Plus de 1500 à Lyon : un bon début pour cette belle au bois dormant

Par Lucien-Samir Oulahbib

Rassemblement statique place Carnot près de la gare Perrache, puis cortège spontané dense et très hétérogène avec deux mots d’ordre « liberté » et « Macron ton passe on n’en veut pas ».

mais des hésitations le long de la Saône devant des cordons de police avant de longer place Bellecour. » la police avec nous », scandent quelques manifestants. Une bobo au balcon met son pouce en bas. Des gens dans la foule lui font un doigt. Tout est dit de cette « France (?) d’en haut », arrogante et suffisante, mais personne ne l’insulte. Foule bon enfant, sur un nuage, pour aller vers le Rhône et prendre le pont de la Guillotière, avant d’hésiter encore, d’aucun voulant taquiner les cordons qui à gauche empêchent d’aller vers la place Bellecour. Reste plus que prendre le pont pour aller vers la Préfecture ?

J’esquisse cette idée, mais rien. Non, cela se scinde. Dommage. Puis cela reprend et tourne à droite, en partie le long des Universités, de la piscine du Rhône. J’en profite pour demander que l’on me rembourse ma carte. Le vigile rigole et me sort qu’il connaît des gens morts du virus, je lui réponds que la grippe tue aussi et beaucoup selon les années, bien plus de jeunes aussi. Or ici, à ce que je vois dans les bassins extérieurs, ce sont plutôt ces tranches d’âge et moins les personnes très âgées qui viennent, mais rien n’y fait bien sûr. Je ne serais pas remboursé, vient-il tout de même me répondre après avoir été demandé [à son patron]. Je lui parle des traitements dont on n’a pas besoin, du passe qui trépassera…

Retour à la manif. Toujours ce flottement d’un mouvement sans direction déjà perçu dans les premières manifs de GJ, mais quelque chose de puissant en attente, une soif de justice, une fibre a été touchée, des gens de tous les horizons, une atmosphère des Trois Glorieuses peut-être. Ils étaient en tout cas bien plus nombreux que les samedis précédents aux dires de certains. N’oublions que Lyon est une ville cossue qui se vide durant les W.E en été, et nous sommes en pleines vacances.




Dans le viseur de l’État

[Source : revue-ballast.fr via legrandsoir.info]

Discussion entre Vanessa Codaccioni et Eléonore Weber

Nous retrouvons Vanessa Codaccioni et Eléonore Weber dans un café. La première est historienne et politologue, spécialiste de la justice pénale et de la répression ; la seconde autrice, metteuse en scène et réalisatrice. Toutes deux observent les mécanismes de répression, de surveillance et de délation à l’œuvre au plus haut niveau des États : qui nous surveille ? selon quels procédés ? avec quels objectifs ? Le dernier film d’Eléonore Weber, Il n’y aura plus de nuit, est un montage de vidéos de frappes américaine et française sur des zones de guerre impérialiste (Afghanistan, Irak, Pakistan), enregistrées par les caméras infrarouges d’hélicoptères. Le spectateur voit ainsi ce que voit le soldat, avant de mettre à mort un ensemble de pixels. Le dernier ouvrage de Vanessa Codaccioni, La Société de vigilance, est sous-titré  » Auto-surveillance, délation et haines sécuritaires  » : il éclaire l’avènement de nos sociétés de contrôle permanent. Traçage, fichage, vidéosurveillance, signalements à grande échelle : la résistance est faible. Nous tenions à les faire se rencontrer.


Les images du film Il n’y aura plus de nuit proviennent d’Internet et sont en libre accès. Que nous disent-elles de l’appareil d’État ?

Vanessa Codaccioni : L’État veut voir des corps menaçants, des corps dangereux, et il veut aussi montrer qu’il les voit, qu’il les surveille et qu’il peut les éliminer. Autrement dit, à travers ces images, on voit la puissance de l’État et sa capacité à surveiller, à sécuriser et à tuer. Les agents de l’État construisent des menaces rien qu’en regardant, en contrôlant, en perquisitionnant, en arrêtant dans la rue. C’est une manière d’attirer l’œil et le regard citoyen sur des corps devenus dès lors dangereux. Dans le film, on ne les voit même pas, ces corps : on les devine talibans, on les devine dangereux, on les devine terroristes : mais en réalité on n’en sait rien. Que les pilotes regardent ces corps suffit à en faire des corps dangereux — et donc tuables. On sait aussi très bien que l’État choisit de visibiliser certaines actions de répression plutôt que d’autres. Pourquoi certaines sont-elles accessibles ? Pourquoi d’autres ne le sont pas ? Sans doute parce qu’il s’agit de faire croire que l’État est transparent alors que nous sommes dans un moment où les gouvernements veulent de plus en plus invisibiliser la répression et nous empêcher de regarder ce qu’ils font, notamment en matière de lutte antiterroriste. Il est intéressant de rappeler que le 30 juin 2021, une loi a été votée au Sénat : les archives — notamment celles des services de renseignement — ne seront plus accessibles. Ce qui montre que nous sommes dans un contexte où, précisément, on peut de moins en moins voir ce que font les agents de l’État en matière de punition et de répression — que ce soit l’armée, la police ou les services de renseignement. Les images, comme celles d’Il n’y aura plus de nuit, nous semblent donc extraordinaires, interdites, secrètes — alors qu’il devrait être normal d’y avoir accès.

« Nous sommes dans un moment où les gouvernements veulent de plus en plus invisibiliser la répression et nous empêcher de regarder ce qu’ils font. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : Ces images ont été publiées par des soldats et non par les armées. Ils ont l’obligation d’enregistrer sur une clé USB chacune de leurs missions : il leur est très facile de les publier ensuite. Ils le font en toute illégalité. Je ne suis pas allée fouiller dans des archives inaccessibles pour trouver ces images. C’est un spectacle qui existait déjà sur Internet : je n’ai fait que le déplacer, le montrer autrement. L’hypothèse du pilote avec lequel j’ai discuté1, c’est qu’après l’affaire Wikileaks révélant la fameuse bavure en Irak2, l’armée américaine s’est dit qu’il fallait quand même montrer qu’elle tuait de « vrais » terroristes, et pas seulement des civils. L’armée aurait montré une certaine tolérance concernant la publication de ces images classées secret-défense : en quelque sorte, ça l’arrangeait. C’est une forme de propagande indirecte. Je suis d’accord sur le fait que l’enjeu est double : le pouvoir a à la fois besoin de montrer et de cacher ces images.

Vanessa Codaccioni : C’est l’inverse des actions menées par le lanceur d’alerte, qui ont pour but de faire voir ce qu’on ne veut pas montrer. Ici, il s’agit au contraire de montrer ce qu’ils jugent être bien.

Eléonore Weber : À vrai dire, je n’ai pas eu de scrupule moral à montrer moi-même ces images du fait qu’elle étaient déjà largement diffusées sur le Net. J’en aurais eu davantage si j’avais directement eu accès à des images de l’armée, dont la vocation n’est en effet pas d’être regardée comme on regarde des images de cinéma. Il me semble par ailleurs que leur violence tient précisément au fait qu’elles mettent à distance la violence. Ce qui est violent, c’est qu’il soit supportable de les regarder.

Vanessa Codaccioni : C’est tout l’enjeu de ton film, qui peut se regarder comme un jeu vidéo. Il y a une telle déréalisation des corps, de la mort, de la guerre, comme le dit Grégoire Chamayou dans Théorie du drone… Tu ne sais plus où tu es, si tu es dans un film de science-fiction, dans un jeu vidéo… Et puis, petit à petit, tu réalises.

Eléonore Weber : Ça montre aussi à quel point la guerre est elle-même porteuse d’un projet esthétique. En regardant ces images, on voit comment le pouvoir se représente lui-même et comment il représente le monde.

Vanessa Codaccioni : Ces images peuvent fasciner pour ce qu’elles ne sont pas. Elles peuvent fasciner car elles ont une esthétique qui ne montre précisément pas la mort.

Éléonore Weber : Je pense que le désir de voir la mort est très largement partagé même s’il est plus ou moins assumé. Il y a une séquence dans le film où suite à l’explosion d’une mine, les corps sont littéralement volatilisés et les pilotes continuent de regarder alors qu’il n’y a plus rien à voir. Ils tournent longuement autour de ce vide, eux-mêmes sidérés. C’est l’un des moments où la caméra se détache du viseur…

Dans votre film, Eléonore, le soldat scrute les mouvements des corps. L’observation est un préalable à l’exécution : un seul regard a donc le pouvoir de tuer ? 

Eléonore Weber : En principe, tuer par le regard relève de l’impossible. Mais c’est néanmoins un vieux fantasme que la sophistication de ces technologies de guerre est quasiment parvenue à réaliser : celui de l’œil qui tue. La caméra et le viseur sont en effet une seule et même chose dans le dispositif que nos démocraties ont inventé pour faire la guerre. Ce qui pose des questions vertigineuses sur la fonction du regard. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à faire ce film.

Vanessa Codaccioni : Elle est complexe, cette question. L’acte de regarder peut avoir des conséquences répressives qui peuvent aller jusqu’à faire tuer. Je ne dirais pas « tuer » ; j’insiste sur le « faire tuer ». Regarder l’autre, c’est déjà possiblement en faire un suspect, le considérer comme une menace, comme un corps dangereux. Regarder peut également amener à dénoncer, à signaler un comportement aux autorités, et donc, aboutir à l’intervention des appareils répressifs : perquisition, arrestation, garde à vue, procès, voire exécution extrajudiciaire ou actes de torture peuvent s’ensuivre. Comme c’est le cas au camp de Guantánamo, dans lequel se trouvent, ou se sont trouvés, emprisonnés des gens dénoncés. L’œil peut ainsi être le préalable à des formes de répression extrêmement graves qui peuvent aller jusqu’à la mort.

« C’est Obama qui a imposé l’idée selon laquelle, puisqu’il est trop compliqué de faire des prisonniers, il vaut mieux les tuer. [Eléonore Weber] »

Eléonore Weber : Sauf que sur le terrain de la guerre, ce n’est précisément pas un simple préalable. Il y a une jonction étroite tête-caméra-canon, et donc un lien presque instantané entre voir et tuer. Mais je te rejoins quand tu dis que filmer quelqu’un, le surveiller, fait d’emblée de lui une menace potentielle. Il y a aussi cette notion de légitime défense différée, très utilisée dans ces guerres-là : elle permet de considérer que l’on est autorisé à tirer sur un individu de manière préventive, avant même qu’il ne constitue une menace réelle. C’est ainsi que les soldats israéliens ont justifié le fait de tirer sur de simples manifestants, en prévision d’une hypothétique attaque terroriste.

Vanessa Codaccioni : Cette notion de légitime défense, appliquée à la lutte antiterroriste, est très intéressante. Les USA ont fait un coup spectaculaire en inventant une riposte défensive contre des groupes terroristes — ce qui n’existait pas auparavant en droit international —, qui leur permet d’intervenir militairement un peu partout au nom de la légitime défense. On leur a accordé un droit de tuer en son nom.

Eléonore Weber : C’est toute la doxa forgée sous Obama. C’est lui qui a imposé l’idée selon laquelle, puisqu’il est trop compliqué de faire des prisonniers, il vaut mieux les tuer. Avant ça, rappelons qu’il y a eu Abou Ghraib3 ! Le scandale qu’ont suscité les exactions commises dans cette prison a participé au développement de cette nouvelle idéologie des armées occidentales, cette licence to kill.

Vanessa Codaccioni : Ça montre deux choses fondamentales. Premièrement, qu’on a de nouvelles interactions entre des États qui veulent tuer et des terroristes dits islamistes qui souvent ne veulent pas être pris, et qui se font donc mourir. Deuxièmement, que les modalités et les formes de la répression changent : dans ce cadre-là, il n’y a plus de procès. En tout cas, les procès d’ennemis intérieurs deviennent de moins en moins importants. Surtout, ce qui prime désormais, c’est l’invisibilisation : Abou Ghraib, Guantánamo et les exécutions extralégales participent de la disparition des corps ennemis, mais aussi de la moindre visibilité de la violence étatique.

Faire la guerre « d’en haut » avec des drones, avions ou hélicoptères, est-ce considéré par l’armée comme plus « éthique » qu’un conflit sur le terrain ? 

Eléonore Weber : Les gens se demandent ce qu’est une « guerre juste », si tant est qu’une guerre puisse l’être. Dans le cas de soldats qui visent d’en haut et bombardent des cibles désarmées ou peu armées, nous ne sommes en effet plus dans un contexte de guerre classique où deux armées se font face, ce qui entraîne un grand flou juridique. La Convention de Genève n’est la plupart du temps pas applicable, car les talibans, les « insurgés » ou les groupes islamistes ne l’ont évidemment pas signée, n’étant pas habilités à le faire. Du coup, les démocraties sont en quelque sorte condamnées à définir elles-mêmes ce qu’il est ou non possible de faire. La puissance se donne ses propres limites : autant dire que dans ces conditions, elle ne s’en donne pas… Aucune convention ne l’y oblige. Dans mon film, on voit régulièrement des hélicoptères s’acharner sur des blessés, leur tirer plusieurs fois dessus. Cette grande asymétrie n’est pas sans poser question aux états-majors occidentaux, qui semblent n’avoir aujourd’hui qu’un seul principe éthique : celui de l’immunité de leurs propres soldats. Ceux-ci sont désormais hors d’atteinte et l’objectif des armées est le suivant : « Zéro mort chez nous. »

Vanessa Codaccioni : Sans qu’ils considèrent ceux qui sont en face comme des humains.

Eléonore Weber : Oui, cette manière de mener la guerre s’accompagne d’une négation radicale de l’autre, qui est destitué de son humanité. C’est d’ailleurs sensible dans les images que je montre : on ne voit pas les visages, on n’entend pas les voix. L’autre n’est plus qu’une figurine luminescente condamnée au silence.

« Cette manière de mener la guerre s’accompagne d’une négation radicale de l’autre, qui est destitué de son humanité. [Eléonore Weber] »

Vanessa Codaccioni : « Les terroristes ne sont pas des hommes : ce sont des bêtes », voilà un argumentaire qui vise à dénier à ceux soupçonnés de l’être la possibilité de bénéficier de droits et de garanties fondamentales. « Ce sont des bêtes » à qui on peut tout faire : à qui on peut donner la mort, bien sûr, mais qu’on peut aussi torturer. Et toutes les justifications de la torture aux USA vont précisément passer par ce genre de rhétorique.

Eléonore Weber : Grâce à ces justifications, l’État et le gouvernement peuvent eux-mêmes commettre des actes atroces.

Vanessa Codaccioni : Ils commettent des exactions. C’est ce que Jacques Derrida appelle l’auto-immunisation : on va s’injecter un peu de la violence des ennemis à combattre pour y faire face. On peut évoquer une sorte de symétrisation des violences : à la violence, à la barbarie et aux exactions, parfois seulement supposées, vont répondre la barbarie et la violence étatiques, légitimées et légalisées.

Eléonore Weber : Et ça, c’est bien une trace, le reste d’une logique qui voudrait que l’on applique une règle commune à ce qu’on peut faire ou non à l’autre. Et comme dans ce cas il n’y a pas de règles communes et qu’il est complètement impossible de placer de limites, alors l’horreur peut commencer.

Le spectateur, dans Il n’y aura plus de nuit, est confronté à des images de guerre vues d’en haut ; il regarde ces images du point de vue du soldat qui les filme. Que voit le spectateur que le soldat ne voit pas, lorsqu’il regarde le film ? 

Eléonore Weber : Le spectateur voit comment le soldat regarde. Et peut-être qu’à force d’être confronté à ces images, il finit aussi par se voir les regardant. La voix off ouvre un espace de pensée : je l’ai écrite afin qu’elle permette au spectateur de ne pas être assigné à la place du tueur. Le soldat, lui, est englouti dans sa propre pulsion insatiable. Il ne se voit pas agir car aucun regard ne se porte sur lui. Je crois que le spectateur voit, au bout du compte, ce que c’est que voir, il est aux prises avec sa propre pulsion scopique.

Vanessa Codaccioni : Il y a quand même un piège dans ces images. D’une part la déréalisation, et d’autre part le fait de s’assimiler à celui qui regarde, qui va tirer ou qui cible. C’est un danger dans une société où on nous incite justement à développer un regard et un œil sécuritaires.

Eléonore Weber : C’est pour ça que j’ai fait ce film, pour ajouter un autre terme à ce regard appareillé, à cet œil-machine. Cet autre terme, c’est le regard du spectateur — à commencer par le mien. C’est aussi pour moi une manière de contredire l’ambition de ces technologies, qui est d’annihiler toute forme de subjectivité. Dans le film, à certains moments, le spectateur peut en effet aller jusqu’à ressentir lui-même l’envie de tirer. Mais je pense qu’il a ensuite l’espace pour se ressaisir et avoir un rapport réflexif vis-à-vis de sa propre position.

Vanessa Codaccioni : Heureusement qu’il y a tout un travail de détournement de ces images — et la voix off qui les accompagne participe de ce détournement. Mais si tu prends les images brutes de ces missions, il y a un risque d’assimilation : d’où la nécessité de recontextualiser. Après, si on coupe le son, chacune et chacun peut les regarder de façon totalement différente : de manière totalement outragée, alarmiste, inquiète, ou d’autres manières. Quelqu’un qui est fasciné par la mort, ou par le pouvoir d’État précisément, peut y trouver un objet de satisfaction — et même de plaisir.

Eléonore Weber : Le risque en effet serait de penser en voyant ce film que l’État est décidément tout-puissant, et d’en être rassuré. Aucun spectateur ne m’a fait ce retour, à vrai dire, et je ne crois pas que le film suscite ce type de réaction…

En octobre 2019, Emmanuel Macron a appelé la nation à se mobiliser pour faire face à « l’hydre islamiste » : « une société de vigilance, voilà ce qu’il nous revient de bâtir4 ». 

Vanessa Codaccioni : La vigilance, c’est un joli terme. Le philosophe Frédéric Gros parle d’ailleurs de la vigilance comme étant une manifestation de la bienveillance. Être vigilant, c’est demander à l’autre comment il va, ce qu’il a fait de sa journée, s’assurer que tout va bien. Le problème est que sa définition a changé et que nous vivons dans une société d’injonctions à la vigilance sécuritaire : se surveiller les uns les autres, regarder l’autre, l’espionner, voire le harceler, voilà ce qu’on nous demande de faire. Et quand Emmanuel Macron prononce cette phrase, il participe activement à cet appel à la vigilance sécuritaire, à l’autosurveillance, et même à la délation. D’ailleurs, à cette phrase, il ajoute qu’il faut « repérer les petits riens » qui signalent un éloignement d’avec la République.

« Se surveiller les uns les autres, regarder l’autre, l’espionner, voire le harceler, voilà ce qu’on nous demande de faire. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : C’est terrible, cet emploi de l’expression « les petits riens »…

Vanessa Codaccioni : Oui. Cette prise de parole, qui s’adressait en particulier aux fonctionnaires, a fait scandale. Trois jours après — lien ou pas —, les membres de la communauté universitaire de Cergy-Pontoise ont reçu une grille de signes de radicalisation qu’ils devaient dénoncer : le port de la barbe sans moustache, d’une djellaba, l’absentéisme aux heures de prière, etc. Les critiques ont été telles qu’ils ont retiré cette grille de comportements devant être considérés comme suspects.

Dans Il n’y aura plus de nuitles corps qui apparaissent à l’écran ne peuvent être vus en détail selon une telle grille. Ils représentent simplement des corps et, parce que les soldats les visent, ils relèvent de la menace…

Eléonore Weber : Plus que « simplement des corps », ils représentent un agrégat de pixels. Les spectatrices et les spectateurs ont très peu renvoyé ces silhouettes fantomatiques à leurs identités particulières. Ce qui n’est pas si surprenant, car ces images ont pour effet de déréaliser les corps et les paysages. Si j’ai moi-même choisi de mettre hors champ la dimension géopolitique, de ne donner aucun repère concernant le pays ou l’année de l’intervention, c’est pour renforcer encore cet effet de lissage. Je voulais montrer à quel point ce système de surveillance homogénéise le paysage, le terrain de guerre et…

Vanessa Codaccioni : Et les corps !

Eléonore Weber : Et les corps, oui. Il y a presque une contradiction entre la stratégie de la vigilance dont tu parles, consistant à déceler « les petits riens » qui identifieraient une personne, et un système de surveillance qui désincarne et déshumanise suffisamment les corps pour qu’aucune particularité, ou presque, ne soit repérable. Sur le théâtre des opérations, le soldat doit malgré tout opérer des distinctions, entre le port d’un objet inoffensif et celui d’une kalachnikov, par exemple. Mais on s’aperçoit que plus ils cherchent à savoir et à voir, plus ils commettent des erreurs.

Vanessa Codaccioni : Je ne pense pas qu’il y ait de contradiction fondamentale : ces deux volets se complètent. D’un côté, il y a la surveillance de l’État et de ses institutions répressives, qui est massive, englobante et fonctionne sur la présomption de culpabilité. De l’autre, il y a l’œil du citoyen qui, lui, doit fouiller, chercher et trier entre le bon et le mauvais musulman : dans la rue, le centre commercial, le métro, etc. Ce qui est vrai en revanche, c’est qu’il ne s’agit pas des mêmes formes de répression. L’une renvoie au fait de surveiller, de débusquer, tandis que l’autre, à laquelle fait écho ton film, renvoie aux exécutions extralégales et au « faire mourir ». Et « faire mourir » — selon une expression de Michel Foucault —, ce n’est évidemment pas la même chose que surveiller, débusquer.

Qu’est-ce qui est le plus dangereux : la technologie qui tue ou celui qui la manie ? 

Vanessa Codaccioni : J’aurais tendance à dire que les deux sont très dangereux, que ça dépend des formes et des niveaux de répression exercés. S’il s’agit de répression étatique, les hommes sont interchangeables : l’homme derrière la machine peut être éjecté et remplacé à tout-va. Ainsi, peu importe celui qui est derrière la caméra de reconnaissance faciale ou derrière le drone : les hommes changeront, la machine restera. C’est comme une institution, au sens qu’en donne le sociologue Émile Durkheim : quelque chose qui survit à l’homme. La machine aussi survit à l’homme, bien qu’elle soit créée et utilisée par lui. La véritable question est celle de l’autonomie et des ressources dont dispose, non pas celui qui construit et pense la machine, mais celui qui la fait fonctionner contre des cibles qui lui ont été désignées. Et il y a aussi des formes de répression privées, exercées par des citoyens contre d’autres citoyens. Ceux qui patrouillent armés dans les rues aux États-Unis par exemple, mais aussi ceux qui participent à la surveillance latérale. Là il n’y a pas de machine, ni de technologie : l’œil seul suffit, et ce sont nos propres organes qui servent de surveillance. C’est tout aussi dangereux ; mais il me semble qu’ici la variable humaine réintroduit de l’aléatoire.

« En tant que citoyens, en tant que consommateurs surtout, ne sommes-nous pas également toutes et tous interchangeables ? [Éléonore Weber] »

Eléonore Weber : J’ai une position assez différente. On parle beaucoup d’une autonomisation de la machine, et particulièrement de la machine de guerre, grâce à la technologie. On fantasme sur le fait que des drones totalement autonomes — il est vrai qu’ils existent — finiront par remplacer les hélicoptères et les drones pilotés par des humains. Or, en réalité, chaque fois qu’on a fantasmé sur tout ça — les soldats-robots et autres —, ça ne s’est jamais vraiment réalisé. Je pense au contraire qu’à mesure que ces technologies se développent, elles ont de plus en plus besoin qu’il y ait quelqu’un derrière la caméra. Les caméras dont sont dotés les hélicoptères ont aujourd’hui une « puissance de voir » bien plus intense que celles qu’on utilise au cinéma. Et cette puissance de voir sollicite un regard qui cadre et qui scrute, pour deux raisons : d’abord parce qu’elle procure une forme de plaisir ou de jouissance, liée précisément au désir de voir, à la pulsion scopique. Et il faut bien que quelqu’un puisse jouir de cette position de toute-puissance. Ensuite, parce qu’il n’y a aucune raison de se passer d’un sujet humain pour exercer ce type de cruauté. Le désir de voir — pulsion très humaine — qui est en jeu dans cette manière de faire la guerre est au contraire mis au service du projet de mort. D’ailleurs, si ces images étaient « purement opératoires », comme disait Farocki, si elles n’avaient aucun lien avec le cinéma, il n’aurait pas été possible d’en faire un film. Les spectateurs n’auraient pas pu les regarder durant une heure quinze. Cette passion de voir est, je crois, commune au pilote, au cinéaste et au spectateur. Et puis les pilotes doutent, ils ne sont jamais sûrs de ce qu’ils voient. Ce qui ne les empêche d’ailleurs pas de tirer. Celui avec qui j’ai discuté parle même d’une « culture du doute ». Le doute est pour moi le signe qu’il y a bien quelqu’un derrière la caméra. Et l’ambition de supprimer tout aléa humain, ambition qui se trouve au cœur de toute cette entreprise technologique, est selon moi vouée à l’échec, pour le moment en tout cas.

Vanessa Codaccioni : Bien sûr, on sait que les soldats doutent, hésitent, peuvent résister… mais je crois beaucoup, malgré tout, à l’interchangeabilité des hommes qui sont derrière la machine.

Eléonore Weber : Il ne faut pas oublier que les pilotes subissent aussi des traumatismes liés à ce qu’ils ont vu. Il leur arrive de suivre quelqu’un pendant des jours et des jours pour ensuite devoir le tuer…

Vanessa Codaccioni : Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’expérience vécue de la surveillance, qu’elle soit exercée ou qu’elle soit subie. Ce que je veux dire, c’est que même si le pilote d’un drone est en situation de détresse psychologique, il va être remplacé et son désespoir n’aura rien changé, ou très peu.

Eléonore Weber : Le soldat ne fait qu’exécuter les ordres et à ce titre, il est éminemment remplaçable. Les citoyens ont au moins la possibilité de résister à l’arbitraire. Cela dit, les penses-tu tout à fait libres d’inventer et d’exercer cette résistance ? En tant que citoyens, en tant que consommateurs surtout, ne sommes-nous pas également toutes et tous interchangeables ? Nos choix sont loin d’être majoritairement le fruit du libre arbitre.

Vanessa Codaccioni : Oui et non. Il y a un système de violence d’État, un système de répression qui utilise à la fois des dispositifs, ou des technologies, de pouvoir et des sujets citoyens. Il y a plusieurs rapports en jeu à l’intérieur de ce système de répression : le penser, le faire appliquer, le subir, l’observer ou le critiquer. Dans ce dernier cas, on peut écrire, manifester, saisir le droit, mais ce n’est souvent pas suffisant. Ce qu’il faut, c’est supprimer les dispositifs et ce qui les rend possibles, c’est-à-dire soit modifier la pensée répressive d’État, soit légiférer — comme l’a fait Badinter avec la peine de mort. Mais ça, c’est être au pouvoir. Servir le pouvoir limite considérablement les possibilités de résistance : c’est le cas du pilote de drone.

