L’arnaque des courbes sur les mesures sanitaires

[Source : REINFOCOVID]

Exemple de l’incidence du SARS-Cov-2 en France et dans les Alpes-Maritimes depuis juin 2020

Figure 1 : Evolution de l’incidence du SARS-Cov2 depuis juin 2020. Source SPF
Figure 2 : Influence de parapluies durant un épisode pluvieux

Interprétation officielle

30 octobre 2020 : le confinement fait baisser les contaminations avec un court plateau observé dès le 30 octobre

26 février 2021 : le couvre-feu imposé en Alpes-Maritimes fait baisser la courbe des contaminations

4 avril 2021 : le confinement fait chuter la courbe des contaminations

Interprétation après vérification

Chaque point de la courbe correspond à la moyenne des mesures de la semaine précédente. Ainsi :

  • Le plateau de contaminations observé après le 30 octobre est déjà amorcé 1 semaine avant
  • La chute du 26 février est déjà largement amorcée bien avant le couvre-feu
  • La chute du 4 avril dans le département des Alpes-Maritimes correspond à la semaine précédant le confinement national

Avant la fin du confinement le 15 décembre 2020, la courbe est déjà en faible croissance au niveau national et même en croissance forte dans les Alpes-Maritimes.

La mesure sanitaire cesse-t-elle de fonctionner ?

Un confinement est imposé à Nice le 20 mars 2021. Le taux des contaminations remonte.

La mesure sanitaire est-elle inefficace ?

Un fort biais d’analyse

D’un point de vue scientifique, ces courbes ne permettent donc pas de confirmer  l’interprétation officielle. Celle-ci est soumise à un très fort biais de croyance bien connu des psychologues et des chercheurs en psychologie :

« (a) Les éléphants sont des mangeurs de foin, (b) les mangeurs de foin ne sont pas lourds. Est-ce que cela veut dire que (c) les éléphants sont lourds ? Les enfants répondent que oui. […] [Comme eux], les individus […] examinent la crédibilité sémantique avant la validité logique. Autrement dit, si la conclusion est crédible, ils l’acceptent sans examen – c’est l’heuristique de croyance ; si elle est non crédible, ils cherchent alors (et alors seulement) si elle découle validement des prémisses (en appliquant l’algorithme de vérification logique du syllogisme) »

Dès lors qu’un algorithme de vérification logique est appliqué, il en ressort deux hypothèses :

  • soit les courbes baissent grâce aux mesures non médicamenteuses (figure 1)
  • soit elles finissent toujours par baisser et les mesures donnent l’illusion d’y être pour quelque chose. Ainsi le même raisonnement appliqué à l’ouverture de parapluies indiquerait que c’est grâce aux parapluies que la pluie finit par s’arrêter (figure 2).

En logique, le principe de parcimonie peut être énoncé ainsi :

Si un phénomène se répète à l’identique (les pics épidémiques), et qu’une seule variable change à sa dernière occurrence (les mesures sanitaires), alors il est bien plus probable que cette variable soit indépendante du phénomène, et beaucoup moins probable qu’elle ait solutionné en même temps une variation du phénomène.

L’interprétation officielle est donc à la fois biaisée (c’est une croyance) et moins probable que la seconde (illustrée par la figure 2). L’efficacité du confinement n’est d’ailleurs toujours pas démontrée à ce jour.

Références

Olivier Houdé, L’intelligence Humaine n’est pas un algorithme. Ed Odile Jacob. 2019. 256 pp.

Ewers., J.P.A. Ioannidis., N. Plesnila. Access to data from clinical trials in the COVID-19 crisis: open, flexible, and time-sensitive. Journal of Clinical Epidemiology 130 (2021) 143-146.

https://www.santepubliquefrance.fr

Pour aller plus loin




Arrestation de Rémy Daillet et de sa famille en Malaisie : une cabale médiatique ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Le Français Rémy Daillet-Wiedemann, ainsi que sa compagne Léonie Bardet et leurs enfants, ont été arrêtés en Malaisie ce samedi 29 mai, suite à l’expiration de leur visa le 21 mai 2021. Pour obtenir une prolongation de leur titre de séjour, l’immigration a besoin d’une lettre de soutien de l’ambassade de France, ce qu’elle a refusé de faire. L’immigration de Langkawi est de ce fait incapable de traiter la demande de prolongation de Rémy Daillet et sa famille ; ils se retrouvent dans un cas de dépassement de séjour et ont été arrêtés. Grâce à un entretien téléphonique que nous avons obtenu avec elle depuis la prison de Langkawi, Léonie Bardet nous livre ce qu’elle et sa famille vivent depuis leur arrestation par la police, samedi après-midi.

France Soir : De quand datent derniers contacts avec l’ambassade pour obtenir la lettre de soutien ?

Léonie Bardet : Nous avons un agent qui s’occupe de notre dossier d’immigration depuis des années. Ça fait des années qu’on est en demande de visa. Elle a eu un premier rendez-vous avec l’immigration avec notre dossier. Ensuite, on a eu un second rendez-vous. Nous nous sommes tous rendus à l’immigration, un rendez-vous normal. Elle devait y retourner le lendemain. Elle n’a toujours pas eu de réponse, ils devaient lui téléphoner dans le week-end…

Donc samedi vous avez été emmené en détention avec les enfants et Monsieur Daillet c’est ça ?

Oui, moi je suis placée avec mes trois enfants, ma grande de 17 ans, mon garçon de 9 ans et ma petite fille de 1 an, et je suis enceinte. Nous sommes séparés de Rémy.

Quelles sont les conditions de détention ?

Nous sommes dans une cellule de neuf mètres carrés, sans lumière du jour. C’est la troisième nuit ce soir, et nous dormons à même le sol. On ne peut pas dormir car il y a énormément de bruit et de chaleur. On n’avait pas d’eau dans la cellule jusqu’à tout à l’heure. On en avait juste au moment des repas. C’est très sale, il y a des toilettes à la turque dans la cellule. Le plus dur c’est de dormir par terre, avec le bébé, qui dormait sur moi et qui pleure beaucoup. C’est extrêmement long et on a très peur. On ne sait pas du tout pour combien de temps on est là, on n’a eu le temps de contacter personne.

Vous avez eu un contact avec M. Daillet depuis l’incarcération ?

On se croise dans les couloirs et je sais qu’il fait une grève de la faim. Nous on a eu de la chance, au bout de la deuxième nuit, on a pu avoir une couverture et on a pu garder des tee-shirts pour faire des coussins, mais lui n’a rien du tout.

Pour votre bébé, vous avez tout ce qu’il vous faut ?

Quand ils nous ont emmenés au poste de police. Ils ne nous ont pas dit qu’ils nous arrêtaient, ils nous ont dit qu’ils nous emmenaient à l’immigration. Donc on ne savait pas qu’on était en état d’arrestation. On a pris quelques affaires, les affaires de base pour le bébé, mais on ne pensait pas que ça allait durer aussi longtemps. Je pensais qu’on rentrerait le soir. J’ai pris six couches, un biberon, la tétine… Ce n’est pas suffisant.

Aujourd’hui, vous avez pris contact avec un avocat ?

Hier la consule m’a téléphoné. Il faut savoir que j’avais déjà eu un contact avec elle dans le cadre d’un divorce avec mon ex-mari en 2017-2018, un problème de passeport : on nous refusait ici le renouvellement des passeports des enfants. Donc elle m’a appelée hier pour me demander si on avait besoin d’une aide consulaire. J’ai demandé en quoi cela consistait, et elle m’a dit qu’on ne pouvait pas faire grand-chose, à part vérifier que mon avocat était au courant. En effet, on ne peut rien remettre en cause de l’administration malaisienne. On ne comprend pas pourquoi l’administration s’entête à vouloir faire du mal à ses ressortissants et nous mettre des bâtons dans les roues.

Il y a beaucoup d’autres personnes qui sont dans votre cas et pour autant ils ne finissent pas au poste, comment vous expliquer le traitement que vous subissez ?

C’est une cabale médiatique contre Rémy. L’avocat a bien compris que pour avoir Rémy, il fallait passer par moi et les enfants. Nous servons d’appât à la police.

Donc vous êtes toujours incarcérée pour un problème de visa. Les services de l’immigration étant fermé, vous n’avez pas eu de date. Vous avez eu des contacts éventuels avec l’ambassade de France pour vous donner une assistance consulaire, mais vous ne savez pas exactement ce qui va se passer ?

C’est surtout qu’on avait un dossier complet pour avoir une extension, mais l’ambassade de France n’a pas daigné nous donner une lettre de soutien sans explication. Donc, voilà le résultat.

Vous supputez que ce refus de cette lettre de soutien servirait à arrêter Rémy ?

Cela fait cinq ans qu’on est en Malaisie et on travaille ici, on est inséré, on connaît beaucoup de monde. Dès le départ, on a cherché à se régulariser en créant une société, en demandant des visas, un visa de dix ans et ensuite le visa de cinq ans (MTAP), mais avec le covid tout s’est arrêté. De plus, avec mon divorce en France qui a duré quatre ans, je n’ai pas pu divorcer ni me remarier. C’est ça qui a bloqué car pour le visa de dix ans (MM2H), pour être considérée comme une famille il faut être marié. Donc il y a des empêchements à cause de mon ancien mariage je comprends, mais qu’il y ait des empêchements à cause de l’ambassade ce n’est pas normal.

De son côté, Me Ng, l’avocat malésien de Rémy Daillet confirme l’arrestation de Monsieur Daillet ce samedi, suite à l’expiration de son visa depuis le 21 mai 2021. Pour lui, il est normal que les services administratifs malaisiens se saisissent d’un tel cas. Il confirme aussi que les conditions de détentions dans la prison de Langkawi sont spartiates. Il déclare avoir été en contact avec les services de l’immigration et de l’ambassade de France en Malaisie et être au courant du mandat d’arrêt à l’encontre de Mr Daillet dans le cadre de l’affaire du rapt de la petite Mia, fillette de 8 ans qui a été retrouvée en avril 2021 avec sa mère en Suisse. Cependant, il ne s’est pas étendu sur les liens éventuels entre cette affaire et son arrestation, restant sur les faits  : l’expiration du visa. Maître NG reconnaît cependant que beaucoup de demandes de visa ou d’extension de visa prennent plus de temps à cause de la crise sanitaire.

En France, Maître Philippe Fortabat Labatut, ancien contrôleur des brigades des douanes à l’aéroport de Roissy et avocat international dont le client est Rémy Daillet déclare :

« Dans le cadre de l’affaire Mia, je ne peux pas croire que la DGSI ne connaissait pas l’équipe – l’approche utilisée est connue, l’objectif à atteindre était Remy Daillet. Ils ont donc suivi l’équipe afin de faire une liaison avec M. Daillet. C’est une méthode bien connue des services qui se conclut par un coup de communication y compris le mandat d’arrêt international du juge de Nancy. L’affaire continue avec ce visa touristique dont nous avons la preuve qu’il avait demandé l’extension.

Sur l’île de Langkawi, le bureau de l’immigration était fermé pour cause de crise sanitaire. Une raison qui explique le retard de réponse des autorités malaisienne à l’extension de visa. Ceci fournit un prétexte opportun pour potentiellement envisager l’expulsion de Mr Daillet vers la France, bien plus facile qu’une extradition. »

Rappelons que la Malaisie n’a pas de convention d’extradition avec la France.

Auteur(s): FranceSoir




France : Rémy Daillet-Wiedmann arrêté en Malaisie

[Source : @Rémy-Daillet-Wiedemann-Officiel via qactus.fr]


Au nom de Dieu

Communiqué Officiel du Renversement de RDW et appel à soutiens



Le canal Telegram pour envoyer vos soutiens vidéos: 
https://t.me/joinchat/F1h_QpjYfx4xOTY0

Si vous n’avez pas Telegram, téléchargez l’application ici :
Android > 
https://play.google.com/store/apps/details?id=org.telegram.messenger&hl=en_US&gl=US
Apple > 
https://apps.apple.com/fr/app/telegram/id686449807

Coordonnées de l’Ambassade de France en Malaisie :
The French Embassy in Malaysia
Level 31 Integra Tower
348, Jln Tun Razak
50400 Kuala Lumpur
Malaysia
https://my.ambafrance.org/Contacter-l...
Tel : +60320535500

Coordonnées du Ministère des Affaires Étrangères de Malaisie :
The Ministry of Foreign Affairs of Malaysia
Wisma Putra Complex
No. 1, Jalan Wisma Putra
Precinct 2,
Federal Government Administrative Centre
62602 Putrajaya
Malaysia
Tel : 603-8000 8000
Fax : 603-8889 1717/2816
Email : pro.ukk@kln.gov.my
Website : http://www.kln.gov.my

Soyez polis, bien entendu.

Le communiqué de presse numéro 1 du Renversement de Rémy Daillet-Wiedemann (fichier PDF): 
https://we.tl/t-FrC0FmH2eP

3 cabinets d’avocats internationaux sont saisis de l’affaire. À propos de cette affaire, les coordonnées utiles figurent sur le communiqué de presse, téléchargeable ci-dessus.

La lettre ouverte des avocats au Roi de Malaisie : 
https://support.remy-daillet-wiedemann.fr/api/v1/attachments/38519

L’Arrestation est survenue hier le 29 mai. Aujourd’hui, nous sommes le jour du martyr de Sainte Jeanne d’Arc, alors prenons son exemple, à la suite de Rémy. Ne nous démontons pas, l’ennemi tremble, si ce n’était pas le cas Rémy n’aurait pas été arrêté. Continuons son humble travail, pour la France !

Gardez-la foi, poursuivons le travail pour le Renversement. Dieu nous aidera si nous faisons Sa volonté, et nous serons vainqueurs. Dieu vous bénisse tous.


Le dissident Rémy DAILLET-WIEDEMANN arrêté le 29 Mai 2021 en Malaisie avec son bébé et sa famille.



Les détails de l’affaire par Maître Fortabat-Labatut.

Pourquoi Rémy DAILLET-WIEDEMANN est-il emprisonné en Malaisie ?
Pourquoi rejette-t-il cette décision ?

Lettre ouverte au Roi de Malaisie :

DOCUMENTS Divers de Maître Fortabat-Labatut

Accédez aux documents :


Communiqués de presse




Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus

[Sources : Blux Motivation et Babelio]

Bruce Harold Lipton est un biologiste du développement américain connu pour promouvoir l’idée que les gènes et l’ADN peuvent être manipulés par les croyances de la personne, proposant une conception non-académique de l’épigénétique.

En 1966, il a obtenu une licence de biologie à l’Université de Long Island. Puis un doctorat en biologie du développement à l’Université de Virginie en 1971. En 1973, il enseigne l’anatomie comme maître-assistant à l’école de médecine de l’Université du Wisconsin, avant de rejoindre l’Université américaine de l’école de médecine des Caraïbes, où il est professeur d’anatomie pendant trois ans.

De 1987 à 1992, Lipton a travaillé comme chercheur à l’Université Penn State et au Centre Médical de l’université Stanford. Depuis 1993, il est professeur vacataire dans différentes universités.

Ses recherches, menées à l’École de médecine de l’Université de Stanford, ont joué un rôle précurseur dans le développement de l’épigénétique, la discipline scientifique qui explore l’influence de l’environnement sur l’ADN.

Le Dr Bruce Lipton est un leader mondialement reconnu dans l’unification de la science et de l’esprit et l’une des voix les plus écoutées dans la nouvelle biologie. Pionnier dans les domaines de l’éducation alternative et de la littérature holistique.

[Voir aussi : Modifier notre ADN via notre conscience !]




La vaccination de masse déclenche un pic de cas COVID-19 et des décès

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Michael Whitney
Mondialisation.ca, 30 mai 2021
MERCOLA 21 mai 2021


Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse.

Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après n’avoir compilé aucun décès ; après avoir commencé son programme de vaccination, les décès ont commencé à s’accumuler.

Il se peut que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens

Les chercheurs de Salk ont confirmé que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine de Spike et non par le virus ; si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer ces protéines.

118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de Spike génératrice de caillots ; personne ne sait combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

Maintenant que les cas ont fortement diminué aux États-Unis, pourquoi ne pas abandonner les vaccinations jusqu’à ce que l’on comprenne mieux les risques à long terme ?

*

Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse. (Veuillez regarder cette courte vidéo avant que YouTube ne la supprime.1)
Pourquoi cela se produit-il ?

[Une animation de la mortalité COVID à travers le monde pour examiner l’impact de la vaccination, en testant l’hypothèse qu’ils sont jusqu’à 97% efficaces pour réduire la mortalité.Crédit @britishbennyboy sur Twitter pour l’animation.]

La vaccination de masse était censée réduire la menace de la COVID, mais – à court terme – elle semble beaucoup l’aggraver.

Pourquoi ? Et pourquoi la COVID « fait-elle maintenant une éclosion dans 4 des 5 pays les plus vaccinés ? » Selon le magazine Forbes :2

« Les pays où les taux de vaccination sont les plus élevés au monde – y compris quatre des cinq pays les plus vaccinés – se battent pour freiner les épidémies de coronavirus qui sont, par habitant, plus élevées que l’augmentation dévastatrice de l’Inde, une tendance qui a mis en question l’efficacité de certains vaccins … et la sagesse d’assouplir les restrictions, même avec la plupart de la population vaccinée. »

Pire que l’Inde ? Comment cela peut-il être ainsi ? Et pourquoi huit membres « entièrement vaccinés » des Yankees de New York [équipe de hockey] ont-ils obtenu un résultat positif au test COVID ? Voici l’histoire de l’Associated Press :3

« L’arrêt-court des Yankees de New York, Gleyber Torres, a été testé positif pour la Covid-19 malgré sa vaccination complète et son avoir précédemment contracté le coronavirus pendant la période de repos. Torres fait partie des huit soi-disant positifs de la percée parmi les Yankees – des personnes qui ont obtenu un résultat positif malgré leur vaccination complète. »

Et si cela ne prête pas assez à confusion, découvrez ce qui se passe au Cambodge. Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après avoir compilé zéro décès. C’est vrai : le pays n’a connu aucun décès par COVID avant mars 2021, quelques semaines après avoir commencé son programme de vaccination. Et c’est à ce moment-là que les décès ont commencé à s’accumuler, comme vous pouvez le voir dans le tableau accrocheur ci-dessous.

Vaccinations et décès du COVID-19 Cambodge

Graphique de Joel Smalley Twitter4

Zéro décès COVID-19, jusqu’à la campagne de vaccination

Alors, voyons si nous pouvons le comprendre. Il n’y a eu aucun décès avant le lancement de la campagne de vaccination, mais peu après le début des injections, les décès ont commencé à augmenter. Pensez-vous qu’il pourrait y avoir un lien ici ? Pensez-vous que, peut-être, les décès sont liés aux vaccins ?

Bien sûr, ils le sont. Et c’est pourquoi les médias tentent de balayer cette histoire sous le tapis. Cela ne correspond pas au « récit officiel » sur les vaccins, ils ont donc décidé de « d’effacer » complètement l’histoire. « Poof » et c’est parti ! Et, en fait, c’est pire qu’une dissimulation parce que peu de temps après l’entrée en fonction de Biden, les CDC ont changé leur méthodologie de test, ce qui rend plus difficile le test positif.

En d’autres termes, ils ont truqué le système de sorte qu’il semble que moins de personnes « entièrement vaccinées » aient contracté la COVID après l’inoculation. Le Dr. Joseph Mercola explique ce qui se passe dans les coulisses :

« Maintenant, les États-Unis Les Centers for Disease Control and Prevention ont encore réduit la TDM, dans ce qui semble être un effort clair pour cacher les cas révolutionnaires du COVID-19, c’est-à-dire les cas dans lesquels des personnes entièrement vaccinées reçoivent un diagnostic de COVID-19. »

C’est tout un grand jeu de passe-passe. Ils manipulent le système pour donner l’impression que les vaccins arrêtent l’infection lorsque les preuves prouvent le contraire. Et remarquez le surnom délibérément trompeur que les médias ont inventé pour les personnes qui contractent la COVID après avoir été vaccinées. Ils les appellent « cas de percée » [breakthrough cases]. « Percée » ? Vraiment ?

Si les cas augmentent dans presque tous les pays qui lancent une campagne de vaccination de masse, alors il n’y a rien de « nouveau » [breakthrough] à cela. C’est le résultat prévisible d’une expérience ratée. Voici plus d’informations sur un article intitulé : « Taux de COVID après la vaccination dans le monde » :5

« … le gouvernement a supposé que si « vous vaccinez beaucoup de gens, le problème disparaît », mais les questionneurs parmi nous ne l’ont pas supposé. Surtout après avoir lu le document d’information de la FDA pour le vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech par exemple, beaucoup d’entre nous avaient des questions après l’avoir lu ; à la page 42, il est dit :

Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant toute vaccination étaient de 409 dans le groupe vaccinal contre 287 dans le groupe placebo. Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité vaccinale avec des symptômes qui chevauchent ceux du COVID-19.

Dans l’ensemble, cependant, ces données ne soulèvent pas de préoccupation quant au fait que la déclaration spécifiée dans le protocole des cas suspects, mais non confirmés, de COVID-19, aurait pu masquer des événements indésirables cliniquement significatifs qui n’auraient pas été détectés autrement. »

La FDA savait que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter la COVIDPour en savoir plus: Le vaccin « expérimental » contre l’ARNm Covid-19. On vous dit la vérité ?

WTF !?! Ainsi, la FDA SAVAIT que les personnes vaccinées étaient plus susceptibles de contracter la COVID que celles du groupe placebo, mais elle a approuvé les vaccins de toute façon ?!? Est-ce une négligence criminelle ou simplement une vieille stupidité ?

S’il vous plaît. Relisez le paragraphe ci-dessus et décidez si vous auriez donné le « feu vert » à ces injections douteuses ou non ?  Voici plus d’informations sur le même article :6

« Ce qui suit montre des données provenant du monde entier provenant de certains endroits sélectionnés. Il est, bien sûr, vital de souligner que la corrélation n’est pas la causalité. Et qu’il y a des pays où le déploiement des vaccins ne précède pas ou ne coïncide pas avec une augmentation des infections. Cependant, je n’ai pas été en mesure de trouver de pays où les taux de covidés ont commencé à baisser après le début de la vaccination, ou dans lequel une baisse a coïncidé avec le début de la vaccination.

En Indonésie, par exemple, le taux de covidé diminuait au début de la vaccination et semble n’avoir pas été affecté dans sa trajectoire par le déploiement du vaccin. Le lecteur peut consulter lui-même ces tableaux sur le site Internet. Jetez un coup d’œil à ceux-ci et voyez ce que vous en pensez… »

OK, donc l’auteur essaie de donner la plus grande tournure positive possible à la performance du vaccin. Il dit : « la corrélation n’est pas une causalité », ce qui signifie : « Ne faites pas fiez pas à ce que vous voyez lorsque vous observer les graphiques parce que – si vous le faites – vous tirerez la conclusion évidente que les vaccins augmentent considérablement vos chances de contracter la COVID dans les quelques semaines qui suivent la vaccination ».

Les graphiques vous convaincront également que Fauci, Biden et les médias ont menti comme des charlatans sur l’efficacité des vaccins. (Veuillez consulter les tableaux de l’article et juger par vous-même.) En voici plus :7

« Ce qui est très clair si l’on examine les données dans le monde entier, c’est que les vaccinations ne sont certainement pas associées à une baisse fiable des cas de covidés dans un délai prévisible. Cela, à côté des observations du procès, doit certainement être abordé. Que se passe-t-il ici ?

Est-ce juste que les vaccinations sont lancées par coïncidence en même temps que les épidémies sont sur le point de se produire ? Dans de très nombreux endroits ? Ou le vaccin ne fonctionne-t-il pas immédiatement ? Sinon, pourquoi pas ? … Ou le vaccin rend-il les gens plus sensibles à l’infection ? Si c’est le cas … s’agit-il d’un effet temporaire ? Qu’est-ce qui en est la cause ? …

Combien de temps faut-il pour qu’une sensibilité accrue diminue ? … On nous dit que tout le monde doit être vacciné (mais) Comment peut-on donner le consentement libre et éclairé dans ces conditions ? »

Ce sont toutes de bonnes questions. Malheureusement, le Dr. Fauci et ses collaborateurs n’ont pas l’intention d’y répondre. Au lieu de cela, leurs alliés dans les médias font tout ce qu’ils peuvent pour faire disparaître cette histoire et détourner l’attention vers les mystérieux « variants », qui sont la diversion médiatique quotidienne. Suis-je trop dur ? Peut-être, mais peut-être pas assez dur.

Raison de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins

Jetez un coup d’œil à ce clip d’un article sur Conservative Woman intitulé « Toutes les raisons de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins » :8

« J’ai déjà fait état d’une hausse étonnante des décès qui s’est produite parallèlement à une campagne de vaccination intensive à Gibraltar, où la petite communauté a donc développé le taux de mortalité par covidés le plus élevé au monde. Nous savons également que des milliers de décès ont été observés aux États-Unis, dans l’UE et au Royaume-Uni à la suite de la vaccination contre la Covid, souvent immédiatement après l’administration de l’injection.

Les fabricants, les principales revues médicales et la plupart des gouvernements insistent sur le fait que ces décès ne sont pas liés au vaccin. Dans de nombreux cas, les décès et les maladies graves ont été attribués à une infection fortuite par le virus. Mais les preuves sont de plus en plus nombreuses que pour certains, en particulier les personnes vulnérables et âgées, le vaccin lui-même crée ou aggrave la maladie même contre laquelle il est censé être protecteur…

… un phénomène inquiétant qui apparaît régulièrement dans les études sur le vaccin Covid est une flambée des prétendues « infections » qui se produit précisément au cours de cette période de trois semaines, et généralement immédiatement après l’injection … Les chercheurs soulèvent la possibilité que le vaccin puisse déclencher des « symptômes semblables aux symptômes de la Covid-19, y compris la fièvre » chez les personnes récemment exposées au virus …

Il suggère que le mécanisme peut être une baisse de l’immunité causée par une perte de globules blancs après le vaccin, observée dans les essais Pfizer et AstraZeneca, rendant les vaccinés plus vulnérables au virus à court terme. »

OK, donc l’auteur arrive à la même conclusion que l’auteur précédent ; peut-être que le vaccin rend les gens plus sensibles au virus en abaissant leurs défenses et, par conséquent, en favorisant l’infection. C’est certainement une possibilité, mais il en existe d’autres qui pourraient être infiniment plus graves. Jetez un coup d’œil :9

« Il n’a pas été généralement reconnu que le vaccin est conçu pour nous protéger en provoquant nos cellules à produire la toxine même qui rend le virus plus dangereux que ses prédécesseurs dans la famille des coronavirus. Cette toxine, connue sous le nom de protéine spike, peut endommager non seulement les poumons, mais aussi affecter des organes tels que le cerveau, le cœur et les reins.

