L’Albanie teste l’agromine, la dépollution des sols par les plantes

[Source : reporterre.net]

En Albanie, des paysans cultivent avec enthousiasme une plante jugée autrefois indésirable. Car en puisant des métaux lourds comme le nickel, l’Alysson des murs, «hyperaccumulatrice», dépollue les terres. L’expérimentation est portée par des scientifiques locaux et français.

Pogradec (Albanie), reportage

Les paysans de la région ont beau s’échiner depuis des générations, les champs ensoleillés qui bordent les eaux profondes du lac d’Ohrid donnent peu. Sur cette terre rouge et sèche, située à quelques kilomètres de la frontière macédonienne, il faut assurer la nourriture du bétail. «La terre est peu productive. C’est à cause du nickel qu’il y a dans le sol…, résume Dalip Gaxho, un paysan de 60 ans, casquette sur la tête. Il n’y a que la culture fourragère qui fonctionne. C’est une terre peu fertile qui n’est pas adaptée à d’autres cultures.» Ici ou là, sur les collines à la végétation rase, on aperçoit les vestiges des mines de la période communiste.

Pauvres en nutriments, les terres de l’Albanie orientale sont naturellement riches en métaux lourds. Zinc, cobalt, et surtout nickel sont présents en fortes quantités sur ces sols dits ultramafiques. Cette concentration élevée en métaux n’est pas sans danger pour la santé humaine, mais est fort appréciée par une plante qui fleurit en ce mois de mai : l’Alysson des murs. Alyssum murale, de son nom latin, la famille Alillari la connaît bien : cette plante vert clair aux multiples fleurs jaunes s’épanouit autour de son village, Pojska. «Cette plante nuit aux cultures qui me font vivre! Si je veux cultiver et vendre du maïs ou des haricots, je dois l’arracher de mes champs!» s’agite Dalip Alillari, un fermier de 58 ans. «Pour nous, c’était une plante inutile, reconnaît plus posément Vahit, le fils. Elle nous paraissait même dangereuse, car quand tu veux cultiver quelque chose, tu es obligé de l’enlever quand elle apparaît dans tes champs…»

Si Vahit parle au passé, c’est que la famille regarde aujourd’hui d’un tout autre œil cette voisine appréciée des abeilles mais naguère indésirable. Ces cinq dernières années, les Alillari ont même recouvert certaines de leurs parcelles avec cette plante touffue qui peut atteindre un mètre de hauteur. À l’origine de ce changement inédit de culture : Aida Bani. Voilà plus de quinze ans que les recherches en phytoextraction de cette scientifique albanaise se concentrent sur l’Alysson des murs. «Alyssum murale est une plante hyperaccumulatrice. Ses racines puisent le nickel contenu dans le sol et elle peut stocker jusqu’à 2% de ce métal dans ses tissus, s’enthousiasme cette agronome de l’Université de Tirana. Elle peut extraire les métaux de deux types de sols : des sols naturellement riches en métaux lourds, et des sols qui ont été contaminés par l’activité industrielle et minière.» Grâce au soutien financier du projet «Life agromine» puis du programme de microfinancements du Fonds pour l’environnement mondial (GEF SGP), la chercheuse cultive aujourd’hui près de huit hectares d’Alysson des murs dans l’est de l’Albanie.

La chercheuse Aida Bani étudie les plantes «hyperaccumulatrices» depuis plus de quinze ans.

C’est à Nancy que s’est joué une partie des expérimentations actuelles autour de l’Alyssum albanaise. Avec ses collègues et professeurs de l’Université de Lorraine, Jean-Louis Morel, Guillaume Echevarria et Marie-Odile Simonnot, Aida Bani s’est intéressée aux vertus dépolluantes de l’Alysson des murs, ainsi qu’à son potentiel économique. Une fois récoltées et séchées, les plantes cultivées en Albanie sont expédiées dans l’est de la France au laboratoire d’Econick, une entreprise fondée par sept chercheurs lorrains. Après l’incinération de la biomasse et divers procédés chimiques, les scientifiques récupèrent du sel et de l’oxyde de nickel. Ces biominéraux de haute qualité permettent des utilisations variées : pour la coloration de céramique ou des verres de lunettes, ou comme composants de batterie et autres catalyseurs. Si le coût de fabrication n’est pas encore en mesure de concurrencer l’extraction minière traditionnelle, la démarche résonne avec l’urgence écologique. L’entreprise espère séduire des industriels désireux de se fournir en matériaux issus de pratiques plus saines pour l’environnement.

L’agromine offre de nouvelles perspectives aux agriculteurs albanais.

La culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols en à peine cinq à dix ans.

Question rendements, les expériences menées jusque-là semblent prometteuses. En quelques années, le Centre de gestion économique et agro-environnemental d’Aida Bani a réussi à doubler la quantité de nickel récupérée grâce aux plantes. «De cent kilos par hectare en 2015, nous sommes arrivés à en récolter deux cents l’an dernier, se félicite la chercheuse, en inspectant une parcelle que vient d’irriguer Dalip Gaxho, le paysan. Nous avons doublé les rendements en jouant avec la distance, la densité des plantes, la fertilisation minérale et organique, le temps et la manière de récolter, mais aussi en l’associant avec d’autres plantes comme les légumineuses.» On recense de par le monde près de quatre cents plantes hyperaccumulatrices. Encore expérimentale, la culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols des métaux lourds en à peine cinq à dix ans.

Des champs de ces plantes hyperaccumulatrices ont ainsi fait leur apparition sur d’anciens sites industriels lorrains. Et en Albanie où les sols ultramafiques représentent près de 11% de la superficie du pays, «l’agromine» pourrait ouvrir de nouveaux horizons à un secteur agricole en souffrance et apporter des revenus bienvenus dans des campagnes qui souffrent de la pauvreté et du manque de perspectives. «Les opportunités qu’offre la phytoextraction intéressent beaucoup les paysans du coin, assure Aida Bani. En cultivant ces plantes hyperaccumulatrices, ils peuvent gagner bien plus d’argent qu’avec les plantes fourragères : deux, trois, voire même quatre fois plus.» La vente à Econick des plantes récoltées améliorent déjà un peu le quotidien des paysans qui participent aux expérimentations.

L’«Alyssum murale» pousse naturellement sur l’ancien site industriel de Prrenjas en Albanie.

L’opération sols propres que mène l’Alyssum murale autour du lac d’Ohrid semble ainsi satisfaire les Alillari, qui appliquent la rotation des cultures à leurs parcelles. Lentement vidés de leurs métaux par l’Alysson des murs, leurs champs gagnent en qualité et pourraient se montrer plus généreux dans le futur. «En retirant le nickel qui nuit à nos cultures, cette plante permet à nos terrains d’être plus productifs, se réjouit Vahit Alillari. Avec cette plante, tout le monde est gagnant : la professeure avec son expérimentation, et nous, les fermiers.» Pour l’instant, les métaux contenus dans la terre rouge de Pogradec paraissent inépuisables, et l’Alyssum murale a encore de beaux jours devant elle. Aida Bani compte en récolter plus de treize tonnes cette année. Afin d’améliorer le bilan carbone de l’expérience, et dans une perspective d’économie circulaire, la chercheuse discute avec ses collègues de Lorraine pour pouvoir un jour récupérer le métal stocké dans les plantes directement en Albanie.




La monarchie parlementaire : un régime défenseur des libertés

[Source : IREF Europe]

Par Alexandre Massaux

Les monarchies parlementaires, comme certains pays du Commonwealth et scandinaves, dominent les classements des libertés économiques et politiques. L’importance donnée au Parlement tout comme la non-politisation du chef de l’État offrent un cadre institutionnel propice à des décisions libérales.

La mort du prince consort Philip Mountbatten, mari de la reine Elizabeth II, a soulevé des questions quant au rôle de la monarchie dans nos sociétés modernes. Certains en France vont même jusqu’à considérer ce modèle dépassé et estiment qu’il devrait être aboli en faveur de la république. Pourtant, cette dernière est-elle nécessairement un meilleur régime ? Les indicateurs et classements évaluant le degré de liberté des pays démontrent le contraire : la monarchie parlementaire s’avère efficace en matière de protection des libertés. Sa structure institutionnelle peut l’expliquer : le pouvoir est paradoxalement moins concentré entre les mains d’une seule personne.

Les monarchies dominent en matière de libertés économiques et civiles

Le Royaume-Uni n’est pas la seule monarchie parlementaire en Occident et dans le monde industrialisé. En Europe continentale, la majorité des pays nordiques sont, encore de nos jours, des monarchies. En Scandinavie, la Norvège, la Suède et le Danemark sont dirigés par des dignitaires royaux. Tout comme au Benelux, la Belgique, les Pays-Bas et le Grand-Duché du Luxembourg. Même situation en Espagne. Plus loin, plusieurs pays du Commonwealth sont sous l’autorité de la couronne britannique : le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont comme chef d’Etat Elizabeth II, représentée par des gouverneurs généraux. Et le Japon a gardé son empereur.

Il paraît pertinent d’analyser la performance de ces pays en matière de libertés économiques et politiques. L’Index de l’Heritage Foundation de 2021 offre des informations sur les premières. Le classement du Cato Institute de 2020 et les données de la Freedom House donnent des éléments sur les libertés politiques et civiques. Le tableau ci-dessous met en évidence le rang des monarchies dans les deux premiers classements et leur score attribué par la Freedom House. La République française est utilisée comme pays de comparaison.

Plusieurs observations s’imposent. Les monarchies occupent plus de la moitié des « top 10 » des pays les plus libres et certaines se situent à la première place. En matière économique, à l’exception de l’Espagne, toutes sont classées « libres » ou « majoritairement libres ». Les pays du Commonwealth sont, en moyenne, légèrement plus performants que les monarchies continentales. Le score plus faible de l’Espagne peut en partie s’expliquer, la monarchie ayant été rétablie à l’initiative du général Franco à la fin de son règne. Elle est donc plus récente et c’est un choix politique. Enfin, La principauté du Liechtenstein est absente de ce tableau car elle ne figure pas dans les classements d’Heritage et du Cato.

Une politique menée par un Parlement plutôt que par un homme providentiel

Dans tous ces pays, le monarque a des pouvoirs très limités, voire symboliques, contrairement aux républiques présidentielles comme la France ou les Etats-Unis où le président détient pratiquement à lui seul le pouvoir décisionnel. Aux Etats-Unis, le Congrès joue un rôle de garde-fou mais en France, le Parlement apparaît de plus en plus comme une chambre d’enregistrement. La discipline de vote au sein de la majorité et en faveur de l’exécutif présidentiel ne favorise pas le débat politique au niveau législatif. Dans les monarchies, la vraie tête active de l’exécutif est le Premier ministre, qui tire sa légitimité du Parlement. Là où un président l’obtient de son élection, le premier ministre voit son sort dépendre du Parlement qui peut le révoquer. De même, il n’est pas lié à la volonté du chef de l’Etat. C’est l’une des raisons qui permet à ces régimes monarchiques de mieux fonctionner qu’une république.

Dès lors, quelle différence entre une république parlementaire comme l’Allemagne et une monarchie ? Le monarque possède, dans certains pays comme le Royaume-Uni, des pouvoirs utilisables en temps de crise. Ainsi la reine d’Angleterre a un droit de veto qu’elle a déjà fait valoir dans le passé. Certes, les présidents républicains ont également cette capacité. Mais le fait que le monarque ne soit pas désigné directement par une procédure électorale comme en France ou indirectement comme en Allemagne, empêche une décision purement politicienne. Si le rôle réel du monarque est limité, son rôle symbolique est puissant. Le roi réunit le pays sur sa personne et son pouvoir moral et exceptionnellement juridique offre une limite au pouvoir des autres institutions. Telle est la force de la monarchie constitutionnelle : décentraliser la prise de décision avec le Parlement tout en assurant une stabilité de la nation en temps de crise grâce à un dirigeant qui reste au-dessus de la mêlée.




Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka

[Sources : Recherches Covid-19 (cv19.fr) 1 et 2]

Introduction

L’humanité est confrontée à un grand défi : la dynamique et les conséquences inhérentes à la peur et à l’antibiose, par le biais de la discipline de la biologie et de la médecine, perturbent et détruisent l’environnement, les plantes, les animaux, les personnes et l’économie. La crise du covid n’est que la partie visible d’un iceberg sur une trajectoire de collision avec tout et tout le monde. L’une des raisons de ce défi est le matérialisme, la tentative d’expliquer la vie par des modèles purement matériels. Notre matérialisme actuel a été inventé dans l’antiquité “post-socratique” comme une contre-réaction explicite à la peur et aux abus de pouvoir des religions. Il s’agit d’une action compréhensible, à motivation humaine et humanitaire, mais qui a des conséquences dramatiques. Ce matérialisme a produit les enseignements de la biologie du bien et du mal, “l’opinion dominante” en médecine qui en découle et l’antibiose qui en résulte (antibiotiques, radiations, chimiothérapie, désinfection, restriction des droits fondamentaux, vaccination, confinement, quarantaine, distanciation sociale, etc.). Leur théorie matérialiste du bien et du mal, qui n’a aucun fondement réel mais repose sur des hypothèses réfutées, s’est développée sans être reconnue pour devenir la religion dominante.

La théorie matérialiste de la vie affirme qu’il n’y a que des atomes, mais aucune conscience, aucune force spirituelle et aucun animateur qui aurait pu les créer et les mettre en mouvement. Afin de pouvoir expliquer le cosmos et la vie de manière purement matérielle, notre “science” est obligée d’affirmer qu’il y a eu un big bang, dans lequel tous les atomes ont été créés à partir de rien, et se sont séparés. Certains atomes se touchent par hasard et forment des molécules. Ces molécules avaient formé par hasard une cellule primordiale à partir de laquelle toute vie ultérieure s’était développée par lutte et sélection. Tout cela se serait produit dans un passé lointain, dans des délais inimaginables, et n’est donc pas soumis à un examen scientifique et ne doit donc pas être qualifié de scientifique.

Pour une vision meilleure, réelle et expérimentalement accessible de la vie, je me réfère à la substance même de laquelle la vie est constituée. Il s’agit de la substance élémentaire dont est constituée la membrane, la membrane dite de tension superficielle de l’eau, que l’eau forme partout où elle est en contact avec d’autres substances ou avec elle-même en mouvement et en tourbillons. Aristote a appelé cette substance éther et le Dr Peter Augustin l’a redécouverte sous la forme de la substance primaire. Les physiologistes japonais spécialisés dans la botanique ont appelé cette substance “pi-water”. Cette connaissance et ce point de vue résultant de la connaissance de la substance éther/primaire permettent également de faire revivre le principe présocratique, de le rendre concevable et imaginable : Penser selon la théorie atomique rend ce genre de pensée et de mondes imaginaires plus difficiles ou l’empêche et, si aucune autre façon de penser n’est connue ou est désapprouvée, force à faire de fausses hypothèses. Le monde universitaire de la biologie et de la médecine tout entier repose sur une telle fausse supposition.

En 1848, lorsque les effets positifs de la Révolution française ont eu une chance de se manifester en Allemagne, les tentatives de changement ont échoué et ont provoqué un durcissement et une détérioration dramatiques de la vie politique et sociale. Alors qu’en 1848, l’homme qui était responsable du développement actuel de la biologie et de la médecine préconisait encore des mesures humaines, logiques et correctes pour la “prévention des épidémies”, dans les dix années suivantes, il s’est adapté au durcissement et aux conditions politiques de plus en plus extrêmes. C’est Rudolf Virchow qui, en 1858, sans aucune base scientifique, mais en se basant exclusivement sur la théorie atomique de Démocrite et Epicure, a postulé la théorie cellulaire de la vie et de toutes les maladies : la Pathologie Cellulaire.

Tout au long de sa vie, Rudolf Virchow a supprimé les “faits pertinents” de l’embryologie et de la science des tissus afin de présenter et de populariser sa nouvelle théorie sur les cellules comme quelque chose de réel. Cependant, cette connaissance de l’embryologie et de la théorie des tissus, la théorie de la vie germinale, est une condition préalable indispensable pour comprendre la vie, son développement et, surtout, les maladies, les remèdes, les périodes de crise et les obstacles à la guérison.

Rudolf Virchow a affirmé, par analogie avec la théorie atomique, que toute vie provient d’une cellule, la plus petite unité indivisible de la vie, qui, en même temps, provoquerait toutes les maladies par la formation de prétendues toxines, virus en latin. C’est sur cette base que les théories des gènes, des infections, de l’immunité et du cancer ont dû se développer afin de pouvoir expliquer les processus de la vie, de la maladie et de la guérison dans le cadre de cette théorie. Si l’on croit à cette théorie parce qu’elle enseigne que tous les processus ne sont causés que par des interactions matérielles et que toute vie provient d’une seule cellule, les adeptes de cette vision sont contraints d’adopter un plan de construction et de fonctionnement de la vie, c’est-à-dire une substance héréditaire, et d’affirmer qu’elle existe.

La même logique coercitive s’applique aux toxines de la maladie revendiquée. Si la cellule produit prétendument des toxines ou virus causant des maladies afin de les diffuser à l’intérieur et à l’extérieur du corps, il faut revendiquer un endroit chez un individu où et dans lequel cette toxine, le virus, a été produite pour la première fois. Si cette façon de penser est élevée au rang de dogme, contre lequel rien d’autre ne peut être enseigné et où d’autres points de vue sont diffamés comme non scientifiques ou comme conspiration contre l’État, elle exclut d’emblée d’autres possibilités de penser et d’imaginer l’origine des maladies au sein d’un corps ou d’un groupe de personnes. Cette logique coercitive ne cherche toujours les causes que dans les catégories des défauts matériels ou de la malveillance matérielle. Il n’est pas mentionné que l’idée du virus en tant que toxique a été élégamment et scientifiquement réfutée et abandonnée en 1951 et que depuis 1952, une autre idée a dû être inventée :

L’idée que les virus sont une collection de gènes dangereux. Là encore, on dissimule qu’il n’y a toujours pas de preuve scientifique solide pour l’hypothèse de telles accumulations de gènes, que l’on pourrait appeler des virus. La bonne nouvelle est que la nouvelle virologie génétique, qui avait connu son essor à partir de 1954, s’est réfutée par ses propres déclarations, d’une manière véritablement scientifique, c’est-à-dire facilement compréhensible et vérifiable. Cette affirmation est 100% correcte, prouvée et je la défends en tant que virologiste, en tant que scientifique, en tant que citoyen et en tant qu’être humain.

Le passage de la virologie toxinique à la virologie génétique d’aujourd’hui

L’idée de la toxine pathogène est encore assez répandue, car on prétend toujours que les toxines protéiques bactériennes sont dangereuses. Ou encore des bactéries, telles que les bactéries en forme de tire-bouchon, qui seraient dangereuses et qui se propageraient à partir du point d’entrée présumé par les nerfs dans le cerveau. Ce que les virologistes, les médecins et les journalistes scientifiques taisent, c’est le fait que l’idée selon laquelle les virus étaient définis comme des toxines protéiques, valable jusqu’en 1951, a dû être abandonnée cette année-là. Afin de tester l’hypothèse et l’affirmation des virus-toxines et de pouvoir les revendiquer comme scientifiques, deux expériences témoins ont été menées :

  1. Les tissus sains ont été exposés à la décomposition et pas seulement les tissus supposés endommagés par les virus. Il a été constaté que les protéines produites par la décomposition des tissus sains sont les mêmes que celles produites par la décomposition des tissus “endommagés par des virus”. Cela a réfuté l’hypothèse du virus.
  2. L’hypothèse protéine-toxine-virus a en outre été réfutée par le fait que le microscope électronique ne permettait jamais de trouver et de photographier quoi que ce soit d’autre que ce qui était observé chez les humains sains des humains, des animaux et de leurs fluides “infectés par un virus” . D’ailleurs, c’est toujours le cas aujourd’hui.

La virologie clinique, c’est-à-dire médicale, s’est démentie avec ces expériences témoins réussies et a abandonné avec des mots de regret, qui n’ont été remarqués que par les lecteurs attentifs des revues professionnelles. Ce fait a été étouffé par les médias parce que les hypnotiseurs du pouvoir célébraient les campagnes de vaccination en cours.

Bien que les virus aient été perdus comme justification de la vaccination, les campagnes de vaccination n’ont pas été interrompues – également en raison du silence des autorités sanitaires et de la “science”. Après l’abandon de la virologie, la biologie et la médecine n’ont pu trouver aucune autre explication dans la théorie de la cellule purement matérielle pour les maladies et les phénomènes d’apparition simultanée ou accrue de maladies définies comme virales.

Les participants ont donc été contraints d’inventer une nouvelle théorie sur ce que devraient être les virus à l’avenir. Ils se sont orientés vers les structures réellement existantes, appelées phages, qui sont formées par les bactéries lorsqu’elles sont retirées de leur environnement et que l’échange avec d’autres bactéries et microbes est empêché. En tant que jeune étudiant, j’ai eu la chance d’isoler une telle structure phagique de la mer, d’étudier sa structure, sa composition et son interaction avec l’environnement. Cela m’a conduit directement dans le domaine de la virologie, car je croyais, sans me douter, avoir découvert un virus inoffensif et une relation virus-hôte stable pour rechercher l’origine des virus. Trente ans plus tard, de nouvelles structures de ce que l’on appelle aujourd’hui des “virus géants” ont été et sont toujours découvertes. Entre-temps, il a été clairement prouvé qu’ils se trouvent au début des processus par lesquels la vie biologique commence ou devient visible pour nous. Les virologistes français reconnaissent que ces structures forment le quatrième royaume de la vie, à côté des bactéries primordiales, des bactéries et des eucaryotes.

Les structures appelées à tort phages, c’est-à-dire les mangeurs de bactéries et les virus géants, peuvent également être décrites comme un type de spores que les bactéries et les êtres vivants simplement organisés forment lorsque leurs conditions de vie changent de telle manière qu’ils ne peuvent plus se reproduire ou survivre idéalement. Selon les espèces, ces structures utiles sont toujours constituées d’un brin de la substance dite héréditaire qu’est l’ADN, de longueur et de composition exactement identiques. Ce type d’ADN est toujours entouré d’une enveloppe de la substance dense d’où provient la vie biologique. C’est la raison pour laquelle les “phages” et les “virus géants” – appelons-les plutôt bionts – sont faciles à isoler, c’est-à-dire à enrichir et à séparer de tous les autres composants de la vie. Sous cette forme isolée, ils peuvent être et sont régulièrement analysés biochimiquement. Chaque caractérisation biochimique révèle que l’acide nucléique d’un type de “phage” ou de “virus géant” a toujours exactement la même longueur et toujours exactement la même composition.

En fait, pendant des décennies, les phages ont été la seule source d’acide nucléique (ADN) pur dans les études biochimiques. Le processus d’absorption et de libération de l’ADN dans et hors des bactéries, documenté au microscope électronique, a été interprété comme une infection. Il a été affirmé, sans aucune preuve, que les phages attaquent les bactéries, les violent, leur imposent leurs acides nucléiques et que les bactéries meurent pour cette raison. Seules les bactéries qui sont extrêmement consanguines, c’est-à-dire qui se reproduisent constamment sans avoir de contact avec d’autres bactéries ou microbes, se transforment en phages dans un acte de métamorphose. Cette transformation est interprétée à tort comme la mort des bactéries par les phages. D’autre part, les bactéries fraîchement isolées de leur environnement ne se transforment jamais en phages et ne meurent pas si l’on applique des phages en quelque quantité que ce soit. C’est également la raison pour laquelle la thérapie par les phages souvent citée comme substitut aux antibiotiques, par exemple pour supprimer la douleur et d’autres symptômes – comme pour tout autre empoisonnement – peut et ne pourra jamais fonctionner avec des “phages” dans le sens et dans la mesure souhaités.

La biologie des phages et des virus géants et la réfutation de la théorie cellulaire qui en résulte

C’est le cas des algues (ectocarpus siliculosus), dont j’ai isolé les “virus géants” : Les formes mobiles des algues, les gamètes et les spores, recherchent les “virus géants” dans leur environnement avec leurs flagelles mobiles et absorbent ces “virus géants”. Les algues en croissance intègrent l’acide nucléique des “virus géants” dans leurs propres chromosomes. Il a été observé que les algues contenant des “virus géants” sont mieux loties que celles qui n’en contiennent pas. Il n’a jamais été observé que les algues avec des “virus géants” sont moins bien loties que celles qui n’en ont pas. De nouveaux “virus géants” aux propriétés de plus en plus étonnantes sont constamment découverts et il est de plus en plus évident que les bactéries et les micro-organismes, les amibes et les organismes unicellulaires sont créés à partir de “virus géants” en lesquels ils sont transformés comme si leurs conditions de vie n’existaient plus.

Les virus géants sont apparemment créés par et autour des acides nucléiques, qui développent des activités catalytiques, c’est-à-dire qu’ils libèrent de l’énergie de manière indépendante, synthétisent d’autres acides nucléiques, d’autres molécules et substances et génèrent ainsi constamment de nouvelles propriétés et capacités. Les formes d’acides nucléiques particulièrement réactives et diverses de l’ARN, mot-clé “Le monde de l’ARN”, qui peuvent facilement et constamment se transformer en ADN et se retransformer en ADN, sont également créées dans le processus d’auto-organisation de la vie, sans aucune raison ou cause scientifiquement vérifiable. Avec la découverte du phage, qui n’est jamais créé que par la transformation de cultures bactériennes extrêmement consanguines (inceste), et des virus géants, qui se maintiennent, s’agrandissent et se métabolisent activement, et la découverte de nouveaux organismes constitués de virus géants, trois choses ont été prouvées jusqu’à présent:

  1. La théorie cellulaire selon laquelle la vie biologique n’existe que sous forme de cellules et ne provient que de cellules a été réfutée.
  2. L’affirmation selon laquelle la vie biologique a pris naissance dans les temps primitifs brumeux a été réfutée. La vie surgit sans cesse de nouveau et sous nos yeux, si nous ne regardons la vie qu’objectivement et si nous ne sommes limités par aucun dogme et aucune théorie sans fondement. Il est prouvé que la vie biologique telle que nous la connaissons aujourd’hui peut naître partout où il y a de l’eau et peut-être aussi dans des conditions identiques ou similaires à celles de notre planète mère, la Terre.
  3. L’interprétation négative selon laquelle l’absorption d’acides nucléiques provenant de “phages” et de “virus géants” dans d’autres organismes a été interprétée comme une infection et comme nuisible est réfutée. Cette observation, cependant, a été la raison de croire, à partir de 1952, qu’il existait chez l’homme des virus génétiques qui provoquaient des maladies en transmettant leurs acides nucléiques “dangereux” et qui peuvent être tenus pour responsables de la mort et de la destruction. À ce jour, aucun virus n’a été observé ou isolé chez les humains, les animaux, les plantes ou leurs fluides. Il n’a même pas été possible d’isoler un acide nucléique qui correspondrait à la longueur et à la composition des brins génétiques de la maladie revendiquée causée par les virus, bien que l’isolement, la présentation et l’analyse de la composition des acides nucléiques de cette longueur aient été possibles depuis longtemps en utilisant les techniques standard les plus simples.

Un prix Nobel et ses conséquences fatales

Sous forme isolée, les “phages” et les “virus géants” (bionts) peuvent être rapidement et facilement photographiés en grand nombre au microscope électronique et leur degré de pureté documenté. L’isolement et la photographie de structures isolées et caractérisées n’ont jamais réussi avec aucun des virus prétendument pathogènes ! Les bionts (alias phages et virus géants) sont régulièrement observés et photographiés en grand nombre au microscope électronique dans les organismes par lesquels ils sont produits ou qui les produisent (sic !). D’autre part, la photographie de structures au microscope électronique, qui sont prétendues être des virus pathogènes, n’a pas été documentée avec succès à ce jour chez l’homme, l’animal, la plante ou dans les liquides qui en proviennent, comme le sang, le sperme, la salive, etc. Pourquoi n’est-ce pas le cas ?

Les images au microscope électronique de prétendus virus ne montrent que des structures qui sont toujours obtenues à partir de sources complètement différentes. Ces structures n’ont jamais été isolées, ni caractérisées biochimiquement, ni utilisées comme source pour les courts morceaux d’acides nucléiques, à partir desquels les virologistes construisent UNIQUEMENT en théorie un long acide nucléique, qui est ensuite transmis comme le prétendu brin génétique d’un virus.

À partir de tous les types de “phages” et de “virus géants”, on peut obtenir des acides nucléiques de longueur et de composition exactement identiques. Jamais auparavant il n’a été possible d’isoler un acide nucléique (ADN ou ARN) d’une structure ou d’un liquide dont la longueur et la composition correspondraient à ce que les virologistes prétendent être le brin génétique d’un virus pathogène. La séquence de ce qui s’est passé entre 1951 et le 10 décembre 1954 montre clairement pourquoi et pour quelle raison les virologistes se sont complètement perdus dans une approche anti-scientifique complètement éloignée de la réalité et dangereuse. Après que la virologie médicale ait été prise en charge par des expériences témoins en 1951, les phages des bactéries sont devenus le modèle de l’idéologie persistante de ce à quoi devraient ressembler les “virus pathogènes” : un acide nucléique d’une certaine longueur et composition, entouré d’une enveloppe constituée d’un certain nombre de certaines protéines.

Mais : l’absence d’images au microscope électronique des “virus pathogènes” chez les humains/animaux/plantes, l’absence d’images au microscope électronique des “virus pathogènes” sous forme isolée, l’absence de caractérisation biochimique des composants des “virus pathogènes”, En raison de l’absence d’isolation, les virologistes ont été et sont encore obligés d’assembler des composants individuels de tissus supposés “viralement” malades dans leurs pensées et leurs graphiques et de faire passer ces produits intellectuels pour eux-mêmes et le public pour des virus existants !

Les virologistes qui prétendent que les virus provoquent des maladies se réfèrent de manière centralisée à une seule publication avec laquelle ils justifient ce qu’ils font et le font passer pour scientifique. Cela est facilement reconnu comme insensé et anti-scientifique. Les auteurs, qui ont publié ces considérations le 1er juin 1954, ont explicitement décrit leurs observations comme des spéculations qui ont été réfutées en elles-mêmes et qui ne seront vérifiées qu’à l’avenir. À ce jour, cette vérification future n’a pas eu lieu, car le premier auteur de cette étude, le professeur John Franklin Enders, a reçu le prix Nobel de médecine le 10 décembre 1954. Il a reçu le prix Nobel pour une autre spéculation dans le cadre de l’ancienne théorie, réfutée en 1951, selon laquelle “les virus sont des protéines-toxines dangereuses”. Le prix Nobel a eu deux effets : L’ancienne théorie réfutée sur les toxines-virus a reçu un nimbe pseudo-scientifique et le nouveau champ de la virologie génétique a reçu la plus haute distinction.

La nouvelle virologie génétique à partir de 1952 reposait sur deux principes fondamentaux : les virus qui provoquent des maladies sont en principe structurés comme des phages et ils seraient créés lorsque les cellules meurent dans l’éprouvette après qu’on leur ait ajouté du matériel d’échantillon supposé infecté. Enders et ses collègues, avec leur seule publication du 1er juin 1954, ont développé l’idée que les cellules qui meurent dans l’éprouvette après l’ajout de matériel supposé infecté se transformeraient en virus. Cette mort est simultanément publiée comme isolation du virus – parce qu’on suppose que quelque chose est apporté au laboratoire de l’extérieur -, et la reproduction du virus suspecté et de la masse cellulaire mourante est utilisée comme vaccin. Enders, ses collègues et tous les virologistes ont oublié – à cause de ce prix Nobel – que la mort des cellules en laboratoire n’est pas causée par un virus, mais parce que les cellules sont tuées involontairement et sans être remarquées, mais systématiquement en laboratoire : par empoisonnement avec des antibiotiques toxiques pour les cellules, par une famine extrême due au retrait de la solution nutritive et à l’ajout de protéines en décomposition, qui libèrent des produits métaboliques toxiques.

Les composants de ces cellules qui meurent en laboratoire sont encore aujourd’hui combinés mentalement à un virus et présentés comme une réalité. La virologie des virus pathogènes est aussi simple que cela. Enders et les “virologistes” n’ont jamais, jusqu’à aujourd’hui, effectué d’expériences témoins pour “infecter” les cellules en laboratoire avec du matériel stérile. Ils meurent lors de l’expérience témoin exactement de la même manière qu’avec du matériel soi-disant “viral”.

Explication brève, claire et facilement compréhensible des allégations concernant tous les virus qui provoquent des maladies

L’erreur et la tromperie sont humaines, compréhensibles et excusables. Ce qui n’est pas excusable, ce sont les affirmations constantes des virologistes selon lesquelles leurs déclarations et leurs actions sont scientifiques. C’est clairement faux, facilement prouvable et compréhensible pour tous. C’est pourquoi les virologistes qui revendiquent des coronavirus ou d’autres virus pathogènes doivent être qualifiés de fraudeurs et poursuivis par des moyens légaux afin qu’ils rétractent leurs déclarations fausses, réfutées et dangereuses. Ainsi, la crise du covid et d’autres catastrophes “virales” aux conséquences mortelles telles que le “SIDA”, le “virus Ebola” et d’autres pandémies “virales” non fondées peuvent être et seront non seulement stoppées, évitées à l’avenir, mais transformées en une opportunité pour tous.

La définition de ce que l’on peut appeler une déclaration scientifique et les obligations qui en découlent sont clairement définies. Résumée :

A. Toute déclaration scientifique doit être vérifiable, compréhensible et réfutable.

B. Une déclaration ne peut être qualifiée de scientifique que si la réfutation d’une déclaration scientifique par les lois de la pensée, la logique et, le cas échéant, par des expériences témoins n’a pas réussi.

C. Tout scientifique est tenu de vérifier et de remettre en question ses déclarations lui-même.

Parce que les virologistes ne l’ont jamais fait eux-mêmes et que, pour des raisons compréhensibles, ils sont réticents à le faire – qui veut se réfuter, qui veut réfuter ses actions, qui veut réfuter sa propre réputation – nous le faisons publiquement avec sept arguments. Chaque argument suffit à réfuter les affirmations sur l’existence de tous les “virus pathogènes” et c’est ce que font les virologistes de cette discipline (à l’exception des chercheurs qui s’occupent des “phages” et des “virus géants” existants).

Dans les points suivants, le mot “virus” est utilisé à la place de la combinaison “virus pathogène”.

1) Le fait de l’alignement

Les virologistes n’ont jamais isolé et montré directement un brin génétique complet d’un virus sur toute sa longueur. Ils utilisent toujours de très courts morceaux d’acides nucléiques, dont la séquence est constituée de quatre molécules pour les déterminer et les appeler séquences. À partir d’une multitude de millions de ces séquences très courtes et spécifiques, les virologistes assemblent mentalement un long brin de génome fictif à l’aide de méthodes informatiques et statistiques complexes. Ce processus s’appelle l’alignement.

