Israël ne devrait pas accepter l’aide « démocrate » US et UE, puissances discréditées

Par Lucien SA Oulahbib

Les « démocrates » US et leurs alliés soumis, dont l’UE, sont responsables de la situation globale en Israël par le refus de continuer l’action de Trump (moins « heureux » sur l’injonction de l’injection de plus en plus frauduleuse) lorsqu’il déplaça l’ambassade US à Jérusalem ; ces « dirigeants » dudit « monde libre » auraient pu en effet forcer les responsables palestinistes à accepter au moins le plan saoudien d’indemnisation des « réfugiés » de 1948 (et seulement eux) en échange de la reconnaissance formelle d’Israël, tout en abandonnant toute revendication sur Jérusalem qui n’a jamais été une capitale « arabe » de toute façon (à moins de succomber à la revendication « religieuse »… Mais, dans ce cas, quid de la reconstitution du Temple ?…), et tout en leur rappelant qu’avant 1967 ils auraient pu fort bien faire un État dans ce que certains appellent encore la « Cisjordanie » et qui était sous juridiction provisoire jordanienne. Or, au lieu de cela, Arafat voulut s’emparer de la Jordanie en 1970 puis du Liban en 1975, suscitant des dizaines de milliers de morts. Ce serait bien aussi que les footballeurs crachant sur leurs bienfaiteurs et du haut de leur retraite dorée en Arabie s’en souviennent…

Et depuis cette guerre civile interarabe, le travail de sape s’accéléra dans l’enseignement et les médias, se greffant par exemple en France à la « politique arabe de la France » (elle existait déjà sous Napoléon III) reprise par De Gaulle depuis les » accords » d’Évian, et accentuée après 1967, « le peuple juif dominateur et sûr de lui » lâcha De Gaulle en 1967 (au grand dam de Raymond Aron qui en fut blessé) après le « je vous ai compris » de 1958… Sans oublier le soutien implicite de la junte installé là-bas depuis 1962, la réduction des affrontements avec le djihadisme en col blanc à Sétif et Charonne, le tout créant une paralysie mentale et l’accentuation du syndrome de Stockholm à peine freiné par les attentats du 11 septembre 2001 (alors que démocrates et républicains n’avaient eu de cesse de soutenir le wahhabisme), ceux de Madrid, de Londres (et son Londonistan) de Charlie Hebdo, de Nice, du Bataclan, et le djihad du quotidien, Bruxelles, Arras, les émeutes de juin, Gaza où l’on vit des pilleurs accompagnés les tueurs et les violeurs, Montpellier tout dernièrement. Tout est lié, « différence ET répétition »

Aussi le fait que les « démocrates » US avec à sa tête un Biden (le même qui a poussé le gang Azov ayant pris le pouvoir à Kiev à sacrifier des centaines de milliers d’hommes contre une guerre sans fin envers la Russie) vienne en Israël, à la suite de la commissionnaire en chef UE et de divers officiels de la même engeance ayant eux aussi le gang azovien, n’aide pas vraiment Israël qui d’ailleurs semble bien être de plus en plus empêché d’en finir réellement avec les assassins djihadistes (pléonasme qui se défend…) qui occupent illégalement en plus Gaza (la grogne monte, vite étouffée par Bibi, aux dires de I.24 news…).

En un mot, toute complicité avec le djihadisme doit être dénoncée et combattue, quand bien même se nicherait-elle dans des rangs dits « démocrates »…




L’épuration du blanc chrétien ou juif de toute terre djihadisée (Bruxelles, Arras, Israël, Montpellier…)

Par Lucien SA Oulahbib

Peut-être que les événements actuels (Gaza, Aras, Bruxelles, Montpellier) rappellent ou plutôt mettent mieux en lumière des événements passés comme ceux ayant suivi lesdits « accords d’Évian » qui à l’instar au fond des « accords d’Oslo » (et des « accords de Minsk ») ont servi aux épurateurs de l’époque à éliminer toute diversité, pluralisme, « melting-pot pot » au nom même de l’antiracisme, et du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » ; le « peuple » étant ainsi conçu dans l’unique définition qui confond race ou ethnie et religion et État. En ce sens, toute personne refusant cette définition Théo-racialiste étatique (ce que n’est pas l’État d’Israël ni l’État français qui ne sont pas basés sur la loi religieuse) doit accepter cette ségrégation sociale (dhimmitude) ou s’en aller ou mourir, bref « la valise ou le cercueil »

Le million de « rapatriés » provenant de la Tamazight centrale (ou « Algérie ») n’avait donc aucune raison de partir (même après Sétif qui fut le produit d’une manipulation djihadiste), puisqu’il s’agissait plutôt de rééquilibrer le pouvoir en permettant à toutes les parties de la population d’être représentées le tout dans le cadre d’une confédération façon « Commonwealth », incluant également l’Indochine et l’Afrique. Mais le centralisme jacobin résidu du monarchisme issu de l’île de France en a décidé autrement, jusqu’à tout perdre et basculer dans son contraire. Ou comment, depuis la prise de pouvoir des léninistes et gaullistes sur l’enseignement en particulier de l’Histoire, auront été édulcorées d’une part la présence bénéfique de la culture française au sens large (civilisation) et d’autre part la présence nuisible de la culture arabo-turco-musulmane dans les terres qu’elle aura conquises tout autant dans le sang alors que le jaillissement de ce dernier est uniquement circonscrit à la présence française et plus généralement occidentale oubliant que la colonisation musulmane en a fait également jaillir, et ce abondamment, particulièrement lors de la conquête des Indes et de la traite négrière, avec castration quasi systématique, un fait majeur (relaté par Tidiane N’Diaye) qui n’est toujours pas réellement enseigné, à peine esquissé.

Or, voilà où le bât blesse (entre autres) ou comment, d’une part, des événements toujours majeurs comme ce qui s’est donc réellement passé, et ce depuis le départ ou le massacre des tribus juives de la main même du chef djihadiste de l’époque, car elles refusaient sa « loi », puis sur le pourquoi réel des Croisades (du moins les premières…), en passant par le pourquoi de la présence française en Afrique du Nord (afin de lutter contre « la Course »), ce qui s’est passé en Indochine, la présence permanente juive en Israël et Judée-Samarie malgré l’exil. Pourquoi en bref ces événements aux répercussions encore si présentes ne sont pas réellement enseignés dans leur profondeur contradictoire, et, d’autre part, pourquoi l’on ne voit toujours pas des hordes de Vietnamiens et de juifs s’en prendre aux institutions françaises à la suite de la guerre d’Indochine et des lois raciales pétainistes (bien avant la ré-émergence d’Israël…) ?…

Comment se fait-il que « l’éveil » supposé des jeunes générations au « racisme » soit si unilatéralement tourné vers une seule couleur, la blanche, deux religions, la juive et la chrétienne, oubliant ainsi allègrement que la musulmane a beaucoup de sang sur les mains et continue d’en avoir… Or au lieu d’ouvrir ce débat, puisque nous sommes, paraît-il, en « démocratie », la moindre critique est bloquée par les vocables « raciste, extrême-droite-islamophobie » comme si les Allemands ou les Français employaient les mêmes termes pour empêcher toute réflexion sur le nazisme et le pétainisme ; parle-t-on en effet de germanophobie et de francophobie à la moindre allusion aux thèses hitlériennes et pétainistes ? Alors que pourtant c’est bien au nom de leur « Dieu », celui de l’islam, que les djihadistes assassinent, découpent, décapitent, violent, kidnappent, brûlent, tandis que leurs adeptes scandent dans leur manifestation le désir de gazer les juifs tout en redessinant l’étoile juive sur les portes à Berlin, tout en regrettant que « Hitler n’ait pas fini le taf » tout en traitant chaque femme de « pute » si elle refuse des avances alors qu’elle est habillée de manière seyante, ce qui semble être de la provocation pour tous ceux qui n’ont toujours pas compris qu’ils ne vivent pas en… Arabie ou en Iran, et encore, car même là-bas les femmes suffoquent sous ce joug (mais « cela ne nous regarde pas » diraient en chœur un Xavier Moreau ou un Éric Zemmour…).

Donc, tout est à repenser, sauf qu’il est interdit de le faire, car ce serait d’extrême-droite… Spirale sans fin de l’effondrement… Avec les mêmes qui pérorent sur le sexe (des anges…) jusqu’à d’ailleurs en imposer de plus en plus la diatribe (en) primaire…




Les idiots utiles du « socialisme » djihadisé

Par Lucien SA Oulahbib

Socialisme « arabe » (baasiste, nassériste…) et djihadisme sont les deux faces d’une même médaille défendue aujourd’hui autant dans les rues d’Alger, de Paris à Bagdad que naguère par les Saddam et Kadhafi qui fomentaient, nourrissaient les djihadistes allant se faire sauter à Jérusalem pour le premier, faisant de la propagande jusqu’à l’extrême gauche en passant par les sarkozistes pour le second. Ce qui fait qu’il existe, parmi beaucoup d’Occidentaux, une incompréhension sourde de ces deux faces et de leurs liens, bien plus concurrentes qu’ennemies et qui aujourd’hui font cause commune comme cinquième colonne au plus profond des nations occidentales (avec le pompon à Sydney où l’on veut toujours « gazer » du juif…).

Que les Anglo-Saxons aient fait des erreurs stratégiques monumentales lorsqu’ils tentèrent de les dégommer en Irak et en Afghanistan ne veut pas du tout dire qu’ils soient les principaux responsables de la prise d’indépendance actuelle effectuée par la seconde face de cette médaille arabo-musulmane dont par ailleurs les sympathies nazies signifiaient seulement que les deux faces partageaient et partagent encore le même but : détruire le judéo-christianisme et la raison universelle qui en découle, et ce comme le voulaient aussi les germanophiles depuis Luther, Fichte, Nietzsche, puis le nazi — tendance S.A — Heidegger… En un mot et trivialement dit, les djihadistes ne sont pas la création combinée de la CIA et du Mossad, même s’ils les ont cyniquement manipulés, mais le produit bien plus lointain du refus théologique arabo-musulman d’admettre que la loi de la Nature, à savoir la Raison, est coextensive à l’idée de liberté, puisque nous avons été faits à Son image…

Ce qui implique d’admettre que le conflit entre humains et citoyens soit permanent comme le disait Machiavel lisant Aristote pour définir les limites de ce qui « est » possible en soi comme pour soi ou Le politique lui-même…

C’est ce que refusèrent les théologiens alliés aux califes contre les vizirs en tuant dès le début l’esprit « rationnel » (ou le sens commun chassé vers l’Andalousie morcelée avant la réaction djihadiste Almohade…) voyant un Ghazali triompher sur Averroès, puis l’émergence de Wahhab sous domination ottomane, etc., etc., ce qui fait que les djihadistes d’aujourd’hui sont bien plus au courant des enjeux civilisationnels majeurs entre Soumission et Liberté (entre uniformisation indifférenciée et enracinement singularisé) que ne le pense par exemple un Gilles Kepel. Celui-ci eut le toupet d’écrire dans sa préface au livre présentant « Al Al-Qaïda dans le texte » que les textes rassemblés auraient été très « pauvres » en doctrine. Comme si les plumes en action avaient « quelques neurones », ajoutait à l’époque Kepel, ce qui démontre son degré de sous-estimation — quand bien même parlerait-il excellemment arabe (il s’en vante à chaque fois) — qui se manifeste encore lorsqu’on l’entend (sur France Info samedi 14 octobre 2023) commenter le conflit déclenché massivement par les djihadistes à Gaza en les renvoyant dos à dos avec « l’extrême droite » israélienne. Alors que devant l’échec patent d’Oslo II, à l’instar de Minsk II, il n’y avait pas d’autres issues que de laisser la loi naturelle du Politique s’exprimer en faisant en sorte, par exemple comme à la fin du 19e siècle, que les arabisés palestinistes qui le désirent aillent travailler et vivre dans les nouvelles villes israéliennes surgissant peu à peu de Judée et Samarie (puisque la partie arabisée exige tout ou rien) et aux pourtours de Gaza ; d’ailleurs près de 20 000 permis de travailler venaient d’être acceptés dans cette région par les autorités israéliennes…

C’est ce que ne comprennent pas non plus un Dupont Aignan, un Xavier Moreau et tant d’autres, en particulier celui-ci qui a bien vu pourtant que les forces Azov et pro-otaniennes ont utilisé les accords de Minsk pour s’armer durant douze ans (2014-2022) afin de détruire les zones tampons russophones et russes en les bombardant à l’identique des villages israéliens frontaliers à Gaza ou dans le nord près du Liban. Ce qui fait que de la même façon que les accords de Minsk ont été instrumentalisés les accords d’Oslo ont été également utilisés pour endormir jusqu’au cœur même d’Israël dans lequel beaucoup auraient bien aimé pourtant vivre en paix avec leurs voisins arabisés puisque, répétons-le, ces derniers peuvent s’installer n’importe où en Israël, du moins s’ils acceptent la présence juive et l’autorité de l’État de droit israélien. Car si Israël est un État juif (comme le reconnaît la résolution onusienne ayant promulgué la séparation en 47), il s’avère qu’il n’a pas fait de sa religion la loi fondamentale, à la différence des arabo-musulmans djihadisés qui, eux, ne font pas de différence entre loi religieuse et loi civile, ce qui fait qu’ils refusent tout processus de paix pensé de toute façon par eux comme une « trêve » plus ou moins longue…

Voilà pourquoi l’assassin d’Arras voulait détruire l’Histoire individuellement alors qu’elle est pourtant déjà détruite, effacée institutionnellement par la cinquième colonne en action dans les Universités et les écoles françaises, européennes, occidentales, arabo-musulmanes ; lui et ses copies veulent effacer jusqu’au souvenir de la colonisation arabo-musulmane, la traite négrière arabo-musulmane, la volonté hégémonique d’une secte désireuse naturellement de s’étendre. D’où la nécessité, organique, de l’en empêcher, en retour ; c’est ce que ne comprennent pas ceux qui prétendent qu’il ne faut pas « importer » le conflit judéo-arabe, alors qu’il est le cœur, le nœud même, lui-même, de l’affrontement à nouveau frontal entre Soumission et Liberté… Entre indifférenciation des « particules élémentaires » et enracinés singularisés, il n’y a plus de « troisième voie » ; car, oui, parfois, l’affrontement politique devient historiquement binaire, pas de place aux « non-binaires »…

Ce qui ne veut pas dire qu’il faille supprimer ces derniers bien entendu ; mais qu’ils aillent jouer ailleurs…




L’assassin (et non pas « l’assaillant ») d’Arras voulait poignarder l’Histoire

Par Lucien SA Oulahbib

C’est ce que cette ordure désirait paraît-il, cherchant ardemment un prof d’Histoire tout en ferraillant avec un prof de philo qui le relata, et finissant par tuer, faute de mieux, un enseignant de français, ce pays qui l’avait accueilli pourtant sa famille, salafiste, et lui, expulsés de Tchétchénie pour… radicalité… Or, réitérant dans celle-ci, façon scorpion de la fable, cette phratrie, à force, devait être expulsée. Mais des suppôts néo-léninistes genre NPA et escrologisto-mélenchonistes vinrent les arracher de l’avion en partance. Voilà pour la « petite » histoire…

Concernant la « grande » maintenant, cette crapule assassine voulait sans doute approfondir, non pas ses connaissances, mais les amoindrir dans un seul but : édulcorer encore plus l’histoire de son obédience, dont les « conquêtes » ne sont jamais perçues comme des invasions et des colonisations, mais seulement des « extensions » pour… les historiens occidentaux, des « libérations » pour les congénères de ce meurtrier ou le passage de la nuit à la lumière, de l’ignorance à la « paix » c’est-à-dire la soumission comme l’indique littéralement le nom de sa croyance.

L’Histoire, déjà manipulée traditionnellement par les léninistes et les robespierristes, jusqu’à faire par exemple, et ce quasi identiquement, du Moyen-âge une époque « obscure » qui s’oppose aux « Lumières » par lesquelles tout aurait jailli, l’Histoire doit donc être encore plus manipulée, en particulier sans doute l’émergence de cette soumission et aussi ce qui s’est passé au Proche-Orient et en Afrique du Nord, afin que pratiquement jour pour jour, après l’assassinat de Samuel Paty, mais aussi de Sadate (côté crapules Gazaouies cette fois), les profs ne puissent désormais plus brosser une quelconque grille d’analyse hormis celle de cette obédience ou alors celle de son allié « inclusif » habillé en queer…

Nous en sommes là : pris en quinconce par deux sectes frappant ensemble et marchant de plus en plus en communion. Le fait seul d’entendre le mot « assaillant » avec la locution « assaillant présumé » en dit d’ailleurs long sur le degré de soumission effective de journalistes et politiques qui reprennent seulement le lexique juridique au lieu de nommer un chat un chat et en l’occurrence ici un monstre échappé d’une fabrique industrielle dont il faudra bien détruire la logistique ici… comme ailleurs…




Les uns se font égorger ou décapiter intentionnellement, les autres meurent parce qu’ils servent de boucliers

Par Lucien SA Oulahbib

Il ne faut pas confondre les assassinats intentionnels et les morts accidentelles. C’est bien triste de le rappeler. Autant mettre en équivalence les bébés des nazis mourant sous les bombes anglaises à Dresde et les bébés juifs assassinés par balle ou gazés, comme l’indique ce courageux professeur Alan Dershowitz à son interlocuteur naïf qui ne comprend pas les enjeux. Courageux parce que sur les campus ou dans les rues, des deux côtés de l’Atlantique, ce sont les mêmes, juifs et enracinés nationaux, qui sont attaqués, insultés, menacés par des traîtres ou des éléments étrangers qui devraient se comporter en invités au lieu de continuer leur rôle de cinquième colonne.

Et ces traîtres sont malins, à voir les vidéos des manifs pourtant « interdites », car ils arrivent à entraîner de jeunes naïfs croyant qu’à Gaza l’armée israélienne tue indistinctement et surtout intentionnellement et en priorité femmes et enfants, alors que c’est précisément ce qui s’est passé lors des massacres effectués par les djihadistes zombis dans le but évident d’étendre leur occupation de territoire et ainsi d’empêcher la réutilisation des villages environnants d’où la nécessité de les déloger, définitivement, de Gaza.

Bien sûr certains « naïfs » viennent dire le contraire, y compris sur des médias supposés « enracinés » (comme Tocsin ; et il suffit de lire les commentaires sous une intervention de Rémy Tell) à croire que l’info devient plus équilibrée sur certains médias « mainstream » que sur d’autres, dits « alternatifs »… Mais ce n’est pas étonnant…

La propagande « nazislamiste » (comme le dit depuis si longtemps le grand Charles d’Alger…) mange donc dans tous les râteliers, en particulier cependant et massivement, concédons-le, dans celui de LFI que l’on ne peut qu’appeler désormais et ce seulement La France Islamique (et non « iste ») tant non seulement ils défendent les égorgeurs et violeurs (comme naguère à Oran, Alger, Philippeville) mais menacent désormais ouvertement tous ceux qui leur feront de l’ombre ; d’autant que l’épuration judenrein et pro-français a déjà débuté en excluant toute voix contraire dans les universités, lycées et médias publics et privés aux ordres en attendant sa « nuit de cristal » grandeur nature dont on n’a pu avoir la répétition générale lors des dernières émeutes de juin 2023…

L’heure n’est donc plus aux atermoiements, aux hésitations se faisant avoir par la propagande larmoyante, renvoyant « dos à dos » et qui depuis trop longtemps mélange les morts dans un relativisme non seulement honteux mais nihiliste.




