Passe sanitaire : pourquoi la bourgeoisie managériale trahit si facilement la démocratie libérale

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire, initialement présenté comme extrêmement limité dans son usage, franchit un nouveau cap aujourd’hui : le gouvernement propose son maintien jusqu’à l’été prochain… Nos lecteurs n’en sont pas surpris, puisque nous annonçons son installation permanente depuis cet été. Mais la question qui se pose est de savoir pourquoi la caste mondialisée ne rencontre aucune opposition dans les couches supérieures de la société face à ce reniement caractérisé de la démocratie libérale. De notre point de vue, l’ère macronienne correspond (mais c’est une tendance mondiale) à l’émergence d’une bourgeoisie managériale formatée pour obéir et structurellement favorable à un système d’apartheid social.

Sur les raisons pour lesquelles le passe “sanitaire” est maintenu jusqu’à l’été 2022, nous nous sommes déjà largement exprimés. Le projet n’a rien de sanitaire, il s’intègre simplement au projet d’identité numérique déployé par la Commission Européenne (le fameux “wallet”). Il s’agit d’organiser un système d’identification et de contact tracking sur un modèle chinois, tel que le Great Reset de Klaus Schwab l’a proposé. 

Tout ceci s’appuie sur des investissements industriels, portés notamment par Thalès, qui cherchent aujourd’hui leur rentabilité sur le marché mondial de l’identité numérique. Donc, face à cette collusion d’intérêts industriels, nous savons que le passe sanitaire n’est pas prêt de disparaître. 

Passe sanitaire et crédit social à la chinoise

Pour le reste, le principe du passe sanitaire correspond à une tendance longue du capitalisme de connivence, fondé sur les relations incestueuses entre la bureaucratie et le management des grandes entreprises transnationales. Face aux menaces létales que le rejet du multilatéralisme (incarné par le Brexit) et du libre-échange (incarné par Trump) représente, ce capitalisme de connivence est bien décidé à utiliser toutes les possibilités technologiques nouvelles pour asseoir sa domination. 

Pour ce faire, il est prêt à se transformer en un capitalisme de surveillance où son pouvoir se fondera sur le crédit social à la chinoise. Les bons citoyens auront des droits que les mauvais citoyens perdront. Nous recommandons ici la lecture du rapport du Sénat, au printemps, sur le sujet, pour comprendre et mesurer l’influence du modèle chinois sur la caste au pouvoir en France. 

L’écrasante culpabilité de la bourgeoisie managériale dans cette rupture

On le comprend peu à peu, nous sommes en train de changer d’ère, de civilisation, mais aussi de régime et de gouvernance. Progressivement, la démocratie libérale cède la place à un système autoritaire que nous avons appelé le régional socialisme dans notre livre sur le Great Reset. 

Ce régional socialisme s’appuie sur deux piliers. Il est régional au sens des régions continentales, avec son obsession de bâtir des ensembles multilatéraux comme l’Union Européenne. Il est socialiste au sens où il subsume le droit individuel sous une couche de “protection collective” : risquez donc votre vie en vous vaccinant pour le bien du groupe ! Et il professe le “big government”, à rebours de la tendance insufflée en son temps par Ronald Reagan. 

Cette nouvelle vision du monde, en rupture avec la démocratie libérale, est essentiellement le fait de ceux qui ont inventé la théorie de la “Start Up Nation”. Ils se rassemblent dans ce que nous pourrions appeler la bourgeoisie managériale, représentante française de la caste mondialisée. Ces gens-là sont des cadres plus ou moins supérieurs, des dirigeants d’entreprise qu’ils n’ont pas créées ou d’administration, parfois des enseignants, qui ont un patrimoine moyen et une aversion générale au risque. 

La bourgeoisie managériale porte toutes les croyances insufflées par “l’altruisme efficace” aux Etats-Unis : culture de l’excuse, culpabilité de l’homme blanc, remplacement du christianisme par la religion de la nature, effacement de l’humanisme au profit du transhumanisme. Au salut de l’âme, elle préfère le sauvetage de la planète, à la béatitude, elle préfère le bien-être. 

Bourgeoisie managériale et manie du contrôle

L’une des caractéristiques de cette caste qui déteste le risque et l’incertitude, c’est l’obsession du contrôle, rebaptisé “protection”. Il faut se protéger de tout : du virus, de la maladie, de la mort, de l’agression, de l’agressivité, de toute forme de menace. On écoutera ici avec attention Sandrine Rousseau, l’égérie d’EELV, pour dévoiler les points saillants de cette caste, qui hait profondément l’ordre spontané des sociétés (parce que masculines, machistes, brutales, injustes, etc.) et souhaite la rebâtir en contrôlant tous ses étages. 

Cette caste-là, qui a pris le pouvoir au fil des années qui nous séparent de Mai 68, mais qui doit beaucoup aux années Mitterrand pour son élaboration intellectuelle, est le réceptacle naturel du capitalisme de surveillance. Comment fait-on pour se protéger, en effet ? Eh bien, on contrôle. Tout : les risques, les menaces, les vies privées, les maladies, et même les eaux calmes car il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. 

Dans cette propension au contrôle, on trouvera l’explication majeure de la facilité avec laquelle la bourgeoisie macronienne plaide pour un pass sanitaire qui discrimine. Ces gens-là sont rassurés, se sentent protégés, lorsqu’ils présentent leur identité vaccinale à l’entrée d’un bar ou d’un restaurant : ils ont besoin d’une vie contrôlée, d’une société sous contrôle. 

Bourgeoisie managériale et apartheid

On nous objectera que l’expression “bourgeoisie managériale” est bien floue. Elle pourrait même être fourre-tout. Et nous partageons assez ce constat : il faudrait être plus précis. 

C’est la caractéristique d’une caste : on y appartient pour des raisons “floues”, ce qui diffère beaucoup d’une classe sociale qui se définit objectivement. Pour forger une caste, il faut passer du temps à dire qui en fait partie, qui n’en fait pas partie. D’où cette obsession propre à la bourgeoisie managériale de s’individualiser par des signes, et d’exclure, de cliver pour bien marquer des frontières dans un paysage incertain. Le passe sanitaire en fait partie : il y a ceux qui l’ont, et qui vont au restaurant, ou à la bibliothèque, et ceux qui ne l’ont pas, qui n’ont plus accès aux mêmes lieux que les “élus”. 

Parce qu’au fond la bourgeoisie managériale ne sait pas trop qui elle est, elle se forge une identité par des exclusions, des “je suis qui je suis en désignant qui je ne suis pas” (on se souvient de la phrase de Griveaux sur la France qui fume des clopes et roule en diesel) et elle exige de tous les postulants le respect de rites initiatiques qu’elle a choisis. Il ne faut pas être baptisé pour en faire partie (le baptême étant universel), il faut être vacciné. 

Bref, c’est une France à deux vitesses dont la bourgeoisie managériale a besoin. 

France de la certitude et France du doute

Au fond, la bourgeoisie managériale veut une France pleine de certitudes confortables. Il faudrait que l’on soit sûr de plein de choses : de notre prospérité, même relative, même décroissante, il ne faut pas qu’elle soit incertaine. Il faut qu’on soit sûr que les maladies n’arriveront plus, que l’on ne croisera pas de gens malades, que l’on n’attrapera pas de cancer en buvant trop, en mangeant trop de viande, trop de saucisson, trop de matière grasse, en fumant, en ne faisant pas assez de sport. Il faut que les experts nous disent quoi faire et comment vivre pour que tout se passe bien. 

C’est le triomphe du conformisme, de la bonne conscience, et du bien-être. 

Face à cette France de la certitude, prend forme peu à peu, la France du doute. Elle a derrière elle le privilège de l’âge, puisqu’elle fut cimentée par ce vieux Descartes qui faisait tabula rasa. Cette France-là aime son risque. Elle ne sait pas ce qui va lui arriver, mais ça lui va bien. Le risque qu’elle ne veut pas courir, c’est que l’Etat la tienne par la paletot en sachant tout d’elle. Elle ne veut pas non plus prendre le risque de recevoir un vaccin sans savoir au juste ce qu’il contient. 

Deux salles, deux ambiances au fond. 

Choisissez la vôtre. 




Traitement pour calmer la tempête de cytokines : une découverte russe qui sauvera beaucoup de vies

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Un groupe de scientifiques russes a créé un médicament qui pourrait potentiellement révolutionner le traitement du Covid-19 en désamorçant la réaction la plus catastrophique que la maladie provoque chez les patients, sans détruire leur réponse immunitaire.

Le médicament, appelé Leitragin, a été développé par le Centre de recherche en technologie biomédicale de l’Agence fédérale russe de médecine et de biologie (FMBA) et fait actuellement l’objet d’essais cliniques en Russie. Bien que sa substance de base était auparavant connue et utilisée dans la médecine du traitement des ulcères par les médecins soviétiques et russes, c’est l’équipe FMBA qui a découvert comment l’appliquer pour le traitement des cas graves de Covid-19 et d’autres maladies qui causent une inflammation pulmonaire potentiellement mortelle.

Les scientifiques russes s’étaient chargés de trouver une substance qui agirait comme un «interrupteur d’arrêt» pour la réaction en chaîne qui, après avoir été déclenchée par le virus envahissant SARS-CoV-2, provoque en fait une défaillance potentielle des organes et la mort. Cette réaction du système immunitaire, surnommée la « tempête de cytokines », a été diversement décrite comme une réaction excessive de notre corps au virus ou une « attaque suicide » contre l’agent pathogène envahissant, et même comme un mécanisme évolutif pour arrêter la propagation d’infections mortelles avec la mort de l’hôte.

Essayer d’arrêter cette réponse immunitaire incontrôlée tout en préservant la capacité du corps à combattre le virus sans causer plus de dommages est ce pour quoi les scientifiques et les médecins des unités de soins intensifs du monde entier ont lutté pendant la pandémie de Covid-19. À cet égard, le Leitragin est présenté comme un changeur de jeu, car son nouveau mécanisme agit de manière ciblée et serait totalement sans danger pour la santé.

RT a interviewé le chef de l’équipe de scientifiques russes derrière le Leitragin, et a parlé à un chercheur indépendant étudiant les tempêtes de cytokines, pour en savoir plus sur le potentiel du nouveau médicament.

À la recherche du déclencheur mortel

Une tempête de cytokines, également connue sous le nom d’hypercytokinémie, est déclenchée par de minuscules protéines messagères appelées cytokines, qui sont normalement les agents de confiance de notre corps pour traiter les infections, les inflammations et les traumatismes. Cependant, lorsqu’il s’agit de certains agents pathogènes dangereux tels que le H1N1, le H5N1, le virus Ebola et le SRAS-CoV-2, le système immunitaire peut décider qu’il est submergé par le virus et « devenir fou ». Cela peut entraîner une inflammation massive et, potentiellement, un choc septique et la mort, a déclaré à RT Maxim Skulachev, un associé de recherche de premier plan à l’Institut de recherche en biologie physicochimique de l’Université d’État de Moscou (MSU).

Jusqu’à présent, on pensait qu’une tempête de cytokines était causée par une libération incontrôlable de dizaines de types de cytokines différents, ce qui la rend difficile à contenir. Cependant, les scientifiques du FMBA Biomedical Technology Research Center disent qu’ils ont peut-être tout simplement trouvé le fond du problème et identifié un seul coupable clé.

Le groupe, dirigé par le chef du centre, Vladislav Karkischenko, a publié les résultats des essais précliniques de leur médicament sur des souris dans le Journal of Immunology Research fin septembre.

Au début, les scientifiques russes ont passé des mois à déterminer leur modèle d’infection Covid-19 – selon Skulachev, la réponse des rongeurs à la maladie ne correspond pas tout à fait à celle des humains, même chez les souris dites «humanisées». Ensuite, ils sont passés par un processus de dépistage de drogues et ont identifié une substance désamorçant ce qu’ils croient être une cytokine particulière déclenchant la tempête.

La cytokine en question est appelée protéine du groupe de boîte 1 à haute mobilité, ou HMGB1, a déclaré Karkischenko à RT. Libéré en masse par les cellules immunitaires lors de cas graves de Covid-19, il déclenche la libération de nombreuses autres cytokines, le transformant en un « processus incontrôlable ».

Des recherches antérieures n’ont pas considéré le HMGB1 comme la « cytokine principale », mais il est si omniprésent que son nombre pourrait être mille fois plus élevé pendant l’infection, a déclaré Karkischenko, ce qui indique qu’il est responsable de la « cascade finale de réactions ».

Nous pensons que cette cytokine de phase tardive [HMGB1] est le principal agent d’inflammation pendant [l’infection par] le SRAS-CoV-2

Les scientifiques de la FMBA ne sont pas seuls dans leurs hypothèses. La protéine HMGB1 a déjà attiré l’attention des chercheurs du monde entier et a été désignée comme cible thérapeutique potentielle dans le traitement du Covid-19.

Saluant « l’énorme quantité de travail » effectué à la FMBA, Skulachev de MSU dit qu’une équipe de son institut a obtenu des résultats similaires au cours de leurs propres recherches sur les tempêtes de cytokines. De plus, il pense que les deux équipes ont peut-être découvert indépendamment un « mécanisme de suicide évolutif » universel qui tue un organisme pour empêcher la propagation d’infections graves.

« Nous ne pouvons pas vivre sans système immunitaire. Si une personne a souffert d’une infection virale grave, il faut être méticuleux dans le choix du moment d’administration du médicament. Faites-le quelques heures trop tôt et un virus tuerait une personne par auto-réplication », a-t-il déclaré.

Dans leur recherche d’une solution, les chercheurs de la FMBA ont essayé un hexapeptide opioïde appelé [D-Ala2]-dynorphine 1-6, et les résultats se sont avérés étonnamment prometteurs. Les taux de mortalité chez les souris présentant des conditions induites chimiquement similaires aux tempêtes de cytokines chez l’homme ont diminué de quatre fois, a déclaré Karkishenko. Notant que les scientifiques occidentaux semblent se concentrer sur les opioïdes en tant que composants des analgésiques, il ajoute que ces substances sont beaucoup plus polyvalentes et peuvent également être inoffensives.

« Dans notre article, nous avons pu prouver que les récepteurs opioïdes déclenchent des processus avec un effet anti-inflammatoire massif tout en ne causant aucun dommage à une personne« , a déclaré Karkischenko.

En juin, Leitragin a été enregistré par les autorités sanitaires russes dans le cadre d’une procédure d’urgence. À cette époque, la FMBA a déclaré qu’elle avait déjà été testée sur quelque 300 volontaires et avait montré des résultats très positifs puisqu’aucun des patients, qui avaient reçu de le Leitragin, n’avait été admis dans des unités de soins intensifs ou n’était décédé. Ils avaient également tendance à récupérer plusieurs jours plus tôt que ceux qui avaient reçu un traitement « standard », a déclaré Karkischenko. Le Leitragin était initialement destiné à des tests sur des patients Covid avec une gravité modérée de la maladie, mais certains médecins se sont chargés de traiter les patients critiques, a-t-il ajouté.

« Ce médicament est conçu pour résoudre un problème insoluble. Ces patients n’ont pratiquement pas d’autres alternatives », a expliqué Skulachev, faisant référence à des cas graves de Covid.

« Développement majeur »

Malgré ce que Karkischenko dit être des résultats prometteurs, les scientifiques derrière le Leitragin doivent encore prouver son efficacité dans des études cliniques. Le centre travaille actuellement sur une publication à grande échelle qui impliquerait les résultats des essais cliniques et plus d’informations sur le médicament lui-même. Les hôpitaux russes, quant à eux, sont autorisés à traiter les patients avec le Leitragin dans le cadre d’une autorisation d’utilisation limitée.

« Il s’agit d’un mécanisme évolutif que nous avons hérité de nos ancêtres« , a déclaré Skulachev, ajoutant que le trait évolutif n’a pas rattrapé le fait que l’humanité a développé des vaccins et des médicaments pour faire face à de telles maladies.

« Résoudre un problème insoluble »

Actuellement, les médecins n’ont pas beaucoup d’options dans leur lutte contre la tempête de cytokines. Ils doivent soit utiliser des anticorps monoclonaux – des médicaments très coûteux capables de supprimer un seul type de cytokine – soit « tuer » complètement le système immunitaire avec des anti-inflammatoires stéroïdiens. Les deux méthodes présentent de sérieux inconvénients.

Les recherches du centre FBMA ont montré que la suppression des cytokines souvent ciblées pourrait ne pas toujours produire l’effet requis car la « tempête » pourrait continuer à faire rage après un bref répit, a déclaré Karkishenko. Skulachev, quant à lui, note que l’utilisation de stéroïdes hormonaux pourrait être encore plus dangereuse.

S’il s’avère efficace et sûr, cependant, le médicament peut s’avérer avoir des utilisations bien au-delà du traitement Covid-19, car il est conçu pour faire face à la réaction du système immunitaire et non à un virus spécifique.

« Le Leitragin vise à supprimer les processus inflammatoires« , a déclaré Karkischenko, ajoutant que « c’est un médicament basé sur une approche absolument innovante » et peut être utilisé pour traiter « diverses conditions« . Le centre FMBA travaille déjà sur différentes formulations de médicaments pour le Leitragin.

« Environ 80% de toutes les conditions critiques [chez les patients] dans les unités de soins intensifs sont liées à la tempête de cytokines et potentiellement à cette protéine spécifique qui la provoque« , a expliqué Skulachev, notant que « la gamme potentielle d’utilisations de ce médicament pourrait être extrêmement large« .

Cela pourrait être une évolution majeure. « 

Algora Blog | October 12, 2021 URL: https://wp.me/p7g3IJ-1oX

[Source originelle : Drug to calm cytokine storm: Life-saving Russian discovery could be key to stopping body’s ‘suicide attack’ in severe Covid cases — RT Russia & Former Soviet Union]




France — Le Sénat rejette une seconde fois la proposition de loi Vaccination Obligatoire contre le Sars-CoV 2

[Source : L’Informateur. (qactus.fr)]

Le Sénat rejette la proposition de loi Vaccination Obligatoire contre le Sars-CoV 2 : 262 voix contre et 64 voix pour.




Liste complète des sénateurs ayants votés « pour »…

Viviane Artigalas
Alain Duffourg
Gisèle Jourda
Sebastien Pla
David Assouline
Jérôme Durain
Patrick Kanner
Émilienne Poumirol
Joël Bigot
Vincent Éblé
Éric Kerrouche
Angèle Préville
Florence Blatrix Contat
Frédérique Espagnac
Marie-Pierre de La Gontrie
Claude Raynal
Nicole Bonnefoy
Rémi Féraud
Jean-Yves Leconte
Christian Redon-Sarrazy
Denis Bouad
Corinne Féret

Annie Le Houerou
Sylvie Robert
Hussein Bourgi
Jean-Luc Fichet
Jean-Jacques Lozach
Gilbert Roger
Isabelle Briquet
Martine Filleul
Monique Lubin
Lucien Stanzione
Rémi Cardon
Fabien Genet
Victorin Lurel
Jean-Pierre Sueur
Marie-Arlette Carlotti
Hervé Gillé
Jacques-Bernard Magner
Rachid Temal
Yan Chantrel
Laurence Harribey
Didier Marie

Jean-Claude Tissot
Catherine Conconne
Jean-Michel Houllegatte
Serge Mérillou
Jean-Marc Todeschini
Thierry Cozic
Olivier Jacquin
Michelle Meunier
Mickaël Vallet
Michel Dagbert
Éric Jeansannetas
Jean-Jacques Michau
André Vallini
Stéphane Demilly
Patrice Joly
Marie-Pierre Monier
Sabine Van Heghe
Gilbert-Luc Devinaz
Bernard Jomier
Franck Montaugé
Yannick Vaugrenard




Manipulations artificielles du climat et autres armes

[Source : Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]



Site de Jean-Pierre Petit, astrophysicien (jp-petit.org)




PCB : Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Il a été rapporté que :

« les évêques mexicains ont publié le 30 août quatre cas dans lesquels leur service de santé ne paiera pas les factures que le prêtre ne peut pas payer lui-même :

– lorsqu’un prêtre s’est exposé imprudemment au Covid ; »

Commentaire : De facto, tout peut être considéré comme imprudent : par exemple, le fait que le prêtre n’oblige pas les fidèles à porter des masques. Ainsi, tout opposant idéologique à la corona-psychose peut être innocemment puni.

« – quand il est testé positif au Covid-19, mais ne prend pas de mesures ; »

Commentaire : le Dr Montanari déclare que les tests PCR sont à 80 % peu fiables et utilisés à des fins de manipulation publique. Le virologue tchèque S. Pekova ajoute qu’un test positif ne signifie pas qu’une personne est malade. De plus, ces tests se sont avérés très dangereux. Ils endommagent les muqueuses, introduisent même des parasites et des nanoparticules dans l’organisme, et il y a eu des cas de rupture de la barrière hématoencéphalique. Les médecins mettent en garde contre ces tests.

– Dr Petrella : « Ne vous faites pas tester ! Une fois testé, vous serez obligé de vous faire vacciner. »

« – quand il n’utilise pas de masques [inutiles] ; »

Commentaire : Les médecins disent : Les personnes en bonne santé n’ont jamais été obligées de porter un masque. Le masque ne protège pas contre le virus ; au contraire, l’immunité chute rapidement. En portant un masque, une personne respire ses propres émissions et souffre d’un manque d’oxygène, ce qui a un impact négatif sur le fonctionnement du cerveau.

Idéologiquement, si un prêtre masqué fait face au peuple pendant la messe, tout cela n’est qu’un coup publicitaire pour tout ce système frauduleux, qui se poursuit avec des tests peu fiables et une vaccination expérimentale. C’est une parodie de Dieu et une manipulation des personnes qui mettent leur confiance dans les prêtres.

« – quand il refuse la « vaccination » [controversée et dangereuse]. »

Commentaire : Les évêques mexicains ont-ils au moins une connaissance élémentaire du vaccin à ARN messager ? Rappelons quelques faits :

  • 1) Qui fait la promotion du vaccin ? Le vaccin est promu par les pouvoirs en place. Pourquoi ? Pas pour le bien de la santé humaine; c’est tout le contraire, comme l’a révélé Bill Gates : « Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % » (dans la première étape). Les évêques mexicains, ainsi que le pseudo-pape Bergoglio, appliquent ce programme de mort à tous leurs prêtres, sous la terreur.
  • 2) Le vaccin à ARN modifié change le génome humain, et c’est un crime contre Dieu le Créateur ! Les évêques mexicains sont-ils conscients qu’ils forcent les prêtres et les croyants à cette rébellion ? À qui servent ces évêques ? Dieu ou Satan ?
  • 3) Le vaccin possède, comme base biologique, des tissus arrachés à un enfant vivant à naître avant qu’il ne soit tué. En imposant des vaccins à ARNm, les évêques mexicains promeuvent le meurtre sadique d’enfants à naître. Sous la morale catholique, ils sont sujets à l’excommunication – l’expulsion de l’Église.
  • 4) Les évêques mexicains savent-ils que le vaccin contient des nanoparticules et fait partie du processus de puçage de l’humanité ? L’Écriture met en garde contre cela, parlant de l’étang de feu. Ces Judas mexicains portant la mitre obligent les prêtres, ainsi que toute la nation mexicaine, à suivre le chemin qui aboutit à l’étang de feu. C’est une tragédie que la hiérarchie catholique apostate soit devenue la meneuse de la nation, et s’oppose au président du Mexique, qui s’oppose à la vaccination obligatoire et aux restrictions de liberté qui y sont associées.
  • 5) Ces loups épiscopaux mexicains déguisés en mouton savent-ils que la vaccination est une expérience interdite sur l’être humain en vertu du Code de Nuremberg, et qu’elle vise la réduction ou le génocide de l’humanité ? Ici, les imposteurs et les criminels religieux, qui vivent en parasites du Corps mystique du Christ, se sont clairement exposés. Ils travaillent astucieusement avec Bergoglio pour détruire l’Église ; non seulement afin de perpétrer un génocide physique, mais aussi pour jeter beaucoup d’âmes qui ont reçu la marque dans l’étang de feu.

Que disent les véritables experts, plutôt que le pseudo-pape Bergoglio ou les médias mensongers, à propos de la vaccination ?

Dr Vladimir Zelenko, États-Unis :

« Le ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. La vaccination nationale a commencé le 20 décembre. Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle et empoisonnée… C’est une arme biologique. Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », son corps devient une usine de production de protéines spike. »

Dr Dolores Cahill, Irlande :

« 90 % des vaccinés mourront dans les deux ans. »

Dr Ryan Cole, États-Unis :

« Le vaccin (à ARNm) est une toxine. Il provoque des micro-caillots, des réponses inflammatoires dans le cerveau, le cœur, les poumons… »

Pr Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et virologue :

« Après la vaccination contre le Covid-19, des caillots sanguins ont été retrouvés dans les vaisseaux. Lorsque vous faites vacciner votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins expérimentaux comme des expériences menées sur les êtres humains, expériences qui sont interdites. » (Voir Code de Nuremberg)

Le Dr Luc Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel de la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse :

« C’est le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. »

Nous demandons de quel droit et sur quelle base les évêques mexicains font du chantage et imposent des sanctions aux prêtres guidés par le bon sens, la conscience et les avertissements d’experts incorruptibles et honnêtes en virologie. Ces clercs sont-ils des experts en médecine ? S’ils scandent « le vaccin pour tous » comme un mantra, faisant appel au pseudo-pape Bergoglio, rappelons que Bergoglio s’est attiré une malédiction multiple, un anathème, pour crimes spirituels commis contre le Christ, l’Église et l’humanité. Il a intronisé le démon Pachamama, violant ainsi le Premier Commandement et introduisant l’idolâtrie païenne, ce qui conduit à l’apostasie du Christ vivant qui est le seul Sauveur. En promouvant la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les homosexuels, Bergoglio non seulement abolit les lois morales, mais attire le châtiment du feu temporel et éternel (2Pt 2:6; Jud 1:7) sur ceux qui se soumettent à lui. Quant au vaccin à ARNm, le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements urgents des meilleurs experts médicaux, et est consciemment impliqué dans le génocide sournois de l’humanité.

Posons une question à ces Judas mexicains : Bergoglio est-il un hérétique et est-il expulsé de l’Église, ou est-il un pape légitime ? « Si quelqu’un prêche un autre évangile, qu’il soit maudit (anathème) ! »(Gal 1:8-9) Bergoglio prêche un anti-évangile sodomite et du Covid, et donc, il est maudit, expulsé.

Chers évêques mexicains, nous vous demandons de vous repentir publiquement, de vous excuser auprès des prêtres et d’appeler la vérité la vérité, l’hérésie, l’hérésie et un crime, un crime. Si vous n’êtes pas disposés à vous repentir, laissez les prêtres et les croyants se séparer de vous en tant que plus grands ennemis du Christ et de l’Église, sur base des enseignements de l’Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 29 septembre 2021

Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Concernant la prière et les vaccins (vidéo)




Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…

[Source et auteur : LHK]

Nous avons vu dans notre dernière publication que l’OMS a l’ambition de s’approprier la gouvernance mondiale de la santé avec des conséquences définitives et irrémédiables sur l’autorité locale, celle-ci devenant une simple exécutante de l’organisation supranationale.

En faisant mes recherches sur la montée en puissance de l’OMS (vs l’autorité locale), je suis tombée hier sur des informations très intéressantes qui concernent la France, et curieusement 3 ministères sont signataires dont celui de la Santé de Agnès Buzyn, actuellement sur la sellette.
https://www.ouest-france.fr/politique/agnes-buzyn/justice-agnes-buzyn-affirme-n-avoir-aucun-doute-que-la-verite-sera-connue-95f88e73-51f7-4f29-9102-67db15e5b961

Ce n’est pas la première fois que nous parlons d’elle ici. Souvenez-vous quand nous avions découvert le dossier où la ministre de l’époque demandait le classement de l’hydroxychloroquine dans la catégorie des molécules vénéneuses. Nous avions alors trouvé que le timing de ce classement était incroyablement troublant par rapport à l’émergence du Covid.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/18/un-timing-troublant-qui-consista-a-compliquer-lacces-a-lhydroxychloroquine/

Nous avions parlé aussi d’elle dans l’étude du rôle de Alain Fisher, le monsieur vaccin de France, qui avait réussi à faire passer l’obligation de faire injecter 11 vaccins aux enfants. La ministre de l’époque était Mme Buzyn.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/24/alain-fischer-le-pediatre-qui-fait-le-grand-ecart-entre-la-recherche-scientifique-les-multinationales-et-les-fondations-rothschild-les-citoyens-doivent-se-mobiliser/

La vidéo ci-dessous montre à quel point Mme Buzyn était contestée dans le milieu hospitalier mis sous pression de manière chronique et interpellante.



D’autres scandales connus et moins connus avaient fait de la ministre de la Santé une personne encombrante à la fin de son mandat.

Ce décor planté, voici l’incroyable découverte que j’ai faite hier soir. Un décret avait été publié en mars 2020.

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Ce Décret daté du 12 mars 2020 est passé entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé. Jusque-là rien de spécial. Il y a une pandémie et un gouvernement décide de passer un accord avec un organisme mondial afin de définir la collaboration.

Texte du Décret et de ses annexes

decret-nc2b0-2020-243-du-12-mars-2020-portant-publication-de-laccord-cadre-entre-le-gouvernement-de-la-republique-francaise-et-oms-pour-un-partenariat-renforce-legifranceTélécharger

Ce texte converge de manière très précise avec les arguments relevés dans notre dernière publication.

