La disparition voulue de Poutine

[Source : Entre La Plume et l’Enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Poutine s’est caché. Enfin, en quelque sorte. Le 14 septembre, il a déclaré que de nombreuses personnes (« des dizaines ») de son cercle intime avaient été testées positives au virus et qu’il devait donc s’isoler. Sa soudaine réclusion a suscité des vagues d’angoisse à travers cet immense pays. Son explication a été accueillie avec incrédulité. Tout le monde autour de Poutine est vacciné et Poutine l’est aussi, du moins l’a-t-il affirmé.

Pourquoi aurait-il besoin de s’isoler ; et comment toutes ces personnes vaccinées pourraient-elles tomber malades ? Le vaccin est-il un faux ? Ou devons-nous chercher une autre explication. Est-il tombé, ou a-t-il été poussé ? Va-t-il revenir ? Est-ce la fin de l’ère de Poutine ? Poutine est-il malade, ou a-t-il été contraint à l’isolement ? S’agit-il d’une conspiration ? Le gouvernement russe est, et a toujours été, de type manuel et non automatique ; l’absence du dirigeant à la barre du puissant navire qu’est l’État russe pourrait être synonyme de problèmes. Les Russes ne croient pas à la version officielle, mais où est la vérité ?

Une semaine avant son annonce, le 8 septembre, un ami proche de Poutine et son ancien garde du corps, l’homme considéré comme un successeur probable, le ministre des Urgences, M. Evgueni Zinichev, est décédé dans des circonstances inhabituelles lors d’un exercice dans l’Arctique. Selon la directrice de RT, Margarita Simonyan, il est mort en essayant de sauver un caméraman tombé d’une falaise. Les rumeurs disent qu’il avait peut-être été ciblé en tant que successeur de Poutine. Juste avant cela, le 7 septembre, Poutine s’était rendu dans une retraite en Sibérie avec son ministre de la Défense, M. Choïgou. De quoi ont-ils discuté, loin des oreilles indiscrètes ? Selon certaines rumeurs, Poutine aurait soupçonné ou découvert un complot contre lui et aurait préféré minimiser ses contacts avec le monde extérieur et même avec ses propres gardes du corps. Homme très prudent, le président Poutine sait que nombreuses sont les personnes et organisations puissantes qui aimeraient le voir mort et il ne veut pas leur donner cette satisfaction. C’est pour cette raison que ses ennemis l’appellent « le vieil homme dans le bunker ». Cependant, Poutine est apparu à la télévision depuis sa cachette.

Par ailleurs, il existe des précédents de dirigeants invoquant un cas de force majeure pour manquer un événement ou éviter une réunion.

Le président Gorbatchev avait appris l’existence d’un complot ourdi par les partisans de la ligne dure soviétique et avait décidé de rester à l’écart, espérant profiter de ses avantages en cas de réussite du complot et avoir un alibi en cas d’échec. Il s’est rendu dans son palais de Crimée-Phoros au cours d’un mois d’août 1991 tumultueux et a prétendu être détenu par des comploteurs ; le complot a échoué, il est retourné dans la capitale, mais il n’a jamais retrouvé ses pouvoirs.

De même, le dernier empereur russe, le tsar Nicolas II, avait appris que des paysans et des ouvriers avaient l’intention de venir au Palais d’hiver pour implorer le tsar. Il décida de se tenir à l’écart des problèmes éventuels et se rendit dans sa résidence de campagne de Tsarskoe Selo. Ses fonctionnaires mitraillèrent les plaideurs lors du dimanche sanglant. C’est ce massacre qui provoqua la première révolution russe de 1905-07, et l’absence du tsar ne le servit aucunement. À une autre échelle, le président Trump est allé jouer au golf pendant que ses partisans se rassemblaient à la Maison Blanche. Cela ne l’a pas aidé : il avait perdu la Maison Blanche et il s’est retrouvé accusé d’actions illégales. Bref, rester à l’écart n’est pas le bon choix pour un dirigeant, mais cela se fait, parfois.

Considérons cette possibilité. Qu’est-ce qui pourrait pousser Poutine à réaliser un Phoros-2 ? La période actuelle est très mouvementée et un Poutine en bonne santé devrait se rendre à Douchanbé et s’occuper des élections législatives russes, entre autres choses.

Le Sommet de Douchanbé

Les 16 et 17 septembre, le double sommet de l’OCS et de l’OTSC s’est tenu à Douchanbé. L’OCS et l’OTSC sont deux organisations internationales différentes, bien que leurs membres coïncident en partie. M. Poutine était censé venir en personne et s’occuper des dispositions relatives à l’après-Afghanistan, même si cela pouvait se traiter à distance. Mais il devait également rencontrer les dirigeants de la Chine, de l’Inde et de l’Iran. Le sommet prévu avec le président Xi était particulièrement important, car les deux dirigeants ne se sont pas rencontrés en personne depuis longtemps. Des rumeurs circulent à Moscou selon lesquelles Poutine éviterait de rencontrer le dirigeant chinois, alors que cette rencontre était prévue immédiatement après le sommet de Genève avec Joe Biden. Le sommet Poutine – Xi avait été prévu encore plus tôt, pour coïncider avec le 20ème anniversaire du traité d’amitié russo-chinois ; il a ensuite été reporté à cause du sommet de Genève, puis tout simplement annulé. Xi était censé venir à Douchanbé pour le sommet de l’OCS. Lorsqu’il a appris que Poutine ne viendrait pas, il est également resté chez lui. Ainsi, ce sommet très important entre deux dirigeants ne s’est pas concrétisé. Se pourrait-il que Poutine ne veuille pas être vu comme se rangeant du côté de la Chine, dans le contexte du triangle fatidique Washington-Moscou-Pékin ? Peut-être. Les élites russes sont divisées : certains préfèrent des relations étroites avec la Chine, d’autres veulent que la Russie se range du côté de l’Occident. Poutine cherche à équilibrer ces deux groupes. Qui sera le premier à conclure un accord avec Biden, Poutine ou Xi ? Peut-être Poutine préfère-t-il ne pas intervenir et laisser Xi s’y essayer le premier, lors du prochain sommet du G2.

La place physique de Poutine à Douchanbé a été prise par Alexandre Loukachenko, le solide président du Belarus, et il a visiblement apprécié cette tâche. Il y a quelques années, après que le Belarus et la Russie eurent conclu l’accord sur l’État de l’Union, les gens pensaient que Loukachenko dirigerait les deux États, ou au moins qu’il s’occuperait aussi des affaires intérieures russes. On avait le sentiment que Loukachenko serait le meilleur pour l’économie, l’agriculture, l’industrie et la structure sociale que Poutine, qui s’occupait davantage des affaires étrangères. Si la Russie et le Belarus votaient pour un président, les Biélorusses voteraient pour Poutine, tandis que les Russes voteraient pour Loukachenko, disait-on en plaisantant. Cependant, cela ne s’est pas produit. Loukachenko a très bien géré la session de Douchanbé et Poutine s’est entretenu avec eux par liaison vidéo.

Il semble qu’ils n’aient pas réussi à faire entendre raison à l’obstination de M. Rahmon, même s’ils ont essayé. La Russie est prête à défendre le Tadjikistan en cas d’offensive ou d’infiltration des Taliban. Mais le président tadjik a des projets beaucoup plus audacieux. Il s’élève contre l’ingérence des Taliban au Tadjikistan, mais espère ressusciter l’Alliance du Nord, le groupe des chefs de guerre du Nord, ennemis des Taliban. Il s’agit principalement de membres de groupes ethniques minoritaires, dont beaucoup de Tadjiks, le deuxième groupe ethnique le plus important (après les Pachtounes) d’Afghanistan. Il semble que Rahmon souhaiterait briser l’Afghanistan et y créer un deuxième État tadjik, ce qui signifierait un nouvel épisode de guerre civile, ce que personne ne souhaite.

Il a été rapporté que Rahmon a reçu et amusé Ahmad Massoud, le « rebelle du Panchir », et l’ancien vice-président de l’Afghanistan Amrullah Saleh (qui s’est déclaré « président par intérim de l’Afghanistan », après la fuite de Ghani). Il n’est pas certain qu’une telle réunion ait réellement eu lieu. Il ne s’agit peut-être que de l’un des nombreux exemples de fausses nouvelles en provenance d’Afghanistan produites par les usines à fausses nouvelles indiennes. Si celle-ci était vraie, cela franchirait la ligne rouge dans les relations entre les deux pays voisins.

La Russie n’apprécierait pas non plus : La Russie a établi des relations de travail avec les Taliban ; les Taliban ont demandé à la Russie de les aider à retrouver leur siège légitime à l’ONU ; ils ont proposé une visite d’État à Moscou. La « résistance du Panchir » a été vaincue sans combat. Certains des « résistants » errent dans les montagnes et font appel au soutien de politiciens américains belliqueux, mais pour le reste, ils ont perdu leur guerre. Apparemment, Massoud et Saleh ont trouvé un refuge au Tadjikistan ; ce pourrait donner lieu à un geste humanitaire, à moins que l’ambitieux Rahmon ne transforme son pays en base dans la guerre civile afghane.

Toutefois, cette évolution ne justifierait pas que Poutine les héberge, à moins qu’il n’y ait des problèmes de sécurité.

Les élections parlementaires russes

La Russie va « rattraper et dépasser l’Amérique », déclarait Nikita Khrouchtchev en 1957. Les récentes élections parlementaires (17-19 septembre 2021) pourraient être considérées comme une nouvelle tentative pour faire mieux que la fraude électorale américaine. Mais les Russes n’ont pas pu dépasser la Cité brillante sur la colline : les dernières élections présidentielles américaines étaient si profondément malhonnêtes que personne n’a pu les battre. N’empêche que les Russes ont bel et bien essayé.

La Russie a un système mixte pour l’élection des membres du Parlement : certains sont élus par une liste de parti et d’autres par un système majoritaire. Dans les endroits où les gens ont été autorisés à voter librement et où leurs voix ont été décemment comptées, – principalement en Sibérie – les communistes ont gagné. Ailleurs, le parti au pouvoir, Russie Unie, a obtenu les sièges. Ils ont utilisé toutes les méthodes appliquées avec succès par les démocrates américains. Les gens ont été autorisés à voter à domicile et les équipes de collecte ont récolté de nombreux votes. Il y a eu plus de votants que d’inscrits. L’opposition a été tenue à l’écart du dépouillement. Les scellés des urnes étaient souvent brisés. Mais la meilleure méthode reste le vote numérique, autorisé dans quelques villes dont Moscou.

Comme le vote par correspondance à Detroit, le vote numérique à Moscou était en totale contradiction avec le vrai vote papier. Voici l’image du vote de Moscou, à gauche – le vote réel seulement, à droite – le vote réel et numérique ; vert pour l’opposition (principalement communiste), bleu pour les candidats du gouvernement. Le vote numérique à Moscou présentait une caractéristique inhabituelle : les électeurs étaient autorisés à changer d’avis et à voter à nouveau. Le gouvernement pouvait donc voir les résultats et faire « re-voter » autant qu’il le voulait.

La « démocratie » russe est aussi limitée que partout ailleurs. Le processus politique est contrôlé par un organe directeur appelé AP (Administration du Président) ; il n’est même pas mentionné dans la constitution, mais c’est lui qui décide qui peut participer aux élections et qui sera élu au parlement. Ils font aussi des coups bas, en créant des partis dissidents pour voler des voix à l’opposition. L’AP a décidé que les communistes ne devaient pas obtenir plus de 20% des voix, tandis que le parti au pouvoir, Russie Unie, devait en obtenir environ 50%. Telles étaient les instructions données aux chefs locaux et ils n’ont fait que suivre les ordres. Dans quelques districts où les patrons locaux ont décidé d’ignorer les ordres de l’AP, les communistes ont obtenu jusqu’à 30%, et Russie Unie moins de 30%. Avec les socialistes, les Rouges russes pourraient former le nouveau gouvernement. Ils seraient heureux de servir sous les ordres de Poutine.

Les Rouges russes ne ressemblent pas à la gauche américaine (et européenne). Ils sont contre la politique des minorités, contre le discours sur le genre et la race, ils aiment le Christ et Staline. Les Rouges russes diffèrent de la droite américaine (et européenne), car ils sont favorables à une nationalisation massive, à un service de santé complet et à une éducation gratuite ; ils sont contre les oligarques et n’aiment pas l’immigration. En bref, ils sont beaucoup plus poutinistes que Poutine. Et ils ne sont pas favorables à l’Occident. Leur ascension changerait les choses à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, pour la première fois depuis 1996, ils sont devenus populaires parmi les jeunes ainsi que parmi les citoyens plus âgés. Bien qu’ils soient très différents de l’opposition libérale pro-occidentale, ils ont appris à faire les choses ensemble contre le diktat de l’AP. Le CPRF est fondamentalement un parti social-démocrate, parfaitement apte à gouverner, mais l’AP le considère comme trop indépendant.

Les communistes ont rejeté les résultats du vote numérique ; le gouvernement a répondu par la force. De nombreux candidats communistes et leur personnel ont été arrêtés. Le gouvernement a interdit les manifestations et les rassemblements de protestation, sous le prétexte du Coronavirus. Que feraient-ils sans le Corona, je me le demande ! L’Occident a accusé à juste titre les autorités russes de manipuler les résultats des élections ; à tort, il a attribué le succès de l’opposition à Navalny et à ses libéraux pro-occidentaux. Mais les Rouges sont assez timides, pour deux raisons : ils sont plutôt favorables à Poutine et à sa politique étrangère, et ils ont peur d’être mis hors la loi et interdits, comme cela s’était produit sous Eltsine. Les libéraux avaient renversé les communistes et bombardé le parlement dans les années 1990, et ils ne vont pas permettre le retour des rouges, m’a dit un membre du parlement russe, la Douma.

En outre, la population a bien digéré les résultats. Il n’y a pas eu de grands rassemblements ou de manifestations ; certes, ils étaient interdits, mais les gens ont accepté l’interdiction plutôt docilement. Il n’y a pas de révolution à venir, ni même de grandes manifestations. Apparemment, les Russes se sont réconciliés avec cette « démocratie limitée ». Comme nous tous : de l’Australie aux États-Unis, de la France à l’Allemagne, la vraie démocratie est morte. Au lieu de cela, nous avons une tyrannie sanitaire avec quelques « élections » pour sauver la face, corrigées par une fraude électorale massive.

Les Russes pensent qu’ils vont bien. Les gens ont leurs salaires, leurs voitures, leurs maisons de campagne ; les villes sont en bon état, il n’y a pas beaucoup de chômage. Avant les élections, le Covid obéissant a presque disparu ; maintenant il risque de réapparaître, mais c’est le cas partout dans le monde. Il n’y a donc pas de motifs forts de protestation, comme c’était le cas en 1991 ou même en 2011. De plus en plus de gens arrivent à la conclusion que les élections ne sont qu’une farce. Mais cela ne suffit pas à pousser les gens à la révolution.

J’ai parlé à des personnes proches du Kremlin ; elles m’ont dit qu’elles pensaient que Poutine s’était caché à cause des élections, car ses services de sécurité n’étaient pas certains de la façon dont les masses allaient réagir à la fraude électorale. On aurait pu avoir une répétition de 1991, lorsque des masses énormes de personnes avaient renversé le pouvoir soviétique. Nous voyons maintenant que cela ne s’est pas produit. Les gens ont pris tout cela de haut. Mais la sécurité aime jouer la carte de la surenchère. À Washington, Londres et Moscou, il y a plus de policiers que de manifestants dans pratiquement tous les rassemblements.

Une semaine après les élections, elles ont été totalement oubliées. Le jour de la publication des résultats, il y a eu une fusillade de masse ; un jeune homme de 18 ans a pris un fusil de chasse et a abattu six élèves dans son école. Ces attaques terroristes surviennent opportunément lorsqu’il est nécessaire de changer radicalement l’ordre du jour, et il y a suffisamment d’hommes mentalement perturbés pour commettre un massacre si on ne les arrête pas à l’avance.

Conclusion

Nous ne savons pas avec certitude pourquoi Poutine a décidé d’affirmer qu’il devait s’auto-isoler. Il n’est pas totalement impossible (bien que peu probable) qu’il y ait effectivement une épidémie de Covid. Sinon, cela pourrait être lié à l’incertitude des élections ou à l’imminence du sommet Poutine-Xi, ou, effectivement, il y aurait eu un complot qui a été découvert. Poutine sortira très probablement de son abri le 29 septembre, pour son sommet avec le président Erdogan, car ils ont beaucoup de choses à se dire. Mais sa réclusion ne lui fera pas gagner des points aux yeux des Russes.

Traduit par Maria Poumier
– Source : The Unz Review (Etats-Unis)




Résultats de l’audit en Arizona : 54 000 bulletins illégaux identifiés

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Elisabeth Dancet, pour FranceSoirA+A

CHRONIQUE – Le 24 septembre, le rapport d’audit du comté de Maricopa a enfin été rendu public devant le Sénat, retransmis en direct et en vidéo. La présidente Karen Fann a rappelé que l’objectif de cet audit judiciaire est avant tout d’assurer et de rétablir l’intégrité électorale, non seulement dans le principal comté, mais dans tout l’État de l’Arizona où un sondage récent a révélé que 45 % des citoyens n’ont pas confiance dans les résultats de l’élection.

La situation est identique dans tout le pays. K. Fann a aussi répété que, depuis le départ, l’équipe des fonctionnaires du comté s’est opposée à l’audit judiciaire. De ce fait, l’audit est le plus complet possible, tel qu’il n’a jamais été conduit ni en Arizona ni dans aucun autre État, mais il n’inclut pas l’analyse informatique des routeurs, qui n’ont pas été délivrés par le comté, malgré l’assignation judiciaire. Il est fort probable que ces routeurs aient gardé la trace de cyberattaques similaires à celles identifiées et rendues publiques au cours du cyber symposium en août dernier.

Plus de 17 000 bulletins par correspondance comptés en double

La présentation a duré plus de trois heures. Elle a démarré avec le Dr Shiva Ayyadurai, expert engagé tardivement par le Sénat arizonien pour contrôler les images des enveloppes des bulletins de vote par correspondance et vérifier leur validité. Chaque enveloppe est signée par l’émetteur, la signature doit être lisible et correspondre à l’identité de l’électeur qui a envoyé le bulletin. Cet ingénieur agrégé de technologie du MIT, spécialiste des logiciels de reconnaissance de forme, a communiqué son analyse des 1 929 240 enveloppes reçues par le comté de Maricopa. Grâce à son analyse, son équipe a identifié 17 322 bulletins en double, alors que le comté avait proclamé dans son rapport n’avoir trouvé aucun duplicata. Ensuite, son logiciel a analysé les signatures « gribouillis » qui ne sont pas valables : là encore, son logiciel en a identifié 2 580 quand le comté en a rapporté 587 seulement.

Plus de 54 000 bulletins illégaux identifiés dans ce rapport

Ces doublons viennent s’ajouter aux résultats du rapport de l’audit judiciaire piloté par l’équipe de Doug Logan, président de Cyber Ninja, rompu à la conduite d’audits pour de grandes banques américaines ainsi que pour le gouvernement. Cet expert-comptable a également participé à la mise en lumière des fraudes commises dans le comté d’Antrim dans le Michigan. D. Logan a insisté sur le travail gigantesque accompli pour auditer les bulletins du comté de Maricopa, le plus peuplé de l’État. Démarré au mois de mai dernier, cet audit a représenté plusieurs mois de travail et fait appel à plus de 1 500 volontaires citoyens du comté ayant voté aux dernières élections, pour vérifier à la main plus de 2,1 millions de bulletins. Après avoir décrit en détail les procédures de sécurité mises en place pour conduire l’audit et protéger les bulletins, il a annoncé les résultats : si le décompte total est très proche de ceux effectués précédemment, le total des bulletins invalides est a minima de 54 319 bulletins (cf. le tableau récapitulatif en fin d’article). Ceux-ci comprennent les bulletins d’électeurs fantômes, ceux qui ont voté dans plusieurs comtés et ceux qui ont été comptabilisés plusieurs fois. Il s’agit de doublons différents des votes par correspondance analysés par le Dr Shiva. Ceux-ci ont dû être photocopiés lorsqu’ils n’étaient pas en bon état ou illisibles, ils doivent être stockés séparément des autres pour pouvoir contrôler l’unicité de leur numéro de série. Il s’agit de s’assurer que chaque électeur enregistré a déposé un bulletin et un seul, que son bulletin de vote est valide et n’a pas été altéré ni modifié. Plus de 54 000 bulletins invalides, soit plus de cinq fois le différentiel de 10 457 voix entre Biden et Trump, qui a donné Joe Biden gagnant. Cet audit judiciaire confirme ce que de nombreux patriotes savent depuis plusieurs mois : cette élection a été truquée. Les médias mainstream ont beau en minimiser l’effet, les résultats de cet audit vont booster les procédures entamées dans d’autres États, plus particulièrement en Géorgie, en Pennsylvanie et dans le Michigan. Le sénateur Sonny Borelli affirme que les preuves de ces violations répétées de la loi durant le traitement des bulletins annule le résultat des élections.

Les agents électoraux complices

L’examen des machines de vote et des tabulateurs a en effet révélé des éléments remarquables et mis à jour le non-respect des procédures de cyber sécurité minimales pour protéger les systèmes de vote électronique. Les mots de passe sont restés les mêmes depuis l’installation des machines par le fabricant, et n’ont pas été individualisés pour permettre l’identification des intervenants. La confiance accordée à un fabricant privé par les agents électoraux a porté préjudice aux principes même de la démocratie puisqu’ils doivent assurer l’intégrité du processus électoral. De plus, alors que l’historique doit être sauvegardé pendant 22 mois après l’élection, une partie du journal de bord des transactions a été écrasée par des employés électoraux les 2 février, 3 mars et 12 avril 2021 – autrement dit avant le démarrage de l’audit – effaçant ainsi 37 000 requêtes alors que c’est interdit par les lois de l’État et les lois fédérales. Malgré le mot de passe à tout faire, ces fonctionnaires ont été identifiés grâce à des enregistrements vidéos capturés aux mêmes dates. Leurs noms n’ont pas été révélés publiquement mais seront communiqués sur demande à l’avocat général. Gageons que certains agents du comté ont du mal à trouver le sommeil… Steve Chucri, le superviseur de l’équipe, a annoncé sa démission après que des enregistrements téléphoniques ont été rendus publics quelques jours avant la remise du rapport. Durant ces échanges, il critique la réaction de ses collègues face aux assignations reçues du Sénat exigeant les routeurs, et confirme qu’il a des doutes sur les résultats de l’élection et la fiabilité des machines Dominion.

Le jeu de dupes continue

La société d’audit Cyber Ninja a produit deux versions du rapport, qui ont toutes deux fuité 48 heures avant la remise officielle au Sénat. La conclusion de la première est très claire : étant donnée la quantité de bulletins invalides, cette élection n’aurait jamais dû être certifiée car les résultats ne sont pas fiables. Mais une fois n’est pas coutume, les auteurs du rapport ont eux aussi été menacés s’ils concluaient de cette façon. Là encore, si la justice faisait son travail, une investigation devrait être ordonnée immédiatement pour savoir qui a menacé les auditeurs et à quelles fins ? La version « light » remise au Sénat est identique à la première, sans les décomptes des bulletins invalides par candidat, ni la conclusion… Un vrai jeu de dupes qui a permis au gouverneur de l’Arizona Doug Ducey d’affirmer publiquement dès le lendemain que les élections ne seront pas dé-certifiées. Au mois de novembre dernier, ce républicain avait moqué les auditions publiques de témoins conduites par l’avocat Rudy Giuliani à Phoenix. Avait-il des informations qu’il préférait ne pas rendre publiques ? Est-il inquiet concernant sa propre élection ? Le représentant du Congrès arizonien Mike Finchem souligne que le gouverneur a remis au vice-président Mike Pence et aux représentants du gouvernement fédéral un document avec des résultats erronés d’au moins 54 000 votes. Ces chiffres étant faux, il devrait être assigné devant un grand jury pour avoir trompé le gouvernement fédéral. Déjà très critiqué par les citoyens pour sa gestion de la crise covid, sa cote s’effondre dans les sondages…

Comment dé-certifier l’élection ?

Matt DePerno, l’avocat constitutionnel engagé pour auditer les résultats du comté d’Antrim dans le Michigan, certifie que les résultats de l’audit conduit en Arizona attestent de la fraude massive intervenue lors des élections présidentielles, que ces fraudes sont quasi identiques à celles que lui et son équipe ont découvert à Antrim, et que l’élection doit être dé-certifiée. Il a envoyé une note à la sénatrice Wendy Rogers arguant que les 9° et 10° amendements de la Constitution donnent pouvoir aux législateurs de dé-certifier l’élection dans de telles circonstances. C’est maintenant aux sénateurs et aux représentants de l’État de se battre pour obtenir cette dé-certification. Karen Fann a adressé le rapport complet à l’avocat général Mark Brnovich, qui s’est engagé à mener toutes les actions légales nécessaires

Au milieu de la tourmente provoquée par le retrait des troupes d’Afghanistan, les afflux massifs de migrants à la frontière du Texas, un événement étrange est passé pratiquement inaperçu le 7 septembre dernier. Joe Biden a signé la prolongation de l’ordre exécutif N° 13848 de Donald Trump daté du 12 septembre 2018, autorisant l’État d’urgence national en cas de cyberattaques venues de l’étranger susceptibles d’interférer avec les élections américaines : une manière d’assurer sa propre destitution le moment venu ?
En tout cas, avec les résultats de l’audit du comté de Maricopa, le génie est sorti de sa bouteille et il n’y retournera pas.