Eléonore Weber : Bien sûr, mais tu es d’accord pour dire qu’ici, c’est davantage idéologique que « machinique ». Par ailleurs, dans des endroits comme Abou Ghraib, certains actes n’ont-ils pas été accomplis par des humains qui y trouvaient leur compte ? C’est-à-dire qui ne se contentaient pas d’exécuter des ordres ?

Vanessa Codaccioni : Il y a une réappropriation personnelle de la pensée répressive et punitive d’État. Selon la trajectoire des individus, leur passé et histoire, leurs ressources, leur adéquation ou non à l’idéologie, il va y avoir des actes plus ou moins violents. Certaines personnes vont se contenter d’appliquer les ordres, d’autres le feront avec bien plus de zèle, voire de monstruosité, puisqu’on parle d’Abou Ghraib. Mais le gardien de prison sera toujours le gardien de prison. Le pilote du drone restera toujours le pilote du drone. Bien sûr qu’il y a du libre arbitre, bien sûr qu’il peut y avoir des décisions personnelles, des résistances, des refus — rares et individuels : mais si on lui demande de tirer, le pilote, dans la plupart des cas, tirera. C’est qu’il y a des ordres, des individus qui les exécutent, et un système qui permet les ordres.

Dans le film, le viseur du soldat évoque le panoptique de Bentham. Il semble omniscient : il voit tout mais personne ne le voit. À la fin, l’objet filmique se retourne et on voit la famille d’un soldat faire des signes à la caméra dans le ciel. Le viseur est vu par ce qui pourrait être sa cible. Le panoptique se brise-t-il à ce moment-là ? 

Eléonore Weber : C’est le seul contrechamp du film. Si je l’ai mis, c’est précisément pour qu’on se saisisse du fait qu’il n’y en a pas le reste du temps. Ce sont des enfants américains qui filment, du sol, leur père alors que son hélicoptère part s’entraîner. On n’est donc pas au Moyen-Orient, et il ne s’agit pas d’une opération de guerre. Le sens politique et esthétique de cet ultime retournement est en réalité de montrer que les images du pouvoir sont, par définition, sans contrechamp, comme le remarquait déjà Serge Daney5 lors de la première guerre en Irak.

Vanessa Codaccioni : Est-ce que le panoptique se brise à ce moment-là ? Je n’en suis pas certaine.

« Nous sommes aujourd’hui à la fois les prisonniers de la prison de Bentham et à la fois ses surveillants. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : Non, parce que c’est une image qui fait exception. On est aux États-Unis, ces enfants filment leur père et ça n’a rien à voir avec la guerre. Le panoptique se brise à un autre moment selon moi, quand des civils jouent avec des lasers. C’est une pratique assez répandue dans d’autres pays que le nôtre : projeter des faisceaux laser sur les hélicoptères ou les immeubles pour faire croire à une attaque, et duper les forces de l’ordre. J’ai trouvé un certain nombre de séquences de ce type. On voit ensuite la police arrêter toute une famille alors qu’il s’agissait d’un simple jeu, d’une anodine provocation. Pour moi, c’est une petite insolence, une manière de dire « On voit que tu nous vois ». Ça perturbe un instant le dispositif de surveillance, qui repose sur le fait qu’aucun regard ne se porte jamais sur l’œil du pouvoir.

Vanessa Codaccioni : Je ne crois pas que le panoptique se brise, car le panoptique permet de voir sans être vu, ce qui est le cas de l’État. Mais du côté de la population surveillée — selon les théories de Bentham, reprises par Foucault —, ses membres vont modifier leur comportement, se sachant peut-être surveillés. C’est la fonction disciplinaire du panoptique : une personne va éviter de faire certaines choses par peur d’être arrêtée mais elle va aussi, peut-être, montrer qu’elle se sait surveillée. Dans tous les cas, elle accomplit des gestes en raison de la surveillance subie. La surveillance est gagnante ici, donc le panoptique n’est pas renversé. Par ailleurs, je pense qu’on évolue dans une société où le panoptique est complètement élargi : nous sommes aujourd’hui à la fois les prisonniers de la prison de Bentham et à la fois ses surveillants. C’est plutôt dans un panoptique total que nous vivons, et sa fonction disciplinaire n’a jamais été aussi forte : non seulement on se sait surveillés, mais en plus, désormais, on nous demande de surveiller les autres ou de nous surveiller entre nous. Il y a un renforcement total de la société et de la gouvernance panoptiques.

Eléonore Weber : Mais ne peut-on pas dire que lorsque des citoyennes et citoyens filment les forces de l’ordre en manifestation, il y a une inversion du panoptique ?

Vanessa Codaccioni : Non, ce n’est pas une inversion du panoptique. C’est une réaction, une résistance, mais ça ne le retourne pas. On y reste, car il s’agit d’une autre forme de surveillance de l’autre, qui s’exerce parallèlement. Un lanceur d’alerte comme Snowden surveille l’État : même s’il s’agit d’une surveillance du bas vers le haut — regarder ce que font les agents de l’État — et non d’une surveillance descendante, il s’agit toujours d’une forme de surveillance, en réaction à cette dernière. Nous sommes dans le panoptique mais nous pouvons utiliser d’autres types de surveillance pour y résister.

Vanessa Codaccioni, vous écrivez : « Les appels aux injonctions sécuritaires s’ancrent dans une politique de détournement du regard. » Et vous ajoutez que, « Néanmoins, s’il faut bien voir, il ne s’agit pas de regarder ailleurs ». Comment être confronté aux images dans une politique de détournement du regard ?

Vanessa Codaccioni : C’est là que c’est très compliqué. L’État, les gouvernements, les systèmes de répression orientent notre regard et en ont une captation sécuritaire. Nous sommes censés regarder l’autre à travers une lorgnette extrêmement étroite : certaines institutions, certaines activités sociales, certains corps. Comment détourner ce regard-là ? comment regarder ce que l’on n’est pas censé voir ? Ici, c’est toute la question de l’image qui se pose : pouvoir filmer la police, avoir accès aux informations des services de renseignement, avoir accès aux archives. Comment faire pour maintenir notre droit minimum de regard sur l’État dans ces conditions ? comment regarder ailleurs ? d’autres cibles que celles que nous montre l’État ? Je pense qu’effectivement, il faut regarder là où on ne veut pas que l’on regarde. Mais c’est difficile, si on t’empêche de le faire. Il existe quand même des formes d’espoir. Je pense aux colleuses féministes qui incarnent un exemple intéressant de captation militante du regard, et nous incitent à regarder des faits que l’État ne veut pas que l’on voie et sur lesquels les pouvoirs publics n’investissent pas, à savoir les violences conjugales et les féminicides. Leur démarche du collage dans la rue est intéressante parce que ça attire notre regard, ça capte notre attention et ça nous détourne précisément de ce que l’État veut que nous voyions. Ce n’est pas pour rien que j’ai terminé mon livre là-dessus, sur cette réappropriation citoyenne du regard. Les colleuses féministes sont nécessaires dans une société où notre attention est complètement captée par le démarchage, les publicités, nos smartphones, les campagnes politiques, etc.

« L’affichage est une pratique révolutionnaire. C’est intéressant parce que ça utilise des moyens presque archaïques. [Eléonore Weber] »

Eléonore Weber : L’affichage est une pratique révolutionnaire. C’est intéressant parce que ça utilise des moyens presque archaïques, des choses très simples, qui se font dans la rue. Peut-être qu’il faut justement différencier le fait de regarder et celui de surveiller : surveiller son enfant, par exemple, ce n’est pas le regarder. Ces collages ne détournent pas le regard, mais nous font regarder les choses autrement.

Le titre Il n’y aura plus de nuit évoque quelque chose de très pessimiste…

Vanessa Codaccioni : Je reste persuadée qu’il y a des tentatives multiples de tuer la nuit. Comme tu le montres bien dans ton film, même la nuit, la surveillance ne s’arrête pas. On cherche des corps dans la nuit, qui y deviennent visibles.

Eléonore Weber : Il n’y aura plus de nuit, c’est un clin d’œil, une référence au premier verset de l’Apocalypse, à la folle ambition de ces technologies qui se mesurent à la puissance divine. Mais, en réalité, le film n’est pas si pessimiste. Il montre que ce fantasme de tout voir et de faire jour sur toutes choses est voué à l’échec. On ne pourra pas supprimer la nuit. Le faux jour que les caméras les plus récentes parviennent à recréer ne supprime pas la nuit : les étoiles continuent de briller dans l’image.


Photographies de bannière et de vignette : NnoMan | Ballast


  1. Dans Il n’y aura plus de nuit, une voix off raconte l’histoire d’un soldat, témoignage anonyme recueilli par la réalisatrice.
  2. En octobre 2010, Wikileaks publie près de 400 000 documents secrets de l’armée américaine sur la guerre en Irak et révèle que la coalition internationale a torturé des prisonniers irakiens et fermé les yeux sur des exactions commises par les forces irakiennes.
  3. Le scandale d’Abou Ghraib est une affaire durant laquelle des militaires de l’armée américaine et des agents de la CIA ont été accusés de violation des droits de l’Homme à l’encontre de prisonniers, entre 2003 et 2004, lors de la guerre en Irak, dans la prison d’Abou Ghraib. Ces prisonniers ont été physiquement et sexuellement abusés, torturés, violés et exécutés.
  4. Attentat à la préfecture de police : Macron appelle la nation à se mobiliser face à « l’hydre islamiste »Le Monde, 8 octobre 2019.
  5. « La Guerre invisible »Serge Daney, Libération, 25 janvier 2013.

REBONDS

☰ Lire notre entretien avec David Dufresne : « En critiquant la police, on s’en prend plein la gueule », 18 septembre 2020
☰ Lire notre entretien avec Renaud Garcia : « La technologie est devenue l’objet d’un culte », juin 2019
☰ Lire notre entretien avec Laure Ortiz : « La sécurité a absorbé toutes les libertés », 8 janvier 2018
☰ Lire notre article « Israël : la mort vue du ciel », Shimrit Lee, 23 juillet 2015




Manifestations massives dans toute la France contre le pass sanitaire pour le troisième samedi consécutif

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Manifestation à Paris contre le pass sanitaire le 31 juillet 2021. (Photo ALAIN JOCARD/AFP via Getty Images)]

PAR AFP

La mobilisation contre l’extension du pass sanitaire et la vaccination obligatoire est très forte ce samedi dans toute la France. Les foules se sont rassemblées sur environ 200 points de manifestations dans plus de 150 villes dont Paris, Marseille, Toulon, Draguignan, Poitiers, Toulouse, Aix-en-Provence, Montpellier, Bordeaux, Nice, Metz, Nantes, Pau…

Selon les résultats d’une étude Harris Interactive x Euros Agency pour LCI publiée vendredi, près de la moitié des Français déclarent soutenir les manifestations contre l’instauration d’un pass sanitaire.

A Paris, deux manifestations sont particulièrement suivies. L’une d’elle est partie du métro Villiers (XVIIe) vers 14H00 en direction de la place de la Bastille (XIe). Une autre a démarré à 14H30 à proximité de la gare Montparnasse (VIe) pour un défilé en direction du ministère de la Santé (VIIe), à l’appel du président des Patriotes Florian Philippot.

https://twitter.com/CharlesBaudry/status/1421445417825357830?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1421445417825357830%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffr.theepochtimes.com%2Fmanifestations-massives-dans-toute-la-france-contre-le-pass-sanitaire-pour-le-troisieme-samedi-consecutif-1804890.html

Le président du parti pro-Frexit UPR (Union populaire républicaine) François Asselineau a de son côté annoncé vendredi être positif au Covid-19, et donc empêché de manifester contre le pass sanitaire, qu’il juge « absurde, injuste et totalement liberticide ».

Un rassemblement, initialement prévu devant BFM-TV, a été interdit. Une vingtaine de personnes étaient rassemblées samedi matin devant la chaîne, dans une rue bouclée par des dizaines de camions de police, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Plus de 3.000 policiers et gendarmes seront mobilisés pour encadrer les manifestants et sécuriser les lieux sensibles, une semaine après que des manifestants ont été repoussés des Champs-Élysées.

Un  important dispositif policier était en place ce samedi matin sur la célèbre avenue parisienne, et ses principales entrées bouclées par des gardes mobiles, selon un photographe de l’AFP.

Regroupée autour des mots-dièses #manif31juillet et #PassDeLaHonte sur les réseaux sociaux, l’opposition aux mesures gouvernementales pour lutter contre le Covid-19 fédère des manifestants anti-pass sanitaire, anti-vaccins ou anti-confinement, aux revendications protéiformes.

Dans les cortèges, où figurent également de nombreux « gilets jaunes », les manifestants fustigent un pass sanitaire « liberticide » et affirment marcher « contre la dictature ».

Le pass sanitaire a été adopté définitivement dimanche soir, après six jours de débats houleux à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Déjà appliqué dans les lieux culturels et de loisirs depuis le 21 juillet, son extension pour les cafés, foires, salons, restaurants et trains est prévue le 9 août. Entre temps, le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur la loi le 5 août.

La Guadeloupe vient de perdre un de ses artistes les plus renommés, Jacob Desvarieux, membre fondateur et pilier du groupe Kassav’, mort vendredi à 65 ans des suites du Covid. Il avait reçu trois doses de vaccin mais il était aussi immunodéprimé depuis une greffe rénale.




« Vaccins » anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Témoignage d’Angelina Farina, pédiatre au Texas, devant la Commission sénatoriale américaine. La vaccination de nos enfants n’est pas acceptable.

– Merci de m’avoir invitée. Je suis la Dr Angelina Farella, pédiatre indépendante au Texas.
– Je suis là aujourd’hui pour protéger nos enfants du Texas.
– La situation est très inquiétante. Je veux évoquer 2 ou 3 choses : un peu d’Histoire.
– Jamais dans l’Histoire, nous n’avons donné des médicaments non autorisés par la FDA à des personnes qui ne faisaient pas initialement partie des tests.
– Il n’y a pas eu de patients de moins de 18 ans soumis aux expérimentations.
– Dans les tests, il n’y avait pas de patients qui avaient été exposés, ou qui avaient eu le Covid. Ce sont 2 points très importants.
– L’autre point concerne la sécurité. J’ai administré des milliers de vaccins dans mon cabinet, je ne suis pas une anti-vax.
– En fait, je suis une vraie pro-vax, sauf quand il s’agit du vaccin contre le Covid,si on peut l’appeler ainsi.
– Un des gros problèmes est le profil de sécurité. La sécurité et les recommandations concernant les effets secondaires à travers l’ACIP, le Comité consultatif des pratiques d’immunisation. Ils ont émis des recommandations à propos du vaccin contre le Covid.
– Une des choses extrêmement préoccupantes — et c’est dans leur guide ACIP —, pour le vaccin Pfizer en particulier, est que la recommandation sur la sécurité… et sur les effets indésirables sortira après l’autorisation.
– Après l’autorisation. Cela pose un problème très inquiétant.
– Nous devons connaître les données de sécurité avant de soumettre les gens à cette chose.
– Nous permettons aux enfants de 16 ou 17 ans de se soumettre à ce vaccin, mais ils n’ont jamais fait partie d’aucune étude.
– On extrapole les données des adultes aux enfants et aux adolescents. Ce n’est pas acceptable.
– Les enfants ne sont pas de petits adultes. Ce n’est absolument pas acceptable.
– Les enfants ont un taux de survie au Covid de 99,997 %. Je répète : 99,997 %, pour que vous compreniez bien. Les enfants sont en effet des accumulateurs (buffers).
– Cela signifie que ces enfants, qui sait pourquoi, ne diffusent pas la maladie. Les enfants ne sont pas des super-diffuseurs.
– Donc, ce que nous leur faisons est vraiment criminel. Nous les isolons, nous leur mettons un masque, ce qui est cliniquement dangereux. Nous leur disons aussi que (du point de vue psychologique) s’ils apportent le Covid à la maison, ils tueront les grands-parents, tonton, tata, maman et papa.
– C’est une situation horrible que nous leur faisons vivre.
– Laissez-moi revenir sur le vaccin contre le rotavirus en 1999… Il a été retiré du marché à l’époque, à cause de 15 cas d’intussusception. Ce n’est pas forcément mortel, mais le vaccin a été retiré immédiatement du marché, et nous avons arrêté de l’administrer à nos enfants.
– Et ce qui se produit avec ce vaccin en particulier m’interpelle. Il y a plus de 4000 morts, et ce machin n’a pas encore été retiré. C’est absolument inacceptable.
– En plus, il y a quelques années, vous ne vous le rappelez peut-être pas, mais en 2017, nous avons eu une pandémie de grippe qui a tué 95 000 Américains, malgré le fait qu’on avait alors un traitement précoce et efficace contre la grippe.
– OK ? Nous avons maintenant un traitement précoce et efficace contre le Covid-19. Nous l’avons depuis longtemps.
– En tant que pédiatre, je me suis mise en avant pour aider les adultes texans, car les médecins de ma communauté ont fermé leur porte, ont verrouillé leur porte et se sont refusé de traiter leurs patients.
– J’ai vu des centaines d’adultes atteints de Covid. J’ai aussi traité des problèmes post-vaccinaux chez des adultes.
– Et me revoici sur le terrain de bataille. Pourtant, je suis très vulnérable, étant pédiatre, je suis hors de mon domaine, qui reste celui des maladies infectieuses. Je vois beaucoup de petits enfants. Ce sont des pipettes de labos (?). Pourquoi sont-ils des accumulateurs ? C’est exactement pour ça. Ils ont une chose appelée le thymus. Cela les aide pour l’immunité des cellules T. C’est un autre point à prendre en compte.
– Merci de m’avoir permis de m’exprimer.

Elle répond ensuite aux questions de 2 Sénateurs. C’est le dialogue avec le Sénateur Hall (Q) qui est le plus intéressant :

Q. Avec votre expérience, qui apparemment remonte à 1999 ou peut-être avant, y en a-t-il eu un autre (« vaccin ») qui a eu la même forte incidence au niveau des hospitalisations et des morts que celui-ci ?
R. Non. Pas à ce point, absolument pas. Même de loin.
Q. Tout autre vaccin aurait été retiré du marché ?
R. Absolument, et dès les premiers jours, comme nous l’avons vu par le passé.
Q. Et avez-vous vu un autre vaccin être mis sur le marché en ayant évité les tests sur les animaux ?
R. Jamais auparavant. Spécialement s’il s’agit d’enfants.
Q. Et d’après ce que j’ai lu, ils ont commencé les tests sur les animaux, et comme les animaux mouraient, ils ont arrêté les tests.
R. C’est exact.
Q. Messieurs, je pense que c’est important de comprendre que nous disons ici que le peuple américain sert actuellement de cobaye. Voilà le programme de test en cours. Ils n’ont pas fait de tests sur les êtres humains et ils ont stoppé les tests sur les animaux, car les animaux mouraient. Et ensuite, ils l’ont mis à disposition du public. Et nous avons maintenant devant nous des entreprises qui veulent imposer que ce vaccin expérimental soit donné aux gens, comme condition pour leur travail. Et nous avons encore ce nombre de morts qui augmente et qui est complètement ignoré. Voilà ! Vous êtes d’accord avec ce que j’ai dit ?
R. Absolument.
Q. Merci pour votre travail. Merci à vous.

(Transcription : Pierre Delmotte)

La source originale de cet article est IlFattoQuotidiano Fr
Copyright © Dre Angelina Farina, IlFattoQuotidiano Fr, 2021




Prosternez-vous devant le Dieu Vaccin

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dr Pascal Sacré

La question, pour moi, n’est pas de diaboliser la vaccination comme les intégristes de celle-ci diabolisent toute alternative à leur Dieu, généralement en s’attaquant aux gens qui osent en parler. 

La question, pour moi, est de dire la vérité aux gens :

Il y a des alternatives plus sûres, plus efficaces et moins dangereuses pour trouver la porte de sortie de cette crise.

Nous sommes dans une phase de totalitarisme intégriste à caractère religieux.

Dans cette phase qui atteint son paroxysme hystérique, le Vaccin est le nouveau Dieu. Le parallèle avec les religions dans ce qu’elles ont toutes eu d’extrême est saisissant. 

Je ne parle pas des religions au sens original, dont l’une des étymologies admises est religare, relier.(([1] Il y a deux sources étymologiques du mot « religion » : relegere (cueillir, rassembler) et religare (lier, relier) – [Tete de Haspinger (Egger Lienz-Albin, 1908)] (idixa.net) )) Toutes les religions ont été utilisées par une partie de leur hiérarchie pour contrôler, dominer, séparer, exterminer, détournant le message religieux de son ambition originelle qui est rassembler, expliquer, rassurer, inclure, protéger et donner un sens à nos existences.

Derrière ce spectre de l’intégrisme vaccinal se cachent des personnes cyniques, qui vont jusqu’à faire croire qu’elles sont concernées par votre bien-être. Il y en a toujours eu, y compris derrière les religions qui prônaient le pardon, l’inclusion, la justice, la bonté en paroles mais qui dans les faits, tuaient, séparaient, jugeaient, emprisonnaient et exterminaient au moyen d’exécutants zélés sadiques, psychopathes, fanatiques.

Pour autant que les gens veuillent des gouvernants dignes de confiance, des politiques honnêtes, ils devraient toujours juger les gouvernants, les élites financières, les politiques à leurs actes plutôt qu’à leurs paroles.

Un exemple démonstratif en Belgique fut la nomination en 2020, au poste de ministre de la santé d’une personne qui avait pourtant déjà fraudé, menti, trahi(([2] Les pots-de-vin d’Agusta font chuter le ministre des Affaires étrangères belge – Libération (liberation.fr) )) des années plus tôt. 

À la décharge du peuple, il faut dire qu’en Belgique, élections ou pas, les citoyens n’ont aucun contrôle sur les nominations ministérielles.

De même, en France, le ministre de la Justice est … mis en examen tout en conservant son poste.(([3] Affaire Dupond-Moretti : « Un ministre de la Justice mis en examen, c’est inimaginable » (france24.com) )) Il garde évidemment le soutien de son gouvernement.

Poursuivons le parallèle entre le Vaccin et Dieu.

Dans cette histoire de Vaccin Tout-Puissant, il y a également un grand nombre de croyants sincères. Certains sont même les fanatiques, les extrémistes de service. 

Ils croient.

Quoi que vous disiez, études sérieuses ou raisonnements solides à l’appui, ça n’y changera rien.

Un ministre français l’a dit dans ces termes intégristes en 2015, « la vaccination, ça ne se discute pas ».(([4] La vaccination, ça se discute (lemonde.fr)  ))

Je vous l’ai dit, beaucoup des croyants sont sincères. L’Enfer n’est-il pas pavé de bonnes intentions ?

Pour le Dieu Vaccin, ils ne demandent pas de preuves.

« On » a dit que la Vaccination avait sauvé l’humanité, qu’elle avait éradiqué la polio, cela suffit, pas besoin de chercher ni lire les études, les rapports originaux qui le prouvent. En fait, ils n’existent pas ou ont été tronqués (cf. les travaux du docteur Edward H. Kass de Harvard : 
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net
ou ici).

[Voir aussi : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Peu importe.

Confiance aveugle.

Par contre, pour des médicaments qui ont fait leurs preuves, 70 années d’utilisation pour l’hydroxychloroquine, plus de quarante années pour l’ivermectine considérée comme essentielle par l’organisation mondiale de la santé, plus de quarante années pour l’azithromycine, molécules défendues dans le traitement du COVID-19 par des scientifiques renommés fiables, et utilisées sur le terrain par de nombreux médecins avec succès, méfiance maximale.

Rien n’y fait.

Le croyant ne tolère aucune entorse à sa foi. 

C’est même sur cette caractéristique qu’on l’identifie, qu’on distingue un croyant d’un véritable scientifique qui doute, qui s’appuie sur une vérité provisoire pour avancer, de question en question, jamais satisfait des réponses toutes faites.

Pour le « Vaccin » ARN/ADN, toutes les indulgences sont permises alors que, si la technologie est étudiée depuis plusieurs années, ces produits sont inconnus en thérapeutique humaine à large échelle, les études des firmes pharmaceutiques sont en phase III,(([5] Oui, les vaccins contre la Covid 19 sont expérimentaux ! Dr Gérard Delépine, revue Sapiens numéro 9, mai 2021, pages 14-20
[ou Oui, les vaccins sont expérimentaux contrairement à ce que l’AFP et J. Mansour affirment dans leur « fast check »])) leur autorisation de mise sur le marché est conditionnelle et les effets secondaires, voire décès, s’accumulent.(([6] https://www.google.be/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&ved=2ahUKEwjw9-Kz0IjyAhWSy6QKHRM1D_k4ChAWMAZ6BAgKEAM&url=https%3A%2F%2Fwww.ronjohnson.senate.gov%2Fservices%2Ffiles%2FA4A76F9A-9B29-4CF9-B987-F9097A3F4CB7&usg=AOvVaw1A5Y8Ie2O_-S6RTE0ucAPp )) Même cela est contesté par les croyants et tous les vérificateurs de faits sont sur le coup. Vérificateurs de faits payés par qui ?

Pour un médicament aussi essentiel que l’ivermectine, avec aujourd’hui une accumulation de preuves sur son bénéfice dans le traitement du COVID(([7] The FDA-approved drug ivermectin inhibits the replication of SARS-CoV-2 in vitro – ScienceDirect))(([8] Lab experiments show anti-parasitic drug, Ivermectin, eliminates SARS-CoV-2 in cells in 48 hours – Monash Biomedicine Discovery Institute))(([9] Ivermectine contre vaccins : devinez qui GAGNE le match par KO ? – Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com) ))(([10] L’ivermectine atténue les symptômes de la Covid-19 dans un modèle animal (pasteur.fr) )), à tous ses stades, le nombre d’études randomisées double aveugle avec revue par des pairs ne sera jamais assez élevé pour le croyant du Vaccin. 

Jamais aucun article, aucun scientifique même Nobélisé cinq fois ne convaincra le croyant du Vaccin.

Par contre, pour le Dieu Vaccin, toute information contradictoire sera fake new, désinformation, automatiquement démolie par les vérificateurs de faits, avant même d’être analysée, ce qu’elle ne sera de toute façon jamais par les croyants du Vaccin.

La religion Vaccination se nourrit de l’aura scientifique, se drape dans l’objectivité, la rationalité mais dans le cas de la Vaccination, ce ne sont que ça, des haillons, de l’apparence, du brouillard. En réalité, la croyance en la Vaccination n’est que subjectivité, qu’émotivité, que Foi.

La « science » de la Vaccination, telle qu’elle est répandue parmi l’intégrisme actuel, est un parasite de la véritable Science, une tumeur envahissant la véritable médecine.

Ce que je dis des intégristes de la Vaccination, d’autres pourraient le dire des antivax et c’est vrai, pour certains.

Les intégristes de la Vaccination comme religion exclusive ont beau jeu de faire des amalgames, de mettre tous leurs opposants dans le même panier, le panier le plus facile à critiquer.

Pour ma part, je considère la vaccination, même cette manipulation génétique ARN/ADN comme une option, pourquoi pas, à condition de respecter toutes les phases d’autorisation, de tenir compte des signaux d’alerte et de prendre le temps de la sécurité.

