Témoignage d’une infirmière qui a réalisé des tests PCR

[Source : Ma France (by-jipp.blogspot.com)]

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COVID-19 — La Cour pénale internationale de La Haye a accepté la plainte pour violation du code de Nuremberg du gouvernement israélien. MàJ

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Le week-end dernier, une plainte de l’organisation « People of Truth » a été déposée auprès du Tribunal de La Haye par les avocats Ruth Machnes et Aryeh Suchovolsky, du cabinet A. Suchovolsky & Co., concernant des violations du Code de Nuremberg par le gouvernement israélien et d’autres parties. Or, la plainte déposée la semaine dernière devant la Cour pénale internationale a été acceptée. Elle est maintenant en attente d’une décision.

L’avocate Ruth Machnes Suchovolsky a déclaré le 5 mars dernier à Israel News que « dans le même temps, la plainte sera également déposée au tribunal de Nuremberg, avec l’avocat allemand Reiner Fuellmich. Lundi, la plainte sera déposée à la Haute Cour par Aryeh Suchovolsky en Israël, concernant la violation du Code de Nuremberg. » L’avocate ajouta six jours plus tard : « L’expérience que Pfizer mène dans l’État d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. »

Cour pénale internationale (lettre d'acceptation)
La lettre d’acception de la Cour pénale internationale, signée par Mark Dillon.

La plainte déposée auprès du tribunal se lit comme suit :

Nous nous adressons à vous au nom de l’association «Anshei Emet», une association en cours d’établissement, dont les membres sont des avocats, des médecins, des militants du public et en général, qui ont fait le choix d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir le traitement médical expérimental (Immunisation Corona), et qui estiment que de grandes pressions, dures et illégales, sont exercées sur eux au nom du gouvernement d’Israël, des membres de la Knesset, des ministres, des hauts représentants élus du public, des chefs de villes et plus encore.

Nous souhaitons commencer par des connaissances de base sur le sujet: Le vaccin Corona est un traitement médical innovant, qui n’a obtenu que récemment l’approbation de la FDA aux États-Unis (dans le cadre d’une procédure d’urgence uniquement), une approbation qui n’est pas définitive et avec des détails sur 22 effets secondaires du vaccin. En outre, il est clair pour tous les facteurs médicaux que le sujet de l’influence à long terme du traitement n’a pas été testé scientifiquement (tests et recherches), et l’effet à long terme et la sécurité du traitement sur ses receveurs sont inconnus. Il est important de préciser que jamais jusqu’à présent n’ont été administrés dans le monde entier des immunisations par cette technologie médicale d’introduction d’un M-ARN synthétique dans le corps, et toutes les immunisations précédentes ont fonctionné d’une manière totalement différente, par l’introduction d’un ou virus affaibli et excitation naturelle du système immunitaire contre lui. Comme détaillé par un virologue senior, les risques anticipés par ce traitement médical innovant sont ci-joints en Annexe 1 à ma lettre.

« Code de Nuremberg » — Un code d’éthique médical publié sur la base des lois en vertu desquelles les criminels nazis ont été jugés pour avoir mené d’horribles expériences médicales pendant la Seconde Guerre mondiale, dans le procès des médecins connu sous le nom de procès de Nuremberg. Le Code de Nuremberg a ensuite constitué la base de la législation de la Déclaration d’Helsinki ainsi que la base de la loi sur les droits des patients en Israël. Nous avons l’intention de vous présenter et de détailler comment, dans l’État d’Israël cette année, le gouvernement d’Israël avec ses ministres et ses membres de la Knesset, les chefs de villes et d’autres hauts responsables, enfreignent le code de Nuremberg de manière illégale, de manière flagrante. et extrême, et à notre regret, non seulement dans un seul aspect mais beaucoup, trop!

a) Consentement éclairé pour participer à une expérience médicale — un premier principe du Code de Nuremberg est la volonté et le consentement éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à une expérience. La personne est censée activer la liberté de choix sans l’intervention d’un facteur employant la force, la tromperie, la fraude, la menace, la sollicitation ou tout autre type de liaison ou de coercition. Lorsque les chefs du ministère de la Santé ainsi que le Premier ministre ont présenté le vaccin en Israël et ont commencé la vaccination des résidents israéliens, les vaccinés n’ont pas été informés, qu’en pratique, ils participent à une expérience médicale et que leur consentement est requis à cet effet en vertu du Code de Nuremberg, et seulement lorsqu’il est devenu évident que le Premier ministre avait effectivement signé un accord avec la société Pfizer (le fabricant), il a d’abord été publié et également déclaré par le Premier ministre, qu’il s’agissait bien d’une expérience médicale , et que c’était là l’essence de l’accord. Il s’agit en fait d’une expérience médicale génétique sur des êtres humains, réalisée sans consentement éclairé et sous une infraction grave et flagrante du Code de Nuremberg.

b) L’accord Bibi-Pfizer. Après factum, il est devenu clair que le Premier ministre d’Israël a signé un accord avec la Pfizer Company (la société de fabrication), en vertu duquel il recevra une énorme quantité de millions de portions de vaccins, et avec une préférence par rapport aux autres pays, et en contrepartie, les vaccinés (résidents d’Israël) serviront d’«expérimentateurs» pour la société pharmaceutique. Il a été convenu que la société pharmaceutique recevrait d’Israël toutes ses informations médicales et personnelles secrètes à son insu ou sans son consentement préalable. En outre, nous devons déclarer que jusqu’à ce moment, le contenu de l’accord concernant la plupart des résidents de l’État d’Israël, n’a pas été publié, ce qui est la transparence obligatoire en vertu de la loi, et il a été publié avec « black-out » / dissimulation d’un grand nombre d’informations incluses dans cet accord. Il convient de dire et de rappeler que nous ne vivons pas dans un pays de dictature, de sorte qu’à l’évidence, un tel accord doit être soumis à une transparence totale envers le large public.

c) Traitements alternatifs. En ce qui concerne le consentement éclairé pour un traitement médical, et sur la base des principes du Code de Nuremberg, il existe une obligation de détailler et de suggérer à un patient plusieurs alternatives de traitement, en détaillant également le processus médical (et tout ce qui y est inclus). comme les avantages et les inconvénients / bénéfices et risques, existant dans chaque traitement, pour lui permettre de prendre une décision personnelle intelligente concernant le traitement qu’il préfère. Comme indiqué, cela doit être fait sans exercer de pressions et librement, en tant que personne libre. Malgré tout ce qui précède, l’État d’Israël et le ministère de la Santé ne présentent pas aux citoyens israéliens les alternatives actuellement existantes pour traiter la maladie de Corona, qui se sont avérées efficaces et avec peu d’effets secondaires, et non dangereuses. Ils sollicitent les citoyens et leur font pression (tout en violant de manière flagrante le processus de consentement éclairé), dissimulent les informations concernant les vaccinations et créent une atmosphère sévère de peur et de coercition.

d) Un quatrième principe est que l’expérience sera menée pour éviter les souffrances ou les blessures physiques. On sait que le traitement a causé la mort de nombreuses personnes, des blessures et des dommages graves (y compris une incapacité et une paralysie) après l’administration du vaccin. Malgré ce fait, le gouvernement n’a pas ordonné l’ouverture d’une enquête sur la question. Il est intéressant de constater que le ministère de la Santé a ouvertement admis que 41% des policiers, des militaires, du personnel éducatif et médical, qui avaient été vaccinés, souffraient d’effets secondaires graves et mettaient leur vie en danger. Il est également étonnant qu’il n’y ait pas de rapports complets sur le nombre de morts ou de blessés, comme on peut s’y attendre dans un tel processus médical au profit du public participant à l’expérience.

e) Un cinquième principe stipule que l’expérience ne doit pas être menée lorsqu’il y a des raisons de supposer que la mort ou des blessures réelles se produiront. Concernant la violation de ce principe, voir ci-dessus. Comme indiqué, concernant les données sur les cas de décès, nous les citoyens n’entendons que de bouche à oreille sur les réseaux sociaux (par des amis, des voisins ou des proches) et non sur les médias centraux.

f) Un principe supplémentaire est que le facteur responsable de l’expérience sera prêt à l’arrêter à n’importe quel stade s’il existe une raison raisonnable de supposer que cela causera des blessures, une invalidité ou la mort du participant à l’expérience. Il a déjà été prouvé que beaucoup de gens sont morts du traitement, ont été blessés, sont devenus invalides et paralysés; cependant, le gouvernement israélien continue d’imposer cette dangereuse expérience aux citoyens israéliens.

g) Voici des publications récentes, qui démontrent les violations flagrantes et criminelles du Code de Nuremberg au nom du gouvernement, des ministres et des membres de la Knesset, des chefs de villes et des hauts fonctionnaires, ainsi que des employeurs :

Vous trouverez ci-dessous quelques exemples (parmi tant d’autres) de violations du Code de Nuremberg (qui seront jointes à l’annexe 2 de ma lettre).

Exercez une pression économique :

  1. L’Association des fabricants, appuyée par un avis juridique, menace d’envoyer en congé sans solde tout salarié qui ne sera pas vacciné.
  2. Le ministre de la Santé, Yuli Edelstein, souhaite promulguer une loi qui empêchera l’arrivée des non-vaccinés sur un lieu de travail.
  3. Ne pas refuser les frais de chômage.

L’exercice de la pression sociale :

  1. 1. Une menace pour empêcher l’accès aux divertissements, aux loisirs et à la réception de services de la communauté.
  2. Les artistes, les leaders d’opinion et les représentants du public, qui dans tous les coins choisissent de faire de la propagande, et de manière agressive et insultante, proposent même des punitions et des sanctions. (Membre de la Knesset Ayelet Shaked, membre de la Knesset Smotrich, le ministre de la Santé Edelstein, membre de la Knesset Benet, animateur de l’émission matinale Avri Gilad, le chanteur Yoram Gaon, Judy Nir Moses et autres)
  3. Des véhicules avec des systèmes de sonorisation errant dans les rues exhortant les gens à arriver pour les vaccinations, des conversations et des avis agressifs des compagnies d’assurance maladie, et même en fixant des rendez-vous pour les vaccinations sans le souhait des assureurs, et plus encore.

Incitations interdites pour les vaccinés :

  1. Recevoir une nuit gratuite dans un hôtel, des jours de vacances, etc., offerts par les propriétaires de diverses entreprises à leurs employés.
  2. Réductions dans divers établissements commerciaux, privés et publics, ainsi qu’une carte d’avantages promue par le gouvernement.

Le Premier ministre israélien a déclaré à plusieurs reprises que les citoyens israéliens participent à cette expérience médicale innovante au profit de tous les citoyens du monde, qui, pour une raison quelconque, ne se précipitent pas pour obtenir le traitement médical susmentionné, et ils attendent avec impatience de voir les expérimentateurs israéliens. Il en est de même de l’accord signé par le gouvernement avec la société Pfizer, occulté en de nombreux endroits, soulevant des questions sur les accords conclus par le gouvernement avec la société Pfizer.

Il est souligné par la présente que les moyens actuellement activés contre les citoyens, y compris la proposition de législation contre quiconque n’a pas été vacciné, contredisent non seulement le Code de Nuremberg et l’autonomie de l’individu sur son corps, mais également la législation en vigueur en Israël, y compris la loi fondamentale sur la dignité et la liberté des personnes, la loi sur la liberté d’occupation, la loi sur les droits des patients, la loi sur l’égalité des chances au travail, l’interdiction de la discrimination dans les produits, services et la loi sur l’accès aux divertissements et aux lieux publics, et d’autres lois.

Par conséquent, et compte tenu de ce qui précède, nous adressons à votre honneur deux demandes principales :

  1. Interrompre immédiatement l’expérience médicale et l’administration de vaccins au public des citoyens israéliens.
  2. Donner instruction au Gouvernement d’entamer toutes les procédures législatives qui enfreignent le principe du consentement éclairé d’une personne pour recevoir le traitement médical décrit ci-dessus, et qui nie le statut juridique en Israël et dans la démocratie israélienne, y compris le fait d’éviter de légiférer sur le Passeport vert, remise des noms de ceux qui ne sont pas vaccinés aux autorités locales ou à toute autre législature nuisible.
  3. Agir avec la sévérité la plus requise contre toute entité publique / commerciale / professionnelle, qui viole les lois de l’État sur les sujets de l’emploi ou les autres sujets nécessaires pour empêcher la contrainte, la coercition ou la sollicitation de vacciner, ainsi que l’objet de discrimination, contre ceux qui ont fait le choix de ne pas recevoir le traitement médical innovant susmentionné.
  4. Nous vous demandons de porter à votre attention qu’une copie de ce document sera également transmise aux canaux médiatiques du monde entier car la violation du Code de Nuremberg est pertinente dans tous les pays du monde libre.
  5. Enfin, il est précisé que ce n’est que récemment qu’une décision a été prise au Parlement européen le “27/1/21”, enjoignant toutes les autorités de ne pas exercer de pression ou de sollicitation sur les personnes pour qu’elles prennent le vaccin Corona de quelque manière que ce soit. Par conséquent, tout ce qui est bon pour les États européens avancés l’est certainement aussi pour Israël — et l’équilibre est évident.

Représentation légale et élection de domicile
Les candidats seront représentés aux fins de cette procédure par

Avec respect

Cour pénale internationale (signatures)

Par conséquent, toute correspondance ultérieure ne doit être envoyée qu’aux adresses postales et / ou électroniques indiquées ci-dessus. Toute notification au sens du Statut de la Cour adressée de cette manière sera considérée comme valable.
UNE FOIS DÉPOSÉ ET TRAITÉ



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Le Chef de Corps des pompiers des Bouches-du-Rhône suspend toute vaccination avec AstraZeneca après de nombreux effets secondaires parmi les pompiers

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Medias Presse Info vient de recevoir copie d’un document interne au corps des sapeurs pompiers. En date de ce dimanche 14 mars 2021, le Colonel Grégory Allione, Chef de corps des sapeurs pompiers des Bouches-du-Rhône, écrit :

Sur proposition du médecin chef, suite à la déclaration d’effets indésirables sérieux 48 heures après une injection du vaccin AstraZeneca chez l’un de nos collègues, je décide de suspendre jusqu’à nouvel ordre toute injection avec ce type de vaccin auprès des personnels du SDIS 13 (ndlr : Service d’incendie et de secours des Bouches-du-Rhône).

L’ensemble de nos autorités de gouvernance (Préfet et Président) et l’agence régionale de santé (DG ARS) sont informées. Le médecin chef est en contact avec le centre de pharmacovigilance. Les autorités de santé sont auprès de notre collègue pour étudier l’ensemble des éléments médicaux et scientifiques relatifs à nos suspicions actuelles.

Merci à vous de prévenir celles et ceux qui avaient RDV dès demain.

Nous allons rechercher des solutions pour être approvisionnés avec d’autres vaccins pour poursuivre la campagne de vaccination de nos agents.

Cette décision fait suite à des informations reçues hier, samedi, au sujet de pompiers qui, après vaccination, présentent des effets secondaires générant un profond mal être, au point pour certains de se trouver en position d’arrêts maladies.

Vendredi 12 mars 2021, un agent de la garde des sapeurs pompiers d’Arles a fait un malaise et a eu des pertes de connaissance répétées. Ces pertes de connaissance sont liées à des micro-arrêts cardiaques. Ce pompier a été réanimé par des compressions thoraciques au Centre Hospitalier d’Arles et est actuellement aux soins intensifs. Le pompier en question avait reçu une injection du vaccin AstraZeneca 48h auparavant.

Cette décision du Colonel Grégory Allione est d’autant plus important que celui-ci est aussi Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France (285.000 sapeurs-pompiers).

Qu’en pense le ministre Véran, toujours défenseur du vaccin AstraZeneca alors que dix pays de l’Union Européenne ont déjà suspendu l’utilisation de ce vaccin ?




Lettre ouverte de médecins et de scientifiques à l’Agence Européenne du Médicament sur la sécurité des vaccins COVID-19

[Source : Les DéQodeurs (lesdeqodeurs.fr)]

A l’attention de nos lecteurs : Nous avons vérifié minutieusement la traduction de tous les termes médicaux, mais faute de compétences scientifiques aussi pointues dans l’équipe, nous ne saurions garantir une parfaite traduction d’ensemble des processus biochimiques mis en cause. Nous nous excusons pour toute éventuelle imprécision.


A Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne du Médicament (EMA), Amsterdam, Pays-Bas :

28 février 2021

Mesdames, Messieurs

En tant que médecins et scientifiques, nous sommes en principe favorables à l’utilisation de nouvelles interventions médicales qui sont développées et déployées de manière appropriée, après avoir obtenu le consentement éclairé du patient. Cette position englobe les vaccins au même titre que les thérapeutiques.

À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE : EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DU MÉDICAMENT

Nous constatons qu’un large éventail d’effets secondaires est signalé à la suite de la vaccination de jeunes individus auparavant en bonne santé avec les vaccins à base génétique COVID-19. En outre, de nombreux médias du monde entier ont rapporté que des résidences pour personnes dépendantes et de soins avaient été frappées par le COVID-19 quelques jours après la vaccination de leurs résidents. Tout en reconnaissant que ces événements peuvent tous être de malheureuses coïncidences, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a eu et qu’il continue d’y avoir un examen inadéquat des causes possibles de maladie ou de décès dans ces circonstances, en particulier en l’absence d’examens post-mortem.

En particulier, nous nous demandons si les questions essentielles concernant la sécurité des vaccins ont été traitées de manière adéquate avant leur approbation par l’Agence Européenne du Médicament (EMA).

De toute urgence, nous demandons par la présente que l’EMA nous fournisse des réponses aux questions suivantes :

1. Après une injection intramusculaire, on peut s’attendre à ce que les vaccins à base génétique puissent atteindre la circulation sanguine et se diffusent dans tout le corps [1]. Nous demandons des preuves que cette possibilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

2. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que les vaccins restent piégés dans la circulation et soient absorbés par les cellules endothéliales. Il y a des raisons de penser que cela se produira en particulier aux endroits où la circulation sanguine est lente, c’est-à-dire dans les petits vaisseaux et les capillaires [2]. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

3. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que, lors de l’expression des acides nucléiques des vaccins, les peptides dérivés de la protéine de spicule soient présentés par la voie du CMH I – voie de passage à la surface luminale des cellules. De nombreux individus sains possèdent des lymphocytes CD8 qui reconnaissent ces peptides, ce qui peut être dû à une contamination antérieure par le COVID, mais aussi à des réactions croisées avec d’autres types de Coronavirus [3 ; 4] [5]. Nous devons supposer que ces lymphocytes vont attaquer les cellules concernées. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

4. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que des lésions endothéliales avec déclenchement ultérieur de la coagulation sanguine par activation plaquettaire se produisent en d’innombrables endroits du corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

5. En l’absence de telles preuves, il faut s’attendre à ce que cela entraîne une baisse du nombre de plaquettes, l’apparition de D-dimères dans le sang et une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. Des troubles hémorragiques pourraient survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome de CIVD, y compris, entre autres, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons des preuves que toutes ces possibilités ont été exclues dans des modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

6. La protéine spiculaire du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 des plaquettes, ce qui entraîne leur activation [6]. Une thrombocytopénie a été signalée dans des cas graves d’infection par le SRAS-CoV-2 [7]. Une thrombocytopénie a également été signalée chez des personnes vaccinées [8]. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d’activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.

7. La propagation du SRAS-CoV-2 à travers le monde a créé une pandémie de maladie associée à de nombreux décès. Cependant, au moment de l’examen de l’approbation des vaccins, les systèmes de santé de la plupart des pays n’étaient plus sous la menace imminente d’être submergés de cas car une proportion croissante du monde avait déjà été contaminée et que le pire de la pandémie avait déjà diminué. Par conséquent, nous exigeons des preuves concluantes de l’existence d’une urgence réelle au moment où l’EMA a accordé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle aux fabricants des trois vaccins, afin de justifier leur autorisation d’utilisation chez l’homme par l’EMA, prétendument en raison d’une telle urgence.

En l’absence de l’ensemble de ces preuves, nous demandons que l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique soit retirée jusqu’à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l’EMA avec le zèle nécessaire.

Il existe de sérieuses inquiétudes, y compris, mais sans s’y limiter, celles décrites ci-dessus, selon lesquelles l’approbation des vaccins contre le COVID-19 par l’EMA était prématurée et imprudente, et que l’administration des vaccins constituait et constitue toujours une « expérimentation humaine », ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.

Compte tenu de l’urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à ce courriel dans un délai de sept jours et de répondre à toutes nos préoccupations sur le fond. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique.

Une copie de cet e-mail est adressée à :

Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe

Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne.

Les médecins et les scientifiques peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise, leur pays et toute affiliation qu’ils souhaitent citer, à l’adresse
Doctors4CovidEthics@protonmail.com.

– Références

[1] Hassett, K. J. ; Benenato, K. E. ; Jacquinet, E. ; Lee, A. ; Woods, A. ; Yuzhakov, O. ; Himansu, S. ; Deterling, J. ; Geilich, B. M. ; Ketova, T. ; Mihai, C. ; Lynn, A. ; McFadyen, I. ; Moore, M. J.; Senn, J. J. ; Stanton, M. G. ; Almarsson, Ö. ; Ciaramella, G. et Brito, L. A.(2019). Optimisation des nanoparticules lipidiques pour l’administration intramusculaire de vaccins ARNm, Thérapie moléculaire. Nucleic acids 15 : 1-11.

[2] Chen, Y. Y. ; Syed, A. M. ; MacMillan, P. ; Rocheleau, J. V. et Chan, W. C. W.(2020). Flow Rate Affects Nanoparticle Uptake into Endothelial Cells, Advanced materials 32 : 1906274.

[3] Grifoni, A. ; Weiskopf, D. ; Ramirez, S. I. ; Mateus, J. ; Dan, J. M. ; Moderbacher, C. R. ; Rawlings, S. A. ; Sutherland, A. ; Premkumar, L. ; Jadi, R. S. et al.(2020). Targets of T Cell Responses to SARS-CoV-2 Coronavirus in Humans with COVID-19 Disease and Unexposed Individuals, Cell 181 : 1489-1501.e15.

[4] Nelde, A., Bilich, T., Heitmann, J. S., Maringer, Y., Salih, H. R., Roerden, M., Lübke, M., Bauer, J., Rieth, J., Wacker, M., Peter, A., Hörber, S., Traenkle, B., Kaiser, P. D., Rothbauer, U., Becker, M., etc.; Junker, D. ; Krause, G. ; Strengert, M. ; Schneiderhan-Marra, N. ; Templin, M. F. ; Joos, T. O. ; Kowalewski, D. J. ; Stos-Zweifel, V. ; Fehr, M. ; Rabsteyn, A. ; Mirakaj, V. ; Karbach, J. ; Jäger, E. ; Graf, M. ; Gruber, L.-.C. ; Rachfalski, D. ; Preuß, B. ; Hagelstein, I. ; Märklin, M. ; Bakchoul, T. ; Gouttefangeas, C. ; Kohlbacher, O. ; Klein, R. ; Stevanović, S. ; Rammensee, H.-G. et Walz, J. S.(2020). Les peptides dérivés du SRAS-CoV-2 définissent la reconnaissance des cellules T hétérologues et induites par le COVID-19, Nature immunology.

[5] Sekine, T., Perez-Potti, A., Rivera-Ballesteros, O., Strålin, K., Gorin, J.-B., Olsson, A., Llewellyn-Lacey, S., Kamal, H., Bogdanovic, G., Muschiol, S. et autres (2020). Robust T Cell Immunity in Convalescent Individuals with Asymptomatic or Mild COVID-19, Cell 183 : 158-168.e14.

[6] Zhang, S. ; Liu, Y. ; Wang, X. ; Yang, L. ; Li, H. ; Wang, Y. ; Liu, M. ; Zhao, X. ; Xie, Y. ; Yang, Y. ; Zhang, S. ; Fan, Z. ; Dong, J. ; Yuan, Z. ; Ding, Z. ; Zhang, Y. et Hu, L.(2020). Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose dans le COVID-19, Journal of hematology & oncology 13 : 120.

[7] Lippi, G. ; Plebani, M. and Henry, B. M.(2020).Thrombocytopenia is associated with severe coronavirus disease 2019 (COVID-19) infections : A meta-analysis, Clin. Chim. Acta 506 : 145-148.

[8] Grady, D. (2021). A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, The New York Times, 8 février 2021.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués,

Professor Sucharit Bhakdi MD, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène, Université Johannes Gutenberg de Mayence (médecin et scientifique) (Allemagne et Thaïlande)

Dr Marco Chiesa MD FRCPsych, psychiatre consultant et professeur invité, University College London (médecin) (Royaume-Uni et Italie)

Dr C Stephen Frost BSc MBChB Spécialiste en radiologie diagnostique, Stockholm, Suède (médecin) (Royaume-Uni et Suède)

Dr Margareta Griesz-Brisson MD PhD, consultante en neurologie et neurophysiologie (études de médecine à Fribourg, en Allemagne, formation spécialisée en neurologie à l’université de New York, spécialisation en neurophysiologie au centre médical du Mont Sinaï, à New York ; doctorat en pharmacologie avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie chronique de faible niveau et les effets des facteurs environnementaux sur la santé du cerveau), directrice médicale de la London Neurology and Pain Clinic (médecin et scientifique) (Allemagne et Royaume-Uni).

Professeur Martin Haditsch MD PhD, Spécialiste (Autriche) en hygiène et microbiologie, Spécialiste (Allemagne) en microbiologie, virologie, épidémiologie/maladies infectieuses, Spécialiste (Autriche) en maladies infectieuses et médecine tropicale, Directeur médical, TravelMedCenter, Leonding, Autriche, Directeur médical, Labor Hannover MVZ GmbH (médecin et scientifique) (Autriche et Allemagne)

Professeur Stefan Hockertz, professeur de toxicologie et de pharmacologie, toxicologue agréé européen, spécialiste en immunologie et immunotoxicologie, PDG de tpi consult GmbH. (Scientifique) (Allemagne)

Dr Lissa Johnson, BSc BA(Media) MPsych(Clin) PhD, psychologue clinique et psychologue du comportement, experte en psychologie sociale de la torture, de l’atrocité, de la violence collective et de la propagande de la peur, ancien membre du groupe consultatif d’intérêt public de l’Australian Psychological Society (psychologue clinique et scientifique du comportement) (Australie).

Professeur Ulrike Kämmerer PhD, professeur associé d’immunologie expérimentale de la reproduction et de biologie tumorale au département d’obstétrique et de gynécologie de l’hôpital universitaire de Würzburg, Allemagne, virologue moléculaire de formation (diplôme, thèse de doctorat) et immunologiste (habilitation), reste engagée dans des recherches actives en laboratoire (biologie moléculaire, biologie cellulaire (scientifique) (Allemagne).

Professeur associé Michael Palmer, MD, Département de chimie (a étudié la médecine et la microbiologie médicale en Allemagne, enseigne la biochimie depuis 2001 dans son université actuelle au Canada ; se concentre sur la pharmacologie, le métabolisme, les membranes biologiques, la programmation informatique ; la recherche expérimentale se concentre sur les toxines bactériennes et les antibiotiques (Daptomycine) ; a écrit un manuel sur la pharmacologie biochimique, Université de Waterloo, Ontario, Canada (médecin et scientifique) (Canada et Allemagne).

Professeur Karina Reiss PhD, Professeur de biochimie, Université Christian Albrecht de Kiel, Expertise en biologie cellulaire, biochimie (scientifique) (Allemagne)

Professeur Andreas Sönnichsen MD, Professeur de médecine générale et de médecine de famille, Département de médecine générale et de médecine de famille, Centre de santé publique, Université médicale de Vienne, Vienne (médecin) (Autriche)

Dr Michael Yeadon BSc (Joint Honours in Biochemistry and Toxicology) PhD (Pharmacology), anciennement Vice-président et Directeur scientifique Allergy & Respiratory, Pfizer Global R&D ; Co-fondateur et PDG, Ziarco Pharma Ltd ; Consultant indépendant (Scientifique) (Royaume-Uni)
DOCTORS4COVIDETHICS.MEDIUM.COMUrgent Open Letter from Doctors and Scientists to the European Medicines Agency regarding …
Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands




Dr Mark Trozzi, le seul médecin honnête et courageux en Ontario qui respecte le serment d’Hippocrate : « Nous sommes manipulés ! »

[Source : Guy Boulianne]

Je m’appelle Mark Trozzi. Je suis médecin. J’ai obtenu mon diplôme en 1990 de l’Université de Western Ontario. Je pratique la médecine d’urgence depuis vingt-cinq ans et j’ai été de garde dans plusieurs unités d’urgence depuis le début de la soi-disant « pandémie », y compris une salle d’urgence spécialement désignée pour le COVID-19. Je suis professeur avancé de traumatologie de la vie au College of Surgeons of America, et j’occupe des postes d’enseignant à Sunnybrook Health Sciences dans le Advanced Life Support Department, ainsi qu’à l’Université Queen’s et à l’Université d’Ottawa.

Ce qui suit sont mes observations et opinions. Je suis tenu par mes convictions personnelles et religieuses de parler ouvertement et honnêtement. Je n’ai pas le pouvoir de vous dire « la vérité », mais je partagerai mes expériences honnêtes, mes perceptions et mes résumés de centaines d’heures de recherche sur le sujet du covid-19.

Au début de cette « pandémie », j’étais prudent et donc méticuleux avec l’utilisation du masque N95, le lavage des mains, l’isolement social et la distanciation, etc. J’ai étudié la science des coronavirus et j’ai été profondément impliqué dans de nombreux exercices des urgences pour modifier notre pratique de manière profonde pour faire face au « virus tueur » qui nous a été annoncé. Cependant, diverses choses m’ont vite fait considérer que nous étions trompés et manipulés. Voici quelques-unes :

La première vague

La « première vague » de la « pandémie » a été absolument la période la plus calme de ma carrière. J’ai travaillé très dur et été très occupé au cours des vingt-cinq dernières années aux urgences. Cependant, tant dans mon service d’urgence régulier que dans mon service d’urgence « désigné COVID-19 », il n’y avait presque pas de patients et presque pas de travail. J’ai eu plusieurs longs quarts de travail à l’urgence sans un seul patient. Pendant ce temps, quand j’allais à l’épicerie locale, le public de propagande, que Dieu les bénisse, me conduisait à l’avant de la ligne de distance antisociale, me remerciant pour tout ce que je traversais en tant que médecin d’urgence de première ligne. Ils croyaient que les urgences et les hôpitaux étaient pleins de patients mourant de covid, et que je devais être épuisé et risquer de mourir moi-même à cause de l’exposition. J’ai commencé à contacter des médecins et des amis partout au Canada et aux États-Unis, et j’ai trouvé le même schéma : des hôpitaux vides,

Enquête précoce

Au début de mes études, j’ai étudié le zinc et l’hydroxychloroquine, qui, sur la base d’une bonne physiologie, peuvent véritablement aider les rares personnes très atteintes de ce virus du rhume. J’ai été surpris que ce traitement ait été simplement écarté et rejeté par la plupart de la communauté médicale.

Préoccupations précoces

Dr. Mark Trozzi

En recherchant l’Organisation mondiale de la santé, de l’ONU, j’ai appris que la dictature chinoise (RPC) avait soutenu un ******* communiste « Dr » Tedros, à la tête de l’OMS, et j’ai appris comment la RPC avait été impliquée dans la libération du virus, la couverture pendant des semaines, la disparition et la suppression des médecins et scientifiques chinois honnêtes, la propagation du virus dans le monde (épargnant Pékin où vit l’élite de la RPC), et les abus dramatiques du peuple chinois dans son verrouillage au bon moment, qui a été filmé et transmis au monde pour créer la panique qui nous a tous poussés à abandonner nos économies et nos droits civils.

Les renards gardent le poulailler

J’ai appris comment l’administrateur en chef de la santé publique du Canada, le Dr Tam, siège au comité de surveillance de l’OMS avec le Dr Tedros, ce qui en fait essentiellement un agent ******; et je l’écoutais souvent – ******* dissertations aux Canadiens concernant le covid-19.

Ma perception de la situation

Je perçois qu’à tous les niveaux, l’administration hospitalière n’a apparemment eu d’autre choix que de se soumettre au déploiement descendant sans fin de la part des gouvernements, de nouvelles règles, protocoles et procédures discutables. Mes conversations honnêtes avec mes collègues au sujet de mes recherches et observations sont devenues un problème. Pris dans ce dilemme, un administrateur important que je respecte énormément, m’a dit que « mes pensées mettaient les autres mal à l’aise et rendaient difficile de garder tout le monde motivé et conforme » à tous les nouveaux protocoles et restrictions. Sympathique à la triste situation, j’ai maintenu ma position clinique en promettant de « me mordre la langue chaque fois que je pensais que j’allais parler du COVID-19 » à l’hôpital. C’était finalement impossible pour moi d’un point de vue éthique, et je me suis récemment retiré des urgences pour éviter les conflits.

Ai-je déjà vu un patient Covid-19 ?

Je n’ai jamais vu un patient atteint du COVID-19. J’ai vu des tests PCR positifs chez des personnes asymptomatiques, et j’ai vu des gens être emprisonnés chez eux et isolés de leur famille et de leurs amis. Mes recherches sur le test PCR m’ont convaincu personnellement qu’il est trompeur, manipulable et utilisé pour drainer l’argent et la dette future des contribuables sans fin, afin d’enrichir considérablement les criminels mêmes qui dirigent ce scandale. Ma province à elle seule a effectué environ 50 000 tests PCR par jour. Pendant ce temps, notre gouvernement fédéral apporte des centaines de milliers de doses d’injections expérimentales potentiellement dangereuses de matériel génétique viral modifié, les qualifiant de « vaccins » et les faisant gérer par l’armée. Est-ce raisonnable pour une maladie virale principalement bénigne et non mortelle ?

La suppression de l’information ?

J’ai observé la suppression des médecins et des scientifiques qui ont effectué des études sur les anticorps sériques, dont les résultats ont montré que le virus était beaucoup plus répandu, mais généralement non mortel, et asymptomatique ou très léger dans la plupart des cas, et que dans de nombreuses régions, nous avions probablement déjà atteint l’immunité naturelle du troupeau d’ici l’été 2020.

Regardez cette étude réalisée à Wuhan même, qui montre que le virus y a été fait avant le 1er juin 2020, deux mois seulement après la fin de leur bref verrouillage, et que personne ne le propageait, pas même les très rares personnes avec un test PCR « positif. » (Et ils n’étaient pas malades).

La Chine

J’ai remarqué qu’après le verrouillage théâtral de la Chine, ils sont rapidement retournés aux affaires comme d’habitude, alors que toutes nos économies étaient gelées, ils ont acquis un contrôle énorme sur le marché mondial. Cela semble une stratégie formidable mais maléfique !