La faillite en vrille de la « solution à deux États » sidère tous les camps…

Par Lucien SA Oulahbib12 octobre 2023

Qu’il s’agisse d’un René Bourlanges sur BFM business (ancien second couteau de l’actuel préposé au « Plan »…) en passant par les Dupont et Dupond Philippot & Rougeyron, voire l’économiste Olivier Delamarche (sur YouTube) renvoyant, lui, dos à dos les belligérants, sans parler bien sûr des mélenchonistes djihadisés, mais aussi de tous ces faux souverainistes si déracinés qu’ils en viennent à s’apitoyer sur le « blocus de Gaza », tous, en martelant encore cette « solution à deux États », oublient allègrement ou minimisent que c’est bien principalement le Hamas (et Arafat en coulisses, comme l’explique bien Shmuel Trigano en disséquant la Charte de… l’OLP (chapitre 36 et suivants), qui bloquèrent au tout départ cette « solution ». Ils l’ont plutôt manipulée (lire Bill Clinton dans ses mémoires à ce sujet, en particulier sa discussion sur ce sujet avec Arafat à Camp David à propos d’Oslo II) pour la refuser ensuite, avançant qu’il s’agissait d’une solution intenable — façon « Bantoustan » c’est-à-dire d’un « territoire qui aurait été juste une peau de léopard » donc sans continuité territoriale…

Pourtant, il aurait été fort loisible de choisir (en théorie) cette politique dite « des petits pas » au sens positif et non pas négatif ou la « technique du salami » (voir Paul Giniewski Le contentieux Israélo-Arabe, 2007, p.116) et donc de progressivement suivre les étapes non pas d’Oslo II, mais de tout processus de paix à vrai dire : vérifications sur le terrain ; ce qui fait que celles-ci étant franchies, il aurait été alors loisible de lever peu à peu les barrières sous supervision internationale afin d’œuvrer vers une sorte d’union confédérale à la Suisse, voilà le projet, si naïf après-coup, mais qui à l’époque apparaissait réaliste…

Qu’est-ce qui aurait flanché dans ce cas ?… La question des « réfugiés » en réalité bien plus que le territoire à garder ou à rendre ; c’était une question prioritaire et non pas secondaire comme l’avouait Arafat lui-même en creux à Bill Clinton (voir aussi Giniewski, p. 51 faisant référence au « discours à Naplouse » d’Arafat en janvier 1996) alors que ses sponsors saoudiens (car il y avait aussi un « plan saoudien ») lui promettaient de payer des indemnités à ceux qui parmi ces « 4 millions » (et quelques, le Hamas parle de 7 millions…) auraient accepté de ne pas « revenir » en Israël même, mais plutôt à côté, dans le futur giron « palestinien » ; et il y avait aussi un « plan israélien » assez « réaliste » au dire même du pro-palestinien Alain Gresh (Monde diplomatique du 4 janvier 2007)…

Ces « réfugiés » étaient entre 650 000 et 360 000 [13. p. 89] en 48, bel et bien partis en effet sous la contrainte… des armées arabes qui refusaient la partition onusienne de 1947 et leur conseillaient de fuir pour éviter les dommages collatéraux de la guerre. Il s’agissait d’un exode nourri aussi par le refus de vivre avec des Juifs indépendants ou « dominants », et également par peur de représailles parce que les massacres, viols et décapitations de bébés opérés par les djihadistes de l’époque ont déjà eu lieu entre 1947-1948 (idem, Giniewski, 2007, pp. 109-110) et ce aussi bien avant dans les années 30 au plus fort de la fascination perverse entre djihadisme et nazisme… N’oublions pas enfin qu’un million de Juifs aura été chassé des pays occupés par les arabo-musulmans, le tout dans l’indifférence générale, et il s’avère qu’ils fuient encore, en particulier des banlieues… « françaises »…

Oslo aura donc échoué — tout est mort, éteint —, et le Hamas vient d’y mettre la dernière pelle. Les dirigeants palestinistes sont ainsi de plus en plus djihadisés (avec même parfois des drapeaux de Daesh dans les poches aux dires de certains témoignages). Ils ont donc préféré sacrifier leurs ouailles au profit de la corruption et de l’inféodation aux wahhabites et khomeynistes. Aussi, le fait de dire aujourd’hui, en 2023, que la guerre actuelle [somme toute mesurée, car Gaza n’est pas actuellement rasée sous un tapis indifférencié de bombes…] ne fera qu’alimenter « la haine » antijuive et va « donc » fabriquer des tonnes de djihadistes est un non-sens…

Déjà parce qu’ils sont fabriqués en nombre, et leur désir de « tuer du juif » a toujours été l’alpha et oméga djihadiste hormis exceptions dans le quotidien du peuple islamo-arabisé (d’où le mythe de la cohabitation heureuse) et surtout lorsque les dirigeants n’étaient pas arabo-musulmans ou Turcs (la fameuse cohabitation arabo-juive ne fut possible que sous administration française en Afrique du Nord) ; ensuite, au vu de tout ce qui s’est passé depuis les années 90 avec les diverses Intifadas l’on voit bien que le refus de la paix s’avère être surtout du côté « arabe » avec ses exigences intenables en particulier sur Jérusalem ; d’où l’idée d’ailleurs de déplacer leur mosquée afin de ne plus les tenter à revendiquer l’impossible ou du moins d’en ouvrir l’Esplanade à tous (et toutes…).

Et puis il y a la réalité des faits de guerre : ce qui est repris n’est plus à rendre, surtout lorsque les dirigeants palestinistes utilisent cette cause pour des objectifs qui n’ont rien à voir avec la « paix », mais l’extension djihadiste et alors que par exemple dans les années sous Traité d’Oslo certains implantés juifs israéliens (et non pas « colons » puisque c’est leur terre à la base) étaient même prêts à prendre la citoyenneté de ce nouvel État (avoir une double nationalité donc) à partir du moment où ils n’auraient pas été obligés de parti. Or, que leur ont proposés les dirigeants palestinistes sinon à nouveau un « judenrein », comme également à Gaza : refus de toute présence juive dans le futur État, surtout en tant que citoyen à part entière alors que l’arabe israélien a, lui, beaucoup de droits y compris de se faire élire à la Knesset…

On le voit, même cette solution aujourd’hui encore fantasmée par nos globalistes et souverainistes en chambre reste définitivement impossible, car les arabo-musulmans veulent, eux, la domination totale sinon rien. Eh bien c’est le rien qui maintenant se présente à eux, les abysses infinis de l’enfer dans les termes déjà écrits à l’avance par Dante, même si les alliés dhimmis du néo-léninisme queer cherchent à les effacer…, à effacer les écrits de Dante !… en bons supplétifs djihadistes…




Hitler et ses nazis ont été éradiqués. Pourquoi pas les einsatzgruppen djihadistes ?

Par Lucien SA Oulahbib

On ne négocie pas avec des Hitler qui décapitent des bébés et les brûlent (infos immédiatement relativisées par Hibernation) imitant ainsi les tueurs de 1947-1948 (p.175), eux-mêmes copiant les assassins nazis qui exterminaient les civils à l’arrière des actions SS, les einzatzgruppen [« groupes d’intervention »].

[NDLR Malheureusement les nazis n’ont pas été éradiqués, mais les survivants récupérés notamment par le Canada et les USA.]

Comparaison n’est certes pas raison, car l’analogie doit s’appuyer sur la déduction intrinsèque pour servir de point d’appui historique. Or il s’avère, et ce n’en déplaise à Rivarol, Tocsin, TV Libertés (bref toute la droite différentialiste) qu’il n’y a pas à renvoyer dos à dos juifs et Arabes, car il ne s’agit pas d’un conflit ethnique, mais politico-religieux et civilisationnel et que les Frères Musulmans dont émane le Hamas ont été formés à la lumière de Mein Kampf que d’aucuns en France vénèrent encore…

Mais cela ne sert à rien d’argumenter, plus encore en temps de guerre. Les Arabes ne sont pas sur leur terre qui est en Arabie, point barre. Mais si certains veulent rester, ils doivent accepter de faire des compromis comme le font nombre de minorités dans le monde. Tel-Aviv était un marécage. Les « Arabes » (les arabisés plutôt : Syriens, Irakiens, Jordaniens — Assyriens et Mésopotamiens en réalité) sont en fait venus en masse à la fin du 19e siècle pour travailler sur les terres conquises par les Turcs, puis abandonnées par leurs élites qui préféraient le commerce des villes (voir ici pour le détail) et que les kibboutzniks (aujourd’hui — 2023 — massacrés en premier) ont racheté, eux, dont les ancêtres avaient été chassés par les légions de Trajan qui en avaient tués des centaines de milliers (idem, revue Controverses, p. 172).

Imaginez que les Québécois aient à venir en France, peut-on dire que celle-ci n’est pas toujours leur terre ?… N’est-ce pas la même chose pour ces Juifs obligés de fuir en terre slave et germaine et qui ont à force forgé une autre culture complémentaire ?… Aussi expliquer que les Ashkénazes n’ont aucun droit sur les Terres juives (regroupées aujourd’hui sous le nom d’Israël) s’avère un non sens, alors que les Arabes installés sur son sol sont eux les vrais « colons »…

Le reste n’est que mauvaise littérature.

[Note de Joseph : Si l’on veut vraiment comparer les Québécois aux Juifs, alors il faut aller jusqu’au bout de la comparaison et imaginer qu’ils reviennent en leur terre ancestrale et en réclament alors la possession sous prétexte que leurs ancêtres étaient présents avant les actuels Français. La diaspora juive qui est revenue en Israël est dans une situation équivalente à de tels Québécois, alors que les autochtones présents avant ce retour (qu’ils aient été Palestiniens, Turcs, Juifs ou autres) sont dans la situation des Français (Normands, Bretons, Gascons…) dont les Québécois voudraient prendre la terre sous le prétexte d’ancêtres qui s’y trouvaient présents. Que diraient et feraient les Français si une telle chose arrivait ? Et cette question en supposant que Shlomo Sand n’ait pas raison d’affirmer la non-pertinence de la notion même de peuple juif.
Par ailleurs, nous pouvons établir une autre comparaison : celle entre le grignotage progressif par les Européens des terres nord-amérindiennes jusqu’à parquer les autochtones dans de minuscules réserves et le grignotage progressif des terres palestiniennes par les colons juifs jusqu’à parquer les Palestiniens derrière des murs délimitant des pièces de plus en plus réduites.
La conclusion de ces deux comparaisons pourrait être que seule la force des armes compte dans ce genre de situation et que c’est le plus fort ou le plus habile qui finit par gagner le terrain perdu par l’autre. De manière crue, il s’agit simplement d’une conquête ou d’une reconquête au lieu d’une tentative de vivre pacifiquement côte à côte dans un véritable partage des ressources.]

Cette guerre, totale, que l’on espère salvatrice commence à éclaircir le tableau où l’on voit bien que les « nazislamistes » ont des soutiens dans tous les camps. Certes, il est dommage de se coltiner le discours d’un Biden qui profite de l’occasion pour détourner l’attention de son échec patent à vouloir détruire la Russie par supplétifs Azov interposés (ayant eux aussi leurs commandos de la mort), mais en guerre le principal consiste d’abord à détruire l’ennemi proche, et des alliances tactiques. Un « front » peut s’établir dans lequel « on frappe ensemble tout en marchant séparément »…

Sauf que là, tout de même, le ménage doit être fait parmi les « enracinés »… Saluons cependant le discours de Marine Le Pen chez Sonia Mabrouk, droite dans ses bottes (pour une fois)… Tandis que celui de Zemmour est bien décevant malgré ses rodomontades, surtout lorsqu’il parle en défaitiste du « rapatriement des franco-israéliens qui le souhaitent » alors qu’il fallait plutôt demander l’ouverture de la frontière égyptienne aux Gazaouis désireux de fuir (mais les nazislamistes vont les en empêcher), car il s’agit de se battre et de vaincre une fois pour toutes, même s’il ne faut accorder aucune confiance à un « Bibi » qui a tergiversé tant de fois alors qu’il faut frapper encore et encore. « de l’audace, de l’audace encore de l’audace » disait Patton reprenant le mot de Danton (guillotiné par les ancêtres de Mélenchon).




Rave-Holocauste aux abords de l’Enfer djihadiste

Rave-Holocauste aux abords de l’Enfer djihadiste : faillite complète de la gaute islamisée (soutenue par Rivarol)

Par Lucien SA Oulahbib

Dans la continuité du massacre perpétré en 1988 contre l’opposition iranienne (plus de 30 000 exécutions) lors de l’affermissement/épuration du pouvoir en Iran par les khomeynistes (qui se veulent pan-islamiques) et des membres du Fatah exécutés en 2007, les jeunes danseurs adeptes de la « paix » et « opposants à Netanyahou » souligne un responsable de la Licra ont été assassinés, semble-t-il, pas seulement parce qu’ils étaient juifs, pas seulement parce qu’ils représentaient l’Occident dit « décadent » (style Bataclan), pas seulement parce qu’ils étaient « libres » avec ces belles jeunes femmes sexy, cheveux au vent et croptop, mais aussi parce qu’ils incarnaient cette volonté prétentieuse, paternaliste façon Mélenchon, de croire encore qu’ils trônent toujours à la direction symbolique mondiale de la guerre idéologique totale actuelle entre globalistes interchangeables et enracinés nationaux, alors qu’ils n’en sont que la chair à canon ayant ainsi douloureusement vécu au niveau local ce qui est supporté quotidiennement au niveau global dans les transports, écoles, rues de l’Occident en voie d’implosion…

Ces jeunes juifs pacifistes sont donc devenus ces offrandes expiatoires faites par cette gaute et droiche soumise (et fière de l’être) aux dirigeants locaux de l’alter-djihadisme, cette branche parmi mille cependant de la Secte SHAA. Et ces jeunes danseurs ou cette viande à violer, à brûler, dépecer par des « déséquilibrés » ici, des « combattants » là, doivent accepter, sans moufter, leur sort de sacrifiés (in)volontaires, qualifiés techniquement de « dommages collatéraux », scellant ainsi l’alliance maudite (au sens de Bataille : don pervers, voir Éthique et épistémologie du nihilisme) entre deux totalitarismes, l’islam djihadiste et le néo-léninisme, à l’instar du Pacte machiavélique entre Hitler et Staline.

Ainsi par exemple, lors d’un « débat » sur France Culture le 9 octobre sur la « nature » de ce qui s’était passé, une « chercheuse », une militante en réalité, n’aura de cesse de défendre les positions des sections d’assaut djihadistes en parlant de « combattants », en osant avancer que leur « charte » aurait été modifiée pour limer le côté « traditionnel » de leur revendication (détruire les falsificateurs juifs et chrétiens) tout en oubliant que même « rénovée » cette mouvance réclame toujours la réintégration de « 7 millions de réfugiés » non pas dans un futur État « palestinien », mais au cœur même d’Israël (l’OLP n’en réclamant « que » 4 millions ») avant la signature de toute « paix » qui reste cependant toujours une trêve plus ou moins longue chez eux…

Toute cette jeunesse en pleurs a été ainsi aveuglée (et continue de l’être) par des décennies de propagande allant de la droiche pseudo différentialiste (remugle du vieux fond antijuif, celui du « peuple déicide » dont l’affaire Dreyfus fut l’expression, les lois vichystes, l’acmé avec quelques relents permanents s’exprimant dans le Rivarol d’aujourd’hui utilisant le même vocable que le Hamas pour nommer Israël) à l’extrême gauche de plus en plus islamisée et djihadisée (genre Michel Collon, Dominique Vidal, Alain Gresh, Mélenchon, Poutou etc…).

Ils sont tous uniquement centrés par exemple sur l’idée qu’Israël aurait exclusivement émergé par l’expulsion avide de populations arabes (ce qui est faux) et de massacres unilatéraux (tel celui prétendu de Dir-Yassine). Une telle propagande de droiche et de gaute (qui oublie par ailleurs l’exil, par centaines de milliers, de juifs expulsés des pays dominés par les arabo-musulmans alors qu’ils étaient là avant eux) est assez proche de celle qui encensa les massacres du FLN dans les dancings en 1962 à Alger ou qui mit sur le dos de la France les massacres de Sétif en 1945 ; toute une propagande qui loin d’être une « importation » d’un conflit lointain comme le croient certains « identitaires » alimente en réalité directement le rejet de la France dans les dites « écoles de la République », une propagande qui est également financée conjointement par l’UE (Eurabia) et ses États de plus en plus croupions qui s’effondrent sous les doubles coups de boutoir de la domination anglo-saxonne elle-même enrégimentée par la Secte SHAA (d’où l’hypocrisie des pleureuses de Cour, tous membres de cette Secte, battant le pavé parisien ce même 9 octobre), tous adeptes transis de l’actuelle soumission « libidinale » perpétrée par la gauche islamisée voire désormais ouvertement djihadisée (LFI, NPA…) et dont cette « chercheuse » sur France Culture est l’expression parmi mille : ce sont eux qui poursuivent avec acharnement toute voie dissidente.

Il s’agit donc moins de voir en ce pogrom postmoderne qu’a été ce massacre délibéré de centaines d’innocents danseurs la réplique du Bataclan que le symbole d’une prise de pouvoir, définitif, du djihadisme sur l’alter-islamisme toutes tendances confondues : d’un côté Mélenchon a donc été évincé officiellement, il n’est plus le chef de la « Révolution mondiale », il a été détrôné lors d’une nouvelle « fièvre du samedi soir » avant de finir dans les Poubelles de l’Histoire, tandis que de l’autre côté les nostalgiques pseudo royalistes piaffent d’ivresse sous naphtaline en reprenant pratiquement mot pour mot la propagande djihadiste d’aujourd’hui (voir le dernier édito de Rivarol) — il ne manque plus que l’apologie des Protocoles des Sages de Sion… défendus par un certain « antisémitisme musulman » également.

Avec de tels « amis », point d’ennemis, ou comment les loups sont aussi présents dans la bergerie des « enracinés »… Oubliant surtout que tout comme la gaute rêveuse et dansant au bord du précipice (à gaza comme à Lampedusa), ils seront eux aussi balayés, déjà parce qu’ils n’ont pas la bonne couleur de peau…




Suicide de l’entité khomeyniste (Hamas) ?…

Par Lucien SA Oulahbib

Rien de plus à ce sujet qu’indiqué naguère (2006) : cette entité djihadiste financée simultanément par le Qatar et l’Iran (et tolérée machiavéliquement par l’État profond israélien…) n’a plus d’autre perspective qu’un dernier coup d’éclat depuis que Ryad et Téhéran ont signé la paix sous l’aval du régime maoïste : faire une dernière « opération Tik Tock », façon régime otanazov grandeur nature, avec des centaines de morts juifs assassinés, torturés, dépecés, kidnappés, bref, immolés façon sacrifice humain versus pogrom ou micro-Shoah, avec comme patronyme bien sûr « Jérusalem » dont le talisman se trouve toujours installé en haut du Mont du Temple : un « My precious » qui continuera à exciter leurs fanatiques, empêchant ainsi toute « paix » tant qu’il ne sera pas… déplacé plutôt que détruit (car il faut savoir faire des compromis…) vers l’Arabie son point de départ…

Nasser n’a-t-il pas déplacé les statues des plus grands pharaons et dieux égyptiens pour construire le barrage d’Assouan ?

C’est bien un point clé que les « réalistes » n’ont de cesse de marteler ailleurs : ainsi concernant la présence « turque » en Arménie, à Chypre, à Constantinople, la présence arabo-musulmane en Terre amazigue (ancien et futur nom de l’Afrique du Nord) ou en Bharat (nouveau nom de l’Inde) seraient toujours légitimées par le fait qu’une victoire ne peut être remise en cause ou alors il faudrait détricoter toute l’Histoire humaine. Or là les Juifs ont gagné alors qu’ils n’ont jamais été les attaquants (hormis en 1956, mais sous la pression occidentale), donc ils pourraient appliquer cette loi de l’Histoire…

Mais que nenni (!) clament les mauvais perdants, surtout lorsque la terre perdue était musulmane ajoutent leurs savants, parce que chaque poussière de terre djihadisée rejoint l’osmose entre la terre, le ciel, les morts et les vivants qui forment, ferment jusqu’au firmament incréé. Voilà pourtant ce qu’il faut briser, car rien n’est irréversible dans l’Histoire. Les Juifs ont récupéré leur Terre Promise, dont acte (et bientôt la Terre amazighe fera de même tout comme en Bharat et espérons en Arménie, au Tibet…). Et ceux qui ne sont pas d’accord peuvent toujours réaliser ce que les Grecs et protestants mécontents faisaient : partir, émigrer. Après tout, ils ne valent pas moins que ces subsahariens qui s’expatrient, lassés de servir de viande asservie aux djihadistes en col blanc et leurs alliés nihilistes de la Secte SHAA (ainsi l’Allemagne refuse d’arrêter de financer les ONG mafieuses…).

D’autant que comme la situation a changé au niveau géopolitique et international, l’entité khomeyniste est acculée, tant son bilan reste catastrophique (les Gazaouis votent avec leurs pieds en s’enfuyant par milliers) et n’avait plus comme issue que surfer sur les impérities de « la » décomposition politique et donc sécuritaire israélienne pour tenter un dernier baroud au moment même où les relations israélo-arabes s’aplanissaient de plus en plus. Il fallait donc attaquer suffisamment fort Israël pour l’entraîner vers la guerre totale, afin que vaincue, l’entité khomeyniste (tout comme l’entité otanazov en Ukraine) se recycle en politiciens véreux à l’identique des zombis de l’OLP squattant ce que Arafat avait réussi à arracher avec les accords d’Oslo qui comme les Accords de Minsk n’auront servi qu’à retarder l’échéance.