Un accord-cadre qui couvre la période 2020-2025

Ce qui interroge plus, c’est le contrat-cadre qui est au coeur de ce décret. Or, il a été signé avec l’OMS à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. Au moment où le virus circulait déjà à Colmar…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/24/3-decembre-2019-au-moins-un-cas-avere-de-coronavirus-a-colmar/

… confirmé par la suite :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/10/le-sars-cov-2-circulait-sans-doute-en-france-des-novembre-2019_6069431_3244.html

La signature intervient après que des hospitalisations eurent lieu à Wuhan :
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-des-chercheurs-de-wuhan-hospitalises-des-novembre-2019-la-chine-dement-da7fb9bc-bc80-11eb-a359-3a714ef76b03

En décembre 2019, Paris ne pouvait ignorer ce qu’il se passait à Colmar ou à Wuhan. C’est d’autant plus vrai que Mme Buzyn a pris ses fonctions quelques semaines après l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan à laquelle assistait son mari Yves Lévy, à l’époque directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle ne pouvait donc ignorer que le virus circulait à ce moment.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/26/la-sulfureuse-cooperation-franco-chinoise-a-wuhan-challenges/

Or, nous retrouvons le nom de Mme Buzyn en tant que signataire de l’Accord avec l’OMS. Et ce papier est signé en décembre 2019, plus exactement le 31 du mois. Qu’est-ce qui justifiait cette précipitation?

Les signataires

En effet, l’accord-cadre (contrat) qui lie le Gouvernement de la République française et l’OMS pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025, a été signé à Paris le16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. On y notera la participation du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. En quoi est-il concerné à l’heure où on ne parlait pas encore de trouver des vaccins révolutionnaires, ni de tests, et de vaccination sur les lieux d’enseignement?

Quelques commentaires sur l’Accord

Dans cet accord, nous nous bornerons à relever quelques éléments intéressants. L’OMS est l’autorité directrice et coordinatrice des travaux en matière de santé mondiale. Elle est donc d’abord une Autorité qui a un rôle non seulement de coordination supranationale, mais aussi opérationnel sur le terrain. Et ce à l’intérieur de TOUS les pays du monde.

Réaffirmant le rôle de l’OMS, renforcé par le processus de transformation en cours, en tant qu’autorité directrice et coordinatrice des travaux en santé mondiale et garante de la santé de tous les peuples ;
Soulignant que la France et l’OMS souhaitent travailler ensemble à faire progresser la Couverture sanitaire universelle (CSU) et poursuivre leurs efforts vers la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies

extrait des objectifs de l’accord-cadre signé en 2019 entre la France et l’OMS

Cela signifie qu’il faut imaginer qu’un jour viendra où c’est l’OMS qui devra prendre le relai en matière de décision et de mise à disposition de ressources venues d’autres pays, à l’image du recrutement massif de personnel soignant libanais pour la France. Le tout en référence aux ODD qui sont les objectifs de l’Agenda 2030.

Peut être une image de 3 personnes, personnes debout et texte qui dit ’NOUS RECRUTONS La 1ère entreprise sociale d'Europe recrute des MÉDECINS Libanais, Libanaises Un salaire attractif, prise en compte de l'ancienneté et l'expérience Regroupement familial accéléré Une aide financière à l'installation Un accompagnement individuel et facilitateur Si vous êtes: Médecin Anesthésiste Réanimateur, Pédiatre, Gynécologue Obstétricien, Cardiologue, Pneumologue Endocrinologue, Chirurgien Digestif, Chirurgien Urologue, Chirurgien Orthopédiste, Ophtalmologue, Oncologue, Médecin Généraliste. Vous êtes prêt pour un nouveau départ en France? N'hésitez pas, envoyez votre CV beleyconsulting@gmail.com’
Le pillage des cerveaux est en cours après que la finance internationale ait mis en place un embargo sur tout ce qui permet non de vivre mais de survivre. La jeunesse et les gens les mieux éduqués sont cueillis facilement et pour bien moins cher que leurs équivalents locaux.

Dans son Article II qui décrit le champ et les domaines de coopération, nous relevons brièvement la référence à l’harmonisation, à la structure transversale des processus (cf nos travaux sur le Coup d’Etat planétaire), et à des ingénieurs sanitaires (cf nos travaux sur l’ingénierie sanitaire, la nanomédecine, etc Exemple:
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/).

Avec le recul, un objectif de ce texte attire particulièrement l’attention. Je rappelle qu’il a été signé le 16 décembre déjà à Paris. Soit AVANT que la crise du Covid ne démarre officiellement en Europe :

(…) une meilleure protection des populations face aux situations d’urgence sanitaire, notamment à travers le renforcement de la sécurité sanitaire, y compris la lutte contre les flambées épidémiques et les maladies à potentiel pandémique et la mise en œuvre du Règlement sanitaire international (RSI), notamment par les activités menées par le bureau de l’OMS à Lyon ;

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Administration des dons accordés à l’OMS

Un passage de cet accord-cadre mérite attention. Il s’agit d’un extrait du financement de l’OMS par Paris. Dans le point 3.4 des Dispositions financières, il est dit que:

« La France concourt aux mécanismes mis en œuvre par l’OMS avec ses donateurs afin de mieux prévoir et aligner les ressources disponibles de l’Organisation avec les budgets programmes approuvés par ses Etats membres, en particulier à travers les processus de dialogue financier. »

Coup de théâtre le 16 février 2020, Mme Buzyn quitte précipitamment son poste .

Création de l’Académie de l’OMS conformément à l’Accord-cadre et à l’Agenda 2030…

Le 24 février 2020 la France s’engage à verser 100 millions de dollars à l’OMS. Ca tombe bien puisque toutes les modalités d’administration des subventions étaient prévues dans le contrat signé en décembre 2019.

Voici un extrait du communiqué de l’OMS au sujet des 100 millions de subvention :

Aujourd’hui, le Ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, M. Jean-Yves Le Drian et le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, se sont rencontrés à la Mission permanente de la France auprès de l’Office des Nations Unies à Genève pour aborder la question, qui sera la plus grande plateforme de formation continue, et la plus innovante, dans le domaine de la santé mondiale.

L’Académie de l’OMS vise à atteindre des millions de personnes dans le monde, offrant un milieu d’apprentissage de haute technologie, constitué d’un pôle à Lyon et d’antennes dans les six Régions de l’OMS. L’Académie offrira des possibilités d’apprentissage aux dirigeants, aux enseignants, aux chercheurs, aux agents de santé, aux membres du personnel de l’OMS et au grand public et proposera des formations de grande qualité, multilingues, à la fois en ligne et en présentiel, et abritera un centre de simulation pour les situations d’urgence sanitaire à la pointe de la technologie.

La discussion qui a eu lieu aujourd’hui fait suite à une Déclaration d’intention signée par Emmanuel Macron, Président de la République française, et le Dr Tedros le 11 juin 2019 et à l’annonce par la France d’une contribution de US $100 millions (€90 millions) à l’OMS pour appuyer la création de l’Académie, qui sera une division interne de l’Organisation.

https://www.who.int/fr/news/item/24-02-2020-france-pledges-us100-million-for-who-academy

… Mme Buzyn devient ce septembre 2021 la directrice exécutive de ladite Académie de l’OMS!!! AJOUT

En clair, Mme Buzyn dirige en 2021 le centre qu’elle a créé avec l’OMS en 2019, la veille de quitter sa fonction de ministre de la santé. Ledit centre financé avec l’argent public français. Juste incroyable.

Soudain la crise des hôpitaux publics prend une autre allure

Le 13 janvier 2020, Mme Buzyn réagissait à la crise que connaît l’hôpital public:

« Dans certains endroits, la pression financière a été trop importante depuis 10 ou 15 ans et elle a dégradé considérablement les conditions de travail. Nous sommes dans une dynamique inverse », assure ce lundi sur franceinfo la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn alors que plus de 1 000 médecins ont signé une pétition et menacent d’abandonner – certains l’ont déjà fait – leurs fonctions administratives.

Et de poursuivre qu’elle dégageait « des financements dès ce mois de janvier : 150 000 euros ont été alloués aux hôpitaux dès ce mois-ci pour l’achat du matériel du quotidien« . Une somme ridicule donc en comparaison avec la donation de 100 millions de dollars à l’OMS…

Alors pourquoi?

La conclusion qui semble s’imposer à ce stade est que les gouvernants nationaux ont décidé de laisser couler les hôpitaux publics et autres assurances sociales au profit d’un système planétaire intégré et globalisé détenu par le marché de la finance (BigPharma entre autres).

Ce sont les financiers qui dirigent et dirigeront toujours plus la stratégie sanitaire locale et globale. Cela signifie très clairement qu’ils auront des droits sur le corps humain. Restera à envisager le sort des inutiles. A commencer par les personnes âgées…

Et ces gens ont des idées de ce que nous devrions être, faire et penser…

Entretemps, le personnel soignant des hôpitaux et les libéraux, clairement harcelés, risquent d’avoir des jours bien difficiles devant eux.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/04/la-medecine-financiarisee-est-numerique-elle-na-que-faire-dun-raoult-ou-dun-fouche/ https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/

LHK


Rappel :

https://lilianeheldkhawam.com/2021/10/11/important-loms-veut-lautorite-absolue-en-matiere-de-sante-publique-mondiale-alain-berset-en-fer-de-lance/




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Pourquoi tant de personnels soignants préfèrent perdre leur emploi que recevoir le « vaccin »

[Source : CrowdBunker]






Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère

Par Claude Janvier

Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère.

28 septembre 2021 : Emmanuel Macron a reçu un œuf sur l’épaule. Immédiatement, le lanceur a été placé en garde à vue, puis interné en hôpital psychiatrique. (1) Depuis, il y est toujours. Ça ne rigole pas dans notre beau pays. Un lancé d’œuf peut vous conduire direct en HP. Et là, vous n’êtes plus rien. Un psychiatre peut conclure à l’abolition de votre discernement et hop ! Bouclé, drogué, voire électrochoqué. — pardon sismochoqué, le terme est plus soft, voire plus chic qu’un électrochoc —, mais le résultat sera le même. Tout est une question de langage diplomatique et démagogique.

Hospitalisation d’office :

Depuis quelque temps, les hospitalisations d’office en hôpital psychiatrique d’opposants ou supposés gênants à la doxa gouvernementale sont à la mode.

— 10 décembre 2020 : le professeur Jean-Bernard Fourtillan, professeur émérite connu notamment pour ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, a été interné dans un hôpital psychiatrique. Il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes après son interpellation. Trois jours plus tard, un médecin a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique et le préfet a suivi ces recommandations. (2)

— Décembre 2020 : maître Bernard Ripert, ténor du barreau grenoblois, a été placé en garde à vue à Grenoble dans le cadre d’une procédure ouverte à la suite d’un incident survenu avec un magistrat. Puis, à cause d’une tension élevée, il a été hospitalisé, a reçu une expertise psychiatrique et a été interné sous contrainte. (3) (4)

— 14 juin 2021 : le professeur Éric Caumes, chef de service à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière, docteur en pathologie infectieuse et tropicale, clinique et biologique a été hospitalisé pour « décompensation psychiatrique ». Les sources proches du dossier déclarent qu’il est arrêté pour trois mois à ce jour. (5)

Quid de la facilité de faire interner quelqu’un ? Que dit la loi ?

« Comment se déroule l’hospitalisation sous contrainte ?

La personne hospitalisée sous contrainte est d’abord placée en observation, dans le cadre d’une hospitalisation complète. Dans les premières 24 heures, un médecin réalise un examen complet de la personne, et un psychiatre établit un certificat médical (article L 3211-2-2 du Code de la santé publique). Le certificat médical doit comporter le constat de l’état mental de la personne, et confirmer (ou infirmer) la nécessité de maintenir les soins psychiatriques. Puis, dans les 72 heures qui suivent l’admission, un nouveau certificat médical doit être établi. Si les deux certificats médicaux confirment la nécessité de maintenir les soins psychiatriques, le psychiatre propose alors un parcours de soins et de prise en charge du malade. Avant toute décision, précise la loi, la personne concernée “doit être informée et doit aussi être mise en mesure d’émettre un avis”.

La personne hospitalisée peut-elle contester ?

Depuis le 1er septembre 2014, la légalité de cet acte administratif individuel doit être examinée par le juge des libertés et de la détention dans un délai maximal de douze jours à compter de l’admission, ou à compter du retour en hospitalisation complète. Le tribunal judiciaire se prononce donc dans les douze jours sur la légalité et le bien-fondé de cet acte privatif de liberté pris par une autorité administrative (le Préfet ou un directeur d’établissement).

Donc, pendant 12 jours, vous pouvez être, sans votre consentement, bourré de psychotropes et/ou subir une “sismothérapie”. »

Qui peut lever l’hospitalisation sous contrainte ?

« Plusieurs personnes peuvent en décider.

Le psychiatre : il doit alors certifier que les conditions de l’hospitalisation sur demande d’un tiers ne sont plus réunies. Un certificat circonstancié doit mentionner l’évolution ou la disparition des troubles ayant justifié l’hospitalisation. Dans les vingt-quatre heures qui suivent la fin de cette mesure d’hospitalisation, le directeur de l’établissement en informe le représentant de l’État dans le département, le procureur de la République, et la personne qui a demandé l’hospitalisation.

Le juge peut aussi en décider. L’article L. 3211-12-1 — III du Code de la santé publique précise que “lorsque le juge ordonne une mainlevée, il peut, au vu des éléments du dossier et par décision motivée, décider que la mainlevée prend effet dans un délai maximal de vingt-quatre heures, afin qu’un programme de soins puisse, le cas échéant, être établi en application du II de l’article L. 3211-2-1. Dès l’établissement de ce programme ou à l’issue du délai [de 24 heures], la mesure d’hospitalisation complète prend fin”.

Le représentant de l’État dans le département (généralement le préfet) peut également ordonner la levée immédiate d’une hospitalisation à la demande d’un tiers lorsque les conditions de l’hospitalisation ne sont plus réunies. (6)

Le 19 juin 2020, le Conseil constitutionnel a ordonné au législateur de prendre des mesures pour que le maintien à l’isolement ou en contention en psychiatrie d’une personne hospitalisée sans son consentement soit contrôlé par un juge. En 2017, on estimait que 92 000 patients étaient enfermés en psychiatrie contre leur gré, parfois quelques jours, parfois plusieurs semaines (étude de la démographe Magali Coldefy). » (7) (8) (9)

Un médecin ou un psychiatre et un Préfet peuvent donc vous embastiller et vous pouvez vous retrouver sans le vouloir, drogué, voire plus grave électrochoqué. Et vu que dans un hôpital psychiatrique, vos droits sont réduits pratiquement à zéro, tout peut se faire sans votre consentement.

Vous pensez que j’exagère ? Vu l’historique de la psychiatrie, on peut légitimement se poser la question du bien-fondé de cette « science ».

Psychiatrie : une science vraiment ?

En essence, ce mot signifie médecine de l’âme. La psychiatrie s’est donc, dès le début, perdue en chemin. Si vous pensez guérir d’un passage à vide en allant voir un psychiatre, oubliez. Au mieux, vous tomberez sur un praticien qui vous écoutera et vous fera un peu de bien, mais en général, vous ressortirez avec une ordonnance vous prescrivant un ou plusieurs neuroleptiques.

La psychiatrie a son origine dans les traitements médicaux les plus inhumains. Les neurologues portugais Egas Moniz et Almeida Lima de l’Université de Lisbonne ont reçu un Prix Nobel en 1949 — incroyable, mais vrai ! — pour l’invention et la formalisation de la lobotomie en 1935. En gros, la lobotomie était un trifouillage de votre cerveau se faisant découper ou sectionner par un « boucher chirurgien ».

Vous êtes bien assis ? Prenez un petit cognac, car ce que vous allez lire n’est pas de la science-fiction.

Lobotomie : une horreur absolue

En 1936, le Dr Egas Moniz, neurologue, inventa la lobotomie au « pic à glace ». La technique constitue à enfoncer un pic à glace au coin de l’œil pour atteindre le cerveau, et plus particulièrement le lobe frontal. Cette partie gère, soi-disant les émotions. Le but était donc de créer une lésion au cerveau pour toutes les pathologies, qui à l’époque, relevaient d’un trouble de l’émotion : dépression lourde, schizophrénie, homosexualité et bien d’autres états…

Un de ses disciples, le docteur Walter Freeman, entre 1945 et 1954, parcourut les États-Unis dans sa « Lobotomobile » — véridique — et lobotomisa à peu près 4 000 personnes en enfonçant un pic à glace après avoir soulevé une paupière. Le plus souvent sans anesthésie. À peu près 100 000 personnes furent lobotomisées dans le monde à l’époque. Il faudra attendre 1960 pour que cette abomination soit rayée du menu des « soins » psychiatriques.

À noter qu’en 1941, Freeman opéra la plus célèbre de ses patientes, Rosemary Kennedy, sœur du futur président, âgée de 23 ans. Souffrant, selon ses parents et la thèse officielle, d’un léger retard mental et de trouble de l’humeur, elle subit l’opération, en resta incontinente et passe le reste de sa vie dans un état quasiment végétatif. La lobotomie n’est plus en application heureusement, mais l’électrochoc est toujours réalisé. (10) et (11)

L’Électrochoc : une thérapie ?

Mode d’emploi : le psychiatre envoie un courant électrique dans votre cerveau afin de créer une crise convulsive. Contrairement aux débuts de « l’électrothérapie » le patient est aujourd’hui mis sous anesthésie générale courte (5 à 10 minutes) — ouf, nous voici rassurés, quoique… Car le produit injecté est du curare — oui vous lisez bien —, une substance provoquant une paralysie des muscles, afin de prévenir les convulsions musculaires et éviter qu’il ne se blesse — . Toujours partant pour essayer ?

En bref, cette pratique barbare n’a aucun intérêt, sauf de vous cramer les neurones. Malgré le fait que ce procédé ne soigne pas, la médecine traditionnelle vous en vante toujours les mérites, sous le nom plus chic, mais toujours aussi choc, de sismothérapie. En revanche, la petite cure de « sismo » risque fort de faire de vous un légume au fil des années.

Au final, ce court-jus cervical peut s’avérer bien pratique afin de museler des opposants politiques, ou des gens en petite ou grande détresse mentale. D’ailleurs, les effets secondaires sont significatifs : maux de tête, nausées, et pertes de mémoire à court, moyen ou long terme. Sympa !

Ajoutez à une petite « sismo », un cocktail de neuroleptiques, plus communément appelé « camisole chimique » et vous obtenez un lavage de cerveau très efficace. Vous devenez branché ou à la masse — c’est peut-être là l’origine des deux expressions —. Plus aucune résistance. Tout passe par le bon vouloir du psychiatre qui, suivant son humeur, peut vous délivrer de cet enfer ou vous y maintenir.

Ce qui est incroyable sont les tonnes de louanges figurant dans des sites médicaux, tel que « Passeport santé » (12) par exemple sur ce genre de pratiques et autres.

Louanges que vous avez certainement déjà lues concernant par exemple des médicaments néfastes et des affaires scandaleuses tel que le Médiator, le Distilibène, l’Isoméride, la Dépakine, le Vioxx, les vaccins H1N1, le Lévothyrox et de bien d’autres comme l’histoire ubuesque du Remdesivir dont l’Union européenne a acheté pour plus 1 milliard d’euros de doses juste avant que l’OMS le déconseille contre la Covid-19…

À ce propos, les vaccins Covid-19 qui malgré le fait qu’ils soient toujours en essais cliniques, sont injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires. — Union européenne – dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens —(13)

Mais à écouter la presse mainstream, le gouvernement et la haute caste médicale, les nouveaux vaccins sont si « merveilleux » ! Donc, ceux qui croient encore que les laboratoires pharmaceutiques œuvrent afin d’améliorer votre santé feraient bien de réviser leur copie. Rares sont les médicaments chimiques efficaces vous menant à une guérison complète. En revanche, les bénéfices sont énormes pour les labos et leurs actionnaires.

Bénéfices ultra juteux :

La psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont compris que si chaque comportement pouvait être redéfini comme une maladie mentale, il serait alors possible de vendre des quantités considérables de psychotropes censés modifier les comportements. C’est ainsi que l’on a vu se multiplier le nombre de « troubles mentaux ». Ces derniers sont répertoriés depuis 1952 dans le DSM, Diagnostic Statistical Manual, un ouvrage publié par l’Association Américaine de Psychiatrie, véritable bible mondiale de la psychiatrie.

En 1952, la première version du DSM recensait 112 troubles. En 1968, une nouvelle édition comptait 182 troubles. Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième édition et à 374 troubles mentaux recensés.

Ainsi, par exemple, la timidité est devenue le trouble d’anxiété sociale et il existe bien sûr un antidépresseur supposé le traiter. En 2012, est sortie la cinquième édition du DSM. De nouveaux troubles sont apparus. Ainsi, le trouble de l’acheteur compulsif, le syndrome d’aliénation parentale, le trouble explosif intermittent (colère), le trouble d’alimentation excessive et le trouble relationnel devraient tous faire partie des maladies mentales à traiter. La stupidité et la cupidité ne sont toujours pas traitées… Dommage.

Quelques chiffres :

En 2012, il s’est vendu 131 millions de boîtes de médicaments psychotropes en France. Soit deux boîtes par habitant. À quatre euros le prix moyen d’une boîte de psychotropes, cela fait 524 millions d’euros par an de CA. Bien loin d’être neutre.

À noter qu’en 2018, le chiffre d’affaires des médicaments en France s’élevait à environ 29 milliards d’euros. Chiffre d’affaires mondial en 2020 des médicaments : 1 046 milliards de dollars. (14) et (15)

Edouard Zarifian, un rare psychiatre honnête

« Dans son rapport, publié en 1996, concernant la prescription et l’utilisation de médicaments en France, le regretté Édouard Zarifian, psychiatre hospitalier universitaire à Caen avait écrit : “La France consomme plus de médicaments que les pays de niveau économique comparable. Les psychotropes, en particulier, sont trois fois moins utilisés en Allemagne ou en Grande-Bretagne. En France, ‘l’évolution totale de la classe de psychotropes est due à l’augmentation des ventes d’antidépresseurs. Cette classe thérapeutique a connu une augmentation de 5,63 % par an en moyenne de 1990 à 1994’, soit une hausse en dépenses de 10 % par an. ‘Si le taux de croissance de la Grande-Bretagne paraît plus élevé que celui de la France dans la période 1990-1994, il faut noter que le volume de prescriptions [d’antidépresseurs] en France en 1990 était de 40 % supérieur à celui de la Grande-Bretagne à la même époque. […]»

Les femmes en consomment plus que les hommes. 22,7 % de femmes contre 12,9 % pour les hommes, et plus elles avancent en âge, plus la consommation augmente jusqu’à 75 ans. Les adolescents ne sont pas épargnés et comme pour les adultes, ce sont les adolescentes qui en prennent le plus : 23,4 % contre 13,8 %. Et dans un tiers des cas, ce ne sont pas les médecins qui prescrivent en première intention ces psychotropes, mais leurs parents qui prennent sur leur bonnet de leur en donner, car leurs médecins leur ont fait une ordonnance !

Il n’existe actuellement aucune réflexion dans le milieu médical, et en particulier dans le milieu psychiatrique académique, sur l’éthique de la prescription de médicaments psychotropes. Les leaders d’opinion restent muets face à l’abaissement de la limite entre le normal et le pathologique, ouvrant de nouveaux marchés à la prescription ; […] ils acceptent la banalisation de l’utilisation des psychotropes pour lesquels il n’existe nulle part de pharmacovigilance spécifique de leurs possibles effets psychiques indésirables. […] Il existe une intentionnalité claire de fournir exclusivement aux médecins généralistes ou aux spécialistes, par la voie de discours académiques, une représentation monolithique réduite aux seuls symptômes accessibles aux seuls médicaments.” Alors que “pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques, médico-économiques, sont suscitées, financées et exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie ou par des sous-traitants qu’elle rémunère.” » (16)

Après cet exposé clair et concis, revenons aux « pilules magiques » qu’une majorité de gens avalent comme des boules de gomme.

Pilules et vaccins magiques : une relation ?

« La collectivité débourse environ un milliard d’euros chaque année pour ses petites pilules du bonheur quand la moitié voire les deux tiers pourrait être facilement économisé. Ajoutons à cela, le prix des dizaines de milliers de journées d’hospitalisations liées aux effets secondaires. Mais surtout, la facture est très lourde sur le plan humain. On a tendance à l’oublier, mais les psychotropes agissent en modifiant la chimie de nos neurones. Mal prescrits, mal utilisés, ils peuvent mettre le feu dans le cerveau et être à l’origine de détérioration cérébrale (troubles de mémoire, voire Alzheimer), modifications du comportement (agitation, confusion mentale, désinhibition…), malformations du fœtus, accidents de toute sorte (voitures, chutes notamment des personnes âgées) et jusqu’à des actes de violence de type infanticides, homicides, suicides. »

Nous avons donc une population sur-gavée de neuroleptiques, donc droguée et de facto avec une réflexion amoindrie. Corollaire : l’acceptation aussi rapide par une majorité de gens d’un liquide expérimental appelé trompeusement vaccin ne peut se faire qu’avec une réflexion amoindrie, ce qui expliquerait en partie cette ruée inexplicable. Bien que chaque personne, droguée ou non, peut toujours conserver un certain pourcentage de lucidité et ne pas être en accord. Mais le désir de voyager, de manger au resto et d’aller siroter sur une terrasse son verre de Spritz avec son bol de pop-corn vaut bien une piquouse… Vendre son âme pour un shoot… Pathétique et affligeant. (17)

Le Prozac est à la mode et se vend sans ordonnance sur Internet.

Hé oui, vous pouvez vous droguer tranquille.

Extrait de « Santé Féminine » : — le titre de ce canard serait-il trompeur ? — .

« Pourquoi faut-il prendre le Prozac ?

Le Prozac est un médicament de la famille des inhibiteurs sélectifs du re captage de la sérotonine, on l’utilise dans le traitement de la dépression où il aide à améliorer l’humeur. Nombreuses sont les personnes qui font usage de cet antidépresseur efficace aux effets secondaires réduits. La substance active contenue dans le Prozac est la Fluoxétine qui est un psychotrope de type inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS). La Fluoxétine a été développée par la firme Eli Lilly en 1974 et mise sur le marché pharmaceutique sous le nom commercial de Prozac en 1986. La Fluoxétine va agir au niveau de certaines parties du cerveau en augmentant le niveau de la sérotonine qui est un neurotransmetteur. Les bienfaits du Prozac sont souvent visibles au bout de quelques semaines après le début du traitement. Il sera donc possible d’attendre quelques semaines avant que l’effet de la Fluoxétine n’atteigne son seuil maximal. En plus de traiter la dépression, le Prozac permet également de réduire ou d’éliminer les symptômes du trouble obsessionnel compulsif et pour traiter la boulimie, un trouble de l’alimentation. En effet, la FDA qui est l’équivalent de l’Agence européenne des médicaments (AEM) aux États-Unis a approuvé l’utilisation du Prozac 60 mg par jour pour le traitement de la boulimie. De façon simple, vous pouvez utiliser le Prozac pour la perte de poids, mais ceci sous le contrôle d’un spécialiste. Le Prozac peut donc être prescrit pour : épisodes dépressifs majeurs. Troubles obsessionnels compulsifs. Boulimie, trouble dysphorique prémenstruel.

Prozac en France :

En France, le médicament Prozac est très demandé, il est d’ailleurs le troisième meilleur médicament le plus vendu. Les chiffres parlent d’eux-mêmes avec près de 11,2 millions de boîtes achetées et 1 million de Français par an à prendre du Prozac. Les avis des Français sont divergents : beaucoup le trouvent génial, et à ce titre, il a d’ailleurs reçu le petit nom de pilule du bonheur ou pilule de tous les fantasmes, celle qui fait jouir. Suite à l’expiration du brevet Prozac détenue par Eli Lilly d’autres laboratoires ont également développé et commercialisé la Fluoxétine, ainsi, on trouve plusieurs génériques Prozac en vente en France. Le Prozac générique est également en vente sous le nom de Sarafem.

Prozac sevrage : ça se gâte.

Un arrêt brutal du traitement Prozac peut entraîner des symptômes de sevrage. Le risque de symptômes de sevrage dépend de plusieurs paramètres comme : posologie, durée du traitement, rythme de diminution de la posologie. Les réactions les plus fréquentes rapportées étaient les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels, troubles du sommeil, asthénie, agitation ou anxiété, nausées, tremblements, céphalées. L’arrêt du traitement Prozac doit se faire de façon progressive en diminuant la dose.

Prozac effets secondaires :

Les effets indésirables du Prozac fréquemment rapportés sont : céphalées, nausées, insomnie, fatigue, diarrhée. Les effets indésirables peuvent diminuer en intensité et en fréquence lors de la poursuite du traitement sans toutefois que l’arrêt du traitement ne soit nécessaire. » (18)

Et vous faites toujours confiance aux labos ?

La drogue du violeur

Un benzodiazépine hypnotique, le Zolpidem reste la principale « drogue du violeur »

La soumission chimique, en vue d’agression sexuelle, de vol ou de maltraitance, est liée dans les trois-quarts des cas à la prise d’un médicament, benzodiazépine en tête.