Manipulation politique des travailleurs de la santé

J’ai l’impression que beaucoup de choses que nous avons apprises à la faculté de médecine sur les maladies infectieuses ont été écartées et remplacées par des listes en constante expansion de mandats souvent ******* par des responsables de la santé publique. Les médecins, les infirmières et les enseignants sont particulièrement importants pour le succès de cette tromperie COVID-19, car nous sommes des leaders dans la société et les gens font confiance à nos conseils. Il n’est donc pas surprenant que je trouve que la liberté d’expression et de pensée a été très supprimée dans nos rangs. Plutôt que d’endurer les punitions de la dissidence, nous pouvons choisir de faire l’expérience des avantages à courte vue comme des jours extrêmement calmes aux urgences, en remplaçant notre travail pratique traditionnel par des sessions Zoom à domicile, et accéder à une variété de nouveaux codes COVID-19 *******. À un moment donné, il existait une option pour gagner plus d’argent que ce que je gagne normalement en travaillant dans une salle d’urgence occupée,

De nombreux facteurs de motivation positifs et négatifs sont utilisés pour manipuler les médecins, les infirmières et les enseignants canadiens, afin de participer par inadvertance à cette grande tromperie covid, mais cela détruit notre société. Pour reprendre une métaphore du Titanic : « même les suites de luxe du Titanic se retrouvent au fond de l’océan quand il coule ». En outre, une grande partie de ce qui est fait, y compris les injections génétiques virales expérimentales, semble violer le code de Nuremberg concernant l’expérimentation médicale avec le plein consentement éclairé des participants. Les médecins et les infirmières doivent prendre des décisions difficiles. Ma carrière d’urgentologue m’a toujours donné l’occasion de pratiquer mes convictions religieuses et éthiques d’honnêteté et de gentillesse, tout en gagnant bien ma vie. Maintenant, maintenir la carrière que j’aime exigerait de participer à la tromperie,

Je sympathise avec tous mes collègues médecins et infirmières. Nous sommes tous victimes de l’abus de covid.

Enquête plus approfondie

J’ai recherché et perçu comment les oligarques corrompus semblent avoir planifié ce crime contre l’humanité. Cette planification comprenait l’événement 201 qui était une simulation d’une pandémie corona menée par la Fondation Bill & Melinda Gates, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins en octobre 2019, et la planification de simulation d’épidémie virale 2010 de la Fondation Rockefeller appelée « Opération Lockstep ». Ces deux projets décrivaient comment une épidémie virale serait utilisée pour instaurer un système autoritaire avec la perte de nos droits de l’homme et de nos libertés. J’ai également observé comment leurs cohortes dans les grandes technologies comme Google, Facebook, Twitter et YouTube ont travaillé pour nous censurer et nous tromper tous; c’est une véritable propagande.

Concernant l’utilisation des masques faciaux :

Le port forcé de masques par la plupart de la population mondiale n’est pas unanimement soutenu par la vraie science. Ces masques nuisent considérablement à notre santé psychologique, sociale, dermatologique, dentaire et oto-rhino-laryngotique. Bien que je sois généralement en bonne santé, les masques m’ont donné des éruptions cutanées et des symptômes nasaux chaque fois que je devais les porter pendant des périodes prolongées, qui disparaissent chaque fois que je ne les porte pas pendant quelques jours. Ce que je trouve le plus dérangeant, c’est l’élimination des expressions faciales, et donc une interaction sociale visuelle normale.

Concernant les vaccinations Covid-19 :

L’histoire des tentatives passées de vaccins contre les coronavirus, a révélé des effets secondaires très dangereux sur des modèles animaux, et les efforts ont été abandonnés. Pourquoi prendrions-nous un vaccin dangereux pour une maladie généralement bénigne, contre laquelle nous développons de toute façon une immunité collective ? Le déploiement actuel de « vaccins » expérimentaux coûteux et accélérés enterre les contribuables dans une dette sans fin envers les riches et puissants méchants de cette histoire. Pourtant, nous, les gens qui ont été emprisonnés et maltraités dans ce scandale, sommes manipulés pour prendre de nouvelles injections étranges, dans l’espoir de retrouver une partie de notre liberté. De plus, les soi-disant « vaccins » ne sont pas des vaccins (sauf si nous changeons la définition des vaccins). Ce sont plutôt des injections de gènes du virus Corona. Voir la section « Ce n’est pas un vaccin ».

Décisions difficiles

Récemment, j’ai pris des décisions personnelles difficiles : abandonner un revenu et une sécurité personnelle, pour choisir une voie éthique et honnête, qui peut contribuer à un résultat vrai et juste, et au retour de notre société libre et des libertés civiles. Je crois que nous en sommes presque tous victimes, peu importe où nous en sommes sur la voie de la récupération de la vérité.https://archive.org/embed/experimental-m-rna-gene-therapy-covid-19


Thérapie génique expérimentale d’ARNm Covid-19

Voici la définition de : « vaccin ».

« Une préparation d’un agent pathogène affaibli ou tué, tel qu’une bactérie ou un virus, ou d’une partie de la structure de l’agent pathogène qui, lors de son administration à un individu, stimule la production d’anticorps ou l’immunité cellulaire contre l’agent pathogène mais est incapable de provoquer une infection grave. » — Le dictionnaire American Heritage® de la langue anglaise, 5e édition

Pour plus de définitions du « vaccin », visitez : medical-dictionary.thefreedictionary.com/vaccine.

Vaccin-ARN

Ainsi, un vaccin signifie une injection ou une dose avalée d’une bactérie, d’un virus ou d’un autre organisme infectieux affaibli, mort ou fragmenté, contre laquelle vous essayez de vous immuniser. Bien que l’injection soit morte ou trop faible pour provoquer une maladie grave, elle présente au système immunitaire certaines des marques de surface du parasite, également appelées « antigènes ». Cela permet à votre corps de préparer des anticorps et des défenses cellulaires contre le parasite, donc si à l’avenir, vous le rencontrez, votre système immunitaire le tuera rapidement sans que vous ne tombiez malade. C’est une grande science vieille de 150 ans attribuée à son fondateur Louis Pasteur.

Maintenant : veuillez vous référer à la page 11 sur l’un ou l’autre des briefings EAU « vaccin » covid (Moderna ; Pfizer) pour trouver dans la section 4.1 Composition du vaccin : « Le vaccin contient un ARN messager nucléosidique modifié (modRNA) codant pour la glycoprotéine de pointe virale (S ) du SRAS-CoV-2. » ou « Le vaccin contient un acide ribonucléique messager synthétique (ARNm) codant pour la glycoprotéine de pointe stabilisée avant fusion (S) du virus SARS-CoV-2. »

Par conséquent, ces nouvelles injections sont du matériel génétique covid-19. Ils sont une partie modifiée du code génétique du virus covid-19, annoncé pour entrer dans vos cellules, interagir avec et utiliser vos ribosomes qui ne produisent normalement que les parties complexes ou « protéines » de votre propre cellule en fonction de votre code génétique et de votre ARN messager. Naturellement, à l’intérieur de vos cellules, vos ARN messagers amènent vos nombreuses conceptions de protéines naturelles à partir de leur copie papier dans votre ADN, aux ribosomes de vos cellules en dehors du noyau. Par conséquent, votre ARN messager transporte normalement des éléments de votre code génétique de votre ADN qui se trouve dans les noyaux de vos cellules, à vos ribosomes, qui lisent les codes et produisent votre machinerie cellulaire appelée « protéines ».

Cependant, lorsque les ribosomes sont engagés par l’injection d’ARN messager viral, vos cellules commencent à produire une partie du virus : la « glycoprotéine de pointe du SRAS-CoV-2 ». C’est donc là qu’elle commence à avoir une relation avec les vaccins, mais c’est très différent. Ici, vos propres cellules contiennent des gènes viraux, qui les dirigent pour dépenser des nutriments et de l’énergie pour produire et pomper des copies d’une partie du virus covid-19 dans votre circulation. L’argument de vente optimiste ici est que vous vous retrouvez avec certaines parties du virus covid-19 flottant dans votre corps pour, espérons-le, stimuler une réponse immunitaire saine.

D’autre part, cette injection de gène viral hautement expérimentale comporte des risques inconnus et de graves préoccupations, y compris celles expliquées ici par le Professeur Dolores Cahill.




L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ?

Par Dr Gérard Delépine

Depuis maintenant près de 3 semaines, le gouvernement et les médias s’agitent pour promouvoir une obligation vaccinale chez les soignants alors qu’il n’existe aucune preuve que le vaccin est capable d’empêcher les transmissions de la maladie, ni que les médecins contaminent leurs malades, ni que les vaccins sont sans risque et enfin que l’obligation d’un traitement expérimental est contraire à la déclaration d’Helsinki.

Il montre ainsi une fois de plus son autoritarisme et l’absence de logique médicale de sa stratégie basée sur la peur.

Mais reportons-nous aux faits démontrés, et en particulier les données publiées par l’OMS.

Les vaccins paraissent incapables d’éviter les transmissions

Les maigres données fournies par les laboratoires sur les résultats phase 3 ne démontrent pas que les vaccins soient capables de diminuer les contagions. Et leurs résultats finaux ne seront pas connus au plus tôt, avant 2023.

L’évolution de l’épidémie dans les 3 pays champions de la vaccination constitue donc les seules données objectives actuellement disponibles pour l’analyse. Pour l’instant, elles montrent que les vaccins n’empêchent pas la contagion et même peut-être les augmentent transitoirement.

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination commencée le 23 décembre 2020 avec plus de 40 % de sa population vaccinée depuis cette date. D’après les courbes OMS du 11 mars 2021, a été suivie d’une augmentation considérable (+200 %) des contaminations journalières, leur nombre passant de 1226 cas le 23/12 à 6688 le 18/2 avant de se stabiliser au double d’avant la vaccination.

Après neuf mois d’épidémie, les EAU comptaient 1955

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer en nombre de citoyens vaccinés. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

L’augmentation des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas. Et dans l’immédiat de mars, l’incertitude plane en Israël(([1] i24NEWS 28 février 2021,)) : « le coefficient de reproduction en hausse, l’épidémie en passe de se propager ». De plus le vaccin ne paraît pas non plus protéger les vaccinés longtemps des contaminations puisque B. Netanyahou a déclaré le 1/3(([2] I 24)) : « Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois ».

La Grande-Bretagne est le second champion de la vaccination. Au 1er mars 2021, un total de 21 322 717 doses de vaccin avait été administré. Commencée le 4 décembre, la vaccination a été suivie pendant 6 semaines d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 contaminations. 3 mois après le démarrage de la campagne de vaccination, le 11 mars 2021, ce chiffre est passé à 4 229 002 cas confirmés (+165 %).(([3] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3235868/fr/strategie-de-vaccination-contre-la-covid-19-place-du-covid-19-vaccine-astrazeneca))

Ce n’est qu’après le déclin mondial de l’épidémie que le nombre quotidien des contaminations a baissé en Grande-Bretagne.

Cette évolution immédiatement défavorable du nombre des contaminations après vaccination dans les 3 pays champions de la vaccination suggère que le vaccin est incapable de prévenir la transmission de la maladie.

D’ailleurs cette incertitude sur la capacité de prévenir la transmission par le vaccin Astra Zeneca est reconnue par la haute autorité de santé. « Au vu des données limitées à ce jour sur l’impact de la vaccination avec le vaccin d’Astra Zeneca sur le risque de transmission du SARS-CoV-2, la HAS insiste sur la nécessité de maintenir l’ensemble des gestes barrières et des mesures de distanciation sociale ».

Alors, pourquoi vouloir imposer ce vaccin, soi-disant pour protéger les autres ?

Les médecins et les infirmières ne contaminent pas les malades

La recherche sur PubMed des articles répondant aux mots clefs « Nosocomial Covid » le 12/3/2021 permet de lister 613 publications.

Si elles insistent sur le risque de contamination que courent les soignants et les patients hospitalisés au contact des malades du Covid19, aucun article ne rapporte la contamination d’un patient par un médecin ou une infirmière en France. Il faut certainement y voir là l’effet de la conscience professionnelle de ces soignants qui arrêtent de travailler au moindre soupçon de Covid débutant. Il faut aussi souligner l’importance des garanties de maintien de salaire des personnels au contact des personnes fragiles en cas d’arrêt maladie.

Dans les Ehpad suédois, le personnel souvent peu qualifié et mal payé ne l’était plus s’il arrêtait de travailler. Pour cette raison, beaucoup de ces personnes peu qualifiées préféraient travailler même quand elles se savaient malades, entraînant des foyers mortifères de contamination. La sécurité a un coût ; ne pas maintenir le salaire complet de ces personnels en cas de maladie peut aboutir à des catastrophes sanitaires.

La retenue de salaire du jour de carence aux soignants malades après la vaccination dans certains hôpitaux et la perte de la prime d’assiduité participent peut-être aussi à la réticence des soignants français à se faire vacciner.

Le personnel soignant français n’est pas un facteur d’infection nosocomiale, mais la surcharge et la promiscuité dans certains hôpitaux pourrait l’être. Rouvrir des lits où ils manquent cruellement chaque hiver constitue une nécessité sanitaire malheureusement ignorée par nos dirigeants. Et parlons de l’ensemble des lits de médecine interne, d’infectiologie, etc. et sortons de la polémique sur les lits de réanimation qui n’auraient pas diminué !

Néanmoins cent mille lits au moins ont disparu en vingt ans et le service de réanimation ne travaille pas sur une île déserte, les patients ne trouvant pas de lits en médecine atterrissent parfois en réa pour bénéficier d’un personnel soignant suffisant et la sortie de réa nécessite aussi des lits de médecine interne pour récupérer les patients améliorés, mais pas encore sortants.

Les discussions sur les TV des lits de réa qui n’ont pas diminué sont hors sol de la réalité quotidienne de l’hôpital et de son fonctionnement. Le personnel soignant a diminué drastiquement au bénéfice des administratifs (oui le budget est stable relativement au PIB, mais l’important est de savoir à quoi on attribue l’argent). Les lits permettant l’accueil précoce et à proximité des malades et les hôpitaux locaux ont disparu, fermés au bénéfice des grandes machines bureaucratiques à essais que sont les centres hospitaliers universitaires concentrés dans les grandes villes.

Oui le nombre de lits de réa est stable en chiffre absolu (si on compte tous ses versants : unité de soins continue, de soins intensifs et enfin de réanimation qui permet de jouer sur les tarifications à l’activité afin que les lits lucratifs soient à peu près toujours pleins (donc « saturés »)… mais a diminué de plus de 10 % si on le ramène à la population ce qui explique que les réa soient constamment saturées chaque hiver depuis 10 ans. La manipulation quotidienne utilisant ce nombre de lits de « réa » est une imposture. Le mal hospitalier est réel, plus profond et plus complexe que ces explications quotidiennes de médecins loin du malade et pire d’éditorialistes loin de la réalité.

Les vaccins actuels sont expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires. Et que des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques aient pu vérifier la pertinence et la cohérence des données fournies. Actuellement aucun des vaccins anticovid19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité. Ils sont donc tous expérimentaux.

Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 3(([4] Les candidats vaccins qui semblent suffisamment efficaces après les essais animaliers et les essais humains phase1 et2 poursuivent leur développement en phase III. A ce stade, le nouveau vaccin est comparé à l’absence de vaccin. Les personnes reçoivent, de façon aléatoire, soit un placebo supposé inerte, soit le vaccin en cours d’évaluation afin de mesurer son efficacité et sa toxicité.)) terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinical trials.gov à https://clinicaltrials.gov/ct2/home).

Ces vaccins expérimentaux ont d’ailleurs été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de victimes.

Les vaccins actuels ne sont pas sans risques

Les vaccins trop rapidement mis sur le marché ont été suivis de complications dont certaines non décrites dans les rapports préliminaires remis aux agences telles que des syndromes grippaux sévères (obligeant 25 % à 40 % des soignants vaccinés à s’arrêter de travailler), des désordres hématologiques et aussi des morts par accidents cardiaques, thromboses, accidents vasculaires… Comme d’habitude les promoteurs des vaccins nient tout lien de causalité. Il est vrai que démontrer un lien de causalité n’est jamais facile et que dans une affaire récente(([5] En juin 2017, la justice européenne a estimé que la responsabilité d’un vaccin dans le développement d’un effet secondaire grave pourrait être reconnue même en l’absence de certitude scientifique.)) la Cour européenne de justice a pour cette raison jugé qu’un faisceau d’indices graves et concordants suffit à déterminer la responsabilité du vaccin.

Le vaccin Astra Zeneca que l’on veut imposer aux soignants a été refusé par la Suisse et vient d’être suspendu par les agences sanitaires de 9 pays européens et l’Afrique du Sud montrant bien que son efficacité et son innocuité sont douteuses.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

La différence avec les essais officiels c’est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes. Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques déclarés. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués ni publiés contrairement aux essais traditionnels.

Il est certes admis par la convention d’Helsinki(([6] L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables. La Déclaration est conçue comme un tout indissociable. Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Conformément au mandat de l’AMM, cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins.)) (([7] https://www.espace-ethique.org/ressources/charte-declaration-position/declaration-dhelsinki)) que, faute d’interventions avérées, le médecin puisse recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie, ou préserver la santé du patient. Mais dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable et les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées dans de nombreux pays dont la France(([8] Il y a 3 jours une de mes vidéos a été supprimée de YouTube alors qu’elle ne faisait état que d’informations vérifiées et accessibles ; et mon épouse fait l’objet d’une plainte par le conseil de l’ordre parce qu’elle ne répétait pas la propagande de l’état.)) (([9] France soir a vu son compte Twitter supprimé et une ministre demander de l’exclure des organes de presse)), empêchant tout débat démocratique. Leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’Ehpad en France et à l’étranger et l’hospitalisation du Premier ministre australien Greg Hunt, admis à l’hôpital seulement un jour après avoir reçu une dose du vaccin Oxford/Astra Zeneca Covid(([10] selon plusieurs sources dont le New Daily et le Daily Expose deux sites en ligne. Et la censure quotidienne des médias par YouTube, Facebook ou Twitter devient le jeu à la mode. Mettre rapidement les vidéos susceptibles d’être censurées sur odyssee.com ou planete360 pour pouvoir les retrouver quand les puissants du jour les supprimeront. Puissants du jour, morts demain, ils signent leur faire-part de disparition dont seule la date nous est inconnue. Twitter qui permet la suppression de comptes informatifs se voit supplanté par Telegramm et FB par Signal et bien d’autres. La vérité a toujours raison même si elle prend l’escalier au lieu de l’ascenseur. Le totalitarisme perd toujours, le problème est le nombre de victimes évitables.

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés : vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes). Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller. Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald. Comment un universitaire spécialiste de l’éthique peut-il avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. » Mais L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort.

Depuis mars 2020 nous sommes paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications qui ont justifié son retrait dans 9 pays européens et dans de nombreux pays lointains ?

Vacciner les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres quels qu’ils soient est criminel !

Enfin, il convient de signaler la position claire du conseil de l’Europe

TOUTE OBLIGATION DE VACCINATION anticovid EST DÉSORMAIS ILLÉGALE *

PAR DÉFAUT LE CONSEIL DE L’EUROPE (à ne pas confondre avec l’UE) auquel appartiennent TOUS les États européens, à l’exception du Belarus, du Kosovo et du Vatican qui est le parrain de la Cour européenne des DROITS DE L’HOMME a décidé́ le 27.01.2021 dans sa résolution 2361/2021, entre autres, que personne ne peut être vacciné contre sa volonté́, sous la pression.

Les 47 États membres sont invités à̀ signaler avant la vaccination que la vaccination n’est pas obligatoire et que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination.

La discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée.

Les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité́ des vaccins. Avec cette résolution, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme en Europe a désormais établi des normes et des obligations, ainsi que créé des lignes directrices en vertu du droit international, qui doivent être appliquées par les 47 États membres, y compris l’UE en tant qu’organisation.

Les discriminations, par exemple sur le lieu de travail ou les interdictions de voyager pour les personnes non vaccinées, sont donc légalement exclues.

Dans toute procédure judiciaire, contre toute autorité́, tout employeur, tout fournisseur de voyages, tout responsable de maison, etc.


*Perma | pace.coe.int [Cependant, cette résolution n’est pas contraignante]




Qu’est-ce que « l’islamo-gauchisme » ?

[Source : voltairenet.org]

[NdNM : la présentation par Thierry Meyssan de faits historiques relatifs à l’islamo-gauchisme représente une bonne illustration de la manière dont divers groupes ou peuples peuvent se faire manipuler par le biais de l’idéologie, que celle-ci soit de source religieuse, politique, économique ou autre.]

par Thierry Meyssan

La France, et dans une moindre mesure plusieurs autres pays européens, est traversée par un débat sur « l’islamo-gauchisme » ; des personnalités de gauche qui soutiennent l’islam politique malgré l’exemple de Daesh. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne s’agit pas là d’une tactique électorale momentanée, mais d’une conséquence d’une stratégie de la guerre froide, ravivée par l’administration Biden.

La ministre française chargée des universités, Frédérique Vidal, vient de commander un rapport sur la sociologie de l’islamo-gauchisme dans les universités.

Au XVIe et XVIIe siècle, les Européens distinguaient la « sphère publique » visible de tous, de la « sphère privée » plus intime. Cependant, au XVIIIe siècle, la Révolution française donna une définition différente de ces deux expressions : la « sphère privée » devint le domaine du travail, de la famille et de la religion, tandis que la « sphère publique » [devint] celui de la politique et de la nation. Dès lors, si des militants politiques trouvent dans des religions la force de leur engagement, il paraît incongru qu’ils soutiennent des religions particulières.

Or, cette manière de voir est désormais battue en brèche par le soutien apporté par quelques personnalités et groupes politiques à des mouvements « islamistes ». Par islamisme, je ne désigne rien ayant un rapport avec la religion musulmane, mais une idéologie politique qui instrumente cette religion. Mahomet ayant été à la fois un prophète, un leader politique et un chef militaire, son héritage est facile à détourner.

Rouhollah Khomeiny rencontra Hassan el-Banna en 1938 au Caire. Les deux hommes conclurent un pacte de non-agression mutuelle et se partagèrent le Moyen-Orient.

L’islam politique

Dans la pratique, l’islam politique consiste à mobiliser les foules en invoquant la religion musulmane. Cela peut-être avec des moyens très différents et des objectifs opposés, selon la conception que l’on a de cette religion. Le fait de recourir à des arguments religieux pour faire de la politique permet d’obtenir un sens du sacrifice sans limites qui peut vite tourner au fanatisme. La langue arabe contemporaine, qui accorde plus de valeur aux émotions qu’aux raisonnements, rend probablement les Arabes beaucoup plus réceptifs que d’autres à ce type d’engagement.

Au XXe siècle, les Britanniques ont demandé au mufti d’Al-Azhar de déterminer une version unique du Coran pour contrer la secte du Mahdi au Soudan. Il y en avait jusque là une quarantaine de différentes. Ils ont également demandé à Hassan al-Banna de créer une société secrète, la Confrérie des Frères musulmans, sur le modèle de la Grande Loge Unie d’Angleterre pour disposer d’un moyen de pression sur le pouvoir égyptien. Durant la Guerre froide, la CIA a placé deux de ses agents, Sayyed Qtob et Saïd Ramadan, dans cette société secrète sunnite pour y théoriser le jihad.

D’autres écoles d’islam politique contemporaines se sont développées d’abord au sein du soufisme contre les empires russe et chinois, puis avec Rouhollah Khomeiny au sein du chiisme contre l’Empire britannique. Si l’école soufie a fait alliance avec la Confrérie des Frères musulmans autour du président Recep Tayyip Erdoğan, l’école chiite a au contraire passé un accord de non-ingérence réciproque avec elles. Cependant, tous se sont battus ensemble contre les Russes et sous les ordres de l’OTAN durant la guerre de Bosnie-Herzégovine. À l’époque, ils croyaient partager la même idéologie, mais aujourd’hui ils considèrent tous que ce n’était et n’est toujours pas le cas.

Les Français font remonter le soutien de penseurs de gauche à l’islamisme à l’exil de l’ayatollah Khomeiny en région parisienne (1978-9). À l’époque, Jean-Paul Sartre et Michel Foucault l’avaient rencontré et lui avaient apporté leur soutien. Ils avaient parfaitement compris son combat contre l’impérialisme occidental, tandis que Zbigniew Brzeziński (le conseiller de Sécurité nationale du président Jimmy Carter) le considérait, à tort, comme superficiel.

Mais ce dont on parle aujourd’hui est d’une tout autre nature : des penseurs de gauche attribuent aux musulmans dans leur ensemble la même fonction d’avant-garde populaire qu’au prolétariat du XIXe siècle. C’est une stupidité. En effet :
 les musulmans appartiennent à toutes les classes sociales ;
 l’islam est absolument compatible avec le capitalisme le plus débridé.

En réalité, ils appréhendent différemment les musulmans selon qu’ils sont sunnites ou chiites. Les premiers seraient progressistes, tandis que les seconds seraient réactionnaires. Ils ont soutenu le pro-US Frère musulman Mohamed Morsi en Égypte, mais dénoncent le nationaliste Mahmoud Ahmadinejad en Iran. Or le président Morsi n’a jamais cherché à améliorer les conditions de vie des plus pauvres, tandis que le président Ahmadinejad l’a fait avec succès jusqu’à la fin de ses mandats. Identiquement, Mohamed Morsi n’est devenu président qu’en menaçant de mort les magistrats du conseil électoral et leurs familles(([1] « La Commission électorale présidentielle égyptienne cède au chantage des Frères musulmans », Réseau Voltaire, 20 juin 2012.)), tandis que Mahmoud Ahmadinejad a été élu démocratiquement. Force est de constater que les islamo-gauchistes ne se déterminent pas par rapport à l’action intérieure des personnes qu’ils soutiennent, mais à leur politique étrangère. Ils approuvent l’islam politique pro-US et dénoncent l’islam politique anti-impérialiste.

L’islamo-gauchisme n’existe que dans les pays occidentaux, à l’exception de la Tunisie. L’opposant en exil Moncef Marzouki apporte son soutien à la Confrérie des Frères musulmans et devient de premier président de la République du Printemps arabe. Il servira de paravent aux Frères d’Ennahdha et est écarté du pouvoir aux élections présidentielles de 2014.

Le révolutionnaire bolchevik Léon Trotski (1879-1940) servit les intérêts britanniques contre la Russie. Il entra en conflit avec Staline qui l’expulsa d’URSS et le fit assassiner à Mexico. Certains de ses partisans n’ont pas hésité à poursuivre son œuvre en se mettant au service des États-Unis

La stratégie de la NED :
alliance de certains trotskistes avec certains islamistes

Le soutien de personnalités de gauche à la Confrérie des Frères musulmans et à l’Ordre des Naqshbandi a été organisé par la National Endowment for Démocracy (NED) dans le cadre de la Guerre froide, dès 1983. Le président Ronald Reagan venait de rallier à lui un groupe de trotskistes juifs et new-yorkais pour lutter contre l’URSS. En vertu du conflit qui opposa le pro-Britannique Trotski(([2] Il n’a jamais été démontré que Trotski ait été un agent de la Couronne, mais que sa secrétaire était, elle, une agente britannique. Cependant Léon Trotsky décapita la Marine russe dont il fit assassiner presque tous les officiers pour la plus grande joie du Royaume-Uni.)) et Staline, ces disciples rejoignirent les services secrets des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni). Ils fondèrent notamment la NED. Dans le contexte des scandales entourant la CIA, ils imaginèrent de réaliser certaines parties de ses opérations par la voie légale. Ils recrutèrent des personnalités trotskistes de par le monde pour se joindre à leur combat, particulièrement dans les deux théâtres d’opérations de l’époque : l’Afghanistan et le Liban.

Pour son combat antisoviétique en Afghanistan, la NED recrute le « french doctor » (médecin français) Bernard Kouchner. C’est un ancien de l’Union des étudiants communistes qui a quitté cette organisation lors de la purge contre les trotskistes. Le jeune homme soignera au Pakistan les anticommunistes afghans et les moudjahidines arabes d’Oussama ben Laden. À l’époque ces derniers sont applaudis en Occident comme des « combattants de la Liberté ».

Au même moment, durant la guerre civile libanaise, la NED peine à recruter. Finalement elle choisit les scissionnistes du Parti communiste syrien, Riyad Al-Turk, Georges Sabra et Michel Kilo. Les trois hommes signent un manifeste qui assimile les Frères musulmans à un nouveau prolétariat et appelle de ses vœux une intervention militaire états-unienne au Moyen-Orient. Pour la Syrie, c’est un soutien clair au putsch des Frères musulmans à Hama. Le président Hafez el-Assad les fait donc arrêter et emprisonner jusqu’à ce qu’ils abjurent ce texte.

La guerre de Bosnie-Herzégovine est l’occasion pour la NED de recruter l’essayiste Bernard-Henri Lévy. Celui-ci deviendra le conseiller médiatique du président Alija Izetbegović. Au même moment, celui-ci prend pour conseiller politique le néoconservateur Richard Perle et pour conseiller militaire Oussama ben Laden.

Dans le contexte de la guerre froide, toutes les personnalités citées ci-dessus ont probablement sincèrement cru agir pour le mieux. Mais une fois l’URSS dissoute, certaines d’entre elles ont poursuivi leur parcours dans cette voie nauséabonde.

Ainsi Riyad Al-Turk, Georges Sabra et Michel Kilo sont devenus des porte-parole du Pentagone lors des événements en Syrie. Au nom de leur passé communiste, ils ont convaincu la gauche européenne qu’il s’agissait d’une guerre civile et non pas d’une attaque par des jihadistes internationaux. Ils ont même réussi à leur faire croire que le Front al-Nosra (branche d’Al-Qaïda en Syrie) était une organisation révolutionnaire syrienne.

Ou encore Bernard-Henri Lévy, après avoir fait l’apologie de Guantánamo, est devenu le porte-parole des jihadistes libyens. Il a présenté la Jamahiriya arabe libyenne — un régime inspiré des socialistes utopistes français du XIXe siècle — comme une dictature. Il a soutenu le bombardement de Tripoli par l’OTAN et la nomination d’un des chefs historiques d’Al-Qaïda, Abdelhakim Belhaj, comme gouverneur militaire de Tripoli. Pour finir, il a même aidé à la réception officielle de celui-ci au ministère français des Affaires étrangères à Paris.

Le Collectif contre l’islamophobie en France, association proche de la Confrérie des Frères musulmans, a été dissoute en 2020 juste avant que le gouvernement français ne l’interdise. Des leaders de gauche de premier plan ont participé à ses manifestations.

La théorisation de l’islamo-gauchisme

Si l’islamo-gauchisme est d’abord une pratique des services secrets occidentaux, il est devenu une théorie politique en 1994 autour de Chris Harman. Ce penseur trotskiste britannique est un militant du Socialist Workers Party (Parti socialiste des travailleurs). Il publia en 1994, dans Socialism International, un article intitulé « The prophet and the proletariat » (Le prophète et le prolétariat). Il tente d’y démontrer que les musulmans ne sont ni des fascistes ni des progressistes, mais qu’ils forment le nouveau prolétariat.

Les trotskistes de Reagan comme Claude Harman ont tous adhéré à la théorie d’Ygael Gluckstein (dit « Tony Cliff ») de la « révolution permanente déviée » selon laquelle tous les États dits « communistes » (Chine, Corée du Nord, Cuba) sont en réalité staliniens. Cette manière de voir leur permet à la fois de militer pour la révolution mondiale et de condamner les adversaires des États-Unis. Ils ont été exclus de la Quatrième internationale. Il ne s’agit donc pas d’assimiler tous les trotskistes à leur dérive.

Au vu de ces éléments, l’islamo-gauchisme ne s’explique pas tant par une course aux voix des musulmans immigrés en Europe que par l’inversion des valeurs depuis la dissolution de l’Union soviétique. La disparition des partis communistes a laissé le champ libre à une gauche atlantiste. Celle-ci a spontanément choisi la direction idéologique de ses alliés US. Elle l’a épousée au point de participer à ses coups tordus, notamment à son instrumentation de l’islam politique sunnite.

Désormais la logique des services secrets comme celle des idéologies sont subverties par le réveil (woke) du puritanisme états-unien. Ces derniers trouvent chez les Frères musulmans la même quête de pureté qui les anime. Plusieurs membres de l’administration Biden participaient, le 13 juin 2013, à la réunion du Conseil de sécurité nationale à laquelle un délégué officiel de la Confrérie, cheik Abdallah Bin Bayyah, était invité. Il existe donc un réel danger de voir maintenant s’inscrire dans la durée l’islamo-gauchisme dans les partis politiques, d’autant que les Occidentaux n’ont toujours pas assimilé que tous les chefs d’Al-Qaïda et de Daesh sont ou ont été membres de la Confrérie des Frères musulmans.

Thierry Meyssan




Appel à la résistance civile et au réveil des consciences

[Source : Réseau International]

Préambule

L’Assemblée nationale et le Sénat ont rendu leur rapport d’enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19 en France et ils sont évidemment sévères. Ils mettent en lumière l’impréparation et la gestion chaotique de l’État, avec de multiples retards et des incohérences sans fin, et la mise sur la touche des médecins généralistes, privés du droit de soigner !

Des mois et des mois plus tard, le gouvernement persiste dans les mêmes erreurs, multipliant les mesures hasardeuses et arbitraires, avec la même attitude infantilisante, abusive, et souvent même méprisante envers la population. Et quelle maltraitance que de masquer les enfants !

Il porte atteinte au passage, de plus gravement, aux droits constitutionnels et fondamentaux ainsi qu’aux libertés privées et publiques, conduisant le pays à la ruine en détruisant le gagne-pain de millions de citoyennes et de citoyens.

En tolérant des conflits d’intérêts majeurs, en confiant même des responsabilités publiques à des serviteurs de l’industrie pharmaco-vaccinale, il trahit les intérêts et la confiance du peuple français.

On nous présente maintenant un « vaccin » qui n’en est pas un, mais constitue une véritable « thérapie » génique expérimentale, mis précipitamment sur le marché alors qu’il présente des risques potentiellement majeurs pour la santé de la population. Tandis que les autres vaccins annoncés affichent des effets indésirables conséquents pour une infection respiratoire équivalente à la grippe.

Ce projet est tellement contraire au droit, à l’éthique ainsi qu’aux bonnes pratiques médicales que nous devons nous opposer corps et âme à ce que l’État joue ainsi à la roulette russe avec la santé des Français, en dilapidant l’argent public.

Le désastre en cours est symptomatique d’une société à bout de souffle, qui a perdu ses repères, prise dans une bouffée délirante collective malheureusement entretenue au fil des mois par nos gouvernants.

Il est temps de reprendre nos esprits et de revenir sereinement dans la réalité : la létalité réelle du Covid-19 est celle d’une grippe moyenne, avec un âge médian des décès supérieur à l’espérance de vie. Nous disposons en outre de traitements efficaces.

En Suède la vie est normale, sans masques, sans tests, sans confinement, sans mesures humiliantes de contrôle… et sans plus de victimes.

Nous pouvons vivre sans avoir à nous terrer ou à nous déshumaniser. Et nous devons tous retrouver ensemble le chemin de la sérénité et de la raison, en mettant un coup d’arrêt à la fuite en avant de nos gouvernants.

Chacun d’entre nous comme chaque corps constitué a sa part d’action à faire et son rôle à jouer dans ce processus urgent de restauration de la raison et des libertés.

C’est le sens de l’Appel que nous lançons aujourd’hui pour la résistance civile et le réveil des consciences, afin de préserver la lumière de l’avenir.