Le raisonnement derrière l’administration du vaccin est que l’exposition temporaire à la toxine peut fournir une protection à long terme contre la maladie causée par le virus. Les premières indications indiquent que cette stratégie fonctionne, bien qu’il ne soit pas encore du tout certain dans quelle mesure la baisse des taux d’infection observée dans les populations intensément vaccinées est saisonnière et liée aux vagues d’infection, ou si elle constitue un avantage durable.

Mais il existe également une possibilité très réelle, étayée par des expériences sur les animaux ainsi que par les études citées ci-dessus, que le vaccin lui-même produise des symptômes chez les personnes vulnérables qui sont ensuite attribués au Covid-19. Les dommages à la santé peuvent être particulièrement graves chez une personne qui a été récemment ou qui est simultanément infectée par le virus réel.

Il y a donc tout lieu de douter des propos rassurants des fabricants selon lesquelles les décès et les blessures observés comme accompagnant la vaccination, et que dans certains cas ressemblent au Covid-19 et sont attribués à celui-ci, ne sont pas liés aux vaccin. La situation est suffisamment grave pour que certains médecins et scientifiques demandent un moratoire sur d’autres vaccinations contre la Covid jusqu’à ce que le vaccin ait été dûment vérifié. »

Il se peut donc que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens. C’est une possibilité réelle. Bien sûr, les sociétés pharmaceutiques et les responsables de la santé publique rejettent carrément cette hypothèse, mais les professionnels de la santé et les scientifiques pensent que le danger est suffisamment important pour demander que le programme de vaccination de masse soit temporairement interrompu.

Principaux dommages causés par la COVID causés par les protéines spike.

Certains lecteurs se souviendront que le Salk Institute a récemment publié une étude qui a montré que la « protéine « spike » distinctive du CoV-2 du SRAS… « endommage les cellules, confirmant que la COVID-19 est une maladie principalement vasculaire ». Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021:10

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré d’une couronne classique de protéines de pointe du CoV-2 du SRAS, mais ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a causé des dommages aux poumons et aux artères d’un modèle animal – prouvant que la protéine spike seule était suffisante pour causer la maladie.

Des échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois de l’artère pulmonaire. (Note – « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires. »)

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, exposant des cellules endothéliales saines (qui lignéent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine de pointe a endommagé les cellules en se liant à l’ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui génèrent de l’énergie pour les cellules), provoquant des dommages et une fragmentation des mitochondries.

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque des cellules ont été exposées au virus du CoV-2 du SRAS, mais c’est la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées seules à la protéine de pointe. »

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce rapport. Les chercheurs de Salk confirment que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine spike et non par le virus. Et, si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer des protéines spike ?

Cela n’a aucun sens. Et comment cela affecte-t-il notre compréhension du phénomène que nous avons vu dans des pays du monde entier, c’est-à-dire la forte augmentation des cas à la suite de la vaccination de masse ? Permettez-moi de vous donner une explication plausible, mais non encore prouvée :

La forte augmentation des cas et des décès à la suite d’une vaccination de masse n’est PAS liée au COVID « la maladie respiratoire », mais au COVID « la maladie vasculaire ». La composante vasculaire est principalement le résultat de la protéine S [S pour spicule, Spike en anglais ou protéine de pointe] produites par les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (endothélium) qui activent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins et des saignements.

L’autre facteur principal est la réaction auto-immune dans laquelle les lymphocytes tueurs attaquent son propre corps, déclenchant une inflammation généralisée (et une défaillance potentielle des organes). En bref, les décès post-injection sont causés par les protéines S [Spike ou de pointe] produites par les vaccins et non par la COVID. Encore une fois, regardez la carte du Cambodge. Il n’y a eu aucun décès avant la vaccination. Tous les décès sont survenus par la suite. Cela suggère que les décès sont attribuables aux vaccins.

Une dernière réflexion : 118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de pointe génératrice de caillots. À l’heure actuelle, personne ne semble savoir combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

En gardant cela à l’esprit, ne serait-ce pas le bon moment pour faire preuve d’un peu de prudence ? Maintenant que les cas ont fortement chuté dans tout le pays [États-Unis], pourquoi ne pas abandonner la vaccination anti-Covid tant que nous n’aurons pas une meilleure compréhension des risques à long terme ? Ce serait une bonne décision, n’est-ce pas ? Il suffit de reporter les nouvelles injections jusqu’à ce que la sécurité du produit puisse être garantie. Si on a pas été prudent jusqu’à maintenant sur cette question de vaccination, ce serait le moment de prendre des précautions.

Mike Whitney

Michael Whitney, analyste géopolitique et social renommé basé dans l’État de Washington, USA. Il a commencé sa carrière de journaliste-citoyen indépendant en 2002 avec un engagement en faveur d’un journalisme honnête et de la paix mondiale.

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

Article original en anglais :

Mass Vaccination Triggers Spike in Cases, Deaths, publié le 27 mai 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

L’image en vedette est de Children’s Health Defense

Notes

YouTube 13 mai 2021

Forbes 11 mai 2021

NBC News 14 mai 2021

Twitter, Joel Smalley

5, 6, Informer l’Écosse 6 avril 2021

8, La femme conservatrice 3 mai 2021

10 Salk News 30 avril 2021

La source originale de cet article est MERCOLA
Copyright © Michael Whitney
MERCOLA, 2021




6 mois après la sortie du documentaire Hold-Up, interview du Pr Perronne sur la situation Covid-19

[Source : @waq-up2.21]






Un lanceur d’alerte de Facebook divulgue des documents sur la censure de la « réticence aux vaccins »

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

PAR ISABEL VAN BRUGEN

Un lanceur d’alerte de Facebook a divulgué des documents qui semblent exposer les plans du géant de la technologie pour censurer les contenus qui montrent une « réticence aux vaccins » contre le Covid-19.

Le lanceur d’alerte américain Morgan Kahmann, un ancien technicien d’un centre de données pour Facebook, a révélé son identité dans une interview lors de l’émission Tucker Carlson Tonight de la chaîne américaine Fox News, après s’être d’abord présenté à l’association de journalisme d’investigation Project Veritas avec des documents internes.

Il affirme que les documents de l’entreprise détaillent un plan visant à freiner la réticence aux vaccins à l’échelle mondiale.

M. Kahmann dit avoir été suspendu par Facebook pour avoir expliqué lors de l’émission que les contenus sur la réticence aux vaccins contre le Covid-19 sont signalés par ses algorithmes et se voient attribuer un « score » qui détermine si lesdits contenus doivent être supprimés.

« Tout ce qui remet en question le vaccin ou le discours sur le vaccin, qui est, vous savez, que tout le monde devrait se faire vacciner, que le vaccin est bon et que vous n’aurez pas beaucoup d’effets secondaires… tout ce qui est en dehors de ce domaine est considéré comme une ‘réticence à l’égard du vaccin’ par les algorithmes de Facebook », a déclaré M. Kahmann.

« Ils ont peur de ce que les gens pourraient conclure s’ils voient que des personnes vaccinées ont des effets secondaires. Ils pensent que cela va faire grimper la réticence aux vaccins au sein de la population et ils voient cela comme quelque chose qu’ils doivent combattre. »

« Je ne serais pas capable de vivre avec moi-même », a déclaré Morgan Kahmann pour expliquer pourquoi il a décidé de divulguer ces documents qui décrivent ce qui semble être une campagne de censure de la part de Facebook.

« Ma conscience morale me dit que ce n’est pas la bonne chose à faire parce que, fondamentalement, les utilisateurs de Facebook ne sont pas au courant de ce qui se passe, et si vous utilisez Facebook ou une plateforme sociale et qu’ils censurent le contenu de vos commentaires à votre insu, je pense que c’est très immoral », a-t-il déclaré.

« Je pense que toutes les conséquences que je subis chez Facebook à la suite de cette révélation et de ces documents que j’ai divulgués à Project Veritas – je pense que toutes ces conséquences ne pèsent pas lourd quand il s’agit de vivre avec moi-même », a déclaré M. Kahmann. « J’ai vu ces documents et vous savez, j’ai eu l’occasion de montrer cela au public et ce qui se passe dans les coulisses. »

En expliquant plus en détail le système de signalement de Facebook plus tôt, l’employé licencié a déclaré à James O’Keefe de Project Veritas que les commentaires reçoivent un « score sur la réticence vaccinale » par un algorithme.

« Facebook utilise des classificateurs dans ses algorithmes pour déterminer certains contenus […] ils appellent cela la « réticence vaccinale ». Et à l’insu de l’utilisateur, ils attribuent à ces commentaires un score appelé « VH Score », le « Vaccine Hesitancy Score » », a déclaré M. Kahmann à M. O’Keefe. « Puis, sur la base de ce score, ils rétrogradent ou [non] le commentaire en fonction de son contenu. »

Lors de son entretien avec M. Carlson, il a déclaré qu’on lui avait « soudainement » demandé d’arrêter de travailler, qu’on lui avait pris ses effets personnels et son badge d’accès et qu’on l’avait accompagné jusqu’à sa voiture. On lui a dit que l’entreprise organiserait une « réunion d’enquête » à un moment donné dans le futur, mais cette réunion a depuis été « annulée ».

Facebook n’a pas souhaité répondre aux questions d’Epoch Times sur cette affaire.




Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

Par Jean-Dominique Michel

Nous pouvons nous demander à ce stade si la « Covid », entrée dans sa saison 2, n’est pas une fiction dystopique produite par un quarteron de scénaristes sociopathes !

Alors que l’efficacité des traitements précoces ne cesse de se confirmer, alors que la volumétrie de l’épidémie ne cessent de se confirmer rassurantes, la pression narrative ne se relâche point : des résurgences dans certains contextes sanitairement précaires (comme hier au Brésil et aujourd’hui en Inde) sont brandies par les médias comme de nouvelle évidences de la nature apocalyptique du virus.

Alors que rapportées à leurs populations et mis en perspectives des problèmes sanitaires endémiques qui s’y constatent, ces épisodes,  tout tragiques qu’ils soient dans la réalité de ceux qui les subissent, n’ont hélas rien d’exceptionnel.

Et alors que la campagne « vaccinale » confirme être hasardeuse, dangereuse même, ainsi que parfaitement contraire aux règles et aux principes éthiques devant prévaloir en la matière, l’emballement conduit maintenant à ce qu’il faut bien appeler de nouvelles monstruosités.

Comme l’ouverture dans le canton de Vaud de l’expérimentation génique aux femmes enceintes (malgré l’augmentation constatées des fausses-couches chez les « vaccinées »…), la marche en avant vers la « vaccination » absurde des enfants et adolescents, qui sacrifiera inévitablement un certain nombre d’entre eux qui n’auraient aucunement été à risque ni de faire une forme grave de la maladie ni de la transmettre.

Cette danse de Saint-Guy semblant pour l’instant inarrêtable, il nous restera donc à continuer à en énoncer la tragique et meurtrière absurdité, en soulignant au passage combien la presse (sorry les gars) continue de ne pas faire son travail.

En taisant par exemple les falsifications des études produites par l’industrie, la complicité crapuleuse au tout-vaccinal de certaines autorités de santé (les scandales de corruption se multiplient à l’échelon de l’Union européenne) ainsi que la réalité préoccupante du taux d’effets indésirables et des décès dus à la « vaccination » dans un contexte de reporting défaillant du nombre réel d’accidents.

Bref, le bon peuple-marionnette n’est pas près de cesser de danser au bout de son fil et bien malin qui peut prédire la fin de cette « psycho-pandémie » collective comme l’appelle si à propos Michel Maffesoli.

Restent donc, encore et toujours, quelques sources et ressources pour  raison garder et ne pas être dupes.

Parmi icelles, relevons le travail d’information remarquable produit par quelques collectifs ou médias indépendants -comme bien sûr Réinfo-Covid. Saluons par la même occasion (avec un lien d’intérêt que je m’empresse d’annoncer puisque j’ai l’honneur de participer à cette aventure !) la création en Suisse romande de la plateforme d’information CovidHub.ch. Dont la mission est de donner l’information manquante (parce que filtrée, occultée ou censurée par les médias grand public) qui permettrait à tout un chacun de se forger ses opinions et prendre ses décision en toute connaissance de cause.

Le rôle de la presse, traditionnellement, était de présenter l’information de manière neutre, documentée et nuancée, en évitant de prendre partie dans les querelles idéologiques ou de participer aux humaines magouilles. Depuis qu’elle a été instrumentalisée à cette fin -renonçant au passage à son travail d’investigation sur les questions embarrassantes- , non seulement laisse-t-elle nos démocraties orphelines d’un contre-pouvoir essentiel à leur santé mais participe-t-elle activement comme générateur principal à la psycho-pandémie.

Reste aussi heureusement l’apport salvifique de voix expertes ne cédant pas aux pressions et à la répression de l’omerta, qu’il s’agisse de scientifiques, de penseurs et philosophes, ou de professionnels détenant des pièces du puzzle essentielles à une compréhension restaurée de la relativité et de la complexité des choses.

Parmi celles-ci (je l’ai souvent affirmé, ayant eu l’honneur de recevoir et de re-publier de nombreux textes de qualité) figurent des voix de médecins-psychiatres.

Nous vivons un temps où se multiplient hélas les impacts destructeurs des politiques sanitaires imbéciles qui nous ont été infligées depuis quinze mois, que j’avais prévus et annoncés de longue date. C’est sans doute le pire pour moi dans cette affaire : ne pas être entendu, me voir attaqué voire harcelé par certains suppôts de la dérive en cours ou devenir (temporairement) objet de scandale n’est rien face à ces montagnes de drames qui apparaissent.

Désormais donc, outre une flambée de la détresse psychosociale et des hospitalisations en psychiatrie, outre les faillites à la pelle d’honnêtes travailleurs étranglés puis conduits à la ruine par nos autorités, outre les morts inutiles de dizaines de milliers de personnes qu’il aurait été possible et impératif de soigner, apparaissent des réalités terribles et terrifiantes comme des suicides de jeunes enfants.

A Toulouse, les services de pédopsychiatrie alertent ainsi sur des pendaisons ou des défenestrations d’enfants âgés de six ans et les larmes -que les cyniques se fassent plaisir et se moquent- coulent en l’écrivant.

Comment la population, les familles, les parents, comment des corps de métier entiers comme les médecins et les enseignants, ont-ils pu ne pas voir que nous étions en train de générer une réalité mortifère, morbide, destructrice en particulier pour les groupes les plus vulnérable de la population ?

Notre Constitution -désormais piétinée, abusée, trahie et violentée par ceux qui auraient la charge d’en être les garants- énonce que c’est à la manière dont une société traite les plus vulnérable de ses membres que se reconnaît sa valeur et ses qualités.

Les yeux de ces enfants suicidés nous regardent depuis le fond de leurs tombes.

Et que leur regard puisse enfin collectivement nous hanter à l’heure où les crapuleries continuent à exploiter les lâchetés pour poursuivre envers et contre tout une entreprise de destruction massive des fondements de notre humanité.

C’est avec gratitude et fierté que je publie ici deux textes proposés par des habitués de cette page, les Dr Frédéric Badel et Frédérique Giacomoni. Ces deux médecin-psychiatres font partie des braves qui ne sont pas résignés au silence et à la complicité passive des dérives en cours conduisant à ces réalités terribles qui commencent seulement à nous exploser au visage.

Qu’ils soient remerciés de leur engagement et de leur courage, comme de la confiance qu’ils m’accordent en m’autorisant à re-publier leurs textes sur cette modeste page…

Et puissions-nous enfin, enfin, trouver le chemin de retour vers l’intelligence, le bon sens et le socle même minimal de notre humanité.


COVID-19 : VERS UNE SOCIÉTÉ DU SANS CONTACT ?

Par Dr Frédéric Badel

Quelques paroles de patients, recueillies au cours des consultations, doivent être rapportées en guise d’introduction. Le premier patient avait été hospitalisé pendant plus d’un mois, le second traité en soins externes, mais leurs récits se rejoignent. L’un et l’autre témoignent de la transformation rapide et profonde qu’a subie notre idée du soin, dans une société devenue monomaniaque, soucieuse avant tout de se préserver du Covid.

Le premier patient résume en quelques mots le vécu de bien des malades obligés de séjourner pour un temps plus ou moins long dans des cliniques ou des hôpitaux : « Si je sors pour le week-end, je suis en quarantaine pour une semaine en revenant dans l’établissement… si mes enfants viennent me visiter, ils doivent porter le masque, et je ne peux pas les embrasser… ils doivent rester à deux mètres… on ne peut pas sortir, on est en prison. Si j’avais été mieux, je ne serais pas resté dans ces conditions, ce n’est pas digne, surtout avec les PCR à répétition, on ne peut pas refuser, nos droits ne sont pas respectés ».

Le second, en l’occurrence une patiente, questionne directement notre humanité. Elle se rend à l’hôpital pour quelques heures, pour se voir administrer une chimiothérapie. Les cures antérieures ont affecté sa motricité car le produit a attaqué les nerfs de ses jambes. « Je ne peux pas me déplacer sans aide. Mon mari n’a pas été admis dans l’hôpital à cause du Covid ; il a dû m’attendre à l’entrée. Une patiente qui voulait m’aider à me déplacer s’est fait reprendre par une soignante qui lui a demandé de ne pas me toucher car c’est la règle de distanciation. Vous parlez de soins… on est traités pire que des chiens. Heureusement la patiente ne l’a pas écoutée et m’a aidée. Déjà qu’on est malade, comment voulez-vous qu’on aille bien dans ces conditions ?  C’est inhumain ».

Si la qualité technique des soins n’est généralement pas remise en cause, les conditions de l’accueil et de l’hébergement, régies par les règles nouvelles, interrogent nécessairement car elles déclenchent des réactions d’hostilité, de défiance, voire de violence de la part de patients, peu habituelles en temps normal.

Les mesures d’hygiène prises dans certains établissements de soins, parfois drastiques, font oublier que la santé se définit par un état de bien-être physique, psychologique et social. Deux des trois épithètes ont pâti de la crise, jusqu’à parfois être effacés. Certains patients préfèrent renoncer aux soins non urgents tant ils jugent que les conditions de vie sont dépourvues d’humanité et manquent au respect le plus élémentaire de leur personne qu’ils sont en droit d’attendre en ces lieux, tant ils estiment que les mesures sanitaires sont disproportionnées. Le soin, synonyme de lutte contre le virus, a en effet été diminué de plusieurs de ses dimensions fondamentales comme le souci de l’Autre et de son bien-être, ou la bienveillance envers les malades.

Le propos de ces personnes, souvent devenues dépendantes et vulnérables du fait de la maladie, invite à s’interroger sur le type de gestion de crise que proposent les autorités. Jusqu’où est-il raisonnable d’aller dans la traque d’un virus ? Quel modèle de société point à l’horizon quand la priorité retenue par une certaine science, érigée en guide, est d’éradiquer un virus ou de prévenir toute épidémie, quitte à piétiner un des éléments qui nous fonde de façon ontologique et qui nous situe dans l’humanité commune, à savoir le contact sous toutes ses formes ?

Mesures et démesures

Les mesures « sanitaires » prises pour lutter contre l’épidémie ont essentiellement consisté dans l’instauration de gestes barrière (lavage des mains, port du masque, distanciation sociale) et la réduction des droits des personnes (interdiction de regroupement, jauges multiples, atteinte au droit de travailler et de se déplacer). Si certaines de ces mesures peuvent sembler classiques et de bon sens, comme le lavage des mains ou le port du masque dans des situations précises, d’autres, si elles devaient durer, pourraient rapidement se révéler préjudiciables. L’histoire de l’humanité le montre.

La phylogénèse nous apprend en effet que les animaux les plus anciens, de type reptilien, n’ont que peu voire pas de contacts avec leur descendance. Leur progéniture naît autonome et nombreuse, ce qui permet de pallier les lourdes pertes qui se produisent dès la naissance. Elle n’a pas besoin de l’assistance de ses parents, lesquels ne s’en préoccupent pas. Par exemple les petites tortues naissent en grand nombre sur les plages, sans aide aucune et, malgré les multiples dangers qui les guettent dès la sortie de leur coquille, leur nombre permet le renouvellement de l’espèce. Elles sont d’emblée équipées, sans apprentissage nécessaire, pour tout ce qui est indispensable à leur vie, à savoir se nourrir, se reproduire, se diriger. Leur cerveau est centré sur l’auto-protection pour faire face à la menace. On estime cependant que 98 % d’entre elles n’atteignent pas l’âge adulte.

Cet exemple, édifiant, permet d’illustrer la vulnérabilité de l’espèce quand ses membres n’interagissent pas et quand les rapports entre les vivants n’intègrent pas la dimension du soin, ce qui a été la règle pendant des millions d’années. Or, le passage de la survie à la conservation des espèces s’est réalisé en partie grâce à l’émergence du soin.

Il y a environ 120 millions d’années, les femelles mammifères ont commencé à prendre soin de leur progéniture. Ce phénomène, qui s’est accompagné de la réduction du nombre des naissances pour que la mère puisse investir les petits, se double d’un changement dans le cerveau, lequel permet au petit de se tourner vers sa mère, de chercher sa proximité plutôt que de la fuir, et à la mère de lui assurer soins et protection. Cette interaction va bien au-delà de la préservation de la vie physique. Par les soins prodigués et le contact, le parent stimule en effet le système d’apaisement du petit qui calme à son tour son système de menace. Il suffit de regarder les images fabuleuses filmées par le naturaliste britannique D. Attenborough pour constater la magie du soin dans le monde naturel.

Parce qu’ils naissent avec des capacités d’apprentissage, les petits restent un temps variable avec leurs parents avant de les quitter. L’environnement joue un rôle dans l’épanouissement de ces espèces pour lesquelles l’existence dans son entièreté ne se résume pas au matériel génétique qu’ils détiennent à la naissance.

Ce phénomène s’est poursuivi jusqu’à l’homme avec, comme corollaire, le développement extraordinaire du cerveau ces trois derniers millions d’années. À sa naissance, le petit d’homme est très incomplet et entièrement dépendant de son environnement. À ce stade, certaines zones de son cerveau sont déjà spécialisées et répondent à la gentillesse et à l’affection. Les gènes qui y correspondent sont activés ou désactivés en fonction de la quantité et du type d’affection qu’il reçoit, tout particulièrement au début de sa vie. Ainsi, des modifications du cerveau sont visibles en cas de carences de soins ou d’abus sévères alors qu’elles ne sont pas observées si les soins sont correctement assurés.

Le soin a par ailleurs des effets sur la production d’ocytocine, une hormone importante liée à nos sentiments de sécurité et d’affiliation et qui joue un rôle social majeur. L’ocytocine est en particulier stimulée quand des soins sont prodigués par les parents ou leurs substituts, et il a été établi que le contact physique augmente son taux (câlins, bisous, caresses). Cette hormone intervient dans la capacité à faire confiance, à aimer les gens, à nourrir un sentiment de sécurité. Elle diminue également le stress. Plus largement, il est démontré que les animaux chez qui cette hormone est éliminée ne développent pas d’attachement à leur progéniture.

Le cerveau humain est donc conçu dans son ensemble pour être sensible aux marques d’affection et aux soins issus de l’environnement à travers toute une série de systèmes spécialisés capables de ramener le calme et le sentiment de sécurité.

Pour contrôler les systèmes d’activation des conduites ou ceux de la peur, un système antagoniste est capable de ramener le calme. Il comprend le système parasympathique et certaines zones cérébrales correspondant aux sentiments de bienveillance, d’affiliation et de compassion, la compassion pouvant être comprise comme la capacité qu’a la mère (principalement) à repérer la souffrance de son enfant et à lui venir en aide.

Ces systèmes sont stimulés par le regard, la parole et l’étreinte. L’enfant peut être rassuré ou consolé par un simple contact ou une parole gentille (en thérapie, l’auto-compassion passe par le contact avec son propre corps, par exemple le fait de s’étreindre, et procure de l’apaisement).

Les parties de notre cerveau qui soutiennent et permettent l’attachement et plus largement l’affiliation sont liées à des sentiments d’empathie et d’amitié. Ces sentiments nous permettent d’appréhender le milieu extérieur et nos semblables, de nous sentir dans un même flux d’humanité, de nous considérer comme des humains au milieu d’autres humains, préoccupés, quelles que soient leurs différences, par le souhait d’être heureux et ne pas souffrir. Ce sentiment d’affiliation se développe différemment selon que l’on grandit dans un milieu bienveillant ou dans un milieu plus hostile. L’affiliation est donc étroitement liée au sentiment communautaire.

Ces systèmes codant pour l’apaisement, la bienveillance, la compassion nécessitent une stimulation suffisante, régulière et permanente, pour que l’individu se porte bien, pour qu’il soit en bonne santé.

Cela explique que certaines personnes âgées, isolées, privées de leurs seuls repères affectifs – les visites de leurs proches le plus souvent – se laissent mourir ou développent des troubles cérébraux dégénératifs irréversibles. Pour elles, la vie sans affection n’a peut-être plus de sens et les systèmes neuro-hormonaux perdent leur équilibre, favorisant l’apoptose.