Le résultat de cet alignement complexe, le brin génétique fictif et très long, est présenté par les virologistes comme le noyau d’un virus et ils prétendent avoir ainsi prouvé l’existence d’un virus. Cependant, un tel brin complet n’apparaît jamais dans la réalité et dans l’ensemble de la littérature scientifique, bien que les techniques standard les plus simples soient disponibles depuis longtemps pour déterminer simplement et directement la longueur et la composition des acides nucléiques. Par le fait de l’alignement, au lieu de présenter directement un acide nucléique de la longueur appropriée, les virologistes se sont réfutés eux-mêmes.

2) Le fait de l’absence d’expériences témoins pour l’alignement

Les virologistes n’ont jamais effectué et documenté un alignement en utilisant des acides nucléiques également courts provenant d’expériences témoins.

Pour ce faire, ils DOIVENT isoler les acides nucléiques courts à partir de la même procédure de culture cellulaire, à la différence que l’infection présumée ne se produit pas en ajoutant des échantillons supposés “infectés”, mais avec des matériaux stériles ou des échantillons stérilisés qui ont été “infectés par le témoin”.

Ces expériences témoins logiques et obligatoires n’ont jamais été réalisées et documentées, les virologistes étant les seuls à prouver que leurs déclarations n’ont aucune valeur scientifique et ne doivent PAS être considérées comme des déclarations scientifiques.

3) L’alignement ne se fait qu’au moyen de constructions mentales

Afin de pouvoir assembler mentalement et par calcul les très courtes séquences des acides nucléiques utilisés en un long génome, les virologistes ont besoin d’une matrice pour aligner les courtes séquences en un très long brin de génome supposé viral. Sans cette séquence très longue donnée, il n’est pas possible pour un virologiste de construire un génome viral théoriquement/computationnellement. Les virologistes affirment que le génome construit provient d’un virus parce que l’alignement a été fait avec un autre génome viral donné.

Cet argument des virologistes est brièvement et sans ambiguïté réfuté par le fait que tous les modèles avec lesquels de nouveaux brins de matériel génétique ont été générés théoriquement/informatiquement étaient eux-mêmes générés théoriquement/informatiquement et ne proviennent pas d’un virus.

4) Les virus n’ont jamais été observés chez un humain/animal/plante ou dans ses liquides

Les virologistes affirment que les virus infectieux, c’est-à-dire intacts, sont censés être présents en grand nombre dans le sang et la salive. C’est pourquoi, par exemple, lors de la crise du covid, tous les gens portent un masque. Toutefois, à ce jour, aucun virus n’a été photographié dans la salive, le sang ou d’autres parties du corps humain/animal/végétal ou dans des liquides, bien que l’imagerie au microscope électronique soit désormais une technique standard facile et courante. Ce seul fait non équivoque et facilement vérifiable, à savoir qu’il n’existe pas d’images de virus dans le corps humain/animal/végétal ou dans des liquides provenant de celui-ci, réfute toutes les allégations concernant les virus. Ce qui n’a jamais été vu dans le corps humain/animal/végétal ou dans des liquides provenant de celui-ci ne doit pas être considéré comme un fait scientifiquement prouvé.

5) La composition des structures qui sont prétendues être des virus n’a jamais été caractérisée biochimiquement

Il existe deux techniques différentes que les virologistes utilisent pour créer des photos de virus présumés. Pour la microscopie électronique à transmission, ils utilisent des cultures de cellules qu’ils intègrent dans une résine synthétique, grattent en fines couches et regardent à travers. Les particules qu’ils montrent dans ces images n’ont jamais été isolées et leur composition n’a jamais été déterminée par voie biochimique. Après tout, il faudrait trouver toutes les protéines et le long brin du génome qui est attribué aux virus. Ni cela, ni l’isolement de ces particules encastrées et la caractérisation biochimique de leur composition n’apparaissent dans une seule publication des virologistes. Cela réfute l’affirmation des virologistes selon laquelle ces enregistrements sont des virus.

L’autre méthode utilisée par les virologistes pour photographier les virus au microscope électronique est la microscopie électronique à observation simple et rapide appelée coloration négative. Afin de concentrer les structures réellement existantes, telles que les “phages” et les “virus géants”, et de les séparer de tous les autres composants, ce qui est ensuite appelé ” isolation “, une technique standard est utilisée, la centrifugation à gradient de densité. La visibilité de la présence, de l’apparence et de la pureté de ces structures isolées dans le microscope électronique est obtenue en recouvrant ces particules d’une substance contenant du métal et en faisant apparaître les structures sous-jacentes comme des ombres dans le faisceau d’électrons. L’autre partie des particules isolées, qui ont été rendues visibles par “coloration négative”, est caractérisée biochimiquement. Dans le cas de tous les phages et des virus géants, les acides nucléiques sont toujours intacts, toujours les mêmes, toujours très longs et composés de la même manière et les résultats de la caractérisation biochimique sont documentés.

Dans le cas de tous les virus, qui sont présentés comme des virus au moyen de cette technique, la “coloration négative”, on a procédé comme suit. Ces particules ne sont pas enrichies, purifiées et isolées par la centrifugation à gradient de densité prévue à cet effet, mais sédimentées par simple centrifugation sur le fond du tube de la centrifugeuse, ce qui est appelé “pelleting”, puis observées au microscope électronique. La composition de ces structures, qui se présentent sous la forme de virus, n’a jamais été déterminée sur le plan biochimique jusqu’à aujourd’hui. Avec cette déclaration facilement vérifiable et compréhensible, basée sur toutes les publications des virologistes, dans laquelle les structures sont identifiées comme des virus au moyen du microscope électronique, les virologistes ont également réfuté cet argument de l’existence des virus de manière simple et élégante – sans le remarquer.

6) Les images de microscopie électronique, qui se présentent comme des virus, sont des artefacts typiques connus ou des structures spécifiques aux cellules

Les virologistes publient un grand nombre d’images au microscope électronique de structures qu’ils font passer pour des virus. Ils ne mentionnent pas le fait que TOUTES ces images sont des structures typiques de cultures cellulaires mourantes ou sont des bulles de savon protéino-graisseuses produites en laboratoire et n’ont jamais été photographiées chez l’homme/animal/plante ou dans des liquides provenant de celles-ci.

Les chercheurs autres que les virologistes font référence aux mêmes structures que les virologistes présentés comme des virus, soit comme des composants cellulaires typiques tels que les villosités (protubérances semblables à des amibes avec lesquelles les cellules s’accrochent à la surface et se déplacent), soit comme des exosomes ou des “particules semblables à des virus”. C’est une preuve supplémentaire et indépendante que les déclarations des virologistes selon lesquelles les virus peuvent être vus au microscope électronique ont été scientifiquement réfutées.

7) Les expérimentations animales des virologistes réfutent les affirmations sur l’existence du virus

Les virologistes effectuent des expériences sur les animaux pour prouver que les substances avec lesquelles ils travaillent sont des virus et peuvent provoquer des maladies. Il ressort clairement de toutes les publications dans lesquelles ces expériences sur les animaux ont été menées que la manière dont les animaux sont traités produit exactement les symptômes qui sont censés être causés par le virus. Dans chacune de ces publications, il est clair qu’aucune expérience témoin n’a été réalisée où les animaux auraient été traités de la même manière avec du matériel de départ stérilisé.

Ces deux faits ouvertement déclarés réfutent les virologistes qui prétendent avoir détecté la présence et l’effet des virus dans les expériences sur les animaux.





[Voir aussi :
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Québec — Le collège des médecins a-t-il failli à sa mission ?

[Source : La Presse+]

Par ROBERT BÉLIVEAU
MÉDECIN RETRAITÉ

Dans un article récemment publié dans L’Actualité médicale, le président du Collège des médecins, le Dr Mauril Gaudreault, nous fait part ouvertement de ses inquiétudes : « Un ordre professionnel doit protéger le public, mais je me demandais si le public se sentait protégé. » Puis, un peu plus loin dans le texte, autour du thème très actuel de la COVID-19, il ajoute « qu’il n’a pas pris position sur certains enjeux sur la place publique, question de laisser toute la marge de manœuvre nécessaire pour que la santé publique puisse faire son travail », expliquant que « ce n’est pas le temps présentement de formuler des critiques ».

C’est en soi une prise de position. Très claire. Et très dangereuse.

Elle laisse ainsi le champ complètement libre à la Santé publique, qui ne pourrait être sujette à aucune critique des mesures suggérées ou imposées.

Comme si la Santé publique et son directeur étaient détenteurs de la vérité. Pourtant, après plus d’un an d’un régime de plus en plus liberticide, une stratégie dominante en Occident, la communauté médicale se doit de réagir. De briser le silence. D’oser prendre la parole !

Que le président du Collège préfère rester « silencieux », je veux bien.

Toutefois, le Collège, qui devrait protéger la population et favoriser, sinon imposer, un débat ouvert et libre parmi tous les membres de la société (médecins non experts inclus), est silencieux comme une tombe.

Pire, il impose l’omerta parmi ses membres, favorisant une dictature médico-politique et un discours aligné, monolithique et unidimensionnel, oubliant que l’erreur est monnaie courante en médecine. Or, la science, comme l’expliquait le philosophe Karl Popper, n’est science que si elle se fait le devoir de mettre en doute, de contester et de toujours tenter de réfuter toute « vérité » présumée.

C’est donc la responsabilité de la médecine, qu’elle soit Santé publique ou civile, d’informer, de proposer, d’éduquer et de se méfier des tendances prétentieuses à imposer, infantiliser, culpabiliser et dicter. Or, le Québec, comme une bonne partie de l’Occident, s’est plié à une dictature sanitaire, une « doctature », où l’arbitraire est roi. La science est ainsi instrumentalisée et présentée comme un outil infaillible qui fournit une base incontestable pour justifier des décisions qui affectent toutes les couches de la société, tant celles menacées que celles très peu à risque.

MAL FAIRE OU TROP EN FAIRE

Nortin Hadler a classé les erreurs médicales en deux catégories : les premières sont de « ne pas faire ou de mal faire ce qui est médicalement requis » ; les deuxièmes, les plus fréquentes aujourd’hui, sont de trop en faire, de surmédicaliser, de surtraiter, donc, de parfaitement faire ce qui n’est pas nécessaire ou ce qui s’avère nuisible. Depuis le début de cette crise, nos autorités ont commis les deux types d’erreurs.

Le premier confinement se justifiait alors qu’on était en pleine crise, en pleine confusion. Il eût été suicidaire politiquement pour le gouvernement d’être passif alors qu’un vent de panique nourri par les médias gagnait la population. Rapidement, il a été possible d’identifier les populations présentant un risque élevé et on aurait pu mieux cibler, mieux orienter diverses mesures. Rejetant cette approche, les autorités s’acharnent plutôt à faire plus (trop) de ce qui ne fonctionne pas, causant d’énormes dommages collatéraux. Pour éviter de paraître négligent, on provoque ainsi des dommages irréparables, en particulier envers les plus démunis, les jeunes, les femmes, les enseignants, les entrepreneurs et tant d’autres. Pour quiconque ouvre les yeux, ces dommages collatéraux sont insoutenables.

Aveuglée par la pandémie, la Santé publique ignore une règle fondamentale en médecine : Primum non nocere, d’abord ne pas nuire.

Actuellement, les seuls médecins qui peuvent impunément s’exprimer, émettre leurs opinions sans s’exposer aux foudres du Collège sont les retraités comme moi. Cet état de fait est inacceptable dans une démocratie. Les médecins sont aussi des citoyens et doivent pouvoir s’exprimer et débattre. Librement. Sans inquiétude. En bâillonnant ses membres, le Collège continue de manquer à son devoir de « protéger la population ». Il convient de le dire haut et fort. Et de souhaiter un changement drastique d’attitude.

Je termine par deux citations, une du médecin Norbert Bensaid (auteur de La lumière médicale, les illusions de la prévention) :

« On favorise les médecins savants au détriment de ceux qui savent soigner. Il est, hélas ! faux que les deux aillent ensemble. Très souvent, on est prisonnier de ce qu’on sait ou croit savoir, et on ne sait plus s’en servir. [L]a relation médecin-malade reste le lieu privilégié d’une éducation sanitaire qui ne retomberait ni dans le lavage de cerveau publicitaire, ni dans la catéchisation, ni dans la mobilisation, sous le couvert de la raison, des passions les plus dangereuses. »

L’autre citation est issue d’un éminent juriste, ex-juge de la Cour suprême en Grande-Bretagne, récemment retraité, Lord Jonathan Sumption :

« Les gouvernements traitant de questions scientifiques ne devraient pas se laisser influencer par un seul groupe de scientifiques. Ils devraient toujours tester ce qu’on leur dit, de la même manière que, par exemple, les juges testent l’opinion d’un expert en produisant un contre-expert et en déterminant quel ensemble de points de vue s’avère le meilleur. »

Garder les yeux ouverts et l’esprit critique, c’est un devoir qui est au cœur de notre travail d’aidant. Un devoir citoyen aussi. Et pouvoir discuter librement, un droit que devrait âprement protéger et défendre sans compromis notre Collège, si son mandat est bien celui de protéger la population.




L’Abbé : « La vaccination finale est liée par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer »

[Source : lemediaen442.fr]

Le site internet « Le Glaive de la Colombe » réunit des chroniqueurs catholiques, laïcs, clercs et consacrés, souhaitant partager librement leurs réflexions, humeurs et intuitions, en vérité et simplicité. Son administrateur, qui signe sous le pseudonyme de « L’Abbé », est un prêtre catholique diocésain. Il partage avec les autres chroniqueurs de ce blog le même tempérament combatif qu’ils mettent au service « de la vérité, de la mansuétude et de la justice » (Psaume XLIV, 5). Entretien en 4-4-2 avec l’Abbé, qui nous assure de son soutien et de ses prières.

« Après l’Apocalypse et le Jugement dernier vient effectivement un autre monde, mais celui que Dieu nous a préparé de toute éternité, pas “un monde d’après” que nos pauvres forces humaines seraient bien incapables d’édifier. »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour et merci de répondre aux questions du Média en 4-4-2. Dans son édito du 7 avril, Réinfocovid écrivait : « Nous avons été touchés par la grâce (…) Cette crise est une révélation, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore. » J’imagine que vous partagez ce point de vue ?

L’Abbé : Quitte à vous surprendre, pas tout à fait. J’apprécie beaucoup les initiatives de Réinfocovid comme d’autres défenseurs du réel face à la tyrannie sanitaire. Il y a des convergences manifestes entre nous, relevant souvent du bon sens, contre cet ennemi commun. Cependant il y a aussi des distinctions, de forme et de fond, dont il faut avoir conscience car nous n’agissons pas tous sur le même plan. Sur la forme, je regrette souvent, comme c’est le cas dans l’éditorial auquel vous faites allusion, le recours, inapproprié selon moi, à des notions religieuses. Au-delà de la figure de style, cet usage me paraît plutôt favoriser la confusion et l’amalgame qu’autre chose. J’ai dénoncé notamment dans un billet récent le qualificatif de « dogmatique » que l’on retrouve souvent dans la bouche de Louis Fouché et encore dans l’éditorial du 7 avril de Réinfocovid (« Merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques »). Or il s’agit, selon moi, plus exactement d’idéologie, dans le déni du réel et même la volonté autoritaire de soumettre la réalité à des idées abstraites voire partisanes. Cela ne relève pas du dogme qui est propre à la foi et qui est supposé éclairer la raison, nous faire saisir des réalités supérieures mais non contraires à la raison. Il en est de même pour les termes de « « grâce » ou d’« apocalypse ». On comprend bien l’usage littéraire qu’en fait l’éditorial de Réinfocovid mais ce n’est pas sans conséquence sur le fond. Certes, « apocalypse » signifie étymologiquement « révélation » mais quiconque s’est plongé, ne serait-ce qu’une seule fois, dans celle de saint Jean saisit immédiatement que c’est une révélation sur la destinée finale de l’humanité et de toute la création. Après l’Apocalypse et le Jugement dernier vient effectivement un autre monde, mais celui que Dieu nous a préparé de toute éternité, pas « un monde d’après » que nos pauvres forces humaines seraient bien incapables d’édifier. Quitte à être un peu provocateur (pour tenter d’éveiller les consciences), je trouve troublant que Réinfocovid et le Forum économique mondial nous vantent des « mondes d’après », certes différents voire opposés mais reposant sur la même illusion, sur la même tentation de la Tour de Babel, qui ne peut conduire qu’à des catastrophes. Concrètement, il paraît évident que nous traversons une crise majeure, due davantage aux mesures prises mondialement au détriment des peuples qu’à la dangerosité du Covid-19. Reviendrons-nous au « monde d’avant » ? Qui pourrait le dire ? Que notre génération soit marquée par cet évènement, c’est probable, mais « un monde d’après » non profondément enraciné dans le réel finira tôt ou tard par s’effondrer, parce que la nature et son Créateur finissent toujours par reprendre leurs droits.

Le Média en 4-4-2 : Ne voyez-vous pas actuellement des signes qui vous feraient justement penser que le Créateur est en train de « reprendre ses droits » ? Les troubles actuels ne sont-ils pas là pour nous préparer à cet autre Monde prévu par Dieu ?

L’Abbé : En fait, Dieu ne cesse d’agir dans le monde, ne serait-ce que pour le maintenir dans l’existence. Sa toute-puissance lui permet par ailleurs d’accomplir ses desseins ultimes tout en laissant aux hommes l’exercice libre et responsable de leur liberté. Rien à voir donc avec la gouvernance mondiale singeant la Providence divine et asservissant l’humanité. Quoi qu’il en soit, Dieu rendra au final à chacun selon ses œuvres : «Aux humbles, on fera miséricorde mais les puissants seront jugés puissamment » (Livre de la Sagesse, VI, 6). Le moment du Jugement dernier n’a pas été révélé mais il adviendra subitement, alors que le mal répandu dans le monde atteindra son paroxysme et semblera même l’emporter. Ainsi le retour du Christ en gloire pour juger les vivants et les morts sera-t-il précédé par de terribles calamités (apostasie générale, ébranlement de la nature, guerres, famines, épidémies, oppression…) que Notre-Seigneur compare aux douleurs de l’enfantement. A divers moments dramatiques de l’humanité, on a pu croire que cet évènement était imminent, toujours à tort, et cela peut expliquer que l’on réinterprète aujourd’hui l’avertissement divin comme « la fin d’un monde » et non « la fin du monde » ; mais cela sert aussi la tactique « rassuriste » du diable visant à maintenir les hommes dans le mépris du châtiment qui les guette s’ils ne reviennent pas de leurs voies mauvaises. En l’occurrence, le monde semble effectivement aller de mal en pis, au point de raviver dans l’inconscient collectif les terreurs annonciatrices de l’Apocalypse. Il est naturel de craindre ces dernières mais surnaturellement, avec les yeux de la foi, ce sont des signes d’espérance, car elles annoncent l’imminence du retour du Christ et de notre délivrance définitive.

« Il est vital de savoir si la religion ou la “spiritualité” que l’on adopte repose sur quelque chose de vrai, de réel qui nous unifie et nous élève, ou s’il s’agit d’une petite musique douce, une illusion consolante nous anesthésiant jusqu’à l’abattoir. »

Le Média en 4-4-2 : On a l’impression que cette « crise sanitaire » a permis à beaucoup de personnes de s’ouvrir (ou de revenir) à la religion, ou du moins à une certaine sorte de spiritualité. L’avez-vous constaté ? Si oui, comment l’expliquez-vous ?

L’Abbé : C’est psychologiquement assez naturel, comme on le constate dans une famille : les enfants ont pu prendre leur indépendance mais qu’arrive une vraie difficulté, et ils se réfugient auprès de parents susceptibles de les soutenir affectivement ou matériellement. Au final, cette épreuve resserrera des liens entre les générations qui avaient tendance à s’estomper en période d’insouciance. De façon analogue, et dès l’Ancien Testament, des calamités ont souvent été l’occasion de pénitences publiques et de conversions personnelles, amenant le Bon Dieu à manifester sa sollicitude paternelle envers ses enfants naturellement ingrats. Malheureusement, le recul de l’enseignement religieux, dont le clergé a sa part de responsabilité, contribue au relativisme ambiant. Ne sachant plus à quel saint se vouer, nos contemporains errent parmi les « spiritualités » les plus aberrantes sans aucun critère de vérité nécessaire à tout discernement prudent. Saint Paul nous a mis en garde contre cette décadence (2Tim IV, 3-4) : « Un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au gré de leurs désirs, l’oreille les démangeant, ils se donneront une foule de maîtres, et se détourneront de la vérité pour se tourner vers les fables. » Puisqu’elle suppose donner un sens à notre vie, il est vital de savoir si la religion ou la « spiritualité » que l’on adopte repose sur quelque chose de vrai, de réel qui nous unifie et nous élève, ou s’il s’agit d’une petite musique douce, une illusion consolante nous anesthésiant jusqu’à l’abattoir. Il n’est ainsi pas anodin que les applications managériales les plus sournoises, qui contaminent la société comme l’Eglise contemporaine, s’appuient sur les « spiritualités » du bien-être et du développement personnel. Face à cela, l’idéal chrétien de la Vie par la Croix, dans son aridité paradoxale, revendique un attachement absolu à la vérité naturelle et surnaturelle (Jean XX, 27 : « Puis il dit à Thomas : “Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant !” »)

Le Média en 4-4-2 : Le pape François est un fervent défenseur de l’instauration d’un Nouvel Ordre mondial. Pendant cette « crise sanitaire », il n’a cessé de soutenir le narratif officiel sur le virus. Quel est l’impact de son discours chez les croyants ? Est-il si écouté que cela ?

L’Abbé : Un père de l’Eglise enseignait je crois qu’un Pape n’était pas toujours suscité par le Saint-Esprit pour l’édification de l’Eglise mais parfois pour son châtiment et, malgré de très grands saints, il faut bien reconnaître que les successeurs de saint Pierre ne furent pas toujours édifiants, sans être nécessairement les pires des hommes. En un mot, on a les papes, les évêques, les prêtres (et les fidèles) que l’on mérite : si l’on veut y changer quelque chose, il faut commencer par notre conversion personnelle et assumer pleinement ce que Dieu veut faire à travers chacun de nous. Ceci posé, je ne peux que déplorer ces prises de position du pape François, laissant autant que possible à Dieu le soin de juger de ses intentions comme des influences auxquelles il pourrait être soumis. En attendant, les ambiguïtés de son enseignement et de sa communication, ainsi que son exercice autoritaire du pouvoir, soulèvent suffisamment d’interrogations légitimes pour que l’on ne se sente pas moralement obligé de s’y conformer. Le Christ nous enseigne ainsi que le bon pasteur se distingue notamment du mercenaire à la voix, c’est-à-dire non selon les apparences, mais selon la conformité de son enseignement à « ce qui a été cru partout, toujours, et par tous » (Commonitorium de saint Vincent de Lérins). Même si l’approche de l’Apocalypse doit se signaler par une profonde confusion intellectuelle et morale, les justes disposeront de grâces particulières de discernement pour ne pas sombrer dans l’apostasie générale des derniers temps.

Le Média en 4-4-2 : Je vous propose d’évoquer les fameux « vaccins ». Dans une note publiée le 21 décembre, le Vatican explique qu’il est « moralement acceptable d’utiliser des vaccins contre le Covid-19 pour lesquels des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ont été utilisées dans le processus de recherche et de production ». Est-ce votre avis ?

L’Abbé : N’étant ni théologien, ni moraliste et encore moins médecin, je me garderai ici d’une position définitive, mais, en l’occurrence, il semble s’agir moins de « vaccins » que d’expérimentations précipitées par des intérêts mercantiles et menaçant gravement notre capital génétique. Si nous étions face une maladie mortelle, dépourvus de traitement alternatif, la thérapie génique, pourvu qu’il s’agisse vraiment de thérapie, s’envisagerait peut-être mais ce n’est justement pas le cas. On peut donc légitimement considérer comme déraisonnable de recourir à des moyens si aléatoires pour un risque si minime. Quant au recours à des cellules de fœtus avortés, la récente contribution de Don Pietro Leone à ce sujet, publiée par Rorate Caeli et traduite par Jeanne Smits me semble pertinente : l’avortement originel et la vaccination finale sont liés par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer et que l’on doit même combattre comme une des ces « structures de péché » dénoncées par Jean-Paul II. Malheureusement, ce combat s’étend bien au-delà des « vaccins » puisque l’industrie cosmétique et la chirurgie plastique notamment n’ont pas hésité à recourir aux mêmes « produits ».

Don Camillo

« L’adversité nous donne l’occasion d’apprendre ou de réapprendre à aimer, à aimer ce qui mérite d’être défendu »

Le Média en 4-4-2 : Le virus qui circule le plus actuellement n’est sans doute pas le Covid mais celui de la peur. Il suffit d’allumer une chaîne d’info en continue pour être effrayé soit par cette « crise sanitaire », soit par l’impact des médias sur la santé mentale des Français. Quel rôle joue la foi et la croyance dans le fait de se persuader qu’on va tomber malade, ou au contraire que ce virus n’est pas si grave et qu’il n’y a aucune raison qu’il nous affecte ?

L’Abbé : A l’image du choléra dans Le Hussard sur le Toit, la peur du Covid tue probablement davantage que le Covid lui-même. Dès le début de l’épidémie, le Pr Raoult déclarait redouter moins le virus que les mesures sanitaires inadéquates que l’administration ne manquerait pas de prendre. Nous n’avons pas été déçus du résultat d’autant plus pitoyable que le climat anxiogène savamment entretenu contribue à diminuer les défenses immunitaires comme la faculté de raisonnement des esclaves du système médiatique. « Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore » ; mais comme on n’enseigne plus Jules Romains, on se laisse mener par le premier Knock venu. Voilà pour la croyance. Quant à la foi, fondée sur la résurrection du Christ, promesse de la nôtre (« Si le Christ n’est pas ressuscité… vaine est votre foi », 1Corinthiens, XV, 14), elle devrait inciter les catholiques à ne pas craindre la maladie et même la mort, qui, vue surnaturellement, marque le moment béni du face à face avec Dieu. Qu’avons-nous finalement à faire de mourir plus tôt ou plus tard, puisque cette séparation du corps et l’âme, aussi douloureuse soit-elle, n’est que temporaire ? Ceci ne signifie pas s’exposer à la mort inconsidérément mais vivre chaque jour comme une grâce, dans l’abandon et la confiance en un Père tout-puissant et provident. Malheureusement, la prédication traditionnelle des fins dernières n’est plus guère entendue : il ne faut donc pas s’étonner que bien des catholiques en oublient le Ciel et l’excellence de leur filiation divine pour se conformer aux illusions mondaines d’aujourd’hui.

Le Média en 4-4-2 : Quel(s) conseil(s) pouvez-vous donner à ceux qui nous liront et qui vivent mal moralement cette épreuve ?

L’Abbé : Ce n’est pas au Média en 4-4-2 que j’apprendrai que la colère, ce surcroît d’énergie propre à la défense contre un mal présent, s’enracine dans l’amour : « Mme Marcel » défendant sa progéniture contre l’oppression sanitaire en est une excellente illustration. En fait, l’adversité nous donne l’occasion d’apprendre ou de réapprendre à aimer, à aimer ce qui mérite d’être défendu. « Il y a du bon en ce monde et il faut se battre pour cela », nous enseigne Sam Gamegie le Brave, qui tire sa force de l’amour de sa terre et de ses proches. Le Seigneur des Anneaux nous offre d’ailleurs une analogie assez juste de ce que l’on nous fait subir : s’étant laissé empoisonner le corps et l’esprit, le roi du Rohan est reclus, manipulé et rendu insensible aux malheurs de sa famille comme de son peuple. Théoden ne sortira de cette apathie morbide qu’au rappel providentiel de ce qu’il est, de sa gloire et de sa force. A son exemple, chassons de chez nous les intrigants à la solde de puissances apatrides, chérissons nos femmes et nos enfants, renouons des alliances véridiques car « voici venue l’heure de tirer l’épée ensemble ». Le Média en 4-4-2 y contribue comme chacun peut le faire, avec les moyens et les talents dont il dispose. Pour le reste, ce qui ne dépend pas de nous ou est hors de notre portée, abandonnons-nous à la Providence qui, dans l’histoire de l’humanité et particulièrement de la France, a si souvent pris le visage de la Sainte Vierge. « Belle comme la lune, resplendissante comme le Soleil, terrible comme une armée en bataille » (Cantique des Cantiques, VI, 9), Son amour maternel nourrit une détermination absolue contre tout ce qui porterait atteinte au bonheur de Ses enfants.

« Le Pass sanitaire préfigure de plus en plus nettement la marque de la Bête, décrite par saint Jean dans l’Apocalypse, sans laquelle « il ne sera possible ni d’acheter, ni de vendre » »

Le Média en 4-4-2 : Nous voyons actuellement les évènements s’accélérer de tous les côtes. Nous passons de l’optimisme de voir de plus en plus de personnes « s’éveiller » et comprendre la manipulation actuelle, au pessimisme en remarquant que le plan avance toujours avec, par exemple, la mise en place du Pass sanitaire. Quelle est votre vision des choses sur le sujet ?   

L’Abbé : « Le mal progresse davantage de la faiblesse des bons que de la force des méchants » et en cela Maître Di Vizio a raison de remarquer que les juristes résistant publiquement au rognage de nos droits fondamentaux sont aussi peu nombreux que les religieux. Le « Pass sanitaire » n’en pose pas moins de nombreux problèmes théoriques et pratiques qui peuvent encore contrarier son instauration et sa pérennité. Quoi qu’il en soit, il préfigure de plus en plus nettement la marque de la Bête, décrite par saint Jean dans l’Apocalypse, sans laquelle « il ne sera possible ni d’acheter, ni de vendre » (XIII, 17) ; or, les justes, les saints, se distingueront alors par leur refus de se voir appliquer cette marque sacrilège, quitte à supporter la persécution ultime dont nous libérera le retour du Christ en gloire. Cette perspective paraîtra peu réjouissante pour le commun des mortels et il est psychologiquement normal de redouter une épreuve inéluctable : le Christ Lui-même a tremblé à l’approche de son supplice mais il a vaincu son angoisse par son « fiat », son abandon « viril » à la volonté de son Père. Nous retrouvons la même détermination chez les martyrs des premiers siècles qui préféraient mourir plutôt que sacrifier même un grain d’encens aux idoles de leurs persécuteurs. Idem chez sainte Jeanne d’Arc qui tint tête à ses juges et fut brûlée vive de ne pas renier ses voix. Nous sommes avec ces modèles, bien « au-delà » de l’idéal nietzschéen que cherche à nous vendre, parfois avec beaucoup de talent, la mouvance néo-païenne. Il est ainsi d’actualité de promouvoir Napoléon comme « professeur d’énergie » et figure accomplie du surhomme rempart au déclin européen. En fait, par rejet de « l’arrière-monde » dont témoigne pourtant magnifiquement la Pucelle d’Orléans, ces nietzschéens cèdent à la tentation du « monde d’après » que je dénonçais au début de notre entretien. En effet, si sainte Jeanne d’Arc disait vrai, alors un « au-delà » existe qui n’est pas indifférent au sort de ce monde mais nous encourage et nous console jusqu’à la victoire certaine et définitive. Face à la déliquescence de notre pays et de notre civilisation, notre espérance, pour ne pas dire notre Salut, dépendra de la bannière que nous rallierons : celle de Napoléon ou celle de Jeanne, l’empereur ou la Servante ?

Le Média en 4-4-2 : Nous vous remercions pour toutes vos réponses qui, nous en sommes convaincus, apporterons de nombreux éléments de réflexion, de méditation et d’espoir à ceux qui nous liront, qu’ils soient croyants ou pas.

L’Abbé : C‘est le Glaive de la Colombe, chroniqueurs comme lecteurs, qui, à travers moi, vous remercie de votre invitation. Cette rencontre, que l‘on jugera peut-être iconoclaste, témoigne de la convergence d‘hommes de coeur de tous horizons, derrière laquelle se devine l‘action délicate de la Providence nous appelant à la confiance. Nul doute qu‘elle nous réserve encore bien des surprises mais cela ne saurait être à notre détriment. En effet, en ce monde, le mal, même terrible, n‘est que provisoire, quand le bien est un avant-goût, une assurance du bonheur que Dieu nous promet. Ainsi, pour le juste, le meilleur est-il toujours à venir : n‘ayons donc plus peur et entrons dans l‘Espérance !

Retrouvez L’Abbé sur :
. son site internet Le glaive de la colombe
. sa page Facebook

Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Appel au réveil urgent : des décès par milliers après la « vaccination » Covid-19

[Sources : Kla.tv]

[Ndlr : Certains pensent que les chiffres des décès et des effets secondaires dus aux vaccins seraient surévalués dans les bases de données officielles européennes et états-uniennes. Cependant :
►L’EMA, l’Agence Européenne des Médicaments, n’accepte que les décès très récents après le vaccin et il en est de même pour l’agence américaine;
►Actuellement en France, les centres de suivi sont débordés et demandent de ne plus signaler
►et les médecins, suivant les directives du Conseil de l’ordre des médecins, tendent à refuser la déclaration auprès des malades (les familles sont outrées et commencent à porter plainte);
►Contrairement à la période de 2020 où presque personne ne connaissait de malades covid dans son entourage, presque tout le monde a maintenant des accidents ou incidents post-vaccination à signaler parmi les proches, mais toujours non signalés, et le médecin dit que les patients ne peuvent pas le signaler (ce qui est faux).]

À quoi ressemble le bilan après environ 3 mois de vaccination Covid-19 ?



Cette émission montre ce qui s’est passé dans les maisons de retraite allemandes après les vaccinations Covid-19. Les chiffres officiels de l’Institut Paul-Ehrlich et de l’Agence européenne des Médicaments (EMA) sont très alarmants.

Comme ces chiffres sont dissimulés ou minimisés par les médias de masse, cet « appel au réveil urgent » est un appel à tous afin que les faits choquants de cette émission soient révélés au public !

16 des 70 résidents sont morts après la vaccination ! Un résident sur quatre est mort après la vaccination !

Leverkusen : 18 morts après la vaccination !

D’autres nouvelles choquantes : Une mortalité bien plus que centuplée après la vaccination par rapport aux années précédentes depuis le début des vaccinations Covid-19.

Une enseignante de 49 ans meurt quelques jours après avoir été vaccinée contre le Covid-19.

244 Britanniques sont morts peu après la vaccination.

Par conséquent, cette expérience irresponsable sur toute l’humanité doit être arrêtée immédiatement ! Aidez-nous à faire en sorte que cet appel au réveil urgent atteigne tout le monde !

Des titres tels que « Quand le turbo de la vaccination s’enflammera-t-il ? », « Le taux de vaccination augmente » ou « Les médecins généralistes devraient enfin vacciner » dominent depuis des mois les premières pages des médias principaux.

