?

Car si l’on ne fait rien, et qu’on attend bien sagement qu’on nous soumette tous en esclavage comme prévu dans la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, on ne peut que s’attendre à ce que son scénario s’écrive en lettres de sang et de larmes, comme celui que dénonçait en 1946 le Pasteur allemand Niemöller :

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.

Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus me chercher,

il ne restait plus personne pour protester. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021 au moment où ces lignes sont écrites, on ne compte plus que deux politiques qui font entendre leur voix. Oui, deux ! Florian Philippot (4) et Martine Wonner (5) qui ne ménagent pas leurs forces pour lever les foules. Grâce leur soit rendue pour leur courage !

C’est pourquoi, avant de voir basculer le pays dans un chaos irrémédiable, tous les politiques français feraient bien de méditer cette réflexion de l’ancien président des États-Unis :

« Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. »

John Fitzgerald Kennedy, mars 1962

Nous sommes les 99 %. RÉSISTANCE !

Notes

(1) Renaud Girard et Jean-Loup Bonnamy, Quand la psychose fait dérailler le monde, Gallimard

(2) Nicolas Téterel, Les esclaves de l’anthropocène, éditions Yves Michel

(3) legrandsoir.info/les-playmobil-en-marche.html

(4) https://www.youtube.com/channel/UClaa_CwoQEmSo9Mb_M1f91g/videos

(5) youtube.com/watch?v=0Qlfu9VHKLo




De l’Union Européenne à l’Union de l’Enfermement

Par Jean-Michel Grau

À Coralie Delaume (1976-2020)

Après avoir décrit le rôle joué par Klaus Schwab, grand architecte du Great Reset [la grande réinitialisation] avec le Covid 19 construit et planifié de toutes pièces au sein du forum de Davos dans lequel barbotte ce grand crocodile mondialiste, et le rôle de son ingénieur en chef, Christian Drosten, conseiller-virologue apprenti sorcier d’Angela Merkel, suffisamment influent au point d’imposer à tout le monde occidental des décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses, il est temps de dévoiler maintenant au grand jour le rôle de l’architecture carcérale qui a permis à la dictature sanitaire de Klaus Schwab de se réaliser : l’Union Européenne.

« L’Europe, c’est la paix »

Telle est la ritournelle que l’on serine à tous les peuples européens à tous les temps et sur tous les modes depuis la 2e guerre mondiale et ses 60 millions de morts suite à la chute du IIIe Reich. Oui, mais voilà, c’est oublier que la paix a été avant tout construite sur la dissuasion nucléaire après la défaite japonaise suite aux bombes atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, prélude à la guerre froide et à la division du monde Est-Ouest jusqu’à la chute du mur de Berlin.

Comme le disait très justement Coralie Delaume, étoile trop tôt disparue dans la nuit européenne :

« Faire advenir la paix ne suffit pas à constituer un projet politique et n’a pas empêché la multiplication des institutions technocratiques chargées de le mettre en œuvre. Aujourd’hui, ces institutions se sentent désormais suffisamment fortes pour s’affranchir des États européens et contribuer à vider progressivement de leur substance les États membres de l’Union, trop heureux de pouvoir se défausser de leurs responsabilités sur Bruxelles ou Francfort. Cette démission des politiques s’accompagne désormais d’une crise économique redoutable. Une situation que les peuples acceptent de moins en moins, sentant bien qu’au nom de “la paix”, on leur demande d’entériner tout à la fois leur appauvrissement et l’abandon de leur souveraineté. » (1)

À tel point qu’après avoir bafoué les non au référendum de 2005 en France et aux Pays-Bas, les parlements ont entériné la constitution européenne avec le traité de Lisbonne deux ans plus tard. Aujourd’hui, l’Union européenne franchit un pas supplémentaire en mettant en œuvre toutes ses forces de coercition et de chantage à la peur contre les peuples européens pour le plus grand bonheur de l’oligarchie mondialiste à l’origine de cette gigantesque prise d’otages de masse avec un virus létal à 0,05 %. Pour bien comprendre comment on en est arrivé là, il faut faire un bref retour en arrière aux origines de l’Union européenne.

Celui qu’on a appelé et qu’on appelle encore abusivement « le père de l’Europe », Jean Monnet, obscur négociant en cognac adoubé par les Américains dans les années 30 via les banques et la finance internationale, avait conscience que l’Europe ne devait être qu’une première étape vers le mondialisme dont il était un chaud partisan. Avec l’apparition d’un marché mondial sans un état de droit mondial, la création de l’Euro était donc bien un piège, et l’adopter mettait la main dans un engrenage conduisant à un nouvel ordre mondial sans avoir à donner la parole aux peuples.