Cet équilibre fragile risque de subir de graves dommages lors chocs importants et/ou prolongés comme le montre l’exemple des personnes qui ont vécu des traumatismes. Ces victimes présentent en effet des modifications de leur fonctionnement cérébral avec une hyperactivation des zones correspondant à la peur et une sous-activation des zones correspondant à l’apaisement. Ces états font suite à des épisodes de peur intense, d’incompréhension ou de sidération plus ou moins durables. Les modifications immunitaires liées au stress peuvent également laisser émerger des maladies auto-immunes, des cancers ou d’autres pathologies somatiques (ulcères, infarctus etc.)

Des mesures délétères

Les mesures prises à partir de mars 2020 et surtout du mois d’octobre de la même année concernent toute la population. Elles ont mis un terme aux rassemblements, à la fréquentation des lieux d’échanges et de socialisation – bars, restaurants, salles de sport et de spectacles-. Nombre d’associations ont également fermé, une part des salariés a été obligée de travailler à domicile en télé travail. Les cours en distanciel ont réduit les échanges également chez les étudiants et les élèves. Les rares échanges qui subsistent se réalisent avec des normes « sanitaires » impliquant une distanciation, le port du masque et une limitation du nombre des personnes qui se regroupent.

Cette nouvelle façon de vivre modifie notre système hormonal, immunologique et cérébral. Il se pourrait même, si ces habitudes devenaient pérennes, que des modifications adaptatives de nature épigénétique (mode de lecture de notre code génétique) apparaissent. Ceci est d’autant plus grave que les études menées sur les personnes ayant subi des traumatismes montrent une transmission de ces traumatismes aux générations suivantes. La nature épigénétique de cette transmission a été mise en évidence.

Les mesures prises pour lutter contre le virus vont donc à l’encontre de ce que sont les humains, des êtres de communication et de contact. Elles sont délétères et nous mettent face à un défi, celui de préserver notre santé. Nous constatons qu’en diminuant la convivialité et les loisirs, la quantité et la qualité des contacts, notre dynamisme et notre joie de vivre s’altèrent. Nous tendons au repli et à l’aboulie. Notre pulsion de vie s’épuise.

Nous pouvons prendre conscience de cette réalité nouvelle pour réagir au mieux et prendre soin de nous. Des modifications de nos habitudes peuvent se révéler salvatrices pour rétablir ou maintenir l’équilibre entre les systèmes activateurs et les systèmes de détente. La source de stress la plus présente réside dans le réseau d’informations qui relaie presque exclusivement des nouvelles qui activent les systèmes de menace.

S’apaiser

Par exemple, il est possible de réduire ces sources de stress en regardant les informations peu de temps, en se limitant aux titres, en faisant des pauses d’informations de plusieurs jours, en s’informant de façon indirecte (réseaux sociaux) pour éviter de subir les chocs émotionnels créés par les annonces.

La réduction du stress peut aussi passer par une alimentation équilibrée, laquelle participe à une bonne digestion et à l’entretien du microbiote (le microbiote comprend des milliards de bactéries, champignons et virus dont le métagénome joue un rôle encore peu connu).

Activer les systèmes d’apaisement constitue égale une cible majeure et plusieurs propositions peuvent être faites en ce sens :

  • Rencontrer les personnes/amis, échanger sur ses expériences actuelles pour aider à trouver du sens et du réconfort et augmenter le sentiment d’affiliation. S’inscrire dans des associations peut être utile et permettre de rencontrer de nouvelles personnes habitant à proximité.
  • Éviter le repli en sortant, utiliser le plus possible les attestations tant qu’elles sont obligatoires. Le repli peut faire le lit de la dépression. Préférer les sorties aux écrans.
  • Pratiquer de l’exercice physique régulièrement (production d’endorphines apaisantes). La marche constitue une activité physique à part entière.
  • Favoriser les pratiques de détente (respiration, yoga, méditation, qi gong, etc), pratiquer des exercices de pleine conscience pour s’extraire des ruminations et apprendre à mieux observer le moment présent pour en profiter. Les anxieux sont très souvent en hyperventilation et la respiration abdominale, comme les exercices de cohérence cardiaque, sont rapidement efficaces pour la diminuer.
    La méditation tournée vers la bienveillance l’émerveillement et la compassion permet de lutter contre les poisons mentaux que sont la colère, la haine, la peur, émotions négatives qui altèrent la qualité de vie. Des études menées récemment auraient montré que la pratique de la méditation diminuerait la vitesse d’érosion des télomères, ces parties distales a priori non codantes des chromosomes qui, avec le temps, se rétracteraient et détermineraient les modifications biologiques du vieillissement.
  • Développer des activités créatrices ou plaisantes: bricolage, dessin, chant, danse, lecture etc.
  • Préserver son sommeil.
  • La prière est également un moyen de se recentrer, de prendre du recul, de donner du sens, de faire corps avec le monde et l’univers.
  • Faire des câlins, caresses, pratiquer la méditation, l’écoute des autres, l’exercice physique et l’activité sexuelle, faire des cadeaux, faire plaisir, rire, garder de l’humour, sont cités pour augmenter le taux d’ocytocine.
  • Avoir des activités agréables, voir les autres et échanger avec eux, les toucher, les embrasser, les étreindre, contribue grandement à maintenir une bonne santé physique et mentale. Toute atteinte prolongée à ces activités fondamentales peut détériorer gravement et durablement ce capital. C’est pourquoi l’isolement social et les privations sensorielles sont classées dans les tortures.

Heurts de fond

La société du sans contact, qui a été imposée de façon irresponsable et arbitraire, sans aucune référence aux pratiques de gestion passée des épidémies, se heurtera toujours à ce que nous sommes de façon pérenne et profonde, des êtres sensibles à la gentillesse, aux marques d’affection et aux contacts. Sa mise en place sera obligatoirement un échec.

La richesse et la diversité des liens sociaux étant un gage de santé, une transgression brutale, forcée et durable de cette humanité ne pourrait se réaliser qu’au prix d’une réduction de population sélectionnant progressivement les mutants de demain, qui auraient par exemple désactivé la production d’ocytocine ou d’autres hormones régissant le lien à l’autre et l’affectivité. Des mutants capables de vivre dans un référentiel totalement différent où l’individualisme règnerait et où tout échange avec l’autre serait devenu inutile. Un monde d’écrans et de machines, de consommation, de travail, dans lequel les notions de loisir, de partage, de convivialité, de contacts, auraient disparu.

Quand bien même ce système oppressant mis en place depuis plus d’un an serait levé, il aura été le moyen de dissoudre les libertés individuelles et d’instaurer un apartheid sanitaire. Les lieux d’échanges et de convivialité ouvriront comme dans le monde d’avant, mais dans un référentiel différent intégrant les barrières sanitaires et l’obsession de la maladie. Le chemin est désormais tracé pour que cette obsession de la maladie et sa hantise nourrissent les prochaines crises sanitaires, lesquelles induiront les mêmes réactions irrationnelles de peur et ouvriront les portes à de nouvelles modifications dans nos relations sociales, nous isolant toujours un peu plus les uns des autres, acceptant d’avantage de réductions de nos droits.

Dr Frédéric BADEL

Mai 2021


« Au fond de moi, je le savais ! »

Par Dre Frédérique Giacomoni

Combien de fois avez-vous pensé ou prononcé cette phrase?
Où situez-vous ce « fond de moi »?
Dans votre tête, dans vos pensées ou bien plutôt quelque part dans vos tripes?

La plupart d’entre nous situons clairement ce « fond de moi » dans les tripes, dans un espace sous le diaphragme et derrière l’estomac. C’est probablement là que se situent l’intuition et les pensées qui jaillissent dans le corps.

L’être humain a cette particularité de pouvoir déplacer son attention là où il le veut. Il peut choisir de la mettre dans sa tête, de suivre toutes ses pensées voire même de s’y accrocher ou de mettre son attention dans son corps par exemple dans cette zone sous le diaphragme et ainsi se connecter directement avec son intuition.

Beaucoup d’entre nous ne ressentent plus ni leur corps, ni leur instinct ou leur intuition et se sentent plus ou moins complètement coupés de leur corps. Cette dissociation totale ou plus souvent partielle selon les personnes provient d’expériences traumatiques répétées. Les traumatismes qui la provoquent sont physiques, bien évidemment, et aussi psychologiques.

Peu importe la nature des trauma psychologiques, le résultat sera toujours le même : maintenir les peurs à un haut niveau, peurs qui empêcheront l’Etre d’évoluer et de grandir en autonomie et en liberté. Les peurs maintiennent l’Etre dans un état de soumission voire d’esclavagisme. Les peurs sont un produit du mental et chacune d’entre elles forme les barreaux de notre prison.  Le mental est une prison. D’ailleurs la technique utilisée par les sectes pour maintenir leurs adeptes dans la dépendance consiste pour le gourou  à créer  ou s’appuyer sur une peur terrible : celle de la mort sous toutes ses formes – peur de la fin du monde, peur d’être banni, peur de l’opinion des autres, peur du rejet du groupe, peur de sortir du rang, peur de la maladie, peur du jugement, peur du regard des autres…-  pour provoquer chez ses adeptes une émotion forte et propose alors LA solution que lui seul détient. Il utilise également d’autres techniques issues de l’ingéniérie sociale qui lui permettent d’empêcher ses adeptes de réfléchir par eux-mêmes. Les adeptes consentent donc à cesser leur réflexion et à s’en remettre au gourou. Ils sont soulagés de ne plus avoir à réfléchir et n’ont plus besoin de tenir compte de leurs ressentis, il suffit de suivre les préceptes du « sauveur, celui qui connaît la solution ». C’est plus confortable pour eux de suivre sans réflexion que de remettre en question leurs propres croyances. Il faut réfléchir à cette phrase de Machiavel : « Celui qui contrôle la peur, contrôle les âmes ».

Lorsque les trauma psychologiques sont répétés, l’être humain se dissocie pour se protéger dans un réflexe de survie. Il se coupe, sans intention consciente de le faire, de son ressenti douloureux et pense ainsi avoir réglé le problème. Or plus il se coupe de ses ressentis et plus il sera amené à le faire. A tel point que la coupure, cette dissociation peut devenir une manière d’être au monde. Dans ce cas terrible, la personne est coupée dans son incarnation et ne peut plus ressentir son intuition. C’est comme si elle avait perdu sa boussole. Certains nomment d’ailleurs cette intuition : la partie divine en soi. Peu importe que l’on croit ou non en Dieu. C’est en se reliant à son corps et à ses tripes que l’être humain peut ressentir sa « pleine conscience ». C’est -à-dire la totalité de sa conscience et pas seulement celle contenue dans sa tête. Devenir conscient c’est sortir de la prison. Le mental réalise alors qu’il pensait être en prison et que ce n’était qu’une illusion.

La totalité de sa conscience nécessite donc de pouvoir relier le mental – les pensées qui viennent de la tête – à l’intuition dans le corps : aux pensées et ressentis qui viennent du corps. Or si la personne est dissociée, elle ne peut plus réaliser cette connexion pourtant essentielle à sa réflexion. Une personne dissociée est donc la candidate idéale pour subir l’influence d’une personne ou de toute autre entité comme un état qui aurait intérêt à la maintenir dans la peur pour mieux la manipuler et la soumettre. Par exemple, beaucoup d’entre nous ont eu des parents qui utilisaient la peur ou la honte pour faire tenir les enfants tranquilles : « tu n’as pas honte? » ;  « Attention, ne fais pas ça, sinon tu vas voir ce que tu vas voir. »…Ce modèle éducatif remonte souvent sur plusieurs générations. A telle enseigne que certains définissent le « mental » comme la somme des peurs de l’humanité!

Si la personne est dissociée, même partiellement, son attention est donc tout le temps captivée par les peurs et cela génère évidemment des tas de troubles, de confusion, de difficultés de tout ordre dont l’incapacité à ressentir ce qui est bon pour soi, ce qui est juste pour soi et ce qui fait sens pour soi.

Je reprends là, comme un exemple, les paroles du Père Kalka qui fût aumônier  dans l’armée française et qui écrit ceci :
« …Mais il y a deux catégories de chef et deux sortes de solitude. Le premier est pendu au câble du téléphone et attend les directives venant d’en haut. Quelles que soient ces directives, il les accepte sans broncher, car il ne pense qu’à son avancement. Le second se met devant Dieu et sa conscience, et décide. Oui, je sais, ce n’est pas évident de prendre ce genre de décision, c’est même très dur d’assumer ainsi cette volonté qui pourrait être, et en général, elle est celle du Ciel. Elle vient toujours du Ciel, d’ailleurs, dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. »

Il décrit très bien la nécessité de se connecter à sa pleine conscience dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. C’est donc essentiel de pouvoir reconnecter le mental, la tête avec le corps et ses ressentis profonds. Il faut aider chacun d’entre nous à se reconnecter avec son intuition. Il faut rétablir la ligne!

Depuis la découverte de l’importance du rôle du microbiote dans la gestion émotionnelle certains n’hésitent pas à parler du tube digestif comme étant notre premier cerveau ! Premier ou deuxième, ce qui compte est de relier ces deux cerveaux et que cette connexion ne puisse pas être interrompue à tout bout de champ.

Une manière de restaurer cette connexion essentielle entre nos deux cerveaux est sans conteste la méditation. Le Dalaï-Lama postule d’ailleurs que si l’on enseignait la méditation dans une classe d’âge à des enfants de 8 ans, la paix dans le monde serait obtenue en une seule génération. Le pouvoir de la méditation de masse créatrice de paix pour réduire la guerre et le terrorisme a été testé à plusieurs reprises, notamment sur la guerre civile au Liban avec une réduction de 70% des décès liés à la guerre. http://www.permanentpeace.org/evidence/war.html

La pratique de la méditation comme outil de développement personnel est depuis longtemps théorisée et relayée par nombre d’auteurs, ouvrages, congrès, théories, recherches…Cette pratique est essentielle et utile comme préalable pour rétablir la connexion en soi tout d’abord. En revanche elle ne doit pas en rester à ce stade car se sentir mieux, se développer, grandir en soi n’est pas une fin en soi! Ce n’est que le début du travail qui n’a de sens que si cette meilleure connexion à SOI permet d’améliorer sa connexion aux autres et à l’AUTRE plus généralement. Cet Autre, ce Tout Autre plus grand que soi. On pourrait aussi le nommer l’intelligence collective ou inconscient collectif. A ce titre j’estime même que le terme de 3ème cerveau serait intéressant. On pourrait ainsi postuler que la pratique régulière de la méditation est l’outil nécessaire, simple gratuit et facilement accessible, puisqu’il s’agit d’un travail sur le souffle, outil nécessaire et indispensable pour connecter les trois cerveaux dont nous avons besoin pour vivre sainement. Lorsque l’être humain parvient à se connecter à plus grand que lui, il apprend à laisser son ego à sa juste place et peut développer sa conscience ou plutôt la totalité de sa conscience en lui et autour de lui.

En étant correctement « aligné » c’est-à-dire en maintenant cette ligne fonctionnelle entre les trois cerveaux  : spirituel (intelligence collective) , organique (mental) et digestif (émotionnel) nous aurons beaucoup moins tendance à utiliser la violence sous toutes ses formes et pourrons améliorer le respect  et la compassion pour toute forme de vie humaine ou non humaine. Le mot compassion est très beau bien qu’il soit difficile d’en trouver une définition parfaitement consensuelle. La définition qui me paraît la plus juste est celle qui fait de la compassion la forme la plus élevée, la plus pure de l’Amour. Les travaux se multiplient pour montrer l’intérêt de la pratique méditative et spirituelle pour aller vers une transformation collective. La crise que nous traversons actuellement est essentiellement spirituelle. Seule une reconnexion de l’être à des valeurs hautes telles que compassion, miséricorde, pardon, amour inconditionnel, beauté, bonté, vérité…peut nous aider à sortir de cette crise qui emprisonne les humains dans leur seule volonté-nécessité  de survivre. La méditation en est un des vecteurs.

Laissons-nous inspirer par cette phrase de Gandhi «  Sois le changement que tu veux voir dans le monde ».

Dre Frédérique Giacomoni

Mai 2021




Covid-19 : témoignages de travailleurs de la santé

[Source : Games N Roses]

Des travailleurs de la santé qui jusqu’à maintenant étaient restés dans l’ombre, mettent enfin un terme à l’omerta du silence imposée sous peine de licenciement. Ces témoignages tant attendus exposent ce qu’elles ont vu en coulisse derrière le rideau du Covid Show. Ce documentaire révèle les incohérences en milieu hospitalier dont elles ont été témoins. Ces témoignages inespérés jusqu’à présent, viennent montrer l’envers de la médaille. Les mensonges propagés par les médias quant à la réalité de ce qu’elles voyaient, seront clarifiés et ce, grâce à ces anges qui étaient en première ligne durant cette « plandémie ». Vous serez aux premières loges également de ce que nos ainés ont subi comme fin de vie…

https://youtu.be/dD4WAMtI8gA



Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid »)

Par Nicole Delépine

Rappel des conventions signées par la France

Une aberration médicale, morale, éthique, légale

Chacun sent bien la précipitation et l’impatience du pouvoir à faire accepter le vaccin à tous les âges de la vie, même les plus incongrus comme les enfants qui sont à risque zéro du covid et ne transmettent le virus ni aux enfants ni aux adultes,(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) (même l’Institut Pasteur ne le conteste plus) et ne pourraient même pas, si ce but isolément était acceptable, participer à une éventuelle immunité collective.

La « vaccination » forcée par des substances géniques

Les populations du monde entier reconnaissent dans la « vaccination » incitée par tous les moyens même les plus incongrus (de la glace offerte au cobaye à la place gratuite pour visiter un parc de loisirs ou le château de Dracula) comme une entreprise mystérieuse et louche. Si un médicament était efficace et sans danger pourquoi faudrait-il utiliser tous les moyens pour l’imposer : du charme et des petits cadeaux à la coercition ?(([2] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les citoyens du monde découvrent en cette année 2021 que le coronavirus a beaucoup moins tué que l’on a voulu le faire croire et que par ailleurs des traitements précoces anodins et peu chers existent, enfin que ce pseudo vaccin dont on ne voit pas l’utilité est de fait une substance génique capable possiblement de modifier le génome. Et ils se demandent la finalité de cette gigantesque entreprise de manipulation des foules bien décrite par de nombreux auteurs.

Le Faust du XXIe siècle, Bill Gates (aidé d’Attali ou autres Laurent Alexandre), aurait-il réussi à imposer son projet de dépopulation qu’il peaufine depuis plus de 20 ans dans de nombreuses conférences et vidéos, avec l’aide logistique des adeptes du forum de Davos ? Bien sûr, il est difficile pour la plupart des gens – normaux – d’imaginer de tels projets totalitaires tant ils sont incroyables, sans les traiter de complotistes, et pourtant nous n’avons qu’à lire leurs ouvrages et réagir s’il en est encore temps.

La liberté individuelle protégée par les lois et conventions internationales(([3] À l’étranger aussi des protestations s’élèvent contre l’obligation pour une substance en essai thérapeutique
Un tribunal néo-zélandais déclare que le déploiement du vaccin Pfizer est illégal (odysee.com) ))

Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel

Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.

Les élus ou commentateurs qui donnent comme argument l’intérêt pour la collectivité de vacciner les enfants, sans l’ombre d’un bénéfice pour eux feraient bien de relire l’histoire de l’eugénisme(([4] Les idées eugénistes remontent à l’Antiquité, où elles furent parfois appliquées (ainsi en Grèce, et plus spécialement à Sparte, où l’on abandonnait à la mort les nouveau-nés anormaux). Elles ne disparurent jamais complètement, resurgissant à diverses époques sous différentes formes, mais sans avoir d’applications, sinon très marginales.

C’est seulement à la fin du XIXe siècle qu’il y eut une véritable théorisation de l’eugénisme. C’est à cette époque, en 1883, que le mot eugenics fut inventé par Francis Galton, à partir du grec ἔυγενης, qui signifie « bien né ». Étymologiquement, l’eugénisme (ou eugénique) se voulait donc la science des bonnes naissances. EUGÉNISME – Encyclopædia Universalis)) et de ses monstrueuses conséquences.

Nous pouvons nous inquiéter sur les effets pervers sur les cerveaux du tragique scénario covid-19 depuis un an et demi, quand nos « philosophes » de plateau comme Onfray ou Enthoven se rangent du côté de l’obligation vaccinale et qu’une « grande historienne » âgée traite le Pr Raoult de criminel dans une émission à large écoute, sans commentaire des journalistes… Comment sortir de la secte covid19 devrait devenir leurs sujets d’étude et les nôtres.

Rappelons ici la tragique doctrine nazie

bien étudiée par René Capitant, ministre de De Gaulle(([5] René Capitant et sa critique de l’idéologie nazie (1933-1939) ,Olivier Beaud dans Revue Française d’Histoire des Idées Politiques 2001/2 (N° 14), pages 351 à 378)) et historien de la montée du nazisme : « la conférence d’Otto Dietrich, chef du service de presse du NSDAP, citée par Capitant :

« La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »(([6]  Conférence de Cologne du 15 nov. 1934))

« La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance  prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».

Les expériences de Milgram, après-guerre, viendront tristement confirmer que les exécutants nazis étaient tragiquement « comme les autres » et que personne ne peut affirmer échapper à sa part sombre, comme Hannah Arendt le démontre si bien.

Le code de Nuremberg

La prise de conscience des peuples du monde entier, à la suite de la découverte des camps d’extermination nazis et de la « banalité du mal » bien décrite par la philosophe Hannah Arendt, du fait que l’horreur pouvait être le produit de gens « comme tout le monde » a conduit à l’idée d’élaborer des garde-fous juridiques. La naturelle obsession du « plus jamais ça » a conduit à la suite du procès des nazis à l’élaboration de règles intangibles d’abord résumées dans le code de Nuremberg.

Mais 70 ans ont passé et manifestement les enseignements tirés des procès de Nuremberg se sont estompés de la mémoire collective comme en témoigne la banalisation de l’euthanasie compassionnelle facile à des enfants atteints de cancer certes incurable. Cette euthanasie compassionnelle d’être « vivants » imposée à l’hôpital par des médecins ailleurs n’y voyant pas mal, nous a montré depuis les années 90 et 2000 qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que la bête immonde resurgisse. Qui peut décider qu’une vie ne vaut pas la peine d’être vécue ?(([7] NicoleDelepine – Soins palliatifs et oncopédiatrie))

L’avenir de l’Humanité après injection large de substances géniques est inconnu

Le projet de vaccination d’enfants par des substances géniques en essai thérapeutique de plus en plus évoqué sur les médias, comme une préparation à son acceptation inéluctable, pour « retrouver les libertés » (ironie de la présentation) fait craindre une des pires attaques contre l’Humanité, ses libertés, son avenir. Le risque d’atteintes des organes reproducteurs souligné par de nombreux chercheurs et spécialistes de l’ARN messager permet de craindre un retentissement sur la fertilité. Le fait que les essais soient loin d’être terminés rend impossible de rassurer les citoyens comme se permettent de le faire trop de médecins et trop de médias. Le doute fertile était jusqu’à 2020 une caractéristique de toute démarche scientifique.

Les garde-fous installés après les horreurs nazies permettront-ils de garder la raison, en attendant les procès que préparent les avocats du corona comité depuis bientôt un an et qui devraient se tenir d’ici quelques semaines, selon les informations de leur créateur et coordinateur Reiner Fuellmich.

Il est temps de rappeler l’état du Droit qui doit nous permettre rapidement de faire sombrer ce projet catastrophique aux risques majeurs en fonction des données théoriques et malheureusement des essais déjà en cours.(([8] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

La référence des provaccins et de Mr Tout le Monde qui assène : tu as bien reçu le DTpolio sans tant d’histoires nécessite deux remarques majeures :

« les vaccins anticovid ne sont pas des vaccins au sens de la définition du dictionnaire ».(([9] NOM MASCULIN Culture d’un microbe qui, sous forme atténuée, est inoculé à une personne afin de la préserver de la maladie correspondante. « Un vaccin contre la rougeole, la méningite. »))
« ces substances sont expérimentales, car aucun de leur essai phase 3 n’est terminé »

CADRE JURIDIQUE DIFFÉRENT DE CELUI DES VRAIS VACCINS(([10] comme le tétanos, etc. ))

Les mal nommés vaccins contre le Covid ne sont pas des vaccins au sens pastorien du terme : ils ne contiennent pas d’antigènes. Ce sont des produits génétiques ARN messagers (Pfizer Bion Tech et Moderna) et ADN recombiné (Astra Zeneca et Johnson) … Le fait que ces pseudovaccins sont des produits génétiques les change de cadre juridique par rapport à un vaccin classique.

LES SUBSTANCES GÉNIQUES INJECTÉES COMME VACCINS SONT EN ESSAI THÉRAPEUTIQUE

Sous AMM conditionnelle. Elles n’ont qu’une homologation provisoire tant à la FDA qu’à l’EMA sous forme de mise sur le marché conditionnelle valable seulement en cas d’urgence pandémique (actuellement en fin de course).(([11]  https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/vaxzevria-previously-covid-19-vaccine-astrazeneca

https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use))

D’après les études de plus en plus nombreuses, les produits à base d’ARN messager semblent pouvoir modifier l’ADN du patient et/ ou l’épigénétique.

En conséquence : comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental susceptible de modifier le génome d’un patient violant ainsi les dispositions de la convention d’Oviedo que la France a ratifié ?

CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ ET CONVENTION D’OVIEDO JURIDIQUEMENT OPPOSABLE(([12] suite à la déclaration d’Helsinki et juridiquement opposable))

« Art. L. 1111-4. – Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé. »
« Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. »

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

EN FRANCE, LA LOI KOUCHNER S’OPPOSE À LA VACCINATION OBLIGATOIRE QUI IMPOSE LIBRE CHOIX ET CONSENTEMENT VÉRITABLEMENT ÉCLAIRÉ

Ainsi comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental en respectant les dispositions de la loi Kouchner, donc en donnant au patient des informations précises sur l’efficacité et l’assurance de l’innocuité alors que les fabricants eux-mêmes ne s’engagent pas sur ces points-là dans les contrats ?

