ARNm et dommages causés par les vaccins

[Source : wissenschafftplus.de numéro Juillet-Septembre 2023]

Par le Dr Stefan Lanka

Blessures vaccinales et hystérie ARNm : Origine, fonction et effet

Origine : lorsque les virologues ont inventé l’idée des virus Corona, ils ont intégré une protéine, qu’ils avaient trouvée dans leurs cultures cellulaires, dans le modèle de virus sous forme de protéines spike. Cette protéine, la syncytine, s’est avérée plus tard être typiquement humaine, ce que les virologues comme les critiques passent sous silence. Comme cette protéine est toujours détectée lors de « prétendues lésions par ARNm », les critiques affirment qu’il s’agit de la protéine spike des virus Corona. S’ils avaient effectué des expériences de contrôle sur des « tissus sains », ils auraient trouvé de la même manière cette protéine ou son acide nucléique partout.

Fonction : la superstition incendiaire des virus est stabilisée. Le véritable danger toxique que représentent ces vaccins est supprimé. Pendant la terreur de la grippe porcine, la présence et la dangerosité des nanoparticules dans les vaccins ont pu être abordées publiquement. Suite à cela, 93 % de la population a refusé le vaccin et la terreur a pris fin du jour au lendemain.

Effet : Celui qui prétend que l’ARNm peut pénétrer dans le corps, directement par la vaccination ou indirectement par les personnes vaccinées, y déclencher une production de protéines et des réactions auto-immunes et excréter de prétendues protéines spike, augmente la terreur de la peur du Corona à l’infini. Ceux qui sont touchés par cette peur et qui subissent ainsi des chocs conflictuels de longue durée développeront des symptômes « psychosomatiques ». De légers à graves, voire mortels, en fonction des programmes déclenchés, de leur durée et de l’apparition ou non de complications. Mot-clé : rein.

Remarque : si l’on ne remet pas tout en question, on peut aussi devenir, sans le vouloir, le meilleur ami de la terreur de la peur.

Conseil : Ne faites pas confiance à un critique qui ne connaît pas la biologie réelle.

Ce sont les nanoparticules ! L’ARNm dans les vaccins ARNm ne provoque pas de blessures vaccinales

Les personnes qui ont développé des problèmes de santé après avoir été vaccinées par le vaccin Corona pensent que ces problèmes, voire la mort, ont été causés par l’ARNm contenu dans les vaccins. Ce n’est pas vrai ! Si les lésions sont causées par des thromboses, les nanoparticules contenues dans les vaccins en sont responsables.

Tous les autres symptômes, surtout les symptômes classiques de la médecine, comme la myocardite et d’autres modifications spécifiques des organes, sont causés par la « psychosomatique » de la terreur corona prolongée. Ces symptômes se développent après un certain temps, lorsque les chocs conflictuels déclenchés par la terreur anxieuse sont dissous. Cette résolution a lieu chez toutes les victimes de choc conflictuel lorsque celles-ci se sentent à nouveau en sécurité grâce à la vaccination, lorsque la terreur s’atténue ou disparaît. L’ARNm dans les vaccins est décomposé de manière fiable par les nanoparticules agressives contenues dans les vaccins, dès que ceux-ci sont décongelés ou même pas congelés. L’ARNm dans les vaccins Corona ne peut donc, pour cette raison, causer de dommages.

Remarque : comme il n’y a pas de virus et qu’il ne peut pas exister de virus si l’on connaît la biologie réelle, il n’y a pas d’ARNm d’une protéine spike qui pourrait causer des dommages.

Conseil : n’ayez pas peur de l’ingénierie génétique ! Elle ne fonctionne pas et tous les types de molécules d’ARNm injectées dans le corps sont dégradés en quelques millisecondes.

« Les vaccins sont une tentative enfantine de faire face à la maladie ». Qui a dit cela et pourquoi ?

Cette déclaration a été faite par le professeur Heinrich Stemberger, le plus grand infectiologue d’Autriche, lors de la conférence sur la vaccination du 23 octobre 2001 à Linz. Un contrat avait été conclu au préalable avec les organisateurs, qui stipulait que le professeur Stemberger devait projeter à l’écran au moins une publication scientifique sur l’existence d’un virus pathogène et en expliquer les preuves.

Le professeur Stemberger a déclaré le 23 octobre 2001 qu’il n’était pas nécessaire de disposer de preuves scientifiques concrètes pour démontrer l’existence d’un virus. La preuve résulterait de dizaines de milliers d’observations et il faudrait avoir fait des études de médecine pour comprendre et avoir son mot à dire. Après que le professeur Stemberger ait été confronté aux règles contraignantes du travail scientifique, qui stipulent clairement que toutes les affirmations scientifiques doivent être clairement prouvées et publiées, son aveu est venu :

« Je l’admets, les vaccins sont une tentative enfantine de faire face à la maladie — nous n’avons tout simplement rien de mieux ». Pourquoi le professeur Stemberger a-t-il dit, dans cette situation exceptionnelle, la vérité sur la vaccination, qui va au-delà de la question de l’existence des virus ? Parce qu’il sait qu’il n’existe aucune preuve de l’existence des virus ET que la vaccination ne peut pas protéger de la maladie. La « science » définit en effet que la vaccination ne produit qu’une soi-disant protection immunitaire, mais que celle-ci ne protège pas contre les maladies.

Remarque : le résumé le plus court de la vaccination : en dehors des dépenses — plus les dommages dus à la vaccination et à la panique — rien n’a été fait.

Conseil : pour les débutants en matière de vaccination, ce livre : « La vaccination présentée simplement et de manière compréhensible » (en allemand « Impfen-einfach und verständlich dargestellt » (voir p. 59). Pour les plus avancés, les articles de notre magazine W+ depuis 2003.

[Traduction Jean Bitterlin 02.11.2023]