Auteur(s): Elisabeth Dancet, pour FranceSoir




Pierre Gentillet : « On nous a menti sur tout, le masque et le Pass Sanitaire… On va aller jusqu’où dans le mensonge ? On se moque de nous ! »

[Source : businessbourse.com]

« On nous a menti sur tout, le masque et le Pass Sanitaire…On va aller jusqu’où dans le mensonge ? On se moque de nous ! Je ne comprensds pas comment Olivier Verran peut rester ministre après ça ? »

« C’est extraordinaire à quel point la parole politique a été discréditée…Nous devions passés dans un état temporaire, mais cet état est en train de devenir un état permanent ! Dès que le gouvernement nous promet quelque chose, systématiquement c’est l’inverse qui se produit… »




L’acteur Keanu Reeves dit prier pour « que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre »

[Source : ]

L’acteur américain Keanu Reeves, qui a le courage de témoigner sa foi, a publié sur son compte Telegram un message intéressant :

« Beaucoup de gens ont essayé de me poignarder dans le dos au moment où j’ai décidé de dire la vérité ! Il est même impossible de visualiser les sombres secrets qu’ils nous cachent. Lorsque vous êtes dans la bonne direction, vous devez être prudent et dur en même temps car les requins n’attendent qu’une goutte de sang et ils viendront droit sur vous, impitoyablement motivés pour vous déchirer. Juste parce que vous avez découvert la VÉRITÉ.

Ma prière est que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre, nous devons leur montrer le bon chemin ! Il faut se battre et ne pas reculer ! »




Un procureur italien inculpe trois médecins après la mort d’un ado de 14 ans à la suite de sa « vaccination » anti-Covid

[Source : medias-presse.info]

En Italie, un adolescent de 14 ans est mort à la suite de sa deuxième injection de pseudo vaccin contre le Covid-19. Comme cela arrive partout y compris en France dans l’indifférence médiatique qui n’y voit au mieux qu’un simple fait divers.

Mais la différence réelle et essentielle réside précisément dans le fait qu’en Italie ce décès tragique n’a pas laissé indifférent le magistrat saisi du dossier. Bien au contraire, le procureur a inculpé trois médecins, dont celui qui a fait la deuxième injection !

La responsabilité personnelle des médecins va commencer à en faire palpiter certains. Avis aux médecins de chez nous qui se font les promoteurs inconditionnels de cette expérimentation aux graves effets secondaires ! Leur tour pourrait venir. La dictature sanitaire ne les protégera pas éternellement. Il faudra tôt ou tard rendre des comptes.




La mémoire du stress dû au WIFI est aussi angoissante que la mémoire de la douleur

[Source : Kla.TV]

[Illustration : Thinkstock]

Le transfert de données sans fil WIFI fonctionne avec des fréquences de 2,4 et 5 gigahertz. De courtes impulsions cadencées à 10 hertz sont insérées dans cette transmission radio basée sur les micro-ondes.
Le professeur Lebrecht von Klitzing a découvert que ce sont précisément ces impulsions qui peuvent provoquer des perturbations intenses dans les processus du corps. Lorsqu’elles sont utilisées fréquemment, le corps peut même former une mémoire du stress, de la même manière que la douleur forme une mémoire de la douleur sur une plus longue période.
À cause de cette mémoire du stress, une électrohypersensibilité chronique, un stress oxydatif et d’autres symptômes peuvent se développer.

Alors que dans le domaine médical, on veille strictement à ce que les patients souffrant de douleurs ne développent pas une mémoire de la douleur exténuante, on ne fait rien pour empêcher développement d’une mémoire du stress due à l’utilisation du WIFI, qui ne fait pas moins souffrir, n’est pas empêché. Au contraire, même les écoles sont équipées de WIFI, bien qu’il existe une véritable alternative sous la forme d’un réseau local câblé (LAN). Pourtant c’est surtout avec les enfants que des dommages irréparables sont à craindre, car ils sont encore en pleine croissance.

D’une certaine manière, il semble que l’esprit du temps et la politique générale des médias fassent que l’on n’entende presque que l’opinion des experts achetés par les grandes entreprises, tandis que les experts indépendants qui ont la santé publique à l’esprit sont presque complètement ignorés.

Toutefois, pour se protéger des dommages tragiques, il est essentiel d’écouter sans parti-pris toutes les voix d’experts.




Haute trahison ? Bradage de la souveraineté de la France ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Dominique Delawarde.

Trois courtes vidéos qui montrent, une fois de plus, la duplicité de ceux qui nous gouvernent.

1 – Dans un extrait d’interview de 2 minutes sur une chaîne inattaquable, du 26 Septembre 2021, Arnaud Montebourg aborde le problème du dépeçage de la France et affirme très clairement : 

« dans cette affaire, Macron n’est pas complice, il est auteur ».

https://youtu.be/5w1RqBeQjVg

2 – Dans le cadre de l’émission bien connue « C dans l’air », sur RTL matin, Olivier Marleix, président de la commission d’enquête sur l’affaire Alstom fait apparaître la duplicité de l’exécutif et le rôle trouble joué par Monsieur Macron dans la catastrophe Alstom. L’émission démontre, au passage, l’importance d’Alstom dans la sécurité énergétique nationale …. Cette vidéo date un peu, mais reste pourtant d’une actualité brulante.

https://youtu.be/BsPOfDAMIcI

3 – Dans sa dernière vidéo postée hier, Raoult revient sur le harcèlement « institutionnel » permanent dont il a été l’objet depuis 18 mois … Il revient également sur la baisse progressive de la létalité des variants Covid et explique les principales raisons de cette baisse.

En dépit des apparences, ces vidéos vont dans le même sens en faisant apparaître des méthodes mafieuses utilisées par un exécutif que les électeurs français, manipulés par une meute médiatique instrumentalisée, ont porté au pouvoir en 2017.

Bonne ré-information

Dominique Delawarde




Pourquoi BioNTech et Moderna ne livrent pas de « vaccins » actualisés ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi 18 mois après les premiers essais sur l’homme il n’existe pas de versions adaptées aux nouveaux variants pourtant si nombreux ?

Pour nous nuire ?

« Ils » ne savent pas qu’il y a une perte d’efficacité ?

Cela fait des mois que les médias mainstream avec la complicité des médecins médiatiques corrompus cherchent à nous convaincre que ces injections d’ARNm demeurent efficaces contre tous les variants.

La fameuse 3e dose n’étant qu’une dose de rappel pour booster les défenses immunitaires des petits vieux, ceci n’ayant « rien à voir avec les mutations du virus ».

À noter que l’on se demande bien comment un « vaccin » ARNm pourrait garder son efficacité alors qu’il ne cible QUE la protéine spike (à la différence des vaccins classiques à virus atténués qui eux ont plusieurs cibles) quand ladite protéine spike a muté dans les variants.

Le 23 juillet 2021, on pouvait lire un article sur CNBC(([1] https://www.cnbc.com/2021/07/23/delta-variant-pfizer-covid-vaccine-39percent-effective-in-israel-prevents-severe-illness.html)):

« Israël says Pfizer Covid vaccine is just 39% effective as delta spreads, but still prevents severe illness »

L’efficacité officielle de « 95 % » étant tombée à « 39 % », tout en constituant à raconter qu’il était efficace à 90 % contre les formes graves… va comprendre.

Pourtant le 11 août le Ministre de la Santé israélien rapportait(([2] https://www.naturalnews.com/2021-08-13-most-patients-in-serious-condition-fully-vaccinated.html)) que 64 % des patients gravement malades étaient totalement vaccinés tandis que 32 % des malades ne l’étaient pas du tout.

Pour celles et ceux qui oseraient dire « c’est normal qu’il y ait des vaccinés parce que toute la population est vaccinée ».

Je leur répondrais deux choses :

  • De un, ce n’est pas normal, quand un vaccin est réputé 90 % efficace on ne va plus à l’hôpital.
  • De deux, au 11 août, 66,3 % de la population avait reçu au moins une dose(([3] https://ourworldindata.org/vaccination-israel-impact)) et 61,5 % étaient totalement vaccinés.

Il faudrait aussi m’expliquer pourquoi Pfizer a annoncé le 9 juillet 2021 qu’il préparait un vaccin contre le Delta et que les essais cliniques démarreraient en août.(([4] https://www.lavoixdunord.fr/1042827/article/2021-07-09/pfizer-et-biontech-preparent-un-vaccin-contre-le-variant-delta))

Annonce bien étrange quand on affirme par ailleurs que son vaccin fonctionne parfaitement.

Information d’ailleurs contredite en août 2021 avec BioNTech qui annonce qu’il n’est pas nécessaire d’adapter son vaccin au variant Delta(([5] https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-08-09/selon-biontech/pas-encore-necessaire-d-adapter-le-vaccin-pfizer-aux-variants.php)) et qui préconise la 3e dose.

Quant à Moderna, ceux-ci continuaient à dire encore au 15 septembre que leur injection demeurait extrêmement efficace contre le Delta.(([6] https://www.forbes.com/sites/jemimamcevoy/2021/09/15/moderna-vaccine-highly-effective-against-delta-but-protection-against-infection-may-wane-over-time-new-data-suggests/?sh=4954b1b3339f))

Sortir une nouvelle version des « vaccins » coûterait-elle trop cher ?

On doit naturellement se poser la question d’autant plus que l’article de La Presse sur BioNTech précise :

« Depuis le début de l’année, ce laboratoire allemand a déjà enregistré 7,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, contre 69,4 millions d’euros sur la même période l’an dernier, avant la mise au point du sérum contre la COVID-19 »

Quant à Moderna, elle déjà avait engrangé 1,7 milliard de dollars de chiffre d’affaires début mai.

On peut imaginer que l’on peut se permettre de dépenser quelques euros et d’autant plus en sachant qu’un vaccin adapté au Delta ne pourrait qu’avoir un retour sur investissement délirant.

« L’analyste de Morningstar Karen Andersen s’attend à ce que les boosters à eux seuls rapportent environ 26 milliards de dollars de ventes mondiales l’année prochaine pour Pfizer et BioNTech et environ 14 milliards de dollars pour Moderna s’ils sont approuvés pour presque tous les Américains. »(([7] https://www.nouvelles-du-monde.com/covid-19-les-rappels-de-vaccins-covid-19-pourraient-signifier-des-milliards-pour-les-fabricants-de-medicaments/))

Société Moderna qui, rappelons-le, ne commercialise qu’un seul produit, le « vaccin ».

Une adaptation aux variants prendrait-elle trop de temps ?

Nous serions alors face à des problèmes d’annonce…

Le 8 février 2021, le journal Les Échos publiait :

« Le vaccin à ARN messager de Pfizer/BioNTech permet également a priori une adaptation rapide. Le laboratoire allemand a déjà assuré pouvoir produire un vaccin contre de nouveaux variants en six semaines. »(([8] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-comment-les-vaccins-sadaptent-aux-variants-1288302))

Notez qu’il y a eu régulièrement des articles nous expliquant qu’il faudrait environ 5 semaines pour sortir un nouveau vaccin adapté aux variants.

Pour aller dans ce sens, les premières injections humaines du Pfizer/BioNTech/Fosun(([9] https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer_and_biontech_dose_first_participants_in_the_u_s_as_part_of_global_covid_19_mrna_vaccine_development_program)) ont été annoncées le 5 mai 2020.

Autant la collaboration de BioNTech le fabricant du « vaccin » avec Pfizer n’a été que commerciale, autant il est plus que probable que la collaboration avec le chinois Fosun(([10] https://www.bloomberg.com/press-releases/2020-03-16/biontech-and-fosun-pharma-form-covid-19-vaccine-strategic-alliance-in-china)) a permis à BioNTech de récupérer des éléments permettant la conception du produit et notamment la récupération du génome du Sars-cov2.

Cette collaboration ayant débuté le 16 mars, il s’est donc passé 7 semaines entre ces deux dates.

Quant à Moderna, la société a conclu un partenariat avec le National Institute of Allergy and Infectious Diseases(([11] https://www.pharmaceutical-technology.com/news/new-coronavirus-vaccine/)) le 24 janvier 2020.

Le NIAID étant une émanation du NIH (Institut National de Santé des USA).

Le « vaccin » Moderna étant financé par ce petit monde.

Et qui est le directeur du NIAID ?

Le Dr Fauci, le monsieur vaccin des USA, qui commence à être acculé. Lui-même étant impliqué dans des recherches de « gain de fonction » sur des virus au laboratoire de Wuhan.

Bref on peut facilement déduire que Moderna a bénéficié d’informations sur le virus en provenance de Wuhan en janvier.

Quant aux premiers essais(([12] https://www.pharmaceutical-technology.com/news/first-us-covid-19-vaccine-trial-moderna/)) sur l’homme du « vaccin » Moderna, ceux-ci ont débuté le 17 mars 2020 soit 7 semaines après le début de la collaboration.

Ceci tendrait donc à prouver qu’il n’a pas fallu bien longtemps pour créer ces « vaccins » et par conséquent, qu’il en faudrait largement moins pour une « mise à jour ».

Pourquoi un vaccin ?

Si Moderna et BioNTech avaient commencé à travailler sur le virus dès la fin décembre 2019, quand les Chinois ont rendu public le Sars-cov2, cela ne laisse quand même que 3 mois entre la connaissance de l’existence d’un nouveau virus et les premiers essais sur l’homme par Moderna.

Le 30 janvier 2020, les médias commençaient à parler d’une course au vaccin…

Tandis qu’au 22 janvier 2020, il n’y avait que 17 morts(([13] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=earliest..2020-03-09&facet=none&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country=~OWID_WRL)) officiels sur la planète et 557 cas…

Pourquoi vouloir créer un vaccin dès le mois de janvier alors que ce Sars-cov2 semble encore totalement inoffensif ?

D’autant plus que les scientifiques savaient qu’ils avaient affaire à un coronavirus et qu’il passe son temps à muter.

Donc même avec un énorme flair, ils n’ont pas pu avoir plus de 2 mois entre le début de la conception et les premiers essais sur l’homme.

Quelles hypothèses raisonnables pour soutenir la non-sortie d’une mise à jour ?

Si l’on considère pour acquis qu’il a fallu moins de 2 mois entre la conception des « vaccins » et les premiers essais sur l’homme, alors il est totalement logique de penser qu’il faudrait environ 1 mois pour faire une mise à jour en partant du génome du variant Delta ou de tout autre variant.

De plus l’injection étant « sans danger » (on ne rit pas jaune s’il vous plaît) et du fait que l’on subit des nouvelles vagues « terribles » avec un variant qui « s’attaque même aux jeunes », il serait inutile et irresponsable d’attendre un délai entre la mise au point du nouveau vaccin et l’injection en masse de la population. Délai de « sécurité » déjà mis en œuvre pour les premières versions.

Pour résumer :

  • Le délai (très court) n’est pas un problème.
  • L’argent (retour sur investissement garanti) n’est pas un problème.

Je ne vois pas le moindre argument valide pour ne pas commercialiser des vaccins adaptés aux nouveaux variants, et même tous les mois si il faut !

Dans un monde ultralibéral, tu n’hésites pas à choisir l’option qui va te rapporter le plus d’argent et, qui plus est, augmenter ton capital sympathie.

D’autant plus que si ton vaccin protégeait à 90 % avec la souche d’origine, que tu sais qu’il a énormément perdu d’efficacité avec les variants et que tu pourrais retrouver la même d’efficacité d’origine avec la version 2,0, pourquoi t’en priver ?

Nous voyons de plus que le « booster » est inefficace (cf. Israël) et que les injectés de la première date ont l’impression qu’on les prend pour des cons…

Alors que, je le répète, s’il y avait une mise à jour Delta, de très nombreuses victimes de la propagande retomberaient dans le piège.

Ils voudraient détruire leur marché qu’ils ne s’y prendraient pas autrement…

Quelles hypothèses dites « complotistes » pour soutenir la thèse de non-sortie ?

  • Le mensonge sur les délais… En fait il ne faudrait pas un mois pour mettre au point la mise à jour comme il n’a pas fallu 2 mois pour fabriquer les premiers vaccins. Ces délais ne seraient que mensonges. Dans cette hypothèse, il faudrait un an ou plus pour mettre au point une thérapie génique ARNm. Vous pourriez me rétorquer « mais comment ont-ils fait alors » ? Ici la réponse est « complotiste » (mais de moins en moins au fil des révélations). Dans cette hypothèse, le virus est un virus pour partie artificiel et les fabricants ont mis au point le vaccin en même temps que le virus. Il devient de fait logique qu’aucune mise à jour ne puisse voir le jour, car il leur faudrait au moins des mois, voire des années, pour la faire (peut-être que cela expliquerait aussi pourquoi des Sanofi n’ont toujours pas sorti leur « vaccin » ARN).
  • Une volonté de nuire… S’il est effectivement possible de sortir des mises à jour rapidement et qu’en plus l’opération serait à la fois rentable économiquement, rentable en termes d’image et rentable en termes de lutte contre le virus, c’est que l’intention n’est pas de sauver, mais de détruire des vies. Nul ne peut ignorer qu’un vaccin imparfait favorisera les variants. De fait insister avec le même vaccin tout en sachant qu’il sera OBLIGATOIREMENT moins efficace du fait des mutations sur la spike souligne bien une intention criminelle. Sans compter les risques d’anticorps facilitants qui font que le vaccin peut se retourner contre les vaccinés qui feraient alors des formes plus graves que s’ils n’étaient pas vaccinés.

Mes conclusions (provisoires).

Je ne doute pas que les vérificateurs de l’information à la solde de la propagande auront des raisons totalement « valables » pour soutenir cette absence de vaccins mis à jour.

À se demander comment ils supportent que le vaccin contre la grippe soit adapté d’année en année en fonction des mutations du virus… « quelle hérésie » !

Cette absence d’évolutions 18 mois après les premiers essais sur l’homme constitue une preuve du mensonge.

Les fabricants de « vaccins » à ARNm sont donc soit des menteurs avec de mauvaises intentions, soit des menteurs avec de mauvaises intentions.

Merci.

Alain Tortosa.

30 septembre
https://7milliards.fr/tortosa20210930-vaccins-pourquoi-pas-de-mises-a-jour-variants.pdf





New York lance la loi martiale médicale avec des troupes pour prendre le contrôle des hôpitaux où des travailleurs de la santé non vaxés sont licenciés en masse

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

La prise de contrôle de la société par la loi martiale a commencé à New York, où le gouverneur Kathy Hochul a annoncé le licenciement massif d’agents de santé non vaccinés, qui seront remplacés par des travailleurs étrangers et des troupes de la Garde nationale.

Ce même modèle de remplacement des travailleurs civils par des troupes militaires sera reproduit dans les forces de l’ordre, les ambulanciers paramédicaux, les pompiers, les chauffeurs de camion, les ouvriers d’usine et d’autres secteurs de l’économie qui s’effondrent rapidement en raison des restrictions de verrouillage de la covid. Le résultat est que nous assistons à une prise de contrôle militaire rapide de la société sous le couvert d’un «état d’urgence» à la suite de pénuries de personnel qui sont en fait causées par les propres politiques du gouvernement.

[Ndlr : lorsqu’un pays expérimente une mesure, une tactique ou une stratégie liberticide supplémentaire au cours de cette plandémie Covid, on peut s’attendre à ce que les autres gouvernements s’en inspirent au cours des semaines ou des mois suivants.]

La seule raison pour laquelle les hôpitaux de New York manquent désespérément de travailleurs de la santé, bien sûr, c’est parce que des dirigeants gouvernementaux corrompus ont veillé à ce que tous les travailleurs non vaxxés soient licenciés. Ce sont les mêmes travailleurs qui ont survécu à 2020 sans vaccins contre le covid, travaillant en première ligne de la « plandémie »  causée artificiellement par des protéines de pointe et du graphène, mais maintenant ils sont jetés dans la rue parce qu’ils ne prendront pas de vaccin en 2021.

« La Gouv. Kathy Hochul a déclaré samedi qu’elle était prête à déclarer l’état d’urgence si le mandat de vaccination de l’État pour l’industrie des soins de santé entraînait une pénurie ingérable de travailleurs lorsque la règle entrera en vigueur lundi », a rapporté WSKG.org ce week-end.

New York annonce également l’utilisation de troupes de la Garde nationale et une prise de contrôle fédérale des soins de santé locaux. Comme le rapporte WSKG :

L’État envisage également d’activer des membres de la Garde nationale formés médicalement pour combler les lacunes dans les effectifs de la santé, et pourrait travailler avec le gouvernement fédéral pour faire venir des équipes de travailleurs médicaux pour aider les établissements de santé locaux.

C’est la phase d’ouverture de la prise de contrôle de la loi martiale médicale sur l’Amérique, et si elle n’est pas stoppée, elle risque de se transformer rapidement en manœuvres de plus en plus totalitaires de la part du régime :

  • Postes de contrôle des vaccins militaires sur les routes et les autoroutes.
  • Des troupes militaires assurent les livraisons de nourriture et de carburant, contrôlant les infrastructures critiques.
  • La militarisation de la nourriture, de l’essence, des fournitures médicales et d’autres articles essentiels, les empêchant d’entrer dans les États rouges qui refusent de pousser les vaccins obligatoires.
  • Les troupes militaires gardant les entrées des épiceries, des églises, des centres commerciaux et d’autres bâtiments, exigeant des passeports vaccinaux « Den Ausweis, bitte» avant d’autoriser les gens à entrer.
  • Des troupes militaires extrayant involontairement des personnes de leurs maisons sous la menace d’une arme et les emmenant dans des camps de la mort dirigés par le CDC. [1]

Voici une carte des camps de la mort de covid actuellement en activité par le CDC. Vous pouvez confirmer cette carte sur le site Web du CDC.

New York crée sa propre « crise » du personnel, puis utilise la crise qu’elle a créée pour déployer la loi martiale médicale

New York a créé cette crise en licenciant des travailleurs de la santé en premier lieu. Puis, au fur et à mesure que cette «crise du personnel» se déroule, New York utilise la crise pour déployer des migrants de remplacement (pour remplacer tous les malades sur le point de mourir qui ont subi un lavage de cerveau suffisant pour qu’ils acceptent la piquouse qui les achève) et installer des troupes militaires dans des postes d’infrastructure clés. .

Une partie de cette opération psychologique consiste à habituer le peuple américain à voir des troupes tout gérer : hôpitaux, transports, usines, forces de l’ordre, etc. Une fois que toutes les troupes sont en place, Biden invoquera simplement l’Insurrection Act, et déclarera que tous les anti-vaxxers sont engagé dans une « insurrection », puis dépêchera les troupes pour rassembler et/ou exécuter tous ses ennemis politiques. Cette liste d’exécution comprendra des chrétiens, des pasteurs, des médecins au franc-parler, etc.

Je couvre tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, qui expose le programme génocidaire de l’industrie des vaccins et le régime criminel de Biden :

Brighteon.com/ce8bdd6d-8aab-48ef-b23c-82d2f73937bf

Mardi 28 septembre 2021 par Mike Adams Source




Vaccination obligatoire : l’Agence européenne des médicaments ne sait pas répondre non plus !

[Source : francesoir.fr]

[Photo : MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités. De grandes contraintes aussi. Alors que certains professionnels de santé, indispensables dans la gestion de la crise sanitaire, sont exclus de l’hôpital pour ne pas s’être soumis à l’obligation vaccinale, une bataille plus discrète se joue en ce moment même auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (AEM).

Ces autorités ont récemment été sollicitées par l’avocat de trois associations pour s’assurer du respect des règlements européens et des autorisations européennes (autorisations de mise sur le marché conditionnelles) dont bénéficient les vaccins anticovid.

Une simple visite de courtoisie qui s’avère être un pavé dans la mare puisque ni l’agence française ni l’agence européenne ne savent répondre. Me Teissedre vient en effet de recevoir cette réponse surprenante de la direction de l’Agence européenne des médicaments : « Nous examinons actuellement votre demande et vous répondrons en temps voulu ».

Curieuse réponse lorsque l’on sait que depuis plusieurs semaines le temps non seulement est venu, mais il est aussi passé ! En effet, les délais réglementaires sont expirés. C’est le cas du délai à observer pour le renouvellement annuel de chaque autorisation délivrée à chacun des vaccins actuellement sur le marché mais aussi des délais dont disposaient les fabricants pour transmettre à l’AEM les données complémentaires relatives aux caractéristiques des produits vaccinaux.

On ne parle pas de rien puisqu’il est question de connaître notamment la composition de la substance active des vaccins et des excipients ! Pourquoi alors l’agence européenne entretient-elle le mystère lorsqu’un avocat lui pose des questions aussi légitimes, sachant que l’agence française a déjà botté en touche en renvoyant l’encombrante requête vers l’Agence européenne des médicaments ?