Ainsi, selon l’historien Éric Branca,

« dès 1952, lors de l’entrée en vigueur de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (CECA), Jean Monnet avait-il préconisé cet effet d’engrenage,

à savoir un transfert “en douceur”, mais irréversible des compétences régaliennes vers des organismes techniques échappant à la volonté des peuples. » (2)

Le rôle abject de l’UE dans la crise grecque, bras armé de la troïka avec l’Allemagne à la manœuvre, n’en est que le meilleur exemple.

Ainsi, Giscard d’Estaing, considéré aujourd’hui comme le « père de la constitution européenne » s’acharnera-t-il à réaliser le programme de Jean Monnet, à savoir « la fusion progressive des nations européennes en un État fédéral expérimental, prélude d’un gouvernement mondial » Sous son septennat sera créé le Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement, puis sera décidée, en 1977, l’élection du Parlement européen au suffrage universel et en 1979 sera créé le Système monétaire européen, matrice d’où sortira avec le traité de Maastricht en 1992, l’instauration d’une monnaie unique européenne, le 1er janvier 1999.

L’Europe est donc tellement peu la paix, qu’elle fera dire en 2015 à son président de la Commission européenne d’alors, Jean-Claude Juncker :

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021, nous vivons le dernier avatar de l’Union européenne, à savoir la mise en coupe réglée des peuples européens pris en otage dans des confinements à répétitions pour en faire des esclaves dociles afin de mettre en place le programme totalitaire de l’oligarchie mondialiste grâce à la peur d’un virus savamment entretenue par les médias mainstream. En témoigne la dernière injonction faite aux européens en date du 24 janvier par la geôlière commissaire en chef d’imposer des tests PCR négatifs, ausweis obligatoire pour franchir les frontières carcérales européennes malgré la reconnaissance récente par l’OMS de l’invalidité des protocoles de tests PCR recommandés par le Dr Drosten.

Mais surtout, l’exemple de la crise sanitaire montre bien le rôle central joué par l’UE dans la destruction méthodique des États européens : la Commission européenne, dans sa volonté hystérique de réduire les dépenses dans les différents États européens, continuait à préconiser en pleine crise du Coronavirus de réduire les dépenses de santé alors que la diminution drastique des lits d’hôpitaux depuis plus de 10 ans en France est à l’origine du désastre sanitaire que nous connaissons depuis un an et du nombre quatre fois plus élevé de décès du Covid qu’en Allemagne.
Martin Schirdewan, député européen, rappelle à juste titre qu’à 63 reprises entre 2011 et 2018, la Commission européenne a recommandé aux États membres de l’UE de privatiser des pans entiers du secteur de la santé et de réduire les dépenses publiques en matière de santé.

Ainsi, la France a-t-elle supprimé 100 000 lits d’hôpitaux en 20 ans ! (3)

Le professeur Didier Raoult dans sa dernière communication, enfonce le clou :

« Le niveau d’équipement biomédical dans ce pays, en particulier dans les CHU est beaucoup trop faible : il était tellement indécent il y a vingt ans pour manipuler les bactéries pathogènes que vous n’arriviez même pas à faire ce qu’on fait à Kinshasa ! » (4)

Comme le rapportent très justement deux professeurs de l’ESSEC, Marc Guyot et Radu Vranceanu dans La Tribune :

« Ce n’est pas le virus qui a créé la crise économique, mais la façon avec laquelle le gouvernement mène sa politique sanitaire, étant donné l’état déplorable des infrastructures médicales en termes de capacité d’hospitalisation. Ce comportement irresponsable a mené à cette situation de confinements à répétitions en train d’anéantir toute l’économie française. » (5)

Il est maintenant clair que les directives européennes en matière de santé comme dans tant d’autres domaines promouvant le dumping social et fiscal sous prétexte de « concurrence libre et non faussée » mènent droit à la destruction programmée des pays de l’Union. La volonté de l’UE de créer des zones à risque jusqu’au rouge foncé pour entretenir la peur, et un passeport vaccinal réclamé par plusieurs États membres pour créer des citoyens de seconde zone selon la feuille de route de Klaus Schwab devrait nous ouvrir définitivement les yeux sur la finalité de l’Union : l’enfermement qui en rappelle un autre : celui des untermenschen il y a 80 ans.