Mais « la » classe politique israélienne ira-t-elle jusqu’au bout cette fois, c’est-à-dire avaliser enfin ce que Sharon avait démontré en rendant Gaza en 2005 à savoir que la « paix » est impossible avec ces suppôts d’Hitler ?… Car il faut bien appeler un chat un chat (et « peu importe qu’un chat soit gris ou noir du moment qu’il attrape des souris »…). Les djihadistes sont comme le scorpion de la fable avec la grenouille : c’est leur nature que de piquer mortellement, même si cependant ici ils espèrent qu’à nouveau les défaitistes de la gaute [NDLR Contraction de « gauche » et « droite »] israélienne et leurs idéalistes religieux (dont certains ne reconnaissent pas, eux non plus, Israël du fait de son caractère « laïc »…) fassent à nouveau capoter la nécessité, l’imparable nécessité du Delenda Carthago…

Il n’y a plus d’autres issues. Avec le fait aussi de déplacer (délicatement) l’entité djihadiste du haut du Mont du Temple vers sa contrée d’origine…




Qui a tué l’été indien ?…

[Illustration : ©SNEHIT PHOTO / AdobeStock]

Par Lucien SA Oulahbib

Ah ! La belle arrière-saison disait-on, l’été indien, l’idée du prolongement de toutes ces belles journées le plus longtemps possible, le rire des enfants s’amusant dans les parcs et jardins, le fait de dire tout simplement « ah ! Quelle belle journée ! » et non comme aujourd’hui « encore une journée chaude », ajoutant l’injection du « jamais enregistrée » (ce qui est faux en plus, sans remonter à Hannibal et ses éléphants, au Xe siècle au Goéland…) ânonnée par de tristes sires qui aussitôt la sentence dite vont aller se bronzer à la piscine extérieure du SPA, ou dans leur piscine et autre jacuzzi, sans oublier le rush du W.E pour partir vite vite dès vendredi après-midi (retour lundi ou mardi. Vive la liaison en distanciel si nécessaire), souvent en avion privé vers les plages de la Côte, du Maroc, le top étant de coupler l’escapade pour certains avec un colloque, une rencontre sur « l’avenir de la planète », la « canicule » bien sûr…

Hypocrisie à tous les étages, donc, sur un coulis de canulars, caviar pour les uns, insectes pour les autres, et BFM n’est même plus dans les clous lorsqu’il prône la substitution des enfants par des animaux de compagnie alors que ceux-ci sont eux aussi, et depuis longtemps, dans le collimateur – certains prônent même de s’en débarrasser, car produisant « trop-de-gaz-à-effet-de-serre », et puis ne font-ils pas concurrence avec ce qui vient de plus en plus sur le marché en petits ou grands robots (sexy) comme dans À l’aube du sixième jour ?

Ah ! L’été indien, lorsque la teinte des feuilles peu à peu se transforme en cet orange et rouge embrasé mollement ou parfois vivement secouées par une brise agréable dans laquelle perce parfois quelques accents de fraîcheur, rappelant aussi que ce répit ne va pas durer. Encore un instant Dame Nature !…

Aujourd’hui, nous avons affaire à de si grossiers personnages (malgré leur silhouette famélique à force de sauna et de jeûne forcé) incultes et sectaires (ils ont tous signé « la Charte ») et avides, ah oui ! Que ne ferait-on pas pour toucher ses milliers et quelques euros mensuels ?… Le tout pour vendre de la m… enrobée, enrôlée, ânonnée sans sourciller, mais avec ce sourire aussi flamboyant que ces feuilles d’automne doré, les chatoyant dans le secret des villas cossues aussitôt la boîte à mensonges refermée




Le cas de Shenaya menacée d’expulsion que même un Zemmour défend

[Illustration : Shenaya, 18 ans et lycéenne à Bordeaux.  © France 3 Aquitaine – Maïté Koda]

Par Lucien SA Oulahbib

Il n’est guère étonnant de constater que les services administratifs actuels qui délivrent ou pas l’autorisation de séjour en France sont tenus par des ennemis de la République française, comme l’indique non seulement l’affaire de cette jeune lycéenne, Shenaya, que Zemmour défend, à juste titre, mais aussi beaucoup d’autres, tel ce jeune musicien kabyle amoureux de la culture française attendant quatre ans une autorisation alors que d’autres, ne parlant pas français et ayant une longue barbe pacifiste, l’avaient, eux, depuis bien longtemps. Pis, les ONG approchées lui disaient qu’elles ne pouvaient rien puisqu’il « parlait français » (et n’avait pas de « barbe »…), comprenne qui pourra…

Ou plutôt si, et comme l’indiquent nombre de « X-nautes », il existe bel et bien, de fait, une discrimination négativiste filtrant positivement de potentiels soutiens au couple » MM » (Macron-Mélenchon — le second soutenant le premier au nom d’un nihilisme, celui de la destruction des frontières intérieures et extérieures, faisant même des leçons d’anti-xénophobie primaire), alors que, d’une part, la question de l’immigration est de plus en plus une donnée mondiale qui ne peut être traitée qu’au niveau onusien, et que, d’autre part, il n’y a aucune raison d’être de plus en plus la roue de secours d’États faillis ou n’ayant jamais émergé parce qu’ils ont justement suivi l’idéologie tiers-mondiste néo-léniniste que Mélenchon, ce Castro raté, est l’un des derniers à suivre tant elle a été mortifère. Même les BRICS++ s’en sont éloignés : pourquoi ?… Aucun « universitaire » actuel ne vous le dira — ils préfèrent empêcher Kepel de professer ou de salir la réputation de tel ou telle en les traitant des noms infamants habituels…

Il n’est donc pas étonnant de constater que pullulent nombre de leurs punaises propagandistes, ou les précieuses ridicules d’une Milice nouvelle mouture s’infiltrant partout, y compris dans les maternelles, pour promulguer cette destruction nihiliste et son mensonge obscurantiste, le tout au service du djihadisme chic et de la Secte Globale scientiste hygiéniste et affairiste concoctant, à défaut d’une loi sur l’injection obligatoire (seule objection d’un Mélenchon dans cette histoire), celle sur l’injonction à fondement eschatologique de ne plus offenser la nouvelle religion réchauffiste établissant, elle, des corrélations entre chaleur climat et CO2, mais les refusant entre insécurité gabegie migratoire (ci-dessus), djihadisme, injections et effets secondaires, etc., etc., etc.

Lyssenko le retour ?… Pis, car à l’époque il y avait du « débat ». Aujourd’hui, celui n’existe plus ou à peine, déjà sur le « service » dit « public » — les employés payés par nos impôts s’en sont même approprié le terme, le privatisant de fait en signant une « charte » interdisant d’inviter ceux allant à l’encontre de leur religion réchauffiste, ce qui est bien là cette quadrature du cercle tant recherchée par « O’Brien » dans « 1984 » lorsque 2 +2 DOIVENT faire 5… :

« (…) O’Brien présenta à Winston le dos de sa main gauche levée. Le pouce était caché, les quatre doigts étendus.

— Combien est-ce que je vous montre de doigts, Winston ?

– Quatre.

Le mot se termina par un halètement de douleur. L’aiguille du cadran était montée à cinquante-cinq. La sueur jaillie de son corps avait recouvert Winston tout entier. L’air lui déchirait les poumons et ressortait en gémissements profonds qu’il ne pouvait arrêter, même en serrant les dents. O’Brien le surveillait, quatre doigts levés. Il ramena le levier en arrière. Cette fois, la souffrance ne s’apaisa que légèrement.

— Combien de doigts, Winston ?

— Quatre.

L’aiguille monta à soixante.

— Combien de doigts, Winston ?

— Quatre ! Quatre ! Que puis-je dire d’autre ? Quatre !

L’aiguille avait dû monter encore, il ne la regardait pas. Le visage lourd et sévère et les quatre doigts emplissaient le champ de sa vision. Les doigts étaient dressés devant ses yeux comme des piliers énormes, indistincts, qui semblaient vibrer. Mais il y en avait indubitablement quatre.

— Combien de doigts, Winston ?

— Cinq ! Cinq ! Cinq !

— Non, Winston, c’est inutile. Vous mentez. Vous pensez encore qu’il y en a quatre. Combien de doigts, s’il vous plaît ?

— Quatre ! Cinq ! Quatre ! Tout ce que vous voudrez. Mais arrêtez cela ! Arrêtez cette douleur !

Il fut soudain assis, le bras d’O’Brien autour de ses épaules. Il avait peut-être perdu connaissance quelques secondes. Les liens qui le retenaient couché s’étaient détachés. Il avait très froid, il frissonnait sans pouvoir s’arrêter, ses dents claquaient, des larmes lui roulaient sur les joues. Il s’accrocha un moment à O’Brien comme un enfant, étrangement réconforté par le bras lourd autour de ses épaules. Il avait l’impression qu’O’Brien était son protecteur, que la souffrance était quelque chose qui venait de quelque autre source extérieure et que c’était O’Brien qui l’en sauverait.

— Vous êtes un étudiant lent d’esprit, Winston, dit O’Brien gentiment.

— Comment puis-je l’empêcher ? dit-il en pleurnichant. Comment puis-je m’empêcher de voir ce qui est devant mes yeux ? Deux et deux font quatre.

— Parfois, Winston. Parfois ils font cinq. Parfois ils font trois. Parfois ils font tout à la fois. Il faut essayer plus fort. Il n’est pas facile de devenir sensé.

Il étendit Winston sur le lit. L’étreinte se resserra autour de ses membres, mais la vague de souffrance s’était retirée et le tremblement s’était arrêté, le laissant seulement faible et glacé.

O’Brien fit un signe de la tête à l’homme en veste blanche qui était restée immobile pendant qu’il agissait.

L’homme à la veste blanche se baissa et regarda de près les yeux de Winston, lui prit le pouls, appuya l’oreille contre sa poitrine, tapota çà et là, puis fit un signe d’assentiment à O’Brien.

— Encore, dit O’Brien.

La douleur envahit le corps de Winston. L’aiguille devait être à soixante-dix, soixante-quinze. Il avait, cette fois, fermé les yeux. Il savait que les doigts étaient toujours là et qu’il y en avait toujours quatre. Tout ce qui importait, c’était de rester en vie jusqu’à la fin de l’accès. Il ne savait plus s’il pleurait ou non. La souffrance diminua. Il ouvrit les yeux. O’Brien avait tiré le levier en arrière.

— Quatre. Je suppose qu’il y en a quatre. Je verrais cinq si je pouvais. J’essaie de voir cinq.

— Qu’est-ce que vous désirez ? Me persuader que vous voyez cinq, ou les voir réellement ?

— Les voir réellement.

— Encore, dit O’Brien.

L’aiguille était peut-être à quatre-vingts, quatre-vingt-dix. Winston ne pouvait se rappeler que par intermittences pourquoi il souffrait. Derrière ses paupières serrées, une forêt de doigts semblaient se mouvoir dans une sorte de danse, entrer et sortir entrelacés, disparaître l’un derrière l’autre, réapparaître encore. Il essayait de les compter, il ne se souvenait pas pourquoi. Il savait seulement qu’il était impossible de les compter, à cause d’une mystérieuse identité entre quatre et cinq. La souffrance s’éteignit une fois de plus. Quand il ouvrit les yeux, ce fut pour constater qu’il voyait encore la même chose. D’innombrables doigts, comme des arbres mobiles, dévalaient à droite et à gauche, se croisant et se recroisant. Il referma les yeux.

— Je montre combien de doigts, Winston ?

— Je ne sais. Je ne sais. Vous me tuerez si vous faites encore cela. Quatre, cinq, six, en toute honnêteté, je ne sais pas.

— Mieux, dit O’Brien.

Une aiguille adroitement introduite glissa dans son bras. Presque instantanément, une chaleur apaisante et délicieuse se répandit en lui. La souffrance était déjà à moitié oubliée. Il ouvrit les yeux et regarda O’Brien avec reconnaissance. À la vue du visage ridé et lourd, si laid et si intelligent, son cœur sembla se fondre. S’il avait pu bouger, il aurait tendu le bras et posé la main sur le bras de O’Brien. Jamais il ne l’avait aimé si profondément qu’à ce moment, et ce n’était pas seulement parce qu’il avait fait cesser la douleur. L’ancien sentiment, qu’au fond peu importait qu’O’Brien fût un ami ou un ennemi, était revenu. O’Brien était quelqu’un avec qui on pouvait causer. Peut-être ne désirait-on pas tellement être aimé qu’être compris. O’Brien l’avait torturé jusqu’aux limites de la folie et, dans peu de temps, certainement, l’enverrait à la mort. Cela ne changeait rien. Dans un sens, cela pénétrait plus profondément que l’amitié. Ils étaient des intimes. D’une façon ou d’une autre, bien que les mots réels ne seraient peut-être jamais prononcés, il y avait un lieu où ils pourraient se rencontrer et parler. Les yeux d’O’Brien, baissés vers lui, avaient une expression qui faisait penser qu’il avait la même idée. Quand il se mit à parler, ce fut sur le ton aisé d’une conversation.

— Savez-vous où vous êtes, Winston ?

— Je ne sais pas. Je peux deviner. Au ministère de l’Amour. (…) »

https://www.librairal.org/wiki/George_Orwell:1984_-_Troisi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_II




« Sans queue ni tête »…

Par Lucien SA Oulahbib

Comme un film sans scénario (cent scénarios ou mille), sans queue ni tête (cent queues cent têtes), vous devez devenir un monstre (queer), une hydre ou Méduse comme modèle ou encore le chiendent avec sa touffe de racines (rhizome) en guise de tête, mais sans autre centre (cent autres centres) que sa prolifération façon herbes « folles », chacune est sa « racine », mais juste en surface sans autre but qu’elle-même. Telle est de plus en plus la trame, semble-t-il, de ce qui est devenu un hôpital psychiatrique à ciel clos, sans psychiatres ni remèdes autres que ceux produits par les « Big » formant Secte, pas seulement Caste, car celle-ci n’a pas d’idéologie alors que la Secte si : tout le monde peut y entrer, mais personne ne peut en sortir (hotel California des Eagles).

La queue devient de plus en plus mal vue (dans tous les sens du terme). Il n’y a pas, par exemple, d’appauvrissement des Français, clame BLM (ou alors vous êtes pour la Russie ou complotiste) à propos des queues qui s’allongent pourtant bien devant les associations d’aide aux démunis et appellent elles-mêmes à l’aide pour certaines. De même que deux « queues » au prix d’une, mais sans « cri du vagin » — remplacé lui par une queue retournée — DOIVENT être admises comme mère ou père ou les deux ou rien  : ne plus en effet appeler maman « maman » ni papa « papa » (un ancien nouveau mot d’ordre de la folie ambiante), ce qui fait que l’on peut être condamné désormais pour mettre en doute les conséquences d’une absence de mère ou de père… Sans parler des 234 300 avortements de 2022… alors que la démographie décline… et que des solutions moins « violentes envers les femmes », clame Aliette Espieux, se font de plus en plus jour, comme les soutiens financiers et psychologiques… Mais ce serait d’extrême droite et seulement y « penser » fera de vous un salop, y compris au RN et à R !…

De même « penser sur le climat sera déjà désobéir », comme le concoctent divers « députés » avec les démentis d’usage. N’oublions pas que lorsque l’on veut tuer son chien il est de bon ton de dire qu’il a la rage, et que là aussi (du moins sur l’alarmisme climatique) le RN et R ! emboîtent le pas à cette sorte de « melonisation » des esprits qu’un Philippe Herlin voudrait combattre aux élections européennes en faisant de la lutte contre le totalitarisme alarmiste et hygiéniste (nécessairement affairiste) son axe central.

Il y a certes d’autres axes, en particulier celui du nihilisme sansfrontièriste qui touche jusqu’aux frontières de l’intime. Mais pourquoi les opposer s’il est possible de les articuler adroitement, ne serait-ce qu’en évitant d’absoudre les responsabilités onusiennes, otaniennes, union-européennes dans les crises multiformes actuelles, qu’elles soient migratoires, énergétiques, géopolitiques, démographiques ou civilisationnelles, imposant de force cette politique « sans queue ni tête » au sens de plus en plus littéral : sans érection d’une politique souveraine pensée suffisamment pour nous sortir non plus de l’ornière, mais des décombres dans lesquelles de plus en plus de (jeunes) zombis déambulent (opiacés et drogues en nette augmentation) entourés il est vrai par tout un « art », une « littérature », un « cinéma » prônant l’auto-destruction, l’euthanasie non plus du rentier (celui-ci se porte bien merci), mais de la jeunesse ainsi meurtrie, assassinée, violée, déculturée, sous-informée, au crâne bourré, vidé, « dilaté »…




« Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » : le Pape ne peut pas se mêler de politique

Par Lucien SA Oulahbib

Lorsque Jésus énonce cela (Luc 20:22-25) il signifie semble-t-il que doivent se distinguer les affaires humaines et divines, car l’humain a été fait libre de se donner la forme politique qui lui sied à un moment donné ; aussi lorsque le Pape actuel indique que « les migrants ne viennent pas pour envahir, mais pour demander l’hospitalité », il outrepasse cette parole du Christ puisqu’il ne s’agit pas d’hospitalité au sens de présence provisoire, mais d’installation durable sachant qu’ils sont enregistrés non pas comme réfugiés économiques (une crise de cet ordre peut être transitoire), mais politiques et sociétaux comme les briefent ces ONG nihilistes du néoléninisme et du christianisme dévoyé à la solde du sansfrontièrisme affairiste global.

Ce Pape, hygiéniste en diable par ailleurs avec son injonction pro-injectable au lieu de partir toute affaire cessante en direction de cette partie de l’Arménie, berceau de l’Église, en butte à l’invasion turco-musulmane, vient faire la leçon en France, semblable au fond à tous ces papes d’antan qui se prétendaient plus royalistes que le roi alors qu’ils n’ont pas à se mêler de politique, en particulier intérieure, des États souverains.

Mais il est vrai que l’UE n’est pas un État souverain, non pas seulement juridiquement, mais géopolitiquement du fait de sa dépendance à l’affairisme global drainé par les firmes transnationales (FTN) calculant les individus en autant de particules élémentaires à programmer ou la forme historique qu’a pris la volonté de puissance (ou « droit de nature » chez Hobbes) lorsqu’elle ne rencontre plus aucune limite, aucune « loi de nature » (la Raison chez Hobbes et Locke) lui intimant de maîtriser son « ivresse » ce que précisément la religion, puis l’État seraient censés faire au lieu d’être à son service les autres contre-pouvoirs ayant disparu également…




Lampedusa: (Gentille) « Expansion de l’islam » et (méchante) « Colonisation de l’Occident »

Par Lucien SA Oulahbib

« Colonisation de l’islam » renvoie quasi immédiatement au terme « Expansion de l’islam », alors que « expansion de l’Occident » renvoie certes pas immédiatement, mais quand même à « croisade » prise dans son sens uniquement dominateur. Et c’est aussi ce qui apparaît tout à fait explicitement dans l’occurrence « colonisation de l’Occident » et surtout « colonisation occidentale » tandis que lorsque vous cliquez sur « colonisation islamique » cela renvoie quasi uniquement à « expansion » (ci-dessus) avec son côté « dilaté » sympa qui est si « cher » à un certain économiste se prenant pour Mr Jourdain (ou BLM d’après le dictionnaire mondain de l’époque)…

Cela paraît être un « détail », sauf qu’il est enseigné en Collège par exemple en 5e, ce qui fait que tout le côté négatif de la domination d’un peuple sur un autre s’avère « dilatée », dispersée façon puzzle jusqu’à ce qu’un Ruffin énonce benoîtement qu’il suffirait de diviser les milliers d’arrivants en demande d’être « importés » par paquet de mille dispersé dans les 28 États et cela ne se verra pas…

Quel rapport ?… Eh bien comme la colonisation dans son côté invasion est au fond enseignée comme provenant surtout de l’Occident, et que les gens qui viennent ces temps-ci sont plutôt issus de « l’expansion de l’islam » avec son côté non seulement exotique sympa, mais victime de la méchante colonisation occidentale, alors certaines dilatées se mettent à danser avec eux et à agiter des affiches « welcome » avant de déchanter plus tard (comme à Cologne, à Cherbourg dernièrement…), mais ce sera comptabilisé en « faits divers » au mieux, en « dommages collatéraux » en pis, mais certainement pas lié à la destruction « volontaire », dit Attali des frontières européennes…

Le comble consiste toujours à ne jamais parler, quant aux migrations, de corruption (y compris dans les mêmes livres de 5e), de trahison des élites locales vendues aux courants affairistes du nihilisme global, mais de « manque de répartition des richesses » lié bien sûr et surtout à « l’ultra » ou le « néo » libéralisme, termes repris en chœur de gaute à droiche, tout en ne disant pas un mot sur l’inertie grandissante des instances mondiales qui préfèrent empêcher le développement lorsqu’il utilise des ressources fossiles…

Pendant ce temps, la population autochtone subit la réalité de ce qui apparaît tout d’abord comme une discussion sur le sexe des mots/maux…




Où habitent les « souverainistes » les plus bêtes du monde ? Ben… En France bien sûr…

Par Lucien SA Oulahbib

La diabolisation de certains souverainistes — certes les plus radicaux — par… d’autres souverainistes va bon train. Ainsi les auteurs de Riposte Laïque dont le fondateur, Pierre Cassen (catalogué « extrême droite » sur Wikipédia bien sûr) sont de plus en plus invités au compte-gouttes, quand ils ne sont pas boycottés (dernièrement par un Damien Rieu [ex identitaire, ex-RN] de R ! annulant la venue de Pierre Cassen à Rouen le 23 septembre pour une conférence, ce qui s’ajoute à la zizanie que ce sieur avait introduite l’année dernière à Callac).