Dr Fouché : « Le système va s’effondrer tout seul »



APPEL A LA RESISTANCE CIVILE ET AU REVEIL DES CONSCIENCES

Nous invitons Emmanuel Macron

à tirer les conclusions de la longue suite d’errances et de défaillances de sa politique sanitaire, à tirer les conclusions de l’état d’affolement, de confusion et de sidération dans lequel il a plongé le peuple français, et bien d’autres peuples, avec des données fausses et anxiogènes, et enfin à tirer les conclusions de son instrumentalisation de la peur à des fins de neutralisation de la contestation, ainsi qu’à des fins idéologiques de démantèlement de l’économie et des intérêts nationaux au profit des grands groupes mondiaux.

Nous l’appelons

à œuvrer pour la santé réelle des Français, et non pour le profit de l’industrie pharmaceutique, à dissoudre immédiatement le Conseil Scientifique et à le remplacer par un collège des meilleurs experts libres de tous conflits d’intérêt, à cesser de convoquer le Conseil de défense : on ne fait pas la guerre à un virus, à RÉTABLIR LES LIBERTÉS FONDAMENTALES : la liberté d’expression et d’opinion, la liberté de vivre, d’être en liens, et de respirer, à supprimer l’usage des tests inutiles en population générale, et à les rétablir comme outil diagnostic dans la main des seuls médecins, à décréter un moratoire sur toute thérapie génique, appelée à tort vaccinale, autrement dit : à faire abroger la loi d’état d’urgence sanitaire, en particulier son intolérable article 4ter alinéa 3 (*).

Nous appelons les parlementaires français

à rester fidèles à la démocratie et à la Constitution, à rester fidèles à leur mandat de représentation du peuple et à refuser avec courage tous les textes de loi et dispositions portant atteinte aux intérêts, à la dignité et à l’intégrité (physique, psychique, économique, culturelle, politique et sociale) du peuple.

Nous appelons les constitutionnalistes et les professeurs de droit

à dénoncer haut et fort les innombrables mesures anticonstitutionnelles qui nous sont imposées et les lois d’exception totalitaires.

Nous appelons les avocats et les juristes

à multiplier les actions en justice, ainsi qu’à offrir leurs services en pro bono ou avec l’aide juridictionnelle à des particuliers ou des collectifs ayant intérêt à agir pour intenter de telles actions.

Nous appelons le Conseil national de l’Ordre des Médecins

à ne pas sombrer dans l’indignité en condamnant des médecins faisant honneur à leur profession, à protéger sans concession la liberté de prescription, et les médecins lanceurs d’alerte

Nous appelons les forces de l’ordre

à servir non pas un gouvernement autoritaire, mais le peuple, et à renoncer à faire usage de toute violence à l’encontre des protestations légitimes de la population.

Nous appelons les fonctionnaires

à refuser d’appliquer les mesures liberticides.

Nous appelons les chercheurs et les scientifiques

à dénoncer les ravages de la corruption systémique produite singulièrement par l’industrie pharmaceutique, et à participer à mettre en échec l’instrumentalisation frauduleuse de la recherche au profit d’intérêts privés.

Nous appelons les soignants de psychiatrie, les psychosociologues et les sociologues

à neutraliser par leur éclairage la bouffée délirante collective dans laquelle est plongée une grande partie de la population mondiale de manière très inquiétante depuis un an.

Nous appelons les médecins

à rejeter les diktats contraires au serment d’Hippocrate en s’engageant à user de leur liberté de prescription, et à traiter les malades de la meilleure façon, en particulier dans la phase précoce de la Covid-19.

Nous appelons les experts de santé publique

à exiger qu’une balance bénéfices/risques rigoureuse soit faite au sujet de toutes les mesures non strictement médicales potentiellement destructrices pour les personnes et la société.

Nous appelons les pharmaciens

à lever tout obstacle dans la remise de prescriptions hors-AMM.

Nous appelons les responsables de résidences pour personnes âgées

à tenir impérativement compte de la volonté de leurs pensionnaires dans un processus décisionnel impliquant leur consentement éclairé ou celui de personnes de confiance concernées, à toutes mesures les impliquant.

Nous appelons tous les professionnels de la naissance, tous les professionnels de la petite enfance

à veiller au respect de la dignité et des intérêts des tout-petits et de leurs parents.

Nous appelons les enseignants et l’Éducation nationale

à protéger les enfants et les adolescents en refusant le port du masque, à leur donner des informations sur les conséquences, graves, de la bouffée délirante collective, ainsi que leur enseigner les bases de ce qui génère et protège réellement la santé.

Nous appelons les milieux économiques

à s’opposer de toutes leurs forces et de toute leur influence à des décisions absurdes et inutiles qui précipitent vers la faillite et la ruine les forces vives de notre économie réelle au profit des multinationales et des grands groupes mondiaux.

Nous appelons les journalistes

à se désaliéner de leur tutelle économique, à rejeter la politique du buzz, à respecter la Charte des journalistes aujourd’hui bafouée et à remplir pleinement leur rôle et leur mission envers la population en tant que quatrième pouvoir essentiel à la démocratie, en délivrant une information honnête, et en enquêtant sur les dérives en cours.

Nous appelons les artistes

à véhiculer et populariser sous toutes les formes que ce soit l’esprit de résistance civile et le réveil des consciences qui animent cet appel.

Nous appelons les citoyennes et les citoyens

à exercer notre droit et notre devoir, sans supporter aucun chantage à l’exclusion sociale, de refuser une vaccination inutile, risquée servant plus les profits de l’industrie pharmaceutique que la santé, en obtenant au besoin la tenue d’un référendum (d’initiative partagée en France) sur l’intégration au bloc constitutionnel de l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, lequel énonce : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs », car si un gouvernement persiste dans une dérive autoritaire, irresponsable et mortifère, quelle autre alternative laisse-t-il à ses concitoyens sinon celle de résister en masse, et si possible pacifiquement, jusqu’à ce que les gouvernants reprennent raison ou leur remettent leur pouvoir ?


(*) NB : L’article 4 ter alinéa 3 du projet de loi n°494, cité dans la vidéo, est devenu l’article 12 alinéa 3 dans le texte définitif de la loi n°2020-1379 du 14 novembre 2020 autorisant la prorogation de l’état d’urgence sanitaire. Cet article 12 alinéa 3 dispose que :

« (…) Les personnes condamnées et les personnes mises en examen, prévenues et accusées placées en détention provisoire peuvent, sans l’accord ou l’avis préalable des autorités judiciaires compétentes, être incarcérées ou transférées dans un établissement pénitentiaire à des fins de lutte contre l’épidémie de covid-19. Il en est rendu compte immédiatement aux autorités judiciaires compétentes qui peuvent modifier les transferts décidés ou y mettre fin. Ces dispositions sont applicables jusqu’au 31 août 2021 ».

Pour information :

📌COLLECTIFS NATIONAUX DE RESISTANCE

Reinfocovid – reinfocovid.fr
Parents 2021 France – p21france.wixsite.com/collectif
Enfance et libertés – enfance-libertes.fr
Parents 2021 Belgique – parents2021.com/index
Me de Araujo-Recchia – legavox.fr/blog/maitre-de-araujo-recchia/rapport-dictature-2020-terrorisme-etat
Réaction19 – reaction19.fr
Covid-19 Laissons les médecins prescrire – stopcovid19.today
Association BonSens – bonsens.info

📰MEDIAS D’INFORMATIONS LIBRES

Profession Gendarme – profession-gendarme.com
Anthropo-logiques – jdmichel.blog.tdg.ch
Mondialisation – mondialisation.ca
Agoravox – agoravox.fr
FranceSoir – francesoir.fr/rubrique/opinions
Nexus – nexus.fr
Covidinfos.net – covidinfos.net
Baslesmasques – baslesmasques.com
Le Saker Francophone – lesakerfrancophone.fr
Initiative citoyenne – initiativecitoyenne.be
Sud Radio – sudradio.fr
Sébastien Recchia – youtube.com
Franjo – youtube.com
Ingrid Courrèges – youtube.com
agoravox.fr/auteur/tristan
agoravox.fr/auteur/alexandre-gerbi
agoravox.fr/auteur/pierre-chazal
agoravox.fr/auteur/thierry-gourvenec

source : https://rumble.com/




Contre cette tyrannie sanitaire, faut-il une insurrection ?

[source : Manu LRDM]

“Contre cette tyrannie sanitaire, il faut une insurrection !”

Alain Escada

https://youtu.be/knOTTlXkIrc

[NdNM : Les convictions religieuses et politiques d’Alain Escada que ne partagent pas forcément les rédacteurs de ce blogue ne l’empêchent pas d’avoir un point de vue frappé au coin du bon sens sur la dictature sanitaire.]




Et il faudrait les croire ?

Par Alain Tortosa

Qu’est-ce qui est vrai dans la parole gouvernementale que nous subissons depuis des mois ?

Le taux d’incidence est un FAUX qui n’est pas caché par le gouvernement.

D’une part parce qu’il est calculé par rapport à des positifs et non des malades. En effet quand le réseau sentinelle(([1] Réseau Sentinelle https://www.sentiweb.fr/document/5224)) indique 10 malades pour 100 000 habitants le gouvernement est capable d’annoncer 200 positifs pour 100 000 habitants.

D’autre part le PCR génère d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification est important…

Puis, plus on teste de personnes et évidemment plus on trouve de positifs.

Enfin parce que le PCR ne renseigne ni sur la charge virale, ni sur le fait qu’il a détecté le virus ou des traces de virus, ni si la personne est contagieuse ou pas et ni si une personne asymptomatique sera malade ou pas.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le nombre de personnes hospitalisées est un FAUX.

Parce qu’une personne ayant un rendez-vous programmé à l’hôpital pour se faire enlever un ongle incarné, puis tester (parfois de force par chantage) positive, alors même qu’elle est 100% asymptomatique, sera comptabilisée dans les hospitalisations pour Covid de la journée !

Cette donnée n’est pas cachée par les autorités qui reconnaissent être dans l’incapacité de différencier les vraies et les fausses hospitalisations.

Cette tricherie est ainsi assumée dans un document officiel du gouvernement(([2] Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2020-10/DD67.pdf)).

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le pourcentage de personnes en réanimation est un FAUX.

Cette information est fournie sur le site du gouvernement

Pour la simple raison que le gouvernement nomme « nombre de personnes en réanimation » non pas les personnes en réa, mais la somme des personnes en réa + soin intensif + surveillance continue(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)). Soit environ 19000 lits disponibles en France et non 5000 lits.

Au 6 mars, 3689 patients sont officiellement en (fausse) réanimation selon le gouvernement et il affiche 72,9% de taux d’occupation de (fausse) réanimation.

En réalité, ce n’est pas 3689 patients en réanimation, mais 3689 patients en soin critique.

De fait, le taux d’occupation réel de patients en soin critique au 6 mars (seule donnée connue) est donc de 20% (3689 / 19300 lits de soin critique en France).

Et oui, nous sommes à demi confinés, privés de liberté, obligés de porter une muselière, pour un taux d’occupation de 20% des lits de soin critique pour cause officielle de Covid !

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le nombre de décès pour Covid est un FAUX.

Sont comptabilisés comme le demande officiellement l’OMS(([4] https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf)), les personnes décédées qui sont ou étaient positives au Covid, quand bien même ils n’étaient pas malades ou pas décédés du Covid.

Toujours selon l’OMS une personne décédée d’un cancer en phase terminale et pour laquelle il n’y aurait qu’un soupçon de Covid, DOIT être comptabilisée comme décédée du Covid. D’autre part, comment Santé Publique France fait-elle pour comptabiliser 87 246 décès alors qu’elle n’a reçu que 37 680 certificats de décès ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les confinements qui seraient efficaces ?

Jamais, je dis bien JAMAIS, dans l’histoire du monde un confinement n’a permis de contrôler une épidémie dès lors qu’un virus circulait déjà da ns la zone à contrôler. Il suffisait d’un seul individu pour tout foutre en l’air !

Jamais dans l’histoire du monde on n’a placé en quarantaine dans un même lieu les personnes saines et les personnes contaminées.

L’usage voulait que l’on ne confine que les malades, pas les bien-portants.

À noter que les pays qui ont confiné ont plutôt les pires résultats en termes de mortalité. Les études publiées avant 2020 ne font pas apparaître la moindre efficacité de la mesure.

Et soudain au 21e siècle, par un miracle, les confinements deviendraient efficaces alors même que nous vivons désormais dans un monde global dans lequel il n’y a plus la moindre autosuffisance !

La présence de variants Sud-Africains à Nice n’est-elle pas une preuve de l’inefficacité totale des confinements ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les masques qui seraient efficaces pour prévenir les contaminations ?

Jamais dans l’histoire du monde les masques n’ont permis de contrôler une épidémie. Avant 2020, aucune étude n’a pu prouver l’efficacité de la mesure.

Avant 2020, comme pour un confinement, la moindre erreur dans le port du masque annihile totalement son efficacité et les études suggèrent que les groupes masqués seraient plus contaminés que les autres comme l’évoque l’OMS(([5] OMS — Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf)).

Avant 2020, nous savions que les masques avaient pour objet de bloquer les bactéries, mais pas les virus. Et avec le « succès » tout relatif que nous connaissons au regard des millions d’infections nosocomiales dans les hôpitaux chaque année…

Le seul « masque » efficace est nos défenses immunitaires et le gouvernement a mis en œuvre une politique ne pouvant que conduire à leur amenuisement.

Ici encore, en 2020-2021, il n’est pas possible de montrer l’efficacité du port du masque en

comparant avec les pays qui n’ont pas rendu le masque obligatoire.

Enfin, c’est un virus aéroporté qui est expectoré par notre système respiratoire. De fait

Comment imaginer que des personnes asymptomatiques pourraient être contagieuses comme cela a été notamment prouvé par une étude chinoise sur des millions de personnes suivies ? Sans compter que les modes de transmission sont multiples, par gouttelettes, micro gouttelettes aéroportées qui peuvent rester des heures en suspension et bien sûr par contact d’objets contaminés.

Rappelons que filtrer un virus avec un masque est de même nature que de ramasser du sable fin avec une épuisette ayant des trous de 3 cm !

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les masques seraient inoffensifs?

Comment pourrait-on imaginer que le port 8 à 12 heures par jour d’un dispositif perturbant les échanges gazeux serait inoffensif ?

Comment peut-on croire que ce dispositif dont les humains ne sont pas pourvus à la naissance ne pourrait pas entraîner de contre-indications ?

Baisse de l’oxygénation, augmentation du rythme cardiaque, fatigue respiratoire pour compenser les effets du masque, augmentation du CO2 ne seraient que fakenews ?

Si ces effets n’existaient pas, ils seraient la preuve de l’inefficacité du masque dont l’objet est de filtrer.

Plus le masque est efficace et plus il est dangereux. Et si nous voulions nous protéger de TOUS les virus, il faudrait un masque 100% étanche !

Et passer ses journées à respirer les composés chimiques volatils des masques ne présenterait aussi aucun danger ?

Sans compter que le masque est une pouponnière à virus et bactéries.

Que fait-on de toutes les recommandations de l’OMS qui souligne les différentes contre- indications et dangerosité du port du masque dans une population générale ?

Que fait-on de l’étude allemande sur des milliers d’enfants qui soulignent les effets secondaires ?

Sans compter les effets délétères sur la communication et sur les apprentissages. Et bien sûr les effets catastrophiques sur la relation à autrui.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins Anti-Covid seraient efficaces contre le coronavirus ?

Les coronavirus mutent par nature.

Nous savons tous qu’il faut un nouveau vaccin contre la grippe tous les ans et que son efficacité est de moins de 50% et qu’il est d’autant moins efficace que nos défenses immunitaires sont défaillantes.

Et les vaccins Covid seraient « par miracle » efficaces contre les mutants ? Un vaccin n’injecte pas des anticorps, mais provoque une réponse immunitaire.

Comment les personnes à risque pourraient-elles être protégées par un vaccin dès lors que les personnes à risque sont « immuno-défaillantes » ?

Comment peut-on parler d’efficacité dès lors que rien ne prouve que ces vaccins bloquent les contaminations et la contagion ?

Comment peut-on aussi parler d’efficacité dès lors que le risque d’anticorps facilitant est d’autant plus important que les personnes sont vaccinées contre la souche du mois de mars ? De fait, les personnes vaccinées pourraient avoir des anticorps facilitants et feraient des formes beaucoup plus graves de la maladie que si elles n’avaient pas été vaccinées.

De plus aucune étude ne prouve que les vaccins Anti-Covid sont ou seraient efficaces pour diminuer la mortalité de personnes en fin de vie (cible ultra majoritaire du Covid) et d’autant plus versus des protocoles de protection ciblés uniquement sur les personnes à risque ou de renforcement du système immunitaire.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins seraient sans danger ?

Comment les autorités de santé pourraient-elles être certaines que les vaccins seraient sans danger alors que les personnes vaccinées sont des cobayes d’une phase III ?

Comment peut-on dire que les milliards injectés (offerts à l’industrie) seraient de nature à comprimer le temps ?

Une phase III dure au moins plusieurs années avant une commercialisation d’un vaccin. Comment peut-on vouloir vacciner des milliards de personnes avec une technologie expérimentale à ARN messager pratiquée par le passé uniquement sur des personnes avec un cancer et en fin de vie et JAMAIS déployée à grande échelle ?

Comment peut-on surveiller l’ampleur des effets secondaires dès lors que les autorités de santé ont décidé de ne surveiller QUE les effets secondaires qui n’étaient pas répertoriés dans les études de laboratoires publiées par le fabricant.(([6] « L’objectif du suivi de pharmacovigilance est de détecter des effets indésirables nouveaux et/ou graves non identifiés dans les essais cliniques. » https://www.ansm.sante.fr/Dossiers/COVID-19-Vaccins/Suivi-hebdomadaire-des-cas-d-effets-indesirables/))

Comment les autorités de santé peuvent-elles affirmer l’innocuité des vaccins sur les seules données et affirmations fournies par les laboratoires pharmaceutiques ?

D’autant plus lorsque l’on sait que Pfizer a préféré négocier 2,3 milliards d’amendes en 2009 pour publicité mensongère et corruption massive de médecins que de prendre le risque d’un procès.

Comment peut-on ignorer la dangerosité induite par la vaccination qui pourrait, en bloquant les virus proches de la souche du mois de mars, favoriser l’apparition de mutants plus résistants. Raison pour laquelle on ne vaccine JAMAIS une population pendant une épidémie !

Comment peut-on ignorer la dangerosité des anticorps facilitants ?

Comment peut-on espérer des études objectives dès lors que les laboratoires bénéficient d’un cadeau pour lequel c’est l’État qui indemniserait les victimes éventuelles et non le laboratoire ? L’État n’a pas vraiment intérêt à étudier les effets secondaires.

Comment peut-on espérer des données objectives dès lors que la pensée unique affirme que nous n’en sortirons que par la vaccination qui est de fait l’UNIQUE voie, mais aussi que tous les traitements possibles, HCQ ou Ivermectine, pour ne citer qu’eux, sont balayés ainsi que des produits préventifs comme la vitamine D ou le Zinc ?

Qui pourrait imaginer, alors que la décision de vacciner la population mondiale a été prise avant même la sortie de vaccins et avec le concours de la fondation Bill Gates, que l’on puisse faire marche arrière ?

Si d’aventure, ce qui semble le cas notamment en Israël, la mortalité augmentait du fait de la vaccination, les variants (facilités par la vaccination ?) seraient obligatoirement désignés comme les coupables et certainement pas la vaccination elle-même et d’autant plus que toutes les personnes impliquées dans cette promotion macabre pourraient être pénalement poursuivies.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins auraient un rapport bénéfice/risque positif pour l’ensemble de la population générale ?

Le gouvernement communique-t-il sur le fait que seules 7 personnes en bonne santé de moins de 30 ans seraient mortes du Covid en France ?

Le gouvernement communique-t-il sur le fait que moins de 2000 personnes, a priori en bonne santé, de moins de 70 ans seraient décédées du Covid ?

Comment un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de décès de la maladie est statistiquement nul ? Savez-vous que si vous avez moins de 30 ans, vous avez 2 fois plus de risque de mourir frappé par la foudre que du Covid ?

Savez-vous que Pfizer affirme que sa vaccigénie permettrait aux personnes qui ne sont pas à risque de ne pas faire de formes graves de Covid alors même que les personnes en bonne santé ne font PAS de formes graves !

Comment un rapport bénéfice/risque serait positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de faire une forme grave est quasi nul, le risque de décès statistiquement nul tandis que le vaccin pourrait provoquer des anticorps facilitants et des formes graves chez les personnes en bonne santé ?

Comment un rapport bénéfice/risque collectif pourrait être favorable dès lors que plus l’on vaccine, plus le risque d’apparition de variants plus résistants augmenterait ?

Comment un rapport bénéfice/risque collectif pourrait-il être favorable dès lors qu’aucune étude ne prouve que le vaccin serait de nature à diminuer la contagion et donc protéger les personnes à risque ?

Comment un rapport bénéfice/risque pourrait-il être favorable dès lors que la protéine spike a des ressemblances avec la syncytine et qu’il pourrait provoquer infertilité et fausses couches chez des populations jeunes en âge de procréer (raison pour laquelle les femmes enceintes ou sans contraception ont été totalement écartées des protocoles).

Comment un rapport bénéfice/risque pourrait-il être favorable dès lors que celui-ci n’a pas été étudié et d’autant plus que le coronavirus mute par nature et que plus il y a de mutations et plus le vaccin sera inefficace et à renouveler ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Il faudra vacciner 70% de la population pour retrouver ses libertés ?

Que dites-vous aux personnes âgées vaccinées en Ehpad qui, malgré leur vaccin, sont toujours prisonnières et à qui l’on dit que même vaccinées elles peuvent contaminer les non-vaccinés ?!

Que dites-vous aux millions d’Israéliens vaccinés qui doivent continuer à respecter les gestes barrières et porter le masque malgré leur vaccination ?

Que pensez-vous d’une liberté retrouvée qui vous obligera à présenter votre certificat de vaccination pour accéder à des activités de la vie courante comme aller au supermarché ? Savez-vous que votre vaccination ne sera valable que quelques mois et que non seulement vous devrez être vaccinés, mais vaccinés contre les derniers variants pour bénéficier du sésame ?

Vous avez déjà la preuve que votre vaccination ne redonne strictement aucune liberté à l’heure actuelle, qu’elle ne vous empêche pas de tomber malade, et vous croyez que si vos voisins sont vaccinés vous la retrouverez ?

Savez-vous qu’il est mathématiquement IMPOSSIBLE que 70% de la population soit immunisée quand bien même le vaccin serait efficace à 90%, car il faudrait vacciner TOUS les Français qui n’ont pas de contre-indication y compris les nouveau-nés, ce qui est IMPOSSIBLE donc..

Il n’y aura de fait JAMAIS 70% de la population immunisée permettant officiellement

d’éradiquer un virus qui mute tout le temps.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Et vous, vous les croyez ?

Merci.

Alain Tortosa.
Auteur de « 7milliards d’esclaves, et demain ? » 10 mars de l’an II de la dictature sanitaire.
https://7milliards.fr/tortosa20210310-et-il-faudrait-les-croire.pdf





Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Si certaines personnes n’ont toujours pas compris les tenants et les aboutissants réels de ce que l’on nomme habituellement la « crise COVID-19 », c’est qu’elles n’ont pas lu l’ensemble des mes articles, au moins depuis le 1er janvier 2020. La crise humanitaire actuelle a été préparée de très longue date par les élites babyloniennes (que l’on nomme aujourd’hui «globalistes»). C’est ce que j’ai tenté d’expliquer dans mon dernier livre «La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués». Cette « crise » dépasse amplement les gouvernements et les tribunaux locaux. Cette « crise » a été concoctée depuis très longtemps dans les repaires de voleurs tels que le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, le Council on Foreign Relations et le Forum économique mondial.

Du 30 mai au 2 juin 2019, c’est-à-dire six mois avant le déclenchement de l’opération Covid-19, eut lieu la rencontre de Bilderberg au Palace de Montreux en Suisse, durant laquelle 128 personnalités étaient présentes. Sur la liste, on relevait le secrétaire général de l’OTAN, la directrice générale de l’UNESCO, le président du Council on Foreign Relations, la directrice de la London School of Economics (Société fabienne), le PDG de Microsoft, et l’ancien président de la Commission européenne. Sans oublier Jared Kushner, ancien conseiller personnel et gendre de Donald Trump, ainsi que Willem-Alexander, roi des Pays-Bas et petit-fils du prince nazi Bernhard de Lippe-Biesterfeld, fondateur du groupe Bilderberg.

Parmi les participants se trouvaient aussi les membres de la plus haute hiérarchie militaire de Trump, ainsi que l’ancien PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Michael Sabia, et la juriste québécoise Louise Arbour, aujourd’hui représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour les migrations. Le groupe Bilderberg a également reçu une visite « surprise » puisque Mike Pompeo, ancien secrétaire d’Etat américain de Trump, s’est lui aussi rendu en Suisse le 1er juin, comme le rapporte le quotidien belge L’Echo (il n’était pas inscrit sur la liste présentée sur le site du club Bilderberg).

Il est donc évident que cette rencontre du groupe Bildergerg n’avait rien à voir avec un club social. Que complotaient donc ces individus pour l’avenir de l’humanité ? Nous savons que les enjeux principaux — entre autres sujets — étaient l’avenir de l’Europe, les changements climatiques et durabilité, la Chine, l’avenir du capitalisme, la militarisation des médias sociaux, l’importance de l’espace, les cybermenaces et l’éthique de l’intelligence artificielle. Notons que Michael Sabia était aussi présent à la réunion du groupe Bilderberg en 2018 à Turin avec la députée libérale provinciale Dominique Anglade. À ce moment, les participants ont discuté du monde « post-vérité », de l’avenir du travail, de l’informatique quantique et, encore une fois, de l’intelligence artificielle (incluant le développement du réseau 5G).

Le 9 mars dernier, j’ai énuméré la stratégie de mise en esclavage de l’humanité de la façon suivante :

« J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma “méritocratique”.

« L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total. »

Au mois de mai 2020, le Premier ministre Benjamin Netanyahu disait explicitement :

« Nous nous préparons à la possibilité qu’avant la découverte du vaccin, nous recevrons une deuxième vague d’épidémie. Cela signifie des technologies que nous n’avons pas utilisées jusqu’à aujourd’hui. Des technologies permises par la loi, que nous utiliserons. Par exemple, des puces sous-cutanées, qu’il y aura sur chacun, sur chaque enfant. Je veux qu’elles soient tout d’abord sur les enfants, qu’il y ait une sorte de capteur qui avertit, comme dans les voitures. Comme une voiture, si tu t’approches trop, ça sonne ! Et non moins important, nous voulons TUER [lapsus?!] nous voulons AIDER, sans avoir recours à une bureaucratie. »

La traduction nous a été donnée par Amnon Itshak, un rabbin Israélien juif d’origine Yémenite (c’est-à-dire un véritable sémite, contrairement aux Khazars comme Benjamin Netanyahu qui se disent juifs, mais ne le sont pas). En 1986, il fonde en Israël “Shofar”, une organisation à but non lucratif qui vise à promouvoir le retour des juifs aux fondements du judaïsme.

Le projet transhumaniste et de domination de la population mondiale a été gravé sur la médaille commémorative de « l’Accord d’Abraham », frappée en Israël par l’organisation qui veut reconstruire le Troisième Temple de Jérusalem. La pièce de monnaie a été émise par Temple Coins pour souligner la signature de « l’Accord d’Abraham », un traité de paix révolutionnaire au Moyen-Orient normalisant les relations entre Israël et les Émirats arabes unis. Pour en savoir plus à ce sujet, je vous convie à lire mon article intitulé « La “grande conjonction” entre les planètes Jupiter et Saturne annonce-t-elle le début de la Grande Réinitialisation pour les occultistes ? ».

Je partage ci-dessous un article de Celeste McGovern intitulé, « Le programme de vaccination israélien “Passeport vert” a créé un “apartheid médical”, disent des citoyens désemparés », qui fut publié le 9 mars dernier sur le site internet de LifeSiteNews.


Le programme de vaccination israélien « Passeport vert »

[Celeste McGovern, 9 mars 2021]  Israël s’est rapidement transformé en pays de ségrégation qui discrimine à l’égard des personnes qui n’ont pas reçu la vaccination expérimentale COVID-19, selon des citoyens israéliens qui appellent à l’aide sur les plateformes médiatiques.

Bracelet électronique Coronavirus

« C’est très fort, ce qui se passe ici en Israël. Je ne sais pas à quel point vous le percevez », a déclaré Ilana Rachel Daniel dans une vidéo publiée le 3 mars sur Bitchute.

« C’est affreux. C’est une situation très, très, très effrayante. Ils sont en train de faire ce passeport vert par lequel la moitié de la population ne pourra pas entrer dans les théâtres, les centres commerciaux ou toutes sortes de choses, à moins d’avoir été vacciné. Ils créent un apartheid médical », dit-elle.

Dans le cadre d’un programme appelé « Operation Back to Life » (Opération retour à la vie), le système du « Passeport vert » limite l’entrée aux gymnases, théâtres, hôtels, restaurants, universités et écoles secondaires enregistrés aux seuls détenteurs d’un passeport de vaccination scannable. « C’est le premier pas vers un retour à une vie presque normale », a déclaré le ministre israélien de la santé, Yuli Edelstein, lors d’une réunion d’information sur le programme qui a commencé à être mis en place la semaine dernière.

Le gouvernement israélien a annoncé une série de nouvelles règles le 6 mars dans une déclaration publiée conjointement par le cabinet du premier ministre, le ministère de la santé et le ministère des transports. Ce document gouvernemental sera en vigueur jusqu’au prochain bilan gouvernemental, le 20 mars. Les élèves du secondaire devaient ainsi être autorisés à retourner en classe cette semaine dans les territoires où 70 % de la population de plus de 50 ans avait été vaccinée.

Les universités et autres établissements d’enseignement devaient ouvrir des cours en personne à partir du dimanche aux détenteurs d’un laissez-passer vert uniquement. Ceux qui n’ont pas été vaccinés seront autorisés à assister aux cours en ligne uniquement. Les restaurants doivent permettre aux détenteurs de Passeports verts, vaccinés, de manger à l’intérieur, tandis que les personnes non vaccinées seront autorisées à se restaurer uniquement à l’extérieur.

Les personnes qui enfreignent l’ordonnance gouvernementale sont menacés d’une amende de 5.000 nouveaux shekels israéliens (NIS), soit environ 1.900 dollars canadiens.

Les étudiants israéliens ont été obligés de se faire injecter le vaccin COVID pour pouvoir passer leurs examens de fin d’études secondaires, selon un rapport de la BBC en janvier. Les résultats des examens de fin d’études peuvent avoir une incidence sur leur inscription à l’université et leur placement dans le service militaire obligatoire.

Le passeport est délivré par un site Internet géré par le gouvernement qui délivre un certificat vert comportant un code QR de haute sécurité pouvant être scanné par texto, courriel ou courrier, selon un rapport du Jerusalem Post. Les Israéliens doivent présenter leur passeport vert pour la numérisation avec une pièce d’identité avant d’entrer dans les entreprises enregistrées.

Le communiqué du gouvernement publié samedi a déclaré que l’interdiction d’entrée des Israéliens par voie aérienne dans le pays est annulée (les passages terrestres restent en place), permettant aux citoyens israéliens et aux résidents permanents d’entrer en Israël. « Ceux qui détiennent des certificats de vaccination ou de récupération pourront quitter Israël librement », ajoute cependant le communiqué.

Plus tôt dans le mois, Edelstein a déclaré au public que « les vaccins ne seront pas obligatoires, mais quiconque falsifie un certificat de vaccin ira en prison ». Le ministre israélien de la Santé a également déclaré que bientôt les employeurs seront tenus de faire vacciner leur personnel ou de subir des tests de coronavirus toutes les 48 heures.

La campagne de vaccination contre le COVID-19 en Israël a été la plus rapide au monde où 10% de la population a reçu des vaccins expérimentaux entre le 19 décembre et la fin de 2020, et 50% des neuf millions d’habitants du pays avaient reçu au moins un vaccin contre le COVID en date du 26 février, selon une déclaration du ministre de la Santé Edelstein. « J’ai convenu avec mon ami, le président-directeur général de Pfizer, Albert Bourla, que nous apporterions expédition après expédition et terminerions la vaccination de la population des plus de 16 ans en Israël en mars »a tweeté le 10 janvier le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu . Bourla de Pfizer a annulé un voyage prévu en Israël parce qu’il n’a pas reçu sa deuxième dose de vaccin COVID-19 de Pfizer, a rapporté le Jerusalem Post. Le PDG a déclaré qu’il ne voulait pas « couper la ligne » pour l’injection de son entreprise et a retardé sa visite dans le pays où il envisage d’établir un site de fabrication.

Le 24 février, le parlement israélien a adopté une loi permettant au gouvernement de partager les noms, adresses et numéros de téléphone des personnes qui n’avaient pas reçu un vaccin Covid avec d’autres autorités dans les ministères de l’éducation et le bien-être. « Ils obligent les gens à porter un bracelet à la cheville, un bracelet de sécurité lorsqu’ils reviennent de voyage », a déclaré Daniel, affilié au parti Rapeh. « C’est absolument insensé. »

Bracelet électronique Coronavirus en Israêl

Les gens se voient offrir des bracelets de cheville de sécurité électroniques, similaires à ceux portés par les prisonniers, pour surveiller où ils se trouvent après avoir voyagé en dehors d’Israël au lieu d’être forcés de loger dans des installations de quarantainea rapporté le Jerusalem Post le 25 février. « Nous appelons cela un “bracelet de liberté” parce que nous n’emprisonnons personne, mais que nous leur donnons plutôt l’opportunité de rentrer chez eux », a déclaré Ordan Trabelsi, président et chef de la direction de SuperCom, la société derrière le système de surveillance.

« Ils nous censurent et nous attaquent et ils n’autoriseront aucun média. Rien. Ils ont enlevé le chef de la licence médicale du parti », a déclaré Ilana Rachel Daniel, affiliée au parti politique israélien Rapeh, qui signifie « guérir » en anglais. Le Parti Rapeh a été fondé par un médecin Aryeh Avni dont la licence médicale a été révoqué par le ministère de la Santé d’Israël le 24 février, lorsqu’un juge a statué qu’il était « une pierre d’achoppement », dont le comportement pose un réel danger pour la sécurité publique et de la santé.

« Ils ont supprimé nos plates-formes de Facebook et maintenant ils ne laissent même pas les médias écrire sur nous. Nous voulons donc demander à tout le monde [inaudible] — partout où nous pouvons aller — de faire connaître ce que nous disons. « Si je m’arrête pour y penser, je pleurerai, tu sais », dit Ilana Rachel, qui peut être entendue fondre en larmes. « Nous continuons de nous battre, vous savez, de nous battre autant que nous le pouvons. »

« Nous avons besoin de l’aide de tout le monde car tout ce qui se passe ici se produira partout », a-t-elle déclaré. « Donc, nous nous battons pour nous-mêmes et nous nous battons pour le monde entier. Nous devons aider… chaque main sur le pont. » Daniel a depuis enregistré une interview d’une heure avec le journaliste britannique James Delingpole.