Qu’en conclure d’autre aujourd’hui sinon que cette Europe, c’est la guerre ?

Nous sommes les 99 %. RESISTANCE !

Notes

(1) Coralie Delaume, Europe, les États désunis, Michalon

(2) Éric Branca, Le dilemme français, Le Spectacle du Monde

(3) topsante.com/medecine/votre-sante-vous/professionnels-de-sante/urgences-en-crise-100-000-lits-ont-ete-supprimes-en-20-ans-632559

(4) youtube.com/watch?v=9LA6Jmf2IzQ

(5) latribune.fr/opinions/tribunes/de-la-crise-sanitaire-a-la-crise-economique-846712.html




Drosten, l’homme le plus recherché d’Allemagne… pour crimes contre l’humanité

Par Jean-Michel Grau

Dans cette prise d’otages mondiale du Covid 19 manipulée par Klaus Schwab et ses acolytes du Forum de Davos, les rouages de cette gigantesque supercherie commencent maintenant à apparaître au grand jour. En d’autres termes, ce que l’on aurait appelé il y a encore un an « l’état profond » commence à montrer son vrai visage ou plutôt : ses visages.

Tout d’abord, à tout seigneur tout honneur : le grand architecte de cette machination criminelle :

Klaus Schwab, le dirigeant fondateur du Forum de Davos.

Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, rappelons brièvement qu’il est né en Allemagne en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum Économique Mondial (WEF) qui rassemble chaque année depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière, et des médias, parmi lesquels Jacques Attali, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Christine Lagarde, Georges Soros, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller.

Klaus Schwab a publié en juillet 2020 un livre : « Covid 19 : la grande réinitialisation » véritable programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler » et que l’UE avec la complicité des grands labos pharmaceutiques se chargent d’appliquer à la lettre avec des vaccins géniques pour réduire en esclavage des pans entiers de populations occidentales confinées et entretenues H24 par la peur permanente d’un virus monté en épingle par des médias à la solde de l’oligarchie financière. Pour en savoir plus, les journalistes dissidents du Guardian ont fourni une description détaillée de ce scénario cauchemardesque dont l’adaptation résumée se trouve ici.(1)

Mais nous allons nous intéresser aujourd’hui à l’ingénieur en chef de cette machine de guerre qu’on appelle désormais : « La grande pandémie du Covid 19 » : Christian Drosten.

Qui est Christian Drosten ?

Christian Drosten, virologue allemand, est directeur de l’Institut de virologie de l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin. Dans son édition du 30 mai 2020, le magazine allemand Der Spiegel titrait qu’il est aujourd’hui l’homme le plus honoré et le plus haï d’Allemagne.

Mais pourquoi donc ?

Les honneurs d’abord : l’hebdomadaire Stern, titrait lui, ébloui deux mois avant, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. »(2)

Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le coronatest PCR, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le coronavirus dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent d’Angela Merkel et a participé comme expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses évaluations, il a également influencé de manière déterminante des décisions politiques de grande envergure, telles que le port du masque obligatoire, la suspension des cours réguliers à l’école ou encore la fermeture de tout le secteur de la restauration.

La haine maintenant : le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.(3)

Aujourd’hui, dans ce désastre sanitaire mondial planifié de toutes pièces, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice.

Selon Reiner Fuellmich, tous les responsables de cette crise du Covid 19 doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid 19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Il est indéniable que dans ce crime, Christian Drosten occupe une place de choix.

Ainsi, dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français,(4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid 19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie : « il n’existe pas de pandémie de Covid 19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée. »

Mais ce n’est pas tout : dans une vidéo de 16 minutes, la chaîne allemande kla.tv vient de mettre à jour dans une enquête explosive « Le dossier Christian Drosten »(5), en faisant toute la lumière sur les antécédents peu connus, mais très importants du personnage qui mettent pour le moins en doute la crédibilité de « l’homme le plus recherché de la république » selon l’hebdomadaire Stern. Cette enquête soulève également selon les journalistes allemands de la chaîne « de graves questions concernant l’ensemble du scénario Corvid19, qui apparaît clairement comme la plus grande supercherie de l’histoire jamais mise en œuvre. »

« Ainsi, des erreurs de prévision fatales, de nombreuses incohérences inexpliquées concernant sa thèse de doctorat, un “test PCR Covid” développé à la hâte et présentant des défauts scientifiques fondamentaux, et un bourbier insoupçonné d’embrouilles financières, privent Christian Drosten de toute crédibilité ! »