Selon la volonté de la chancelière allemande Angela Merkel, le monde entier doit être vacciné contre le Covid-19 le plus rapidement possible ! Elle a dit littéralement : « La pandémie ne sera vaincue que lorsque le monde entier aura été vacciné ».

À cette fin de nouveaux vaccins ont été développés en un temps record de moins de 12 mois. Auparavant, les fabricants de vaccins avaient échoué lamentablement pendant plus de 20 ans avec les vaccins à ARNmessager lors des essais sur les animaux. Cela soulève inévitablement la question suivante : les tests sur les animaux seront-ils désormais effectués sur des humains ? Après tout, ce n’est que par le biais d’une procédure d’approbation abrégée que l’Agence européenne des Médicaments (EMA) a approuvé sous conditions ces vaccins pour l’homme. Alors que les plateformes de médias alternatifs ont publié des articles critiques sur ces nouveaux vaccins Covid-19, la recherche de contributions critiques sur les vaccins dans les médias principaux ressemblait à la recherche de la fameuse aiguille dans une botte de foin !

Les vaccins ont été présentés comme sans alternative et les lanceurs d’alerte ont été et sont toujours ignorés, diffamés ou même censurés. Parmi de nombreux autres experts éminents, Sucharit Bhakdi s’est exprimé dans les « médias alternatifs ». M. Bhakdi est professeur émérite de microbiologie et d’immunologie médicales et ancien président de l’Institut de microbiologie et d’hygiène médicales de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence. Avec 12 autres éminents scientifiques et médecins, il a lancé il y a plusieurs mois une mise en garde urgente contre le risque que les vaccins Covid-19 puissent provoquer des caillots sanguins. Cette mise en garde a maintenant été confirmée de manière démontrable dans la pratique réelle de la vaccination par des décès survenus après des vaccinations Covid-19.

Dans cette émission, nous faisons donc le bilan de trois mois de « pratique de la vaccination contre le Covid-19 ». La base de ce « test pratique » est fournie par les faits et les chiffres publiés dans les rapports des journaux quotidiens, que nous citons comme source. Des sources supplémentaires en allemand peuvent être trouvées sur notre site internet www.kla.tv dans le texte de l’émission.




Connais ton ennemi

[Source : reseauinternational.net]

Par Philippe Huysmans

« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Si tu ignores ton ennemi et que tu te connais toi-même, tes chances de perdre et de gagner seront égales. Si tu ignores à la fois ton ennemi et toi-même, tu ne compteras tes combats que par tes défaites »

Sun Tzu, « L’Art de la Guerre »

Mars 2020, une majorité des pays les plus riches, mais aussi les plus endettés de la planète basculaient dans la dictature sanitaire. Incarcération domiciliaire en dehors de tout cadre constitutionnel, décrets et arrêtés toujours plus liberticides, absurdes, humiliants, contradictoires, contraires au bon sens et à l’évidence scientifique. Tout ça pour quoi ? Pour un virus qui ne tue pas plus qu’une mauvaise grippe.

Lassé de courir après la baballe en attendant le prochain train de mesures quasi-dictatoriales décidées dans le confortable entre soi d’un quarteron de pourritures et claironnées le lendemain par tous les médias de grands chemins, j’ai décidé de m’arrêter un instant pour réfléchir. Eh oui, la vraie question à se poser c’est comment des pays réputés démocratiques ont-ils pu basculer simultanément dans la dictature sanitaire, et donc comment l’ensemble des politiques aux pouvoir dans ces pays ont-ils pu s’affranchir du droit pour imposer des mesures dont on se rend parfaitement compte aujourd’hui qu’elles ont tué par centaines de milliers ?

Prenons l’exemple de Olivier Véran, ministre français de la Santé. Le 28 mars 2020 était publié le fameux décret Rivotril, pour « soulager » les patients covid en état de détresse respiratoire. En pratique le Rivotril les a « soulagés » comme l’avaient été les handicapés mentaux victimes du tristement célèbre programme Aktion T4 des nazis[1]. On les a piqués comme des chiens. Or en France, l’euthanasie est illégale, elle est assimilée à un meurtre. Logiquement donc, en cas de retour à la normale, Olivier Véran devrait être mis en examen en tant que responsable de plusieurs milliers de meurtres, voire de crimes contre l’humanité, ce qui lui vaudrait une condamnation à perpétuité. Pourtant, aucun de ces hommes de pouvoir ne semble craindre un seul instant l’éventualité d’être traduit en justice un jour, et ils se vautrent toujours plus avant dans l’abjection et la tyrannie[2].  Comment cela est-il possible ?Ce qui suit est une opinion, une tentative d’expliquer ce qui est apparemment inexplicable si l’on ne prend pas la peine d’articuler les causes et les événements qui nous ont amenés là. C’est une étape cruciale pour savoir qui est à la manœuvre, et pour savoir précisément jusqu’où ces gens sont prêts à aller. À la lumière de ce qui précédait, vous devez déjà vous en douter un peu, non ?

En règle générale, les hommes politiques sont d’une prudence de Sioux, ne s’engageant qu’à coup sûr, s’assurant que leur responsabilité n’est jamais engagée au point que l’on pourrait ultérieurement les poursuivre en justice sur base de leurs actions, et le timide docteur Véran ne fait pas exception à la règle. Comment transforme-t-on des paisibles chapons[3] en sociopathes prêt à tuer sans l’ombre d’une hésitation ?

Au commencement était l’effondrement

En 1991, la chute du bloc soviétique était consommée, le communisme avait vécu. Ça s’est passé sans un bruit, sur fond de déclarations insipides des dirigeants de l’époque qui évoquaient la question comme s’il s’agissait d’une simple formalité. En pratique c’était le principal opposant au bloc capitaliste qui disparaissait brutalement de la carte, laissant libre cours au néolibéralisme le plus débridé.

Ce qu’on a oublié de vous dire à l’époque, c’est que le système capitaliste était lui-aussi en phase d’effondrement, et que c’était inéluctable. L’usure ayant tout dévoré, les pays les plus riches, écrasés par le service de la dette détruisirent méticuleusement ce qu’il restait du tissu industriel, pour le convertir en actions plus lucratives, mais ne reposant que sur la spéculation. Le crash qui se produisit en 2008 signa l’arrêt de mort de l’économie capitaliste. La seule chose qui a pu retarder l’échéance jusqu’à présent, c’est que tant les États-Unis que l’Europe se sont mis à faire tourner la planche à billets à un rythme toujours plus vertigineux.

Par des mécanismes douteux, la FED s’est mise à racheter la quasi-totalité des actifs boursiers américains, afin d’éviter l’effondrement total de l’économie, mais au prix d’endetter toujours plus les citoyens américains, et en diluant leur pouvoir d’achat. La diplomatie de la canonnière trouvant ses limites dans le fait que désormais, tous les pays étaient plongés dans les mêmes difficultés.

Ainsi l’Europe n’était pas en reste pour produire par tombereaux de la fausse monnaie ultimement destinée à maintenir les banques systémiques sous perfusion. Vous avez sérieusement cru qu’il s’agissait d’aider les États ?

Ayant atteint le bout du bout, craignant par-dessus tout un effondrement généralisé qui serait inévitablement cause de révoltes un peu partout, et donc de leur disparition, les vrais dirigeants de ce monde ont décidé de prendre les choses en main.

À qui profite le crime ?

Dans l’hypothèse normale d’un système failli, et sachant que personne ne pourra jamais rembourser la dette colossale des États, la question logique à se poser aurait été celle de l’effacement de la dette. C’est bien ainsi que cela se passe dans le monde de l’entreprise, pourquoi devrait-il en être autrement s’agissant du système capitaliste dans son ensemble ? Eh bien tout simplement parce que les détenteurs de la dette, une toute petite brochette de fonds requins, de multinationales et de banques ne l’entendent pas de cette oreille. Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, et n’ont pas l’intention de rien lâcher de ce qui constitue leur pouvoir de domination sur le monde.

J’entends d’ici les pleureuses opposer que l’effacement de la dette signifierait aussi la disparition des fonds de pension qui reposent largement sur des produits financiers basés sur la dette, mais c’est un faux problème, les pensions pourraient être financées sans aucun problème en y consacrant seulement quelques pourcents des moyens aujourd’hui consacrés au service de la dette.

Magistrature de collusion, corruption et technique des petits pas

Maintenant que nous avons identifiés les donneurs d’ordre, reste à comprendre comment ils ont pu prendre le contrôle total des leviers du pouvoir dans tous les pays concernés, soit l’ensemble des pays les plus endettés et les plus soumis aux diktats du FMI, de la Commission européenne et de l’État profond américain.

On pourrait d’abord parler de magistrature de collusion, puisque l’ensemble de ces donneurs d’ordre, même s’ils ne représentent pas un corps social homogène, même s’ils ne partagent pas forcément la même vision politique, sont les représentants d’une petite élite ultra-minoritaire qui forme à elle seule une classe au sens marxiste du terme. C’est par sa cohésion autour d’un projet (préserver leur domination à tout prix), ses moyens illimités, et son réseau de contacts s’étendant dans toutes les strates du pouvoir autour du globe – tels les tentacules d’une pieuvre gigantesque – qu’ils ont pu mettre en place leurs hommes de paille : nos dirigeants. Ceux qu’ils ne peuvent acheter, ils les font chanter.[4]

La technique mise en œuvre recouvre plusieurs méthodes de manipulations visant à mettre leurs obligés dans l’impossibilité de reculer.

  • La peur : on évoque une pandémie gravissime, qui pourrait bien être la cause de millions de morts, mais dans le même temps on présente ça comme une fenêtre d’Overton[5] qui permettrait l’instauration d’une société plus contrôlée, dans laquelle il serait plus facile d’empêcher l’émergence des inévitables mouvements sociaux que la crise ne manquera pas d’engendrer dans les mois et années à venir. Pour instaurer cette société largement amputée de ses attributs démocratiques, il faut nécessairement en passer par la violation des garde-fous que sont les constitutions.  Le passage en force s’impose désormais partout comme la nouvelle norme.[6]
  • Brûler ses vaisseaux : on pousse les dirigeants à tout fermer, quitte à écraser pour de bon ce qui restait de la classe moyenne, et dans le même temps, on incite les États à s’endetter toujours plus pour distribuer de l’argent hélicoptère afin d’indemniser les entreprises lésées. On parle là de centaines de milliards de dette qui étrangleront toujours plus les États, les rendant d’autant plus tributaires des donneurs d’ordre.
  • L’intérêt supérieur : on présente l’ensemble des mesures comme une sorte d’opération de la dernière chance qui viserait justement à minimiser l’impact de la crise[7], et de son cortège de victimes. Certes on va faire très mal, mais c’est pour éviter des maux bien plus grands encore. Les tortionnaires se verront ainsi en sauveurs et il ne subsistera plus l’ombre d’une prévention dans leur esprit puisqu’ils croiront agir dans l’intérêt de la population.
  • Liés par le crime : on poussera les dirigeants à commettre, et à faire commettre par leurs subalternes des actions passibles de poursuites pénales, ce qui leur fermera ensuite toute possibilité de retraite. C’est une méthode mafieuse qui a fait ses preuves.
  • Les petits pas : les hommes de paille n’ont aucune connaissance du plan et le découvrent au fur et à mesure au travers des feuilles de route qui leur sont transmises par d’obscurs cabinets conseils américains à la solde des donneurs d’ordre. Finalement, ces hommes politiques sont tout aussi manipulés que nous, mais à un autre niveau. C’est un peu l’histoire de la grenouille qu’on met à cuire doucement dans la casserole. Se rendent-ils compte de ce vers quoi ils se dirigent, et comment ça se terminera ? Peu importe, en fait, parce qu’il ne leur sera pas donné le choix de revenir en arrière.

Ne vous y trompez pas, ce que vous vivez actuellement n’a rien à voir avec une crise sanitaire, c’est un coup d’État planétaire visant à asseoir le pouvoir absolu des donneurs d’ordre sur une dictature féroce. Vous aurez le pire du communisme (pour les masses) et le pire du capitalisme (le seul bénéfice étant réservé à l’élite).

Quand comprendrez-vous que vous êtes victime d’une guerre psychologique visant à briser la résistance des peuples avant de les mettre en esclavage ? Si j’ai réussi à exprimer correctement mes idées, vous devriez avoir réalisé à présent que non seulement ce cauchemar ne s’arrêtera jamais, mais qu’on en est qu’aux préliminaires, et qu’ils ne reculeront devant rien.


  1. Aktion T4 est le nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941, et qui fait de 70 000 à 80 000 victimes. Fondée sur un terreau idéologique fertile prônant une politique eugéniste active, antérieure au nazisme mais exacerbée par celui-ci, favorisée par une intense campagne de propagande en faveur de la stérilisation et de l’euthanasie des handicapés, elle est le fruit d’une décision personnelle de Adolf Hitler. source : Wikipedia
  2. Clin d’oeil à Pierre-Yves Rougeyron qui, dans sa dernière émission avec Pierre Jovanovic avait reconnu avoir mésestimé le pouvoir de nuisance des politiques (il ne croyait pas qu’ils pourraient aller aussi loin), mais sans parvenir à expliquer ce glissement inexorable vers toujours plus de tyrannie et de violence.
  3. L’ensemble des dirigeants politiques des pays ayant réduit drastiquement les libertés, incarcéré leur population à domicile, détruit l’économie et poussé les gens au suicide soi-disant pour lutter contre une pseudo-pandémie qui n’était pas – on le sait aujourd’hui – plus mortelle que la grippe de 2015.
  4. Cfr. affaire Epstein
  5. La fenêtre d’Overton, aussi connue comme la fenêtre de discours, est une allégorie qui désigne l’ensemble des idées, opinions ou pratiques considérées comme acceptables dans l’opinion publique d’une société. […] Selon la description d’Overton, sa fenêtre comprend une gamme de politiques considérées comme politiquement acceptables au regard de l’opinion publique existante, et qu’un politicien peut donc proposer sans être considéré comme trop extrême, pour gagner ou conserver une fonction publique.   source : Wikipedia
  6. La majorité des décrets et arrêtés concernant le confinement, le port du masque, et bientôt le passeport sanitaire sont parfaitement insconstitutionnels et contraires au droit.
  7. Ce qui est un faux dilemme puisqu’à aucun moment on ne tirera les conséquences de la faillite du système, on entend juste se dispenser d’avoir à en assumer les conséquences.



Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

[Source : ripostelaique.com]

Par Henri Dubost

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost




Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population

[Source : https://www.medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo 

Le très politiquement correct The Telegraph n’a pas peur de lancer le pavé dans la marre. Dans son édition du 14 mai dernier, il donne la parole aux membres du groupe scientifique du comportement en temps de covid afin qu’ils puissent « exprimer leurs regrets » concernant « les méthodes contraires à l’éthique » et « totalitaires » utilisées par le gouvernement de Boris Johnson.

Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité ( SPI-B ) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique‘’ et ‘’totalitaire‘’ ».

Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson.

C’est dans un livre de Laura Dodsworth qui a passé un an à enquêter sur les tactiques gouvernementales intitulé A State of Fear (Un état de peur), traitant du rôle de la psychologie dans la réponse du gouvernement britannique au covid-19, que ces scientifiques ont fait part de leurs regrets.

«Le SPI-B, relate The Telegraph, a averti en mars de l’année dernière que les ministres devaient augmenter ‘’le niveau perçu de menace personnelle‘’ de Covid-19 car ‘’un nombre substantiel de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement‘’. Gavin Morgan, un psychologue de l’équipe, a déclaré : ‘’De toute évidence, utiliser la peur comme moyen de contrôle n’est pas éthique. Utiliser la peur sent le totalitarisme. Ce n’est pas une position éthique pour aucun gouvernement moderne. Par nature, je suis une personne optimiste, mais tout cela m’a donné une vision plus pessimiste des gens.‘’ »

Et The Telegraph de continuer ces révélations qui décrivent un régime en marche vers le totalitarisme :

« Un autre scientifique du SPI-B a également rapporté à madame Dodworth : ‘’En mars [2020], le gouvernement était très préoccupé par le consentement et il pensait que les gens ne voudraient pas être enfermés. Il y a eu des discussions sur la nécessité de la peur pour encourager le consentement, et des décisions ont été prises sur la manière d’augmenter la peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. L’utilisation de la peur a été définitivement discutable sur le plan éthique. Cela a été comme une expérience étrange. En fin de compte, cela s’est retourné contre eux parce que les gens sont devenus trop effrayés.‘’

Un autre membre du SPI-B a déclaré : ‘’On pourrait appeler cette psychologie ‘le contrôle de l’esprit’. C’est ce que nous faisons… il est clair que nous essayons de le faire de manière positive, mais cela a été utilisé de manière néfaste dans le passé.‘’

L’un d’eux a averti que ‘’les gens utilisent la pandémie pour s’emparer du pouvoir et imposer des choses qui autrement ne se passeraient pas … Nous devons faire très attention à l’autoritarisme qui s’installe.‘’

(…)

Outre les avertissements manifestes sur le danger du virus, le gouvernement a été accusé de nourrir le public avec un régime continu de mauvaises nouvelles, telles que les décès et les hospitalisations, sans jamais remettre les chiffres en contexte avec les informations sur le nombre de personnes rétablies, ou si le nombre quotidien de morts est supérieur ou inférieur aux moyennes saisonnières.

Un autre membre du SPI-B a déclaré avoir été ‘’abasourdi par la militarisation de la psychologie comportementale‘’ pendant la pandémie, et que ‘’les psychologues n’ont pas semblé remarquer quand cela a cessé d’être altruiste et est devenu manipulateur. Ils ont trop de pouvoir et cela les enivre.‘’

Steve Baker, vice-président du Covid Recovery Group of Tory MPs, (membre des députés travailliste, ndlr de MPI) a déclaré : ‘’S’il est vrai que l’État a pris la décision de terrifier le public pour qu’il se conforme aux règles, cela soulève des questions extrêmement sérieuses sur le type de société que nous voulons devenir.‘’ ‘’Si nous sommes vraiment honnêtes, est-ce que je crains que la politique gouvernementale d’aujourd’hui ne joue dans les racines du totalitarisme ? Oui, bien sûr que c’est ça.‘’ »

L’article britannique précise en outre que « les ministres ont été accusés à plusieurs reprises d’avoir intensifié la menace de la pandémie pour justifier les verrouillages et contraindre le public à les respecter, une affirmation qui sera examinée par la prochaine enquête publique sur la réponse à la pandémie. »

Ces informations proviennent du Royaume-Uni mais correspondent tout-à-fait à la manipulation psychologique par la peur qu’a acté le gouvernement de Macron, Veran and Co. La fabrique du consentement, du nom du livre magistral de Noam Chomsky, fabrique qui produit, au sens propre du terme, du consentement, de l’acceptation, de la soumission, ce « lavage de cerveaux en liberté », a trouvé des adeptes dans une majeure partie des élites politiques occidentales actuelles, petits tyrans en herbe.

« N’oublions pas, met en garde Chomsky qui analyse ces mécanismes de domination, comment s’impose toujours une idéologie [aujourd’hui l’idéologie de l’hygiénisme forcené, ndlr]. Pour dominer, la violence ne suffit pas, il faut une justification d’une autre nature. Ainsi, lorsqu’une personne exerce son pouvoir sur une autre – que ce soit un dictateur, un colon, un bureaucrate, un mari ou un patron –, elle a besoin d’une idéologie justificatrice, toujours la même : cette domination est faite ‘’pour le bien’’ du dominé. En d’autres termes, le pouvoir se présente toujours comme altruiste, désintéressé, généreux. »

Confinements, masques, vaccination, distanciations sociales, la manipulation par la peur est l’outil du consentement des peuples… 

Francesca de Villasmundo




Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu

[Source : Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]

Par Jean-Pierre Aussant

Bizarrement deux mouvements qui devraient pourtant être opposés, d’un côté le transhumanisme qui se développe actuellement grâce aux progrès fulgurants des sciences-NBIC (nanotechnologies, biotechnologie, informatique et sciences cognitives)- et de l’autre, le fondamentalisme végano-écologiste qui propose, in fine, une sorte de retour en arrière, se rejoignent non seulement sur leurs origines (Les lumières) mais aussi sur leurs finalités : la négation de la nature profonde et de la dignité de l’homme telles qu’elles ont été pensées et voulues par Dieu.

En effet, l’affirmation philosophique essentielle des lumières stipulant que l’homme enfin émancipé de Dieu pouvait créer une éthique salvatrice à partir de sa seule raison (donc une éthique horizontale et non transcendantale) a permis à celui-ci de redéfinir sa propre nature et par conséquent d’en concevoir éventuellement une nouvelle (ou « des» nouvelles). L’homme n’étant plus tenu désormais d’obéir à une prédestination ontologique, tant sur le plan éthique que biologique, est désormais en mesure de prendre « en main » sa propre évolution. Il pourra dorénavant, selon son humeur, soit se définir comme un simple être vivant « de plus » qui serait au fond au même niveau que les espèces du règne animal, voire végétal, (fondamentalisme écologiste) ou bien, au contraire, de se voir, grâce aux progrès des NBIC et de l’ingénierie génétique, évoluer vers un être supérieur, une sorte de cyborg (mi-homme, mi-ordinateur) qui pourra au grès de son ambition eugéniste qu’il a pour sa propre espèce, se transformer en surhomme voire en homme posthumaniste (le posthumanisme — où l’homme est désincarné de son substrat biologique — étant la suite logique du transhumanisme) dont la conscience pourrait même éventuellement être téléchargée dans un support informatique ; l’homme enfin libéré de sa prison de cher et de sang – (sic).

On le voit, dans un cas comme dans l’autre (soit le retour au monde animal, ou bien au contraire le bond et la fuite en avant vers un monde de plus en plus désincarné et virtuel où l’homme finira par se fondre lui-même dans la machine et l’intelligence artificielle dont il finira peut-être par devenir l’esclave), il s’agit du rejet de l’homme essentiel, créé par Dieu et à l’image de Dieu. Bien évidemment au-delà de l’attaque contre la vraie nature profonde l’homme-créature et fils adoptif de Dieu, il y a l’attaque contre Dieu « tout court ».

L’homme « écologiste », qui en dégringolant volontairement au niveau du règne animal ou végétal, ne veut rien d’autre qu’entrainer Dieu avec lui dans sa chute (faire de Dieu un animal ou une plante « comme les autres ») ou bien à l’opposé en se fondant dans un univers ultra technologique où l’homme fusionnera avec la machine et le virtuel, faire de Dieu un ordinateur ou un hologramme, là aussi « comme les autres », dont il (l’homme) décidera lui-même du programme informatique. Détruire la dignité de l’homme afin de polluer (si c’était possible) celle de Dieu. Tout est là. C’est pourquoi, in fine, la proposition végano-écologiste (souvent d’ailleurs saupoudrée de New Age) qui mène à l’aplatissement de l’homme —donc de Dieu — au niveau du monde animal et végétal, rejoint en réalité le paradigme du transhumanisme voulant faire de l’homme un être tellement artificiel qu’il finira par ne plus rien avoir en commun avec cette créature que Dieu a créée à son image.

C’est que l’homme « bionique » des transhumanistes est aussi loin de Dieu que ne l’est l’homme « animalisé et végétalisé » des écolos. Dans un cas comme dans l’autre, nous retrouvons cet acharnement à déconstruire et cette haine que l’homme des lumières (entre-temps devenu l’homme postmoderne) a de l’autre homme, le vrai, celui qui est capable d’éternité et qui est fait à l’image de Dieu.

In fine, l’homme postmoderne, devenu posthumain (en fait il faudrait parler de la femme posthumaine car le sexe masculin aura disparu au plus tard d’ici deux siècles mais cela est un autre débat — voir mon essai « le complot inconscient »), se contentera de l’illusion d’une immortalité qui ne durera au mieux que cinq milliards d’années jusqu’au moment où en explosant, notre étoile détruira la terre et toutes les planètes du système solaire. Quant à ceux qui croient qu’ils seront alors en mesure d’aller habiter sur des exoplanètes appartenant à d’autres systèmes solaires, voire d’autres galaxies, qu’ils n’oublient pas ce petit détail : bien que dans un temps extrêmement lointain, chaque atome, chaque quark, suite à l’accélération exponentielle et irréversible de l’univers (selon les dernières recherches), finira par se déchirer de l’intérieur et par se pulvériser.

Notre espace-temps et notre réalité physico-chimique, décrite par les astrophysiciens, que nous connaissons depuis le big-bang, ne sont pas éternels. Le Royaume de Dieu, en revanche, l’est. Si l’homme posthumain semble aspirer et se contenter de cette « pseudo » immortalité, l’homme, le vrai, le fils adoptif du Tout puissant, lui, aspire à l’éternité du Royaume, la seule qui n’est pas une illusion et la seule qui soit digne de lui, lui qui est « capable » de Dieu.

Pour ma part, je préfère mourir de ma mort naturelle dans l’espoir de la promesse du Seigneur et dans l’espoir de me réveiller dans la Jérusalem céleste dont la joie et la lumière n’auront pas de fin, plutôt que de moisir des milliards d’années, empêtré dans d’abominables supports d’intelligences artificielles pour finalement mourir quand même, et cette fois pour toujours.

À chacun ses ambitions.

Jean-Pierre Aussant, auteur catholique




Une année de cauchemar dans le contexte de la pandémie-confinement dément

[Source : les 7 du quebec]

Par le professeur  Lourdes Cerol Bandeira  (Portugal)

Traduit par Luis Júdice.
Source: https://lourdescerolbandeira.eu/um-ano-pesadelo-bastidores-pandemia

 This article is available in portuguese on this blogue: 
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2021/05/um-ano-de-pesadelo-e-os-bastidores-da.html

Aujourd’hui, nous partageons cet article du Drª Lourdes Cerol Bandeira, une prestigieuse médecin portugais, cardiologue, spécialiste en médecine de catastrophe, un article qui a été publié sur son blog, dont le lien est disponible ici : 
https://lourdescerolbandeira.eu/


Depuis mars / 2020, nous avons vécu le pire cauchemar de notre vie! Peur, destruction économique, privation de nos droits, libertés et garanties, dont le pire est la privation du droit au travail! Est-ce que ça valait le coup ?? Je vous laisse la question, chacun aura sa propre réponse en fonction de tout ce qu’il a vécu.

Depuis février / 2020, la peur est largement diffusée par les médias, les chiffres crachés quotidiennement par la DGS ont envahi nos maisons, notre tranquillité, notre paix.

Les enfants étaient accusés d’avoir infecté leurs parents et grands-parents, entraînant un terrible sentiment de culpabilité et de remords si l’un d’entre eux tombait malade. Les enseignants avaient peur d’être infectés par des enfants considérés comme très dangereux parce qu’ils ne développent pas les symptômes de la maladie considérée comme terrible, innocents « coupables » d’avoir transmis l’infection.

Les expressions d’affection et d’amitié étaient considérées comme promiscuité et les câlins et les baisers disparaissaient, privant les personnes âgées, dont beaucoup souffraient déjà d’un certain degré de démence sénile, du seul sentiment de confort qu’est le baiser et l’étreinte de leurs proches. Privés de cette manifestation d’amour dans la vie, ils étaient aussi isolés sur leur lit de mort, mourant sans affection, sans un mot d’amitié pour les réconforter. Ceux qui sont restés se souviendront à jamais de l’amertume de savoir que leurs proches ont affronté seuls les derniers jours de la vie, sans un geste d’amour, entourés d’êtres sans visage, sans sourire, vêtus de combinaisons de plongée comme s’ils étaient sur une autre planète.

Pourquoi? Que s’est-il passé?

Un virus! Parmi tant de milliers de virus, est apparu dont les formes les plus sévères de la maladie qu’il provoquait consistaient en des pneumonies étendues qui ne respectaient pas les limites des lobes pulmonaires et entraînaient la mort, en particulier les plus âgés et les plus fragiles.

Quelqu’un (Drosten & Col.) a rapidement décidé de développer un protocole (voir ICI) afin que le matériel génétique de ce virus soit rapidement identifié et les porteurs détectés pour briser les chaînes de transmission (présenté à Eurosurveillance le 21, accepté le 22 et publié le 23/01/2020). Rapidement, sans consultation des scientifiques du monde entier, dans les 72 heures, l’OMS a fait de ce protocole l’une de ses directives, l’amenant à être appliqué dans tous les pays. Mais le protocole contenait d’énormes erreurs, des erreurs qui ont conduit à l’identification de nombreux faux positifs!

  1. A partir des « primers (amorces) » (fragments de l’ARN viral qui servent de modèle pour la détection de fragments équivalents dans le matériel collecté par l’écouvillon) qui n’ont pas été obtenus à partir du séquençage du génome viral mais qui ont été conçus dans un ordinateur similaire à un autre virus de la même famille, SARS-COV-1.
  2. Le nombre de ces « primers »  (amorces) contenues dans le protocole était excessif et pouvait les amener à réagir les unes aux autres et à générer autant de faux positifs.
  3. Et le nombre exagéré de cycles d’amplification (50 cycles) qui a également contribué à davantage de faux positifs.

Sans une explication plausible pour autant de positifs sans aucun symptôme de maladie, la notion de «infecté asymptomatique» terriblement dangereux a été créée, qui serait à blâmer pour maintenir les chaînes de transmission et tuer nos personnes âgées (je ne veux pas dire que les personnes asymptomatiques n’existent pas! bien sûr il y en a, mais dans le cadre d’une phase pré-symptomatique d’une durée d’environ 24-72h qui est suivie de l’apparition de symptômes et dans un faible pourcentage, jamais à plus de 50% comme cela s’est produit). Ce n’étaient pas seulement les enfants qui étaient à blâmer, mais aussi les adultes en bonne santé qui étaient positifs aux tests bidon! Ces gens ont été confinés, ainsi que tous ceux qui, même négatifs, les avaient contactés. Les bars, clubs, restaurants, coiffeurs, centres commerciaux, etc. ont été fermés. etc. conduisant à la destruction des «moyens de subsistance» d’innombrables familles, en particulier de la classe moyenne et des travailleurs alors que les grandes entreprises continuaient à fonctionner … les autorités médicales et politiques  ont même tenté de convaincre la population que les moyens de transport n’étaient pas une source de transmission mais plutôt la famille !!! Une absurdité ridicule à crier au ciel !!!!

L’OMS a ordonné «test, test, test PCR» et les laboratoires se sont organisés pour fabriquer des tests en nombre suffisant pour fournir les quantités exorbitantes qui étaient requises et qui sont produites chaque jour dans le monde et dans notre pays en particulier. Les machines ont été changées pour que ce test puisse être automatisé, plus rapide, augmentant encore plus le nombre de faux positifs, mais selon ce qu’ils ont dit, cela n’avait pas d’importance car l’essentiel était de détecter les positifs, qu’ils soient faux ou vrais (sic).

De plus, selon la directive de l’OMS, la cause du décès n’avait pas d’importance, le cadavre serait testé et s’il était positif (faux ou vrai, peu importe), il serait compté comme «décès avec Covid» (voir ICI et ICI ) . Ainsi, un nombre substantiel de décès « provenait faussement de cette terrible maladie ». Les populations, sans formation sur le sujet, ce qui est logique, ont paniqué devant le décompte de tant de positifs et de tant de morts. Pour mettre davantage en évidence ces chiffres, les chiffres «cumulés» ont toujours été présentés, c’est-à-dire la somme depuis le premier jour de la pandémie, de sorte que, même en été lorsque l’incidence a chuté de façon spectaculaire, ces chiffres ont continué à augmenter. Les gens crédules dans les médias n’ont pas compris …

C’était encore l’été et ils annonçaient déjà les 2e, 3e et peut-être 4e vagues. Il est évident qu’au moment de la grippe, nous aurions des problèmes, comme nous en avons toujours, d’ailleurs. Nous avons toujours eu des hôpitaux en panne, avec des lits dans les couloirs et des salles pleins au moment de la grippe … Avec de nouvelles machines et des tests plus rapides, mais plus inexacts (comme les anciens disent « vite et bien il n’y a personne » ), ils ont porté les tests quotidiens d’environ 15 à 18 mille en septembre à quelque 40 mille donnant lieu à la 2ème vague ainsi annoncée, puisque le% de positivité n’a augmenté que fin octobre lorsque les cas cliniques de grippe ont commencé à être interprétés comme Covid en raison de la positivité du test.

Les équipes de surveillance de la grippe ont été dirigées vers Covid, non seulement dans notre pays mais dans le monde entier, et la grippe a «disparu» car elle n’était plus détectée. En fait, tous les bulletins contiennent ce paragraphe:

« The COVID-19 pandemic has affected healthcare seeking behaviours, healthcare provision, and testing practices and capacities in countries and areas of the European Region, which have negatively impacted on the reporting of influenza epidemiologic and virologic data during the 2020-2021 season. Due to the COVID-19 pandemic, the influenza data we present will need to be interpreted with caution, notably in terms of seasonal patterns. »,

Autrement dit, la grippe n’est plus déclarée et testée en raison d’un manque de ressources humaines et de laboratoire. Cependant, l’idée s’est répandue que la grippe a disparu … ils ont convaincu la population que la grippe «a pris fin», comme si une pathologie endémique pouvait se terminer soudainement grâce au travail et à la grâce d’une divinité. Et les gens ont cru, une fois de plus. Les décès dus à la grippe ont été comptés comme Covid sur la base d’un test positif et ainsi la 3ème vague a été créée, les tests étant passés d’environ 40 000 à plus de 76 000 par jour !! Plus de terreur, plus de confinement, plus de destruction économique, plus de précarité dans les familles … les écoles ont été fermées et les enfants ont été privés non seulement d’éducation mais aussi de vivre avec leurs amis. Les aires de jeux étaient fermées, les bancs des jardins scellés pour que personne ne puisse s’y reposer !! Coincés à la maison pour ne pas être infectés les uns par les autres!!

Mais le pire des scénarios était que les rendez-vous médicaux de routine étaient annulés, les chirurgies programmées étaient annulées, ce qui avec le temps devenait urgent et des urgences conduisant les patients à l’hôpital trop tard. Les patients chroniques sont devenus déséquilibrés, la peur d’aller dans un hôpital s’est étendue, les centres de santé ne pouvaient pas s’occuper des patients surchargés qui étaient avec les patients pandémiques, avec les tests en nombre exorbitant, avec le contrôle téléphonique des milliers de soi-disant  positifs qui étaient à la maison. Au fil des mois, les décès dus au manque d’assistance en temps voulu, en raison du manque de dépistage, à savoir le cancer, ont considérablement augmenté un taux de mortalité déjà élevé pendant la saison grippale aggravée par les effets du SARS-COV-2.

Cependant, que s’est-il passé dans les coulisses ??? Quelles « vérités » n’ont pas été dites par ces média payés pour semer la peur parmi les populations ???

Alertées sur les erreurs de ce protocole PCR, diffusées par l’OMS, plusieurs équipes ont commencé à travailler pour pouvoir mettre en évidence ces erreurs. Les premiers étaient des Canadiens (voir ICI) qui ont prouvé que le nombre de cycles ne devait pas dépasser 25 car après cette limite, «cycle threshold», les chances d’identifier des virus en culture cellulaire étaient très faibles et diminuaient de 32% pour chaque cycle au-dessus de 25.