Dans une autre vidéo, publiée sur la page Facebook Radiant Israel le 18 février, l’Israélien Gilad Rosinger a décrit le système de passeport vert comme un “agenda pré-holocauste”. « Si vous ne vous soumettez pas à cet agenda diabolique, démoniaque et tyrannique, si vous choisissez de dire “vous savez quoi, je ne suis pas prêt à participer à ce programme expérimental”, alors vous êtes maintenant considéré comme un citoyen de seconde zone en Israël. », a déclaré Rosinger. « Mon grand-père était le seul survivant de toute sa famille de l’Holocauste et c’est exactement ainsi que cela a commencé. Avec la discrimination, avec des entreprises essentielles et non essentielles, avec des gens qui disent que les Juifs sont des citoyens de seconde zone », a-t-il dit.

« Eh bien, maintenant, il ne s’agit pas de juifs, ni d’arabes, ni de cela. Non, il s’agit de savoir qui se fera vacciner », a déclaré Rosinger. « Si vous ne le faites pas, vous êtes méchant, vous êtes méchant, vous êtes un citoyen de seconde zone. » Les hauts responsables du gouvernement israélien parlent d’envoyer des policiers au domicile de personnes non vaccinées et d’exiger que leurs noms soient rendus publics, a déclaré Rosinger.

Malgré sa campagne de vaccination agressive, Israël a imposé un troisième verrouillage national strict le 7 janvier 2021 à la suite d’une flambée de nouveaux cas de COVID. Les médias israéliens ont rapporté que 4500 personnes avaient reçu un diagnostic de COVID après avoir reçu un premier vaccin contre le coronavirus, et que parmi elles 375 personnes avaient été hospitalisées.

Appelant la nouvelle société israélienne une « zone crépusculaire » qui est « encouragée » par les médias grand public, il a ajouté que de nombreuses personnes ont peur de s’exprimer. « Nous devons tirer la sonnette d’alarme », a déclaré Rosinger. 

« Où sont les tribunaux internationaux des droits de l’homme à ce sujet ? Où sont les poursuites ? Où est l’indignation ? Vous n’avez même pas besoin de croire en Dieu pour savoir que c’est faux. »

« Israël, malheureusement, a été utilisé comme prototype pour les nations parce que s’il réussit ici, il arrive dans une ville près de chez vous, il arrive dans un pays près de chez vous. Il arrive dans votre ville », a déclaré Rosinger. « C’est pourquoi vous devez vous en soucier. »


« Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent »

Apocalypse 3:9




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Plandémie – Le gouvernement belge prévoit d’imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements

[Source : medias-presse.info]

[Photo : Klaus Schwab, dirigeant du Forum économique mondial et promoteur du Great Reset, entouré du Roi et de la Reine des Belges, de l’ancienne Premier ministre intérimaire Sophie Wilmès et de l’actuel Premier ministre belge Alexander De Croo]

Un gouvernement se prépare à entériner un projet de loi qui l’autoriserait à imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements. Ce n’est pas une fake news. Cela ne se passe pas en Chine, en Corée du Nord ou en Russie.

Ce pays qui envisage de traiter ses honnêtes citoyens comme des criminels se situe dans l’Union européenne. Et non, il ne s’agit pas de la Hongrie de Viktor Orban.

Ce pays qui très tranquillement pourrait basculer dans le totalitarisme le plut complet, c’est… la Belgique, épicentre des institutions européennes, de l’OTAN et de bien d’autres organismes internationaux.

L’avant-projet de loi en question se présente comme une “loi pandémie” et pourrait fixer dans le marbre des dispositions qu’aucun état dit “démocratique” n’avait osé jusqu’ici inscrire dans son arsenal législatif.

L’idée même d’une “loi pandémie” veut faire penser que notre futur sera rythmé par des successions de “pandémies” qui deviendront notre lot habituel.

L’avant-projet de loi est porté par la ministre belge de l’Intérieur Annelies Verlinden (CD&V, parti flamand classé démocrate-chrétien) au sein d’un gouvernement fédéral de coalition qui rassemble les écologistes, les socialistes et les libéraux francophones et néerlandophones ainsi que les démocrates-chrétiens néerlandophones. Leur objectif est d’entériner la loi pandémie entre fin mars et début avril.

L’Autorité de protection des données (APD) a remis un avis extrêmement négatif concernant cet avant-projet de loi, estimant qu’il “donne lieu à une violation des principes de légalité et de prévisibilité.

L’Autorité de protection des données met en garde :

«À titre d’exemples, l’avant-projet de loi pourrait ainsi permettre d’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements ou de mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et de vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine».

Cet avant-projet de loi pandémie mène en effet directement, sous prétexte sanitaire, à un impressionnant totalitarisme facilité par les outils numériques.

Les points les plus inquiétants de cet avant-projet de loi sont

  • D’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique relié à une banque de données permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements et le respect d’une interdiction de déplacement (ou de déplacement après une certaine heure) ;
  • De photographier les plaques d’immatriculation des véhicules quittant ou rentrant sur le territoire belge, de les relier avec la banque de données existante de la Division de l’Immatriculation des Véhicules (DIV) et d’en appréhender les propriétaires ;
  • De mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et se vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine ;
  • De contrôler les déplacements des citoyens au moyen de la géolocalisation de leur téléphone mobile éventuel ;
  • De recourir à l’identification obligatoire au moyen d’un QR code sur téléphone mobile ou d’une vérification via l’empreinte digitale apposée dans la puce de l’e-ID pour contrôler le droit d’accéder à certains lieux ou transports ou pour contrôler le statut du citoyen (vacciné ou non par exemple).

Voir un tel avant-projet de loi surgir en Belgique, cœur des institutions européennes, c’est à n’en pas douter le signe que des  mesures similaires se préparent dans les autres pays de l’UE. Il faut d’ailles noter que Charles Michel, précédent Premier ministre de Belgique, est devenu le président du Conseil européen depuis 2019.

Rencontre entre Bill Gates, Charles Michel et Alexander De Croo avant que le second ne devienne président du Conseil européen et que le troisième ne devienne le nouveau Premier ministre de Belgique

Cela signifie que nous entrons bel et bien dans un nouveau monde, avec un changement complet des paradigmes politiques et sociaux au profit d’un Nouvel Ordre Mondial totalitaire qui fera la synthèse des romans d’anticipation 1984 et Le Meilleur des Mondes.

Au motif de préserver notre santé, les autorités ont choisi de définitivement nous priver de nos libertés les plus élémentaires.

Il nous reste peu de temps pour bloquer cette transformation de notre société.

Article du journal économique belge L’écho au sujet de la loi pandémie



Dissidence dans les forces de l’Ordre

[Source : Kairos (kairospresse.be)]

https://youtu.be/73h-NX7Somo

Pour certains, les forces de l’ordre constituent encore un bloc homogène, constitués d’agents zélés en accord avec les mesures sanitaires, les ordres qu’ils reçoivent et, plus largement, le monde dans lequel ils vivent.

Et si tout cela n’était que spectacle ?

Il faut penser à l’avenir de notre société, à ce qu’on a envie pour notre avenir et peut-être à se rendre compte qu’on n’est pas immortel“ ; “comment se fait-il qu’en période de crise tant de personnes sont en train de chercher comment ils vont survivre alors que d’autres ont doublé leur fortune ?“ ; “Il est juste grand temps que le peuple soit solidaire, il est plus que temps d’être solidaire”, “quand les gens auront vraiment faim, là ils iront dans les rues mais voilà on est peut-être encore dans une période trop confortable“…

Sont-ils les seules à penser cela…




Dr Fouché: « Le système va s’effondrer tout seul ! Le déferlement totalitaire n’a qu’un temps, et il est justement là quand le système s’effondre !! »

[Source : businessbourse.com]

https://twitter.com/Infirmier00/status/1361823319088062468?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1361823319088062468%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fnouveau-monde.ca%2Ffr%2Fdr-louis-fouche-la-plupart-des-gens-esperent-quils-reviendront-a-la-vie-normale-mais-non-cette-crise-est-la-pour-que-ca-seffondre%2F



Marc-Olivier Fogiel et Christophe Barbier dans des restaurants ouverts clandestinement : preuve qu’ils ne croient pas ce qu’ils disent du Covid

[Source : medias-presse.info]

[Par Alain Escada]

J’avais signalé ici les révélations du Canard enchaîné sur un dîner dans un restaurant ouvert clandestinement dans le quartier du siège parisien de BFMTV et réunissant une vingtaine de convives : journalistes de la télévision, “experts” médicaux pour la télévision ainsi qu’un officier des sapeurs-pompiers, lui aussi “expert” pour la télévision.

Ceux-là même qui cherchent à conserver la population dans la crainte du Covid-19 faisaient un bon gueuleton, bien au-delà du couvre-feu, sans bien évidemment respecter les fameux gestes barrières qu’ils nous recommandent de respecter scrupuleusement.

Depuis lors, le nom de l’un des vingt convives a été dévoilé : pas moins que Christophe Barbier, chroniqueur sur BFMTV et directeur de la rédaction du magazine L’Express. Voilà qui ne manque pas de sel.

On se souviendra en effet que cette petite graine de Pol Pot ne manque pas une occasion de pointer du doigt les “complotistes” et tous les mauvais Français qui rechignent à suivre bien sagement les recommandations de Big Pharma et les diverses restrictions sanitaires. Christophe Barbier répète en boucle que ceux qui refusent le vaccin anti-Covid devront être privés de la possibilité de se rendre au restaurant, au théâtre, etc.

Le Canard enchaîné en remet une couche cette semaine, avec un nouvel article. Cette fois, c’est Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFMTV, qui a été surpris en train de déjeuner dans un restaurant ouvert clandestinement.

Je répète ce que j’écrivais la semaine dernière : tout ceci est la démonstration que ces gens-là ne croient pas à ce qu’ils disent à la télévision ou écrivent dans la presse sur la gravité de l’épidémie de Covid et sur l’impérieuse nécessité d’obéir aux consignes gouvernementales.

En complices du système, ils cherchent simplement à nous manipuler et nous conditionner. Et en privilégiés du système, ils s’arrogent le droit de faire tout ce qui est interdit au Français moyen.

Maintenant qu’ils ont été pris la main dans le sac, ces gens-là devraient démissionner et se terrer honteusement.

Quant aux Français, preuve est faite qu’ils ne doivent plus accorder la moindre confiance à ce que disent les médias du système. Ni craindre une épidémie qui n’est pas plus dangereuse que la grippe.

Alain Escada, président de Civitas




Face au mécontentement, Merkel obligée de mettre fin au confinement en Allemagne

[Source : medias-presse.info]

[Par Francesca de Villasmundo]

Les Allemands en ont ras-le-bol du confinement et ils le font savoir assez puissamment pour que Merkel se retrouve obligée de mettre fin au confinement.

Une étude sur le port du masque réalisée auprès de 25000 enfants allemands a révélé en outre les symptômes suivants : 53% de maux de têtes, 50% de difficultés de concentration, 38%  de difficultés d’apprentissage, 36% de fatigue et somnolence.

La chancelière allemande a accepté un déverrouillage progressif du dispositif anti-Covid dans tout le pays. L’Allemagne va progressivement se déconfiner. “Après plus de neuf heures d’âpres négociations, Angela Merkel et les dirigeants des 16 Etats-régions du pays sont parvenus à un accord sur un calendrier d’assouplissements des mesures de confinement partiel en place depuis la fin de l’année dernière” écrit 20 minutes.

La chancelière a cédé face aux régions allemandes à propos d’un seuil d’incidence de 35 pour 100.000 en deçà duquel des assouplissements futurs seraient concédés. Le seuil de 50, moins contraignant, a finalement été retenu pour ouvrir la voie, à partir de fin mars, à des réouvertures dans la restauration en plein air, les secteurs culturels et sportifs. Au-dessus de 100, de sévères restrictions seront en revanche réintroduites.

« Aujourd’hui, nous pouvons parler d’espoir et d’espérance », a affirmé lors d’une conférence de presse la chancelière allemande, estimant que son pays entrait désormais « dans une nouvelle phase » de la lutte contre l’épidémie rendue possible notamment par l’accélération des vaccinations.

Cette décision intervient à sept mois des élections législatives alors que le dispositif anti-Covid n’est plus soutenu aujourd’hui que par un tiers des Allemands, contre deux tiers début janvier, selon un sondage YouGov publié cette semaine. La chancelière allemande trouvait même des opposants au sein de son propre gouvernement.

Francesca de Villasmundo




Le ministre australien de la santé hospitalisé dans un état critique quelques jours après sa vaccination… un covid vaccinal?

[Source : LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

Par pgibertie

La presse n’a pas fait echo des malheurs du ministre australien victime du Pfizer .

Le Danemark, l’Italie, l’Autriche la Norvège ont décidé de suspendre lAztraZENECA , jeudi 11 mars et jusqu’à nouvel ordre, son utilisation. L’Agence nationale de la Santé du pays a fait état « des rapports de cas graves de formation de caillots sanguins chez des personnes qui ont été vaccinées avec le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca », dont un décès.

L’agence européenne permet de suivre les effets secondaires rapportés : quelques centaines de décès et 20 000 effets secondaires pour Aztra Zeneca . C est en France qu’il y en aurait le plus.

Pour le Pfizer ( près de 100 000 cas et entre 2000 et 5000 décès en Europe) :

Ce qui arrive à Greg Hunt  n’est certainement pas lié à la vaccination, c’est ce qu’il vont dire… Bon certains avouent, comme cet habitué des plateaux lui aussi vacciné qui a été contaminé :Jean-Michel Constantin, chef du service réa à la Pitié-Salpêtrière, a attrapé le Covid via le variant sud-africain après s’être fait vacciner par le Pfizer ! Il est bon de rappeler que le vaccin n’est pas la baguette magique et que le passeport vaccinal est d’une débilité sans nom

Un autre reconnait même l’inavouable  « A court terme, l’effet positif des vaccins risque de ne pas suffire pour compenser l’impact délétère des variants ».

Nous ne nous en sortirons pas sans le recours aux molécules efficaces qui ont permis à l’Inde de soigner 30 millions de patients et d’avoir six fois moins de décès par million d’habitants de plus de 65 ans…

Au moins 5351 morts suite à la vaccination Covid-19 (maj)

https://cv19.fr/2021/03/06/au-moins-5351-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19/embed/#?secret=EyrUKgkzSh

Depuis le début deux mondes s’affrontent :

« Aucun effet indésirable fatal n’a été confirmé » mais plusieurs milliers de décès sont directement liés à la vaccination …

Comment passer sous silence les statistiques officielles de l’agence européenne

http://www.adrreports.eu/fr/index.html

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LES CAPTURES D’ÉCRAN AU 6 MARS :

Captures ecran au 6 mars: Télécharger

C’est l’information  qui dérange, les vaccins expérimentaux à ARN messagers ne sont pas un long fleuve tranquille. L’accès au site officiel  pour vérifier les remontées est difficile, alors j’ai choisi de fournir les captures d’écran.

Le nombre de cas  rapportés est il sous ou sur évalué ? Étude du rapport sur le Pfizer.

Réponse : tout dépend des pays

Il n’est pas possible que d’un pays à l’autre les effets soient différents et pourtant 40% des cas  rapportés viennent d’Italie et 3% du Royaume uni qui a le plus vacciné . On compte pour le Pfizer 24000 cas d’effets secondaires rapportés en Italie et 8000 en France.

Aucun gouvernement n’a intérêt à majorer le nombre d’effets secondaires, au contraire . La sous évaluation n’est donc pas contestable, si le nombre de cas relevés en Italie est généralisé à toute l’Europe il faudrait multiplier par trois ou quatre le nombre d’effets secondaires réels

Allant également dans le sens de la sous évaluation, le trop faible nombre de cas  enregistrés chez les plus âgés donc plus fragiles. Il semble évident que des effets secondaires associés à une grande fragilité n’ont pas été rapportés mais associés plus à l’état général des malades qu’à la vaccination ;

Plus de 80%  des cas  concernent les moins de 65 ans , ce qui n’est pas normal

Le total officiel est de 90 000 personnes victimes de ces effets secondaires  et de 250 000 cas répertoriés ; une personne pouvant en effet apparaitre deux ou trois fois ( par exemples troubles généraux et problème cardiaques)

Les décès rapportés sont liès au vaccin même si celui-ci n’en est pas obligatoirement la cause unique. Un même décès peut être associéà plusieurs causes. Si nous additionnons les causes signalés  nous doublons ou triplons  le nombre total de décès avoués . Nous obtenons pour le Pfizer 3000 décès reconnus qui n’en sont sans doute que 1500 avoués.

Mais si nous tentons de corriger compte tenu de la sous évalution manifeste il nous faut à nouveau multiplier par trois ou quatre.

Pour le Pfizer le chiffre de 2000 à 5000 décès pour 90 000 cas peut être avancé…




Canada : Comment voyager sans faire le test PCR

[Source : Shining Traduction — InfoVF]

Chris Sky, le citoyen canadien qui a refusé de se faire tester à l’aéroport, donne une interview à « Rebel News » et n’a toujours pas sa langue dans sa poche…

Lien de la vidéo originale datée du 24 février 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=5Dq_2qPH…






POUR SAVOIR OU EN EST LA vaccination COVID, suivez les cours de bourse

par GÉRARD DELÉPINE

mise à jour le 11 MARS 2021

Il y a quatre semaines dans Économie Matin(([1] L’incertitude plane sur les énormes enjeux financiers des vaccins anti Covid (economiematin.fr))), je m’inquiétais des possibles conséquences financières des incertitudes des résultats des vaccins sur les cours de bourses des entreprises qui les commercialisent. L’évolution actuelle des cours de Pfizer et d’Astra-Zeneca confirme malheureusement mes propos avec, dans le dernier mois, une chute de dix pour cent des cours des deux champions des vaccins anti Covid.

Les vaccins anticovid représentent un marché potentiel de centaines de milliards de dollars, mais ce marché ne remplira ses promesses que si les effets des vaccins sont à la hauteur des espérances suscitées par les médias

Résultats inquiétants du vaccin Pfizer en Israël

La campagne de vaccination par le vaccin Pfizer a commencé le 20/12/2020 et au 9 février 2021 le gouvernement israélien avait réussi la prouesse d’injecter, un total de 6 404 099 doses de vaccin et de vacciner plus de 4 millions de ses concitoyens, mais les résultats actuels sont très préoccupants. D’après les données l’OMS, publiées sur https://covid19.who.int/ incidence et mortalité quotidiennes ont explosé en Israël depuis la vaccination.

Le nombre quotidien de nouveaux cas est passé de 2792 le 20 décembre 2020 à 4800 le 19 février 2021. Et l’épidémie qui touchait peu les enfants avant la vaccination les atteint maintenant de manière préoccupante. En novembre 2020, le ministère israélien de la Santé avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800. Fin février, le plus grand média israélien, Ynet s’est alarmé de l’accroissement du pourcentage des jeunes touchés depuis la vaccination « 75,4% des personnes diagnostiquées hier avaient moins de 39 ans. Seuls 5,5% avaient plus de 60 ans. Le nombre de patients critiques est tombé à 858 – le plus bas depuis le 4 janvier. Cependant, ce nombre est plus du double de celui de la mi-décembre, juste avant qu’Israël ne commence son expérience de vaccination de masse ».

La mortalité quotidienne attribuée au Covid19 est passée de 18 le 20 décembre 2020 à 29 le 27/2/21. Malgré la poursuite d’un confinement renforcé, les mois de janvier et de février ont établi le record absolu des mortalités mensuelles avec 1433 morts en janvier et 1145 morts en février. Ces deux mois post vaccination totalisent à eux seuls près de la moitié de la mortalité globale depuis le début de l’épidémie qui atteignait 5881 au 6 mars 2021.

Le premier mars 2021, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a reconnu discrètement l’échec du vaccin Pfizer en précisant(([2] Sur 124 B. N. « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois »)) :

Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. « Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois »

Résultats préoccupants de la vaccination en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech complété en janvier par le vaccin d’Astra Zeneca. Depuis cette date, un peu plus de 13 millions de personnes ont été vaccinées au Royaume-Uni, dont 25% des adultes et plus de 90% des plus de 75 ans. Depuis lors, le nombre de contaminations quotidiennes est passé de 14 898 le 4 décembre à 68 063 le 9 janvier 2021 pour revenir lentement aux chiffres d’avant la vaccination.

Et malheureusement, la mortalité journalière Covid19 a aussi explosé avec une augmentation de près de 300% (414 le 4 décembre versus 1564 le 14 janvier) pour revenir lentement à un niveau supérieur à de celui observé dans la semaine qui précédait la campagne de vaccination.

De plus, la vaccination des personnes âgées les plus à risques s’est heurtée à de nombreuses complications graves et des décès qui ont suscité une alerte à l’OMS par l’agence sanitaire norvégienne, et dans de nombreux pays à des restrictions à l’utilisation des vaccins pour les plus de 65 ans (pourtant ceux qui en seraient les cibles prioritaires).

Résultats paradoxaux aux Émirats Arabes Unis

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec plus de 40% de sa population vaccinée depuis le 23 décembre 2020. La campagne de vaccination a été généreuse incluant tous les résidents, quelle que soit leur nationalité. Au 7 mars 2021, un total de 6168330 doses de vaccin avait été administré. Mais l’évolution observée des contaminations et de la mortalité est à l’opposé de ce qui était espéré.

D’après les courbes OMS du 10 mars 2021, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre passant de 1226 cas le 23/12 à 6031 le 7/3, nombre dépassant largement les records au plus fort de l’épidémie de la vague précédente (1709 cas le 19 mai 2020). Elle n’a diminué que depuis le reflux mondial de l’épidémie, avec ou sans confinement et majoritairement sans vaccin.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, les EAU comptaient 195 818 contaminations. En deux mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 413332 (+110 %).

Évolution de la mortalité quotidienne. Aux Émirats Arabes Unis, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière passant de 3 le 23 décembre 2020, à 20 le 23 février 2021. Le 23 décembre avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, les Émirats Arabes comptait Unis 642 morts attribuées au Covid-19. En deux mois post-vaccination, ce chiffre a doublé passant à 1345 (+100 %).

Le mois de février 2021 a établi le record mensuel de la mortalité (363), regroupant à lui seul près de 30 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé !

Inquiétude pour l’avenir des ventes

Ces augmentations considérables et simultanées des mortalités journalières des décès dans les trois pays champions de la vaccination dans les 2 mois qui suivent la vaccination sont très inquiétantes. Elles confirment que les autorisations conditionnelles de mise sur le marché des vaccins ont été prématurées.

L’espoir dans les vaccins a suscité un optimisme boursier et des hausses importantes du cours des actions des fabricants lorsque leurs produits ont été autorisés à la vente. Depuis, en dépit d’une communication intense vantant l’efficacité des vaccins la prise en compte de ses résultats paradoxaux suscite depuis 3 mois l’inquiétude et la chute des cours de Pfizer et d’Astra-Zeneca.

Cela confirme que pour évaluer les résultats d’un nouveau traitement plutôt que de faire confiance aux articles scientifiques des grandes revues médicales, il est plus rapide de suivre l’évolution du cours de bourse du fabricant.





Appel à la dissolution de l’ordre des médecins

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

APPEL DU 9 mars 2021

Il FAUT DISSOUDRE L’ORDRE DES MEDECINS

Après le rapport accablant de la Cour des Comptes paru en décembre 2019, l’ordre des médecins tente de se justifier et réaffirme « être au service des médecins dans l’intérêt des patient·e·s ». Comme pour l’ensemble des ordres des professions de santé, l’ordre des médecins se présente comme indispensable. Qui l’ordre sert-il vraiment ? Dans l’intérêt de qui ?

1

L’Ordre des médecins affirme représenter l’ensemble des médecins et se targue de pouvoir ainsi conseiller les pouvoirs publics. Mais l’unité professionnelle qu’il affiche est factice. L’obligation faite à chaque médecin de s’y inscrire pour pouvoir travailler conduit l’ordre à être de fait un syndicat obligatoire. Les médecins ne choisissent donc pas d’être représenté.e.s par l’ordre, ils et elles y sont contraint.e.s. Et encore représentés est un grand mot, puisque la participation aux élections départementales est à moins de 30%. Les autres élections sont pyramidales. La démocratie à l’ordre n’est donc ni directe ni représentative. Le rapport de la Cour des Comptes montre bien que sa gouvernance est sociologiquement peu représentative de l’ensemble des médecins en exercice et surtout qu’elle est fermée avec des cumuls de mandats très fréquents. Nous sommes donc en droit de nous demander à qui bénéficient les « conseils » de l’ordre des médecins, a fortiori face à la désorganisation territoriale des soins de premiers recours mais aussi de second recours, sans parler de la crise majeure que traverse l’hôpital public. L’ordre a longtemps pris position contre l’exercice collectif de la médecine, il fait aujourd’hui preuve d’un silence assourdissant face à la privatisation à peine masquée de l’hôpital. Les institutions publiques n’ont visiblement pas besoin de l’ordre pour les « conseiller » et s’intéressent plus aux notes de think-tanks libéraux qu’aux commissions obscures de l’ordre. Les médecins ont toute liberté pour adhérer à des syndicats qui se chargent déjà de les représenter et de défendre leurs intérêts.

2

L’Ordre des médecins se présente comme le garant de la déontologie dans le double but de veiller à la qualité des soins et de défendre l’indépendance et l’honneur des professionnel-le-s. De quelle qualité des soins parle-t-on lorsque l’ordre des médecins conteste le droit à l’IVG pour toutes les femmes ? ou bien lorsqu’il s’oppose au tiers-payant, outil pourtant indispensable à un accès aux soins pour toutes et tous ? Le président actuel de l’ordre des médecins défend ainsi l’existence des dépassements d’honoraires (dont il a bénéficié lui-même dans son exercice professionnel en Seine St Denis) alors que cete pratique remet explicitement en cause l’égalité d’accès à des soins de qualité pour tou·te·s. De quelle indépendance parle-t-on lorsque l’ordre se montre complaisant vis-à-vis des pratiques corruptives exercées par l’industrie pharmaceutique au profit des médecins ? De quel honneur parle-t-on lorsque l’ordre des médecins couvre des soignants violeurs et pédo-criminels, pourtant dénoncés par les patient·e·s victimes ou leurs proches ? Le code de déontologie étant inscrit dans le code de santé publique, le droit commun peut tout à fait en être le garant. Les évolutions pourraient se faire dans un processus concerté entre professionnel·le·s et usager·e·s du système de santé avec le concours du Comité National d’Éthique, comme ce fut le cas pour les dernières lois de bioéthique.

3

L’Ordre des médecins met en avant sa capacité de conseil juridique lors des démarches d’installation, sur les différents statuts et contrats, alors que d’autres structures telles les Unions Régionales des Professionnel·le·s de Santé, les syndicats ou les plateformes d’installation des ARS sont parfaitement aptes à renseigner les médecins.

4

L’Ordre des médecins souligne sa capacité d’entraide pour les professionnel·le·s en difficulté et /ou leurs familles grâce à des fonds dédiés. Le rapport de la Cour des Comptes montre explicitement que les premiers bénéficiaires de cette « entraide » sont les conseillers ordinaux euxmêmes avec des indemnités pouvant aller jusqu’à près de 10 000€ /mois bruts pour le président national qui exerce cette fonction « bénévolement » ! L’ordre semble être aujourd’hui dans l’incapacité de rendre des comptes clairs et exhaustifs sur son patrimoine, initié par la confiscation des biens des syndicats médicaux en 1940 puis développé par les cotisations obligatoires des médecins. Quelle drôle de solidarité !

5

L’Ordre des médecins dit veiller au maintien de la compétence et de la probité des médecins. En réalité il se montre incapable d’identifier les situations problématiques liées à des praticien·ne·s dont l’insuffisance professionnelle ou l’état de santé rendent dangereux l’exercice de la médecine. Malgré sa volonté affichée d’assurer la gestion de la formation continue (DPC), il ne porte à ce jour aucun regard sur les obligations légales de formation qui incombent à chaque médecin. Les inscriptions au tableau valant droit d’exercer pourraient être gérées par le Ministère de la santé (via les Agences Régionales de Santé ? ou tout autre organisme public ?) sous forme d’un registre. Ce dernier vérifierait alors la validation de la formation initiale puis le contrôle de l’obligation de la formation continue (possiblement en lien avec l’ANDPC qui agrée déjà la plupart des organismes de formation). Les médecins sont des humain·e·s comme les autres, c’est pourquoi ils/elles ont besoin, non pas d’un ordre professionnel, mais d’un véritable service de santé au travail pour les accompagner en cas de diminution de leurs facultés physiques et/ou psychiques.

6

L’Ordre des médecins déclare également assurer un rôle d’instance disciplinaire pour les médecins qui ne respecteraient pas les principes de la déontologie. Mais il s’agit d’une justice d’apparat sans compétence juridique réelle. Les jugements sont rendus sans possibilité d’enquête, donc sans contrôler si les faits sont établis ! Les chambres de conciliation appliquent un pseudo respect du contradictoire en contrevenant ouvertement au respect du secret médical. Ce qui aboutit d’un côté à une « tolérance » vis-à-vis de médecins ayant commis des actes violents envers des patient·e·s et de l’autre côté à la condamnation des médecins qui ont établi un lien entre des pathologies et des conditions de travail, c’est-à-dire pour avoir utilisé leurs compétences médicales et fait leur travail. Cette justice d’exception se fait au détriment des intérêts publics et des patient·e·s; elle n’a donc aucune raison d’être. Le droit commun (pénal et/ou civil) est parfaitement capable de remplir ces fonctions juridiques à condition qu’on lui donne les moyens associés, notamment la possibilité de prononcer des sanctions limitant l’exercice médical. Ces différents éléments prouvent l’inutilité de l’ordre puisqu’il se montre incapable de réaliser les missions qui lui sont confiées (voire qu’il s’est arrogées lui-même), et qu’il existe déjà des institutions (ou des organismes publics) pouvant les assurer, sous réserve de leur donner les moyens humains et financiers à la hauteur. Nous insistons sur le fait que cette institution protège des professionnel·le·s de santé corrompu·e·s et maltraitant·e·s, tout en maltraitant des usager·e·s du système de soin et des professionnel·le·s qui tentent de respecter leur éthique professionnelle. Les personnes qui ont à se plaindre de médecins ont donc tout intérêt à se tourner vers la justice de droit commun et non vers cet apparat de justice qu’agite l’ordre des médecins.

Nous demandons donc sa dissolution immédiate et appelons l’ensemble des professionnel·le·s concerné·e·s et plus largement la société tout entière à s’emparer de ce sujet, car la santé est une question bien trop sérieuse pour la confier aux seul·e·s médecins.


Contacts presse :

MIOP = 0614555478
mmiop2016@gmail.com

SNJMG = 0771051381
infos@snjmg.org

SMG = 0622613512
syndmedgen@free.f

Organisations signataires : 

  • Syndicat de la Médecine Générale
  • Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes
  • Mouvement d’Insoumission aux Ordres Professionnels
  • Union Fédérale des Médecins, Ingénieurs, Cadres et Techniciens–CGT
  • Association Santé et Médecine du Travail
  • Pour Une Meuf
  • Méchandicapés
  • Stop Violences Obstétricales et Gynécologiques
  • Touche Pas à Mon Intermittente
  • Collectif National des Droits Des Femmes
  • Marche Mondiale des Femmes de France
  • Association LaSantéUnDroitPourTous
  • Coopération Patients
  • Les Dévalideuses
  • CLE Autisme
  • Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail
  • UGICT CGT
  • Héro-ïnes 95
  • Compagnie Les Attentives
  • Globule Noir
  • Parents et Féministes
  • A Nos Corps Résistants
  • Coordination des Associations pour le Droit à l’Avortement et à la Contraception
  • Coordination Action Autonome Noire
  • Le Village 2 Santé
  • Sud Santé Sociaux

[pdf] DISSOL




Le Texas mène à la liberté

[Source : Entre La Plume et l’Enclume (plumenclume.org)]

Par Israël Adam Shamir

L’araignée a découvert une guêpe qui s’échappait de sa toile. Elle est furax. Comment ose-t-elle ? La guêpe avait été capturée, ligotée, empoisonnée. Elle était prête à être tuée et dévorée. Et tout à coup, la voici qui se réveille et qui déchire la toile. Espèce de Neandertalienne! s’exclame l’araignée enragée, vous finirez comme les Néandertaliens, bande de dodos, Ruphus Cucullatus éteints pour toujours !

C’est ce que Biden a dit aux habitants du Texas qui ont osé se libérer de son régime de masques. Biden, le roi des morts et son équipe étaient sûrs de tenir le monde sous leur contrôle ; ils avaient prévu de mener l’humanité à la Grande Réinitialisation, à la fin sinistre de l’Homo Sapiens, à la cruelle dystopie des esclaves masqués gouvernés par les algorithmes de Google. Mais les Texans ont changé le cours de l’histoire. Ils ont été immédiatement suivis par le Mississippi, l’Iowa, le Montana et le Dakota du Nord ; les États qui avaient voté pour Trump et pour la liberté.

La population a accueilli avec joie cette décision sage et courageuse, rapporte le Daily Mail :

Oxford, où se trouve Ole Miss, a vu les gens sortir en force, se précipiter au restaurant et envahir les magasins… En Floride, les Spring Breakers ont également abandonné les masques alors que les étudiants, bikini à l’air, s’engouffraient sur les plages et s’entassaient dans les bars de Miami et de Fort Lauderdale pour donner le coup d’envoi à leurs vacances. Et dans l’Idaho, un groupe s’est réuni pour brûler ses masques devant le Capitole pour protester contre les restrictions COVID-19 après que d’autres États aient décidé cette semaine de s’asseoir sur les ordres et de rouvrir à tout bout de champ. Un groupe d’enfants a rejoint les parents, dont plusieurs étaient armés, pour brûler des photos de Joe Biden et de Nancy Pelosi, avant de jeter leurs masques chirurgicaux au feu ».

Les gouverneurs ont condamné Biden pour son injure à Néandertal. C’est pire qu’une insulte : c’était une menace de meurtre pour les électeurs de l’Union européenne, rien de moins. Les Néandertaliens, nos ancêtres intelligents mais peu bavards, ne sont pas morts d’ennui : ils ont été exterminés par leurs cousins plus avancés. Le président américain a même menacé de « nettoyage » son propre peuple, comme les Néandertaliens ont été nettoyés. Avait-il l’intention de semer un nouveau virus à Houston pour atteindre cet objectif ? Ou bien prévoit-il de remplacer les Texans – trumpistes et déplorables – par un flot de nouveaux immigrants d’Amérique latine qui voteront pour Biden ? Pour ce faire, il a déjà ouvert les portes de la frontière mexicaine et rompu les accords que Trump avait conclus avec les Latino-Américains. Le président Trump a longuement commenté ces changements au Comité d’action politique des conservateurs à Orlando, en Floride, mais il n’est pas facile de trouver et de regarder ce discours, car YouTube en a retiré pratiquement toutes les copies qui ont été publiées. (En voici une que j’ai trouvée.) Je pense que la menace de Biden constitue une bonne raison pour déclencher sa destitution, et à défaut, pour faire sécession.

Les actes de bravoure des Texans ont été très bien accueillis. Un vent de liberté a soufflé sur le monde entier. Des Suédois placides et obéissants, récemment contraints au servage par les masques, ont protesté en faisant brûler leurs masques dans le centre de Stockholm. Les Russes ont vu pratiquement toutes leurs restrictions covidiques levées il y a quelques jours ; les théâtres et les églises fonctionnent comme d’habitude à pleine capacité. Même les Israéliens, les esclaves volontaires des Ténèbres (Exode 21:6), ont obtenu quelques jours de liberté relative (à condition d’avoir un passeport vert pour aller boire un verre) et leur aéroport a été rouvert pour un bref interlude après des mois de siège auto-imposé. Néanmoins, ils ont reçu un avertissement: ils vont devoir retourner à leur quatrième confinement dans quelques jours.