Et qu’il s’agisse en effet de Radio Courtoisie, du nouveau média Tocsin, sans oublier TV Libertés, Bistro libertés, Putsch média, géopolitique profonde, Gérard Info, Juste Milieu, Omerta, etc., mais aussi bien sûr les médias plus « mainstream » (ne parlons pas des médias aux ordres dits de « grand chemin ») comme Valeurs Actuelles, le JDD, Praud et Rioufol sur C News, censés être plus à même de respecter la liberté d’expression en invitant toutes les sensibilités en particulier souverainistes, force est de constater que la mise sous plafond de verre reste totale ou presque…

Riposte Laïque infréquentable donc, au même titre que Civitas, Rivarol, etc. Pourquoi pas, la question n’étant pas de le distinguer, ici, et à tout prix des plus « tricards » du « PAF » (les lecteurs honnêtes sauront faire la différence), mais d’observer que l’amalgame n’est pas l’apanage de la Secte au pouvoir : son venin touche également les plus « incorrectibles », et cela tient sans doute à la singularité même de RL qui est né de la lutte contre les signes ostensibles imposés à l’école par les musulmans radicaux et soutenus déjà à l’époque par les défaitistes nihilistes du tiers-mondisme moribond aspirant à la disparition de toutes les frontières (nationales, laïques, aujourd’hui intimes avec l’assaut de la pédocriminalité chic sous couvert hygiéniste made in OMS d’éducation sexuelle intégrant « le choix de genre » dès la maternelle).

Quant à l’islam, en particulier dans sa version djihadiste, observons que même un Gilles Kepel vient de voir son Master à l’ENS être écarté alors qu’il n’a pourtant jamais écrit dans Riposte Laïque... On peut alors analyser la puissance inouïe désormais du courant néo-léniniste version queer et alter-djihadiste qui est si fort qu’il en vient même à sévir sous la coupe (financière) de la sphère non seulement centriste (au sens large), mais également souverainiste puisque celle-ci fait ainsi le ménage en son sein ; ce qui est aisé à vrai dire du fait qu’elle est toujours sous la coupe idéologique de certains ethnodifférentialistes et néo-gaullistes (genre Cercle Aristote) qui minorent le travail de sape de cette alliance objective entre nihilistes néo-léninistes et djihadistes, ces derniers allant même dernièrement traiter le nouveau Cadet Roussel (du PCF) de « doriotiste ». Ceci serait risible si cela ne provenait de vendus et de traîtres à la solde de la Secte SHAA, faisant le sale boulot nihiliste dans la destruction non seulement des frontières, mais de l’électricité nucléaire, de l’enseignement, des singularités féminines et masculines, des choix sexuels (puisque le queer peut aller jusqu’à intimer à un homosexuel d’être aussi autre chose un « i » ou un « a »…) d’où le début d’un refus de leur part, Gays against Groomers, bien sûr catalogué eux aussi d’extrême-droite sur Wikipédia… Au même titre que ces parents en Belgique refusant l’enseignement de la pédocriminalité chic et traités de « sectaires »…

C’est tout ceci que dénonce article après article Riposte Laïque, mais les mâles dominants de la horde souverainiste restent coi, le doigt bien aligné sur la couture de ce qui serait compatible ou pas avec un brevet éventuel de reconnaissance en « haut lieu »…

Or le seul sectarisme qui prévaut provient de toute cette fange de l’« extrême centre », absorbant LFI, non seulement salace ou orgiaque (ce qui bascule dans l’intimité, du moins si cela ne touche pas des mineurs et engage des personnes réellement consentantes), mais surtout de plus en plus bête et méchante, et ce même pas à la manière du regretté Hara Kiri (Professeur Choron, Reiser…), plutôt agressivement nihiliste façon nervis grimaçants : il suffit d’observer les rictus de l’éternel Iznogoud à la tête de LFI pour ne pas en douter…

Et pourtant, alors que la crise globale s’aggrave de façon exponentielle, et que, le sachant, la Secte SHAA de plus en plus versaillaise craque ses derniers Magnums (2772 euros pièce) au su et au vu des particules élémentaires de plus en plus soumises (mais quand les amis d’Iznogoud le dénoncent, ils oublient qu’ils se la donnent eux aussi dans les dîners fastueux des dictateurs sud-américains et arabo-musulmans), eh bien « le » camp souverainiste (qui pourrait déjà montrer dans le domaine de « l’hégémonie culturelle » qu’une réelle pluralité non seulement existe, mais EST effective) s’affaisse de plus en plus sous nos yeux en réalité ; comme s’il était incapable de grandir (définition de la névrose chez Pierre Janet) abandonnant toujours sa direction à des nostalgiques (Pétain sauveur des juifs français : ben voyons…), écartant donc ceux qui pourraient faire de l’ombre (ci-dessus), se réfugiant enfin dans des perceptions et des analyses reprenant jusqu’au vocabulaire de la Secte comme « le néo-libéralisme » dénoncé pourtant également par un… Minc ou un Attali (retournant à nouveau sa veste sur les frontières européennes), alors qu’il s’agit d’affairisme séculaire provenant d’opportunistes sectaires avides de « la lutte des places » qui pullulaient déjà à Babylone, Jérusalem, Athènes, Rome, Pékin, Versailles, Moscou, Berlin, aujourd’hui Washington, Kiev…

Mais, au lieu de parler, « librement », de tout cela, des divergences comme des convergences, cette mouvance souverainiste préfère elle aussi montrer patte « racisée » de peur de déplaire à la bien-pensance qui donne toujours le La le long de cette nouvelle Galerie des Glaces des médias à la mode (pseudo alternatifs en réalité…). Alors qu’ils seront balayés comme les autres…




Lampendusa ou la faillite abyssale de l’ONU-UE et des ONG

[Illustration : afp.com/Alessandro Serranò]

Par Lucien SA Oulahbib

Lampendusa (« Ces personnes sont principalement ivoiriennes, égyptiennes et guinéennes, selon Frontex ») « Lumpen/dusa » ou le symbole cuisant, épique, de ce que charrie de plus en plus l’immense échec des organisations internationales (ONG comprises) censées lutter contre les causes mêmes des migrations mondiales : corruption, corruption et encore corruption comme l’indique Transparency International (quoi que l’on puisse penser de ses critères bien trop restrictifs), organisations internationales gangrenées par l’idéologie tiers-mondiste et l’affairisme devenu globaliste (anti-national).

Ce ne serait donc pas à cause des « nationalismes qui auraient atteint leurs limites » comme le prétend le représentant de l’UE à la tête de l’État en France, mais bien du refus volontaire d’intervenir, efficacement, sur les États faillis ou inexistants alors que ces organisations internationales, ONG et UE comprises, savent bien faire par exemple financièrement pression pour empêcher la construction de barrages et de centrales à gaz ou à charbon pourtant nécessaires pour les pays du Sud concernés afin qu’ils aient suffisamment d’énergie bon marché en vue de faire tourner leur économie ; évitant ainsi évidemment le départ massif de leurs habitants…

À supposer cependant que ces pays soient sommés par l’ONU, l’UE, et leurs affidés, de ne pas détourner l’aide internationale, de permettre un réel respect du droit de propriété afin que des investisseurs autres que maoïstes et US puissent participer à un développement indispensable quantitatif et qualitatif ; tout en sachant cependant que leurs institutions ne peuvent pas avoir la même forme que celles existantes en Occident ; d’où une organisation autre mixant par exemple démocratie tribale et urbaine (à la façon des réformes de Solon et surtout de Clisthène) à pondérer selon chaque pays bien entendu ; le tout doublé d’un donnant-donnant faisant en sorte que le pays refusant de faire ainsi pour le mieux se verrait exclu des instances mondiales ; tout se tient.

Aussi lorsque l’on entend que la vague migratoire avec sa dynamique non seulement scélérate (sur tous les plans, maritime, mafiosique…), mais tsunamique, serait due à la « catastrophe climatique » et au « manque de générosité européenne », la connerie à l’état pur a bel et bien de beaux jours devant elle…

Et ce d’autant plus que cette connerie touche tout autant les dirigeants dits « souverainistes » refusant eux aussi de pointer du doigt les responsabilités non seulement de l’UE, mais de toutes ces instances mondiales qu’une France digne de ce nom devrait quitter ; toutes ?… Toutes !… Et lorsque l’on voit que le renchérissement des denrées alimentaires et de l’énergie — qui se trouve lié au refus anglo-saxon de voir s’opérer un rapprochement entre pays européens non slaves et slaves — s’avère être à peine évoqué sinon à la marge, nous sommes bien loin de nous éloigner de l’abîme…

Même Zemmour, Maréchal, Mélanie, Bardella ou Mélenchon ne disent mot sur l’ONU, ses affidés, et soutiennent, de fait, la politique anti-paix des US et UE, malgré quelques critiques qui ne mangent pas de pain sur « l’injustice » de « la » guerre en soi façon concours de beauté : peace and love… Qui peut être contre d’ailleurs, d’autant que ce courant a lui aussi disparu dévoré par les néo-cannibales

Il n’est au fond guère besoin d’être grand clerc pour observer que tout ce que ces sieurs dits « souverainistes » ou « internationalistes » blablatent les mêmes antiennes (« la Corrèze avant le Zambèze ») ou l’inverse (plutôt être « citoyen du monde »…) protestations certes défensives (non à la façon « opérative » russe cependant…), mais toujours à côté de la plaque… tectonique… qu’est devenue la faillite désormais monumentale (300 000 milliards de dollars de dette) de ladite « Communauté internationale » de plus en plus inféodée à la Technostructure globale à dimension totalitaire (ou ici Secte SHAA) tout en maintenant bien sûr des trompe-l’œil de démocrature comme l’État de droit, des institutions dites indépendantes, une presse au-dessus de tout soupçon (qui veut racheter BFM siouplaît ?) un enseignement objectif, le tout semblable à la Constitution Soviétique de 1936 sous Staline qui était « la plus démocratique du monde »… sur le papier.

Belle désillusion en tout cas que d’observer tous ces « anti » réitérer le même argumentaire depuis des décennies sans s’en prendre à l’essentiel : l’ONU ainsi que l’Hydre affairiste nihiliste anglo-saxonne et ses tentacules otaniennes infiltrées au sein même de l’UE et de diverses officines prétendument « radicales » (façon Hydra en SF) espérons que tout ce beau monde se trouvera balayé par le réel « soulèvement » qui vient…




Critique de la Connerie pure

Par Lucien SA Oulahbib

Partons de ses deux principes fondateurs dégagés par l’éminent sémiologue français Michel Audiard, également cinéaste de son état :

1/ Les cons cela ose tout c’est même à ça qu’on les reconnaît.

2/ Faut pas parler aux cons, ça les instruit.

Remarquons déjà qu’un con peut s’instruire, il n’est donc pas forcément idiot, même s’il n’est pas intelligent, car instruction et intelligence sont deux choses bien différentes (Pierre Oléron, Pierre Janet, Jean Piaget…) ; cette dernière désigne en effet la capacité à établir des relations (autrement le réel serait un film sans scénario disait justement Piaget, ce que recherchent les nihilistes néanmoins : détruire la capacité de faire des scénarios, car cela ferait de vous un « dominant »…) y compris de nouvelles interactions, et, ainsi, en dégager une synthèse, un jugement/sentiment pour l’action (Janet) ; tandis que l’instruction désigne seulement l’accumulation de connaissances connues ; ce qui fait que le con va reproduire telle conclusion acquise, même si la situation est nouvelle ; alors que l’intelligent va tenter d’en dégager une nouvelle pratique afin de surmonter l’inattendu ; d’où l’idée fausse si répandue hélas (par Albert Jacquard par exemple dans « Moi et les autres“…) supposant que plus l’on est instruit plus l’on devient intelligent…

D’où l’idée forte défendue par Audiard stipulant qu’il ne faut pas parler aux cons, car en les instruisant ils vont croire qu’ils sont intelligents, c’est-à-dire capables de réagir à des situations nouvelles (Oléron) alors qu’ils ne vont faire que reproduire des solutions anciennes, même si elles n’ont pas marché ; ce qui fait dire qu’en effet les cons « osent tout », ils savent bien que cela ne marche pas et pourtant ils le font, ils osent le faire et c’est donc « à ça qu’on les reconnaît »…

J’ajouterai la critique suivante : le con n’est pas forcément idiot en s’entêtant à répéter des solutions pourtant erronées, il peut être aussi malin, voire rusé, parce que s’il est instruit il sait que même s’il répète des solutions fausses il peut rester à sa place, non seulement parce que au royaume des aveugles le borgne est roi, mais parce qu’il a appris qu’avec de l’argent de la flatterie une solide force de maintien de l’ordre obligée de lui obéir et beaucoup de promesses (qui n’engagent que celui qui les écoute tel le corbeau de la fable) il peut soudoyer beaucoup de veules, d’où l’idée de ne pas lui parler cela pourrait lui donner des instructions comme lorsque l’on instruit une machine qui va certes reproduire le programme (tel Mr Smith dans Matrix), mais peut s’emballer dans un « j’ai très envie de les emmerder »…

Des exemples ? À foison bien sûr. Les dernières (conneries) en date ?…

  • « On ne naît pas femme on le devient » : faux, on naît femme ET on le devient ; ce qui fait qu’aller voir un gynéco alors que l’on a un pénis retourné et que l’on va le nommer « vagin » ne fait pas de vous une « femme », car celle-ci n’est pas réductible à son organe génital, il y a aussi, outre sa capacité de créer la vie, toute une singularité psychique (bien dégagée par Joseph Nuttin, 1980, p.166) stipulant que la femme est bien plus tournée que l’homme vers la recherche de la qualité relationnelle plutôt que la seule performance et prouesse ; est-ce cependant lié au fait précisément qu’elle donne la vie cherchant alors un mâle mieux à même de la lui procurer dans les meilleures conditions ? Sans doute, mais la corrélation avec le vécu psycho-socioculturel à un moment historique et donc politique donné doit être saisie singulièrement ; en tout cas aller voir un gynéco pour femme alors que l’on est né homme est une connerie, même les trans intelligents le disent (dernièrement au micro de Pascal Praud sur Europe 1)…
  • » On va mettre à genoux l’économie russe » : faux bien sûr, d’autant que les chiffres officiels calculant le PIB ne calculent qu’un tiers de sa richesse réelle aux dires de spécialistes sérieux ; par ailleurs l’on voit bien que la Russie continue à vendre par exemple son pétrole à l’Inde qui le raffine et le revend avec marges à une UE de plus en plus dirigée par des cons, en particulier une conne qui n’en rate pas une… Mais elle est maligne, car elle est instruite : elle sait que « plus c’est gros plus ça passe », surtout quand les médias de grand chemin ont ensorcelé façon Milgram la majorité des élites et des populations moutonnières qui acceptent ainsi de se faire fouetter (à l’instar de ce maire étasunien) avec les lanières « extrême-droite » et « complotiste »…
  • « Il faut arrêter le pétrole et le charbon d’ici 2030 pour éviter le chaos climatique » : faux bien sûr, selon les vrais spécialistes comme Samuel Furfari, déjà parce que le monde en a besoin à commencer par… l’Allemagne, ensuite parce que l’innovation technologique fait que leur production (qui ne tarit pas contrairement aux idées reçues) et leur consommation se font de manière de plus en plus propre et que c’est plutôt par leur absence, en brûlant par exemple plutôt des déchets comme dans les endroits les plus démunis que la pollution et les maladies pulmonaires sont les plus aiguës. Mais les cons diront que tant pis il faut que les miséreux de Calcutta continuent à se chauffer ainsi tandis qu’eux pètent dans la soie bien au chaud dans les appartements de fonction ou les logements sociaux indûment occupés alors qu’avec leurs hauts salaires ils pourraient laisser la place, mais comme les cons cela ose tout…
  • « Il faut régulariser les sans-papiers à cause des métiers à tension » : faux également, car il suffirait de mieux payer ces métiers, comme cela se passe pour les éboueurs aujourd’hui, et l’on verra ainsi que ces métiers recruteront également des autochtones et des immigrés de troisième génération ; ceci implique bien sûr aussi d’alléger le poids des « cotisations » sociales qui sont aussi des « charges comptables » en élargissant l’offre et l’assiette : ainsi il faudrait permettre aux assurances et mutuelles de proposer des services de sécurité sociale, car étant assises sur une échelle mondiale elles ont bien plus d’économie d’échelle et donc de levier sur les prix, d’une part, d’autre part il faut passer de l’impôt progressif à l’impôt proportionnel, car non seulement trop d’impôt tue l’impôt, mais surtout décourage, pousse à la fraude (pas de paradis fiscal sans enfer fiscal) à la délocalisation, porte ouverte à l’affairisme nihiliste aujourd’hui dominant… Certes certains disent que cela n’a pas été prouvé académiquement, alors que les pays qui le font s’en portent bien mieux, quitte à ce qu’un Fonds Commun de Solidarité (FCS) puisse aider transitoirement les plus démunis du fait des aléas de la vie sans en faire des assistés, car cela serait contre-productif (ou l’effet pervers de l’État Providence qui perpétue la division en deux entre une super élite qui prétend savoir mieux que le peuple et ce dernier maintenu en bas ou comment lui casser les pieds et ensuite lui proposer des chaussures orthopédiques)…

On le voit, la Connerie s’édifie dans sa pureté (crasse) grâce… à nous… C’est en laissant en effet les cons déployer leur malignité avec toute une assurance crasse que 2+2 devient 5

(« Un ministre lui a dit un jour : “Maintenant, monsieur le président, il faudrait que l’on s’occupe des cons.” le général a répondu : “Vaste programme !” ».)




La soumission africaine aux Castrateurs est révoltante

Par Lucien SA Oulahbib

Dans Le Génocide voilé, Tidiane n’Diaye est très clair : les Africains ont subi sous la férule arabo-musulmane un génocide par ailleurs si castrateur qu’il se compte par millions (17 selon lui) traités comme autant de bœufs après émasculation (ce que tentent de faire également les dites « néo-féministes Azerty et leurs “hommes déconstruits” et donc aisément remplaçables tant elles sont gavées de godemichés électro-renouvelables, d’insémination artificielle de ventres et de phallus à pacser, marier…), émasculation réelle et symbolique afin que les esclaves ne se reproduisent pas (ou plus comme aujourd’hui en Occident). La traite dite “blanche” n’allait pourtant pas jusqu’à là…

Et malgré tout (!), nombre d’Africains se réclament toujours de cette boucherie halal, de fait, la défendant même mordicus, de Boko Haram à Cassius Clay, en passant aujourd’hui par la dernière campagne de Séphora ne mettant en scène que des jeunes femmes africaines ou pratiquement, vêtues d’un linceul noir ou gris.

