Mois : janvier 2021

Dépasser le conflit

L’existence des conflits individuels et collectifs semble aussi vieille que l’Humanité. Si les causes en paraissent de prime abord multiples, en creusant un peu plus, elles se ramènent à une cause plus fondamentale : l’illusion de la séparation qui accompagne le processus d’individualisation de la Conscience.

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Amasser ou créer

Encore sous l’influence de l’instinct de survie et des peurs qui y sont reliées, et stimulés dans ce sens par la publicité et le marketing, de nombreux êtres humains tendent à amasser une grande quantité d’objets matériels qu’ils utilisent en définitive très peu. La société de surconsommation fonctionne en stimulant le désir vers la possession matérielle qui ne peut que s’accompagner de gaspillages et d’une croissance des pollutions. Pourtant, si l’on veut un monde plus harmonieux et plus sain, il conviendra de stimuler le désir humain prioritairement dans une nouvelle direction, plus constructive.

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L’âme d’une nation

Sachant qu’une nation est un groupe humain partageant une même culture, une même histoire et une même langue, on peut considérer que celui-ci est également uni par une conscience ou une âme commune. Même si des événements géopolitiques, militaires, ou de nature économique sont à l’origine de la formation d’une nation, celle-ci finit par développer aussi en quelque sorte une âme, de même que pour d’anciennes maisons occupées par plusieurs générations d’individus. À partir d’un tel point, l’extérieur peut tenter de détruire la nation ou les familles occupant la maison, mais l’âme subsiste. Ceci a été particulièrement illustré dans le cas de la nation polonaise qui a subi trois partitions successives, le troisième partage ayant abouti en 1795 à son démantèlement au profit de la Russie, de la Prusse et de l’Autriche.

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Les relations humaines

De nos jours, les relations humaines concrètes tendent à être remplacées par des relations virtuelles dans lesquelles on ignore d’ailleurs souvent l’identité réelle des interlocuteurs. Les réseaux prétendument « sociaux » remplacent les relations de proximité. Parallèlement, on ignore de plus en plus ses voisins alors même que l’on habite dans le même bloc, le même immeuble ou la maison d’à côté.

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Les machines pour jouer à Dieu

Depuis seulement environ deux siècles, l’Homme a inventé des machines et des instruments. Ceux-ci fonctionnent avec des énergies non animales et non humaines, alors qu’avant il utilisait ses muscles ou ceux de ses animaux domestiqués. Il a créé des machines de plus en plus perfectionnées, des plus minuscules, aussi petites que des microbes, jusqu’aux plus gigantesques, comme les accélérateurs de particules qui s’étendent sur quelques dizaines de kilomètres.

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L’immigration

Depuis les origines de l’Humanité, le mouvement éventuel des différents groupes humains a été surtout conditionné par la présence ou non des ressources indispensables à sa survie, spécialement les ressources alimentaires. Le nomadisme avait plutôt lieu dans les régions désertiques, semi-arides ou périodiquement couvertes de neige. Les autres connaissaient une vie plus sédentaire. Les grandes migrations ou invasions ont pu aussi être provoquées par certains chefs avides de s’emparer de ressources étrangères. Depuis un ou deux siècles, la découverte de nouvelles ressources énergétiques et la création de nouveaux moyens de transport à base de moteurs énergivores ont favorisé une nouvelle tendance : les déplacements touristiques, modèles de gaspillage dans une société oisive et irresponsable.

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Coup de froid

Le climat pourrait-il avoir un lien avec certains de nos ennuis de santé, spécialement avec les rhumes et la grippe? La science matérialiste, cherchant généralement des causes immédiates et bien tangibles a conclu ces dernières années par la négative. Pour elle, des maladies telles que le rhume et la grippe ne doivent qu’aux microbes quand ce n’est pas aux quarts de crobes (mauvais jeu de mots).

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Note sur l’effondrement des civilisations

Les civilisations, comme les individus, sont confrontées à divers besoins et cherchent à les combler en accédant à des ressources pouvant les satisfaire.(…)
Le potentiel d’une civilisation dépend du potentiel moyen d’un individu et du nombre de ses représentants. Il peut être supérieur au produit de ces deux données, si les ressources sont partagées équitablement ou justement. Mais il peut être inférieur à ce produit si les ressources sont accaparées par une seule partie des membres de la civilisation au détriment du reste. Plus la partie qui accapare est réduite et moins le potentiel de la civilisation est important, mais plus cette civilisation risque l’auto-destruction.