« La soumission chimique consiste en l’administration à des fins criminelles ou délictuelles (agression sexuelle, vol, maltraitance) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace. En 2017, ces méfaits, qui touchent principalement les femmes, sont en augmentation de 36 % par rapport à 2016, avec 462 cas de soumission chimique rapportés, selon une enquête publiée le 13 mars par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Dans les trois-quarts des cas, un médicament est impliqué : 4 fois sur 10, il s’agit de benzodiazépines ou apparentés.

Le produit le plus utilisé reste le Zolpidem. Il est suivi du Diazépam, puis du Bromazépam et de la Zopiclone. “L’utilisation du Zolpidem a toutefois amorcé une baisse, alors que le recours au Diazépam et à la Zopiclone a bien progressé. Quant au Clonazépam, il persiste encore, mais en faible proportion”, indiquent les auteurs de l’enquête. On retrouve également des sédatifs divers, avec sur le podium la Cyamémazine, les antipsychotiques puis l’Hydroxyzine. Enfin, parmi les substances non médicamenteuses utilisées, le MDMA se maintient en tête et voit son chiffre doubler par rapport à 2016, et le GHB a été détecté dans 3 cas. » (19)

Donc, la drogue du violeur est un médicament chimique inventé par des labos. Pas belle la vie ?

Et vous faites toujours confiance aux labos ? Oui, je sais, je me répète, mais c’est au cas où…

Oligarchie mondiale financière apatride :

Les liens entre les laboratoires pharmaceutiques, la psychiatrie, et l’oligarchie mondiale financière sont évidents. Tout ce « beau linge » marche ensemble, engrange des bénéfices indécents, tout en regardant la majorité de la population planétaire obtempérer sans résistance. Droguez-vous en paix, dormez en paix, moutonnez en paix braves gens, nous veillons sur vous… Continuez à ne vous préoccuper que de futilités, nous nous occupons du reste. Désolé, si certains n’apprécient pas mes propos, mais le fait est que, si la majorité de gens refusait que des lois liberticides soient votées et appliquées, nous n’en serions pas là.

Ajoutez à cela la facilité avec laquelle la majorité a accepté le port du masque généralisé, a accepté sans broncher l’injection d’un liquide expérimental, — encore sous essais cliniques, a accepté le passe sanitaire de la honte, et enfin accepte de continuer à se bourrer de médicaments nocifs à la santé, nous n’en serions toujours pas là. C’est bien normal de s’occuper de sa vie, de sa famille, de sa petite auto et de ses vacances, mais c’est très loin d’être complet. La vie embrasse beaucoup de domaines, à commencer par la vie en société, la politique, les relations avec les autres, les animaux, la planète et la spiritualité.

À noter que les vaccins Covid-19 n’ont bénéficié à leur lancement que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en raison du fait que les expérimentations, normalement réalisées d’abord avec des animaux infectés, puis avec des patients infectés afin d’observer le degré de succès du médicament sont insuffisantes pour en garantir l’efficacité et la sûreté. C’est également la raison pour laquelle les fabricants de produits à ARNm ont demandé à être déchargés de leurs responsabilités quant aux effets secondaires pouvant survenir. De ce fait, leur injection viole l’article 32 de la Convention de Genève de 1949. Cet article stipule que « les mutilations et les expériences médicales ou scientifiques non nécessaires au traitement médical d’une personne protégée » sont interdites.

Au-delà de quelques familles connues — Rothschild, Rockefeller, Warburg — pour leur fortune et leurs implications dans l’organisation et l’établissement d’un gouvernement occulte mondial, il est nécessaire de souligner que depuis quelques années, l’oligarchie mondiale financière apatride a pris l’aspect de groupes financiers mondiaux tentaculaires, dirigé au sommet par la City de Londres et possédant des actions dans presque toutes les sociétés mondiales. Leurs valets obéissants et ultra-friqués tels que Bill Gates, George Soros, et les GAFAM — Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft — s’assurent de la propagande, du noyautage des états et de la censure. (20)

Tout ce beau monde ultra protégé par une armée de mercenaires et de gardes du corps, s’assure d’emmagasiner toujours plus d’argent tout en se faisant construire, en Nouvelle-Zélande par exemple, une villa bunker tout confort — piscine intérieure, jacuzzi, lumière artificielle, etc. –

Un exemple :

« Le milliardaire Peter Thiel, fondateur de PayPal et de Palantir, a lancé le mouvement en 2015, en achetant pour près de 12 millions d’euros une ferme et près de 200 hectares de terrain sur les rives du lac Wanaka, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Il y a fait construire une pièce ultra sécurisée. Avec quatre autres entrepreneurs de la Silicon Valley, dont Sam Altman, patron de Y Combinator, il garde toujours un avion prêt à s’envoler et à traverser 7 000 kilomètres au-dessus du Pacifique au moindre signe d’apocalypse ou de révolte sociale. L’un d’entre eux avoue même conserver dans son garage de San Francisco une moto et des armes, pour rejoindre au plus vite l’avion privé. » (21)

Parano les cocos. Altération mentale en vue, mauvais signe ! Un petit Prozac ? Il parait que ça détend…

Vanguard, BlackRock, State Street sont les nouveaux empires financiers tentaculaires. Time Warner, Comcats, Disney, News Corp appartiennent aux deux premiers, contrôlant ainsi plus de 90 % des médias américains. À eux trois, ils détiennent des participations dans 1600 entreprises américaines avec des revenus combinés en 2015 s’élevant à 9 100 milliards de dollars. Bagatelle !

Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenus par ces quelques investisseurs. Ils sont tous propriétaires interactifs. Des marques concurrentes comme Coca-Cola et Pepsi ne le sont pas, puisque leurs actions sont détenues par ces conglomérats. La mondialisation financière dans toute sa splendeur. Un rapport de Bloomberg indique que ces deux sociétés, en 2028, auront ensemble des investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout.

Vanguard, le principal actionnaire de BlackRock depuis mars 2021, n’est pas coté en bourse. Ceux qui possèdent Vanguard n’aiment apparemment pas être sous les feux de la rampe : Rothschild Investment Corp et Edmond De Rothschild Holding en font partie, tout comme la famille italienne Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller, etc. Toujours les mêmes !

BlackRock et Vanguard possèdent Big Pharma. En février 2020, BlackRock et Vanguard étaient les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline, avec respectivement 7 % et 3,5 % des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée, Vanguard étant le premier investisseur et BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.

Vous n’y croyez toujours pas ? Un exemple : Merckgroup.

Page de pub du site de Merck : « C’est une équipe vibrante de spécialistes dans les domaines de la Santé, des Sciences de la vie et des Matériaux de haute performance. Chez Merck, nous partageons le même amour de la science et la même passion pour la technologie. » (22)

Oh, que c’est beau ! Sauf que le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod-Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non-exhaustive). N’en jetez plus… Les grandes sociétés françaises du CAC -40 sont aussi gangrenées. J’avais presque oublié que Vanguard est également le principal actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs.

Blackrock Inc., est n° 1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020.

Vertigineux. Dans l’absolu, on pourrait penser qu’un gouvernement mondial serait une bonne solution, car il éviterait les querelles et guerres inutiles entre pays et qu’au final, tous les citoyens de cette planète bénéficieraient de la bienveillance de ces « bons samaritains oligarchiques ». Sauf que ce n’est pas le cas. Leurs âmes sont noires et leurs desseins sont tout, sauf altruistes.

La meilleure preuve en est qu’avec autant d’argent empilés dans des actions, des comptes bancaires numérotés et des stocks options, la misère, la faim, l’illettrisme et la pauvreté n’ont toujours pas disparu de la planète et sont même plutôt en augmentation. Donc, bémol, il y a, et bémol, il y aura si nous leur laissons le champ libre.

Claude Janvier


Ecrivain polémiste.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/




Cette révolte des peuples contre la tyrannie sanitaire dont les médias subventionnés ne parlent pas

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

Les oppositions à la dictature sanitaire, qui a désormais pris la forme de la vaccination forcée, sont désormais nombreuses et répondues dans tous les pays. Il est important d’en prendre conscience car les médias subventionnés garderont le silence à leur propos tant qu’elles pourront. Peut-être l’Italie va-t-elle représenter un point de basculement, si le pays entre dans une vraie grève générale. Mais il est important de comprendre qu’aucun de ces combats n’est inutile. Ceux-ci font douter la caste au pouvoir. Ils retardent d’autant la possibilité d’imposer une vaccination universelle. Ils laissent à tous ceux qui enquêtent sur le caractère bâclé des vaccins proposés, le temps d’étayer leurs études. Nous devons être optimistes. À la fin les peuples reprendront le contrôle.

Il est 16h22 ce mardi 12 octobre 2022. Avez-vous participé, dans notre fuseau horaire, au Black Out mondial, entre 16h et 16h21, qui voulait que nous cessions de nous servir de nos appareils électriques et électroniques? Vous n’étiez pas au courant? Mais quelles sont vos sources d’information?  Vous n’en aviez pas entendu parler sur BFM TV ni dans le Monde? C’est normal. Vous devriez diversifier vos sources d’information et vous abonner à quelques canaux télégrammes où vous saurez ce qui se passe actuellement dans le monde. Car on assiste à une révolte mondiale des peuples de plus en plus marquée. Il arrivera certainement un moment où cela ne sera plus possible pour les médias subventionnés de dissimuler ce qui se passe. En attendant, proposons un tour du monde. 

La caste est inquiète : elle crie au complot

Les complotistes, dans notre monde, sont d’abord les tenants du système. Lisez bien le tweet publié hier par Madame Haim, correspondante à Washington pour divers médias subventionnés français, se sent obligés de parler de la grève, par refus de la vaccination obligatoire, qui a obligé la compagnie Southwest, la fin de semaine dernière, à annuler 2000 vols. Une grève qui continuait lundi. Il suffit de se documenter en anglais sur internet pour comprendre la gravité de la situation. Au public français, Madame Haim préfère servir sa mauvaise soupe conspirationniste: un peu de trumpisme, un peu de Qanon, et hop, voilà le spectre de l’extrême droite qui débarque. De même, franceinfotv s’est fait l’écho de la la très importante manifestation de Rome, samedi dernier uniquement sous l’angle de “l’ultradroite” et des incidents de fin de manifestation. 

En réalité, si Madame Haim faisait son travail sur ce qui se passe aux Etats-Unis, elle devrait parler de la division croissante entre Républicains et Démocrates sur le sujet de la politique sanitaire.  le gouverneur du Texas a interdit la vaccination obligatoire, y compris chez les employeurs du secteur privé. Quant à l’Italie, on peut se demander dans quelle mesure elle pourrait somber dans le chaos dans les prochains jours. 

L’Italie est-elle proche de la grève générale?

Le compte twitter @AnonymeCitoyen fait un énorme travail d’information de même que de nombreux canaux Telegram. Son animateur juge anormal que les médias subventionnés ne rapportent pas les faits. Mais il s’agit d’un fait bien établi: sinon, ils n’auraient pas besoin de subvention pour survivre, puisqu’ils draineraient assez de lecteurs ou d’auditeurs. Alors, oui, il vaut mieux s’informer aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Et constater que la presse étrangère est souvent moins verrouillée que les médias français établis. La presse italienne, en tout cas, commence à devoir parler de la situation très instable dans le pays. 

Pour la seule journée d’hier, Alitalia a été obligée d’annuler 127 vols. Les lignes du métro de Rome ont été profondément perturbées. Des manifestations fournies ont eu lieu  dans une quarantaine de villes qui ont rassemblé 100 000 personnes dans toute l’Italie. De façon significative, les manifestations s’emparent aussi du sujet des augmentations du prix de l’énergie. Et à Piacenza, un entrepôt d’Amazon a été bloqué. Un million de personnes se sont mises en grèves. 

Ce matin 12 octobre, le port de Gênes était bloqué par les dockers et les routiers. Le port de Trieste était menacé du même sort. Et le bilan social de la journée devrait être équivalent à celui d’hier. 

On est à J-3 du pass sanitaire obligatoire dans toutes les entreprises du pays. Or il y a encore des milliers de policiers non vaccinés et qui ne pourront pas prendre part au maintien de l’ordre puisqu’il refuse de se faire vacciner. Un syndicat de police a voulu rencontrer la ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese. Mais elle n’a pas daigné même envoyer un message.  le pays risque-t-il de sombrer dans le chaos vendredi? 

Résistances à travers le monde : pourquoi elles sont utiles

Quand on prend l’habitude se s’informer hors des médias subventionnés, en particulier français, on prend conscience de la multiplication des points de résistance dans la monde. 

Depuis deux semaines, on a recensé des manifestations contre le pass sanitaire ou la vaccination obligatoire, en Belgique, aux Pays-Bas, en Slovénie, en Israël, en Suisse, en France. Dans notre pays, non seulement les manifestations du samedi continuent mais l’outre-mer est largement mobilisé : AntillesGuyane, Polynésie, Nouvelle Calédonie. 

Un point particulier de fixation a été, ces dernières semaines, l’Australie, celui des pays occidentaux où, sans doute, les attaques du gouvernement contre les Principes du Droit (rule of law) ont été les plus fortes, avec des gouvernements d’Etats poursuivant brutalement un objectif de “Zero Covid” et testant des systèmes de quarantaine surveillée. Des manifestations ont eu lieu qui ont été l’occasion d’une répression policière contestée (en particulier à Melbourne) mais aussi le refus d’une partie de la police d’appliquer les mesures gouvernementales de répression mais aussi la vaccination obligatoire

Bien entendu, les pessimistes souligneront les effets de la coercition – l’acceptation de la vaccination par une majorité de la population. Mais c’est oublier que ce qui se joue n’est pas seulement la vaccination 2021, c’est le risque d’être enfermé dans un système de vaccination récurrente. C’est la généralisation de la vaccination obligatoire. Au moment où je finis cet article, une foule de quelques centaines de personnes s’est rassemblée devant le Sénat, à Paris, pour rappeler aux sénateurs qu’il ne s’agit pas de faire rentrer par la fenêtre le rejet de l’obligation vaccinale qui a eu lieu en Commission le 6 octobre 2021. 

Et puis rappelons-nous qu’un grand nombre de pays, à commencer par l’Inde et des pays africains, sont en train d’apporter la preuve qu’il est possible de vaincre l’épidémie de Covid sans vaccins – par exemple avec l’Ivermectine. Or l’industrie pharmaceutique souhaiterait y imposer des politiques de vaccination généralisée. Résister dans nos pays – en particulier contre les poussées vers la vaccination des enfants – est essentiel pour faire gagner du temps et permettre aux personnes qui font ressortir les effets secondaires graves de vaccins bâclés de gagner en audience. 




L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe

Par Gérard Delépine

« On ne sait jamais le jour où son voisin devient fou ».

Vieux proverbe africain

Depuis le début de la crise, les gouvernants et les médias occidentaux tentent de nous faire croire que leur stratégie sanitaire « confinement — pas de traitement — tout vaccin » est la meilleure et la seule possible.

Mais certains pays africains par choix et/ou nécessité ont fait autrement et s’en sont plutôt bien trouvé. Nous analysons ici l’évolution du Covid dans différents pays africains selon leurs stratégies.

Les faits bruts : nombre de cas et mortalité

En Afrique, un peu plus de 8 millions de cas (3 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial) ont été recensés alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

Le nombre de cas est certainement sous-estimé du fait de l’insuffisance chronique de tests, aussi nous nous concentrerons dans cette analyse sur la mortalité Covid. Rappelons d’emblée que sur les 200 000 morts africains, environ 45 % des morts déclarées l’ont été dans un seul pays, l’Afrique du Sud.

Compte tenu de la population de 1,3 milliard, la mortalité Covid africaine globale est de 153 par million (80/million en excluant l’Afrique du Sud), soit 12 à 22 fois plus faible qu’en France qui en compte près de 1800 par million.

Cette très faible mortalité africaine est d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus médiocres que le nôtre, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés.

D’ailleurs depuis le début de la crise les médias avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent(([1] La catastrophe politique du Covid-19 en Afrique, selon le Quai d’Orsay
https://www.gabonreview.com/la-catastrophe-politique-du-Covid-19-en-afrique-selon-le-quay-dorsai/))(([2] https://theworldnews.net/ca-news/Covid-19-catastrophe-redoutee-en-afrique))(([3] https://lovebook-rencontre.routes-des-vins.com/youtube-video-Pandemie-de-Covid-19-une-catastrophe-humanitaire-qui-fait-craindre-le-pire-en-Afrique-325278.html))(([4] https://m.pouvoirsafrique.com/2020/05/10/Covid-19-lafrique-face-a-la-catastrophe/)) et nos gouvernants voudraient leur imposer la thérapie génique.

Comment expliquer cette évolution inattendue ?

La population de l’Afrique dépasse 1,3 milliard d’humains, essentiellement composée de jeunes.

Le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 8 % (Tunisie), alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA.

Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est d’environ quatre fois inférieure à celle de l’Europe et peut ainsi explique une partie de la sous-mortalité constatée.

Mais après correction par l’âge, les Africains bénéficient encore de 3 (si on intègre l’Afrique du Sud) à 7 fois moins (en l’excluant) de morts Covid par million d’habitants.

Le climat, les modes de vie, les moindres contacts internationaux pourraient aussi expliquer une plus petite partie du sous-risque africain.

Mais l’explication la plus plausible est liée à l’utilisation quotidienne des antipaludéens

La comparaison des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence de paludisme montre que les pays dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible que les autres.

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid parfois évoquée est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

Comme rien ne permet d’imaginer que le paludisme puisse protéger du Covid, l’hypothèse la plus plausible est l’effet bénéfique des traitements antipaludéens au long cours sur le Covid.

Les pays dont les populations prennent des antipaludéens tous les jours bénéficient d’une mortalité 10 à 200 fois inférieure à celle de la France

comme :

  • le Nigéria (13/M soit 135 fois moins),
  • le Mali (26/M soit 68 fois moins),
  • le Congo (10/M soit 176 fois moins),
  • le Tchad (11/M soit 170 fois moins),
  • le Cameroun (58/M soit 30 fois moins que la France),
  • le Niger (8/M soit 220 fois moins),
  • la Côte d’Ivoire (24/M soit 74 fois moins),
  • la Guinée (30/M soit 61 fois moins),
  • le Sénégal (116/M soit 16 fois moins)

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé.

Au 10 octobre 2021, la mortalité cumulée ne dépasse pas 138/M soit 13 fois moins que la France. Le 31 mai 2121 à 19 h sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien, a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 10 octobre 2021 la mortalité cumulée atteint 392/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 10 octobre 2021 la mortalité Covid atteint 2117/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin.

Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1495 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens sont efficaces.





Festival des personnes remarquables

[Source : alternative-academy.net]

Bande-annonce :

SANTE & MÉDECINE

Dr TADEUSZ NAWROCKI – 26/10/21 à 19h30

Spécialiste du système HLA depuis 40 ans – pour lequel il s’est passionné dès la découverte par l’immunologiste et Prix Nobel, Jean Dausset – le Dr Nawrocki met en place, dans les années 1990, la recherche HLA complète comme outil de singularisation anthropologique et ethnique. Puis il crée, en 2015, un fichier informatique : l’Haplotype (HLA), et mène des travaux sur la molécule HLA-G et la tolérance immunitaire de la grossesse.

Il compte 30 publications scientifiques dans les domaines de la cytogénétique, la génétique moléculaire, l’anthropologie médicale, l’odontologie, la  stomatologie et la biophysique. Au cours de sa carrière, le Dr Tadeusz Nawrocki a obtenu différents diplômes inter universitaires : de cancérologie, de méthodologie des essais cliniques des médicaments, environnement et santé, environnement et cancer, de médecine prédictive. Il a obtenu également un diplôme de l’Institut Pavlov de Saint-Petersbourg, un diplôme d’homéopathie et il s’est également formé en pharmacologie botanique ainsi qu’un diplôme universitaire de formation et recherche en anthropologie médicale DUFRAM. http:// acmeditions.com

THEME DE LA RENCONTRE : Le système HLA, un outil de diagnostic fascinant :

« En anthropologie, le système HLA est un outil qui permet d’individualiser chacun dans son appartenance ethnique, migratoire, géographique. En immunogénétique, le système HLA permet de comprendre pourquoi certaines comorbidités, qui se transmettent entre ascendant à descendants, sont activés en pathologie par leur juxtaposition sur l’haplotype. Ceci avec des susceptibilités microbiennes, virales, aux métaux lourds, véritables accélérateurs de certaines procédures maladives qu’elle soit cancéreuse, auto-immune, neurodégénérative. »

Dr GÉRARD DIEUZAIDE : 23/10/21 à 14h30

Le Docteur Gérard Dieuzaide est chirurgien-dentiste, conférencier, diplômé universitaire de posturologie et d’implantologie. Il s’intéresse depuis de nombreuses années plus particulièrement au problème occlusal dentaire, mais aussi à l‘électrosensibilité aux ondes, notamment à travers l’effet d’antenne et l’écho vibratoire de certains matériaux situés sur nos dents.

Il est l’auteur des livres « Libérez-vous de ces matières parasites » aux éditions Trédaniel, « Les maladies des ondes comment s’en préserver, électrosensibilité, fibromyalgie, fatigue chronique », « Si ça venait des dents », et « Testing thérapie » aux éditions Dangles.

Le Dr DIEUZAIDE a participé au documentaire  « Les sacrifiés des ondes » du réalisateur Jean-Yves Bilien avec entre autres le Professeur Luc Montagnier et le Professeur Dominique Belpomme. site : https://www.dieuzaide-electrosensibilite.com/fr

THEME DE LA RENCONTRE : Ces matériaux qui font « antenne » …

Certains matériaux font « antenne » avec les ondes ambiantes. Tester permet ainsi de donner à chacun les moyens de reconnaître certaines agressions environnementales, auto-induites,  proprioceptives, électromagnétiques   ou émotionnelles, de toute nature, en sachant lire et observer les réactions de son corps afin de s’en protéger. Mais tester permet également aux thérapeutes, quels qu’ils soient , médecins,  dentistes,  naturopathes, nutritionnistes, psychologue, osteopathes, etc..de respecter la célèbre maxime « primum non nocere »( D’abord ne pas nuire )qui est malheureusement trop souvent oubliée par la médecine moderne… Savoir tester donne les clés d’une méthode thérapeutique inédite qui est spectaculaire non seulement du fait des résultats obtenus mais aussi du fait de la diversité des incroyables améliorations de santé qui s’en suivent.

Enfin il faut savoir que les tests utilisés sont issus d’une jeune discipline de la médecine officielle, science que l’on appelle la Posturologie.

Dr DOMINIQUE ERAUD : 31/10/21 à 17h30

Homéopathie, Acupuncture, Phytothérapie, Nutrition –

Fondatrice du colloque Écomédecine, d’Intelligence Verte, de la CNMSE : Coordination Nationale Médicale Santé Environnement – Membre fondateur du RES : Réseau Environnement Santé Présidente Paris : Solidarité Homéopathie.

THEME DE LA RENCONTRE : Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal.

Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal. Une expérience menée avec l’Hôpital Privé Nord Parisien (HPNP) Une réflexion sur une vaccination sur mesure.

MARION KAPLAN  : 24/10/21 à 18h

Marion Kaplan est naturopathe, bio nutritionniste, spécialisée en Nutrithérapie et en micronutrition. Tout au long de sa vie elle a étudié avec des experts précurseurs comme le Dr Catherine Kousmine, Robert Masson, le Dr Jean Seignalet, le Pr Henri Joyeux, Dr Thadèe Nawrocki,  Pr Vincent Castronovo… Elle  s’est également passionnée pour les médecines énergétiques, comme l’homéopathie, l’acupuncture, la bio énergie, les médecines quantiques, mais également les médecines de compréhension de l’humain comme la PNL, le développement personnel, la spiritualité.  C’est une éternelle étudiante. Toutes ces compréhensions ont abouti à plus d’une vingtaine d’ouvrages sur l’alimentation et à l’organisation de nombreux congrès « quantique planète » et à son « Ecole des Sages ».Livres : Paléobiotique (Thierry Souccar), Powerbiotique (Trédaniel), sans gluten ni laitages (Jouvence)…Site : https://95degres.com

THEME DE LA RENCONTRE : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible ! Nous avons gagné en longévité, mais le temps de vie en bonne santé ne dépasse toujours pas 64 ans. A partir de cet âge, les statistiques démontrent que les maladies explosent, qu’elles soient de civilisation, auto immunes, infectieuses, virales, métaboliques ou autres.Pourtant, grâce aux progrès de la Médecine Préventive, nous avons tous les moyens pour prévenir plutôt que guérir.Nous avons accès maintenant à l’étude de notre génome qui nous permet de prendre les précautions et les résolutions qui ne nous ferons jamais basculer dans les maladies auxquelles nous sommes génétiquement prédisposés.

Dr Alain DUBLANCHET : 28/10/21 à 19h30

Médecin, biologiste honoraire des hôpitaux, ancien chef du laboratoire de microbiologie du Centre hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) il a consacré son activité à la microbiologie médicale et à l’infectiologie. Il a publié de nombreux articles originaux concernant notamment l’étude des bactéries anaérobies et les résistances bactériennes aux antibiotiques.

Durant son activité hospitalière, ayant lui-même utilisé il y a plusieurs dizaines d’années des bactériophages pour traiter des infections ostéo-articulaires graves en impasse thérapeutique, il s’est attaché, à réintroduire la phagothérapie dans la communauté médicale et à correspondre avec les spécialistes français et étrangers. Il est l’auteur du chapitre « Phagothérapie » dans l’Encyclopédie Médico- Chirurgicale, et d’un ouvrage destiné au médecins généralistes et au grand public : « La phagothérapie : des virus pour combattre les infections. Renouveau d’un traitement au secours des antibiotiques ». Il a également écrit une biographie de Félix d’Hérelle, qui fut le découvreur du bactériophage en 1917 et le promoteur de la phagothérapie.  Livre : « La phagothérapie – Des virus pour combattre les infections » (Favre)  https://www.sesoignerengeorgie.com/docteurdublanchet.html

THEME DE LA RENCONTRE : De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie !

Le développement continu des résistances bactériennes aux antibiotiques entraîne l’apparition d’infections de plus en plus souvent impossibles à maîtriser. Il en résulte des situations individuelles dramatiques qui met la médecine en échec. Il devient urgent de trouver une réponse. La phagothérapie, qui utilise des virus singuliers « mangeurs de bactéries » appelés bactériophages, est probablement la réponse la plus abouti à cette évolution inéluctable et préoccupante.

Dr DOMINIQUE BOURDIN : 27/10/21 à 16h  

Diplômé en Médecine du Sport et en Acupuncture, Dominique Bourdin bénéficie d’une solide expérience de médecin et de psychothérapeute (ayant exercé près de vingt ans la médecine générale et l’acupuncture, et la psychothérapie pendant plus de dix ans). Egalement formé en Sciences et en Théologie, sa quête est perpétuelle : comprendre l’être humain et le sens qu’il peut donner à sa vie.

Durant ces années d’expériences, les rencontres multiples et variées, la recherche, l’expérimentation lui ont permis de concevoir des techniques de soins performantes : la musicothérapie (ou holopsonie) qui stimule les ressources de la personne à travers l’ouïe, et la chromothérapie (ou luminothérapie de précision) qui agit sur toute la structure vibratoire du corps humain. https://www.holobiolistic.eu/new5/index.php

THEME DE LA RENCONTRE : La chromobiologie, une piste pour la médecine de demain ?

En développant une conception de l’être humain fondée sur la conscience, la lumière et les couleurs, la chromobiologie permet de comprendre les besoins et donc d’en prendre soin efficacement.

Elle propose aussi un outil thérapeutique pertinent dans une approche globale de la santé, non symptomatique, non analytique, centrée sur la personne et ses ressources plus que sur ses problèmes dans un accompagnement d’autoguérison et de prise de conscience.


Programme

Vendredi 22 Octobre 2021

14h Film « DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITE » avec Thierry Janssen

18h Film « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »
        avec Jeanne Siaud-Facchin

20h Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin
 » Intelligence acérée & sensibilité exacerbée, une Alchimie pour demain ?
Échangeons ensemble !

Samedi 23 Octobre 2021

10h Projection de l’interview  » Aluminium, le corps Blessé … une invasion toxique » – Pr Christopher Exley

13h Projection du film : « Les sacrifiés des ondes « avec le Dr Gérard Dieuzaide

14h30 Rencontre avec le Dr Gérard Dieuzaide
« Le corps ne ment pas » Echangeons ensemble !

16h Projection du film : « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE »

17h Interview de Philippe Guillemant : Comment adresser notre meilleur futur ?

18h Rencontre avec Philippe Guillemant 
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Alexandre Rusanov
Le rôle des facteurs géologiques et géophysiques dans la pollution électromagnétique
Échangeons ensemble !

21h Projection du film : « LES GUERISSEURS, LA FOI, LA SCIENCE »

Dimanche 24 Octobre 2021

10h Projection du Film :  « LA TROUSSE D’URGENCE DE L’AROMATHÉRAPIE », avec le Dr Dominique Baudoux

14h Interview de Olivier Barbarroux : L’humain, fils de la terre, à la croisée des chemins

15h Rencontre avec Olivier Barbarroux
Échangeons ensemble !

16h30 Projection du Film : « CROQUE LA VIE »

18h Interview du Marion Kaplan  : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible !

19h Rencontre avec Marion Kaplan
Échangeons ensemble !

20h Interview du Dr Hervé Janecek : « Les ondes , la lumière,  les électrons en nutrition et en thérapie » ?

21h Rencontre avec le Dr Hervé Janecek
Échangeons ensemble !