De qui se moque-t-on ? Surtout lorsque tout ce beau monde est de plus en plus soutenu par les défaitistes révolutionnaires de la NUPES qui préfèrent laisser la direction du processus de destruction de la population autochtone et de construction d’une clientèle captive aux djihadistes rouges à l’extérieur, verts à l’intérieur…

Aussi, si l’on veut que cette chape de plomb et son plafond de verre se brisent encore plus, il est ô combien nécessaire de dénoncer cette hypocrisie crasse du “racisme systémique” alors qu’il s’avère s’être de plus ne plus renversé dans son contraire : le racisme antifrançais. Celui-ci, s’appuyant sur un mépris et un refus de reconnaître la prééminence des acquis culturels civilisationnels français (comme les comportements et l’attitude vestimentaire), laisse par exemple en liberté un violeur barbare à Cherbourg, mais enferme à double tour un policier ayant juste fait son devoir à Nanterre afin d’éviter la mort d’un cycliste et d’un piéton, en dépit d’une vidéo à l’angle bien trompeur.

Et même lorsqu’une préfète pourtant issue de l’immigration tente de faire appliquer cette prééminence civilisationnelle, elle est rabrouée, en particulier par son “camp” pourtant catalogué à… » droite »…

Il n’y a donc rien à faire, sinon donner un immense coup de balai non pas dans le vagin des femmes françaises, mais dans les écuries d’un État en effet pourri jusqu’à la moelle qui préfère exprès soutenir le barbare qui même condamné ne fera que quelques mois avec les remises de peine octroyées par une justice de plus en plus dévoyée et aux ordres de la Secte SHAA, tant une Morgane est devenue un dommage collatéral et le chauffard de Nanterre un martyr de la cause nihiliste visant à détruire frontières, sexes, attitudes civilisationnelles, le tout au nom de la « morale », comble de l’absurde de plus en plus ubuesque.




Prendre de la hauteur en combattant le nouveau « défaitisme révolutionnaire »

Par Lucien SA Oulahbib

La France de Vercingétorix et surtout de Clovis se baptisant pour Clotilde n’est pas (encore) ce terrain vague situé dans les « parages » nihilistes (« Paysage sans pays, ouvert sur l’absence de patrie, paysage marin, espace sans territoire, sans chemin réservé, sans lieu-dit » [p.15 dernier paragraphe]) dépérissant sous le joug de la Secte SHAA, mais toujours une terre de rugby, oui, visiblement, de sioule aussi tant les sifflets soufflèrent ce soir lorsque l’hologramme non pas du Castro pied noir mais d’un certain Emmanuel M tenta une mêlée avec ce peuple de France que l’on croyait mort et enterré…

Au lieu de prendre de la hauteur plutôt… Ce que ces deux sieurs ne savent pas faire, l’un larmoyant sur son pauvre petit destin façon Tartarin de Tarascon désormais, l’autre malmenant les micros pour effacer les sifflets comme s’il s’agissait des boutons de cette Expérience de Milgram grandeur nature dans laquelle il serait « en même temps » bourreau ET victime…

Car ce n’est évidemment pas de sa faute si 50 000 entreprises ont fait faillite depuis un an (mais le Dilatateur va fanfaronner, lui, sur « 300 entreprises » créées…), pas plus que le reste : hausses partout sécurité nulle part, ainsi va la dérive de ce que fut une élite auparavant admirée respectée aujourd’hui méprisée à un point inouï frisant le non-retour…

Oublions-les… L’Histoire les efface, tel est pris…

Les plaques tectoniques de la géosymbolique s’entrechoquent de plus en plus vite, les zombis du sens s’évaporent, mais s’accrochent pourtant encore, jetant du lest vestimentaire religieux (cette « robe longue » ne se porte jamais sans voile, jamais) pour mieux imposer, imploser le sport féminin, l’enfant cybernétique agrémentés du Simulacre d’une visite chez le gynéco faite par un cyborg se prétendant « femme »…

Le « Sud global » contre « l’Occident collectif » en pleine implosion donc, pas sûr en effet que ce dernier sache encore faire un drop : plus dure sera la chute… Et vivement que la France sorte son épingle de ce jeu perdu d’avance… Mais il n’est pas dit que cela se fasse comme prévu…

N’oublions pas qu’en juin 40 seule une poignée se rendit à Londres, les uns se planquant plutôt entre l’être et le néant, à l’ombre des Bonnes en pleurs, les autres attendant l’ordre de Moscou tout occupé à voir des complots hitléro-trotskistes partout… Ce qui n’était pas tout le temps faux cependant : certains sabordant en effet la machine de guerre « démocratique » via ledit « défaitisme révolutionnaire » au lieu de s’en prendre aux nazis canal historique, les descendants d’aujourd’hui ne font pas mieux en s’alliant avec le djihadisme global lui-même inféodé à l’une des tendances de la Secte SHAA ayant absorbé l’idéologie nazie de l’eugénisme hygiéniste racialiste (mais celle-ci n’est pas homogène sur certains points comme on peut le voir au sein de l’OMS…)

Autant en emporte le vent




La guerre (de tous contre tous) avons-nous les moyens de la conjurer ? …

Édition 24. Été 2023

Renouveau du Kathèkon ?

Par Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

Une question qui semble (toujours) d’actualité alors que, comme d’habitude (?), et ce dans la suite logique d’un certain scientisme (à l’occasion affairiste, hygiéniste, alarmiste) — cet axe sectaire triomphant de plus en plus sous la forme d’une Technostructure privée et publique maintenant globalisée, matricée, en FTN1 et ayant débuté à la fin du 19e tout en accélérant avec les (trente) années dites « Glorieuses » — la « paix », à nouveau, et alors qu’elle avait été promise, et même comme étant désormais rendue « perpétuelle », la « paix » n’est donc plus ou presque ; ou le fameux « plus-jamais-ça » qui aura été pourtant rénové ces derniers temps avec moult « sommets » retransmis en « mondovision », et auquel l’« on » avait aussi rajouté ces temps-ci la « santé » et « l’urgence » dite « climatique » qui « doivent » (sollen), être elles aussi pacifiées et même sont en voie de l’être promettent les politiciens de tous bords ; d’autant que « nous engageons x milliards, pour construire, bâtir… » une fois pour toutes, « plus jamais ça » encore une fois alors que la dette mondiale publique et privée s’élève à 300 000 milliards de dollars et que l’argent déversé « pour » la recherche sur « le » climat (qui est une « dynamique » énonce Marcel Leroux) serait aussi bien utile pour lutter contre le sous-développement (qui aggrave la pollution) comme le prône Bjorn Lomborg ancien dirigeant de Greenpeace…

CONTENU :

LA GUERRE (DE TOUS CONTRE TOUS) AVONS-NOUS LES MOYENS DE LA CONJURER ? …
Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

DÉSIRS MIMÉTIQUES ET VIOLENCES MODERNISTES, OU LES AVENTURES FIGURÉES D’UN CLOU SUR UNE ROUE DE CARROSSE
Par Jean Dhombres

VOYAGE AU SEIN DU PALIMPSESTE MILLET (RICHARD, IVÈME)
Par Lucien Samir Oulahbib

POURQUOI IMPOSER À MARCHE FORCÉE « L’ÉDUCATION SEXUELLE »
À L’ÉCOLE ?
Par Nicole Delépine pédiatre

SCIENTIFIC METHODOLOGY: ABSTRACT AND APPLIED SCIENTIFIC CATEGORIES
by Dr. Oleg Maltsev

LA GUERRE DE TOUS CONTRE TOUS
Par Liliane Messika

WASSER ALS QUELLE DES LEBENS UND LEBENSRAUBENDES ELEMENT
Von Dr. Elvira Groezinger

L’ÂME DU LUXE AUJOURD’HUI
Par Lucien Samir Oulahbib

L’ATOMISATION DE L’HOMME ET DE L’HUMANITÉ
Par Joseph Stroberg

LES APPROXIMATIONS ET LES INCERTITUDES DU CRÉDO ÉCOLOGIQUE DONT LES PROPOSITIONS MENACENT NOS LIBERTÉS
Par Gérard Delépine (chirurgien cancérologue)

EUROPE DE L’ÉNERGIE : LA TRAHISON DE L’ALLEMAGNE
Par Michel Gay

WHAT ABOUT ART?
By Paul Rhoads 

CREATION AND EVOLUTION IN BERESHIT: FOOTNOTE TO GENESIS 1-3
By Marco Andreacchio

DEUX NORMES SOCIALES PROBLEMATIQUES : LA LOI ET LA FOI
Par Abdelkader Bachta

AUJOURD’HUI NOUS SAVONS !
Par Jean-Pierre Lledo

THE VALUE OF PI IN THE BIBLE (AND WHAT IT TELLS US ABOUT BIBLICAL HERMENEUTICS)
by James H. Cumming

Télécharger le PDF

1 firme transnationale




Même dilemme en France et en Israël : comment rester ce que l’on « est » ?…

Par Lucien SA Oulahbib

L’idée de « nation » en tant que Politeia (République au sens grec : sentiment d’appartenance) dépasse dit-on les origines ethniques (Bodin, Renan, Bainville…), mais ce dans certaines limites, car il y a aussi la question ethnoculturelle, au sens large, à savoir la langue, les institutions et la jurisprudence des mœurs (ou « morale »… à ne pas confondre avec « l’éthique »…). Ceci fait par exemple concernant Israël qu’il ne suffit pas d’« être » israélien, du moins pour certains qui ont fondé cet « État ». Il faut aussi partager sa langue et son histoire, ce qui implique d’admettre que les racines juives et bibliques ont la prééminence sur les autres (arabo-chrétiennes, arabo-musulmanes…)… et aussi que ceux qui refusent ce Pacte Politique (ne serait-ce que de prendre en compte ce qui s’estréellement passé au Proche-Orient), ne peuvent décemment rester, du moins s’ils sont cohérents, ou alors seulement comme résidents s’auto-marginalisant, surtout s’ils n’ont pas la citoyenneté israélienne…

Mais comment instituer concrètement cette prédominance sinon culturellement et non pas seulement « biologiquement » (échec des Germains sur ce point) et donc par l’émergence continue d’institutions fortes incluant principalement l’enseignement de la langue et de l’Histoire multiforme (paléo, néo, et aussi histoire des sciences et des techniques, de la littérature, etc.) ? Un cours de maths, de physique, de biologie ne pourra plus par exemple se faire sans son univers de questionnement sur l’origine du cosmos, de la vie, les hypothèses en débat, etc.

Concernant la France, l’aspect « ethnique » apparaît bien moins fondateur encore que sa dimension politique au sens fort décrit plus haut, c’est-à-dire intégrant à la base une dimension spirituelle forte, en l’occurrence religieuse, tout d’abord avec le baptême de Clovis puis le fait qu’avec Pépin le Bref et Charlemagne la France devient la garante même de l’indépendance de l’Église apostolique face à tous les pouvoirs (d’où son appellation de « fille aînée » de l’Église). Le Roy était le lieu-tenant de cette tâche divine (Bodin, les six livres de la République, tome 1 par exemple)) qu’il édifia et renforça avec l’appui des villes s’affranchissant peu à peu d’une alliance (devenue joug) féodale qui n’avait plus lieu d’être, surtout depuis François 1er — l’aristocratie ne le comprit pas jusqu’à la fuite de Varennes, « erreur » monumentale, et, depuis, toute la vie politique du moins spirituelle (au sens du souffle du « pneuma » de l’Esprit) de la France se trouva en retrait, sur la défensive (politiquement), malgré l’imitation vaine d’Alexandre par Bonaparte (Léon Daudet aura écrit à ce sujet des choses mémorables dans Les Universaux, 1935), malgré la victoire de 14-18, par ailleurs incomplète (il aurait fallu défiler dans Berlin comme le proposait Foch afin de montrer au peuple allemand qu’il avait été vaincu…), malgré le sursaut gaullien du 18 juin 40. De Gaulle se trouva également sur la défensive, d’où son échec en 62 (alors que « les » Algériens ne voulaient pas du FLN…) et ses déconvenues en 68-69 malgré un Pompidou hélas mort trop tôt…

Ne parlons pas de la suite, feuilletonesque, hormis la victoire déjà finale de la Secte SHAA avec son ossature anglo-saxonne adoubée par un Mitterrand (fausse « étatisation » exacerbée, naissance des oligarques à la française) et accentuation du sansfrontièrisme amorcé par Giscard (globalisation de la technostructure apatride que même le « rad-soc » Chirac tenta de combattre avec son « appel de Cochin »… en compagnie de Pasqua, Villiers, puis il y eut Maastricht…).

D’où, pour aller vite ici, l’idée actuelle de tenter un nouveau sursaut, en réaffirmant déjà voire en premier lieu les racines spirituelles en particulier judéo-chrétiennes de la France comme le propose Joseph Macé-Scaron en les inscrivant dans la Constitution (alors qu’un Derrida voulait l’effacer [paragraphe 31] et toute l’anti-modernité actuelle en découle). Cela ferait certes un beau tollé, mais enfin mettrait les pieds dans le plat… Et permettrait de préparer les autres débats comme la place qui doit rester prédominante de la culture française. Il est en effet paradoxal que la sauvegarde du patrimoine touche la portion congrue des 3 milliards d’euros versés au ministère de la Culture par exemple, sans oublier les émoluments des radios et TV publiques, les aides à la presse, les sélections idéologiques d’une « exception culturelle » hypocrite (bien vues dans Le monde d’après d’un Laurent Firode), etc., etc., sans oublier le fait que les Universités ne puissent pas recruter localement ses enseignants, de même que les lycées et collèges, sans parler d’une réelle valorisation du juge d’instruction de la justice des prisons, sans parler de la nécessité d’un référendum sur le retour de la peine de mort à partir par exemple du texte de Jean-Jacques Rousseau (la rupture du Pacte républicain — au sens de Bodin — doit être sanctionnée y compris pour le salut du criminel) comme sur l’immigration, sur le retour vers l’instruction publique et non plus « l’éducation », etc., le référendum étant garanti par la Constitution contrairement à ce qu’il en a été dit durant l’élection présidentielle de 2022

Prenons un premier référendum à faire sur l’immigration — la question pourrait-être : les préposés doivent-ils faire leur demande dans leurs pays ou en arrivant en France ?…

Car le paradoxe est que tant qu’ils n’ont pas de papiers (et cela peut durer plusieurs années), le travail leur est interdit, d’où leur précarité (violente) dans les rues… Ceci renforce « en même temps » l’animosité et le discours racialiste antipatriotique alors que l’idée qu’ils puissent faire leur demande non pas en France et en UE, mais d’abord dans leurs pays semble la seule mesure efficace, ce qui implique de les renvoyer, aux frais de l’UE, et pour les « apatrides » de créer des lieux ad hoc de type onusien comme pour les « réfugiés » syriens, etc.

Un autre référendum sur l’instruction nationale : le service public a-t-il pour fonction d’instruire ou d’élever les enfants ?… S’il s’agit seulement de les instruire, cochez la case « instruire ». Pour les « élever », la case « éducation ». Ceci permettrait concernant la première case sinon d’éliminer du moins de préciser qu’il n’y a pas lieu de faire de l’éducation sexuelle, mais plutôt d’instruire, ce qui serait le mieux pour avoir de bonnes relations entre les sexes et les individus en général au lieu de laisser la pornographie et l’idéologie remplir cet office. Idem en matière d’Histoire devenant le cadre majeur des sciences de la matière, de la nature et de la société : il s’agira de bien instruire d’abord les faits et non pas seulement les commentaires…

Un autre référendum sur les racines principalement judéo-chrétiennes pourrait approfondir cette série afin de bien rappeler que la France ne commence pas en 1789 ni même à Hugues Capet, mais bien au baptême de Clovis (à moins d’exclure les Mérovingiens et de commencer uniquement par les Capétiens…).

Enfin un « dernier » référendum, celui de continuer à appartenir à l’UE, ou pas, pourrait montrer, à la suite de ceux-ci, ce que veut réellement le peuple, la nation française…




Comment l’urgence insectocène et le racisme antiblanc ont remplacé « l’urgence sociale »…

Par Lucien SA Oulahbib


Les enfants blancs dans les mines d’Angleterre ou dans les scieries de la Forêt Noire d’Allemagne au 19e siècle outrageaient les socialistes radicaux, dont Karl Marx. Par contre les enfants noirs grattant aujourd’hui de leurs mains les mines du Congo pour arracher le cobalt qui permettent aux insectofiles de rouler en voiture électrique n’émeuvent guère les descendants post marxistes. Ceux-ci hurlent cependant à l’encontre de jeunes gagnants français d’un concours d’éloquence en anglais parce que « blancs » ils ont osé récité la phrase célèbre de Martin Luther King, « I have a dream » (alors que s’il y avait eu également des enfants noirs, ces derniers auraient été traités de traîtres « bounty »…)…

En fait, et plus généralement, car voyant de plus en plus cette contradiction dans leur dénonciation à géométrie variable, ces influenceurs/entrepreneurs/bonimenteurs en moraline préfèrent de plus en plus botter en touche en voulant à terme interdire la voiture, l’avion, la viande, les produits laitiers. Ils militent (sauf exception comme le nouveau Cadet Roussel) pour le Village du Prisonnier ou « les villes de 15 minutes » et l’alimentation basée sur la nourriture d’insectes devenant ainsi les outils serviles de la Secte SHAA qui désire par ailleurs un confinement, permanent, des particules trans/post/humaines, ces déjà « couch-potatoes » médicalisées, injectées (même Trump le dénonce désormais). Mais ils votent bien, sous peine de ne pas toucher leur revenu universel, au fond de leur logement social mâtiné de tags et de rodéos nocturnes. Les femmes s’habillent en vêtements de plus en plus larges afin de s’acclimater à « la » mondialisation obligatoire, ma bonne dame…

« L’insectocène » antiraciste comme « antidote » néo-religieux à « l’anthropocène », donc. Ces deux notions deviennent de plus en plus les derniers mantras antirationnels de l’errance ou dérive nihiliste totalitaire du courant postmarxiste qui se réfugie « en même temps » dans un alter-djihadisme néoléniniste à la solde des firmes alarmistes et hygiénistes prônant tout autant les injections, l’urgence alarmiste, que la GPA pour tous, y compris récemment par la bouche du ministre des transports français. Ils veulent ainsi accroître encore plus le drame des enfants sans mère et sous méthode ROPA

Il serait alors de plus en plus d’utilité publique non seulement de « destituer » l’employé qui a failli, mais aussi de participer à cette liste anti-transition que prône Philippe Herlin afin de créer enfin un pôle réellement salvateur, maintenant que tous les partis (ou presque) bêlent dans une seule direction, celle déjà de la soumission énergétique, hygiéniste, nihiliste, sansfrontièriste à une UE cheval de Troie de la Secte bras armé de l’État profond US. Celui-ci empêche la France de retrouver son rang de puissance propositionnelle de paix partagée et non pas imposée, surtout au moment même où de plus en plus de nations tournent désormais le dos à un Occident qui a confié son avenir spirituel et matériel à une secte de plus en plus fanatisée soufflant sur les braises du pire pour mieux s’y reproduire en rescapés du désastre, survivant ainsi aux crochets du cadavre encore chaud de ce que fut la République française (au sens de Jean Bodin…).




Verts-LFI ou la caution désormais alter-djihadiste de l’Idéologie insectocène

Par Lucien SA Oulahbib

Dernier avatar d’un parisianisme javellisé à du Lénine bégayant Marat, les post-marxistes sont devenus à l’instar de leurs sosies anglo-saxons les supplétifs de l’alter-djihadisme aujourd’hui insectocène, ce qui est bien contradictoire : mais le déconstructionnisme se fiche bien de cela, — voir p.79) un « islamogauchisme » (qui n’existe pas plus que « la théorie du genre »…). Et cette « nébuleuse » a fait main basse sur ce qui restait comme oripeaux idéologiques depuis 1979 (Khomeini légitimé par Foucault en France en compagnie de Sartre et avalisé par Giscard) et 2001 (les Saoud absous par l’État profond US qui existait bien avant les « néo-cons »), tel « le combat contre l’antisémitisme » qui est revendiqué, sans honte bue, par les… djihadistes chics en disant que la dhimmitude juive dénoncée par Bat Ye’or serait un fantasme, les juifs étaient, paraît-il, à leur aise sous l’islam (et Mélenchon regretta la victoire de Charles Martel) jusqu’à « l’invention d’Israël »

Surnage aussi encore un peu de « l’anti-impérialisme » d’antan provenant plutôt du tiers-mondisme chrétien (ONG) métamorphosé, à la chute de l’URSS et de son anti-immigrationnisme façon Georges Marchais, en altermondialisme agressif abandonné pourtant par les pays concernés (« peu importe que le chat soit blanc ou noir du moment qu’il attrape la souris ») au profit aujourd’hui des Brics ++ se posant également en alternative à d’autres +++…). D’où une autre métamorphose encore pour ces orphelins du néoléninisme, ou la plongée corps et âme dans un alter-djihadisme vert désormais mâtiné pour compenser de pro-palestinisme (défense plutôt du Hamas et non pas seulement de « Gaza ») et de nihilisme antifrontièriste ; axes articulés à d’autres (bien rémunérés), promus par la nouvelle mue cybernétique d’une Technostructure globaliste, désormais repentante, et personnifiée fashion par les projets Bloomberg du « zéro » vie décente, Davos (grande réinitialisation), Soros (les frontières sont au fond d’extrême-droite de type « chauviniste » et Mélenchon est d’accord lui ce « citoyen du monde ») sans oublier Bill Gates (et son désir de « ralentir la démographie dans le monde ») etc., etc.,

Tout ce beau monde de la Technostructure ainsi fanatisée (un Thierry Breton en exemplaire Mr Smith type) voile ainsi et assez hypocritement la vérité du monde (exactitude logique et sens politique de notre présence humaine sur Terre) en se servant de cette caution idéologique périmée pourtant des Verts-LFI djihadisés soft (et Ségolène à l’affût vient de s’y rallier) pour masquer ses cornes affairistes (éoliennes, masques, inutiles) ses impulsions nihilistes (sansfrontièristes) et leurs pointes hygiénistes (scientisme du tout vaccinal) avec leurs barrissements d’alarmistes fanatiques avec leur croisade anti-CO2 pour promouvoir sans le dire « l’insectocène » (avec la plus grande usine d’insectes au monde construite près d’Amiens comme symbole, mais oui la réindustrialisation…).