Tout le monde n’est pas content que les gens s’échappent de prison. Il faut une certaine chutzpah  pour apprécier la contemplation d’un cimetière, à la place de ce qui était jusqu’à une date récente une ville animée, mais nos seigneurs et supposés maîtres ne manquent pas de chutzpah. Le gang de Davos, la force qui est derrière les pandémies de Covid-19, dans un moment de vérité, a annoncé : « Les confinements sont en train d’améliorer doucement les villes du monde entier ». Vous avez souffert, mais ils ont apprécié !

Ils nous aiment morts. Ou presque morts. Au moins, qu’on reste là où on est au lieu de nous précipiter partout ailleurs. Le virus leur a fourni une excuse ; la prochaine fois, ils utiliseront un autre script au même effet. Le grand quotidien de fausse gauche The Guardian a déjà proposé de verrouiller le monde tous les deux ans.

En fait, les plans de nos supérieurs ne sont pas nouveaux. En septembre 1944, le secrétaire américain au Trésor, Henry Morgenthau, avait proposé de détruire toutes les capacités industrielles de l’Allemagne. Les installations industrielles devaient être détruites, les mines devaient être dévastées et comblées, les experts en production et en fabrication devaient être retirés de force de la région et mis au travail ailleurs. L’Allemagne allait devenir un État féodal agraire, avec un recul de près de mille ans.

Ce serait merveilleux pour les petites Greta tourmentées par le CO2 ! Un seul problème : le plan Morgenthau n’éliminait pas les vaches, les vaches grasses et péteuses. Dans l’Allemagne heureuse et désindustrialisée, il est vrai que peu d’entre elles auraient survécu à la famine de l’après-guerre, mais elles étaient censées continuer à produire de la viande. Ce point avait été amélioré par le coreligionnaire de Morgenthau, Theodore N Kaufmann. Dans son livre L’Allemagne doit périr, il proposait de stériliser tous les Allemands en âge de procréer, ce qui serait sûrement encore mieux que de nous confiner pour l’amour du CO2.

La Grande Réinitialisation, c’est le plan Morgenthau-Kaufmann, étendu au monde entier, et d’abord aux Européens. Les Allemands ont été sauvés de ce sinistre destin par Josef Staline, le dirigeant russe victorieux. Il n’avait aucune animosité envers les Allemands qu’il avait vaincus ; il a explicitement rejeté ces plans de vengeance judéo-américains (vous pouvez le lire dans sa correspondance avec Roosevelt) et il a procédé à la reconstruction de l’Allemagne socialiste avec son excellente industrie et son agriculture. (De nombreux Ossètes regrettent encore le démantèlement de la RDA en 1990.) Les États-Unis n’ont eu d’autre choix que de le suivre avec leur plan Marshall.

Poutine jouera-t-il le rôle de Staline et nous sauvera-t-il du grand Reset? ? Après tout, il n’y a aucun avantage, du point de vue des Resetteurs, à détruire l’Ouest si l’Est reste en sécurité. Ils veulent aller jusqu’au bout, et sauver la Russie pourrait faire avorter le plan. Poutine est un homme rusé, un maître de l’aïkido, art martial japonais qui consiste à utiliser la force de son adversaire contre lui, et il peut parfaitement sécuriser son royaume. Il penche pour les accomodements avec ses adversaires dominants, puis, lorsqu’ils sont sûrs de leur victoire imminente, il introduit un nouvel élément et retourne le jeu à son avantage.

  • Il était apparemment d’accord avec le récit covidique tel que présenté par les maîtres du discours, et au dernier moment, il a produit son vaccin Sputnik-V, annulant tous les gains de l’ennemi. Ils pensaient que la Russie allait les supplier de leur fournir le vaccin, mais il s’est avéré que c’était l’inverse. Aujourd’hui, les Européens, les Tchèques et les Hongrois ainsi que les Vénézuéliens et les Biélorusses font la queue pour obtenir le vaccin russe qui est plus sûr et plus efficace que les vaccins occidentaux. Il a déjà rapporté 25 milliards de dollars, soit plus que les exportations d’armements (11 milliards de dollars). Le vaccin russe est un vaccin traditionnel, sans technologie d’ARNm douteuse, et il fonctionne. Je ne suis pas un fan des vaccins, mais le vaccin russe semble être un moindre mal, car  les Russes ne sont pas armés face à la vaccination.
  • Il était apparemment d’accord avec le programme des Verts, qui était bel et bien destiné à ruiner la Russie, grand producteur de pétrole et de gaz ; et au dernier moment, il a déclaré que la meilleure façon de minimiser le CO2 c’est d’utiliser l’énergie nucléaire du type de celle produite par le Russe RosAtom. A l’heure actuelle, Rosatom possède le plus grand portefeuille de projets de construction de centrales nucléaires à l’étranger, dont 36 unités de production dans 12 pays. L’Inde, la Chine, la Turquie, l’Iran et le Bangladesh sont devenus les principaux clients de Rosatom. Rosatom met en œuvre le projet de construction d’une centrale nucléaire en Finlande, ainsi qu’en Hongrie et en Biélorussie. Poutine a déclaré que revenir au vent et au soleil, ce serait comme retourner vivre à l’âge des cavernes. L’énergie nucléaire est préférable pour l’avenir, alors que le pétrole et le gaz devraient suffire pour le présent.
  • Il était apparemment d’accord avec Davos, il s’est entretenu avec eux de manière polie et affable. Le leitmotiv de Davos 2021 était que la pandémie de coronavirus a changé le monde de manière irrévocable, et a prouvé l’incapacité des Etats-nations à faire face aux problèmes. Les entreprises mondiales devraient prendre le contrôle de la situation et elles le feront, et elles reconstruiront le monde en mieux. Elles préviendront les épidémies et protégeront le climat. Pourquoi devriez-vous conduire des voitures et piloter des avions, polluer l’air avec des émissions et propager des virus – restez chez vous, nous vous dirons tout et vous en montrerons autant sur une télévision intelligente en 3D avec une immersion totale dans la réalité, comme dans Matrix, qui pourrait bien s’avérer être un film prophétique.
  • Seulement voilà, à Davos, pour la première fois, Poutine a déclaré qu’il n’y avait que peu de bénéficiaires de la mondialisation ; lutter contre le virus c’est bien, mais il faut d’abord empêcher les géants de l’informatique de prendre le contrôle du monde. Ce Poutine qui avait la bouche si suave, si peu conflictuelle, et qui soudain atteint un sommet. Lisez donc l’excellent résumé de son discours à Davos par notre ami Mike Whitney, pour comprendre.
  • Une personne plus simplette, comme moi, serait immédiatement en désaccord avec les salauds et plongerait le pays dans une lutte titanesque avec une faible chance de victoire. Mais un Poutine rusé est d’accord pour commencer, et bat ensuite l’adversaire en utilisant sa force. L’ennemi devrait se méfier lorsque Poutine est d’accord avec lui.
  • Pourtant, Poutine n’est pas tout-puissant, même au cœur de Moscou. Si nous voulons retrouver une vie normale, nous ne pouvons pas compter sur la Russie ou la Chine pour nous servir la victoire sur un plat.

En Russie, la montée du régime Biden et le grand Reset ont été bien jaugés par deux hommes, et leurs évaluations diffèrent. L’un considère que c’est une agression contre la Russie, l’autre dit que c’est une agression contre nous tous, et en premier lieu contre les Américains. Le premier est important car il se rapporte à la politique réelle ; le second est encore plus important car il nous parle de notre destinée.

Le premier, c’est un conseiller de haut rang du ministre russe de la défense, Andrei Ilnitsky, dont la puissante apparition au Sénat russe (Federacii soviétique) en décembre de l’année dernière a fait sensation, lorsqu’il a dit ceci: « Klaus Schwab, au nom des multinationales, a déclaré qu’elles ne nous permettraient pas de revenir à un monde pré-Covid. Elles considèrent le Covid comme leur propre projet. Aucun État national indépendant ne sera plus autorisé à exister ; elles dirigeront le monde ». Selon lui, le virus n’est pas particulièrement mortel mais hautement contagieux, de par sa conception; l’idée serait de saper les systèmes de santé comme une ouverture vers quelque chose de pire. Il a maintenant publié deux articles politiques (ici, sur le site du ministère de la Défense, et ici, dans le journal du Parlement , tous deux en russe).

Ilnitsky compare les récentes déclarations des dirigeants et des experts américains avec le discours de Churchill à Fulton (sur le « rideau de fer ») prononcé il y a exactement 75 ans, le 5 mars 1946, le discours qui a lancé la guerre froide. La désobéissance russe au plan Marshall en 1946 et au grand Reset en 2021 s’est heurtée à une rhétorique guerrière, puis à une guerre hybride. C’est une comparaison pertinente. Le régime Biden est extrêmement agressif. Au cours du premier mois de son règne, Biden a déjà tué plus de Syriens que Trump en quatre ans. Il menace l’Iran, la Russie et la Chine, malgré ses déclarations pacifiques. Il a décidé d’annuler le retrait des troupes d’Afghanistan. Et chaque action brutale est accompagnée d’expressions traîtreuses.

Avec l’accès à la présidence de Biden, l’hypocrisie est de retour, en Amérique et sur la planète. Trump était tout sauf hypocrite ; Trump est parti et l’hypocrisie revient en force. Alors que Trump bombardait la Syrie pour le pétrole, Biden massacre les Syriens car « les États-Unis ont le droit de se défendre », et ce afin de « réduire la tension en Syrie ». Trump avait provoqué l’indignation de l’opinion publique américaine progressiste, tandis que Biden la réjouit. Un exemple typique est celui d’Amy Siskind (sur la photo), une lesbienne juive anti-Trumpist SJW, ancienne directrice de Wall Street. Elle a apprécié le bombardement de la Syrie. Elle a tweeté : « C’est tellement différent d’avoir une action militaire sous Biden. Pas de menaces niveau école primaire sur Twitter. Faites confiance à la compétence de Biden et de son équipe ».

La Russie n’avait pas eu afffaire à une équipe aussi agressive que le régime de Biden depuis les années 1950. Si Biden devait bombarder Moscou, il n’oublierait pas de dire qu’il l’a fait au nom de l’égalité des sexes. Mais un bombardement est très peu probable : La Russie est protégée par son système de périmètre « de main morte » dont la réputation égale celle du Dr Folamour. Mais l’ex-ambassadeur américain McFaul, l’amiral Charles Richard et le secrétaire d’État Anthony Blinken ont demandé que l’on fasse pression sur la Russie. Pour Ilnitsky, les plans de Schwab ne sont qu’un prélude à la véritable guerre américaine contre la Russie, à mener tout d’abord dans le cyberespace. Selon Ilnitsky, « la Russie sera confrontée à une dure confrontation avec les États-Unis. Les menaces pour notre pays seront existentielles ».

Pourquoi le régime Biden est-il si agressif ? Pour la même raison que la France révolutionnaire était  agressive. (Avec très peu de succès, l’URSS a également essayé d’être agressive juste après la révolution de 1917). Biden est une façade pour le nouveau régime planétaire des grandes entreprises. Ces régimes ont le sentiment que l’avenir leur appartient, que l’histoire leur donnera raison, et ils n’hésitent pas à imposer leur programme.

La deuxième voix, plus importante, est celle du philosophe politique russe de premier plan, Alexandre Douguine, dont le Manifeste du grand réveil contre le grand Reset (en anglais) vient de sortir, il y a quelques jours, le 3 mars, et a déjà été traduit dans de nombreuses langues. Pour Douguine, la bataille finale à venir ce n’est pas l’Occident contre l’Orient, ni les États-Unis et l’OTAN contre tous les autres, mais les libéraux contre l’humanité – y compris ce segment de l’humanité sur le territoire de l’Occident qui rejette ses propres élites mondialistes.

En un mot, Douguine propose de répondre à leur grande Réinitialisation par notre grand Réveil, par notre reconnaissance d’un terrible danger imminent. La Réinitialisation proclamée par Schwab est en marche depuis la prise de pouvoir aux États-Unis par Biden. L’objectif des Resetteurs n’est pas seulement le confinement tous azimuts, ni le pouvoir, ni notre appauvrissement ; ils visent à détruire totalement l’Homme. Il s’agit de l’étape finale du projet libéral, qui dépouille l’Homme de tous ses liens collectifs. D’abord, ils se sont débarrassés de l’Église, puis de la race, de la nation, de la classe, du sexe.

L’Église en tant que « corps mystique du Christ » a été détruite et remplacée par des clubs de loisirs créés par le libre consentement de la base… Les socialistes, les sociaux-démocrates et les communistes ont contré les libéraux avec des identités de classe, appelant les travailleurs du monde entier à s’unir pour renverser le pouvoir de la bourgeoisie mondiale. … Parallèlement aux communistes, des forces nationalistes extrêmes sont arrivées au pouvoir en Europe occidentale. Elles agissaient au nom de la « nation » ou d’une « race », opposant à nouveau l’individualisme libéral à quelque chose de « commun », un « être collectif ». En utilisant tactiquement la Russie soviétique, le capitalisme a d’abord réussi à traiter avec les régimes fascistes, et ce fut le résultat idéologique de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide qui s’ensuivit entre l’Est et l’Ouest à la fin des années 1980 se termina par une victoire libérale sur les communistes. Voilà comment le projet de libération de l’individu de toute forme d’identité collective est passé par une autre étape.

Après avoir vaincu l’ennemi extérieur, les libéraux ont découvert deux autres formes d’identité collective. Tout d’abord, le genre. Après tout, le genre est aussi quelque chose de collectif : soit masculin, soit féminin. Le genre devait être aboli, comme toutes les autres formes d’identité collective. La migration de masse atomise les populations en Occident en utilisant une idéologie des droits de l’homme qui s’adresse à l’individu sans tenir compte des aspects culturels, religieux, sociaux ou nationaux. Les libéraux n’avaient plus qu’un dernier pas à franchir : abolir les humains. Après tout, l’humain est aussi une identité collective, ce qui signifie qu’il doit être surmonté, aboli, détruit et que les humains doivent être remplacés – certes partiellement – par des cyborgs, des réseaux d’intelligence artificielle et des produits du génie génétique.

Une personne sans religion, sans patrie, sans peuple d’appartenance, et maintenant sans sexe accède à la Singularité, quand elle est en passe de devenir un ordinateur ou une calculatrice parmi d’autres, c’est-à-dire qu’elle cesse d’être. Douguine retrace le chemin du libéralisme depuis le nominalisme – le modèle d’Occam du début du Moyen Âge – jusqu’à Schwab. Or juste avant leur victoire complète, les Resetteurs butent sur un caillou : le grand Réveil, qui est proche.

Le grand Réveil ne concerne pas les élites et les intellectuels, mais le peuple, les masses, le peuple en tant que tel. Ce n’est pas une question d’analyse idéologique. C’est une réaction spontanée des masses qui réalisent soudainement, comme le bétail devant l’abattoir, que leur sort a déjà été décidé par leurs dirigeants et qu’il n’y a plus de place pour les gens à l’avenir. Le Grand Réveil est spontané, largement inconscient, intuitif et aveugle.

La thèse du grand Réveil ne doit pas être hâtivement chargée de détails idéologiques, qu’il s’agisse du conservatisme fondamental, du traditionalisme, de la critique marxiste du capital ou de la protestation anarchiste pour l’amour de la contestation. Le Grand Réveil, c’est quelque chose de plus organique, de plus spontané et en même temps tectonique. C’est ainsi que l’humanité se voit soudainement éclairée par la proximité de sa fin imminente. C’est pourquoi le grand Réveil nous vient de l’intérieur des États-Unis, là où l’obscurité est la plus profonde. C’est un cri qui sort de l’enfer lui-même, de cette zone où le futur noir est déjà là, en partie arrivé.

Douguine croit en la victoire de l’Homme. Nous sommes des alliés – les déplorables Américains, les populistes européens (qui doivent absolument laisser tomber le différend daté entre la gauche et la droite), les pays islamiques : La Turquie et l’Iran, la Chine géante, qui tente de s’élever sur la vague mondiale, mais s’y oppose néanmoins, et conserve son identité civilisationnelle, et enfin la Russie, avec son expérience de l’opposition mondiale à l’hégémonie. Les ennemis sont forts, mais nous sommes encore plus forts, dit-il.

Le pouvoir des mondialistes est basé sur des illusions qu’ils essaient de nous inculquer de façon maniaque. La grande réinitialisation a été proclamée par une poignée de vieux dégénérés au bord de la démence (comme Biden, le méchant ratatiné Soros, ou le gros bourgeois Schwab) et une racaille marginale et perverse. Ils tiennent les bourses et les presses à imprimer ; les escrocs de Wall Street et les drogués à l’inventivité de la Silicon Valley travaillent pour eux. Des agents de renseignement disciplinés et des généraux d’armée obéissants leur sont subordonnés. Mais cela est négligeable par rapport à l’humanité tout entière, aux gens du travail et de la pensée, aux profondeurs des institutions religieuses et à la richesse fondamentale des cultures.

La libération a déjà commencé au Texas. Leur rejet du régime des masques est la preuve que le peuple américain a compris où on veut le mener. Car Praemonitus praemunitus(([1] Ce proverbe est la devise en latin de nombreux corps d’armées dans le monde et notamment aux États-Unis, mais aussi le titre de la deuxième édition américaine des Protocoles des sages de Sion.)) : un homme averti en vaut deux.


Contacter l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: Maria Poumier

Original https://www.unz.com/ishamir/texas-leads-to-freedom/


Note




Pourquoi la dictature sanitaire ne s’arrêtera plus

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Michel Lebon

Retour en arrière, c’était il y a juste un an :
L’interdiction de déplacement en France, vulgarisée dans les médias en novlangue par « confinement », est mise en place pour la première fois du 17 mars 2020 à 12 h pour trois semaines… puis reconduit… jusqu’au 11 mai, soit les 55 jours de Pékin.
Un galop d’essai pour mesurer la soumission de la population à ces mesures liberticides et leur degré d’acceptation.

C’est un succès !

Depuis lors cette interdiction sera sans arrêt reconduite, partiellement ou totalement, jusqu’au couvre-feu militaire.

Par le décret du 29 octobre 2020, une usine à gaz, le gouvernement expose pas moins de 47 articles qui encadrent l’ensemble de toutes ces restrictions prétendues sanitaires. On en retiendra symboliquement la fermeture pure et simple des restaurants.

Novembre… décembre… janvier… février… mars…
Tant que ça marche, on continue.

Soumission - Rébellion

Depuis l’origine, c’est toute une ingénierie sociale qui s’est mise en place avec tous les acteurs intéressés à la chose. Avec la puissance du rouleau compresseur des médias mainstream aux ordres. Avec les encouragements appuyés des labos à vaccins, des industriels des produits dérivés, masques et autres gadgets sanitaires. Et tous les comités Théodule, les agences indépendantes de santé, les experts complices qui leur servent la soupe et les myriades de politiques aux ordres qui passent les lois, trop contents de pouvoir étouffer toute velléité de manifestation de masse des Gilets Jaunes et autres Gaulois réfractaires. Ceux qu’on nomme les complotistes.

Stop dictature sanitaire - Gilets Jaunes

Des milliers de fonctionnaires, agences de santé, rédacteurs, légistes, juristes, sont engagés et produisent des textes, pondent des mesures, des protocoles dans une complexité dont on ne sortira plus. Ils n’ont pas fait tout ça pour rien.

Une crise qui s’installe dans la durée n’est plus une crise, c’est un système

Toutes les institutions publiques communiquent à tout va sur la manière de s’intégrer la crise sanitaire dans la durée. La Région Provence Alpes Côte d’Azur n’est bien entendu pas en reste. Extrait d’un communiqué du président de Région, Renaud Muselier :

Muselier - Région PACA - Mesures anti-Covid_1

Ces mesures reprennent celles qui sont annoncées sur le site internet de la Région.

On y trouve tout et n’importe quoi, jusqu’à l’absurde : le forfait bol d’air, le billet solidaire pour aller au spectacle (fermé), la fête des terrasses ! En passant par Le million ! Le million ! comme au Loto. Mai, juin, juillet 2021… pas question d’un retour à la normale !

L’argent coule à flot pour s’installer durablement dans la crise sanitaire

Imaginez un peu les innombrables services, les innombrables fonctionnaires, les innombrables élus, les sous-traitants qui ont été mobilisés, payés par vos impôts pour sortir toutes ces sornettes. Et vous croyez qu’ils ont fait tout ça pour que tout revienne, tout simplement, à la normale demain ? Trop de personnes trouvent leur intérêt dans cette situation de crise : des actionnaires milliardaires de Big Pharma à toutes ces dizaines de milliers d’élus et de fonctionnaires territoriaux, et nationaux bien sûr.

Tout est bien en place

Pourvu que ça dure ! On commence à entendre par-ci par-là que la sortie de crise ne viendra pas avant l’horizon(*) 2022. Ben voyons !

Âne - Carotte - de funès

Michel Lebon

(*) L’horizon étant une ligne qui recule au fur et à mesure que l’on avance.

Commentaire
  1. L” Ahuri le 9 mars 2021 à 21:02
    Dr Folamour, à faire suivre pour les sceptiques :
    https://planetes360.fr/dans-ce-monde-ou-ils-seront-des-dieux-que-feront-ils-des-inutiles/
    Instructif, non ?



Le vaccin EST la pandémie

[Source : Ciel voilé]

80% des nonnes vaccinées au couvent du Kentucky ont été testées positives au coronavirus deux jours plus tard

Ethan Huff – 3 mars 2021

https://www.naturalnews.com/2021-03-02-vaccine-pandemic-nuns-vaccinated-convent-tested-positive.html

(Natural News) Trente-cinq religieuses des sœurs bénédictines de St. Walburg dans le Kentucky ont été vaccinées au début de ce mois contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), et deux jours plus tard, deux d’entre elles sont mortes et 26 autres ont été testées positives.

Selon Soeur Aileen Bankemper, prieure du couvent, le monastère a été complètement fermé pendant toute cette période, et il n’y a eu aucun mouvement de personnes dans ou hors des locaux.

« Nous [la communauté bénédictine] avons été choquées d’avoir autant de cas [Covid-19] car nous étions extrêmement prudentes, nous ne sortions pas et n’avions pas de visiteurs depuis le début de la pandémie », aurait déclaré Sœur Bankemper.

Les sœurs de l’établissement étaient si prudentes, a-t-elle ajouté, qu’elles ont « redoublé » leurs efforts « après la vague de vacances [de Noël] », pour constater une augmentation des nouveaux cas et quelques décès.

« Vingt-huit sœurs ont été testées positives au COVID-19″, a écrit Mme Bankemper dans un post sur Facebook à propos de ce qui s’est passé après que les femmes aient été vaccinées avec des vaccins à ARN messager (ARNm) de Big Pharma. »

« La majorité d’entre elles ont pu obtenir les anticorps monoclonaux [perfusions d’anticorps] par l’intermédiaire des services de santé de St. Leurs symptômes sont assez bien pris en charge ».

Les sœurs Charles Wolking et Rita Biltz, en revanche, n’ont pas été aussi bien prises en charge. Elles sont mortes toutes les deux le 3 février, deux jours après avoir été vaccinées. Elles ne présentaient aucun symptôme avant leur mort et leurs tests pour le nouveau virus avant l’injection étaient négatifs..

« Elles étaient toutes deux âgées et avaient des problèmes de santé et n’étaient pas en mesure de se battre contre le Covid », a déclaré la sous-prieure Nancy Kordenbrok à un média local.

Les sources de cet article sont notamment les suivantes :




La fraude des anticorps

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Par Rosemary Frei

Depuis des mois, le monde se concentre sur les tests PCR du nouveau coronavirus, le traçage des contacts et la vaccination.

Entre-temps, une autre partie importante du complexe biomédical Covid a reçu beaucoup moins d’attention : l’utilisation d’anticorps pour détecter, diagnostiquer et traiter l’infection par le nouveau coronavirus.

Des centaines de tests d’anticorps ont été approuvés à ces fins depuis janvier 2020. Et des centaines d’autres sont sur le point de commencer à être commercialisés sous peu.

Cela fait partie de la ruée vers l’or du secteur biomédical : dès l’été dernier, les anticorps étaient en passe de devenir le produit médical le plus lucratif, avec un revenu mondial qui devrait atteindre près d’un demi-billion de dollars d’ici 2024. Il n’est pas rare que les marges bénéficiaires soient de l’ordre de 67 %.

Des géants de l’industrie pharmaceutique tels qu’AstraZeneca, Novartis, GlaxoSmithKline et Eli Lilly sont parmi les entreprises qui s’emparent des plus gros morceaux du marché des anticorps contre les nouveaux coronavirus. Et certaines des agences gouvernementales les plus musclées, dont l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses d’Anthony Fauci et l’Agence des projets de recherche avancée de la Défense américaine, font partie des acteurs (voir, par exemple, l’avant-dernière section de cet article, sur les anticorps utilisés pour traiter le Covid).

Pratiquement toutes les études et tous les supports marketing relatifs au Covid reposent sur l’hypothèse que les scientifiques ont formellement et correctement identifié la présence du nouveau coronavirus (également appelé SARS-CoV-2) dans le matériel avec lequel ils travaillent.

Le travail d’identification est généralement confié à des anticorps qui sont censés se lier au nouveau coronavirus. On suppose que ces anticorps sont capables de repérer le virus et seulement le virus parmi tous les autres organismes et substances qui l’entourent.

Malheureusement, il s’avère que les anticorps ne le font que rarement (voire jamais). Cela est dû, entre autres, à une vérification insuffisante de la précision avec laquelle les anticorps ciblent le virus par les entreprises qui fabriquent et vendent ces produits. Et il y a encore moins de vérification par les organismes gouvernementaux de réglementation.

Faisons un tour de table pour découvrir quelques unes des principales caractéristiques du paysage de l’industrie des anticorps, qui se caractérise par sa complexité et son budget important.

Peut-on créer des anticorps qui ne se lient qu’à un type de virus ou à un autre ?

Les anticorps sont des éléments minuscules et bien adaptés de notre système immunitaire. L’une de leurs principales fonctions est de rechercher les virus et les bactéries susceptibles de déclencher des maladies. Les anticorps interagissent avec ces microbes et participent au processus viral en contrôlant leur prolifération.

Depuis des millions d’années, les humains et nos ancêtres fabriquent des anticorps dans notre corps pour gérer les infections. Puis, il y a quelques décennies, des entreprises se sont lancées dans la découverte et la manipulation d’anticorps, en partenariat avec des laboratoires universitaires.

Il existe deux grandes catégories d’anticorps. La première est celle des anticorps “polyclonaux”. Il s’agit d’anticorps qui se lient à une variété de substances et/ou d’organismes différents.

L’autre catégorie est celle des anticorps monoclonaux. Comme leur nom l’indique, le clonage est impliqué dans leur création. On identifie d’abord un anticorps spécifique à une séquence particulière d’acides aminés (les acides aminés sont les éléments constitutifs des protéines) d’intérêt – par exemple, un anticorps provenant d’une protéine à la surface d’un virus ou d’une bactérie -. Ensuite, la cellule du système immunitaire qui a produit cet anticorps est “clonée” en laboratoire. Ainsi, chaque ensemble d’anticorps monoclonaux se lie à cette séquence particulière d’acides aminés.

J’ai envoyé un courriel à l’un des principaux experts mondiaux anglophones en matière d’anticorps monoclonaux, le professeur Clifford Saper de la Harvard Medical School, afin d’obtenir des éclaircissements sur ce point. Je lui ai demandé s’il est vrai que, comme la plupart des personnes qui prétendent commercialiser des anticorps, il est possible de créer un anticorps monoclonal spécifique (c’est-à-dire qui se lie) à un seul type de virus ou à un seul autre type d’organisme.

M. Saper a répondu :

Non, il n’existe pas d’anticorps monoclonal qui, parce qu’il est monoclonal, ne reconnaisse qu’une seule protéine ou qu’un seul virus. Il se liera à toute protéine ayant la même séquence (ou une séquence très similaire).

Cette déclaration de M. Saper implique que toute tentative d’utiliser un anticorps monoclonal pour vérifier la présence du nouveau coronavirus entraînera un taux élevé de résultats faussement positifs. C’est-à-dire qu’ils indiqueront que le nouveau coronavirus est détecté alors qu’en fait il ne l’a pas été. En effet, il est très probable que l’anticorps monoclonal se lie à autre chose que le virus (c’est ce qu’on appelle une “réaction croisée”).

(Je recommande cet article de Saper, et celui-là et celui-là co-écrit par le professeur de pathologie de Yale David Rimm, à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur la validation des anticorps).

Et en fait, la grande majorité des anticorps et des anticorps monoclonaux commercialisés comme étant spécifiques au nouveau coronavirus ont été développés il y a des années pour détecter le SRAS-CoV-1. Ils ont ensuite été simplement reconvertis pour identifier le SARS-CoV-2 – avec très peu de contrôles, voire aucun, pour savoir s’ils présentent également une réaction croisée avec d’autres organismes ou substances.

J’ai demandé à Zhen Lu de confirmer cette réaffectation. Elle est la responsable marketing pour l’Amérique du Nord de Sino Biological, une société basée à Pékin qui développe et vend, entre autres, des centaines d’anticorps. Lu m’a répondu par e-mail : “Oui, les anticorps sont reproposés [sic]”.

J’ai également vérifié et reçu la confirmation de Pratiek Matkar, un cadre supérieur de BenchSci, une société de bases de données d’anticorps. Et pour voir par moi-même, je me suis connecté à la base de données de BenchSci (Matkar m’a accordé un compte d’invité), j’ai sélectionné tous les anticorps pour le nouveau coronavirus, et j’ai cherché à savoir quels organismes avaient été utilisés dans les tests de réactivité croisée pour eux. Seul le SRAS-CoV-1 est apparu dans cette vérification.

Tout cela explique une chose que j’ai observée la semaine dernière : Sino Biological vient de modifier le contenu de sa page d’accueil pour la section de son site web consacrée aux anticorps contre le SARS-CoV-2. La page annonce maintenant qu’ils ont introduit de nouvelles “paires d’anticorps assortis” qui fonctionnent mieux pour trouver le virus. Cette paire se compose d’un “anticorps de capture” et d’un “anticorps de détection”.

Et ils affirment que ces paires sont plus précises pour trouver le nouveau coronavirus : qu’elles…

ont une spécificité élevée sans réactivité croisée avec le MERS-CoV, [ou avec les coronavirus humains communs] 229E, NL63, HKU1, [et] OC43.

La seule façon dont je peux interpréter cela est la suivante : ils savent que les anticorps qu’ils commercialisent depuis des mois comme étant spécifiques au nouveau coronavirus se lient à d’autres choses, comme les coronavirus humains communs.

Comment les anticorps sont-ils utilisés dans les tests pour le nouveau coronavirus ?

L’un des principaux types de tests pour le virus contient des anticorps qui sont apparemment spécifiques au nouveau coronavirus. Ils sont conçus pour fonctionner de la manière suivante : si le virus est présent dans un échantillon de sang, les anticorps se lient à celui-ci et, par conséquent, le test donne un signal positif.

L’autre type de test contient des séquences de protéines du nouveau coronavirus ; si des anticorps au virus sont présents dans un échantillon de sang, ils se lient aux séquences de protéines et donnent un résultat positif.

Les fabricants sont censés procéder à des contrôles de précision de leurs kits de test avant de les mettre sur le marché. Ces contrôles consistent essentiellement en une estimation des taux de faux positifs et de faux négatifs (ce dernier est un résultat négatif lorsque l’anticorps ou la protéine en question est contenu dans l’échantillon testé par le kit).

Cependant, les entreprises effectuent ce contrôle de précision superficiel avec seulement quelques échantillons d’un petit nombre de virus – et rarement sur des bactéries ou toute autre substance biologique parmi les millions qui peuvent être présentes dans le sang.

Malgré cette validation très insuffisante et la forte incitation des entreprises à donner une bonne image de leurs produits, comme l’a documenté David Crowe [RIP] en mai dernier, les fabricants enregistrent souvent un taux significatif de faux positifs. Les faux positifs concernent tout, du virus du Nil occidental aux différents types de coronavirus humains.

En général, les entreprises et les gouvernements qualifient ce taux d’insignifiant. Il arrive cependant que les kits de test soient si mauvais qu’ils sont retirés du marché.

Par exemple, un kit de test d’anticorps vendu par une société appelée Chembio Diagnostics a été lancé le 31 mars 2020. La Food and Drug Administration (FDA) américaine lui a presque immédiatement accordé une autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA). Une EUA permet aux entreprises de mettre des produits sur le marché à toute vitesse avec un minimum de surveillance. Le Brésil et l’Union européenne ont également donné leur accord pour que le test Chembio soit vendu sur leur territoire en avril et mai 2020, respectivement.

Puis, en juin 2020, la FDA l’a retiré du marché. L’agence a déclaré :

ce test génère un taux de faux résultats plus élevé que prévu.

(Notez que le tableau supérieur de la page 13 de la notice du produit pour ce test Chembio “révoqué” indique qu’il présente une réaction croisée avec le coronavirus humain 229E).

Mais en novembre 2020, le test d’anticorps Chembio a de nouveau été approuvé pour être utilisé au Brésil. Et le 14 janvier 2021, le test a été approuvé dans l’Union européenne, au Royaume-Uni et en Irlande.

Est-il identique à celui qui était si imprécis qu’il a été retiré du marché en juin dernier ? C’est difficile à dire. Il n’y a pas de notice d’utilisation que j’ai pu trouver pour ce produit. En fait, il y a très peu d’informations à son sujet sur la page web du test ; il faut en faire la demande. J’ai soumis une demande le 23 janvier et je ne l’ai pas encore reçue.

Deux des responsables de la branche de la FDA qui approuvent les dispositifs de test ont rédigé un article dans le New England Journal of Medicine du 18 février 2021. Dans cet article, les deux hommes admettent que les autorisations de la FDA pour les tests sérologiques sont trop souples.

Ils ont indiqué que la FDA a renforcé ses critères d’approbation de ces tests. Ils soulignent également les efforts déployés par d’autres agences gouvernementales pour évaluer les tests sérologiques. Mais ils ne disent pas un mot sur la nécessité d’aller vers une validation objective et approfondie des tests. Ils restent également muets sur le fait que des EUA sont toujours délivrés.

(Il convient également de noter que les listes de la FDA et de Santé Canada des 65 tests sérologiques approuvés à ce jour aux États-Unis et des 19 tests approuvés à ce jour au Canada continuent de donner la sensibilité [identification correcte des échantillons positifs] des tests par “accord en pourcentage positif” et la spécificité [identification correcte des échantillons négatifs] par “accord en pourcentage négatif”. Il s’agit de mesures relatives de la précision – c’est-à-dire comparées à d’autres tests – plutôt que d’une précision objective/absolue, et par conséquent, ce sont de piètres indicateurs en ce qui concerne la précision).