Voir aussi : Données relatives aux vaccins : l’ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre

Les fabricants disposent évidemment d’une armada de juristes compétents qui connaissent par cœur ces délais. Alors imaginer que le calendrier relatif à l’évaluation des vaccins ne serait pas respecté est-il vraiment raisonnable ?

La réponse est oui. Et c’est même l’hypothèse privilégiée. La revue Prescrire a consacré en novembre 2017 un article à ce sujet, à l’occasion des 10 ans (2006-2016) de pratique des autorisations de mise sur le marché conditionnelles. Ces autorisations sont des autorisations anticipées répondant à une urgence. Aux termes de chacune de ces autorisations, les fabricants s’engagent à fournir à l’agence européenne régulièrement, post-autorisation, des données essentielles sur le produit mis sur le marché.

Sauf que la revue Prescrire relevait dans son article de novembre 2017 que les fabricants jouent rarement le jeu une fois l’autorisation octroyée ; l’agence ayant ensuite tendance à se montrer très laxiste. Le problème ici est que c’est le monde entier que l’on vaccine, sous la contrainte, que la vaccination des enfants européens est envisagée et on parle de 3e, de 4e dose en dehors de tout cadre alors même que de nombreux États ont retiré du marché 2 vaccins (Janssen et AstraZeneca) sur 4.

Il est donc plus que difficile dans un tel contexte de passer sous les radars… Une autre explication est également donnée par la députée européenne Madame Michèle Rivasi, qui déclare dans une vidéo récente que les fabricants ont besoin de protéger leur savoir-faire, ce qui expliquerait leur refus de livrer des informations stratégiques.

Madame Rivasi a pu poser la question à l’Agence européenne des médicaments : « Est-ce que vous savez tous les ingrédients qui ont été mis dans un vaccin ? Ils m’ont dit que non alors que normalement même s’il y a une partie confidentielle elle devrait avoir accès à ces données ».

Ce qui veut dire aussi au passage que la Commission européenne s’est contractuellement engagée à garantir les fabricants contre toutes les conséquences financières liées à des déconvenues vaccinales, incluant les honoraires des avocats, sans avoir pu préalablement évaluer le risque.

Notons qu’alors qu’elles préconisent des lois liberticides et contraignantes, les autorités sanitaires ne sont même pas en capacité de faire respecter les obligations qui sont les leurs. En droit, l’obligation vaccinale, inscrite à l’article 12 de la loi du 5 août 2021, sur la validité de laquelle le Conseil constitutionnel ne s’est pas encore prononcé, est donc plus fragile qu’il n’y paraît.

Manifestement le législateur n’est pas si sûr de lui en l’édictant puisque la loi qui l’institue prévoit aussi qu’un décret, pris après avis de la Haute autorité de santé, peut suspendre l’obligation en fonction notamment des connaissances médicales et scientifiques. Or, dans la mesure où cette connaissance est impossible, on peut considérer que la loi ne peut plus être appliquée et l’obligation ne peut plus être maintenue. L’obligation vaccinale, en l’état des connaissances, est contraire au consentement libre et éclairé, et expose en plus les pouvoirs publics à un risque considérable car la responsabilité pour l’État n’est pas la même selon que la vaccination est obligatoire ou ne l’est pas.

Auteur(s): FranceSoir




Connaissez-vous le Dolder Club ?

[Source : economiedistributive.fr via Geopolintel]

Le « DOLDER Club »

par B. BLAVETTE

Le Dolder Grand est un hôtel cinq étoiles situé dans la forêt, sur les hauteurs entourant la ville de Zurich. Avec ses tours, ses tourelles, ses colombages, le bâtiment semble sorti d’un film d’aventures ou d’espionnage.

C’est en ce lieu, à la fois ultra luxueux et discret, qu’en 1970 une trentaine de hauts dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale choisissent de se réunir pour la première fois. Depuis cette date, la rencontre se déroule une ou deux fois par an dans divers pays du monde et a adopté en toute modestie le terme de « Dolder Club » qui dans divers patois allemands et en alsacien désigne « la cime la plus haute, qui domine toutes les autres ».

C’est tout à fait par hasard que j’ai appris, il y a quelques semaines, l’existence du Dolder Club par l’intermédiaire d’un site faisant la promotion de la santé naturelle par les plantes.(([1] Il s’agit de « La lettre directe santé ». Attention, la fiabilité générale de ce site me semble par ailleurs incertaine du fait de ses attaques sans nuance à l’encontre de la médecine allopathique.)) Car, plus encore que le « Groupe de Bidelberg », cette réunion est ultra confidentielle. Le Dolder Club ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques (IFPMA pour Inter­national Federation of Pharmaceutical Manufacturers) qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants.

La dernière réunion du Dolder Club s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018. Mais cette fois l’anonymat intégral avait été brisé par une dépêche de l’AFP, reprise par différents organes de presse (La Croix, Le Point, Le Monde…), qui relate succinctement la rencontre et précise que le groupe a été reçu le 9 juillet au soir par Emmanuel Macron bien que ne figurant pas sur l’agenda officiel du Président. Le site internet de l’Elysée ne comporte pas non plus de compte rendu de ces discussions. L’AFP a pu se procurer la liste des participants au Dolder Clu : sans surprise on rencontre Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, N°1 mondial (USA), Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co (USA), Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire Navo Nordisk (Danemark), Pascal Soriot PDG de AstraZeneca (GB/Suède), Christophe Weber le directeur français de Tadeka (Japon)… La réunion est présidée par une vieille connaissance, Serge Weinberg, Président du Conseil d’Administration de Sanofi. Ce personnage s’est particulièrement illustré par son intransigeance dans le cadre du scandale de la Dépakine, cet anti épileptique produit par Sanofi qui, administré aux femmes enceintes, engendre des enfants mentalement handicapés. Selon un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) du 22/6/2018, entre 16.600 et 30.400 enfants exposés à la Dépakine avant la naissance seraient atteints de troubles du comportement. Mais le pire c’est que tout porte à croire que Sanofi connaissait les effets délétères de la Dépakine depuis au moins le milieu des années 80 grâce à un rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).(([2] Voir l’excellent article du magazine Capital du 22/10/2018.)) Pourtant l’affaire de la Dépakine ne s’arrête pas ici. Le lundi 9 juillet 2018 l’association France Nature Environnement publiait une étude montrant que l’usine Sanofi de Mourenx dans les Pyrénées Atlantiques (qui fabrique notamment la Dépakine) procédait régulièrement et depuis plusieurs dizaines d’années à des rejets toxiques dans l’atmosphère dépassant… 90.000 à 190.000 fois, suivant les cas, les normes admises. À la suite de ces révélations l’usine a été fermée pendant deux mois, le temps pour Sanofi de procéder à « quelques ajustements ». Puis la production a repris, « business as usual ». France Nature Environ­nement a déposé une plainte qui, comme d’habitude, n’est pas suspensive… Il est vrai que l’année précédente (le 7/10/2017) Christophe Castaner avait déclaré lors d’une visite du site de Sanofi à Sisteron « On ne doit pas critiquer des entreprises qui réussissent comme Sanofi » et Édouard Philippe avait renchéri (le 17/10/2017) devant l’Assemblée Natio­nale à propos de Sanofi : « Il ne faut pas dénigrer une entreprise française qui fonctionne bien ». Le cynisme, allié à la bêtise, de ces deux perroquets atteint ici des sommets. Il faut ajouter aussi que Serge Weinberg doit se penser intouchable, lui qui est un ami proche d’Emmanuel Macron, lui qui a largement contribué à son élection. En effet les deux hommes se sont rencontrés dans le cadre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » mise en place par Nicolas Sarkozy et ont rapidement sympathisé. Serge Weinberg était alors Président du Conseil d’Administration du groupe Accor et PDG du fond d’Investissement Weinberg Capital Partner et Emmanuel Macron, Inspecteur des Finances et Rapporteur général adjoint de la Commission. Par la suite Weinberg introduira Macron dans la Banque Rothschild et le soutiendra pendant toute la campagne électorale. Selon le député de la France Insoumise François Ruffin, lors de la réception donnée à l’Elysées à la suite de son élection, Macron fendra la foule de manière très remarquée pour donner l’accolade à son ami Serge…

Il n’est guère étonnant dans ces conditions qu’Emmanuel Macron « soigne les industriels du médicament » comme le déclare France-Info du 10/7/2018.(([3] Remarquons que suivant Le Canard Enchaîné du 7/6/2017 et Wikipédia, l’actuelle Ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tissé tout au long de sa carrière dans des organismes publics des liens très étroits avec plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques, ce qui a donné lieu à de multiples conflits d’intérêts. Agnés Buzyn a notamment effectué de nombreuses missions rémunérées pour Novartis, Bristol-Myers Squibb et, entre 1998 et 2011, le laboratoire Genzyme, filiale étasunienne de… Sanofi !)) En fait, selon RFI, la date de la réunion ne doit rien au hasard, elle permet aux membres du Dolder Club de participer au Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) qui s’est tenu le 10 juillet à l’Hôtel Matignon sous l’égide du Premier Ministre. Cette rencontre, qui se déroule tous les deux ans depuis 2004, est sensée établir un dialogue qui peut apparaître utile entre l’État et l’industrie pharmaceutique. Cependant, au fil des années, le CSIS s’est transformé en opération de lobbying permettant aux grands groupes pharmaceutiques de présenter, on pourrait même dire imposer, leurs revendications. Et ces revendications sont nombreuses.

À l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé deux mesures phares auxquelles l’industrie pharmaceutique est très attachée :

  • La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours actuellement. Ceci en dépit des multiples scandales qui secouent actuellement le secteur pharmaceutique : Médiator, Lévo­thy­rox, Dépakine, implants mammaires….
  • Un nouveau système de régulation du prix des médicaments : une garantie minimale annuelle de 0,5% de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans à venir, garantie pouvant aller jusqu’à 3% pour les médicaments dits “innovants”. Mais qui décidera qu’une molécule est réellement innovante ? Mais comment est-il possible qu’une entreprise privée puisse se voir offrir par la collectivité une garantie de croissance ?

Parmi les revendications que les laboratoires espèrent pouvoir faire aboutir dans un futur rapproché on citera notamment l’obligation de la vaccination contre la grippe pour les plus de 65 ans (tout comme les fournisseurs d’eau, l’industrie pharmaceutique adore les consommateurs captifs), le déremboursement, voire, dans certains cas, l’interdiction des médecines alternatives : homéopathie, utilisation des huiles essentielles…

Le marché mondial du médicament avoisine les 830 milliards d’euros annuels, ce qui donne à ses acteurs une formidable force de frappe.

On peut considérer qu’aujourd’hui l’industrie du médicament est hors de tout contrôle, qu’elle impose sa loi aux États ainsi qu’aux instances internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par une généralisation de la corruption et du conflit d’intérêts. Il s’agit là d’une atteinte supplémentaire à nos processus démocratiques.

Ajoutons qu’il m’a été impossible de connaître le lieu et la date de la prochaine réunion du Dolder Club en 2019.

Ainsi une fois de plus notre avenir collectif se décide dans des instances illégitimes, dans la plus parfaite clandestinité, dans l’indifférence générale…

Note de la rédaction :

Nous aurions aimé, par une photo, faire admirer à nos lecteurs cet hôtel absolument extraordinaire. Il aurait fallu pour cela payer à cet hôtel des droits d’auteur, ce dont nous pensons qu’il n’a pas besoin.

Mais sur internet, à l’adresse : The Dodler Grand,
vous pouvez admirer l’hôtel et son site par une foule de très belles photos… et même retenir une chambre pour vos vacances, (entre 600 et 900 € la nuit).





Alliance entre Minc, Mélenchon et le djihadisme contre Zemmour

Par Lucien Samir Oulahbib

La relaxe de l’imam de Toulouse récitant une parole islamique de type djihadiste appelant à tuer les juifs exprime bien cette alliance de fait sinon d’esprit entre les partisans effectifs de la dissolution française et le djihadisme à visage humain personnifié par cet imam. Or il ne faut pas oublier que l’islam est au-delà de ses tendances une espèce de socialisme communautaire (ce que défendaient Nasser et Aflak le fondateur du Baasisme), très proche de la pensée communautaire national-socialiste allemande (primat du groupe pensé comme « race » sur l’individu), d’où les accointances entre le mufti de Jérusalem et Hitler, d’une part, et entre la pensée marxiste du « Prolétariat » — ce nouveau peuple fait d’hommes nouveaux, ajoute Lénine ânonnant le bréviaire jacobin (prémisse aux « hommes déconstruits ») — et l’idée racialiste du « sang bleu », d’autre part. Et il ne faut pas oublier que Mélenchon défend toujours bec et ongles son alliance avec l’islam (initiée par les trotskistes anglais), le tout en vue non pas de se battre pour émanciper les masses arabisées par cet « opium du peuple » qu’est l’islam, mais de s’en servir, tout comme Minc, de chair à canon contre tous ceux qui refusent la dissolution française de mieux en mieux décrite par ce livre si mesuré pourtant se nommant non plus les « territoires perdus », mais bien Les territoires conquis de l’islamisme.

Un Minc, par exemple opposé dernièrement à Zemmour sur LCI, ne voit « que » des problèmes de « sécurité » à ce qui se passe dans les « quartiers », aveuglé par sa vision hygiéniste des corps réduits à n’être que des supports d’organes (vendus désormais à la découpe comme les « anticorps ») tels les corps d’immigrés chargés d’occuper les postes pénibles, booster la démographie, amuser aussi la galerie dans les salons « chauds ».

Méprisés de la sorte, ils ne sont ainsi pas vus comme dotés aussi d’autres désirs, tel le fait de pousser le plus loin possible leur persistance culturelle à rester fermés, en grande majorité, à toute ingérence étrangère (même « universelle »), en particulier concernant les femmes et la tolérance envers les minorités qu’elles soient sexuelles ou ethniques (la dhimmitude). Cette persistance va être même encouragée en haut lieu, et ce depuis des lustres en permettant le financement d’enclos perpétuant cet « opium » de toute façon également protégé dans sa version solide, tant le trafic de drogue est devenu à la fois un moyen soporifique de maintien de l’Ordre et aussi plus généralement le symbole d’une faillite généralisée de la spiritualité occidentale incapable désormais de comprendre la sourde misère individuelle des « foules solitaires » (Minc osant dans le même débat contre Zemmour parler de « déclin de l’Occident » comme si c’était un scoop, ou le pompier pyromane) personnifiées par ces consommateurs de « crack » que l’on balade ici et là dans le Nord parisien.

On assiste alors à ces étranges paradoxes (qui font toujours le suc de la réalité historique sans cesse créatrice de nouvelles formes) lorsque l’on voit que cet islam de plus en plus djihadiste, au sens de se ressourcer littéralement en grand et dans les détails au sein des écrits fondateurs, se nourrit des impérities du néo-léninisme et son visage « déconstruit » façon moins Picasso que Foucault, Bataille, Deleuze, Derrida lorsque ces derniers expliquent qu’il faut détruire l’Homme (la fameuse « fin de l’Homme »), entendez le Sens porté par le judéo-christianisme ayant précisément détaché de la culture gréco-romaine la figure humaine en tant que telle, distincte autant de César que de Dieu, afin de poser justement que l’émancipation des désirs ne suffit pas s’il n’y a pas affinement intérieur se reflétant à l’extérieur dans ses actions.

Or, c’est précisément cela aussi le soc du djihadisme dans sa « grande » version, entendez métaphysique (ou la victoire de Ghazali sur Averroès) au sens de se servir de la force thermique de notre océan intérieur non pas pour s’élever (à l’exception du soufisme, sans doute, façon Guénon) vers la Contemplation, mais plutôt l’Art Martial (bien maîtrisé aussi par la spiritualité asiatique) ou la Guerre permanente qu’est la politique. Mahomet avait, bien avant Lénine, inversé l’adage clausewitzien, en oubliant cependant toujours de distinguer, par-delà leur conflit nécessaire (bien vu par Hegel) identité et différence, César et Dieu, la Contemplation et la Technique (les Chinois se servant de la poudre uniquement pour s’amuser alors que celle-ci a permis en Occident le Tournant technique, celui allant de l’arbalète vers l’arquebuse, ce qui a stoppé l’avancée djihadiste des Ottomans qui avaient triomphé des Arabes et des Perses… Puis en effet la domination de l’Europe sur le monde, pour le meilleur comme le pire, à l’instar de toutes les dominations précédentes ? Non.

Parce qu’émergea aussi la prégnance de la symbiose occidentale entre liberté d’être, cette singularité au sein d’un « nous » de plus en plus choisi… (On ne comprendrait d’ailleurs pas l’essaimage des cités grecques, l’émergence des villes dites « franches » au Moyen-âge, mais aussi l’émigration des collectivités religieuses ayant fondé les USA), toute une prégnance certes mise à mal par la désormais séculaire « trahison des clercs » et aussi aujourd’hui par toute une élite cynique et nihiliste qui haïe le fait de comprendre que la nation, ne serait-ce que dans l’acception de Renan, signifie d’abord « communauté de destin » et non pas empaquetage de corps débités à l’identique ou alors interchangeables ou la vision « porno » du monde, comme le disait Jean Baudrillard : corps fabriqués désormais sur la chaîne de montage hyperréaliste des Modèles cybernétiques ne voyant plus les individus que comme des « paquets » de signes à commuter selon le logiciel nécessaire et suffisant ou QR code à visage déconstruit, tout en rêvassant, dans les centres-villes devenues musées voire « pompéisés » (dixit Baudrillard), de cette vie si vivace fulgurante et bigarrée d’autrefois ou le « Monde d’hier » de Zweig.

Dans ce désert symbolique de plus en plus numérisé le djihadisme reconstitué (remugle des avatars successifs comme le wahhabisme tentant vainement de renouer avec l’impossible imitation des conquêtes d’Alexandre le Grand) se sert du néo-léninisme à visage déconstruit (Mélenchon et Rousseau, le wokisme US UK UE ou le racisme inversé) pour vivre spirituellement sur la culpabilité souffreteuse du judéo-christianisme victimaire comme l’a bien vu Nietzsche d’une part ; le djihadisme 2.0 se sert aussi d’autre part de l’affairisme hygiéniste globaliste cybernétique (Minc, Macron) comme autant d’énergies — spirituelles-renouvelables : dans la mesure où le premier (le néo-léninisme) lui sert à la fois de marchepieds avec le » sans frontières » et le » on rase gratis à tous les étages » et en même temps de repoussoir au niveau des mœurs (les « trans » ne sont en transe que parmi les déconstruits qui se ramassent à la pelle dans les universités et médias ces « poubelles jaunes » pour paraphraser Olivier Delamarche sur Gérard Infos) tandis que le second (l’affairisme globaliste) lui sert de tremplin paravent chinois repoussoir aussi tant il domine de plus en plus les instances mondiales jusqu’aux parlements et exécutifs US UK UE.

Faut-il pour autant s’avouer vaincu comme le pense l’auteur de « Soumission » ou en avoir si peur comme s’alarme Zemmour qu’il en fait même la priorité des priorités ?…

Une chose semble en tout cas plausible : cette émergence idéologique qui semble assembler des courants d’idées autrefois opposées tout en croyant proposer des solutions comportementales durables aux maux modernes de l’individu modélisé, s’avère être elle aussi le symptôme façon Frankenstein de ce qu’elle prétend pourtant combattre : le nihilisme élevé au rang de science méticuleuse et donc paranoïaque (la dernière vidéo de Raoult, 28/09/21, en parle dans son domaine spécifique).

Pourtant, l’énergie spirituelle pour paraphraser Bergson n’est pas au service d’une ambition terrestre reposant sur la seule Puissance si ne s’articule pas aussi l’Autorité et la Compétence, ces trois angles du Pouvoir d’être quelque chose plutôt que rien alors que nous sommes aujourd’hui dans la situation inverse : « pourquoi rien et pas plutôt quelque chose » disait Baudrillard (avant de succomber lui aussi sous le charme de l’indulgence devant la « soumission » tant le désir de trouver une Mana salvatrice l’assaillait tout autant)…

Les jeux (de l’Esprit) sont en fait à nouveau ouverts, tel est, déjà, l’avantage d’une « candidature » Zemmour qui, pour l’anecdote, remue déjà les cours de récré puisque certains enfants s’amusent à transformer sur un site dédié les prénoms étrangers en prénoms français…




5758 lits d’hôpital supprimés en 2020 : ce SCANDALE en cache un autre !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Passe sanitaire : le recours devant la CEDH est possible

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : CEDH Pixabay / FS]

Auteur(s): FranceSoir

Face à la loi qui a instauré le passe sanitaire, Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit privé à l’université de Nîmes, a lancé une requête collective auprès de la Cour européenne des droits de l’homme. Opposé au passe sanitaire – mais pas à la vaccination, il nous explique dans une vidéo et un document qui se présente sous forme de questions-réponses, comment chaque personne peut déposer une requête auprès de la CEDH, une démarche dont il s’est expliqué dans un entretien donné au journal Reporterre.

Explication de cette requête

La Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) condamne toutes les violations aux droits fondamentaux commises par les États européens. Ainsi, dans le cadre du passe sanitaire, chaque particulier qui estime avoir subi un préjudice par l’instauration de cette loi, peut la saisir et attaquer le gouvernement français en envoyant une requête par la poste. C’est ensuite au gouvernement français de prouver que la personne ne possède pas la qualité de victime.

Si, en règle générale, il faut avoir épuisé toutes les voies de recours internes, le passe sanitaire constitue une exception qui permet de passer outre lorsque la violation résulte de l’existence de la loi elle-même et que le Conseil constitutionnel a déclaré cette loi conforme. Guillaume Zambrano rappelle également que le Conseil constitutionnel ne peut être saisi qu’en soulevant une question prioritaire de constitutionalité (QPC), ce qui ne peut pas être entrepris par un simple particulier.

Le passe sanitaire : une sanction pénale sans jugement

Pour le juriste, ce passe porte atteinte aux droits fondamentaux, puisque son instauration constitue une véritable exclusion de la vie sociale. Sa mise en place constitue une « sanction extrajudiciaire » puisqu’il échappe à notre tradition juridique, fondée sur le principe de l’habeas corpus qui permet à toute personne privée de liberté de passer devant un juge.

À titre d’exemple, il cite le cas des personnes assignées à résidence ou condamnées à porter un bracelet électronique et rappelle que ce genre de mesures ne peuvent être appliquées que dans le cadre d’un procès, et avec l’approbation d’un juge au préalable.

Le droit peut-il condamner par omission ?

En règle générale, le droit dit qu’une personne est condamnée « pour avoir fait quelque chose, et non pour ne pas avoir fait quelque chose ». Or, le fait de ne pouvoir présenter un QR code à l’entrée des lieux publics ne peut constituer une infraction puisque le droit ne peut condamner pour omission. Par ailleurs, s’il existe le délit de non-assistance à personne en danger, son application est très restrictive.

Afin de montrer à quel point le passe sanitaire ne peut entrer dans ce cadre d’exception, il prend comme exemple le cas de personnes qui ont été condamnées pour avoir transmis le Sida, le juge ayant retenu le caractère intentionnel de ces personnes qui se savaient malades et qui ont reconnu avoir voulu contaminer d’autres personnes.

L’atteinte aux libertés fondamentales

La liberté, premier principe de la devise républicaine est un droit fondamental, inaliénable et naturel qui ne peut faire l’objet de restrictions que dans des cas particuliers et des circonstances exceptionnelles.

Pour être mises en place, ces mesures doivent répondre à trois conditions :

Le test « d’aptitude », c’est-à-dire la possibilité « d’atteindre l’objectif fixé ». Dans le cadre de l’épidémie, il s’agit de démontrer que ces mesures permettent de lutter contre la propagation du virus. La question se pose surtout depuis que l’on sait que les double-vaccinés peuvent contracter le virus et que le vaccin n’empêche pas la contagion.

Le test de « nécessité », soit la possibilité « d’un grand nombre de morts » si les mesures de restrictions n’étaient pas mises en place. À cela, le juriste répond par la négative, citant des pays comme l’Angleterre ou encore la Suède qui n’ont pas eu recours à ce passe.

Le test de « substitution » étudie la possibilité de mettre en place « des mesures alternatives moins restrictives qui permettraient de lutter contre les effets de l’épidémie ». Sur ce dernier point, Guillaume Zambrano donne une série de dispositions que le gouvernement aurait pu prendre. Parmi elles, l’ouverture de lits de réanimation, la création d’hôpitaux de campagne ou encore la possibilité aux soignants de se tester régulièrement, ce qui aurait été plus efficace que la mise en place de l’obligation vaccinale.

L’obligation vaccinale est-elle contraire au droit ?

Très encadrées par le législateur, les obligations à des actes médicaux doivent êtres effectuées dans le cadre d’un consentement libre et éclairé et répondre aux besoins d’intérêt général. Dans le cas contraire, elles peuvent être considérées comme préjudiciables à l’intégrité du corps humain.