Voici les contrats Pfizer BioNTech et Moderna signés avec la Commission Européenne. Par exemple dans le contrat Pfizer : page 48-4 et 48-5, ainsi que 53-6

« L’État Membre Participant reconnaît que le vaccin et le matériau lié au vaccin, ainsi que leurs composants et matériaux constituants, sont en cours de développement rapide en raison des circonstances d’urgence de la pandémie COVID 19 et continueront d’être étudiés après la fourniture après la fourniture aux états membres participants dans le cadre de l’APA (Advance Purchase Agreements).

L’état membre participant reconnaît en outre, QUE LES EFFETS À LONG TERME, ET L’EFFICACITÉ DU VACCIN NE SONT PAS CONNUS ACTUELLEMENT ET QU’IL PEUT Y AVOIR DES EFFETS INDÉSIRABLES DU VACCIN NON CONNUS À L’HEURE ACTUELLE.

En outre, dans la mesure du possible, l’état membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé. »

PAGE 48-4

« Les états membres participants déclarent et garantissent que toutes les autorisations et approbations nécessaires ont été ou seront obtenues avant l’exécution de toutes les obligations contenues dans le présent document. »

PAGE 48-5

(RESPONSABILITÉ) Les États membres participants qui acquièrent un vaccin sont responsables du déploiement et de l’utilisation des vaccins dans le cadre de leur stratégie nationale de vaccination et assument toute responsabilité associée à cette utilisation et à ce déploiement.
LES TERMES ET CONDITIONS DE L’APA, DÉSENGAGENT LA RESPONSABILITÉ DES FABRICANTS DE VACCINS. »

PAGE 53-6

LE CODE DE LA CONSOMMATION S’OPPOSE À L’OBLIGATION DE LA SUBSTANCE GÉNÉTIQUE EN ESSAI

Les substances en essai thérapeutique ne peuvent pas être rendues obligatoires : violation du code de la consommation. il n’existe aucune garantie sur l’aspect sécuritaire des produits

fondement, en autres : article l121-6 Abrogé par Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 – art. 34 (V)Modifié par LOI n°2014-344 du 17 mars 2014 – art. 130

« Les pratiques commerciales trompeuses sont punies d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 300 000 €. Le montant de l’amende peut être porté, de manière proportionnée aux avantages tirés du manquement, à 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel, calculé sur les trois derniers chiffres d’affaires annuels connus à la date des faits, ou à 50 % des dépenses engagées pour la réalisation de la publicité ou de la pratique constituant le délit.

Les personnes physiques déclarées coupables encourent également à titre de peines complémentaires l’interdiction, suivant les modalités prévues à l’article 131-27 du Code pénal, soit d’exercer une fonction publique ou d’exercer l’activité professionnelle ou sociale dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise, soit d’exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d’administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour leur propre compte ou pour le compte d’autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d’exercice ne peuvent excéder une durée de cinq ans. Elles peuvent être prononcées cumulativement.

Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l’article 121-2 du même code, de l’infraction définie au présent article encourent, outre l’amende suivant les modalités prévues à l’article 131-38 dudit code, les peines prévues aux 2° à 9° de l’article 131-39 du même code. L’interdiction mentionnée au 2° du même article 131-39 porte sur l’activité dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise. Les peines prévues aux 2° à 7° dudit article ne peuvent être prononcées que pour une durée de cinq ans au plus. »

Le code de Nuremberg de 1947, la déclaration d’Helsinki qui en a découlé et les réunions régulières de l’AMM (Association Médicale Mondiale)(([13] Détaillés dans notre article récent sur nouveau-monde.ca avec le code de Nuremberg in extenso
« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([14] L’ASSOCIATION MÉDICALE MONDIALE (AMM) EST UNE ORGANISATION INTERNATIONALE DE MÉDECINS. (infos extraites du site de l’AMM)

« Fondée le 17 septembre 1947, alors que des médecins de 27 pays se réunissaient en première assemblée générale à Paris avec pour “objectif d’assurer l’indépendance des médecins et les plus hautes normes possibles en matière d’éthique et de soins” — mesures particulièrement importantes pour les médecins après la Seconde Guerre mondiale.

L’AMM est une confédération d’associations professionnelles libres. Elle est financée par les contributions annuelles de ses membres dont le nombre s’élève aujourd’hui à 115 et constitue pour ses associations membres un forum de libre communication et de coopération active dont le but est de parvenir à un consensus sur les plus hautes normes d’éthique médicale et de compétence professionnelle et de promouvoir l’indépendance professionnelle des médecins.

L’AMM a pour objectif de servir l’humanité en s’efforçant d’atteindre les plus hautes normes internationales en matière d’enseignement médical, de science médicale, d’art médical, d’éthique médicale et de soins de santé pour tous les peuples du monde.

L’organisation élabore, sous la forme de déclarations, de résolutions ou de prises de position, des recommandations éthiques pour les médecins, directives utiles pour les associations médicales nationales, les gouvernements et les organisations internationales du monde entier. Ces textes traitent une multitude de questions, notamment les droits du patient, la recherche sur les sujets humains, les soins en temps de conflit armé, la torture des prisonniers, l’utilisation et l’abus des médicaments, le planning familial et la pollution.

Autres domaines d’activité : droits de l’homme en relation avec la santé – promotion et défense des droits fondamentaux du patient et du médecin, enseignement médical — soutien des médecins pour une amélioration continuelle de leurs connaissances et de leurs compétences, planification des ressources humaines pour les services de santé, sécurité du patient (…).

L’AMM entretient des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La collaboration avec les associations professionnelles de santé, les agences gouvernementales et non gouvernementales et les associations médicales régionales renforce sa capacité à fournir les meilleurs soins possibles aux patients du monde entier. En particulier, l’Alliance mondiale des professions de santé (www.whpa.org) combine les forces des associations professionnelles de médecins, d’infirmières et de pharmaciens pour défendre les plus hautes normes de santé possible pour tous les peuples du monde ».))(([15] DÉCLARATION D’HELSINKI : recherche médicale impliquant des sujets humains document politique le plus connu de l’AMM. La première version adoptée en 1964 a été révisée sept fois, la dernière révision datant de l’Assemblée générale d’octobre 2013. La version actuelle (2013) est la seule version officielle. En 2014, l’AMM a édité une publication pour commémorer le 50e anniversaire de l’adoption de la Déclaration d’Helsinki. « La Déclaration d’Helsinki de L’association Médicale Mondiale : 1964-2014 50 ans d’évolution de l’éthique dans la recherche médicale ». untitled (wma.net) ))(([16] Cette Déclaration a pour objectif de traiter de la collecte, du stockage et de l’utilisation de données et de matériels biologiques identifiables, au-delà des soins individuels prodigués aux patients. En concordance avec la Déclaration d’Helsinki, elle énonce des principes éthiques complémentaires relatifs à leur utilisation dans les bases de données de santé et les biobanques.)) s’opposent à l’obligation vaccinale

Si on reprend l’analyse des faits reprochés aux nazis durant NUREMBERG, on est dans les mêmes caractérisations en obligeant les gens à se faire injecter un produit en essai clinique sans consentement éclairé ! Nous avons souligné ailleurs que les principales expériences reprochées aux médecins nazis condamnés à Nuremberg étaient justement des essais de vaccins.(([17] L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1, s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés :

vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes).

Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller.

Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald.

Comment un universitaire spécialiste de l’éthique ou des philosophes comme Onfray peuvent-ils avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. »

L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort. Mais l’oubli est venu.

Entendra-t-on à nouveau cette sordide chanson macabre contre un virus peu létal utilisé comme leurre pour mettre en soumission à la chinoise les peuples qui l’accepteront ?

Depuis mars 2020, nous sommes, paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier et ne le sera pas plus demain quand viendra l’heure des procès.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications ?

Vacciner par un vaccin validé par des essais rigoureux les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres, quels qu’ils soient est criminel et inacceptable !

LE SERMENT D’HIPPOCRATE ET LE SERMENT DE GENÈVE(([18] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le Serment ne doit pas être lu seul, mais parallèlement aux politiques plus spécifiques de l’AMM, notamment le Code International d’Éthique Médicale, faisant suite à la Déclaration de Genève dès 1948.[5]

DEVOIRS GÉNÉRAUX DES MÉDECINS

  • LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
  • LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
  • LE MÉDECIN NE DEVRA PAS se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste. (…)

Est-ce acceptable ? Les politiques de tous bords nous laisseront-ils retomber dans la folie totalitaire quand ils auront en main ces éléments remis en exergue ?

L’idée d’obligation vaccinale revient comme un serpent de mer dans le monde et nous n’avons malheureusement pas échappé aux onze vaccins obligatoires et sans fondement sanitaire imposés par Mme Buzyn, la même qui a interdit l’usage libre de la chloroquine en janvier 2020 et est maintenant protégée des poursuites dans un poste de l’OMS. Pourquoi revenir aujourd’hui pour une maladie à risque zéro pour les enfants :(([19] Les enfants ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas ni aux adultes ni aux enfants.)) pour Big Pharma doublé d’une mise en soumission de la population ?

Le consentement éclairé est violé chaque jour (vacciner en voiture et vacci drive ?) et la volonté affichée du ministre de la Santé et de Mr Fischer membre d’administration de Rothschild, de vacciner les enfants qui ne risquent rien du Covid nous horrifie.

Rappelons le discours de Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU en 2016 au moment de la discussion sur les vaccinations obligatoires des nourrissons malheureusement imposées par Mme Buzyn.

Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » pour une expérience d’une nouvelle molécule peu ou pas testée, qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé ?

Ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsqu’une ministre de la santé puis des membres du Conseil de l’Ordre ou des médecins connus se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas »(([20] déclaration de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, vendredi 29 mai 2015)) et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, institution fondée sous Vichy pour obliger les médecins à appliquer les directives de nazis français ?

La vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale. La vaccination, comme tout acte médical, relève du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, Américaine, qui en parle le mieux.

Le professeur M Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le discours du Pr M Holland devant l’assemblée générale de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination.

Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….).

Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif ?

En 2005, l’UNESCO (…) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (…), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondée sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que “le seul intérêt de la science ou de la société” ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée “D’abord ne pas nuire”, ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du “troupeau”. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’étaient déjà produit “ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste” avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations. »

En conclusion

RAPPELONS À NOS ÉLUS QUE LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE

pour les états. Sommes-nous prêts à violenter toutes nos lois, notre éthique, mais aussi les traités internationaux ?

La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne.(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.

Il s’agit, dans le domaine biomédical, du seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme. La Convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration des Droits de l’Homme. Elle établit les principes fondamentaux relatifs à la pratique de la médecine quotidienne, à la recherche biomédicale, à la génétique et à la transplantation d’organes et de tissus, au consentement éclairé, au droit au respect de la vie privée et au droit à l’information.





«Marche pour la liberté» : manifestation d’ampleur à Londres contre les restrictions sanitaires

[Source : RT France]

[Photo : © HENRY NICHOLLS Source: Reuters.
Les manifestants étaient nombreux à Londres.]

Lassés par la poursuite des restrictions sanitaires, des milliers de Britanniques se sont rassemblés dans les rues de Londres pour protester, entre autres, contre le pass sanitaire, et faire part de leur méfiance vis-à-vis des vaccins anti-Covid.

Une «Marche pour la liberté» organisée à Londres a attiré le 29 mai plusieurs milliers de participants, venus protester contre la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement britannique. Cette manifestation, la dernière en date d’une série dans la capitale anglaise, s’inscrit dans un mouvement plus large dans les pays européens.

Ce 29 mai, la mobilisation a rassemblé des personnes mécontentes des fermetures prolongées imposées par le gouvernement, critiques du pass sanitaire, ou encore qui se méfient des vaccins contre le Covid-19.

David Kurten, ancien membre du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (Ukip), a estimé que le rassemblement était plus important que celui du week-end dernier, qui avait réuni plusieurs milliers de personnes.

Au Royaume-Uni, la défiance vis-à-vis des politiques gouvernementales a été alimentée par l’évolution du discours des autorités, qui avaient initialement affirmé que les restrictions seraient imposées pour une courte durée avec l’objectif d’«aplanir la courbe» des infections Covid-19 et d’empêcher que les hôpitaux soient débordés, mais qui se sont ensuite prolongées pendant des mois.

Le gouvernement de Boris Johnson a récemment mis en garde contre le variant indien, en raison duquel l’assouplissement promis des restrictions dans le pays pourrait être remis en question. Les pubs et les restaurants d’Angleterre ont récemment été autorisés à servir à nouveau les clients à l’intérieur par groupes de six maximum et d’autres lieux publics ont vu leurs restrictions partiellement levées. Les rassemblements publics en plein air sont normalement limités à 30 personnes.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87231-marche-pour-liberte-manifestation-ampleur-londres-restrictions-sanitaires




Bruxelles : plusieurs milliers de manifestants contre les restrictions anti-Covid, le pass sanitaire

[Source : RT France]

[Photo : © HATIM KAGHAT / Belga Source: AFP
Les manifestants au Bois de la Cambre le 29 mai 2021.]

Entre 2 000 et 3 000 personnes ont protesté contre les restrictions sanitaires ce 29 mai à Bruxelles, faisant notamment part de leur opposition à la politique vaccinale et au pass sanitaire européen, ou encore au port du masque.

Ce 29 mai, entre 2 000 et 3000 manifestants, selon 7 sur 7 et La DH, sont descendus dans les rues de Bruxelles pour protester contre les restrictions anti-coronavirus, se réunissant notamment au Bois de la Cambre, lieu habituel de rassemblements.

Ils marchaient en fin d’après-midi en direction du Parlement européen, notamment pour protester contre la politique vaccinale dans l’Union européenne.

Le site du Soir indique que, dans ce rassemblement non autorisé, se retrouvaient des coronasceptiques, des anti-masques et quelques soutiens au militaire fugitif Jürgen Conings, qui avait proféré des menaces contre un virologue et des représentants de l’Etat. Le média assure que des opposants aux vaccins et au pass sanitaire étaient d’ailleurs venus «de plusieurs pays européens», dont de nombreux Néerlandais et Allemands selon la RTBF.

Malgré quelques fumigènes, la manifestation s’est déroulée dans le calme, comme le fait savoir une journaliste présente sur place.

Quelques tensions sont toutefois apparues quand les manifestants ont été empêchés d’approcher du Parlement européen, mais le calme est vite revenu.

Selon Sud Info, en début de soirée, des manifestants ont pris la direction du parc du Cinquantenaire, scandant «liberté, liberté». «Une petite bagarre a eu lieu entre des manifestants et des cavaliers de la police», note le site d’information.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87229-bruxelles-plusieurs-milliers-manifestants-contre-restrictions-anti-covi-pass-sanitaire




Livre accablant, prétentions « printanistes » et slogans séditieux par pseudo-hirak en mode « bis repetita » !

Par DJERRAD Amar

[Ndlr : même si cet article est écrit plus spécialement à destination de la communauté algérienne au Canada, il peut intéresser d’autres personnes qui souhaitent connaître davantage la réalité algérienne, l’auteur Amar DJERRAD vivant lui-même en Algérie.]

C’est alors que des forces sont apparues, chevauchant la vague, portant des slogans insolites et hasardeux entrant dans le cadre « printaniste » et « islamistes » exigeant qu’on « enlève tout le monde », entendre même ceux à l’origine de la déchéance du pouvoir… Des slogans surgissant curieusement au moment où les poursuites judiciaires battent leur plein !

Un livre-enquête accablant, des répliques « ad personam » !

Il a fallu donc un livre-enquête bien documenté par des preuves incontestables, citant des associations et des personnalités algériennes fiancées par des organismes impliqués dans la « printanisation » de certains États pour que les mis en cause, leurs serviteurs, leurs soutiens médiatiques internes et étrangers (surtout français) répliquent, en se relayant, pour tirer à boulets rouges sur la personne de l’auteur (de ses préfaciers et de son éditeur) non pas pour apporter les preuves du contraire, mais pour dénigrer, jusqu’à l’insulte, sa personne, sa probité, son patriotisme et même ses compétences et son éducation !

Ces mensonges, matraquages que ces « opposants » algériens d’ici et de l’étranger, aidés par des officines imposantes et puissantes, injectent leur venin, en fait, depuis des années dans le but de dominer les consciences et caporaliser la jeunesse. Les voilà, par leur comportement désespéré, mis à bas par un seul livre, leur donnant des cauchemars tels, que les rachado-démocrates n’ont rien trouvé comme arguments que de le qualifier, par colère et dépit, de « kouteyb » (opuscule), de pamphlet, de brochure… ! Logiquement c’est aux concernés de répliquer par des preuves tangibles et non à Rachad, depuis Londres ou Genève. Le « kouteyb » vise des personnes et des associations sensées de la mouvance « démocratique » et c’est les islamistes de Rachad qui interviennent, feignant le sentiment d’en être éprouvé, en ripostant par un livre de 3oo pages écrites par un panel d’une dizaine de personnes ; sans avoir apporté la moindre preuve du contraire ! Que des attaques « ad personam » !

Financements étrangers, pseudos-hirak impurs, slogans séditieux

Les citoyens patriotes doivent plutôt lire le livre du Dr Bensaada pour faire leur propre opinion et éviter de prêter l’oreille aux trompettes des félons et aux chants langoureux des sirènes qui n’attirent que les stupides et les cupides ! Mieux vaut se fier à l’original qu’à son interprète ! Ils trouveront les preuves documentaires que des personnalités et associations algériennes ont bien été financées par la NED américaine liée à la CIA et par Canal France International lié au Quai d’Orsay ! Il est toujours utile de le rappeler : selon les publications du Dr Bensaada, Le Collectif des Familles de Disparus en Algérie (CFDA) a bénéficié de la NED de la somme de 462 900 dollars (entre 2001 et 2014); cela fait en monnaie locale plus de 6 milliards de centimes ! Le RAJ-Algérie (rassemblement-actions-jeunesse) a bénéficié de la NED d’un financement de 427 000 dollars entre 1997 et 2019. Soit plus de 5,6 milliards de centimes ! La LADDH (Ligue Algérienne de Défense des droits de l’homme Algérie) a bénéficié d’un financement de 117 000 dollars de la NED entre 2002 et 2010 (sauf en 2004). Soit plus de 1,5 milliard de centimes ! Radio M de El Kadi Ihsane, financée par « Canal France International (CFI) » qui dépend du Quai d’Orsay. Entre 20 000 et 80 000 euros (soit entre 300 millions et 1 milliard de centimes). Pour cette radio, la somme est plus proche de 80 000 euros (selon Bensaada). Alors, que peuvent-ils répondre ? Rien à ce jour.

Beaucoup, restent encore à cancaner, depuis l’étranger en ne cessant pas de déverser leur fiel en espérant voir l’Algérie dans le chaos pour conforter leur thèse que rien ne marche en Algérie sans un tuteur colonialiste, islamo-khilafiste ou sans une partition ! Tout ce que fait l’Algérie de « bon », est « mauvais » pour eux pendant que tout ce qu’ils « conseillent » est meilleur en déversant leur rage et leur jalousie maladive contre tous ceux qui la défendent !

Certains sont bien d’infâmes personnages aux mains griffues et à la langue fourchue. Ils ne lâchent rien de toutes les opportunités qui se présentent à leur face et à leurs oreilles toujours aux aguets. Ils ne ratent rien des faits et actes de gouvernance et de gestion régulières pour sonner l’hallali dans l’objectif de nuire en organisant et finançant d’hypothétiques et impurs « pseudo-hirak » en mode « bis repetita » sans autorisation et sans organisateurs déclarés avec slogans évolutifs vers la sédition ! Pour cela, ils trompent, mentent, déforment en usant de tous les moyens abjects ; en exagérant les « faits divers », en diabolisant tout ce qui vient du « pouvoir » et de « son Armée », des services de sécurité et de la justice, allant jusqu’à exacerber la maladie du Président, qui s’est soigné du Covid19, en l’assimilant à celle de Bouteflika, lui prédisant le même sort ! N’est-ce pas démoniaque ?

Pour ces individus dont le « pouvoir » ou le chaos est devenu une fixation jusqu’à la déraison, l’Algérie est bien un pays définitivement perdu pour eux !

Le changement passe par le vote et non par une « phase de transition » qui écarte le peuple !

Est-il acceptable et logique que le Hirak original des débuts qui a regroupé des centaines de milliers de citoyens dans une douzaine de grandes villes d’Algérie criant des slogans clairs et précis comme « non au 5e mandat », « changement du système de gouvernance », « yetnehaw ga3 (on les enlève tous) », « armée et peuple des frères » puis « poursuite judiciaire des pontes corrompues » puisse se transformer en slogans opposés après avoir obtenu l’essentiel des revendications (possibles dans l’immédiat) avec l’aide agissante de l’Armée dont on a réclamé d’assumer la responsabilité ! C’est alors que des forces sont apparues, chevauchant la vague, portant des slogans insolites et hasardeux entrant dans le cadre « printaniste » et « islamistes » exigeant qu’on « enlève tout le monde », entendre même ceux à l’origine de la déchéance du pouvoir, le chef de l’État intérimaire, les ministres intérimaires, le refus de toutes nouvelles élections, même après l’élection au suffrage universel du nouveau Président ! Des slogans surgissant curieusement au moment où les poursuites judiciaires battent leur plein ! Des centaines de milliers dans au moins une douzaine de grandes villes le « hirak » a vu le nombre de ses manifestants se réduire comme peau de chagrin pour se limiter à 3 / 4 villes ne regroupant que quelques milliers puis quelques centaines ! Il faut dire que les slogans sont devenus clairement séditieux ! Contre le Président, contre l’Institution militaire en s’attaquant à ses officiers, contre les services de sécurité ; les qualifiant tous de « traitres » à la nation et au Peuple, contre les législatives en préparation malgré un nouveau code électoral des plus démocratiques, avec mode de scrutin à la « proportionnelle » avec vote « préférentiel » c’est-à-dire que l’électeur algérien doit choisir son ou ses candidats au sein de sa liste préférée ; bannissant ainsi le stratagème privilégiant les « têtes de liste » ! Ils réclament, par contre, le changement par une « phase de transition » (anticonstitutionnelle), sans vote du peuple, que dirigerait un trio de personnalités inconnues dont les noms sont balancés par un certain professeur, depuis la France !

Ce que le terrorisme le plus barbare, aidé par des forces occultes, durant plus d’une décennie, n’a pas obtenu par une guerre — contre le Peuple avec ses femmes et hommes, ses intellectuels, ses cadres, ses démocrates, ses journalistes, son armée pourtant non préparée et formée durant contre la guérilla — ces « démocrato-khilafistes », incompétents et fripons croient l’obtenir par la propagande, le mensonge et la subversion ? En plus, contre un peuple immunisé et une armée, plus forte par ses hommes, son armement et son professionnalisme, reconnue puissance africaine et méditerranéenne qui compte géopolitiquement !

Si la politique algérienne, nos gouvernants, notre Armée inquiètent et dérangent à ce point ces milieux hostiles qui nous « veulent du bien », c’est que l’on est assurément, au minimum, sur la bonne voie ! Ils « battront le tambour » autant de fois qu’ils voudront, rien d’inquiétant n’arrivera !

A.D




« Littéralement criminel » : Pierre Kory accuse la suppression des données sur l’ivermectine d’avoir coûté « un demi-million de vies »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir

Lors d’une récente conférence Zoom, le Dr Pierre Kory, de l’Alliance Front Line COVID-19 Critical Care, a exposé de nombreux détails montrant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a sciemment supprimé les données sur l’efficacité de l’ivermectine contre le virus afin de favoriser les intérêts de Big Pharma en matière de vaccins.

Article initialement paru sur worldtribune.com et traduit par France Soir, cet article faisant écho à l’analyse du Collectif citoyen publiée le 23 décembre dernier :
Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel

« C’est criminel », a déclaré Kory. « C’est littéralement criminel ». Le médicament « aurait pu sauver un demi-million de vies cette année s’il avait été approuvé ».

Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».

Il se compose de cinq parties :

L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.

Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. Le participant institutionnel le plus flagrant, cependant, reste l’OMS.

Pierre Kory est l’auteur principal d’une revue scientifique des études sur l’ivermectine dans le monde, qui a été publiée dans l’édition de mai-juin de The American Journal of Therapeutics.

Comme indiqué sur le site web du FlCCC, il y a eu au total 56 essais impliquant 469 scientifiques et 18 447 patients. Parmi ceux-ci, 28 étaient des essais contrôlés randomisés (ECR), le type d’essai considéré comme faisant autorité dans la communauté médicale.

Ensemble, ces essais ont montré une amélioration de 85 % en tant que mesure préventive contre la maladie lorsqu’elle est prise avant l’exposition. On a constaté une amélioration de 78 % chez les patients lorsqu’il est administré tôt et de 46 % lorsqu’il est administré tard. Une amélioration de 74 % de la mortalité a été constatée et une amélioration de 66 % sur plusieurs domaines dans les 28 essais contrôlés randomisés.

Dix jours seulement après sa publication, l’article sur l’ivermectine a été classé numéro 13 des articles les plus lus parmi plus de 200 000 autres publications scientifiques parues dans le même temps, rapporte Kory. Sur les 17,7 millions d’articles suivis par la source de notation depuis sa création, l’étude sur l’ivermectine est déjà classée 246e.

Pierre Kory estime que l’accueil réservé à l’article est un bon signe et qu’il voit « un changement se produire ».

Par ailleurs, il note que son équipe est loin d’être seule. « Le docteur [Tess] Lawrie est l’un des experts mondiaux en matière d’élaboration de lignes directrices et d’examens systématiques. Son groupe seul, ainsi que son initiative indépendante, le consortium BIRD (British Ivermectin Recommendation Development), sont parvenus à la conclusion que l’ivermectine devrait être la norme de soins. Notre article est également arrivé à cette même conclusion. Nous ne sommes pas les seuls. Le professeur [Satoshi] Omura, lauréat du prix Nobel, et son groupe du Japon, ont publié un article concluant la même chose. Un autre groupe indépendant d’Espagne et d’Italie » a fait de même.