22h00 Projection du Film : « GUERISON EXTRAORDINAIRE » avec Willy Barral

Lundi 25 Octobre 2021

10h Projection du Film :  » LE MOINE BLANC DE SHAOLIN » avec Andréas Beskow  

15h Projection du Film : « DERMO-OPTIQUE avec Antonin Poncik

18h30 Projection du Film : « CEUX QUI NE VEULENT PAS GUERIR » avec Jean-Philippe Brébion

19h30 Interview de JP Brébion : « Ne cherchons pas à vivre, cessons de survivre, la vie oeuvre en nous »

20h30 Rencontre avec Jean-Philippe Brébion
Échangeons ensemble !

Mardi 26 Octobre 2021

10h Projection du film : « LES GUERISSEURS DE L’IMPOSSIBLE »

14h Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » avec le Dr Bruce Lipton

16 h30 Interview du Dr Tadeusz Nawrocki : « Coronavirus & traitements » du Dr Tadeusz Nawrocki

19h30 Rencontre avec le Dr  Tadeusz Nawrocki
Le système HLA : Votre carte génétique tissulaire, un outil de diagnostic fascinant
Échangeons ensemble !

22h Projection du film : « LES ETAPES DE DEVELOPPEMENT DE L’ENFANT & DE L’ADOLESCENT »  avec Nathalie Brochard

Mercredi 27 Octobre 2021

10h Projection du film  : « MEDECINE, LE GRAND TOURNANT »

14h Projection du film : « GUERIR PAR L’AMOUR » avec le Dr Léonard Laskow

16h Rencontre avec le Dr Dominique Bourdin
L’utilisation de la lumière : A chaque couleur, sa fonction !

18 h30 Projection du film : « SEUL EST VAINCU CELUI QUI RENONCE » avec Babeth & Raphaël Colicci

20h Rencontre avec Raphaël Colicci : Le défi de la simplicité
Échangeons ensemble !

Jeudi 28 Octobre 2021

14h Projection du Film : « LES CHEMINS DE LA GUERISON »  avec le Dr Guy Londechamp

15h45 Interview du Dr Guy Londechamp : L’eau & La conscience

16h30 Rencontre avec le Dr Guy Londechamp Echangeons ensemble !

18h Projection du film « LA NATUROPATHIE VITALISTE » Ecole Dargère- Pierre-Valentin Marchesseau

19h30 Rencontre avec le Dr Alain Dublanchet
De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie
Échangeons ensemble !

Vendredi 29 Octobre 2021

10h Projection du film « FUSION FROIDE » avec Jean-Paul Bibérian

14h  Projection du film : FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN » avec le Pr Luc Montagnier

18h30 Interview du Dr Claude Touzet : Théorie neuronale de la cognition

20h Rencontre avec le Dr Claude Touzet
Échangeons ensemble !

Samedi 30 octobre 2021

10h Projection du film « AU DELÀ DU MIROIR » – Sylvie Ouellet

13h Projection du film « PHOTOBIOLOGIE – LUMINOTHERAPIE » – Dr Luc Benichou

14h15 Rencontre avec le Dr Luc Benichou
La lumière, l’eau et la cellule, 

15h30 Interview de Vahé Zartarian : L’humanité a-t-elle un avenir ?

16h30 Rencontre avec Vahé Zartarian 
Échangeons ensemble !

18h Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE » avec Marc Vella

19h Interview de Marc Vella : Le maître & la Grâce

20h Rencontre avec Marc Vella
Échangeons ensemble !

Dimanche 31 octobre 2021

10h Interview de Jean-Christophe Thiery : Et si nous parlions un peu de fraternité ?

11h Rencontre avec Jean-Christophe Thiery
Échangeons ensemble !

14h Interview de Patrice Van Eersel : Comment croire en l’avenir quand on a 30 ans

15h Rencontre avec Patrice Van Eersel
Échangeons ensemble !

16h Interview du Dr Dominique Eraud : « Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal »

17h30 Rencontre avec le Dr Dominique Eraud
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Philippe Desbrosses
Agriculture : nos semences en vérité. 
Échangeons ensemble !




Obligation vaccinale et totalitarisme : pas de clivage gauche-droite

Par Nicole et Gérard Delépine(([1] t.me/DrDelepine))

Obligation vaccinale et totalitarisme : pourquoi ce projet de loi ne clive-t-il plus gauche et droite ?

Peut -être parce que la gauche et la droite se sont noyées dans la pensée unique, système totalitaire développée depuis quarante ans et qui contribue à passer dans la vie réelle les délires de certaines minorités que les autres appuient en silence de peur d’être marginalisés.

Les exemples foisonnent avec la destruction de statues d’hommes célèbres ou le licenciement de musiciens accomplis dans les conservatoires anglais pour insuffisance de diversité. Ne voient-ils pas qu’ils reconstruisent des ghettos ?

La commission des lois a rejeté l’amendement de B. Jomier (ses liens avec les associations anti-sida et Gilead sont-ils trop connus ?).(([2] Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Mais le risque est entier pour le 13 octobre. Les citoyens doivent donc continuer à envoyer des mails, des courriers par poste et des demandes de rendez-vous aux sénateurs qui auront l’énorme responsabilité de rendre le totalitarisme visible, s’ils se laissaient aller à voter, ou laisser passer cet amendement par absence de l’hémicycle.(([3] joignez nos représentants !
sénateurs : 
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
Des 4 Agences de presse :  
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse
et pour plus d’infos voir :
https://t.me/recensementeffetsecondaire/40101
Alice (Lili Liberté), [Oct 6, 2021 at 12 :54]
ANNUAIRE))

L’obligation vaccinale n’est absolument pas un sujet clivant droite/gauche
Monstrueuse pensée unique

Les totalitaires de l’obligation se retrouvent tragiquement autant à droite qu’à gauche (exemples : Yannick Jadot, Gérard Larcher, Valérie Rabault, Olivier Faure, Christian Estrosi, Fabien Roussel, Michel Onfray, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Ségolène Royale, Robert Ménard, JC Lagarde, F Bayrou, … liste malheureusement non exhaustive) Comment en sommes-nous arrivés là ?

La menace totalitaire portée par B. Jomier est tellement mortifère que les politiques qui refusent de prendre position contre les obligations vaccinales sont largement complices de ceux qui les réclament. Leur silence est pesant, inacceptable, inexplicable, insupportable.

Il faut exiger le rejet sans condition du principe de l’obligation. Toute autre position est purement et simplement criminelle, tant les menaces sur les droits fondamentaux et la santé sont lourdes.

Si le principe de l’obligation d’un médicament expérimental est accepté, on ouvre la boîte de pandore de la médicalisation obligatoire de la population, toujours sous prétexte de prévention, comme expliqué par Marc Girard (par exemple dans cet article à lire absolument dans sa totalité tant il est d’actualité bien que paru en 2017 et que nous rappelle justement Ben Lyo.

On peut lire sur le blog du Dr Marc Girard en mars 2020 et en rappel de l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 vaccins des nourrissons, la remarque suivante tellement d’actualité.

https://www.rolandsimion.org/elargissement-obligations-vaccinales-lanceurs-dalerte/

« On s’interroge sur la modération des réactions qui ont accueilli le récent projet gouvernemental d’élargir – et considérablement – les obligations vaccinales en vigueur dans notre pays, malgré les risques d’un tel élargissement et la perspective qu’il ne cesse ensuite de se voir accentué par d’autres obligations encore moins justifiables d’un point de vue médico-scientifique ou économique.

On s’interroge d’autant plus qu’aucun des « lanceurs d’alerte » médiatiquement patentés n’avait éprouvé le besoin de la moindre mise en garde relativement à un coup de force pourtant aussi prévisible. »

« Un rapide inventaire des contributions mises en ligne sur le présent site permet de recenser, depuis janvier 2010, pas moins de 45 articles évoquant comme très préoccupante la menace d’un tel élargissement des obligations vaccinales, et désignant répétitivement la mystification Médiator comme micro-scandale destiné à détourner l’attention des citoyens en attendant que l’administration sanitaire ne passe à l’acte sur ce projet dont les bénéficiaires ne sont ni les bébés, ni les enfants, ni les contribuables de notre pays.

On termine en examinant les principaux facteurs pouvant expliquer l’aveuglement du public par rapport à la stratégie pourtant grossière qui ouvre désormais aux prédateurs du complexe médico-pharmaceutique un boulevard pour réaliser leurs rêves les plus fous. »

Et combien avait-il raison, notre ami Marc Girard en prévoyant les catastrophes successives que le silence (relatif) sur l’obligation vaccinale des tous petits allait permettre à l’avenir :
Étrange épidémie de mutité chez les lanceurs d’alerte

« On ne peut pas dire que la décision d’élargir les obligations vaccinales, annoncée depuis le 26/06/2017, soulève des réactions proportionnées à son potentiel pourtant vertigineux d’inconvénients facilement prévisibles, auquel il convient d’ajouter le risque non moins évident d’un renforcement de plus en plus contraignant une fois testée la capacité de résistance citoyenne à ce coup de force1.

Exactement comme avec l’évolution – scientifiquement injustifiable – du calendrier vaccinal, mais cette fois avec l’appui de loi et de la force publique, il est facile d’anticiper qu’une fois rassurés sur l’acceptabilité de leur connivence avec la pègre médico-pharmaceutique, nos responsables politiques n’auront aucune inhibition à charger la barque : on verra bientôt l’obligation de se vacciner contre la grippe ou contre les HPV, pour ne point parler de l’élargissement desdites obligations à la population adulte – pourquoi se gêner ?… Et pourquoi limiter les obligations aux vaccins, quand – des échographies obstétricales aux mammographies et autres dépistages foireux, en passant par l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle – il existe tant d’autres médicalisations qui n’attendent qu’un claquement de doigts de nos dirigeants pour se voir imposées au bon peuple 2? »

(…) De la sorte, la médecine se trouvera la première activité humaine à avoir accompli le rêve ultime du capitalisme sauvage : réduire les gens au statut de fourmis tout juste bonnes à travailler jusqu’à l’épuisement pour payer du fruit de leur misérable salaire des biens qui n’auront d’autre utilité que remplir les poches de ceux qui les fabriquent.

(…)

Enfin réalisé sous l’impulsion de Big Pharma, ce rêve ultime du capitalisme passera forcément par l’officialisation d’une novlangue confondant santé et thérapeutique, rançon et bénéfice, solidarité et esclavage.

Depuis G. Orwell, on sait que l’avènement d’une telle novlangue implique forcément le contrôle d’une Police de la pensée : il est tristement évident que mes confrères, dans leur immense majorité, ne se feront pas prier pour jouer ce rôle20.

Ils ont déjà commencé, d’ailleurs : pensez au mois “rose” qui s’annonce…En attendant la prochaine alerte grippale…”

Mais en ce domaine comme en d’autres 42, le capitalisme international sera redevable à la patrie de Robespierre de la French touch consistant, cette fois, à carrément inscrire dans le marbre de la Loi que les citoyens sont désormais forcés d’acheter des biens dont ils n’ont nul besoin et dont la dangerosité devrait aller de soi43 . »

Nos ancêtres s’interrogeaient sur l’au-delà, sur ce que l’on doit à autrui, sur l’instruction des pauvres, sur la possession des moyens de production et sur le partage de la valeur ajoutée : Narcisse contemporain se demande avec anxiété s’il fera caca demain à la bonne heure, si ce sera dur ou liquide – tandis qu’assis sur la cuvette des chiottes, il feuillettera avec passion toute revue afin d’y trouver le dernier produit-miracle susceptible de régulariser son transit intestinal (ou d’apaiser son côlon irritable)32. »

Une médicalisation peut parfaitement être assimilée à une torture si elle est réalisée sans le consentement éclairé de celui qui la subit. 

Le politique doit protéger les citoyens des prédateurs, pas accompagner leur business.

De nombreuses lois ont été édictées depuis le procès de Nuremberg qui aboutit au code de Nuremberg traduit en normes éthiques internationales par l’association médicale mondiale qui se réunit environ tous les trois ans pour empêcher de traiter les individus contre leur volonté. Après la déclaration d’Helsinki, la convention d’Oviedo est un texte international opposable aux pays signataires dont la France. Depuis la crise du covid, on piétine les lois nationales (loi Kouchner, loi Huriet, etc.) et internationales. Pour combien de temps sans réaction majeure ?

Ces lois existent parce que des régimes politiques ont commis des horreurs, en s’appuyant sur des lois dictatoriales, sur les forces armées (des récits terribles parviennent actuellement de l’Australie à ce sujet).

Ne transigeons jamais sur le principe abominable de l’obligation vaccinale, qui n’est rien d’autre qu’une folie criminelle imprescriptible et illimitée.  Dans la hiérarchie des crimes, la vaccination obligatoire, de surcroit par des produits expérimentaux figure au niveau le plus élevé.

Et pourtant, cette obligation n’a évidemment rien de sanitaire  

le Journal Europeen d’épidémiologie publie une étude de Harvard qui démontre qu il n’y a aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de la pandémie.

Non, la vaccination n’a pas fait reculer l’épidémie !  Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude a collecté et analysé des données jusqu’au 3 septembre 2021. Elle démonte les dires des plateaux télés.

Non les vaccins n’ont pas fait reculer la pandémie qui est cyclique.

Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus.

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le COVID-19 dans le monde occidental.  le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis  serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination [ 1 ].

 Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni [ 2 ]. 

Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de COVID-19 [ 3 ]. 

Nous avons étudié la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour ces pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19

En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de COVID-19 plus élevés pour 1 million de personnes

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de COVID-19 les plus élevés pour 1 million de personnes. 

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est encore illustrée, par exemple, par l’exemple de l’Islande, mais aussi Chypre, Malte, Singapour}

Ces pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie 

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITE

90% ou 100% de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité, c’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains.

L’étude mathématique de l’institut Pasteur est donc mise à mal ; 40% ou 90% de vaccinés, il y a une petite différence mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Jadis les soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie, Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité covid.

 Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’état voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé, dans d’autre au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit-elle par une baisse des décès covid ?

 entre des comtés dans lesquels 70% des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90%, il n’y a pas de différence significative.

Réduire de 10 à 0% le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité

Et le monde se réveille

Grève nationale contre la vaccination en Israël – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nombreuses autres manifestations partout dans le monde y compris à Genève dont ce n’est pas l’habitude.

Manifestation contre le pass sanitaire ce samedi à Genève
© Fabrice COFFRINI / AFP

Et surtout les citoyens interpellent leurs élus sur la gravité d’instaurer une pseudo vaccination obligatoire chez les bébés pour une thérapie génique expérimentale non testée et dont les résultats chez les enfants plus âgés sont déjà très inquiétants. Gardez-vous bien chers élus de vous engager dans ce piège qui ne vous a probablement pas été explicité en totalité.

Et vous, candidats à la gestion du pays, ne laissez pas ce sujet majeur de côté, les Français ne comprennent pas.

Et signez la pétition

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-629

DROITS DE L’ENFANT

« Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection. »

Pour ceux qui veulent leur écrire(([4] https://www.lejdd.fr/Politique/lappel-de-38-parlementaires-socialistes-oui-a-la-vaccination-obligatoire-contre-le-covid-19-4061142?fbclid=IwAR2I2AdzuqYoHVciRnm1upc4uYmgbcIsBauUY0kEniueViHT663xx9JO-Ic
2021.08.31. PROPOSITION DE LOI
Instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2    Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 août 2021
http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.html)):

Députés

Sénateurs




Le Roi Macron et ses bouffons

Par Ahmed Bensaada

[Illustration : « Mime solitaire » – Mikhail Khokhlachev (Alias Michael Cheval)]

Après les « kwassa- kwassa » à Mayotte, les climatiseurs du Burkina Fasola fécondité des femmes africaines au sommet 2017 du G20, Emmanuel 1er, Roi de France et de Navarre, continue son œuvre d’enrichissement du grand registre des bourdes royales macroniennes. Cette fois-ci, c’est en s’attaquant gratuitement et méchamment à l’Algérie qu’il considère toujours comme son ancienne colonie. Et il n’y alla pas de main morte, loin s’en faut. Avec son sceptre fleurdelisé, il n’épargna ni son gouvernement ni son histoire : quand on peut faire plusieurs bêtises, pourquoi ne se contenter que d’une seule?

Pourtant n’avait-il pas recommandé de « tourner la page » lors de son dernier voyage en Algérie? Ou bien le tourne-page fait partie des régalia de la couronne française, n’obéissant donc qu’aux humeurs et aux caprices du monarque?

Bien entendu, la réaction des citoyens algériens à ses déclarations belliqueuses ne se fit pas attendre.  La blogosphère s’enflamma, déclenchant un riche florilège de quolibets et d’algarades qui éclaira le ciel du cyberespace. Même une ultérieure tentative pour adoucir ses propos n’y fit rien, bien au contraire.

Que faire alors sinon que de donner l’ordre à son armée de bouffons royaux d’intervenir, ces « alibis ethniques » si bien entretenus en temps de paix et si précieux dans ces moments de turbulence?

Il est à noter que le mandat assigné à ces collaborateurs dévoués est de minimiser, voire d’ignorer les agressions verbales d’Emmanuel 1er et de s’en prendre, sans états d’âmes, aux autorités algériennes, à l’Algérie et à toutes les personnes qui défendent la dignité de leur pays et sa souveraineté.

De cette espèce taxonomique d’« informateurs indigènes », si prolifiques sous notre latitude, nous allons choisir quelques spécimens représentatifs.

Ferhat 1er

Le premier à réagir, comme une grenouille à un stimulus électrique, c’est Ferhat 1er, sultan autoproclamé du royaume fictif de Kabylie et vassal du souverain français. Il est vrai que la déclaration de son suzerain sur la « création » de l’Algérie a sonné aux oreilles du fondateur du MAK (Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie) comme une douce mélodie. Emmanuel 1er aurait-il volontairement et sciemment offert du « pain béni » à Ferhat 1er pour le conforter dans ses fantasmes sécessionnistes? Offrir le gîte, la protection et même le discours ne sont-ils pas les attributs d’un suzerain à son vassal? Surtout si cela peut provoquer la colère du gouvernement algérien.

Ali Dilem

Voici un exemple typique d’inversion des rôles si bien illustré, toute honte bue, par le caricaturiste du journal Liberté. Rappelons au passage que ce dessinateur a montré un zèle inégalé dans la défense de Ferhat 1er et de son mouvement.

Alors que la provocation et l’agression sont les œuvres délibérées et unilatérales du souverain tricolore, l’Algérien y est représenté comme un sauvage coupeur de tête, se ruant tambour battant sur tout ce qui est français. Cette représentation malhonnête de la réalité méritait une correction en bonne et due forme. Ce qui fut fait :

N’oublions pas que Dilem a été décoré à deux reprises par la France. En 2010, il reçut les insignes de Chevalier des Arts et Lettres et, en 2017, il a été promu au rang d’Officier des Arts et des Lettres par la présidence de la République française.

Cela serait-il suffisant pour expliquer l’inversion des rôles dans la caricature?

Kamel Daoud

La ligne éditoriale du journal Liberté soulève de sérieuses questions quant à sa relation avec la France. En effet, en plus de Dilem, le quotidien hébergea les élucubrations de l’auteur Kamel Daoud sur le même sujet et avec la même orientation.

La flagellation des citoyens algériens est une « technique littéraire » dont Kamel Daoud est devenu le plus grand spécialiste (lire mon livre à ce sujet) et cet article n’y fait pas exception. Il y usa de sa cravache de prose pour fouetter ceux qui ont eu « l’outrecuidance » de critiquer les paroles du Roi de France et de Navarre.

Fidèle à son rôle d’écrivain néocolonisé que j’ai décrit dans un de mes livres (facteur aggravant : il a été naturalisé français depuis), il dépassa de plusieurs longueurs la mystification du caricaturiste dans un article intitulé « Se sentir humilié après les déclarations de Macron ».

Jugez-en :

« Après les déclarations de Macron sur l’Algérie, la mémoire et l’avenir, je me suis senti personnellement humilié. De ce qu’il a dit ? Non. Ce qui humilie, c’est l’ampleur vide, futile, de la réaction des miens, des Algériens. Autant de rage, de colère et d’exagérations humilient en ce qu’elles révèlent le vide d’un projet national, algérien, collectif pour ce pays ».

L’ex-journaliste du Quotidien d’Oran ne peut pas se sentir humilié par les propos d’Emmanuel 1er : il ne peut pas se le permettre. N’est-ce pas lui qui est « admiré » par le locataire de l’Élysée? N’est-ce pas lui qui a été un des rares à être invité à la table du monarque français à l’ambassade de France lors de sa visite de 2017?

Relevons, au passage, une similitude flagrante entre la caricature de Dilem et les propos de Kamel Daoud : le citoyen algérien est représenté avec de la « rage » et de la « colère ». C’est lui le « barbare » qui, à coup de hache, attaque les « civilisés » de l’Hexagone.

Cela était-il suffisant? Que nenni! Quelques coups de fouets supplémentaires n’étaient pas de trop, histoire de se faire admirer un peu plus par la monarchie française dont il se sent si proche:

« La haine de la France, nous l’avons, et c’est une vérité. Mais elle n’est pas due uniquement aux meurtres du passé. Elle est due au vide, au présent, à l’oisiveté, elle se partage entre rentiers du victimaire et prêcheurs de nouvelles croisades, entre islamistes et dé-coloniaux chômeurs, elle nous soude et nous piège, nous empêche de dormir et de nous réveiller, de travailler et d’avoir un rêve autre que celui de détruire la France ou d’y aller vivre. C’est une réalité ».

Où es-tu Grand Émir Abdelkader pour nous réapprendre à chérir inconditionnellement notre pays et à aimer nos concitoyens? Où es-tu pour nous rappeler que la terre que nous avons sous les pieds, nous devons la défendre contre les néocolonisateurs avec nos mains, notre âme et notre cœur ?

Lahouari Addi

Le sociologue attitré de la NED (National Endowment for Democracy) a eu droit, quant à lui, au tapis rouge du journal Le Monde. N’entre pas qui veut dans le « temple » du journalisme français. On ne badine pas avec les titres, n’est-ce-pas?

Dans un article qu’il a intitulé « Sur l’Algérie, Emmanuel Macron a dit publiquement ce que ses prédécesseurs disaient en privé », Lahouari Addi a profité de l’hospitalité de ce journal connu pour son « amour inconditionnel » de l’Algérie pour ouvrir les hostilités sur toutes les institutions étatiques algériennes. Par contre, il traita les propos d’Emmanuel 1er « de courageux, surmontant la raison d’État et ne reculant pas devant les lobbys économiques sectoriels ». Le Roi de France et de Navarre dépeint dans son habit de preux chevalier, sans peur et sans reproche!

Ah, l’imagination et le romantisme galopants des sociologues de la cour de France! Le grand seigneur au nord de la Méditerranée et les méchants gueux à son sud! La néocolonisation « daoudienne » qui fait des émules!

Dans son analyse des déclarations macroniennes, Lahouari Addi ne se priva pas d’y déceler un lien avec le Hirak. Bien sûr, il n’allait pas rater l’occasion, lui, un des ténors autoproclamés du Hirak! Pour cela, il faut avoir la compétence d’un « professeur émérite » afin de lire entre les lignes et y trouver ce qui n’est même pas venu à l’esprit de l’auteur lui-même.

« Par les propos qu’il a tenus le 30 septembre, Emmanuel Macron reconnaît explicitement la légitimité politique des revendications du Hirak, ce qui est inacceptable pour le régime algérien qui, jusqu’à présent, a toujours bénéficié de l’appui diplomatique de la France ».

Évidemment, il n’a pas raté l’occasion pour placer le slogan « Dawla madania machi askaria » (Etat civil et non militaire) cher aux islamawistes offshore et aux adeptes du « Hirak frelaté », en complète opposition avec la devise du Hirak original « Djeich, chaâb, khawa khawa » (Armée, peuple, frère, frère) ».

Radio M

Nous n’allons pas terminer ce « recueil » sans citer Radio M, celle qui se fait appeler « la Petite Radio du Grand Maghreb » mais qui n’est en fait que la « Radio Barbouze du Quai d’Orsay ». D’ailleurs, ce qualificatif sera confirmé dans ce qui suit.

Tout d’abord, elle s’est comporté comme chambre d’écho de la déclaration de Lahouari Addi au sujet de Hirak dans son article du Monde et en a fait rien de moins que le titre d’un de ses éditoriaux.

D’autre part, en réponse à la polémique générée en Algérie par les déclarations hostiles d’Emmanuel 1erLe Monde publia un article dans lequel il rapporta que

« les propos du président français s’interrogeant sur l’existence de la « nation algérienne » ont braqué même les opposants les plus farouches au régime algérien ».

Après avoir énuméré les nombreuses critiques, le journaliste précisa que

« l’une des rares, pour ne pas dire l’unique, prise de position positive à l’égard du président français est venue du politologue Mohammed Hennad […] dans une interview à Radio M […] ».

Radio M favorable au monarque français? Ce n’est probablement qu’un doux euphémisme si on se fie au titre donné à cette intervention du politologue Mohammed Hennad :

Et, à propos de la réduction du nombre de visas pour les Algériens, Radio M se comporta comme le porte-parole de Gérald Darmanin, ministre français de l’intérieur :

Emmanuel 1er peut être fier de sa légion de bouffons. Avec autant de dociles informateurs indigènes et de fidèles défenseurs autochtones, il dispose d’une machine de désinformation efficace.

Mais le Roi de France et de Navarre n’a certainement aucune idée de l’armée de patriotes algériens, jaloux de la souveraineté de leur pays.

Et ceux-là, contrairement à ses bouffons, ont une profonde aversion de toute ingérence étrangère dans les affaires de leur pays. En particulier lorsqu’il s’agit de l’ingérence d’un pays qui les a maltraités pendant 132 ans.

SOURCE :

https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=583%3Ale-roi-macron-et-ses-bouffons&catid=46%3Aqprintemps-arabeq&Itemid=119&fbclid=IwAR0QWgOrTBRFI0I5VkZZYmJwlwSn9zZiVPv6PzcVg_bn6cawStNFBzoi8RI




La précampagne présidentielle française est une honte sans nom

Par Lucien Samir Oulahbib


Quand les moins que rien tentent de se hisser sur l’épaule de géants en bégayant l’Histoire, non seulement cela tourne à la farce, mais aussi en jeu de massacre tant ces puces ne sont désormais que des interfaces programmables ad vitam æternam. Deux à trois exemples, un ersatz de « philosophe » prétend, ou à peu près, que sans les Soviétiques, les nazis auraient gagné en émasculant non seulement Katyn, mais l’écrasement de l’insurrection de Varsoviealors que ces fameux sauveurs étaient fin août 44 aux portes de la ville. Mais comme il s’agissait de Polonais non soviétisés, alors il valait mieux pour Staline qu’ils soient détruits, les traitant bien sûr « d’aventuriers » dans sa correspondance avec Churchill (voir ses mémoires)…

Il est alors bon ton d’applaudir les Polonais se rebellant contre les caciques bruxellois tout en piétinant leur histoire…

Et que penser de tous ces « chefs » politiques prétendant donner un contenu au mot « fasciste » en désignant Zemmour comme nouvel Emmanuel Goldstein, alors qu’ils sont eux-mêmes des fossoyeurs de toute démocratie possible en imposant la destruction réelle, et non plus seulement symbolique, des corps et des esprits par l’adoption en théorie de remplacement de tout ce qui semble être désormais du Bacon (peintre) retranscrit en politique ou la mise à l’état fluide de toutes les identités déversées dans le lavabo de la fuite en avant qui leur sert ainsi de ligne de mire.

L’implosion est donc totale, rapetissement des esprits, les lilliputiens règnent (tout en se prétendant des Hobbits), menacent d’interdire d’antenne, ou de candidature Goldstein, tant les forcenés, lorsqu’ils deviennent fous à lier, tout en affichant des visages d’ange, deviennent ces paranoïaques cherchant méticuleusement à mettre en pièces jusqu’aux miroirs qui ne font pourtant que montrer leur face masquée hideuse et perverse. Avec désormais trois seringues en effigie.




« Le traître et le néant » : RMC a pu lire en avant-première le livre qui fait peur à l’Élysée

[Source : Ma France]

Ce livre va-t-il changer le cours de la campagne du président de la République? 

Après leur livre « Un président ne devrait pas dire ça » qui avait contribué à la non-candidature de François Hollande à sa propre succession en 2017, les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme publient mercredi, « Le traitre et le néant », chez Fayard. 

Une nouvelle enquête qu’ils consacrent, cette fois, à l’accession au pouvoir d’Emmanuel Macron et à son quinquennat. La maison d’édition a déjà dévoilé quelques éléments:

« Plus de 110 témoins de premier plan parlent, à visage découvert, crûment. Ils confient aussi leurs documents. Les auteurs racontent le pouvoir solitaire d’un homme suprêmement habile, éperdu de lui-même. Ils révèlent les dessous de la conquête de l’Élysée, puis l’exercice de la toute-puissance, et la vaine quête d’une idéologie. La trahison a enfanté le néant ». 

« Pacte de corruption » et surnoms

En avant-première, RMC a pu lire l’ouvrage: on y découvre des confidences, des anecdotes, des aveux. Les premiers sont ceux de François Hollande qui, mi-2016, avoue être politiquement trop faible pour virer Emmanuel Macron. Un ouvrage dans lequel les auteurs reviennent également sur le financement de la campagne de 2017. Interrogé le député Les Républicains Olivier Marleix accuse l’ancien ministre de l’Economie d’avoir mis en place « un pacte de corruption ».