Alors que ce qui est aujourd’hui nommé « anthropocène », n’existe pas en terme de temps géologique, il s’agit toujours d’une construction idéologique de plus (+++…), alors que nous sommes encore en réalité dans l’holocène, soit une période interglaciaire qui, heureusement, dure, améliore les conditions de vie (n’oublions pas que le froid tue toujours bien plus que la chaleur dans le monde) du moins c’est ce qui se disait avant la grande manipulation des chiffres non seulement climatiques, mais désormais météorologiques, ainsi que les termes qui vont avec : ne plus dire beau temps et été, mais « canicule » et « vagues de chaleur » et non plus anticyclone des Açores, mais « dôme de chaleur. »… Toute une confusion de plus en plus drue des notions (climat, météo) qui va de pair avec le « trouble dans le genre » arme finale en vue de détruire les « andro/phallo/centriques » blancs (parce que les autres… ils n’ont pas les « codes » ou le racisme à l’état pur…).

« Et pourtant elle tourne »…

Et heureusement que les adeptes de la « diète carnivore » font de plus en plus fureur…

Grande lutte donc à venir entre la secte des insectocènes +++ (tendance clavier Azerty) et la pluralité des humanistes patriotes unis dans la diversité de leurs nations singulières pour un meilleur avenir en commun, mais débarrassé de ces avatars ratés (comme dans Retour vers le futur II et III) qui cependant comme le chiendent ou le sparadrap du Capitaine Haddock s’accrochent encore et encore… Refusant de basculer dans « le puits sans fond de l’Histoire » : ouste, du balai ! Assez de subir celui-ci au contraire




Suicidez-vous pour sauver la planète, sinon détruisez tout en attendant !

Par Lucien SA Oulahbib

Contrairement aux apparences, la canaille sectaire au pouvoir loin de « sauver » quoi que ce soit (climat, et santé…) envisage plutôt d’inciter au suicide, déjà indirectement et de façon chic avec pub et grande musique — « tout est beauté » — pour départ en grandes pompes (funèbres) vers les centres de suicide assistés en Belgique et en Suisse. Et ce, non pas seulement pour des personnes incurables physiquement, mais également mentalement : atteintes d’éco-anxiété, de « troubles » de la personnalité ou, bientôt, en panique morale d’être blanc, voire de ne pas avoir encore été violé(e) pendant « des heures » par une victime du colonialisme occidental (le seul qui aurait existé), la seule issue honorable serait donc de (se) donner la mort si l’on ne veut pas être un meurtrier (paradoxe blanchotien [paragraphe 30] revisité par Derrida dans Parages, p. 161 et suivantes, analyse globale ici).

Mais en attendant de franchir le pas, la destruction de tous par quelques-uns reste un soin palliatif conseillé, comme incendier des forêts, truquer (in) volontairement les chiffres de la météo (c’est la faute aux algorithmes), et, plus obscène (sans scène) : mutiler les enfants en leur faisant croire qu’ils peuvent, qu’ils doivent changer de sexe comme ils le sentent. « Venez comme vous êtes », comme dans le nouveau film de Barbie (tant pis si la médicalisation du geste deviendra permanente en prenant à vie divers bloqueurs). Comme aussi détruire peu à peu le cheptel, adieu veaux, vaches, lait, Pierrette et son bol fracassé puissance mille (alors qu’il aurait été possible de sauver le pot de Pierrette comme indiqué ici, voir le sommaire…).

Mais trêve d’ironie, même sarcastique, ceux qui programment ce suicide chic sont les mêmes BOBO (et « Boomers » selon la mise à jour) qui règnent sur le Service Public et Privé qu’ils ont détourné à leur profit tout en caressant dans le sens du poil leur clientèle, mais à peine tout de même (expérience de Milgram permanente), juste de quoi la laisser survivre pour mettre un bulletin dans l’urne (dans un an) en échange d’un deux pièces dans une « cité interdite » (et cela ne date pas d’hier), au 10e étage sans ascenseur, squatté par les guetteurs et guetteuses en sac poubelle. Ainsi le premier préposé bateleur en titre en France prépare les Européennes en disant tout et son contraire (paroles, paroles) agitant même l’idée de « référendum» pourtant jugée contraire à la Constitution, du moins « selon la question posée » pour les spécialistes de plateau entre les deux tours de la présidentielle de 2022 ; ses référendums ne toucheront donc pas « l’essentiel », mais tueront ce qu’il en reste (climat, santé, souveraineté…).

Pendant ce temps, 5 puis 10, 11, bientôt 40 pays, pas tous « démocratiques » loin s’en faut, se rassemblent sur cet essentiel : le refus d’être démantelé, littéralement, de voir ses briques civilisationnelles être brisées, quitte à ce que, à terme, les données objectives du droit naturel triomphent. Impossible en effet d’empêcher l’être humain, y compris lorsqu’il est citoyen », d’aspirer à être libre, sans que pour autant, cependant, une instance, autoproclamée, lui impose sa conception de la liberté. Or c’est bien là l’impasse majeure dudit Occident qui aura oublié d’une part que la majorité des massacres du 20e siècle proviennent de régimes athées et non religieux, et que, d’autre part, l’on n’impose pas l’universel, il se diffuse, si et seulement si les populations qui le croisent trouvent de l’intérêt à l’adopter. « Croire » le contraire revient à se cantonner à l’illusion scientiste du 19e siècle qui avançait niaisement que la Science devrait être imposée comme une « loi » dont la Table serait écrite une fois pour toutes…

Et pourtant ! Nous sommes encore dans cette tournure d’esprit (climat, santé…), mais il ne faut pas le dire, de peur que « Billancourt se désespère »…

Aujourd’hui l’espoir a changé de camp tandis qu’en Occident la délivrance tarde : les sanglots longs des violons de l’automne




Climatocovid août 2023 : vont-ils oser l’irréparable ?…

Par Lucien SA Oulahbib

Pour l’instant il s’agit juste de prévenir en cas de « symptôme » ou si l’on est « fragile », sauf que ce dernier terme est préconisé par l’idéologie dominante ambiante et que les cons osent tout (c’est précisément comme cela qu’on les reconnaît). Ils seraient bien capables de l’imposer aux gueux des wagons à bestiaux entre deux pelotages, trois mauvais regards, un viol et un égorgement : peanuts niveau statistique, classés faits divers, sinon on jette le sort « extrême-droite » récupératrice, cela se fait…

Le degré zéro de la jugeote, mais cela passe, ils sont si malins, si têtus, deux formes d’intelligence fièrement affichées, emmitouflées dans un pack climatocovidiste dernier cri. On ne parle plus de « beau temps », d’été, mais de « canicule » dès que 30° est dépassé, en attendant les restrictions à venir pour la conjurer. Mais oui, l’idée d’agir sur l’univers lui-même était déjà dans certaines têtes brûlées. Aussi, haro sur la viande et les voitures puisque le parc automobile basculant dans tout électrique reste du domaine de la dystopie…

Et puis, imaginez un instant un monde avec de moins en moins de CO2, donc de moins en moins de plantes marines et terrestres, donc de moins en moins d’oxygène, et aussi des terres plus arides, le cheptel de plus en plus famélique. Cela tombe bien, puisqu’il est question de le supprimer, remplacé par des insectes et de la viande cybernétique. L’oxygène se vendra à terme dans les supermarchés uniquement végans. Les gueux un jour en quémanderaient même à terme quelques bouteilles, et de plus en plus à prix d’or, sauf s’ils ont « bien » voté, comme au Venezuela, les copains de LFI. Les nantis s’en fournissent, eux, gratuitement puisqu’ils les produisent…

Un univers de fiction (style Soleil vert) improbable, diriez-vous… Mais est-ce si sûr ? Qui aurait cru il y a dix ans qu’en 2023 il serait question de s’injecter un produit inconnu pour se protéger d’un virus parmi des milliards et de se museler aussi de peur d’échanger des microbes, hystérie hypocondriaque de narcisses égotistes envoûtant des millions de gens comme les dictateurs du siècle denier savaient si bien le faire…

Rien n’arrête des sociopathes : sauf en les démasquant.




Entre communisme et christianisme

Extraits de « Retouches à mon retour de l’URSS » d’André Gide et des « Universaux » de Léon Daudet, commentés aujourd’hui…

Par Lucien SA Oulahbib


Citons d’abord le premier texte datant de 1937 (aux éditions Gallimard, pp 57-62) en un extrait assez significatif, semble-t-il, lorsque Gide relate son voyage comme invité :

« (…) tout, là-bas, me fut offert. Oui, tout : depuis le voyage lui-même jusqu’aux paquets de cigarettes. Et chaque fois que je sortais mon portefeuille pour régler une note de restaurant ou d’hôtel, pour payer une facture, acheter des timbres, un journal, le sourire exquis et le geste autoritaire de notre guide m’arrêtait : “Vous plaisantez ! Vous êtes notre hôte, et vos cinq compagnons avec vous.” Certes, je n’eus à me plaindre de rien, durant tout le cours de mon voyage en U.R.S.S., et de toutes les explications malignes que l’on inventa pour invalider mes critiques, celle qui tendit à les faire passer pour l’expression d’une insatisfaction personnelle est bien la plus absurde.

Jamais encore je n’avais voyagé dans des conditions si fastueuses. En wagon spécial ou dans les meilleures autos, toujours les meilleures chambres dans les meilleurs hôtels, la chair la plus abondante et la mieux choisie. (…). Mais ces faveurs mêmes rappelaient sans cesse des privilèges, des différences, où je pensais trouver l’égalité. (…) j’étais venu pour admirer un nouveau monde, et l’on m’offrait, afin de me séduire, toutes les prérogatives que j’abominais dans l’ancien.

— Vous n’y entendez rien, me dit un excellent marxiste. Le communisme ne s’oppose qu’à l’exploitation de l’homme par l’homme ; combien de fois faudra-t-il vous le répéter ? Et ceci obtenu, vous pourrez être aussi riche qu’un Alexis Tolstoï ou qu’un chanteur de grand opéra, du moment que vous aurez acquis votre fortune par votre travail personnel. Dans votre mépris et votre haine de l’argent, de la possession, je vois une regrettable survivance de vos premières idées chrétiennes.

— Il se peut.

— Et convenez qu’elles n’ont rien à voir avec le marxisme.

— Hélas !…

(…)

Et voyez ce qui se passe en URSS : cette nouvelle bourgeoisie qui se forme a tous les défauts de la nôtre. Elle n’est pas plus tôt sortie de la misère qu’elle méprise les miséreux. Avide de tous les biens dont elle fut si longtemps privée, elle sait comment il faut s’y prendre pour les acquérir et pour les garder. “Sont-ce vraiment ces gens qui ont fait la Révolution ? Non, ce sont ceux qui en profitent”, écrivais-je dans mon Retour de l’URSS. Ils peuvent bien être inscrits au parti ; ils n’ont plus rien de communiste dans le cœur. »

À ces extraits, j’ajouterai avant de les commenter celui-ci de Léon Daudet, dans Les Universaux (Grasset, 1935, p.82) écrit deux ans plus tôt :

« (…) Le venin de la jalousie, quand il monte en grade, devient contagieux et collectif, s’appelle l’envie. Dans cette transformation, sa virulence persiste. Associée à l’exaspération de l’esprit de justice, il donne la révolution, laquelle est épidémique et contagieuse, à la façon d’une maladie infectieuse. Plus la Révolution est violente et déchaînée, plus le fuseau de justice diminue jusqu’à disparaître complètement. Mais, une fois maîtresse du pouvoir, par la faiblesse et la défense, plus que par la vigueur de l’attaque, la Révolution, du fait que l’envie est satisfaite par la spoliation et l’expropriation, ne sait plus que faire de sa victoire et s’exténue. On dit vulgairement qu’elle s’embourgeoise. »

Ainsi André Gide pensait que le communisme léniniste venait accomplir un certain christianisme plus tourné vers le dolorisme (car l’on oublie les paraboles du Semeur et des Talents qu’aime bien citer Charles Gave), alors qu’il s’agit d’une lutte des places et non des classes comme l’a aussi montré Claude Lefort dans son retour à lui sur le communisme (La Complication, 1999, Fayard) lorsqu’il indique en prenant les termes de Daudet que les jaloux s’affûtaient avec « envie » afin non pas de faire comme un Tolstoï suivant l’exemple de ce « marxiste » interlocuteur de Gide (plus haut), mais de s’y substituer… sans le talent… comme cela se voit à profusion, encombrant en plus chaque rentrée littéraire de livres aussi inutiles les uns que les autres, tout en clouant au pilori (en faisant même la chasse) ceux qui ont eux encore quelque chose à dire…

C’est l’un des premiers axes : il s’agit d’imiter les anciennes élites, mais sans leur classe et leur élégance (enviées cependant), leurs résidus servant plutôt de faire-valoir par leurs manières, avant de les supprimer comme c’est en train de s’accomplir aujourd’hui. On jette aux oubliettes la « vieille » France (cataloguée de « moisie ») avec toute sa gouaille, sa hauteur de vues, son passé glorieux, ses inventions, ses écrivains, ses musiciens, ses poètes, ses philosophes, ses mathématiciens, ses physiciens, sa tâche spirituelle d’être la Gardienne de ce qu’a fondé Pierre (même si celui-ci renie le Christ trois fois comme le soulignait Arnaud). Tout cela doit être écarté pour certains (surtout si se trouve proposée de la soupe au cochon, et pourtant « ils » n’obligeaient même pas à la manger), alors qu’en Russie, comme il est dit plus haut, il s’agissait moins de renier le désir de posséder que de le partager (suivant le principe des deux gauches de Françoise Sagan : celle qui veut que tout le monde marche à pied ou en vélo et celle qui veut que tout le monde roule en Rolls, la première aura gagné), du moins en théorie bien sûr, car en pratique « fais ce que je te dis… », le tout au nom de « la Terre »… désormais.

Aussi Gide voulait aller plus loin. Pour lui, le communisme, le « vrai », a été trahi, celui sans doute d’un égalitarisme fantasmé que l’on voit cependant être exécuté aujourd’hui en France, non seulement en supprimant peu à peu la classe moyenne au profit d’un assistanat-chèque-bouclier, mais aussi en élargissant le droit d’égalité à toute l’Humanité invitée (mais sans le dire) à en bénéficier à raison de 400 000 et pourquoi pas un million annuel (rendez-vous dans dix ans chantait Patrick Bruel…). Le tout même pas dans un cadre politique fort qui soucieux de peser bientôt cent millions d’habitants (et en attendant que la courbe démographique autochtone se redresse — par une vraie politique familiale et une aide aux femmes qui avortent par défaut) poserait en condition sine qua non, comme désormais au Danemark, l’assimilation. Non, nous avons plutôt affaire à un non-cadre, un cadre nihiliste donc, dans lequel en absence de centre (théorisée par Blanchot maître de Bataille, Derrida Deleuze Foucault, Lyotard…) tout est de plus en plus permis, y compris la sédition, de fait. Et comme cela se voit de plus en plus, si vous contestez cela et proposez des solutions de redressement, vous êtes alors traité d’extrême droite agitée envers tous ceux qui refusent la disparition de la France, son rétrécissement en « étoile », morceau du drapeau de l’UE, à l’instar des États-Unis d’Amérique…

Il y a aussi plus encore dans le texte de Gide et qui explique bien pourquoi l’impôt progressif a été préféré (et alourdi façon Piketty) à l’impôt proportionnel (ce dernier permet d’ailleurs à la Russie qui l’a adopté de prospérer un peu mieux ces temps-ci) : le fait que l’envie se soit substituée à la jalousie pour reprendre à nouveau les termes de Daudet. La création de « profit » est, par essence, diabolisée en France, ce qui implique de la taxer à la source (cela s’appelle les impôts de production) avant même que quelque chose soit produit. Ajoutez à cela les charges sociales — que d’aucuns appellent cotisations, sauf que cela n’enlève en rien qu’elles ponctionnent la caisse courante (alors qu’il y a bien d’autres moyens que de se contenter d’une Sécu qui en plus va de plus en plus mal et coûte de plus en plus cher) — et vous avez l’idée qu’il faut exiger tout de suite des compensations au fait d’entreprendre et donc de pouvoir prospérer. Ceci fait que cette idée sous-jacente aux propos de Gide se trouve même amplifiée aujourd’hui dans la Nupes ou le fait de rester pauvre non pas par conviction (la pauvreté se distinguant de la misère qui, elle, n’est pas un choix, même si elle a des explications individuelles tout de même : qui ne fait rien n’a rien, voir encore une fois les Paraboles du Semeur et des Talents), mais par obligation, comme l’exige désormais ce nouveau « vrai » communisme qu’est l’écologisme et ses « urgences » intersectionnelles (réservées aux « gueux » bien sûr…).

Il y a donc là quelque chose de vicié, de vicieux, voire de pervers au sens de tordu : le fait de vouloir être, sans en demander la permission, devient de plus en plus suspect. « Penser par soi-même » EST désormais d’extrême droite. Pis encore : le fait qu’un immigré, un fils ou une fille d’immigré, veuillent adopter volontairement un prénom chrétien, veuille s’assimiler, apparaît lui aussi suspect, puisque la culture dans laquelle il veut s’insérer a été cataloguée par les nihilistes (de gaute, de droiche et « alter ») comme étant mauvaise, aliénante, oppressive, « impie » (tel rappeur djihadiste parlant stalinien en désignant des « social-traîtres » à propos de Rachel Khan…), alors que tout ce qui n’est pas cette culture reste paré de toutes les vertus (orientalisme). Cachez ce sein que je ne saurais voir : les crimes des conquêtes musulmanes, non, cela n’a jamais existé, ou c’est du passé. Alors que le courant actuel voulant dynamiter encore plus la culture occidentale fait le contraire, en ressassant par exemple sans cesse que l’écart actuel entre la Corée du Sud et l’Algérie serait dû à « la » colonisation française, alors qu’elles étaient au même point en 1962, oubliant aussi que les générations nouvelles n’ont pas à réécrire l’Histoire, car à ce compte il faudra aussi le faire pour chaque contrée en Afrique, Asie et Amérique, et ce bien avant la suprématie de l’homme « blanc »…

L’élite au pouvoir, qui s’est transformée au fur et à mesure en Secte, a donc tout intérêt à parler d’urgence et d’injustice afin de justifier sa présence à la tête des organismes censés les conjurer, alors qu’ils les aggravent en réalité. D’où le mode de production d’assistanat généralisé, le statut de handicapé comme étant Le stade suprême de la prise en charge au sens désormais total, cybernétique, du terme : les injonctions et les injections comme ses deux mamelles transgenres si l’on ose dire (en hommage à l’auteure d’Harry Potter vilipendée menacée de mort…).