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La bureaucratie contre la liberté

Nos sociétés modernes ont progressivement développé une bureaucratie de plus en plus pesante et omniprésente. Celle-ci gère maintenant presque tous les aspects de nos vies et a conjointement diminué considérablement notre liberté de mouvement et d’action. Elle a une telle emprise et une telle présence qu’elle semble naturelle à beaucoup de gens. Ceux-ci sont nés avec elle et mourront avec elle, prisonniers de ses règlements d’un bout à l’autre de leur vie. Ceux qui enfreignent ces derniers ne gagnent souvent rien d’autre que la prison ou de fortes amendes. Pour retrouver une vraie liberté, il faudra pourtant apprendre à s’en passer.

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En pleine crise

Depuis au moins quelques décennies, la civilisation moderne est dans un état comparable à l’adolescence de l’être humain. Elle vit la crise d’un passage de l’enfance à l’âge adulte et à la maturité qui en théorie l’accompagne. Cette crise particulière touche toutes ses dimensions, des plus matérielles aux plus subtiles. Elle engendre des problèmes et des conflits autant sur le plan des ressources et des phénomènes concrets qu’au niveau des idéologies, des idées, du psychisme et de la conscience. Comme pour toute crise, il faudra trouver le moyen d’en sortir.

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Regard sur l’Apocalypse

Comme en d’autres époques troublées, telles que la grande peste du Moyen-âge, beaucoup d’êtres humains cherchent à atténuer leur inquiétude croissante face à l’avenir en consultant devins, oracles, médiums et prophéties en tous genres. À côté d’eux, d’autres ne craignent rien de cet ordre. Deux questions majeures peuvent alors se poser : qu’est-ce qui différencie ceux qui ont peur de ceux qui ne l’ont pas? Et quel peut être l’intérêt des prophéties telles que l’Apocalypse, l’une des plus connues?

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Faire marche arrière

Au Québec, le nombre d’élèves en difficulté a doublé en 15 ans, passant de cent mille à deux cent mille. Certains députés ou responsables proposent de créer des classes adaptées. Aussitôt, d’autres s’insurgent en disant qu’on ne va tout de même pas revenir plus 20 ans en arrière. Ah bon ? Quand une politique, une philosophie de vie ou une démarche empire les choses et arrive manifestement à une impasse, il ne faudrait surtout pas faire demi-tour ou marche arrière ?

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Masse critique

Si 3,5% d’une population suffit à renverser un gouvernement par un mouvement non violent, quel pourcentage est nécessaire pour renverser un système? Quelle proportion d’êtres humains agissant dans le même sens sera nécessaire pour faire tomber définitivement le Nouvel Ordre Mondial qui semble en voie d’achèvement? Si 3,5% suffisent pour un gouvernement, on peut penser qu’une telle masse critique peut aussi suffire pour un système. Cependant, un gouvernement n’est jamais que la partie émergée de l’iceberg qu’est un système.

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Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)

Parallèlement à la croissance exponentielle de la téléphonie mobile et de l’usage du Wi-Fi, la médecine constate aussi une telle croissance de divers problèmes de santé. Il reste à déterminer de manière suffisamment probante s’il existe un lien de cause à effet entre les deux. Un tel lien a déjà été suspecté depuis plusieurs décennies. Et ce sera à chacun de choisir s’il préfère continuer à utiliser ou non de telles technologies.

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Note sur les Gilets jaunes et les mouvements sociaux

Dans l’histoire humaine, les mouvements sociaux ont généralement eu besoin de leaders pour naître et pour prendre de l’ampleur. En absence de tels leaders, les revendications tendent à rester diffuses et incohérentes, s’éparpillant dans toutes les directions. Elles ne s’organisent pas ou couvent sous la surface sans pouvoir s’exprimer, à l’image de l’eau qui bout dans une cocotte-minute. La pression monte, au risque de faire exploser le contenant (le système) avec de grands dégâts matériels. C’est ce qui arrive lors de révolutions sanglantes.

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Note sur le 11 septembre 2001, le terrorisme et la manipulation des foules

L’analogie avec l’eau en surfusion dans la Note sur les Gilets jaunes et les mouvements sociaux est applicable aux événements du 11 septembre 2001 et au terrorisme d’état en général. Il existe cependant une différence entre les deux. Alors que les mouvements sociaux ont tendance à partir de la base ou des leaders de cette base, le terrorisme d’état (c.-à-d. organisé en fait par les états contre leur population ou contre la population d’états voisins, comme dans le cas des événements du 11 septembre) part plutôt du sommet ou d’individus situés hors de la population visée.