La question, pour moi, n’est pas de diaboliser la vaccination comme les intégristes de celle-ci diabolisent toute alternative à leur Dieu, généralement en s’attaquant aux gens qui osent en parler. 

La question, pour moi, est de dire la vérité aux gens :

Il y a des alternatives plus sûres, plus efficaces et moins dangereuses pour trouver la porte de sortie de cette crise.

Ces alternatives ne rapporteront pas d’argent aux grands laboratoires dont les actions boursières ont monté en flèche grâce au Dieu Vaccin, elles ne permettront pas aux gouvernants tentés par une prise de pouvoir absolu sur nos vies de parvenir à leurs fins.

Mais ces alternatives plus sûres, plus efficaces, moins dangereuses marcheront, elles écarteront le danger, y compris des variants, sans exposer une partie de l’humanité à des effets secondaires inadmissibles,(([11] Sur CNews, Brigitte Milhau : « 1 enfant sur 5 000 aura un problème cardiaque » (lemediaen442.fr) )) à des décès inacceptables,(([12] Maxime Beltra, 22 ans, meurt suite à la vaccination anti-covid. Son père raconte (lemediaen442.fr) )) à un verrouillage irréversible de nos libertés.

Ces notions sont essentielles pour comprendre comment combattre ce fanatisme, comment sortir de ce cauchemar sanitaire et de ce totalitarisme qui a pour Dieu le Vaccin et qui se sert de ça pour arriver à ses fins.

Il est tout à fait acceptable pour les croyants du Vaccin de sacrifier des ouailles au bien commun, y compris des jeunes en bonne santé qui donnent leur vie pour que le nouveau Dieu puisse sauver l’humanité.

Ce qui choquerait n’importe qui d’esprit sain, est vu comme sanctification par les croyants du Vaccin.

Nous ne pouvons nous adresser de la même manière aux cyniques, à ceux qui ne font qu’utiliser cette situation pour leurs profits (politiques, financiers, narcissiques), et aux vrais croyants, ceux qui ont la Foi, ceux qui croient sincèrement dans leur nouveau Dieu dénommé Vaccin, même si en l’occurrence, il n’en pas vraiment un.

Les premiers, lâches comme d’habitude, se cachent derrière les seconds.

Les premiers ne méritent ni dialogue, ni pardon. Nous devons nous en occuper comme un corps humain en bonne santé s’occupe d’un parasite, d’une cellule cancéreuse ou d’un pathogène.

Les seconds doivent être abordés en tenant compte de leur Foi sincère. Se vacciner est leur droit, mais peut-être qu’en apprenant qu’il y a des alternatives plus efficaces et moins dangereuses, ils finiraient par entendre raison.

Quant aux éléments les plus fanatiques qui ne seraient pas des cyniques opportunistes déguisés en croyants, pour ceux-là qui veulent que tout le monde soit vacciné, aucune issue n’est possible, aucune issue autre que celle de nous en protéger, pour le bien commun, en les éloignant et en les aidant psychologiquement.

L’humanité est réellement en danger aujourd’hui, pas en raison de ce que la plupart des gens croient.

Pas en raison d’un virus.

En raison de la psychopathie cynique de quelques-uns, de la Foi aveugle de certains, de la croyance basée sur la tromperie d’un grand nombre et de la passivité spectatrice de la majorité.

Quelle que soit la catégorie dans laquelle vous êtes, vous serez responsables du destin de l’humanité.

Vous pouvez encore agir, choisir.

Dr Pascal Sacré

30 juillet 2021

Images : Pixabay.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021


Notes / Sources :




Les USA sont en train de devenir une URSS 2.0, selon une ancienne du renseignement américain

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[© Photo : Pixabay / TheDigitAlartist]

Rebecca Koffler, ancienne officier des services américains, a mis en garde contre une dérive «soviétique» des États-Unis, entre atteintes aux libertés et règne du politiquement correct.

[Ndlr : il en est de même dans la plupart des pays occidentaux, et spécialement dans l’Union Européenne et au Canada.]

Alors qu’en France des débats sémantiques font rage autour du terme «dictature» dans le sillage des restrictions sanitaires, aux États-Unis une ex-officier du renseignement militaire a mis les pieds dans le plat. Dans un article pour Fox News, Rebecca Koffler a ainsi mis en garde contre une dérive totalitaire de son pays, qui lui rappelle de plus l’Union soviétique d’où elle a émigré.

L’ex-agent a notamment fustigé les opérations de surveillance de l’Agence nationale de la sécurité (NSA) et du Bureau fédéral d’enquête (FBI) à l’encontre de certains politiques. Elle a cité en exemple le cas de Carter Page, conseiller de campagne de Donald Trump, dont la mise sur écoute a fait polémique.

«Étant née et ayant grandi dans un État totalitaire, je suis familière des gouvernements qui espionnent les citoyens ordinaires. Les récentes révélations sur la surveillance par la NSA m’ont ramenée il y a 30 ans dans un endroit qui n’existe plus, mon pays natal, l’Union des républiques socialistes soviétiques», écrit ainsi Rebecca Koffler pour Fox News.

L’ancienne gradée a rappelé que l’espionnage de simples citoyens est l’une «des caractéristiques du totalitarisme», ajoutant que la mésaventure de Carter Page en disait long sur le sentiment d’impunité des «apparatchiks gouvernementaux».

«Cancel culture»

Rebecca Koffler se dit également inquiète de la «cancel culture», qui déborde des campus américains pour imposer le politiquement correct dans toute la société. Un conformisme de rigueur, qui lui rappelle celui de la société soviétique.

«En Amérique, il existe désormais des opinions « correctes », celles de la classe dirigeante […] et ce qu’on appelle en russe des opinions « incorrectes » (nekorrektnoye). Les Américains ayant des opinions contredisant l’orthodoxie idéologique des progressistes sont licenciés, « annulés » par des militants, interdits de parler sur les campus universitaires», explique-t-elle ainsi dans son article.

Des logiques que l’ancienne officier voit également à l’œuvre sur les réseaux sociaux où les géants de la technologie, surnommés Big Tech, traquent les opinions divergentes. Une allusion aux politiques de modération de certains réseaux sociaux qui ne cessent en effet d’interroger. Début juillet, Donald Trump avait d’ailleurs engagé une plainte collective pour «censure illégale» contre plusieurs réseaux sociaux ayant suspendu ses comptes.

Société à deux vitesses

Rebecca Koffler met également en garde contre les promesses de gratuité qui se multiplient aux États-Unis. Fin avril, Joe Biden avait notamment annoncé débloquer des fonds pour faciliter les gardes d’enfants ou mettre en place une université communautaire gratuite. Des promesses qui rappellent à l’ex-agent les systèmes socialistes, où tout était censé être fourni gratuitement par le gouvernement.

En réalité, le modèle soviétique a souvent débouché sur une société à deux vitesses, où la nomenklatura avait droit à tout, quand le peuple était forcé de «faire la queue pendant des heures pour obtenir des produits de base». Une logique que Rebecca Koffler croit déjà avoir vue à l’œuvre durant la pandémie.

«Le double standard que les Américains ont connu pendant les confinements m’a rappelé l’URSS: les politiciens sont allés dans des restaurants chers, se sont fait couper les cheveux et ont voyagé luxueusement, tandis que le reste d’entre nous a souffert, laissant pousser ses cheveux et essayant de calmer les enfants, intenables durant les cours à distance», résume-t-elle ainsi.

En France, des polémiques sur ces doubles standards avaient aussi vu le jour, à propos notamment des dîners clandestins. Plusieurs personnalités politiques avaient alors été soupçonnées de se rendre dans des restaurants, au mépris des mesures de confinement.




La planète des seringues et le Pass sanitaire !

[Source : docteur alwest via Sott.net]




87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Une personne saine d’esprit mélangerait-elle l’échantillon d’un patient (contenant diverses sources de matériel génétique et dont il n’a jamais été prouvé qu’il contenait un virus particulier) avec des cellules rénales de singe, du sérum bovin fœtal et des médicaments toxiques, puis prétendrait que la concoction résultante est un “isolat du SARS-COV-2” et l’expédierait à l’étranger pour qu’il soit utilisé dans des recherches critiques (y compris le développement de vaccins et de tests) ?

Parce que c’est le genre de travaux frauduleux que des équipes de recherche du monde entier font passer pour “l’isolement du virus”.

En date du 27 juillet 2021 :

87 institutions scientifiques et de santé du monde entier n’ont pas réussi à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un seul rapport d’isolement/purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, à aucun moment. Vous trouverez ci-dessous la liste de ces institutions.

Ci-dessous toutes les demandes d’informations et leurs réponses archivées sur cv19.fr, voir les procédures complètes de chaque demande détaillée sur cette page : fluoridefreepeel.ca [archive]

1 Australia University of Western Australia – home of Gates-funded researcher Christine Carson
2 Australia ACT Government (Government of the Australian Capital Territory) / Canberra Health Services (CHS)
3 Australia Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation – CSIRO
4 Australia Department of Health
5 Australia Peter Doherty Institute for Infection and Immunity
6 Britain Health and Safety Executive
7 Canada Aylmer Police Services
8 Canada Centre for Disease Control, British Columbia
9 Canada City of Toronto, Ontario
10 Canada Department of Health & Community Services, Newfoundland Labrador
11 Canada Health Canada
12 Canada Institut National de Sante Publique du Quebec
13 Canada Institutes of Health Research
14 Canada Kingston, Frontenac, Lennox and Addington Public Health, Ontario (re “any variant”)
15 Canada McGill University
16 Canada Ministry of Health, British Columbia
17 Canada Ministry of Health, Ontario
18 Canada Mount Sinai Hospital, Toronto, Ontario
19 Canada National Research Council, [2]
20 Canada Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada
21 Canada Peterborough Police Service
22 Canada Peterborough Public Health
23 Canada Provincial Health Services Authority, British Columbia
24 Canada Region of Peel, Ontario, [2]
25 Canada Sunnybrook Health Sciences Centre, Toronto, Ontario
26 Canada Toronto Police Service
27 Canada University of Toronto
28 Canada Vancouver Coastal Health Authority, British Columbia (re “the UK variant”)
29 Canada Grey Bruce Health Services
30 Canada McMaster University
31 Canada Public Health Agency of Canada[2]
32 Canada Vaccine and Infectious Disease Organization-International Vaccine Centre (VIDO-InterVac) at University of Saskatchewan
33 Czech Republic Ministry of Health
34 Czech Republic Univerzita Karlova
35 Denmark Statens Serum Institut
36 England Public Health England[2][3][4]
37 Europe Centre for Disease Prevention and Control
38 India Indian Council of Medical Research[2]
39 Isle of Man Department of Health and Social Care
40 Netherlands Ministry of Health, Welfare and Sport[2]
41 New Zealand Associate Minister of Health Hon Jenny Salesa
42 New Zealand Associate Minister of Health Hon Peeni Henare
43 New Zealand Associate Minister of Health Julie Anne Genter
44 New Zealand Bay of Plenty District Board
45 New Zealand Department of the Prime Minister and Cabinet
46 New Zealand Institute of Environmental Science and Research – ESR[2]
47 New Zealand Ministry of Health
48 New Zealand University of Auckland
49 New Zealand University of Otago
50 Norway Norwegian Ministry of Health and Cares Services & subordinate agency the Directorate of Health
51 Portugal Ministry of Health (jugement du tribunal formalisant que le ministère ne dispose d’aucune donnée ou référence sur l’existence du virus)
52 Republic of Africa Governmental COVID-19 Advisory Committee (jugement Afrique du Sud, en savoir plus)
53 Republic of Africa Minister of Co-operative Governance and Traditional Affairs
54 Republic of Africa National Department of Health
55 Republic of Africa National Institute for Communicable Diseases
56 Republic of Africa President
57 Republic of Columbia Ministry of Health & Social Protection
58 Republic of Ireland National Virus Reference Laboratory, University College Dublin
59 Scotland Public Health Scotland
60 Slovenia Department of Health
61 Slovenia Faculty of Medicine and Institute of Microbiology and Immunology, University of Ljubljana
62 Slovenia National Laboratory for Health, Environment and Food (Nacionalnega laboratorija za zdravje, okolje in hrano – NLZOH)
63 Spain Ministry of Health
64 United Kingdom Cabinet Office[2]
65 United Kingdom Department of Health and Social Care
66 United Kingdom Government Office for Science
67 United Kingdom House of Commons
68 United Kingdom House of Lords
69 United Kingdom Imperial College London
70 United Kingdom Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
71 United Kingdom Prime Minister’s Officelien vers cette réponse
72 United Kingdom University of Warwick
73 United States of America Agency for Toxic Substances and Disease Registry[2]
74 United States of America Centers for Disease Control and Prevention[2]
75 United States of America National Institute of Allergy and Infectious Diseases – NIAID, [2]
76 United States of America Oregon Health Authority
77 Uruguay Clemente Stable Biological Research Institute, Ministry of Education and Culture
78 Uruguay University of the Republic (UdelaR) Faculty of Chemistry
79 Uruguay Ministry of Public Health
80 Wales Public Health Wales[2]
81 Canada Hastings Prince Edward Public Health (Ontario)
82 Ukraine Ministry of Health
83 Australia Western Australia Minister & Department of Health
84 Australia South Australia Minister for Health and Wellbeing
85 Australia New South Wales Ministry of Health, Australia
86 England Pennine Acute National Health Service Trust
87 England Salford Royal National Health Service Foundation Trust

Certaines des réponses à ces demandes d’informations mentionnent le fait que l’isolement/purification du SARS-CoV-2 ne peut être effectué de la manière demandée, et que “l’isolement” mentionné dans les publications scientifiques réfère à la culture en cellule de prélèvement démontrant un effet cytopathique, mais aucune expérience témoin n’a été effectuée pour démontrer que cet effet cytopathique est présent ou non avec les mêmes procédures sur une culture saine ou stérile (voir FOI des pays-bas).

Voir aussi : Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

Articles originaux :
https://www.fluoridefreepeel.ca/68-health-science-institutions-globally-all-failed-to-cite-even-1-record-of-sars-cov-2-purification-by-anyone-anywhere-ever/
https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/

Télécharger tous les documents de demandes d’informations : https://files.catbox.moe/8gx9ft.zip


[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les références et liens contenus dont plusieurs proviennent du travail de recherche effectué
par Recherches Covid-19 (cv19.fr)]




Cruauté accrue de la Secte Affairiste Répulsive Sadique (la SARS) suite…

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette Secte (étudiée depuis bientôt vingt ans maintenant dans ses racines par exemple en 2002) s’avère donc de plus en plus cruelle, manipulant férocement et frénétiquement depuis dix-huit mois les chiffres (passant ces temps-ci de… quatre à huit ou seize, ici et là, alors que le Delta est bien moins létal), le tout toujours pour faire peur (aujourd’hui des « jeunes-aussi-en-réa », bon(ne) d(r)ame), minima du dressage d’esclaves S.M (avec l’injection synthétique comme foutre mécanique, abaissant même l’âge de sa pénétration à 16 ans là aussi), alors qu’elle interdit toujours dans les faits de soigner de façon précoce (pas recommandé, tout en ne l’interdisant plus officiellement), menaçant toujours de casser l’IHU de Marseille (empêchant cependant des collègues de Raoult d’être qualifiés par le CNU au rang de professeur), poursuivant tous ceux (soignants, pourtant) qui contestent leurs mensonges, tout en continuant à fermer des lits d’hôpitaux…

Ce sont donc bien des sadiques, des criminels de plus en plus immoraux, mais qui se veulent « artistes » contemporains (j’en ai également étudié la philosophie dans de nombreux autres ouvrages et articles), affichant bien sûr visage d’ange, sourire, voix douce, compassion, mais — en même temps — visage atroce du zombi sans états d’âme, monstres passés maîtres dans l’art du Simulacre ou comment faire de la mort une œuvre avec ses chiffres en courbes seyantes — « je vais, je viens entre tes reins ».

Il faut bien comprendre que ce sont bien sûr des gens sans foi ni loi, ayant brisé tous les tabous, tous. Tous ? Vraiment ? Il en restait en effet encore un, le fait de ne pas mettre à mort des humains innocents en bonne santé tout en les nommant « malades qui s’ignorent », comme dans ces bons vieux récits antiques où l’on cherche à empoisonner pour asseoir son Pouvoir, ce must désormais pour certains « artistes » post Auschwitz :

« L’acte surréaliste le plus simple consiste, revolvers aux poings, à descendre dans la rue et à tirer au hasard, tant qu’on peut, dans la foule » 1.

C’est chose faite, la seringue en guise de flingue.




Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Les fidèles lectrices et lecteurs de ce blog attesteront que, tel un Juvénal du temps présent, je souligne et regrette bruyamment ici depuis des mois l’effondrement éthique, sociétal et juridique auquel nous assistons sous la houlette toxique d’une médico-cratie en transe, entraînant dans son sillage des politiques qui ne le sont pas moins.

Ceci au détriment de toute logique et de toute souvenance qu’il existe quelque part un vague bidule appelé le « réel ».

Les mêmes professeurs azimutés (mais aussi instrumentalisés et à vrai dire assujettis – directement ou indirectement – à des intérêts privés) qui hurlaient au loup quant à la stratégie suédoise – consistant à n’imposer à la population que des mesures « evidence-based » en prenant soin d’en ré-évaluer régulièrement la pertinence-  nous abreuvent maintenant de beuglements semi-articulés selon lesquels la seule voie possible désormais est celle conduisant au « passsanitaire » et à la remise au pas des récalcitrants.

Soit ceux qui viennent d’être appelés « les paresseux, les égoïstes et les hésitants » par le président de la « Commission d’éthique et de la recherche » (!) du canton de Genève, M. Bernard Hirschel…

Avec un tel éthicien, pas besoin de scientistes un peu déjantés et mal dégrossis à qui rappeler les normes de l’éthique et la réalité du droit !

(Sur ce sujet de l’effondrement de l’éthique, passée d’un arbitrage paragidmatique et circonstancié de valeurs à une « cosméthique » faisant office de protection juridique pour les pouvoirs en place, un lecteur a fort aimablement attiré mon attention sur les travaux du Pr Jean-François Malherbe. On peut aussi bien sûr se référer à l’oeuvre magistrale de l’anthropologue Raymond Massé, que j’avais invité à donner une conférence à Genève sur ce sujet fondamental.)

Alors donc que la Suède continue de DÉMONTRER qu’on peut se passer absolument sans danger des mesures ravageuses imposées depuis 18 mois par ces technocrates enragés, voilà-t’il pas qu’une pléthore de politiciens se piquent de se faire les porte-drapeaux de nouveaux diktats de plus en plus délirants.

On aura donc vu des « incentives » comme on dit en marketing pour les pseudo-vaccins (qui sont en fait des injections géniques expérimentales) à faire se retourner dans leurs tombes les générations de médecins qui nous ont précédé et frémir d’horreur tous ceux à qui il reste un semblant de conscience : fast-food gratuitcrème glacéegâteau OFSP sur la place fédérale, mais aussi désormais loterie et, pourquoi pas bientôt, selon un autre trait de génie éthique du président de commission déjà cité, « payer les gens pour les encourager à se faire vacciner » (il ne s’agit pas d’un vaccin). Ceci dans une grand débondage de mépris social, puisqu’on comprend qu’un professeur de médecine avec un salaire de 300’000.- ou 400’000.- francs suisses par an (nous ne parlons pas des mieux lotis) ne saurait guère pour sa part être sensible aux 20.- ou 50.-promis…

Et comment ne pas penser à Babylone, la Grande Prostituée, devant tout ce cirque, cette danse macabre et fête des fous tout à la fois qui voit nos élites se vautrer dans la fange des cabinets de consultants vendant du vaccin (ce n’en sont pas) comme du savon à barbe ou le dernier gadget numérique à la mode. Menaces et brutalités en plus, certes.

Ceci pour des vaccins (qui n’en sont pas) pour lesquels on nous avait promis monts et merveille et qui s’avèrent de jour en jours beaucoup beaucoup moins sûrs, efficaces et même utiles qu’on nous l’avait vanté dans une opération publicitaire très réussie… et scientifiquement calamiteuse.

Bref, accrochons-nous car s’il nous est déjà arrivé d’observer que nous étions bel et bien en pleine bouffée délirante collective, nous n’avons probablement encore rien vu !

Comme l’avaient magnifiquement annoncé de vrais beaux et grands esprits -tout le contraire des sbires du scientisme obscène qui mènent la danse- les élites en perdition sont désormais dans une sorte de furie destructrice et autodestructrice. Par son mépris et son autocratique morgue, Emmanuel Macron attise les braises des flambées de violence qui inévitablement apparaîtront. L’homme on le sait n’hésite pas à faire nasser, tabasser, mutiler et  comparaître en procédure judiciaire accélérée (= sans les garanties élémentaires de l’état de droit) même et peut-être surtout des manifestants pacifiques. C’est une petite jouissance de la perversité parmi de bien plus grandes.

Alors ? Alors, comme l’autocrate nous l’avait annoncé, nous sommes bel et bien en guerre. Non pas contre un virus, bien sûr : il est aussi stupide de faire la guerre à virus que de manifester contre lui… Une guerre se mène toujours contre une population et c’est bien contre le peuple qui l’a élu que Macron lâche ses bombes à fragmentation et piétine l’état de droit.

Alors ? Alors « à la guerre comme à la guerre » lance en retour Me Fabrice di Vizio dans une interpellation appelant à l’union des gens de biens refusant d’entrer dans la mascarade de la panique chronique, de l’attaque et de la persécution des dissidents (« nous allons leur pourrir la vie » a ainsi lancé un ministre plein d’un sens de l’état et d’une élégance d’âme qui forcent le respect…)

Je le dis depuis longtemps : nos dirigeants politiques et sanitaires se comportent désormais comme des petites frappes sans scrupules ni foi ni loi.

A nous de leur lancer au visage le seau d’eau qui les sortira de leur délire paranoïaque !Comme l’énonce l’avocat parisien : LA CONFIANCE DANS LES AUTORITÉS C’EST FINI !–

La peur du débat (maximale en Suisse) est un signe de profonde déliquescence sociétale, démocratique et scientifique qui montre la fourberie et la lâcheté de ces autoritaires dévoyées. Aucun d’entre eux ne tiendrait deux minutes face à un contradicteur maîtrisant son sujet. D’où les campagnes de médisance et de calomnies contre les « dissidents », fussent-ils les plus compétents dans leur domaine (Ioannidis, Battacharya, Kulldorf, Giesecke, Gupta et Toubiana, c’est tout autre chose dans le domaine de l’épidémiologie que Flahault, Blachier ou Pittet !)

D’où le monopole aussi sur les plateaux et dans les colonnes en Suisse romande de la bande des huit (Flahault-Kaiser-Trono-Diana-Siegrist-Hurst-Kiefer-Pittet) qui ânonnent en chœur ou en solo le même dogme éculé (dans lequel la Suède, la réalité observable, l’éthique comme les bonnes pratiques médicales n’existent plus…) au service des intérêts privés qui les ont financés tout au long de leurs carrières.

Me di Vizio adresse quant à lui un bel hommage aux dissidents et aux résistants dont j’ai l’honneur de faire modestement partie avec tant d’autres, qu’ils soient en vue ou non.

https://youtu.be/n22nw1jNLD8

Et le temps bien sûr finira par nous donner raison d’avoir tenu sur les principes de la rigueur et de la probité intellectuelles, éthiques et citoyennes. Sur notre humanité. Et oui, puisqu’ils ne nous en laissent pas le choix, ce sera la guerre.

Pour notre part, ce sera une guerre pacifique et sans violence. Nous y mobiliserons toutes les ressources de l’intelligence, de la sensibilité, de la tendresse et du courage, avec pour armes le droit, la pensée, la science intègre, l’action communautaire et citoyenne ainsi que les quelques moyens d’action démocratiques qu’il nous reste. Et nous y serons intraitables et souverains face à tant de compromissions, de brutalité et d’iniquité !

Recours introduit par Me di Vizio le 3 juin 2021 auprès de la Cour de Justice de l’Union européenne pour non-respect du droit communautaire au sujet des Autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections géniques (improprement appelées « vaccins ») : pour accéder au fichier pdf, cliquer ici.

Je reproduis ici le message adressé par Me Virginie de Araujo-Recchia suite aux décisions liberticides de ce qui fut un temps l’Assemblée nationale et semble ne plus être qu’un déserté lupanar entérinant au petit matin les décisions glauques et putrides refusées dans un ultime sursaut de lucidité le soir.

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui ne pourra être rendue obligatoire que lorsque le projet de loi en cours de discussion sera définitivement voté par le Parlement, qu’il aura éventuellement été soumis au Conseil constitutionnel et qu’il aura été publié au J.O.R.F.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé:

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés par les hôpitaux:Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.– Procédure spécifique prévue par la loi:L’article R. 1112-11 du Code de la santé publique édicte les conditions d’admission d’un patient à l’hôpital. L’article R. 1112-12 du Code de la santé publique dispose qu’ « En cas de refus d’admettre un malade qui remplit les conditions requises pour être admis, alors que les disponibilités en lits de l’établissement permettent de le recevoir, l’admission peut être prononcée par le directeur de l’agence régionale de santé ».Il existe ainsi une procédure permettant de pallier un refus de soins constitué par un refus d’admission.– Sur le plan pénal en cas de discrimination:Article L1110-3 du Code de la santé publique:Aucune personne ne peut faire l’objet de discriminations dans l’accès à la prévention ou aux soins.Un professionnel de santé ne peut refuser de soigner une personne pour l’un des motifs visés au premier alinéa de l’article 225-1 ou à l’article 225-1-1 du code pénal.Article 225-1 du code pénal:« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. (…)

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Net comparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPÉEN:

Une action est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italiens et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19

Lien direct ici

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)

(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. »

Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

  1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
  2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:
    • a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;
    • b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;
    • c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;
    • d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte juridique, ils méritent un examen approfondi.


Article très instructif: 
https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

Mémo concernant le consentement: 
Lien direct ici




Chiffre d’affaires en hausse, Pfizer peut remercier l’Union Européenne

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Par Maxime Perrotin

Les recettes mondiales générées par le Comirnaty ne cessent de grimper pour Pfizer, premier laboratoire dont le vaccin anti-Covid a été homologué en Occident. Un succès commercial mérité, mais également boosté par la politique d’achats des Européens. En déléguant à Bruxelles cette mission, ils ont en effet facilité la tâche aux labos.

Pfizer dans les étoiles.

Mercredi 28 juillet, le groupe pharmaceutique américain a revu à la hausse les prévisions de revenus de son sérum anti-Covid pour cette année. 33,5 milliards de dollars, contre les 26 milliards sur lesquels il tablait en mai, c’est deux fois plus que les 15 milliards qu’il prévoyait en février. En tout, le laboratoire revendique pour 80 milliards de dollars de commandes.

Un début plus que prometteur, qui commence à faire de l’ombre à son précédent best-seller: le Lipitor (appelé Tahor en France). Jusqu’à l’expiration de ses brevets aux États-Unis et en Europe fin 2011 et début 2012, cet anti-cholestérol était considéré comme le médicament le plus vendu au monde. Lors de sa dernière année pleine d’exploitation, ses ventes avaient généré plus de 10 milliards de dollars de recettes, soient 15% des 67,8 milliards de chiffre d’affaires de la firme.