Face au sentiment d’impunité, la question du retour de la peine de mort doit être posée…

Par Lucien SA Oulahbib

Le côté démagogue de son abolition a toujours sauté aux yeux malgré la culpabilisation faisant obligatoirement du délinquant/criminel la victime de la victime parce que déjà ce n’est pas faire « confiance dans la justice de son pays » pour croire qu’elle serait prise systématiquement comme sanction ultime (et même à l’époque, il n’y en avait guère qu’une à deux par an tout au plus). Ensuite ce serait poursuivre l’incompréhension de cette sanction que même Rousseau approuvait parce qu’elle signifie le Pacte Social lui-même, qui, rompu, demande réparation y compris pour le coupable qui ainsi « paye sa dette » soulage son âme au lieu de seulement essuyer sa conscience avec quelques années-remords qui peuvent soigner le corps, mais ne répare pas son esprit si la sanction n’est pas comprise comme « fait moral » dit Durkheim

La main de la Justice ne doit pas trembler. Elle fera reculer les apprentis assassins formés à l’école de la « République » et même légitimés par elle et ses affidés lorsqu’il est par exemple raconté que le « colonisé » peut, doit tuer son maître comme les bonnes de Genet leur maîtresse, Genet qui fascinait Sartre théorisant la « liberté » de l’assassin, qu’il soit tueur du PDG de Renault, ou d’un policier, d’un boucher, d’un bijoutier, ou de pharmaciennes, des dancings plastiqués à Alger détruisant toute une jeunesse ayant cru au « je vous ai compris » de de Gaulle avant d’être égorgée et de continuer à l’être dans la France d’aujourd’hui. Et, dans une digression rapide, en rester aux tortures lors de la « bataille d’Alger » et surtout aux enfumages de Bugeaud n’aide d’autant pas à la compréhension qu’il s’agissait moins à l’époque de tuer que de débusquer, brûler les bases arrières (comme en Vendée…), traquer les poseurs de bombes d’un côté, s’emparer des « smalas », assécher leur environnement de l’autre côté ; n’oublions pas qu’Abdel-Kader a accepté de se rendre à Bugeaud, ce qu’il n’aurait pas fait s’il avait jugé les procédés de combats injustes ; n’oublions pas qu’il a fini au Liban à défendre les chrétiens contre les fanatiques djihadistes de l’époque tandis que son petit-fils écrivit un livre mémorable pour expliquer l’apport d’Israëll, démontrant que rien n’est écrit d’avance, qu’il n’y a pas de fatalité…

Aujourd’hui le moindre malotru bousculant dans le métro, s’invitant dans un anniversaire, massacrant pour un regard soutenu ou une cigarette sait qu’il ne risque rien, que la violence paye, surtout lorsqu’elle est gratuite, surtout lorsque l’on se sent plus « fort », la justice étant de son côté parce qu’en a priori il aura été décidé que la sanction aggrave les choses, alors qu’au contraire elle répare…

Mais dans un pays où la criminologie n’est même pas considérée comme une science à part entière, au lieu d’être dépendante du droit et de la sociologie, comment ne pas admettre que ce malotru instinctivement affirme qu’il est le maître des horloges et des apparences, le redoublant avec ses rodéos et ses attaques contre les femmes légèrement vêtues assimilées à des salopes que lui pardonneront les féministes petites-bourgeoises préconisant l’élargissement des trottoirs ou la destruction du « mâle », au nom de la lutte contre le « patriarcat » oublie que l’islam, aussi, défend celui-ci, et pourtant elles iront en inviter les représentants les plus rétrogrades à leur université d’été…

Mais il est exact que le plus impuni reste encore la pédocriminalité en col blanc qui s’auto-absout ou quasiment à l’instar de ce criminel ayant proposé sa fille à violer (mais la Cour de Cassation a cassé cette relaxe « partielle ») sans parler des réseaux de trafics d’enfants, de l’esclavage revenu à la mode, les tabous étant franchis, jusqu’au retour des Comprachicos qui mettaient des enfants dans des tonneaux afin qu’ils deviennent des nains racontait Hugo dans l’Homme qui rit, une pratique qui revient à la mode avec les dérives de certains queer chics et leurs « bloqueurs de puberté »…

Le retour de la peine de mort comme sanction ultime serait cette épée de Damoclès que d’aucuns trouvent vaine, alors qu’ils n’en savent rien parce qu’ils n’ont pas vu ou négligent la signification réparatrice de la peine, y compris « capitale », au lieu de s’occuper seulement à la personnalisation de cette dernière ; comme si le fait d’avoir eu une enfance malheureuse engrangeait le passage sans raison à la logique de la pulsion alors que celle-ci reste confondue avec l’impulsion qui elle se sait consciente lorsqu’elle agit. La mise en équivalence des deux termes est une erreur majeure (comme l’expliquait Pierre Janet), ce qui fait que les classements (toujours actuels) en « irresponsabilité » vont bien trop vite en besogne, évacuant le fait que si l’on était en état pulsionnel (ou par exemple ne pas avoir conscience que son bras remue) le fait même d’agresser serait impossible, tant les gestes s’embrouilleraient, passeraient vite en catatonie ou en catalepsie…

Comme le disait Raymond Boudon, l’échec des sciences sociales et humaines est tel que tout est à refonder, mais il y a de bonnes bases pour faire table rase à partir du moment où l’on ne casse ni la table ni le bâton du pouvoir comme le conseillent pourtant les nihilistes néoléninistes aujourd’hui encore aux commandes et qui pour les garder accusent tout autre qu’eux « d’extrême-droite », mot valise, mot miroir dans lequel ils se contemplent, ravis, mais sans le dire… Il faut à nouveau soumettre cette question au référendum, et dire que ce serait aller dans le sens « populiste » oublie que des juges sont là pour peser le pour et le contre, encore faut-il qu’ils aient le courage de renoncer à l’idéologie et de choisir plutôt le camp de « l’égalité devant la loi. »..




La façon dont « le courrier des Stratèges » attaque Riposte Laïque est dégueulasse

Par Lucien SA Oulahbib

Un mot fort pour indiquer que l’on n’attaque pas ainsi en dessous de la ceinture en se ralliant de fait à ceux que les propriétaires sont censés combattre, non pas seulement « la Caste », mais la Secte — en ce sens où celle-ci recrute également tout le monde (à la différence de la première, qui coopte seulement) et qu’elle interdit toute dissidence alors qu’une caste admet en son sein toutes les nuances de « gris » (à la cervelle de crevette ayant la même couleur). Cette distinction entre secte et caste n’est pas uniquement une question de vocabulaire, mais d’analyse globale de l’état actuel du système global basé sur la fusion organique et non plus tactique entre la Technostructure publique et privée avec l’Affairisme international à tendance mafieuse — qu’il est trop aisé d’indiquer comme représentant uniquement « la » finance, celle-ci étant en effet le nerf de toute guerre depuis la nuit des temps. C’est du moins ce que l’article somme toute mesuré publié dans Riposte Laïque a juste souligné, sans injurier, en se demandant par exemple pourquoi le Courrier des Stratèges ne voyait pas que le nihilisme du sansfrontièrisme et cette proposition d’« Édit de Nantes avec “les” musulmans » faite par le Courrier (ou le degré zéro de l’analyse politique) font partie du souhait de cette Secte qui veut annihiler toute particularité souveraine (Nations) et toute singularité individuelle (queerisme antigay et pédophile) en réduisant les peuples en « particules élémentaires » modélisables, injectables, remplaçables, nouvelle matière première de la machinerie cybernétique divisée en passifs (les sans-dents et « ceux qui ne sont rien ») et actifs (l’élite de la Secte et ceux qu’elles cooptent pour commander, rectifier moralement…).

Et cette Secte (nommée ailleurs SHAA) a besoin de gardes-chiourmes pour maintenir son Hégémonie (et Orbe) — elle l’a trouvée ces temps-ci dans les rangs des néoléninistes petits bourgeois s’étant fait une santé avec la guerre d’Algérie, du Vietnam, et le mai 68 dévoyé, après avoir écrémé le centrisme mou des sociaux-démocrates et des catho-sociaux (à la base des ONG) et d’un zeste de communistes repentants, tous à la recherche avide, mais aussi désintéressée de places en son sein (en la contestant par exemple, sauf que la critique fait partie de sa révolution permanente). Et tous se servent de la fibre révoltée de toute jeunesse, car « chaque génération est un nouveau peuple » disait Tocqueville, pour à la fois propager les thèmes permettant de conforter la « conception du monde » hégémonique, et chasser les dissidents, les traquer, puis les tuer déjà socialement…

Or, il se trouve que le Courrier des Stratèges, du fait de ses convictions, et de ses analyses de bon niveau sur la situation internationale et sociale-économique, et le poids grandissant de la fusion, organique, entre l’État et les FTN, avait de l’intérêt pour la sauvegarde des libertés fondamentales. Mais soudain, au détour d’une maladresse policière (compréhensible, car il aurait pu être écrasé sur le mur et que « force doit rester à la loi ») — qui n’aurait pas fait tant foin s’il n’y avait pas eu ces émeutes (et à l’instar du « ceci n’est pas une pipe » de Magritte, celles-ci ne sont pas des révoltes) avides plutôt de voler à la hauteur de la démesure narcissique d’aujourd’hui (car on n’y a pas volé « que » du pain, mais surtout des objets de marque) au lieu de partir à l’assaut du « macronisme » comme le voulaient également les « stratèges » de la Nupes, et comme le croyaient également nos libertariens en herbe du Courrier (en herbe, car à côté d’un Friedman, père et fils — Milton et David —, ou même d’un Bastiat qu’aimait titiller Marx, il y a de la marge…)

Non, ces émeutes n’étaient pas « l’étincelle qui met le feu à la plaine », mais le trop plein d’une société narcissisée et rétrécie aux « besoins » parmi lesquels même les livres ne sont plus les bienvenus (ils avaient été écartés lors de la crise hygiéniste comme « inessentiels ») du « prêt-à-penser » comme l’on disait autrefois lorsque l’analyse critique avait du coffre, le tout maquillé bien sûr en « révolte antiraciste ». Et même le Courrier s’y est fait prendre en ce sens où ces émeutes sont surtout le résultat convexe, la synthèse, la Somme de toute les gabegies aujourd’hui ambiantes allant du pédagogisme propagandiste sur la colonisation, les crimes communistes (parlant seulement des crimes nazis) aujourd’hui l’écologisme alarmiste (l’autre A de SHAA le premier étant celui de l’Affairisme nihiliste…) jusqu’à un regroupement familial sans autre condition que l’atermoiement bureaucratique par ailleurs contradictoire :

faire ainsi croupir des milliers de gens sous des abris de fortune en France ou en Italie alors que c’est bien, d’abord, un problème mondial, avec pour conséquence l’accroissement désormais constant (quoi qu’en dise un Lebrun bien moins compétent qu’une Tribalat) d’une population à qui, l’on enseigne, en plus, et même seulement, qu’elle est surtout une victime de l’Histoire, uniquement française d’ailleurs, et qu’elle doit, de ce fait, non seulement exiger, mais considérer que ses « propres » valeurs peuvent non seulement se déployer (se reproduire telles qu’elles comme si elles étaient « fixes »…), mais surtout se développer — tout en se substituant aux valeurs propres à la culture française (qui non seulement « existe », mais se vit en tant que telle) avec tout un prosélytisme multiforme, encouragé par clientélisme et conviction altermondialiste, financé par des puissances étrangères (jusqu’aux USA en « banlieues difficiles) via les centres dits “cultuels” et les mosquées de diverses obédiences alors qu’aucune Église, synagogue, pagode, aucun centre laïque, n’est construite dans les pays musulmans pour la plupart corrompus ; mais ils sont de moins en moins les seuls à l’heure du régime mafiosique généralisé…

Au fond, le Courrier, mais il n’est pas le seul, n’a pas eu cette profondeur en analyse sociopolitique qui lui aurait permis de comprendre, ne serait-ce qu’en lisant Hobbes, que tout groupe lorsqu’il est reconnu tel, même informellement via la dimension “culturelle”, veut se déployer (se conserver) et se développer (s’affiner en qualité) pratiquement : c’est-à-dire jusqu’à exiger la partition, la sédition, comme ce fut le cas pour les protestants de plus en plus en cheville avec l’Angleterre, d’où la nécessité de casser l’Édit de Nantes (quitte à s’allier à d’autres protestants en Allemagne comme le fit Richelieu…) afin d’empêcher que se déploie des “fragments” que d’aucuns rêvent d’accomplir par ailleurs en France en la ramenant à ce qu’elle était avant Charlemagne…

Ou l’individualisation forcenée, mais fantasmée parce que l’être humain est un animal politique disait Aristote (et non pas seulement “social” comme certaines traductions l’y réduisent) et qu’il a donc besoin de se reconnaître et d’être reconnu (politeia) par un quelque chose plus grand que lui, un référent des référents qui donne du sens à tous les signifiants et signifiés, en clair, à une transcendance que l’esprit objectif (ou culture commune chez Durkheim) amène, renforce dans l’idée de Nation Laïque c’est–à-dire ce qui dépasse, singulièrement (selon les particularités historiques), les origines ethniques, sociales, religieuses, afin d’atteindre ce bonheur dont parlent Aristote (et Bainville) en tant que but objectif (polis) et subjectif (politeia) que se donne la Cité, et dans laquelle les individus sont heureux d’être ensemble et non pas seulement de cohabiter…

Mais comme il existe des ennemis à cette Nation Laïque (à chaque fois singulière selon l’histoire de chaque peuple) il faut bien riposter… Et aussi proposer : que les propriétaires du Courrier aient le courage d’organiser un débat loyal avec de “vrais” opposants au lieu de faire comme les autres et jeter des sortilèges… Cela nous grandirait non ?… Chiche ?…




La cécité volontaire de la gaute nihiliste et antigay

Par Lucien SA Oulahbib

Le X (désormais) d’Olivier Faure mettant en équivalence divers prénoms de criminels à propos du viol avec manche à balai de Cherbourg sur femme française (pourtant chez elle) en dit déjà long sur son ignorance crasse quant à l’impossibilité de le faire, car chaque crime est singulier (ce qui ne veut pas dire qu’il s’agit de « faits divers ») ; mais peut-on le lui reprocher lorsque des sociologues vont dans le même sens en confondant émeutes et révoltes comme vient de le faire l’Association française de sociologie ?…

Le fait que le « mis en examen » soit dénommé Oumar (uniquement désigné ainsi par un seul journal dans le silence assourdissant des autres) ne peut être amalgamé à un autre violeur, déjà par le mode opératoire (un balai), ensuite parce qu’il semble bien être issu d’une culture qui dévalorise en soi la femme en particulier non musulmane. C’est un fait, que l’on peut certes effacer en employant les serpillères « extrême-droite » et « islamophobie ». Il n’empêche que l’on peut en effet avoir peur d’une religion qui maintient à l’écart les femmes (jusqu’à leur interdire de prier avec les hommes) les mutile en les sommant de se cacher, entièrement pour certaines obédiences. Quant au vocable « extrême-droite », s’il s’agit de dénoncer un régime raciste qui prône une fusion totale entre vie privée et vie publique, l’islam correspond parfaitement à cette définition, ne serait-ce d’ailleurs que lorsque l’on observe la composition des « gouvernements » musulmans qui ne connaissent pas la parité et encore moins la « diversité »…

La femme occidentale est considérée dans l’islam comme un butin de guerre disponible pour qui peut ou le djihad du quotidien. Que des musulmans vivant en Occident aient décidé de refuser cette injonction devrait être encouragé en promouvant tous leurs éléments capables de « réveiller » réellement leurs congénères sur ce point. Or, au lieu de cela, la gaute et la droiche nihiliste (sansfrontièristes à tous les niveaux, englobant aussi les enfants) privilégie de mettre en avant les plus radicaux qui veulent au contraire revenir à l’islam originel maquillé bien sûr en « anticapitalisme » (à mourir de rire lorsqu’on les voit courir à Dubaï…), un « altermondialisme » également qu’un Ben Laden défendait lui aussi — la date du 11 septembre 2001 correspondant exactement à celle du 11 septembre 1973 lorsque Allende de plus en plus pressé sur sa gaute par l’équivalent LFI chilien de l’époque fut renversé par Pinochet et la CIA…

Cette alliance tant recherchée par les escrologistes, les résidus nihilistes de la gauche caviar et quelques bureaucrates coco et radsoc avec la mouvance djihadiste noyautée par les « frérots » — si sectaires que même les salafistes égyptiens firent cause commune avec le maréchal Sissi pour les chasser (idem à Alger) — est, normalement, contre nature au vu des « valeurs » laïques, émancipatrices, etc., etc.. Mais ce sont les nihilistes néoléninistes tendance queer antigay et cuir ex-fan de Trotski qui ont le pouvoir au sein de la Nupes, et ils sont très cyniques, surtout pour un plat de lentilles électorales (la retraite, cumulée, d’un Mélenchon ou d’un Hollande fait rêver…). Ce qui ne peut qu’alimenter leur rejet par le pays profond, palpable de plus en plus sur les réseaux et dans toute l’Europe, où l’on ne fait plus guère de différence désormais entre modérés ou pas. Le mot « dehors » prévaut, même si, ici et là, nombre de jeunes, pris en quinconce plient sous les injonctions des queer néoléninistes ayant pris le pouvoir sur ce que l’on appelait autrefois les « gays » (et ceux qui se rebellent sont bien sûr catalogués d’extrême-droite), le tout sous les quolibets moralistes de la gaute hypocrite (car nihiliste et sansfrontièristes) incitant à la manière des anciennes dames patronnesses aux filles les jupes longues informes et pas de maquillage (réservé aux wesh-wesh cependant façon meurtrière de Lola) et pour les hommes barbes et jogging bien sûr avec le journal Fakir sous le bras pour faire genre et diversion…

L’avenir le dira, mais il semble bien que la loi concoctée en catimini sur ladite « immigration » avalisera tout cet abandon bientôt et dans toute son ampleur…




Civitas ne doit pas être dissoute, mais combattue intellectuellement

Par Lucien SA Oulahbib

Comme d’habitude, la démocrature qu’est devenu le pouvoir, ultra-minoritaire (16,47 % des inscrits) macronien, surtout depuis la nuit du 5 août 2021 (et celle à venir, mais déjà là du 25 août 2023) envisage de casser un thermomètre de plus, en l’occurrence ici l’association Civitas se revendiquant d’obédience chrétienne, au lieu d’observer d’une part qu’il ne faut pas confondre expression et trouble effectif à l’ordre public, et d’autre part que l’on ne combat pas des idées en interdisant leur capacité de s’afficher publiquement.

Concernant le premier point, il ne semble pas que l’association Civitas s’en soit prise à des synagogues, des mosquées, des pagodes en les attaquant physiquement comme c’est au contraire le cas de nombreuses églises et d’Enzo et Mattéo en France et dans le monde avec une impunité grandissante (surtout à l’encontre de policiers municipaux)

Quant au second point, il est préférable au contraire de contre-argumenter sereinement en avançant par exemple à son encontre que Civitas, se prétendant chrétienne, ne peut par conséquent expliquer que les problèmes migratoires proviendraient, au tout départ, de « la naturalisation de juifs en 1791 », car ce serait, là, prendre une position « hérétique » aux antipodes d’une part des racines de la destinée française basée sur la « nation » et non la « race » (comme l’indique Jacques Bainville — fin du 1er paragraphe), d’autre part il convient benoîtement de rappeler que les premiers chrétiens étaient… juifs, à commencer par Jésus…

Rappelons aussi que Clovis, en devenant chrétien, a tracé le chemin ensuite renforcé par les Capétiens posant la France comme gardienne (au sens fort, au sens platonicien) de l’Église dont elle est « la fille aînée » ; d’où d’ailleurs l’idée de certains cherchant plutôt à briser ce lien à baser la nation française sur sa pureté « bleue » à écarter donc le christianisme du fait même de ses origines juives, s’enfonçant plutôt alors dans le paganisme, l’ésotérisme, le culte du surhomme blond aux yeux bleus, etc., qui en se recoupant provenant de la droiche et de la gaute aboutit aux lois raciales vichyste visant à écarter les juifs, français (Pétain ayant eu les pleins pouvoirs grâce à une majorité… radicale et socialiste).