Ce principe posé, il s’agit de se demander si la vaccination contre le SARS-CoV-2 doit être rendue obligatoire et pour quel public. Pour les enfants et les adolescents, ceux-ci ne souffrant presque jamais d’une forme grave, l’intérêt médical n’est pas prouvé. Par ailleurs, le fait que la technologie soit nouvelle et que les risques à long terme ne soient pas connus ne penche pas en faveur de l’obligation.

Chaque citoyen peut devenir juge

En principe, la loi interdit que l’on fasse justice soi-même, et le seul détenteur est le pouvoir judiciaire. Ce principe protège à la fois l’individu, l’ordre juridique et la fonction judiciaire.

Dans une logique de « répression massive », le gouvernement permet aujourd’hui « des sanctions extrajudiciaires » et confie à la population toute entière la possibilité de jouer au juge en appliquant des sanctions. Désormais, ceux qui feront office de juge seront à l’entrée des hôpitaux, des bibliothèques, des cinémas, des musées ou des centres commerciaux. Pour le juriste, le seul point de comparaison est le crédit social en Chine, qui a institué bien avant l’épidémie de coronavirus des mesures de ce type extrêmement liberticides.

Les droits de l’homme au-dessus des lois nationales

Institués afin d’éviter que des gouvernements ne sortent de l’État de droit et « ne fassent basculer un pays dans la dictature », les droits de l’homme sont les libertés fondamentales qui ont un caractère essentiel pour l’individu. S’ils sont en principe garantis par un État de droit et une démocratie, ils ont reçu une consécration normative en étant inscrits dans les juridictions internationales comme la Cour européenne des droits de l’homme et les Constitutions, ce qui les place au plus haut dans la hiérarchie des normes et par conséquent au-dessus des lois nationales.

Cette requête collective portée devant la CEDH, Guillaume Zambrano l’espère la plus large possible. Offerte aux personnes de plus de 12 ans, une saisie par des milliers de personnes obligerait la Cour à écouter les arguments de ceux qui ont fait cette démarche et qui vise à éviter que le passe sanitaire soit prolongé au-delà du 15 novembre 2021 par l’adoption d’une nouvelle loi.

Auteur(s): FranceSoir




Les simulations, alibi pseudo-scientifique de la vaccination des enfants

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir

TRIBUNE – Volet II de l’analyse des simulations-prédictions au cours de la crise covid-19.

[NDLR Volet I : Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid]

Le scandale de la fermeture des écoles et des dommages infligés aux enfants

Depuis plus de 18 mois, la politique sanitaire française ne s’appuie pas sur les faits constatés dans le monde réel, mais uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement fausses, et faussées, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif, nous faire accepter la perte de nos libertés et nous imposer les pseudo vaccins.

Dans un article précédent, nous avons démontré les erreurs (ou trucages ?) invraisemblables du rapport 9 de Ferguson (Imperial college) de mars 2020 qui a servi de prétexte aux confinements, et des articles fallacieux écrits ultérieurement pour les justifier [1].

Dans ce second volet, nous rappellerons les données de la littérature internationale qui montrent que l’enfant ne participe pas à la transmission du covid-19 et que toutes les mesures qui lui nuisent sont inutiles sur la maladie.

Les enfants sont innocents et ne transmettent pas la maladie

La fermeture des écoles imposée par la majorité des gouvernements de la planète, en particulier occidentaux, repose seulement sur la foi et/ou l’obéissance en des simulations dont le modèle a été élaboré pour la grippe (où les enfants représentent effectivement un vecteur important de transmission).

Mais pour le covid-19, la littérature internationale montre que l’enfant est complètement innocent de la transmission.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie prouvent qu’il est rarement atteint, que lorsque cela arrive c’est à domicile par l’intermédiaire d’un parent proche, qu’il fait des formes bénignes [2-3], et qu’il ne transmet pas la maladie [4-17], sauf exceptionnellement à ses parents, à domicile.

Le professeur Robert Cohen, pédiatre très « pro vaccin » précise :

« les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Il n’y a donc aucune raison scientifique de conseiller la vaccination des enfants dans l’espoir de protéger la population plus âgée, d’autant plus que les vaccins actuels n’empêchent pas les transmissions, que l’immunité obtenue après une guérison naturelle est beaucoup plus efficace et durable que celle post injection, et qu’il n’y a plus aucun scientifique indépendant pour croire encore que l’immunité collective puisse être obtenue par la vaccination.

Les écoles ne jouent aucun rôle prouvé dans la transmission du covid-19

Dans sa note du 20 avril 2020, le conseil scientifique reconnaissait :

« Il n’y a pas eu d’épidémie documentée dans les crèches, écoles, collèges, lycées ou universités à ce jour, en l’état des connaissances actuelles, sauf une dans un lycée en France où le virus a touché 38% des lycéens, 43% des enseignants, et 59% des personnels travaillant dans l’établissement scolaire (Crépy-en-Valois). »

Or, la transmission de l’épidémie de Crépy en Valois a été analysée par l’institut Pasteur [18] sans qu’aucune contamination par les enfants n’ait pu être mise en évidence « no secondary cases in the following 14 days among pupils, teachers and non-teaching staff of the same schools ».

Au 17 septembre 2021, malgré 226 844 344 cas confirmés par l’OMS, aucune étude épidémiologique n’a mis en évidence de transmission par des élèves à l’école et partout où les écoles sont restées ouvertes les autorités sanitaires ont constaté qu’il n’y a pas eu de transmission des écoles vers les communautés [19-22].

De plus, si les adultes qui travaillent dans les écoles peuvent être atteints et transmettre la maladie (via d’autres adultes), ils sont moins souvent atteints que les autres professions :

« les enseignants ont montré un risque plus faible d’hospitalisation avec covid-19 et de covid-19 sévère que la population générale [23].

Travailler en milieu scolaire a plutôt un effet protecteur contre le risque covid-19.

Les données de surveillance nationale au Royaume-Uni ont montré que le personnel scolaire est moins exposé au risque d’infection en milieu scolaire que la population adulte en général [24].

Une autre étude, portant sur 57 000 personnes s’occupant d’enfants dans des crèches aux États-Unis, a également montré qu’il n’y avait pas de risque accru d’infection pour les personnes s’occupant d’enfants. 

La fermeture des écoles et les mesures prétendument sanitaires qui ont été imposées aux enfants n’ont donc jamais eu aucune justification scientifique dans le monde réel.

Le statisticien Ola Rosling a déclaré au podcast « More or Less » de la BBC en juillet 2020 :

« Nous avons gardé nos écoles ouvertes et je pense vraiment que tous les pays du monde peuvent le faire ».

Le 27 mai 2020, le Premier ministre norvégien Erna Solberg à la télévision, a regretté le coût excessif du confinement pour son pays et s’est demandé si elle n’aurait pas mieux fait de suivre l’exemple de la Suède : « il n’était peut-être pas nécessaire de fermer les écoles ». « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur« , a-t-elle ajouté.

En juillet 2020, l’Agence suédoise de la santé publique et l’Institut finlandais de la santé et du bien-être ont publié une étude conjointe avec, révélant un taux similaire de cas de coronavirus chez les enfants en Suède, qui a maintenu les écoles ouvertes (et n’a pas imposé de masque), et en Finlande, qui les a fermées.

Les écoliers suédois peuvent remercier chaleureusement A. Tegnell et son équipe pour les décisions qui ont sauvé leur année scolaire 2020 et leur équilibre psychologique. Cet épidémiologiste a revu les prédictions de Ferguson, ne les a pas confirmées et son gouvernement l’a suivi à juste raison.

La réouverture des écoles n’a nulle part été suivie par une reprise de l’épidémie que ce soit en Italie, en Irlande, en Grande-Bretagne, en Corée du Sud, ou en Israël, contrairement à ce que prévoyaient les simulations et les déclarations alarmantes des covido-terrorisants diffusées en France avant chaque rentrée scolaire [25-29].

La simulation alarmiste de l’institut Pasteur est totalement biaisée

La rentrée scolaire actuelle est à nouveau la cible de déclarations alarmistes par Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, le conseil scientifique, B. Lina, ou Vittoria Colizza, co auteure d’une simulation Pasteur aussi fausse que les précédentes [30-34].

Tenir compte des chiffres réels et non d’hypothèses

Dans cette simulation mathématique, les auteurs ont pris comme hypothèse que les enfants de moins de 14 ans regrouperaient 30 % des contaminés alors qu’en réalité ils ne représentaient que 5 % des contaminés de la première vague [35] et ne dépassent pas 10 % des contaminés début septembre 2020.

Cette même simulation est basée sur l’hypothèse que les enfants seraient à l’origine de la moitié des transmissions virales, ce qui est totalement contraire à toutes les analyses des faits avérés et constitue une colossale surestimation.

Rappelons tout particulièrement l’étude épidémiologique menée par l’Institut Pasteur lui-même dans des écoles de Creil sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. Les modélisateurs de l’institut Pasteur lisent-ils les enquêtes épidémiologiques de leurs collèges ?

Quant au ratio de transmission R, la simulation le fixe à sept, ce qui est également notablement plus élevé que ceux observés à l’étranger même pour le variant delta.

La surestimation systématique invraisemblable des trois facteurs clefs de la simulation montre qu’elle a été conçue par ses auteurs pour persuader nos dirigeants que les enfants représenteraient un facteur important de transmission, et que leur vaccination pourrait diminuer ce risque.

Ce n’est pas une étude scientifique mais un pur article de propagande covid terrorisante, destinée à faire injecter des vaccins aux enfants, qui ne peuvent en aucun cas en tirer un bénéfice personnel alors qu’ils peuvent souffrir de graves complications post vaccinales, dont les myocardites.

Cette prépublication de l’institut Pasteur, à ce jour toujours non examinée par des pairs, a pourtant inspiré à nouveau les décisions du conseil scientifique et de nos gouvernants.

Le Pasteur Gate

Pour juger de la valeur de cette profession de foi catastrophe qui constitue un véritable « Pasteur Gate », il suffit de comparer sa prédiction (un pic de 5 200 hospitalisations quotidiennes, bien au-delà de la première ou de la seconde vagueà la situation réelle actuelle d’une moyenne de 350 hospitalisations quotidiennes et en baisse constante depuis un mois. Quinze fois plus !

Cette publication et la médiatisation dont elle a immédiatement bénéficié [36] constituent une illustration du phénomène des propagandistes professionnels, déguisés en leur rôle de scientifiques pour servir la fonction de fabrication du consentement pour les politiques gouvernementales. De la même manière, tout au long de la pandémie, les médias grand public alarmistes ont généralement fait du plaidoyer politique plutôt que du journalisme.

La situation sanitaire actuelle ne justifie aucune des mesures qui briment les enfants et induisent de nombreux troubles physiques et psychologiques

La situation sanitaire globale est en effet en constante amélioration en France depuis août, avec un nombre de nouveaux cas quotidiens actuels inférieur à 7 000, soit huit fois moins par million d’habitant qu’en Israël, et quatre fois moins qu’en Grande-Bretagne, champions historiques de la pseudo vaccination massive.

Et cette amélioration globale se marque aussi sur le nombre d’hospitalisations quotidiennes actuelles inférieure à 350, (soit quatre fois moins par million d’habitants qu’en Israël et deux fois moins qu’en Grande-Bretagne), et sur le nombre quotidien d’admissions en soins intensifs (- 50 % en un mois) qui est très proche de celui d’Israël, à la population huit fois moins élevée.

Cette amélioration globale se ressent tout particulièrement chez les enfants, que le covid-19 a totalement abandonnés, ainsi que le montre le dernier graphique du réseau sentinelle :« La semaine dernière (2021s36), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients de 0-14 ans consultant pour une insuffisance respiratoire aigüe était de 0 % »

Les restrictions des activités scolaires et le port obligatoire du masque par les enfants, ainsi que les menaces d’obligation vaccinale des enfants en France, constituent donc bien des brimades dogmatiques contraires à l’état actuel de la science basé sur les faits avérés. Les dégâts qui en résultent sont malheureusement bien réels et considérables.

Voir aussi : Faire vacciner les enfants, vraiment ?

Les mesures sanitaires ont infligé des dommages considérables aux enfants

Difficultés d’apprentissage du langage dues au masque, décrochages scolaires massifs, en particulier des enfants défavorisés, démotivation des élèves et des enseignants, problèmes psychiques parfois très graves, confirmés dans de nombreux services d’urgences pédopsychiatriques (dont des suicides d’enfants très jeunes inconnus jusqu’ici).

« L’école à distance a provoqué beaucoup de dégâts en termes de santé mentale » dit le pédiatre François Angoulvant. Il ne fait d’ailleurs que répéter ce que toutes les sociétés de pédiatrie affirment depuis le premier confinement.

Didier Jourdan, titulaire de la chaire UNESCO et directeur du centre collaborateur OMS Éducation et Santé constate [37] :

« la fermeture des écoles dans le cadre du confinement a eu un impact sur la santé mentale et physique des enfants, principalement pour les plus vulnérables d’entre eux car fermer les écoles c’est limiter l’accès à des repas équilibrés, à des services sociaux et sanitaires etc. Le confinement influence également l’éducation en termes de pertes d’apprentissage pour les enfants et d’accroissement des inégalités… »

La poursuite d’études après le secondaire aux États-Unis a baissé de 6,8 % du fait de la crise sanitaire, mais avec des écarts majeurs en fonction du niveau socioéconomique. La baisse est de 11,4 % pour les plus vulnérables contre 2,9 % pour les plus favorisés. En tout état de cause, la fermeture des écoles aura un impact durable sur les enfants.

L’agence statistique norvégienne a été la première au monde à souligner les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles [38-39] :

« chaque semaine de fermeture des classe freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».

La Royal Society a estimé que

« les enfants britanniques pourraient perdre 40000 £ de leurs gains potentiels à vie, à moins que les gouvernements britanniques ne puissent réparer les lacunes d’apprentissage causées par la fermeture des écoles » [40].

Après avoir nuit aux enfants par des mesures scientifiquement et médicalement injustifiées, les lobbyistes des marchands de pseudo vaccins veulent les exposer aux complications de leurs injections expérimentales, qui ne peuvent leur apporter aucun bénéfice individuel (ni collectif), avec pour seul argument des simulations mathématiques truquées.

Battons-nous pour les protéger de cette ignominie.


Références :

[1] Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la « plandémie » covid-19 – Docteur Nicole Delépine

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020.

[3] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9.

[4] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648.

[5] Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2.

[6] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371.

[7] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics en 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020.

[8] Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com.

[9] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ;146(2).

[10] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198.

[11] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020 004879 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879.

[12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[13] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020.

[14] Christèle Gras-Le Guen

[15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.

[16] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020.

[17] Francesco Nunziata Aucune propagation du SRAS-CoV-2 des enfants symptomatiques infectés aux parents : une étude de cohorte prospective dans un milieu hospitalier contrôlé Pédiatre 3 août 2021 ; 9 : 720084.doi : 10.3389/fped.2021.720084. Collection électronique 2021.

[18] Ibid 13

[19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19.

[20] FR24 Seulement 0,01 % des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers. 24 aout 2020.

[21] Tadatsugu Imamura. Rôles des enfants et des adolescents dans la transmission du COVID-19 dans la communauté : une analyse rétrospective des données nationales au Japon Pédiatr. 10 août 2021.

[22] https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

[23] Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021 : population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1 ;374 : n2060. doi : 10.1136/BMJ. e2020. PMID : 34470747 ; PM CID : PMC8408959.

[24] ONU info

[25] Lucie Barcellini La réouverture des écoles affecte-t-elle la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les enfants d’âge scolaire à Milan ? PLoS Un 2 sept. 2021 ; 16 (9) : e0257046. doi : 10.1371/journal.pone.0257046. Collection électronique 2021.

[26] Dong Y, Mo X, Hu Y, Qi X, Jiang F, Jiang Z, et al. Épidémiologie du COVID-19 chez les enfants en Chine. Pédiatrie. (2020) 145 : e20200702. doi : 10.1542/peds.2020-0702.

[27] Un rapport du gouvernement britannique a révélé que lorsque les écoles ont rouvert en Angleterre et au Pays de Galles pendant l’été, les taux d’infection parmi les élèves n’ont pas augmenté par rapport au taux de la population existante.

[28] Une étude menée en Corée du Sud a montré aussi qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des cas de Covid-19 dans les deux mois ayant suivi la reprise des cours en mai 2020.

[29] Shirley Shapiro Ben David COVID-19 chez les enfants et effet de la réouverture des écoles sur la transmission potentielle aux membres du ménage Acta Pédiatre septembre 2021 ;110(9) :2567-2573. doi : 10.1111/apa.15962. Publication en ligne du 22 juin 2021.

[30] https://www.france24.com/fr/france/20210902-covid-19-faut-il-s-attendre-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-avec-la-rentr%C3%A9e-scolaire

[31] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-pourquoi-la-rentree-scolaire-fait-craindre-une-reprise-epidemique-01-09-2021-6T3MMDOOIZDJTDYJEOJBVGK35Q.php

[32] Le professeur Bruno Lina, virologue, membre du conseil scientifique, affirme jeudi 2 septembre sur France Info que la rentrée scolaire « amène un risque supplémentaire de reprise épidémique ».

[33] « les mineurs pourraient représenter presque 50% des cas en septembre ».

[34] P Bosetti1, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France 2021.

[35] D’après un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies.

[36] M. Blachier : La 4ème vague va arriver (C News) basée sur la simulation de Pasteur.

[37] https://www.thinktankcraps.fr/la-fermeture-des-ecoles-a-un-impact-durable-sur-les-enfants/

[38] https://fr.businessam.be/norvege-le-confinement-netait-pas-necessaire-pour-gerer-le-covid-19/

[39] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020.

[40] https://www.fr24news.com/fr/a/2020/07/les-enfants-britanniques-pourraient-perdre-3-de-leurs-revenus-a-vie-en-raison-des-fermetures-decoles

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir




« Liberté » : le film manifeste de Magà Ettori contre le passe sanitaire

[Source : Magà Ettori]

Comme son titre l’indique, le sujet du documentaire, c’est la liberté : « La liberté, c’est de pouvoir s’exprimer, la liberté, c’est de pouvoir aider ». C’est aussi la liberté de refuser un vaccin qui est toujours en phase expérimentale, sans pour autant être chassé de son travail, ou encore celle de dénoncer l’infâme passe sanitaire et la ségrégation qu’il instaure dans une société qui n’a jamais été autant divisée.

Farouche adversaire de la politique autoritaire mise en place par le gouvernement, le réalisateur Magà Ettori a choisi de donner la parole à plusieurs autres opposants au passe sanitaire ou à la vaccination obligatoire. Le film se présente comme un outil de contre-pensée politique et scientifique, permettant à ceux que l’on n’entend jamais dans les médias « mainstream » de s’exprimer.




Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

[Sources : @LaUneTV2 et Docteur Yoga Denis]

https://youtu.be/Vdg4vVmFy5g






On a enfin des résultats sur les conséquences du Pfizer sur les souris et on comprend mieux pourquoi ils refusent les autopsies post injection pour les humains décédés

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Ne dites plus « on n’a pas le recul », malheureusement les études confirment les pires inquiétudes

La fameuse protéine spike induite par la vaccination ne disparait pas rapidement, mais demeure plusieurs semaines dans l’organisme occasionnant des dégâts qui rappellent celles de sa cousine induite par la contamination.

C’est une catastrophe si par malheur l’injection ne se fait pas dans le muscle, mais dans une veine, une catastrophe également si le vacciné est déjà contaminé ou le devient dans les jours qui suivent.

On comprend mieux l’explosion des décès attribués à la Covid au printemps dernier en pleine phase vaccinale. On comprend mieux les effets secondaires… Il ne faut pas se contenter du résumé de l’étude (les injections intraveineuses sont dangereuses) mais bien lire une fois de plus tout le matériel complémentaire.

Résultats d’autopsies humaines

Toutes les sources ici :

https://www.francesoir.fr/societe-sante/allemagne-autopsies-5-deces-sur-10-lies-aux-vaccins

Soutenu par les professeurs Sucharit Bhakdi et Stefan Homburg et par le Corona Auschuss de Reiner Fuellmich, un nouvel institut de médecine légale a tenu lundi sa première conférence de presse, pour présenter les éléments de preuve désormais disponibles sur les accidents mortels qu’ont pu entraîner les injections dites anti-covid.

Selon un rapport paru dans le bulletin allemand Corona Transition, les professeurs Arne Burkhardt et Walter Lang, médecins légistes, ont présenté lundi 20 septembre à Reutlingen le résultat de dix autopsies pratiquées sur six Allemands et quatre Autrichiens, tous décédés suite aux injections.

Sur les dix décès, sept sont « probablement » liées aux injections, dont cinq le sont « très probablement ». Pour les trois derniers cas, l’un d’entre eux reste à évaluer, un autre semble être « une coïncidence », et pour le dernier, le lien « est possible, mais pas certain ».

Ils ont résumé les conséquences des injections comme une « crise de folie des lymphocytes » (Lymphozyten-Amok). Les lymphocytes sont un sous-groupe de globules blancs associés aux réactions immunitaires.

Particulièrement étrange et inattendu, Dr Arne Burkhardt a découvert trois maladies auto-immunes extrêmement rares au cours de ces autopsies : le syndrome de Sjögren, la vasculite leucoclasmique de la peau, et la maladie de Hashimoto.

Pour ce qui est de la myocardite lymphocytique, la diagnose la plus répandue, elle est difficile à déceler même sous microscope et souvent interprétée comme simple infarctus.

Au cours des dernières années en Allemagne, la mort de 20 personnes seulement a pu être mise en relation avec des vaccinations. Par contre, entre janvier et juillet 2021, c’est-à-dire depuis le lancement de la campagne d’injections anti-covid, suivies de 1 230 signalements de décès comme accidents vaccinaux. Il s’agit donc au minimum de dix fois le nombre de morts par rapport aux vaccins conventionnels, sans même parler des dizaines de milliers d’accidents vaccinaux n’ayant pas immédiatement entraîné la mort.

La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque et 100 % des souris vaccinées sont victimes de nécrose.

Cette étude a fourni des preuves in vivo que l’injection intraveineuse par inadvertance de vaccins à ARNm COVID-19 peut induire une myopéricardite. Un bref retrait du piston de la seringue pour exclure l’aspiration de sang peut être un moyen possible de réduire ce risque.

EXPERIENCES SUR LES SOURIS

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34406358/

Les meilleures analyses viennent des vétos

https://twitter.com/TheVeto3/photo



https://t.co/1d5XfUfqBk?amp=1

TheVeto
@TheVeto3 DMV, DEA ScV, PhD, Post-PhD, Assistant Professeur – Maladies infectieuses, Pathologie, Microbiologie, Biologie Moléculaire, Epidémiologie, Vaccinologie

1/13 Attention💣 à RT!
Existe-t-il une étude in vivo qui montre qu’injecter les vaccins ARNm anti-SARS-Cov-2 induit des myo/péricardites? Super! Une équipe a testé l’injection ARNm Pfizer sur des souris! Les effets sur le coeur de ces malheureuses est juste hallucinant! Let’s go!

2/13 Ils ont comparé l’injection intraveineuse (IV) et intramusculaire (IM) contre placebo avec un rappel à 14 jours. On se doute que les effets seront amplifiés par l’injection IV contre IM. A l’autopsie, le coeur change d’aspect. Cela fait vraiment envie! Cfr flèches blanches.

3/13 Résultats dans le tableau. Infiltration immunitaire myo/péricarde et dégénérescence/nécrose des cellules du coeur (cardiomyocytes) chez 100% des souris 2j après leur 2ème dose (IV ou IM) … atteinte hépatique 2j après la première dose du groupe IV (100%) et IM (50%)

4/13 Le muscle cardiaque est littéralement envahit par des cellules immunitaires et s’altère à différents endroits. La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque (cardiomyocytes, histiocytes, endothéliocytes)

5/13 Les petites souris ne meurent pas, elles ne se plaignent pas mais leur poids a diminué par rapport aux groupes contrôles. L’histoire ne dira pas si leur espérance de vie a été raccourcie. Mais on nous dit que ce n’est pas grave de faire une myocardite …

6/13 Critique: la dose injectée aux souris est environ 500x celle injectée à l’Homme, en proportion du poids. S’ils avaient du inoculer la même dose qu’à l’Homme (500x moins), ils auraient peut-être dû autopsier des millions de souris pour voir des myocardites … pauvres souris

7/13 « C’est la dose qui fait le poison » disait l’ancêtre Paracelse!
Par dose, Moderna contient 100μg d’ARNm et Pfizer 30μg. On pourrait s’attendre à avoir plus de myocardite avec Moderna.
Regardons les dernières données de l’ANSM au 24/09/2021 sur les myocardites.

8/13 Moderna: 79 myocardites pour 9.567.020 doses
Pfizer: 251 myocardites pour 68.603.875 doses
Bingo! Pour 10 millions de doses injectées il y a 83 myocardites avec Moderna et 37 myocardites avec Pfizer.
Soit 2,25 fois plus de risque de faire une myocardite avec Moderna.