Bruxelles, meilleur client… et allié de Pfizer?

Un score qu’a donc battu à plate couture le Comirnaty, nom commercial du sérum anti-Covid développé par Pfizer et BioNTech. Un filon qui est loin d’être tari, tout particulièrement en Europe, où la Commission a passé mi-mai une nouvelle commande de 1,8 milliard de doses (900 millions fermes et autant en option) supplémentaires pour couvrir les besoins des 27 jusqu’en 2023. Face aux variants, les laboratoires, Pfizer en tête, préconisent une troisième injection. Bonne élève, la Commission s’aligne. D’ailleurs, l’organe exécutif européen est aujourd’hui considéré –et de loin– comme le meilleur client du laboratoire.

Il faut dire que ce dernier doit déjà une fière chandelle à Bruxelles. En 2004, c’est la Commission qui lui avait offert sur un plateau le médicament phare d’Aventis, alors racheté par Sanofi. Au nom des règles européennes de la concurrence, Bruxelles avait forcé le français à vendre son traitement-phare contre le cancer colorectal (Campto) à Pfizer, qui le commercialisait sous licence aux États-Unis. Dans ce qui semble être un cynique retour des choses, le labo new-yorkais impose aujourd’hui son écrasante domination sur le marché européen avec l’aval de cette même Commission. Elle a en effet «sécurisé» au total 2,4 milliards de doses de Comirnaty, soit près de 55% des 4,365 milliards d’unités négociées auprès de six laboratoires.

Pour cette fidèle cliente, Pfizer a rehaussé ses prix de 26 %: 19,5 euros pour les doses livrées en 2022, contre 15,5 euros précédemment. Tarif qui, au cœur de la crise, était plus avantageux que celui des Américains (16,3 euros) et des Israéliens (22,7 euros)… livrés les premiers.

Des conditions tarifaires régulièrement au cœur des polémiques sur l’opacité des contrats, motivée par le secret des affaires. Omerta, qui n’avait pas manqué de susciter l’indignation d’élus du Parlement européen. En effet, l’accès à ces contrats est jalousement gardé: seule une poignée d’eurodéputés triés sur le volet et soumis à des règles strictes de confidentialité ont eu droit de le consulter.

Contrats Pfizer: une omerta finalement levée?

Ainsi, l’eurodéputé LREM Pascal Canfin a-t-il expliqué début janvier 2021 à Mediapart qu’il avait eu accès aux documents dans une salle à l’entrée de laquelle il fallait laisser son téléphone et avec interdiction de prendre des notes ou de parler de ce qu’il pouvait lire. Pascal Canfin appelait alors à ce qu’au moins les informations d’intérêt général soient rendues publiques, afin notamment de lutter contre la défiance que ce silence générait dans la population.

Il faudra attendre fin avril pour que cette omerta soit partiellement levéeTF1 et LCI parviendront à mettre la main sur le tout premier contrat signé l’hiver dernier entre la Commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, et la présidente de la branche vaccins de Pfizer, Nanette Cocero. Celui-ci portait alors sur 200 millions de doses, assorti d’une option pour 100 millions supplémentaires. Un «pari risqué», soulignaient les médias. En effet, lorsque l’UE signa ce premier chèque à Pfizer le 20 novembre, le laboratoire américain n’avait même pas déposé la demande d’homologation de son vaccin auprès de l’autorité de santé européenne.

Pfizer le fit dans la huitaine. Sous pression, l’Agence européenne du médicament (EMA) promit de fournir une réponse «au plus tard le 29 décembre.» Elle la donna finalement dès le 21 décembre, à peine plus d’une semaine après l’aval de l’agence américaine des médicaments (FDA) elle aussi sous pression, ouvrant la voie à un succès planétaire. Le vaccin de Pfizer-BioNTech est le deuxième plus répandu à travers le monde, administré dans 102 pays, derrière Astra-Zeneca-Oxford et son aire de distribution de 171 pays.

Accords avec les labos, des précédents fâcheux

Par ailleurs, la Commission avait à l’époque ratissé large afin d’assurer un approvisionnement rapide des Européens en vaccins dès que ceux-ci seraient disponibles. Si Pfizer a pris la concurrence de vitesse, début 2021 cinq autres laboratoires avaient un contrat d’achat anticipé signé avec Bruxelles pour leurs candidats-vaccins. Une précipitation européenne qui a eu un coût en termes d’image, en partie parce que Bruxelles a été plus lente à agir que des États membres et parce que certains contrats avaient jeté le discrédit sur la Commission, comme celui passé avec Gilead. Début octobre 2020, l’exécutif européen n’était pas peu fier de signer un chèque en blanc d’un milliard d’euros –au nom du contribuable européen– pour l’approvisionnement en remdesivir de tous les États membres de l’UE, de l’Islande, de la Norvège et des six pays candidats ou candidats potentiels des Balkans. Sauf qu’au moment de signer avec Bruxelles, Gilead savait que son traitement était considéré par l’OMS comme inefficace, mais n’avait pas jugé bon d’en informer la Commission. Interrogé sur cet épisode par la presse, le laboratoire a répondu ne reconnaître que la validité scientifique des tests des autorités américaines. Des tests auxquels il avait directement participé.

Pour en revenir au premier contrat de Pfizer, certaines de ses clauses avaient fuité dans la presse fin avril 2021. On avait alors découvert que la Commission avait payé une avance de frais afin de «sécuriser le volume commandé» de l’ordre de 700 millions d’euros et que les doses étaient légèrement plus chères que douze euros. Un tarif qu’avait laissé entendre en décembre des documents accidentellement révélés par la secrétaire d’État belge au Budget et à la Protection des consommateurs, Eva de Bleeker.

Dernière information révélée, et non des moindres, chaque État membre s’engage à «indemniser et dégager de toute responsabilité le laboratoire, ses filiales, sous-traitants, partenaires sous franchise, ainsi que ses dirigeants, directeurs, employés et autres agents et représentants de chacune de ces entités, en cas de plainte d’un tiers, relative aux dommages et préjudices […] qui surviendrait lors de l’utilisation ou du déploiement des vaccins.»

Les pots cassés pour les contribuables, les bénéfices pour les labos

Des clauses qui n’avaient pas particulièrement surpris. D’une part parce qu’en France, certains politiques de premier rang les dénonçaient depuis plusieurs mois, et d’autre part parce que celles-ci n’étaient pas inédites. Là encore, un précédent avait marqué les esprits: celui de la crise de la grippe H1N1 à la fin des années 2000. Déjà à l’époque, les laboratoires avaient exigé des États clients de les couvrir en cas de pépin occasionné par leurs traitements développés en urgence.

En 2010, le Sénat avait ainsi pointé du doigt les conditions de ces contrats signés dans l’urgence entre gouvernements et laboratoires pharmaceutiques. Contrats qui s’illustraient, aux yeux de la chambre haute du Parlement, par un «remarquable déséquilibre et par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses».

Le rapport des sénateurs soulignait également la manière dont les labos avaient «insisté pour la signature très rapide de lettres d’intention», sur le respect d’une stricte procédure logistique qui de facto tenait à l’écart les médecins généralistes et pharmacies, ainsi que de recourir à une «vaccination à double injection, alors qu’une seule dose suffit en principe pour les vaccins antigrippaux.» Des éléments qui rappellent étrangement ceux observés ces sept derniers mois.

Toutefois, comme le notait le rapport, certains États européens avaient à l’époque tenu tête aux laboratoires. Ce fut notamment le cas de la Pologne. D’autres pays, comme la France, avaient pu également réduire les frais engagés au plus fort de la crise en résiliant les contrats d’approvisionnement signés avec les laboratoires pharmaceutiques.

Autant de potentiels obstacles et réticences nationales qui cette fois-ci ont été levés au nom de la «solidarité» européenne. En effet, si les exigences des laboratoires n’ont donc rien de nouveau en des temps de crise sanitaire, en revanche l’initiative d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel de concentrer dans les mains de la seule Commission européenne l’achat des vaccins pour l’ensemble des États membres a très clairement joué en faveur des laboratoires, en plus de retarder les premières livraisons. Bref, les enseignements de la «première pandémie du XXIe siècle» de la grippe A n’ont pas été retenus, du moins pas par les dirigeants politiques européens.




La liberté ne se négocie pas

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Alain Tranchant, pour FranceSoir

CHRONIQUE – Macron en rêvait pour son référendum « vert », aujourd’hui enterré. Le Sénat l’a fait pour ses mesures attentatoires aux libertés fondamentales, celle de travailler, celle d’aller et venir, celle de disposer de son propre corps. Voici que l’opposition de droite (à quelques exceptions près), majoritaire au Sénat, vient de se joindre à un pouvoir à bout de souffle pour asservir le peuple français. Et cela, au moment même où le président de la République, plus diviseur que jamais, stigmatisait « l’irresponsabilité et l’égoïsme des non vaccinés ».

Alors qu’à Pékin, tout de même ! le vaccin n’est pas obligatoire, alors qu’à Moscou, pas n’importe où ! on vient de renoncer au pass sanitaire, à Paris  – capitale du pays des droits de l’homme – l’opposition incapable de s’opposer, incapable d’assumer une idée simple : le soin, enfin ! de préférence à l’aventure vaccinale, l’opposition a mis le doigt dans un drôle d’engrenage, en permettant au gouvernement d’imposer une obligation vaccinale pour les soignants et le recours à un passeport sanitaire pour accéder à certains lieux de vie, de culture ou de sport.

Alors qu’un crime se commettait sous ses yeux, son devoir, son devoir sacré, était de résister et de s’opposer. De même que la confiance ne se décrète pas, la liberté ne se négocie pas, ne se divise pas, ne se découpe pas en rondelles. Pour ne pas l’avoir compris, et surtout parce qu’elle aussi gère son calendrier électoral, l’opposition au macronisme s’est perdue dans de médiocres calculs d’arrière-boutique qu’elle pourrait bien regretter un jour. Le pouvoir n’en demandait pas tant, et M. Véran put crier à l’union nationale retrouvée.

Alors que ces soi-disant « vaccins » n’offrent ni garantie de sécurité (mais personne, et surtout pas M. Macron, ne parle des morts du vaccin, ni des très graves effets secondaires qui sont beaucoup plus que de menus effets indésirables), ni garantie d’efficacité (ils n’empêchent pas d’être infecté, ou de transmettre le virus), c’est sur cette base aussi incroyable que fragile que la droite, majoritaire au Sénat, a apporté son soutien à une mesure inenvisageable en République : la différenciation entre les citoyens selon qu’ils acceptent ou qu’ils refusent une injection dangereuse et, en l’occurrence, nullement salvatrice.

« On n’est pas la République quand on n’a pas le peuple avec soi », disait le général de Gaulle. Eh bien, on n’est pas la République non plus quand on laisse tomber un de ses piliers fondamentaux : la liberté. L’heure est grave. Pour un virus qui est en train de perdre de sa virulence au fur et à mesure de ses mutations, pour un produit vaccinal qui n’est encore qu’en phase expérimentale à une échelle déraisonnable – et, jamais, un « projet de vaccin » n’a entraîné autant de décès – nos gouvernants et une partie de l’opposition ont fait cause commune pour organiser la division des Français et la ségrégation de toutes celles et de tous ceux qui refusent la manipulation d’un pouvoir qui n’a cessé de mentir et de renier sa parole depuis le début de la pandémie.

Pour vivre en liberté dans une France libre, c’est maintenant qu’il faut résister à une loi scélérate.

Auteur(s): Alain Tranchant, pour FranceSoir




Coup de gueule d’un gynécologue-obstétricien au sujet du vaccin COVID : « arrêtez le massacre »

[Source : Guy Fawkes New (fawkes-news.com)]




Pour porter plainte contre le « pass » sanitaire

[Source : courriel]

Maitre Di Vizio, l’un des seuls avocats à remuer ciel et terre pour notre droit, a rédigé une plainte pour extorsion qui permet d’invalider le passe sanitaire :

https://www.divizio.fr/recours/

Le Cabinet Di Vizio constitue actuellement deux recours distincts :

  • Un recours contre l’Obligation Vaccinale (s’adresse uniquement aux professions éligibles) / Action contre l’Obligation Vaccinale
  • Un recours contre le « Pass » Sanitaire (s’adresse à tout le monde) / Action contre le « Pass » Sanitaire[*]

IL EST URGENT QUE CHACUN PORTE PLAINTE GRACE À CE TEXTE ET S’ASSURE QUE CHACUN AUTOUR DE LUI FASSE DE MEME !!

Pourquoi ? Parce qu’une fois que suffisamment de personnes seront vaccinées, et qu’il y aura assez de naïfs pour croire qu’on en aura fini, ils pourront imposer la vaccination obligatoire. Il n’y aura plus de résistance. C’est LE MOMENT !

Faites-le et n’hésitez pas à faire remonter comme quoi vous l’avez fait.

POUR RAPPEL, il existe déjà :

  1. Une plainte pour extorsion contre le Premier ministre ;
  2. Une plainte  contre le ministre Alexandre  Djebbari, le ministre de la transition écologique chargé des transports ;
  3. Une plainte  contre Elisabeth Borne, ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion ;
  4. Une plainte contre les publicités pour les vaccins qui sont toutes illégales.

Ces plaintes-là sont des plaintes pénales que chaque citoyen doit envoyer lui-même par recommandé avec accusé de réception à la Cour de justice de la République avec le numéro de la loi et il faudra signer la plainte.

Ces quatre plaintes sont totalement gratuites.
Ça doit partir par centaines de milliers. Il faut qu’on soit au minimum 100 000 à l’envoyer.
Elles passent par le site de l’association victimes coronavirus France :
https://association-victimes-coronavirus-france.org/

PLAINTE CONTRE LE PASS SANITAIRE
https://association-victimes-coronavirus-france.org/plainte-contre-le-pass-sanitaire/ :
choisir « plainte extorsion« 

PARTAGEZ AU MAXIMUM


[*]
Recours #2

Recours contre le Pass Sanitaire

Ce recours s’adresse à toute personne physique :
Frais de participation de 1,20 € ttc / personne.

Pour valider de façon définitive votre inscription, vous devez remplir le formulaire qui suit et régler en ligne par carte bancaire.
JE RÈGLE MON INSCRIPTION




Passe sanitaire : preuve que tout était déjà prévu avant janvier 2020 !

Par Claude Janvier

C’est bête de faire des erreurs, surtout venant de Santé publique France. Surtout qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai. Dans leur rapport — Covid-19 : point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021 —, le nombre total des décès dus au virus est publié page 41 : « Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021 : Total de 95 364 décès de patients Covid ». Puis, page 43, tableau 10 : « 14 471 décès imputés au Covid-19 seul, 27 031 décès imputés au Covid-19, mais avec une ou plusieurs comorbidités, donc un total de 41 502 décès ». Entre les deux totaux, une différence de 53 862 décès. Ah ! quand même… Le vrai total n’a donc plus rien à voir avec le bourrage de crâne politico/médico/médiatique.(([1] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021))

Que se passait-il en janvier 2020 ?

Revenons au présent. Tout a commencé il y a quelques jours, lorsque mon épouse et moi avions décidé de nous prendre quelques jours de vacances en Bretagne, histoire de nous changer les idées face à la morosité covidienne et aussi, d’en profiter un peu avant l’imposition du passe sanitaire liberticide.

Vendredi 23 juillet 2021 : nous étions devant l’entrée du château de Fougères, quand mon regard fut attiré par une affiche indiquant : « Pass Sanitaire Covid-19 ». Déjà ! Diantre, rapide comme l’éclair, ce gouvernement. Pour augmenter le SMIC et les retraites, ça traîne, mais pour ce genre de choses, ça carbure. En plus, sabotage de la langue française. Pourquoi écrire « Pass » en anglais ? Pour avoir l’air branché ? Allô M. Blanquer ? Un commentaire ?

Je prends donc en photo la fameuse affichette que l’on va devoir subir dans notre champ de vision jour après jour et qui orne déjà toutes les entrées des sites et des établissements recevant du public. Peu de temps après, un ami me demande si j’ai regardé la date en bas à gauche du document. Je jette un œil, et je découvre avec stupeur ceci : W-0333-001-2003-20 janvier 2020. Suivi du logo ne pas jeter sur la voie publique.

En recherchant sur Google la référence ci-dessus et la date, je tombe directement sur Santé publique France. Organisme d’État. Notez au passage qu’ils ont reçu 3,831 milliards d’euros de subvention pour 2021 — oui, vous lisez bien — pour 625 agents. Déjà en 2020, cet organisme avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros.(([4] Tec hôpital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » —… de caviar et de champagne peut-être, car à ce tarif-là…)) Tout cet argent pour pondre des rapports alarmants, soporifiques, souvent mensongers et des affiches Covid. Démentiel !

J’ai mis sur mon compte Twitter, https://twitter.com/JANVIERClaude1, ma photo de l’affiche. Beaucoup de rififi à ce propos sur le réseau, surtout de la part d’une quantité non négligeable de trolls macronistes.

Florilège :

  • C’est la loi concernant le fait de ne rien jeter sur la voie publique, loi 2003, modifiée en 2020.
  • C’est la référence d’un papier utilisé en imprimerie, et je cite un commentaire : « ce marquage/logo a été imprimé en 01/2020 et depuis, il sert pour chaque nouvelle impression. »
  • La photo est fausse.
  • Vous avez retouché la photo avec l’ordinateur.
  • Insultes diverses.

Sauf que, d’après mes recherches, cela ne correspond en rien :

Cette affiche a été conçue par Santé publique France le 20 janvier 2020. Pas de doute possible. Or, à cette date, personne n’avait entendu parler du passe sanitaire, ni des confinements, ni du masque obligatoire, etc. À chacun d’en tirer des conclusions.

Toute cette coronafolie était donc bien prévue avant janvier 2020. Dur à avaler certainement pour beaucoup, mais le fait est là. Tout ce cinéma infernal afin de permettre à quelques labos d’empiler des milliards d’euros. Répugnant.

Il est plus que temps de faire le ménage, d’établir une véritable démocratie et de retrouver notre souveraineté.

Claude Janvier
Ecrivain, polémiste.
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes




PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Extrêmement contraignants pour les États qui les ont signés, les contrats Pfizer semblent les avoir ligotés. Quelques explications qui s’appuient sur les tweets de Marceau qui a traduit et commenté ces révélations faites sur Twitter.

Bien que les documents qui ont fuité soient en réalité des « drafts » du laboratoire, soit un brouillon, une version non finale, il y a fort à parier que les contrats y ressemblent comme deux gouttes d’eau. Pfizer s’est montré plutôt agressif en essayant de protéger les détails de leurs accords internationaux sur le vaccin COVID-19. Mais en voici une copie. Le document qui est ici épluché a été rendu public par l’Albanie en janvier 2021.

Voir aussi : le document complet en anglais

Tout d’abord, on note que le coût de développement des contrats est très élevé et prend beaucoup de temps (cycles de relectures juridiques). Pfizer, comme toutes les entreprises, développe un modèle d’accord standardisé et utilise ces accords avec des ajustements relativement mineurs dans différents pays. Ces accords sont supposés être confidentiels… Mais comme vous êtes sur le point de le voir, il y a une bonne raison pour laquelle Pfizer se battait pour en cacher les détails.

Pour commencer, parlons du produit : l’accord couvre non seulement la fabrication des vaccins contre le Sars-COV-2 et ses mutations, mais également tout « dispositif, technologie ou produit utilisé pour l’administration ou pour améliorer l’utilisation ou l’effet d’un tel vaccin ».

Si vous vous demandiez pourquoi l’ivermectine a été empêchée, eh bien, c’est simplement parce que l’accord conclu avec Pfizer ne leur permet pas d’échapper à leur contrat, qui stipule que même si un médicament efficace était trouvé pour traiter le Covid-19, le contrat ne peut pas être annulé. Difficile donc, de jouer sur deux tableaux. Vous imaginez les millions de doses payées et vouées à la destruction si un traitement efficace et peu cher devait exister ?

Approvisionnement en vaccins :

« Pfizer n’assumera aucune responsabilité en cas de non-livraison des doses conformément aux dates de livraisons estimées. Et un tel manquement ne donnera à l’acheteur aucun droit d’annuler les commandes pour toute quantité de produit »
« Pfizer décidera des ajustements nécessaires du nombre de doses contractuelles et du calendrier de livraison dus à l’acheteur (…) sur la base de principes à déterminer par Pfizer (…) l’acheteur sera dans l’obligation d’accepter toute révision »

Pour être clair, « l’acheteur renonce à tous les droits et recours qu’il peut avoir en vertu de la loi », et donc subira les conséquences de produits deffectueux et/ou manquants si cela venait à arriver. La seule façon d’obtenir un rappel est de prouver un défaut de fabrication.
« Pour plus de clarté, l’acheteur n’aura pas le droit de rejeter un produit sur la base de réclamations de service à moins qu’un produit ne soit matériellement conforme aux spécifications ou aux standards de fabrication ». Notons toutefois que c’est une preuve difficile à apporter puisque le procédé de fabrication n’est même pas encore stabilisé.

« Cet accord est au-dessus de toute loi locale de l’État ».

Étudions maintenant ce qui pourrait intéresser les avocats

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus ».

Par ailleurs, il existe des clauses concernant la possibilité de résiliation, mais en tout état de cause, l’acheteur n’a presque rien qui puisse être considéré comme une violation substantielle (même en cas d’inefficacité des vaccins ou en cas d’effets secondaires grave/mortels), tandis que Pfizer peut facilement le faire s’il n’obtient pas son argent ou s’il le juge nécessaire. En d’autres termes, ça marche dans un sens mais pas dans l’autre…

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et d’assumer toutes responsabilités incombants à Pfizer et ses filiales (…) suite à des poursuites, réclamations, actions en justices, pertes, dommages, responsabilité, pénalités, amendes, coûts et dépenses… Le monde à l’envers, vous dites ?

L’État acheteur doit défendre Pfizer :

« Pfizer informera l’acheteur des pertes pour lesquelles il demande une indemnisation. Dès cette notification, l’acheteur assumera rapidement la conduite et la défense de ces réclamations indemnisables au nom de « Pfizer ». Cependant, Pfizer aura le droit d’assurer sa défense et l’acheteur devra payer toutes pertes, y compris et sans limitation, les honoraires d’avocat et d’autres dépenses encourues.

Pfizer s’assure que le pays en question paiera pour tout :

« Les frais et dépenses, y compris les honoraires et décaissements des avocats, encourus lors d’une plainte pouvant donner droit à indemnisation, seront remboursés sur une base trimestrielle par l’acheteur. »

Le pays acheteur est presque entièrement responsable et renonce à tout droit d’immunité. Il doit fournir à Pfizer une immunité totale contre toutes les réclamations et toutes les pertes, doit la mettre en œuvre conformément aux exigences légales ou réglementaires, et seul Pfizer peut décider du niveau de protection qu’il juge suffisant.

Par ailleurs, à l’heure où les données de santé de l’individu s’apprêtent à être de plus en plus divulguées et étudiées, la confidentialité du côté des laboratoires ne perd pas de sa valeur. Ainsi, chaque destinataire est tenu de protéger les données et les contrats avec Pfizer, et « ne divulguera les informations confidentielles qu’à ceux de ses représentants qui ont besoin de connaître ces informations confidentielles pour remplir ses obligations en vertu du présent accord ». Le contrat doit théoriquement rester confidentiel pendant 10 ans. Ce qui laisse en théorie du temps pour voir venir les effets secondaires et pour s’en prémunir.

Commentaires de l’auteur : ce contrat est simplement terrifiant et met les États à la merci de Pfizer. Des milliards de doses commandées vont être livrées sans aucun moyen pour les États de stopper l’approvisionnement. Le seul moyen de rompre le contrat est de prouver le défaut de fabrication, ce qui est virtuellement impossible. Le processus de fabrication n’est pas stabilisé donc il est impossible de démontrer que les vaccins ne seraient pas conformes. Pfizer a une immunité totale et n’est même pas responsable pour la non-efficacité de ses vaccins ou de la survenue d’effets secondaires, à court ou long terme. Les montants en jeu sont tels et les risques pour les États tellement démesurés qu’il est à présent aisé de comprendre pourquoi il n’y a pas de pharmacovigilance. Mener d’importantes études sur les effets secondaires des vaccins reviendrait, pour les États, à se tirer une balle dans le pied, puisqu’ils devraient en payer toutes les conséquences.

L’État fera donc tout pour minimiser, cacher, nier tout effet secondaire afin d’éviter les poursuites et devoir payer pour Pfizer. Les États se sont clairement mis au service du laboratoire au détriment de la santé de leurs populations.

Deux questions subsistent :

  • Le gouvernement français, après avoir signé un tel contrat avec Pfizer, peut-il nous imposer la vaccination obligatoire pour écouler des livraisons continues de vaccins ?
  • Pourquoi les États acceptent-ils de signer de tels contrats ?

Le fil Twitter en français :

https://twitter.com/2020Marceau/status/1420017526977749004?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1420017526977749004%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.francesoir.fr%2Fsociete-sante%2Fpfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer

Le récapitulatif en un lien : 
https://threadreaderapp.com/thread/1420017526977749004.html

Auteur(s): FranceSoir




Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

[Source : observatoiredumensonge.com]

Une ordonnance puis un décret, passés inaperçus dans les médias et aussi dans l’opposition, auront suffi pour la Macronie à prendre le contrôle du corps médical. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

Par Daniel Desurvire

L’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 relative à la certification périodique de certains professionnels de santé, fait apparaître la mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance dans l’exercice de leur art, en regard des ingérences du pouvoir politique. Mais cette époque de liberté est désormais révolue, car la Haute Autorité de santé devra partager ses prérogatives avec l’Exécutif, en ce qui concerne le pilotage de ses actions menées pour surveiller, encadrer et actualiser les niveaux de compétences et la qualité des professionnels salariés, mais surtout de la médecine libérale (article L. 4022-3). Un Conseil national de certification, entièrement soumis à l’autorité politique, est constitué pour délivrer, reconduire ou retirer le droit d’exercer. Ces prérequis, à travers certaines contingences politico-sanitaires, fixent des objectifs et des obligations aux médecins.

Curieusement, cette ordonnance ne fait jamais apparaître l’existence du Conseil de l’Ordre corporatif des médecins, lui-même compartimenté par degrés de juridictions géographiques, comme s’il n’existait pas, ou que le Gouvernement méprisamment l’occulterait. Certes, ce Conseil administratif et juridictionnel de défense et de régulation est déjà placé sous la tutelle du ministère de la Santé, mais il conserve sa spécificité socio-médicale, avec sa déontologie, ses instances disciplinaires et ses activités formatrices. Dans un monde collectiviste où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de cette oligarchie dominante. Ces collaborateurs de la toute-puissance élyséenne ; la Haute Autorité de santé et le Conseil national de certification, tels deux gendarmes, seront désormais l’oreille et la voix de l’exécutif pour mieux contrôler le Conseil de l’Ordre des médecins. Cette institution de droit privé devra désormais se ranger à la politique inquisitoriale de l’Étaten dénonçant, en sanctionnant voire en révoquant les médecins qui refusent de relayer l’obligation vaccinale pour leurs patients et pour eux-mêmes, ou en récompensant les bons élèves qui savent piquer sans compter.