Cet ouvrage a été publié en mai / 2020 et a fait l’objet de référence (référence n ° 37) dans la note scientifique de l’OMS du 07-07-2020 (voir ICI). Par conséquent, depuis mai, on savait que le protocole contenait des erreurs de pagayage. En fait, il était connu depuis le début, car ceux qui ont étudié la biologie moléculaire ont immédiatement vu qu’il y avait des erreurs. Ne me dites pas le contraire ou les universités, spécialités, doctorats, etc., etc., etc. sont remis en cause. Même sachant cela, ils ont continué à insister sur les tests, sur les « asymptomatiques » si dangereux (sic), ils ont continué à détruire les mini, petites et moyennes entreprises, les empêchant de travailler, fermant leurs portes, détruisant les familles, empêchant l’éducation de nos enfants.

Les scientifiques n’ont pas été entendus, les lauréats du prix Nobel ont été considérés comme idiots et séniles et la fièvre «test, test, test bidon» s’est poursuivie.

Fin novembre / 2020, un groupe de scientifiques de différentes nationalités s’est réuni et a déposé une plainte auprès d’Eurosurveillance demandant que le travail de Drosten & Col. soit supprimé, présentant au moins 10 erreurs très graves dans les travaux qui ont donné lieu au protocole ( voir ICI). La réponse d’Eurosurveillance a été promise fin janvier. Cependant, voyant la situation démasquée, l‘OMS a rapidement tenté une sortie en douceur et a présenté une déclaration le 14 décembre dans laquelle elle disait:

« Users of RT-PCR reagents should read the IFU carefully to determine if manual adjustment of the PCR positivity threshold is necessary to account for any background noise which may lead to a specimen with a high cycle threshold (Ct) value result being interpreted as a positive result. »

Cette déclaration a été retirée et remplacée par celle du 20/01/2021 (voir ICI), très peu de temps avant la décision d’Eurosurveillance, afin de rappeler ce qu’elle avait dit en décembre, tentant de « sauver sa peau ». Eurosurveillance a répondu (voir ICI), après pas mal de « blablabla » et finit par dire plus ou moins ça « oui, mais c’était très tôt dans la pandémie, il n’y avait pas encore assez d’études … un moyen de détection était urgent … blabla … nous ne voyons pas la nécessité de supprimer la directive ». Comme si le manque de connaissances solides pouvait justifier un mauvais protocole, un mauvais moyen de détection, répandu dans le monde entier par une organisation en qui les autorités sanitaires de chaque pays faisaient confiance, l’OMS.

Pendant ce temps, la lutte internationale s’est poursuivie et continue, un méga processus est en préparation pour présentation à la Cour internationale pour crimes contre l’humanité. Les gouvernements se sont compromis … Je ne peux parler que des nôtres … la 3ème vague a rapidement décliné. Jamais une courbe épidémique n’a baissé si vite, le nombre de tests a considérablement diminué. Maintenant, venez nous parler du nombre de cycles … du seuil (cycle threshold) de cycle, comme s’ils venaient de se réveiller, pauvres « innocents », suivis des directives … maintenant le seuil de cycle (cycle threshold) est de 35 … disons … MAIS pour le séquençage et les études scientifiques n’acceptent que les écouvillons positifs de moins de 25 cycles … car, quand il s’agit de travailler sérieusement le Cycle thresold est de 25 (voir ICI). Et c’est le point de la situation dans laquelle nous nous trouvons:

Une population terrifiée qui ne peut surmonter la peur, des gens qui portent des masques et même des masques 2 et 3 épaisseurs  superposés lorsqu’ils marchent seuls dans la rue, pensant peut-être que l’air est contaminé, des insultes, de l’animosité, pour ne pas dire de la haine, envers des gens qui pensent de manière différente . La liberté d’expression a disparu, il n’y a que le discours officiel et nous sommes obligés de le suivre sous peine de ségrégation … adieu la démocratie !!

Tout cela repose sur un seul pilier, un TEST qui n’a JAMAIS été capable d’indiquer qu’une personne est infectée et malade! Un test qui n’est capable de détecter qu’un minuscule fragment d’une immense chaîne génomique, un fragment qui ne fait pas nécessairement partie d’une chaîne virale complète et viable, capable de se transmettre et de provoquer des maladies, et qui peut simplement être un déchet viral.

Le virus, comme toute sa famille (Coronas), a subi de nombreuses mutations, presque toutes de moins en moins virulentes mais avec une plus grande transmissibilité (généralement la gravité de la maladie causée est moindre, dans les virus les plus facilement transmissibles). Cependant, une mutation survenue au Royaume-Uni a fait à nouveau s’alarmer le Monde qui entrait déjà dans le calme de la routine … La mutation brésilienne a également été mise en évidence chez les autres. Plus sud-africain. Toutes les centaines de mutations précédentes ont été oubliées, elles ne méritaient pas de pertinence, l’actualité était centrée sur les chiffres jusqu’à ce que dernièrement les gens, fatigués, arrêtent de les regarder. Un autre motif d’intérêt devait apparaître: des mutations ou des variantes (un mot qui a plus de poids que «mutation»)! Dès le début, on sait que les mutations qui émergent en Europe sont différentes de celles qui émergent en Asie, en Amérique du Nord ou en Amérique du Sud. Le virus de la grippe subit également de nombreuses mutations, si nombreuses que chaque année le vaccin doit être corrigé pour la nouvelle mutation.

Il me reste à parler du vaccin contre Covid-19. Les essais cliniques devaient durer jusqu’en 2022 pour l’obtention d’une licence FDA. Avec cet essai clinique à grande échelle, cette licence sera peut-être obtenue plus tard cet été 2021. Cela signifie qu’un vaccin sans licence est administré, dont les effets secondaires à moyen et long terme sont inconnus, dont l’immunité n’est pas connue pendant combien de temps il dure et dont l’efficacité pour de nouvelles mutations ou variantes est remise en question. Des populations entières convaincues de son efficacité sont des cobayes «involontaires» pour cet essai clinique en vue de l’autorisation rapide de la FDA … on parle déjà de certificats de vaccination ou de «passeports». Imaginez que vous ne savez même pas combien de temps dure l’immunité, que vous ne savez même pas si elle sera efficace pour chaque nouvelle mutation! C’est comme exiger un certificat de vaccination contre la grippe!!




Pass sanitaire : le gouvernement contraint de reculer peu à peu

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

[Texte de l’illustration en français : « Fermé pour cause de Covid-19 »]

Le texte sur le pass sanitaire continue sa navette parlementaire, et devrait être discuté en urgence au Sénat aujourd’hui, après y avoir été débattu en commission des lois. Les sénateurs ont apporté de nouvelles précisions et de nouvelles restrictions à un texte qui ne devrait pas avoir d’effet au-delà de l’été. On s’en réjouira : il est désormais écrit noir sur blanc que le pass sanitaire ne peut être utilisé que dans des lieux très particuliers, et qu’il disparaît le 30 septembre au plus tard. Cette somme de restrictions pose la question de son intérêt à être mis en œuvre pour quelques semaines seulement .

Le pass sanitaire s’est à nouveau trouvé au cœur des discussions de la commission des lois au Sénat, et devrait encore y être discuté en séance publique aujourd’hui. Dominé par l’opposition, le Sénat a pris l’initiative de restreindre encore le champ d’application du texte pour en limiter les effets liberticides. 

Le pass sanitaire encore raboté

Comme l’indique la Commission des lois, le pass sanitaire a fait l’objet de nouveaux aménagements de la part du Sénat, qui a eu le mérite de poser clairement le principe de limitation dans le temps de ce pass. Jusqu’ici, cette idée se déduisait du texte, mais n’y figurait pas clairement. À la Commission des lois revient le mérite d’avoir mentionné sans ambiguïté que le pass sanitaire ne serait en vigueur que jusqu’au 30 septembre. 

Par ailleurs, la commission des lois apporte de nouvelles limites à l’exercice :

elle a décidé :
– que le « passe sanitaire » ne pourrait être mis en œuvre que dans les lieux qui, en raison
de leur configuration ou de la nature des activités qu’ils accueillent, ne permettent pas
d’assurer le respect des gestes barrières ;
– qu’il pourrait être présenté sous forme papier ou numérique ;
– que les informations médicales auxquelles auraient accès les personnes et services
autorisés à contrôler le « passe sanitaire » seraient restreintes et qu’il ne leur serait pas
possible de discriminer l’accès aux lieux, établissements ou évènements concernés en
fonction du type de preuve présentée (vaccin, test négatif ou certificat de rétablissement),
ni de conserver les documents présentés par les personnes ;
– qu’un décret déterminerait notamment, après avis du conseil scientifique Covid-19, les
éléments permettant d’établir les différents types de preuve et, après avis de la Commission
nationale de l’informatique et des libertés, les personnes et services autorisés à contrôler
les documents.

Au vu de ces limites et complications, autant dire que le pass sanitaire est mort. Bien entendu, il sera toujours possible au gouvernement de demander une relecture par l’Assemblée Nationale pour gommer ces nouvelles difficultés, dans l’hypothèse où celles-ci ne seraient pas éliminées en commission mixte paritaire (mais on voit mal pourquoi les sénateurs accepteraient de défaire ce qu’ils viennent de faire). Mais il n’en reste pas moins que les ambitions du gouvernement viennent de prendre un sacré coup. 

Le pass sanitaire verra-t-il le jour ?

Dans ces conditions, qui donc s’embêtera à mettre en œuvre un dispositif compliqué et réduit à quelques événements sporadiques ? On sait déjà que les musées et les services publics, ainsi que les grands magasins, seront exemptés de pass. Désormais, celui-ci n’est plus exigible que pour les événements comportant des activités incompatibles avec les gestes barrières, ou dans des lieux qui rendent ceux-ci impossibles. 

En outre, le pass ne mentionnera pas la nature des éléments médicaux (vaccin ou test) présentés par les personnes. 

Autant dire que le contrôle sera purement de façade et que le public n’ajoutera guère de confiance à un document qui mettra sur le même pied un vaccin et un test PCR négatif, pratiqué plusieurs jours avant. On peut donc parier sur l’échec final du dispositif et sur le renoncement assez spontané à investir dans des contrôles impopulaires cet été.

On retrouve ici un bon vieux procédé français, qui consiste à vider de son sens une règle que le gouvernement veut imposer contre la volonté générale. 

Le Sénat fustige le projet liberticide du gouvernement

Le Sénat n’a pas manqué de panache en pointant explicitement du doigt l’aberration d’un texte de sortie de crise, qui cherche à inscrire dans le droit commun des dispositions propres à la crise. Avec une vraie ténacité, les sénateurs regrettent qu’Emmanuel Macron cherche à autoriser des violations de liberté en temps normal, alors que celles-ci ne sont possibles qu’en situation d’urgence. 

La commission des lois s’est efforcée de sortir de cette confusion en appliquant une ligne
claire dont le Gouvernement n’aurait pas dû s’écarter : la sortie de l’état d’urgence doit
permettre d’apporter des restrictions aux libertés mais pas de poser des interdits
généraux ; s’il faut aller au-delà en posant des interdits généraux, le Gouvernement devra,
sous le contrôle du Parlement, rétablir l’état d’urgence.

En particulier, le Sénat considère que le couvre-feu est incompatible avec un retour à la normale et invite donc le gouvernement à maintenir l’état d’urgence jusqu’au 30 juin. 

Ce discours de liberté est une vraie bouffée d’oxygène dans un pays où il est devenu si rare, et taxé de tant de complotisme. 




Connerie transcendantale ou volonté de camoufler la totale inefficacité des « vaccins » ? La recherche d’anticorps n’a aucune valeur pour les autorités… sauf pour Macron qui en fait régulièrement…

[Source et auteur : PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

Un de mes amis dopé au zinc  et pressé par son entourage  de se faire vacciner a obtenu une ordonnance pour un test sérologique. Surprise : une bonne dose d’anticorps, il avait attrapé la covid sans s’en rendre compte… Il ne pourra pas avoir de pass sanitaire…

Les vaccinés ne doivent pas savoir s’ils ont des anticorps ! Avoir une sérologie négative après un vaccin serait absolument normal pour LCI, TF1… Bon là ils vous prennent pour des idiots…

La seule preuve de l’efficacité d’un vaccin consiste à mesurer les anticorps quelques semaines après la vaccination pour savoir si oui ou non le vacciné est protégé. Cela passe par un test sérologique fiable à 100%. Avec la piquouze génique, il faut se contenter de la présence ou non des anticorps dits « anti-spike ». Cette recherche est appliquée aujourd’hui par tous les labos ! J’ai vérifié.

Quand ça veut pas ça veut pas, beaucoup découvrent que leur vaccin ne sert à rien, après deux pfizer, zéro anticorps pour bon nombre des plus de 80 ans et pas beaucoup pour les autres… MACRON A RAISON , IL PREFERE SURVEILLER SES ANTICORPS PAS DE PIQUOUZE POUR LE PRESIDENT

« Un #vaccin digne de ce nom permet l’acquisition d’une immunité réelle durable. Prototype du vaccin évalué régulièrement, la rubéole dont taux d’anticorps sont suivis pendant les grossesses. Écarter la sérologie pour #COVID permet de camoufler l’inefficacité »

DR Guerin

Le gouvernement ne veut surtout pas que les Français vaccinés ou non fassent de tests sérologiques. Non seulement la seule preuve de protection n‘est pas remboursée par la sécu, mais en plus elle ne permettra pas d’obtenir le pass sanitaire.

Le texte de loi voté dans la nuit de mardi à mercredi par les députés de l’Assemblée nationale ne prévoit effectivement que trois types de certificats intégrés au pass sanitaire : un test PCR ou antigénique négatif, l’attestation de vaccination, mais aussi un mystérieux « certificat de rétablissement de la Covid-19 »

En fait, ce nouveau document prouvant qu’une personne a été atteinte du virus puis en a guéri, est venu remplacer la piste d’un test sérologique, solution finalement écartée. Pour l’obtenir, il ne faudra donc pas avoir réalisé une recherche d’anticorps. Mais simplement montrer un test PCR ou antigénique positif depuis « plus de quinze jours et de moins de deux mois », selon les récentes précisions de la Direction générale de la santé (DGS). Il aura ainsi la même valeur qu’un test négatif ou une vaccination complète.

Problème : aucun de ces documents ne peut garantir que la personne est protégée.

Seul le test sérologique mesurant les anticorps anti spikes peut vérifier de la réalité d’une protection. Les anticorps existent ou n’existent pas… S’il y en a pas le vaccin n’a servi a rien.

Le test sérologique permettrait d’éviter une vaccination inutile et dangereuse quand on a des anticorps, car les effets secondaires sont bien plus graves dans ces conditions. Il permettrait de connaitre enfin le niveau de protection naturelle  de la population.

Combien sont comme lui ? Selon les estimations de l’Institut Pasteur établies en février 2021, environ 15 à 20% des Français adultes auraient été infectés par le coronavirus Sars-CoV-2 et auraient ainsi a priori développé des anticorps. Plus de la moitié n’ont rien ressenti et n’ont pas été testé…

S’ils se font vacciner, ils prendront le risque d’effet secondaires plus graves (six fois plus de risque de fièvre, de frissons, de douleurs musculaires), mais au moins, grâce à eux, on pourra croire que le vaccin est efficace…

Vous êtes vaccinés ? Vous voulez savoir ? Faites comme macron : une bonne sérologie, pour 31 euros vous saurez enfin… avant les variants…




Tentations totalitaires via le pass de plusieurs nations européennes

Par le Dr Gérard Delépine

La mémoire des peuples est courte. On aurait pu espérer que l’un des moteurs de la pensée nazie (l’eugénisme-hygiénisme) avait été définitivement enterré avec ceux qui les ont mis en application ou ceux qui les ont subis durant la Seconde Guerre mondiale. L’actualité nous montre malheureusement qu’il n’en est rien puisque, après Israël, l’Autriche et l’Allemagne et bientôt la France veulent discriminer une majeure partie de leur population avec un pass vaccinal et imposer une vaccination expérimentale inutile et dangereuse aux enfants.

Le pass est un projet illogique

Il repose sur une incohérence conceptuelle.

Ses partisans croient en l’efficacité des vaccins et se font vacciner, c’est logique et un choix respectable, cohérent avec leur croyance. Mais s’ils croient que les vaccins les protègent, ils n’ont aucune raison d’avoir peur des non-vaccinés et de vouloir leur imposer un vaccin par le pass.

Et s’ils croient que les vaccins les protègent insuffisamment, ils n’ont aucune raison de croire que le pass les protégerait davantage puisqu’il les mettrait au contact de vaccinés susceptibles, comme eux, de leur transmettre le virus.

Alors, pourquoi prôner une mesure illogique, attentatoire aux libertés fondamentales ?

D’autant que les faits établis montrent que la vaccination ne protège ni de la transmission (contaminations) ni des formes graves (mortalité)

La vaccination ne protège pas des contaminations

Les partisans de la vaccination prétendent qu’une couverture vaccinale élevée protégerait efficacement la population. Mais, à ce jour, les rares pays qui ont atteint 70 %(([1] Aucune étude clinique sérieuse dans le monde réel n’a apporté de preuve à cette théorie déduite de simulation)) de couverture vaccinale (Les Seychelles, Gibraltar et l’île de Man) souffrent depuis d’une véritable explosion de l’épidémie, comme si en pratique la vaccination facilitait les contaminations.

D’après les publications de l’OMS(([2] WHO Covid19 Dahboard consulté le 15/5/2021)), avant la campagne de vaccination les Seychelles comptaient 502 cas confirmés. Au 14 mai, avec un taux de 70 % de vaccinés, les cas confirmés atteignaient 9184 (+1800 %).

Depuis, les écoles ont été fermées pour trois semaines et les activités sportives en groupe sont limitées. Les bars, les restaurants et les magasins doivent fermer plus tôt et il est demandé à la population de ne plus se rassembler en dehors de la famille.

Même phénomène de réveil de l’infection par la vaccination à l’île de Man

Même phénomène à Gibraltar où la couverture vaccinale dépasse les 100 % (car la vaccination a été étendue aux visiteurs espagnols)

L’exemple du Koweït est tout aussi démonstratif.

Le Koweït est le champion arabe de la vaccination qui a débuté fin décembre. Depuis la vaccination le nombre hebdomadaire de contaminations a été multiplié par 5 (1625 cas dans la semaine d’avant la vaccination et 8806 dans la semaine du 3/5).

Cette augmentation du nombre des contaminations après la vaccination, observée dans tous les pays qui vaccinent beaucoup est de durée variable : de 4 à 6 semaines en Grande-Bretagne et Israël, elle s’est prolongée 2 mois et demi aux Émirats Arabes Unis.

Certes, il s’agit d’une corrélation purement temporelle entre la date des vaccinations et l’augmentation des contaminations ; mais la constatation d’une telle corrélation dans tous les pays qui vaccinent suggère fortement une relation causale selon un mécanisme qu’il serait urgent d’élucider pour tenter d’y remédier.

Cette incapacité de la vaccination à empêcher la transmission de la maladie a d’ailleurs été reconnue récemment par O. Veran dans son argumentaire au Conseil d’État :

« les personnes vaccinées peuvent diffuser tout de même le virus »

La vaccination ne diminue pas la mortalité Covid19

Les avocats de la vaccination prétendent qu’un haut taux de couverture vaccinale diminuerait le risque de formes graves et la mortalité.

Mais les exemples des Seychelles (taux de couverture vaccinale de 70 %) et de Gibraltar (plus de 100 % de vaccinés) montrent que ces affirmations sont fausses.

Même phénomène à Gibraltar

L’incapacité des vaccins à prévenir les formes graves et la mortalité a également été reconnue par O Veran devant le Conseil d’État « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès, si le vaccin ne fonctionne pas ou en cas de réinfection post vaccinale ».

La propagande/supercherie des prétendus succès anglais et israéliens

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne actuelle sont très faibles. Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition de très nombreuses personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

En effet, dans tous les pays vaccinés, la mortalité a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (la première année) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto une diminution de la mortalité dans l’année à venir.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne

La régression naturelle de l’épidémie explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les évolutions dans les pays vaccinés et non vaccinés ont suivi la même chronologie, mais avec une exacerbation post vaccinale transitoire de la mortalité qui entraîne, à court terme, un excès de mortalité dans le pays le plus vacciné.

Certes, on ne dispose pour l’instant que d’un court recul post-vaccination et il faudrait attendre une éventuelle nouvelle vague pour conclure définitivement, mais l’examen objectif actuel des faits montre que la vaccination large d’une population ne diminue pas la mortalité, mais l’augmente au moins à court terme.

Ceux qui prétendent le contraire nient les faits constatés pour tenter de justifier un pass sanitairement inutile qui renouerait avec des pratiques totalitaires des nazis.

Le pass : la Commission européenne renoue-t-elle avec ses racines nazies ?

Ce livre révèle les importantes similitudes entre la nature antidémocratique de l’Union Européenne et les plans totalitaires d’un « Espace économique global européen » de la période d’avant la Seconde Guerre mondiale. L’information principale de ce livre est que les inspirateurs et architectes de la Constitution Européenne sont essentiellement les juristes qui ont rédigé les lois de l’Europe nazie.

Ainsi Walter Hallstein, membre de l’association nazie des « protecteurs de la loi » de 1936 à 1945 et doyen de la faculté de droit sous Hitler, valida les lois de discrimination visant les juifs et en particulier l’instauration du port de l’étoile jaune. En 1950, il devint conseiller du chancelier Adenauer, rédigea l’essentiel de la constitution européenne puis présida la Commission européenne de 1958 à 1967.

L’instauration d’un pass sanitaire par la commission de Bruxelles réitère donc l’instauration de l’étoile jaune validée sous Hitler par son ancien président. Même idéologie prétendument « sanitaire », même technique appuyée par une propagande totalitaire et une censure féroce des opposants que n’aurait pas désavouée Goebbels.

Ce pass qui veut imposer des « vaccins » expérimentaux est contraire au code de Nuremberg(([3] Amiel P., « “Code de Nuremberg” : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in
Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011 https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_CodeNuremberg_TradAmiel.pdf)) et à la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)) qui stipulent qu’aucun traitement expérimental comme les pseudo vaccins actuels(([5] Ces traitements sont toujours expérimentaux, car leurs essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023 ; d’ailleurs leur autorisation n’est que conditionnelle. De plus les péripéties du vaccin Astra Zeneca et plus récemment du Jansen et du Johnson et Johnson a montré les risques de telles autorisations prématurées.)) ne peut être administré sans le consentement libre et éclairé du receveur.

Ce pass instaure une discrimination entre les populations, un véritable apartheid contraire aux fondements de notre démocratie.

Il a d’ailleurs été refusé par l’OMS(([6] COVID-19: LE COMITÉ D’URGENCE DE L’OMS OPPOSÉ À LA MISE EN PLACE D’UN PASSEPORT VACCINAL
H.G. avec AFP Le 20/04/2021)), la Maison-Blanche(([7] États-Unis : le gouvernement s’oppose au passeport vaccinal La porte-parole de la Maison-Blanche a affirmé ce mardi que le gouvernement américain était formellement opposé à l’idée d’un passeport vaccinal, car « les données personnelles et les droits des Américains doivent être protégés ».
https://www.rtl.fr/actu/international/etats-unis-le-gouvernement-s-oppose-au-passeport-vaccinal-7900017020)) et interdit dans de nombreux états américains, ce qui rendra très compliquée sa mise en œuvre effective.

Le pass, une mesure discriminatoire totalement inutile

Les nombreux états américains qui ont repris une vie normale en supprimant toutes les mesures prétendument sanitaires (sans pass) bénéficient d’un recul majeur de l’épidémie.

L’exemple du Texas dont le gouverneur a eu le courage de libérer ses citoyens contre l’avis des experts et de J. Biden qui avait qualifié son attitude de néandertalienne est très démonstratif.

Depuis sa libération, les statistiques officielles objectivent la poursuite de la chute des nouveaux cas et une quasi-disparition de la mortalité alors que le taux de vaccination complète (32 %) est très loin des taux jugés efficaces par les vaccinolâtres.

Arrêtons d’avoir peur d’un virus qui n’est pas plus mortel que la grippe asiatique de 1959 et qui est sensible aux traitements précoces.

Exigeons la liberté de soigner des médecins ! et la liberté du choix de son traitement par les malades. Et en particulier celui de refuser des traitements expérimentaux aux résultats réels très inquiétants.

Refusons le pass illogique, inefficace, profondément antidémocratique et refusé pour cela par la majorité du monde. L’appliquer en Europe dissuaderait la clientèle extra-européenne de revenir visiter nos pays ; notre industrie du tourisme, fortement ébranlée par les mesures prétendument sanitaires, n’a pas besoin de ce coup de grâce.

Liberté. Liberté chérie.





France – Pétition Sénat : GARANTIR L’INTERET SUPERIEUR DE L’ENFANT en situation d’état d’urgence

[Source : enfance-libertes.fr]

Lien pour signer la pétition :
Garantir l’intérêt supérieur de l’enfant en situation d’état d’urgence
e-pétitions du Sénat (senat.fr)

PRÉSENTATION

Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de Mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection.

***

Cette pétition est déposée sur le site du Sénat. Ce cadre légal offrira la possibilité de faire modifier la loi.

Atteindre 100.000 signatures mettra cette question à l’ordre du jour de la Commission des  Présidents du Sénat.

***

La signature se fait sur le site du Sénat par authentification FranceConnect. C’est une contrainte supplémentaire par rapport à d’autres pétitions habituelles, mais c’est aussi ce qui fera l’efficacité de la démarche :

  • si nous obtenions 100 000 signatures sans FranceConnect, il est fort probable que les autorités ne prendraient pas nécessairement en compte cette pétition
  • par contre, en obtenant 100 000 signatures par FranceConnect, les autorités seront obligées de considérer nos demandes.

TEXTE INTEGRAL

OBJECTIF

Malgré un contexte d’état d’urgence notamment sanitaire, garantir l’intérêt supérieur de l’enfant.

MESURES D’EXCEPTION ET DROITS FONDAMENTAUX

En déclarant l’état d’urgence sanitaire, le gouvernement français a imposé un protocole sanitaire contraignant, dont le port du masque aux enfants dès l’âge de 6 ans en milieu scolaire.

Au moment des prises de décisions, la communauté scientifique et professionnelle a largement exprimé des avis contraires étayés quant à la nécessité et à l’efficacité de ces mesures. Elle alerte également sur les risques néfastes du port du masque et du protocole sanitaire sur les enfants.

Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

La CDE a été adoptée par l’ONU à l’unanimité en 1989 et a été renforcée ensuite par trois protocoles :

  • Portant sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants,
  • Portant sur l’implication d’enfants dans les conflits armées
  • Et portant sur le recours possible devant le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies en cas de non-respect des deux précédents protocoles.

Une carence est cependant constatable dans la CDE en ce qui concerne la protection des enfants en situation d’état d’urgence. Le droit français n’y répond pas non plus.

CHRONOLOGIE

  • En Mars 2020, l’exécutif décide de confiner le pays, avec fermeture des écoles. Les enfants sont officiellement jugés contagieux. Les critères et études ayant servis à ces arbitrages ne sont pas connus à ce jour.
  • En Juillet 2020, les masques chirurgicaux (jugés inutiles au printemps) deviennent obligatoires autant en intérieur qu’en extérieur, mais les moins de 11 ans peuvent respirer librement.
  • En Septembre 2020, le masque devient obligatoire pour les collégiens et les lycéens. Les critères et études ayant conduit à cette décision ne sont pas non plus connus à ce jour.
  • Le 2 novembre 2020, les enfants du primaire sont à leur tour masqués. Les critères et études ayant déclenché cet élargissement ne sont toujours pas identifiés à ce jour, malgré les questionnements récurrents de parents, enseignants et professionnels de l’enfance.
  • En Avril 2021, les écoles sont fermées avec une semaine de cours en distanciel et deux semaines en vacances anticipées. Les critères et études utilisés par les décisionnaires, une fois encore, ne sont pas connus à ce jour.

Au regard desdits événements, chaque décision a été prise sans documents justificatifs ni motivations, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire. Or, ces éléments auraient dû être les requis préalables à chacune d’entre elles.

La carence à la fois dans le droit français, mais aussi dans la CDE, de la situation des enfants en état d’urgence autorise ainsi ce genre de dérives.

CHIFFRES

Alors que des propos médiatiques insistaient sur la dangerosité des enfants dans la propagation du Covid-19, Santé Publique France rapportait les données suivantes :

  • Les 0-14 ans comptabilisent 5 décès depuis mars 2020, soit 0,006% des décès hospitaliers avec une mention « covid-19 ».
  • Les 15-44 ans (tranche des fratries et parents) représentent 0,67% des décès hospitaliers.
  • La Société Française de Pédiatrie (SFP) rapporte qu’au sein du Ministère de l’Education nationale le niveau de contamination des enseignants (0,09 à 0,18%) est très faible de même que le nombre de classes ou écoles fermées depuis la rentrée scolaire de septembre 2020 (respectivement <0,2% et <0,14%).

Ces chiffres, non exhaustifs, étayent l’idée que les jeunes enfants ne sont majoritairement ni victimes du SARS-CoV2 (le bénéfice des mesures est pour eux relativement faibles), ni contaminants (le bénéfice de la communauté nationale est mineur au regard d’autres mesures impactant le reste de la population).

Ces avis contrebalancent fortement les risques et bénéfices invoqués par l’exécutif lors de la mise en œuvre des mesures sanitaires, qu’il n’a pas jugé utile de motiver avant ses prises de décisions.

IMPACT SUR LA SANTÉ PUBLIQUE, SUR LES LIBERTÉS ET SUR LES DROITS FONDAMENTAUX

Les multiples décisions impactent directement la santé publique, les libertés et les droits fondamentaux en lien avec les enfants, notamment :

  • Le droit à l’éducation stipulé par l’article 28 de la CDE
  • Le respect de l’autorité parentale
  • La qualité de l’encadrement éducatif et pédagogique
  • La dimension socioculturelle
  • Le droit à la santé physique et psychique (au sens de la définition de l’OMS) des enfants et des familles.

CONCLUSION

A la lecture des nombreux événements et de l’importance des chiffres énoncés, non exhaustifs, ainsi qu’aux impacts physiques et psychologiques sur la santé publique et l’équilibre sociétal, la situation de l’enfant lors d’un état d’urgence (notamment sanitaire) n’est aujourd’hui pas prise en compte dans les textes législatifs nationaux. Cette même situation d’exception aurait dû être fondée dans la CDE qui est malheureusement incomplète.

Toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant se doit ainsi d’être justifiée et motivée, sans quoi le risque est réel de ne plus assurer dignement leur santé, leur liberté et leur protection.

Afin de garantir l’intérêt supérieur de l’enfant, nous proposons que cette carence législative sur sa santé, ses libertés et ses droits soit prise en compte dans les textes législatifs nationaux au service de l’intérêt supérieur de l’enfant.

Lien pour signer la pétition :
Garantir l’intérêt supérieur de l’enfant en situation d’état d’urgence
e-pétitions du Sénat (senat.fr)




Les médecins sont tombés dans un trou noir

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

FIN DES PROBLÈMES DE NUMERUS CLAUSUS, ON N’A PLUS BESOIN DE MÉDECINS

Les médecins sont plus de 200 000 en France. Mais, malgré des incitations financières considérables, beaucoup paraissaient réticents à injecter un médicament expérimental vendu comme vaccin. Alors le ministre de la Santé a autorisé les infirmières, les vétérinaires et les pompiers à vacciner. Mais ce n’était pas encore assez. Alors tout le monde ou presque (bientôt) pourra maintenant vacciner, sans préalable, sans examen clinique, sans consentement éclairé.

On n’arrête pas le « progrès ». La loi de santé de Marisol Touraine de janvier 2017(([1] 1704-ANTIBES-CONSEQUENCES-LOI-TOURAINE PDF (nicoledelepine.fr) )) avait entamé le processus en permettant des glissements de tâches entre médecins et infirmiers, puis entre infirmiers et aide-soignant, etc. On était arrivé au fait qu’un personnel de garde non soignant aurait le droit d’aspirer un résident s’il s’étouffait et qu’il n’y avait aucune personne formée sur place. On était déjà dans le délire, mais encore exceptionnel, qui augurait bien de la suite…

Et l’on vient d’apprendre via Europe 1 que « les kinésithérapeutes, aides-soignants, puéricultrices, ambulanciers et titulaires d’une formation de secourisme de niveau 2 peuvent désormais participer à la campagne de vaccination. 500 000 nouveaux vaccinateurs viennent ainsi renforcer les rangs afin d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement. »  Par La rédaction d’Europe 1  13 MAI 2021.

Ce sont eux aussi qui fourniront les certificats verts, sésames de l’entrée en boîtes de nuit, j’imagine…

Rire ou pleurer, qu’est devenue la médecine que nous exercions encore il y a quinze mois ?  Les médecins généralistes libéraux l’ont bien cherché, me direz-vous ! Ils se sont tus, cachés, enfoncés dans leur grotte pour ne pas réagir à l’énorme arnaque du siècle qui fut l’interdiction aux médecins de prescrire selon le serment d’Hippocrate, en donnant les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science.(([2] Pourtant toujours en vigueur légale arrêt mercier 1936))

Une révolution après plus de 2 500 ans de médecine hippocratique

Le ministre, en février mars 2020 et les premiers cas de covid-19, donna l’ordre aux SAMU et au 15 de répondre aux patients de ne prendre que du Doliprane en attendant sagement à domicile l’aggravation et la détresse respiratoire qui les mènerait ou non à l’hôpital en fonction de leur âge.

Silence, on ne traite pas

Sous prétexte qu’un ministre l’impose, et qu’il est soutenu par le président du Conseil de l’Ordre dont la fonction, rappelons-le, n’est absolument pas scientifique, mais uniquement déontologique(([3] Et en autre de faire respecter la loi transparence en santé qui oblige tout médecin qui s’exprime en public de citer ses liens d’intérêts ce que le Conseil de l’Ordre refuse d’appliquer pour les médecins des plateaux télé)) et administrative.

Sidération, silence, les médecins ont disparu, ne vont plus à domicile sous prétexte de couvre-feu et de confinement, les malades restent chez eux et ne consultent pas et voient leurs pathologies chroniques évoluer et d’autres maladies survenir sans diagnostic ni traitement. Les malades s’aggravent dans le silence de leur « cabane » et les médecins disparaissent de la planète France en ville, mais aussi à l’hôpital où, en gros, on ne s’intéresse, ou plutôt on n’a que le droit de s’intéresser à ce qu’on peut classer Covid-19. Le reste attendra… En gros, tous les médecins disparaissent des radars et ne restent que les quelques « réanimateurs » d’hôpital ou de télévision pour entretenir la panique et promouvoir les traitements inefficaces et très chers (remdésivir) ou de prétendus vaccins expérimentaux.