Certes, aujourd’hui, certains veulent en quelque sorte reproduire ces lois en les inversant : serait ainsi écarté tout non « racisé », l’autochtone mâle blanc hétérosexuel en particulier, et pourtant parmi les velléitaires de ce projet l’on ne trouve guère de « juifs » et bien plus de patronymes typiquement « français » que le terme « enjuivé » ne peut toujours guère éluder…

Et Civitas en faisant cette (piètre) analyse sur la « naturalisation », tout en demandant de revenir à une situation « d’avant 1789 » représente en son fond cette propension défensive négativiste d’un certain souverainisme français et par extension de toute pensée en recul, posant que « la » cause de son déclin serait, toujours, exogène ou alors induite, toujours, par des « impurs », qu’il faut donc épurer, tout en recherchant des boucs-émissaires adéquats alors que les dérives nihilistes sansfrontièristes ont commencé en France avec un « noble » nommé Giscard « d’Estaing »

Quant au ministre de l’Intérieur Darmanin, préparant sans doute 2027 en sourdine, pense tendre un piège à tous ceux qui s’offusqueraient d’une telle décision (soutenue par la gaute mélenchonienne) de dissoudre ainsi Civitas (en les traitant bien sûr « d’extrême-droite ») alors qu’il dévoile ce faisant et de plus en plus les fondements profondément totalitaires d’un pouvoir sectaire qui n’a décidément rien compris au fondement de la démocratie moderne basée sur la liberté d’opinion (article 10 de la DDHC) sans parler de la liberté en général le droit de propriété et la résistance à l’oppression (article 2…).

C’est pitoyable, indigne, et, en même temps, guère étonnant au vu du degré zéro atteint par la vie politique et intellectuelle sévissant aujourd’hui en France alors que celle-ci mériterait bien mieux…




Misère de la politique (étrangère) macronienne…

Par Lucien SA Oulahbib

L’affaissement (plus que l’effondrement pas encore visible), quoique multiforme, n’a en effet pas de limites, puisqu’au-delà de l’adage, non seulement le fond a été atteint, et même dépassé, mais les gnomes non plus de Zurich, mais du Quai (d’Orsay) le creusent toujours encore « plus loin » (jusqu’à ne même plus lire les notes de la DGSE sur le Niger et donc encore moins les transmettre…), risquant de se trouver en Chine alliée de la Russie membre des Brics dont l’hôte de leur futur sommet aurait cependant refusé la venue du Mr Smith installé à la Lanterne par la Secte SHAA (et se remettant toujours d’une tournée sensuellement arrosée à Kinshasa…), en attendant d’y être pendu ?…

Mais non ! Cela ne se fait plus, et c’est même déconseillé, surtout pour les délinquants étrangers (alors que ces derniers ne s’en privent pas d’appliquer « leur » sentence, certes avec d’autres moyens : voiture, couteau, marteau — ah les filles ah les filles [elles me rendent marteau]). Haro sur les autochtones ayant le malheur de l’être (définition même du « racisme » pourtant, mais chut, il est même peu recommandé de se défendre…). Alors que dans certains endroits d’Afrique la sanction mutilante semble bien être de nouveau conseillée, du moins son synonyme en matière de sévérité : à commencer par couper quelques mains aux voleurs dont le geste peut mettre en danger la vie de toute une famille, voire un clan, lorsqu’il s’agit d’un vol de vaches comme le relate Anne-Laure Bonnel. Ceci peut expliquer le pourquoi d’une adhésion plus incisive à l’islam originel prôné par certains groupes et ce à l’identique de ce qui s’est passé en Afghanistan, les affidés, avides d’une justice efficace — sanctionnant le coupable au lieu de l’excuser — préfèrent et parfois faute de mieux s’en remettre à ce pouvoir politico-religieux violent et par ailleurs suffisamment malin pour se surajouter aux structures ancestrales comme les tribus au lieu de les écarter ou les remplacer, celles-ci étant bien loin d’avoir disparu, mais seulement mises en sommeil par la tentative surfaite depuis la fin officielle de la colonisation de remplacer leurs institutions (chefferie, palabres) par un système de partis politiques qui correspond bien plus à l’essaimage urbain brassé au fil des ans (via les corporations métiers salons, clubs) qu’il soit occidental ou indien…

L’analyse fine de cette complexité-là ne plaît certes pas aux caciques du Quai qui ont de plus en plus « désappris » depuis des lustres la philosophie politique des relations internationales à l’aulne de ce retour au marxisme vulgaire qu’est le léninisme (voyant par exemple seulement la mécanique impérialiste comme « stade suprême »), alors qu’elle a toujours été la constante première de toute géopolitique digne de ce nom, comme on le voit bien aujourd’hui lorsque les franges ultra de l’État mafieux démocratico-républicain US (ayant eu la peau de JFK, de son frère et bientôt du neveu ?…) ont décidé de casser les reins européens en empêchant l’UE et en particulier l’Allemagne de prospérer conjointement à une Russie en pleine expansion (5e puissance mondiale tous critères confondus) par le biais d’un cheval de Troie, le régime mafieux installé à Kiev (qui pourtant avait décidé de négocier dès mars 2022 à Minsk et à Istanbul) afin d’éviter toute « Eurasie » possible, et par là toute concurrence ; mais ce non pas en vue de « préparer » l’affrontement supposé avec « la » Chine dominée également par un régime mafieux (qui d’ailleurs cache bien son jeu comme il a été vu lors de ladite crise sanitaire avec ses accointances avec l’OMS de Bill Gates sans parler des labos militaires), mais surtout en vue de rester le seul « hégémon », coûte que coûte, assis avec entêtement tel Picsou sur la pyramide Ponzi des 30 000 milliards de dettes qu’il faut bien contenir… par la guerre… à l’exception de celle avec Pékin par trop périlleuse et surtout contre-productive depuis que les Brics se sont considérablement renforcés…

Le statu quo dans ce cas prévaut, celui dit de « l’état stationnaire » vivifié cependant par la Grande Réinitialisation avec « urgence » climatique à la clé maintenant que les idées de « passe » et de « confinement » auront été médiatisées en suffisance comme il a été vu par toute personne se réinformant aux bonnes sources (d’où l’idée cependant de l’en empêcher, encore plus, à partir du 25 août…).

À cette misère intellectuelle (s’aggravant vu l’état de feu-SciencePo en particulier, de l’Université en général, mais aussi d’officine privée comme l’Iref) s’ajoute un tiers-mondisme bas de gamme (mâtiné cependant de Samir Amin — Centre/Périphérie ressourcé dans du Bourdieu ou « la faute à »…) encore diffusé au plus haut niveau pourtant, parlant par exemple toujours de » pays défavorisés » ou en « voie de » y ajoutant maintenant l’impact supposé négatif des réseaux sociaux, surtout s’ils ne sont pas domestiqués et mis hors d’état de nuire lorsqu’ils sont supposés être dans des mains « poutiniennes », simplifiant ainsi à l’extrême la complexité du rejet actuel de l’influence et présence française (en particulier azertienne comme on l’a vu au Cameroun dernièrement) ce qui permet de maintenir, même involontairement, l’alliance implicite entre les diverses strates mafieuses inter et extra-africaines. Ainsi le reproche de Bamako à Paris de n’avoir pas écrasé les Touaregs au nord du Mali… Résultat : ces derniers ainsi pressés par ces éléments maliens formés au jacobinisme germanopratin font de plus en plus alliance avec certains djihadistes plus ou moins tolérés d’ailleurs par la junte installée à Alger et aussi par les forces spéciales américaines installées depuis plusieurs années en sous-main dans les zones pétrolières névralgiques sahariennes y voyant là un moyen d’affaiblir encore plus l’influence française…

Ainsi, avec tous ces impairs et manques rien ne va plus à la roulette macronienne. Et pourtant le maître bateleur continue de distribuer des leçons d’universalisme, confondu, hélas, avec l’Universel réel ou ce résultat effectif de ce qui est techniquement nécessaire mais qui, lui, ne peut être jamais imposé, seulement choisi comme optimum d’organisation par « les » populations, si et seulement si « elles » y trouvent intérêt, à un certain degré de leur histoire commune ; ce qui est loin d’être le cas s’agissant du système des partis, du moins dans certains pays à la structure socio-économique bien peu « urbaine » en ce sens où ne s’y trouvent pas encore suffisamment brassés familles et clans par et dans d’autres polarités (corporations, métiers, salons, clubs…) comme ce fut le cas en Occident avec l’émergence de la Ville et en Inde avec la diminution progressive du pouvoir des Castes…

Toute cette approche en analyse sociopolitique et socioculturelle n’est, bien sûr, toujours pas faite, mais la suffisance du Quai reste sans égale, gardant seulement pourtant du faste diplomatique d’antan sa seule apparence mondaine et ses recyclages embarrassés de ministres remerciés (quoiqu’aigris pour certains accusant ainsi « l’extrême droite » d’avoir comploté contre eux… Gageons que les Vérificateurs sauront les… conforter sur ce point…). Pendant ce temps, la Roue tourne (dirait Soljenitsyne)




En invitant le djihadiste ex-quenelliste Médine, les « Verts » affichent sans honte leur nihilisme

Par Lucien SA Oulahbib

Ras-le-bol déjà de faire croire que l’islam serait une « race » (d’où l’impossibilité juridique de la critiquer) ou à l’inverse seulement une « religion » au sens superficiel, c’est-à-dire une « culture » ravalée au rang d’un folklore, alors qu’il s’agit aussi, et comme les autres conceptions du « Lien » (ou Transcendance), d’un modèle également total de société. Il ne fait cependant pas la distinction entre César et Dieu comme l’indiquait au contraire Jésus, mais aussi la monarchie absolue française contrairement aux idées préconçues : Louis XIV avait ainsi bien moins de pouvoir sur ses « sujets » qu’actuellement le Président de la Ve en France, surtout avec l’intégration du Scientisme de l’Hygiénisme, de l’Alarmisme, comme nouvelle Trinité de la « religion » séculaire (de plus en plus Affairiste ou Nihiliste par ailleurs).

À l’opposé, car exempt d’une telle distinction entre vie publique et vie intime (ce qui ne veut pas dire séparation, terme que Descartes n’emploie pas dans ses Principes, article 8 à propos de l’âme et du corps), l’islam impose, lui, sa « loi » sur les âmes vidées de leur liberté et les corps amalgamés, et ce au nom de « Dieu » se prenant dans ce cas et de fait pour celui-ci (ce qui est un blasphème du moins du point de vue biblique). Mais « il » ne le dit pas, bien sûr, lorsque la « culture de la force » n’est pas de son côté, utilisant dans ce cas « la force de la culture » (affiche annonçant sa venue au raout Vert le 24 août 2023 au Havre) pour se soustraire à l’analyse critique (c’est-à-dire laïc au sens kantien de sapere aude !) en montrant bien sûr patte blanche…

Ce qui fait alors de la nouvelle cheffe des « verts » français un chaperon rouge au sens littéral : elle le chaperonne parce qu’elle est « rouge » au sens alter-islamique : celui de faire, exprès, en l’invitant, d’oublier qu’il a affiché le terme Djihad sur lui et en a fait même un disque (jouant avec les deux sens du terme « le grand » et le « petit », cachant qu’il s’agit des deux faces de la même médaille, celle de la « guerre » contre celui qui n’accepte pas la « paix » ou « salam… » qui ne veut pas dire seulement « que la paix soit avec vous », mais « que la paix de l’islam soit avec vous », mais si vous ne la voulez pas alors il vous en cuira…). Il s’est également acoquiné avec les frères Ramadan. Il soutient de fait le Hamas (sous le vocable « Gaza »), a fait une quenelle (« qu’il regrette », bien sûr), est copain avec tel imam connu pour ses propos peu orthodoxes sur les juifs et les homosexuels, a attaqué le principe de laïcité qui signifie aussi esprit objectif dénoncé par les docteurs musulmans depuis le début en écartant peu à peu la philosophie (Averroès était ultra minoritaire et détesté) de l’enseignement religieux qui s’avère être le seul admis dans les pays réellement islamiques, d’où l’idée de brûler toute autre école, car c’est « boko haram » (l’enseignement non religieux — occidental — est à proscrire).

Les Verts français, par cette invitation sulfureuse, concurrencent certes le post-trotskiste Mélenchon qui suit pour sa part les directives de sa mouvance à l’international, visant à s’allier même avec le « diable » (selon Dante) alors qu’il ne fait que lui servir la soupe sous le regard bienveillant de la Secte globaliste qui a besoin de toutes ces nuances de vert et de rouge pour imposer sa férule sansfrontièristes, réduisant également le « citoyen » à n’être qu’une « particule élémentaire » bienveillante comme un prix Goncourt si elle est intersectionnelle (modulable en permanence selon les besoins du Flux).

Mais les Verts français (et à vrai dire européens) veulent faire mieux encore en continuant aussi et ainsi leur descente dans l’enfer du nihilisme intégral pavé de mauvaises intentions quant à l’abolition des frontières, le fractionnement racialiste (et essentialiste) de la Nation en « communautés » non plus informelles, mais rigides ayant leurs propres lois habitudes habits…). Ainsi des « migrants » veulent désormais avoir comme avocat quelqu’un de leur couleur, bientôt de leur religion, ensuite et enfin voudront être jugés par leur loi religieuse (mais ils perdent au change, d’où le peu d’attrait de cet aspect…). Par contre, concernant les écoles et les logements, cela se fera lorsqu’il sera possible de voter aux municipales sans être citoyen français, une proposition qui peut avoir l’aval des macronistes et de la Nupes…

Les Verts comme cheval de Troie du totalitarisme islamique lui-même longue cuillère de la Secte Globale qui a su avec souplesse intégrer ses revendications du 11 septembre et des attentats suivants : lui faire de la place comme courroie de transmission à côté des autres vertes et rouges aujourd’hui si bien domestiquées qu’elles acceptent de se rétrécir et même d’en être la courroie auxiliaire, supplétive…




Répression accentuée à venir contre la critique scientifique sur l’alarmisme catastrophiste

Par Lucien SA Oulahbib

L’alliance NUPES-Renaissance enfin révélée au grand jour : ces deux faces de la même médaille sectaire veulent accentuer leur emprise sur la perception en général du monde en tentant d’échafauder une perception particulière celle d’une énième loi scélérate visant à bannir toute critique lucide réaliste sur leurs élucubrations dites « climatiques » qu’ils confondent d’ailleurs désormais sans précaution avec les aléas météo (alors qu’il faut trente ans pour établir une tendance).

C’est abject (mais pour la « bonne cause » dirait l’ex GPT Pain…). Alors qu’aucune corrélation n’a été établie entre augmentation du CO2 (qui est bon pour la planète) et activités humaines (les 3/4 du CO2 dans l’atmosphère étant déjà là avant les années 1940 au dire d’un François Gervais… spécialiste du… CO2…)

Et puis le Sahel reverdit, la croissance céréalière en résultant devient de plus en plus un bienfait contre la famine, toujours endémique. Mais les pyromanes restent à l’affût, profitant des hautes températures estivales dans certains endroits (car il a toujours fait très chaud l’été en Grèce, Italie, Californie, et c’est pour cela que les touristes en particulier provenant du Nord y vont…) pour sévir, permettant ainsi à des prophétesses catastrophistes illuminées de prédire la « fin des temps », comme dans Tintin et l’Étoile mystérieuse…

Ainsi la Secte (SHAA) sévit, loin de tout doute pourtant à la base de l’esprit scientifique comme l’indiquait Descartes (pas étonnant qu’il ait été écarté tout comme Molière du Panthéon…). La République (la politeia) française ne commençant pas en 1789, mais — du moins formellement — en 987 avec Hugues Capet, les courants sectaires qui n’ont jamais compris cet esprit pas plus que la démocratie ni même sa constitution moderne (exit l’article 2 de la DDHEC par exemple) profitent de leur position hégémonique dans les médias et les institutions académiques (grâce à leur manipulation des chiffres et la pratique léniniste d’éliminer tout concurrent : ainsi Bourdieu promu par Aron qui s’en mordit les doigts comme il l’explique dans ses Mémoires…) pour cette fois jeter le masque voltairien et adopter en plus du masque hygiéniste la main de fer, mais toujours dans un gant de velours (rapiécé) afin de tromper le bac +3 (voire 4 ou 5, soyons généreux) socle d’une génération urbaine avide de se voir plus grande qu’elle n’est dans le déformant miroir médiatique, pas étonnant qu’elle vote pour l’une ou l’autre des deux faces de cette médaille sectaire (NUPES/Renaissance) dont les porteurs sont devenus, mais sans le dire, les plus fanatiques avec un seul mot d’ordre : « fanatiques de tous les pays et obédiences unissez-vous ! ».

Décidément le débat est clos, de leur part. Reste donc plus que la guerre : see you in the field [sur le terrain, ou sur le champ de bataille.]




Violences totalitaires contre la France…

Par Lucien SA Oulahbib

Pour une fois que des Musk français (Lagardère/Bolloré) tentent par exemple de secouer le cocotier médiatique en insufflant un peu d’air frais dans les médias — C-News, Europe 1, JDD… — (mais pas trop quand même), ne voilà-t-il pas que, mécontents de ne contrôler « que » 99 % du PMPC (Paysage Médiatique Politiquement Correct), les gardes-chiourmes (à la solde de la Secte SHAA) veulent faire passer une loi scélérate conditionnant les « aides » à la presse à la présence d’une direction « adéquate » : sans-frontièriste, nihiliste, azertienne (LGBTIQ+ en référence au clavier Azerty…).

Ce sera une loi totalitaire, une de plus, sommant le quidam de penser comme il faut, car à la différence d’une loi dictatoriale qui ne peut guère empêcher la vie intérieure ou intime, la loi totalitaire veut tout contrôler y compris celle-ci en y semant le trouble, la mauvaise conscience, faire honte, avoir peur (de mourir socialement), afin que tout un chacun soit son propre tribunal non pas pour se peaufiner telle une ascèse, mais s’inspecter sur toutes les coutures pour observer si l’on est bien « déconstruit » — entendez copie conforme au discours nihiliste (adepte du Rien), voire post-nihiliste (comme chez Blanchot maître de Foucault), au sens de ne plus rien vouloir, valoir, voir par « soi-même » puisque le « soi » n’existe pas, effacé, brisé, éclaté, « déjà mort »…

Mais les éclats seront récupérés par les nouveaux ferrailleurs numériques, ils serviront de sous-munitions de mines larmoyantes avec les larmes reportage, cris d’excitation, hantise du faire-valoir à tout prix (entendu sur France Inter : « je suis actrice, mon combat est pour le climat et donc contre le capitalisme », dit-elle avant de jouer dans une production payée par… un « capitaliste » ou par nos « impôts » la transportant également ici et là pour promouvoir un énième déjà-vu…).

Pendant ce temps, l’on meurtrit, égorge, viole de 7 à 77 ans (et +), et cette déconstruction sanglante ne se fait pas seulement par des « étrangers », mais aussi par des cent-papiers ayant toutes ces cartes en main, mais refusant de les jouer, préférant brûler, saccager, détruire en vrai et pas seulement sur les plateaux, accusant ici « la » société, là-bas « le » capitalisme, jusqu’à exiger une partition de fait (mais pas en droit pour l’instant bien sûr) pour se faire « pardonner »… Ce qui fait que l’on en concocte l’idée dans la « loi sur l’immigration », par exemple, les émeutes venant à point d’ailleurs pour l’avancer enfin, bien que le pays réel n’en veuille pas, comme la cagnotte pour aider la famille du policier l’a montré (les 502 la confirmant) ; ce qui fait que la béance entre le désir de France et le souci de se faire assister s’agrandit, du moins en apparence, car il suffirait de mieux payer — d’où la nécessité de repenser toute l’assiette fiscale et assurantielle (ainsi les éboueurs ne sont plus en majorité d’origine étrangère). Mais à propos, en matière de béance, peut-on aller plus loin encore que le grand écart ?…

Oui, visiblement, et il se nomme le « grand bon en avant » (déjà joué dans la Chine de la Révolution Culturelle admirée par Althusser, Badiou et Sollers : des millions de morts), puisque le réel a été en fait effacé depuis longtemps au profit de son double soucieux, lui, d’annihiler ce qui reste encore comme traces de l’original : ainsi la loi (encore) sur « les » réseaux dits « sociaux » s’appliquera fin août, claironne Thierry Breton, avide de censures clés en main, afin d’épurer, normaliser, aseptiser les dernières poches de la « Révolte », ou l’hygiénisme là aussi, mais étendu au mental et pas seulement au sanitaire ; même si sur ce dernier aspect, la volonté de réaffirmer la nécessité du consentement (qui existe formellement) aura été cependant écartée par les deux faces de la médaille totalitaire : nupes et macronie — « je t’aime moi non plus » au-delà des noms d’oiseaux prononcés devant les caméras, affairisme oblige…

Manque l’alarmisme pour couronner le tout (dernière lettre de SHAA…), alors l’« on » fera en sorte de jongler avec les degrés météo et les avancées/reculs du front à l’Est ; à l’Ouest, rien de nouveau