Joseph Stroberg

26/03/2023 (2020-10-28)

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Joseph Stroberg est le nom d’auteur d’un rat (son signe astrologique chinois) des champs (Deschamps) prénommé François.

Pour faire très bref, après quatre années de professorat en sciences physiques au Gabon puis en France, il s’est lancé en autodidacte dans l’informatique et travaille dans ce domaine depuis 1995. En marge de son activité professionnelle, il a réalisé divers logiciels dont il offre ici ceux qui sont les plus actuellement fonctionnels (les autres n’ayant pas été mis à jour pour les systèmes actuels).

Il a écrit Urane, l’éducation et les lois cosmiques, publié en 1991 aux éditions Arista, et traduit deux autres essais depuis l’anglais. Ses trois roman de science-fiction du triptyque Les couloirs du temps sont publiés aux Éditions Dédicaces :

Résurrection en terre étrangèreProjet VulcainLa voie du Rinn’dual

Il vit au Québec depuis 2003

https://vk.com/wall430568862_54840 (Émission avec Claude Janvier et Éric Montana)

Quatrième roman, proposé en lecture libre sur le site Nouveau Monde :
Le Tétralogue

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(10 commentaires)

  1. J,aimerais savoir sur quoi vous vous baser a dire que mario dumont recommande l’envoi des anti-vaccins dans une ville minière désaffectée du nord du Québec. je n,est pas trouver la sourse et si aucune preuve hélas vous serai discrédité c.a serait dommage si tel est le cas je ne partagerai plus vos affirmations

  2. suite a une conversation avec un ami il me confirme vos dire je m,excuse de mes doutes

    1. Pas de problème. Vous avez trouvé la réponse ici. Et fort heureusement, la source sur le site même du Journal de Montréal est pour l’instant toujours présente.

  3. Bonjour François,
    J’aimerais bien avoir des avis/critiques sur vos livres (Urane, et les 2 livres de SF).
    Et s’il n’y en a pas, au moins avoir votre avis relativement objectif si vous pouvez.
    Bien cordialement,
    guillaume

    1. Bonjour Guillaume,

      Sur le plan de la forme, Urane était un essai ésotérique avec une présentation inhabituelle basée sur les notes de musique et les planètes pour délimiter 14 chapitres divisés en deux octaves ou sections, alors que les deux romans de science-fiction constituent les deux premiers volets du triptyque « Les couloirs du temps ».
      En ce qui concerne le fond, Urane peut être vu comme un outil de réflexion, une source de concepts qui peuvent être explorés, ou encore un point de vue sur de nombreux domaines de l’existence humaine : éducation, politique, économie, nutrition, religion, etc.
      « Résurrection en terre étrangère » situe son action sur une planète d’un certain système solaire à une époque située environ 13 500 ans avant la nôtre, alors que « Projet Vulcain » la situe environ 150 ans dans l’avenir, et le troisième volet qui reste à publier se passe dans environ 100 000 ans dans le futur. Il existe un lien de cohérence entre les trois, mais les différentes histoires peuvent se lire assez facilement de manière indépendante. Ainsi, le premier chapitre de « Projet Vulcain » vient apporter une révélation qui peut paraître surprenante par rapport au premier roman. En tant que lecteur, je dirais que les trois romans sont fluides au niveau du style, que l’action est rythmée et soutenue, avec de nombreux rebondissements ou éléments inattendus au point de pouvoir difficilement deviner la suite de l’histoire, mais que certains passages peuvent paraître plus difficiles à comprendre en raison des concepts pointus qui y sont proposés, particulièrement ceux qui concernent la cause créatrice de l’Univers, la conscience, ou encore les plans parallèles. De nombreux thèmes sont abordés et la richesse des idées n’empêche probablement pas le plaisir de la lecture qui comporte notamment certains passages humoristiques et des dialogues que l’on pourrait peut-être qualifier de « puissants » ou intenses (certains d’entre eux représentent une véritable joute oratoire). Est-ce que si j’avais eu à les lire sans les avoir écrits préalablement je serais par exemple resté sur ma faim dans certains chapitres ? Peut-être, selon ce que j’aurais attendu et parce que l’on peut toujours trouver matière à amélioration, surtout qu’au départ je souhaitais écrire ces trois romans en collaboration avec un autre auteur (afin de pouvoir notamment leur donner une dimension épique qu’ils n’ont sans doute pas actuellement, sauf éventuellement si on les considère dans leur ensemble).

      Bien cordialement,

      François, alias Joseph

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