Un décret n° 2021-964 du 20 juillet 2021 porte la trace visible de ce changement de paradigme dont la profession toute entière est indéfectiblement liée au serment d’Hippocrate. Nous frôlons ici le syndrome du salut fasciste des forces de l’Axe après l’attentat du 20 juillet 1944 au QG Wolfsschanze en Allemagne nazie, pour exprimer une adhésion forcée des professionnels de santé à une autre idéologie : le ralliement politique. C’est ainsi que « La prime d’intéressement collectif lié à la qualité du service rendu » est devenu : « la prime d’engagement collectif ». En d’autres termes, il ne s’agit plus d’intéressement lié à la qualité de service ou d’un objectif de production, mais d’une incitation mentale, qui frappe du talon en résonnant au pas de l’oie, à obéir aveuglément aux directives politiques de l’autorité oligarchique en embuscade dans les couloirs des hôpitaux. La délation inquisitoriale n’est donc pas éloignée, mais elle se nourrira désormais de dénigrements, de rumeurs et de menaces. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Dans le texte susvisé, « aux objectifs prioritaires et aux équipes porteuses d’un projet », sont ajoutés des « indicateurs de résultats avec des objectifs précis, mesurables, accessibles et adaptés… ». Nous plongeons en plein délire d’initiation à un ordre nouveau ! Le médecin interniste se verra harcelé sur la façon de rédiger une posologie de soins, et de se déplacer en rang d’oignon pour se ranger à un ordre établi, non plus en fonction de son diagnostic et du profil pathologique du patient. L’encadrement revêt ainsi l’uniforme politique du moment, et en bon soldat, le praticien se verra juger sur son comportement, d’où son engagement, non sur la qualité de service rendu.

Pourquoi publier un tel décret où il n’apparaît aucune volonté d’exprimer une orientation à caractère professionnel et/ou didactique ? Ni les mots « santé », « sanitaire » ou « déontologie » ne figurent dans ce texte, où seul un acharnement politique s’y exprime avec la force de mots qui impriment la persuasion par la dissuasion. L’accent comminatoire d’une confiscation de ladite prime sera la première sanction contre celui ou celle qui ne remplira pas les conditions ou les obligations « d’engagement » à l’idéologie politique assénée par le ministre de la Santé. Nous entrons dans une ère nouvelle, ou plutôt en réminiscence par une histoire de triste mémoire que l’on croyait ne jamais revenir en surface. Cette idéologie qui ne se cache même pas, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron, autant avec le « passe-sanitaire », le « QR code » et l’appli « TousAntiCovid ».

Ces indicateurs rappellent étrangement une discrimination entre les citoyens, non de confession, mais du libre choix de disposer de son corps et d’accepter ou refuser des thérapies). Cette liberté issue des droits naturels, est exprimée et inscrite de façon inaliénable par la Constitution française, qui prend sa source dans l’esprit et la lettre des Droits de l’homme. Si les Français ne comprennent pas le virage autoritaire et particulièrement liberticide de cette mandature qui gomme les derniers reliefs de notre démocratie à l’agonie, ce sera toute notre histoire révolutionnaire qui s’effondrera d’un seul bloc.

Mais cela ne suffit toujours pas à l’État-Macron qui veut imposer ses directives politiques, sans devoir en passer par l’esprit professionnel de cette catégorie médicale. Dans une logique spécieuse, la lutte contre l’épidémie, même s’il n’ait personne pour vérifier si elle est toujours présente ou si ce ne seraient que des tests positifs sur des porteurs sains passant pour être la maladie, doit en passer par la discrimination culpabilisante et pénalisante. De fait et pour l’époque présente, trop de médecins s’opposent à la vaccination obligatoire susmentionnée, voire ne sont pas eux-mêmes vaccinés contre la Covid. Devant les motifs professionnels légitimes et scientifiques de cette profession, l’oligarchie élyséenne vient à présent imposer son incontournable autorité en ordonnançant le droit à son avantage exclusif, en dépit de l’intérêt sanitaire national que les médecins ont ordinairement vocation à réserver en priorité à leurs patients.

Dans le rapport joint à cette ordonnance, il est prétendu qu’aucune opposition directe et générale n’a été formulée s’agissant d’une concertation, dont le rédacteur n’a laissé aucune indication de personnes, de lieu et de date pour discerner une trace lisible de ce forum fantôme. Quid de la composition d’acteurs qui auraient conduit à l’orientation de cette résolution ? Ici le mensonge est énorme et cette faconde transpire de mauvaise foi. De sorte que ce Gouvernement en aura déduit que le pilotage scientifique du dispositif lui serait confié, sous la bénédiction dudit Conseil national de la certification périodique qu’il préside.

Une fois encore et comme à son habitude, Emmanuel Macron s’accapare tous les pouvoirs, jusqu’à pénétrer les épidermes professionnels, la chair de nos institutions sociales et sanitaires, puis de tout ce qui bouge, soigne, fabrique et administre. L’histoire de la Covid suscite toutes les interrogations et les suspicions de fraudes, de prises illégales de pouvoir et d’enrichissements personnels exorbitants, dès lors que le Politique prend le pas sur les réalités.

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: 
Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




NOUS SOMMES LA MAIN !

Par Alain Tortosa

Le droit n’est qu’un outil, qu’une arme, qu’un marteau…

Sans la main qui les commande, ils ne sont RIEN !

Vous êtes cette main, vous avez VOTRE destin entre VOS mains !

Réaction 19, Reinfocovid, Mme Wonner et tous les autres ne fournissent que des outils…

Nombre d’entre nous sommes désespérés par le rouleau compresseur du totalitarisme. Le gouvernement, reniflant sans doute l’odeur de la défaite, a appuyé à fond sur l’accélérateur pour imposer la « vaccination » et le pass sanitaire.

Ce que nous avions écrit il y a plusieurs mois se produit, hélas… Des dizaines de milliers de postes-frontières sont mis en place dans notre pays où les libertés ne sont plus qu’un lointain souvenir.

Pour la quasi intégralité des politiques, des médias et des ex-médecins corrompus, il n’est pas nécessaire d’avoir la moindre réflexion éthique sur le fait d’introduire officiellement des castes, y compris pour les enfants !

Plus de blancs, de noirs, de jaunes, de gris, de bleus ou de verts mais des « sains » vaccinés et des « dangereux » non-vaccinés.

Tels des indiens, ma famille et moi-même sommes devenus des INTOUCHABLES !

Nous sommes désormais de mauvais français, des citoyens de seconde zone, menacés, privés de leurs droits fondamentaux, traqués par la police de Vichy qui a repris du service avec son lot de collabos.

Les personnes qui se vaccinent en masse aujourd’hui ne sont plus les paniqués convaincus d’hier qui ont cru aux mensonges du gouvernement et du fameux « vaccin libérateur ». Le réveil de ceux-ci pourrait être d’une grande violence.

La dictature devra-t-elle utiliser tout l’alphabet grec pour nommer des variants (probablement créés par les vaccinés), justifiant mesures dictatoriales et nouvelles doses ad vitam æternam ? Comment arrivent-ils à gober encore de tels mensonges alors même qu’Israël, cité en exemple par toutes les journalopes, a annoncé que les touristes vaccinés ne pourront plus pénétrer dans leur pays ?

Et ils osent répéter que leur injection criminelle est efficace à 90 %, mais qu’il est néanmoins vital que les non-vaccinés se piquent pour protéger les vaccinés, malgré leur vaccin totalement efficace ! Le 27 juillet le CDC a officiellement ajouté que les vaccinés deux doses devaient porter un masque !(([1] https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/fully-vaccinated-guidance.html))

Dans notre « merveilleux pays des droits de l’homme et de l’intelligence », les données de pharmacovigilance sur les effets secondaires sont dix fois moindres que ceux enregistrés aux Pays-bas, qui sont des humains identiques aux Français et sont piqués avec la même merde !

Et alors que depuis le mois de mars 2020, n’importe quel mort qui avait le malheur d’éternuer avant son dernier souffle était étiqueté décédé du Covid. Alors même qu’une personne asymptomatique avec un cancer en phase terminale, testée positive à l’entrée de l’hôpital, est comptabilisée décédée du Covid…, Maxime Beltra, jeune homme de 22 ans, décédé quelques heures après l’injection du poison, parce qu’il voulait partir en vacances en Grèce, sera, sans nul doute, officiellement décédé de ses allergies connues dont il souffrait depuis la naissance.

Je veux bien que la dictature décide officiellement que ce pauvre Maxime soit considéré comme décédé de ses allergies, mais à une unique condition ! Que l’on recompte les vrais morts, que l’on supprime 90 % des décès de personnes mortes avec le Covid pour ne garder que les morts du Covid.

Si Maxime est déclaré mort de ses comorbidités, alors j’exige que le nombre de mort officiel passe à 12 000 morts (et non 115 000). Nous sommes réduits en esclavage et peut-être bientôt placés dans des camps, pardon « des lieux de résidence surveillés », pour « protéger » les vaccinés avec leur « vaccin parfaitement efficace ».

Dans ces conditions, nombreux sont celles et ceux qui renoncent, qui se sont ou qui vont se « vacciner » pour éviter de perdre leur travail ! Leur leitmotiv étant « C’est foutu, je n’ai pas les moyens de perdre mon emploi ».

Allez-vous faire de même pour vos enfants non vaccinés qui seront officiellement soumis à l’apartheid ?

Je ne peux vous garantir que nous sortirons vainqueurs si chacun de nous mène la bataille, mais je peux en revanche vous garantir que nous serons laminés si nous abdiquons avant même de combattre !

  • Allez-vous prendre le risque de vous injecter cet ARNm expérimental ?
  • Allez-vous prendre le risque de voir cet ARN migrer en ADN ?
  • Allez-vous prendre le risque de développer une maladie auto-immune (à vie) dans quelques années ?
  • Allez-vous prendre le risque que votre enfant développe un cancer dans les 10 ou 15 ans ?

Et pour quoi ? (écrit en deux mots.)

  • Pour que votre enfant puisse faire des sorties scolaires ?
  • Pour ne pas perdre votre emploi ?
  • Pour « protéger » (ce qui est faux en plus) des vieux en fin de vie ?

L’association Reaction19, avec Carlo Brusa à sa tête, ainsi que d’autres juristes fournissent des outils pour se battre, des outils pour résister à la dictature !

Mais vous avez quoi à perdre à les essayer ? Vous pensez que la dictature va vous injecter deux fois pour vous punir si vous osez résister ?

Nous avons tous le choix de baisser les bras pendant la bataille si la pression devient insupportable.
Comment pourrons-nous encore nous regarder dans un miroir si nous ne saisissons pas dans notre main les outils offerts pour nous défendre ?

Je le redis, quand bien même nous serions à la dernière étape avant notre licenciement, nous pourrions nous injecter cette merde pour éviter le couperet et nous serions bien sur réintégrés, la dictature étant trop contente de pouvoir afficher notre reddition !

Mais en entendant, nous devons nous battre ! Dans une catastrophe naturelle, celui qui survit, c’est celui qui tient ! Nous ne sommes pas seuls, nous sommes désormais des millions dans la rue ! Nous avons un pack de solutions juridiques et autres pour lutter et gagner du temps !

Rappelez-vous la fin horrible du film The Mist de Stephen King, où le héros renonce cinq minutes avant la fin du cauchemar !
Tenez ! Tenez ! Vous n’avez rien à perdre ! La liberté est au bout du chemin !

Alain Tortosa.

https://7milliards.fr/tortosa20210729-nous-sommes-la-main.pdf




4e vague de Covid-19 à l’hôpital ? « Un mensonge d’État » selon le fondateur de la Société Française de Virologie

[Source : (breizh-info.com]

La vidéo de l’intervention de Jean-Michel Claverie, fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet sur BFMTV est rapidement devenue virale. Et pour cause : le virologue a qualifié de « mensonge d’État » l’hypothèse d’une 4e vague de Covid-19 à l’hôpital tandis que médias maistream et responsables politiques entretiennent un climat de peur afin de justifier l’instauration du pass sanitaire.

« De vraies bonnes raisons éthiques et scientifiques » de s’opposer au pass sanitaire

Sur BFMTV, chaîne particulièrement zélée et inféodée à la politique gouvernementale depuis le début de la pandémie de Covid-19, ce sont des mots très forts qui ont été prononcés par Jean-Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet.

Interrogé en direct par le duo de présentateurs, ce dernier a fortement remis en cause la politique sanitaire de l’exécutif français ainsi que les prévisions alarmistes faites quelques jours auparavant par le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, lequel a redouté que la quatrième vague de coronavirus soit la plus puissante de toutes. Tout en ajoutant le 23 juillet, déjà sur BFMTV, que « le retour à la normale, c’est pas maintenant, c’est peut-être 2022 [ou] 2023 ».

Un constat que ne partage absolument pas Jean-Michel Claverie qui a démonté en quelques minutes plusieurs arguments martelés en boucle par le gouvernement et les principaux médias du pays afin de justifier la mise en œuvre du pass sanitaire.

Tout d’abord en apportant une précision salutaire sur le profil des très nombreux Français ayant pris part aux manifestations du 24 juillet contre le pass sanitaire : 

« Les gens qui sont dans la rue ne sont pas tous des gens qui pensent que la Terre est plate, ou des anti-vax, ou des extrémistes politiques. Il y a de vraies bonnes raisons à la fois éthiques et scientifiques à trouver que le pass sanitaire est quelque chose qui est à la fois inacceptable pas très efficace. »

Sur le plan éthique, le fondateur de la Société Française de Virologie a notamment fait référence aux 10 points d’alerte émis par la Défenseure des droits Claire Hédon le 20 juillet. Et de souligner à juste titre que ces alertes n’ont eu « aucun écho politique » ni « aucun écho médiatique ». CQFD…

4e vague à l’hôpital : « Un mensonge d’État » selon Jean-Michel Claverie

Dans un second temps, Jean-Michel Claverie évoque ensuite la question de la gestion du Covid-19 au plan scientifique. Et apporte un point de vue détonnant sur les chiffres des nombres de cas quotidiens positifs au coronavirus traités de manière alarmiste par une grande partie de la classe politique et médiatique française : 

« Il faut arrêter avec ces 20 000 cas dont on nous bassine tous les jours ; ces 20 000 cas ne sont pas des cas de gens malades mais de gens testés avec un PCR positif ».

Le virologue s’appuie également sur l’exemple de l’Angleterre où, 

« dans une population qui est vaccinée à peu près comme la nôtre, cette maladie fait extrêmement peu de cas graves ou de gens malades ».

Quant aux propos de Jean-François Delfraissy sur la virulence d’une « quatrième vague à l’hôpital », Jean-Michel Claverie utilise des mots lourds de sens : « Là, il y a un mensonge d’État ! »

Tentant par la suite de contredire le fondateur de la Société Française de Virologie, le présentateur BFMTV s’appuie alors sur des chiffres prétendument issus de l’outil CovidTracker. Une erreur que ne manque alors pas de corriger Jean-Michel Claverie, le reprenant alors sur les données des derniers jours. Avant d’interroger : 

« Est-ce que vous pensez que cela justifie de faire ces lois incroyablement liberticides sans aucune justification réelle clinique et sanitaire ? »

Pass sanitaire
Chiffres CovidTracker France au 25 juillet 2021. Source : covidtracker.fr

Vidéo de l’intervention du virologue Jean-Michel Claverie sur BFMTV :

https://www.youtube.com/embed/F551T8B5d2Y

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !

[Voir aussi sur : Réarmer l’intelligence ! (upinsky.work)]

Par Dr Gérard Delépine chirurgien et statisticien(([1] Docteur Nicole Delépine – Site Officiel du Docteur Nicole Delépine, Pédiatre, Oncologie
https://docteur.nicoledelepine.fr))

Enfin la réfutation des allégations anti-scientifiques du Président Macron à Tahiti :

L’obligation « vaccinale » des soignants et des pompiers sans aucune logique vaccinale, Dr. Gérard Delépine, chirurgien et statisticien (26 juillet 2021)


L’obligation vaccinale des soignants et des pompiers n’a aucune logique médicale

L’obligation voulue par la majorité parlementaire serait un scandale médical et démocratique contraire aux engagements de la France

Les personnels hospitaliers et les pompiers ne sont pas des enfants et mesurent mieux que les politiques et leurs experts souvent corrompus les bénéfices/risques des vaccins. Pourquoi les injurier, et leur imposer un vaccin inefficace et dangereux ?

Au moins 6 raisons majeures s’opposent à une telle obligation :

1°) Ces pseudo vaccins sont totalement expérimentaux. Leur obligation est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signé.

2°) Ils n’offrent pas aux vaccinés une protection réelle contre la maladie.

3°) Ils sont incapables de limiter la transmission de la maladie et donc de protéger les contacts.

4°) Ils exposent à de nombreuses complications, dont certaines mortelles.

5°) Des traitements préventifs peuvent protéger les soignants et leurs contacts

6°) Imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

1°) Ces pseudo vaccins sont doublement expérimentaux

Il s’agit non pas de vrai vaccin (composé d’antigènes spécifiques) mais de médicament génétique qui ordonne à l’organisme de fabriquer la protéine Spike dont la nocivité vasculaire est connue.

Ils sont le fruit d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée pour fabriquer des médicaments humains anti-infectieux et qui aurait dû faire redoubler de précautions.

Les vaccins ont été mis sur le marché avec une « autorisation conditionnelle », car on ne dispose actuellement d’aucun résultat définitif d’essais. Ceux-ci devraient se terminer seulement en 2023-2024, ainsi que le précise le site officiel américain clinicaltrials.gov consultable par tout un chacun.

Imposer un traitement expérimental est contraire aux lois internationales signées par la France depuis le procès de Nuremberg 1947(([2] Lors du procès des médecins de Nuremberg, la pratique d’essai vaccinaux forcés sur les déportés a été l’une des raisons de plusieurs condamnations à mort))

Et en particulier contraire à la Convention internationale d’Oviedo(([3] « Convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine »,)) signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne et entrée en vigueur le 1er décembre 1999, seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’homme.

La convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme et de la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/
Suite des conventions internationales signées par les pays depuis le procès de Nuremberg)) de l’Association Médicale mondiale qui énonce clairement :

25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

8. Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

2°) Les vaccinés ne sont pas protégés de la maladie, ni de ses formes graves

Les gouvernants, les services de vaccination, les médecins corrompus ou crédules et les médias nous répètent en boucle le crédo des laboratoires, ou de dirigeants prétendant que les pseudo vaccins actuels seraient efficaces à plus de 90 %. Il s’agit d’un énorme mensonge démenti par les faits avérés.

À Gibraltar, le taux de couverture vaccinal atteint 115 % (les Espagnols travaillant à Gibraltar ont aussi été vaccinés) mais l’épidémie repart fortement depuis début juillet 2021

Aux Émirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination depuis fin décembre 2020 le nombre de contaminations journalières reste plus élevé qu’avant la vaccination

Les marins du groupe aéronaval de la Royal Navy du HMS Queen Elizabeth, tous complètement vaccinés depuis plus de six mois, sont touchés par une épidémie de cas de Covid avec plus de 100 cas depuis une escale à Chypre.

La vaccination à 100 % n’empêche donc ni les contaminations ni les transmissions. Toute nouvelle contamination d’un seul vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins.

Les pseudo vaccins actuels n’évitent ni les formes graves ni la mort

L’analyse des données de l’OMS concernant les pays champions de la vaccination démontre que dans tous ces pays les premiers mois de la vaccination ont été marqués par une recrudescence forte des mortalités covid19.

Ainsi en Grande-Bretagne, les six mois post-vaccination ont été assombris par 68 183 morts supplémentaires alors que les 9 mois précédents n’en comptaient que 61 245.

Comme en Israël où l’on a recensé 3085 morts avant la vaccination et 3372 pendant les 6 mois qui ont suivi la vaccination de masse, comme aux Émirats Arabes Unis (642 avant vs 1274 après) ou à Gibraltar (11 avant et 83 après).

L’explication la plus vraisemblable de l’aggravation des mortalités après vaccination est la présence d’anticorps facilitants(([5] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020 ;5(10) : 1185-91)) dont le risque avait été signalé dès janvier 2021 par l’Académie de médecine(([6] Communiqué de l’Académie du 15 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)):

« le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Aveu du ministre de la Santé sur les aléas de la vaccination en mars 2021

Cette incapacité à prévenir les formes graves de la maladie a même été affirmée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans son argumentation récente devant le Conseil d’État(([7] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)) 

« efficacité partielle des vaccins »,

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

En Israël, les vaccinés représentent actuellement 56 % des nouveaux patients en réanimation.

En Grande-Bretagne Santé Publique Angleterre, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non vaccinées ».

Prétendre que la pseudo vaccination Covid protège contre les formes graves ou la mort ne constitue donc qu’un énorme mensonge publicitaire.

3°) Les pseudo vaccins actuels sont incapables d’empêcher la transmission

La motivation sociétale « il faut vacciner les soignants pour protéger les malades ou les pensionnaires des EHPAD » n’est pas plus fondée scientifiquement que la foi en un bénéfice individuel.

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes officiels des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData montre le contraire.

Les exemples britannique, israélien et espagnol affirment l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations.

Dans tous ces pays qui ont beaucoup vacciné, on observe depuis plus d’un mois une forte récidive forte de l’épidémie

Le professeur Delfraissy et quatre membres du comité scientifique avaient prévenu(([8] 1. Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 Lancet 18 février 2021DOI :
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0)) de l’échec prévisible de la stratégie vaccinale actuelle :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».

Cette incapacité du vaccin à prévenir la transmission a elle aussi été reconnue par O. Veran dans son argumentaire devant le Conseil d’État :

« le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Il est donc illusoire d’imposer la vaccination des soignants pour limiter la transmission dans les hôpitaux. Et parfaitement mensonger d’affirmer qu’elle pourrait le faire.

4°) Les vaccins actuels exposent à de nombreuses complications graves

Les campagnes de vaccination des soignants de plusieurs hôpitaux ont été retardées ou interrompues du fait de réactions indésirables rendant 20 % à 40 % des personnels incapables de travailler pendant plusieurs jours. La Haute Autorité de Santé a depuis recommandé d’échelonner les vaccinations des soignants d’un même service.

Les sportifs de haut niveau ont fréquemment constaté après vaccination des baisses de performances pendant une à plusieurs semaines. Les très mauvais résultats récents de Mbappé ont d’ailleurs succédé à sa vaccination très médiatisée.

Les pompiers des Bouches-du-Rhône ont suspendu leur campagne de vaccination après qu’un pompier d’Arles ait été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection.

Mais des complications graves sont très nombreuses et le site Eudravigilance comptabilise actuellement plus de 1 900 000 effets indésirables, dont plus de 17 000 décès possiblement liés à la vaccination Covid.

Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins les plus répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite qui n’ont jamais donné une mortalité notable. Pourquoi serait-ce acceptable pour l’injection génique ?

Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du Covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

À Nantes, un étudiant en médecine de 24 ans sportif et en bonne santé est mort après la vaccination et un agent de service hospitalier au sein de l’hôpital Clémenceau de La Garde.(([9] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/var/toulon/toulon-deces-d-un-varois-vaccine-au-pfizer-la-famille-porte-plainte-2167600.html))

Ces complications sont d’autant plus inacceptables que les soignants et les pompiers ont pour la plupart moins de 60 ans et qu’ils ne risquent pratiquement rien du Covid. Elles expliquent les réticences des personnels à se faire vacciner.

5°) On peut protéger les soignants et leurs contacts par des traitements préventifs sans risques et bon marché

Le 22 mai 2020, le conseil indien pour la recherche médicale a recommandé la prévention par hydroxychloroquine pour le personnel soignant et les membres de familles au contact des malades et a rajouté l’Ivermectine à ses recommandations lors de la poussée épidémique qui a été rapidement contrôlée. Au 25/7/2021, malgré ses hôpitaux en pire état que les nôtres, un très faible taux de vaccination, l’Inde déplore 322 morts/million d’habitants contre 1694/M en France. L’interdiction de tout traitement précoce aboutit à ce qu’on compte 5 fois plus de morts/million que les hindous.

Si on veut limiter l’épidémie, ce n’est pas de vaccin dont on a besoin, mais de traitements précoces administrés par les médecins traitants !

6°) Poursuivre dans son désir d’imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

Proposer une obligation vaccinale traduit dans ces conditions un comportement totalitaire totalement déconnecté de la vie réelle et des faits avérés

Les syndicats de personnel hospitalier organisent actuellement des grèves et de nombreux soignants ont annoncé leur volonté de démissionner ou de se mettre en arrêt de travail si le gouvernement maintient ses menaces et les directions le harcèlement moral qui constitue aussi un délit.

Expérimentaux, incapables de réellement protéger contre le Covid19, incapables d’éviter la transmission de la maladie, et sources de complications pour une maladie quasiment toujours bénigne chez les soignants et les pompiers jeunes, les vaccins n’ont actuellement aucun intérêt pour leur entourage et leurs patients. Vouloir les imposer autoritairement va démotiver ces personnels et en faire démissionner davantage alors qu’on n’a cruellement besoin.





Où allons-nous avec le pass ?

Par JE. Chabert

👁 L’humanité sous surveillance part1 : 

Les parlementaires français ont voté contre l’arrêt du Pass sanitaire une fois ladite crise passée ! Quelle sera donc l’évolution de ce pass ? Le contrôle total par des outils numériques de toute la population, ou que vous soyez, même dans l’intimité ? 

1️⃣ère vidéo : ARTE, « Crédit social en Chine : comment le gouvernement contrôle sa population avec un système de notation » 

https://www.arte.tv/fr/videos/097011-000-A/chine-le-monde-d-apres/

2️⃣ème vidéo : France 24, « Avec le crédit social, la Chine classe les « bons » et les « mauvais » citoyens » 

3️⃣ème vidéo : France 2 / Envoyé spécial, « Le système de crédit social testé en Chine « existe » déjà en France » 

https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/video-le-systeme-de-credit-social-teste-en-chine-existe-deja-en-france-selon-ce-chercheur-en-intelligence-artificielle_3653119.html

⚠️ Des centaines de millions sont actuellement investis pour mettre en place la reconnaissance faciale. Nous comptons sur vous pour partager cette publication afin que plus prennent conscience de ce qui se prépare pour un futur proche voire très proche. Afin de contrer cette société que nous ne voulons pas !




Un pasteur du Tennessee déclare que les masques ne sont pas autorisés dans son église

[Source : RT USA News]

[Traduction : Aube Digitale]

Alors que les obligations de port de masque continuent d’être débattus à travers les Etats-Unis, un pasteur du Tennessee, connu pour son opposition aux confinements et à la vaccination de masse, a clairement indiqué que les porteurs de masque seront renvoyés de son église.

S’adressant à sa congrégation dimanche, le pasteur controversé a déclaré qu’il était opposé à ce que les comtés réimposent le port du masque pour freiner l’augmentation des cas de coronavirus. Si Mount Juliet, Tennessee, où se trouve l’église Global Vision Bible Church, subit la même régression de politique, le pasteur Greg Locke a affirmé qu’il ne suivrait pas les directives rétablies.