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Pourquoi le NOM nous fragilise ?

Les élites promotrices du Nouvel Ordre Mondial (ou NOM en abrégé) connaissent en général assez bien la psychologie humaine et comment s’en servir pour manipuler les populations. Ils le doivent à leurs études suivies dans des écoles élitistes ou au recours à des conseillers pleinement compétents en la matière. Ainsi, ils savent notamment que comme les autres êtres vivants et les divers objets de l’univers, les êtres humains sont assujettis à la grande loi d’action et de réaction. Il reste à déterminer comment et pourquoi ils nous fragilisent par son biais.

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La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos

La matière de l’univers est sujette à une grande loi universelle implacable appelée en physique la loi d’entropie. Celle-ci peut être plus facilement comprise comme étant la Loi de dégradation, ou encore la Loi d’augmentation du désordre et du chaos. Appliquée au départ aux objets et systèmes matériels organisés, spécialement dans l’étude des transferts de chaleur d’un objet ou d’un système à l’autre (par exemple entre une plaque chauffante et une casserole d’eau), elle peut être généralisée à tout système, tout objet, tout corps matériel, tout être vivant constitué de matière… Elle peut donc aussi concerner les organisations humaines.

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Ne plus nourrir la Bête

La Bête, alias le Système dans lequel nous vivons, se nourrit de nos excès de consommation, de nos débordements émotionnels, de nos désirs, de nos peurs et de nos divisions et conflits. Elle survit globalement depuis des siècles ou même des millénaires grâce à notre ignorance. Beaucoup d’entre nous ignorent même jusqu’à son existence, inconscients de vivre dans un système artificiel de plus en plus antinaturel. Pourtant, si nous devons un jour vivre sur un monde réellement nouveau, rénové, régénéré, guéri, en pleine santé… il faudra laisser la Bête mourir de faim. Et pour cela nous devons cesser de l’alimenter en permanence.
Voici donc un échantillon des actions que l’on peut entreprendre individuellement et collectivement pour ne plus nourrir ce Système :

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L’habit ne fait pas le moine

Si l’habit ne fait pas le moine, et si notamment il ne suffit pas de se déclarer par exemple Pape au service des pauvres pour l’être effectivement dans les faits, qu’est-ce qui peut donc bien faire du moine ce qu’il est ? Si nous parvenons à répondre à cette question, nous gagnerons un discernement accru concernant la nature réelle de ceux qui nous gouvernent et de ceux qui leur donnent des ordres. Nous ne nous fierons plus aveuglément ni bêtement à l’apparence, à l’image souvent créée par le biais du marketing et des médias. Ceux-ci parviennent en effet bien trop souvent à nous vendre de la margarine pour du beurre quand ce n’est pas dix fois pire.

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Quand la paix existera-t-elle vraiment ?

La paix signifie notamment l’absence de guerres (militaires, civiles, commerciales, idéologiques, etc.) et de conflits entre individus ou entre groupements humains. Elle n’est évidemment pas possible tant qu’il existe des armes de tous calibres et même les plans pour en fabriquer. Elle n’est pas non plus possible tant que l’on recourt à des embargos pour imposer sa volonté à d’autres nations ou à d’autres groupements humains. Elle ne sera pas non plus réalisable tant que des individus ou des groupes chercheront à imposer leurs idéologies ou leurs coutumes à d’autres. Est-ce que tout ceci est envisageable au cours des prochaines années?

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Effets de l’art moderne

Si l’on définit l’art comme la matérialisation, la manifestation, la représentation ou l’expression d’un ensemble de sensations, d’émotions ou de sentiments et comme un moyen de les faire rejaillir, il existe alors une relation étroite entre l’art d’une civilisation et la vie sensorielle, émotionnelle et sentimentale des individus qui la composent. Autrement dit, en étudiant les différentes formes d’art d’une civilisation, on peut connaître en particulier les émotions et les sentiments qui y dominent et l’influencent. On pourra notamment savoir si ceux-ci favorisent l’élévation des âmes ou au contraire leur descente dans le matérialisme. De ce point de vue, qu’en est-il de l’époque moderne ?

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Le RIC suffira-t-il ?

Le mouvement des Gilets jaunes a fait mettre en avant la notion de Référendum d’Initiative Citoyenne (ou RIC en abrégé). Bien des Français maintenant se polarisent dessus dans l’espoir qu’en obtenant une telle miette de pain, leur faim de changement social, professionnel ou civilisationnel sera satisfaite. Cela pourra-t-il être le cas?

