Doit-on avoir peur des personnes vaccinées contre le Covid ? Les non-vaccinés sont-ils menacés ou en danger ?

Par Alain Tortosa

Voilà une question qui doit sembler hautement complotiste pour les paniqués vaccinés adorateurs de l’Église du Coronavirus…

Si notre monde n’avait pas finalisé sa bascule dans une 4e dimension alors je serais peut-être en train de vous parler de la dangerosité potentielle des non-vaccinés.

Encore que la notion de « vaccin solidaire » a toujours fait des bulles dans ma tête au même titre que le « masque solidaire ».

Si un vaccin ou un port du masque est efficace alors le vacciné ou le masqué n’a pas besoin de ma vaccination ou de mon masque pour se protéger.

Et s’il en a besoin, c’est une preuve de leur inefficacité et pourquoi donc devrais-je le protéger en utilisant des moyens inefficaces ?

Enfin je pense que c’est à la médecine de trouver des stratégies à même de protéger les personnes à risque qui ne peuvent pas bénéficier d’un vaccin.

Ici encore il est étrange de mettre au point des thérapeutiques qui ne seraient efficaces que pour les personnes qui n’en ont pas besoin et je demeure définitivement allergique à la notion de délit de bonne santé…

Revenons à ma question et surtout :

Existe-t-il une réponse scientifique autour de la dangerosité potentielle des vaccinés qui ferait « consensus » ou tout du moins une quasi-unanimité ? (Que la réponse soit « oui » ou « non ».)

Tout est fait pour nier la dangerosité des thérapies vaccinales.

Tout est fait pour ignorer l’explosion des cas et des décès dans de nombreux pays qui pratiquent une vaccination massive.

Et surtout une augmentation des cas dans des populations jeunes non concernées par le Covid.

Une modélisation au Royaume-Uni(([1] https://dailyexpose.co.uk/2021/04/11/uk-government-model-states-the-fully-vaccinated-will-dominate-deaths-in-3rd-wave-and-they-will-blame-children-and-unvaccinated-for-it/)) a fait état que 60 à 70% des décès de la future 3e vague seraient des personnes vaccinées.

Comme de bien entendu, la faute en serait imputée aux non-vaccinés et aux enfants comme c’est le cas actuellement dans tous les pays qui pratiquent la vaccination et qui ont une recrudescence de Covid.

Pour en revenir à cette prévision, une fois n’est pas coutume, les médias et les pseudo-scientifiques incompétents ou corrompus n’ont pas manqué de souligner que ceci n’était qu’hypothèse.

Alors quand les modélisations prévoient des centaines de milliers de morts du Covid au Royaume-Uni, c’est évidemment digne d’intérêt, mais une modélisation qui annoncerait plus de décès chez les vaccinés est bien sûr sans valeur aux yeux des médias, même si les auteurs sont les mêmes.

Il demeure néanmoins intéressant de noter, quand bien même les prévisions seraient délirantes, que l’hypothèse d’un surcroît de décès chez les vaccinées est considérée comme plausible dans les milieux « non-complotistes ».

Dans le monde d’avant le Covid, le principe de précaution voulait que l’on s’abstienne en cas de risque ou de doute… mais c’était avant !

Quelles sont les hypothèses sur la dangerosité potentielle des vaccinés pour les non-vaccinés ?

Le sentiment erroné de confiance ?

Les personnes vaccinées peuvent croire, à tort, qu’elles protègent les personnes à risque et il serait d’autant plus possible qu’elles le pensent que la propagande fait croire que cette vaccination est « solidaire »… (ce qui est indispensable pour le business plan).

Une vaccination qui serait à la fois « solidaire », mais qui ne protégerait pas autrui est certainement difficile à appréhender pour un public qui croit ce qu’on lui dit.

Quand bien même les gestes barrières relèvent plus de la patte de lapin que de la science, cette confiance, cette « libération », pourrait se traduire par un certain relâchement qui pourrait donc potentiellement mettre en danger des non-vaccinés.

Il est intéressant de constater que le gouvernement et le Ministre de la Santé sont totalement informés de l’absence d’efficacité des produits appelés « vaccins ».

Ils redoutent de fait le comportement futur des vaccinés qui auraient pu croire les mensonges du gouvernement.

Raisons pour lesquelles vaccinés et non vaccinés ont obligation de respecter les confinements, couvre-feux, port du masque et autres gestes barrières jusqu’à ce que mort nous sépare.

Nous entendons de plus en plus de médias mainstream nous dire que l’immunité de masse sera soit impossible à atteindre, soit ne sera pas de nature à éradiquer notre brave virus dont le métier est de muter pour survivre.

Les variants ?

Il y a d’un côté une réalité observationnelle…

Les variants qui nous « menacent » sont apparus dans des pays qui ont fortement vacciné leur population ou les pays dans lesquels ont été testés les « vaccins ».

Citons par exemple le Royaume-Uni, le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud,…

Et de l’autre des théories.

Dès lors que l’on vaccine une population, le vaccin sera plus à même de combattre la souche d’origine, d’autant plus que ces faux vaccins ne ciblent que la protéine Spike du virus et non d’autres éléments constitutionnels.

Ce qui les rend extrêmement peu performants et peu « adaptatifs » à la différence de vaccins classiques ou de notre système immunitaire qui est capable de combattre l’infection sur plusieurs fronts et de demeurer efficace pour des variants.

De fait plus vous aurez de mutations sur la protéine Spike et moins la thérapie vaccinale sera efficace.

Les personnes injectées agissent donc comme des filtres à souche initiale et des passoires à mutants.

C’est une des raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pas pendant une épidémie.

Des faux vaccins ?

Ces « vaccins », comme ils sont appelés, ne sont pas des vaccins. Vous ne trouverez aucune publication scientifique, aucun médecin qui écriront qu’ils empêchent les personnes à risque de tomber malade, qu’ils préviennent la mortalité et qu’ils vous empêchent d’être contagieux.

Le Conseil d’État(([2] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) a confirmé grâce aux informations fournies par le Ministre de la Santé, Olivier Véran que les personnes vaccinées étaient potentiellement contagieuses, qu’elles pouvaient attraper le virus et donc qu’elles devaient continuer à porter le masque.

« Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. La levée des restrictions de déplacement pourrait dès lors aggraver le risque de contamination, notamment pour les personnes vulnérables qui sont majoritairement non vaccinées. »

On ne peut être plus clair…

Cela confirme que les personnes vaccinées peuvent (ou sont ?) être génératrices et propagateurs de nouveaux variants.

Ces variants pouvant être potentiellement plus dangereux que le coronavirus d’origine qui n’est pas bien méchant et ne tue que les personnes en fin de vie, avec de fortes comorbidités (et sans traitements), mais laisse tranquille les personnes jeunes et en bonne santé.

Les transfusions sanguines ?

En premier lieu les médias ne se privent pas de dire que les ARNm de la vaccigénie Pfizer BioNTech disparaissent du sang en quelques minutes, qu’ils ne se propagent pas dans d’autres organes et qu’ils sont détériorés par nos défenses immunitaires.

À les écouter, c’est tellement rapide que l’on se demande comment il peut pénétrer les cellules pour faire fabriquer la protéine Spike.

Pour autant on peut le trouver plusieurs jours après l’injection dans nos organes.

Et l’ARN pourrait demeurer dans le sang entre 1 et 3 jours.

Donc il serait totalement possible d’être vacciné sans son consentement en recevant une transfusion sanguine d’une personne vaccinée il y a moins de trois jours.

Quid des anticorps ?

Leur durée de vie est d’environ un mois ce qui signifie qu’une personne transfusée peut avoir les anticorps anti-spike du vacciné. Elle peut donc être considérée positive.

Si d’aventure vous croisez le virus durant cette période, il n’est pas impossible que votre corps considère que vous faites un 2e Covid et vous n’êtes peut-être pas à l’abri d’un Covid grave du fait d’anticorps facilitant…

D’autre part, il a été prouvé que les personnes qui avaient développé une thrombose suite à une injection d’AstraZeneca avaient des anticorps anti-pf4(([3] http://www.slate.fr/story/207491/thromboses-vaccination-covid-19-auto-immunite-anticorps-astrazeneca)) à l’origine des thromboses.

« La vaccination avec ChAdOx1 nCov-19 peut entraîner le développement rare d’une thrombopénie thrombotique immunitaire médiée par des anticorps activateurs de plaquettes dirigés contre le PF4, qui imite cliniquement la thrombopénie auto-immune induite par l’héparine. »

(([4] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104840))

Si vous êtes transfusé d’une personne ayant ces anticorps vous risquez de faire vous-même une thrombose alors même que vous n’êtes ni vacciné, ni à risque.

Si de plus vous êtes enceinte, vous risquez de les transmettre à votre enfant et si vous allaitez votre bébé, il y a aussi un risque de transmission de ces anticorps et donc de thrombopénie auto-immune.

Mais que nous dit l’Établissement Français du Sang(([5] https://dondesang.efs.sante.fr/don-de-sang-et-covid-19)) à propos du don du sang ?

« Puis-je donner mon sang si je suis vacciné contre la Covid-19 ? »

« Dans la grande majorité des cas, il est possible de donner son sang après une injection de vaccin contre la Covid-19, sans aucun délai d’ajournement à respecter. »

Donc aucun délai n’est nécessaire pas même 24 heures !

En revanche la Croix-Rouge japonaise(([6] https://www.jrc.or.jp/donation/blood/news/210222_006549.html)) est plus prudente

En février dernier elle publiait le texte suivant :

« En ce qui concerne les critères d’acceptation du don de sang pour ceux qui ont été vaccinés contre le Covid, nous sommes en train de l’examiner dans le pays, alors comprenez bien que nous nous abstiendrons de donner du sang tant que les critères ne seront pas définis. »

Le 29 avril un journal indien titrait quant à lui :

« La campagne de vaccination pour toutes les personnes de plus de 18 ans débutera le 1er mai. Une personne vaccinée ne pourrait pas donner de sang pendant au moins 60 jours, selon la réglementation. La majorité des donneurs de sang volontaires étant âgés de 18 à 45 ans, cela pourrait entraîner une pénurie importante de banques de sang.
Les banques de sang et les médecins ont exhorté les personnes qui donnent du sang à le faire avant de se faire vacciner »

Il semblerait donc, comme le nuage de Tchernobyl, que le risque engendré par le don du sang de personnes vaccinées ne concerne pas la France.

Une fois encore, nous voyons que le principe de précaution est jeté aux oubliettes alors même qu’il serait raisonnable de l’interdire et de faire des études.

Je ne saurais conseiller aux personnes qui ont une intervention chirurgicale programmée de faire appel à l’autotransfusion, ce que l’on appelle la transfusion autologue programmée.

La vaccination « contagieuse(([7] Merci à C pour son aide…)) » ?

Une théorie qui circule sur les réseaux sociaux voudrait que les personnes vaccinées pourraient être en capacité de vacciner les non-vaccinés « automatiquement » sans la moindre injection.

Quelques éléments de réflexion qui vont à l’encontre de cette théorie :

  • Aucun intérêt d’un point de vue économique, le vaccin devient gratuit.
  • Aucune obligation de faire des campagnes de vaccination délirantes étant donné que la contamination vaccinale sera automatique.
  • La thèse des industriels « bons » ou des gouvernements « bons » ne peut que faire rire.
  • La thèse du vaccin contagieux éradicateur de la population ne tient pas non plus la route, car tôt ou tard les instigateurs finiraient par être aussi contaminés et donc tués par leur propre arme et s’ils attendaient l’extinction de l’espèce humaine dans un abri antiatomique, rien ne dit que le virus vaccin ne se répandrait pas aussi chez les animaux…

Quand bien même, cela serait-il totalement impossible d’un point de vue théorique ?

Prenons par exemple l’AstraZeneca et son adénovirus.

Celui-ci est rendu « stérile » pour justement éviter le problème.

Mais si d’aventure une personne était contaminée en même temps par un adénovirus anodin et par l’adénovirus de l’AstraZeneca, une recombinaison de ces adénovirus pourrait rendre sa capacité « reproductive » au « vaccin » et ainsi une personne qui serait contaminée par ce nouveau virus recombiné serait ainsi vaccinée en attrapant le virus qui pourrait se répandre librement.

Pas évident, difficilement, voire totalement incontrôlable, économiquement débile, extrêmement dangereux, mais pas totalement délirant d’un point de vue théorique.

Conclusion :

Alors est-ce que les vaccinés sont dangereux pour les non-vaccinés ?

La réponse est sans hésiter « oui », mais nous ignorons dans quelle mesure.

Non seulement les vaccinés sont probablement plus en danger que les non-vaccinés, car ils risquent de développer des Covid graves du fait des anticorps facilitants qui sont « aidés » par ces faux vaccins qui ne ciblent que la protéine spike et en plus de façon imparfaite…

Mais ils sont aussi réellement dangereux pour les non-vaccinés du fait de la prolifération des variants qu’ils favorisent.

Il est aussi totalement évident que les dons du sang devraient être à minima interdits dans les 30 jours suivant une vaccination.

Je terminerai en rappelant que le principe de précaution est bafoué depuis des mois…

Mais alors que j’étais choqué des projets d’étoiles jaunes pour les non-vaccinés ou d’apartheid, je dois vous dire que l’idée me séduit de plus en plus de me retrouver en sécurité et libre de vie avec des non vaccinés… loin des vaccinés potentiellement dangereux.

Si une majorité du peuple accepte ou demande d’être prisonnier, piqué, pucé, obligé de respecter des gestes barrières et des masques ad vitam æternam (un coup oui, un coup non), je préfère de loin fabriquer mon petit monde où nous serions libres de nous réunir, de vivre, de nous serrer dans les bras ou d’aller au restaurant sans gestes barrières ou muselières.

Merci.

Alain Tortosa.

Le 10 mai 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210510-avoir-peur-des-personnes-vaccinees.pdf





Pourquoi une écrasante majorité de nos concitoyens n’est pas opposée à un pass sanitaire ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi une écrasante majorité de nos concitoyens n’est pas opposée à un pass sanitaire ?
Comment toute « perte » est assimilée à un « gain »

« J’approuve le passeport sanitaire parce qu’il est un outil de la liberté… Il va me permettre d’aller en discothèque alors que je ne le pouvais plus et va m’apporter une liberté que je n’avais plus. »

Comment en est-on arrivé là ?

Perte de liberté ou gain de sécurité ?

Il est intéressant de constater que la suppression d’une liberté comme ne plus aller en discothèque n’est pas vécue comme une « perte » de liberté, mais comme un « gain » de sécurité.

Dans la même logique, le passeport vaccinal, l’obligation de s’identifier en tous lieux et toutes circonstances ne seront pas vécus comme une perte de liberté, une perte du droit à la vie privée pour aller en boîte avec sa maîtresse, mais un double gain :

  • Un gain de sécurité (illusoire et manipulateur).

Et

  • un gain de liberté (retourner en discothèque – Le geôlier qui vous libère).

Il est paradoxal de constater que l’on peut donc gagner en liberté (en retournant en discothèque) sans avoir auparavant perdu cette même liberté (le fait de ne plus pouvoir y aller).

Il en est de même pour le confinement, l’obligation de la distanciation, l’obligation du port du masque, les interdictions d’aller au restaurant ou au cinéma et j’en passe, qui ne sont pas vécues comme des privations de liberté, mais des « gains » de sécurité.

Quid des opposants, des résistants qui crient à la perte de liberté ?

Dans les faits la psychologie sera bien souvent identique à celle des moutons hypnotisés.

Ils vont mettre leur énergie à démontrer l’inefficacité des mesures…

« Le masque n’est pas efficace donc il n’apporte pas de gain de sécurité donc il est inutile donc la mesure d’obligation est une atteinte à nos libertés et elle est donc inacceptable. »

Ici encore la légitimité ne se mesure pas par rapport à la privation de libertés, mais uniquement par rapport à l’absence d’efficacité de la mesure.

Nous pourrions donc imaginer que si le vaccin protégeait réellement les personnes âgées en fin de vie, qu’il était sans le moindre danger pour les enfants, alors nous serions nombreux parmi les « complotistes » à considérer que leur vaccination serait acceptable au nom du fameux « gain ».

La « démocratie » et les droits de l’homme se mesurent-ils à la somme des libertés ou à la somme des interdits ou « gains » de sécurité ?

Dans les faits, notre « démocratie » pourrait plutôt se résumer à la somme des interdits toujours plus nombreux et le peuple (manipulé) ne la mesure qu’en gain de sécurité…

Limitations de vitesse, obligation du port du casque, contrôles techniques, obligations de diplômes, permis en tous genres, normes… ne sont donc que des « gains » de sécurité et donc totalement « légitimes ».

Ils sont de fait le prix à payer « pour une vie en société » et aucunement une privation de liberté.

L’écologie biaisée, la nouvelle dictature

Le libéralisme (ou les forces du mal qui veulent nous asservir) a désormais inventé « l’écologie » exclusivement punitive ou libérale.

Obligation de jeter son véhicule (à non, pardon, interdiction de l’utiliser en ville), normes antipollution, voitures électriques, énergies dites renouvelables ou propres, lutte contre le CO2, etc. conduisent à de plus en plus d’interdits qui ne sont pas vécus comme tels, mais comme un « gain de sécurité » et qui plus est, la fierté de « sauver la planète ».

L’idéal démocratique, et maintenant « écologique », n’est dans les faits qu’une somme d’interdits « au nom de… » qui sont présentés et vécus comme des « gains de sécurité »…

La gouvernance par la peur

Mais réveillez-vous !

Tout est faux dans ces mesures de privation et de contrôle de nos libertés « pour notre bien »…

L’unique objectif est de nous inventer des dangers et nous maintenir dans la peur, l’obéissance et la sidération et/ou dans la consommation.

Dans les années 50, le danger, l’ennemi, était le communiste et les chars russes qui allaient débouler sur les champs Élysées. Nous avons vécu dans la peur de la 3e guerre mondiale.

Dans les années 70, nous avons inventé la crise pétrolière totalement artificielle avec le mythe du pic de production (le début de la fin du pétrole) qui, 50 ans plus tard, n’est toujours pas là et qui dans 50 ans ne sera toujours pas là…

Grâce à cela, nous avons inventé le chômage et la précarité, la crainte de perdre son emploi afin de nous maintenir dans la peur et la docilité.

La peur du réchauffement climatique

Depuis quelques années, nous subissons désormais le mythe du réchauffement climatique dont L’UNIQUE cause serait l’activité humaine…

Il est merveilleux de voir que nous avons adhéré à ces modèles mathématiques sur des décennies alors qu’au quotidien, les prévisions météo à plus de 24 heures relèvent du journal de Mickey…

Nous avons fait du CO2, un gaz 100% naturel, un ennemi, alors même que le CO2 c’est la vie.

La surface forestière de la planète serait en augmentation depuis des années notamment du fait que les plantes se nourrissent de CO2 et que les campagnes sont de plus en plus désertées.

Le réchauffement climatique participerait aussi à l’augmentation de la surface verte de la planète.

Nous mettons sur le marché des véhicules dits « propres » qui émettent des gaz un million de fois plus dangereux que le CO2 ou qui émettent des particules fines cancérigènes.

Nous faisons croire que la voiture électrique a un avenir alors même qu’elle est basée sur des matières fossiles disponibles en faible quantité et que leur fabrication est un désastre écologique.

Il sera impossible de fournir l’électricité pour les recharger sans construire des centaines de lignes à haute tension et ouvrir au moins 50 centrales nucléaires de plus, juste en France.

Nous avons gobé que la voiture à essence était un monstre écologique, qu’il fallait acheter des diesels « propres » et désormais nous devons acheter des voitures électriques ou hybrides.

Dans quelques années il faudra les jeter à la poubelle pour leur manque d’écologie pour acheter des véhicules à hydrogène, si nous avons encore le droit de posséder des voitures…

Les énergies renouvelables n’ont de renouvelables que le nom et sont tout autant un mythe…

100% des sujets qui nous sont assénés ne sont que manipulations, se nourrissent de nos peurs et visent à nous faire surconsommer ou nous obliger à changer de mode de vie au nom d’un « idéal ».

Mode de vie dans lequel il faudra interdire le déplacement individuel au profit du collectif, interdire de se déplacer en avion, interdire de faire des croisières toujours au nom de cet « idéal écologique ». Toutes ces libertés étant réservées, bien sûr, à une élite…

La crise du Covid, qu’elle ait été provoquée ou qu’elle soit accidentelle, est un formidable outil au service de notre asservissement toujours présenté « pour notre bien ».

Fausse science, interdiction de pensée, formatage

Le drame est que nous vivons une période qui se voudrait scientifique alors même que la science n’est qu’un instrument au service d’une pensée unique et d’une manipulation des peuples.

La force de l’argent est telle qu’elle pervertit tout et la corruption mène le monde.

Rappelez-vous de l’industrie du sucre qui a dépensé des millions de dollars en lobbying et corruption pour inventer le mauvais cholestérol et détourner l’attention de ce poison.

L’industrie pharmaceutique génère plus de bénéfices que l’industrie pétrolière… Elle est régulièrement condamnée à des milliards d’amendes pour tromperie et les « vaccins » actuels ont été autorisés sur les seules données de cette industrie.

Celui qui aujourd’hui critique ou interroge cette pensée unique est qualifié d’extrémiste, d’imbécile ou de complotiste.

Avoir rendu la scolarisation obligatoire dès l’âge de 3 ans ne relève pas du hasard et ne vise qu’à formater les enfants avant que les parents n’aient pu intervenir.

La vérité ?

Nous pourrions penser que la « Vérité » avec un grand « V » était le fruit de faits, de démonstrations scientifiques et qu’elle pouvait évoluer en fonction des découvertes scientifiques, alors qu’il n’en est rien !

La vérité dans notre monde n’est qu’officielle et statistique.

Si vous possédez l’argent, vous posséderez le pouvoir, les politiques, les médias et vous détiendrez donc LA « vérité » officielle.

C’est ainsi que le port du masque, les confinements ou la vaccination sont devenus « efficaces » au 21e siècle parce c’est devenu une vérité statistique énoncée par le Ministère de la Vérité lui-même dans les mains des forces d’argent (et du mal).

Nous ne sommes pas (ou peu) conscients que 100% de nos vérités sont manipulées.

Nous subissons des décennies (et je suis modeste) de manipulations de notre cerveau.

Au point qu’il est plus que raisonnable de se poser la question pour chaque affirmation reçue et dans tous les domaines ! (Dont je ne prétends pas détenir toutes les réponses.)

  • Est-ce que la Terre est ronde ou plate ? (je prends volontairement cet exemple pour dire qu’il faut selon moi prendre le problème de très loin).
  • Est-ce qu’on a vraiment fait des progrès dans les cancers ou guéri des cancers qui guérissaient seuls ?
  • Est-ce qu’une mammographie sert à prévenir le cancer du sein ?
  • Est-ce que le réchauffement climatique est le fruit de l’activité humaine ou d’un changement d’orbite de la Terre ?
  • L’accouchement à domicile est-il dangereux ?
  • Est-ce que le contrôle technique sauve des vies ?
  • La limitation de vitesse sur autoroute est-elle efficace ?
  • Est-ce que le réchauffement climatique est forcément une mauvaise chose ?
  • Les vaches polluent-elles la planète et vaut-il mieux manger de l’herbe ?
  • Est-il plus écolo de rouler en voiture hybride ou électrique que d’utiliser sa voiture diesel de plus de 30 ans ?

Et je pourrais ainsi en écrire pendant des dizaines de pages !

Mais dès lors que nos croyances sont quasi toutes manipulées et biaisées par un système qui veut nous amener dans une direction unique pour son unique intérêt, quelle est notre liberté de « pensée » ?

Comment pourrions-nous avoir un avis éclairé sur tel ou tel sujet si nous avons été formatés à croire sans nous poser la moindre question dès le plus jeune âge ?

La crise du Covid aura permis à de nombreuses personnes de voir à quel point nous sommes manipulés principalement par la peur.

Soyons raisonnables et appliquons le même doute à tous les autres sujets…

Protection et irresponsabilité

Nous sommes terrorisés par la liberté et le libre arbitre.

Nous voulons d’un bon roi qui nous protège, nous apporte la sécurité, l’emploi, la santé et qui surtout décide (de plus en plus) pour nous !

« Panem et circenses » qui durant le Covid s’est traduit par « indemnités Covid » et « Hanouna ».

Nous redoutons la démocratie, nous redoutons les responsabilités et c’est pourquoi nos institutions de la cinquième république sont « parfaites ».

Elles nous donnent l’illusion de décider alors même que les candidats élus sont choisis par Goldman Sachs et que leur marge de manœuvre n’excède pas les 1% dans un monde ultralibéral.

À celles et ceux qui ont vraiment soif de démocratie populaire, je vous le dis haut et fort :

« Le peuple ne veut PAS de démocratie, il ne veut PAS être consulté et décisionnaire, il ne veut surtout PAS être responsable, il veut juste pouvoir critiquer. »

Et c’est pour cela qu’il approuve le passeport sanitaire qui lui apporte deux choses primordiales :

  • La « sécurité » : « Je ne risque pas d’être contaminé par un terroriste complotiste ! »
  • L’irresponsabilité. « Je ne serai pas coupable de transmettre la maladie ! »

L’irresponsabilité, nerf de la destruction de l’individu

Le corollaire de la liberté est la responsabilité.

Pourquoi adorons-nous les limitations de vitesse ?

Pourquoi avons-nous dans la tête que celui qui roule à 100 km/h au lieu de 90 km/h est un irresponsable, voire un chauffard ou un criminel ?

Si l’État me dit ici « tu ne dois pas dépasser le 70 », que je roule à 65 et que j’ai un accident alors c’est la faute à pas de chance.

Si l’État me dit « tu roules à la vitesse que tu veux, mais si tu as un accident et que la cause de l’accident est imputée à une vitesse excessive alors ta responsabilité sera engagée » alors c’est panique à bord.

C’est pour cela que j’adore et que je réclame le passeport vaccinal ou l’obligation du masque.

C’est l’État qui fixe la règle et donc qui assume la responsabilité en cas d’échec.

Si c’est moi qui décide si et quand porter un masque ou me vacciner, c’est moi qui serais responsable de la mort de mamie que j’aurai contaminée.

Donc si c’est l’État qui me dit que je peux voir mamie le mardi soir entre 17h02 et 17h24, que je dois aérer la pièce pendant 8min27, que je dois porter un masque ffp2 et une plume dans le cul…

Si mamie décède, cela ne sera pas de mon fait, de ma responsabilité, mais de la malchance.

Le passeport vaccinal a de fait un grand avenir et je suis persuadé que des millions de Français seraient aussi soulagés si les « vaccins » Covid devenaient obligatoires.

« Sécurité, irresponsabilité » devrait être la nouvelle devise de la France !

Nous ne pourrons pas leur ouvrir les yeux, nous ne pourrons pas les convaincre !

En revanche si demain cette même autorité leur dit que le masque ou le vaccin ou le passeport ne sont pas utiles, les mêmes qui adhèrent aujourd’hui sans se poser de question adhéreront de même à la nouvelle règle sans broncher.

Nous le voyons bien avec les injonctions contradictoires qui se succèdent depuis des mois et qui n’empêchent pas le peuple de suivre chaque nouvelle règle plus ridicule que la précédente.

Promenez-vous après le couvre-feu en ce moment et vous constaterez l’acceptation de la masse…

Merci.

Alain Tortosa

12 mai 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210512-illusion-liberte-irresponsabilite.pdf


[Voir aussi :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Liberté et responsabilité
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Prise de conscience et autisme
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »red »]Changement climatique – Les hommes pris entre connaissance et croyance]




Mascarade nocturne dans l’hémicycle : le pass sanitaire est voté malgré le premier rejet !

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

« Mascarade nocturne dans l’hémicycle : quand le vote ne plaît pas au Gouvernement, la représentation nationale est forcée de revoter ! Tout cela pour imposer le couvre-feu et le pass sanitaire liberticide. Honteux spectacle d’une majorité indigne. En 2022 nous abrogerons ces pleins pouvoirs et mettrons fin à ce mandat dangereux et destructeur. »

Nicolas Dupont-Aignan

[Ndlr : la démocratie en France, en Belgique et dans la plupart des pays européens (comme aussi au Canada) n’existe plus depuis longtemps. Des dispositions existent pour faire passer les lois en force (Par exemple le « 49.3 » en France et le « Bâillon » au Québec). Peu de candidats aux fonctions suprêmes respectent leur promesses électorales une fois qu’ils sont élus. Lorsque le résultat d’un vote ne convient pas aux gouvernements, ceux-ci n’en tiennent aucun compte et refont le vote. De plus, les pays de l’Union Européenne se trouvent avoir abandonné leur souveraineté pour une structure de pouvoir très similaire à celle de l’ex-URSS. Enfin, depuis la Covid-19, ces pays sont passés en mode de loi d’urgence ou de loi martiale, avec des mesures de guerre, non pas contre un virus, mais contre leurs peuples devenus prisonniers.]




Pass sanitaire en France : l’incroyable rejet!!!

[Source : La Minute de Ricardo]






La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?

[Source : Cogiito]

[Ndlr : l’utilisation du mot « thé » dans la traduction originale a été remplacée ici par le terme plus approprié de « tisane ».]


par Mike Adams
https://www.afinalwarning.com/517717.html

La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ? Découvrez la suramine, l’acide shikimique et comment fabriquer vos propres extraits

Avis de non-responsabilité : les informations présentées dans cet article et ce podcast sont uniquement destinées à des fins d’information.

Rien de ce qui est présenté ici n’est destiné à diagnostiquer ou à traiter une quelconque maladie, et aucun supplément ou produit n’est proposé à la vente en relation avec ces informations.

Il semblerait que la tisane aux aiguilles de pin pourrait offrir une solution contre l’« excrétion » ou la transmission du vaccin contre le covid, qui semble être un phénomène où les personnes vaccinées propagent des particules ou des substances nocives à leur entourage.

https://www.naturalnews.com/2021-05-07-salk-institute-reveals-the-covid-spike-protein-causing-deadly-blood-clots.html

Voir cet article d’un site de blog WordPress appelé « Ambassador Love » :
PINE TEA: Possible Antidote for Spike Protein Transmission

Cet article déclare :

Il existe un antidote potentiel à la contagion actuelle de la protéine Spike qui s’appelle Suramin. On la trouve dans de nombreuses forêts du monde, dans les aiguilles de pin.

La suramine a des effets inhibiteurs sur les composants provoquant la cascade de coagulation et sur la réplication et la modification inappropriées de l’ARN et de l’ADN. Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels anormalement lourds.

La tisane aux aiguilles de pin est l’un des antioxydants les plus puissants qui soient et elle est connue pour traiter le cancer, les inflammations, le stress et la dépression, la douleur et les infections respiratoires. La tisane aux aiguilles de pin tue également les parasites.

Vous trouverez ci-dessous un podcast et une vidéo complets qui révèlent deux méthodes d’extraction, qui sont toutes deux des méthodes simples, de faible technicité et peu coûteuses, pouvant être utilisées presque partout.

Les aiguilles de pin fraîches provenant d’arbres appropriés sont utilisées depuis des siècles comme sources de vitamine C et d’autres substances phytochimiques que les Amérindiens utilisaient pour traiter les infections respiratoires et d’autres affections. La vitamine C est un remède connu contre le scorbut, puisque le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C.