Plus important encore, a-t-il ajouté, « l’élément clé de tous ces groupes… est que nous sommes des groupes d’experts indépendants. Aucun d’entre nous n’est en conflit. Aucun d’entre nous n’a d’autres intérêts que le serment que nous avons prêté en tant que médecins, à savoir le soin de nos patients ».

Une partie du problème est que les entreprises donatrices de l’OMS ne se contentent pas de fournir des fonds, elles déterminent tous les aspects de la recherche et fournissent même les équipes de recherche.

« Regardez d’où vient l’argent. Maintenant, l’argent est assorti de conditions », a déclaré M. Kory. « Les gens donnent de l’argent à l’OMS, mais ils disent ‘nous voulons que vous fassiez ceci ou étudiez cela. Nous voulons que vous fassiez appel à nos consultants, à nos experts et à nos scientifiques ». Beaucoup d’entre eux viennent de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière a presque complètement infiltré cette organisation ».

Lorsque « vous examinez le médicament d’un œil critique, surtout en cas de pandémie, vous ne pouvez qu’arriver à la conclusion objective qu’il s’agit de la norme de soins », a déclaré M. Kory. « Et il a vraiment un impact phénoménal dans le monde entier ». Au Mexique et en Inde, par exemple, « les taux de mortalité et d’hospitalisation ont absolument chuté » là où l’ivermectine était utilisée.

Selon Pierre Kory, le véritable problème de ce médicament est qu’en plus d’être efficace, sûr et facilement disponible, il est très bon marché. L’ivermectine ne coûte que quelques dollars par dose. Cela oppose le médicament aux intérêts financiers de plus de 100 milliards de dollars à tirer des vaccins.

« Je ne peux pas imaginer dans l’histoire des produits pharmaceutiques, un intérêt concurrent aussi profond et aussi vaste que celui qui est déployé contre la petite ivermectine », a déclaré Kory. « L’intérêt contre elle est vraiment presque incalculable ».

Des organismes de santé autrefois fiables, comme l’OMS, sont devenus les principaux défenseurs des intérêts de leurs bailleurs de fonds, Big Pharma et les vaccins. En conséquence, selon Pierre Kory, l’OMS, avec d’autres organismes, supprime activement les nombreuses preuves de l’efficacité de l’ivermectine afin de les soustraire à la vue du public. Les preuves de cette affirmation sont étonnantes. En examinant le rapport du groupe d’experts de l’OMS sur l’ivermectine, il a déclaré :

« Ce qu’ils font n’est pas subtil. Il est évident que celui qui était en charge de ce panel avait un objectif non scientifique. »

« Numéro un, il n’y avait pas de protocole pour exclure les données. Ils étaient donc libres de rejeter tout essai qu’ils jugeaient inapproprié à leur objectif », a noté Pierre Kory. « Et devinez quoi ? Ils l’ont fait. Ils ont jeté un grand nombre d’essais que leur propre équipe Unitaid avait découverts et rassemblés au cours des derniers mois. »

L’énormité la plus importante, selon M. Kory, est une phrase du rapport de l’OMS que leurs chercheurs n’ont même pas pris la peine de défendre, « elle dit simplement : ‘Nous n’avons pas examiné les essais contrôlés randomisés et la prévention du COVID-19’. Aucune raison de le faire, aucune raison de ne pas le faire. Nous ne l’avons tout simplement pas fait ».

L’un des indicateurs les plus importants de l’efficacité d’un médicament sont les données sur la relation dose-effet, explique  Pierre Kory. « Ils ont délibérément évité de mentionner » les données sur la relation dose-effet. « Ils ont complètement omis des données vraiment importantes, car si elles sont là, c’est un énorme pilier scientifique qui montre l’efficacité. »

Ils n’ont pas non plus inclus les études épidémiologiques, comme celle de Juan Chamie, qui dure depuis un an et a été présentée à l’OMS. Cette étude montre « que partout où l’on fait de la distribution et de l’adoption à grande échelle, on voit le nombre de cas et de décès chuter ».

« Quand j’ai lu ça, je connaissais ces données. J’avais la tête entre les mains et je me suis dit que ces gens étaient des criminels. Ils sont littéralement des criminels », a déclaré Pierre Kory. Lorsque le rapport examine si l’ivermectine est sûre ou non, il fait remarquer que « c’est tout simplement comique ».

Voir aussi le debriefing de Pierre Kory : « Ivermectine : nous avons un traitement qui marche ! »

S’agissant d’un médicament utilisé depuis plus de 40 ans, avec des milliards de doses administrées et un meilleur bilan de sécurité que l’aspirine ou le Tylenol, dit-il, l’OMS a trouvé trois études qui contiennent une suggestion d’effets indésirables. Le groupe d’experts a alors déterminé, selon Pierre Kory, « que cela ne fonctionne pas, car nous avons rejeté toutes les données montrant que cela fonctionne. Mais vous savez quoi, nous voyons que cela pourrait être nocif. Je veux dire, [c’est] absolument ridicule ce qu’ils font ».

En revanche, l’OMS a autorisé le remdesivir pour le COVID-19, qui coûte entre 2340 et 3120 dollars, sur la base d’une seule étude réalisée auprès de 800 patients. Cette étude a révélé que le remdesivir ne réduit pas la mortalité, et réduit la durée d’hospitalisation des survivants de deux jours en moyenne.

En 2018, l’OMS a recommandé l’ivermectine pour le traitement de la gale sur la base de 10 essais contrôlés randomisés portant sur seulement 852 patients. Elle a fait de même pour l’ivermectine comme traitement des strongyloïdes, une infection parasitaire, sur la base de cinq essais contrôlés randomisés et de 591 patients.

Cependant, 28 essais contrôlés randomisés portant sur près de 3 000 patients n’ont pas suffi à l’OMS pour approuver cette thérapie salvatrice pour le COVID-19.

« L’OMS a effectivement commis une action criminelle », a déclaré M. Kory.

« Ce qu’on voit là, ce n’est clairement pas de la science« .

M. Kory

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir


[Complément : études médicales sur l’efficacité de l’Ivermectine pour traiter la Covid-19 :]






Révolution de 1789 : le détail qui tue…

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

[Ndlr : l’auteur perçoit une cause fondamentale unique derrière la situation. Est-ce réellement le cas ? Comme il le conseille, c’est à chacun de faire ses propres recherches. Cependant, Internet n’est probablement pas suffisant, car on y trouve de tout et son contraire et que certaines parties de cet univers virtuel manquent presque totalement de fiabilité, voire d’honnêteté. Il peut être alors utile de compléter des recherches virtuelles par la lecture d’ouvrages d’Histoire et d’autres domaines, d’auteurs variés et aux opinions éventuellement contradictoires afin de peser le pour et le contre et de faire la part des choses.]

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Il y a des moments où je m’interroge sur la passivité et la crédulité des Français. Je n’arrive pas à croire qu’il y ait une telle masse de dégénérés, incapables de réfléchir, incapables d’analyser, incapables de comprendre que nous vivons actuellement le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

Alors je me dis qu’il faut qu’il en soit ainsi, il faut que des gens meurent en masse pour qu’une partie des endormis finisse par réaliser ce qui se passe vraiment. Et malgré ça, je suis certain que nombreux continueront à croire la télé ou le gouvernement qui leur diront : « ils sont morts du Covid, d’un variant particulièrement virulent… »

Nom de Dieu de nom de Dieu !! Mais quand allez-vous ouvrir les yeux ? Quand allez-vous comprendre qu’avec la vaccination, nous faisons l’objet d’un génocide programmé qui selon les propres mots de Bill Gates permettra de réduire la population mondiale de 10 à 15% ?

Vérifiez-le si vous ne me croyez pas. Internet est là pour ça !!

Ce plan criminel est planifié depuis des dizaines d’années ! Et pour l’avoir dénoncé, le Président John F. Kennedy l’a payé de sa vie, il a été assassiné !!!

Si vous n’avez pas de la merde à la place du cerveau, vous parviendrez très rapidement à identifier ceux qui ont conçu ce plan criminel. Et c’est facile !!!
Qui sont ceux qui rêvent de nous réduire en esclavage ? Qui sont ceux qui prétendent qu’ils sont nés pour dominer le monde ? Qui sont ceux qui nous décrivent comme étant du bétail né pour les servir ?

Il faut vous faire un dessin ?

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Savez-vous que la Révolution française a été démarrée par 300 ou 400 personnes à Paris ? Ils n’étaient pas des milliers, pas des dizaines de milliers, pas des millions mais quelques centaines de gens payés par les usuriers !!

Savez-vous que la première loi votée par l’Assemblée Constituante en octobre ou novembre 1789 a été la légalisation de l’usure ? La légalisation du prêt avec intérêt ?

Pendant qu’on mettait le pays à feu et à sang, les faux révolutionnaires agissaient pour le compte des banquiers en faisant voter une loi que des siècles de monarchie ont refusé, à cause de son immoralité et du danger qu’elle représente pour un pays, pour un peuple, pour une nation !

Français ignorants et endormis, nos ancêtres ont fait la révolution pour faire de nous les esclaves des banquiers !! Le saviez-vous ça ? Et vous continuez à croire ce que les livres d’histoire nous racontent ?

Nathan Rothschild a déclaré :

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois. »

Ses descendants possèdent désormais plus de 193 banques nationales dans 193 pays du monde. Vous comprenez ce que cela signifie ? Ils possèdent la planète ! Nos gouvernements sont leurs employés, leurs serviteurs, leurs domestiques !! Et maintenant ils considèrent que nous sommes trop nombreux et qu’il faut nous éliminer par la maladie, par le test, par le vaccin après nous avoir empoisonnés par la nourriture industrielle qui est à l’origine de l’explosion des cancers, des maladies cardiaques et cardio-vasculaires !

Alors réveillez-vous, car si Klaus Schwab et les gens de sa tribu réussissent leur coup, nous gémirons et pleurerons toutes les larmes de notre corps en nous demandant comment nous avons fait pour être aussi abrutis, pour être les responsables de nos malheurs, les fossoyeurs de nos propres vies, les idiots qui sont allés à l’abattoir de leur plein gré…

Nous n’avons pas besoin d’être des millions pour renverser cette tyrannie mais quelques centaines de milliers d’hommes courageux et déterminés. N’attendons rien des faibles, des soumis et des ignorants !! Il en va de nos vies, de nos familles, de nos enfants, de notre peuple et de l’avenir de cette nation !

Et pour ce qui me concerne, je suis prêt à sacrifier ma vie !




Selon le président de Microsoft, 1984 d’Orwell pourrait advenir dès 2024

Par Jean-Michel Grau

La vie telle que décrite dans le roman 1984 de George Orwell « pourrait se réaliser en 2024 » si les législateurs ne protègent pas le public contre l’intelligence artificielle, a averti le président de Microsoft.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

S’exprimant dans l’émission Panorama de la BBC, Brad Smith a déclaré qu’il sera « difficile de rattraper » la technologie qui progresse rapidement.

L’émission a exploré l’utilisation croissante de l’IA par la Chine pour surveiller ses citoyens.

Les critiques craignent que la domination de l’État dans ce domaine ne menace la démocratie.

« Si nous ne promulguons pas les lois qui protégeront le public à l’avenir, nous allons constater que la technologie avance à toute allure, et il sera très difficile de la rattraper », a déclaré M. Smith.

« Je me souviens constamment des leçons de George Orwell dans son livre 1984. Vous savez que l’histoire fondamentale était celle d’un gouvernement qui pouvait voir tout ce que chacun faisait et entendre tout ce que chacun disait, tout le temps. Eh bien, cela ne s’est pas produit en 1984, mais si nous ne faisons pas attention, cela pourrait se produire en 2024. »

« Dans certaines parties du monde, la réalité rattrape de plus en plus cette vision de la science-fiction », a-t-il ajouté.

Brad Smith, président de Microsoft

L’intelligence artificielle chinoise

L’ambition de la Chine est de devenir le leader mondial de l’IA d’ici 2030, et beaucoup considèrent que ses capacités sont bien supérieures à celles de l’UE.

En 2019, la Chine a battu les États-Unis au niveau du nombre de brevets obtenus par les institutions universitaires pour l’innovation dans les technologies d’IA.

54 % des 770 millions de caméras de vidéosurveillance dans le monde se trouvent en Chine, selon une étude de Comparitech.

L’émission a donné aussi l’occasion d’entendre Eric Schmidt, ancien directeur général de Google et actuel président de la Commission de sécurité nationale américaine sur l’intelligence artificielle.

Celui-ci a prévenu qu’il était impératif de battre la Chine en matière d’IA :

« Nous sommes dans un conflit stratégique géopolitique avec la Chine », a-t-il déclaré.

« Le moyen de gagner est de rassembler toutes nos ressources afin de mettre en place des stratégies nationales et mondiales permettant aux démocraties de gagner dans le domaine de l’IA. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à un avenir où d’autres valeurs nous seront imposées. »

Dr Eric Schmidt, président de la Commision de sécurité américaine sur l’IA

Le Dr Lan Xue, qui conseille le gouvernement chinois, invité aussi de l’émission, a déclaré que la reconnaissance faciale pourrait se révéler « extrêmement utile » pour identifier les personnes dans les rassemblements de masse « en cas d’accident majeur. »

« La Chine a en effet fait d’énormes progrès en matière de développement technologique », a ajouté le Dr Xue. « Les États-Unis ressentent cela comme une menace et ils ont voulu lancer cette guerre froide sur la technologie. »

« Bien que la Chine ait des différences énormes dans ses valeurs et sa politique, la vision du monde de ce pays n’est pas la convergence, mais la coexistence. La Chine ne cherche pas à exporter ses valeurs », a déclaré le Dr Keyu Jin, professeur associé à la London School of Economics.

Le projet Maven

Le Dr Schmidt est devenu conseiller du Pentagone en 2016, tout en conservant un poste de président exécutif d’Alphabet, la société mère de Google.

Dans les années suivantes, Google a entamé un contrat avec le Pentagone, lui permettant d’utiliser certaines de ses technologies de reconnaissance d’images dans le cadre d’un projet militaire.

Le projet Maven utilisait l’apprentissage automatique pour distinguer les personnes et les objets dans des vidéos de drones.

« Maven était à l’époque un moyen de remplacer les yeux humains par une vision automatique pour les séquences de drones qui étaient utilisées dans les différents conflits arabes », a déclaré le Dr Schmidt. « Je considérais l’utilisation de cette technologie comme une chose positive pour la sécurité nationale et un bon partenariat pour Google. »

Du sang sur les mains

Mais le projet a reçu des critiques de la part d’employés de Google qui ont démissionné, et ont lancé une pétition contre le projet.

« Google ne devrait pas être impliqué dans le commerce de la guerre », a déclaré Laura Nolan, ingénieure logiciel qui a démissionné en 2018, lorsqu’elle a découvert la nature du projet sur lequel Google travaillait. « J’avais un peu l’impression d’avoir du sang sur les mains » a-t-elle ajouté.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

Elle a fait valoir que la technologie pourrait être utilisée dans de futures décisions de ciblage.

Mais Google a déclaré que son IA ne serait utilisée qu’à des fins non offensives, avant de se retirer complètement du projet Maven en juin 2018.

Le Dr Schmidt a déclaré qu’il pensait que la technologie qui pouvait aider les militaires à prendre les bonnes décisions était néanmoins une « bonne chose. »

Course à l’armement de l’IA

Mais le ministère de la Défense américain continue de chercher des partenariats dans la Silicon Valley, pour tenter de remporter la course mondiale aux armements en IA.

Seth Moulton, président du groupe de travail américain sur l’avenir de la défense, exhorte les entreprises technologiques à soutenir le ministère de la défense :

« Parce que nous sommes dans une course, nous sommes dans cette compétition. C’est vraiment de quoi il est question », a-t-il déclaré. « Va-t-on nous aider à gagner cette course ou bien va-t-on essentiellement être contre nous ? La Chine n’a pas le même système de gouvernement que nous.

La course à l’armement en matière d’IA pourrait-elle conduire à un conflit avec la Chine ? Absolument. »

Le Dr Xue reconnaît qu’il existe un potentiel de conflit :

« Mais ce n’est pas inévitable : les États-Unis et la Chine devraient vraiment collaborer pour éviter que cela ne se produise. »

En attendant ce vœu pieux chinois, Panorama a découvert des preuves « choquantes et effrayantes » selon le Daily Mail,(([2] dailymail.co.uk/sciencetech/article-9625719/Microsoft-president-Brad-Smith-warns-life-like-Orwells-1984-2024.html?ico=embedded)) montrant que la Chine utilise déjà l’IA pour surveiller sa population, y compris une technologie qui prétend être capable de « reconnaître les émotions » et de déterminer la culpabilité.

« Le documentaire se base sur des preuves apportées par un ingénieur informatique qui a déclaré anonymement, car il craint pour sa sécurité, qu’il avait aidé à installer le système dans les commissariats de police de la province du Xinjiang, qui abrite 12 millions de Ouïghours, principalement musulmans. Il a déclaré ainsi :

« Nous avons placé la caméra de détection des émotions à trois mètres du sujet. C’est similaire à un détecteur de mensonges, mais il s’agit d’une technologie beaucoup plus avancée. Elle est utilisée pour confirmer le préjugé des autorités sans aucune preuve crédible. Le score informatique révèle que le suspect est dangereux, il doit donc être coupable de nombreux actes répréhensibles qui n’ont pas encore été avoués. »

L’IA conventionnelle utilise une entrée pour « enseigner » un algorithme sur un sujet particulier en lui fournissant d’énormes quantités d’informations. Elle peut donc être utilisée à des fins néfastes, comme c’est le cas en Chine où elle tente de déterminer la culpabilité des personnes interpellées par la police. »(([3] medias-presse.info/le-president-de-microsoft-previent-la-vie-deviendra-comme-celle-de-1984-dorwell/143056/))

Si même le président de Microsoft s’inquiète des dérives totalitaires où peut mener l’intelligence artificielle, c’est qu’il y a vraiment péril en la demeure. Il est certainement mieux placé que Klaus Schwab pour comprendre le monde cauchemardesque vers lequel cela peut mener.

Traduction et adaptation : Jean-Michel Grau





Guide de survie pour Républicains en péril: le macronisme, voilà l’ennemi !

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Le parti les Républicains (LR) joue son existence à la prochaine élection présidentielle. Or, semaine après semaine, les sondages indiquent que l’ancien parti de gouvernement n’est plus capable de placer un candidat au second tour de l’élection présidentielle. Dans « Les Droites de Husson », cette semaine, je propose une stratégie élémentaire de rebond à un parti dont se demande s’il est encore doté d’un instinct de survie.

Les sondages pour la présidentielle se suivent et se ressemblent. Lundi 24 mai, le sondage mensuel IFOP-Fiducial pour LCI et Le Figaro annonce une nouvelle fois un second tout Macron-Le Pen. Les protagonistes gagnent même légèrement en intentions de vote au premier tour, tandis que le second tour donne 54-46. Une nouvelle fois LR, même avec Xavier Bertrand, est hors jeu. C’est confirmé, s’il en était besoin, par un sondage Harris-Interactive/Challenges et par un sondage YouGov pour l’Internaute, qui montrent que Xavier Bertrand, Valérie Pécresse et Laurent Wauquiez n’arrivent pas à rayonner dans l’opinion au-delà de leur bon enracinement régional. Les Républicains sont face à une interrogation stratégique de base: quand on a deux adversaires, quel est celui qu’on doit affronter le premier puisque c’est celui qu’on a le plus de chances de vaincre? Il est bien évident que Marine Le Pen est le plus fort des deux adversaires. Il vaut mieux concentrer le combat politique sur Emmanuel Macron.

La bonne intuition de Guillaume Peltier

Un membre de la direction de LR semble avoir compris les enjeux. Dans l’entretien qu’il a accordé à Valeurs Actuelles, paru le 28 mai, Guillaume Peltier, vice-président de LR, tranche avec les propos habituels que l’on entend chez LR dans la mesure où l’adversaire politique qu’il désigne, c’est Emmanuel Macron et non Marine Le Pen.

« Contrairement à la bien-pensance, je le dis, Marine Le Pen n’est pas l’ennemi de la République (…) Emmanuel Macron est le pire président de la Ve République. Il est le président du record de la dette (2 500 milliards), des impôts (1 000 milliards par an), de la pauvreté (10 millions de pauvres), de l’immigration (2 millions de nouveaux étrangers depuis 2017), de l’insécurité (700 agressions par jour en France). Au fond, Emmanuel Macron incarne l’alliance entre le gauchisme culturel et la mondialisation financière ».

On a envie de dire à Guillaume Peltier: encore un effort, vous y êtes presque. Comme Michel Keyah et Eric Verhaeghe l’ont analysé dans nos colonnes cette semaine, le problème n’est pas d’abord « la finance » mais le mondialisme. Le renversement de Margaret Thatcher par son propre parti fin 1990, le passage aux États-Unis du libéralisme patriotique de Ronald Reagan au globalisme des Bush et des Clinton ont mis en place une redoutable machine à casser l’économie de marché et le capitalisme. Quand il n’est plus soumis à l’arbitrage des juridictions nationales ni stimulé par la concurrence entre nations, le libéralisme se transforme en son contraire: ce que Klaus Schwab appelle Great Reset est à l’opposé de la « révolution conservatrice » d’une Margaret Thatcher ou d’un Ronald Reagan, ces disciples de Hayek.  

Le Great Reset version Macron

Emmanuel Macron vient de donner une illustration de ce que la droite LR, si elle était fidèle à ses racines gaulliennes et pompidoliennes, devrait désigner comme le projet qu’elle combat sans répit. Il a prononcé le discours d’ouverture du sommet « Sauver le bien commun » co-organisé par la Toulouse School of Economics et le magazine Challenges. Occasion pour lui d’envoyer des signaux appuyés à la gauche:  « Nous avons laissé le capitalisme se déployer sans garde-fou, nous l’avons laissé se dévoyer – trop dérégulé, trop court-termiste, au point parfois de devenir fou. Ce schéma de pensée n’est plus adapté au monde actuel, car il ne prend pas assez en compte les biens communs, comme la préservation de la planète ou la justice sociale, ce qui sous-tend pour l’humanité la possibilité de poursuivre son chemin« . Le Président a justement rappelé son engagement pour « une fiscalité juste et robuste des entreprises multinationales ». Entendez la tentative d’imposer par l’intermédiaire du G7 ou de l’Union Européenne un taux universel minimal de l’Impôt sur les Sociétés. Emmanuel Macron est, dans ce combat, aux côtés de la gauche du Parti démocrate américain et d’une Angela Merkel qui ne cache plus, à quelques mois de quitter le pouvoir, ce qu’elle doit à sa jeunesse en RDA. 

Voici également comment le Président a présenté le fait que la France connaisse la part des dépenses publiques la plus élevée des économies occidentales: 63% en 2020« Nous sommes un des pays de l’OCDE qui répare le plus les inégalités par sa fiscalité et l’ensemble de ses aides et ses dispositifs de soutien« . Il a également annoncé son intention, malgré la crise des Gilets Jaunes, de revenir à la charge en matière de fiscalité écologique: « Nous courrons à l’échec si nous cherchons à décourager une action polluante par un signal prix trop vigoureux, si aucune alternative crédible n’est offerte. La France a fait l’expérience d’une politique incomplète en la matière : il faut offrir un accompagnement social massif pour permettre aux classes moyennes, aux classes populaires, de pouvoir franchir ce pas« . Non content d’avoir endetté le pays à presque 120% de son PIB, Emmanuel Macron annonce son intention de continuer: « Quant aux finances publiques, il faut raisonner à l’inverse de ce que nous faisons aujourd’hui : fixons-nous nos objectifs de croissance et donnons-nous les moyens de les atteindre. Cela ne veut pas dire endosser quelque laxisme budgétaire que ce soit, mais plutôt de réinventer un cadre rigoureux d’évaluation de la qualité de la dépense publique. »  Ah la belle langue de bois ! Demain on rase gratis: « Visons plus de croissance, car c’est le seul chemin qui nous permet de viser plus de protection sociale, plus d’innovation, plus d’investissement dans la transition écologique, plus d’égalité et de justice dans nos sociétés mais aussi entre les continents ». 

Le macronisme, voilà l’ennemi !….

Le macronisme, voilà l’ennemi ! La stratégie politique de LR devrait tenir dans ces mots simples. On n’existe pas en politique si on ne sait pas ce qu’on combat. Ou bien si on se trompe d’adversaire. Les Républicains sont à la croisée des chemins. Soit ils s’obstinent dans l’impasse du chiraquisme (« Nous n’avons qu’un ennemi, le Front National! ») et ils escamotent les raisons de la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012. Soit ils comprennent deux choses fondamentales: 1. Ils se privent de toute chance d’être au second tour en ciblant Marine Le Pen plutôt qu’Emmanuel Macron dans un scrutin où le vote des Français va se structurer autour de la question du rejet d’Emmanuel Macron.  2. Marine Le Pen sera éventuellement élue mais son programme économique est inconsistant et elle ne semble pas, jusqu’à aujourd’hui, avoir compris qu’un renouveau de l’Etat régalien et de la faculté à en financer les postes budgétaires passe par une nouvelle « révolution conservatrice », une libération des forces entrepreneuriales et créatives du pays qui périssent actuellement étouffées sous des monceaux de régulation et une fiscalité délirante. 

Pour que la défaite, souhaitable, du président sortant, ne débouche pas sur un énorme ratage, le pays a besoin d’une droite entrepreneuriale qui joue tout son rôle à côté de la droite régalienne. 




Le Forum économique mondial annule son édition à Singapour

[Source : La Presse]

(Zurich) Le Forum économique mondial, connu sous le nom de Forum de Davos, annule l’édition 2021 qui devait se tenir à Singapour, ont annoncé lundi ses organisateurs, précisant que la prochaine rencontre n’aura lieu qu’au premier semestre 2022.  

AGENCE FRANCE-PRESSE

Le lieu, mais aussi la date définitive seront déterminés ultérieurement, en fonction d’une réévaluation de la situation au cours de l’été, ont précisé les organisateurs de cet évènement qui rassemble habituellement le gratin de la politique, de la finance et de la diplomatie dans la station chic des Alpes suisses de Davos.