Ian Lipkin est l’une des nombreuses figures majeures du complexe biomédical Covid qui amorce la pompe du pipeline des anticorps. Il est directeur du Center for Infection and Immunity de l’Université de Columbia à New York. M. Lipkin est impliqué à haut niveau dans de nombreuses organisations mondiales, dont l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que dans des sociétés pharmaceutiques. (Et il est cité dans une “vérification des faits” d’un article de juillet 2020 que j’ai co-signé avec Patrick Corbett, intitulé “Nobody has died from the coronavirus” (Personne n’est mort du coronavirus). Lipkin déclare, entre autres, dans l’article de vérification des faits que “les théoriciens du complot ne sont pas persuadés par les données”.

M. Lipkin est co-auteur d’un article du 12 février 2021, dans lequel lui et son équipe affirment avoir identifié, grâce à une nouvelle technologie de micro-réseau de peptides (puce à antigènes) qu’ils ont inventée, 29 séquences d’acides aminés uniques au nouveau coronavirus. Ils affirment que des anticorps spécifiques aux séquences pourraient être créés – et que ceux-ci pourraient à leur tour être exploités “pour faciliter les diagnostics, l’épidémiologie et la vaccinologie” pour le Covid. (Le seul conflit que Lipkin et certains de ses co-auteurs révèlent dans le paragraphe “intérêts concurrents” à la fin de l’article est qu’ils ont inventé la technologie des micro-réseau de peptides décrite dans l’article).

Les anticorps utilisés pour traiter le covid sont-ils plus efficaces ?

Des anticorps sont également commercialisés pour traiter le covid. Certains sont vendus seuls (en monothérapie) et d’autres par paire. On considère qu’ils confèrent une “immunité passive”.

Les anticorps monoclonaux de type Regeneron, le casirivimab et l’imdevimab, comptent parmi les plus répandus pour le traitement des covidiens. Cette paire aurait été utilisée en octobre 2020 pour traiter le président américain de l’époque, Donald Trump. Le 21 novembre 2020, la FDA a accordé un EUA à ce combo. Il est également en cours d’examen pour approbation par Santé Canada.

J’aimerais me concentrer sur un anticorps monoclonal un peu moins connu appelé bamlanivimab. Il est utilisé à la fois seul et en tant que moitié d’une paire pour le traitement des patients présentant des symptômes du covid au début de la maladie. L’anticorps a été découvert, et son étude clinique a commencé, par l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (qui est dirigé par Anthony Fauci) et une société basée à Vancouver, en Colombie-Britannique, appelée AbCellera Diagnostics. L’anticorps est fabriqué et vendu par Eli Lilly. Il coûte plus de 1 200 dollars par flacon.

Voir aussi : Covid : quand l’ANSM danse le bambalaba avec Lilly

AbCellera est en train de développer un important réservoir d’autres anticorps. Ses capacités dans ce domaine ont été développées au cours des deux dernières années dans le cadre du programme de plate-forme de prévention des pandémies de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).

(AbCellera a également reçu des centaines de millions de dollars du gouvernement canadien, notamment pour la construction d’une usine de fabrication d’anticorps. Et Peter Thiel, qui a cofondé PayPal et Palantir, est membre du conseil d’administration. John Montalbano est également membre du conseil d’administration de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada et, jusqu’en 2015, il était le PDG de RBC [Banque Royale du Canada] Global Asset Management. Cette situation et une importante couverture médiatique positive ont contribué à propulser la société vers le plus grand appel public à l’épargne d’une société canadienne de biotechnologie à ce jour, le 11 décembre 2020).

Le bamlanivimab a reçu un EUA de la FDA le 9 novembre 2020, pour le traitement des covid léger à modéré. Et Santé Canada a donné une autorisation provisoire à la monothérapie le 17 novembre. Cependant, la pratique clinique au Canada n’est pas encore très avancée, peut-être en raison des résultats peu brillants des essais cliniques (voir ci-dessous).

Mais cela n’a pas dissuadé les gouvernements fédéraux canadien et américain, qui ont acheté ensemble près d’un demi-million de ces tests. Par exemple, tout récemment, le 26 février, le gouvernement américain a acheté 100 000 flacons.

La seule étude sur le bamlanivimab rendue publique avant l’approbation de la FDA le 9 novembre a été publiée le 1er octobre 2020 sur le site web de la revue en ligne bioRχiv. [Mes articles du 3 février 2021 et du 11 février 2021, respectivement sur les nouveaux variants et les documents de modélisation associés, indiquaient que la revue et sa publication sœur medRχiv ne contiennent que des articles non révisés par des pairs et ont été créés par une organisation dirigée par Mark Zuckerberg et son épouse].

L’étude a utilisé des singes rhésus et a fourni de très nombreux détails sur la façon dont l’anticorps a été découvert et examiné pour vérifier sa spécificité par rapport au nouveau coronavirus. Les chercheurs ont conclu que l’anticorps – connu à l’époque sous le nom de LY-CovV555 – a une “puissante activité neutralisante” contre le SARS-CoV-2.

Le 14 janvier, j’ai envoyé un courriel à l’auteur principal de cet article, Bryan Jones. Il est chercheur au sein du programme de recherche en biotechnologie de Lilly. J’ai demandé à Jones où se trouvait dans leur article la preuve que l’anticorps était spécifique au SARS-CoV-2 (et donc qu’il ne se liait pas à autre chose qu’au nouveau coronavirus ou en plus de celui-ci).

Il a répondu rapidement, comme suit :

Bien que nous ayons déterminé que LY-CoV555 est spécifique au SARS-CoV-2 (et ne se lie pas à la protéine de pointe du SARS-CoV), cela n’est spécifié ou détaillé dans aucune des figures ou tableaux [dans le document].

M. Jones m’a indiqué plusieurs parties de l’article et des documents complémentaires publiés avec celui-ci qui, selon lui, montrent, par extrapolation indirecte, que l’anticorps est spécifique au nouveau coronavirus.

Ce n’est pas vraiment convaincant.

Puis, le 22 décembre, une étude publiée dans le New England Journal of Medicine a mis en doute l’utilité du bamlanivimab chez les personnes hospitalisées après avoir reçu un diagnostic covid. L’article notait que fin octobre, l’étude avait été interrompue parce que l’anticorps n’aidait pas plus les patients que le placebo.

Mais cela n’a pas dissuadé Lilly. Le 21 janvier 2021, la société a publié un communiqué de presse concernant une étude sur le bamlanivimab chez les résidents et le personnel des maisons de retraite. Ils ont affirmé que leurs recherches ont montré que l’anticorps “réduisait significativement le risque de contracter un COVID-19 symptomatique”.

Cependant, ils n’ont pas fourni beaucoup d’informations à l’appui de leurs affirmations. L’étude n’a pas été publiée dans un journal ou présentée lors d’une réunion scientifique/médicale. Et il n’y a pas de précisions sur la date à laquelle elle sera publiée.

Malgré cela, le même matin où le communiqué a été envoyé par Lilly, des articles élogieux sont apparus dans les principaux médias, affirmant que l’étude montrait que le bamlanivimab semble réduire de manière significative les symptômes du covid chez les personnes âgées fragiles.

Par exemple, un article de Bloomberg a été publié à 8 heures du matin le 21 janvier avec le titre “Eli Lilly Antibody Cuts Covid-19 Risk Up to 80% in Nursing Home Study” (Les anticorps d’Eli Lilly réduisent le risque de Covid-19 jusqu’à 80% dans une étude sur les maisons de retraite). L’article a été repris dans de nombreux autres médias tels que le Globe & Mail.

L’article citait le directeur scientifique de Lilly, Daniel Skovronsky, qui disait :

Il s’agit d’une situation urgente. Si une épidémie se déclare dans les maisons de retraite et que les gens n’ont pas encore reçu le vaccin, cela pourrait être un moyen de les protéger avant qu’ils ne l’obtiennent.

Et le 21 janvier, un article du New York Times rédigé par la journaliste scientifique chevronnée Gina Kolata cite un expert en vaccins de l’hôpital pour enfants de Boston, Ofer Levy, qui n’était pas l’un des scientifiques impliqués dans l’étude :

Je ne vois ici que des points positifs. C’est une victoire.

Kolata a également rapporté que Lilly prévoit de demander à la FDA un EUA pour le bamlanivimab pour la prévention du Covid chez les personnes âgées fragiles, en se concentrant sur les personnes dans les maisons de retraite et les foyers de soins de longue durée.

En parallèle, Lilly envisage d’utiliser le bamlanivimab en combinaison avec un autre anticorps monoclonal appelé etesevimab. Une étude sur cette combinaison chez les personnes atteintes de covidémie légère ou modérée a été publiée le 21 janvier 2021. Les résultats indiquent qu’elle ne réduit pas les symptômes, mais seulement la charge virale des personnes.

Cela n’a pas dissuadé Lilly non plus ; les médias en parlent comme d’un résultat très positif. Et la FDA aussi : le 9 février, l’agence a publié un EUA pour la combinaison des deux anticorps pour le traitement du COVID léger ou modéré.

Le 16 février, un article publié ce jour-là sur bioRχiv indiquait que le bamlanivimab ne neutralisait pas les variantes sud-africaine et brésilienne du nouveau coronavirus.

Je laisse le dernier mot à Scott Adams

Le créateur de bandes dessinées Dilbert Scott Adams fait cette observation à la page 13 de son livre Loserthink :

Une chose que je peux dire avec certitude, c’est que c’est une mauvaise idée de faire confiance à la majorité des experts dans tout domaine impliquant à la fois une certaine complexité et de grosses sommes d’argent.

Cela résume parfaitement la situation en ce qui concerne les anticorps du nouveau coronavirus.

Méfiez-vous, suivez l’argent et restez à l’écoute.

Mise à jour du 5 mars 2021

Le 22 février 2021, la FDA américaine a publié une nouvelle directive stipulant que les vaccins n’auront pas besoin de tests supplémentaires avant d’être approuvés pour être utilisés contre les nouvelles variantes – au lieu de cela, le gouvernement s’appuiera sur des tests d’anticorps pour déterminer qui a besoin d’un de ces “rappels”. Le 4 mars 2021, les gouvernements du Canada, du Royaume-Uni, de l’Australie, de Singapour et de la Suisse ont suivi le mouvement. Cela montre pourquoi la fraude concernant les anticorps est un élément clé de l’histoire du Covid. Je publierai dès que possible une vidéo et un article complémentaires à ce sujet.

Source : https://off-guardian.org/2021/03/06/the-antibody-deception/
Traduction par https://cv19.fr




L’Académie de médecine brûle le Code de Nuremberg !

[Source : Olivier Demeulenaere]

Dans un communiqué de presse publié aujourd’hui, l’Académie nationale de médecine se prononce pour la vaccination obligatoire des soignants contre le défunt Covid-19… Foulant aux pieds l’éthique qu’ils prétendent défendre, ces charlatans déclarent la guerre aux Français !

« La vaccination des soignants contre la Covid-19 doit devenir obligatoire »

« Avant même que les premiers candidats vaccins aient atteint la phase 3 des essais cliniques de développement, l’idée de rendre obligatoire la vaccination contre le SARS-CoV-2 était débattue comme la seule possibilité de surmonter l’hésitation vaccinale et d’atteindre rapidement une immunité collective efficace contre la pandémie de Covid-19.

Face à un risque infectieux majeur menaçant la collectivité et contre lequel on dispose de vaccins efficaces, le principe d’une obligation vaccinale doit être envisagé, en particulier pour certaines catégories professionnelles et même si la disponibilité des vaccins est encore actuellement limitée.

L’Académie nationale de médecine s’est prononcée à plusieurs reprises pour le maintien de ce principe quand la vaccination s’impose comme le seul moyen d’assurer une réelle protection de la population, notamment dans les collectivités (crèches, écoles, établissements d’hébergement), pour les professions exposées, les voyageurs, les migrants, et lors des épidémies [1]. La pandémie de Covid-19, qui représente la crise sanitaire et économique la plus grave depuis la seconde guerre mondiale, réunit tous les critères pour l’instauration d’une vaccination obligatoire.

La population des soignants est à l’origine de 34% des cas groupés d’infections nosocomiales à SARS-CoV-2 [2]. Pour cette raison, la vaccination contre la Covid-19 est immédiatement accessible pour les professionnels de santé. Afin de protéger leur santé et celle des patients dont ils ont la charge, ils constituent une catégorie légitimement prioritaire dans l’accès au vaccin.

Pourtant, en dépit de cette facilité, les taux de couverture vaccinale chez les médecins, les infirmières, les aides-soignants et les professionnels exerçant dans les EHPADs restent notoirement insuffisants, comparables à ceux relevés contre la grippe [3].

Dans la situation épidémiologique actuelle qui reflète un équilibre instable entre les mesures de restriction, la progression des variants du SARS-CoV-2 et l’extension progressive de la couverture vaccinale, la vaccination de masse représente le principal levier d’action contre la Covid-19. La vaccination systématique des professionnels de la santé, devenue prioritaire, ne saurait être considérée comme facultative.

Considérant que l’hésitation vaccinale est éthiquement inacceptable chez les soignants, l’Académie nationale de médecine recommande de rendre obligatoire la vaccination contre la Covid-19 pour tous les professionnels de santé exerçant dans le secteur public ou libéral, dans les établissements de santé et dans les EHPADs, ainsi que pour les auxiliaires de vie pour personnes âgées ».

Académie nationale de médecine, le 9 mars 2021

(Merci à Eric)


[1] Communiqué de l’Académie nationale de médecine « Obligation vaccinale : protéger sans contraindre, c’est possible », 19 janvier 2016

[2] Santé Publique France. Covid-19, point épidémiologique hebdomadaire, 18 février 2021

[3] Communiqué de l’Académie nationale « Vacciner tous les soignants contre la grippe : une évidente obligation», 19 septembre 2020

Rappels :

Imposer un vaccin expérimental est un comportement nazi

Vaccin et pandémie – Le bon sens du professeur Rancourt




Ce que cache le test PCR ?

[Source : PLANETES360]

[NdNM : les mouvements attribués dans la vidéo à des nanoparticules sur l’écouvillon du test PCR pourraient s’expliquer autrement par le souffle de l’expérimentateur ou encore par le jeu de forces électrostatiques. Cependant, il existe bien des technologies de nanoparticules implantables dans l’organisme. Voir :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins;
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies;
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?;
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration;
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains;
Des micro-robots injectables dans le sang ont déjà été produits.

Sur le test PCR et l’écouvillon, voir aussi :
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin.

Est-ce que ce que transmet le Dr Buttar est crédible ? À chacun d’en juger.]




COVID : avec une première class action, les nuages s’accumulent sur la tête de nos élites

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Hervé Coulaud

Début d’une class action, une première en France, visant le gouvernement et les ARS dans leur gestion de la première vague de la Covid-19. Cette procédure est destinée à recevoir des réponses sur le peu d’efficacité dans la conduite de l’action gouvernementale. Une class action permet à un groupe de citoyens et d’associations de se regrouper pour faire poids afin de mener une action en justice. L’action collective qui a sollicité l’audience de ce mercredi 3 mars 2021, au tribunal de grande instance de Paris, est la première du genre en France sur le thème du Covid-19.

Les Français ont connu successivement le manque de masques, puis le manque de tests, puis la pénurie des doses de vaccin. Ce fiasco résulte des hésitations et des déficits dans la gestion logistique de la crise par Macron, Buzyn, Véran et consorts qui risquent désormais ce qu’ils ont depuis des mois essayé d’éviter à tout prix, l’évocation devant les tribunaux de leurs attaques contre le bien-être des citoyens et les libertés fondamentales de notre République.

Un ensemble de mesures idiotes ou prises à contre-temps qui a conduit à la décrédibilisation de la fonction politique, et qui scelle par le credo du « quoi qu’il en coûte » l’abaissement de la France dans le classement mondial des puissances.

Qui est à l’origine de cette action ?

Comme l’évoque le journal « Le Parisien », une soixantaine de personnes morales et civiles se sont lancées dans cette class action – ses instigateurs évoquent même le nombre de 600 en comptant chaque membre des cinq associations représentées, comme Handi-Social, l’AR2S et l’UPGPS.

Les personnes civiles sont des proches de résidents d’Ehpad et de foyers pour personnes handicapées. Au total, 23.518 personnes ont apporté leur contribution sur le site « N’oublions rien » créé pour l’occasion, afin d’assurer notamment les frais de justice. Pour le moment, cette action collective se concentre sur la première vague, jusqu’au 30 juin 2020, « mais on prévoit évidemment d’étendre nos requêtes », fait savoir la dirigeante Sabrina Deliry.

Signe du malaise l’audience débute par la tentative de l’avocat de l’ARS Ile de France d’obtenir un énième renvoi d’audience

Pourtant la présence de nombreux médias révèle que la presse a senti qu’un vrai désir de transparence était bien présent dans l’opinion publique.

En effet on reste coi face au mensonge et la manipulation permanente des chiffres annoncés dans les média mainstream jusqu’alors, multipliés par 3 aux dires de certains professionnels de santé au plus près du terrain qui constatent au quotidien qu’ils ne sont pas le reflet de la réalité qu’ils vivent jour après jour dans les hôpitaux.

Maître Lèguevaques ainsi que les personnes ayant participé à cette “class action » ont pu rappeler la raison de cette assignation. Il demande comment, alors que le gouvernement avait prétendu réquisitionner tous les masques, des millions sont soudainement arrivés dans la grande distribution afin d’être vendus massivement ? Pourquoi, si les stocks étaient constitués pendant le confinement, n’ont-ils pas été réquisitionnés ?

Concernant le tri des malades, l’ARS Ile-de-France a-t-elle donné une échelle de sélection pour aider le personnel de santé à choisir entre soigner et laisser mourir, faute de moyens et selon des critères morbides ?

Les familles veulent également demander des preuves à certains organismes quant à leur transparence dans la gestion de la crise qui a été particulièrement mortelle dans les Ehpad

Car beaucoup de questions subsistent quant à la gestion de la crise dans les maisons de retraite. Sabrina Deliry explique à « France 3 Paris IDF » :

« Résultat : le 9 mars, ils ont confiné totalement les EHPAD, et ont interdit totalement les visites. Donc les familles étaient interdites, mais en parallèle le personnel ne portait pas de masques. C’est quoi cette hypocrisie ? »

L’action des plaignants se concentre sur trois points principaux :

  1. Comprendre la pénurie de masques au début de la crise. La démarche a notamment pour but d’obtenir la date exacte de l’arrivée sur le territoire national de masques achetés par les enseignes Carrefour et Leclerc.
  2. Lever le doute sur des soupçons de « choix thérapeutique » et de « tri des malades » sur des critères discriminatoires comme celui de l’âge.
  3. Faire la lumière sur des suspicions d’euthanasie.

Aucun argument, aucun élément sur le fond n’a été fourni par la défense

Pendant deux heures les avocats se sont surpassés pour exceller dans le jargon technique, technocrate et juridique afin de ne jamais discuter du fond et des choses qui étaient demandées.

Pendant deux heures, tout a été fait pour perdre le tribunal et l’auditoire dans une rhétorique pseudo argumentée et ainsi ne jamais réellement discuter d’éléments précis.

Pendant deux heures, tous les vices de procédures, même mineurs, ont été mentionnés pour noyer les poissons.

Enfin le président annonça la fin de l’audience dès qu’on commença à parler d’éléments concrets, sans doute certaines personnes ne se sentant plus réellement à l’aise ?

Les parties ont choisi une procédure civile qui a pour but de rassembler des preuves en obtenant la publication de documents et d’informations ou en sollicitant des expertises en vue d’éventuelles poursuites.

Toutes les institutions qui ont été visées lors de l’audience, dont l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France, la Ville de Paris, les douanes ou les groupes Carrefour et Leclerc, ont plaidé l’irrecevabilité de ce référé.

Rendez-vous le 9 juin donc, pour la décision. La justice se hâte lentement. Aura-t-on enfin des éléments factuels pour comprendre cette crise sanitaire ? Impossible à ce jour de le dire.

Une première étape pour quoi faire ?

L’objectif est d’obtenir des preuves matérielles permettant aux familles et associations de rassembler des preuves matérielles afin de constituer des dossiers. Une fois que les familles auront ces documents, quand il y aura des fautes et des responsabilités démontrées, chacun Français concerné sera libre d’assigner en justice jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, sans se faire écraser par des lobbys hyperpuissants comme ceux des Ehpad.

La question du dédommagement n’intervient pas à cette étape de l’action. Quand un proche est décédé est qu’on vous cache des choses, la colère ne s’apaise pas. Or jusqu’à aujourd’hui les arrêtés qui emprisonnent nos aînés dans les EPHAD ont eu pour effet de priver les gens d’adieux à leurs parents. Le temps est venu désormais d’apaiser cette colère et d’identifier les fautes pour ne pas qu’elles se reproduisent à l’avenir.

Comme le fait remarquer le journal Sud-Ouest, plusieurs procédures ont été engagées contre des ministres devant la Cour de justice de la République (CJR), seule instance habilitée à les juger dans l’exercice de leurs fonctions, notamment pour «abstention de combattre un sinistre».

Par ailleurs, 365 plaintes visant des responsables de l’administration ont été déposées depuis le 24 mars au pôle santé publique du tribunal de Paris et dans le cadre de la gestion de la crise de la Covid-19, le parquet de Paris a ouvert quatre informations judiciaires…à suivre !




Un pas de plus au Canada vers l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial — Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

Tel qu’annoncé par le consultant Jean-Claude Larochelle, le 22 février 2021, la députée Julie Dzerowicz a présenté le Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien visant à instaurer un revenu de base national garanti.(([1] Jean-Claude Larochelle : « Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien pour un revenu de base universel ». Bourse technique, 7 mars 2021.)) Comme il est expliqué sur la plateforme UBI Works, c’est la première étape pour le gouvernement canadien afin de créer un revenu de base national en répondant à des questions importantes sur la meilleure façon de le mettre en place et de l’appliquer partout au Canada.

Le Projet de loi C-273 prévoit que la ministre des Finances Chrystia Freeland crée une stratégie nationale pour un revenu de base garanti, en incluant des partenariats potentiels avec les provinces, afin de déterminer la meilleure façon de structurer et de mettre en œuvre un revenu de base. Le projet de loi prévoit de soutenir des recherches spécifiques sur le revenu de base afin de déterminer comment il affecterait l’efficacité du gouvernement, comment il pourrait encourager l’esprit d’entreprise, la création d’emplois et les initiatives civiques dans une nouvelle économie, et comment il impacterait les Canadiens et nos communautés. Le projet de loi prévoit également un ensemble de normes nationales pour guider la conception et la mise en œuvre du revenu de base à travers le Canada.(([2] Chambre des communes du Canada : « Projet de loi C-273 – Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti ». Deuxième session, quarante-troisième législature, 69-70 Elizabeth II, 2020-2021. Première lecture le 22 février 2021. [PDF]))

Julie Dzerowicz s’exprime ainsi dans un communiqué de presse en date du 23 février :

« Le monde du travail est en constante évolution, nombre d’entre eux passant à l’économie des petits boulots de contrats temporaires et à court terme; et d’autres étant touchés par l’effet de l’automatisation et de l’Intelligence Artificielle. Il est important pour notre système de protection sociale de mieux refléter les besoins des Canadiens d’aujourd’hui et de demain et d’être beaucoup plus flexible dans la gestion des changements, des interruptions et des transitions de main-d’œuvre. (…) Alors que le Canada traverse cette pandémie, il planifie le post-COVID avec l’intention de dépenser 70 à 100 milliards de dollars sur trois ans pour relancer l’économie canadienne. C’est le moment idéal pour résoudre les problèmes structurels, tester des idées novatrices et mieux reconstruire nos fondements économiques et sociaux. »

(([3] Jessie Cooke : « La députée Julie Dzerowicz présente le projet de loi d’initiative parlementaire C-273 – Loi instituant une stratégie pour un revenu de base garanti ». Bureau de la députée Julie Dzerowicz, Toronto, 23 février 2021. Courriel: julie.dzerowicz.a2@parl.gc.ca | Tél.: 416-525-1949.))

Le terme revenu de base garanti est parfois utilisé de manière interchangeable avec un revenu vital garanti ou un revenu annuel garanti pour désigner un programme d’assistance sociale conçu pour aider les plus bas revenus de la société à vivre au-dessus du seuil de pauvreté en s’assurant qu’ils ont suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de base de la vie comme la nourriture, les vêtements et le logement. Le revenu de base universel est un autre terme utilisé par ses défenseurs. Ce terme est synonyme de « démogrant », qui englobe un modèle où tout le monde est éligible à un chèque.

La députée libérale Annie Koutrakis a déclaré que s’il y avait quelque chose à apprendre de la pandémie COVID-19, c’est qu’il fallait un programme de revenu de base.(([4] Zi-Ann Lum : « Liberal MP Says Some Cabinet Ministers ‘Very Supportive’ Of Basic Income ». HuffPost, February 25, 2021.))

Le revenu de base est une idée utopique qui remonte à 500 ans et qui a toujours été promue par des Socialistes et des Fabiens de la première heure tels que Charles FourierJohn Stuart MillBertrand RussellGeorge D.H. ColeJames MeadeJames Tobin et John Kenneth Galbraith. Elle est fondée sur l’idée que donner de l’argent à ceux qui vivent dans la pauvreté serait un moyen plus efficace de prévenir le crime qu’en punissant des individus. Floyd Marinescu est le fondateur de UBI Works, un groupe à but non lucratif qui préconise le soutien d’un revenu de base universel. Rejoignant la conférence de presse de Dzerowicz, il a déclaré : 

« Chaque crise est une tendance accélérée. Et ce que COVID nous a montré, en accéléré, aurait pu prendre de cinq à dix ans en termes d’impacts des progrès technologiques sur le marché du travail — ce qui profite à certains, mais en nuit à beaucoup d’autres. »



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L’auteur de la chaîne Grand Angle, Richard Détente, écrit : 

« Le déclin des pays de l’Occident​ n’est plus à démontrer. Les États-Unis​ et l’Europe​ sont des économies appauvries dont les systèmes politiques sont régulièrement mis à mal par les élans démocratiques des peuples. Les élites d’en haut sont en recherche active de nouvelles stratégies destinées à ré-établir une vision progressiste et solide digne de concurrencer la Chine. » 

(([5] Richard Détente : « Great Reset & Théorie monétaire moderne | Moins de liberté contre un revenu universel ? ». Grand Angle, Youtube, 7 décembre 2020.))

Le soutien au revenu de base a pris un nouvel élan pendant la pandémie avec le déploiement par le gouvernement fédéral de l’Allocation canadienne d’intervention d’urgence (CERB) de 2000 $ par mois comme moyen de fournir de l’argent aux Canadiens dont les moyens de subsistance ont soudainement été touchés par le COVID-19. Ce programme, qui a été exécuté à la fois par l’Agence du revenu du Canada et le système d’assurance-emploi, a versé 81,6 milliards de dollars à 8,9 millions de personnes entre le 15 mars et le 3 octobre, selon les données gouvernementales.

Liliane Held-Khawam écrivait le 3 septembre 2019 sur son site internet : 

« Les néolibéraux d’hier et d’aujourd’hui prônent d’une seule et même voix le revenu universel. Après les taux négatifs confiscatoires, il s’agit donc d’une nouvelle étape du concept néolibéral. Probablement l’ultime avant le reset global. Avant de vous réjouir trop de cette supposée manne, dites-vous bien que quelqu’un va payer cette masse financière. Il s’agira très certainement de nouveaux gages que votre gouvernement et/ou des dirigeants de votre collectivité territoriale vont offrir contre cette création monétaire. A moins qu’il ne s’agisse tout bêtement de la redistribution de votre épargne (y compris assurances-vie, retraites, etc.). Dans tous les cas, la Dépossession entre dans sa dernière phase. »

(([6] Liliane Held-Khawam : « Revenu universel, dernière phase avant le reset global ? Vincent Held ». Publié le 3 septembre 2019.))

L’auteure et économiste écrivait plus récemment :

« A l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale. »

« Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national. Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents “officiels” émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation. Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr. »

« Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods. »

(([7] Liliane Held-Khawam : « Un passeport vert pour un Etat mondial numérisé ». Publié le 5 mars 2021.))

La dernière lubie des ultra-riches, réunis à Davos, est le “Great Reset”, la « grande réinitialisation ». Derrière les démonstrations d’amitié habituelles, c’est un programme mondial pour surveiller et contrôler le monde grâce à la surveillance numérique. Klaus Schwab a annoncé le Great Reset en juin 2020. Selon le journaliste William Kergroach, cela consistera à nous dépouiller de tous nos actifs privés. Le Great Reset propose une identification électronique liée à votre compte bancaire et à vos dossiers de santé, qui finira, tout simplement, par vous dicter votre vie. Mais ils préfèrent nous dire qu’il faut se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise. Il faut les remplacer par du « développement durable » et du « capitalisme des parties prenantes », où l’entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de ses employés autant que de ses clients.

« La réinitialisation affectera tout, du gouvernement, de l’énergie et des finances à l’alimentation, à la médecine, à l’immobilier, à la police, et même aux interactions entre individus. La protection de la vie privée, bien sûr, est un obstacle majeur dans ce plan. C’est pourquoi ils font tout pour nous amener à renoncer à notre vie privée. Le transhumanisme, qui nous “améliorera” avec des machines, permettra également d’orienter nos pensées. Les mondialistes ont déclenché la pandémie covid-19 pour passer outre les oppositions et nous imposer ces réformes. » 

(([8] William Kergroach : « Leur “Great Reset”, c’est quoi ? ». Riposte Laïque, 16 décembre 2020.))

La dissidence est impensable et la soumission à ce système sera obligatoire. Les Chinois expérimentent déjà ce système. On punit, là-bas, un “mauvais” citoyen en bloquant ses accès à certains endroits ou en bloquant son compte bancaire. Dans un article daté du 12 décembre 2020, William Kergroach va jusqu’à écrire : 

« Plutôt que de mettre en place un revenu minimum garanti pour des masses désœuvrées, les élites mondialistes ont décidé de faire diminuer la population mondiale. La covid n’est que le début d’une guerre bactériologique engagée contre l’humanité. On s’attaque aujourd’hui aux plus âgés, demain, on attaquera dans la masse. Pourquoi ? Parce que les ressources de la planète diminuent, parce que l’on aura de moins en moins de travail à donner aux masses, parce que cela coûte cher et que l’alternative consisterait à ce que les plus riches partagent leurs richesses. »

(([9] William Kergroach : « L’avenir est au chômage mondial, sauf si on diminue la population… ». Riposte Laïque, 12 décembre 2020.))

J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma « méritocratique ».

L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total.


Projet de loi C-273 — Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

SOMMAIRE

Le texte prévoit l’obligation pour le ministre des Finances d’établir une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans le cadre de la stratégie du Canada en matière d’innovation et de croissance économique. Il prévoit aussi l’obligation de faire rapport relativement à cette stratégie.

2e session, 43e législature,
69-70 Elizabeth II, 2020-2021

CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

PROJET DE LOI C-273

Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

Préambule

Attendu :

que tous les Canadiens ont le droit de voir leurs besoins essentiels satisfaits, de participer pleinement à la société et de vivre dans la dignité, quel que soit leur statut d’emploi;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à promouvoir ces droits, notamment en réduisant les inégalités de revenu et autres disparités dans les collectivités partout au pays;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à appuyer la main-d’œuvre du 21e siècle grâce à des structures de prestation de programmes et de services qui répondent mieux aux perturbations touchant la main-d’œuvre, ainsi qu’à un système d’aide sociale souple et adaptable;

que le gouvernement du Canada est déterminé à veiller à ce que le système d’aide sociale réponde aux besoins actuels et futurs des Canadiens et à rééquilibrer ses structures de prestation de programmes et de services afin d’optimiser la capacité des Canadiens à innover;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait accroître la capacité de croissance de l’économie et améliorer sa productivité;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait permettre à de nombreux Canadiens d’échapper à la pauvreté et leur offrirait la stabilité dont ils ont besoin pour accéder à des programmes d’études, obtenir des occasions d’emploi et réaliser leur plein potentiel,

Sa Majesté, sur l’avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte :

Titre abrégé

Titre abrégé

1 Loi sur la stratégie nationale sur le revenu de base garanti.

Définition

Définition de ministre

2 Dans la présente loi, ministre s’entend du ministre des Finances.

Stratégie nationale

Établissement de la stratégie

3 (1) Le ministre établit une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti au Canada.

Consultation

(2) Pour établir la stratégie, le ministre consulte le ministre de l’Emploi et du Développement social, le ministre de l’Industrie, les représentants des gouvernements provinciaux responsables de l’emploi et du développement social, les chefs des collectivités et des gouvernements autochtones, les représentants des administrations municipales, des experts en matière de projets pilotes sur le revenu de base garanti, des universitaires et des intervenants clés, y compris des représentants d’organisations qui œuvrent dans les domaines du travail et de l’emploi et de l’entrepreneuriat et de l’innovation.

Contenu

(3) La stratégie comprend des mesures visant :

a) à lancer un projet pilote dans une ou plusieurs provinces afin de mettre à l’essai divers modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti;

b) à créer un cadre de normes nationales pour guider la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans toute province;

c) à appuyer les programmes de recherche qui généreront des données pour guider la conception et la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans chaque province, notamment par voie de collaboration avec des organisations et des institutions internationales qui possèdent de l’expérience en la matière;

d) à recueillir et à analyser des données afin d’évaluer, pour chaque modèle mis à l’essai, les éléments suivants :

(i) l’effet sur l’administration publique, notamment en ce qui concerne l’efficacité, la souplesse, le coût, la pérennité et la capacité d’adaptation des modèles de prestation de programmes et de services, de même que le potentiel d’un programme de revenu de base garanti pour ce qui est de réduire la complexité des programmes sociaux existants ou de les remplacer, de faire reculer la pauvreté et de soutenir la croissance économique,

(ii) l’effet sur les bénéficiaires et leur famille, notamment en ce qui concerne leur qualité de vie, leur santé physique et mentale, leur recours aux services de santé, de même qu’en ce qui concerne la stabilité du logement, le niveau de vie, l’alimentation, l’épargne, l’éducation, les relations sociales et la participation au marché du travail,

(iii) les bienfaits, directs ou indirects, pour le milieu de vie des bénéficiaires, notamment en ce qui concerne l’entrepreneuriat, la création d’emplois et l’action citoyenne;

e) à développer des paramètres permettant de mesurer les effets et bienfaits mentionnés aux sous-alinéas d)‍(i) à (iii).

Accords fédéro-provinciaux

4 Avec l’agrément du gouverneur en conseil, le ministre peut conclure avec le gouvernement d’une province un accord sur la collecte, l’analyse et l’échange de données dans le but de déterminer la meilleure manière de structurer et de mettre en œuvre un programme de revenu de base garanti dans la province.

Rapports au Parlement

Dépôt de la stratégie nationale

5 (1) Dans les deux ans suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le ministre établit un rapport énonçant la stratégie nationale et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.

Publication

(2) Le ministre publie le rapport sur le site Web du ministère des Finances dans les dix jours suivant la date de son dépôt devant les deux chambres du Parlement.

Rapport

6 Dans les deux ans suivant la date du dépôt du rapport visé à l’article 5 devant les deux chambres du Parlement, le ministre établit, en consultation avec les parties mentionnées au paragraphe 3(2), un rapport faisant état des résultats de la mise en œuvre de la stratégie nationale dans chaque province et énonçant ses conclusions et recommandations, et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.