Les aiguilles de pin contiennent de nombreuses autres substances qui semblent réduire l’agrégation des plaquettes dans le sang, prévenant ainsi potentiellement la formation de caillots sanguins à l’origine des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies pulmonaires. (Voir les sources scientifiques publiées ci-dessous).

Les aiguilles de pin sont utilisées par les populations indigènes du monde entier comme aliment et comme médicament depuis des milliers d’années. Nombreux sont ceux qui pensent aujourd’hui que les aiguilles de pin peuvent offrir une protection contre les protéines Spike du covid – qui sont des armes biologiques artificielles présentes dans les vaccins contre le covid – ainsi que contre les particules d’excrétion du vaccin contre le covid, qui semblent également être des armes biologiques conçues pour parvenir à une dépopulation mondiale.

Le Dr Judy Mikovits affirme que les mondialistes savent parfaitement que la tisane d’aiguilles de pin est la réponse aux armes de dépeuplement covidien, et ils utilisent secrètement la tisane d’aiguilles de pin pour se protéger du fléau qu’ils ont lâché sur le monde, explique Mikovitz.

Fouiller dans la science derrière les aiguilles de pin et les covidés

En tant que scientifique de laboratoire, j’ai décidé de creuser cette question à l’aide de mes connaissances et de mon expérience en laboratoire. Faire bouillir des aiguilles de pin fraîches pour en faire une tisane [ou infusion] est une méthode d’extraction couramment utilisée en science alimentaire et en médecine traditionnelle chinoise (MTC).

L’eau agit comme un solvant et, grâce à la chaleur et au temps, certains composés phytochimiques des aiguilles de pin sont extraits dans l’eau, ce qui donne une tisane aux aiguilles de pin. (C’est ainsi que toutes les infusions sont fabriquées).

En parcourant les recherches scientifiques publiées sur ce sujet, je me suis posé deux questions principales :

1) Quelles sont les molécules que l’on trouve dans les aiguilles de pin, et quelles sont leurs fonctions en ce qui concerne l’arrêt de la formation de caillots sanguins ou la protection des personnes non vaccinées contre l’excrétion du vaccin covid ?

2) Quelle est la meilleure méthode d’extraction pour extraire ces molécules des aiguilles de pin ? Existe-t-il une méthode d’extraction à faible technicité que presque tout le monde peut utiliser, sans avoir besoin d’un laboratoire ?

Grâce à mes recherches, j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent non seulement de la suramine, une grosse molécule à laquelle on attribue divers effets médicinaux, mais aussi de l’acide shikimique.

L’acide shikimique est à la base du Tamiflu, et c’est la molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé, une herbe de la médecine chinoise, qui guérit les pestes.

Imaginez ma surprise lorsque j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent de l’acide shikimique, la même molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé utilisé en médecine traditionnelle chinoise pour traiter les pestes et les maladies respiratoires.

En 2010, le Boston Herald a publié un article révélant que des chercheurs étudiaient les techniques d’extraction de l’acide shikimique des aiguilles de pin afin de fournir cette matière première à l’industrie pharmaceutique pour la fabrication de médicaments antiviraux, antigrippaux et antipandémiques.

http://archive.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2010/11/07/maine_pine_needles_yield_valuable_tamiflu_material/

Extrait de cette histoire :

Des chercheurs de l’université du Maine à Orono affirment avoir trouvé une nouvelle méthode relativement facile pour extraire l’acide shikimique – un ingrédient clé du médicament Tamiflu – des aiguilles de pin.

L’acide shikimique peut être extrait des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d’autres conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans l’eau, a déclaré le professeur de chimie Ray Fort Jr.

Mais l’acide extrait pourrait être précieux car, le Tamiflu est le médicament antiviral le plus utilisé au monde pour traiter la grippe porcine, la grippe aviaire et la grippe saisonnière. La principale source d’acide shikimique est actuellement l’anis étoilé, un fruit inhabituel en forme d’étoile qui pousse sur de petits arbres originaires de Chine.

Les recherches ont été financées par diverses sources, dont le Maine Technology Institute, le ministère américain de l’agriculture, la National Science Foundation et le département de chimie de l’université.

Une étude publiée dans ResearchGate confirme que l’acide shikimique présente une activité antiagrégante plaquettaire, ce qui signifie qu’il aide à stopper la formation de caillots sanguins : Analyse du contenu de l’acide shikimique dans les aiguilles de pin de Masson et activité antiagrégante plaquettaire.

Extrait de l’étude :

L’acide shikimique, lorsqu’il est séparé par HPLC, présente un effet inhibiteur dose-dépendant sur l’agrégation plaquettaire induite par l’adénosine diphosphate et le collagène chez les lapins. En raison de la teneur relativement élevée et de la bonne activité antiagrégante plaquettaire de l’acide shikimique, les aiguilles de pin de Masson peuvent être utilisées comme source potentielle d’acide shikimique.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

(…)ont obtenu un rendement d’environ 6% d’acide shikimique à partir d’aiguilles de pin Masson, ce qui est probablement le rendement le plus élevé extrait de toute espèce de pin jusqu’à présent (Chen et al. 2014). Puisque les aiguilles de pin sont peu coûteuses et facilement disponibles en Asie du Nord, en Amérique du Nord et en Europe, il est fort possible de les utiliser pour fabriquer des médicaments contre les espèces d’anis étoilé moins disponibles.

Cette étude a révélé que les aiguilles de pin fournissent environ deux tiers de l’acide shikimique de l’herbe d’anis étoilé :

Aiguilles de pin de Masson = 5,71% d’acide shikimique
Anis étoilé = 8,95% d’acide shikimique

Nous savons donc que les aiguilles de pin, qui sont extrêmement répandues en Amérique du Nord, en Chine et en Europe, fournissent de l’acide shikimique, une sorte de molécule « miracle » qui pourrait s’avérer incroyablement utile pour arrêter la formation de caillots sanguins et défendre les personnes contre les infections respiratoires.

Des recherches plus approfondies m’ont conduit à une étude qui a utilisé la recherche sur les réseaux neuronaux pour optimiser les conditions d’extraction afin de réaliser un extrait très efficace des aiguilles de pin : 17 Optimization of Extraction Conditions of Shikimic Acid in Pine Needles Based on Artificial Neural Network.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

Cette étude propose la recette suivante pour optimiser l’extraction :

Utiliser environ 75 % d’alcool (comme la vodka) et 25 % d’eau.
Utilisez une machine à ultrasons avec un récipient en acier inoxydable.
Réglez la température à 65 degrés C.
Utilisez 280 ml de solution d’extraction pour 10 grammes d’aiguilles de pin.
Utilisez une durée de 25 minutes pour l’extraction par ultrasons.
Cette infusion terminée doit être filtrée à travers un filtre à café ou un autre filtre en papier afin d’éliminer les grosses particules. Le liquide obtenu contiendra de l’acide shikimique, de la suramine, des pigments et divers terpènes, et présentera généralement une certaine coloration et un goût plutôt piquant.

Regardez cette vidéo pour voir comment j’ai utilisé un appareil de nettoyage à ultrasons pour créer un extrait aqueux d’herbe de romarin :



Comment extraire l’acide shikimique à l’aide d’une machine à expresso ordinaire ?

Le résultat le plus intéressant de cette recherche a été la découverte d’un article scientifique publié qui décrit l’utilisation d’une machine à expresso ordinaire pour effectuer une extraction très efficace de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

Cet article est publié dans Science Direct :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2352554116300493

Quantification totale et extraction de l’acide shikimique de l’anis étoilé (llicium verum) en utilisant la RMN à l’état solide et des solutions aqueuses d’hydroxyde dissolvant la cellulose.

L’article a été publié dans Organic Letters en 2015, et apparaît également sous forme de PDF sur le site de l’université de l’Oregon. (Ce lien peut poser problème dans certains navigateurs car il contient des espaces dans l’URL).

Extrait du résumé de cette étude :

RÉSUMÉ :

Un nouveau processus pratique, rapide et à haut rendement pour l’extraction à l’eau chaude sous pression (PHWE) de quantités de plusieurs grammes d’acide shikimique à partir d’une plante.

L’acide shikimique de l’anis étoilé (Illicium verum) à l’aide d’une machine à expresso domestique non modifiée. Cette méthode, simple et peu coûteuse, permet d’isoler de manière efficace et directe l’acide shikimique et de préparer facilement une série de dérivés synthétiques.

Préparation facile d’une série de ses dérivés synthétiques :

En d’autres termes, ils profitent de la chambre pressurisée d’une machine à expresso pour effectuer une extraction chaleur + pression de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

D’après mon expérience, on peut remplacer l’anis étoilé par des aiguilles de pin fraîches moulues (vertes, pas brunes) pour obtenir un résultat similaire, en extrayant l’acide shikimique des aiguilles de pin. Pour une extraction efficace, il est conseillé de broyer d’abord les aiguilles de pin, en utilisant un broyeur à herbes bon marché.

J’ai l’intention de reproduire ce résultat dans mon propre laboratoire, mais j’ai pensé que je devais le partager publiquement dès que possible en raison de la menace mortelle que représentent actuellement pour l’humanité les vaccins covidés armés.

Les auteurs de l’étude confirment également que l’acide shikimique est une molécule antivirale efficace qui inhibe également la réplication virale dans l’organisme :

Il a également été démontré que les dérivés de l’acide shikimique présentent une activité biologique utile. Plus particulièrement, le célèbre médicament antiviral oseltamivir (Tamiflu), qui agit comme un inhibiteur de la neuraminidase virale, est utilisé pour traiter la grippe saisonnière et a été déployé pendant les épidémies de grippe H1N1.

En outre, il a été démontré que les analogues fluorés du shikimate inhibent P. falciparum et ont été testés comme médicaments antipaludiques. En outre, la zeylénone (3) dérivée de l’acide shikimique présente un comportement anticancéreux, antiviral et antibiotique, et l’acide triacétylshikimique présente des propriétés anticoagulantes et antithromiques.

Une activité anticoagulante et antithrombotique

Remarquez le terme clé « anticoagulant » dans la phrase ci-dessus.

L’étude, qui a été réalisée en Tasmanie, en Australie, a délibérément cherché une méthode peu coûteuse et peu technologique pour extraire l’acide shikimique de plantes communes (aiguilles de pin) :

Cette méthode est une extraction rapide et peu coûteuse à l’eau chaude sous pression (PHWE)… le premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de l’acide shikimique.
premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de produits naturels (autres que la caféine) à partir de matériel végétal.

Nous avons cherché à utiliser spécifiquement un équipement relativement bon marché, peu sophistiqué et disponible dans le commerce pour réaliser l’extraction de quantités de plusieurs grammes d’anis étoilé.21 Par conséquent, étant donné que la pompe d’une machine à expresso permet l’écoulement continu d’eau à des températures allant jusqu’à 96 °C et à des pressions de 9 bars, nous avons pensé qu’un tel système serait adapté à nos besoins.

En effet, cette idée est purement géniale dans sa simplicité. Et les auteurs de l’étude ont réussi à extraire puis à purifier les cristaux d’acide shikimique par un procédé relativement simple.

Cela pourrait signifier que le « remède » contre le covid est disponible gratuitement et se développe sur de nombreux continents.

Le résultat de tout ceci est qu’un éventuel « remède » contre le covid – ou du moins une défense contre l’excrétion/la transmission du covid – semble être déjà fourni par Mère Nature et est facilement disponible sur plusieurs continents.

Sans avoir à compter sur des produits pharmaceutiques brevetés, contrôlés et des vaccins armés qui sont clairement conçus pour répandre la maladie et atteindre une dépopulation mondiale par la mort de masse, les personnes qui veulent survivre à l’holocauste du vaccin contre le covid peuvent simplement récolter et traiter les aiguilles de pin en utilisant des machines à expresso, et ils peuvent potentiellement fabriquer leur propre médicament anti-peste.

Naturellement, nous aimerions voir plus de recherches sur tout cela – et s’il vous plaît tenez compte des précautions de sécurité ci-dessous – mais il est clair que l’establishment de la science et de la médecine a perdu toute crédibilité ou intérêt à protéger l’humanité et travaille maintenant délibérément à exterminer des milliards d’êtres humains.

Par conséquent, attendre que cette industrie étudie les plantes médicinales communes est une course folle. Il n’y aura jamais de financement disponible pour de telles recherches, car ces découvertes n’augmentent pas les profits de Big Pharma en matière de vaccins et de médicaments.

Pourtant, pour ceux qui sont en mesure d’accéder aux bons types d’aiguilles de pin – et qui ne sont pas enceintes ou ne prévoient pas de l’être, voir ci-dessous – ce remède simple et naturel pourrait finalement s’avérer être un traitement « miracle » qui sauve des vies contre les vaccins contre le covid et le covid.

Pour information, nous ne vendons pas d’aiguilles de pin ou d’extraits d’aiguilles de pin, donc les régulateurs qui cherchent à interdire cet article devront aller harceler quelqu’un d’autre. Nous offrons ces informations telles quelles, sans garantie, dans un souci de « publication d’autorisation d’urgence » pour le bien de l’humanité et dans l’intention de sauver des vies de ce vaccin mortel.

Écoutez mon podcast complet ici pour en savoir encore plus sur ce sujet passionnant et sur le remède possible contre les vaccins covidés [en anglais] :



https://www.brighteon.com/7c129e86-7e2b-47a7-bc74-dd19621e4042

Précautions à prendre lors de l’utilisation d’aiguilles de pin

Avant de consommer une tisane ou un extrait fabriqué à partir de plantes, assurez-vous de savoir quelles plantes vous utilisez. Tous les pins ne conviennent pas, et certains conifères – comme l’if – sont toxiques.

Le bétail est connu pour avoir subi des avortements spontanés après avoir consommé des aiguilles de pin fraîches comme source de nourriture. Par conséquent, toute personne qui prévoit une grossesse (ou qui est déjà enceinte) devrait évidemment éviter de consommer de la tisane aux aiguilles de pin, par simple précaution.

Tous les crétins de la science « réveillée » en Amérique et dans le monde ont oublié que seules les femmes peuvent tomber enceintes, donc cette précaution particulière ne s’applique évidemment pas aux hommes. Si vous pensez que les hommes peuvent tomber enceintes, vous avez peut-être déjà subi des dommages cognitifs dus aux vaccins covidés et vous devriez consulter immédiatement un médecin.

Le pin de l’île de Norfolk et le pin ponderosa sont également soupçonnés de provoquer des avortements spontanés et devraient probablement être évités.

Nous ne connaissons pas la composition complète des diverses espèces de pins, et nous ne pouvons donc pas, en toute conscience, dire à qui que ce soit de boire de la tisane faite à partir d’aiguilles de pin. Si vous décidez de le faire, faites preuve de bon sens et prenez toutes les précautions nécessaires, et travaillez avec un naturopathe qualifié pour élaborer une stratégie à base de plantes compatible avec votre propre biologie et vos objectifs de santé particuliers.

Sachez également que la tisane d’aiguilles de pin peut interagir de manière inattendue avec des médicaments sur ordonnance, dont la plupart sont toxiques en soi.

Nous allons confirmer ce processus d’extraction à l’aide d’une machine à expresso et d’un instrument de spectrométrie de masse quadruple à CWC Labs.

La bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’il semble que les gens ordinaires peuvent récolter l’acide shikimique à partir des aiguilles de pin en utilisant une machine à expresso ordinaire.

Ou, pour une extraction plus approfondie d’un large spectre de terpènes, les gens peuvent utiliser un appareil à ultrasons pour réaliser de telles extractions (voir ma vidéo ci-dessus).

En tant que service public, je suis en train de lancer un projet de laboratoire dans mon laboratoire privé pour reproduire cette méthode d’extraction de l’acide shikimique, mais en utilisant des aiguilles de pin au lieu de l’anis étoilé :

Nous achetons des standards d’acide shikimique et recherchons une méthode HPLC / Mass spec pour la quantification de l’acide shikimique.
Nous sommes en train d’acheter un simple moulin à herbe et une machine à expresso neuve et propre pour tester l’extraction.
Une fois terminé, nous prévoyons de diffuser une vidéo de notre laboratoire, vous montrant les résultats de nos tentatives d’extraction.
Nous allons probablement utiliser des aiguilles de pin loblobby, car c’est ce qui est commun dans la région centrale du Texas. Je ne connais pas la teneur en acide shikimique des pins loblobby.

Restez à l’écoute de NaturalNews.com et de ma chaîne Brighteon.com pour d’autres mises à jour sur ce sujet extrêmement important pour l’humanité :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport




Parents, protégez vos enfants : refusez tests et vaccins !

Par Nicole Delépine

Qu’en diront nos enfants ? – YouTube

Dis papa, dis pourquoi, tu n’as pas réagi,
Quand ils nous ont masqués nous aussi ?
Et pourquoi, dis papa, tu n’t’es pas opposé
Quand ils nous empêchaient de respirer ?
Dis papa, mais de quoi, aviez-vous donc si peur
Pour les laisser commettre ces horreurs ?
Qui a pris votre esprit, a glacé votre cœur
A fait d’vous des robots sans valeurs ?

Ma chérie, la télé les médias répétaient qu’on était en danger
Les gens n’arrivaient plus à penser, à s’aimer, s’demander simplement
Qu’en diront nos enfants ?
Dis papa, dis pourquoi, tu n t’es pas rebellé,

Quand ils punirent ceux qui résistaient ?
Et comment, dis papa, as-tu pu les laisser
M’injecter l’ARN messager ?
Mais par quoi, dis papa, étiez-vous aveuglés
Pour ne pas voir la vérité ?
L’imposture nous paraît tellement grosse aujourd’hui
Qu’on n’comprend pas ce qui vous a pris

J ai si honte, mon bébé, de les avoir laissés contrôler mes pensées
Aveuglé par la peur, la confiance en ces gens, j’oubliais simplement
Qu’en diront nos enfants ?

Dis papa, dis comment, avez-vous finalement
Mis fin à cet acharnement ?
Et comment avez-vous fait pour tout reconstruire
Pour que renaissent l’amour les sourires ?
Dis papa, dis comment, as-tu pu surmonter
Les blessures, la colère, les regrets?
Retrouver la joie d’vivre, la foi et l’insouciance?
Malgré ce poids sur ta conscience ?

Ma chérie il fallut pardonner nos erreurs pour tout recommencer
Pour ouvrir notre cœur et sourire à la vie, dans un nouvel élan
Réinventer le temps
Qu’en dis-tu mon enfant ?

Si vous arrivez à écouter cette chanson sans quelques larmes, alors fermez tout, partez sur une île déserte ou une baraque en haut d’une montagne, quelques jours sans médias, sans journaux, sans voisins, sans collègues et sans commerçants.

Personne, personne autour de vous, isolez-vous dans une cabane sans confort, quelques jours pour vous retrouver et réaliser ce que nous avons fait ensemble aux enfants, aux bébés incapables de reconnaître les visages de leurs nurses, aux étudiants dont certains entraient pour la première fois dans une chambre de quelques m² loin du cocon familial, aux soignants auxquels on a laissé croire qu’interdire les médicaments était logique, les conduisant à l’impasse psychologique et au désespoir, aux adultes auxquels on a fait croire qu’il fallait refuser les visites à leurs vieux parents enfermés non coupables sans amour, aux enfants – le pire – qu’ils faisaient courir un risque à leurs familles s’ils jouaient avec un camarade dans la cour d’école.

Et pourquoi, pour qui, pour obéir à quelques angoissés délirants inconscients ou indifférents au mal qu’ils allaient engendrer sur plusieurs générations ?

Nous avons laissé faire, plus ou moins, mais laissé faire de fait, puisque nous en sommes encore là quatorze mois plus tard et que des patients contaminés (par les vaccinés ou pas) se retrouvent avec une prescription de Doliprane parce que le docteur a peur. Peur de quoi ? De devoir se suicider bientôt quand il réalisera qu’il a laissé mourir des malades pour rien, pour avoir eu peur d’un « ordre » qui aurait dû se taire rapidement si une majorité de collègues avait parlé haut et fort !

Certes, certains d’entre nous ont essayé de parler, d’informer mais nous n’avons pas trouvé les mots pour toucher les proches, les voisins, les amis, les lecteurs, les auditeurs des nombreuses petites chaînes web qui pourtant donnaient la parole à ceux qui sentaient le drame s’étendre.

Nous en sommes venus, pour certains, trop nombreux, à décider de ne plus parler de « ça » avec des frères, des parents, des beaux-parents pour ne pas se « fâcher ». Vous aurez, nous aurons la guerre et le déshonneur.

Nous avons plus ou moins essayé de combattre la bête immonde qui montait inexorablement, relu les auteurs qui l’avaient si bien décrite, de Hannah Arendt à Orwell et Huxley, mais raté notre alerte trop basse, trop peu audible, trop douce, trop bienveillante dans un monde de brutes.

Et maintenant les enfants de six ans sont handicapés par le masque pour apprendre à lire, à parler, alors que nous savions tous d’emblée que les enfants n’attrapaient pas le covid et ne le transmettaient pas. Ils étouffent et nous regardons ailleurs après avoir signé une pétition de bonne conscience.

Les articles sur Nexus, France soir et quelques autres médias résistants mais tellement minoritaires le répétaient, mais sans les mots adaptés probablement pour combattre l’hydre de la désinformation permanente qui continue à démolir tous les papiers qui expliquent, rassurent, combattent, encore aujourd’hui alors que la sidération est passée, que beaucoup savent.

Nos parents, à nous babyboomers, nous ont donné une enfance paisible, évitant les récits trop durs de la guerre mondiale qu’ils venaient de vivre. Nous aurions dû comprendre que 70 ans de paix ne pouvaient durer sans terreur, sans drame, que ce qui s’était vécu à quelques centaines de km de nous en Serbie, au Kosovo ou ailleurs nous concernait et que nous ne sommes protégés d’aucune horreur, d’aucun totalitarisme. Se mettre la tête dans le sable n’a jamais sauvé une autruche.

Vous savez tout cela finalement, même si votre cerveau vous refuse encore de l’accepter.

Alors aujourd’hui je ne répéterai qu’une chose, ne laissez pas vos enfants se faire tester inutilement deux fois par semaine. L’énorme angoisse que vont leur entraîner ces prélèvements récurrents impossibles à leur expliquer sans les affoler, et le drame d’un « positif » éventuel qui fermera la classe « par sa faute », alors que nous savons que ces tests sont faux,(([1] Chez les asymptomatiques, un test PCR positif avec le nombre de séances d’amplification trop élevé fait en France ne signifie dans 97 % des cas ni que vous êtes porteur de virus, ni que vous serez malade, ni que vous êtes ou serez contagieux.)) non fiables, même de l’avis de l’OMS en janvier 2021.

Et pire encore, ne les laissez pas vacciner par ces molécules expérimentales aux 230 composants et plus, jamais testées sérieusement, dont les risques immédiats filtrent dans les journaux et dont les risques à moyen et long terme sur leur fertilité, leur immunité, etc. sont INCONNUS.

Alors que vos enfants ne risquent rien du Covid-19 et qu’ils ne peuvent donc pas tirer le moindre bénéfice des prétendus vaccins

Écoutez cette chanson, pleurez un bon coup, autant que nécessaire et enfin réveillez-vous et réagissez.

Il n’y aura pas de tests à l’école si les parents en majorité refusent ces examens.

Il n’y aura pas de vaccination des enfants si VOUS refusez l’inconnu pour vos petits.

Il n’y aura pas de passeport sanitaire si les Français se rappellent enfin qu’ils sont des hommes responsables qui doivent décider de leur destin et ne sont pas les robots que les dirigeants et leurs amis milliardaires souhaiteraient qu’ils deviennent.

Les pays européens qui ont refusé les restrictions de liberté prétendument sanitaires inefficaces comme la Finlande, la Biélorussie, les Pays-Bas ou la Suède ont de bien meilleurs résultats Covid-19 que nous.

Des pays entiers sont libérés, le Texas et les quatre cinquièmes des USA et bien d’autres. Soyons ou plutôt redevenons les dignes enfants de nos illustres ancêtres, faisons respecter les libertés qu’ils ont chèrement léguées.

Qu’en diront nos enfants ? – YouTube

Dis papa, dis pourquoi, tu n’as pas réagi,
Quand ils nous ont masqués nous aussi ?
Et pourquoi, dis papa, tu n’t’es pas opposé
Quand ils nous empêchaient de respirer ?
Dis papa, mais de quoi, aviez-vous donc si peur
Pour les laisser commettre ces horreurs ?
Qui a pris votre esprit, a glacé votre cœur
A fait d’vous des robots sans valeurs ?

Ma chérie, la télé les médias répétaient qu’on était en danger
Les gens n’arrivaient plus à penser, à s’aimer, s’demander simplement
Qu’en diront nos enfants ?
Dis papa, dis pourquoi, tu n t’es pas rebellé,

Quand ils punirent ceux qui résistaient ?
Et comment, dis papa, as-tu pu les laisser
M’injecter l’ARN messager ?
Mais par quoi, dis papa, étiez-vous aveuglés
Pour ne pas voir la vérité ?
L’imposture nous paraît tellement grosse aujourd’hui
Qu’on n’comprend pas ce qui vous a pris

J ai si honte, mon bébé, de les avoir laissés contrôler mes pensées
Aveuglé par la peur, la confiance en ces gens, j’oubliais simplement
Qu’en diront nos enfants ?

Dis papa, dis comment, avez-vous finalement
Mis fin à cet acharnement ?
Et comment avez-vous fait pour tout reconstruire
Pour que renaissent l’amour les sourires ?
Dis papa, dis comment, as-tu pu surmonter
Les blessures, la colère, les regrets?
Retrouver la joie d’vivre, la foi et l’insouciance?
Malgré ce poids sur ta conscience ?

Ma chérie il fallut pardonner nos erreurs pour tout recommencer
Pour ouvrir notre cœur et sourire à la vie, dans un nouvel élan
Réinventer le temps
Qu’en dis-tu mon enfant ?

Nicole Delépine


[Note de Joseph : Il n’y a pour l’instant malheureusement pas beaucoup de monde à vraiment réaliser ce qu’il se passe, à regarder les choses en face et à vouloir trouver et utiliser La clef de la libération, car notamment cette dernière demande des efforts et plus les gens ont vécu dans le confort matériel et l’éloignement de toute religion et de toute spiritualité authentique, plus ils demandent avant tout de rester dans leur confort physique, émotionnel, mental et faussement moral. Il semble bien que nous soyons très proches de l’époque de la « moisson » (voir L’épée, le bon grain et l’ivraie).]




L’avertissement des militaires d’active aux autorités de l’État

[Source : breizh-info.com]

Armée. « Oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement » : L’avertissement des militaires d’active aux autorités de l’État

« Si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire ». Après l’appel citoyen lancé par des anciens militaires qui a fait la une de l’actualité ces jours derniers, voici qu’à leur tour des militaires d’active prennent la plume pour s’adresser aux autorités de l’État. Du jamais vu dans l’histoire de l’Armée française depuis des décennies. Voici ce texte, appelé à faire date, que Valeurs actuelles a également publié. 


Monsieur le Président de la République,

Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre ».

Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.

Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.

Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.

L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?

Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois, d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie

[Source : anguillesousroche.com]

L’Esprit et Dieu : La nouvelle science de la neurothéologie

Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. Notre recherche vise à comprendre comment et pourquoi.

  • La neurothéologie est un domaine qui unit la science et la psychologie du cerveau aux croyances et pratiques religieuses.
  • Il existe plusieurs mécanismes indirects et directs qui relient la spiritualité à une meilleure santé mentale.
  • La compassion et l’amour sont des émotions positives qui rendent votre cerveau plus sain.

Le domaine de la neurothéologie continue de s’étendre depuis ses origines il y a plusieurs décennies jusqu’à aujourd’hui. Dans sa définition la plus simple, la neurothéologie désigne le champ d’études qui cherche à comprendre la relation entre le cerveau et notre moi religieux et spirituel. Comme j’aime toujours le dire, il est important de considérer les deux côtés de la neurothéologie de manière très large. Ainsi, le côté “neuro” comprend l’imagerie cérébrale, la psychologie, la neurologie, la médecine et même l’anthropologie. Et le côté “théologie” comprend la théologie elle-même, mais aussi divers aspects liés aux croyances, attitudes, pratiques et expériences religieuses.

Les bienfaits de la spiritualité sur la santé mentale

La neurothéologie va également de l’examen de concepts très ésotériques, notamment les questions relatives au libre arbitre, à la conscience et à l’âme, à des concepts très pratiques tels que la compréhension du fonctionnement du cerveau et la relation entre la spiritualité et la santé physique et mentale. Ce dernier sujet pourrait être appelé “neurothéologie appliquée”. La neurothéologie appliquée cherche donc à comprendre les aspects liés à la santé de notre cerveau et de notre moi spirituel. En particulier, nous pouvons essayer de comprendre comment le fait d’être religieux ou spirituel, ou d’effectuer diverses pratiques spirituelles, peut être bénéfique pour notre santé et notre bien-être général. Dans notre dernier livre, intitulé Brain Weaver, nous examinons cette dimension importante de la santé du cerveau humain.

Même pour ceux qui ne sont pas religieux, l’exercice de pratiques telles que la méditation et la prière – même sécularisées – peut être bénéfique pour réduire le stress et l’anxiété.

Un nombre croissant d’études ont montré le lien entre la spiritualité et la santé mentale. Il est important de noter que les personnes religieuses et spirituelles ont tendance à avoir des taux plus faibles de dépression, d’anxiété et de suicide. Cette constatation s’applique à tous les âges, les études sur les adolescents montrant que les activités religieuses et spirituelles protègent des problèmes de santé mentale. Et de nombreux adultes citent les croyances religieuses et spirituelles comme étant importantes pour faire face aux divers facteurs de stress de la vie.

Mécanismes indirects

S’il existe une relation entre la spiritualité et la santé mentale positive, nous pouvons nous demander quel pourrait être le mécanisme d’action. J’ai généralement divisé les mécanismes en mécanismes indirects et directs. Les mécanismes indirects sont liés à des aspects spécifiques d’une tradition donnée qui finissent par avoir des effets bénéfiques sur la santé mentale. Par exemple, aller à l’église ou à d’autres événements sociaux qui font partie d’une tradition religieuse peut être bénéfique parce que le soutien social, en soi, est bénéfique pour notre santé mentale. Plus nous avons de personnes dans notre réseau de soutien social, plus nous sommes en mesure de faire face aux divers facteurs de stress de la vie, y compris les problèmes d’emploi, de relations ou de santé.

La plupart des religions enseignent également aux gens à éviter un grand nombre de comportements à risque qui peuvent être très préjudiciables à notre santé mentale et à notre bien-être. Par exemple, la plupart des religions nous enseignent à éviter l’alcool et les drogues, à ne pas avoir de mœurs légères et à essayer d’être compatissant et charitable envers les autres. En suivant ces enseignements, les gens éviteront naturellement les problèmes de santé mentale tels que la toxicomanie et auront tendance à être plus optimistes et moins déprimés. Ces effets n’ont rien à voir avec le fait d’être religieux en soi et tout à voir avec le fait de suivre les conseils d’une religion.