9/13 Question: Pfizer étudie l’élargissement de la vaccination aux enfants de 5-11 ans sur base d’une étude portant sur seulement 2.268 enfants et une dose injectée à 10μg. Pourquoi Pfizer divise par 3 la dose d’ARNm pour les 5-11 ans? Pas trouvé la réponse.

10/13 Si j’étais responsable vaccin chez Pfizer, en voyant ce qui est dit plus haut, j’aurais aussi diminuer la dose par 3 pour diminuer le risque. Vous imaginez, injecter une dose de 30μg alors qu’ils pèsent entre 20 et 40kg? Je voudrais pas avoir la 1/2 de la planète sur le dos

11/13 Diminuer la dose, c’est risqué de diminuer l’efficacité … de toute façon cela ne se verra pas puisqu’ils ne risquent rien! Pourquoi vouloir les vacciner avec un risque d’effets indésirables alors que le contexte épidémique est calme et qu’ils ne risquent rien?💵?

12/13 Conseil: Si vous vous faites injecter l’ARNm, demandez bien à la personne qui vous injecte le vaccin d’effectuer un petite aspiration sur la seringue pour bien vérifier qu’il ne vous fait pas une injection intra-veineuse! Vous verrez qu’à la TV ils ne le font jamais!😱😯

13/13 PS: Merci aux 46 petites souris qui ont donné leur vie pour nous éclairer. RIP.


Pour comprendre ce qu’il se passe dans le corps post-vacc ARNm pourquoi ne pas biopsier la peau de ceux qui font des réactions cutanées post-vacc pour le transposer aux autres effets indésirables? Super une publication est sortie dans Clinics in Dermatology.

Le récepteur ACE-2 est exprimé dans les cellules endothéliales des vaisseaux de nombreux organes ainsi que les plaquettes sanguines. On pourrait donc s’attendre à des effets indésirables post-vacc ARNm très variables … ce que l’on observe!

Des personnes montrant des « rash » cutanés post-vacc ARNm à différents endroits du corps, les biopsies donne des vascularites lymphocytaires avec dermatite et la spike vaccinale s’y retrouve chaque fois dans les vaisseaux sanguins du derme!

D’où l’hypothèse que les spikes vaccinales pourraient passer du muscle deltoïde dans le sang et agir à distance dans le corps comme des « pseudovirions » se liant là où est exprimé le récepteur ACE-2, provoquant localement réaction immune et inflammation.

Myocardite/péricardite, lymphadénopathie, appendicite, glomérulonéphrite, thrombocytopénie, métrorragie, vascularite/thrombose, hépatite, pancréatite, dermatite, neuropathies, …

MULTIPLICATION PAR DIX DES CAS HABITUELS DE MYOCARDIES



L’une des façons d’imputer des pathologies aux vaccins contre le Covid est de comparer leur incidence habituelle et leur incidence durant la période vaccinale. On peut voir dans ce tableau des CDC l’augmentation de pathologies cardiaques chez les jeunes

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8415509/




Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

[Photo : Robert Malone]

Ils sont déjà plus de 5000. Ils ont constitué une « Alliance Internationale des médecins et des chercheurs en médecine. Et ils ont signé l’appel de Rome, lancé à l’occasion d’un Global Covid Summit qui s’est tenu du 12 au 14 septembre à Rome. Parmi les premiers signataires, on compte Robert Malone, l’un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough , cardiologue américain qui est intervenu précocement pour prévenir des dangers de vaccins encore insuffisamment testés, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins. Ils rappellent ce qu’implique le serment d’Hippocrate, avertissent les gouvernements sur les dangers qu’ils courent à ne pas laisser les médecins prescrire et expérimenter librement des traitements. Et ils demandent que l’on « restaure confiance, intégrité et professionnalisme dans l’exercice de la médecine ». Le Courrier des Stratèges vous propose la traduction française de ce texte, qui rappelle l’appel de Great Barrington lancé en 2020 et que vous pourrez aussi consulter dans la version anglaise :

DÉCLARATION DES MÉDECINS
SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE

Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux

Septembre 2021

Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit :

  • ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;
  • ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ;
  • ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;
  • ATTENDU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;
  • CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et d’échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;
  • CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;
  • CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.

PAR CONSÉQUENT, IL EST

  • RÉSOLU que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.
  • RÉSOLU que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.
  • RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D’ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.
  • RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.
  • RÉSOLU que nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.
  • RÉSOLU que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science.

EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.

Signer la déclaration




Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




3e dose vaccinale appelée « booster »

[Source : La Minute de Ricardo]

Bonjour à tous, comme ici derrière moi, la maison brûle. En novembre 2021, vous aurez le droit à la troisième dose, plus la quatrième et bien sûr, sûrement la cinquième ! La personne et son corps vont devenir une véritable éponge. Il y a aussi cette autre injection contre la grippe qui va devenir obligatoire ! Il faudra en plus faire un test tous les trois jours, un test de 75 euros, bien sûr, payant ! Mais au delà de ça, ils veulent nous faire ce que les médecins appellent une explosion sur le plan immunitaire. En gros, m’a confirmé un médecin de Marseille tout à l’heure au téléphone, on n’aura plus les moyens de se défendre contre toute agression autre que le Covid, staphylocoque, tumeurs et autres. Bref, le corps ne pourra pas lutter. Alors, ceux qui ont peur des doses vont être considérés comme hors la loi. La répression est en train de s’organiser ! Elle va, croyez moi, être violente ! On rentre maintenant dans le dur ! En Israël, la quatrième dose est votée !

Avec Natacha, nous avons rencontré une représentante de Pfizer en Europe en toute confidentialité. Elle nous confirme trois choses: 1 – Les vaccins vont être remplacés par des pilules testées en Belgique à l’heure actuelle et qui vont donc remplacer la piqûre. 2 – On ne pourra plus sortir du pays sans la troisième dose qui rendra caduques les deux premières, ce qui sera le cas en Grande-Bretagne dans les jours qui viennent. 3 – Et puis cette terrible information: savez vous comment ils appellent la troisième dose chez Pfizer ? Ils appellent ça le booster ! Cette troisième dose a pour objet de vous surcharger pendant cinq ans, ! Un booster, si vous voulez encore vous faire piquer, libre à vous, ce sera sans moi et on se battra, croyez moi, jusqu’au bout. C’est quoi tout cela ? En fait, c’est une forme d’euthanasie sans son propre consentement !






CONFÉRENCE INTERNATIONALE « L’univers de Jean Bodin », dédiée au 490e anniversaire de la naissance de Jean Bodin, homme politique et philosophe français

[Illustration : Wikipedia]

L’académie des sciences de Russie
Institut d’Histoire Universelle
Département d’Histoire Nouvelle et plus Récente
Centre d’Histoire des Idées Historiques

Institut d’État des Relations Internationales de Moscou (Université)
du Ministère des Affaires Étrangères de la Russie
Faculté des Relations Internationales
Département d’Histoire Mondiale et Nationale

CONFÉRENCE INTERNATIONALE « L’univers de Jean Bodin »,
dédiée au 490e anniversaire de la naissance de Jean Bodin,
homme politique et philosophe français.

PROGRAMME

04 OCTOBRE (LUNDI)
Institut d’État des Relations Internationales de Moscou (Université)
du Ministère des Affaires Étrangères de la Russie

10.00 – 14.00
Session plénière du matin

Ouverture de la conférence.

Ukolova Victoria I. (Docteur en sciences historiques, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
L’écriture historique dans une perspective synchrone.

Bobkova Marina S. (Docteur en sciences historiques, Chercheur principal, Chef du Centre d’histoire des idées historiques de l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
La réception des idées de Jean Bodin en Russie.

Rogozhin Alexander A. (docteur en histoire, chargé de cours, Collège musical Oryol)
L’idée de « suvrantia » dans les opinions politiques du diplomate russe Prince B.I. Kurakina (1676-1727) : le problème de l’influence de Bodin et de « l’assimilation » du concept européen dans la culture politique russe au début du XVIIIe siècle.

Doronin Andrey V. (docteur en histoire, chercheur à l’Institut historique allemand de Moscou)
Le discours de la Renaissance sur l’origine des peuples et les critères de Jean Bodin.

Pause café

Brown Elena D. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire générale de STEPS, RANEPA)
Prophéties, malédictions et punition de Dieu. Le traitement mystique des guerres des Roses dans l’historiographie Tudor.

Togoeva Olga I. (docteur en sciences historiques, chercheur principal à l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Jean Bodin et la démonologie anglaise des 16e-17e siècles.

Sakharchuk Ivan A. (auteur, traducteur, éditeur Maison d’édition CHAOSSS / PRESS)
La « démonomanie des sorciers » : Une peur ancienne ou un esprit des temps nouveaux ?

Tretyakova Marina V.(docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire et de sciences sociales, Université nationale de recherche d’État de Nijni Novgorod)
Jean Bodin vs Giacomo Soranzo : deux points de vue de contemporains sur la réforme du XVIe siècle.

Discussion

14.00 – 15.00 Déjeuner

15.00 – 17.00
Session plénière de l’après-midi

Yona Claire Dureau (Maître de conférences Qualifiée aux fonctions de professeur à l’Université de Lyon) Zoom
Bodin et Shakespeare : analyser l’influence des idées de Bodin dans les pièces du grand dramaturge.

Chernikova Tatyana V. (Docteur en sciences historiques, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
L’évaluation par Fletcher de la structure politique de la Moscovie et le concept d’Etat de Jean Bodin.

Mityureva Daria S. (Assistante du Département d’histoire moderne et de politique mondiale, Université d’Etat de Tyumen)
Quelques caractéristiques de la citation de Jean Bodin en Angleterre au XVIIe siècle.

Discussion

Pause café

17.15 – 19.30
Séance plénière du soir

Lucien Oulahbib (CLESID Lyon3, Collège Supérieur, Lyon)
La théorie de la souveraineté de Bodin et son actualisation Zoom.

Vin Yuri Ya. (Docteur en histoire, chercheur principal à l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Le concept de « Res publica » et sa réception en droit byzantin.

Sophie Nicholls (PhD Histoire, St Hugh’s College Université d’Oxford) Zoom
La métamorphose des Six Livres de la République de Jean Bodin (1576)

Zakharova Elizaveta S. (Assistante de recherche, Center for Financial Research, Higher School of Economics)
Des chapitres politiques de « Méthode … » aux « Six livres de l’État » : du constitutionnaliste à l’absolutiste.

Discussion

05 OCTOBRE (MARDI)
L’académie des Sciences de Russie
Institut d’Histoire Universelle

10.00 – 14.00
Séance plénière du matin

Guyot Adrian (École Normale Supérieure de Lyon) Zoom
Une version  » catholiquement amendée  » des six livres de la République : atténuations, modifications et suppressions dans la traduction espagnole de Gaspar de Añastro Ysunza du traité de Jean Bodin (1590).

Bayazitova Gulnara I. (docteur en histoire, chef du département d’histoire moderne et de politique mondiale, Université d’État de Tioumen)
La traduction par Johann Oswald des Six livres de la République en Allemagne : texte et contexte.

Tsivaty Vyacheslav G. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire moderne et contemporaine des pays étrangers, Université nationale Taras Shevchenko de Kiev) Zoom
Interprétations mentales et sémantiques des concepts « guerre » et « paix » dans la théorie de la souveraineté de Jean Bodin (1529/1530 – 1596) : discours politiques, diplomatiques et institutionnels. Zoom

Kaufman Igor Samuilovich (Docteur en philosophie, Université d’État de Saint-Pétersbourg)
Bodin, Spinoza et la théologie politique.

Discussion

Pause café

Dmitry Samotovinsky (Docteur en histoire, professeur associé, Université d’État de technologie chimique d’Ivanovo)
Jean Bodin et Louis Le Roy : le problème de l’influence mutuelle.

Aizenshtat Marina Pavlovna (docteur en sciences historiques, chercheur principal, Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Henry Bolingbroke sur la méthode de Bodin.

Andreas Buller (Docteur, Allemagne, Stuttgart)
Jean Bodin et Wilhelm von Humboldt sur la « forme de l’histoire ». Zoom

14.00 – 15.00 Déjeuner

15.00 – 18.00
Session plénière de l’après-midi

Landina Larisa V. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire de la Biélorussie et des études muséales de l’Université d’État de la culture et des arts de Biélorussie)
Bona Sforza (1494-1557) – le souverain-praticien de l’époque de la formation des monarchies absolues.

Kuzmichev Valery Vasilievich (employé de la branche moscovite du Centre d’information orthodoxe russe de St. Vladimir)
Charles Fontaine et la Pléiade : une « guerre littéraire » acharnée de personnes partageant les mêmes idées.

Aurov Oleg Valentinovich (docteur en histoire, professeur associé, chercheur principal à l’École de recherche humanitaire contemporaine, Institut des sciences sociales)
Juan de Mariana (1536-1624) : aux origines de l’historiographie espagnole moderne.

Discussion

Résultats de la conférence




Lettre ouverte aux assassins d’enfants

Par Alain Tortosa

À partir de jeudi ce n’est plus « la bourse ou la vie », mais « la santé ou la vie » pour les enfants français de 12 à 17 ans.

Pass sanitaire obligatoire pour vivre, aller à la piscine, au cinéma ou au restaurant…

Officiellement, tout enfant de 12 ans ou plus devra être vacciné pour pouvoir avoir une vie d’ado.

J’imagine que quelques crétins manipulateurs, corrompus ou de mauvaise foi pourraient rajouter « mais non ils peuvent faire un test PCR ! » Un test PCR invasif et dangereux toutes les 48 heures et qui sera facturé 44 euros dès le 15 octobre, vous appelez cela un choix ?!

Notez que je n’aborderai pas ici l’aspect légal ou illégal de la vomissure (il n’y a pas de décret d’application pour les mineurs à ce jour, mais cela n’empêche pas la propagande).

Pourquoi obligez-vous la « vaccination » des enfants ?

Si l’on en croit votre incessante propagande que vous matraquez depuis des mois, c’est pour mettre fin à la fameuse « pandémie ».

Il existe bien encore ici et là parmi vous quelques pourritures pour faire croire que le Covid peut toucher n’importe qui et que des enfants peuvent être hospitalisés… Certains osent même parler de « Covid long » pour une population qui généralement ne fait que des Covid asymptomatiques. Notons que vous avez réussi à inventer depuis l’année dernière la « maladie sans symptômes et sans risque » ce qui d’un point de vue marketing est assez « merveilleux ».

Bref, il est quand même majoritairement reconnu, même dans la sphère des plus corrompus, que le Sars-cov2 et ses variants sont totalement inoffensifs pour les enfants.

Donc vous actez sans sourciller que :

« La vaccination des enfants est uniquement un acte SO-LI-DAI-RE ».

« Les enfants DOIVENT se vacciner pour sauver des personnes âgées en fin de vie ou des malades, »

Sur le papier cela pourrait presque se défendre, si…

Et c’est bien là le problème, les « SI » sont délirants dans cette affaire.

Vous, âmes damnées, reconnaissez que le risque lié aux injections n’est pas NUL.
Vous allez jusqu’à trouver publiquement acceptable, quand bien même le risque serait de 1 sur 1 million, que des enfants aient des séquelles à vie ou meurent pour espérer sauver… des vieux !

C’est acté.
Dans votre « nouveau monde », la « solidarité » veut que l’on puisse sacrifier quelques enfants au bénéfice hypothétique d’adultes en fin de vie interdits de traitements.

La publicité gouvernementale que vous cautionnez ne se cache même pas pour dire aux enfants qu’ils doivent protéger « papi ou mamie » avec des masques ou des injections.

Comment font papi et Mamie pour l’accepter ?
Comment font papi et Mamie pour ne pas être dans la rue et dire NON ?
Comment font papi et Mamie pour se regarder encore dans un miroir  ?

Le bénéfice du doute que l’on aurait pu vous accorder au début a fondu comme neige au soleil depuis bien longtemps. Votre propagande nous a convaincus qu’un ARN messager expérimental était ce qu’il y avait de plus sûr pour les injections y compris pour des enfants ! Que l’on était « certain » de son « innocuité », car injecté à plus d’un milliard d’humains !

Mais aujourd’hui et à la veille de la mise en œuvre de cette loi inique et criminelle…
Criminelle, car elle conduit inexorablement à TUER sciemment des enfants pour un dessein que j’ignore.

  • Vous SAVEZ que « l’injection » massive n’est PAS de nature à stopper la contamination.
  • Vous SAVEZ que l’immunité de masse est un leurre ou une tromperie.

Votre entreprise est d’autant plus criminelle et préméditée que vous savez que la « vaccination » des enfants n’a RIEN de solidaire et qu’elle ne permettra pas d’arrêter l’épidémie.

Pire encore :

  • Vous SAVEZ que ces injections sont potentiellement mortelles à court terme.
  • Vous SAVEZ que des enfants sont déjà morts de ces injections.
  • Vous SAVEZ qu’il y a notamment des problèmes menstruels chez les jeunes filles.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques sur la fertilité.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques à long terme que nous ne maîtrisons pas !

Des parents incitent leurs enfants ou cèdent à leurs demandes d’injection.

Telle une loterie macabre leurs enfants seront peut-être les « heureux » gagnants dont le premier prix est la MORT et le prix de consolation un handicap à vie !

Et pour quoi ?

  • Pour aller à la piscine avec les copains ?
  • Pour aller au cinéma avec les copains ?
  • Pour aller au restaurant avec les copains ?

Et c’est là que l’on touche du doigt votre cynisme et votre absence totale d’humanité ou d’empathie, vous les décideurs. Vous savez à quel point il est important à l’adolescence de faire partie du groupe et à quel point le rejet est difficile à vivre à une période de la vie où l’on se cherche.

Vous FORCEZ les enfants à jouer à la roulette russe pour pouvoir vivre leur vie d’ado et en plus vous les habituez à présenter un QR-code pour ce qui touche au quotidien.

Vous les tuez DEUX FOIS :

  • Une fois par l’injection d’un poison.
  • Et une autre fois par l’annihilation du sentiment ou de la conscience de la liberté.

Vous êtes à vomir, vous les décideurs, vous les politiques, vous les médecins complices et vous les médias à la botte.

Tous sans exception, vous avez du sang d’enfants sur les mains et ce n’est pas avec du gel hydroalcoolique que vous pourrez l’enlever.

Alain Tortosa.

28 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210928-lettre-ouverte-aux-assassins-d-enfants.pdf




Pourquoi les élites accélèrent-elles leur agenda ?

[Source : TVL]

Trahison des institutions : la mort de l’État ?

« Les institutions françaises n’existent plus… l’État est mort ! »

Valérie Bugault

L’invitée de « Politique & Eco », Valérie Bugault, explique pourquoi l’État français a disparu avec la première loi d’urgence sanitaire du 23 mars 2020 et en quoi elle viole la Constitution de la Vème République. Dès cette date, l’exécutif s’est affranchi des règles institutionnelles françaises au profit d’entreprises mondialisées, en témoigne la réception par Emmanuel Macron du club du Dolder (Big Pharma), en août dernier, présidé par le PDG de Pfizer, Albert Bourla. Dans cet état de vide juridique, nous sommes désormais entrés dans une période de transition. Période débouchant le 1er janvier 2022 sur la présidence française de l’UE qui, selon Valérie Bugault, actera une liquidation de l’État français au profit d’une intégration de l’Europe fédérale, antichambre d’un gouvernement mondial. En attendant, Valérie Bugault appelle les Français à prendre conscience de la scission entre l’exécutif et les institutions dans le but d’imposer un projet alternatif.




Enquête indépendante du DRASTIC sur l’origine du SRAS-CoV-2

[Sources : yetiblog.org, 20minutes.fr, drasticresearch.org]

yetiblog

La création du virus du Covid-19 est bien d’origine humaine !

Par Pierrick Tillet

Ce que nous n’osions pas imaginer est en train de se transformer un réalité. Le virus du Covid-19 résulte bien de manipulations humaines impliquant l’administration US et le labo chinois de Wuhan.

[NDLR Autre capture du site que celle proposée par le Yéti :]

Une collusion avérée entre l’administration US et le labo de Wuhan

En 2018, une ONG américaine, EcoHealth Alliance (EHA), financée principalement par l’administration US (et les grands labos pharmaceutiques), a demandé un financement de 14 millions de dollars pour un projet consistant à créer un virus Sars-CoV à partir de coronavirus de chauves-souris.

Dès 2014, 600 000 dollars de subventions avaient déjà été versés par un sous-traitant de l’EHA à l’ Institut de virologie de Wuhan pour poursuivre les travaux de séquençage et d’échantillonnage des coronavirus dans les régions rurales du sud de la Chine.

L’affaire est suffisamment sérieuse pour que les médias mainstream ne puissent se priver de la reprendre (en France, Le Point). Que ceux-là tentent par tous les moyens de dédouaner l’administration US (celle-ci aurait refusé la demande de subvention) n’est guère surprenant, mais apparaît comme une manoeuvre dérisoire et bien insuffisante. Car le constat est accablant :

  • il y avait bel et bien collusion entre l’EHA et le labo chinois de Wuhan ;
  • ceux-ci travaillaient à la création d’un virus Sars-CoV du même type que celui du Covid-19 ;
  • l’administration US ne pouvait pas l’ignorer, ni les autorités sanitaires, ni les grands labos pharmaceutiques.

De la “théorie du complot” à sa réalité

Laissons à l’état d’hypothèses ce qui n’est pas encore démontré : fuite accidentelle du virus ? virus plus agressif qu’escompté par ses créateurs ? Il n’en demeure pas moins que les mensonges répétés des responsables politiques, sanitaires (Dr Fauci) et médiatiques occidentaux apparaissent dans toute leur cruelle vérité.

N’ont-ils pas condamné comme “théorie du complot”, notamment à travers un article du Lancet publié en 2020, ce qui apparaît aujourd’hui comme une réalité indéniable ? N’ont-ils pas essayé de traîner dans la boue le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui lui aussi affirmait que le virus du Covid-19 ne pouvait être que d’origine humaine ? Le film Hold-Up n’avait-il pas raison avec un peu d’avance et des conclusions qui n’entraient pas dans leurs plans ?

Mais pourquoi cette manipulation de virus ? Pourquoi ces mensonges ? Pourquoi ces tentatives de discréditer aussi salement celles et ceux qui portaient la vérité ? Là encore, les réponses ne peuvent être clairement affirmées, mais elles ne tarderont pas à l’être, comptez-y. Elles éclaireront alors nos questions du moment :

  • comment qualifie-t-on la création artificielle de virus à des fins aussi possiblement mercantiles ?
  • pourquoi ont-ils si obstinément interdit la prescription de vieux médicaments (sans valeur lucrative) comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine… en attendant que leurs produits géniques arrivent sur le marché et soient imposé massivement à toutes les populations sans même attendre leur validation définitive ?
  • comment appelle-t-on une interdiction artificielle de soins pour une maladie qui a causé à ce jour 4,7 millions de morts ?
  • que méritent les responsables de telles exactions lorsque celles-ci sont avérées ?


D.R.A.S.T.I.C. Research




Mme Whitmer, gouverneur du Michigan, interdit le port du masque et la vaccination obligatoire

[Source : lemediaen442.fr]

Comme le rapporte Fox News le gouverneur démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer, et la législature de l’État se sont mis d’accord sur une proposition de budget qui interdit aux responsables de la santé d’ordonner le port du masque dans les écoles et aux agences publiques de l’État d’obliger employés ou clients à se faire vacciner.


La gouverneure démocrate a accepté une disposition des républicains interdisant d’aller plus loin que les plans du président Joe Biden : donc pas de vaccination obligatoire dans les entreprises de moins de 100 salariés et dans celles n’appartenant pas au secteur de santé.

« Le directeur ou l’agent de santé local ne doit pas émettre ni appliquer d’ordonnances ou d’autres directives exigeant qu’une personne de moins de 18 ans dans cet État porte un masque facial ou un couvre-visage », selon le nouveau projet de loi budgétaire du Michigan.

L’accord budgétaire de 70 milliards de dollars empêcherait également les agences publiques du Michigan d’appliquer la vaccination aux employés et aux clients. « Je suis ravi que la législature et moi ayons pu nous mettre d’accord sur un budget bipartite », a déclaré Whitmer dans un communiqué, selon MLive. 

« Notre collaboration témoigne de ce qui est possible lorsque nous travaillons ensemble et donnons la priorité à nos familles, nos communautés et nos petites entreprises. »

Après avoir soutenu les restrictions, le confinement… l’impopularité a obligé Gretchen Whitmer à s’attaquer aux masques et à la vaccination obligatoire en se soumettant au désir de la population. En mai 2020 des manifestants armés avaient pénétré la maison d’État du Michigan pour protester contre les restrictions.

Traduction Le Média en 4-4-2  




L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ? Mise à jour

[Source : Le Saker Francophone]

[Mise à jour : une fuite WikiLeaks]

Wikileaks révèle des scènes coupées de l’alunissage filmées dans le désert du Nevada.


L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ?