« S’ils passent par le deuxième tour et que vous commencez à vous montrer (avec) tous ces masques et toutes ces bêtises, je vous demanderai de partir », a déclaré Locke sous les acclamations de sa congrégation. « Je vous demanderai de partir. Je ne joue pas à ces jeux démocrates dans cette église. Si vous voulez une distance sociale, allez à la First Baptist Church, mais n’allez pas dans celle-ci », a ajouté le pasteur, sous les applaudissements nourris de l’assemblée réunie sous une tente géante.

Au cours d’une messe diffusée en direct sur Facebook, M. Locke a ensuite critiqué ses collègues pasteurs qui refusent d’organiser des services tels que des baptêmes par crainte du virus et de sa variante Delta qui se propage rapidement.

« Je ne joue pas à ces jeux stupides », a-t-il déclaré. « Une bande de pasteurs qui disent à quel point ils veulent voir les gens guérir et qui ont peur de baptiser les gens à cause du variant Delta – j’en ai marre. »

Locke a déclaré qu’il n’a pas l’intention de fermer même si on lui ordonne de le faire.

« Ils serviront des Frosty’s en enfer avant de fermer cet endroit », a-t-il promis.

Locke a attiré l’attention nationale l’année dernière pendant le confinement du Tennessee lorsqu’il a continué à tenir des services en personne alors que la plupart des autres églises se sont tournées vers des alternatives à distance.

Son mandat anti-masque a, comme on pouvait s’y attendre, provoqué des remous chez les utilisateurs de tendance libérale sur les médias sociaux. Certains ont prédit que Locke et ses partisans allaient inévitablement attraper le Covid-19, un commentateur allant jusqu’à suggérer que le pasteur allait mourir du virus.

[Ndlr : à côté de cet exemple, le Pape fait pâle figure en appuyant les mesures sanitaires et la vaccination. Ce n’est pas étonnant, puisqu’il est depuis le début un ardent promoteur du Nouvel Ordre Mondial.]




Souvenirs de la montée du nazisme

[Source : Sott.net]

En passant… Et en lisant Sebastian Haffner – Allemagne, mars 1933

Source de la retranscription numérique

[Photo : Sebastian Haffner en 1984]

Voici un extrait « éclairant » du chapitre « La révolution », extrait de l’ouvrage de Sebastian HaffnerHistoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), paru aux Éditions Babel.


Qu’est-ce qu’une révolution ?

Les spécialistes du droit public répondent : la modification d’une constitution par d’autres moyens que ceux qu’elle prévoit. Si l’on souscrit à cette sèche définition, la « révolution » nazie de mars 1933 n’en était pas une. Car tout se passa dans la stricte légalité, avec les moyens prévus par la constitution : d’abord des « décrets-lois » du président et enfin une résolution qui transférait au gouvernement la totalité du pouvoir législatif, résolution votée par le Parlement à la majorité des deux tiers exigée pour les changements constitutionnels.

C’est là une imposture manifeste. Mais quand on voit les choses comme elles ont vraiment été, on peut encore se demander si ce qui s’est joué en mars mérite vraiment le nom de révolution. Pour le sens commun, l’essentiel d’une révolution semble résider dans le fait que des gens attaquent par la violence l’ordre existant et ses représentants : police, armée, etc., et l’emportent sur lui. Ce n’est pas toujours forcément magnifique et enthousiasmant, et cela peut fort bien être associé à des débordements, des violences, des brutalités de populace déchaînée ; on peut piller, tuer, brûler. Ce qu’on attend des gens qui se prétendent des révolutionnaires, c’est au moins qu’ils attaquent, fassent preuve de courage, mettent leur vie en jeu. Les barricades sont peut-être un peu démodées, mais une forme quelconque de spontanéité — insurrection, prise de risque, émeute — semble inhérente à l’essence de la révolution.

Rien de tel en mars 1933. Les événements étaient une décoction des ingrédients les plus bizarres, mais on aurait vainement attendu un acte de courage, de bravoure, d’audace de quelque côté que ce fût. Ce mois de mars produisit quatre choses qui auraient pour résultat final la domination incontestée des nazis : la terreur, des fêtes et des déclamations, la trahison, et pour finir un collapsus collectif — plusieurs millions d’individus s’effondrant simultanément. Beaucoup d’États européens, la plupart même, ont eu une naissance plus sanglante. Mais il n’en existe aucun dont la naissance eût été à ce point répugnante.

L’histoire européenne connaît deux formes de terreur : l’une est l’ivresse sanguinaire effrénée d’une masse révolutionnaire déchaînée, grisée par sa victoire ; l’autre est la cruauté froide, délibérée, d’un appareil étatique triomphant qui cherche à intimider, à manifester son pouvoir. Ces deux formes sont normalement réparties entre révolution et répression. La première est révolutionnaire ; elle s’excuse par l’émotion et la rage du moment, par l’emportement. La deuxième est répressive ; elle s’excuse par les représailles à l’encontre des atrocités de la révolution.

Les nazis ont eu le privilège de combiner les deux d’une façon qui n’admet aucune excuse. La terreur de 1933 fut bien exercée par une tourbe ivre de sang (à savoir les SA, les SS ne jouant pas encore le rôle qui serait le leur), mais les SA se présentaient comme une « police auxiliaire » ; ils agissaient sans la moindre émotion, sans la moindre spontanéité, et surtout sans prendre le moindre risque — mais bel et bien en toute sécurité, sur ordre et avec discipline. Le tableau externe était celui de la terreur révolutionnaire : populace hirsute pénétrant par effraction la nuit dans les maisons et traînant des gens sans défense dans une cave pour les torturer. Le processus interne était celui de la terreur répressive : gestion administrative froidement calculée, couverture policière et militaire totale. L’ensemble ne découlait pas de cette excitation qui suit la victoire, un grand danger auquel on a survécu — rien de tel ne s’était produit. Ce n’étaient pas non plus des représailles à l’encontre d’atrocités exercées par le parti adverse — il n’y en avait eu aucune. Ce qui se produisait, c’était l’inversion cauchemardesque des notions normales : brigands et assassins dans le rôle de la police, revêtus du pouvoir souverain ; leurs victimes traitées comme des criminels, proscrites, condamnées d’avance à mort. Un cas exemplaire, rendu public en raison des proportions prises : une nuit, un responsable syndical social-démocrate de Köpenick(([1] Faubourg de Berlin.)) se défendit, aidé de ses fils, contre une patrouille de SA qui avait pénétré chez lui et abattit, en état de légitime défense évidente, deux SA. Sur quoi, cette même nuit, ses fils et lui furent maîtrisés par une seconde patrouille plus nombreuse et pendus dans la remise de leur maison. Mais le jour suivant, en bon ordre, des SA en service commandé pénétrèrent chez tous les habitants de Köpenick connus pour être des sociaux-démocrates et les abattirent sur place. On n’a jamais su le nombre de morts.

Cette sorte de terreur avait un avantage : selon les cas, on pouvait hausser des épaules navrées en parlant des « inévitables conséquences fâcheuses de toute révolution » — c’était l’excuse de la terreur révolutionnaire — ou se référer à la rigueur de la discipline en démontrant que l’ordre et le calme régnaient, que seules avaient lieu les descentes de police indispensables, et que c’était précisément cela qui épargnait à l’Allemagne les troubles révolutionnaires — c’était l’excuse de la terreur répressive. Et les deux étaient effectivement invoquées à tour de rôle, suivant le public concerné.

Cette forme de publicité a contribué, et contribue toujours, à rendre la terreur nazie plus repoussante qu’aucune autre terreur connue dans l’histoire européenne. La cruauté elle-même peut avoir une ombre de grandeur quand elle s’affiche avec la grandiloquence d’une détermination suprême, quand ceux qui l’exercent revendiquent fougueusement leurs actes comme ce fut le cas lors de la Révolution française et des guerres civiles russe et espagnole. Les nazis, en revanche, n’ont jamais affiché autre chose que le rictus blême, lâche et craintif du meurtrier niant ses crimes. Tandis qu’ils torturaient et assassinaient systématiquement des êtres sans défense, ils affirmaient tous les jours avec des accents nobles et touchants qu’ils ne faisaient de mal à personne, et que jamais révolution ne s’était déroulée de façon aussi humaine et pacifique. Et quelques semaines après l’institution de l’épouvante, une loi menaçait d’une lourde peine quiconque affirmait, fût-ce entre ses quatre murs, qu’il se passait des choses atroces.

Il va de soi que cela n’avait pas pour but de tenir secrètes les horreurs. Car alors elles n’auraient pu atteindre leur but, qui était de provoquer chez tous crainte, effroi, soumission. Ce secret tendait au contraire à renforcer l’effet de la terreur par le danger qu’il y avait ne serait-ce qu’à en parler. L’exposition publique — par exemple à la tribune de l’orateur ou dans les journaux — de ce qui se passait dans les caves de la SA et dans les camps de concentration aurait peut-être pu provoquer même en Allemagne une riposte désespérée. Les nouvelles épouvantables chuchotées sous le manteau — « Faites bien attention, voisin ! Savez-vous ce qui est arrivé à X ? » — brisaient bien plus sûrement toutes les résistances.

D’autant plus qu’on était au même instant occupé et distrait par une série interminable de fêtes, de solennités, de célébrations nationales. On commença par fêter la victoire en grand avant les élections, le 4 mars, jour du « Réveil national ». Marches gigantesques et feux d’artifice, tambours, trompettes, orchestres et drapeaux dans toute l’Allemagne, des milliers de haut-parleurs diffusant la voix de Hitler, serments et promesses — et tout cela alors qu’il n’était pas certain que les nazis n’allaient pas prendre une veste électorale. De fait, c’est bien ce qui se produisit ces élections, les dernières à se dérouler en Allemagne, n’apportèrent aux nazis que quarante-quatre pour cent des voix (auparavant ils en avaient obtenu trente-sept) — la majorité votait toujours contre eux. Si l’on songe que la terreur battait déjà son plein, que les partis de gauche avaient été muselés dès la semaine décisive qui précédait le scrutin, il faut dire que le peuple allemand dans son ensemble s’est assez bien comporté. Mais les nazis n’en eurent cure. La défaite fut tout simplement célébrée comme une victoire, la terreur renforcée, les fêtes se multiplièrent. Quinze jours durant, les fenêtres restèrent pavoisées. Une semaine plus tard, Hindenburg abolissait les anciennes couleurs, et le drapeau à la croix gammée devenait, avec le noir-blanc-rouge, le « pavillon provisoire du Reich ». Et chaque jour des défilés, des célébrations géantes, des manifestations de gratitude pour la libération nationale, de la musique militaire du matin au soir, honneurs rendus aux héros, consécration des couleurs, enfin, pour couronner le tout, la mise en scène boursouflée de la « journée de Potsdam », avec ce vieux félon de Hindenburg se recueillant sur la tombe de Frédéric le Grand, Hitler jurant pour la énième fois fidélité à je ne sais quoi, cloches sonnant à toute volée, cortège solennel des députés vers l’église, parade militaire, sabres au clair, enfants agitant des petits drapeaux, retraites aux flambeaux.

L’ineptie, l’absurdité sans bornes de ces manifestations continuelles étaient, selon toute vraisemblance, parfaitement concertées. Il fallait habituer la population à se réjouir et à se « réveiller », même si elle n’en voyait pas vraiment la raison. Chaque jour, chaque nuit, des gens qui s’abstenaient trop ostensiblement de participer — chut ! — étaient torturés à mort à coups de drille ou de fouet d’acier, et c’était déjà une raison suffisante. Réjouissons-nous donc, et hurlons avec les loups, Heil, Heil ! Et on finissait par y trouver goût. En mars 1933, il faisait un temps magnifique. N’était-ce pas beau, sous le soleil printanier, de se mêler à une foule en liesse sur une place pavoisée, prêtant l’oreille. à des propos sublimes où revenaient les mots de patrie et de liberté, de réveil et d’engagement sacré ? (En tout cas, cela valait mieux que de se retrouver à huis clos dans une caserne de SA, à se faire remplir d’eau les intestins).

On se mit à participer — d’abord par crainte. Puis, s’étant mis à participer, on ne voulut plus que cela fût par crainte, motivation vile et méprisable. Si bien qu’on adopta après coup l’état d’esprit convenable. C’est là le schéma mental de la victoire de la révolution national-socialiste.
Pour la parachever, toutefois, une chose était indispensable : la lâche trahison de tous les chefs de partis et d’organisations auxquels s’étaient confiés les cinquante-six pour cent d’Allemands qui, le 5 mars 1933, avaient voté contre les nazis. Le monde n’a pratiquement pas pris conscience de cette évolution historique terrible et décisive. Les nazis n’avaient pas intérêt à la souligner, parce qu’elle ne pouvait que dévaluer considérablement leur « victoire » ; quant aux traîtres eux-mêmes, ils avaient tout intérêt à se taire. Pourtant, seule cette trahison explique le fait apparemment inexplicable qu’un grand peuple, qui ne se compose quand même pas exclusivement de poltrons, ait pu sombrer dans l’infamie sans résistance.

La trahison fut totale, générale et sans exception, de la gauche à la droite. J’ai déjà dit que les communistes, derrière les rodomontades de façade qui exaltaient leur « détermination » et mentionnaient des préparatifs de guerre civile, préparaient en vérité l’exil de leurs hauts fonctionnaires avant qu’il ne fût trop tard.

En ce qui concerne les cadres de la social-démocratie, à qui des millions de braves petites gens fidèles accordaient une confiance aveugle et loyale, ils avaient commencé de les trahir dès le 20 juillet 1932, quand Severing et Grzesinski s’étaient « inclinés devant la force ». Les sociaux-démocrates s’étaient déjà terriblement humiliés au cours de la campagne électorale de 1933 en courant après les slogans des nazis pour souligner qu’ils étaient, eux aussi, de bons « nationaux ». Le 4 mars, veille du scrutin, Otto Braun,(([2] Otto Braun (1872-1955), social-démocrate, à la tête du parti depuis 1911, ministre-président de Prusse entre 1925 et 1933.)) leur « homme fort », chef du gouvernement prussien, passa en automobile la frontière suisse ; il avait pris soin d’acquérir une maisonnette dans le Tessin. En mai, un mois avant la dissolution de leur parti, les députés sociaux-démocrates en étaient à accorder massivement leur confiance au gouvernement Hitler et à chanter le Horst-Wessel-Lied.(([3] Chant de marche de la SA écrit sur une mélodie existante par le jeune Sturmführer (lieutenant) Horst Wessel (1907-1930). Celui-ci ayant trouvé la mort au cours d’une bagarre avec des communistes dans des circonstances mal élucidées, les nazis firent de lui un martyr et de son œuvre l’hymne officiel du parti.)) (Le compte rendu des débats parlementaires note : « Applaudissements sans fin dans la salle et sur les tribunes. Le chancelier lui-même, tourné vers les sociaux-démocrates, applaudit »).

Le centre, ce grand parti bourgeois catholique qui, dans les dernières années, avait rallié une part de plus en plus importante de la bourgeoisie protestante, avait atteint ce stade dès le mois de mars. Ses voix assurèrent à Hitler la majorité des deux tiers qui lui confiait « légalement » la dictature. Il agissait sous la houlette de l’ancien chancelier Brüning. L’étranger l’a généralement oublié aujourd’hui, et Brüning y passe encore largement pour le possible successeur de Hitler. Mais qu’on me fasse confiance : les Allemands, eux, ne l’ont pas oublié. Un homme qui croyait encore, le 23 mars 1933, pouvoir inféoder à Hitler : dans un vote d’importance vitale, le parti qui lui était confié, n’aura plus jamais la moindre chance en Allemagne.

Enfin, le parti national, la droite conservatrice qui revendiquait carrément « l’honneur et l’héroïsme » comme programme — Dieu ! qu’il était lâche et déshonorant, le spectacle que ses chefs infligèrent à leurs partisans en 1933 et par la suite ! Une fois déçue leur attente du 30 janvier, alors qu’ils espéraient avoir « mis les nazis dans leur poche » pour les « empêcher de nuire », on attendait au moins qu’ils « freinent » pour « éviter le pire ». Que non ; ils participèrent à tout : à la terreur, aux pogromes, aux persécutions contre les chrétiens ; ils ne se laissèrent même pas émouvoir par l’interdiction de leur parti et l’arrestation de leurs partisans. Il est déjà navrant de voir des fonctionnaires socialistes s’enfuir en plantant là leurs électeurs et leurs sympathisants. Mais que dire d’officiers nobles qui, voyant fusiller leurs amis et leurs collaborateurs les plus proches — comme M. von Papen —, restent en place en criant Heil Hitler ? Tels partis, telles fédérations. Il existait une Fédération des anciens combattants communistes, et, en ce qui concernait le Parti démocratique allemand, une Reichsbanner schwarz-rot-gold, organisée militairement, non dépourvue d’armes, comptant des millions d’adhérents destinés expressément à tenir les SA en échec si le besoin s’en faisait sentir. Durant tout ce temps, on ne perçut rien de son existence, absolument rien, pas la moindre chose. Elle disparut sans laisser de trace, comme si elle n’avait jamais existé. Dans toute l’Allemagne, la résistance prenait tout au plus la forme d’un acte individuel désespéré — comme celui du syndicaliste de Köpenick. Les officiers de la Reichsbanner ne firent même pas mine de riposter quand les SA « reprirent » leurs locaux. Le Stahlhelm, l’armée des nationalistes, se laissa mettre au pas, puis dissoudre peu à peu, en récriminant, mais sans résister. Il n’y eut pas un seul exemple d’énergie défensive, de vaillance, de tenue. Il n’y eut que panique, fuite éperdue, apostasie. En mars 1933, des millions de personnes étaient encore prêtes au combat. Du jour au lendemain, elles se retrouvèrent sans chefs, sans armes, trahies. Une partie d’entre elles cherchèrent encore désespérément à rallier le Stahlhelm et les nationalistes quand il s’avéra que les autres ne se battaient pas. Le nombre de leurs adhérents enfla démesurément en l’espace de quelques semaines. Puis ils furent dissous eux aussi — et se rendirent sans combat.

Cette terrible capitulation morale des chefs de l’opposition est un trait fondamental de la « révolution » de mars 1933. Grâce à elle, les nazis eurent le triomphe facile. Il est vrai qu’en même temps elle remet en cause la valeur et la solidité de leur victoire. La croix gammée n’a pas été imprimée dans la masse allemande comme dans une matière récalcitrante, mais ferme et compacte. Elle l’a été comme dans une substance amorphe, élastique et pâteuse. Le jour venu, cette pâte est susceptible de prendre une autre forme, avec autant de facilité et sans plus de résistance. Il est vrai que depuis mars 1933 subsiste une question sans réponse : vaut-elle vraiment la peine d’être formée ? Car l’Allemagne a manifesté alors une faiblesse morale trop monstrueuse pour que l’histoire n’en tire pas un jour les conséquences.

Ailleurs, toute révolution, même si elle a laissé le peuple momentanément exsangue et affaibli, a toujours amené une remarquable potentialisation des énergies dans les deux camps en présence — aboutissant, à long terme, à l’émergence d’une nation considérablement plus forte. Qu’on considère la formidable quantité d’héroïsme, d’intrépidité, de grandeur humaine — mêlée sans doute à des débordements, des cruautés, des violences — qu’ont déployée dans la France révolutionnaire jacobins et royalistes, dans l’Espagne contemporaine franquistes et républicains ! Quelle que soit l’issue, la bravoure avec laquelle on a combattu demeure dans la conscience de la nation comme une inépuisable source d’énergie. À l’endroit où cette source devrait jaillir, les Allemands d’aujourd’hui n’ont que le souvenir de l’infamie, de la lâcheté, de la faiblesse. Cela ne peut manquer d’avoir des conséquences qui se manifesteront un jour, peut-être dans la dissolution de la nation allemande et de sa forme politique.

Le Troisième Reich est né de cette trahison de ses adversaires et du sentiment de désarroi, de faiblesse et de dégoût qu’elle a suscité. Le 5 mars, les nazis étaient encore minoritaires. Si de nouvelles élections avaient eu lieu trois semaines plus tard, ils auraient vraisemblablement eu la majorité. Ce n’était pas seulement l’effet de la terreur, ni de l’ivresse engendrée par les fêtes (les Allemands aiment à s’enivrer de fêtes patriotiques). L’élément décisif, c’est que la colère et le dégoût provoqués par la lâcheté et la traîtrise des chefs de l’opposition l’emportaient momentanément sur la colère et la haine à l’encontre du véritable ennemi. Dans le courant du mois de mars 1933, d’anciens opposants au parti nazi s’y rallièrent par centaines de milliers — les « victimes de mars », suspectées et méprisées par les nazis eux-mêmes. Surtout, pour la première fois, même des centaines de milliers d’ouvriers quittèrent leurs organisations sociales-démocrates ou communistes pour s’inscrire clans les « cellules » nazies ou s’enrôler dans la SA. Ils y étaient poussés par diverses raisons, et souvent plusieurs à la fois. Mais on aurait beau chercher longtemps, on n’en trouverait pas une seule dans le lot qui soit bonne, valable, inattaquable et positive — pas une seule de présentable. Le phénomène manifestait dans chaque cas particulier tous les symptômes d’une dépression brutale.

La raison la plus simple, qui s’avérait presque toujours, quand on creusait, la plus intime, c’était la peur. Frapper avec les bourreaux, pour ne pas être frappé. Ensuite, une ivresse mal définie, ivresse de l’unité, magnétisme de la masse. Puis, chez beaucoup, dégoût et ressentiment envers ceux qui les avaient laissés tomber. Puis un syllogisme étrange, typiquement allemand, qui déduisait : « Les adversaires des nazis se sont trompés dans toutes leurs prévisions. Ils ont affirmé que les nazis allaient perdre. Or, les nazis ont gagné. Donc, leurs adversaires avaient tort. Donc, les nazis ont raison. » Puis, chez quelques-uns (en particulier chez les intellectuels), la conviction de pouvoir encore changer le visage du parti nazi et l’infléchir dans leur direction en y adhérant eux-mêmes. Ensuite, bien entendu, la soumission pure et simple, l’opportunisme. Enfin, chez les plus primitifs, les plus frustes, dominés par l’instinct grégaire, un phénomène tel qu’il a pu s’en produire dans les temps mythologiques, quand une tribu vaincue abjurait son dieu tutélaire manifestement infidèle pour se mettre sous la protection du dieu de la tribu victorieuse. On avait cru en saint Marx, il n’avait pas secouru ses fidèles. Saint Hitler était manifestement plus puissant. Brisons donc les statues de saint Marx placées sur les autels pour consacrer ceux-ci à saint Hitler. Apprenons à prier : « C’est la faute aux juifs », au lieu de : « C’est la faute au capitalisme. » Peut-être est-ce là notre salut.

Comme on le voit, ce phénomène n’a rien que d’assez naturel ; il relève tout à fait du fonctionnement psychologique normal, et cela explique presque parfaitement ce qui semble inexplicable. La seule chose qui subsiste, c’est l’absence totale de ce qu’on nomme, chez un peuple comme chez un individu, de la « race » : à savoir un noyau dur, que les pressions et les tiraillements extérieurs ne parviennent pas à ébranler, une forme de noble fermeté, une réserve de fierté, de force d’âme, d’assurance, de dignité, cachée au plus intime de l’être et que l’on ne peut, précisément, mobiliser qu’à l’heure de l’épreuve. Cela, les Allemands ne le possèdent pas. Ils forment une nation inconstante, molle, dépourvue de squelette. Le mois de mars 1933 en a fourni la preuve. À l’instant du défi, quand les peuples de race se lèvent spontanément comme un seul homme, les Allemands, comme un seul homme, se sont effondrés ; ils ont molli, cédé, capitulé — bref : ils ont sombré par millions dans la dépression.
Le résultat de cette dépression généralisée fut le peuple uni, prêt à tout, qui est aujourd’hui le cauchemar du monde entier.

Tel est le processus évident, clair et bien délimité qui se présente aujourd’hui, avec le recul, à l’observateur. Tandis qu’il se déroulait, il m’était bien sûr impossible de le voir dans son ensemble. Je sentais bien, et c’était assez terrible, que tout cela était écœurant jusqu’à la nausée, mais j’étais incapable d’en saisir et d’en classer les éléments. Chaque fois qu’on essayait de comprendre, on voyait s’interposer comme un voile ces discussions infiniment oiseuses et stériles, toujours recommencées, au cours desquelles on s’efforçait de faire entrer les choses dans un système de notions politiques obsolètes qui ne leur était plus adapté. Comme ces discussions paraissent inconsistantes aujourd’hui, quand un caprice de la mémoire en fait remonter à la surface des bribes et des lambeaux ! Avec toute notre culture historique bourgeoise, nous étions intellectuellement démunis devant cette évolution qui ne s’était jamais produite dans tout ce que nous avions appris. Les explications étaient absurdes, les tentatives de justification parfaitement stupides — mais les constructions de fortune que la raison tentait d’édifier autour de ce sentiment d’effroi et de dégoût qui ne trompait pas étaient aussi désespérément superficielles. Tous les -ismes qu’on mobilisait étaient d’une inanité qui me fait frissonner quand j’y pense.

En outre, la vie quotidienne était un obstacle à l’analyse lucide — la vie qui continuait, encore que définitivement irréelle et spectrale, chaque jour tournée en dérision par les événements dans lesquels elle s’inscrivait. J’allais encore au tribunal, comme avant ; on y disait toujours le droit, comme si ce mot signifiait encore quelque chose, et le conseiller juif qui faisait partie de ma chambre siégeait toujours tranquillement en toge derrière la barre. Il est vrai que ses collègues le traitaient déjà avec cette délicatesse pleine de doigté qu’on témoigne aux grands malades. Je continuais d’appeler au téléphone mon amie Charlie, nous allions au cinéma, buvions du chianti dans un bistrot à vin, allions danser quelque part. Je continuais à voir des amis, à discuter avec des camarades, à fêter des anniversaires en famille — mais alors qu’en février on pouvait encore se demander si tout cela ne signifiait pas le triomphe de la vraie vie, de la réalité indestructible sur les agissements des nazis, on devait désormais admettre que ce n’était plus, au contraire, qu’un mécanisme automatique et creux qui démontrait à chaque instant le triomphe des puissances ennemies qui le submergeaient de toute part.

Et pourtant, curieusement, c’était entre autres choses la poursuite machinale de la vie quotidienne qui s’opposait à une quelconque réaction énergique et vitale contre la monstruosité. J’ai déjà dit comment la trahison et la lâcheté de leurs chefs avaient empêché les équipes des autres groupes politiques de se mobiliser contre les nazis. Cela n’explique pas pourquoi il n’y eut pas, ici, là ou ailleurs, un individu pour se dresser et se défendre spontanément, sinon contre l’ensemble, du moins contre quelque injustice particulière, quelque scandale survenu non loin de lui. (Je n’ignore pas que cette question inclut un reproche à l’égard de moi-même).