Un autre mécanisme d’action indirect intéressant lié à la religion concerne l’alimentation et la nutrition. Le régime alimentaire et la nutrition sont souvent négligés lorsqu’il s’agit d’une bonne santé mentale, même si les recherches indiquent de plus en plus qu’ils sont essentiels. De nombreuses traditions demandent aux individus de suivre certaines directives alimentaires. Par exemple, les hindous ont tendance à avoir un régime végétarien, et la plupart des recherches menées à ce jour montrent qu’une alimentation plus végétale, comportant beaucoup d’aliments peu inflammatoires, est bonne non seulement pour le corps, mais aussi pour le cerveau. En fait, nous menons actuellement une étude sur des patients présentant des symptômes chroniques de commotion cérébrale afin de déterminer l’effet d’une amélioration du régime alimentaire sur la fonction cérébrale globale.

Mécanismes directs

Les mécanismes d’action directs sont liés à des pratiques spirituelles spécifiques, voire au sens personnel de la spiritualité d’une personne. Une grande partie de mes recherches au cours des 30 dernières années a consisté à étudier le cerveau pendant que les gens s’engagent dans différentes pratiques telles que la méditation ou la prière. Nous avons même observé les changements cérébraux associés à des pratiques spirituelles uniques comme le parler en langues ou les états de transe. Les effets cérébraux liés à ces pratiques sont tout à fait remarquables et variés. Il n’y a rien d’étonnant à cela puisque ces pratiques affectent les gens à de nombreux niveaux différents, comme la façon dont ils pensent, ressentent et expérimentent le monde qui les entoure. Nous devrions donc nous attendre à observer des différences physiologiques dans les parties du cerveau impliquées dans ces pratiques.

La méditation et la prière, par exemple, activent les lobes frontaux ainsi que les zones linguistiques du cerveau, et la recherche démontre que cela se produit non seulement pendant la pratique, mais aussi à long terme. Notre étude sur la méditation Kirtan Kriya a montré des améliorations d’environ 10 à 15 % en matière de cognition ainsi que des réductions du stress, de l’anxiété et de la dépression. Ces améliorations étaient associées à des changements de base dans les fonctions du lobe frontal du cerveau, qui régulent ces processus cognitifs et modulent les réponses émotionnelles.

Des recherches plus récentes ont exploré les effets de ces pratiques sur des réseaux cérébraux plus larges, et peut-être plus important encore, sur des systèmes de neurotransmetteurs spécifiques. L’une de nos récentes études sur un programme de retraite spirituelle a montré des changements significatifs dans les zones du cerveau qui libèrent la dopamine et la sérotonine. Ces zones sont connues pour être impliquées dans la cognition et la santé émotionnelle. De plus, un nombre croissant d’études cliniques ont démontré la valeur de diverses pratiques spirituelles ou thérapies à orientation religieuse pour aider les gens à gérer une variété de problèmes de santé mentale, notamment la dépression, l’anxiété et le TDAH, ainsi que des problèmes neurologiques comme la maladie d’Alzheimer et les troubles épileptiques.

Enfin, un sentiment personnel de spiritualité peut être protecteur en soi. Lorsqu’une personne se sent connectée à l’ensemble de l’humanité, à une puissance supérieure ou à l’univers tout entier, cette expérience lui donne un sens et un but dans la vie et une perspective optimiste sur ce que l’avenir lui réserve. Un certain nombre de recherches ont montré qu’une telle foi peut être bénéfique pour la santé physique et mentale globale.

Améliorer la santé du cerveau grâce à la neurothéologie appliquée

La neurothéologie appliquée peut nous enseigner la valeur de l’exploration de notre côté religieux et spirituel comme moyen d’améliorer notre santé mentale et notre bien-être. Même pour ceux qui ne sont pas religieux, la poursuite de pratiques telles que la méditation et la prière – même sécularisées – peut être bénéfique pour réduire le stress et l’anxiété. Le fait de se connecter au monde extérieur – en faisant une promenade dans la nature, en se réunissant avec ses amis et sa famille ou en essayant d’améliorer son quartier en aidant les autres – renforce le sentiment de compassion et d’amour, des émotions positives qui contribuent à la santé du cerveau.

Source : Big Think – Traduit par Anguille sous roche




L’effondrement politique qui vient

[Source : Le Média]

Reprendre le pouvoir. Le titre du dernier essai de François Boulo a le mérite d’être compréhensible par tout citoyen qui a un jour goûté à la sensation étrange de n’avoir, en réalité, aucun moyen de peser réellement dans le cours de l’histoire de son pays. Une sensation d’autant plus étrange qu’à première vue, nous sommes en démocratie. Nous pouvons élire notre président de la République, notre député, notre maire, nos conseillers régionaux.

Et pourtant. Il y a un malaise démocratique en France et plus largement dans le monde. Il se double aussi d’une sorte de lent déclassement des classes populaires en Occident, où un néolibéralisme conquérant impose désormais sa règle d’airain. Ce mouvement préoccupant s’est accéléré avec la crise financière de 2008 et s’accentue avec la crise sanitaire que nous vivons.

Que deviennent les Gilets jaunes, courant né du refus de l’ordre qui se consolidait avant même le COVID 19 et ses confinements ? Le mouvement est-il mort ? Peut-il se réinventer ? Ne vaut-il que parce qu’il a été le signe du retour de la lutte des classes qui s’exprimera dès que la vie sociale reprendra ?

C’est autour de ces questionnements que se structure cet entretien avec François Boulo, avocat au barreau de Rouen, très vite devenu une figure de proue des Gilets jaunes. Une figure de proue qui a aujourd’hui pris du recul sans cesser de combattre, et qui s’exprime désormais sur sa chaîne Youtube, dénommée Praxis.




Au pays de Dracula, les vaccinés reçoivent un diplôme de courage !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Lors de la peste noire – la vraie, qui décima des millions d’Européens, et pas celle inventée par notre ministre de la « Santé » (selon son titre officiel), les paysans et villageois fuyaient le plus loin possible des lieux infestés où s’accumulaient les morts.

Imagine-t-on, si un traitement efficace avait été connu, la nécessité de trouver toutes sortes de sollicitations holistiques pour conduire les gens à accepter le traitement miracle ?

Mais en ce XXIe siècle on aura tout vu !  De la prime de 25 € au bon d’achat de 5 euros à la pinte de bière, ou 20 points proposés par Bernard Pivot à l’oral du bac (une blague ?), les avantages proposés aux cobayes sont variés pour les conduire à accepter cette redoutable piqûre dont ils sentent bien, pour le moins, que le bénéfice n’est pas évident.

Des cobayes non rémunérés mais flattés

Il est vrai que les vaccins covid sont en phase expérimentale et que les citoyens commencent au moins à le savoir un peu. Notons que Big Pharma s’est vraiment bien débrouillée, elle ne paie pas ses cobayes comme habituellement (des sommes de plusieurs centaines d’euros pour les essais habituels de médicaments) et de plus les agences de santé et les États l’ont exonérée de toute responsabilité pénale ou/financière en cas de pépin… y compris le décès. Les États paieront, enfin… nos impôts. Pas belle la vie ?

En ce qui concerne l’épidémie presque terminée du covid qui a nettoyé la grippe au passage, mais pour laquelle il faut continuer à affoler la population, l’imagination des marchands du temple est au pouvoir.  Le double but est bien sûr les bénéfices financiers fantastiques liés aux vaccins pour Big Pharma et des avantages politiques pour les dirigeants du Nouvel Ordre mondial, imposer des lois liberticides et une surveillance policière croissante.

L’imagination au pouvoir des marchands

Et nous pouvons être admiratifs des qualités commerciales des marchands de vaccins. Là où on découvre s’il en était besoin qu’il n’est plus question de médecine, mais bien de commerce et donc de marketing.

Dans le petit papier de msn.com[1] qui relate la vaccination des Roumains chez Dracula, tout y est et on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer. Malgré le côté tragique de la situation, quand on connaît les multiples effets secondaires, dont des décès (près de 9 000 post-vaccinaux en UE chez des sujets qui ne risquaient rien, pour beaucoup, du covid ou presque) et la flambée des cas et des malades dans des pays jusque-là quasiment indemnes avec l’arrivée des campagnes de vaccination[2] [3] [4].

Le pseudo-vaccin au château de Dracula

Examinons ce petit article : tous les mots clefs y sont. Tout d’abord le titre : les Roumains se font « piquer » au château de Dracula.  De mon temps, on disait vacciner et se faire piquer était réservé aux animaux qu’on faisait euthanasier en fin de vie par le vétérinaire. Tout un programme.

Poursuivons : le futur cobaye profite de l’opportunité « prend son courage à deux mains ». Pourquoi ? pour un DTPolio, en faisait-on autant ? Non, cela sous-entend bien le mystère, et le cinéma qui entoure cette « piquouse » pour parler comme eux.

Le comble, comme aux gosses qui passent un diplôme de nage ou de sécurité routière, les personnes piquées reçoivent un « diplôme » attestant de quoi ? Je vous le donne en mille : de « leur courage et responsabilité ». Pourquoi tant de courage si ce pseudo-vaccin était anodin comme les médias veulent nous le faire admettre à longueur d’émission ?

Ils seront accueillis au château de Dracula à Bran dans les « cent prochaines années »… Message subliminal de vie éternelle grâce à la potion magique prônée par Bill Gates ? Faust hante-t-il le château de Dracula ?

Qui organise ces séances de distraction faustienne ?

Évidemment pas un médecin qui s’évertuerait à expliquer avantages (? s’il en trouvait par rapport aux traitements précoces et sans danger) et inconvénients possibles, les effets secondaires beaucoup plus fréquents qu’avec les autres vaccins, comme celui de la grippe par exemple (et déjà signalés sur le site de l’agence européenne du médicament, l’EMA et Eudravigilance, où chaque curieux peut aller, surtout avant de se décider, ce serait prudent).

Le médecin respecterait ainsi le serment d’Hippocrate et le Code de Nuremberg sanctifié par la déclaration d’Helsinki et la convention d’Oviedo.

Mais non, ici à Bran comme à Disney en France, on est dans le plaisir, le ludique, le léger et donc c’est le directeur du MARKETING qui invite et organise. Tout y est, n’est-ce pas ?  Et comme il ne doute de rien dans la pub, il prévoit pour les futurs cobayes qu’il qualifie de « téméraires, une visite de : « la salle des tortures » abritée dans la forteresse. On est dans un « ciblage touristique ».

Nous voilà donc dans les fins fonds des Carpates, chez « l’empaleur » Vlad Tepes, prince roumain du XVe  siècle, particulièrement sanguinaire pour avoir inspiré à l’écrivain irlandais Bram Stoker le personnage de Dracula. Tout est dans le symbole, volontaire ou inconscient, ils font très fort ces Roumains.

Comme aux USA, et en France en particulier, tout le monde n’est pas forcément volontaire pour être cobaye non rémunéré du plus grand essai mondial de médicaments encore jamais testés, et dont les prédécesseurs, tentatives de vaccins anti-coronavirus du SRAS et du Mers avaient tué les animaux tests.

Ici en matière de vaccin anti-covid, les labos ont sauté l’étape animale officiellement en raison de manque d’animaux de laboratoire et des militants anti-souffrance animale. Si ces associations pouvaient inclure dans leurs combats les animaux humains, ce serait une bonne idée.

Alors les Roumains qui avaient refusé les mesures liberticides sont sollicités via des vaccidrives et des marathons vaccinatoires ouverts 24 h sur 24 dans des lieux mythiques comme la salle du Palais à Bucarest. Pourquoi pas dans les salles de l’hôpital ? Non, c’est un peu comme la nuit de visite gratuite des musées français !  Et les moins de 50 ans (moins de mille morts en France depuis quatorze mois pour une maladie qui, le cas échéant, se traite facilement si on donne le traitement tôt), y vont en famille, en sortie du dimanche.  Pourquoi tout ce CIRQUE ?

Et comme partout la campagne vaccinale s’accompagne d’une remontée des décès…

Beatrice Mahler, directrice de l’hôpital Marius Nasta de Bucarest dit que près de 3,6 millions de Roumains ont reçu au moins une dose de vaccin contre le coronavirus dans ce pays de 19 millions d’habitants qui veut franchir le cap des 5 millions de vaccinés d’ici début juin.

Pourquoi ? Au nom de qui ? Sous la pression de qui ? Au moins on connaît le montant des motivations [5] de Stella Kirikiades, la ministre de la Santé chypriote de l’Union européenne qui a signé les contrats des vaccins covid avec les entreprises pharma et dont le compte bancaire privé a depuis été crédité de 4 millions d’euros

Nicole Delépine


[1] Vaccination : Les Roumains se font piquer au « château de Dracula » (msn.com)

[2] Bientôt 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » contre la Covid-19 (reseauinternational.net)
En date du 27.04.21, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, pour la seule Union européenne (sans la Grande-Bretagne).

[3] Faut-il se faire vacciner ? À trancher sur les faits objectifs ! | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

[4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/

[5] https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/




Covid : les visages de la dissidence

[Source : Contrepoints]

Les traitements journalistes injurieux et condescendants des médias envers les manifestations de dissidence sont l’occasion de questionner les stéréotypes qui les animent, en partant de l’expérience personnelle de l’auteur du présent article.


Par Gabriel Lacoste.

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Samedi le 1er mai 2021, 30 000 personnes ont manifesté à Montréal contre les restrictions sanitaires. Le lendemain, des millions de Québécois ont ouvert le journal ou écouté les informations à la télévision pour s’en faire une opinion. Ils sont tombés sur une série de portraits caricaturaux de cette dissidence.

Sous une plume remplie d’insultes, Richard Martineau décrit les opposants comme des imbéciles qui se refusent à comprendre des évidences, soit parce qu’ils sont très égoïstes, soit parce qu’ils veulent que le virus circule davantage. Dans sa tête, il suffit de lire les dernières nouvelles sur l’Inde pour comprendre l’importance d’obéir au gouvernement. Même un enfant de 5 ans le comprend.

Sur un ton un peu plus raffiné, Patrick Lagacé affirme que la dissidence est généralement composée de nazis en puissance désormais incapables de raisonner, car passionnément désireux de faire partie d’un groupe, à la manière d’une secte. De plus, ce sont des imbéciles qui préfèrent croire le docteur Didier Raoult avec sa blouse blanche plutôt qu’un article dans The Lancet.

Il y a aussi eu de nombreux récits d’intimidation envers ceux qui soutiennent les mesures provenant de ces opposants, les dépeignant donc comme une foule stupide, violente et dangereuse.

COMMENT JE SUIS DEVENU DISSIDENT

Ma propre histoire contredit cette caricature.

Lorsque cette pandémie a été déclarée par l’Organisation mondiale de la santé, j’ai vu circuler sur mon fil d’actualités les prédictions de Neil Ferguson et de l’Imperial College, qui évaluaient à deux millions et demi le nombre de morts aux États-Unis s’il n’y avait pas de confinement strict. Ma première réaction a été d’y croire et de soutenir les mesures.

Deux événements sont venus changer ma perception.

Premièrement, j’ai lu un article de Reason Magazine mentionnant le cas du bateau de croisière Diamond Princess, dont les données indiquaient que les taux de mortalité utilisés par le modèle de Neil Ferguson étaient largement surestimés. J’ai donc fait une recherche supplémentaire sur l’auteur cité par cet article, John Ioannidis.

Deuxièmement, trois semaines après la déclaration de la pandémie, nous avons eu un cluster sur mon lieu de travail. Cet incident a fait l’objet d’une couverture médiatique. Pour vous mettre dans le contexte, je travaille dans un centre d’hébergement pour personnes à risque d’itinérance.

Dans les plans du gouvernement, nous sommes traités comme autant à risque qu’une maison de retraite. J’occupais donc alors une position privilégiée pour observer comment les autorités intervenaient durant la crise auprès des populations les plus vulnérables.

Ce dont j’ai été témoin m’a choqué profondément. En tant qu’administrateur, pour répondre aux ordres de la santé publique, j’ai dû organiser un système de surveillance et de contrôle pour confiner dans de petites chambres individuelles, et pendant plus d’un mois, une soixantaine d’individus, avec un système d’escorte pour aller aux toilettes. Je devais quotidiennement composer avec la souffrance que j’imposais à ces gens et leur incompréhension des raisons d’agir ainsi.

Nombreux sont les employés qui ont démissionné ou été en congé maladie. Puis les résidents ont carrément préféré aller vivre dans la rue.

Après ces deux évènements combinés, j’ai passé de plus en plus de temps à utiliser le moteur de recherche Google Scholar pour m’informer de ce que dit vraiment la science.

J’ai suivi les activités des chercheurs signataires de la « Great Barrington Declaration ». J’ai écouté les podcasts critiques de Tom Wood et les analyses statistiques de Ivor Cummins. J’ai régulièrement cherché sur le site « World of Data » des données comparatives entre pays pour tester différentes hypothèses (ici et ici).

Plus je faisais ces recherches, plus j’étais opposé aux restrictions et plus la couverture qu’en faisaient les journalistes m’inspirait du mépris et de la colère. C’est alors que j’ai pris la décision de partager mes réflexions avec Contrepoints et donc avec vous.

COMMENT LA CARICATURE DE LA DISSIDENCE PAR LES MÉDIAS EST TROMPEUSE

Selon Socrate, le début de la sagesse commence avec le conseil « connais-toi toi-même ». Lorsque je lis Richard Martineau et Patrick Lagacé sur la dissidence, je suis dans une étonnante position. Il suffit de me regarder dans le miroir pour vérifier si ce qu’ils disent est vrai.

Ils prétendent que nous sommes des imbéciles qui réfléchissent peu, puis qui s’informent sur YouTube. Pourtant, j’utilise mes compétences de deuxième cycle universitaire pour trouver les études-clés des chercheurs. Je lis leur méthodologie et les évalue à la lumière de ce que j’ai appris lors de mes cours d’épistémologie ou de méthodologie de la recherche scientifique. J’imagine des moyens de tester des hypothèses en consultant les bases de données disponibles au grand public.

Sincèrement, lorsque je me regarde dans le miroir, puis me compare à Patrick Lagacé et Richard Martineau, j’en conclus qu’ils sont beaucoup moins réfléchis et informés que moi. Le fait qu’ils ignorent l’existence de dissidents comme moi est la preuve de leur profonde ignorance.

Richard Martineau prétend que nous sommes égoïstes. Pourtant, c’est la souffrance que j’ai été obligé d’imposer à des personnes vulnérables qui m’a motivé à entrer en dissidence et non mon propre intérêt. Ici aussi, lorsque je me regarde dans le miroir et me compare à lui, la conclusion est évidente.

D’un côté, il y a un homme qui gagne bien sa vie à nourrir des préjugés sur les autres pendant la crise dans un journal à sensation, en n’hésitant pas à multiplier le langage ordurier envers de larges portions de la population.

De l’autre, il y a quelqu’un qui travaille directement à prévenir l’itinérance, qui voit de ses yeux les conséquences du confinement et qui en est troublé.

Formez votre propre jugement…

Patrick Lagacé insinue que la dissidence est constituée de nazis en puissance, en utilisant les termes subtils de « négationnistes » et de « chemises brunes » pour les décrire. Il affirme aussi qu’ils sont motivés par un désir d’appartenance au groupe. Lorsque je me regarde dans le miroir, ce n’est pas ce que je vois.

Personnellement, je prends le risque de perdre des amis en m’exprimant aussi fortement contre les restrictions sanitaires. En fait, j’en ai vu quitter mon profil Facebook.

Sinon, je vous le demande : de moi ou de Patrick Lagacé, lequel aurait le plus de chance de suivre les nazis durant les années trente ? Quelqu’un comme moi, qui défend en public des libertés individuelles tant controversées ou quelqu’un comme lui, qui flatte les autorités dans le sens du poil pour s’assurer les bonnes grâces de son lectorat ? Qui de moi ou de lui aurait le plus de chance de résumer le visage de la dissidence ? Qui ressent le besoin de chiffrer le nombre de personnes qui sont d’accord avec lui pour se faire une opinion ? Poser ces questions, c’est y répondre…

SUIS-JE UNE EXCEPTION ?

J’imagine déjà une réponse toute faite à mon argumentation : je suis une exception. La majorité des dissidents ressemble à la caricature qu’en font Richard Martineau et Patrick Lagacé.

La réalité c’est que ni vous ni eux n’en savez rien. Vous choisissez le visage de la dissidence qui plait à votre vision du monde avant même d’en avoir fait la moindre étude rigoureuse.

À ce titre, je mentionne au passage l’explosion de vidéos sur YouTube de gens qui dansent en public sur la chanson de HK et les Saltimbank, dans différentes langues. En voici quelques passages :

« Nous sommes des oiseaux de passage, jamais dociles ni vraiment sages. Nous ne faisons pas allégeance, à l’aube en toutes circonstances. Nous venons briser le silence. Et quand le soir à la télé, monsieur le bon roi a parlé, venu annoncer la sentence, nous faisons preuve d’irrévérence, mais toujours avec élégance. […] Chaque mesure autoritaire, chaque relent sécuritaire, voit s’envoler notre confiance. Ils font preuve de tant d’insistance, pour confiner notre conscience. Nous on veut continuer à danser encore, voir nos pensées enlacer nos corps… »

Il s’agit là d’un autre visage de la dissidence qui diffère de la caricature. Ce sont des artistes et des bons vivants qui ont vu leur existence chamboulée par les mesures relatives au domaine de la culture, puis qui expriment leur opposition « avec élégance ». Des exceptions aux stéréotypes, il y en a, et elles sont nombreuses.

Et même si nous n’étions qu’une exception, c’est une erreur d’accorder davantage d’importance aux points communs qui confortent des préjugés qu’aux détails qui les contredisent. Ne pas médiatiser des dissidents comme nous, c’est un choix.

Peut-être que les historiens du futur les désigneront eux et non pas nous comme étant les fascistes de notre époque. Peut-être que ce texte sera classé dans la même famille de discours que celui de ce héros du film de V for Vendetta. On verra.

« Ne soyons pas impressionnables, par tous ces gens déraisonnables, vendeurs de peur en abondance, angoissants jusqu’à l’indécence. Sachons les tenir à distance. »

HK et les Saltimbanks, Danser encore.


À propos de Gabriel Lacoste

Gabriel Lacoste est un maître en philosophie également formé en administration et en intervention psychosociale.  Son expérience de travail dans la gestion de services d’entraide lui a également permis de développer un savoir-faire en matière d’utilisation de l’ironie socratique comme moyen de confronter les comportements toxiques, chez les individus et dans les organisations.




57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les « vaccinations » Covid-19

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination – parmi eux la généticienne Alexandra Henrion-Caude.

Les thérapies utilisées appelés « vaccins » ne répondent pas à la définition du mot vaccin et il serait plus approprié de les nommer thérapies géniques ou thérapies à vecteurs vaccinaux.

Il existe deux certitudes concernant la distribution mondiale de ces thérapies Covid-19 :

  • La première est que les gouvernements et la grande majorité des médias grand public mettent toutes leurs forces pour que ces médicaments expérimentaux s’adressent au plus grand nombre de personnes possible. 
  • La deuxième est que ceux qui sont prêts à affronter le mépris qui accompagne le fait de poser des questions sérieuses sur les vaccins sont des acteurs essentiels dans nos efforts continus pour répandre la vérité.

Vous pouvez lire ce manuscrit en pré-impression ci-dessous. Il a été préparé par près de soixante médecins, scientifiques et experts en politiques publiques du monde entier pour être envoyé de toute urgence aux dirigeants mondiaux ainsi qu’à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vaccins Covid-19 en circulation.

Il y a encore beaucoup trop de questions sans réponse concernant l’innocuitél’efficacité et la nécessité de ces thérapies Covid-19. 

Cette étude est une bombe qui devrait être lue par tout le monde, quel que soit son point de vue sur les thérapies géniques ou vaccins. Il n’y a pas assez de citoyens qui posent des questions. La plupart des gens suivent simplement les ordres des gouvernements mondiaux, comme s’ils avaient gagné notre entière confiance. Ce n’est pas le cas. Ce manuscrit est un pas en avant en termes de responsabilité et de libre circulation de l’information sur ce sujet crucial. Veuillez prendre le temps de le lire et de le partager largement.
 


Vaccination de masse contre le SRAS-CoV-2: questions urgentes sur la sécurité des vaccins qui exigent des réponses des agences internationales de santé, des autorités réglementaires, des gouvernements et des développeurs de vaccins

Auteurs : Roxana Bruno 1 , Peter McCullough 2 , Teresa Forcades i Vila 3 , Alexandra Henrion-Caude 4 , Teresa García-Gasca 5 , Galina P. Zaitzeva 6 , Sally Priester 7 , María J.Martínez Albarracín 8 , Alejandro Sousa-Escandon 9 , Fernando López Mirones 10 , Bartomeu Payeras Cifre 11 , Almudena Zaragoza Velilla 10 , Leopoldo M. Borini 1 , Mario Mas 1 , Ramiro Salazar 1 , Edgardo Schinder 1 , Eduardo A Yahbes 1 , Marcela Witt 1, Mariana Salmeron 1 , Patricia Fernández 1 , Miriam M. Marchesini 1 , Alberto J. Kajihara 1 , Marisol V. de la Riva 1 , Patricia J. Chimeno 1 , Paola A. Grellet 1 , Matelda Lisdero 1 , Pamela Mas 1 , Abelardo J. Gatica Baudo 12 , Elisabeth Retamoza 12 , Oscar Botta 13 , Chinda C. Brandolino 13 , Javier Sciuto 14 , Mario Cabrera Avivar 14 , Mauricio Castillo 15 , Patricio Villarroel 15 , Emilia P. Poblete Rojas 15, Bárbara Aguayo 15 , Dan I. Macías Flores 15 , Jose V. Rossell 16 , Julio C. Sarmiento 17 , Victor Andrade-Sotomayor 17 , Wilfredo R. Stokes Baltazar 18 , Virna Cedeño Escobar 19 , Ulises Arrúa 20 , Atilio Farina del Río 21 , Tatiana Campos Esquivel 22 , Patricia Callisperis 23 , María Eugenia Barrientos 24 , Karina Acevedo-Whitehouse 5 ,

Résumé

Depuis le début de l’épidémie de COVID-19, la course au test de nouvelles plates-formes conçues pour conférer une immunité contre le SRAS-CoV-2, a été endémique et sans précédent, conduisant à l’autorisation d’urgence de divers vaccins. Malgré les progrès de la polychimiothérapie précoce pour les patients atteints de COVID-19, le mandat actuel est de vacciner la population mondiale le plus rapidement possible. Le manque de tests approfondis sur les animaux avant les essais cliniques et l’autorisation basée sur les données de sécurité générées lors des essais qui ont duré moins de 3,5 mois, soulèvent des questions concernant la sécurité de ces vaccins. Le rôle récemment identifié du pic de glycoprotéine du SRAS-CoV-2 qui peut induire des lésions endothéliales caractéristiques du COVID-19, même en l’absence d’infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vaccins autorisés induisent la production de glycoprotéine Spike chez les receveurs. Compte tenu du taux élevé d’occurrence des effets indésirables et du large éventail de types d’effets indésirables signalés à ce jour, ainsi que du potentiel d’amélioration de la maladie due au vaccin, de l’immunopathologie Th2, de l’auto-immunité et de l’évasion immunitaire, il y a la nécessité d’une meilleure compréhension des bénéfices et des risques de la vaccination de masse, en particulier dans les groupes exclus des essais cliniques. Malgré les appels à la prudence, les risques de vaccination contre le SRAS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales. Nous appelons à la nécessité d’un dialogue pluraliste dans le cadre des politiques de santé.

Introduction

Depuis que la déclaration de la pandémie Covid-19 en mars 2020, plus de 150 millions de cas et 3 millions de décès ont été rapportés dans le monde. Malgré les progrès de la polychimiothérapie ambulatoire précoce pour les patients à haut risque, entraînant une réduction de 85% des hospitalisations et des décès liés au COVID-19 [1], le paradigme actuel de contrôle est la vaccination de masse. Bien que nous reconnaissions l’effort impliqué dans le développement, la production et l’autorisation d’urgence des vaccins contre le SRAS-CoV-2, nous sommes préoccupés par le fait que les risques ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales, malgré les appels à la prudence [2-8].

Les vaccins contre d’autres coronavirus n’ont jamais été approuvés pour l’homme, et les données générées dans le développement de vaccins contre les coronavirus conçus pour susciter des anticorps neutralisants montrent qu’ils peuvent aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (ADE) et l’immunopathologie Th2, quel que soit le vaccin. plate-forme et méthode de livraison [9-11]. On sait que l’augmentation de la maladie d’origine vaccinale chez les animaux vaccinés contre le SRAS-CoV et le MERS-CoV se produit à la suite d’une provocation virale et a été attribuée à des complexes immuns et à la capture virale médiée par Fc par les macrophages, qui augmentent l’activation et l’inflammation des lymphocytes T [11 -13].

En mars 2020, des immunologistes vaccinaux et des experts en coronavirus ont évalué les risques du vaccin contre le SRAS-CoV-2 sur la base d’essais de vaccins contre le SRAS-CoV sur des modèles animaux. Le groupe d’experts a conclu que l’EIM et l’immunopathologie constituaient une réelle préoccupation, mais a déclaré que leur risque était insuffisant pour retarder les essais cliniques, même si une surveillance continue serait nécessaire [14]. Bien qu’il n’y ait aucune preuve claire de la survenue d’EIM et d’immunopathologie liée au vaccin chez des volontaires immunisés avec des vaccins contre le SRAS-CoV-2 [15], les essais de sécurité à ce jour n’ont pas spécifiquement abordé ces effets indésirables graves (EIG). Étant donné que le suivi des volontaires n’a pas dépassé 2-3,5 mois après la deuxième dose [16-19], il est peu probable qu’un tel EIG ait été observé. Malgré 92 erreurs de déclaration, on ne peut ignorer que même en tenant compte du nombre de vaccins administrés, selon le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), le nombre de décès par million de doses de vaccin administrées a été multiplié par plus de 10. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. 

Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse.

Critères d’exclusion de l’essai de phase 3 du SRAS-CoV-2

À quelques exceptions près, les essais vaccinaux contre le SRAS-CoV-2 ont exclu les personnes âgées [16-19], ce qui a rendu impossible l’identification de la survenue d’une éosinophilie post-vaccination et d’une inflammation accrue chez les personnes âgées. Des études sur les vaccins contre le SRAS-CoV ont montré que les souris âgées immunisées couraient un risque particulièrement élevé d’immunopathologie Th2 potentiellement mortelle [9,20]. Malgré ces preuves et les données extrêmement limitées sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins contre le SRAS-CoV-2 chez les personnes âgées, les campagnes de vaccination de masse se sont concentrées dès le début sur cette tranche d’âge. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression [16-29], bien que ces receveurs se voient désormais proposer le vaccin sous la prémisse de la sécurité.

Un autre critère d’exclusion de presque tous les essais était l’exposition antérieure au SRAS-CoV-2. Ceci est regrettable car cela a nié la possibilité d’obtenir des informations extrêmement pertinentes concernant les effets indésirables post-vaccinaux chez les personnes qui ont déjà des anticorps anti-SRAS-Cov-2. Au meilleur de nos connaissances, les EAD ne sont pas systématiquement surveillées pour tout âge ou groupe de conditions médicales actuellement administré le vaccin. De plus, malgré une proportion substantielle de la population ayant déjà des anticorps [21], des tests pour déterminer le statut des anticorps anti-SRAS-CoV-2 avant l’administration du vaccin ne sont pas effectués en routine.

Les effets indésirables graves des vaccins contre le SRAS-CoV-2 passeront-ils inaperçus?