Parmi les 110 personnes questionnées, on découvre aussi l’animateur Stéphane Bern qui rebaptise certains ministres pour amuser le Président, comme « Amélie de Mon machin » pour Amélie de Montchalin.

On encore le créateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers qui affirme qu’Emmanuel Macron a essayé d’acheter le silence de son frère, le chef des Armées, Pierre de Villiers.

Autre révélation/ les conseils prodigués par… Bernard Tapie au Président de la République en pleine crise des « Gilets jaunes »..

Dès la rentrée, comme RMC vous le révélait, ce livre a suscité un vent de panique à l’Elysée: la garde rapprochée d’Emmanuel Macron était à la recherche du manuscrit, donnant des sueurs froides aux conseillers du Président.

D’ailleurs, pour compléter leur enquête, les deux journalistes du Monde avaient envoyé une série de questions à l’Elysée: fin de non-recevoir de l’équipe d’Emmanuel Macron, qui, depuis voulait donc par tous les moyens, mettre la main sur l’ouvrage…

Jérémy Trottin avec XA
source 




Pétition — Covid19 : dites-nous la vérité sur les chiffres de la vaccination et de ses effets secondaires !

[Source : leslignesbougent.org]

Par Thibaut Masco

Cela fait 18 mois que l’on nous martèle chaque jour ou presque les chiffres du Covid : 

  • Nombre de contaminations 
  • Nombre de décès 
  • Nombre de vaccinés (1è dose, 2è dose, …énième dose)

Ces chiffres-là, extrêmement anxiogènes, le gouvernement n’a aucun scrupule à nous les soumettre, tous les jours.

Mais on ne nous parle pas de pourcentage de la population (« 0,00X pourcent a été contaminé aujourd’hui), NON, on nous donne des chiffres bruts. 

C’est vrai que cela fait bien plus peur.

Pourtant, depuis le début de la pandémie, qui vous a dit sur une chaîne de grande écoute, lors d’un point presse ou dans les journaux :

  • Combien de personnes ont eu des effets secondaires après une vaccination (légers ou graves) ;
  • Combien de personnes ont développé un « Covid long vaccinal » après s’être fait injecter un vaccin ?

Sans doute Personne.

Pourtant, un rapport de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) datant du début du mois de septembre annonce ces chiffres [1] : 

  • 5’832 cas d’effets indésirables ;
  • Dont 25 % de formes graves !

Depuis le début de la campagne de vaccination ?

Pas du tout.

En deux semaines, du 20 août au 2 septembre 2021.

Qui vous en a parlé ? 

Sur cette même période, 269’668 nouveaux cas de Covid étaient enregistrés sur le territoire français [2].

En deux semaines donc, plus de 2 % de la population française a rencontré des effets secondaires dus aux vaccins.

C’est du jamais vu !

Au total, depuis le début de la vaccination, ce sont 84 501 cas d’effets secondaires qui ont été recensés en France. 

Parmi les vaccinés, 75 % ont développé des formes « légères ». Ils ont reporté : 

  • Des affections du système nerveux
  • Des troubles gastro-intestinaux
  • Des gênes musculaires
  • Des gênes cutanées
  • Des troubles vasculaires
  • Des infections
  • Des affections respiratoires
  • Des affections des organes sexuels (parties génitales, seins)
  • Des douleurs au point d’injection

Les autres 25 % (soit plus de 21’000 personnes), eux, ont subi des formes graves :

  • Troubles nerveux
  • Troubles vasculaires
  • Troubles cardiaques
  • Des « troubles généraux »
  • Affections respiratoire set thoraciques (dont les fameuses thromboses et myocardites)
  • Affections gastro-intestinales (dont les hépatites)
  • Troubles musculaires
  • Infections graves
  • Affections cutanée graves
  • Affections de l’oreille

Face à cela, les laboratoires et les autorités nous répètent que les effets secondaires sont bien moins graves que les risques d’attraper le virus.

Pourtant, ils sont bien réels.

Et face à ce danger, nous sommes en droit d’être informés du risque que nous courons en nous faisant vacciner et de résultats véritables de la vaccination massive.

On nous répète, depuis des mois que « le vaccin est sans danger » !

Cela n’est pas le cas.

Gouvernants, nous ne maîtrisons pas la politique de santé que vous nous imposez depuis un an et demi, mais nous sommes en droit d’exiger de la transparence.

Nous voulons connaître les véritables chiffres de la vaccination et de ses effets secondaires :

  • les effets secondaires légers comme les graves ;
  • les effets secondaires à court terme (24 heures, 72 heures, 1 semaine et 2 semaines) ;
  • les effets secondaires à plus long terme (au-delà de deux semaines et pendant plusieurs années).

Mais où sont ces chiffres ?

Nous demandons à ce que ces chiffres soient publiés quotidiennement, au même titre que le nombre de contaminations et de décès liés au Covid, pour que les citoyens puissent exercer librement leur choix de se faire vacciner ou non, avec à leur disposition toutes les informations nécessaires sur le rapport bénéfice/risque.

Je signe la pétition

Source

[1] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/13/vaccins-covid-19-fiche-de-synhtese-vf-20210910.pdf

[2] https://ourworldindata.org/covid-cases




Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers

[Extraits de : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : voir les détails et références sur
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Voir aussi :
Spartacus : « Au diable l’enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre nouvel ordre mondial » — La lettre anonyme contre la COVID est devenue virale – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Guy Boulianne Par Guy Boulianne

« Voici des faits et des sources clés sur la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020 et à éclairer tous vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la nouvelle normalité. »

OffGuardian le 22 septembre dernier


PARTIE I : « DÉCÈS DUS AU COVID » & MORTALITÉ

1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%. 

Les experts médicaux du gouvernement se sont donné beaucoup de mal pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger face au Covid.

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. 

La presse a qualifié 2020 d’« année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale », mais cela est trompeur car elle ignore l’augmentation massive de la population depuis cette époque. (…)

Par cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 ans ont été meilleurs que 2020.

3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé. 

Des pays du monde entier ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves. 

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave. Ceux-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50 % d’entre eux avaient au moins trois affections préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA d’octobre 2020 à l’ONS du Royaume-Uni a révélé que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avait la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. 

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. Allemagne, 83. Suisse, 86. Canada, 86. Les États-Unis, 78, Australie, 82. Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

En tant que telle, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Comparez cela avec la grippe espagnole, qui a entraîné une baisse de 28 % de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.

Des études statistiques du Royaume-Uni et de l’Inde ont montré que la courbe de « décès de Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité attendue :

OffGuardian -03
OffGuardian -04

Le risque de décès « de la Covid » suit, presque exactement, votre risque de décès de fond en général.

La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés peut s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». 

Les chiens de garde et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois. Aux États-Unis, les hôpitaux considéraient comme des « DNR universels » pour tout patient testé positif pour la Covid, et les infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait été abusé à New York.


PARTIE II : VERROUILLAGES

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. 

Il y a peu ou pas de preuves que les verrouillages ont un impact sur la limitation des « décès de Covid ». Si vous comparez des régions verrouillées à des régions qui ne l’ont pas fait, vous ne pouvez voir aucune tendance.

9. Les confinements tuent des gens. 

Il existe des preuves solides que les blocages – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

Nous, à l’Organisation Mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés. 

Le principal argument utilisé pour défendre les blocages est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.


PARTIE III : TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie. 

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme le « Standard Or » pour le diagnostic de Covid. Mais l’inventeur du procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a déclaré publiquement :

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables. 

Les tests PCR « Standard Or » pour Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. 

Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : 

« Si vous devez faire plus de 40 cycles[…] il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR. »

14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs. 

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

15. La base scientifique des tests Covid est discutable. 

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR.


PARTIE IV : « INFECTION ASYMPTOMATIQUE »

16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ». 

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ». 

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer


PARTIE V : VENTILATEURS

18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires. 

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour remettre en cause l’utilisation de ventilateurs pour traiter le « Covid ».

19. Les ventilateurs ont tué des gens. 

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation et en tuera beaucoup.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à un ventilateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.


PARTIE VI : MASQUES

20. Les masques ne fonctionnent pas. 

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux ». Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ». Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [ 1 ][ 2 ][ 3 ][ 4 ][ 5 ][ 6 ][ 7 ][ 8 ][ 9 ][ 10 ] Ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été réalisées en prétendant montrer que les masques fonctionnent pour la Covid, elles sont toutes sérieusement imparfaites. L’une s’est appuyé sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts demande qu’il soit retiré. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

21. Les masques sont mauvais pour la santé. 

Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain .

22. Les masques sont mauvais pour la planète.

Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés par mois depuis plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et la faune.


PARTIE VII : VACCINS

23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits. 

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain  n’avait jamais été développé. Depuis, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années avec peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie « plus gravement » que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules et encourage votre corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. 

Il est volontiers admis que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à base d’ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la  « réduction de la gravité des symptômes ».

25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus. 

Le développement d’un vaccin est un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années. Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une indemnité légale en cas de préjudice. 

La Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins. La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports de clauses de responsabilité confidentielle dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.


PARTIE VIII : TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait des « passeports pour les vaccins » au moins un AN avant le début de la pandémie. 

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE. Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux pour commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début. 

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale GAVI.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine enregistre son premier cas de « Covid ».

29. Depuis le début de 2020, la grippe a « disparu ». 

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98 %.

30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. 

Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches sont devenues considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « pour lutter contre le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020. Il est clair que ce nombre sera encore plus grand maintenant.


Ce sont les faits vitaux de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé et collecté ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.



L’heure de la justice

[Source : rumble.com ou odysee.com]

Le Symposium interdisciplinaire sur le covid-19 s’est tenu le 29 et 30 Juillet 2021. À travers une réunion d’experts en médecine, en économie ou encore en journalisme, ce symposium cherche à rétablir la vérité sur les événements auxquels nous assistons depuis bientôt 2 ans. Il essaye de répondre à des questions telles que : D’où vient le SARS-Cov-2 ? Est-il d’origine naturelle ou fabriqué par l’homme ? S’il est fabriqué par l’homme, par qui et pourquoi a-t-il été fabriqué ? Quelle est la réelle efficacité des vaccins ? Y a-t-il un agenda dissimulé derrière ce vaste théâtre « sanitaire » ? Quelles sont les conséquences économiques et sociales des mesures restrictives ? Ont-elles réellement été prises pour des raisons sanitaires ? Quelles solutions avons-nous pour sortir de cette situation catastrophique ?
Des figures comme celles de Reiner Fuellmich, Vera Sharav, Sucharit Bhakdi, Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Denis Rancourt ou Richard Werner nous fournissent des interventions de grande qualité et nous apportent des éléments clefs.

✨ Ce symposium a été réalisé grâce à un partenariat entre :
Doctors for Covid Ethics : https://doctors4covidethics.org
Children’s Health Defense : https://childrenshealthdefense.eu
UK Column :https://www.ukcolumn.org

📝 La traduction a été réalisée par :
Jeanne Traduction : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Mention spéciale à Elo, qui depuis des mois nous apporte son aide précieuse dans la traduction ♥️




































France — La 3e dose vaccinale programmée pour tous les professionnels de santé

[Source : solidarites-sante.gouv.fr]




Pr Arne Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Avant de voir la vidéo sur le Pr Burkhart, une précision sur les composants des globules blancs : les granulocytes font partie du système de l’immunité innée ; les lymphocytes constituent l’immunité acquise.

Prof. Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »



Prof. Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination ».
Le prof. Burkhardt, qui a vu près de 40 000 autopsies et 500 000 biopsies, constate que sur les 10 cas de décès post-vaccination autopsiés ici, 5 sont très probablement liés à la vaccination.
Il constate : « Il y a des infiltrations lymphocytaires dans tous les tissus et organes ».

Cette vidéo propose un long extrait de la première partie de la conférence de presse du 20.09.21 : Mort par vaccination Composants non déclarés des vaccins COVID-19.

Sommaire :
00 :00 Fin de la présentation des 10 cas.
02 :04 Conclusions : 5 décès sur 10 fort probablement liés à la vaccination.
02 :33 Diagnostics de myocardites avec infiltrations lymphocytaires. « Ces myocardites sont la conséquence de composants de virus ».
08 :44 Diagnostics de cas d’alvéolites.
10 :09 Présentation des cas avec soupçons de corrélations avec la vaccination. 1) Phénomènes auto-immuns.
11 :30 Modifications endothéliales.
13 :28 Agglutination des érythrocytes.
15 :37 : Vascularites et périvascularites.
16 :53 : Amas de lymphocytes, infiltrations inflammatoires et exemples.
22 :12 : Déplétion ou épuisement.
22 :35 : Cas Sjögren.
24 :23 : Corps étrangers, contamination, adjuvents dans la substance.

Liens vers d’autres extraits traduits en français de la conférence de presse:

* Pr. Bergholz: effets secondaires vaccins COVID: «Au niveau européen nous parlons de 100 000 cas. »: 
https://rumble.com/vmto3d-pr.-bergholz-effets-secondaires-vaccins-covid-au-niveau-europen-nous-parlon.html

* Dr. Arne Burkhardt: « 30 à 40 % des décès survenant après la vaccination sont dus à cette dernière. »: 
https://rumble.com/vmwq79-dr.-arne-burkhardt-30-40-des-dcs-survenant-aprs-la-vaccination-sont-dus-cet.html

* Prof. Burkhadt: « Le personnel vaccinant devrait aspirer avant d’injecter le vaccin! »: 
https://rumble.com/vn0kjl-prof.-burkhadt-le-personnel-vaccinant-devrait-aspirer-avant-dinjecter-le-va.html

* Prises de vues de restes de vaccins: Dr. Uta Langer, Bärbel Ghitalla et Helena Krenn – Extrait de la conférence de presse du 20.09.21. VostFR:
https://rumble.com/vn6k4x-prises-de-vues-de-restes-de-vaccins-extrait-de-la-confrence-de-presse-du-20.html

* Prises de vues de restes de vaccins: Dr. Hubmer-Mogg – Extrait de la conférence de presse du 20.09.21.:
https://rumble.com/vn6xib-prises-de-vues-de-restes-de-vaccins-dr.-hubmer-mogg-extrait-de-la-conf.-de-.html

Les effets indésirables de la vaccination covid

Point commun des autopsies du Pr Burkhardt : les lymphocytes (pas les granulocytes) se répandent dans tous les tissus et tous les organes où ils ne devraient pas être. Ils sont une réponse immunitaire excessive qui se retourne contre elle-même, avec risque de maladies auto-immunes, de destruction d’organes (foie, poumon, thyroïde, glande salivaire), d’épuisement des organes lymphatiques, d’accélération du développement du cancer, de thrombose et finalement de réduction de la capacité immunitaire « externe ». Certaines personnes avaient avant la vaccination des maladies rares — tel le syndrome de Sjögren des glandes salivaires — mais les retrouver si nombreuses dans un groupe réduit de dix personnes est totalement impossible.

L’acier inoxydable dans les vaccins Moderna

Le 20 septembre 2021, lors d’une conférence de presse, les Dr Uta Langer, Bärbel Ghitalla et Helena Krennont montré des particules de corps étrangers (de 40µu à 0,5 mm) au microscope optique. L’institut Paul Ehrlich n’a rien vu dans les vaccins — et rien cherché non plus —, alors que n’importe qui peut utiliser un microscope optique.
Les Japonais ont été les seuls à voir des particules d’acier inoxydable, dans des vaccins Moderna (1,63 million de doses). Moderna a répondu que l’acier était utilisé dans le corps humain pour les valves artificielles, etc. et qu’il ne présentait donc aucun danger. « Que celui qui a assassiné avec un poignard vienne dire au tribunal que son couteau étant en acier, il ne pouvait faire de mal ! » commente, pince-sans-rire, le Pr Burkhardt. Plus sérieusement : les corps étrangers sont dangereux, ils peuvent provoquer des micro-embolies.

La pépite sur les vaccins

Le physicien Eric Balm remporte la pépite ! À propos de particules aimantées (avant la découverte des Japonais d’acier inoxydable dans les vaccins Moderna), il a déclaré à la BBC : « Outre le fait qu’aucun métal ne se trouve dans les vaccins, nous nous sommes quand même prêtés au jeu en nous posant la question de savoir comment ce matériau pourrait être administré ? Pour s’injecter des particules aimantées, il faudrait que celles-ci soient extrêmement petites pour entrer dans une aiguille de “moins d’un millimètre de diamètre” ». Eh oui, Mr Balm ! des particules de 40 µu à 0,5 mm entrent bien dans une aiguille de moins d’un millimètre.

Prudence médicale contre prudence commerciale

Le Pr Burkhadt s’étonne que l’acte d’aspiration ne soit plus pratiqué avant l’injection : « Le personnel vaccinant devrait aspirer avant d’injecter le vaccin ! » Une remontée de sang alerterait le soignant. Cela éviterait d’injecter directement le produit dans un vaisseau sanguin. C’est pour cela que la vaccination doit être entre les mains des médecins, constate le Pr Burkhadt. Or cet acte a été supprimé par l’OMS. Aucune aspiration ne doit être réalisée avant l’injection du vaccin car bouger l’extrémité coupante de l’aiguille augmente la douleur. Et confier l’acte d’injection à plus de monde augmente la diffusion des vaccins. Le risque d’introduire l’aiguille dans un petit vaisseau sanguin — il y en a toujours dans les muscles — pourrait être pourtant évité par ce geste. Les avis sont donc partagés. D’un côté la prudence médicale du Pr Burkhadt, de l’autre la prudence commerciale de l’OMS. A vous de juger !




l’ANSM, gendarme français du médicament, se désintéresse totalement du fait que la dispensation des quatre vaccins anti-Covid soit réalisée de manière illégale

[Source : AIMSIB]

[Photo : Le siège de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le 17 octobre 2017 à Paris. Photo d’illustration. (ALAIN JOCARD / AFP)]

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Par Dr Vincent Reliquet

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Nous nous sommes fait l’écho récemment (1) de ce que l’ANSM,  gendarme Français du médicament, se désintéressait totalement du fait qu’à ce jour la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol: En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore… Vient alors le temps d’interroger l’Agence Européenne du Médicament à ce sujet, cette puissante institution gère donc ce dossier pour l’ensemble des États membres qui apparemment lui vouent une confiance sans limite, au point de ne plus souhaiter jamais lui opposer le moindre contrôle national. Au final on s’alarme, ou plutôt on se désespère car il n’y a plus de pilote dans l’avion. Bonne lecture.

AMM conditionnelle, définition

Par rigueur nous ne nous risquerons pas à citer une autre source que la plus officielle pour ce qui est de la France, c’est ici: (2)

Vaccination infoservice.fr

On en comprend l’évidence et la nécessité:

En cas de péril sanitaire avéré l’attribution d’une AMMc à un produit de santé innovant doit demeurer possible en urgence si on le pense probablement efficient et si on lui suppose un bénéfice probablement supérieur aux risques que la population va encourir par son utilisation.

S’agissant des vaccins Covid cette AMMc sera dite centralisée, à l’EMA, à nouveau pour des raisons d’efficience accrue, après que cette décision ait été avalisée par la Commission Européenne. L’AMMc est alors accordée à tous les états membres ensemble.  Seule l’EMA reste donc pilote et maîtresse du dossier dans les suites, ce qui n’obère aucunement aux pays de procéder à leur propres actions de vigilance sanitaire et juridique, ce que manifestement l’ANSM Française ne souhaite pas réaliser dans ce dossier.

AMM conditionnelle, la particularité temporelle qui change tout

Dans la mesure où le rapport bénéfice sur risque demeure hypothétique, encore plus pour ces produits innovants que pour les autres, le législateur a raccourci le délai de validité de 5 ans pour une AMM standard à 1 an seulement, charge aux industriels de présenter pendant ce délai les réponses aux questions laissés en suspens vu l’urgence de la délivrance, toute AMMc qui ne se trouve pas confortée par les rapports manquants au départ se devrait donc d’être interrompue à ce terme. Ainsi,

  • « Conformément au règlement (CE) no 726/2004, les autorisations de mise sur le marché conditionnelles auront une durée de validité d’un an renouvelable. Le délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement doit être de six mois avant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (ci-après dénommée « l’Agence ») sur la demande devra être adopté dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de celle-ci. Afin d’assurer que les médicaments ne sont pas retirés du marché sauf pour des raisons de santé publique, pour autant que la demande de renouvellement soit introduite dans les délais, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle doit être valable jusqu’à ce que la Commission prenne une décision fondée sur la procédure d’évaluation de la demande de renouvellement ». (3)

Compte tenu de ce qui précède et nous remercions chaudement le CTIAP de Cholet  sous la vigilance des Drs.  Amine Umlil (4) et Catherine Frade (5) qui en avaient inspiré  son article,

Les dates limites de dépôt des compléments de preuves de qualité pour la substance active et le produit fini pour les quatre industriels en lice se clôturaient en :
– Juillet 2021 pour BioNTech/Pfizer ;
– Juin 2021 pour Moderna ;
– Juin 2021 pour AstraZeneca ;
– Août 2021 pour Janssen.

A noter qu’en plus, s’agissant des deux premiers, des modifications d’excipients ont eu lieu au décours de la mise sur le marché de ces produits et que l’un des quatre a carrément changé de nom.  Et qu’avons-nous pu lire à ce sujet dans la presse spécialisée médicale et scientifique internationale? Rien. Que devaient impérativement documenter les industriels?

AMMc, les contenus scientifiques qui devaient être divulgués

Deux tableaux vont éviter de grands discours, merci encore à Catherine Frade de les avoir compilés en annexe dans son article. Nous ne nous bornerons qu’à l’étude des deux dossiers encore commercialisés en France (Pfizer et Moderna) puisque les vaccins AstraZeneca et Janssen ne sont plus importés en France depuis déjà des semaines: (6)

Annexe IIE AMM Pfizer
Annexe IIE de l’AMM Moderna, page 15

Ainsi, Pfizer s’était engagé à démontrer la qualité de ses excipients ALC-0315 et ALC-1559la caractérisation de son produit fini, le process en matière de contrôle de qualité ainsi que sa stratégie de contrôle de qualité finale pour Juillet 2021, et Moderna devait démontrer « une qualité constante du produit«  autour essentiellement de la stabilité des substances utilisées ainsi que « revoir les spécifications…/… du produit fini«  pour Juin 2021.

Pourquoi un tel silence médiatique autour de ces données essentielles à la sécurité des consommateurs si ces documents avaient été effectivement transmis en temps et en heure à l’EMA? Il faut donc admettre que ces données n’ont pas été publiées parce que les résultats réels seraient possiblement dévastateurs pour les dossiers des deux industriels encore en lice.

On en vient alors à se demander pour quelle raison l’EMA n’a pas sévi immédiatement en suspendant immédiatement les AMMc de ces deux vaccins aux termes évoqués plus haut.

EMA et AMMc, l’histoire d’une permissivité sans fin

Dans un bref article en date de 2017 (7) la revue Prescrire nous apprenait ainsi qu’entre 2006 et 2016  pas moins de 30 médicaments avaient fait  l’objet d’AMM conditionnelles, et que sur ces 30, 17 vivaient encore sous ce régime en  2016 alors qu’ils auraient dû l’abandonner dans l’année et seulement 11 ont été converties en AMM classique pendant que 2 ont été retirées à la demande de la firme propriétaire (8). La fin de cet article se passe de commentaire:
– » …/… l’arrivée d’un médicament sur le marché environ 4 ans plus tôt par rapport à une AMM classique, les patients ayant ainsi accès plus tôt à des médicaments nouveaux. Mais accès à quel bénéfice thérapeutique ? À quels effets indésirables ? Des questions qui restent sans réponse si l’EMA n’est pas plus exigeante, avec le risque de laisser longtemps les patients exposés à des médicaments dont la balance bénéfices-risques n’est pas favorable« .

Ainsi « oublier » la surveillance renforcée d’un médicament récent donc très peu évalué se révèle monnaie courante à l’EMA. Pour comprendre un tel dysfonctionnement il faut se pencher sur la structuration de cette agence hors norme.

L’EMA, bastion financier privé…

Juridiquement, l’EMA ne dépend même pas de la CEE. On peine à y croire, mais en 2019,

L’Agence européenne du médicament tirait son budget de fonctionnement  des redevances payées par l’industrie pharmaceutique à hauteur de 85,70 % pour seulement 14,29 %  à partir des deniers de la CEE (9) au point que cette institution a été qualifié un temps par le Sénat Français « d’objet juridique non identifié ». (10)

Les demandes de transmissions de documents adressés à l’EMA demeurent généralement lettre morte ou sont livrées avec une lenteur exaspérante propre à réduire à néant tout travail de recherche, comme Gøtzsche et Jørgensen  l’avaient démontré en 2011. (11)

La revue Prescrire avait soulevé un immense scandale très vite étouffé en 2017,  documentant que certains membres de l’EMA délivraient régulièrement des « conseils secrets et payants » aux firmes afin d’ »améliorer » leurs chances d’enregistrement, laissant naturellement la porte ouverte à toutes les supputations de corruption passive. On retiendra de cet article un élément qui nous intéresse au plus au point ici:
– » 71 % des demandes d’AMM conditionnelle qui ont suivi les conseils scientifiques de l’EMA ont abouti à une AMM, contre 40 % de celles qui ne les ont pas suivis. Ces chiffres peuvent s’interpréter de différentes façons. Mais l’opacité des procédures soulève la question d’éventuels compromis et influences, dus à une trop grande proximité entre les personnels des firmes et ceux de l’EMA« . (12)

On ne s’étonnera donc pas de cette triple et fatale constatation réalisée par europaforum.lu en 2012: (13)

  • A l’Agence européenne du médicament (EMA) ou à l’Agence de sécurité des aliments (EFSA), les déclarations d’intérêts des experts divergeaient parfois d’une année à l’autre sans que l’administration ne s’en inquiète ou ne leur demande des clarifications. Ou bien, comme à l’ECHA, un employé n’a pas déclaré tous ses emplois des derniers cinq ans, comme c’est requis, et personne n’a comparé CV et déclaration d’intérêts.
  • A l’EMA, l’agence a relevé un conflit d’intérêts chez un membre du comité scientifique et avait conclu que l’expert ne pouvait plus en faire partie. Pourtant, ce dernier a continué à participer aux réunions du comité et son mandat a même été renouvelé par la Commission européenne pour trois ans. Par la suite, sa déclaration d’intérêts mise à jour ne mentionnait plus les données qui avaient mené à la conclusion qu’il se trouvait en situation de conflit d’intérêts.
  • A la même EMA, deux membres du comité scientifique se sont vus classés comme des personnes présentant un risque très bas en termes de conflit d’intérêts, alors qu’elles avaient travaillé pour des compagnies pharmaceutiques, ce qui aurait dû conduire à ce qu’on les classe à un niveau de risque plus élevé selon les règles qui ont cours au sein de l’EMA et à certaines restrictions de leur travail d’experts.

Ce dossier serait incomplet sans évoquer le cursus exemplaire de porosité de sa directrice générale, l’Irlandaise Emer Cooke. Après avoir débuté dans l’industrie pharmaceutique elle a intégré les autorités de règlementation de son pays puis en 1991 elle rejoint le temple industriel du médicament, l’Association Européenne de l’Industrie Pharmaceutique (EFPIA) dont on supputait en 2019 un budget de lobbying officiellement compris entre 4 651 809 (14) et 5 414 776 euros. (15)

AFP – F. Walschaerts

L’lEFPIA dispose d’une « branche vaccin » dans laquelle sont évidemment représentés de nombreux industriels du secteur. A partir de 1998 et pour quatre ans elle prit la direction du département pharmaceutique de la Commission européenne. On la retrouve ensuite à l’EMA puis plusieurs années à l’OMS, le déménagement de l’EMA de Londres à Amsterdam en 2020 la plaça à la tête de l’institution depuis. (16) On comprend aisément qu’un choix pareil ne peut être interprété autrement que comme une main-mise officielle des industriels du secteur sur le fonctionnement déjà gravement perturbée de l’EMA.

A noter d’ailleurs que c’est l’IEFPIA qui a poussé l’Union européenne a apporter une « immunité juridique totale » à ses membres, les rendant ainsi totalement non responsables des effets indésirables graves générés par les vaccins anti-Covid. (17)

… Au centre d’une CEE gangrenée par le lobbying

Et c’est celle-ci, considérablement influencée voire infiltrée par le secteur pharmaceutique, qui choisit les molécules à mettre sur le marché après avis de l’EMA.

Prétextant du secret des affaires tous les contrats liant les firmes à la Commission européenne demeurent non divulgués, même auprès des membres de la Commission du contrôle budgétaire de l’Union dont c’est le rôle le plus primordial. (18)

Le poids financier du lobbying pharmaceutique auprès des institutions européennes a été évalué à 16,3 M€ en 2015 par l’ONG bruxelloise CEO et ne pourrait refléter que la partie immergée de l’iceberg des financements opaques. Fort logiquement ces masses d’argent déversées auprès des institutions européennes ouvrent aux industriels la porte des commissions parlementaires, c’est ainsi que « pendant la dernière mandature les dix laboratoires pharmaceutiques les plus gros ont ainsi eu 112 réunions importantes avec la Commission Juncker, et 60 accès au Parlement« . (19)

Les actes corruptifs font rage à la Commission, se souvenir par exemple que celle-ci a acheté en octobre 2020 pour 1,2 milliards d’€ de remdesivir, quelques jours avant que l’OMS ne déclare le produit parfaitement inefficace, à ce jour il semble qu’aucun remboursement n’ait jamais eu lieu. (20)

Le CV de la présidente de la Commission européenne paraît à première vue sans tache. Madame Ursula Von der Leyen est allemande, ancienne Ministre de la la Famille, puis du Travail, puis de la Défense dans son pays. Economiste elle est aussi médecin. Son diplôme est entaché de soupçons de plagiats massifs mais celui-ci ne lui a été au final jamais retiré. (21) Elle se serait également inventée un poste à l’Université de Stanford qu’elle n’a jamais obtenu.