« Si le personnage central de la crise du Covid s’avère être indigne de confiance après un examen plus approfondi, cela soulève de sérieuses questions :

  1. Sur la base de ce fondement non scientifique, l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, avec la menace inévitable d’un effondrement économique et financier de nations entières, ne doit-il pas être enfin investigué pour connaître les tireurs de ficelles et les profiteurs en arrière-plan ?
  2. Cette crise du Coronavirus ne pourrait-elle donc pas s’apparenter à une prise de pouvoir par étapes et même conduire à la mise en place d’une surveillance numérique de peuples entiers sous prétexte de lutter contre une pandémie ?
  3. Pourquoi les grands médias, qui sont chargés de faire des reportages critiques, ne découvrent — ils pas le “dossier Drosten”, mais le gardent même secret ? »

Les journalistes de kla.tv en concluent que ces faits doivent être connus de tous. En effet, dès que les manœuvres criminelles de Drosten auront été démasquées, tout le château de cartes de la supercherie du Covid 19 s’effondrera et tous les peuples confinés pourront enfin reprendre leur liberté. C’est pourquoi, il convient de diffuser massivement cette vidéo, ainsi que l’interview de Reiner Fuellmich pour contribuer à appuyer sa « Class action » avec tous les avocats français prêts à y participer avec des milliers d’autres de par le monde pour mettre en place ce deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare contre Drosten et ses acolytes pour crimes contre l’humanité.


Notes

(1) Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

(2) stern.de/p/plus/gesundheit-wissenschaft/der-aufklaerer-so-wurde-christian-drosten-zum-wichtigsten-mann-deutschlands-9184616.html

(3) Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

(4) youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0

(5) kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr


[Voir aussi :




Les masques tombent sur la cruauté des mondialistes. MàJ

Par Jean-Michel Grau

Une étude allemande intitulée : « Corona children studies » vient de faire l’effet d’une bombe :

il s’agit de la première étude dans le monde à grande échelle sur plus de 25930 enfants scolarisés dans toute l’Allemagne, et qui révèle que les parents, les éducateurs et les médecins, signalent de plus en plus de problèmes et de plaintes de santé chez les enfants à cause du port du masque obligatoire. (1)

D’après cette étude, 68 % des parents rapportent que les enfants portant des masques seraient victimes d’impacts négatifs majeurs sur leur santé physique, psychologique et comportementale.

En outre, l’étude indique qu’en moyenne, les enfants scolarisés porteraient des masques 270 minutes par jour, c’est-à-dire près de 5 heures ! Des chiffres alarmistes qu’aucun média mainstream ne rapporte, sauf une video de France Soir. (2)

Selon cette étude,

« Il n’existe pas à ce jour d’études indépendantes de fabricants sur l’utilisation des masques pour enfants et adolescents, masques qui sont certifiés comme produits médicaux pour la sécurité du travail dans des applications professionnelles. En outre, en raison des matériaux inconnus utilisés, il n’y a pas d’indications sur les effets protecteurs ou les effets secondaires potentiels. »

Voici ce que l’on constate chez les enfants portant des masques dès l’âge de 6 ans :

Symptômes physiques :

  • Les maux de tête: 53,3%
  • Les difficultés de concentration : 49,5 %
  • Les malaises : 42,1 %
  • Les troubles de l’apprentissage : 38 %
  • La somnolence et la fatigue : 36,5 %
  • L’oppression sous le masque : 35,6 %
  • La sensation d’étouffement : 29,7 %
  • Les vertiges : 26,4 %
  • La gorge sèche : 22,7 %
  • La sensation de syncope : 20,7 %
  • Les démangeaisons dans le nez : 17,1 %
  • La nausée : 16,6 %
  • La sensation de faiblesse : 14,7 %
  • Les douleurs abdominales : 13,5 %
  • La respiration accélérée : 12,2 %
  • La sensation de maladie : 9,7 %
  • La sensation d’oppression dans la poitrine: 8 %

Symptômes comportementaux :

  • L’enfant est plus irrité : 60,4 %
  • L’enfant est de moins bonne humeur : 49,3 %
  • L’enfant ne veut plus aller à l’école ou à la maternelle : 44 %
  • L’enfant est plus agité qu’à l’accoutumée : 29,2 %
  • L’enfant dort moins bien que d’habitude : 31,1 %
  • L’enfant développe des angoisses : 25,3 %
  • L’enfant dort plus qu’à l’accoutumée : 25 %
  • L’enfant est réticent à bouger et à jouer : 17,9 %

Résultats de l’étude :

«La distribution de fréquence des effets secondaires associés aux masques est similaire dans les différents groupes d’âge : les maux de tête, les difficultés de concentration, les malaises, les difficultés d’apprentissage et la somnolence/fatigue étant les plus fréquents.