Le COVID-19 englobe un large spectre clinique, allant de la pathologie pulmonaire très légère à sévère et de la maladie multi-organique mortelle avec dérégulation inflammatoire, cardiovasculaire et de la coagulation sanguine [22-24]. En ce sens, les cas d’EIM ou d’immunopathologie liés au vaccin seraient cliniquement indiscernables d’un COVID-19 sévère [25]. De plus, même en l’absence de virus SRAS-CoV-2, la glycoprotéine de Spike seule provoque des lésions endothéliales et une hypertension in vitro et in vivo chez les hamsters syriens en régulant à la baisse l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) et en altérant la fonction mitochondriale [26]. Bien que ces résultats doivent être confirmés chez l’homme, les implications de cette découverte sont stupéfiantes, car tous les vaccins autorisés pour une utilisation d’urgence sont basés sur l’administration ou l’induction de la synthèse de glycoprotéines Spike. Dans le cas des vaccins à ARNm et des vaccins vectorisés par adénovirus, aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination.

Réactions indésirables imprévues aux vaccins contre le SRAS-CoV-2

L’auto-immunité est un autre problème critique à prendre en compte compte tenu de l’échelle mondiale de la vaccination contre le SRAS-CoV-2. Le SRAS-CoV-2 possède de nombreuses protéines immunogènes et tous ses épitopes immunogènes sauf un ont des similitudes avec les protéines humaines [27]. Ceux-ci peuvent agir comme une source d’antigènes, conduisant à une auto-immunité [28]. S’il est vrai que les mêmes effets pourraient être observés lors d’une infection naturelle par le SRAS-CoV-2, la vaccination est destinée à la plupart de la population mondiale, alors que l’on estime que seulement 10% de la population mondiale a été infectée par le SRAS-CoV -2, selon le Dr Michael Ryan, responsable des urgences à l’Organisation mondiale de la santé. Nous n’avons pas pu trouver de preuve que l’un quelconque des vaccins actuellement autorisés a criblé et exclu les épitopes immunogènes homologues pour éviter une auto-immunité potentielle due à un amorçage pathogène.

Certains effets indésirables, notamment des troubles de la coagulation sanguine, ont déjà été rapportés chez des personnes vaccinées en bonne santé et jeunes. Ces cas ont conduit à la suspension ou à l’annulation de l’utilisation des vaccins adénoviraux vectorisés ChAdOx1-nCov-19 et Janssen dans certains pays. Il a maintenant été proposé que la vaccination avec ChAdOx1-nCov-19 puisse entraîner une thrombopénie thrombotique immunitaire (VITT) médiée par des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire-4, qui imite cliniquement la thrombocytopénie auto-immune induite par l’héparine [29]. Malheureusement, le risque a été négligé lors de l’autorisation de ces vaccins, bien que la thrombocytopénie induite par les adénovirus soit connue depuis plus d’une décennie et ait été un événement constant avec les vecteurs adénoviraux [30]. Le risque de VITT serait vraisemblablement plus élevé chez les personnes déjà à risque de caillots sanguins,

Au niveau de la population, il pourrait également y avoir des impacts liés aux vaccins. Le SARS-CoV-2 est un virus à ARN à évolution rapide qui a jusqu’à présent produit plus de 40 000 variants [32,33] dont certains affectent le domaine antigénique de la glycoprotéine de Spike [34,35]. Compte tenu des taux de mutation élevés, la synthèse induite par le vaccin de niveaux élevés d’anticorps anti-SRAS-CoV-2-Spike pourrait théoriquement conduire à des réponses sous-optimales contre les infections ultérieures par d’autres variants chez les individus vaccinés [36], un phénomène connu sous le nom de « sin »[37] ou amorçage antigénique [38]. On ne sait pas dans quelle mesure les mutations qui affectent l’antigénicité du SRAS-CoV-2 se fixeront au cours de l’évolution virale [39], mais les vaccins pourraient vraisemblablement agir comme des forces sélectives entraînant des variantes avec une infectivité ou une transmissibilité plus élevée. Compte tenu de la forte similitude entre les variantes connues du SRAS-CoV-2, ce scénario est peu probable [32,34] mais si les variantes futures devaient différer davantage dans les épitopes clés, la stratégie de vaccination mondiale aurait pu contribuer à façonner un virus encore plus dangereux. Ce risque a été récemment porté à l’attention de l’OMS sous forme de lettre ouverte [40].

Discussion

Les risques décrits ici constituent un obstacle majeur à la poursuite de la vaccination mondiale contre le SRAS-CoV-2. Des preuves de l’innocuité de tous les vaccins contre le SRAS-CoV-2 sont nécessaires avant d’exposer davantage de personnes au risque 184 de ces expériences, car la libération d’un vaccin candidat sans le temps de bien comprendre l’impact qui en résulterait sur la santé pourrait conduire à une exacerbation de la crise mondiale actuelle. [41]. La stratification des risques des vaccinés est essentielle. Selon le gouvernement britannique, les personnes de moins de 60 ans ont un risque extrêmement faible de mourir du COVID-191 187. Cependant, selon Eudravigillance, la plupart des effets indésirables graves consécutifs à la vaccination contre le SRAS-CoV-2 surviennent chez des personnes âgées de 18 à 64 ans. Le calendrier de vaccination prévu pour les enfants âgés de 6 ans et plus aux États-Unis et au Royaume-Uni est particulièrement préoccupant. Dr. Anthony Fauci a récemment prévu que les adolescents de tout le pays seront vaccinés à l’automne et les plus jeunes au début de 2022, et le Royaume-Uni attend les résultats des essais pour commencer la vaccination de 11 millions d’enfants de moins de 18 ans. aux vaccins expérimentaux, étant donné que les Centers for Disease Control and Prevention estime qu’ils ont un taux de survie de 99,997% s’ils sont infectés par le SRAS-CoV-2. Non seulement le COVID-19 n’est pas pertinent en tant que menace pour ce groupe d’âge, mais il n’existe aucune preuve fiable pour étayer l’efficacité ou l’efficacité du vaccin dans cette population ou pour écarter les effets secondaires nocifs de ces vaccins expérimentaux. En ce sens, lorsque les médecins conseillent les patients sur l’administration élective de la vaccination COVID-19,

En conclusion, dans le contexte de l’autorisation d’urgence d’utilisation précipitée des vaccins contre le SRAS-CoV-2 et des lacunes actuelles dans notre compréhension de leur innocuité, les questions suivantes doivent être soulevées:

Est-ce que l’on sait si les anticorps à réaction croisée provenant d’infections antérieures à coronavirus ou les anticorps induits par le vaccin 206 peuvent influencer le risque de pathogenèse involontaire après la vaccination avec COVID-19?

Le risque spécifique d’EIM, d’immunopathologie, d’auto-immunité et de réactions indésirables graves a-t-il été clairement divulgué aux receveurs de vaccins afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé? Sinon, quelles en sont les raisons et comment pourrait-il être mis en œuvre?

Quelle est la justification de l’administration du vaccin à chaque individu lorsque le risque de mourir du COVID-19 n’est pas égal entre les groupes d’âge et les conditions cliniques et lorsque les essais de phase 3 ont exclu les personnes âgées, les enfants et les affections spécifiques fréquentes?

Quels sont les droits légaux des patients s’ils sont lésés par un vaccin contre le SRAS-CoV-2? Qui couvrira les frais de traitement médical? Si les réclamations devaient être réglées avec des fonds publics, le public a-t-il été informé que les fabricants de vaccins ont obtenu l’immunité et que leur responsabilité d’indemniser les personnes lésées par le vaccin a été transférée aux contribuables?

Dans le contexte de ces préoccupations, nous proposons de mettre un terme à la vaccination de masse et d’ouvrir un dialogue urgent pluraliste, critique et scientifiquement fondé sur la vaccination contre le SRAS-CoV-2 entre les scientifiques, les médecins, les agences internationales de santé, les autorités réglementaires, les gouvernements et les vaccins. développeurs. C’est le seul moyen de combler le fossé actuel entre les preuves scientifiques et la politique de santé publique concernant les vaccins contre le SRAS-CoV-2. Nous sommes convaincus que l’humanité mérite une compréhension plus profonde des risques que ce qui est actuellement présenté comme la position officielle. Un dialogue scientifique ouvert est urgent et indispensable pour éviter l’érosion de la confiance du public dans la science et la santé publique et pour garantir que l’OMS et les autorités sanitaires nationales protègent les intérêts de l’humanité pendant la pandémie actuelle. Il est urgent de ramener la politique de santé publique à la médecine factuelle, en s’appuyant sur une évaluation minutieuse de la recherche scientifique pertinente. Il est impératif de suivre la science.

[1]  https://www.gov.uk/government/publications/covid-19-reported-sars-cov-2-deaths-in-england/covid-19-confirmed-deaths-in-england-report

Déclaration de conflit d’intérêts

Les auteurs déclarent que la recherche a été menée en l’absence de toute relation commerciale ou financière pouvant être interprétée comme un conflit d’intérêts potentiel.

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Légendes de la figure

Figure 1. Nombre de nouveaux décès dus au COVID-19 par rapport au nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pour certains pays. Le graphique montre les données du début de la vaccination au 3 mai 365, 2021. A) Inde (9,25% de la population vaccinée), B) Thaïlande (1,58% de la population vaccinée), C) Colombie (6,79% de la population vaccinée), D) Mongolie (31,65% de la population vaccinée), E) Israël (62,47% de la population vaccinée), F) Monde entier (7,81% de la population vaccinée). Les graphiques ont été construits à l’aide des données de Our World in Data (consulté le 4 mai 2021) 
https : // github . com / owid / covid – 19 – données / arbre / maître /public / données / vaccinations

Affiliations

1 Epidemiólogos Argentinos Metadisciplinarios. República Argentina.
2 Centre médical de l’Université Baylor. Dallas, Texas, États-Unis.
3 Monestir de Sant Benet de Montserrat, Montserrat, Espagne
4 INSERM U781 Hôpital Necker-Enfants Malades, Université Paris Descartes-Sorbonne Cité, Institut Imagine, Paris, France.
5 École des sciences naturelles. Université autonome de Querétaro, Querétaro, Mexique.
6 Professeur retraité d’immunologie médicale. Universidad de Guadalajara, Jalisco, Mexique.
7 Médicos por la Verdad Puerto Rico. Centre médical d’Ashford. San Juan, Porto Rico.
8 Professeur retraité de processus de diagnostic clinique. Université de Murcie, Murcie, Espagne
9Urologue Hôpital Comarcal de Monforte, Université de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne.
10 Biólogos por la Verdad, Espagne.
11 Biologiste à la retraite. Université de Barcelone. Spécialisé en microbiologie. Barcelone, Espagne.
12 Centre de médecine intégrative MICAEL (Medicina Integrativa Centro Antroposófico Educando en Libertad). Mendoza, République argentine.
13 Médicos por la Verdad Argentina. República Argentina. ´
14 Médicos por la Verdad Uruguay. República Oriental del Uruguay.
15 Médicos por la Libertad Chili. República de Chile.
16 Médecin, orthopédiste. República de Chile.
17 Médicos por la Verdad Perú. República del Perú.
18Médicos por la Verdad Guatemala. República de Guatemala.
19 Concepto Azul SA Équateur.
20 Médicos por la Verdad Brasil. Brésil.
21 Médicos por la Verdad Paraguay.
22 Médicos par Costa Rica.
23 Médicos por la Verdad Bolivie.
24 Médicos por la Verdad El Salvador.
* Correspondance: Karina Acevedo-Whitehouse,  karina.acevedo.whitehouse@uaq.mx

Auteur(s): FranceSoir




Où mène ce train ?

[Source : Régis Chamagne (regischamagne.fr) – Réinscrire la France dans l’Histoire]

Par Mathias Masclet et Régis Chamagne

L’histoire nous apprend, en particulier depuis la deuxième partie du XIXe siècle, que les bonnes intentions hygiénistes et sanitaires ont souvent produit les pires atrocités. Alors qu’en est-il aujourd’hui face à la question du coronavirus ? Les mesures coercitives que nous subissons sont-elles acceptables ? Relèvent-elles seulement d’une logique de santé publique ?

On peut saisir un point commun, qui n’apparaît pas comme évident, entre le fanatisme religieux, le nazisme, le fascisme ou le communisme soviétique : une fascination morbide de la pureté, qu’elle soit d’ordre biologique dans le cas du nazisme et du fascisme, symbolique dans le cas du fanatisme religieux ou encore idéologique dans le cas du soviétisme. Cette fascination de la pureté relève de l’hygiénisme hypocondriaque et justifie des mesures prophylactiques qui ont été acceptées à l’époque et qui pourtant aujourd’hui nous font horreur.

Soyons clair, le propos n’est ni de dénoncer l’hygiène élémentaire comme une dérive fasciste, ni de prétendre que toute mesure sanitaire face au coronavirus serait une plongée dans la barbarie. Le propos est bien de montrer que la stratégie française et plus largement européenne de la gestion du coronavirus relève d’une politique de la peur et de persécution de « l’impur » avec toute la rhétorique paranoïaque et hypocondriaque typique des montées du fanatisme et de la barbarie.

Un cas d’école : le nazisme

Au-delà de nombreuses approches communément admises, le nazisme pourrait être ontologiquement une idéologie biologique et médicale, c’est en tous cas la thèse de Johann Chapoutot, chercheur en histoire contemporaine à la Sorbonne, spécialiste du nazisme. Il s’agit de régénérer et de purifier la race allemande, le corps allemand. Ces idées triomphent avant même l’avènement du nazisme : c’est sous la République de Weimar que l’on installe aux frontières de l’est de l’Allemagne des stations de désinfection obligatoire, pour filtrer et décontaminer les va-nu-pieds venus de l’est. C’est aussi sous la République de Weimar que s’installent les grands instituts de l’eugénisme racial soutenus par la gauche comme par la droite. Les conclusions des études scientifiques eugénistes sont limpides : la castration ou l’euthanasie des handicapés est indispensable pour régénérer le corps organique du peuple allemand. De l’autre côté de l’Atlantique on n’est pas en reste, 26 États des États-Unis d’Amérique appliquent la stérilisation obligatoire des membres les moins désirables de la société, souvent des jeunes femmes : de 1908 à 1945 ils stérilisent 50 000 personnes à des fins d’eugénisme sanitaire. En somme, la biopolitique était déjà bien à l’œuvre avant le nazisme et s’est installée sans rencontrer de réelle résistance car précisément, il était question de politique sanitaire et médicale. Qui pouvait s’opposer à la protection et à la santé des siens ?

Johann Chapoutot décrit parfaitement l’ambiance médico-sanitaire de l’Allemagne nazie et explique que les nazis se considéraient comme des médecins du corps de la race germanique :

« Nous respectons le serment d’Hippocrate, primum non nocere, sauf que l’objet de notre art n’est pas l’individu puisque l’individu n’existe pas, c’est le grand tout, c’est le grand corps. Tout cela sous la plume de médecins et de juristes qui sont les deux corporations choyées, gâtées, dotées à partir de 1933 de moyens considérables en matière de postes de responsabilités, de crédits et de prestiges intellectuels. »

À cet égard, après la rencontre entre Hitler et Mussolini le 9 mai 1938, un groupe de travail fut constitué. La délégation nazie fut emmenée par le juriste Walter Hallstein, futur président de la Commission européenne. Les thèmes prioritaires qui furent discutés étaient la protection de la propriété intellectuelle (à savoir l’extension des brevets, et tout particulièrement ceux du cartel IG Farben à travers toute l’Europe) et la protection de la race… Juristes et médecins.

Sous le Troisième Reich, le peuple germanique est en danger mortel, un corps étranger menace la race allemande. Ce virus c’est le juif. Il s’agit au départ d’observer une distance sanitaire avec lui. Mais le mal est trop profond et les mesures doivent être renforcées, le juif sera alors isolé, confiné, mis en quarantaine. Enfin, puisque le nazisme doit régler définitivement ce problème sanitaire, le juif sera alors traité de façon à l’empêcher définitivement de parasiter et corrompre la race pure germanique. Les camps de concentrations sont promus dans la presse par les autorités nazies comme des camps de santé pour les malades et les dégénérés juifs, communistes ou schizophrènes qui seront rééduqués et soignés. Il ne faut pas confondre les camps de concentration dont on faisait la publicité, et les camps de mise à mort, qui eux étaient tenus secret.

Avec les camps de concentration, les mesures prophylactiques s’enchaînent :

  • Le nazisme interdit tous les partis politiques, car l’opposition est l’ennemie du corps allemand qui l’infecte et le corrompt.
  • La stérilisation obligatoire des malades héréditaires est aussi actée (l’alcoolisme, la fainéantise, la danse de Saint Guy et la schizophrénie). On stérilise aussi les criminels et délinquants. 400 000 personnes sont stérilisées en douze ans en Allemagne jusqu’en 1945.
  • En octobre 1939 la stérilisation ne suffit plus, Hitler signe un ordre écrit qui demande de tuer les malades incurables. Ce sont des médecins qui, après expertise médicale, considèrent que le meilleur traitement prophylactique pour telle ou telle personne est la mort.
  • Enfin, les nazis, en bons médecins du corps allemand luttent contre la maladie et interdisent tout rapprochement avec l’impur comme l’explique Johann Chapoutot :

« Les médecins du corps allemand interdisent la mixtion des sangs, le mélange des substances et des fluides (entre races), et on se rend compte avec tout cet arsenal législatif auquel travaillent des médecins qui sont requis par le ministère de la justice […] et de l’intérieur ; ce sont ses lois qui touchent tous les domaines de la vie et qui contribuent à la destruction de la maladie. Tous les domaines de la vie sont touchés, du plus intime, la sexualité, au plus abstrait, au plus sublime, les arts plastiques, l’art en général, tout ça doit être assujetti à un traitement biologique. »

L’assassinat de masse se met en place à partir de février 1942. Johann Chapoutot continue :

« L’assassinat de masse est présenté aux bourreaux et aux victimes comme des politiques biomédicales de masse. Et c’est le coup de Génie de Paul Winling d’avoir vu le rapport qu’il peut y avoir entre des politiques biomédicales d’État “attendez avant de venir, on vous désinfecte” […] et la pratique de la mise à mort qui présente les procédures ainsi aux victimes : “on va vous déporter très à l’est mais comme nous sommes allemands, comme nous sommes médecins et puisque nous faisons les choses proprement, nous allons vous désinfecter d’abord”. Voilà ce que l’on dit aux victimes, et ça tranquillise de fait les victimes, […] et ça légitime les bourreaux qui apparaissent à eux même véritablement comme les médecins du corps allemand qui vont détruire un foyer typhique. »

La question sanitaire est omniprésente dans le nazisme, la menace du typhus et la menace juive sont deux menaces sanitaires et les maladies doivent être éradiquées. Le nazisme est une obsession sanitaire, une hypocondrie permanente, ils sont terrorisés par les infections et les maladies qui attaquent et détruisent le corps Allemand. Ils manquent de temps et doivent agir dans l’urgence, c’est cette urgence sanitaire qui permet de légitimer la brutalité de leur politique sanitaire.

Aujourd’hui et maintenant

Que seriez-vous prêts à faire pour sauver votre peau et celle de vos proches ? Votre famille et votre nation sont en danger de mort, un confinement ou un couvre feu ne sont rien s’ils peuvent sauver des vies, la fermeture et la faillite des petits commerces est un bien faible prix à payer. Interdire aux enfants de se toucher ne choque presque plus. Méfiez-vous du corps de l’autre, gardez vos distances, pas de poignées de main ! La bise ? Êtes-vous sérieux ? Vous voudriez tuer vos grands parents pour une simple bise ?

Ça commence comme ça et les Français acceptent parce qu’ils ont un fort sens du civisme, mais l’affaire dure, l’hygiénisme s’affole, le masque devient obligatoire à l’extérieur, durant le premier confinement, plus d’un million d’amendes ont été dressées. Dehors c’est dangereux ! Il est question d’interdire les fêtes de Noël si importantes pour les familles, les gens qui succombent du coronavirus meurent souvent seuls, les visiteurs sont interdits. Dans les Ephad, les vieillards ne voient plus leurs enfants, ou de temps en temps derrière d’épaisses plaques de plexiglas. Nous nageons en plein arbitraire et l’arbitraire est parti pour durer. Là aussi, le fait de commencer à obéir à des règles arbitraires est une caractéristique inquiétante typique des systèmes totalitaires.

Non seulement, sous l’impulsion de la Commission européenne, un passeport sanitaire apparaîtra dans la République Française, fracturant le secret médical et mettant en place des citoyens de seconde zone, mais personne ne connaît l’avenir de ce pass sanitaire. Disparaîtra-t-il dès lors qu’il ne sera plus utile ou suivra t-il la même trajectoire que l’état d’urgence qui était censé être temporaire et qui fut finalement inscrit dans le droit commun ? Sommes-nous véritablement certains que les valeurs républicaines et démocratiques, contraires au paternalisme technocratique infantilisant, sont encore voulues et respectées par nos élites et élus ? La répression policière et judiciaire des Gilets jaunes, sans état d’âme, qui a occasionné des milliers de blessés et des milliers de condamnations dont plus de 1000 peines de prison ferme, nous donne un élément de réponse. Après avoir observé l’absence totale de scrupule du gouvernement pour mater en règle un mouvement soutenu par plus de 7 Français sur 10, est-il exagéré de penser qu’une dérive anti-populaire et anti-démocratique est à l’œuvre et que nos élites saisissent toutes les opportunités pour transformer lentement notre société ?

En fait, la crise sanitaire est une excellente opportunité. Les Français ne l’auraient jamais accepté par la force et elle est passé sans problème pour des raisons hygiénistes et sanitaires. Dans les hautes sphères oligarchiques internationales on chuchote, on pense à un monde nouveau, à une société de contrôle et d’asepsie où tout un dispositif techno sanitaire entourerait les peuples européens afin d’accroître leur dépendance. Ce Grand Reset rêvé par Davos semble à portée de main, il leur manque une population terrorisée et docile, s’en remettant à eux pour toujours plus de protection. Pas de chance, pour le moment les Français gardent la tête froide, ils font attention et acceptent les règles d’hygiène élémentaires, mais refusent d’obéir bêtement à toutes les injonctions gouvernementales. Comme leurs aïeux avant eux, Ils acceptent la mort comme faisant partie de la vie, n’en déplaise à Google qui leur promet le transhumanisme et la vie éternelle. Les Français veulent vivre heureux, loin du décompte macabre gouvernemental. Nous sommes lancés dans un train de mesures et de coercitions sociales. Où va ce train ? Tout dépendra si les Français cèdent au chant des sirènes de l’hypocondrie sanitaire, ou si l’envie de vivre triomphe de la peur de la mort et qu’ils veulent continuer à danser encore, comme le chante si bien cette chanson d’espoir :

Et malheur à celui qui pense / Et malheur à celui qui danse / Ne soyons pas impressionnables

Par tous ces gens déraisonnables / Vendeurs de peur en abondance / Angoissants, jusqu’à l’indécence !

Nous on veut continuer à danser encore / Voir nos pensées enlacer nos corps / Passer nos vies sur une grille d’accords / Oh, non non non non non !

Et pour la suite ?

Il y a un virus. Il y a une certaine mortalité. Il y a des mesures gouvernementales. Au regard de l’Histoire, la raison autant que la conscience d’Homme Libre doit nous inviter à nous poser certaines questions :

  • Quelle est la létalité de ce virus par rapport à ceux des années passées ?
  • Quelle est la moyenne d’âge des morts du virus comparée à notre espérance de vie ?
  • Faut-il avoir peur ?
  • Les décisions gouvernementales sont-elles cohérentes et logiques ?
  • Enfin et surtout, où tout cela nous mène-t-il ?

Où mène ce train… de mesures dans lequel le gouvernement veut nous faire monter ?

Mathias Masclet et Régis Chamagne




Saverio Blasi, un artiste musicien de talent qui offre sa musique

[Source : Savfk – Music | Free Listening on SoundCloud]

Et de nombreux autres œuvres à écouter ici
ou à voir et écouter sur sa chaîne YouTube.




Serons-nous à nouveau sauvés par les Américains ? L’exemple du Texas libéré !

Par le Dr Gérard Delépine

En cette période où les institutions européennes et nos politiques restreignent les libertés pour nous obliger à nous faire injecter des pseudo vaccins qui sont des médicaments expérimentaux géniques, les USA montrent la voie à suivre.

La liberté reviendra-t-elle une fois encore d’Amérique du Nord ?

Greg Abbott a libéré le Texas de la tyrannie des experts

Le 2 mars 2021, le gouverneur du Texas Greg Abbott a déclaré qu’il n’écouterait plus A. Fauci le conseiller médical des présidents des USA, et a supprimé par décret toutes les restrictions prétendument sanitaires, dont l’obligation emblématique du port de masque. Fauci, lui a prédit alors un cataclysme épidémique à venir.

Greg Abbott s’est aussi attiré les injures d’autres covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Prophéties ou desiderata des politiques ?

Mais la vérité médicale ne suit pas les prophéties tirées de simulations catastrophiques plus ou moins dictées par les politiques. Au Texas, revenu à une vie quasi normale, la réouverture des écoles et universités, des commerces et des compétitions sportives au public (comme le montre cette vidéo de la réouverture du stade des Texas Rangers) ne s’est pas accompagnée de recrudescence de l’épidémie !

Au contraire, depuis la libération de l’état, la mortalité quotidienne attribuée au Covid19 diminue, alors que ce n’est pas toujours le cas dans les états qui maintiennent les restrictions de liberté. !

La régression de l’épidémie s’est poursuivie sans que les prophètes-modélisateurs parviennent à expliquer les erreurs considérables de leurs dernières simulations catastrophiques démenties par les faits. À moins qu’ils ne le souhaitent pas.

La décision courageuse de Greg Abbott a fait tache d’huile

La décision du gouverneur du Texas a été suivie par les autres gouverneurs républicains, puis dans la plupart des états démocrates. Aujourd’hui les états qui imposent encore des restrictions sont très minoritaires ainsi que l’illustre cette carte publiée le 3/5 par le New York Times (tous les états en bleu sont ouverts complètement).

Aux USA, depuis janvier 2021, la régression de l’épidémie se poursuit partout et plus rapidement dans les états libérés que dans ceux qui maintiennent des restrictions.

Ceci démontre que les confinements et l’obligation du port des masques et autres mesures pseudo-sanitaires ne servaient à rien ou étaient délétères, n’en déplaise aux désinformateurs de Arte et France télévision.

La régression de l’épidémie n’est pas due à la vaccination

L’analyse de la courbe de régression de la mortalité publiée par l’OMS le 9/5

et sa comparaison avec la courbe des vaccinations publiée par le CDC

montrent que la spectaculaire régression de la mortalité n’est pas due à la vaccination.

En effet cette régression de la mortalité a commencé début janvier 2021 alors que la vaccination, commencée le 13/12/2020 était trop récente pour agir, que les vaccinés n’avaient reçu qu’une dose t qu’ils ne représentaient que moins de 5 % de la population, alors que les apôtres de la vaccination affirment qu’un recul d’au moins deux mois et qu’une couverture vaccinale de 70 % sont nécessaires à son action.

Au revoir, les vaccinodromes

Le recul spontané de l’épidémie, la libération de la population des restrictions iniques et la prise en compte de complications parfois graves des pseudovaccins actuels ont montré aux Américains que la « vaccination » présentait actuellement une balance avantage/risques très défavorable pour la très grande majorité de la population qui a déserté les vaccinodromes.(([1] https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/05/05/aux-etats-unis-la-vaccination-fatigue-et-le-reve-de-l-immunite-collective-s-eloigne))

Actuellement environ un tiers de la population américaine est vaccinée et les tentatives de Big Pharma et de ses représentants d’instaurer une obligation vaccinale par la loi ou par le pass vaccinal ont été refusées par la Maison-Blanche et par de nombreux gouverneurs d’états qui ont décrété illégal l’usage de passeport vaccinal, car contraire aux libertés individuelles garanties par la Constitution. C’est heureux pour nos amis d’Amérique qui éviteront ainsi le triste sort des habitants des Seychelles.

La catastrophe vaccinale des Seychelles

Ce petit état africain pauvre compte à peu près 100 000 habitants et cherche à favoriser le tourisme de luxe qui constitue sa principale ressource.

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid19 confirmés sans aucun mort. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a pourtant décidé de vacciner massivement la population (sous quelle influence ?

L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai, il est devenu le pays le plus vacciné au monde avec une couverture vaccinale de 70 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles font face à une hausse considérable des cas positifs à coronavirus qui ont atteint près de 500 cas journaliers plusieurs jours de suite début mai, obligeant le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos. Au 8 mai 21, le pays comptait 6811 cas confirmés et 28 morts contre 500 cas et 1 mort avant la vaccination.

Après 4 mois de vaccination, le nombre de contaminations a été multiplié par 12, la mortalité par 28, le pays est confiné et sa saison touristique est fortement compromise malgré un taux de couverture vaccinale de 70 %.

Le mythe vaccinal covid19 confronté à la réalité

Dans tous les pays pauvres, jusque-là relativement épargnés par le Covid19, les campagnes de vaccination ont été suivies par un accroissement considérable des contaminations et de la mortalité et leur espoir de rassurer leurs potentiels touristes a été déçu.

Ces constatations rappellent l’importance de disposer de résultats définitifs d’essais bien faits avant de recommander un traitement expérimental même s’il se fait passer à tort pour un vaccin.

Cette catastrophe sanitaire avérée dans ces pays va se transformer sous peu en scandale politique si nos autorités continuent de nier la réalité et à vouloir imposer des obligations mortifères.

Suivons l’exemple du peuple américain, n’ayons plus peur de vivre, de vivre normalement, libérons-nous !

En matière de santé aussi la démocratie est plus efficace que la dictature !





Troubles menstruels méconnus post-vaccin covid-19

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Les « vaccins » anti-covid font parler, au moins sur les réseaux sociaux, des accidents graves et même de décès liés à leur injection, et globalement d’incidents considérés comme potentiellement liés au vaccin, c’est-à-dire survenus dans les quatre semaines suivant l’injection (en particulier, accidents vasculaires et neurologiques).

Même si les signalements sont certainement très sous-estimés (de l’ordre de 1 % de la réalité) il est tout de même très impressionnant de constater en Union européenne (par exemple) près de 8 800 décès directement reconnus comme probablement en rapport avec un des 4 vaccins anti-covid par l’agence européenne.

Il est étonnant que ce chiffre énorme, (même si relativement faible par rapport aux millions de personnes vaccinées), ne perturbe pas plus les futurs vaccinés que les agences chargées de la sécurité. Rappelons qu’un vaccin devrait être préventif, s’adresser aux personnes à risque et en aucun cas à des jeunes qui présentent un risque zéro de l’infection visée, ici le covid-19.

Le rapport bénéfice/risque ne peut être que négatif dans les populations à risque zéro comme les enfants actuellement menacés par les politiciens dont certains corrompus.(([1] Comme la ministre chypriote Albert Coroz : Stella Kirikiades qui aurait touché 4 millions d’euros après avoir signé les contrats d’achat de vaccins https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/ ))

La « tolérance » actuelle sur les décès entraînés par ces molécules en essai thérapeutique n’a de parallèle que l’immonde propagande qui inonde tous les médias dans le monde depuis plus d’un an pour cette sinistre mise en scène du coronacircus.