REUTERS / Francois Lenoir

Les soupçons de conflits d’intérêts de la Présidente sont écrasants. Elle aurait par exemple présidé pendant 5 ans une commission sur « l’analyse des changements systémiques dans les chaînes de valeur entraînés par l’intelligence artificielle » pour laquelle le cabinet MacKinsey, qui avait embauché son propre fils, aurait touché 5,5M€ de la Commission Européenne. Son mari est médecin, Directeur de Orgenesis Inc. entreprise de biotech orientée vers les thérapies cellulaires et génétiques. (22) L’entreprise aurait lancé le programme appelé BioShield, conçu pour accélérer la découverte et la validation potentielles d’anticorps humains neutralisants en vue d’atténuer la propagation de virus tels que la COVID-19. 

Citons le dernier scandale en date qui éclabousse à nouveau la présidente, elle a reconnu avoir détruit l’ensemble des SMS échangés par elle avec Robert Bourla, le PDG américain de Pfizer, ainsi que la listes des appels téléphoniques échangés entre eux alors que l’ensemble des correspondances professionnelles des membres de l’Union est sensé appartenir à l’Union, l’article du Courrier des stratèges nous en donne une description effarante. (23)

Qu’attendre de l’EMA

Probablement, rien et pour  quatre raisons. Notre requête référencée ASK-94876 du 24/09/2021 a déjà produit les réponses suivantes:

1- Correspondance non conforme: Après que les Associations AIMSIB, Bonsens et LNPLV avaient mandaté Maître Jean-Charles Teissèdre pour réclamer en leurs noms des preuves de validité persistante de ces AMMc, la première réponse a été que les demandes doivent être adressées dans la seule langue autorisée à l’EMA, l’anglais.

2- Arguties juridiques sans rapport avec la demande formulée: Il a été ainsi annoncé que chaque demandeur ne pouvait réclamer plus de deux documents à la fois. Notre réclamation impose qu’on nous apporte un corpus de preuves quant à la licité des AMMc de deux vaccins, deux « documents » ne réussiront jamais à nous convaincre.

3- Demande de transmission de la demande de l’ANSM à l’EMA à propos de la validité des AMMc:   « you will receive a reply via a secure Eudralink within 15 working days. The Agency may extend this period by a further 15 working days in exceptional circumstances in accordance with the Regulation. Should such an extension be applied by the Agency, you will be informed at the time. » 15 à 30 jours pour recevoir une simple copie de mail.

4- Temps de réponse estimé à l’envoi de notre requête: « Regarding the answer(s) required as a reply to your questions, please note that we are currently processing them and you will receive them in due course. » (Trad: Concernant la ou les réponses requises pour répondre à vos questions, veuillez noter que nous les traitons actuellement et que vous les recevrez en temps voulu.)

Nous ne partons pas pour faire mentir les conclusions de Gøtzsche et Jørgensen mentionné plus haut. Sur le fond un arrêt récent de la Cour Européenne en date du 22/01/2020 doit nous faire comprendre que les industriels réclameront encore une fois le maintien du secret des affaires pour ne pas transmettre leurs données, et ceci sera probalement, voire certainement entériné par l’EMA, lisez plutôt:

.../…  » Aux points 91 à 93 de cet arrêt, le Tribunal a souligné que la requérante n’avait apporté aucun élément permettant de comprendre les raisons pour lesquelles les occultations effectuées par l’EMA n’étaient pas suffisantes. Il a rappelé que, selon la politique de l’EMA elle-même, cette dernière ne divulguait pas d’informations commerciales confidentielles, telles que les informations détaillées concernant la qualité et la fabrication des médicaments, de…/… (24)

Conclusion

Dans « la vraie vie », un conducteur privé de son permis de conduire ne sera absolument jamais autorisé à continuer à conduire. Un avionneur qui perd son certificat de navigabilité pour un modèle d’appareil voit immédiatement l’entièreté de ses avions cloués au sol pendant des mois (25)  mais en matière de produit de santé en général et de vaccin en particulier, la permissivité absolue demeure de mise.

Il est absolument inadmissible qu’aucune voix ne se fasse entendre en Europe (politiciens, journalistes, médecins, chercheurs, juristes) pour réclamer que les Lois européennes de protection des consommateurs soit appliquées. Il est inouï, totalement totalitaire de prétendre  imposer en France un vaccin en phase III  dont l’Autorisation de Mise sur le Marché est peut-être complètement inexistante depuis des mois.

Qui pourra encore faire à nouveau respecter le droit et la plus légitime protection des européens face à cette folie vaccinale actuelle?

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/2021/09/17/moratoire-sur-la-loi-francaise-dobligation-vaccinale-des-soignants-vite/
(2) https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
(3) Règlement Européen 2006, Point 9, préambule
(4)  « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament » (EMA) 02/04/2021 Dr A. Umlil. http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html
(5) http://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/
(6) https://www.aimsib.org/2021/09/12/soignants-contaminants-ca-va-etre-pire-en-bonus-la-francafrique-revient/
(7) « AMMc, avec très peu de données » Page 856 • La revue Prescrire • Novembre 2017 • Tome 37 N° 409
(8) – EMA “Conditional marketing authorisation – Report on ten years of experience at the European Medicines Agency” 2017 : 42 pages
(9) « Rapport concernant la décharge sur l’exécution du budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019 » (2020/2157(DEC)), Commission du contrôle budgétaire Rapporteur: Ryszard Czarnecki https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf
(10) https://www.senat.fr/rap/r05-404-2/r05-404-257.html
(11) Gøtzsche PC, Jørgensen AW. Opening up data at the European Medicines Agency. BMJ. 2011 May 10;342:d2686. doi: 10.1136/bmj.d2686. PMID: 21558364. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21558364/
(12) Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes https://www.prescrire.org/Fr/3/31/53660/0/NewsDetails.aspx
(13) https://europaforum.public.lu/fr/actualites/2012/10/eca-agences-conflit-interets/index.html
(14) https://lobbyfacts.eu/representative/0e0020135cfc4775bb5a4bd0313b120d/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations
(15) https://www.republique-souveraine.fr/2019/05/04/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations-efpia/
(16) https://www.profession-gendarme.com/la-directrice-generale-de-lagence-europeenne-des-medicaments-emer-cooke-a-la-solde-des-labos/
(17) https://www.mediapart.fr/journal/france/170920/vaccin-contre-le-covid-19-le-lobby-pharmaceutique-se-dedouane-par-avance?onglet=full
(18) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(19) https://multinationales.org/Comment-l-industrie-pharmaceutique-a-pris-d-assaut-les-institutions-europeennes
(20) https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/remdesivir-inefficace-comment-la-commission-europeenne-sest-laissee-seduire-par-gilead
(21) https://www.welt.de/politik/deutschland/article146956797/Kritiker-bewerten-Arbeit-als-eindeutiges-Plagiat.html
(22) https://www.zonebourse.com/barons-bourse/Heiko-von-der-Leyen-0NQRH5-E/biographie/
(23) https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/25/ursula-von-der-leyen-a-t-elle-instaure-une-diplomatie-personnelle-parallele-avec-le-pdg-de-pfizer/
(24) https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=CC2A121378B1B992BACB6833B99700D7?text=&docid=222502&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=4750303 point 30
(25) https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tous-les-boeing-737-max-cloues-au-sol-depuis-un-an-6-questions-pour-comprendre?id=10451449




Bientôt des « vaccins » à ARNm dans votre assiette ?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Aujourd’hui, les scientifiques qui poussent à la vaccination veulent transformer votre épicerie en vaccins à ARNm

Par Lance Johnson

L’agenda mondial pour vacciner chaque homme, femme et enfant en voie d’aboutir directement dans votre assiette. Une équipe de scientifiques de l’Université de Californie à Riverside étudie des moyens de transformer vos ÉPICERIES en vaccins à ARNm. Afin de lutter contre « l’hésitation à la vaccination » chez la population, ces scientifiques veulent distribuer des protéines de pointe [protéine Spike] du coronavirus dans tous les aliments. Cette expérience pourrait donner naissance à un nouveau paradigme de vaccination qui donnerait à Big Pharma un contrôle total sur l’approvisionnement alimentaire, car ils tentent de modifier génétiquement les aliments pour inonder la population avec plus de protéines de pointe de coagulation sanguine.

Est-ce la raison pour laquelle Bill Gates, investisseur en OGM et en vaccins, achète des terres agricoles à travers les États-Unis ? Tous les vaccins actuels et les centaines de futures expériences vaccinales seront-ils réalisés par le biais de l’approvisionnement alimentaire ?

La modification génétique de l’approvisionnement alimentaire pourrait bientôt être utilisée pour vacciner la population

L’avenir de la guerre biologique et de l’expérimentation humaine sera probablement réalisé grâce à l’approvisionnement alimentaire et sera présenté comme sans danger. En modifiant le cytoplasme des plantes comestibles, les scientifiques espèrent introduire des toxines de protéine Spike, produite comme étrangère, dans vos aliments. Ces scientifiques qui cherchent à promouvoir les vaccins, font déjà des expériences sur les plants de laitue et d’épinards, afin de développer une nouvelle espèce de légumes verts qui peut vacciner les gens plus souvent et de manière moins invasive. Ces nouvelles variétés de légumes peuvent également être cultivées à la maison. Les scientifiques travaillent sur un moyen de quantifier le dosage exact  de protéines de pointe dans une plante tout en démontrant que la plante peut reproduire suffisamment d’ARNm pour surpasser l’approvisionnement actuel en vaccins.

 « Idéalement, une seule plante produirait suffisamment d’ARNm pour vacciner une seule personne », Juan Pablo Giraldo, chercheur principal et professeur agrégé au Département de botanique et des sciences végétales de l’UCR. « Nous testons cette approche avec des épinards et de la laitue et avons des objectifs à long terme de personnes qui la cultivent dans leurs propres jardins », a-t-il ajouté. « Les agriculteurs pourraient également éventuellement en faire pousser des champs entiers. »

Giraldo s’efforce de démontrer que les vaccins contenant de l’ADN mRNA peuvent être intégrés avec succès dans les cellules végétales. Pour ce faire, les chercheurs ont l’intention de modifier le chloroplaste de la cellule végétale. Le chloroplaste absorbe l’énergie du soleil et la convertit en sucre et en autres molécules dont la plante a besoin pour croître. Les scientifiques veulent interférer avec ce processus naturel et demander au cytoplasme de générer des protéines de pointe et d’autres molécules étrangères qui peuvent être introduites sous forme d’antigènes dans l’homme.

Giraldo et son équipe ont déjà démontré que le chloroplaste est capable d’exprimer des gènes étrangers qui ne font pas partie de la conception naturelle de la plante. Cette modification génétique a été réalisée en enfermant du matériel génétique étranger dans un boîtier protecteur, puis en l’insérant dans les cellules de la plante. L’objectif est d’introduire ces OGM chez l’homme afin que leur système immunitaire puisse être programmé pour lutter contre les antigènes et les séquences virales que les scientifiques ont présélectionnés et conçus.

Un nouveau paradigme de vaccins à base alimentaire est-il sur nous ?

À l’UC San DiegoNicole Steinmetz a déjà développé des nanotechnologies qui peuvent fournir du matériel génétique au chloroplaste des plantes. Steinmetz bricole des nanoparticules de virus végétal et les réutilise pour administrer des gènes étrangers dans les cellules de la plante.

Ce n’est pas la seule expérience de vaccin comestible actuellement en cours. Des scientifiques de l’Université d’Ottawa travaillent sur un vaccin comestible contre les coronavirus depuis plus d’un an.

L’Hôpital d’Ottawa teste déjà le premier prototype. Ce vaccin comestible exprime des antigènes viraux à l’intérieur des plants de laitue et d’épinards. Leur objectif est de délivrer les protéines de pointe au corps humain sans altérer la synthèse protéique des cellules humaines. L’approvisionnement actuel en vaccins doit être maintenu au réfrigérateur à des températures extrêmement basses. Si cet effort de recherche peut démontrer l’administration de protéines de pointe dans tout l’approvisionnement alimentaire, l’approvisionnement actuel en vaccins pourrait être supprimé au profit d’un nouveau paradigme de vaccination alimentaire. Cette expérience pourrait à jamais modifier l’approvisionnement alimentaire, transformant des aliments sains et curatifs en terrains de jeu de guerre biologique que les mondialistes peuvent utiliser pour exploiter la race humaine.

Lance Johnson

Les sources :

CTVNews.ca

NaturalNews.com

News.ecr.edu

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L’image en vedette provient de Natural News

Lien vers l’article original:

Now Vaccine-pushing Scientists Want to Turn Your Groceries into mRNA Vaccinesle 24 septembre 2021.

Traduit pas Maya pour Mondialisation.ca 

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Lance Johnson, Mondialisation.ca, 2021




Monsanto, Syngenta et Bayer ont décidé d’investir des millions de dollars pour développer des « sprays » de morceaux d’ARN afin de transformer les plantes en OGM directement dans les champs

[Source : Geopolintel]

[Illustration : ©Pascal Broze ©REPORTERS]

Nouveaux OGM – Pulvérisation d’ARN : une solution biologique, vraiment ?

Par Christophe NOISETTE, Eric MEUNIER

Le transhumanisme par le végétal.
Crispr et ARN comme pour le vaccin.
Parmi les plus gros actionnaires de Monsanto on trouve :
Bill Gates, Buffett, George Soros.

Les trois plus importantes entreprises de biotechnologies, Monsanto, Syngenta et Bayer, ont décidé d’investir des millions de dollars pour développer des « sprays » qui contiennent des petits morceaux d’ARN. Ces derniers, pulvérisés sur les plantes, pourront servir d’insecticide, d’herbicide… Certains, comme le fonds de pension Dominion (dont le siège se situe sur l’île de Guernesey), rêvent déjà de sprays à ARN capables de faire pousser les plantes dans le désert. Produit miracle ou poudre (sprays) aux yeux ?

Pour approfondir la lecture voir cet article :
Codex Alimentarius : La nourriture du futur sera OGM CRISPR http://www.geopolintel.fr/article24…


« Imaginez des cultures plus résistantes qui peuvent se développer dans des climats rudes, des plantes qui sont toxiques pour leurs parasites naturels mais inoffensives pour les humains, des cultures qui nécessitent moins d’eau ou de nutriments pour survivre en période de sécheresse, et des cultures qui sont temporairement immunisées contre des virus ou des épidémies. Et maintenant, imaginez que vous pourriez faire ces changements, et revenir en arrière, aussi simplement et rapidement que de décider de pulvériser, ou d’arrêter de pulvériser les plantes en question »,(([1] http://dominion-funds.com/es/all-ar…)) peut-on lire sur le site du fonds de pension Dominion, qui précise avoir investi dans les entreprises Monsanto et Syngenta. Un discours qui fait penser étrangement aux débuts de la transgénèse… ou plus récemment aux publicités pour les nouvelles biotechnologies comme Crispr/Cas9 ou les Talen.

Les plantes transgéniques modifiées via l’interférence ARN existent depuis de nombreuses années (à l’instar de la tomate Flavr/Savr à mûrissement ralenti, le porte-greffe résistant au court-noué expérimenté par l’Inra à Colmar ou encore les pruniers résistants au virus de la Sharka, expérimentés en Roumanie). Le site de Monsanto évoque de nouveaux développements « vendeurs » comme des cacahuètes non allergisantes, des graines de café décaféinées, un soja à teneur en huile « améliorée » ou un maïs résistant à des chenilles.(([2] http://www.monsanto.com/products/pa… ))

L’ambition de l’entreprise Monsanto n’est donc plus de modifier le génome des plantes en laboratoire mais d’agir directement au champ. Concrètement, elle ne souhaite plus faire produire l’insecticide par la plante elle-même mais pulvériser une solution sur la plante, qui contient de l’ARN interférant. Comme le précise Robert McCarroll, un des responsables du programme BioDirect chez Monsanto, le développement de traitements pour les plantes utilisant l’interférence ARN

« permet d’apporter la valeur de la protection biologique à base d’ARN sur des cultures qui ne pourraient économiquement pas supporter le développement d’un caractère transgénique ».

[Ndlr : si ces entreprises développent de tels sprays aptes à rendre les plantes OGM par simple pulvérisation, qu’est-ce qui les empêcherait alors d’aller pulvériser des champs de culture biologique ou d’agriculteurs indépendants, puis d’en revendiquer la propriété à cause du brevet ?]

Interférence à ARN : kezako ?

L’interférence à ARN est un phénomène biologique par lequel une molécule d’ARN peut « éteindre » l’expression de certains gènes, issus de végétaux ou de virus.(([3] Inf’OGM, « Interférence ARN : 20 ans d’autorisations commerciales… sans évaluation », Eric MEUNIER, 25 février 2015 )) L’ARN messager (ARNm), comme son nom l’indique, sert à transporter l’information génétique de l’ADN (qui se situe dans le noyau de la cellule) vers le cytoplasme où cette information est alors transcrite en protéine. Si on détruit cet ARNm, la protéine n’est plus produite et si cette protéine était essentielle à la bonne survie de l’organisme vivant, ce dernier meurt… Les chercheurs ont réussi à produire des ARN interférents (ARNi) qui viennent se coller à un ARNm en particulier, entraînant alors sa destruction. A noter encore que ce phénomène d’ARN interférent existe dans la nature : c’est une des « solutions » que certains organismes ont trouvé pour lutter contre les virus. Les entreprises expliquent qu’elles ont la possibilité de produire ainsi des ARNi très spécifiques, qui n’agissent que sur une espèce animale, par exemple.

Sur son site, Monsanto précise que « la technologie BioDirect utilise des molécules trouvées dans la nature et que nous espérons pouvoir utiliser dans le cadre de protection locale des cultures ou d’autres produits ». Et de citer la gestion des mauvaises herbes, des insectes ou encore des virus.(([4] http://www.monsanto.com/products/pa… )) Si l’entreprise ne s’exprime pas sur le caractère OGM ou non OGM des plantes obtenues au champ, un journaliste qui a visité un site de l’entreprise explique dans un article publié en août 2015 que l’intérêt « est de pouvoir contrôler les gènes sans modifier le génome de la plante, c’est-à-dire sans créer d’OGM ».

Monsanto annonce également sur son site que plusieurs projets sont sur le point d’aboutir… Il mentionne ainsi la fabrication de plusieurs « sprays » à pulvériser sur des cultures de pomme de terre contre le doryphore,(([5] brevet n°WO2015010026 A3, https://www.google.com/patents/WO20… )) et sur des tomates contre le virus de la maladie bronzée (Tospovirus).
Un autre projet plus récent vise à réduire le flétrissement des fleurs coupées. Ce projet peut être lu dans le détail avec la demande de brevet n°61793020 déposée par Monsanto en 2013 aux États-Unis, toujours en attente de réponse. Ce brevet concerne l’application à la surface des fleurs d’un mélange contenant une séquence génétique d’au moins 18 nucléotides et inhibant le gène EIN2 impliqué dans la synthèse d’éthylène par les fleurs.

Mais le plus intéressant, ce sont les projets qui sont des « solutions » aux problèmes posés par l’agriculture intensive… Ainsi, explique Patrice Leveque, de Monsanto, dans le Bulletin des Agricultures, « des mauvaises herbes devenues résistantes au glyphosate pourraient redevenir sensibles »… Et contre le déclin des abeilles, vous avez aussi ? Bien sûr, avec le spray biotech à ARN de Monsanto, le fameux projet Remebee… Monsanto a racheté en 2011 une petite entreprise israélienne, Beeologics, qui avait mis au point une solution à base d’ARN pour permettre aux abeilles de résister aux attaques du Varroa. Remebee, comme les autres sprays biotech de Monsanto, attend l’autorisation de mise sur le marché aux États-Unis. Mais selon l’Union nationale de l’Apiculture française (Unaf), l’une des raisons du déclin des abeilles est l’intensification de l’agriculture (disparition des haies, homogénéisation génétique des cultures, augmentation des pesticides, en nombre mais aussi en puissance, notamment les néonicotinoïdes, etc.). L’Unaf considère donc que ces sprays ne sont qu’une fuite en avant, car c’est le modèle agricole qui est responsable : « Monsanto essaye de se refaire une image auprès des apiculteurs » affirme-t-elle.

Que dit l’administration ?

Reste à savoir comment Monsanto va présenter ces nouveaux produits aux Agences en charge de l’évaluation des produits biotechnologiques et des biocides. Le Bulletin des Agriculteurs,(([6] http://www.lebulletin.com/cultures/… )) une revue en ligne québécoise, semble trancher le débat : « ces biopesticides sont des produits certifiés 100 % biologiques » !

Dans un article du Western Producer, publié en 2014(([7] http://www.producer.com/2014/11/rna… )) Zoe McKiness, directrice de la stratégie et des opérations pour la technologie de la chimie(([8] director of strategy and operations for chemistry technology )) expliquait qu’il faudra beaucoup moins de temps pour mettre au point et obtenir une autorisation de mise sur le marché pour un produit « BioDirect » que pour une plante transgénique. Techniquement, mais donc aussi réglementairement, suppose-t-elle, car l’Agence des États-Unis en charge de l’Environnement (EPA, Environmental Protection Agency) demande moins de données pour les pesticides biologiques (le dossier est donc moins cher) que pour les produits chimiques synthétiques.

Mais le débat scientifique quant à l’innocuité de tels sprays est loin d’être tranché : quelle persistance des ARN dans les plantes et donc les aliments, quels impacts sur les organismes non ciblés ? La directrice McKiness élude la question avec un artifice déjà utilisé au moment de la mise sur le marché des premières plantes transgéniques : « chaque fois que vous mangez une pomme, vous mangez de l’ARN. Même lorsque vous buvez de l’eau, il y aura de l’ARN dedans, du fait des bactéries qui y sont présentes ». Nous voilà donc rassurés.

Les ARN favorisent les rachats

Syngenta a racheté, en 2012, pour plus de 400 millions d’euros (523 millions US dollars), l’entreprise belge DevGen, spécialiste de l’interférence ARN et qui détient de nombreux brevets sur cette technique.(([9] https://www.google.com/patents/WO20… )) Et Monsanto, toujours en 2012, s’est alliée à un autre champion de cette biotechnologie, Alnylam Pharmaceuticals.

Monsanto et les nouveaux OGM

Monsanto n’était pas présente lors de l’audition sur Crispr/Cas9 à l’Assemblée nationale en avril 2016, et son nom est rarement cité dans le cadre du développement de telle ou telle plante modifiée par une nouvelle technique… Pourtant, l’entreprise n’est jamais très loin. En 2001, Renessen – une joint venture entre Monsanto et Cargill – signait un accord de licence exclusive avec Sangamo BioSciences. Cette entreprise étasunienne détenait un brevet sur une technologie « de reconnaissance universelle de gène » qui permet de développer des protéines pouvant se lier à l’ADN qu’elle a appelée les protéines à doigt de zinc se liant à l’ADN (zinc finger DNA binding protein – ZFP). Une technique qui a été déclinée depuis et a donné naissance aux nucléases à doigt de zinc. Cette licence donnait à Renessen le droit d’utiliser cette technique pour « améliorer la valeur de certaines cultures pour l’industrie de la transformation et de l’alimentation animale ».(([10] http://www.prnewswire.com/news-rele… ))

En 2012, c’est avec la fondation TwoBlades que Monsanto signait un accord de licence concernant les protéines TALEN (http://www.infogm.org/spip.php?arti…). Ces protéines font partie de la famille des nucléases dirigées sur site comme les nucléases à doigt de zinc, les méganucléases, Crispr/Cas9, Cpf1… Elles sont utilisées comme ciseaux pour couper l’ADN et introduire une mutation ou un gène à l’emplacement de la coupure.

En juin 2016, Monsanto signait deux accords de licence, l’un avec la startup israélienne TargetGene Biotechnology LTD spécialisée dans les techniques de modifications génétiques via l’ARN (RNA-guided gene-editing techniques…,(([11] http://news.monsanto.com/press-rele… )) et l’autre avec l’entreprise allemande Nomad Bioscience, elle aussi impliquée dans la mise au point de nouveaux OGM.





Gabriel Serville : « 70% des Guyanais refusent la vaccination, il faut de la transparence »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Alors que la situation sanitaire s’aggrave aux Antilles, certains dénoncent un manque de volonté de la population à se faire vacciner, tandis que d’autres déplorent une mauvaise gestion de la crise sanitaire : des soignants martiniquais parlent même d’«euthanasie active» dans un contexte de refus de soin.



Récemment élu président de la collectivité territoriale de Guyane, Gabriel Serville a répondu à nos questions sur la situation sanitaire, ainsi que sur les enjeux présents dans sa région de France Outre-mer. Il demande le dialogue en Guyane, il a entre autres mis en place des comités citoyens pour la transparence afin de lutter contre les avis extrêmes et de trouver un équilibre en société.

Ancien proviseur de lycée, maire, et député pendant neuf ans avant d’être élu à son poste actuel, il a fait partie de l’actualité dernièrement avec Christiane Taubira, également guyanaise, à qui a été également reproché de ne pas appeler sans réserve à la vaccination. M. Serville avait expliqué qu’il n’a pas été élu pour ses positions sur la situation sanitaire et qu’il ne souhaite pas confondre tous les sujets. Il appelle à la discussion et à écouter chaque discours, également ceux des médecins antillais critiquant la gestion de la situation sanitaire aux Antilles.

Le président de la CTG revient également sur le développement de la Guyane, il explique formellement qu’il y a toujours une « mainmise coloniale » sur la gestion de ce territoire par l’État français.




Visa prépare un Hold-up

[Source : #holdup visa]

@raleusegentille

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Cette Africaine a laissé Macron sans voix

[Source : H5 Motivation]

Venus de tout le continent, de jeunes Africains ont exprimé sans fard vendredi leurs attentes et frustrations sur la démocratie et la relation avec la France, interpellant directement le président Emmanuel Macron lors d’un sommet inédit à Montpellier (sud) qui privilégiait la parole de la société civile.




APPEL AUX SÉNATEURS POUR REFUSER L’OBLIGATION V antiCovid CHEZ LES ENFANTS

Par Nicole et Gérard Delépine

Merci aux sénateurs qui ont rejeté la proposition de loi Jomier en commission.

Cette Proposition de loi du groupe socialiste veut rendre obligatoire pour les enfants la vaccination contre le SARS-Cov-2. Elle sera soumise à nouveau au Sénat, le 13 octobre.

Comme médecins, nous sommes affligés qu’un confrère puisse proposer une telle mesure contraire à l’état réel de la science, au principe de précaution et au serment d’Hippocrate : « d’abord ne pas nuire ».

  • Peut-il ignorer que les enfants sains ne peuvent en espérer aucun bénéfice personnel ?
  • Ignore-t-il que les enfants ne constituent pas un facteur réel de contamination ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre ?
  • Ignore-t-il que l’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux ? Et qu’obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée ?
  • Ignore-t-il que ces traitements représentent un danger réel pour les enfants avec déjà des morts ?

RAPPEL DES FAITS ETABLIS

Les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections

D’après Santé publique France, 7 à 10 enfants meurent chaque année de la grippe saisonnière contre laquelle le vaccin antigrippal n’est pas indiqué, sauf chez ceux qui souffrent de lourdes comorbidités.

Durant l’année 2020, on a recensé en France 4 décès d’enfants attribués au Covid et tous souffraient auparavant de pathologies lourdes. Cette bénignité du Covid chez l’enfant sain est confirmée par toute la littérature mondiale et toutes les sociétés de pédiatrie.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette pseudo vaccination même si elle était parfaitement efficace.

Les enfants ne constituent pas un facteur réel de transmission du Covid

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.(([1] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the Covid-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ; 109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.
Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review – PubMed (nih.gov) ))(([2] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (Covid-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic – PubMed (nih.gov)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))(([3] Benjamin Lee and William V. Raszka Covid-19 Transmission and Children : The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI :
COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame – PubMed (nih.gov) ))

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020 | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic (oup.com))) est très démonstrative. L’enfant des Contamines, en contact alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

L’étude de l’institut Pasteur(([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission | medRxiv)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Aucun des enfants malades pendant qu’il fréquentait l’école n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans a conclu : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19 (alors qu’ils représentent 20,7 % de la population). Seulement 0,6 % des hospitalisations et aucun décès signalé concernaient des enfants de moins de 18 ans. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et aucun enfant de moins de 12 ans n’a été le premier infecté de la famille.

En Irlande,(([6] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of Covid-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ; 25 :2000903.
No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 – PubMed (nih.gov))) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie(([7] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. Covid-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées dont 1 élève du primaire potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([8] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. Covid-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ; 146(2) :
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, seulement 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

De même, la persistance ou la reprise des activités scolaires n’ont été suivies nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 20 mois d’épidémie et plus de 235 175 106 cas (au 6/10/2021) confirmés de Covid-19, après analyse des publications internationales référencées par PubMed (plus de onze mille sur Covid et enfant), aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Alors pourquoi certains, niant les faits établis, prétendent que la vaccination des enfants serait utile pour contrôler le Covid ? La vaccination des enfants ne peut pas protéger les aînés. 