Une introduction à la mère de toutes les théories du complot


Par Moon Landing Skeptic – Le 1er avril 2019 – Source Unz Review

D’après une enquête, 52% des britanniques pensent que l’alunissage est une infox

Le 50e anniversaire de l’alunissage d’Apollo 11 approche à grands pas. En 2016, une enquête a montré que 52 % du public britannique pensait que les missions Apollo étaient truquées. Le scepticisme est plus élevé chez ceux qui étaient trop jeunes pour le voir en direct à la télévision : 73 % des 25-34 ans croient que nous n’avons pas atterri sur la lune, comparativement à 38 % de ceux de 55 ans ou plus. Ces chiffres semblent augmenter chaque année. Les incroyants britanniques n’étaient que 25 % il y a dix ans. On ne sait pas combien ils sont aujourd’hui, mais un sondage réalisé en 2018 par le Centre russe de recherche sur l’opinion publique a révélé que 57 % des Russes croient qu’il n’y a jamais eu d’alunissage habité.

En d’autres termes, plus les gens sont instruits et plus ils sont capables de raisonner rationnellement, moins ils croient aux alunissages. Aux États-Unis, ce pourcentage semble beaucoup plus faible : Un sondage Gallup de 1999 a révélé que seulement 6 % des Américains doutent des débarquements sur la lune, et un sondage Pew Research de 2013 a montré que ce chiffre n’est passé qu’à 7 %. Il n’est donc pas surprenant qu’un sondage Pew Research de 2010 ait montré que 63% des Américains étaient confiants que la NASA allait faire atterrir un astronaute sur Mars d’ici 2050.

Les croyants sont-ils en danger d’extinction ?

La théorie du canular lunaire était presque inconnue avant l’arrivée d’Internet et elle a pris de l’ampleur avec le développement de YouTube, qui a permis à quiconque s’y intéressait d’examiner de près les images d’Apollo. Auparavant, les personnes qui avaient de sérieux doutes avaient peu de moyens de les partager et de rendre leur cas convaincant. L’un des pionniers a été Bill Kaysing, qui a abordé le sujet en 1976 avec son livre qu’il a publié lui-même : On n’est jamais allé sur la lune ; L’escroquerie américaine à 30 milliards de dollars. On peut le qualifier de lanceur d’alerte, puisqu’il travaillait pour Rocketdyne, la société qui a conçu et construit les fusées Apollo. Ralph René est ensuite arrivé avec son NASA Mooned America ! également auto-publié.

La recherche a gagné en profondeur et en ampleur, et l’incrédulité est devenue virale autour du 30e anniversaire d’Apollo 11, grâce en grande partie au directeur de la photographie britannique David Percy, co-auteur du livre Dark Moon avec Mary Bennett, et réalisateur du documentaire de trois heures « What Happened on the Moon ? An Investigation into Apollo » (2000), présenté par Ronnie Stronge. Il demeure à ce jour très précieux pour quiconque est disposé à se faire une opinion éclairée.

Puis, il y a eu « A Funny Thing Happened on the way to the Moon » (2001), réalisé par Bart Sibrel, qui apporte un éclairage précieux sur le contexte historique. Sibrel a également mis les astronautes de la NASA au défi de jurer sur la Bible, devant la caméra, qu’ils avaient marché sur la lune, et il a compilé ces séquences dans « Astronauts Gone Wild », ainsi que des séquences plus utiles de déclarations embarrassantes faites par des astronautes de la NASA qui sont censés avoir marché sur la lune mais semblent peu convaincants et consistants ; Alan Bean d’Apollo 12 qui apprend par Sibrel que le passage à la ceinture de radiation Van Allen est « à voir absolument ».

Puis, à partir de ces films et d’autres sources, est arrivé le documentaire télévisé novateur « Did we land on the moon ? » (2001),
réalisé par John Moffet pour Fox TV. À ma connaissance et à mon avis,
c’est encore la meilleure introduction aux arguments des « théoriciens du canular lunaire » : Vous pouvez le regarder ici à partir de sa rediffusion en 2013 sur Channel 5 :

Il y a très peu de livres disponibles sur le sujet. Je ne suis pas au courant d’une recherche plus approfondie que One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space par le chercheur allemand Gerhard Wisnewski, publié à l’origine en 2005, dont je citerai plusieurs extraits.

Je ne vais pas discuter de toutes les preuves présentées dans ces
sources. Je ne peux que les recommander, ainsi que quelques autres en
passant. Je vais simplement trier ce que je considère comme les
arguments les plus convaincants, ajouter quelques développements
récents, donner ma meilleure conclusion, placer la question dans une
perspective historique plus large et en tirer quelques leçons sur la
Matrice dans laquelle nous vivons.

Tout d’abord, nous devons être clairs quant à l’objectif d’une telle enquête. Nous ne devons pas nous attendre à une preuve concluante que Neil Armstrong, ou tout autre marcheur sur la lune d’Apollo, n’a pas marché sur la lune. Cela ne peut être prouvé, en l’absence de preuves indiscutables qu’il était ailleurs (en orbite autour de la terre, par exemple) au moment précis où il prétendait avoir passé sur la lune. Dans la plupart des cas, vous ne pouvez pas prouver que quelque chose ne s’est pas produit, tout comme vous ne pouvez pas prouver que quelque chose n’existe pas. Vous ne pouvez pas prouver, par exemple, que les licornes n’existent pas. C’est pourquoi le fardeau de la preuve incombe à quiconque prétend qu’elle existe. Si je vous dis que j’ai marché sur la lune, vous me demanderez de le prouver, et vous ne prendrez pas pour réponse : « Non, prouve le toi que je n’y suis pas allé. » Est-ce que ça fait une différence si je suis la NASA ? C’est le cas, car traiter la NASA de menteuse vous amènera inévitablement à remettre en question tout ce à quoi votre gouvernement et les médias grand public vous ont fait croire. C’est un pas de géant ! Tout comme les enfants de parents violents, les citoyens honnêtes des gouvernements violents auront tendance à réprimer les preuves de la malveillance de leur gouvernement. Ainsi, les gens choisissent de croire à l’alunissage, sans même demander de preuves, simplement parce que : « Ils ne nous auraient pas menti pendant plus de 50 ans, n’est-ce pas ? Les médias auraient dénoncé le mensonge il y a longtemps (n’oubliez pas le Watergate) ! Et qu’en est-il des 250 000 personnes impliquées dans le projet ? Quelqu’un aurait parlé. » En fait, je m’entends parler comme ça il y a encore 10 ans à peine. Toutes ces objections doivent en effet être prises en compte.

Mais avant cela, la chose scientifique à faire est de commencer par
la question : la NASA peut-elle prouver qu’elle a envoyé des hommes sur
la lune ? Si la réponse est non, la prochaine étape consiste à décider
si nous les croyons sur parole ou non. Pour cela, il faut se demander
quelles auraient pu être les raisons d’un mensonge d’une telle ampleur.
Nous y viendrons.

Mais, tout d’abord, la NASA peut-elle fournir des preuves tangibles de l’atterrissage sur la lune ?

Des preuves solides comme le roc depuis l’Antarctique

Si, ils le peuvent. Ils ont rapporté des morceaux de lune : environ
380 kilogrammes de roches lunaires et d’échantillons de sol, toutes
missions Apollo confondues. Les roches lunaires prouvent l’atterrissage
sur la lune, n’est-ce pas ? Oui, mais seulement s’il peut être fermement
établi qu’elles n’ont pas été extraites sur Terre. Et c’est là le
problème. Comme expliqué ici, « des météorites ont été
trouvées en Antarctique qui ont prouvé qu’elles avaient les mêmes
caractéristiques que les roches lunaires »
. Il peut être utile de
savoir qu’en 1967, deux ans avant Apollo 11, la NASA a organisé une
expédition en Antarctique, rejointe par Wernher Von Braun, le principal
propagandiste de la NASA pour les missions lunaires ; l’Antarctique est
la région de la Terre qui compte la plus grande concentration de
météorites, mais on ignore si l’expédition a inclus des géologues et si
des météorites ont été rapportées. En fait, ce n’est qu’en 1972 que les
météorites lunaires ont été officiellement découvertes en Antarctique ;
leur origine lunaire, bien sûr, a été déterminée par comparaison avec
les échantillons lunaires rapportés par les équipes d’Apollo (Wisnewksi
202).

Les rochers de la lune sont donc loin de prouver l’atterrissage sur la lune. En fait, on ne peut prouver qu’aucune des soi-disant roches lunaires n’a été ramenée de la lune plutôt que de l’Antarctique ou d’ailleurs sur terre. Mais la situation s’aggrave : il a été prouvé de manière concluante que certaines des soi-disant roches de la lune sont fausses. Dans les années 1990, l’astrobiologiste britannique Andrew Steele a eu le privilège spécial d’approcher certains des précieux échantillons enfermés dans des coffres-forts de la NASA et, imaginez sa surprise quand il y découvre une soie, des morceaux de plastique, du nylon, du téflon et de petits animaux terrestres (Wisnewski 207). Une autre pierre de lune a fait la une des journaux lorsque, 40 ans après avoir été remise personnellement par Neil Armstrong et Buzz Aldrin au premier ministre néerlandais, elle a été examinée de près et s’est révélée être du bois pétrifié. Certes, quelques fausses pierres de lune ne prouvent pas que toutes les pierres de lune sont fausses. Mais ce devrait être une raison suffisante pour commencer un examen scientifique systématique des douzaines d’autres échantillons que les États-Unis ont cédé de façon officielle en 1969 et dans les années 1970.

La preuve photographique

Quelles sont les autres preuves que la NASA a de l’atterrissage sur
la lune ? Les films et les photos, bien sûr ! Les films sont notoirement
flous, ce qui rend leur examen difficile. Comment, par exemple,
pouvez-vous être sûr que l’astronaute David Scott d’Apollo 15 fait
tomber un vrai marteau et une vraie plume pour démontrer la gravité
newtonienne dans un environnement sans atmosphère, quand vous pouvez à
peine voir les objets ? Nous avons une photo claire du marteau et de la
plume sur le sol, mais comment savoir s’ils sont identiques aux objets
flous déposés dans le film ?

Ce qui serait utile pour une enquête correcte, ce sont les images originales de la NASA. Les chercheurs demandent l’accès à ces films depuis des décennies, en vertu du Freedom of Information Act. En 2006, ils ont reçu une réponse. Voici ce que vous pouvez lire sur Reuters :

La NASA a admis en 2006 que personne n’avait trouvé les
enregistrements vidéo originaux de l’atterrissage du 20 juillet 1969.
Depuis lors, Richard Nafzger, ingénieur au Goddard Space Flight Center
de la NASA dans le Maryland, qui a supervisé le traitement télévisuel
sur les sites de suivi au sol pendant la mission Apollo 11, les cherche.
La bonne nouvelle, c’est qu’il a trouvé où ils sont allés. La mauvaise
nouvelle, c’est qu’ils faisaient partie d’un lot de 200 000 cassettes
qui ont été magnétiquement effacées et réutilisées pour économiser de
l’argent.

Les Russes sont si méchants : à la suite de cet aveu de la NASA, les autorités russes ont commencé à exiger une enquête internationale.

Heureusement, nous avons les photos. En plus de planter un drapeau américain et de recueillir des échantillons de roches, les astronautes ont passé beaucoup de temps à prendre des photos sur la lune. Et soyons justes : en 2015, la NASA en a publié des milliers en haute résolution. Elles sont accessibles ici, et peuvent être examinées en détail. La plupart d’entre elles sont remarquables par leur qualité.

L’équipage d’Apollo 11 a utilisé un Hasselblad 500C standard avec
quelques modifications, dont le retrait du miroir réfléchissant. Le film
utilisé était un film diapositif Kodak Ektachrome standard, 160 ASA.
C’est un film étonnamment sensible pour un endroit où la lumière du
soleil n’est filtrée par aucune atmosphère, surtout si l’on considère
que certaines photos, parfaitement exposées, ont été prises directement
contre le soleil. Il y a aussi des problèmes techniques avec la
fiabilité de ce matériau à la surface de la lune, où les températures
vont de moins de 100°C à plus de 100°C : la seule protection contre la
chaleur pour la caméra et le chargeur était un revêtement réflexif. (La
façon dont les astronautes survivent à de telles températures est un
problème encore plus grave).

Un autre aspect problématique est la qualité professionnelle de la
plupart de ces photos. Chaque plan pris par Neil Armstrong, par exemple,
est parfaitement cadré et exposé. Wisnewski (144-149) souligne à juste
titre à quel point c’est incroyable, étant donné qu’Armstrong (ou tout
autre astronaute) ne pouvait pas viser, puisque la caméra était fixée
sur sa poitrine où il ne pouvait même pas la voir. Sans parler de la
difficulté de régler manuellement l’ouverture, le temps d’exposition, la
mise au point et le champ de vision avec ses gants pressurisés et
aucune vision de l’appareil, et sans aucune expérience de la
photographie sur l’environnement lunaire. Nous devons nous rappeler que
la photographie était un métier très spécialisé à l’époque, même sur
terre, et il est assez étonnant de voir que toutes les photos
d’Armstrong sont parfaites.

Plus précisément, y a-t-il des preuves que ces photos ont été prises
sur la lune ? Aucune, quelle qu’elle soit. Elles sont faciles à
fabriquer en studio. En fait, la NASA a fait beaucoup d’efforts pour
entraîner les astronautes à l’intérieur en reproduisant l’état de la
surface lunaire tel qu’ils l’imaginaient, en fabriquant des tonnes de « poussière de lune »
à cette fin (avant même que quiconque ait vu la vraie poussière
lunaire), et même en simulant le ciel noir. Certaines des photographies
prises dans ces studios de cinéma, comme celle qui suit, tirée des
archives de la NASA, seraient difficiles à distinguer de la « vraie » chose, si elles étaient cadrées différemment.

Armstrong et Aldrin s’exerçant sur de la fausse poussière de lune sous un faux ciel noir

Soyons réalistes : il n’y a aucune preuve que l’une ou l’autre des
photographies d’Apollo soit authentique. Ce n’est peut-être pas
suffisant pour déstabiliser les croyants. Mais qu’est-ce que cela veut
dire que bon nombre de ces photographies sont « pleines d’incohérences et d’anomalies », pour reprendre les mots de David Percy, qui prouve son point de vue dans « What Happened on the Moon ? ».
Le film contient une interview de Jan Lundberg, ingénieur de projet
pour l’Apollo Hasselblad. Lorsqu’on lui demande d’expliquer certaines
des incohérences concernant les ombres et l’exposition (par exemple, les
astronautes entièrement éclairés bien qu’ils soient dans l’ombre du
module lunaire, comme dans la photo reproduite sur la couverture du
livre de Wisnewski), il répond : « Je ne peux pas expliquer ça. Cela m’échappe… pourquoi. »

Soit dit en passant, l’aveu embarrassé de Lundberg illustre
parfaitement à quel point le cloisonnement a pu rendre possible le
canular lunaire. Comme les centaines de milliers de personnes impliquées
dans le projet, il a travaillé sur la base du « ce que tu as besoin de savoir »
et n’avait aucune raison de soupçonner qu’il travaillait pour autre
chose que ce qu’on lui avait dit, du moins jusqu’à ce qu’on lui demande
d’expliquer des images impossibles. Seule une poignée de personnes
devaient connaître le tableau global, et il n’est même pas certain que
le président Nixon était parmi eux. Comme l’illustre Wisnewski (121-126)
avec le programme Corona alias Discoverer (un satellite de
recherche américain lancé vers 1959 dans le but secret d’espionner
l’Union soviétique), il est faux de supposer que les communautés
militaires, spatiales et du renseignement américaines ne peuvent garder
un secret. Pour prendre un autre exemple, des centaines de milliers de
personnes ont travaillé sur le projet Manhattan, qui est resté
complètement caché du public jusqu’à ce que la bombe soit larguée sur
Hiroshima.

Je ne vais pas énumérer et examiner les anomalies des photographies d’Apollo, car elles sont analysées dans les documentaires mentionnés ci-dessus. Mais je recommande de parcourir et de zoomer sur les photographies haute définition du site d’archives de la NASA, dans le but d’évaluer leur crédibilité avec un minimum de bon sens. Demandez-vous, par exemple, si vous pouvez croire que le module lunaire Apollo 11 Eagle (ici, ici ou ici) aurait pu faire atterrir deux astronautes sur la lune et les renvoyer en orbite lunaire pour se reconnecter avec le module de commandement orbital. Ou choisissez le LM Antares d’Apollo 14 (ici), ou le LM Orion d’Apollo 16 (ici, ou ici avec le rover qui s’en est miraculeusement sorti), ou le LM Challenger d’Apollo 17 (ici). Rappelons que ces huttes minables devaient être pressurisées hermétiquement dans un environnement sous vide et que, dans les deux derniers cas, deux astronautes ont passé plus de 3 jours (respectivement 71 heures et 76 heures) sur la lune et dormi 3 nuits dans le module. Si vous voulez être guidé dans cette réflexion, je peux vous recommander cette vidéo de 15 minutes.

Module lunaire Apollo 11 avec Neil Armstrong
Scène d’ascension du module lunaire d’Apollo 17, photographié à partir du module de commandement avant le rendez-vous.

Où sont passées toutes les étoiles ?

Si les équipages d’Apollo avaient photographié le ciel étoilé de la
lune, cela aurait pu servir à la NASA pour contrer l’accusation de
fraude. Dans les années 1960, il aurait été très difficile d’effectuer
les calculs informatiques nécessaires à la cohérence de la constellation
d’étoiles. Malheureusement, personne n’y a pensé à la NASA. On a
demandé aux astronautes de regarder en bas et de ramasser des roches, et
non de regarder vers le haut et d’étudier les étoiles. C’est comme si
la NASA était une congrégation de géologues qui méprisaient
l’astronomie. Et dire qu’ils dépensent des milliards de dollars pour
envoyer des télescopes sur orbite terrestre ! Pour être honnête, j’ai lu
un article sur un télescope installé par l’équipage d’Apollo 16, mais
il semble que personne n’ait jamais vu ce qui en est ressorti. En tout
cas, pas une seule photo des archives de la NASA ne montre une étoile
dans le ciel.

L’explication officielle ? Il n’y avait tout simplement pas d’étoiles visibles dans le ciel lunaire. Point final. C’est tellement incroyable que même certains « démineurs de canulars lunaires » préfèrent expliquer le ciel noir de toutes les photographies Apollo comme résultant d’une faible exposition. Mais ils ont tort : les astronautes n’ont vu aucune étoile de leurs propres yeux. Tous, d’Apollon 11 à Apollon 17, déclaraient constamment que le ciel était complètement noir, « un immense ciel de velours noir – totalement noir », selon les mots d’Edgar Mitchell, le sixième homme sur la lune.

Était-ce parce que la luminosité de la surface de la lune était trop
forte, de sorte que leurs yeux ne pouvaient pas s’ajuster ? (un jour sur
la lune dure 27 jours terrestres, de sorte que les astronautes qui ont
atterri sur le côté illuminé de la lune n’ont jamais vécu une nuit sur
la lune). Si c’était la raison, alors au moins, les astronautes auraient
dû voir beaucoup d’étoiles lorsqu’ils voyageaient entre la terre et la
lune. Ils n’en ont pas vu. Quand ils ont orbité autour de la lune et
sont passés dans son ombre, ils se sont retrouvés dans l’obscurité
totale, et n’ont vu aucune étoile. Michael Collins, qui a orbité autour
de la lune plusieurs fois dans le module de commandement pendant
qu’Aldrin et Armstrong étaient sur la lune, a déclaré dans leur
conférence de presse 1969 : « Je ne me souviens pas en avoir vu ! ».
C’est l’une des remarques les plus étranges que l’on puisse trouver
chez un astronaute, mais toute la conférence de presse est une
expérience bizarre à regarder.

Ne demandez rien à Neil Armstrong

L’interview de Neil Armstrong en novembre 1970 est tout aussi bizarre. Elle a été utilisée par plusieurs sceptiques comme preuve qu’il ment. Je recommande vivement cette analyse très professionnelle commandée par Richard D. Hall de RichPlanet TV à Peter Hyatt, un expert reconnu à l’échelle nationale dans la détection de la tromperie. Je trouve cela dévastateur pour la crédibilité d’Armstrong.

Après cela, Armstrong a dû recevoir l’ordre de se tenir à l’écart des interviews. Mais lorsqu’on lui a permis de faire une dernière apparition à l’occasion du 40e anniversaire de sa marche sur la lune, il en a profité pour se comparer à un perroquet, « le seul oiseau qui pouvait parler » mais « ne volait pas très bien », et pour conclure par une remarque énigmatique sur « les percées disponibles pour ceux qui peuvent enlever une couche protectrice de la vérité ». Dieu seul sait ce qu’il dirait s’il était maintenant invité à prendre la parole pour le 50e anniversaire ! Heureusement pour la crédibilité des missions Apollo, il a maintenant quitté la terre pour de bon, et son histoire peut maintenant être racontée par Hollywood.

Attachez votre ceinture Van Allen

Nous avons cherché à savoir s’il y a des preuves que l’atterrissage sur la lune était réel. Nous n’en avons pas trouvé. Au lieu de cela, nous avons trouvé des preuves qu’ils n’étaient pas réels. Mais en fait, c’était à peine nécessaire : Les ingénieurs de la NASA eux-mêmes nous disent que cela est impossible, pour la simple raison que les astronautes devaient traverser la ceinture de rayonnement Van Allen, ce qui les aurait tué et aurait endommagé également l’équipement électronique. Écoutez, dans la vidéo de 10 minutes ci-dessous, des astrophysiciens et des astronautes admettant par inadvertance que la technologie permettant d’envoyer des hommes au-delà de l’orbite terrestre inférieure n’est pas encore disponible.

C’est peut-être la raison pour laquelle, depuis la présidence de
Tricky Dick, aucune mission habitée sur la lune, ni même au-delà de
l’orbite terrestre basse, n’a jamais été entreprise. N’oubliez pas que
la Station spatiale internationale est en orbite à une distance de 250
milles de la Terre, alors que la lune est à environ 237 000 milles de la
Terre. Le 14 janvier 2004, le président George W. Bush, s’exprimant au
siège de la NASA, a annoncé une nouvelle tentative pour « mettre a nouveau pied sur la lune » et au-delà, et a fait remarquer : « Au
cours des 30 dernières années, aucun être humain n’a mis le pied sur un
autre monde, ou ne s’est aventuré plus loin dans l’espace que 386
milles, soit approximativement la distance entre Washington D.C. et
Boston, Massachusetts »,
(cité dans Wisnewski 329). Aucune annonce de mission habitée sur la lune n’est sortie de cette annonce.

Le temps travaille à l’avantage des théoriciens du canular lunaire, car chaque année qui passe amène les gens à s’interroger : « S’il était si facile d’envoyer un homme sur la lune entre 1969 et 1972, pourquoi n’a-t-on pas recommencé depuis ? » .
Moins de la moitié des Britanniques et des Russes croient encore à un
atterrissage sur la lune. Parmi les personnes instruites, ce pourcentage
diminue rapidement. Que se passera-t-il dans vingt ans, quand les
Américains réaliseront que presque personne d’autre qu’eux n’y croit ?
Les États-Unis d’Amérique survivront-ils à l’exposition de ce canular
géant ?

La fabrication de la croyance

Si les alunissages d’Apollo ont été simulés, de sérieuses questions
devraient être posées au sujet de la NASA, pour commencer. Ensuite, il
serait nécessaire de réfléchir en profondeur à ce qu’il est advenu des
États-Unis depuis la Seconde guerre mondiale. Et au-delà, le canular
lunaire est le point de départ idéal pour réfléchir sur le contrôle
hypnotique que la télévision et les médias ont acquis sur notre esprit.
Ce n’est pas seulement une question politique. C’est une bataille pour
nos âmes.

La première étape consiste à sortir de nos croyances infantiles au
sujet de la NASA et à faire une étude de base sur ce dont il s’agit. La National Aeronautics and Space Administration
a été fondée en 1958 par le président Eisenhower. Nombreux sont ceux
qui aujourd’hui félicitent Eisenhower d’avoir mis en garde les
Américains, à leur départ, contre la menace croissante du complexe
militaro-industriel et le « risque d’une montée désastreuse du pouvoir entre de mauvaises mains ».
Ironiquement, la fondation de la NASA a été en soi un pas de géant pour
le complexe militaro-industriel. Il ne fait aucun doute que le
soi-disant « programme spatial civil » de la NASA
était d’abord et avant tout une couverture pour un programme militaire.
La loi sur la NASA de 1958 prévoyait explicitement une collaboration
étroite avec le ministère de la Défense et, en pratique, le Pentagone a
participé à toutes les décisions concernant les programmes Mercury,
Gemini et Apollo. Erlend Kennan et Edmund Harvey ont documenté ce point
dans « Mission vers la lune : un examen critique de la NASA et du programme spatial », dès 1969, et ont conclu :

Il demeure impératif que la NASA conserve son statut de
porte-parole décent de l’ère spatiale afin d’obtenir le soutien du
public pour tous les projets spatiaux et de donner aux efforts spatiaux
du ministère de la Défense une « couverture » efficace. (cité dans
Wisnewski 296).