Dans l’émission « Tucker Carlson Tonight », sur Fox News, Carlson, célèbre présentateur américain habituellement pro-vaccin, a cité des statistiques gouvernementales montrant que plus d’Américains sont morts après avoir pris le vaccin covid en quatre mois qu’à la suite de tous les autres vaccins combinés en plus d’une décennie et demie.

Les données officielles du  gouvernement américain sur «  vaccine adverse event reporting system » (VAERS) montrent que 3 362 Américains – ou 30 personnes par jour – sont  morts du vaccin Covid entre décembre 2020 et le mois dernier.

« Plus de personnes, selon VAERS, sont mortes après avoir reçu le vaccin en quatre mois au cours d’une seule campagne de vaccination que de tous les autres vaccins combinés sur plus d’une décennie et demie », a déclaré Carlson.

Le nombre de décès est probablement beaucoup plus élevé que ce que VAERS rapporte, a déclaré Carlson, citant des rapports soumis au ministère de la Santé et des Services sociaux en 2010 qui ont révélé que « moins de 1 % des effets indésirables du vaccin sont signalés par le système VAERS ».

Carlson a également mentionné dans son émission les informations majeures suivantes :

« De tous les vaccins MENVEO administrés pour prévenir la méningite bactérienne, une seule personne est décédée du vaccin entre 2010 et 2015. En 1976, 45 millions d’Américains ont été vaccinés contre la grippe H1N1. Au total, 53 personnes sont mortes du vaccin. Le gouvernement américain a mis fin au programme de vaccination parce que les autorités ont décidé qu’il était trop risqué. »

Les vaccins Covid ont contribué à 8 000 hospitalisations aux États-Unis, selon VAERS ».(([2] Tucker Carlson : How Many Americans Have Died After Taking COVID Vaccines ? • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Cette indication est capitale, car chacun se demande à partir de combien de décès une agence de l’État suspend-elle la pratique d’un vaccin. La réponse précise sur le vaccin H1N1 dont Mme Bachelot a dû jeter des millions de doses achetées trop rapidement nous informe sur les réactions de l’époque dans des situations similaires.  Près de 9 000 décès reconnus en UE en ce début du joli mois de mai depuis le début des vaccinations anti-covid et répartis parmi les quatre produits injectés. Ne serait-ce pas temps de cesser ce sinistre scénario ?

Où sont passées les féministes ?

Le corps de la femme une nouvelle fois maltraité n’intéresse-t-il que le docteur Marc Girard ?(([3] D’Hippocrate au “crime organisé” : comment la médicalisation de la femme a fait tomber les barrières de la moralité – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))(([4] La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))

Les effets indésirables moins spectaculaires que les décès sont complètement invisibilisés mais gâchent la vie courante de nombreuses citoyennes devenues patientes après une vaccination sous prétexte d’un virus si peu méchant chez les femmes encore réglées sans comorbidité.

La protéine SPIKE dans le collimateur des vaccins anti-covid

Certes ceux qui s’intéressent aux vaccins savent maintenant qu’ils visent tous la fameuse protéine spike et qu’ils pourraient entraîner des troubles de la reproduction. Chacun a entendu la multiplication des avortements en Grande-Bretagne dans les premières semaines de la vaccination intensive et la mort d’un enfant allaité par une mère vaccinée deux jours plutôt.

Mais ces faits lourds ne doivent pas masquer le quotidien plus banal mais inacceptable de nombreuses femmes « pour une prévention d’une maladie à létalité mineure (moins de 0,01 % de décès liés au covid19) » ?

Alors qu’apprend-on sur le vécu des femmes vaccinées ?

De nombreuses femmes disent que les effets secondaires du vaccin Covid ont un impact sur leurs règles, alors pourquoi les médecins ne s’en soucient-ils pas ?(([5] Women say COVID vaccine side effects impact their periods, so why don’t doctors care ? – Israel News – Haaretz.com))

Nous rapportons ici les réflexions d’un journal israélien dans un pays fort largement vacciné en très peu de temps, et où les effets sur les contaminations et les décès post vaccinaux ont été déjà relayés.(([6] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

N’importe quel vaccin peut perturber les menstruations, mais la façon dont l’établissement médical a réagi aux descriptions de cet effet secondaire possible du vaccin coronavirus reflète un problème plus général.

Quelques exemples de l’article cité concernant l’expérience israélienne sont relatés ici.

Une femme de 36 ans s’est rendue chez le médecin après avoir subi des saignements vaginaux deux jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus. Son gynécologue a effectué un examen et l’a envoyée pour des analyses sanguines. « L’hémorragie a duré 10 jours, et le médecin m’a dit qu’il semble que mes règles sont arrivées tôt. « Je lui ai dit : bizarre, parce que mes règles ont été très régulières au cours de la dernière année. » « Cela arrive », a rétorqué le docteur de façon désinvolte que cela peut être un signe de ménopause précoce. « C’était comme un coup de poing à l’intestin », dit-elle.

« Il n’est pas nécessaire d’expliquer à quel point il est difficile pour une femme de mon âge de recevoir des nouvelles comme celle-là de son médecin. Pendant quelques semaines, j’étais vraiment en deuil de la fertilité que j’avais apparemment perdue ».

« Ce n’est que lorsqu’un ami, après que je lui ai parlé de mon état déplorable, a suggéré qu’il est peut-être vraiment lié au vaccin – que je l’ai googolé et découvert, à ma grande surprise, qu’un grand nombre de femmes ont signalé des saignements vaginaux et des périodes irrégulières après avoir été vaccinées.

J’étais en état de choc. Pourquoi ne m’ont-ils pas avertie que cela pourrait être l’un des effets secondaires du vaccin, comme ils m’ont mis en garde contre une faible fièvre et des douleurs au bras ? Pourquoi mon médecin n’a-t-il pas dit un mot à ce sujet ?

« Une histoire parmi un nombre infini sur les effets du vaccin sur les cycles menstruels. Une période précoce ou tardive, plus lourde que jamais ou plus douloureuse que d’habitude – les témoignages des femmes s’accumulent. Et comment l’établissement médical les traite-t- il ? »

C’est pourquoi nous pensons utile de vous informer, car le consentement éclairé est la base de la médecine d’Hippocrate, particulièrement en ce qui concerne l’expérimentation au cours des essais thérapeutiques comme le sont actuellement les vaccins anti-covid-19 dont aucun essai phase 3 n’est terminé.

Bien sûr le stress émotionnel lié au contexte actuel depuis un an et la campagne au grand galop de vaccinations en Israël peuvent favoriser les troubles des règles. Les stress physiques liés aux changements de vie sont aussi des facteurs connus de dérèglement du cycle menstruel.

« On sait que l’acte d’inoculation lui-même peut susciter un certain stress physique, et en particulier le vaccin contre le coronavirus, qui a également causé un stress émotionnel pour beaucoup de gens. Une réponse inflammatoire est une réaction immunitaire normale aux vaccins, ce qui affecte également les saignements vaginaux. Dr. Lior Shahar in Tel Aviv donne un exemple : on sait que le fait de se faire vacciner contre le papillomavirus (Gardasil) perturbe les périodes des femmes et des jeunes filles.

Les effets du vaccin sur les menstruations n’ont pas été étudiés à l’avance par les entreprises qui fabriquent les vaccins. »

Comment les ressentis des femmes ont-ils été reçus par les institutions médicales ?

« L’établissement médical a traité la question avec dérision. En ce qui le concerne, l’apparition de saignements vaginaux ou de perturbations dans les menstruations sont des phénomènes de routine qui se produisent de temps en temps, il n’y a donc aucune raison de les traiter comme un effet secondaire. »

« Quand j’ai demandé dans les groupes de médecins, et aux médecins individuellement – médecins de famille et gynécologues, hommes et femmes – j’ai entendu : « il y a des rapports, mais ils sont sans fondement », « J’ai entendu des patients dire que cela arrive, mais je n’ai pas vérifié la littérature », « je ne connais aucune référence médicale à cela », et ainsi de suite.

Certains de ces médecins pratiquent également la médecine fondée sur le genre.

Le mois dernier, des personnes ont été testées pour le coronavirus dans un complexe de la ville arabe de Tayibe, dans le centre d’Israël. Il semble que les patientes signalent fréquemment ces troubles gynécologiques, mais l’établissement n’en tient pas compte.

Qu’est-ce que cette histoire nous dit sur la façon dont l’établissement médical considère les phénomènes qui n’affectent que les femmes ?

« Il y a une discrimination évidente ici ». Bien sûr, cela rappelle les déclarations terrifiantes que le professeur Galia Rahav, chef de l’unité des maladies infectieuses au Centre médical Shaba, Tel Hashomer, a déclaré à l’époque sur la paralysie du nerf facial comme un effet secondaire du vaccin :

« Au début, ils ont dit que ce sont des femmes hystériques, mais apparemment pas, parce que nous voyons les effets chez les hommes aussi, et je crois que c’est réel.

« Ce n’est pas la partie choquante. La paralysie faciale, comme le saignement vaginal, n’est pas un événement rare. Mais lorsqu’il y a soudainement une multiplicité d’incidents en conjonction avec le vaccin, cela soulève des questions.

Bien sûr, cela comprend la question de savoir s’il s’agit d’une distorsion résultant de la surdéclaration, mais aussi de savoir s’il s’agit d’un effet secondaire.

Dans les groupes de médecins dont je suis membre, il y a eu d’innombrables discussions sur le sujet de la paralysie du nerf facial, mais aucune discussion sur les saignements chez les femmes. Il est scandaleux de découvrir que lorsque ces rapports sont des femmes, cela ne soulève pas de questions ou de discussions.

Je suppose que nous avons fait des progrès dans ce domaine depuis que nous avons découvert la différence dans la façon dont les hommes et les femmes éprouvent des crises cardiaques, par exemple. Dans quelle mesure la médecine fondée sur le genre a-t-elle progressé et comment ces progrès sont-ils exprimés ?

« Il y a certainement eu des progrès dans la médecine fondée sur le genre. Par exemple, la FDA interdit maintenant d’approuver un médicament sans le tester sur les femmes aussi, et d’examiner la différence dans ses effets sur les femmes et les hommes. Aujourd’hui, il y a des médicaments qui sont approuvés à l’avance juste pour les femmes ou tout simplement pour les hommes. Mais dans les facultés de médecine, ils n’apprennent toujours pas ces différences d’une manière organisée, et la plupart des professionnels de la santé ne connaissent pas du tout les fondements de la médecine fondée sur le genre.

« Mais la médecine fondée sur le genre n’est qu’une partie du problème, et il y a le vrai problème. La médecine fondée sur le genre ne traite que des différences biologiques entre les hommes et les femmes et ne tient pas compte des problèmes liés aux déséquilibres de pouvoir, à la discrimination, aux stéréotypes, au silence, à la violence ouverte ou cachée, à la minimisation des femmes dans l’espace public, à l’accessibilité aux services de santé – autant de choses qui contribuent tant à l’inégalité entre les sexes en matière de santé. C’est certainement vrai pour les femmes qui sont marginalisées de plusieurs façons – les femmes qui sont mizrahi, arabes, lesbiennes, âgées, en surpoids, handicapées et ainsi de suite. »

« C’est pourquoi la médecine fondée sur le genre ne suffit pas. Il y a un besoin de médecine féministe. C’est la véritable médecine égale, qui donne une voix aux femmes, qui comprend qu’une femme n’est pas seulement un corps, mais une totalité des expériences et des rôles sociaux, des codes, des attentes et du harcèlement sexuel, et le lien entre elles et son état médical physique et psychologique ne peut être rompu.

Tant qu’il n’y aura pas une compréhension profonde de ce lien, il n’y aura pas de bonne médecine égale pour les femmes, ni pour aucun groupe défavorisé dans la société ».

Une façon originale de voir la médecine à laquelle il faut réfléchir, mais en attendant écouter les femmes qui subissent des troubles menstruels à la suite du vaccin serait une première étape.

Des témoignages dans d’autres régions du monde

Emma Kahn dans sa lettre mensuelle sur le site de l’AIMSIB(([7] Lettre d’infos du 5 mai 2021 – AIMSIB)) signale aussi le fait que de nombreuses femmes se plaignent de saignements irréguliers à la suite du vaccin Pfizer, cela pourrait être dû à des ménopauses précoces selon la publication de health.com.(([8] https://www.health.com/condition/infectious-diseases/coronavirus/can-covid-vaccine-affect-my-period))
Dans un long fil de discussion sur Twitter, Kate Clancy, PhD, professeur associé à l’université de l’Illinois, rapporte : « une collègue avait entendu d’autres personnes dire que leurs règles étaient abondantes après la vaccination. Je suis curieuse de savoir si d’autres femmes ayant leurs règles ont également remarqué des changements ? J’ai reçu la première dose de Moderna il y a une semaine et demie, j’ai eu mes règles un jour ou deux plus tôt et j’ai l’impression d’avoir à nouveau 20 ans. »
D’autres ont raconté leur propre histoire. « Je suis exactement une semaine après ma deuxième injection de Moderna et j’ai commencé un cycle très dur pour moi, et j’ai environ 2,5 semaines d’avance », a écrit l’une d’elles.

« J’ai reçu le Moderna le dernier jour de mes règles. Neuf (!!!!) jours plus tard, une autre période est apparue et cela a été un cauchemar », a commenté une autre.

Les histoires personnelles se multiplient : « je suis à trois semaines de ma première piqûre de Moderna et j’ai commencé mes règles au milieu d’une plaquette de contraceptifs ». « Cela ne m’est jamais arrivé en 12 ans de prise de la pilule. Je n’ai même jamais de taches entre les périodes. »

Les changements de règles sont-ils donc un effet secondaire légitime du vaccin ?

Existe-t-il des recherches sur les vaccins Covid-19 et les cycles menstruels ?
Pas vraiment. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) disposent d’un Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), programme de surveillance dans lequel chacun peut signaler les effets secondaires qu’il a ressentis après avoir reçu le vaccin.

Plusieurs dizaines de femmes ont déclaré avoir eu des règles plus abondantes que d’habitude, des crampes douloureuses et des cycles menstruels inhabituels après avoir été vaccinées. Mais étant donné que n’importe qui peut soumettre n’importe quoi au système, tout cela est considéré comme anecdotique à ce stade.
Pour les femmes qui signalent des douleurs plus importantes que d’habitude, « il se peut que les douleurs post-vaccinales s’ajoutent aux douleurs menstruelles normales », explique à Health l’expert en maladies infectieuses Amesh A. Adalja, MD, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security dans le Maryland.

Le flux plus abondant est un peu plus difficile à expliquer. Une petite étude portant sur 233 femmes en âge de procréer présentant un diagnostic clinique de Covid-19 a fait état de certains changements menstruels. Sur les 177 patientes ayant des données sur leurs règles, 25 % avaient des « changements de volume menstruel », 20 % avaient des règles plus légères que d’habitude et 19 % avaient un cycle plus long que d’habitude, selon l’étude, publiée en janvier dans la revue Reproductive BioMedicine Online.

Il est possible que le vaccin Covid-19 ait un effet similaire, mais on ne le sait pas pour l’instant.

À l’heure actuelle, ces données sur la vie quotidienne des femmes restent peu connues et il importe que des médecins cliniciens s’y intéressent. La médecine n’est pas que celle des épidémiologistes, des simulations.

Les chiffres ne doivent pas faire oublier les êtres humains soumis à des interventions extérieures pas nécessairement justifiées. Elles devraient être informées des conséquences graves possibles, y compris les décès, liées aux vaccins expérimentaux mais aussi aux troubles de la vie quotidienne à même parfois de leur gâcher la vie.

Les doutes sur les perturbations de la fertilité à court et plus long terme devraient être élucidés avant une généralisation des pseudo-vaccins anti-covid contre une maladie non létale dans l’extrême majorité des cas. Pourquoi tant de hâte à vacciner des femmes réglées qui, du fait de leur sexe et de leur âge, ne risquent rien ?

Nicole Delépine





Analyse de la gestion de la crise sanitaire : Vers une nouvelle inquisition

[Source et auteur : Martine Wonner]

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »

Phrase prêtée à Voltaire.

Pourtant, la crise sanitaire semble bien avoir éteint une flamme au Pays des lumières. Depuis plusieurs mois, en tant que parlementaire, en tant que médecin, en tant que citoyenne, je suis constamment attaquée selon des procédés particulièrement inquiétants.

Articles de presse aux titres calomnieux, accusations infondées, informations tronquées, lorsqu’elles ne sont pas simplement totalement erronées : certaines officines ont, depuis le début de cette crise, escamoté aux citoyens le droit le plus élémentaire d’être correctement informés.

Les conséquences de la gestion de la crise sanitaire sont pourtant réelles : de la lassitude à la colère ; alors que je constate avec stupeur le refus itératif de mes collègues de venir débattre avec leurs administrés, je vois une gronde se soulever sur les territoires, Je sais que bon nombre de mes collègues partage avec moi le constat des dérives actuelles du pouvoir omnipotent et souhaite ce dialogue.

Force est de constater que si ce débat est aujourd’hui impossible, ce n’est pas par crainte du débat lui-même, mais par peur des « décodages » de la presse. Soutenir que des molécules peuvent permettre d’améliorer l’immunité et donc diminuer le taux de létalité face à la Covid-19, entraine la sanction directe d’un article vous dépeignant avec des qualificatifs injurieux inadmissibles. Soutenir que nous glissons vers un État portant les traits caractéristiques de l’autoritarisme, induit la sanction directe d’un article vous dépeignant sous les traits d’une personne ayant embrassé les théories d’extrême droite, etc…

Mon combat en tant que parlementaire a été constant depuis le début de mon mandat : protéger les droits humains, les personnes vulnérables, les « exclus », toujours dans un esprit de justice sociale sur le socle d’une économie forte.

Protection des minorités, protection des migrants, lutte contre toutes formes de racismes et de discriminations, lutte contre la destruction de l’environnement, droit des femmes, ouverture à la PMA pour toutes, droit à l’IVG. Certains peuvent me reprocher ces prises de position, elles sont miennes, reflet de mes valeurs et de mes convictions. Je les assume.

En tant qu’élue de la Nation, j’assiste depuis le mois de mars 2020 à l’affaiblissement total de la démocratie parlementaire ; les médias jouent un rôle déterminant, n’hésitant pas, en tant que 4e pouvoir, à prendre position en faveur d’un exécutif disposant déjà de quasiment tous les pouvoirs. Le projet de loi « organisant la sortie de crise sanitaire », inscrit la semaine prochaine en séance publique à l’Assemblée nationale, est à ce titre illustratif de la volonté du Gouvernement de faire perdurer l’état d’urgence sanitaire et les restrictions que nous connaissons depuis maintenant plus de 13 mois.

Une nouvelle chasse aux sorcières, organisée par autant de nouveaux procureurs autodésignés, semble avoir débuté : fichage en ligne, délation, complicité et duperie avec le pouvoir, voilà le lot quotidien d’une nouvelle presse de non-information.

Je nourris l’espoir d’un sursaut citoyen, capable de pouvoir faire naître un esprit critique face à ces pratiques moyenâgeuses. Je nourris l’espoir d’une presse plurielle, d’une presse d’investigation, d’une presse indépendante.

« Liberté de la presse et séparation des pouvoirs » pourrait être la nouvelle devise des français. L’enjeu n’est ni plus ni moins celui de la sauvegarde de notre démocratie.




Dr. Gérard Delépine : Alerte sur les vaccins et le pass vaccinal

[Source : Cercle Aristote]




En Conscience

[Source : Tistrya Productions]

Depuis la nuit des temps, des individus ont vécu des expériences de mort imminente, des phénomènes d’expansion de conscience, ou encore des sorties hors du corps.

Nous sommes allés à la rencontre de quelques-unes de ces personnes qui ont accepté de témoigner : qu’ont-elles vécu ? Qu’ont-elles vu ? En quoi ces expériences étaient bien différentes de simples rêves ou d’hallucinations ?

Nous avons également interrogé des psychiatres, des psychologues en milieu hospitalier, et d’autres spécialistes pour tenter de percer la réalité de ces phénomènes.
Que disent ces expériences sur notre conscience et sur la structure de la réalité ?
Comment prendre conscience de la véritable nature de notre être ?

Intervenants:
– Olivier Chambon (Docteur psychiatre)
– Jean-Jacques Charbonier (Médecin anesthésiste-réanimateur)
– Sylvie Déthiollaz (Docteur en biologie moléculaire, directrice de l’ISSNOE)
– Eric Dudoit (Docteur en psychologie et psycho-pathologie)
– Marc Boucher de Lignon, Nicole Dron, Philippe Raboud




Général Piquemal : « Le Général Lecointre a peur de déplaire à la ministre des Armées »

[Source : Gérard Infos]


[Note de Joseph : la présente crise en France se résoudra peu probablement dans le cadre de la 5e République et du Système actuel, car celle-ci et ce dernier sont corrompus et en état de décomposition avancée. La nation gagnera toutefois à éviter le passage par une révolution sanglante ou une guerre civile.]




Belgique : initiative citoyenne contre la Loi Pandémie

[Source : Initiative (pompompidou.land)]

[Photo : © BENOIT DOPPAGNE – BELGA]

Initiative citoyenne : Assemblée citoyenne pour nos libertés

Nous, citoyens, souhaitons à travers cette initiative, être entendus par la commission compétente de
la Chambre en respectant les 4 conditions prévues :

● Elle contient au moins 25.000 signatures (authentifiées par écrit et/ou électroniquement).
● Les signataires sont âgés d’au moins 16 ans.
● Au moins 14.500 des pétitionnaires sont domiciliés en Région flamande, 2.500 en Région de
Bruxelles-Capitale et 8.000 en Région wallonne.
● Elle est conforme à la Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’Homme et des
libertés fondamentales.

Le texte de notre interpellation

La crise Covid-19 actuelle et à venir concernant la gestion de la pandémie nous montre clairement les
limites de la « démocratie » en Belgique. Des arrêtés ministériels sans aucun débat, que ce soit des
débats parlementaires ou citoyens, sont totalement inacceptables sur le plan démocratique.
La Belgique vient d’être condamnée à juste titre par le tribunal de 1ère instance de Bruxelles par une
action en justice de la Ligue des Droits de l’Homme.

Nous souhaitons une interpellation citoyenne à la Chambre pour dire NON à cette dictature
sanitaire ! La loi pandémie : NOUS N’EN VOULONS PAS !

Grâce à cette pétition, l’initiative aura pour objectif de réclamer une assemblée citoyenne formée
par tirage au sort, afin de pouvoir débattre de la gestion de cette pandémie qui est une véritable
catastrophe sur le plan social et démocratique et ainsi trouver des alternatives à cette gestion.

Par cette assemblée citoyenne, nous proposerons des ateliers de travail, afin de soumettre ces textes
aux parlementaires qui devront les voter en l’état sans modification.


[Source : rtbf.be]

Coronavirus en Belgique : la « loi pandémie » est prête à être soumise au Parlement

Le texte de « loi pandémie » de la ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden est prêt à être soumis au parlement. Il a été approuvé par le Conseil des ministres après prise en compte des différents avis requis, dont celui du Conseil d’État, communique son cabinet lundi.

« Deux mois exactement après la présentation de l’avant-projet au Parlement, le projet de loi définitif est aujourd’hui soumis », déclare la ministre Verlinden via communiqué. Le gouvernement espère « qu’un débat parlementaire suivra sous peu ».

Le parlement avait déjà eu l’occasion d’examiner la première mouture du texte, dans une tentative d’associer les élus plus avant au débat, dans le contexte particulier de la pandémie de Covid-19. Le parlement avait ensuite transmis des centaines de pages d’avis et de remarques.

Le projet de loi doit donner une assise juridique plus solide aux mesures de restriction prises dans le cadre de la crise sanitaire, qui dure depuis plus d’un an. Il a revêtu une importance accrue depuis une ordonnance du tribunal de première instance de Bruxelles siégeant en référé, qui a enjoint à l’État de donner une base légale à ces mesures d’ici la fin du mois. L’État a fait appel de cette ordonnance.

Le gouvernement a déjà modifié le texte, tenant compte des remarques du Parlement

Le Conseil d’État, dont l’avis était très attendu, s’est prononcé récemment sur le texte de la « Loi Pandémie », amenant le gouvernement à faire quelques adaptations. Ses remarques les plus critiques portaient sur le traitement des données à caractère personnel (définitions trop vagues, nombreuses délégations de pouvoir, absence de justification du caractère nécessaire et proportionné de la réutilisation de certaines données). La ministre de l’Intérieur indique lundi que la disposition relative au traitement des données à caractère personnel a justement été supprimée du texte définitif tel que soumis le même jour au parlement. « La possibilité de prévoir un cadre légal adéquat à cet égard sera examinée pour autant que cela soit nécessaire », ajoute la ministre.

Selon le projet de loi, les mesures sanitaires seront « en principe prises par arrêté royal », sauf si l’urgence impose de les prendre par arrêté ministériel. Sauf s’il y a extrême urgence, le gouvernement fédéral devrait aussi se concerter au préalable avec les gouvernements des entités fédérées si les mesures sont de nature à avoir un impact sur des domaines politiques qui relèvent de leurs compétences.

« Le délai accordé au parlement pour confirmer l’arrêté royal décrétant ou maintenant la situation d’urgence épidémique, a en outre été porté à 15 jours, permettant ainsi un débat parlementaire approfondi sur la question », indique la ministre de l’Intérieur.

Du côté de la Chambre, on indique qu’il ne sera pas possible de débattre du texte dès ce mardi 27 avril. La commission Intérieur avait gardé une place dans son agenda de mardi pour ce point, mais comme le texte n’avait pas encore été soumis lundi midi, il en a été retiré, indique à Belga son président Ortwin Depoortere (Vlaams Belang).

Le projet de loi est aussi inscrit à l’agenda de la commission Intérieur de mercredi après-midi. Pour le moment, il y est maintenu. Selon Ortwin Depoortere, la conférence des présidents qui se rassemble mercredi midi devrait préciser l’ordre des travaux.




Deux policiers tués en service en l’espace de 12 jours : le syndicat France Police – Policiers en colère adresse une lettre ouverte au président Macron

[Source : Syndicat France Police – Policiers en colère (france-police.org)]

Monsieur Le Président de la République,

À douze jours d’intervalle, une collègue a été égorgée par un terroriste islamiste à Rambouillet tandis qu’hier, un second fonctionnaire a été abattu par balle à Avignon par un membre d’un gang de narcotrafiquants.

Le temps des belles cérémonies d’hommage est révolu. Vous devez passer des bougies à l’action politique. Ce n’est pas avec des larmes qu’on mène une guerre.

Vous dites vous battre pour le droit à la vie paisible mais ce combat ne se gagne pas avec des mots.

Les policiers et les gendarmes ne peuvent pas se défendre en raison d’un texte sur la légitime défense trop flou, laissant le champ libre à toutes les interprétations jurisprudentielles.

Le police bashing permanent orchestré par les médias et les people entrave considérablement notre action.

En bout de chaîne, la faillite de l’appareil judiciaire annihile notre travail d’investigation.

Les Français ne croient plus en leur justice. La manifestation pour réclamer justice pour Sarah Halimi en est la preuve éclatante.

La population n’a plus confiance dans nos services et s’arme pour se défendre elle-même face aux criminels, les évènements de Stalingrad ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres.

Si vous ne voulez pas terminer votre mandat avec le pire bilan en matière de sécurité de l’histoire moderne, notre syndicat de police vous invite à recourir aux dispositions prévues par la loi n° 55-385 du 3 avril 1955.

Dans le cadre de l’état d’urgence, il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République, y compris avec le renfort de l’Armée, en contrôlant et en limitant les entrées et sorties de ces zones par des checkpoints sur le modèle israélien de séparation mis en place avec les territoires palestiniens.

Parallèlement, en recourant au 49-3, il faut adopter en urgence une réforme de la légitime défense pour les policiers et les gendarmes leur permettant d’ouvrir le feu dès lors qu’un fuyard n’obtempère pas ou qu’ils sont l’objet de tirs de mortiers et d’artifices ou de jets de cocktails Molotov.

Notre syndicat de police vous recommande de vous inspirer du modèle brésilien et Philippin en matière de lutte contre le narco-terrorisme.

Les présidents Bolsonaro et Duterte obtiennent d’excellents résultats en ayant donné carte blanche à la police pour reprendre le contrôle des zones de non droit.

L’heure n’est plus au en même temps. Il ne peut y avoir de compromis avec les terroristes et les dealers. Les hésitations, les frilosités politiques et autres tergiversations profitent aux narco-terroristes.

Certain de votre détermination à ne pas abandonner définitivement notre Nation aux mains des trafiquants, recevez, Monsieur Le Chef de l’Etat, l’expression de mon plus profond respect Républicain.

Michel Thooris, secrétaire général du syndicat France Police – Policiers en colère.


[Note de Joseph : face à la dégradation sociale et civilisationnelle favorisée par les « élites » dirigeantes françaises officielles et obscures, les solutions préconisées dans cette lettre vont malheureusement dans le sens voulu par le Nouvel Ordre Mondial, renforceront temporairement les divisions et le chaos, et aboutiront presque inéluctablement à une restriction encore plus grande des libertés, sur le modèle chinois (voir La Chine étend son crédit social à l’international). Créer de nouveaux ghettos sur le modèle de l’apartheid israélien envers les Palestiniens (contre l’intérêt à la fois des juifs et des musulmans du peuple sur le plan de la conscience et de la civilisation, mais pour celui de leurs élites sur le plan matériel du contrôle et du pouvoir) n’est pas une solution sage. La crise socioculturelle, politique et religieuse en France ne se résoudra probablement que par l’assimilation des arrivants ou par leur renvoi dans leur pays d’origine pour ceux qui ne voudront pas participer constructivement à la vie française et respecter l’âme de la nation. Et l’assimilation ne peut se faire par l’isolement dans des enclaves ou des zones de non-droit, mais par l’intégration dispersée sur l’ensemble du territoire, à l’image d’une mayonnaise dont on ne parvient plus à distinguer le vinaigre de l’huile grâce au pouvoir liant de l’œuf et de la moutarde. Dans l’Humanité, le meilleur liant est l’Amour, au contraire de la violence et de la répression.]




La Chine étend son crédit social à l’international

[Source : francesoir.fr]

Officiellement annoncé en 2014, le système de crédit social chinois fonctionne de mieux en mieux, et de plus en plus. En posant des caméras partout, en développant toujours plus de QR-Codes et en incitant à la délation, le Parti Communiste Chinois (PCC) crée Le Meilleur des Mondes [Ndlr : dystopie d’Aldous Huxley]. Quand il s’agit de surveillance, le credo est le suivant : toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort. Aujourd’hui, tous les citoyens chinois sont répertoriés dans la base de données, et sont notés. Ce système de crédit social que l’on dit souvent « orwellien », est double : nous avons d’un côté la surveillance individuelle, et de l’autre la surveillance des entreprises.

Comment cela fonctionne-t-il pour les citoyens ?

En France, nous avons par exemple l’habitude du permis à points pour la conduite. Grillez un feu rouge, vous perdrez quatre points (si vous vous êtes fait prendre). Soyez sages pendant plus de six mois, ou payez pour un stage, et vous récupérerez des points. Si vous êtes chauffeur de taxi, propriétaires de maisons d’hôtes ou simplement commerçants sur Internet, le système de notation vous est aussi familier. Soyez aimables, et les clients vous remercieront en vous notant correctement, ce qui vous donnera meilleure réputation. Si en revanche vous faites mauvaise impression pour telle ou telle raison, vous serez mal noté, et Dieu sait à quel point les notes influencent l’opinion publique.