Les cliniques se vident, sommées de stopper toute activité étiquetée non urgente selon le plan Blanc imposé par le Premier ministre Édouard Philippe fin mars 2020, et ce sont les ARS qui décident de ce qui est urgent ou non, se permettent d’annuler des opérations d’ablation de cancer en disant froidement au patient d’aller en radiothérapie…

Plus d’indications pesées longuement en réunion multidisciplinaire, des indications à la volée, administratives. Et toujours le silence des structures hospitalières publiques et privées obéissantes, dans le déni complet de notre métier.

Silence assourdissant de tout ce qui ressemblait antérieurement à un docteur ! Ils (le pouvoir toujours assez impersonnel des ARS !) nous inventent le nec plus ultra, la consultation par télémédecine, un grand rêve de nos dirigeants numérique-dépendants, pensant que cela allait se développer à la faveur de ce grand coronacircus. Ce sera raté comme l’enseignement à distance, mais les docteurs n’en auront pas moins sombré dans le trou noir de la société du Nouvel Ordre mondial.

TROU NOIR

Où sont passés les docteurs ? Craint-on qu’ils ne soient pas aussi obéissants que le gouvernement le souhaiterait pour vacciner en masse avec des substances dites « vaccins », mais insuffisamment testées avant leur autorisation « conditionnelle » de mise sur le marché ? Ces thérapies géniques ou vaccins OGM n’ont jamais été testés complètement chez l’homme et à peine chez l’animal. Elles sont en essai clinique comme l’examen du site clinicaltrials.gov le démontre.

Les médecins, après au moins dix ans d’études et surtout de mises en garde, de normes, de réunions multidisciplinaires, de multiples réunions pour accréditation pour vérifier « les bonnes pratiques », ne seraient-ils finalement pas assez mûrs pour administrer n’importe quoi aux citoyens sous prétexte d’une pandémie dont ils savent (au moins eux) qu’elle est terminée et que les vagues successives ne sont que la conséquence de la création de variants par les pseudo-vaccins ? Pour ceux qui doutent, consultez le site du réseau Sentinelles qui affiche en temps réel les consultations auprès des médecins de ville des maladies respiratoires, dont le Covid-19.

Malgré les assurances du gouvernement qu’ils seraient couverts en cas d’accident vaccinal ou même de décès, les médecins et les infirmiers rechignent à injecter un « produit » expérimental, dont les ingrédients sont cachés et dont les fabricants eux-mêmes, comme le PDG de Pfizer, ne souhaitent pas le recevoir.

Déficits de médecins, voire d’infirmiers pour injecter une substance, alors qu’on rappelle les retraités de ces professions à la rescousse ? Pourquoi tant de difficultés si ce vaccin ou prétendu tel était valable et sans danger ? Alors ils ont appelé les vétérinaires, espérant que nous, les humains, serions plus résistants que les souris et les furets tous morts lors des expérimentations pour vaccin des coronavirus du SRAS et du Mers. À moins que ?

En tous cas, l’aide des vétérinaires puis des pharmaciens à ce geste discutable, mais tout de même facile de réalisation ne suffit toujours pas. Alors ils ont osé appeler les pompiers, les ambulanciers et qui d’autre encore demain ?

Poser et discuter l’indication d’une vaccination reste un acte médical

Dans une vie antérieure pas si lointaine, la vaccination était bien considérée comme un geste médical représentant d’ailleurs le tiers des revenus des pédiatres de ville. Et que signifie acte médical ?

La Haute Autorité de santé avait formulé en début de campagne de vaccination contre le covid-19 le déroulé de la consultation prévaccinale. Demandons-nous si le charmant et dévoué pompier qui croit aider le peuple ou l’ambulancier aimable peuvent réaliser cette discussion préalable et en combien de temps.

« Le dimanche 27 décembre a marqué le coup d’envoi de la campagne de vaccination contre la Covid-19 en France et en Europe.(([4] Covid-19 : quel est le rôle de la consultation prévaccinale ? | Santé Magazine (santemagazine.fr) )) Sur le territoire, les résidents d’un EHPAD de Dijon et ceux d’une unité de soins de longue durée de l’hôpital de Sevran ont été les premiers à en avoir bénéficié. Si la vaccination n’est pas obligatoire pour la population, une étape l’est en revanche pour les personnes qui décident de se faire vacciner : la consultation prévaccinale ».

Comme l’explique la Haute Autorité de santé, elle se fonde

« sur l’évaluation de la situation clinique du patient, l’information sur les bénéfices et les risques du vaccin et sur les préférences, les questionnements et les craintes qu’exprime le patient. ».

« Concrètement, comment se déroule-t-elle ? Elle est réalisée par le médecin traitant ou, à défaut, en priorité par le médecin coordonnateur ou un autre médecin en cas d’indisponibilité des deux premiers. Et ce au plus tard dans les cinq jours qui précèdent la vaccination. À noter que “cette consultation peut être réalisée sur place ou, si cela n’est pas possible, à distance, en téléconsultation avec ou sans vidéotransmission.”, explique le ministère de la Santé dans un guide dédié. Le premier objectif de cette étape est d’identifier l’absence de contre-indication temporaire ou définitive à la vaccination et de déterminer le bénéfice/risque de la vaccination pour les patients ou résidents. »

Il semble bien qu’on ait changé de vie, de monde, de planète entre fin décembre et maintenant. Évidemment l’examen clinique, qui n’était déjà pas au premier plan, a sauté, mais tout le reste dans la foulée… Cela prenait trop de temps… La sécurité, les procédures, l’obsession de l’hôpital public et privé et surtout des tatillonnes ARS qui faisaient fermer un bloc pour quelques cm manquants par rapport à la sacrée sainte norme, une autre vie, l’Ancien Monde nous dira-t-on…

Alors si les ARS disparaissaient dans la foulée et les cérémonials d’accréditation également, tout cela n’aurait pas été vain. Rêvons un peu. Aussi.

Lisez la suite des précautions initiales prévues pour la vaccination extraite de Santé magazine : le patient pourra poser toutes ses questions.

« Sont recherchés les antécédents d’allergie, épisodes infectieux en cours, une infection Covid-19 avec symptômes et datant de moins de 3 mois ainsi qu’une vaccination contre la grippe, car celle-ci doit avoir eu lieu au moins 3 semaines avant la vaccination contre la Covid-19.

 Dans un deuxième temps, le médecin doit “apporter les éléments d’informations nécessaires (bénéfice/risque, effets secondaires connus…) pour que la personne puisse exprimer son choix de se faire vacciner ou non.”, ajoute le ministère de la Santé. Ainsi, le médecin veille à délivrer une information appropriée et compréhensible tandis que le patient peut faire part de ses questionnements et craintes.

La consultation fait l’objet d’une traçabilité écrite puisque les éléments qui en sont issus seront consignés dans le dossier médical de la personne, mais aussi dans le système d’information de suivi de la vaccination contre le SARS-COV-2 appelé “Vaccin Covid”, qui sera opérationnel à compter du 4 janvier 2021. Tout comme le reste de la procédure dans son ensemble : consentement, vaccination, suivi. Ce n’est d’ailleurs qu’à la fin de cette visite que le patient pourra verbaliser son consentement, sachant qu’un résident peut, s’il le souhaite, être accompagné d’un tiers qui observe un rôle d’accompagnement (parent ou proche, bénévole, mandataire judiciaire, personne de confiance…). »

 Eh bien oui, presque tout était prévu, mais trop long, trop compliqué, pas assez de médecins ou bien ceux qui acceptèrent vaccinaient quinze patients à l’heure, se faisant une petite rente au passage sur le dos de la Sécu. Mais finalement — et c’est consolant, il n’y eut probablement pas assez de volontaires pour l’abattage vaccinal des moutons consentants et peu curieux. Trop de responsabilité, au moins morale, puisque la responsabilité pénale est couverte d’emblée par l’État aux frais de la princesse, c’est-à-dire nos impôts pour réparation.

Faute de médecins, on recrute chez les pharmaciens, les vétos, les aides-soignants, les ambulanciers, etc.

Alors on eut recours à toutes les professions proches, mais chacun son métier avec tout le respect que nous leur devons pour leurs compétences, mais me voyez-vous demain remplacer mon voisin pompier ou vous conduire à votre consultation avec ma voiture en guise d’ambulance ? Quant à soigner votre chat, jamais vous ne me le confieriez ou faire vêler la vache de la ferme voisine, encore moins. Chacun son boulot, comme c’est bizarre. Le Président va peut-être demander à son chauffeur de le remplacer le temps de se reposer quelques jours…

Bref, les médecins ont disparu du système sanitaire français et si on l’a fait pour ce sacré covid, on ne voit pas pourquoi votre véto ne vous prescrirait pas votre chimio en même temps que celle de votre chien, cela gagnerait du temps.

Et tout cela pour aligner chaque soir à la télé le nombre de vaccinés et surtout en comparaison avec les pays voisins. Course à l’échalote en attendant les JO, ou programme sanitaire ? On n’en peut plus de ce délire construit, d’apparence de folie. Heureusement, au bout de 14 mois, on a fini par comprendre la stratégie de dissonance cognitive et de mise en sidération perpétuelle de la population afin qu’elle accepte la politique coercitive que le Nouvel Ordre mondial espère imposer.

Et dans tout ce magma délirant, quid de la responsabilité morale des volontaires, mais peut-être pénale quand les patients, victimes éventuelles ou familles de victimes (déjà plus de 10 000 morts reconnus par l’agence européenne sans la GB) découvriront que lors de cette expérimentation avec autorisation de mise sur le marché conditionnelle, il n’existait même pas cette dernière pour les mélanges de vaccin au hasard des disponibilités.

Sans AMM conditionnelle, probablement pas de couverture médicolégale. Ils sont bien courageux ou inconscients, les volontaires de la vaccination pour une maladie qui tue moins de 0,05 % de la population , mais n’est pas sans risque comme le montre le site de l’Agence européenne du médicament consultable par tout le monde, Eudravigilance.

MAIS CELA NE SUFFIT PAS : ON ENTRE DANS LA MÉDECINE FORAINE OU LA « MÉDECINE DRIVE »

Les médecins vont faire concurrence à Mac Do !

Bienvenue au pays du non-secret médical à Francoville [VACCI’DRIVE]

« Une première dans le Val-d’Oise !

En partenariat avec l’ARS, la ville a expérimenté un Vacci’drive (vaccination directement dans votre voiture) ce vendredi 14 mai de 18 h 30 à 19h30 au CSL.

Accueil, consultation médicale, vaccination, surveillance… Tout y est.

Déjà présent dans certains pays d’Europe, ce dispositif a le mérite d’être, pour certains, moins anxiogène. Il arrive à Franconville et sera reconduit selon l’approvisionnement en vaccins.

Inscriptions prochainement.

Merci aux agents et aux professionnels de santé pour la mise en place de cette nouvelle possibilité de vaccination. »

 Peut-on porter plainte pour non-conformité avec l’article 74 du Code de la santé publique, concernant l’interdiction de la médecine foraine, qui ne peut s’exercer qu’exceptionnellement, et dans une unité mobile, mais pas sur le trottoir, comme le plus vieux métier du monde ? se demandent des collègues choqués.

Article 74 (article R.4127-74 du code de la santé publique)

L’exercice de la médecine foraine est interdit ; toutefois des dérogations peuvent être accordées par le Conseil départemental de l’Ordre dans l’intérêt de la santé publique.
Toutefois, quand les nécessités de la santé publique l’exigent, un médecin peut être autorisé à dispenser des consultations et des soins dans une unité mobile selon un programme établi à l’avance.
La demande d’autorisation est adressée au Conseil départemental dans le ressort duquel se situe l’activité envisagée. Celui-ci vérifie que le médecin a pris toutes dispositions pour répondre aux urgences, garantir la qualité, la sécurité et la continuité des soins aux patients qu’il prend en charge.
L’autorisation est personnelle et incessible. Il peut y être mis fin si les conditions fixées aux deux alinéas précédents ne sont plus réunies.
Le Conseil départemental au tableau duquel le médecin est inscrit est informé de la demande lorsque celle-ci concerne une localité située dans un autre département. »

Quelques questions complémentaires à ce sujet :

Combien de temps durent la consultation médicale, l’examen clinique, et l’information sur les risques de médicaments au covid drive ?… On rit (jaune).

Si quelqu’un peut connaître les rémunérations des agents et professionnels de santé dans ces drive ?  Qui accepte cette non-médecine ?

Et si vous êtes curieux, allez voir les commentaires sur la page de Franconville citée qui montre que certains ont encore du bon sens, par exemple le phil o sophe :

« Chacun doit rester libre de se faire vacciner, ou pas, le débat n’est plus trop là… Ce qui devient délirant c’est d’adopter un mode de commercialisation popularisé par Ray Kroc pour un acte médical. Est-ce la proximité du Mc Do qui vous a donné cette idée folle ? Le progrès nous mènera-t-il à nous faire vacciner via ubervacx ? À quand la consultation dentaire en plein air ? À quand l’analyse de sang à l’arrêt de bus ? ! On a un centre de santé, un vaccinodrome, des médecins, des officines, plusieurs hôpitaux et cliniques à proximité, des personnels de santé libéraux, une caserne de pompiers… mais on vaccine à même le trottoir… Je crois que je ne comprends plus trop où on va, mais a priori on y va ! Une des 10 plus grandes puissances économiques mondiales vaccine ses citoyens en pleine rue et on s’en gargarise ».

ou encore Agnès Bernard :

« Je suis bien au Franconville drive ?
Oui, bonjour, je voudrais vous commander un happy vac.
Je prendrai un double cheese frites, un coca et un vaccin en cadeau. 

Je me souviens d’un temps où les moins de vingt ans connaissaient pourtant que l’on finissait devant le tribunal quand on faisait affaire sur un coin de trottoir !
Ahhhh! je suis heureuse de constater que notre société va bien. »

Vous me direz que vu les cadeaux proposés aux USA, comme des billets gratuits pour des parcs, et à NY une part de frites, etc. nous n’avons pas encore tout vu… Bonne lecture :
Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nicole Delépine





Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

[Source : AIMSIB]

Par La rédaction de l’AIMSIB

On s’en doutait tous, cette folie vaccinale n’est pas due qu’à l’incompétence de nos dirigeants. A présent les preuves s’accumulent pour relever également des comportements parfaitement répréhensibles pénalement. Nous ne parlons plus des contrats européens d’achats de vaccins allègrement caviardés avant transmission à nos représentants communautaires, nous visons bien ces sommes d’argent qui passent d’une main à une autre dans le but de pousser à l’achat de certains produits pour en interdire d’autres, et à la fin des fins, depuis un an, allonger la liste des morts de manière indiscutablement criminelle. C’est Inoxydable, membre AIMSIB de la première heure, ancien enquêteur de Police, qui est parti étayer ce dossier lamentable parce qu’il n’est présenté nulle part ailleurs dans la presse grand public: Pourquoi au fait?  Bonne lecture.

« La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien »

attribué à Edmond Burke

Introduction

Selon cet article (1),  la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé samedi un nouveau contrat pour acheter jusqu’à 1,8 milliard de doses de vaccins anti-Covid à BioNTech-Pfizer™:

Capt. écran

Non contente de cette commande pharamineuse dont elle doit se frotter les mains elle ajoute que « d’autres contrats et d’autres technologies vaccinales vont suivre». Ce contrat inclut une commande ferme pour 900 millions de doses et une option pour 900 millions supplémentaires. Ces nouvelles livraisons, prévues dès cette année et jusqu’en 2023, permettront notamment de «s’adapter aux nouveaux variants du coronavirus», mais aussi de «vacciner les enfants et adolescents».

Corruption, belotte…

Pour qui s’intéresse à cette information, on peut se demander jusqu’à quel point la commissaire européenne à la Santé, Madame Stella Kyriakides a joué de son entregent pour finaliser ce merveilleux contrat à propos duquel, le silence sépulcral de nos femmes et hommes politiques résonne d‘un assourdissant silence.

Stella Kyriakides en grande discussion avec le Commissaire Européen André Breton et le Ministre Français de la Santé, Olivier Véran (afp)

Ces faits sont relatés par la presse étrangère (2):

Capt écran

Cet article provient d’un site non conformiste. lesobservateurs.ch , politiquement correct s’abstenir (3), dont les rédacteurs luttent contre la pensée unique et le conformisme idéologique… donc classé franchement à droite. Mais faut-il encore une fois tuer le messager et occulter le message ?

C’est là qu’on apprend que 4 millions d’€ ont gonflé le compte familial de la commissaire par l’intermédiaire de la Cooperative Bank of Cyprus, qui appartient à l’État Chypriote, et il a été tenté de le déguiser en une sorte de prêt pour éviter le scandale .

Cette somme demeure de provenance difficilement explicable. Les médias chypriotes ont essayé de « rattraper l’affaire » en parlant de corruption passive et c’est pourquoi lesobservateurs.ch  en parle après qu’une agence de presse hongroise ait soulevé le lièvre.

 « Stella Kirikiades, après sa chute, essaie de s’excuser de toutes les manières possibles faisant croire que cet argent apparemment « sale » n’a rien à voir avec les contrats de vaccination de l’UE s’agissant d’un… prêt. »

Prêt de qui pour quoi, « elle serait de toute façon bien incapable de rembourser », saut peut-être en continuant de sévir ( pardon, servir) au sein de la commission Européenne et c’est le cas par exemple ici (4) :

Capt écran

Psychologue de formation, en doit s’y connaître en matière de vaccins, mais surtout de… politique.

Qui est derrière l’agence VAN4

Ces articles sont-ils crédibles ?
L’agence VAN4 est-elle digne de foi ? Bien qu’il s’agisse d’une agence d’information proche du premier ministre Hongrois Viktor ORBANà mon sens elle ne peut être plus polluée politiquement que notre bonne agence AFP, surtout sur les problèmes des vaccins et des traitements simples de la Covid.
Cette agence Hongroise, appelée V4NA, a d’ailleurs été enregistrée à Londres par l’ambassadeur de Hongrie au Royaume-Uni, Kristof Szalay-Bobrovniczky, le 31 décembre 2018, selon les documents déposés par la société (6):

Capt écran

9 avr. 2019 — V4NA’s name reflects a focus on the Visegrad Four countries – Poland, Slovakia, Hungary and the Czech Republic. It plans more coverage of ..

Pourquoi donc ne pas leur accorder autant de crédits qu’aux autres agences de presse empressées auprès de Google, Facebook et des kyrielles de supports de publications relayant les délires vaccinalistes « officiels » ?

Voici ce que dit l’article qu’on peut aussi traduire en français sur son site ;

Capt. écran

Article intitulé : « Le plus grand scandale de corruption de l‘UE se déroule alors que 4 millions d‘€ se retrouvent sur le compte de la commissaire à la santé Européen , la Chypriote Mme Stella Kyriakides qui a signé les contrats d’approvisionnement en vaccins défectueux et tardifs de l’UE » , selon le journaliste M. Omolnar .

Corruption, rebelotte…

Il précise aussi qu’auparavant, il y a des années, Madame Stella Kyriakides a été impliquée dans un programme qui a vu tous les traitements anti-cancéreux privatisés à Chypre sous le déguisement d’opérations bancaires, puis – comme d’habitude – ils ont augmenté les prix de ces traitements, et ce Miklos Omolnar ajoute :

« J’ai rappelé que lorsque la situation était devenue intolérable, l’affaire a été devant le parlement chypriote. Tous les députés ont voté la nationalisation des traitements contre le cancer, réduisant leurs coûts, à l’exception d’une députée, actuelle commissaire européen à la Santé et signataire de ces contrats de vaccination qui ont mis le feu de toutes parts ».

C’est ainsi que l’Union européenne par la toute puissance de Stella Kyriakides, et de la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, a conclu un contrat invraisemblable avec AstraZeneca™. V4NA a envoyé une demande écrite aux deux responsable Européens citées, pour demander des informations supplémentaires sur la question.

Je vous laisse lire l’article de ce mic mac de contrats vaccinaux aux relents pestilentiels de corruptions qu’on veut faire passer comme des erreurs, ou des maladresses. À la Commission Européenne, certains s’en sont émus : question écrite posée par un certain Euro-Député du nom de Sven Giegold (7) :

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001844_EN.html

Madame Kyriakides semble donc coutumière de faits de prise illégale d’intérêt, voire de faits de corruption passive, voire de conflits d’intérêts disons très tortueux, dans ses missions.

Qui est par ailleurs la présidente de la commission européenne ? Elle est médecin, mais selon Wikipédia « Le 27 septembre 2015, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki déclare avoir trouvé « des passages  plagiés dans 27 pages de la thèse de doctorat d’Ursula von der Leyen. » Pas très honnête tout ça. Qui se ressemble s’assemble. Passons.

Quel crédit accorder à l’agence V4NA?

Bien sûr, certains mettent en doute la compétence ce de cette agence Hongroise comme cet autre média du net (8) :

Capt. écran

– « V4 Agency, basée à Londres, est la machine de propagande d’Orbán déguisée en produit médiatique mondial »

Mais le site « atlatszo » est aligné sur l’Union européenne et si l’info relayée les dérangeait, c’est sans doute qu’elle était exacte. Dis-moi qui te finance et je te dirai pour qui tu travailles ou qui tu es…

En définitive lesobservateurs.ch ne fait pas partie du groupe Talmédia devenu TX Group (code SWX : TAMN), connu sous le nom de Tamedia jusqu’en 2020, qui est le plus grand groupe de médias privé de Suisse. „

En gros, Tamedia possède tout (9), et il est n‘est pas indépendant.

Conséquences de cet accord avec l’industrie pharmaceutique au niveau de l’UE, il oblige à l’unisson les états membres à commander pour des milliards d’€ de vaccins.

Ce scandaleux accord dont on aimerait bien connaître les distributions financières dans les différentes poches de leurs protagonistes, n’a semble t-il soulevé aucune campagne de protestations, ni dans les médias « mainstream » ni chez les responsables politiques de tous bords, pas même parmi les élus d’opposition qui auraient pu en faire un cheval de bataille comme la fameuse « tribune » des Officiers et Généraux en retraite ou non ayant recueilli plus de 100000 signatures !

Tout cela est-il dû à la malveillance des politiques, à la corruption, à la stupidité de la plupart des médias, à leurs compromissions, à la terreur inculquée depuis le début de l’épidémie à la population (pas seulement Française), même les jeunes ne réagissent plus ou si peu à la paralysie mentale des philosophes ou des leaders d’opinions, etc…

On comprend mieux quand on regarde qui fait l’opinion et à qui ça rapporte: Médias français, qui possède quoi ? (10)

Avec ça les lobbies de Big-Pharma ont de beaux jours devant eux et surtout, pour des vaccins aussi suspects qu’inutiles finalement, on se rend compte que ce qui intéresse les responsables de l’UE et de notre pays, c’est la manne financière que la vaccination obligatoire de fait rapportera probablement pour leurs intérêts personnels.

Corruption, dix de der provisoire

Pour finir sur le chapitre de la corruption, le dernier IHU Raoult (11) :

Effet des vaccins & Corruption Raoult 11 mai 2021

Vidéo dans laquelle le Pr Didier Raoult décortique l’épidémie, la vaccination et à partir de la 11e minute parle de la corruption en matière de sciences médicales, des liens et conflits d’intérêts. Il y va calmement mais férocement. Imparable. Décrié par certains, mal aimé par d’autres, adulé par ses nombreux sympathisants, on aime ou pas le personnage mais il dit tout.

Si certains ne comprennent pas, je désespère. Que penser d’ailleurs de cette dernière décision de justice (12) :

Capt. écran

Comment un médecin peut-il menacer de mort un confrère au prétexte qu’il défend en son âme et conscience l’utilisation d’une molécule en lieu et place d’une autre?

Probablement pour des raisons qu’il est difficile de détacher d’une corruption avérée, lisez ceci (13) :

France Soir, 24/06/2020

Et l’ANSM dans tout ça?

Elle a pour mission principale d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et produits de santé destinés à l’être humain.

La demande de RTU pour l’ivermectine,  présentée par un gros millier de médecins en traitements de la Covid, tant en prophylaxie qu’en traitement a été complètement rejetée par cet organisme administratif décisionnaire de l’État : est-ce de l’aveuglement, de la corruption intellectuelle ou de la corruption par liens d’intérêts?

Voici entre autres les obligations que la Loi impose à l’ANSM :

« alors que les débats, en premier lieu ceux concernant les acceptations et refus d’AMM de RTU et d’ATU, doivent être enregistrés et conservés, avec le détail et les explications des votes, y compris les opinions minoritaires ».

Au lieu du respect de la Loi, voilà ce que l’ANSM à répondu aux requérants (14) :

Capt. écran

Il faut aujourd’hui que le Dr Maudrux, porte-parole Français de ces médecins adresse un recours hiérarchique contre la décision de l’ANSM auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, déposé le 12 mai 2021. Est-ce qu’on peut attendre quelque chose du Ministre alors que visiblement, lors de sa première demande de RTU pour l’Ivermectine (14) il avait opposé un refus qui bien sûr laisse la porte ouverte à une autorisation future, sur la base d’études scientifiques fiables… aux calendes grecques ou après l’épidémie… cela a déjà eu lieu par le passé et maintenant trop d’enjeux financiers existent.

Conclusion

Je ne sais pas si l’article de lesobservateurs.ch participe à une manipulation de l’opinion, mais je suis certain d’une chose : La nouvelle commande de vaccins AstraZenecca™ ou Pfizer™ destinée à nos enfants qui n’en ont absolument pas besoin, à qui rapportera t-elle ? Servira t-elle à payer les publicités TV lamentables du genre « Ca vous a fait mal ? Eu contraire, je me sens bien mieux maintenant », qui se « gavera » ?

Cet article sur un problème dont nos médias ne veulent pas parler concerne principalement la corruption dans le marché des vaccins Covid, mais en définitive l’épidémie est en baisse pour ne pas dire en chute libre, à quoi sert-il de faire vacciner par le chantage du Pass Sanitaire autant de monde si ce n’est pour justifier les milliards d’euros dépensés et promis à Big Pharma conduisant au désastre sanitaire actuel, à l’endettement faramineux de notre pays pour des générations ?

Il n’y a même pas besoin de démontrer la corruption à tous les étages de la politique sanitaire, cette gabegie se suffit à elle-même.

Donc que devons-nous faire à part hurler haut et fort ?

Inoxydable
Mai 2021


Notes et sources

(1) https://www.lefigaro.fr/flash-eco/vaccins-l-ue-signe-un-contrat-avec-pfizer-biontech-pour-1-8-milliard-de-doses-20210508
(2) https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/
(3) https://lesobservateurs.ch
(4) https://ec.europa.eu/france/news/20210125/declaration_Stella_Kyriakides_livraison_vaccins_astrazeneca_fr
(5) https://v4na.com/en/eu-s-biggest-corruption-scandal-unfolds-as-4m-appear-in-commissioner-s-account
(6) https://www.reuters.com/article/us-hungary-media-news-agency-idUSKCN1RL15X
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Sven_Giegold
(8) https://english.atlatszo.hu/2020/05/25/london-based-v4-agency-is-orbans-propaganda-machine-disguised-as-global-media-product/
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tamedia
(10) https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA#&gid=1&pid=2
(11) https://youtu.be/0-7R3r5_-EA
(12) https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/didier-raoult-avait-porte-plaine-pour-menace-de-mort-300-eu-d-amende-pour-le-professeur-nantais-7124598
(13) https://www.francesoir.fr/societe-sante/top-13-des-revenus-annuels-recents-verses-par-lindustrie-pharmaceutique
(14) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/09/ivermectine-le-cote-obscur-des-decisions/
(15) https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/04/10/rtu-pour-livermectine-pourquoi-le-refus-de-lansm/




Le masque de l’Education nationale qui ne sert à rien

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Un lecteur travaillant dans l’Éducation Nationale nous transmet des photographies du masque et du courrier d’accompagnement qu’il a reçus de l’administration.
Vous remarquerez l’étiquette cousue sur le devant, qui permet à Macron de cumuler propagande covidienne et relance de sa campagne.

La notice d’accompagnement démontre bien à quel point ces mesures sont absolument inutiles, inapplicables et délirantes.

Petit zoom sur la notice :

Ces masques sont réservés à des usages non sanitaires.
C’est donc juste pour faire beau ?
C’est un déguisement ?
Encore une fois, rien de nouveau, et ça ne sort pas de conspi.com, c’est écrit sur le document officiel.
Comme il est écrit sur certaines boîtes de masques chirurgicaux qu’ils ne protègent pas des contaminations virales…




La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich

[Sources : Le Frexit et lumieresurgaia.com]

La dernière fois où la médecine était le pilier d’un gouvernement relié aux grandes industries, c’était durant le 3e Reich. Avec la propagande du Covid-19 d’aujourd’hui, nous sommes bien dans un système de type « 4e Reich ».

Vera Sharav livre son témoignage et son expertise éclairée de son expérience auprès de l’avocat combattant Reiner Fuellmich.

Vera Sharav est née en Roumanie et a survécu à l’Holocauste dans son enfance ; son père n’a pas survécu. Sa mère a émigré aux États-Unis alors qu’elle était prise en charge par des parents ; elle a rejoint sa mère, à New York, quand elle avait 8 ans. Elle a fréquenté le City College de New York et a étudié l’histoire de l’art, et après le mariage et deux enfants elle est retournée à l’école, au Pratt Institute, où en 1971 elle l’a reçue maîtrise en bibliothéconomie.

Elle est devenue une militante contre certains aspects de la recherche biomédicale après la mort de son fils adolescent des suites d’une réaction mortelle à la clozapine, qui lui avait été prescrite pour un trouble schizo-affectif. Dans son « blog vitriolique », elle critique l’industrie qui, selon elle, est axée sur le profit, ment à ses consommateurs et induit en erreur les gens en les faisant participer à des essais qu’elle prétend être un traitement médical. Les « renonciations au consentement éclairé » émises par la Food and Drug Administration, qui permettent à des sujets inconscients ou incapables d’être testés, présentent un intérêt particulier pour elle .

Sa critique des études cliniques où le consentement du patient est discutable l’a amenée à faire campagne contre Northfield Laboratories, les fabricants du substitut sanguin PolyHeme ; elle a déposé des plaintes et lancé une campagne de courrier électronique qui a conduit les médias puis le Sénat américain à enquêter sur la question. Sharav a affirmé que le produit était toxique et que les personnes et les communautés sur lesquelles il avait été testé n’avaient pas été correctement informées des risques.






Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID

[Source anglaise : The Last American Vagabond]

[Traduction : MIRASTNEWS]

Alors que les communautés autochtones du Mexique rejettent le vaccin COVID-19, l’effort international pour convaincre le public de prendre l’injection est pleinement effectif.

Début mars, CNN a rapporté que «des villes entières refusent les vaccins Covid-19 au Mexique», dressant le profil de deux des plus d’une douzaine de municipalités qui ont rejeté les vaccins contre la COVID-19 [en anglais, Coronavirus Desease 2019 ou en français, Maladie à Coronavirus de 2019 – MIRASTNEWS] pour une raison ou une autre. CNN a rendu compte des déclarations des habitants d’Aldama et de San Juan Cancuc, petites villes autochtones situées dans les hauts plateaux du centre de l’État mexicain du Chiapas.

«Pourquoi me faire vacciner? Je ne suis pas malade. Ce ne serait pas bien s’ils essayaient de nous forcer à nous faire vacciner. Je ne sais pas»,

a déclaré à CNN María Magdalena Lopez Santís, une résidente d’Aldama.

Les communautés autochtones du Mexique (et de nombreux Mexicains en général) ont une histoire de méfiance envers le gouvernement fédéral. Après des générations d’ignorance ou de colonisation, les communautés sont largement autonomes et fonctionnent selon leur propre état de droit. C’est cette histoire qui a poussé plusieurs communautés du Chiapas et d’autres régions du Mexique à rejeter complètement les injections COVID-19.

Bien sûr, CNN rapporte que « le manque d’informations et les théories du complot qui se sont répandues dans la région comme une traînée de poudre sont à blâmer pour l’hésitation à la vaccination. » Le secrétaire municipal d’Aldama, Tomás Lopez Pérez, a déclaré à CNN que parce que son peuple «ne sait pas vraiment de quoi sont faits les vaccins, nous pensons qu’ils contiennent le virus [SRAS-CoV-2 de la Covid-19] et c’est la principale raison pour laquelle les gens ne veulent pas se faire vacciner.» 

Le 1er février, José Lopez Lopez, maire de San Juan Cancuc, a publié une lettre aux autorités sanitaires de l’État expliquant pourquoi sa ville n’accepterait pas le vaccin COVID. Lopez Lopez a déclaré que les habitants de San Juan Cancuc rejetteraient en fait tous les vaccins de l’État mexicain.

Le Département de la santé de l’État du Chiapas a déclaré qu’il respecterait l’autonomie des populations autochtones.

Je me suis récemment rendu à San Juan Cancuc pour découvrir par moi-même pourquoi ces communautés autochtones rejettent les vaccins. Les indigènes de San Juan Cancuc parlent un dialecte spécifique de la langue indigène Tseltal connue sous le nom de San Juan Cancuc Tseltal. Avec l’aide d’un homme local interprétant de l’anglais à l’espagnol et de l’espagnol au Tseltal, j’ai pu communiquer avec les membres du conseil de San Juan Cancuc. Bien qu’ils ne s’expriment pas devant la caméra sans la présence de José Lopez Lopez, ils ont partagé une mine d’informations sur la façon dont leur communauté a réagi à la COVID-19.

Pour commencer, le conseil de San Juan Cancuc a déclaré n’avoir vu aucun cas de COVID-19 dans sa communauté. Ils ont également déclaré que la ville n’avait jamais imposé de masques ni de distanciation sociale. Le conseil a déclaré qu’il disposait de ses propres méthodes de guérison des malades qui ne correspondent pas aux politiques du gouvernement mexicain.

Le conseil a déclaré qu’avant la publication de la lettre de février, la communauté avait rejeté les camions apportant des vaccins et d’autres soutiens du gouvernement. La communauté a rejeté les camions à deux reprises avant de finalement publier la lettre faisant savoir publiquement qu’elle rejetait les injections COVID. Le conseil a déclaré que les médecins qui tentaient de venir en ville pour administrer des vaccins se sont fait dire par les autorités de l’État qu’ils ne pourraient pas garantir leur sécurité s’ils entraient à San Juan Cancuc. 

Le conseil a également noté que des lois avaient été adoptées pour garantir que la politique «pas un vaccin de plus» ne puisse pas être modifiée une fois qu’un nouveau maire est élu. Lorsqu’on leur a demandé quel message ils aimeraient partager avec le reste du monde, le conseil a déclaré que «tout le monde devrait faire ce qu’il sait être juste». Ils ont également dit qu’ils croyaient que leur communauté avait prospéré parce qu’ils étaient organisés et unifiés. 