À cela s’opposait précisément le mécanisme de la vie courante. Il est probable que les révolutions, et l’histoire dans son ensemble, se dérouleraient bien différemment si les hommes étaient aujourd’hui encore ce qu’ils étaient peut-être dans l’antique cité d’Athènes : des êtres autonomes avec une relation à l’ensemble, au lieu d’être livrés pieds et poings liés à leur profession et à leur emploi du temps, dépendant d’une foule de choses qui les dépassent, éléments d’un mécanisme qu’ils ne contrôlent pas, marchant pour ainsi dire sur des rails et désemparés quand ils déraillent. La sécurité, la durée ne se trouvent que dans la routine quotidienne. A côté, c’est tout de suite la jungle. Tout Européen du XXe siècle le ressent confusément avec angoisse. C’est pourquoi il hésite à entreprendre quoi que ce soit qui pourrait le faire dérailler — une action hardie, inhabituelle, dont lui seul aurait pris l’initiative. D’où la possibilité de ces immenses catastrophes affectant la civilisation, telle que la domination nazie en Allemagne.

Certes, j’écumais de rage en ce mois de mars 1933. Certes, je faisais peur à ma famille avec des projets désordonnés : quitter la fonction publique, m’exiler, me convertir avec ostentation au judaïsme. Mais je me contentais de formuler ces intentions. Mon père, riche de l’expérience, point adaptée aux nouveaux événements, d’une vie qui s’était déroulée entre 1870 et 1933, minimisait, dédramatisait, tentait de contrer mes propos emphatiques par une discrète ironie. Il faut dire que j’étais habitué à son autorité, et pas encore très sûr de moi. En outre, le scepticisme tranquille m’a toujours convaincu davantage qu’une grandiloquence péremptoire ; j’ai mis longtemps à comprendre que dans ce cas particulier mon instinct de jeune homme avait effectivement raison contre la sagesse et l’expérience de mon père, et qu’il existe des choses que le scepticisme tranquille est impuissant à maîtriser. À l’époque, j’étais encore trop timide pour tirer les conséquences de mes intuitions.

Peut-être, n’est-ce pas, avais-je effectivement une vision déformée de la situation. Peut-être fallait-il l’endurer, laisser passer les choses. C’est seulement dans mon travail, protégé par les articles du Code civil et du Code de procédure civile, que je me sentais sûr de moi et mûr. Ces articles étaient toujours debout. Le palais de justice aussi. Son activité pouvait pour l’heure paraître vide de sens, mais elle ne s’était en rien modifiée. Peut-être qu’en fin de compte tout cela finirait par s’avérer durable et l’emporterait.

Donc, accomplir la routine quotidienne dans une expectative incertaine. Ravaler sa rage et son effroi ou les épancher à la table familiale en éclats stériles du plus haut comique. Vivant dans la même apathie que des millions d’autres individus, je laissais venir les choses.

Elles vinrent.

© Actes Sud

Voir aussi notre [de Sott.net] article « Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933) », de Sebastian Haffner ou quand l’histoire se répète… à l’échelle mondiale


[Voir aussi :
De la démocratie à la tyrannie
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]


Notes




Encore un « Fact Checker » (Vérificateur de fait) pris à désinformer

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Libé, CheckNews et l’ivermectine : non seulement partisans mais désinformateurs

Dans un article récent, M. Gouthière, qui se présente comme un journaliste scientifique, « fact-checker » de Libération, commet pas moins de six affirmations trompeuses sur l’ivermectine.

Il avait déjà été pris en défaut à plusieurs reprises, pour désinformation sélective sur l’hydroxychloroquine et l’étude Recovery. 

Les six affirmations suivantes sont inexactes :

  • Au-delà des études scientifiques, on notera que plusieurs pays ayant donné sa chance à l’ivermectine se sont ravisés. Ainsi, le Pérou, qui a recommandé ce médicament de mai 2020 à mars 2021 dans les mêmes usages que l’Inde, n’a pas évité les vagues épidémiques d’août 2020 et février 2021. 
    Outre le fait que les comparaisons semblent permises dans un sens mais pas dans l’autre, et que cela relève du sophisme – personne n’a jamais prétendu que l’ivermectine permettait d’éviter une vague épidémique (au Pérou, elle n’était pas prescrite en prophylaxie, seulement à des personnes malades), cette affirmation occulte le fait qu’en Inde et dans d’autres pays : ArgentineMexiqueBrésilEtats-Unis, de nombreux médecins ont constaté une baisse de l’épidémie avec l’utilisation systématique de l’ivermectine.
    Au Pérou, cette étude (preprint) montre que Lima, sans ivermectine pendant les premiers mois de l’épidémie initiale (déploiement seulement quatre mois plus tard), a eu de moins bons résultats que les autres régions. L’arrêt est lié à l’arrivée d’un nouveau Premier ministre mais aussi à des pressions.
     
  • L’Inde a recommandé l’ivermectine… et s’est ravisée. Et quarante jours seulement après l’avoir ajouté sur la fameuse liste, le ministère l’en a finalement retiré.
    Ceci est faux, l’ivermectine est toujours recommandée par l’Indian Council of Medical Research et le ministère de la Santé. Me Dipali Ojha, avocate explique bien dans son debriefing le jeu d’une des agences du ministère de la Santé indien, la DGHS, qui n’a jamais fait de recommandation auparavant. M. Gouthière aurait pu simplement se renseigner avant de contribuer à la désinformation ambiante.



  • Quid de la récente étude de Pasteur ? Toutefois, comme on l’a dit, les données sur l’homme ne sont toujours pas, à ce jour, en faveur d’un intérêt clinique notable. 
    Faux, de nombreuses études ont montré l’efficacité de ce traitement sur l’homme – c’est ici un « cherry-picking ».
    L’étude Shouman en prophylaxie, ou Niaee en traitement, ont été publiées et sont extrêmement positives. L’étude Kroweliecki publiée dans le Lancet, de même que l’étude Chaccour, montrent un effet positif modeste, cette dernière retrouvant d’ailleurs les mêmes effets que dans l’étude de Pasteur sur les hamsters. 

    Voir aussi : Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel
     

  • Les études les plus solides échouent à identifier un intérêt clinique – Pour l’heure, et sur la base des meilleures données disponibles, il reste donc hasardeux de conclure que l’ivermectine pourrait avoir un intérêt thérapeutique contre le Covid-19, et ce, quels que soient le stade de la maladie ou la gravité des symptômes.
    Encore une fois faux, les études sont largement en faveur de l’ivermectine avec une efficacité importante dans des méta-analyses publiées.
    Le rédacteur a un parti pris important ici en ne mentionnant pas de manière neutre les résultats de toutes les études.
     
  • L’étude la plus favorable à l’ivermectine rétractée – Incomplet
    Il s’agissait d’un preprint, effectivement retiré, cette étude (Elgazzar) représente une pondération de 4.3% dans une des méta-analyses et de 14% dans la seconde dont l’auteur principal Andrew Hill fait l’objet d’une plainte pour fraude à la science avec interférence sérieuse d’un auteur externe dans une étude : une suspicion porte sur l’implication de Dominique Costagliola
     
  • Un engouement né sur des bases fragiles
    Faux – le Dr Pierre Kory, auditionné au Sénat américain sous serment, a fait une méta-analyse revue par les pairs qui est sérieuse et dont Libé ne parle même pas, pas plus qu’il n’évoque les expériences réussies dans le Chiappa au Mexique, les milliers de personnes soignées en Inde ou le succès au Sénégal ou Nigéria.
    Parti pris, incompétence ? Laurent Mucchielli l’a explicité clairement dans un article sur les journalistes, dans lequel les autoproclamés « fact-checkers » comme M Gouthirère en prennent pour leur grade : sans légitimité, ni réelle expertise, le plus souvent sans contact avec la réalité, ils se font les arbitres du vrai et du faux et c’est une dérive du journalisme qu’attaque le sociologue.

Ce qu’omet également de mentionner Libé, ce sont les nombreuses pressions subies dans les pays qui ont fait usage de l’ivermectine, décrites par le Dr Carvallo en Argentine ou le Dr Babalola au Nigéria, où le laboratoire Merck a essayé d’influencer le ministère de la Santé.

En Inde, le ministre de la Santé de l’état de Goa a défendu le traitement précoce au tribunal contre un groupe d’avocats aux commanditaires non identifiés mais suspectés d’être proche des laboratoires pharmaceutiques et l’India Bar Association a engagé un bras de fer avec l’OMS. Rappelons que Merck a deux médicaments nouveaux en développement.

Sollicités au sujet de leurs affirmations, M. Gouthière et Libération n’ont pas répondu à nos questions.
 

Le docteur Gérard Guillaume, que nous avons reçu récemment pour un Entretien essentiel, nous confie à la lecture de cet article :

« Comment ne pas se sentir offusqué par un tel article, qui n’est qu’un tissu de contre-vérités. Libération se faisant le chantre de la désinformation, bafouant l’éthique du journalisme.

Des milliers de médecins, en France, peuvent témoigner par leur expérience de l’efficacité de l’Ivermectine, tant en prescription préventive que curative.

Deux Ehpad ont été victimes d’épidémie de gale, en Seine-et-Marne et en Charente-Maritime. En Seine-et-Marne, tous les cas observés de COVID-19 «traités» par ivermectine étaient mineurs, sans décès durant la période d’étude, alors que les résidents des Ehpad « contrôles » (sans ivermectine), appariés selon âge, effectif et niveau socio-économique, ont montré une fréquence de COVID-19 et une mortalité plus élevées.* Cette expérience s’est renouvelée en Charente-Maritime avec les mêmes constatations. Il est vrai que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a refusé de délivrer une autorisation temporaire à l’ivermectine contre le covid-19.

J’ai du mal à comprendre la politique de désinformation du journal Libération, sinon qu’elle ne fait qu’accréditer la politique d’un gouvernement qui a érigé le mensonge en principe de gouvernement. »

*C. Bernigaud et col : Ann Dermatol Venereol. 2020 Dec; 147(12): A194 Bénéfice de l’ivermectine : de la gale à la COVID-19, un exemple de sérendipité

 

A noter également :

Auteur(s): FranceSoir




De la démocratie à la tyrannie

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Tocqueville by Hohenfels (CC BY-NC 2.0) — Hohenfels, CC-BY]

Le passe-temps populaire des démocraties modernes  punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers  est cultivé via l’État.

Par Erik von Kuehnelt-Leddihn.
Un article de Mises.org

Dans La République, Platon nous dit que la tyrannie naît, en règle générale, de la démocratie. Historiquement, ce processus s’est déroulé de trois manières très différentes. Avant de décrire ces différents modèles de changement social, précisons ce que nous entendons par démocratie.

À la question « Qui devrait gouverner ? », le démocrate répond : « la majorité des citoyens politiquement égaux, soit en personne, soit par l’intermédiaire de leurs représentants ». En d’autres termes, l’égalité et la règle de la majorité sont les deux principes fondamentaux de la démocratie. Une démocratie peut être libérale ou illibérale.

Le libéralisme authentique est la réponse à une question tout à fait différente : comment le gouvernement doit-il être exercé ? La réponse qu’il apporte est la suivante : quel que soit celui qui gouverne, le gouvernement doit être exercé de manière que chacun jouisse de la plus grande liberté compatible avec le bien commun.

Une monarchie absolue pourrait être libérale (mais peu démocratique) et une démocratie pourrait être totalitaire, illibérale et tyrannique, avec une majorité persécutant brutalement les minorités. (Nous utilisons, bien sûr, le terme « libéral » dans son acception mondiale et non dans le sens américain, qui depuis le New Deal a été totalement perverti.)

Comment une démocratie, même libérale au départ, pourrait-elle évoluer vers une tyrannie totalitaire ? Comme nous l’avons dit au début, il y a trois voies d’approche, et dans chaque cas l’évolution serait de nature organique. La tyrannie évoluerait à partir du caractère même d’une démocratie libérale parce que, dès le début, il y a un ver dans le fruit : la liberté et l’égalité ne se mélangent pas, elles s’excluent pratiquement.

L’égalité n’existe pas dans la nature et ne peut donc être établie que par la force. Celui qui veut l’égalité géographique doit dynamiter les montagnes et combler les vallées. Pour obtenir une haie de hauteur uniforme, il faut utiliser des sécateurs. Pour atteindre des niveaux scolaires égaux, il faudrait faire pression sur certains élèves pour qu’ils travaillent très dur tout en empêchant les autres de le faire.

La première voie vers la tyrannie totalitaire (bien qu’elle ne soit pas la plus fréquemment utilisée) est le renversement par la force d’une démocratie libérale par le biais d’un mouvement révolutionnaire, en règle générale un parti prônant la tyrannie mais incapable de gagner le soutien nécessaire dans des élections libres. Le décor est planté pour une telle violence si les partis représentent des philosophies si différentes qu’elles rendent impossibles le dialogue et le compromis.

Clausewitz a dit que les guerres sont la continuation de la diplomatie par d’autres moyens, et dans les nations idéologiquement divisées, les révolutions sont vraiment la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens. Le résultat est la domination absolue d’un « parti » qui a finalement obtenu un contrôle total.

Un cas typique est l’octobre rouge de 1917. L’aile bolchevique du Parti ouvrier social-démocrate russe n’avait pas pu remporter les élections dans la République russe démocratique d’Alexandre Kerenski et a donc organisé un coup d’État avec l’aide d’une armée et d’une marine vaincues et en maraude, et a ainsi établi une solide tyrannie socialiste.

De nombreuses démocraties libérales sont affaiblies par les conflits entre partis à un point tel que des organisations révolutionnaires peuvent facilement s’emparer du pouvoir. Et il arrive que pendant un certain temps les citoyens semblent heureux que le chaos ait pris fin.

En Italie, la Marche sur Rome des fascistes en a fait les dirigeants du pays. Mussolini, un ancien socialiste, avait appris la technique de la conquête politique auprès de ses amis socialistes internationaux et, sans surprise, l’Italie fasciste fut la deuxième puissance européenne à reconnaître le régime soviétique, après la Grande-Bretagne travailliste, et bien avant les États-Unis.

La deuxième voie vers la tyrannie totalitaire est celle des « élections libres ». Il peut arriver qu’un parti totalitaire jouissant d’une grande popularité gagne un tel élan et tant de voix qu’il devienne légalement et démocratiquement le maître d’un pays. C’est ce qui s’est passé en Allemagne en 1932, lorsque pas moins de 60 % de l’électorat a voté pour le despotisme totalitaire : pour deux national-socialistes, il y avait un socialiste international sous la forme d’un communiste marxiste et un autre sous la forme d’un social-démocrate un peu moins marxiste.

Dans ces conditions, la démocratie libérale était condamnée puisqu’elle n’avait plus de majorité au Reichstag. Cette évolution n’aurait pu être stoppée que par une dictature militaire (comme envisagé par le général von Schleicher qui fut plus tard assassiné par les nazis) ou par une restauration des Hohenzollern (comme planifié par Bruning). Mais dans le cadre démocratique et constitutionnel, les national-socialistes étaient voués à l’emporter.

Comment les « nazis » ont-ils réussi à gagner de cette manière ? La réponse est simple : étant un mouvement de masse tentant d’obtenir une majorité parlementaire, ils ont visé les minorités impopulaires (plus elles étaient petites, mieux ça valait) et ont ensuite monté l’opinion publique contre elles.

Le Parti National-Socialiste des Travailleurs était « un mouvement populaire basé sur la science exacte » (les propres mots d’Hitler), militant contre des minorités détestées : les Juifs, la noblesse, les riches, le clergé, les artistes modernes, les « intellectuels », catégories qui se recouvrent fréquemment, et enfin contre les handicapés mentaux et les Tsiganes.

Le national-socialisme était la « révolte légale » de l’homme ordinaire contre ceux qui sortent de l’ordinaire, du « peuple » (Volk) contre les groupes privilégiés et donc enviés et détestés. Rappelez-vous que Lénine, Mussolini et Hitler ont qualifié leur régime de « démocratique » – demokratiya po novomu, democrazia organizzata, deutsche Demokratie – mais ils n’ont jamais osé l’appeler « libéral » au sens mondial (non américain).

Carl Schmitt, dans sa 93e année, a analysé cette évolution dans un célèbre essai intitulé La révolution juridique mondiale. Ce genre de révolution – la révolution allemande de 1933 – se produit simplement par le biais des bulletins de vote et peut se produire dans n’importe quel pays où un parti qui veut établir un régime totalitaire obtient une majorité relative ou absolue et prend ainsi le pouvoir « démocratiquement ».

Platon a rendu compte d’une telle procédure qui correspond, aussi fidèlement qu’une photocopie, à la transition constitutionnelle en Allemagne : il y a le « leader populaire » qui prend à cœur l’intérêt du « peuple de base », des « braves gens ordinaires » contre les riches roublards. Il est largement acclamé par le plus grand nombre et se constitue une garde personnelle uniquement pour se protéger et, bien sûr, protéger les intérêts du « peuple ».

AU NOM DU PEUPLE

Pensez à Hitler, à ses SA et SS, et aussi à la tendance à appliquer autant que possible le préfixe Volk (peuple) : Volkswagen (voiture du peuple), Volksempfänger (station de radio du peuple), des gesunde Volksempfinden (les sentiments sains du peuple), Volksgericht (tribunal du peuple). Inutile de dire que cette politique verbale s’est poursuivie dans la « République Démocratique allemande » où nous voyons une « police populaire », une « armée populaire », tandis que les États satellites de Moscou étaient appelés « démocraties populaires ».

Tout cela implique qu’autrefois, seules les élites avaient une chance de gouverner et que maintenant, enfin, l’homme de la rue est maître de son destin et capable de jouir des bonnes choses de la vie ! Peu importe que les réalités soient tout à fait différentes. Un très haut responsable soviétique déclarait récemment à un prince européen : 

« Vos ancêtres ont exploité le peuple en prétendant qu’ils gouvernaient par la grâce de Dieu, mais nous faisons beaucoup mieux, nous exploitons le peuple au nom du peuple. »

Ensuite, il y a la troisième voie par laquelle une démocratie se transforme en une tyrannie totalitaire. Le premier analyste politique à prévoir cette évolution jusque-là jamais expérimentée fut Alexis de Tocqueville. Il a dessiné une image exacte et effrayante de notre État-prestataire (appelé à tort État-providence) dans le deuxième volume de sa Démocratie en Amérique, publié en 1835 ; il y parlait longuement d’une forme de tyrannie qu’il ne pouvait que décrire, mais pas nommer, parce qu’elle n’avait pas de précédent historique. Il est vrai qu’il a fallu plusieurs générations pour que la vision de Tocqueville devienne réalité.

Il envisageait un gouvernement démocratique dans lequel presque toutes les affaires humaines seraient réglementées par un gouvernement doux, « bienveillant » mais déterminé, sous lequel les citoyens pratiqueraient leur quête du bonheur comme des « animaux craintifs », perdant toute initiative et toute liberté. Les empereurs romains, disait-il, pouvaient diriger leur colère contre les individus, mais sous leur règne il était hors de question de contrôler toutes les formes de vie.

Ajoutons qu’à l’époque de Tocqueville, la technologie qui permet une telle surveillance et une telle réglementation n’était pas suffisamment développée. L’ordinateur n’avait pas été inventé et donc ses avertissements ont trouvé peu d’écho au siècle dernier.

Tocqueville, libéral authentique et légitimiste, s’était rendu en Amérique non seulement parce qu’il était préoccupé par les tendances aux États-Unis, mais aussi en raison de la victoire électorale d’Andrew Jackson, le premier démocrate à la Maison Blanche et l’homme qui a introduit le très démocratique système des dépouilles, une véritable invitation à la corruption.

Les Pères Fondateurs, comme l’a souligné Charles Beard, détestaient la démocratie plus que le péché originel. Mais maintenant, une idéologie française, trop familière à Tocqueville, avait commencé à conquérir l’Amérique.

Cette évolution de mauvais augure a attiré l’aristocrate français dans le Nouveau Monde où il voulait observer l’avancée mondiale du « démocratisme », à son avis (et à sa consternation) voué à pénétrer partout et à se terminer par l’anarchie ou la Nouvelle Tyrannie – qu’il nommait « despotisme démocratique ».

Le chemin de l’anarchie est plus susceptible d’être emprunté par les Sud-Européens et les Sud-Américains (et il se termine généralement par des dictatures militaires afin d’empêcher la dissolution totale), tandis que les nations nordiques, tout en gardant toutes les apparences démocratiques, ont tendance à échouer dans la bureaucratie sociale totalitaire.

L’absence d’une philosophie politique commune est plus propice au développement de révolutions pures et simples dans le Sud, où les guerres civiles ont tendance à être « la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens (et plus violents) », tandis que le Nord est plutôt voué à des processus évolutifs, à une augmentation rampante de l’esclavage et à une diminution de la liberté et de l’initiative personnelles.

Ce processus peut être beaucoup plus paralysant qu’une simple dictature personnelle, militaire ou autre, sans caractère idéologique et totalitaire. Les régimes de Franco et de Salazar et certains gouvernements autoritaires latino-américains, tous adoucis au cours des années, en sont de bons exemples.

TOMBER EN SERVITUDE

Tocqueville ne nous a pas dit exactement comment peut s’effectuer le changement graduel vers la servitude totalitaire. Mais il y a 150 ans, il ne pouvait pas exactement prévoir que la scène parlementaire produirait deux principaux types de partis : les partis Père Noël, principalement à gauche, et les partis Serrage de Ceinture, plus ou moins à droite.

Les partis Père Noël, avec des cadeaux pour le plus grand nombre, prennent normalement à certaines personnes pour les donner à d’autres : ils fonctionnent avec des largesses, pour utiliser le terme de John Adams. Le socialisme, qu’il soit national ou international, agira au nom de la « justice distributive », ainsi que de la « justice sociale » et du « progrès », et gagnera ainsi en popularité. Après tout, vous ne tirez pas sur le Père Noël. En conséquence, ces partis gagnent normalement les élections, et les politiciens qui utilisent leurs slogans engrangent les votes.

Les partis Serrage de Ceinture, s’ils prennent le pouvoir de manière inattendue, agissent généralement plus sagement, mais ils ont rarement le courage de défaire les politiques des partis Père Noël. Les masses qui votent, souvent favorables aux partis Père Noël, retireraient leur soutien si les partis Serrage de Ceinture agissaient de manière radicale et cohérente.

Les prodigues sont généralement plus populaires que les avares. En fait, les partis Père Noël sont rarement complètement battus, mais ils se battent parfois eux-mêmes en présentant des candidats nuls ou en provoquant des troubles politiques ou un désastre économique.

Un Saint Nicolas politisé est un triste maître. Il est impossible de distribuer des cadeaux sans une réglementation bureaucratique, l’enregistrement et l’enrégimentement de l’ensemble du pays. D’innombrables conditions sont attachées aux cadeaux reçus d’en haut. L’État s’ingère dans tous les domaines de l’existence humaine : éducation, santé, transports, communications, divertissement, alimentation, commerce, industrie, agriculture, construction, emploi, héritage, vie sociale, naissance et mort.

Cette ingérence à grande échelle a deux aspects : l’étatisme et l’égalitarisme, qui sont intrinsèquement liés puisque pour régimenter parfaitement la société, il faut réduire les gens à un niveau identique. Ainsi, une « société sans classes » devient le véritable objectif, et toute forme de discrimination doit cesser. Mais la discrimination est partie intégrante d’une vie libre, car la liberté de volonté et de choix est une caractéristique de l’homme et de sa personnalité.

Si j’épouse Marie au lieu de Brigitte, je discrimine évidemment contre Brigitte ; si j’emploie le Dr Nishiyama comme professeur de japonais au lieu du Dr O’Hanrahan, je discrimine ce dernier, et ainsi de suite. Et il ne faut plus s’étonner qu’un opéra qui rejetterait un chanteur bantou de 1 mètre 20 pour le rôle de Siegfried dans Ring de Wagner soit accusé de racisme !

En fait, il n’y a qu’une discrimination juste ou injuste. Pourtant, la démocratie égalitaire reste inflexible dans sa politique totalitaire. Le passe-temps populaire des démocraties modernes – punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers –  est cultivé via l’État, remplissant un programme démo-égalitaire basé sur une idéologie démo-totalitaire.

La tyrannie démocratique, évoluant en catimini comme une corruption lente et subtile conduisant au contrôle total de l’État, est donc la troisième voie, et en aucune façon la plus rare, vers la forme la plus moderne d’esclavage.

Traduction Gérard Dréan pour Contrepoints.

Source en anglais


[Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
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Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
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En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]




Grande-Bretagne : des journalistes désillusionnés forment une alliance contre la censure de points de vue alternatif sur le coronavirus

[Source : anguillesousroche.com]

Ces journalistes affirment que les médias traditionnels ne remettent pas suffisamment en question les récits du gouvernement.

Un groupe de 26 journalistes s’est réuni pour dénoncer l’alarmisme du COVID-19 et la censure des points de vue alternatifs par les grands médias et les plateformes Big Tech depuis le début de la pandémie.

Selon le groupe, le résultat de cet alarmisme et de cette censure est que le public reçoit une « vision déformée de la vérité ».

Le groupe s’appelle « Holding the Line: Journalists Against COVID Censorship » (Tenir la ligne : Les journalistes contre la censure du COVID).

Il se compose principalement de journalistes basés au Royaume-Uni qui travaillent pour des journaux, des radiodiffuseurs et des sociétés de relations publiques en tant que salariés ou indépendants.

Les membres ont été interrogés par Press Gazette, la plupart préférant rester anonymes par crainte de représailles de la part de leurs employeurs.

Toutefois, certains étaient plus qu’heureux d’être nommés, notamment Sonia Elijah et Karen Harradine, journalistes d’investigation pour The Conservative Woman, Tony Gosling, ancien journaliste de la BBC, et Laura Berril, journaliste spécialisée dans les relations publiques et la technologie.

La mission du groupe est de promouvoir un environnement « sans préjugés » dans lequel les journalistes peuvent exprimer leurs préoccupations et sensibiliser le public à des questions moins connues.

Pour eux, les médias font un « travail incroyable ». Mais il existe des lacunes, notamment en ce qui concerne les reportages sur le COVID, telles que « le manque de contexte pour les statistiques, la couverture adéquate des traitements alternatifs, l’examen minutieux des tests PCR, l’attention portée aux effets indésirables des vaccins ou l’examen équilibré des coûts du confinement« .

Le groupe a accusé les médias britanniques de publier souvent des rapports « induisant la peur et parfois inexacts », qui créent à leur tour une hostilité envers ceux qui préféreraient ne pas recevoir les vaccins.

« C’est sans précédent la façon dont le COVID-19 a été rapporté au Royaume-Uni, mais pas seulement au Royaume-Uni, dans le monde entier », a déclaré Sonia Elijah, l’un des membres du groupe qui a autorisé Press Gazette à mentionner son nom.

« Il n’y a eu qu’un seul récit officiel dans les médias grand public et cela n’a pas changé avec le temps.

Il n’y a eu qu’une seule ‘vérité scientifique’ autorisée à être discutée : celle approuvée par les organismes de réglementation gouvernementaux du monde entier, et même cela a été très sélectif. Cela a donné au public une vision déformée de la vérité qui a été très préjudiciable. »

Elijah a exprimé son inquiétude quant à la censure des informations qui contredisent le récit fourni par la Trusted News Initiative.