Maintenant, imaginez que ces systèmes soient étendus à tous les aspects de notre vie quotidienne. C’est difficile, mais c’est réel. Comme dans un jeu vidéo, votre score ne cesserait de varier en fonction de vos actions. Voilà la promesse du crédit social chinois :

Ce qui vous ferait gagner des points : donner votre sang, faire l’éloge du gouvernement, réaliser un acte « héroïque », prendre soin des personnes âgées, aider les plus pauvres, s’engager dans une oeuvre de charité, avoir un bon historique de crédit financier.

Ce qui vous en ferait perdre : tricher sur des jeux en ligne, participer à ce qui peut être considérer comme une secte, ne pas être sincère quand vous vous excusez pour un crime que vous avez commis, répandre des rumeurs sur Internet, poster des messages contre le gouvernement sur les réseaux sociaux, ne pas aller voir vos aînés régulièrement, protester illégalement contre les autorités, commettre des infractions routières.

Ce dont vous pourrez bénéficier avec un bon score : la priorité pour des admissions scolaires ou professionnelles, un accès facilité à des emprunts bancaires ou des crédits, des locations de véhicules, un accès à des salles de sport, des transports en commun moins chers, des temps d’attentes moins longs à l’hôpital, une promotion accélérée au travail, pas de file d’attente pour l’accès au logement social, des taxes réduites.

Comment vous serez punis si vous avez un mauvais score : certains services sociaux vous serons refusés, les vols et les TGV vont seront interdits, vous n’aurez plus droit aux crédits, vous ne pourrez pas travailler auprès du gouvernement, vous n’aurez pas accès aux écoles privées.

La liste noire : si votre score descend trop bas, vous serez ajouté à la liste noire. Le gouvernement vous humiliera alors volontairement auprès du public en affichant votre nom, votre numéro d’identité et votre photo à la télévision ainsi que dans les espaces fréquentés. Aussi, ceux qui vous appelleront sur votre téléphone sauront grâce à un message automatique que vous faites partie de la liste noire. Entrer sciemment en contact avec une telle personne vous fait aussi perdre des points…

Ce modèle n’est pour le moment présent qu’en Chine.

Réplication du modèle des entreprises au Canada

Le système est tout à fait similaire pour ce qui est des entreprises. En évaluant les performances de cette dernière et en analysant plusieurs composantes (taxes, protection de l’environnement, droit de douanes, etc), le gouvernement peut ensuite récompenser les bonnes entreprises et punir les mauvaises.

L’année dernière, le Canada assurait que ce dispositif était prêt à être mis en place chez eux.

Aujourd’hui, à Vancouver, un restaurant de la chaîne chinoise Haidilao Hot Pot est pleinement opérationnel. Équipé de 60 caméras, deux à chaque table, l’endroit est prêt à accueillir ses clients, et à les surveiller en permanence. Ryan Pan, le responsable du restaurant, rapporte lui-même que les caméras sont installées « pour punir les citoyens qui n’adhèreraient pas aux choix de l’entreprise », assurant par ailleurs que « les données récoltées étaient ensuite transférées en Chine. » Ainsi, le mode de vie chinois se répend à l’international car le PCC considère que ses citoyens doivent être surveillés même s’ils sont expatriés. De facto, cela leur permettra aussi d’avoir un oeil sur les Canadiens. Ce qui peut être inquiétant, c’est que les entreprises chinoises sont aujourd’hui très largement réparties à travers le monde. Les restaurants Haidilao à eux seuls sont présents à 935 endroits différents et comptent plus de 60 000 salariés.

La réponse canadienne

Si certaines personnalités canadiennes se sont vivement montrées contre ces installations, il se trouve que les lois actuelles du pays ne peuvent pas réellement empêcher les entreprises chinoises d’installer leurs caméras. Le ministre du Travail de Colombie-Britannique, Harry Bains, a été interrogé pour savoir s’il avait prévu de modifier les lois pour protéger les citoyens canadiens vis-à-vis de la protection des données, mais aussi des punitions qu’ils encourent. Lui, tout comme la ministre des Services aux citoyens Lisa Beare, espère simplement que les citoyens respecteront et adhèreront au système, qui se repose uniquement la Personal Information Protection Act (PIPA).

Le 9 février 2021, David Vigneault, le directeur du service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), assure au cours d’une déclaration publique que « la menace ne vient pas du peuple chinois, mais plutôt du gouvernement chinois qui poursuit une stratégie d’avantage géopolitique sur tous les fronts – économique, technique, politique et militaire – et utilise tous les éléments du pouvoir de l’État pour mener des activités qui constituent une menace directe pour notre sécurité et notre souveraineté nationales. »

Malgré cette mise en garde, et des relations parfois tendues avec la Chine, Justin Trudeau ne semble pour l’instant pas opposé à l’insertion du modèle chinois au Canada.

La Chine, après avoir imposé au monde son modèle économique en seulement quelques années, propose désormais son modèle social fondé sur la surveillance permanente des citoyens, les récompenses et les punitions.

Les virus s’enchaînent… Après le SARS-Cov2, le prochain sera-t-il celui du contrôle social ?




Billet charmant : où est ce Prince qui ne m’a pas embrassée, que je l’extermine ?

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

La culture de la destruction qu’est la cancel culture (en effet, c’est moins violent en anglais) s’attaque maintenant à Blanche Neige. Ou plutôt à ce pauvre Prince Charmant qui, sous le charme de la jeune femme, a eu la mauvaise idée de l’embrasser alors qu’elle était endormie. Ca mérite bien un combat ! Il n’y a rien de plus important aujourd’hui pour ces deux journalistes/activistes, que de s’attaquer aux Princes charmants, qui déjà ne courent pas les rues à force d’émasculation forcée de nos sociétés dévitalisées. Que deux personnes, mal dans leur peau, n’aient pas réussies à dépasser le stade de l’adolescence, c’est leur problème, mais comment notre société a pu se dégrader à ce point que des individus aussi primaires puissent avoir une telle audience ?

Un excellent article dans Le Figaro replace parfaitement le faux débat du baiser du Prince Charmant à sa place. L’on regrettera seulement cette nouvelle mode de ne pas signer ces textes…

Après les relectures anachroniques des pièces du dramaturge grec Eschyle, après le déboulonnage des statues de Churchill et de Colbert, après la dégradation de la petite Sirène de Copenhague, aurions-nous touché le fond ? C’est au tour de Blanche-Neige, conte mythologique des frères Grimm revisité en conte de fées au XXe siècle par Walt Disney, de se voir clouer au pilori par les disciples d’une cancel culture, mâtinée ici du plus intransigeant néoféminisme.

Et ce néoféminisme, qui n’a rien à voir avec les femmes, comme toujours porté Outre-Atlantique par deux activistes qui n’ont rien de journalistes, poussant le fanatisme à sa fin logique – la bêtise la plus crue. Et comme souvent, ce vent mauvais d’Amérique, prétend être un zéphyr, ce vent d’ouest jadis divinisé par les Anciens. Traquant la moindre trace de «cette domination patriarcale blanche», qui aurait soumis le monde depuis la nuit des temps, deux journalistes du SF Gate, la version numérique de l’important journal californien San Francisco Chronicle, ont cru déceler dans l’histoire de cette malheureuse princesse victime de la jalousie assassine d’une méchante reine, «un problème majeur». Dans la scène finale, le geste d’amour salvateur que lui donne le prince charmant ne serait pas autre chose, selon elles, qu’un vulgaire «baiser non consenti» et donc subi par l’héroïne.

Et elles insistent pour que Walt Disney modifie la fin – sans n’avoir rien à proposer. C’est bien l’impasse (heureusement pour nous) de ces mouvements dits « progressistes ». Ils ne sont que destructeurs, ils s’attaquent à ce qui existe, le dégradent, mais ils sont incapables de produire un monde attrayant.

Deux activistes n’ont toujours pas dépassé le refus de leur Prince Charmant de les embrasser et veulent alors exterminer tous les Princes Charmants. Ils sont déjà peu nombreux… Ne m’en voulez pas Messieurs, rien de personnel, cela ne nous empêche pas de vous aimer – comme vous êtes. Tout comme nous espérons être aimées comme des femmes et non pas comme des Princesses fantasmées. 

En quoi cela nous empêche-t-il d’aimer les Princes Charmants et les Princesses ? En quoi cela nous empêche-t-il d’aimer le rêve que les contes de fées mettent dans notre enfance, puis dans notre vie ? Laissez-nous fantasmer tranquilles !

Pourquoi des individus primaires, incapables de faire la différence entre la vie et le rêve, doivent-ils dicter leurs règles ? Pourquoi doit-on appauvrir notre monde, pour le rendre aussi fade, aussi vide, aussi triste que ces activistes ? Et surtout que nous est-il arrivé pour qu’ils aient une telle audience ?!

PS : Pour information, je crois aussi au Père Noël, vous savez ce vieux mâle Blanc, qui vient voir les petits enfants la nuit… Étrange qu’il n’ait pas encore été accusé de pédophilie celui-là…




Le totalitarisme vaccinal s’exprime sans masque

Par Gérard Delépine

Dans un journal financier français appelé l’Opinion,(([1] 2 mai 2021)) la chronique d’un inquisiteur de la secte covidiste, Éric le Boucher, jette le masque et affirme sans honte :

« il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ».

Au-delà de la banalisation inadmissible d’un passeport vaccinal que trois quarts des Français refusent en dépit de l’intoxication médiatique,(([2] LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) punir ceux qui refusent l’injection expérimentale d’une thérapie génique intitulée à tort « vaccin » devient une idée proposée par un journaliste français. Il est temps de se réveiller !

Que ceux qui pensent exagérée la comparaison de notre époque avec des périodes troublées des années trente, et les angoisses sur les mesures extrêmes comme l’isolement dans des « camps » appelés encore pudiquement hôtels de résistants à la secte covid, et éventuellement l’éloignement des enfants, soient vigilants à ce qui n’est encore qu’écart de langage, mais impose une attention de tous les instants de ceux pour qui les mots de liberté, de consentement éclairé, de convention d’Helsinki ou de code de Nuremberg ont encore un sens.

Cette chronique menaçante de l’Opinion affiche l’ignorance scientifique et/ou mauvaise foi du rédacteur, et proclame son mépris pour la démocratie, et la volonté du peuple.

Il faut la dénoncer, car malheureusement la faiblesse des réactions politiques à l’annonce d’un passeport vaccinal, sauf exception, ne saurait rassurer. L’hypnose ayant accompagné la sidération induite par une propagande continue sur les chaînes d’information TV ou radio et la presse écrite a conduit à un état d’apparente décérébration ou au moins d’apathie d’une part encore importante de la population, même si le réveil semble avoir quelques frémissements. Goebbels, de l’enfer où il brûle sûrement, doit être jaloux de la puissance médiatique actuelle et de ses pouvoirs de censure mondiale…

Ignorance et incohérence de la chronique à propos des USA

Manifestement, cet article comme d’autres n’a pas bien analysé la régression de l’épidémie aux USA. Contre toute évidence, il attribue celle-ci à la vaccination.

Or le recul de l’épidémie aux USA a commencé dès janvier 2021, alors que le taux de vaccinés ne dépassait pas les 5 %. En totale contradiction avec le credo de sa chronique :

« si l’on veut en finir véritablement avec cette pandémie, il faut atteindre le fameux seuil de “l’immunité collective”, autour de 70 % de la population vaccinée ».

En mars 2021, le gouverneur du Texas, Greg Abbott a supprimé les mesures prétendument sanitaires sans écouter les covido-terroristes, dont Joe Biden et Fauci, qui lui prédisaient un cataclysme épidémique. Il s’est aussi attiré les injures d’autres covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom déclarant que cette décision était « absolument irresponsable ». Beto O’Rourke qualifiait le parti républicain du parti du « culte de la mort », et Joe Biden estimait la décision de « pensée néanderthalienne », Keith Olbermann répétait que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Leur boule de cristal les a trahis. La vérité est têtue. Au Texas, revenu à une vie quasi normale, la régression de l’épidémie s’est poursuivie sans que les modélisateurs annonciateurs de catastrophes parviennent à s’expliquer sur les erreurs considérables de leur dernière prophétie catastrophique démentie par les faits.

La décision du Texas a été suivie par les autres gouverneurs républicains, puis dans de nombreux états démocrates ainsi que l’illustre cette carte publiée le 3/5 par le New York Time.

Aux USA, depuis janvier 2021, la régression de l’épidémie se poursuit partout et plus rapidement dans les états libérés que dans ceux qui maintiennent des restrictions. Ceci démontre que les confinements et l’obligation du port des masques et des autres mesures pseudo-sanitaires ne servaient à rien ou étaient délétères, n’en déplaise aux désinformateurs de Arte et France télévision.(([3] Désintox. États-Unis : non, le Texas n’a pas démontré l’inutilité du port du masque antiCovid
France télévision le 16/04/2021))

Compte tenu de cette évolution naturelle favorable et des complications parfois graves des pseudo-vaccins actuels, les Américains ont compris que la « vaccination » actuelle présentait une balance avantage/risques très défavorable pour la très grande majorité de la population et ils ont déserté les vaccinodromes.

Ceci est jugé intolérable par Éric Le Boucher dont les convictions démocratiques paraissent bien incertaines et qui réclame une obligation vaccinale par des médicaments expérimentaux qui n’ont toujours pas reçu d’autorisation autre que conditionnelle de mise sur le marché, les essais ne devant clore leur première estimation qu’en 2023.

Heureusement que la Constitution américaine protège mieux les Américains que la nôtre ou qu’elle est mieux respectée.

Les vaccinalistes à outrance voudraient vendre 7 milliards de vaccins même à ceux qui n’en ont pas besoin. Dans quel but ?

Fort de leur foi en des produits (ou en bons représentants de commerce de l’industrie pharmaceutique ?) Le Boucher et d’autres affirment : « il faudra vacciner au moins 70 % des 7,7 milliards d’individus sur Terre » comme l’avait déjà proposé un député français sur sud radio en avril 2020. Ils ne remarquent pas que le Covid a surtout sévi dans les pays occidentaux riches et qu’il n’y a donc aucune raison et au contraire beaucoup de risque à introduire les vaccins actuels dans des pays sans mortalité Covid 19 notable.

En effet, dans ces pays, les courbes publiées par l’OMS(([4] Que chacun peut vérifier sur https://covid19.who.int/)) montrent que la vaccination est suivie pendant quatre à six semaines d’une explosion de la mortalité attribuée au Covid19.

Qu’il s’agisse de la Mongolie :

De la Thaïlande :

Ou du Cambodge :

Ou encore les micro-États européens comme Monaco ou Gibraltar

OBJECTIFS OFFICIELS DES VACCINATIONS ANTICOVID

Le but théorique de la vaccination est de diminuer le nombre de malades et d’éviter les transmissions et les formes graves. Les données de l’OMS prouvent que c’est le contraire qui se produit avec les vaccins covid actuels.

Dans les pays souffrant fortement du Covid, des évolutions post vaccinales désastreuses ont aussi été observées

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril :(([5] Bilan catastrophique sur la vaccination en Israël – Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com) ))

« les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente. Ces mois de janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle depuis le début de l’épidémie et totalise près du quart de la mortalité globale.

Des évolutions aussi inquiétantes ont été constatées au Chili :

en Inde

au Koweït

aux Émirats Arabes Unis,

au Bahrein(([6] G Delépine : Et surgit une hécatombe post vaccinale
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Mais la foi des vaccinolâtres dans la vaccination Covid19, comme toutes les croyances, ne se discute pas et ne peut pas être mise en cause par les faits avérés dans le monde réel. Triste pour les victimes des vaccins et leurs proches.

Le totalitarisme militant

Le Boucher, entre autres, proclame sans honte :

« les gouvernements devront imposer, comme avec le confinement, la santé collective contre la liberté individuelle ».

Pourtant le confinement n’a pas imposé « la santé collective » dans le monde réel, mais lui a considérablement nui, augmentant la mortalité Covid et celles de toutes les pathologies chroniques, l’aggravant par les complications psychiatriques et les morts collatérales par défaut de soins.(([7] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique)) Tous les pays qui ont imposé cette technique moyenâgeuse se retrouvent dans le peloton des plus fortes mortalités Covid19 par million d’habitants.

Tous les religieux fanatiques ou prophètes illuminés de cette secte covidiste tentent de nous effrayer avec la bête. Le Boucher le formule ainsi : « la bête n’est pas sur le déclin, elle n’est pas morte, elle peut revenir, donc elle reviendra » avant de réciter un crédo sans aucun argument scientifique du monde réel. « Pour en finir une bonne fois pour toutes, il faut vacciner tout le monde ou presque ». N’a-t-il jamais entendu parler des traitements précoces qui ont réglé le problème dans tous les pays qui l’ont accepté ?

Les covidistes militants, dont le Premier Ministre, ignorent-ils que le Pr Delfraissy lui-même ne croit plus au confinement ni au vaccin salvateur ainsi qu’il l’a précisé dans sa lettre récente au Lancet(([8] L Atlani-Duault, B Lina, B Chauvin, JF Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 VOLUME 6, NUMÉRO 4.)) cosignée par des membres du conseil scientifique ?

« Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».

Même le ministre de la Santé français commence à parler d’antibiotiques, d’anticoagulants pour les malades et Boris Johnson promet aux Anglais des traitements précoces à prendre à domicile pour septembre. Le journal l’Opinion retarde-t-il d’une guerre ou bien faut-il vendre le maximum de vaccins avant de devoir les jeter comme pour le vaccin de H1N1 de Mme Bachelot passée à la culture…

La vraie bête immonde qui nous menace dans le monde réel est le totalitarisme, quel qu’en soit le prétexte.

Les fanatiques de la secte Covid19 qui crachent depuis plus d’un an sur notre devise « Liberté », notre Constitution, notre démocratie sont responsables de la pire crise sociale, sanitaire, éducative, économique depuis un siècle.

S’ils « croient » au vaccin (ce qui est leur droit absolu), qu’ils se vaccinent, mais qu’ils soient logiques. Puisqu’ils sont sûrs de l’efficacité de leur médicament, ils devraient se sentir protégés et n’ont donc aucune raison d’avoir peur du contact avec les non-vaccinés et de vouloir imposer aux autres leur croyance mortifère, les discriminations, ou la nouvelle étoile jaune (le pass).

Les USA nous ont montré que le retour à la liberté est parfaitement possible sans risque. Suivons son exemple.

Les résultats des essais ne seront pas connus avant plusieurs mois

Il faut attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et des campagnes vaccinales actuelles pour savoir si les vaccinés seront réellement globalement protégés et durant combien de temps, si la vaccination peut réellement diminuer les contaminations sur le long terme et si les complications ne seront pas trop nombreuses, en particulier chez les vieillards à comorbidité lourde qui auraient dû constituer la cible naturelle de cette thérapie.

Ce n’est donc qu’en 2023 que le bilan avantages-risques pourra commencer à être évalué permettant de définir éventuellement des indications médicalement fondées.

Les menaces des vaccinolâtres témoignent de leur foi, mais n’apportent aucun argument scientifique et leur agressivité sectaire montre le danger des extrémismes totalitaires.

Se contenter d’excommunications ou de fatwas contre ceux qui doutent nous ramène quelques siècles en arrière au temps des guerres de religion.

Revenons aux faits avérés et confrontons des arguments objectifs.





Crise sanitaire : « On va demander à la population de choisir entre 2 camps », estime Vincent Pavan

[Source : Epoch Times France]

Vincent Pavan est mathématicien, enseignant-chercheur à l’université d’Aix-Marseille. Sollicité par la défense dans le cadre d’une procédure judiciaire engagée à l’encontre de deux restaurateurs biterrois par le procureur de la République de Bayonne, il a revu le premier volet de l’étude ComCor, qui porte sur les lieux et les circonstances de contamination au virus Sars-COV-2.

Une étude épidémiologique coordonnée par le professeur Arnaud Fontanet, membre de l’Institut Pasteur et du Conseil scientifique, et menée en partenariat avec la Caisse nationale d’assurance Maladie (Cnam), Santé Publique France et l’institut de sondage Ipsos.

Cette étude a notamment été citée par Jean Castex au mois de décembre 2020 pour justifier le maintien de la fermeture des cafés et des restaurants décidée à la fin du mois d’octobre, dans le cadre du deuxième confinement.

La méthodologie retenue pour réaliser l’étude ComCor est-elle fiable ? Comment fonctionne le Conseil scientifique ? Quel regard peut-on porter sur la somme de chiffres et de statistiques produits depuis le début de l’épidémie ?

Esprits de Liberté a rencontré Vincent Pavan pour répondre à ces questions.




Macron et le chaos

[Source : RT en français]

Par Anne-Sophie Chazaud

Le niveau de chaos et de délitement désormais atteint dans notre pays est tel qu’il est devenu difficile de réagir. D’abord parce que nous sommes nombreux à avoir annoncé, dénoncé, prévenu ce qui était en train de se produire. Ensuite parce que la colère, la rage mais aussi une forme d’impuissance nous envahissent face à l’amoncellement des difficultés auxquelles nous sommes à présent confrontés. 

Hier soir, quelques jours à peine après l’égorgement islamiste d’une fonctionnaire de police, un policier qui perturbait le trafic de drogue a été abattu. Et je constate avec un dégoût profond l’opportunisme des soutiers du pouvoir pour récupérer à eux ce drame alors qu’ils en sont les principaux responsables.

Je rappelle donc que, pendant de longs mois, notre police a été dévoyée délibérément dans le but de réprimer l’opposition sociale et politique visant la critique de l’action macronienne, laquelle consiste à liquider le pays. Que la doctrine et les pratiques du maintien de l’ordre ont dans ce cadre politique été délibérément dévoyées, tournées contre le peuple de France, comme cela a été fort justement dit dans la lettre/constat des militaires la semaine dernière, tant critiquée à grands cris d’orfraies par ceux-là mêmes qui aujourd’hui versent des larmes de crocodiles sur le fruit de leur incurie, de leur mauvaise foi et de leur perversité.

« Il serait plus judicieux de cesser d’employer les forces de police à matraquer fiscalement avec zèle le peuple français pour des attestations d’Absurdistan »

Pendant que le pouvoir s’occupait et occupait notre police républicaine à mater le peuple, nous n’avons cessé de prévenir au sujet de l’ensauvagement du pays, nous disions «la racaille tue», nous refusions la lâcheté coupable d’un Castaner qui voulait faire mettre le genou à terre pour un meurtre commis de l’autre côté de l’Atlantique.

Le Garde des Sceaux, tout occupé à lutter contre le fascisme d’il y a 70 ans, déclarait que la France n’était pas un coupe-gorge tandis que, pour chacun de nos simples constats, nous étions réduits promptement ad hitlerum. 

Nous avons mis en garde lorsque des Tchétchènes et des Maghrébins firent la loi par les armes dans la capitale de la Bourgogne, lorsqu’Axelle fut abjectement tuée, lorsque tant d’agressions se produisirent. Depuis des semaines nous alertons sur la guerilla urbaine qui s’est désormais installée partout, et nous faisions remarquer qu’il serait plus judicieux de cesser d’employer les forces de police à matraquer fiscalement avec zèle le peuple français pour des attestations d’Absurdistan.

« Les rues sont, pour cause d’absurde couvre-feu, livrées, passée une certaine heure, aux seuls hommes et en particulier à ceux qui viennent semer le chaos »

Chaque semaine désormais des églises brûlent dans le total silence des autorités, des quartiers tous les soirs s’embrasent, les centres villes sont les scènes de violences, de rodéos, de n’importe quoi. Les rues sont, pour cause d’absurde couvre-feu, livrées, passée une certaine heure, aux seuls hommes et en particulier à ceux qui viennent semer le chaos. J’alerte sur ce point depuis des mois, sur cette insécurité totale engendrée en particulier par la prise de contrôle de l’espace public nocturne par les racailles à cause du couvre-feu.

« À aucun moment de ce quinquennat la sécurité des Français n’a été une priorité. »

La police est débordée et n’a plus les moyens de faire face, mais lorsque nous lisions Obertone, lorsque nous alertions, là encore nous étions traités de nazis et autres vieilles lunes pour gauchistes sur le retour en mal de programme. L’urgence était alors à la répression politique et sociale, pendant que les petits SA du système étaient laissés libres d’étendre leurs méfaits pour «ne pas faire de vagues» (et en réalité pour servir le pouvoir par la désorganisation de la nation tant honnie).

À aucun moment de ce quinquennat la sécurité des Français n’a été une priorité.

Tout était écrit, par nous en particulier, et voilà le résultat. Ce quinquennat est bien celui du chaos. Il a précisément prospéré, existé, intrinsèquement, grâce au chaos et à la dislocation du pays. Espérons que les Français s’en souviendront plus de dix jours.




Antidote au délire sanitaire et vaccinal des gouvernements et des médias dominants

[Source : Pierre Chaillot. Transmis par Ben Lyo]

[Pierre Chaillot rejoint les conclusions de Marc Girard concernant l’absence de significativité sanitaire de la présence d’un virus covid19 (voir https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/#Un_quizz_conclusif_et_concluant). Il le montre avec des éléments imparables reprenant simplement les statistiques de décès officielle.]

1 – 100 000 morts, vraiment ? (28 avril 2021 – vidéo 20 minutes)

2 – La dictature des tests (22 février 2021 – vidéo 19 minutes)

3 – Nouveau confinement : l’excuse des jeunes (2 avril 2021 – vidéo 8 minutes)

4 – Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ? (18 janvier 2021 – vidéo 10 minutes – c’est cette vidéo qui est reprise par Les Décodeurs du journal Le Monde et rediffusée dans la vidéo en 7)

5 – Les mauvais calculs d’une vidéo qui prétend que le Covid-19 serait « moins mortel que la grippe en 2017 » (Article des Décodeurs critiquant la vidéo en 4 – 22 janvier 2021) :
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/01/22/les-mauvais-calculs-d-une-video-qui-pretend-que-le-covid-19-serait-moins-mortel-que-la-grippe-en-2017_6067272_4355770.html

6 – Covid VS Grippe : les mauvais calculs des décodeurs (27 janvier 2021 – vidéo 9 minutes répondant à l’article des Décodeurs en 5)

7 – L’arnaque de la chute de l’espérance de vie (11 avril 2021 – 16 min)

8 – COVID-19 : « LE PAPY-BOOM FAIT DE LA RESISTANCE ! » (Interview vidéo de Pierre Chaillot 1h35, par un média indépendant avec également la participation d’un Gilet Jaune) :
Sauter la partie entre 6 min 45 et 16 min 30 qui n’est que la rediffusion de la vidéo Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ?

9 – Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale (Marc Girard – 23 juillet 2017)
L’article de Marc qui mettait déjà en lumière les imbécillités de Adrien Sénécat des Décodeurs du journal Le Monde, rédigé au moment de la promotion du futur élargissement des obligations vaccinales.

Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale

23 juillet 2017

RÉSUMÉ – L’indigence des contributions signées par « les Décodeurs » du journal Le Monde me paraissait tellement évidente que je n’avais pas spontanément éprouvé le besoin d’en parler; néanmoins, il m’a été fait demande de les réfuter. Exécution…

Table des matières

  • Introduction
  • Critères intrinsèques de crédibilité
    • La vérité comme monopole durable
    • Formation intellectuelle
  • “Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)
  • “Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)
  • Conclusion

Introduction

Sous la rubrique « Venons-en aux faits », dont les rédacteurs ont été vaccinés d’office contre le doute cartésien et dont le titre suinte déjà l’humilité scientifique, le journal Le Monde éjacule sans désemparer des articles sur les vaccinations, qui s’ajoutent à d’autres contributions non moins rigoureuses[1] complétées par celles de blogueurs invités tels que celui qui introduit sa chronique de la façon suivante, laquelle suinte, elle, le souci de vérification : « Les vaccins constituent la plus belle victoire de la médecine »…

Réclamé par certains lecteurs, le présent article vise un décodage du décodage, mais sans souci d’exhaustivité : comme je dis souvent, « on n’a pas besoin de manger un œuf jusqu’au bout pour voir qu’il est pourri ».

Critères intrinsèques de crédibilité

La vérité comme monopole durable

Que les employés de Pierre Bergé (qui ne voit aucune différence entre salarier sa force de travail et louer son ventre à fin de gestation pour autrui) ou Xavier Niels (qui a gagné ses premiers sous grâce au Minitel rose) s’imaginent que la vérité scientifique, c’est juste un truc parmi d’autres qu’il suffit d’acheter comme le reste, cela n’est guère étonnant. Personnellement, je ne connais qu’une seule instance (elle aussi pourvue de moyens financiers conséquents) qui ait revendiqué un monopole durable de la Vérité : c’est le Saint-Office.[2] Autant dire que les « décodeurs » du Monde s’inscrivent dans une tradition notoirement prisée pour son ouverture d’esprit et son souci de la vérification expérimentale – demandez à Galilée.

Foin du passé, de toute façon : la rhétorique d’intimidation scientifique derrière le procédé qui consiste à se poser en croisé de la science (et donc à ravaler tout contradicteur au rang de mécréant) se déchiffre aisément sur la base de quelques précédents (parmi bien d’autres…).

  • Au moment de l’escroquerie H1N1, le site « Hoaxbuster » (supposé, comme « Venons-en aux faits », ne connaître que l’irréfutable Loi de la Science) avait mandaté un de ses preux pour se faire mon scalp « d’imposteur ». Dans l’affrontement-minute qui a suivi, les heaumes sont vite tombés : tandis que, conformément à mes prévisions depuis le tout début, la pandémie faisait lamentablement pschitt, il est vite apparu qu’au terme d’un cursus regrettablement erratique et lamentablement stérile, le croisé en question n’avait trouvé d’autre issue dans sa vie qu’acheter un ersatz de « diplôme » (n’ayons pas peur des mots…) moyennant deux mois de formation aux « éléments du langage médical » dispensée dans une école payante vouée au recrutement de sous-sous-larbins au service de l’industrie pharmaceutique…
  • S’attaquant à moi quelques années plus tard avec le courage de l’anonymat, mais assez bêtes pour laisser transparaître l’identité de leur sponsor, les collaborateurs du site PSIRAM – également autoproclamés défenseurs intransigeants de la Science – n’ont même pas été capables de trouver mon CV pourtant parfaitement disponible dès la page d’accueil de mon site, ce qui les a ridiculement conduits à m’attribuer – entre autres – des écrits d’exégèse biblique (dont le véritable auteur est un éminent homonyme, étranger de surcroît) : pour diverses raisons d’ordre biographique (dont je ne suis pas fier), j’ai déjà eu beaucoup de mal à apprendre – tardivement – un peu d’anglais, et j’avoue ne pas me sentir très à l’aise avec l’hébreu et l’araméen dans le texte… Mais il faut croire que pour mes sourcilleux critiques-au-service-de-la-Science, le travail de recherche documentaire, c’est du chinois…
  • Je suis tombé l’autre jour par hasard sur un autre site du même genre, dont je n’ai même pas retenu l’adresse, qui pourfendait sélectivement quelques anti-vaccinalistes parmi les plus nuls, tout en me citant subrepticement dans la « bibliographie » qui suivait mais évidemment sans prendre le risque de formuler précisément la moindre critique me concernant. Cette stratégie d’amalgame m’a rappelé ce passage d’un très officiel bouquin catho publié sous Vichy, qui se lançait dans une dénonciation collective en commençant de la façon suivante (je cite de mémoire, mais c’était le ton) : « Les communistes, les socialistes, les libertins, les francs-maçons (…) ». On a l’esprit Saint-Office ou on ne l’a pas…

À côté de ce procédé faux-cul qui consiste à décrédibiliser par allusion globalisante un intervenant significatif (qui peut inscrire à son tableau de chasse, entre autres, un rôle à tout le moins significatif dans le lamentable échec de la campagne de vaccination contre le H1N1) mais en esquivant la tâche de le réfuter sur ce qu’il a vraiment dit,[3] il y a aussi la méthode-Tartarin consistant à réfuter pied à pied un contradicteur qui n’en n’est pas un : dans le premier des deux articles qu’on va examiner plus bas, le décodeur de service va citer pas moins de sept fois Michèle Rivasi, dont on ne sache pas qu’elle ait la moindre compétence en matière de pharmacie industrielle ou de médecine, et dont l’un des titres de gloire les plus récents consiste à s’être posée en vaillant défenseur du vaccin contre la rougeole : c’est un retour « aux faits » finalement assez confortable que de fonder une propagande sur une pseudo-réfutation des propagandistes du même camp…[4] Mais le chevalier servant de « la » Science chérie par Le Monde ne se contente pas de réfuter une ancienne prof. de SVT : avec une audace qui frise la témérité, il va jusqu’à affronter le site breizh-info.com, tristement connu pour avoir fait courber l’échine des Riches et des Puissants, représentant parmi les plus redoutés de ce que d’autres croisés impayables dénoncent sans rire comme « lobbys (sic) antivaccinaux ».