J’ai également parlé avec deux habitants du village indigène de Betania, à environ 30 minutes au sud de San Cristobal de las Casas, au Chiapas. Les habitants ont déclaré que toute leur ville avait également rejeté les injections COVID-19. Ils ont également noté que le gouvernement de l’État offre 950 pesos (environ 50 USD) aux résidents qui reçoivent les vaccins, avec des paiements supplémentaires par enfant dans certains cas. La femme autochtone à qui nous avons parlé a déclaré que les autorités sanitaires locales appellent les résidents et tentent de les persuader de prendre le vaccin. Dans certains cas, on dit aux résidents qu’ils ne peuvent pas continuer à recevoir des soins de santé sans le vaccin. Pourtant, les habitants de Betania ont rejeté les injections.

Burgers, frites, beignets et pots-de-vin

L’idée que les gouvernements pourraient littéralement soudoyer les citoyens avec de l’argent peut sembler choquante ou immorale, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones des petits villages du Mexique. Cependant, cette pratique est de plus en plus courante aux États-Unis et en Europe.

Il y a quelques mois, Krispy Kreme a fait la une des journaux après avoir offert des beignets quotidiens gratuits aux clients avec une preuve de vaccin. Maintenant, les gouvernements des États interviennent avec des offres de hamburgers, de frites, de billets pour des événements et d’argent liquide. 

Dans l’Illinois, 50 000 résidents vaccinés se voient offrir des billets gratuits pour les parcs à thème Six Flags. Les billets sont évalués à un coût de 4 millions de dollars. Dans le Maine, les personnes vaccinées se voient offrir n’importe quoi, des cartes-cadeaux gratuites aux permis de chasse et de pêche. Les résidents vaccinés de l’Ohio sont désormais éligibles pour participer à une loterie avec un prix de 1 million de dollars pour cinq personnes vaccinées de l’Ohio.

L’Ohio donnera à cinq résidents 1 million de dollars chacun à la loterie des vaccins https://t.co/ClsDIHEEpL  

CBS News (@CBSNews) 13 mai 2021

Certaines villes métropolitaines des États-Unis offrent également des prix à ceux qui souhaitent soumettre leur corps et leur esprit au traitement médical expérimental. À Detroit, les résidents sont corrompus avec des cartes de débit prépayées de 50 $ s’ils conduisent une autre personne à un site de vaccination. Il n’y a actuellement aucune limite sur le montant d’argent qu’une personne peut gagner avec ce programme. Dans la région de Houston, le comté de Harris a récemment annoncé 250 000 $ à utiliser pour des cartes-cadeaux, des événements et d’autres incitations.

Les résidents de New York se voient offrir des cartes de métro gratuites de 7 jours, des billets pour des événements sportifs, le zoo du Bronx, le jardin botanique de Brooklyn et le Lincoln Center. Jeudi, le maire de Blasio a annoncé que ceux qui prennent la piqûre peuvent recevoir des bons pour des hamburgers et des frites gratuits de Shake Shack. «Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner», a déclaré le maire de Blasio dans une démonstration dégoûtante incitant les habitants de New York à obtenir un traitement expérimental et non approuvé en échange d’un, généralement, repas malsain.

« Mmmm! … vaccination. » Le maire de New York annonce que Shake Shack donnera de la nourriture gratuite aux New-Yorkais vaccinés.
«Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner.»
– Breaking911 (@ Breaking911) 13 mai 2021

Alors que les pots-de-vin d’argent et de nourriture sont offerts pour inciter les gens à se faire vacciner contre la COVID [Coronavirus Desease ou Maladie à Coronavirus – MIRASTNEWS], l’aspect le plus dérangeant est la tentative de convaincre le public que la seule façon de «revenir à la normale» est de se soumettre à une injection et / ou un passeport vaccinal. En fait, plus tôt cette semaine, le président Joe Biden a annoncé de nouvelles règles relatives au port du masque, déclarant«La règle est désormais simple: faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu’à ce que vous le fassiez.» Le message diffusé au public est clair: si vous n’obtenez pas de vaccin, vous continuerez à être soumis aux restrictions COVID-19. Si vous ne vous conformez pas, vous ne pouvez pas revenir à la «normale».

De plus, ceux qui choisissent d’attendre pour se faire vacciner (ou de ne pas tout obtenir) subissent des pressions, sont diabolisés et censurés en ligne pour avoir exprimé leurs préoccupations et leurs raisons d’hésiter. Alors que les habitants de Betania et de San Juan Cancuc sont unifiés dans leur opposition aux traitements, les résidents des États-Unis sont moins unifiés et moins organisés. Les communautés autochtones du Chiapas peuvent continuer à vivre leur vie comme elles sont habituées, mais les habitants de Houston, New York, Detroit et ailleurs sont confrontés à un environnement de plus en plus totalitaire. 

La seule façon d’avancer est que le peuple des États-Unis et au-delà s’organise et s’oppose directement et rejette les mandats de vaccination forcée et les appels à des passeports vaccinaux. Rien de moins qu’une opposition unifiée ne parviendra à arrêter la marche de la COVID-1984.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : The Last American Vagabond




Le Covid échappé d’un laboratoire : la théorie qui n’a plus rien de conspirationniste

[Source : marianne.net]

Par Jean-Loup Adenor

[Photo : Devant l’institut de virologie de Wuhan le 3 février 2021.]

Qualifiée de complotiste lorsqu’elle a émergé fin 2019, alors que le coronavirus se répandait comme une traînée de poudre, la théorie selon laquelle le virus aurait fuité d’un laboratoire chinois est aujourd’hui prise au sérieux par une partie de la communauté scientifique. Une leçon d’humilité pour les journalistes prompts à crier à la conspiration.

Le temps du « fact-checking » n’est assurément pas celui de la science. Une lettre de 18 scientifiques américains renommés publiée dans le magazine Science le 14 mai exhorte les autorités sanitaires et le reste de la communauté scientifique à envisager toutes les pistes quant aux origines, toujours inconnues, de l’épidémie de Sars-Cov-2.

Les signataires rappellent, dans un ton mesuré, un fait qui demeure incontestable : plus d’un an après le début de la crise, personne n’est en mesure d’établir avec certitude l’origine du virus, ni le chemin qu’il a emprunté pour contaminer l’homme. « Nous devons considérer les deux hypothèses d’origine de l’épidémie, celle d’une origine naturelle et celle d’une fuite de laboratoire, comme sérieuses jusqu’à ce que nous ayons assez de données pour trancher », écrivent les auteurs. Ils appellent à « conduire toutes les investigations nécessaires » pour déterminer cette origine.

À LIRE AUSSI :
Un an après : les trois hypothèses les plus probables de l’origine du Covid

En France, le virologue spécialiste du VIH, directeur de recherche au CNRS et membre de la Société française de virologie Étienne Decroly, défend la même position depuis plusieurs mois. « Qu’on se comprenne bien : nous ne disons pas que le virus provient forcément du WIV [le laboratoire chinois situé près du marché de Wuhan]. Nous disons que la question n’est pas tranchée. Ce qui se joue est essentiel : il faut comprendre cette origine pour ne pas se retrouver dans une situation similaire dans quelques années », explique le spécialiste à Marianne.

UN « FACT-CHECKING » PRÉMATURÉ

Une courte escale dans le passé s’impose. Fin 2019, ce qui n’est encore qu’une épidémie chinoise frappe très durement la ville de Wuhan. De nombreux observateurs notent la présence d’un laboratoire de recherche virologique non loin du marché où l’épidémie est censée avoir démarré. Alors que l’Europe s’apprête, elle aussi, à connaître une multiplication exponentielle des contaminations et qu’une partie de sa population s’inquiète de ce mystérieux mal chinois, la machine s’emballe. Très vite, de nombreux médias réagissent et le nombre d’articles de « fact-checking » reprenant cette théorie explose. « Non, le virus ne s’est pas échappé d’un laboratoire », peut-on lire un peu partout. La piste d’une contamination de la chauve-souris vers le pangolin puis vers l’homme est alors envisagée. Elle est aujourd’hui infirmée.

Pourtant, la communauté scientifique n’a pas les éléments pour trancher le débat. La querelle se joue alors entre milieux complotistes, où des théories délirantes circulent quant à la nature et l’objectif de ce virus, et les médias qui tentent un travail de vérification prématuré et donc incomplet. À ce titre, on peut citer les déclarations du professeur Montagnier, qui parle de main humaine à l’origine du Covid ; des propos largement repris dans la « réinfosphère » complotiste.

DES SCIENTIFIQUES CLASSÉS COMPLOTISTES

Pourtant, à mesure que la crise s’installe dans le monde et que la communauté scientifique mondiale découvre et comprend le virus, l’hypothèse d’une zoonose, c’est-à-dire de la transmission de l’animal à l’humain, ne parvient toujours pas à se vérifier. « Il faut reconnaître que c’est l’hypothèse la plus naturelle : dans la majorité des virus émergents, leurs mécanismes d’émergence dépendent de mécanismes zoonotiques », décrypte Étienne Decroly.

Mais ce présupposé « naturel » va connaître une validation aux allures scientifiques. En février, la revue scientifique The Lancet publie une lettre signée par 27 scientifiques expliquant qu’il faut soutenir l’institut de virologie de Wuhan, reconnu pour la qualité de ses recherches. « La revue va jusqu’à affirmer que tous les scientifiques qui soutiendraient la thèse d’une fuite de laboratoire sont des complotistes. Le tout sans aucun élément scientifique pour corroborer cette déclaration. Ce n’est pas comme ça que la science fonctionne », regrette Étienne Decroly. Dès ce moment-là, un clivage important va diviser la communauté scientifique, dont la majorité se rallie à la thèse du Lancet.

UNE FUITE DE DOCUMENTS

Le spécialiste en virologie va alors publier dans Le Monde trois tribunes visant à alerter la communauté scientifique et la presse sur le manque d’éléments permettant d’infirmer définitivement cette hypothèse. À titre de contre-exemple, il cite l’épidémie de Mers (en 2012) et de SARS-CoV-1 (entre 2002 et 2004), dont la chaîne de contamination de l’homme vers l’animal a été étudiée et découverte rapidement après le début de l’épidémie. « Alors qu’on se trouve aujourd’hui dans une épidémie très importante, que les techniques de séquençage ont fait des progrès très importants, on n’a toujours pas de réponse », note le virologue.

Dernier événement en date étayant davantage la piste du laboratoire : des documents rédigés par des scientifiques ayant travaillé dans le laboratoire chinois ont fuité et été examinés par des scientifiques soucieux de comprendre l’origine du virus. Ces documents ont permis d’établir que le centre scientifique de Wuhan détenait plus de coronavirus différents qu’annoncé. Et notamment l’un, retrouvé dans une mine de la province du Yunnan en Chine, le RaTG13. Six mineurs qui fréquentaient la zone ont contracté en 2012 une pneumopathie dont les symptômes sont similaires au Covid-19. Si sa séquence est proche du SARS-Cov-2, elle ne l’est pas suffisamment pour qu’il puisse en être le parent.

À LIRE AUSSI :
Origine du coronavirus : le livre qui ose aborder les questions interdites

Pour autant, cette proximité pose question. « Une des hypothèses, c’est que se trouvait dans cette mine un autre virus qui pourrait être le progéniteur du Sars-Cov-2. Comme les virus échantillonnés dans la mine ne sont pas accessibles au public, cette opacité alimente les suspicions. Attention : il ne s’agit pas pour autant d’une démonstration scientifique », tempère Étienne Decroly. Qui rappelle également que cette opacité a été accentuée par la mise hors d’accès d’une base de données du laboratoire, dès le 12 septembre 2019, soit quelques semaines avant le début de la crise sanitaire en Chine.

Aujourd’hui, difficile de dire que l’hypothèse d’une fuite de laboratoire soit une thèse conspirationniste. Appeler à étudier toutes les pistes dans la recherche de l’origine du virus, comme le font ces scientifiques, s’apparente plutôt à l’antithèse même du complotisme : chercher la vérité. « Il faut qu’on sorte d’un système de suspicions, qu’on revienne à une science basée sur les preuves scientifiques. Il faut regarder avec toute l’objectivité nécessaire : à partir de ce virus de chauve-souris, quels sont les virus qui se retrouvent chez l’espèce humaine ? Lorsqu’une hypothèse naturelle, comme celle de la zoonose, ne se vérifie pas, il est nécessaire de chercher ailleurs. C’est le principe de la démarche scientifique », rappelle le chercheur.

À LIRE AUSSI :
Coronavirus : après le SRAS, l’énigmatique laboratoire livré par la France à Wuhan

Par Jean-Loup Adenor




Le Prisonnier, un chef-d’œuvre télévisionnaire

Par Jean-Michel Grau

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »

Aldous Huxley, Le meilleur des mondes.

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Patrick Mc Goohan, alias N°6 dans Le Prisonnier.

En 1967, l’acteur fétiche de la série télévisée « Destination Danger » mettait en scène sa dystopie télévisionnaire « Le Prisonnier », qui allait devenir réalité une cinquantaine d’années plus tard.

En réalisant et en incarnant pour la chaîne de télévision britannique ITV le Prisonnier dans une série de 17 épisodes, Patrick Mc Goohan préfigurait la dictature dans laquelle nous venons de basculer depuis 2020 avec le Covid. Au-delà même de tout ce qu’on aurait pu imaginer en 1967.

Les scènes extérieures ont été filmées à Portmeirion, petite station balnéaire au Nord-Ouest du Pays de Galles, à l’architecture italienne excentrique aux couleurs pastel rappelant les crèmes glacées, créée par un architecte milliardaire excentrique, Sir Clough Williams-Ellis, dotant toute la série d’un style intemporel inoubliable, mélange improbable de styles baroque, victorien et rococo, mâtiné de colonnes doriques, de dômes florentins et de jardins tropicaux.

Personne ne sait qui est le N°1

« Chaque générique du Prisonnier répète, en version condensée, la première scène de la série. Le personnage incarné par Patrick Mc Goohan, regard bleu, cheveux blonds plaqués et costume sombre, démissionne de son mystérieux emploi en tapant du poing sur la table. Alors qu’il prépare sa valise, il est gazé dans son appartement londonien et s’évanouit avant de se réveiller groggy, dans une réplique de sa demeure.

En ouvrant les stores, il découvre qu’il n’est plus à Londres, mais dans un petit village aux bâtisses colorées, au bord d’un estuaire. Rapidement, il s’aperçoit que ses habitants aux accoutrements farfelus ne portent pas de nom, mais des numéros et qu’on ne peut pas s’échapper.

À la tête de ce camp de prisonniers à ciel ouvert qui ressemble plus au Club Med qu’à Dachau, on trouve le N°2, dont la personnalité change à chaque épisode. Personne ne sait qui est le N°1. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Il tente alors de comprendre ce qu’il fait là, et part inspecter les lieux. Il essaie de téléphoner à la police, mais l’indicatif n’existe pas. Il demande alors un taxi pour sortir de la ville, mais il ne peut pas… Puis, il se rend dans une boutique pour acheter une carte de la cité. Étonnamment, celle-ci n’indique rien, à part la mer et les montagnes entourant le village.

Par la suite, il est invité dans la maison du N°2. Il y est accueilli par un homme mystérieux qui lui offre à manger. Celui-ci a un dossier de photographies sur lui. Des hommes hauts placés aimeraient savoir pourquoi il a démissionné du MI6.

Plus tard, avec le N°2, ils survolent le Village à bord d’un hélicoptère. Le Prisonnier découvre alors le bâtiment du Conseil Suprême, dont les membres seraient élus démocratiquement… Il est alors renommé N°6 par le N°2. Furieux, il hurle qu’il n’est pas un numéro, mais un homme libre. »

(([2] fantrippers.com/fr/magazine/article/407-le-prisonnier-une-serie-de-confinement-mcgoohan-prisoner))

Toute la série va reposer sur les tentatives désespérées du Prisonnier pour trouver des alliés, afin de s’échapper du Village et trouver l’identité du N°1, tout en évitant de croiser le chemin du Rôdeur, l’énorme ballon blanc tout mou chargé d’étouffer toute tentative d’évasion.

Reportons-nous maintenant à aujourd’hui.

Que découvrons-nous dans la rue ? Des zombies en train de marcher la tête rivée sur leur portable, tous muselés par un bâillon évoquant une couche-culotte faciale. Des dizaines de personnes faisant la queue devant des laboratoires d’analyses pour un test PCR. Tout autour d’eux, la plupart des magasins fermés, à part quelques rares supermarchés. Tous les rideaux des restaurants, des bars, des discothèques et des salles de sport baissés. Tout le monde confiné. Aucun déplacement permis sans une attestation qu’on s’autorise à signer pour sortir faire des achats, dits essentiels, avant l’heure du couvre-feu. Une atmosphère de peur, savamment entretenue par des médias aux ordres avec des injonctions inlassablement répétées du matin au soir, comme les gestes-barrière, l’interdiction de réunion, le port du masque dès 11 ans pour ne pas faire mourir grand-mère, et l’apparition de néologismes abscons comme le travail en présentiel ou en distanciel selon l’humeur du chef de l’État. Enfin, la promesse aussi hypothétique que fallacieuse de récupérer notre liberté perdue sous la condition expresse de prendre le risque de servir de cobaye aux labos pharmaceutiques en se faisant piquer comme des poulets OGM. Avec au bout : l’octroi d’un passeport sanitaire pour pouvoir à nouveau circuler et voyager librement, création implicite d’un monde à deux vitesses d’Alpha + et de bêta — qui n’a rien à envier à l’univers dystopique du Prisonnier.

Une situation inimaginable il y a encore deux ans et que personne n’aurait cru pouvoir devenir un jour réalité. Et pourtant ! Quand on y réfléchit bien, on ne peut que constater que nous sommes déjà tous entrés dans l’univers du Prisonnier bien avant le Covid. En fait, depuis déjà un certain nombre d’années, et ce sans même nous en rendre compte.

L’addiction au smartphone

Comme le rappelle Jean-Michel Philibert dans son livre « Le Prisonnier : une mythologie moderne », la technologie galopante de la communication nous asservit plus qu’elle nous libère par son omniprésence et ses injonctions dans notre quotidien :

« Aujourd’hui, l’événement est à peine en train de se dérouler qu’il est déjà info. Fausse ou réelle. Une immédiateté rendue possible grâce aux téléphones portables, déjà utilisés par les protagonistes du Prisonnier. « En 1967, c’était prophétique d’utiliser des téléphones sans fil. Aujourd’hui, la majorité des Occidentaux est collée à son « machin-phone », au travail, dans la rue, à table, au lit. L’addiction au smartphone est la manifestation la plus visible du fait que nous devenons un peu tous comme les habitants du Village »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

« Dans la série, l’usage des portables est toutefois réservé aux personnages de haut rang, ceux qui contrôlent les autres, ceux qui se relaient jour et nuit dans des salles circulaires pour observer en permanence des habitants dont ils souhaitent extraire « des renseignements » de manière aussi clinique qu’abstraite. Cette métaphore de l’administration, de la technocratie qui veut tout contrôler, est surtout celle de la surveillance de masse. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

On ne peut s’empêcher de penser ici au délire psychotique de Klaus Schwab, le grand prêtre illuminé du Forum de Davos dont la surveillance de masse le fait baver d’envie dans son bréviaire 2.0, feuille de route suivie à la lettre par les dirigeants occidentaux, sous prétexte de pandémie covidienne :

« Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale. »

(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Rick Davy, auteur de « The Prisoner, the essential guide » complète l’analyse de Jean-Michel Philibert :

« Dès le premier épisode, on montre au N°6 des extraits de sa vie entière, sur divers écrans. Le N°2 lui dit que les gens veulent tout savoir. Et cela semble vrai au vu de la société actuelle : ce qu’on mange, comment on vote, quels sont nos centres d’intérêt, tout est collecté, partagé, vendu et conservé par les réseaux sociaux, les banques, les magasins et les gouvernements. Avec les réseaux sociaux, tout le monde sait ce que tout le monde fait. »

(([5] Rick davy, The Prisoner, the Essential Guide))

Nous sommes nos propres surveillants

Selon Philibert, « C’est toute la contradiction qu’il faut assumer : entre profiter d’un espace de liberté d’expression et accepter qu’une organisation commerciale comme Facebook recueille des renseignements sur nous. Notre société de surveillance a ceci de particulier que nous sommes nos propres surveillants. C’est nous qui donnons « des renseignements » par l’intermédiaire de nos écrans. Cliquer, c’est se dénoncer. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Il en va de même aujourd’hui avec les attestations de sortie de confinement que nous nous autorisons à nous-mêmes. Au nom de quoi ? On cherche encore…

« Comme les villageois qui rapportent les informations aux autorités en place, nous sommes, de par notre usage des réseaux sociaux, complices du fichage et du contrôle. Il faut donc bien avoir conscience que nous nous faisons déjà ficher, classer, estampiller et numéroter de notre plein gré.

Si la phrase la plus célèbre de la série est bien :

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Il semblerait que de nos jours, ce ne soit plus vraiment le cas. »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

En effet, nous sommes déjà tous devenus des numéros, avec un numéro de sécurité sociale, un numéro de portable, un code postal, un numéro de rue, un numéro de carte bancaire…

« Dans la série du Prisonnier, le N°6 se voit remettre un porte-cartes, contenant nombre de fiches d’identité, inondées de numéros. Le Prisonnier a prédit nos portefeuilles bourrés de diverses cartes, mais surtout quelque chose d’encore plus nouveau à l’époque. Au Village, rares sont les angles que les caméras de surveillance ne contrôlent pas. Aujourd’hui, ces mêmes caméras sont devenues banales. Plus ou moins consciemment, on décide de ne pas y prêter attention, optant pour la sécurité plutôt que la liberté, acceptant que tous nos faits et gestes puissent être connus des autres en échange de l’espoir qu’un attentat terroriste puisse être déjoué… »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Benjamin Franklin.

Avec les confinements et les couvre-feux Covidistes, la réalité vient rejoindre la fiction du Prisonnier. Les annonces anxiogènes et liberticides sur le masque obligatoire dès l’âge de 11 ans, les gestes-barrière et l’interdiction d’attroupement débitées toutes les demi-heures au haut-parleur aux quatre coins de la ville de Nice ou dans le métro parisien n’ont rien à envier aux annonces incessantes de la radio qu’on ne peut pas éteindre du Prisonnier.

L’uniformisation a un prix

« La sécurité se vend bien, c’est un bon argument pour faire accepter la diminution des libertés individuelles. Dans le Prisonnier, l’individualité est quasi criminelle, on peut être mis au ban de la société si on est différent. Tout comme il faut porter certains habits achetés par des gamins du monde entier pour se faire accepter à l’école. Ainsi, les captifs éclatent de rire quand le N°6 affirme être un individu.»(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Les mêmes qui sont habitués à rire et applaudir sur demande. La démocratie et la liberté ne sont plus, tout comme aujourd’hui en Occident, que des fantoches au Village du N°6.

Tout comme les habitants du Village acceptent d’être fichés, la plupart d’entre nous acceptent le port de la muselière pour pouvoir continuer à vivre la même existence que les autres. Au-delà de la crainte d’écoper d’une amende de 135 euros, c’est cette peur de se singulariser, ce besoin de se fondre dans la masse qui fait que le commun des mortels finit par accepter l’inacceptable : on ne se sent plus muselé comme un chien quand on voit que tous les autres sont logés à la même enseigne. On est trop occupé par son quotidien pour consacrer encore du temps à remettre en question la perte de sa liberté.

Comment peut-il en être autrement aujourd’hui avec cette tyrannie du politiquement correct, où tout débat est devenu interdit depuis la dictature sanitaire ? Dès qu’un opposant remet en cause la pertinence de la doxa covidiste, il se fait immédiatement rabrouer et traiter de complotiste. Il en va de même pour tous ceux qui osent remettre en question le bonheur européiste dont les arguments se voient balayés par la reductio ad Hitlerum habituelle.

« Le Village ramollit ses habitants à coups d’alcool, de jeux et de sport qui ne sert qu’à tuer le temps. Malheureusement, nous en sommes parfois, nous aussi, réduits à occuper nos vies, à nous remplir de vide. C’est une prison dorée, pour nous autres Occidentaux qui jouissons de loisirs et de biens de consommation créés sur la misère du monde. Mettez un individu devant un écran, et il abdique sa vie pour contempler un spectacle.»

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

La parodie de vie des personnages de la télé-réalité a remplacé avantageusement l’existence réelle.

Et Jean-Michel Philibert d’asséner : « Au Village, c’est la société du spectacle. Chacun joue un rôle dans la comédie ou la tragédie écrite par les dirigeants. Nous, nous contemplons le spectacle de la société sur nos écrans. Le journal télévisé nous dit quoi penser, l’émission de télé-réalité nous dit quoi ressentir. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Parfois la fiction de la télé-réalité et la réalité finissent par se confondre. Tout comme le Village dystopique du N°6 se confond dorénavant avec le village de fous du monde covidiste d’aujourd’hui. Patrick Mac Goohan, lui-même, ne disait-il pas avant son décès en 2009 que le monde allait devenir « le Village » ?

Maintenant, quant à savoir qui est le N°1, il suffit de regarder la série pour le découvrir.

Beaucoup d’entre nous ne s’en sont jamais remis.

Le Prisonnier est un hymne à la liberté. C’est quand on la perd comme aujourd’hui qu’on réalise comme elle nous est précieuse. Raison de plus de redécouvrir aujourd’hui cette allégorie philosophique par excellence.





Pétition nationale contre le certificat numérique ou « passeport vaccinal »

[Source : Passeport sanitaire =Vaccination forcée déguisée (petition-passeport-sanitaire.com)]

[Pour signer la pétition, aller sur le site source.]

À l’attention de Monsieur le Premier ministre Jean Castex


Monsieur le Premier ministre,

  • Depuis 1 an, le Gouvernement et les autorités de santé ont adopté une série de mesures qui n’ont jamais pu être validées avec le recul nécessaire, sur le plan scientifique.
  • À chaque fois, le débat public a été quasiment écarté.
  • Comme jamais dans notre histoire récente, des décisions aussi importantes pour la santé publique ont pu être prises sans aucun débat démocratique.
  • Des restrictions de liberté sans précédent ont été mises en oeuvre en France : entrave à la liberté de circuler, couvre-feu, etc.

Les droits les plus fondamentaux de notre société ne doivent pas être malmenés même pour des raisons sanitaires.

C’est la force de notre démocratie.

Aujourd’hui, nous sommes très inquiets face au projet proposé par la Commission européenne sur le certificat numérique vert.

Cette mesure reviendrait notamment à stigmatiser les citoyens qui ne sont pas vaccinés, qui n’ont pas fait de tests ou qui n’ont pas développé d’anti-corps.

C’est une mesure contraire au principe d’égalité, qui est le ciment de notre société.

En tant que chef du Gouvernement, nous vous demandons :

  • de veiller à ce que la liberté élémentaire de chacun de se soigner comme il l’entend soit garantie, même en situation d’urgence sanitaire ;
  • de veiller à ce que chacun soit libre de se faire vacciner ou non, surtout quand il s’agit de vaccins nouvellement développés ;
  • de veiller à ce que nos autorités de santé prennent les décisions de façon raisonnée
  • de veiller à ce qu’aucune décision n’obéisse à la pression médiatique ni à celles des industriels de la santé.

C’est la responsabilité historique du Premier ministre de la France de prendre ces mesures difficiles pour garantir notre liberté et la santé de tous.

C’est pourquoi je vous adresse solennellement cette pétition nationale.

Je compte sur vous, Monsieur le Premier ministre, pour aider la France à faire face à cette crise sanitaire, en protégeant la santé de tous les habitants tout en garantissant notre liberté.

Avec ma respectueuse considération,

L’Association Santé Naturelle

[Pour signer la pétition, aller sur le site source.]

Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH) Adresse : 1211 Genève 3 Contact email : association.aisnhs@gmail.com




Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

La mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’Etat donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. Toute la question (non résolue à ce stade) est de savoir quel emprunt Macron et la Commission Européenne font au Great Reset de Davos pour se rallier à cette mesure fondamentale du capitalisme de surveillance prôné par Schwab.

Le pass sanitaire illustre à merveille ces moments de la démocratie qu’on peut appeler des flashs totalitaires: sans modifier l’état général du droit, le pouvoir décide soudain de ne plus le respecter et d’imposer une mesure totalement illégale en utilisant toutes les armes dissuasives du pouvoir : la contrainte, l’intimidation, la corruption. Une petite mise en perspective des différentes étapes de ce dossier emblématique permettra de mieux le comprendre. 

Le pass sanitaire venu de nulle part

L’affaire a commencé le 29 avril dans un entretien à la presse régionale où Emmanuel Macron annonce les mesures de déconfinement qui entrent en vigueur le lundi suivant… et il ajoute, dans une impressionnante démonstration de novlangue : 

Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. Par contre, dans des lieux où se brassent les foules, comme les stades, festivals, foires ou expositions, il serait absurde de ne pas l’utiliser.

Traduction : on ne différencie pas les Français tout de suite, sauf dans les lieux de rassemblement. Ne pas le faire serait « absurde ». Quelle idée au juste serait absurde ? Celle de ne pas différencier les Français ? On le comprend en creux, mais dans la novlangue du « en même temps » tout et son contraire sont dits en permanence : en réalité, le Président de la République saute à pieds joints dans un monde où l’accès aux lieux publics est subordonné à l’affichage de ses données de santé. Les malades sont exclus, et seuls les bien portants sont supposés avoir une place dans le groupe. 

Et Emmanuel Macron termine son intervention par ces phrases emblématiques de la propagande totalitaire :

C’est juste et ça ne fracturera pas le pays. Ce sera un outil supplémentaire pour assurer la protection des Français. 

On retrouve ici tous les mots-clés qui ne cherchent pas à convaincre, mais qui imposent une vision du monde pré-fabriquée aux « citoyens » : le pass sanitaire est juste, il ne fracture pas le pays et il protège les Français. 

Un flash totalitaire au Parlement

Aussitôt dit, aussitôt fait, ou presque. L’interview est publiée le 29 avril, c’est-à-dire un jeudi et, dès le lundi suivant, le gouvernement intègre la proposition d’un pass sanitaire dans le projet de loi mis en discussion à l’Assemblée Nationale sur la « sortie de crise ». Les esprits lucides noteront que, là encore, lorsque le gouvernement évoque la « sortie de crise », il faut comprendre le sens de la novlangue qui désigne en réalité le maintien des mesures liberticides au-delà de la crise. 

Voici la description de l’enchaînement des événements donnée par le député républicain Philippe Gosselin :

Le pass sanitaire, par exemple, nous a été présenté du jour au lendemain, deus ex machina , le 3 mai, quarante-huit heures avant l’examen du projet de loi en commission des lois et, bien sûr, sans que le Conseil d’État ou qu’aucune organisation ou autorité indépendante ne se soit prononcé.

Voilà donc une mesure légale qui restreint les libertés, parachutée dans la loi sans avis préalable du Conseil d’Etat, et finalement adoptée le 12 mai au soir. Soit un délai record pour une disposition fondamentale dans la pratique de nos libertés. C’est précisément ce qu’on appelle un flash totalitaire, un passage en force en dehors de nos libertés. 

La justification sanitaire ne tient pas

Officiellement, il s’agit de protéger notre santé. C’est le propre de la novlangue totalitaire, on ne viole pas les libertés pour abuser du pouvoir, mais pour protéger ceux qu’on enferme ou qu’on exclut. Rhétorique bien connue. 

Sauf que, consulté en urgence, le Conseil Scientifique ne va guère apporter de l’eau au moulin du gouvernement. Voici ce qu’il écrit, dans un avis rendu le 3 mai sur la question du pass sanitaire :

Le Conseil scientifique estime que le pass sanitaire, utilisé de manière temporaire et
exceptionnelle, peut permettre à la population une forme de retour à la vie normale en
minimisant les risques de contamination par le virus SARS-CoV-2. Son usage peut s’inscrire
dans une démarche citoyenne de renforcement des capacités et du pouvoir d’agir des
individus (empowerment) face à l’épidémie tout en prenant en compte la protection de
l’usage des données personnelles.

On s’amusera de l’obsession de la novlangue à tous les étages du pouvoir. Ainsi, instaurer un pass sanitaire serait un « renforcement du pouvoir d’agir des individus »… Il fallait l’oser celle-là. 

Mais, même en versant dans la novlangue, le conseil scientifique montre ses réserves sur les mesures, puisqu’il prétend que le pass « peut permettre » une forme de retour à la vie normale, à condition qu’il soit « temporaire et exceptionnel ». On ne pouvait pas faire plus prudent, et mieux marquer sa défiance vis-à-vis d’une mesure imposée par un Président à qui l’on ne peut manifestement plus dire non explicitement. 

Problème : le pass sanitaire prévu par la loi, et présenté par Olivier Véran à la commission des lois, n’est ni temporaire, ni exceptionnel : il devrait être gravé dans le marbre, même une fois la pandémie vaincue. Nouveau signal totalitaire, donc : on consulte un « corps intermédiaire » en urgence, et on outrepasse son avis. 

Le passage en force au Parlement

Nous avons largement relaté dans nos colonnes les péripéties d’un texte désormais très polémique où Olivier Véran a ouvertement méprisé le Parlement, jusqu’à mettre le texte en minorité. Finalement adopté après un marchandage serré avec le MODEM, dont toutes les contreparties ne sont pas connues, là encore, le flash totalitaire a donné sa mesure. 

Le groupe LREM ne dispose en effet plus d’une majorité absolue, et le gouvernement a dû céder à un marchandage pour faire passer un texte minoritaire. Là encore, on voit comment les mécanismes démocratiques sont tordus dans tous les sens pour faire adopter cette mesure liberticide. 

Un avis de la CNIL qui nourrit la défiance

Nouvelle étape mercredi, lendemain de l’adoption du texte en première lecture par l’Assemblée Nationale : la CNIL se prononce en urgence. Et elle manifeste les mêmes réticences que le Conseil Scientifique vis-à-vis d’une aventure imposée au forceps. 

Là encore, le flash totalitaire fait son oeuvre. Cet avis essentiel, qui souligne les difficultés du pass sanitaire au regard de la démocratie et des libertés, est rendu le lendemain de l’adoption du texte par l’Assemblée… Et l’avis comporte des phrases comme celles-ci :

La CNIL met en avant, dans son avis, l’importance d’assurer l’inclusion de l’ensemble de la population dans le dispositif afin d’éviter tout risque de discrimination, en raison de l’état de santé mais également en raison de la capacité d’accès et d’usage des outils numériques telle que l’application TousAntiCovid.

Il y aurait donc un risque de discrimination ? Mais on se souvient que, le 29 avril, le Président avait affirmé le contraire sans mollir. Il aurait donc menti ?