D’autres plaintes ont été décrites :

Tout d’abord : 269 plaintes pour aggravation des problèmes de la peau, notamment l’augmentation des boutons, des éruptions cutanées et des phénomènes allergiques autour de la bouche jusqu’aux maladies fongiques dans et autour de la bouche.

Il y avait 151 plaintes pour saignements de nez, 122 pour le mécontentement scolaire allant jusqu’à l’anxiété scolaire / le refus d’aller à l’école, 64 pour transpiration accrue, 52 pour des points de pression et des blessures derrière les oreilles, 46 pour des lèvres douloureuses ou fissurées et partiellement sanglantes, 31 pour l’augmentation de la fréquence et de la sévérité des crises de migraine, 23 pour des troubles de la vision, 13 pour des aphtes.

Ensuite, parmi les problèmes de comportement :

60,4% des enfants masqués faisaient état d’irritabilité accrue, et l’on trouvait aussi 49,3% d’enfants moins heureux et 44% qui ne veulent plus aller à l’école. Dans chaque cas, les enfants de la catégorie d’âge 7-12 ans sont les plus touchés.

De plus, 25,3% des enfants ont déclaré avoir développé de nouvelles angoisses. Ainsi, 2 672 plaintes pour cette seule question mentionnent des spéculations explicites d’anxiété ou la réapparition de plusieurs anxiétés : en plus d’une peur générale de l’avenir, la peur de suffoquer avec un masque, ainsi que la peur de la mort ont été mentionnées. La peur de la mort de proches à cause du Covid est aussi la plus fréquemment rapportée. En outre, la peur d’être stigmatisé par le port ou non d’un masque dans l’environnement social est aussi mentionnée. Enfin, de nombreux parents font également état de cauchemars et de troubles anxieux liés à des personnes masquées dont les expressions faciales et l’identité ne sont pas reconnaissables par les enfants. »

Conclusion de l’étude :

« – Ce premier registre mondial sur les effets secondaires du masque reflète le spectre des symptômes chez les enfants et les adolescents.

-Les plaintes d’un certain pourcentage d’enfants et d’adolescents sont non négligeables lorsqu’ils portent le masque. Ces enfants ne doivent pas être stigmatisés.

-Une analyse précise du rapport bénéfice-risque est nécessaire de toute urgence. L’importance des effets secondaires rapportés chez les enfants suite au port des masques doit être prise au sérieux et nécessite une clarification précise des circonstances de santé qui l’accompagnent, de la situation du port du masque et de la façon dont il est utilisé. (durée, pauses et type de masque) et de la situation scolaire de l’école. Compte tenu des obligations variables des enfants et des adolescents de porter des masques à l’école sur une période plus longue, il y a un besoin urgent de recherche. »

Cette étude apporte de l’eau au moulin déjà bien rempli de l’avocat allemand Reiner Fuellmich, chargé de poursuivre au sein d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux, tous les responsables du désastre sanitaire du Covid19 pour « crimes contre l’humanité ». (4)

Dans sa dernière interview du 31 décembre 2020, voici ce qu’il disait :

« Dans ce scandale sanitaire, le pire, ce sont les conséquences du confinement et du port du masque obligatoire, en particulier sur les enfants traumatisés en masse, avec des conséquences psychologiques à moyen et long terme. En Allemagne, des enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les consignes de quarantaine, de port du masque et de confinement. Par ailleurs, les masques représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d’études indépendantes et de déclarations d’experts. Tous ces faits feront bientôt tomber les masques sur tous les responsables de ces crimes. » (3)

Il est plus qu’urgent de démasquer la cruauté des mondialistes pour les faire tomber au plus vite.

RESISTANCE !