Sans entrer dans une réflexion épistémologique tant soit peu élaborée, disons simplement que cette illusion que quiconque pourrait durablement s’installer dans le bunker de la Vérité pour y canarder les « imposteurs » ou dissiper « la rumeur » signe assez une remarquable inculture – pas seulement scientifique, d’ailleurs. C’est sur la base de cette évidence qu’avant qu’on ne m’en fît explicitement la demande, je n’avais jamais pris la peine de réfuter les bouffons qui se présentent comme missionnés (mais sans jamais nous dire par qui) pour « décoder » une réalité scientifique dont ils sont si manifestement éloignés.

Formation intellectuelle

La moindre des choses, quand on prétend prendre une position publique sur un problème technico-scientifique, c’est de justifier sur la base de quelle formation et de quelles réalisations antérieures. Les contributions de propagande vaccinale que je me propose d’analyser aujourd’hui ayant été rédigées par un certain Adrien Sénécat, il suffit de cliquer sur son nom pour constater, à partir de sa photo, qu’il n’a les cheveux blancs ni de l’érudition ni de l’expérience[5], et apprendre qu’il est simplement « journaliste », on ne sait même pas d’où : sans ironiser une fois encore sur le niveau des « journalistes » français tel qu’il saute aux yeux de n’importe quelle personne ayant un minimum de familiarité avec ce milieu, on émettra quelques doutes quant à la compétence que peut conférer une école de journalisme relativement à une problématique technico-réglementaire intriquée et complexe qui échappe déjà à la plupart des professionnels de santé[6] (pour ne rien dire des juges « spécialisés »)…

On se le permettra d’autant plus que ce même lien conduit à d’autres contributions dont notre jeune « décodeur » est apparemment très satisfait, et qui concernent, pêle-mêle, la circulation des informations, le problème du cumul chez les parlementaires, l’affaire des « pièces jaunes », les armes chimiques, les tensions religieuses, le terrorisme, le végétarisme, le chômage, la répression policière – j’en passe beaucoup, et des meilleures. Ce n’est certes pas sous ma plume que l’on trouvera une condamnation de principe de l’interdisciplinarité, mais outre qu’il s’agit alors plus d’une ascèse que d’une distraction, outre qu’entre apprendre pour soi et exposer pour les autres, il y a quand même un sacré saut, le dilettantisme de notre pigiste grimé en journaliste est encore confirmé par le temps record (moins d’un an et demi) qu’il lui a fallu pour rédiger (évidemment chaque fois après « enquête » – hi !hi !) pas moins de 34 « articles ».[7] C’est bien facile de « décoder » le Réel quand on n’a fait aucun effort pour en mesurer la complexité…

De nouveau, si je n’avais pas été expressément sollicité pour réfuter ces torche-culs, le constat qui précède aurait largement suffi pour que je passe mon chemin sans m’y attarder davantage : ne pas perdre son temps, ni son énergie, sur ce qui n’en vaut manifestement pas la peine est justement la fonction principale de mes « critères intrinsèques de crédibilité ».

Ces quelques préliminaires méthodologiques étant posés, examinons d’un peu plus près deux des récentes contributions de notre journaleux polygraphe – en pastichant, pour détendre l’atmosphère, la rhétorique faraude du site « Les Décodeurs » (« Pourquoi c’est faux/ Pourquoi c’est exagéré […] »).

“Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)

Onze vaccins, mais pas onze piqûres à la fois

Pourquoi c’est exagéré

Il s’agit, pour notre sémillant décodeur, de décrédibiliser les abrutis qui voient un risque dans l’augmentation du nombre d’immunisations. Cependant :

  • si le nombre d’injections est un paramètre insignifiant, pourquoi ce dernier a-t-il été outrageusement exploité par le marketing pharmaceutique pour justifier l’introduction de vaccins multivalents (supposés permettre une réduction du nombre d’injections) ?
  • à limiter le nombre d’injections au seul problème de ce qu’un professionnel de recherche clinique appellerait « la qualité de vie » (à savoir, en l’espèce, les conséquences immédiatement douloureuses), notre oblat de la Science emboîte le pas aux commerciaux des fabricants qui s’obstinent à ignorer que le risque de réaction auto-immune est forcément augmenté par le nombre des immunisations (la fameuse « mosaïque de l’auto-immunité »).

Les nouveaux vaccins ont beaucoup moins de molécules antigéniques que les vieux

Pourquoi c’est inepte

On aimerait bien savoir comment le porte-plume de Bergé-Niels déguisé en porte-oriflamme de la Vérité fait en pratique pour dénombrer, quasiment à l’unité près, le nombre d’antigènes administrés par vaccin ! Sait-il qu’avec le moindre médicament, si anodin soit-il, on est dans une totale ignorance du nombre total de métabolites (molécules dérivées de la molécule-mère après « digestion » par l’organisme), dont certains peuvent néanmoins déclencher des réactions graves même s’ils n’existent qu’à l’état de trace indétectable par les moyens analytiques disponibles ? A-t-il entendu parler des normes de tolérance en matière d’impuretés, qui attestent qu’en pratique personne ne prétend maîtriser l’intégralité des substances contenues dans un produit manufacturé (qu’il s’agisse de médicament, de cosmétique, de produit alimentaire…) ?

Un bébé n’est pas « trop fragile » pour supporter des vaccins

Pourquoi c’est aussi idiot que monstrueux

  • C’est idiot : apparemment chapitré sur la portée de cet indice minimum de crédibilité, notre journaliste spécialisé en tout ne peut néanmoins s’empêcher de retomber dans une globalisation de propagande : si « LES » vaccins sont une entité dont on peut parler globalement, aurait-il l’obligeance de revenir sur le retrait d’Hexavac et sur ses raisons ? Sur celui du DTP ? Sur celui de Pandemrix ? Personne ne serait assez idiot pour clamer qu’un bébé n’est pas trop fragile pour supporter DES médicaments : ça dépend lesquels. Eh bien ! n’est-ce pas la même chose avec LES vaccins?…
  • C’est monstrueux : quand la tendance actuelle consiste à contourner le préalable naguère inévitable des essais cliniques, on aimerait bien que notre porte-voix de la pègre médico-pharmaceutique fasse une revue sérieuse des études attestant la bonne tolérance DES vaccins chez LE bébé (lequel, déjà ? Rappelez-moi son nom…). Dans l’entretemps, ce n’est pas sa référence ridicule à « une étude allemande de 2000 » qui sera de nature à rassurer quiconque dispose de la moindre compétence en recherche clinique :
    • aucune information sur le financement, aucune procédure d’aveugle, procédure de randomisation même pas apte à garantir un sex ratio équilibré entre les groupes et, de toute façon, ridiculisée par un taux d’exclusion de 39% dans le groupe vacciné contre 11% dans le groupe non vacciné ;
    • encore plus fort : l’évaluation des défenses immunitaires des enfants s’est faite – en ouvert, donc – sur la seule base d’un suivi assuré par les mères
    • dans un article correspondant à un volume total d’environ 350 lignes, la section Résultats, en principe centrale, se limite à… 15 lignes.

Au total et pour résumer, l’étude – « allemande », nous dit Adrien Sénécat avec des étoiles dans les yeux –, financée par on ne sait qui, et auditée on sait encore moins par qui, s’est contentée, après consultation sommaire des mamans, de poser la question de savoir si des gamins vaccinés au su et au vu de tout le monde allaient mieux que des gamins non vaccinés, également au su et au vu de tout le monde. Inattendue mais imparable, imparable parce qu’inattendue, la réponse été « Jawohl, natürlich ! » – et elle a retenti comme un cinglant démenti à « la rumeur » qui véhiculait que les choses pourraient être un peu plus complexes…

Même Goebbels faisait plus subtil…

L’organisation mondiale de la santé estime que (…) on pourrait sauver 1,5 millions de vies supplémentaires en améliorant la couverture mondiale de LA vaccination

Pourquoi il y a des limites dans le foutage de gueule, même quand il est financé par Bergé, Niels & Co

Curieusement, notre journaleux oublie d’en « revenir au faits » pour décoder tout un tas de « rumeurs ».

  • Pourquoi faudrait-il croire sur parole l’OMS qui, parmi tant d’autres escroqueries, nous avait prédit une catastrophe sans précédent si on omettait de se vacciner contre le H1N1 ?
  • À quelle vaccination précise pense l’OMS sous couvert de LA vaccination (cf. ci-dessus) ? À Pandemrix, retiré dans les conditions de clandestinité que l’on sait, à cause de complications pour lesquelles la solidarité nationale continue de casquer ? Au DTP introuvable en France – bien qu’apparemment, il « pourrait » contribuer à un sauvetage de vies par centaines de milliers au moins ? À la forme d’Hexavac retirée précipitamment en 2005 ? Au vaccin contre la rage ? À celui contre la maladie de Lyme retiré non moins précipitamment par GSK voici quelques années, sans un mot d’explication crédible ? À celui contre le terrible fléau des érections matinales ?
  • En quoi les « Français de souche » (pour parler comme la chère Nadine), surtout s’ils n’ont pas de quoi partir en vacances (il y en a de plus en plus), seraient-ils concernés par le poids sanitaire de toutes les maladies infectieuses du monde entier ? La fièvre jaune ? La maladie du sommeil ? La bilharziose ? Les filarioses ? En quoi seraient-ils concernés par une morbi-mortalité certes infectieuse, mais notoirement corrélée à des facteurs tels que la malnutrition ou l’absence d’eau potable ? Si tout le monde est indistinctement concerné par tous les problèmes sanitaires dont l’OMS est supposée s’occuper, faut-il obliger – puisque ça devient la mode ici – tous les adolescents obèses de cheunoux à manger encore plus pour épargner « les millions de vies » menacées ici et là par la malnutrition ?

Le ministère de la santé estime que l’élargissement de la couverture vaccinale coûtera [seulement] entre 10 et 20 millions à l’Assurance maladie

Pourquoi l’esprit est prompt alors que la chair est faible

Quand on brandit les menaces de l’OMS (cf. ci-dessus) concernant les risques encourus si l’on ose résister aux injonctions de Big Pharma relayées par l’OMS, on peut brandir les estimations financières du gouvernement français quant au coût des cadeaux offerts à Big Pharma par le gouvernement français : c’est un peu comme si on s’était fié à Bokassa pour estimer la valeur des diamants qu’il avait offerts à Giscard. Du grand journalisme…

Les parents qui refusent la prison iront-ils en prison ? (…) Dans les faits, [l’article L3116-4 du Code de la santé publique qui prévoit un tel emprisonnement] est très rarement appliqué

Pourquoi la France va connaître une grave pénurie de moquettes si les amoureux des « faits » continuent d’en fumer autant

Il a dû échapper à notre champion du retour aux faits que tout l’objet du débat était précisément de changer la loi : que l’actuelle soit ou non régulièrement « appliquée » n’est guère informatif quant à la façon dont la nouvelle loi le sera…

Dans 30% des cas [d’hépatite B] en France, le mode de contamination est inconnu

Pourquoi l’homme qui a vu l’homme (…)

Sans me vanter, je pense avoir été le premier à documenter, textes en main, que les autorités françaises – notamment par la voix de leurs experts les plus éminents, tels que le président du CTV – s’étaient continûment fichues du monde avec leurs estimations alarmistes tant de la fréquence de la maladie que des modes de contamination. Avide, à la différence du jeune Sénécat, de « revenir aux faits » s’il peut s’avérer que je me suis trompé d’une façon ou d’une autre, je me suis donc précipité sur le lien fourni par ce dernier supposé documenter (« Venons-en aux faits ») son estimation quantitative des modes de contaminations inconnus.

Cependant, « la preuve » en question est un banal texte du site officiel Santé Publique France qui soutient textuellement (mais sans la moindre référence) : « Dans 30 % des cas, le mode de contamination reste inconnu »… Ainsi :

  • comme démontré plus haut avec l’estimation par les autorités sanitaires du cadeau offert aux fabricants par les autorités sanitaires, le décodeur du Monde n’a pas meilleure source que les autorités sanitaires pour vérifier la propagande mensongère des autorités sanitaires ;[8]
  • lorsqu’il veut prouver que dans 30% des cas, le mode de contamination reste inconnu, le jeune Sénécat fournit un lien Internet renvoyant à une assertion exactement identique quoique pas mieux référencée. Nous sommes typiquement dans la pathologie Internet que j’ai décrite dans une contribution récente :
    “Parler sans savoir et, par conséquent, sans avoir l’obligation morale de vérifier : il suffit qu’en cliquant, je puisse me convaincre que je ne suis pas seul à parler et m’entretenir dans l’illusion que je suis écouté. (…) Par rapport à une pensée aussi plate, en contenu, qu’une feuille de papier à cigarette, l’interconnectivité produit une illusion de profondeur : par contraste, quand on s’est effectivement approprié un savoir ou une pensée, on n’a pas constamment besoin de se rassurer en multipliant les connexions qui en imposent pour des références.”

À lui seul, ce dernier exemple devrait suffire à caractériser la véritable nature du site « Les Décodeurs » du Monde :[9] une bête instance de propagande, et particulièrement balourde de surcroît.

“Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)

À l’heure où l’on bat les blés au soleil en cumulant le plaisir de bronzer et celui de se refaire les biscoteaux, j’ai déjà été bien assez bon de commencer à évacuer – et gracieusement (sans même prendre le temps d’aller déposer une main courante, par exemple au Pôle santé…) – le fumier intellectuel sauvagement abandonné, en date du 11/07/17, par les décodeurs du Monde au beau milieu de la salle à manger. Comme annoncé en Introduction, ne comptez pas sur moi pour balayer toutes les déjections qui restent : mettez-vous au boulot ou évitez l’endroit.

Mais avant d’aller me tremper dans l’eau de Javel pour me désinfecter, j’aperçois encore une fosse à purin que je me propose de curer ; à cause de l’odeur – pour parler comme Chirac –, on va essayer de faire vite. Il s’agit du docte commentaire de notre décodeur sur une récente décision de la Cour de justice de l’Union Européenne (juin 2017) concernant la judiciarisation des complications survenues après vaccination contre l’hépatite B.

L’OMS a émis de sérieuses réserves

Pourquoi l’amour a ses raisons…

Ce n’est pas en lisant le journal de Pierre Bergé qu’on va s’émouvoir de l’intriguant amour qui unit si compulsivement l’OMS et les décodeurs du Monde (cf. plus haut), même si d’aucuns peuvent le juger contre-nature (l’intriguant amour – pas Pierre Bergé, cela va de soi)…

En tout cas, il faut vraiment les yeux de l’amour pour imaginer comme simplement possible une position critique de l’OMS à l’endroit des vaccins contre l’hépatite B, alors que, exactement comme avec le H1N1, cette instance a été l’ardent promoteur – forcément désintéressé – du génial projet de vaccination « universelle » tout au long des années 1990 : rappelez-vous le Viral Hepatitis Prevention Board

Rien ne permet donc aujourd’hui d’établir un lien de cause à effet entre [vaccination et SEP]

Pourquoi il vaut mieux entendre ça qu’être sourd

« Aujourd’hui », certes, vu ce que ça coûterait aux concepteurs et promoteurs du génial projet évoqué ci-dessus. Mais en 1991 – quand Adrien Sénécat n’était pas encore né – c’est bien le fabricant d’Engerix qui a pris l’initiative de demander aux autorités de mentionner le risque de SEP dans la notice du produit.

Et si, dans l’entre temps, le même Adrien Sénécat a eu l’occasion d’apprendre à lire, il pourra vérifier tout seul (un petit effort, allons !) que ce risque est toujours mentionné dans la plupart des notices de ce vaccin dans le monde entier.

Il pourra toujours soutenir – à l’instar de ses donneurs d’ordres – que ça ne veut rien dire, mais il aurait été plus crédible dans ses dénégations s’il avait été mieux informé de l’histoire : mieux informé des « faits », quoi… Et plus crédible, aussi, s’il avait connaissance des procédures réglementaires qui conditionnent la mention d’un tel risque dans le Résumé des Caractéristiques du Produit (c’est-à-dire, en l’espèce, dans la notice Vidal).

Accessoirement, s’avisant enfin du devoir de « vérification » pourtant posé en exergue du site où il sévit, Adrien Sénécat pourrait s’interroger sur la crédibilité de l’étude de Zipp et coll.[10] qui a tant contribué à réorienter la jurisprudence française dans une direction tellement plus favorable aux intérêts des fabricants. S’il ne sait pas faire, on pourra toujours l’aider…

Des débats juridiques qui dépassent le cadre scientifique

Pourquoi Macron va finir par rappeler son chef d’état-major en se disant que tout le monde peut péter une durite

Si le décodeur du Monde avait une meilleure connaissance des « faits » auxquels il prétend faire revenir ses lecteurs, il saurait que ce sont les promoteurs de cette vaccination[11], ainsi que les avocats des fabricants, qui ont constamment détourné la question scientifique cruciale (y a-t-il un lien de causalité ?) vers une problématique judiciaire, sinon juridique, en soutenant effrontément que si les fabricants étaient condamnés, cela engendrerait une intolérable crise de confiance du public à l’endroit de LA vaccination.

La justice européenne ne s’est pas prononcée sur le fond du dossier

Pourquoi « oculos habent et non videbunt »[12]

Tout dépend de ce qu’on appelle le « fond » : personne – à l’exception des fabricants et de leurs avocats (cf. plus haut) – n’aurait eu l’idée incongrue de demander à la justice de se prononcer sur la question scientifique du lien de causalité.

Mais si le « fond » du dossier tient aux conditions d’exonération de la responsabilité des fabricants dans l’apparition de complications vaccinales, notre polygraphe trop pressé n’a manifestement pas pris le temps d’enquêter sérieusement ni sur l’historique, ni sur la dynamique de la jurisprudence française à ce sujet. De la sorte, il n’a pas pu comprendre que la décision européenne était une gifle pour la Cour de cassation qui s’est crispée depuis quinze ans sur des motivations indigentes,[13] dans le but manifeste de ne pas créer un mouvement d’indemnisation qui n’aurait pas manqué de conduire à la ruine de la société Aventis, vitrine industrielle dont les autorités – toutes tendances politiques confondues – sont tellement fières et qu’elles se sont donné tant de mal à établir.

Ce pourrait être un vrai décodage, digne d’un journal naguère prestigieux, de se lancer dans une véritable investigation concernant un tel scandale, en essayant de comprendre le processus qui a permis :

  • au civil, de garantir une aussi confortable immunité aux responsables d’un drame de santé publique sans précédent à ma connaissance ;
  • au pénal, de cantonner le Pôle santé dans une inertie tellement inconcevable (compte tenu du nombre de preuves disponibles) qu’elle en serait comique si elle n’était tragique.

Conclusion

Tout ça pue : comme annoncé, je vais me doucher.

À l’eau de Javel…


  1. Dans celle qui vient d’être citée, la question des vaccinations est posée comme allant de soi (ça gagne déjà une étape dans la démonstration), avec pour seul problème : « comment restaurer la confiance », c’est-à-dire quasiment mot pour mot, la mission naguère confiée à Madame Hurel, dont les compétences médico-scientifiques sont internationalement reconnues. La brillante anthropologue interviewée par Le Monde poursuit en recommandant que l’école soit associée aux parents pour la promotion des vaccins, soit deux ressources dûment répertoriées comme stratégiques par le marketing pharmaceutique dans la promotion des traitements les plus fous (P. Conrad & MR Bergey. Social Science & Medicine 122 [2014] : 31-43) : c’est quand même ballot de se retrouver, au nom flamboyant de la Science, sur des recommandations édictées à son profit par la pègre médico-pharmaceutique…
  2. À y réfléchir de façon tant soit peu philosophique, on se rend compte que dans l’histoire des tyrannies idéologiques ou religieuses, il y a toujours une caste de gens (monarques, chefs religieux, réformateurs, chefs du Parti, Grands Timoniers…) qui s’attribuent le pouvoir de discriminer entre le Bien et le Mal, entre la Liberté et la Servitude, entre la Vérité ou le Mensonge – même si leurs justifications sont radicalement antagonistes selon le camp qu’ils ont choisi : ainsi et pour les chrétiens du Moyen Age, “la vraie liberté était de servir le Christ” – et, par conséquent, de se soumettre corps et âme à ceux qui s’arrogeaient le droit de parler en son nom (Ph. Buc. Guerre sainte, martyre et terreur, Gallimard, 2017: p. 330.). Ce raisonnement primaire est exactement celui des Décodeurs du Monde qui, nonobstant des CV pas toujours convaincants, s’arrogent le droit de discerner entre la Science et l’Erreur (“Pourquoi c’est faux”) : ainsi et malgré une série de scandales que ces derniers ignorent ou occultent, l’Organisation Mondiale de la Santé, c’est le “retour aux faits”, tandis que moi, c’est “la rumeur”. Il y a juste qu’à la fin, les “experts” de l’OMS gagnent beaucoup plus d’argent que moi… C’est une des escroqueries de l’époque (d’ailleurs hautement défendue par Madame Buzyn): que le meilleur moyen pour gagner de l’argent (beaucoup d’argent), ce serait de prendre le parti de la Science, de la Vérité (et de la rigueur opposée à la rumeur)…
  3. Objectif qui devrait être d’autant plus à la portée des intrépides pêcheurs de « faits » que l’intégralité de mes analyses est disponible sous forme écrite.
  4. Dans une interview parue sur Franceinfo le lendemain (24/07/17) de la présente mise en ligne, Madame Rivasi pose d’emblée et sans la moindre précaution oratoire: “je suis pour LES vaccins”. On ne saurait choisir son camp de façon plus caractérisée, quoique fondamentalement débile (LES vaccins…). Poursuivant sur la même ligne, elle affirme que ce n’est pas aux labos de “décider”, mais au médecin: nous qu’on croyait comme des cons au préalable du consentement informé des candidats à la vaccination (ou de leurs représentants légaux)… De toute façon, il a dû lui échapper que ce ne sont jamais les labos qui vaccinent, mais les médecins – même (et surtout) en cas de réquisition, d’où la question que ne pose pas notre “lanceuse d’alertes”: pourquoi les médecins mettent-ils en oeuvre aussi docilement les “décisions” des labos? C’est à des détails comme ça qu’on mesure la profondeur de réflexion qui prévaut chez nos parlementaires – notamment ceux qui se présentent médiatiquement comme les plus conscientisés. Dans la famille des parlementaires qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, on avait déjà eu Gérard Bapt – grand pourfendeur des lobbies et des conflits d’intérêts – qui avait accepté de présider le Club Hippocrate apparemment sans s’être posé la moindre question sur ce qui pouvait conduire des firmes pharmaceutiques à financer une instance de “réflexion” regroupant des sénateurs et des députés…
  5. En cherchant un peu sur la Toile, on finit par reconstituer, à la louche, qu’il a aux alentours de 25 ans : « à la louche », car – indicateur intéressant de l’organisation cognitive propre à la génération Internet – le gars-là n’a apparemment pas réalisé que l’âge qu’il avait le jour où il a rédigé son CV a forcément évolué à mesure que le temps a passé depuis… Vingt-cinq ou 27 ans, de toute façon, ça fait un peu jeune pour pontifier, avec une telle fréquence et sur une telle variété de thèmes, dans un des principaux quotidiens de notre pays : en son temps, JY Nau devait y passer pour un vieux Sage à côté…
  6. Il suffit de se reporter au désopilant « rapport » sur le médicament signé en 2011 par B. Debré et Ph. Even pour apprécier l’ignorance abyssale de ces deux « prestigieux » auteurs sur le sujet…
  7. Pour la seule rubrique « Décodeurs du Monde »…
  8. Ça rappelle un peu le mode de raisonnement de la Cour de cassation…
  9. Une fois encore, ce procédé de “décodage” est parfaitement répertorié parmi les plus grosses ruses de la rhétorique pseudo-scientifique qu’affectionnent aujourd’hui les commerciaux de l’industrie pharmaceutique: on avance une énormité opportuniste que l’on référence par un petit chiffre, alors que la référence à laquelle renvoie ce petit chiffre n’a rien à voir avec l’assertion qu’elle est supposée documenter.
  10. Nature Medicine. 1999 ; 5(9):964-5.
  11. Calès P, Gastroenterol Clin Biol 2003 ; 27 : 865-867.
  12. “Elles [les idoles] ont des yeux et ne voient pas” (Psaume 115)
  13. Girard M. La défectuosité: vers une réappropriation juridique du fait. Petites Affiches 2006 ; n° 132 : 8-14. Girard M. L’intégrisme causal, avatar de l’inégalité des armes? Recueil Dalloz 2005 ; n° 38/7223 : 2620-1.




Michel Onfray : « Les militaires ont raison de sonner le tocsin »

[Source : Front Populaire]

Alors que la tribune des militaires à la retraite appelant le monde politique à renouer avec l’honneur et le patriotisme agite les débats au point d’ébranler la macronie, Michel Onfray livre son analyse.




Passeport vaccinal : un succédané de l’étoile jaune

[Source : mediapart.fr]

On rend visible une information totalement intime, on autorise n’importe qui a la contrôler et à exclure socialement les personnes en fonction de cette information, une forme d’apartheid. Violation des droits de l’homme et des droits du patient de la haute autorité de santé. Lepenisation des processus.

Par Hélène de Troyes

Je suis contre le passeport vaccinal que j’assimile à l’étoile jaune. Ce processus me fait profondément honte tellement il viole notre devise : liberté, égalité, fraternité.

Pour moi, c’est le début d’une dérive funeste qui viole profondément nos valeurs démocratiques.

On rend visible une information totalement intime, on autorise n’importe qui à la contrôler et à exclure socialement les personnes en fonction de cette information, une forme d’apartheid.

Excessif ? L’étoile jaune a conduit aux camps de la mort, ce n’est pas comparable! C’est peut-être un peu excessif en première lecture… aujourd’hui…, sauf que… Les camps de la mort sont le résultat de 20 ans de dérive et de quelques déséquilibrés. Et il y en a beaucoup des déséquilibrés en ce moment sur notre pauvre planète…

Et puis, ça a bien commencé comme cela, un petit »fichage » aimable, bénin au début… ne vous inquiétez pas, ce n’est rien, c’est juste pour votre sécurité…

  • Puis l’ajout de l’étoile jaune…
  • Puis une interdiction de fréquenter certains lieux, de pratiquer certains métiers…
  • Puis l’ouverture des ghettos…
  • Puis l’ouverture des camps…

On peut relire le roman Histoire d’un allemand pour retrouver ce crescendo pas bien méchant au début.

Donc ma comparaison n’est pas si légère, elle est aussi appuyée que ma triste empathie pour l’histoire de ces peuples.

Au début avec le carnet de vaccination papier, il n’y avait que toi qui avais l’info. Le problème du carnet médical numérique, c’est que tu donnes la main à l’État qui te « fiche », tu perds le secret médical dont on sait à ce jour que Macron a vendu à Microsoft l’accès. Qui dit que le but de ceci n’est pas de tester l’acceptation au fichage médical, le carnet digital, l’app tous covid ayant capoté, les sociétés de Big Data et Big Pharma en rêvent… en préambule à une forme de dictature médicale. Ce sont des stratégies de grenouille dans le bocal d’eau chaude.

La croisade de l’intolérance et son alliée la peur pourrait être ainsi :

  1. Le sermonage : « tout le monde doit se vacciner. Faites-nous confiance, c’est totalement sûr » (ce qui n’est pas vrai).
  2. La culpabilisation : « c’est facile de compter sur les autres pour se protéger, les antivax sont des égoïstes irresponsables. »
  3. La ridiculisation : « les antivax sont des ignorants qui croient aux théories du complot, comme ceux qui croient aux médecines alternatives, au yoga, au bien-être, censurons ces sources d’information qui détournent le peuple du droit chemin. » Déjà activé !
  4. Le fichage : en débat, ce n’est pas encore validé. Et une fois que tu sais, tu ne peux pas faire comme si tu ne savais pas.
  5. Donc sous les cris d’orfraie des « protégés », tu es obligé d’ exclure les antivax des lieux « protégés ». Étape suivante : le fichage… surtout si les vaccins ne sont pas suffisamment efficaces… ce qui semble être le cas, puis interdire certains métiers (non aux instits antivax : nos enfants seraient trop en danger!).
  6. Avant de les acculer dans des lieux réservés à…

Les antivax sont vraiment traités comme des pestiférés par certaines personnes, alors qu’il y a plusieurs façons d’assurer son immunité et sa santé. Quand on se donne la peine de lire les commentaires du Monde ou de Médiapart pour voir le niveau de haine qui s’y déploie, sur le racisme, Metoo, l’écologie et les antivax, cela fait vraiment peur…

Sur les articles sur les médecines alternatives, ça donne déjà la nausée tellement l’intolérance et l’idéologie sont radicales et le débat, la liberté, reniés.

Non ce n’est pas comparable aux vaccins entre pays, où on t’empêche d’aller quelque part qui n’est pas vital pour toi. Là, on te bloque sur ton propre lieu de vie et tu n’as aucune alternative donc la comparaison avec l’étoile jaune et l’apartheid est bien justifiée. (cf. Articles 13 et 30 des droits de l’homme qui sont ici violés). Sans ajouter l’injustice d’accès à cette décriée vaccination (âge, localisation, santé…).

Cela viole aussi plusieurs articles du droit des patients de l’haute autorité de santé retranscrit ci-dessous

Droit à participer à la décision médicale ou consentement aux soins

  • le droit à participer activement aux décisions médicales qui le concernent ou décision médicale partagée (art. L 1111-4 du CSP) ;
  • le droit de refuser un traitement ou un acte médical (art. L 1111-4 du CSP) ;
  • le droit de quitter l’établissement à tout moment.

Droit au respect de la personne soignée

  • Le droit au respect sa dignité (art. L 1110-2 du CSP) ;
  • le droit au respect de sa vie privée et au secret des informations la concernant (art. L 1110-4 du CSP) ;
  • le droit au respect de son intimité ;
  • le droit au respect de ses croyances et de ses convictions ;
  • le droit d’être en mesure de participer à l’exercice de leur culte lors d’une hospitalisation (art. R 1112-46 du CSP).