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre 

L’exemple des pays champions de la vaccination montre que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper, ni de transmettre la maladie. Depuis l’apparition du variant Delta, les reprises de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés, souvent plus fortes que les poussées précédentes, montrent que même une couverture vaccinale très élevée ne protège ni les vaccinés ni les autres.

L’inefficacité de l’injection Pfizer à empêcher la diffusion de la maladie est démontrée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné. L’exemple d’Israël est à cet égard démonstratif.

Le 5 août dernier, sur Channel 13 TV News, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog de Jérusalem déclarait : « 95 % des patients sévères sont vaccinés » et « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

L’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires

Mais Monsieur Bernard Jomier feint de l’ignorer lorsqu’il récite sa croyance en la pseudo vaccination en essayant de tromper ses collègues sénateurs en prétendant que la pseudo vaccination serait le « seul moyen d’atteindre une protection collective suffisante », et de « transformer l’épidémie en un phénomène à bas bruit avec d’éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l’impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens » dans la conclusion de son rapport à ses collègues.

Il reconnaît que « le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d’immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90 % et 95 % ». Mais il fait semblant d’ignorer qu’un tel taux de couverture vaccinale ne pourra pas être atteint en France et que les représentants de nombreuses agences sanitaires majeures de pays qui ont atteint ce niveau d’injection en ont reconnu l’échec de l’espoir d’immunité collective par les pseudo vaccins.

Ainsi en Islande où devant la recrudescence de l’épidémie malgré un taux d’injection dépassant 93 %

L’épidémiologiste en chef, Orólfur Gudnason déclarait : « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » pendant que le directeur de l’hôpital universitaire national Páll Matthiasson affirmait « Cette pandémie et d’autres sont là pour rester » « Nous devons renforcer le système de santé pour qu’il ne soit pas toujours au bord de l’effondrement ».

Ainsi en Grande-Bretagne championne de l’injection Astra Zeneca qui n’a pas évité une récidive majeure de l’épidémie depuis juillet 21 :

Le chef de l’Oxford Vaccine Group et l’un des pères du vaccin AstraZeneca, Andrew Pollard a déclaré devant les députés « L’immunité collective n’est qu’un mythe »

À Singapour comme à Hong Kong, l’échec cuisant de la vaccination a fait revoir la stratégie sanitaire officielle passant de l’objectif « zéro Covid par la vaccination » au « vivre avec ».

En France, le professeur Fischer chargé de la vaccination qui affirmait il y a quelques mois qu’on atteindrait bientôt l’immunité collective par la vaccination se montre maintenant beaucoup plus prudent.

« Si l’immunité de groupe peut être atteinte ou non, je ne sais pas, c’est devenu un challenge très ambitieux que je ne trancherai pas »

Il n’y a plus guère que Bernard Jomier et un quarteron d’académiciens probablement trop liés à l’industrie pharmaceutique et/ou mal informés pour croire encore au contrôle de l’épidémie par les pseudo vaccins Covid.

Les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux

Pour le vérifier, il suffit de consulter le site officiel américain clinicaltrials.gov qui montre que la fin des essais phase 3 n’est pas attendue avant 2023.

Or obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée. Cette convention d’Oviedo ne fait que transcrire dans la loi internationale, la déclaration d’Helsinki élaborée par l’Association Médicale Mondiale après le procès des médecins de Nuremberg condamnant certains d’entre eux à la pendaison pour avoir administré des traitements expérimentaux (pour la moitié des candidats vaccins) sans le consentement libre et éclairé des intéressés.

Ces traitements expérimentaux représentent un danger réel, particulièrement pour les enfants et adolescents

Les péricardites post vaccinales ont été signalées pour la première fois en Israël depuis plusieurs mois. Comme cette maladie est naturellement exceptionnelle chez l’enfant le lien de causalité est hautement probable.

Depuis lors, une étude américaine réalisée à partir du VAERS a montré dès juin 2021 que les garçons en bonne santé âgés de 12 à 17 ans présentaient un taux d’hospitalisation dû à une inflammation cardiaque plus élevé après leur deuxième vaccination ARNm Covid-19 que le taux d’hospitalisation attendu pour le Covid-19 dans ce groupe d’âge.

Une analyse par le CDC (l’autorité américaine de Santé) des rapports d’inflammation cardiaque signalés après l’administration du vaccin Covid-19 l’a confirmé et cette complication des pseudo vaccins est maintenant inscrite dans la notice d’utilisation de ces médicaments aux USA. Rappelons la gravité de cette complication qui peut aboutir à la mort et lorsqu’elle guérit, peut laisser de lourdes séquelles interdisant les efforts prolongés comme la pratique des sports et annulant tout espoir de carrière sportive professionnelle.(([9] La myocardite inflammation du muscle cardiaque, péricardite : inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.)) La guérison rapide et définitive est un mensonge. Des accidents neurologiques divers ont également été rapportés depuis plusieurs mois (paralysie faciale, cécité, certes rares, mais inacceptables pour une maladie sans risque chez l’enfant sain.

Les données récentes de septembre 2021 chez les enfants soumis au pseudovaccin confirment ces premières indications et sont très inquiétantes aux USA(([10] The Covid-19 Vaccines have harmed and killed more children in the USA than all other vaccines combined according to official data (wordpress.com) ))

Et à nouveau cette information tragique : les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([11] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Il y a également eu 1 614 décès fœtaux enregistrés à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin contre le Covid-19, bien qu’aucune femme enceinte n’ait participé à un seul essai clinique pour aucun des vaccins anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe

Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Les dernières données VAERS publiées le 10 septembre 2021 montrent également comment les enfants qui ont un risque pratiquement nul de souffrir d’une maladie grave due au Covid-19, souffrent des vaccins Covid-19.

Il y a eu 21 décès, 77 incapacités permanentes, 2 019 visites aux urgences, 942 hospitalisations et 165 événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans en raison des vaccins contre le Covid-19.

De plus, les vaccins contre le Covid-19 ont causé 21 fois plus de décès, près de 8 fois plus d’incapacités, 40 fois plus de visites aux urgences, 36 fois plus d’hospitalisations et 18 fois plus d’événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans que tous les autres vaccins disponibles combinés (depuis le début des injections antiCovid).

Une autre recherche dans la base de données VAERS pour la thrombose (caillots sanguins), un effet secondaire connu des vaccins Covid-19, montre qu’il y a eu 91 rapports contre les vaccins Covid-19 chez les ados de 12 à 20 ans jusqu’au 10 septembre 2021.

La même recherche pour tous les autres vaccins disponibles montre que seulement 4 cas de thrombose ont été enregistrés. Cela signifie que les cas de thrombose sont 23 fois plus élevés chez les adolescents qui ont reçu une injection anti-Covid 19.

Et pourtant malgré ces énormes alertes sur l’impact dévastateur sur les adolescents aux États-Unis, la FDA et le CDC sont sur le point d’approuver le vaccin de Pfizer pour une utilisation chez les enfants de plus de 5 ans, le Dr Fauci déclarant même qu’il pourrait être approuvé pour une utilisation chez des enfants aussi jeunes que 6 mois d’ici Noël !

Big Pharma a toujours le pouvoir.

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([12] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées,(([13] Statistics » Covid-19 Vaccinations Archive (england.nhs.uk) )) et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins…

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.(([14] https://theexpose.uk/2021/10/04/teen-boy-deaths-increased-by-63-percent-since-they-had-Covid-vaccine/))

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.(([15] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre(([16] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose)) selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

Alors pourquoi en France cette proposition de loi susceptible de mettre en danger nos enfants, après toutes ces informations provenant des sources officielles ?

Mr le Sénateur Jomier et les autres signataires de cette proposition de loi sont-ils à ce point désinformés ? Qui les informe ? Qui sera responsable et coupable ?

Ne représenteraient-ils que des lobbyistes des entreprises du médicament ?

Les antécédents du docteur Jomier dans l’expérience « Paris sans Sida » plaideraient pour cette dernière possibilité.

En 2015-2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » faisant la promotion d’un médicament préventif de GILEAD ; la PrEP.  Dans un article de juin 2017, Hervé Latapie dénonçait certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts.

« La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscriptions onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches…), encarts publicitaires offerts à la presse gay ».

En 2018, l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  Après cinq ans de cette promotion de la PrEP qui a rapporté beaucoup à Gilead, le bilan sanitaire global est très mitigé(([17] D’après santé publique France l’incidence du sida à Paris s’est stabilisée (en grande partie grâce à l’accroissement sensible du dépistage) mais l’abandon trop fréquent du préservatif par ceux qui se croient ainsi protégés par le PrEP a été suivi par une augmentation de 20 à 30 % des autres maladies sexuellement transmissibles (syphilis, gonorrhée, chlamydia) ))(([18] ? ))

Gilead ? Toujours Gilead, que personne n’a pu oublier et dont les liens d’intérêt avec les anti Raoult, médecins de plateau permanents et les promoteurs du tragique Remdesivir ont constitué un des feuilletons de l’année 2020. 

EFFETS INDÉSIRABLES RELATÉS PAR LES AGENCES OFFICIELLES DES THÉRAPIES GÉNIQUES

Quelques éléments complémentaires à leur fournir ainsi qu’à tous les candidats à la présidentielle tragiquement silencieux alors que ces drames se jouent sous leurs yeux

En UE selon le site officiel de l’agence européenne du médicament(([19] https://adrreports.eu/fr/)):

Tableau comparatif des Myocardites déclarées sur Eudravigilance pour les 12-17 ans et les 12-17 ans complètement vaccinées en France complètement superposables.

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE

Plus de 26 000 décès reconnus par l’agence et plus d’un million d’accidents notés comme graves par EudraVigilance. Un tel risque, une fois connu, avec ces sources officielles est — il acceptable surtout chez les jeunes qui ne risquent rien du Covid ?

Et comme aux USA, le nombre de décès post Vax antiCovid a flambé depuis les injections antiCovid.

TOUS les décès, pour TOUS les vaccins répertoriés, depuis 2010 dans la base de données de pharmacovigilance européenne EudraVigilance, année par année.

En conclusion, il faut refuser cette obligation chez des enfants en particulier, et exiger un moratoire devant l’accumulation des effets secondaires, dont certains graves, et des décès chez des personnes en bonne santé.

Ceci d’autant plus que l’épidémie est terminée comme le réseau sentinelle le démontre.(([20] Réseau Sentinelles — Semaine 39))

Merci aux sénateurs qui ont refusé de voter cette proposition de loi contraire aux données actuelles de la science et espérons qu’ils pourront convaincre leurs collègues.

Encourageons— les tous à refuser définitivement cette proposition dangereuse. Chacun a le droit à l’erreur, mais persévérer est diabolique surtout quand il s’agit d’enfants et donc de l’avenir de la nation.

Et tous les politiques de tous les bords devraient s’emparer de ce risque énorme pour les jeunes et s’opposer à ce danger imminent et impossible à nier. Sinon, comment croire à leur intérêt pour les Français et singulièrement sa jeunesse ?

Et nous citoyens, contactons-les par tous les moyens pour les informer et qu’aucun ne puisse dire plus tard « je ne savais pas » !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

De tous les députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes





BFM et la liquidation des voitures et populations polluantes (suite)

Par Nicolas Bonnal

Une extraordinaire émission (de CO2 ?) de Sud Radio m’a été recommandée par mon ami Pierre Audabram, qui me rappelle au passage que les comptes au-dessus de trois mille euros seront saisis un jour aussi (la presse économique insiste dessus, plus acquise que jamais au Reset) ; cette émission faisait mine de se révolter contre le fait que la moitié du parc automobile français est condamnée à disparaître sous peu. La moitié des Français (les plus pauvres, rassurez-vous) vont se retrouver à poil et à pied parce que leurs caisses de gilets jaunes polluent trop. Cela suffira-t-il pour faire réélire Macron ? Certainement. Les informaticiens aux commandes de ce pays déréalisé feront le travail.

Le vaccin n’est qu’une goutte de sang contaminé dans l’océan de massacres et de perversités qui se produisent – le tout dans l’indifférence et l’abrutissement général justement rappelé par M. Tandonnet. La candidature Zemmour voulue de A à Z par le système oligarque et sa presse aux ordres va habilement dévier la colère de Ran-Tan-Plan. Comme je le dis depuis des années en célébrant de façon récurrente les géniales créations de Goscinny (relisez le Combat des chefs ou le Devin pour comprendre comme on manie la masse de ces Gaulois soi-disant réfractaires), Ran-Tan-Plan sent parfois (pas tout le temps quand même !), sent parfois confusément quelque chose. Là en effet, on le prive de liberté, on le prive de pandémie (où est-elle passée ?), on le prive de consommer, on le prive de travail, et parfois il n’est pas content. Donc on met en scène un chasseur de boucs émissaires, le dénommé Zemmour, dont le système a toléré et promu toutes les provocations historiennes et médiatiques depuis trente ans, et on prépare ce bon peuple plus soumis que jamais à la chasse à l’arabe. On se retrouve dans Dupont-Lajoie de Boisset. Effet de déviation garanti et effet aussi de division chez les antisystèmes qui préfèrent chasser l’arabe que le tyran. Macron sera réélu de toute façon, car le populo catho-bourgeois-centriste-téléphage reste satisfait de son job.

Mais Macron avait été choisi avant d’être élu. Il a été choisi par tout un panel de mondialistes surpuissants, Bilderbergs, OTAN, Trilatérale, GAFAM, ceux contre lesquels l’extrême droite de jadis (Moncomble, Coston) nous mettait en garde ; extrême droite qui a disparu depuis, et qui se fait grand remplacer par qui l’on sait. Macron a été élu pour casser et dépecer le pays, pour l’appauvrir, le morceler, le remplacer, l’abrutir, le culpabiliser, un peu plus rapidement que ses prédécesseurs. Il l’a été aussi pour vacciner ce pays tout entier et sans doute pour le dépeupler. Enfin il a été élu pour le mettre à pied ce peuple et le priver de sa précieuse guimbarde. Ce n’est pas moi qui le dis, mais BFM :

« La plupart des grandes villes françaises vont devenir des ZFE (zones à faibles émissions) d’ici à 2024, avec des plans d’exclusion des véhicules les plus anciens de la circulation. Une décision qui concernerait au moins 12 millions de voitures environ. Principale cible : les Diesel, interdits de circuler dans le Grand Paris dans 3 ans.

C’est un des enjeux importants du projet de loi Climat et résilience en cours d’examen à l’Assemblée nationale : la généralisation des zones à faibles émissions (ZFE), un dispositif déjà en place à Paris, Grenoble et Lyon, et qui concernera bientôt les principales villes de France. »

La France n’est plus un pays, c’est un territoire, un hexagone, un ensemble de zones ; remarquez c’était déjà le cas du temps du gaullisme, pas vrai ? Aménagement du territoire, DATAR, quand tu nous tiens…

On reprend BFM :

« La France comptera déjà en 2021 un total de 10 ZFE. Certaines déjà existantes, comme Grenoble-Alpes Métropole, la Métropole du Grand-Paris, ou Grand Lyon Métropole. Et d’autres prochainement créées : Métropole du Grand Nancy, Métropole d’Aix-Marseille-Provence, Toulouse Métropole, Montpellier Méditerranée Métropole, Métropole Toulon-Provence-Méditerranée, Métropole Rouen Normandie. »

Ces zones seront contrôlées ainsi :

« Concrètement, ces zones pourront appliquer le dispositif des vignettes Crit’Air pour écarter de la circulation les véhicules jugés les plus polluants, en « permanence » (ou plus exactement en semaine de 8h à 20h). C’est le cas actuellement à Paris par exemple pour les véhicules Crit’Air 4 et 5. Cette interdiction peut aussi être ponctuelle, lors des pics de pollution pour pratiquer la circulation différenciée, en pouvant choisir d’exclure jusqu’à un certain niveau de cette vignette. »

Le totalitarisme informatique (on vous photographie puis on se sert sur votre compte bancaire) accompagnera la mise au pas de cette population d’abrutis (désolé, je n’ai plus d’autre mot) :

« Seuls des contrôles des forces de l’ordre peuvent donner lieu pour le moment à une verbalisation, mais le ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari a prévenu récemment que la vidéoverbalisation pourrait être mise en place d’ici à la fin de l’année. Le fichier des immatriculations étant lié à celui des cartes grises, il sera ainsi assez simple de déterminer si une voiture a le droit ou non de rouler dans un territoire donné. »

La suite est dans l’infect article de BFM. Rappelons que les non-vaccinés n’auront plus accès à leurs comptes.

Chose extraordinaire, tout le monde s’en fout. On ne les aurait pas informés ? Mais BFM ? Lisez la presse mainstream parfois les petits ! Dans les antisystèmes personne ne parle de ce petit problème, qui va encore plus loin que le vaccin et nous garantit tout : misère incroyable, mais tolérée ; contrôle dystopique de l’espace (« la vie moderne est un mauvais film », disait Deleuze) ; fin des approvisionnements (qui va pouvoir vous livrer sans polluer, bobos électriques ?) ; circulation ubuesque ; contrôle informatisé ; totalitarisme aveugle et satanique, puisque l’œil qui regarde Caïn ne sera pas dans la tombe, mais PARTOUT. Il serait temps de vous réveiller, citoyens, mais en chassant l’arabe le Français de droite pense se défouler intelligemment.

Je sais, je sais, les masses vont se rebeller… Ces masses qui ont intériorisé le fait qu’elles polluent trop et qu’elles sont de trop sur cette terre ?

https://www.bfmtv.com/auto/pourquoi-des-millions-de-voitures-ne-pourront-bientot-plus-rouler-dans-les-grandes-villes_AN-202104100175.html

https://www.youtube.com/watch?v=y1Ft_O7i7w

https://www.bfmtv.com/auto/crit-air-la-videoverbalisation-mise-en-place-avant-la-fin-de-l-annee-en-region-parisienne_AN-202101120143.html

https://lesakerfrancophone.fr/et-si-le-peuple-voulait-du-grand-reset-et-de-la-tyrannie




Euthanasiés parce qu’ils avaient le Covid !

[Source : Alternatif Bien-Être (alternatif-bien-etre.com)]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Il y a quelques jours, en Chine, trois chats ont été euthanasiés… parce qu’ils avaient été testés positifs au Covid-19.(([1] L’euthanasie de trois chats positifs au Covid-19 fait polémique en Chine (courrierinternational.com) ))

Ces trois chats appartenaient à la même personne, une habitante de Harbin (province du Heilongjiang). Les vétérinaires ne lui ont pas demandé son avis pour la mise à mort de ses chats.

Pire, malgré son opposition désespérée et ses suppliques, ils les ont tués pour « le bien de la collectivité ». 

Cela vous choque ?

Si l’objet de mon message vous a choqué… c’est bien.

Si le détail de cette nouvelle apparemment sans importance – après tout, des milliers d’animaux sont euthanasiés chaque jour sans que cela n’émeuve personne – vous choque aussi… c’est encore mieux. C’est qu’il y a encore de l’espoir.

Il y a encore deux ans, que l’on euthanasie ces trois animaux au lieu de tenter de les soigner aurait ému bien au-delà du cercle des défenseurs des animaux.

Pire, que cette triple euthanasie soit opérée sans le consentement de leur propriétaire et pour assurer la « sécurité » d’une ville chinoise… serait passée pour une extravagance supplémentaire de ce régime autoritaire.

Exactement comme le confinement d’une ville entière, Wuhan, nous avait paru si « exotique » : « ça, ça n’est possible qu’en Chine ! », s’était-on dit… pas vrai ?

Jusqu’à ce que cela se produise à nos portes – en Italie – et finalement… bel et bien chez nous.

Il y a deux ans également, le port du masque généralisé nous semblait un « trait culturel » typiquement asiatique…

… Les vaccinodromes, une manifestation de l’autorité que des régimes d’un autre âge exercent sur des masses dociles…

… La nécessité de devoir présenter un QR code dévoilant des informations sur votre santé pour obtenir la permission de vous asseoir à la terrasse d’un café ou de monter dans un train, une trouvaille issue d’un roman d’anticipation de George Orwell ou Philipp K. Dick…

Tout cela, qui nous paraissait inouï, inimaginable chez nous, a pourtant eu lieu, a lieu en ce moment-même.

Cela a choqué plusieurs d’entre nous, et j’en fais partie, vous le savez.

Mais cela a, en fin de compte, a été accepté et intégré par la majorité de la population avec une rapidité et une facilité déconcertantes.

Cette façon de nous « accoutumer », par petites touches, à des mesures toxiques, porte un nom : la mithridatisation.

Et nous vivons, aujourd’hui, une forme de mithridatisation collective, sociale et sanitaire.

Comment on s’accoutume au poison

Ce mot un peu compliqué de « mithridatisation » vient du roi antique Mithridate le Grand, qui régnait sur le Pont-Euxin au Ier siècle avant J.-C.

Buste en marbre de Mithridate VI le Grand, musée du Louvre

Mithridate avait de nombreux ennemis, à l’intérieur de son royaume comme à l’extérieur, qui en voulaient à sa vie – et le roi en avait parfaitement conscience.

Or, la méthode la plus discrète et radicale à la fois pour se débarrasser d’un rival ou d’un adversaire politique était à l’époque l’empoisonnement.

Sachant qu’il lui était impossible de contrôler toute boisson et toute nourriture dans laquelle un espion aurait pu verser du poison, Mithridate adopta une méthode originale : il devint lui-même expert en poisons… et en ingéra chaque jour, à petites doses.

Alors qu’une dose massive et unique de poison aurait pu le tuer, ces petites doses quotidiennes de poison non seulement ne le tuaient pas, mais le rendaient plus résistant.

C’est l’accoutumance de son organisme au poison qui protégea Mithridate du risque d’empoisonnement.

Cette méthode fut un succès au-delà de toute espérance… qui se retourna contre lui.

Finalement détrôné, Mithridate voulut se suicider en absorbant une dose massive de poison, mais n’y parvint pas : son corps s’y était trop accoutumé !

Mithridate fut donc passé au fil de l’épée par les soldats de son propre fils, qui lui avait ravi son trône. Une fin déshonorante et brutale.

La mithridatisation des esprits

La mithridatisation, c’est donc cela : l’absorption à faible dose d’un poison, auquel on s’accoutume.

On commence par de toutes petites doses, qu’on augmente à mesure que l’on y devient insensible.

Lorsque l’organisme ingère une quantité plus importante de ce même produit toxique, le cas échéant, on y survit.

[Ndlr : Est-ce que l’organisme s’habitue au mercure, au plomb ou à l’arsenic qui s’accumulent dans le corps jusqu’à produire des effets notables et indésirables sur l’organisme, à le rendre malade ou même à le tuer ? Est-ce qu’il peut même s’habituer au cyanure et à des toxines encore plus radicales ? Il est plus prudent de ne pas tenter ce genre d’approche avec tous les poisons, surtout lorsque ceux-ci ne s’éliminent pas naturellement et rapidement du corps. C’est la dose qui fait le poison. N’importe quelle plante médicinale, n’importe quel aliment, même de l’eau, peuvent devenir nocifs à trop haute dose.]

La crise du Covid-19 a sonné le départ d’une étrange mithridatisation des esprits.

[Ndlr : il s’agit de ce que d’autres ont appelé la méthode des petits pas qui consiste à aller vers l’objectif par étapes, avec au besoin une halte entre deux étapes données pour laisser le temps de récupérer après la tension imposée lors de l’étape précédente. En physique, que l’on applique une torsion progressive ou rapide à une barre métallique ne change pas grand-chose au résultat : si la tension accumulée devient trop forte, la barre se rompt. En psychologie, si l’on applique une tension trop forte et trop soutenue à un individu, il se brise. En politique, ceux qui veulent amener des changements sociétaux ou structurels doivent veiller à faire redescendre la tension à certains moments s’ils ne veulent pas provoquer une explosion. Et dans le cas de la crise Covid, il y a donc eu des périodes de relâchement des mesures avant de mieux repartir pour de nouvelles encore plus radicales.
Voir aussi Le contrôle mental au temps du Covid]

Le poison de cette mithridatisation, ce n’est pas le virus, ce sont les mesures qui s’accumulent pour, nous dit-on, nous en « protéger ». 

L’énormité de cette mithridatisation nous dépasse déjà.

Il y a deux ans, le principe du pass sanitaire, hormis peut-être quelques technocrates fadas biberonnés aux GAFA,(([2] Les géants du numérique qui, de fait, contrôlent hors de toute réglementation étatique, l’information et l’économie contemporaines : Google, Amazon, Facebook, Apple.)) nous aurait semblé révoltant. Plus qu’inapplicable : inimaginable.

Mais la privation de liberté « pour le bien de tous » s’est faite à petites doses.

Il y a eu certes le choc du premier confinement, mais tout, ensuite, s’est déroulé par touches subtiles, comme sur un tableau impressionniste :

  • Les attestations de sorties ;
  • Le port du masque obligatoire ;
  • Le couvre-feu ;
  • La quarantaine ;
  • Les tests obligatoires, gratuits, puis payants ;
  • La vaccination « conseillée », puis « encouragée » et finalement de facto obligatoire…

Nous avons avalé toutes ces mesures empoisonnées. Une à une. Chacune allant un peu plus loin que la précédente, jusqu’à cet état de fait inquiétant : la discrimination pour raisons médicales.    

Nos sociétés championnes de la lutte anti-discrimination ont beau jeu

Nos démocraties occidentales modernes, qui se targuent de lutter :

  • contre la discrimination raciale,
  • contre la discrimination religieuse,
  • contre la discrimination sexuelle,
  • contre la discrimination pour préférences sexuelles…

… ont en fin de compte créé de toutes pièces une toute nouvelle discrimination : la discrimination vaccinale.

L’être humain est un animal social, d’accord, mais c’est surtout un animal discriminant. 

Il faut qu’il discrimine, c’est comme ça.

S’il ne peut plus discriminer selon que vous êtes blanc ou noir, homme ou femme, chrétien ou musulman, homo ou hétéro, français, belge ou marocain… il trouvera autre chose.

Il vous discriminera parce que vous avez les pieds grecs ou égyptiens, parce que vous êtes riche ou pauvre, parce que vous êtes plutôt thé que café.

Les problèmes sérieux commencent quand l’État prend en charge cette discrimination

C’est-à-dire quand l’État légifère sur l’achat de certains hommes comme esclaves par d’autres réputés « libres », sur les droits accordés à une confession religieuse et pas à une autre, sur la possibilité ou non des femmes d’accéder à l’éducation.

L’État français, ni pionnier, ni bon dernier, vient de créer une société dotée de deux nouvelles « classes » de citoyens : les vaccinés et le non-vaccinés, les premiers ayant plus de droits que les seconds.  

Oh, nous pouvons nous enorgueillir, dans nos pays occidentaux développés, d’avoir conquis la liberté de confession, la liberté d’orientation sexuelle… Mais nous sommes, en parallèle, en train de mettre fin à la liberté de choix médical.  

Nous vivons depuis si longtemps déjà dans l’invraisemblable que nous avons laissé passer cette discrimination inédite sans y prendre garde. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’épouvante, entretenue par les médias, que cette discrimination nous paraît presque « normale », et même pour certains… indispensable. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’intimidation, entretenue par les gouvernements, que nous acceptons d’une âme égale qu’ils décident à notre place à quelle heure entrer et sortir de chez nous, ou si nos enfants doivent ou non se faire injecter des produits pharmaceutiques créés il y a moins d’un an.

Par mithridatisation. Par petites touches.

C’est ainsi que nous laissons cette politique toxique nous empoisonner en tant que société, et en tant qu’êtres humains.

Mais attendez : ce n’est pas terminé.

Voici deux autres exemples d’une actualité brûlante de cette mithridatisation en marche.

Suisse : 50 francs pour l’incitation à la vaccination

En Suisse, le Conseil Fédéral a, dans le sillage de la France, instauré autoritairement l’obligation de présenter un « certificat Covid », équivalent de notre pass sanitaire.  

La mesure a choqué bon nombre d’habitants de ce pays à très forte tradition démocratique et la Suisse, pour la première fois depuis des décennies, connaît depuis régulièrement des manifestations à Berne, sa capitale, contre cette mesure.

Mais, cette semaine, le Conseil Fédéral a décidé d’aller plus loin dans sa politique « tout-vaccin » en ayant l’idée d’offrir un « bon-cadeau » de 50 francs suisses à toute personne convaincant un proche de se faire vacciner.(([3] Annonces du Conseil fédéral – Vaccination: un bon de 50 francs à ceux qui persuadent leurs proches – Le Matin))

A priori ça n’est pas « nouveau ».

Aux États-Unis, le gouvernement du New Jersey offrait une bière à toute personne allant se faire faire une injection anti-Covid.(([4] Covid-19 aux États-Unis. Une bière offerte contre une dose de vaccin dans le New Jersey (ouest-france.fr) ))

Le gouvernement chinois de Hong-Kong incitait, lui, à la vaccination en offrant aux bons élèves des billets de loterie pour gagner une Tesla ou un appartement de luxe.(([5] Un vaccin contre une Tesla, à Hong Kong des loteries pour stimuler la campagne | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

[Ndlr : aux États-Unis et au Québec, des loteries vaccination ont été mises en place, avec possibilité de gagner jusqu’à un million de dollars si on se fait vacciner.]

Mais cela s’adressait à toute personne susceptible de se faire vacciner… Pas à son entourage, pour la convaincre d’y aller !