(1) assets.researchsquare.com/files/rs-124394/v2/3c831c8c-03c2-4d1a-aa24-a92bbb272be3.pdf

(2) youtube.com/watch?v=e_5gqYsMdvw

(3) odysee.com/@JeanneTraduction:a/fuellmichsenta:1

(4) ripostelaique.com/est-ce-dans-ce-monde-la-que-nous-voulons-vivre.html


Information reprise aussi sous forme vidéo :

Source : FranceSoir

https://youtu.be/e_5gqYsMdvw



Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

Par Jean-Michel Grau

  • Un monde où chacun d’entre nous est parqué chez soi arbitrairement de 18 h à 6 h pour un couvre-feu que seule une guerre peut justifier ;
  • Un monde où l’on ne peut plus se réunir à plus de 6 personnes, y compris chez soi ;
  • Un monde où l’on n’a plus aucune vie sociale, où l’on est isolés, claquemuré comme du bétail ;
  • Un monde où l’on n’a même plus le droit à la moindre détente, car les restaurants, les bars et les discothèques ont tous fermé ;
  • Un monde où l’on ne peut plus faire aucun projet de vacances, car tous les établissements hôteliers et touristiques ont fermé et que l’on est tous à la merci d’un nouveau confinement ;
  • Un monde paranoïaque où toute opposition est bannie et qualifiée de complotiste ;
  • Un monde où l’on ne peut plus entretenir son corps et sa santé, car les salles de sports ont fermé ;
  • Un monde où l’on interdit de se soigner avec les traitements qui on fait leurs preuves contre le Covid, car ceux-ci sont désormais interdits ;
  • Un monde où des conseils d’experts gouvernementaux autoproclamés décident de nos vies, de notre avenir et de celui de nos enfants sans nous consulter ;
  • Un monde où ces mêmes « experts » décident qui va à l’école, qui n’y va pas, qui travaille, qui ne travaille pas, qui sort, qui ne sort pas, sur des bases totalement arbitraires et non scientifiques ;
  • Un monde où l’on doit s’autoriser à sortir uniquement pour des « raisons essentielles » en période de confinement avec un « ausweis » dûment rempli sous peine d’amende sévère ;
  • Un monde où l’on ne peut sortir de chez soi qu’avec une muselière imposée dès l’âge de 6 ans, et où même les bébés sont privés du sourire de leurs assistantes maternelles à la crèche ;
  • Un monde où il est programmé de tous nous piquer comme des poulets génétiquement modifiés pour mieux nous tracer et nous enfermer dans une peur permanente de la contamination ;
  • Un monde où l’on veut nous imposer un passeport vaccinal pour créer des Alpha + et des Beta -;
  • Un monde à deux vitesses où seuls ceux qui auront pris le risque de servir de cobayes aux labos pharmaceutiques pourront circuler et voyager librement ;
  • Un monde où toute vie festive aura disparu et où la majorité d’entre nous n’aura plus d’emploi, car jugés « non essentiels » pour la « nouvelle société » que les mondialistes nous préparent ;
  • Un monde où les seuls signes de reconnaissance qui nous restent sont les gestes-barrière ;
  • Un monde de cruauté que même les nazis les plus fanatiques n’auraient jamais osé imaginer.

Tout cela pour un virus dont la létalité est de 0,05 %…

Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

« Celui qui ne connaît pas la vérité n’est qu’un imbécile. Mais celui qui connaît la vérité et la qualifie de mensonge est un criminel. »

Bertold Brecht, La vie de Galilée

  • Il est grand temps de dire la vérité aux Français que tout a été prévu pour ruiner volontairement des pans entiers de l’économie occidentale en supprimant définitivement 75 % des restaurants indépendants par le renouvellement perpétuel des confinements jusqu’à la fin de l’année, comme prévu par le rapport Ferguson de l’Imperial College de Londres dont toutes les prédictions se sont révélées fausses (1), mais que le gouvernement suit à la lettre aveuglément.
  • Il est temps d’informer massivement les Français et d’abord tous ceux qui sont privés depuis bientôt un an de la liberté la plus élémentaire : celle de travailler, entraînant notre pays dans un désastre économique sans précédent : salariés du tourisme, de la culture, des sports et divertissements, de l’hôtellerie et de la restauration, des petits commerces, des PMI-PME, bref, tous les secteurs jugés non essentiels par l’oligarchie financière qui tient en main tous les rouages financiers, économiques, médiatiques et numériques mondiaux.
  • Il est temps de dévoiler aux Français que les raisons de ce cauchemar sanitaire n’ont rien à voir avec la propagande dont nous sommes abreuvés quotidiennement par le pouvoir et les médias, mais qu’il a été scrupuleusement planifié de A jusqu’à Z pour nous manipuler par la peur.
  • Il est temps de révéler que cette propagande mensongère n’a d’autre finalité que de réaliser le programme du Forum Économique Mondial. Il suffit de lire le livre « Covid-19 : la grande réinitialisation » de Klaus Schwab, le président fondateur du dit forum, où tout est décrit avec force détails, pour comprendre que la dictature sanitaire dans laquelle nous vivons aujourd’hui est le résultat d’une stratégie planifiée par Klaus Schwab et ses amis mondialistes à partir d’une pandémie prétexte pour mettre en œuvre le grand reset de l’économie mondiale. (2) À tel point qu’ils se sont même permis de faire une simulation de la pandémie du Covid 19 au forum de Davos en 2019 ! (3)