Cette édition annuelle du Forum économique mondial (WEF) devait se tenir en août à Singapour, mais les organisateurs ont finalement annulé alors que la Cité-État, jusqu’à présent très peu touchée par la pandémie de COVID-19, a annoncé la semaine dernière une série de restrictions pour juguler une récente hausse du nombre de cas.  

« Ce fut une décision difficile, notamment en raison du grand intérêt de nos partenaires à se réunir non seulement virtuellement, mais aussi en personne, pour contribuer à un monde plus résilient, plus inclusif et plus durable », a déclaré le professeur Klaus Schwab, son fondateur et président exécutif, cité dans le communiqué.  

« Mais en fin de compte, la santé et la sécurité de toutes les personnes concernées restent notre priorité absolue », a-t-il ajouté.

Les organisateurs du Forum ont annulé cette édition, invoquant notamment les perspectives incertaines en matière de voyages, la mise en œuvre des stratégies de vaccination à des vitesses différentes ainsi que l’incertitude autour des nouveaux variants qui « font qu’il est aujourd’hui impossible d’organiser une rencontre internationale réunissant des dirigeants d’entreprises, de gouvernements et de la société civile à l’échelle initialement prévue », précise le communiqué.

Avec la crise sanitaire, les organisateurs du Forum avaient d’abord décidé de déplacer l’évènement ailleurs en Suisse, sur les sommets du Bürgenstock, près de Lucerne, avant d’opter pour Singapour face à l’envolée des infections dans le pays alpin durant l’automne.

La date de l’édition à Singapour qui devait permettre aux participants de se rencontrer sur place, initialement prévue fin mai, avait cependant déjà été repoussée une première fois. Elle devait finalement se tenir du 17 au 20 août.  

En janvier, le WEF avait néanmoins organisé un sommet virtuel consacré aux grands sujets du moment, dont la pandémie et le nationalisme vaccinal ou encore la crise économique.  




Étude Pfizer : 79% d’enfants de plus de 12 ans vaccinés ont développé des effets indésirables

[Source : report24.news]

[Traduction automatique partiellement révisée.]

Le 19 mai, Pfizer/Biontech a publié une fiche d’information de 37 pages sur la sécurité et l’utilisation de leur vaccin. Il se réfère à l’état actuel des études de vaccination dans le cadre de l’autorisation d’urgence de l’AEE (Autorisation d’utilisation d’urgence). Ces contenus sont passés sous silence par les médias traditionnels, qui préfèrent réciter le dogme des gouvernants: les avantages seraient plus importants que les dégâts, les enfants seraient en danger. En réalité, les enfants tombent très rarement ou légèrement malades, mais 80% d’entre eux sont susceptibles d’avoir des effets traumatiques lorsqu’on les vaccine.

Comme en Allemagne, où nous avons publié hier une statistique sur la base des données de l’Institut Paul Ehrlich (les statistiques suggèrent que le risque de vaccination pour les moins de 50 ans est considérablement plus élevé que le risque de Covid), la répartition par âge des maladies Covid problématiques aux États-Unis est en baisse. À titre d’exemple, à New York (8,4 millions d’habitants), 24 décès d’enfants et d’adolescents de moins de 18 ans sont à ce jour associés à la Covid-19. 18 d’entre eux avaient des antécédents de maladie grave, et 2 étaient en attente de confirmation. Peu des enfants et des adolescents sont atteints de covid-19, voire pas du tout. C’est ce que confirme également la CDC: La plupart des enfants diagnostiqués Covid [Par tests PCR] ont des symptômes légers ou pas du tout.

Ce tableau actuel montre la répartition des décès liés à Covid-19 dans la grande ville américaine de New York (8,4 millions d’habitants).

Les antécédents médicaux comprennent: asthme, maladies cardiaques, système immunitaire affaibli, surpoids, diabète, maladies rénales, maladies du foie et cancer.

Source: Service de santé publique de la ville de New York, https://www1.nyc.gov/site/doh/covid/covid-19-data-totals.page

Malgré des cas moins critiques, on pousse à la vaccination

Pourtant, les médias système et les autorités sanitaires frappent l’imagination des gens : les enfants seraient en danger et doivent être vaccinés d’urgence avec les vaccins expérimentaux. Les données de Pfizer/Biontech montrent [pourtant] que jusqu’à 80% des enfants développent des effets secondaires qui peuvent entraîner un traumatisme grave et qui, très probablement, ancrent une profonde méfiance envers le système de santé dans la conscience des personnes vaccinées. En effet, les enfants et les adolescents âgés de 12 ans et plus ne peuvent pas décider seuls de leur vaccination, et la vaccination est toujours obligatoire pour les personnes protégées et les personnes sous tutelle.

Taux d’effets indésirables extrêmement élevé

La nouvelle fiche d’information indique que la vaccination biontech/pfizer a été testée sur 1.097 enfants et adolescents âgés de 12 à 15 ans. 78,9% des personnes vaccinées, soit 8 66 enfants sur 1 097, ont développé une forme ou une autre d’effet secondaire. Chez 466, les effets indésirables sont décrits comme « légers », 393 sont « modérés » et 7 sont considérés comme « graves ».

L’étude a été évaluée en double aveugle, et en plus des 1 127 avec la première dose et 1 097 enfants et adolescents vaccinés avec la deuxième dose, 1.127 et 1.078 ont été vaccinés avec une solution saline sous forme de placebo. Les différences sont extrêmement significatives, parmi les enfants vaccinés par un vaccin réel, plus de 5 fois plus d’enfants se plaignent d’effets indésirables au cours des 7 premiers jours.

Un enfant sur cinq développe une forte fièvre

Les effets indésirables ont été:

Première vaccination
Fièvre supérieure à 38 degrés C
(114)
Fatigue (677) Maux de tête
(623) Fresque (311)
Vomissements (31)
Diarrhée (90)
Douleurs musculaires (272)
Douleurs articulaires (109)

Deuxième vaccination

Fièvre supérieure à 38 degrés C (215)
Fatigue
(726)
Maux de tête (708) Fresseaux (455)
Vomissements
(29) Diarrhée (65)
Douleurs musculaires (355)
Douleurs articulaires (173)

Les effets indésirables graves pouvant être observés plus fréquemment chez les vaccinés que chez le groupe témoin sont une appendicite potentiellement fatale. Ici, Pfizer / Biontech rejette néanmoins tout lien avec la vaccination.

Les effets indésirables graves envisagés pour 660.000 enfants en cas de vaccination

Le nombre d’effets indésirables graves est estimé par Pfizer/Biontech entre 0,4 et 0,8% des personnes vaccinées. Actuellement, environ 82 millions d’habitants âgés de 0 à 19 ans vivent aux États-Unis. (Source: Population pyramid). Si tous ces enfants et adolescents étaient vaccinés, on peut s’attendre à de graves effets secondaires chez 330.000 à 660.000 personnes! Cela est dû à un nombre de décès de 295 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans (incohérences dues aux données disponibles, mais une comparaison ou une évaluation est possible sans problème). Les chiffres correspondants des personnes présumées décédées de la Covid-19 sont annexés à cet article.

Les statistiques et les expériences d’autres pays nous ont fait comprendre que de nombreux décès sont également à prévoir. La Norvège a arrêté la vaccination d’Astrazeneca pour des raisons statistiques, car on s’attendait à ce qu’au moins 10 enfants meurent en cas de vaccination. Les chiffres attendus sont nettement plus élevés et plus dramatiques aux États-Unis.

Haute vigilance recommandée

Pfizer/Biontech appelle le personnel médical qui administre les vaccins à indiquer tous les effets indésirables dans la base de données VAERS américaine. La soumission des données est obligatoire dans les cas où un vaccin a été mal administré, où des effets indésirables graves surviennent, où des réactions inflammatoires graves surviennent ou où des patients doivent être hospitalisés ou étritionnés après vaccination pour Covid-19.

Annexe: Répartition par âge des morts présumés de Covid dans l’ensemble des États-Unis

Les États-Unis comptent 328,2 millions d’habitants. Une infection Covid-19 a été rapportée pour 295 décès (!) d’enfants et d’adolescents, en plus d’autres diagnostics. Source: CDC

Les antécédents de maladie ou de maladie concomitante ont été enregistrés chez 388 personnes décédées de moins de 25 ans (le tableau ne suit malheureusement pas de façon cohérente le premier). Il en résulte qu’aucun enfant ou adolescent n’est mort « exclusivement » du Covid-19.




Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 25 mai 2021

Par Dr Gérard Delépine

[Photo : VACCINATION D’UN ISRAÉLIEN DANS UN CENTRE MÉDICAL À HAIFA, LE 11 JANVIER 2021.AFP – JACK GUEZ]

https://ripostelaique.com/israel-analyse-des-resultats-de-la-vaccination-et-de-ses-contre-parties.html

Le suivi de l’épidémie en Israël permet de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise, justifiant une nouvelle analyse avec 5 mois de recul. Les avocats de la vaccination prétendent que la campagne de vaccination d’Israël serait un succès démontrant l’efficacité du Pfizer. Pourtant tant les moyens utilisés que les résultats cliniques actuels sont franchement inquiétants.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63% de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais de vaccination éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’un sur paiement des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des Israéliens sans que ceux-ci n’aient été préalablement consultés.

De plus, les méthodes utilisées sont très discutables : propagande mensongère cachant la nature expérimentale de ce médicament nommé à tors vaccin,(([1] Selon Pasteur un vaccin est un ensemble d’antigènes injecté pour induire la création d’anticorps spécifique. Le prétendu vaccin de Pfizer ne comporte pas d’antigène viral mais une protéine supposée induire la formation d’anticorps. Ce type de traitement n’a jusqu’ici jamais été utilisé pour prévenir des infections chez l’homme.)) censure féroce des opposants empêchant tout débat démocratique, chantage au confinement et création d’un pass vaccinal restreignant les libertés des non-vaccinés. Ces méthodes n’ont pas respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki(([2] DÉCLARATION D’HELSINKI DE l’Association Médicale Mondiale – PRINCIPES ÉTHIQUES APPLICABLES À LA RECHERCHE MÉDICALE IMPLIQUANT DES ÊTRES HUMAINS La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations »… Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’autodétermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche. 25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire.)) ni les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour le traitement expérimental qu’est le vaccin Pfizer (car les résultats des essais phase 3 ne sont espérés qu’en 2023).

Quoiqu’il en soit, cette pseudo vaccination massive représente un essai phase 3 sauvage(([3] Dans un essai phase 3 traditionnel tous les malades sont enregistrés et bénéficient d’une surveillance régulière pour dépister tôt les éventuelles complications)) et complète les maigres données intérimaires que le département communication de Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les promoteurs de la vaccination et les médias journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination.

Un examen objectif des résultats médicaux avérés doit tenter de répondre aux deux questions qui déterminent son utilité réelle en population globale : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

Pour répondre à cette question, nous nous baserons sur les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. En novembre 2020 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie Israël comptait 366000 cas confirmés. Les cinq mois suivant la vaccination ont enregistré 473000 cas de plus.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Un autre argument des pro vaccin est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais l’exemple des Émirats Arabes Unis montre que même cinq mois après le début de la vaccination le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Ce phénomène paradoxal suggère plutôt que le pseudo vaccin Pfizer serait susceptible d’accélérer transitoirement la transmission de la maladie. Plutôt que de nier tout lien causal les défenseurs de la vaccination devraient diligenter des études permettant d’en comprendre le mécanisme pour y porter remède.

En Israël la diminution des contaminations n’a commencé qu’après 10 semaines, suivant la cinétique naturelle de l’épidémie décrite par le professeur Ben Israël(([4] Pr Isaac Ben Israël : Le virus disparaît de lui-même après 70 jours 17 avril 2020  https://strategika.fr/2020/04/17/pr-isaac-ben-israel-le-virus-disparait-de-lui-meme-apres-70-jours/)) qui affirmait dès 2020 que « le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours ou pas ». On ne pourra donc juger définitivement des capacités réelles du vaccin Pfizer d’interrompre la transmission du virus qu’à l’occasion d’une éventuelle nouvelle poussée de l’épidémie.

Le porte-parole de l’OMS Swaminathan a déclaré en décembre :

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc d’être en mesure de la transmettre », « Je pense donc que nous devons supposer que les personnes qui ont été vaccinées doivent également prendre les mêmes précautions »

Doute confirmé officiellement en France par le ministre de la Santé O Veran a affirmant devant le Conseil d’État qui conclue(([5] Ordonnance du 30 mars dernier)):

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier ».

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des mortalités hebdomadaires.

Les mois de janvier et février ont établi les records mensuels de mortalité attribuée au Covid19 avec près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé transitoirement comme dans les autres pays vaccinés(([6] https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/5656922)) Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Le faible taux de mortalité actuel est lié à la fin de la vague épidémique mis aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risques. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février ne sont plus à risque en mars et avril. On ne peut pas mourir deux fois !

Comment expliquer ce résultat paradoxal ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021(([7] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021)):

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

Ce communiqué soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([8] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la crédibilité des dirigeants qui ont tout misé sur la vaccination. Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([9] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la Santé et la commission de Bruxelles, avec sa volonté d’imposer le pass sanitaire pour forcer les Européens à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement qui se prétend démocratique est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des droits de l’homme, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît aux USA et en Europe indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?(([10] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0 ))

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certainspays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Sitedel’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes ,des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Project Veritas : Mark Zuckerberg s’inquiète de la « modification de l’ADN et de l’ARN »

[Source : anguillesousroche.com]

Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook, a exprimé à un moment donné son inquiétude quant aux « effets secondaires à long terme » de « la modification fondamentale de l’ADN et de l’ARN des gens » dans une vidéo divulguée à Project Veritas.

Selon Project Veritas, le PDG de Facebook a fait ces commentaires lors d’un appel vidéo avec les employés le 16 juillet 2020.

« Je partage une certaine prudence à ce sujet, parce que nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme de la modification de l’ADN et de l’ARN des gens », a déclaré M. Zuckerberg dans le clip.

[Traduction en français de la déclaration enregistrée en vidéo : Peter EL Baze
« Je ne sais pas si Facebook France m’autorise à publier une vidéo de Mark Zuckerberg, leur grand patron, qui s’adresse à ses employés pour leur donner son avis sur les vax seins ?
VOUS ALLEZ AUSSI CENSURER VOTRE PATRON ? ? ?
NB : Cette vidéo date du 16 Juillet 2020, à cette époque il n’y avait pas encore de vaccin disponible, ils étaient en test
Je ne sais pas si c’est un fake ?
Mais il semble que non, voir : https://fr.theepochtimes.com/le-pdg-de-facebook-mark-zu…/amp »]

Dans une interview vidéo publique réalisée plusieurs mois plus tard avec le Dr Anthony Fauci, M. Zuckerberg déclare que « ces vaccins ne modifient pas votre ADN ou votre ARN », ce que confirme M. Fauci.

« Tout d’abord, l’ADN est inhérent à votre propre noyau de cellule – quelque chose d’étranger sera finalement éliminé », a déclaré Fauci.

Bien que Zuckerberg ne précise pas s’il parle des vaccins COVID dans la vidéo divulguée, l’idée que les vaccins puissent altérer ou modifier l’ADN et l’ARN des gens est l’une des préoccupations publiques identifiées par Facebook comme de la « désinformation ».

La version la plus récente de la liste des contenus COVID-19 interdits sur Facebook inclut « des affirmations selon lesquelles le vaccin COVID-19 modifie l’ADN des gens ».

Commentant la fuite, James O’Keefe, fondateur de Project Veritas, a déclaré que Mark Zuckerberg imposait à ses utilisateurs des normes qu’il ne respectait pas.

« N’est-il pas intéressant que Zuckerberg puisse vaciller et faire évoluer sa réflexion sur le sujet des vaccins. Mais dès qu’il a pris une décision, ou semble avoir pris une décision sur un sujet, il interdit aux quelque 3 milliards d’utilisateurs de Facebook de faire de même », a déclaré O’Keefe.

« Des règles pour toi, mais pas pour moi. »

Lire aussi : Les vaccins COVID-19 à ARNm sont en fait une « thérapie génique » et non des vaccins : éthicien

Source : Breitbart – Traduit par Anguille sous roche




Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !

Par Alain Tortosa

Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !
Elle avait 7 fois plus de risque de décéder de l’AstraZeneca que du Covid et 10 fois plus si elle s’était faite injecter le Pfizer !
La thérapie génique Pfizer BioNTech est encore plus dangereuse que l’AstraZeneca !

Cette jeune femme de 44 ans, célèbre présentatrice à la BBC(([1] https://www.bbc.com/news/uk-england-tyne-57267169)) est décédée d’une thrombophlébite cérébrale (thrombose des sinus veineux cérébraux)quelques jours après avoir été injectée du médicament expérimental OGM d’AstraZeneca.

Une victime de plus de la propagande odieuse pratiquée par les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices politiques, médiatiques et autres médecins corrompus ou débiles.

Elle est morte à cause de la cupidité, de la corruption ou de desseins encore plus sombres…

Combien d’innocents vont encore succomber après elle pour « retrouver leur liberté » ou assister à un concert ou partir en voyage ?

À la différence des victimes anonymes, la mort de Lisa a pu bénéficier d’une certaine « publicité ».

Alors que la BBC, le Guardian, ou Sky-News, pour ne citer qu’eux, ont précisé qu’elle avait été injectée par l’AstraZeneca, le magazine Métro(([2] https://metro.co.uk/2021/05/23/lisa-shaw-dead-bbc-radio-newcastle-presenter-dies-aged-44-14630262/)) a quant à lui indiqué dans un premier temps, avant de rectifier, qu’elle était décédée d’une « courte maladie » en omettant de parler de son injection.

Bien que le décès remonte à plus d’une semaine, les médias français ne se sont pas précipités pour nous faire parvenir cette triste nouvelle.

Seul le magazine Voici,(([3] https://www.voici.fr/news-people/actu-people/astrazeneca-mort-de-lisa-shaw-journaliste-de-la-bbc-a-lage-de-44-ans-704745)) reprenant les données de la BBC, a publié un article.

Sans doute suis-je un peu nul pour chercher sur Internet, mais je n’ai vu aucune dépêche AFP, rien sur BFM, LCI, France Info ou autres Cnews… Pas plus que dans le journal Le Monde, Libération ou Le Parisien, pour ne citer qu’eux…

Si les résistants s’emparent de cette affaire, il est probable que les vautours et charognards dits « décodeurs » vont intervenir pour « éclairer » à leur manière le public.

Nous allons certainement assister une fois de plus au bal des escrocs et autres corrompus, ou pire, au bal des débiles, qui vont s’empresser de nous dire qu’il n’y a aucune preuve de lien entre l’injection et le décès. Une fois de plus, ils vont nous rappeler que la chose est exceptionnelle et que le rapport bénéfice risque des thérapies expérimentales vaccinales demeure hautement favorable et souhaitable.

Je vais donc répondre à ces menteurs, vendeurs de propagande mortelle, en me basant UNIQUEMENT sur les données (erronées, car partielles) fournies par nos autorités de santé.

Je voudrais préciser que la sous-déclaration des effets secondaires est un secret de polichinelle.
L’ANSM nous dit :

« Ces informations, si l’on prend en compte la sous-déclaration des effets indésirables, habituelle, et probablement accentuée dans cette période de forte tension dans les services hospitaliers, constituent un signal important(([4] https://ansm.sante.fr/actualites/medicaments-utilises-chez-les-patients-atteints-de-la-covid-19-une-surveillance-renforcee-des-effets-indesirables))»

Un rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/rap/r14-266/r14-266.pdf)) de 2015 précisait déjà :

« Des progrès ont été faits dans la déclaration des effets des vaccins, même si je crois que tout le monde a été d’accord pour dire, tout à l’heure, que la sous-déclaration reste problématique. »

Bref nous savons que les chiffres actuels sont faux et fortement optimistes. Nous disposons aussi de nombreux témoignages de personnels hospitaliers qui n’osent parler au grand jour de l’énorme difficulté à faire remonter les informations.

Avant le vaccin, de nombreux décès ont été imputés au Covid même pour des accidentés de la route qui avaient le tort d’être positifs au PCR, et aujourd’hui dès lors que vous êtes vacciné, un décès ne peut plus être causé ni par le Covid, ni par le vaccin…

Il est estimé qu’il faudrait multiplier au moins par 10 les chiffres pour s’approcher de la réalité.

Je vais, quant à moi, me borner à n’utiliser QUE des données officielles.

Regardons donc le risque que courait officiellement Lisa :

Lisa était une jeune femme de 44 ans en bonne santé et n’était pas dans le groupe des personnes à risque (sinon nous aurions basculé dans le meurtre prémédité).

Si l’on se réfère au dernier bulletin épidémiologique du 20 mai de Santé Publique France,(([6] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-20-mai-2021)) le nombre total de personnes décédées du Covid entre 15 et 44 ans est de 103 sur une population de 23 369 649 personnes (selon l’INSEE).

Le risque de décès pour Lisa du Covid (rappelons qu’il a été probablement gonflé par les « faux » morts ») était donc de 0,44 pour 100 000 personnes de son âge.

Regardons maintenant le risque de décéder du « vaccin » AstraZeneca. Les dernières données françaises disponibles(([7] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/17/rapport-n11-covid-19-vaccine-astrazeneca-12-05-2021-vfa.pdf)) remontent au 6 mai 2021. 3 996 867 personnes avaient reçu une première dose à cette date et 120 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un vacciné AstraZeneca à 3 pour 100 000 soit 7 fois plus (6,81) que de la maladie !

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 279 personnes. Le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection d’AstraZeneca est 16 fois supérieur (15,83) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Et ils osent parler d’un rapport bénéfice risque positif alors que l’on a 16 fois de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et ce ne sont que les données officielles qu’il faudrait multiplier par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de mort pour les vaccinés multiplié par 160 !!!

Alors j’entends les menteurs malhonnêtes nous dire qu’en France, AstraZeneca est réservé aux personnes de plus de 50 ans et que la thérapie expérimentale Pfizer BioNTech est extrêmement sûre, au point que la campagne criminelle de vaccination des enfants va bientôt débuter en France.

Pour Pfizer, les dernières données disponibles(([8] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/21/20210521-covid-19-vaccins-rapport-hebdomadaire-15-pfizer-2.pdf)) remontent au 15 mai 2021.

À cette date 13 520 434 personnes ont reçu une première dose de Pfizer et il y a 580 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un « vacciné » Pfizer à 4,3 pour 100 000.

Le risque de mourir du Pfizer est donc 1,4 fois supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca pourtant réputé plus dangereux que le Pfizer !

Le risque de décéder pour Lisa, si elle avait été injectée par la thérapie génique expérimentale de Pfizer BioNTech aurait été 10 fois (9,73) supérieur au risque de mourir de la maladie.

Le risque de mourir pour une personne en bonne santé entre 15 et 44 ans est donc bien multiplié par 10 avec le Pfizer !!!

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 866 personnes et le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection de la thérapie génique est alors 15 fois supérieur (14,5) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Je me répète, mais ils osent parler d’un rapport bénéfice vs risque positif alors que l’on a 15 fois plus de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et il faudrait en théorie multiplier ces chiffres par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de décès multiplié par 150 !!!

Et pendant ce temps, zéro enfant de moins de 15 ans et en bonne santé est officiellement mort du coronavirus.

En résumé :

  • Contrairement au mensonge véhiculé sciemment, le risque de mourir du Pfizer est supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca (x1,4).
  • Le risque de décéder du Pfizer est 10 fois plus important, selon les données officielles partielles, que de mourir du Covid si vous êtes en bonne santé et avez moins de 45 ans.

Et les autorités s’apprêtent à tuer sciemment des enfants en bonne santé chez qui le risque de décès du Covid est nul !

Allez-vous être complice de ces crimes pour pouvoir partir en vacances cet été ?

Merci.

Alain Tortosa
Le 28 mai 2021
Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210528-victime-propagande-criminelle.pdf





Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Cette question est difficile, car il est certain que comme toujours, de nombreux effets secondaires ne sont pas déclarés ni par les médecins, ni par les familles ni par les patients. Nous nous contenterons de résumer ici les effets reconnus par les institutions officielles américaines (Vaers pour les USA) et européennes (Eudravigilance de l’agence européenne du médicament).

POUR L’UE (ANGLETERRE EXCLUE) : LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DÉCÈS SONT NOMBREUX

Plus de 10 000 Européens tués par les vaccins Covid-19 selon les données officielles de l’UE(([1] Massacre: More than 10,000 Europeans KILLED by COVID-19 Vaccines According to Official EU Data ))

La base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses présumées est EudraVigilance, qui suit également les rapports faisant état d’accidents et de décès à la suite des « vaccins » expérimentaux Covid-19.

Pour tous ceux qui sur Tweeter ou FB doutent des résultats de cette banque de données, nous publions ici la politique de l’EMA concernant les accidents médicamenteux. Seuls les bots, robots d’internet au service de Big Pharma pourront encore dire que ces infos sont fakes !

Voici ce qu’EudraVigilance déclare au sujet de leur base de données(([2] Oracle BI Interactive Dashboards – DAP (europa.eu) )) :

« Ce site web a été lancé par l’Agence européenne des médicaments en 2012 pour donner au public accès aux rapports sur les effets secondaires présumés (également connus sous le nom de effets indésirables présumés). Ces rapports sont soumis électroniquement à EudraVigilance par les autorités nationales de réglementation des médicaments et par les sociétés pharmaceutiques qui détiennent des autorisations de mise sur le marché (licences) pour les médicaments.

EudraVigilance est un système conçu pour recueillir des rapports d’effets secondaires suspects. Ces rapports sont utilisés pour évaluer les avantages et les risques des médicaments lors de leur développement et pour surveiller leur innocuité après leur autorisation dans l’Espace économique européen (EEE). »

ÉTAT DES LIEUX AU 8 MAI 2021 sur les EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS ANTICOVID EN UE

Leur rapport du 8 mai 2021 fait état de 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales de Covid-19. Chaque catégorie d’incidents est notée avec le nombre de personnes malades et le nombre de décès.