Le Conseil Fédéral suisse a bel et bien franchi un pas supplémentaire, qui en dit long sur la conception qu’ont nos gouvernements de la santé : quelque chose qui s’achète… et que l’on peut vendre.

À présent je vous demande : cela vous choque-t-il ?

Israël : 3ème dose obligatoire pour garder un pass sanitaire valide

Israël est, vous le savez, le pays « en avance » en termes de politique vaccinale anti-Covid. Ils ont été :

  • les premiers à vacciner en masse,
  • les premiers à instaurer un pass sanitaire (et rappelez-vous, à ce moment-là, Emmanuel Macron a juré ses grands dieux que JA-MAIS il ne mettrait en place un système équivalent)…
  • et les premiers à connaître un rebond spectaculaire des contaminations et des décès dans la population vaccinée.

Ce terrible désaveu n’empêche pas le gouvernement actuel de s’entêter dans sa politique vaccinale :

« Les passeports verts, délivrés aux personnes vaccinées ou guéries du Covid-19, seront remplacés dès ce dimanche en Israël. Ceux déjà délivrés seront annulés. Près de deux millions de citoyens ne pourront plus accéder à certains espaces publics sans un résultat de test négatif. »(([6] Deux millions de vaccinés israéliens privés de pass sanitaire s’ils ne prennent pas de 3e dose – 03.10.2021, Sputnik France (sputniknews.com) ))

En Israël comme en France, la troisième dose a d’abord été présentée comme « optionnelle »… jusqu’à aujourd’hui, où elle est de facto obligatoire.

Les promesses n’engagent décidément que ceux qui y croient…

Quant à ceux qui ont encore l’innocence de se dire « bon, allez, une troisième dose, et c’est enfin terminé »… sachez qu’en fait de « troisième dose » la nouvelle réglementation israélienne stipule que le pass sanitaire sera valide pendant six mois après l’administration de la dernière dose

Cela vous choque-t-il ?

Le poison de la lassitude

Si tout cela vous choque, comme je vous l’écrivais plus haut, c’est qu’il y a encore de l’espoir.

Car le propre de la mithridatisation, c’est de nous rendre insensible.

Nous regardons tous ces pas supplémentaires vers l’indignité, vers la confiscation de notre consentement, vers la discrimination pour raisons médicales, d’un œil las.

Moi le premier. Que croyez-vous ? Je me lasse de vous parler du Covid… du pass sanitaire… des injections et de ses effets secondaires… des milliers de morts directes ou indirectes sacrifiées sur l’autel du « bien collectif »… C’est usant.

J’en ai marre, comme vous. J’ai envie de penser à autre chose. De passer à autre chose.

Or, c’est précisément là qu’est le danger.

Je me lasse de vous en parler, je deviens désabusé… mais les mesures qui continuent à être appliquées, celles qui s’apprêtent à être prises (la prolongation du pass au-delà du 15 novembre, la généralisation de la troisième dose…), elles, n’ont pas cessé d’être problématiques : elles sont même pires !  

Mais nous sommes habitués. Anesthésiés. Mithridatisés.

C’est ce qui permet à l’inimaginable il y a encore quelques semaines ou mois de se produire sous nos yeux. Pas à pas. Par petites touches. L’air de rien.

Aujourd’hui ce sont des chats qui sont euthanasiés en Chine. Pourquoi pas demain ici en Europe ? Et pourquoi pas, demain, des patients humains ?

Toujours pour la même raison : le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la Suisse qui propose un billet de 50 pour « inciter » votre ami, votre cousin ou votre petit frère à se faire vacciner. Pourquoi pas la France demain ? Et puis, ce cadeau pour l’incitation ne pourrait-il pas devenir un cadeau pour… délation de non-vaccination ?

Pour le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la troisième dose qui est obligatoire en Israël. Et demain, pourquoi pas en France ? Et puis, pourquoi pas la quatrième dose, et puis la suivante ?

Vous ne croyez pas à tout cela ?

Mais il y a deux ans, auriez-vous cru au confinement du pays entier ?

Il y a six mois, auriez-vous cru que nos gestes quotidiens seraient déterminés par une injection médicale ?

On vous dira que c’est pour le bien collectif. Même si toutes les données indiquent le contraire.

La Norvège, la Suède, le Danemark, n’ont pas ou plus de pass sanitaire. Y’a-t-il une hécatombe dans ces pays ? Non.

Mais en France, en Suisse, en Italie, en Israël évidemment, les gouvernements soutiennent que c’est la seule voie de sortie possible de la crise.

Ces mêmes pays qui s’assoient allègrement sur le million d’effets secondaires des injections anti-Covid officiellement reconnues par l’OMS… pour la seule Europe.(([7] Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Oui, la mithridatisation, l’anesthésie, la lassitude, sont dangereuses. C’est cela qui nous fait baisser la garde : nous sommes choqués, révoltés au départ (certains d’entre nous en tout cas). Puis résignés. Puis habitués.

Mais la force de l’habitude ne change rien au caractère moralement indigne de cette politique de santé, ni surtout aux dégâts qu’elle provoque.

Le caractère choquant de mon mail reflète mon dégoût quand j’ai appris l’euthanasie de ces animaux. Que cela me choque, m’a rassuré : je ne suis pas entièrement mithridatisé.

Peut-être vous non plus, si vous avez ouvert ce message.

Alors… Alors il faut continuer. Je continue à protester par ces lettres et surtout à lutter, à ma modeste échelle, contre les dégâts provoqués par cette insensée politique sanitaire.

Que faire contre cet empoisonnement ? Distribuer l’antipoison

Je ne peux pas immobiliser ce rouleau-compresseur qu’est l’injection en masse, voulue par un accord gouvernemental et pharmaceutique, d’un produit médical dont les effets secondaires commencent à être aussi effrayants que documentés.

Mais je peux, je l’espère, réunir les moyens de vous aider à prévenir et traiter ces effets secondaires si, pour X raison, vous vous êtes fait vacciner ou connaissez quelqu’un qui en souffre.

Ces moyens, je ne les sors pas de mon chapeau : il s’agit de solutions appliquées par des thérapeutes intègres et courageux, qui sont aujourd’hui dans une situation de résistants face à une armée d’occupation : ils continuent à traiter leurs patients, coûte que coûte, et surtout en bravant les intimidations, les menaces.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet





Pourquoi deviendrait-il si urgent de faire abolir la peine de mort à l’échelle internationale ??

Par Diane Vincero

Est-ce qu’au vu des milliers de plaintes pour crimes contre l’Humanité, déposées dans tous les pays (à l’échelle nationale, comme européenne, comme internationale), les dirigeants français (entre autres) ne pendraient pas conscience que leur tête est mise à prix, au sens littéral du terme ??

Donc, voilà un abus supplémentaire, une volonté supplémentaire de la part des dirigeants d’aménager les lois dans le sens qui les arrange. Tout cela présenté, une fois de plus, de façon très mielleuse, très onctueuse, en mettant en avant que « la peine de mort est une peine honteuse », et bla-bla…

Et les centaines de milliers de morts et de handicaps graves provoqués par l’obligation vaccinale covid, c’est quoi ??? N’est-ce pas pire qu’un meurtre « habituel », dans le sens où ces meurtres là, par la vaccination, ont été commis SCIEMMENT, sous une apparence mielleuse, onctueuse, de « vouloir protéger le peuple » alors que partout ont été soulevés ces effets catastrophiques de cette vaccination !!!! 

Lorsque les procès éclateront, tous ces dirigeants voudront encore se cacher, comme d’habitude, derrière de « beaux principes, bien mielleux » qui seront : « nous ne savions pas que les vaccins pouvaient entraîner tous ces effets secondaires, on nous l’avait caché. », « Nous avons pris soin de nous appuyer sur la HAS », etc., etc.. 

Mais, ce manège ne tient pas, puisqu’eux et nous savons les liens TRÈS étroits entretenus DEPUIS DES DÉCENNIES entre Big Pharma et toutes ces « autorités de santé », ces conseils de l’ordre des médecins, ces personnalités politiques, etc., etc., etc. qui montrent bien que l’intérêt de toutes ces personnes n’était certainement pas dans la protection du peuple (et ce à l’échelle mondiale). 

D’ailleurs, première décision extrêmement honteuse, scandaleuse qui est d’avoir accordé à Big Pharma, et ce dès 2003 (environ) que les laboratoires pharmaceutiques soient dégagés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires engendrés par leurs vaccins !!!!!! Qui les a dégagés de ces responsabilités ??? Les politiques…….

Mais encore une fois, qui parmi les citoyens ordinaires est dégagé de toute responsabilité sur les conséquences de ses actes ??????!!!! Vous n’avez qu’à regarder la tornade d’amendes qui s’abat actuellement sur les automobilistes qui osent dépasser légèrement les limitations de vitesse drastiques qui viennent d’être mises en place : pour le « moindre clignement d’œil de travers », le citoyen lui est sanctionné. 

Il est question par ailleurs d’augmenter les sanctions pour les non-vaccinés avec des amendes lourdes.

Donc, les dirigeants sont excellents quand il s’agit de donner des leçons, de sanctionner à tout va, en se cachant systématiquement derrière le masque de prétextes onctueux « pour le bien du peuple », mais comme ils devront répondre de leurs actes et décisions, ils anticipent déjà la levée de toute responsabilité….

D’ailleurs, il vient d’être question de dégager les dirigeants français de toute responsabilité dans la campagne covid !!!

Mais arrêtez !!!!!!!!! Cela dépasse l’entendement !!!!! 

Dans les corps de métier régaliens, il y a des devises comme « Force et Honneur », « Honneur et Patrie », etc., etc.  

Donc, on bourre le mou des policiers, gendarmes, militaires, de devises vertueuses, de valeurs, ALORS QUE PENDANT CE TEMPS, LES DIRIGEANTS EUX, BAFOUENT TOUTE ÉTHIQUE, TOUTES LES VALEURS FONDAMENTALES, etc., etc. SOUS NOS YEUX !!!!!!!!!!!! 

Où est leur force ? Où est leur probité ? Où est leur honneur ??? Ils ont été jusqu’à obliger les médecins à ne pas utiliser des traitements qui guérissent du covid, et les ont amenés à vacciner, alors que la devise des médecins est « Primum non nocere » (« d’abord, ne pas nuire »).

Au passage, on peut lire dans Wikipedia que

« Un ministère régalien est un ministère qui répond aux fonctions régaliennes de l’État, c’est-à-dire les fonctions dont la responsabilité doit normalement être prise par l’État et qu’il ne doit pas déléguer à des sociétés privées1. »

Alors pourquoi certaines amendes, etc., etc. sont-elles confiées à des sociétés privées ???

STOP !!! STOP !!!

Dirigeants, vous avez dépassé les bornes depuis plus de 18 mois !!!

En conclusion : cessez de vous cacher derrière de prétendues bonnes intentions et assumez vos responsabilités, comme l’éducation nationale l’enseigne aux enfants dès la maternelle….. Vous n’êtes pas des enfants de maternelle, et, vous n’en avez aucunement l’innocence… Si vous avez pu leurrer une catégorie de population, les autres voient clair dans votre jeu !!!! 

La manipulation destructrice fonctionne en 3 étapes : mettre en avant de « beaux principes » avec des arguments tellement onctueux qu’on pourrait y croire. Ensuite, on culpabilise à tout va « vous êtes de mauvais citoyens, des non-vaccinés, des délinquants routiers, vous coûtez cher à la SS, etc., etc., etc. », et enfin, il y a l’argent, le nerf de la guerre ; ici en l’occurrence, les milliards que gagne Big Pharma avec ses vaccins, ses médicaments, etc., etc., etc.

Un exemple, quand on parle du « trou de la SS » : comment expliquer que les médicaments déjà anciens qui ne coûtent plus rien sont retirés du marché, alors qu’ils fonctionnaient très bien chez les patients, et ce, au profit de « nouvelles » molécules qui coûtent très cher ??????? Si on regardait de près ce mode de fonctionnement entre Big Pharma, les dirigeants de la SS et les dirigeants politiques, on serait certainement très surpris de tout ce qui se passe depuis des décennies…




Québec, où ceux qui recommandent des vitamines sont accusés d’exercice illégal de la médecine, mais les journalistes qui poussent à la vaccination ne le sont pas

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Exercice illégal de la médecine pour les pushers de vitamines, mais pas de vaccins

Les journalistes et les élus peuvent-ils dire aux gens « allez vous faire vacciner »? N’est-ce pas un acte réservé aux médecins que de suggérer un traitement médical?

C’est ce qu’a déclaré en mars dernier la juge Duchesneau dans l’affaire Maison Jacynthe, reconnue coupable d’exercice illégal de la médecine.

Dans son jugement, la juge a clairement dit que le simple fait de suggérer un traitement et d’affirmer qu’il améliorerait la santé étaient des actes réservés aux médecins.

Armée de cette jurisprudence, l’auteure de ces lignes a donc vérifié auprès du Collège des médecins en quoi consiste l’exercice illégal de la médecine avant de faire une plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, lesquels ont tous dit aux gens « aller vous faire vacciner ». Mme Bombardier l’a même suggéré au ministre de la Santé, disant qu’il devrait le faire pour « rassurer les autres », alors que M. Martineau est allé jusqu’à dire « vous allez vous sentir bien » après la piqûre.

La responsable des relations avec les médias du Collège des médecins, Leslie Labranche, a confirmé que « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » et que cela comprend « les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume ».

Une fois l’information sur l’exercice illégal corroborée par le Collège, l’auteure a fait parvenir à ce dernier une plainte formelle, laquelle a été immédiatement rejetée par le responsable des enquêtes en exercice illégal de la médecine, Marc Legault, vétéran de la Gendarmerie Royale du Canada et des Forces armées canadiennes.  

Étrangement, le vétéran est incapable de faire la différence entre un ordre et une opinion. Voici sa réponse à la plainte :

« Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

L’auteure a tenté de lui expliquer que l’impératif est employé pour donner des commandements, pas des opinions. Elle lui a rappelé au passage que, dans leurs publicités, il est interdit aux pharmaceutiques de suggérer aux téléspectateurs de prendre les médicaments promus, puisque cela équivaut à prescrire. La prescription est un acte réservé aux médecins, de là la mention systématique dans les publicités : « parlez-en à votre médecin ».

L’auteure a voulu confirmer que s’il est légal pour n’importe quel quidam de dire « allez vous faire vacciner », l’inverse est aussi vrai. Que vous soyez livreur de pizza ou astronaute, vous pouvez dire aux gens de ne pas se faire injecter avec un traitement expérimental dont la « mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne » est passée sous silence dans les médias. Non?

Homme de peu de mots, M. Legault a réitéré sa compréhension très suspecte du langage et sa réponse demeure nébuleuse :

« La section d’exercice illégal de la médecine ne va pas faire enquête sur des gens qui recommandent de prendre le vaccin, ou faire enquête sur des gens qui sont contre le vaccin. »

(Soulignements ajoutés)

Est-ce dire qu’il est légal de suggérer des injections, mais illégal de suggérer le contraire? Est-il légal d’être contre les injections, mais illégal de suggérer de ne pas les prendre?

M. Legault a signifié qu’il n’a « rien d’autre à ajouter », donc la question demeure sans réponse pour l’instant.

Nous vivons à une époque démente où des médecins se font menacer de sanctions parce qu’ils s’expriment sur leur champ de compétences, alors que des journalistes peuvent recommander des traitements expérimentaux à toute la population.

Voici tous les échanges dans l’ordre, lesquels démontrent une fois de plus que chaque jour de la Saga covidienne mélange avec brio l’absurde de Kafka et l’ubuesque de Ionesco.


De : Julie Levesque <XXXXXXX>
Envoyé : 7 juillet 2021 10:01
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>; Info <info@cmq.org>
Objet : Question sur l’exercice illegal de la médecine

Bonjour,

Je suis journaliste indépendante et j’aimerais vérifier avec vous ce qui constitue un exercice illegal de la médecine.

En mars dernier, Maison Jacynthe a été condamnée pour exercice illegal de la médecine. Dans le jugement, on peut lire:

“[43]     Par conséquent, le fait de soigner ou prétendre soigner une personne qui croit ou prétend souffrir d’un problème de la santé par un traitement quelconque lorsque l’on n’est pas médecin constitue de l’exercice illégal de la médecine.

[44]      Il en va de même de poser un diagnostic ou suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé[14]. En fait, le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit[15].

[45]      Diagnostiquer les maladies, déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés[16].”

(Vous trouverez le jugement ici:
https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15)

Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicament vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume?

Je vous remercie d’avance pour votre réponse.

Cordialement,

Julie Lévesque

Montréal, le 3 octobre 2021

Julie Lévesque
XXXXX

Dr Mauril Gaudreault
Président
Collège des médecins du Québec
1250, boul. René-Lévesque Ouest, bureau 3500,
Montréal (Québec) H3B 0G2

Objet : Plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal pour exercice illégal de la médecine

Monsieur,

À l’émission de Richard Martineau le 16 mars 2021, Denise Bombardier a affirmé à deux reprises que « le ministre [Christian Dubé] devrait aller se faire vacciner […] pour l’exemplarité de la chose, il devrait aller se faire vacciner pour rassurer les gens ».

Richard Martineau lui a répondu qu’« il faut vraiment enfoncer le message que c’est très important de se faire vacciner ». 

Dans sa chronique du 25 mars 2021, M. Martineau a dit : « Allez vous faire vacciner, vous allez vous sentir tellement bien ensuite. »

Dans une publication Facebook le 23 avril 2021, le député de Rosemont Vincent Marissal a écrit : « N’hésitez pas, allez vous faire vacciner! ».

Selon le site du Collège des médecins, ces propos constituent un exercice illégal de la médecine, puisque Mme Bombardier, [M. Marissal] et M. Martineau se livrent à une activité réservée aux médecins.

La juge Nathalie Duchesneau l’a clairement exprimé dans sa décision dans Collège des médecins du Québec c. Limoges : « […] suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé [et] le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit » pour constituer un exercice illégal de la médecine. Elle ajoute : « […] déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés ».

Dans un courriel au Collège des médecins le 7 juillet 2021, j’ai posé la question suivante :

« Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume? »

La réponse de Leslie Labranche, conseillère principale – relations médias de la Direction des communications et des affaires publiques du Collège, est sans équivoque. Elle répond : « C’est exact. »

Si « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » incluant « des médicaments vendus sans ordonnance », cela est d’autant plus vrai en ce qui concerne les vaccins.

Mme Bombardier suggère d’ailleurs que le ministre de la Santé devrait se faire vacciner, non pas pour un quelconque bienfait pour sa santé, mais seulement « pour rassurer les gens ». Je n’ai pas trouvé d’article se rattachant à cette situation particulière dans le Code des professions ni dans la Loi médicale, mais je suppose que si un non-professionnel ne peut pas suggérer un traitement pour pallier un problème de santé, il ne devrait pas pouvoir suggérer à quelqu’un de prendre un traitement uniquement dans le but rassurer d’autres personnes sur son innocuité.

Je souhaite donc déposer une plainte formelle contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, respectivement chroniqueur et chroniqueuse chez Québecor, et député de Rosemont pour exercice illégal de la médecine.

Vous trouverez ci-dessous une copie de mon échange avec Leslie Labranche.

Merci de confirmer la réception de ce courriel et de m’indiquer la marche à suivre pour cette plainte.

Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Julie Lévesque

De : Julie Levesque <XXXXXX>
Envoyé : 5 octobre 2021 12:09
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>
Objet : Objet : Collège des médecins

Bonjour M. Legault,

Merci pour votre réponse rapide.

Je vous envoyais cette plainte à titre de citoyenne, mais maintenant je me questionne à titre de journaliste indépendante et au nom de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple, qui a intenté plusieurs recours contre le gouvernement du Québec en lien avec la crise actuelle.

Je suis un peu confuse puisque votre opinion semble contredire celle de votre collègue Leslie Labranche et de la juge Nathalie Duchesneau, pour qui « suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé » constitue un exercice illégal de la médecine.

Mme Labranche m’a même confirmé que suggérer des médicaments vendus sans ordonnance constitue un acte réservé aux professionnels de la santé. Je comprends mal comment le fait de suggérer un vaccin ne l’est pas.

Vous dites que les trois personnes visées par ma plainte expriment une opinion, mais il s’agit plutôt d’un commandement ou d’une forte recommandation puisqu’elles emploient toutes l’impératif, par exemple, « allez vous faire vacciner ». Selon Le Robert, l’impératif est un « [m]ode grammatical qui exprime le commandement et la défense ».

D’ailleurs, les publicités de médicaments comportent toutes la mention « parlez-en à votre médecin », justement parce qu’une compagnie pharmaceutique « ne peut pas ordonner directement à des téléspectateurs de prendre [un médicament] ».

Le Center for Health Journalism explique clairement cette mention. Il s’agit d’une couverture « éthique » et « légale », puisqu’ordonner à quelqu’un de prendre un médicament équivaut à prescrire :

« What does “Talk to your doctor” (TTYD) mean? Essentially, it’s a legal and ethical security blanket. Only people with medical licenses can prescribe medication or provide care. Pharmaceutical companies can’t directly instruct TV viewers to take Enbrel; that would be prescribing. » 

https://centerforhealthjournalism.org/2015/09/21/world-full-drug-ads-and-online-advice-talk-your-doctor-more-clich%C3%A9

Cela correspond à la définition de la juge Duchesneau :

 « Le mot “prescrire” correspond, dans son sens courant, au mot “recommander[20] et suppose que cette recommandation est faite de manière verbale ou écrite[21]. »

https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15

Parmi les actes réservés aux médecins cités dans l’article 31 de la Loi médicale figurent :

« 2°    prescrire les examens diagnostiques;

4°    déterminer le traitement médical;

5°    prescrire les médicaments et les autres substances;

6°    prescrire les traitements »

Si « ordonner » et « recommander », c’est « prescrire », les trois personnes visées par ma plainte, en ordonnant ou en recommandant aux gens d’aller se faire vacciner, ont prescrit des vaccins, donc ont exercé illégalement la médecine.

Vous dites cependant que ce n’est pas le cas.

Vous dites : « Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

Si je comprends bien votre point de vue, le fait d’ordonner ou de recommander fortement à la population de se faire vacciner parce qu’elle en tirera des bienfaits ou simplement pour rassurer les autres ne constitue pas un exercice illégal de la médecine, mais une simple opinion.

Si c’est le cas, l’inverse est aussi vrai. Une personne qui n’est pas un professionnel de la santé peut ordonner ou suggérer fortement à la population de ne pas se faire vacciner parce que les risques sont plus grands que les bénéfices, puisqu’il s’agit d’une opinion sur les vaccins.

Pourriez-vous me confirmer que c’est effectivement le cas?

Merci d’avance pour vos explications.

Cordialement,

Julie Lévesque




Les résultats dévastateurs de la « révolution verte » en Afrique

[Source : Kla.TV]

Si on examine de plus près le comportement des adolescents, on constate que cette phase de développement, aussi difficile soit-elle parfois, se caractérise par une qualité très positive : les adolescents remettent en question les instructions traditionnelles et aussi les instructions actuelles.

Si on regarde de plus près le développement de l’humanité, on constatera qu’elle aussi se trouve en phase de puberté.
De plus en plus, elle ne croit plus au Père Noël de la politique et des grands médias et remet également en question leurs ordres. Une prise de conscience est en train de s‘opérer sur le fait qu’elle est menée par le bout du nez par des personnes sans scrupules et obsédées par le pouvoir.

Voici un exemple:
Bill Gates et la Fondation Rockefeller, qui lui est étroitement liée, ont fondé en 2006 « l’Alliance pour une révolution verte en Afrique ».
Cette organisation a promis de doubler les revenus de 30 millions de petits exploitants africains jusqu’à 2020.

Quel est aujourd’hui, en 2021, le bilan réel des efforts de Bill Gates, universellement décrit comme un philanthrope (humanitaire) ?

En raison de la dépendance totale à l’égard des semences sous licence, des engrais artificiels et des pesticides, surtout de la multinationale de chimie Monsanto, d’innombrables petits exploitants africains n’ont plus été en mesure de rembourser les prêts « généreusement accordés » en raison de mauvaises récoltes et ont donc été acculés à la ruine. Les monocultures de maïs génétiquement modifié ont évincé des marchés les variétés locales de millet, de manioc et de patates douces, qui avaient résisté à l’épreuve du temps, ainsi que le petit commerce dynamique qui leur était associé. Ainsi, les moyens de subsistance de nombreuses familles de petits exploitants agricoles africains ont été détruits.
La seule personne qui a pu tirer un profit substantiel de la « révolution verte », est évidemment le super riche « philanthrope » et actionnaire principal de Monsanto, Bill Gates !

Voir aussi : La campagne des multinationales en Afrique | Kla.TV




Fact checkers ou désinformateurs ? Trois questions à Jean-Yves Le Gallou

[Source : Observatoire du journalisme (Ojim.fr)]

“Fact checkers”, vérificateurs, décodeursdésintox… Pas un média ne fait désormais l’économie de ces spécialistes, chargés de “débunker” (démystifier) les “fake news” (fausses nouvelles), que ce soit sur internet ou dans la bouche des politiques (de préférence à droite de l’échiquier). Derrière ces anglicismes se cache un appareillage militant où la neutralité passe souvent au second plan. Le dernier exemple en date, lors du débat Zemmour-Mélenchon sur BFMTV, a mis en lumière certaines de leurs pratiques mais également leurs limites.
Jean-Yves Le Gallou est essayiste, haut fonctionnaire et ancien Député européen. Depuis bientôt 10 ans, il dirige la fondation Polémia, “réservoir à idées” particulièrement actif dans le domaine de la critique média. Il anime également depuis plusieurs années l’émission I Média sur TV Libertés, offrant un décryptage de l’actualité médiatique. L’un des derniers épisodes d’I Média portait justement sur le “fact-checking”. L’Ojim a voulu en savoir plus.

Voir aussi : Franceinfo : le Vrai du Faux décode à pleins tubes – Ojim.fr

Vous vous êtes exprimé récemment à propos du “fact checking” réalisé par les équipes de BFMTV à l’occasion du débat Zemmour-Mélenchon. Selon vous, ces “vérificateurs” sont des désinformateurs. Pouvez-vous développer ce point ?

Le « fact checking », la « vérification »  des informations telle qu’elle est effectuée par les journalistes des grands médias a un double objectif :

  • permettre aux journalistes de reprendre le pouvoir et le contrôle de l’information aux dépens de leurs invités, en particulier les politiques,
  • sauver le point de vue politiquement correct des attaques qu’il subit et le protéger des assauts du réel.

J’ajouterais que tous ces anglicismes (“fact checking”, “fake news”, “debunkage”) sont à l’image du salmigondis prétentieux en usage dans les agences de communication, pour donner une impression de sérieux, « un vocabulaire de spécialistes qui ne peuvent se tromper ».

Le « fact checking »  présente un triple biais :

  • dans le choix des personnalités dont on vérifie ou non les affirmations : à ce propos combien de « fact checking » sur les déclarations de Véran, régulièrement approximatives  et non sourcées, sinon carrément mensongères ?
  • dans le choix des questions et des sujets,
  • dans le choix des « experts » : ainsi sur la question de l’immigration pourquoi faire appel à Hervé Le Bras qui prétendait déjà il y a 30 ans que « l’immigration était stable » et « qu’il n’y avait pas de baisse de la fécondité des Françaises » et non à Michèle Tribalat plus lucide et plus rigoureuse, sinon pour tromper l’opinion ?

Qu’est-ce qu’un bon expert ? Ce n’est pas quelqu’un qui dit des choses justes, c’est quelqu’un qui présente de manière pseudo scientifique les affirmations politiquement correctes qu’on attend de lui. Et qui lui permettent d’être réinvité, d’avoir un accès régulier aux grands médias et donc de trouver des éditeurs et des sponsors pour ses travaux.

Voir aussi : Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Première partie – Ojim.fr

Cela pose la question plus large de l’objectivité et du devoir de neutralité : un mythe ?

Il n’y a pas d’objectivité possible car tout article, tout reportage, tout documentaire est « anglé » : il analyse les faits depuis un point de vue. Et celui-ci est par nature subjectif et partiel, sinon partial ! Le point de vue de la victime n’est pas le même que celui du délinquant. Et un chiffre même exact n’a de sens qu’en rapport avec d’autres chiffres.

J’ajoute que dans la pensée européenne – et en dehors des dogmes religieux – il n’est possible d’approcher les vérités que par la libre confrontation des points de vue. La logique du « fact checking » n’est pas celle-là, c’est celle du MINIVER, le ministère de la vérité dans 1984 d’Orwell. Les « fact checkers » sont au service de la vérité officielle de Macron.

Il faut les dénoncer avant qu’ils n’arraisonnent le débat démocratique : imaginez le rôle qu’ils pourraient jouer dans un débat de deuxième tour de l’élection présidentielle où ils ne manqueraient pas de confirmer les dires du candidat « gentil » et de désavouer les affirmations du candidat « méchant ».

Derrière la guerre de l’information, la guerre culturelle ?

Bien sûr : c’est une guerre des représentations. La propagande vise à faire croire des affirmations contradictoires : ainsi « le Grand Remplacement n’existe pas »  mais « la créolisation, c’est formidable ».

Voir aussi : Loi sur les fake news, le point de vue de François-Bernard Huyghe : une loi idéologique – Ojim.fr

Voir aussi : I‑Média n° 364 — Fact-checkers : Les désinformateurs

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[Voir aussi :
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
La Presse-Système
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?]