« Pendant longtemps, nous avons été dans cette ère sombre de la censure qui a été incarnée par l’initiative Trusted News qui traverse les grandes technologies et tous les médias grand public », a-t-elle déclaré.

« Elle s’est articulée autour de cette guerre contre la désinformation ou la mésinformation, où tout ce qui allait à l’encontre du récit officiel n’était pas seulement vérifié, mais supprimé ou supprimé. »

Selon M. Gosling, le groupe se fait le champion d’un débat équilibré.

Gosling a déclaré : 

« Notre principale préoccupation est qu’il y a un lobby très puissant derrière beaucoup de ces mesures du COVID, y compris le traitement, l’absence de traitement et les vaccins, évidemment, mais il n’y a pas beaucoup de lobby dans l’autre sens. Et je pense que la plupart d’entre nous ont le sentiment que nos employeurs de toutes sortes n’ont pas représenté les deux côtés. »

Gosling a fait retirer par YouTube deux de ses interviews présentant des médecins prônant un traitement précoce après le diagnostic, l’efficacité de l’ivermectine et les dangers des vaccins « expérimentaux ».

Pour illustrer la couverture « parfois inexacte », il a cité un reportage de la BBC dans lequel le collaborateur affirme que le vaccin Pfizer est « 100 % sûr » pour les enfants âgés de 12 à 15 ans. Ce n’est qu’après sa plainte que la BBC a supprimé l’affirmation « choquante » et « dégoûtante » et a fourni une correction.

Gosling a ajouté : 

« Mon objectif est d’apporter un équilibre, c’est tout. Et aussi de faire remarquer au public que les journalistes ne choisissent pas toujours ce qui est publié. »

« Ce sont les propriétaires et les rédacteurs en chef qui ont le dernier mot. Nous sommes donc tous d’accord pour dire que nous aimerions voir plus de journalistes devenir rédacteurs en chef et avoir leur propre journal, leur propre chaîne de télévision ou de radio, mais c’est très, très rare. Il y a toujours un rédacteur en chef quelque part qui dit non, je ne veux pas de ça, et c’est ce qui s’est passé, en particulier pendant cette pandémie. »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Analyse d’un Coup d’État institutionnel

[Source : Ma France (by-jipp.blogspot.com)]

Par Olivier Demets, fonctionnaire d’État [français] et inspecteur des finances publiques et sapeur pompier volontaire.

A partager en masse.

Gardez confiance !
Soutenez les derniers remparts institutionnels que sont les vrais serviteurs de l’État. Aidez-les à prendre leurs responsabilités en respectant le sens de leur engagement !






Des vérités sur les « vaccins » anti-covid éclatent lors d’une réunion privée de santé publique

[Sources : Les 7 du quebec]






France : les syndicats de sapeurs-pompiers unis pour rejeter la volonté de Macron d’imposer la vaccination à l’ensemble des pompiers

[Source : medias-presse.info]

 Par Pierre-Alain Depauw

le communiqué “non à la vaccination obligatoire pour les sapeurs-pompiers”



Selon une psychologue, faire peur est l’arme des gens qui ont peur

[Source : lemediaen442.fr]

Pousser les Français à se faire vacciner en leur faisant peur de la mort, c’est la stratégie de dirigeants eux-mêmes dominés par la peur. Selon Marie-Estelle Dupont, psychologue, les marchands de peur comme Karine Lacombe sont les premiers à avoir peur. Leur personnalité leur dicte leur conduite.



La menace de la carotte et du bâton pour infantiliser, la maladie pour faire peur, le monde d’avant pour rassurer. Autant de dérivés de la méthode d’interrogatoire du méchant flic et du gentil flic qui donne une cigarette en échange d’aveux. Bon, ce n’est qu’une théorie, car quand ça ne marche désespérément pas, Big Pharma passe, avec ses médias, à la menace directe (Emmanuel Lechypre), aux insultes (Thomas Porcher). De la même façon, Emmanuel Macron est passé de l’enfumage médiatique à la répression sauvage contre les Gilets Jaunes, pour finir par totalement emprisonner (euh… confiner) la population.


[Voir : La clef de la libération – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester

[Source : lezarceleurs.blogspot.com]

On peut d’abord rappeler le niveau de vulgarité menaçante qui prévaut au gouvernement avec ceci : 

Les non vaccinés doivent « se bouger le cul », sinon ils auront « une vie de merde » : il faut voir comment ils nous parlent !

et de menace perverse avec encore ceci :

« Pas de pass sanitaire dans les écoles,
mais nous allons mettre le paquet pour vacciner »

ce qui amène nos voisins anglais  à conclure ainsi : 

Les liens ci-après sont destinés à aider dans toutes les situations difficiles que le non-vaccinés vont devoir gérer :

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7aa23a_contre-attaque-juridique.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_2ac940_courrier-exemple-engagement-vaccinal.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_9efc4e_declaration-dengagement-pour-les-vacci.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_250963_lettre-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7b932f_note-juridique-2021-07b-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_bd62f5_tract-verso-vaccination-au-travail.pdf

et




Pegasus, RSF et les journalistes « autoproclamés » du Hirak algérien

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Selon la mythologie grecque, Pegasus (Pégase en français) est un cheval ailé qui était chargé d’acheminer le tonnerre et les éclairs sur l’Olympe. Il avait aussi comme pouvoir de faire jaillir les sources d’un coup de sabot. Et comme son homologue mythologique, le pauvre hongre sorti des laboratoires de l’entreprise israélienne NSO a non seulement réussi à faire tomber la foudre et le tonnerre sur la tête de certains pays, en particulier le Maroc, mais a aussi permis de confirmer la compromission de certains « journalistes autoproclamés du Hirak » et de leurs employeurs et soutiens étrangers.

L’enquête sur la gigantesque affaire d’espionnage du logiciel Pegasus a montré que plus de 50 000 personnes ont été ciblées à travers le monde. Activistes, journalistes, avocats et politiciens ont été électroniquement espionnés par, au moins, les onze pays suivants : Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Hongrie, Inde, Kazakhstan, Maroc, Mexique, Rwanda et Togo. Il est très important de noter que NSO, la firme qui commercialise le logiciel ne peut vendre son produit sans l’aval du Ministère de la défense israélien, ce qui en dit long sur les méthodes et l’éthique de l’entité sioniste.

Ce vaste scandale, aussi néfaste soit-il, a permis de mettre la lumière sur deux aspects importants de la géopolitique et des relations internationales. Primo, il a démontré que l’ingérence étrangère, si décriée à l’occasion du Hirak (et bien avant), n’est pas uniquement une vue de l’esprit mais belle et bien réelle. Secundo, il a confirmé que les relations sécuritaires, commerciales et politiques entre l’État hébreu et certains pays arabes ne datent pas d’hier et ont précédé les récentes normalisations (Maroc et Émirats) ou celles pressenties dans le futur (Arabie Saoudite).

Le Maroc, à lui seul, a ciblé plus de 10 000 numéros de téléphone, soit près du cinquième du total. 60% de ces cibles (6000) ont été localisées en Algérie, montrant à quel point le considérable espionnage du Royaume chérifien est focalisé vers l’Algérie dévoilant les intentions belliqueuses de ce pays envers son voisin.

L’exposition de l’Algérie à cette cybercriminalité a été souvent évoquée par le Ministre de la Communication, M. Ammar Belhimer, dans l’incrédulité (la mauvaise foi?) ambiante de celles et ceux qui ont allégrement surfé sur le Hirak. Différents articles et interviews y ont été consacrés indiquant la perspicacité de son analyse. Certaines déclarations ont été même très largement reprises par la chaine israélienne I24.

C’est au milieu de ce tintamarre médiatique provoqué par cette gigantesque affaire d’espionnage, que Reporters Sans Frontières (RSF), rebaptisé Ragotards Sans Foi (ni loi), tenta de poursuivre sa mission de dénigrement de l’Algérie. Rappelons que depuis le début du Hirak, elle n’a cessé d’user de médisance, de dénigrement et de diffamation contre l’Algérie. On se souviendra de son implication dans la résolution de l’Union européenne fin novembre 2020 et de ses nombreuses déclarations incendiaires concernant l’Algérie.

Toute honte bue, RSF publia un article dans lequel elle accusa nommément l’Algérie d’être un client de NSO et donc un utilisateur du logiciel espion Pegasus.

Khaled Drareni, journaliste « autoproclamé » du Hirak et, accessoirement correspondant de RSF, relaya évidemment cet article, comme tout employé au service de son employeur.

Celui qui a été présenté comme un « grand » et « éminent » journaliste devant l’éternel n’a pas essayé de lire toutes les multiples enquêtes (pour une fois!) bien documentées publiées par les médias, en particulier anglosaxons, dans lesquelles l’Algérie a été présentée comme une victime de l’espionnage marocain et non coupable. Il a dû jubiler à l’idée que l’Algérie soit impliquée dans l’espionnage des « démocrates » ongistes, des islamawistes offshore ou des makistes séparatistes qu’il défend bec et ongles. Il a dû fouiner longtemps à la recherche de son numéro dans la liste de ceux qui ont été espionnés pour donner de l’eau au moulin aux flots de bobards de RSF.

Les commentaires des internautes ne se firent pas attendre.

Un autre fait qui confirme l’instrumentalisation de Khaled Drareni par RSF contre l’Algérie : l’histoire de sa banderole. Alors que le journaliste « autoproclamé » du Hirak a été libéré en février 2021, la « publicité » de son incarcération est encore visible aujourd’hui à Paris.

Banderole géante de Khaled Drareni sponsorisée par RSF

Photos prises par B. Snaoui, le 26 juillet 2021 vers 23h au 25 Quai d’Ivry, Paris (75013)

Est-ce que RSF peut nous expliquer ce que fait une telle propagande mensongère dans les rues de Paris? Le hashtag #Freekhaled serait-il encore d’actualité et nous ne serions pas au courant? Ou est-ce juste une autre façon de baver son venin sur l’Algérie?

Drareni n’a évidemment pas été le seul dans cette entreprise de calomnie. Son acolyte Hamdi Baala est venu à la rescousse, demandant à RSF (sic!) si leur information était correcte alors qu’elle était contraire à l’ensemble de ce qui avait été publié par les médias internationaux!

Hé! M. Baala, si RSF le dit, c’est que c’est vrai, non?

Et vous, RSF, confirmez-lui la nouvelle pour qu’il puisse s’en donner à cœur-joie et se rouler dans la fange de la compromission qu’il semble affectionner tout particulièrement!

Mais la réponse n’était pas à la hauteur des espérances. Zut, alors!

Comme expliqué dans des articles précédents, Hamdi Baala et Khaled Drareni sont tous deux collaborateurs de Radio M, média barbouze financé par le Quai d’Orsay et ont des relations privilégiées avec CFI (Canal France International), un organisme lui aussi financé par le ministère des Affaires étrangères français. On comprend bien alors pourquoi ils s’entendent comme larrons en foire.

L’article a donc été modifié par RSF et l’Algérie a été retirée de la liste des clients de NSO au grand regret du « larron » Baala.

La tentation était si forte que des journaleux comme Drareni ou Baala ne purent y résister. La ficelle était exagérément grosse, mais le mal a été fait. Il faut dire que la haine est trop viscérale et ne peut que consumer de l’intérieur. De temps à autre, elle perce et projette des fumerolles aux relents de soufre, l’odeur fétide de Satan.

Un internaute n’a pas hésité à les confronter avec la réalité en les accusant d’avoir détourné une information erronée pour leurs desseins idéologiques.

Le 23 juillet 2021, l’ambassadeur d’Algérie en France a déposé une plainte pour diffamation à l’encontre de RSF. On pouvait y lire :

« Outre le caractère diffamatoire et mensonger, ces allégations inadmissibles relèvent de la manipulation de RSF connue pour son acharnement vis-à-vis de l’Algérie ».

De quel bord se placeront les « larrons » Drareni et Baala? Du côté légal de l’Algérie ou de celui calomnieux de RSF?

Mais poser la question, c’est y répondre, n’est-ce pas?




L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes

[Source : For life on Earth.weebly.com]

[Traduction : changera.blogspot.com]

Par Claire Edwards, 26 juillet 2021

Dans une nouvelle vidéo, La Quinta Columna révèle que de l’oxyde de graphène (GO) a été trouvé dans une solution saline et ils en déduisent que l’utilisation du GO est beaucoup, beaucoup plus répandue et a commencé bien plus tôt que les seuls vaccins « Covid ».(([1] Solution saline physiologique contenant du graphène : 
https://www.brighteon.com/36a8d0c6-0c43-4acc-b5ea-5d6cc642f97d)) On a constaté que les bébés sont magnétiques, et les personnes qui n’ont pas pris le vaccin « Covid » ou qui n’ont pas été testées par PCR ou qui n’ont pas porté de masques montrent également du magnétisme, donc cela doit venir d’ailleurs. Ils en déduisent que le GO est utilisé depuis quelques années dans tous les vaccins, y compris le tétanos, la méningite, les vaccins pour enfants, etc. La Quinta Columna affirme que le GO était aussi dans le vaccin contre la grippe de 2018 et que cela pourrait expliquer pourquoi des personnes présentent du magnétisme alors qu’elles n’ont pas eu le vaccin « Covid ». Cela pourrait également expliquer le nombre élevé de décès dus à la « grippe » après la campagne de vaccination contre la grippe de 2018. Cela explique aussi le fait que tant de personnes soient mortes à Wuhan. Le gouvernement chinois avait rendu le vaccin contre la grippe obligatoire pour la population juste avant d’allumer les dizaines de milliers d’antennes 5G flambant neuves à Wuhan.  De même, les personnes âgées décédées à Milan avaient également été vaccinées contre la grippe et il y avait un grand nombre d’antennes 5G à Milan (voir les cartes des installations d’antennes en Italie en mars/avril 2020, qui montrent que la région de Milan a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus »).  

Magda Havas a constaté que les cas de Covid-19 par million étaient supérieurs de 95% et les décès de Covid-19 par million étaient supérieurs de 126% dans les États américains dotés de la 5G. La Quinta Columna rappelle que la 4G LTE utilise également des ondes millimétriques et que la 5G n’est donc pas la seule à être impliquée. Bartomeu Payeras i Cifre a publié une étude sur la corrélation 5G-Covid en avril 2020. Il a souligné le fait que Saint-Marin a été le premier État européen doté de la technologie 5G et l’État qui a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus » pour 1.000 habitants, soit 4,07 fois plus de cas que l’Italie et 27 fois plus que la Croatie, qui ne disposait pas de la 5G à l’époque (voir la carte ci-dessous).

M. Payeras i Cifre a également observé que le « coronavirus » semblait peu enclin à franchir les frontières. Le nombre moyen d’infections pour les quatre États américains limitrophes du Mexique était de 0,242, soit plus de 2.000 % de plus que le Mexique. La moyenne pour l’ensemble des États-Unis était de 0,814, soit 7.000 % de plus qu’au Mexique (voir la carte ci-dessous). L' »effet frontière » entre le Mexique et les États-Unis

Données pour le 3 avril 2020 – infections pour 1.000 habitants

Californie Arizona Nouveau-Mexique Texas Mexique USA
0.28 0.31 0.20 0.18 0.012 0.814

Je me demande comment il se fait que toutes ces informations utiles émanent d’Espagne. Même Andreas Kalcker (basé en Espagne) est sur une vidéo discutant de GO en espagnol. Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, souligne que nous devrions prendre note du fait que chaque période de vaccination a été liée à un saut technologique. Le graphique ci-dessous illustre comment chaque expansion de l’utilisation des rayonnements électromagnétiques (EMR) et chaque nouvelle génération de technologie sans fil a été accompagnée d’une nouvelle maladie. 

On pourrait ajouter que la grippe dite espagnole est apparue six mois après que l’armée américaine a commencé à utiliser des émetteurs radio très puissants à la fin de la Première Guerre mondiale, en 1917. La grippe asiatique s’est produite en 1957-1958 lorsqu’un puissant système de surveillance radar a été mis en service. La grippe de Hong Kong est apparue en 1968, lorsque 28 satellites militaires de surveillance de l’espace ont été mis en service. En 1997, lorsque les téléphones portables ont été utilisés en masse, on a constaté une augmentation de 31% du diabète aux États-Unis en un an. Au Royaume-Uni, entre 1994 et 2002, parallèlement à l’adoption soudaine de la technologie des téléphones portables, la population de moineaux domestiques a diminué de 75% et elle a été classée parmi les espèces en voie de disparition. Notons également qu’en octobre 2018, juste après que des centaines d’avions aient été équipés d’un tout nouveau WiFi embarqué venant directement du satellite, des cas massifs de « grippe » se sont déclarés à bord des vols et des ambulances ont dû être appelées et des vols détournés.

De même, alors que nous avons commencé à entendre parler de cas de « coronavirus » à bord de bateaux de croisière début 2020, nous avons appris simultanément que les paquebots venaient de déployer la 5G complète et la reconnaissance faciale à bord, tous les passagers étant irradiés avec des brassards et des pendentifs prêts pour la 5G. Ce sont deux médecins italiens, Montanari et Gatti, qui ont été les premiers à alerter sur les vaccins contenant mystérieusement des nanoparticules non déclarées dans un article publié début 2018. Ils ont notamment trouvé de l’acier inoxydable et du carbure de tungstène, hautement toxique, dans des vaccins. Pour leur peine, leurs domiciles ont été perquisitionnés par la police, qui leur a retiré toutes leurs données et ordinateurs. Dans une interview, les deux chercheurs ont expliqué qu’il est interdit que des nanoparticules se trouvent dans toute solution injectable car, contrairement aux autres nanoparticules auxquelles nous sommes exposés et que nous pouvons respirer et expulser en grande partie si nos poumons sont sains, les nanoparticules injectées restent piégées à jamais et peuvent circuler dans tout le corps, y compris dans le cerveau, provoquant des démences et des maladies comme le cancer et le diabète.
Si l’on ajoute à cela le fait que les téléphones portables ouvrent la barrière hémato-encéphalique pour laisser entrer les toxines, y compris les particules de l’air et les nanoparticules des vaccins, nous avons un mélange très dangereux de menaces.(([2] Le portail EMF de l’université d’Aix-la-Chapelle répertorie 34 études traitant de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Disponible sur 
www.emf-portal.org/en/article/overview/mobile-communications-med-bio/g-84/t-84003#level-3)) Je dis depuis le début de tout cela, fin 2019, qu’il n’y a pas de « Covid ». « Covid » est une désignation générale pour une collection de symptômes discrets, qui sont tous les mêmes que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques. Et, fait intéressant, nous apprenons que l’hôpital de Barcelone, en Espagne, a décidé de changer le nom du service où sont traitées les personnes réagissant à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques, dites « électrohypersensibles » ou EHS, en un service « post-Covid ». Comme c’est approprié !

Mais ce que je ne savais pas en 2020, c’est que cette exposition est massivement renforcée par l’implantation de nanoparticules métalliques dans l’organisme. C’est reconnu dans la littérature scientifique, même par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP ; pas internationale, pas une commission, et ne protégeant personne contre quoi que ce soit, sauf peut-être l’armée et les sociétés de télécommunications contre des poursuites pour des crimes contre l’humanité remontant à des décennies) qui déclare dans ses propres directives de « sécurité » sur l’exposition aux CEM que si vous avez du métal dans votre corps, il va agir avec les champs électromagnétiques (CEM) pour vous rendre malade(([3] Directives de l’ICNIRP pour limiter l’exposition aux champs électromagnétiques (100 kHz à 300 GHz). Health Phys. 118(5):483-524 ; 2020. Disponible à l’adresse
www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf)): 

« Les procédures médicales peuvent utiliser des CEM, et les implants métalliques peuvent modifier ou perturber les CEM dans le corps, qui à leur tour peuvent affecter le corps à la fois directement (via une interaction directe entre le champ et le tissu) et indirectement (via un objet conducteur intermédiaire). Par exemple, l’ablation par radiofréquence et l’hyperthermie sont toutes deux utilisées comme traitements médicaux, et les CEM de radiofréquence peuvent indirectement causer des dommages en interférant involontairement [je ne savais pas que les CEM possédaient une intention] avec des dispositifs médicaux implantables actifs (voir ISO 2012) ou en modifiant les CEM en raison de la présence d’implants conducteurs. » 

Les nanoparticules sont utilisées dans les traitements contre le cancer. Elles sont injectées dans la tumeur, puis un rayonnement électromagnétique est appliqué afin que chaque nanoparticule brûle les cellules cancéreuses adjacentes. C’est ce qu’on appelle la « thérapie par ablation thermique ».(([4] Ablation par radiofréquence (RFA) : Il s’agit probablement du type d’ablation thermique le plus couramment utilisé. La RFA utilise des ondes radio à haute énergie pour le traitement. Une fine sonde en forme d’aiguille est insérée dans la tumeur pendant une courte période, généralement de 10 à 30 minutes. La sonde est guidée en place à l’aide d’ultrasons, d’une IRM ou d’un scanner. L’extrémité de la sonde émet un courant à haute fréquence qui crée une chaleur très élevée et détruit les cellules dans une zone donnée. Les cellules mortes ne sont pas éliminées, mais deviennent des tissus cicatriciels et rétrécissent avec le temps. L’hyperthermie pour traiter le cancer.
www.cancer.org/treatment/treatments-and-side-effects/treatment-types/hyperthermia.html)) 

Que se passe-t-il donc lorsque vous remplissez tout le corps de nanoparticules d’oxyde de graphène et que vous exposez tout le monde aux rayonnements électromagnétiques inéluctables et omniprésents qui couvrent toute la planète, y compris depuis les satellites et les plates-formes de haute altitude (HAPS) telles que les planeurs et les drones dans la stratosphère ?(([5] « Des constellations massives de … satellites en orbite terrestre basse sont en cours de planification et de fabrication et … couvriront le globe d’une capacité à faible latence et à large bande passante » afin d’étendre la portée de l’Internet mondial aux zones rurales et reculées et de compléter les réseaux terrestres 5G. » Union internationale des télécommunications ; Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. Commission du haut débit pour le développement durable. Groupe de travail sur les technologies dans l’espace et la haute atmosphère. Identifier le potentiel des nouvelles technologies de communication pour le développement durable. Septembre 2017. 
www.broadbandcommission.org/Documents/publications/WG-Technologies-in-Space-Report2017.pdf))

Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, a la réponse : 

« Chaque personne qui a été inoculée avec cette nanotechnologie de l’oxyde de graphène a maintenant une mèche, de la dynamite, une bombe à retardement qui est prête à exploser par l’activation d’une micro-onde. » 

La réponse est que vous avez un génocide. C’est ce qu’a expliqué avec force détails graphiques un ingénieur français dans une vidéo de 2020 (supprimée depuis par Youtube), mais dont nous avons la transcription :

« Pour moi, ces nanoparticules font partie d’un système d’armes qui permettra la dépopulation sans résistance de masse. Si vous comparez cela à un système d’explosifs, la nanoparticule serait la barre de l’explosif plastique, c’est-à-dire la matière active qui va exploser. La deuxième chose qui serait nécessaire est un détonateur. Pour moi, c’est l’onde électromagnétique qui va faire vibrer la nanoparticule, et la troisième chose c’est le contrôle, je pense qu’on l’a trouvé maintenant, c’est l’idée de 2020 060606,(([6] Brevet Microsoft 060606 – Monnaie numérique à interface corporelle. 
www.disclose.tv/t/microsoft-patent-060606-body-interfaced-digital-currency/298))(([7] Pour une discussion détaillée du vaccin proposé, voir Rapport d’enquête des officiers de réserve de l’armée française sur la pandémie de Covid-19 et ses relations avec le SRAS-COV-2 et d’autres facteurs, chapitre 13 : Vaccin et puce électronique. 
French Army Reserve Officers’ Investigative Report on the Covid-19 Pandemic and its Relationship to SARS-COV-2 and Other Factors, chapter 13: Vaccine and electronic chip.)) c’est-à-dire la vaccination sous-cutanée que les maîtres du monde vont proposer pour qu’ils puissent savoir où nous sommes et puissent nous tracer avec la 5G. L’avantage de la 5G comme détonateur est qu’elle peut nous tracer. C’est une arme à énergie dirigée. Donc, on est tracé, ils savent où envoyer l’onde et ils savent qui ils vont chauffer. De quoi avez-vous besoin pour que ce système d’armement soit opérationnel ? Il faut être capable d’injecter les nanoparticules dans le corps. Le seul moyen qui semble cohérent au regard de l’histoire est de les mettre dans les vaccins. »

Ce que cela signifie, c’est que chaque adulte ou enfant qui a reçu les vaccins « Covid », et apparemment n’importe quel autre vaccin au cours des deux dernières années, est maintenant une antenne relais et risque de mourir à tout moment d’une exposition aux CEM, mais cela se manifestera par toute une série de maladies différentes.  N’oublions pas non plus que la géo-ingénierie qui se déroule au-dessus de nos têtes pendant tout ce temps est également pleine de nanoparticules, et inclut probablement aussi le GO.

Les canaris dans la mine de charbon à l’heure actuelle sont les pilotes qui ont été vaccinés. Les pilotes et le personnel navigant sont exposés professionnellement à des niveaux de radiation très élevés. Faut-il s’étonner, dès lors, que quatre pilotes de British Airways soient morts après avoir reçu les vaccins et cinq autres de Jet Blue Airlines ?  Un vol de Singapore Airlines a dû se dérouter vers l’aéroport de Moscou parce qu’une hôtesse de l’air a eu une attaque. D’autres rumeurs font état de décès de pilotes d’autres compagnies aériennes. 

Je pense que nous avons été la cible d’une énorme opération psychologique et que pratiquement tout le monde regarde dans la mauvaise direction.  Tout tourne autour des radiations électromagnétiques et c’est la clé.  Maintenant que tous ceux qui se sont fait piquer sont pleins d’oxyde de graphène, leur seul recours est de suivre les précautions que prennent les personnes dites électrohypersensibles (EHS) et de se débarrasser de leurs téléphones portables et de tous les appareils sans fil et de s’assurer qu’ils n’entrent jamais en contact avec une quelconque technologie sans fil. 

Et bien sûr, si les gouvernements ne désactivent pas immédiatement toutes les antennes partout dans le monde (et ils n’ont pas besoin de nous dire que c’est une notion ridicule alors qu’ils étaient tout à fait heureux de fermer l’économie mondiale entière pour le Covid inexistant), alors c’est une preuve prima facie d’intentions génocidaires, parce que la littérature scientifique est sans équivoque que les métaux dans le corps deviennent des antennes lorsqu’ils sont exposés aux EMR. Le pistolet fumant de la conspiration de Covid est les nanoparticules d’oxyde de graphène dans les vaccins. Maintenant que nous le savons, la priorité de chacun doit être d’éteindre toutes les technologies sans fil et toutes les antennes de la planète, ainsi que tous les satellites 5G. Ne pas le faire sera une condamnation à mort pour les vaccinés.


[Voir aussi :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]


RÉFÉRENCES




Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

[Source : agoratv]



[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]