Quand je vois avec quelle intransigeance les médecines alternatives sont pourchassées actuellement avec des moyens dont la rigueur morale fait douter, une vraie chasse aux sorcières a commencé. Certes, on ne tue pas des gens, on détruit leur carrière et on les accule au suicide ou la dépression aggravée. En raison du non-respect des choix individuels, on peut même faire face au refus de soin… pour te punir, cela m’est déjà arrivé personnellement. Cela arrive aussi à ceux qui ont des cancers et là, l’issue peut être fatale.

Allez si on tue déjà des gens en masse en raison de l’intolérance aux médecines alternatives… et cela montre jusqu’où Big Pharma est prêt à aller…

Le scénario de la fabrique du consentement qui s’applique ici avec des boucs-émissaires désignés.

Depuis quelque années, que ce soit dû au terrorisme ou là à un petit risque sanitaire (le covid est à 3% en létalité vs SRAS à 10%, Ebola est à 50%, la peste bubonique à 80%, pneumonique à 100%), nos libertés reculent de façon excessive et dangereuse. La digitalisation des moyens de flicage rend ces pratiques encore plus intrusives et implacables. Quand on voit l’impact de la notation sociale en Chine, ça fait froid dans le dos : avec une montre digitale, on trace le nombre de fois ou un enfant lève le doigt en classe. On lit certains articles envieux qui disent que les dictatures sont plus efficientes dans la lutte contre le covid : CQFD?

Donc, je ne sais pas où on en sera dans 20 ans au niveau de l’intolérance et de la « norme » sociale. Marine Le Pen est tout de même aux portes du pouvoir, la dernière présidentielle s’est faite alors que nous étions en état d’urgence, c’est encore le cas actuellement… Enfin, l’enjeu écologique va challenger ces normes sociales fortement dans les années à venir, on parle déjà des Khmers verts… D’où l’intérêt du quota carbone individuel, mais global.

Pour reprendre leurs éléments de langage en termes de bénéfice/risque, le covid ne mérite pas de violer nos lois. Face aux enjeux à venir, la qualité de notre démocratie compte plus à mes yeux que le nombre de morts du covid qui reste modéré (chaque mort étant un drame individuel) sachant que l’un n’empêche pas l’autre.

Comparer cela à l’étoile jaune montre que la perspective peut-être très dommageable à terme, si on n’y est pas très vigilant dès le début.




Bill et Melinda divorcent, on ne nous dit pas tout !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Que Bill et Melinda divorcent, on s’en fout, me direz-vous. C’est d’ailleurs ce que j’ai répondu à Marcel quand il a proposé de faire un papier là-dessus. Sournoisement, il n’a pas manqué de me rappeler ce que je lui avais dit des « faits divers à la con » qui, mine de rien, offrent un tas informations sur la société.

Les médias ont annoncé l’« événement ». Vous avez remarqué leur unanimité ? Je ne vous donne que les titres — question de place —, mais vous pouvez vérifier, les articles sont tout aussi insipides.  « Bill et Melinda Gates annoncent leur divorce après 27 ans de mariage » titrent mot pour mot Le PointVoici20minutesFranceInfo et Ouest-France.  Une autre tournure : « Bill Gates et sa femme Melinda annoncent leur divorce », titre dont la sobriété reflète le sérieux du Monde, mais aussi des Échos, du Courrier International et même de La Provence. Certains audacieux osent tourner la phraseras légèrement différemment. « Bill et Melinda Gates mettent fin à 27 ans de mariage » annonce Le Dauphiné et Le Parisien : « Le milliardaire Bill Gates et son épouse Melinda divorcent après 27 ans de vie commune ». On sent qu’ils marchent sur des œufs. Faut faire attention à ce qu’on écrit, surtout ne pas contrarier Bill. Il peut être très généreux quand c’est son intérêt (Le Monde a reçu 4 millions).
Pourtant « la liberté d’expression n’a été aussi totale qu’aujourd’hui »,  nous dit François Busnel en présentant La Grande Librairie sur France5, ajoutant « c’est au nom de la liberté d’expression précisément que certains jouent les apprentis censeurs, se défoulent, et que des extrémismes se font entendre ».

Bill subventionne sa liberté d’expression

La liberté d’expression totale dont parle Busnel s’est pleinement manifestée à l’occasion du divorce de Bill et Melinda. « On » ne parle pas de Bill, ou seulement pour dire ce qu’il nous demande de dire. Et avec les mêmes phrases, sans déborder. Le « on », ce sont les milliardaires (Niel, Pinault, Arnaud, Dassault , Drahi, Bouygues…) propriétaires de médias. Ces milliardaires qui obéissent à Google, Facebook et… Bill Gates.

Les dessous d’une success story

Il faut chercher sur BBC News pour apprendre que lorsqu’ils se sont mariés en 1994 sur l’île hawaïenne de Lanai, ils auraient loué tous les hélicoptères locaux pour empêcher les invités indésirables de passer. Une ébauche, très ténue, de critique, car dans nos médias français, la vie de ce couple heureux — on se demande pourquoi ils divorcent — qui se consacre à la philanthropie et qui a des enfants magnifiques, ne souffre que d’une ombre : « Comment vont-ils se partager leur fortune ? » On cherche en vain comment ce couple le plus riche du monde, qui a distribué son argent aux pauvres via sa Fondation, a pu augmenter sa fortune. Elle est passée de 90 milliards de dollars en 2016 à 146 milliards de dollars en 2021. On peut se poser des questions. Les médias non. Tout est lisse dans la présentation de ce couple sympathique.
Allez ! on va fouiner dans cette  success story en commençant par le début. Par Microsoft.

Bill vole son associé 

Bill débute sa carrière en volant son associé, Paul Allen, un génie de l’informatique à l’origine de Microsoft, mais qui, malade, n’est pas en état de se défendre.

Des procès à la pelle

En 1998 Microsoft est attaqué par le gouvernement américain pour abus de position dominante.
Les motifs : 1. absence d’informations aux concurrents pour que leurs logiciels serveurs puissent s’intégrer aux systèmes Windows ; 2. vente incluant le logiciel Windows Media Player, intégré d’office dans Windows.

En 2000 le démantèlement de Microsoft est le « remède » proposé par le juge Jackson pour sanctionner cet abus. En 2004 : Verdict 497,2 millions d’euros d’amende. Bill, coriace, fait appel à la Cour de justice européenne. 2006 : 280 M€ d’amende. 2008 : 860 M€ d’amende. 2013 : 560 M€. On se cite pas tous les procès que ce procédurier de Bill Gates fait traîner d’appel en appel (violation de brevet, contrefaçon…). Un honnête homme.

Le loup se déguise, mais c’est pour mieux nous manger

Bill a senti le danger de la mauvaise publicité autour de son procès. Il va donc se construire une image de philanthrope, grâce à sa fondation  Bill et Melinda Gates au budget communication colossal et grâce à l’autocensure des médias (il leur distribue beaucoup d’argent). Cette image dure encore, on l’a vu à l’occasion de son divorce.

Bill Gates devient un pur philanthrope

Après avoir démissionné de son poste de PDG de Microsoft (en 2008), renoncé à son poste de président du conseil d’administration (en 2014), Bill Gates démissionne du conseil d’administration de Microsoft. Il veut se consacrer entièrement à la philanthropie, expliquent les médias qu’il paie. Le divorce arrive quand Bill Gates s’est complètement dépouillé, comme un moine cistercien, en tong et robe de bure. Il ne détient plus que 1,37 % des actions de Microsoft, ce qui représente… 26 milliards de dollars. 

Une fondation caritative, pour investir

Les actions Microsoft que Bill Gates a vendues ont été investies dans la société Cascade qu’il a créée en 1995. Cascade rapporte du 11 %. Les dividendes alimentent la Fondation ou plutôt son fonds d’investissement, Berkshire Hathaway, dirigé par Warren Buffett. Bill Gates détient 45,4 % du capital (9,76 milliards de dollars). Les investissements préférés de Berkshire Hathaway sont l’industrie de l’armement (BAE Systems au Royaume-Uni), les industries d’extraction minière, les OGM (Monsanto/Bayer), la malbouffe (McDonald’s, Coca-Cola),  les énergies fossiles (Total, BP…). Comptez sur eux pour protéger la santé des populations et l’environnement — c’est pourtant ce que veut officiellement la fondation.

Une fondation, pour l’« optimisation fiscale »

Faire partie d’une fondation, c’est payer moins d’impôts. Le site de la Fondation Bill et Melinda Gates l’explique très bien. Le montant de l’évitement fiscal est souvent supérieur à ce qui est donné par la fondation. 

Une fondation peut ouvrir des marchés

Les entreprises dont la fondation a des actions reçoivent des dons. CocaCola a reçu 538 millions d’euros de placement du trust de la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2014. Il profite de programmes destinés à former 50 000 agriculteurs à la culture de fruits de la passion au Kenya.

Monsanto a au Kenya un centre de recherche sur les OGM, financé par la fondation dont fait partie un des ex-dirigeants de Monsanto. 

Bill Gates aide seulement les ONG dont le siège est aux États-Unis. Seuls 5 % de l’argent arrivent en Afrique. Les Africains sont obligés d’accepter les missions de l’ONU et ne peuvent développer leurs recherches sur place.

Une fondation, oui mais pour des médicaments rentables

La fondation choisit les maladies qui peuvent faire appel à des vaccins et non à des remèdes naturels locaux. La revue scientifique britannique The Lancet relève par exemple que la fondation lutte prioritairement contre les maladies qui appellent la diffusion de vaccins et néglige les autres maladies. Ainsi, l’organisation finance relativement peu la recherche sur la pneumonie, la diarrhée et la sous-nutrition maternelle et infantile, responsables de 75 % des morts d’enfants. Ces maladies ne nécessitent pas la création de nouveaux vaccins mais la mise en place de mesures de préventions efficaces déjà connues… 

Les vaccins sont la bonne affaire

La fondation a beaucoup œuvré pour le développement des vaccins. Financée principalement par des subventions publiques, Covax est menée par deux ONG internationales, Cepiet Gavi, que M. Gates finance, ainsi que par l’OMS. Il est le plus gros donateur de l’OMS (250 millions de dollars versés  en 2005) et prend la main sur l’environnement, la santé. Sa fondation a investi plus de $16 milliards dans différents programmes de vaccins, dont un quart est allé à Gavi.

Des liens entre Jeffrey Epstein et la Fondation de Bill et Melinda

Melanie Walker a travaillé pour Jeffrey Epstein en 1998, avant de rejoindre la fondation en 2006. Elle aurait joué un rôle important dans la relation Gates-Epstein. Melanie Walker a ensuite rencontré le conseiller scientifique de la fondation, Boris Nikolic, à qui elle a présenté Jeffrey Epstein. Boris Nikolic est ensuite devenu l’exécuteur testamentaire de ce dernier, rôle qu’il a ensuite refusé.

Bill Gates fait un faux pas : Jeffrey Epstein le fait chanter

Gates a rencontré Epstein à six occasions, selon une enquête du New York TimesBill Gates figure sur le carnet de vol d’un des avions d’Epstein le 1er mars 2013.

En tant que personne qui investit de manière maniaque dans la sécurité opérationnelle, n’épargnant aucune dépense au point d’avoir des gardes armés, quatre jets, un hélicoptère, un hydravion, des yachts, et du sang de son type l’attendant à beaucoup de ses destinations, vous pouvez être sûr que Bill Gates ne saute pas dans l’avion de n’importe qui. Il doit donc être désespéré pour abandonner un élément majeur de sa sécurité et risquer sa réputation en prenant l’avion d’Epstein avec lui. En tout cas cela explique son don au MIT.

Le MIT reçoit de l’argent de Bill Gates via Jeffrey Epstein

En 2014 le MIT reçoit 2 millions de dollars de Gates par l’intermédiaire de Jeffrey Epstein. Un agent de Gates a écrit à la direction du Media Lab, indiquant que Gates souhaitait que son nom ne soit pas mentionné dans toute discussion publique sur ce don.

Melanie investit dans une société à elle

En 2015 Melanie a fondé la société Pivotal Ventures à but lucratif pour promouvoir les femmes de couleur, dans le secteur informatique. Toujours la charité qui rapporte. Peut-être une façon prudente d’acquérir une certaine autonomie…

En 2015, Bill prédit une pandémie

Lors d’une conférence en 2015, Bill Gates a prédit que des millions de personnes seraient tuées par des « microbes, pas des missiles » lors d’une future pandémie.

En 2020, Bill prédit le passeport vaccinal 

8 mai 2020 : « Il y aura donc un jour cette preuve d’immunité numérique qui facilitera la réouverture mondiale. »https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=314&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Flec.deb1%2Fvideos%2F2592371447748720%2F&show_text=false&width=560

Bill veut des vaccins pour toute la planète

14 décembre 2020 : la fondation investit des millions de dollars pour financer la recherche d’un vaccin Covid-19 ainsi que pour les tests et la logistique. La fondation promet 70 millions de dollars pour que le vaccin atteigne tout le monde, y compris les nations pauvres. 

Bill prédit le réchauffement climatique et ses remèdes

Les biocarburants

Bill Gates est le premier propriétaire de terres agricoles des États-Unis. C’est toujours pour notre bien : « On ne sait pas à quel point les biocarburants peuvent être bon marché, mais s’ils sont peu coûteux, ils peuvent résoudre les émissions des avions et des camions. » Les achats de terres agricoles ont été réalisés par sa société d’investissements Cascade Investments. 

Les OGM (nourrir la planète grâce à Monsanto)

« J’ai également bon espoir que le travail de notre fondation sur l’agriculture jouera un rôle clé pour aider les agriculteurs à résister au changement climatique. Il y a plus de dix ans, nous avons commencé à financer la recherche de variétés de cultures de base, comme le maïs et le riz, tolérant la sécheresse et les inondations. Ces nouvelles variétés aident déjà les agriculteurs à produire davantage de nourriture dans certaines régions d’Afrique et d’Inde, et d’autres options de cultures intelligentes du point de vue climatique seront disponibles dans davantage d’endroits dans les années à venir. » En bon partenaire de Davos, Bill Gates mise sur des terres résistantes aux effets du réchauffement climatique et même des cultures de substituts de viande à base de végétaux.

Pendant le réchauffement, le business des vaccins continue

Toujours dans la lettre de la Fondation : « Des organisations comme Gavi et le Fonds mondial vont jouer un rôle important dans ce domaine en améliorant la santé dans les endroits les plus vulnérables. Si nous voulons prévenir une catastrophe climatique, les interventions et solutions spécifiques au climat ne suffisent pas. Nous devons également penser aux effets indirects, comme la façon dont une planète plus chaude affectera la santé mondiale. »

Le nucléaire, énergie sûre

Bill Gates estimé que malgré les catastrophes de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), le nucléaire restait plus sûr que n’importe quelle autre source d’énergie. Déclaration faite en mars 2021. On peut compter sur le dynamisme de Bill pour sauver la planète !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Les scientifiques travaillent sur des vaccins qui se propagent comme une maladie. Qu’est-ce qui pourrait bien se passer ?

[Source anglaise : Bulletin of the Atomic Scientists (thebulletin.org) (Bulletin des scientifiques atomiques)]

Par Filippa Lentzos, Guy Reeves | 18 septembre 2020

[Photo : Un détecteur de maladie pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Liberia.
Un travailleur effectue des tests pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Libéria.
Crédit : John Saindon/Centers for Disease Control and Prevention. CC BY 2.0.]

Une fois que le vaccin COVID-19 sera approuvé pour un usage public, les responsables du monde entier devront relever le défi monumental de vacciner des milliards de personnes, une opération logistique qui soulève d’épineuses questions éthiques. Et si, au lieu d’orchestrer des campagnes compliquées et gourmandes en ressources pour vacciner les humains contre des maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, nous pouvions plutôt stopper à la source les zoonoses qui passent parfois des animaux aux humains ? Un nombre restreint, mais croissant de scientifiques pensent qu’il est possible d’exploiter les propriétés d’autopropagation des virus et de les utiliser pour propager l’immunité plutôt que la maladie. Pouvons-nous battre des virus comme le SRAS-CoV-2, le nouveau coronavirus, à leur propre jeu ?

Un virus qui confère une immunité à l’ensemble d’une population animale à mesure qu’il se propage dans la nature pourrait théoriquement empêcher un débordement zoonotique [Ndlr : transmission de l’animal à l’Homme.] de se produire, étouffant ainsi l’étincelle qui pourrait déclencher la prochaine pandémie. Si les rats sauvages qui hébergent le virus mortel de Lassa, par exemple, sont vaccinés, les risques d’une future épidémie chez l’homme pourraient être réduits. Depuis au moins 20 ans, les scientifiques expérimentent de tels vaccins autodiffusés, un travail qui se poursuit encore aujourd’hui et qui a attiré l’attention de l’armée américaine.

Pour des raisons évidentes, l’intérêt du public et des scientifiques pour les vaccins est incroyablement élevé, y compris pour les vaccins autodiffusants, car ils pourraient être efficaces contre les menaces zoonotiques. Les biologistes Scott Nuismer et James Bull ont attiré l’attention des médias sur les vaccins à diffusion spontanée au cours de l’été après avoir publié un article dans la revue Nature Ecology & Evolution. Mais les reportages qui ont suivi n’ont pas fait grand cas des inconvénients potentiellement importants de la dissémination de ces vaccins dans l’environnement.

Les vaccins autodiffusés pourraient en effet comporter des risques sérieux, et la perspective de les utiliser soulève des questions difficiles.

Qui décide, par exemple, où et quand un vaccin doit être diffusé ? Une fois le vaccin libéré, les scientifiques n’auront plus le contrôle du virus. Il pourrait muter, comme le font naturellement les virus. Il peut changer d’espèce. Il traversera les frontières. Il y aura des résultats inattendus et des conséquences involontaires. Il y en a toujours.

S’il peut s’avérer techniquement possible de lutter contre les maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, le sida, le virus Ebola et le virus Zika avec des virus qui se propagent eux-mêmes, et si les avantages peuvent être importants, comment mettre en balance ces avantages et les risques qui peuvent être encore plus grands ?

Comment fonctionnent-ils ?

Les vaccins autodiffusants sont essentiellement des virus génétiquement modifiés conçus pour se déplacer dans les populations de la même manière que les maladies infectieuses, mais plutôt que de provoquer une maladie, ils confèrent une protection. Construits sur le châssis d’un virus bénin, les vaccins se voient ajouter du matériel génétique d’un agent pathogène qui stimule la création d’anticorps ou de globules blancs chez les hôtes « infectés ».

Ces vaccins pourraient être particulièrement utiles, selon certains scientifiques, pour les populations d’animaux sauvages pour lesquelles la vaccination directe est difficile en raison de problèmes tels que des habitats inaccessibles, des infrastructures insuffisantes, des coûts élevés ou un manque de ressources. L’idée, essentiellement, est de vacciner une petite proportion d’une population par inoculation directe. Ces « fondateurs » transmettront ensuite passivement le vaccin à d’autres animaux qu’ils rencontrent, que ce soit par le toucher, le sexe, l’allaitement ou la respiration du même air. Progressivement, ces interactions pourraient renforcer l’immunité de la population.

Schéma du fonctionnement d’un vaccin autodiffusant. Schéma de la façon dont un vaccin autodiffusant pourrait se propager parmi les chauves-souris. Les chauves-souris « fondatrices » auxquelles on a inoculé un vaccin autodiffusant transmettent passivement le vaccin aux autres chauves-souris qu’elles rencontrent au fil du temps, ce qui renforce progressivement l’immunité au niveau de la population.
Crédit : Derek Caetano-Anollés.

Les vaccins à autopropagation trouvent en partie leur origine dans les efforts visant à réduire les populations de parasites. Des chercheurs australiens ont décrit une immunocontraception à propagation virale, qui détournait le système immunitaire des animaux infectés — en l’occurrence une espèce de souris non indigène en Australie — et les empêchait de féconder leur progéniture. Les premiers efforts de vaccination à propagation automatique ont visé deux maladies infectieuses hautement mortelles dans la population européenne de lapins (le virus du myxome et le virus de la maladie hémorragique du lapin). En 2001, des chercheurs espagnols ont testé sur le terrain un vaccin sur une population de lapins sauvages vivant sur Isla del Aire, une petite île espagnole située au large de Minorque. Le vaccin s’est propagé à plus de la moitié des 300 lapins de l’île, et l’essai a été considéré comme un succès.

En 2015, une autre équipe de chercheurs a spéculé sur le développement d’un vaccin autodiffusant pour le virus Ebola qui pourrait être utilisé sur les grands singes sauvages comme les chimpanzés. Depuis lors, les scientifiques en sont venus à considérer un large éventail d’animaux — de la faune sauvage comme les chauves-souris, les oiseaux et les renards aux animaux domestiqués comme les chiens, les porcs et les moutons — comme se prêtant à des vaccins à autodiffusion.

Jusqu’à présent, les chercheurs n’ont pas mis au point de vaccins expérimentaux à diffusion spontanée pour les humains [Ndlr : toutefois, l’absence de preuves n’est pas preuve de l’absence.] ; rien ne prouve que quelqu’un travaille activement sur cette technologie. Nuismer et Bull soutiennent plutôt que les vaccins à diffusion spontanée constituent une approche révolutionnaire pour contrôler les maladies infectieuses émergentes avant même qu’elles ne se propagent des animaux à la population humaine.

La propagation zoonotique est certainement un problème urgent ; outre le SRAS-CoV-2, le VIH, le virus Ebola et le virus Zika, plus d’un millier d’autres nouveaux virus à potentiel zoonotique ont été détectés chez les animaux sauvages au cours de la dernière décennie. Mieux vaut prévenir que guérir, affirment Nuismer et Bull dans un article du New Scientist. Dans leur article paru dans Nature Ecology & Evolution, ils affirment qu’ils sont « prêts à commencer à développer des vaccins autodisséminant pour cibler un large éventail d’agents pathogènes humains » chez les animaux.

En dehors d’une expérience, les scientifiques seraient confrontés à d’énormes obstacles techniques et pratiques pour identifier les cibles d’intervention les plus appropriées et garantir le maintien de l’immunité dans les populations sauvages. Malgré ces défis de taille, les implications potentielles en matière de sécurité des vaccins autodiffusés sont encore plus graves.

Le principal problème de sécurité est celui du double usage. En substance, cela signifie que la recherche utilisée pour mettre au point des vaccins à diffusion spontanée afin de prévenir les maladies pourrait également être utilisée pour causer délibérément des dommages. On peut, par exemple, créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent des défaillances du système immunitaire chez les personnes ou les animaux infectés, un peu comme le fait naturellement le VIH. On peut aussi créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent une réaction auto-immune nocive, c’est-à-dire que le corps commence à attaquer ses propres cellules et tissus sains.

La question des armes biologiques

Si les chercheurs ont l’intention de créer des vaccins à diffusion automatique, d’autres pourraient détourner leur science et développer des armes biologiques. Une telle arme peut s’avérer incontrôlable et irréversible.

Il n’est pas nécessaire de creuser très loin pour trouver un exemple historique de biologie militarisée. Comme le montre le programme de guerre biologique sud-africain de l’époque de l’apartheid, les pressions sociales, politiques et scientifiques peuvent conduire à une mauvaise utilisation de l’innovation biologique.

Sous le nom de code « Project Coast », le programme sud-africain était principalement axé sur des armes d’assassinat secrètes destinées à être utilisées contre des individus considérés comme une menace pour le gouvernement raciste de l’apartheid. Outre la production d’engins permettant d’injecter des poisons, les chercheurs du projet Coast ont mis au point des techniques permettant d’injecter de la salmonelle dans des morceaux de sucre et du Bacillus anthracis dans des cigarettes.

Bien qu’il y ait eu de nombreux programmes de guerre biologique, dont plusieurs étaient beaucoup plus élaborés et sophistiqués, le programme sud-africain est particulièrement pertinent pour réfléchir aux utilisations malveillantes des vaccins à diffusion automatique. L’un des projets de recherche du projet Coast visait à développer un vaccin humain contre la fertilité.

L’idée a fait son chemin à une époque où l’explosion démographique mondiale suscitait de nombreuses inquiétudes. Schalk Van Rensburg, qui supervisait les travaux liés à la fertilité dans un laboratoire du Project Coast, a déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation de l’Afrique du Sud après l’apartheid, un forum chargé d’examiner l’histoire sordide de l’époque et de jeter les bases de la paix et de la tolérance futures, qu’il pensait que le projet s’inscrivait dans le droit fil des tentatives de l’Organisation mondiale de la santé pour freiner la hausse des taux de natalité dans le monde. Il pensait que ce projet pourrait apporter à son laboratoire une renommée et un financement internationaux. Selon M. Van Rensburg, Wouter Basson, le directeur du programme de guerre biologique, a déclaré que l’armée avait besoin d’un vaccin contre la fertilité afin que les femmes soldats ne tombent pas enceintes.

Alors que certains des scientifiques impliqués dans le projet ont nié avoir eu connaissance d’intentions ultérieures ou même que leur travail sur la fertilité faisait partie d’un effort militaire, Van Rensburg et Daniel Goosen, un directeur de laboratoire, ont déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation que la véritable intention derrière le projet était d’administrer sélectivement le contraceptif en secret à des femmes noires sud-africaines à leur insu.

En fin de compte, le vaccin contre la fertilité n’a pas été produit avant la fermeture officielle du projet Coast en 1995, 12 ans après son lancement. Une première version a été testée sur des babouins, mais jamais sur des humains. L’Afrique du Sud n’est pas le seul pays à essayer de stériliser de force une partie de sa population. Des pays européens, dont la Suède et la Suisse, ont stérilisé des membres de la minorité rom dans la première moitié du XXe siècle et certains, comme la Slovaquie, ont même continué au-delà. Plus récemment, des analystes ont affirmé que le gouvernement chinois stérilisait des femmes dans le Xinjiang, une province comptant une importante population de musulmans ouïgours.

Il n’est pas nécessaire de faire un grand saut dans l’imagination pour comprendre comment les objectifs du projet sud-africain de vaccin contre la fertilité auraient pu bénéficier de la recherche sur les vaccins à diffusion automatique, en particulier si l’on y associe les développements actuels en matière de pharmacogénomique, de développement de médicaments et de médecine personnalisée. Pris ensemble, ces axes de recherche pourraient permettre une guerre biologique ultra ciblée.

Un potentiel d’abus croissant

La Convention sur les armes biologiques, le traité qui interdit les armes biologiques, a presque 50 ans. Négociée et acceptée au plus profond de la guerre froide, la convention souffre de modes de fonctionnement dépassés. Elle pose également d’importants problèmes d’évaluation de la conformité. La convention n’a certainement pas empêché l’Afrique du Sud de poursuivre le projet Coast au début des années 1980.

La recherche sur les vaccins autoportés est un domaine restreint, mais en pleine expansion. À l’heure actuelle, une dizaine d’institutions effectuent des travaux importants dans ce domaine. Ces laboratoires sont principalement situés aux États-Unis, mais certains se trouvent également en Europe et en Australie. À mesure que le domaine s’étend, les risques d’abus augmentent.

Jusqu’à présent, la recherche a été principalement financée par des organismes de financement de la science et de la santé du gouvernement américain, comme la National Science Foundation, les National Institutes of Health et le Department of Health and Human Services. Des organisations privées comme la Fondation Gates et des institutions universitaires ont également financé des projets. Récemment, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), parfois considérée comme l’aile de recherche et de développement de l’armée américaine, s’est impliquée dans la recherche. L’université de Californie, à Davis, par exemple, travaille sur un projet administré par la DARPA intitulé « Prediction of Spillover Potential and Interventional En Masse Animal Vaccination to Prevent Emerging Pathogen Threats in Current and Future Zones of US Military Operation ». Selon une brochure, le projet vise à « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodisséminant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa… et Ebola ».

L’investissement militaire dans l’innovation biologique à des fins défensives ou de protection est autorisé par la convention sur les armes biologiques, mais il peut néanmoins envoyer de mauvais signaux. Ils pourraient amener les pays à douter de leurs intentions respectives et conduire à des investissements réciproques dans des recherches potentiellement risquées, notamment dans des vaccins à diffusion automatique. Le résultat d’une recherche qui tourne mal ou d’une guerre biologique pourrait être catastrophique pour la santé et l’environnement.

À l’heure où la norme contre les armes chimiques se dégrade, comme l’a souligné récemment l’empoisonnement du leader de l’opposition russe Alexei Navalny avec l’agent neurotoxique Novichok — un crime dont de nombreux responsables européens accusent la Russie — la communauté internationale ne peut tout simplement pas se permettre qu’il en aille de même pour la norme contre l’utilisation d’armes biologiques. Cela défierait complètement l’esprit du traité si les États semblaient vouloir poursuivre des activités à double usage à haut risque dans le domaine de la biologie.

Des conversations précoces, ouvertes et de bonne foi sur les objectifs et les avancées scientifiques qui suscitent des préoccupations particulières en matière de double usage, comme c’est le cas des vaccins à diffusion automatique, sont essentielles pour explorer les enjeux plus larges de certaines trajectoires techniques. Le programme de l’université de Californie à Davis cherche des moyens d’intégrer un « interrupteur » pour contrôler la technologie en toute sécurité. Et la DARPA affirme que toute expérimentation sur le terrain liée au projet suivra les protocoles de biosécurité. Mais ces promesses ne suffiront pas. Notre ambition doit être de prendre une décision collective sur les voies techniques que nous sommes prêts, ou non, à emprunter en tant que société.




7m20 Pour Reprendre Le Pouvoir

[Source : Volte-Face]

Alors que l’argent liquide risque d’être complètent supprimé dans peu de temps au profit d’une monnaie complètement numérisée, afin que le gouvernement puisse contrôler chaque dépense des citoyens et bloquer ce qui ne lui convient pas, agissons ensemble pour contrer ce projet et récupérer notre pouvoir sur les banques !

TOUS ENSEMBLE DES LE 4 MAI !




Martine Wonner, parlementaire ex-LREM : « Nous sommes en dictature sanitaire » — Entretien vidéo

[Source : Magazine Nexus]

(Entretien du 14 avril) Dans sa toute nouvelle émission, Nexus a invité Martine Wonner, la députée qui milite pour la transparence dans la gestion sanitaire et la liberté de prescription des médecins. Depuis plus d’un an, elle a vu de l’intérieur les incohérences, les incompétences, les mensonges, et elle dénonce, faits à l’appui, les manquements graves, les pressions élyséennes et l’opacité des prises de décision au sein du Conseil de défense. Celle qui a appartenu 3 ans au groupe majoritaire fait partie aujourd’hui du groupe parlementaire Libertés et Territoires, du collectif Laissons les médecins prescrire, et s’accorde une liberté de parole sans détours. Elle nous livre également son analyse en tant que médecin-psychiatre sur l’impact psychologique de cette gestion sanitaire sur les Français. Elle nous apporte enfin un éclairage édifiant sur le fonctionnement du parlement et l’absence de contre-pouvoir face à un exécutif qui détient les pleins pouvoirs.

« L’Assemblée nationale, qui est la maison du peuple, n’a jamais accueilli de débat depuis le début de cette crise sanitaire »

extrait de notre entretien.

https://youtu.be/TeM7C17_Nm4