Macron met en place le Great Reset en France

Pour quelle raison Emmanuel Macron se risque-t-il à un tel flash totalitaire à un an de sa possible réélection, sur un dossier aussi sensible ? Pour l’instant, peu de Français ont compris l’impact que cette mesure aura sur leur vie quotidienne cet été, ce qui explique le calme relatif de leur agacement. Mais l’obligation de montrer des données de santé à un vigile venu d’on ne sait où cet été dans les grands rassemblements risque de susciter pas mal de controverses. 

Pourquoi prendre autant de risques, à l’unisson de ce que fait (ou essaie de faire) la Commission Européenne sur ce sujet ?

Quand c’est flou, on le sait, c’est qu’il y a un loup… Et le loup, nous savons tous quel il est. Il est exposé dans le Great Reset de Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos. Les technostructures européennes sont bien décidées à utiliser la pandémie pour imposer des mesures durables de surveillance généralisée des populations, en violation de la démocratie, au nom de la protection sanitaire. C’est ce qu’on appelle le capitalisme de surveillance, qui passe par un traçage des populations au moyen des technologies nouvelles. 

Face à ce projet public, conscient et organisé, les mécanismes libéraux de protection comme la CNIL semblent bien faibles.  




Efficacité des vaccins : tout est une question de présentation !

[Source : francesoir.fr]

Par Marceau

Efficacité des vaccins : Pfizer annonce 95% et Moderna 94%…vraiment ?

Et si c’était plutôt : Pfizer 0.71% et Moderna 1.1%…vous feriez-vous vacciner ?

Quand Pfizer vous dit que son vaccin est efficace à 95%, qu’est-ce que cela signifie exactement ? 

Cette « efficacité » est la réduction du Risque Relatif de faire la forme grave de la maladie Covid-19.

Cette valeur est liée :

  • aux conditions de l’essai clinique
  • aux personnes sélectionnées pour cet essai 
  • ainsi qu’à la période durant laquelle l’essai a été effectué

Par exemple si les personnes sélectionnées avaient été plus âgées, avec plus de comorbidités ou si l’essai avait été effectué pendant une période de forte circulation du virus, comme en Inde aujourd’hui, l’efficacité relative de ce même vaccin aurait été beaucoup plus faible.

Ce qui est important pour les personnes auxquelles on propose un vaccin ou un traitement c’est la valeur de réduction du « Risque Absolu ».

Commençons par rappeler les définitions des risques relatifs et absolus :

Le Risque Relatif : c’est un nombre qui vous dit comment quelque chose que vous faites ou ne faites pas peut modifier votre risque de développer une maladie.

Par exemple : si vous ne fumez pas on va vous dire que vous avez 30% de chance en moins de faire une maladie cardiovasculaire qu’une personne qui fume. La réduction du risque relatif dans ce cas-là est de 30%. Il s’agit toujours de comparaisons entre deux groupes ; et savoir à quel groupe vous appartenez-vous permet d’évaluer la probabilité que vous avez de développer ou non ladite maladie.

Vous avez compris, ce nombre est relatif et ne s’applique pas à votre cas personnel mais au groupe auquel vous appartenez. Cette information sur la réduction du risque relatif est utile pour les chercheurs car elle leur permet de combiner les résultats de différents essais cliniques pour faire des méta-analyses. En aucun cas cette information ne permet de vous donner le bénéfice que vous pourriez attendre d’un traitement car elle ne tient pas compte de votre risque de base de développer la maladie sans traitement.

Ce qui importe pour chacun d’entre nous c’est de savoir ce que le traitement ou vaccin peut nous apporter à titre personnel. Pour cela il faut donc connaître la valeur de « Réduction du Risque Absolu ».

Le Risque Absolu : c’est votre propre probabilité initiale de développer une maladie comme un cancer, une maladie cardiovasculaire…ou le Covid-19 si vous êtes infectés par le Sars-Cov-2.  Il faut donc connaître son risque personnel (en %) de développer ladite maladie sans traitement et d’y soustraire la valeur de « réduction du risque absolu » (en %) provenant des essais cliniques.

  • C’est cette valeur que nous avons besoin de connaître pour pouvoir prendre une décision éclairée sur les bénéfices d’un traitement par rapport aux risques d’effets secondaires encourus à titre personnel.

Mais cette valeur de « réduction du risque absolu » est toujours beaucoup plus faible que la valeur de « réduction du risque relatif » et n’est donc pas assez sexy pour vendre de nouveaux produits faits à la va vite. C’est pour cette raison que les labos préfèrent utiliser la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas la valeur de Réduction du Risque Absolu.

Un exemple simple d’essai clinique pour illustrer (Ref.1) :

(Ref.1) https://www.mdpi.com/1648-9144/57/3/199

Vous comprendrez donc aisément pourquoi les labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas Absolu !

Cette donnée de réduction du risque relatif est utilisée pour le marketing et la propagande car elle exagère le bénéfice réel attendu. En revanche, ces mêmes labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Absolu pour minimiser l’importance des effets secondaires !

Pour les personnes qui doivent décider de prendre ou non un traitement ou un vaccin, les médecins doivent leur donner la valeur de Réduction du Risque Absolu afin qu’ils puissent évaluer le bénéfice REEL qu’ils peuvent en espérer.  C’est la base du consentement éclairé !

Effectuons à présent l’exercice avec les vaccins de Pfizer et Moderna en utilisant les données des essais cliniques. Pour cela il nous faut quelques formules mathématiques (Ref.2):

(Ref.2) https://bestpractice.bmj.com/info/toolkit/learn-ebm/how-to-calculate-risk/

Vaccin Pfizer (Ref.3) :

(Ref.3)  https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577

Donc si vous êtes jeune avec un risque proche de 0% de faire une forme grave de la maladie Covid-19, prendriez-vous le vaccin pour une réduction de ce risque de 0.71% avec tous les effets secondaires graves voire mortels ? Même avec un risque de faire une forme grave de 30% qu’est-ce que ces 0.71% vont-ils bien pouvoir changer pour vous ? Posons-nous la question !

Un autre paramètre est aussi très important : c’est ce qu’on appelle le NNT qui est le nombre de personnes qui doivent être vaccinées, pour qu’une seule personne puisse avoir un bénéfice du vaccin.

Dans le cas du vaccin de Pfizer : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.0071 = 141.

Cela veut dire que sur les 141 personnes vaccinées avec Pfizer, 140 personnes vont prendre le risque des effets secondaires sans en tirer aucun bénéfice !

Prendrez-vous ce risque ?

Surprise du chef : les données israéliennes confirment bien la réduction du risque relatif RRR de 94% mais pour ce qui est de la réduction du risque absolu dans la « vraie vie (masqués et distanciés) » ils tombent à ARR = 0.46%, donc pire que les 0.71% !!! Dans ce cas il faudra vacciner NNT = 1 / 0.0046 = 217 personnes pour qu’1 seule ait le bénéfice du vaccin soit 1.5 fois plus que les données de l’essai clinique. Mais les « experts » se sont bien gardés de s’étendre sur ce paramètre.
 

Au tour du vaccin Moderna (Ref.4) :

(Ref.4) https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmoa2035389

Dans le cas du vaccin de Moderna : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.011 = 91.

Il faudra donc vacciner 91 personnes pour qu’une seule en tire les bénéfices. Les 90 autres auront pris le risque des effets secondaires, voire de mourir sans aucun bénéfice !

Voilà donc les données complètes pour les vaccins Pfizer et Moderna qui sont sensés sauver le monde !

Dans la règlementation de mise sur le marché de la FDA (Ref.5), il est notifié que les labos doivent mettre toutes ces données à disposition du public afin que tout un chacun puisse évaluer les risques et les avantages basés sur des preuves et d’éclairer le consentement.

“ Fournir les risques absolus, pas uniquement les risques relatifs. Les patients sont indûment influencés lorsque les informations sur les risques sont présentées en utilisant une approche d’évaluation du risque relatif ; cela peut entraîner des décisions sous-optimales. Ainsi un format de risque absolu doit être utilisé »

(Ref.5) : P60. https://www.fda.gov/media/81597/download + https://www.fda.gov/about-fda/reports/communicating-risks-and-benefits-evidence-based-users-guide

2.          Provide absolute risks, not just relative risks. Patients are unduly influenced when risk information is presented using a relative risk approach; this can result in suboptimal decisions. Thus, an absolute risk format should be used.

Etrangement ni la FDA, ni l’EMA ne l’ont exigé pour ces vaccins… et au contraire elles n’insistent que sur le bénéfice basé sur l’évaluation de la Réduction du Risque RELATIF ! Omettre de donner toutes les infos au public pour permettre le consentement éclairé est non seulement malhonnête mais dangereux.

Un exemple de publicité « présentant », sans le dire, les données de réduction du risque relatif et absolu sur l’affiche (Ref.6) : il s’agit du blockbuster de Pfizer Atorvastatine « Lipitor – US ou Tahor – FR » qui est une statine permettant d’abaisser les taux de cholestérol et de triglycérides circulant dans le sang. 

L’affiche présente en gros la réduction du risque de faire une crise cardiaque en prenant ce médicament :  – 36%. Mais il s’agit de la Réduction du Risque Relatif et non pas du Risque Absolu. Pour trouver la Réduction du Risque Absolu, il faut suivre l’astérisque :

Ce médicament a permis à Pfizer d’engranger des bénéfices records pendant plus d’une décennie : US$ 130 milliards !

(Ref.6) : https://www.healthnewsreview.org/toolkit/tips-for-understanding-studies/number-needed-to-treat/

Comment est-ce possible que nos autorités sanitaires, nos ministres et autres médecins de plateau peuvent nous raconter que ces vaccins série spéciale Covid-19 fonctionnent, que leur bénéfice est supérieur au risque, qu’ils vont nous sortir de la crise avec de telles données ?

Comment peuvent-ils envisager de faire vacciner les personnes non à risque ou encore les enfants alors que ces vaccins ne leur seront non seulement d’aucun bénéfice mais que les effets secondaires, parfois mortels, sont eux bien réels et s’accumulent jour après jour… et bien sûr sans connaître les effets secondaires à long terme !

Pourtant certains rétorqueront que la vaccination fonctionne en citant les exemples en Israël et en Angleterre, pays dans lesquels il n’y a quasiment plus de morts.

Alors regardons les courbes de mortalité de ces deux pays (Ref.7, 8). Israël et l’Angleterre ont commencé par les plus âgés et plus fragiles : vous pouvez voir une explosion de la mortalité concomitante avec le début de la vaccination, phénomène qui est également observé dans tous les pays qui vaccinent en masse. C’est ce que certains épidémiologistes appellent l’effet « moisson ». Le début de la campagne de vaccination a précipité la mort des plus fragiles.

(Ref.7) : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/uk/

(Ref.8) : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/israel/

Après cela, il est normal que les courbes de la mortalité baissent comme nous le voyons. Rien de miraculeux !

Les cas d’infection de personnes doublement vaccinées se multiplient partout dans le monde, les personnes vaccinées dans les EHPADs continuent à mourir et personne ne veut regarder la vérité en face. Mais qui sont donc les 300-400 morts que nous avons encore tous les jours en France si les personnes vulnérables sont quasi toutes vaccinées ? Quelle différence avec avant la vaccination ? Pourquoi personne ne pose les bonnes questions mais au contraire, on s’obstine dans cette fuite en avant morbide.

Il y aura donc bien une quatrième vague à l’automne qui emportera les personnes vulnérables, vaccinées ou non, et au lieu de reconnaître l’inutilité et la toxicité de ces thérapies géniques, le narratif est déjà bien rôdé : on prépare les esprits aux nouveaux variants, aux vaccins qui ne seront pas efficaces et au booster dans 6 mois ! Puis il y aura l’abonnement annuel chez Pfizer. Et le plus cynique c’est que c’est le PDG de Pfizer lui-même qui annonce la suite (Ref.9) !

(Ref.9) : https://www.latribune.fr/economie/international/une-troisieme-dose-du-vaccin-pfizer-probablement-necessaire-selon-son-pdg-882539.html

Comment en est-on arrivé là ? Difficile de rationaliser cette folie furieuse qui va laisser des gens malades, infirmes ou morts alors que cette maladie ne leur aurait rien fait. Mais quelle société peut accepter et encourager cela ??? Quelle société qui a déjà fait tant de mal à ses plus jeunes envisage aujourd’hui de les mettre encore plus en danger avec des thérapies géniques dont on ne sait rien sur les effets secondaires à long terme ?

Et pour arriver à leurs fins, les dirigeants européens avancent avec le passeport sanitaire et le passeport vaccinal. Ils maintiennent la population dans la trouille pour l’empêcher de réfléchir.

Nous serons nombreux à nous en souvenir….et ils rendront des comptes !

Auteur(s): Marceau, pour FranceSoir




Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne devons pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons cesser immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

Dr. Janci Lindsay, Ph.D.

Pourquoi quelqu’un se laisserait-il injecter une substance dont les effets indésirables à long terme sont totalement inconnus ?

C’est extrêmement dangereux. Et pourtant, des millions de personnes dans le monde ont déjà été inoculées avec une concoction hybride qui n’a pas été approuvée par la FDA, qui n’a pas respecté les mêmes normes rigoureuses de sécurité que les vaccins précédents, et qui est largement plus mortelle que n’importe quel vaccin des temps modernes.

Pourquoi ? Pourquoi tant de personnes se soumettent-elles à cette expérience ?

C’est un mystère, n’est-ce pas ?

La génération actuelle de vaccins Covid-19 n’a pas été testée de manière adéquate, n’a pas terminé les essais de phase 3 et n’est pas sûre. Et nous ne parlons pas ici des effets à « court terme » non plus. Aussi tragiques que soient les récents décès et blessures, ils ne sont rien en comparaison de la montagne de carnage à laquelle nous pourrions assister dans un avenir proche, lorsque les victimes du vaccin découvriront que leur système immunitaire compromis n’est plus capable de combattre de nouvelles infections ou des souches sauvages du virus. Ce même phénomène est apparu il y a des années lors d’essais sur des animaux où l’on a injecté à des furets un sérum expérimental qui les aidait à développer une « réponse anticorps durable » à l’infection. Malheureusement, lorsque les furets ont été exposés au virus sauvage un peu plus tard, ils sont tous morts. Chacun d’entre eux est mort.

Est-ce là notre avenir ? Est-ce à cela que nous devons nous attendre dans quelques années, lorsque les infections respiratoires de routine et la grippe saisonnière balayeront le pays, laissant des millions de personnes gravement malades ou mortes ?

Certes, les vaccins semblent procurer une certaine immunité temporaire, mais à quel prix ? Avez-vous parcouru les rapports sur les effets indésirables ou réfléchi à la possibilité que ces injections puissent causer des ravages à long terme sur votre système vasculaire, votre cœur ou vos capacités cognitives ? Les détracteurs des vaccins mettent généralement l’accent sur la longue liste des blessures et des décès liés aux vaccins, mais c’est une erreur. Ce ne sont pas les décès et les blessures qui ont déjà eu lieu, mais l’océan de morbidité auquel nous pourrions être confrontés à l’avenir, lorsque les maladies à incubation plus longue commenceront à émerger, submergeant le système de santé publique à bout de souffle et laissant de nombreuses personnes se débrouiller seules.

Un tel scénario est-il seulement possible ?

Oui, c’est possible, peut-être même probable.

Avez-vous la moindre idée de ce que font ces vaccins une fois qu’ils sont dans votre corps ? Réalisez-vous que la substance entre dans votre circulation sanguine et se propage partout, y compris dans votre cerveau ? Réalisez-vous les dangers que cela représente pour votre santé globale et votre survie ? Le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., a produit un certain nombre de vidéos qui expliquent la biologie de base de l’inoculation en relation avec ces nouvelles injections à base de gènes. Toute personne qui envisage de se faire vacciner devrait tenir compte de ce qu’il a à dire :

« Le vaccin entre dans votre système sanguin… Vous mettez un gène viral dans votre système sanguin et il va circuler… Or, votre système sanguin est un système fermé de tuyaux. Une fois que ces paquets sont dans la circulation sanguine, ces millions de paquets du gène, ne sortiront jamais, car ils sont piégés. Et les principales cellules dans lesquelles ils entreront, seront celles qui tapissent les vaisseaux sanguins… Ces cellules tapissent les vaisseaux sanguins de tout votre corps et de tous vos organes …

Ces cellules assimilent le gène et commencent à produire la protéine spike (qui va étendre sa pointe dans la circulation sanguine – illustration) En même temps, la protéine crée des déchets… Donc il y a maintenant la protéine spike et il y a des déchets. … La protéine spike a la capacité d’attirer les plaquettes qui créent la coagulation du sang. Dès que les plaquettes entrent en contact avec la protéine spike, elles sont activées et commencent à coaguler le sang …

Malheureusement, il existe un autre type de cellules qui viennent voir les ordures. Ces cellules sont les lymphocytes tueurs, et ces lymphocytes tueurs sont programmés pour voir les déchets des virus et tuer les cellules qui créent le virus et qui tapissent les parois de vos vaisseaux sanguins. Cela peut se produire n’importe où (dans le corps.) …

Nous allons découvrir lesquelles de vos cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins vont prendre ces paquets et les produire (protéines spike et déchets) afin qu’elles soient attaquées par votre propre système immunitaire et détruites …
.
(Alors) Quel est le premier symptôme que les gens présentent après la vaccination ? Des maux de tête, n’est-ce pas ? Maux de tête, nausées, vertiges, douleurs musculaires, perte de contrôle moteur etc… Je me suis demandé quel était le dénominateur commun entre tous ces symptômes ? …

Nous avions prédit qu’il y aurait des événements thrombotiques très graves… en particulier le mal de tête intense qui est le signe typique que le sang coagule dans les veines du cerveau. …Toute formation de caillot dans le cerveau est potentiellement mortelle. Et, si vous avez des caillots dans les jambes, ils deviennent des embolies pulmonaires qui peuvent également vous tuer …

Et lorsque ces facteurs de coagulation (plaquettes) sont épuisés, les gens peuvent saigner. Pourquoi les gens ne pensent-ils pas à cela ? »

« Interview avec le professeur Sucharit Bhakdi, M.D. sur le vaccin Covid », New American : Commencez à la minute 18.

Résumons : Le vaccin est inséré dans un muscle du bras, mais le liquide passe rapidement dans la circulation sanguine où il est piégé. Une fois dans la circulation sanguine, il est pris en charge (absorbé) par la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins (endothéliales). Les cellules qui ont été pénétrées par la substance commencent à produire de la protéine spike et des déchets. La protéine spike active les plaquettes, ce qui déclenche la formation de caillots sanguins qui peuvent bloquer la circulation du sang vers les organes vitaux. En même temps, la surutilisation des plaquettes – qui aident à coaguler le sang – peut entraîner des hémorragies internes excessives. Ces conditions apparemment contradictoires – la coagulation et les saignements – ont attiré l’attention de plus en plus de chercheurs, comme le Dr Mike Williams, qui s’exprimait ainsi dans un article récent intitulé : « La coagulation et la “science” du vaccin Covid ». En voici un extrait :

« En fait, nous sommes confrontés à deux problèmes opposés : la thrombose, qui forme un caillot pouvant bloquer un vaisseau apportant du sang à un organe, et la thrombocytopénie, qui réduit le nombre de plaquettes nécessaires à la formation d’un caillot et provoque un saignement, c’est-à-dire une hémorragie. L’un ou l’autre de ces problèmes peut être très difficile à gérer et extrêmement dangereux, voire mortel pour le patient – mais avoir les deux en même temps ! …

La thrombose et la thrombocytopénie combinées liées à la vaccination Covid sont considérées comme quelque chose de nouveau et de très rare, et si la coagulation se produit dans un organe vital… eh bien, nous en voyons les résultats : des jeunes qui ne devraient pas mourir, meurent »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », UK Column

En effet, « des jeunes gens ne devraient pas mourir », mais ils meurent parce qu’on leur a injecté une substance qui les a probablement tués. Quelqu’un réfute-t-il cette affirmation ? Et les problèmes d’hémorragie et de coagulation ne sont que deux des problèmes liés à ces injections. Il y a aussi les « déchets » dont parle Bhakdi. Ces déchets attirent les lymphocytes tueurs, des globules blancs qui sont aussi l’un des principaux types de cellules immunitaires de l’organisme. Ces lymphocytes attaquent les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins, ce qui endommage le système vasculaire et les organes vitaux. Par définition, c’est le signe d’une maladie auto-immune dans laquelle un système immunitaire hyper-stimulé et hyper-agressif attaque votre propre corps. Voici d’autres extraits de l’article du Dr Williams :

« Si nous devions nous fier aux nouvelles grand public et aux rapports gouvernementaux, nous pourrions être amenés à croire que les problèmes de coagulation avec les vaccins Covid étaient tout à fait inattendus et rares. Pourtant, les premières mises en garde contre le trouble de la coagulation d’Astrazeneca ont été lancées… Bien plus d’une décennie auparavant, pour être précis… En 2007, un document de recherche l’a exposé très clairement :

Des cas de thrombocytopénie ont été régulièrement signalés après l’administration de vecteurs adénoviraux de transfert de gènes… On savait en 2007 que le même vecteur utilisé pour de nombreux vaccins Covid provoquait systématiquement des cas de thrombocytopénie. En septembre 2020, un autre article a été publié « SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19 » (Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose dans le COVID-19), qui soulignait un problème avec le SARS-CoV-2(([1] En d’autres termes, les compagnies pharmaceutiques sont au courant des problèmes de coagulation et de saignement depuis 2007)):

“Le SRAS-CoV-2 et sa protéine Spike ont directement stimulé les plaquettes pour faciliter la libération de facteurs de coagulation, la sécrétion de facteurs inflammatoires et la formation d’agrégats leucocytes-plaquettes” …

Cet article identifie une protéine spike comme facteur causal de la coagulation. Et, bien sûr, c’est une protéine spike qui est produite par la plupart des vaccins Covid. Les régulateurs auraient dû tirer la sonnette d’alarme, mais rien n’a été fait… Ils ont brillamment démontré que dans les petits vaisseaux sanguins, la protéine spike, à elle seule, peut induire la coagulation en se fixant dans divers tissus …

L’élément clé de cet article concernant les vaccins Covid est que la protéine spike, dépourvue d’ARN viral, se déplace jusqu’au cerveau et provoque la coagulation. Encore une fois, au cas où vous auriez besoin de le rappeler : les vaccins Covid produisent cette protéine spike …

Un autre article de Nuovo et al, intitulé « Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 » (L’endommagement des cellules endothéliales est la partie centrale du COVID-19) …

En d’autres termes, il existe des preuves accablantes que la protéine spike du SRAS-CoV-2 (qui est également produite synthétiquement par les vaccins Covid) est un élément central des mécanismes de morbidité et de mortalité du SRAS-CoV-2, et constitue donc également un risque du vaccin. En ce qui concerne la coagulation, ce risque est plus important si vous recevez un vaccin …

Les données démontrent clairement que la dernière chose à faire est de fabriquer un vaccin qui produit une protéine spike. Comme la littérature l’a clairement montré, cela causerait des dommages importants, notamment des caillots cérébraux et la mort. Et cette littérature, pour la plupart, était disponible avant la diffusion des vaccins Covid au public »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », Dr Mike Williams, UK Column

Vous voyez le tableau ?

En d’autres termes, les chercheurs savent depuis longtemps que ces types de protéines produisent des problèmes de coagulation, de saignement et d’auto-immunité, qui sont précisément les problèmes que nous observons actuellement. C’est pourquoi nous pensons que notre principal sujet de préoccupation ne devrait pas être les effets indésirables et les blessures à court terme, mais le profil de sécurité à long terme. En bref, quelle est la probabilité que les millions de personnes qui ont reçu ces injections soient gravement atteintes par ces pathologies à l’avenir ? Nous devons le savoir.

Maintenant, regardez cet extrait d’une lettre ouverte de Doctors for Covid Ethics à l’Agence européenne des Médicaments (EMA) datée du 1er avril 2021 :

« Nos préoccupations découlent de multiples sources de preuves, notamment le fait que la « protéine spike » du SRAS-CoV-2 n’est pas une protéine d’arrimage passive, mais que sa production est susceptible d’initier la coagulation sanguine par de multiples mécanismes… la thrombose veineuse cérébrale, est toujours une condition qui met la vie en danger et qui exige une attention médicale immédiate. Le nombre de cas que vous avez concédé s’être produits peut ne représenter que la partie émergée d’un énorme iceberg. Comme vous devez le savoir, les symptômes les plus courants de la thrombose veineuse cérébrale sont des maux de tête aigus, une vision floue, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, des symptômes semblables à ceux d’un accident vasculaire cérébral apparaissent, notamment des troubles de la parole, de la vision et de l’audition, un engourdissement du corps, une faiblesse, une baisse de la vigilance et une perte de contrôle moteur. Vous n’êtes certainement pas sans savoir que d’innombrables personnes ont souffert précisément de ces symptômes directement après avoir été « vaccinées » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes » …

La formation de caillots dans les veines profondes des jambes peut entraîner des embolies pulmonaires mortelles. Vous devez certainement savoir que des thromboses veineuses périphériques ont été signalées à plusieurs reprises après des « vaccinations » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes …

Étant donné qu’il existe une explication mécaniquement plausible pour ces effets indésirables thromboemboliques, à savoir que les produits à base de gènes incitent les cellules humaines à fabriquer une protéine spike potentiellement pro-thrombotique, l’hypothèse raisonnée et responsable doit maintenant être que cela peut être un effet de classe. En d’autres termes, les dangers doivent être écartés pour tous les vaccins à base de gènes autorisés en urgence, et pas seulement pour le produit AZ »

« Open Letter to the EMA from Doctors for Covid Ethics », Doctors for Covid Ethics

En résumé : La coagulation du sang, les embolies pulmonaires, la destruction des plaquettes, la diathèse hémorragique et les saignements sont tous liés à la production de protéines spike, le même type de protéines que les vaccins entraînent vos cellules à produire. Naturellement, l’action responsable à ce stade serait de mettre fin immédiatement à la campagne de vaccination de masse jusqu’à ce que ces questions puissent être résolues et que la sécurité des patients puisse être garantie. Mais ne retenez pas votre souffle, car cela ne se produira pas.

La Dr Janci Chunn Lindsay, biologiste moléculaire et toxicologue, est arrivée à la même conclusion dans un commentaire public qu’elle a adressé au CDC. Voici un extrait de sa déclaration :

« Au milieu des années 1990, j’ai contribué au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer une destruction ovarienne auto-immune involontaire et la stérilité chez les modèles d’expérimentation animale. Malgré les efforts déployés pour éviter cela et les analyses de séquences qui ne le prévoyaient pas. Je suis fermement convaincu que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts …

Premièrement, il y a une raison crédible de croire que les vaccins Covid auront une réaction croisée avec la syncytine et les protéines reproductrices dans le sperme, les ovules et le placenta, ce qui entraînera une altération de la fertilité et des résultats reproductifs et gestationnels …

Nous avons vu 100 pertes de grossesse signalées dans le VAERS en date du 9 avril. Et il y a eu des rapports sur l’altération de la spermatogenèse et des résultats placentaires à la fois dans les modèles animaux d’infection naturelle, de vaccination et de knock-out de la syncytine qui présentent une pathologie placentaire similaire, impliquant un rôle de médiation de la syncytine dans ces résultats… De plus, nous avons entendu parler de multiples rapports d’irrégularités des règles chez les personnes vaccinées. Ces cas doivent être étudiés …

Nous ne pouvons tout simplement pas administrer ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent un risque de 0,002% de mortalité due au Covid, s’ils sont infectés, ou à toute autre personne en âge de procréer, sans mener une enquête approfondie sur cette question …

Si nous le faisons, nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation selon laquelle cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population …

Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [les vaccins Covid] provoquent des coagulopathies (coagulation). Ce n’est pas isolé à un fabricant. Et ce n’est pas isolé à un groupe d’âge. Nous constatons des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé, sans comorbidité secondaire …

Il y a des principes mécanistes d’avant et d’arrière garde pour expliquer pourquoi cela se produit. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine spike. Tous les vaccins de thérapie génique incitent l’organisme à fabriquer la protéine spike …

La protéine spike incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. La protéine spike provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir qu’ils puissent être reformulés pour se prémunir contre cet effet indésirable …

Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne pouvons tout simplement pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

« Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC », jennifermargulis.ne

C’est un bon conseil, mais est-ce que quelqu’un l’écoute ?

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International




Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Précédemment, sur cv19.fr, étaient publiés les articles de Stefan Lanka traitant du coronavirus, critiquant les fondements scientifiques de ce qui nous a amenés à la crise que nous vivons actuellement.

Il était décrit en détail les procédés et méthodes utilisés par les virologues pour définir et caractériser un virus, l’histoire de cette science et la manière de la réfuter.

Stefan Lanka a commencé ces expériences et a déjà montré un aperçu de la première étape le 21 avril 2021 dans une conférence vidéo.

Ces expériences témoins consistent à appliquer les méthodes utilisées par les virologues sans utiliser de tissus infectieux, pour démontrer que les résultats obtenus avec ou sans tissus infectieux donnent les mêmes résultats pour l’isolation du virus, les images en microscopie électronique et le séquençage génétique.



Il dévoile dans cette vidéo la première étape des expériences témoins destinées à réfuter la virologie concernant l’isolation du virus, démontrant que sans tissus infectieux, on observe une mort cellulaire due aux procédés utilisés et non par le fait d’un virus.

Ce n’est pas une surprise, car il avait déjà conduit ces expériences pour le virus de la rougeole au cours d’un procès en Allemagne, démontrant qu’il n’existait pas de preuves de l’existence d’un virus responsable de la rougeole, ce qui avait suffi à l’époque pour gagner l’affaire. Dans cette nouvelle expérience, Lanka va plus loin en ajoutant deux étapes, en utilisant le microscope électronique pour démontrer que les particules observées ne sont pas différentes entre un tissu infectieux et non-infectieux et en faisant un séquençage génétique des tissus pour démontrer qu’il est possible d’établir un génome complet de n’importe quel virus grâce aux logiciels et aux méthodes utilisées par les virologues pour construire un génome.

Stefan Lanka avait lancé un appel il y a quelques mois pour financer lui-même une telle expérience, il semble donc qu’une équipe à répondu à son appel, et que les résultats complets de ces expériences témoins seront bientôt publiés.

En attendant, vous pouvez relire ses quatre articles de 2020 (12 et 4 en français), ainsi que l’affaire du procès de la rougeole.

Tous les articles de ce site sur le même thème sont disponibles ici : 
https://cv19.fr/category/theorie/


Vidéo trouvée via 
https://docs.google.com/document/d/17kQC8RKZrFLKwnPhcn1Y81_twJT-XCasclcsnBMJbOw/edit [archive]
qui contient une bonne liste de ressources (en anglais) sur le même sujet.

Également un gros dossier en trois partie sur le même sujet, bien documenté, beaucoup de vidéos (en anglais) :
https://justpaste.it/383×9 [archive] : (Pt 1) Dr. Andrew Kaufman: No Proof SARS-CoV-2 Virus Exists
https://justpaste.it/1ngmb [archive] : (Pt 2) Dr. Andrew Kaufman Proves Fake Virus – Fake PCR Test Panics the World
https://justpaste.it/2cxzd [archive] : (Pt 3) No Proof SARS-Cov-2 Exists – Dr. Tom Cowan/Jon Rappaport

Voir aussi : The end of virology is only a single control experiment away – October 01, 2020 [archive]

Ce qu’ils appellent « virus » ne sont que des fragments d’anciennes cellules
dont il n’a jamais été prouvé qu’elles pouvaient causer quoi que ce soit

[Voir aussi :
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Point sur la vaccination en France et probabilité d’évolution

Par Alain Tortosa

Si des enfants vaccinés ne meurent pas, il est à craindre que nous atteignions probablement plus de 70 % de la population française vaccinée avant la fin 2021.

Les plus de 80 ans

(source geodes.santepubliquefrance.fr)

La couverture vaccinale est de 73 % et nous voyons sur la courbe qu’elle montera au plus à 80 %.

Les 75-79 ans

82,6 %, chiffre délirant, et ce n’est pas totalement terminé. On finira probablement à 85 %.

Les 70-74 ans

78,2 % actuellement, et on atteindra aussi probablement les 85 % à terme sauf événements majeurs.

Les 65-69 ans

Ils en sont à 63,5 % de vaccinés. Cette tranche commence à montrer un très léger ralentissement.

En toute logique il est vraisemblable d’atteindre les 80 %, voir les 90 % de vaccinés à terme.

Les 60-64 ans

Ils en sont à 57,2 %, la courbe est très proche des 65-69 ans et atteindra aussi probablement les 80 %.

Les 55-59 ans

Nous sommes là dans une tranche d’âges qui est très très peu concernée par la maladie et pourtant…

Ils ne sont « qu’à » 36 % de vaccinés, mais la courbe semble prendre une tournure exponentielle. Il demeure difficile de faire du prévisionnel, mais étant donné la progression, il est impossible qu’elle s’oriente immédiatement vers une tendance logarithmique. Une vaccination à 80 % à terme de cette tranche d’âges n’aurait strictement rien de délirant.

Les 40-49 ans

Nous sommes en plein dans une tranche où les personnes en bonne santé ne sont pas concernées.

16 % des 40-49 ans sont déjà vaccinés, ce qui est peu, mais aussi énorme, car officiellement cette tranche d’âges n’est pas, jusqu’à présent, dans les publics ciblés. 463 847 personnels de santés de 40-49 ans sont vaccinés sur un total de 1,4 million de vaccinés dans la tranche d’âges, ils représentent un peu moins d’un tiers des vaccinés de 40 à 49 ans. La couverture vaccinale des personnels de santé tous âges est de 90 % et devrait atteindre 95 %. Mais il est très difficile de prédire la couverture vaccinale des 40-49 ans à ce jour. Il est juste possible de dire qu’elle semble être exponentielle, qu’elle n’a pas fléchi, alors même que la vaccination des personnels de santé est quasi terminée et donc la demande reste forte.

Les autres tranches d’âges

Plus on descend en âge et moins il y a de vaccinés ce qui peut sembler logique. Difficile aussi d’avoir un jugement sur l’évolution à long terme de la couverture vaccinale étant donné que l’échelle actuelle est graduée par 0,5 % pour les 18-24 ans et 1 % pour les moins de 40 ans. De fait l’exponentielle visible est trompeuse.

Que conclure avec le peu d’éléments à notre disposition ?

La vaccination pour les plus de 70 ans est un succès colossal totalement inattendu pour ma part. Le chantage, la volonté d’appartenance sociale, les mensonges et la peur du virus ont marqué.

Pour les 60-65 ans c’est plus nuancé, car on voit déjà un léger fléchissement pour autant il n’a débuté qu’à 55 % de couverture vaccinale alors même que le fléchissement a débuté à 61 % pour les plus de 70 ans soit seulement 6 % de moins et donc à un niveau très élevé. Je vous rappelle que les 60-65 ans en bonne santé ne sont pas un public particulièrement à risque et d’autant moins si les traitements n’étaient pas interdits.