Réactions totales pour le vaccin expérimental à l’ARNm

PFIZER : Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

5 368 décès et 170 528 incidents au 08/05/2021

MODERNA

Réactions totales pour le vaccin expérimental arNm d’ARNm-1273 (CX-024414) de Moderna  2 865 décès et 22 985 effets secondaires au 08/05/2021

 ASTRAZENECA

Réactions totales pour le vaccin expérimental AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/

AstraZeneca : 2 102 décès et 208 873 complications au 08/05/2021

JANSSEN

Réactions totales pour le vaccin expérimental COVID-19 JANSSEN (AD26. COV2. S) de Johnson & Johnson: 235 morts et 2873 complications au 08/05/2021

ON PEUT ÉTUDIER LA BASE DE DONNÉES PAR PATHOLOGIE  COMME SUR CE TABLEAU et voir l’augmentation rapide du nombre d’effets secondaires et de décès avec la mise à jour du 22 MAI

COMPARAISON PSEUDO-VACCINS ANTICOVID ET VACCIN H1N1

UN TABLEAU PUBLIÉ PAR L’EMA EN AVRIL 2021 permet de se faire une idée du nombre d’injections par type de substance génique et la comparaison avec le vaccin H1N1 et on constate que le nombre d’incidents signalés pour ces produits, dont les essais thérapeutiques ne sont pas terminés, est beaucoup plus élevé que pour le vaccin H1N1

EN FRANCE

Des chiffres sont disponibles sur l’ANSM, mais pas très rapidement dirons-nous.

Ils sont submergés par les témoignages de centres de vaccination qui demandent de ne pas remonter les incidents vaccinaux car débordés par les déclarations.  Par exemple :

Vaccins Covid-19 : environ 4 000 déclarations d’effets secondaires en Limousin  : un exemple

Publié le 24/05/2021(([3] https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/actualites/vaccins-covid-19-environ-4-000-declarations-d-effets-secondaires-en-limousin_13956157/?fbclid=IwAR1-FlTfK41S7ymHS8aWGZ2Zhcd7qbREeBgVabffgz3Flw67x9FbN7WzHDs)) : « Trier, traiter, enquêter, enregistrer : un travail colossal pour l’activité du centre. » © stephane Lefèvre, selon l’article du Populaire :

« Depuis début 2021, c’est un afflux inédit pour le Centre régional de pharmacovigilance de Limoges qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments. Parmi eux, un des 34 cas français de thrombose atypique liée à l’injection du vaccin AstraZeneca.

(…) Plus précisément 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM (*).  Plus de la moitié des déclarations en attente ».

« En temps normal, on en reçoit environ 1 200 par an, dont à peine dix notifications pour des vaccins “classiques” », compare le Pr Laroche, responsable du centre.

Sur les 4 000, le CRPV a pu en saisir 1 200 dans la base, en a traité 400 autres en attente d’enregistrement. Il lui reste plus de la moitié à gérer. « Mais on trie tous les jours les déclarations reçues, par priorité, afin de ne pas laisser passer des effets secondaires graves. Notre stock de retard concerne surtout les signalements pour des effets indésirables ordinaires. »

Des effets dits « graves » pour 25 % des déclarations, proportion semblable au niveau national.

(…)  Parmi les effets indésirables notables, le CRPV de Limoges a surtout enregistré un des 34 cas de thromboses de localisation atypique(cérébrale, intestinale) recensés en France, à la suite du vaccin AstraZeneca, et ayant entraîné 11 décès. Le cas limousin n’a pas été mortel ».

À côté de ce cas marquant, tachycardie, zona, hypertension artérielle, paralysie faciale, urticaire font partie des autres conséquences non répertoriées dans la notice des produits. Toute hospitalisation est aussi intégrée dans les 25 % d’effets graves.

« Notre travail consiste à déterminer si c’est le vaccin qui est à l’origine d’un problème de santé ou s’il y a d’autres explications possibles. »

« Quand le cas est plus compliqué, cela va d’une demi-journée à une journée, le temps de documenter le cas, de recontacter la personne pour qu’elle nous raconte son histoire, d’aller chercher des informations médicales pour un dossier clinique complet. Il faut que tout soit précis afin de justifier une éventuelle décision sanitaire. »

Un appel à des déclarations plus ciblées

Si Mme Laroche se réjouit de la participation massive, elle appelle à des déclarations plus ciblées sur les effets « graves, très gênants ou méconnus ». Une pertinence nécessaire pour garantir la réactivité de la surveillance vaccinale.

(*) Il existe 31 centres régionaux de pharmacovigilance en France : c’est ce réseau territorial qui alimente l’ANSM, l’agence du médicament française.

Les déclarations dans le détail

« Répartition géographique : 80 % des déclarations reçues par le CRPV de Limoges sont originaires de Haute-Vienne, 15 % de Corrèze et 5 % de Creuse.

Répartition par vaccin : 78 % des 1 600 déclarations traitées concernent le vaccin Pfizer, 18 % AstraZeneca et 4 % Moderna et Janssen.

Répartition par profil de déclarant : 74 % des remontées viennent de patients et 26 % de professionnels de santé.

Répartition par moyen de signalement : 25 % des déclarations reçues par le CRPV passent par le portail national mis en place par le ministère de la Santé. La majorité arrive par mail ou courrier avec l’envoi de la fiche de suivi et de déclaration d’événements indésirables éditée par le CRPV Limousin et remise à chaque patient vacciné. Une initiative locale qui a fortement incité à participer à la déclaration. »

D’autres centres régionaux font état de débordements du même genre comme celui de Toulouse.

Toulouse. Vaccins Covid : les déclarations d’effets indésirables explosent (lejournaltoulousain.fr)

ET LES INQUIÉTUDES SUR L’AVENIR DE LA FERTILITÉ DES JEUNES FEMMES

Sera à approfondir rapidement car les fausses couches se sont multipliées en Grande-Bretagne pendant la période d’accélération de la vaccination. Les troubles menstruels sont aussi signalés par de nombreuses femmes.(([4] Covid-19 : le vaccin aurait un effet secondaire sur les règles (aufeminin.com) ))

Quant aux inquiétudes sur la fertilité, il importera d’y revenir.

AUX USA(([5] Latest CDC Data Show Reports of Adverse Events After COVID Vaccines Surpass 200,000, Including 943 Among 12- to 17-Year-Olds • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

selon les rapports officiels des CDC et du fichier VAERS organisme officiel fédéral

Aux États-Unis, 268,4 millions de doses de vaccin Covid avaient été administrées au 14 mai. Cela comprend 115 millions de doses du vaccin Moderna, 144 millions de doses de Pfizer et 9 millions de doses du vaccin Covid Johnson & Johnson (J&J).

Le nombre d’effets indésirables signalés à la suite des vaccins Covid a dépassé les 200 000, selon les données publiées le 21 MAI par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les effets indésirables des vaccins dans les rapports américains soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation causale puisse être confirmée.

Entre le 14 décembre et le 14 mai 2021, le Vaers a dénombré 227,805 reports d’effets indésirables suivant les vaccins anticovid, dont  4,201 morts et  18,528 incidents cotés sérieux  (Megan Redshaw le 21 mai 2021(([6] https://childrenshealthdefense.org/defender/vaers-cdc-adverse-events-covid-vaccines-surpass-200000/))).

Les dernières données des CDC montrent que les rapports d’événements indésirables après les vaccins COVID sont de 943 chez les 12 à 17 ans.

Sur les 4 201 décès signalés au 14 mai, 23 % se sont produits dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % se sont produits dans les 24 heures et 38 % chez les personnes tombées malades dans les 48 heures suivant leur vaccination.

Les données VAERS montrent :

20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques,

54 % des personnes décédées étaient des hommes, 44 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’incluaient pas le sexe du défunt.

L’âge moyen du décès était de 74,7 ans et les décès les plus jeunes signalés comprennent deux jeunes de 15 ans (VAERS I.D. 1187918 et 1242573 ) et un jeune de 16 ans (VAERS I.D. 1225942).

D’autres décès chez des enfants de moins de 16 ans ont été signalés et n’ont pu être confirmés ou contenaient des erreurs évidentes.

Au 14 mai, 1 140 femmes enceintes avaient signalé des effets indésirables liés aux vaccins Covid, dont 351 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.

Sur les 2 275 cas signalés de paralysie faciale de Bell, 51 % ont été signalés après les vaccinations Pfizer-BioNTech, 42 % après la vaccination avec le vaccin Moderna et 192 cas, soit 10 %, des cas de paralysie de Bell ont été signalés conjointement avec J&J.

Il y a eu 195 rapports du syndrome de Guillain-Barré avec 40 % de cas attribués à Pfizer, 38 % à Moderna et 26 % à J&J.

Il y avait 65 854 rapports d’anaphylaxie avec 38 % des cas attribués au vaccin de Pfizer, 51 % à Moderna et 11 % à J&J.

Il y a eu 3 758 rapports de troubles de la coagulation et d’autres affections connexes. De ce nombre, 1 468 rapports ont été attribués à Pfizer, 1 093 rapports à Moderna et 1 093 rapports à J&J.

Selon l’article du Childrenshealthdefense.org qui commente ces résultats : 

« les vaccins COVID pourraient ne pas fonctionner pour des millions de personnes atteintes de maladies sous-jacentes. Certains experts remettent en question la recommandation des CDC selon laquelle les personnes immunodéprimées se font vacciner après que de nouvelles recherches 15 % à 80 % des personnes atteintes de troubles de santé sous-jacents et celles qui prennent des médicaments immunosuppresseurs montent peu d’anticorps, voire aucun, contre les vaccins COVID.

Pourtant, les lignes directrices actuelles des CDC indiquent que les personnes dont le système immunitaire est affaibli devraient être vaccinées contre le COVID même si « aucune donnée n’est disponible pour établir l’innocuité et l’efficacité du vaccin COVID dans ces groupes » car les personnes dont le système immunitaire est affaibli ou celles qui prennent des immunosuppresseurs pour une affection médicale ont été en grande partie exclues des essais cliniques sur les vaccins ».

« Dr Meryl Nass, un médecin de médecine interne, a déclaré qu’il est de la responsabilité des CDC de déterminer les risques et les avantages de chaque vaccin pour différents groupes de personnes. Pour les vaccins COVID, a dit Nass, les CDC n’ont pas publié cette information, ou dire au public quels groupes pourraient être à un risque plus élevé de subir une réaction indésirable qui l’emporte de loin sur tout avantage potentiel ».

RESPONSABILITÉ DE L’EMPLOYEUR QUI EXIGERAIT LE VACCIN AUX USA

Les employeurs pourraient être tenus responsables de « toute réaction indésirable » s’ils imposaient la vaccination anti-Covid.

« Si vous exigez que vos employés soient vaccinés comme condition d’emploi (c.-à-d. pour des raisons liées au travail), toute réaction indésirable au vaccin Covid-19 est liée au travail. L’effet indésirable est consigné s’il s’agit d’un nouveau cas en vertu du 29 CFR 1904.6 et répond à un ou plusieurs des critères généraux d’enregistrement en 29 CFR 1904.7.

« À l’inverse, l’OSHA(([7] Occupational Safety and Health Administration — Wikipédia (wikipedia.org)
L’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) est une agence gouvernementale fédérale des États-Unis dont la mission est la prévention des blessures, maladies et décès dans le cadre du travail. Pour ce faire, elle émet des règlements pour la sécurité et la santé au travail. L’OSHA a été établie par l’Occupational Safety and Health Act (en) de 1970, l’une des lois majeures sur la sécurité au travail aux États-Unis. OSHA a développé la Norme 29 CFR de Gestion de la Sécurité des procédés (PSM), « Gestion de la Sécurité des procédés de produits chimiques à très haute dangerosité ».)) a déclaré qu’elle exercera un pouvoir discrétionnaire en matière d’application de la loi et qu’elle n’exigera pas que des effets indésirables soient consignés lorsqu’un employeur « recommande » seulement aux employés de recevoir le vaccin, tout en notant que pour que ce pouvoir discrétionnaire s’applique, le vaccin doit être véritablement volontaire. »

Pour déterminer si un vaccin est « volontaire », le site Web indique que « le choix d’un employé d’accepter ou de rejeter le vaccin ne peut avoir d’incidence sur [sa] cote de rendement ou son avancement professionnel » et qu’un « employé qui choisit de ne pas recevoir le vaccin ne peut subir de répercussions de ce choix ».

COMMENTAIRE DU CHILDRENSHEALTHDEFENSE SUR LE DRAME DU MUSICIEN ERIC CLAPTON

Eric Clapton blâme la propagande pour de graves réactions indésirables à AstraZeneca. Le 17 mai, The Defender a rapporté qu’Eric Clapton, 76 ans, a subi une grave réaction indésirable après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca qui l’a laissé craindre qu’il ne rejoue plus  jamais.

« Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis ou brûlants, et à peu près inutile pendant deux semaines. Je craignais de ne plus jamais jouer, a dit Clapton. « Mais la propagande a dit que le vaccin était sans danger pour tout le monde. »

Quelques jours après les critiques de Clapton sur la « propagande » vaccinale, le Wall Street Journal a rapporté que les fabricants de vaccins américains parrainent des campagnes publicitaires ciblant environ un tiers des Américains qui hésitent à se faire vacciner contre le Covid.

Pfizer, Moderna, Regeneron et d’autres sociétés pharmaceutiques parrainent des annonces à la télévision, à la radio et sur les médias sociaux louant les vaccins et les médicaments Covid dans le but d’augmenter les vaccinations. Contrairement aux annonces pour les médicaments où les noms de marque sont présentés, les annonces générales « get the vaccine » n’ont pas à suivre les lignes directrices légales, qui comprennent la liste des effets secondaires potentiels du médicament.(([8] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

74 jours et le comptage, CDC ignore les enquêtes du Défenseur

Selon le site Web des CDC :

« les CDC font le suivi de tout rapport de décès afin de demander des renseignements supplémentaires et d’en apprendre davantage sur ce qui s’est produit et de déterminer si le décès est le résultat du vaccin ou s’il n’est pas lié ».

« Le 8 mars, The Defender a communiqué avec les CDC pour lui poser une liste écrite de questions sur les décès et les accidents signalés liés aux vaccins COVID. Après des tentatives répétées, par téléphone et par courriel, d’obtenir une réponse à nos questions, un spécialiste des communications de santé du Groupe de travail sur les vaccins des CDC nous a contactés le 29 mars , soit trois semaines après notre enquête initiale.

La personne a reçu notre demande d’information de VAERS, mais a dit qu’elle n’avait jamais reçu notre liste de questions, même si les employés à qui nous avons parlé à plusieurs reprises ont déclaré que les attachés de presse de la CDC travaillaient à travers les questions et ont confirmé que le représentant les avait reçues. Nous avons fourni la liste des questions à nouveau avec une nouvelle date limite, mais nous n’avons jamais reçu de réponse.

Le Défenseur a également fait un suivi auprès du service des médias du CDC, qui nous a dit que l’unité d’intervention du COVID serait informée que le spécialiste des communications de santé n’avait jamais répondu. Aucune explication n’a été donnée quant à la raison pour laquelle nos demandes ont été ignorées. On nous a dit de rappeler, ce que nous avons fait à de nombreuses reprises.

Le 19 mai, un employé du CDC a déclaré que nos questions avaient été examinées et que notre enquête était en instance dans leur système, mais qu’elle ne nous fournirait pas de copie de la réponse. Cela fait 74 jours que nous avons envoyé notre premier e-mail pour nous renseigner sur les données et les rapports VAERS.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi une réaction indésirable, à n’importe quel vaccin, de déposer un rapport. »

En conclusion : il est bien difficile d’avoir des informations, mais des éléments connus sont déjà majeurs : par exemple le fait que le nombre de décès répertoriés en trois mois après vaccins Covid atteint déjà celui du recensé en 21 ans aux USA pour tous les autres vaccins.

Souvenons-nous aussi que le vaccin contre la grippe aviaire en 1976 fut retiré après 53 décès et le vaccin contre le H1N1 en 2009 après 57 décès. Manifestement le monde de la vigilance et de la sécurité a changé d’échelle.

En conclusion très provisoire

« Ils sont enseignants, médecins, juristes, artistes, gendarmes, scientifiques, psychologues, essayistes, journalistes et autre. Face à la situation actuelle, ils lancent un appel à chacun d’entre nous. Un appel à la résistance civile et au réveil des consciences :



Tout seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. Proverbe africain »

ET RAPPELONS QU’IL S’AGIT DE SUBSTANCES GÉNIQUES (en aucun cas des vaccins classiques) en essai thérapeutique

Nicole Delépine





L’avocat R. Kennedy Jr révèle pourquoi l’hydroxychloroquine a été interdite

[Source : lemediaen442.fr]






Courrier adressé par Réaction 19 à l’Académie de médecine en réponse à sa recommandation de l’obligation vaccinale

[Source : profession-gendarme.com]

Par Maitre Carlo Alberto Brusa




Nanoparticules dans l’alimentation : où se cachent-elles ?

[Source : agirpourlenvironnement.org]

OÙ SE CACHENT LES NANOPARTICULES ?

La liste des produits* contenant ou pouvant contenir des nanoparticules

Les nanoparticules se sont introduites secrètement dans nos assiettes via certains additifs alimentaires. Leur présence superflue nous fait courir des dangers sanitaires et environnementaux graves. Refusons d’être les cobayes de cette technologie incontrôlée.
Interpellons les industriels !

Liste imprimable : liste-nano-imprimable.pdf (apeorg.com)


*Pour la France




USA : le recul du COVID-19 n’est absolument pas dû à la vaccination

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Par Gérard Delépine

Ne pouvant plus nier le succès des États-Unis contre le Covid depuis maintenant près de six mois, les médias et des experts proches des laboratoires tentent de nous faire croire qu’il serait dû à la vaccination pour nous inciter à accepter ces traitements expérimentaux inutiles et dangereux.

Il s’agit d’une contre-vérité totale : la décrue des infections aux USA a commencé en janvier 21, alors que personne n’avait reçu deux doses et le taux actuel de vaccinés est trop faible pour atteindre l’immunité collective.

La baisse des contaminations se confirme chaque jour depuis 6 mois

La courbe des contaminations publiée par l’OMS est démonstrative : la chute des contaminations a commencé début janvier 2021

La chute des contaminations a précédé la vaccination

Début janvier 2021, moins de 2% des Américains avait été vacciné et aucun n’avait reçu une vaccination complète. La vaccination ne pouvait donc exercer aucune action efficace. Le recul de l’épidémie est vraisemblablement spontané, lié à la saisonnalité comme la grippe ou à d’autres facteurs environnementaux.

La couverture vaccinale faible ne peut expliquer le recul de l’infection

Pour inciter les Français à se vacciner, les apôtres de ces traitements expérimentaux nous répètent à chaque instant qu’il faut atteindre une couverture vaccinale d’au moins 70% pour obtenir l’immunité collective.

Actuellement aux USA, le taux de vaccinés plafonne autour de 40%. Les vaccinolâtres cohérents avec leurs croyances ne peuvent donc pas prétendre que la vaccination a joué un rôle dans l’évolution épidémique favorable des USA.

Les prétendues mesures sanitaires ne servaient à rien

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a supprimé début mars, par décret, toutes les restrictions prétendument sanitaires.(([1] dont l’obligation emblématique du port de masque))

Greg Abbott s’est ainsi attiré les foudres des experts dont Fauci qui lui a prédit une catastrophe sanitaire et les injures des covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Depuis l’évolution favorable dans cet état a démontré qu’elles ne servaient à rien et que tous ces covidoterroristes se sont trompés.

Au Texas, la vie est redevenue normale sans aucune restriction, et l’usage du pass sanitaire est interdit et passible d’amende.

L’exemple du Texas a fait tache d’huile. Les restrictions prétendument sanitaires ont été abolies dans une large majorité d’états dont l’obligation des masques à l’intérieur sans que l’épidémie ne reparte.

La vie a donc repris presque normalement aux USA sauf dans quelques états gouvernés par des démocrates têtus qui ne parviennent pas à d’admettre leurs erreurs. Mais l’opinion publique s’en désolidarise de plus en plus comme à New York.

Quelles conséquences pour la France ?

L’épidémie régresse depuis début avril 21 comme chez nos amis américains, mais avec 3 mois de retard.

En France, comme aux USA, cette régression ne peut pas être en relation avec la vaccination puisque chez nous, le taux de couverture vaccinale complète ne dépasse pas 16%.

Après deux mois de régression continue de l’épidémie, nous sommes exactement dans la situation du Texas lorsque son gouverneur Greg Abbott a libéré son état avec succès.

Au lieu de continuer à baser leur politique sur une propagande mensongère terrorisante et des mesures coercitives antidémocratiques pour nous imposer des pseudo-vaccins expérimentaux dangereux et inefficaces, nos gouvernants devraient suivre l’exemple des USA pour que les Français puissent enfin revivre, nos enfants apprendre et la France pouvoir retravailler.

Gérard Delépine





À madame Laurence Rossignol, Vice-présidente du Sénat français

Par Djerrad Amar

À madame Laurence Rossignol,
Vice-présidente du Sénat français

Algérie, le 27 mai 2021

Par Djerrad Amar

Suite à votre intervention, à propos de l’Algérie, au Sénat français.
Vous écrivez sur votre Facebook :

« Ce mercredi 26 mai, lors des Questions d’Actualité au Gouvernement, j’ai interpellé Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères sur la situation des droits humains en Algérie, ainsi que sur la possibilité pour la France de soutenir les aspirations démocratiques des Algériens qui s’expriment au sein du hirak. Un mouvement pacifiste qui réclame un État civil, le respect des droits humains fondamentaux et, entre autres, la fin de la corruption qui gangrène l’économie du pays. »

Au début, j’ai évité de vous répondre parce que votre intervention au Sénat français est tellement orientée et débile que je me suis dit qu’il est futile de répliquer à un perroquet d’une part et que d’autre part votre Ministre des Affaires Étrangères, en réponse, a bien suggéré en quelques mots et qualificatifs votre pensée et votre objectif.
Finalement, je vous réponds et par ricochet à vos manipulateurs français et algériens de l’émigration qui vous ont utilisé, en particulier, parce qu’ils ont dû déceler chez vous une bébête qui gobe tout sans trop de réflexion !
Comme, je l’ai déjà fait à une de vos collègues — elle députée aussi niaise que vous sénatrice socialiste, en l’occurrence Madame Mathilde Panot qui crèche chez « France Insoumise » — vous dégurgitez un ramassis de slogans et de propagande qui prouve bien que votre but est plutôt l’ingérence et la subversion !

Et si vous vous occupiez de vos oignons, de votre salade, de votre Covid, de vos gilets jaunes, de votre pseudo-démocratie, de votre presse aux ordres, de vos corrompus, de vos pauvres, de votre récession, de votre déchéance sur le plan international, de votre retard en matière de recherche scientifique, etc.

Vous n’avez pas cité aussi la nouvelle loi électorale, en particulier pour les législatives, qui doit être « moins démocratique » que celle de votre pays, car la nôtre prévoit un mode de scrutin à la « proportionnelle » avec vote « préférentiel » c’est-à-dire que l’électeur algérien doit choisir, le pauvre, son ou ses candidats au sein de sa liste préférée ! Pas comme la France « démocratique » qui privilégie les « têtes de liste » qui épargne aux Français la peine de cocher un ou des candidats ! Cela doit être sans aucun doute ce mode « tête de liste », où l’on privilégie les copains et les coquins, qui vous a propulsé « sénatrice » !

Qu’avez-vous fait pour aider vos « hirakistes » des gilets jaunes ? Ils sont interdits de manifestation depuis longtemps chez vous, alors qu’en Algérie ils le sont depuis une semaine, au 117e pseudo-hirak, qui commençait à exhiber des slogans violents, « importés » depuis votre pays, visant l’Armée algérienne, ses services de sécurité et ses institutions dont le Président de la République élu !

On a tout vu chez vous ! En Algérie, le simple citoyen peut tout voir de ce qui se passe ici et chez vous, mieux que vous ne le pensez et mieux que vous la sénatrice qui se fie au « bouche à oreille » !

Avez-vous comparé le nombre de morts, de blessés, d’arrestations et de condamnés chez vous et chez nous en Algérie ? Bien sûr que non ! Votre genre ne voit et n’entend rien de ce qui se passe chez lui et même hors de France, mais porte une oreille attentive à ceux, résidants en France, qui lui rapporte les bruits et chuchotements qui se produiraient ou pourrait se produire en Algérie ! Même dans le faux, vous vous empressez à les dégurgiter dans votre parlement ou Sénat, pourvu que cela donne l’ivresse ! Êtes-vous rémunéré pour ça ? Fort possible ! Avec ce que l’on voit au parlement européen et les lobbies qui le dirigent, ce n’est pas étonnant et nouveau !

En voyant votre parcours, professionnel, associatif et politique, il nous est permis de douter de vos engagements et de votre honnêteté ! Passer du coq à l’âne en politique n’est-ce pas selon « ce que ça rapporte » et non selon les principes ? Ligue communiste révolutionnaire, journaliste à « La Vie ouvrière », différents syndicats, Parti socialiste, cheffe de cabinet Fabius (celui qui aime Daesh pour avoir fait du « bon boulot »), chargée d’étude à la Mutuelle des étudiants où elle perçoit une rémunération de 1100 euros pendant dix-huit ans pour 2 jours de travail partiel par semaines, impliquée dans l’affaire d’enrichissement personnel et d’emplois fictifs de la MNEF (Que choisir, s’interroge : « Si Mme Rossignol a vraiment été au service de la santé des étudiants » wikipédia), échoue à deux reprises à la députation, Ministre au Gouvernement Valls, à RMC elle a comparé les femmes musulmanes choisissant de porter le voile aux « nègres américains qui étaient pour l’esclavage »… Passons !