Ce programme délirant de Klaus Schwab dont la généralisation des vaccins géniques pour contenir, tracer et museler les populations par la peur menace directement la survie des démocraties, notre survie ! Tout est écrit par le menu dans le livre de Klaus Schwab : il suffit de le lire pour comprendre que le cauchemar que nous vivons aujourd’hui, confinés, muselés et bientôt piqués comme des poulets, n’est rien d’autre qu’une gigantesque prise d’otage.

C’est pourquoi il est absolument vital d’entrer dès maintenant en résistance pour éviter à tout prix qu’advienne cette gouvernance mondiale dont rêvent Klaus Schwab, Jacques Attali, Emmanuel Macron et quelques-uns de leurs amis mondialistes de la finance, des GAFAM et des médias.

Cette résistance a commencé dès la fin de l’année dernière : le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions ravageuses de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est le même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

« Le plus grand crime contre l’humanité jamais commis »

Reiner Fuellmich

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid19 a causé et continue de causer. Cette crise du Covid 19 doit être rebaptisée « Scandale du Covid 19 » et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid 19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid 19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français, (4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid 19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie :

« il n’existe pas de pandémie de Covid 19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée. »

Dans une deuxième vidéo passionnante de 24 minutes, il annonce l’arrivée en série des procès des tests PCR. (5) Il ajoute :

« Dans ce scandale sanitaire, le pire, ce sont les conséquences du confinement et du port du masque obligatoire, en particulier sur les enfants traumatisés en masse, avec des conséquences psychologiques à moyen ou long terme. En Allemagne, des enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les consignes de quarantaine, de port du masque et de confinement. Par ailleurs, les masques représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d’études indépendantes et de déclarations d’experts. Tous ces faits feront bientôt tomber les masques sur tous les responsables de ces crimes. »

En parallèle avec la résistance judiciaire internationale se met en place une résistance médicale avec le « Collectif de médecins indépendants pour le Covid 19 », une initiative de médecins libres français représentant plus de 30000 médecins.

« Leur objectif est d’informer le plus grand nombre de personnes possible sur la vérité qui se cache derrière le Covid 19 en expliquant les mythes, les mystères, les controverses scientifiques et les mensonges purs et simples :

  • l’interdiction par le gouvernement d’utiliser des médicaments anti-inflammatoires et infectieux traditionnels et efficaces comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine ;
  • l’analyse des statistiques souvent fausses ou trompeuses sur les nouvelles infections, les nouveaux cas et le taux de mortalité ;
  • les différents aspects et risques des vaccins actuellement disponibles, en grande partie non testés en Occident, en particulier les dangers des vaccins de type ARN ;
  • l’information publique, actuellement sujette de désinformation, chaos de contradictions scientifiques et médicales, de manipulations des faits, de demi-vérités, de contre-vérités et de mensonges purs et simples ainsi que d’intenses campagnes de peur. Les personnes qui ont peur deviennent faibles moralement et physiquement, plus vulnérables aux maladies, obéissantes et déprimées, ce qui peut conduire au suicide. » (6)

« Cette coordination de médecins veut informer les citoyens sur la vérité qui se cache derrière les discours officiels. Cette fantastique initiative française est une vraie lueur d’espoir à l’horizon : de plus en plus de citoyens vont comprendre que cette opération Covid 19 est une affaire criminelle. »

Cette résistance qui s’organise au niveau juridique et médical montre une chose : tout espoir n’est pas perdu de renverser la vapeur, car tout est en train de se mettre en place pour faire éclater la vérité au grand jour. Ce virus Covid 19 sous faux drapeau d’une pandémie doit être pris pour ce qu’il est : une gigantesque arnaque qui restera dans l’histoire de l’humanité comme la plus énorme prise d’otage de masse par une oligarchie financière, pharmaceutique et médiatique corrompue. L’heure des comptes viendra où il nous appartiendra de solder devant les tribunaux le désastre sanitaire et humain qu’elle aura engendré.