RÉFÉRENCES :



INTOX : l’AFP ment et nie que les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Décodons les décodeurs de l’info qui nous trompent

Dans ce qui est présenté comme une désinfox, terme favori des médias au service du gouvernement, l’AFP prétend que l’utilisation actuelle des vaccins anti covid19 ne serait pas expérimentale et qu’elle serait conforme au code de Nuremberg. Ces deux affirmations sont mensongères !

Les vaccins anticovid19 actuels sont expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires et des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques.

Actuellement aucun des vaccins anticovid19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité et ils sont donc expérimentaux. Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 3(([1] Les candidats vaccins qui semblent suffisamment efficaces après les essais animaliers et les essais humains phase1 et2 poursuivent leur développement en phase III. A ce stade, le nouveau vaccin est comparé à l’absence de vaccin. Les personnes reçoivent, de façon aléatoire, soit un placebo supposé inerte, soit le vaccin en cours d’évaluation afin de mesurer son efficacité et sa toxicité.)) terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinical trials.gov à https://clinicaltrials.gov/ct2/home).

Ces vaccins expérimentaux ont été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de dégâts.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

La différence avec les essais habituels est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes.

Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques officiels. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués, ni publiés obligatoirement contrairement aux essais traditionnels.

Il est certes admis par la Convention d’Helsinki(([2] L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables. La Déclaration est conçue comme un tout indissociable. Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Conformément au mandat de l’AMM, cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins.)) (([3] https://www.espace-ethique.org/ressources/charte-declaration-position/declaration-dhelsinki)), que faute d’interventions avérées, le médecin peut recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie — dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable — ou préserver la santé du patient. Les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées en France(([4] Il y a 3 jours une de nos vidéos a été supprimée de You Tube alors qu’elle ne faisait état que d’informations vérifiées et accessibles ; et mon épouse fait l’objet d’une plainte par le conseil de l’ordre parce qu’elle ne répétait pas la propagande de l’état. C’est le cas de nombreuses vidéos de lanceurs d’alerte, du site Reinfocovid en particulier)), empêchant tout débat démocratique et leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’EHPAD en France et à l’étranger. Pour tenter d’en savoir plus, beaucoup d’entre nous tentent d’explorer les bases de données officielles, mais c’est un parcours du combattant (décès classés par maladie, par tranche d’âges, etc.)[5] http://www.adrreports.eu/fr/index.html et ne tient compte que des cas déclarés volontairement puisque les vaccinés hors essai calibré surveillé sont « bénévoles » et non soumis à surveillance stricte.

Un vaccin expérimental injecté sans consentement éclairé reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison.

« C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis, eux aussi scientifiques, ont pratiqué de très nombreux essais sur les vaccins :

vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes).

Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller.

Vaccins contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald.

Comment un universitaire spécialiste de l’éthique peut-il avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense :

« dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. »

Mais L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort ou emprisonnement.

Depuis mars 2020, nous sommes, paraît-il, en état de guerre selon le chef de l’état, dans un état de plus en plus totalitaire et la défense des médecins vaccinateurs sans consentement éclairé du citoyen n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier.

Dans les EHPADs, le consentement n’est pas toujours libre et éclairé

Or, dans les EHPADs, le consentement éclairé n’est manifestement pas la règle absolue, d’autant que se précise le chantage d’autorisation de sortie liée à la vaccination totalement incompatible avec un consentement libre que définit ainsi la déclaration d’Helsinki :

« Pour être valide, votre consentement doit être libre et éclairé. Il doit donc être obtenu sans aucune forme de pression ou de menace. Cela signifie également que vous avez reçu toute l’information nécessaire pour prendre vos décisions et qu’il vous a été possible de poser vos questions avant que les soins soient prodigués. Les renseignements doivent vous être fournis dans un langage simple et compréhensible. »

Et encore : 

« lorsqu’il sollicite le consentement éclairé d’une personne pour sa participation à une recherche, le médecin doit être particulièrement attentif lorsque cette dernière est dans une relation de dépendance avec lui ou pourrait donner son consentement sous la contrainte. »

Et certains réclament une obligation vaccinale en commençant par les soignants !

Les soignants sont globalement mieux informés que la population.

Ils ont appris avec inquiétude les effets secondaires éprouvés par leurs collègues des hôpitaux bretons qui ont eu le douteux privilège d’être les premiers vaccinés et dont 25% à 40% ont été contraints d’arrêter de travailler avec retenue de salaire, car une journée de carence leur a été prélevée sur leur salaire et suppression de la prime.

Ils ont de plus eu connaissance des résultats paradoxaux des pays champions de la vaccination qui d’après les courbes de l’OMS ont partout subi de fortes augmentations (parfois transitoires) des contaminations (incidence journalière multipliée par 2 à 4) et de la mortalité.

Leur préjugé favorable à la vaccination s’est ainsi transformé, pour plus de 60 % d’entre eux, en refus éclairé d’un vaccin expérimental.

Le covid19, prétexte de lois sociales régressives ne doit pas nous faire oublier les leçons d’éthique de la dernière guerre mondiale et vouloir par peur imposer une vaccination et se comporter comme certains médecins nazis.

Oui la comparaison est juste avec la médecine nazie, et Alain Jocaerd, Xavier Bioy et l’AFP se sont trompés ou ont menti !





Me Clarisse Sand — « Il n’existe aucun document rendant compte des travaux du Comité scientifique »

[Source : Sud Radio]




Imposer un vaccin expérimental est un comportement nazi

Par Dr Gérard Delépine

[Voir aussi sur Riposte laïque]

Aucun essai thérapeutique ne doit être proposé sans le consentement libre et éclairé du cobaye. Cette règle fondamentale d’éthique de la recherche, affirmée lors du procès des médecins nazis à Nuremberg et reprise par la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale est totalement bafouée lorsqu’on prône une obligation vaccinale anti-Covid aux soignants.

Mais certains médecins des plateaux télé qui ne précisent jamais leurs liens d’intérêts avec l’industrie, et même le représentant d’un syndicat d’infirmières n’hésitent pourtant pas à en faire la promotion dans les médias !

Violation du Code de Nuremberg

Les vaccins sont expérimentaux. Une obligation vaccinale violerait le Code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki.

Les résultats définitifs du vaccin le plus avancé sont promis pour 2023. Les résultats des vaccins anti- covid n’ayant été ni établis, ni publiés leur utilisation constitue un essai thérapeutique.

Or le Code de Nuremberg(([1] Le Code de Nuremberg – rédigé en 1947 est une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 – août 1947). Ces critères indiquent les conditions que doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables »
http://www.frqsc.gouv.qc.ca/documents/10191/186011/Code_Nuremberg_1947.pdf/d29861b8-30a7-456e-9a83-508f14f4e6d5)) identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains.

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience. »

Imposer un vaccin expérimental à des soignants viole donc le Code de Nuremberg

Violation de la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale

L’Association médicale mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki(([2] Déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale 
https://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf)) comme l’énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants : ” la santé de mon patient sera mon premier souci ” et le Code international d’éthique médicale énonce que “le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale”.

Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Tout médecin qui injecterait un vaccin expérimental à des soignants pour protéger autrui violerait donc aussi les principes éthiques de la médecine.

On ignore totalement les risques des vaccins anti-covid

Actuellement la durée moyenne de surveillance des participants à l’essai est  inférieure à six mois alors que les plus graves complications (dont les narcolepsies) des vaccins anti-grippe H1N1 sont apparus majoritairement après cette date.

Les quelques données que les laboratoires ont présentées(([3] Fernando P. Polack et all Innocuité et efficacité du vaccin à ARNm BNT162b2 Covid-19)) concernant la tolérance des vaccins avec 2 mois de recul (27 % d’événements indésirables) ne signalent que des de réactions transitoires sans conséquences, des maux de tête, de la fatigue, de la fièvre, des lymphadénopathies et ne mentionnent pas qu’ils sont susceptibles de nécessiter des arrêts de travail.

Or dans de nombreux hôpitaux français(([4] La presse de la Manche Covid-19. Dans la Manche, des soignants malades après l’injection du vaccin Astra Zeneca 11 février 2021)) (([5] La dépêche Covid-19 : des soignants bretons victimes de nombreux effets secondaires après le vaccin Astra Zeneca 12 février 2021)) (([6] BFM Covid-19 : face aux effets secondaires, le vaccin Astra Zeneca très critiqué par les soignants 17/2/2021)) la vaccination des soignants a été suivie de très nombreux arrêts de travail aboutissant à désorganiser les équipes soignantes.

Pour éviter de trop perturber le fonctionnement des services, l’Agence du médicament a lancé une alerte et recommandé de vacciner « de façon échelonnée le personnel d’un même service ». Si besoin, elle appelle aussi à utiliser du paracétamol “à la dose la plus faible et le moins longtemps possible” contre ces effets secondaires.

La fréquence de ces effets secondaires, le manque d’information préalable à la vaccination et leurs conséquences ont rendu les soignants méfiants. Mais pas leur représentant syndical pour lequel, si j’étais adhérent de ce syndicat, je me poserais des questions sur les motivations de ce syndicaliste censé me représenter.

Vacciner les soignants ne protègerait pas les soignés

En effet les vaccins paraissent actuellement incapables d’empêcher la transmission de la maladie.

L’évolution précoce de l’épidémie après vaccination dans les 3 pays champions mondiaux de la vaccination (Israël, en Grande-Bretagne, Émirats arabes unis) suggère même que la vaccination pourrait faciliter (au moins transitoirement) les contaminations.

En Israël :

En Grande-Bretagne :

Aux Émirats arabes unis :

Bien sûr, cette corrélation entre vaccination et augmentation des cas n’est que temporelle, le lien de causalité directe ne pouvant pas être affirmé pour l’instant. Mais l’évolution semblable et simultanée des 3 pays les plus vaccinés constitue un signal d’alerte fort.

Mais que vient faire le syndicat des infirmiers dans cette galère de propagande vaccinale inappropriée ?

Violer le Code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki, bases de l’éthique médicale et de la recherche médicale pour un espoir hypothétique de protéger autrui alors que rien ne permet actuellement de l’espérer constitue une faute morale majeure.

Comment un syndicat de soignants, censés les défendre, a-t-il pu accepter de faire de la propagande pour une mesure contraire aux intérêts de ceux qu’il prétend représenter ? Estime-t-il que ses adhérents seraient incapables d’évaluer la balance avantages/risques des vaccins ? Du fait de leur métier, ils sont parmi les mieux informés et leur réticence à se faire vacciner ne reflète que les incertitudes qui pèsent sur des produits mis trop vite sur le marché.

Comment ses rédacteurs ont-ils été si mal renseignés ?

Si le représentant de ce syndicat ne corrige pas rapidement son erreur en rappelant les bases éthiques de la médecine et de la recherche, il montrera qu’il n’a agi que comme allié du gouvernement et militant des firmes pharmaceutiques.

Gérard Delépine 





Mike Stone — Refusez le masque

[Source : henrymakow.com]

Par Mike Stone

[Sur les masques dans le dessin : « Les masques parlent… »

  • Je vis dans la peur
  • Je crois CNN (une chaîne de télévision américaine)
  • Je vais te dénoncer
  • Je crois en l’Agenda 21 (de l’ONU)
  • Je veux la sécurité, pas la liberté
  • Je veux la tyrannie médicale
  • Mes parents nuisent à mon système immunitaire
  • J’aime Bill Gates
  • Je fais ce qu’on me dit de faire
  • Je veux que les vaccins soient obligatoires
  • Je veux le signalement de la vertu
  • Tout est de la faute de Trump
  • La nouvelle normalité]

Je comprends si votre patron est un babouin en état de mort cérébrale et vous oblige à porter un masque pour garder votre travail. Et je comprends si vous devez porter un masque pour entrer dans une banque, la poste, une épicerie, ou pour prendre un bus ou un métro de la ville. Ce sont toutes des excuses acceptables. Mais au-delà de cela, il n’y a aucune raison — et je veux dire AUCUNE RAISON — pour laquelle vous devriez porter un masque. Enlevez cette fichue chose !

Ne savez-vous pas maintenant que tout cela est un canular? Que l’on vous joue du violon et que vous ayez l’air stupide en portant un masque inutile et complètement stupide? Enlevez cette fichue chose !

Je croise des femmes dans la rue. Normalement, mon radar « gars » sonnait immédiatement. Plus maintenant. À l’instant où je vois le stupide masque qu’elles portent, tout désir, toute attraction, tout respect sort par la fenêtre. Comment pouvez-vous respecter quelqu’un d’aussi stupide? Ne savent-elles pas à quel point elles ont l’air pathétique? Si je pouvais voir une fille — une fille n’importe où dans le monde avec le courage et le bon sens de ne pas porter de masque — je pense que je tomberais instantanément et désespérément amoureuse. Enlevez cette fichue chose !

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Les masques sont utilisés depuis des siècles comme des outils de bâillonnement et de dégradation. Et vous pensez que c’est différent maintenant ?

Les hommes sont encore plus pathétiques. Ne savent-ils pas que les masques sont un signe de soumission, un signe de peur, un signe de lâcheté et de stupidité? Est-ce ainsi qu’ils veulent se présenter au monde? Pensez-y: la seule raison pour laquelle nous sommes obligés de porter des masques est de nous effrayer et de nous soumettre.

C’est la SEULE raison. C’est pourquoi le faux président prétend être contrarié par des États comme le Texas et la Floride qui refusent d’avoir peur. Si chaque homme de ce pays en avait une paire et refusait de porter un masque, tout le château de cartes s’effondrerait. Cela cesserait instantanément. Enlevez cette fichue chose !

Les voitures me dépassent dans la rue. Des dizaines, des centaines d’entre elles. La plupart ont les vitres relevées, mais les chauffeurs portent des masques et des gants. Depuis quand sommes-nous devenus une nation de moutons lâches? Peut-être que ça a toujours été comme ça et que je n’avais tout simplement pas remarqué. Pouvez-vous imaginer entrer en guerre avec la Chine ou la Russie avec tous les hommes féminisés que nous avons cachés derrière des masques et marchant dans les rues de nos villes? On se fairait botter le cul très vite.

Ce n’est pas une question de millénium. Ce n’est pas une question de baby-boomer. Ce n’est pas une question de génération X. L’hystérie de masse que nous vivons concerne tous les âges, jeunes et moins jeunes. Ils sont tous également stupides.

Les faux conservateurs sont tombés sous le charme. Ils remorquent tous la ligne du parti, parlent maintenant de Trump en 2024 et portent leurs stupides masques. Ne me dites pas que vous les écoutez encore.

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Si vous êtes étudiant, vous pouvez interroger vos enseignants sur la politique de masques idiots de votre école. Ne soyez pas impoli et ne dites rien qui pourrait les inciter à vous rejeter ou pire. Mais en même temps, demandez-leur de vous expliquer dans un langage clair pourquoi ils ont si peur d’un simple virus du rhume. Demandez-leur quel Dr Fauci mentait : celui qui a dit que les masques étaient inutiles, ou celui qui dit maintenant qu’ils sont essentiels pour arrêter le faux virus? Un de ces faux Faucis mentait. Lequel?

[NdNM : d’autres responsables de la Santé, comme Arruda au Québec ont également fait un virage à 180 degrés en ce qui concerne le port du masque, et toujours dans le même sens : passer de totalement inutile à carrément indispensable.]

Très probablement, votre professeur ne pourra pas vous répondre. Et lorsqu’un enseignant est confronté à une question à laquelle un élève qui est plus intelligent qu’eux ne peut pas répondre, il a tendance à répondre par des menaces et des injures. Alors soyez prêt. Si vous êtes dans l’orchestre de l’école, ou dans toute autre activité de groupe, et qu’ils veulent vous emmener dans des bulles en plastique séparées, dites-leur de [se ?] l’enfoncer.

Alors qu’en est-il de vous? Si vous portez un masque ailleurs qu’à la banque, à la poste, à l’épicerie ou aux transports en ville, vous faites partie du problème. Ne me donnez pas vos excuses pleurnichardes. Ne soyez pas comme les membres de ma famille qui commencent à baver, me disant qu’ils doivent — absolument doivent — voyager en Floride et visiter Disneyland.

Ne soyez pas comme mes amis qui disent la même chose à propos d’aller à Las Vegas. Si vous voyagez comme ça, vous ne donnez pas seulement le pouvoir au mensonge en acceptant leurs demandes de masque, vous mettez votre argent dans les poches mêmes des entreprises qui poussent le canular et qui ont soutenu l’élection bidon. Vous êtes en fait un traître si vous faites cela. Vous faites du commerce avec l’ennemi.

La même chose avec n’importe quel autre endroit qui veut que vous portiez un masque stupide. Si votre dentiste l’exige, sortez. Si vous voyez une pancarte sur la porte d’une entreprise vous demandant de porter un masque, n’entrez pas. Laissez toutes ces entreprises lâches couler.

Bien sûr, si vous n’êtes pas d’accord avec tout ce que je viens de dire, si vous portez un masque pendant que vous lisez ceci, alors je ne peux vraiment rien faire pour vous. Inclinez-vous devant vos maîtres. Rampez aux pieds de ceux qui déforment votre esprit et vous effraient pour que vous vous rendiez. Sachez simplement que c’est entièrement votre choix. Personne ne vous oblige à vous soumettre, à avoir peur, à pleurer comme un bébé. Tout dépend de vous. Enlevez cette fichue chose !


Mike Stone est l’auteur de Based, un roman pour jeunes adultes sur la race, les fréquentations et la croissance en Amérique, et de A New America, le premier roman de l’Alt-Right, une comédie noire qui se déroule le jour du scrutin 2016 à Los Angeles – – Disponible sur Amazon.


Voir aussi (en anglais) – Numbers In The New CDC Report DESTROY The Case For Mask Mandates

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Alfred Russel Wallace : Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse

[Source : Guy Boulianne]

Voici un texte du naturaliste, géographe, explorateur, anthropologue et biologiste britannique Alfred Russel Wallace, intitulé « To Members of Parliament and Others. Forty-five Years of Registration Statistics, Proving Vaccination to be Both Useless and Dangerous », publié sous forme de brochure de trente-huit pages en 1885; une deuxième édition révisée, éditée par Alexander Wheeler, a été imprimée en 1889 sous le titre « Vaccination Proved Useless & dangerous, From Forty-five Years of Registration Statistics ». À la fin de cet ouvrage se trouve une lettre à l’éditeur, « Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement. Une correction », qui a été publiée dans The Vaccination Inquirer du 1er février 1895.

Au début des années 1880, Wallace participa au débat sur l’obligation de la vaccination contre la variole. Il pensait à l’origine que c’était une question de choix personnel mais après avoir étudié certaines des statistiques fournies par les militants anti-vaccination, il en vint à mettre en doute l’efficacité du vaccin.

La théorie des microbes, sources de maladies, était alors très récente et loin d’être universellement acceptée ; d’autre part personne n’en savait suffisamment sur le système immunitaire humain pour comprendre pourquoi la vaccination fonctionnait. Quand Wallace enquêta, il découvrit des cas où les défenseurs de la vaccination avaient utilisé des statistiques plus que discutables. Toujours méfiant vis-à-vis de l’autorité, il devint convaincu que la diminution des cas de variole ne devait pas être attribuée à la vaccination elle-même mais à une meilleure hygiène et que les médecins avaient un intérêt particulier à vouloir promouvoir le vaccin. Wallace et d’autres opposants signalèrent que la vaccination, souvent effectuée dans de mauvaises conditions sanitaires, pouvait être dangereuse.

Il témoigna en 1890 devant une commission royale qui enquêtait sur la polémique. Quand les membres de la commission examinèrent la documentation qu’il avait fournie pour appuyer ses dires, ils trouvèrent des erreurs, dont quelques statistiques hasardeuses. The Lancet déclara que Wallace et les autres opposants à la vaccination avaient été très sélectifs dans le choix des statistiques utilisées et n’avaient pas tenu compte de la grande quantité de données qui allaient à l’encontre de leur position. La commission conclut que la vaccination antivariolique était efficace et devrait rester obligatoire, mais elle recommanda que des changements soient opérés dans les procédures afin de les rendre plus sûres et que les pénalités contre ceux qui refusaient de s’y soumettre soient moins sévères.

Bien des années après, en 1898, Wallace écrivit un pamphlet dans lequel il attaquait les conclusions de la commission ; celui-ci fut attaqué à son tour par The Lancet qui déclara qu’il contenait bon nombre des mêmes erreurs que celles énoncées devant la commission.



Alfred Russel Wallace : « Aux parlementaires et autres. Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse » (1885)

Partie I. Mortalité et vaccination contre la variole.

Ayant été amené à me renseigner moi-même sur les effets de la vaccination sur la prévention ou la diminution de la variole, je suis arrivé à des résultats aussi inattendus qu’ils me paraissent concluants. La question en est une qui affecte notre liberté personnelle ainsi que la santé et même la vie de milliers de personnes; il devient donc un devoir de s’efforcer de faire connaître la vérité à tous, et spécialement à ceux qui, sur la foi de déclarations fausses ou trompeuses, ont imposé la pratique de la vaccination par des lois pénales.

Je propose maintenant d’établir les quatre énoncés de fait suivants, au moyen des seules statistiques officielles disponibles; et j’adopterai un mode de présentation de ces statistiques dans leur ensemble, qui les rendra intelligibles à tous. Ces déclarations sont :

  1. Que pendant les quarante-cinq ans de l’enregistrement des décès et de leurs causes, la mortalité de la variole a très légèrement diminué, tandis qu’une épidémie de variole extrêmement sévère s’est produite au cours des douze dernières années de la période.
  2. Qu’il n’y a aucune preuve pour montrer que la légère diminution de la mortalité par variole est due à la vaccination.
  3. Que la gravité de la variole en tant que maladie n’a pas été atténuée par la vaccination.
  4. Que plusieurs maladies inoculables ont augmenté à un degré alarmant en même temps que la vaccination forcée.

Les première, deuxième et quatrième propositions seront prouvées à partir des rapports du registraire général de 1838 à 1882; et je rendrai les résultats clairs et incontestables, en présentant les chiffres pour toute la période sous forme de courbes schématiques, de sorte qu’aucune manipulation de celles-ci, en prenant certaines années pour comparaison, ou en divisant la période de manière spéciale, ne sera possible.

Les diagrammes montrent, dans chaque cas, non pas la mortalité absolue mais les décès par million d’habitants, une méthode qui élimine l’augmentation de la population et donne de vrais résultats comparatifs.

La vaccination n’a pas diminué la variole.

Le diagramme I. montre les décès dus à la variole, à Londres, pour chaque année de 1838 à 1882, tandis qu’une ligne supérieure montre les décès des autres principales maladies zymotiques données dans le résumé annuel du registraire général pour 1882, (sauf le choléra, qui n’est qu’une épidémie occasionnelle,) à savoir, — Scarlatine et diphtérie, rougeole, coqueluche, fièvre typhoïde et autres, et diarrhée. Une ligne pointillée entre ceux-ci montre la mortalité due aux fièvres de la classe des typhoïdes.

La première chose clairement apparente dans ce diagramme, c’est la très faible diminution de la variole correspondant aux époques de la vaccination pénale et obligatoire; tandis que l’épidémie de 1871 fut la plus destructrice de toute la période. La diminution moyenne de la mortalité due à la variole de la première à la seconde moitié de la période est de 57 décès par million et par an. En regardant maintenant la courbe supérieure, nous voyons que la mortalité due aux principales maladies zymotiques a également diminué, plus particulièrement au cours des 35 dernières années; mais la diminution de ces maladies n’est pas, proportionnellement, si grande, du fait que les décès par diarrhée ont considérablement augmenté dans la seconde moitié de la période. D’autre part, le typhus et les fièvres typhoïdes ont diminué dans une bien plus grande mesure que la variole, comme le montre la ligne pointillée sur le diagramme, la réduction de la mortalité due à cette seule cause étant de 382 par million, soit plus de six fois plus comme celui de la variole. Chacun admettra que cette remarquable diminution du typhus, etc., est due à un assainissement plus efficace, à une plus grande attention personnelle aux lois de la santé, et probablement aussi à des méthodes de traitement plus rationnelles. Mais toutes ces causes d’amélioration ont certainement eu leur effet sur la variole; et comme la mortalité due à cette maladie n’a pas également diminué, il y a probablement une cause contrebalancée au travail. Jusqu’à présent, par conséquent, à partir de la preuve que la vaccination a diminué la variole à Londres, la tendance des faits du registraire général (et il n’y a pas d’autres faits qui sont dignes de confiance) est de montrer qu’une cause contraire a empêché l’assainissement général d’agir sur cette maladie comme il a agi sur le typhus, et cette cause peut, éventuellement, être la vaccination elle-même.

Nous allons maintenant passer au diagramme II., qui donne une représentation de statistiques similaires pour l’Angleterre et le Pays de Galles, sauf que malheureusement, il y a un blanc dans le dossier pour 1843-46, années pendant lesquelles le registraire général nous informe, « les causes de la mort n’ont pas été distingués. » Ici aussi, nous percevons une diminution similaire de la mortalité par variole, interrompue par l’énorme épidémie de 1871-2, tandis que les autres principales maladies zymotiques représentées par la ligne supérieure, montrent plus d’irrégularité, mais une diminution récente considérable. Pour toute l’Angleterre, comme pour Londres, les tableaux nous montrent que les fièvres typhoïdes ont diminué beaucoup plus que la variole, (mais pour plus de clarté la courbe de typhus est omise,) et nous n’avons donc, encore une fois, aucune raison pour imputer la diminution de la variole à la vaccination. Mais nous pouvons aller plus loin que cette affirmation négative, car nous disposons, heureusement, d’un moyen de tester directement l’efficacité alléguée de la vaccination. Le onzième rapport annuel du Conseil du gouvernement local donne un tableau du nombre de vaccinations réussies, aux dépens des pauvres, en Angleterre et au Pays de Galles, de 1852 à 1881. À partir des chiffres de ce tableau, j’ai calculé les nombres en proportion à la population de chaque année, et ont montré le résultat en pointillé sur mon diagramme II; et je prie pour cela d’attirer l’attention du lecteur, car cela dissipe aussitôt certaines déclarations erronées souvent répétées.

En premier lieu, nous voyons qu’au lieu que la vaccination ait augmenté depuis l’application des lois pénales, elle a en fait diminué; de sorte que la déclaration si souvent faite par les apologistes officiels de la vaccination, et répétée par Sir Lyon Playfair dans son discours à la Chambre des communes l’année dernière, — que l’efficacité progressive de la vaccination légale a diminué la variole, est absolument fausse, car il y a eu une diminution plutôt qu’une augmentation de la « vaccination efficace ». Une augmentation temporaire du nombre de vaccinations a toujours lieu lors d’une épidémie de variole, ou lorsqu’une épidémie est à craindre; mais un examen de la courbe de vaccination ne corrobore pas l’affirmation selon laquelle elle contrôle l’épidémie. Après une inspection minutieuse, on verra qu’à trois reprises, une augmentation considérable des vaccinations a été suivie d’une augmentation de la variole. Laissez le lecteur regarder le diagramme et notez qu’en 1863 il y a eu un très grand nombre de vaccinations, suivies en 1864 par une augmentation de la mortalité par variole. Là encore, le nombre de vaccinations augmenta régulièrement de 1866 à 1869, mais en 1870-71, la mortalité due à la variole augmenta; et encore une fois, en 1876, une augmentation des vaccinations a été suivie d’une augmentation des décès dus à la variole. En fait, si la ligne pointillée indiquait l’inoculation au lieu de la vaccination, elle pourrait être utilisée pour prouver que l’inoculation a provoqué une augmentation de la variole. Je soutiens seulement, cependant, que cela ne prouve pas que la vaccination diminue la mortalité due à la maladie. Au cours de la panique provoquée par la grande épidémie de 1871-2, les vaccinations ont augmenté énormément et ont diminué aussi rapidement que l’épidémie s’est arrêtée, mais rien ne montre que l’augmentation des vaccinations a eu un effet sur la maladie, qui a suivi son cours. puis s’éteignit comme d’autres épidémies.

Il a maintenant été prouvé à partir de la seule série complète de documents officiels qui existent :

  1. Cette petite vérole n’a pas diminué autant ou aussi régulièrement que le typhus et les fièvres alliées.
  2. Que la diminution de la mortalité due à la variole coïncide avec une diminution, au lieu d’une augmentation de l’efficacité de la vaccination officielle.
  3. Que l’une des épidémies de variole les plus graves jamais enregistrées, dans la période de statistiques précises, s’est produite après 33 ans de vaccination officielle, obligatoire et pénale.

Ces trois groupes de faits ne corroborent pas l’affirmation selon laquelle la vaccination a réduit la mortalité due à la variole; et il faut toujours se rappeler que nous n’avons en fait aucun autre corps de statistiques sur lequel fonder notre jugement. L’utilité ou non de la vaccination est purement une question de statistiques. Il nous reste à décider si nous serons guidés par les seules statistiques fiables que nous possédons, ou si nous continuerons à accepter aveuglément les dogmes d’un corps d’hommes professionnels intéressés et certainement pas infaillibles, qui ont autrefois soutenu l’inoculation aussi fermement qu’ils soutiennent maintenant la vaccination. .

La variole n’a pas été atténuée par la vaccination.

On affirme souvent que, bien que la vaccination ne soit pas une protection complète contre la variole, elle diminue cependant la gravité de la maladie et la rend moins dangereuse pour ceux qui la prennent. Cette affirmation est suffisamment répondue par la preuve donnée ci-dessus, qu’elle n’a pas diminué la mortalité due à la variole; mais des preuves plus directes peuvent être apportées.

Les meilleurs enregistrements disponibles montrent que la proportion de décès par rapport aux cas de variole est la même aujourd’hui, bien qu’une grande majorité de la population soit vaccinée, comme c’était le cas il y a un siècle avant que la vaccination ne soit découverte. Dr Jurin, en 1723; les rapports de l’hôpital de la variole de Londres, 1746-1763; Dr Lambert, 1763; et la Cyclopædia de Rees, 1779; donner des nombres variant de 16,5 à 25,3 comme pourcentage de mortalité parmi les patients atteints de variole dans les hôpitaux, — la moyenne de l’ensemble étant de 18,8%.

Passons maintenant à l’époque de la vaccination. M. Marson, 1836-51, et les rapports des hôpitaux de la variole de Londres, Homerton, Deptford, Fulham et Dublin, entre 1870 et 1880, donnent des chiffres variant de 14,26 à 21,7 en pourcentage de décès. des patients atteints de variole, la moyenne étant de 18,5. Et cela, rappelons-le, sous le traitement et l’hygiène améliorés du XIXe par rapport au XVIIIe siècle.

Ces chiffres démontrent non seulement le mensonge de l’affirmation souvent répétée selon laquelle la vaccination atténue la variole, mais ils vont loin pour prouver le contraire — que la maladie a été rendue plus intraitable par elle; ou comment expliquer que la mortalité des patients atteints de variole soit presque exactement la même qu’il y a un siècle, malgré les progrès considérables de la science médicale et les améliorations des hôpitaux et des traitements hospitaliers?

La variole dans l’armée et la marine.

Nous avons ici un test crucial de l’efficacité ou de l’inutilité de la vaccination. Nos soldats et marins sont vaccinés et revaccinés conformément aux réglementations officielles les plus strictes. Ce sont des hommes exceptionnellement forts et en bonne santé, dans la fleur de l’âge, et si la vaccination est d’une quelconque utilité, la variole devrait être presque inconnue parmi eux, et aucun soldat ou marin ne devrait jamais en mourir. Ils sont en fait souvent qualifiés de « population parfaitement protégée ». Voyons maintenant quels sont les faits.

Un rapport vient d’être publié à la Chambre des communes, « Small-pox (Army and Navy) », daté de “août 1884”, donnant la force moyenne, le nombre de décès dus à la variole et le rapport pour mille en chaque service pendant les vingt-trois années 1860-82. Un examen de ce retour nous montre qu’il n’y a pas eu une seule année sans deux morts ou plus dans l’armée, et seulement deux ans sans décès dans la marine. En comparant le rendement de la « vaccination, mortalité », n ° 433, publié par la Chambre des communes en 1877, nous constatons que, dans les vingt-trois années 1850-1872, (la dernière en date,) il y eut de nombreuses années au cours desquelles aucun décès de variole adulte n’a été enregistré pour un certain nombre de grandes villes de 100 000 à 270 000 habitants. Liverpool n’en a eu aucun en 3 des années, Birmingham et Sunderland en 7, Bradford et Sheffield en 8, Halifax en 9, Dudley en 10, tandis que Blackburn et Wolverhampton étaient chacun totalement sans mortalité adulte de petite vérole pendant 11 des 23 années !

Il est vrai que les cas ne sont pas strictement comparables, car pour ces villes, nous n’avons que les décès de personnes âgées de 20 ans et plus donnés séparément, alors que les âges de l’armée et de la marine varient principalement d’environ 17 à 45 ans. Mais, compte tenu de l’état extrêmement insalubre de nombre de ces villes, et de leur grande prépondérance dans la liberté de la variole, il n’y a manifestement plus de place pour l’effet allégué de la revaccination pour assurer à nos soldats et marins l’immunité contre la maladie.

Mais regardons maintenant les moyennes pour toute la série d’années, comme offrant le meilleur et le seul test fiable. En les travaillant soigneusement, je trouve que la mortalité moyenne de la variole pour les 23 ans est, dans l’armée 82,96, que nous pouvons appeler 83 par million, et dans la marine 157 par million. Malheureusement, aucun matériel n’existe pour une comparaison exacte de ces taux avec ceux de la population civile; mais avec beaucoup de travail, j’ai fait la meilleure comparaison possible. À partir du rapport général du recensement, 1881, et des rapports du registraire général pour les mêmes 23 ans que ceux inclus dans le retour de l’armée et de la marine, j’ai pu déterminer la mortalité de la variole chez les hommes en Angleterre et au Pays de Galles entre le les années 15 et 55, considérées comme représentant le mieux celles des deux services; et le résultat est un taux moyen de mortalité due à la variole de 176 par million.

On remarquera que ce n’est guère plus que la mortalité de la marine, bien que plus du double de celle de l’armée, et la question se pose de savoir quelle est la différence due. Et d’abord, pourquoi la mortalité de la variole dans la marine est-elle près du double de celle de l’armée ? Les règlements concernant la revaccination sont les mêmes dans les deux, et sont dans les deux rigoureusement appliqués, et les hommes sont assez égaux en endurance et en santé générale. La cause doit donc être dans les conditions de vie différentes des deux services; et il me semble probable que la différence provient principalement de la ventilation et de l’isolement moins efficaces qui sont possibles à bord des navires par rapport aux hôpitaux de l’armée.