Alors les « jeunes » vont-ils se vacciner en masse par « solidarité » et pour « retrouver leurs libertés » selon les injonctions de la propagande ?

C’est très possible, voire même fort possible…

Même si la population générale n’est pas la même que celle des soignants et ne subit pas les mêmes chantages, on peut voir que ceux-ci (les jeunes soignants) se sont massivement vaccinés. Ils devraient quand même savoir que leur risque de faire des formes graves ou de décéder est NUL ! Et ils devraient savoir qu’il n’existe pas de preuve que les vaccinés empêchent la contamination des personnes à risque. Ils devraient aussi savoir que la vaccination favorise les variants… Bref, ils devraient, si nous ne vivions pas une des périodes les plus obscurantistes de notre histoire, digne de l’inquisition, être la catégorie de la société la moins vaccinée ! Or à ce jour 90 % des soignants sont officiellement vaccinés ! Si ce chiffre est réel, il devrait être de nature à nous paniquer.

Dans ces conditions, pourquoi une jeunesse théoriquement moins informée que les soignants se vaccinerait moins qu’eux ? Et histoire de vous angoisser un peu plus, je vous rappelle qu’en temps normal, les soignants se vaccinent moins contre la grippe que la population générale !

Nous pouvons aussi nous baser sur le comportement de la jeunesse en ce qui concerne les autres mesures. On peut aussi constater qu’elle porte le masque comme un petit soldat même dans des zones où il n’est pas obligatoire. Il n’y qu’à voir les sorties des lycées ou des collèges… Dramatique ! Ils sont aussi massivement absents de la contestation et des manifestations et l’on n’entend pas ou peu de revendications de libertés chez eux. Ils semblent plus préoccupés par l’âge de départ à la retraite que par leurs libertés.

Si nous étions un peu optimistes, nous pourrions dire que de nombreux centres de vaccinations sont vides, mais hélas ce sont généralement des centres AstraZeneca. La manipulation et la désinformation sont telles que le public en est à fuir l’AstraZeneca et réclamer la thérapie génique expérimentale Pfizer « beaucoup plus sûre » à leurs yeux !

Et je vous rappelle que la vaccination des plus de 50 ans n’est ouverte que depuis 3 jours ! Au 10 mai, jour d’ouverture de la vaccination, ils étaient déjà 35 % à être vaccinés chez les 50-59 ans. Nous allons donc probablement assister à une explosion de la vaccination dans cette tranche d’âges s’ils ont accès à Pfizer BioNTech.

Je vais encore passer pour un éternel pessimiste et un oiseau de mauvais augure, mais à la vue des paramètres indiqués il est à parier qu’au moins 70 % des moins de 50 ans vont se faire vacciner et peut-être même plus.

Le public croit au méchant virus, il croit à l’efficacité et à l’innocuité des vaccins et ils sont nombreux à croire que le passeport vaccinal est un passeport pour la liberté…

Mon seul espoir, et une fois de plus je vais passer pour un monstre, est que la vérité sur les morts sorte enfin et que des enfants français en pleine santé décèdent ! Sans cette horreur, la vaccination des jeunes et le passeport vaccinal seront probablement couronnés de succès. Tabler sur une vaccination de la population française de plus de 70 % avant la fin de l’année 2021 n’a rien de délirant et il pourra y avoir alors une accélération massive du passeport vaccinal après les futures vagues qui sont probablement déjà programmées. Et comme les vaccins favorisent les variants, la poule aux œufs d’or n’est pas prête de disparaître.

Fasse que je me trompe et que je dise n’importe quoi, mais à ce jour les événements passés me donnent raison. Réveillons la population !

Merci.

Alain Tortosa.

13 mai 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210513-evolution-vaccination.pdf




Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




Les militaires français font-ils tache d’huile ? États-Unis : 124 généraux et amiraux à la retraite signent une lettre contre l’administration Biden

[Source : RT en français]

[Photo : © Eduardo Munoz
Source: Reuters
Militaire américain lors d’une cérémonie à New York en 2017]

États-Unis : 124 généraux et amiraux à la retraite signent une lettre contre l’administration Biden

Plus de 120 hauts gradés à la retraite américains qui remettent en doute l’élection de 2020 ont signé une lettre au vitriol contre l’administration Biden et les démocrates qu’ils jugent infiltrés par des «marxistes et des socialistes».

La crise migratoire, le processus électoral, la censure, la Chine, l’Iran, les émeutiers et la santé mentale du président Biden… tout y passe. 124 généraux et amiraux à la retraite ont apposé leur signature à une lettre ouverte rendue publique le 10 mai, lançant aux Américains un appel à défendre leur «survie en tant que République constitutionnelle», contre le «socialisme, le marxisme et le progressisme» qui se seraient selon eux infiltrés aux plus hauts sommets de l’État via le parti démocrate.

Ces officiers se sont réunis sous l’appellation Flag officer 4 america et sont pour beaucoup à la retraite depuis des années, voire des décennies, comme le note Politico. L’un d’entre eux, le général Donald Bolduc, a annoncé sa candidature aux élections sénatoriales de 2022 contre la sénatrice démocrate du New-Hampshire Maggie Hassan. 

«Sous le Congrès démocrate et l’administration actuelle, notre pays a pris un tournant à gauche brutal vers le socialisme et une forme marxiste de gouvernement tyrannique qui doit être contré maintenant», dénoncent-il, appelant la population à élire des parlementaires et des candidats à la présidence qui agiront toujours pour défendre la «République constitutionnelle». 

«Le conflit oppose les partisans du socialisme et du marxisme aux partisans des libertés constitutionnelles», lit-on encore. La cible des officiers : l’administration Biden arrivée au pouvoir après une élection survenues dans des conditions qu’ils critiquent. «L’intégrité électorale exige de s’assurer qu’il y a une voix légale exprimée et comptée par citoyen», disent-ils, reprenant les arguments d’une partie du camp Trump qui a contesté le résultat de l’élection américaine de 2020.

Les officiers demandent un contrôle plus minutieux des identités des votants, reprenant une autre demande de Donald Trump mainte fois formulée pendant la campagne. L’argument avait été balayé par ses adversaires qui avaient accusé ces revendications de pénaliser les votants issus des minorités. «Utiliser des termes raciaux pour supprimer les preuves d’éligibilités [à apporter pour voter] est en soi une tactique d’intimidation tyrannique», rétorquent les anciens militaires. 

Inquiétudes sur la santé physique et mentale de Joe Biden

Autre cible des généraux et amiraux, la dérive «dictatoriale» du nouveau gouvernement «avec plus de 50 décrets exécutifs rapidement signés» et des attaques jugées contraires aux libertés telles que les «confinements excessifs, les fermetures d’écoles et d’entreprises et, le plus alarmant, la censure de l’expression écrite et verbale». Les généraux appellent à voter pour des personnalités politiques qui défendront «tous les Américains en particulier la classe moyenne», opposée dans le texte aux «groupes d’intérêts ou extrémistes utilisés pour nous diviser en factions belligérantes». 

Le courrier liste ensuite plusieurs griefs sur les points clés des premiers mois de Joe Biden aux affaires, comme le rapport des Etats-Unis à l’Iran et à la Chine (qualifiée de «plus grande menace extérieure») ou encore l’oléoduc Keystone XL (entre les Etats-Unis et le Canada), accusé d’«éliminer [l’]indépendance énergétique [du pays]». 

Les militaires émettent aussi des doutes sur la santé physique et mentale du président, un point là encore maintes fois agité par Donald Trump pour discréditer Joe Biden. «[Joe Biden] doit être capable de prendre rapidement des décisions précises en matière de sécurité nationale impliquant la vie et l’intégrité physique n’importe où, de jour comme de nuit», notent-ils. Il veulent aussi mettre fin à l’«infusion corrosive du politiquement correct dans [l’]armée qui endommage la morale et la cohésion au combat». 

Interrogé par Politico, un des généraux à l’origine du texte, Joe Arbuckle, a justifié cette entrée tonitruante des militaires dans le débat public par la situation «désastreuse» dans laquelle se trouverait selon lui le pays. Pour cet officier, vétéran de la guerre du Vietnam à la retraite depuis l’an 2000, ces militaires agissent dans le cadre de leur serment de «soutenir et de défendre la Constitution des États-Unis contre tous les ennemis, étrangers et nationaux». «Nous sommes confrontés à des menaces plus grandes qu’à tout autre moment depuis la création de notre pays», a-t-il encore déclaré, attribuant cette situation, outre la question de la Chine, aux positions politiques et agissements de son «propre gouvernement». 

« Nous sommes confrontés à des menaces plus grandes qu’à tout autre moment depuis la création de notre pays »

Politico note la concordance de cette publication avec la polémiques soulevées en France par la tribune des généraux de fin avril, sans qu’il soit possible de savoir si les officiers américains se sont inspirés de cette initiative. Le courrier s’est en tout cas attiré les foudres de militaires, éditorialistes et commentateurs favorables au gouvernement en place qui les ont accusés de faire échos aux allégations jugées mensongères de fraudes électorales de Donald Trump, et d’avoir rompu leur devoir de réserve en s’ingérant dans les affaires politiques.

D’autres détracteurs des officiers ont fait valoir qu’aucun des généraux quatre étoiles (les plus hauts gradés) à la retraite n’avait signé le texte, ce qui tendrait à prouver que ces officiers sont marginaux au sein de l’armée. Comme en France, il a été aussi avancé que la plupart de ces officiers étaient à la retraite depuis de nombreuses années, ce qui tendrait à prouver qu’ils ne sont pas représentatifs de l’armée actuelle. 




Un putsch sans soldats

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

À l’heure où la « lettre des généraux » ébranle le Pouvoir qui s’imaginait s’appuyer sur la léthargie ou la niaiserie des militaires, il est bon de rappeler que le général Henri Roure écrivait une autre lettre, le 27 mai 2017, quelques jours à peine après le putsch sans soldat de Macron (publiée dans le magazine suisse Arrêt sur info).
Nous relayons volontiers cette lettre qui vient conforter celles qui circulent en ce moment au sein des Armées.

L’élection présidentielle, qui a amené M. Macron à la présidence, est le fruit vénéneux d’un déni de démocratie.

Il s’agit d’une spoliation, résultat d’un rejet masqué de l’idéal démocratique. La manipulation vient de loin. Elle est probablement la forme la plus élaborée du coup d’État car elle ne refuse pas le principe des élections sur lequel repose l’expression de la volonté populaire, mais, sciemment – j’allais écrire scientifiquement – elle pervertit, oriente, sculpte l’opinion publique. Elle repose sur l’énorme puissance d’un système qui a l’ambition de s’imposer au monde, à commencer par ce que nous appelons, aujourd’hui, improprement, l’Occident. Ses moyens sont, à l’évidence, considérables.

Nous sommes confrontés à un monstre que certains ont baptisé l’internationalisme financier, ou l’ultralibéralisme, mais qui, en tout état de cause, est intimement lié à la puissance étatsunienne. Il s’agit de l’avatar le plus ingénieux de l’impérialisme étatsunien relayé par son allié fidèle l’Union Européenne.

La vraie démocratie est trop dangereuse pour la finance internationale, car elle peut amener au Pouvoir des personnes véritablement choisies par le Peuple avec des idées aussi saugrenues que la défense des intérêts nationaux, la patrie, la protection sociale, la morale, l’éducation et la culture, le service public ou encore l’État de droit. Ce risque ne peut être accepté quand il s’agit de globaliser ou plus exactement d’américaniser et de subordonner les Peuples au puissant réseau politico-bancaire piloté par Washington. Il est donc nécessaire de tendre vers une pensée unique.

Difficile cependant de s’affranchir des élections… Dès lors il faut les truquer à l’aide de la désinformation aboutissant à la manipulation de l’opinion publique ; c’est tellement plus simple et moins risqué puisque le Système est propriétaire des médias et des instituts de sondage et peut s’appuyer sur quelques dirigeants, intellectuels ou bobos, bien placés et convaincus. Il ne faut pas s’étonner, ainsi, de l’assassinat politique de François Fillon, dont le programme trop judicieux et national pouvait éloigner la France de cette subordination. L’astuce fut de l’accuser de ce que l’immense majorité des parlementaires fait, en toute légalité, mais qui, pour lui, fut présenté, dans un acharnement médiatique sans limite, comme de la corruption. Aucun journaliste ne s’éleva pour regarder les faits avec objectivité. Et pour cause, tous dépendent du Système…

Aude Lancelin, ancienne rédactrice en chef adjointe de l’Obs le dit clairement : « L’ensemble des médias est sous la coupe du CAC 40 ».
En association avec eux quelques juges haineux trop liés à un Pouvoir désireux de se survivre à lui même et intimement impliqué dans le réseau.

La suite se présentait d’évidence. Face à un éclatement consommé des partis traditionnels, résultat de primaires inspirées de la vision étatsunienne de la sélection des candidats et inadaptées à la culture politique française, un inconnu, issu directement du milieu bancaire, et présentant l’image de la nouveauté, pu être propulsé dans le pseudo débat. Le Système, alors, n’a même pas cherché à se dissimuler sous les atours d’une apparente objectivité. Les médias aux ordres n’eurent qu’à relayer l’habituelle hystérie anti Front National en utilisant tous les vieux procédés passant de l’association d’images aux citations hors contexte et à l’insinuation. Il fallait faire « barrage » sans que quiconque sache vraiment pourquoi, ou, plus justement, de crainte que le constat devienne trop clair que ce parti avait récupéré les idées gaullistes, imprudemment abandonnées par la droite classique.

Le matraquage, cette fois, fit l’éloge du néophyte et, toute honte bue, ceux qui auraient dû rester neutres ou au moins discrets, affirmèrent péremptoirement qu’il fallait voter pour lui.

Libération Votez Macron 6-7 mai 2017

Nice Provence Info aime bien cette une de Libération qui en dit long avec quelques mots seulement

Preuve suprême de cet internationalisme bien loin d’être prolétarien, l’étatsunien Obama apporta bruyamment son soutien, Merkel de même et l’inénarrable Junker donna sa contribution. Des étrangers intervenaient dans une élection française ! Personne n’y vit un scandale…

Dans un panorama politique trafiqué et disloqué, le banquier fut élu

Il le fut avec les voix d’électeurs qui, par opposition, viscérale et entretenue, à l’autre candidat, celui de la négation absolue de ce Système, se sont piégés. Comment faire désormais pour se séparer de celui qu’ils ont, de fait, contribué fortement à porter à la magistrature suprême ?

Ajoutons que l’opération était tellement bien montée que le nouveau président a été élu alors que l’immense majorité du corps électoral lui était, sinon hostile, du moins opposée. Qui le dit ? Regardons les chiffres sous un angle particulier. La participation a été de 74,56% soit 25% d’abstentions. Il y a eu 66% de suffrages exprimés, c’est à dire 34% de nuls ou blancs. Si, à ce chiffre, nous ajoutons les 34% qui ont voté Le Pen, nous constatons que 68% des personnes qui se sont déplacées jusqu’aux urnes n’ont pas voté pour Macron. Dans cette élection nombreux sont ceux qui se sont abstenu par hostilité aux finalistes. En minorant leur nombre parmi les non-votants, nous pouvons les estimer à 6 ou 7%. Ce qui fait un total intermédiaire voisin de 75% qui ont refusé Macron. Si nous ajoutons à ce dernier chiffre ceux qui ont voté Macron par opposition à le Pen, mais pas par adhésion à ses idées, nous aboutissons, probablement, à 85% du corps électoral qui ne soutient pas le nouvel « élu »

Le nouveau président est peut être légal aux termes de la Constitution, mais illégitime au regard de la morale politique. Au bilan, Macron est un usurpateur. En réalité, la démocratie française d’aujourd’hui n’est qu’une dictature qui se déguise. Elle est devenue le pire des régimes comme tous les autres. J’ose espérer que personne parmi ces profiteurs, qui vont suivre Macron, ne proférera la moindre critique sur la façon dont nos amis africains voient la démocratie…

Je ne suis donc pas en opposition mais en résistance, tout en sachant que le combat sera long et difficile. Je débute ma marche…

Général Henri Roure
Secrétaire national pour les questions de défense au CNIP (Centre National des Indépendant et Paysans)




Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain ! MàJ

[Mise à jour : ajout du texte suivant]

L’arrivée du vaccin dit à ARN messager de Pfizer, un vaccin à « acide nucléique » premier de son genre, issu des biotechnologies, contre la covid-19, n’a pas été sans susciter de nombreuses questions teintées d’inquiétude. Elles concernent deux points en particulier:

Cet ARN inoculé peut-il se transformer en ADN et intégrer le génome de l’hôte ? Si ce vaccin modifie l’ADN, quels sont les effets potentiels à long terme sur la santé, et ses répercussions sur la descendance ?

Ce sont des questions justes*, que se propose d’explorer Jean-Yves Bilien dans ce reportage qui nous invite à un voyage passionnant au cœur de la biologie moléculaire, guidé par le Dr Tadeusz Nawrocki, spécialiste en la matière et dont les travaux se sont intéressés de très près aux virus à ARN, dont fait partie le SARS-CoV2, responsable de la Covid-19.
Ces questions sont souvent écartées, minimisées, voire moquées par les différents « experts » invités à s’exprimer sur le sujet dans les colonnes des journaux ou sur les plateaux TV.
Mais ils sont formels : il est impossible que l’ARN se transforme en ADN. Le processus suit un chemin précis qui ne peut pas se faire en sens inverse.

Pour nous permettre de comprendre tout ce qui se joue et les implications potentielles sur l’ADN de l’hôte d’un vaccin contenant des petits fragments d’ARN viral, le Dr Tadeusz Nawrocki nous explique en détail le fonctionnement de la biologie moléculaire : l’ADN, l’ARN, les différents ARN, dont le messager, les mécanismes de duplication-transcription-traduction, ainsi que les acteurs en jeu que sont les enzymes. Ce décryptage nous apporte peu à peu cet éclairage nécessaire et salutaire dont nous avons tous besoin, y compris dans le choix du terme ARN messager dont se targue le vaccin de Pfizer, un «abus de langage», une uniformisation de l’appellation, permettant d’occulter des questions gênantes…
Le Dr Nawrocki commence par démonter le paradigme « has been » depuis 40 ans qu’est le dogme central de la biologie moléculaire, énoncé pour la première fois par Francis Crick en 1958, et selon lequel l’ADN produit l’ARN et l’ARN produit la protéine. Une fois que « l’information » est passée par la protéine, elle ne peut plus en sortir. Le mécanisme de la traduction est strictement irréversible, a ajouté Jacques Monod en 1970.

Il n’est ni observé, ni d’ailleurs concevable que de « l’information » soit jamais transférée dans le sens inverse, c’est-à-dire de protéine à ADN. Pourtant la même année, un scientifique américain, Howard Temin (Prix Nobel 1975), faisait la découverte d’une enzyme très particulière : la transcriptase inverse, permettant à certains virus de fonctionner « à l’envers », qu’il appellera de ce fait des rétrovirus : c’est leur ARN qui se transformera en ADN et non l’inverse quand ils infectent une cellule. Quelques mois plus tard le Dr Mirko Beljanski (avec lequel le Dr Nawrocki à collaboré 22 ans) mettait en évidence la transcriptase inverse chez les bactéries. Enfin, la détection de cette enzyme dans les cultures de cellules infectées a permis la découverte du VIH, en 1983.
Donc, ce n’est pas impossible.

Le Dr Nawrocki nous parle avec précision de l’ARN messager et nous explique pourquoi cette appellation est utilisée pour le vaccin. L’ARN messager est en effet le seul à ne pas pouvoir véhiculer une information qui serait transcrite en ADN. La plupart des autres ARN identifiés du cytoplasme savent utiliser les mécanismes décrits pour remonter à l’ADN du noyau, or il ne l’est pas parce que c’est un modèle d’ARN transformant, les ARN transformants déclenchent la réplication de l’ADN, ils sont appelés pour cela ARN amorceurs.
Ainsi, le Dr Nawrocki invite à se poser des questions fondamentales sur la fabrication des vaccins, notamment ceux obtenus par génie génétique, et tout récemment par les ARN dits messagers,
« véritables systèmes OGM », pouvant induire, par exemple, des segments aberrants d’ADN dans les cellules hôtes. Qu’en sera-t-il de cet ADN dégradé ou des fragments d’ARN libérés, qui entraînent autant d’activités incontrôlables, ceci en fonction de notre mimétisme moléculaire HLA spécifique, viral et microbien ?

Enfin, la découverte récente par le bio-informaticien Chase W. Nelson, en octobre 2020, d’un gène mystérieusement caché dans la Covid-19, alors que cela fait des mois que des centaines d’équipes à travers le monde scrutent le génome du coronavirus, sans l’avoir détecté, invite à quelque modestie et surtout beaucoup de prudence aussi bien de la part de la communauté scientifique que des autorités sanitaires.
Ainsi, plutôt que la vaccination, conclut le Dr Nawrocki, il est préférable d’envisager une stratégie d’ensemble. Dans la lutte contre les virus, il faut à la fois entraver le virus lui-même, bloquer sa multiplication, bloquer les enzymes de transcription et/ou d’intégration dans la cellule hôte.
Cette autre orientation thérapeutique existe, élaborée sur la base de substances naturelles et consistant dans l’action conjuguée de trois principes actifs.
Cette mise en bouche étant faite, vous pourrez découvrir, en visionnant ce reportage de Jean-Yves Bilien, les détails des différents rouages pour un jugement éclairé.

* Selon les termes du Dr Doug Corrigan, docteur en biochimie et en biologie moléculaire, cité en ouverture de ce reportage de Jean-Yves Bilien.
Un article de Myriam Marino 22 Mars 2021


[Article initial :]

Emmanuelle Marie Charpentier, prix Nobel de Chimie en 2020 et l’un des inventeurs de l’outil moléculaire Crispr-Cas9 permettant de faciles manipulations génétiques, déclare que leur invention permet la fabrication d’ARN messagers destinés à modifier le génome du receveur.


[Mise à jour : le point de vue mainstream qui voulait que l’ARN messager des vaccins ne puisse pas produire de modifications de l’ADN est rendu caduque par les recherches génétiques récentes ou plus avancées, comme celles du Dr Tadeusz Nawrocki, qui montrent notamment que l’ARN contenu dans ces vaccins n’est pas « messager », mais « transformant ».]




Un collectif international de médecins met en cause la vaccination anti-COVID

[Source : Le courrier des stratèges]

Un collectif international de médecins se constitue progressivement pour contester devant l’OMS les choix majoritairement effectués en matière de lutte contre le COVID. En particulier, ce collectif regrette l’absence de preuves en matière de « tout vaccin » et pointe du doigt, de manière explosive, l’augmentation de la mortalité due à la vaccination. Nous publions aujourd’hui la première version de leur saisine en cours de préparation. Elle a le mérite de synthétiser les points de débat essentiels aujourd’hui sur la gestion du COVID. Nous insistons sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un document définitif.

Qu’un collectif international de médecins, de scientifiques, d’avocats, se regroupe pour saisir l’Organisation Mondiale de la Santé à propos de la gestion du COVID est un fait majeur qui devrait susciter des débats dans les semaines à venir. Ce collectif encore anonyme a longuement planché sur un document d’une trentaine de pages étayant ses critiques contre l’absence de fondement scientifique propre à de nombreuses mesures prises pour lutter contre le COVID à travers le monde. 

Un collectif international de médecins dénonce les violations de la constitution de l’OMS

Mise en place en 1946, la constitution de l’OMS énumère un certain nombre d’objectifs et de missions poursuivis par l’organisation. Le collectif énumère les manquements à ces fonctions ou objectifs dans la gestion internationale du COVID. 

En particulier, le collectif considère que la plupart des gouvernements ont agi sans preuve scientifique et sans la rigueur scientifique nécessaire pour justifier les mesures de restrictions aux libertés qu’ils ont imposées. 

La question de la vaccination au centre du débat

Le document accorde une large part à la question de la vaccination et apporte des graphiques troublants sur l’impact réel de la vaccination dans la population. On retrouvera par exemple celui-ci, qui retrace la mortalité du fait du virus :

Dans l’hypothèse où ils se confirmeraient ou se vérifieraient, ils indiqueraient une très forte progression de la mortalité dans les semaines qui suivent le début des campagnes de vaccination, avant que ces chiffres ne retombent. 

Ce graphique mérite une ample discussion, soulignons-le, car il indique une coïncidence de temps, mais n’indique pas le lien direct entre vaccination et hausse de la mortalité. De nombreuses explications sont donc encore à trouver sur cet étrange phénomène. En l’état, nous ne savons pas qui sont les personnes décédées après surcroît après le début des campagnes de vaccination : sont-elles décédées du fait de l’injection ou pas ?

Le collectif demande un débat

L’intérêt de ce document ne tient pas aux réponses qu’il donne, mais au droit qu’il revendique de poser des questions, ce qui reste le propre d’une démarche scientifique. Si cette démarche arrivait à son terme, elle présenterait l’immense intérêt de regrouper les questions que posent aujourd’hui des esprits critiques attachés à la démarche scientifique, et qu’une propagande massive qualifie de « complotistes ». 




Vaccin anti-covid-19, un cadeau empoisonné pour les pays pauvres ?

[Source : francesoir.fr]

Par Dr Gérard Delépine

POINT DE VUE – Alors que la propagande vaccinale mobilise tous les médias avec des appels à offrir les vaccins aux pays pauvres, à donner 25 € au cobaye consentant ou selon les pays et leur niveau de vie un bon d’achat de 5 € ou une bière, l’analyse des premiers résultats montre qu’il s’agit d’un cadeau empoisonné.

À quoi correspond cette soi-disant bonté des pays riches ? Faire semblant de vouloir aider les pays pauvres en suspendant les brevets des vaccins expérimentaux ? Pourtant, leurs effets dramatiques remplissent les pages Facebook, puisqu’ils ne sont pas retransmis pas les médias aux ordres… Cadeau empoisonné sûrement, pour faire mine d’avoir une clientèle potentielle. Pourtant, les pays dits pauvres ont été riches des résultats de leurs traitements anti-covid-19 précoces, méprisés par les pays européens par exemple.

En conséquence, pour la majorité d’entre eux, ces pays pauvres n’ont pas eu de mortalité covid-19, et il est extrêmement intrigant de les voir sombrer dans le drame de la vaccination à outrance. Il serait évidemment important de savoir sous quelles pressions des pays aussi efficaces – pendant l’année 2020 – que la Thaïlande, avec très peu de décès, prennent le risque de ces drames post vaccinaux. On saura peut-être un jour pourquoi…

En tout cas, citons l’exemple de Haïti pour lequel l’OMS voulait jouer les pères Noël plutôt que le Diable.

L’OMS offre le vaccin AstraZeneca à Haïti, qui n’en veut pas

« Bien sûr que non, qui voudrait d’un vaccin dont personne ne veut en Occident ? Les Haïtiens ne sont pas des cobayes, ils savent parfaitement ce qui est bien pour eux ou ne l’est pas. De plus, pourquoi s’aventurer dans une campagne de vaccination expérimentale massive pour à peine 251 morts du covid19 pour une population de 11 millions d’habitants ? »
Selon le quotidien haïtien le Nouvelliste, les autorités sanitaires refusent les doses gratuites du vaccin AstraZeneca contre la covid-19.
Une source anonyme au sein du gouvernement estime qu’à cause de la controverse autour de ce vaccin, la population ne l’acceptera pas.
L’Organisation Mondiale de Santé (OMS) s’apprête à expédier gratuitement 756.000 doses du vaccin AstraZeneca en Haïti.
Selon un article publié dans le quotidien, le Nouvelliste, le 6 avril 2021, les autorités sanitaires d’Haïti ne veulent pas accepter ces doses.
Elles estiment que la population va refuser ce vaccin à cause de la polémique autour du produit, soupçonné de provoquer des caillots de sang.

« Comme c’est un cadeau, ils veulent nous l’imposer. » source anonyme au sein des autorités sanitaires haïtiennes.

Le gouvernement haïtien aurait demandé à l’OMS d’expédier le vaccin unidose fabriqué par Johnson and Johnson qui n’a pas besoin d’être conservé à des températures basses. Informations obtenues par la presse espagnole. C’est l’Agencia EFE, la 4e agence de presse mondiale, qui a publié cette information en exclusivité. Le reportage a été repris par la presse internationale, notamment en République Dominicaine.

QUI RÉCLAME DES VACCINS POUR LES PAYS PAUVRES ? 
LES DIRIGEANTS DES PAYS RICHES ! BIZARRE, NON ?

Rappel des faits avérés à la date du 7 mai 2021 : des signaux d’alerte européens négligés

En Grande-Bretagne

La campagne nationale de vaccination a commencé début décembre 2020. Au 3 mai 2021, un total de 50 297 911 doses de vaccin avait été administré, assurant une couverture vaccinale de la population supérieure à 50%. Les autorités se félicitent du faible taux actuel de nouveaux cas qu’ils attribuent à la vaccination, mais oublient de rappeler les très fortes augmentations de contaminations et de décès observés juste après cette vaccination, avec 32 023 morts en janvier et 17 000 morts en février 2021, les 2 mois records de la mortalité attribuée au covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Le recul actuel de l’épidémie en GB pourrait ainsi être en partie la conséquence du « moissonnage » du début d’année qui a fait disparaitre les personnes les plus fragiles et diminué d’autant le nombre des anglais âgés à risque.

Le recul concomitant et général de l’épidémie observé aussi et « en même temps » dans les pays européens peu vaccinés comme les Pays-Bas ou la Suède est évidemment un élément majeur à prendre en compte dans l’évaluation de l’effet « vaccin ».

Le premier ministre B. Johnson ne s’y trompe probablement pas puisqu’il a lancé un grand plan de recherche sur les traitements précoces du covid-19 et promet aux sujets de la Reine des médicaments simples à prendre à domicile à partir de septembre en cas de covid-19 débutant. Adieu le sacro-saint doliprane.

À Monaco

Au 31 décembre 2020, Monaco recensait 3 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début janvier 2021. Depuis le nombre de morts covid-19 a été multiplié par 10.

À Gibraltar

Au 8 décembre 2020, après dix mois d’épidémie, Gibraltar recensait 1034 cas confirmés et 5 morts attribuées au covid-19. La vaccination a commencé début décembre comme en Grande-Bretagne.

Depuis lors, le nombre de contaminés a été multiplié par quatre et celui des morts covid-19 par 19.

Mais ces signes d’alerte, comme la nature expérimentale des vaccins anti-covid-19 actuels, ont été cachés par les médias qui ont amplifié leur propagande vaccinale mensongère. 

Dramatique évolution post vaccinale en Mongolie pays jusque-là sans covid-19

Le covid-19 aurait été introduit en Mongolie par un Français travaillant dans le commerce d’uranium. Avant la vaccination, la Mongolie faisant partie des pays presque épargnés par la mortalité covid-19. Au 23 février 2021, elle comptait 2 morts du covid et un total de 2 723 cas positifs depuis le début de l’épidémie. Qu’avait-elle besoin de se lancer dans ce scénario mondial tragique, sans besoin sanitaire évident et sachant qu’il existe des traitements précoces très efficaces et bon marché.

Appliquant les recommandations de l’OMS et avec l’aide du GAVI et de la Chine et quelles pressions (?), elle a vacciné largement sa population à partir du 23 février. Depuis, le nombre de contaminés a été multiplié par 18 et celui des morts par 65 (130 le 6/5/2021).

Malheureux Cambodge

Le covid-19 aurait été introduit dans le pays par un chinois âgé de 60 ans de Wuhan traité, guéri et reparti en Chine avec sa famille. Jusqu’en février 2021, la situation était très satisfaisante avec un taux très faible de contaminés et l’absence de mortalité attribuée au covid-19.  Mais après une rupture de quarantaine d’un nouveau groupe de chinois en visite, la peur (?) a gagné le gouvernement. Officiellement pour protéger la saison touristique qui assure une grande part des ressources du pays, la vaccination a débuté le 24 février 2021 avec un don de vaccins chinois et au premier mai 2021, un total de 2 284 788 doses de vaccin avait été administré.

Mais depuis la vaccination, le nombre de contaminés a explosé passant de 633 le 24/2/2021 à 16 971 le 5 mai et le pays déplore maintenant 110 morts malgré un confinement sévère qui a entraîné des émeutes de la faim durement réprimées.

Et les touristes ne se pressent plus guère pour visiter le pays.

Il faut espérer que les autorités s’inspireront de l’Inde et proposerons rapidement les traitements précoces pour stopper les transmissions et les malades.

La Thaïlande victime de son pari vaccinal : le modèle s’effondre

Avant la vaccination, la Thaïlande, grâce aux contrôles des frontières et aux traitements précoces, faisait partie des nombreux pays affichant un bilan covid-19 satisfaisant avec seulement 25 000 contaminés et 83 morts en un an. Malheureusement, les prudentes réserves du premier ministre concernant le caractère expérimental des vaccins ont été abandonnées en espérant qu’une vaccination généralisée de la population puisse faire revenir les touristes étrangers.

La campagne de vaccination a débuté fin février 2021. Le modèle asiatique s’est effondré et la conformité à la mode mondiale reste peu compréhensible, car ils avaient su résister à la mode du confinement généralisé. Depuis la vaccination, les contaminations et la mortalité ont augmenté fortement. Au 5/5/21 la Thaïlande comptait 74 900 cas (+200%) et 318 morts (+300%). Et d’après le journal Gavroche de Thaïlande, citant le ministre Phiphat Ratchakitprakarn, les espoirs touristiques de 2021 basés sur l’accueil des touristes vaccinés sont en train de s’évanouir.

Pauvres Seychelles, victimes de la propagande vaccinale

Ce petit état africain, qui compte à peu près 100 000 habitants, est pauvre et le tourisme constitue sa principale ressource. Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas confirmés, sans aucun mort, mais avait dû fermer les liaisons aériennes avec les pays infectés. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses, qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai 2021, il est devenu le pays le plus vacciné au monde avec une couverture vaccinale de 70%.

Mais depuis, les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus atteignant près de 500 cas journaliers, plusieurs jours de suite en début mai, obligeant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.

Avant la vaccination, le pays comptait 500 cas et un mort. Après 4 mois de vaccination, le nombre de contaminations a été multiplié par 12, la mortalité par 28, le pays est confiné et sa saison touristique est fortement compromise.

Le vaccin covid-19 confronté à la réalité

Dans tous les pays pauvres, jusque-là relativement épargnés par le covid-19, les campagnes de vaccination ont été suivies par un accroissement considérable des contaminations et de la mortalité, et leur espoir de rassurer les touristes a été déçu.

Ces constatations rappellent l’importance de disposer de résultats définitifs et d’essais qualitatifs avant de recommander un traitement. Même s’il se fait passer à tort pour un vaccin… La catastrophe sanitaire constatée dans ces pays risque de se transformer sous peu en scandale politique, si nos autorités continuent à nier la réalité et à jouer les bons samaritains en offrant des doses de vaccins aux pays pauvres.