Dans cette attente, il convient pour chacun d’entre nous de :

  • cesser d’avoir peur d’un virus pas plus dangereux que celui d’une grippe saisonnière en arrêtant de se soumettre aux tests PCR qui sont totalement bidon et dont le séquençage donnant des résultats à plus de 90 % positifs a été truqué uniquement dans le but d’entretenir la peur ;
  • bannir définitivement les médias mainstream, autrement dit mettre sa télé à la cave pour la remplacer par un aquarium 16/9e afin de mieux se concentrer sur les médias alternatifs d’internet qui ne débitent pas de la propagande H24 en copié-collé des dépêches AFP ;
  • faire pression sur les maires et les élus en général en leur rappelant qu’avec le Covid, le « remède » est bien pire que le mal, car la prolongation des restrictions sanitaires va tuer l’économie et que des centaines de milliers d’entreprises ne s’en relèveront jamais : petits commerces, cafés, hôtels, restaurants, discothèques, piscines, salles de sport, PMI-PME de toutes sortes…
    Et surtout : leur faire prendre conscience que notre jeunesse est la première menacée par ces mesures de confinement criminelles : selon l’OMS, plus d’un milliard d’élèves ont été touchés par des fermetures d’écoles, un jeune sur six a perdu son emploi pendant la pandémie et des troubles anxiogènes ont été détectés chez 90 % des jeunes. Tout cela pour éviter l’effondrement généralisé du néolibéralisme qu’une oligarchie financière corrompue a fait prospérer au-delà de tout contrôle…
  • se mobiliser massivement dans la rue pour le respect de nos libertés : liberté de travailler, circuler, exprimer ses opinions, aller au restaurant, au concert, au théâtre, aux expositions, dans les bars et les discothèques, et sans ces muselières qui ne sont que les signes de notre soumission planifiée par les oligarques mondialistes afin de nous réduire en esclavage.

En résumé : nous voulons REVIVRE.


[Notes]

(1) francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie

(2) mondialisation.ca/klaus-schwab-et-sa-prise-dotages-de-masse-2-0/5652765

(3) youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum

(4) youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0

(5) odysee.com/@JeanneTraduction:a/fuellmichsenta:1

(6) mondialisation.ca/medecins-francais-pour-la-verite-sur-la-covid-19/5652812




Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

Par Jean-Michel Grau

“Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes.”

Nicolas Machiavel, Le Prince

«Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres !»

Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre «Covid-19 : la grande réinitialisation» se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.

Qui est Klaus Schwab? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. «L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé.» [1]

Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. «Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes.» [2] Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou «grand reset» et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.

De même que ce sont les Etats, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.

Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés:

  • Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux Etats-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.
  • Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire: le Covid-19.

Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.

Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant «la grande pandémie du Covid-19» n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre [3], pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. A tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre «We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus.» («Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris.») Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.[4]

Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé «Avancer par peur», (5) où il affirmait que «l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial».

Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab «Covid-19 : la grande réinitialisation» n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer «des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est «l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années», ajoutant que «les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes». Il continue : «Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie «bénigne» est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de «La Grande Réinitialisation» ! Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi «La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social.»

Il ajoute qu’il «existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif», pavoise-t-il. «Un nouveau monde émergera». «Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations».

«Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais!» Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.

Le ton est donné : «Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » et « après le coronavirus »» .

Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.

Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel. Il proclame : «Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique».

Une section entière de ce livre est consacrée au thème «Modifier l’être humain», ravalant les dystopies «1984» et «Le meilleur des mondes» à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur «la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous» et évoque un futur cyborg impliquant «des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes». Il écrit : «Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de «micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps», de «tatouages intelligents», de «calcul biologique» et «d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs» (!)

Il est ravi d’annoncer que «les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes», que «les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales».

La «biologie synthétique» est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial «la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les «vaccins» ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme «la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : «Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place». Il ajoute : «L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou». (!)

«Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées». «Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale».

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les «vaccins Covid» en cours de préparation, car derrière les «vaccins» se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait qu’ «un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un «vaccin» ne soit disponible». Il ajoute : «Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des «conflits de classe», «résistance sociale» et «réaction politique».

Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au «sombre scénario» des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous baillonner sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.

Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum Economique Mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.

Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour «Mein Kampf», tout était déjà écrit.

Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.

Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.

Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens: judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.

Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 : 
https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset/.

Notes

  1. le groupe Bilderberg, «l’élite» du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.
  2. les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel.
  3. Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing.
  4. https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum
  5. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html.