La mortalité générale de la marine par maladie semble (d’après le rapport du registraire général, 1882, tableaux 59 et 65,) être considérablement inférieure à celle de l’armée, de sorte que la plus grande mortalité due à la variole doit être due à une certaine conditions. Mais quels qu’ils soient, les conditions de la population civile sont certainement bien pires. Les deux tiers des familles habitant Glasgow vivent dans des maisons d’une ou deux pièces seulement, et de nombreuses autres villes, y compris Londres, ne sont probablement pas beaucoup mieux. Dans de telles conditions, et avec la faible vitalité induite par une alimentation insuffisante, le surmenage et le mauvais air, nous devrions nous attendre à ce que la mortalité due à la variole de notre population civile soit bien supérieure à celle de la classe choisie des marins qui jouissent d’une nourriture abondante, air frais et assistance médicale. Où est donc la prétendue « sécurité totale » offerte par la revaccination, et comment caractériser les déclarations diffusées aux dépens du public, selon lesquelles « la variole est presque inconnue dans l’armée et la marine ». Si nous voulons tirer une conclusion légitime des faits, c’est que la revaccination à laquelle sont soumis nos soldats et marins rend la variole plus mortelle lorsqu’elle les attaque, car c’est ainsi que nous pouvons expliquer la grande mortalité parmi les hommes en bonne santé choisis sous surveillance médicale constante et vivant dans des conditions sanitaires bien meilleures que la masse de la population civile.

Un autre mode de comparaison peut être fait, montrant que même le taux de mortalité de la variole dans l’armée n’est guère meilleur que celui de certaines grandes villes, au cours de la même période. Le taux par million de la population adulte, entre 15 et 55 ans, sur une moyenne des années 1860-82 pour cinq très grandes villes était le suivant :

Bien sûr, il existe de nombreuses autres villes qui ont une mortalité beaucoup plus élevée, mais très peu sont bien pires que la marine. La pire grande ville que je puisse trouver dans les rapports est Newcastle-on-Tyne, qui, pour la même période, avait une mortalité de la variole adulte de 349 par million. Mais le fait que cinq de nos villes les plus peuplées aient considérablement moins de mortalité de la variole adulte que la marine, et l’une d’elles à peine plus que l’armée, équivaut à une démonstration de l’inutilité de la revaccination la plus complète.

La mortalité générale de notre population adulte est bien supérieure à celle de l’armée et de la marine. D’après les sources officielles d’information déjà citées, je trouve que la mortalité moyenne de la population adulte d’Angleterre, âgée de 15 à 55 ans, pour les années 1860 à 1982, était d’environ 20 000 par million. [[Note de l’éditeur: Wallace néglige ici de prendre en compte le fait qu’il ne traite que de la population masculine adulte de l’Angleterre; cette erreur a été corrigée dans l’édition de 1889 pour réduire le taux par million à 11 300.]]

Celle de la marine, pour la même période, était de 11 000 par million toutes causes confondues, et seulement 7 150 maladies.

Celle de l’armée, chez nous, était de 10 300 par million. À l’étranger, il était presque le double (19400), mais cela incluait tous les décès dus aux victimes, à l’exposition, etc., dans les guerres abyssiniennes, afghanes, zoulou, du Transvaal et autres petites guerres.

Ainsi, le physique supérieur de nos soldats et marins, ainsi que les conditions sanitaires dans lesquelles ils vivent, se manifestent pleinement dans une mortalité par maladie seulement environ la moitié de celle de la population civile adulte d’âge comparable. Si l’on tient compte de la même manière de l’influence de ces causes dans le cas de la variole, il ne reste absolument rien de l’influence protectrice alléguée de la revaccination.

Nous n’entendrons sûrement plus parler des infirmières re-vaccinées dans les hôpitaux de variole, (sur lesquelles nous n’avons pas de statistiques, mais seulement des affirmations vagues et généralement inexactes,) quand nous avons une grande expérience officiellement enregistrée à laquelle se référer, s’étendant sur 23 ans et s’appliquant à plus de 200 000 hommes, dont les résultats contredisent directement toute déclaration professionnelle et officielle quant à la sauvegarde de la revaccination.

La vaccination elle-même est une cause de maladie et de décès.

Comme on l’a maintenant montré, la vaccination est tout à fait impuissante, ni pour prévenir ni pour atténuer la variole. Mais ce n’est pas tout, car il y a de bonnes raisons de croire qu’elle est elle-même la cause de nombreuses maladies et d’une mortalité grave.

Les médecins ont longtemps nié que la syphilis puisse être transmise par la vaccination; mais ceci est maintenant universellement admis, et pas moins de 478 cas de syphilis vaccinale ont déjà été enregistrés. Mais il y a aussi de bonnes raisons de croire que de nombreuses autres maladies du sang sont transmises et augmentées par les mêmes moyens, car il y a eu depuis de nombreuses années une augmentation constante de la mortalité due à ces maladies, ce qui est terrible à envisager. Le tableau suivant donne l’augmentation de cinq de ces maladies du rapport annuel du registraire général pour 1880, (page lxxix., Tableau 34,) et il est très intéressant de noter que, dans la longue liste de maladies qu’il y a tabulée, pas d’autres, (à l’exception de la bronchite, qui suit souvent la vaccination, bien qu’elle ne soit probablement pas transmise par elle,) montrent une telle augmentation frappante et continue, tandis que la grande majorité sont soit stationnaires, soit décroissantes.

Décès annuels en Angleterre par million de vie.

On observe ici une augmentation constante de la mortalité due à chacune de ces maladies, augmentation qui, dans la somme de celles-ci, est régulière et continue. Il est vrai que nous n’avons pas et ne pouvons pas avoir de preuve directe que la vaccination est la seule cause de cette augmentation, mais nous avons de bonnes raisons de croire que c’est la cause principale. En premier lieu, il s’agit d’une vera causa, puisqu’elle inocule directement les nourrissons et les adultes, à une échelle énorme, avec toute maladie du sang qui peut exister sans que l’on s’en doute dans le système des nourrissons dont le pus vaccinal est prélevé. En second lieu, aucune autre cause adéquate n’a été invoquée pour l’augmentation remarquablement continue de ces maladies spéciales, que la diffusion de l’assainissement, de la propreté et des connaissances médicales avancées aurait dû rendre à la fois moins fréquentes et moins mortelles.

L’augmentation des décès dus à ces cinq causes, de 1855 à 1880, dépasse le total des décès dus à la variole au cours de la même période ! De sorte que même si cette dernière maladie avait été totalement abolie par la vaccination, la mortalité générale aurait été augmentée, et il y a de nombreuses raisons de croire que l’augmentation peut avoir été causée par la vaccination elle-même.

Partie II. Mortalité comparée des vaccinés et des non vaccinés.

Dans son discours à la Chambre des communes, le 19 juin 1883, Sir Lyon Playfair a fait la déclaration suivante : « Une analyse de 10 000 cas dans les hôpitaux métropolitains montre que 45% des patients non vaccinés meurent, et 15% seulement. des patients vaccinés » ; et il a en outre montré que des statistiques d’un caractère similaire avaient été publiées dans d’autres pays. Mes lecteurs objecteront sans doute que ces statistiques, si elles sont exactes, sont une preuve complète de la valeur de la vaccination; et on s’attendra à ce que je montre qu’ils sont incorrects ou que j’abandonne toute l’affaire. C’est ce que je suis prêt à faire; et je m’engage maintenant à prouver — premièrement, que les chiffres donnés ici ne sont pas fiables; et, deuxièmement, que ces statistiques donnent nécessairement de faux résultats à moins qu’elles ne soient classées en fonction de l’âge des patients.

Les pourcentages de vaccinés et non vaccinés ne sont pas fiables.

Le simple fait de la mort de la variole est facilement établi et a été enregistré avec précision pendant de nombreuses années.

Mais, que la personne décédée ait été vaccinée ou non, est un fait difficile à déterminer, car la variole confluente (qui seule est généralement mortelle) efface les marques de vaccination dans la plupart des cas, et le décès est alors généralement enregistré parmi les non vaccinés ou douteux. Pour cette seule raison, le dossier officiel — vacciné ou non vacciné — n’est pas du tout digne de confiance et ne peut faire l’objet d’une enquête statistique précise.

Mais il y a d’autres raisons pour lesquelles la comparaison des décès de ces deux classes est sans valeur. Les décès enregistrés comme non vaccinés comprennent :

  1. Nourrissons qui meurent avant l’âge de la vaccination, et qui, par conséquent, n’ont pas de classe correspondante parmi les vaccinés, mais parmi lesquels la mortalité par variole est la plus élevée.
  2. Enfants trop faibles ou malades pour être vaccinés, et dont la faible vitalité rend toute maladie grave mortelle.
  3. Un nombre important mais inconnu de la population criminelle et nomade qui échappe aux agents de vaccination. Ceux-ci sont souvent mal nourris et vivent dans les conditions les plus insalubres; ils sont donc particulièrement susceptibles de souffrir d’épidémies de variole ou d’autres maladies zymotiques.

C’est par l’union aveugle de ces trois classes, ainsi que de celles classées à tort comme non vaccinées en raison de l’effacement de marques ou d’un autre défaut de preuve, que le nombre de décès enregistrés « non vaccinés » est gonflé bien au-delà de ses véritables proportions, et la comparaison avec ceux enregistrés « vaccinés » rendus totalement indignes de confiance et trompeurs.

Il ne s’agit pas d’une simple déduction, car il existe de nombreuses preuves directes que les enregistrements « non vaccinés » et « aucune déclaration » dans les rapports du Greffier général sont souvent erronés. Comme l’argument principal en faveur de la vaccination repose sur cette classe de faits, il convient de donner ici quelques exemples des preuves auxquelles il est fait référence.

  1. M. A. Feltrup, d’Ipswich, donne le cas d’un garçon âgé de 9 ans, décédé de la variole, et a été enregistré dans le certificat comme « non vacciné ». Une recherche dans le registre des vaccinations réussies a révélé que le garçon, Thomas Taylor, avait été vacciné avec succès le 20 mai 1868 par W. Adams. (Suffolk Chronicle, 5 mai 1877.)
  2. Dans « Notes sur l’épidémie de variole à Birkenhead, 1877 ». Par Fras. Vacher, M.D., (p. 9.,) nous trouvons ce qui suit : « En ce qui concerne les patients admis à l’hôpital de la fièvre ou traités à domicile, ceux entrés comme vaccinés présentaient des cicatrices incontestables, comme l’attestent des témoins médicaux compétents, et ceux inscrits comme non vaccinés étaient admis non vaccinés ou sans la moindre marque. ou leurs amis qu’ils avaient été vaccinés ne comptaient pour rien, car environ 80 pour cent des patients inscrits dans la troisième colonne du tableau («inconnu») ont été signalés comme ayant été vaccinés dans l’enfance.  »
  3. Compte tenu de cet aveu important, nous avons la déclaration suivante dans le Dr Russell’s Glasgow Report, 1871-2 (p. 25) : « On disait parfois que des personnes étaient vaccinées, mais aucune marque n’a pu être vue, très fréquemment en raison de l’abondance de l’éruption. Dans certains cas de ceux qui ont récupéré, une inspection avant renvoi a révélé des marques de vaccin, parfois très bonnes ».
  4. Dans le retour des naissances et des décès du registraire général pour Londres, pour la semaine se terminant le 13 octobre 1883, trois décès de variole sont enregistrés au Metropolitan Asylums Hospital à Homerton, et ils sont déclarés être sur trois enfants non vaccinés — un, quatre et neuf ans respectivement — tous de 3, Medland Street, Stepney. Sur ce, la mère de deux des enfants a déclaré que le retour n’était pas vrai. Elle déclare : « Tous mes cinq enfants ont été magnifiquement vaccinés. Mes trois fils ont été attaqués par la variole; les deux plus jeunes sont morts, l’aîné va mieux. » (Signé) Ann Elizabeth Snook, 3, Medland Street, Stepney, 23 octobre 1883. Un compte rendu complet de cette affaire a été publié dans le Bedfordshire Express par M. A. Stapley, ainsi que dans le Vaccination Enquirer de décembre 1883.
  5. En 1872, M. John Pickering, de Leeds, a soigneusement enquêté sur un certain nombre de cas déclarés « non vaccinés » par les médecins de l’hôpital de la variole de Leeds, recherchant les parents, examinant les patients s’ils étaient vivants, ou obtenir le certificat de vaccination s’ils étaient décédés. Le résultat a été que 6 patients, inscrits comme « non vaccinés » et encore vivants, se sont avérés avoir de bonnes marques de vaccination; tandis que 9 autres qui étaient décédés et dont le décès avait été enregistré comme « non vaccinés » se sont avérés avoir été vaccinés avec succès. En plus de ceux-ci, il a été prouvé que 8 cas avaient été vaccinés, certains trois ou quatre fois, mais sans succès, et 4 autres ont été déclarés « inaptes à être vaccinés », mais tous ont été déclarés comme « non vaccinés ». Les détails complets de cette enquête se trouvent dans une brochure de M. Pickering, publiée par F. Pitman, 20 ans, Paternoster Row, Londres.
  6. Comme autre preuve corroborante de la non-fiabilité de tous les dossiers sur le sujet émanant de médecins, la citation suivante d’un article sur les « Certificats de décès », dans le Birmingham Medical Review de janvier 1874, est importante; les italiques sont les miens : « Dans les certificats que nous délivrons volontairement, et auxquels le public a accès, il n’est guère à prévoir qu’un médecin donnera des opinions qui peuvent se prononcer contre lui-même ou se refléter de quelque manière que ce soit. dans de tels cas, il dira très probablement la vérité, mais pas toute la vérité, et attribuera un symptôme important de la maladie à la cause du décès. Comme exemples de cas pouvant être opposés au médecin lui-même, je mentionnerai l’érysipèle de la vaccination, et la fièvre puerpérale. Un décès de la première cause est survenu il n’y a pas longtemps dans ma pratique, et bien que je n’avais pas vacciné l’enfant, pourtant dans mon désir de préserver la vaccination de tout reproche, j’en ai omis toute mention de mon certificat de décès. »

Les faits illustratifs maintenant donnés ne peuvent être supposés être exceptionnels, surtout si l’on considère la grande quantité de temps et de travail nécessaire pour les mettre en lumière; et pris en rapport avec les admissions stupéfiantes d’hommes médecins, dont des exemples viennent d’être donnés, ils prouvent qu’aucune dépendance ne peut être placée sur les registres officiels des proportions de vaccinés et non vaccinés parmi les malades de la variole; tandis que, si la méthode d’enregistrement de M. Vacher est habituellement suivie, environ 80 pour cent. parmi ceux classés par le Greffier général sous la rubrique « aucune déclaration », leurs parents ou amis ont réellement déclaré avoir été vaccinés.

Nos statistiques hospitalières donnent nécessairement de faux résultats.

Mais une question encore plus grave reste à considérer, et c’est une preuve frappante de la preuve brute et imparfaite sur laquelle la question importante de la valeur de la vaccination a été décidée, que le point en question a été entièrement ignoré par tous les avocats anglais de la vaccination, bien qu’elle implique un principe élémentaire de la science statistique.

Ce point est que même si les registres de nos hôpitaux, « vaccinés » et « non vaccinés », étaient strictement corrects, il peut être démontré que de vrais résultats ne peuvent en être déduits sans une comparaison de la mortalité des vaccinés et des non vaccinés à âges correspondants, et ces informations ne sont pas fournies par nos déclarations officielles.

Cependant, la comparaison requise a été faite sur une population d’environ 60 000 habitants, composée des fonctionnaires et des ouvriers employés sur les chemins de fer impériaux autrichiens, par le médecin-chef, le Dr Leander Joseph Keller; et ses résultats au cours des années 1872-3 sont si importants qu’il est nécessaire d’en donner un bref résumé.

  1. Il est démontré que le taux de mortalité des patients atteints de variole est le plus élevé au cours de la première année de vie, diminue ensuite progressivement entre la 15e et la 20e année, puis remonte à la vieillesse; suivant donc exactement la même loi que la mortalité générale.
  2. Le taux de mortalité par variole, parmi plus de 2 000 cas, était de 17,85%. des cas, en étroite concordance avec l’avarie commune. Celui des non vaccinés était de 23,20%, tandis que celui des vaccinés n’était que de 15,61%.
  3. Ce résultat, apparemment si favorable à la vaccination, se révèle être entièrement dû à l’excès de non-vaccinés au cours des deux premières années de la vie, et être un fait purement numérique sans aucun rapport avec la vaccination. Ceci est prouvé comme suit : En prenant, tout d’abord, tous les âges au-dessus de 2 ans, le taux de mortalité des vaccinés est de 13,76, et des non vaccinés 13,15, presque exactement les mêmes, mais avec un léger avantage pour les non vaccinés.

En prenant maintenant les deux premières années, le taux de mortalité est le suivant :

Première année de vie —— Vacciné: 60,46 / Non vacciné: 45,24
Deuxième année de vie —– Vacciné: 54,05 / Non vacciné: 38,10

Ainsi, le taux de mortalité de la variole est en fait moindre pour les non-vaccinés que pour les vaccinés chez les nourrissons, et égal pour tous les âges supérieurs; pourtant la moyenne de l’ensemble est plus élevée pour les non-vaccinés, simplement en raison de la plus grande proportion de non-vaccinés aux âges auxquels la mortalité est la plus élevée universellement.

Il est donc clair que toute comparaison de la mortalité par variole des vaccinés et des non vaccinés, sauf à des âges strictement correspondants, conduit à des conclusions entièrement fausses.

Ce fait curieux et important peut peut-être être rendu plus facilement intelligible par une illustration. Prenons l’ensemble de la population jusqu’à 20 ans et divisons-la en deux groupes : ceux qui vont à l’école et ceux qui ne le font pas. Si la mortalité par variole de ceux-ci était enregistrée séparément, elle serait beaucoup plus élevée chez les non-scolarisés, — composé principalement de nourrissons, et d’enfants trop faiblement pour être envoyés à l’école, parmi lesquels la mortalité est toujours très bon, à tel point qu’un médecin de grande expérience — le Dr. Vernon, de Southport — a déclaré qu’il n’avait jamais vu un enfant de moins d’un an se remettre de la variole. Mais nous devrions sûrement penser à une personne stupide ou folle qui prétend, à partir de ces statistiques, que la scolarité est une protection contre la maladie et que les écoliers forment une « population protégée ». Pourtant, cela est exactement comparable au raisonnement de ceux qui invoquent la plus grande mortalité chez les patients de tous âges non vaccinés contre la variole, comme l’argument le plus fort en faveur de la vaccination !

Les bonnes statistiques et les bons arguments ne peuvent pas être contrariés, ni même affaiblis, par ceux qui sont mauvais. J’ai maintenant montré que l’argument principal invoqué par nos adversaires repose sur des statistiques tout à fait erronées, inexactes au départ et mal interprétées par la suite. Celles que j’ai utilisées, en revanche, sinon absolument parfaites, sont pourtant les meilleures et les plus dignes de confiance qui existent. Je demande aux statisticiens et aux hommes au jugement sans faille de choisir entre eux.

Conclusion de la preuve.

Le résultat de cette brève enquête peut être ainsi résumé :

  1. La vaccination ne diminue pas la mortalité de la variole, comme le montrent les 45 années de statistiques du Greffier général, et les décès dus à la variole de nos soldats et marins « re-vaccinés » étant aussi nombreux que ceux de la population masculine du même âge de plusieurs de nos grandes villes, bien que les premiers soient des hommes cueillis et en bonne santé, tandis que les seconds comprennent plusieurs milliers de personnes vivant dans les conditions les plus insalubres.
  2. Bien qu’ainsi totalement impuissante pour de bon, la vaccination est une certaine cause de maladie et de décès dans de nombreux cas, et est la cause probable d’environ 10000 décès par an par cinq maladies inoculables du caractère le plus terrible et le plus dégoûtant, qui ont augmenté à cette ampleur, régulièrement, d’année en année, depuis que la vaccination est imposée par les lois pénales !
  3. Les statistiques hospitalières, montrant une plus grande mortalité des non-vaccinés que des vaccinés, se sont avérées non fiables; tandis que les conclusions qui en sont tirées se révèlent nécessairement fausses.

Si ces faits sont vrais ou quelque chose de proche de la vérité, l’application de la vaccination par amende et l’emprisonnement des parents réticents est un despotisme cruel et criminel, qu’il appartient à tous les vrais amis de l’humanité de dénoncer et de s’opposer à chaque occasion.

Une telle législation, impliquant comme elle le fait, notre santé, notre liberté et notre vie même, est une question trop grave pour pouvoir dépendre des inexactitudes des fonctionnaires intéressés ou des dogmes d’une clique professionnelle. Certaines des inexactitudes et une partie de l’ignorance sur lesquelles vous vous êtes appuyés ont été exposées ici. La preuve statistique sur laquelle seul un jugement vrai peut être fondé est aussi ouverte à vous qu’à n’importe quel médecin du pays. Par conséquent, nous exigeons que vous, nos représentants, vous acquittiez de votre devoir solennel à notre égard dans cette affaire, en y consacrant une enquête personnelle et des recherches minutieuses; et si vous trouvez que les principaux faits tels qu’énoncés ici sont substantiellement corrects, nous vous demandons de réparer sans délai le mal que vous avez fait.

PAR CONSÉQUENT, NOUS EXHORTONS SOLENNELLEMENT L’ABROGATION IMMÉDIATE DES LOIS PÉNALES INITIALES PAR LESQUELLES NOUS ONT FORCÉ UNE OPÉRATION DANGEREUSE ET INUTILISABLE — UNE OPÉRATION QUI A CERTAINEMENT CAUSÉ BEAUCOUP DE DÉCÈS, QUI EST PROBABLEMENT LA CAUSE D’UNE MORTALITÉ PLUS GRANDE QUE LA VARIOLE ELLE-MÊME, MAIS QUI NE PEUT PAS ÊTRE PROUVÉ AVOIR JAMAIS SAUVÉ UNE SEULE VIE HUMAINE.

Statistiques d’enregistrement de quarante-cinq ans. Une correction. (1895)

Monsieur, – Tout en remerciant mon ami M. Alex. Wheeler pour ses références trop élogieuses au peu que j’ai fait pour la cause de la liberté en ce qui concerne la tyrannie des lois de vaccination, je souhaite faire une remarque sur une partie de son article qui donne une impression erronée. M. Wheeler dit qu’il ne pouvait pas être d’accord avec ma conclusion selon laquelle « la vaccination a peut-être causé plus de décès que la variole elle-même ». Cela ne m’étonne pas, car je n’accepte pas moi-même une telle déclaration, qui n’est certainement pas la mienne. Mes mots, soigneusement choisis, sont : « une opération qui a causé de nombreux décès, qui est probablement la cause d’une mortalité plus grande que la variole elle-même » — et j’attire l’attention sur le changement par rapport au passé dans la première partie de la passage au présent — « est probablement la cause » — dans la dernière partie. Cela signifie clairement, non pas que « la vaccination a peut-être causé plus de décès que la variole » — comme le dit M. Wheeler, sans aucune limitation de temps, ce qui serait bien sûr une absurdité — mais que, à l’heure actuelle, résultat de la vaccination générale depuis une cinquantaine d’années, il est peut-être à présent la cause de plus de décès que la variole. Cette conclusion est tirée du tableau de la mortalité en augmentation constante due à certaines maladies inoculables (page 24 de ma brochure), dont l’augmentation, en trente ans (1850-1880), était de 357 par million (augmentation qui se poursuit depuis), tandis que les décès dus à la variole n’ont pas, depuis de nombreuses années, représenté en moyenne plus d’un cinquième de ce montant. Si, par conséquent, un quart seulement de l’augmentation importante et régulière de ces maladies est dû à la vaccination, alors ma conviction que la vaccination est maintenant la cause d’une mortalité plus grande que la variole elle-même est pleinement justifiée; et dans l’affirmation que c’est « probablement » le cas, je ne pense pas que je me trouverai en minorité parmi les lecteurs de l’Inquirer. Cet effet indirect de la vaccination est encore accru par ses effets directs, qui sont maintenant connus pour être beaucoup plus terribles et pour produire une mortalité bien plus grande que ce qui était auparavant soupçonné ou admis.

Je souhaite profiter de l’occasion pour demander à ceux de vos lecteurs qui pourraient avoir des exemplaires de ma brochure d’effacer de la ligne 11 à la page 21, à la ligne 9 à la page 22, 2e édition (ou, dans la première édition, à partir de la ligne 8 à la page 20 à la ligne 4 de la page 21 – Ed. VI), car les chiffres et les conclusions y figurant sont erronés.




Pourquoi veulent-ils nous tuer ?

Par Jean-Michel Grau

« Pourquoi veulent-ils nous tuer? »

Tel est le cri du cœur entendu lors du meeting de Florian Philippot le 26 février dernier, pour protester contre le nouveau confinement le week-end à Nice et sur le littoral des Alpes-Maritimes.

Car le confinement tue. Il tue d’abord lentement mais sûrement tous les indépendants qui ne peuvent plus travailler, qu’ils soient restaurateurs, hôteliers, gérants de bar, de café, de discothèque, de cinéma, de théâtre, de salle de spectacles, de salle de sport, qui sont poussés inexorablement vers la faillite et la ruine. Quel est leur avenir ? Le chômage et la grande pauvreté. Car beaucoup ont déjà compris qu’ils ne rouvriront plus jamais.

Le confinement tue aussi les étudiants, claquemurés dans leur chambre, qui ne peuvent même plus suivre leurs cours autrement que devant le petit écran de leur ordinateur sans voir plus personne. Beaucoup abandonnent déjà leurs études ou songent même à se suicider quand ils ne passent pas carrément à l’acte. Combien ont-ils déjà mis fin à leurs jours à l’heure où sont écrites ces lignes ?

« Nous sommes en guerre. »

C’est une mort à petit feu de toute la classe moyenne qui est sournoisement en train de se mettre en place. Un génocide anonyme et aveugle, sous prétexte d’une guerre déclarée par notre chef d’État il y a bientôt un an.

Mais une guerre contre qui ? Contre un virus, comme il l’a affirmé dans son allocution martiale du 16 mars 2020(([1]youtube.com/watch?v=GPhReeA8oKs)),

ou bien alors contre son propre peuple ?

Son peuple qui l’a élu… pour lui faire la guerre ?

Car faire la guerre à un virus n’a aucun sens. Décréter la mobilisation générale contre un être vivant de 0,12 micron apparaît proprement surréaliste.(([2]abcdust.net/quelle-est-la-taille-dun-virion-covid-19-par-rapport-au-mp10-25/?lang=fr)) Doit-on rappeler à ce général de laboratoire autoproclamé qu’il existe sur terre plus d’un million de quadrillions de virus, dont 200 seulement sont capables de provoquer des maladies chez l’homme en s’introduisant dans les cellules humaines ?(([3]nationalgeographic.fr/sciences/2020/04/il-y-plus-de-virus-que-detoiles-et-pourtant-seulement-certains-nous-affectent))

En fait, c’est inutile, car bien évidemment, il sait tout cela.

Il le sait, tout comme son ministre de la santé qui déclarait il y a encore un an, que le port du masque est inutile pour les personnes en bonne santé.(([4]dailymotion.com/video/x7sh6ng)) Le même ministre, toujours en exercice, qui déclarait cinq jours plus tard que c’est le confinement qui provoque la circulation du virus.(([5]dailymotion.com/video/x7slnvs))

Mais alors, qu’est-ce qui a bien pu justifier depuis un an, ce déploiement délirant dans tout le monde occidental au même moment, de tant de mesures liberticides, depuis les confinements à répétition, les couvre-feux, les muselières obligatoires, les gestes barrière, la distanciation sociale, l’arrêt de pans entiers de l’économie ? Tout cet arsenal de guerre pour un simple virus ? Qui peut encore croire cela, aujourd’hui, mis à part les zombies abreuvés de la propagande H24 des médias mainstream qui entretiennent la peur permanente ?

« Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux ! »

Revenons au meeting de Nice de Florian Philippot, le seul qui fait encore entendre sa voix dans le silence assourdissant de toute la classe politique française qui semble s’accommoder fort bien des mesures toutes plus liberticides les unes que les autres de l’État d’urgence sanitaire à perpétuité.

Voici l’essentiel de ce que Florian Philippot déclarait à Nice ce vendredi 26 février : (([6]youtube.com/watch?v=0daTzm2pW5Y))

« On est là pour imposer un esprit de liberté et de résistance face à la folie.

Je tenais à être ici, à l’épicentre de cette dictature sanitaire qui est en réalité UNE DICTATURE POLITIQUE. Car les décisions qui sont prises n’ont plus rien de sanitaire, ce sont des décisions qui sont exclusivement POLITIQUES.

Véran, Macron, Castex ont annoncé qu’ils allaient faire ce qu’ils ont annoncé comme du « cousu main ». Du « cousu main », ça veut dire qu’ils vont à la fin nous reconfiner, mais ils le font département par département, territoire par territoire, et vous, vous êtes les premières victimes de cette dinguerie ! Mais le « cousu main », ce n’est pas que ça ! C’est aussi le pass sanitaire !

Ce pass sanitaire, ça n’est pas un instrument médical, ni même seulement en lien avec le seul Covid19. Le pass sanitaire, comme dit Macron, c’est UNE RUPTURE MAJEURE DE CIVILISATION ! C’est un problème éthique majeur ! C’est nous faire entrer dans une société profondément inhumaine, profondément diabolique, profondément infernale ! Une société de zombies, où vous devrez présenter un document numérique pour aller au restaurant, pour aller au cinéma, pour prendre le train, pour prendre le métro, pour prendre le tram !

C’est la fin du secret médical. Et c’est ensuite mettre le doigt dans un sacré engrenage : car demain, rien n’empêchera d’utiliser ce pass sanitaire pour interdire l’entrée à des lieux publics à des gens, selon telle ou telle maladie, selon telle ou telle pathologie. Et vous voyez bien, dans quelle société de discrimination « légale », dans quelle société profondément INHUMAINE, INÉGALITAIRE, INJUSTE, avec des citoyens de « huitième zone » nous entrons !

Eh bien, si l’essentiel de la classe politique française est, soit complice, soit soumise, soit endormie devant ce totalitarisme rampant, « les Patriotes » seront dans la résistance, avec vous !

Tout ce qu’ils annoncent : les confinements, les couvre-feux, les fermetures, les restrictions en tout genre, cela relève du charlatanisme ! Nous savons maintenant que ces couvre-feux et ces confinements ne servent à rien sinon à tout détruire ! Les confinements détruisent tout, sauf le virus. Et quand nous le disons, nous nous fondons, nous, sur la science ! Nous avons regardé l’étude de Stanford, celle du meilleur épidémiologiste au monde, M. Ioannidis. Nous avons regardé l’étude du CHU de virologie de Toulouse, qui a démontré, chiffres à l’appui, que le couvre-feu à 18 heures AGGRAVAIT l’épidémie !

… Croyez-vous que tous ces barons locaux qui confinent les gens vivent et subissent le confinement ? Bien sûr que non ! Ils ont la dérogation ! Ils ont l’attestation ! Ils ont le précieux sésame qui leur permet, eux, de continuer à vivre normalement ! Et surtout, eux, continuent d’être payés à 100 % ! Alors que ceux qui subissent les fermetures et les restrictions sont mis dans une panade sans nom ! Et ils n’en ont manifestement rien à faire !

… Il y a des traitements, et c’est cela le non-dit. Ce sont de vieilles molécules qui ne rapportent pas un rond aux laboratoires. Les seuls traitements qu’on a autorisés depuis le début, c’était le Remdésivir de Gilead, totalement inutile, voire dangereux, voire qui provoque des variants, comme l’a dit Raoult. Mais c’est vrai que ça coûte 2300 euros la semaine de traitement…

En revanche : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, colchicine : toutes ces vieilles molécules qui ont démontré leur efficacité contre le Coronavirus : systématiquement in-ter-dites ! INTERDICTION AUX MÉDECINS DE PRESCRIRE LIBREMENT, ce qui est une première, honteuse et scandaleuse dans l’histoire de notre pays ! »

C’est à ce moment qu’une voix se fait entendre dans le public, s’exclamant par deux fois :

« Pourquoi veulent-ils nous tuer ? Pourquoi veulent-ils nous tuer ? »

Florian Phillipot reprend:

«… Vous comprenez bien qu’on ne peut pas rester les bras croisés, à plat ventre, à nous taire!

Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux !

Nous ne sommes pas là pour être soumis à une politique qui nous traite moins bien que du bétail. Parce que nous sommes traités moins bien que du bétail ! C’est La Boétie qui disait :

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

Cessons d’être à genoux et levons-nous ! Soyons fiers, soyons libres, soyons dignes !

Alors, nous réclamons : la prévention, le traitement, qu’on arrête de fermer des lits et qu’on en rouvre, qu’on forme du personnel et :

NOUS DEMANDONS À CE QUE TOUT SOIT ROUVERT TOUT DE SUITE ! NOUS DEMANDONS ET NOUS EXIGEONS LE RETOUR DE TOUTES NOS LIBERTÉS TOUT DE SUITE ! ET NOUS EXIGEONS LA FIN DU MASQUE OBLIGATOIRE TOUT DE SUITE !

Revenons à l’humanité ! Revenons au bon sens ! Revenons à la raison !

Nous ne voulons pas de cette caste qui nous asservit depuis si longtemps et qui a trouvé dans ce virus le prétexte pour faire de nous des gens dominés, des gens obéissants, des gens soumis, c’est-à-dire l’inverse de ce que nous sommes, et surtout l’inverse de ce que nous voulons transmettre aux générations qui viennent. Nous n’avons pas le droit, au nom de nos ancêtres qui se sont battus pour nos libertés, nous n’avons pas le droit de leur laisser ce monde-là ! »

Et de conclure avec cette citation de Benjamin Franklin :

« Une société prête à sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Avec la mise en place du pass sanitaire pour créer une société d’alpha plus et de bêta moins, il y a clairement une volonté de tuer la classe moyenne de la part des adeptes de la secte de Davos menés par Klaus Schwab et l’Union européenne. Dans cette société, les seuls gagnants seront ceux qui nous auront imposé cet esclavage forcé, à savoir l’oligarchie financière et son bras armé, l’UE, devenue entretemps, l’Union de l’Enfermement avec les confinements avant de devenir l’Union Eugéniste avec le pass sanitaire.

Car c’est bien d’un programme eugéniste dont il est question avec l’imposition des piqûres géniques, via le pass sanitaire qui n’est qu’une énième supercherie. En effet, qui peut encore croire aujourd’hui que les restaurants auxquels auront le droit d’entrer les seuls « vaccinés » rouvriront un jour ? Même chose pour les musées, les salles de spectacles, les cinémas, les théâtres, les opéras, etc.

Car la fermeture généralisée de tout ce qui faisait le bonheur de vivre encore il y a un an doit se poursuivre pour réaliser le transfert de richesses des classes moyennes à la finance mondialiste afin de se refaire une santé sur notre dos après le krach mondial à venir.

Cette spoliation de tous nos biens avec le soutien des banques centrales ne peut se faire qu’en nous imposant un revenu universel, carotte de notre soumission, une fois que nous serons tous devenus « des gens qui ne sont rien »(([7]youtube.com/watch?v=mlxXW95qeK4)) qu’on pourra éliminer sans état d’âme, puisque telle sera la destinée voulue par le forum de Davos des gens qui ne sont rien.(([8]youtube.com/watch?v=Yx8DXGJi8r4))

NOUS DEVONS RÉAGIR DÈS MAINTENANT POUR GAGNER CETTE GUERRE EN NOUS RÉVOLTANT MASSIVEMENT CONTRE CETTE CASTE MONDIALISTE POUR L’EMPÊCHER PAR TOUS LES MOYENS DE BRISER NOS VIES À TOUT JAMAIS.

« Cette guerre, on va la gagner à la fin. On la gagnera tous ensemble. »

Florian Philippot

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Reiner Fuellmich