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Survie ?

L’époque actuelle apparaît de plus en plus troublée dans ses fondements comme dans les événements vécus individuellement et collectivement. Ceci entraîne notamment une préoccupation croissante pour les deux notions suivantes : celle d’effondrement des civilisations et celle de survie lors d’un tel effondrement. Il reste à déterminer la cause d’un tel trouble et l’intérêt de telles préoccupations.
Depuis au moins deux siècles, et spécialement depuis la Révolution française, les fondements moraux et religieux de la civilisation occidentale ont été progressivement réduits à peau de chagrin. Si les dogmes religieux traditionnels ont été plus ou moins pulvérisés, ils ont été remplacés par ceux de la Franc-maçonnerie et de la laïcité largement promue par cette dernière.

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Les villes sont le cancer de la Terre

L’Histoire tend à démontrer que l’urbanisation s’est toujours accompagnée d’un mouvement de l’agriculture vers les monocultures et l’exploitation paysanne. Lorsqu’une ville s’implantait puis grossissait dans une région initialement rurale comportant des fermes autosuffisantes pratiquant la polyculture, pour survivre, elle devait mettre en place tout un processus d’approvisionnement alimentaire à partir de la campagne environnante. Les paysans devaient produire bien plus, et d’une manière telle que la récolte soit plus rapide.

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Deux humanités ?

Dans certains milieux ou réseaux ésotériques ou spirituels, il existe depuis quelques décennies une théorie de plus en plus en vogue selon laquelle une partie non négligeable des êtres humains n’auraient pas d’âme. Avant d’examiner les conséquences possibles d’une telle vision des choses et notamment à qui elle peut profiter, nous en ferons un court résumé et une rapide évocation de ses origines plus lointaines.
La théorie évoquée présente diverses variantes, mais expose le plus souvent que près de la moitié des êtres humains, d’origine pré-adamique, seraient dénués d’âme et donc de simples « portails organiques » tout juste bons à se faire manipuler ou posséder par des entités.

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Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !

De nos jours, il semble bien que le terme « fascisme » ait largement perdu son sens originel, à l’image de l’évolution d’une bonne partie du vocabulaire politique, économique, social, culturel et éducatif… vers la « novlangue » chère à Orwell. En revenant aux sources de sa définition, et en examinant succinctement nos systèmes prétendument « démocratiques », nous pourrons facilement constater le caractère effectivement fasciste de nos sociétés actuelles, à la différence près que le nationalisme est maintenant très mal vu et remplacé par l’obligation doctrinale de penser en termes d’Europe (ou de fédérations, confédérations et autres super-groupes étatiques équivalents ailleurs dans le monde).

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L’avenir se crée maintenant

La Loi de causes et des effets et celle d’action et réaction (voir Pourquoi le NOM nous fragilise ?) indiquent notamment que ce que nous faisons à un moment donné entraîne toujours des conséquences d’un ordre ou d’un autre. Et ce que nous « faisons » peut aussi bien être une action concrète que penser, imaginer, aimer… ou haïr. Nos choix présents en matière d’actes, d’émotions, de sentiments et de pensées ont donc toujours des conséquences sur ce qui interviendra dans le futur (proche ou lointain). Mieux connaître les mécanismes impliqués pourra nous permettre de préparer un meilleur avenir.

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Faut-il combattre l’astral ?

Certains ésotéristes ont prôné le combat contre les entités manipulatrices ou négatives censées se trouver dans certaines sphères astrales et/ou mentales. D’autres individus, parfois les mêmes, ont voulu combattre certaines idéologies. D’autres encore se sont efforcés de détruire les mirages ou les illusions dont ils pensaient certains individus victimes. Est-ce que ces choix étaient pour autant judicieux ?

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Profughi di origine Subsahariana a bordo di un barcone, Mar Mediterraneo Meridionale, 11 Settembre 2014. Nel corso dell'operazione 'Mare Nosrum' la Fregata Euro ha individuato e prestato soccorso a due barconi con 956 persone. ANSA/GIUSEPPE LAMI

Note sur le pacte migratoire

Le « Pacte mondial pour les migrations sûres, ordonnées et régulières » insiste lourdement sur le fait que les phénomènes migratoires seraient naturels et allant de pair avec la « mondialisation ». Est-ce pour autant le cas ? Pouvons-nous nous contenter d’affirmations de la part des élites mondialistes alors qu’elles nous ont déjà maintes fois menti ?

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