Franchement étiez-vous sérieuse et convaincue que ce que vous rapportiez, au Sénat, à vos collègues, n’était pas des canulars, des mensonges et des rumeurs ? Si oui, je vous invite à lire ce commentaire tiré de mon prochain article et peut-être qu’il vous instruira ou vous réveillera sur ce qui s’est déroulé en Algérie que vous semblez aimer voir démocratique, libre, humaine, sans arrestations arbitraires, sans tortures et peut-être aussi sans armée, sans policiers, sans justice, sans écoles, sans universités, sans pétrole, sans avions, sans bateaux, sans moyens pour fuir et rejoindre votre pays de paix, de culture, des droits de l’homme, de liberté et de démocratie !

Est-il acceptable et logique que le Hirak original des débuts (jusqu’au 7e/8e) qui a regroupé des centaines de milliers de citoyens dans une douzaine de grandes villes d’Algérie criant des slogans clairs et précis comme « non au 5e mandat », « changement du système de gouvernance », « yetnehaw ga3 (on les enlève tous) », « armée et peuple des frères » puis « poursuite judiciaire des pontes corrompues » puisse se transformer en slogans opposés après avoir obtenu l’essentiel des revendications (possibles dans l’immédiat) avec l’aide agissante de l’Armée dont on a réclamé d’assumer la responsabilité ? C’est alors que (au 10e hirak et suivant jusqu’aux 117e) des forces chevauchant la vague, sont apparues, avec des slogans insolites et violents entrant dans le cadre « printaniste » et « islamistes » exigeant qu’on « enlève tout le monde », entendre même ceux à l’origine de la déchéance du pouvoir, le chef de l’État intérimaire, les ministres intérimaires, le refus de toutes nouvelles élections, même après l’élection au suffrage universel du nouveau Président ! Des slogans surgissant curieusement au moment où les poursuites judiciaires battent leur plein ! Des centaines de milliers dans au moins une douzaine de grandes villes le « hirak » a vu le nombre de ses manifestants se réduire subitement comme peau de chagrin pour se limiter à 3/4 villes ne regroupant que quelques milliers puis quelques centaines ! Il faut dire que les slogans sont devenus clairement séditieux ! Contre le Président, contre l’Institution militaire en s’attaquant à ses officiers, contre les services de sécurité, les qualifiant tous de « traitres » à la nation et au Peuple, contre les législatives en préparation malgré un nouveau code électoral des plus démocratiques ! Ils réclament, par contre, le changement par une « phase de transition » (anticonstitutionnelle), sans vote du peuple, que dirigerait un trio de personnalités inconnues dont les noms sont balancés par un certain professeur… depuis la France ! Curieux non ? Les autorités, par souci de stabilité, étaient obligées d’appliquer la loi en matière de manifestations… tout comme en France ! Chez vous, c’est réglementé, non ? Certains ont enfreint la loi, ils ont été arrêtés. Le reste, ce sont des arrestations entrant dans le cadre des délits commis par des voyous. C’est arbitraire aussi ? Est-ce des affaires algéro-algériennes ou algéro-françaises ?

Êtes-vous venue au « secours » des gilets jaunes ? On ne vous a pas entendu, au Sénat, soutenir le Hirak, dès ses débuts, lorsqu’il réclamait le refus du 5e mandat, le limogeage des pontes corrompues du pouvoir, les poursuites judiciaires des figures du «système» comme vous le faites pour ces fossoyeurs! Ce n’est qu’une fois que le peuple a obtenu l’essentiel de ses revendications que des activistes et des agitateurs, suppôts du régime déchu, sont apparus et dont vous venez de porter les revendications au Sénat avec l’aide de vos maîtres-manipulateurs de chez vous en France. Vous êtes donc un maillon.

Savez-vous que vous soutenez des activistes qui refusent les élections présidentielles pour une «transition» qu’ils veulent diriger sans élections, qui refusent les législatives prochaines du 12 juin? Est-ce un hasard que vous intervenez à quelques jours des élections pour interpeller vos collègues au Sénat ?

On vous a instruit de dire qu’il y a des « détenus d’opinion » ? Si vous avez des noms, alors portez-les à la connaissance des autorités compétentes qui vous donneront sûrement les griefs !

Maintenant que « la vache à traire » n’est plus dans leur étable, mais dans celle du peuple, qui exige plus de comptes, les voilà tirer à boulets rouges sur tous ceux qui s’emploient, à éliminer les traces de ce régime de privilèges, de passe-droits, avec l’aide de votre clan par l’ingérence. Drôle de démocrate vous êtes !

Des démocrates, comme vous, qui soutiennent une solution par une « phase de transition » sans élections, contrairement à nos militaires qui soutiennent obstinément la solution par les élections ? Vraiment, le monde à l’envers !

Pouvez-vous imposer cette insanité chez vous ?

Au lieu de vous ingérer dans les affaires qui ne vous regarde, pas en tant que sénatrice ou autre, intéressez-vous plutôt à cette Françafrique que ne cessent d’appuyer des autocrates pour servir vos intérêts.

Pour votre gouverne, en guise de conclusion, voici un extrait du défunt chef d’État-major de l’Armée nationale populaire (ANP). Peut-être que vous comprendrez la définition du mot « dictateur » et à qui il s’applique : «Leur véritable objectif est d’induire l’opinion publique nationale en erreur… pour s’autoproclamer fallacieusement comme les porte-voix du peuple algérien… [notre] approche s’articule sur la primauté de la légitimité constitutionnelle, à travers l’organisation d’élections présidentielles transparentes… afin d’éviter toutes les phases de transition dont les conséquences sont périlleuses, clamées par certaines parties… qui commencent à être démasquées, et nous avons des informations confirmées de leur implication, que nous dévoilerons au moment opportun… »

Je vous raconte cela non pas pour justifier quoi que ce soit, mais pour montrer votre ignorance en politique et en affaires internationales. Quand vous, de surcroît, ignorez celles de vos voisins proches, mieux vaut changer de métier ! Vous faites de l’ingérence dans les affaires d’autres pays ! C’est interdit par les lois internationales ! Le savez-vous, madame la sénatrice ?

Amar Djerrad




Canada : un médecin de la Colombie-Britannique se fait retirer son poste après avoir soulevé la question des effets secondaires des vaccins anticovid

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Cosmin Dzsurdzsa

Un médecin de famille de la Colombie-Britannique affirme avoir été réprimandé par des responsables de la santé après avoir fait part de prétendues complications liées au vaccin Moderna lors de l’administration du médicament aux patients.

Selon le Dr Charles Hoffe, de Lytton, en Colombie-Britannique, il a été suspendu de l’équipe d’urgence du centre de santé de Saint-Barthélemy en raison de la prétendue “hésitation à se faire vacciner” que ses affirmations ont provoquée.

“Le 29 avril 2021, l’Autorité sanitaire de l’intérieur a suspendu mes privilèges cliniques pour avoir causé une “hésitation vaccinale”, pour avoir parlé de mes patients blessés par un vaccin. Je ne suis donc plus autorisé à travailler aux urgences “, a déclaré le Dr Hoffe à True North.

“Je suis toujours autorisé à voir des patients dans mon cabinet privé, qui n’est pas sous la juridiction de l’autorité sanitaire intérieure, mais j’ai effectivement perdu environ 50 % de mes revenus. C’est le prix à payer pour défendre la sécurité de mes patients. “

En avril, Hoffe a publié une lettre ouverte adressée à la responsable provinciale de la santé de la Colombie-Britannique, le Dr Bonnie Henry, affirmant avoir vu “de nombreuses réactions allergiques”, un “décès soudain” et quelques cas de “déficits neurologiques continus et invalidants” après avoir administré 900 doses du vaccin COVID-19 de Moderna aux membres de la communauté des Premières Nations voisine.

“En bref, dans notre petite communauté de Lytton, en Colombie-Britannique, nous avons une personne décédée et trois personnes qui semblent devoir être handicapées de façon permanente, après avoir reçu leur première dose du vaccin Moderna. L’âge des personnes touchées varie de 38 à 82 ans”, affirme M. Hoffe dans sa lettre.

Ses allégations ont été rejetées par le Dr Carol Fenton, médecin hygiéniste de Interior Health à Kamloops, qui a déclaré qu’il n’y avait eu “aucun décès ou effet indésirable durable” lié à un quelconque vaccin COVID-19 en Colombie-Britannique, et encore moins dans la région de Interior Health.

Un avis communautaire daté du 4 mai et affiché à la clinique allègue que le retrait du Dr Hoffe ” laisserait un vide important dans le personnel médical ” de l’hôpital. Cependant, le Dr Hoffe continue de voir ses patients en privé à son cabinet qui est rattaché à Saint-Barthélémy.

L’avis a été affiché à l’extérieur de la Lytton Medical Clinic, où le Dr Hoffe exerce.

“Le Dr Hoffe est habituellement en service en tant que médecin des urgences à Lytton pendant deux semaines par mois. Sa suspension par l’Interior Health Authority risque donc de signifier que la salle d’urgence de Lytton sera fermée au moins deux semaines par mois”, affirme l’avis.

“Ces problèmes sont encore exacerbés par le fait que l’Interior Health Authority a également décidé de réduire les services de laboratoire à Lytton à deux jours par semaine. Outre l’impact négatif sur la qualité des soins de santé à Lytton, cela rendra le recrutement de tout nouveau médecin extrêmement difficile.”

Ni l’Interior Health Authority ni le ministre de la Santé de la Colombie-Britannique, Adrian Dix, n’ont répondu aux demandes de renseignements de True North pour savoir si le Dr Hoffe fait l’objet d’une enquête.

Récemment, le College of Physicians and Surgeons of British Columbia a émis un avertissement selon lequel tout médecin dont on découvrirait qu’il ” contredit les ordres et les directives en matière de santé publique ” ferait l’objet d’une enquête et pourrait être soumis à des mesures réglementaires.

Selon le site officiel du collège, les lois sur la protection de la vie privée empêchent l’organisation de révéler si une enquête est en cours concernant l’un de ses membres.




France : Alain Fischer, le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, siège au Conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild

[Source : medias-presse.info]

Depuis le 3 décembre 2020, Alain Fischer est devenu le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, nommé par le Premier ministre Jean Castex.

Ce professeur d’immunologie est là pour pousser les Français à se faire vacciner. Et si six Français sont déjà morts après avoir été vaccinés, Alain Fischer se fait l’écho de la communication de l’industrie pharmaceutique Pfizer qui estime que ce ne sont que des “incidents”.

Les médias ne font guère allusion à un autre aspect de la carte de visite d’Alain Fischer. Alain Fischer est en effet président du conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild. Cela doit lui faire un sujet de conversation supplémentaire avec Emmanuel Macron…




Académie de médecine : grosse manipulation pour escamoter le Pass sanitaire

[Source : AgoraVox le média citoyen]

par Régis DESMARAIS (son site)

Le communiqué de l’Académie Nationale de Médecine sur l’obligation vaccinale, pour anxiogène qu’il soit, est un modèle de manipulation mentale, destiné à créer un effet Nocebo chez les Français et à détourner l’attention sur le Pass sanitaire qui reste le but ultime du pouvoir : le traçage des populations. Attention, le piège doit être évité. Restons sereins et combatifs !

Un communiqué anxiogène

Le 25 mai 2021, l’Académie nationale de médecine (ANM) a publié un communiqué des plus surprenants. Les académiciens ont décidé de retrouver un peu de verdeur en se plongeant dans leur lointaine jeunesse, mais un plongeon vraiment très profond, pour retrouver leurs années d’avant les études de médecine. Forts de leur ignorance retrouvée, mais zélés de leur arrogance toute juvénile, ils ont rédigé un communiqué ludique à lire et mémorable pour les siècles à venir.

En quelques lignes, l’ANM place sur un même pied la Covid-19 (taux de mortalité de 0,16%) et la variole (taux de mortalité de 30 %) puis elle affirme – sans fondement autre que la publicité des laboratoires – que les vaccins sont efficaces à 90% voire 95% (sic) et elle conclut que l’obligation (vaccinale) ne doit pas être un gros mot mais la seule solution susceptible de nous sauver. Un tel sauvetage, pour être digne de ce nom, nécessite de vacciner obligatoirement le plus grand nombre d’individus, 80% de la population totale, à savoir : les enfants, les adolescents, les pompiers, les policiers, les militaires et tous ceux qui ont un contact avec le public. L’idée est d’atteindre l’immunité collective par la vaccination, cette fameuse immunité collective dont la définition a été opportunément refaite par l’OMS pour lier immunité et vaccination !

La lecture de ce communiqué procure les frissons d’un blockbuster horrifique : tous les codes de la manipulation mentale sont employés, toutes les ficelles de la peur et de la panique suscitées sont tendues et ça marche car c’est très efficace, effet Nocebo garanti.

Évidemment, comme pour toute œuvre de fiction, il faut rappeler au public, ici les lecteurs de ce communiqué, qu’il est indispensable de ne pas confondre la fiction et le réel, une production de l’esprit, cet esprit fût-il dérangé et usé, et notre quotidien. Ce communiqué est évidemment une œuvre de fiction car il décrit les caractéristiques d’une pandémie et des risques qui n’existent pas sur le terrain. Mieux, l’ANM nous propose une solution loufoque, à la hauteur des délires d’un Josej Mengele se rêvant dictateur au sommet de son nid d’aigle.

L’ANM complice d’une manipulation des Français ?

Si le mot obligation n’est pas un gros mot, l’Académie nationale de médecine est un gros problème dans le paysage institutionnel français. Petite Académie, écrasée par l’ombre de l’Institut de France, elle s’est désagrégée et délitée à notre insu car, à force d’inutilité, nous ne la regardions plus depuis longtemps. Ce communiqué, aux accents de novices jouant les professeurs, braque un violent faisceau de lumière sur la moribonde. L’ANM est-elle si moribonde et ses membres ont-ils oublié tous les enseignements reçus sur les bancs de l’université et, d’une façon empirique, au cours de leur expérience professionnelle ? La réponse est évidemment non, sauf à considérer que l’ANM est un cénacle de malades d’Alzheimer au dernier stade de la maladie. Alors quoi ? Comment des gens sérieux peuvent-ils écrire de telles inepties ? La réponse la plus probable est celle de la commande, de la main qui dicte. En clair, ce communiqué n’est rien d’autre qu’un objet destiné à créer un mode panique au sein de la population et dont la vocation est de détourner l’attention … du Pass sanitaire adopté définitivement par l’Assemblée nationale le même jour que le communiqué de l’ANM !

On comprend donc aisément que ce communiqué de l’ANM va à l’encontre des données acquises de la science sur la pandémie actuelle. Par ailleurs, l’ANM ne peut pas sérieusement vouloir imposer une vaccination obligatoire qui conduirait à une révolte et à la chute du pouvoir. Seules trois hypothèses peuvent tenir la corde pour justifier ce communiqué :

1°) Il s’agit de la méthode « Macron » qui est de nouveau appliquée : l’ANM propose l’enfer à la population et le président, tel un chevalier blanc, viendra sauver les Français en écartant de si décalées et dangereuses propositions académiques. Le scénario est lui aussi assez usé et abusé mais on sait qu’il fonctionnera toujours auprès des plus crédules.

2°) Il s’agit de détourner l’attention du public sur l’adoption définitive du Pass sanitaire et la prochaine publication, par décret, de ses modalités pratiques de mise en œuvre. Pendant que l’on s’excite sur le communiqué de l’ANM et que, pour certains, on plonge dans le désarroi et la peur, le Gouvernement avance dans son projet de traçage et de surveillance généralisée de la population. La société à la chinoise se met en place selon les désirs d’un pouvoir pervers et totalitaire. Cette hypothèse est en lien très fort avec la 1ère hypothèse.

3°) Il s’agit de créer la panique au sein de la population et de la fracturer entre ceux qui acceptent le vaccin comme un acte obligé pour continuer sa vie sociale et ceux qui refusent l’arbitraire et la montée sur l’échafaud. Terroriser pour exacerber les détestations entre les camps et conduire à la panique et son cortège de dérapages violents et incontrôlés. Cette hypothèse trace les lignes floues d’une guerre civile tant redoutée, une guerre au sein du peuple.

Encore une fois, on ne peut que s’interroger sur les conditions qui peuvent conduire les membres de l’ANM à rédiger un communiqué d’une violence inouïe sur les personnes, et d’un dédain absolu vis-à-vis de ses conséquences sur le mental des gens. Comment ces gens ont-ils pu accepter de diffuser un communiqué si peu scientifique et reposant sur des approximations, des oublis et des mensonges éhontés ? C’est le grand mystère de ce drame qui frappe notre pays et presque toute l’Europe : comment une « élite » a-t-elle pu se révéler si faillible et si compromise dans une démarche que l’on pourrait qualifier de criminelle sur les populations ? Cette question hantera longtemps ceux qui survivront à cette folie. Ces derniers seront nombreux car une chose est sûre et certaine : tous les Français doivent lire ce communiqué comme s’ils lisaient le pitch d’un mauvais film dont le réalisateur aurait oublié que le festival d’Avoriaz, c’est fini, et depuis longtemps.

Objectif : se préserver et dire non au Pass sanitaire 

Nous devons rire de ce communiqué et de sa tentative de détourner l’attention. Il faut surtout ne pas en avoir peur et ne pas en tenir compte dans notre vie de tous les jours. Jamais l’expression « sortir du jeu » n’aura eu autant de pertinence face à cette production de l’ANM. Nous devons mener notre existence au regard et dans le respect des valeurs qui nous semblent essentielles et inviolables. Un conseil : laissons les fous entre eux, laissons les s’épuiser à nous effrayer et à détourner notre attention. Vivons notre vie sous l’ombre protectrice des droits de l’Homme. Pour ce faire, gardons à l’esprit que le poison de la démocratie est désormais ce Pass sanitaire adopté en parallèle du communiqué de l’ANM. Refusons ce Pass, contraire à nos valeurs et redoutable pour ses conséquences !




Note sur l’illusion de l’« information »

Par Joseph Stroberg

Une partie de l’Humanité actuelle est prise dans une spirale de recherche d’informations, de Big Data (([1] Données massives, engrangées dans d’immenses bases de données informatiques ou numériques)), de « Nouvelles » sur tout et n’importe quoi, pourvu que ça fasse le « buzz », que ça relève de « scoop », de controverse, de provocation ou que ça puisse être utilisé comme outil de manipulation. La science s’empare du concept de l’information pour en faire la prétendue base de l’Univers, comme si celui-ci devait la vie à une série de chiffres ou de lettres. De pair avec l’Intelligence artificielle, elle s’en sert pour pousser l’élite de l’Humanité et une partie de ses esclaves à se prendre pour Dieu. Pourtant, qu’est-ce que l’information ? Quelle est sa nature fondamentale ?

À la base, l’information renseigne sur l’état, le mouvement, les propriétés ou l’action d’un objet ou d’un être formel. L’information est intimement liée au monde de la Forme, à celui de structures ou de systèmes organisés, que ce soit aux niveaux infinitésimaux (atomes, électrons, quarks…) comme aux niveaux macrocosmiques (planètes, systèmes solaires, galaxies…), en passant par les formes dites « vivantes » telles que celles des végétaux, des animaux et des êtres humains. L’information passe d’une forme à l’autre par des moyens de communication, d’émission de l’information par un émetteur (la parole, un émetteur radio, etc.) et de sa réception par un organe sensoriel ou récepteur (oreille, œil, récepteur radio, etc.). L’information permet aux systèmes formels de s’organiser en structures plus complexes :
– les cellules fonctionnelles communiquent entre elles notamment par des signaux chimiques pour que l’organe constitué par leur assemblage particulier remplisse une fonction d’un autre niveau (pour que le cœurs batte et pompe le sang dans le système sanguin, pour que les reins filtrent des substances, pour que les intestins en assimilent certaines et en rejettent d’autres, pour que le cerveau calcule ou visualise, etc.);
– les ouvrières, les soldats et la reine des fourmis s’organisent en fourmilières;
– les êtres humains s’organisent en sociétés, en villages, en entreprises…;
– les systèmes solaires s’organisent en galaxies;
– Etc.

Cependant, d’où vient l’impulsion de l’organisation et de la communication d’informations à cette fin ? Si l’informatique tend à démontrer que l’information peut se ramener à des suites de chiffres ou de lettres, celle-ci reste « lettre morte » si elle n’est pas comprise de ceux censés l’utiliser. Et la compréhension nécessite une sorte d’intelligence ou de mécanisme intelligent susceptible de permettre une prise de conscience. À cette fin, l’« intelligence artificielle » ne suffit pas. Si cette dernière peut traiter l’information et même la transformer, celle-ci ne lui sert à rien. Elle ne devient utile que lorsqu’elle est reçue par la conscience d’un être humain qui peut alors décider d’en faire usage ou non. L’information est utilisable seulement par une conscience apte à utiliser des mécanismes intelligents ou intelligemment conçus, à son niveau d’expérience des mondes de la Forme, à son échelle d’organisation. L’information ne peut servir qu’à une conscience compatible, grâce à son degré de maîtrise du plan organisationnel ou formel correspondant. Schématiquement, seule la conscience d’une cellule peut utiliser les signaux chimiques et électriques d’information qui se propagent dans son milieu ou univers cellulaire. Seule la conscience d’une fourmi peut utiliser les signaux chimiques d’un des autres membres de la fourmilière. Seule une conscience humaine peut utiliser adéquatement et intelligemment la parole humaine. Etc. Du moins, ceci à l’origine. Ensuite, il est toujours possible à une conscience donnée de s’étendre et de déborder vers les autres domaines d’organisation (et d’information correspondante). Ainsi, un savant humain peut chercher à décoder les signaux cellulaires ou ceux d’une fourmilière, de sorte à interagir à ces niveaux, au risque d’y foutre le bordel.

L’impulsion de l’organisation est intimement liée à la Conscience et le phénomène de conscience apparaît dès que le principe de Vie (La Cause créatrice, l’Esprit animateur) interagit avec la Forme. L’information sert à organiser les formes et systèmes dans l’univers formel, le monde de la Forme. Elle ne sert plus dans celui de l’informe qui est celui de l’être, de l’essence, de l’éternité immuable. L’Esprit n’a pas besoin d’informations pour créer un univers. Il le fait. De son souffle de vie, il l’étend à partir d’un point singulier, à partir du néant, un peu à la manière dont un enfant souffle dans un ballon de baudruche pour un étendre la surface et augmenter le volume. L’Esprit crée le potentiel d’information dans la Forme en même temps qu’il expand celle-ci et engendre la Conscience par des formes organisées de plus en plus complexes.(([2] Voir aussi :
– Vie et mort des systèmes
– Les machines pour jouer à Dieu
– Réflexion sur la vie, la matière et la conscience))

Sans conscience organisatrice, l’information reste lettre morte, un message sans destinataire. L’information n’est pas une cause fondamentale de l’univers, mais une conséquence. Elle est produite par des consciences organisées dans la Forme pour d’autres consciences organisées capables de les recevoir et surtout de les utiliser afin d’augmenter ou de transformer les formes existantes. Certains hommes ont ainsi utilisé certaines informations pour augmenter certains « virus » et en faire des « vaccins » ou des armes bactériologiques, pour le meilleur ou pour le pire, souvent avec une trop faible dose de conscience et de responsabilité, sans réellement se préoccuper sur les multiples conséquences possibles, à court, moyen et long termes.





Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire

[Source : Ethique TV via medias-presse.info]

Le Dr Louis Fouché explique comment ceux qui organisent la dictature sanitaire sont les mêmes que ceux qui ont à leur agenda de nous imposer le transhumanisme.




Des scientifiques norvégiens affirment que le climat de l’Antarctique est très stable et n’est pas détruit par les pets de vache

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Greta Thunberg s’est ridiculisée récemment en interprétant un phénomène naturel à la lumière du réchauffement climatique.

Nous sommes à la fin d’une période glaciaire, il est donc possible que le globe se réchauffe de lui-même.

Cependant, les preuves de ce phénomène sont rares.

Via Sputnik News :

Mettant en garde contre les “prophéties d’apocalypse” non fondées et la “propagande alarmiste”, des chercheurs norvégiens ont déclaré que la limite de la glace dans les parties les plus importantes de l’Antarctique, surnommé “le congélateur du monde”, non seulement ne s’est pas amincie, mais a même augmenté, contrairement à certaines attentes.

Après avoir mesuré à la fois les températures, les courants océaniques et la salinité dans la mer et sous la glace en Antarctique depuis la fin des années 60, des chercheurs norvégiens sont arrivés à des résultats plutôt surprenants.

Contrairement aux prédictions alarmistes et aux tendances observées ailleurs, le climat au pôle Sud est stable depuis 40 ans, a déclaré à TV2 Svein Osterhus, océanographe et chercheur principal au Centre de recherche norvégien (NORCE).

“Jusqu’à présent, nous n’avons pas constaté de changements significatifs. La lisière de glace que nous étudions ne s’est pas amincie, au contraire”, a déclaré M. Osterhus après son 15e voyage en Antarctique.

Selon les mots du journaliste de TV2, Osterhus “s’est élevé contre les prophéties apocalyptiques” en affirmant que les zones les plus importantes du “congélateur du monde” sont actuellement “très stables”.

“Il est vrai que dans certaines zones, il y a une fonte de la glace. Dans le nord, la glace de mer est en train de fondre. Elle fond aussi au Groenland et dans certaines parties de l’Antarctique, mais ce qui compte vraiment en matière d’élévation du niveau des mers, oui, heureusement, il ne se passe pas grand-chose ici”, a souligné M. Osterhus.

Le chercheur a souligné l’importance de faire attention à la “propagande alarmiste” sur le climat.

“En tant que chercheur, je fais attention à ne pas faire d’affirmations sans avoir de réels arguments à l’appui. Je pense que cela peut nous toucher durement si nous présentons les choses comme s’il y avait des changements majeurs et dramatiques”, a souligné M. Osterhus.

Tout cela n’est que de la propagande alarmiste, et ce serait ridicule même si tout était vrai.

Greta Thunberg est littéralement à l’ouest, et elle est constamment en état de crise, pensant que le monde va brûler.