Outre le lancement de satellites à des fins d’espionnage, la NASA
devait contribuer au développement de fusées transcontinentales. Car
après la Seconde guerre mondiale, l’équation était simple : « Fusée + bombe atomique = puissance mondiale », (Wisnewski 62).

Le but paramilitaire de la NASA est essentiel pour comprendre le canular Apollo. Car en matière de programmes militaires, « ce
que le public sait est aussi connu de l’ennemi. Cela signifie qu’en
principe, le public et l’ennemi peuvent être considérés comme une seule
et même chose »,
(Wisnewski 7). Par conséquent, nous devons
comprendre que tromper le public américain n’était pas une perversion de
l’objectif initial de la NASA, mais une partie intégrante de celui-ci.

Il incombait à Kennedy de vendre le programme lunaire au Congrès et au public américain afin d’augmenter considérablement le budget de la NASA. Le 25 mai 1961, à peine 43 jours après que Yuri Gagarine eu terminé une orbite autour de la terre, Kennedy a livré devant le Congrès un message spécial sur les « besoins nationaux urgents ». Il a demandé 7 à 9 milliards de dollars supplémentaires au cours des cinq prochaines années pour le programme spatial, dans le but, selon lui, d’« atteindre l’objectif, avant la fin de cette décennie, de faire atterrir un homme sur la lune et de le ramener en toute sécurité sur Terre. Aucun projet spatial de cette période ne sera plus impressionnant pour l’humanité ou plus important pour l’exploration spatiale à longue distance. »

Kennedy peut être blâmé pour avoir dupé le public américain, mais il est probable qu’il ait été dupé lui-même, tout comme la CIA l’avait piégé dans l’invasion désastreuse de la Baie des cochons, un mois auparavant. Quoi qu’il en soit, la lune était l’idée de Johnson, pas celle de Kennedy. On croit que Kennedy a été convaincu par un mémorandum de Lyndon Johnson, intitulé « Evaluation of Space Program », daté du 28 avril 1961, supposément basé sur des délibérations avec de hauts responsables de la NASA. Le mémo assurait le président de la faisabilité d’un « atterrissage et d’un retour en toute sécurité d’un homme sur la lune d’ici 1966 ou 1967 », si « un effort sérieux » était fait. Pour ce qui est de l’avantage, Johnson l’a exprimé de cette façon :

Les autres nations, indépendamment de leur appréciation
de nos valeurs idéalistes, auront tendance à s’aligner sur le pays
qu’elles croient être le chef de file mondial – le gagnant à long terme.
Les réalisations spectaculaires dans l’espace sont de plus en plus
considérées comme un indicateur majeur du leadership mondial.

Un mois après son discours au Congrès, Kennedy a officiellement nommé son vice-président à la tête du National Aeronautics and Space Council, chargé d’explorer le projet lunaire. Comme Alan Wasser l’a dit :

Peu de gens aujourd’hui réalisent ou se souviennent, mais
un seul homme, Lyndon Baines Johnson, ‘LBJ’, est le principal
responsable du début et de la fin de La Course à l’espace.

Cela explique pourquoi les industries texanes ont été les plus
grandes bénéficiaires du programme spatial, et pourquoi le Centre des
engins spatiaux habités de la NASA à Houston, a été rebaptisé le Lyndon B. Johnson Space Center en 1973.

Sous Eisenhower, Johnson était à la fois le leader de la majorité au
Sénat et un acteur clé dans le secteur texan du complexe
militaro-industriel. Il est intéressant de savoir que l’ébauche
originale du discours d’adieu d’Eisenhower, écrite par ses assistants
Malcolm Moos et Ralph Williams, parlait du « Complexe militaro-industriel du Congrès »,
mais Eisenhower a abandonné la citation du Congrès –  par peur,
peut-être, de Johnson. La corruption de Johnson s’est aggravée après
qu’il est devenu vice-président et a nommé ses amis texans à la tête de
la Marine : d’abord John Connally, puis Fred Korth, qui a démissionné en
octobre 1963, après que le ministère de la Justice (dirigé par Robert
Kennedy) l’ait impliqué pour corruption dans le contrat des avions TFX
de la Force aérienne et de la Marine.

La NASA n’était pas seulement un camouflage pour les développements
militaires. C’était un rêve fabriqué pour laisser les Américains
regarder le ciel pendant que leur gouvernement commettait des atrocités
au Vietnam. Ainsi, la NASA avait aussi des liens étroits avec
l’industrie cinématographique. Son premier patron, T. Keith Glennan
(1958-1961) avait une longue expérience dans la gestion de studios de
cinéma à Hollywood (Wisnewski 298).

Walt Disney avec Wernher von Braun, « Père de la science des fusées », en 1954

Pendant la période de transition entre Johnson et Nixon, Apollo 8
aurait transporté trois astronautes dix fois autour de la lune. Puis,
après deux autres missions d’essais (Apollo 9 et 10), six membres de
l’équipage d’Apollo ont atterri sur la Lune de 1969 à 1972, le tout sous
la présidence de Nixon. Wisnewski (130-139) fournit un parallèle
spectaculaire montrant comment les nouvelles de dernière heure liées au
programme Apollo ont commodément détourné l’attention du public
américain des crimes de guerre au Vietnam. Apollo 11 a atterri sur la
lune deux mois après que les médias eurent révélé des bombardements
illégaux au Cambodge, et le programme Apollo a cessé juste après la fin
officielle de l’engagement des États-Unis en Asie du Sud-Est. Alors,
écrit Wisnewski :

Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des
milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts
vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient
en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une
conquête d’un tout autre genre. (131)

Pour le reste du monde, le frisson culturel et technologique provoqué
par l’alunissage a dû être aussi bouleversant et désarmant que le coup
négatif du 11 septembre. Jusqu’à ce jour, les États-Unis tirent leur
force de l’admiration sans bornes suscitée par ces alunissages. Et je
maintiens toujours que cette « conquête » de la lune, ce mythe antique
de l’humanité, a élevé l’Amérique au statut de nation quasi-divine. Les
alunissages s’inscrivent dans la stratégie psychologique globale
d’auto-agrandissement du pays, associée à l’asservissement, à
l’affaiblissement et à la démoralisation des autres. (287)

Les voyages spatiaux civils sont devenus une forme d’« opium pour le
peuple », une promesse de rédemption apportant un avenir nouveau et
meilleur pour l’univers. (63)

En effet, voyager sur la lune et revenir vivant est un exploit aux
proportions mythiques. C’est comme voyager dans l’Autre Monde et revenir
dans le monde des vivants avec son corps physique. Cela fait des
astronautes de la NASA les égaux des anciens héros surnaturels, des
demi-dieux immortels, et cette qualité semi-divine se reflète sur les
États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages
d’Apollo : il s’agissait d’une nouvelle religion mondiale qui élevait
les États-Unis au-dessus de toutes les autres nations terrestres. On a
beaucoup parlé des religions institutionnelles comme moyen de contrôle
mental collectif. Mais aucune croyance religieuse ne peut se comparer au
débarquement sur la lune en termes d’abus cyniques de la crédulité des
gens. Et aucune religion ne pouvait rivaliser, jusqu’à récemment, pour
le nombre de croyants dans le monde.

La leçon la plus profonde est que cela a été rendu possible par la
télévision, et aurait été impossible autrement. Personne ne l’aurait cru
s’il ne l’avait pas vu de ses propres yeux.

Dans « Par-delà le miroir » de Lewis Carroll, Alice dit à la Reine Blanche qu’« on ne peut pas croire des choses impossibles », mais la Reine insiste sur le fait que c’est possible avec assez de pratique : « Quand
j’avais ton âge, je le faisais toujours une demi-heure par jour.
Parfois, j’ai cru jusqu’à six choses impossibles avant le
petit-déjeuner. »
Avec la télévision, croire en six alunissages impossibles est venu sans effort.

Annexe : l’hypothèse de Kubrick

Avant d’être diffusés à la télévision, les alunissages d’Apollo étaient des productions de studio. Il n’est donc pas étonnant que l’un des dénonciateurs les plus influents ait été le cinéaste hollywoodien Peter Hyams avec son film Capricorn One (1978).

Bien qu’il n’ait aucun rapport avec la question de la réalité ou de
la possibilité de l’alunissage, et ne devrait pas être pris comme
argument, je voudrais mentionner ici l’un des développements les plus
intrigants de la théorie du complot du canular lunaire : la suggestion
que le réalisateur Stanley Kubrick a collaboré avec la NASA dans la
réalisation des films lunaires Apollo pendant son film « 2001 : Odyssée de l’Espace », (1968), auquel il a commencé à travailler dès 1964, peu après la fin de son film antimilitaire « Dr Folamour ».
Selon la rumeur, Kubrick aurait ensuite été contraint de conclure un
pacte faustien en échange de financements et d’autres formes d’aide. Que
Kubrick ait reçu le soutien de la NASA pour son film 2001
n’est en fait un secret pour personne : le scénario a été co-écrit par
Arthur C. Clark, un supporter enthousiaste et contributeur aux aventures
de la NASA, et plusieurs assistants pour le film, tels que Harry Lange
et Frederick Ordway, avaient travaillé pour la NASA et des entrepreneurs
aérospatiaux. Certains croient donc que 2001 faisait partie
d’un programme de la NASA à la fois pour fasciner le public avec les
voyages spatiaux et pour tester les techniques de production.

Cette hypothèse s’est d’abord posée lorsque les sceptiques qui étudiaient les photos et les films d’Apollo se sont convaincus qu’ils avaient été réalisés dans des studios de cinéma en utilisant la technique appelée projection sur écran, qui avait été perfectionnée par Stanley Kubrick pour son film 2001.

La théorie existait déjà depuis un certain temps, lorsqu’un « fauxdocumentaire »  français intitulé « Dark Side of the Moon », réalisé par William Karel, a été diffusé sur Arte en 2002, comme une tentative très intelligente mais futile de le démystifier.

Mais la théorie a gagné une nouvelle vigueur lorsque le réalisateur Jay Weidner y a ajouté l’hypothèse que Kubrick a avoué sa participation de façon énigmatique dans son film « The Shining » de 1980. Weidner présente ses arguments dans son documentaire « Kubrick’s Odyssey : Secrets Hidden in the Films of Stanley Kubrick. Part One : Kubrick and Apollo ». Il donne également un bref résumé de sa théorie dans le film documentaire Room 237 (2012), disponible sur vimeo (la contribution de Weidner se situe entre 00:44:25 et 00:51:55, et entre 1:16:00 et 1:16:45). Vous pouvez voir ici la contribution de Weidner sur YouTube :

Quand j’ai entendu parler de cette théorie pour la première fois et que j’ai regardé Room 237 (je n’ai pas regardé le film Odyssée de Kubrick), je n’y ai pas beaucoup pensé. Mais après avoir regardé à nouveau The Shining avec cela à l’esprit, après avoir étudié les autres films de Kubrick (en particulier Eyes Wide Shut,
qui l’a tué d’une façon ou d’une autre) et leurs couches de sens
cachés, et après avoir appris son obsession perfectionniste pour chaque
détail, je trouve cette théorie fascinante, mais aussi très plausible.

Le point de départ de Weidner est l’observation que, bien que le film The Shining
soit prétendument basé sur le roman du même titre de Stephen King,
Kubrick a ignoré le scénario adapté par King lui-même, et a changé
tellement de choses dans l’histoire qu’on peut dire que c’est une
histoire totalement différente, ce qui a rendu King très amer. Kubrick
semble avoir utilisé le roman de King comme couverture pour une histoire
à lui. Ce qui est donc intéressant, c’est de se concentrer
exclusivement sur les éléments du film qui s’écartent du roman de King,
et sur les détails qui ne semblent pas avoir d’incidence directe sur le
récit principal. Weidner n’est pas le seul à adopter cette approche : de
nombreux admirateurs de Kubrick pensent que le film a des
significations cachées. Certains prétendent, de façon convaincante je
crois, qu’il contient des références énigmatiques à la maltraitance des
enfants, un thème sous-jacent également dans Eyes Wide Shut.
Mais Weidner lit dans le film un sous-texte qui équivaut à une
confession autobiographique du rôle de Kubrick dans la simulation de
l’alunissage d’Apollo onze ans auparavant.

Selon cette interprétation, Jack Torrance (Jack Nicholson) représente
Kubrick lui-même, tandis que l’hôtel Overlook (construit sur un
cimetière indien) représente l’Amérique. Le gérant de l’hôtel, Stuart
Ullman (Barry Nelson), maquillé en JFK, représente le gouvernement
américain (ainsi que peut-être le JFK Space Center), tandis que son
assistant Bill Watson, qui observe Torrance sans dire un mot, représente
le monde des renseignements.

Stuart Ullmann (l’État) et Bill Watson (l’État profond)

Deux scènes en particulier donnent les clés de ce récit énigmatique.
La première, c’est lorsque Danny (représentant l’enfant de Kubrick,
c’est-à-dire les films Apollo) se lève en portant un pull Apollo 11, sur
un tapis au design similaire au Launch Complex d’où les fusées
Apollo ont été tirées. Peu après, Danny entre dans la chambre n°237,
qui contient le secret de l’hôtel. Le numéro de chambre était 217 dans
le roman de King, mais Kubrick l’a changé à 237 en référence à la
distance de 237,000 miles qui sépare la terre de la lune (selon
l’estimation courante à l’époque). La « chambre 237 » est en fait la « chambre lunaire », car « chambre/room » ressemble à « lune/moon » lorsqu’on lit le mot à l’envers, et Kubrick nous a appris à lire les mots à l’envers dans la scène où le mot « redrum » devient « meurtre/murder » dans le miroir.

Danny (l’enfant de Jack/Kubrick) est Apollo 11 (une production Disney ?)

La deuxième scène la plus importante du point de vue du sous-texte
énigmatique de Kubrick est lorsque Wendy découvre que Jack, qui est
censé écrire un roman, a tapé une seule phrase à maintes reprises : « Le travail et le manque de loisir font de Jack un garçon ennuyeux. »
Cette phrase, qui doit avoir été choisie par Kubrick pour un but bien
précis, prend un sens secondaire une fois que l’on se rend compte que
Tout/All, dans un script de machine à écrire américaine, ne peut être
distingué de A11, qui peut signifier Apollo 11.

La femme du réalisateur découvre qu’il a fait A(pollo) 11, sans loisir. [Regardez le pllay de la 1ere ligne, NdT]

Lorsque Jack surprend Wendy en train de lire les pages, il lui dit à quel point son contrat est sérieux :

As-tu déjà pensé un seul instant à mes responsabilités
envers mes employeurs ? (…) Est-ce important pour vous que les
propriétaires m’aient fait entièrement confiance et que j’aie signé une
lettre d’entente, un contrat, dans lequel j’ai accepté cette
responsabilité ? (…) Vous est-il déjà venu à l’esprit ce qui arriverait à
mon avenir si je n’assumais pas mes responsabilités ?

Outre ces deux scènes, il existe un certain nombre d’autres indices
qui étayent cette lecture subliminale. Pourquoi Kubrick, par exemple,
a-t-il fait ressembler le dessin de la tapisserie indienne dans le salon
principal à des fusées ? Est-ce que le fait que Jack les vise avec une
balle représente Kubrick « en train de tourner » les films d’Apollo ?

Juste après cette photo, Wendy et Danny vont dans le labyrinthe de
haies. Jack regarde ensuite un modèle du labyrinthe à l’intérieur du
salon, qui se confond avec le vrai labyrinthe en fondu enchaîné,
suggérant que le labyrinthe n’est pas réel. Le plan aérien de l’hôtel
Overlook, qui montre clairement qu’il n’y a pas de labyrinthe à côté de
l’hôtel, laisse également deviner ce fait. Venant de Kubrick, ça ne peut
pas être une erreur de continuité.

Des impossibilités spatiales déconcertantes dans le film ont également été découvertes par des gens étudiant attentivement ce film tels que Rob Ager. Ce ne sont pas des erreurs, car Kubrick s’est donné beaucoup de mal pour les produire. Par conséquent, elles doivent avoir un message à faire passer, peut-être que ce qui semble être à l’extérieur a en fait été filmé à l’intérieur.

Il y a aussi deux brèves allusions à la télévision qui correspondent au prétendu sous-texte : une remarque sarcastique sur la notion que ce qui est vu à la télévision est « OK » (voir la scène ici), et une télévision mystérieusement sans fil (impossible en 1980) montrant le film Summer of 42.

« Tu vois, c’est bon, il l’a vu à la télé ! »

Un autre indice possible laissé par Kubrick pour nous faire savoir qu’il avait l’intention de lire The Shining comme une autobiographie énigmatique, est le documentaire qu’il a demandé à sa fille Vivian de tourner sur le plateau du film (maintenant inclus comme bonus dans les DVDs). Il fait apparaître Kubrick comme un miroir de Jack Torrance. Cela a été détecté même par des critiques sans intérêt pour la théorie d’Apollo, comme Rob Ager, qui écrit :

La décision de Kubrick d’autoriser le tournage d’un documentaire sur le plateau de The Shining
a constitué une rupture sans précédent par rapport à sa politique de
travail ultra-secrète habituelle. Toutes les images de l’arrière-scène
ont été filmées par sa fille Vivian. Sans s’en rendre compte, de
nombreux critiques de cinéma et biographes ont accidentellement
identifié le motif de Kubrick pour la sortie de ce documentaire. À
maintes reprises, ils ont décrit son comportement dans les coulisses
comme étant comparable à celui du personnage principal du film, Jack
Torrance. Une des biographies que j’ai lues (…) affirmait même qu’il y
avait des blagues sur les similitudes d’apparence et de comportement
entre le personnage de Jack Nicholson et Stanley Kubrick. Ma théorie est
que Kubrick a délibérément créé ces parallèles entre lui et Jack, à la
fois dans le documentaire et parmi son équipe en général. Mais l’exemple
le plus frappant de ce parallèle est le traitement dégradant de
l’actrice Shelley Duvall (Wendy) et de l’acteur Scatman Crothers
(Halloran) par Kubrick, tous deux victimes de la folie de Jack Torrance.

Jack is writing a horror story, and so is Stanley, here shown typing in his daughter’s documentary
Jack écrit une histoire d’horreur, tout comme Stanley, ici montré en train de taper un textes dans le documentaire de sa fille.

Moon Landing Skeptic

Note du Saker Francophone : Il semble que Ron Unz soit en guerre personnelle pour dévoiler l'envers du décors, touche après touche. La pression monte doucement mais sûrement et on peut se demander à quel moment le rideau va tomber. On ne perd pas de vue que la crise économique menace, fragilisant encore un peu plus un système bien mal en point. Ou alors c'est un poisson d'avril ... qui sait.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le plus grand flou règne sur l’ampleur exacte des effets secondaires du vaccin. On doit à l’OMS et à sa base partagée par le centre d’Uppsala, la base VigiAccess, de donner quelques éléments d’informations un peu plus fiables que les éléments transmis par l’ANSM en France, et par quelques autres. On retiendra que cette base recense plus d’un million de cas d’effets secondaires pour la seule Europe, et pour la seule année 2021, du fait de la vaccination contre le COVID. Un chiffre qui sème le trouble sur la sincérité des chiffres en France.

Les effets secondaires du vaccin (ou des vaccins) contre le COVID constituent le grand tabou de la communication gouvernementale partout en Europe. Officiellement, le vaccin nous délivre de la maladie et se révèle parfaitement sûr. Sauf que les chiffres officiels, les quelques chiffres qui percent, ne disent pas exactement cela. 

Les effets secondaires selon l’OMS

On en veut pour preuve les chiffres globaux donnés par cette très dangereuse institution complotiste appelée l’OMS, sur la base VigiAccess opérée par l’Uppsala Monitoring Centre, tout ce qu’il y a de plus officiel donc. Nous reproduisons ci-dessus le nombre d’effets secondaires du vaccin comptabilisés par continent, tous vaccins confondus. 

On s’aperçoit que l’Europe est championne de l’effet secondaire, alors qu’elle compte environ 280 millions d’habitants vaccinés (on en compterait 380 millions aux Etats-Unis). Pour être exact, 1.074.200 effets secondaires étaient comptabilisés sur notre continent, soit un cas toutes les 560 millions d’injections environ, ou 1 cas pour 280 vaccinés. Ce n’est quand même pas rien.

Assez étonnamment, la proportion aux Etats-Unis est beaucoup moins importante. 

L’OMS contredit l’ANSM

En France, l’ANSM vient péniblement de reconnaître 90.000 cas d’effets secondaires (mais les autorités françaises sont avares sur les chiffres). 

On sait que la France a pratiqué environ 90 millions d’injections (nous nous contentons ici de cottes mal taillées, car tout recensement au jour le jour est impossible), soit un effet secondaire pour 1.000 injections. Autrement dit deux fois moins en France qu’en Europe. Mais c’est quand même bizarre.

Une fois de plus, ces incohérences dans les données officielles posent la question de la transparence sur les effets du vaccin. Et sur ce point, le débat est ouvert : la démocratie gagnerait à informer le public de façon transparente sur la réalité vaccinale. 

Quels effets secondaires des vaccins ?

Si les chiffres de l’OMS présentent l’inconvénient de ne pas décomposer plus précisément (notamment par vaccins) les effets secondaires, ils ont l’avantage de faire une synthèse chiffrées des différents types d’effets secondaires. 

Certains chiffres alertent. On constate ainsi plus de 100.000 problèmes cardiaques, plus de 115.000 problèmes vasculaires, 225.000 problèmes respiratoires, près de 300.000 problèmes dermatologiques, près de 650.000 problèmes musculosquelettiques… sans compter les 100.000 problèmes psychiatriques. 

On aimerait disposer en France d’un tableau clinique aussi précis. Cela aiderait au consentement libre et éclairé




« La seule urgence, c’est le sursaut parlementaire » : lettre ouverte

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : F.Froger / D6 – FS]

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir

LETTRE OUVERTE – Chambon-sur-Lignon, le 20 septembre 2021 – Madame, Monsieur, chers parlementaires,

Depuis le début de cette mandature, vous légiférez dans l’urgence plus souvent qu’il n’est souhaitable, cela vous agace et c’est bien légitime. Le nombre de motions de rejet préalable et de rappels au règlement occupent plus de place dans vos débats que les échanges constructifs sur le fond. Il est intolérable pour le peuple que vous représentez de voir que l’on coupe vos micros quand votre temps de parole est écoulé, sans vous laisser finir vos phrases.

Sur Public Sénat, deux sénateurs ont témoigné : l’un raconte qu’il a légiféré « avec un pistolet sur la tempe », l’autre qu’elle a eu le sentiment d’être en garde à vue, de ne pouvoir sortir qu’une fois qu’elle aura, non pas avoué, mais voté. C’est édifiant. À travers les parlementaires, c’est le peuple qui est méprisé par le pouvoir en place, et vous ne pouvez pas laisser perdurer cette situation. Il serait long de revenir sur toutes les lois que vous avez votées dans l’urgence, je vous propose de nous concentrer sur la dernière.

Les chiffres officiels

Au moment où vous légifériez dans l’urgence, voilà ce que disaient les chiffres officiels du réseau Sentinelles sur le nombre de cas symptomatiques remontés par les médecins généralistes :

Le seuil d’alerte est de 170 cas pour 100 000 habitants. La semaine où vous légifériez dans l’urgence, on était à moins de dix ! Les chiffres de Santé Publique France sur le nombre de décès avec la covid étaient aussi en baisse. Mais, après que le président s’est exprimé le 12 juillet, ils remontent, avec la reprise de la vaccination. Le jour où vous légifériez dans l’urgence, selon les chiffres officiels, 20 personnes en moyenne mouraient avec la covid, sur plus de 1 600 décès :

Mais ce qui devrait beaucoup plus retenir votre attention, ce sont les chiffres de la pharmacovigilance, pris sur le très officiel site de l’ANSM, sur la mortalité post-vaccination. À ce jour, on a déjà constaté en France :

  • 761 décès suite à la vaccination Pfizzer
  • 206 décès suite à la vaccination AstraZeneca
  • 17 décès suite au vaccin Janssen
  • 44 décès suite au vaccin Moderna

Ces vaccins ont tué plus en six mois, que tous les vaccins confondus en 30 ans. Le minimum que l’on puisse attendre d’un vaccin, c’est son innocuité. Force est de constater qu’elle n’est pas scientifiquement prouvée.

Alors pourquoi avez-vous légiféré dans l’urgence ?

Vous l’avez fait sur la base d’une projection mathématique prépubliée sur le site de l’Institut Pasteur, et retenue par le Conseil scientifique. Or, il se trouve que vous avez été trompés. Cette étude fait l’objet d’une plainte car le modèle mathématique est critiquable du point de vue de plusieurs scientifiques, qui en ont fait une relecture minutieuse. Depuis ce dépôt de plainte, cette étude, comme celle qui avait été publiée par le Lancet sur les traitements précoces, semble avoir été rétractée. La loi cadre que vous aviez votée prévoyait qu’en cas d’amélioration, le décret puisse être levé. Le fait est que le pic épidémique annoncé ne s’est pas produit, et que les chiffres du réseau sentinelles montrent clairement une amélioration ces derniers jours :

De nombreux scientifiques s’appuient sur leur domaine de compétence pour dénoncer les exagérations sanitaires. Au lieu de les faire taire, ne vaudrait-il pas mieux les entendre dans un débat d’idées équilibré ? Il est impossible de les citer tous, mais parlons au moins que quelques-uns d’entre eux : Vincent Pavan, qui dénonce l’étude sur laquelle repose nos privations de liberté ; Amine Umlil, qui souhaite débattre avec Olivier Véran ; Christian Vélot, qui explique pourquoi la vaccination de masse n’est pas nécessairement une bonne idée dans le cas précis du coronavirus, devraient être écoutés. Je ne sais pas s’ils se trompent ou s’ils ont raison. Mais les parlementaires devraient faire en sorte qu’on les entende et que leurs arguments soient confrontés à ceux des ministres. J’attire également votre attention sur la lettre ouverte que BonSens adresse au président de la République.

S’agissant du passe sanitaire

L’OMS ne le recommandait pas, le Conseil européen non plus, les pays qui l’avaient préconisé l’ont abandonné au moment même où vous l’adoptiez dans l’urgence. Soyons pragmatiques et réfléchissons : les vaccins n’empêchent ni la contamination ni la transmission, ils permettent seulement d’atténuer les effets du virus pour éviter les formes graves. Ce sont les bases sur lesquelles les AMM conditionnelles ont été délivrées. Olivier Véran le rappelle au Conseil d’État quand un octogénaire demande, après avoir été vacciné, à ne plus respecter les gestes barrière. Si l’on n’a pas la certitude que les personnes vaccinées ne peuvent pas transmettre le virus, alors il faut exiger pour sa délivrance un test négatif pour tout le monde, pas seulement pour les non-vaccinés. Si cela devait s’avérer inapplicable, alors on s’abstiendrait de le mettre en place.

S’agissant de l’obligation vaccinale

Il faut écouter les scientifiques exposer leurs arguments. Est-ce que la vaccination contre le coronavirus s’apparente à la grippe (nombreux variants) ? Est-ce qu’on peut obtenir une immunité collective avec les quatre vaccins dont on dispose ? Il semble que les effets indésirables graves (1 028 décès après vaccination sur les sept premiers mois) disqualifient les quatre vaccins préconisés aujourd’hui en France, faut-il persister ? Ne vaudrait-il pas mieux s’intéresser à d’autres technologies ? Au vaccin de Valneva par exemple ?

En conséquence, vous devez être inventifs

Le moment est venu de trouver des solutions pour éviter de vous laissez enfermer dans la prochaine procédure d’urgence. Vous connaissez les règles de fonctionnement du Parlement. Vous connaissez la Constitution. Vous avez le pouvoir de nous représenter mais c’est aussi un devoir : pouvoir législatif et pouvoir de contrôle de l’exécutif. Que nous soyons vaccinés volontairement, vaccinés par obligation professionnelle, ou non vaccinés, nous sommes tous pour la liberté et le triomphe de la démocratie !
 
Si vous arrivez à stopper la marche forcée qui vous est imposée, quelque soit la solution que vous proposerez pour sortir de cette impasse, et restaurer la démocratie qui nous est chère, nous, le peuple, vous soutiendrons.
 
Dans l’attente de votre sursaut, nous vous prions d’agréer, nos salutations républicaines.

Dominique Bard, pour un collectif du Haut-Lignon

Auteur(s): Dominique Bard, pour FranceSoir




Bayonne — des soignants virés témoignent




Tous vaccinés, tous menacés

[Source : ripostelaique.com]

Par Laurent Droit

« Tous vaccinés, tous condamnés !! »

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Sur les chaînes de télévision, l’État continue de diffuser toute la journée des spots publicitaires du genre « lutte contre le sida » dans le but de faire « vacciner » un maximum de gens contre le Coronavirus, quels que soient ses autres noms.

Sous le titre/thème « Spot TV sur la vaccination – le débat » celui-ci met en scène une famille ou une bande d’amis à table qui débattent sur l’intérêt ou non du vaccin. Débat, donc avis différents.
Ce qui est clair, c’est que cela représente la grande masse des Français peu instruits de ces choses et en ignorant à peu près tout.
Leur discussion est donc assez stérile.
Voir le spot : https://www.dailymotion.com/video/x83jaht

Cela se termine par un texte froid de l’autorité publique :

– « On peut débattre de tout… sauf des chiffres »
– « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »
– « Tous vaccinés, tous protégés. »
– « Plus d’informations sur les lieux de vaccination sur www.sante.fr »

Et la fin traditionnelle des communications gouvernementales :

À noter qu’aujourd’hui la santé passe après les « solidarités » dans un ministère fourre-tout où on considère que la santé a peu d’importance et passe largement après les solidarités (qui restent à définir et à préciser)…!
C’est totalement stupide comme ordre des priorités…

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Je souhaite maintenant revenir sur la dialectique de ce message de fin.

Primo, « on peut débattre de tout sauf des chiffres. »

Je me demande bien ce que peuvent faire tous nos fantastiques scientifiques qui débattent sans arrêt entre eux de choses chiffrées d’un très haut niveau pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin dans nos vies, dans le monde entier.
On peut parfaitement débattre des chiffres sur leur précision, mais lorsque la démonstration de l’exactitude d’un chiffre a été faite et reconnue par la communauté scientifique, il devient assez difficile de le contester, sauf à apporter une autre démonstration tout aussi exacte mais différente.
Cette formule est donc fausse.
C’est un mensonge.
C’est une « fake-news » d’État !
Elle est faite pour endormir les naïfs et les crédules dans le but de les contraindre mentalement et de les culpabiliser à se faire vacciner.
Pourquoi ? Parce que Macron est le manipulateur en chef de toutes les manipulations de masse en France et que Macron et ses subalternes ont pour mission de faire injecter à tous les Français une substance nocive, dangereuse et à terme mortelle afin de faire diminuer la population française de souche d’origine, dans le cadre du Grand Remplacement et du Great Reset mondial décidé par les mondialistes.
À noter que les immigrés ne sont pas invités au bal des injections.

Secundo, « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »

Cette allégation gratuite est parfaitement mensongère aujourd’hui. C’est en effet tout le contraire qui se passe, car la vérité démontrée et dénoncée par d’innombrables médecins, biologistes et scientifiques non soumis au diktat de la doxa macronienne qui l’ont exprimée de nombreuses fois et de nombreuses manières :
En France et dans le monde, aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées dans des états désespérés ont déjà reçu une ou deux doses d’un des vaccins.
Et leur état désespéré est précisément lié aux effets secondaires dramatiques des pseudo-vaccins de grande toxicité.
J’en ai parlé suffisamment longuement dans mon livre avec tous les liens nécessaires pour en faire une preuve indiscutable : http://cabalard.free.fr/1zemmour.html

Mais je vous ai quand même noté quelques liens importants à la fin de cet article.

Par ailleurs, on ne doit pas dire « le covid », mais « la covid-19 » car il s’agit de LA maladie covid identifiée en 2019.

Tercio, enfin, ce slogan qui fleure bon le dentifrice ou la lessive miracle :
« Tous vaccinés, tous protégés. » est également l’exact contraire de la réalité démontrée dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire que les vaccins sont très dangereux et introduisent dans l’organisme humain de nombreuses substances nocives, toxiques pouvant apporter des pathologies nombreuses et très graves susceptibles d’entraîner la mort dans des délais qui vont de quelques minutes après l’injection à plusieurs mois ou plusieurs années, sans plus de précisions, car nous n’avons pas encore assez de recul pour en juger (il faudrait au moins 5 ans).

La seule vérité c’est que « tous vaccinés » signifie en réalité « tous condamnés à mort » dans des délais inconnus, mais sans doute pas très longs. Mais en aucun cas protégés.

Je souhaite aussi préciser que ces substances hautement toxiques fabriquées et vendues par l’industrie pharmaceutique sont tout sauf des vaccins, comme je l’ai aussi déjà expliqué en long et en large dans mon livre et dans des articles, avec tous les témoignages de nombreux scientifiques non politisés dont la sincérité et l’honnêteté ne peuvent pas être mises en doute.

Nous vivons malheureusement une période extrêmement grave et pénible sur le plan sanitaire où, en plus, l’État Macron totalitaire s’ingénie à mentir au peuple français à longueur de temps dans des buts qui sont aujourd’hui connus de tous, même si beaucoup en doutent encore, tant cela peut paraître incroyable.
Mais des choses encore plus incroyables se sont produites tout au cours notre histoire et il faut quand même que les Français ouvrent un peu les yeux…

Attention, des articles prétendant démentir que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires dangereux et que le rapport bénéfice/risque est largement favorable, courent sur le web. Ce sont des mensonges.
Ne les croyez pas !!!
L’État Macron fait tout pour vous cacher la vérité.

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Ne croyez jamais ce gouvernement de menteurs professionnels, mettez en doute toutes leurs déclarations concernant cette crise sanitaire, éloignez-vous de ces vaccins, refusez-les et avertissez vos amis et votre famille de leurs dangers mortels et aussi exigez que soient largement vendus et distribués les vrais traitements curatifs anciens, connus et efficaces qui ont déjà sauvé des centaines de milliers de personnes atteintes de la Covid-19. Chloroquine et Ivermectine associées à des antibiotiques qui éviteront les complications comme l’azithromycine ou la clarithromycine.

Cela dit, je ne vais pas refaire mon livre ici. Vous n’avez qu’à le lire, il est gratuit et en ligne.

Laurent Droit

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Liens :

Vidéo récente qui semble montrer que Pfizer refuse d’endosser toute responsabilité devant les États quant aux effets secondaires probablement nombreux et létaux de leurs « vaccins. »
Chacun en tirera ses propres conclusions…
« La députée @MicheleRivasi au CSI : beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusent les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires. »
https://twitter.com/boutaour/status/1441354445980258311

« Film Covid, 26 raisons pour refuser les vaccins » 
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

« Dr Zelenko nous dit tout sur le Covid et l’acharnement vaccinal. Accrochez-vous, c’est dur !! »
https://rumble.com/vky0dy-dr-zelenko-nous-dit-tout-sur-le-covid-et-lacharnement-vaccinal.-accrochez-v.html

« Décrypter le coup du passe sanitaire et la stratégie de la caste mondialisée »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

« Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ? » 
https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q

« Covid-19 : la stratégie d’immunité collective par la vaccination est-elle remise en cause en Islande ? »
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-strategie-d-immunite-collective-par-la-vaccination-est-elle-remise-en-cause-en-islande-20210811

« La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique » 
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique

« 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” Covid-19 »
https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

« TRIBUNE – Un aperçu sur le scandale du vaccin COVID-19 et du passe sanitaire »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-le-regne-de-la-cupidite-et-la-chute-de-la-medecine-occidentale-moderne

« Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène (très dangereux) dans les injections Covid et leur létalité » Vidéo très importante en anglais sous-titré de 22’49. 
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Alerte-!-Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-confirme-la-pr%C3%A9sence-d’oxyde-de-graph%C3%A8ne-dans-les-injections-Covid-et-leur-l%C3%A9talit%C3%A9.:c

Docteur Nicole Delépine : « Tous vaccinés, mais pas protégés ! » 
https://ripostelaique.com/tous-vaccines-mais-pas-proteges.html
et aussi :
« Sortir du délire : les thérapies géniques ne sont pas des vaccins » 
https://ripostelaique.com/sortir-du-delire-les-therapies-geniques-ne-sont-pas-des-vaccins.html

Docteur Nicole Delépine : « Des témoignages personnels dramatiques avec l’injection génique se multiplient »
https://ripostelaique.com/des-temoignages-personnels-dramatiques-avec-linjection-genique-se-multiplient.html

Docteur Nicole Delépine, encore une excellente étude de sa part sur le scandale de la vaccination des enfants :
« Il faut stopper la publicité à la vaccination des enfants » 
https://ripostelaique.com/il-faut-stopper-la-publicite-a-la-vaccination-des-enfants.html

« Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur – à coeur ouvert »
La vérité sur les traitements, les tests et procédures, sur l’efficacité des injections.
https://rumble.com/vkybzq-le-dr.-laurent-montesino-ranimateur-coeur-ouvert.html

Le témoignage de cet homme, directeur d’une entreprise de pompes funèbres australienne, est tout aussi important que courageux.
« Le témoignage capital d’un directeur des pompes funèbres » 
https://reseauinternational.net/un-temoignage-capital/
Autre source :
http://www.urantia-gaia.info/2021/09/21/un-temoignage-capital/#more-9853

« Les surprises d’analyses de sang de personnes vaccinées » Observations par plusieurs personnes, dans un laboratoire, d’anomalies sanguines dangereuses, sur une vidéo de microbiologie. Commenté en français.
La conclusion est qu’il s’agit d’un crime à grande échelle, de l’euthanasie collective.
https://rumble.com/vluavl-les-surprises-danalyses-de-sang-de-personne-vaccines.html




“Si t’es pas d’accord t’es d’extrême droite”

Par Lucien-Samir Oulahbib

  • Tu vois, tous les anti-passe sont d’extrême droite… Ne parlons même pas des antivax bien sûr…
  • Ah oui ? Pourquoi ?
  • Parce que je le dis, et toi aussi d’ailleurs tu m’as l’air infecté…
  • Pourquoi ?
  • Parce que tu dis « pourquoi ».
  • On peut pas se poser des questions ?
  • Non « les chiffres cela ne se discutent pas » dit la pub et elle a raison, ou alors t’es platiste.
  • Ou complotiste.
  • Mais je préfère d’extrême droite…
  • Il y a des gens qu’on dit d’extrême droite qui sont ni pour ni contre bien au contraire.
  • Ils se masquent. N’oublie pas que Mussolini et Hitler étaient socialistes à la base.
  • Déjà le point Godwin…
  • Non c’est pas ça, mais tu sais bien que l’extrême droite se fait la gueule de mère-grand sauf que c’est la bête tu vois…
  • Immonde disait Brecht…
  • Oui.
  • Mais dis-moi toi qui est très savant, c’est quoi l’extrême droite à la base ?
  • Ben… Justement les partisans de Benito et d’Adolf.
  • Pas de Joseph, Léon, Vladimir ?
  • Mais non !
  • Pourquoi ? Flûte j’ai dit « pourquoi » désolé… Soyons précis… Zemmour est donc d’extrême droite ?
  • Ben oui.
  • Marine Le Pen ?
  • Évidemment.
  • Marion Maréchal ?
  • Quelle question !
  • Sonia Mabrouk aussi ?
  • Bien sûr…
  • Macron ?
  • C’est un libéral allié objectif de l’extrême droite comme sous Hitler qui était soutenu par le « grand capital ».
  • Mais Hitler peu à peu remplaçait ses patrons par des hommes à lui…
  • Peu importe, je n’ai pas dit qu’il y a qu’une seule extrême droite, attention. Il y a plusieurs courants bien sûr.
  • Donc Zemmour, Marine Le Pen, Marion Maréchal, Sonia Mabrouk, Macron ont du sang sur les mains ?
  • Je n’ai pas dit ça !
  • Tu as dit quoi alors ? C’est quoi l’extrême droite ?
  • Le racisme.
  • C’est quoi le racisme ?
  • Si tu ne sais pas cela, c’est que tu es d’extrême droite…
  • Tu sais bien que non.
  • Mais quand même, fais attention.
  • Je me fais l’avocat du diable, mettons que je sois en CE2 : « c’est quoi le racisme, monsieur ».
  • Déjà en me désignant par mon genre…
  • Ah ?…
  • Oui, demain je peux vouloir qu’on m’appelle Madame…
  • Oui c’est vrai…
  • Ou rien du tout…
  • Oui…
  • Donc appelle-moi par…
  • Un prénom ?
  • Non cela essentialise… Zemmourise…
  • Ah…
  • Oui…
  • Par quoi alors ?
  • Une lettre, un chiffre. Delta c’est bien, par exemple.
  • Mais c’est déjà pris…
  • C’est vrai, Alpha aussi, Bêta aussi et puis c’est connoté… Appelle-moi « L »… Cela sonne bien « l », « elle, aile » c’est poétique…
  • OK « L » ! C’est quoi le racisme ?
  • Préférer soi-même à autrui, or « je est un autre »
  • Ah…
  • Le racisme c’est égoïste…
  • Aime ton prochain à la place de toi-même alors ?
  • Voilà !
  • Encore mieux que le christianisme qui dit « aime ton prochain comme toi même ».
  • Mais oui le christianisme est une religion d’égoïstes en fait… Mais le nouveau Pape s’en est rendu compte, tant mieux !
  • Mais c’est pas un peu esclavagiste ?
  • Euh non, je ne vois pas.
  • Si tu aimes d’abord l’autre et pas toi, c’est que tu fais passer ses désirs avant les tiens comme l’Esclave qui se sacrifie pour le Maître…
  • Mais non ! Par exemple si ton enfant a faim tu lui donnes à manger avant toi.
  • Mais autrui n’est pas mon enfant.
  • Voilà l’égoïsme.
  • C’est cela le racisme alors ?
  • Pareil, si c’est tout pour ta gueule eh bien tu te mets en avant donc au-dessus alors qu’il faut te mettre derrière.
  • Par-derrière ?
  • En plus tu joues à l’homophobe ?!!!…
  • Par-derrière, j’ai dit en général. Cela ne concerne pas seulement les homos…
  • Fais attention à ta langue…
  • Pourtant je lèche bien comme il faut non ?
  • Tu persifles, ma parole !!!
  • Donc l’humour est d’extrême droite aussi ?
  • Sur ces choses-là oui aussi. Je te dis seulement qu’il faut que tu te places derrière…
  • C’est bien ce que je dis… Tu te places derrière… autrui… Pour mieux le…
  • T’es bête ou quoi ?
  • C’est pas raciste ça de cataloguer l’intelligence des gens ?…
  • Tu ne comprends pas, c’est moi qui décide ce qui est raciste ou pas.
  • Explique…
  • Je suis scientifique, c’est la Science.
  • Ah ?…
  • Oui la Science dit qu’il n’y a pas de race, mais l’extrême droite ne le voit pas comme ça et donc te dépeint quand même d’après la couleur de ta peau ils te désignent ainsi donc tu deviens « racisé, genré » il faut se battre contre ça…
  • Contre le fait d’être blanc noir jaune homme femme ?…
  • Voilà !
  • Comment ?…
  • Tu remplaces le pourquoi par le comment maintenant ?
  • Donc les gens d’extrême droite te désignent par ta couleur et ton genre.
  • Voilà…
  • Mais ils le nient, par exemple Sonia Mabrouk, Marine Le Pen, Zemmour, tu leur dis ça ils vont nier…
  • Bien sûr ! C’est ça leur ruse.
  • Ben… Comment on fait alors ?
  • Encore ton « comment » !…
  • Oui, désolé…
  • On les montre du doigt, c’est tout. Ils sont d’extrême droite point barre !
  • Même s’ils le nient ?…
  • Oui…
  • Mais ils vont dire que tu les essentialises aussi…
  • C’est une ruse de théologiens…
  • Même s’ils n’ont pas de sang sur les mains ? Alors que nous quand on a quand même soutenu Lénine, Trotski, Staline Mao Castro les FLN et FNL Pol Pot, Kadhafi, Mugabe, Chavez, Maduro, on a quand même du sang sur les mains non ?…
  • Tu sais bien que c’est du sang de tsariste blanc colonialiste impérialiste ce n’est pas pareil.
  • Le sang vendéen lyonnais celui des Chouans « mauvais sang » ?
  • Voilà… Tu as donc le bon sang et le mauvais sang.
  • Bon sang, mais c’est bien sûr ! Comme au temps de l’aristocratie au bon sang bleu ?
  • Ton humour à deux balles…
  • Désolé…
  • Donc l’extrême droite c’est le mauvais sang qui a répandu le bon sang, la chambre à gaz, le four crématoire quand même…
  • Le camp de travail le Goulag non ce n’était pas du mauvais sang ?…
  • Pas pareil… Tu te fais du mauvais sang là ! Là c’est le bon sang qui a répandu le mauvais sang…
  • Tu défends donc toujours le Goulag ?…
  • Non bien sûr. Mais nous on a répandu le mauvais sang pour la bonne Cause…
  • Les autres disent la même chose aussi…
  • Pas pareil encore une fois, nous on a tué pour sauver l’Humanité, eux ils ont tué pour la purifier…
  • Sauver, purifier…
  • Ce n’est pas pareil…
  • J’ai brusquement envie de voir Godot apparaître tout d’un coup, mais dis-moi, est-ce que sauver ce n’est pas purifier aussi ?…
  • Non, parce que nous on sauve au nom du Progrès, de l’Avenir alors que les autres purifient au nom de la Conservation du Passé.
  • Mais aujourd’hui quand on te dit qu’il faut t’injecter pour sauver autrui et aussi te purifier pour y arriver on n’a pas réconcilié les deux tendances ?
  • Là je ne te suis vraiment pas ! Tu frises le conspirationnisme en plus du complotisme !
  • Tu dis que le clivage entre disons « les » extrême droite et les antiracistes si tu veux c’est que les premiers veulent purifier et les seconds sauver c’est bien ça ? Si oui et dans ce cas aujourd’hui avec l’obligation « injectale » si tu veux on fait bien les deux non, sauver ET purifier ?…
  • Oui, mais c’est un secret, faut pas le dire…
  • Faut pas dire quoi ?
  • Tu veux que je te le dise ?
  • Ben oui.
  • Tu n’as pas lu « L’instant de ma mort » de Blanchot ?
  • Euh non…
  • Mais après faudra que je te tue.
  • Pourquoi ?
  • T’as dit pourquoi…
  • Désolé
  • Tu veux vraiment que je te le dise ?…
  • Oui…
  • Mais tu vas mourir…
  • Je suis déjà mort…
  • C’est vrai… J’oubliais (donc t’as lu Blanchot ? Cachotier va !) Eh bien je vais te le dire : le système immunitaire dit naturel EST d’extrême droite…
  • Quoi ?!!!
  • Tu penses que tu as un système immunitaire ?
  • Ben oui, il paraît…
  • Mais ce système c’est l’égoïsme lui-même !
  • Ah bon ?…
  • Oui ! Il filtre, catégorise, colonise et tue… C’est le suc de l’égoïsme… Il faut le déconstruire…
  • Ah oui « l’homme déconstruit » !
  • Voilà !
  • Mais déconstruire c’est pas un peu détruire aussi ?
  • Mais non Gaston ! On t’injecte de bons trucs, qui vont susciter une réaction de ta part pour te mettre en alerte.
  • Ah oui comme sœur Anne !
  • Voilà !
  • Et si rien ne vient ?…
  • T’inquiète ! les méchants virus attaquent comme l’extrême droite, mais heureusement que les bons anticorps que la Science a fabriqués pour toi viennent te défendre. Tu n’as plus besoin de tes anciens anticorps, vieillots, racistes, et puis la propriété, le propre, c’est dépassé.
  • Ah ?
  • Mais oui ! Tes anticorps, ton corps, ta femme, ta voiture, ton appartement : fini, tout ça. Vois cela comme une immense partouze ou une chaîne de montage sans début ni fin, sans envers ni endroit. Tout est remplaçable, déplaçable : monsieur/madame, vie privée/vie publique, intérieur/extérieur, fini ; c’est l’extrême droite, cela, tu vois.
  • Oui…
  • Bon, tu l’auras voulu alors !
  • Pitié !
  • Bon OK, mais fini les pourquoi, comment, etc. d’accord ? Plus de questions !
  • C’est quoi une question ?
  • L’extrême droite.
  • Compris…



Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma

[Source : courriel]

Le graphique ci-dessus montre les liens entre la Fondation Gates, le Wellcome Trust, l’OMS, GAVI, d’autres ONG et Big Pharma… Il contient environ 6500 objets tels que des personnes, des ONG, des entreprises, des documents, etc. Il comprend également plus de 7200 liens entre eux.

Toutes les informations sont accessibles au public.

Les diapositives suivantes présentent quelques organisations sélectionnées dans ce graphique. En raison de sa complexité, il ne montre que le premier niveau de connexions.

Dans un premier temps, vous obtiendrez des informations générales sur les personnes des agences gouvernementales, des entreprises et des organisations non gouvernementales, ainsi que sur certains événements ou groupes importants. Plus loin dans ce document, vous trouverez une analyse des liens entre ces « parties prenantes ».

Les lignes rouges sont toujours des paiements, mais il se peut que certaines lignes noires soient également des paiements. Veuillez consulter la description du lien.

Faites-vous votre propre opinion et faites vos propres recherches !

2021-09-12


Le document complet est en anglais et seule la première page a été traduite (ci-dessus)


Quelques diagrammes et tableaux extraits du document

Total Grants by Bill & Melinda Gates Foundation (1994-2021) – Top 50 Rows

https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants

World Economic Forum (WEF) [Forum Économique Mondial]

GAVI




Obélix et le Pass sanitaire

[Transmis par Christine Côte]

[Note de Joseph : n’étant pas Obélix et n’ayant pas ne serait-ce que le dixième de sa force physique, le commun des mortels gagne bien sûr à trouver des solutions plus adaptées que la violence.]